Nous n’avons pas besoin d’une deuxième planète, mais d’institutions qui permettent à l’homme de s’adapter aux inévitables évolutions de son environnement.
Par Max Falque.
26 JANVIER 2019
Depuis une dizaine d’années, les médias nous annoncent la fin du monde en titrant par exemple : « Depuis ce matin, l’humanité vit à crédit ; la totalité des ressources renouvelables de la planète a été épuisée »… donc il nous faut une deuxième planète pour survivre.
Depuis Malthus à la fin du XVIIIe siècle les prophètes de malheur se sont succédé et leurs prévisions apocalyptiques se sont toujours révélées fausses.
Il est cruel mais nécessaire de citer Stanley Jevons, René Dumont, Paul Ehrlich, Lester Brown, Teddy Goldsmith… relayés par le Club de Rome, le WWF, Greenpeace, Worldwatch Institute, France Nature Environnement… et même par le Vatican (Encyclique Laudato Si).
Comment en est-on arrivé à répéter année après année de telles contrevérités alors que l’état de la planète s’améliore ?
Dans les années 1970, la communauté scientifique se préoccupait du refroidissement climatique. Ainsi que le constatait l’écologiste britannique Kenneth Watt en 1970, « si la tendance actuelle continue, la planète va se refroidir de quatre degrés en 1990 et de onze degrés en 2000. C’est à peu près le double de ce qui nous conduirait à une ère glaciaire ».
Le plus remarquable est que ces mêmes prophètes non seulement ne reconnaissent pas leurs erreurs mais persistent en déclarant que leurs prévisions étaient justes mais simplement précoces ! « Tout se passe comme si le fait d’avoir toujours eu tort par le passé les confortait dans l’idée qu’ils auraient raison dans l’avenir. » (Tertrais, 2011).
ABONDANCE DES RESSOURCES
Il convient de rappeler qu’entre 1850 et 2018 les prix (indicateurs de la rareté) des Matières Premières ont été divisés par 5 tandis que la population mondiale a été multipliée par 5 et le revenu par habitant par 10… et tout indique que cette extraordinaire performance se poursuit au XXIe siècle. Faut-il aussi préciser que les pays placés en tête dans les classements en matière de liberté économique et de revenu par habitant sont également ceux qui disposent du meilleur état écologique.
À ce point nous devons considérer le modèle proposé par la courbe environnementale de Kuznetz. Bien qu’approximative et contestée, cette courbe, fondée sur l’observation de deux siècles de croissance économique, met en évidence que si, dans un premier temps, à l’augmentation de la richesse correspond une dégradation de l’environnement, la courbe s’inverse dès lors qu’apparaît l’abondance (autour de 10 000 euro/an et par habitant).
Dans la mesure où l’on escompte une sortie massive de la pauvreté il faut donc s’attendre, toutes choses étant égales par ailleurs, à une pression importante sur les ressources environnementales. Ceci est bien illustré par la Chine qui a probablement atteint le point d’inflexion de la courbe environnementale de Kuznetz et commence à se préoccuper des externalités insoutenables liées à sa croissance.
Il est probable que ce phénomène va concerner tous les pays échappant à l’extrême pauvreté. Il faut donc s’attendre au cours des 20 prochaines années à une croissance économique mondiale susceptible de porter atteinte à la qualité environnementale des pays concernés mais aussi de l’ensemble de la planète. Mais, comme par le passé, l’évolution des technologies, et des institutions (dont l’échange et les droits de propriété) permettront de poursuivre l’amélioration environnementale et le bien-être de l’humanité.
Aujourd’hui, c’est le contraire qui est prédit : sous la pression d’une communauté scientifique politisée et des media avides de catastrophisme, le réchauffement de la planète est devenu un thème central, relayé sans relâche par le Groupe intergouvernemental, GIEC-IPCC, sur l’évolution du climat rattaché aux Nations Unies, dont les affirmations répétées sont devenues des vérités incontestables, quelle que soit leur véracité scientifique.
Ceci devrait nous rappeler Lyssenko ou le scandale des avions renifleurs des années 70 à savoir qu’une hypothèse relayée massivement par les institutions devient vérité officielle incontestable sous peine de sacrilège.
Ainsi les modèles de prévision du réchauffement onusiens établis à la fin du siècle dernier se sont déjà révélés approximatifs ou erronés, ce qui permet de douter du catastrophisme à l’horizon de la fin de notre siècle. Comme l’a encore montré l’économiste Rémy Prud’homme, le réchauffement repose sur une science fragile. D’ailleurs beaucoup de décideurs n’y croient pas vraiment : les milliardaires continuent d’acheter de somptueuse villas les pieds dans l’eau et le Conservatoire du Littoral de maîtriser le foncier sur des zones qui seront submergées à brève échéance !
UNE AUTRE VOIE
Si l’on accepte la réalité d’un réchauffement il est temps d’encourager et de mettre en œuvre des politiques susceptibles d’y faire face et de concilier croissance et environnement.
Tout d’abord, puisque l’aide aux pays en voie de développement sous sa forme actuelle est largement inefficace et parfois même contreproductive (corruption), il convient soit de la supprimer soit d’en modifier le contenu. À savoir :
- encourager la responsabilité individuelle par la diffusion des droits propriété privés ou en commun ;
- renforcer l’État de droit (Rule of law) et le pouvoir des citoyens.
En fin de compte, comme le précisait The Economist, dès 2005 « la main invisible verte : les marchés constituent un atout pour l’environnement pour autant que les écologistes puissent apprendre à les aimer » que le Président Clinton résumait « la main invisible du marché a aussi un pouce vert ! ».
DÉNONCER L’IMPOSTURE
La pensée unique, politiquement correcte diffusée par les media répond à une logique bien analysée par Jean de Kervasdoué dans son excellent ouvrage « Ils pensent que la nature est bonne » (2016) :
Il n’y a pas d’autres domaines que l’écologie ou les préoccupations les plus justifiées voisinent avec les plus évidentes bêtises, ou la confusion des concepts est aussi manifeste, où les croyances l’emportent sur la raison, où la pression sociale est aussi sirupeuse que violente, ou l’idéologie prend le masque de la vérité, où les intérêts se cachent sous la bannière de la générosité, où les informations sont partielles, partiales et souvent truquées. Cette bouillie de faux concepts, de grands sentiments et d’intérêts camouflés conduit les hommes les plus respectables à proférer doctement les plus évidentes contrevérités… et, surtout, à prendre les plus incontestables bienfaits de la science pour le plus grand des dangers. Pourquoi ce fossé entre la réalité et sa perception ?
En fait il s’agit d’un combat idéologique affirmant que la Nature est innocente et bonne et que l’Humanité est mauvaise, une version sécularisée du jardin de l’Eden.
Pour conclure, le pessimisme n’est plus de saison et l’espoir est là pour autant que les institutions permettent la liberté et la responsabilité des hommes. La pauvreté et la destruction des ressources environnementales associées à la rareté, peuvent être résolues en recourant aux institutions élaborées et sélectionnées par les hommes au cours des siècles. Depuis des millénaires l’humanité a su s’adapter et survivre à des modifications climatiques de grande ampleur et les media et certains scientifiques rendent un mauvais service à la cause environnementale en refusant d’ouvrir le débat et en reprenant en boucle des slogans flattant le catastrophisme.
Nous n’avons pas besoin d’une deuxième planète, mais d’institutions qui permettent à l’homme de s’adapter aux inévitables évolutions de son environnement. Faisons notre la conclusion de Bruno Tertrais : « Le choix de l’optimisme n’est pas seulement celui de la raison ; c’est aussi celui de la sagesse ».
Quand la science n'est pas la science
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Vendredi, 25/01/2019 - 21:45
Écrit par Jason Morgan via le Mises Institute,
Journal trimestriel d'économie autrichienne 21, no. 2 (été 2018). Pour le numéro complet,voir sur site.
[Meilleur ouvrage américain sur la science et la nature en 2017., Hope Jahren, éd., Wilmington, Mass .: Mariner Books, 2017, 352 p.]
Le climat de la Terre est extraordinairement complexe. À la différence des fossiles de dinosaures, de la chimie organique ou du comportement des primates, le climat est toujours en mutation et d'innombrables facteurs s'influencent mutuellement dans le développement sans fin des stochastiques diachroniques. Compte tenu de cette complexité, on pourrait présumer que les scientifiques qui étudient le climat planétaire seraient dotés d'une patience exceptionnelle, d'une intégrité intellectuelle et d'une humilité intellectuelle. Après tout, il faut beaucoup de temps pour en apprendre un peu plus sur un système aussi complexe. Par conséquent, une partie de la description de poste du climatologue semblerait reconnaître que seul un minimum d'informations sur le système de 1,09 x 1044 est connu. molécules tourbillonnant dans l’atmosphère. Plus complexe que tout cela, cependant, est de naviguer dans l’intérêt du public sur le terrain. Le climat est sujet à controverse, et un climatologue devra garder son sang-froid, s’accrochant aux faits dans les environnements rhétoriques les plus enflammés.
Et pourtant, ce n’est précisément pas ainsi qu’un nombre surprenant de climatologues ont choisi de se comporter. L’ancien directeur de l’Institut Goddard d’études spatiales Goddard de la NASA, par exemple, James Hansen, a par le passé fait cette affirmation plutôt alarmante qu’il serait «bientôt impossible d’éviter les changements climatiques avec des conséquences indésirables considérables. Nous avons atteint un point critique. […] Nous avons tout au plus dix ans - pas dix ans pour décider des mesures à prendre, mais dix ans pour modifier fondamentalement la trajectoire des émissions mondiales de gaz à effet de serre ». Et que pourrait-il se passer si la Terre se réchauffait de cinq degrés, ce que Hansen mettait en garde ? Hansen nous dit en détail.
La dernière fois que la Terre s'était réchauffée de cinq degrés, c'était il y a trois millions d'années, alors que le niveau de la mer était d'environ quatre-vingts pieds de hauteur. Quatre-vingts pieds ! (24,38 m). Dans ce cas, les États-Unis perdraient la plupart des villes de la côte est: Boston, New York, Philadelphie, Washington et Miami; en effet, pratiquement tout l’état de la Floride serait submergé. Cinquante millions de personnes aux États-Unis vivent au-dessous de ce niveau de la mer. D'autres endroits seraient pires. La Chine aurait 250 millions de personnes déplacées. Le Bangladesh produirait 120 millions de réfugiés, soit pratiquement toute la nation. L'Inde perdrait la terre de 150 millions d'habitants.
Plutôt déconcertant pour le Dr Hansen, qui pensait que nous avions «au plus […] dix ans pour modifier fondamentalement la trajectoire des émissions mondiales de gaz à effet de serre», ces visions sanglantes de centaines de millions de citadins en noyade se sont maintenant complètement écoulées depuis une douzaine d'années. venir pour passer.
Ne pas être dissuadé de sa tâche - et en évitant légèrement le scandale Climategate, dans lequel des scientifiques de l'université d'East Anglia ont été pris au piège d'un flagrant délit en train de discuter de la falsification de données pour correspondre au récit reçu sur le changement climatique anthropique - Hansen a ensuite tenté de définir nouveau ton pour le climat armageddonistes. L’incapacité de la Terre à imploser au bon moment a amené Hansen et d’autres à blâmer le système. «Le processus démocratique ne semble pas vraiment fonctionner», a-t-il déclaré en 2009, par exemple (The Guardian, 2009). Naomi Klein, auteur de Ça change tout: le capitalisme contre le climat (2014), a établi un lien entre les discours de Hansen et la redistribution intégrale des revenus, évoquant le «Recouvrement du peuple», qui tentait de transférer l'argent des contribuables aux communautés expérimentant des vivre »et« nouveaux processus démocratiques »:
RépondreSupprimerToute tentative visant à relever le défi du climat sera vaine si elle n’est pas comprise dans le cadre d’une bataille beaucoup plus large de la vision du monde, d’un processus de reconstruction et de réinvention de l’idée même du collectif, du communautaire, du commun, du civil et du citoyen. le civique après tant de décennies d'attaque et de négligence.
Il serait difficile de battre ce crescendo orchestral d’embarras à une véritable enquête scientifique, cette transformation de la science en animaux ballons ayant la forme de Chicken Little ou de Karl Marx. Mais dans The Best American Science et Nature Writing 2017, l'éditeur de la série, Tim Folger, tente le coup. Dans une large mesure, il y parvient, en se demandant si la «science du climat» n'est peut-être pas devenue un oxymore.
Tout d'abord, un mot sur l'itération 2017 de la série. Le rédacteur en chef de cette année, Hope Jahren (l'auteur de Lab Girl (2016)), a rassemblé une collection assez déroutante de pièces véritablement intéressantes et précieuses, entrecoupées de tentations politiques tendancieuses politiquement correctes. Pour commencer par les bonnes entrées, l’essai de Robert Draper (reproduit de National Geographic), intitulé «La bataille pour les Virunga», est un texte étroitement écrit sur le croisement de l’économie, de la politique et de la vie sauvage en République démocratique du Congo. L’essai de David Epstein intitulé «The DIY Scientist, Olympian, and Mutated Gene», raconte la riche histoire humaine de Jill Viles, une patiente atteinte de dystrophie musculaire, dont les connaissances étiologiques extraordinaires ont permis de retrouver des informations génétiques importantes sur la lipodystrophie. Enfin, dans «The Alphath Percée Mission to Alpha Centauri» d’Ann Finkbeiner, inspiré de Scientific American, vous abordez de manière approfondie la manière dont les nouvelles technologies spatiales se déplacent dans la filière de R & D. Ce livre contient également d’autres excellents essais: l’économie politique des antibiotiques dans les élevages de poules de Tom Philpott, les techniques de navigation polynésiennes de Kim Tingley et l’étude bien documentée de Christopher Solomon sur les machinations du Bureau of Land Management dans l’ouest américain.
Malheureusement, l'heuristique éditoriale de Jahren, saturée en politique d'identité, la conduit dans la direction très peu scientifique de placer le scientifique au-dessus de la science. Cela est particulièrement étrange, étant donné que les auteurs qui plongent dans le cartésien et plongent dans l’interspace sont obligés d’admettre qu’ils n’ont aucune idée de qui ils sont. L’athéisme apathique marque par exemple la «science sombre» d’Omar Mouallem. Mouallem laisse échapper un mot ostensiblement parlant de la pollution lumineuse et des efforts déployés pour la combattre. «Je me suis retrouvé une fois au milieu d'un champ en train de regarder un ciel scintillant. Si j'avais encore cru en lui, je dirais que cela ressemble à une éternité de la part de Dieu. »Il est tombé amoureux de son étudiant diplômé, puis l'a virée pour elle» est le récit de Glenn Close-esque de Christian Ott, un Caltech Un professeur d’astrophysique qui se repose devant sa protégée au sujet de ses insécurités profondes tout en publiant en ligne des dizaines de poèmes sur elle. Le physicien Fotini Markopoulou de Sally Davies, «Le pionnier de la physique qui s’éloigne de tout», nous parle du physicien Fotini Markopoulou, qui affirme que «entre la vérité du monde physique et une théorie de la physique, il y a l’être humain. Bien sûr, rien ne se passe là-bas, car le retrait de la personne est l’essentiel de la formation de scientifique. »Et puis, il y a aussi l'histoire déchirante de Michael Regnier qui raconte l'histoire de George Price, l'homme qui l'a littéralement fait: se retirer, se tuer en se tuant le nom de l'étude scientifique de l'altruisme («L'homme qui s'est abandonné»).
RépondreSupprimerMais le vrai couteau de rédaction de ce livre est son programme de réchauffement de la planète. Les changements climatiques se produisent partout, des essais sur le Groenland («Un chant de glace») à l'Alaska («Le nouveau harpon»). Cependant, la pièce de résistance est la «catastrophe invisible» de Nathaniel Rich, reproduite à partir du New York Times Magazine. C'est une agressivité passive augmentée à onze. Rich réussit à prendre ici l'histoire d'une fuite de méthane à Aliso Canyon, en banlieue de Los Angeles, et à la transformer en un smogasbord schadenfreude. Rich s'enorgueillit secrètement du fait que les riches résidents de Porter Ranch, dont beaucoup sont républicains, enfin avoir un avant-goût de leur propre médicament en étant écoeuré par les gaz à effet de serre.
Mais même cet essai est dérisoire par rapport à l’avant-propos véritablement déréglé de Folger. Nous trouvons ici le trope préféré de l’indifférent, à savoir que tout le monde avec qui on est en désaccord est un nazi. Oui, un national socialiste. Et pas n'importe quel type de membre national-socialiste, mais actif, du Parti. Pour être plus précis, les nazis qui brûlent des livres. Voici Folger:
La cosmologie moderne est née en Allemagne il y a un siècle et presque deux ans après sa naissance, elle y a presque disparu. Quand Albert Einstein publia sa théorie générale de la relativité en novembre 1915, il était douteux qu’il aurait pu imaginer à quel point son pays serait profondément dérangé. Le 10 mai 1933 - la même année, Einstein quitta l'Allemagne pour toujours - des foules de jeunes nazis et leurs partisans à travers l'Allemagne alimentaient des feux de joie avec ses papiers, ainsi que des œuvres de Sigmund Freud, Thomas Mann, Bertolt Brecht, Erich Maria Remarque et d'autres prétendument contaminé par Undeutschen Geist - esprit non allemand. Plus de 25 000 livres brûlés ce jour-là, y compris ceux du poète et dramaturge juif du 19ème siècle Heinrich Heine, qui avait autrefois écrit: «Là où ils brûlent des livres, ils finiront par brûler des gens. […] "
Où va Folger avec tout ça ? Qui sont les nazis des temps modernes parmi nous ? Pourquoi, climato-sceptiques et partisans de Trump, bien sûr:
RépondreSupprimerUne mesure de la santé de toute société moderne doit être le degré de soutien apporté à ses scientifiques. Quelques jours avant que je commence à écrire cette préface, des centaines de milliers de personnes dans des dizaines de villes à travers le pays ont participé à la Marche pour la science. C’était un événement à la fois inspirant et inquiétant: inspirant parce que beaucoup défendaient le rationalisme - une réprimande publique envers les dirigeants de la nation qui ne pouvait être plus différente des incendies de livres allemands des années 1930; inquiétant parce que qui aurait pensé qu'au XXIe siècle, les scientifiques et les citoyens ressentiraient le besoin de se rassembler pour soutenir quelque chose d'aussi précieux que la recherche scientifique sans entraves ?
Pourtant, la marche était nécessaire et urgente. Des scientifiques de plus d'une douzaine d'agences fédérales ont lancé des flux Twitter malhonnêtes pour contrer les politiques d'un président effrayé et mal informé qui avait autrefois tweeté «le réchauffement climatique avait été créé par et pour les Chinois». Nous vivons à un moment charnière de l'histoire [; …] Le changement climatique menace non seulement «l'environnement» mais aussi la civilisation elle-même.
Maintenant, pour être juste avec Folger, il est à peine le seul «scientifique» à avoir eu une fusion sur le thème de Hitler après avoir lu des thermomètres dans Queen Maud Land. Nous sommes des créatures déchues et nous laissons tous nos passions nous vaincre de temps en temps. Les scientifiques sont aussi des gens, et quand ils sont surpris en train de truquer le jeu de manière à ce que chaque carte vienne de l'Ace of Hockey Sticks, ils sont susceptibles de s'en prendre aux lanceurs d'alerte comme tout le monde. Au contraire, dans son extrémisme, Folger ne fait que suivre les traces de ses collègues «scientifiques de la Terre». Comme Jacques Cousteau, par exemple, qui affirmait autrefois que «la population mondiale doit être stabilisée et, pour ce faire, nous devons éliminer 350 000 personnes par jour. ”
Cependant, la marque de surveillance météorologique de Folger ne se limite pas à ce qu’elle pourrait paraître au début. Par exemple, les recherches révélatrices de William N. Butos et Thomas J. McQuade, dont le document de 2015 sur les cycles d'expansion et de ralentissement de l'industrie du réchauffement de la planète montrent les liens profonds qui unissent la recherche «scientifique» et l'économie politique. À partir du milieu des années 90, le réchauffement climatique est devenu un sujet à la mode. À partir de ce moment, les gouvernements ont commencé à financer de plus en plus la recherche sur le thème du réchauffement climatique, à l'exclusion d'autres projets. Le «consensus» tant vanté sur le réchauffement de la planète n’est en réalité qu’une illusion créée par un financement préférentiel octroyé par Washington et mis en avant par le Groupe intergouvernemental sur les changements climatiques (GIEC) des Nations Unies. Comme le soulignent Butos et McQuade, la science est supposée être basée sur des hypothèses et des expériences, mais les scientifiques se révèlent aussi vulnérables à la chicane que les politiciens lorsque l’argent destiné à la recherche commence à changer de mains.
Est-ce que c'était tout ? Car ce qui se cache même sous ce voile de politique sous le voile du désintérêt scientifique, c’est un profond malaise ressenti plus vivement par les scientifiques eux-mêmes, sur la véritable nature de leur entreprise «scientifique». Folger est amené à accuser ses détracteurs du nazisme parce qu'il a peur d'affronter leurs arguments. Pourquoi ? Ne pourrait-ce pas être à cause de la faillite épistémologique de ce qui passe pour de la science ?
RépondreSupprimerMaintenant, avant que les bureaux de la QJAE ne soient inondés de courrier haineux, permettez-moi de dire que je ne suis pas un compagnon à part. J'admets pleinement que les ptérodactyles, les diplodocus et les trilobites étaient réels, que l'univers a des milliards d'années, que la Terre tourne autour du soleil et que l'électricité est un électron, pas un vaudou. Je conviens également que le gaz carbonique, le méthane, la vapeur d'eau, l'ozone et d'autres substances sont des gaz à effet de serre et que la réduction de la concentration de ces gaz dans l'atmosphère réduira l'effet de serre qu'ils provoquent. J'ai également regardé M. Wizard, et je ne suis pas ici pour discuter du point de savoir si la force est égale à l'accélération de masse, ou si l'énergie est égale à la matière, multipliée par la vitesse de la lumière au carré.
Non, l'affirmation que je fais ici est beaucoup plus grave que le déni de ces faits. En bref, je dis que les scientifiques d’aujourd’hui, à de rares exceptions près, ne font pas de la science du tout. Ils font de la sociologie. Comme l'a souligné Thomas Kuhn dans The Structure of Scientific Revolutions (1962), par exemple, la science perdure au fil de ses changements de paradigme, le comportement des scientifiques eux-mêmes étant le véritable moteur de la recherche et du consensus. Et Karl Popper, s’il était vivant aujourd’hui, pourrait être intéressé par l’application du critère de la falsifiabilité à des spéculations sauvages telles que celles de Hansen et Folger. La frontière entre science et pseudoscience pourrait se situer beaucoup plus près de celle-ci que de nombreux suspects.
J'ai commencé cet examen en faisant valoir que le climat est complexe. Nous avons donc besoin d’une science capable d’enquêter sur ce phénomène et de véritables scientifiques désireux de changer, capables de dépasser le comportement des troupeaux et d’essayer de comprendre exactement ce qui se passe avec toutes ces molécules de 1,09 x 1044 dans notre atmosphère. Ce dont nous n’avons plus besoin, c’est de plus de charlatans ou de vendeurs d’huile de serpent qui considèrent la science comme un train en marche et les scientifiques responsables de garder tout le monde à bord. Sur cette note, La contre-révolution de la science de Friedrich Hayek: Études sur l'abus de raison (1952) serait un bon point de départ pour apprendre la différence essentielle entre la science et le scientisme, ou la tentative malavisée de réduire la science à moins des fins nobles que la vérité. Peut-être que la prochaine édition de The Best American Science and Nature Writing tiendra compte de certains des conseils judicieux de Hayek et comportera beaucoup plus d’écrits de nature scientifique. Mais à tout le moins, espérons qu'il y aura beaucoup moins de comparaisons entre des dissidents honnêtes - ceux qui veulent vraiment des faits empiriques et des interprétations sans passion - avec des nazis en feu.
https://www.zerohedge.com/news/2019-01-25/when-science-isnt-science
(...) c'était il y a trois millions d'années, alors que le niveau de la mer était d'environ quatre-vingts pieds de hauteur. Quatre-vingts pieds ! (24,38 m). (...)
SupprimerIl y a '3 millions d'années' les continents n'avaient pas leur forme d'aujourd'hui ! Et, lorsque les terres se déplacent elles peuvent effectivement être emportées vers des fonds marins où l'eau va monter à 80 pieds ou le double ou centuple ! ON S'EN FOUT !
(...) Je conviens également que le gaz carbonique, le méthane, la vapeur d'eau, l'ozone et d'autres substances sont des gaz à effet de serre et que la réduction de la concentration de ces gaz dans l'atmosphère réduira l'effet de serre qu'ils provoquent. (...)
Je vous rassure tout-de-suite Jason Morgan n'est PAS un scientifique et ne connait rien aux 'gaz a effet de serre' dont il parle et qui N'EXISTENT PAS ! Même la vapeur d'eau qui est majoritaire ne peut pas être considérée comme un gaz à 'effet de serre'. Le gaz carbonique représente 0,04 % des gaz soit une molécule tout les 400 m ! HAHAHAHA ! 'effet de serre' !!! HAHAHAHA ! Le grillage a les mailles un peu larges !
Le premier distributeur automatique de cannabis au monde est entré en production
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Vendredi, 25/01/2019 - 18:25
Écrit par Elias Marat via The Mind Unleashed,
Pour ceux qui ont participé au marché du cannabis récréatif et médical, l’achat de produits n’a pas toujours été facile.
Que ce soit dans la rue ou dans un dispensaire légal, il y a un risque d'enfreindre la loi, de traiter avec des fournisseurs incohérents ou en voie de disparition, de devoir aller loin pour se rendre au dispensaire le plus proche ou de passer trop de temps dans une file d'attente ou dans une salle d'attente avant de trouver votre produit. Vous ou vos amis vous êtes-vous déjà demandé ce que ce serait comme acheter une vape jetable ou une éponge aussi facilement que vous achèteriez une bouteille d'eau dans un distributeur automatique d'immeuble de bureaux ?
Eh bien maintenant, une société du sud de la Californie a mis au point un moyen novateur d’acquérir vos bourgeons, vos aliments, vos extraits, vos produits à base de CBD et leurs accessoires.
Bienvenue dans l'ère du kiosque automatisé de cannabis intelligent, ou "greenbox".
Décrit comme «les premiers kiosques intelligents au cannabis et au CBD au monde», Greenbox est mis à l'essai dans les dispensaires Erba Collective et Marina Caregivers à Los Angeles, où les utilisateurs récréatifs et médicinaux pourront choisir parmi différentes catégories de distributeurs automatiques. Achetez le produit de leur choix, et rapidement être sur leur chemin.
«Vous êtes déjà assis dans la circulation à LA. Vous voulez entrer, prendre votre produit et être sur votre chemin », a déclaré à Fox 11 LA Zach Johnson, PDG de greenbox Robotics.
Le kiosque automatisé comprend une interface utilisateur décrivant chaque produit et ses effets. Les utilisateurs paient avec une carte de débit ou Apple Pay, après quoi un bras robotique livre les produits choisis.
Outre un système de traitement des paiements, la greenbox est également équipée de caméras de reconnaissance faciale, d’un haut-parleur lui permettant de diffuser de la musique en continu et d’un stockage à température contrôlée.
La Californie a été le premier État à légaliser la marijuana à des fins médicales en 1996. En 2018, l'État a également levé les lois interdisant la vente et l'utilisation de cannabis à des fins récréatives.
La boîte verte n’est actuellement disponible qu’à l’intérieur des dispensaires, mais Johnson espère que les machines seront un jour autonomes.
Dans la littérature de l'entreprise, la robotique Greenbox décrit le nouveau kiosque de distribution de cannabis comme le dernier développement de la révolution technologique dans le monde entier:
«Dès l'instant où nous sortons, nos vies quotidiennes sont simplifiées par les merveilles de l'automatisation moderne. Qu'il s'agisse de pré-commander votre Starbucks sur votre téléphone, d'imprimer votre billet d'avion dans un kiosque d'aéroport ou tout simplement de commander vos achats en ligne, l'automatisation est la graisse qui permet à ce monde en perpétuelle évolution de tourner. Alors, pourquoi l'achat de cannabis et de CBD devrait-il être différent?
greenbox Robotics a exploité la technologie d’automatisation la plus sophistiquée pour rendre votre expérience d’achat et de vente rapide, simple et en avance sur son temps. ”
https://www.zerohedge.com/news/2019-01-25/worlds-first-cannabis-vending-machine-has-gone-live
"Des idées dangereuses" se profilent alors qu'une fois démocratiquement choisis, il n'y a pas de socialisme renversant
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Vendredi, 25/01/2019 - 20:25
Rédigé par Richard Ebeling via l'Institut américain de recherche économique,
Le philosophe George Santayana est crédité de la phrase «Ceux qui ne se souviennent pas du passé sont condamnés à le répéter.» Cela n’a jamais été aussi vrai qu’aujourd’hui, face à la croyance renée en une certaine notion de socialisme «démocratique» et en son planification et redistribution dirigées par le gouvernement. C’est comme si toute l’expérience du XXe siècle avait été effacée de la mémoire de l’humanité.
Presque toutes les formes imaginables de «socialisme» ont été essayées au cours des 100 dernières années. Il y a eu le socialisme marxien sous la forme d'économies entièrement nationalisées à la soviétique, avec une planification centrale gouvernementale stricte et complète sur cinq ans. Il y avait un socialisme national dans l'Allemagne des années 1930 et 1940, avec une entreprise privée placée sous le contrôle total du gouvernement avec une planification centrale nazie de quatre ans. Il y avait le fascisme italien de Mussolini, qui obligeait des entreprises privées et des travailleurs à s’associer à des cartels et à des syndicats sous le contrôle du gouvernement et les prix, les salaires, la production, les conditions de travail et les échanges commerciaux. (Voir Günter Reimann, L'économie de vampire: faire des affaires sous le fascisme [1939], et Walter Eucken, «De la théorie de l'économie à administration centrale: une analyse de l'expérience allemande» [1948].)
Il y avait un socialisme «démocratique» britannique sous le gouvernement du parti travailliste après la Seconde Guerre mondiale, avec des industries nationalisées, des soins de santé socialisés et une planification centrale. Il existait une version française sous le nom de planification «indicative», dans laquelle le gouvernement manipulait les prix et les incitations à la production pour diriger le capital et le travail là où les planificateurs centraux pensaient aller. (Voir John Jewkes, Ordeal by Planning [1948], Bertrand de Jouvenel, Les problèmes de l’Angleterre socialiste [1949], et Vera Lutz, La planification centrale de l’économie de marché: analyse de la théorie et de l’expérience françaises [1969].)
Le gouvernement a planifié par le biais de réglementations et de redistributions de la richesse par le biais d'une politique fiscale. Ce modèle réglementaire redistributif de supervision gouvernementale et de gestion des résultats sociaux et économiques est né des limites et des lacunes inévitables découvertes et admises d'une planification et d'un contrôle plus direct des affaires économiques par le gouvernement.
Coûts et conséquences du socialisme en pratique
Le coût humain subi par les formes extrêmes de socialisme dans la pratique dépasse la plupart de nos imaginations. Des dizaines de millions de personnes - hommes, femmes et enfants ordinaires, non armés et innocents - ont été affamés, torturés, abattus ou exécutés à mort dans des camps de travaux forcés au nom de la construction de ce paradis lumineux et magnifique sur la terre que les communistes , les fascistes et les nazis, tous promis appartiendraient à ceux qu’ils avaient désignés la classe sociale juste et méritante, le groupe national ou la tribu raciale. (Voir mon article «Le coût du socialisme au pouvoir».)
Le socialisme démocratique britannique a sombré dans la découverte que, même dans une démocratie, la planification socialiste gouvernementale implique d'imposer des ordres à tous ceux qui réussissent à ne rendre que la vie stagnante, morne et pauvre pour la plupart des membres de la société. C'est ainsi que nous avons abouti à des économies hautement réglementées, combinées à des réseaux souvent étendus de redistribution des revenus et de filets de sécurité sociale.
La planification centralisée n'a pas fonctionné et a usurpé un niveau élevé de prise de décision quotidienne de la part des citoyens dans pratiquement tous les domaines de la société. Il y a donc eu un pas en arrière: les entreprises réglementées ont toujours un degré de discrétion quant à la direction à suivre pour réaliser des profits, et les revenus du marché ont été modifiés par le code des impôts pour transférer des sommes d'argent et divers biens. et les services dans les directions considérées par le pouvoir politique comme supérieures à celles générées par un marché plus libre. (Voir mes articles «Barack Obama et le sens du socialisme» et «La voie médiane d’Obama entre capitalisme et socialisme signifie moins de liberté».)
RépondreSupprimerSouvenirs perdus et rêves socialistes ravivés
L'effondrement de l'Union soviétique en 1991 et l'échec avoué de la planification centrale du gouvernement et de la brutalité qui l'accompagne dans le monde entier ont jeté le socialisme dans le discrédit et apparemment hors du champ du débat de politique publique. Cela a été inversé à la suite de la crise financière de 2008-2009 et de ses conséquences, et a été classé et condamné comme une nouvelle démonstration de l'échec du capitalisme. Dans son sillage, les idées socialistes gagnent une nouvelle renaissance parmi les universitaires et les experts des médias.
Ce n’est pas que tous les sympathisants socialistes aient réellement disparu après la fin du socialisme soviétique. Ils avaient simplement et surtout boudé silencieusement dans les recoins de l’enseignement supérieur et dans divers autres cercles intellectuels, ne sachant pas s’éloigner pleinement de l’embarras de la désastreuse histoire du socialisme au cours du XXe siècle. Les 10 dernières années leur ont lentement donné un nouveau souffle.
Cela a été facilité avec le temps et avec une nouvelle génération plus jeune, sans mémoire vivante et moins intéressée à comprendre ce à quoi le socialisme dans la pratique avait réellement abouti, en dépit de toutes les promesses et de la rhétorique avec lesquelles il se fondait. s’est couvert pendant son apogée d’arriver au pouvoir dans divers endroits du monde. (Voir mon article «Catastrophe en rouge: le centième anniversaire de la révolution socialiste russe».)
La campagne de Bernie Sanders aux primaires du parti démocrate en 2016 a démontré le regain d’attractivité de l’idée «démocratique» -socialiste. Des millions de personnes ont été attirées par sa promesse d'un bel avenir social et économique, si seulement le gouvernement prenait une part beaucoup plus grande dans la direction et la redistribution de tout dans la société américaine. (Voir mes articles "Le socialisme démocratique" signifie une perte de liberté "et" Le socialisme libéral ", une autre fausse utopie.")
Un Green New Deal implique une planification centrale
Des voix supplémentaires pour un nouveau socialisme sont maintenant sur la scène publique, telles que la représentante du parti démocrate de New York récemment élue, Alexandria Ocasio-Cortez, également membre des Démocrates socialistes d'Amérique. Avant même d'être assermentée à la Chambre des représentants au début de janvier 2019, elle et d'autres ont présenté une proposition concernant la création d'un comité spécial et spécial du Congrès chargé de préparer et de mettre en œuvre un Green New Deal vert.
Ne vous y méprenez pas, ceci est un plan pour la mise en place d'une planification gouvernementale globale couvrant tous les aspects de la vie sociale et économique américaine. Faisant valoir que le monde est confronté à un Armageddon environnemental en raison du réchauffement de la planète, le temps est venu de ne rien faire ou de compter sur les taxes sur le carbone pour réduire l'utilisation de combustibles fossiles ou les réglementations commerciales afin d'influer sur la manière dont les entreprises privées produisent des biens et des services
Il faut agir dès maintenant pour changer comment et ce que les Américains produisent et consomment au cours de la prochaine décennie. Il doit être élaboré «un plan de mobilisation national, industriel, économique détaillé». Il doit être «impulsé» par le gouvernement fédéral en «partenariat» avec les entreprises, les travailleurs, les groupes de «parties prenantes», les peuples autochtones et les communautés à travers le pays. , pour une transition radicale et rapide vers un environnement totalement dépourvu de carbone.
RépondreSupprimerUne voie sans carbone vers la justice sociale
Cela doit être fait en même temps que des engagements et des objectifs en matière de justice et d'égalité sociale, économique, raciale, régionale et entre hommes et femmes. Les syndicats doivent occuper une place de choix, avec la capacité de diriger les salaires et les conditions d'emploi de la justice sur le lieu de travail la poursuite d'une économie post-carbone. Le gouvernement fédéral devrait prendre des participations - c'est-à-dire une propriété directe totale ou partielle - dans des entreprises, des industries et des secteurs de l'économie afin d'atteindre l'objectif de changements environnementaux radicaux.
L’objectif est d’avoir une économie «100%» sans carburant fossile d’ici 10 ans. Tous les commerces et toutes les structures résidentielles devront être transformés de manière spectaculaire en sources d’énergie renouvelables respectueuses de l’environnement. Le gouvernement fédéral devra commander où et ce qui est produit, tant pour l'industrie que pour l'agriculture.
Dans le même temps, cette planification centrale globale et globale de la société américaine visant à sauver la planète peut également constituer «une occasion historique d'éliminer pratiquement la pauvreté aux États-Unis et de mettre la prospérité, la richesse et les opportunités économiques à la disposition de tous ceux qui participent à la transformation. " du pays.
Cela comprendra davantage d'activités de formation et de formation parrainées par le gouvernement et dispensées par le gouvernement, qui comprendront «des programmes de garantie d'emploi garantissant un emploi bien rémunéré à chaque personne qui le souhaite». Les plans et programmes du gouvernement seront spécialement ciblés pour aider à mettre fin «profondément enracinée inégalités de revenu et de richesse fondées sur le sexe, la race et les régions »; et «sans limitation», il y aura les redistributions et les investissements gouvernementaux nécessaires pour élever les groupes «marginalisés» dans diverses régions du pays.
Comment toutes ces activités seront-elles financées avec succès ? L’agenda du Green New Deal proposé aurait ses coûts non seulement couverts par les taxes fédérales et autres habituelles, l’accent étant mis sur la nécessité de taxer tout particulièrement les «riches». Non, la proposition préconise l’utilisation de «la Réserve fédérale, un nouvelle banque publique ou système de banques publiques régionales et spécialisées, [et] fonds de capital-risque publics "pour garantir que les rendements rentables attendus de la mise en œuvre du plan central reviennent au Trésor pour une sélection de futures réductions d'impôts et pour davantage d'investissements publics à l'avenir .
Les nouveaux socialistes veulent être les planificateurs centraux
Le comité du Congrès qui est proposé pour élaborer et soumettre les éléments détaillés et concrets du plan Green New Deal aurait également le pouvoir de diriger et de superviser sa mise en œuvre. En d'autres termes, Alexandria Ocasio-Cortez et ses collaborateurs siégeant au sein d'un comité du Congrès tel qu'approuvé veulent avoir le contrôle sur ce qui serait une version américaine du GOSPLAN de l'Union soviétique, c'est-à-dire un organisme gouvernemental responsable de la planification centrale totale des États-Unis. États.
Les planificateurs centraux ont toujours une vision grandiose et sont impatients de se mettre au travail pour refaire la société à leur image. Nos nouveaux socialistes américains ne sont pas différents en cela que leurs cousins ??collectivistes idéologiques dans d'autres parties du monde au cours du siècle dernier.
RépondreSupprimerLes actions et les investissements des particuliers et des entreprises privées sont trop petits et mal organisés. Redéfinir l’ensemble de l’Amérique en si peu de temps pour sauver la planète et enfin instaurer la «justice sociale» sous tous ses aspects nécessite, ont-ils affirmé, des niveaux et des vitesses d’investissement «massifs», ainsi qu’un horizon temporel à la taille du gouvernement qui englobe des décennies. la société entière sans exception.
Seul le gouvernement, guidé par ceux qui savent et comprennent ce qui doit être fait, quand et où, peut gérer une entreprise aussi vaste, insistent-ils. La tâche que nos nouveaux socialistes se sont assignés est la délocalisation des industries, la restructuration de l’agriculture, la transformation du travail effectué avec quels types de sources d’énergie et la réorganisation de la vie sociale selon une vision de la justice sociale, raciale et sexiste. . "
Tout cela évoque des images de ces plans centraux soviétiques quinquennaux avec des centres industriels créés au milieu de déserts désolés, et d'immenses canaux reliant de puissants fleuves, tous construits avec les mains d'esclaves «ennemis de classe» - ou le nazi géant des projets de construction d'autoroutes traversant l'Allemagne et de stades sportifs plus grands que nature pour accueillir des dizaines de milliers de sympathisants des «dirigeants» qui construisaient un nouveau monde fondé sur une politique d'identité raciale, pas très différente des locaux de notre nouvelle tribu. socialistes et progressistes américains. (Voir mon article «Une victoire pour une« politique d’identité »signifierait la fin de la liberté».)
L'hybride de nos futurs planificateurs centraux
L'hubris vient de toutes les présomptions selon lesquelles ces planificateurs centraux américains savent exactement ce qui doit être fait et pourquoi tout le monde doit suivre avec joie et enthousiasme les ordres de nos prétendus citoyens national-socialistes. Le plan de ce Green New Deal montre son principe totalitaire dans chacun des éléments proposés. Aucun élément de l’économie ne serait exempté du contrôle des planificateurs écologiques. Toute association humaine et chaque statut dans la société serait sujet à modification, comme déterminé par les guerriers de la justice sociale au pouvoir.
La transformation de l'Amérique doit se faire d'ici 10 ans si l'on veut sauver la planète de dommages environnementaux irréparables, affirment-ils. Les planificateurs sont convaincus qu'en 2020, le parti démocrate conservera non seulement son contrôle sur la Chambre des représentants, mais capturera également le Sénat ainsi que la Maison-Blanche. Ensuite, ce sera «tout le pouvoir des socialistes démocrates». Le plan sera prêt pour une mise en œuvre immédiate. Ils sont pressés et il n'y a pas de temps à perdre.
Une fois démocratiquement choisi, pas de socialisme renversant
Mais qu'advient-il de la démocratie après cela ? Que se passera-t-il si «le peuple» a des doutes lors des années électorales 2022, 2024, 2026 ou 2028 ? Et si d’autres voix contestaient les prémisses et les politiques des Green New Dealers ? Si l’existence de la planète et la justice sociale pour toujours sont en jeu, nos socialistes démocrates peuvent-ils laisser les décisions de vote instables et erronées de certaines personnes modifier le cours collectiviste adopté ?
Certes, il serait irrationnel de permettre le démantèlement du plan central, de revenir à un intérêt personnel chaotique et motivé par un but lucratif, de défaire tout ce que la révolution avait tenté de réaliser. La volonté des personnes socialement justes ne pouvait être renversée à cause des caprices de vote mal informés et mal orientés sous l’influence d’intérêts sinistres qui les opposaient à leurs intérêts véritables et réels.
RépondreSupprimerOh, nous avons déjà entendu tout cela, et sans aucun doute, s'ils venaient au pouvoir, nous l'entendrions encore une fois. Mais, mais… ça ne peut pas arriver ici ! Pensez encore. La logique de la planification centrale sape les institutions et l'esprit de liberté. En concentrant le pouvoir et la prise de décision entre les mains du gouvernement, la planification centralisée socialiste affaiblit tout d'abord les centres de choix et d'association autonomes.
Droits de propriété et choix personnel
L'un des aspects les plus essentiels des droits de propriété privée est la création de potentiels centres de contrôle et de pouvoir discrétionnaire en dehors du pouvoir politique. La propriété privée sur des marchés libres fonctionnels permet des sources d’emploi et de revenus indépendantes du gouvernement. L'individu n'a pas à s'inquiéter de la perte d'un emploi gouvernemental, ni de ses revenus et avantages fournis par le gouvernement, ni de ses chances d'amélioration personnelle en raison d'un désaccord ou d'une opposition pacifique aux politiques et pratiques de l'État.
Des marchés libres et concurrentiels offrent aux personnes une multitude de moyens de suivre simultanément des objectifs divers avec des moyens alternatifs considérés comme meilleurs que ceux choisis par d’autres membres de la société. Les erreurs et les doutes quant aux buts et objectifs à poursuivre et à la meilleure façon de le faire peuvent être modifiés de différentes façons par différentes personnes à différents moments, sans qu'il soit nécessaire de convaincre ou d'obtenir l'accord électoral d'un nombre suffisant d'autres personnes par le biais d'un processus de vote. (Voir mon article «Planification politique contre planification personnelle par tout le monde».)
Planification centrale signifie prise de décision centralisée
Mais c’est exactement ce que nos nouveaux socialistes américains sont impatients et veulent éliminer. Il doit exister une hiérarchie maîtresse de valeurs, avec un plan directeur centralisé et mis en œuvre pour la mener à bien, tous les membres de la société acceptant et subordonnant leurs souhaits et désirs personnels.
Ce qu’ils veulent vraiment, c’est une version du «centralisme démocratique», c’est-à-dire un cercle restreint de personnes idéologiquement motivées par les mêmes buts et idéaux collectivistes généraux qui négocient et divisent le butin social pour les factions et les groupes d’intérêt basés sur la politique de l’identité. qu'ils représentent, respectivement, sans aucune ingérence des individus et des groupes ignorants «réactionnaires» et supposés être sectaires et racistes, qui ne comprennent pas la nature d'une véritable «démocratie populaire».
Le rôle de ces masses non informées, qui doivent être constamment soumises à la «rééducation» du gouvernement, consiste à produire la richesse et la production dont les planificateurs du Green New Deal ont besoin pour poursuivre leurs rêves de pouvoir. Et ne vous inquiétez pas, s'ils ne peuvent pas piller suffisamment d'argent par le biais de la fiscalité pour couvrir les coûts de leurs programmes d'ingénierie sociale, ils disent qu'ils se tourneront vers la Réserve fédérale pour créer toute la monnaie-papier dont ils auront besoin pour payer tout ce qu'ils veulent. faire. Nous nous félicitons de la possibilité d’une hyperinflation de type vénézuélien fondée sur une économie stagnante, bâtie sur la folie politique de ceux qui prétendent savoir comment chacun devrait vivre dans le cadre de l’agenda central des planificateurs pour un nouveau monde sans carbone.
RépondreSupprimerCe sont des idées dangereuses qui menacent de nouveau les fondements et le fonctionnement de ce qui reste de liberté personnelle et de libre entreprise aux États-Unis. Le fanatisme pervers des Green New Dealers et son enthousiasme idéologique pour une Amérique collectiviste ne doivent pas être sous-estimés. Il est essentiel de comprendre leurs suppositions politiques erronées et les conséquences économiques préjudiciables de leur accession au pouvoir si l'on veut éviter une voie «verte» vers le servage.
https://www.zerohedge.com/news/2019-01-25/dangerous-ideas-loom-once-democratically-chosen-theres-no-reversing-socialism
Russie, Chine, Inde et Iran: le quadrant magique qui change le monde
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Vendredi, 25/01/2019 - 23:05
Écrit par Federico Pieraccini via la Fondation pour la culture stratégique,
Avec la fin du moment unipolaire, qui a vu Washington dominer les relations internationales, les pays les plus riches et les plus puissants d'Eurasie commencent à s'organiser en structures d'alliance et en accords visant à faciliter le commerce, le développement et la coopération.
Au plus fort du moment unipolaire américain, Bill Clinton dirigeait un pays en pleine reprise économique et les stratèges du Pentagone élaboraient des plans pour façonner le monde à leur image et à leur ressemblance. L'objectif non déclaré était un changement de régime dans tous les pays dotés de systèmes politiques non approuvés, ce qui permettrait la prolifération de la «démocratie» créée par nous aux quatre coins du monde. Il est clair que les pays eurasiens comme la Russie, l’Inde, la Chine et l’Iran figuraient en tête de liste, tout comme les pays du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord.
Le bombardement et la destruction de la Yougoslavie ont constitué la dernière étape de l'assaut de la Fédération de Russie à la suite de la dissolution du pacte de Varsovie. Eltsine représentait le moyen par lequel la haute finance occidentale avait décidé d’aspirer toute la richesse de la Russie, de privatiser des entreprises et de piller des ressources stratégiques.
La Chine, en revanche, a connu une renaissance du fait que des entreprises de fabrication américaines et européennes se sont installées dans le pays pour profiter de la main-d'œuvre bon marché qu'elle offrait. L'Inde, historiquement proche de l'URSS, et l'Iran, historiquement opposé à Washington, luttaient pour trouver un nouvel équilibre dans un monde dominé par Washington.
Téhéran était clairement en conflit ouvert avec les États-Unis à cause de la révolution islamique de 1979 qui a libéré le pays de la soumission occidentale sous le Shah Mohammad Reza Pahlavi. L’Inde a compris la nouvelle réalité et jeté les bases d’une coopération étroite avec Washington. Auparavant, le recours au djihadisme en Afghanistan, par le biais de la coordination entre le Pakistan, l'Arabie saoudite et les États-Unis, avait gravement compromis les relations entre l'Inde et les États-Unis, rappelant que New Delhi était un allié important de Moscou pendant la guerre froide.
Après la chute du mur de Berlin et le début de l'ère unipolaire, l'Inde, la Russie, la Chine et l'Iran ont entrepris leur renaissance historique, en partant de positions très différentes et en empruntant des voies différentes. L'Inde a compris que Washington disposait d'un immense pouvoir économique et militaire. Malgré les premiers contacts étroits entre Clinton et le Premier ministre indien Atal Bihari Vajpayee, les relations entre New Delhi et Washington ont atteint des sommets inattendus pendant l'ère Bush. Une série de facteurs ont contribué à souder le lien. Tout d’abord, c’est la réalité de la forte croissance économique de l’Inde. Deuxièmement, l'Inde offrait la possibilité de contrebalancer et de contenir la Chine, un scénario géopolitique classique.
Au cours de cette période unipolaire délicate, deux événements très importants pour la Russie et la Chine ont marqué le début de la fin des plans de Washington pour la domination de la planète.
Tout d'abord, Poutine est devenu président de la Fédération de Russie le 31 décembre 1999.
Deuxièmement, Beijing (Pékin) a été acceptée au sein de l'Organisation mondiale du commerce (OMC).
La puissance économique chinoise d’aujourd’hui a pris son envol grâce au déplacement des usines industrielles occidentales en Chine, qui a vu leurs dividendes tripler et coûter plus de la moitié. C'était un modèle gagnant pour le capitaliste et un perdant pour le travailleur d'usine occidental, comme nous le verrions 20 ans plus tard. La pensée stratégique de Poutine, nouvellement élu, était visionnaire sur le plan géopolitique et reposait sur une refonte complète de la doctrine militaire russe.
RépondreSupprimerLa Chine et la Russie ont d'abord cherché à suivre la voie de la coopération et du développement indiennes avec Washington. Moscou a tenté un dialogue franc avec Washington et l'OTAN, mais la décision prise en 2002 par les États-Unis de se retirer du Traité sur les missiles antimissile balistiques (Traité ABM) a marqué le début de la fin du rêve occidental d'intégrer la Fédération de Russie à l'OTAN. Pour Pékin, le chemin était plus difficile, grâce à un cercle vicieux dans lequel l’Occident s’est déplacé en Chine pour augmenter ses bénéfices, qui ont ensuite été investis sur le marché américain, multipliant les gains plusieurs fois. Il semblait que les Américains étaient sur la bonne voie jusqu'à ce que, vingt ans plus tard, toute la classe moyenne et la classe ouvrière soient réduites à l'ennui.
Après le 11 septembre 2001, Washington se détourna rapidement de la question de la "lutte" contre le terrorisme. C'était un moyen opportun d'occuper des pays d'importance tactique dans des régions d'importance stratégique de la planète. En Eurasie, les forces américaines se sont installées en Afghanistan sous prétexte de combattre Al-Qaïda et les Taliban. Au Moyen-Orient, ils occupent l'Irak pour la deuxième fois et en ont fait une base opérationnelle à partir de laquelle déstabiliser le reste de la région.
Alors que l'Inde et la Chine recherchaient principalement une croissance pacifique pour autonomiser économiquement la région asiatique, la Russie et l'Iran ont compris de bonne heure que l'attention de Washington allait finir par les attirer. Moscou était toujours considérée comme un ennemi mortel par les guerriers néoconservateurs de la guerre froide, tandis que la révolution islamique de 1979 n'était ni oubliée ni pardonnée. Dans la décennie qui a suivi les attentats du 11 septembre 2001, les bases de la création d’un ordre multipolaire ont été jetées, générant ainsi l’immense chaos de transition que nous connaissons actuellement.
L’Inde et la Chine ont poursuivi leur chemin pour devenir des géants économiques, alors même qu’il existait une rivalité latente mais constante, tandis que l’Iran et la Russie poursuivaient leur chemin de rajeunissement militaire afin d’assurer une force de dissuasion suffisante pour décourager toute attaque israélienne ou américaine respectivement. .
Le "printemps arabe" de 2011 a marqué le point de rupture de cet équilibre géopolitique délicat. Alors que l'Inde et la Chine poursuivaient leur croissance économique, tandis que la Russie et l'Iran devenaient des puissances régionales difficiles à contourner, les États-Unis saccage unipolaire, bombardement de la Somalie, de l’Afghanistan et de l’Iraq après le bombardement de la Yougoslavie, alors que le Pentagone mettait au point des opérations légères au Moyen-Orient avec l’aide des Saoudiens, Israéliens, Britanniques et Français, qui ont aidé et armé des djihadistes locaux à semer la destruction. D'abord la Tunisie, puis l'Egypte et enfin la Libye. Plus de morts, plus de bombes, plus de chaos. Les signes avant-coureurs étaient évidents pour toutes les puissances régionales, de la Chine à la Russie en passant par l'Inde et l'Iran. Même si les synergies n'étaient toujours pas en place, il était clair pour tout le monde ce qu'il fallait faire. La déstabilisation américaine dans le monde devait être maîtrisée, en particulier en Eurasie, au Moyen-Orient et en Afrique du Nord.
Lentement et non sans problèmes, ces quatre pays ont entamé une coopération militaire, économique, politique et diplomatique qui a permis, presque une décennie plus tard, de mettre fin au moment unipolaire américain et de créer une réalité multipolaire avec différents centres de pouvoir.
RépondreSupprimerLa première confirmation de cette nouvelle phase des relations internationales, favorisée par les liens historiques, a été la coopération de plus en plus multiforme entre l’Inde et la Russie. L’attachement de la Chine et de la Russie au Moyen-Orient et à l’Afrique du Nord à la suite des actions de l’administration Obama au Moyen-Orient avec ses sources arabes, le bombardement de la Libye et la déstabilisation de la Syrie. Ils craignaient qu'un chaos prolongé dans la région ne finisse par nuire à leurs propres économies et à la stabilité sociale.
La coupure finale a été le coup d'État en Ukraine, ainsi que l'escalade des provocations dans la mer de Chine méridionale à la suite du lancement par les États-Unis de son soi-disant «Pivot vers l'Asie». La Russie et la Chine se trouvaient ainsi forcées dans une situation que ni l'une ni l'autre n'avait jugée impossible depuis 40 ans: unir leurs efforts pour changer l'ordre mondial en retirant Washington de son estrade de superpuissance. Au départ, il y avait des accords économiques étonnants qui ont laissé les planificateurs occidentaux perplexes. Viennent ensuite les synergies militaires et enfin diplomatiques, exprimées par un vote coordonné au Conseil de sécurité des Nations Unies. À partir de 2014, la Russie et la Chine ont signé d'importants accords qui ont jeté les bases d'un duopole eurasien de longue date.
L’héritage d’Obama ne s’est pas arrêté avec plus de 100 000 djihadistes libérés dans le pays, financés par les États-Unis et ses alliés. Cela a conduit Moscou à intervenir en Syrie pour protéger ses frontières et empêcher l’avancée éventuelle des djihadistes sur le Caucase, un enfer historiquement fragile. Ce mouvement a été salué par le Pentagone comme un nouveau "Vietnam" pour la Russie. Mais ces calculs étaient complètement faux, et Moscou, en plus de sauver la Syrie et de contrecarrer les plans de Washington et de ses confédérés, renforça considérablement sa relation avec l'Iran (une relation pas toujours simple, surtout pendant la période soviétique), la hissant au sommet. niveau de coopération régionale.
L'héritage d'Obama consistait à créer par inadvertance un triangle stratégique associant l'Iran, la Chine et la Russie à l'élaboration de projets et de programmes de haut niveau pour la région et au-delà. Cela représente un désastre pour la politique étrangère américaine et la fin incontestable du rêve unipolaire.
Quelques années plus tard, Trump est aux commandes des États-Unis et répète un mantra: America First. Du point de vue indien, cela a encore aggravé les relations entre les deux pays, avec des sanctions et des devoirs imposés à l'Inde pour ce qui était une décision occidentale à l'origine de transférer l'industrie manufacturière dans l'Inde à bas salaires afin d'engraisser davantage les chèques de paie des PDG des entreprises euro-américaines.
L'Inde de Modi est obligée d'accroître considérablement ses liens avec l'Iran pour garantir son autonomie stratégique en matière d'approvisionnement en énergie, sans oublier la proximité géographique des deux pays. Dans ce contexte, la victoire de la Russie et de l’Iran contre le terrorisme au Moyen-Orient pacifie la région et stabilise la Syrie, l’Égypte, l’Iraq et la Libye, permettant ainsi le développement de nouveaux projets tels que le méga investissement «Route de la soie 2.0» sur lequel Beijing attache une importance considérable.
Nous pourrions poursuivre dans cette voie en détaillant comment même la Chine et l’Inde ont surmonté leur méfiance historique, sachant bien que diviser pour régner ne profite qu’à ceux qui se trouvent de l’autre côté de l’océan, et certainement pas à deux pays connaissant une forte croissance économique. frontière couvrant des milliers de miles. Les rencontres entre Modi et Xi Jinping, ainsi que celles entre Poutine et Xi Jinping ou Poutine avec Modi, montrent à quel point ces trois dirigeants ont l’intention d’assurer un avenir pacifique et prospère à leurs citoyens. union avec l'abandon des conflits et des différends.
RépondreSupprimerLes synergies de ces dernières années sont passées des sphères militaire et diplomatique à la sphère économique, notamment grâce à Donald Trump et à sa politique agressive consistant à utiliser le dollar comme un club permettant de frapper des opposants politiques. Une dernière mesure à prendre par ces pays est la dépollution, qui joue un rôle important dans la capacité des États-Unis à exercer une influence économique. Même si le dollar américain devait rester central pendant plusieurs années, le processus de dédollarisation est irréversible.
À l'heure actuelle, l'Iran joue un rôle essentiel dans la manière dont des pays comme l'Inde, la Russie et la Chine peuvent réagir de manière asymétrique aux États-Unis. La Russie utilise le pouvoir militaire en Syrie, la Chine recherche l'intégration économique sur la Route de la soie 2.0 et l'Inde contourne le dollar en vendant du pétrole en échange de biens ou d'une autre monnaie.
L’Inde, la Chine et la Russie utilisent le Moyen-Orient comme un tremplin pour faire avancer l’intégration énergétique, économique et militaire, repoussant les plans des néo-conservateurs de la région, envoyant ainsi indirectement un signal à Israël et à l’Arabie saoudite. D'autre part, les conflits en Syrie, en Irak et en Afghanistan sont des occasions de rétablir la paix, de faire progresser l'intégration de dizaines de pays en les intégrant dans un projet majeur incluant l'Eurasie, le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord au lieu des États-Unis et de ses États suppléants.
Bientôt, il y aura un point de rupture, non pas tant sur le plan militaire (car la doctrine nucléaire MAD reste valable), mais plutôt sur le plan économique. Bien sûr, l’étincelle proviendra du changement de la dénomination dans laquelle le pétrole est vendu, à savoir le dollar américain. Ce processus prendra encore du temps, mais c'est une condition indispensable pour que l'Iran devienne un hégémon régional. La Chine se heurte de plus en plus à Washington; La Russie a de plus en plus d'influence dans l'OPEP; et l'Inde pourrait enfin décider d'embrasser la révolution eurasienne en formant une place stratégique impénétrable contre Washington, ce qui modifiera l'équilibre du pouvoir mondial à l'Est après plus de 500 ans de domination de l'Occident.
https://www.zerohedge.com/news/2019-01-25/russia-china-india-iran-magic-quadrant-changing-world
La Banque d'Angleterre aurait refusé de rendre de l’or au Venezuela
RépondreSupprimer08:36 26.01.2019
À la demande des États-Unis, la Banque d'Angleterre a refusé de rendre de l’or au gouvernement de Nicolas Maduro pour un montant de 1,2 milliard de dollars (1,05 milliard d’euros), comme le rapporte l’agence Bloomberg.
La Banque d'Angleterre a refusé au Président du Venezuela Nicolas Maduro sa demande de livraison de lingots d'or pour une valeur de 1,2 milliard de dollars (1,05 milliard d'euros), selon Bloomberg qui cite des sources renseignées sur la question.
Une ressource anonyme a fait savoir à l'agence Bloomberg que la décision de ne pas livrer l'or avait été prise après que des hauts fonctionnaires américains, notamment le secrétaire d'État américain Mike Pompeo et le conseiller à la sécurité nationale John Bolton, avaient fait pression sur leurs interlocuteurs britanniques pour qu'ils interdisent l'accès à M.Maduro à ses actifs à l'étranger.
L'agence note que des responsables américains tentent désormais d'envoyer au Venezuela des actifs étrangers à Juan Guaido afin d'accroître leurs chances de prendre le contrôle du gouvernement.
Juan Guaido lui-même a jugé que la décision de la Banque d'Angleterre relève de la protection des actifs du pays.
«Nous ne permettrons plus d'abuser et de voler de l'argent, de la nourriture, des médicaments et donc l'avenir de nos enfants».
Bloomberg ajoute que les réserves étrangères de la Banque centrale du Venezuela s'élèvent à 8 milliards de dollars (7,02 milliards d'euros). Une partie des actifs se trouve dans la Banque d'Angleterre, le reste des actifs dans un lieu inconnu.
Auparavant, il a été relevé que le Venezuela souhaitait récupérer de la Banque d'Angleterre des lingots d'or pour une valeur de 550 millions de dollars (482,44 millions d'euros), par crainte d'être bloqué à cause des sanctions imposées contre le pays.
L'opposant Juan Guaido, congédié le 22 janvier du poste de président de l'Assemblée nationale vénézuélienne sur décision de la Cour suprême, s'est autoproclamé mercredi «Président en exercice» du pays et a prêté serment pendant une manifestation à Caracas. Donald Trump l'a reconnu comme «Président par intérim».
Nicolas Maduro a estimé que les États-Unis avaient essayé d'organiser un coup d'État au Venezuela et a rompu les relations diplomatiques avec ce pays, donnant 72 heures à ses diplomates pour quitter le territoire vénézuélien. M. Maduro a qualifié M. Guaido de Président non-constitutionnel.
https://fr.sputniknews.com/international/201901261039788359-banque-d-angleterre-or-usa-maduro-venezuela/
Smith: le féminisme est une maladie - et la masculinité est le remède
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Vendredi, 25/01/2019 - 23:45
Écrit par Brandon Smith via Alt-Market.com,
Il semble que ces jours-ci, comme tout le monde, ont leur grand-mère féminine, qui a une vision «profonde» de l'esprit et du monde des hommes. On parle des hommes et de la masculinité dans les médias avec un ton de peur vif mêlé de dédain, comme s'il s'agissait d'une anomalie génétique aberrante et dangereuse qui doit être étudiée sous un microscope spécial qui protégera l'observateur des influences de nos phéromones vitrioliques. Le problème est que la plupart de ces «experts» en matière de masculinité ne sont pas du tout des hommes ou que leurs observations du comportement masculin sont entachées de ressentiments profonds. C'est-à-dire qu'ils ne sont guère objectifs.
Je suis récemment tombé sur un article de l'Atlantique intitulé "La psychologie a une approche plus saine pour bâtir des hommes en meilleure santé". Écrit à peu près à la même époque que l'échec embarrassant de la campagne publicitaire de Gillette sur la "masculinité toxique", je suppose que l'Atlantique, à l'instar de nombreux autres médias grand public, était au courant de cette propagande à venir et tente de rassembler les troupes de gauche pour défendre un partenaire idéologique dans le crime.
YouTube lui-même a même aidé Gillette en supprimant les dépréciations du décompte des votes de la vidéo, ce qui montre que YouTube (propriété de Google) n'est pas une entreprise mais une machine de propagande, pure et simple.
Comme je l'ai noté dans des articles précédents sur la psychologie non seulement des mondialistes, mais aussi des idiots utiles de la gauche politique qu'ils aiment exploiter, ces types de personnes présentent souvent bon nombre des traits de sociopathes narcissiques. Selon mes observations, les sociopathes narcissiques ont tendance à venir en aide à d’autres sociopathes narcissiques lorsqu’ils doivent faire l’objet de poursuites ou de poursuites. Ils ne sont pas aussi isolés les uns des autres comme beaucoup le supposent. En fait, ils "s'organisent" et agissent pour s'entraider tant qu'il y a un bénéfice mutuel. Si les villageois pourchassent un vampire avec leur fourche, ils savent que TOUS les vampires pourraient éventuellement être traqués.
L'analyse de The Atlantic par The Atlantic n'a rien de particulièrement spécial; cela ne fait que régurgiter toutes les idées fausses et les idées fausses typiques des féministes, mais de manière plus subtile et d'une manière qui pourrait paraître "rationnelle" pour les non-scolarisés.
Je demande aux lecteurs d’étudier cet article, car c’est un exemple parfait du genre de propagande avancée à laquelle les hommes sont confrontés: le dangereux mélange de pseudoscience et de cultisme. Il se présente comme scientifique sans aucune base scientifique. Il se présente comme juste tout en étant idéologiquement biaisé à l'extrême. C'est comme si on voulait "aider" les hommes tout en les traitant comme si on souffrait d'une maladie mentale appelée "masculinité traditionnelle".
Le fait est que le féminisme lui-même est tellement disloqué de la réalité observable que presque tous les points de vue adoptés par le mouvement à la dérive sont exactement le contraire de la vérité. C’est souvent à dessein - ces personnes ne sont pas intéressées par une argumentation scientifiquement ou moralement correcte, elles veulent seulement «gagner» l’argument par tous les moyens nécessaires. La méthode de débat et de révolution de Saul Alinsky, gardien de gauche, a toujours consisté à supprimer toutes les morales et tous les principes pour promouvoir une idéologie. Le but est de calomnier votre adversaire de la manière la plus efficace, même si la calomnie est entièrement frauduleuse, tout en évitant les faits à tout prix si les faits ne sont pas en votre faveur.
Cela dit, je pense aussi que les guerriers de la justice sociale se sont tellement plongés dans le cultisme et le fanatisme qu'ils ont vraiment perdu de vue le monde réel et les preuves concrètes. Dans de nombreux cas, ils peuvent même ne pas comprendre que les mensonges qu’ils promeuvent repoussent le public au lieu de les endoctriner. Cela fonctionne à notre avantage. leurs illusions sont notre avantage, pour le moment. Mais les illusions peuvent être puissantes et peuvent parfois mener une vie propre. Et si un jour les mensonges sur les hommes et la masculinité devenaient tellement enracinés que notre société était ravie par la religion anti-homme ?
RépondreSupprimerEh bien, nous pouvons déjà voir certains des dommages causés aujourd'hui. Alors, quels sont ces mensonges sur la masculinité ? Pourquoi ne pas commencer par le titre évocateur de l'article de l'Atlantique et son contenu manipulateur ...
Les hommes doivent-ils être «construits» ou «moulés»?
Le culte de la justice sociale est obsédé par le modelage de la société. Non seulement façonner l'opinion publique à grande échelle, mais façonner chaque individu selon un standard idéologique spécifique - un rouage parfait dans une machine parfaite. Ils veulent un contrôle total de l'esprit des gens et ils feraient n'importe quoi pour l'obtenir. Le problème est que les hommes ne sont pas "construits", ils sont nés. La «masculinité traditionnelle» n'existe pas, il n'y a que la masculinité biologique.
Les cerveaux des hommes et des femmes sont différents. C'est un fait biologique. Nous sommes non seulement différents en termes d'effets hormonaux, mais notre cerveau fonctionne différemment au niveau neurologique. La cabale de la justice sociale consacre énormément de temps et d'énergie à tenter de nier les réalités génétiques à l'aide de la malbouffe présentée comme un fait. Un petit conseil pour les féministes: si un groupe entreprend une étude avec un résultat préconçu, son étude n’est en aucun cas scientifique.
Les traits masculins sont le produit de nos impératifs biologiques. Ces impératifs se manifestent psychologiquement chez la majorité des hommes en tant que désir de protéger, d’offrir et de laisser un héritage durable. Ces normes masculines sont essentiellement innées, elles sont le produit de millions d'années d'évolution et ne sont pas un produit arbitraire de la «société» comme le prétendent les féministes. La masculinité a toujours été une nécessité de survie pour l’humanité, c’est pourquoi elle existe au départ.
Ce n'est que depuis une trentaine d'années environ que la virilité biologique a été soudainement traitée comme s'il s'agissait d'une anomalie ou d'une anomalie.
Les entraînements masculins sont-ils des «constructions sociales» ?
Les pulsions biologiques inhérentes à la plupart des hommes conduisent à certains comportements: par exemple, nous avons tendance à être plus susceptibles que les femmes de prendre des risques menaçant leur vie ou de changer des vies, ce qui signifie que nous pourrions faire quelque chose d'assez stupide ou de faire quelque chose de génial notre monde pour de nombreuses années à venir. Beaucoup d'hommes sont des joueurs constants dans tous les aspects de la vie; les femmes, pas tellement. Son plus gros pari dans la vie est généralement avec quel homme elle choisit de passer son avenir.
Lorsqu'ils poursuivent un héritage, les hommes cherchent souvent à créer une meilleure piège à souris. Ils veulent créer quelque chose qu'ils puissent marquer et dire: «J'ai ajouté au monde, je l'ai amélioré, je me souviens de moi…». Les femmes sont plus enclines biologiquement à développer un héritage en prenant soin des enfants et de leur famille "Horloge biologique" dont on entend toujours parler).
RépondreSupprimerLes hommes désirent aussi la famille, mais avant tout dans le sens de poursuivre notre lignée génétique. L’intérêt sexuel a été présenté comme l’un des «délits» déterminants des hommes en général, mais biologiquement, les hommes sont conçus pour poursuivre et, franchement, c’est une nécessité.
Les taux de testostérone chez les hommes occidentaux sont en forte baisse depuis au moins 30 ans. La source de ce problème est sujette à débat, mais je tiens à noter que les médicaments psychotropes tels que les antidépresseurs sont bien établis en tant que tueurs de testostérone. Le Ritalin, prescrit aux garçons par des millions de personnes aujourd'hui pour le TDAH afin de supprimer ce que l'on pourrait autrement qualifier de comportement hyperactif masculin normal, a également été associé dans certaines études à une réduction de la testostérone et à une perturbation de la puberté. Enfin, les opioïdes ont également été identifiés comme responsables de la réduction de la testostérone. Alors que les États-Unis sont aux prises avec une crise des opioïdes, n’est-il pas étonnant que les garçons aient tant de difficultés à se transformer en hommes ?
Je citerais l'idéal féministe du contrôle du comportement des hommes (souvent avec des drogues) comme une partie du problème. Combinez cela avec la diabolisation de la masculinité dans la société et vous avez une recette pour l'effondrement de la civilisation telle que nous la connaissons. Les résultats deviennent très visibles.
Alors que la propagande féministe présente souvent les femmes comme les nouveaux «poursuivants» et arbitres de toutes les activités sexuelles de notre époque moderne (le mensonge du renversement des rôles), les résultats d'hommes moins confiants et agressifs deviennent évidents. En Occident et dans des pays comme le Japon à forte influence occidentale, l'avertissement de la virilité masculine a apparemment eu des conséquences extrêmes. La population n'est plus reconstituée et certains pays subissent même un déclin brutal.
Dans les sociétés où l'idéologie de gauche a produit le féminisme militant ainsi que le socialisme économique, il est impossible de nier l'ironie des conséquences. Dans le socialisme, une population vieillissante nécessite un nombre croissant de jeunes pour pouvoir soutenir économiquement ceux qui partent à la retraite, mais la réduction de la population a créé un vide grandissant dans le cadre socialiste. En réponse, les gauchistes de ces pays ont suggéré une immigration massive pour résoudre le problème. Pourtant, une grande partie de cette immigration provient de cultures orientales aux croyances totalement contraires aux idéaux féministes.
La dérision féministe de la masculinité les a amenés à importer les "cultures du viol" qu'ils accusaient à l'origine de perpétuer les hommes occidentaux. C'est bien de rire, je sais que je dois le faire.
Ce n'est que dans un cadre politiste socialiste et collectiviste que des personnes peuvent survivre sans une forte présence masculine. Supprimez une économie axée sur le consommateur où la production a été abandonnée, supprimez les programmes d'aide sociale et de protection sociale, supprimez l'état extrême de nounou par hélicoptère et obligez les gens à être autonomes, et toutes ces absurdités féministes sont mises à la poubelle. Lorsque le système n'est plus le fournisseur, les gens se tournent toujours vers les hommes et la masculinité pour sauver la situation.
RépondreSupprimerLa masculinité est malsaine ?
Les preuves suggèrent que nous devrions renverser complètement cette affirmation et dire que la masculinité est tout à fait naturelle et que le féminisme est malsain. Le féminisme est une maladie et la masculinité est le remède.
Comme mentionné ci-dessus, contrairement au féminisme, la masculinité n'est PAS une construction sociale ou une idéologie, c'est une réalité biologique inhérente. Ce que les féministes présentent souvent comme des comportements «malsains» dans la masculinité est simplement fabriqué ou exagéré, et je parle d'un point de vue occidental en particulier.
Alors que les hommes sont conçus pour être plus agressifs sexuellement, il n’existe pas de «culture du viol» dans la société occidentale. Nulle part dans le monde occidental, le viol n'est considéré comme acceptable. Nulle part il n'est protégé par la loi. Le mouvement #MeToo est encore une autre initiative de propagande qui vise à engager des actions criminelles d’un nombre restreint d’hommes et à les appliquer à TOUS les hommes et à la masculinité en général. Le mensonge de la culture du viol est promu par des statistiques fausses et truquées. Le fait qu'une grande partie des agressions sexuelles signalées soient perpétrées par des femmes est également ignoré. De toute évidence, le viol n'est pas le domaine exclusif de la masculinité.
Au-delà du mensonge selon lequel «tous les hommes sont violés», l'énergie et l'agressivité masculines sont admonestées comme étant laides et perturbantes. Tout le monde sait bien sûr que les hommes sont des sauvages. Mais après une longue journée de viol, comment pourrions-nous avoir l’énergie nécessaire pour partir à la recherche d’un nombre suffisant de coups de poing? Apparemment, nous le faisons selon les féministes et nous encourageons nos fils à faire de même, ce qui prolonge le cycle de la violence qui sévit dans le monde.
En vérité, l'agressivité masculine est canalisée dans de nombreuses choses saines qui aident la société. L'avantage concurrentiel pousse les hommes à accomplir davantage - à réussir. Et bien que dans certains cas, cela puisse être une poursuite égoïste, cela profite toujours à d’autres comme les hommes continuent à produire et à construire. En termes de violence physique, les hommes sont biologiquement développés pour protéger et subvenir aux besoins des autres. Le problème n'est pas les hommes ou la masculinité, mais une minorité d'hommes ET de femmes aux tendances narcissiques et sociopathiques inhérentes.
À moins que quelque chose ne me manque, le monde est toujours un endroit très dangereux à cause d'une minorité de psychopathes. Les hommes avec des natures protectrices seront toujours nécessaires pour se défendre contre une telle criminalité. Le féminisme cherche en réalité à atténuer les traits très masculins qui rendent la société plus sûre et plus équilibrée.
La masculinité est le remède
RépondreSupprimerDans l’ensemble, le monde occidental est en train de devenir un endroit très malheureux. Le suicide chez les hommes est en hausse, mais n'oublions pas que le féminisme nuit également aux femmes. Alors que les hommes ont plus de chances de réussir à se suicider, les femmes sont plus susceptibles de tenter le coup. Même à la suite du mouvement des droits des femmes, le bonheur des femmes a continué de chuter.
Je dirais que c'est en réalité le féminisme et le culte de la justice sociale qui ont causé la misère des deux sexes en les éloignant de leurs rôles biologiques. Les hommes ne sont plus censés être des fournisseurs et des protecteurs, et leur énergie naturelle est considérée comme destructive pour la société. Les femmes ne sont plus censées nourrir les gens avec un instinct de nidification et un désir d'enfants. ils sont supposés abandonner tout cela pour assumer le rôle des hommes. La perte de nos impératifs biologiques nous conduit à la dépression, au suicide et à la chute de notre civilisation.
La seule solution à laquelle je puisse penser est que les hommes recommencent à se comporter comme des hommes; même s'organiser autour de la masculinité et se soutenir mutuellement dans la réalisation de nos objectifs Nous devons revenir à nos racines de producteurs, de fournisseurs, de constructeurs et de protecteurs et nous devons veiller à le faire pour les bonnes raisons plutôt que pour les raisons qui nous ont été données. par l'établissement.
Si vous vous demandez pourquoi de nombreux gouvernements ont pris un tel intérêt à soutenir les objectifs féministes et, dans certains cas, à transformer leur idéologie en loi, considérez ceci:
La masculinité peut être indépendante, indisciplinée et agressive. Une société dans laquelle la masculinité se développe est une société plus difficile à gouverner. Une société qui a fait de la masculinité un tabou serait plus facile à dominer. Les gouvernements socialistes, en particulier, soutiennent le féminisme parce qu'il sert leurs intérêts - garder les gens dociles et dépendants pour que l'élite dirigeante soit toujours assurée dans ses positions de pouvoir.
Mais que se passerait-il si la masculinité était à nouveau célébrée ? Et si les hommes organisés comme des féministes s'étaient organisés en groupes promouvant la résurgence de la masculinité en tant que composante naturelle d'une société équilibrée ? Cela pourrait non seulement aider les hommes, mais aussi les femmes qui ont été infantilisées à tort par le mouvement féministe pendant des décennies. Et si la politique des victimes était finalement et totalement abandonnée, comme une blague peu sérieuse ou un mème dépassant son apogée ? Ce serait un cauchemar pour les féministes et un remède potentiel qui pourrait éventuellement renverser les dégâts causés par leur idéologie.
https://www.zerohedge.com/news/2019-01-25/smith-feminism-disease-and-masculinity-cure
Aujourd'hui, un couple divorcé dont le mari est devenu pédéraste peut avoir la garde (une semaine sur deux) de ses enfants (filles ou garçons) ! comme le pouvoir d'en adopter !!!
SupprimerFaites ce que je vous dis, pas ce que je fais: un activiste végétarien de l'environnement critiqué pour ses déplacements en avion privé
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ven, 25/01/2019 - 22:05
Le milliardaire norvégien Gunhild Stordalen, qui est à l'origine d'une campagne visant à sauver la planète en réduisant la consommation de viande, a été critiqué aujourd'hui pour avoir récemment acheté un avion privé à 20 millions de livres sterling et l'utiliser régulièrement pour des destinations exotiques dans le monde.
Comme nombre de critiques d’Elon Musk l’ont également souligné, la pollution créée par les voyages en avion contribue de façon importante au réchauffement de la planète.
Christopher Snowdon, responsable de l'économie du mode de vie à l'Institute of Economic Affairs a déclaré au Mirror:
«L’hypocrisie est à couper le souffle. C’est une campagne qui dit aux gens ordinaires qu’ils devraient manger moins d’un demi-cuiller de lard par jour pour protéger l’environnement, alors que le client fait voler les gens à travers le monde en jet privé, créant ainsi un énorme empreinte carbone.
Ceci est un cas classique de faire ce que je dis pas comme je le fais. Les écologistes militants ne peuvent résister à l’opportunité de dire aux gens comment vivre leurs vies et diaboliser les aliments de tous les jours. "
Stordalen est un ancien mannequin devenu médecin. Elle a récemment fourni les fonds pour l’étude EAT-Lancet, qui a conclu cette semaine que les gens ne devraient pas manger plus des deux tiers d’un doigt de poisson, d’un quart de poitrine de poulet ou d’un hamburger au bœuf.
Stordalen milite activement en faveur de l'agenda vert et est un végétarien déclaré qui a fondé la fondation EAT en 2013. L'étude elle-même avait également une empreinte carbone considérable. 37 experts de 16 pays différents ont voyagé dans le monde entier pour se rendre dans des dizaines de localités différentes et tenter de dévoiler le plan cette semaine.
Elle est également active sur Instagram et a récemment publié des photos d'elle-même en vacances en Grèce, au Mexique, au Costa Rica et à Cuba. Récemment, Stordalen avait également été photographiée dans un message où elle enseignait aux gens de couper la viande de leur régime.
Parlant d’hypocrisie, la mannequin devenue médecin aurait servi des sushis lors de son mariage, en 2010, pour un montant de 4 millions de livres. De nouveaux déplacements aériens importants ont également eu lieu: des personnes ont été transportées par avion à partir de 3500 milles au Maroc (où bien sûr). son mari s'est marié dans un hôtel de luxe.
L’étude EAT-Lancet appelle à une meilleure utilisation des terres agricoles et à une consommation moindre de viande afin de réduire les émissions de méthane de gaz à effet de serre. Pas plus tard que cette semaine, Stordalen était sur scène à Oslo pour dire aux gens que l'adoption de son régime alimentaire était "une question de morale".
À Oslo, elle a déclaré:
«Nous avons tous un rôle à jouer. Que nous ayons un pouvoir, des connaissances, de l'argent, une voix, un morceau de terre ou un morceau de pain. "
... Ou un jet privé.
https://www.zerohedge.com/news/2019-01-21/do-i-say-not-i-do-vegetarian-environmental-activist-criticized-traveling-private