- ENTREE de SECOURS -



dimanche 6 janvier 2019

UNKNOWN (sans identité) - Liam Neeson, Diane Kruger, January Jones

https://www.youtube.com/watch?v=06woaCvh17E

18 commentaires:

  1. Acte 9: les Gilets jaunes décentralisent le prochain rendez-vous du 12 janvier


    11:58 06.01.2019


    Le début de l’acte 8 de la mobilisation des Gilets jaunes a été précédé de l’annonce, dans la nuit de vendredi à samedi, sur les réseaux sociaux de l’organisation d’un acte 9 le 12 janvier.

    Avant même le début de la huitième journée de mobilisation des Gilets jaunes de ce samedi 5 janvier, les membres du mouvement ont annoncé sur Facebook la tenue de l'acte 9 le 12 janvier, «au centre de la France».

    Dès dimanche matin, environ 1.400 personnes étaient inscrites comme «participantes» et plus de 7.700 personnes ont témoigné de leur intérêt pour cette initiative du groupe La France en colère, géré par Éric Drouet et Priscillia Ludosky.

    Précisant que tous les détails seraient communiqués sous peu, les organisateurs indiquent que ce sera «un rassemblement de tous au centre pour confirmer notre unité et permettre à tous d'être à distance égale en partance des grandes villes!»

    Le huitième acte des manifestations des Gilets jaunes s'est déroulé ce samedi à Paris, ainsi que dans d'autres villes françaises. Dans la capitale, la mobilisation a été émaillée de heurts entre manifestants et forces de l'ordre. D'après le ministre français de l'Intérieur, la mobilisation a rassemblé environ 50.000 personnes à travers la France, contre 32.000 la semaine dernière

    https://fr.sputniknews.com/france/201901061039545148-gilets-jaunes-nouvel-acte-annonce/

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  2. Un policier, a priori détenteur de la Légion d’honneur, frappe des civils à Toulon (vidéo)


    12:27 06.01.2019


    Un agent des forces de l’ordre a asséné plusieurs coups de poing, notamment au visage, aux civils présent lors de l’acte huit des Gilets jaunes à Toulon. Selon Var Matin, le policier ayant frappé des manifestants a reçu cette semaine la distinction de chevalier de la Légion d'honneur.

    Les faits se sont déroulés samedi 5 janvier au cours du huitième acte des Gilets jaunes, à Toulon, dans le sud de la France.

    Un homme portant l'uniforme de policier et entouré de ses confrères, a été filmé alors qu'il attaquait des civils présents à la mobilisation.

    Ainsi, on peut voir comment l'agent en question s'approche d'un homme ne présentant aucun signe de violence et sans gilet jaune. Alors, le premier se met brusquement à asséner des coups de poing au niveau du visage du second. Quelques secondes plus tard, le même policier est aperçu en train de frapper un manifestant.

    Dans une autre vidéo, on voit ce représentant de la loi courir vers un groupe de Gilets jaunes et leur donner plusieurs coups, renversant notamment l'un d'entre eux sur le capot d'un véhicule garé à proximité.

    «Selon nos informations, ce policier est l'un des deux blessés comptabilisés dans les rangs des forces de l'ordre ce samedi à Toulon», a précisé Var Matin.

    Le média ajoute que les internautes ont identifié le policier en question, lequel serait le commandant Didier Andrieux. En poste dans le Var depuis 2009, il a été élevé à la dignité de chevalier de la légion d'honneur le 1er janvier.

    Dans le même temps, le maire de Toulon, Hubert Falco, a évoqué sur son compte Twitter des «casseurs cagoulés» ayant attaqué des forces de l'ordre.

    À son tour, le préfet du Var, Jean-Luc Videlaine, a félicité —via le réseau social- les représentants de la loi ayant «su, avec courage et détermination, rétablir l'ordre et éviter les déprédations à Toulon».

    Le corps de la police n'a pas pour l'instant fait de commentaires à ce sujet.

    Le 8e acte de la mobilisation des Gilets jaunes s'est joué ce samedi en France. Ces premières manifestations de l'année ont réuni 50.000 personnes, selon le ministre de l'Intérieur. Dans certaines villes, certains rassemblements ont dégénéré.

    https://fr.sputniknews.com/france/201901061039545182-toulon-policier-frappe-gilets-jaunes/

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  3. FRANCE - BRIGITTE BARDOT DIT COMPRENDRE LES «GILETS JAUNES»

    L'actrice a dit soutenir le mouvement dans une interview de Midi Libre. Selon elle, des millions sont utilisés de manière futile.

    L'icône du cinéma a donné son soutien dès le début des gilets jaunes.


    06.01.2019, 12h18


    Brigitte Bardot a dit «comprendre» ce que vivent les «gilets jaunes». L'ancienne icône du cinéma français, qui s'est déclarée favorable au mouvement dès son démarrage en novembre, a par ailleurs jugé le président Emmanuel Macron «absolument pas convaincant».

    «Je comprends ce qu'ils vivent, leur colère au quotidien», déclare Brigitte Bardot dans un entretien publié dans Midi Libre dimanche, au lendemain de l'«acte VIII» des «gilets jaunes» qui a rassemblé 50'000 personnes en France et été émaillé de heurts dans plusieurs villes.

    «Quand je vois les millions utilisés pour des choses d'une futilité inimaginable, quand je vois les déplacements des politiques en avion privé, les voitures, les chauffeurs... Tout cet argent dépensé est insupportable. Qu'on le donne aux personnes qui n'ont plus un rond», a-t-elle développé.

    A Paris, 35 personnes interpellées samedi dont 27 majeurs ont été placées en garde à vue, a-t-on appris dimanche auprès du parquet de la capitale française. Le 29 décembre, lors de «l'acte VII», 57 personnes avaient été arrêtées dans la capitale et 33 d'entre elles placées en garde à vue.

    La journée a été marquée par une intrusion de manifestants dans la cour des bureaux du porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux, avec un engin de chantier. Des véhicules ont en outre été incendiés.

    A Dijon, une caserne de gendarmerie a été dégradée, avec des grillages abîmés, lors de la manifestation des «gilets jaunes», selon des sources concordantes. Il n'y a pas eu d'intrusion ni d'autres dégâts, selon la gendarmerie.

    Des manifestants ont ensuite jeté des «projectiles y compris des pavés» sur les forces de l'ordre qui ont riposté avec des gaz lacrymogènes, indique la préfecture. La manifestation a réuni 1200 personnes selon la police, 3500 selon les organisateurs. Bilan de la journée: deux gendarmes légèrement blessés et 25 interpellations.

    «Ça suffit»

    Dans ce contexte, le ministre de l'Economie Bruno Le Maire a appelé dimanche les Français à se rassembler et à dire «ça suffit». Il a demandé à ses compatriotes de refuser la «violence» qui a assombri la dernière manifestation des «gilets jaunes» ainsi que «ceux qui cautionnent cette violence».

    «Ce n'est pas un hasard» si les violences «touchent les abords de l'Assemblée nationale, un ministère, la presse», a poursuivi M. Le Maire, «elles s'attaquent à la démocratie». Selon lui, «il y a aujourd'hui des forces qui veulent mettre à bas la démocratie». Ces forces «s'arrogent le peuple français» alors qu'elles «sont une minorité». «Il faut écouter les minorités mais en fin de compte, en démocratie, c'est la majorité qui décide», a-t-il ajouté.

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  4. Pas de «gilet jaune» sur BFMTV

    Parallèlement, Ingrid Levavasseur, une des figures des «gilets jaunes» qui devait intervenir ce dimanche à l'essai comme chroniqueuse dans une émission de la chaîne d'information BFMTV, a annoncé sur Facebook y renoncer après de nombreuses critiques sur internet.

    La journaliste de BFMTV Apolline de Malherbe, qui avait eu l'idée de proposer à cette jeune aide-soignante vivant en Normandie et élevant seule ses enfants de devenir chroniqueuse dans son émission, a confirmé à l'AFP cette information.

    Mme Levavasseur «nous a fait part des menaces physiques la visant si elle venait à BFMTV. Elle a décidé de renoncer. Nous avons compris sa décision et nous ne l'avons pas retenue face au déferlement de violences dont elle fait l'objet sur internet», a-t-elle dit. BFMTV a déploré «ce climat de violences qui conduit, sous la pression, à limiter l'exercice d'un simple débat démocratique». (ats/nxp)

    https://www.lematin.ch/monde/brigitte-bardot-dit-comprendre-gilets-jaunes/story/23460853

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  5. Le taux d'approbation de Macron diminue de 25 % malgré les concessions aux manifestants


    par Tyler Durden
    Dim., 01/06/2019 - 08:30


    Selon les derniers sondages, les efforts du président français Emmanuel Macron pour apaiser les Français, qui ont énervé son pouvoir moins d'un an après sa victoire historique au vote présidentiel français en 2017, ont peu contribué à améliorer ses performances.

    Malgré la promesse d’éliminer le déficit du budget français afin de réduire les impôts et d’offrir davantage de services publics à la population et d’annuler les hausses de taxe sur l’essence controversées des Français désapprouvent le président, mettant sa popularité sur un pied d'égalité avec son prédécesseur socialiste extrêmement impopulaire, François Hollande, qui a mémorable choisi de ne pas briguer un deuxième mandat après avoir abandonné ses principes socialistes pour promouvoir des réformes favorables au marché.

    Tandis que Macron tentait de décrire son mouvement "En Marche" comme fondamentalement populiste, il a enduré les critiques selon lesquelles il était un "président des riches" en refusant de lever des impôts sur la fortune. Les manifestations destructrices du "gilet jaune", qui ont éclaté en novembre après l'indignation généralisée suscitée par les hausses de taxe sur l'essence prévues, ont entraîné le limogeage de la capitale Macron - et des villes du pays - ainsi que de quelques décès. Au lieu d'écouter la population, Macron a cherché à blâmer les manifestations contre la Russie, démontrant une nouvelle fois à quel point il était déconnecté de la population qu'il gouvernait.

    En revenant aux derniers sondages, RT a souligné que les faibles taux d'approbation de Macron ne sont pas seulement un facteur de son impopularité auprès des Français de la classe ouvrière, mais que les Français des classes moyenne et supérieure ne l'aiment pas autant.

    Seuls 25 % des personnes interrogées par Odoxa et Dentsu Consulting pour France Info et Le Figaro ont déclaré être satisfaits de la manière dont le gouvernement dirige le pays en proie à la manifestation, tandis que 75 % désapprouvent Macron et les ministres de son cabinet.

    Cela indique une perte dramatique de popularité pour Macron par rapport aux 59% de citoyens mécontents en avril 2018, selon France Info. Le sondage actuel portait sur 1 004 personnes à travers le pays et a été effectué au début de janvier.

    De plus, les gens sont également mécontents des hauts responsables de l'administration de Macron.

    Les citoyens sont également mécontents d’un certain nombre de hauts fonctionnaires, dont le Premier ministre Edouard Philippe et le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner, avec respectivement 54 et 53% d’évaluations négatives.

    Les manifestants de Yellow Vest, appelés ainsi en raison de leurs vestes distinctives haute visibilité, ont organisé des rassemblements massifs à travers le pays en novembre de l'année dernière. Au début, les rassemblements visaient une hausse des prix de l’essence proposée par le gouvernement Macron, qui a ensuite été abandonnée à la suite de batailles presque guerrières entre des manifestants en colère et la police.

    Le faible nombre de personnes interrogées intervient alors que la police française avait arrêté mercredi mercredi l'un des leaders de la manifestation, Eric Drouet, ce qui avait provoqué des accusations de "dictature" parmi les partisans du mouvement Vest jaune.

    Mais nous imaginons que ce dernier drame est aussi la faute de Poutine.

    https://www.zerohedge.com/news/2019-01-04/macrons-approval-rating-shrinks-25-despite-concessions-protesters

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  6. Des centaines de femmes Gilets jaunes manifestent en France

    19:48 06.01.2019


    Des centaines de femmes se sont rassemblées ce dimanche à Paris, Toulouse, Agen et dans d’autres villes pour donner une image pacifique à la mobilisation des Gilets jaunes.

    Au lendemain de l’acte 8 des Gilets jaunes en France, de nouveaux rassemblements de Gilets jaunes ont lieu ce dimanche, mais cette fois, les cortèges sont composés principalement de femmes souhaitant donner une image «inédite» au mouvement.

    À Paris, plusieurs centaines de femmes Gilets jaunes se sont réunies vers 11h00 sur la place de la Bastille, selon des médias, alors que des sources sur Twitter parlent d’un millier de participantes.

    Les manifestantes portaient des pancartes «Femmes précaires, femmes en colère», «On ne lâchera rien», «Je suis ta fille», «Je suis ta filleule», «Je suis ta mamie», «Je suis ta tante» ou «Je suis ta collègue» et scandaient «Nous sommes les Gilets jaunes et nous allons gagner!».

    La manifestation a notamment été préparée par le groupe Facebook Femmes Gilets jaunes, créé en décembre, qui compte déjà plus de 5.600 membres.

    «En faisant cette première manifestation de femmes, on voulait avoir un autre canal de communication que la violence, car tout ce qui émerge du mouvement dans les médias ce sont les actes de violence et on oublie le fond du problème. Cette manifestation n'est pas féministe mais destinée à donner une image inédite au mouvement», a déclaré Karen, une des fondatrices du groupe Femmes Gilets jaunes citée par l’agence France-Presse.

    Des manifestantes ont encerclé la place de la Bastille, perturbant la circulation, avant de se diriger vers la place de la République.

    Sur certaines vidéos publiées en ligne, on voit des CRS en train d’empêcher le passage du cortège.

    Dimanche après-midi, des femmes en gilets jaunes et des ballons jaunes à la main ont aussi manifesté sur la place de l’Opéra avant de se rendre au Trocadéro.

    Elles ont chanté la Marseillaise et réclamé la démission du Président Macron.

    Entre 350 et 500 manifestantes ont défilé dans les rues de Toulouse.

    Le rassemblement, parti du quartier Arnaud Bernard, s'est dirigé vers le monument aux morts.

    Les manifestantes ont ensuite pris la direction d'Esquirol, avant d'arpenter la rue Alsace-Lorraine et la place du Capitole, d’après La Dépêche du Midi.

    Elles portaient notamment une grande banderole noire «Précarisées, discriminées, révoltées, Femmes en première ligne» et scandaient: «Macron t'es foutu, les gonzesses sont dans la rue».

    À Agen, environ 150 manifestants, surtout des femmes, se sont regroupés sur l'esplanade du Gravier avant de défiler dans le centre-ville via le boulevard de la République. Les manifestants chantaient la Marseillaise et réclamaient la démission d’Emmanuel Macron.

    Une marche de femmes Gilets jaunes a également rassemblé une centaine de personnes à Montceau-les-Mines, en Saône-et-Loire. Elles portaient des pancartes «Pour nos familles et nos enfants», «Peuple: liberté, égalité, fraternité; LREM: domination, discrimination, désunion», «Pour la France de nos enfants».

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  7. Des rassemblements ont aussi eu lieu à Nice,…

    … à Nîmes où une centaine de femmes Gilets jaunes se sont rassemblées au stade des Costières avant de défiler jusqu'à la gare où elles ont occupé des voies ferrées et bloqué le trafic ferroviaire, d’après le Midi Libre,…

    … ainsi qu’à Caen, Lyon et Saint-Étienne.

    https://fr.sputniknews.com/france/201901061039550376-gilets-jaunes-femmes-manifestation-france/

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    1. Ce mouvement révolutionnaire des 'gilets jaunes' - à l'image des traitres, des juifs et des cocus - (probablement lancé par des islamistes en vue de guerre civile) déborde maintenant vers leurs victimes quotidiennes qui se retrouvent battues, handicapées à vie ou brûlées vives en cages en fer et, dans la rue aujourd'hui ! Entr'autres elles dénoncent aussi l'agression violente et les meurtres commis contre les manifestant(e)s pacifiques.

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  8. FRANCE - DES CENTAINES DE FEMMES «GILETS JAUNES» DANS LA RUE

    Bonnet phrygien sur la tête, ballon jaune à la main, les manifestantes souhaitent donner une image pacifique du mouvement.

    06.01.2019, 15h16


    Des centaines de femmes «gilets jaunes» se sont rassemblées dimanche dans plusieurs villes, souhaitant donner une image pacifique du mouvement au lendemain d'une mobilisation nationale marquée par de nouvelles violences.

    Bonnet phrygien sur la tête, ballon jaune à la main, des femmes ont chanté la Marseillaise sur les marches de l'Opéra Bastille à Paris. Elles ont encerclé la place, perturbant la circulation, avant de manifester dans les rues de la capitale.

    «En faisant cette première manifestation de femmes, on voulait avoir un autre canal de communication que la violence, car tout ce qui émerge du mouvement dans les médias ce sont les actes de violence et on oublie le fond du problème», a déclaré à l'AFP Karen, une infirmière de 42 ans venue de Marseille, une des fondatrices du groupe Facebook «Femmes gilets jaunes». «Cette manifestation n'est pas féministe mais destinée à donner une image inédite au mouvement», a-t-elle ajouté.

    Samedi, près de 50'000 personnes ont manifesté à travers la France pour «l'acte VIII» de la mobilisation des «gilets jaunes», qui a parfois viré à l'affrontement avec les forces de l'ordre notamment dans la capitale où l'entrée du ministère de Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement, a été défoncée par un engin de chantier.

    A Toulouse, environ 300 femmes «gilets jaunes» ont manifesté dans le calme, derrière une grande banderole noire sur laquelle on pouvait lire: «Précarisées, discriminées, révoltées, Femmes en première ligne». «Macron t'es foutu, les gonzesses sont dans la rue», ont-elles scandé, encadrées par une présence policière discrète.

    A Caen, théâtre de scènes de violences samedi, une centaine de femmes accompagnées parfois de leurs enfants sont parties de la place de la mairie pour défiler dans les rues aux cris de «Les femmes avec nous», «CRS avant de gazer, accouchez».

    «Le gouvernement veut nous faire passer pour des casseurs, mais aujourd'hui nous sommes des mères, des grands-mères, nous sommes les filles, les soeurs de tous les citoyens, et nous voulons dire que (...) notre colère est légitime. C'est lors des crises sociales que les droits des femmes sont le plus en danger», a déclaré Chloé Tessier, 28 ans, professeure d'équitation.

    En Saône-et-Loire, à Montceau-les-Mines, une centaine de femmes «gilets jaunes» ont aussi défilé dimanche matin. Parmi les manifestantes, une jeune femme poussait une poussette avec l'inscription: «Je suis une fille et je ne veux pas d'enfant dans ce monde-là». A Paris, Sophie Tissier, 40 ans, «mère isolée de deux enfants», a expliqué au mégaphone être au RSA depuis deux ans et demi. «C'est très difficile pour nous d'être mises en lumière dans la société en tant que femmes. Or nous sommes plus pacifiques que les hommes et on veut mobiliser de façon pacifique. (...) On est très nombreuses dans les manifestations, sur les ronds-points, car on est plus touchées par le travail précaire», a déclaré la manifestante. (afp/nxp)

    https://www.lematin.ch/monde/europe/centaines-femmes-gilets-jaunes-rue/story/21748470

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  9. Général US: la Chine peut transformer les villes en armes via un réseau 5G global


    17:24 06.01.2019


    Commentant l’éventuelle création par la Chine de son propre réseau 5G global, un ancien responsable de l'administration Trump a dressé une image terrifiante de la Chine utilisant des réseaux mobiles pour provoquer une apocalypse, d’après le magazine Fortune.

    La Chine ne doit jamais être autorisée à développer un réseau mondial 5G sinon elle pourrait surveiller le monde entier via l’internet des objets (IdO) et «transformer les villes en armes», a déclaré le général américain à la retraite Robert Spalding, ancien responsable de l'administration Trump, cité par le magazine américain The Fortune.

    «Pensez aux voitures autonomes qui fauchent soudainement des piétons. Pensez aux drones qui se dirigent dans les prises d’air des avions de ligne. Plus nous sommes connectés à internet, et les réseaux 5G nous rendront encore plus connectés, plus nous sommes vulnérables», a indiqué M.Spalding, qui a siégé au Conseil de sécurité nationale (NSC) jusqu'en 2018.

    Pour écarter cette menace, le général propose de mettre en place un réseau 5G sécurisé exclusif aux États-Unis, permettant de surveiller des dispositifs réseau intégrés et d’isoler un dispositif «de l’adversaire s'il est infecté».

    D’ailleurs, M.Spalding n’a pas révélé comment la Chine pourrait prendre le contrôle sur l’internet des objets mondial car les normes 5G sont partagées dans le monde entier pour assurer la compatibilité des périphériques connectés à l’IdO. On peut donc facilement trouver des informations sur la 5G tout comme sur les précédentes générations de réseaux sans fil.

    Le général n’a pas non plus précisé quel rôle le gouvernement américain jouerait dans le réseau 5G spécial destiné à protéger les États-Unis. Il a toutefois assuré que ce réseau pourrait être construit par une entreprise «disposant d'un accès suffisant à des ondes», selon Bloomberg.

    En fin de compte, tout réseau américain 5G doit «pousser ZTE et Huawei hors des autres démocraties», a fait remarquer M.Spalding, cité par le South China Morning Post.

    Huawei et ZTE sont deux sociétés chinoises accusées par les États-Unis de travailler pour le compte du gouvernement chinois. Les deux sociétés rejettent ces allégations.

    M.Spalding avait proposé un plan similaire en 2018, provoquant des protestations de la part de sociétés de technologie et de députés républicains, qui ont estimé que la position de Spalding pourrait réduire le rôle des sociétés privées.

    La technologie de télécommunication sans fil 5G permettra d’établir des connexions 10 à 100 fois plus rapidement que le service 4G actuel. Le réseau devrait être suffisamment rapide pour prendre en charge des véhicules autonomes et des appareils intelligents.

    https://fr.sputniknews.com/international/201901061039548360-usa-chine-5G-armes-reseau-global/

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  10. Gilet jaune belge prétendument tuée à Paris: l’homme à l’origine de la rumeur s’excuse


    06:39 07.01.2019


    Alors que ni les autorités françaises ni les belges n'ont pu confirmer la mort d'une Gilet jaune belge lors de l'acte 8 de ce samedi, l'homme à l'origine des rumeurs sur son prétendu décès s'est excusé en disant qu'il était «en état de choc» et précisant que la femme concernée «n'est que blessée».

    Ayant semé la panique par des informations selon lesquelles une Belge aurait trouvé la mort dans la récente manifestation des Gilets jaunes à Paris, l'homme qui a donné libre cours à cette rumeur a présenté ses excuses dans un post Facebook.

    «Par ce message, je tiens publiquement à m'excuser pour avoir annoncé la mort de Coralie hier soir alors que finalement, elle n'est que blessée», s'est-il expliqué.

    Selon lui, ses «mots se sont mélangés et j'ai perdu tous mes moyens car j'étais en état de choc et les infos que je recevais sur le tas se sont mélangées et se sont avérées être fausses. Coralie n'est pas décédée mais blessée d'après ce qu'on m'a finalement dit. Un tir de flashball ou un projectile, je ne sais pas, je ne sais plus», a-t-il précisé, cité par la presse belge.

    Tandis que les informations sur le prétendu décès ont été entourées des cris de «fake», le compte Facebook de l'individu a été supprimé. «Par qui, pourquoi?», s'est-il interrogé. «Je ne suis qu'un intervenant qui a cru bien faire et qui a mal fait. Jamais je n'ai voulu mentir ou faire croire que.»

    «Je présente publiquement mes plus sincères excuses si j'ai heurté la sensibilité de certains», a-t-il résumé.

    Dans le sillage des manifestations de Gilets jaunes organisées samedi à Paris, de nombreux internautes ont diffusé une information selon laquelle une manifestante de nationalité belge avait succombé à un tir de flashball à la tête.

    L'information a circulé avec insistance sur Facebook dès samedi soir, souvent via des comptes «anonymes aux noms farfelus», selon RTL, alors qu'aucune personne clairement identifiable n'avait témoigné. Dimanche 6 janvier, le chef de la diplomatie belge Didier Reynders a indiqué n'avoir reçu aucune information confirmant la mort d'une Belge lors de l'acte 8 des Gilets jaunes à Paris.

    Le huitième acte des manifestations des Gilets jaunes s'est déroulé ce samedi à Paris, ainsi que dans d'autres villes françaises. Dans la capitale, la mobilisation a été émaillée de heurts entre manifestants et forces de l'ordre. D'après le ministre français de l'Intérieur, elle a rassemblé environ 50.000 personnes à travers la France, contre 32.000 la semaine dernière.

    https://fr.sputniknews.com/france/201901061039551860-gilet-jaune-deces-paris-rumeur-excuses/

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  11. Pourquoi la Chine s’est-elle rendue du côté obscur de la lune ?


    par Tyler Durden
    Dim., 01/06/2019 - 19:10


    La Chine s’est lancée dans un ambitieux programme spatial - dépassant les États-Unis lors de lancements orbitaux l’année dernière (principalement pour les satellites), et débarquant maintenant de son propre rover lunaire du côté obscur de la lune, le Chang'e 4.

    L'objectif déclaré de l'atterrisseur robotique de Beijing est de collecter des échantillons et d'identifier quels minéraux sont présents. Et bien qu'il soit peu probable que le Chang'e 4 trouve des métaux précieux tels que l'or, l'argent ou le platine, il pourrait y avoir quelque chose là-haut qui pourrait servir de "station-service lunaire aux étoiles", comme le dit le South China Morning Post; Hélium-3

    L'hélium-3 est le matériau principal de la lune. Il est pour l'instant trop coûteux de le ramener sur Terre. En théorie, l'isotope non radioactif pourrait être utilisé comme carburant par les futures générations d'engins spatiaux pour explorer plus profondément l'espace.

    Imaginez que vous voyagiez de «NYC à LA sans stations-service», a déclaré Peter Diamandis, l'entrepreneur qui a fondé le XPrize pour encourager les vaisseaux spatiaux privés. "Si vous pouvez obtenir le carburant de l'espace, cela réduit les coûts."

    De plus, si la Chine trouve autre chose de valeur de l'autre côté de la lune, son exploitation serait beaucoup plus facile qu'un astéroïde en raison de sa gravité et de sa proximité de la Terre.

    La prochaine étape, bien sûr, serait ce que tous les fans de l'auteur Robert Heinlein attendaient avec impatience depuis leur enfance. Une base de lune. Les États-Unis se demandaient s'il fallait renvoyer une mission sur la lune le plus tôt possible ou créer une base lunaire dont la mise en place prendrait un peu plus de temps.

    "Les Etats-Unis pensent en termes présidentiels", a déclaré Clive Neal, expert lunaire de l'Université de Notre Dame. "La Chine pense depuis des décennies."

    La Chine pourrait tester sa capacité pour des missions plus sophistiquées, selon Neal de Notre Dame. Cela pose la question de savoir pourquoi la Chine a choisi son lieu d’atterrissage particulier, l’un des cratères les plus anciens et les plus profonds de la lune.

    La réponse pourrait être simple, a-t-il dit. De l’autre côté de la lune, les scientifiques chinois peuvent voir plus loin dans l’espace, car les ondes radio de la Terre ne peuvent gêner. -SCMP

    Le top administrateur de la Nasa, Jim Bridenstine, a tweeté fin novembre que les Etats-Unis seraient en partenariat avec deux entreprises pour revenir à la surface de la lune, "plus tôt que vous ne le pensez !"

    "Nous allons nous diriger vers un jour où nous commercialiserons toutes nos orbites terrestres basses là où la NASA est un client parmi de nombreux clients sur un marché commercial robuste", a déclaré Bridenstine, qualifiant cette nouvelle "transformation" de la culture de l'agence. "Nous pourrons ensuite utiliser les ressources de la NASA pour faire des choses là où il n’existe pas encore de marché commercial viable (...). Nous pouvons construire l’architecture pour nous rendre sur la lune avec nos partenaires internationaux."

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  12. "Le cas que nous devons défendre, ce qui est tout à fait vrai, est que le moyen le plus rapide de se rendre sur Mars consiste à utiliser la lune et la passerelle", a-t-il ajouté. "Cela réduira les risques. Cela réduira les coûts, car tout ce que vous pouvez faire pour que vous puissiez le tester autour de la lune va réduire nos coûts pour aller sur Mars."

    En décembre, la Nasa a annoncé le programme "Moon to Mars", dont la première étape consiste (vous l'avez deviné): retourner sur la Lune, où l'agence spatiale demandera à des entreprises privées de livrer de petits instruments scientifiques, puis à la mise au point d'un "passerelle" qui soutiendra les missions humaines sur la surface lunaire et servira de base d'opérations pour les futures missions sur Mars et au-delà.

    La deuxième phase des missions confirmera que les capacités de l’agence conçues pour les humains peuvent effectuer des missions de longue durée au-delà de la lune. Pour les destinations plus éloignées du système solaire, y compris Mars, la NASA envisage un engin spatial de transport dans l'espace. Cet engin spatial serait un véhicule réutilisable utilisant une propulsion électrique et chimique et serait spécialement conçu pour les missions avec équipage à des destinations telles que Mars. Le transport emmènerait l’équipe à sa destination, le ramènerait à la porte d’entrée, où il pourrait être réparé et envoyé à nouveau. Le transport tirerait pleinement parti des gros volumes et de la masse pouvant être lancés par la fusée SLS, ainsi que des technologies d'exploration avancées en cours de développement et de démonstration sur le sol et à bord de la Station spatiale internationale. -Nasa.gov

    La question reste; La Chine deviendra-t-elle fière de posséder la première station-service dans l'espace ?

    https://www.zerohedge.com/news/2019-01-06/why-china-went-dark-side-moon

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  13. Ocasio-Cortez et Scalise le tweet de la tempête sur le socialisme de la "nouvelle donne verte" de gauche


    par Tyler Durden
    Dim., 01/06/2019 - 22:05
    Écrit par Thomas DiLorenzo via LewRockwell.com,


    Après avoir pris le contrôle de la Chambre des représentants des États-Unis, le Parti marxiste américain a commencé par proposer une destruction communiste du capitalisme américain à la soviétique, qualifiée de «New Deal vert». Le parti a choisi comme porte-parole de cette entreprise totalitaire une jeune femme. nommé Sandy Ocasio qui a grandi dans l'une des enclaves les plus riches d'Amérique, le comté de Westchester, à New York, mais qui a décidé de mentir à ce sujet pour se lancer en politique en se faisant appeler «Alex du Bronx».

    Sandy ressemble à un jeune communiste peu éduqué, mais bien endoctriné, doté d'une mentalité de neuvième année.

    Elle se considère fièrement comme un «socialiste démocratique», mais comme l'explique Ludwig von Mises, il n'y a vraiment pas de différence entre le communisme et le socialisme: il s'agit d'attaques contre la propriété privée et la liberté économique.

    Elle semble être désemparée à propos de presque tout ce dont elle parle en public, que ce soit la Constitution, en particulier l'économie, la structure du gouvernement, l'histoire, etc. C'est la personne que le parti marxiste américain a choisie pour figurer dans sa proposition de détruire à jamais le capitalisme américain, la prospérité et le rêve américain - et se donner un contrôle totalitaire sur pratiquement tous les aspects de la vie américaine.

    [ZH: Dans le court clip "60 Minutes" publié vendredi, Ocasio-Cortez n'a pas précisé son plan "Green New Deal" visant à éliminer progressivement les carburants fossiles d'ici 2030 au profit de davantage d'énergie renouvelable et d'une réduction des gaz à effet de serre. . Mais elle a rappelé les politiques américaines antérieures qui fixaient les taux d’imposition marginaux les plus élevés à 70% pour les très riches Américains. Le taux d'imposition maximal actuel sur le revenu est de 37 %.

    «Une fois que vous avez atteint le sommet, sur votre 10 millionième dollar, vous voyez parfois des taux d'imposition atteignant 60 ou 70 %», a-t-elle déclaré dans le clip.

    Cela a poussé Scalise, le républicain classé deuxième à la Chambre, à tweeter samedi avec moquerie que les républicains «laissaient les Américains garder davantage de leur argent durement gagné», mais que les démocrates «extirpaient 70% de vos revenus et les donnaient à un fantasme de gauche programmes."

    Ocasio-Cortez a répliqué: «Vous êtes le whip de la minorité GOP. Comment ne savez-vous pas comment fonctionnent les taux marginaux ?

    Dimanche tôt dans la journée, Scalise a répondu sur Twitter qu’il serait «heureux de poursuivre le débat sur le parquet de la Maison du peuple».

    Mais poster des captures d’écran de certaines réponses au tweet précédent d’Ocasio-Ortez, tel que "frappe sa canne", dit-il, "il n’est clairement pas productif de s’engager ici avec certains de vos partisans radicaux. #Rester classe."]

    DiLorenzo continue ... La première chose à comprendre à propos du «Green New Deal» proposé est que le premier New Deal n'a pas seulement échoué à mettre fin à la Grande Dépression, mais l'a aggravée et durable.

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  14. Son seul «succès» a été de créer des opportunités de clientélisme sans fin et des leviers de corruption politique et d'extorsion de fonds pour le parti démocrate, des opportunités que le parti républicain a heureusement appréhendées chaque fois qu'il le pouvait pour étendre son pouvoir et sa richesse au cours des décennies suivantes. Le Green New Deal proposé ferait de même, mais de nombreux ordres de grandeur seraient pires.

    Echec du premier new deal

    Au début de la Grande Dépression de 1929, le taux de chômage en Amérique était de 2,9 %, selon les statistiques du département américain du Commerce. Le chômage a atteint son maximum en 1933 à 24,9 %. Il y a eu un peu de reprise après la liquidation des mauvais investissements, mais le taux de chômage n'a été ramené à 14,3 % qu'en 1939. Il a atteint 19,0 % en 1938 et était encore de 14,6 % en 1940, à la veille de l'entrée américaine dans le monde. Deuxième guerre Les dépenses de consommation personnelle étaient encore inférieures en 1940 (71,9 milliards de dollars) à celles de 1929 (78,9 milliards de dollars). Tout cela malgré huit années de «dépenses de relance» sans précédent dans le New Deal, régulant, contrôlant, subventionnant, prêtant, gonflant, contrôlant les prix et taxant. Le New Deal a été un échec total pour le peuple américain. Les économistes Richard Vedder et Lowell Gallaway ont estimé dans leur livre, Hors du travail, que le taux de chômage était supérieur de huit points de pourcentage en 1940 à ce qu'il aurait été sans la législation du New Deal sur le salaire minimum et les syndicats.

    La Seconde Guerre mondiale n'a pas non plus mis fin à la Grande Dépression. Cela a mis fin au fort taux de chômage uniquement parce que quelque 16 millions d'hommes ont été envoyés outre-mer pendant la guerre. Envoyer un homme mourir dans une fosse en Allemagne n’est pas la même chose que cet homme qui va travailler dans son propre pays et rentre chez lui pour dîner avec sa famille tous les soirs, contrairement au folklore keynésien sur la prétendue "fin de la guerre de la Grande Dépression" . »La famille américaine moyenne à la maison était encore moins bien lotie à cause du détournement massif de ressources du côté des consommateurs et des entreprises de l’économie vers l’infrastructure militaire du gouvernement. La production de voitures neuves et d’autres produits est devenue illégale, la nourriture est rationnée et tout le monde est encore plus sacrifié.

    La Grande Dépression ne s'est réellement terminée qu'après la fin de la guerre et la démobilisation de l'armée, qui a rapporté des milliards de dollars de ressources au secteur privé. Les dépenses du gouvernement fédéral sont passées de 98,4 milliards de dollars en 1945 à 33 milliards de dollars en 1948. En conséquence, l'année 1946 a été la plus prospère de l'histoire de l'Amérique en termes de croissance des composantes privées du PIB: la consommation privée et les dépenses d'investissement ont augmenté de 30% en une année; aucune autre année n’a jamais été aussi proche de ce taux de croissance. Les économistes keynésiens ont prédit une autre Grande Dépression en raison de la réduction des deux tiers des dépenses fédérales alors que l'inverse se produirait. Cela aurait dû discréditer à jamais le keynésianisme, mais l’establishment de Washington a ignoré ou menti sur ce fait, comme il le fait encore aujourd’hui.

    Cela a pris environ soixante-dix ans, mais le «courant dominant» de la profession d’économiste s’est finalement rendu compte de cette vérité, une vérité reconnue par les économistes de l’école autrichienne. Dans un article publié en août 2004 par Harold Cole et Lee Ohanian dans le prestigieux Journal of Political Economy et intitulé «Les politiques du New Deal et la persistance de la grande dépression», les auteurs ont conclu que «New Deal. . . les politiques n'ont pas sorti l'économie de la dépression. . . l'abandon de ces politiques a coïncidé avec la forte reprise économique des années 1940 »(soulignement ajouté).

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  15. Néanmoins, le New Deal constituait une aubaine du pouvoir politique pour le FDR et ses collègues démocrates. Selon un rapport officiel de 1938 du Comité sénatorial américain sur les dépenses de campagne, l’administration Roosevelt avait coutume d’exiger que les bénéficiaires d’activités gouvernementales, comptant des millions d’employés, s’inscrivent et votent en tant que démocrates. Comme l'écrivent Jim Couch et William Shughart dans The Political Economy of New Deal: «La répartition des milliards de dollars alloués par le Congrès pour mettre en marche la pompe économique était moins guidée par des considérations de besoin économique que par les forces de la politique ordinaire». Par exemple, le principal problème économique du pays était le Sud, mais comme le Sud était un pays fortement démocrate, il a reçu relativement peu de dépenses du New Deal par rapport aux autres régions où FDR avait besoin de voix. Et, "les États qui ont donné à Franklin Roosevelt un pourcentage plus élevé du vote populaire en 1932 ont été récompensés par une aide fédérale nettement supérieure à celle des circonscriptions moins favorables."

    Les socialistes américains ont toujours recherché des euphémismes trompeurs pour que le socialisme dissimule leurs plans totalitaires pour le reste d'entre nous. «Libéral», «progressiste», «démocratie économique», «théologie de la libération», «justice sociale» et «politique industrielle» ne sont que quelques exemples. "Green New Deal" est la dernière manifestation de ce jeu d'arnaque politique.

    Ce qui a été proposé n’est rien de moins que la destruction des industries de l’énergie à base de combustibles fossiles, qui ont longtemps été la pierre angulaire du capitalisme. Toutes les maisons et les entreprises doivent être «modernisées» en termes de consommation d’énergie par des milliers, voire des dizaines de milliers, de bureaucrates du gouvernement qui feraient vraisemblablement du porte à porte pour faire respecter les mandats de l’État en matière de consommation d’énergie. Il existe de vagues promesses de remplacer l'ensemble du réseau électrique par des «sources d'énergie renouvelables» telles que des éoliennes et des panneaux solaires. Cela ressemble beaucoup à un travail de collège pour un cours «d'éthique environnementale». Je ne serais pas surpris d'apprendre que Sandy Ocasio prenait un tel cours et écrivait un tel journal dans les écoles publiques du comté de Westchester.

    L’ensemble de l’économie américaine serait "planifiée" par un comité du Congrès composé de quinze membres, de style soviétique. Il n’ya aucune reconnaissance des échecs de la planification socialiste partout ailleurs dans le monde; des raisons économiques bien connues de ces défaillances inhérentes; ou du fait que tous les pays du monde qui vantaient «la planification» au XXe siècle l'ont abandonné, et pour cause. C’est une recette pour transformer l’Amérique en un enfer économique du tiers monde, en d’autres termes, à compléter «dans dix ans» selon le plan publié. L'économie du déjeuner libre est omniprésente dans le plan, promettant à chacun un emploi et un «salaire minimum vital» et, bien sûr, à mettre fin à l'inégalité économique grâce à de plus en plus de systèmes de redistribution des revenus. Mais ne vous inquiétez pas, disent les planificateurs marxistes, tout sera payé par la Fed, un nouveau système de «banques gouvernementales» et des taxes plus élevées. Simple.

    https://www.zerohedge.com/news/2019-01-06/lunacy-ocasios-green-socialism

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  16. Le Brésilien Bolsonaro envoie des troupes pour éliminer des gangs criminels au milieu d'une flambée de violence


    par Tyler Durden
    Dim., 01/06/2019 - 14:35


    Le président brésilien Jair Bolsonaro a envoyé 300 soldats dans la ville de Fortaleza, dans le nord du pays, avec ordre d'arrêter une vague d'attaques criminelles visant des banques, des bus et des magasins, selon France24.

    A la fin du week-end, 300 soldats patrouilleront dans cette ville et dans d'autres villes de l'État de Ceara afin de mettre un terme à ces actes, a déclaré le secrétaire national à la Sécurité publique, Guilherme Teophilo, selon l'agence de presse gouvernementale Agencia Brasil.

    L’intervention constitue le premier test de la plate-forme stricte de maintien de l’ordre du nouveau Président Jair Bolsonaro depuis son entrée en fonction mardi dernier.

    Son ministre de la Justice a ordonné le déploiement après avoir conclu que la police de Ceara était débordée. Une cinquantaine de suspects ont été arrêtés. -France24

    Les bandes attaquant Fortaleza ont été vues sur des images de la sécurité incendiant des stations-service. Des dizaines d'attaques ont été enregistrées cette semaine alors que des habitants effrayés restent à l'intérieur - laissant les routes principales désertes.

    Lors de l'une des attaques, des explosifs ont laissé une colonne de soutien à la route gravement endommagée dans la ville de Caucaia, juste à l'ouest de Fortaleza.

    Bien que la cause exacte de la flambée de violence ne soit pas connue, les informations publiées par les médias brésiliens indiquent que les gangs se révoltent contre les nouvelles règles strictes récemment instaurées dans les prisons de l'État, notamment le blocage des signaux des téléphones portables et la fin de la séparation des détenus.

    Pour protester contre ces mesures, deux gangs ont mis de côté leur rivalité pour unir leurs forces contre le gouvernement, selon G1 News, citant des responsables de la sécurité.

    Plus tôt ce mois-ci, Bolsonaro avait juré de réprimer le crime incontrôlé de son pays en offrant l’immunité aux soldats et aux policiers qui utilisaient une force meurtrière, tout en assouplissant les lois sur les armes à feu avec un décret facilitant l’acquisition des armes à feu par les adultes de plus de 25 ans, tant qu'ils n'ont pas de casier judiciaire. Selon Bolsonaro, le fait de permettre aux "bonnes" personnes de posséder des armes à feu dissuadera les criminels et réduira le taux d'homicides au Brésil, après près de 64 000 meurtres commis l'an dernier.

    À Rio de Janeiro, la police a été envoyée dans les bidonvilles de la ville pour tuer des criminels violents armés d'armes à feu, selon Flavio Pacca - associé de longue date et conseiller en sécurité du gouverneur élu Wilson Witzel.

    "Le protocole consistera à neutraliser immédiatement et massacrer quiconque aura un fusil", a déclaré Witzel, ancien juge brésilien de la marine et de la justice, le 12 décembre. "Celui qui possède un fusil ne s'inquiète pas de la vie des autres, il est prêt éliminer tous ceux qui croisent leur chemin. C'est un grave problème, pas seulement à Rio de Janeiro, mais dans d'autres États. "

    Bolsonaro, un ancien parachutiste de 63 ans, a placé la "restauration de l'ordre" au cœur de son mandat de quatre ans.

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  17. Une grande partie de cette tâche incombe à son ministre de la Justice, Sergio Moro, un ancien juge vedette qui a dirigé Operation Car Wash, une enquête sur le plus grand scandale de corruption jamais enregistré au Brésil.

    Bolsonaro a salué vendredi la décision de Moro d'envoyer des troupes "comme étant aptes, rapides et efficaces".

    Le gouverneur de Ceara appartient au Parti ouvrier de gauche, qui a été poussé à l'opposition par l'élection de Bolsonaro et de ses alliés ultraconservateurs.

    Le Brésil compte la troisième plus grande population carcérale au monde, derrière les États-Unis et la Chine, avec près de 73 000 détenus en 2016. Les pénitenciers sont surpeuplés et en proie à des gangs qui se retournent souvent violemment.

    Les trois gangs actifs au Ceara sont le commandement rouge (CV par ses initiales en portugais) issu d'activités criminelles organisées à Rio de Janeiro, le premier commandement de la capitale (PCC) basé à Sao Paulo et un groupe appelé les Gardiens. de l'Etat (GDE). -France24

    Parmi ces groupes, le CV et le PCC se sont associés pour former un pacte de "non-agression" afin de lutter contre le gouvernement.

    Les 300 soldats envoyés dans le nord du Brésil auront beaucoup de travail devant eux - près de 80 attaques ont été rapportées dans des villes de l'état du Ceara la semaine dernière - une région plus vaste que le Costa Rica ou la Croatie.

    https://www.zerohedge.com/news/2019-01-06/brazils-bolsonaro-sends-troops-eradicate-criminal-gangs-amid-spike-violence

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