le 23 septembre 2019
L’Allemagne perdrait-elle son sang-froid ? Ce pays a déjà par le passé démontré son aptitude à dériver vers des extrémismes dont le dernier en date fut particulièrement détestable. Se débattant dans une crise économique dévastatrice le peuple allemand accepta cette dérive vers une politique extrême. Il n’y a pas, en effet, de demi-mesure possible dans ce pays et à terme tout pourrait basculer à nouveau. L’économie allemande est en train de plonger tête première dans la récession et cette fois-ci ce ne sont pas des éléments externes qui la provoquent comme ce fut le cas avec la crise de 1929 et l’élection d’Hitler en 1933, mais le choix insensé d’une politique énergétique « post-Fukushima » approuvée pour de basses visées électoralistes par la Chancelière elle-même en s’alliant au parti des Verts. La décision de cesser toute production électrique d’origine nucléaire et d’opter pour le tout renouvelable a conduit le pays vers une augmentation considérable de ses émissions de gaz carbonique ainsi que du prix du kWh. Il s’agit d’une totale aberration qui a pourtant satisfait les écologistes jusqu’à la structuration du mouvement « Vendredis pour l’Avenir » (FFF, Fridays For Future).
Les revendications de ce mouvement soutenu par le puissant parti Vert sont claires : plus de voitures, moins d’industrie, plus de viande, plus de plastiques, etc … C’est le suicide programmé de l’ensemble de l’économie allemande qui est revendiqué par ce mouvement. En effet les piliers de l’économie allemande sont son industrie automobile et son tissu industriel très dense constitué de moyennes entreprises la plupart tournées vers l’exportation. La Chancelière Merkel a donc cédé au mouvement FFF et au parti vert en promettant une taxation sévère des carburants pour les automobiles, 10 millions de voitures électriques à l’horizon 2030 accompagné d’un réseau de un million de bornes de rechargement, une taxe sur les transports aériens, des tickets de train moins chers et encore plus de moulins à vent et de panneaux solaires.
La récession économique qui se profile tant en Europe qu’en Asie a déjà profondément affecté l’industrie automobile, la colonne vertébrale de l’économie allemande, à tel point que certains équipementiers auto n’ont pas pu payer leurs employés à la fin du mois d’août car ils font face à des pertes financières importantes avec des carnets de commande désespérément vides. Le puissant syndicat IG Metall n’a pas caché son inquiétude.
Des sondages d’opinion récents ont montré clairement que la majorité des Allemands sont prêts à faire des sacrifices pour « sauver le climat » : plus de souffrance, plus de pauvreté, plus d’austérité et de privations pour sauver la planète de la fournaise. Et les sceptiques (dont je fais partie) sont traités d’ennemis de l’environnement et de négationnistes qui doivent être punis.
L’Allemagne s’achemine donc vers un crise économique qui risque bien d’être profonde et durable, du jamais vu depuis la fin de la seconde guerre mondiale, une crise entrainant la résurgence des extrémismes les plus exécrables. Et pendant ce temps-là la Chine, l’Inde, la Russie et d’autres pays comme l’Indonésie, le Nigéria ou encore le Brésil se frotteront les mains. Allez demander à un Brésilien, un Indien ou un Nigérian ce qu’il pense du réchauffement du climat : ils s’en moquent tous car ils ont d’autres préoccupations beaucoup plus urgentes. Pour tous les Européens un effondrement de l’économie allemande signera la fin de l’Union européenne.
L’Allemande Ursula von der Leyen a affirmé il y a quelques jours ceci : « Je veux que le Green Deal européen devienne la marque de fabrique de l’Europe. Notre engagement, visant à devenir le premier continent neutre en carbone, est au coeur de la nouvelle Commission« . Ça ne pourra que mal se terminer comme a coûtume de le rappeler H16 à la fin de ses billets …
Inspiré d’un article de P. Gosselin paru sur son site Notrickszone.com, illustration notrickszone.com
Ils sont en train (d'essayer) de construire une société plongée dans la rupture familiale extrême. Une séparation enfants/parents lourde de conséquences où les enfants (petits cons sans instruction) sont amenés à croire en des bobards. Mais un jour, ces enfants seront adultes ! et comprendront la vérité cachée par leur entourage ! Car, seule la vérité triomphe.
RépondreSupprimerDes gosses manifestent comme du bétail parqué, poussés dans un couloir sans lendemain, formés à la révolte idiote où ils côtoient d'autres délinquants.
Ils ont même inventé un mot pour leur opposition 'les sceptiques' ! Qu'est-ce qu'un sceptique ? Quelqu'un qui doute. Or, les scientifiques s'opposent à ce terme d'hésitation/d'incompréhension car la vérité n'est pas un mensonge ni un scepticisme mais LA vérité. La vérité pure, inattaquable, indiscutable. La science ne peut être remise en cause. Lorsque elle dit que la Terre est ronde elle n'est pas plate ! Lorsque l'on dit que le magma de notre planète produit des éruptions volcanique terrestres et sous-marnes autant que sous-océanique c'est vrai. Ces éruptions produisent des milliards de fois plus de gaz toxique que ne peuvent le faire l'humanité, les animaux et les industries.
TOUS les gaz se recyclent ! TOUS ! (si ce n'était le cas, l'animal ne serait même pas apparu sur Terre !).
Depuis des millions d'années il y a des milliards de km³ d'eaux douces (venus des pluies, des fleuves & des rivières) qui se sont déversés dans les mers & océans... SANS QU'ELLES OU ILS NE MONTENT !!! Çà alors ! Tout simplement parce que l'eau s'infiltre continuellement dans les planchers océaniques et maritimes vers le magma où cette soupe toxique (les poissons chient dans la mer !) y est chauffée/bouillie et remonte donc (comme dans une cafetière électrique) vers les sources (chaudes ou froides suivant l'altitude) et vers les nappes phréatique qu'elle remplit.
L’Est de l’Australie flirte avec le “Day Zero”, le jour de la pénurie d’eau totale
RépondreSupprimerAudrey Duperron
23 septembre 2019
L’Est de l’Australie se rapproche dangereusement du “Day Zero”, le jour où il n’y aura plus une seule goutte d’eau potable au robinet. La région est en effet le théâtre d’une sécheresse d’une ampleur inédite, et une douzaine de villes ne sont plus qu’à quelques mois d’une pénurie d’eau potable totale.
Toute la région qui s’étend du Queensland jusqu’à Sydney est concernée. L’Etat entier de la Nouvelle-Galles du Sud a été déclaré en sécheresse en décembre dernier. Il fait de plus en plus chaud, et les sols de plus en plus secs. Pire, les réserves d’eau déjà mises à mal par la sécheresse ont dû être mobilisées pour lutter contre des centaines d’incendies qui se sont déclarés dans le bush.
Des vols d’eau
Dans certains réservoirs, la quantité d’eau résiduelle ne dépasse pas 1 % de leur capacité. Certaines petites bourgades, telles Guyra (1758 habitants), sont déjà à sec.
La ville de Stanthorpe (4271 habitants), pourtant située dans le bassin du plus grand réseau hydrographique d’Australie, tout comme les autres villes à sec, pourrait ne plus avoir une seule goutte d’eau d’ici Noël. Si cela se produit, les autorités n’auront pas d’autre choix que de transporter l’eau par camion, une éventualité qui coûterait la bagatelle de 1 million de dollars australiens (environ 616 000 euros) par mois, une fortune pour cette petite communauté. En outre, une telle solution ne pourrait être que temporaire, et ne pourrait être prolongée au delà de 12 mois.
Des fermes sont également à court d’eau. Les agriculteurs en sont réduits à prendre des mesures exceptionnelles pour sauver leurs récoltes. Certains ont même renoncé à ensemencer leurs terres ou planter leurs vergers, préférant louer des parcelles dans des régions épargnées par la sécheresse. Dans certains cas, ils ont même abandonné temporairement toute activité.
Des magasins ont également été contraints de fermer. Le désespoir a même mené à des « vols d’eau ».
Le changement climatique
La sécheresse n’est pas une première pour le pays, surnommé le “Sunburnt Country” (“Pays Brûlé par le Soleil”). Mais les Australiens sont maintenant forcés de constater que les conditions climatiques extrêmes de leur pays sont effectivement amplifiées par le changement climatique. Les autorités locales tentent de faire face à la crise en installant des pipelines et en forant des puits, mais la population réclame des mesures d’ampleur nationale, comme la construction d’un barrage, ou le durcissement des restrictions portant sur l’emploi de l’eau des rivières à des fins d’irrigation.
L’année dernière, en mai, la capitale de l’Afrique du Sud Le Cap avait elle aussi été confrontée à la perspective d’une pénurie totale d’eau. Le pays avait alors envisagé sérieusement une solution qui pourrait sembler farfelue de prime abord : remorquer un iceberg de l’Antarctique jusqu’à la ville.
Mais il est probable qu’à l’avenir, compte tenu de l’augmentation de l’urbanisation, de telles situations de pénuries se banaliseront. L’eau couvre en effet 70 % de la surface de la terre, mais seulement 3 % de cette masse sont constitués d’eau douce. Selon des projections réalisées pour le compte des Nations unies, la demande mondiale d’eau douce dépassera l’offre de 40 % en 2030. Le changement climatique, l’activité humaine, mais aussi la croissance de la population urbaine expliquent cette tendance.
Même Londres est menacée
RépondreSupprimerAu cours des dernières années, d’autres grandes métropoles ont déjà été exposées à de graves pénuries d’eau. Les villes de Sao Paulo (une métropole de 20 millions d’habitants qui a déjà connu une grave pénurie en 2015), les villes de Bangalore (8,5 millions d’habitants, Inde), Beijing (21 millions d’habitants, Chine), Le Caire (16 millions d’habitants, Égypte), ou encore Jakarta (10 millions d’habitants, Indonésie), sont les plus concernées par ce problème. Mais on retrouve également des candidates plus inattendues, telles que Moscou (12 millions d’habitants, Russie) et même… Londres (5,5 millions d’habitants, Royaume-Uni). La Grande-Bretagne, pourtant réputée pour son climat pluvieux, est en effet menacée par une pénurie d’eau d’ici à 2050 en raison du changement climatique.
https://fr.express.live/penurie-deau-est-australie/
Depuis l'arrivée de l'humain sur Terre (période pré-historique séparant les peuples cueilleurs/chasseurs de l'invention de l'agriculture), tout a été fait pour irriguer les zones désertiques et sauver la gente animale de son extinction.
SupprimerAujourd'hui l'Australie se plaint au 21 ème siècle de ne pas avoir d'eau !! Serait-ce un peuple africanisé qui ne peut profiter du progrès ?
(...) Mais les Australiens sont maintenant forcés de constater que les conditions climatiques extrêmes de leur pays sont effectivement amplifiées par le changement climatique. (...)
Le 'changement climatique' s'appelle DES SAISONS ! Ignare !
(...) L’eau couvre en effet 70 % de la surface de la terre, mais seulement 3 % de cette masse sont constitués d’eau douce. (...)
La superficie totale est de 78 % en comptant les masses gelées aux pôles.
Les 'problèmes' de désalinisation de l'eau de mer sont du passé ! Suffit de remplir une boite d'eau sale (noire, urine, etc) et de la poser dans une poêle sur le feu. D'y mettre une grande boite ou marmiton dessus en couvercle reposant au fond de la poêle. L'eau qui bout formera des gouttelettes qui descendront le long des parois intérieures du marmiton. Cette eau de condensation recueillie dans la poêle est de l'eau pure, sans goût, sans odeur et sans bactérie !
Cette eau (captée dans les océans ou fleuve) est aussi celle des centrales électrique (gaz, charbon, pétrole ou nucléaire) car, les réacteurs ne tolèrent QUE de l'eau pure. Cette eau pure s'évapore dans le ciel ou, peut être recueillie.
Le problème évident est celui des urbanistes et des dirigeants qui forcent à l'agglomération des individus ! Des millions de personnes pour un seul robinet !! HAHAHAHA ! Plus con que çà y a pas !
Une nappe phréatique est remplie uniquement par les infiltrations d'eau propre (bouillie par le magma) mais cette vitesse de remplissage peut être dépassée par la vitesse de pompage. Çà alors !
C'est bien malheureux de ne pas comprendre la science de la Terre et de mettre des petits cons trisomiques à défiler dans les rues sans qu'ils ne sachent pourquoi !
Des scientifiques de 13 pays écrivent au secrétaire général des Nations unies contre l’alarmisme climatique
RépondreSupprimer23 septembre 2019
Association des climato-réalistes
Un courrier signé par 500 scientifiques et professionnels, dont 40 pour la France, vient d’être adressé à António Guterres, secrétaire général des Nations unies, ainsi qu’à Patricia Espinosa Cantellano, secrétaire exécutive de la Convention-cadres des Nations unies sur les changements climatiques.
Lancée par Guus Berkhout, géophysicien professeur émérite à l’université de La Haye (Pays-Bas), cette initiative est le fruit d’une collaboration de scientifiques et associations de treize pays. Publiée au moment où l’agenda international place une nouvelle fois le climat en tête des préoccupations, cette « Déclaration Européenne sur le Climat » est destinée à faire savoir qu’il n’y ni urgence ni crise climatique. Elle appelle donc à ce que les politiques climatiques soient entièrement repensées, et reconnaissent en particulier que le réchauffement observé est moindre que prévu, et que le gaz carbonique, loin d’être un polluant, est bénéfique pour la vie sur Terre.
Ci-dessous une traduction de cette lettre (suivie de la lettre originale en anglais). À faire circuler aussi largement que possible.
Professeur Guus Berkhout
Catsheuvel 93, 2517 KA La Haye
guus.berkhout@clintel.org
Le 23 septembre 2019.
S. António Guterres, Secrétaire général des Nations Unies,
Siège des Nations Unies,
New York, NY 10017, États-Unis d’Amérique.
Patricia Espinosa Cantellano, Secrétaire exécutive,
Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques,
Secrétariat de la CCNUCC, Campus des Nations Unies, Platz der Vereinten Nationen 1,
53113 Bonn, Allemagne.
Vos Excellences,
Il n’y a pas d’urgence climatique
Un réseau mondial de plus de 500 scientifiques et professionnels expérimentés du climat et des domaines connexes a l’honneur d’adresser à Vos Excellences la Déclaration européenne sur le climat, jointe en annexe, dont les signataires de la présente lettre sont les ambassadeurs nationaux.
Les modèles de circulation générale du climat sur lesquels la politique internationale est actuellement fondée sont inadaptés. Il est donc cruel aussi bien qu’imprudent de préconiser le gaspillage de milliers de milliards de dollars sur la base des résultats de modèles aussi imparfaits. Les politiques climatiques actuelles affaiblissent inutilement le système économique, mettant des vies en danger dans les pays à qui est refusé l’accès à une énergie électrique permanente et bon marché.
Nous vous exhortons à suivre une politique climatique fondée sur une science solide, sur le réalisme économique et sur une attention réelle vis-à-vis de ceux qui sont frappés par des politiques d’atténuation coûteuses et inutiles.
Nous vous demandons d’inscrire cette Déclaration à l’ordre du jour de votre prochaine session à New York.
RépondreSupprimerNous vous invitons également à organiser avec nous début 2020 une réunion de haut niveau, constructive, entre des scientifiques de réputation mondiale des deux côtés du débat sur le climat. Cette réunion rendra effective l’application du juste et ancien principe, aussi bien de bonne science que de justice naturelle, selon lequel les deux parties doivent pouvoir être pleinement et équitablement entendues. Audiatur et altera pars !
Bien respectueusement,
Les ambassadeurs de la Déclaration européenne sur le climat :
Guus Berkhout, professeur (Pays-Bas)
Richard Lindzen, professeur (États-Unis)
Reynald Du Berger, professeur (Canada (francophone))
Ingemar Nordin, professeur (Suède)
Terry Dunleavy (Nouvelle-Zélande)
Jim O’Brien (République d’Irlande)
Viv Forbes (Australie)
Alberto Prestininzi, professeur (Italie)
Jeffrey Foss, professeur (Canada anglophone)
Benoît Rittaud, maître de conférences (France)
Morten Jødal (Norvège)
Fritz Varenholt, professeur (Allemagne)
Rob Lemeire (Belgique)
Viconte Monkton of Brenchley (Royaume-Uni)
—————————
Il n’y a pas d’urgence climatique
Ce message urgent a été préparé par un réseau mondial de 500 scientifiques et professionnels. Les sciences du climat se doivent d’être moins politisées, tandis que la politique climatique se doit d’être davantage scientifique. Les scientifiques doivent aborder de façon ouverte les incertitudes et les exagérations dans leurs prévisions d’un réchauffement planétaire, et les dirigeants politiques doivent évaluer de façon dépassionnée les bénéfices réels et les coûts envisagés à l’adaptation au réchauffement climatique, ainsi que les coûts réels et les bénéfices envisagés de l’atténuation.
Des facteurs naturels aussi bien qu’anthropiques provoquent un réchauffement
Les archives géologiques révèlent que le climat terrestre varie depuis que la planète existe, avec des phases naturelles froides et chaudes. Le Petit Âge glaciaire n’a pris fin que tout récemment, vers 1850. Il n’est donc pas étonnant que nous vivions aujourd’hui une période de réchauffement.
Le réchauffement est beaucoup plus lent que prévu
Le monde s’est réchauffé à un rythme inférieur à la moitié de ce qui était intialement prévu, et inférieur à la moitié de ce à quoi on pouvait s’attendre en se fondant sur le forçage anthropique net et le déséquilibre radiatif. Cela nous indique que nous sommes bien loin de comprendre le changement climatique.
La politique climatique s’appuie sur des modèles inadéquats
Les modèles climatiques présentent de nombreuses lacunes, et ne sont guère exploitables en tant qu’outils décisionnels. De plus, ils exagèrent probablement les effets des gaz à effet de serre tels que le gaz carbonique. Enfin, ils ignorent le fait qu’enrichir l’atmosphère en gaz carbonique est bénéfique.
Le gaz carbonique est l’aliment des plantes, le fondement de toute vie sur Terre
Le gaz carbonique n’est pas un polluant. Il est essentiel à toute la vie sur Terre. La photosynthèse est un bienfait. Davantage de gaz carbonique est une bonne chose pour la nature, cela fait verdir la Terre : le gaz carbonique supplémentaire dans l’air a favorisé un accroissement de la biomasse végétale mondiale. Il est par ailleurs bon pour l’agriculture, accroissant les rendements des récoltes dans le monde entier.
RépondreSupprimerLe réchauffement climatique n’a pas provoqué davantage de catastrophes naturelles
Il n’y a aucune preuve statistique que le réchauffement climatique intensifie les ouragans, les inondations, les sécheresses ou autres catastrophes naturelles analogues, ni qu’il les rendrait plus fréquentes. En revanche, les mesures d’atténuation du gaz carbonique sont, elles, aussi dévastatrices que coûteuses. Ainsi, les éoliennes tuent les oiseaux et les chauves-souris, et les plantations d’huile de palme détruisent la biodiversité des forêts tropicales.
L’action politique doit respecter les réalités scientifiques et économiques
Il n’y a pas d’urgence climatique. Il n’y a donc aucune raison de s’affoler et de s’alarmer. Nous nous opposons fermement à la politique néfaste et irréaliste de neutralité carbone proposée pour 2050. En attendant que de meilleures approches voient le jour, ce qui se produira certainement, nous avons amplement le temps de réfléchir et de nous adapter. L’objectif de la politique internationale doit être de fournir une énergie fiable et bon marché, de façon permanente, et dans le monde entier.
https://www.climato-realistes.fr/des-scientifiques-de-13-pays-ecrivent-au-secretaire-general-des-nations-unies-contre-lalarmisme-climatique/
Bulletin des climato-réalistes n° 94
RépondreSupprimer20 septembre 2019
Association des climato-réalistes
CONFÉRENCE SUR LES OURS POLAIRES AVEC LA BIOLOGISTE CANADIENNE SUSAN CROCKFORD
L’Association des climato-réalistes organise une conférence sur les ours polaires le mardi 29 octobre 2019 à l’adresse suivante :
Espace Chaptal, 23-25 rue Chaptal, 75009 Paris
de 20 à 22h
Susan Crockford est docteur en zoologie à l’université de Victoria en Colombie-Britannique (Canada), spécialiste des mammifères de l’holocène. Elle nous parlera de la situation réelle des ours polaires en arctique, qui est loin d’être aussi alarmante que ce que l’affirme le consensus scientifique actuel.
La signature de son dernier livre, Ours Polaires, Faits et Mythes, traduit en français offrira l’occasion d’un contact direct avec l’auteure.
Cette conférence suivra l’assemblée générale de l’association qui aura lieu à cette même adresse de 16h à 18h30
Inscription auprès de Marie-France Suivre à l’adresse suivante : mfsuivre@hotmail.fr
Les non adhérents à l’association devront s’acquitter d’une contribution de 10 Euros (possibilité d’adhérer à l’association sur place).
Attention les places à la conférence sont limitées, il est donc impératif d’envoyer au plus tôt son inscription.
LE SECRÉTAIRE DE L’ORGANISATION MÉTÉOROLOGIQUE MONDIALE FAIT SON OUTING
Le professeur Petteri Taalas, secrétaire général de l’OMM (Organisation Météorologique mondiale), a déclaré le 6 septembre au magazine finnois Talouselämä qu’il appelait à une approche calme et rationnelle du débat sur le climat, et qu’il était en désaccord avec ceux qui promeuvent des scénarios de fin du monde : « Le changement climatique n’est pas encore incontrôlable, a-t-il déclaré, mais le débat l’est : il a les caractéristiques d’un extrémisme religieux ». Le 12 septembre, il a reformulé officiellement sa déclaration sur le site de l’OMM en ces termes :
« j’ai souligné que l’approche scientifique est compromise lorsque des faits sont sortis de leur contexte pour justifier des mesures extrêmes au nom de l’action pour le climat. Les mesures devraient être fondées sur une vision équilibrée des données scientifiques disponibles, et non sur une lecture partiale des rapports de l'IPCC, dont l’OMM est l’une des organisations-mères. »
Un appel bienvenu à ce que cessent les exagérations, a commenté Benoît Rittaud. Patrick Moore, cofondateur de Greenpeace, a twitté que les déclarations de Taalas représentent « la plus grande brèche dans le récit alarmiste depuis longtemps ; c’est plus important que le Climategate ».
Il n’est malheureusement pas sûr que l’appel à la raison de Petteri Taalas soit entendu : Le Monde du 17 septembreannonce que les experts français du climat aggravent leurs projections sur le réchauffement qui pourrait atteindre +7 °C d’ici 2100…
Pour ce qui est des citoyens en revanche, un sondage YouGov publié lundi 16 suggère que la proportion de climato-réalistes reste stable (environ un Français sur trois), malgré une pression médiatique et politique toujours aussi forte.
RépondreSupprimerILS NE VEULENT PLUS D’AGRICULTURE…
C’est la réflexion désabusée d’un agriculteur membre de la coordination rurale à propos d’une pétition lancée le 12 juillet par l’association France Nature environnement qui semble avoir inspiré les cinquante- deux maires qui, après celui de Langouët, ont signé des arrêtés visant à interdire les pesticides dans leurs communes.
La consultation lancée par le Gouvernement pour désamorcer la crise étonne : en quoi l’avis des citoyens pourrait-il éclairer les pouvoirs publics sur un sujet aussi technique et complexe, alors qu’il revient à l’Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail) de fournir cette expertise ?
À moins que cette opération ne vise justement à déstabiliser l’Anses, et notamment son actuel président Roger Genet à qui il est reproché d’avoir accordé une interview dans laquelle il admet n’avoir aucun élément scientifique justifiant un retrait immédiat du glyphosate. Fabrice Nicolino, l’initiateur du mouvement « nous voulons des coquelicots » s’est donc crû autoriser à exiger dans Charlie Hebdo le départ immédiat de Roger Genet. Il vient de réitérer ses accusations dans son dernier livre, Le Crime était presque parfait, dans lequel il accuse l’Anses d’être liée à l’industrie des pesticides. L’Anses a répondu à ses accusations dans le dernier numéro du Point.
…ET NE VEULENT PLUS D’INDUSTRIE NON PLUS
Au salon automobile de Francfort, le patron de PSA Carlos Tavares a prévenu que l’automobile s’apprête à entrer dans une période « extrêmement chahutée » de dix ans au moins, marquée par des fermetures d’usines en cascade et des suppressions d’emplois : « Jusqu’à quand les citoyens européens se laisseront-ils dicter par la pensée unique ce qui est bien ou mal ? », a t-il lancé. Constat partagé par l’économiste Patrick Artus, qui estime dans Le Point que latransition vers les énergies renouvelables et les voitures électriques va être une nouvelle épreuve pour l’industrie française. Quant à Jean Pisani-Ferry, il alerte dans un article intitulé « Climat et commerce : vers le clash » sur les difficultés de mise en œuvre d’une taxe carbone à la frontière annoncée par la nouvelle présidente de la Commission européenne, Ursula Von der Leyen. Rémy Prud’homme a évalué dans cet article les conséquences funestes d’une telle taxe en termes de pertes d’emplois, de réduction de richesse, de baisse des revenus, sans parler d’un possible contre-coup politique des plus détestables.
APARTHEID CLIMATIQUE ?
La lutte contre le réchauffement climatique se pare des plumes de la lutte pour la justice sociale. « Riches-pauvres hommes-femmes, nous vivons une crise des inégalités tous azimuts » a déclaré Emmanuel Macron lors du G7. Selon un expert de l’ONU, avec le changement climatique le monde est confronté à un « apartheid climatique ». Un article publié sur le site de Benoît Rittaud montre que, selon les données de la Banque Mondiale, depuis 1960 les pays en développement ont connu des progrès considérables en termes de mortalité infantile, d’espérance de vie, de scolarisation, d’accès aux installations sanitaires et électriques, et enfin de production de nourritures. Mais où est donc l’apartheid ?
À LIRE, VOIR ET ENTENDRE
RépondreSupprimerDans le cadre d’une série intitulée « Vivre avec la fin du monde », le journal Le Monde a donné la parole à Sylvie Brunel, géographe, qui estime que « Le changement climatique n’est pas forcément une mauvaise nouvelle »
Dans une tribune au journal L’opinion intitulée « Pour une écologie humaniste », Julien Aubert, député LR du Vaucluse, estime que sur la question du climat nous devons exercer notre raison et non nous laisser submerger par l’émotion, voire par la peur, surtout quand la propagation de cette peur est financée par des milliardaires et des lobbys dont les intérêts sont bien opaques.
Dans un article publié par Causeur intitulé « On a du pétrole mais on n’a plus d’idées ! », Loïk Le Floch-Prigent explique que la transition énergétique est pour la France une triple peine : déficit accru de notre balance commerciale, électricité plus chère, déclin de notre compétitivité industrielle.
ACTIVITÉS DE L’ASSOCIATION
Conférence du Heartland Institute
Benoît Rittaud a participé au cycle de conférences organisé par le Heartland Institute à Washington. Les vidéos de tous les exposés sont accessibles en ligne en suivant ce lien.
https://www.climato-realistes.fr/bulletin-des-climato-realistes-n-94/
Face à l’alarmisme climatique la science est impuissante
RépondreSupprimer19 septembre 2019
Association des climato-réalistes
par Richard Lindzen, professeur émérite en sciences de l’atmosphère, Massachusetts Institute of Technology.
Cet article paraît aujourd’hui-même en espagnol dans le journal Expansion. ( Traduit en français par Benoît Rittaud )
En tant que scientifique qui a travaillé sur les problèmes des sciences de l’atmosphère, climat compris, pendant plus de 50 ans, je doute que la science soit en mesure de contribuer au discours actuel sur un changement climatique catastrophique qui serait provoqué par l’homme. Ce que je veux dire, c’est qu’il s’agit d’un problème politique et que, de ce fait, il est entre les mains du public, et plus particulièrement de la classe dirigeante. Pour l’essentiel, ces groupes ignorent tout des sciences du climat, et même de la science tout court. Confrontés à des informations contradictoires, ils peuvent choisir ce qu’ils veulent croire — ou se servir de la fausse affirmation selon laquelle « 97% des scientifiques sont d’accord » comme d’une béquille.
Un exemple simple illustre le problème. L’année 1998 a été un maximum dans la moyenne mondiale de température, par rapport à une moyenne de trente ans dans les stations météos. Mais depuis deux décennies, il n’y a plus de tendance significative, et les quelques changements survenus sont généralement beaucoup moins importants que ceux prévus par les modèles. Il y a de petites fluctuations, bien sûr, notamment une pointe de température associée au phénomène El Niño en 2014-2016, qui a été suivie d’une chute. De nombreux scientifiques des deux bords ont appelé « pause » cette absence de tendance. De leur côté, les promoteurs de l’alarmisme en ont profité pour affirmer que beaucoup des « années les plus chaudes enregistrées » dataient de cette période.
Peu de gens ont été capable de saisir qu’une telle observation ne contredit nullement l’existence d’une « pause ». Il est clair en effet que même si l’anomalie de température (c’est-à-dire l’éart par rapport à la moyenne sur 30 ans) était restée absolument la même après 1998, toutes les années suivantes auraient été les années les plus chaudes jamais enregistrées !
La vérité, c’est qu’un citoyen perspicace n’a pas besoin des détails de la science pour s’apercevoir que quelque chose ne va pas du tout dans cette histoire. Un tel citoyen peut ainsi observer que toutes les prescriptions censées permettre de lutter contre le réchauffement climatique sont bien antérieures à leur lien avec celui-ci. Des politiques très similaires impliquant le contrôle du secteur de l’énergie et l’élimination du charbon ont été proposées il y a longtemps, à une époque où on les justifiait par les inquiétudes sur les pluies acides et les craintes d’un… refroidissement global.
Ce citoyen peut aussi se demander pourquoi ces prescriptions politiques insistent invariablement sur la nécessité de se focaliser sur un et un seul des nombreux éléments qui concernent cette problématique du réchauffement (à savoir les niveaux de gaz carbonique). Pourquoi les alarmistes n’accordent-ils pas la même attention à la question de l’adaptation ? D’une manière générale, une telle approche serait pourtant à la fois moins chère et plus flexible, en plus d’impliquer un mode d’action dans lequel les êtres humains sont particulièrement doués — la preuve en est que nous sommes capables de vivre dans des régions qui vont de l’Arctique à l’équateur.
Si ce citoyen sait compter, il peut aussi se rendre compte qu’aucune des politiques proposées n’aura d’impact significatif sur le climat, indépendamment de ce que l’on pense de la physique sous-jacente. En réalité, il s’agit de nous demander des sacrifices qui n’auront en tout état de cause qu’un effet purement symbolique. Ce sera un simple affichage de vertu.
Si notre citoyen était, en outre, familier avec la nature de la science, il pourrait savoir que la quasi-totalité des preuves soi-disant définitives justifiant la panique ne sont pas réellement des preuves scientifiques. En réalité, une preuve (evidence) scientifique ne vaut que si elle permet des prévisions non ambiguës, et non pas simplement si elle nous est néfaste ou choquante. Certaines des soi-disant preuves sont à l’opposé de ce que la physique prévoit. Notre citoyen pourrait également savoir que la « certitude » n’est pas la marque de la science. Bien au contraire, celle-ci insiste sur la nécessité du scepticisme dans la recherche. C’est particulièrement vrai pour les sujets complexes et très jeunes tels que le climat, alors même que ceux qui se font les promoteurs du « problème climatique » affirment qu’ils savent avec certitude la cause du changement climatique, un simple bouton de contrôle qui serait le gaz carbonique. Un gaz qui se trouve par ailleurs être essentiel à la vie.
RépondreSupprimerTous ces éléments convergent pour affirmer le caractère politique de la question. Les détails peuvent certes différer d’un endroit à un autre. Ainsi, aux États-Unis le climat est en grande partie une question partisane : la gauche soutient « la lutte contre le changement climatique » parce qu’elle croit en un renforcement du pouvoir de l’État, alors que la droite a tendance à être sceptique parce qu’elle croit en la liberté individuelle. En Europe, le problème semble plutôt lié à l’opposition entre concentration de pouvoir et souveraineté. Dans ces deux régions toutefois, l’alarmisme climatique a en commun d’être devenu un élément central du politiquement correct. La crainte de s’en démarquer semble être particulièrement forte parmi les « élites éduquées ».
La prétendue « crise climatique » n’est nullement une question scientifique, malgré toutes les tentatives d’invoquer la soi-disant « autorité » de la science. S’inquiéter des implications que l’on impute à des fluctuations si petites qu’elles en sont virtuellement impossibles à mesurer, ainsi qu’à de douteuses observations de fluctuations de la température moyenne à la surface du globe, est une pure bêtise. Argumenter dessus, c’est lui faire trop d’honneur.
Il n’en est pas moins intéressant de savoir ce que la science nous dit. Rien dans les données aujourd’hui disponibles n’indique que quelque chose d’inédit est en train de se produire. Même le groupe de travail 1 du Groupe intergouvernemental sur l’évolution du climate (GIEC) onusien — la seule partie de l'IPCC à s’occuper de science — reconnaît que les phénomènes tels que les sécheresses, les inondations, les ouragans, et ainsi de suite, ne montrent aucune tendance perceptible. Certes, en raison du fait que les observations disponibles sont relativement récentes, il y en aura toujours pour aller un peu vers le haut ou vers le bas, mais rien de tout cela n’est inhabituel, ni ne peut être lié de façon claire à une augmentation du gaz carbonique.
La seule raison à l’inquiétude tient simplement à ce que les modèles (qui le plus souvent se trompent) suggèrent qu’il est « envisageable » qu’il y ait un problème. Il s’agit là d’une base extrêmement faible pour transformer toute la société, détruire le secteur de l’énergie, augmenter le prix de l’électricité tout en en réduisant la disponibilité, empêcher le développement des régions les plus pauvres du monde, gaspiller des milliards de dollars et favoriser la peur, voire l’hystérie.
https://www.climato-realistes.fr/face-a-lalarmisme-climatique-la-science-est-impuissante/
Comment les médias détruisent toute possibilité de débat rationnel sur le climat
RépondreSupprimer14 septembre 2019
Association des climato-réalistes
Le texte qui suit est la traduction d’un article du climatologue Roy spencer publié sur son site le 25 août 2019.
Par Roy W. Spencer, Ph. D.
Une vieille recette utilisée par l’industrie de l’information est que « pour vendre, il faut que ça saigne ». Si quelqu’un a été assassiné, c’est une nouvelle. Si personne n’est assassiné il n’y a pas de nouvelle. Voilà qui devrait vous suggérer qu’on ne peut pas compter sur les médias grand public pour être une source impartiale d’information sur le changements climatique.
Il y a maintenant beaucoup d’experts climatiques autoproclamés. Ils n’ont pas besoin d’un diplôme en physique ou en sciences de l’atmosphère. Pour ce qui est de justifier leurs compétences, ils leur suffit d’être « préoccupés » et de faire savoir qu’ils sont « préoccupés » . Ils pensent que l’homme assassine la Terre et veulent que les médias relaient ce message.
La plupart des gens n’ont ni le temps ni les connaissances nécessaires pour comprendre le débat sur le réchauffement climatique. Il s’en remettent donc au consensus des experts sur le sujet. Le problème, c’est que personne ne dit jamais exactement ce sur quoi les experts s’entendent.
Lorsque l’on va dans les détails, ce sur quoi les experts s’entendent dans leurs déclarations officielles n’a rien d’extraordinaire. La Terre s’est un peu réchauffée depuis les années 1950. J’ai retenu cette date parce que auparavant, les humains n’avaient pas produit assez de gaz carbonique pour influencer le climat. Il n’y a pas assez de réchauffement pour être ressenti par les gens, mais suffisamment pour que les thermomètres captent un signal enfoui dans le « bruit » des variations naturelles, des écarts de températures de plusieurs dizaines de degrés et du faux réchauffement produit par les effets de l’urbanisation. Le consensus des Nations Unies est que la majeure partie de ce réchauffement est probablement due à l’augmentation du gaz carbonique atmosphérique liée à l’utilisation de combustibles fossiles (mais nous le ne savons pas vraiment avec certitude).
Pour l’instant, je suis plutôt d’accord avec ce consensus.
Et pourtant, je passe pour un négationniste du climat.
Pourquoi ? Parce que je ne suis pas prêt à exagérer et à faire des déclarations qui ne sont pas étayées par des données.
Prenons l’exemple du chercheur Roger Pielke, Jr. Il se considère comme un écologiste. Il est généralement d’accord avec les prévisions du IPCC/GIEC de l’ONU concernant le réchauffement futur. Mais en tant qu’expert en dommages causés par les catastrophes météorologiques, il n’est pas prêt à cautionner le mensonge selon lequel il y aurait une aggravation des événements naturels extrêmes. Oui, les dommages causés par les tempêtes ont augmenté, mais c’est parce que nous continuons à construire dans des zones exposées.
Il est donc lui aussi considéré comme un négationniste du climat.
Ce qui est rapporté par les médias au sujet du réchauffement de la planète (d’abord qualifié de changement climatique, puis de crise climatique et maintenant d’urgence climatique) est généralement un tissus d’exagérations, de demi-vérités, voire d’absurdités. Tout comme dans le domaine économique, il n’est pas difficile de trouver un expert prêt à faire des prévisions catastrophistes. Cela donne des nouvelles qui font vendre mais déforme la perception du public sur les dangers du changement climatique. Et parce qu’elles sont censées être produites par la « science », elles sont tenues pour vraies.
RépondreSupprimerLes effets prévus du changement climatique tels qu’il sont rapportés par les media sont presque toujours systématiquement biaisés et présentés comme l’annonce du jugement dernier. Les événements météorologiques violents (tornades, ouragans, inondations, sécheresses) qui se sont toujours produits sont présentés aujourd’hui, au moins partiellement, comme ayant été provoqués par les émissions de votre SUV.
Les grands médias se sont tellement persuadés de la justesse et de la véracité de leur cause qu’ils se sont ligués pour s’assurer que l’urgence climatique ne soit pas ignorée. Comme le rapporte The Guardian, « plus de 60 organes de presse dans le monde ont adhéré au projet Covering Climate Now, qui vise à améliorer la couverture médiatique de l’urgence climatique. »
Les exagérations ne se limitent pas à la science. Les études sur les sources d’énergie alternatives proposées (par exemple les énergies éolienne et solaire) sont également biaisées. Les données économiques présentées sont fausses. Nous serions environnés par une énergie « gratuite » illimitée qui n’attendrait qu’à être puisée dans cette « corne d’abondance ».
Et pour la plus grande partie de l’Amérique (et du monde), la façon dont les media rendent compte de ce sujet ne nous rend pas plus intelligents, mais plus bêtes.
Quelle importance ? pourquoi s’inquiéter de ce que les résultats de la science (ou de l’ingénierie ou de l’économie) sont biaisés, puisque le résultat sera que nous cesserons de polluer ?
Outre le fait qu’il n’existe pas de sources d’énergie non polluante, cela importe parce que l’humanité dépend d’une énergie abondante et abordable pour prospérer. Recherchez dans Google des statistiques sur l’espérance de vie et la consommation d’énergie par habitant. Les sociétés prospères sont en meilleure santé et vivent plus longtemps. Les sources d’énergie coûteuses imposées aux masses par les diktats gouvernementaux tuent les pauvres simplement parce que l’énergie coûteuse exacerbe la pauvreté qui elle même entraîne des morts prématurés. Comme l’écrit le philosophe Alex Epstein dans son livre The Moral Case for Fossil Fuels, si vous pensez que l’humanité a le droit à prospérer, alors il faut défendre les combustibles fossiles.
Nous n’utilisons pas l’énergie éolienne ou solaire parce qu’elles sont économiquement compétitives. Nous les utilisons parce que les gouvernements ont décidé de forcer les contribuables à payer les coûts supplémentaires et ont autorisé les services publics à répercuter sur les consommateurs des coûts plus élevés. L’utilisation de l’énergie éolienne et solaire augmente, mais la demande mondiale en énergie augmente encore plus rapidement. En l’absence d’une nouvelle technologie énergétique (ou d’une forte réhabilitation de l’énergie nucléaire), il est peu probable que les énergies éolienne et solaire satisfassent plus de 10 % de la demande mondiale d’énergie au cours des prochaines décennies. Et comme certains pays européens l’ont appris à leurs dépens, l’utilisation obligatoire de l’énergie solaire et éolienne a un coût élevé pour la société.
Non seulement les médias, mais le système d’éducation publique est également complice en cette ère de reportages scientifiques bâclés. Je suppose que la plupart des enseignants et des journalistes croient à ce qu’ils enseignent et rapportent. Ils ont pourtant la responsabilité de s’assurer que ce qu’ils rapportent est relativement impartial et factuel.
RépondreSupprimerPour ma part, je préférerais de loin que les enseignants consacrent plus de temps à enseigner aux élèves comment penser et moins de temps à leur enseigner ce à quoi ils doivent penser.
Les scientifiques du climat ne sont pas innocents. Ils ont comme tout le monde des préjugés. Pratiquement tous les scientifiques spécialistes de la Terre que je connais considèrent celle-ci comme « fragile ». Leurs présupposés affectent la façon dont ils analysent des données incertaines qui peuvent être interprétées de multiples façons. La plupart d’entre eux sont relativement ignorants en matière d’ingénierie et d’économie. J’ai eu des discussions avec des climatologues qui m’ont dit : « Eh bien, de toutes façons, nous devons nous éloigner des combustibles fossiles ».
Et peut-être qu’on finira par le faire. Mais exagérer la menace peut faire plus de mal que de bien. Feu Stephen Schneider avait avoué que les rapports scientifiques étaient scandaleusement biaisés. Vous pouvez lire l’intégralité de son témoignage et constater par vous-même que des scientifiques comme M. Schneider ont laissé leur vision du monde, leur idées politiques etc. influencer leur façon de présenter la science au public. La publication non autorisée des courriels du « ClimateGate » entre les scientifiques du IPCC/GIEC a montré comment le discours alarmiste a été maintenu en sapant les opinions alternatives et même en exerçant des pressions sur les rédacteurs en chef des revues scientifiques. Même The Guardian a été choqué par de tels errements.
C’est une chose de dire que le réchauffement de la planète causé par l’homme pourrait être très dommageable, ce qui est en fait théoriquement possible. Mais prétendre que des changements importants et préjudiciables ont déjà eu lieu en raison de l’augmentation du gaz carbonique dans l’atmosphère relève de mauvaises pratiques journalistiques. Certains journalistes contournent le problème en disant que le dernier ouragan n’est peut-être pas directement imputable au réchauffement climatique, mais qu’il représente ce à quoi nous devons nous attendre dans un monde qui se réchauffe. Sauf que même le IPCC/GIEC de l’ONU est resté prudent sur ce sujet.
S’agissant de l’élévation du niveau de la mer, les médias ne mentionnent jamais sauf erreur de ma part, que le niveau de la mer s’élève naturellement depuis qu’on le mesure à l’aide des marégraphes installés dans le monde (depuis les années 1850). L’homme est peut-être responsable d’une partie de l’augmentation récente, mais comme c’est le cas pour presque tous les rapports sur le climat, le rôle des facteurs naturels est rarement mentionné et l’ampleur du problème est presque toujours exagérée. Le fait que l’aggravation des inondations dues aux marées périodiques à Miami Beach s’explique pour environ 50% par l’affaissement des marécages gagnés sur la mer n’est jamais mentionné.
Il n’y a pas aucune empreinte humaine du réchauffement climatique. On postule simplement que le changement climatique est principalement d’origine humaine (ce qui est en fait possible), alors que nos connaissances sur le changement climatique naturel sont presque inexistantes.
Les modèles climatiques informatisés sont paramétrés pour valider l’hypothèse de la causalité humaine. Les modèles produisent des changements climatiques d’origine humaine parce qu’ils sont programmés pour ne produire aucun réchauffement avec un « bilan énergétique » équilibré, sauf si l’on ajoute du gaz carbonique.
RépondreSupprimerPour autant que nous le sachions, personne n’est mort des suites du changement climatique d’origine humaine. Les décès dus aux intempéries ont chuté de façon spectaculaire (de plus de 90 %) au cours des 100 dernières années.
Apprenons-nous cela aux enfants à l’école ? Quel journaliste a eu le courage de divulguer cette bonne nouvelle ?
De plus en plus de gens m’ont dit ces dernières années, que leurs enfants, petits-enfants ou de jeunes connaissances sont maintenant convaincus que nous détruisons la planète avec nos émissions de gaz carbonique provenant de la combustion d’énergies fossiles. Leur cerveau a été « lavé » par des reportages, des films, leurs maîtres d’école et leurs professeurs, leurs célébrités préférées ainsi que par une poignée de scientifiques s’exprimant publiquement et par des politiciens dont les connaissances sur le sujet sont aussi superficielles qu’étendues.
Par contre, peu de gens sont informés des articles scientifiques montrant des observations satellitaires qui révèlent qu’un phénomène mondial de verdissement est en train de se produire en raison de l’augmentation de la concentration de gaz carbonique dans l’atmosphère.
Encore une fois, je pose la question : à qui a-t-on enseigné cela à l’école ? Quel journaliste ose rapporter les effets bénéfiques du gaz carbonique sans lequel la vie sur Terre n’existerait pas ?
Quelques exemples d’informations biaisées sur le climat
Voici quelques exemples récents (et d’autres moins récents) de reportages médiatiques qui ne font qu’empirer les choses et dégrader le débat public sur le changement climatique. Très souvent, ce qui est rapporté, ce sont en fait des événements météorologiques qui se sont toujours produits sans que rien ne prouve qu’ils se soient aggravés ou qu’ils soient devenus plus fréquents au cours des 60 dernières années pendant lesquelles les humains pourraient en être tenus au moins partiellement responsables.
L’Amazonie brûle
Il y a quelques jours, le Guardian a annoncé que de larges pans de la forêt amazonienne brûlaient. Je ne sais pas comment cela est soudainement entré dans la conscience du public, mais ceux d’entre nous qui suivent ces événements savent que les terres agricoles et certaines forêts tropicales humides en Amazonie et sur les terres adjacentes sont brûlées par les agriculteurs depuis de nombreuses décennies pour qu’ils puissent planter leurs cultures à cette époque de l’année. Cette année n’est pas exceptionnelle à cet égard, mais quelqu’un a décidé d’en faire un sujet. En fait, il semble que 2019 soit l’une des années les plus basses en matière de combustion de la biomasse. La déforestation a considérablement diminué au cours des 20 dernières années.
La forêt tropicale elle-même ne brûle pas en réponse au réchauffement climatique; en fait, le réchauffement des régions tropicales a été si lent qu’il est peu probable qu’un personne vivant sous les tropiques le perçoive au cours de sa vie. Ce n’est pas une question de changement climatique; c’est un problème d’agriculture et d’utilisation des terres.
Le Groenland fond rapidement
RépondreSupprimerL’inlandsis du Groenland reçoit chaque année de la nouvelle neige, mais la gravité provoque un lent écoulement de la glace vers la mer causant une perte de masse par le vêlage des icebergs. La quantité de glace qui se trouve dans la calotte à un moment donné est basée sur l’équilibre entre les gains et les pertes.
Pendant les mois d’été (juin, juillet et août), la fonte de la surface est supérieure à l’accumulation de la neige. Le récent épisode météorologique (une masse d’air saharienne qui a traversé l’Europe occidentale et atteint le Groenland) a provoqué une fonte exceptionnelle pendant quelques journées.
Cet événement a été rapporté comme devant avoir de graves conséquences.
Forbes a décidé de repousser les limites du journalisme responsable en titrant : La fonte massive de la glace du Groenland n’était pas censée se produire avant 2070. Mais les données réelles montrent qu’après cette très brève période de forte fonte (quelques jours), les choses sont ensuite revenues à la normale.
- voir graphique sur site -
La fonte du Groenland autour du 1er août 2019 (ovale vert) a été suivie d’un retour aux conditions normales dans les semaines qui ont suivi (ovale violet), ce qui n’a pas été rapporté par les médias.
Bien sûr seule la brève période de fonte des glaces a été rapportée par la presse contribuant à alimenter le flux constant d’informations climatiques biaisées auxquelles nous sommes tous habitués.
De plus, après toutes les annonces de record de chaleur au sommet de la calotte glaciaire, on a constaté que les capteurs de température étaient biaisés (surchauffaient) et que la température n’a jamais vraiment dépassé le point de congélation.
Est-ce que cela a été rapporté avec la même emphase que l’événement d’origine ? Bien sûr que non. Le mal est fait et des milliers d’articles alarmistes continueront à être diffusés indéfiniment.
Cela ne veut pas dire que le Groenland ne perd pas de glace, mais que la plus grande partie de cette perte est due au vêlage d’icebergs due à l’écoulement de la glace vers l’aval. Il ne s’agit pas d’un « haut-fourneau » qui réchaufferait la surface. La perte de glace des dernières décennies pourrait être une réaction tardive de l’accumulation excessive de neige pendant des dizaines ou des centaines d’années (j’ai pris une option « glaciologie » quand je préparais mon doctorat en météorologie). Personne ne sait vraiment parce que la dynamique de la calotte glaciaire est compliquée et comporte beaucoup d’incertitudes.
Ce que je veux dire, c’est que le public n’entend parler que de ces brefs événements météorologiques qui sont presque toujours utilisés pour promouvoir un récit alarmiste.
Juillet 2019 a été le mois le plus chaud jamais enregistré
La température annuelle moyenne de la surface de la Terre est d’environ 15,5° Celsius. Elle a augmenté lentement et irrégulièrement au cours des dernières décennies avec une pente d’environ 0,13 ° Celsius par décennie.
Donc, disons que la température moyenne est passée de 15,5556°C à 15.77778°C. L’expression « le plus chaud » est-elle vraiment le meilleur qualificatif pour informer le public de ce qui se passe ?
La carte ci-dessous montre les anomalies de températures de juillet 2019 par rapport à la normale issue du système de prévision climatique de la NOAA.
RépondreSupprimer- voir graphique sur site -
températures juillet 2019
Anomalies de températures en Juillet 2019. La moyenne mondiale n’est que de 0,3 degré C (0,5 degré F) au-dessus de la moyenne de 1981 à 2010, et de nombreuses régions ont connu des températures inférieures à la normale. (WeatherBell.com).
Certaines régions étaient au-dessus de la normale, d’autres en dessous, mais les gros titres du type « mois le plus chaud de l’histoire » portent à croire que la Terre entière est devenue une étuve d’une chaleur insupportable.
Bien sûr, les changements de température en cause dans les récents records de chaleur sont si faibles qu’ils sont généralement inférieurs au niveau d’incertitude des mesures. De plus, certains ensembles de données donnent des résultats différents. Surveiller le réchauffement de la planète, c’est chercher l’aiguille climatique dans la botte de foin de la variabilité climatique.
Le leurre des modèles remplaçant les observations
Les media ont de plus en plus tendance à faire passer les projections des modèles climatiques pour des observations réelles . C’est ce qui s’est produit il y a à peine quelques jours lorsque j’ai été informé d’un article qui affirmait que la température de Tuscaloosa (Alabama) était deux fois supérieure à la température habituelle de 37,7 °C degrés Celsius. Mettons au crédit du journaliste le fait qu’il a rectifié son information lorsqu’on lui a fait remarquer qu’il n’en était rien et que cette « prédiction » n’était qu’une projection de modèle climatique.
Un autre exemple s’est produit l’an dernier avec un reportage selon lequel la frontière climatique du 100ème méridien aux États-Unis se déplaçait vers l’est, avec un sécheresse ayant commencé à envahir la ceinture agricole du Midwest américain. La vérité encore une fois, c’est qu’il ne s’est rien passé de tel. Il s’agissait d’une projection de modèle climatique qui a été présentée comme une réalité. Ayant travaillé pour des céréaliers pendant près de 10 ans, j’ai traité cette fausse nouvelle climatique avec des mesures de précipitations réelles ici.
L’expérience du bocal d’Al Gore et Bill Nye
C’est un de mes préférés.
Dans le cadre du projet Climate Reality Project d’Al Gore, Bill Nye a produit une vidéo de l’expérience Climate 101 dans laquelle deux bocaux en verre contenant des thermomètres (un bocal avec de l’air, l’autre avec du gaz carbonique pur) étaient éclairés par des lampes. La vidéo montre le thermomètre du bocal contenant du gaz carbonique afficher une augmentation de température plus importante que le thermomètre du bocal contenant seulement de l’air.
Bien sûr, cette expérience visait à démontrer qu’il est facile de montrer qu’une plus grande quantité de gaz carbonique provoque du réchauffement. Je suis sûr qu’elle a inspiré de nombreuses expériences scientifiques dans les écoles. La vidéo a été visionnée plus de 500 000 fois.
Le problème est que cette expérience ne peut pas montrer un tel effet. N’importe quel expert en transfert radiatif dans l’atmosphère peut vous le dire : les bocaux sont totalement opaques au rayonnement infrarouge, la quantité de gaz carbonique impliquée est beaucoup trop faible, les thermomètres étaient bas de gamme et imprécis, les lampes ne peuvent pas être exactement identiques, les bocaux ne sont pas identiques, et le « froid » de l’espace extérieur n’était pas inclus dans l’expérience. Anthony Watts, météorologue à la télévision a démontré que Bill Nye a dû truquer les résultats dans un montage vidéo postproduction.
Étonnamment, l’effet de réchauffement dû à l’augmentation du gaz carbonique atmosphérique est difficile à démontrer. La démonstration est un exercice essentiellement théorique impliquant des calculs d’absorption radiative et un modèle de transfert radiatif. Je crois que l’effet existe ; je dis simplement qu’il n’y a pas de moyen facile d’en faire la démonstration.
RépondreSupprimerLe problème, c’est que cette vidéo frauduleuse existe toujours et que des milliers de personnes croient maintenant que l’effet de serre est facile à démontrer.
Le voyage en voilier de Greta Thunberg
La nouvelle porte-parole de la jeunesse mondiale sur le réchauffement climatique est la Suédoise Greta Thunberg âgée de 16 ans. Greta a traversé l’Atlantique à bord de ce que CNN appelle un « yacht zéro émission » pour participer au Sommet des Nations Unies sur le climat le 23 septembre à New York.
D’abord, il n’existe pas de yacht à émissions nulles. Une énorme quantité d’énergie a été nécessaire pour fabriquer le yacht qui transporte si peu de personnes sur si peu de kilomètres au cours de sa vie qu’il est un merveilleux exemple du gaspillage d’énergie typique des modes de vie de l’élite riche. Quatre (!) personnes ont du prendre l’avion de l’Europe vers les États-Unis pour permettre le retour du yacht en Europe.
Ce voyage qui n’est rien de plus qu’un coup de publicité, conduit à une désinformation accrue sur la consommation mondiale d’énergie. Si tous ceux qui traversent l’océan utilisaient des yachts plutôt que des avions à réaction, il faudrait plus d’énergie, et non pas moins. Cela parce qu’il faudrait construire des dizaines de milliers de yachts supplémentaires qui transportent inefficacement peu de passagers sur des trajets relativement peu nombreux et très lents. En revanche, un avion à réaction parcourt en moyenne 50 millions de kilomètres au cours de sa durée de vie. La plupart des gens ne se rendent pas compte que les déplacements en avion à réaction sont maintenant plus économes en carburant que les déplacements en voiture.
L’histoire du voyage en bateau de Greta est à bien des égards la pire façon de sensibiliser les gens aux questions climatiques. C’est comme si un végétarien consommait trois cheeseburgers McDonald’s pour prouver que nous devrions changer notre régime alimentaire. Cela n’a aucun sens.
Je pourrais donner bien d’autres exemples de médias qui contribuent à détruire la capacité du public à mener un débat rationnel sur le changement climatique, sur la part causée par les activités humaines et sur ce qui pourrait ou devrait être fait pour y remédier.
Au lieu de cela, les médias choisissent de ne publier que les articles les plus racoleurs, et la question du changement climatique est alors présentée de façon binaire : soit vous croyez les « vrais scientifiques » qui sont tous d’accord pour dire que nous détruisons la planète, soit vous êtes un négationniste du climat sous-éduqué, porteur d’armes et raciste.
https://www.climato-realistes.fr/medias-debat-rationnel-rechauffement-climatique-par-roy-spencer/
SUISSE - LE SORT DE LA LOI SUR LE GAZ CARBONIQUE AU CONSEIL DES ETATS
RépondreSupprimerLe Conseil des Etats doit venir à bout du dossier de la loi sur le gaz carbonique lundi puis mercredi afin de respecter l'Accord de Paris sur le climat.
23.09.2019, 06h30
Le Conseil des Etats tente lundi de sauver la loi sur le gaz carbonique, coulée par le National. Pour concrétiser les engagements de la Suisse dans le cadre de l'Accord de Paris, il pourrait décider de taxer les billets d'avion et prendre des mesures renchérissant l'essence.
En décembre de l'année dernière, le Conseil national a enterré la réforme après plus de dix heures de débat. Seuls le PDC et le PLR l'ont soutenue. Le projet n'a en revanche pas convaincu l'UDC, ni les socialistes, Verts et Vert'libéraux qui ont préféré torpiller le projet édulcoré par la droite.
Le Conseil des Etats doit donc tout reprendre à zéro. Il a prévu plusieurs heures lundi, puis mercredi, pour venir à bout du dossier. Le temps presse. Sans réforme, la Suisse ne parviendra pas à respecter l'Accord de Paris sur le climat, à savoir réduire les gaz à effets de serre de 50% d'ici 2030 comparé au niveau de 1990.
L'Accord de Paris préconisait de limiter la hausse de la température mondiale à 2 degrés au maximum. Suivant les nouvelles estimations de l'IPCC, la commission du Conseil des Etats propose d'abaisser cet objectif à 1,5°C. Elle a aussi passablement modifié la version dont le National n'avait finalement pas voulu.
Part en Suisse
La Chambre du peuple avait prévu de nombreuses mesures moins contraignantes que celles de l'accord. Elle avait renoncé - de justesse - à inscrire un objectif de réduction des émissions en Suisse. Le Conseil des Etats devrait suivre le Conseil fédéral qui propose que 60% des mesures de compensation des émissions soient nationales. Une minorité se battra pour imposer une part de 80%.
La commission préparatoire propose aussi une taxe sur les billets d'avion, une proposition souvent brandie lors des manifestations en faveur du climat. Comprise entre 30 et 120 francs, sauf pour les passagers en transit ou transfert, cette taxe serait fixée selon la classe de transport (économique ou affaires) et la distance parcourue.
Les importateurs de carburants fossiles devraient compenser jusqu'à 90% de leurs émissions de gaz carbonique, dont 15 à 20% en Suisse. Les carburants pourraient ainsi augmenter de 10 centimes par litre, puis de 12 centimes à partir de 2025.
Un fonds pour le climat
Un Fonds pour le climat serait créé, alimenté notamment par les enchères de droits d'émission et les recettes tirées des sanctions. Il permettra de financer des mesures de réduction à long terme des émissions de gaz carbonique des bâtiments, y compris afin de réduire la consommation d'électricité l'hiver.
Le gaz carbonique émis par les bâtiments devrait reculer de 50% en 2026 et 2027. Si la baisse n'est pas suffisante d'ici à 2027, la commission propose que les bâtiments existants dont le chauffage est remplacé ne génèrent dès 2029 pas plus de 12 kg d'émissions de gaz carbonique par mètre carré de surface de référence énergétique et par an. Cette valeur serait réduite de 5 kg tous les cinq ans.
RépondreSupprimerLes camions aussi
Contrairement au Conseil fédéral, la commission souhaite des plafonds d'émission de gaz carbonique aussi pour les camions comme le prévoit la future réglementation européenne. Le but est d'accélérer l'introduction sur le marché de véhicule peu polluants. Côté combustibles fossiles, la taxe aujourd'hui plafonnée à 120 francs pourra être relevée jusqu'à 210 francs par tonne de gaz carbonique.
Le secteur financier serait aussi mis à contribution. La FINMA et la Banque nationale seraient chargées de mesurer périodiquement les risques financiers liés au changement climatique.
La révision doit entrer en vigueur en 2021, mais rien n'est joué. Après le Conseil des Etats, le projet doit encore passer le cap du National. Les élections fédérales pourraient redessiner les rapports de force au sein du Parlement. La réforme risque de toute façon d'être attaquée par un référendum. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/suisse/sort-loi-co2-conseil-etats/story/13196612
Discussions sur l'immigration du gaz carbonique. Le gaz carbonique est-il un réfugié climatique ? Doit-on lui verser une allocation à vie ? Fera t-il des efforts pour s'adapter ?
SupprimerLe 'Conseil des États' va plancher sur la validité de l'escroquerie sur le gaz carbonique ! Les mers & océans (qui polluent des milliards de fois plus que tous les humains, animaux et industries) vont elles et ils être condamnés ?
Va t-on voter une loi pour mettre le magma à 20°C ?
Doit-on avoir été à l'école pour entrer au 'Conseil des États' ?
LAC DE NEUCHÂTEL - LES CORMORANS DANS LA LIGNE DE MIRE
RépondreSupprimerDepuis le mois de septembre, les gardes-faune peuvent abattre les cormorans, accusés de vider le lac de Neuchâtel de ses poissons.
22.09.2019, 08h29
La fête est finie pour les cormorans sur le lac de Neuchâtel. Depuis le 1er septembre, les gardes-faune neuchâtelois, et fribourgeois sont autorisés à procéder à des tirs de régulation sur cet oiseau marin, accusé par les pêcheurs de vider le lac.
«Nous avons entre 3000 et 4000 cormorans dans la région», affirme Philippe Oberson, pêcheur à Corcelles-près-Concise (VD), interrogé par Keystone-ATS. «Quand on sait que ces oiseaux boulottent 500 grammes de poisson tous les jours, le calcul est vite fait. Ils prélèvent davantage de poisson que nous.»
Quantité de poissons divisées par cinq ou dix
Le sexagénaire explique qu'il attrape chaque jour l'équivalent de cinq kilos de poisson, dix kilos dans une bonne journée. «Par rapport aux années précédentes, on a divisé par cinq à dix les quantités de prises», constate-t-il.
Les chiffres officiels montrent en effet que les temps sont durs pour les pêcheurs. Pour la palée et la bondelle, deux poissons emblématiques du lac de Neuchâtel, les captures ont par exemple chuté de 65% de 2016 à 2018.
Pas d'autre solution
Conscientes de la situation, les autorités des cantons de Neuchâtel, Vaud et Fribourg ont réagi. Elles ont décidé de modifier le concordat sur la chasse sur le lac, mais aussi permettre aux pêcheurs professionnels d'abattre les cormorans dans un rayon de 100 mètres autour des filets. Ces mesures doivent entrer en vigueur dès 2020.
En attendant, des tirs de régulations ont été autorisés entre le 1er septembre et la fin février. «Les cantons n'ont pas fixé de quotas de tir. Il est prévu d'organiser une à deux opérations par semaine, principalement à proximité des engins des pêcheurs professionnels», explique Christophe Noël, inspecteur de la faune pour le canton de Neuchâtel.
Le cormoran n'est pas protégé en Suisse, hormis durant la saison de reproduction de mars à fin août. Et s'il était parfois abattu sur les rivières ou les petits lacs, il n'était pas tiré jusqu'ici sur les grands lacs du pays. «Les cormorans sont tirés car, à notre connaissance, il n'existe pas d'autres mesures d'effarouchement réellement efficaces», explique Christophe Noël.
Le nombre de cormorans tués depuis le début de l'opération n'est pas encore connu. Les autorités ont prévu de faire un premier bilan à la mi-octobre.
Aucune preuve
De leur côté, les associations de protection de la nature critiquent ces mesures. Selon elles, il n'existe aucune preuve scientifique que les cormorans soient à l'origine de l'effondrement de la pêche sur le lac.
«Ouvrir la chasse aux cormorans est certes légal, mais cela n'a aucun sens», assure Werner Müller, directeur de BirdLife Suisse. Il souligne que la pêche suit des cycles sur le long terme, liés à plusieurs autres facteurs (qualité de l'eau, manque de nourriture, température, etc).
RépondreSupprimerProblème avec les données à disposition
Le corégone - la famille qui comprend notamment la palée et la féra - a par exemple connu un creux en 2004 au niveau des captures sur le lac de Neuchâtel, avant de remonter jusqu'en 2010, puis de descendre à nouveau. Dans le même temps, la population de cormorans a, elle, constamment progressé.
Selon Werner Müller, il existe également un problème avec les données à disposition. «Nous ne savons pas combien de poissons vivent dans le lac, uniquement ceux qui sont péchés», remarque-t-il. Il ajoute que certains biologistes doutent du fait qu'un cormoran puisse manger 500 grammes de poisson par jour, mais plutôt 150 à 350 grammes.
«Les mesures de régulation visent à réduire l'impact du cormoran sur la pêche professionnelle, indépendamment de son influence sur les populations de poissons», rétorque Christophe Noël. Il précise que cet impact est double: le cormoran provoque des dégâts aux poissons pris dans les filets et aux filets eux-mêmes.
Protection des oeufs
La question du cormoran a aussi été abordée aux Chambres fédérales, où trois interpellations ont été récemment déposées pour exiger des mesures supplémentaires pour aider les pêcheurs. La conseillère nationale Valérie Piller Carrard (PS/FR) a par exemple demandé que des oeufs du cormoran puissent être détruits.
Le Conseil fédéral a toutefois répondu début septembre qu'il n'allait pas intervenir «tant que les cantons n'auront pas démontré l'ampleur et la pertinence des dégâts subis par les pêcheurs professionnels en raison des cormorans ni prouvé que les mesures de prévention des dégâts ont bien été prises.»
Le gouvernement rappelle en outre que les pêcheurs devraient d'abord renoncer à éliminer les déchets de pêche dans le lac. Une pratique qui semble augmenter artificiellement le nombre d'oiseaux.
Même si la Confédération va jusqu'ici dans leur sens, les associations de défense des oiseaux disent rester sur le qui-vive. Elles s'en remettent également à un jugement du Tribunal administratif fédéral, qui avait annulé en 2011 une décision de l'Office fédéral de l'environnement, relative notamment à la destruction d'oeufs du cormoran dans la réserve naturelle du Fanel. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/suisse/cormorans-ligne-mire/story/17711124
En Suisse sont appelés 'Cormourants' tous les réfugiés climatique qui tentent de passer frontière.
SupprimerLa découverte d'un moyen de réduire un goulet d'étranglement dans la photosynthèse pourrait avoir un impact majeur sur les cultures alimentaires
RépondreSupprimer23 Septembre 2019
par Seppi
Centre d'excellence ARC pour la photosynthèse translationnelle*
Résumé :
Des scientifiques ont découvert comment réduire un goulet d'étranglement dans le processus de transformation de la lumière solaire en nourriture, susceptible d'entraîner une augmentation de la production agricole. Ils ont découvert que produire en plus grande quantité une protéine qui contrôle la vitesse à laquelle les électrons circulent pendant la photosynthèse accélère l'ensemble du processus.
Des scientifiques ont découvert comment réduire un goulet d'étranglement dans le processus de transformation de la lumière solaire en nourriture, susceptible d'entraîner une augmentation de la production agricole. Ils ont découvert que produire en plus grande quantité une protéine qui contrôle la vitesse à laquelle les électrons circulent pendant la photosynthèse accélère l'ensemble du processus.
« Nous avons testé l'effet de l'augmentation de la production de la protéine FeS de Rieske et nous avons constaté qu'elle augmentait de 10 % la photosynthèse », a déclaré la chercheuse principale, Maria Ermakova du Centre d'Excellence ARC pour la Photosynthèse Translationnelle (CoETP).
« La protéine FeS de Rieske appartient à un complexe qui ressemble à un tuyau dans lequel circulent des électrons. L'énergie peut donc être utilisée par le moteur carbone de la plante. En surexprimant cette protéine, nous avons découvert comment réduire la pression dans le tuyau, ce qui permet à plus d'électrons de circuler, accélérant ainsi le processus de photosynthèse », a déclaré le Dr Ermakova, qui travaille au Centre Node de l'Australian National University (ANU).
Le Dr Ermakova, auteur principal de l'article publié cette semaine dans la revue Communications Biology, a déclaré que c'était la première fois que des scientifiques ont produit davantage de protéines FeS de Rieske dans des plantes utilisant la voie de la photosynthèse en C4.
Jusqu'à présent, la majorité des efforts visant à améliorer la photosynthèse ont été réalisés chez des espèces utilisant la photosynthèse en C3, telles que le blé et le riz, mais peu de choses ont été faites pour améliorer la photosynthèse en C4.
Cela en dépit du fait que les espèces cultivées C4 – comme le maïs et le sorgho – jouent un rôle clé dans l'agriculture mondiale et comptent déjà parmi les cultures les plus productives du monde.
« Ces résultats démontrent que la modification du taux de transport des électrons améliore la photosynthèse chez Setaria viridis, espèce modèle du C4 et proche parent du maïs et du sorgho. C'est une preuve de concept importante qui nous aide énormément à mieux comprendre le fonctionnement de la photosynthèse en C4 », a déclaré Susanne von Caemmerer, directrice adjointe du CoETP, l'une des coauteurs de cette étude.
La protéine de Rieske est particulièrement importante dans les environnements très lumineux, où poussent les plantes en C4. Des recherches antérieures ont montré que la surexpression de la protéine de Rieske dans les plantes en C3 améliorait la photosynthèse, mais des recherches supplémentaires étaient nécessaires sur les plantes en C4.
« C'est vraiment passionnant, car nous sommes maintenant prêts à transférer cela au sorgho et à tester son effet sur la biomasse d'une culture vivrière », a déclaré le professeur von Caemmerer.
RépondreSupprimerLa recherche est le résultat d'une collaboration internationale avec des chercheurs de l'Université d'Essex au Royaume-Uni, qui font partie du projet Realizing Increased Photosynthetic Efficiency (RIPE – produire une efficacité photosynthétique accrue).
« C’est un excellent exemple de la nécessité de collaborations internationales pour résoudre des problèmes complexes rencontrés dans la recherche pour améliorer la production végétale », a déclaré Patricia Lopez-Calcagno, chercheuse à l’Université d’Essex, qui a participé à la production de certains des composants génétiques essentiels à la transformation des plantes.
« Au cours des 30 dernières années, nous avons beaucoup appris sur le fonctionnement des plantes en C4 en les endommageant – en les décomposant dans le cadre du processus de découverte. Cependant, il s'agit du premier exemple dans lequel nous avons réellement amélioré les plantes », déclare le professeur Robert Furbank, directeur du Centre d’Excellence ARC pour la Photosynthèse Translationnelle et l’un des auteurs de l’étude.
« La prochaine étape consiste à assembler l'ensemble du complexe protéique FeS, qui comporte de nombreux autres composants. Il reste encore beaucoup à faire et il y a beaucoup de choses que nous ne comprenons toujours pas sur ce complexe protéique. Nous avons atteint 10 % d'amélioration en surexprimant la composante FeS de Rieske, mais nous savons que nous pouvons faire mieux que cela », déclare le professeur Furbank.
Cette recherche a été financée par le Centre d'Excellence ARC pour la Photosynthèse Translationnelle, qui vise à améliorer le processus de la photosynthèse afin d'accroître la production de grandes cultures vivrières telles que le sorgho, le blé et le riz.
Référence :
Maria Ermakova, Patricia E. Lopez-Calcagno, Christine A. Raines, Robert T. Furbank, Susanne von Caemmerer. Overexpression of the Rieske FeS protein of the Cytochrome b6f complex increases C4 photosynthesis in Setaria viridis (la surexpression de la protéine FeS de Rieske du complexe cytochrome b6f augmente la photosynthèse en C4 chez Setaria viridis) Communications Biology, 2019 ; 2 (1) DOI: 10.1038/s42003-019-0561-9
______________
* Source ; https://www.sciencedaily.com/releases/2019/08/190816075543.htm
http://seppi.over-blog.com/2019/09/la-decouverte-d-un-moyen-de-reduire-un-goulet-d-etranglement-dans-la-photosynthese-pourrait-avoir-un-impact-majeur-sur-les-cultures
« 30% de fraude au bio dans les Alpes-Maritimes » sur France Bleu
RépondreSupprimer23 Septembre 2019
par Seppi
Glané sur la toile 399
Du papier toilette... bio...
Voilà une information publiée par France Bleu Azur qui ne circulera guère au-delà du département... le bio, c'est tellement beau...
Oui, malheureusement pour lui, le bio vient sur le marché avec une plus-value pour des produits qui ne se distinguent des produits conventionnels que par le mode de production – par des contraintes qui le rendent nécessairement plus cher à produire.
« 30% de fraude au bio dans les Alpes-Maritimes » ? C'est tentant de coller une étiquette ou de griffonner un « bio » sur une ardoise... En bref :
« Du bio pas bio ! C'est le constat des autorités azuréennes, après de nombreux contrôles sur les marchés, dans les restaurants et les grandes surfaces depuis le début de l'année. 30% des produits examinés (fruits, légumes, huiles d'olive...) ne respectent pas les normes ou sont carrément des faux. »
Il faut toutefois prendre cette information à sa juste mesure :
« ...La Direction départementale de la protection des populations, rattachée à la préfecture, effectue régulièrement des contrôles pour vérifier que le bio que vous mangez est bien issu de l'agriculture biologique. Sur la vingtaine de visites effectuées depuis le début de l'année 2019, 30% des vendeurs et/ou producteurs se sont fait épingler pour fraude au bio. »
Une « vingtaine de visites effectuées depuis le début de l'année 2019 », ça ne fait pas un gros échantillon. Ce n'est surtout pas très sérieux lorsque cela mène à un tel taux de non-conformité.
L'article a été écrit par une extra-terrestre. Mais dans quel monde vivent ces « journalistes » ?
« Un fruit ou un légume biologique doit provenir d'une terre qui n'utilise aucun pesticide et qui est convertie depuis au moins cinq ans. »
C'est doublement faux ! Le bio emploie des pesticides, et la conversion prend deux ans, pas cinq.
Autre allégation dans la même veine :
« Dernier exemple en date cet été. Un primeur antibois a reçu une visite pour avoir écrit "bio" sur son ardoise alors que les fruits et légumes qu'il vendait présentaient des pesticides. "Nous lui avons demandé son certificat bio, il était falsifié," se souvient Pierre-Henri Bauer, le chef du service de sécurité sanitaire et alimentation à la préfecture des Alpes-Maritimes. »
Non, les fruits et légumes bio peuvent légalement contenir des pesticides, même non autorisés en agriculture biologique : le producteur a une obligation de moyens, pas de résultats. Mais il va de soi qu'à partir d'un certain niveau de résidus de substances non autorisées, on se trouve en présence d'une fraude.
On rappellera que selon les données les plus récentes – collectées en 2017 – 95,9 % de l'ensemble des échantillons analysés se sont avérés exempts de résidus de pesticide (pour 54,1 % (points de pourcentage)) sans résidus quantifiables ou contenaient des traces dans les limites légalement autorisées (pour 41,8). En bio, ces chiffres sont respectivement 98,5 %, 86,3 % et 12,2 %.
Et puisque nous en sommes à critiquer, cela devient lassant de lire des choses comme :
« L'agriculture bio connaît une forte expansion dans les Alpes-Maritimes. Notre département compte 234 fermes biologiques et 3.976 hectares de terres bio. »
Cela fait 17 hectares/ferme de moyenne, sans nul doute un ensemble de structures plus grandes se livrant à l'élevage et de petites structures fruitières et maraîchères. C'est, certes de l'agriculture au sens large, mais c'est aussi une manière trompeuse pour le grand public de présenter le secteur.
http://seppi.over-blog.com/2019/09/30-de-fraude-au-bio-dans-les-alpes-maritimes-sur-france-bleu.html
SupprimerEt 100 % des cons achètent bio ! Hahahaha !
https://huemaurice5.blogspot.com/2018/12/9999-des-pesticides-que-nous-ingerons.html
RépondreSupprimerLe gouvernement algérien annonce la fin du recours à la planche à billets
10:53 23.09.2019
Par Kamal Louadj
Dans un message lu en son nom par son ministre de l’Intérieur, le Premier ministre algérien a fait part de sa décision de renoncer définitivement à la planche à billets comme moyen de financement de l’économie.
Après avoir recouru pendant près de deux ans à la planche à billets, le Premier ministre algérien Noureddine Bedoui a annoncé officiellement la décision de son gouvernement de mettre un terme définitif au «financement non conventionnel» de l’économie, a rapporté l’Algérie Presse Service (APS). Dans un discours lu en son nom par le ministre de l’Intérieur Salah Eddine Dahmoune, à l’occasion de la conférence nationale sur le renforcement de la prise en charge sanitaire dans les wilayas du Sud et des Hauts-Plateaux, tenue à Alger, M.Bedoui a souligné que cette décision avait été prise dans le but de sauvegarder l’avenir des générations futures.
«Ce sont là les lourdes responsabilités que chacun de nous doit assumer pour la préservation des chances et droits des futures générations, qui ne doivent aucunement être hypothéqués», a-t-il affirmé, faisant état de «l’abandon définitif du financement non conventionnel».
Plaçant cette décision dans le contexte de la révolution populaire du 22 février et à l’approche de la date de l’élection présidentielle, M.Bedoui a soutenu que «notre État-continent est à la croisée des chemins pour un décollage vers un lendemain meilleur dans tous les domaines vitaux, en concrétisation d’un développement équilibré et de l’équité dans la prestation de services au profit de tous les citoyens».
Les défis de la loi de finances 2020
Selon le projet de loi de finances 2020, actuellement en phase de finalisation au gouvernement, l’Algérie fera face à une baisse de ses recettes de 8,3% et ce malgré une hausse de 5,3% de la fiscalité ordinaire. Cette baisse globale des recettes s’explique par le fait que le gouvernement anticipe un recul de la fiscalité pétrolière en 2020. Pour financer ce déficit budgétaire, estimé entre 1.800 milliards de dinars (soit près de 14 milliards d’euros) et 2.000 milliards de dinars (15 milliards d’euros) par certains experts algériens, le gouvernement a annoncé des mesures fiscales qui seront rendues publiques dans les prochains jours.
Auparavant, dans une note de conjoncture, la Banque d'Algérie a affirmé qu’elle avait émis 6.556 milliards de dinars (55 milliards de dollars) dans le cadre du financement non conventionnel, depuis novembre 2017. Sur cette somme totale, un montant de 2.470 milliards de dinars (20 milliards de dollars) a servi au financement du déficit du Trésor, au titre des années 2017 et 2018 et partiellement au titre de l'exercice 2019.
Cette émission s'inscrit dans le cadre d'un plan quinquennal de recours à la planche à billets qui a été approuvé par les parlementaires en septembre 2017 afin de financer la dette publique, d'éviter une cessation du versement des salaires et pensions aux fonctionnaires et retraités et de relancer les projets à court de financement.
https://fr.sputniknews.com/maghreb/201909231042140107-le-gouvernement-algerien-annonce-la-fin-du-recours-a-la-planche-a-billets/
Depuis longtemps déjà les dictatures non plus recours à 'la planche-à-billets' (photocopieuse) mais à l'argent électrique. Suffit juste d'être au courant !
SupprimerLe plus ancien voyagiste du monde fait faillite, des milliers de vacanciers forcés de rentrer en masse
RépondreSupprimer08:16 23.09.2019
Une gigantesque opération de rapatriement va devoir être organisée pour près de 600.000 clients qui sont en vacances à cause de la faillite du voyagiste britannique Thomas Cook.
Le plus ancien voyagiste du monde, le britannique Thomas Cook, s'est déclaré lundi 23 septembre en faillite après avoir échoué au cours du week-end à trouver des fonds nécessaires pour sa survie, déclenchant le rapatriement sans précédent de ses quelque 600.000 clients en vacances dans le monde.
Les autorités britanniques notamment vont devoir organiser le retour de 150.000 de leurs ressortissants, deux fois plus que lors de la faillite de la compagnie aérienne Monarch il y a deux ans. Elles ont activé un plan d'urgence baptisé «Opération Matterhorn», du nom d'une campagne de bombardement américaine lors de la Seconde Guerre mondiale.
«Le gouvernement et l'Autorité de l'aviation lancent l'opération de rapatriement la plus importante pour des civils de l'histoire en temps de paix», a fait valoir le département britannique des Transports dans un communiqué.
Le groupe a expliqué que «malgré des efforts considérables» au cours du week-end, «les discussions entre les différentes parties prenantes du groupe et de nouvelles sources de financements possibles n'ont pas débouché sur un accord. Le conseil d'administration a donc conclu qu'il n'avait d'autre choix que de prendre les mesures pour entrer en liquidation judiciaire avec effet immédiat».
En parallèle, l'Autorité britannique de l'aviation civile (CAA) a affirmé que Thomas Cook «a cessé ses activités avec effet immédiat. Toutes les réservations Thomas Cook, vols et séjours, sont désormais annulées».
Les cabinets AlixPartners et KPMG devraient être nommés administrateurs des différentes filiales du groupe.
Le patron du voyagiste, Peter Fankhauser, a souligné que «bien qu'un accord ait été déjà largement approuvé, une requête pour des fonds supplémentaires ces derniers jours a présenté une difficulté qui s'est révélée insurmontable».
Le destin du voyagiste s'est en effet joué en quelques jours: des créanciers lui ont demandé la semaine dernière de trouver 200 millions de livres (227 millions d'euros) de financements supplémentaires pour qu'un plan de sauvetage déjà accepté de 900 millions de livres et mené par le chinois Fosun, premier actionnaire, soit validé. Des discussions marathon ont eu lieu tout le week-end, en vain.
«C'est un profond regret pour le conseil d'administration et moi de ne pas avoir réussi. Je tiens à m'excuser auprès de nos millions de clients, nos milliers d'employés, fournisseurs et partenaires qui nous soutiennent depuis des années», ajoute-t-il, déplorant aussi un «jour profondément triste pour une entreprise pionnière du voyage organisé».
Fosun, de son côté, s'est déclaré lundi «déçu que Thomas Cook Group n'ait pas été en mesure de trouver une solution viable pour sa proposition de recapitalisation».
Né en 1841, le tour opérateur indépendant le plus vieux du monde, compte 22.000 employés dont 9.000 au Royaume-Uni qui vont pour la plupart se retrouver au chômage dès lundi.
Le voyagiste très lourdement endetté a vu son horizon s'assombrir ces dernières années à cause de la concurrence acharnée des sites internet de voyage à bas prix et de la frilosité de touristes inquiets du Brexit notamment. indique l'AFP.
Il avait annoncé une perte abyssale d'1,5 milliard de livres pour le premier semestre, pour un chiffre d'affaires de quelque 10 milliards.
https://fr.sputniknews.com/international/201909231042139604-le-plus-ancien-voyagiste-du-monde-fait-faillite-des-milliers-de-vacanciers-forces-de-rentrer-en/
"Vous avez payé un A-R ? HAHAHAHA ! Pas de chance, c'est un aller simple ! Hahahaha !
SupprimerLes mots de passe les plus piratés révélés par une société de sécurité informatique
RépondreSupprimer10:25 23.09.2019
La société allemande de sécurité informatique Avira a publié un communiqué de presse sur les mots de passe les moins sécurisés. Selon elle, les problèmes de sécurité des mots de passe sont principalement liés aux fabricants des appareils et non aux utilisateurs qui habituellement ne pensent pas à la menace d'attaques de pirates informatiques.
Les spécialistes de la société allemande de sécurité informatique Avira ont dévoilé les mots de passe les moins sécurisés pour les appareils intelligents et les périphériques réseau. Le communiqué de presse a été publié sur le site Web de la société.
Pour leur recherche, les experts ont créé pour les malfaiteurs un «appât», qui simule un signal de périphérique provenant du Web: routeurs, caméras ou autres appareils. Les hackers ont tenté d'y accéder en entrant des combinaisons de nom d'utilisateur et de mot de passe. La société a ensuite analysé les combinaisons les plus utilisées. Au total, plus de 14.000 personnes «ont participé» à l'expérience.
Le rapport affirme que dans 25,6% des cas, les pirates informatiques ont laissé vides les champs de nom d’utilisateur et de mot de passe lors de la sélection. Les combinaisons les plus utilisées sont celles qui ont été installées pendant la production. Il s’agit des combinaisons «admin / QWestM0dem» et «admin / airlive» qui ont été inséré par 24% des pirates. Les combinaisons standards telles que «admin / admin», «support / support» et «racine / racine» venaient en troisième position (23,4%).
Selon les experts d’Avira, les problèmes de mots de passe non sécurisés sont principalement liés aux fabricants des appareils et non aux utilisateurs trop paresseux pour modifier les combinaisons standards. Ainsi, les gens ordinaires ne pensent habituellement pas à la menace d'attaques de pirates informatiques.
https://fr.sputniknews.com/sci_tech/201909231042139724-les-mots-de-passe-les-plus-pirates-reveles-par-une-societe-de-securite-informatique/
JCU fait appel de la décision de Ridd: James Cook Uni promet de gaspiller plus de fonds en vue d'éliminer les opinions
RépondreSupprimerSeptember 23rd, 2019
JCU protège la réputation et non le récif
PEter Ridd, la liberté d'expression en Australie.
…
Malgré avoir perdu 17 points dans une affaire qui n'aurait jamais dû être jugée -
Sarah Elks, L'Australienne:
L'université James Cook fait appel d'une décision… Des documents de la Cour fédérale révèlent que JCU a informé un des avocats australiens les plus prestigieux, Bret Walker SC, qu'il était légal que l'université du nord du Queensland licencie le Dr Ridd l'année dernière après avoir critiqué publiquement sa science du changement climatique.
Le professeur de physique Dr Ridd lancera lundi une offre en ligne pour un financement participatif afin de l'aider à payer ses frais légaux, demandant 1,5 million de dollars supplémentaires, après que ses partisans aient déjà versé 260 000 $ pour aider à financer sa demande de licenciement abusif. Le Dr Ridd a dépensé 200 000 $ de son propre argent.
«C’est diaboliquement cher parce que nous nous attendons à ce qu’il soit renvoyé devant la Haute Cour», a-t-il déclaré. «En fin de compte, c'est une bataille pour la liberté académique. Il s’agit de ne pas permettre aux universités d’étouffer la liberté d’expression.
James Cook Uni approfondira les fonds des contribuables au lieu de faire des recherches afin de protéger la réputation des bureaucrates surpayés:
Le sénateur libéral James Paterson a déclaré à Alan Jones: «À ce jour, il semble que la James Cook University ait dépensé près de 2 millions de dollars pour faire taire la liberté d'expression de l'un de leurs propres universitaires. «C’est un cas scandaleux.» - Alan Jones et James Paterson, 2 Go.
Quel est le but ici ? Pour protéger le récif ou protéger la croyance ?
Cette affaire a déjà révélé au monde qu'aucun universitaire australien ne se sent libre d'exprimer des doutes sur le culte climatique. Combien ont défendu Peter Ridd ? Pas un seul ? Le crime de Ridd était de parler de la crise de la réplication dans la science, de questionner des «institutions de confiance» et d’écrire de manière satirique «pour votre amusement». Il a aidé à exposer des photos manipulées de poissons de récif. Il est exactement le chercheur dont la barrière de corail a besoin. Au lieu de cela, il a été expulsé pour avoir été le lanceur d’alerte.
Comme il s’agit de la Haute Cour, c’est potentiellement un feu de joie sur le point d’être brûlé. Les seuls gagnants sont des avocats. Les contribuables, les sceptiques et l'environnement ne peuvent perdre que si l'affaire se poursuit. Avant cela, menons une campagne visant à garantir la liberté de parole dans les universités et à licencier tout VC qui ne le supportera pas.
Il est maintenant temps de les contourner. Réaffectons tout cet argent à la recherche, pas aux yachts pour avocats.
Solution instantanée: plus d'argent des contribuables pour les universités qui ne protègent pas la liberté d'expression
Voici les sceptiques de la campagne, scientifiques et contribuables:
Plus de fonds pour JCU jusqu'à ce qu'il garantisse la liberté d'expression.
Tout cela pourrait être résolu si rapidement. Depuis qu’elle a perdu son procès, JCU a modifié ses contrats de travail, non pas pour donner à leurs universitaires le droit sans équivoque de parler librement, mais pour s’assurer qu’ils ne le peuvent pas. Assez c'est assez - toutes les universités doivent garantir la liberté de parole dans les contrats de travail ou ne plus avoir de fonds publics.
RépondreSupprimerIl est temps que le ministre de l’Éducation, Dan Tehan, dise à JCU - Finis les fonds pour toi alors que tu le gaspilles en avocats défendant une affaire qui - même si JCU gagne, montre seulement que ce n’est pas le genre d’institution que le gouvernement devrait financer. Même si le contribuable gagne, il perd. Le non-sens doit cesser. Le feu de joie de l'argent montre que les universités, en particulier JCU, se sont égarées en Australie.
Trump a fait cela aux États-Unis avec la liberté d'expression, et cela n'a pris qu'un tweet.
Trump Tweets, Si Berkley n'autorise pas la liberté d'expression et incite à la violence sur des innocents - pas de fonds fédéraux.
En mars 2019, ce tweet est devenu un ordre exécutif. Les universitaires ont essayé de prétendre que cela ne faisait aucune différence, car les campus étaient déjà «légalement tenus de le faire par le Premier amendement». Mais rien dans le premier amendement ne dit rien sur le financement. L’Australie n’a même pas de premier amendement, nous en avons donc plus besoin que les États-Unis.
La vice-chancelière, Sandra Harding AO a gagné 975 000 dollars en 2018. Son forfait doit s'élever à plus d'un million de dollars par an. Le problème de la payer trop évidemment est qu’elle pense qu’elle est plus importante que les scientifiques et les chercheurs qu’elle dirige. Lui donner un AO (pour quoi - gaspiller deux millions de dollars et saper la réputation de JCU?) A apparemment cimenté son illusion. Elle doit partir. Si JCU perd un financement, cela les obligera à se débarrasser des décideurs incompétents qui portent la responsabilité.
Suivez la responsabilité de cela dans la chaîne. Le contribuable finance cette débâcle, de sorte que quelqu'un au gouvernement doit signer ces chèques au-dessus de l'administration de JCU. Le ministre de l'Éducation (Dan Tehan) est responsable du type d'universités que nous avons et du financement des étudiants. Les subventions de recherche proviennent probablement également du ministre de l'Environnement (Sussan Ley) et du ministre des Sciences (Karen Andrews). Il y a donc trois points pour commencer à demander pourquoi les contribuables financent une université qui ne garantira pas la liberté d'expression du personnel ?
Les politiciens conservateurs se laisseront facilement tomber aux genoux, mais nous devons cesser de les laisser partir avec l’option facile de céder aux tyrans qui appellent.
Il est temps de retirer l'argent avant qu'il n'atteigne les avocats. Arrêtons le problème principal: le financement gouvernemental étrangle la science
Les universités dépendent tellement de Big-Gov qu'elles en sont devenues une aile. Aucun d'entre eux n'est indépendant en Australie. Que veulent les contribuables? Des professeurs qui parlent de propagande ou qui nous disent ce que leurs recherches montrent ? Sans liberté d'expression, les universitaires sont transformés en agents de publicité dont le rôle principal consiste à obtenir plus d'argent des contribuables. Nous savons maintenant que toute recherche académique à JCU ne vaut rien. Tout chercheur qui trouve quoi que ce soit «politiquement dérangeant» ne le dira pas par peur. Par conséquent, la seule chose dont nous sommes sûrs à propos de la recherche JCU est que tout résultat ou opinion d’expert peut être choisie, faussée, biaisée ou mensongère, et que si tel est le cas, personne chez JCU ne le dira.
De quoi le récif a-t-il besoin - des solutions dictées par des chefs d'entreprise d'élite ou des discussions intrépides d'experts qui remettent en question tous les aspects et toutes les priorités jusqu'à ce que nous ayons bien compris?
RépondreSupprimerThe Peter Ridd story:
Prof Peter Ridd says the Great Barrier Reef recovers, our science institutions are failing us.
Professor Peter Ridd is facing misconduct charges for not selling peer review as sacred ?
JCU bans Prof Peter Ridd from criticizing scientific institutions. Defiant, he refuses, fights on!
Professor Peter Ridd sacked: James Cook Uni goes nuclear on free speech:
Don Aitken tells it: Peter Ridd was sacked because he threatened the Money Making Engine at Uni
Staff at JCU are too scared to use their uni email – this is what “academic freedom” looks like ?
Fake science on fake fish from James Cook Uni ?
Peter Ridd’s Court Case — Free Speech versus James Cook Uni.
Peter Ridd: The Great Barrier Reef has about the same amount of coral as in 1985
Peter Ridd update: James Cook University wasted $630,000 defending the Bureaucrat Rulers of Science, and plans to appeal
Breaking: James Cook Uni ordered to pay $1.2m to Peter Ridd. Judge Vasta is scathing.
http://joannenova.com.au/2019/09/jcu-appeals-ridd-decision-james-cook-uni-vows-to-waste-more-funds-in-quest-to-stamp-out-opinions/
Signes des temps et la disparition graduelle de l'argent liquide : Les banques européennes annoncent plus de 44.000 suppressions de postes
RépondreSupprimerSputnik
dim., 22 sept. 2019 15:52 UTC
Plus de 44.000 suppressions d'emplois sont prévues dans une dizaine de banques en Europe, dont Société Générale et Commerzbank. Dans certaines institutions, les coupes vont être en partie compensées par de futures embauches.
Au moins dix banques européennes ont annoncé depuis le début de l'année la suppression de plus de 44.000 postes, confirmant la passe très difficile que traverse un secteur confronté à des taux d'intérêt bas ainsi qu'à des tensions politico-commerciales.
En France et en Belgique
Le groupe français était l'un des premiers en 2015 à annoncer la refonte de son réseau de détail en France, face à la baisse de fréquentation des agences et au virage du numérique. Entre 2016 et 2020, Société Générale, qui emploie plus de 147.000 personnes, a programmé la suppression de 3.450 postes.
Les 530 nouvelles dans le réseau français, présentées vendredi aux syndicats, viennent s'ajouter aux 1.600 annoncées dans le monde en avril, dont environ 750 en France dans la banque de financement et d'investissement principalement.
Fin août, la première banque française, BNP Paribas, a confirmé envisager de se séparer d'environ 20% des effectifs de sa filiale de conservation de titres en France, soit une réduction de 446 à 546 postes d'ici à 2021. En mars, BNP Paribas Fortis, sa filiale belge, avait confirmé réduire de 40% son nombre d'agences et supprimer quelque 2.200 emplois d'ici trois ans.
Le bancassureur belge KBC compte supprimer 1.400 emplois en Belgique d'ici à 2022 afin d'améliorer son « efficacité opérationnelle ».
-- Commentaire : Efficace pour qui ? Opérationnelle pour qui ? --
En Allemagne
En crise depuis plusieurs années, la deuxième banque allemande, Commerzbank, a annoncé vendredi la suppression de 4.300 emplois dans le monde et de 200 agences. Parallèlement, elle compte créer 2.000 emplois. En 2016, elle annonçait déjà un plan de réduction de 9.600 postes à l'horizon 2020 qui a déjà été bouclé.
Commerzbank, dont l'État allemand est actionnaire à hauteur de quelque 15%, entend également se séparer de sa lucrative filiale polonaise mBank. Cela pour financer sa transition vers le numérique et le recentrage de ses activités en Allemagne dans la banque de détail et auprès des petites entreprises.
Deutsche Bank, la première banque allemande, a annoncé début juillet le plus grand plan de restructuration de son histoire avec la suppression de 18.000 emplois d'ici à 2022. L'an dernier, le nombre avait déjà atteint les 6.000 postes.
Jamais remise de la crise financière de 2008, elle compte désormais se concentrer sur l'Europe et l'Allemagne dans la banque de détail et des entreprises, dans ce plan considéré comme celui de la dernière chance.
La banque régionale allemande HSH Nordbank compte quant à elle supprimer 700 emplois sur un total de 1.700, une mesure intervenant peu de temps après son rachat par des investisseurs privés.
Au Royaume-Uni
RépondreSupprimerLe géant bancaire britannique HSBC a annoncé début août le départ surprise de son patron John Flint, moins de deux ans après son arrivée, et la suppression de 4.000 emplois.
HSBC, établie à Londres mais active à travers le monde et surtout en Asie, est très vulnérable dans la guerre commerciale que se livrent la Chine et les États-Unis. Autre défi de taille: le Brexit, et le caractère « hautement incertain » de la nature et de l'impact de la sortie de l'UE.
En Espagne
La banque espagnole Santander a annoncé en juin la suppression de 10% de ses effectifs en Espagne, soit 3.200 emplois. Cette restructuration est la conséquence de l'absorption en 2017 de sa rivale Banco Popular.
La troisième banque espagnole, CaixaBank, a négocié avec les syndicats un plan de départs volontaires prévoyant la suppression de plus de 2.000 postes d'ici à la fin 2020.
-- Commentaire : Quel beau panorama ! Chaque chiffre dans cet article est le iceberg d'une catastrophe mondiale et en particulier de familles qui n'auront plus de travail avec tout le drame de la situation. L'avenir est incertain pour tous et l'argent est un des grands moyens que les gens au pouvoir ont trouvé pour contrôler le peuple. Ce n'est qu'un début. --
Lire aussi :
Comment on vous prépare la fin du cash
https://fr.sott.net/article/34424-Signes-des-temps-et-la-disparition-graduelle-de-l-argent-liquide-Les-banques-europeennes-annoncent-plus-de-44000-suppressions-de-postes
Rappelons que, dès lors que vous déposez de l'argent en banques IL NE VOUS APPARTIENT PLUS ! Il appartient au banquier !
SupprimerSi la banque fait faillite, votre compte est vidé !
C'est ce qui est attendu avec l'argent électrique qui remplacera les espèces !
«Formidable nouvelle»: Macron se félicite de la ratification par la Russie de l’accord de Paris sur le climat
RépondreSupprimer19:10 23.09.2019
Le Président français a qualifié de «formidable nouvelle» la ratification par le gouvernement russe de l’accord de Paris de 2015 sur le climat.
Intervenant lors d’un discours ce lundi 23 septembre à l’Onu, Emmanuel Macron a salué la nouvelle de l’adoption par la Russie de l’accord de Paris sur le climat, en conséquence de la signature plutôt dans la journée par le Premier ministre, Dmitri Medvedev, de la résolution du gouvernement russe.
«Je me félicite aujourd’hui qu’on ait eu la bonne nouvelle de la ratification de l’accord de Paris par la Russie. Formidable nouvelle. Ce n’était pas attendu il y a quelque mois, cela montre que les choses progressent», a-t-il déclaré.
Ratification de l’accord par Moscou
Après avoir signé la résolution du gouvernement, Dmitri Medvedev a jugé que l’accord représentait un outil plus flexible que le protocole de Kyoto. Dans le même temps, selon la résolution, il est inacceptable d'utiliser l'accord et ses mécanismes pour créer des obstacles au développement socio-économique durable des pays.
L’adoption de l’accord en question ne nécessitait pas sa ratification par le parlement russe, la résolution du gouvernement signée par le Premier ministre suffisait.
L'accord de Paris est le premier accord universel sur le climat et le réchauffement climatique. Il fait suite aux négociations qui se sont tenues lors de la Conférence de Paris sur le climat (COP21) de la Convention -cadre des Nations unies sur les changements climatiques. Il a été approuvé par l'ensemble des 195 délégations le 12 décembre 2015 et est entré en vigueur le 4 novembre 2016. L'accord prévoit de contenir d'ici à 2100 le réchauffement climatique. Il n’engage par les signataires à renoncer aux combustibles fossiles mais les parties doivent œuvrer pour réduire les émissions et assurer un rééquipement technologique.
https://fr.sputniknews.com/international/201909231042143693-formidable-nouvelle-macron-se-felicite-de-la-ratification-par-la-russie-de-laccord-de-paris-sur-le/
Supprimer(...) L’adoption de l’accord en question ne nécessitait pas sa ratification par le parlement russe, la résolution du gouvernement signée par le Premier ministre suffisait. (...)
Une ordure ! 'le Premier ministre suffisait' !!!
La MAFIA BOLCHEVIQUE !
L'ESCROQUERIE DES NON-SCIENTIFIQUES !
RépondreSupprimerClimat: des scientifiques alertent sur les dysfonctionnements provoqués par l’Homme
17:20 23.09.2019
À la veille du Sommet Action Climat organisé par l’Onu, les principaux organismes climatologiques mondiaux lancent un cri d'alarme sans précédent. Selon eux, la situation sur notre planète s'est aggravée et a un impact beaucoup plus important sur le climat que prévu il y a 10 ans.
Les principaux organismes climatologiques mondiaux ont élaboré conjointement un rapport historique à la veille du Sommet Action Climat organisé par l’Onu. Ils y soulignent l'écart flagrant entre les objectifs convenus pour lutter contre le réchauffement de la planète et la réalité.
Selon un rapport de synthèse intitulé «United in Science», une augmentation de la température moyenne de 1,1 degré par rapport au niveau de l'ère préindustrielle, une augmentation de 26% de l'acidité des océans et une augmentation de la concentration de gaz à effet de serre dans l'atmosphère d'au moins 20% résultent d'un impact humain sur l'environnement.
Le rapport, publié avant le Sommet Action Climat, qui débute ce lundi 23 septembre à New York, est basé sur des preuves scientifiques fournies par l'Organisation météorologique mondiale (OMM), le Projet mondial sur le carbone (GCP), le Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE), le Groupe intergouvernemental sur l'évolution du climat (IPCC), le Programme de recherche FutureEarth.
«Le fait qu'une personne ait un impact beaucoup plus grand sur le climat que prévu il y a dix ans bénéficie d’un appui croissant», estiment les experts de FutureEarth.
Selon l'OMM, la température moyenne sur la planète a augmenté de 1,1 degré depuis l'ère préindustrielle de 1850. Cependant, au cours des quatre dernières années, les scientifiques ont noté une accélération du taux de réchauffement: la température a augmenté de 0,2 degré par rapport à 2011-2015.
«Les émissions mondiales de gaz carbonique résultant de l'utilisation de combustibles fossiles continuent de croître de 1 à 2% par an et, en 2018, le maximum annuel d'émissions a été mis à jour», déclarent les spécialistes de Global Carbon.
Comme l’indiquent des scientifiques de l'OMM, le taux de gaz carbonique représente à ce jour 146 %, celui de CH4 (méthane) est de 257 % et celui de N2O (oxyde nitrique) atteint 122 % par rapport à 1750.
Selon les scientifiques, les pays doivent prendre des mesures plus actives pour réduire les émissions de gaz carbonique et préserver l'environnement et renforcer les efforts visant à extraire l'excès de gaz carbonique provenant des activités humaines de l'atmosphère.
https://fr.sputniknews.com/societe/201909231042143380-climat-des-scientifiques-alertent-sur-les-dysfonctionnements-provoques-par-lhomme/
(...) les principaux organismes climatologiques (...)
SupprimerFAUX ! IL N'Y A AUCUN SCIENTIFIQUE QUI PEUT DIRE LE CONTRAIRE DE LA SCIENCE SANS ÊTRE RAYÉ DU CONSEIL DE L'ORDRE !
(...) une augmentation de la température moyenne de 1,1 degré par rapport au niveau de l'ère préindustrielle, une augmentation de 26% de l'acidité des océans et une augmentation de la concentration de gaz à effet de serre dans l'atmosphère d'au moins 20% résultent d'un impact humain sur l'environnement. (...)
FAUX ! IL EST IMPOSSIBLE DE CONNAÎTRE LA PROPORTION DE GAZ CARBONIQUE ÉMIS PAR L'ÊTRE HUMAIN COMPTE TENU QUE LES ÉMANATIONS MARITIMES ET OCÉANIQUES SONT DES MILLIARDS DE FOIS PLUS IMPORTANTES !
(...) basé sur des preuves scientifiques fournies par l'Organisation météorologique mondiale (OMM) (...)
FAUX ! IL N'Y A AUCUN SCIENTIFIQUE CAPABLE DE MENTIR FACE A LA SCIENCE !
Google continuera à écouter vos conversations, avec votre permission
RépondreSupprimer19:24 23.09.2019
À travers la fonction Google Assistant, l’utilisateur sera prévenu que ses conversations sont peut-être enregistrées, mais uniquement si celui-ci a activé une option qui permet également d’améliorer la qualité audio, selon une note de blog du géant américain.
Lorsqu’on active l’Assistant Google en s’écriant «Ok Google» ou en appuyant sur le bouton associé à cette fonction, ce qui est prononcé par la suite est enregistré automatiquement et est susceptible d’être écouté par des employés de Google. Cette fonction est destinée à améliorer la technologie de la synthèse vocale, selon l’entreprise américaine. Sauf que parfois, l’Assistant Google croit reconnaître un «Ok Google» qui n’en est pas un et se met alors à enregistrer une conversation sans que l’utilisateur ne s’en aperçoive.
Dans une note de blog publiée le lundi 23 septembre, Nino Tasca, gestionnaire de produit de Google Assistant, affirme que les enregistrements audio provenant des utilisateurs ne pourront être écoutés que si l’utilisateur a activé l’option «Activité vocale et audio». Google essaye également de reconnaître avec plus de précision un extrait audio qui a été enregistré par accident, afin de le supprimer immédiatement.
«Nous prenons une série de précautions nécessaires pour protéger les données durant le processus de révision par un humain. Les extraits audio ne sont jamais associés au compte de l’utilisateur et les spécialistes des langues n’écoutent qu’une petite partie du nombre de requêtes (environ 0,2%), et uniquement des utilisateurs qui ont l’option «Activité vocale et audio» activée. À l’avenir, nous ajouterons de meilleures protections de la sécurité dans ce procédé, en incorporant de nouveaux filtres de confidentialité », assure Nino Tasca.
Google précise également que les utilisateurs peuvent consulter toutes leurs interactions passées avec l’Assistant et les supprimer à n’importe quel moment.
https://fr.sputniknews.com/sci_tech/201909231042144183-google-continuera-a-ecouter-vos-conversations-avec-votre-permission/
Les panneaux SolarCity s'enflamment spontanément sur le toit résidentiel du Colorado
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun., 23/09/2019 - 13:05
Mise à jour (1305ET): Comme le signale @PlainSite, la version non scellée de la requête en jugement sommaire des demandeurs a été publiée dans l'affaire SolarCity au Delaware. Ernst & Young a déterminé que "LA SOCIÉTÉ NE POURRA PAS FONCTIONNER DE FAÇON CONTINUE". Voir document 306 (peut être renuméroté ultérieurement).
* * *
Nous avons déjà documenté comment Walmart poursuit Tesla en justice pour des panneaux solaires qui auraient pris feu sur les toits de pas un, pas deux, mais de sept magasins Walmart différents. Nous avons également documenté comment Amazon a emboîté le pas avec des plaintes concernant ses panneaux solaires s’enflammant spontanément. Début septembre, nous avons mis en ligne un podcast avec un expert en panneaux solaires qui expliquait exactement le fonctionnement des panneaux SolarCity et ce qu'il pensait les rendre défectueux.
Et le mois dernier, nous avons remarqué que plusieurs propriétaires-occupants avaient rapporté des histoires d’horreur au sujet de l’incendie de leurs panneaux solaires résidentiels.
Maintenant, il semble qu'un autre exemple d'horreur résidentielle de panneaux solaires ait fait surface. Une femme à Louisville, Colorado avertit les gens de la présence de panneaux sur Solar City après que les siens se soient enflammés sur son toit alors qu'elle n'était pas chez elle, selon Fox 31 Denver.
La propriétaire, Briana Greer, était en dehors de la ville en août lorsque l'incendie de ses panneaux solaires sur le toit s'est déclaré. Les voisins ont dû aider à éteindre l'incendie, mais pas avant d'avoir endommagé trois panneaux solaires et son toit, illustrés ci-dessus. Elle louait les panneaux à SolarCity depuis environ deux ans.
Tesla a déclaré à Fox 31 Denver que ses "panneaux solaires sont sûrs" et qu'ils "s'enflamment très rarement". Ensuite, comme pour les accidents de pilote automatique, Tesla a ignoré l'incident - et le client.
"Tesla a déclaré que les incendies sont bien plus susceptibles d'être causés par l'éclairage de la maison et les appareils ménagers que par ses panneaux solaires", indique le rapport.
Briana essaie maintenant de résilier son contrat avec Tesla, qui dure encore 18 ans.
Le mois dernier, nous avons documenté des incendies résidentiels similaires causés par des panneaux solaires, comme celui de David Burek, qui avait remarqué "du bois calciné et une odeur de brûlé dans son grenier, près de la chambre de son jeune fils" l'année dernière. Après être monté sur son toit, il a remarqué un "fil de connecteur fondu" provenant des panneaux solaires installés sur sa maison. Les pompiers lui diront plus tard que des flammes ont brûlé à travers ses bardeaux, son toit et une poutre de soutien. Burek a eu de la chance quand la pluie lui a éteint le feu.
RépondreSupprimerPuis, un mois plus tard, un incendie s'est déclaré chez un client du nom de Ken Tomasello, dans le Maryland. L'incendie a fait tomber une partie du plafond sur un lit et a causé tellement de dégâts que Tomasello et sa femme ont dû vivre dans un hôtel pendant plus d'un an.
En août, nous avions constaté qu'en plus du recouvrement du panneau solaire interne de Tesla ("Projet Titan") mentionné ici, Tesla contactait également ses clients pour leur dire qu'ils devaient désormais effectuer une maintenance préventive de leurs panneaux solaires.
Burek, par exemple, a déclaré avoir eu des nouvelles de Tesla en octobre 2018, cinq mois après le retrait de ses panneaux.
Burek a déclaré:
«Quand j'ai rappelé Tesla, ils ont dit que notre système avait été signalé comme mauvais connecteur. Je leur ai dit qu’il n’y avait pas de système à entretenir car ils avaient déjà provoqué un incendie sur mon toit. »
Vous pouvez regarder le reportage complet de Fox 31 Denver sur l'histoire de Briana Greer ici:
- voir clip sur site :
https://www.zerohedge.com/technology/solarcity-panels-spontaneously-ignite-colorado-residential-rooftop
(...) Tesla a déclaré à Fox 31 Denver que ses "panneaux solaires sont sûrs" et qu'ils "s'enflamment très rarement". Ensuite, comme pour les accidents de pilote automatique, Tesla a ignoré l'incident - et le client. (...)
SupprimerUn de plus ? 10 de plus ? 100 de plus ? C'est de la merde inflammable.
L'ATTARDEE MENTALE IGNOREE PAR LE PRESIDENT
RépondreSupprimerLe regard éloquent de Greta Thunberg face à Donald Trump à l’Onu - vidéo
22:29 23.09.2019
À en juger par le regard que Greta Thunberg a lancé à Donald Trump à l’arrivée de celui-ci au sommet de l’Onu sur le climat, la militante écologiste suédoise n’éprouve pas de sentiments chaleureux à l’égard du Président américain, qui avait notamment annoncé en juin 2017 sa volonté de retirer les États-Unis de l’Accord de Paris sur le climat.
Dans les couloirs de l’Onu à New York où s’est déroulé ce lundi 23 septembre un sommet sur le climat, les caméras des journalistes ont capté le regard de la Suédoise Greta Thunberg au moment où Donald Trump passait près d’elle.
Les yeux de la jeune militante écologiste ne cachaient pas son attitude à l’égard le Président américain qui a critiqué à plusieurs reprisé l’Accord de Paris sur le climat et a même promis d’en retirer son pays.
Greta Thunberg prend la parole
Lors de son discours au début du sommet à New York, la Suédoise de 16 ans a violemment critiqué les dirigeants de la planète pour leur inaction contre le réchauffement climatique.
Selon elle, alors que tout le monde parle «d’argent et des contes de fées de croissance économique éternelle», l’humanité assiste à l’effondrement d’écosystèmes entiers et se trouve au «début d'une extinction de masse».
Fidèle à elle-même, Greta Thunberg a répété les faits scientifiques confirmant le réchauffement accéléré de la planète pour s’en prendre ensuite aux chefs d'État et de gouvernement présents au même sommet.
«Vous nous avez laissés tomber. Mais les jeunes commencent à comprendre votre trahison […] Si vous décidez de nous laisser tomber, je vous le dis: nous ne vous pardonnerons jamais. Nous ne vous laisserons pas vous en sortir comme ça», a-t-elle conclu, citée par l’AFP.
Donald Trump quant à lui, n’a pas assisté à ce discours de la militante écologiste. Sans prendre la parole, il a passé seulement 15 minutes au sommet et est parti après avoir écouté les remarques faites par la chancelière allemande, Angela Merkel, et le Premier ministre indien, Narenda Modi.
https://fr.sputniknews.com/international/201909231042144596-le-regard-eloquent-de-greta-thunberg-face-a-donald-trump-a-lonu---video/
Çà sent la Russie !
SupprimerGRETA REMPLIE SES PAMPERS
RépondreSupprimer"Vous avez volé mon enfance" - Une jeune fille de 16 ans jette une crise de larmes sur le climat à l'ONU
par Tyler Durden
Lundi, 23/09/2019 - 14h25
Greta déchaînée ...
"Je ne devrais pas être ici. Je devrais être de retour à l'école de l'autre côté de l'océan. Pourtant, vous venez tous à nous pour espoir. Comment osez-vous. Vous avez volé mes rêves et mon enfance avec vos mots vides."
"Depuis plus de 30 ans, la science est limpide ... Nous sommes au début d'une extinction massive ..."
"Vous nous échouez, mais les jeunes commencent à comprendre votre trahison,"
"Nous ne vous laisserons pas vous en sortir."
Présenté sans commentaire ...
https://www.zerohedge.com/political/youve-stolen-my-childhood-16-year-old-girl-throws-tearful-climate-tantrum-un
Après l'Assemblée Nationale en France où elle est reçue par ses complices, elle entre aujourd'hui à l'ONU et demain pour figurer sur les billets de mille !
SupprimerSeulement trois des dix plus grandes banques au monde ont signé un engagement en faveur des objectifs climatiques de l'ONU
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun., 23/09/2019 - 20:45
Selon Bloomberg, seules trois des dix plus grandes banques du monde ont accepté de se joindre à une coalition de 130 sociétés financières mondiales qui ont décidé de redéfinir leurs activités pour s'aligner sur les efforts internationaux visant à lutter contre le changement climatique et d'autres problèmes environnementaux.
Citigroup, Mitsubishi UFJ Financial Group et la Banque industrielle et commerciale de Chine ont adhéré à la promesse de principes des Nations Unies pour une banque responsable, qui représente désormais 47 000 milliards d’actifs (soit un tiers du secteur bancaire mondial), selon le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres. un événement de lancement dimanche.
Parmi les autres signataires figurent "les banques européennes BNP Paribas SA, Barclays Plc et UBS Group AG", qui ont convenu de définir et de publier des plans d'ici 2023 régissant leurs objectifs en matière de développement durable.
Guterres a imploré les banques d'augmenter le financement des entreprises à croissance verte et "d'investir dans l'action climatique et de désinvestir des énergies fossiles et de la pollution en général".
Les banques pourraient prendre un large éventail de mesures plus énergiques, par exemple, interdire le financement du charbon thermique ou fixer un calendrier pour l’élimination progressive du financement de l’industrie des combustibles fossiles. L'un des signataires, ING Groep NV, a déclaré la semaine dernière qu'il augmenterait les prêts aux constructeurs d'automobiles produisant plus de véhicules électriques que ceux produisant des véhicules à moteur à combustion interne.
Les principes suivent un autre ensemble de normes volontaires pour le secteur de la gestion d'actifs - les Principes pour l'investissement responsable - qui ont été adoptées par les gestionnaires de portefeuille il y a 13 ans pour encourager les entreprises à incorporer des facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance dans leurs investissements. L'industrie a depuis atteint plus de 30 billions de dollars. -Bloomberg
Plusieurs des banques qui ont refusé de signer l'accord, telles que Goldman Sachs, disent qu'elles ont leurs propres programmes de développement durable, tandis que d'autres sont en train de revoir l'engagement.
Selon Goldman, ils ont déjà plusieurs efforts liés aux objectifs similaires au PRB et continueront à s’associer à l’initiative de l’ONU au fur et à mesure de son évolution.
Wells Fargo a souligné leur objectif pour 2016 de relever les défis sociaux, économiques et environnementaux sur cinq ans.
JP Morgan, Morgan Stanley et Bank of America ont refusé de commenter.
Le secrétaire général adjoint de l'ONU, Satya Tripathi, a déclaré que la réticence de certaines banques à s'engager est un signe que les principes ont du mordant. "Certaines ne sont pas prêtes à être tenus pour responsables de leurs prêts", a-t-il déclaré lors d'une table ronde le 19 septembre.
Le PRB a été lancé au début du Sommet de l'ONU sur l'action pour le climat à New York. La transition vers des économies sobres en carbone et résilientes au changement climatique qui sont alignées sur l’Accord de Paris nécessite des investissements supplémentaires d’au moins 60 000 milliards de dollars d’ici à 2050, a déclaré Christiana Figueres, secrétaire exécutive de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques, dans un communiqué.
RépondreSupprimerLe PRB «offre une échelle de progression pour chaque banque, bien que certaines banques démarrent très bas et ont une échelle particulièrement lourde à franchir», a déclaré Peter Blom, directeur général de la banque Triodos, un prêteur néerlandais qui finance les énergies renouvelables et l'agriculture biologique. et un signataire de l'accord. -Bloomberg
"Il ne suffit plus d'acheter quelques obligations vertes ou de faire quelques investissements dans les énergies renouvelables et de dire que vous êtes vert", a déclaré Eric Usher, responsable de l'initiative financière du PNUE, qui a dirigé l'organisation des principes des deux dernières années. "Les progrès à venir consisteront en un réalignement institutionnel à plus grande échelle pour le développement durable - élargir le vert, mais aussi baisser le brun."
https://www.zerohedge.com/health/just-three-worlds-top-banks-signed-global-climate-goals-commitment
La pression commerciale et menaces d'embargo doivent courir les couloirs jusqu'aux plus éloigné des chiottes !
SupprimerMême si ce n'est qu'une image et que les dirigeants connaissent la vérité scientifiques tout en abondant vers le mensonges il s'agit d'un lobbying. Un lobbying monstrueux qui doit être mis en place mondialement pour ruiner tous les peuples qui osent peut être encore rêver d'avoir demain une voiture ou voyager en avion !
Des étudiants en théologie confessent des "péchés du climat" alors qu'ils sont assis devant un bouquet de plantes en pot ...
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lundi, 23/09/2019 - 19h45
Créé par Michael Snyder via le blog The End of The American Dream,
Les membres du Union Theological Seminary amènent le concept de «parler à vos plantes» à un niveau effrayant. Chaque année, les étudiants du séminaire paient une somme d’argent ridicule pour aller à l’école, et ils doivent être formés pour être les leaders chrétiens de demain. Mais au lieu de cela, on leur apprend à confesser leurs «péchés du climat» aux plantes en pot, et finalement, ces jeunes esprits impressionnables dirigeront des églises et des institutions chrétiennes partout en Amérique. Je me rends compte que cette histoire est tellement bizarre qu'on dirait que quelqu'un l'a inventée, mais c'est en réalité vrai.
Ce qui suit a été posté par le compte Twitter officiel de l'Union Theological Seminary la semaine dernière…
Considérer le changement climatique comme un multiplicateur de menaces pour l'instabilité
Aujourd'hui, à la chapelle, nous avons confessé des plantes. Ensemble, nous avons tenu notre chagrin, notre joie, notre regret, notre espoir, notre culpabilité et notre chagrin dans la prière; en les offrant aux êtres qui nous soutiennent mais dont le don est trop souvent négligé.
Qu'avouez-vous aux plantes dans votre vie ?
Inutile de dire que ce tweet a attiré énormément d'attention, et voici quelques unes des réponses les plus intéressantes…
– Que «tu aurais probablement bon goût mijoter dans du beurre».
– Ces plantes pensent que vous êtes tous des abrutis.
- “Ils ont échangé la vérité sur Dieu contre un mensonge, et ont adoré et servi des choses créées plutôt que le Créateur…” - Romains 1:25
– Comment chaque jour, il y a une allumette et un liquide plus léger à moins de 5 pas
– Ma confession: je porte un jugement sur Larry le concombre pour avoir exercé le privilège vert sur Bob la tomate.
Bien sûr, beaucoup de parents très confus ont probablement aussi contacté l'école, parce que ce n'était certainement pas ce que la plupart d'entre eux avaient en tête lorsqu'ils ont entendu dire que leur enfant allait assister au «séminaire».
Mais au lieu de reculer, Union Theological Seminary a publié sur Twitter une réponse en dix parties dans laquelle il défendait cette nouvelle pratique. Voici les cinq premières parties de leur réponse…
Nous avons eu beaucoup de questions sur la chapelle d’hier, organisée dans le cadre de la classe de @ccarvalhaes, intitulée «Extractivisme: une réponse rituelle / liturgique». Lors d’un culte, notre communauté a confessé le tort que nous avons causé aux plantes, parlant directement de repentance.
C'est un beau rituel. /1
Nous sommes en proie à une urgence climatique, une crise créée par l’arrogance de l’humanité, notre indifférence pour la Création.
Bien trop souvent, nous ne considérons le monde naturel que comme des ressources à exploiter pour notre usage, et non pas créées divinement pour elles-mêmes - dignes d'honneur, de remerciement et d'attention. / 2
Nous devons désapprendre les habitudes du péché et de la mort. Et une partie de ce travail doit être de construire de nouveaux ponts avec le monde naturel.
Et cela signifie la création de nouveaux cadres spirituels et intellectuels grâce auxquels nous comprenons et établissons des relations avec les plantes et les animaux avec lesquels nous partageons la planète. / 3
RépondreSupprimerLes églises ont un rôle énorme à jouer dans cette entreprise. Les théologies qui encouragent les humains à dominer et à maîtriser la Terre ont joué un rôle déplorable dans la dégradation de la création de Dieu.
Nous devons créer une nouvelle théologie, une nouvelle liturgie à guérir et à semer, en remplacement de celles qui récoltent et détruisent. / 4
Lorsque Robin Wall Kimmerer a pris la parole devant Union l’année dernière, elle a conclu sa conférence en nous chargeant, ainsi que toutes les communautés confessionnelles, de développer de nouvelles liturgies permettant de faire le deuil, le deuil, la guérison et le changement en réponse à notre urgence climatique.
Nous ne pourrions être plus fiers de participer à ce travail. / 5
Sans aucun doute, l'humanité est en train de détruire la planète. En fait, je viens d'écrire un article entier dans lequel je discutais du fait que près de 30% de tous les oiseaux en Amérique du Nord ont été éliminés depuis 1970. Mais la théorie selon laquelle il suffit d'extraire suffisamment de dioxyde de carbone de l'air ça va aller est absolument ridicule.
Les plantes ont besoin de gaz carbonique, et les scientifiques nous disent qu'il y a eu des moments dans l'histoire de la planète où les niveaux de gaz carbonique dans notre atmosphère étaient bien plus élevés qu'aujourd'hui. Au cours de ces périodes, la vie sur notre planète a grandement prospéré.
Ainsi, au lieu de «confesser leurs péchés du climat», ce que les étudiants de l’Union Theological Seminary devraient réellement faire, c’est présenter des excuses à ces pauvres usines fanées pour avoir tenté d’éliminer leur gaz carbonique.
Et l'Union Theological Seminary n'est pas la seule à promouvoir ce genre de farfelu. En fait, NBC News a récemment mis en place une page entière où les gens sont encouragés à confesser leurs péchés du climat…
Même ceux qui se soucient profondément de l’avenir de la planète peuvent se tromper de temps en temps. Dites-nous: Où en êtes-vous dans la prévention du changement climatique ? Soufflez-vous la climatisation ? Jeter la moitié de ton déjeuner ? Faire griller un steak chaque semaine ? Partagez votre confession anonyme avec NBC News.
Alors, à quoi ressemble exactement un «péché climatique» ?
Voici quelques-unes des «confessions anonymes» que NBC a publiées jusqu'à présent…
- J’utilise de temps en temps des tees de golf en plastique. Je n'utiliserai plus jamais de tees de golf en plastique.
- En tant que "vert", j’imprime tous mes documents au travail car je suis mieux en mesure de le modifier de cette manière que sur un écran d’ordinateur.
- Je travaille à moins de trois kilomètres de chez moi. Je vais au travail presque tous les jours.
- Les gens ordinaires ne peuvent pas acheter de voitures électriques, donc je continuerai à conduire ma voiture à moteur thermique jusqu’à ce que les coûts reviennent.
- Je peux vivre sans beaucoup de choses pour aider notre planète, mais je dois tracer une ligne de démarcation en matière de climatisation. Je voudrais me faner!
RépondreSupprimer- J'ai une carte d'embarquement mobile, j'arrive toujours à l'aéroport et je cours à une machine à imprimer… le papier me met à l'aise, et je suis désolé
- J’utilise beaucoup de Q-tips, je ne peux pas trouver une meilleure alternative.
Oh l'humanité !
À un moment où notre pays est confronté à une crise historique après l'autre, il veut que nous soyons obsédés par le nombre de Q-tips que nous utilisons.
Malheureusement, notre monde devient de plus en plus étranger chaque jour qui passe. Les gens qui dirigent les choses semblent complètement le perdre, et ceux qui offrent des solutions sensées à nos problèmes sont complètement boudés.
Je sais qu'un groupe d'étudiants en théologie qui «confessent leurs péchés du climat» à un groupe de plantes en pot n'est pas l'un des problèmes les plus importants auxquels nous sommes confrontés, mais il est emblématique d'une tendance plus large.
À ce stade, tout notre système éducatif, de haut en bas, tourbillonne dans les tubes, et la situation ne fait que s'aggraver d'année en année.
https://www.zerohedge.com/political/theology-students-confess-climate-sins-while-sitting-front-bunch-potted-plants
"Un aperçu de la capacité du gouvernement à contrôler totalement nos vies"
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lundi, 23/09/2019 - 18h25
Ecrit par Bruce Wilds via le blog Advancing Time,
Arrestation à la maison: une étrange distorsion de la surveillance orwellienne
Au fil des ans, la technologie a considérablement accru la capacité du gouvernement à surveiller les mouvements et à contrôler les individus. Au cours de cette période, j'ai rencontré plusieurs personnes qui ont enfreint la loi d'une manière ou d'une autre, et dont le système juridique traite les personnes. Bien que beaucoup d’entre nous considèrent la détention à domicile comme une excellente option pour jeter des délinquants mineurs dans un système pénitentiaire abritant des criminels féroces, elle a néanmoins des nuances de totalitarisme. Un article récent sur ce site a exploré la difficulté que la société éprouve à amener les gens à respecter ses règles et ses lois. Sans aucun doute, le fait de ne pas appliquer les lois pour dissuader les petits actes de vol a un impact sur notre culture au fil du temps. Malheureusement, ce n'est pas un problème uniquement en Amérique, mais dans le monde entier, alors que les coûts de mise en œuvre ont grimpé en flèche et que le système a du mal à rendre la justice.
L'arrestation à domicile transforme votre maison en prison
L'objectif de cet article est d'explorer la sophistication de l'état et sa capacité à transformer votre maison en une prison orwellienne. Les systèmes de justice en ruine ont forcé les tribunaux à hiérarchiser les crimes par gravité et à explorer de nouveaux moyens d'inciter les gens à se comporter. Cela signifie que les petits criminels sont autorisés à marcher librement pour des crimes tels que le vol à l'étalage, les voies de fait mineures, le vandalisme, la fraude et les DUI. Une alternative de plus en plus répandue à celle de jeter une personne reconnue coupable d'un crime en prison est une forme de détention à domicile. C’est un terme que la plupart d’entre nous ont entendu mais ne comprennent pas toute la portée de ce qu’il englobe.
La détention à domicile n’est généralement pas le premier choix du juge, mais elle est de plus en plus courante à mesure que le coût de l’incarcération augmente. Ceci est considéré comme un privilège normalement demandé par l’avocat du défendeur, qui devrait alors établir à la satisfaction du tribunal que c’est une bonne idée et pourquoi. Parfois, la détention à domicile est une condition de libération sous caution. Bernie Madoff, accusé d'avoir fraudé des milliards de dollars d'investisseurs, a été libéré sous caution de 10 millions de dollars et placé en résidence surveillée dans l'attente de son procès. Les règles et réglementations relatives à la détention à domicile varient généralement d'un État à l'autre et d'un comté à l'autre, mais la nature orwellienne du contrôle quasi total est un facteur commun.
Ne vous y méprenez pas, les capacités et les options dont dispose le gouvernement pour forcer la transformation de votre maison en prison peuvent vous renverser la tête. La détention à domicile n'est que l'une des solutions de rechange à la prison, notamment une peine avec sursis, une probation, des amendes et des travaux d'intérêt général. La plupart des délinquants éligibles à la détention à domicile sont confinés chez eux au lieu de passer du temps en prison. En fonction de leur situation et de la décision du tribunal, une personne assignée à résidence est généralement contrôlée électroniquement par le biais d'un moniteur de cheville doté d'un système de suivi GPS. Il ne peut pas être retiré et est connecté électroniquement au siège de la police locale qui émet des signaux lorsqu'il sort de la zone autorisée. Le mot arrestation est un peu trompeur dans la mesure où il s’agit bien d’une peine à l’intérieur d’une maison et de nombreuses variantes.
Une chose est claire quand on examine cette question: le contrôle orwellien est presque terminé. L'étendue du contrôle dépend de la sophistication de la technologie utilisée. Certains systèmes de transmission électronique utilisés en plus du moniteur de cheville sont équipés d'alcootests que les détenus sont tenus de respirer périodiquement. Les données sont retransmises à l'agence. Certains moniteurs mesurent la concentration d'alcool dans le sang 24h / 24 et 7j / 7. De plus, les représentants des tribunaux peuvent faire des visites surprises pour des tests aléatoires. La consommation de drogue et d’alcool n’est pas autorisée pendant la détention à domicile, même si le crime sous-jacent n’impliquait pas la toxicomanie. La fréquence de tels tests est généralement accrue lorsqu'il existe des problèmes d'abus.
RépondreSupprimerLa surveillance électronique peut non seulement prouver l’emplacement d’une personne au sein de sa résidence, mais elle peut également indiquer à l’organisme où se trouve le condamné et s’il a fait quelque chose au contrôleur de la cheville. Certains de ces systèmes sont même dotés de fonctions photographiques. Par conséquent, si l'agence appelle le condamné, le système prend une photo de celui-ci répondant au téléphone.Le GPS peut également être inclus, ce qui permet à l'agence de suivre le condamné et de le localiser sur une carte si la personne est autorisée à quitter son domicile. Les personnes en résidence surveillée sont parfois autorisées à quitter leur domicile pour s’acquitter de certaines responsabilités familiales ou assister à des offices religieux.
L'un des inconvénients de la détention à domicile pour le délinquant est que la personne ne pourra pas profiter de bons crédits de temps. C'est le système d'incitation qui leur permet de purger moins de peine d'emprisonnement pour récompenser un bon comportement. Vous trouverez ci-dessous quelques-unes des options ou choses que les personnes en résidence surveillée ont à affronter. Beaucoup de gens pensent que l'assignation à domicile est comme être en prison et qu'ils devront y rester toute la journée, tous les jours. Ce n'est pas toujours le cas. Selon votre situation, la gravité du crime et le casier judiciaire d'une personne, le juge peut autoriser des "pauses" d'assignation à domicile. Cela signifie qu'une personne peut être en mesure d'aller au travail, à l'école, aux rendez-vous chez le médecin, aux séances de conseil, au service communautaire et à d'autres activités approuvées par le tribunal. Le tribunal peut également imposer un couvre-feu vous obligeant à revenir directement de l'activité autorisée.
Une autre tournure est qu'une personne en résidence surveillée devrait s'attendre à payer une partie des coûts. La détention à domicile est moins chère pour le système judiciaire que de vous mettre en prison. Incarcérer une personne en prison peut coûter plus de 20 000 $ par an. Confiner une personne à la maison peut coûter aussi peu que 6 000 dollars par an. La plupart du temps, vous devrez payer un montant hebdomadaire ou mensuel pour couvrir le coût d'un moniteur de cheville ou d'un transmetteur de surveillance électronique 24/7. D'autres coûts sont également impliqués. Le prix de la détention à domicile varie d'un département de probation à l'autre. Certains ont un prix fixe pour tout le monde. Certains déterminent le prix sur une échelle mobile en fonction de la capacité de payer des délinquants.
Tout comme la libération conditionnelle, si un délinquant viole une condition d'assignation à résidence, il peut être immédiatement arrêté et envoyé en prison pour purger sa peine en captivité. S'il est autorisé, le fait de quitter la maison est limité pour une personne en résidence surveillée. Certains contrevenants sont autorisés à être employés, cela peut aller dans les deux sens, certains États et juridictions le permettant alors que d'autres ne le font pas. Certains permettent des visites régulières telles que le bureau du médecin, mais celles-ci doivent être planifiées et approuvées à l'avance. D'autres fois, ils peuvent être autorisés à suivre des consultations dans des affaires d'abus de drogue ou d'alcool ou à effectuer des travaux d'intérêt général dans le cadre de leur peine. Des exceptions sont également prévues pour assister à des comparutions imposées par le tribunal ou à des activités telles que rencontrer un agent de probation ou de libération conditionnelle.
RépondreSupprimerLes programmes peuvent également permettre à certains délinquants de faire la lessive, d'assister à des services religieux et de faire leurs courses. Les délinquants ont généralement un couvre-feu et chaque fois qu'ils sont autorisés à quitter leur domicile, la personne est tenue de se présenter à son retour. Les personnes assignées à domicile ont également accès à la télévision et à Internet, mais dans de nombreux cas, elles n’ont pas accès au téléphone. Si elles le font, les conversations sont surveillées. Les visites de membres proches de la famille ou d'amis peuvent être autorisées, mais cela dépend de la situation spécifique du condamné et de facteurs tels que les lois de son État.
Le tribunal a le pouvoir discrétionnaire d'imposer des restrictions aux visiteurs, ce qui signifie qu'un ami ou un être cher peut avoir besoin d'obtenir la permission de l'agent désigné du condamné. Les mineurs placés en résidence surveillée sont plus ou moins soumis aux mêmes règles que les adultes, mais ils sont généralement autorisés à aller à l’école et parfois, à quitter leur domicile s’ils se trouvent en compagnie d’un parent ou d’un tuteur légal. Certains États exigent que le parent vérifie d'abord avec l'agent de probation, et si l'enfant enfreint les règles, il doit le signaler aux autorités. En règle générale, les mineurs ne peuvent pas se faire rendre visite à des amis, mais sont parfois autorisés à communiquer par téléphone avec une liste de personnes approuvée.
C'est un aperçu de la capacité du gouvernement à contrôler totalement nos vies. Cette image de votre maison en tant que prison peut éventuellement être étendue à votre ville ou votre pays si le gouvernement continue à étendre sa portée. On peut maintenant voir des signes de cet événement en Chine où une montée en puissance de la reconnaissance faciale et du système de points sociaux a commencé à remodeler la société. Il est intéressant de noter que peu de personnes ont fait des commentaires sur la manière dont les exigences en matière de passeport et le coût élevé ont réduit la capacité de nombreuses personnes de voyager. Si cela continue, le jour viendra où seuls l'élite et les riches auront le droit de traverser les frontières.
http://brucewilds.blogspot.com/2019/09/house-arrest-odd-twist-of-orwellian.html
Comme ce ne sont pas toutes les personnes qui ont un téléphone portable, ces personnes sont donc désignées comme étant en infraction vis-à-vis du mode de vie de tout le monde. Ce sont des marginaux et peut être des révolutionnaires contestant les crimes et escroquerie de la dictature en place.
SupprimerLES LAVE-LINGE SUBISSENT L'OBSOLESCENCE PROGRAMMÉE
RépondreSupprimerpar OLIVIER SANCERRE
23/09/2019
97% des ménages français possèdent un lave-linge.
Les lave-linge ont perdu quasiment un tiers de leur durée de vie en huit ans, accusent l'association Halte à l'obsolescence programmée alors que la loi contre le gaspillage va être débattu au Sénat.
En l'espace de huit ans, la durée de vie des lave-linge est passée de dix ans à sept ans. Une baisse de trois ans, ou de 30%, en quelques années seulement : c'est le constat de l'association HOP qui lutte contre l'obsolescence programmée et de la start-up Murfy, spécialisée dans la réparation d'appareils électro-ménagers à domicile. Leur rapport, qui couvre la période entre 2010, durant laquelle la durée de vie était de dix ans, à 2018 (sept ans), explique que cette baisse de la durée de vie de ces appareils représente un coût de 15 euros par an pour chaque ménage. En France, ils sont 97% à posséder un lave-linge.
Des réparations presque impossibles
Les constructeurs rendraient les réparations de leur lave-linge de plus en plus compliquées. En cause, « l’inaccessibilité, la conception et le prix exorbitant de certaines pièces essentielles au bon fonctionnement de l’appareil et même des pièces d’usure (cartes électroniques, roulements et charbons moteurs) ». 30% des pannes constatées sont le fait de la carte électronique, un composant à 200 euros. Plusieurs marques se rendraient coupables d'empêcher toute réparation de leurs appareils électro-ménagers afin de pousser le consommateur à jeter l'ancien modèle et en racheter un nouveau.
Empreinte écologique
En plus des problèmes économiques que pose l'obsolescence prématurée des lave-linge, il y a la question de l'empreinte écologique. « L’obsolescence représente un coût insupportable pour le consommateur comme pour l’environnement », souligne Laëtitia Vasseur, cofondatrice et déléguée générale de HOP. Il s'écoule chaque année en France près de trois millions de machines neuves.
http://www.economiematin.fr/news-lave-linge-subissent-obsolescence-programmee
Le président et chef de la direction de Volkswagen accusé de manipulation du marché suite à un scandale d'émissions, les actions dégringolent
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar., 24/09/2019 - 07:14
Quatre ans après que l'EPA ait mis le feu aux poudres en accusant Volkswagen de vendre des voitures diesel équipées d'appareils de «défaite» aux tests d'émissions de jeu, deux des anciens dirigeants du constructeur ont été inculpés dans leur pays d'origine, l'Allemagne.
Cette révélation, qui a rapidement provoqué un scandale mondial, a amené les actions de Volkswagen à effacer près de la moitié de leur valeur au cours des prochains jours.
Une approche pro-business pour réduire les émissions de carbone
Le directeur général de Volkswagen AG, Herbert Diess, le président Hans-Dieter Pötsch et l'ancien directeur général Martin Winterkorn ont été accusés d'avoir induit en erreur les actionnaires. Comme la plupart des grands crimes d’entreprise commettent des fraudes en valeurs mobilières, il n’est pas surprenant de voir les procureurs prétendre que les dirigeants n’ont pas informé les actionnaires des méfaits de leur entreprise, qui seraient prochainement divulgués.
Selon WSJ, l'acte d'accusation "surprise" montre que les procureurs de Braunschweig, le district qui a compétence sur le siège social de Volkswagen à Wolfsburg, n'achètent manifestement pas la défense de l'entreprise: pertes massives.
Selon Bloomberg, Bafin, l'autorité de contrôle des marchés financiers en Allemagne, a ouvert l'enquête en 2016. Au début, elle avait demandé aux procureurs de n'enquêter que sur Winterkorn et Diess. Mais trois mois plus tard, Poetsch a été ajouté en tant que suspect. Diess était alors chef de la marque VW et avait rejoint la société en juillet 2015, quelques mois seulement avant l'explosion de dieselgate.
"Surprise" en effet. Les actions de Volkswagen ont reculé de 3,3% dans les nouvelles alors que les marchés ont digéré la possibilité de problèmes juridiques supplémentaires pour le constructeur automobile.
https://www.zerohedge.com/markets/volkswagen-ceo-chairman-charged-market-manipulation-emissions-scandal-shares-tumble
Le plan vert de Merkel fonctionnera-t-il ?
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar., 24/09/2019 - 05:00
Écrit par Daniel Lacalle via DLacalle.com,
Il y a quelques mois, nous avions déclaré qu'il n'y aurait pas de transition énergétique sans compétitivité et, étant donné la proposition de l'Allemagne de réaliser un autre grand plan vert, l'Union européenne a la possibilité de corriger les erreurs commises dans le passé avec de mauvaises politiques et subventions. Une opportunité de renforcer le tissu économique de la zone euro. Cependant, les risques de répéter les mêmes erreurs ne sont pas minimes.
Energiewende a été une erreur énorme et coûteuse (plus de 500 milliards d’euros) en raison de facteurs très spécifiques de la politique allemande qui ne se répètent pas dans d’autres pays. Selon une étude de Thomas Unnerstall, l’entêtement et les excès sont les deux grandes erreurs de l’Allemagne dans son plan vert. Obstination dans l'élimination d'une grande partie du parc nucléaire pendant la période de transition et excès de subventions au début du développement des énergies renouvelables. Ces deux erreurs expliquent 75% du coût excédentaire.
Merkel Coalition atteint un plan historique pour réduire les gaz à effet de serre
Les résultats de cet énorme plan ont été très médiocres. En 2018, en Allemagne, le charbon reste en tête du bouquet énergétique (lignite 22,5% et le charbon 12,9%), les énergies fossiles près de 50% (49,4%), tandis que les énergies renouvelables totalisent 34,9%.
Le plus inquiétant est que les prix de l’électricité pour les ménages ont augmenté de 60% depuis 2006 et que le consommateur n’a pas bénéficié de la baisse des prix de gros de l’énergie. Alors que les coûts d’alimentation, de distribution et de réseau dans le prix de l’électricité ont diminué de 17% depuis 1998, le pourcentage de redevances, taxes et subventions a augmenté de 196 % (les subventions ont grimpé de 0,08 ct / kWh à 6,4 ct / kWh 2018).
Il y a beaucoup de facteurs importants à retenir. Les citoyens doivent être conscients que la démagogie ne peut dicter la politique énergétique. L'Union européenne ne peut ignorer les risques liés à la sécurité d'approvisionnement et la perte de compétitivité si elle favorise un bouquet énergétique instable, intermittent et coûteux. Les stratégies environnementales doivent être alignées sur l'innovation et la concurrence afin que les politiques ne détruisent pas la consommation, l'investissement, la croissance et le revenu disponible des citoyens.
Les politiciens ignorent la réalité: la transition énergétique est imparable et ne nécessite pas de politique interventionniste. Les États-Unis ont prouvé que la technologie et la concurrence avaient fait plus pour réduire les émissions de gaz carbonique et améliorer l'efficacité que la hausse constante des taxes indirectes observée dans l'UE. La transition énergétique ne se produira que si la compétitivité et la logique économique soutiennent les objectifs environnementaux. Les contribuables ne peuvent pas être, encore une fois, ceux qui paient pour des erreurs de planification politique. Si l'Europe fait les erreurs du passé, il n'y aura pas de transition énergétique mais il y aura plus de chômage et de récession.
L’Allemagne doit tirer les leçons de ses erreurs politiques et, avec elle, du reste des Européens. Le ralentissement de la zone euro n'est pas une coïncidence et n'est pas dissocié des erreurs de la politique énergétique. La faiblesse de la zone euro peut s’expliquer en grande partie par une politique fiscale et interventionniste erronée qui a empêché les citoyens et les entreprises de bénéficier du développement technologique énergétique. En niant les avantages indéniables de la concurrence, qui ont permis aux États-Unis de réduire les émissions et les prix aux consommateurs tout en renforçant les investissements et l'emploi, l'Europe a perdu une grande opportunité qu'elle peut maintenant résoudre.
RépondreSupprimerSi ce plan est orienté vers une concurrence accrue et non des augmentations inutiles des impôts et de la gestion, l'Europe peut améliorer considérablement son bouquet énergétique en tirant parti de ce que nous avons appris des erreurs et des expériences passées. Ce qui serait suicidaire, c'est de doubler le mauvais pari.
Malheureusement, quand on parle de «New Green Deal», il s'agit de creuser des erreurs courantes: des augmentations massives d'impôts et davantage de subventions inutiles lorsque la technologie, l'innovation et la concurrence fonctionnent déjà. Augmenter les taxes sur les billets d’avion n’est pas un plan de relance, c’est nuire aux plus démunis pour permettre aux riches de voyager plus confortablement en avion.
Un plan beaucoup plus ambitieux et efficace peut être mis en œuvre en tirant parti de ce qui a fonctionné. Aux États-Unis, les crédits d’impôt et les accords d’achat d’électricité entre les parties ont été plus efficaces pour renforcer les nouvelles technologies énergétiques que les directives européennes en matière de fiscalité et d’intervention. La combinaison gagnante de gaz naturel et d’énergies renouvelables en compétition a fait plus pour améliorer l’environnement et la vie des consommateurs que les grands projets de dépenses du gouvernement. Un véritable plan de transition énergétique aurait un effet multiplicateur beaucoup plus important si aucune mesure de dissuasion évidente n'est générée, car l'Union européenne ne peut représenter environ 10% des émissions mondiales mais 100% des coûts, avec un mécanisme de tarification du gaz carbonique qui fonctionne comme une subvention. Maintenir l'obsolescence, entraînant une résurgence imprévue de l'utilisation du charbon et du lignite. Pourquoi ? Parce que le mécanisme du prix du gaz carbonique a rendu les prix de l'électricité plus chers et que les technologies qui ne seraient pas viables dans un environnement concurrentiel ont été relancées selon le même schéma qui tente de les rendre moins compétitives. Les prix augmentent, les marges sont faibles mais acceptables.
L’Europe peut tirer profit des erreurs d’Energiewende pour réorienter ses incitations en supprimant les subventions, en les échangeant contre des réductions d’impôts et en facilitant la concurrence. Lorsque, par exemple, des barrières aux interconnexions continuent d’être mises en place pour soutenir des champions nationaux obsolètes appartenant à des semi-États, le coût de l’interventionnisme est répercuté sur les contribuables et la transition énergétique est effectivement retardée.
L’Europe présente d’énormes avantages: grandes entreprises mondiales, expérience des erreurs précédentes et de certains succès, potentiel spectaculaire des investissements dans l’interconnexion et marché potentiel pouvant augmenter de 30% en combinant investissement isolé, efficacité énergétique et économies. attraction d’investissements technologiques et de capitaux innovants. De plus en plus de plans de dépenses publiques dissimulent la volonté de maintenir à tout prix le modèle d’économie dirigée avec d’énormes subventions pour les secteurs non productifs et davantage d’impôts pour les secteurs à forte productivité. Cela génère un double impact économique négatif.
RépondreSupprimerNous devons être conscients de cette opportunité et ne pas tomber dans la complaisance de nier les erreurs du passé.
Le plan de 100 milliards d'euros sera-t-il la solution pour l'Europe ? Donnons-lui le bénéfice du doute avant qu'il ne soit pleinement annoncé, mais les titres à ce jour montrent qu'il est très probable que ce soit similaire à ceux du passé. N'oublions pas que le gouvernement allemand parle d'un chiffre équivalent à un tiers de ce qui a été mobilisé dans le plan Juncker, avec des effets indiscernables sur la croissance et très inférieur aux 650 milliards d'euros du programme InvestEU 2021-2027. En dépit de ces énormes projets, l'Union européenne est sur la voie de la récession.
Si l'Europe veut relancer son économie, ce ne sera pas en répétant exactement ce qui l'a conduite à la stagnation. Il est temps de miser sur la concurrence et l’innovation.
https://www.zerohedge.com/political/will-merkels-green-plan-work
SupprimerLe nom de 'écologiste' a été donné à celles & ceux qui refusaient d'aller à l'école, de comprendre et d'apprendre. (Et ce n'est pas 'Greta-moi-les-couilles' qui dira le contraire !). Formé(e)s 'à-la-dure' avec interdiction d'ouvrir un livre ou d'écouter quelqu'un pour les instruire, ils et elles se sont vite rebellé contre celles et ceux qui disaient en savoir plus qu'elles et eux. De plus, ces trisomiques du pouvoir se prétendaient être tantôt du sexe féminin, tantôt masculin ou tantôt d'un 'autre sexe' ! Persuadé(e)s que la Terre était aussi plate que leur cervelle, et qu'à Tourner-manège il fallait bien des chevaux, dussent-elles et ils s'en remplacer afin de n'apporter souffrance à ces pauvres bêtes de somme. D'où la joie parvenue de se faire monter et tripoter par les plus 'grands' de ce monde voire de se faire maître pour les satisfaire. Bouquet final, elles et ils faisaient des merdes bio ! (qu'elles & ils recyclaient avec un peu de sucre).
Comment créer la panique en choisissant la date de début. Les leçons de la NOAA et de la NASA
RépondreSupprimerSeptember 24th, 2019
Tony Heller réalise une vidéo fantastique de la cueillette des cerises effectuée par les agences de propagande américaines anciennement appelées «scientifiques».
C’est une excellente collection de graphiques, principalement basés aux États-Unis, qui montrent tous des tendances à la hausse mais qui commencent tous dans des années différentes. D'une certaine manière, l'effet de réchauffement du gaz carbonique commence à différents moments dans différents jeux de données.
- voir clip sur site -
Les scientifiques peu sceptiques ont une excuse pour commencer chaque jeu de données quand ils le font, mais rien ne permet de choisir en permanence le point bas et de cacher le passé le plus chaud et le plus sec. Heller est calmement cinglant sur les données de la banquise arctique. Combien de personnes connaissent les premières données satellitaires sur la banquise arctique dans les années 1970 ?
C’est le motif qui compte. Les États-Unis ne représentent qu’une petite partie de la surface de la Terre, mais c’est une partie importante de la propagande. Autrefois, les grandes institutions trompent ceux qui paient leurs salaires. Un mensonge par omission est toujours un mensonge…
Avant que quiconque ne demande: les graphiques pour l’Australie ne se ressemblent pas nécessairement ou ne commencent pas à la même date. Bien que le modèle de comportement de nos «scientifiques» soit - et les graphiques effrayants commencent généralement en 1910 ou «les années 70». La chaleur sauvage des années 1890 et de la Fédération Sécheresse et les milliers de reportages à ce sujet pourraient également ne pas exister.
L'Australie est du côté opposé du Pacifique, ce qui signifie le côté opposé de ENSO. Dans la mesure où El Ninos et La Ninas déterminent le climat (ce qui est plutôt le cas), les épisodes chauds et secs basculent différemment, même si des cycles sous-jacents plus longs affectent le monde entier.
http://joannenova.com.au/2019/09/how-to-create-panic-by-cherry-picking-the-start-date-lessons-from-noaa-and-nasa/