Les Français doivent aller au bout de leur action et de leur réflexion, sans tabou, en demandant au Président de montrer les preuves justifiant la nécessité de cette transition énergétique menée à marche forcée.
Par Michel Gay.
19 JANVIER 2019
La facture de la transition énergétique va grimper en France dans les années à venir et il faudra bien la payer d’une façon ou d’une autre.
LA FACTURE VA GRIMPER…
Emmanuel Macron a annoncé le 27 novembre 2018 le triplement du nombre d’éoliennes, la multiplication par cinq de l’électricité photovoltaïque, et la volonté d’investir « 7 à 8 milliards d’euros » par an dans les énergies renouvelables.
Les Français ont évité de justesse la hausse de la taxe carbone sur les carburants, mais ils seront étranglés par d’autres factures qui vont grimper d’année en année…
Le surcoût de la contribution CSPE sur la facture d’électricité représente déjà 154 euros par an en moyenne pour chaque foyer français afin de financer principalement les producteurs d’électricité éolienne et photovoltaïque.
Une étude indépendante de l’association Sauvons le Climat estime que la réduction de la part du nucléaire de 75 % à 50 % dans le mix électrique français pourrait coûter jusqu’à 850 euros chaque année à chaque foyer français.
L’ensemble des taxes et impôts payées par le consommateur/contribuable par le biais de la fiscalité écologique atteint déjà 50 milliards d’euros par an.
Il y a la CSPE (Contribution au service public de l’électricité, le TURPE (Tarif d’utilisation des réseaux publics d’électricité) sur sa facture d’électricité, la TICPE sur les carburants, la TICGN sur le gaz, et d’autres…
Le renchérissement de l’électricité dégradera la compétitivité des entreprises françaises, alors que, grâce au nucléaire, c’était jusqu’à présent plutôt un point fort.
Ces dépenses considérables des Français n’auront même pas d’influence sur leurs émissions de gaz carbonique. Il faut cependant rappeler que le gaz carbonique n’est pas un polluant. C’est même une nourriture de la végétation, via la photosynthèse, avec l’eau et les minéraux qu’elle puise dans le sol. Sans gaz carbonique il n’y aurait plus de vie sur Terre.
De plus, pratiquement tous les équipements liés aux énergies renouvelables seront importés (notamment de Chine et d’Allemagne) car l’industrie française n’a pas su créer un secteur de fabrication d’éoliennes et a vu disparaître celui de la production de cellules photovoltaïques.
Alors, pourquoi ne pas conserver et renforcer le système actuel qui assure une fourniture d’électricité fiable et bon marché avec une faible émission de gaz à effet de serre en France ? L’électricité y est deux fois moins chère pour les particuliers, et sa production émet cinq fois moins de gaz carbonique par kilowattheure produit qu’en Allemagne
LES ÉTRANGES SCÉNARIOS DE RTE
Les cinq scénarios futuristes de RTE prévoient de substituer partiellement au nucléaire (dont la production est pilotable) des énergies renouvelables intermittentes, comme l’éolien et le photovoltaïque, dont la production est fatale suivant les conditions climatiques.
Étrangement, ces scénarios fournis par RTE ne garantissent pas que la production d’électricité sera suffisante à tout moment pour faire face à la demande. Il manquera même, par moment, une puissance de l’ordre de 20 gigawatts (20 réacteurs nucléaires) pour éviter l’effondrement général du réseau électrique (black-out), sans que cela ne paraisse choquer le patron de cette entreprise publique.
De plus, la Fondation pour la recherche sur les administrations et les politiques publiques (IFRAP) a souligné l’absence d’évaluation économique de ces scénarios dont les surcoûts seraient de 40 % à 80 % par rapport à la situation actuelle.
Chaque pays doit d´abord faire en sorte de satisfaire la demande par ses propres moyens et ne pas s’appuyer systématiquement sur les pays voisins qui peuvent faire défaut en cas de besoin.
OÙ EST L’URGENCE ?
L’Accord de Paris sur le climat signé lors de la COP21 en 2015 permet aux principaux émetteurs de gaz carbonique (Chine, Inde et pays émergents) de continuer à augmenter leurs émissions jusqu’en 2030, avec l’engagement non contraignant de commencer à les diminuer ensuite… peut-être.
La France ne pèse que 1 % des émissions de gaz carbonique dans le monde. Ses efforts seront insignifiants et complètement engloutis par cet accroissement.
L’urgence consisterait plutôt à assainir les comptes publics en arrêtant de dilapider des dizaines de milliards d’euros dans l’impasse des énergies renouvelables éoliennes et photovoltaïques. Cette politique vertueuse permettrait alors de financer une transition énergétique vers l’électricité nucléaire qui s’imposera face à l’inéluctable épuisement des ressources fossiles au cours de ce siècle (bien malin qui peut prédire quand).
UN DÉBAT NÉCESSAIRE SUR LE « CONSENSUS »
Cette théorie du réchauffement climatique qui a tant de succès (à tort ou à raison) a surtout permis jusqu’à aujourd’hui de mettre en place des circuits financiers lucratifs de subventions entre « copains et coquins » à un niveau record…
Ne voulant surtout pas endosser l’étiquette infamante de pollueurs, certains Français disent partager la nécessité de la transition énergétique.
Or, la politique de l’énergie du gouvernement, aujourd’hui définie par la loi scélérate de transition énergétique pour la croissance verte d’août 2015 (LTECV), les appauvrira.
Les Français doivent aller au bout de leur action et de leur réflexion, sans tabou, en demandant au Président de montrer les preuves justifiant la nécessité de cette transition énergétique menée à marche forcée vers les énergies renouvelables, notamment éoliennes et photovoltaïques, avec leur porte-monnaie !
Les députés peuvent proposer et voter une autre loi de transition écologique qui sera nécessaire pour se passer progressivement des énergies fossiles en leur substituant une énergie électrique décarbonée. Mais elle devrait être fondée non plus sur l’accroissement des énergies renouvelables, mais sur le développement de l’électricité nucléaire.
Ce ne serait pas la seule façon de restaurer la prospérité de notre économie et le pouvoir d’achat des Français, mais ce serait un bon début pour ne pas les paupériser.
Une énergie abondante, disponible, et bon marché est le fondement d’une activité économique dynamique.
Vous habitez dans un taudis de planches et de tôles ? Vous êtes imposable car il n'y a pas de double-vitrage ni de matériaux empêchant la chaleur d'entrer pour vous rôtir au réchauffement climatique !
RépondreSupprimerA savoir que TOUS les gaz se recyclent immédiatement depuis toujours et pour toujours et, que le gaz carbonique n'est PAS un poison !
http://www.populartechnology.net/2008/11/carbon-dioxide-co2-is-not-pollution.html
http://huemaurice5.blogspot.fr/2013/11/effet-de-serre-gaz-carbonique-et-oxyde.html
http://huemaurice5.blogspot.fr/2014/06/le-gazcarbonique-est-bon-changement.html
https://huemaurice5.blogspot.com/2018/06/biodiversite-biosphere-et-biomasse-cest.html
http://huemaurice5.blogspot.fr/2015/04/le-co2-nest-pas-un-poison.html
Biodiesel : une écologie d’intérêts particuliers ?
RépondreSupprimerPour protéger ses producteurs de colza, la France vote en douce la fin des avantages fiscaux sur le biodiesel à base d’huile de palme. Une victoire des lobbies contre le bon sens économique.
Par Guillaume Périgois.
18 JANVIER 2019
Chaque automne, l’Assemblée nationale examine le projet de loi de finances. Cet exercice est probablement le plus important de la législature car il détermine l’action du gouvernement pour l’année suivante via le vote des revenus et des dépenses de l’État. Alors, lorsqu’un sous-amendement touchant à la fois le diesel, le lobby agricole mais aussi Total et l’Asie du Sud-Est y est inséré à quatre heures du matin, on se doute qu’il y a là matière à creuser.
Ainsi, le mercredi 19 décembre 2018, en pleine nuit, l’Assemblée nationale vote la fin de l’avantage fiscal dont bénéficiait le biodiesel à base d’huile de palme. D’un trait de plume et sous la forme d’un sous-amendement, l’huile de palme est rayée de la catégorie des biodiesels. Un détail ? Pas vraiment : la France est le septième importateur mondial d’huile de palme et, dans notre pays, de 75 à 80 % de ce produit est consommé comme biodiesel.
L’ARBRE ET LA FORÊT
Cela signifie qu’à partir du 1er janvier 2020, l’huile de palme sera exclue de la minoration du taux de prélèvement supplémentaire de taxe générale sur les activités polluantes (TGAP) prévue pour les biodiesels. Concrètement, cela revient à augmenter son prix de 30 à 40 %, la rendant beaucoup plus chère que tous les autres biodiesels. À cause de ce surcoût prohibitif, ce que les quatorze mots de ce sous-amendement permettent est une disparition de facto des biodiesels à base d’huile de palme en France.
L’histoire pourrait s’arrêter là. Accusée de favoriser la déforestation en Indonésie et en Malaisie, la culture de l’huile de palme n’a en effet pas bonne presse.
Mais ce serait passer à côté d’un élément crucial : le développement des cultures de palmiers à huile n’est responsable que de moins de 0,5 % de la déforestation mondiale. De plus, comme le rappelle l’ONG Les Amis de la Terre, en France et depuis 2009, l’huile de palme doit déjà répondre à des critères de durabilité si elle veut être importée. En pratique, cela veut dire que le biodiesel à base d’huile de palme utilisé en France ne participe pas directement à la déforestation en Asie du Sud-Est.
Si ce n’est pas pour lutter contre la déforestation, quelle est la raison du passage de ce sous-amendement dans la loi de finances ? Répondre à cette question revient à se pencher sur les gagnants et les perdants de cet abrupt changement législatif et fiscal.
JAUNE CONTRE VERT
Les acteurs principaux de l’huile de colza et de l’huile de palme se livrent en France à une partie d’échecs. Il faut dire que le jeu en vaut la chandelle.
On estime que 84,6 % du biodiesel français est produit avec de l’huile de colza contre 10,2 % avec de l’huile de palme. Mais l’huile de colza se vend 17 % plus chère que l’huile de palme. De manière prévisible, la part de l’huile de palme a donc été multipliée par six dans le biodiesel français entre 2010 et 2014.
Côté huile de palme, les surfaces cultivées en palmiers à huile sont concentrées en Malaisie et en Indonésie qui fournissent 85 % de la production mondiale en 2018. Là-bas, 40 % de la culture est réalisée par de petits exploitants agricoles.
Les agriculteurs français, quant à eux, ne cultivent pas de palmiers à huile mais bien du colza. Beaucoup de colza, même : la France est ainsi le cinquième producteur de colza dans le monde.
RépondreSupprimerLa région Île-de-France n’est ainsi pas principalement connue pour son agriculture. Pourtant, les immenses champs dorés qu’un survol des Yvelines un beau jour d’avril permettrait d’apercevoir donnent une bonne idée de l’usage des terres agricoles dans ce département. Plus de 11 000 hectares y étaient affectés à la culture du colza en 2008, un record dans la région.
Contournant Mantes-la-Jolie et éloignée de Versailles, la neuvième circonscription électorale de ce même département des Yvelines est essentiellement rurale, dévouée aux céréales et au colza et est représentée à l’Assemblée nationale depuis 2017 par le député MoDem Bruno Millienne. Ancien journaliste sportif devenu président de l’Agence régionale pour la biodiversité d’Île-de-France, il est jusqu’en 2017 conseiller municipal de Jumeauville, petite commune agricole dont les champs sont notamment alloués aux colza.
Mais ce député est surtout l’auteur du sous-amendement dont il est question ici, celui rendant le principal concurrent de l’huile de colza plus cher que cette dernière.
Il faut dire que les cultivateurs français de colza sont particulièrement remuants. Tracteurs, bottes de paille et tas de fumier, tout l’attirail était de sortie en juin 2018 pour bloquer quatorze raffineries et dépôts de carburant. Le but de ce coup d’éclat ? Protester contre l’autorisation donnée à Total d’exploiter une agro-raffinerie à la Mède (Provence) dont la principale source de matière première serait de l’huile de palme et non de l’huile de colza. Le syndicat agricole le plus important estime que ce projet reviendrait à faire perdre aux cultivateurs de colza français entre 30 et 40 euros par tonne.
Face aux producteurs d’huile de palme étrangers situés loin, si loin en Asie, il faut croire que se sont ces agriculteurs-électeurs si mobilisés et aux intérêts économiques si précis qui ont été entendus par les députés. L’auteur du sous-amendement ne s’en cache d’ailleurs pas : « on donne la possibilité à nos agriculteurs d’avoir des revenus complémentaires » déclare Bruno Millienne, avant d’ajouter : « J’espère que les producteurs français prendront ce signal comme ils doivent le prendre : c’est effectivement une aide aux agriculteurs ».
Cela a le mérite d’être clair. Mais on est en droit de se poser la question : entre la libre concurrence et l’intérêt politique, quel est l’instrument le plus loyal ?
CONSÉQUENCES INTERNATIONALES
La réaction des pays producteurs d’huile de palme n’a pas tardé.
Le ministre de la Transition écologique et solidaire François de Rugy a ainsi reçu une lettre du ministre malaisien des Industries primaires Teresa Kok datée du 31 décembre 2018. Ce dernier ne mâche pas ses mots : cette interdiction de fait aurait un impact négatif « sur l’emploi de plus de 2 millions de personnes » en Malaisie. Et de commenter que cela « perturberait donc nécessairement les relations entre la France et la Malaisie et entre l’UE et la Malaisie. L’interdiction pourrait avoir des conséquences économiques et commerciales regrettables pour les exportateurs malaisiens d’huile de palme et les exportateurs français d’autres produits ».
En plus du fait que ce changement législatif s’est fait sans concertation avec les autres États européens, il faut souligner qu’il pourrait aussi représenter une atteinte aux règles de l’Organisation Mondiale du Commerce étant donné qu’aucun autre produit que l’huile de palme n’est concerné.
En tous les cas, le message est clair : que Paris poursuive l’exclusion du principal produit d’exportation malaisien, et Kuala Lumpur s’attaquera aux principaux produits d’importation français en Malaisie, au premier rang desquels on trouve ceux de notre industrie aérospatiale, elle aussi pourvoyeuse de très nombreux emplois en région.
Ce jeu de représailles protectionnistes équivalentes ne peut que pénaliser les consommateurs et les emplois des deux côtés du globe.
RépondreSupprimerRappelons que toute cette controverse part d’une intervention de l’État. C’est bien la réglementation qui impose aux carburants de contenir jusqu’à 7 % d’huile végétale, alors même que les biocarburants ainsi obtenus émettent plus de gaz à effet de serre que l’essence et le diesel.
Et si on laissait enfin les producteurs et consommateurs échanger en toute connaissance de cause, sans interdictions de fait, sans subsides et sans passe-droits ? Il est urgent de cesser de distordre le marché de l’énergie et de s’attaquer au problème de la déforestation en en traitant les racines et non d’utiliser cette juste cause pour tenter de légitimer des mesures protectionnistes imprudentes.
Dans l’intervalle, la meilleure voie à suivre est de mettre un terme à cette escalade protectionniste en n’interdisant pas des produits individuels comme l’huile de palme. L’alternative reviendrait à nuire aux exportations et aux travailleurs français, et de telles interventions protectionnistes rendent le monde moins libre et moins ouvert pour nous tous.
https://www.contrepoints.org/2019/01/18/334939-biodiesel-une-ecologie-dinterets-particuliers
Rappelons bien qu'AUCUN Député ou Sénateur qui vote les lois n'a suivi au moins une heure d'étude de Droit ou d'agriculture, nul n'est comptable ni ex chef d'entreprise. Seules leurs mensualités les font voter pour ou contre une loi qu'ils ont eux-mêmes proposé !!!!
SupprimerIl n'y a donc pas à questionner 50 millions de français sur le quoi qu'il ou elle en pense mais, en premier, appliquer la Démocratie et copier le système Suisse.
En Suisse se sont les Suisses qui dirigent. Ils proposent leurs propres lois et votent leurs propres lois.
Comment faire ? Vous allez en mairie et après vérification de l'identité vous inscrivez un projet de loi. (Par exemple: "Je ne veux plus que l'argent de mes impôts servent à payer des allocations aux immigrés".). Vous signez et votre pétition est affichée. Lorsque vous avez xxx signatures, votre projets et porté à référendum. C'est soit la commune, le Département ou la région concernée qui vote pour ou contre le projet n°...
C'est ainsi qu'en Suisse, nombreux par an sont les référendums où les citoyens Suisses votent en cochant des croix 'oui' ou 'non' sur une feuille où figurent par exemple une vingtaine de projets de lois.
C'est pourquoi en Suisse la bonne entente règne et, il n'y a jamais de grève ou de manifestation ! Non pas qu'elles soient interdites mais simplement que l'on manifeste sont accord ou désaccord autrement !
Question piège posée l'été dernier en Suisse : "Quel est le nom du ou de la chef(fe) d'État ?". Plus de 50 % des Suisses n'ont su répondre ! Faut dire que la cheffe ou chef d'État change chaque année (1er Janvier au 31 Décembre). Elle ou il n'a qu'un rôle de représentativité. Le rôle de décision appartient au Peuple Suisse.
Crédibilité de la crypto (et pourquoi l'or a un sens pour la Russie)
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Vendredi, 18/01/2019 - 23:25
Écrit par Alasdair Macleod via GoldMoney.com,
Lundi dernier, le Daily Telegraph titrait de manière frappante: «La Russie cherche à bitcoin pour atténuer les effets des sanctions américaines». L’impact immédiat sur le prix de Bitcoin a été minime, bien qu’il ait augmenté de 4,2% plus tard dans la journée, après que Zerohedge eut repris l’information.
La source du Telegraph semblait crédible. Vladislav Ginko est économiste à l'Académie présidentielle de l'économie nationale et de l'administration publique russe, qui constitue le terrain d'entraînement de l'élite politique et administrative russe, l'équivalent russe de l'École nationale d'Administration française. Le professeur Ginko semble être un fervent partisan du bitcoin. et sa technologie, et il semble bien connecté. Mais ce n'est pas une nouvelle histoire. Plus tôt ce mois-ci, il a tweeté ce qui suit:
- voir graphique sur site -
Cependant, le professeur Ginko ne devrait peut-être pas être pris trop au sérieux, étant soit un théoricien du complot, soit peut-être un farceur, comme le révèle le tweet plus récent suivant:
- voir graphique sur site -
Mettant de côté cette allégation bizarre, il nous a rappelé que le président Poutine avait manifesté son intérêt pour les technologies de crypto-monnaie et de blockchain. Ce qui manque dans les tweets du professeur Ginko, c’est qu’une des façons de déstabiliser le dollar serait d’encourager un nouveau marché haussier des crypto-monnaies, ce qui pourrait être la logique stratégique d’un mouvement russe. Comme le laisse entendre le professeur Ginko, le bitcoin est sur le point de prendre sa place aux côtés des monnaies occidentales dans les réserves de change de la Russie. En outre, l'idée selon laquelle la Russie envisage sérieusement d'ajouter 10 milliards de dollars de bitcoins aux réserves ne semble pas juste, car elle risquerait davantage de les accumuler tranquillement au lieu de se vanter d'une intention et de payer des prix plus élevés.
Ce n'est peut-être qu'une coïncidence, mais le marché baissier vif de Bitcoin a en grande partie coïncidé avec le redressement du dollar américain, qui a débuté un mois seulement après le sommet atteint en décembre 2017. Le dollar a récemment montré des signes d'entrée dans une nouvelle phase baissière. la corrélation suggère que le bitcoin pourrait commencer à se redresser, et avec d’autres crypto-monnaies crédibles, devenir une alternative au roi du fiat.
Les crypto-monnaies ont disparu de la plupart des écrans radar. Alors que l'attention du public s'est écartée ailleurs, il est clair que les professionnels travaillent encore sur des solutions pour identifier et contrôler les risques en période de calme du marché. Ce sont les conditions du marché génériques généralement identifiées avec la perspective d'une nouvelle phase haussière.
La purification criminelle continue
Pour le moment, il est peut-être trop tôt pour s'attendre à ce que les crypto-monnaies soient prêtes pour un réveil durable. L'extrême cupidité du marché haussier de 2017 a mis en lumière le début d'un probable marché baissier pluriannuel, voire la fin du phénomène. Au début de 2018, il existait plus d'un millier de crypto-monnaies, émises principalement par des satoshis. Aujourd'hui, on estime qu'il y en a plus de 1600.
Ces dernières années, les échanges et les autres fournisseurs de services ont été fermés suite à des accusations de fraude et de blanchiment d’argent. La liberté des frontières nationales et les lois qui les accompagnent ont sans aucun doute contribué à une activité criminelle réelle et imaginaire. Lundi cette semaine, SlowMist, une société de sécurité basée en Chine basée sur des chaînes de blockchain, a fait état de suspicion de blanchiment d’argent dans ethereum classic (ETC), dans son fil d'actualité reproduit ci-dessous:
RépondreSupprimer- voir graphique sur site -
Le réseau ETC est une opération anormale et suspecte de blanchiment d'argent 0735
Surveillé par la société chinoise SlowMist, spécialisée dans la sécurité des chaînes de blockchain, la chaîne publique ETC a enregistré de nombreuses récompenses pour les mineurs anormaux au petit matin du 14 janvier (UTC + 8). Une analyse plus approfondie a révélé que les récompenses anormales résultaient de l'adresse commençant par 0xb71ee622 et contenant environ 72 383 ETC. L'adresse payait des frais de transaction énormes pour un grand nombre de transactions, et le montant élevé des frais élevés était pris en compte par l'adresse du mineur commençant par 0x00473. Le mineur a transféré les recettes minières en temps réel, soupçonnées de blanchiment d’argent.
La semaine précédente, SlowMist avait eu raison d'une attaque en retour sur ETC. Les pirates informatiques déploient une attaque par restauration en réinitialisant les protocoles à un moment antérieur, afin de pouvoir modifier l’historique des transactions d’une chaîne de blocs afin de cloner la crypto-monnaie. SlowMist a identifié les échanges impliqués et tous ont désormais restitué l'ETC supplémentaire, comme indiqué dans le tweet suivant du mercredi 16 janvier:
Il est à noter que les détectives dans cette histoire sont basés en Chine, ce qui montre comment les marchés laissés à eux-mêmes conduisent à un comportement de coopération responsable, quelles que soient leur nationalité et leurs frontières nationales. Vous n’entendrez pas cela des gouvernements, pour qui cette main invisible des forces du marché est inexplicable et difficile à faire confiance.
Outre les retours en arrière, il existe d'autres catégories d'attaques contre lesquelles les fournisseurs de services doivent faire preuve de vigilance. Et même s’ils continuent, les développeurs et les fournisseurs de services ont de mieux en mieux à les reconnaître et à les prévenir. Il est clair que ce processus a encore du chemin à faire, mais il semble que la communauté de la crypto-monnaie commence à se réguler efficacement.
En conséquence, il est probable que la confiance des institutions dans la technologie de crypto-monnaie et dans les crypto-monnaies elles-mêmes augmente. Nous pouvons donc nous attendre à de nouvelles tentatives d’incorporation des crypto-monnaies dans des véhicules d’investissement réglementés. Les régulateurs de pression auront de plus en plus de difficultés à résister, de sorte que les institutions qui investissent puissent investir.
Définir les crypto-monnaies et leur rôle en tant que devise
La question de savoir si les crypto-monnaies sont une forme de monnaie fait l’objet d’un débat constant, il est donc important de les replacer dans leur contexte financier et d’établir leur fonction.
La monnaie et la monnaie qui la représente sont des moyens de paiement qui permettent aux entreprises et aux particuliers de transformer leur production en biens et services dont ils ont besoin et qu'ils désirent. Une monnaie ou une forme de monnaie commune doit être acceptée par toutes les personnes avec lesquelles la personne est susceptible de traiter directement et indirectement. Sa valeur doit être stable, de sorte que les décisions sur les prix payés et reçus se limitent aux modifications du côté des biens et des services d’une transaction. En d'autres termes, la monnaie doit avoir une valeur objective commune qui reste incontestable entre les parties à la transaction, de sorte que tout le reste d'un prix soit subjectif.
RépondreSupprimerLe choix de la monnaie dépend des personnes en transaction, qu’il s’agisse de crypto ou de fiat. Les monnaies Fiat sont acceptées par nous dans nos juridictions respectives parce que nos gouvernements nous en ordonnent l’utilisation. Nous nous conformons à la commodité offerte par la monnaie d'un État, mais en définitive, la décision de l'utiliser et la valeur d'échange que nous lui attribuons constituent un choix collectif. Les crypto-monnaies partagent ce statut théorique en tant que monnaies fiduciaires, sauf qu'elles ne bénéficient pas de l'appui du gouvernement et ne sont normalement pas utilisées pour régler des transactions de biens et de services. C’est sur ces deux points que beaucoup rejettent le statut des crypto-monnaies en tant que représentation de la monnaie, en plus d’être trop volatile pour avoir cette importante valeur objective. Mais avant de le rejeter pour ces motifs, il convient de noter qu’il peut y avoir autant de volatilité dans le fiat que les utilisateurs de rials turcs, de roupies indonésiennes et d’autres en témoigneront; il se trouve que la volatilité de la fiducie tend à être négative.
Ces considérations s’appliquent uniquement au règlement des transactions sur biens et services. Un cas différent est l’utilisation de la monnaie fiduciaire comme contrepartie d’un investissement financier, l’objectif n’étant pas de l’utiliser pour faciliter la consommation, mais de reconvertir l’investissement dans la monnaie d’origine à une date ultérieure. Cela a conduit certains investisseurs à faire valoir que les liquidités devraient être considérées comme un actif de portefeuille, ayant une valeur stratégique au même titre que toute allocation de placement. À cet égard, nous pouvons voir que crypto et fiat peuvent être considérés comme des actifs de classement aux fins d’investissement. Pour que cela se concrétise, il suffit d'une perte de confiance dans le fiat par rapport à la cryptographie pour que les investisseurs acceptent la cryptographie en tant que substitut monétaire de la fiducie.
Nous pouvons pousser encore plus loin la comparaison des crypto-monnaies avec le statut de monnaie fiduciaire. En tant qu'investisseurs, nous considérons la monnaie fiduciaire émise à l'étranger comme un investissement potentiel. Vendre des dollars en francs suisses est un bénéfice, une transaction à évaluer en dollars et inversée ultérieurement, à moins que vous n’ayez l’intention d’aller dépenser vos francs en Suisse. Aux fins de la spéculation monétaire, dans ce contexte, une crypto-monnaie est évidemment une alternative qui se range avec le fiat.
Les limites de la future émission d’une crypto-monnaie qui doit être exploitée contrastent avec l’expansion illimitée des monnaies fiduciaires. C’est ainsi que la différence entre leurs taux d’expansion individuels permet de faire monter les crypto-monnaies à un prix relativement plus élevé temps. La mise en garde qui ne doit pas être négligée est qu’elle présume que la confiance relative ne change pas, car les monnaies émises par les États et les crypto-monnaies ne sont soutenues par rien d’autre.
Enfin, l’augmentation rapide du nombre de crypto-monnaies pourrait à première vue constituer une offre. Cela n’a pas été le cas, car la confiance dans les valeurs futures a été limitée aux personnes ayant une histoire bien établie. Il peut y avoir dix mille différentes crypto-monnaies, mais l'acceptabilité publique restera limitée à un très petit nombre.
RépondreSupprimerFondamentalement, le fiat et la crypto ont beaucoup en commun et, dans la mesure où les banques centrales émettrices de la devise la comprennent, il convient de s’inquiéter des conséquences potentielles. Jusqu'à présent, la plupart des banques centrales ont esquivé ce problème. Les seuls gouvernements intéressés par la cryptographie sont ceux qui ont détruit leur propre crédibilité monétaire, comme le Venezuela, ou ceux qui pourraient envisager des avantages stratégiques, tels que la Russie. Et c’est pourquoi les tweets du professeur Ginko incitent à la réflexion.
Se pourrait-il que le président Poutine pense avoir trouvé un moyen de détruire le dollar? Si tel est le cas, il doit adopter un point de vue iconoclaste, car il faudra également une crise systémique pour saper la confiance dans le dollar et déclencher une fuite généralisée dans les crypto-monnaies.
L'or a plus de sens pour la Russie
Le président Poutine semble peu enclin à se livrer à des contes de fées à crypto-monnaie. Par l'intermédiaire de la banque centrale russe, il construit des réserves d'or en partenariat avec un certain nombre de gouvernements asiatiques importants. Le sens géopolitique de cette stratégie est que la Russie veut remplacer le dollar et les monnaies qui lui sont liées et accepter plutôt une monnaie dure et incorruptible pour ses exportations d’énergie. Le gouvernement des États-Unis nie depuis longtemps que l’or était de l’argent, préférant plutôt promouvoir son dollar fiat. Le prix de l’or en dollars est donc bon marché et représente une opportunité pour la Russie.
La durabilité de l’or en tant que moyen d’échange l’établit comme de la vraie monnaie, alors que crypto et fiat ne sont que de la monnaie, c’est-à-dire qu’ils ne font que prétendre être de la vraie monnaie. Les premiers amateurs de cryptomonnaie affirmaient que Bitcoin et d'autres constituaient un substitut moderne de l'or, reposant sur des caractéristiques d'approvisionnement similaires et sur l'exigence d'être «exploités». Ce qu’ils ont omis de nous dire, c’est que sans demande de crypto-monnaies, ils n’ont aucune valeur, alors que si l’or pour la première fois dans l’histoire de la monnaie était universellement rejeté en tant que monnaie, il conservait sa valeur pour d’autres utilisations.
Ce sont ces autres utilisations, associées à ses caractéristiques incorruptibles, qui distinguent l’or de toutes les formes de monnaie éthérée. Mais dans ce monde confus de ce qui constitue la monnaie et les devises, peu d'Occidentaux semblent comprendre que l'or est la monnaie. Au lieu de cela, ils le considèrent comme un investissement offrant une protection en temps d'incertitude.
C'est une erreur. Le but d'un investissement est le profit. Les investissements sont réalisés en prévision des valeurs finales et de leur réalisation dans les unités de compte sous-jacentes. C’est ce que fait un acheteur d’actions dans des mines d’or et des dérivés de l’or. Un acheteur d'or physique l'achète parce qu'il dispose d'une monnaie inférieure en tant que réserve de valeur.
C'est pourquoi l'or est resté le véritable argent depuis des millénaires. Les monnaies Fiat sont probablement sur le chemin qui se termine dans leur dernier oubli, un voyage qui n’a duré qu’un siècle. Les crypto-monnaies dans le contexte du temps sont des éphémères qui ne jouiront que d'une brève existence avant l'oubli.
RépondreSupprimerPour ceux d'entre nous qui ont pris la peine de comprendre l'argent, nous pouvons voir que les crypto-monnaies ont le potentiel d'évoluer pour devenir la plus grande bulle de tous les temps et à l'échelle mondiale, alimentées par les excès de l'émission fiduciaire, passée et future. Seul le temps nous dira si cela arrivera, mais si une bulle de crypto-monnaie se met en place, elle pourrait accélérer le passage des devises à la monnaie fiduciaire, minant ainsi les préférences relatives du public qui lui confèrent sa crédibilité. Logiquement, les crypto-monnaies ont le potentiel alarmant de tuer les monnaies fidèles.
Le président Poutine comprend-il cela et a-t-il un plan pour démolir le dollar en déclenchant une bulle de crypto-monnaie ? Aussi intelligent qu'il soit, probablement pas.
https://www.zerohedge.com/news/2019-01-18/crypto-credibility-why-gold-makes-sense-russia
L'or a peut-être eu de la valeur un jour et a été pris comme référence de richesse. Mais, ce n'était pas tout les pays qui en avait sous terre ! Et, comme les 'soutes' ne sont PAS visitables: chacun des pays peut prétendre en avoir une montagne d'un kilomètre de haut alors que des études ont montré que tout l'or sorti de terre depuis les premiers jours représentait un cube de 20,50 m d'arête.
SupprimerBref, comme le monde est dirigé par de très anciennes familles d'assassins qui se disent d'être concurrentes et ennemies mais qui bouffent ensemble et s'enculent tous les jours derrière les rideaux...
Re-Bref, comme sa quantité est restreinte, le prix de l'once ou du kilo devrait être multiplié par 100 ou par 1000 ! Mais l'or est maintenu à un prix moyen par de fausses informations relatives à la négoce. Ne cherchez pas à en acheter: il n'y en a pas ! Sauf... du papier à la tonne ! (Hahahaha !)
Fallait donc trouver autre chose. Une valeur monétaire autre ! La fausse monnaie avait sa jumelle ! C'est ainsi qu'est née (et d'autres qui s'ensuivirent) la 'crypto-monnaie ou argent-électrique. Sur quoi repose sa valeur ?
Sa valeur repose sur des biens qu'ont chaque pays. Parfois c'est du sable et du pétrole, d'autres divers métaux et bois précieux, et d'autres des monuments qui ont traversé les siècles, des ponts, des châteaux, des arènes, puis des routes, des voies ferrées, des ports, des aéroports, de l'agriculture, etc, etc.
C'est sur çà que repose la FAUSSE dette inventée par les banques sans le sou qui prêtaient du vent et veulent être remboursées en nature !!!
C'est pourquoi aujourd'hui, divers pays étrangers possèdent des parcelles de terres en pays étrangers, des ports, des aéroports et même des équipes de football car il existe encore des cons qui croient aux matches truqués avec des 'joueurs' multi-milliardaires pour qu'ils ferment leur gueule !
C'est aussi pourquoi il n'y aura JAMAIS de guerre nucléaire mondiale car, elles détruirait tous les biens et empoisonnerait la terre pour des siècles !
Trump fera "une annonce majeure" sur la frontière et la fermeture
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ven., 18/01/2019 - 18:09
Vendredi, dans un tweet tardif, le président Trump a commenté ce qu'il appelle une "annonce majeure" à propos de la frontière sud et de la fermeture du gouvernement demain après-midi à 15h00.
Va-t-il déclarer l'urgence qui a déjà déclenché la gauche? Si son précédent tweet est quelque chose à regarder, il a la fête avec lui et pense peut-être que le moment est venu ...
Pas étonnant qu'il ait décidé qu'il valait mieux que Nancy reste à la maison et "négocie".
Peut-être était-ce la pression de la moyenne des joes? Comme le rapporte Katharina Buchholz de Statista, selon un sondage réalisé par The Economist et l'étude de marché YouGov, 21% des Américains ont été personnellement touchés par la fermeture du gouvernement dans un sondage réalisé entre le 12 et le 15 janvier. 46% ont déclaré connaître quelqu'un. qui a été personnellement affecté par l'opérabilité limitée du gouvernement qui a été fermé à la suite d'un désaccord entre républicains et démocrates sur la construction d'un mur à la frontière sud avec le Mexique.
Le problème le plus souvent signalé par les personnes rencontrées consistait à accéder à un service gouvernemental qui ne fonctionnait pas en raison de la fermeture. Huit pour cent des Américains interrogés ont signalé ce problème. Sept pour cent ont déclaré vouloir visiter un monument national ou un parc, mais ne le pouvaient pas. Cinq pour cent ont indiqué que leurs affaires étaient affectées. Le même montant se plaignait du fait qu'un site Web gouvernemental n'était pas opérationnel.
Infographic: Un Américain sur cinq est touché par la fermeture | Statista
L'enquête a également demandé aux personnes si elles avaient de la sympathie pour les employés fédéraux licenciés. 76% des Américains inscrits en tant que démocrates ont déclaré avoir «beaucoup» de sympathie, contre seulement 33% des électeurs inscrits en tant que républicains. Même si les démocrates et les républicains ont déclaré être affectés par les différents aspects de la fermeture du gouvernement en nombre similaire, les démocrates ont plus souvent affirmé connaître une personne touchée que les républicains.
Pat Buchanan a exhorté Trump à déclarer l'urgence la semaine dernière - Que devrait faire Trump maintenant? Acte. Il ne peut pas perdre cette bataille avec Pelosi sans démoraliser son peuple et mettre sa présidence en péril.
Depuis le FDR, nous avons un gouvernement présidentiel. Et lorsque les présidents américains ont été des militants décisifs, l’histoire a récompensé leurs actions.
Lincoln a suspendu l'habeas corpus. En prenant ses fonctions, le FDR a déclaré un jour férié. Lorsque la Grande-Bretagne était à peine accrochée à la Seconde Guerre mondiale, il échangea 50 destroyers contre des bases britanniques. Il a ordonné aux navires américains de poursuivre les sous-marins allemands et a menti à ce sujet. Truman renvoya le général MacArthur.
Reagan renvoya les contrôleurs aériens en grève et ordonna à l'armée d'occuper la Grenade afin d'empêcher les voyous marxistes qui avaient pris le pouvoir de prendre en otage 500 étudiants en médecine américains.
Les critiques ont fait rage: Reagan n'avait pas le droit d'envahir. Mais le peuple américain a récompensé Reagan par un glissement de terrain dans 49 États.
Trump devrait déclarer une urgence nationale, transférer des fonds hors du Pentagone, construire son mur, ouvrir le gouvernement et accuser les démocrates de trouver des excuses pour ne pas sécuriser notre frontière, car ils ont un intérêt démographique et idéologique à changer le visage de la nation.
RépondreSupprimerPlus la part de la population américaine ayant besoin de l’aide sociale est grande, plus il a besoin de davantage de travailleurs sociaux et plus le nombre d’électeurs à voter sera grand pour que l’État providence libéral continue à se développer.
Plus l’Amérique devient multiraciale, multiethnique, multiculturelle et multilingue - moins elle ressemble à l’Amérique de Ronald Reagan - plus elle deviendra démocratiquement fiable.
Le Parti démocrate est hostile aux hommes blancs, car plus la part de la population américaine que les hommes blancs deviennent faibles est grande, plus tôt les démocrates héritent de l’état national.
Le seul moyen d'accroître la «diversité», le veau d'or du parti démocrate, est d'augmenter le nombre de femmes, afro-américaines, asiatiques et hispaniques, et de réduire ainsi le nombre d'hommes blancs.
Les questions décisives sur lesquelles Trump a été élu n'étaient pas la vieille litanie républicaine de réductions d'impôts, de juges conservateurs et de dépenses de défense accrues.
Ils sécurisaient les frontières, retiraient l'Amérique des guerres insensées, éliminaient les déficits commerciaux avec les pays de l'ALENA, l'UE et la Chine, obligeant les alliés à payer leur juste part de la défense commune, ressuscitant notre base de fabrication et s'entendant avec la Russie.
“America First!” Est toujours une main gagnante
https://www.zerohedge.com/news/2019-01-18/trump-make-major-announcement-border-shutdown
A vrai dire, la vraie guerre mondiale a commencé depuis longtemps !
SupprimerPrimo, faire exiler des 'réfugiés climatiques' et ouvrir des frontières pour éviter tous recensement ! (On est 7 milliards ? ou 6 ou 5 ou 4 ?...).
Deuxièmo, faire rentrer de la drogue par camions, bateaux, avions, sous-marins pour donner du travail aux dealers.
Troisièmo, fournir des armes pour que les clans qui se concurrencent puissent s'affirmer dans leur quartier.
Quatrièmo, remplacer vite fait tous les morts en maisons vides par de nouveaux arrivants appelés 'caravanes de cons qui marchent pour crever'.
Voici comment les partis nationalistes européens voient l'UE
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Samedi, 19/01/2019 - 07:35
Les partis les plus conservateurs d'Europe - dont certains sont encore relativement jeunes - ont rapidement gagné le soutien des nationalistes sur tout le continent, qui se sont prononcés contre les migrations massives, les impôts élevés et les politiques d'ouverture des frontières préconisées par les dirigeants mondialistes.
Avant les prochaines élections au Parlement européen en mai, beaucoup se sont demandé ce que les différents partis nationalistes pensent de l’UE. Le radiodiffuseur international public allemand, Deutsche Welle, répond à cette question.
***
AfD (Allemagne) - 1 eurodéputé
Gauland, leader de l'AfD, n'a pas demandé à l'Allemagne de quitter l'UE
Le parti politique d'extrême droite le plus prospère de l'Allemagne de l'après-guerre a finalement exposé sa position sur l'UE lors d'une conférence de parti tenue dimanche.
Le nouveau manifeste électoral européen AfD indique que l'Allemagne devrait abandonner l'euro. Cette position peut être attribuée aux origines euroskeptiques du parti en 2013, lors de la création de l'AfD pour protester directement contre les plans de Bruxelles visant à renflouer la Grèce au lendemain de la crise financière européenne.
Mais en dépit d'un effort concerté des partis durs du parti, l'AfD n'a cessé d'exiger que l'Allemagne quitte complètement l'UE. "Ceux qui jouent avec l'idée d'un Dexit doivent également se demander si ce n'est pas une utopie et devons-nous être plus réalistes", a déclaré le chef du parti, Alexander Gauland, à la conférence du parti à Riesa, en Saxe.
Ce compromis signifie que l’AfD est favorable à la limitation de la coopération économique de l’UE et à l’opposition à une politique étrangère et de défense commune.
Rassemblement National (France) - 15 députés
Faisant partie des plus anciens partis d'extrême droite de cette liste, le Rassemblement national français (connu jusqu'à l'été dernier comme le Front national) a occupé différents postes au cours de son passé. Parti fondamentalement pro-européen, le FN a changé d’action au début des années 2000, lorsque son dirigeant, Jean-Marie Le Pen, a appelé la France à quitter l’UE et à réintroduire le franc.
Le FN de Le Pen a également été peut-être le premier grand parti à associer l'UE à l'idée d'un "gouvernement mondial" obscur, voire d'un "Nouvel ordre mondial", suscitant des soupçons sur Bruxelles en tant que complot anti-démocratique et mondialiste.
Sa fille et successeur, Marine Le Pen, qui a réussi à faire passer le parti au pouvoir (il a recueilli 25% des suffrages aux élections européennes de 2014 en France), ne veut pas que l'UE soit abolie, mais elle souhaite la fin de l'un de ses membres. guidant les libertés. Elle a appelé à la réintégration des contrôles aux frontières de l'Europe et à l'abandon de la zone de libre circulation Schengen. L'année dernière, elle a également dénoncé "la tyrannie arrogante" de l'UE et "l'oligarchie européenne barricadée à Bruxelles".
Lega Nord (Italie) - 6 députés
RépondreSupprimerLa Lega Nord (ou juste Lega, comme elle avait été rebaptisée avant les élections italiennes de l'année dernière) a lentement quitté ses racines régionales pour s'implanter dans toute l'Italie. Elle fait maintenant partie du gouvernement de Rome et est dirigée par son chef, Matteo Salvini. en tant que vice-premier ministre et ministre de l'intérieur.
Salvini est également un critique acerbe de l'UE et de l'euro, qu'il a autrefois qualifié de "crime contre l'humanité". En effet, la direction de Salvini a rapproché la Lega Nord de l’euroscepticisme. Alors que la Lega Nord a voté en faveur du traité de Lisbonne, la base constitutionnelle de l'UE, signée en 2007, Salvini et d'autres personnalités importantes de la Lega ont appelé l'Italie à quitter le bloc. Cependant, ce n'est pas la position du parti officiel et c'est un changement marqué par rapport aux positions exprimées par le prédécesseur de Salvini, Roberto Maroni, qui avait préconisé l'élection directe du président de la Commission européenne et l'accélération de la construction européenne.
UK Independence Party (Royaume-Uni) - 7 députés
UKIP a été fondée en 1991 dans le seul but de s'opposer à l'UE et à ce qu'elle défendait, finissant par devenir le fer de lance d'un mouvement dirigé par le dirigeant de longue date, Nigel Farage, qui avait conduit au référendum sur le Brexit en 2016. Le parti continue d'insister sur le fait que l'UE est fondamentalement non démocratique , et a souligné son opposition au bloc (en particulier sa perception que l’UE est responsable de l’admission de migrants au Royaume-Uni) beaucoup plus fortement que toute autre partie en Europe. Bien qu’il se soit davantage concentré sur d’autres questions au cours des dernières années, les politiques de l’UKIP sont encore souvent définies en termes de relations avec l’UE.
Fidesz (Hongrie) - 11 députés
Le parti du Premier ministre hongrois Viktor Orban a également radicalement changé sa position vis-à-vis de l'Europe depuis sa fondation en 1988, quand il a commencé comme un mouvement étudiant qui favorisait une intégration européenne plus étroite, et quand il avait milité pour l'adhésion de la Hongrie à l'UE en 2004. Depuis Le parti d’Orban est devenu de plus en plus conservateur et sa rhétorique de plus en plus anti-UE.
Malgré cela, et malgré le fait que l'UE a mis en place des dizaines de procédures contre la Hongrie pour violation des critères d'adhésion, le gouvernement de plus en plus autoritaire d'Orban n'a pris aucune mesure pour quitter le bloc.
Droit et justice (Pologne) - 16 députés
Le parti au pouvoir conservateur en Pologne, Law and Justice (PiS), a adopté une position largement opposée à celle de Bruxelles, préconisant des liens plus étroits avec les États-Unis et s'opposant à une intégration plus étroite dans l'UE. Les tendances nationalistes du PiS l'ont conduit à une rhétorique de plus en plus opposante à l'UE - en particulier à la suite de l'afflux de réfugiés en Europe en 2015, lorsque la Pologne et la Hongrie ont résisté avec véhémence aux tentatives de Bruxelles d'introduire un quota de migrants. En effet, le dirigeant du PiS et ancien Premier ministre, Jaroslaw Kaczynski, a publiquement déclaré l'alliance de son parti avec Orban en Hongrie.
Parti de la liberté (Pays-Bas) - 4 députés
Peut-être plus proche d'esprit de l'UKIP, le deuxième parti du parlement néerlandais a toujours été favorable au retrait de l'UE. À l'instar de UKIP, le Parti pour la liberté (PVV) a toujours tenu l'UE pour responsable de l'afflux de migrants dans les États membres d'Europe centrale tels que la Pologne et la Roumanie.
Ses autres positions incluent l'abandon de l'euro, le Parlement européen et aucune coopération dans aucune activité de l'UE.
https://www.zerohedge.com/news/2019-01-18/heres-how-europes-nationalist-parties-view-eu
Le cortège des Gilets jaunes part des Invalides à l’occasion de leur acte 10 (vidéo)
RépondreSupprimer13:20 19.01.2019
Quelques jours après le lancement par Emmanuel Macron du «débat national», les Gilets jaunes se mobilisent pour leur acte 10, espérant dépasser les chiffres de leur manifestation précédente. Suivez le direct du correspondant de Sputnik à Paris, où le cortège s’est mis en branle depuis l’esplanade des Invalides.
Après le rebond de la mobilisation lors de l'acte 9, combien les manifestants seront-ils ce samedi ? Pour la dixième fois consécutive, les Gilets jaunes descendent dans les rues un peu partout en France dans un contexte de tensions toujours vives deux mois après le premier rassemblement du mouvement.
Plus de 80.000 personnes avaient été recensées samedi dernier, selon le ministère de l'Intérieur, en forte hausse par rapport au 5 janvier. Ce samedi encore, la participation sera particulièrement scrutée, car la mobilisation intervient quelques jours après le lancement par Emmanuel Macron du «débat national» censé canaliser la colère.
À Paris, des Gilets jaunes dont Éric Drouet, une de leurs voix les plus connues, ont donné rendez-vous sur l'esplanade des Invalides vers 11h00 avec une ambition: «Le million à Paris!».
Plusieurs rassemblements sont également annoncés samedi après-midi à Bordeaux, Toulouse, Marseille, Lyon, Saint-Étienne, Roanne, Valence, Clermont-Ferrand, Montélimar, Dijon, Nevers, Montceau-les-Mines, Toulon, Avignon ou Béziers.
De son côté, l'exécutif prévoit lui «un dispositif d'ampleur comparable au week-end précédent (…) partout dans le pays», a annoncé le secrétaire d'État à l'Intérieur, Laurent Nuñez. Environ 80.000 policiers et gendarmes doivent donc être mobilisés en France. Ils seront 5.000 à Paris, selon la préfecture de police.
14:43
La situation est tendue à Rouen où les forces de l’ordre ont tiré des lacrymogènes. De premiers blessés sont recensés, selon Paris Normandie qui fait état d’au moins quatre interpellations au cours de l'heure passée.
14:32
À Tarbes, 1.400 personnes ont défilé, selon la préfecture.
14:28
Les Gilets jaunes manifestent en nombre à Lyon.
14:16
À Strasbourg, environ 200 manifestants se sont réunis devant la gare, dont les accès sont bloqués par les forces de l'ordre, selon DNA.
14:09
Une manifestation des Gilets jaunes est également en cours ce samedi à Bruxelles.
14:05
Le cortège des Gilets jaunes s’est ébranlé de la place de la Bourse à Bordeaux.
13:59
Vers 14h, près de 300 Gilets jaunes se sont ressemblés dans le centre de Toulouse, selon la Dépêche du Midi.
13:45
La place de la Bourse est en train de se remplir à Bordeaux. L'Apple Store a baissé le rideau et a masqué son logo, d’autres commerces du centre-ville protègent également leurs vitrines.
13:41
Près de 400 Gilets jaunes, selon la police, 800 selon les organisateurs manifestent en début d’après-midi à Béziers, dans l'Hérault.
12:57
RépondreSupprimerDouze personnes ont été interpellées à Paris, selon une source policière citée par BFMTV.
12:52
Un journaliste du Républicain Lorrain a été agressé vendredi par un Gilet jaune.
Alain Morvan, rédacteur au service reportage du Républicain Lorrain, a déclaré samedi à l'AFP avoir été agressé physiquement vendredi par un Gilet jaune alors qu'il faisait un reportage sur un rassemblement à Longeville-lès-Saint-Avold (Moselle). Le journaliste raconte avoir pu «parer» les coups de poings, mais un violent coup de pied l'a atteint à l'abdomen.
12:49
La manifestation des Gilets jaunes doit rallier la place d'Italie, dans l'est de Paris, avant de revenir aux Invalides.
Les Gilets jaunes prévoient de faire un aller-retour de 14 km le long de la rive gauche, qui abrite de nombreux ministères et lieux de pouvoirs et avait jusqu'ici échappé aux grands rassemblements hebdomadaires.
12:31
Alors qu’ils se rassemblaient encore aux Invalides, les manifestants ont déployé une mosaïque composé de dizaines de photos montrant des victimes de violences policières.
12:11
À midi, le cortège des Gilets jaunes s’est mis en marche depuis l’esplanade des Invalides. Les manifestants brandissent des drapeaux tricolores et des pancartes. «Stop à la violence», peut-on lire sur une banderole couleur fluo. «Libérez Christophe !», scande la foule.
Dans la capitale, les organisateurs ont invité les participants à amener «une fleur ou une bougie en hommage» aux personnes tuées ou blessées «pour (leur) cause» depuis le début du mouvement le 17 novembre.
https://fr.sputniknews.com/france/201901191039696192-gilets-jaunes-acte-10-manifestation-direct/
Des Gilets jaunes se sont invités au grand débat avec le patron de LREM (vidéo)
RépondreSupprimer12:52 19.01.2019
La réunion publique à laquelle participait le patron de LREM Stanislas Guérini a été perturbée vendredi soir par une cinquantaine de Gilets jaunes prenant d’assaut la salle. Les débats se sont ensuite poursuivis dans une atmosphère houleuse entre les manifestants et les membres de La République en marche.
Un premier grand débat organisé par La République en marche a été perturbé vendredi 18 janvier au soir à Besançon par une cinquantaine de Gilets jaunes, rapporte France Bleu Besançon.
Une vidéo publiée sur Facebook montre les Gilets jaunes essayant de forcer l'entrée de la salle où avait lieu la réunion avec le patron de LREM, Stanislas Guérini. Selon le site, les manifestants disent avoir été interdits d'entrée, tandis que les organisateurs affirment qu'ils ont refusé la fouille des sacs.
Au total, au moins de 150 personnes étaient présentes dans la salle du Kursaal, raconte France Bleu Besançon. Tout le monde n'a pas pu rentrer, car la salle a rapidement été bondée. Les débats se sont ensuite poursuivis dans une atmosphère souvent houleuse entre les Gilets jaunes et les membres de La République en marche.
https://fr.sputniknews.com/france/201901191039697672-gilets-jaunes-grand-debat-larem/
A près des mois qu'ils se sont taillé des costards en or, voilà qu'on veut les leur voler !
SupprimerLes Gilets jaunes lancent leur propre application mobile
RépondreSupprimer09:24 19.01.2019
Afin de faciliter la mobilisation et la communication entre eux, les Gilets jaunes ont lancé leur propre application mobile GJ-France qui n’est pour l’instant disponible que sur Android, mais sa version pour iPhone ne devrait pas tarder à sortir.
Depuis le début de leur mobilisation à travers toute la France, les Gilets jaunes ont créé des de nombreux groupes et pages sur Facebook, des comptes Twitter et même leur propre décompte des manifestants, et maintenant, l'heure de l'application mobile est arrivé.
À la veille de l'acte 10, ce vendredi 18 janvier, Priscillia Ludosky, l'une des figures des Gilets jaunes, et son groupe « La France En Colère », ont annoncé le lancement de l'application GJ-France visant à aider les Gilets jaunes en matière de covoiturage, d'hébergement et d'appel à l'aide en cas d'urgence.
Selon le descriptif de l'application mobile, développée par des Gilets jaunes bénévoles, l'application GJ-France doit répondre à quatre questions: «combien de Gilets jaunes se mobilisent chaque jour, combien de soutiens compte le mouvement, comment s'organiser et comment contacter rapidement des proches en cas de danger?».
Pour la dixième fois consécutive, les Gilets jaunes descendent ce samedi 19 janvier dans les rues un peu partout en France dans un contexte de tensions toujours vives deux mois après le premier rassemblement du mouvement. Le neuvième acte des manifestations des Gilets jaunes qui s'est déroulé samedi dernier à Paris, ainsi que dans d'autres villes françaises, a rassemblé environ 84.000 personnes, d'après le ministre français de l'Intérieur. Pourtant, les chiffres de la mobilisation annoncés par le gouvernement font l'objet de polémiques.
https://fr.sputniknews.com/france/201901191039696019-gilets-jaunes-application-gj-france/
«Pourquoi il y a 100 euros de moins ?»: un retraité demande des explications à Macron
RépondreSupprimer10:27 19.01.2019
Un habitant âgé de Saint-Sozy, où Emmanuel Macron s’est rendu vendredi, a réussi à informer le Président d’une erreur commise lors du calcul de sa pension de retraite. Le Président a promis de s’occuper personnellement de ce problème.
Emmanuel Macron a été interpellé vendredi lors de sa visite à Saint-Sozy, dans le Lot, par un retraité qui lui a fait remarquer que le taux de CSG prélevée sur sa pension a augmenté de 2,1 points de pourcentage au lieu de 1,7 point.
«La CSG déductible est passée à 5,9% contre 3,8% avant. Donc, quand je compte, cela fait 2,1% d'augmentation pas 1,7% […] Ça fait 27 euros de moins de retenue, vous êtes d'accord avec moi ? Alors, pourquoi il y a 100 euros de moins ?», a-t-il demandé au Président.
Après avoir scruté les documents que le retraité a présentés à l'appui de ses déclarations, Emmanuel Macron a promis de régler cette question.
«Je ferai mieux que vous répondre, je vais régler», a affirmé le Président en demandant le numéro de téléphone de ce retraité.
Tandis que de nombreux internautes ont salué la volonté d'Emmanuel Macron de s'occuper personnellement du problème de cet habitant de Saint-Sozy, d'autres ont souligné que le Président ne pouvait pas régler tout seul tous les cas semblables.
https://fr.sputniknews.com/france/201901191039696080-retraite-macron-saint-sozy-pension-csg/
Anderson Cooper surpris en train de propager de fausses informations et de mentir sur les vaccins en direct sur CNN
RépondreSupprimerPar Arjun Walia
Evolution collective
19 janvier 2019
La plupart des gens ne sont probablement pas surpris du titre de ce titre. Il est devenu banal d’entendre parler de problèmes liés aux produits pharmaceutiques, mais s’agissant des vaccins, de nombreuses personnes n’ont toujours pas conscience des effets secondaires potentiels. Une grande partie de l'inquiétude concernant les vaccins concerne les ingrédients, dont beaucoup ont été ajoutés aux vaccins pendant plusieurs décennies sans aucun test d'innocuité et ont simplement été présumés sûrs. C'est une tâche facile pour les grandes entreprises pharmaceutiques, étant donné qu'elles sont souvent dégagées de toute responsabilité ou tenues pour responsables de quelqu'un qui réagit mal à leur produit. Ils sont protégés, ce qui leur permet d’être négligents avec leur produit.
C’est pourquoi, quand j’ai trouvé un clip d’Anderson Cooper sur CNN diffusant de fausses informations, j’ai pensé qu’il serait intéressant d’illustrer comment une fausse nouvelle, une présentatrice parlant d’un sujet sans fournir aucune source, peut facilement être cru par les masses et pris. comme fait. La personne qu'il interroge n'est pas vraiment équipée pour répondre ou répondre de manière appropriée.
Bien sûr, c’est à partir de 2015, mais c’est toujours très pertinent aujourd’hui.
C’est étrange que quiconque ait même des médias grand public ces jours-ci. Ironiquement, compter sur votre TV est la raison pour laquelle tant de personnes sont mal informées, car il est préférable de faire votre propre recherche indépendante. Étant donné le trafic généré par les sites de médias alternatifs au cours des dix dernières années, il est évident que les internautes recherchent d’autres sources d’information. De nombreux yeux se sont détournés des médias traditionnels pour s’orienter vers des médias alternatifs, ce qui montre que nous avons parcouru un long chemin.
Si vous souhaitez rechercher des médias alternatifs et d’autres sources d’information, cela devient malheureusement de plus en plus difficile. L’élite des entreprises et des finances a reconnu l’émergence de nouvelles alternatives et a mis en place un «ministère de la vérité» (Orwell, 1984) pour déterminer quelles informations sont fausses et quelles informations sont réelles. Par exemple, NewsGuard, l’extension du navigateur News, promet d’aider les lecteurs à identifier les fausses informations. Celles-ci sont financées et gérées par des personnes liées au Conseil des relations étrangères (CFR), au Conseil de l’Atlantique et à d’autres élites de premier plan. Vous pouvez en lire plus à ce sujet en détail ici.
C'est terrible. Les gens devraient avoir le droit de décider eux-mêmes de ce qui est réel et de ce qui ne l’est pas, et d’examiner les sources utilisées et d’utiliser leur propre cerveau.
Il semble que ces personnes, quels qu’elles soient, veulent réfléchir pour nous.
William Arkin, journaliste militaire et de guerre bien connu, surtout connu pour sa série révolutionnaire en trois parties du Washington Post en 2010, a rendu publique la diffusion de NBC / MSNBC en tant qu'agences gérées par le gouvernement. Vous pouvez en lire plus à ce sujet ici. Ici, vous pouvez accéder à des documents déclassifiés et en savoir plus sur les liens des médias grand public avec les agences de renseignement et leur influence sur les médias grand public et même le monde universitaire. Voici 50 faits sur la CIA et les médias grand public, et voici le clip d’un journaliste primé des médias grand public nous racontant la même chose.
Comme le souligne James F. Tracy, ancien professeur de communication à la Florida Atlantic University:
RépondreSupprimerDepuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, la CIA est devenue une force majeure dans les médias américains et étrangers, exerçant une influence considérable sur ce que le public voit, entend et lit régulièrement. Les publicistes et les journalistes de la CIA affirmeront qu'ils ont peu ou pas de relations, mais l'histoire peu connue de leur collaboration intime indique une histoire bien différente - une histoire que les historiens des médias hésitent à examiner.
En ce qui concerne Anderson Cooper, certains ont émis l'hypothèse qu'il travaillait directement pour les agences de renseignement américaines. Même si un ancrage grand public n’est pas au courant de cela et est employé par le réseau, il est employé «vaguement» par les agences de renseignement, comme le décrivent les documents / articles cités plus haut. Il est facile de comprendre pourquoi beaucoup d’opiniens penseraient cela à Anderson Cooper, d’autant plus qu’il était stagiaire à la CIA alors qu’il achevait ses études de premier cycle à l’Université de Yale. En outre, son oncle, William Henry Vanderbilt III, était un dirigeant de la Sous-Division des opérations spéciales de l’OSS, dirigé par le fondateur de l’organisation espionne William "Wild Bill" Donovan. Il a également atteint le grade de capitaine de la marine pendant la Seconde Guerre mondiale. (La source)
Il est important de prendre en compte toutes les informations ci-dessus lorsque vous examinez les principaux médias. Cela rend plus compréhensible la raison pour laquelle ils mentent tant et pourquoi ils se battent avec acharnement pour faire taire les voix de toute opposition.
- Vous pouvez regarder le clip complet sur site -
Une réponse appropriée aux commentaires d’Anderson
Pouvez-vous me donner le nom de l'un de ces scientifiques qui prétendent cela parce qu'ils vont à l'encontre de chaque étude? Je veux dire que le CDC dit ceci, Institutes of Health, toutes ces études disent que vous avez tout simplement tort.
C’était la réponse d’Anderson au commentaire de l’ancien membre du Congrès américain Dan Burton concernant le mercure dans les vaccins.
Ce qu'Anderson dit est un mensonge complet, car son affirmation selon laquelle le mercure dans les vaccins est dangereux ne va pas à l'encontre de "toutes les études".
En fait, sa logique est complètement inversée, car aucune étude n’a démontré qu’il était sans danger d’injecter du mercure à des personnes, sans parler des tout-petits dont les organes n’avaient pas encore été complètement développés. Le mercure est l’une des substances les plus toxiques connues de l’homme. Ce ne devrait pas être un débat, mais il est présenté comme un média médiatique. À la suite de ce type de présentation, cela devient un sujet discutable au sein du grand public, à l’intérieur des maisons, etc. Il s’agit d’un véritable lavage de cerveau qui se produit en utilisant de fausses déclarations que tout le monde semble prendre pour argent comptant.
Les scientifiques modernes accumulent des preuves de la toxicité du mercure depuis des décennies. Ces dernières années, on s’intéresse de plus en plus à l’association du métal aux troubles du développement neurologique, y compris les troubles du spectre autistique (TSA). Une nouvelle revue de la revue multidisciplinaire Environmental Research rassemble un large corpus de littérature dans le but de résumer les recherches en cours et les tendances émergentes en toxicologie du mercure. Geir Bjørklund, auteur principal de l’étude, est le fondateur du Conseil norvégien pour la médecine nutritionnelle et environnementale à but non lucratif et a publié de nombreux ouvrages sur des sujets liés aux métaux lourds, aux maladies auto-immunes et aux TSA. - Robert F Kennedy Jr.
Il y a quelques années, Robert F. Kennedy Junior et Robert DiNero ont offert une récompense de 100 000 dollars à tout scientifique, journaliste ou médecin susceptible de présenter un document ou une preuve de l'innocuité du mercure chez les enfants. Lors de cette conférence, ils ont présenté plus de 100 études examinées par des pairs montrant que ce n’est pas le cas.
RépondreSupprimerUne méta-analyse assez récente publiée dans le Journal Bio Med Research International souligne ce que toutes ces autres études ont également fait:
«Les études sur lesquelles s'appuient les CDC et sur lesquelles elle exerçait un certain niveau de contrôle indiquent qu'il n'y a pas de risque accru d'autisme lié à l'exposition au mercure organique dans les vaccins, et certaines de ces études ont même rapporté que l'exposition au Thimerosal semblait diminuer le risque. de l'autisme. Ces six études contrastent fortement avec les recherches menées par des chercheurs indépendants au cours des 75 dernières années et qui ont toujours montré que le Thimerosal était nocif. Comme indiqué dans la section Introduction, de nombreuses études conduites par des chercheurs indépendants ont montré que Thimerosal était associé à des troubles du développement neurologique. Étant donné que de nombreuses études menées par des chercheurs indépendants montrent une relation entre le thimérosal et les troubles du développement neurologique, les résultats des six études examinées dans cette revue, en particulier celles montrant les effets protecteurs du thimérosal, devraient remettre en question la validité de la méthodologie utilisée. dans les études. "(source)
Anderson commente ensuite:
Eh bien, êtes-vous contre l'allaitement? Mais vous savez que le méthylmercure se trouve dans le lait maternel destiné aux enfants. Si un enfant est seulement nourri au sein, il aura plus de méthylmercure qu’il n’aurait jamais été vacciné.
Le simple fait qu’il existe d’autres sources de mercure dues à la pollution de l’environnement, comme le lait maternel, ne justifie pas la présence de mercure dans les vaccins. L’exposition au mercure provient de multiples domaines, pas seulement des vaccins, car sa présence dans notre environnement est abondante du fait de multiples industries, et non des produits pharmaceutiques. La contamination par le mercure et les métaux lourds est un problème majeur qui provoque diverses maladies, mais si le mercure était banni de notre environnement, de nombreuses grandes industries perdraient des milliards de dollars. Je crois que nos médicaments ont les mêmes pouvoirs que ceux qui pulvérisent nos aliments et utilisent d’autres méthodes pour nous garder malades afin d’augmenter leurs profits.
De plus, l'injection de métaux lourds est très différente de celle prise par d'autres sources, comme notre nourriture par exemple. Cela a été démontré par de nombreuses études concernant l'aluminium, présent également dans plusieurs vaccins. Les scientifiques ont découvert, à l'aide de modèles animaux, que l'aluminium injecté n'entre pas dans la même méthode d'excrétion que l'aluminium que nous absorbons dans notre corps par l'intermédiaire d'un aliment ou d'un déodorant. L'aluminium injecté est capté par les macrophages (globules blancs) et transporté vers des organes distants et le cerveau, où il peut encore être détecté des années après l'injection.
Vous pouvez accéder à ces études concernant l'aluminium injectable dans l'article lié ci-dessous:
RépondreSupprimerL'imagerie cérébrale montre que les cerveaux autistes contiennent de grandes quantités d'aluminium
La vérité est qu’aucune étude appropriée n’a été consacrée à la bioaccumulation des ingrédients du vaccin et à leur place dans notre organisme, y compris le mercure.
Cette interview était une blague et elle mettait malheureusement en vedette deux personnes mal équipées pour discuter du sujet des vaccins. Ils auraient pu utiliser ou citer des milliers de scientifiques et de publications, mais tout ce que nous obtenons est une campagne ridicule massive combinée à la commercialisation intensive de vaccins.
Anderson mentionne également des organisations telles que la CDC et la FDA, ou des agences de réglementation qui approuvent nos médicaments. Ce sont des organisations très corrompues, avec des dizaines d'exemples montrant leurs liens avec les grandes entreprises pharmaceutiques.
L’idée que les vaccins ne sont pas totalement sûrs a beaucoup attiré l’attention de l’un des auteurs principaux d’une étude de 2004. Il s'appelle William Thompson, chercheur principal au CDC et co-auteur de l'une des études les plus citées pour réfuter tout lien entre le vaccin ROR et l'autisme. L'étude aurait révélé:
«Les preuves sont maintenant convaincantes que le vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole ne cause pas l'autisme ni aucun sous-type particulier de trouble du spectre de l'autisme.» (Source)
Dix ans plus tard, il s’opposa à l’étude initiale en déclarant:
«Les co-auteurs du [CDC] ont organisé une réunion pour détruire les documents liés à l’étude [vaccin ROR]. Les quatre coauteurs restants se sont tous rencontrés et ont apporté une grande poubelle dans la salle de réunion. Ils ont ensuite examiné et examiné tous les documents papier que nous pensions devoir jeter et les mettre dans une énorme poubelle. "(Source)
Reprinted with permission from Collective Evolution.
https://www.lewrockwell.com/2019/01/no_author/anderson-cooper-caught-spreading-fake-information-lying-about-vaccines-live-on-cnn/
«Ils se moquaient de Castro et Chavez»: Zakharova sur les dernières allocutions de Macron
RépondreSupprimer15:07 19.01.2019
Commentant les longues prises de parole d'Emmanuel Macron lors du lancement du grand débat national, Maria Zakharova a rappelé que l'habitude de Fidel Castro et d'Hugo Chavez de prononcer des discours pendant plusieurs heures était régulièrement à l'époque le sujet de plaisanteries.
Revenant sur les deux interventions d'Emmanuel Macron à l'occasion du lancement cette semaine du grand débat national, la porte-parole de la diplomatie russe Maria Zakharova a attiré l'attention sur la longueur de ses discours.
«Ces derniers jours, Macron est intervenu pendant sept heures sans pause dans le cadre des débats nationaux organisés par le pouvoir pour résoudre la situation de crise dans le pays. Et ils se moquaient de Castro et Chavez», a-t-elle écrit sur son compte de Facebook.
Le grand débat national a été lancé ce mardi par Emmanuel Macron qui a tenu près de sept heures d'échanges avec 653 maires normands dans l'Eure. Ces débats se sont poursuivis vendredi dans le Lot où le Président a parlé plus de six heures devant 600 autres maires.
Selon un sondage Opinion Way pour LCI réalisé juste après l'intervention d'Emmanuel Macron devant les maires de Normandie, les Français ne sont pas convaincus que le grand débat répondra à leurs préoccupations. Ainsi 70% des sondés répondent «non» à la question «Pensez-vous que le grand débat national permettra de répondre à vos préoccupations» contre 29 % qui répondent «oui» (et 1 % ne se prononce pas).
https://fr.sputniknews.com/international/201901191039698868-macron-castro-chavez-zakharova/
La différence est que les américains écoutaient leur Peuple
SupprimerEN DIRECT. Acte 10 des Gilets jaunes en France, premiers heurts (images)
RépondreSupprimer18:34 19.01.2019
Quelques jours après le lancement par Emmanuel Macron du «débat national», les Gilets jaunes se mobilisent pour leur acte 10, espérant dépasser les chiffres de leur manifestation précédente. Suivez le direct du correspondant de Sputnik à Paris, où le cortège s’est mis en branle depuis l’esplanade des Invalides.
Après le rebond de la mobilisation lors de l'acte 9, combien les manifestants seront-ils ce samedi ? Pour la dixième fois consécutive, les Gilets jaunes descendent dans les rues un peu partout en France dans un contexte de tensions toujours vives deux mois après le premier rassemblement du mouvement.
Plus de 80.000 personnes avaient été recensées samedi dernier, selon le ministère de l'Intérieur, en forte hausse par rapport au 5 janvier. Ce samedi encore, la participation sera particulièrement scrutée, car la mobilisation intervient quelques jours après le lancement par Emmanuel Macron du «débat national» censé canaliser la colère.
À Paris, des Gilets jaunes dont Éric Drouet, une de leurs voix les plus connues, ont donné rendez-vous sur l'esplanade des Invalides vers 11h00 avec une ambition: «Le million à Paris !».
Plusieurs rassemblements sont également annoncés samedi après-midi à Bordeaux, Toulouse, Marseille, Lyon, Saint-Étienne, Roanne, Valence, Clermont-Ferrand, Montélimar, Dijon, Nevers, Montceau-les-Mines, Toulon, Avignon ou Béziers.
De son côté, l'exécutif prévoit lui «un dispositif d'ampleur comparable au week-end précédent (…) partout dans le pays», a annoncé le secrétaire d'État à l'Intérieur, Laurent Nuñez. Environ 80.000 policiers et gendarmes doivent donc être mobilisés en France. Ils seront 5.000 à Paris, selon la préfecture de police.
19:29
Le nombre de personnes interpellées à Paris en marge de l’acte 10 des Gilets jaunes s’élevait à 19h00 à 42, informe BFMTV faisant référence à la préfecture de police.
19:26
Après les incidents qui se sont produits près des Invalides, la situation est revenue à la normale.
19:22
Lors de la manifestation des Gilets jaunes à Lyon, les forces de l’ordre ont fait usage de gaz lacrymogène tout au long de l’après-midi afin d’empêcher des manifestants d’accéder au centre de la ville où sont concentrés de nombreux commerce, selon l’AFP.
Trois manifestants ont été interpellés, a indiqué la préfecture de la région Auvergne-Rhône-Alpes et du Rhône à laquelle se réfère le média.
18:28
À Paris, la police a interpellé 30 personnes à 17h30, selon la préfecture à laquelle se réfère BFMTV.
18:28
À Marseille, des heurts se sont produits entre des manifestants et les forces de l’ordre derrière la gare de Saint-Charles, rapporte La Provence. Selon ce quotidien, les forces de l'ordre ont répondu aux jets de projectiles par l'usage de gaz lacrymogène.
18:03
À Toulouse, à 17h00, quelque 10.000 Gilets jaunes manifestaient, informe la préfecture de la région Occitanie et de Haute-Garonne sur son compte Twitter. Depuis le début du mouvement, il s’agit donc d’un record de mobilisation. Toujours selon la préfecture, 10 interpellations avaient eu lieu entre le début de la manifestation et 17h00.
À 17h45, la préfecture comptabilisait 4.500 manifestants encore présents dans la ville. Le nombre d’interpellations était alors de 14.
RépondreSupprimer17:35
Pendant ce temps, de Bordeaux parviennent des informations faisant état de certaines tensions entre des manifestants et les forces de l’ordre.
16:56
La situation devient tendue. Les CRS interviennent.
Gilets jaunes à Paris, le 19 janvier 2019
Les CRS sont intervenus près des Invalides où la situation s'est tendue un peu plus de quatre heures après le début de l'acte 10 dont le début s'est déroulé sans incidents majeurs. La police a en outre fait usage de canons à eau après que certains Gilets jaunes ont jeté des projectiles et commencé à bloquer les lieux avec des moyens improvisés.
16:42
Dans le quartier des Invalides, des manifestants jettent des projectiles, comme on peut le voir sur la vidéo diffusée par le correspondant de Sputnik présent sur place. La police fait usage pour la première fois ce samedi de canons à eau. Des Gilets jaunes commencent à bloquer une rue. Selon certaines informations, les forces de l’ordre ont recours au gaz lacrymogène.
La police utilise des canons à eau contre les Gilets jaunes près des Invalides
16:40 19.01.2019
L'acte 10 de la mobilisation des Gilets jaunes qui avait commencé sans incident majeur a été marqué vers 16.30 (heure locale) par l’utilisation de canons à eau par les forces de l'ordre contre les manifestants présents dans le quartier des Invalides à Paris, indique le correspondant de Sputnik sur place.
16:29
D’après les informations communiquées par le ministère français de l’Intérieur, à 14h00, 27.000 Gilets jaunes manifestaient, dont 7.000 à Paris, contre 32.000 samedi dernier.
15:35
Forte mobilisation observée à Toulouse. Plusieurs milliers de manifestants avancent en direction de la place du Capitole, selon La Dépêche du Midi.
15:31
Plusieurs incidents en cours à Rennes, où les forces de l'ordre font usage de gaz lacrymogènes.
15:25
Une exposition organisée par les Gilets jaunes à Bordeaux pour dénoncer les violences policières.
14:43
La situation est tendue à Rouen où les forces de l’ordre ont tiré des lacrymogènes. De premiers blessés sont recensés, selon Paris Normandie qui fait état d’au moins quatre interpellations au cours de l'heure passée.
14:32
À Tarbes, 1.400 personnes ont défilé, selon la préfecture.
14:28
Les Gilets jaunes manifestent en nombre à Lyon.
14:16
À Strasbourg, environ 200 manifestants se sont réunis devant la gare, dont les accès sont bloqués par les forces de l'ordre, selon DNA.
14:09
Une manifestation des Gilets jaunes est également en cours ce samedi à Bruxelles.
14:05
Le cortège des Gilets jaunes s’est ébranlé de la place de la Bourse à Bordeaux.
13:59
Vers 14h, près de 300 Gilets jaunes se sont ressemblés dans le centre de Toulouse, selon la Dépêche du Midi.
13:45
La place de la Bourse est en train de se remplir à Bordeaux. L'Apple Store a baissé le rideau et a masqué son logo, d’autres commerces du centre-ville protègent également leurs vitrines.
13:41
RépondreSupprimerPrès de 400 Gilets jaunes, selon la police, 800 selon les organisateurs manifestent en début d’après-midi à Béziers, dans l'Hérault.
12:57
Douze personnes ont été interpellées à Paris, selon une source policière citée par BFMTV.
12:52
Un journaliste du Républicain Lorrain a été agressé vendredi par un Gilet jaune.
Alain Morvan, rédacteur au service reportage du Républicain Lorrain, a déclaré samedi à l'AFP avoir été agressé physiquement vendredi par un Gilet jaune alors qu'il faisait un reportage sur un rassemblement à Longeville-lès-Saint-Avold (Moselle). Le journaliste raconte avoir pu «parer» les coups de poings, mais un violent coup de pied l'a atteint à l'abdomen.
12:49
La manifestation des Gilets jaunes doit rallier la place d'Italie, dans l'est de Paris, avant de revenir aux Invalides.
Les Gilets jaunes prévoient de faire un aller-retour de 14 km le long de la rive gauche, qui abrite de nombreux ministères et lieux de pouvoirs et avait jusqu'ici échappé aux grands rassemblements hebdomadaires.
12:31
Alors qu’ils se rassemblaient encore aux Invalides, les manifestants ont déployé une mosaïque composé de dizaines de photos montrant des victimes de violences policières.
12:11
À midi, le cortège des Gilets jaunes s’est mis en marche depuis l’esplanade des Invalides. Les manifestants brandissent des drapeaux tricolores et des pancartes. «Stop à la violence», peut-on lire sur une banderole couleur fluo. «Libérez Christophe !», scande la foule.
Dans la capitale, les organisateurs ont invité les participants à amener «une fleur ou une bougie en hommage» aux personnes tuées ou blessées «pour (leur) cause» depuis le début du mouvement le 17 novembre.
https://fr.sputniknews.com/france/201901191039696192-gilets-jaunes-acte-10-manifestation-direct/
C'est vrai que la nazional socialiste gazait aussi les gens à Auschwitz.
SupprimerL’affaire Gbagbo/Goudé, est-ce l’échec ou l’honneur de la CPI ?
RépondreSupprimer16:09 19.01.2019
Safwene Grira
La CPI se fait-elle l’écho d’intérêts occidentaux? La critique est récurrente, et historique, dans la bouche de beaucoup d’Africains. Qu’elle condamne ou qu’elle acquitte, la juridiction de La Haye est toujours accusée de servir un sombre programme politique anti-africain. Illustration avec les derniers rebondissements de l’affaire Gbagbo.
«Procureur contre Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé»: jamais l'affaire de l'ex-Président ivoirien et de son ancien bras droit n'a mieux porté son nom, qui apparaît en haut de tous les documents de ce procès tenu devant la Cour Pénale Internationale (CPI).
Après l'acquittement des prévenus, mardi 15 janvier, et la contestation de leur libération immédiate par le procureur, peu après, la 1re Chambre n'a pas ménagé ses mots à l'encontre de l'Accusation, le lendemain, en estimant ses preuves «exceptionnellement faibles». Quelques heures plus tard, et alors que la libération des deux anciens coaccusés semblait acquise, le bureau du procureur revient à «la charge» et fait appel du refus de maintien en détention.
Dès le 15 janvier, le porte-parole de la juridiction internationale avait souligné à Sputnik que la décision de rendre leur liberté aux anciens coaccusés pouvait faire l'objet d'un appel. L'hypothèse la plus probable voulait alors que l'appel soit interjeté, plutôt, par la défense. Peu d'observateurs pariaient que la Cour enfoncerait le clou, mercredi 16, en déboutant le bureau du procureur. Vendredi 18 janvier, nouveau coup de théâtre, avec l'acceptation du recours de l'Accusation par la Chambre d'appel. Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé demeurent en détention, au moins jusqu'au mois de février.
L'incompréhension des partisans de l'ancien Président n'avait d'égal, ce vendredi, que leurs cris à «l'acharnement» du procureur, présumément téléguidé par l'actuel président ivoirien, Alassane Ouattara, par l'intermédiaire de la France. Une théorie se basant sur un rôle controversé joué par la France dans la crise post-électorale de 2010-2011 en Côte d'Ivoire. L'ancien Président ghanéen s'en faisait écho, mardi 15 janvier, en regrettant que «huit ans de la vie [de Gbagbo] aient été gâchés par les machinations de la France et de Sarkozy».
Pour Emmanuel Desfourneaux, directeur général de l’Institut de la culture afro-européenne à Paris, partenaire officiel de l’UNESCO, aucune donnée ne permet d’établir à ce jour que le procureur, Madame Fatou Bensouda, ait été sous la pression de quelque partie que ce soit. En revanche,
«On peut parler d’un acharnement judiciaire, mais pas forcément politique, de la part d’un procureur qui ne fait, finalement, que jouer son propre rôle. Il ne faut pas oublier que Madame Bensouda est Africaine, d’origine gambienne, et il ne faudrait pas qu’un manque d’empressement à faire condamner les accusés soit interprété comme une forme de complaisance. En somme, elle joue sa crédibilité professionnelle et puis aussi, la question de la reconnaissance des victimes», souligne à Sputnik ce spécialiste de l’Afrique de l’Ouest.
L’acquittement de Gbagbo serait d’autant plus un revers pour l’Accusation que l’enquête avait été ouverte en 2011 à sa propre initiative et non pas à celle de l’État ivoirien. L’autosaisine suivait de peu, toutefois, une confirmation de la déclaration de reconnaissance de la compétence de la Cour signée par le président Alassane Ouattara, 10 jours seulement après avoir prêté serment. À l’époque, la crise faisait rage entre les deux camps et le Président sortant, Gbagbo, revendiquait également sa victoire.
Au-delà de la partie accusatrice, l’acquittement des deux anciens dignitaires ivoiriens pourrait constituer, paradoxalement, un revers pour la juridiction qui l’a prononcé, à en croire des médias africains qui montaient au créneau contre la CPI, au lendemain du verdict de non-culpabilité.
RépondreSupprimer«Par cette décision, la CPI vient, une nouvelle fois, renforcer les perceptions des Africains contre elle par rapport à la gestion des crises politiques post-électorales sur le continent», estimait le site guinéen Guineenews, après avoir titré sur «l’échec de la CPI».
La CPI aura ainsi «échoué» à faire condamner le président ivoirien, tout comme elle avait «échoué» à obtenir d’autres condamnations par le passé. C’est que, de ce point de vue assez partagé en Afrique, l’acquittement de l’ancien Président ivoirien est à mettre en perspective avec deux autres affaires.
Le 22 novembre 2010, s’ouvrait, à La Haye, le procès de l’ancien vice-président de la RDC, Jean-Pierre Bemba. Cet ex-chef rebelle congolais était poursuivi pour «crimes de guerre» et «crimes contre l’humanité» en Centrafrique, pour la période allant d’octobre 2002 à mars 2003. Ses troupes avaient, à l’époque, soutenu les forces loyalistes du Président Ange-Félix Patassé contre la rébellion de M. François Bozizé, auteur d’un coup d’État. En juin 2018, et au terme d’un procès en appel qui avait duré deux ans, M. Bemba était acquitté. La peine de 18 ans de prison, prononcée en première instance, était annulée.
En remontant un peu plus loin, en octobre 2014, le procureur de la CPI avait abandonné les poursuites contre le Président kenyan Uhuru Kenyatta, accusé de «crimes contre l’humanité» suite aux violences post-électorales de 2007 et 2008 qui avaient fait près de 1.500 morts.
Pour Emmanuel Fourneaux, loin de constituer un aveu d’échec, «c’est tout à l’honneur de la CPI d’élargir des accusés, en l’absence de preuves irréfutables».
«Il ne faut pas que la CPI prononce une condamnation pour que l’on conclue à son utilité. Il y a des procédures qui sont souvent lourdes dans des affaires aussi graves. Mais quand il apparaît que les faits ne concluent pas à l’incrimination des accusés, la CPI doit-elle forcément condamner pour gagner en crédibilité ? Au contraire, on aurait ainsi l’impression qu’elle est une chambre d’enregistrement qui ne dit pas le droit, mais les desiderata de telle ou telle partie», souligne l’analyste français.
La Cour de La Haye est régulièrement accusée de cibler prioritairement des dirigeants africains et de consacrer, ainsi, «une justice à deux vitesses». Sur l’ensemble des 11 situations qui font actuellement l’objet d’une enquête de la part de la CPI, un seul cas, celui de la Géorgie, ne concerne pas le continent africain.
Pourquoi Gbagbo n'est pas encore libre, malgré son acquittement par la CPI
La CPI est «un instrument de pression sur les gouvernements des pays pauvres», avait même jugé, en octobre 2016, la ministre burundaise de la Justice, Aimée Laurentine Kanyana, dont le gouvernement était très critiqué, depuis avril 2015, pour sa répression des manifestations hostiles à la candidature et à la réélection controversées du Président Pierre Nkurnziza.
C’est que la thèse d’une juridiction internationale conspirant contre les pays africains a vite cessé d’être un simple sentiment partagé par l’opinion publique africaine. Des régimes politiques, mis au ban de «la communauté internationale» se sont saisis de l’argument pour contester la légitimité, la méthode de travail, ainsi que de présumés objectifs non avoués de la juridiction internationale. Bientôt, ce sont les enceintes africaines qui se sont fait l’écho de ces suspicions.
En octobre 2017, le Burundi est devenu le premier pays à se retirer officiellement du Statut de Rome, traité fondateur de la CPI, entré en vigueur en 2002. Les démarches entamées un an plus tôt par Bujumbura avaient fait des émules dans le continent africain. Deux autres pays, l’Afrique du Sud et la Gambie, ont entamé des procédures de retrait, avant de reconsidérer leur position.
RépondreSupprimerEnfin, en janvier 2017, et sous la pression d’un certain nombre d’États membres, le 28e sommet de l’Union africaine a adopté une mesure non contraignante pour un «retrait collectif» de la juridiction de La Haye.
Plus difficile, en revanche, d’identifier, dans ces critiques, le(s) bénéficiaire(s) présumé(s) de ces manœuvres, dont la CPI ne serait, selon cette thèse, que «le vil exécutant». Le nom de la France revient souvent, dans cette Afrique qui a maille à partir avec les fantômes du passé ou les boulets du présent. La teneur des positions diplomatiques françaises pourrait coïncider, il est vrai, avec l’ouverture ou l’issue de beaucoup d’affaires. Parfois, comme dans le cas de la crise post-électorale ivoirienne, Paris peut se trouver plus impliquée. Mais dans la majorité des situations, le spectre est plus large. Ce qui fait généralement que c’est une communauté internationale —où la dimension occidentale est fortement pondérée- qui semble cristalliser des colères et des soupçons peu étayées par des faits vérifiables…si ce n’est le fait que la Cour «ne juge que les Africains ». La diatribe du Gabonais Jean Ping, en 2011, alors qu’il était président de la commission de l’Union africaine, est devenue, depuis lors, célèbre.
«Nous ne sommes pas pour l'impunité […] nous ne sommes pas contre la CPI […] nous sommes contre la manière dont la justice est rendue. Pour le procureur, on dirait qu'il y a qu'Afrique où il y a des problèmes. Il ne condamne que les Africains, il ne juge que les Africains.
Est-ce que ça veut dire que rien ne se passe ailleurs dans le monde ? Est-ce que ça veut qu'au Pakistan, en Afghanistan, à Gaza, en Tchétchénie, il n'y a rien ? Pourquoi il n'y a personne d'autre de jugé que les Africains ? C'est la question que l'on se pose.
Il y a eu des problèmes au Sri Lanka, il n'a pu rien faire. Il n'a même pas osé. Il y a eu des problèmes à Gaza, il n'a pu rien faire. […] En Irak, où sur la base d'un mensonge, […] il y a eu un million et demi de morts. C'est rien ?»
Pour Emmanuel Desfourneaux, la CPI n’a pas été insensible à ces critiques, souvent virulentes. Elle voudrait même, depuis, ne plus apparaître comme une épée de Damoclès suspendue au-dessus de la tête des dirigeants africains.
«Les différentes réactions africaines ont favorisé la naissance d’un courant, au sein de la CPI, favorable au changement de l’image qui lui est collée. C’est dans ce sens qu’elle serait politisée aujourd’hui. La décision d’acquitter Gbagbo et Blé Goudé s’adosse bien entendu à des éléments juridiques, en premier lieu. Mais on peut se demander, aussi, si la CPI n’a pas été sensible, également, à un contexte ivoirien marqué par une relance de la paix. L’ouverture d’examens préliminaires dans d’autres régions du monde veut dire qu’elle a entendu la colère des Africains», analyse Emmanuel Fourneaux.
Étendre le champ géographique des affaires, c’est aussi agrandir le cercle de ses ennemis.
Des examens préliminaires ont été ouverts concernant des situations en Palestine, en Irak, en Afghanistan ou aux Philippines. Quant à Manille, dont la responsabilité risquait d’être engagée pour «crimes présumés» commis depuis 2016, dans le contexte de la campagne de «guerre contre la drogue», elle a riposté en se retirant du Traité de Rome, en mars dernier.
Réagissant à l’examen préliminaire en Afghanistan visant des crimes possiblement commis par des soldats américains et britanniques, le conseiller du Président américain Donald Trump, John Bolton, a quant à lui qualifié la juridiction de La Haye d’«inefficace», d’«irresponsable», en la menaçant carrément de «sanctions».
RépondreSupprimerDans sa tentative de se crédibiliser, la CPI s’est effectivement un peu plus intéressée à ce qui pouvait se passer dans d’autres régions du monde. Mal lui en a pris ?
https://fr.sputniknews.com/international/201901191039699745-affaire-gbagbo-goude-consequences-cpi/
SupprimerRappelez vous de l'assassinat du président Kadhafi qui était le seul chef d'État au monde à avoir 100 % du Peuple qui l'adorait, qui sortait sans garde du corps. A cette époque, tous les libyens étaient riches. Très riches. Chaque ville était des palaces. C'est pourquoi les dictateurs étrangers les ont détruite et ses habitants remplacés par des immigrés terroristes. C'est pas facile de laisser sortir Laurent Gbagbo ami du colonel et de tous les ivoiriens.