10/02/2023
Ethan Huff
Il existe encore beaucoup de confusion sur ce que sont réellement les « vaccins » contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) – d’où la raison pour laquelle le mot « vaccins », dans ce contexte, est entre guillemets. Et cette semaine, dans le rapport Health Ranger, pour discuter plus en détail de ce que sont réellement ces injections, il y avait le Dr Astrid Stuckelberger, une experte et initiée qui en sait plus que beaucoup d'entre nous parce qu'elle a travaillé à l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et au Nations Unies où ces armes biologiques mortelles ont été développées, au moins en partie.
En discutant avec le Health Ranger des dangers de la 5G et d’autres fréquences électromagnétiques (CEM) – ce segment particulier commence vers 22h30 dans la vidéo suivante – le Dr Stuckelberger a révélé que le contenu des vaccins COVID est, en fait, des armes biologiques. qui ont été spécifiquement développés dans le but de nuire aux gens, et non de les protéger contre un virus mortel.
"Si vous n'êtes pas vacciné, si vous n'avez pas reçu ce BioNTech – et vous savez que Pfizer l'a appelé BioNTech, c'est une bio-nano-technologie ou une technologie bio-neurale – et l'ARNm est un mode-ARN", a expliqué le Dr Stuckelberger. en réponse à une question du Health Ranger sur l'interface entre les injections, la 5G et les autres CEM.
"C'est un programme informatique, et il s'agit vraiment de - permettez-moi de commencer par ceci : nous sommes des humains et nous sommes bio-électromagnétiques ; nous avons un électroencéphalogramme ; nous savons que notre cerveau fonctionne avec une réponse neuronale à un stimulus impulsionnel +/- électrique en réseau... ils ont cartographié le cerveau... ils peuvent cibler votre cerveau, et ils peuvent aussi cibler ceux qui sont vaccinés car ils ont de l'oxyde de graphène, et du métal, du chrome, du nickel, de l'aluminium dans tous les vaccins... et ils ont parasites, et tout est synthétique – rien de biologique.
"C'est un récepteur, c'est un émetteur, et c'est comme un petit nanocircuit de micro-ordinateur qui s'allume et s'éteint... si la 5G est allumée, elle met et déclenche ce nanocircuit, et si vous l'éteignez, il le liquéfie." Mais il peut réellement biocoder la maladie, prévient le Dr Stuckelberger.
(Connexe : Dans le cadre de l'imposture du COVID, Tony Fauci a été introduit clandestinement au siège de la CIA pour aider à « influencer » l'enquête de l'agence sur la pandémie d'une manière ultérieure.)
L’OMS et l’ONU avaient l’habitude de mettre en garde les gens contre les dangers des CEM – mais pas après 2016
Tout cela et bien plus encore, comme l'explique le Dr Stuckelberger dans l'interview percutante ci-dessus, explique pourquoi l'OMS et l'ONU ont discrètement supprimé de leurs sites Web respectifs toutes les informations sur les dangers de la 5G et d'autres CEM.
Autrefois, ces agences avaient pour mission d'aider à protéger les gens contre les dangers de notre monde moderne tout en leur fournissant des informations et des outils pour surmonter les assauts et vieillir avec élégance tout en prévenant les maladies graves. Aujourd’hui, l’ONU et l’OMS se lancent dans un génocide de masse, semble-t-il.
"Il s'agit d'un biocode imitant une maladie", a ajouté le Dr Stuckelberger à propos du contenu des injections de COVID – et probablement de nombreux autres injections du passé également – qui permettent aux pouvoirs en place de rendre malades les personnes à qui ce vaccin a été injecté. simplement en les bombardant de champs électromagnétiques mortels qui contrôlent l'activation et la désactivation, pour ainsi dire, de ces biocodes.
Comme elle le déclare au début de l’entretien avec le Health Ranger, le Dr Stuckelberger a été témoin direct de ce changement au sein de l’ONU et de l’OMS, passant de l’aide aux gens à leur faire du mal. Et les vaccins contre le COVID semblent être à ce jour l’un des plans de destruction des populations les plus néfastes de ces organismes mondialistes.
De nombreuses informations supplémentaires sur le Dr Stuckelberger et son travail sont disponibles sur son site Web.
Vous découvrirez également les dernières nouvelles sur les dangers et l’inefficacité des vaccins contre le COVID – de toute façon, pour guérir les gens plutôt que de leur faire du mal – en visitant ChemicalViolence.com.
Les sources de cet article incluent :
Brighteon.com
NaturalNews.com
REGARDEZ la Dr Astrid Stuckelberger exposer le programme secret de la DICTATURE mondiale en matière de santé de l'ONU et de l'OMS
RépondreSupprimer10/02/2023
Ethan Huff
Un initié qui a passé des décennies à travailler dans le « ventre de la bête » aux Nations Unies (ONU) et à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), et qui sait très bien à quel point ces deux organismes mondialistes sont devenus complètement corrompus, se présente pour dire tout sur ce qu'elle a observé en travaillant derrière le rideau.
La Dr Astrid Stuckelberger d'AstridStuckelberger.com a rejoint le Health Ranger cette semaine pour discuter de diverses questions liées au véritable programme secret de l'ONU et de l'OMS, qui se sont considérablement écartés de leur mission initiale déclarée consistant à aider à sortir les pauvres et les humbles de leur situation. pauvreté.
Véritable experte aux compétences multidisciplinaires variées, la Dre Stuckelberger a traité des problèmes de santé mentale à l'OMS avant de finalement rejoindre la faculté de médecine de Genève, en Suisse, qui, selon elle, est le point de départ - encore plus que New York - pour le L’ONU et l’OMS doivent définir leurs objectifs pour ce que nous savons maintenant être la domination mondiale.
Le Dr Stuckelberger a passé environ 30 ans à mener des recherches en santé publique et en médecine préventive, ainsi que trois ans à l'OMS, traitant spécifiquement de la gestion de la préparation aux pandémies et de la mise en œuvre des réglementations sanitaires mondiales entrées en vigueur entre 2008 et 2013.
Elle a tout vu, et après avoir traité du bon comme du mauvais au sein de ces deux organismes mondialistes, le Dr Stuckelberger a beaucoup à dire sur ce qu'elle a décrit au Health Ranger comme « de nombreuses contradictions à l'ONU » concernant les différences. entre sa mission déclarée et sa véritable mission secrète – regardez l’intégralité de l’interview sur Brighteon.com ci-dessous :
(Connexe : Saviez-vous que la Chine communiste est prête à déclencher le COVID 2.0 ?)
RépondreSupprimerVers 2016, dit le Dr Stuckelberger, il y a eu une forte pression dans le monde universitaire et à l'ONU pour éliminer toutes les personnes éthiques et les remplacer par des gens MALÉFIQUES qui ont fini par développer des « armes biotechnologiques » contre le COVID.
L'une des choses sur lesquelles la Dr Stuckelberger a vraiment semblé se concentrer tout au long de l'interview est le fait que tout au long de son mandat à l'ONU et à l'OMS, elle a observé que de nombreuses personnes bonnes et éthiques ayant beaucoup à offrir étaient mises de côté et remplacées par des personnes « diaboliques ». des gens qui sont non seulement incompétents mais aussi mauvais dans leur vision du monde.
- voir clip sur site -
La Dr Stuckelberger a pu constater par elle-même comment, surtout à partir de 2016, lorsque Donald Trump se présentait à la présidence, une forte pression s'est manifestée à la fois à l'ONU et dans le monde universitaire pour éliminer tous les bons et les remplacer par des méchants – ces mêmes méchants, a-t-elle révélé, sont ceux qui ont été autorisés à développer et à vendre des « vaccins » contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19), ou ce qu'elle a décrit comme des « armes biotechnologiques ».
Au fil du temps, depuis 2016, l’ONU et l’OMS ont progressivement éliminé tous ceux qui avaient de bonnes intentions et les ont remplacés par les pires des pires. Le Dr Stuckelberger a expliqué que l'une des façons d'y parvenir est de harceler et de discriminer les bons en ne leur permettant jamais d'enseigner ou d'atteindre le sommet.
"Ils ont interrompu tous mes cours", a-t-elle expliqué à propos de ce qu'elle doit personnellement endurer à cause de sa position, "mais cela ne me dérange pas car il est plus important de suivre son instinct et son esprit que d'être avec le diable. "
"Je n'ai jamais pu accepter leur offre" de me tourner vers le côté obscur, a-t-elle ajouté, "et ils le savent très bien".
Assurez-vous de regarder l'interview complète ci-dessus et consultez également le site Web du Dr Stuckelberger : AstridStuckelberger.com.
Les dernières nouvelles sur les opérations mondialistes en cours de l’ONU et de l’OMS peuvent être trouvées sur Tyranny.news.
Les sources de cet article incluent :
Brighteon.com
NaturalNews.com
AstridStuckelberger.com
https://www.naturalnews.com/2023-10-02-astrid-stuckelberger-exposes-secret-dictatorship-un-who.html
Une étude montre des lésions cardiaques chez TOUTES les personnes vaccinées avec des préparations d’ARNm C19
RépondreSupprimer3 octobre 2023
par le Dr. Peter F. Mayer
Les tests radiologiques détectent des lésions cardiaques chez toutes les personnes vaccinées contre le corona. On pensait auparavant que les dégâts ne pourraient survenir que dans des lots individuels et, en tout cas, seulement chez une fraction des personnes vaccinées. Les hypothèses de dégâts précédentes varient de 1:35 à 1:3000. En dehors de cela, les sociétés pharmaceutiques et les autorités affirment à plusieurs reprises que le traitement n’est que doux et que le remède ne pose aucun problème. Tout cela est évidemment incorrect.
Dans une nouvelle étude scientifique de Nakahara et al . intitulé « Évaluation de l'absorption myocardique du 18F-FDG lors de la TEP/CT chez les patients asymptomatiques vaccinés et non vaccinés contre le SRAS-CoV-2 » et les patients non vaccinés), des personnes vaccinées à l'ARNm ont été examinées pour voir si elles présentaient des changements « mineurs » dans le muscle cardiaque. fonction qui pourrait être détectée par des tests radiologiques standards. L'étude montre des résultats très inquiétants.
Les scientifiques ont mesuré l'absorption du 18F-fluoro-fluorodésoxyglucose (18F-FDG) dans le muscle cardiaque. Le F-FDG présente une similitude moléculaire avec le glucose. Cependant, le 18F-FDG n’est pas métabolisé comme le glucose. Par conséquent, il peut être détecté par TEP et sa présence indique un besoin anormalement élevé en glucose du muscle cardiaque, indiquant une fonction cardiaque anormale. Plus d'informations ici : L'absorption myocardique focale de 18F-FDG observée lors de la TEP/TDM en oncologie indique un risque significativement accru d'anomalies myocardiques multiples.
Et c’est exactement ce que l’étude a révélé :
Conclusions
Comparés aux patients non vaccinés, les patients asymptomatiques qui ont reçu leur deuxième vaccination 1 à 180 jours avant l’imagerie ont montré une augmentation de la fixation myocardique du FDG lors de la TEP/TDM.
Les résultats un peu plus en détail :
Résultats
RépondreSupprimerL'étude a inclus 303 patients non vaccinés (âge moyen 52,9 ans ; 157 femmes) et 700 patients vaccinés (âge moyen 56,8 ans ; 344 femmes). Les patients vaccinés présentaient une absorption myocardique globale de FDG plus élevée que les patients non vaccinés (SUVmax médian, 4,8 contre SUVmax médian, 3,3 ; P < 0,0001). Le SUVmax myocardique était plus élevé chez les patients vaccinés que dans les groupes non vaccinés correspondants (plage médiane), quel que soit le sexe (plage médiane de 4,7 à 4,9) ou l'âge du patient (plage médiane de 4,7 à 5,6). 3,3-3,3 ; plage P, < 0,001-0,015). De plus, une augmentation de la captation myocardique du FDG (plage médiane du SUVmax, 4,
Cela ne devrait pas arriver ! Le vaccin corona ne devrait en aucun cas affecter le cœur. Il a été promis qu’il « resterait dans vos bras » et qu’il serait démonté et éliminé au bout de deux jours.
Les résultats explosifs de l'étude sont discutés dans un éditorial rédigé par le rédacteur en chef de la revue, le Dr. Bluemke, se sentit obligé de publier. L'éditorial du Dr. Bluemke s'excuse quelque peu et, comme dans toutes les études, il fait l'éloge des vaccins corona, même si d'énormes dégâts sont signalés immédiatement après.
« Le développement de vaccins contre la COVID-19 à base d’ARN messager (ARNm) est une histoire biotechnologique remarquable. Alors que les vaccins traditionnels ont mis 5 à 10 ans à se développer, les vaccins contre la COVID-19 ont pris moins d’un an. À titre de comparaison, le vaccin conventionnel le plus rapide développé à ce jour était le vaccin contre les oreillons, dont le développement a pris 4 ans.
Dr. Bluemke explique que les résultats ne peuvent être attribués au hasard :
« Principales conclusions : les patients asymptomatiques vaccinés contre le COVID-19 avant la TEP présentaient une activité de radiotraceur dans le muscle cardiaque environ 40 % plus élevée que les individus non vaccinés. La valeur P était faible, inférieure à 0,0001. Cela signifie que ces résultats ne surviennent que par hasard, dans un cas sur 10 000. »
L'éditorial déclare qu'il n'existe aucune manière rationnelle d'expliquer les résultats négatifs de Takahara et al. ignorer et expliquer:
« Les fabricants de vaccins sont conscients des effets indésirables des vaccins à ARNm. Ces effets indésirables conduisent à des réticences à vacciner. Les résultats de l'étude de Nakahara et al. suggèrent que la myocardite asymptomatique légère pourrait être plus fréquente que nous le pensions auparavant. Cela conforterait l’hypothèse selon laquelle certains patients présentant une myocardite symptomatique pourraient présenter une inflammation systémique plus grave associée à la vaccination par ARNm.
Les données examinées par Ed Dowd d'Angleterre et du Pays de Galles montrent également des dégâts durables . Les décès cardiaques, supérieurs à la moyenne de la décennie précédente, ont augmenté chaque année, et de 44 % en 2022. Il n’est pas étonnant que des lésions cardiaques permanentes aient été causées chez presque toutes les personnes vaccinées.
RépondreSupprimerhttps://tkp.at/2023/10/03/studie-zeigt-herzschaeden-bei-allen-mit-c19-mrna-praeparaten-geimpften/
Dès lors que depuis 3 ans nous savons toutes et tous que les rapports d'expertes scientifiques (Astrid Stuckelberger et Carrie Madej) listent des horreurs sur le contenu des flacons injectables ! De 95 à 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène !! + des spikes !! + des hydres !! + diverses maladies animales et une quarantaine de venins différents de serpents !!
SupprimerIl faut donc s'attendre et constater depuis 3 ans que les personnes inoculées décèdent de morts différentes et inappropriées !
Enquête aux États-Unis : la majorité rejette la poursuite des vaccinations contre le C19
RépondreSupprimer3 octobre 2023
par le Dr. Peter F. Mayer
- voir cadre sur site -
La majorité des Américains déclarent qu’ils ne tiendront pas compte de l’appel du président démocrate Joe Biden à davantage de vaccins contre le Covid. Ces dernières semaines, l'administration Biden a exhorté le public à se faire vacciner davantage après une nouvelle tentative des grands médias de semer la peur et la panique à l'approche des élections de 2024.
Mais un nouveau sondage révèle que la plupart des Américains n’ont aucun intérêt à adopter ce programme. Cela est particulièrement vrai pour les républicains. Moderna, dont les bénéfices ces dernières années proviennent de la vente du vaccin , a affirmé en août qu'une première étude avait montré que son dernier vaccin était efficace contre les sous-variantes dites « Eris » et « Fornax ».
De même, Pfizer a affirmé que le vaccin développé avec BioNTech montrait un effet neutralisant contre la sous-variante Eris, au moins chez la souris, a rapporté Reuters .
Le 12 septembre , les Centers for Disease Control and Prevention ont recommandé à toute personne âgée de 6 mois et plus de prendre les vaccins Covid mis à jour. Cette recommandation est intervenue huit jours seulement après que la première dame deux fois vaccinée et deux fois boostée, Jill Biden, ait à nouveau contracté le Covid . Le CDC a en outre affirmé que « les avantages de la vaccination contre le COVID-19 continuent de l’emporter sur les risques potentiels » et que « les réactions graves suite à la vaccination contre le COVID-19 sont rares ».
L’octogénaire Biden, qui a été infecté pour la dernière fois par Covid en juillet 2022, a reçu un traitement de rappel le 22 septembre. Il a exhorté tous les Américains à faire de même, même si le risque pour la plupart des gens d'un virus ne présentant que de légers symptômes de rhume est faible.
Le dernier sondage COVID-19 Vaccine Monitor de la Kaiser Family Foundation a révélé la semaine dernière que 52 % des adultes américains ne sont pas intéressés par le programme de vaccination Covid de Biden.
- voir cadre sur site -
Selon l’enquête, 33 % des personnes interrogées ont déclaré qu’elles ne voulaient « absolument » pas du rappel. 19 % supplémentaires ont déclaré qu’ils « ne se feraient probablement pas vacciner ».
À l’inverse, 23 % des adultes déclarent vouloir « absolument » se faire vacciner. 23 % supplémentaires ont déclaré qu’ils se feraient « probablement » vacciner.
Et 94 % des personnes interrogées qui n’ont jamais été vaccinées ont déclaré qu’elles s’y tiendraient probablement.
Cependant, il semble que la plupart des parents soient prudents lorsqu’il s’agit de leurs enfants. Selon KFF , « la plupart des parents déclarent qu'ils ne donneront pas à leur enfant le nouveau vaccin contre la COVID-19, notamment six parents d'adolescents sur 10 (âgés de 12 à 17 ans) et les deux tiers des parents d'enfants âgés de 5 à 11 ans (64 ans). %) et entre 6 mois et 4 ans (66 %) .
69 % des démocrates ont déclaré qu’ils obtiendraient probablement ou certainement la dernière chance. Mais pour les Républicains, cela ne représentait que 25 % des personnes interrogées.
D’un autre côté, 29 % des démocrates se sont opposés au rappel, tandis que 76 % des républicains ont déclaré qu’ils ne l’auront pas.
Il semble que les démocrates continuent de laisser les préoccupations liées au Covid dicter leur vie.
https://tkp.at/2023/10/03/umfrage-in-den-usa-mehrheit-lehnt-weitere-c19-impfungen-ab/
Le WEF, producteur de crise – l’eau, prochain ?
RépondreSupprimer3 octobre 2023
par le Dr. Peter F. Mayer
La pandémie du coronavirus déclarée par l’OMS a duré suffisamment longtemps pour permettre la mise en œuvre d’une vaccination de masse et de cartes de vaccination numériques. Mais l’intérêt pour ce vaccin a diminué et trop de gens connaissent d’autres personnes ayant subi des blessures causées par le vaccin ou décédées à cause des effets secondaires du vaccin. L'histoire du climat ne se passe pas bien non plus, trop peu de pays y participent et quiconque est même à moitié attentif reconnaîtra l'absurdité.
Mais de nouvelles crises peuvent apparemment désormais surgir d’une simple pression sur un bouton. Ils doivent simplement être persévérants et avoir suffisamment de potentiel pour provoquer la peur et la panique afin de pouvoir entraîner le plus de personnes possible avec eux. Avec des virus ou d’autres maladies, vous prendrez probablement votre temps jusqu’à ce que le traité sur la pandémie et les modifications du Règlement sanitaire international soient adoptés. Apparemment, la prochaine étape importante aura lieu en décembre 2023 et d’autres suivront l’année prochaine.
James Roguski explique la feuille de route de l'OMS dans une interview avec le Dr. John Campbell. Les étapes les plus importantes peuvent être entendues dans les 7 ou 8 premières minutes :
La porte-parole du WEF, Mariana Mazzucato, a dressé un bilan plutôt sobre de ce qui a été réalisé jusqu'à présent en 2022. Cependant, les dégâts causés par les mesures liées au Corona et, surtout, par la campagne de vaccination ne pourraient guère être plus importants. Et la politique climatique est le meilleur moyen de détruire l’économie régionale de taille moyenne et la prospérité des citoyens de l’UE. Les dirigeants de l’UE sont également déterminés à poursuivre sur la voie du Green Deal et de la transition énergétique.
Mais Mazzucato a d’autres idées sur la manière d’accélérer encore la redistribution de bas en haut. L’idée de criminaliser l’inaction en matière de « protection du climat » ne suffit apparemment pas. Au cours d’une discussion, elle révèle la prochaine étape à l’ordre du jour :
« Avons-nous réussi ? Avons-nous réussi à vacciner le monde entier ? Non. […] En tant que problème mondial, le changement climatique est trop complexe pour les humains. Certains le comprennent bien, beaucoup le comprennent un peu et la plupart ne le comprennent pas. Mais l’eau… chaque enfant comprend l’importance d’avoir de l’eau. Il s'agit donc de sensibiliser les citoyens à ce problème et d'expérimenter comment le transmettre comme une campagne pour le bien commun. Peut-être que nous aurons plus de succès sur ce point que sur les autres points (Covid et changement climatique), qui ont lamentablement échoué.»
Une crise de l’eau parce que le Covid et le changement climatique ont échoué. Plutôt créatif, non ?
https://tkp.at/2023/10/03/wef-als-krisenproduzent-wasser-als-naechstes/
Le scandale des médicaments à ARNm remporte le prix Nobel
RépondreSupprimer3 octobre 2023
de Thomas Oysmüller
La farce entourant le prix Nobel de médecine, décerné lundi, mérite un bref résumé.
TKP l'a déjà rapporté lundi : deux développeurs de vaccins à ARNm, l'un proche confident d'Anthony Fauci, l'autre principal conseiller de Biontech pendant près de dix ans (jusqu'en septembre 2022), ont reçu le prix Nobel de médecine.
Cela ne devrait pas surprendre. Il exprime plutôt l’état actuel de la science. L'Institut Karolinska, qui décerne le prix, est généreusement financé par Pfizer et la Fondation Gates.
L’« Association verte pour les droits fondamentaux et la liberté d’information » considère cette récompense comme un autre signal clair selon lequel « la débâcle historique en matière de santé nécessite une révision approfondie », écrit-elle dans un communiqué de presse.
Voici la même chose en texte intégral :
Le prix Nobel de médecine 2023 sera décerné à Katalin Karikó et Drew Weissman pour leurs recherches sur l'ARN modifié et le développement ultérieur de ce qu'on appelle les vaccins. Robert Malone, pionnier et critique de la technologie de l’ARNm, est ignoré. Nous résumons les publications passées dans lesquelles nous montrons le manque d’efficacité et le potentiel de danger ignoré des vaccins Covid en général et des produits à base d’ARNm en particulier. Nous considérons que cette récompense est inappropriée et politiquement motivée, et il est peu probable que la confiance détruite soit restaurée. L’initiative GGI renouvelle l’appel à un examen approfondi de cette débâcle historique en matière de santé.
Prix Nobel pour l'ARN mod
Le prix Nobel de médecine de cette année revient à Katalin Karikó et Drew Weissman pour leurs recherches sur les bases nucléaires modifiées (nucléosides), en particulier la pseudouridine. Selon le raisonnement, il s’agit de la percée qui a permis le développement rapide des soi-disant vaccins contre le Covid-19. Mais la justification elle-même admet que des vaccins sur cette base sont en développement depuis des années (Zika et MERS sont cités en exemple). Aucune de ces tentatives n’a abouti. [1]
Échec historique du vaccin
RépondreSupprimerDans des publications antérieures, nous avons souligné divers aspects critiques de la vaccination contre le Covid en général et des produits à base d’ARNm en particulier.
L’élimination massive des mécanismes de contrôle de qualité par la Commission européenne et l’Agence européenne des médicaments (EMA) représente le début de graves défauts et dangers dans le processus de fabrication.[2]
En fait, la contamination a été largement détectée. Il s’agit de composants ou de fragments d’ADN issus d’un processus biotechnologique qui a été utilisé pour produire en masse les vaccins. Le produit ainsi fabriqué n'a pas été utilisé dans les études cliniques qui ont justifié l'utilisation généralisée de la vaccination. Puisque cet ADN est transporté dans les cellules à l’aide de particules lipidiques, il existe un risque potentiel qui ne peut pas encore être estimé. [3]
Il y a beaucoup de désinformation au niveau européen autour du contrat avec Pfizer/BioNTech en particulier. En aucun cas, tout ne s’est déroulé sans heurts. On se souvient de l’échange de SMS opaques entre la présidente de la Commission von der Leyen et le PDG de Pfizer, Bourla. [4]
Dans nos réponses à notre nomination au Golden Board et à une tirade propagandiste de l’agitateur, nous expliquons, entre autres, pourquoi les vaccins ne sont ni sûrs ni efficaces. Les quelques études clinico-expérimentales sont interprétées superficiellement, les meilleurs résultats sont mis en avant et les signaux de danger sont ignorés. Les nombreuses études observationnelles suivantes sont déformées de manière effrayante, l' effet utilisateur sain étant particulièrement négatif . Il existe de nombreuses raisons pour lesquelles les dommages causés par la vaccination sont considérablement sous-estimés. [5] [6]
Il existe des preuves irréfutables d’une incidence accrue de fausses couches, notamment en relation avec les produits à base d’ARNm. Nous avons rassemblé des explications expliquant pourquoi les tentatives des vérificateurs de faits visant à banaliser cette question ne tiennent pas. [7]
Il n’existe aucune preuve sérieuse que la vaccination ait sauvé des vies. Nous avons compilé des explications et des justifications sur le fonctionnement des études qui concluent que la vaccination a sauvé des millions de vies. Nous y montrons les hypothèses absurdes qui sous-tendent de tels résultats. [8ème]
En outre, il convient de mentionner que le biochimiste et docteur Robert Malone, véritable pionnier et désormais critique virulent de la technologie de l’ARNm, n’est pas du tout mentionné. Malone présente son point de vue dans un Substack.[9]
RépondreSupprimerconclusion
Tout comme les vaccins à base d’ARNm n’ont pas connu de succès dans le passé, on ne peut pas en dire autant de la version actuelle. Nous considérons que ce prix est totalement inapproprié et politiquement motivé ou orienté vers les intérêts commerciaux de l'industrie pharmaceutique. Cependant, la confiance dans la technologie de l’ARNm a probablement été largement effacée et il est peu probable que le geste du prix Nobel change cela.
L’initiative GGI (Association verte pour les droits fondamentaux et la liberté d’information) continue de clarifier et renouvelle l’appel pour que cette débâcle sanitaire historique soit réglée.
Sources
[1] Anonyme. Le prix Nobel de physiologie ou médecine 2023 . Nobel Prize Outreach AB 2023, 2023. en ligne : https://www.nobelprize.org/prizes/medicine/2023/summary
[2] Anonyme. "Assouplissement de l'UE en matière d'OGM et bonnes pratiques - prélude au désastre de la vaccination ". Association verte pour les droits fondamentaux et la liberté d'information, 2023. en ligne : https://ggi-initiative.at/wp/pm-44-eu-lockerung-von-gvo-und-guter-praxis-auftakt-zum-impfdesaster
[3] Anonyme. Impuretés plasmidiques dans les vaccins à ARNm – échec total du contrôle qualité . Association verte pour les droits fondamentaux et la liberté d'information, 2023. en ligne : https://ggi-initiative.at/wp/pm-57-plasmid-verunreinigungen-in-mrna-impfstoffen-total Failure-der-qualitaetskontrolle
[4] Anonyme. La désinformation ciblée de l’UE – le contrat Pfizer . Association verte pour les droits fondamentaux et la liberté d'information, 2023. en ligne : https://ggi-initiative.at/wp/pm-60-eu-igen-gezielte-desinformation-der-pfizer-vertrag
[5] Anonyme. "GGI nominé pour The Golden Board – réplique" . Association verte pour les droits fondamentaux et la liberté d'information, 2023. en ligne : https://ggi-initiative.at/wp/pm-54-ggi-fuer-das-goldene-brett-nominiert-replik
[6] Anonyme. Lettre ouverte au « pollueur du peuple » – les penseurs et les critiques latéraux ont après tout raison . Association verte pour les droits fondamentaux et la liberté d'information, 2023. en ligne : https://ggi-initiative.at/wp/offener-brief-an-den-volksverpetzer-querdenker-und-kritiker-haben-doch-recht
[7] Anonyme. "Vaccination à l'ARNm pour les femmes enceintes - désinformation par vérification des faits de l'APA ". Association verte pour les droits fondamentaux et la liberté d'information, 2023. en ligne : https://ggi-initiative.at/wp/pm-56-mrna-impfung-fuer-schwangere-falschinformation-durch-apa-faktencheck
RépondreSupprimer[8] Anonyme. Célébration du vaccin lors de la vérification des faits – Non, la vaccination n'a pas sauvé des millions de vies . Association verte pour les droits fondamentaux et la liberté d'information, 2023. en ligne : https://ggi-initiative.at/wp/pm-51-impfjubel-im-faktencheck-nein-die-impfung-hat-nicht-millionen-leben- gerettet
[9] Malone R. Mise à jour : Moderna et Pfizer se battent pour les brevets sur les vaccins à ARNm . Substack, 2023. en ligne : https://rwmalonemd.substack.com/p/update-moderna-and-pfizer-mrna-vax
https://tkp.at/2023/10/03/mrna-medizinskandal-bringt-nobelpreis-ein/
Rappelez-vous du 'Prix nobel de la paix' décerné à.... Obamasquéôhéôhé !
SupprimerSri Lanka : un an après...
RépondreSupprimer3 Octobre 2023
Glané sur la toile 984
C'est un article du 19 novembre 2022 de la Presse Canada, « La Presse au Sri Lanka – La malnutrition 100 % bio » (attention : le site limite le nombre d'accès).
Il est long... car il y a beaucoup de choses à dire, avec beaucoup d'illustrations. Un travail remarquable de Mme Mélanie Marquis pour le texte et de M. Édouard Plante-Fréchette pour les images.
En introduction :
« L’ancien gouvernement du Sri Lanka a interdit l’an dernier l’achat d’engrais sur les marchés internationaux en raison d’un manque de devises. La mesure a depuis été levée, mais les conséquences vont perdurer.
Le virage brutal vers une agriculture 100 % biologique, en mai 2021, a fait des ravages au Sri Lanka. Même si le projet a été abandonné, son échec menace aujourd’hui des millions de personnes de malnutrition. »
Et un extrait :
« La crise alimentaire touche de plus en plus de Srilankais
Comme tous les lundis, à l’école Gamini de Nuwara Eliya, les enfants forment une file qui serpente jusqu’au bureau du directeur. Comme tous les lundis, une fois placés en rang d’oignons, ils entonnent des chants bouddhistes. Et comme c’est de plus en plus souvent le cas, plusieurs tombent comme des mouches.
Ils ont le ventre vide.
On les cueille les uns après les autres, on les escorte dans une salle de classe attenante, où ils sont pris en charge rapidement. On les assoit, on leur met de l’eau au visage, sur la nuque, on les frictionne avec un onguent, on les évente avec des cahiers, on leur couche la tête sur un pupitre. Le jour de notre visite, neuf écoliers ont dû être retirés. »
Rassurez-vous : les apôtres du « bio » scientophobes et technophobes ne sont pas impressionnés par le désastre et continuent de prêcher – éventuellement avec des slogans trompeurs comme « agriculture régénérative » – pour un monde merveilleux sans engrais et pesticides (de synthèse), sans produits du génie génétique moderne, sans machines...
https://seppi.over-blog.com/2023/10/sri-lanka-un-an-apres.html
Étude sur la disparition des insectes : l'agriculture n'est-elle finalement pas responsable ?
RépondreSupprimer3 Octobre 2023
Peter Laufmann, AGRARHEUTE*
Les agriculteurs sont souvent critiqués pour la dispar des insectes. Une nouvelle étude semble les disculper.
Selon une nouvelle étude, la météo est le principal responsable de la disparition des insectes. Mais la méthodologie fait l'objet de critiques. Et la question demeure : que peuvent faire les agriculteurs pour la biodiversité si les insectes sont décimés par la météo ?
La météo est responsable de la disparition des insectes. C'est la conclusion d'une étude de l'écologue Jörg Müller de l'Université de Würzburg. Dans la revue Nature, il rapporte que ni les produits phytosanitaires, ni la perte d'habitat ne sont la cause principale de la disparition des insectes. C'est ce qu'aurait révélé une analyse des données météorologiques. Est-ce un acquittement pour les agriculteurs ? Ce n'est pas si simple. Car cette étude fait également l'objet de critiques. Mais elle montre qu'il serait trop facile d'accuser les agriculteurs de tous les maux dont souffre la nature.
L'agriculture a toujours été au centre des critiques
Il y a six ans, l'étude dite de Krefeld avait fait sensation. Elle a permis pour la première fois de prendre conscience de la perte considérable d'insectes. Cette étude était déjà sous le feu des critiques en raison de sa méthodologie. D'autres études sont venues s'y ajouter entre-temps. Parmi d'autres points, l'agriculture moderne était considérée comme la cause principale. L'utilisation de produits phytosanitaires, le manque de structures dans le paysage et l'intensification des cultures seraient les tueurs des coléoptères et de leurs semblables. Les agriculteurs critiquent le fait que la question des contraintes économiques soit rarement posée dans le débat.
La disparition des insectes est liée aux conditions météorologiques
RépondreSupprimerLes chercheurs de Würzburg semblent désormais soulager l'agriculture. L'étude a été motivée par une biomasse élevée d'insectes en 2022. En comparant les données météorologiques et les insectes trouvés au cours des 27 dernières années, il s'est avéré que l'on pouvait en grande partie attribuer la disparition aux conditions météorologiques. Un hiver chaud et peu pluvieux a donc entraîné une diminution du nombre d'insectes. Tout comme un été humide et frais. Cela freine également l'activité. Cela signifie quelque chose comme : lorsque le temps est maussade, moins d'insectes volent et moins sont capturés.
Dans cet article, les chercheurs expliquent leur démarche et leurs conclusions.
Les chercheurs ne dégagent pas les agriculteurs de leur responsabilité dans la disparition des insectes
Les chercheurs considèrent ainsi le changement climatique comme un facteur important dans le débat sur la disparition des insectes. Celui-ci explique également les variations de la biomasse d'insectes sur une plus grande zone et différents habitats. Ainsi, dans une étude réalisée en 2019 en Bavière, on avait trouvé des biomasses d'insectes aussi élevées dans les surfaces agricoles intensives que dans les prairies et les forêts. Toutefois, le nombre d'espèces présentes dans les zones agricoles était nettement inférieur.
L'utilisation des terres comme variable d'ajustement, la protection du climat indispensable
Enfin, les chercheurs de Würzburg considèrent également l'utilisation des sols comme une variable d'ajustement importante pour enrayer la disparition des insectes. Les petites populations sont particulièrement vulnérables lorsque le mauvais temps s'en mêle. La perte de biodiversité et le changement climatique sont étroitement liés. C'est pourquoi la protection du climat est indispensable.
Cette étude sur la disparition des insectes est aussi critiquée
D'autres chercheurs estiment que le message de Würzburg est dévastateur. Ils s'expriment dans le Science Media Center. « Le message principal de l'étude actuelle est absolument fatal et n'aurait pas dû être publié par Nature sous cette forme », déclare M. Christoph Scherber de l'Institut Leibniz pour l'Analyse du Changement de la Biodiversité à Bonn. Il est clair que la météo est un facteur de la disparition des insectes. Mais cela ne rendrait pas les autres causes insignifiantes. Des études auraient prouvé que la fertilisation, la protection des plantes et le travail du sol avaient une influence.
L'écotoxicologue Carsten Brühl de l'Université Technique de Kaiserslautern-Landau en Rhénanie-Palatinat fait remarquer que la pratique agricole dépend également des conditions météorologiques. Le regard porté sur la météo pourrait donc correspondre au recul des insectes, mais il exclurait tout autant d'autres facteurs.
RépondreSupprimer______________
* Peter Laufmann travaille comme chef de texte à la rédaction d'AGRARHEUTE. Le rédacteur et auteur travaille depuis de nombreuses années dans le journalisme environnemental et scientifique. Son intérêt porte régulièrement sur le grand écart entre l'utilisation et la protection des ressources naturelles.
Source : Studie zum Insektensterben: Ist die Landwirtschaft doch nicht schuld? | agrarheute.com
° o 0 o °
Ma note : L'étude, c'est « Weather explains the decline and rise of insect biomass over 34 years » (les conditions météorologiques expliquent le déclin et l'augmentation de la biomasse des insectes sur 34 ans) de Jörg Müller, Torsten Hothorn, Ye Yuan, Sebastian Seibold, Oliver Mitesser, Julia Rothacher, Julia Freund, Clara Wild, Marina Wolz et Annette Menzel.
En voici le résumé (découpé) :
Les insectes jouent un rôle essentiel dans le fonctionnement des écosystèmes. Le déclin de plus de 75 % de la biomasse d'insectes dans les zones protégées au cours des dernières décennies en Europe centrale [1] et ailleurs [2,3] a alarmé le public, poussé les décideurs [4] et stimulé la recherche sur les tendances des populations d'insectes. Cependant, les facteurs de ce déclin ne sont pas encore bien compris.
Ici, nous avons réanalysé 27 années de données de biomasse d'insectes de Hallmann et al. [1], en utilisant des informations spécifiques à l'échantillon sur les conditions météorologiques pendant l'échantillonnage et les anomalies météorologiques pendant le cycle de vie des insectes.
Ce modèle a permis d'expliquer la variation du déclin temporel de la biomasse d'insectes, y compris une augmentation observée de la biomasse au cours des dernières années, uniquement sur la base de ces variables météorologiques.
Notre constatation que la biomasse des insectes terrestres est largement déterminée par des conditions météorologiques complexes remet en question les hypothèses précédentes selon lesquelles le changement climatique est plus critique dans les tropiques [5,6] ou que les conséquences négatives dans la zone tempérée ne se produiront qu'à l'avenir [7] [Harvey, J. A. et al. Scientists’ warning on climate change and insects. Ecol. Monogr. 93, ecm.1553 (2022)] .
Malgré l'augmentation récente de la biomasse observée, on peut s'attendre à ce que de nouvelles combinaisons de conditions météorologiques pluriannuelles défavorables menacent davantage les populations d'insectes dans le cadre d'un changement climatique continu.
RépondreSupprimerNos résultats soulignent également la nécessité de poursuivre les recherches sur le changement climatique en ce qui concerne les mécanismes physiologiques affectés par les conditions et les anomalies météorologiques annuelles. »
Notons que les auteurs se sont placés dans notre avant-dernier paragraphe dans un contexte d'effets négatifs. Visiblement les gesticulations actuelles l'ont emporté sur la rigueur scientifique : les « nouvelles combinaisons de conditions météorologiques pluriannuelles » auront sans aucun doute des effets complexes, y compris positifs pour certaines espèces.
Les auteurs ont donc retravaillé les données d'une étude (Hallmann et al.) que nous avons beaucoup critiquée sur ce blog, avec des contributions d'autres auteurs.
M. Philippe Stoop avait suggéré qu'une évolution en deux parties (la régression linéaire étant manifestement problématique) pouvait s'expliquer par un changement du protocole de recueil des échantillons. L'article dans Nature est évidemment derrière un péage, donc impossible de vérifier comment les auteurs ont traité ce problème.
Voici un graphique issu du document explicatif en allemand :
- voir sur site -
Attention : l'échelle de l'ordonnée est logarithmique.
Enfin, cette étude a fait l'objet de huit commentaires dans un Science Media Center Germany.
° o 0 o °
Complément à la note : Un tel site ou une structure similaire devait être instauré en France selon le rapport annexé à la loi n° 2020-1674 du 24 décembre 2020 de programmation de la recherche pour les années 2021 à 2030 et portant diverses dispositions relatives à la recherche et à l'enseignement supérieur :
« […] Les actions suivantes seront lancées dans les premières années de la LPPR :
créer, à l'instar d'autres pays (Allemagne, Australie, Japon, Nouvelle-Zélande, Royaume-Uni), une dynamique d'actions ou un réseau " Science et médias ", qui pourrait être territorialisé par un nombre limité d'initiatives organisées autour de l'université locale et de ses partenaires, pour développer les relations et permettre la mise en contact rapide entre journalistes et chercheurs, favoriser l'accès des citoyens à une information scientifique fiable et accroître l'apport d'éclairages scientifiques dans les débats publics sur les grands sujets actuels. Pour accompagner et soutenir les créations de contenus, l'Agence nationale de la recherche renforcera ses partenariats avec les acteurs publics de l'audiovisuel (Radio France, France Médias Monde, France Télévisions, Centre national du cinéma et de l'image animée, Institut national de l'audiovisuel) afin de collaborer sur des actions et appels à projets communs de diffusion dans la société de la culture et des métiers scientifiques, de vulgarisation des connaissances scientifiques et de médiatisation de la controverse scientifique [...] »
RépondreSupprimerOn sait que cette initiative a été vivement combattue par certains journalistes d'un journal dont même la date est fausse.
Qu'est-il devenu des projets ?
https://seppi.over-blog.com/2023/10/etude-sur-la-disparition-des-insectes-l-agriculture-n-est-elle-finalement-pas-responsable.html
HAHAHAHAHAHA ! Les insectes (y compris les abeilles) sont victimes du 'Global Warming' !!
SupprimerÔôoh PITAING !!
En réalité elles ne sont victimes que des éoliennes qui assassinent des milliards d'insectes et d'oiseaux chaque jour !!
(...) Un hiver chaud et peu pluvieux a donc entraîné une diminution du nombre d'insectes. (...)
!!! 🙃
HAHAHAHAHA ! Non, c'est le FROID qui tue et non la douceur climatique observée parfois en plein hiver.
TOUS les paysans vous le diront: Un bon gel à -5 ou -10°C tue les insectes destructeurs des plantes.
Une bicyclette pour l’esprit ou la formidable puissance de l’inventivité humaine
RépondreSupprimerL’évolution naturelle vs l’innovation humaine : Comment la bicyclette nous a montré que nous sommes les véritables champions de l’efficacité.
le 3 octobre 2023
Philippe Silberzahn
Quel lien entre un condor et une bicyclette ? Non, ce n’est pas une blague. La réponse à cette question est fournie par Steve Jobs, et elle nous en apprend beaucoup sur l’inventivité humaine, et pourquoi elle peut être une source d’optimisme.
Dans sa remarquable interview de 1995, Steve Jobs souligne la puissance de l’inventivité humaine.
Il évoque un article qu’il a lu dans Scientific American dans lequel un chercheur étudiait l’efficacité du mouvement de différentes espèces. Il mesurait le nombre de calories que chacune consomme pour avancer d’un kilomètre. Le gagnant ? Le condor. L’Homme ? Bien plus bas dans la liste. Pas très surprenant finalement que la marche soit moins efficace que le vol. Mais, ajoute Jobs, le chercheur a eu l’idée brillante de mesurer un humain… sur une bicyclette. Le résultat ? La performance dépasse de loin celle du condor ! Un humain sur une bicyclette a une incroyable efficacité énergétique (0,15 calorie par gramme et par kilomètre).
Et Jobs conclut :
Les humains sont des fabricants d’outils. Nous construisons des outils qui peuvent énormément amplifier nos aptitudes naturelles.
Pour Jobs, l’ordinateur est l’un de ces formidables outils.
D’où sa métaphore de l’ordinateur comme une « bicyclette pour l’esprit » : un incroyable multiplicateur de potentiel humain.
Des outils pour compenser
Mais on peut généraliser bien au-delà du seul cas de l’ordinateur, avec des exemples qui peuvent sembler triviaux, mais seulement parce qu’ils sont devenus si évidents que nous ne les voyons plus : les habits chauds, plus efficaces que se coller autour d’un feu, et qui permettent de se déplacer, le livre qui libère le cerveau de l’apprentissage par cœur et permet la transmission du savoir de façon exponentielle.
Et dès lors, le fait que nos aptitudes naturelles ne soient pas très bonnes ne compte plus vraiment. Nous ne courons pas très vite, nous ne voyons pas très loin, notre capacité olfactive est minable, mais tout ça ne compte pas. Nous sommes moyens en tout par rapport aux autres animaux, mais nous fabriquons des outils pour compenser cela, et pour l’amplifier.
RépondreSupprimerCar aussi extraordinaire qu’il soit, le condor n’améliorera jamais sa performance de déplacement ni son efficacité en tant qu’individu. Son seul espoir serait de compter sur l’évolution naturelle en quelques milliers, ou plutôt millions d’années pour ses descendants.
L’Homme, lui, est capable de progrès considérables dans sa propre vie. Ces progrès sont possibles parce que nous ne confions pas notre évolution à l’espèce, ce qui est trop lent et non contrôlé. Nous la déléguons aux outils que nous créons, ce qui est au contraire incroyablement rapide et puissant.
C’est grâce aux outils que nous nageons mieux que les poissons (bateau), que nous voyons mieux que n’importe quel animal (radar, longue-vue), que nous volons mieux que les oiseaux, etc. Nous inventons même des outils qui permettent de mieux inventer des outils (le livre, l’organisation, l’ordinateur, la R&D)
Tous les êtres vivants sont confrontés aux contraintes de leur environnement.
La plupart n’ont quasiment aucune influence dessus. Les castors construisent des barrages, les singes utilisent des tiges pour attraper des fourmis, mais ces actions intelligentes et utiles sont cependant rares et limitées. La construction des barrages est instinctive et l’héritage d’une longue évolution (mettez un castor dans un appartement, il essaiera de construire un barrage avec ce qu’il trouve, même si ça n’a aucun sens). L’Homme construit des outils aussi bien pour résoudre les problèmes auxquels il est confronté, mais aussi par l’effet de sa curiosité naturelle : il invente les habits parce qu’il a froid, mais il invente aussi un ordinateur, et découvre seulement ensuite à quoi il peut servir.
Le pari gagnant de l’optimisme
Cette incroyable capacité d’inventer des outils signifie qu’il n’y a aucune fatalité face aux problèmes que nous rencontrons.
Au regard de l’histoire humaine, des problèmes formidablement difficiles ont été résolus. Nous ne sommes pas condamnés à espérer un salut de notre espèce par la seule évolution. En fait, nous ne dépendons plus d’elle, nous l’avons battue. Cette capacité n’est évidemment jamais une garantie de réussite, rien ne dit que nous saurons toujours capables de résoudre nos problèmes grâce à notre inventivité, mais elle devrait cependant être une source d’optimisme.
En tout cas, le pari vaut la peine d’être tenté. Il vaut toujours mieux que la résignation et le pessimisme.
https://www.contrepoints.org/2023/10/03/464439-une-bicyclette-pour-lesprit-ou-la-formidable-puissance-de-linventivite-humaine#comments_container
Non, la bicyclette n'est pas de tout repos ! Faut pédaler ! Et si on ne pédale plus: on tombe. Tandis que la marche à pieds, si on est fatigué on ralentit ou on s'arrête. L'exemple pris par Steve Jobs est nul, le 'condor porté par le vent' ! comme si le vent venait le prendre au nid, l'emportait et le ramenait !
SupprimerLe meilleur exemple n'est pas celui de la bicyclette mais de l'invention de la roue ! La roue a permit de transformer un brancard qui portait 100 kg de pierres par deux hommes en brouette qui portait 100 kg et poussée par un seul homme.
Steve Jobs est seulement électronicien, il n'est pas boulanger ou maçon ou docteur, ses réflexions sont limitées à son domaine (Apple, iPhone, etc).
L’essor du vélo en France, ça rapporte !
RépondreSupprimerL’essor du vélo en France n’est pas seulement une tendance de mobilité; c’est également un moteur économique puissant. De la fabrication à la vente de vélos, sans oublier le vélotourisme, ce secteur en croissance ouvre des horizons économiques diversifiés.
Par Aurélien Delacroix
le 3 octobre 2023 à 11h26
1,4 million de vélos seront produits en France en 2027.
L'Observatoire société et consommation (ObSoCo) rapporte que 55% des ménages français possèdent au moins un vélo, un chiffre en hausse, notamment grâce à la popularité des vélos électriques et des changements induits par la crise sanitaire. En 2022, 854.000 vélos ont été assemblés dans des usines françaises. Le plan interministériel « Vélo et marche 2023-2027 » est encore plus ambitieux, puisqu'il vise une production de 1,4 million de vélos en 2027 et 2 millions en 2030. L'essor du vélo est en marche !
L'essor du vélo, une manne économique en croissance
La France se positionne comme un acteur majeur du vélotourisme, avec 22 millions de personnes déclarant utiliser le vélo pendant leurs vacances. Ces touristes dépensent en moyenne 68 euros par jour, comparativement à 55 euros pour les touristes « classiques ». Le chiffre d'affaires du vélotourisme en 2020 était estimé à 4,6 milliards d'euros, selon la Direction générale des Entreprises (DGE). Les destinations comme « La Loire à Vélo » ou la Vélodyssée (un parcours qui traverse la Bretagne et longe l'Atlantique jusqu'à la Côte basque) voient leurs recettes doubler, dépassant les 100 millions d'euros annuellement.
Investissements et infrastructures : une stratégie nationale
L'essor du vélo en France est également encouragé par des investissements publics. Le plan interministériel prévoit un budget de 1,5 milliard d'euros pour développer les infrastructures cyclables, avec pour objectif d'atteindre 100.000 km de pistes cyclables d'ici 2030. Ce développement infrastructurel n'est pas seulement bénéfique pour les usagers mais également pour toute une série d'activités économiques périphériques telles que les loueurs de vélo, les réparateurs et les hébergements spécialisés. L'essor du vélo en France s'annonce donc comme une véritable opportunité économique. Du renforcement de l'industrie de fabrication à l'explosion du vélotourisme, en passant par les investissements dans les infrastructures, les retombées économiques sont diverses et considérables. Il appartient désormais aux acteurs économiques et politiques de capitaliser sur cette dynamique pour en maximiser les bénéfices à long terme.
https://www.economiematin.fr/essor-du-velo-en-france-ca-rapporte
Benoît Grunemwald : Cyberattaque – Un groupe de pirates vole plus de 3,14Go de données à Sony
RépondreSupprimerBenoît Grunemwald est Expert en Cyber sécurité pour ESET France
Par Axelle Ker
le 3 octobre 2023 à 4h00
3,14 Go de données non compressées, appartenant prétendument à Sony, ont été déversées sur des forums de pirates
Sony a déclaré qu'elle enquêtait sur les allégations de cyberattaque cette semaine, alors que différents pirates se sont manifestés pour revendiquer la responsabilité du prétendu piratage, écrit Bleeping Computer.
Alors que l'attaque des systèmes de Sony a été initialement revendiquée par un groupe d'extorsion appelé RansomedVC, un autre acteur de la menace s'est présenté comme étant les attaquants et a réfuté les affirmations de RansomedVC.
Jusqu'à présent, plus de 3,14 Go de données non compressées, appartenant prétendument à Sony, ont été déversées sur des forums de pirates.
Avant les allégations de cette semaine, Sony avait été confronté à une cyberattaque en 2014, lorsque des pirates nord-coréens s'étaient introduits dans Sony Pictures pour tenter de censurer la projection du film The Interview.
Benoît Grunemwald - Expert en Cybersécurité chez ESET France réagit à la bataille entre les pirates de Sony :
« L'attribution d'une cyberattaque, sans revendication, est compliquée. Il est nécessaire de réunir de nombreuses preuves techniques, tout en écartant les pièges tendus pour porter les soupçons sur d’autres groupes d’attaquants. Mais les groupes de rançongiciels actuels endossent la responsabilité de leurs méfaits bien volontiers. Cela est même une étape nécessaire à la perception du paiement de la rançon. Dans certains cas rares, plusieurs groupes peuvent revendiquer une même attaque. La prudence est alors de mise car il convient de trier le vrai du faux de la parole de cyber criminels. Les investigations numériques doivent permettent de préciser les auteurs des faits, pour les poursuivre en justice.
Dans le cas présent, les auteurs auraient exfiltré des données liées au développement logiciel. Quelles sont les conséquences pour les joueurs ? D’une part si aucune fuite de données personnelles n’est à déplorer, considérons que les tentatives d’hameçonnage sont limitées. Cependant, l’analyse de code source pourrait permettre de trouver des failles dans les jeux ou les plateformes, permettant l’accès à des comptes ou à des codes spéciaux ou autres techniques pour tricher. Dans le cadre des compétitions d’e-sport, ces triches porteraient atteinte à l’égalité des joueurs. »
NOTE : ESET ne porte aucune responsabilité quant à l'exactitude des informations provenant de sources tierces.
https://www.economiematin.fr/benoit-grunemwald-cyberattaque-sony-pirates
L'argent électrique ? Les alarme de maison et de voiture ? Pchitt ! "VOUS N'AUREZ RIEN ET SEREZ HEUREUX !"
SupprimerTrafic d’enfants pendant la guerre en Ukraine – Un ex-agent des services secrets témoigne
RépondreSupprimerPar Kla TV
Mondialisation.ca,
01 octobre 2023
Le lanceur d’alerte et ancien agent des services secrets ukrainiens Vassili Prosorov révèle des atrocités inconcevables.
Il révèle des crimes organisés en grand secret dans les coulisses de la guerre, contre des enfants ukrainiens.
L’ancien agent des services secrets ukrainiens SBU, Vassili Prosorov, vit désormais dangereusement. Sa volonté de faire connaître la vérité a poussé Prosorov à quitter le SBU en 2018. Il a emporté avec lui des documents mettant en lumière les crimes et les atrocités commis par Kiev.
Ces faits ont été étayés par un rapport de l’organisation de défense des droits de l’homme Human Rights Watch sur le SBU. Même Human Rights Watch accuse le SBU d’avoir torturé en toute impunité des opposants politiques et des dissidents ukrainiens, d’avoir procédé à des arrestations arbitraires et d’avoir fait disparaître des personnes. En outre, la torture et les mauvais traitements seraient une pratique courante.
- Cette vidéo a été censurée par les pédophiles qui dirigent. Elle était présente sur LE VERT BAVOIR samedi 30 septembre 2023 - Trafic d'enfants pendant la guerre en Ukraine - Un ex-agent des services secrets témoigne -
De plus, les fonctionnaires ukrainiens envoient des messages effrayants à tous ceux qui décident de coopérer avec la Russie : Ceux qui le font perdent la vie.
Des déclarations du président ukrainien Zelenski comme par exemple : « Il y aura des conséquences pour les collaborateurs » indiquent sans équivoque la participation des plus hautes sphères du gouvernement. Dans la vidéo suivante d’une conférence de presse du 31 juillet 2023, le lanceur d’alerte Vassili Prosorov publie les noms de hauts fonctionnaires du gouvernement et d’employés de l’Etat. Selon Prosorov, ces noms lui ont été communiqués par un haut fonctionnaire ukrainien qui lui a demandé de l’aide pour les publier. On y découvre des crimes innommables qui se cachent derrière les enlèvements d’innombrables enfants de la zone de guerre. Prosorov est certain que des atrocités sont commises sur les enfants dans les coulisses de la guerre en Ukraine.
Il convient d’accorder de l’attention et une voix à cet homme qui informe le monde sur ce dont la guerre de l’information sur le conflit ukrainien détourne l’attention. C’est pourquoi Kla.TV considère qu’il est de son devoir journalistique de publier son rapport authentique.
RépondreSupprimerLes procureurs et les tribunaux indépendants sont appelés à examiner son témoignage et, le cas échéant, à prendre les mesures pénales qui s’imposent.
Une étude très intéressante a été publiée récemment par Vassili Nikolaïevitch Prosorov. J’aimerais lui donner la parole. Et il raconte ce qu’il a découvert jusqu’à présent et peut-être aussi à quoi ces situations sont dues. Vassili Nikolaevitch, merci beaucoup. Bonjour, je voudrais me présenter brièvement. Je m’appelle Prosorov, je suis un ancien employé du service de sécurité SBU. Depuis 2019, je dirige le centre de journalisme d’investigation Ukr Leaks.
La mission principale du centre est d’enquêter sur les crimes de guerre commis par le régime de Kiev. Il se trouve qu’au cours de nos enquêtes, nous révélons souvent des sujets graves qui suscitent un très fort retour et une vive réaction de la part de nos téléspectateurs. Et nous recevons ensuite beaucoup de matériel que nous utilisons à notre tour pour d’autres enquêtes. Bien sûr, le sujet du trafic d’enfants ne peut laisser personne indifférent.
Et malheureusement, nous devons admettre que les informations que nous recevons témoignent du fait que le sort des enfants est vraiment tragique. En bref, disons-le franchement : Nos enfants sont enlevés et sortis d’Ukraine, et ils finissent au mieux entre les mains de quelque famille douteuse ou, au pire, sont remis à des pédophiles ou servent au trafic d’organes. C’est malheureusement la dure réalité, pardonnez-moi.
Eh bien, voilà. Nous avons fait une enquête intéressante sur la maternité de substitution et la vente de nouveau-nés d’Ukraine [Kla.TV en a parlé le 7 mai 2022 : www.kla.tv/22458].
Et nous avons à nouveau reçu des réactions et des indications très sérieuses et, en fin de compte, du matériel intéressant qui constitue la base de notre nouvelle enquête.
Permettez-moi de m’exprimer ainsi : Ceux qui ont envoyé ce matériel sont des représentants de l’Etat ukrainien, qui s’occupent de la question de la lutte contre la traite des êtres humains. Mais lorsqu’ils ont pris conscience de l’ampleur de cette structure et des personnes, du rang des personnes impliquées, ils ont réalisé que, depuis l’Ukraine, ils ne pouvaient rien faire seuls contre ce système criminel. Et c’est la raison pour laquelle entre autres choses ils m’ont remis le matériel pour une publication ultérieure. À ce stade, je vous dis tout de suite que je l’ai vérifié dans la mesure du possible.
Je suis sûr, ou plutôt je suis convaincu, que les fonctionnaires actuels du SBU et de la police nationale qui figurent sur ce document sont des personnes réelles en Ukraine. Dans les résultats de mon enquête, vous pouvez voir toutes leurs coordonnées. Numéros de téléphone, réseaux sociaux, adresses e-mail, tout y est. Le noyau de la structure est un groupe de criminels qui opère depuis longtemps en Ukraine, enlève et fait sortir des enfants d’Ukraine et les amène au Royaume-Uni, où ils se retrouvent, pardon, entre les mains de pédophiles, de hauts représentants de l’establishment britannique.
RépondreSupprimerLe chef de ce groupe est l’ancien officier de sécurité ukrainien Sergueï Vladimirovitch Borissov. Il travaille actuellement directement en Ukraine, à Kiev, où il recherche des enfants et les sélectionne selon certains critères. Avec l’aide de ses complices, il participe à l’élaboration de documents. Cela a déjà été mentionné. Il établit les documents nécessaires pour faire sortir les enfants d’Ukraine. Ses principaux complices sont Mme Irina Viktorovna Savtchouk.
C’est une employée du district Sviatochenski de la police nationale de Kiev. Ianina Leonidovna Varich, ancienne fonctionnaire de police. Elle a longtemps travaillé dans le système de protection des mineurs du district de Solomenski, au sein de la Direction nationale de la police, la direction générale de la police de Kiev. Marina Alexandrovna Fichtchouk, directrice adjointe du service de l’enfance du district de Solomenski à la municipalité de Kiev. Orest Iaroslavovitch Krichtafovitch, ancien employé de la commission de la jeunesse et de la famille de la Verkhovna Rada d’Ukraine.
Pendant longtemps, il a également été l’assistant de plusieurs députés du peuple ukrainien. Avec l’aide de ces complices et de ses autres relations au sein du SBU jusqu’à la police nationale, Sergei Borissov dirige la recherche d’enfants selon des critères précis et prépare les documents requis. Les critères de sélection varient considérablement. Par exemple, selon mes sources les plus récentes, en novembre 2022, le groupe recherchait spécifiquement des filles âgées de 10 ans, blondes et aux yeux bleus. Je me rends compte à quel point cela peut paraître stéréotypé, mais c’est la réalité.
Les enfants sont choisis dans des familles pauvres, des familles déplacées. Les prétextes pour les emmener loin de l’Ukraine : Le plus souvent, pour étudier dans des établissements d’enseignement au Royaume-Uni, pour des traitements médicaux ou, comme le disent certains documents, « pour échapper à l’horreur de la guerre ». En dehors de l’Ukraine, ou plutôt pendant la phase d’exportation des enfants, des représentants de Chemonics sont impliqués. Cette organisation internationale est un sous-traitant de l’agence américaine de développement international USAID [Agence des États-Unis pour la coopération au développement]. Cette coopération est active depuis longtemps en Ukraine et soutient un certain nombre de projets.
Parmi eux, ceux qui sont liés au développement de l’agenda LGBTQ, au développement de la tolérance dans la société ukrainienne, etc. Parmi les personnes directement impliquées dans ce projet, on trouve (à l’extrême gauche) : Martin King, un ancien parachutiste britannique.
RépondreSupprimerDepuis janvier 2022, il est le directeur de la sécurité régionale pour l’Europe de l’Est chez Chemonics ; il est en contact direct avec Sergei Borissov. Matthew Waterfield, ancien membre de plusieurs missions de l’ONU en Afrique et en Asie ; depuis juin 2022, il dirige l’équipe de Chemonics au sein du Partnership Fund for a Resilient Ukraine [Partenariat pour une Ukraine stable], une fondation internationale. Mark Watson (tout à droite), ancien membre des troupes aéroportées britanniques et ancien membre de la mission de l’OSCE en Ukraine, employé de l’USAID, qui est également en contact personnel avec Borissov. C’est lui qui accompagne les enfants d’Ukraine en Grande-Bretagne. Les escortes sont fournies par une société militaire de sécurité privée britannique, l’Akkadian. Deux autres assistants ont été identifiés ici : Simon Rowton, lui aussi ancien membre des forces armées britanniques, et Christopher Gibson, également ancien membre des troupes aéroportées britanniques, aujourd’hui conseiller en sécurité et en gestion des risques de la société Akkadian.
Bien entendu, de telles activités ne peuvent pas être menées sans la protection de fonctionnaires britanniques. Et l’enquête a identifié trois de ces personnes qui couvrent ces activités. Il s’agit de représentants du ministère britannique des Affaires étrangères et des services secrets britanniques MI6. En particulier Tom Matlock, membre de l’état-major central du MI6. Auparavant, il a travaillé au Soudan et en Corée du Sud, a été ambassadeur adjoint du MI6 à l’ambassade britannique en Suisse. Sa femme Kate English est également membre du bureau central du ministère britannique des Affaires étrangères. Après avoir travaillé en Corée du Sud et au Soudan, et elle est actuellement employée à l’ambassade britannique en Ukraine.
Participe également à ce projet visant à attirer dans ce groupe de nouvelles personnes disposant de l’expertise nécessaire : Rob Parkinson, membre du département des ressources humaines du ministère britannique des Affaires étrangères. Il est habilité à sélectionner des experts qui seront envoyés dans des régions à haut risque, dont Ukraine. Ce groupe criminel opère dans le plus grand secret, dans le respect de toutes les normes et exigences de la conspiration, les exigences de la conspiration, car les clients sont des représentants de hauts fonctionnaires britanniques.
Pour contacter directement les représentants des clients ou pour obtenir des contrats, Sergueï Vladimirovitch Borissov se rend régulièrement en Grande-Bretagne ; la dernière fois qu’il s’y est rendu, c’était en mai 2023, c’est-à-dire récemment. En fait en 2020, Sergueï Vladimirovitch Borissov avait été arrêté par les forces de l’ordre ukrainiennes pour avoir organisé un groupe criminel impliqué dans l’enlèvement d’hommes d’affaires contre rançon.
RépondreSupprimerIl s’agit d’une affaire très connue, dont tous les médias ukrainiens ont parlé, car le groupe comprenait, outre l’officier du SBU Borissov, tout un groupe d’officiers de la police nationale, actuels et anciens. Ils étaient accusés dans cinq cas d’enlèvement d’hommes d’affaires, de torture, d’extorsion – tout une liste. En 2021, tous les membres du groupe avaient toutefois été libérés sous caution. En mai 2022, toutes les informations relatives à la procédure pénale ont été retirées des sites web de la police nationale ukrainienne.
En 2022, à ma connaissance, Borissov a reçu une offre qu’il ne pouvait pas refuser. Soit il s’occupait de cette question des enfants, soit il allait en prison. Pour l’instant, il gère l’affaire, comme le montrent ses visites régulières et fréquentes en Grande-Bretagne. De manière générale, il faut dire que ces informations sont très inquiétantes et très… disons, choquantes. Et bien sûr, elles devraient être examinées plus avant. Mais le simple fait qu’il existe quelques parallèles historiques avec la Grande-Bretagne suggère que cela pourrait bien être vrai.
Ce n’est un secret pour personne que le Royaume-Uni est devenu un foyer d’abus sur les enfants. Même les chiffres officiels les plus bas le montrent. Si vous le permettez : en 2016-2017, plus de 60 000 délits sexuels contre des enfants ont été officiellement enregistrés au Royaume-Uni.
En novembre 2022, la directrice de l’Agence britannique de lutte contre la criminalité, Lynne Owens, a déclaré qu’il y avait entre 550 000 et 800 000 pédophiles au Royaume-Uni. La pédophilie, même dans les plus hautes sphères de l’establishment britannique, n’est plus un secret.
Même au sein de la famille royale. L’actuel roi Charles III, anciennement prince Charles, s’est également fait un nom, aussi sordide que cela puisse paraître, en raison de ses connaissances et de ses liens étroits avec des, disons pédophiles de haut rang. Ce n’est que parce qu’ils le connaissaient que certains ont pu échapper à des poursuites judiciaires : l’évêque anglican Peter Ball et le Porte-parole de la Chambre des Lords, Jimmy Savile.
RépondreSupprimerAprès le coup d’État à Kiev en 2014, et en particulier depuis le début de l’opération militaire, l’Ukraine est devenue un paradis pour les pédophiles de tous bords, en particulier les Britanniques. En 2022, les autorités britanniques chargées de l’application des lois ont officiellement annoncé que dix ressortissants britanniques, fichés comme pédophiles, avaient été arrêtés en Pologne, et qu’ils avaient tenté de s’infiltrer dans des camps de réfugiés ukrainiens pour entrer en contact avec des enfants.
Ils ont simplement été invités à un entretien d’avertissement et ont été renvoyés au Royaume-Uni. Mais nous ne saurons jamais, je pense, combien d’enfants ont souffert de leurs actes, mais je pense que les chiffres sont choquants. Vassili Nikolaevitch, merci beaucoup pour ce que vous nous avez relaté.
Sources / Liens :
Le récit de Vassili N. Prosorov sur les enlèvements et les atrocités qui ont suivi sur les enfants ukrainiens de la zone de guerre https://www.bitchute.com/video/i5oqHQeNTwMc/
https://odysee.com/@donbassinsider:b/conference-ukraine-enleve-enfants-vendre-reseaux-predocriminels-fr-27072023:1
(Min. 10 à 22:23)
Menaces de Zelenski et conséquences pour les collaborateurs https://www.barth-engelbart.de/?p=237000
https://www.mondialisation.ca/trafic-denfants-pendant-la-guerre-en-ukraine-un-ex-agent-des-services-secrets-temoigne/5681791?doing_wp_cron=1696312240.7930970191955566406250
🤣 Les véhicules électriques deviennent soudainement non assurables (sauf si vous êtes riche) 😂
RépondreSupprimerPar Jo Nova
October 3rd, 2023
Rappelez-vous comment nous avions prédit que les coûts d’assurance augmenteraient lorsque les gens se rendraient compte que des véhicules électriques presque neufs étaient radiés pour cause de rayures, parce que personne ne pouvait tester leur batterie et être sûr qu’elle ne s’enflammerait pas ? Et puis il y a eu la nouvelle qu'après un accident, les voitures électriques doivent respecter une distance sociale, occupant jusqu'à 50 fois plus d'espace de stationnement, au cas où elles exploseraient d'autres voitures ? Eh bien, les compagnies d’assurance l’ont également compris. Un assureur a complètement suspendu l’offre d’assurance pour véhicules électriques, tandis que d’autres sociétés augmentent les tarifs de 60 à 900 %. Quel choc:
« Les devis s'élevaient à 5 000 £ ou plus » : les propriétaires de véhicules électriques sont confrontés à une flambée des coûts d'assurance
Zoé Wood, la gardienne
Dans le groupe Facebook, les membres partagent des histoires de citations de renouvellement d'horreur, avec des augmentations allant de 60 % (jusqu'à 1 100 £) à un stupéfiant 940 % (un bond de 447 £ à 4 661 £, selon une capture d'écran partagée par un conducteur).
"J'ai passé des semaines sur tous les sites de comparaison ainsi qu'à essayer des assureurs individuels et des courtiers spécialisés, mais soit ils ne couvraient pas la voiture, soit les devis s'élevaient à 5 000 £ ou plus", explique David, dont le seul changement de situation a été trois points sur un Licence.
Privilege, Vitality, Axa et le courtier spécialisé Adrian Flux faisaient partie des marques qu'il a jugées « incapables de l'assurer pour le moment » avant de conclure une police d'assurance avec Direct Line, quoique à un prix.
Les analystes affirment que les coûts des sinistres sont 25 % plus élevés pour les voitures électriques et qu’elles prennent également environ 14 % plus de temps à réparer qu’un équivalent diesel ou essence.
Un ancien journaliste de la BBC, Alex Gerlis, a acheté un véhicule électrique, l'a assuré auprès de John Lewis, pour découvrir après un an que John Lewis a déclaré qu'il avait complètement cessé d'assurer les véhicules électriques. Gerlis a estimé que cela « allait à l’encontre » de l’entreprise affirmant vouloir lutter contre le changement climatique et s’est plainte. C’est peut-être la première fois qu’il se rend compte que tous ceux qui « veulent lutter contre le changement climatique » ne sont pas heureux d’y perdre leur argent.
RépondreSupprimerSi vous possédez un véhicule électrique et qu’il est assuré, vous pourriez avoir de la chance si quelqu’un le croisait dans le parking.
avec NetZeroWatch
https://joannenova.com.au/2023/10/evs-suddenly-become-uninsurable-unless-you-are-rich/
Un membre de « l’équipe verte » de Biden admet que les véhicules électriques ne sont PAS durables
RépondreSupprimer10/01/2023
Zoey Sky
Un membre de « l’équipe verte » du président Joe Biden a admis que la promotion des véhicules électriques (VE) ne suffirait pas à arrêter le réchauffement climatique.
Le 18 septembre, Jigar Shah, directeur du Bureau des programmes de prêts au Département de l'énergie (DOE), a publié un tweet inhabituellement franc sur X. Dans sa réponse à un autre message, Shah a déclaré qu'il fallait remplacer « tous les véhicules dans le monde ». avec les véhicules électriques n’est pas durable. »
Selon Shah, il est crucial d'abord « d'investir dans la micro-mobilité, de nouveaux modèles de propriété, de meilleurs modèles d'urbanisme et d'autres améliorations ». Il a ajouté qu'ils doivent d'abord « améliorer le taux d'utilisation actuel de 4 à 6 % » du parc automobile actuel.
Shah travaille avec John Podesta pour accorder 300 milliards de dollars de garanties de prêt pour des projets d'énergie verte. Podesta a été nommé conseiller principal du président pour l’innovation et la mise en œuvre des énergies propres en septembre de l’année dernière.
Essentiellement, l’administration Biden admet que les États-Unis ne peuvent pas remplacer la totalité des 250 millions de véhicules à combustion interne du pays par des véhicules électriques.
Les règles destinées à accélérer la transition vers les véhicules électriques sont confrontées à de nombreux défis
L’administration Biden a proposé des règles agressives pour accélérer considérablement le passage de l’Amérique aux véhicules électriques et réduire considérablement la pollution automobile qui réchaufferait la planète. Mais ces règles se heurtent à de nombreux défis.
Les plans détaillés par l'Environmental Protection Agency (EPA) sont censés garantir que les deux tiers des nouvelles voitures particulières et un quart des nouveaux camions lourds vendus aux États-Unis soient entièrement électriques d'ici 2032.
Si les plans sont adoptés tels que proposés, les réglementations signifieraient un bond significatif pour l’industrie automobile du pays, où seulement 5,8 % des voitures neuves et moins de 2 % des camions vendus en 2022 étaient entièrement électriques.
Pour transformer l’industrie automobile américaine à l’échelle ambitieuse qu’elle envisage, l’administration Biden doit d’abord faire face à la résistance des constructeurs et des consommateurs, ainsi qu’aux éventuelles contestations juridiques de ceux qui considèrent les réglementations comme un excès de la part du gouvernement.
RépondreSupprimerL’un des aspects les plus importants d’une transition globale vers les véhicules électriques concerne le timing.
Alors que presque tous les constructeurs automobiles ont déjà investi des milliards dans l’électrification, les réglementations proposées créent un dilemme : comment les constructeurs automobiles peuvent-ils continuer à fabriquer des véhicules à essence, qui génèrent des bénéfices, tout en investissant davantage dans de nouvelles installations électriques ?
Le calendrier agressif visé par le gouvernement signifie que les constructeurs automobiles pourraient également avoir du mal à s'approvisionner en matériaux nécessaires aux batteries des véhicules, qui sont déjà difficiles à obtenir.
La demande du marché constitue un autre défi. Même avec des incitatifs fiscaux fédéraux allant jusqu'à 7 500 $ pour les consommateurs, les véhicules électriques coûtent plus cher au départ que les voitures et les camions conventionnels.
Fin 2022, le prix moyen d’une voiture neuve était de 49 507 $, contre 61 448 $ pour un véhicule électrique. Cependant, même pour les consommateurs motivés qui peuvent se permettre des véhicules électriques, un obstacle majeur est ce qu'on appelle « l'anxiété liée à l'autonomie », ou la peur d'être bloqué parce que votre véhicule électrique ne peut pas atteindre sa destination avec une seule charge et le manque de bornes de recharge rapides.
Stephanie Brinley, analyste automobile chez S&P Global, a déclaré que l'objectif de l'administration était "toujours une transformation qui se produirait sur des décennies". Le calendrier serré signifie que beaucoup de choses doivent d’abord se produire consécutivement et simultanément. (Connexe : un sondage Pew révèle que 59 % des Américains S'OPPOSENT au projet de l'administrateur de Biden d'éliminer progressivement les voitures à essence au profit des véhicules électriques.)
Une autre menace juridique et politique, presque certaine, se profile également à l’horizon : les nouvelles règles pourraient être effacées par les tribunaux ou par un futur président.
Il est prouvé que l’industrie est déjà en transition vers un avenir entièrement électrique. Par exemple, General Motors (GM) vise l’objectif d’éliminer progressivement la vente de tous les véhicules à combustion interne d’ici 2035.
RépondreSupprimerPendant ce temps, Ford Motor espère que les voitures électriques représenteront la moitié de ses ventes d’ici 2030. Hyundai et Nissan accélèrent leur production de véhicules électriques.
Cependant, les réglementations proposées obligeraient les constructeurs automobiles à procéder à davantage d’ajustements.
Ford devrait consacrer 50 milliards de dollars entre 2022 et 2026 à la production de véhicules électriques. L’entreprise a également deux usines de batteries en construction dans le Kentucky, une troisième étant prévue dans le Tennessee et une usine de camions électriques.
Cependant, Ford devra probablement dépenser des milliards de plus si les véhicules électriques veulent représenter les deux tiers des plus de deux millions de véhicules vendus chaque année en Amérique du Nord.
La transition vers les véhicules électriques comporte des risques « très élevés »
Matthias Heck, vice-président de Mood
La transition vers les véhicules électriques comporte des risques « très élevés »
Matthias Heck, vice-président de Moody's Investors Service, a expliqué que les risques liés à une transition accélérée des véhicules à essence sont « élevés, voire très élevés », car l'électrification nécessitera des investissements supplémentaires substantiels dans plusieurs facteurs, tels que :
Nouveaux véhicules électriques à batterie
Technologie des batteries
Chaîne d’approvisionnement et capacité de fabrication
Infrastructure de recharge
Ford et d’autres constructeurs automobiles n’ont pas encore obtenu des sources suffisantes de cobalt, de lithium, de manganèse, de nickel et d’autres matériaux essentiels aux batteries automobiles. On ne sait toujours pas où ils les obtiendront.
Alors que l’administration Biden espère que les coûts des véhicules électriques diminueront avec la production de masse. Carlos Tavares, directeur général de Stellantis, a déclaré que la difficulté d'approvisionnement en matériaux nuisait à cela.
Tavares a averti que l'accessibilité financière n'est pas garantie car les matières premières sont rares et très chères. Ils sont également volatiles, a-t-il ajouté.
Les constructeurs financent désormais leur production de véhicules électriques grâce aux bénéfices substantiels réalisés sur leurs camions à essence et leurs véhicules utilitaires sport. Les experts ont averti que malgré cela, il sera difficile de maintenir la rentabilité alors qu’ils produisent davantage de véhicules électriques et moins de modèles à essence.
GM a révélé qu'il ne gagnait pas encore d'argent avec ses véhicules électriques, tandis que Ford a déclaré que sa division électrique allait perdre 3 milliards de dollars en 2023.
RépondreSupprimerLes deux sociétés espèrent franchir le cap en augmentant la production de modèles électriques tout en essayant de réduire les coûts.
GM est en train de supprimer 5 000 emplois pour réduire ses coûts de 2 milliards de dollars. En 2022, Ford a commencé à supprimer environ 3 000 emplois dans ses effectifs.
Sam Abuelsamid, analyste de recherche principal chez Guidehouse Insights, pense qu'il est possible d'atteindre au moins 50 à 60 % de véhicules électriques, mais ce ne sera pas facile. Même si le rythme des achats de véhicules électriques augmente lentement, de nombreux acheteurs de voitures restent incertains quant à la nouvelle technologie.
Lisez plus d’histoires sur les pressions de l’administration Biden en faveur des véhicules électriques censés arrêter le réchauffement climatique sur GreenTyranny.news.
Regardez la vidéo ci-dessous pour en savoir plus sur l’arnaque à des milliards de dollars liés à l’énergie verte.
Cette vidéo provient de la chaîne Greekinsider sur Brighteon.com.
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PLANNED IMPLOSION: California approves ban on new diesel truck sales by 2036.
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Sources include:
ClimateDepot.com
Twitter.com
WhiteHouse.gov
NYTimes.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2023-10-01-bidens-green-team-admits-evs-not-sustainable.html
(...) Alors que l’administration Biden espère que les coûts des véhicules électriques diminueront avec la production de masse. (...)
SupprimerHAHAHA ! On l'a vu avec les 'éoliennes' !!! HAHAHA !
La fin de la BCE : Les États-Unis déclarent la guerre à l’euro
RépondreSupprimerle 1 octobre 2023
L’euro n’a pas eu la vie facile depuis son introduction officielle en tant que moyen de paiement en 2001. Considérée comme une alternative au dollar, la monnaie unique était au bord du gouffre onze ans seulement après sa création. Source : Investing.com et https://tomluongo.me/2023/08/01/the-ecb-is-trapped-between-japan-and-the-us
La crise de la dette issue de la crise financière de 2008 menaçait de faire s’effondrer l’euro et la zone euro. Seule l’intervention courageuse du président de la BCE de l’époque, Mario Draghi, a empêché la destruction de l’Eurosystème. Aujourd’hui, onze ans plus tard, la survie de l’euro semble à nouveau compromise. Mais cette fois-ci, la BCE n’a plus le pouvoir de décider elle-même si l’euro disparaîtra de la scène, comme l ‘a expliqué Tom Luongo.
Le grand problème de la présidente de la BCE Christine Lagarde est sa crédibilité. Elle devrait convaincre les marchés qu’elle est sérieuse dans sa lutte contre l’inflation (dévaluation de l’euro). Le président de Fed Powell n’a pas ce problème, le marché le croit quand il dit que les taux d’intérêt, actuellement de 5,5 pour cent, resteront élevés pendant une longue période. Il a lui-même déjà prédit que l’inflation n’atteindrait pas l’objectif de 2 pour cent avant 2025. En conséquence des taux d’intérêt et des prévisions, les rendements des obligations américaines sont supérieurs à ceux de leurs concurrentes européennes et les investisseurs transfèrent ainsi des fonds de l’euro vers le dollar dans leur quête de rendement.
Les marchés n’ont donc pas confiance en la BCE, car l’annonce de l’arrêt des programmes QE (« Quantitative Easing », faire tourner la planche à billets) s’est accompagnée de la création du fameux instrument de protection de la transmission (TPI). Celui-ci, comme le dit Luongo, n’est rien d’autre que le QE, mais sous une autre forme – un tour de passe-passe que le marché a compris. Mais Lagarde n’a pas d’autre choix, car elle doit éviter que le marché obligataire européen ne s’effondre. Luongo parle à ce propos d’un « patient cancéreux au stade IV ». Arrivés à ce point, la politique de la BCE et, par conséquent, l’euro deviennent le jouet des marchés.
Les données économiques américaines sont meilleures que celles de l’UE, ce qui permet à Powell d’envisager beaucoup plus sereinement la nouvelle vague d’inflation des matières premières qui, selon lui, nous attend.
Cette inflation n’avait diminué temporairement que parce que le président américain Biden avait décidé de vendre les stocks stratégiques de pétrole brut américains. Lagarde et l’euro en ont davantage profité que le dollar, car l’Europe est beaucoup plus dépendante des importations de pétrole. Mais ce soutien est désormais caduc, explique Luongo.
Lagarde a les mains liées à ce stade. Quel que soit l’état de l’économie européenne, elle doit suivre la politique monétaire de la Fed. Si elle ne le fait pas, « la sortie de capitaux d’Europe passera d’un petit ruisseau dans l’arrière-cour à un déluge biblique », comme le décrit Luongo. Le résultat serait que ni les « spreads » obligataires ni l’euro ne pourraient être défendus. L’euro et la zone euro cesseraient d’exister.
RépondreSupprimerMême la Banque du Japon (BoJ) est mieux placée, malgré ses problèmes de déflation qui durent depuis des décennies. Tout d’abord, ses fondamentaux semblent meilleurs que ceux de l’UE et le Japon n’a pas commis l’erreur de s’affranchir des livraisons de pétrole russe. Bien au contraire, le Japon importe plus de pétrole russe qu’il ne l’a jamais fait auparavant. Le président de la BoJ, M. Ueda, a annoncé qu’il allait assouplir le contrôle de la courbe de rendement, ce qui a augmenté l’incertitude sur les marchés. Luongo indique que les traders doivent être plus attentifs à ces évolutions de la politique monétaire. Car elles montrent clairement une chose : il n’y aura plus d’actions coordonnées des banques centrales comme cela a été le cas pendant 10 ans.
Avec la dégradation de la note des États-Unis par S&P en 2011, toutes les grandes banques centrales se sont unies pour se vendre mutuellement des obligations et fournir des liquidités. Cette ère a pris fin en juin 2021, lorsque Powella augmentéletaux de prise en pensionde 5 points de base, sans consultation, afin d’éviter que les rendements des bons du Trésor à 30 jours ne deviennent négatifs.
Ce fut la première salve avec laquelle la Fed a lancé la guerre des devises qui venait d’être déclenchée. Même si 5 points de base n’ont pas l’air d’être beaucoup, cette mesure a eu pour effet de retirer en un rien de temps 1000 milliards de dollars du marché international des capitaux, qui ont afflué aux États-Unis et y ont déchaîné l’inflation qui y sommeillait jusqu’alors. Les banques centrales sont redevenues des combattants solitaires et chacune d’entre elles utilisera toutes les possibilités pour avoir une longueur d’avance dans la guerre monétaire mondiale. Un « déplacement sismique » des flux de capitaux est imminent, selon Luongo. La secrétaire au Trésor américain Yellen va inonder les marchés d’obligations d’État américaines afin que le gouvernement Biden puisse financer ses innombrables programmes de relance. Cela donne à Powell la possibilité de maintenir sa politique monétaire restrictive et même d’augmenter encore les taux d’intérêt. La BCE doit suivre, même si la zone euro est déjà en récession, car il n’y a plus d’autre possibilité de défendre l’euro. L’euro et le dollar sont dans une guerre que l’euro ne peut pas gagner.
Lagarde ne peut qu’espérer que l’économie américaine se portera bientôt si mal que Powell devra baisser les taux d’intérêt. Sinon, l’euro ne figurera plus que dans les livres d’histoire, où l’on pourra lire que cette expérience était vouée à l’échec dès le départ.
RépondreSupprimerBref commentaire de votre serviteur. La descente aux enfers de la plupart des économies européennes, encore soigneusement dissimulée par les dirigeants politiques, va précipiter le délitement de cette construction artificielle qu’est la monnaie unique européenne. Je ne me hasarderai pas à formuler un quelconque pronostic mais l’Union européenne, dans l’hypothèse d’un gel à la coréenne du conflit ukrainien, ni perdant ni gagnant, signera la disparition de l’Europe telle qu’elle existe artificiellement, c’est-à-dire soumise au bon vouloir de la Maison-Blanche depuis la fin de la seconde guerre mondiale. Le seul dirigeant politique qui s’opposa à cette hégémonie américaine fut le Général De Gaulle. Comme beaucoup d’historiens et d’hommes politiques dignes de ce nom le savent on est incapable de comprendre le présent si on ignore l’histoire passée et en ce qui concerne l’Europe, l’Ukraine et la Russie tout a été dit : l’Europe occidentale, en s’éloignant de la Russie selon la volonté de Washington, a signé son arrêt de mort. Christine-tailleurs Chanel partira à la retraite, c’est tout ! On peut pour une bonne compréhension des évènements d’Ukraine écouter l’exposé de Monsieur De Kochko : https://www.youtube.com/watch?v=8sV3m1KMny0&ab_channel=PLACEDARMESIDF
https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/10/01/la-fin-de-la-bce-les-etats-unis-declarent-la-guerre-a-leuro/
Umiami : prochain leader mondial de la viande végétale ?
RépondreSupprimerL’ascension de la start-up française Umiami ne cesse d’impressionner. Grâce à sa dernière levée de fonds, la start-up française compte bien partir à la conquête du monde.
Par Axelle Ker
le 3 octobre 2023 à 11h26
La start-up française Umami vient de lever 32,5 millions d'euros
Spécialisée dans la viande végétale, Umiami (en référence au goût qui tient ce nom) a annoncé ce mardi 3 octobre avoir levé 32,5 millions d'euros. Grâce à ce nouveau financement, la start-up française espère devenir la référence de la viande végétale dans le monde. Elle part à la conquête des États-Unis, « qui est un marché énorme pour les blancs de poulet, un créneau où il n’y a presque pas d’alternatives végétales », indique Tristan Maurel, l'un des co-fondateurs d'Umiami.
Pour ce faire, l'entreprise va utiliser une partie des fonds levés pour développer son site de production à Duppigheim (Alsace). « C'est la première fois qu'on va faire passer à l'échelle industrielle notre procédé », souligne-t-il. « La nouvelle levée de fonds va nous permettre de procéder à son démarrage et d’atteindre une capacité de production de 7.500 tonnes », ajoute Martin Habfast, autre co-fondateur de l’entreprise. L’objectif d'Umiami d'ici 2024 : être en capacité de produire 20.000 tonnes par an. Pas d’inquiétude du côté des jeunes entrepreneurs quant à ce défi. La start-up a « signé pour plus de 45 millions de préventes. Notre ligne de production est donc sûre de rencontrer une demande », assure Tristan Maurel.
La start-up française lance sa propre technologie de fabrication de viande végétale
Créée en 2017, la start-up Umiami a rapidement su se démarquer dans l'univers de la foodtech. Spécialisée dans la viande végétale, elle est particulièrement reconnue pour ses substituts de poulet et autres produits carnés. Ceux-ci sont essentiellement composés de protéines de soja, d'eau et de sel et ils contiennent bien moins de produits transformés par rapport à ceux de ses concurrents. C'est ce processus de fabrication qui a séduit les investisseurs comme peuvent en témoigner les déclarations de Clara Marlière, directrice des participations chez SPI : « Les produits sont bluffants (...) La décarbonation de l'alimentation est un sujet majeur pour la France en 2030 et le fonds SPI (...) Il faut que nous puissions trouver des moyens de consommation différents et plus vertueux pour la planète », ajoute-t-elle.
On peut dire qu'Umiami tient sa recette gagnante. Depuis 2020, la start-up française a réussi à lever 100 millions d'euros et elle a séduit plusieurs grandes chaînes de distribution françaises ainsi que plusieurs pays européens (Belgique, Italie, Allemagne, Suisse). La start-up veut devenir leader sur le marché de la viande végétale. Elle est d'ailleurs en train de créer sa propre technologie qu'elle a nommée « l'umisation » qui devrait lui permettre de reproduire le goût et la texture de filets de viande animale de plus de 1,5 cm d'épaisseur. « Cette innovation est une première à l'échelle mondiale, avec des recettes simples de moins de 10 ingrédients, sans agent texturant ou additif controversé », déclare la start-up dans un communiqué.
https://www.economiematin.fr/umiami-levee-fonds-plusieurs-millions-euros
Précédent l'arrivée enthousiaste de 'la merde dans votre assiette', la fausse viande composée de vidanges de fosses septiques bat tous les records de dégueulis chez les consommateurs !
SupprimerUn plat de choix !
Christophoro Colombo
RépondreSupprimer(...) En 1498, lors de son troisième voyage (les souverains parrainaient de nombreux voyages à cette époque), Colomb débarqua sur la côte ouest de l'actuel Venezuela, près de l'endroit où l'Orénoque se jetait dans l'océan. (...)
Là, je pense qu'il s'agit de la côte Est (et non 'Ouest') tournée vers l'Atlantique et non vers le Pacifique.
- L'Orénoque, en espagnol río Orinoco, est un fleuve du Venezuela et de Colombie, en Amérique du Sud. Il prend sa source au cerro Delgado Chalbaud dans la Sierra Parima (Plateau des Guyanes) et se jette dans l'océan Atlantique par un delta de 25 000 km². Il arrose les villes vénézuéliennes de Ciudad Bolívar et Ciudad Guayana.
Avec un débit de 36 000 m³/s, l'Orénoque est l'un des fleuves ayant le débit le plus important au monde, après l'Amazone (205 000 ³/s) et le Congo (42 000 m³/s).
Qu’est-ce que l’Agenda 21 ?
RépondreSupprimerPar Dave Jefferson
Prepper1cense
3 octobre 2023
Selon Wikipédia, l'Agenda 21 est un plan d'action non contraignant des Nations Unies en matière de développement durable. Il s'agit d'un produit du Sommet de la Terre (Conférence des Nations Unies sur l'environnement et le développement) tenu à Rio de Janeiro, au Brésil, en 1992. Il s'agit d'un programme d'action pour l'ONU, d'autres organisations multilatérales et les gouvernements individuels du monde entier, qui peut être exécuté. aux niveaux local, national et mondial. L'un des objectifs majeurs de l'initiative Agenda 21 est que chaque gouvernement local élabore son propre Agenda 21 local. Son objectif initial était de parvenir à un développement durable mondial d'ici 2000, le « 21 » dans l'Agenda 21 faisant référence à l'objectif initial du 21e siècle. .
Agenda 21 – Dépeuplement de 95 % de la planète d’ici 2030
Pour certains, l’Organisation des Nations Unies (ONU) évoque l’image d’une organisation bienveillante destinée à préserver la vie humaine partout où éclate un conflit et à encourager la coopération et la paix internationales.
Mais loin de cette image pacifique se trouve leur projet peu médiatisé visant à dépeupler 95 % de la planète d’ici 2030. Ou comme ils l’ont appelé, l’Agenda 21.
Les Nations Unies envisagent de dépeupler 95 % de la planète d’ici 2030
L'Agenda 21 était la Division du développement durable du Département des affaires économiques et sociales des Nations Unies et a apparemment été développé comme un moyen de restructurer la population mondiale afin de réduire l'impact environnemental et d'améliorer la qualité de vie.
L’un des principaux moyens d’y parvenir consiste toutefois à encourager et à diriger le dépeuplement.
Comme le dit l’ONU :
« un plan d'action global qui doit être mis en œuvre aux niveaux mondial, national et local par les organisations du système des Nations Unies, les gouvernements et les grands groupes, dans tous les domaines dans lesquels les humains ont un impact sur l'environnement. »
Bien que le langage utilisé dans le rapport original de 70 pages (Mise en œuvre nationale de l'Agenda 21 – Un résumé) que l'ONU a publié sur l'Agenda 21 soit vague et ouvert à l'interprétation, ainsi qu'à un déni plausible, les intentions de certaines sections sont claires :
Dépopulation pour réduire l’impact environnemental et mettre fin à la surpopulation conduisant à l’instabilité.
RépondreSupprimerMême si cela semble positif à certains égards, de simples changements politiques au niveau gouvernemental ne peuvent à eux seuls créer un environnement propice à des changements suffisamment importants dans un court laps de temps.
Pour parvenir à un dépeuplement à si grande échelle dans un délai relativement court, il aurait fallu prendre des mesures drastiques. Soit une guerre mondiale, soit une épidémie mondiale, soit une sorte de famine généralisée causée par de mauvaises récoltes massives seraient les seuls moyens probables d’y parvenir.
L'idée soulève également la question de,
Quels 5 % de la population mondiale seraient sauvés ?
Seraient-ils suffisamment forts et robustes pour survivre aux conditions imposées sur la terre qui tueraient les 95 % restants ?
Ou peut-être que les survivants seraient choisis sélectivement parmi l’élite et les riches ?
La question de savoir si un tel plan pourrait un jour réussir est une autre affaire.
Des projets de cette taille et de cette portée nécessiteraient la collusion et l’accord d’au moins tous les gouvernements des premiers pays du monde, sans compter que la quantité de ressources et d’efforts qui seraient nécessaires pour dissimuler quelque chose comme celui-ci serait astronomique.
Si vous n'êtes pas satisfait de mon contenu, vous pouvez me le dire ici et je résoudrai le problème, car je me soucie de chaque lecteur et encore plus de votre opinion !
This originally appeared on Prepper1cense.
https://www.lewrockwell.com/2023/10/no_author/what-is-agenda-21/
(...) Dépopulation pour réduire l’impact environnemental et mettre fin à la surpopulation conduisant à l’instabilité. (...)
SupprimerIls s'agit là du Plan 'Dépopulation21' (' 21 pour 21 ème siècle).
Ce plan monstrueux vise à éliminer la presque totalité (95 % !) de la population planétaire 'conduisant à l’instabilité' compte tenu qu'il n'y a pas de Démocraties (où c'est le Peuple qui gouverne - comme en Suisse).
Sissi déclare aux Egyptiens que « la faim est le prix à payer pour le progrès » dans un discours bizarre
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 03 OCTOBRE 2023 - 00H20
Via Middle East Eye
Dans un discours télévisé largement condamné, le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi a déclaré que son peuple devrait accepter la perspective de souffrir de la faim comme prix du succès du pays.
Dans ses remarques de samedi, Sissi a également qualifié ses opposants de « menteurs, saboteurs et méchants », alors que les critiques remettaient en question les milliards dépensés en projets d’infrastructure qu’il a entrepris alors que de nombreux Égyptiens luttent pour joindre les deux bouts.
« N’osez pas dire, vous les Égyptiens, que vous préférez manger plutôt que de construire et de progresser », a déclaré Sissi. « Si le prix du progrès et de la prospérité de la nation est d’avoir faim et soif, alors ne mangeons ni ne buvons », a-t-il ajouté.
« Ne sapez pas la cause de notre nation et ne faites pas de nous la risée du monde. Tenez bon et transformez les circonstances cruelles que nous traversons en un cadeau. Plus vous tenez bon, plus vite [les crises économiques] passeront. »
Au cours d’un dialogue sinueux et parfois informel, le président égyptien a suggéré des moyens par lesquels il pourrait « détruire » l’Égypte, s’il le souhaitait, en distribuant des pilules pour favoriser le chaos dans le pays.
Sissi a déclaré qu'il avait discuté avec le Conseil judiciaire suprême de la facilité avec laquelle le pays serait détruit et qu'il avait conclu que donner à 100 000 personnes en « circonstances difficiles » du tramadol, un opioïde puissant, suffirait pour un coût ne dépassant pas 30 millions de dollars. . On ne sait pas pourquoi il a rendu public de tels propos, mais ses commentaires ont été largement condamnés en ligne.
Ahmed Tantawi, qui se positionne comme le principal adversaire de Sissi lors des prochaines élections dans le pays, a condamné le discours du président dans une déclaration publiée sur X, anciennement connu sous le nom de Twitter. S'adressant directement à Sissi, il a écrit : « Les Égyptiens sont morts de faim sous votre règne à cause de votre administration. Ils n'ont pas vu le développement promis. »
Tantawi a en outre accusé Sissi de répandre des mensonges et d'accumuler « des immeubles de grande hauteur, des villes et des palais construits dans les déserts, même si cela se fait aux dépens de l'homme [ordinaire] et de son droit à une vie décente et à une éducation ». « [Le gouvernement] a privé les citoyens de toute protection sociale, laissant les deux tiers des Égyptiens vivre en dessous ou autour du seuil de pauvreté, tandis que les conditions de la plupart du tiers restant se sont dangereusement détériorées », a-t-il déclaré.
D'autres utilisateurs de la plateforme ont déclaré que Sissi représentait le « dessin animé d'un fou », tandis qu'un autre utilisateur des médias sociaux a déclaré que les commentaires du président pourraient techniquement le conduire en prison. Alors que Sissi fait face à une crise économique qui s’aggrave, sa réaction aux critiques est devenue de plus en plus erratique.
RépondreSupprimerL’Égypte organisera une élection présidentielle entre le 10 et le 12 décembre, avancée par rapport à la date initiale de 2024, et Sissi devrait largement remporter un troisième mandat.
Crises économiques imminentes
Les analystes prédisent que l’Égypte est le deuxième pays le plus exposé à une crise de la dette, juste après l’Ukraine déchirée par la guerre.
Néanmoins, Sissi, qui ne se laissait pas intimider par les problèmes économiques croissants, a demandé au pays : « Dans quel genre de pays voulez-vous vivre ? Voulez-vous ou non construire l’Égypte et en faire une nation remarquable ? Envisagez-vous de construire une aventure ? Considérez-vous la réforme comme une aventure ?
« Les étudiants universitaires peuvent gagner un revenu respectable en donnant leur sang deux fois par semaine »
Un autre moment ÉTRANGE (il y a tellement de ffs) de la part du président égyptien 🇪🇬 qui a également suggéré que "la faim est un prix qui vaut la peine d'être payé pour le progrès du pays"https://t.co/C8obUx3ytMhttps://t.co/evhKDOejor
– Saad Abedine (@SaadAbedine) 2 octobre 2023
L'Égypte est en proie à une crise économique depuis des années, une situation exacerbée par la guerre en Ukraine qui a gravement affecté les prix des denrées alimentaires dans le pays.
Les chiffres officiels montrent que l'inflation annuelle en Égypte a atteint un nouveau record de 39,7 pour cent en août, tandis que la livre égyptienne a connu une baisse spectaculaire par rapport au dollar. Un dollar permet aujourd’hui d’acheter 30 livres égyptiennes, contre un peu moins de 20 il y a exactement un an.
L’Égypte a été dépendante des plans de sauvetage de ses alliés les plus riches du Golfe et du Fonds monétaire international (FMI) ces dernières années, alors que les investisseurs retiraient des milliards du pays.
RépondreSupprimerMême si la crise financière a diverses causes, de nombreuses personnalités de l’opposition ont pointé du doigt l’emprise croissante de l’armée sur l’économie à la suite du coup d’État de 2013 qui a renversé le gouvernement élu de Mohamed Morsi.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/sisi-tells-egyptians-hunger-price-worth-paying-progress-bizarre-speech
Ukraine : quatre-cent, cinq-cent mille morts ? Ce n’est rien en comparaison des morts par « vaxxination » avec ARN messager !
RépondreSupprimerle 2 octobre 2023
Le but recherché par les malthusiens tels Bill Gates, David Rockefeller, George Soros ou encore Klaus Schwab (lien en fin de billet et https://hls.ted.com/project_masters/918/manifest.m3u8?intro_master_id=2346 ) avec le coronavirus, la « fenêtre d’opportunité » pour changer le monde, est de réduire la population mondiale.
(Bill Gates, mai 2009) et aussi Dennis Meadows du Club de Rome :
https://youtu.be/4aVw5I7EJAo Dès l’apparition du virus alors que pourtant les médecins chinois avaient identifié dès le début des années 2020 l’efficacité de l’hydroxychloroquine et de l’Ivermectine pour traiter le SRAS, ces deux derniers médicaments furent interdits ! Par qui et pour quelle raison ? Pas de réponse. Ce nouveau virus, manipulé dans un laboratoire (lequel et où?) avec introduction artificielle d’une séquence de nucléotides codant pour un site de clivage par l’enzyme appelé furine a catalysé la mise en place à l’échelle mondiale d’un pseudo-vaccin dont le principe scientifique est nouveau et n’a jamais été couronné de succès au cours des récentes années puisque cette modification de l’ARN de ce virus devait introduire un gain de fonction infectieuse. La nouvelle approche technologique vaccinale repose sur l’introduction dans l’organisme d’un ARN messager modifié pour ne pas être dégradé trop rapidement et combiné à des lipides synthétiques pour faciliter sa dissémination dans tout l’organisme dans le but d’assurer son efficacité thérapeutique.
Dans le cas du coronavirus et dans le but d’éventuellement assurer une protection immunitaire des patients ayant subi une injection de cet ARN le problème qu’ont toujours redouté les biologistes prudents et honnêtes est la totale absence de contrôle de ce que l’on appelle la stoechiométrie de ce geste de vaccination. Brièvement, lorsqu’on utilise un vaccin classique comme par exemple le virus désactivé de la rougeole, la dose injectée est constituée d’une nombre connu de particules virales, nombre invariable selon le protocole de production du produit. Dans le cas de l’ARN messager la situation est différente : l’ARN code pour la production par les cellules du patient de la substance supposée remplir les propriétés d’un antigène catalysant la réponse immunitaire contre la maladie considérée comme dans le cas du SARS-CoV-2. Mais la capacité de chaque individu à produire cette substance, dans le cas présent la sous-unité 1 de la protéine de la spicule du virus, est totalement incontrôlable. Certains patients ne développeront jamais d’anticorps alors que d’autres patients en mourront.
Les tenants de cette nouvelle approche technologique de vaccination défendent celle-ci en se retranchant derrière le caractère aléatoire de la réponse de chaque individu et en insistant sur le fait qu’il s’agit d’un progrès technologique permettant de mettre au point un nouveau vaccin en un temps record. Le cœur du problème n’est pas la supposée toxicité de la protéine « spike », de la spicule du virus, mais l’induction d’un désordre immunitaire pourtant connu depuis le début de l’épidémie coronavirale : une chute de la réponse immunitaire que les spécialistes appellent lymphocytopénie, symptôme non pas provoqué par la « vaxxination » mais par le virus lui-même. Cette protéine produite par le patient lui-même en l’absence du virus qui a subi une injection de l’ARN messager se lie au récepteur naturel du virus sur la membrane cellulaire, l’ACE (angiotensin-converting-enzyme) qui intervient dans le processus de coagulation sanguine. De plus cette même protéine induit une perturbation de la réponse immunitaire en rendant les lymphocytes T incapables de mémoriser sa présence. L’un des critères de suivi de l’effet de cette liaison protéine spike-ACE est l’augmentation du taux de D-dimère dans le sang et pour l’autre effet la perturbation de la formule lymphocytaire est un bon reflet du caractère toxique de cette protéine. Cette technique de « vaxxination » avec ARN messager reproduit donc les deux pires effets du coronavirus : perturbation du processus de coagulation sanguine et désordre immunitaire : l’idéal pour tuer !
RépondreSupprimerComme les gouvernements des divers pays occidentaux ont installé une véritable censure sur le signalement des effets indésirables de cette technique d’approche vaccinale à l’aide d’ARN messager – moins de 1 % des cas indésirables sont réellement analysés et pris en considération, en particulier les décès – alors un calcul raisonnable permet d’évaluer le nombre de morts provoqué par cette « vaxxination » à plus de dix millions (peut-être vingt millions), pour l’instant, car le drame évolue toujours et il est de plus en plus question de procéder à de nouvelles campagnes de « vaxxination » supposées protéger contre le dernier mutant en date du virus. Les criminels occidentaux malthusiens veulent continuer leur campagne de dépeuplement de la planète, qu’ils s’arment de patience car cette « vaxxination », en réalité une arme biologique, continuera à tuer dans les années à venir. En effet la protéine « spike » va se fixer préférentiellement dans les gonades (ovaires et testicules) et provoque de surcroit divers problèmes lors des grossesses conduisant à des avortements spontanés ou des morts-nés. La perturbation du système immunitaire provoque l’apparition de « turbo-cancers » (lien ci-dessous) en particulier chez des sujets jeunes, du jamais vu auparavant sauf chez les personnes immuno-déprimées ( SIDA/AIDS ou à la suite d’une greffe d’organe), et combiné à la baisse de fertilité déjà observée le but malthusien est (ou sera) atteint pour la plus grande satisfaction de cette minorité élitiste de criminels qui veulent diriger le monde avec la complicité même pas dissimulée de l’OMS !
Pour conclure cet article je dirai que si on m’accuse de « complotisme » je répondrai simplement qu’au contraire je dénonce un complot contre l’humanité organisé par les élites qui veulent dominer le monde mais qui ont exclu une dérive nucléaire du conflit ukrainien car il y a aussi pour elle des limites : transformer la plus grande partie du monde en zone interdite invivable type Tchernobyl sera préjudiciable pour leur confort alors le développement de nouvelles armes biologiques comme ces « vaxxins » d’un type nouveau pourra toujours satisfaire leur grand dessein de domination du monde entier. La technique de « vaxxination » avec un ARN messager ayant été admise, imposée par la loi et donc de facto validée au mépris de toute règle d’éthique élémentaire, une nouvelle maladie issue d’un laboratoire ayant reçu l’agrément de l’élite mondialiste malthusienne, sera immédiatement traitée avec la même approche : dissémination du nouveau virus, déclaration de pandémie par l’OMS, obligation vaccinale avec un ARN, etc … Mais il ne faudra pas s’y méprendre, la réussite de l’opération sera à la mesure des efforts déployés dès à présent, ne vous bercez par d’illusions : peut-être cent à deux-cent millions de morts … pourquoi pas un ou deux milliards. Autres liens :
RépondreSupprimerhttps://thehighwire.com/ark-videos/is-the-covid-vaccine-causing-turbo-cancers/ Et aussi cet article de Michel Chossudovsky qui relate le dessein malthusien du « Good Club » : https://www.globalresearch.ca/secret-may-2009-meeting-of-the-good-club-billionaire-club-in-bid-to-curb-overpopulation/5742626
https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/10/02/ukraine-quatre-cent-cinq-cent-mille-morts-ce-nest-rien-en-comparaison-des-morts-par-vaxxination-avec-arn-messager/
Une véritable menace pour l’Europe
RépondreSupprimer29.09.2023 03:38
PMSource: RRN Staff
De petits tremblements de terre près de Naples signalent une possible éruption d’un supervolcan qui pourrait facilement réduire l’Union européenne à néant.
Le nombre de catastrophes et de cataclysmes dans le monde défie déjà toute explication rationnelle. Inondations dans certains pays, sécheresses sans précédent dans d’autres – si l’on tient compte de la propagation de toutes sortes de parasites et d’autres « bestioles », le tableau est presque biblique.
Mercredi, sous la ville italienne de Naples, 80 secousses et un véritable tremblement de terre de 4,9 sur l’échelle de Richter se sont produits. C’est un très mauvais signe, car toute la ville se trouve dans la cheminée de l’énorme supervolcan Campi Flegrei.
Le gouvernement prévoit d’évacuer plus d’un demi-million de personnes en cas d’éruptions ordinaires. Mais en cas d’éruption complète… l’Europe sera recouverte de cendres pendant des années.
La caldeira du supervolcan appelé les Champs Phlégréens, dangereusement proche de Naples
Il y a 39 000 ans, ce volcan a fait baisser la température de la région de 10 degrés centigrades pendant quelques années, c’est le petit âge glaciaire. D’énormes masses de cendres recouvraient le ciel et empêchaient les rayons du soleil d’atteindre la surface de la planète.
Imaginons maintenant que cela se passe aujourd’hui : toutes les ressources sociales ont été gaspillées pour les réfugiés, des machines lourdes ont été envoyées à l’Ukraine, la guerre de sanctions avec la Russie alimente une crise du carburant.
Les plages du sud de la France et les collines douillettes de l’Italie auront disparu. Les vignobles et les oliviers disparaîtront, et on devra oublier le fromage. Une explosion et les gens le fuiront, pas l’inverse. En une heure, les pays européens se transformeront en une sorte d’Afghanistan en termes de niveau de vie.
Les militants écologistes de la Dernière Rénovation aiment beaucoup se coller sur les routes ou dégrader des œuvres d’art – soi-disant pour aider la société à se préoccuper des questions climatiques
Mais qui s’en soucie ? Peut-être que les militants écologistes de la Dernière Rénovation se colleront à la surface du Campi Flegrei pour protester contre cette atteinte au climat. La mort en cas d’éruption sera honorable mais sans signification – tout comme l’ensemble du programme vert jusqu’à présent.
La nature suivra son cours : les émissions des vaches et des voitures ne seront pas comparables à celles d’un supervolcan qui peut remodeler le monde entier en quelques heures. Les éoliennes et les panneaux solaires permettront-ils d’éviter une ère glaciaire ? C’est tout le contraire.
RépondreSupprimerL’Europe a besoin d’une énergie fiable et d’une capacité excédentaire. Les personnes vivant dans des températures glaciales ont besoin d’aliments calorifiques et d’un chauffage efficace pour survivre à une catastrophe de cette ampleur. L’UE est-elle prête pour cela ? Absolument pas.
Les dirigeants se sont brouillés avec la Russie, fournisseur de gaz et de pétrole bon marché capable de maintenir les gens au chaud pendant une ère glaciaire, avec de vastes zones pour d’éventuels réfugiés et des réserves astronomiques d’eau douce.
Dans des conditions expérimentales, les arguments des Verts sont bons, mais ils passent à côté de la règle principale de la politique : l’État doit être résilient face aux imprévus.
Les citoyens devraient vivre en paix pendant que le gouvernement réfléchit à ce qui se passerait si une comète tombait sur le pays à l’heure du déjeuner.
Dans les prairies vitreuses de la Phlégrée, des colonnes de cendres et de vapeur s’élèvent souvent du sol, rappelant aux gens que des forces destructrices sommeillent sous leurs pieds
Tous les pays ont besoin d’autant d’alliés et de voisins que possible, car demain, le monde pourrait changer du tout au tout. Malheureusement, les politiciens d’aujourd’hui n’en sont pas conscients : Macron, Meloni, Scholz s’accrochent à une aide insignifiante à l’Ukraine et au « programme vert » tout en essayant de ne pas penser à la vulnérabilité face à des forces bien plus puissantes.
L’Europe n’est pas préparée à ce que le monde s’effondre demain. Et à en juger par les données sismologiques de Naples, c’est tout à fait possible.
https://rrn.media/fr/une-veritable-menace-pour-leurope/
EPR de Flamanville : des essais cruciaux avant la mise en service
RépondreSupprimerL’EPR de Flamanville, marqué par 12 ans de retards et un coût de 13,2 milliards d’euros, entre dans une phase cruciale avec le lancement d’une nouvelle série d’essais par EDF.
Par Aurélien Delacroix
le 3 octobre 2023 à 11h29
Ces essais visent à vérifier plus de 4.000 critères de sécurité.
L'EPR de Flamanville, dont la construction a débuté en 2007, a fait l'objet de nombreux retards et dépassements budgétaires qui ont accru les enjeux autour de sa mise en service. Initialement estimée à 3,3 milliards d'euros, la facture devrait désormais s'élever à 13,2 milliards d'euros. Un dernier report de six mois a été annoncé en décembre 2022, portant à 12 ans le retard total accumulé par le chantier. C'est dans ce contexte qu'EDF a annoncé en début de semaine une série d'essais majeurs pour l'EPR de Flamanville. Selon l'entreprise, ces essais qui vont durer 10 semaines représentent un pas de plus vers une mise en service en 2024.
EPR de Flamanville : une aventure coûteuse et retardée
Deux cents salariés seront mobilisés pour réaliser ces tests qui couvriront plus de 4.000 critères de sûreté et de disponibilité. Le chargement du combustible dans le réacteur est prévu pour le premier trimestre 2024, selon le dernier calendrier. EDF souligne l'importance de cette étape, en affirmant que ces tests « vont rythmer la vie sur les installations ». Cette série d'essais est donc un élément crucial pour le futur de l'EPR de Flamanville, et par extension, pour l'entreprise EDF elle-même. L'énergéticien a bien besoin de réussir ces essais, qui permettront aussi d'avancer sur le chantier nucléaire qui l'attend dans les prochaines années.
Nouvelle phase d'essais pour une mise en service en 2024
L'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) joue un rôle central dans le devenir de l'EPR de Flamanville. Après avoir clôturé une première consultation publique le 15 septembre, l'ASN est en train d'analyser les commentaires recueillis. Une nouvelle consultation du public sera organisée avant la mise en service effective du réacteur. Si les essais menés par EDF sont concluants, l'ASN prendra position sur la demande d'autorisation de mise en service, qui est « nécessaire pour le chargement du combustible dans le réacteur », a précisé l'autorité.
https://www.economiematin.fr/epr-de-flamanville-des-essais-cruciaux-avant-la-mise-en-service