- ENTREE de SECOURS -



dimanche 20 janvier 2019

ONE IN THE CHAMBER (Shoot the Killer) - Dolph Lundgren, Claudia Bassols, Cuba Gooding Jr.

https://www.youtube.com/watch?v=c_lYqHVjEjU

47 commentaires:

  1. Des gilets jaunes combattent des gaz lacrymogènes et des émeutiers émeutiers agressifs au cours de la 10ème semaine de manifestations chaotiques


    par Tyler Durden
    Samedi, 19/01/2019 - 14h15


    Malgré des températures glaciales et de la pluie, des dizaines de milliers de manifestants ont pris d'assaut les rues de France samedi pour une dixième semaine consécutive de manifestations, ignorant complètement l'appel du président français Emmanuel Macron à un "débat national" - le dernier plan que nous pouvons ajouter à la tas de gadgets manqués visant à arrêter le mouvement.

    Et tandis que les HSH ignorent en grande partie l'ampleur et la portée des manifestations, des journalistes indépendants, des organes de presse étrangers sélectionnés et d'autres personnes ont documenté le chaos.


    Les manifestants rassemblés sur la place des Invalides, près de l'Assemblée nationale, ont défilé sur la rive gauche de la ville par temps glacial. Les manifestations étaient en grande partie pacifiques mais, selon les reporters, des affrontements auraient éclaté tard dans l'après-midi entre policiers et manifestants, dont certains portaient des masques, dans le quartier central des Invalides à Paris.

    Les manifestants ont lancé des pétards, des bouteilles et des pierres sur la police, qui a riposté avec des canons à eau et des gaz lacrymogènes.

    Les autorités ont indiqué qu'il y avait environ 7 000 manifestants à Paris, dont certains rassemblés près des célèbres Champs-Élysées, alors que des manifestations similaires avaient eu lieu dans les principales villes de France. Les rallyes ont eu lieu à Toulouse, Lyon, Rouen et d’autres villes.

    Selon le ministère français de l'Intérieur, il y a eu moins de manifestants en France samedi, avec un chiffre officiel de 27 000 personnes vers 14 heures, heure locale.

    Un incendie s'est déclaré à la station Jeanne d'Arc à Toulouse, poussant les gens à sortir et à évacuer. La cause de l'incendie est actuellement inconnue.

    L'utilisateur de Twitter @Bellingdawg est hautement recommandé - vous pouvez à la fois tweeter et retweeter d'images que vous ne verrez jamais aux nouvelles du soir.

    - voir clips & photos sur site :

    https://www.zerohedge.com/news/2019-01-19/yellow-vests-battle-tear-gas-and-aggressive-riot-cops-during-10th-week-chaotic

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  2. «Libérez nos camarades»: des Gilets jaunes s’invitent à la prison de Dijon


    08:00 20.01.2019


    Lors de la mobilisation des Gilets jaunes samedi à Dijon, une cinquantaine de manifestants a pénétré dans l’enceinte de la prison de la ville, où sont détenus leurs «camarades». Ces derniers ont été condamnés à de la prison ferme pour des violences commises sur des gendarmes.

    Une cinquantaine de Gilets jaunes a pénétré, samedi, dans le périmètre de la prison de Dijon, afin de demander la libération de leurs «camarades» condamnés pour des violences commises contre des gendarmes, a indiqué la préfecture à l'AFP.

    La police utilise des canons à eau contre les Gilets jaunes près des Invalides
    Selon elle, les manifestants «ont passé le grand portail, scandé ‘'libérez nos camarades'' et sont repartis spontanément après un moment».

    Quatre Gilets jaunes ont été condamnés à de la prison ferme vendredi soir, pour des violences commises à l'encontre de gendarmes dans leur caserne, lors de la manifestation du 5 janvier. Sept militaires avaient alors été blessés, dont un grièvement au visage par un support de panneau de signalisation et un autre aux bras par un poteau métallique.

    Un autre groupe de Gilets jaunes est aussi entré dans la gare de la capitale bourguignonne lors de l'acte 10 de la mobilisation. Plus d'une centaine de personnes sont alors descendues sur les voies, interrompant momentanément la circulation des trains en scandant «Macron démission».

    Pour le dixième samedi consécutif, les Gilets jaunes sont descendus dans les rues un peu partout en France, dans un contexte de tensions toujours vives, deux mois après le premier rassemblement du mouvement. Selon le dernier bilan de l'Intérieur français, 84.000 manifestants ont pris part à travers toute la France à la 10e édition de la mobilisation nationale.

    https://fr.sputniknews.com/france/201901201039702909-gilets-jaunes-envahissent-prison-dijon/

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  3. «Cassez-vous, dégagez»: une équipe de RTL Info agressée par les Gilets jaunes en Belgique


    08:37 20.01.2019


    Des journalistes de RTL Info ont été pris à partie par des Gilets jaunes à Namur, alors qu’ils couvraient la manifestation de samedi. La chaîne a porté plainte, car son matériel a été endommagé.

    Une équipe de la chaîne de télévision belge RTL Info a été prise à partie samedi par des manifestants, alors qu'elle réalisait un reportage sur le rassemblement des Gilets jaunes à Namur, indique l'agence de presse Belga.

    «Cassez-vous, dégagez», peut-on notamment entendre dans une vidéo mise en ligne sur le site internet de RTL Info, alors que quelques centaines de personnes défilaient dans les rues de Namur.

    Un journaliste et une camérawoman ont été bousculés et la caméra endommagée, ce qui a empêché la réalisation du reportage.

    Cet incident est à mettre en relation avec la série de violences contre les journalistes qui émaille le mouvement des Gilets jaunes en France. Un reporter pour un média local, C L'Info Pau, avait reçu samedi dernier un violent coup de pied de la part d'un Gilet jaune. Le même jour, LCI avait été prise pour cible à Rouen alors que ses reporters étaient accompagnés par des agents de sécurité privé: l'un de ces derniers avait même été roué de coups en les protégeant. Plainte a été déposée. Plusieurs journalistes ont également été pris à partie à Paris, Marseille, Toulon et Toulouse.

    https://fr.sputniknews.com/international/201901201039703383-journalistes-agresses-belgique/

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    1. C'est vrai que les merdias font croire qu'ils rendent compte de l'actualité alors qu'elle est détournée, falsifiée, mensongée.

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  4. Enlaidies, avec de faux hématomes et bandages, les Mariannes participent à l’acte 10


    23:23 19.01.2019


    Toujours recouvertes d’une couleur argentée, vêtues de vestes rouges laissant apparaître leurs seins, des Mariannes sont descendues ce dimanche dans les rues de Lille qui accueillait l’acte 10 des Gilets jaunes. Après leur participation en décembre à Paris, les femmes changent de peau, se dessinent de fausses ecchymoses et se mettent des bandages.

    Un mois après leur apparition dans les rues de Paris lors de la manifestation des Gilets jaunes du 15 décembre 2018, plusieurs Mariannes ont participé à l'acte 10. Cette fois, elles sont descendues dans les rues de Lille en s'étant volontairement enlaidies.

    Toujours silencieuses, avec visages et poitrines recouverts d'une couleur argentée, les Mariannes ont élargi l'éventail de leurs moyens d'expression.

    Ces femmes se sont ainsi peint de fausses blessures et des hématomes sur le corps. Certaines avaient des bandages, d'autres ont préféré porter un bras en écharpe ou se mettre une atelle à une jambe.

    Pour le dixième samedi consécutif, les Gilets jaunes sont descendus dans les rues un peu partout en France dans un contexte de tensions toujours vives deux mois après le premier rassemblement du mouvement. Selon le dernier bilan de l'Intérieur français, 84.000 manifestants ont pris part à travers toute la France à la 10e édition de la manifestation nationale.

    https://fr.sputniknews.com/france/201901191039702303-mariannes-lille-hematomes-bandages/

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  5. Johns Hopkins et Bristol-Myers confrontés à un costume d'un milliard de dollars pour l'infection de prostituées guatémaltèques atteintes de syphilis


    par Tyler Durden
    Samedi, 19/01/2019 - 19h15


    Un juge fédéral du Maryland a déclaré que l'université Johns Hopkins, la société pharmaceutique Bristol-Myers Squibb et la Fondation Rockefeller devaient faire face à un procès d'un milliard de dollars pour avoir participé à un programme très secret mené dans les années 1940 par le gouvernement des États-Unis et consistant à injecter le syphilis à des centaines de Guatémaltèques , a rapporté Reuters.

    Selon la plainte, plusieurs médecins de Hopkins et de la Fondation Rockefeller ont participé au programme gouvernemental, ainsi que quatre cadres des prédécesseurs de Bristol-Myers, Bristol Laboratories et le Squibb Institute.

    "L'objectif principal de l'étude était de vérifier si des antibiotiques pouvaient être utilisés pour prévenir la syphilis et d'autres infections sexuellement transmissibles avant que ses symptômes n'apparaissent chez une personne qui y était exposée. Les chercheurs ont donc initialement recruté des prostituées atteintes du sexe atteintes de syphilis pour avoir des relations sexuelles avec des prisonniers .

    Plus tard, ils ont directement infecté des volontaires sans leur consentement éclairé ni connaissance de ce qui se passait réellement.

    Dans de nombreux cas, cependant, les personnes infectées n'ont pas été traitées. Au total, 83 décès ont été liés à l’étude, même s’il n’est pas tout à fait certain que les infections en soient la cause directe (cela dit, la syphilis à un stade avancé est souvent mortelle) ", a déclaré Gizmodo.

    Dans une décision du 3 janvier, le juge de district américain Theodore Chuang a démenti l’argument des accusés selon lequel une décision récente de la Cour suprême protégeant les entreprises étrangères des poursuites devant les tribunaux américains pour violation des droits de l’homme à l’étranger s’appliquait également aux entreprises nationales sans autorisation du Congrès.

    La décision de Chuang a été une grande victoire pour 444 victimes (pour la plupart mortes) et leurs proches poursuivant l’expérience.

    L'expérience a été dissimulée jusqu'à ce qu'un professeur du Wellesley College, dans le Massachusetts, ait découvert les fichiers en 2010.

    Chuang a déclaré que les poursuites intentées contre des entreprises américaines en vertu du statut fédéral Alien Tort n'étaient pas "catégoriquement exclues" par la décision de la Cour suprême du 24 avril dernier dans l'affaire Jesner / Arab Bank Plc couvrant des sociétés étrangères.

    Il a ajouté que le "besoin de prudence judiciaire" était "nettement réduit" lorsque les entreprises américaines étaient des accusés, car il n'existait aucune menace significative de tensions diplomatiques de la part de gouvernements étrangers.

    Le juge fédéral a déclaré que laisser l'affaire au Guatemala «favoriserait l'harmonie» en donnant aux plaignants étrangers une chance d'obtenir réparation devant le système judiciaire américain.

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  6. "Johns Hopkins exprime sa profonde sympathie pour les personnes et les familles touchées par la déplorable étude sur la syphilis des années 1940, financée et menée par le gouvernement américain au Guatemala", a déclaré l'université dans un communiqué. "Nous respectons le processus légal et nous continuerons à défendre vigoureusement le procès."

    Hopkins, Bristol-Myers et la Rockefeller Foundation ainsi que leurs avocats n'ont pas immédiatement répondu aux demandes de déclaration de Reuters.

    Paul Bekman, avocat des 444 Guatémaltèques, a déclaré que ses clients procéderaient à une interrogation, y compris à l'échange de documents datant de plusieurs décennies.

    Une décision antérieure concluait qu'aucun argument en matière de délai de prescription ne pouvait être invoqué, car les demandeurs n'avaient pas eu connaissance de l'expérience avant 2010.

    Infecter les prostituées guatémaltèques avec des maladies sexuellement transmissibles était l’un des nombreux programmes eugéniques conduits par le gouvernement des États-Unis au cours des années 1940 et après la Seconde Guerre mondiale. À présent, les institutions universitaires et les entreprises impliquées dans ces expériences horribles menées par le gouvernement se voient infliger d’énormes poursuites qui pourraient avoir des conséquences financières catastrophiques.

    https://www.zerohedge.com/news/2019-01-19/johns-hopkins-bristol-myers-face-1-billion-suit-infecting-guatemalan-hookers

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  7. "Théorie monétaire moderne" est une blague qui n'est pas drôle


    par Tyler Durden
    Samedi, 19/01/2019 - 18h50
    Écrit par Michael Strain, op-ed via Bloomberg.com,


    Oui, un gouvernement qui émet sa propre monnaie peut payer ses factures. Mais accumuler de la dette sans raison urgente est une folie ...

    Si vous suivez les débats sur la politique économique américaine, vous avez probablement entendu parler de la théorie monétaire moderne bien avant que la représentante démocratique de première année, Alexandria Ocasio-Cortez, en parle favorablement plus tôt ce mois-ci.

    Si vous pensiez dès le début que cette idée ressemblait à de la folie, vous aviez raison, même s’il est possible d’admettre un peu de sympathie à son égard. Alors, pourquoi le MMT, tel qu’il est connu pour faire court, suscite-t-il un tel intérêt maintenant ?

    Tout d’abord, commençons par la confusion sur ce que c’est. La réponse semble dépendre de l'avocat du MMT demandé. C'est parfois une théorie de l'argent. Le MMT est également à l’étude dans le cadre d’un programme politique visant à justifier d’énormes augmentations des dépenses sociales. Enfin, son rôle est de prescrire la politique macroéconomique.

    Même en tant que théorie économique, elle n’est ni établie ni pleinement développée. Cela rend la tâche ardue, voire frustrante.

    L’observation fondamentale du MMT est exacte: tout gouvernement qui émet sa propre monnaie peut toujours payer ses factures. Cette observation permet aux décideurs d’être moins préoccupés par le déficit budgétaire que ce n’est généralement le cas.

    En fait, le MMT gagne en importance précisément en raison de son manque relatif d'inquiétude quant à l'ampleur du déficit. Dans les années qui ont immédiatement suivi la grande récession, qui a débuté en décembre 2007, cet aspect du MMT contrastait favorablement avec la position des centristes des politiques budgétaires et de nombreux hommes politiques républicains qui ont appelé à une réduction significative du déficit en période de chômage très élevé. .

    Aujourd'hui, alors que certains contestent les idées reçues sur la politique fiscale, l'orientation du MMT - les déficits importent beaucoup moins que ses détracteurs ne le laisseraient croire - attire de nombreux économistes solides. (Bien que je ne suis pas encore vendu sur leurs arguments.)

    Dans ma lecture, c'est à peu près tout ce qui peut être dit favorablement en ce qui concerne la théorie monétaire moderne. En tant que programme politique, l'observation selon laquelle un gouvernement émettant sa propre monnaie fiduciaire ne peut pas faire défaut par inadvertance - constat avec lequel les économistes traditionnels sont largement d'accord - a été utilisée pour plaider en faveur de politiques de dépenses extrêmement coûteuses, notamment une garantie universelle pour l'emploi et un payeur unique. soins de santé. Certains partisans du MMT soutiennent qu'il n'est pas nécessaire de laisser payer ces propositions par le biais d'augmentations d'impôts entravent leur adoption. le gouvernement peut simplement augmenter le déficit.

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  8. Dans une brève analyse du MMT, l’économiste Stan Veuger (mon collègue à l’American Enterprise Institute) souligne que, à première vue, ce n’est pas si différent des politiques actuelles qui procurent des avantages aujourd'hui et des coûts futurs, y compris les réductions d’impôts de 2017 financées par le déficit. . Mais c’est plus une critique de cette façon de légiférer qu’une justification du MMT.

    Les progressistes politiques comme Ocasio-Cortez, qui manifestent de la sympathie pour le MMT, ont également une vision à court terme. Si nous relâchons encore plus le fardeau fiscal que les recettes fiscales ont imposé aux dépenses fédérales, les démocrates pourraient alors bénéficier de l’assurance-maladie pour tous la prochaine fois qu’ils contrôleront le gouvernement. Mais, à son tour, que pourrait-il faire de la nouvelle liberté fiscale au GOP?

    Les deux partis prétendent se soucier du déficit, mais une fois au pouvoir, ils agissent souvent comme s'ils se préoccupaient davantage de mettre en place leurs politiques préférées, qu'il s'agisse de réductions d'impôt pour les conservateurs ou de nouveaux programmes de dépenses pour les libéraux. Relâcher davantage les contraintes politiques sur les déficits est imprudent, quel que soit le parti qui le fait.

    Mais c’est dans ses idées sur la politique macroéconomique que le MMT occupe toute sa place en marge.

    La théorie comprend que l'économie est limitée par de réelles limites à ses intrants de production. Si vous appuyez suffisamment fort sur ses défenseurs, ils admettront que, à un moment donné, toutes ces dépenses pourraient envoyer l'économie dans une phase d'inflation dommageable.

    Mais ils ont rapidement écarté ce risque, notamment en soulignant l’absence récente d’inflation dans les économies avancées et en faisant appel à de vagues expériences de pensée.

    Alors, qu'est-ce que le MMT a à dire sur l'inflation lorsqu'elle se matérialise ? Comme sous le MMT, la banque centrale est responsable du financement des programmes gouvernementaux par l’impression de monnaie, il appartient à l’institution compétente en matière de fiscalité et de politique budgétaire - le Congrès américain - de s’assurer de la stabilité des prix en augmentant les impôts et en excédent le déficit budgétaire. Dans le cadre d’une série de colonnes de Bloomberg Opinion publiée l’année dernière, Stephanie Kelton, principale représentante du MMT, a fait appel à la politique budgétaire, et non à la Réserve fédérale, pour gérer le cycle économique.

    Mais il est extrêmement difficile d’imaginer que le Congrès réagisse à une économie en surchauffe en légiférant sur l’augmentation des impôts. Le contraire est plus facile à imaginer: lorsque les ménages sont confrontés à des augmentations de prix, l’inclination naturelle d’un représentant élu peut être d’accroître son revenu disponible en réduisant les impôts, et non en les augmentant.

    C’est précisément cette dynamique - le besoin occasionnel pour l’institution en charge de la stabilité des prix d’infliger des souffrances à court terme pour des avantages à long terme - qui justifie en grande partie l’indépendance politique des banques centrales.

    Veuger, qui critique en grande partie le MMT, souligne que ses défenseurs peuvent envisager une autorité fiscale indépendante, même si leurs points de vue sont difficiles à déchiffrer.

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  9. Mais la politique fiscale modifie la manière dont le revenu est réparti entre les ménages - le revenu après impôt des ménages à hauts revenus est réduit, et les ménages auxquels le revenu est redistribué augmentent - et Veuger soutient que, pour cette raison, il ne devrait pas être dirigé par une agence. c'est indépendant de la politique.

    La politique monétaire a également des implications en termes de répartition. Par exemple, les faibles taux d’intérêt sont bons pour les emprunteurs mais pas pour les épargnants. Mais étant donné que les États-Unis redistribuent déjà lourdement leurs revenus par le biais du code des impôts, M. Veuger a raison de dire que nous devrions éviter la tourmente qui serait créée en confiant la politique fiscale à un nouvel organisme indépendant.

    Nous pensons généralement que l’inflation est générée par une économie en surchauffe avec une demande excédentaire. Mais les prix peuvent aussi augmenter parce que la production de biens et de services est devenue plus chère pour les entreprises. Par exemple, cette situation pourrait se produire si le prix du pétrole devait augmenter rapidement - l’économie pourrait connaître à la fois une stagnation et une inflation.

    Dans ce scénario, le MMT semble demander des augmentations d’impôts afin de limiter l’inflation. Mais l'économie ralentit déjà. Augmenter les taxes
    ne ferait qu'aggraver la récession en augmentant le chômage et en ralentissant davantage l'économie.

    La théorie monétaire moderne séduit par ses promesses et, parfois, par ses observations. Mais si elle était adoptée, cela pourrait nuire énormément à l’économie américaine. Comme Medusa, cela peut sembler magnifique. Mais si vous le regardez dans les yeux, vous vous transformerez en pierre.

    https://www.zerohedge.com/news/2019-01-19/modern-monetary-theory-joke-thats-not-funny

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  10. C'est la raison pour laquelle les téléviseurs intelligents sont si bon marché


    par Tyler Durden
    Samedi, 19/01/2019 - 17:35


    Une des principales raisons pour lesquelles un téléviseur intelligent, ou peut-être un nouveau téléviseur intelligent 4K de 65 pouces avec capacité HDR, peut être acheté pour environ 500 dollars, est que certains fabricants collectent des données auprès des utilisateurs.

    Le responsable de la technologie de Vizio, Bill Baxter, a présenté la stratégie de The Verge lors du Consumer Electronics Expo à Las Vegas, dans le Nevada, lundi dernier.

    "Il s'agit d'une industrie impitoyable. Il s'agit d'une industrie à marge de 6 %", a déclaré Baxter. "La meilleure stratégie est que je n'ai vraiment pas besoin de gagner de l'argent avec la télévision. Je dois couvrir mes coûts."

    Plus spécifiquement, les fabricants de produits électroniques tels que Vizio ont compris qu’ils pouvaient vendre des téléviseurs intelligents à un prix inférieur ou égal au coût et se concentrer sur la collecte de données et la monétisation après achat.

    Comme le dit Baxter: "Il ne s'agit pas uniquement de la collecte de données. Il s'agit de la monétisation post-achat de la télévision".

    Il a expliqué qu'il existe plusieurs moyens de monétiser les téléviseurs intelligents: "Vous vendez des films, vous vendez des émissions de télévision, vous vendez des publicités, vous savez."

    Baxter a déclaré que sans les formes de revenus supplémentaires, les consommateurs paieraient des primes plus élevées pour les téléviseurs intelligents. "Nous obtiendrions un peu plus de marge chez les détaillants pour la compenser."

    - Écoutez l'interview complète ici (sur site) -

    Les téléviseurs Vizio ont la possibilité, avec l’inscription de l’utilisateur, de suivre tout ce qui est sur le téléviseur, ce que la société appelle «la reconnaissance automatique du contenu». Ces données étaient vendues à des agrégateurs de données tiers, mais après le Federal Trade La Commission et le New Jersey ont infligé à l'entreprise une amende de plusieurs millions de dollars en 2017.

    Des documents juridiques relatifs à cette affaire indiqueraient que Vizio a installé un logiciel sur 11 millions de téléviseurs intelligents afin de suivre les habitudes de visionnage à l'insu des consommateurs.

    Désormais, Vizio conserve les données, mais vend de la publicité ciblée sur un modèle de plate-forme tel que Google et Facebook.

    Vous vous demandez donc combien de données Vizio collecte-t-elle sur les téléviseurs intelligents?

    Eh bien, le rédacteur en chef du Verge, Nilay Patel, a tweeté qu’une Smart TV connectée VIZIO Série P 4K HDR connectée envoyait un ping à un serveur plus de 500 000 fois par semaine ou presque une fois par seconde, bien plus qu’un appareil classique.

    Le tout nouveau téléviseur Vizio série P de mes parents (qui n’est pas configuré pour diffuser en continu, ils ont une Apple TV) envoie un ping 10x sur un serveur 10 fois plus que tout autre appareil qu’ils possèdent. Pic.twitter.com/C7BHyFmzAh

    - nilay patel (@reckless) 6 janvier 2019
    Vizio te regarde ...

    https://www.zerohedge.com/news/2019-01-14/here-reason-why-smart-tvs-are-so-cheap

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    1. Touchez pas c'est collector !

      jeudi 4 juillet 2013

      https://huemaurice5.blogspot.com/2013/07/statue-de-la-liberte-50-faits-fascinants.html

      Photos exclusives !

      vendredi 20 juin 2014

      https://huemaurice5.blogspot.com/2014/06/accord-commercial-secret-couvrant-68.html

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  11. 26 MILLIARDAIRES ONT AUTANT D'ARGENT QUE LA MOITIÉ DE L'HUMANITÉ

    L'ONG Oxfam dénonce à travers cette étude un fossé grandissant entre riches et pauvres et appelle les Etats à taxer les plus riches.
    Jeff Bezos, le PDG d'Amazon, est l'homme le plus riche du monde.


    20.01.2019, 02h19


    La concentration de la richesse s'est encore accentuée en 2018, 26 milliardaires ayant désormais entre leurs mains autant d'argent que la moitié la plus pauvre de l'humanité, a dénoncé lundi l'ONG Oxfam, qui appelle les Etats à taxer les plus riches.

    «Le fossé qui s'agrandit entre les riches et les pauvres pénalise la lutte contre la pauvreté, fait du tort à l'économie et alimente la colère dans le monde», a affirmé Winnie Byanyima, directrice exécutive d'Oxfam International, citée dans le communiqué.

    Les gouvernements «doivent s'assurer que les entreprises et les plus riches paient leur part d'impôts», a-t-elle ajouté, à l'occasion de la publication du traditionnel rapport annuel d'Oxfam sur les inégalités mondiales en amont du Forum économique mondial (WEF, World Economic Forum) qui se tient jusqu'à vendredi à Davos.

    Selon les chiffres de l'ONG, dont la méthodologie, qui se base sur les données publiée par la revue «Forbes» et la banque Crédit suisse, est contestée par certains économistes, 26 personnes disposent désormais d'autant d'argent que les 3,8 milliards les plus pauvres de la planète. En 2017, ils étaient au nombre de 43. Quant à l'homme le plus riche du monde, Jeff Bezos, le patron d'Amazon, sa richesse a atteint 112 milliards de dollars l'an dernier. Or, «le budget de santé de l'Ethiopie correspond à 1% de sa fortune», souligne l'ONG.

    Les riches toujours plus riches D'une manière générale, la fortune des milliardaires dans le monde a augmenté de 900 milliards de dollars l'an dernier, soit au rythme de 2,5 milliards par jour, alors que celle de la moitié la plus pauvre de la population de la planète a chuté de 11%, a-t-elle précisé.

    Le nombre de milliardaires a d'ailleurs doublé depuis la crise financière de 2008, a souligné Oxfam, constatant que «les riches bénéficient non seulement d'une fortune en pleine expansion, mais aussi des niveaux d'imposition les moins élevés depuis des décennies».

    «Si la tendance était inversée, la plupart des gouvernements auraient suffisamment de ressources pour financer les services publics», a souligné l'ONG qui estime que «la richesse est tout particulièrement sous-taxée». Elle a ainsi précisé que sur un dollar d'impôt sur le revenu, seulement quatre centimes proviennent de la taxation de la richesse.

    Selon Oxfam, qui estime que les plus riches cachent au fisc 7'600 milliards de dollars, dans certains pays comme le Brésil ou le Royaume-Uni, «les 10% les plus pauvres paient désormais des impôts plus élevés en proportion de leurs revenus que les plus riches». Ce rapport est publié à un moment où la taxation des plus grandes fortunes suscite des débats dans plusieurs pays.

    En France, le mouvement des «gilets jaunes» a relancé le débat sur la suppression de l'ISF par le président Emmanuel Macron. Aux Etats-Unis, la députée démocrate Alexandria Ocasio-Cortez, fraîchement élue, a proposé de taxer à 70% les plus riches, obtenant le soutien du Prix Nobel d'Economie Paul Krugman. (afp/nxp)

    https://www.lematin.ch/economie/26-milliardaires-argent-moitie-lhumanite/story/24105031

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  12. LA FRANCE VEUT TAXER LES GAFA

    The Government ne veut pas que Gafa échappent sur le sol français, et ce dès cette année.

    20.01.2019



    The Government English va presenter «d'ici a fin février», a déclaré le ministre de l'économie, Bruno Le Maire.

    Ce projet sera bientôt soumis au vote du Parlement, a indiqué M. Maire dans un entretien au «Journal du Dimanche». supérieur à 750 millions d'euros au niveau mondial et à 25 millions d'euros en France ».

    «Si ces deux critères ne sont pas réunis, ils ne seront pas imposés», a-t-il précisé. «La taxe sera applicable à compter du 1er janvier 2019, et son taux sera modulable en fonction du chiffre d'affaires avec un maximum de 5%. Elle devrait rapporter environ 500 millions d'euros ».

    La taxation des services numériques et notamment les appels de Google (Google, Apple, Facebook, Amazon) est «un enjeu majeur du XXIe siècle» et une question de justice et d'efficacité, a estimé le ministre. Si la France a décidé de le faire sans attendre au niveau européen, M. Le Maire a décidé de faire un accord de ce type était encore possible «d'ici à la fin mars», soulignant que la France soutenait une proposition européenne portée par le commissaire français aux affaires économiques, Pierre Moscovici.

    «Il reste quelques pays hésitants. Nous avons fait une offre de compromis en décembre avec moi et je suis convaincu qu'un accord est maintenant à portée de main d'ici à la fin mars. À quelques mois des élections européennes, nos citoyens ne pourraient pas nous renoncer », a-t-il expliqué.

    À la mi-décembre, le gouvernement français, la recherche de recettes pour les mesures sociales annoncées par le président Emmanuel Macron avait été taxé dès le 1er janvier des géants du numérique, sans attendre un accord au sein de l'Union européenne. Cette décision avait été signée un changement de stratégie, M. Le Maire ayant défendu, sans succès, une taxe au niveau européen sur les géants du numérique.

    L'Irlande, the Denmark and Sweden, étaient opposés à une taxe sur 3 % du chiffre d'affaires des géants du numérique. Pour sa part, l'Allemagne ne voyait pas non plus d'un très bon oeil, par peur de mesures de rétorsion américaine contre son industrie automobile.

    Des initiatives pour les contribuables Gafa et autres géants numériques ont déjà été prises au niveau national dans plusieurs pays, comme le Royaume-Uni et Singapour. En Italie, les députés ont voté en fin d'année, une dernière transaction sur Internet, mais la loi n'entre finalement pas en vigueur.

    En Espagne, le gouvernement socialiste Pedro Sanchez a adopté un projet de loi pour créer une taxe de 3 % sur les revenus générés par certaines activités de géants du numérique comme les Gafa. Mais il n'est pas certain que le projet de loi espagnol soit jamais voté, le gouvernement n'a pas atteint la majorité au parlement. (afp / nxp)

    https://www.lematin.ch/economie/france-veut-taxer-gafa/story/24098906

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  13. Pourquoi Google paye assez d’impôts comme ça !

    Ne nous y trompons pas : si les GAFA sont au centre des préoccupations, ce n’est pas parce qu’ils ne paient pas d’impôts. C’est au contraire parce qu’ils en supportent énormément aux États-Unis. Analyse.


    Par Nicolas Marques.
    Un article de l’Institut Molinari
    20 JANVIER 2019


    Accusés de ne pas payer d’impôts, les GAFA sont la cible de Bercy comme des ONG. Mais ne nous y trompons pas, si les GAFA sont au centre des préoccupations, ce n’est pas parce qu’ils ne paient pas d’impôts. C’est au contraire parce qu’ils en supportent énormément aux États-Unis, ce qui attise les convoitises.

    Avec une cadence régulière, le sujet impôt des géants du numérique fait la Une de l’actualité. Il y a quelques jours un quotidien néerlandais nous apprenait que Google avait déplacé en 2017 près de 20 milliards d’euros vers les Bermudes en passant par une société écran basée au Pays-Bas. Pour une partie significative du grand public, la messe est claire : une stratégie d’optimisation, le « double sandwich néerlandais » a permis à une multinationale d’échapper à l’impôt en profitant de la complaisance de paradis fiscaux.

    Dans les faits, la réalité est différente. Les porte-parole de la firme de Moutain View déclarent :

    « Nous payons toutes les taxes que nous devons et nous conformons aux règles fiscales de tous les pays dans lesquels nous opérons à travers le monde ».

    Et force est de constater que les impôts acquittés par l’entreprise américaine sont significatifs. Rien qu’en impôts sur les bénéfices, la maison mère de Google a provisionné 28 milliards de dollars au titre des 5 derniers exercices, ce qui correspond à un taux d’imposition de 27 % des bénéfices lorsqu’on tient compte des mesures de rattrapage opérées en 2017. Loin d’échapper à l’impôt, Google a eu une fiscalité cohérente avec le reste de l’économie. Pour mémoire l’OCDE considérait que le taux théorique moyen d’imposition sur les bénéfices était de 24 % en 2018.

    NON, NI GOOGLE NI LES GAFA N’ÉVITENT L’IMPÔT

    S’agissant de Google en particulier et des GAFA en général, le vrai sujet n’est donc pas l’évitement de l’impôt, mais sa répartition entre pays. Les grands du numériques sont des multinationales de droit américain. Elles s’acquittent de l’essentiel de leur fiscalité sur les bénéfices aux États-Unis, ce qui pose la question de la répartition territoriale de l’impôt et aiguise les appétits des grands argentiers français.

    D’où l’intérêt de la démarche de l’OCDE visant à améliorer collectivement la fiscalité et les dangers de la démarche française unilatérale. Si les règles de répartition de l’impôt sur les sociétés ne sont pas adaptées au nouveau monde numérique, il convient de les revoir comme le propose l’OCDE.

    A contrario l’approche française, consistant à créer un énième impôt de production, est contre-productive. L’expérience montre que ces taxes sont en grande partie reportées sur les consommateurs et le reste du tissu économique. Elle montre aussi qu’elles sont susceptibles de donner lieu à des rétorsions d’acteurs n’ayant pas intégré ces effets pervers.

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  14. UN NIVEAU DE PRESSION FISCALE JAMAIS ATTEINT

    In fine, la démarche de Bercy risque de faire le lit du populisme antiéconomique, sans nous aider à tirer parti des enjeux de demain. Au-delà de notre capacité à appréhender les bouleversements générés par le digital, voire à en tirer profit, ils résident aussi dans notre aptitude à rompre avec l’inflation fiscale.

    Le niveau de pression fiscale en France est devenu incroyablement élevé pour un pays développé. Les recettes publiques représentent 54 % du PIB en 2017. Ce niveau, hors norme, n’existe que dans des pays pétroliers dont les recettes ne risquent pas de se tarir sous l’effet de la pression fiscale. Derrière le Koweït, avec des recettes publiques représentant 57 % du PIB, la France est n°2, devant la Norvège et la Libye (avec des recettes fiscales représentent 53 % et 51 % du PIB selon le FMI).

    Les recettes publiques françaises devraient être largement suffisantes pour financer nos prestations collectives et résorber notre dette à un rythme responsable en période d’embellie, comme le font la majorité de nos voisins européens.

    Les 44 années de dérapages publics depuis 1974 montrent que cela n’a pas été le cas, en dépit de l’envol des recettes publiques françaises. D’où l’importance d’une remise à plat de nos modes d’actions publics. L’enjeu est de garantir un usage responsable de la « manne » fiscale. Comme « l’or noir », elle mérite d’être appréhendée avec parcimonie, le risque étant qu’une sur-fiscalisation ne tarisse notre richesse.

    Faute d’accepter cette démarche responsable, nous risquons d’asphyxier notre tissu économique, tel un pays pétrolier ayant épuisé ses gisements. Il ne nous resterait alors qu’à pleurer sur les recettes que nous avons perdues ou celles que nous n’avons jamais eues…

    https://www.contrepoints.org/2019/01/20/335097-pourquoi-google-paye-assez-dimpots-comme-ca

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  15. « Envoyé Spécial » et son traitement malhonnête du glyphosate

    Encore une fois, l’émission Envoyé Spécial sur France 2 ne fait pas preuve d’une grande rigueur intellectuelle.


    Par Laurent Pahpy.
    Un article de l’Iref-Europe
    20 JANVIER 2019


    Un cas d’école d’obscurantisme journalistique. C’est ce que l’on pourra retenir de l’émission « Envoyé Spécial » de jeudi soir sur le glyphosate. Durant les deux heures du reportage, Élise Lucet aura réussi à cumuler les théories du complot, la promotion d’un scientifique discrédité, l’instrumentalisation d’un enfant handicapé et de personnes malades, le tout dans une ambiance anxiogène et malhonnête.

    Présenté comme un monstre à éliminer à tout prix, le glyphosate inquiète légitimement les consommateurs français. Soumis à un battage médiatique incessant et accusatoire depuis plusieurs années, il est parfaitement normal de s’inquiéter de l’utilisation massive de cet herbicide.

    L’IREF avait déjà étudié cette question dans plusieurs articles en rappelant l’état du consensus scientifique, à savoir le caractère non cancérogène de cette molécule lorsqu’elle est utilisée de manière conventionnelle.

    LA NON-CONFRONTATION ENTRE UN AGRICULTEUR CONVENTIONNEL ET UN AGRICULTEUR « BIO »

    Le reportage commence par une immersion chez Vincent, utilisateur et défenseur du glyphosate sur son exploitation, et Olivier, producteur en agriculture dite « biologique ». Ce dernier aurait éliminé « tout pesticide chimique ». Première erreur d’une longue liste.

    Tous les pesticides sont chimiques, car toute substance est chimique, comme l’eau ou le sel de table. L’agriculteur fait probablement référence aux pesticides de synthèse. La culture « bio » fait elle aussi appel à des pesticides, synthétiques (par dérogation), comme « naturels ». 99,99 % des pesticides que nous consommons sont produits naturellement par les plantes. La distinction « chimique »/« naturel » n’a aucun intérêt lorsqu’on aborde la toxicité d’un produit.

    Olivier affirme ne pas être à l’aise lors de l’épandage du glyphosate. Son discours est basé sur des émotions et ne suit pas une démarche rationnelle. Son alternative est le labour, présentée comme une technique « ancestrale ». Seule une phrase est énoncée pour dire que cette méthode est « controversée ». Il aurait été pertinent de détailler un peu plus cette question.

    Le labour détruit la vie microbiologique des sols et accélère son érosion. Le glyphosate permet l’agriculture de conservation des sols qui limite la consommation de fertilisants de synthèse, le labour, la consommation d’énergie tout en favorisant la biodiversité.

    « Je ne veux pas qu’on impose le « bio » à la cantine » : Vincent pose ici une bonne question. Rien n’empêche Olivier de produire en « bio » sans glyphosate ni à ses consommateurs d’en acheter. Plusieurs formes d’agricultures peuvent coexister. Vincent et Olivier en sont la preuve. Ils ne sont pas en confrontation et cohabitent. Ce que réclame Vincent est parfaitement légitime. Laissons chacun choisir. À partir du moment où rien ne démontre que ce produit génère des nuisances externes sur le reste de la population, il est de la responsabilité de chacun de faire son arbitrage dans son mode de consommation

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  16. LE « GLYPHOTEST » OU LE POPULISME JOURNALISTIQUE À L’ŒUVRE

    Pour alimenter le climat anxiogène du reportage, Élise Lucet propose à plusieurs personnes, dont des personnalités, de mesurer la quantité de glyphosate dans leur urine. Le taux le plus élevé mesuré est de 1,26 microgramme par litre. Mais donner une concentration sans autre élément n’a aucun intérêt si ce n’est alimenter la peur, car c’est la dose qui fait le poison.

    Une des personnes demande d’ailleurs comment le taux mesuré se situe par rapport à la norme. Réponse d’Élise Lucet :

    « On est incapable de fixer un seuil au-delà duquel c’est dangereux ».

    C’est un mensonge éhonté. L’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) fixe la dose aiguë de référence (DARf) pour le glyphosate à 0,5 milligramme par kilogramme de poids corporel, soit près de 400 fois la concentration mesurée dans l’urine.

    Ce point est essentiel, car il touche à la distinction risque/danger. Le risque, c’est la probabilité d’être exposé multipliée par la dangerosité du produit. Un produit dangereux auquel on n’est pas exposé ou seulement à des doses minimes n’est pas forcément risqué. Un crash d’avion est très dangereux, mais très rare, ce qui en fait le moyen de transport le plus sûr au kilomètre parcouru.

    La classification de l’herbicide en « probablement cancérogène pour l’homme » (catégorie 2A) par le Centre international de recherche contre le cancer (CIRC) fait débat dans le milieu scientifique. Dans tous les cas, cette catégorisation caractérise le danger et non le risque.

    Distinction essentielle qui est manifestement passée sous silence. Toutes les grandes agences sanitaires du monde, qui évaluent le risque, ne réclament pas l’interdiction du glyphosate. La consommation de charcuterie est « cancérogène pour l’homme » (catégorie 1) selon le CIRC, ce n’est pas pour autant qu’elle doit être interdite.

    LE JARDINIER JOHNSON ET SON PROCÈS OBSCURANTISTE CONTRE MONSANTO

    « Envoyé Spécial » s’attarde ensuite sur la terrible maladie de Dewayne Johnson qui a gagné un retentissant procès face à Monsanto cet été (Monsanto fait appel). Si son cancer désormais incurable ne peut laisser personne de marbre, il n’en reste pas moins que la science ne permet pas d’affirmer qu’il a été causé par son utilisation professionnelle du glyphosate. Le jury en avait pourtant jugé autrement. Nous avions expliqué dans un article en quoi cette décision est une dérive dangereuse du droit et une négation grave de la science.

    L’AFFAIRE DES MONSANTO PAPERS, LA SCIENCE TOUJOURS ABSENTE

    L’affaire des Monsanto Papers a révélé des pressions de la firme sur les agences sanitaires et des cas de ghostwriting consistant à faire signer par des scientifiques réputés des articles largement rédigés par les toxicologues de Monsanto.

    Ces pratiques, éthiquement critiquables et méthodologiquement discutables, ne permettent néanmoins pas de remettre en cause les conclusions scientifiques sur la cancérogénicité de l’herbicide selon l’EFSA car elles ne concernent que des éléments mineurs. Cela pose toutefois de vraies questions sur la nécessaire transparence des procédures d’évaluation et de mise sur le marché des intrants agricoles.

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  17. « ENVOYÉ SPÉCIAL » OFFRE UNE TRIBUNE À UN SCIENTIFIQUE UNANIMEMENT DISCRÉDITÉ

    « Envoyé Spécial » frappe fort en donnant la parole pendant de longues minutes à Gilles-Éric Séralini, un scientifique largement discrédité suite à la publication d’une étude sur la cancérogénicité d’un maïs OGM résistant au glyphosate.

    Depuis rétractée par le journal, cette étude a été très critiquée par la communauté scientifique sur sa méthodologie et a été jugée inadéquate par le CIRC. C’est à peine si le reportage annonce que ces résultats ont été contredits depuis par quatre expériences (Marlon, GRACE, G-TwYST et GMO 90+) qui montrent toutes l’absence d’effet sur le cancer. Mais le mal est fait. Gilles-Éric Séralini peut désormais vendre de la peur très lucrative dans ses livres et avoir l’oreille attentive d’Élise Lucet.

    L’INSTRUMENTALISATION D’UN ENFANT HANDICAPÉ

    Théo, un enfant de 11 ans souffrant d’une anomalie congénitale est interviewé. Sa mère affirme que son handicap est apparu suite à son utilisation de l’herbicide lorsqu’elle était enceinte. Comme dans le cas de Dewayne Johnson, rien ne permet d’affirmer un lien de causalité. Élise Lucet se livre ici à une instrumentalisation révoltante de la situation de cet enfant.

    PAS NON PLUS DE PREUVE AU SRI LANKA

    Une instrumentalisation de plus au Sri Lanka. Cette fois-ci, le glyphosate serait coupable d’une épidémie de maladie rénale. Envoyé Spécial s’appuie sur des études réalisées par Channa Jayasumana pour l’affirmer (ici et ici). Ces articles restent hypothétiques et ne démontrent pas de causalité. Plusieurs facteurs sont avancés par les scientifiques, dont le glyphosate, mais l’OMS juge que ce n’est pas démontré.

    Ce passage de l’émission « Envoyé Spécial » montre d’ailleurs que sans glyphosate, la seule alternative crédible est de revenir au désherbage manuel ou mécanique. Une solution qui peut coûter très cher et aller à contre-courant des gains de productivité agricoles qui permettent aux populations des pays pauvres de sortir de la misère et de la faim. L’interdiction du glyphosate a d’ailleurs été annulée en 2018 pour toutes les cultures au Sri Lanka, contrairement à ce qu’affirme le reportage.

    DES PARLEMENTAIRES À LA BOTTE DU PRÉSIDENT, UN SCOOP ?

    Élise Lucet tiendrait-elle un scoop ? L’Assemblée nationale est une caisse d’enregistrement des décisions du président. Ce n’est pas comme si l’on découvrait l’utilité limitée de cette institution.

    Ce passage a le mérite de montrer l’embarras des politiques qui, au mépris de la science et du droit, refusent de rappeler le consensus scientifique porté par l’Agence nationale de sécurité sanitaire (ANSES).

    François de Rugy, ministre de l’Écologie affirme qu’il y aura une alternative pour « en finir avec le glyphosate en 2021 ». La promesse est aisée, l’art est difficile. L’Institut national de recherche agronomique (INRA) estime qu’aucune alternative ne puisse faire aussi simple, efficace, peu toxique et peu coûteux que cette molécule. Il est peu probable qu’une meilleure solution soit trouvée et mise sur le marché d’ici 2021.

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  18. CONCLUSION

    Oui le glyphosate est dangereux. Oui son utilisation doit être faite avec les précautions qui s’imposent. Oui, les méthodes de Monsanto, intégré depuis à Bayer, sont critiquables et éthiquement discutables.

    Mais la science est très claire sur le sujet. L’utilisation du glyphosate de manière conventionnelle ne présente à ce jour pas de risques significatifs connus.

    Élise Lucet entretient une désinformation anti-science cumulant des conditionnels, des théories du complot, des instrumentalisations révoltantes, des images-chocs, une musique anxiogène, des interviewés acculés, des chiffres présentés sous forme effrayante, mais qui n’apportent rien, des mensonges et des lacunes graves pour traiter d’un sujet pourtant essentiel.

    La liberté de la presse ne dispense ni de contradicteurs ni de rigueur intellectuelle. La question des pesticides est complexe, car elle implique un arbitrage entre protection de l’environnement, maintien de la productivité agricole et sécurité sanitaire pour les producteurs et les consommateurs.

    Sans vouloir minimiser les inquiétudes et les précautions concernant l’utilisation de ces intrants agricoles, l’IREF estime que le sujet aurait dû être traité de manière moins manichéenne et faire appel à des scientifiques et des spécialistes reconnus pour leur expertise en agronomie, en nutrition et en toxicologie.

    Attaché à une liberté inconditionnelle de la presse, l’IREF milite pour la privatisation de France Télévisions. Cela permettra à chacun de choisir librement quel média il souhaite financer sans être forcé de subventionner les émissions comme « Envoyé Spécial » d’Élise Lucet, payée 25 000 €/mois, par la redevance audiovisuelle publique.

    https://www.contrepoints.org/2019/01/20/335099-envoye-special-traitement-malhonnete-glyphosate

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  19. Les avantages largement méconnus des OGM sur la santé des sols

    19 Janvier 2019
    par Seppi
    Wayne Parrott, PhD*


    La richesse des nations provient de la fertilité des sols. Faites une petite promenade à la campagne. Il sera facile de savoir si les sols sont bons ou non simplement en regardant la taille et la qualité des bâtiments et des voitures garées devant

    Un sol fertile est un pays des merveilles microbiennes, riche en matière organique et formant un écosystème trop petit pour être observé à l'œil nu. Pourtant, l'écosystème du sol retient et recycle les nutriments qui fertilisent les plantes qui nourrissent la vie animale, y compris nous-mêmes. La vie telle que nous la connaissons ne serait pas possible sans les sols.

    Cependant, ce qui est bon pour les cultures l'est aussi pour les mauvaises herbes, et c'est là que les problèmes commencent. Les mauvaises herbes privent les cultures de leurs nutriments. Chaque année, les mauvaises herbes volent suffisamment d'éléments nutritifs dans le monde pour nourrir un milliard de personnes. Il est clair que les agriculteurs doivent se débarrasser des mauvaises herbes. Mais se débarrasser des mauvaises herbes est plus facile à dire qu'à faire.

    - voir photos sur site -

    A gauche, les mauvaises herbes mortes recouvrent et protègent le sol. Le binage serait nécessaire pour lutter contre les mauvaises herbes dans le maïs non modifié.

    Par le passé, on n'avait rien n’avait rien de mieux pour se débarrasser des mauvaises herbes que de labourer le sol. Mais le sol labouré s'érode facilement. Sa matière organique se décompose et sa capacité à retenir les nutriments se détruit. Jusqu’à récemment, le contrôle des mauvaises herbes relevait d'un pacte avec le diable : les agriculteurs devaient souvent choisir entre leur culture et leur sol. En fait, le Fonds Mondial pour la Nature affirme que la moitié du sol mondial a déjà été perdue au cours des 150 dernières années. En d'autres termes, nous vivons en sursis à moins que la nourriture puisse être produite autrement. Puis, il y a 20 ans, la combinaison de plantes GM et d'herbicides est apparue et a rendu possible et beaucoup plus facile l'agriculture de conservation qui protège le sol.

    La prémisse est simple. Le sol n'est plus labouré pour contrôler les mauvaises herbes. Au lieu de cela, une machine fait un petit trou dans le sol et y dépose une graine. La culture commence à pousser parmi les mauvaises herbes. Cependant, la culture a été conçue pour résister à certains types d'herbicides. Ainsi, l'agriculteur peut venir, épandre l'herbicide et tuer les mauvaises herbes sans tuer la plante cultivée. En prime, les mauvaises herbes mortes sont laissées derrière et agissent comme une couverture qui protège le sol de l'érosion par la pluie.

    Cette nouvelle combinaison a eu un effet profond sur l'agriculture. Les agriculteurs ne sont pas obligés d'acheter du carburant d'origine fossile pour les tracteurs qui labourent le sol, et le sol ne part pas avec les pluies. De plus, les produits chimiques d’aujourd’hui sont beaucoup moins toxiques que ceux utilisés au siècle dernier et sont fréquemment utilisés en plus petites quantités. C'est un gagnant-gagnant pour les agriculteurs et l'environnement. Mais il reste encore beaucoup de défis à relever pour protéger le sol. Il faudra utiliser davantage de plantes génétiquement modifiées conçues pour une agriculture de conservation avant de pouvoir vraiment affirmer que notre sol est en sécurité et que notre avenir est assuré.

    Source : https://medium.com/@gmoanswers/the-largely-unknown-benefits-of-gmos-on-soil-health-e31915eaa44f

    http://seppi.over-blog.com/2019/01/les-avantages-largement-meconnus-des-ogm-sur-la-sante-des-sols.html

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    1. Tous les sols de notre planète contiennent des 'pesticides' en abondance depuis toujours et pour toujours. Ils font parties des éléments de la Terre pareillement qu'il en sort des millions de tonnes tous les jours par les planchers océanique, les poissons y nagent dedans et nous, consommons des poissons-poisons ! Hahahaha !

      Le platane fait partie des arbres excrétophores qui se libèrent de leur feuilles bien avant que les froids arrivent ou qu'ils sacrifient une branche (adventive en général) pour servir de 'déchetterie' et crever. Ce sont des branches mortes où sont concentrés les métaux les plus dangereux pour l'arbre et remontés par la sève depuis les racines.

      C'est pourquoi, malgré un brûlage des feuilles à l'automne ce qui a l'avantage de faire crever les bestioles qu'il y a dedans plutôt que de les enfouir en sols au chaud en hiver et qui ressortent au printemps, les métaux qui semblent s'être envolés retombe un peu plus loin !

      - voir aussi:

      99,99 % des pesticides que nous ingérons sont produits par les plantes elles-mêmes

      dimanche 2 décembre 2018

      https://huemaurice5.blogspot.com/2018/12/9999-des-pesticides-que-nous-ingerons.html

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  20. « Les ayatollahs verts euthanasient le macronisme » – une opinion de M. Laurent Alexandre dans l'Express


    19 Janvier 2019
    par Seppi

    Glané sur la toile 295


    Il n'y a pas que M. Gérald Bronner qui plaide pour une écologie rationnelle et, surtout, arrive à se faire publier par un hebdomadaire de grande diffusion.

    L'Express a publié le 8 janvier 2019 « Les ayatollahs verts euthanasient le macronisme » de M. Laurent Alexandre. Si l'approche est différente, le constat est fondamentalement le même, s'agissant de l'influence néfaste d'une écologie politique déconnectée des réalités.

    On ne peut qu'adhérer au constat, au-delà du volet politique qui plaira ou non. En fait, si les « ayatollahs verts » n'ont pas euthanasié le hollandisme et, avant lui, le sarkozysme, ils ont grandement contribué à leur disgrâce (et préparé la disgrâce éventuelle de M. Emmanuel Macron et de ses successeurs) avec les inepties de, par exemple, le Grenelle de l'environnement et la réduction du nucléaire dans le mix électrique. Le constat de M. Laurent Alexandre se prête donc à une extension vers le passé et, surtout, l'avenir.

    M. Emmanuel Macron voulait-il mener une politique structurelle d'augmentation de la compétitivité de la Nation ?

    « Le charisme du président et sa virginité politique étaient des armes extraordinaires pour faire patienter les Français. Malheureusement, les ayatollahs verts ont détruit la dynamique macronienne en trois actes. »

    Le charisme ? Bien entamé, et tout laisse à croire que, dorénavant, quoi qu'il dise et fasse, une meute sautera sur lui pour le critiquer, voire tenter de le lyncher. Mais passons à la dynamique de destruction :

    « Première étape : le discours apocalyptique décourage les Français. [...] Les marchands de peur comme Nicolas Hulot ont diffusé un discours d'un pessimisme délirant qui a convaincu les Français que l'apocalypse est à notre porte et qui les décourage de faire des efforts. »

    Avec la deuxième étape, on entre dans le dur économique :

    « Deuxième étape : la politique de l'environnement est noyautée par les lobbys des énergies éolienne et solaire. Nous dépensons 7 milliards d'euros par an pour subventionner des éoliennes et des panneaux solaires que nous importons principalement de Chine et dont le bilan gaz carbonique est déplorable. Cette politique énergétique suicidaire est payée par les Français. Les gilets jaunes nourrissent les lobbys au détriment de leur pouvoir d'achat, ce qui les pousse à la révolte. »

    On peut ajouter le lobby du bio qui nous entraîne vers une perte de compétitivité et un déclin de la filière agroalimentaire. Ah les vertus du bio... et local ! Sauf que quand le bien-pensant entre dans un supermarché avec ses bonnes intentions, il risque d'en sortir comme consommateur avec le produit, certes bio, mais produit à l'étranger et moins cher pour lui et plus profitable pour le distributeur.

    La troisième étape porte en partie sur des thèmes qui nous préoccupent sur ce blog :

    « Troisième étape : les discours antiscientifiques aliènent le soutien des zones rurales au pouvoir. La diabolisation du glyphosate par le gouvernement pour faire plaisir à Nicolas Hulot (en espérant éviter sa démission...) a désigné les agriculteurs comme étant des assassins environnementaux. Les déclarations du ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner, sur les maladies dues au glyphosate, ont été scientifiquement irresponsables et politiquement dangereuses. […] »

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  21. On lira la suite sur la page de l'Express.

    M. Laurent Alexandre conclut par un appel au Président pour qu'il cesse « d'écouter les prêcheurs de l'apocalypse » et « ne laisse[...] pas les ayatollahs verts, lâchement soutenus par certains ministres opportunistes et incompétents en sciences, détruire [son] projet de renouveau de la France. »

    C'est joliment formulé et élégamment flatteur – le style qui sied quand on cherche à convaincre un gros ego.

    Mais on peut aussi être plus brutal : nous pensons que M. Emmanuel Macron doit aussi faire son chemin de Damas, en particulier s'agissant de l'agriculture.

    Quelqu'un dans son entourage pourra-t-il lui souffler qu'il n'a pas été élu sur la base de « son » programme, mais en grande partie à la suite d'un concours de circonstances : l'acharnement qu'ont mis la gauche et la droite républicaines à se suicider, l'incroyable maladresse de la perdante du deuxième tour dans le face-à-face télévisé, et le choix de sa personne au deuxième tour, par défaut. Pourra-t-il lui susurrer que « son » programme n'est pas un Livre Saint, et qu'il contient de belles bêtises ? Pourra-t-il lui rappeler que l'indignité ne consiste pas à renier des promesses intenables et mal fondées, mais à persister dans l'erreur ?

    http://seppi.over-blog.com/2019/01/les-ayatollahs-verts-euthanasient-le-macronisme-une-opinion-de-m.laurent-alexandre-dans-l-express.html

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    1. Comme TOUS les ministres, chefs d'Etat, Députés ou Sénateurs, AUCUN d'entr'eux n'a suivi seulement 1 heure de cours de Droit ni n'a fait d'étude en agriculture ou comptabilité !

      Et ils font et votent des lois !!!!!!!

      Le résultat se voit tous les jours !

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  22. Salvini prend un bain de foule près de Naples (vidéo)


    11:54 20.01.2019


    Le vice-Premier ministre italien a été salué par ses soutiens lors de son arrivée dans la ville d’Afragola, près de Naples. Une vidéo montre de nombreux habitants de la ville embrassant Matteo Salvini et prenant des selfies avec lui.

    Matteo Salvini, vice-Premier ministre et ministre italien de l'Intérieur, semble bénéficier d'un large soutien de ses compatriotes. Arrivé le 18 janvier dans la ville d'Afragola, située près de Naples, pour discuter avec les autorités locales de l'augmentation de la criminalité, il a été salué avec chaleur par de nombreux habitants.

    Une vidéo publiée sur Twitter montre l'homme politique traversant la foule de ses soutiens scandant «Salvini le Grand !». Certains ont réussi à l'embrasser tandis que d'autres ont pris des selfies avec lui.

    Le secrétaire fédéral de la Ligue, Matteo Salvini, occupe les postes de ministre de l'Intérieur ainsi que de vice-président du Conseil dans le gouvernement de Giuseppe Conte. Celui-ci a été formé après les élections de mars dernier, remportées par la coalition de centre-droit réunissant Forza Italia, le parti de l'ancien président du Conseil Silvio Berlusconi, la Ligue de Matteo Salvini et le petit parti Fratelli d'Italia (Frères d'Italie).

    https://fr.sputniknews.com/international/201901201039704880-salvini-bain-de-foule-afagola-naples/

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  23. LA TAXE FRANÇAISE SUR LES GRANDES ENTREPRISES DU NUMÉRIQUE PRÉSENTÉE FIN FÉVRIER


    par OLIVIER SANCERRE
    20/01/2019

    La taxe GAFA française devrait générer 500 millions d?euros de recettes fiscales.


    La France va mettre en place sa propre « taxe GAFA », du nom de ces grandes entreprises du numérique qui, à l’instar de Google, d’Apple, de Facebook ou encore d’Amazon savent mieux que quiconque tirer les ficelles de l’optimisation fiscale pour éviter de payer trop d’impôts.

    Au sein de l’Union européenne, le débat fait rage pour mettre en place une telle taxe. Si les discussions sur la proposition franco-allemande (une taxation des revenus de la publicité en ligne) doivent aboutir fin mars, plusieurs pays se font tirer l’oreille. En particulier les États où se trouvent les sièges sociaux de ces entreprises, dont l’Irlande ou encore le Luxembourg. Sans attendre le résultat de ces négociations, la France veut mettre en œuvre sa propre taxe. Dans un entretien au Journal du Dimanche, Bruno Le Maire en trace les grandes lignes.

    Conditions à remplir

    Il s’agit de taxer les entreprises qui réalisent « un chiffre d'affaires supérieur à 750 millions d'euros au niveau mondial et 25 millions d'euros en France ». Ces deux critères doivent être réunis, sinon il n’y aura pas d’imposition supplémentaire. La taxe en elle même sera « modulé en fonction du chiffre d'affaires avec un maximum de 5 % ». Le ministre de l’Économie veut en tirer 500 millions d’euros de recettes fiscales, une manne qui financera en partie les mesures sociales annoncées par Emmanuel Macron pour satisfaire les revendications des « gilets jaunes ».

    Présentation le mois prochain

    Bruno Le Maire présentera le texte fin février en conseil des ministres. Puis, le projet de loi sera soumis « rapidement » au vote du Parlement. Le gouvernement prévoit une mise en place rétroactive du texte, puisque la taxe s’appliquera à compter du 1er janvier 2019. Pour l’hôte de Bercy, il s’agit d’une question de « justice et d’efficacité » pour ce qui est présenté comme un enjeu « majeur » du XXIe siècle.

    http://www.economiematin.fr/news-taxe-francaise-grandes-entreprises-numerique-fevrier

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    Réponses
    1. (...) Il s’agit de taxer les entreprises qui réalisent « un chiffre d'affaires supérieur à 750 millions d'euros au niveau mondial et 25 millions d'euros en France ». (...)

      Cà, c'est la pure idiotie de l'incompétence des fonctionnaires ! A savoir qu'une personne qui gagne peu dépensera peu et n'embauchera personne ! Tandis que les personnes qui gagnent beaucoup dépensent beaucoup ! Qu'importe ce que le riche achète (avion, bateau, maison, tableau, etc), le principal est qu'il dépense. C'est-à-dire que l'argent est remis immédiatement dans le circuit.

      Tandis que lorsque c'est l'État qui prend, il ne crée pas d'emploi et ne fait que détruire cette valeur dont il n'a que foutre !

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  24. LES «LIVESTREAMS», LES SENIORS CHINOIS EN SONT FOUS

    Encore relativement peu surveillée par les autorités, la diffusion en direct est en plein boom. Une armée de seniors partagent leurs talents via leurs smartphones dernier cri.

    En Chine, où les personnes âgées aiment se regrouper sur les places publiques pour danser ou chanter, une armée de seniors diffusent leurs performances en direct via leurs smartphones dernier cri.


    20.01.2019, 11h57

    Internet n'est pas réservé qu'aux jeunes. En Chine, où les personnes âgées aiment se regrouper sur les places publiques pour danser ou chanter, une armée de seniors diffusent leurs performances en direct via leurs smartphones dernier cri.

    Parmi eux: Wang Jinxiang, 62 ans, qui aime pousser la chansonnette et compte 23 000 abonnés sur la populaire application chinoise Quan Min Karaoké («Le karaoké pour tous»).

    Bravant le froid hivernal de la capitale chinoise, elle entame son spectacle devant la silhouette de béton et d'acier du Nid d'oiseau, le célèbre stade olympique des JO d'été de Pékin en 2008.

    «Quelle chanson vous ferait plaisir?», demande-t-elle à ses abonnés au début de sa retransmission qui durera une heure.

    Sa passion pour la diffusion en direct (le «livestreaming») a commencé il y a deux ans, lorsqu'un professeur de son neveu lui a fait découvrir l'application. Elle a été immédiatement séduite.

    «Mais quand j'ai commencé, j'ai été confrontée à pas mal de problèmes. Je ne maîtrisais pas vraiment toutes les fonctions techniques du smartphone», raconte-t-elle à l'AFP. Wang Jinxiang dit avoir ainsi trouvé un moyen de s'exprimer et passe désormais deux heures quotidiennes devant la caméra de son téléphone à chanter ou à faire des «défilés de mode».

    Ses abonnés peuvent lui envoyer des cadeaux virtuels qu'elle peut ensuite convertir en argent; la Chine compte de nombreuses et populaires applications de paiement et de réseaux sociaux qui permettent d'échanger des fonds.

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  25. Stars improbables

    «Quan Min Karaoké permet aux personnes âgées de faire de l'exercice chez elles, d'améliorer leur chant et de se montrer», explique Mme Wang. «Je pense constamment à ce que je pourrais faire de nouveau le lendemain pour attirer et divertir mon public.» Les contenus sur internet (vidéos, photos, textes) sont scrutés voire effacés en Chine par une armée de censeurs au service du gouvernement. Mais cela n'a pas empêché l'émergence de nombreux blogueurs.

    Et la diffusion en direct, encore relativement peu surveillée par les autorités, est en plein boom. Le cabinet Deloitte estime que le secteur a généré 4,4 milliards de dollars (3,9 milliards d'euros) de revenus dans le pays en 2018 (soit +32% sur un an).

    Ces plateformes permettent aux gens de partager leurs techniques sportives ou culinaires, leurs conseils de beauté, leurs opinions ou encore leurs talents d'acteurs. Le livestreaming permet même l'émergence d'improbables célébrités. Comme l'an passé, lorsqu'un producteur de maïs d'un petit village chinois isolé est devenu une star de l'internet en diffusant sa vie quotidienne.

    Alors que la population chinoise vieillit rapidement – en 2050, un habitant sur trois sera âgé de 60 ans ou plus, soit 487 millions de personnes, selon l'agence de presse officielle Chine nouvelle –, internet devient une sorte de fontaine de jouvence pour des seniors qui veulent immortaliser leurs talents.

    «C'est honteux»

    Mais si les plateformes de diffusion en direct servent de passe-temps agréable pour beaucoup de seniors, elles sont également des défouloirs pour certaines personnes malintentionnées, avertit Wang Kelan.

    Cette dame de 72 ans originaire d'une petite ville de la province du Shanxi (nord) se filme régulièrement en train de chanter et danser. Et elle se fait souvent insulter par des internautes moqueurs.

    «Ces gens écrivent que c'est honteux de faire de la diffusion en direct à mon âge. La société traite mal ses personnes âgées de nos jours», peste-t-elle.

    «Tout le monde dit que les jeunes ne peuvent pas vivre sans internet. Eh bien, c'est la même chose pour l'ancienne génération. Je vis certainement une vie plus heureuse et enrichissante que ceux qui me critiquent.»

    Internet a en tout cas permis d'élargir l'horizon de Wang Jinxiang, la chanteuse postée devant le Nid d'oiseau de Pékin: en 2019, elle devrait chanter devant un public en chair et en os dans un studio de télévision à Pékin.

    «Depuis toute jeune, j'aime chanter, danser, bouger. Profiter de la vie et faire ce qu'on veut, pour moi c'est la meilleure façon d'être heureux et de tirer parti du temps qu'il nous reste à vivre.» (AFP/Le Matin)

    https://www.lematin.ch/high-tech/livestreams-seniors-chinois-fous/story/25398420

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  26. La maire de Montauban, sévérement burnée, face à Macron : « Il faut arrêter l'immigration massive. Les clandestins sont mieux traités que les Français. Il n'y a pas d'ONG pour les Gilets Jaunes »

    Koba
    Fdesouche
    sam., 19 jan. 2019 15:23 UTC


    Dans une prise de parole controversée, l'élue LR a opposé les droits des « gilets jaunes » à ceux des réfugiés.

    (...) L'élue s'est illustrée avec une intervention musclée et anti-immigration, déplorant que les « gilets jaunes », eux, « n'aient pas d'ONG pour les défendre ».

    L'ancienne députée UMP du Tarn-et-Garonne a développé : « dans la ville de Montauban [...] nous avons plus ou moins répertorié au moins 70 fichés S. Ce sont des sujets qui ne sont peut-être pas dans votre réalité mais qui sont préoccupants. Il y a un an, un événement tragique a secoué la ville : il s'agissait d'une grand-mère de 80 ans qui s'est faite agresser à son domicile. Et pardonnez-moi si je suis triviale, elle s'est faite sodomiser par un Algérien qui était en situation irrégulière, sous le coup d'une reconduite à la frontière et qui n'a jamais été reconduit à la frontière ».

    - voir clip sur site -

    Sous les huées de certains moutons bêlants autres maires, elle s'est défendue : « Je suis là pour parler de personnes en souffrance. Il n'y a pas d'ONG pour les 'gilets jaunes', pourtant ils le mériteraient parfois ».

    « Le politiquement correct a fait beaucoup de mal à ce pays » , a-t-elle conclu face à Emmanuel Macron.

    https://fr.sott.net/article/33368-La-maire-de-Montauban-severement-burnee-face-a-Macron-Il-faut-arreter-l-immigration-massive-Les-clandestins-sont-mieux-traites-que-les-Francais-Il-n-y-a-pas-d-ONG-pour-les-Gilets-Jaunes

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  27. Gilets jaunes: des manifestants enfoncent le portail du commissariat à Avignon (vidéo)


    14:02 20.01.2019


    Ce samedi, lors de la mobilisation des Gilets jaunes, des faits de violences ont été recensés à Avignon, où le commissariat de police et l’Hôtel de ville ont été attaqué par des casseurs. Des images témoignant de ces incidents ont été diffusées sur les réseaux sociaux.

    L'Hôtel de police d'Avignon, dans le Vaucluse, a été pris pour cible par des dizaines de casseurs ce samedi, en marge de l'acte 10 des Gilets jaunes.

    Vers 15h30, des dizaines d'individus ont forcé sur le portail de l'Hôtel de police d'Avignon, situé au 14 boulevard Saint-Roch, jusqu'à le faire céder. Celui du commissariat a été forcé et dégradé.

    Comme l'indique Actu 17, certains des casseurs ont pénétré dans l'enceinte du commissariat mais ont été repoussés par les policiers.

    Plus tard dans la journée à Avignon, d'autres ont notamment tenté d'incendier la porte d'accès à l'Hôtel de ville, situé place de l'Horloge. Les forces de l'ordre sont, là, rapidement intervenues.

    https://fr.sputniknews.com/france/201901201039705897-gilets-jaunes-avignon-commissariat-police-attaque/

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  28. Acte 10 des Gilets jaunes: Laurent Nuñez évoque «300 interpellations en France»


    15:30 20.01.2019


    Il y a eu près de 300 interpellations lors de la mobilisation des Gilets jaunes du 19 janvier, a déclaré dimanche, sur BFM TV, le secrétaire d’État auprès du ministre de l’Intérieur. Selon lui, «les policiers ont modifié leur façon de travailler».

    Laurent Nuñez, secrétaire d'État auprès du ministre de l'Intérieur, a annoncé dimanche sur le plateau de BFM TV les chiffres officiels des interpellations en France lors de l'acte 10 des manifestations des Gilets jaunes.

    «Il y a beaucoup d'interpellations. Une journée comme hier, il y a eu près de 300 interpellations ce qui est, bien évidemment, énorme mais qui correspond bien à la violence d'un certain nombre d'individus sur ces manifestations», a-t-il précisé.

    En soulignant que «les policiers ont modifié leur façon de travailler et se sont adaptés finalement aux manifestants qui deviennent des casseurs», il a indiqué que le nombre d'interpellations pour des infractions commises le 19 janvier peut augmenter.

    «Il y a le travail judiciaire qui est mené après [les manifestations, ndlr] pendant parfois plusieurs semaines mais qui porte ses fruits. C'est un message fort que je veux faire passer aux manifestants casseurs: il n'y a pas d'impunité», a-t-il résumé.

    Pour le dixième samedi consécutif, les Gilets jaunes sont descendus dans les rues un peu partout en France, dans un contexte de tensions toujours vives, deux mois après le premier rassemblement du mouvement. Selon le dernier bilan de l'Intérieur français, 84.000 manifestants ont pris part à travers toute la France à la 10e édition de la mobilisation nationale.

    https://fr.sputniknews.com/france/201901201039707255-acte-10-gilets-jaunes-laurent-nunez-interpellations/

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    1. Ce sont des infiltrés (de la police ?) qui seront donc relâchés discrètement.

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  29. «Un toit pour Griveaux !» Une cagnotte pour le porte-parole du gouvernement récolte 20 EUR


    15:33 20.01.2019


    Après que le porte-parole du gouvernement français a confié que son salaire mensuel de 7.900 euros n’était pas suffisant pour acheter un appartement à Paris, quelques cagnottes en ligne ont été lancées sur la plateforme Leetchi. Celle qui a connu le plus de succès n’a récolté qu’une somme assez modeste.

    «Pour que Benjamin Griveaux soit enfin propriétaire», «Pour permettre à Benjamin Griveaux de s'acheter un duplex de 300 m²», «Cagnotte pour aider Benjamin Griveaux à se payer un appartement à Paris»… Après une cagnotte ouverte pour les policiers blessés lors des manifestations et celle en soutien au boxeur Dettinger, quelques cagnottes en ligne, évidemment ironiques, ont été lancées à la suite des propos de Benjamin Griveaux, pour l'aider à acheter un appartement à Paris.

    «Nous avons le devoir de nous mobiliser pour soutenir notre secrétaire d'État. Un toit pour Griveaux !»
    L'une d'entre elles, la plus consultée, intitulée «Un toit pour Griveaux», n'a pourtant récolté dimanche après-midi que 20,35 euros (41 participations).

    Le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux a avoué vendredi, dans une interview accordée à Brut, que son salaire mensuel de 7.900 euros nets n'était pas suffisant pour acheter une voiture ou un appartement à Paris… mais qu'il tenait bon et ne se plaignait pas.

    Dimanche matin, il est revenu sur ses propos sur Europe 1: «Je gagne très bien ma vie et je ne me plaindrais jamais, que les choses soient bien claires». Le porte-parole du gouvernement explique qu'il voulait par cette déclaration initiale mettre en avant les prix de l'immobilier à Paris.

    https://fr.sputniknews.com/france/201901201039707368-griveaux-salaire-cagnotte/

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  30. La carte Smithsonian montre que l'armée américaine opère dans plus de 40% des pays du monde


    par Tyler Durden
    Dim, 01/20/2019 - 07:35


    Le Smithsonian Magazine a publié ce mois-ci une carte stupéfiante détaillant l'étendue de la "guerre contre le terrorisme" d'après le 11 septembre, démontrant que, contrairement à l'hypothèse courante selon laquelle elle "disparaîtrait" plus de 17 ans plus tard, elle continue en fait de croître et s'est maintenant étendu à plus de 40% des pays du monde.

    Cela comprend le personnel militaire et de soutien américain engagé dans des missions en cours dans 80 pays sur six continents, selon le projet de la Brown University au Watson Institute pour les affaires publiques et internationales, qui a récemment calculé que depuis 2001, les États-Unis ont dépensé 5 900 000 000 000 de dollars (5 mille 900 milliards) en guerre, principalement dans des pays tels que l’Afghanistan, l’Iraq, la Syrie, le Pakistan et le Yémen - où les opérations militaires américaines sont devenues plus ou moins permanentes, sans qu’il soit envisagé de les arrêter en aucune circonstance.

    - voir carte sur site -

    Selon Smithsonian.com, les créateurs de cartes pour The Smithsonian ont rassemblé des informations provenant de sources gouvernementales étrangères, des rapports publiés et non publiés, des sites web militaires et des bases de données géographiques, ainsi que des ambassades étrangères et des interviews de journalistes et d'universitaires.

    Et les auteurs de l’étude indiquent même qu’ils étaient «conservateurs» dans leur nombre concernant le personnel militaire américain et le département d’État engagé dans la «guerre terroriste» à travers le monde à partir de 2019.

    La carte montre ce qui suit:

    Nous avons constaté que, contrairement à ce que la plupart des Américains pensent, la guerre contre le terrorisme n’est pas en train de s’achever, elle s’est étendue à plus de 40% des pays du monde. La guerre ne concerne pas uniquement l'armée, qui a dépensé 1 900 milliards de dollars pour lutter contre le terrorisme depuis 2001. Le département d'État a dépensé 127 milliards de dollars au cours des 17 dernières années pour former des agents de la police, de l'armée et des patrouilleurs des frontières dans de nombreux pays et pour lutter contre le terrorisme. programmes d'éducation, entre autres activités.

    Les auteurs ont également noté que les opérations américaines de contre-terrorisme à l'étranger "sont probablement plus étendues que ce que cette carte montre", d'autant plus que cette information est simplement basée sur des informations non classifiées.

    Le moment choisi pour la publication de la carte ce mois-ci est intéressant, étant donné le discours du "Force For Good" prononcé le 10 janvier au Caire par le secrétaire d'Etat américain Mike Pompeo, dans lequel il a salué l'armée américaine comme une force "libératrice" et progressive pour le bien du moyen-orient: "Pour ceux qui s'inquiètent de l'utilisation de la puissance américaine, rappelez-vous ceci: l'Amérique a toujours été et sera toujours une force libératrice, pas une puissance occupante. Nous n'avons jamais rêvé d'une domination au moyen-orient", a-t-il déclaré.

    - voir carte sur site -

    Les États-Unis ont plus de 800 bases militaires officielles dans 80 pays, "un nombre qui pourrait dépasser 1 000 si l'on compte les troupes stationnées dans les ambassades et les missions et les soi-disant bases" d'étangs de nénuphars ", avec quelque 138 000 soldats stationnés dans le monde entier", a étudier dans la nation l'an dernier trouvé. Via le Vagabond américain

    Pompeo a affirmé que les États-Unis n'avaient jamais été "un constructeur d'empire ou un oppresseur", et a noté à un moment donné que "lorsque la mission est terminée, lorsque le travail est terminé, l'Amérique quitte".

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  31. Mais sur la base de la carte ci-dessus, la machine militaire américaine, désormais mondiale, ne semble pas s’être retirée de sitôt, mais elle ne fera probablement que poursuivre son modèle d’expansion, d’autant plus que l’AFRICOM, relativement jeune, découvre de nouveaux conflits sur le continent africain après la Conférence de 2011. La guerre de l'OTAN éliminera le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi.

    Pendant ce temps...

    https://www.zerohedge.com/news/2019-01-19/smithsonian-map-shows-us-military-operating-over-40-worlds-countries

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  32. Les centrales nucléaires de nouvelle génération d'europe décalées sur la ligne de départ


    par Tyler Durden
    Dim, 01/20/2019 - 08:10
    Écrit par Henry Edwardes-Evans sur le blog "The Barrel" de Platts,


    Des années plus tard que prévu et massivement dépassant les budgets, les premières centrales nucléaires nucléaires européennes en Finlande et en France sont sur le point de «dynamiser», comme le dit le jargon du secteur.

    À moins de problèmes de dernière minute, ce sera le dernier acte de ce qui doit être la plus longue saga de construction de la région.

    Le vote de la Finlande en 1993 sur le rejet d’un projet de cinquième réacteur a été l’un des premiers articles que j’ai couvert en tant que stagiaire.

    Les lecteurs de Power en Europe étaient déjà ennuyés par tous les échanges sur le sujet lorsque, en 2002, le gouvernement a changé d’avis et que le projet a été salué.

    Six ans se sont écoulés avant le début de la construction du réacteur à eau sous pression de nouvelle génération.

    Maintenant, avec dix ans de retard et deux fois et demi de dépassement sur le budget, l’EPR Olkiluoto-3 de TVO devrait débuter en 2019 avant d’être pleinement opérationnel en 2020.

    Avec seulement un retard de huit ans et un budget de 10,5 milliards d’euros, l’EPR Flamanville 3 d’EDF en Normandie, dans le nord de la France, devrait également fournir sa première alimentation à l’été 2019.

    Même une fois terminé, un nuage plane sur ce projet en raison d '«anomalies» trouvées dans le fond de la cuve sous pression du réacteur, qui pourrait nécessiter un remplacement dans quelques années à peine. Pas un bon début pour une vie opérationnelle de 60 ans.

    Pour la Finlande, la mise en service de l’O-3 contribuera dans une large mesure à effacer le déficit pluriannuel de l’approvisionnement en électricité du pays, libérant ainsi les ressources hydroélectriques norvégiennes et suédoises. Pour la France, le contrôle opérationnel sera intense alors qu'EDF cherche à prouver la conception et à construire le dossier de nouvelles unités.

    Quoique tardifs, ces mastodontes constitueront un ajout bienvenu aux marchés volatils de l’énergie en Europe.

    Pour l’année écoulée, plus de 15 GW de centrales thermiques classiques ont été fermés en Europe, contre 3 GW supplémentaires. Entre temps, 24 GW d’énergie éolienne et solaire ont été installés.

    Les fermetures massives de filets ces dernières années signifient que l'Italie, la Finlande, la Hongrie et la Lituanie entrent en 2019 en fonction de leurs importations.

    Dans des conditions hivernales rigoureuses, l'Autriche, la Belgique, la Slovaquie et la Slovénie sont également dépendants.

    Ceci est en avance sur toute une série d'actions de transition énergétique plus déterminées par les gouvernements européens, éliminant progressivement de gros morceaux de charbon et de centrales nucléaires du début au milieu des années 2020.

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  33. Platts Analytics prévoit des fermetures nettes de charbon et nucléaires de 65 GW au cours des sept prochaines années, soit près du double du nombre de fermetures enregistrées au cours des sept dernières années.

    Les fermetures de charbon sont de premier plan au cours de la période, avec de lourdes pertes en Allemagne, au Royaume-Uni et en Espagne avant la fin 2020, devant les éliminations totales en France (2022), au Royaume-Uni (2025) et aux Pays-Bas (2030).

    Les réductions nucléaires commencent à se concrétiser avec 10 GW de capacités allemandes fermées d'ici 2022, suivies par la suppression de 6 GW de capacités belges d'ici 2025 et par la perte de 4,3 GW au Royaume-Uni entre 2024-2026.

    Il vaut donc mieux tard que jamais pour ces EPR. Pendant ce temps, EDF gardera tout en traversé pour que Hinkley Point C offre moins de drames alors qu’il se lance dans sa propre construction. Espérons que certains reporters n’écrivent pas encore à ce sujet en 2029. . .

    https://www.zerohedge.com/news/2019-01-19/europes-new-generation-nuclear-plants-stagger-over-start-line

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    1. Une centrale nucléaire ne se construit pas en un jour ni ne se remet en service dans ce temps !
      La France comme l'Europe va connaître de longs jours sans électricité car, il ne peut y en avoir pour tout le monde !

      Pas d'électricité = pas de chaudière à gaz, mazout ou électrique ! Pas de chauffage = mort !

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  34. L'Agenda 2030, "l'urgence climatique" et la gouvernance mondiale

    samedi 19 janvier 2019

    http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2019/01/lagenda-2030-lurgence-climatique-et-la.html

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  35. Quand Donald Trump désire «un peu de ce bon vieux réchauffement climatique»


    18:53 20.01.2019


    À cause des froids extrêmes et de fortes chutes de neige, Donald Trump a appelé les Américains à ne pas quitter leurs habitations et a souhaité qu'«un peu» de réchauffement climatique améliore le climat dans le pays.

    Préoccupé par la mauvaise météo qui est observée dans plusieurs États américains, Donald Trump s'est adressé à la nation via Twitter ce dimanche.

    «Soyez prudents et essayez de rester chez vous. Une grande partie du pays souffre d'énormes quantités de neige et d'un froid quasi record», a écrit le Président.

    Et comme pour réaffirmer sa position sur le sujet climatique, il a supposé ce qui pourrait aider le pays dans cette situation.

    «Cela ne serait pas mal d'avoir un peu de ce bon vieux réchauffement climatique à l'heure actuelle!», a-t-il ajouté.

    Rappelons que fin novembre lorsque les pronostics météorologiques sur le vague de froid actuelle avaient été annoncés, le Président s'était demandé via Twitter si quelque chose «est arrivé au réchauffement global?».

    En juin 2017, le Président Trump a annoncé le retrait des États-Unis de l'accord de Paris sur le climat. Sous l'administration de Barack Obama, les États-Unis se sont fixés pour objectif de réduire de 26% à 28% leurs émissions de gaz à effet de serre à l'horizon 2025 par rapport à 2005.

    Après l'annonce de Donald Trump, des entreprises, des villes et des États américains se sont engagés à honorer les engagements pris dans la capitale française.

    https://fr.sputniknews.com/international/201901201039709254-donald-trump-rechauffement-climatique/

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  36. L'ESCROQUERIE SANS FRONTIERE:

    SUISSE TEST DE STOCKAGE DU GAZ CARBONIQUE DANS LE SOL DU JURA

    Un projet de recherche mené par l'EPFZ a été lancé au laboratoire du Mont Terri afin d'étudier les possibilités de stockage souterrain du gaz carbonique.

    Le stockage de gaz carbonique dans le sol est une possibilité pour réduire les 12 tonnes que produit la Suisse en moyenne chaque année.

    17.01.2019


    Le Suisse moyen produit chaque année 12 tonnes de gaz à effet de serre, la plupart du temps sous forme de gaz carbonique. Un projet de recherche dirigé par l'EPFZ a été lancé au laboratoire du Mont-Terri (JU) afin d'étudier les possibilités de stockage du gaz carbonique dans le sous-sol.

    Chaque année en Suisse, 50 millions de tonnes de gaz à effet de serre sont émises, soit 5,8 tonnes par personne. Si l'on tient compte des émissions liées aux biens ou prestations importés, on arrive à 12 tonnes par habitant.

    Les derniers scénarios climatiques indiquent que les températures, si les émissions restent constantes, s’élèveront d’ici 2050 de 4,1 degrés en été et de 7,2 degrés en hiver, avec de graves conséquences pour la Suisse.

    Conjointement à la promotion des énergies renouvelables et aux économies d’énergie, le stockage de gaz carbonique dans le sol est une possibilité pour réduire les émissions, ont indiqué jeudi les responsables du projet devant la presse à St-Ursanne (JU).

    Le gaz carbonique serait ainsi ramené là d’où il provient initialement, à une profondeur comprise entre un et cinq kilomètres. Les impacts négatifs sur le climat seraient donc partiellement compensés, mais uniquement à condition que le gaz carbonique reste en place et ne puisse pas s’échapper. Le but est qu'il demeure piégé pour des millénaires par un processus de minéralisation.

    Dissous dans de l'eau salée

    Dans le laboratoire souterrain du Mont-Terri, exploité par Swisstopo, un projet de recherches dirigé par l’Ecole polytechnique fédérale de Zurich (EPFZ) étudie à petite échelle comment des formations rocheuses présentant des zones de failles retiennent le gaz carbonique.

    L'EPFL ainsi que le Service sismologique suisse participent à ces travaux. Il s'agit en effet également d'examiner dans quelles conditions des séismes pourraient être induits par ces processus et de déterminer comment l'on peut surveiller un tel stockage.

    Pour cela, on injecte quelques décilitres de gaz carbonique dissous dans de l’eau salée dans un forage qui traverse directement une zone faillée importante. Parallèlement, des forages de surveillance sont mis en place pour pouvoir observer les processus dans le rocher.

    Système d'observation

    Le système d’observation distribué dans six forages autour du trou d’injection combine différentes techniques. Il comprend des capteurs sismiques actifs et passifs qui enregistrent les différentes vitesses de propagation des ondes générées par les injections et d’éventuels microséismes qui en résultent.

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  37. S’y ajoutent des capteurs de déformation qui enregistrent des décalages micrométriques lors de l’activation d’une zone perturbée. Des capteurs électriques de conductivité et d'acidité enregistreront l’arrivée du fluide dans les forages d’observation et montreront comment il se répartit et à quelle vitesse il migre.

    Enfin, des échantillons de roches seront prélevés avant et après chaque expérience. Ils seront soumis à des examens pour déterminer l’ampleur de la modification géomécanique de la zone perturbée. Des échantillons du fluide seront également analysés.

    Zones perturbées

    Les résultats devraient aider à mieux comprendre les processus qui contribuent à d'éventuelles fuites de gaz carbonique à travers des zones perturbées. Cette expérience livrera ainsi une contribution à une meilleure caractérisation des sites intéressants pour un tel stockage, selon ses responsables.

    Des chercheurs dans six domaines, faisant tous partie du Swiss Competence Center for Energy Research - Supply of Electricity, mènent conjointement cette expérience. Elle fait partie du projet de recherches «Elegancy», financé par la Commission européenne et l’Office fédéral de l’énergie, auquel collaborent des scientifiques de Suisse, de Norvège, des Pays-Bas et du Royaume-Uni.

    Il existe dans le monde quelques projets de ce type qui permettent de stocker dans le sol environ trois millions de tonnes de gaz carbonique par année. Rien de tel n'est prévu pour l'instant en Suisse, mais «en théorie, la Suisse a le potentiel de stocker plusieurs gigatonnes de gaz carbonique dans son sous-sol», estime Stefan Wiemer, professeur à l'EPFZ et responsable du projet.

    Le Laboratoire souterrain du Mont Terri, créé en 1996, est dirigé par la Confédération (Swisstopo) qui y mène des expériences sur les argiles à Opalinus. Les données récoltées sur cette roche à très faible perméabilité servent notamment à étudier la faisabilité d'un futur stockage de déchets radioactifs en Suisse. Il s'agit d'un site de recherche uniquement. (ats/nxp)

    https://www.lematin.ch/sante/test-stockage-co2-sol-jura/story/13079694

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    1. Le 'gaz a effet de serre' N'EXISTE PAS !
      Le gaz carbonique est à l'état de trace. Il ne représente de 0,04 % des gaz. L'atmosphère se compose de: 78 % d'azote, 21 % d'oxygène et 0,93 d'argon.

      Le gaz carbonique est le plus lourd de tous les gaz est se situe au niveau du sol. S'il était un poison, il n'existerait même pas des fourmis ou des vers de terre ! Mais, les 'journalistes' anti-scientifiques de ce site nazional socialiste n'ont même pas fait 1 heure d'étude !!!

      Ce qui compte pour eux est de prendre les Suisses pour des cons et de leur réclamer de l'argent !

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