La Chine – ce système de domination nous 'menace' tous !
07.10.2023 www.kla.tv/27164
Il y a quelques décennies, la Chine était un pays agricole totalement appauvri et en retard au niveau technologique. En l'espace d'une trentaine d'années seulement, elle est en train de devenir une puissance mondiale de premier rang du point de vue économique, technologique et militaire. Pour bien situer cette ascension fulgurante de la République populaire de Chine, il est important d'examiner de plus près sa naissance et son développement. En effet, ce qu'on ne lit pas dans les livres d'histoire officiels ni même dans les médias grand public sur l'histoire de la République populaire de Chine, ce serait que, selon des journalistes d'investigation renommés, elle est indissociable de trois noms : Rothschild, Rockefeller et les Skull & Bones. Suivez-nous maintenant dans un voyage aventureux à travers l'histoire de la Chine, au cours duquel il apparaîtra clairement que la Chine a été délibérément construite comme un instrument du nouvel ordre mondial et qu'elle constitue un avant-goût du système de domination mondiale planifié.
I.) Regard sur ceux qui tirent les ficelles dans l'ombre :
Skull & Bones est une très puissante organisation secrète occulte américaine, fondée à l'instigation de Lord Rothschild et financée par Rockefeller et d'autres banquiers de Wall Street. Selon Alexandra Robbins, une journaliste américaine, Skull & Bones a réussi à infiltrer presque toutes les grandes institutions scientifiques et politiques ainsi que les institutions financières, médiatiques et gouvernementales des États-Unis. Skull & Bones forme également le cercle interne du Council on Foreign Relations (CFR), également initié par Rothschild et financé par Rockefeller. Le CFR est le think tank américain le plus influent du siècle dernier, il a par exemple fourni à lui seul neuf présidents des Etats-Unis, dont l'actuel président Joe Biden. Dans ses recherches Alexandra Robbins est arrivée à la conclusion suivante : l'objectif de Skull & Bones, et par conséquent des Rockefeller et des Rothschild, est de construire un nouvel ordre mondial dans lequel les libertés individuelles sont réduites et où tout le pouvoir est concentré dans les mains d'une petite élite.
II.) La naissance de la République populaire de Chine sous Mao Tsé-toung :
Dans le but d'établir un nouvel ordre mondial, Skull & Bones a fondé en Chine, au début du 20e siècle, une série d'écoles et d'hôpitaux qui ont donné naissance à l'actuelle Yale-China Association, connue sous le nom de "Yale-in-China". Ils ont été financés par Rothschild et, plus tard, par la Fondation Rockefeller. Cette œuvre prétendument caritative poursuivait cependant en arrière-plan des objectifs totalement différents. Jonathan Spence, professeur d'histoire chinoise, a été le premier à découvrir les liens étroits entre Mao et Yale. Enfin, en 1972, le journal Yale Daily News a rapporté ce qui suit à ce sujet : « Yale a aidé de nombreux jeunes hommes dans leur ascension politique vers le pouvoir. Lors de la promotion de 1919, Yale-in-China a aidé, en plus des 1 000 leaders masculins..., un jeune homme du nom de Mao Tsé-toung » et « Sans le soutien de Yale, Mao Tsé-toung ne serait jamais passé de l'inconnu au pouvoir ! » Lors de ses recherches, le journaliste d’investigation Alexander Schnarf est donc arrivé à la conclusion que de toute évidence Yale-in-China travaillait en secret à l'émergence d'un État communiste.
L'intervention de Skull & Bones dans la guerre civile chinoise (1927-1949), au cours de laquelle le Kuomintang nationaliste et le Parti communiste chinois de Mao Tsé-toung se disputaient la direction politique de la Chine, est également significative de leur influence et de leur approche subtile. Le conflit s'est terminé par la victoire des communistes sur le Kuomintang. Selon le Professeur Antony C. Sutton, chercheur et historien cette victoire a été remportée principalement grâce au fait que le général américain et franc-maçon George C. Marshall a discrètement désarmé les forces armées nationalistes qu’ils soutenaient initialement, en cessant de leur fournir des munitions en 1946. Le supérieur de Marshall était le secrétaire à la guerre Henry L. Stimson, un membre de Skull & Bones !
Les presque 30 années de règne de Mao Tsé-toung qui suivirent se transformèrent en un règne de terreur sans précédent. Avec des campagnes politiques telles que le « Grand Bond en avant » et la « Révolution culturelle », Mao a imposé par la contrainte une transformation de l'économie et de la société chinoises. La « révolution culturelle » avait pour but de détruire les anciennes coutumes, modes de pensée, habitudes, - en fait la culture chinoise et visait surtout les couches les plus âgées et les plus éduquées de la Chine, ce qui a coûté la vie à 2 à 5 millions de personnes. Le « Grand Bond en avant » devait permettre de rattraper le retard sur les pays occidentaux industrialisés et de raccourcir la période de transition vers le communisme. Malgré la grande famine qui en a résulté, Mao a imposé ses objectifs d'une main de fer. Selon Alexander Schnarf, les méthodes de répression pratiquées étaient d'une brutalité sans précédent. Les critiques ont été poursuivis sans relâche et des milliers de personnes ont été systématiquement torturées et assassinées. Même les enfants auraient été tués, broyés et utilisés comme engrais. L'historien néerlandais Frank Dikötter estime qu'au moins 45 millions de personnes sont mortes rien que pendant la Grande Famine de Chine (1959 à 1961). Selon les estimations des scientifiques, la politique totalitaire et inhumaine de Mao a coûté la vie à 80 millions de personnes au total.
La politique de Mao était simple : quiconque ne respectait pas les règles était assassiné. Cela a conduit à une société dans laquelle toute critique était littéralement muselée. Ce qui restait n'était plus qu'une masse apeurée et soumise.
Le point de vue totalement différent de David Rockefeller est effrayant. Il a qualifié ce contrôle total et cette oppression du peuple « d'expérience sociale » ! Rockefeller a déclaré textuellement : « L'expérience sociale en Chine sous la direction du président Mao est l'une des plus importantes et des plus réussies de l'histoire de l'humanité. » Lorsqu'on connaît les objectifs poursuivis par la fondation Rockefeller en Chine, cette affirmation devient extrêmement pertinente. Selon les journalistes d'investigation Alexander Schnarf et Tilman Knechtel, la fondation considérait la Chine comme un immense laboratoire où l'on étudiait la meilleure façon de contrôler et de gérer une société, afin de pouvoir ensuite reproduire cela dans le monde entier ! Le fait que Rockefeller ait fait l'éloge des crimes de Mao suggère que ce dernier avait manifestement répondu à ses attentes et que cette « expérience sociale » avait été menée à bien à la plus grande satisfaction de Rockefeller.
Comme nous le verrons au point suivant, ce n'était toutefois que la première manœuvre de Rockefeller, Rothschild et consorts.
III.) L'émergence de la Chine comme puissance mondiale
Après Mao, c'est Deng Xiaoping qui a dirigé de facto le destin de la Chine jusqu'en 1997. Il est entré dans l'histoire comme le grand réformateur qui a initié l'ouverture de la Chine et son ascension en tant que puissance économique et mondiale. Mais cela ne s'est pas fait tout seul et n'a pas été un miracle économique. Le coup d'envoi de cette évolution a été la rencontre orchestrée par Henry Kissinger en 1972 entre le président américain Nixon et Mao Tsé-toung. Sous le prétexte que la Chine devait être construite comme un contrepoids à l'URSS, de l'argent et des technologies occidentales ont commencé à affluer vers la Chine, ce qui a marqué le début de son ascension. Or, il faut savoir que Nixon et Kissinger étaient ou sont membres du CFR et que Kissinger est en outre étroitement lié aux Rothschild et aux Rockefeller [www.kla.tv/26153]. Par conséquent, ces derniers ont usé de toute leur influence pour favoriser l'ascension de la Chine tout en y renforçant leur position dominante. En 1982, Rothschild a pris le contrôle de la banque centrale de Chine et donc de sa politique monétaire. La Chase Manhattan Bank de Rockefeller est devenue le représentant officiel de la Banque de Chine aux États-Unis et a ouvert les vannes de l'afflux d'argent vers la Chine. Cet argent a été largement utilisé pour financer des instituts de recherche et de développement, ce qui a entraîné une fuite du savoir-faire occidental vers la Chine. Les groupes qui se sont engagés de cette manière en Chine sont également, pour la plupart, étroitement liés au CFR. Il s'agit des entreprises dites « Fortune 500 », comme par exemple Ford, General Motors, IBM et Microsoft. Parmi elles, 157 se sont installées en Chine, dont 53 y ont même établi leur siège social. Concernant cette évolution, le professeur Antony C. Sutton, scientifique renommé de l'Institut Hoover de l'Université de Stanford, écrivait déjà en 1986 : "Vers l'an 2000, la Chine communiste sera une superpuissance construite avec la technologie et l'expertise américaines" ! – construite par Rothschild, Rockefeller et Skull & Bones !
IV.) La Chine, un outil fiable pour les mondialistes
Comme Rothschild et Rockefeller sont tous deux profondément impliqués dans la franc-maçonnerie, il n'est pas surprenant que cela ait également laissé des traces en Chine. Grâce à des révélations comme celles du franc-maçon italien de haut rang Gioele Magaldi, on sait que Deng Xiaoping a été initié à la franc-maçonnerie et est devenu membre de la super-loge « THREE EYES ». Celle-ci avait été fondée par David Rockefeller, Henry Kissinger et le conseiller à la Sécurité nationale des États-Unis, Zbigniew Brzeziński [www.kla.tv/10603 (en allemand)], et a longtemps été la super-loge la plus puissante et celle qui donnait le ton au niveau mondial. Deng Xiaoping, quant à lui, a initié d'autres hauts responsables du parti communiste chinois à la franc-maçonnerie. Cela a eu pour conséquence que depuis 1980, selon Gioele Magaldi, tous les présidents du parti, y compris l'actuel président de la République chinoise Xi Jinping, sont membres des super-loges qui coordonnent les francs-maçons de haut niveau. Ils poursuivent eux aussi l'établissement d'un « gouvernement mondial unique », ce qui a permis à Rothschild et Rockefeller de s'assurer que la Chine reste un outil fiable pour leurs plans mondialistes.
V.) La Chine : un fer de lance de la globalisation
Mais la Chine n'est pas seulement un outil quelconque, elle est devenue de plus en plus le fer de lance des Rothschild, Rockefeller et Skull & Bones, qui aspirent manifestement à un nouvel ordre mondial de contrôle et de surveillance totaux. En voici quelques exemples :
Avec sa politique de confinement sévère pendant la crise du Covid, la Chine a joué un rôle essentiel dans l'effondrement de l'économie mondiale, générant ainsi des profits colossaux pour quelques super-riches. Avec la Russie, la Chine est le grand partisan de la mise en place d'un nouveau système financier et monétaire mondial sous le contrôle du FMI. La Chine est à l'avant-garde mondiale tant pour la suppression de l'argent liquide que pour l'introduction de la monnaie numérique de banque centrale CBDC. Elle est ainsi à la pointe de ce projet mondial, coordonné et financé par la BRI, Banque des règlements internationaux. Avec son système de crédit social, la Chine est un pionnier et un modèle pour le Great Reset souhaité par Klaus Schwab et le Forum économique mondial (FEM). Ce système est un système de surveillance de masse à l'aide de l'intelligence artificielle et donc le perfectionnement du système de domination forcée mis en place par Mao. Le comportement et la fiabilité de chaque individu, mais aussi des entreprises et des organisations, y sont constamment surveillés et évalués. En récompensant le bon comportement dans l'intérêt des gouvernants et en punissant tout écart de conduite, il impose à chacun de fonctionner à 100% dans l'intérêt des dirigeants. Le premier système de crédit social en Europe a depuis déjà été introduit à Bologne (en Italie) et la Commission européenne prépare également l'introduction de ce système de contrôle et d'éducation.
Tout indique donc qu'après le succès de leur « expérience sociale » en Chine, Rockefeller, Rothschild et consorts veulent désormais l'étendre au monde entier et poser ainsi les bases d'une dictature mondiale. Lors du Davos d'été 2023 du Forum Economique Mondial, le Premier ministre chinois Li Qiang a également laissé entendre comment cela devrait se faire. Il a souligné que la « sécurité » devait être considérée comme le sujet le plus important dans la hiérarchie des priorités ! Peu avant, Klaus Schwab, le père du Great Reset, avait fait la déclaration suivante, très révélatrice, en faisant l'éloge des « acquis » du Parti communiste chinois devant Li Qiang : « Nous sommes impatients d'apprendre de votre vision de la Chine et du monde. »
Est-ce un hasard si les gens sont amenés à accepter des interventions de plus en plus profondes de l'État en raison d'une peur systématiquement entretenue par la politique et les médias ? N'est-ce pas la peur du Covid, du terrorisme, de la menace d'une catastrophe écologique et climatique imminente, etc., qui fait abandonner petit à petit les acquis de notre société démocratique et libérale pour les échanger contre une apparente sécurité ? Est-ce de cette façon qu'on veut maintenant nous faire avaler le système de crédit social carbone prévu par l'UE ? Il faut stopper les plans de cette petite élite qui, dans l'ombre, dirige sournoisement le destin du monde et qui veut maintenant mettre en place son système de crédit social dans le monde entier ! Aidez-nous et diffusez cette émission. Souhaitez-vous en outre contribuer vous-même, en tant que collaborateur bénévole de Kla.TV, à mettre en lumière une telle injustice ? Alors inscrivez-vous à l'adresse suivante : www.kla.tv/vernetzung.
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ÉTUDE : Les vaccins contre la COVID-19 sont liés à des saignements inattendus chez les femmes
10/05/2023 Zoey Sky
La recherche a établi un lien entre les vaccins contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) et de nombreux effets indésirables, allant de problèmes de santé mineurs à des blessures graves, voire à la mort.
Une étude récente vient compléter les preuves existantes en révélant que les vaccins contre la COVID-19 peuvent également être liés aux saignements chez les femmes qui n'ont pas leurs règles, comme les femmes ménopausées et celles qui prennent des contraceptifs. Il a été constaté que ces femmes étaient « plusieurs fois plus susceptibles de présenter des saignements vaginaux inattendus après la vaccination contre le COVID-19 qu'avant que les vaccins ne soient proposés ».
L'étude a été publiée dans la revue Science Advances.
Lorsque les vaccins contre la COVID-19 ont été déployés à l’échelle mondiale, de nombreuses femmes ont signalé des saignements menstruels plus abondants que d’habitude après la vaccination.
Kristine Blix, l'une des auteurs de l'étude de l'Institut norvégien de santé publique d'Oslo, a entrepris d'étudier systématiquement cette tendance, en particulier chez les femmes qui n'ont normalement pas de règles.
Bien que Blix et son équipe n’aient pas examiné les raisons du saignement inexpliqué, leurs résultats suggèrent qu’il pourrait être lié à la protéine Spike du SRAS-CoV-2 utilisée dans les vaccins. Big Pharma affirme que les vaccins contre le COVID-19 sont « sûrs et efficaces », mais des études comme celles de Blix et de son équipe ne sont pas d’accord.
Blix et ses collègues chercheurs ont analysé une enquête en cours sur la santé de la population appelée « Étude de cohorte norvégienne sur les mères, les pères et les enfants ». Selon Blix, l’équipe de recherche a eu accès à des questionnaires bihebdomadaires envoyés aux participants à l’étude pour surveiller les effets de la pandémie depuis les premiers jours de la pandémie.
Dans le premier questionnaire portant sur les vaccinations contre le COVID-19 envoyé en 2021, plusieurs participantes ont déclaré dans des champs de texte libre qu'elles avaient eu des saignements menstruels abondants. Cela a incité les chercheurs à rechercher « des schémas de saignement de manière structurée ». (Connexe : les données de Pfizer révèlent que les vaccins contre le COVID-19 n’ont JAMAIS été sans danger pour les femmes enceintes.)
La vaccination contre le COVID-19 déclenche des saignements vaginaux inattendus Les chercheurs ont analysé plus de 21 000 réponses de femmes préménopausées ménopausées, périménopausées et non menstruées. Parmi les participantes figuraient des femmes qui prenaient des contraceptifs hormonaux à long terme.
Blix a déclaré que les résultats étaient "surprenants". Les données ont montré que 252 femmes ménopausées, 1 008 femmes en périménopause et 924 femmes préménopausées ont déclaré avoir subi des saignements vaginaux inattendus.
Au moins 50 pour cent de chaque groupe ont signalé que le saignement s’est produit quatre semaines après leur première ou leur deuxième dose de vaccin contre la COVID-19, ou les deux.
Les questionnaires ont également révélé que les femmes préménopausées et périménopausées étaient plus susceptibles de signaler des saignements inattendus dans le mois suivant la vaccination, leur risque étant trois à cinq fois plus élevé qu'avant la vaccination. Le risque pour les femmes ménopausées a été multiplié par deux ou trois.
Pendant la pandémie, la Norvège a distribué les vaccins à ARNm Moderna et Pfizer-BioNTech, ainsi que le vaccin AstraZeneca. En octobre 2022, l’Agence européenne des médicaments a mis à jour les informations sur les effets secondaires des vaccins à ARNm pour inclure les saignements menstruels abondants.
Les saignements inattendus après la ménopause sont souvent considérés comme médicalement graves, d'autant plus qu'ils pourraient être le signe précoce d'affections telles que le carcinome de l'endomètre et les lésions précancéreuses.
Bien qu’il ne soit pas tout à fait clair si les saignements post-vaccinaux sont un effet secondaire des vaccins contre la COVID-19, les médecins peuvent en tenir compte lorsqu’ils évaluent l’état d’un patient.
Kate Clancy, anthropologue biologique à l'Université de l'Illinois à Urbana-Champaign, a averti que les saignements postménopausiques sont « souvent très préoccupants et constituent un signe possible de cancer ». Elle a ajouté que connaître le statut vaccinal d’un patient pourrait aider à « mettre en contexte l’incidence de ses saignements ».
Le groupe de Clancy a publié les résultats de sa propre enquête montrant des changements dans les saignements menstruels après la vaccination contre le COVID-19. Elle a ajouté que les résultats correspondent aux conclusions de son équipe et pourraient aider à informer les patients et les cliniciens.
Blix a déclaré que la contribution la plus importante de cette documentation et d'autres sera que "les schémas de saignement féminins sont inclus comme points finaux, ou surveillés, dans les essais cliniques de nouveaux vaccins - et peut-être même dans les essais de médicaments".
Clancy est heureux qu'il existe un autre groupe qui étudie les personnes péri- et postménopausées, car il est important de « accorder plus d'attention à un groupe très mal desservi ».
Le stress pandémique peut également affecter les règles Parfois, le stress peut affecter les règles d’une femme. Si vous avez des règles régulières, même de légères différences sont perceptibles.
Il est indéniable que la pandémie de COVID-19 et d’autres développements pénibles de l’histoire récente sont considérés comme une forme majeure de stress. La pandémie a donné lieu à différents types de défis personnels intenses qui peuvent souvent perturber la vie, comme la perte d’un être cher.
Comme l’a prouvé l’étude ci-dessus, les femmes qui ont leurs règles peuvent subir des perturbations, allant de règles sautées à des modifications des schémas de saignement.
Le Dr Taraneh Shirazian, directrice de la santé mondiale des femmes et professeur adjoint d'obstétrique et de gynécologie à NYU Langone Health à New York, a expliqué que ce que les experts de la santé peuvent dire sur le COVID-19 et ses effets sur le cycle menstruel est comparable à ce que disent les experts en santé. ils peuvent dire à propos d'autres infections virales et de périodes de stress prolongées : Des perturbations menstruelles sont susceptibles de se produire.
Shirazian a ajouté que lorsque vous êtes infecté par le COVID-19, cela représente un stress pour le corps et un stress majeur sur l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien (HPA), le système central de réponse au stress du corps.
En période de stress, l’axe HPA stimule la libération de cortisol, l’hormone du stress, pour aider votre corps à se préparer à combattre ou à fuir une menace.
Avec un stress continu, une augmentation des niveaux de cortisol peut affecter vos cycles menstruels. De plus, avec des périodes de stress prolongées, le système de réponse au stress peut s’épuiser et l’axe HPA peut être supprimé. Cela pourrait réduire la production hypophysaire d’hormones folliculo-stimulantes et lutéinisantes (FSH et LH), qui, à leur tour, réduiraient la production ovarienne d’œstrogènes et de progestérone.
Avec la suppression complète de l'axe HPA, une femme peut souffrir d'aménorrhée ou d'absence de règles. En cas de suppression partielle, une femme peut avoir des périodes inégales ou des périodes de saignement toutes les quelques semaines.
Bien qu’il n’y ait pas de tendance claire, les femmes réagissent différemment à la suppression de l’axe HPA, a noté Shirazian.
Découvrez plus d’histoires sur les effets indésirables des vaccins COVID sur VaccineInjuryNews.com.
Regardez la vidéo ci-dessous pour découvrir comment Pfizer savait que le vaccin contre la COVID-19 nuirait aux femmes et à leurs enfants à naître.
Cette vidéo provient de la chaîne Worldview Report sur Brighteon.com.
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Par l'exposition Recherche mondiale, 5 octobre 2023
Si un vaccin expérimental devait endommager le cœur et le système immunitaire d’un nombre important de personnes qui l’ont reçu, il est possible qu’il entraîne une diminution de la taille globale de la population.
Cela peut se produire pour plusieurs raisons.
Premièrement, les lésions cardiaques pourraient entraîner une augmentation des maladies cardiovasculaires, qui constituent l’une des principales causes de mortalité dans le monde. Cela pourrait entraîner un nombre plus élevé de décès parmi les personnes ayant reçu le vaccin.
Deuxièmement, les dommages causés au système immunitaire pourraient rendre les individus plus vulnérables à d’autres infections et maladies, ce qui pourrait également contribuer à une augmentation de la mortalité.
Dernier point, mais non le moindre, les impacts négatifs du vaccin sur la fertilité et la santé reproductive pourraient entraîner une baisse du nombre de naissances, contribuant ainsi à une diminution de la taille globale de la population. Si un tel vaccin devait être développé et distribué, il pourrait potentiellement conduire à un dépeuplement dû à une mortalité accrue et à une diminution de la fertilité.
Malheureusement, le monde s’est retrouvé dans une situation où des institutions et des gouvernements puissants ont contraint des millions de personnes à se faire vacciner expérimentalement (Expérimentation génique d'essais) contre le Covid-19, ce qui provoque tous les effets malheureux mentionnés ci-dessus.
Les rapports officiels du gouvernement et les documents confidentiels de Pfizer le prouvent.
Par conséquent, vous assistez à un dépeuplement massif se dérouler sous vos yeux.
La campagne de vaccination de masse contre le Covid-19 n’a jamais eu pour objectif de combattre un virus (qui n'est pas dans l'air !). Il s’agissait de réduire la population mondiale.
Cet objectif correspond aux intérêts de certaines entreprises et individus puissants qui bénéficieront d’une population plus petite et plus gérable maintenant que l’IA est suffisamment avancée pour remplacer des centaines de millions de travailleurs.
Quelle que soit la cause spécifique, les implications de ce qui se passe actuellement dans le monde réel sont importantes.
Des millions de personnes sont « mortes subitement »
Saviez-vous que des données sur la surmortalité dans 15 % des pays du monde sont disponibles sur le site de l' Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) ?
Cela inclut des pays majeurs comme les États-Unis, le Canada et le Royaume-Uni.
De plus, nous avons pu extraire d' EuroMOMO des données encore plus récentes sur 28 pays européens .
Toutes ces informations ont été fournies à l' OCDE et à EuroMOMO par les organismes gouvernementaux de chaque pays, tels que les Centers for Disease Control aux États-Unis et l'Office for National Statistics au Royaume-Uni.
Le graphique suivant illustre la tendance inquiétante de la surmortalité dans les pays des « Cinq Yeux » (Australie, Canada, Nouvelle-Zélande, Royaume-Uni et États-Unis) ainsi que dans 27 autres pays européens :
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Êtes-vous conscient du nombre effarant de décès excessifs survenus aux États-Unis et en Europe ces dernières années ?
En 2021, les États-Unis ont enregistré près de 700 000 décès supplémentaires, et 360 000 autres décès supplémentaires au 11 novembre 2022.
L’Europe a connu un chiffre tout aussi alarmant de 382 000 décès excédentaires en 2021, avec 309 000 décès excédentaires en novembre 2022.
Et ces chiffres n’incluent même pas l’Ukraine !
Il est choquant de constater que même des pays comme la Nouvelle-Zélande, l’Australie et le Canada ont connu une surmortalité qui n’a pas diminué depuis le déploiement du vaccin Covid-19.
Le graphique suivant illustre la tendance inquiétante de la surmortalité globale en Australie en 2020, 2021 et jusqu’à la semaine 30 de 2022 :
Saviez-vous que le déploiement du vaccin Covid-19 en Australie a entraîné une augmentation choquante de 747 % des décès excédentaires, de 1 303 en 2020 à 11 042 en 2021 ?
Et depuis, la situation n’a fait qu’empirer.
Fin juillet 2022, il y avait un excédent de décès stupéfiant de 18 973 en Australie, soit une augmentation de 1 356 % par rapport à 2020.
Cela représente plus de décès en 7 mois qu’au cours des deux années précédentes combinées.
Et la situation aux États-Unis est tout aussi alarmante :
- voir graph sur site -
Êtes-vous conscient de la tendance inquiétante de la surmortalité aux États-Unis suite au déploiement du vaccin Covid-19 ?
À la semaine 38 de 2022, 1 700 personnes de plus étaient décédées par rapport à la même période de 2020, et à la semaine 38 de 2021, 109 000 personnes de plus étaient décédées par rapport à la même période de 2020.
Ces chiffres indiquent qu’au lieu de diminuer, les décès ont en réalité augmenté suite au déploiement du vaccin.
Les deux graphiques suivants illustrent le total des décès excédentaires dans les « Five Eyes » et en Europe depuis le début de 2021, lorsque le vaccin Covid-19 a été introduit :
- voir graph sur site -
Saviez-vous que plus de 1,8 million de décès supplémentaires se sont produits dans les « Five Eyes » et dans la majeure partie de l’Europe depuis le déploiement du vaccin Covid-19 ?
Ce chiffre choquant comprend plus d'un million de décès excédentaires aux États-Unis et plus de 690 000 décès excédentaires en Europe selon les Centers for Disease Control et l'Organisation de coopération et de développement économiques, ainsi qu'un nombre important de décès excédentaires en Australie, au Canada, et la Nouvelle-Zélande.
Le discours officiel selon lequel le vaccin est sûr et efficace et réduirait le nombre de décès est complètement contredit par ces chiffres, qui suggèrent que les vaccins Covid-19 pourraient être la principale cause de la surmortalité.
Des enfants/adolescents et jeunes adultes sont « morts subitement »
Saviez-vous que la surmortalité chez les enfants âgés de 0 à 14 ans en Europe a grimpé en flèche de 755 % entre janvier et septembre 2022, selon les données officielles ?
Cette augmentation alarmante, qui a incité l'Union européenne à ouvrir une enquête, s'est produite malgré les efforts d' EuroMOMO pour minimiser les chiffres.
Il convient de noter que le vaccin Pfizer Covid-19 a été approuvé pour une utilisation chez les enfants par l'Agence européenne des médicaments le 28 mai 2021, soit la semaine 21 de 2021.
- voir doc sur site -
Source
Ensuite, des décès supplémentaires « seulement » par coïncidence » ont commencé à être enregistrés à partir de la semaine 22, une fois cette autorisation d'utilisation d'urgence accordée.
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Dans l’ensemble, la surmortalité a augmenté de 630 % depuis l’approbation du vaccin pour une utilisation chez les enfants en septembre 2022.
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C'est une triste réalité : malgré les preuves de plus en plus nombreuses indiquant le danger évident des vaccinations contre le Covid-19 pour les enfants, il est très peu probable que les autorités reconnaissent ce risque.
Tragiquement, l’augmentation significative de la surmortalité chez les enfants en Europe depuis que l’Agence européenne des médicaments a approuvé l’utilisation du vaccin dans cette population par l’Agence européenne des médicaments risque d’être considérée comme une simple « coïncidence » parmi la longue liste de tels événements depuis le début de la pandémie.
Il est essentiel que nous continuions à examiner et à scruter les données pour garantir la protection de la santé et du bien-être de nos enfants.
Saviez-vous également que selon les chiffres officiels publiés discrètement par les Centers for Disease Control (CDC) des États-Unis , près d'un demi-million d'enfants et de jeunes adultes sont morts au 9 octobre 2022 aux États-Unis depuis que la Food & Drug Administration a accordé pour la première fois une autorisation d'utilisation d'urgence pour un vaccin contre le Covid-19 ?
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Cette évolution déchirante a entraîné près de 118 000 décès supplémentaires par rapport à la moyenne 2015-2019.
Les chiffres révèlent également qu’il y a eu jusqu’à présent 7 680 décès supplémentaires chez les enfants et les jeunes adultes en 2022 par rapport à la même période en 2020, au plus fort de la prétendue pandémie de Covid-19.
Cependant, l’année la pire en termes de décès chez les 0 à 44 ans a été 2021, avec 291 461 décès excédentaires au total, soit près de 60 000 de plus qu’en 2020.
Selon les chiffres officiels du CDC, cette augmentation était principalement due à une mystérieuse augmentation soudaine des décès d’enfants et de jeunes adultes à partir de la semaine 31 environ de 2021.
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C'est une réalité déchirante que près d'un demi-million de personnes âgées de 0 à 44 ans soient décédées depuis la semaine 51 de 2020, ce qui entraîne un excédent de décès stupéfiant de 117 719 par rapport à la moyenne quinquennale 2015-2019.
Selon les données officielles, l'espérance de vie moyenne aux États-Unis était de 77,28 ans en 2020.
Si l’on en croit le récit officiel selon lequel le Covid-19 est une maladie mortelle, il est peut-être compréhensible que 231 987 enfants et jeunes adultes de moins de 44 ans soient morts en 2020, ce qui a entraîné 40 365 décès supplémentaires comme conséquence malheureuse de cette prétendue maladie. .
Cependant, si nous devons accepter le discours officiel selon lequel les vaccins contre le Covid-19 sont sûrs et efficaces, comment expliquer la nouvelle augmentation des décès chez les enfants et les jeunes adultes en 2021 et 2022 ?
Il convient de noter que des millions d’Américains ont été contraints de se faire vacciner, et que des millions de parents ont été également contraints de forcer leurs enfants à recevoir les injections.
La réponse est claire : le discours officiel est un mensonge flagrant. Les vaccins Covid-19 ne sont ni sûrs ni efficaces.
Les données difficiles à trouver fournies par le CDC ne font que suggérer cette tendance inquiétante des décès de jeunes Américains, mais d'autres données publiées par le gouvernement britannique le confirment .
Par exemple, un rapport publié le 6 juillet 2022 par l'Office for National Statistics du Royaume-Uni, une agence gouvernementale, apporte une preuve supplémentaire du danger de ces vaccins.
Le rapport est intitulé « Décès par statut vaccinal, Angleterre, 1er janvier 2021 au 31 mai 2022 », et il peut être consulté sur le site de l'ONS ici et téléchargé ici .
Avez-vous vu le tableau 2 du rapport de l'Office britannique des statistiques nationales, qui contient les taux de mortalité mensuels standardisés selon l'âge, par statut vaccinal et par groupe d'âge, pour les décès pour 100 000 années-personnes en Angleterre jusqu'en mai 2022 ?
Sinon, n'hésitez pas à y jeter un œil, car les chiffres qu'il contient sont vraiment inquiétants.
Nous avons pris les données fournies par l'ONS pour la période de janvier à mai 2022 et créé le graphique suivant, qui illustre les conséquences dévastatrices de la campagne de vaccination de masse contre le Covid-19.
Le graphique montre les taux de mortalité mensuels standardisés selon l'âge par statut vaccinal chez les 18 à 39 ans pour les décès non liés au Covid-19 en Angleterre entre janvier et mai 2022.
Il ressort clairement de ces données que les risques associés à ces vaccins ne peuvent être ignorés.
C'est une tendance inquiétante : chaque mois depuis le début de l'année 2022, les 18-39 ans partiellement vaccinés et doublement vaccinés ont plus de risques de mourir que les 18-39 ans non vaccinés.
La situation a été particulièrement désastreuse pour les 18 à 39 ans triplement vaccinés, dont le taux de mortalité s’est aggravé de mois en mois depuis la campagne de masse Booster qui a eu lieu au Royaume-Uni en décembre 2021.
En janvier, les 18 à 39 ans triplement vaccinés étaient légèrement moins susceptibles de mourir que les individus non vaccinés de ce groupe d'âge, avec un taux de mortalité de 29,8 pour 100 000 parmi les non vaccinés et de 28,1 pour 100 000 parmi les triplement vaccinés.
Cependant, à partir de février, les 18 à 39 ans triplement vaccinés étaient 27 % plus susceptibles de mourir que les individus non vaccinés, avec un taux de mortalité de 26,7 pour 100 000 parmi les triplement vaccinés et de 21 pour 100 000 parmi les non vaccinés.
La situation s'est encore aggravée en mai 2022, les triplement vaccinés âgés de 18 à 39 ans étant 52 % plus susceptibles de mourir que les individus non vaccinés de cette tranche d'âge, avec un taux de mortalité de 21,4 pour 100 000 chez les triplement vaccinés et de 14,1 chez les non vaccinés. .
Les personnes partiellement vaccinées s’en sortent également mal, May voyant les personnes partiellement vaccinées âgées de 18 à 39 ans 202 % plus susceptibles de mourir que les personnes non vaccinées de ce groupe d’âge.
Le rapport de l'Office britannique des statistiques nationales inclut également les taux de mortalité infantile, bien que le gouvernement britannique ait tenté de dissimuler ces données.
Le graphique suivant montre les taux de mortalité par statut vaccinal pour 100 000 années-personnes chez les enfants âgés de 10 à 14 ans en Angleterre pour la période du 1er janvier 2021 au 31 mai 2022 :
Selon l'Office britannique des statistiques nationales, le taux de mortalité dû au Covid-19 parmi les enfants non vaccinés âgés de 10 à 14 ans est de 0,31 pour 100 000 années-personnes.
Cependant, pour les enfants vaccinés à une dose, le taux de mortalité est de 3,24 pour 100 000 années-personnes, et pour les enfants triplement vaccinés, le taux de mortalité est alarmant de 41,29 pour 100 000 années-personnes.
La situation n’est pas meilleure en ce qui concerne les décès non liés au Covid-19. Le taux de mortalité toutes causes confondues est de 6,39 pour 100 000 années-personnes chez les enfants non vaccinés et légèrement plus élevé, à 6,48 chez les enfants partiellement vaccinés.
Cependant, le taux s’aggrave à chaque injection supplémentaire : le taux de mortalité toutes causes confondues est de 97,28 parmi les enfants doublement vaccinés et un taux alarmant de 289,02 pour 100 000 années-personnes parmi les enfants triplement vaccinés.
Cela signifie que, selon les données officielles du gouvernement britannique, les enfants doublement vaccinés ont 1 422 % ou 15,22 fois plus de risques de mourir, quelle qu'en soit la cause, que les enfants non vaccinés, tandis que les enfants triplement vaccinés ont 4 423 % ou 45,23 fois plus de risques de mourir, quelle qu'en soit la cause. cause que les enfants non vaccinés.
Les données fournies par l'Office des statistiques nationales, qui sont standardisées selon l'âge et les taux pour 100 000 habitants, sont la preuve définitive que les vaccins Covid-19 augmentent le risque de décès d'une personne.
Il n'est donc pas surprenant d'apprendre qu'un rapport secret du CDC confirme que près d'un demi-million d'enfants et de jeunes adultes américains sont morts à la suite du déploiement du vaccin Covid-19, entraînant près de 118 000 décès supplémentaires par rapport à la moyenne quinquennale 2015-2019. .
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Vous n'avez qu'un seul cœur et il ne se régénérera pas
Les conséquences potentielles d’un vaccin contre la COVID-19 qui nuit au cœur sont désastreuses. Si un tel vaccin était largement distribué et administré à une partie significative de la population, il pourrait entraîner des millions de morts subites.
Le cœur est un organe vital qui joue un rôle essentiel dans le bon fonctionnement de l’organisme. Tout effet indésirable sur celui-ci pourrait donc avoir des conséquences désastreuses.
Malheureusement, au moins deux vaccins contre le Covid-19 produits par Pfizer et Moderna font exactement cela, et ils ont maintenant été administrés à plusieurs reprises à des millions de personnes, et il est probable que ces vaccins soient responsables des millions de décès excédentaires enregistrés dans le monde depuis leur apparition. dérouler.
Le risque de myocardite, une inflammation du muscle cardiaque pouvant entraîner une mort subite si elle n’est pas traitée, est une préoccupation majeure lorsqu’il s’agit du vaccin contre le Covid-19. Cela est particulièrement vrai pour les adultes et les enfants jeunes et en bonne santé, qui peuvent ne présenter aucun symptôme de myocardite jusqu'à ce que la maladie ait atteint un stade grave.
Les symptômes de la myocardite peuvent inclure des douleurs thoraciques, un essoufflement, de la fatigue et des rythmes cardiaques anormaux. Si elle n'est pas traitée, elle peut entraîner une insuffisance cardiaque, un arrêt cardiaque et une mort cardiaque subite.
C'est probablement la raison pour laquelle une enquête sur les chiffres officiels publiée par Public Health Scotland en avril 2022 a révélé qu'il y a eu une augmentation de 67 % par rapport à la moyenne historique du nombre de personnes âgées de 15 à 44 ans victimes d'une crise cardiaque, d'un arrêt cardiaque, d'une myocardite, d'un accident vasculaire cérébral. , et d’autres maladies cardiovasculaires depuis que cette tranche d’âge s’est vu proposer le vaccin Covid-19.
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Malheureusement, une étude menée par les Centers for Disease Control (CDC) et la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a montré que le risque de myocardite suite à la vaccination à ARNm contre le COVID est environ 133 fois plus élevé que le risque de base dans la population.
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Cela signifie que la vaccination contre le Covid augmente de 13 200 % le risque de souffrir de myocardite, une maladie auto-immune provoquant une inflammation du cœur.
Il ressort clairement des données présentées que les vaccins Covid-19 produits par Pfizer et Moderna ont eu un impact significatif sur la santé de millions de personnes dans le monde.
Les chercheurs ont mesuré la concentration de radioactivité totale dans le sang, le plasma et les tissus des rats à différents moments après l'injection. L’accumulation du vaccin dans les ovaires suscite des inquiétudes quant à son impact potentiel sur la fertilité et la santé reproductive.
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L’une des conclusions les plus préoccupantes de l’étude sur le vaccin Pfizer Covid-19 est le fait qu’il s’accumule dans les ovaires au fil du temps.
Au cours des 15 premières minutes suivant l'injection, la concentration totale de lipides dans les ovaires était de 0,104 ml, mais elle est passée à 1,34 ml après seulement une heure, 2,34 ml après quatre heures et 12,3 ml après 48 heures.
Même si les scientifiques qui ont mené l'étude n'ont pas poursuivi leurs recherches au-delà de 48 heures, il n'est pas clair si cette accumulation s'est poursuivie.
Ces résultats soulèvent de sérieuses questions quant aux effets potentiels à long terme du vaccin Pfizer sur la fertilité et la santé reproductive.
Mais selon les données publiées par Public Health Scotland, le nombre de personnes souffrant d'un cancer de l'ovaire a considérablement augmenté en 2021 par rapport à l'année précédente et à la moyenne 2017-2019.
Cela pourrait potentiellement être lié à l’accumulation du vaccin Pfizer COVID-19 dans les ovaires, comme le révèle une étude sur des rats.
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Cancer de l'ovaire – Source
Les décès de nouveau-nés en Écosse ont également atteint un niveau critique pour la deuxième fois en sept mois seulement, selon les chiffres officiels.
Le taux de décès néonatals en mars 2022 était de 4,6 pour 1 000 naissances vivantes, soit une augmentation de 119 % par rapport au taux de décès attendu.
Cela signifie que le taux de mortalité néonatale a dépassé un seuil d’alerte supérieur connu sous le nom de « limite de contrôle » pour la deuxième fois après le déploiement des vaccins Covid-19 auprès des femmes/femmes enceintes.
La dernière fois que cette limite a été dépassée, c’était en septembre 2021, lorsque les décès néonatals pour 1 000 naissances vivantes ont atteint 5,1. Ces niveaux sont comparables à ceux généralement observés à la fin des années 1980.
À l’époque, le PHS avait déclaré que le fait que la limite supérieure de contrôle ait été dépassée « indique qu’il existe une probabilité plus élevée qu’il existe des facteurs au-delà de la variation aléatoire qui ont contribué au nombre de décès survenus ».
Cette nouvelle est choquante et soulève de sérieuses inquiétudes quant à la sécurité des vaccins contre le Covid-19.
Mortalité accrue
Il est alarmant de voir dans les chiffres trouvés dans un rapport publié par le gouvernement britannique intitulé « Deaths by Vaccination Status, England, 1 January 2021 to 31 May 2022 », et accessible sur le site de l'ONS ici , et téléchargé ici , qu'en chaque mois entre janvier et mai 2022, les personnes âgées de 18 à 39 ans qui étaient partiellement ou entièrement vaccinées étaient plus susceptibles de mourir de causes non liées à Covid que leurs homologues non vaccinés.
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La situation est particulièrement désastreuse pour les individus triplement vaccinés, dont les taux de mortalité n’ont fait qu’empirer mois après mois depuis la vaste campagne de rappel de décembre 2021.
Ces chiffres choquants, fournis par l'Office britannique des statistiques nationales, confirment que les vaccins Covid-19 augmentent considérablement le risque de décès d'une personne.
Il est clair que non seulement les vaccins ne parviennent pas à protéger les individus, mais qu’ils causent activement des dommages. Il est crucial que des mesures soient prises pour mettre un terme à leur propagation et enquêter sur les véritables dangers qu'ils représentent.
Mais cette situation n’est pas limitée aux 18-39 ans. C’est courant dans tous les groupes d’âge.
Les deux graphiques suivants montrent les taux de mortalité mensuels standardisés selon l’âge par statut vaccinal pour les décès non liés à Covid-19 en Angleterre entre janvier et mai 2022 pour tous les groupes d’âge –
Vous pouvez lire ici une enquête complète sur les chiffres ci-dessus, ventilés par tranche d'âge .
Dépopulation par la vaccination contre le COVID-19
Les conséquences potentielles de la campagne de vaccination contre le Covid-19 sont alarmantes et pourraient conduire à un dépeuplement à l’échelle mondiale.
Le cœur est un organe vital et tout effet néfaste sur celui-ci pourrait avoir des conséquences dévastatrices. Cela est particulièrement vrai pour les adultes et les enfants jeunes et en bonne santé, car la myocardite peut ne provoquer aucun symptôme jusqu'à ce que la maladie ait atteint un stade grave.
Les données de Pfizer révèlent que 46 % des femmes enceintes ayant reçu le vaccin ont subi des effets indésirables, dont 58 % ont subi des effets indésirables graves allant de la contraction utérine à la mort fœtale.
De plus, des études ont montré que le vaccin s’accumule dans les ovaires au fil du temps, ce qui suscite des inquiétudes quant à son impact potentiel sur la fertilité.
Les chiffres officiels révèlent également que les taux de mortalité sont les plus élevés parmi les personnes vaccinées et les plus faibles parmi la population non vaccinée, dans tous les groupes d’âge.
Avec toutes ces preuves, il est clair que la campagne de vaccination contre le Covid-19 pourrait avoir de graves conséquences sur l’avenir de l’humanité.
Mais pourquoi ?
Il existe diverses raisons pour lesquelles certaines personnes peuvent vouloir dépeupler la planète.
L'une des raisons pourrait être la surpopulation, car certaines personnes pensent que les ressources de la Terre s'épuisent à un rythme insoutenable en raison de l'augmentation de la population.
D’autres personnes pourraient affirmer que le dépeuplement est nécessaire en raison de l’impact négatif que les humains ont eu sur l’environnement, et que la réduction de la population pourrait contribuer à atténuer certains de ces problèmes.
Certaines personnes peuvent également plaider en faveur du dépeuplement en raison des préoccupations concernant l'impact du changement climatique, car une population plus petite entraînerait probablement une réduction des émissions de gaz à effet de serre.
Enfin, certaines personnes peuvent simplement croire qu’une population plus petite serait plus gérable et plus facile à contrôler, et pourraient préconiser le dépeuplement pour cette raison.
Klaus Schwab et Bill Gates sont deux personnalités puissantes qui ont exprimé leur soutien à l’idée du dépeuplement par divers moyens, dont la vaccination.
(...) L'une des raisons pourrait être la surpopulation, car certaines personnes pensent que les ressources de la Terre s'épuisent à un rythme insoutenable en raison de l'augmentation de la population.(...)
Il pourrait y avoir 100 000 milliards de personnes sur Terre que la Terre ne pèserait pas UN GRAMME de plus !! Çà alors !! Parce que TOUT ce qui est consommé est retourné vers la terre.
Grâce au programme de Nikola Tesla (HAARP) il pourrait pleuvoir en plein déserts ! Les tempêtes, cyclones, ouragans pourraient être évités ! La terre (22 % de la superficie planétaire) pourrait être habitable de partout !
Encore une info ? 8 milliards de personnes côte-à-côte tiendraient dans un triangle équilatéral de 49 km de côté !
L’Agence des droits civiques poursuit 2 entreprises qui ont licencié des travailleurs pour refus de vaccin contre la COVID
PAR TYLER DURDEN JEUDI 05 OCTOBRE 2023 - 23H40 Rédigé par Zachary Stieber via The Epoch Times
La Commission américaine pour l’égalité des chances en matière d’emploi (EEOC) a poursuivi deux entreprises pour avoir licencié des travailleurs qui avaient demandé des exemptions religieuses aux mandats de vaccination contre le COVID-19.
United Healthcare Services, un prestataire de soins de santé basé à Cleveland, et Hank's Furniture, basé en Arkansas, ont violé la loi fédérale en refusant les demandes d'exemption et en licenciant les travailleurs, selon les poursuites.
Le titre VII de la loi sur les droits civils de 1964 interdit la discrimination fondée sur la religion et oblige les entreprises à s'adapter à la pratique religieuse d'un travailleur, à moins que cela n'entraîne des « difficultés excessives ».
«Une fois qu'un employeur est informé que les croyances, pratiques ou observances religieuses sincères d'un employé l'empêchent de se faire vacciner contre la COVID-19, l'employeur doit fournir un aménagement raisonnable, à moins que cela ne pose une contrainte excessive», Debra Lawrence, une procureur régional de l'EEOC, a déclaré dans un communiqué. « Ni les prestataires de soins de santé ni les exigences de vaccination contre le COVID-19 ne sont exclus des protections du Titre VII contre la discrimination religieuse. »
Marsha Rucker, une autre avocate de l'EEOC, a déclaré que la poursuite contre le détaillant de meubles "devrait rappeler aux employeurs qu'ils doivent communiquer avec les employés demandant des accommodements pour leurs croyances religieuses et essayer de tenir compte de ces croyances chaque fois que cela est raisonnablement possible".
Elle a souligné une récente décision de la Cour suprême des États-Unis qui s'est prononcée en faveur d'un facteur du service postal américain qui avait intenté une action en justice après que le service avait refusé de répondre à sa demande de ne pas travailler le dimanche.
"Les employeurs doivent désormais respecter une barre plus élevée lorsqu'ils refusent un accommodement religieux", a déclaré Mat Staver de Liberty Counsel, un cabinet d'avocats qui porte des affaires similaires, dans un communiqué. « Les gens ne devraient pas avoir à choisir entre leur foi et leur travail. »
L’EEOC a déclaré en 2021 que les entreprises pourraient imposer des mandats de vaccination contre le COVID-19, mais qu’elles devraient fournir des accommodements religieux et médicaux.
United Healthcare a déclaré à Epoch Times dans un courrier électronique qu'elle prévoyait de « se défendre vigoureusement » contre cette poursuite.
"Entre autres choses, l'affirmation de l'EEOC selon laquelle l'employé en question était un travailleur à distance sans responsabilités professionnelles en personne est inexacte", a déclaré l'entreprise. "Nous continuons de respecter les convictions individuelles, tout en travaillant pour assurer la santé, le bien-être et la sécurité de nos collègues et de ceux que nous avons le privilège de servir."
Hank's Furniture n'avait pas d'avocats inscrits au rôle du tribunal et ne pouvait pas être contacté autrement.
Un travailleur à distance licencié
Amanda Stone, qui a commencé à travailler pour United en 2014, a été promue en 2016 à un poste de supervision. Elle a commencé à travailler à temps plein à domicile en 2018 en raison de coupes budgétaires. Depuis lors, le travail de Mme Stone n'implique aucune tâche en face-à-face ni la nécessité d'entrer dans les installations de United, selon l'une des poursuites.
Avec de nombreuses autres entreprises américaines, United Healthcare a annoncé en octobre 2021 un mandat pour le vaccin contre le COVID-19. L'obligation de vaccination ne s'appliquait apparemment qu'aux travailleurs qui devaient entrer dans les installations de l'entreprise ou rencontrer en personne des clients, des fournisseurs ou des membres. United a précisé que cela ne s'appliquait pas aux personnes travaillant à distance.
Mme Stone, cependant, a appris qu'elle devait se faire vacciner, selon la poursuite.
Mme Stone est une chrétienne qui a déclaré avoir des convictions religieuses sincères, notamment une opposition à l'avortement qui l'empêche de recevoir un vaccin contre le COVID-19. Les injections ont été développées ou testées à l’aide de lignées cellulaires dérivées de fœtus avortés.
Mme Stone a soumis une demande d'exemption religieuse le 6 octobre 2021, soulignant ses objections à la vaccination. United a publié un démenti le 26 octobre 2021.
Mme Stone a demandé à son patron comment faire appel de la décision. On lui a dit qu'elle ne pouvait pas faire appel mais qu'elle pouvait réessayer. Mme Stone l'a fait et sa demande a été refusée une deuxième fois. Elle n'a pas été informée à chaque fois de la raison pour laquelle elle avait été refusée.
United a déclaré à Mme Stone le 30 novembre 2021 qu'elle était mise en congé pour non-respect du mandat. United a déclaré que si elle ne recevait pas de vaccin, elle pourrait être licenciée. United l'a licenciée le 2 janvier 2022.
Le tribunal américain du sud de l'Ohio a été invité à empêcher United de discriminer des personnes sur la base de leur religion, en ordonnant à United de verser à Mme Stone un arriéré de salaire avec intérêts, un paiement initial ou une réintégration, et de fournir une compensation pour les pertes résultant de sa discrimination.
L'entreprise a déclaré qu'elle n'accorderait jamais d'exemption
Kaitlyn O'Neal a commencé à travailler pour Hank's Furniture en 2020 et a été promue en 2021 au poste de directrice adjointe.
Mme O'Neal a été informée par l'entreprise en juillet 2021 qu'elle prévoyait d'encourager les employés à recevoir un vaccin contre la COVID-19, selon l'autre poursuite. L’entreprise souhaitait que tous les managers reçoivent immédiatement une chance.
Mme O'Neal a déclaré qu'elle n'avait pas l'intention de se faire vacciner.
Plusieurs semaines plus tard, Mme O'Neal a informé l'entreprise qu'elle avait sincèrement des croyances religieuses qui l'empêcheraient de se faire vacciner et a demandé une exemption religieuse.
Hank's Furniture lui a envoyé des articles en ligne pour tenter de la faire changer d'avis, selon la poursuite. Lorsqu'elle a été contactée par l'entreprise, Mme O'Neal a répondu que non. Lorsqu'elle a demandé comment soumettre une demande écrite d'exemption religieuse, l'entreprise n'a pas répondu.
Lorsque Mme O'Neal s'est plainte, son manager et son superviseur ont déclaré que Hank's Furniture ne se souciait pas de ses raisons et que l'entreprise n'accorderait jamais d'exemption, a déclaré l'EEOC.
Le 20 août 2021, Hank's Furniture a annoncé que sa politique d'encouragement était devenue un mandat de vaccination. Les travailleurs qui n’auront pas reçu de vaccin avant le 31 octobre 2021 seront licenciés, indique-t-il.
Mme O'Neal a soumis une demande écrite d'accommodement, qui a été ignorée par l'entreprise.
Après avoir effectué un suivi, la société a déclaré que sa demande manquait gravement et a été rejetée. Mme O'Neal a demandé de l'aide pour déposer une demande en bonne et due forme, mais l'entreprise a refusé, avant de la licencier le 31 octobre 2021.
L'EEOC a demandé au tribunal américain du nord de la Floride d'accorder à Mme O'Neal des arriérés de salaire avec intérêts et d'ordonner à Hank's Furniture de payer un salaire initial ou une réintégration, une indemnisation pour les pertes et les dommages. L'entreprise devrait également être empêchée de discriminer les travailleurs sur la base de la religion, a indiqué l'agence.
Walmart prévient que les utilisateurs de médicaments amaigrissants mangent moins, mais Cheez-It Maker n'abandonne pas les Fatsos américains
PAR TYLER DURDEN JEUDI 05 OCTOBRE 2023 - 22H20
Il y a deux mois, nous avons demandé si l'engouement américain contre l'obésité, grâce aux médicaments amaigrissants à base de GLP-1, tels que Wegovy et Mounjaro fabriqués par Novo Nordisk et Eli Lilly, conduirait à une « révolution alimentaire », et nous avons écrit qu'« avec le L'industrie alimentaire américaine est devenue grosse et paresseuse, confiante dans l'hypothèse que rien ne changera jamais avec l'engouement américain pour la restauration rapide, les hamburgers gras et la malbouffe grasse et carby, même le plus petit écart pourrait avoir des conséquences dévastatrices pour un marché alimentaire que nous évaluons à un peu moins de 1 000 milliards de dollars par an en 2022. »
Pour souligner l'impact potentiel de l'utilisation croissante des médicaments GLP-1, nous avons établi un lien avec une récente présentation de Morgan Stanley (disponible pour les abonnés professionnels) qui a révélé qu'il y aurait probablement une réduction de 1,7 % (par rapport à la valeur de référence) des calories consommées...
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Sans surprise, MS a constaté un impact plus prononcé sur certaines catégories d'aliments chez les personnes prenant des médicaments amaigrissants.
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Il n’est pas non plus surprenant que les plus grands perdants semblent être les fast-foods et les pizzerias…
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... confiseries, biscuits et snacks salés...
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... ainsi que des fabricants de boissons sucrées et de snacks.
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Eh bien, il n'a pas fallu longtemps pour que l'engouement chronique des entreprises américaines pour l'obésité sociale explose et mercredi, Walmart a averti qu'il constatait déjà un impact sur la demande d'achat des personnes prenant le médicament contre le diabète Ozempic, Wegovy et d'autres médicaments coupe-faim.
"Nous constatons certainement un léger changement par rapport à la population totale, nous constatons un léger recul du panier global", a déclaré mercredi John Furner, PDG de la vaste opération américaine de Walmart, dans une interview. "Juste moins d'unités, un peu moins de calories."
Le plus grand détaillant américain a déclaré qu'il étudiait les changements dans les modèles de ventes en utilisant des données « anonymisées » sur les populations d'acheteurs. Le géant de la vente au détail compare les acheteurs qui récupèrent une ordonnance pour ces médicaments dans ses pharmacies à des acheteurs qui sont par ailleurs similaires mais qui ne remplissent pas ces scripts chez Walmart. Il recherche ensuite des modèles de dépenses de ces groupes et indique que le premier groupe achète moins de nourriture.
Doug McMillon, PDG de Walmart, Inc., a déclaré en août que la popularité croissante de ces médicaments aidait ses ventes. bien que ce ne soit clairement pas des fast-foods riches en calories.
Walmart vend des médicaments GLP-1, une catégorie qui comprend Ozempic, par l'intermédiaire de ses pharmacies. En août, il a annoncé qu'il augmenterait les revenus du détaillant. Les ventes de ces médicaments aux États-Unis ont augmenté de 300 % entre 2020 et 2022, selon un récent rapport de Trilliant Health.
"Nous nous attendons toujours à ce que la nourriture, les consommables, ainsi que la santé et le bien-être, principalement en raison de la popularité de certains médicaments GLP-1, augmentent en pourcentage du total au cours du second semestre", a déclaré le PDG de Walmart, Doug McMillon, lors d'un appel avec des analystes en août.
Et tandis qu'un nombre croissant de PDG et d'investisseurs parlent de la manière dont les médicaments amaigrissants populaires pourraient changer l'économie et les affaires, nombreux sont ceux qui s'inquiètent de plus en plus des conséquences de la consommation calorique importante du pays pour leur entreprise (au moins jusqu'à ce que les paysans soient à court des 1 000 dollars). par mois dont il a besoin pour maintenir son habitude de manger du wegovy), certains PDG n'abandonnent pas la perspective du gros américain obèse avec un penchant incurable pour la malbouffe bon marché.
Plus tôt cette semaine, le PDG du fabricant des Pringles et Cheez-Its a déclaré que la société étudiait leur impact potentiel sur les comportements alimentaires.
"Comme tout ce qui a un impact potentiel sur notre entreprise, nous l'examinerons, l'étudierons et, si nécessaire, l'atténuerons", a déclaré Steve Cahillane, PDG de Kellanova, f/k/a Kelloggs, dans une interview, ajoutant que "Nous Je ne suis en aucun cas complaisant.
Cahillane a qualifié le médicament de « très, très tôt » mais a déclaré que la société étudiait son impact potentiel sur les comportements alimentaires afin de pouvoir réagir si nécessaire.
Le point de vue pragmatique, cependant, est peut-être le meilleur : Kellanova examine les niveaux de pénétration potentiels aux États-Unis et sur d’autres marchés, et pose les questions les plus simples : « Qui va s’en charger ? Qui va y participer ? Est-ce qu’ils y restent ? » a-t-il déclaré, énumérant les questions auxquelles l'entreprise tentera de répondre. "Il y a de plus en plus d'histoires sur les effets secondaires, nous étudions donc cela", a-t-il ajouté.
Enfin, il y a l'extension du vieux truisme : ne pariez jamais contre le consommateur américain... et ne pariez jamais contre le consommateur américain qui mange toute la malbouffe disponible gratuitement en sa présence immédiate.
Pour en savoir plus, veuillez consulter « L’engouement américain pour la lutte contre l’obésité mènera-t-il à une révolution alimentaire ».
6 octobre 2023 par Assoc. Prof. Dr. Stephan Sander Faes
Les deux termes forts mentionnés ici – respectivement « fraude » et « incompétence » – n’exigent pas de preuves moins solides. Dans cet article, nous examinerons donc de près deux documents (quasi-)officiels en particulier : d'une part, le brevet US n° 10 485 884 B2 du 26 novembre 2019 par Sahin et al. (oui, c'est le fondateur de BioNTech) et d'autre part la documentation d'approbation de l'Agence européenne des médicaments (EMA) du 19 février 2021 concernant le principe actif de BioNTech/Pfizer, vendu sous la marque « Comirnaty ». . La comparaison de ces documents met en évidence des activités très douteuses des fabricants et du régulateur des médicaments, sans parler des « experts™ », de la « politique » et des « médias de premier plan et de qualité ».
Tout d'abord : les passages cités ci-dessous proviennent de ces deux documents accessibles au public liés ici, d'où proviennent également les captures d'écran que j'ai intégrées ici :
Brevet américain n° 10 485 884 B2, 26 novembre 2019, cessionnaire : Sahin et al. ( source ) EMA, document n° EMEA/H/C/005735/0000, 19 février 2021 ( source ) Les traductions allemandes proviennent de moi et sont « accompagnées » de captures d'écran pour plus de compréhensibilité.
Brevet américain n° 10 485 884 B2, 26 novembre 2019, cessionnaire : Sahin et al. Ce qui frappe dans ce document, c’est d’abord la date, car les droits de brevet en question n’ont pas seulement été enregistrés ou publiés par l’Office américain des brevets plusieurs mois avant que la soi-disant « pandémie » ne soit déclarée par l’OMS. Au contraire, la documentation montre que la soumission (n° 14/388,192) est datée du 25 mars 2013, ce qui rend la référence répétitive selon laquelle les ingrédients actifs du modRNA ont été développés « en un temps record » semble pour le moins discutable. Précisons également au passage que les déposants font expressément référence à une « Demande internationale » (n° PCT/EP2012/001319) datée du 26 mars 2012 (!).
Mais nous devons examiner de plus près les détails bien plus importants. Le brevet américain n° 10 485 884 B2 concerne « l'immunothérapie, en particulier le traitement du cancer » (paragraphe 1 ; notez que le document n'est pas paginé et que les passages cités ci-dessous se trouvent à la page 43 du document PDF de 69 pages qui commence ; avant cela, il y a un nombre de graphiques, illustrations, etc.).
Sur la même page, un total de trois références pertinentes se trouvent plus bas dans le texte :
Le brevet décrit l'application ciblée de cette thérapie anticancéreuse dans les ganglions lymphatiques, mais est décrit comme « très complexe » en raison de l'expérience médicale requise ; Les alternatives incluent, sans s'y limiter, l'administration ou l'inhalation intraveineuse ou intracutanée (c'est-à-dire par injection) des ingrédients actifs. Les soi-disant « lipoplexes » (nananoparticules lipidiques) utilisés à cet effet sont constitués de deux parties principales, les graisses chargées positivement (orig. « liposomes ») et les parties modRNA ou ADN chargées négativement. La charge électrique est essentielle au transfert (transfection) efficace des informations modRNA ou ADN dans la ou les cellules cibles. Mais quels sont les problèmes identifiés concernant un tel accès ?
La plupart des membranes naturelles sont chargées négativement et, par conséquent, l’interaction électrostatique entre les « lipoplexes » chargés positivement et la membrane cellulaire chargée négativement peut jouer un rôle dans l’absorption de ces « lipoplexes » dans la cellule.
Qu'est-ce qui pourrait mal se passer?
- voir doc sur site -
Malheureusement, une toxicité accrue a été observée pour les liposomes et lipoplexes chargés positivement, ce qui peut poser un problème pour l'utilisation de préparations telles que des médicaments.
Il s’agit d’un problème fondamental – un risque – car les agents mod-ARN de BioNTech/Pfizer et Moderna utilisent la même technologie que celle décrite ici pour leurs injections corona. Pour mieux comprendre les préoccupations qui en résultent, il faut prendre un moment pour considérer les qualités électrostatiques spécifiques de ces « lipoplexes ».
Tampon pH, nanoparticules modRNA et les risques associés C'est inévitable, comme il est dit un peu plus bas dans le texte du brevet de BioNTech comme suit :
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L'utilisation de tampons, souvent nécessaires pour les applications pharmaceutiques et les ions, peut conduire à une agrégation des lipoplexes, les rendant impropres à une utilisation parentérale chez les patients.
Notons : les tampons pH sont nécessaires, conduisent potentiellement à une « agrégation des lipoplexes » et sont donc « inadaptés » à une « utilisation parentérale » – c’est-à-dire à une administration intracutanée par injection ou « vaccination ».
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De plus, l’utilisation de « chlorure de sodium » (vulgo : solution saline) n’est pas adaptée car elle conduit à « une taille de particules considérablement augmentée/agglomérée ». Résultat : « une charge positive ne convient pas pour stabiliser les lipoplexes » et « il faut s’attendre à la formation d’amas ».
On note donc que les qualités électrostatiques « correctes » sont essentielles pour assurer le fonctionnement prévu des principes actifs modRNA. Ce sont d’ailleurs ces aspects biochimiques qui, comme le soulignent Sahin et al. comme indiqué dans la demande de brevet, contribuent à l'instabilité des lipoplexes (« nanoparticules lipidiques »), avec pour conséquence la formation d'amas.
Les tampons de pH tels que la solution saline tamponnée au phosphate (PBS en abrégé, de solution saline tamponnée au phosphate ) sont des solutions salines dites isotoniques qui sont largement utilisées dans la recherche biochimique en raison de leur valeur de pH constante (7,4).
Cependant, selon les documents de brevet de BioNTech, ceux-ci ont des effets potentiellement graves sur l'homme en termes de toxicité, car il a été prouvé qu'ils conduisent à la formation d'amas :
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Ces faits étaient bien connus au moment de l’« approbation conditionnelle de mise sur le marché » de l’EMA.
Que savait l’EMA à l’hiver 2020/21 ? Bref : pas trop, comme le montre ce passage de la page 140 (« MAH » = « Marketing Authorisation Holder », c'est à dire le fabricant avec une AMM conditionnelle ») :
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Les deux ingrédients ALC-0315 et ALC-0159 sont, comme le montre la page 23 du même document - contrairement aux autres composants du médicament Comirnaty - classés comme « nouveaux excipients » car ils n'ont « jamais été utilisés auparavant dans un médicament utilisé en Europe » et « non enregistré dans la Pharmacopée européenne » (le répertoire en ligne de tous les médicaments ou ingrédients).
De plus, ces composants ALC-0315 et ALC-0159 ne sont pas enregistrés dans le registre C&L de l'Agence européenne des produits chimiques (ECHA), même si cette agence est mandatée pour enregistrer tous les produits chimiques utilisés dans l'UE/EEE.
Et cela malgré le fait que l'UE ( source ) elle-même déclare que « les produits chimiques non enregistrés ne peuvent pas être commercialisés ».
Le « document d’approbation » de l’EMA lié au début indique également :
Aucune étude de génotoxicité ou de cancérogénicité n'a été rapportée. Les composants du vaccin sont des lipides et de l’ARN, qui ne devraient pas avoir de potentiel génotoxique (p. 55)…
Aucune étude de génotoxicité ou de cancérogénicité n'a été réalisée. Les composants du vaccin (lipides et ARNm) ne devraient pas avoir de potentiel génotoxique. Ceci est acceptable pour le CHMP [Comité des médicaments humains, ndlr] (p. 56).
Ceci et « l’autorisation conditionnelle de mise sur le marché » sont en contradiction avec le règlement européen 2018/1881 , dans lequel, entre autres, les règles relatives aux nanomatériaux sont énoncées comme suit (308/6, mes italiques) :
L' évaluation doit toujours contenir une déclaration indiquant si la substance ou, le cas échéant, ses nanoformes répondent aux critères du règlement (CE) n° 1272/2008 pour la classification comme cancérogène de catégorie 1A ou 1B, mutagène sur les cellules germinales de catégorie 1A ou 1B ou toxique. pour la reproduction Répondre à la catégorie 1A ou 1B.
Cependant, au 7 décembre 2021, cela était toujours signalé comme « aucune information disponible » dans la documentation associée de Pfizer :
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Il en va de même pour les études toxicologiques, qui n’avaient pas été réalisées en décembre 2021 :
Tout cela indique des problèmes massifs avec « l'autorisation de mise sur le marché conditionnelle » initiale, puisque les problèmes – qui, en plus du produit BioNTech/Pfizer, affectaient également l'ingrédient actif modRNA de Moderna – étaient connus dans les documents de brevet « avant Corona ». .
Dans tous les cas, la question essentielle se pose : que savaient les autorités d'agrément et de contrôle (sic) de ces documents et quand ?
Les conséquences de l’utilisation de solutions salines tamponnées au phosphate pour « étirer » les principes actifs conduisent à s’interroger sur la compétence des « experts » des autorités d’approbation et de réglementation en raison des seules qualités électrostatiques des nanomatériaux lipidiques ; car le rôle des charges positives ou négatives sur les nanomatériaux n’a essentiellement rien à voir avec les composants « nouveaux » des principes actifs modRNA.
Cela pose donc la question de la qualité non seulement des principes actifs Corona, mais aussi des autres produits « contrôlés » par les autorités d’approbation et de réglementation, qui sont utilisés quotidiennement dans les pharmacies, les cabinets médicaux et les hôpitaux sans autre souci.
Le silence (immobile) des autorités de contrôle Grâce au remplacement tacite des solutions salines tamponnées au phosphate dans les produits modRNA de BioNTech/Pfizer et Moderna à partir de l’automne 2021, on peut au moins voir les géants pharmaceutiques s’éloigner des problèmes électrostatiques connus « avant Corona ».
La grande « innovation » était que la congélation des produits modRNA, qui posait auparavant des problèmes, n’était désormais plus nécessaire. (Cela était nécessaire précisément parce que les nanoparticules ne resteraient pas stables ou n’auraient pas suffisamment d’intégrité.)
Comme l'a noté l'EMA sur son site Internet dans un communiqué de presse (18 octobre 2021) , la « formulation désormais prête à l'emploi de Comirnaty… n'a pas besoin d'être diluée avant l'administration » et peut être « conservée à 2-8°C ». pendant un mois maximum ». Les améliorations dans « les options de stockage, de transport et de logistique pour la distribution et l’administration du vaccin » ont été clairement soulignées, mais pas le rôle joué par les solutions salines tamponnées au phosphate (électrolytes) dans la stabilité ou l’intégrité des principes actifs.
Le listing du principe actif modifié « Comirnaty Tris/Sucrose » montre que la composition est quasiment identique à celle du produit autorisé sous condition fin 2020 – à l’exception des solutions salines tamponnées au phosphate (électrolytes). Cela s'applique d'ailleurs également au matériel modRNA de Moderna, comme le montre la documentation soumise à l'EMA le 11 mars 2021 (p. 26) :
BioNTech/Pfizer et Moderna ont laissé « le reste » des principes actifs inchangés, mais utiliseront les mêmes tampons (trométhamol ou trométhamol CHI) à partir de l’automne 2021.
Dr. Gabriele Segalla, PDG et « scientifique en chef » de la société italienne Multichem R&D , résume ces changements tacites dans l'article « Chemical-Physical Criticality and Toxicological Potential of Lipid Nanomaterials Contained in a COVID-19mRNA Vaccine », International Journal of Vaccine Theory. , Practice, and Research , 3 (1) (2023) : 787-817, résumé comme suit (pp. 808-12, mes soulignements, traduction ; source ) :
Ce processus d'exclusion des électrolytes peut paraître banal au profane, mais en réalité il est éclairant pour les experts dans le domaine des systèmes colloïdaux ...
D'un point de vue technique, dans la nouvelle formulation prête à l'emploi, l'ancien tampon pH PBS (électrolytique, inorganique) a été éliminé et remplacé par un autre tampon très courant, le tampon dit Tris, utilisé en biologie pour préparer Les solutions à pH contrôlé (notamment pour les acides nucléiques) sont largement utilisées…
Malheureusement, la mesure dans laquelle le profil de stabilité a été amélioré par rapport à la version précédente n'est pas révélée ...
Malheureusement, les réponses à ces questions ne viendront probablement jamais car elles seront probablement classées comme informations commerciales confidentielles et donc sujettes à suppression. Néanmoins , la conclusion logique selon laquelle le vaccin PBS/saccharose Comirnaty (injecté en milliards de doses) a dû être modifié non seulement pour le rendre plus facile à utiliser mais surtout pour améliorer sa stabilité, reste incontournable ...
À la page 814, Segalla souligne les conséquences de cette approche :
Toutes les recommandations énumérées dans le brevet BioNTech de 2019 susmentionné ont été sans vergogne contredites ou ignorées depuis 2020 tant par Pfizer-BioNTech que par les organismes de certification , tant en (ionique/électrolytique)ce qui concerne le type de formulation Comirnaty (injection intramusculaire).
En fin de compte, le médicament Comirnaty/PBS Sucrose de Pfizer-BioNTech, approuvé par l'EMA en 2020, présente des problèmes physico-chimiques et toxicologiques graves et évidents , qui sont en contradiction flagrante avec les recommandations spécifiques et pertinentes que BioNTech elle-même a formulées dans son brevet ci-dessus. mentionné .
Bien sûr, la « pandémie » déclarée par l’OMS est un phénomène aux multiples facettes, mais dans tous les cas, elle sera probablement bientôt traitée par les tribunaux, idéalement jusqu’à la responsabilité pénale et civile personnelle des patrons de moules et des membres du conseil d’administration de BioNTech/Pfizer. et Moderna ou les acteurs des autorités de surveillance et d'octroi des licences.
L’approbation, la promotion et l’administration continues de ces produits modRNA ne sont guère plus qu’une infraction pénale avérée qui se produit chaque jour contre notre meilleur jugement.
Quiconque continue de faire preuve d’ignorance au sein des autorités de contrôle et de régulation ou parmi les « experts », hommes politiques et « journalistes » au vu de ces documents, fait simplement preuve de sa propre incompétence, ce qui, comme nous le savons, ne nous protège pas d’une sanction.
Nouvelle-Zélande : le ministère de la Santé a distribué des exemptions secrètes de vaccination
6 octobre 2023 de Thomas Oysmüller
Une enquête menée en Nouvelle-Zélande révèle que le ministère de la Santé a délivré des exemptions secrètes de vaccination pour les cadres supérieurs et les médecins. L’infirmière non vaccinée, en revanche, a perdu son emploi.
En Nouvelle-Zélande, il y avait un régime draconien de Corona sous la Première ministre Jacinda Ardern. De nombreux groupes professionnels étaient de facto soumis à une obligation de vaccination – mais cela ne s’appliquait pas à tout le monde, comme il s’avère aujourd’hui. Des centaines de personnes y étaient officiellement (mais secrètement) exemptées du traitement à l’ARNm. Tous les gens sont égaux, certains sont plus égaux. Parce qu’Ardern a déclaré à la télévision à tous les Néo-Zélandais que sans vaccination, ils perdraient leur emploi.
Dispense de vaccination pour les VIP C'est ce qu'a révélé l'Institut national du service public de santé, qui a demandé combien d'entreprises avaient demandé une exemption de vaccination.
Le 2 août 2023, le Parlement a posé la question suivante au ministère de la Santé :
« En vertu de la législation de l’époque, en 2021, il existait des exemptions opérationnelles pour ceux qui ne se faisaient pas vacciner contre le Covid 19. Votre site Web décrit le processus de demande d'exemption d'exploitation en vertu de la clause 12a. Combien de demandes avez-vous reçues ? Combien ont été approuvés par le ministère ?
Matt Hannant, directeur par intérim de la prévention au Service national de santé publique, Te Whatu Ora, a répondu :
« Du 13 novembre 2021 au 26 septembre 2022, un total de 478 demandes d'exemption en cas d'interruption importante de service (SSD) ont été reçues. 103 demandes ont été approuvées, touchant environ 11 005 travailleurs. Veuillez noter qu’il n’est pas possible de fournir le nombre exact de travailleurs couverts par les SSD. En effet, une organisation peut postuler pour plus d’un employé.
Cependant, il est peu probable que l’ensemble des 11 005 salariés aient bénéficié d’une quelconque exemption. Le journaliste Guy Hatchard a souligné que les exemptions avaient été jugées en fonction de « l'importance » des personnes. « Les hauts responsables et ceux occupant des postes chirurgicaux clés pourraient en fait insister pour qu’ils ne soient pas vaccinés et soient autorisés à continuer à travailler. Tandis que les infirmières non vaccinées, par exemple, n’ont pas pu obtenir de dispenses et ont perdu leur emploi.»
L'ampleur de l'hypocrisie Hatchard poursuit :
« Une source a déclaré que 95 consultants dans la seule région de Dunedin ont bénéficié de l'exemption vaccinale. Une autre source a évoqué un groupe de médecins travaillant dans le Northland qui se sont mis d’accord entre eux pour ne pas être vaccinés. Le nombre total semble se chiffrer en centaines, voire davantage.
Il semble que les exceptions accordées aient été limitées par des ordonnances de blocage. En d’autres termes, ils ne pouvaient dire à personne qu’ils bénéficiaient d’exemptions – il s’agissait d’un processus secret que le ministère de la Santé cherchait désespérément à cacher au public.
En Nouvelle-Zélande, tous les médecins qui ont mis en garde contre les risques liés au traitement par ARNm ont été sanctionnés, voire suspendus dans certains cas. Dans le même temps, le ministère de la Santé a distribué des dispenses de vaccination aux médecins et aux « experts ». Hatchard résume : En raison du régime gouvernemental, les médecins conseillaient toujours à leurs patients de se faire injecter de l’ARNm, même s’ils n’avaient pas eux-mêmes été vaccinés, « une recette pour une hypocrisie généralisée ».
Mais cela montre aussi un manque de courage :
« Si les cadres supérieurs qui souhaitaient ne pas être vaccinés s’étaient exprimés publiquement, la question de la sécurité des vaccins Covid aurait pu être soulevée publiquement. Au lieu de cela, le ministère de la Santé et le gouvernement ont gardé toute discussion secrète.»
L’interdiction du traitement de la pneumonie avec des antibiotiques en 2020 a provoqué des maladies et des décès
6 octobre 2023 par le Dr. Peter F. Mayer
L’un des chapitres les plus sombres de la pandémie de Corona décrété par l’OMS est l’interdiction du traitement de la pneumonie bactérienne avec des antibiotiques. Jusqu’alors, c’était la norme médicale en cas de grippe ou d’infections pseudo-grippales lorsque les symptômes s’aggravaient. Mais au début de l’été 2020, ce traitement a été interdit et rien n’a été fait jusqu’à ce qu’une ventilation invasive, généralement mortelle, devienne nécessaire.
En fait, selon le registre des décès de l'UE EuroMOMO, la mortalité globale en Europe a fortement augmenté au début de l'été 2020, juste au moment où l'OMS - et donc aussi les autorités sanitaires telles que l'Agence européenne des médicaments EMA et les directives nationales de traitement - recommandaient une ventilation précoce et dans le même temps, des antibiotiques tels que l'azithromycine sont classés comme critiques et potentiellement nocifs pour le cœur dans le traitement corona. Un rapport détaillé à ce sujet, y compris les sources, peut être trouvé dans cet article du TKP du 26 juillet 2023 .
Dans un article de Substack, trois professeurs et scientifiques britanniques Norman Fenton, Jonathan Engler et Martin Neil examinent comment l’utilisation des antibiotiques a changé pendant la « pandémie » de Covid-19. Et qu’est-il arrivé aux fournitures d’antibiotiques qui, selon Fauci, seraient nécessaires en cas de pandémie ?
Ils rappellent que les antibiotiques sont essentiels en cas de pandémie. Ce point de vue est étayé, entre autres, par le fait qu'Anthony Fauci concluait dans son article de 2008 dans le Journal of Infectious Diseases (dans lequel il rendait compte des autopsies de victimes bien conservées de la grippe espagnole) que :
« La prévention, le diagnostic, la prophylaxie et le traitement de la pneumonie bactérienne secondaire, ainsi que la constitution de stocks d'antibiotiques et de vaccins bactériens, devraient également être une priorité élevée dans la planification d'une pandémie. »
Ils explorent ensuite la question de savoir ce qui est arrivé à ces actions pendant la « pandémie » de Covid – ou n’ont-elles pas été créées du tout ?
Politique britannique sur le traitement du Covid-19 Les preuves les plus accablantes se trouvent dans cette NICE Rapid Guideline (NG163) (publiée le 3 avril 2020), qui a depuis été supprimée. Cependant, il peut être trouvé via la Wayback Machine ici . NG163 est une voie palliative dans laquelle l’utilisation d’antibiotiques n’était pas recommandée. Cependant, il a recommandé l'utilisation du midazolam pour le traitement des patients âgés de 18 ans et plus souffrant de « troubles anxieux », même si le midazolam n'a pas été approuvé à cette fin au Royaume-Uni :
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Le BMJ a publié la directive NICE NG163 le 20 avril 2020 . En réponse, une réponse rapide a été envoyée par d'éminents experts en soins palliatifs, avertissant des dangers d'administrer aux patients qui toussent des traitements plus adaptés aux soins de fin de vie.
Outre la NG163, il existe également la directive NICE NG165, publiée au même moment, sur la prise en charge des pneumonies suspectées ou confirmées, qui interdit expressément l'utilisation d'antibiotiques dans les cas de Covid-19 :
- voir cadre sur site -
Les auteurs discutent ensuite des États-Unis et de l'Allemagne avec les mêmes données et résultats que dans l'article mentionné du TKP .
En Angleterre comme en Allemagne, on constate une forte baisse des prescriptions d’antibiotiques.
Un article a également été publié dans le BMJ en août 2021 , fournissant une analyse des tendances en matière de prescription dans les soins primaires en Angleterre au printemps 2020. Il conclut qu’il y a eu une augmentation spectaculaire du nombre de médicaments en fin de vie tels que le midazolam. Il affirme qu’il n’y a pas eu de changements spectaculaires dans la prescription d’antibiotiques en 2020, mais le graphique ci-dessous montre la baisse de la prescription d’hyclate de doxycycline par rapport aux attentes (ligne bleue) :
Pour rappel, voici le graphique sur l'utilisation des antibiotiques publié par l'Ärzteblatt allemand à partir de l'article précédent du TKP.
- voir graph sur site -
Les médecins défient les autorités sanitaires
Les médecins qui se sont opposés aux autorités sanitaires pour traiter leurs patients avec des antibiotiques ont rapporté des résultats surprenants.
Des médecins de Tolède , en Espagne, ont administré empiriquement des antibiotiques à des patients atteints du Covid-19 au printemps 2020, contrairement aux instructions officielles. Après avoir commencé le traitement de routine, il n’y a eu aucune hospitalisation ni aucun décès dans leurs maisons de retraite. La mortalité qui en a résulté était d’environ 7 % au printemps 2020, contre 28 % dans d’autres maisons de retraite comparables (et ces 7 % sont décédés avant le début des antibiotiques de routine).
Toujours en Roumanie, les médias ont rapporté qu'un médecin, Flavia Groșan, avait décrit le Covid-19 comme une « pneumonie atypique » et déclaré que des erreurs majeures avaient été commises en matière d'oxygénothérapie et d'intubation excessives :
« Trop d’oxygène pendant de trop longues périodes, dit Groșan, peut entraîner un œdème cérébral, qui à son tour peut entraîner la mort. »
Elle a donné à ses patients « suffisamment » d’oxygène pour leurs besoins, des antibiotiques et d’autres médicaments bon marché. À propos du choix des antibiotiques, elle a déclaré :
« Il n'existe que trois antibiotiques de la classe des macrolides : l'érythromycine, que tout le monde connaît, l'azithromycine et la clarithromycine. Je n'aime pas l'azithromycine car c'est une copie plus faible de la clarithromycine. J'ai participé à des essais cliniques très intéressants sur la pneumonie et j'ai découvert le tropisme viral de la clarithromycine ainsi que le rôle anti-inflammatoire de la clarithromycine, qu'aucun autre antibiotique ne possède. Je travaille avec cet antibiotique pour la pneumonie virale et atypique depuis 10 ans. Lorsque la pandémie a éclaté, j’ai choisi un traitement étiologique, la clarithromycine. Bien entendu, en plus de cet antibiotique, il existe plusieurs traitements de soutien car il ne suffit pas à lui seul. C'est un schéma thérapeutique qui m'appartient.
Elle rapporte qu'environ 1 000 patients ont obtenu un rétablissement à 100 % grâce à cette approche.
À l'hôpital St. Paul de Vancouver, au Canada, Russell et Walley ont appris que le Covid-19 n'est pas mortel en soi, mais que c'est la septicémie qui provoque la défaillance d'un organe qui entraîne la mort. Dans cet article, ils écrivent :
« La pandémie que nous avons tous connue est en réalité une pandémie de sepsis due à une pneumonie liée au COVID. Quiconque meurt du COVID meurt en fait d’une septicémie et d’une pneumonie. Tout le monde."
La septicémie est la principale cause de décès dans le monde. Ils continuent de souligner l’importance des antibiotiques et d’autres mesures pour traiter le Covid-19 :
« Il s’agit d’un syndrome complexe qui peut nécessiter des antibiotiques, de l’oxygène, des médicaments pour stabiliser la tension artérielle et une dialyse pour soutenir l’insuffisance rénale. De plus, il n’existe aucun test de diagnostic pour détecter la septicémie, ce qui rend le diagnostic difficile.
L'utilisation de masques peut avoir augmenté les dégâts
On ne peut exclure que l’utilisation généralisée de masques, combinée à une politique volontairement restrictive en matière d’antibiotiques, ait eu des effets synergiques.
On sait depuis longtemps que la pneumonie bactérienne est souvent provoquée par des bactéries dites « commensales », c’est-à-dire celles qui colonisent normalement le nez et la bouche.
Il n'est donc pas surprenant que des colonies de ces bactéries (ainsi que des champignons) aient été trouvées sur presque tous les masques utilisés par les volontaires de cette étude japonaise publiée dans Nature .
Le système immunitaire moins efficace des personnes âgées est un autre facteur qui, en synergie avec les facteurs ci-dessus, pourrait avoir augmenté le risque de pneumonie bactérienne en raison des mesures imposées.
L’été de mourir subitement pendant son sommeil (entièrement vacciné contre l’ARNm du COVID-19). Ces décès s’accélèrent-ils réellement ?
50 cas estivaux de décès par SADS pendant le sommeil
Par le Dr William Makis Recherche mondiale, 6 octobre 2023
3 octobre 2023 – Columbus, OH – Brian Baseler, 31 ans, directeur des relations OneAmerica, est décédé subitement dans son sommeil. Il a reçu son rappel COVID-19 le 30 janvier 2022.
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26 septembre 2023 – New Jersey – Le rappeur et acteur de 46 ans Nashawn Breedlove, qui a joué dans le film d'Eminem « 8 Mile », est décédé subitement dans son sommeil.
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16 septembre 2023 – Hermosa Beach, Californie – Matthew Hobbie, 48 ans, ancienne star des deux sports des marins de Sarasota et joueur de baseball, est décédé subitement dans son sommeil.
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15 septembre 2023 – Californie – Le chanteur JC Gafford est décédé subitement dans son sommeil.
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14 septembre 2023 – Espagne – Bob Campenaerts d'Anvers, en Belgique, est décédé dans son sommeil lors de vacances à vélo en Espagne.
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11 septembre 2023 – NY – Christopher Mellblom est décédé subitement dans son sommeil le 11 septembre 2023 des suites d’un « problème cardiaque ».
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5 septembre 2023 – Melbourne, Australie – Melody Southon, 17 ans, une adolescente de Seabrook, est décédée dans son sommeil le 5 septembre 2023.
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3 septembre 2023 – Nashville, Tennessee – Heather Nichole Fink, 32 ans, est décédée subitement dans son sommeil le 3 septembre 2023. « J’ai reçu mon deuxième vaccin contre le COVID-19 hier… mon Dieu, mon corps ne va pas bien mdr.
2 septembre 2023 – Pahoa, HI – Melissa Torrente, jeune mère de 2 enfants, enseignante et assistante sociale, est décédée subitement dans son sommeil le 2 septembre 2023.
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4 septembre 2023 – Italie – Le docteur italien Piero Realdon, 64 ans, est décédé subitement dans son sommeil le 1er septembre 2023.
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3 septembre 2023 – Australie – Eileen Ella Saunders est décédée dans son sommeil.
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Septembre 2023 – Dearborn, MI – Muhannad Majeed, chauffeur de camion de 41 ans, est décédé subitement dans son sommeil alors qu'il était sur son itinéraire de camionnage à Laredo, Texas.
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28 août 2023 – Italie – Michele Brigidi, 37 ans, est décédé subitement dans son sommeil le 28 août 2023. Il a été retrouvé mort dans son lit par ses parents.
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20 août 2023 – Royaume-Uni – Aaron Swift, 31 ans, est décédé dans son sommeil le 20 août 2023 « il est mort dans son sommeil sans aucun problème de santé ni avertissement préalable ».
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20 août 2023 – Adélaïde, Australie – William Pfeiffer, 14 ans, est décédé subitement dans son sommeil le dimanche 20 août 2023. Il n'avait aucun antécédent médical connu.
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19 août 2023 – Australie – Lindy Joy Turner, 39 ans, de Geelong, en Australie, est décédée dans son sommeil à Bali, en Indonésie, après avoir lutté contre un rhume et des difficultés respiratoires.
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19 août 2023 – Californie – Eileen McLoone est décédée subitement dans son sommeil le 19 août 2023.
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18 août 2023 – Warrington, Royaume-Uni – Anne-Marie Barber, 39 ans, est décédée dans son sommeil le 18 août 2023 après s'être plainte de douleurs abdominales ou de douleurs menstruelles.
18 août 2023 – Royaume-Uni – Cameron Amor, 28 ans, est décédé dans son sommeil le 18 août 2023. L'autopsie a conclu : « Syndrome de mort subite de l'adulte ».
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16 août 2023 – New York – Riccardo Zebro, 34 ans, un chef italien qui cuisinait pour Robert De Niro, est décédé subitement dans son sommeil le 16 août 2023.
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16 août 2023 – Belluno, Italie – Valentina Cervasio di Meano, 50 ans, professeur d'espagnol et passionnée de randonnée en montagne, est décédée subitement dans son sommeil le 16 août 2023. Des membres de sa famille l'ont trouvée morte dans son lit.
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16 août 2023 – Italie – La photographe Anna Bruscaglin, 44 ans, s'est effondrée alors qu'elle assistait à une fête sur la plage à Squillace, en Italie, avec un groupe d'amis. Elle a été retrouvée morte dans la nuit du 16 août 2023.
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14 août 2023 – Rockville, MD – Susan Loftus est décédée subitement dans son sommeil alors qu'elle était en vacances à Higgins Beach dans le Maine, en faisant du bodyboard.
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13 août 2023 – Burlington, Vermont – Le chef Ahmed Omar, 36 ans, est décédé dans son sommeil le 13 août 2023.
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10 août 2023 – New Iberia, LA – Euclide Babin Jr, 36 ans, est décédé dans son sommeil le 10 août 2023. Il avait perdu plusieurs membres de sa famille, dont sa mère le 25 juillet 2022 et son oncle le 28 juillet. 2023.
9 août 2023 – Dartmouth, Nouvelle-Écosse – Brian Scott Sutherland, 55 ans, est décédé subitement le 9 août 2023 à son domicile. Son partenaire, 59 ans, Robert Bobby Barkhouse, est décédé subitement dans son sommeil le 22 mars 2022.
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7 août 2023 – 21 août 2023 – Menifee, Californie – Krystle Ochoa, 41 ans, est décédée subitement dans son sommeil le 7 août 2023.
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6 août 2023 – Ronkonkoma, NY – Brian Flaherty, un joueur de la ligue de softball locale, est décédé subitement dans son sommeil des suites d'un arrêt cardiaque le dimanche matin 6 août 2023.
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5 août 2023 – Christchurch, Nouvelle-Zélande – Kaitlyn Baker, 17 ans, est décédée subitement dans son sommeil le 5 août 2023, « sans problème de santé sous-jacent ».
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5 août 2023 – Irlande – Gemma McKenna, enseignante du primaire, âgée de 20 ans, est décédée subitement à son domicile le samedi 5 août 2023.
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3 août 2023 – Manchester, Royaume-Uni – Becky Collins, 35 ans, est décédée subitement dans son sommeil le 3 août 2023. Elle a été retrouvée morte par son fils de 12 ans et sa nièce qui étaient en vacances pour une soirée pyjama.
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2 août 2023 – Tucson, Arizona – Jessica Ann Lerma Dodd, 60 ans, responsable des relations communautaires, est décédée subitement dans son sommeil le 2 août 2023. Elle est décédée avec la photo « J'ai reçu mon vaccin contre le COVID-19 » dans son profil Facebook.
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31 juillet 2023 – Los Angeles – Michelle Anne Dash, 59 ans, est décédée dans son sommeil le 31 juillet 2023. Elle travaillait dans un magasin de médecine alternative/suppléments. «J'ai une saine méfiance à l'égard de l'autorité – et je suis vacciné.»
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29 juillet 2023 – Middlesbrough, Royaume-Uni – Tony Harrison, 41 ans, a servi dans les Coldstream Guards de 1997 à 2004 et a même pris son petit-déjeuner avec la reine. Il s'est endormi dans la maison de sa sœur le 29 juillet 2023 et est mort dans son sommeil.
28 juillet 2023 – Calgary, Alberta – Jennifer Allen, 36 ans, championne canadienne de la maternité de substitution, est décédée subitement dans son sommeil le 28 juillet 2023.
Lignes directrices de l'OMS d'avril 2020 : traitements à haut risque aux bénéfices douteux
7 octobre 2023 par le Dr. Hans-Joachim Kremer
Quelle était la signification de la recommandation de l’OMS contre les antibiotiques au printemps 2020 ? Un article sur ce sujet est paru ici hier . Les scientifiques britanniques Fenton, Engler et Neil ont examiné au début de l’été 2020 le changement des directives dans plusieurs pays pour le traitement de la pneumonie. Ils n'étaient plus autorisés à être traités comme avant jusqu'à ce qu'une ventilation artificielle devienne nécessaire ou que le système immunitaire du patient soit capable de s'affirmer sans l'aide d'antibiotiques.
Je pense que l'article nécessite une classification plus approfondie. Il disait : « Le BMJ a publié la directive NICE NG163 le 20 avril 2020. » C’est formellement correct, mais seulement formellement. Il est possible, je pense même probablement, que le BMJ dissimulait quelque chose ici. En fait, un court article d'Ingrid Torjesen a été publié le 6 avril 2020 , qui présentait quatre nouvelles lignes directrices du NICE sur le C19 ; toutes les lignes directrices étaient datées du 3 avril 2020.
À mon avis, le fait le plus important de ces lignes directrices était la recommandation explicite d’une euthanasie utilisant du midazolam plus de la morphine en cas de triage. Les situations de triage fréquentes ont été alimentées par l’accent excessif mis sur la saturation en oxygène, la recommandation contre l’utilisation précoce d’antibiotiques en cas de pneumonie même légère (comme le recommande l’OMS en janvier 2020), la ventilation beaucoup trop précoce, et surtout la ventilation « artificielle ». , ce qui a amené encore plus de patients dans les unités de soins intensifs. Tous ces éléments ont joué ensemble dans le même sens : des traitements risqués aux bénéfices discutables. De toute évidence, « un » avait besoin de morts.
La question de la date est essentielle. La valeur maximale de surmortalité (Z-Score dans EuroMomo) a été atteinte en Angleterre au cours de la semaine civile (semaine) 15, qui était la semaine du 6 au 13 avril 2020. L'augmentation a commencé au cours de la semaine 12 (du 16 au 22 mars). , encore légèrement) et est devenu clairement significatif au cours de la semaine 13 (du 23 au 29 mars), c'est-à-dire que le score Z était bien supérieur au score allemand le plus élevé de la « première vague » et dépassait même la valeur maximale allemande de 2020 (au cours de la semaine 53). ). Les mesures meurtrières doivent donc avoir pris effet en Angleterre d'ici la mi-mars.
Est-il crédible que le NICE ait publié quatre lignes directrices le 3 avril 2020 - compte tenu de l'hystérie de l'époque, y compris des confinements - sans communiqué ni conférence de presse ? Est-il crédible que les médias médicaux les plus importants du pays, à savoir le BMJ, aient mis un délai confortable de 17 jours pour publier cela ? Comment le NICE a-t-il pu produire quatre lignes directrices en peu de temps ? Y avait-il des connaissances préalables ?
Est-il concevable que le NICE ait élaboré de telles lignes directrices de sa propre initiative, c'est-à-dire sans la participation de leaders d'opinion bien connus ? Peu probable. Il est alors évident que des recommandations essentielles ont été diffusées dans les milieux spécialisés, à savoir les services de réanimation et les services de pneumologie, avant leur publication proprement dite. Cela explique probablement la forte augmentation de la mortalité à partir de la mi-mars 2020.
Le 18 mars 2020 (soit la semaine 12), l' autorité britannique MHRA s'est sentie obligée d'émettre un avertissement sur les risques mortels liés à la co-administration de benzodiazépines (par exemple le midazolam) et d'opioïdes (par exemple la morphine). Pourquoi si tôt alors que les lignes directrices du NICE n’étaient censées être publiées que le 3 avril ? Qui a réellement remarqué cet avertissement ?
En mars 2020, Matt Hancock, alors ministre britannique de la Santé, a ordonné l'achat d'un approvisionnement de 2 ans en midazolam auprès de la France . Comment cela pourrait-il se produire en mars si ce n’était pas une connaissance ou une intention préalable ?
En général, il était probablement clair pour la plupart des médecins que les opiacés tels que la morphine n'étaient pas un médicament particulièrement utile pour les patients souffrant d'essoufflement. Avec la benzodiazépine, cette combinaison devait être fatale. Cela n’était peut-être pas clair pour tout le monde, mais c’était clair pour la plupart des médecins.
« Administration » massive d’armes biologiques à ARNm aéroportées pour le prolétariat : une atrocité !
Par Gary D. Barnett Recherche mondiale, 6 octobre 2023
« Le gouvernement américain n’a jamais hésité à utiliser ses propres citoyens comme sujets de test involontaires pour ses expériences sur les armes biologiques. Bien qu'il existe de nombreux cas bien connus, cela s'est produit des centaines de fois dans l'histoire des États-Unis, démontrant le mépris total que les dirigeants ont eu et ont encore envers la population de ce pays.» – ( Gary D. Barnett, chapitre 12, p. 260 , « Quand la Chine éternue » Cynthia McKinney (éditrice)
* * *
Il est important de jeter les bases de l’histoire d’empoisonnement, d’expérimentation massive, de rendu malade et de meurtre de sa propre population par les États-Unis, dans le but de tester leurs armes biologiques en vue d’une utilisation militaire odieuse de guerre biologique. Il n'y a qu'un pas entre cette pratique odieuse et l'utilisation de cette même population comme cobaye, dans un complot de « vaccination » de masse, complètement secret et sans consentement.
La capacité de faire cela a été vérifiée, admise et décrite par la Yale School of Engineering and Applied Science tout récemment. Cela a été rapporté par certains sites alternatifs, mais de nombreux négationnistes traditionnels affirment déjà qu'aucun programme de « vaccination » secret ne serait tenté. L’histoire raconte une autre histoire.
Pour n’en citer que quelques-uns, et à partir de 1932 :
Étude de Tuskegee sur la syphilis ; où 600 hommes noirs ont été utilisés comme fourrage pour une horrible expérience sur la syphilis, et n'ont délibérément reçu aucun traitement, provoquant de nombreuses morts horribles.
Opération Embruns Marins ; un scénario d'attaque biologique à San Francisco en 1950 par la marine américaine, pulvérisant secrètement des bactéries provoquant la pneumonie sur la ville afin de surveiller les niveaux d'infection chez les résidents. En fait, l’armée américaine a mené 239 tests de guerre bactériologique dans des zones peuplées d’Amérique.
Opération Big Buzz ; était un lâcher par l'armée américaine de moustiques infectés par la fièvre jaune (supposément non infectés) en 1955 au-dessus de Savannah, en Géorgie, juste pour surveiller les effets sur les personnes sans méfiance. Il y a eu au moins neuf autres opérations de ce type tout au long des années 1950 et au-delà, dont l'opération Big Itch, l'opération Magic Sword, l'opération Drop Kick, l'opération May Day, également à Savannah, l'opération Dew, l'opération Polka Dot, l'opération Dark Winter, l'opération Whitecoat. et Opération LAC.
Projet 112 ; en 1962, les tests d'armes biologiques ont commencé à augmenter considérablement, avec l'autorisation de Robert McNamara , alors secrétaire à la Défense des États-Unis. Cela a été réalisé dans le métro de New York et a exposé des dizaines de milliers d’Américains à des bactéries mortelles.
En 1965, des prisonniers de Philadelphie ont été utilisés comme cobayes et soumis à la dioxine, l’horrible toxine chimique cancérigène utilisée dans l’Agent Orange. Cela a été fait pour vérifier l'infection cancéreuse qui en résultait parmi ces prisonniers captifs. En fait, la prison de Holmesburg en Pennsylvanie, surnommée le « Terrordome », a fait des expériences sur des prisonniers pendant des décennies jusqu'à sa fermeture en 1995. L'horreur est un exemple.
N’oubliez pas que ce ne sont là que quelques exemples d’expérimentations cachées et de terreur contre des citoyens américains sans méfiance par le gouvernement américain, l’armée et les sociétés pharmaceutiques. Il existe littéralement des centaines d’exemples de ce type de mal commis sur une période d’un siècle, et cela se produit encore d’une manière ou d’une autre aujourd’hui.
Cela ne tient pas compte de l’horreur qui s’est produite lors de la fausse alerte à la « pandémie de Covid » ; un événement sous fausse bannière visant à injecter au plus grand nombre possible des poisons toxiques expérimentaux, cancérigènes, destructeurs de santé et extrêmement mortels, appelés « vaccin covid ». Des millions de personnes ont été menacées, ont perdu leur emploi, ont menti sur leur réussite et leur sécurité et ont été exposées à de nombreuses maladies potentiellement mortelles et aux effets néfastes de ces injections d’armes biologiques empoisonnées.
Aujourd'hui, les « chercheurs » de Yale ont déclaré qu'ils disposaient d'un nouveau système d'administration de nanoparticules à base d'ARN messager aéroporté (ARNm), inhalable et ciblé sur les poumons, pour la « vaccination » aérienne ou muqueuse. Il est destiné à une « vaccination » à grande échelle et pourrait ( serait, à mon avis) utilisé pour une distribution à grande échelle et secrète de ce poison aux masses à leur insu ou sans leur consentement ; bien sûr, à moins que cela ne se produise déjà en raison de la pulvérisation chimique constante du ciel du monde entier avec une distribution de nanoparticules très nocives. Selon l' étude de Yale :
« Une plateforme inhalable pour les traitements à base d’ARN messager (ARNm) permettrait une administration mini-invasive et ciblée sur les poumons pour une multitude de maladies pulmonaires. Le développement de thérapies à base d'ARNm ciblant les poumons a été limité par la faible efficacité de la transfection et le risque de pathologie induite par le véhicule.
Nous rapportons ici un véhicule inhalable à base de polymère pour l’administration d’ARNm thérapeutiques dans les poumons. Nous avons optimisé les polyplexes [nanoparticules] biodégradables de poly(amine-co-ester) (PACE) pour la délivrance d'ARNm en utilisant des modifications de groupe terminal et du polyéthylène glycol. Ces polyplexes ont permis d'obtenir une transfection élevée d'ARNm dans tout le poumon, en particulier dans les cellules épithéliales et présentatrices d'antigènes.
Nous avons appliqué cette technologie pour développer un vaccin muqueux contre le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère et avons découvert que la vaccination intranasale avec des polyplexes d'ARNm codant pour la protéine de pointe induisait une puissante immunité adaptative cellulaire et humorale et protégeait les souris sensibles d'une provocation virale mortelle. Ensemble, ces résultats démontrent le potentiel traductionnel des polyplexes PACE pour l’administration thérapeutique de l’ARNm aux poumons.
En termes qu'une personne normale peut comprendre, cela signifie qu'une soupe biologique toxique remplie de nanoparticules mortelles altérant l'ARN/ADN, peut être administrée aux poumons de chacun à son insu, afin d'y insérer des « protéines de pointe » codées pour guérir ce qui est faussement. appelé un « virus ». Ce soi-disant « coronavirus » (« covid ») n'a jamais été séparé, isolé ou identifié, et il n'a jamais été démontré qu'il existe, et il n'a jamais été prouvé qu'il provoque une quelconque maladie, mais ne vous inquiétez pas, « votre Le gouvernement prendra bien soin de vous, que cela vous plaise ou non.
Voici ce qu'un de mes amis et correspondant proche , le Dr Igor Shepherd , a dû dire à ce sujet dans une lettre qu'il m'a récemment adressée :
«C'est ainsi que la Russie testait des virus biologiques sur la population dans les années 80 (principalement dans les métros). Cela a créé d’énormes épidémies de grippe dans les villes. Ces crétins font tout ce qu’il faut pour vacciner massivement la population.
« Cette encapsulation du matériau livré est très stable une fois dispersée dans l’environnement et peut durer des mois dans l’air. C’est pourquoi cela a été fait dans le métro de Leningrad : pour une dispersion rapide. La même technologie a été utilisée par le KGB à des fins d’assassinat. À grande échelle, d’énormes épidémies peuvent être créées si rapidement sans que personne ne s’en rende compte… et c’est peut-être ce qui créera leur prochaine pandémie.
Et puis ils utiliseront exactement cette même technologie pour « vacciner » la population contre cette pandémie créée. Cette fois, ce sera une véritable pandémie, et de nombreuses personnes mourront… de toute façon… c’est leur objectif… réduire l’humanité et introduire la nouvelle « génération » de transhumains.
Il faut reconnaître que ces efforts néfastes de l'État, de ses contrôleurs, de l'industrie pharmaceutique maléfique, des grands médias, des politiciens, des soi-disant « groupes de réflexion », de toutes les bureaucraties gouvernementales, de l'armée, des organismes chargés de l'application de la loi, des les banques centrales et les ONG n’ont qu’un seul agenda. Il s’agit d’un contrôle total sur toutes les populations, dans le but de réduire considérablement la population de surface par la manipulation eugénique, le démocide, le génocide et le viol psychologique des esprits du troupeau naïf.
Comme l'a mentionné le Dr Shepherd, ce complot visant à « vacciner » tout le monde en masse pourrait provoquer ce que l'on appellera la prochaine « pandémie », mais cette fois-ci, contrairement au faux complot « Covid », une mort massive se produira à cause d'un poison. attaque par aérosol d’armes biologiques, propageant une panique et une peur extrêmes. Ce qui sera souhaité et attendu par l’État, ce sera un collectif criant au gouvernement de venir au secours de cette population ignorante et malheureuse. C’est exactement ce qui est recherché, alors méfiez-vous du mal délibéré qui vise à provoquer un peuple sans défense qui réclame un maître pour le sauver.
Vous êtes tous votre propre maître. Faites très attention, car le complot visant à créer une force dirigeante mondiale unique est proche, et cela ne peut qu’entraîner l’asservissement aux mains de monstres technocratiques.
« La vaccination est une pratique barbare et l’une des plus mortelles de toutes les illusions actuelles. Les objecteurs de conscience à la vaccination devraient défendre seuls, s’il le faut, contre le monde entier, leur conviction.» ~ Mahatma Gandhi
(...) En termes qu'une personne normale peut comprendre, cela signifie qu'une soupe biologique toxique remplie de nanoparticules mortelles altérant l'ARN/ADN, peut être administrée aux poumons de chacun à son insu, afin d'y insérer des « protéines de pointe » codées pour guérir ce qui est faussement. appelé un « virus ». Ce soi-disant « coronavirus » (« covid ») n'a jamais été séparé, isolé ou identifié, et il n'a jamais été démontré qu'il existe, et il n'a jamais été prouvé qu'il provoque une quelconque maladie, mais ne vous inquiétez pas, « votre Le gouvernement prendra bien soin de vous, que cela vous plaise ou non. (...)
Effectivement cette nano-poussière (appelée 'virus') n'est PAS DANS L'AIR ! Il y a des milliers de laboratoires dans le monde qui examinent chaque jour la 'qualité de l'air' et n'ont JAMAIS trouvé de 'cocorona' ou de 'cocovide19' ou de cocoDelta-Omicron ou 'Tango-Charlie-Yankee-Zoulou' ! Çà alors !!!
Et, malgré que PERSONNE ne l'ait vu... ils ont fait un 'vaccin' !! (enfin, disons plutôt une expérimentation génique d'essais car pour faire un vaccin faut entre 10 et 15 ans !!). Et donc, çà y est vous venez de comprendre !! Si la mort n'est pas dans l'air elle est... elle est DANS LA SERINGUE ! YOUPIE !!
Lignes directrices de l'OMS d'avril 2020 : traitements à haut risque aux bénéfices douteux
7 octobre 2023 par le Dr. Hans-Joachim Kremer
Quelle était la signification de la recommandation de l’OMS contre les antibiotiques au printemps 2020 ? Un article sur ce sujet est paru ici hier . Les scientifiques britanniques Fenton, Engler et Neil ont examiné au début de l’été 2020 le changement des directives dans plusieurs pays pour le traitement de la pneumonie. Ils n'étaient plus autorisés à être traités comme avant jusqu'à ce qu'une ventilation artificielle devienne nécessaire ou que le système immunitaire du patient soit capable de s'affirmer sans l'aide d'antibiotiques.
Je pense que l'article nécessite une classification plus approfondie. Il disait : « Le BMJ a publié la directive NICE NG163 le 20 avril 2020. » C’est formellement correct, mais seulement formellement. Il est possible, je pense même probablement, que le BMJ dissimulait quelque chose ici. En fait, un court article d'Ingrid Torjesen a été publié le 6 avril 2020 , qui présentait quatre nouvelles lignes directrices du NICE sur le C19 ; toutes les lignes directrices étaient datées du 3 avril 2020.
À mon avis, le fait le plus important de ces lignes directrices était la recommandation explicite d’une euthanasie utilisant du midazolam plus de la morphine en cas de triage. Les situations de triage fréquentes ont été alimentées par l’accent excessif mis sur la saturation en oxygène, la recommandation contre l’utilisation précoce d’antibiotiques en cas de pneumonie même légère (comme le recommande l’OMS en janvier 2020), la ventilation beaucoup trop précoce, et surtout la ventilation « artificielle ». , ce qui a amené encore plus de patients dans les unités de soins intensifs. Tous ces éléments ont joué ensemble dans le même sens : des traitements risqués aux bénéfices discutables. De toute évidence, « un » avait besoin de morts.
La question de la date est essentielle. La valeur maximale de surmortalité (Z-Score dans EuroMomo) a été atteinte en Angleterre au cours de la semaine civile (semaine) 15, qui était la semaine du 6 au 13 avril 2020. L'augmentation a commencé au cours de la semaine 12 (du 16 au 22 mars). , encore légèrement) et est devenu clairement significatif au cours de la semaine 13 (du 23 au 29 mars), c'est-à-dire que le score Z était bien supérieur au score allemand le plus élevé de la « première vague » et dépassait même la valeur maximale allemande de 2020 (au cours de la semaine 53). ). Les mesures meurtrières doivent donc avoir pris effet en Angleterre d'ici la mi-mars.
Est-il crédible que le NICE ait publié quatre lignes directrices le 3 avril 2020 - compte tenu de l'hystérie de l'époque, y compris des confinements - sans communiqué ni conférence de presse ? Est-il crédible que les médias médicaux les plus importants du pays, à savoir le BMJ, aient mis un délai confortable de 17 jours pour publier cela ? Comment le NICE a-t-il pu produire quatre lignes directrices en peu de temps ? Y avait-il des connaissances préalables ?
Est-il concevable que le NICE ait élaboré de telles lignes directrices de sa propre initiative, c'est-à-dire sans la participation de leaders d'opinion bien connus ? Peu probable. Il est alors évident que des recommandations essentielles ont été diffusées dans les milieux spécialisés, à savoir les services de réanimation et les services de pneumologie, avant leur publication proprement dite. Cela explique probablement la forte augmentation de la mortalité à partir de la mi-mars 2020.
Le 18 mars 2020 (soit la semaine 12), l' autorité britannique MHRA s'est sentie obligée d'émettre un avertissement sur les risques mortels liés à la co-administration de benzodiazépines (par exemple le midazolam) et d'opioïdes (par exemple la morphine). Pourquoi si tôt alors que les lignes directrices du NICE n’étaient censées être publiées que le 3 avril ? Qui a réellement remarqué cet avertissement ?
En mars 2020, Matt Hancock, alors ministre britannique de la Santé, a ordonné l'achat d'un approvisionnement de 2 ans en midazolam auprès de la France . Comment cela pourrait-il se produire en mars si ce n’était pas une connaissance ou une intention préalable ?
En général, il était probablement clair pour la plupart des médecins que les opiacés tels que la morphine n'étaient pas un médicament particulièrement utile pour les patients souffrant d'essoufflement. Avec la benzodiazépine, cette combinaison devait être fatale. Cela n’était peut-être pas clair pour tout le monde, mais c’était clair pour la plupart des médecins.
Les scientifiques espèrent que les embryons de chimères représenteront des étapes clés vers des organes cultivés en laboratoire qui sauveront des vies.
Par Erin Blakemore Recherche mondiale, 6 octobre 2023
Dans un exploit remarquable, quoique probablement controversé, les scientifiques ont annoncé qu'ils avaient créé les premiers hybrides humains-animaux réussis. Le projet prouve que des cellules humaines peuvent être introduites dans un organisme non humain, survivre et même se développer à l’intérieur d’un animal hôte, en l’occurrence le porc.
Cette avancée biomédicale a longtemps été un rêve et un dilemme pour les scientifiques espérant remédier à une pénurie critique de donneurs d’organes.
Et si, plutôt que de compter sur un généreux donateur, vous pouviez cultiver un organe personnalisé à l’intérieur d’un animal ?
C'est désormais un pas de plus vers la réalité, rapporte une équipe internationale de chercheurs dirigée par l'Institut Salk dans la revue Cell . L’équipe a créé ce que l’on appelle scientifiquement une chimère : un organisme qui contient des cellules de deux espèces différentes.
Dans le passé, les chimères homme-animal étaient hors de portée. De telles expériences ne sont actuellement pas éligibles au financement public aux États-Unis (jusqu'à présent, l'équipe Salk s'est appuyée sur des donateurs privés pour le projet chimère). L’opinion publique a également entravé la création d’organismes à la fois humains et animaux.
Mais pour Jun Wu, auteur principal de l'étude du Salk Institute, il suffit de se tourner vers les chimères mythiques, comme les hybrides homme-oiseau que nous appelons anges, pour avoir une perspective différente.
« Dans les civilisations anciennes, les chimères étaient associées à Dieu », dit-il, et nos ancêtres pensaient que « la forme chimérique pouvait protéger les humains ». Dans un sens, c’est ce que l’équipe espère faire un jour avec les hybrides homme-animal.
Il existe deux manières de fabriquer une chimère. La première consiste à introduire les organes d'un animal dans un autre – une proposition risquée, car le système immunitaire de l'hôte peut provoquer le rejet de l'organe.
L'autre méthode consiste à commencer au niveau embryonnaire, en introduisant les cellules d'un animal dans l'embryon d'un autre et en les laissant grandir ensemble pour former un hybride.
Cela semble étrange, mais c’est une manière ingénieuse de résoudre un certain nombre de problèmes biologiques épineux liés aux organes cultivés en laboratoire.
Lorsque les scientifiques ont découvert les cellules souches, les cellules maîtresses capables de produire tout type de tissu corporel, elles semblaient contenir des promesses scientifiques infinies. Mais il est difficile de convaincre ces cellules de se développer pour former les bons types de tissus et d’organes.
Les cellules doivent survivre dans des boîtes de Pétri. Les scientifiques doivent utiliser des échafaudages pour s’assurer que les organes prennent la bonne forme. Et souvent, les patients doivent subir des procédures douloureuses et invasives pour prélever les tissus nécessaires au lancement du processus.
Au début, Juan Carlos Ispizua Belmonte , professeur au laboratoire d'expression génétique de l'Institut Salk, pensait que le concept d'utilisation d'un embryon hôte pour faire croître des organes semblait assez simple. Cependant, il a fallu quatre ans à Ispizua et à plus de 40 collaborateurs pour comprendre comment créer une chimère homme-animal.
Pour ce faire, l’équipe s’est appuyée sur des recherches antérieures sur les chimères menées sur des souris et des rats.
Cette chimère âgée d'un an est issue d'une souris à laquelle on a injecté des cellules souches de rat.
- voir photo sur site -
D'autres scientifiques avaient déjà découvert comment faire croître le tissu pancréatique d'un rat à l'intérieur d'une souris. Cette équipe a annoncé que des pancréas de souris cultivés chez des rats traitaient avec succès le diabète lorsque des parties d'organes sains étaient transplantées chez des souris malades.
Le groupe dirigé par Salk a poussé le concept encore plus loin, en utilisant l'outil d'édition du génome appelé CRISPR pour pirater les blastocystes de souris, les précurseurs des embryons. Là, ils ont supprimé les gènes dont les souris ont besoin pour développer certains organes. Lorsqu’ils ont introduit des cellules souches de rat capables de produire ces organes, ces cellules ont prospéré.
Les souris qui en ont résulté ont réussi à vivre jusqu’à l’âge adulte. Certains ont même développé des vésicules biliaires chimériques constituées de cellules de souris et de rat, même si les rats ne possèdent pas cet organe particulier.
Risque de rejet
L’équipe a ensuite prélevé des cellules souches de rats et les a injectées dans des blastocystes de porc. Cette version a échoué – sans surprise, puisque les rats et les porcs ont des temps de gestation et des ancêtres évolutifs radicalement différents.
Mais les porcs présentent une similitude notable avec les humains. Même si leur gestation prend moins de temps, leurs organes ressemblent beaucoup aux nôtres.
Non que ces similitudes facilitent la tâche. L’équipe a découvert que, pour introduire des cellules humaines dans les porcs sans les tuer, il fallait trouver le bon timing.
"Nous avons essayé trois types différents de cellules humaines, représentant essentiellement trois moments différents" du processus de développement, explique Jun Wu, scientifique à l'Institut Salk et premier auteur de l'article. Par essais et erreurs, ils ont appris que les cellules pluripotentes naïves – des cellules souches au potentiel illimité – ne survivaient pas aussi bien que celles qui s’étaient développées un peu plus.
Lorsque ces cellules humaines parfaitement adaptées ont été injectées dans des embryons de porc, ces derniers ont survécu. Ensuite, ils ont été placés dans des porcs adultes, qui ont porté les embryons pendant trois à quatre semaines avant d'être prélevés et analysés.
Au total, l’équipe a créé 186 embryons chimériques à un stade avancé qui ont survécu, explique Wu, et « nous estimons que [chacun avait] environ une cellule humaine sur 100 000 ».
Une image d’un blastocyste de porc recevant une injection de cellules humaines.
C'est un faible pourcentage et cela pourrait poser un problème pour la méthode à long terme, explique Ke Cheng , expert en cellules souches à l'Université de Caroline du Nord à Chapel Hill et à l'Université d'État de Caroline du Nord.
Le tissu humain semble ralentir la croissance de l'embryon, note Cheng, et les organes issus de tels embryons tels qu'ils se développent actuellement seraient probablement rejetés par les humains, car ils contiendraient une grande quantité de tissus de porc.
Selon Cheng, la prochaine grande étape consiste à déterminer s'il est possible d'augmenter le nombre de cellules humaines que les embryons peuvent tolérer. La méthode actuelle est un début, mais il n’est toujours pas clair si cet obstacle pourra être surmonté.
Belmonte est d'accord, notant qu'il faudra peut-être des années pour utiliser le processus permettant de créer des organes humains fonctionnels. Cette technique pourrait être utilisée beaucoup plus tôt pour étudier le développement de l’embryon humain et comprendre les maladies. Et ces informations en temps réel pourraient être tout aussi précieuses que la capacité de faire croître un organe.
Même à ce stade précoce, Cheng qualifie ce travail de percée : « Il y a d’autres étapes à franchir », concède-t-il. «Mais c'est intriguant. Très intrigant.
Vous en avez besoin pour survivre à une prise de contrôle de la FEMA (Quels sont les véritables pouvoirs de la FEMA en cas d'urgence ?)
par Klark Barnes 6 octobre 2023
Quels sont les véritables pouvoirs de la FEMA en cas d’urgence ? J'écris à ce sujet depuis longtemps et j'ai analysé des choses très importantes.
Pour que nous comprenions ce dont vous avez besoin pour survivre à une prise de contrôle de la FEMA, vous devez d’abord comprendre à quoi vous faites face au sein de la FEMA et à quel type de présence de la FEMA vous serez confronté.
La FEMA dispose d'un budget de fonctionnement important d'environ 20 milliards de dollars par an. Elle emploie également environ 20 000 personnes, mais ce nombre peut changer radicalement en fonction de l'ampleur et de l'ampleur d'une catastrophe.
Ils peuvent augmenter leur nombre rapidement et efficacement en faisant appel à du personnel d'intervention temporaire.
Ce que la FEMA ne peut pas faire
Commençons par les choses que la FEMA ne peut pas faire pour que vous sachiez à quoi vous vous préparez. Si nous sommes confrontés à quelque chose comme un effondrement du réseau électrique dans ce pays où personne n’a le pouvoir, alors vous pouvez complètement oublier la FEMA.
Même avec 20 milliards de dollars, ils n’ont pas la capacité de toucher toutes les villes, encore moins les villages ruraux d’Amérique. Vous serez seul et vous n’aurez pas à craindre que la FEMA ne se retire, car elle sera totalement mise à rude épreuve pour essayer de maintenir l’unité des plus grandes villes du pays.
La FEMA et la Garde nationale sont incapables d’apporter leur aide ou même de toucher une base avec 300 millions de personnes réparties dans tout le pays.
À la suite de l'ouragan Katrina, la FEMA a dépêché 30 000 soldats de la Garde nationale pour contribuer à toutes sortes d'efforts sur le terrain.
Vous en avez besoin pour survivre à une prise de contrôle de la FEMA La recherche et le sauvetage représentaient une entreprise colossale, mais le désarmement de la population était également en cours.
Le porte-parole de la police locale a déclaré en 2005 que 552 armes à feu confisquées étaient entreposées au poste de police local à la suite de l'ouragan Katrina.
J'espère que vous vivez déjà dans une région éloignée de la probabilité d'une évacuation majeure ou d'une catastrophe qui affecterait des millions de personnes. C’est le genre de désastre dans lequel la FEMA peut intervenir et intervenir avec pouvoir. Dans sa forme la plus oppressive, la FEMA se trouvera dans une zone ciblée avec beaucoup de monde.
Vous avez besoin d'INTEL pour survivre à un rachat par la FEMA S’il y a une chose qui peut vous aider par-dessus tout lorsque vous vous préparez à survivre à une prise de contrôle par la FEMA, ce sont les informations. Vous devez savoir ce qui se passe dans votre zone d’opération, avant et après une catastrophe.
Vous devez ouvrir ces canaux d’information maintenant et ne pas attendre la catastrophe, sinon ce plan ne fonctionnera pas.
Communauté
L’une des choses les plus tristes à propos de l’Amérique d’aujourd’hui est que vous ne savez pas qui vit dans votre quartier. La plupart des préparateurs parcourent leur région et assistent à des réunions pour trouver des personnes possédant des compétences spécifiques telles que des vétérans médicaux, LEO ou même militaires.
Il y a de fortes chances que vous ayez des gens comme ça dans votre communauté. J'ai trouvé un médecin et un ambulancier paramédical dans mon quartier simplement en faisant connaissance avec des gens. Ces personnes de votre communauté seront votre première source d'informations sur ce qui se passe dans la communauté avec la FEMA.
Vous en avez besoin pour survivre à une prise de contrôle de la FEMA Au-delà de ce qui se passe dans votre communauté, vous pourrez également glaner de nombreuses informations provenant des actualités locales, des événements locaux et même des premiers intervenants locaux si vous savez où chercher. Lorsqu'il s'agit d'actualités locales, vous pouvez comprendre les zones les plus durement touchées de votre région. Cela vous en dira beaucoup sur l’endroit où se situera la présence de la FEMA.
Il existe une application que vous pouvez télécharger sur votre téléphone appelée Broadcastify. Vous ne pouvez pas écouter grand-chose de ce que fait la police avec cette application, mais vous pouvez écouter d'autres premiers intervenants. Cela a été très efficace pour moi lors des émeutes de 2020 ici à Richmond, en Virginie. Cela vous aide vraiment à déterminer où se trouve le chaos.
Lors d’une prise de contrôle par la FEMA, vous pourriez écouter les premiers intervenants et voir où la FEMA gaspille ses ressources.
National Selon l'ampleur de la catastrophe, la disponibilité de ce type de renseignement peut varier. Une radio de survie ou d'urgence de haute qualité vous permettra d'entendre ce qui se passe avec les émissions nationales même s'il n'y a pas d'électricité dans votre zone immédiate.
Alternativement, le seul moyen de communiquer hors réseau en cas de crise et comment transformer un autoradio CB en un puissant émetteur capable d'émettre et de recevoir des communications à des centaines de kilomètres de distance.
Les renseignements nationaux vous fourniront probablement des rapports directs sur la direction que prend la FEMA et peut-être même des statistiques sur le nombre d'agents présents dans les différentes régions.
Plus de conseils pour survivre à un rachat par la FEMA Il existe d'autres choses qui peuvent vous aider à survivre à une prise de contrôle par la FEMA dans votre région. Voici quelques conseils.
Marquez votre maison Vous en avez besoin pour survivre à une prise de contrôle de la FEMA Marquez votre maison de la même manière que la FEMA marque les maisons qui ont été fouillées. La FEMA ne va pas chercher deux fois au même endroit.
Vous pouvez également utiliser des marquages pour éloigner les gens de la maison si vous savez ce qu'ils signifient.
Les marquages de recherche et de sauvetage de la FEMA sont généralement peints à la bombe sur un bâtiment après l'avoir fouillé. Cela commence par un X rouge.
Section supérieure : Date de recherche/Heure de sortie
Section de gauche : équipe/heure saisie
Section de droite : Risques
Section inférieure : Victimes
Si vous souhaitez rendre votre maison immédiatement inesthétique, inscrivez simplement BIO HAZ dans la bonne section du X car cela indiquera aux gens qu'il y a un risque biologique dans la maison.
Travailler ensemble Si la FEMA tombe sur une communauté en difficulté, elle devra alors utiliser des ressources pour aider cette communauté. S’ils parviennent à une communauté autonome, ils déplaceront les ressources là où elles sont nécessaires.
Vous voulez être ce dernier. Bien sûr, cela demande de la planification et de la préparation. Il faut apprendre à connaître les gens et cela est généralement inconfortable pour la personne moyenne. Cependant, cela porte ses fruits en cas de désastre au niveau de la qualité de vie.
Se concentrer sur un seul type d’intelligence ne vous mènera pas loin. Si vous voulez vraiment survivre à une prise de contrôle par la FEMA, vous devez alors adopter une approche holistique du renseignement. La somme de tout cela est ce qui dresse le tableau pour vous.
Les informations communautaires vous indiquent ce qui est le plus proche et proviennent de sources directes, les informations locales vous donnent une vision plus large mais toujours locale et les informations nationales peuvent vous aider à comprendre la situation dans son ensemble.
Une autre chose dont vous avez besoin est un espace sûr, complètement caché de la vue. Un lieu qui reste indétectable par tout agent de la FEMA ou drone équipé de capteurs infrarouges.
Je parle d’une cave à racines invisible, stratégiquement enterrée à une courte distance sous la surface de votre propre jardin. C'est ici que vous pourrez trouver refuge avec toutes les provisions nécessaires pour subvenir à vos besoins, non seulement pour une brève période, mais potentiellement pour plusieurs mois si les circonstances l'exigent.
Le plan que je m’apprête à révéler s’inspire des caves à racines de nos ancêtres, mais il a subi des améliorations significatives au point qu’il ressemble davantage à un bunker militaire économique.
Sa construction coûte moins de 400 $ et peut être réalisée en moins d’une semaine, avec les efforts d’une seule personne.
Pourquoi un gouvernement mondial est l'objectif ultime des milliardaires
Par le Dr Joseph Mercola Mercola.com 7 octobre 2023
Dans la vidéo ci-dessus, Bjorn Andreas Bull-Hansen, romancier norvégien à succès, explique comment la « Directive sur la performance énergétique des bâtiments » de l'Union européenne – l'instrument législatif qui dicte les normes de performance énergétique des bâtiments au sein de l'UE – sera utilisée pour parvenir à un système massif de transfert de richesse.
En mars 2023, le Parlement européen a voté la révision de cette directive dans le cadre d’un paquet « Fit for 55 », qui vise à atteindre une réduction minimale de 55 % des émissions de gaz à effet de serre d’ici 2030.
D’ici 2050, l’UE a l’intention de parvenir à un « parc immobilier à zéro émission et entièrement décarboné ».1 En bref, d’ici 2050, ils veulent que chaque bâtiment – commercial, public et résidentiel – de l’UE réponde aux normes zéro émission. Pour y parvenir, ils imposeront une série de nouvelles exigences aux propriétaires.
Par exemple, les systèmes de chauffage utilisant des combustibles fossiles devraient disparaître complètement d’ici 20352, si le Parlement européen obtient gain de cause, ce qui signifie que les propriétaires seront tenus d’installer de nouveaux systèmes de chauffage « verts », vraisemblablement électriques – et payez-le de votre poche. Selon Bull-Hansen, le coût de ces nouveaux besoins énergétiques est estimé à environ 100 000 euros pour une maison d'habitation.
Le but est vraiment que vous ne possédiez rien
L’objectif, explique Bull-Hansen, est de forcer les gens à quitter leur domicile. Si vous ne pouvez pas vous permettre les améliorations requises, vous serez obligé de vendre votre maison, et les sociétés de gestion d’actifs comme BlackRock et Vanguard seront prêtes à récupérer ces propriétés.
Et c’est à condition qu’on vous autorise à vendre une maison qui n’est pas aux normes ; le gouvernement pourrait simplement le juger invendable et le saisir, ou vous pourriez devoir payer une amende.
Aux États-Unis, BlackRock et Vanguard ont commencé sérieusement à acheter en gros des maisons d’habitation au début de 2021, qu’elles louent ensuite plutôt que de les revendre, érodant ainsi l’accession à la propriété de la classe moyenne. Ils ont également fait monter artificiellement les prix de l’immobilier en payant un prix supérieur à celui demandé, rendant ainsi l’accession à la propriété encore plus hors de portée.
Bien entendu, le prix du loyer a également grimpé en flèche, et les locataires devront payer encore plus après ces améliorations énergétiques. Ainsi, non seulement de nombreux jeunes ne peuvent plus accéder à la propriété, mais nombre d’entre eux n’ont même pas les moyens de louer un logement et sont obligés de vivre avec leurs parents ou avec plusieurs colocataires. Nous pouvons également nous attendre à ce que le nombre de sans-abri monte en flèche à terme.
Comme l’a noté Bull-Hansen, l’élimination de la propriété personnelle fait partie du programme de grande réinitialisation du Forum économique mondial (WEF), de l’Agenda 2030 et des objectifs de développement durable des Nations Unies. Ce ne sont que des noms différents pour le même plan global.
La vidéo du FEM « 8 prédictions pour le monde en 2030 »3, dans laquelle ils déclarent joyeusement que d’ici 2030 « vous ne posséderez plus rien », expose de nombreux aspects de ce plan mondial, y compris l’objectif d’éliminer les droits de propriété personnels. « Tous les produits deviendront des services », explique le WEF sur son site Internet4. C’est à cela que fait référence « vous ne posséderez rien ».
Il sera révolu le temps où vous achetiez quelque chose une fois et pouviez l’utiliser indéfiniment parce que vous en êtes propriétaire. Au lieu de cela, le nouveau système dans lequel ils nous poussent vous obligera à tout louer : votre maison, vos moyens de transport, vos meubles, vos casseroles et poêles et tout le reste. Vous avez probablement déjà remarqué ce phénomène.
Par exemple, vous pouviez acheter un logiciel fourni sur un disque. Vous pouvez installer et réinstaller ce programme sur n’importe quel ordinateur de votre choix, car vous aviez le CD.
Aujourd'hui, la plupart des logiciels sont des abonnements basés sur le cloud et vous devez payer des frais mensuels ou annuels aussi longtemps que vous les utilisez. Et, même si les frais peuvent être faibles, une fois que vous les additionnerez sur toute une vie d’utilisation, vous finirez par payer plusieurs fois plus que ce que vous payiez lorsque vous pouviez l’acheter directement.
L’accession à la propriété a toujours été une stratégie de création de richesse
Comme le souligne Bull-Hansen, l’accession à la propriété définit la classe moyenne. Plus important encore, c’est un moyen de créer et de sécuriser la richesse générationnelle depuis des lustres. Supprimez la possibilité pour les gens d’acheter leur propre maison, et vous éliminerez effectivement la classe moyenne, ne laissant que les très riches et les très pauvres.
Comment allez-vous vous rebeller quand le gouvernement peut saisir vos comptes bancaires à volonté, vous exclure des épiceries, vous envoyer dans un camp d'internement pour contrôler les infections pour « protéger la santé publique » même si vous n'êtes pas malade, programmer votre véhicule électrique de telle sorte qu'il ne fonctionne que dans une zone spécifique désignée, et punir tous ceux que vous connaissez de la même manière, simplement parce qu'ils vous connaissent ?
Tout cela, et bien plus encore, sera possible une fois que la grille de surveillance et de contrôle numérique gérée par l’IA sera entièrement mise en œuvre et liée à votre identité numérique, à une CBDC programmable et au système de grand livre unifié.
Comme l’a souligné Bull-Hansen, la désobéissance et le refus de suivre le programme mondialiste « vert » auront des conséquences, mais si nous acceptons d’en payer le prix maintenant et refusons en masse, cette prise de pouvoir mondialiste échouera absolument. Ils ne peuvent y parvenir sans l’obéissance massive.
Qui cherche à diriger le monde ?
Si ce sujet est nouveau pour vous, vous vous demandez peut-être qui sont ces « mondialistes » qui tentent de réaliser ce coup d’État mondial. Je ne citerai pas de noms ici, même s’il devient de jour en jour plus facile d’identifier les individus qui font partie du club en examinant leurs déclarations et positions publiques, leurs activités commerciales et leurs affiliations.
La raison en est que la plupart n’essaient même plus de cacher leur implication et que les organisations mises en place pour faire avancer l’agenda deviennent de plus en plus ouvertes sur leurs objectifs.
Par exemple, le 5 juin 2023, les Nations Unies ont publié un document précisant leur engagement à faire de l’Organisation mondiale de la santé l’organe central de gouvernance mondiale.
L'extrait suivant est tiré de la page 9 de l'avant-projet du document « Déclaration politique de la réunion de haut niveau de l'Assemblée générale des Nations Unies sur la prévention, la préparation et la réponse aux pandémies » rédigé avant la réunion de l'Assemblée générale du 20 septembre 2023.5
- voir sur site -
Le texte final6 de ce document a été publié le 1er septembre 2023 et, dans cette version, tous les titres ont été supprimés, mais l’intention générale de faire de l’OMS un organe directeur de facto pour le monde reste inchangée.
Bien que le document se concentre sur l’autorité de l’OMS pour dicter la prévention et la réponse aux pandémies dans le monde entier, comme je l’ai détaillé dans plusieurs articles précédents, l’OMS ne sera pas seulement en charge des pandémies. C’est justement la justification qu’ils utilisent pour mettre le pied dans la porte.
Ensuite, l’OMS se lancera dans les soins de santé généraux en faisant progresser l’acceptation d’un système de santé universel. Cela sera promu sous la bannière de l’amélioration de la prévention, de la préparation et de la réponse aux pandémies, comme détaillé à la page 11 sous l’OP33 de l’avant-projet7 et à l’article 22 du texte final.8
Ensuite, grâce au programme mondial One Health, qui élargit la « santé publique » pour inclure tout, depuis l’agriculture et la pollution jusqu’aux voyages et au changement climatique, l’OMS – ou l’une de ses retombées – reprendra toutes les fonctions gouvernementales.
Le texte final de la « Déclaration politique » de l’ONU déclare même que la santé est un indicateur de « développement durable », reliant ainsi directement l’autorité de l’OMS en matière de pandémie aux objectifs de développement durable et à l’Agenda 2030 de l’ONU.
Ce qui rend la situation encore plus désastreuse pour les peuples du monde est le fait que les gouvernements et les organisations mondiales impliquées dans cette prise de pouvoir bafouent de plus en plus les règles, directives, lois et traités qui garantissaient auparavant au moins un semblant de démocratie et d’État de droit.
L'un des derniers exemples en est l'approbation par le président de l'Assemblée générale des Nations Unies (AGNU) de la déclaration sur la prévention des pandémies (le document évoqué ci-dessus) sans un vote complet de l'Assemblée et malgré les objections de 11 États membres (Biélorussie, Bolivie, Cuba, République populaire démocratique de Corée, Érythrée, République islamique d'Iran, Nicaragua, Fédération de Russie, République arabe syrienne, Venezuela et Zimbabwe).
Selon Francis Boyle, J.D., Ph.D., expert en armes biologiques et professeur de droit international à l'Université de l'Illinois qui a rédigé la loi antiterroriste sur les armes biologiques de 1989, les objections de 11 pays devraient « empêcher que cette déclaration soit adoptée par consensus et faisant ainsi sans doute partie du droit international coutumier, ce qui est l’intention des auteurs de la déclaration.
"Ils n'ont pas pu le faire adopter par l'AGNU en tant que résolution de consensus en raison des 11 États qui s'y sont opposés", a déclaré Boyle au Defender.9 "Ils essaient de le dénaturer et de le déformer en demandant au président de l'AGNU - et non à l'AGNU - d'approuver la déclaration. .»
La Déclaration des Nations Unies appelle à la vaccination universelle et plus encore
Le fait que le président de l'Assemblée générale des Nations Unies crée des failles là où il n'y en a pas est particulièrement inquiétant à la lumière du fait que la déclaration rend permanentes les prises de pouvoir liées au COVID-19 et appelle à la vaccination universelle, à une surveillance accrue, aux passeports vaccinaux, à la censure des médias sociaux, et une « approche intégrée One Health », dont je viens d’expliquer qu’elle constitue le principal moyen par lequel l’OMS finira par gouverner tous les aspects de la vie humaine.
Ainsi, nous pouvons constater que même lorsque les pays ne sont pas d’accord et résistent, les dirigeants de l’ONU contournent simplement les règles et suivent de toute façon le plan de l’État profond, et c’est précisément le genre de comportement que nous pouvons attendre d’un « gouvernement mondial unique ». Ils auront des règles pour eux-mêmes, qu’ils ignoreront commodément quand cela leur convient, et des règles fixes prévoyant de lourdes sanctions pour le reste de la plèbe. Tel que rapporté par The Defender, 20 septembre 2023 : 10
"Les critiques ont qualifié la déclaration, qui vise à créer une autorité mondiale de lutte contre la pandémie, dotée du pouvoir d'imposer des confinements, une vaccination universelle et une censure de "désinformation", d'"hypocrisie" et de "déséquilibrée". L'approbation a été reçue dans le cadre d'une réunion de haut niveau sur PPPR [Prévention, préparation et réponse à la pandémie]…
Dans un communiqué, le directeur général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a déclaré : « Si le COVID-19 ne nous a rien appris d'autre, c'est que lorsque la santé est en danger, tout est en risque. » Il a lié le PPPR aux objectifs de développement durable de l'ONU ( ODD), affirmant que les dirigeants mondiaux devraient « montrer qu’ils ont tiré les douloureuses leçons de la pandémie »…
Écrivant pour le Brownstone Institute, le Dr David Bell, médecin de santé publique, consultant en biotechnologie et ancien directeur des technologies de santé mondiale à Intellectual Ventures Global Good Fund, a déclaré que « l'objectif principal » de la déclaration « est de soutenir » le « traité sur la pandémie ». " et les amendements au RSI actuellement en cours de négociation par les États membres de l'OMS.
Bell a déclaré qu'une "procédure de silence" est en place, "ce qui signifie que les États qui ne répondent pas seront considérés comme des partisans du texte." Il a déclaré que le texte est "clairement contradictoire, parfois fallacieux et souvent dénué de sens", et vise à centraliser les efforts de l'OMS. pouvoir.
Bell a déclaré au Defender : « La déclaration n’a pas été écrite avec une intention sérieuse, mais est essentiellement une rhétorique vide de sens promouvant une centralisation continue du contrôle que l’ONU et l’OMS recherchent ouvertement, au détriment de la démocratie, des droits de l’homme et de l’égalité. »
Francis Boyle… était d'accord… « Il s'agit d'une pression totale pour que l'ensemble de l'Organisation des Nations Unies, ses agences spécialisées et ses organisations affiliées, soutiennent et soutiennent leur proposition d'État policier mondialiste totalitaire médical et scientifique de l'OMS », a-t-il déclaré. .»
Ces dernières années, les trois dernières en particulier, la mafia mondiale du Deep State est devenue de plus en plus ouverte sur ses projets. Cela dit, il y a quelques dizaines d’années déjà, le plan d’un « nouvel ordre mondial », d’un « gouvernement mondial unique », était visible pour tous. Ils en ont discuté dans des livres blancs et des rapports publiés, ils y ont fait allusion dans des films et des divertissements, ils l’ont divulgué dans des exercices sur table.
Pourquoi révèlent-ils toujours leur plan ? Ne serait-il pas plus judicieux de garder cela secret afin que les gens ne sachent pas ce qui s’en vient et ne se battent donc pas ?
Il s’avère qu’il existe une méthode à cette folie apparente, et la vidéo ci-dessus, « Révéler la méthode : le symbolisme ésotérique comme contrôle mental », l’explique. En résumé, le programme d’un système de gouvernance mondiale utilise le contrôle mental de masse pour conditionner les gens à la perte de pouvoir personnel en favorisant et en nous habituant à trois types de perte :
Perte de mémoire (amnésie) Perte de volonté ou d'initiative (aboulie) Perte d’intérêt pour ce qui est vital pour la santé et le bien-être (apathie)
Ces trois conditions psychologiques sont nécessaires pour que la cabale mondiale puisse mettre en place avec succès un gouvernement mondial. Les méthodes de contrôle mental utilisées par la cabale pour promouvoir ces conditions incluent la subversion du symbolisme et des archétypes sacrés.
En utilisant des symboles occultes et ésotériques, ils font appel aux instincts inférieurs, aux appétits animaux, aux pulsions compulsives et aux « pulsions inharmonieuses qui entrent en conflit avec la nature consciente supérieure d’un individu ». Le but est d’arrêter le développement spirituel des individus et d’étouffer l’évolution de l’esprit au sein de la société.
Mettre leur « marque » sur tout ce qu’ils font peut aussi être une facette égoïste de la mégalomanie de la cabale. Il proclame leur domination les uns sur les autres et, inconsciemment, sur les masses, tout en se moquant de ceux qu’ils considèrent comme inférieurs.
Un aspect particulièrement intéressant de l’utilisation du symbolisme par la cabale est que le symbole signifie généralement exactement le contraire de la vision consensuelle dominante de sa signification. Par exemple, le symbole du marteau et de la faucille, que l’on retrouve sur le drapeau de l’ex-Union soviétique, est communément considéré comme représentant les outils de la classe ouvrière : l’industrie et l’agriculture. L’idée est celle d’une « utopie de la classe ouvrière ».
Cependant, la signification occulte, antérieure à l'Union soviétique, est celle de Saturne, un demi-urge qui a utilisé une faucille pour rompre l'unité de la terre et du ciel. Après avoir séparé la terre du divin, Saturne est devenu l'architecte du monde matériel. En émulation de Saturne, la cabale est également absorbée par les questions du monde matériel : le posséder, le façonner, le contrôler.
Le marteau, quant à lui, représente l’effacement de la matière – « l’acte final de destruction chaotique pour inaugurer leur nouvel ordre ». C’est l’instrument qui brise les derniers vestiges de la volonté divine au sein de l’humanité « dans un processus dans lequel l’homme évolue et descend plus loin dans un monde post-humain ».
Le marteau et la faucille, vus d’un point de vue occulte, dénotent donc le règne tyrannique d’une classe d’élite déterminée à séparer l’humanité du divin et, en fin de compte, à la détruire. Sa signification occulte est celle d’une dystopie divisée – à l’opposé d’une utopie unifiée.
Je vous recommande de regarder la vidéo, qui va beaucoup plus en détail que ce court résumé. Au moins, c’est matière à réflexion.
1, 2 EU Energy Performance of Buildings Directive March 2023 3 Sociable August 23, 2022 4 Weforum November 12, 2016 (Archived) 5 Political Declaration of the United Nations General Assembly High-level Meeting on Pandemic Prevention, […], Zero Draft, June 5, 2023, Page 9 6 Political Declaration of the United Nations General Assembly High-level Meeting on Pandemic Prevention, Preparedness […], Final Text, Sept. 1 2023 7 Political Declaration of the United Nations General Assembly High-level Meeting on Pandemic Prevention, […], Zero Draft, June 5, 2023, Page 11 8 Political Declaration of the United Nations General Assembly High-level Meeting on Pandemic Prevention […], Final Text, September 1 2023, Article 22 9, 10 The Defender September 20, 2023
La richesse est de prime-abord INTELLECTUELLE et non ce que le porte-monnaie a. C'est pourquoi la politique projetée est de faire... disparaître ce monde ! Projet Dépopulation21, il y a 'trop de monde' donc: il y a trop de surdoués.
Ivan Illich sur le retour d'une société féodale autoritaire avec des moyens médicaux
7 octobre 2023 par le Dr. méd. Gerd Reuther
Avant le prêtre et philosophe austro-américain Ivan Illich (1926-2002), personne n’avait jamais prédit une catastrophe sociale avec autant de précision. Aucun cavalier apocalyptique, aucune fissure qui s'ouvre dans la terre, aucune peste et aucun enfer nucléaire ne mettent l'humanité au bord de la destruction. Non, le monde est simplement en train de se transformer en un camp de malades. D’abord virtuellement grâce aux « patients tests », puis en réalité grâce aux victimes du traitement. C’est la croyance complètement irrationnelle en la médecine, étrangère à la biologie, qui rend cela possible.
Comme chacun le sait, la vie punit quiconque arrive trop tôt. Au moins, il ne sera pas entendu, même si le danger annoncé est plausible. Le livre d'Illich était un best-seller international en 1975 malgré son titre difficile à comprendre « Medical Nemesis », mais personne ne voulait croire à la signification de sa prophétie. Avec une précision effrayante, il a décrit l'apocalypse imminente. Cela était dû à son mélange d’analyse sociale marxiste et de connaissance intime de l’idéologie chrétienne.
Illich fut probablement le premier à reconnaître que le retour d’une société féodale autoritaire ne se ferait plus par des moyens militaires, mais par des moyens médicaux. La médicalisation progressive des sociétés, dans lesquelles chaque conversation tourne désormais vers la médecine au bout de cinq minutes au plus tard, est née de ce calcul. « En bonne santé » est le nouveau privilège aristocratique, « malade » sont ceux d'en bas. Au départ, peu importe qu'il s'agisse d'une véritable maladie. « Des phénomènes encore qualifiés de maladies pourraient bientôt être pénalisés comme des actes criminels ou des comportements antisociaux. "
Les personnes malades sont fondamentalement inférieures aux personnes en bonne santé et sont plus enclines à se soumettre volontairement aux décisions et aux actions. La nouvelle noblesse, exemptée de vaccins, n’a plus à craindre les malades. Les « soins médicaux nécessaires aux malades vaccinés... ne sont qu'une technique sociale nécessaire pour adapter les populations aux besoins des systèmes techniques ». Au lieu de casernes militaires disséminées partout, il suffit simplement « d'augmenter le nombre de médecins spécialistes ». qui peut attribuer aux gens le rôle de malade qu’ils souhaitent… »
Pour lancer une attaque générale contre les sociétés de citoyens libres, il suffisait simplement d’une « nouvelle élite de contrôleurs scientifiques qui voulaient gouverner le monde entier comme un hôpital ». Ce nouveau « clergé médical » décide alors « ce qu'est la maladie, qui est ou peut être malade et ce qu'il faut faire pour lui » . Des tests obscurs et des mesures financièrement lucratives remplacent les soins et le soutien à l’auto-guérison. « Les infidèles qui refusent les sacrements du traitement obligatoire régulier seront persécutés sans relâche.À partir du XIe siècle, la maladie signifiait la mort sociale avec la perte de tous les droits et de tous les biens. « Lèpre » était le nom du verdict de l'époque, prononcé d'abord par les prêtres, puis par les médecins. « Corona » était désormais le mot d’ordre pour la liquidation des personnes.
Avec la fin des soins de santé naturels pour la majorité de la population, « la médecine institutionnelle crée une nouvelle forme de souffrance : la survie anesthésiée, inconsciente et solitaire dans un monde qui se transforme en salle d’hôpital. «Les personnes obligées de se soumettre médicalement se voient ainsi attribuer le rôle de toxicomanes. « En vérité, le miracle de la médecine moderne est une tromperie du diable. Elle consiste à faire survivre non seulement des individus mais des populations entières à un niveau de santé personnel inhumainement bas . » La médecine est « la première menace pour la santé ». » et donc pour la survie de l’humanité.
Plus de médicaments n’augmentent pas toujours le bien-être et la durée de vie. « Un monde de santé générale optimale est (…) un monde d'intervention médicale minimale et occasionnelle. » Illich voit dans ces sociétés les meilleures conditions de santé « que l'intervention d'experts peut réduire au minimum. « La vraie santé pour le plus grand nombre n’est pas une affaire. Dès que des sommes importantes sont transférées dans un système social, la santé de la majorité de la population est en danger.
C’est probablement essentiellement l’argent et la perspective d’appartenir à la nouvelle noblesse de la santé qui poussent les hommes politiques, les médecins, les avocats, les fonctionnaires et les industriels à soutenir une dictature de la santé. Ou connaissez-vous des hommes politiques et des dirigeants de haut rang décédés à cause de la vaccination ? D'un point de vue purement statistique, ces décès auraient dû survenir...
i Illich I : L'ennemi juré de la médecine. Aux frontières de la santé . Rowohlt; Reinbek près de Hambourg 1977
Les opinions exprimées dans cet article ne reflètent pas nécessairement les opinions des auteurs permanents de TKP. Les droits et la responsabilité du contenu incombent à l'auteur.
Dr. méd. Gerd Reuther est spécialiste qualifié en radiologie et historien médical. En 2005, il a reçu le prix Eugénie et Felix Wachsmann de la Société allemande Roentgen pour ses réalisations. Il a publié une centaine d'articles dans des revues et livres spécialisés nationaux et internationaux ainsi que cinq livres qui examinent de manière critique la médecine d'hier et d'aujourd'hui. En 2023, « L’essentiel est la panique – Un nouveau regard sur les pandémies en Europe » et « Derniers jours – Causes incomprises et dissimulées de la mort de personnes célèbres » ont été publiés. « .
Les revues scientifiques publient des rapports pro-confinement et censurent les études anti-confinement : auteurs
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 07 OCTOBRE 2023 - 13H00 Rédigé par Kevin Stocklin via The Epoch Times
La censure liée au COVID semble faire son retour, si jamais elle a disparu.
De nombreux médecins et universitaires affirment avoir tenté de publier des études montrant que les confinements entraînaient des coûts énormes et des avantages marginaux, mais ils ont constaté que de nombreuses portes étaient fermées.
« L’ensemble du processus d’examen scientifique de tout ce qui concerne le COVID-19 est devenu hautement politisé et contaminé », a déclaré à Epoch Times Steve Hanke, professeur d’économie à l’Université Johns Hopkins et ancien membre du Conseil des conseillers économiques sous le président Reagan. M. Hanke dit qu’il fait partie de ceux qui ont été censurés pour avoir critiqué les mesures de confinement.
Alors que de nombreuses personnes peuvent considérer la fermeture des écoles, des entreprises et des églises comme un échec coûteux, intrusif et, dans certains cas, dévastateur du gouvernement, les confinements recueillent des critiques de plus en plus favorables au sein de la communauté médicale, alors que les rapports critiques à l'égard des confinements sont réduits au silence. .
Cela se produit à une époque de révélations selon lesquelles l’administration Biden s’est appuyée sur les entreprises technologiques et médiatiques pour faire taire les voix en désaccord avec les récits officiels du COVID.
En septembre, une cour d’appel fédérale a statué que la Maison Blanche, le chirurgien général américain, le CDC et le FBI avaient « probablement violé le premier amendement » en faisant pression sur les sociétés de médias sociaux pour qu’elles censurent les opinions de ceux qui critiquent les récits officiels du gouvernement sur le COVID. Le tribunal a ordonné aux agences et aux individus au sein de l’administration Biden de ne pas « contraindre ou encourager de manière significative les décisions de modération de contenu d’une plateforme », ni d’influencer de toute autre manière les sociétés de médias sociaux pour bloquer les discours protégés.
« La question n'est pas de savoir si les idées sont fausses ou justes », a déclaré le Dr Bhattacharya après la décision. « La question est de savoir qui contrôle quelles idées sont exprimées sur la place publique. »
L’administration Biden a fait appel de la décision, qui sera probablement finalement tranchée par la Cour suprême. La question centrale est de savoir dans quelle mesure les entreprises privées portent atteinte aux droits des Américains liés au premier amendement si elles censurent à la demande des représentants du gouvernement.
« Notre travail a été effectivement censuré »
Le rapport de M. Hanke, Lars Jonung et Jonas Herby (HJH), intitulé « Les confinements ont-ils fonctionné ? Le verdict sur les restrictions liées au COVID » a conclu que les confinements étaient « un échec politique mondial aux proportions gigantesques ». Cette étude a été rejetée par les grands éditeurs médicaux, tandis que des études faisant l’éloge des confinements sont publiées et amplifiées par les médias.
« Le SSRN a permis aux auteurs de l'article lié de télécharger leur travail, alors que notre travail a été effectivement censuré », a déclaré M. Hanke. "Pourquoi? Nos résultats allaient à l’encontre du dogme de l’administration.
Un article de M. Hanke et de ses collègues, répondant à leurs critiques, a également été rejeté par le SSRN, a déclaré M. Hanke.
Dans les deux cas, le SSRN a déclaré que le rejet était dû à « la nécessité d’être prudent lors de la publication de contenu médical ». Cela semble être un nouveau critère et incompatible avec les directives du SSRN, qui excluent les contenus « illégaux, obscènes, diffamatoires, menaçants, portant atteinte aux droits de propriété intellectuelle, portant atteinte à la vie privée ou autrement préjudiciables ou répréhensibles ».
En revanche, un rapport publié par le SSRN en septembre, intitulé « Les importations et la propagation de la lignée du SRAS-CoV-2 sont réduites après des interventions non pharmaceutiques », donne une évaluation favorable des confinements. Les « interventions non pharmaceutiques » (IPN) sont le nouvel euphémisme pour désigner les confinements, les masques obligatoires, les interdictions de voyager et autres suspensions des droits civils pendant les pandémies.
"En fin de compte, le SRAS-CoV-2 a été éliminé au cours de la période d'étude grâce à la recherche des contacts et aux mesures de quarantaine obligatoires", indique le rapport, faisant référence aux restrictions imposées par l'État de Hong Kong. En Suisse, écrivent les auteurs, « les fermetures strictes des frontières parallèlement au confinement partiel de 2020 ont été efficaces pour contrôler l’entrée de nouvelles lignées [COVID] dans le pays ».
Un rapport publié par le SSRN en juin, intitulé « Estimation de l’efficacité démographique des interventions contre le COVID-19 en France », indique que « nos résultats mettent en évidence l’impact substantiel des INP, y compris les confinements et les couvre-feux, dans le contrôle de la pandémie de COVID-19 » et que « le premier confinement a été le plus efficace, réduisant la transmission de 84 % ».
Préparer le terrain pour les futurs confinements
Des rapports comme ceux-ci semblent jeter les bases d’une légitimation des confinements et d’autres mandats du gouvernement NPI en tant que future réponse politique aux pandémies.
Un rapport d’août intitulé « COVID-19 : examiner l’efficacité des interventions non pharmaceutiques », publié par la Royal Society, une « association » d’éminents scientifiques, déclare : « L’une des leçons les plus importantes de cette pandémie est que l’application efficace des NPI « cela permet de gagner du temps » pour permettre le développement et la fabrication de médicaments et de vaccins. Il y a toutes les raisons de penser que la mise en œuvre d’ensembles d’IPN sera importante lors des futures pandémies.
Un groupe appelé factcheck.org a réalisé sa propre analyse du travail de M. Hanke, citant d’autres académiciens qui l’avaient critiqué et soulignant que l’étude HJH n’avait pas été évaluée par des pairs.
« De nombreuses études ont évalué si et dans quelle mesure les soi-disant « confinements » et divers NPI ont été efficaces, et de nombreuses recherches ont conclu que ces mesures peuvent limiter la transmission ou réduire les cas et les décès », a déclaré Factcheck.
Inquiry, une revue médicale, a également refusé de publier l’article du HJH critiquant les confinements. Selon la correspondance entre Inquiry et les auteurs, la revue a initialement demandé un examen par les pairs de trois experts concernés.
Dans le cadre de la prochaine étape du processus de publication, le journal HJH a reçu trois critiques favorables de la part des évaluateurs de l'Enquête, a déclaré M. Hanke. Cependant, peu de temps après avoir reçu les critiques, le rédacteur en chef d’Inquiry les a rétractées.
« Au cours de ma longue carrière universitaire de près de 60 ans, je n'ai jamais rencontré une telle chose », a déclaré M. Hanke. « En fait, je n’ai jamais entendu parler d’une telle chose. C’est vraiment sans précédent et scandaleux.
Dans un article d’opinion commun dans Econ Journal Watch, le Dr Bhattacharya et M. Hanke ont déclaré qu’« il n’y a rien de comparable à une pandémie imminente pour générer la peur, et il n’y a rien de tel que la peur pour graisser les patins de la censure ».
Les auteurs suggèrent un modèle de coopération entre le gouvernement et les médias pour faire taire la dissidence.
« Viennent d’abord les « vérificateurs de faits » qui produisent un verbiage infondé et non pertinent, dépourvu de sens critique ou de perspicacité analytique », ont-ils écrit. « Viennent ensuite les articles à succès [des médias] qui font écho aux affirmations des soi-disant vérificateurs de faits. »
Le résultat final est une absence de points de vue alternatifs dans les publications grand public, ont-ils déclaré.
Un sujet « trop sensible » pour être imprimé Le Dr Vinay Prasad, médecin, épidémiologiste, professeur à la faculté de médecine de l'Université de Californie à San Francisco et auteur de plus de 350 articles et lettres universitaires, a également détaillé « un modèle surprenant de censure et des normes incohérentes de la part des serveurs de prépublication » qui refusaient de publier. ses recherches critiquant les vaccins COVID et les mandats de masques, tout en publiant fréquemment ses recherches sur le cancer et l'oncologie.
Les serveurs de pré-impression sont des référentiels en ligne qui publient des articles universitaires.
« Plus précisément, MedRxiv et SSRN ont été réticents à publier des articles critiquant le CDC, les mandats en matière de masques et de vaccins, ainsi que les politiques de soins de santé de l’administration Biden », écrit le Dr Prasad. « Les serveurs de prépublication ne sont pas censés être des revues : ils ne sont pas censés rejeter des articles simplement parce que ceux qui les gèrent ne sont pas d’accord avec les arguments qu’ils contiennent. »
Lorsque le Dr Prasad et sa collègue, le Dr Alyson Haslam, ont rédigé un rapport sur la censure de leurs travaux sur le COVID, le SSRN a également refusé de le publier, dit-il.
Le Dr Bhattacharya affirme avoir également été censuré par MedRxiv concernant son analyse critiquant les confinements. En 2020, lui et ses collègues Christopher Oh et John Ioannidis, dirigés par Eran Bendavid, professeur de maladies infectieuses à l'Université de Stanford, ont mené une comparaison de pays comme la Suède et la Corée du Sud qui n'avaient pas de mesures de confinement gouvernementales avec des pays qui en avaient, et n'ont trouvé aucun avantage statistiquement significatif. ordonnances obligatoires sur la propagation du COVID.
Selon le Dr Bhattacharya, « MedRxiv a refusé de publier l’article, disant aux auteurs que le sujet était trop sensible pour permettre la publication d’une prépublication, même si le site regorgeait d’analyses de modélisation prétendant démontrer l’efficacité des confinements pour limiter la propagation. du COVID.
Après avoir publié une version étendue de leurs découvertes sous forme de livre, M. Hanke et ses co-auteurs poursuivent leurs efforts pour partager également leur étude dans les revues médicales grand public, a-t-il déclaré.
"Nous prévoyons que le document recevra une critique juste et favorable et sera publié", a déclaré M. Hanke.
Epoch Times a contacté SSRN et Inquiry pour obtenir des commentaires concernant cet article, mais n'a pas reçu de réponse au moment de la publication.
Même si le Social Sciences Research Network (SSRN), un des principaux éditeurs d’études médicales et autres études scientifiques géré par l’éditeur néerlandais Elsevier, a rejeté le rapport final du HJH, il a néanmoins publié des articles qui attaquaient le rapport du HJH.
Certains embaumeurs disent que des caillots fibreux blancs apparaissent ; D'autres disent que c'est une théorie du complot Certains embaumeurs du monde entier affirment observer des caillots inédits dans les corps, tandis que d’autres dénoncent cela comme une « absurdité ».
Par Allan Stein 06 octobre 2023
Embaumer un corps consiste à remplacer le sang par des solutions chimiques pour le préserver et ralentir sa décomposition.
Certains embaumeurs disent qu’à partir de 2021, ils ont soudainement commencé à constater une « anomalie » au cours de ce processus : un phénomène de longues masses blanches et caoutchouteuses à l’intérieur des vaisseaux sanguins.
D’autres disent n’avoir rien vu de nouveau.
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Un entrepreneur de pompes funèbres de l'Oklahoma a répondu : « Oui, les embaumeurs de ce lieu funéraire ont tous été confrontés à ce phénomène, chacun à plusieurs reprises lors de l'embaumement au cours des deux dernières années. » Un directeur de pompes funèbres en Pennsylvanie a déclaré à Epoch Times : « Nous avons vu ce genre de choses, absolument. Nous l'avons vu suffisamment pour en discuter au sein de l'entreprise. »
L'entrepreneur de pompes funèbres a déclaré que son entreprise pensait que les caillots fibreux blancs n'étaient qu'une anomalie.
"À quoi est-ce que je l'attribue ? Je ne sais pas. Je n'ai jamais rien vu de pareil auparavant", a-t-il déclaré.
"En ce qui concerne les chiffres, c'est difficile à dire. Lorsque nous avons commencé à le remarquer pour la première fois en 2021, nous nous sommes dit : 'Oh, wow, je me demande si leur taux de cholestérol était hors du commun.'
D’un autre côté, de nombreux répondants à l’enquête d’Epoch Times ont déclaré que non seulement ils n’avaient pas vu les masses fibreuses dans les corps qu’ils embaumaient, mais qu’ils considéraient les rapports d’autres embaumeurs et directeurs de pompes funèbres comme des « absurdités ».
« C'est une absurdité, la théorie du complot sur le vaccin contre la COVID [explétif] », a déclaré un embaumeur canadien à Epoch Times dans un courriel. "Nous embaumons plus de 400 corps chaque année et nous n'avons jamais vu [cela]."
Plusieurs répondants du Canada, d'Australie et du Royaume-Uni ont déclaré qu'ils n'avaient vu aucun caillot blanc et fibreux, l'un d'eux qualifiant cela de « connerie ridicule ».
Cependant, les réponses de 11 embaumeurs aux États-Unis, au Canada et en Nouvelle-Zélande racontent une histoire similaire : des masses de fibrine blanche obstruent le système circulatoire des personnes nouvellement décédées depuis 2021.
Certains spéculent que ces obstructions ont quelque chose à voir avec la COVID-19 ou les vaccins contre la COVID-19, bien qu’aucune recherche n’existe pour étayer un tel lien.
Le Dr Ryan Cole, un pathologiste de l'Idaho qui a déclaré avoir effectué « beaucoup » d'autopsies au cours de sa carrière, a déclaré que les caillots sanguins post-mortem normaux sont rouges et ressemblant à de la gelée.
"Ils ne sont pas blancs et caoutchouteux", a-t-il déclaré dans une interview en 2022 sur "American Thought Leaders". Le Dr Cole attribue l'absence de dialogue public au sein de la communauté médicale concernant les caillots à la « peur institutionnelle ». Enquête à la base Lorsque le major à la retraite de l'US Air Force, Thomas Haviland, a commencé à entendre parler de cet étrange phénomène dans divers médias, il a mené cette année sa propre enquête internationale par courrier électronique auprès des salons funéraires. M. Haviland a envoyé des questionnaires via Survey Monkey à des salons funéraires aux États-Unis, au Canada, en Australie, en Nouvelle-Zélande et au Royaume-Uni. Sur les 179 embaumeurs actifs qui ont répondu à l'enquête, 119 ont confirmé avoir vu les caillots.
M. Haviland a déclaré qu'il avait conçu l'enquête pour qu'elle soit aussi impartiale que possible. Nulle part dans les instructions de l’enquête ni dans les questions de l’enquête les mots « Covid » ou « vaccins Covid » ne sont mentionnés.
M. Haviland a déclaré qu'il avait seulement demandé aux embaumeurs s'ils voyaient les caillots fibreux blancs, quand ils les voyaient, où sur le corps et dans quel pourcentage de corps ils embaumaient.
Malgré le fait que l'enquête ne mentionne jamais les vaccins contre la COVID, bon nombre des 42 embaumeurs américains et des 12 embaumeurs canadiens qui ont répondu à une case facultative « Commentaires » à la fin de l'enquête ont soit impliqué les vaccins contre la COVID comme étant la cause des caillots fibreux blancs, soit ils défendaient les vaccins tout en niant l'existence de ces caillots inhabituels.
"Le principal consensus des embaumeurs est que ces caillots fibreux blancs sont apparus pour la première fois en 2021 et persistent encore à ce jour. Les embaumeurs voient ces caillots dans un pourcentage important de cadavres, jusqu'à 50 pour cent ou plus dans certains cas", a déclaré M. Haviland. dit.
Epoch Times a contacté de manière indépendante les 1 700 embaumeurs et directeurs de pompes funèbres interrogés par M. Haviland pour corroborer les conclusions. Neuf ont répondu en disant qu'ils avaient rencontré des masses fibreuses blanches, et cinq ont répondu que non.
Réponses des embaumeurs
L’embaumeuse canadienne Laura Jeffrey a trouvé bizarre de retirer de longues masses blanches et caoutchouteuses des veines et des artères du défunt au début de l’année 2021. "Je savais dès le départ que quelque chose n'allait pas", a déclaré Mme Jeffrey.
Dans un cas, elle a trouvé une masse blanche et filandreuse qui « pendait » littéralement de l'artère d'une femme décédée – « d'environ huit pouces de long – toutes ramifiées », a-t-elle déclaré à Epoch Times.
"On pouvait voir la coupure du pathologiste. Donc vous ne pouvez pas me dire qu'elle n'était pas là quand ils ont fait l'autopsie. J'ai dû la retirer en tant qu'embaumeur."
Mme Jeffrey a déclaré que son travail devenait de plus en plus difficile en essayant de contourner les obstacles. Elle a décidé de consulter ses collègues, mais s'est heurtée à une « loi du silence » inexplicable.
À plus de 8 000 milles du domicile de Mme Jeffrey en Ontario, un embaumeur néo-zélandais a confirmé des conclusions similaires.
« Pour des raisons évidentes, je suis très réticent à ce que mes collègues sachent que je réponds », a déclaré l'embaumeur, sous couvert d'anonymat, dans un e-mail adressé à Epoch Times.
"Mon lieu de travail estime qu'il s'agit d'une théorie du complot et n'est pas disposé à engager une conversation. Dire que j'ai été fermé lorsque j'ai essayé d'en parler est un euphémisme."
Un directeur de pompes funèbres du Colorado a déclaré à Epoch Times : « Nous trouvons ces caillots sanguins blancs et fibreux chez les défunts de tous âges.
Une directrice de pompes funèbres dans une morgue à volume élevé au Texas a déclaré qu'elle avait vu des caillots dans plusieurs cas d'embaumement, mais qu'elle avait besoin d'en savoir plus à leur sujet avant de commenter davantage.
Un entrepreneur de pompes funèbres basé à New York a déclaré à Epoch Times : « Nous avons vu plusieurs cas de caillots fibreux. »
Dans l'Utah, le directeur d'une maison funéraire a confirmé avoir vu des caillots "dans nos cas d'âge moyen".
Un autre embaumeur de l'Utah qui travaille dans le secteur depuis plus de 30 ans a déclaré à Epoch Times : « Si les embaumeurs constatent une augmentation de ce phénomène, ils doivent comprendre pourquoi. »
L'embaumeur a déclaré qu'il pensait qu'une étude plus approfondie était nécessaire, notamment en raison de la nature étrange des preuves anecdotiques.
"C'est sporadique. C'est pourquoi c'est étrange", a-t-il déclaré. "Vous pouvez être dans une zone et trouver cela plus courant. Les autres embaumeurs ne le voient pas du tout – ils ne veulent pas en parler et considèrent cela comme un complot."
Un entrepreneur de pompes funèbres de l'Oklahoma a déclaré à Epoch Times : « Oui, les embaumeurs de ce lieu funéraire ont tous été confrontés à ce phénomène, chacun à plusieurs reprises lors de l'embaumement au cours des deux dernières années. »
Le directeur d'une maison funéraire du Kentucky a déclaré qu'il exerçait la profession depuis 37 ans et qu'il avait commencé à voir des « caillots anormaux ».
Mais un embaumeur de l'Ohio a déclaré : "C'est absolument faux. Il n'y a pas de caillots sanguins blancs et fibreux. Nous embaumons plus de 1 800 cas par an."
Sur les trois salons funéraires d'Australie qui ont répondu à Epoch Times, deux ont déclaré qu'ils n'avaient pas constaté d'augmentation des caillots sanguins ou des « caillots sanguins blancs et fibreux ».
Le troisième a déclaré : « S'il vous plaît, évitez d'envoyer continuellement ces conneries ridicules aux directeurs de pompes funèbres occupés. »
Un répondant canadien a déclaré : « Je n'ai vu aucun [caillot de fibrine] ».
Un directeur de pompes funèbres au Royaume-Uni a déclaré qu'il avait l'intention de signaler le courrier électronique d'Epoch Times comme spam et qu'il ne répondrait pas aux questions, car « le seul objectif est de promouvoir une propagande insensée ».
Organisations officielles
Epoch Times a contacté les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) et la Food and Drug Administration (FDA) pour obtenir leurs commentaires sur les caillots fibreux. "Nous n'avons aucune information à partager sur l'embaumement ou les contacts avec les pompes funèbres", a indiqué le CDC dans un courriel. Il a renvoyé le journaliste à la National Funeral Directeurs Association (NFDA).
Une porte-parole de la FDA a répondu que « les cadavres préparés/soignés dans le cadre des funérailles… ne relèvent pas de la compétence réglementaire de la FDA ».
"La FDA réglemente les cellules, tissus et produits cellulaires et à base de tissus humains... destinés à être implantés, infusés ou transférés chez un receveur humain", a-t-elle écrit dans un e-mail.
Les National Institutes of Health, une agence du ministère américain de la Santé et des Services sociaux, n'ont pas répondu à un e-mail d'Epoch Times lui demandant s'il avait reçu des rapports faisant état de caillots fibrinogènes provenant d'embaumeurs et d'entrepreneurs de pompes funèbres.
La porte-parole de la NFDA, Jessica Koth, a déclaré qu'elle n'était pas au courant de l'enquête menée par M. Haviland et que l'association n'avait reçu aucun appel concernant de tels caillots.
« Les directeurs de pompes funèbres et les embaumeurs ne sont en aucun cas qualifiés pour tirer des conclusions sur les vaccins contre la COVID et les caillots sanguins ni pour savoir s'ils sont liés à la cause du décès d'un individu », a déclaré Mme Koth dans un courriel à Epoch Times.
"Les directeurs de pompes funèbres n'ont pas accès aux antécédents médicaux ou vaccinaux d'un individu et ne sont pas formés pour tirer des conclusions sur la cause du décès d'un individu. Cette responsabilité incombe aux médecins légistes, aux coroners et aux médecins."
Mme Koth a ajouté que les directeurs de pompes funèbres et les embaumeurs rencontrent régulièrement des caillots lorsqu'ils embaument une personne décédée « quelle que soit la cause du décès – et qu'un certain nombre de facteurs peuvent provoquer des caillots ».
La NFDA a fait référence à Epoch Times à un article de blog de Ben Schmidt, directeur de pompes funèbres et embaumeur chez Raven Plume Consulting, qui cherchait à démystifier les informations faisant état de présence de fibrine dans les défunts par les embaumeurs, les qualifiant d'« appâts à clics » médiatiques.
Un effet à long terme du COVID-19 est la formation de caillots, qui se produit chez les personnes vaccinées et non vaccinées, selon le blog du 21 septembre 2022.
"En plus du COVID-19, la clinique Mayo répertorie les causes courantes de coagulation suivantes, notamment l'artériosclérose, le tabagisme, l'obésité, les crises cardiaques, l'insuffisance cardiaque, la thrombose veineuse profonde, les accidents vasculaires cérébraux et les antécédents familiaux de caillots sanguins, en plus d'autres. conditions rares", a écrit M. Schmidt.
"Les caillots post-mortem peuvent se former rapidement tant que le sang est encore à l'état liquide, provoquant la séparation du plasma des éléments formés. Ce sont des phénomènes courants chez les embaumeurs de tous niveaux de formation."
L'auteur déclare en outre qu'il n'existe aucune base de données pour référencer les tendances des caillots post-mortem, "nous n'avons donc aucune idée de l'ampleur et de la fréquence de certains types de caillots".
Dans un courriel de suivi, Mme Koth a déclaré que si les embaumeurs ont des inquiétudes concernant leurs découvertes, « il serait plus prudent de les signaler aux autorités sanitaires locales » pour un suivi systématique.
"En tant qu'association, nous n'avons pas nécessairement l'expertise nécessaire pour suivre et étudier de tels rapports", écrit-elle.
Epoch Times a contacté plusieurs pathologistes et un cardiologue pédiatrique pour commenter les structures de la fibrine, mais aucun n'a répondu.
Un porte-parole de l'Association américaine d'hématologie, en réponse à un courriel d'Epoch Times sollicitant les commentaires d'experts sur la coagulation post-mortem, a écrit : « Je crains que ce ne soit pas un sujet dont nos experts pourraient parler. » L'hématologie est l'étude du sang et des maladies liées au sang.
Update: The article was updated with more detailed information about Mr. Haviland's survey.
Quant au Projet Veritas, il a simplement débranché et licencié tous les employés, sauf quelques-uns. Elle a cessé ses activités, ce qui n'est pas surprenant. Lorsque vous vous débarrassez de la personne la plus performante, les vapeurs qui vous restent ne durent pas longtemps.
Pensez-y : cette opération géniale a échoué parce que certaines personnes puissantes ont eu peur de dénoncer les fabricants de vaccins.
Robert F. Kennedy Jr., le plus grand et le plus savant critique des grandes entreprises pharmaceutiques de la planète, a été confronté à ce qui aurait pu être une tentative d'assassinat la semaine dernière. Cela n’a même pas fait la une des journaux (à l’exception d’Epoch Times). Pendant ce temps, on lui refuse toujours la protection des services secrets, même s'il est un candidat sérieux et qu'il fait face à des menaces de mort constantes.
En tant que président du Brownstone Institute, je vois plusieurs fois par jour des exemples de ce qui arrive aux médecins, aux professeurs, aux statisticiens ou à quiconque pose des questions sur cette industrie, qui d’une manière ou d’une autre est devenue l’une des plus puissantes de la politique américaine. Les sales pratiques de l’industrie en annulant les critiques sont légion. Toute étude remettant en question l’efficacité, la sécurité ou la nécessité de leurs produits est presque toujours rejetée par les revues grand public. Même les lettres adressées à l’éditeur qui exposent des erreurs statistiques finissent à la poubelle.
Quant aux Big Tech, elles aussi sont pleinement redevables. Nous avons la preuve irréfutable que Facebook et Twitter ont bloqué toute publication critique à l’égard des vaccins. Ils sont allés jusqu’à bloquer les « véritables informations » sur les effets secondaires des vaccins qui pourraient contribuer à un environnement d’« hésitation à l’égard des vaccins ».
Nous devons nous demander à nouveau : comment les grandes sociétés pharmaceutiques ont-elles acquis le contrôle de tant de gouvernements ?
À ce stade, ce problème est devenu une véritable menace pour la démocratie et la liberté. Aucune industrie n’a plus de pouvoir pour extraire un financement fiscal de ses opérations, conserver le contrôle de la propriété intellectuelle sur les résultats, bénéficier d’une indemnisation en cas de préjudice, et même imposer ses produits aux consommateurs. C'est indéfendable.
Tout guerrier qui ose s’y opposer mérite le soutien de tous ceux qui croient en ce qu’était le système américain.
Les opinions exprimées dans cet article sont celles de l’auteur et ne reflètent pas nécessairement celles d’Epoch Times ou de ZeroHedge.
La première Conférence des Nations Unies sur l'environnement et le développement (CNUED), également connue sous le nom de « Sommet de la Terre », à Rio de Janeiro, au Brésil, en juin 1992, a été la pierre angulaire du changement. Conférences COP parrainées par l'ONU (COP – Conférence des Parties).
La dernière, la COP27, a eu lieu en novembre 2022 en Égypte. La répétition annuelle des COP est une méthode bien étudiée de lavage de cerveau social, une manipulation à la Tavistock – qui a fait des merveilles. Il est aujourd’hui difficile de trouver quelqu’un parmi les gens ordinaires qui ne croit pas au changement climatique provoqué par l’homme et qui émet du gaz carbonique. Peu importe les preuves du contraire.
La trahison de l'ONU face à une élite corrompue a fait un pas de géant visible avec le début de la décennie 2020, c'est-à-dire avec l' Agenda 2030 de l'ONU . Tout cela doit d’abord pénétrer dans le cerveau de la plupart des gens, avant même que nous puissions commencer à résister et passer à une autre sphère vibratoire.
Cependant, comme pour tout ce qui est spirituel et dynamique, une fois qu’une masse critique a commencé à avoir une pensée critique, le passage à la Lumière peut être rapide.
Passer à la Lumière est ce qui est prévu pour 2023/2024. Cette prédiction ne doit en aucun cas être considérée comme un « retour en arrière » et un encouragement à observer ce qui se passe . Être LIBRE n’est un droit que si nous le défendons et luttons pour cela. Ne laissons pas de fissures à la séduction diabolique.
Avant de pouvoir nous retirer, nous devons reconnaître ces méthodes diaboliques des « Illuminati » et nous dresser à l’unisson contre elles.
Cet écrit a pour but de diffuser cette information sur « le cerveau comme champ de bataille en cours et à venir ». Beaucoup trouveront cela tellement hors de leur matrice de pensée actuelle qu’ils se contenteront de secouer la tête avec incrédulité, ou de qualifier ces faits et nouvelles de « désinformation ». Beaucoup d’entre nous y sont allés. Ce n'est pas important. Nous devons continuer l'offense avec la vérité.
Depuis qq décennies les gens se plaignent de ruptures de la hanches, décalcification osseuse. Pourquoi ? Rappelez vous à la fin du siècle dernier la télé diffusait des publicités sur un plombier qui montrait le tuyau d'eau pour machine à laver qui était presque complètement bouché par le calcaire ! C'était le gag marrant du jour. Gag marrant qui a fait son effet ! Les gens se sont mis à acheter des anti-calcaire et... ne plus boire de l'eau du robinet et acheter de l'eau au supermarchés !! (car ils pensaient que leurs boyaux feraient pareil que le tuyau de la machine à laver ! HAHAHAHAHA !
Explication: Le calcaire c'est du tartre ! Le calcaire c'est du calcium ! ÊH OUI !
Et, sans calcaire... vos os ne tiennent plus !
Ce n'est pas pour rien que nous respirons toutes et tous 200 000 nano-poussières (appelées 'virus' !) ET microbes PAR MINUTE ! Soit DES milliards depuis ce matin et DES montagnes de milliards depuis notre naissance !!.... Et.... NOUS N'EN SOMMES PAS MORT(E)S !!
Programme pour dépeupler la planète grâce à la vaccination contre le COVID. Révélé par les rapports gouvernementaux et les documents Pfizer
Par l'exposition Recherche mondiale, 7 octobre 2023
Si un vaccin expérimental devait endommager le cœur et le système immunitaire d’un nombre important de personnes qui l’ont reçu, il est possible qu’il entraîne une diminution de la taille globale de la population.
Cela peut se produire pour plusieurs raisons.
Premièrement, les lésions cardiaques pourraient entraîner une augmentation des maladies cardiovasculaires, qui constituent l’une des principales causes de mortalité dans le monde. Cela pourrait entraîner un nombre plus élevé de décès parmi les personnes ayant reçu le vaccin. Deuxièmement, les dommages causés au système immunitaire pourraient rendre les individus plus vulnérables à d’autres infections et maladies, ce qui pourrait également contribuer à une augmentation de la mortalité. Dernier point, mais non le moindre, les impacts négatifs du vaccin sur la fertilité et la santé reproductive pourraient entraîner une baisse du nombre de naissances, contribuant ainsi à une diminution de la taille globale de la population. Si un tel vaccin devait être développé et distribué, il pourrait potentiellement conduire à un dépeuplement dû à une mortalité accrue et à une diminution de la fertilité.
Malheureusement, le monde s’est retrouvé dans une situation où des institutions et des gouvernements puissants ont contraint des millions de personnes à se faire vacciner expérimentalement contre le Covid-19, ce qui provoque tous les effets malheureux mentionnés ci-dessus.
Les rapports officiels du gouvernement et les documents confidentiels de Pfizer le prouvent.
Par conséquent, vous assistez à un dépeuplement massif se dérouler sous vos yeux.
La campagne de vaccination de masse contre le Covid-19 n’a jamais eu pour objectif de combattre un virus. Il s’agissait de réduire la population mondiale.
Cet objectif correspond aux intérêts de certaines entreprises et individus puissants qui bénéficieront d’une population plus petite et plus gérable maintenant que l’IA est suffisamment avancée pour remplacer des centaines de millions de travailleurs.
Quelle que soit la cause spécifique, les implications de ce qui se passe actuellement dans le monde réel sont importantes.
Des millions de personnes sont « mortes subitement »
Saviez-vous que des données sur la surmortalité dans 15 % des pays du monde sont disponibles sur le site de l' Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) ?
Cela inclut des pays majeurs comme les États-Unis, le Canada et le Royaume-Uni.
De plus, nous avons pu extraire d' EuroMOMO des données encore plus récentes sur 28 pays européens .
Toutes ces informations ont été fournies à l' OCDE et à EuroMOMO par les organismes gouvernementaux de chaque pays, tels que les Centers for Disease Control aux États-Unis et l'Office for National Statistics au Royaume-Uni.
Le graphique suivant illustre la tendance inquiétante de la surmortalité dans les pays des « Cinq Yeux » (Australie, Canada, Nouvelle-Zélande, Royaume-Uni et États-Unis) ainsi que dans 27 autres pays européens :
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Êtes-vous conscient du nombre effarant de décès excessifs survenus aux États-Unis et en Europe ces dernières années ?
En 2021, les États-Unis ont enregistré près de 700 000 décès supplémentaires, et 360 000 autres décès supplémentaires au 11 novembre 2022.
L’Europe a connu un chiffre tout aussi alarmant de 382 000 décès excédentaires en 2021, avec 309 000 décès excédentaires en novembre 2022.
Il est choquant de constater que même des pays comme la Nouvelle-Zélande, l’Australie et le Canada ont connu une surmortalité qui n’a pas diminué depuis le déploiement du vaccin Covid-19.
Le graphique suivant illustre la tendance inquiétante de la surmortalité globale en Australie en 2020, 2021 et jusqu’à la semaine 30 de 2022 :
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Saviez-vous que le déploiement du vaccin Covid-19 en Australie a entraîné une augmentation choquante de 747 % des décès excédentaires, de 1 303 en 2020 à 11 042 en 2021 ?
Et depuis, la situation n’a fait qu’empirer.
Fin juillet 2022, il y avait un excédent de décès stupéfiant de 18 973 en Australie, soit une augmentation de 1 356 % par rapport à 2020.
Cela représente plus de décès en 7 mois qu’au cours des deux années précédentes combinées.
Et la situation aux États-Unis est tout aussi alarmante :
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Êtes-vous conscient de la tendance inquiétante de la surmortalité aux États-Unis suite au déploiement du vaccin Covid-19 ?
À la semaine 38 de 2022, 1 700 personnes de plus étaient décédées par rapport à la même période de 2020, et à la semaine 38 de 2021, 109 000 personnes de plus étaient décédées par rapport à la même période de 2020.
Ces chiffres indiquent qu’au lieu de diminuer, les décès ont en réalité augmenté suite au déploiement du vaccin.
Les deux graphiques suivants illustrent le total des décès excédentaires dans les « Five Eyes » et en Europe depuis le début de 2021, lorsque le vaccin Covid-19 a été introduit :
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Saviez-vous que plus de 1,8 million de décès supplémentaires se sont produits dans les « Five Eyes » et dans la majeure partie de l’Europe depuis le déploiement du vaccin Covid-19 ?
Ce chiffre choquant comprend plus d'un million de décès excédentaires aux États-Unis et plus de 690 000 décès excédentaires en Europe selon les Centers for Disease Control et l'Organisation de coopération et de développement économiques, ainsi qu'un nombre important de décès excédentaires en Australie, au Canada, et la Nouvelle-Zélande.
Le discours officiel selon lequel le vaccin est sûr et efficace et réduirait le nombre de décès est complètement contredit par ces chiffres, qui suggèrent que les vaccins Covid-19 pourraient être la principale cause de la surmortalité.
Des enfants/adolescents et jeunes adultes sont « morts subitement »
Saviez-vous que la surmortalité chez les enfants âgés de 0 à 14 ans en Europe a grimpé en flèche de 755 % entre janvier et septembre 2022, selon les données officielles ?
Cette augmentation alarmante, qui a incité l'Union européenne à ouvrir une enquête, s'est produite malgré les efforts d' EuroMOMO pour minimiser les chiffres.
Il convient de noter que le vaccin Pfizer Covid-19 a été approuvé pour une utilisation chez les enfants par l'Agence européenne des médicaments le 28 mai 2021, soit la semaine 21 de 2021.
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Source Ensuite, des décès supplémentaires « seulement » par coïncidence » ont commencé à être enregistrés à partir de la semaine 22, une fois cette autorisation d'utilisation d'urgence accordée.
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Dans l’ensemble, la surmortalité a augmenté de 630 % depuis l’approbation du vaccin pour une utilisation chez les enfants en septembre 2022.
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C'est une triste réalité : malgré les preuves de plus en plus nombreuses indiquant le danger évident des vaccinations contre le Covid-19 pour les enfants, il est très peu probable que les autorités reconnaissent ce risque.
Tragiquement, l’augmentation significative de la surmortalité chez les enfants en Europe depuis que l’Agence européenne des médicaments a approuvé l’utilisation du vaccin dans cette population en cas d’urgence est susceptible d’être considérée comme une simple « coïncidence » parmi la longue liste de tels événements depuis le début de la pandémie. .
Il est essentiel que nous continuions à examiner et à scruter les données pour garantir la protection de la santé et du bien-être de nos enfants.
Saviez-vous également que selon les chiffres officiels publiés discrètement par les Centers for Disease Control (CDC) des États-Unis , près d'un demi-million d'enfants et de jeunes adultes sont morts au 9 octobre 2022 aux États-Unis depuis que la Food & Drug Administration a accordé pour la première fois une autorisation d'utilisation d'urgence pour un vaccin contre le Covid-19 ?
Le graphique montre les taux de mortalité mensuels standardisés selon l'âge par statut vaccinal chez les 18 à 39 ans pour les décès non liés au Covid-19 en Angleterre entre janvier et mai 2022.
Il ressort clairement de ces données que les risques associés à ces vaccins ne peuvent être ignorés.
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Source C'est une tendance inquiétante : chaque mois depuis le début de l'année 2022, les 18-39 ans partiellement vaccinés et doublement vaccinés ont plus de risques de mourir que les 18-39 ans non vaccinés.
La situation est particulièrement désastreuse pour les 18 à 39 ans triplement vaccinés, dont le taux de mortalité s’est aggravé de mois en mois depuis la campagne de masse Booster qui a eu lieu au Royaume-Uni en décembre 2021.
En janvier, les 18 à 39 ans triplement vaccinés étaient légèrement moins susceptibles de mourir que les individus non vaccinés de ce groupe d'âge, avec un taux de mortalité de 29,8 pour 100 000 parmi les non vaccinés et de 28,1 pour 100 000 parmi les triplement vaccinés.
Cependant, à partir de février, les 18 à 39 ans triplement vaccinés étaient 27 % plus susceptibles de mourir que les individus non vaccinés, avec un taux de mortalité de 26,7 pour 100 000 parmi les triplement vaccinés et de 21 pour 100 000 parmi les non vaccinés.
La situation s'est encore aggravée en mai 2022, les triplement vaccinés âgés de 18 à 39 ans étant 52 % plus susceptibles de mourir que les individus non vaccinés de cette tranche d'âge, avec un taux de mortalité de 21,4 pour 100 000 chez les triplement vaccinés et de 14,1 chez les non vaccinés. .
Les personnes partiellement vaccinées s’en sortent également mal, May voyant les personnes partiellement vaccinées âgées de 18 à 39 ans 202 % plus susceptibles de mourir que les personnes non vaccinées de ce groupe d’âge.
Le rapport de l'Office britannique des statistiques nationales inclut également les taux de mortalité infantile, bien que le gouvernement britannique ait tenté de dissimuler ces données.
Le graphique suivant montre les taux de mortalité par statut vaccinal pour 100 000 années-personnes chez les enfants âgés de 10 à 14 ans en Angleterre pour la période du 1er janvier 2021 au 31 mai 2022 :
Selon l'Office britannique des statistiques nationales, le taux de mortalité dû au Covid-19 parmi les enfants non vaccinés âgés de 10 à 14 ans est de 0,31 pour 100 000 années-personnes.
Cependant, pour les enfants vaccinés à une dose, le taux de mortalité est de 3,24 pour 100 000 années-personnes, et pour les enfants triplement vaccinés, le taux de mortalité est alarmant de 41,29 pour 100 000 années-personnes.
La situation n’est pas meilleure en ce qui concerne les décès non liés au Covid-19. Le taux de mortalité toutes causes confondues est de 6,39 pour 100 000 années-personnes chez les enfants non vaccinés et légèrement plus élevé, à 6,48 chez les enfants partiellement vaccinés.
Cependant, le taux s’aggrave à chaque injection supplémentaire : le taux de mortalité toutes causes confondues est de 97,28 parmi les enfants doublement vaccinés et un taux alarmant de 289,02 pour 100 000 années-personnes parmi les enfants triplement vaccinés.
Cela signifie que, selon les données officielles du gouvernement britannique, les enfants doublement vaccinés ont 1 422 % ou 15,22 fois plus de risques de mourir, quelle qu'en soit la cause, que les enfants non vaccinés, tandis que les enfants triplement vaccinés ont 4 423 % ou 45,23 fois plus de risques de mourir, quelle qu'en soit la cause. cause que les enfants non vaccinés.
Les données fournies par l'Office des statistiques nationales, qui sont standardisées selon l'âge et les taux pour 100 000 habitants, sont la preuve définitive que les vaccins Covid-19 augmentent le risque de décès d'une personne.
Il n'est donc pas surprenant d'apprendre qu'un rapport secret du CDC confirme que près d'un demi-million d'enfants et de jeunes adultes américains sont morts à la suite du déploiement du vaccin Covid-19, entraînant près de 118 000 décès supplémentaires par rapport à la moyenne quinquennale 2015-2019. .
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Vous n'avez qu'un seul cœur et il ne se régénérera pas
Les conséquences potentielles d’un vaccin contre la COVID-19 qui nuit au cœur sont désastreuses. Si un tel vaccin était largement distribué et administré à une partie significative de la population, il pourrait entraîner des millions de morts subites.
Le cœur est un organe vital qui joue un rôle essentiel dans le bon fonctionnement de l’organisme. Tout effet indésirable sur celui-ci pourrait donc avoir des conséquences désastreuses.
Malheureusement, au moins deux vaccins contre le Covid-19 produits par Pfizer et Moderna font exactement cela, et ils ont maintenant été administrés à plusieurs reprises à des millions de personnes, et il est probable que ces vaccins soient responsables des millions de décès excédentaires enregistrés dans le monde depuis leur apparition. dérouler.
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Le risque de myocardite, une inflammation du muscle cardiaque pouvant entraîner une mort subite si elle n’est pas traitée, est une préoccupation majeure lorsqu’il s’agit du vaccin contre le Covid-19. Cela est particulièrement vrai pour les adultes et les enfants jeunes et en bonne santé, qui peuvent ne présenter aucun symptôme de myocardite jusqu'à ce que la maladie ait atteint un stade grave.
Les symptômes de la myocardite peuvent inclure des douleurs thoraciques, un essoufflement, de la fatigue et des rythmes cardiaques anormaux. Si elle n'est pas traitée, elle peut entraîner une insuffisance cardiaque, un arrêt cardiaque et une mort cardiaque subite.
C'est probablement la raison pour laquelle une enquête sur les chiffres officiels publiée par Public Health Scotland en avril 2022 a révélé qu'il y a eu une augmentation de 67 % par rapport à la moyenne historique du nombre de personnes âgées de 15 à 44 ans victimes d'une crise cardiaque, d'un arrêt cardiaque, d'une myocardite, d'un accident vasculaire cérébral. , et d’autres maladies cardiovasculaires depuis que cette tranche d’âge s’est vu proposer le vaccin Covid-19.
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Malheureusement, une étude menée par les Centers for Disease Control (CDC) et la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a montré que le risque de myocardite suite à la vaccination à ARNm contre le COVID est environ 133 fois plus élevé que le risque de base dans la population.
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Cela signifie que la vaccination contre le Covid augmente de 13 200 % le risque de souffrir de myocardite, une maladie auto-immune provoquant une inflammation du cœur.
Il ressort clairement des données présentées que les vaccins Covid-19 produits par Pfizer et Moderna ont eu un impact significatif sur la santé de millions de personnes dans le monde.
Les effets indésirables potentiels sur le cœur, notamment la myocardite et un risque accru de crise cardiaque, d'arrêt cardiaque et d'autres maladies cardiovasculaires, pourraient entraîner un nombre important de morts subites si ces vaccins étaient largement distribués et administrés à une partie importante de la population. .
De plus, le nombre élevé de décès excessifs survenus depuis le déploiement des vaccins Covid-19 suggère que ces vaccins pourraient contribuer à une tendance plus large au dépeuplement.
Les décès excédentaires font référence au nombre de décès supérieur à ce à quoi on pourrait normalement s’attendre dans une population donnée, et le fait qu’il y ait eu des millions de décès excédentaires dans les pays des « Five Eyes » et en Europe depuis le déploiement du vaccin contre le Covid-19 est un signe révélateur. source de préoccupation.
Il est également préoccupant que Pfizer ne dispose d’aucune information sur l’issue de 238 grossesses sur 270. Ces chiffres soulèvent de sérieuses questions sur la sécurité du vaccin Pfizer contre la COVID-19 pour les femmes enceintes et leurs fœtus.
Les résultats d’ une autre étude Pfizer sur des rats Wistar Han montrent que le vaccin Pfizer COVID-19 s’accumule dans les ovaires au fil du temps.
Les ovaires sont une paire de glandes femelles qui produisent des ovules et les hormones féminines œstrogène et progestérone.
L' étude , qui se trouve dans la liste des documents confidentiels de Pfizer publiés par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis en vertu d'une ordonnance du tribunal, a administré une dose unique du vaccin Pfizer à 21 rats femelles et 21 rats mâles.
Les chercheurs ont mesuré la concentration de radioactivité totale dans le sang, le plasma et les tissus des rats à différents moments après l'injection. L’accumulation du vaccin dans les ovaires suscite des inquiétudes quant à son impact potentiel sur la fertilité et la santé reproductive.
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L’une des conclusions les plus préoccupantes de l’étude sur le vaccin Pfizer Covid-19 est le fait qu’il s’accumule dans les ovaires au fil du temps.
Au cours des 15 premières minutes suivant l'injection, la concentration totale de lipides dans les ovaires était de 0,104 ml, mais elle est passée à 1,34 ml après seulement une heure, 2,34 ml après quatre heures et 12,3 ml après 48 heures.
Même si les scientifiques qui ont mené l'étude n'ont pas poursuivi leurs recherches au-delà de 48 heures, il n'est pas clair si cette accumulation s'est poursuivie.
Ces résultats soulèvent de sérieuses questions quant aux effets potentiels à long terme du vaccin Pfizer sur la fertilité et la santé reproductive.
Mais selon les données publiées par Public Health Scotland, le nombre de personnes souffrant d'un cancer de l'ovaire a considérablement augmenté en 2021 par rapport à l'année précédente et à la moyenne 2017-2019.
Cela pourrait potentiellement être lié à l’accumulation du vaccin Pfizer COVID-19 dans les ovaires, comme le révèle une étude sur des rats.
- voir graph sur site - Cancer de l'ovaire – Source
Les décès de nouveau-nés en Écosse ont également atteint un niveau critique pour la deuxième fois en sept mois seulement, selon les chiffres officiels.
Le taux de décès néonatals en mars 2022 était de 4,6 pour 1 000 naissances vivantes, soit une augmentation de 119 % par rapport au taux de décès attendu.
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Cela signifie que le taux de mortalité néonatale a dépassé un seuil d’alerte supérieur connu sous le nom de « limite de contrôle » pour la deuxième fois après le déploiement des vaccins Covid-19 auprès des femmes/femmes enceintes.
La dernière fois que cette limite a été dépassée, c’était en septembre 2021, lorsque les décès néonatals pour 1 000 naissances vivantes ont atteint 5,1. Ces niveaux sont comparables à ceux généralement observés à la fin des années 1980.
À l’époque, le PHS avait déclaré que le fait que la limite supérieure de contrôle ait été dépassée « indique qu’il existe une probabilité plus élevée qu’il existe des facteurs au-delà de la variation aléatoire qui ont contribué au nombre de décès survenus ».
Cette nouvelle est choquante et soulève de sérieuses inquiétudes quant à la sécurité des vaccins contre le Covid-19.
Mortalité accrue
Il est alarmant de voir dans les chiffres trouvés dans un rapport publié par le gouvernement britannique intitulé « Deaths by Vaccination Status, England, 1 January 2021 to 31 May 2022 », et accessible sur le site de l'ONS ici , et téléchargé ici , qu'en chaque mois entre janvier et mai 2022, les personnes âgées de 18 à 39 ans qui étaient partiellement ou entièrement vaccinées étaient plus susceptibles de mourir de causes non liées à Covid que leurs homologues non vaccinés.
La situation est particulièrement désastreuse pour les individus triplement vaccinés, dont les taux de mortalité n’ont fait qu’empirer mois après mois depuis la vaste campagne de rappel de décembre 2021.
Ces chiffres choquants, fournis par l'Office britannique des statistiques nationales, confirment que les vaccins Covid-19 augmentent considérablement le risque de décès d'une personne.
Il est clair que non seulement les vaccins ne parviennent pas à protéger les individus, mais qu’ils causent activement des dommages. Il est crucial que des mesures soient prises pour mettre un terme à leur propagation et enquêter sur les véritables dangers qu'ils représentent.
Mais cette situation n’est pas limitée aux 18-39 ans. C’est courant dans tous les groupes d’âge.
Les deux graphiques suivants montrent les taux de mortalité mensuels standardisés selon l’âge par statut vaccinal pour les décès non liés à Covid-19 en Angleterre entre janvier et mai 2022 pour tous les groupes d’âge –
Vous pouvez lire ici une enquête complète sur les chiffres ci-dessus, ventilés par tranche d'âge .
Dépopulation par la vaccination contre le COVID-19
Les conséquences potentielles de la campagne de vaccination contre le Covid-19 sont alarmantes et pourraient conduire à un dépeuplement à l’échelle mondiale.
Le cœur est un organe vital et tout effet néfaste sur celui-ci pourrait avoir des conséquences dévastatrices. Cela est particulièrement vrai pour les adultes et les enfants jeunes et en bonne santé, car la myocardite peut ne provoquer aucun symptôme jusqu'à ce que la maladie ait atteint un stade grave.
Les données de Pfizer révèlent que 46 % des femmes enceintes ayant reçu le vaccin ont subi des effets indésirables, dont 58 % ont subi des effets indésirables graves allant de la contraction utérine à la mort fœtale.
De plus, des études ont montré que le vaccin s’accumule dans les ovaires au fil du temps, ce qui suscite des inquiétudes quant à son impact potentiel sur la fertilité.
Les chiffres officiels révèlent également que les taux de mortalité sont les plus élevés parmi les personnes vaccinées et les plus faibles parmi la population non vaccinée, dans tous les groupes d’âge.
Avec toutes ces preuves, il est clair que la campagne de vaccination contre le Covid-19 pourrait avoir de graves conséquences sur l’avenir de l’humanité.
Mais pourquoi ?
Il existe diverses raisons pour lesquelles certaines personnes peuvent vouloir dépeupler la planète.
L'une des raisons pourrait être la surpopulation, car certaines personnes pensent que les ressources de la Terre s'épuisent à un rythme insoutenable en raison de l'augmentation de la population.
D’autres personnes pourraient affirmer que le dépeuplement est nécessaire en raison de l’impact négatif que les humains ont eu sur l’environnement, et que la réduction de la population pourrait contribuer à atténuer certains de ces problèmes.
Certaines personnes peuvent également plaider en faveur du dépeuplement en raison des préoccupations concernant l'impact du changement climatique, car une population plus petite entraînerait probablement une réduction des émissions de gaz à effet de serre.
Enfin, certaines personnes peuvent simplement croire qu’une population plus petite serait plus gérable et plus facile à contrôler, et pourraient préconiser le dépeuplement pour cette raison.
Klaus Schwab et Bill Gates sont deux personnalités puissantes qui ont exprimé leur soutien à l’idée du dépeuplement par divers moyens, dont la vaccination.
Schwab, fondateur du Forum économique mondial, a soutenu que la réduction de la population mondiale serait bénéfique pour l'environnement et l'économie, et a suggéré que les technologies avancées telles que l'intelligence artificielle pourraient jouer un rôle dans la réalisation de cet objectif.
De même, Bill Gates a déclaré que les campagnes de vaccination peuvent être utilisées pour réduire la population et a financé de nombreuses initiatives promouvant la vaccination comme moyen de contrôler la croissance démographique.
Il convient donc maintenant de comprendre pourquoi des personnalités puissantes comme Bill Gates et Klaus Schwab ont plaidé en faveur de campagnes de vaccination généralisées.
La Chine – ce système de domination nous 'menace' tous !
RépondreSupprimer07.10.2023
www.kla.tv/27164
Il y a quelques décennies, la Chine était un pays agricole totalement appauvri et en retard au niveau technologique. En l'espace d'une trentaine d'années seulement, elle est en train de devenir une puissance mondiale de premier rang du point de vue économique, technologique et militaire. Pour bien situer cette ascension fulgurante de la République populaire de Chine, il est important d'examiner de plus près sa naissance et son développement. En effet, ce qu'on ne lit pas dans les livres d'histoire officiels ni même dans les médias grand public sur l'histoire de la République populaire de Chine, ce serait que, selon des journalistes d'investigation renommés, elle est indissociable de trois noms : Rothschild, Rockefeller et les Skull & Bones. Suivez-nous maintenant dans un voyage aventureux à travers l'histoire de la Chine, au cours duquel il apparaîtra clairement que la Chine a été délibérément construite comme un instrument du nouvel ordre mondial et qu'elle constitue un avant-goût du système de domination mondiale planifié.
I.) Regard sur ceux qui tirent les ficelles dans l'ombre :
Skull & Bones est une très puissante organisation secrète occulte américaine, fondée à l'instigation de Lord Rothschild et financée par Rockefeller et d'autres banquiers de Wall Street. Selon Alexandra Robbins, une journaliste américaine, Skull & Bones a réussi à infiltrer presque toutes les grandes institutions scientifiques et politiques ainsi que les institutions financières, médiatiques et gouvernementales des États-Unis. Skull & Bones forme également le cercle interne du Council on Foreign Relations (CFR), également initié par Rothschild et financé par Rockefeller. Le CFR est le think tank américain le plus influent du siècle dernier, il a par exemple fourni à lui seul neuf présidents des Etats-Unis, dont l'actuel président Joe Biden.
Dans ses recherches Alexandra Robbins est arrivée à la conclusion suivante : l'objectif de Skull & Bones, et par conséquent des Rockefeller et des Rothschild, est de construire un nouvel ordre mondial dans lequel les libertés individuelles sont réduites et où tout le pouvoir est concentré dans les mains d'une petite élite.
II.) La naissance de la République populaire de Chine sous Mao Tsé-toung :
RépondreSupprimerDans le but d'établir un nouvel ordre mondial, Skull & Bones a fondé en Chine, au début du 20e siècle, une série d'écoles et d'hôpitaux qui ont donné naissance à l'actuelle Yale-China Association, connue sous le nom de "Yale-in-China". Ils ont été financés par Rothschild et, plus tard, par la Fondation Rockefeller. Cette œuvre prétendument caritative poursuivait cependant en arrière-plan des objectifs totalement différents. Jonathan Spence, professeur d'histoire chinoise, a été le premier à découvrir les liens étroits entre Mao et Yale. Enfin, en 1972, le journal Yale Daily News a rapporté ce qui suit à ce sujet : « Yale a aidé de nombreux jeunes hommes dans leur ascension politique vers le pouvoir. Lors de la promotion de 1919, Yale-in-China a aidé, en plus des 1 000 leaders masculins..., un jeune homme du nom de Mao Tsé-toung » et « Sans le soutien de Yale, Mao Tsé-toung ne serait jamais passé de l'inconnu au pouvoir ! »
Lors de ses recherches, le journaliste d’investigation Alexander Schnarf est donc arrivé à la conclusion que de toute évidence Yale-in-China travaillait en secret à l'émergence d'un État communiste.
L'intervention de Skull & Bones dans la guerre civile chinoise (1927-1949), au cours de laquelle le Kuomintang nationaliste et le Parti communiste chinois de Mao Tsé-toung se disputaient la direction politique de la Chine, est également significative de leur influence et de leur approche subtile. Le conflit s'est terminé par la victoire des communistes sur le Kuomintang. Selon le Professeur Antony C. Sutton, chercheur et historien cette victoire a été remportée principalement grâce au fait que le général américain et franc-maçon George C. Marshall a discrètement désarmé les forces armées nationalistes qu’ils soutenaient initialement, en cessant de leur fournir des munitions en 1946. Le supérieur de Marshall était le secrétaire à la guerre Henry L. Stimson, un membre de Skull & Bones !
Les presque 30 années de règne de Mao Tsé-toung qui suivirent se transformèrent en un règne de terreur sans précédent. Avec des campagnes politiques telles que le « Grand Bond en avant » et la « Révolution culturelle », Mao a imposé par la contrainte une transformation de l'économie et de la société chinoises. La « révolution culturelle » avait pour but de détruire les anciennes coutumes, modes de pensée, habitudes, - en fait la culture chinoise et visait surtout les couches les plus âgées et les plus éduquées de la Chine, ce qui a coûté la vie à 2 à 5 millions de personnes. Le « Grand Bond en avant » devait permettre de rattraper le retard sur les pays occidentaux industrialisés et de raccourcir la période de transition vers le communisme. Malgré la grande famine qui en a résulté, Mao a imposé ses objectifs d'une main de fer. Selon Alexander Schnarf, les méthodes de répression pratiquées étaient d'une brutalité sans précédent. Les critiques ont été poursuivis sans relâche et des milliers de personnes ont été systématiquement torturées et assassinées. Même les enfants auraient été tués, broyés et utilisés comme engrais.
RépondreSupprimerL'historien néerlandais Frank Dikötter estime qu'au moins 45 millions de personnes sont mortes rien que pendant la Grande Famine de Chine (1959 à 1961). Selon les estimations des scientifiques, la politique totalitaire et inhumaine de Mao a coûté la vie à 80 millions de personnes au total.
La politique de Mao était simple : quiconque ne respectait pas les règles était assassiné. Cela a conduit à une société dans laquelle toute critique était littéralement muselée. Ce qui restait n'était plus qu'une masse apeurée et soumise.
Le point de vue totalement différent de David Rockefeller est effrayant. Il a qualifié ce contrôle total et cette oppression du peuple « d'expérience sociale » ! Rockefeller a déclaré textuellement : « L'expérience sociale en Chine sous la direction du président Mao est l'une des plus importantes et des plus réussies de l'histoire de l'humanité. » Lorsqu'on connaît les objectifs poursuivis par la fondation Rockefeller en Chine, cette affirmation devient extrêmement pertinente. Selon les journalistes d'investigation Alexander Schnarf et Tilman Knechtel, la fondation considérait la Chine comme un immense laboratoire où l'on étudiait la meilleure façon de contrôler et de gérer une société, afin de pouvoir ensuite reproduire cela dans le monde entier ! Le fait que Rockefeller ait fait l'éloge des crimes de Mao suggère que ce dernier avait manifestement répondu à ses attentes et que cette « expérience sociale » avait été menée à bien à la plus grande satisfaction de Rockefeller.
Comme nous le verrons au point suivant, ce n'était toutefois que la première manœuvre de Rockefeller, Rothschild et consorts.
III.) L'émergence de la Chine comme puissance mondiale
RépondreSupprimerAprès Mao, c'est Deng Xiaoping qui a dirigé de facto le destin de la Chine jusqu'en 1997. Il est entré dans l'histoire comme le grand réformateur qui a initié l'ouverture de la Chine et son ascension en tant que puissance économique et mondiale. Mais cela ne s'est pas fait tout seul et n'a pas été un miracle économique. Le coup d'envoi de cette évolution a été la rencontre orchestrée par Henry Kissinger en 1972 entre le président américain Nixon et Mao Tsé-toung. Sous le prétexte que la Chine devait être construite comme un contrepoids à l'URSS, de l'argent et des technologies occidentales ont commencé à affluer vers la Chine, ce qui a marqué le début de son ascension. Or, il faut savoir que Nixon et Kissinger étaient ou sont membres du CFR et que Kissinger est en outre étroitement lié aux Rothschild et aux Rockefeller [www.kla.tv/26153]. Par conséquent, ces derniers ont usé de toute leur influence pour favoriser l'ascension de la Chine tout en y renforçant leur position dominante. En 1982, Rothschild a pris le contrôle de la banque centrale de Chine et donc de sa politique monétaire. La Chase Manhattan Bank de Rockefeller est devenue le représentant officiel de la Banque de Chine aux États-Unis et a ouvert les vannes de l'afflux d'argent vers la Chine. Cet argent a été largement utilisé pour financer des instituts de recherche et de développement, ce qui a entraîné une fuite du savoir-faire occidental vers la Chine. Les groupes qui se sont engagés de cette manière en Chine sont également, pour la plupart, étroitement liés au CFR. Il s'agit des entreprises dites « Fortune 500 », comme par exemple Ford, General Motors, IBM et Microsoft. Parmi elles, 157 se sont installées en Chine, dont 53 y ont même établi leur siège social. Concernant cette évolution, le professeur Antony C. Sutton, scientifique renommé de l'Institut Hoover de l'Université de Stanford, écrivait déjà en 1986 : "Vers l'an 2000, la Chine communiste sera une superpuissance construite avec la technologie et l'expertise américaines" ! – construite par Rothschild, Rockefeller et Skull & Bones !
IV.) La Chine, un outil fiable pour les mondialistes
Comme Rothschild et Rockefeller sont tous deux profondément impliqués dans la franc-maçonnerie, il n'est pas surprenant que cela ait également laissé des traces en Chine. Grâce à des révélations comme celles du franc-maçon italien de haut rang Gioele Magaldi, on sait que Deng Xiaoping a été initié à la franc-maçonnerie et est devenu membre de la super-loge « THREE EYES ». Celle-ci avait été fondée par David Rockefeller, Henry Kissinger et le conseiller à la Sécurité nationale des États-Unis, Zbigniew Brzeziński [www.kla.tv/10603 (en allemand)], et a longtemps été la super-loge la plus puissante et celle qui donnait le ton au niveau mondial. Deng Xiaoping, quant à lui, a initié d'autres hauts responsables du parti communiste chinois à la franc-maçonnerie. Cela a eu pour conséquence que depuis 1980, selon Gioele Magaldi, tous les présidents du parti, y compris l'actuel président de la République chinoise Xi Jinping, sont membres des super-loges qui coordonnent les francs-maçons de haut niveau. Ils poursuivent eux aussi l'établissement d'un « gouvernement mondial unique », ce qui a permis à Rothschild et Rockefeller de s'assurer que la Chine reste un outil fiable pour leurs plans mondialistes.
V.) La Chine : un fer de lance de la globalisation
RépondreSupprimerMais la Chine n'est pas seulement un outil quelconque, elle est devenue de plus en plus le fer de lance des Rothschild, Rockefeller et Skull & Bones, qui aspirent manifestement à un nouvel ordre mondial de contrôle et de surveillance totaux. En voici quelques exemples :
Avec sa politique de confinement sévère pendant la crise du Covid, la Chine a joué un rôle essentiel dans l'effondrement de l'économie mondiale, générant ainsi des profits colossaux pour quelques super-riches.
Avec la Russie, la Chine est le grand partisan de la mise en place d'un nouveau système financier et monétaire mondial sous le contrôle du FMI.
La Chine est à l'avant-garde mondiale tant pour la suppression de l'argent liquide que pour l'introduction de la monnaie numérique de banque centrale CBDC. Elle est ainsi à la pointe de ce projet mondial, coordonné et financé par la BRI, Banque des règlements internationaux.
Avec son système de crédit social, la Chine est un pionnier et un modèle pour le Great Reset souhaité par Klaus Schwab et le Forum économique mondial (FEM). Ce système est un système de surveillance de masse à l'aide de l'intelligence artificielle et donc le perfectionnement du système de domination forcée mis en place par Mao. Le comportement et la fiabilité de chaque individu, mais aussi des entreprises et des organisations, y sont constamment surveillés et évalués. En récompensant le bon comportement dans l'intérêt des gouvernants et en punissant tout écart de conduite, il impose à chacun de fonctionner à 100% dans l'intérêt des dirigeants. Le premier système de crédit social en Europe a depuis déjà été introduit à Bologne (en Italie) et la Commission européenne prépare également l'introduction de ce système de contrôle et d'éducation.
Tout indique donc qu'après le succès de leur « expérience sociale » en Chine, Rockefeller, Rothschild et consorts veulent désormais l'étendre au monde entier et poser ainsi les bases d'une dictature mondiale. Lors du Davos d'été 2023 du Forum Economique Mondial, le Premier ministre chinois Li Qiang a également laissé entendre comment cela devrait se faire. Il a souligné que la « sécurité » devait être considérée comme le sujet le plus important dans la hiérarchie des priorités ! Peu avant, Klaus Schwab, le père du Great Reset, avait fait la déclaration suivante, très révélatrice, en faisant l'éloge des « acquis » du Parti communiste chinois devant Li Qiang :
« Nous sommes impatients d'apprendre de votre vision de la Chine et du monde. »
Est-ce un hasard si les gens sont amenés à accepter des interventions de plus en plus profondes de l'État en raison d'une peur systématiquement entretenue par la politique et les médias ?
RépondreSupprimerN'est-ce pas la peur du Covid, du terrorisme, de la menace d'une catastrophe écologique et climatique imminente, etc., qui fait abandonner petit à petit les acquis de notre société démocratique et libérale pour les échanger contre une apparente sécurité ? Est-ce de cette façon qu'on veut maintenant nous faire avaler le système de crédit social carbone prévu par l'UE ?
Il faut stopper les plans de cette petite élite qui, dans l'ombre, dirige sournoisement le destin du monde et qui veut maintenant mettre en place son système de crédit social dans le monde entier ! Aidez-nous et diffusez cette émission. Souhaitez-vous en outre contribuer vous-même, en tant que collaborateur bénévole de Kla.TV, à mettre en lumière une telle injustice ? Alors inscrivez-vous à l'adresse suivante : www.kla.tv/vernetzung.
de hag.
Sources / Liens :
Le pacte Russie-Chine et la conspiration Marx-Rothschild
www.kla.tv/26499
Les 100 ans d'Henry Kissinger – Stratège mondial et criminel de guerre ?
www.kla.tv/26153
https://www.kla.tv/fr
Il faut un 'sacré talent' pour diriger 1,500 000 milliard d'habitants et laisser 'le Peuple au Peuple'. Résultat: il y a plus de surdoué(e)s là-bas que partout ailleurs !
SupprimerÉTUDE : Les vaccins contre la COVID-19 sont liés à des saignements inattendus chez les femmes
RépondreSupprimer10/05/2023
Zoey Sky
La recherche a établi un lien entre les vaccins contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) et de nombreux effets indésirables, allant de problèmes de santé mineurs à des blessures graves, voire à la mort.
Une étude récente vient compléter les preuves existantes en révélant que les vaccins contre la COVID-19 peuvent également être liés aux saignements chez les femmes qui n'ont pas leurs règles, comme les femmes ménopausées et celles qui prennent des contraceptifs. Il a été constaté que ces femmes étaient « plusieurs fois plus susceptibles de présenter des saignements vaginaux inattendus après la vaccination contre le COVID-19 qu'avant que les vaccins ne soient proposés ».
L'étude a été publiée dans la revue Science Advances.
Lorsque les vaccins contre la COVID-19 ont été déployés à l’échelle mondiale, de nombreuses femmes ont signalé des saignements menstruels plus abondants que d’habitude après la vaccination.
Kristine Blix, l'une des auteurs de l'étude de l'Institut norvégien de santé publique d'Oslo, a entrepris d'étudier systématiquement cette tendance, en particulier chez les femmes qui n'ont normalement pas de règles.
Bien que Blix et son équipe n’aient pas examiné les raisons du saignement inexpliqué, leurs résultats suggèrent qu’il pourrait être lié à la protéine Spike du SRAS-CoV-2 utilisée dans les vaccins. Big Pharma affirme que les vaccins contre le COVID-19 sont « sûrs et efficaces », mais des études comme celles de Blix et de son équipe ne sont pas d’accord.
Blix et ses collègues chercheurs ont analysé une enquête en cours sur la santé de la population appelée « Étude de cohorte norvégienne sur les mères, les pères et les enfants ». Selon Blix, l’équipe de recherche a eu accès à des questionnaires bihebdomadaires envoyés aux participants à l’étude pour surveiller les effets de la pandémie depuis les premiers jours de la pandémie.
Dans le premier questionnaire portant sur les vaccinations contre le COVID-19 envoyé en 2021, plusieurs participantes ont déclaré dans des champs de texte libre qu'elles avaient eu des saignements menstruels abondants. Cela a incité les chercheurs à rechercher « des schémas de saignement de manière structurée ». (Connexe : les données de Pfizer révèlent que les vaccins contre le COVID-19 n’ont JAMAIS été sans danger pour les femmes enceintes.)
La vaccination contre le COVID-19 déclenche des saignements vaginaux inattendus
RépondreSupprimerLes chercheurs ont analysé plus de 21 000 réponses de femmes préménopausées ménopausées, périménopausées et non menstruées. Parmi les participantes figuraient des femmes qui prenaient des contraceptifs hormonaux à long terme.
Blix a déclaré que les résultats étaient "surprenants". Les données ont montré que 252 femmes ménopausées, 1 008 femmes en périménopause et 924 femmes préménopausées ont déclaré avoir subi des saignements vaginaux inattendus.
Au moins 50 pour cent de chaque groupe ont signalé que le saignement s’est produit quatre semaines après leur première ou leur deuxième dose de vaccin contre la COVID-19, ou les deux.
Les questionnaires ont également révélé que les femmes préménopausées et périménopausées étaient plus susceptibles de signaler des saignements inattendus dans le mois suivant la vaccination, leur risque étant trois à cinq fois plus élevé qu'avant la vaccination. Le risque pour les femmes ménopausées a été multiplié par deux ou trois.
Pendant la pandémie, la Norvège a distribué les vaccins à ARNm Moderna et Pfizer-BioNTech, ainsi que le vaccin AstraZeneca. En octobre 2022, l’Agence européenne des médicaments a mis à jour les informations sur les effets secondaires des vaccins à ARNm pour inclure les saignements menstruels abondants.
Les saignements inattendus après la ménopause sont souvent considérés comme médicalement graves, d'autant plus qu'ils pourraient être le signe précoce d'affections telles que le carcinome de l'endomètre et les lésions précancéreuses.
Bien qu’il ne soit pas tout à fait clair si les saignements post-vaccinaux sont un effet secondaire des vaccins contre la COVID-19, les médecins peuvent en tenir compte lorsqu’ils évaluent l’état d’un patient.
Kate Clancy, anthropologue biologique à l'Université de l'Illinois à Urbana-Champaign, a averti que les saignements postménopausiques sont « souvent très préoccupants et constituent un signe possible de cancer ». Elle a ajouté que connaître le statut vaccinal d’un patient pourrait aider à « mettre en contexte l’incidence de ses saignements ».
Le groupe de Clancy a publié les résultats de sa propre enquête montrant des changements dans les saignements menstruels après la vaccination contre le COVID-19. Elle a ajouté que les résultats correspondent aux conclusions de son équipe et pourraient aider à informer les patients et les cliniciens.
Blix a déclaré que la contribution la plus importante de cette documentation et d'autres sera que "les schémas de saignement féminins sont inclus comme points finaux, ou surveillés, dans les essais cliniques de nouveaux vaccins - et peut-être même dans les essais de médicaments".
RépondreSupprimerClancy est heureux qu'il existe un autre groupe qui étudie les personnes péri- et postménopausées, car il est important de « accorder plus d'attention à un groupe très mal desservi ».
Le stress pandémique peut également affecter les règles
Parfois, le stress peut affecter les règles d’une femme. Si vous avez des règles régulières, même de légères différences sont perceptibles.
Il est indéniable que la pandémie de COVID-19 et d’autres développements pénibles de l’histoire récente sont considérés comme une forme majeure de stress. La pandémie a donné lieu à différents types de défis personnels intenses qui peuvent souvent perturber la vie, comme la perte d’un être cher.
Comme l’a prouvé l’étude ci-dessus, les femmes qui ont leurs règles peuvent subir des perturbations, allant de règles sautées à des modifications des schémas de saignement.
Le Dr Taraneh Shirazian, directrice de la santé mondiale des femmes et professeur adjoint d'obstétrique et de gynécologie à NYU Langone Health à New York, a expliqué que ce que les experts de la santé peuvent dire sur le COVID-19 et ses effets sur le cycle menstruel est comparable à ce que disent les experts en santé. ils peuvent dire à propos d'autres infections virales et de périodes de stress prolongées : Des perturbations menstruelles sont susceptibles de se produire.
Shirazian a ajouté que lorsque vous êtes infecté par le COVID-19, cela représente un stress pour le corps et un stress majeur sur l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien (HPA), le système central de réponse au stress du corps.
En période de stress, l’axe HPA stimule la libération de cortisol, l’hormone du stress, pour aider votre corps à se préparer à combattre ou à fuir une menace.
Avec un stress continu, une augmentation des niveaux de cortisol peut affecter vos cycles menstruels. De plus, avec des périodes de stress prolongées, le système de réponse au stress peut s’épuiser et l’axe HPA peut être supprimé. Cela pourrait réduire la production hypophysaire d’hormones folliculo-stimulantes et lutéinisantes (FSH et LH), qui, à leur tour, réduiraient la production ovarienne d’œstrogènes et de progestérone.
Avec la suppression complète de l'axe HPA, une femme peut souffrir d'aménorrhée ou d'absence de règles. En cas de suppression partielle, une femme peut avoir des périodes inégales ou des périodes de saignement toutes les quelques semaines.
RépondreSupprimerBien qu’il n’y ait pas de tendance claire, les femmes réagissent différemment à la suppression de l’axe HPA, a noté Shirazian.
Découvrez plus d’histoires sur les effets indésirables des vaccins COVID sur VaccineInjuryNews.com.
Regardez la vidéo ci-dessous pour découvrir comment Pfizer savait que le vaccin contre la COVID-19 nuirait aux femmes et à leurs enfants à naître.
Cette vidéo provient de la chaîne Worldview Report sur Brighteon.com.
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L’Australie abandonne discrètement l’approbation du vaccin AstraZeneca contre la COVID-19.
Le Sénat australien interroge les représentants de Pfizer et Moderna au sujet du génocide du « vaccin » contre le covid.
Les 7 principales façons dont les DOMMAGES DU VACCIN COVID-19 sont dissimulés par le complexe industriel des vaccins.
Sources include:
InfoWars.com
Nature.com
EverydayHealth.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2023-10-05-study-covid-vaccines-linked-unexpected-bleeding-women.html
Des rapports gouvernementaux et des documents de Pfizer révèlent un programme visant à dépeupler la planète grâce à la vaccination contre la COVID.
RépondreSupprimerPar l'exposition
Recherche mondiale,
5 octobre 2023
Si un vaccin expérimental devait endommager le cœur et le système immunitaire d’un nombre important de personnes qui l’ont reçu, il est possible qu’il entraîne une diminution de la taille globale de la population.
Cela peut se produire pour plusieurs raisons.
Premièrement, les lésions cardiaques pourraient entraîner une augmentation des maladies cardiovasculaires, qui constituent l’une des principales causes de mortalité dans le monde. Cela pourrait entraîner un nombre plus élevé de décès parmi les personnes ayant reçu le vaccin.
Deuxièmement, les dommages causés au système immunitaire pourraient rendre les individus plus vulnérables à d’autres infections et maladies, ce qui pourrait également contribuer à une augmentation de la mortalité.
Dernier point, mais non le moindre, les impacts négatifs du vaccin sur la fertilité et la santé reproductive pourraient entraîner une baisse du nombre de naissances, contribuant ainsi à une diminution de la taille globale de la population.
Si un tel vaccin devait être développé et distribué, il pourrait potentiellement conduire à un dépeuplement dû à une mortalité accrue et à une diminution de la fertilité.
Malheureusement, le monde s’est retrouvé dans une situation où des institutions et des gouvernements puissants ont contraint des millions de personnes à se faire vacciner expérimentalement (Expérimentation génique d'essais) contre le Covid-19, ce qui provoque tous les effets malheureux mentionnés ci-dessus.
Les rapports officiels du gouvernement et les documents confidentiels de Pfizer le prouvent.
Par conséquent, vous assistez à un dépeuplement massif se dérouler sous vos yeux.
La campagne de vaccination de masse contre le Covid-19 n’a jamais eu pour objectif de combattre un virus (qui n'est pas dans l'air !). Il s’agissait de réduire la population mondiale.
Cet objectif correspond aux intérêts de certaines entreprises et individus puissants qui bénéficieront d’une population plus petite et plus gérable maintenant que l’IA est suffisamment avancée pour remplacer des centaines de millions de travailleurs.
RépondreSupprimerQuelle que soit la cause spécifique, les implications de ce qui se passe actuellement dans le monde réel sont importantes.
Des millions de personnes sont « mortes subitement »
Saviez-vous que des données sur la surmortalité dans 15 % des pays du monde sont disponibles sur le site de l' Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) ?
Cela inclut des pays majeurs comme les États-Unis, le Canada et le Royaume-Uni.
De plus, nous avons pu extraire d' EuroMOMO des données encore plus récentes sur 28 pays européens .
Toutes ces informations ont été fournies à l' OCDE et à EuroMOMO par les organismes gouvernementaux de chaque pays, tels que les Centers for Disease Control aux États-Unis et l'Office for National Statistics au Royaume-Uni.
Le graphique suivant illustre la tendance inquiétante de la surmortalité dans les pays des « Cinq Yeux » (Australie, Canada, Nouvelle-Zélande, Royaume-Uni et États-Unis) ainsi que dans 27 autres pays européens :
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Êtes-vous conscient du nombre effarant de décès excessifs survenus aux États-Unis et en Europe ces dernières années ?
En 2021, les États-Unis ont enregistré près de 700 000 décès supplémentaires, et 360 000 autres décès supplémentaires au 11 novembre 2022.
L’Europe a connu un chiffre tout aussi alarmant de 382 000 décès excédentaires en 2021, avec 309 000 décès excédentaires en novembre 2022.
Et ces chiffres n’incluent même pas l’Ukraine !
Il est choquant de constater que même des pays comme la Nouvelle-Zélande, l’Australie et le Canada ont connu une surmortalité qui n’a pas diminué depuis le déploiement du vaccin Covid-19.
Le graphique suivant illustre la tendance inquiétante de la surmortalité globale en Australie en 2020, 2021 et jusqu’à la semaine 30 de 2022 :
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Saviez-vous que le déploiement du vaccin Covid-19 en Australie a entraîné une augmentation choquante de 747 % des décès excédentaires, de 1 303 en 2020 à 11 042 en 2021 ?
RépondreSupprimerEt depuis, la situation n’a fait qu’empirer.
Fin juillet 2022, il y avait un excédent de décès stupéfiant de 18 973 en Australie, soit une augmentation de 1 356 % par rapport à 2020.
Cela représente plus de décès en 7 mois qu’au cours des deux années précédentes combinées.
Et la situation aux États-Unis est tout aussi alarmante :
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Êtes-vous conscient de la tendance inquiétante de la surmortalité aux États-Unis suite au déploiement du vaccin Covid-19 ?
À la semaine 38 de 2022, 1 700 personnes de plus étaient décédées par rapport à la même période de 2020, et à la semaine 38 de 2021, 109 000 personnes de plus étaient décédées par rapport à la même période de 2020.
Ces chiffres indiquent qu’au lieu de diminuer, les décès ont en réalité augmenté suite au déploiement du vaccin.
Les deux graphiques suivants illustrent le total des décès excédentaires dans les « Five Eyes » et en Europe depuis le début de 2021, lorsque le vaccin Covid-19 a été introduit :
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Saviez-vous que plus de 1,8 million de décès supplémentaires se sont produits dans les « Five Eyes » et dans la majeure partie de l’Europe depuis le déploiement du vaccin Covid-19 ?
Ce chiffre choquant comprend plus d'un million de décès excédentaires aux États-Unis et plus de 690 000 décès excédentaires en Europe selon les Centers for Disease Control et l'Organisation de coopération et de développement économiques, ainsi qu'un nombre important de décès excédentaires en Australie, au Canada, et la Nouvelle-Zélande.
Le discours officiel selon lequel le vaccin est sûr et efficace et réduirait le nombre de décès est complètement contredit par ces chiffres, qui suggèrent que les vaccins Covid-19 pourraient être la principale cause de la surmortalité.
RépondreSupprimerDes enfants/adolescents et jeunes adultes sont « morts subitement »
Saviez-vous que la surmortalité chez les enfants âgés de 0 à 14 ans en Europe a grimpé en flèche de 755 % entre janvier et septembre 2022, selon les données officielles ?
Cette augmentation alarmante, qui a incité l'Union européenne à ouvrir une enquête, s'est produite malgré les efforts d' EuroMOMO pour minimiser les chiffres.
Il convient de noter que le vaccin Pfizer Covid-19 a été approuvé pour une utilisation chez les enfants par l'Agence européenne des médicaments le 28 mai 2021, soit la semaine 21 de 2021.
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Ensuite, des décès supplémentaires « seulement » par coïncidence » ont commencé à être enregistrés à partir de la semaine 22, une fois cette autorisation d'utilisation d'urgence accordée.
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Dans l’ensemble, la surmortalité a augmenté de 630 % depuis l’approbation du vaccin pour une utilisation chez les enfants en septembre 2022.
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C'est une triste réalité : malgré les preuves de plus en plus nombreuses indiquant le danger évident des vaccinations contre le Covid-19 pour les enfants, il est très peu probable que les autorités reconnaissent ce risque.
Tragiquement, l’augmentation significative de la surmortalité chez les enfants en Europe depuis que l’Agence européenne des médicaments a approuvé l’utilisation du vaccin dans cette population par l’Agence européenne des médicaments risque d’être considérée comme une simple « coïncidence » parmi la longue liste de tels événements depuis le début de la pandémie.
Il est essentiel que nous continuions à examiner et à scruter les données pour garantir la protection de la santé et du bien-être de nos enfants.
RépondreSupprimerSaviez-vous également que selon les chiffres officiels publiés discrètement par les Centers for Disease Control (CDC) des États-Unis , près d'un demi-million d'enfants et de jeunes adultes sont morts au 9 octobre 2022 aux États-Unis depuis que la Food & Drug Administration a accordé pour la première fois une autorisation d'utilisation d'urgence pour un vaccin contre le Covid-19 ?
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Cette évolution déchirante a entraîné près de 118 000 décès supplémentaires par rapport à la moyenne 2015-2019.
Les chiffres révèlent également qu’il y a eu jusqu’à présent 7 680 décès supplémentaires chez les enfants et les jeunes adultes en 2022 par rapport à la même période en 2020, au plus fort de la prétendue pandémie de Covid-19.
Cependant, l’année la pire en termes de décès chez les 0 à 44 ans a été 2021, avec 291 461 décès excédentaires au total, soit près de 60 000 de plus qu’en 2020.
Selon les chiffres officiels du CDC, cette augmentation était principalement due à une mystérieuse augmentation soudaine des décès d’enfants et de jeunes adultes à partir de la semaine 31 environ de 2021.
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C'est une réalité déchirante que près d'un demi-million de personnes âgées de 0 à 44 ans soient décédées depuis la semaine 51 de 2020, ce qui entraîne un excédent de décès stupéfiant de 117 719 par rapport à la moyenne quinquennale 2015-2019.
Selon les données officielles, l'espérance de vie moyenne aux États-Unis était de 77,28 ans en 2020.
Si l’on en croit le récit officiel selon lequel le Covid-19 est une maladie mortelle, il est peut-être compréhensible que 231 987 enfants et jeunes adultes de moins de 44 ans soient morts en 2020, ce qui a entraîné 40 365 décès supplémentaires comme conséquence malheureuse de cette prétendue maladie. .
Cependant, si nous devons accepter le discours officiel selon lequel les vaccins contre le Covid-19 sont sûrs et efficaces, comment expliquer la nouvelle augmentation des décès chez les enfants et les jeunes adultes en 2021 et 2022 ?
RépondreSupprimerIl convient de noter que des millions d’Américains ont été contraints de se faire vacciner, et que des millions de parents ont été également contraints de forcer leurs enfants à recevoir les injections.
La réponse est claire : le discours officiel est un mensonge flagrant. Les vaccins Covid-19 ne sont ni sûrs ni efficaces.
Les données difficiles à trouver fournies par le CDC ne font que suggérer cette tendance inquiétante des décès de jeunes Américains, mais d'autres données publiées par le gouvernement britannique le confirment .
Par exemple, un rapport publié le 6 juillet 2022 par l'Office for National Statistics du Royaume-Uni, une agence gouvernementale, apporte une preuve supplémentaire du danger de ces vaccins.
Le rapport est intitulé « Décès par statut vaccinal, Angleterre, 1er janvier 2021 au 31 mai 2022 », et il peut être consulté sur le site de l'ONS ici et téléchargé ici .
Avez-vous vu le tableau 2 du rapport de l'Office britannique des statistiques nationales, qui contient les taux de mortalité mensuels standardisés selon l'âge, par statut vaccinal et par groupe d'âge, pour les décès pour 100 000 années-personnes en Angleterre jusqu'en mai 2022 ?
Sinon, n'hésitez pas à y jeter un œil, car les chiffres qu'il contient sont vraiment inquiétants.
Nous avons pris les données fournies par l'ONS pour la période de janvier à mai 2022 et créé le graphique suivant, qui illustre les conséquences dévastatrices de la campagne de vaccination de masse contre le Covid-19.
Le graphique montre les taux de mortalité mensuels standardisés selon l'âge par statut vaccinal chez les 18 à 39 ans pour les décès non liés au Covid-19 en Angleterre entre janvier et mai 2022.
Il ressort clairement de ces données que les risques associés à ces vaccins ne peuvent être ignorés.
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Source
RépondreSupprimerC'est une tendance inquiétante : chaque mois depuis le début de l'année 2022, les 18-39 ans partiellement vaccinés et doublement vaccinés ont plus de risques de mourir que les 18-39 ans non vaccinés.
La situation a été particulièrement désastreuse pour les 18 à 39 ans triplement vaccinés, dont le taux de mortalité s’est aggravé de mois en mois depuis la campagne de masse Booster qui a eu lieu au Royaume-Uni en décembre 2021.
En janvier, les 18 à 39 ans triplement vaccinés étaient légèrement moins susceptibles de mourir que les individus non vaccinés de ce groupe d'âge, avec un taux de mortalité de 29,8 pour 100 000 parmi les non vaccinés et de 28,1 pour 100 000 parmi les triplement vaccinés.
Cependant, à partir de février, les 18 à 39 ans triplement vaccinés étaient 27 % plus susceptibles de mourir que les individus non vaccinés, avec un taux de mortalité de 26,7 pour 100 000 parmi les triplement vaccinés et de 21 pour 100 000 parmi les non vaccinés.
La situation s'est encore aggravée en mai 2022, les triplement vaccinés âgés de 18 à 39 ans étant 52 % plus susceptibles de mourir que les individus non vaccinés de cette tranche d'âge, avec un taux de mortalité de 21,4 pour 100 000 chez les triplement vaccinés et de 14,1 chez les non vaccinés. .
Les personnes partiellement vaccinées s’en sortent également mal, May voyant les personnes partiellement vaccinées âgées de 18 à 39 ans 202 % plus susceptibles de mourir que les personnes non vaccinées de ce groupe d’âge.
Le rapport de l'Office britannique des statistiques nationales inclut également les taux de mortalité infantile, bien que le gouvernement britannique ait tenté de dissimuler ces données.
Le graphique suivant montre les taux de mortalité par statut vaccinal pour 100 000 années-personnes chez les enfants âgés de 10 à 14 ans en Angleterre pour la période du 1er janvier 2021 au 31 mai 2022 :
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RépondreSupprimerSelon l'Office britannique des statistiques nationales, le taux de mortalité dû au Covid-19 parmi les enfants non vaccinés âgés de 10 à 14 ans est de 0,31 pour 100 000 années-personnes.
Cependant, pour les enfants vaccinés à une dose, le taux de mortalité est de 3,24 pour 100 000 années-personnes, et pour les enfants triplement vaccinés, le taux de mortalité est alarmant de 41,29 pour 100 000 années-personnes.
La situation n’est pas meilleure en ce qui concerne les décès non liés au Covid-19. Le taux de mortalité toutes causes confondues est de 6,39 pour 100 000 années-personnes chez les enfants non vaccinés et légèrement plus élevé, à 6,48 chez les enfants partiellement vaccinés.
Cependant, le taux s’aggrave à chaque injection supplémentaire : le taux de mortalité toutes causes confondues est de 97,28 parmi les enfants doublement vaccinés et un taux alarmant de 289,02 pour 100 000 années-personnes parmi les enfants triplement vaccinés.
Cela signifie que, selon les données officielles du gouvernement britannique, les enfants doublement vaccinés ont 1 422 % ou 15,22 fois plus de risques de mourir, quelle qu'en soit la cause, que les enfants non vaccinés, tandis que les enfants triplement vaccinés ont 4 423 % ou 45,23 fois plus de risques de mourir, quelle qu'en soit la cause. cause que les enfants non vaccinés.
Les données fournies par l'Office des statistiques nationales, qui sont standardisées selon l'âge et les taux pour 100 000 habitants, sont la preuve définitive que les vaccins Covid-19 augmentent le risque de décès d'une personne.
Il n'est donc pas surprenant d'apprendre qu'un rapport secret du CDC confirme que près d'un demi-million d'enfants et de jeunes adultes américains sont morts à la suite du déploiement du vaccin Covid-19, entraînant près de 118 000 décès supplémentaires par rapport à la moyenne quinquennale 2015-2019. .
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Vous n'avez qu'un seul cœur et il ne se régénérera pas
Les conséquences potentielles d’un vaccin contre la COVID-19 qui nuit au cœur sont désastreuses. Si un tel vaccin était largement distribué et administré à une partie significative de la population, il pourrait entraîner des millions de morts subites.
Le cœur est un organe vital qui joue un rôle essentiel dans le bon fonctionnement de l’organisme. Tout effet indésirable sur celui-ci pourrait donc avoir des conséquences désastreuses.
Malheureusement, au moins deux vaccins contre le Covid-19 produits par Pfizer et Moderna font exactement cela, et ils ont maintenant été administrés à plusieurs reprises à des millions de personnes, et il est probable que ces vaccins soient responsables des millions de décès excédentaires enregistrés dans le monde depuis leur apparition. dérouler.
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Le risque de myocardite, une inflammation du muscle cardiaque pouvant entraîner une mort subite si elle n’est pas traitée, est une préoccupation majeure lorsqu’il s’agit du vaccin contre le Covid-19. Cela est particulièrement vrai pour les adultes et les enfants jeunes et en bonne santé, qui peuvent ne présenter aucun symptôme de myocardite jusqu'à ce que la maladie ait atteint un stade grave.
RépondreSupprimerLes symptômes de la myocardite peuvent inclure des douleurs thoraciques, un essoufflement, de la fatigue et des rythmes cardiaques anormaux. Si elle n'est pas traitée, elle peut entraîner une insuffisance cardiaque, un arrêt cardiaque et une mort cardiaque subite.
C'est probablement la raison pour laquelle une enquête sur les chiffres officiels publiée par Public Health Scotland en avril 2022 a révélé qu'il y a eu une augmentation de 67 % par rapport à la moyenne historique du nombre de personnes âgées de 15 à 44 ans victimes d'une crise cardiaque, d'un arrêt cardiaque, d'une myocardite, d'un accident vasculaire cérébral. , et d’autres maladies cardiovasculaires depuis que cette tranche d’âge s’est vu proposer le vaccin Covid-19.
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Malheureusement, une étude menée par les Centers for Disease Control (CDC) et la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a montré que le risque de myocardite suite à la vaccination à ARNm contre le COVID est environ 133 fois plus élevé que le risque de base dans la population.
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Cela signifie que la vaccination contre le Covid augmente de 13 200 % le risque de souffrir de myocardite, une maladie auto-immune provoquant une inflammation du cœur.
Il ressort clairement des données présentées que les vaccins Covid-19 produits par Pfizer et Moderna ont eu un impact significatif sur la santé de millions de personnes dans le monde.
Les chercheurs ont mesuré la concentration de radioactivité totale dans le sang, le plasma et les tissus des rats à différents moments après l'injection. L’accumulation du vaccin dans les ovaires suscite des inquiétudes quant à son impact potentiel sur la fertilité et la santé reproductive.
RépondreSupprimer- voir tableau sur site -
L’une des conclusions les plus préoccupantes de l’étude sur le vaccin Pfizer Covid-19 est le fait qu’il s’accumule dans les ovaires au fil du temps.
Au cours des 15 premières minutes suivant l'injection, la concentration totale de lipides dans les ovaires était de 0,104 ml, mais elle est passée à 1,34 ml après seulement une heure, 2,34 ml après quatre heures et 12,3 ml après 48 heures.
Même si les scientifiques qui ont mené l'étude n'ont pas poursuivi leurs recherches au-delà de 48 heures, il n'est pas clair si cette accumulation s'est poursuivie.
Ces résultats soulèvent de sérieuses questions quant aux effets potentiels à long terme du vaccin Pfizer sur la fertilité et la santé reproductive.
Mais selon les données publiées par Public Health Scotland, le nombre de personnes souffrant d'un cancer de l'ovaire a considérablement augmenté en 2021 par rapport à l'année précédente et à la moyenne 2017-2019.
Cela pourrait potentiellement être lié à l’accumulation du vaccin Pfizer COVID-19 dans les ovaires, comme le révèle une étude sur des rats.
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Cancer de l'ovaire – Source
Les décès de nouveau-nés en Écosse ont également atteint un niveau critique pour la deuxième fois en sept mois seulement, selon les chiffres officiels.
Le taux de décès néonatals en mars 2022 était de 4,6 pour 1 000 naissances vivantes, soit une augmentation de 119 % par rapport au taux de décès attendu.
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Cela signifie que le taux de mortalité néonatale a dépassé un seuil d’alerte supérieur connu sous le nom de « limite de contrôle » pour la deuxième fois après le déploiement des vaccins Covid-19 auprès des femmes/femmes enceintes.
RépondreSupprimerLa dernière fois que cette limite a été dépassée, c’était en septembre 2021, lorsque les décès néonatals pour 1 000 naissances vivantes ont atteint 5,1. Ces niveaux sont comparables à ceux généralement observés à la fin des années 1980.
À l’époque, le PHS avait déclaré que le fait que la limite supérieure de contrôle ait été dépassée « indique qu’il existe une probabilité plus élevée qu’il existe des facteurs au-delà de la variation aléatoire qui ont contribué au nombre de décès survenus ».
Cette nouvelle est choquante et soulève de sérieuses inquiétudes quant à la sécurité des vaccins contre le Covid-19.
Mortalité accrue
Il est alarmant de voir dans les chiffres trouvés dans un rapport publié par le gouvernement britannique intitulé « Deaths by Vaccination Status, England, 1 January 2021 to 31 May 2022 », et accessible sur le site de l'ONS ici , et téléchargé ici , qu'en chaque mois entre janvier et mai 2022, les personnes âgées de 18 à 39 ans qui étaient partiellement ou entièrement vaccinées étaient plus susceptibles de mourir de causes non liées à Covid que leurs homologues non vaccinés.
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La situation est particulièrement désastreuse pour les individus triplement vaccinés, dont les taux de mortalité n’ont fait qu’empirer mois après mois depuis la vaste campagne de rappel de décembre 2021.
Ces chiffres choquants, fournis par l'Office britannique des statistiques nationales, confirment que les vaccins Covid-19 augmentent considérablement le risque de décès d'une personne.
Il est clair que non seulement les vaccins ne parviennent pas à protéger les individus, mais qu’ils causent activement des dommages. Il est crucial que des mesures soient prises pour mettre un terme à leur propagation et enquêter sur les véritables dangers qu'ils représentent.
Mais cette situation n’est pas limitée aux 18-39 ans. C’est courant dans tous les groupes d’âge.
Les deux graphiques suivants montrent les taux de mortalité mensuels standardisés selon l’âge par statut vaccinal pour les décès non liés à Covid-19 en Angleterre entre janvier et mai 2022 pour tous les groupes d’âge –
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Source
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RépondreSupprimerSource
Vous pouvez lire ici une enquête complète sur les chiffres ci-dessus, ventilés par tranche d'âge .
Dépopulation par la vaccination contre le COVID-19
Les conséquences potentielles de la campagne de vaccination contre le Covid-19 sont alarmantes et pourraient conduire à un dépeuplement à l’échelle mondiale.
Le cœur est un organe vital et tout effet néfaste sur celui-ci pourrait avoir des conséquences dévastatrices. Cela est particulièrement vrai pour les adultes et les enfants jeunes et en bonne santé, car la myocardite peut ne provoquer aucun symptôme jusqu'à ce que la maladie ait atteint un stade grave.
Les données de Pfizer révèlent que 46 % des femmes enceintes ayant reçu le vaccin ont subi des effets indésirables, dont 58 % ont subi des effets indésirables graves allant de la contraction utérine à la mort fœtale.
De plus, des études ont montré que le vaccin s’accumule dans les ovaires au fil du temps, ce qui suscite des inquiétudes quant à son impact potentiel sur la fertilité.
Les chiffres officiels révèlent également que les taux de mortalité sont les plus élevés parmi les personnes vaccinées et les plus faibles parmi la population non vaccinée, dans tous les groupes d’âge.
Avec toutes ces preuves, il est clair que la campagne de vaccination contre le Covid-19 pourrait avoir de graves conséquences sur l’avenir de l’humanité.
Mais pourquoi ?
Il existe diverses raisons pour lesquelles certaines personnes peuvent vouloir dépeupler la planète.
L'une des raisons pourrait être la surpopulation, car certaines personnes pensent que les ressources de la Terre s'épuisent à un rythme insoutenable en raison de l'augmentation de la population.
D’autres personnes pourraient affirmer que le dépeuplement est nécessaire en raison de l’impact négatif que les humains ont eu sur l’environnement, et que la réduction de la population pourrait contribuer à atténuer certains de ces problèmes.
Certaines personnes peuvent également plaider en faveur du dépeuplement en raison des préoccupations concernant l'impact du changement climatique, car une population plus petite entraînerait probablement une réduction des émissions de gaz à effet de serre.
Enfin, certaines personnes peuvent simplement croire qu’une population plus petite serait plus gérable et plus facile à contrôler, et pourraient préconiser le dépeuplement pour cette raison.
Klaus Schwab et Bill Gates sont deux personnalités puissantes qui ont exprimé leur soutien à l’idée du dépeuplement par divers moyens, dont la vaccination.
(...) L'une des raisons pourrait être la surpopulation, car certaines personnes pensent que les ressources de la Terre s'épuisent à un rythme insoutenable en raison de l'augmentation de la population.(...)
RépondreSupprimerIl pourrait y avoir 100 000 milliards de personnes sur Terre que la Terre ne pèserait pas UN GRAMME de plus !! Çà alors !! Parce que TOUT ce qui est consommé est retourné vers la terre.
Grâce au programme de Nikola Tesla (HAARP) il pourrait pleuvoir en plein déserts ! Les tempêtes, cyclones, ouragans pourraient être évités ! La terre (22 % de la superficie planétaire) pourrait être habitable de partout !
Encore une info ? 8 milliards de personnes côte-à-côte tiendraient dans un triangle équilatéral de 49 km de côté !
L’Agence des droits civiques poursuit 2 entreprises qui ont licencié des travailleurs pour refus de vaccin contre la COVID
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 05 OCTOBRE 2023 - 23H40
Rédigé par Zachary Stieber via The Epoch Times
La Commission américaine pour l’égalité des chances en matière d’emploi (EEOC) a poursuivi deux entreprises pour avoir licencié des travailleurs qui avaient demandé des exemptions religieuses aux mandats de vaccination contre le COVID-19.
United Healthcare Services, un prestataire de soins de santé basé à Cleveland, et Hank's Furniture, basé en Arkansas, ont violé la loi fédérale en refusant les demandes d'exemption et en licenciant les travailleurs, selon les poursuites.
Le titre VII de la loi sur les droits civils de 1964 interdit la discrimination fondée sur la religion et oblige les entreprises à s'adapter à la pratique religieuse d'un travailleur, à moins que cela n'entraîne des « difficultés excessives ».
«Une fois qu'un employeur est informé que les croyances, pratiques ou observances religieuses sincères d'un employé l'empêchent de se faire vacciner contre la COVID-19, l'employeur doit fournir un aménagement raisonnable, à moins que cela ne pose une contrainte excessive», Debra Lawrence, une procureur régional de l'EEOC, a déclaré dans un communiqué. « Ni les prestataires de soins de santé ni les exigences de vaccination contre le COVID-19 ne sont exclus des protections du Titre VII contre la discrimination religieuse. »
Marsha Rucker, une autre avocate de l'EEOC, a déclaré que la poursuite contre le détaillant de meubles "devrait rappeler aux employeurs qu'ils doivent communiquer avec les employés demandant des accommodements pour leurs croyances religieuses et essayer de tenir compte de ces croyances chaque fois que cela est raisonnablement possible".
Elle a souligné une récente décision de la Cour suprême des États-Unis qui s'est prononcée en faveur d'un facteur du service postal américain qui avait intenté une action en justice après que le service avait refusé de répondre à sa demande de ne pas travailler le dimanche.
"Les employeurs doivent désormais respecter une barre plus élevée lorsqu'ils refusent un accommodement religieux", a déclaré Mat Staver de Liberty Counsel, un cabinet d'avocats qui porte des affaires similaires, dans un communiqué. « Les gens ne devraient pas avoir à choisir entre leur foi et leur travail. »
L’EEOC a déclaré en 2021 que les entreprises pourraient imposer des mandats de vaccination contre le COVID-19, mais qu’elles devraient fournir des accommodements religieux et médicaux.
United Healthcare a déclaré à Epoch Times dans un courrier électronique qu'elle prévoyait de « se défendre vigoureusement » contre cette poursuite.
"Entre autres choses, l'affirmation de l'EEOC selon laquelle l'employé en question était un travailleur à distance sans responsabilités professionnelles en personne est inexacte", a déclaré l'entreprise. "Nous continuons de respecter les convictions individuelles, tout en travaillant pour assurer la santé, le bien-être et la sécurité de nos collègues et de ceux que nous avons le privilège de servir."
RépondreSupprimerHank's Furniture n'avait pas d'avocats inscrits au rôle du tribunal et ne pouvait pas être contacté autrement.
Un travailleur à distance licencié
Amanda Stone, qui a commencé à travailler pour United en 2014, a été promue en 2016 à un poste de supervision. Elle a commencé à travailler à temps plein à domicile en 2018 en raison de coupes budgétaires. Depuis lors, le travail de Mme Stone n'implique aucune tâche en face-à-face ni la nécessité d'entrer dans les installations de United, selon l'une des poursuites.
Avec de nombreuses autres entreprises américaines, United Healthcare a annoncé en octobre 2021 un mandat pour le vaccin contre le COVID-19. L'obligation de vaccination ne s'appliquait apparemment qu'aux travailleurs qui devaient entrer dans les installations de l'entreprise ou rencontrer en personne des clients, des fournisseurs ou des membres. United a précisé que cela ne s'appliquait pas aux personnes travaillant à distance.
Mme Stone, cependant, a appris qu'elle devait se faire vacciner, selon la poursuite.
Mme Stone est une chrétienne qui a déclaré avoir des convictions religieuses sincères, notamment une opposition à l'avortement qui l'empêche de recevoir un vaccin contre le COVID-19. Les injections ont été développées ou testées à l’aide de lignées cellulaires dérivées de fœtus avortés.
Mme Stone a soumis une demande d'exemption religieuse le 6 octobre 2021, soulignant ses objections à la vaccination. United a publié un démenti le 26 octobre 2021.
Mme Stone a demandé à son patron comment faire appel de la décision. On lui a dit qu'elle ne pouvait pas faire appel mais qu'elle pouvait réessayer. Mme Stone l'a fait et sa demande a été refusée une deuxième fois. Elle n'a pas été informée à chaque fois de la raison pour laquelle elle avait été refusée.
United a déclaré à Mme Stone le 30 novembre 2021 qu'elle était mise en congé pour non-respect du mandat. United a déclaré que si elle ne recevait pas de vaccin, elle pourrait être licenciée. United l'a licenciée le 2 janvier 2022.
Le tribunal américain du sud de l'Ohio a été invité à empêcher United de discriminer des personnes sur la base de leur religion, en ordonnant à United de verser à Mme Stone un arriéré de salaire avec intérêts, un paiement initial ou une réintégration, et de fournir une compensation pour les pertes résultant de sa discrimination.
RépondreSupprimerL'entreprise a déclaré qu'elle n'accorderait jamais d'exemption
Kaitlyn O'Neal a commencé à travailler pour Hank's Furniture en 2020 et a été promue en 2021 au poste de directrice adjointe.
Mme O'Neal a été informée par l'entreprise en juillet 2021 qu'elle prévoyait d'encourager les employés à recevoir un vaccin contre la COVID-19, selon l'autre poursuite. L’entreprise souhaitait que tous les managers reçoivent immédiatement une chance.
Mme O'Neal a déclaré qu'elle n'avait pas l'intention de se faire vacciner.
Plusieurs semaines plus tard, Mme O'Neal a informé l'entreprise qu'elle avait sincèrement des croyances religieuses qui l'empêcheraient de se faire vacciner et a demandé une exemption religieuse.
Hank's Furniture lui a envoyé des articles en ligne pour tenter de la faire changer d'avis, selon la poursuite. Lorsqu'elle a été contactée par l'entreprise, Mme O'Neal a répondu que non. Lorsqu'elle a demandé comment soumettre une demande écrite d'exemption religieuse, l'entreprise n'a pas répondu.
Lorsque Mme O'Neal s'est plainte, son manager et son superviseur ont déclaré que Hank's Furniture ne se souciait pas de ses raisons et que l'entreprise n'accorderait jamais d'exemption, a déclaré l'EEOC.
Le 20 août 2021, Hank's Furniture a annoncé que sa politique d'encouragement était devenue un mandat de vaccination. Les travailleurs qui n’auront pas reçu de vaccin avant le 31 octobre 2021 seront licenciés, indique-t-il.
Mme O'Neal a soumis une demande écrite d'accommodement, qui a été ignorée par l'entreprise.
Après avoir effectué un suivi, la société a déclaré que sa demande manquait gravement et a été rejetée. Mme O'Neal a demandé de l'aide pour déposer une demande en bonne et due forme, mais l'entreprise a refusé, avant de la licencier le 31 octobre 2021.
L'EEOC a demandé au tribunal américain du nord de la Floride d'accorder à Mme O'Neal des arriérés de salaire avec intérêts et d'ordonner à Hank's Furniture de payer un salaire initial ou une réintégration, une indemnisation pour les pertes et les dommages. L'entreprise devrait également être empêchée de discriminer les travailleurs sur la base de la religion, a indiqué l'agence.
RépondreSupprimerhttps://www.zerohedge.com/political/civil-rights-agency-sues-2-businesses-fired-workers-over-covid-vaccine-refusal
Walmart prévient que les utilisateurs de médicaments amaigrissants mangent moins, mais Cheez-It Maker n'abandonne pas les Fatsos américains
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 05 OCTOBRE 2023 - 22H20
Il y a deux mois, nous avons demandé si l'engouement américain contre l'obésité, grâce aux médicaments amaigrissants à base de GLP-1, tels que Wegovy et Mounjaro fabriqués par Novo Nordisk et Eli Lilly, conduirait à une « révolution alimentaire », et nous avons écrit qu'« avec le L'industrie alimentaire américaine est devenue grosse et paresseuse, confiante dans l'hypothèse que rien ne changera jamais avec l'engouement américain pour la restauration rapide, les hamburgers gras et la malbouffe grasse et carby, même le plus petit écart pourrait avoir des conséquences dévastatrices pour un marché alimentaire que nous évaluons à un peu moins de 1 000 milliards de dollars par an en 2022. »
Pour souligner l'impact potentiel de l'utilisation croissante des médicaments GLP-1, nous avons établi un lien avec une récente présentation de Morgan Stanley (disponible pour les abonnés professionnels) qui a révélé qu'il y aurait probablement une réduction de 1,7 % (par rapport à la valeur de référence) des calories consommées...
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Sans surprise, MS a constaté un impact plus prononcé sur certaines catégories d'aliments chez les personnes prenant des médicaments amaigrissants.
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Il n’est pas non plus surprenant que les plus grands perdants semblent être les fast-foods et les pizzerias…
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... confiseries, biscuits et snacks salés...
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... ainsi que des fabricants de boissons sucrées et de snacks.
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Eh bien, il n'a pas fallu longtemps pour que l'engouement chronique des entreprises américaines pour l'obésité sociale explose et mercredi, Walmart a averti qu'il constatait déjà un impact sur la demande d'achat des personnes prenant le médicament contre le diabète Ozempic, Wegovy et d'autres médicaments coupe-faim.
"Nous constatons certainement un léger changement par rapport à la population totale, nous constatons un léger recul du panier global", a déclaré mercredi John Furner, PDG de la vaste opération américaine de Walmart, dans une interview. "Juste moins d'unités, un peu moins de calories."
RépondreSupprimerLe plus grand détaillant américain a déclaré qu'il étudiait les changements dans les modèles de ventes en utilisant des données « anonymisées » sur les populations d'acheteurs. Le géant de la vente au détail compare les acheteurs qui récupèrent une ordonnance pour ces médicaments dans ses pharmacies à des acheteurs qui sont par ailleurs similaires mais qui ne remplissent pas ces scripts chez Walmart. Il recherche ensuite des modèles de dépenses de ces groupes et indique que le premier groupe achète moins de nourriture.
Doug McMillon, PDG de Walmart, Inc., a déclaré en août que la popularité croissante de ces médicaments aidait ses ventes. bien que ce ne soit clairement pas des fast-foods riches en calories.
Walmart vend des médicaments GLP-1, une catégorie qui comprend Ozempic, par l'intermédiaire de ses pharmacies. En août, il a annoncé qu'il augmenterait les revenus du détaillant. Les ventes de ces médicaments aux États-Unis ont augmenté de 300 % entre 2020 et 2022, selon un récent rapport de Trilliant Health.
"Nous nous attendons toujours à ce que la nourriture, les consommables, ainsi que la santé et le bien-être, principalement en raison de la popularité de certains médicaments GLP-1, augmentent en pourcentage du total au cours du second semestre", a déclaré le PDG de Walmart, Doug McMillon, lors d'un appel avec des analystes en août.
Et tandis qu'un nombre croissant de PDG et d'investisseurs parlent de la manière dont les médicaments amaigrissants populaires pourraient changer l'économie et les affaires, nombreux sont ceux qui s'inquiètent de plus en plus des conséquences de la consommation calorique importante du pays pour leur entreprise (au moins jusqu'à ce que les paysans soient à court des 1 000 dollars). par mois dont il a besoin pour maintenir son habitude de manger du wegovy), certains PDG n'abandonnent pas la perspective du gros américain obèse avec un penchant incurable pour la malbouffe bon marché.
Plus tôt cette semaine, le PDG du fabricant des Pringles et Cheez-Its a déclaré que la société étudiait leur impact potentiel sur les comportements alimentaires.
"Comme tout ce qui a un impact potentiel sur notre entreprise, nous l'examinerons, l'étudierons et, si nécessaire, l'atténuerons", a déclaré Steve Cahillane, PDG de Kellanova, f/k/a Kelloggs, dans une interview, ajoutant que "Nous Je ne suis en aucun cas complaisant.
RépondreSupprimerCahillane a qualifié le médicament de « très, très tôt » mais a déclaré que la société étudiait son impact potentiel sur les comportements alimentaires afin de pouvoir réagir si nécessaire.
Le point de vue pragmatique, cependant, est peut-être le meilleur : Kellanova examine les niveaux de pénétration potentiels aux États-Unis et sur d’autres marchés, et pose les questions les plus simples : « Qui va s’en charger ? Qui va y participer ? Est-ce qu’ils y restent ? » a-t-il déclaré, énumérant les questions auxquelles l'entreprise tentera de répondre. "Il y a de plus en plus d'histoires sur les effets secondaires, nous étudions donc cela", a-t-il ajouté.
Enfin, il y a l'extension du vieux truisme : ne pariez jamais contre le consommateur américain... et ne pariez jamais contre le consommateur américain qui mange toute la malbouffe disponible gratuitement en sa présence immédiate.
Pour en savoir plus, veuillez consulter « L’engouement américain pour la lutte contre l’obésité mènera-t-il à une révolution alimentaire ».
https://www.zerohedge.com/medical/walmart-warns-weight-loss-drug-users-are-eating-less-cheez-it-maker-not-giving-americas
C-« Vaccinations » : fraude ou incompétence ?
RépondreSupprimer6 octobre 2023
par Assoc. Prof. Dr. Stephan Sander Faes
Les deux termes forts mentionnés ici – respectivement « fraude » et « incompétence » – n’exigent pas de preuves moins solides. Dans cet article, nous examinerons donc de près deux documents (quasi-)officiels en particulier : d'une part, le brevet US n° 10 485 884 B2 du 26 novembre 2019 par Sahin et al. (oui, c'est le fondateur de BioNTech) et d'autre part la documentation d'approbation de l'Agence européenne des médicaments (EMA) du 19 février 2021 concernant le principe actif de BioNTech/Pfizer, vendu sous la marque « Comirnaty ». . La comparaison de ces documents met en évidence des activités très douteuses des fabricants et du régulateur des médicaments, sans parler des « experts™ », de la « politique » et des « médias de premier plan et de qualité ».
Tout d'abord : les passages cités ci-dessous proviennent de ces deux documents accessibles au public liés ici, d'où proviennent également les captures d'écran que j'ai intégrées ici :
Brevet américain n° 10 485 884 B2, 26 novembre 2019, cessionnaire : Sahin et al. ( source )
EMA, document n° EMEA/H/C/005735/0000, 19 février 2021 ( source )
Les traductions allemandes proviennent de moi et sont « accompagnées » de captures d'écran pour plus de compréhensibilité.
Brevet américain n° 10 485 884 B2, 26 novembre 2019, cessionnaire : Sahin et al.
Ce qui frappe dans ce document, c’est d’abord la date, car les droits de brevet en question n’ont pas seulement été enregistrés ou publiés par l’Office américain des brevets plusieurs mois avant que la soi-disant « pandémie » ne soit déclarée par l’OMS. Au contraire, la documentation montre que la soumission (n° 14/388,192) est datée du 25 mars 2013, ce qui rend la référence répétitive selon laquelle les ingrédients actifs du modRNA ont été développés « en un temps record » semble pour le moins discutable. Précisons également au passage que les déposants font expressément référence à une « Demande internationale » (n° PCT/EP2012/001319) datée du 26 mars 2012 (!).
Mais nous devons examiner de plus près les détails bien plus importants. Le brevet américain n° 10 485 884 B2 concerne « l'immunothérapie, en particulier le traitement du cancer » (paragraphe 1 ; notez que le document n'est pas paginé et que les passages cités ci-dessous se trouvent à la page 43 du document PDF de 69 pages qui commence ; avant cela, il y a un nombre de graphiques, illustrations, etc.).
- voir doc sur site -
Sur la même page, un total de trois références pertinentes se trouvent plus bas dans le texte :
RépondreSupprimerLe brevet décrit l'application ciblée de cette thérapie anticancéreuse dans les ganglions lymphatiques, mais est décrit comme « très complexe » en raison de l'expérience médicale requise ; Les alternatives incluent, sans s'y limiter, l'administration ou l'inhalation intraveineuse ou intracutanée (c'est-à-dire par injection) des ingrédients actifs.
Les soi-disant « lipoplexes » (nananoparticules lipidiques) utilisés à cet effet sont constitués de deux parties principales, les graisses chargées positivement (orig. « liposomes ») et les parties modRNA ou ADN chargées négativement.
La charge électrique est essentielle au transfert (transfection) efficace des informations modRNA ou ADN dans la ou les cellules cibles.
Mais quels sont les problèmes identifiés concernant un tel accès ?
La plupart des membranes naturelles sont chargées négativement et, par conséquent, l’interaction électrostatique entre les « lipoplexes » chargés positivement et la membrane cellulaire chargée négativement peut jouer un rôle dans l’absorption de ces « lipoplexes » dans la cellule.
Qu'est-ce qui pourrait mal se passer?
- voir doc sur site -
Malheureusement, une toxicité accrue a été observée pour les liposomes et lipoplexes chargés positivement, ce qui peut poser un problème pour l'utilisation de préparations telles que des médicaments.
Il s’agit d’un problème fondamental – un risque – car les agents mod-ARN de BioNTech/Pfizer et Moderna utilisent la même technologie que celle décrite ici pour leurs injections corona. Pour mieux comprendre les préoccupations qui en résultent, il faut prendre un moment pour considérer les qualités électrostatiques spécifiques de ces « lipoplexes ».
Tampon pH, nanoparticules modRNA et les risques associés
C'est inévitable, comme il est dit un peu plus bas dans le texte du brevet de BioNTech comme suit :
- voir doc sur site -
L'utilisation de tampons, souvent nécessaires pour les applications pharmaceutiques et les ions, peut conduire à une agrégation des lipoplexes, les rendant impropres à une utilisation parentérale chez les patients.
Notons : les tampons pH sont nécessaires, conduisent potentiellement à une « agrégation des lipoplexes » et sont donc « inadaptés » à une « utilisation parentérale » – c’est-à-dire à une administration intracutanée par injection ou « vaccination ».
RépondreSupprimer- voir doc sur site -
De plus, l’utilisation de « chlorure de sodium » (vulgo : solution saline) n’est pas adaptée car elle conduit à « une taille de particules considérablement augmentée/agglomérée ». Résultat : « une charge positive ne convient pas pour stabiliser les lipoplexes » et « il faut s’attendre à la formation d’amas ».
On note donc que les qualités électrostatiques « correctes » sont essentielles pour assurer le fonctionnement prévu des principes actifs modRNA. Ce sont d’ailleurs ces aspects biochimiques qui, comme le soulignent Sahin et al. comme indiqué dans la demande de brevet, contribuent à l'instabilité des lipoplexes (« nanoparticules lipidiques »), avec pour conséquence la formation d'amas.
Les tampons de pH tels que la solution saline tamponnée au phosphate (PBS en abrégé, de solution saline tamponnée au phosphate ) sont des solutions salines dites isotoniques qui sont largement utilisées dans la recherche biochimique en raison de leur valeur de pH constante (7,4).
Cependant, selon les documents de brevet de BioNTech, ceux-ci ont des effets potentiellement graves sur l'homme en termes de toxicité, car il a été prouvé qu'ils conduisent à la formation d'amas :
- voir doc sur site -
Ces faits étaient bien connus au moment de l’« approbation conditionnelle de mise sur le marché » de l’EMA.
Que savait l’EMA à l’hiver 2020/21 ?
Bref : pas trop, comme le montre ce passage de la page 140 (« MAH » = « Marketing Authorisation Holder », c'est à dire le fabricant avec une AMM conditionnelle ») :
- voir doc sur site -
Les deux ingrédients ALC-0315 et ALC-0159 sont, comme le montre la page 23 du même document - contrairement aux autres composants du médicament Comirnaty - classés comme « nouveaux excipients » car ils n'ont « jamais été utilisés auparavant dans un médicament utilisé en Europe » et « non enregistré dans la Pharmacopée européenne » (le répertoire en ligne de tous les médicaments ou ingrédients).
De plus, ces composants ALC-0315 et ALC-0159 ne sont pas enregistrés dans le registre C&L de l'Agence européenne des produits chimiques (ECHA), même si cette agence est mandatée pour enregistrer tous les produits chimiques utilisés dans l'UE/EEE.
RépondreSupprimerEt cela malgré le fait que l'UE ( source ) elle-même déclare que « les produits chimiques non enregistrés ne peuvent pas être commercialisés ».
Le « document d’approbation » de l’EMA lié au début indique également :
Aucune étude de génotoxicité ou de cancérogénicité n'a été rapportée. Les composants du vaccin sont des lipides et de l’ARN, qui ne devraient pas avoir de potentiel génotoxique (p. 55)…
Aucune étude de génotoxicité ou de cancérogénicité n'a été réalisée. Les composants du vaccin (lipides et ARNm) ne devraient pas avoir de potentiel génotoxique. Ceci est acceptable pour le CHMP [Comité des médicaments humains, ndlr] (p. 56).
Ceci et « l’autorisation conditionnelle de mise sur le marché » sont en contradiction avec le règlement européen 2018/1881 , dans lequel, entre autres, les règles relatives aux nanomatériaux sont énoncées comme suit (308/6, mes italiques) :
L' évaluation doit toujours contenir une déclaration indiquant si la substance ou, le cas échéant, ses nanoformes répondent aux critères du règlement (CE) n° 1272/2008 pour la classification comme cancérogène de catégorie 1A ou 1B, mutagène sur les cellules germinales de catégorie 1A ou 1B ou toxique. pour la reproduction Répondre à la catégorie 1A ou 1B.
Cependant, au 7 décembre 2021, cela était toujours signalé comme « aucune information disponible » dans la documentation associée de Pfizer :
- voir doc sur site -
Il en va de même pour les études toxicologiques, qui n’avaient pas été réalisées en décembre 2021 :
- voir doc sur site -
Incompétence ou corruption ?
RépondreSupprimerTout cela indique des problèmes massifs avec « l'autorisation de mise sur le marché conditionnelle » initiale, puisque les problèmes – qui, en plus du produit BioNTech/Pfizer, affectaient également l'ingrédient actif modRNA de Moderna – étaient connus dans les documents de brevet « avant Corona ». .
Dans tous les cas, la question essentielle se pose : que savaient les autorités d'agrément et de contrôle (sic) de ces documents et quand ?
Les conséquences de l’utilisation de solutions salines tamponnées au phosphate pour « étirer » les principes actifs conduisent à s’interroger sur la compétence des « experts » des autorités d’approbation et de réglementation en raison des seules qualités électrostatiques des nanomatériaux lipidiques ; car le rôle des charges positives ou négatives sur les nanomatériaux n’a essentiellement rien à voir avec les composants « nouveaux » des principes actifs modRNA.
Cela pose donc la question de la qualité non seulement des principes actifs Corona, mais aussi des autres produits « contrôlés » par les autorités d’approbation et de réglementation, qui sont utilisés quotidiennement dans les pharmacies, les cabinets médicaux et les hôpitaux sans autre souci.
Le silence (immobile) des autorités de contrôle
Grâce au remplacement tacite des solutions salines tamponnées au phosphate dans les produits modRNA de BioNTech/Pfizer et Moderna à partir de l’automne 2021, on peut au moins voir les géants pharmaceutiques s’éloigner des problèmes électrostatiques connus « avant Corona ».
La grande « innovation » était que la congélation des produits modRNA, qui posait auparavant des problèmes, n’était désormais plus nécessaire. (Cela était nécessaire précisément parce que les nanoparticules ne resteraient pas stables ou n’auraient pas suffisamment d’intégrité.)
Comme l'a noté l'EMA sur son site Internet dans un communiqué de presse (18 octobre 2021) , la « formulation désormais prête à l'emploi de Comirnaty… n'a pas besoin d'être diluée avant l'administration » et peut être « conservée à 2-8°C ». pendant un mois maximum ». Les améliorations dans « les options de stockage, de transport et de logistique pour la distribution et l’administration du vaccin » ont été clairement soulignées, mais pas le rôle joué par les solutions salines tamponnées au phosphate (électrolytes) dans la stabilité ou l’intégrité des principes actifs.
Le listing du principe actif modifié « Comirnaty Tris/Sucrose » montre que la composition est quasiment identique à celle du produit autorisé sous condition fin 2020 – à l’exception des solutions salines tamponnées au phosphate (électrolytes). Cela s'applique d'ailleurs également au matériel modRNA de Moderna, comme le montre la documentation soumise à l'EMA le 11 mars 2021 (p. 26) :
- voir doc sur site -
BioNTech/Pfizer et Moderna ont laissé « le reste » des principes actifs inchangés, mais utiliseront les mêmes tampons (trométhamol ou trométhamol CHI) à partir de l’automne 2021.
RépondreSupprimerDr. Gabriele Segalla, PDG et « scientifique en chef » de la société italienne Multichem R&D , résume ces changements tacites dans l'article « Chemical-Physical Criticality and Toxicological Potential of Lipid Nanomaterials Contained in a COVID-19mRNA Vaccine », International Journal of Vaccine Theory. , Practice, and Research , 3 (1) (2023) : 787-817, résumé comme suit (pp. 808-12, mes soulignements, traduction ; source ) :
Ce processus d'exclusion des électrolytes peut paraître banal au profane, mais en réalité il est éclairant pour les experts dans le domaine des systèmes colloïdaux ...
D'un point de vue technique, dans la nouvelle formulation prête à l'emploi, l'ancien tampon pH PBS (électrolytique, inorganique) a été éliminé et remplacé par un autre tampon très courant, le tampon dit Tris, utilisé en biologie pour préparer Les solutions à pH contrôlé (notamment pour les acides nucléiques) sont largement utilisées…
Malheureusement, la mesure dans laquelle le profil de stabilité a été amélioré par rapport à la version précédente n'est pas révélée ...
Malheureusement, les réponses à ces questions ne viendront probablement jamais car elles seront probablement classées comme informations commerciales confidentielles et donc sujettes à suppression. Néanmoins , la conclusion logique selon laquelle le vaccin PBS/saccharose Comirnaty (injecté en milliards de doses) a dû être modifié non seulement pour le rendre plus facile à utiliser mais surtout pour améliorer sa stabilité, reste incontournable ...
À la page 814, Segalla souligne les conséquences de cette approche :
Toutes les recommandations énumérées dans le brevet BioNTech de 2019 susmentionné ont été sans vergogne contredites ou ignorées depuis 2020 tant par Pfizer-BioNTech que par les organismes de certification , tant en (ionique/électrolytique)ce qui concerne le type de formulation Comirnaty (injection intramusculaire).
En fin de compte, le médicament Comirnaty/PBS Sucrose de Pfizer-BioNTech, approuvé par l'EMA en 2020, présente des problèmes physico-chimiques et toxicologiques graves et évidents , qui sont en contradiction flagrante avec les recommandations spécifiques et pertinentes que BioNTech elle-même a formulées dans son brevet ci-dessus. mentionné .
Bien sûr, la « pandémie » déclarée par l’OMS est un phénomène aux multiples facettes, mais dans tous les cas, elle sera probablement bientôt traitée par les tribunaux, idéalement jusqu’à la responsabilité pénale et civile personnelle des patrons de moules et des membres du conseil d’administration de BioNTech/Pfizer. et Moderna ou les acteurs des autorités de surveillance et d'octroi des licences.
RépondreSupprimerL’approbation, la promotion et l’administration continues de ces produits modRNA ne sont guère plus qu’une infraction pénale avérée qui se produit chaque jour contre notre meilleur jugement.
Quiconque continue de faire preuve d’ignorance au sein des autorités de contrôle et de régulation ou parmi les « experts », hommes politiques et « journalistes » au vu de ces documents, fait simplement preuve de sa propre incompétence, ce qui, comme nous le savons, ne nous protège pas d’une sanction.
https://tkp.at/2023/10/06/c-impfungen-betrug-oder-inkompetenz/
Nouvelle-Zélande : le ministère de la Santé a distribué des exemptions secrètes de vaccination
RépondreSupprimer6 octobre 2023
de Thomas Oysmüller
Une enquête menée en Nouvelle-Zélande révèle que le ministère de la Santé a délivré des exemptions secrètes de vaccination pour les cadres supérieurs et les médecins. L’infirmière non vaccinée, en revanche, a perdu son emploi.
En Nouvelle-Zélande, il y avait un régime draconien de Corona sous la Première ministre Jacinda Ardern. De nombreux groupes professionnels étaient de facto soumis à une obligation de vaccination – mais cela ne s’appliquait pas à tout le monde, comme il s’avère aujourd’hui. Des centaines de personnes y étaient officiellement (mais secrètement) exemptées du traitement à l’ARNm. Tous les gens sont égaux, certains sont plus égaux. Parce qu’Ardern a déclaré à la télévision à tous les Néo-Zélandais que sans vaccination, ils perdraient leur emploi.
Dispense de vaccination pour les VIP
C'est ce qu'a révélé l'Institut national du service public de santé, qui a demandé combien d'entreprises avaient demandé une exemption de vaccination.
Le 2 août 2023, le Parlement a posé la question suivante au ministère de la Santé :
« En vertu de la législation de l’époque, en 2021, il existait des exemptions opérationnelles pour ceux qui ne se faisaient pas vacciner contre le Covid 19. Votre site Web décrit le processus de demande d'exemption d'exploitation en vertu de la clause 12a. Combien de demandes avez-vous reçues ? Combien ont été approuvés par le ministère ?
Matt Hannant, directeur par intérim de la prévention au Service national de santé publique, Te Whatu Ora, a répondu :
« Du 13 novembre 2021 au 26 septembre 2022, un total de 478 demandes d'exemption en cas d'interruption importante de service (SSD) ont été reçues. 103 demandes ont été approuvées, touchant environ 11 005 travailleurs. Veuillez noter qu’il n’est pas possible de fournir le nombre exact de travailleurs couverts par les SSD. En effet, une organisation peut postuler pour plus d’un employé.
Cependant, il est peu probable que l’ensemble des 11 005 salariés aient bénéficié d’une quelconque exemption. Le journaliste Guy Hatchard a souligné que les exemptions avaient été jugées en fonction de « l'importance » des personnes. « Les hauts responsables et ceux occupant des postes chirurgicaux clés pourraient en fait insister pour qu’ils ne soient pas vaccinés et soient autorisés à continuer à travailler. Tandis que les infirmières non vaccinées, par exemple, n’ont pas pu obtenir de dispenses et ont perdu leur emploi.»
RépondreSupprimerL'ampleur de l'hypocrisie
Hatchard poursuit :
« Une source a déclaré que 95 consultants dans la seule région de Dunedin ont bénéficié de l'exemption vaccinale. Une autre source a évoqué un groupe de médecins travaillant dans le Northland qui se sont mis d’accord entre eux pour ne pas être vaccinés. Le nombre total semble se chiffrer en centaines, voire davantage.
Il semble que les exceptions accordées aient été limitées par des ordonnances de blocage. En d’autres termes, ils ne pouvaient dire à personne qu’ils bénéficiaient d’exemptions – il s’agissait d’un processus secret que le ministère de la Santé cherchait désespérément à cacher au public.
En Nouvelle-Zélande, tous les médecins qui ont mis en garde contre les risques liés au traitement par ARNm ont été sanctionnés, voire suspendus dans certains cas. Dans le même temps, le ministère de la Santé a distribué des dispenses de vaccination aux médecins et aux « experts ». Hatchard résume : En raison du régime gouvernemental, les médecins conseillaient toujours à leurs patients de se faire injecter de l’ARNm, même s’ils n’avaient pas eux-mêmes été vaccinés, « une recette pour une hypocrisie généralisée ».
Mais cela montre aussi un manque de courage :
« Si les cadres supérieurs qui souhaitaient ne pas être vaccinés s’étaient exprimés publiquement, la question de la sécurité des vaccins Covid aurait pu être soulevée publiquement. Au lieu de cela, le ministère de la Santé et le gouvernement ont gardé toute discussion secrète.»
https://tkp.at/2023/10/06/neuseeland-gesundheitsministerium-verteilte-geheime-impfbefreiungen/
L’interdiction du traitement de la pneumonie avec des antibiotiques en 2020 a provoqué des maladies et des décès
RépondreSupprimer6 octobre 2023
par le Dr. Peter F. Mayer
L’un des chapitres les plus sombres de la pandémie de Corona décrété par l’OMS est l’interdiction du traitement de la pneumonie bactérienne avec des antibiotiques. Jusqu’alors, c’était la norme médicale en cas de grippe ou d’infections pseudo-grippales lorsque les symptômes s’aggravaient. Mais au début de l’été 2020, ce traitement a été interdit et rien n’a été fait jusqu’à ce qu’une ventilation invasive, généralement mortelle, devienne nécessaire.
En fait, selon le registre des décès de l'UE EuroMOMO, la mortalité globale en Europe a fortement augmenté au début de l'été 2020, juste au moment où l'OMS - et donc aussi les autorités sanitaires telles que l'Agence européenne des médicaments EMA et les directives nationales de traitement - recommandaient une ventilation précoce et dans le même temps, des antibiotiques tels que l'azithromycine sont classés comme critiques et potentiellement nocifs pour le cœur dans le traitement corona. Un rapport détaillé à ce sujet, y compris les sources, peut être trouvé dans cet article du TKP du 26 juillet 2023 .
Dans un article de Substack, trois professeurs et scientifiques britanniques Norman Fenton, Jonathan Engler et Martin Neil examinent comment l’utilisation des antibiotiques a changé pendant la « pandémie » de Covid-19. Et qu’est-il arrivé aux fournitures d’antibiotiques qui, selon Fauci, seraient nécessaires en cas de pandémie ?
Ils rappellent que les antibiotiques sont essentiels en cas de pandémie. Ce point de vue est étayé, entre autres, par le fait qu'Anthony Fauci concluait dans son article de 2008 dans le Journal of Infectious Diseases (dans lequel il rendait compte des autopsies de victimes bien conservées de la grippe espagnole) que :
« La prévention, le diagnostic, la prophylaxie et le traitement de la pneumonie bactérienne secondaire, ainsi que la constitution de stocks d'antibiotiques et de vaccins bactériens, devraient également être une priorité élevée dans la planification d'une pandémie. »
Ils explorent ensuite la question de savoir ce qui est arrivé à ces actions pendant la « pandémie » de Covid – ou n’ont-elles pas été créées du tout ?
RépondreSupprimerPolitique britannique sur le traitement du Covid-19
Les preuves les plus accablantes se trouvent dans cette NICE Rapid Guideline (NG163) (publiée le 3 avril 2020), qui a depuis été supprimée. Cependant, il peut être trouvé via la Wayback Machine ici . NG163 est une voie palliative dans laquelle l’utilisation d’antibiotiques n’était pas recommandée. Cependant, il a recommandé l'utilisation du midazolam pour le traitement des patients âgés de 18 ans et plus souffrant de « troubles anxieux », même si le midazolam n'a pas été approuvé à cette fin au Royaume-Uni :
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Le BMJ a publié la directive NICE NG163 le 20 avril 2020 . En réponse, une réponse rapide a été envoyée par d'éminents experts en soins palliatifs, avertissant des dangers d'administrer aux patients qui toussent des traitements plus adaptés aux soins de fin de vie.
Outre la NG163, il existe également la directive NICE NG165, publiée au même moment, sur la prise en charge des pneumonies suspectées ou confirmées, qui interdit expressément l'utilisation d'antibiotiques dans les cas de Covid-19 :
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Les auteurs discutent ensuite des États-Unis et de l'Allemagne avec les mêmes données et résultats que dans l'article mentionné du TKP .
En Angleterre comme en Allemagne, on constate une forte baisse des prescriptions d’antibiotiques.
Un article a également été publié dans le BMJ en août 2021 , fournissant une analyse des tendances en matière de prescription dans les soins primaires en Angleterre au printemps 2020. Il conclut qu’il y a eu une augmentation spectaculaire du nombre de médicaments en fin de vie tels que le midazolam. Il affirme qu’il n’y a pas eu de changements spectaculaires dans la prescription d’antibiotiques en 2020, mais le graphique ci-dessous montre la baisse de la prescription d’hyclate de doxycycline par rapport aux attentes (ligne bleue) :
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Pour rappel, voici le graphique sur l'utilisation des antibiotiques publié par l'Ärzteblatt allemand à partir de l'article précédent du TKP.
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Les médecins défient les autorités sanitaires
Les médecins qui se sont opposés aux autorités sanitaires pour traiter leurs patients avec des antibiotiques ont rapporté des résultats surprenants.
Des médecins de Tolède , en Espagne, ont administré empiriquement des antibiotiques à des patients atteints du Covid-19 au printemps 2020, contrairement aux instructions officielles. Après avoir commencé le traitement de routine, il n’y a eu aucune hospitalisation ni aucun décès dans leurs maisons de retraite. La mortalité qui en a résulté était d’environ 7 % au printemps 2020, contre 28 % dans d’autres maisons de retraite comparables (et ces 7 % sont décédés avant le début des antibiotiques de routine).
Toujours en Roumanie, les médias ont rapporté qu'un médecin, Flavia Groșan, avait décrit le Covid-19 comme une « pneumonie atypique » et déclaré que des erreurs majeures avaient été commises en matière d'oxygénothérapie et d'intubation excessives :
« Trop d’oxygène pendant de trop longues périodes, dit Groșan, peut entraîner un œdème cérébral, qui à son tour peut entraîner la mort. »
Elle a donné à ses patients « suffisamment » d’oxygène pour leurs besoins, des antibiotiques et d’autres médicaments bon marché. À propos du choix des antibiotiques, elle a déclaré :
« Il n'existe que trois antibiotiques de la classe des macrolides : l'érythromycine, que tout le monde connaît, l'azithromycine et la clarithromycine. Je n'aime pas l'azithromycine car c'est une copie plus faible de la clarithromycine. J'ai participé à des essais cliniques très intéressants sur la pneumonie et j'ai découvert le tropisme viral de la clarithromycine ainsi que le rôle anti-inflammatoire de la clarithromycine, qu'aucun autre antibiotique ne possède. Je travaille avec cet antibiotique pour la pneumonie virale et atypique depuis 10 ans. Lorsque la pandémie a éclaté, j’ai choisi un traitement étiologique, la clarithromycine. Bien entendu, en plus de cet antibiotique, il existe plusieurs traitements de soutien car il ne suffit pas à lui seul. C'est un schéma thérapeutique qui m'appartient.
Elle rapporte qu'environ 1 000 patients ont obtenu un rétablissement à 100 % grâce à cette approche.
RépondreSupprimerÀ l'hôpital St. Paul de Vancouver, au Canada, Russell et Walley ont appris que le Covid-19 n'est pas mortel en soi, mais que c'est la septicémie qui provoque la défaillance d'un organe qui entraîne la mort. Dans cet article, ils écrivent :
« La pandémie que nous avons tous connue est en réalité une pandémie de sepsis due à une pneumonie liée au COVID. Quiconque meurt du COVID meurt en fait d’une septicémie et d’une pneumonie. Tout le monde."
La septicémie est la principale cause de décès dans le monde. Ils continuent de souligner l’importance des antibiotiques et d’autres mesures pour traiter le Covid-19 :
« Il s’agit d’un syndrome complexe qui peut nécessiter des antibiotiques, de l’oxygène, des médicaments pour stabiliser la tension artérielle et une dialyse pour soutenir l’insuffisance rénale. De plus, il n’existe aucun test de diagnostic pour détecter la septicémie, ce qui rend le diagnostic difficile.
L'utilisation de masques peut avoir augmenté les dégâts
On ne peut exclure que l’utilisation généralisée de masques, combinée à une politique volontairement restrictive en matière d’antibiotiques, ait eu des effets synergiques.
On sait depuis longtemps que la pneumonie bactérienne est souvent provoquée par des bactéries dites « commensales », c’est-à-dire celles qui colonisent normalement le nez et la bouche.
Il n'est donc pas surprenant que des colonies de ces bactéries (ainsi que des champignons) aient été trouvées sur presque tous les masques utilisés par les volontaires de cette étude japonaise publiée dans Nature .
Le système immunitaire moins efficace des personnes âgées est un autre facteur qui, en synergie avec les facteurs ci-dessus, pourrait avoir augmenté le risque de pneumonie bactérienne en raison des mesures imposées.
https://tkp.at/2023/10/06/so-hat-des-verbot-der-behandlung-von-lungenentzuendung-mit-antibiotika-2020-krankheit-und-tod-verursacht/
L’été de mourir subitement pendant son sommeil (entièrement vacciné contre l’ARNm du COVID-19). Ces décès s’accélèrent-ils réellement ?
RépondreSupprimer50 cas estivaux de décès par SADS pendant le sommeil
Par le Dr William Makis
Recherche mondiale,
6 octobre 2023
3 octobre 2023 – Columbus, OH – Brian Baseler, 31 ans, directeur des relations OneAmerica, est décédé subitement dans son sommeil. Il a reçu son rappel COVID-19 le 30 janvier 2022.
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26 septembre 2023 – New Jersey – Le rappeur et acteur de 46 ans Nashawn Breedlove, qui a joué dans le film d'Eminem « 8 Mile », est décédé subitement dans son sommeil.
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16 septembre 2023 – Hermosa Beach, Californie – Matthew Hobbie, 48 ans, ancienne star des deux sports des marins de Sarasota et joueur de baseball, est décédé subitement dans son sommeil.
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15 septembre 2023 – Californie – Le chanteur JC Gafford est décédé subitement dans son sommeil.
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14 septembre 2023 – Espagne – Bob Campenaerts d'Anvers, en Belgique, est décédé dans son sommeil lors de vacances à vélo en Espagne.
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11 septembre 2023 – NY – Christopher Mellblom est décédé subitement dans son sommeil le 11 septembre 2023 des suites d’un « problème cardiaque ».
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5 septembre 2023 – Melbourne, Australie – Melody Southon, 17 ans, une adolescente de Seabrook, est décédée dans son sommeil le 5 septembre 2023.
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3 septembre 2023 – Nashville, Tennessee – Heather Nichole Fink, 32 ans, est décédée subitement dans son sommeil le 3 septembre 2023. « J’ai reçu mon deuxième vaccin contre le COVID-19 hier… mon Dieu, mon corps ne va pas bien mdr.
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2 septembre 2023 – Pahoa, HI – Melissa Torrente, jeune mère de 2 enfants, enseignante et assistante sociale, est décédée subitement dans son sommeil le 2 septembre 2023.
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4 septembre 2023 – Italie – Le docteur italien Piero Realdon, 64 ans, est décédé subitement dans son sommeil le 1er septembre 2023.
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3 septembre 2023 – Australie – Eileen Ella Saunders est décédée dans son sommeil.
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Septembre 2023 – Dearborn, MI – Muhannad Majeed, chauffeur de camion de 41 ans, est décédé subitement dans son sommeil alors qu'il était sur son itinéraire de camionnage à Laredo, Texas.
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28 août 2023 – Italie – Michele Brigidi, 37 ans, est décédé subitement dans son sommeil le 28 août 2023. Il a été retrouvé mort dans son lit par ses parents.
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20 août 2023 – Royaume-Uni – Aaron Swift, 31 ans, est décédé dans son sommeil le 20 août 2023 « il est mort dans son sommeil sans aucun problème de santé ni avertissement préalable ».
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20 août 2023 – Adélaïde, Australie – William Pfeiffer, 14 ans, est décédé subitement dans son sommeil le dimanche 20 août 2023. Il n'avait aucun antécédent médical connu.
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19 août 2023 – Australie – Lindy Joy Turner, 39 ans, de Geelong, en Australie, est décédée dans son sommeil à Bali, en Indonésie, après avoir lutté contre un rhume et des difficultés respiratoires.
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19 août 2023 – Californie – Eileen McLoone est décédée subitement dans son sommeil le 19 août 2023.
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18 août 2023 – Warrington, Royaume-Uni – Anne-Marie Barber, 39 ans, est décédée dans son sommeil le 18 août 2023 après s'être plainte de douleurs abdominales ou de douleurs menstruelles.
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18 août 2023 – Royaume-Uni – Cameron Amor, 28 ans, est décédé dans son sommeil le 18 août 2023. L'autopsie a conclu : « Syndrome de mort subite de l'adulte ».
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16 août 2023 – New York – Riccardo Zebro, 34 ans, un chef italien qui cuisinait pour Robert De Niro, est décédé subitement dans son sommeil le 16 août 2023.
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16 août 2023 – Belluno, Italie – Valentina Cervasio di Meano, 50 ans, professeur d'espagnol et passionnée de randonnée en montagne, est décédée subitement dans son sommeil le 16 août 2023. Des membres de sa famille l'ont trouvée morte dans son lit.
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16 août 2023 – Italie – La photographe Anna Bruscaglin, 44 ans, s'est effondrée alors qu'elle assistait à une fête sur la plage à Squillace, en Italie, avec un groupe d'amis. Elle a été retrouvée morte dans la nuit du 16 août 2023.
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14 août 2023 – Rockville, MD – Susan Loftus est décédée subitement dans son sommeil alors qu'elle était en vacances à Higgins Beach dans le Maine, en faisant du bodyboard.
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13 août 2023 – Burlington, Vermont – Le chef Ahmed Omar, 36 ans, est décédé dans son sommeil le 13 août 2023.
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10 août 2023 – New Iberia, LA – Euclide Babin Jr, 36 ans, est décédé dans son sommeil le 10 août 2023. Il avait perdu plusieurs membres de sa famille, dont sa mère le 25 juillet 2022 et son oncle le 28 juillet. 2023.
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9 août 2023 – Dartmouth, Nouvelle-Écosse – Brian Scott Sutherland, 55 ans, est décédé subitement le 9 août 2023 à son domicile. Son partenaire, 59 ans, Robert Bobby Barkhouse, est décédé subitement dans son sommeil le 22 mars 2022.
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7 août 2023 – 21 août 2023 – Menifee, Californie – Krystle Ochoa, 41 ans, est décédée subitement dans son sommeil le 7 août 2023.
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6 août 2023 – Ronkonkoma, NY – Brian Flaherty, un joueur de la ligue de softball locale, est décédé subitement dans son sommeil des suites d'un arrêt cardiaque le dimanche matin 6 août 2023.
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5 août 2023 – Christchurch, Nouvelle-Zélande – Kaitlyn Baker, 17 ans, est décédée subitement dans son sommeil le 5 août 2023, « sans problème de santé sous-jacent ».
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5 août 2023 – Irlande – Gemma McKenna, enseignante du primaire, âgée de 20 ans, est décédée subitement à son domicile le samedi 5 août 2023.
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3 août 2023 – Manchester, Royaume-Uni – Becky Collins, 35 ans, est décédée subitement dans son sommeil le 3 août 2023. Elle a été retrouvée morte par son fils de 12 ans et sa nièce qui étaient en vacances pour une soirée pyjama.
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2 août 2023 – Tucson, Arizona – Jessica Ann Lerma Dodd, 60 ans, responsable des relations communautaires, est décédée subitement dans son sommeil le 2 août 2023. Elle est décédée avec la photo « J'ai reçu mon vaccin contre le COVID-19 » dans son profil Facebook.
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31 juillet 2023 – Los Angeles – Michelle Anne Dash, 59 ans, est décédée dans son sommeil le 31 juillet 2023. Elle travaillait dans un magasin de médecine alternative/suppléments. «J'ai une saine méfiance à l'égard de l'autorité – et je suis vacciné.»
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29 juillet 2023 – Middlesbrough, Royaume-Uni – Tony Harrison, 41 ans, a servi dans les Coldstream Guards de 1997 à 2004 et a même pris son petit-déjeuner avec la reine. Il s'est endormi dans la maison de sa sœur le 29 juillet 2023 et est mort dans son sommeil.
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28 juillet 2023 – Calgary, Alberta – Jennifer Allen, 36 ans, championne canadienne de la maternité de substitution, est décédée subitement dans son sommeil le 28 juillet 2023.
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Cliquez ici pour lire tous les cas.
https://www.globalresearch.ca/summer-dying-suddenly-sleeping-fully-covid-19-mrna-vaccinated-deaths-actually-accelerating/5834963
Lignes directrices de l'OMS d'avril 2020 : traitements à haut risque aux bénéfices douteux
RépondreSupprimer7 octobre 2023
par le Dr. Hans-Joachim Kremer
Quelle était la signification de la recommandation de l’OMS contre les antibiotiques au printemps 2020 ? Un article sur ce sujet est paru ici hier . Les scientifiques britanniques Fenton, Engler et Neil ont examiné au début de l’été 2020 le changement des directives dans plusieurs pays pour le traitement de la pneumonie. Ils n'étaient plus autorisés à être traités comme avant jusqu'à ce qu'une ventilation artificielle devienne nécessaire ou que le système immunitaire du patient soit capable de s'affirmer sans l'aide d'antibiotiques.
Je pense que l'article nécessite une classification plus approfondie. Il disait : « Le BMJ a publié la directive NICE NG163 le 20 avril 2020. » C’est formellement correct, mais seulement formellement. Il est possible, je pense même probablement, que le BMJ dissimulait quelque chose ici. En fait, un court article d'Ingrid Torjesen a été publié le 6 avril 2020 , qui présentait quatre nouvelles lignes directrices du NICE sur le C19 ; toutes les lignes directrices étaient datées du 3 avril 2020.
À mon avis, le fait le plus important de ces lignes directrices était la recommandation explicite d’une euthanasie utilisant du midazolam plus de la morphine en cas de triage. Les situations de triage fréquentes ont été alimentées par l’accent excessif mis sur la saturation en oxygène, la recommandation contre l’utilisation précoce d’antibiotiques en cas de pneumonie même légère (comme le recommande l’OMS en janvier 2020), la ventilation beaucoup trop précoce, et surtout la ventilation « artificielle ». , ce qui a amené encore plus de patients dans les unités de soins intensifs. Tous ces éléments ont joué ensemble dans le même sens : des traitements risqués aux bénéfices discutables. De toute évidence, « un » avait besoin de morts.
La question de la date est essentielle. La valeur maximale de surmortalité (Z-Score dans EuroMomo) a été atteinte en Angleterre au cours de la semaine civile (semaine) 15, qui était la semaine du 6 au 13 avril 2020. L'augmentation a commencé au cours de la semaine 12 (du 16 au 22 mars). , encore légèrement) et est devenu clairement significatif au cours de la semaine 13 (du 23 au 29 mars), c'est-à-dire que le score Z était bien supérieur au score allemand le plus élevé de la « première vague » et dépassait même la valeur maximale allemande de 2020 (au cours de la semaine 53). ). Les mesures meurtrières doivent donc avoir pris effet en Angleterre d'ici la mi-mars.
Est-il crédible que le NICE ait publié quatre lignes directrices le 3 avril 2020 - compte tenu de l'hystérie de l'époque, y compris des confinements - sans communiqué ni conférence de presse ? Est-il crédible que les médias médicaux les plus importants du pays, à savoir le BMJ, aient mis un délai confortable de 17 jours pour publier cela ?
Comment le NICE a-t-il pu produire quatre lignes directrices en peu de temps ? Y avait-il des connaissances préalables ?
Est-il concevable que le NICE ait élaboré de telles lignes directrices de sa propre initiative, c'est-à-dire sans la participation de leaders d'opinion bien connus ? Peu probable. Il est alors évident que des recommandations essentielles ont été diffusées dans les milieux spécialisés, à savoir les services de réanimation et les services de pneumologie, avant leur publication proprement dite. Cela explique probablement la forte augmentation de la mortalité à partir de la mi-mars 2020.
RépondreSupprimerLe 18 mars 2020 (soit la semaine 12), l' autorité britannique MHRA s'est sentie obligée d'émettre un avertissement sur les risques mortels liés à la co-administration de benzodiazépines (par exemple le midazolam) et d'opioïdes (par exemple la morphine). Pourquoi si tôt alors que les lignes directrices du NICE n’étaient censées être publiées que le 3 avril ? Qui a réellement remarqué cet avertissement ?
En mars 2020, Matt Hancock, alors ministre britannique de la Santé, a ordonné l'achat d'un approvisionnement de 2 ans en midazolam auprès de la France . Comment cela pourrait-il se produire en mars si ce n’était pas une connaissance ou une intention préalable ?
En général, il était probablement clair pour la plupart des médecins que les opiacés tels que la morphine n'étaient pas un médicament particulièrement utile pour les patients souffrant d'essoufflement. Avec la benzodiazépine, cette combinaison devait être fatale. Cela n’était peut-être pas clair pour tout le monde, mais c’était clair pour la plupart des médecins.
https://tkp.at/2023/10/07/who-leitlinien-aus-april-2020-risikoreiche-behandlungen-von-fragwuerdigem-nutzen/
« Administration » massive d’armes biologiques à ARNm aéroportées pour le prolétariat : une atrocité !
RépondreSupprimerPar Gary D. Barnett
Recherche mondiale,
6 octobre 2023
« Le gouvernement américain n’a jamais hésité à utiliser ses propres citoyens comme sujets de test involontaires pour ses expériences sur les armes biologiques. Bien qu'il existe de nombreux cas bien connus, cela s'est produit des centaines de fois dans l'histoire des États-Unis, démontrant le mépris total que les dirigeants ont eu et ont encore envers la population de ce pays.» – ( Gary D. Barnett, chapitre 12, p. 260 , « Quand la Chine éternue » Cynthia McKinney (éditrice)
* * *
Il est important de jeter les bases de l’histoire d’empoisonnement, d’expérimentation massive, de rendu malade et de meurtre de sa propre population par les États-Unis, dans le but de tester leurs armes biologiques en vue d’une utilisation militaire odieuse de guerre biologique. Il n'y a qu'un pas entre cette pratique odieuse et l'utilisation de cette même population comme cobaye, dans un complot de « vaccination » de masse, complètement secret et sans consentement.
La capacité de faire cela a été vérifiée, admise et décrite par la Yale School of Engineering and Applied Science tout récemment. Cela a été rapporté par certains sites alternatifs, mais de nombreux négationnistes traditionnels affirment déjà qu'aucun programme de « vaccination » secret ne serait tenté. L’histoire raconte une autre histoire.
Pour n’en citer que quelques-uns, et à partir de 1932 :
Étude de Tuskegee sur la syphilis ; où 600 hommes noirs ont été utilisés comme fourrage pour une horrible expérience sur la syphilis, et n'ont délibérément reçu aucun traitement, provoquant de nombreuses morts horribles.
Opération Embruns Marins ; un scénario d'attaque biologique à San Francisco en 1950 par la marine américaine, pulvérisant secrètement des bactéries provoquant la pneumonie sur la ville afin de surveiller les niveaux d'infection chez les résidents. En fait, l’armée américaine a mené 239 tests de guerre bactériologique dans des zones peuplées d’Amérique.
Opération Big Buzz ; était un lâcher par l'armée américaine de moustiques infectés par la fièvre jaune (supposément non infectés) en 1955 au-dessus de Savannah, en Géorgie, juste pour surveiller les effets sur les personnes sans méfiance. Il y a eu au moins neuf autres opérations de ce type tout au long des années 1950 et au-delà, dont l'opération Big Itch, l'opération Magic Sword, l'opération Drop Kick, l'opération May Day, également à Savannah, l'opération Dew, l'opération Polka Dot, l'opération Dark Winter, l'opération Whitecoat. et Opération LAC.
Projet 112 ; en 1962, les tests d'armes biologiques ont commencé à augmenter considérablement, avec l'autorisation de Robert McNamara , alors secrétaire à la Défense des États-Unis. Cela a été réalisé dans le métro de New York et a exposé des dizaines de milliers d’Américains à des bactéries mortelles.
En 1965, des prisonniers de Philadelphie ont été utilisés comme cobayes et soumis à la dioxine, l’horrible toxine chimique cancérigène utilisée dans l’Agent Orange. Cela a été fait pour vérifier l'infection cancéreuse qui en résultait parmi ces prisonniers captifs. En fait, la prison de Holmesburg en Pennsylvanie, surnommée le « Terrordome », a fait des expériences sur des prisonniers pendant des décennies jusqu'à sa fermeture en 1995. L'horreur est un exemple.
RépondreSupprimerN’oubliez pas que ce ne sont là que quelques exemples d’expérimentations cachées et de terreur contre des citoyens américains sans méfiance par le gouvernement américain, l’armée et les sociétés pharmaceutiques. Il existe littéralement des centaines d’exemples de ce type de mal commis sur une période d’un siècle, et cela se produit encore d’une manière ou d’une autre aujourd’hui.
Cela ne tient pas compte de l’horreur qui s’est produite lors de la fausse alerte à la « pandémie de Covid » ; un événement sous fausse bannière visant à injecter au plus grand nombre possible des poisons toxiques expérimentaux, cancérigènes, destructeurs de santé et extrêmement mortels, appelés « vaccin covid ». Des millions de personnes ont été menacées, ont perdu leur emploi, ont menti sur leur réussite et leur sécurité et ont été exposées à de nombreuses maladies potentiellement mortelles et aux effets néfastes de ces injections d’armes biologiques empoisonnées.
Aujourd'hui, les « chercheurs » de Yale ont déclaré qu'ils disposaient d'un nouveau système d'administration de nanoparticules à base d'ARN messager aéroporté (ARNm), inhalable et ciblé sur les poumons, pour la « vaccination » aérienne ou muqueuse. Il est destiné à une « vaccination » à grande échelle et pourrait ( serait, à mon avis) utilisé pour une distribution à grande échelle et secrète de ce poison aux masses à leur insu ou sans leur consentement ; bien sûr, à moins que cela ne se produise déjà en raison de la pulvérisation chimique constante du ciel du monde entier avec une distribution de nanoparticules très nocives. Selon l' étude de Yale :
« Une plateforme inhalable pour les traitements à base d’ARN messager (ARNm) permettrait une administration mini-invasive et ciblée sur les poumons pour une multitude de maladies pulmonaires. Le développement de thérapies à base d'ARNm ciblant les poumons a été limité par la faible efficacité de la transfection et le risque de pathologie induite par le véhicule.
Nous rapportons ici un véhicule inhalable à base de polymère pour l’administration d’ARNm thérapeutiques dans les poumons. Nous avons optimisé les polyplexes [nanoparticules] biodégradables de poly(amine-co-ester) (PACE) pour la délivrance d'ARNm en utilisant des modifications de groupe terminal et du polyéthylène glycol. Ces polyplexes ont permis d'obtenir une transfection élevée d'ARNm dans tout le poumon, en particulier dans les cellules épithéliales et présentatrices d'antigènes.
Nous avons appliqué cette technologie pour développer un vaccin muqueux contre le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère et avons découvert que la vaccination intranasale avec des polyplexes d'ARNm codant pour la protéine de pointe induisait une puissante immunité adaptative cellulaire et humorale et protégeait les souris sensibles d'une provocation virale mortelle. Ensemble, ces résultats démontrent le potentiel traductionnel des polyplexes PACE pour l’administration thérapeutique de l’ARNm aux poumons.
RépondreSupprimerEn termes qu'une personne normale peut comprendre, cela signifie qu'une soupe biologique toxique remplie de nanoparticules mortelles altérant l'ARN/ADN, peut être administrée aux poumons de chacun à son insu, afin d'y insérer des « protéines de pointe » codées pour guérir ce qui est faussement. appelé un « virus ». Ce soi-disant « coronavirus » (« covid ») n'a jamais été séparé, isolé ou identifié, et il n'a jamais été démontré qu'il existe, et il n'a jamais été prouvé qu'il provoque une quelconque maladie, mais ne vous inquiétez pas, « votre Le gouvernement prendra bien soin de vous, que cela vous plaise ou non.
Voici ce qu'un de mes amis et correspondant proche , le Dr Igor Shepherd , a dû dire à ce sujet dans une lettre qu'il m'a récemment adressée :
«C'est ainsi que la Russie testait des virus biologiques sur la population dans les années 80 (principalement dans les métros). Cela a créé d’énormes épidémies de grippe dans les villes. Ces crétins font tout ce qu’il faut pour vacciner massivement la population.
« Cette encapsulation du matériau livré est très stable une fois dispersée dans l’environnement et peut durer des mois dans l’air. C’est pourquoi cela a été fait dans le métro de Leningrad : pour une dispersion rapide. La même technologie a été utilisée par le KGB à des fins d’assassinat. À grande échelle, d’énormes épidémies peuvent être créées si rapidement sans que personne ne s’en rende compte… et c’est peut-être ce qui créera leur prochaine pandémie.
Et puis ils utiliseront exactement cette même technologie pour « vacciner » la population contre cette pandémie créée. Cette fois, ce sera une véritable pandémie, et de nombreuses personnes mourront… de toute façon… c’est leur objectif… réduire l’humanité et introduire la nouvelle « génération » de transhumains.
Il faut reconnaître que ces efforts néfastes de l'État, de ses contrôleurs, de l'industrie pharmaceutique maléfique, des grands médias, des politiciens, des soi-disant « groupes de réflexion », de toutes les bureaucraties gouvernementales, de l'armée, des organismes chargés de l'application de la loi, des les banques centrales et les ONG n’ont qu’un seul agenda. Il s’agit d’un contrôle total sur toutes les populations, dans le but de réduire considérablement la population de surface par la manipulation eugénique, le démocide, le génocide et le viol psychologique des esprits du troupeau naïf.
Comme l'a mentionné le Dr Shepherd, ce complot visant à « vacciner » tout le monde en masse pourrait provoquer ce que l'on appellera la prochaine « pandémie », mais cette fois-ci, contrairement au faux complot « Covid », une mort massive se produira à cause d'un poison. attaque par aérosol d’armes biologiques, propageant une panique et une peur extrêmes. Ce qui sera souhaité et attendu par l’État, ce sera un collectif criant au gouvernement de venir au secours de cette population ignorante et malheureuse. C’est exactement ce qui est recherché, alors méfiez-vous du mal délibéré qui vise à provoquer un peuple sans défense qui réclame un maître pour le sauver.
Vous êtes tous votre propre maître. Faites très attention, car le complot visant à créer une force dirigeante mondiale unique est proche, et cela ne peut qu’entraîner l’asservissement aux mains de monstres technocratiques.
RépondreSupprimer« La vaccination est une pratique barbare et l’une des plus mortelles de toutes les illusions actuelles. Les objecteurs de conscience à la vaccination devraient défendre seuls, s’il le faut, contre le monde entier, leur conviction.» ~ Mahatma Gandhi
https://www.globalresearch.ca/mass-airborne-mrna-bioweapon-administration-proletariat/5835144
(...) En termes qu'une personne normale peut comprendre, cela signifie qu'une soupe biologique toxique remplie de nanoparticules mortelles altérant l'ARN/ADN, peut être administrée aux poumons de chacun à son insu, afin d'y insérer des « protéines de pointe » codées pour guérir ce qui est faussement. appelé un « virus ». Ce soi-disant « coronavirus » (« covid ») n'a jamais été séparé, isolé ou identifié, et il n'a jamais été démontré qu'il existe, et il n'a jamais été prouvé qu'il provoque une quelconque maladie, mais ne vous inquiétez pas, « votre Le gouvernement prendra bien soin de vous, que cela vous plaise ou non. (...)
SupprimerEffectivement cette nano-poussière (appelée 'virus') n'est PAS DANS L'AIR ! Il y a des milliers de laboratoires dans le monde qui examinent chaque jour la 'qualité de l'air' et n'ont JAMAIS trouvé de 'cocorona' ou de 'cocovide19' ou de cocoDelta-Omicron ou 'Tango-Charlie-Yankee-Zoulou' ! Çà alors !!!
Et, malgré que PERSONNE ne l'ait vu... ils ont fait un 'vaccin' !! (enfin, disons plutôt une expérimentation génique d'essais car pour faire un vaccin faut entre 10 et 15 ans !!). Et donc, çà y est vous venez de comprendre !! Si la mort n'est pas dans l'air elle est... elle est DANS LA SERINGUE ! YOUPIE !!
Lignes directrices de l'OMS d'avril 2020 : traitements à haut risque aux bénéfices douteux
RépondreSupprimer7 octobre 2023
par le Dr. Hans-Joachim Kremer
Quelle était la signification de la recommandation de l’OMS contre les antibiotiques au printemps 2020 ? Un article sur ce sujet est paru ici hier . Les scientifiques britanniques Fenton, Engler et Neil ont examiné au début de l’été 2020 le changement des directives dans plusieurs pays pour le traitement de la pneumonie. Ils n'étaient plus autorisés à être traités comme avant jusqu'à ce qu'une ventilation artificielle devienne nécessaire ou que le système immunitaire du patient soit capable de s'affirmer sans l'aide d'antibiotiques.
Je pense que l'article nécessite une classification plus approfondie. Il disait : « Le BMJ a publié la directive NICE NG163 le 20 avril 2020. » C’est formellement correct, mais seulement formellement. Il est possible, je pense même probablement, que le BMJ dissimulait quelque chose ici. En fait, un court article d'Ingrid Torjesen a été publié le 6 avril 2020 , qui présentait quatre nouvelles lignes directrices du NICE sur le C19 ; toutes les lignes directrices étaient datées du 3 avril 2020.
À mon avis, le fait le plus important de ces lignes directrices était la recommandation explicite d’une euthanasie utilisant du midazolam plus de la morphine en cas de triage. Les situations de triage fréquentes ont été alimentées par l’accent excessif mis sur la saturation en oxygène, la recommandation contre l’utilisation précoce d’antibiotiques en cas de pneumonie même légère (comme le recommande l’OMS en janvier 2020), la ventilation beaucoup trop précoce, et surtout la ventilation « artificielle ». , ce qui a amené encore plus de patients dans les unités de soins intensifs. Tous ces éléments ont joué ensemble dans le même sens : des traitements risqués aux bénéfices discutables. De toute évidence, « un » avait besoin de morts.
La question de la date est essentielle. La valeur maximale de surmortalité (Z-Score dans EuroMomo) a été atteinte en Angleterre au cours de la semaine civile (semaine) 15, qui était la semaine du 6 au 13 avril 2020. L'augmentation a commencé au cours de la semaine 12 (du 16 au 22 mars). , encore légèrement) et est devenu clairement significatif au cours de la semaine 13 (du 23 au 29 mars), c'est-à-dire que le score Z était bien supérieur au score allemand le plus élevé de la « première vague » et dépassait même la valeur maximale allemande de 2020 (au cours de la semaine 53). ). Les mesures meurtrières doivent donc avoir pris effet en Angleterre d'ici la mi-mars.
RépondreSupprimerEst-il crédible que le NICE ait publié quatre lignes directrices le 3 avril 2020 - compte tenu de l'hystérie de l'époque, y compris des confinements - sans communiqué ni conférence de presse ? Est-il crédible que les médias médicaux les plus importants du pays, à savoir le BMJ, aient mis un délai confortable de 17 jours pour publier cela ?
Comment le NICE a-t-il pu produire quatre lignes directrices en peu de temps ? Y avait-il des connaissances préalables ?
Est-il concevable que le NICE ait élaboré de telles lignes directrices de sa propre initiative, c'est-à-dire sans la participation de leaders d'opinion bien connus ? Peu probable. Il est alors évident que des recommandations essentielles ont été diffusées dans les milieux spécialisés, à savoir les services de réanimation et les services de pneumologie, avant leur publication proprement dite. Cela explique probablement la forte augmentation de la mortalité à partir de la mi-mars 2020.
Le 18 mars 2020 (soit la semaine 12), l' autorité britannique MHRA s'est sentie obligée d'émettre un avertissement sur les risques mortels liés à la co-administration de benzodiazépines (par exemple le midazolam) et d'opioïdes (par exemple la morphine). Pourquoi si tôt alors que les lignes directrices du NICE n’étaient censées être publiées que le 3 avril ? Qui a réellement remarqué cet avertissement ?
En mars 2020, Matt Hancock, alors ministre britannique de la Santé, a ordonné l'achat d'un approvisionnement de 2 ans en midazolam auprès de la France . Comment cela pourrait-il se produire en mars si ce n’était pas une connaissance ou une intention préalable ?
En général, il était probablement clair pour la plupart des médecins que les opiacés tels que la morphine n'étaient pas un médicament particulièrement utile pour les patients souffrant d'essoufflement. Avec la benzodiazépine, cette combinaison devait être fatale. Cela n’était peut-être pas clair pour tout le monde, mais c’était clair pour la plupart des médecins.
https://tkp.at/2023/10/07/who-leitlinien-aus-april-2020-risikoreiche-behandlungen-von-fragwuerdigem-nutzen/
Hybride humain-cochon créé en laboratoire
RépondreSupprimerLes scientifiques espèrent que les embryons de chimères représenteront des étapes clés vers des organes cultivés en laboratoire qui sauveront des vies.
Par Erin Blakemore
Recherche mondiale,
6 octobre 2023
Dans un exploit remarquable, quoique probablement controversé, les scientifiques ont annoncé qu'ils avaient créé les premiers hybrides humains-animaux réussis. Le projet prouve que des cellules humaines peuvent être introduites dans un organisme non humain, survivre et même se développer à l’intérieur d’un animal hôte, en l’occurrence le porc.
Cette avancée biomédicale a longtemps été un rêve et un dilemme pour les scientifiques espérant remédier à une pénurie critique de donneurs d’organes.
Et si, plutôt que de compter sur un généreux donateur, vous pouviez cultiver un organe personnalisé à l’intérieur d’un animal ?
C'est désormais un pas de plus vers la réalité, rapporte une équipe internationale de chercheurs dirigée par l'Institut Salk dans la revue Cell . L’équipe a créé ce que l’on appelle scientifiquement une chimère : un organisme qui contient des cellules de deux espèces différentes.
Dans le passé, les chimères homme-animal étaient hors de portée. De telles expériences ne sont actuellement pas éligibles au financement public aux États-Unis (jusqu'à présent, l'équipe Salk s'est appuyée sur des donateurs privés pour le projet chimère). L’opinion publique a également entravé la création d’organismes à la fois humains et animaux.
Mais pour Jun Wu, auteur principal de l'étude du Salk Institute, il suffit de se tourner vers les chimères mythiques, comme les hybrides homme-oiseau que nous appelons anges, pour avoir une perspective différente.
« Dans les civilisations anciennes, les chimères étaient associées à Dieu », dit-il, et nos ancêtres pensaient que « la forme chimérique pouvait protéger les humains ». Dans un sens, c’est ce que l’équipe espère faire un jour avec les hybrides homme-animal.
Construire une chimère
RépondreSupprimerIl existe deux manières de fabriquer une chimère. La première consiste à introduire les organes d'un animal dans un autre – une proposition risquée, car le système immunitaire de l'hôte peut provoquer le rejet de l'organe.
L'autre méthode consiste à commencer au niveau embryonnaire, en introduisant les cellules d'un animal dans l'embryon d'un autre et en les laissant grandir ensemble pour former un hybride.
Cela semble étrange, mais c’est une manière ingénieuse de résoudre un certain nombre de problèmes biologiques épineux liés aux organes cultivés en laboratoire.
Lorsque les scientifiques ont découvert les cellules souches, les cellules maîtresses capables de produire tout type de tissu corporel, elles semblaient contenir des promesses scientifiques infinies. Mais il est difficile de convaincre ces cellules de se développer pour former les bons types de tissus et d’organes.
Les cellules doivent survivre dans des boîtes de Pétri. Les scientifiques doivent utiliser des échafaudages pour s’assurer que les organes prennent la bonne forme. Et souvent, les patients doivent subir des procédures douloureuses et invasives pour prélever les tissus nécessaires au lancement du processus.
Au début, Juan Carlos Ispizua Belmonte , professeur au laboratoire d'expression génétique de l'Institut Salk, pensait que le concept d'utilisation d'un embryon hôte pour faire croître des organes semblait assez simple. Cependant, il a fallu quatre ans à Ispizua et à plus de 40 collaborateurs pour comprendre comment créer une chimère homme-animal.
Pour ce faire, l’équipe s’est appuyée sur des recherches antérieures sur les chimères menées sur des souris et des rats.
Cette chimère âgée d'un an est issue d'une souris à laquelle on a injecté des cellules souches de rat.
- voir photo sur site -
D'autres scientifiques avaient déjà découvert comment faire croître le tissu pancréatique d'un rat à l'intérieur d'une souris. Cette équipe a annoncé que des pancréas de souris cultivés chez des rats traitaient avec succès le diabète lorsque des parties d'organes sains étaient transplantées chez des souris malades.
Le groupe dirigé par Salk a poussé le concept encore plus loin, en utilisant l'outil d'édition du génome appelé CRISPR pour pirater les blastocystes de souris, les précurseurs des embryons. Là, ils ont supprimé les gènes dont les souris ont besoin pour développer certains organes. Lorsqu’ils ont introduit des cellules souches de rat capables de produire ces organes, ces cellules ont prospéré.
RépondreSupprimerLes souris qui en ont résulté ont réussi à vivre jusqu’à l’âge adulte. Certains ont même développé des vésicules biliaires chimériques constituées de cellules de souris et de rat, même si les rats ne possèdent pas cet organe particulier.
Risque de rejet
L’équipe a ensuite prélevé des cellules souches de rats et les a injectées dans des blastocystes de porc. Cette version a échoué – sans surprise, puisque les rats et les porcs ont des temps de gestation et des ancêtres évolutifs radicalement différents.
Mais les porcs présentent une similitude notable avec les humains. Même si leur gestation prend moins de temps, leurs organes ressemblent beaucoup aux nôtres.
Non que ces similitudes facilitent la tâche. L’équipe a découvert que, pour introduire des cellules humaines dans les porcs sans les tuer, il fallait trouver le bon timing.
"Nous avons essayé trois types différents de cellules humaines, représentant essentiellement trois moments différents" du processus de développement, explique Jun Wu, scientifique à l'Institut Salk et premier auteur de l'article. Par essais et erreurs, ils ont appris que les cellules pluripotentes naïves – des cellules souches au potentiel illimité – ne survivaient pas aussi bien que celles qui s’étaient développées un peu plus.
Lorsque ces cellules humaines parfaitement adaptées ont été injectées dans des embryons de porc, ces derniers ont survécu. Ensuite, ils ont été placés dans des porcs adultes, qui ont porté les embryons pendant trois à quatre semaines avant d'être prélevés et analysés.
Au total, l’équipe a créé 186 embryons chimériques à un stade avancé qui ont survécu, explique Wu, et « nous estimons que [chacun avait] environ une cellule humaine sur 100 000 ».
Une image d’un blastocyste de porc recevant une injection de cellules humaines.
- voir photo sur site -
C'est un faible pourcentage et cela pourrait poser un problème pour la méthode à long terme, explique Ke Cheng , expert en cellules souches à l'Université de Caroline du Nord à Chapel Hill et à l'Université d'État de Caroline du Nord.
RépondreSupprimerLe tissu humain semble ralentir la croissance de l'embryon, note Cheng, et les organes issus de tels embryons tels qu'ils se développent actuellement seraient probablement rejetés par les humains, car ils contiendraient une grande quantité de tissus de porc.
Selon Cheng, la prochaine grande étape consiste à déterminer s'il est possible d'augmenter le nombre de cellules humaines que les embryons peuvent tolérer. La méthode actuelle est un début, mais il n’est toujours pas clair si cet obstacle pourra être surmonté.
Belmonte est d'accord, notant qu'il faudra peut-être des années pour utiliser le processus permettant de créer des organes humains fonctionnels. Cette technique pourrait être utilisée beaucoup plus tôt pour étudier le développement de l’embryon humain et comprendre les maladies. Et ces informations en temps réel pourraient être tout aussi précieuses que la capacité de faire croître un organe.
Même à ce stade précoce, Cheng qualifie ce travail de percée : « Il y a d’autres étapes à franchir », concède-t-il. «Mais c'est intriguant. Très intrigant.
https://www.globalresearch.ca/human-pig-hybrid-created-lab/5835133
Vous en avez besoin pour survivre à une prise de contrôle de la FEMA (Quels sont les véritables pouvoirs de la FEMA en cas d'urgence ?)
RépondreSupprimerpar Klark Barnes
6 octobre 2023
Quels sont les véritables pouvoirs de la FEMA en cas d’urgence ? J'écris à ce sujet depuis longtemps et j'ai analysé des choses très importantes.
Pour que nous comprenions ce dont vous avez besoin pour survivre à une prise de contrôle de la FEMA, vous devez d’abord comprendre à quoi vous faites face au sein de la FEMA et à quel type de présence de la FEMA vous serez confronté.
La FEMA dispose d'un budget de fonctionnement important d'environ 20 milliards de dollars par an. Elle emploie également environ 20 000 personnes, mais ce nombre peut changer radicalement en fonction de l'ampleur et de l'ampleur d'une catastrophe.
Ils peuvent augmenter leur nombre rapidement et efficacement en faisant appel à du personnel d'intervention temporaire.
Ce que la FEMA ne peut pas faire
Commençons par les choses que la FEMA ne peut pas faire pour que vous sachiez à quoi vous vous préparez. Si nous sommes confrontés à quelque chose comme un effondrement du réseau électrique dans ce pays où personne n’a le pouvoir, alors vous pouvez complètement oublier la FEMA.
Même avec 20 milliards de dollars, ils n’ont pas la capacité de toucher toutes les villes, encore moins les villages ruraux d’Amérique. Vous serez seul et vous n’aurez pas à craindre que la FEMA ne se retire, car elle sera totalement mise à rude épreuve pour essayer de maintenir l’unité des plus grandes villes du pays.
La FEMA et la Garde nationale sont incapables d’apporter leur aide ou même de toucher une base avec 300 millions de personnes réparties dans tout le pays.
Ce que la FEMA peut faire
RépondreSupprimerÀ la suite de l'ouragan Katrina, la FEMA a dépêché 30 000 soldats de la Garde nationale pour contribuer à toutes sortes d'efforts sur le terrain.
Vous en avez besoin pour survivre à une prise de contrôle de la FEMA
La recherche et le sauvetage représentaient une entreprise colossale, mais le désarmement de la population était également en cours.
Le porte-parole de la police locale a déclaré en 2005 que 552 armes à feu confisquées étaient entreposées au poste de police local à la suite de l'ouragan Katrina.
J'espère que vous vivez déjà dans une région éloignée de la probabilité d'une évacuation majeure ou d'une catastrophe qui affecterait des millions de personnes. C’est le genre de désastre dans lequel la FEMA peut intervenir et intervenir avec pouvoir. Dans sa forme la plus oppressive, la FEMA se trouvera dans une zone ciblée avec beaucoup de monde.
Vous avez besoin d'INTEL pour survivre à un rachat par la FEMA
S’il y a une chose qui peut vous aider par-dessus tout lorsque vous vous préparez à survivre à une prise de contrôle par la FEMA, ce sont les informations. Vous devez savoir ce qui se passe dans votre zone d’opération, avant et après une catastrophe.
Vous devez ouvrir ces canaux d’information maintenant et ne pas attendre la catastrophe, sinon ce plan ne fonctionnera pas.
Communauté
L’une des choses les plus tristes à propos de l’Amérique d’aujourd’hui est que vous ne savez pas qui vit dans votre quartier. La plupart des préparateurs parcourent leur région et assistent à des réunions pour trouver des personnes possédant des compétences spécifiques telles que des vétérans médicaux, LEO ou même militaires.
Il y a de fortes chances que vous ayez des gens comme ça dans votre communauté. J'ai trouvé un médecin et un ambulancier paramédical dans mon quartier simplement en faisant connaissance avec des gens. Ces personnes de votre communauté seront votre première source d'informations sur ce qui se passe dans la communauté avec la FEMA.
Locale
RépondreSupprimerVous en avez besoin pour survivre à une prise de contrôle de la FEMA
Au-delà de ce qui se passe dans votre communauté, vous pourrez également glaner de nombreuses informations provenant des actualités locales, des événements locaux et même des premiers intervenants locaux si vous savez où chercher. Lorsqu'il s'agit d'actualités locales, vous pouvez comprendre les zones les plus durement touchées de votre région. Cela vous en dira beaucoup sur l’endroit où se situera la présence de la FEMA.
Il existe une application que vous pouvez télécharger sur votre téléphone appelée Broadcastify. Vous ne pouvez pas écouter grand-chose de ce que fait la police avec cette application, mais vous pouvez écouter d'autres premiers intervenants. Cela a été très efficace pour moi lors des émeutes de 2020 ici à Richmond, en Virginie. Cela vous aide vraiment à déterminer où se trouve le chaos.
Lors d’une prise de contrôle par la FEMA, vous pourriez écouter les premiers intervenants et voir où la FEMA gaspille ses ressources.
National
Selon l'ampleur de la catastrophe, la disponibilité de ce type de renseignement peut varier. Une radio de survie ou d'urgence de haute qualité vous permettra d'entendre ce qui se passe avec les émissions nationales même s'il n'y a pas d'électricité dans votre zone immédiate.
Alternativement, le seul moyen de communiquer hors réseau en cas de crise et comment transformer un autoradio CB en un puissant émetteur capable d'émettre et de recevoir des communications à des centaines de kilomètres de distance.
Les renseignements nationaux vous fourniront probablement des rapports directs sur la direction que prend la FEMA et peut-être même des statistiques sur le nombre d'agents présents dans les différentes régions.
Plus de conseils pour survivre à un rachat par la FEMA
Il existe d'autres choses qui peuvent vous aider à survivre à une prise de contrôle par la FEMA dans votre région. Voici quelques conseils.
Marquez votre maison
Vous en avez besoin pour survivre à une prise de contrôle de la FEMA
Marquez votre maison de la même manière que la FEMA marque les maisons qui ont été fouillées. La FEMA ne va pas chercher deux fois au même endroit.
Vous pouvez également utiliser des marquages pour éloigner les gens de la maison si vous savez ce qu'ils signifient.
Les marquages de recherche et de sauvetage de la FEMA sont généralement peints à la bombe sur un bâtiment après l'avoir fouillé. Cela commence par un X rouge.
RépondreSupprimerSection supérieure : Date de recherche/Heure de sortie
Section de gauche : équipe/heure saisie
Section de droite : Risques
Section inférieure : Victimes
Si vous souhaitez rendre votre maison immédiatement inesthétique, inscrivez simplement BIO HAZ dans la bonne section du X car cela indiquera aux gens qu'il y a un risque biologique dans la maison.
Travailler ensemble
Si la FEMA tombe sur une communauté en difficulté, elle devra alors utiliser des ressources pour aider cette communauté. S’ils parviennent à une communauté autonome, ils déplaceront les ressources là où elles sont nécessaires.
Vous voulez être ce dernier. Bien sûr, cela demande de la planification et de la préparation. Il faut apprendre à connaître les gens et cela est généralement inconfortable pour la personne moyenne. Cependant, cela porte ses fruits en cas de désastre au niveau de la qualité de vie.
Se concentrer sur un seul type d’intelligence ne vous mènera pas loin. Si vous voulez vraiment survivre à une prise de contrôle par la FEMA, vous devez alors adopter une approche holistique du renseignement. La somme de tout cela est ce qui dresse le tableau pour vous.
Les informations communautaires vous indiquent ce qui est le plus proche et proviennent de sources directes, les informations locales vous donnent une vision plus large mais toujours locale et les informations nationales peuvent vous aider à comprendre la situation dans son ensemble.
Une autre chose dont vous avez besoin est un espace sûr, complètement caché de la vue. Un lieu qui reste indétectable par tout agent de la FEMA ou drone équipé de capteurs infrarouges.
Je parle d’une cave à racines invisible, stratégiquement enterrée à une courte distance sous la surface de votre propre jardin. C'est ici que vous pourrez trouver refuge avec toutes les provisions nécessaires pour subvenir à vos besoins, non seulement pour une brève période, mais potentiellement pour plusieurs mois si les circonstances l'exigent.
Le plan que je m’apprête à révéler s’inspire des caves à racines de nos ancêtres, mais il a subi des améliorations significatives au point qu’il ressemble davantage à un bunker militaire économique.
Sa construction coûte moins de 400 $ et peut être réalisée en moins d’une semaine, avec les efforts d’une seule personne.
https://earlking56.family.blog/2023/10/06/you-need-this-to-survive-a-fema-takeover-what-are-the-true-powers-of-fema-in-an-emergency/
Pourquoi un gouvernement mondial est l'objectif ultime des milliardaires
RépondreSupprimerPar le Dr Joseph Mercola
Mercola.com
7 octobre 2023
Dans la vidéo ci-dessus, Bjorn Andreas Bull-Hansen, romancier norvégien à succès, explique comment la « Directive sur la performance énergétique des bâtiments » de l'Union européenne – l'instrument législatif qui dicte les normes de performance énergétique des bâtiments au sein de l'UE – sera utilisée pour parvenir à un système massif de transfert de richesse.
En mars 2023, le Parlement européen a voté la révision de cette directive dans le cadre d’un paquet « Fit for 55 », qui vise à atteindre une réduction minimale de 55 % des émissions de gaz à effet de serre d’ici 2030.
D’ici 2050, l’UE a l’intention de parvenir à un « parc immobilier à zéro émission et entièrement décarboné ».1 En bref, d’ici 2050, ils veulent que chaque bâtiment – commercial, public et résidentiel – de l’UE réponde aux normes zéro émission. Pour y parvenir, ils imposeront une série de nouvelles exigences aux propriétaires.
Par exemple, les systèmes de chauffage utilisant des combustibles fossiles devraient disparaître complètement d’ici 20352, si le Parlement européen obtient gain de cause, ce qui signifie que les propriétaires seront tenus d’installer de nouveaux systèmes de chauffage « verts », vraisemblablement électriques – et payez-le de votre poche. Selon Bull-Hansen, le coût de ces nouveaux besoins énergétiques est estimé à environ 100 000 euros pour une maison d'habitation.
Le but est vraiment que vous ne possédiez rien
L’objectif, explique Bull-Hansen, est de forcer les gens à quitter leur domicile. Si vous ne pouvez pas vous permettre les améliorations requises, vous serez obligé de vendre votre maison, et les sociétés de gestion d’actifs comme BlackRock et Vanguard seront prêtes à récupérer ces propriétés.
Et c’est à condition qu’on vous autorise à vendre une maison qui n’est pas aux normes ; le gouvernement pourrait simplement le juger invendable et le saisir, ou vous pourriez devoir payer une amende.
Aux États-Unis, BlackRock et Vanguard ont commencé sérieusement à acheter en gros des maisons d’habitation au début de 2021, qu’elles louent ensuite plutôt que de les revendre, érodant ainsi l’accession à la propriété de la classe moyenne. Ils ont également fait monter artificiellement les prix de l’immobilier en payant un prix supérieur à celui demandé, rendant ainsi l’accession à la propriété encore plus hors de portée.
Bien entendu, le prix du loyer a également grimpé en flèche, et les locataires devront payer encore plus après ces améliorations énergétiques. Ainsi, non seulement de nombreux jeunes ne peuvent plus accéder à la propriété, mais nombre d’entre eux n’ont même pas les moyens de louer un logement et sont obligés de vivre avec leurs parents ou avec plusieurs colocataires. Nous pouvons également nous attendre à ce que le nombre de sans-abri monte en flèche à terme.
RépondreSupprimerComme l’a noté Bull-Hansen, l’élimination de la propriété personnelle fait partie du programme de grande réinitialisation du Forum économique mondial (WEF), de l’Agenda 2030 et des objectifs de développement durable des Nations Unies. Ce ne sont que des noms différents pour le même plan global.
La vidéo du FEM « 8 prédictions pour le monde en 2030 »3, dans laquelle ils déclarent joyeusement que d’ici 2030 « vous ne posséderez plus rien », expose de nombreux aspects de ce plan mondial, y compris l’objectif d’éliminer les droits de propriété personnels. « Tous les produits deviendront des services », explique le WEF sur son site Internet4. C’est à cela que fait référence « vous ne posséderez rien ».
Il sera révolu le temps où vous achetiez quelque chose une fois et pouviez l’utiliser indéfiniment parce que vous en êtes propriétaire. Au lieu de cela, le nouveau système dans lequel ils nous poussent vous obligera à tout louer : votre maison, vos moyens de transport, vos meubles, vos casseroles et poêles et tout le reste. Vous avez probablement déjà remarqué ce phénomène.
Par exemple, vous pouviez acheter un logiciel fourni sur un disque. Vous pouvez installer et réinstaller ce programme sur n’importe quel ordinateur de votre choix, car vous aviez le CD.
Aujourd'hui, la plupart des logiciels sont des abonnements basés sur le cloud et vous devez payer des frais mensuels ou annuels aussi longtemps que vous les utilisez. Et, même si les frais peuvent être faibles, une fois que vous les additionnerez sur toute une vie d’utilisation, vous finirez par payer plusieurs fois plus que ce que vous payiez lorsque vous pouviez l’acheter directement.
L’accession à la propriété a toujours été une stratégie de création de richesse
Comme le souligne Bull-Hansen, l’accession à la propriété définit la classe moyenne. Plus important encore, c’est un moyen de créer et de sécuriser la richesse générationnelle depuis des lustres. Supprimez la possibilité pour les gens d’acheter leur propre maison, et vous éliminerez effectivement la classe moyenne, ne laissant que les très riches et les très pauvres.
Comment allez-vous vous rebeller quand le gouvernement peut saisir vos comptes bancaires à volonté, vous exclure des épiceries, vous envoyer dans un camp d'internement pour contrôler les infections pour « protéger la santé publique » même si vous n'êtes pas malade, programmer votre véhicule électrique de telle sorte qu'il ne fonctionne que dans une zone spécifique désignée, et punir tous ceux que vous connaissez de la même manière, simplement parce qu'ils vous connaissent ?
RépondreSupprimerTout cela, et bien plus encore, sera possible une fois que la grille de surveillance et de contrôle numérique gérée par l’IA sera entièrement mise en œuvre et liée à votre identité numérique, à une CBDC programmable et au système de grand livre unifié.
Comme l’a souligné Bull-Hansen, la désobéissance et le refus de suivre le programme mondialiste « vert » auront des conséquences, mais si nous acceptons d’en payer le prix maintenant et refusons en masse, cette prise de pouvoir mondialiste échouera absolument. Ils ne peuvent y parvenir sans l’obéissance massive.
Qui cherche à diriger le monde ?
Si ce sujet est nouveau pour vous, vous vous demandez peut-être qui sont ces « mondialistes » qui tentent de réaliser ce coup d’État mondial. Je ne citerai pas de noms ici, même s’il devient de jour en jour plus facile d’identifier les individus qui font partie du club en examinant leurs déclarations et positions publiques, leurs activités commerciales et leurs affiliations.
La raison en est que la plupart n’essaient même plus de cacher leur implication et que les organisations mises en place pour faire avancer l’agenda deviennent de plus en plus ouvertes sur leurs objectifs.
Par exemple, le 5 juin 2023, les Nations Unies ont publié un document précisant leur engagement à faire de l’Organisation mondiale de la santé l’organe central de gouvernance mondiale.
L'extrait suivant est tiré de la page 9 de l'avant-projet du document « Déclaration politique de la réunion de haut niveau de l'Assemblée générale des Nations Unies sur la prévention, la préparation et la réponse aux pandémies » rédigé avant la réunion de l'Assemblée générale du 20 septembre 2023.5
RépondreSupprimer- voir sur site -
Le texte final6 de ce document a été publié le 1er septembre 2023 et, dans cette version, tous les titres ont été supprimés, mais l’intention générale de faire de l’OMS un organe directeur de facto pour le monde reste inchangée.
Bien que le document se concentre sur l’autorité de l’OMS pour dicter la prévention et la réponse aux pandémies dans le monde entier, comme je l’ai détaillé dans plusieurs articles précédents, l’OMS ne sera pas seulement en charge des pandémies. C’est justement la justification qu’ils utilisent pour mettre le pied dans la porte.
Ensuite, l’OMS se lancera dans les soins de santé généraux en faisant progresser l’acceptation d’un système de santé universel. Cela sera promu sous la bannière de l’amélioration de la prévention, de la préparation et de la réponse aux pandémies, comme détaillé à la page 11 sous l’OP33 de l’avant-projet7 et à l’article 22 du texte final.8
Ensuite, grâce au programme mondial One Health, qui élargit la « santé publique » pour inclure tout, depuis l’agriculture et la pollution jusqu’aux voyages et au changement climatique, l’OMS – ou l’une de ses retombées – reprendra toutes les fonctions gouvernementales.
Le texte final de la « Déclaration politique » de l’ONU déclare même que la santé est un indicateur de « développement durable », reliant ainsi directement l’autorité de l’OMS en matière de pandémie aux objectifs de développement durable et à l’Agenda 2030 de l’ONU.
L’anarchie règne
RépondreSupprimerCe qui rend la situation encore plus désastreuse pour les peuples du monde est le fait que les gouvernements et les organisations mondiales impliquées dans cette prise de pouvoir bafouent de plus en plus les règles, directives, lois et traités qui garantissaient auparavant au moins un semblant de démocratie et d’État de droit.
L'un des derniers exemples en est l'approbation par le président de l'Assemblée générale des Nations Unies (AGNU) de la déclaration sur la prévention des pandémies (le document évoqué ci-dessus) sans un vote complet de l'Assemblée et malgré les objections de 11 États membres (Biélorussie, Bolivie, Cuba, République populaire démocratique de Corée, Érythrée, République islamique d'Iran, Nicaragua, Fédération de Russie, République arabe syrienne, Venezuela et Zimbabwe).
Selon Francis Boyle, J.D., Ph.D., expert en armes biologiques et professeur de droit international à l'Université de l'Illinois qui a rédigé la loi antiterroriste sur les armes biologiques de 1989, les objections de 11 pays devraient « empêcher que cette déclaration soit adoptée par consensus et faisant ainsi sans doute partie du droit international coutumier, ce qui est l’intention des auteurs de la déclaration.
"Ils n'ont pas pu le faire adopter par l'AGNU en tant que résolution de consensus en raison des 11 États qui s'y sont opposés", a déclaré Boyle au Defender.9 "Ils essaient de le dénaturer et de le déformer en demandant au président de l'AGNU - et non à l'AGNU - d'approuver la déclaration. .»
La Déclaration des Nations Unies appelle à la vaccination universelle et plus encore
Le fait que le président de l'Assemblée générale des Nations Unies crée des failles là où il n'y en a pas est particulièrement inquiétant à la lumière du fait que la déclaration rend permanentes les prises de pouvoir liées au COVID-19 et appelle à la vaccination universelle, à une surveillance accrue, aux passeports vaccinaux, à la censure des médias sociaux, et une « approche intégrée One Health », dont je viens d’expliquer qu’elle constitue le principal moyen par lequel l’OMS finira par gouverner tous les aspects de la vie humaine.
Ainsi, nous pouvons constater que même lorsque les pays ne sont pas d’accord et résistent, les dirigeants de l’ONU contournent simplement les règles et suivent de toute façon le plan de l’État profond, et c’est précisément le genre de comportement que nous pouvons attendre d’un « gouvernement mondial unique ». Ils auront des règles pour eux-mêmes, qu’ils ignoreront commodément quand cela leur convient, et des règles fixes prévoyant de lourdes sanctions pour le reste de la plèbe. Tel que rapporté par The Defender, 20 septembre 2023 : 10
"Les critiques ont qualifié la déclaration, qui vise à créer une autorité mondiale de lutte contre la pandémie, dotée du pouvoir d'imposer des confinements, une vaccination universelle et une censure de "désinformation", d'"hypocrisie" et de "déséquilibrée". L'approbation a été reçue dans le cadre d'une réunion de haut niveau sur PPPR [Prévention, préparation et réponse à la pandémie]…
RépondreSupprimerDans un communiqué, le directeur général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a déclaré : « Si le COVID-19 ne nous a rien appris d'autre, c'est que lorsque la santé est en danger, tout est en risque. » Il a lié le PPPR aux objectifs de développement durable de l'ONU ( ODD), affirmant que les dirigeants mondiaux devraient « montrer qu’ils ont tiré les douloureuses leçons de la pandémie »…
Écrivant pour le Brownstone Institute, le Dr David Bell, médecin de santé publique, consultant en biotechnologie et ancien directeur des technologies de santé mondiale à Intellectual Ventures Global Good Fund, a déclaré que « l'objectif principal » de la déclaration « est de soutenir » le « traité sur la pandémie ». " et les amendements au RSI actuellement en cours de négociation par les États membres de l'OMS.
Bell a déclaré qu'une "procédure de silence" est en place, "ce qui signifie que les États qui ne répondent pas seront considérés comme des partisans du texte." Il a déclaré que le texte est "clairement contradictoire, parfois fallacieux et souvent dénué de sens", et vise à centraliser les efforts de l'OMS. pouvoir.
Bell a déclaré au Defender : « La déclaration n’a pas été écrite avec une intention sérieuse, mais est essentiellement une rhétorique vide de sens promouvant une centralisation continue du contrôle que l’ONU et l’OMS recherchent ouvertement, au détriment de la démocratie, des droits de l’homme et de l’égalité. »
Francis Boyle… était d'accord… « Il s'agit d'une pression totale pour que l'ensemble de l'Organisation des Nations Unies, ses agences spécialisées et ses organisations affiliées, soutiennent et soutiennent leur proposition d'État policier mondialiste totalitaire médical et scientifique de l'OMS », a-t-il déclaré. .»
Pourquoi l’État profond révèle-t-il ses plans ?
RépondreSupprimerCes dernières années, les trois dernières en particulier, la mafia mondiale du Deep State est devenue de plus en plus ouverte sur ses projets. Cela dit, il y a quelques dizaines d’années déjà, le plan d’un « nouvel ordre mondial », d’un « gouvernement mondial unique », était visible pour tous. Ils en ont discuté dans des livres blancs et des rapports publiés, ils y ont fait allusion dans des films et des divertissements, ils l’ont divulgué dans des exercices sur table.
Pourquoi révèlent-ils toujours leur plan ? Ne serait-il pas plus judicieux de garder cela secret afin que les gens ne sachent pas ce qui s’en vient et ne se battent donc pas ?
Il s’avère qu’il existe une méthode à cette folie apparente, et la vidéo ci-dessus, « Révéler la méthode : le symbolisme ésotérique comme contrôle mental », l’explique. En résumé, le programme d’un système de gouvernance mondiale utilise le contrôle mental de masse pour conditionner les gens à la perte de pouvoir personnel en favorisant et en nous habituant à trois types de perte :
Perte de mémoire (amnésie)
Perte de volonté ou d'initiative (aboulie)
Perte d’intérêt pour ce qui est vital pour la santé et le bien-être (apathie)
Ces trois conditions psychologiques sont nécessaires pour que la cabale mondiale puisse mettre en place avec succès un gouvernement mondial. Les méthodes de contrôle mental utilisées par la cabale pour promouvoir ces conditions incluent la subversion du symbolisme et des archétypes sacrés.
En utilisant des symboles occultes et ésotériques, ils font appel aux instincts inférieurs, aux appétits animaux, aux pulsions compulsives et aux « pulsions inharmonieuses qui entrent en conflit avec la nature consciente supérieure d’un individu ». Le but est d’arrêter le développement spirituel des individus et d’étouffer l’évolution de l’esprit au sein de la société.
Mettre leur « marque » sur tout ce qu’ils font peut aussi être une facette égoïste de la mégalomanie de la cabale. Il proclame leur domination les uns sur les autres et, inconsciemment, sur les masses, tout en se moquant de ceux qu’ils considèrent comme inférieurs.
Un aspect particulièrement intéressant de l’utilisation du symbolisme par la cabale est que le symbole signifie généralement exactement le contraire de la vision consensuelle dominante de sa signification. Par exemple, le symbole du marteau et de la faucille, que l’on retrouve sur le drapeau de l’ex-Union soviétique, est communément considéré comme représentant les outils de la classe ouvrière : l’industrie et l’agriculture. L’idée est celle d’une « utopie de la classe ouvrière ».
RépondreSupprimerCependant, la signification occulte, antérieure à l'Union soviétique, est celle de Saturne, un demi-urge qui a utilisé une faucille pour rompre l'unité de la terre et du ciel. Après avoir séparé la terre du divin, Saturne est devenu l'architecte du monde matériel. En émulation de Saturne, la cabale est également absorbée par les questions du monde matériel : le posséder, le façonner, le contrôler.
Le marteau, quant à lui, représente l’effacement de la matière – « l’acte final de destruction chaotique pour inaugurer leur nouvel ordre ». C’est l’instrument qui brise les derniers vestiges de la volonté divine au sein de l’humanité « dans un processus dans lequel l’homme évolue et descend plus loin dans un monde post-humain ».
Le marteau et la faucille, vus d’un point de vue occulte, dénotent donc le règne tyrannique d’une classe d’élite déterminée à séparer l’humanité du divin et, en fin de compte, à la détruire. Sa signification occulte est celle d’une dystopie divisée – à l’opposé d’une utopie unifiée.
Je vous recommande de regarder la vidéo, qui va beaucoup plus en détail que ce court résumé. Au moins, c’est matière à réflexion.
Sources and References
RépondreSupprimer1, 2 EU Energy Performance of Buildings Directive March 2023
3 Sociable August 23, 2022
4 Weforum November 12, 2016 (Archived)
5 Political Declaration of the United Nations General Assembly High-level Meeting on Pandemic Prevention, […], Zero Draft, June 5, 2023, Page 9
6 Political Declaration of the United Nations General Assembly High-level Meeting on Pandemic Prevention, Preparedness […], Final Text, Sept. 1 2023
7 Political Declaration of the United Nations General Assembly High-level Meeting on Pandemic Prevention, […], Zero Draft, June 5, 2023, Page 11
8 Political Declaration of the United Nations General Assembly High-level Meeting on Pandemic Prevention […], Final Text, September 1 2023, Article 22
9, 10 The Defender September 20, 2023
https://www.lewrockwell.com/2023/10/joseph-mercola/why-a-global-government-is-the-ultimate-goal-of-billionaires/
La richesse est de prime-abord INTELLECTUELLE et non ce que le porte-monnaie a. C'est pourquoi la politique projetée est de faire... disparaître ce monde ! Projet Dépopulation21, il y a 'trop de monde' donc: il y a trop de surdoués.
SupprimerIvan Illich sur le retour d'une société féodale autoritaire avec des moyens médicaux
RépondreSupprimer7 octobre 2023
par le Dr. méd. Gerd Reuther
Avant le prêtre et philosophe austro-américain Ivan Illich (1926-2002), personne n’avait jamais prédit une catastrophe sociale avec autant de précision. Aucun cavalier apocalyptique, aucune fissure qui s'ouvre dans la terre, aucune peste et aucun enfer nucléaire ne mettent l'humanité au bord de la destruction. Non, le monde est simplement en train de se transformer en un camp de malades. D’abord virtuellement grâce aux « patients tests », puis en réalité grâce aux victimes du traitement. C’est la croyance complètement irrationnelle en la médecine, étrangère à la biologie, qui rend cela possible.
Comme chacun le sait, la vie punit quiconque arrive trop tôt. Au moins, il ne sera pas entendu, même si le danger annoncé est plausible. Le livre d'Illich était un best-seller international en 1975 malgré son titre difficile à comprendre « Medical Nemesis », mais personne ne voulait croire à la signification de sa prophétie. Avec une précision effrayante, il a décrit l'apocalypse imminente. Cela était dû à son mélange d’analyse sociale marxiste et de connaissance intime de l’idéologie chrétienne.
Illich fut probablement le premier à reconnaître que le retour d’une société féodale autoritaire ne se ferait plus par des moyens militaires, mais par des moyens médicaux. La médicalisation progressive des sociétés, dans lesquelles chaque conversation tourne désormais vers la médecine au bout de cinq minutes au plus tard, est née de ce calcul. « En bonne santé » est le nouveau privilège aristocratique, « malade » sont ceux d'en bas. Au départ, peu importe qu'il s'agisse d'une véritable maladie. « Des phénomènes encore qualifiés de maladies pourraient bientôt être pénalisés comme des actes criminels ou des comportements antisociaux. "
Les personnes malades sont fondamentalement inférieures aux personnes en bonne santé et sont plus enclines à se soumettre volontairement aux décisions et aux actions. La nouvelle noblesse, exemptée de vaccins, n’a plus à craindre les malades. Les « soins médicaux nécessaires aux malades vaccinés... ne sont qu'une technique sociale nécessaire pour adapter les populations aux besoins des systèmes techniques ». Au lieu de casernes militaires disséminées partout, il suffit simplement « d'augmenter le nombre de médecins spécialistes ». qui peut attribuer aux gens le rôle de malade qu’ils souhaitent… »
Pour lancer une attaque générale contre les sociétés de citoyens libres, il suffisait simplement d’une « nouvelle élite de contrôleurs scientifiques qui voulaient gouverner le monde entier comme un hôpital ». Ce nouveau « clergé médical » décide alors « ce qu'est la maladie, qui est ou peut être malade et ce qu'il faut faire pour lui » . Des tests obscurs et des mesures financièrement lucratives remplacent les soins et le soutien à l’auto-guérison. « Les infidèles qui refusent les sacrements du traitement obligatoire régulier seront persécutés sans relâche.À partir du XIe siècle, la maladie signifiait la mort sociale avec la perte de tous les droits et de tous les biens. « Lèpre » était le nom du verdict de l'époque, prononcé d'abord par les prêtres, puis par les médecins. « Corona » était désormais le mot d’ordre pour la liquidation des personnes.
Avec la fin des soins de santé naturels pour la majorité de la population, « la médecine institutionnelle crée une nouvelle forme de souffrance : la survie anesthésiée, inconsciente et solitaire dans un monde qui se transforme en salle d’hôpital. «Les personnes obligées de se soumettre médicalement se voient ainsi attribuer le rôle de toxicomanes. « En vérité, le miracle de la médecine moderne est une tromperie du diable. Elle consiste à faire survivre non seulement des individus mais des populations entières à un niveau de santé personnel inhumainement bas . » La médecine est « la première menace pour la santé ». » et donc pour la survie de l’humanité.
RépondreSupprimerPlus de médicaments n’augmentent pas toujours le bien-être et la durée de vie. « Un monde de santé générale optimale est (…) un monde d'intervention médicale minimale et occasionnelle. » Illich voit dans ces sociétés les meilleures conditions de santé « que l'intervention d'experts peut réduire au minimum. « La vraie santé pour le plus grand nombre n’est pas une affaire. Dès que des sommes importantes sont transférées dans un système social, la santé de la majorité de la population est en danger.
C’est probablement essentiellement l’argent et la perspective d’appartenir à la nouvelle noblesse de la santé qui poussent les hommes politiques, les médecins, les avocats, les fonctionnaires et les industriels à soutenir une dictature de la santé. Ou connaissez-vous des hommes politiques et des dirigeants de haut rang décédés à cause de la vaccination ? D'un point de vue purement statistique, ces décès auraient dû survenir...
i Illich I : L'ennemi juré de la médecine. Aux frontières de la santé . Rowohlt; Reinbek près de Hambourg 1977
Les opinions exprimées dans cet article ne reflètent pas nécessairement les opinions des auteurs permanents de TKP. Les droits et la responsabilité du contenu incombent à l'auteur.
Dr. méd. Gerd Reuther est spécialiste qualifié en radiologie et historien médical. En 2005, il a reçu le prix Eugénie et Felix Wachsmann de la Société allemande Roentgen pour ses réalisations. Il a publié une centaine d'articles dans des revues et livres spécialisés nationaux et internationaux ainsi que cinq livres qui examinent de manière critique la médecine d'hier et d'aujourd'hui. En 2023, « L’essentiel est la panique – Un nouveau regard sur les pandémies en Europe » et « Derniers jours – Causes incomprises et dissimulées de la mort de personnes célèbres » ont été publiés. « .
https://tkp.at/2023/10/07/ivan-illich-ueber-die-wiederkehr-einer-autoritaeren-feudalgesellschaft-mit-medizinischen-mitteln/
Les revues scientifiques publient des rapports pro-confinement et censurent les études anti-confinement : auteurs
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 07 OCTOBRE 2023 - 13H00
Rédigé par Kevin Stocklin via The Epoch Times
La censure liée au COVID semble faire son retour, si jamais elle a disparu.
De nombreux médecins et universitaires affirment avoir tenté de publier des études montrant que les confinements entraînaient des coûts énormes et des avantages marginaux, mais ils ont constaté que de nombreuses portes étaient fermées.
« L’ensemble du processus d’examen scientifique de tout ce qui concerne le COVID-19 est devenu hautement politisé et contaminé », a déclaré à Epoch Times Steve Hanke, professeur d’économie à l’Université Johns Hopkins et ancien membre du Conseil des conseillers économiques sous le président Reagan. M. Hanke dit qu’il fait partie de ceux qui ont été censurés pour avoir critiqué les mesures de confinement.
Alors que de nombreuses personnes peuvent considérer la fermeture des écoles, des entreprises et des églises comme un échec coûteux, intrusif et, dans certains cas, dévastateur du gouvernement, les confinements recueillent des critiques de plus en plus favorables au sein de la communauté médicale, alors que les rapports critiques à l'égard des confinements sont réduits au silence. .
Cela se produit à une époque de révélations selon lesquelles l’administration Biden s’est appuyée sur les entreprises technologiques et médiatiques pour faire taire les voix en désaccord avec les récits officiels du COVID.
En septembre, une cour d’appel fédérale a statué que la Maison Blanche, le chirurgien général américain, le CDC et le FBI avaient « probablement violé le premier amendement » en faisant pression sur les sociétés de médias sociaux pour qu’elles censurent les opinions de ceux qui critiquent les récits officiels du gouvernement sur le COVID. Le tribunal a ordonné aux agences et aux individus au sein de l’administration Biden de ne pas « contraindre ou encourager de manière significative les décisions de modération de contenu d’une plateforme », ni d’influencer de toute autre manière les sociétés de médias sociaux pour bloquer les discours protégés.
« La question n'est pas de savoir si les idées sont fausses ou justes », a déclaré le Dr Bhattacharya après la décision. « La question est de savoir qui contrôle quelles idées sont exprimées sur la place publique. »
RépondreSupprimerL’administration Biden a fait appel de la décision, qui sera probablement finalement tranchée par la Cour suprême. La question centrale est de savoir dans quelle mesure les entreprises privées portent atteinte aux droits des Américains liés au premier amendement si elles censurent à la demande des représentants du gouvernement.
« Notre travail a été effectivement censuré »
Le rapport de M. Hanke, Lars Jonung et Jonas Herby (HJH), intitulé « Les confinements ont-ils fonctionné ? Le verdict sur les restrictions liées au COVID » a conclu que les confinements étaient « un échec politique mondial aux proportions gigantesques ». Cette étude a été rejetée par les grands éditeurs médicaux, tandis que des études faisant l’éloge des confinements sont publiées et amplifiées par les médias.
« Le SSRN a permis aux auteurs de l'article lié de télécharger leur travail, alors que notre travail a été effectivement censuré », a déclaré M. Hanke. "Pourquoi? Nos résultats allaient à l’encontre du dogme de l’administration.
Un article de M. Hanke et de ses collègues, répondant à leurs critiques, a également été rejeté par le SSRN, a déclaré M. Hanke.
Dans les deux cas, le SSRN a déclaré que le rejet était dû à « la nécessité d’être prudent lors de la publication de contenu médical ». Cela semble être un nouveau critère et incompatible avec les directives du SSRN, qui excluent les contenus « illégaux, obscènes, diffamatoires, menaçants, portant atteinte aux droits de propriété intellectuelle, portant atteinte à la vie privée ou autrement préjudiciables ou répréhensibles ».
En revanche, un rapport publié par le SSRN en septembre, intitulé « Les importations et la propagation de la lignée du SRAS-CoV-2 sont réduites après des interventions non pharmaceutiques », donne une évaluation favorable des confinements. Les « interventions non pharmaceutiques » (IPN) sont le nouvel euphémisme pour désigner les confinements, les masques obligatoires, les interdictions de voyager et autres suspensions des droits civils pendant les pandémies.
"En fin de compte, le SRAS-CoV-2 a été éliminé au cours de la période d'étude grâce à la recherche des contacts et aux mesures de quarantaine obligatoires", indique le rapport, faisant référence aux restrictions imposées par l'État de Hong Kong. En Suisse, écrivent les auteurs, « les fermetures strictes des frontières parallèlement au confinement partiel de 2020 ont été efficaces pour contrôler l’entrée de nouvelles lignées [COVID] dans le pays ».
RépondreSupprimerUn rapport publié par le SSRN en juin, intitulé « Estimation de l’efficacité démographique des interventions contre le COVID-19 en France », indique que « nos résultats mettent en évidence l’impact substantiel des INP, y compris les confinements et les couvre-feux, dans le contrôle de la pandémie de COVID-19 » et que « le premier confinement a été le plus efficace, réduisant la transmission de 84 % ».
Préparer le terrain pour les futurs confinements
Des rapports comme ceux-ci semblent jeter les bases d’une légitimation des confinements et d’autres mandats du gouvernement NPI en tant que future réponse politique aux pandémies.
Un rapport d’août intitulé « COVID-19 : examiner l’efficacité des interventions non pharmaceutiques », publié par la Royal Society, une « association » d’éminents scientifiques, déclare : « L’une des leçons les plus importantes de cette pandémie est que l’application efficace des NPI « cela permet de gagner du temps » pour permettre le développement et la fabrication de médicaments et de vaccins. Il y a toutes les raisons de penser que la mise en œuvre d’ensembles d’IPN sera importante lors des futures pandémies.
Un groupe appelé factcheck.org a réalisé sa propre analyse du travail de M. Hanke, citant d’autres académiciens qui l’avaient critiqué et soulignant que l’étude HJH n’avait pas été évaluée par des pairs.
« De nombreuses études ont évalué si et dans quelle mesure les soi-disant « confinements » et divers NPI ont été efficaces, et de nombreuses recherches ont conclu que ces mesures peuvent limiter la transmission ou réduire les cas et les décès », a déclaré Factcheck.
Inquiry, une revue médicale, a également refusé de publier l’article du HJH critiquant les confinements. Selon la correspondance entre Inquiry et les auteurs, la revue a initialement demandé un examen par les pairs de trois experts concernés.
Dans le cadre de la prochaine étape du processus de publication, le journal HJH a reçu trois critiques favorables de la part des évaluateurs de l'Enquête, a déclaré M. Hanke. Cependant, peu de temps après avoir reçu les critiques, le rédacteur en chef d’Inquiry les a rétractées.
« Au cours de ma longue carrière universitaire de près de 60 ans, je n'ai jamais rencontré une telle chose », a déclaré M. Hanke. « En fait, je n’ai jamais entendu parler d’une telle chose. C’est vraiment sans précédent et scandaleux.
RépondreSupprimerDans un article d’opinion commun dans Econ Journal Watch, le Dr Bhattacharya et M. Hanke ont déclaré qu’« il n’y a rien de comparable à une pandémie imminente pour générer la peur, et il n’y a rien de tel que la peur pour graisser les patins de la censure ».
Les auteurs suggèrent un modèle de coopération entre le gouvernement et les médias pour faire taire la dissidence.
« Viennent d’abord les « vérificateurs de faits » qui produisent un verbiage infondé et non pertinent, dépourvu de sens critique ou de perspicacité analytique », ont-ils écrit. « Viennent ensuite les articles à succès [des médias] qui font écho aux affirmations des soi-disant vérificateurs de faits. »
Le résultat final est une absence de points de vue alternatifs dans les publications grand public, ont-ils déclaré.
Un sujet « trop sensible » pour être imprimé
Le Dr Vinay Prasad, médecin, épidémiologiste, professeur à la faculté de médecine de l'Université de Californie à San Francisco et auteur de plus de 350 articles et lettres universitaires, a également détaillé « un modèle surprenant de censure et des normes incohérentes de la part des serveurs de prépublication » qui refusaient de publier. ses recherches critiquant les vaccins COVID et les mandats de masques, tout en publiant fréquemment ses recherches sur le cancer et l'oncologie.
Les serveurs de pré-impression sont des référentiels en ligne qui publient des articles universitaires.
« Plus précisément, MedRxiv et SSRN ont été réticents à publier des articles critiquant le CDC, les mandats en matière de masques et de vaccins, ainsi que les politiques de soins de santé de l’administration Biden », écrit le Dr Prasad. « Les serveurs de prépublication ne sont pas censés être des revues : ils ne sont pas censés rejeter des articles simplement parce que ceux qui les gèrent ne sont pas d’accord avec les arguments qu’ils contiennent. »
Lorsque le Dr Prasad et sa collègue, le Dr Alyson Haslam, ont rédigé un rapport sur la censure de leurs travaux sur le COVID, le SSRN a également refusé de le publier, dit-il.
Le Dr Bhattacharya affirme avoir également été censuré par MedRxiv concernant son analyse critiquant les confinements. En 2020, lui et ses collègues Christopher Oh et John Ioannidis, dirigés par Eran Bendavid, professeur de maladies infectieuses à l'Université de Stanford, ont mené une comparaison de pays comme la Suède et la Corée du Sud qui n'avaient pas de mesures de confinement gouvernementales avec des pays qui en avaient, et n'ont trouvé aucun avantage statistiquement significatif. ordonnances obligatoires sur la propagation du COVID.
RépondreSupprimerSelon le Dr Bhattacharya, « MedRxiv a refusé de publier l’article, disant aux auteurs que le sujet était trop sensible pour permettre la publication d’une prépublication, même si le site regorgeait d’analyses de modélisation prétendant démontrer l’efficacité des confinements pour limiter la propagation. du COVID.
Après avoir publié une version étendue de leurs découvertes sous forme de livre, M. Hanke et ses co-auteurs poursuivent leurs efforts pour partager également leur étude dans les revues médicales grand public, a-t-il déclaré.
"Nous prévoyons que le document recevra une critique juste et favorable et sera publié", a déclaré M. Hanke.
Epoch Times a contacté SSRN et Inquiry pour obtenir des commentaires concernant cet article, mais n'a pas reçu de réponse au moment de la publication.
Même si le Social Sciences Research Network (SSRN), un des principaux éditeurs d’études médicales et autres études scientifiques géré par l’éditeur néerlandais Elsevier, a rejeté le rapport final du HJH, il a néanmoins publié des articles qui attaquaient le rapport du HJH.
https://www.zerohedge.com/political/science-journals-publish-pro-lockdown-reports-censor-anti-lockdown-studies-authors
Certains embaumeurs disent que des caillots fibreux blancs apparaissent ; D'autres disent que c'est une théorie du complot
RépondreSupprimerCertains embaumeurs du monde entier affirment observer des caillots inédits dans les corps, tandis que d’autres dénoncent cela comme une « absurdité ».
Par Allan Stein
06 octobre 2023
Embaumer un corps consiste à remplacer le sang par des solutions chimiques pour le préserver et ralentir sa décomposition.
Certains embaumeurs disent qu’à partir de 2021, ils ont soudainement commencé à constater une « anomalie » au cours de ce processus : un phénomène de longues masses blanches et caoutchouteuses à l’intérieur des vaisseaux sanguins.
D’autres disent n’avoir rien vu de nouveau.
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Les maux de tête retardés survenant après une injection de COVID déclenchent des signaux d’alarme : chercheur
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Epoch Times a contacté des embaumeurs et des pompes funèbres du monde entier pour comprendre la disparité.
Un entrepreneur de pompes funèbres de l'Oklahoma a répondu : « Oui, les embaumeurs de ce lieu funéraire ont tous été confrontés à ce phénomène, chacun à plusieurs reprises lors de l'embaumement au cours des deux dernières années. » Un directeur de pompes funèbres en Pennsylvanie a déclaré à Epoch Times : « Nous avons vu ce genre de choses, absolument. Nous l'avons vu suffisamment pour en discuter au sein de l'entreprise. »
L'entrepreneur de pompes funèbres a déclaré que son entreprise pensait que les caillots fibreux blancs n'étaient qu'une anomalie.
"À quoi est-ce que je l'attribue ? Je ne sais pas. Je n'ai jamais rien vu de pareil auparavant", a-t-il déclaré.
"En ce qui concerne les chiffres, c'est difficile à dire. Lorsque nous avons commencé à le remarquer pour la première fois en 2021, nous nous sommes dit : 'Oh, wow, je me demande si leur taux de cholestérol était hors du commun.'
D’un autre côté, de nombreux répondants à l’enquête d’Epoch Times ont déclaré que non seulement ils n’avaient pas vu les masses fibreuses dans les corps qu’ils embaumaient, mais qu’ils considéraient les rapports d’autres embaumeurs et directeurs de pompes funèbres comme des « absurdités ».
RépondreSupprimer« C'est une absurdité, la théorie du complot sur le vaccin contre la COVID [explétif] », a déclaré un embaumeur canadien à Epoch Times dans un courriel. "Nous embaumons plus de 400 corps chaque année et nous n'avons jamais vu [cela]."
Plusieurs répondants du Canada, d'Australie et du Royaume-Uni ont déclaré qu'ils n'avaient vu aucun caillot blanc et fibreux, l'un d'eux qualifiant cela de « connerie ridicule ».
Cependant, les réponses de 11 embaumeurs aux États-Unis, au Canada et en Nouvelle-Zélande racontent une histoire similaire : des masses de fibrine blanche obstruent le système circulatoire des personnes nouvellement décédées depuis 2021.
Certains spéculent que ces obstructions ont quelque chose à voir avec la COVID-19 ou les vaccins contre la COVID-19, bien qu’aucune recherche n’existe pour étayer un tel lien.
Le Dr Ryan Cole, un pathologiste de l'Idaho qui a déclaré avoir effectué « beaucoup » d'autopsies au cours de sa carrière, a déclaré que les caillots sanguins post-mortem normaux sont rouges et ressemblant à de la gelée.
"Ils ne sont pas blancs et caoutchouteux", a-t-il déclaré dans une interview en 2022 sur "American Thought Leaders".
Le Dr Cole attribue l'absence de dialogue public au sein de la communauté médicale concernant les caillots à la « peur institutionnelle ».
Enquête à la base
Lorsque le major à la retraite de l'US Air Force, Thomas Haviland, a commencé à entendre parler de cet étrange phénomène dans divers médias, il a mené cette année sa propre enquête internationale par courrier électronique auprès des salons funéraires.
M. Haviland a envoyé des questionnaires via Survey Monkey à des salons funéraires aux États-Unis, au Canada, en Australie, en Nouvelle-Zélande et au Royaume-Uni. Sur les 179 embaumeurs actifs qui ont répondu à l'enquête, 119 ont confirmé avoir vu les caillots.
M. Haviland a déclaré qu'il avait conçu l'enquête pour qu'elle soit aussi impartiale que possible. Nulle part dans les instructions de l’enquête ni dans les questions de l’enquête les mots « Covid » ou « vaccins Covid » ne sont mentionnés.
RépondreSupprimerM. Haviland a déclaré qu'il avait seulement demandé aux embaumeurs s'ils voyaient les caillots fibreux blancs, quand ils les voyaient, où sur le corps et dans quel pourcentage de corps ils embaumaient.
Malgré le fait que l'enquête ne mentionne jamais les vaccins contre la COVID, bon nombre des 42 embaumeurs américains et des 12 embaumeurs canadiens qui ont répondu à une case facultative « Commentaires » à la fin de l'enquête ont soit impliqué les vaccins contre la COVID comme étant la cause des caillots fibreux blancs, soit ils défendaient les vaccins tout en niant l'existence de ces caillots inhabituels.
"Le principal consensus des embaumeurs est que ces caillots fibreux blancs sont apparus pour la première fois en 2021 et persistent encore à ce jour. Les embaumeurs voient ces caillots dans un pourcentage important de cadavres, jusqu'à 50 pour cent ou plus dans certains cas", a déclaré M. Haviland. dit.
Epoch Times a contacté de manière indépendante les 1 700 embaumeurs et directeurs de pompes funèbres interrogés par M. Haviland pour corroborer les conclusions. Neuf ont répondu en disant qu'ils avaient rencontré des masses fibreuses blanches, et cinq ont répondu que non.
Réponses des embaumeurs
L’embaumeuse canadienne Laura Jeffrey a trouvé bizarre de retirer de longues masses blanches et caoutchouteuses des veines et des artères du défunt au début de l’année 2021.
"Je savais dès le départ que quelque chose n'allait pas", a déclaré Mme Jeffrey.
Dans un cas, elle a trouvé une masse blanche et filandreuse qui « pendait » littéralement de l'artère d'une femme décédée – « d'environ huit pouces de long – toutes ramifiées », a-t-elle déclaré à Epoch Times.
"On pouvait voir la coupure du pathologiste. Donc vous ne pouvez pas me dire qu'elle n'était pas là quand ils ont fait l'autopsie. J'ai dû la retirer en tant qu'embaumeur."
Mme Jeffrey a déclaré que son travail devenait de plus en plus difficile en essayant de contourner les obstacles. Elle a décidé de consulter ses collègues, mais s'est heurtée à une « loi du silence » inexplicable.
À plus de 8 000 milles du domicile de Mme Jeffrey en Ontario, un embaumeur néo-zélandais a confirmé des conclusions similaires.
« Pour des raisons évidentes, je suis très réticent à ce que mes collègues sachent que je réponds », a déclaré l'embaumeur, sous couvert d'anonymat, dans un e-mail adressé à Epoch Times.
"Mon lieu de travail estime qu'il s'agit d'une théorie du complot et n'est pas disposé à engager une conversation. Dire que j'ai été fermé lorsque j'ai essayé d'en parler est un euphémisme."
Un directeur de pompes funèbres du Colorado a déclaré à Epoch Times : « Nous trouvons ces caillots sanguins blancs et fibreux chez les défunts de tous âges.
Une directrice de pompes funèbres dans une morgue à volume élevé au Texas a déclaré qu'elle avait vu des caillots dans plusieurs cas d'embaumement, mais qu'elle avait besoin d'en savoir plus à leur sujet avant de commenter davantage.
RépondreSupprimerUn entrepreneur de pompes funèbres basé à New York a déclaré à Epoch Times : « Nous avons vu plusieurs cas de caillots fibreux. »
Dans l'Utah, le directeur d'une maison funéraire a confirmé avoir vu des caillots "dans nos cas d'âge moyen".
Un autre embaumeur de l'Utah qui travaille dans le secteur depuis plus de 30 ans a déclaré à Epoch Times : « Si les embaumeurs constatent une augmentation de ce phénomène, ils doivent comprendre pourquoi. »
L'embaumeur a déclaré qu'il pensait qu'une étude plus approfondie était nécessaire, notamment en raison de la nature étrange des preuves anecdotiques.
"C'est sporadique. C'est pourquoi c'est étrange", a-t-il déclaré. "Vous pouvez être dans une zone et trouver cela plus courant. Les autres embaumeurs ne le voient pas du tout – ils ne veulent pas en parler et considèrent cela comme un complot."
Un entrepreneur de pompes funèbres de l'Oklahoma a déclaré à Epoch Times : « Oui, les embaumeurs de ce lieu funéraire ont tous été confrontés à ce phénomène, chacun à plusieurs reprises lors de l'embaumement au cours des deux dernières années. »
Le directeur d'une maison funéraire du Kentucky a déclaré qu'il exerçait la profession depuis 37 ans et qu'il avait commencé à voir des « caillots anormaux ».
Mais un embaumeur de l'Ohio a déclaré : "C'est absolument faux. Il n'y a pas de caillots sanguins blancs et fibreux. Nous embaumons plus de 1 800 cas par an."
Sur les trois salons funéraires d'Australie qui ont répondu à Epoch Times, deux ont déclaré qu'ils n'avaient pas constaté d'augmentation des caillots sanguins ou des « caillots sanguins blancs et fibreux ».
Le troisième a déclaré : « S'il vous plaît, évitez d'envoyer continuellement ces conneries ridicules aux directeurs de pompes funèbres occupés. »
Un répondant canadien a déclaré : « Je n'ai vu aucun [caillot de fibrine] ».
Un directeur de pompes funèbres au Royaume-Uni a déclaré qu'il avait l'intention de signaler le courrier électronique d'Epoch Times comme spam et qu'il ne répondrait pas aux questions, car « le seul objectif est de promouvoir une propagande insensée ».
RépondreSupprimerOrganisations officielles
Epoch Times a contacté les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) et la Food and Drug Administration (FDA) pour obtenir leurs commentaires sur les caillots fibreux.
"Nous n'avons aucune information à partager sur l'embaumement ou les contacts avec les pompes funèbres", a indiqué le CDC dans un courriel. Il a renvoyé le journaliste à la National Funeral Directeurs Association (NFDA).
Une porte-parole de la FDA a répondu que « les cadavres préparés/soignés dans le cadre des funérailles… ne relèvent pas de la compétence réglementaire de la FDA ».
"La FDA réglemente les cellules, tissus et produits cellulaires et à base de tissus humains... destinés à être implantés, infusés ou transférés chez un receveur humain", a-t-elle écrit dans un e-mail.
Les National Institutes of Health, une agence du ministère américain de la Santé et des Services sociaux, n'ont pas répondu à un e-mail d'Epoch Times lui demandant s'il avait reçu des rapports faisant état de caillots fibrinogènes provenant d'embaumeurs et d'entrepreneurs de pompes funèbres.
La porte-parole de la NFDA, Jessica Koth, a déclaré qu'elle n'était pas au courant de l'enquête menée par M. Haviland et que l'association n'avait reçu aucun appel concernant de tels caillots.
« Les directeurs de pompes funèbres et les embaumeurs ne sont en aucun cas qualifiés pour tirer des conclusions sur les vaccins contre la COVID et les caillots sanguins ni pour savoir s'ils sont liés à la cause du décès d'un individu », a déclaré Mme Koth dans un courriel à Epoch Times.
"Les directeurs de pompes funèbres n'ont pas accès aux antécédents médicaux ou vaccinaux d'un individu et ne sont pas formés pour tirer des conclusions sur la cause du décès d'un individu. Cette responsabilité incombe aux médecins légistes, aux coroners et aux médecins."
Mme Koth a ajouté que les directeurs de pompes funèbres et les embaumeurs rencontrent régulièrement des caillots lorsqu'ils embaument une personne décédée « quelle que soit la cause du décès – et qu'un certain nombre de facteurs peuvent provoquer des caillots ».
La NFDA a fait référence à Epoch Times à un article de blog de Ben Schmidt, directeur de pompes funèbres et embaumeur chez Raven Plume Consulting, qui cherchait à démystifier les informations faisant état de présence de fibrine dans les défunts par les embaumeurs, les qualifiant d'« appâts à clics » médiatiques.
Un effet à long terme du COVID-19 est la formation de caillots, qui se produit chez les personnes vaccinées et non vaccinées, selon le blog du 21 septembre 2022.
"En plus du COVID-19, la clinique Mayo répertorie les causes courantes de coagulation suivantes, notamment l'artériosclérose, le tabagisme, l'obésité, les crises cardiaques, l'insuffisance cardiaque, la thrombose veineuse profonde, les accidents vasculaires cérébraux et les antécédents familiaux de caillots sanguins, en plus d'autres. conditions rares", a écrit M. Schmidt.
RépondreSupprimer"Les caillots post-mortem peuvent se former rapidement tant que le sang est encore à l'état liquide, provoquant la séparation du plasma des éléments formés. Ce sont des phénomènes courants chez les embaumeurs de tous niveaux de formation."
L'auteur déclare en outre qu'il n'existe aucune base de données pour référencer les tendances des caillots post-mortem, "nous n'avons donc aucune idée de l'ampleur et de la fréquence de certains types de caillots".
Dans un courriel de suivi, Mme Koth a déclaré que si les embaumeurs ont des inquiétudes concernant leurs découvertes, « il serait plus prudent de les signaler aux autorités sanitaires locales » pour un suivi systématique.
"En tant qu'association, nous n'avons pas nécessairement l'expertise nécessaire pour suivre et étudier de tels rapports", écrit-elle.
Epoch Times a contacté plusieurs pathologistes et un cardiologue pédiatrique pour commenter les structures de la fibrine, mais aucun n'a répondu.
Un porte-parole de l'Association américaine d'hématologie, en réponse à un courriel d'Epoch Times sollicitant les commentaires d'experts sur la coagulation post-mortem, a écrit : « Je crains que ce ne soit pas un sujet dont nos experts pourraient parler. »
L'hématologie est l'étude du sang et des maladies liées au sang.
Update: The article was updated with more detailed information about Mr. Haviland's survey.
https://www.theepochtimes.com/article/some-embalmers-say-white-fibrous-clots-showing-up-others-say-its-a-conspiracy-theory-5481469?utm_source=partner&utm_campaign=ZeroHedge&src_src=partner&src_cmp=ZeroHedge
Quant au Projet Veritas, il a simplement débranché et licencié tous les employés, sauf quelques-uns. Elle a cessé ses activités, ce qui n'est pas surprenant. Lorsque vous vous débarrassez de la personne la plus performante, les vapeurs qui vous restent ne durent pas longtemps.
RépondreSupprimerPensez-y : cette opération géniale a échoué parce que certaines personnes puissantes ont eu peur de dénoncer les fabricants de vaccins.
Robert F. Kennedy Jr., le plus grand et le plus savant critique des grandes entreprises pharmaceutiques de la planète, a été confronté à ce qui aurait pu être une tentative d'assassinat la semaine dernière. Cela n’a même pas fait la une des journaux (à l’exception d’Epoch Times). Pendant ce temps, on lui refuse toujours la protection des services secrets, même s'il est un candidat sérieux et qu'il fait face à des menaces de mort constantes.
En tant que président du Brownstone Institute, je vois plusieurs fois par jour des exemples de ce qui arrive aux médecins, aux professeurs, aux statisticiens ou à quiconque pose des questions sur cette industrie, qui d’une manière ou d’une autre est devenue l’une des plus puissantes de la politique américaine. Les sales pratiques de l’industrie en annulant les critiques sont légion. Toute étude remettant en question l’efficacité, la sécurité ou la nécessité de leurs produits est presque toujours rejetée par les revues grand public. Même les lettres adressées à l’éditeur qui exposent des erreurs statistiques finissent à la poubelle.
Quant aux Big Tech, elles aussi sont pleinement redevables. Nous avons la preuve irréfutable que Facebook et Twitter ont bloqué toute publication critique à l’égard des vaccins. Ils sont allés jusqu’à bloquer les « véritables informations » sur les effets secondaires des vaccins qui pourraient contribuer à un environnement d’« hésitation à l’égard des vaccins ».
Nous devons nous demander à nouveau : comment les grandes sociétés pharmaceutiques ont-elles acquis le contrôle de tant de gouvernements ?
À ce stade, ce problème est devenu une véritable menace pour la démocratie et la liberté. Aucune industrie n’a plus de pouvoir pour extraire un financement fiscal de ses opérations, conserver le contrôle de la propriété intellectuelle sur les résultats, bénéficier d’une indemnisation en cas de préjudice, et même imposer ses produits aux consommateurs. C'est indéfendable.
Tout guerrier qui ose s’y opposer mérite le soutien de tous ceux qui croient en ce qu’était le système américain.
Les opinions exprimées dans cet article sont celles de l’auteur et ne reflètent pas nécessairement celles d’Epoch Times ou de ZeroHedge.
https://www.zerohedge.com/political/dangers-investigating-big-pharma
La première Conférence des Nations Unies sur l'environnement et le développement (CNUED), également connue sous le nom de « Sommet de la Terre », à Rio de Janeiro, au Brésil, en juin 1992, a été la pierre angulaire du changement. Conférences COP parrainées par l'ONU (COP – Conférence des Parties).
RépondreSupprimerLa dernière, la COP27, a eu lieu en novembre 2022 en Égypte. La répétition annuelle des COP est une méthode bien étudiée de lavage de cerveau social, une manipulation à la Tavistock – qui a fait des merveilles. Il est aujourd’hui difficile de trouver quelqu’un parmi les gens ordinaires qui ne croit pas au changement climatique provoqué par l’homme et qui émet du gaz carbonique. Peu importe les preuves du contraire.
La trahison de l'ONU face à une élite corrompue a fait un pas de géant visible avec le début de la décennie 2020, c'est-à-dire avec l' Agenda 2030 de l'ONU . Tout cela doit d’abord pénétrer dans le cerveau de la plupart des gens, avant même que nous puissions commencer à résister et passer à une autre sphère vibratoire.
Cependant, comme pour tout ce qui est spirituel et dynamique, une fois qu’une masse critique a commencé à avoir une pensée critique, le passage à la Lumière peut être rapide.
Passer à la Lumière est ce qui est prévu pour 2023/2024. Cette prédiction ne doit en aucun cas être considérée comme un « retour en arrière » et un encouragement à observer ce qui se passe . Être LIBRE n’est un droit que si nous le défendons et luttons pour cela. Ne laissons pas de fissures à la séduction diabolique.
Avant de pouvoir nous retirer, nous devons reconnaître ces méthodes diaboliques des « Illuminati » et nous dresser à l’unisson contre elles.
Cet écrit a pour but de diffuser cette information sur « le cerveau comme champ de bataille en cours et à venir ». Beaucoup trouveront cela tellement hors de leur matrice de pensée actuelle qu’ils se contenteront de secouer la tête avec incrédulité, ou de qualifier ces faits et nouvelles de « désinformation ». Beaucoup d’entre nous y sont allés. Ce n'est pas important. Nous devons continuer l'offense avec la vérité.
Depuis qq décennies les gens se plaignent de ruptures de la hanches, décalcification osseuse. Pourquoi ? Rappelez vous à la fin du siècle dernier la télé diffusait des publicités sur un plombier qui montrait le tuyau d'eau pour machine à laver qui était presque complètement bouché par le calcaire
RépondreSupprimer! C'était le gag marrant du jour. Gag marrant qui a fait son effet ! Les gens se sont mis à acheter des anti-calcaire et... ne plus boire de l'eau du robinet et acheter de l'eau au supermarchés !! (car ils pensaient que leurs boyaux feraient pareil que le tuyau de la machine à laver ! HAHAHAHAHA !
Explication: Le calcaire c'est du tartre ! Le calcaire c'est du calcium ! ÊH OUI !
Et, sans calcaire... vos os ne tiennent plus !
Ce n'est pas pour rien que nous respirons toutes et tous 200 000 nano-poussières (appelées 'virus' !) ET microbes PAR MINUTE ! Soit DES milliards depuis ce matin et DES montagnes de milliards depuis notre naissance !!.... Et.... NOUS N'EN SOMMES PAS MORT(E)S !!
Programme pour dépeupler la planète grâce à la vaccination contre le COVID. Révélé par les rapports gouvernementaux et les documents Pfizer
RépondreSupprimerPar l'exposition
Recherche mondiale,
7 octobre 2023
Si un vaccin expérimental devait endommager le cœur et le système immunitaire d’un nombre important de personnes qui l’ont reçu, il est possible qu’il entraîne une diminution de la taille globale de la population.
Cela peut se produire pour plusieurs raisons.
Premièrement, les lésions cardiaques pourraient entraîner une augmentation des maladies cardiovasculaires, qui constituent l’une des principales causes de mortalité dans le monde. Cela pourrait entraîner un nombre plus élevé de décès parmi les personnes ayant reçu le vaccin.
Deuxièmement, les dommages causés au système immunitaire pourraient rendre les individus plus vulnérables à d’autres infections et maladies, ce qui pourrait également contribuer à une augmentation de la mortalité.
Dernier point, mais non le moindre, les impacts négatifs du vaccin sur la fertilité et la santé reproductive pourraient entraîner une baisse du nombre de naissances, contribuant ainsi à une diminution de la taille globale de la population.
Si un tel vaccin devait être développé et distribué, il pourrait potentiellement conduire à un dépeuplement dû à une mortalité accrue et à une diminution de la fertilité.
Malheureusement, le monde s’est retrouvé dans une situation où des institutions et des gouvernements puissants ont contraint des millions de personnes à se faire vacciner expérimentalement contre le Covid-19, ce qui provoque tous les effets malheureux mentionnés ci-dessus.
Les rapports officiels du gouvernement et les documents confidentiels de Pfizer le prouvent.
Par conséquent, vous assistez à un dépeuplement massif se dérouler sous vos yeux.
La campagne de vaccination de masse contre le Covid-19 n’a jamais eu pour objectif de combattre un virus. Il s’agissait de réduire la population mondiale.
RépondreSupprimerCet objectif correspond aux intérêts de certaines entreprises et individus puissants qui bénéficieront d’une population plus petite et plus gérable maintenant que l’IA est suffisamment avancée pour remplacer des centaines de millions de travailleurs.
Quelle que soit la cause spécifique, les implications de ce qui se passe actuellement dans le monde réel sont importantes.
Des millions de personnes sont « mortes subitement »
Saviez-vous que des données sur la surmortalité dans 15 % des pays du monde sont disponibles sur le site de l' Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) ?
Cela inclut des pays majeurs comme les États-Unis, le Canada et le Royaume-Uni.
De plus, nous avons pu extraire d' EuroMOMO des données encore plus récentes sur 28 pays européens .
Toutes ces informations ont été fournies à l' OCDE et à EuroMOMO par les organismes gouvernementaux de chaque pays, tels que les Centers for Disease Control aux États-Unis et l'Office for National Statistics au Royaume-Uni.
Le graphique suivant illustre la tendance inquiétante de la surmortalité dans les pays des « Cinq Yeux » (Australie, Canada, Nouvelle-Zélande, Royaume-Uni et États-Unis) ainsi que dans 27 autres pays européens :
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Êtes-vous conscient du nombre effarant de décès excessifs survenus aux États-Unis et en Europe ces dernières années ?
En 2021, les États-Unis ont enregistré près de 700 000 décès supplémentaires, et 360 000 autres décès supplémentaires au 11 novembre 2022.
L’Europe a connu un chiffre tout aussi alarmant de 382 000 décès excédentaires en 2021, avec 309 000 décès excédentaires en novembre 2022.
Et ces chiffres n’incluent même pas l’Ukraine !
Il est choquant de constater que même des pays comme la Nouvelle-Zélande, l’Australie et le Canada ont connu une surmortalité qui n’a pas diminué depuis le déploiement du vaccin Covid-19.
RépondreSupprimerLe graphique suivant illustre la tendance inquiétante de la surmortalité globale en Australie en 2020, 2021 et jusqu’à la semaine 30 de 2022 :
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Saviez-vous que le déploiement du vaccin Covid-19 en Australie a entraîné une augmentation choquante de 747 % des décès excédentaires, de 1 303 en 2020 à 11 042 en 2021 ?
Et depuis, la situation n’a fait qu’empirer.
Fin juillet 2022, il y avait un excédent de décès stupéfiant de 18 973 en Australie, soit une augmentation de 1 356 % par rapport à 2020.
Cela représente plus de décès en 7 mois qu’au cours des deux années précédentes combinées.
Et la situation aux États-Unis est tout aussi alarmante :
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Êtes-vous conscient de la tendance inquiétante de la surmortalité aux États-Unis suite au déploiement du vaccin Covid-19 ?
À la semaine 38 de 2022, 1 700 personnes de plus étaient décédées par rapport à la même période de 2020, et à la semaine 38 de 2021, 109 000 personnes de plus étaient décédées par rapport à la même période de 2020.
Ces chiffres indiquent qu’au lieu de diminuer, les décès ont en réalité augmenté suite au déploiement du vaccin.
Les deux graphiques suivants illustrent le total des décès excédentaires dans les « Five Eyes » et en Europe depuis le début de 2021, lorsque le vaccin Covid-19 a été introduit :
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Saviez-vous que plus de 1,8 million de décès supplémentaires se sont produits dans les « Five Eyes » et dans la majeure partie de l’Europe depuis le déploiement du vaccin Covid-19 ?
Ce chiffre choquant comprend plus d'un million de décès excédentaires aux États-Unis et plus de 690 000 décès excédentaires en Europe selon les Centers for Disease Control et l'Organisation de coopération et de développement économiques, ainsi qu'un nombre important de décès excédentaires en Australie, au Canada, et la Nouvelle-Zélande.
Le discours officiel selon lequel le vaccin est sûr et efficace et réduirait le nombre de décès est complètement contredit par ces chiffres, qui suggèrent que les vaccins Covid-19 pourraient être la principale cause de la surmortalité.
Des enfants/adolescents et jeunes adultes sont « morts subitement »
Saviez-vous que la surmortalité chez les enfants âgés de 0 à 14 ans en Europe a grimpé en flèche de 755 % entre janvier et septembre 2022, selon les données officielles ?
Cette augmentation alarmante, qui a incité l'Union européenne à ouvrir une enquête, s'est produite malgré les efforts d' EuroMOMO pour minimiser les chiffres.
RépondreSupprimerIl convient de noter que le vaccin Pfizer Covid-19 a été approuvé pour une utilisation chez les enfants par l'Agence européenne des médicaments le 28 mai 2021, soit la semaine 21 de 2021.
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Ensuite, des décès supplémentaires « seulement » par coïncidence » ont commencé à être enregistrés à partir de la semaine 22, une fois cette autorisation d'utilisation d'urgence accordée.
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Dans l’ensemble, la surmortalité a augmenté de 630 % depuis l’approbation du vaccin pour une utilisation chez les enfants en septembre 2022.
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C'est une triste réalité : malgré les preuves de plus en plus nombreuses indiquant le danger évident des vaccinations contre le Covid-19 pour les enfants, il est très peu probable que les autorités reconnaissent ce risque.
Tragiquement, l’augmentation significative de la surmortalité chez les enfants en Europe depuis que l’Agence européenne des médicaments a approuvé l’utilisation du vaccin dans cette population en cas d’urgence est susceptible d’être considérée comme une simple « coïncidence » parmi la longue liste de tels événements depuis le début de la pandémie. .
Il est essentiel que nous continuions à examiner et à scruter les données pour garantir la protection de la santé et du bien-être de nos enfants.
Saviez-vous également que selon les chiffres officiels publiés discrètement par les Centers for Disease Control (CDC) des États-Unis , près d'un demi-million d'enfants et de jeunes adultes sont morts au 9 octobre 2022 aux États-Unis depuis que la Food & Drug Administration a accordé pour la première fois une autorisation d'utilisation d'urgence pour un vaccin contre le Covid-19 ?
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Le graphique montre les taux de mortalité mensuels standardisés selon l'âge par statut vaccinal chez les 18 à 39 ans pour les décès non liés au Covid-19 en Angleterre entre janvier et mai 2022.
RépondreSupprimerIl ressort clairement de ces données que les risques associés à ces vaccins ne peuvent être ignorés.
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C'est une tendance inquiétante : chaque mois depuis le début de l'année 2022, les 18-39 ans partiellement vaccinés et doublement vaccinés ont plus de risques de mourir que les 18-39 ans non vaccinés.
La situation est particulièrement désastreuse pour les 18 à 39 ans triplement vaccinés, dont le taux de mortalité s’est aggravé de mois en mois depuis la campagne de masse Booster qui a eu lieu au Royaume-Uni en décembre 2021.
En janvier, les 18 à 39 ans triplement vaccinés étaient légèrement moins susceptibles de mourir que les individus non vaccinés de ce groupe d'âge, avec un taux de mortalité de 29,8 pour 100 000 parmi les non vaccinés et de 28,1 pour 100 000 parmi les triplement vaccinés.
Cependant, à partir de février, les 18 à 39 ans triplement vaccinés étaient 27 % plus susceptibles de mourir que les individus non vaccinés, avec un taux de mortalité de 26,7 pour 100 000 parmi les triplement vaccinés et de 21 pour 100 000 parmi les non vaccinés.
La situation s'est encore aggravée en mai 2022, les triplement vaccinés âgés de 18 à 39 ans étant 52 % plus susceptibles de mourir que les individus non vaccinés de cette tranche d'âge, avec un taux de mortalité de 21,4 pour 100 000 chez les triplement vaccinés et de 14,1 chez les non vaccinés. .
Les personnes partiellement vaccinées s’en sortent également mal, May voyant les personnes partiellement vaccinées âgées de 18 à 39 ans 202 % plus susceptibles de mourir que les personnes non vaccinées de ce groupe d’âge.
Le rapport de l'Office britannique des statistiques nationales inclut également les taux de mortalité infantile, bien que le gouvernement britannique ait tenté de dissimuler ces données.
Le graphique suivant montre les taux de mortalité par statut vaccinal pour 100 000 années-personnes chez les enfants âgés de 10 à 14 ans en Angleterre pour la période du 1er janvier 2021 au 31 mai 2022 :
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Selon l'Office britannique des statistiques nationales, le taux de mortalité dû au Covid-19 parmi les enfants non vaccinés âgés de 10 à 14 ans est de 0,31 pour 100 000 années-personnes.
RépondreSupprimerCependant, pour les enfants vaccinés à une dose, le taux de mortalité est de 3,24 pour 100 000 années-personnes, et pour les enfants triplement vaccinés, le taux de mortalité est alarmant de 41,29 pour 100 000 années-personnes.
La situation n’est pas meilleure en ce qui concerne les décès non liés au Covid-19. Le taux de mortalité toutes causes confondues est de 6,39 pour 100 000 années-personnes chez les enfants non vaccinés et légèrement plus élevé, à 6,48 chez les enfants partiellement vaccinés.
Cependant, le taux s’aggrave à chaque injection supplémentaire : le taux de mortalité toutes causes confondues est de 97,28 parmi les enfants doublement vaccinés et un taux alarmant de 289,02 pour 100 000 années-personnes parmi les enfants triplement vaccinés.
Cela signifie que, selon les données officielles du gouvernement britannique, les enfants doublement vaccinés ont 1 422 % ou 15,22 fois plus de risques de mourir, quelle qu'en soit la cause, que les enfants non vaccinés, tandis que les enfants triplement vaccinés ont 4 423 % ou 45,23 fois plus de risques de mourir, quelle qu'en soit la cause. cause que les enfants non vaccinés.
Les données fournies par l'Office des statistiques nationales, qui sont standardisées selon l'âge et les taux pour 100 000 habitants, sont la preuve définitive que les vaccins Covid-19 augmentent le risque de décès d'une personne.
Il n'est donc pas surprenant d'apprendre qu'un rapport secret du CDC confirme que près d'un demi-million d'enfants et de jeunes adultes américains sont morts à la suite du déploiement du vaccin Covid-19, entraînant près de 118 000 décès supplémentaires par rapport à la moyenne quinquennale 2015-2019. .
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Vous n'avez qu'un seul cœur et il ne se régénérera pas
Les conséquences potentielles d’un vaccin contre la COVID-19 qui nuit au cœur sont désastreuses. Si un tel vaccin était largement distribué et administré à une partie significative de la population, il pourrait entraîner des millions de morts subites.
Le cœur est un organe vital qui joue un rôle essentiel dans le bon fonctionnement de l’organisme. Tout effet indésirable sur celui-ci pourrait donc avoir des conséquences désastreuses.
Malheureusement, au moins deux vaccins contre le Covid-19 produits par Pfizer et Moderna font exactement cela, et ils ont maintenant été administrés à plusieurs reprises à des millions de personnes, et il est probable que ces vaccins soient responsables des millions de décès excédentaires enregistrés dans le monde depuis leur apparition. dérouler.
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Le risque de myocardite, une inflammation du muscle cardiaque pouvant entraîner une mort subite si elle n’est pas traitée, est une préoccupation majeure lorsqu’il s’agit du vaccin contre le Covid-19. Cela est particulièrement vrai pour les adultes et les enfants jeunes et en bonne santé, qui peuvent ne présenter aucun symptôme de myocardite jusqu'à ce que la maladie ait atteint un stade grave.
Les symptômes de la myocardite peuvent inclure des douleurs thoraciques, un essoufflement, de la fatigue et des rythmes cardiaques anormaux. Si elle n'est pas traitée, elle peut entraîner une insuffisance cardiaque, un arrêt cardiaque et une mort cardiaque subite.
RépondreSupprimerC'est probablement la raison pour laquelle une enquête sur les chiffres officiels publiée par Public Health Scotland en avril 2022 a révélé qu'il y a eu une augmentation de 67 % par rapport à la moyenne historique du nombre de personnes âgées de 15 à 44 ans victimes d'une crise cardiaque, d'un arrêt cardiaque, d'une myocardite, d'un accident vasculaire cérébral. , et d’autres maladies cardiovasculaires depuis que cette tranche d’âge s’est vu proposer le vaccin Covid-19.
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Malheureusement, une étude menée par les Centers for Disease Control (CDC) et la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a montré que le risque de myocardite suite à la vaccination à ARNm contre le COVID est environ 133 fois plus élevé que le risque de base dans la population.
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Cela signifie que la vaccination contre le Covid augmente de 13 200 % le risque de souffrir de myocardite, une maladie auto-immune provoquant une inflammation du cœur.
Il ressort clairement des données présentées que les vaccins Covid-19 produits par Pfizer et Moderna ont eu un impact significatif sur la santé de millions de personnes dans le monde.
Les effets indésirables potentiels sur le cœur, notamment la myocardite et un risque accru de crise cardiaque, d'arrêt cardiaque et d'autres maladies cardiovasculaires, pourraient entraîner un nombre important de morts subites si ces vaccins étaient largement distribués et administrés à une partie importante de la population. .
De plus, le nombre élevé de décès excessifs survenus depuis le déploiement des vaccins Covid-19 suggère que ces vaccins pourraient contribuer à une tendance plus large au dépeuplement.
Les décès excédentaires font référence au nombre de décès supérieur à ce à quoi on pourrait normalement s’attendre dans une population donnée, et le fait qu’il y ait eu des millions de décès excédentaires dans les pays des « Five Eyes » et en Europe depuis le déploiement du vaccin contre le Covid-19 est un signe révélateur. source de préoccupation.
Il est également préoccupant que Pfizer ne dispose d’aucune information sur l’issue de 238 grossesses sur 270. Ces chiffres soulèvent de sérieuses questions sur la sécurité du vaccin Pfizer contre la COVID-19 pour les femmes enceintes et leurs fœtus.
RépondreSupprimerLes résultats d’ une autre étude Pfizer sur des rats Wistar Han montrent que le vaccin Pfizer COVID-19 s’accumule dans les ovaires au fil du temps.
Les ovaires sont une paire de glandes femelles qui produisent des ovules et les hormones féminines œstrogène et progestérone.
L' étude , qui se trouve dans la liste des documents confidentiels de Pfizer publiés par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis en vertu d'une ordonnance du tribunal, a administré une dose unique du vaccin Pfizer à 21 rats femelles et 21 rats mâles.
Les chercheurs ont mesuré la concentration de radioactivité totale dans le sang, le plasma et les tissus des rats à différents moments après l'injection. L’accumulation du vaccin dans les ovaires suscite des inquiétudes quant à son impact potentiel sur la fertilité et la santé reproductive.
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L’une des conclusions les plus préoccupantes de l’étude sur le vaccin Pfizer Covid-19 est le fait qu’il s’accumule dans les ovaires au fil du temps.
Au cours des 15 premières minutes suivant l'injection, la concentration totale de lipides dans les ovaires était de 0,104 ml, mais elle est passée à 1,34 ml après seulement une heure, 2,34 ml après quatre heures et 12,3 ml après 48 heures.
Même si les scientifiques qui ont mené l'étude n'ont pas poursuivi leurs recherches au-delà de 48 heures, il n'est pas clair si cette accumulation s'est poursuivie.
Ces résultats soulèvent de sérieuses questions quant aux effets potentiels à long terme du vaccin Pfizer sur la fertilité et la santé reproductive.
Mais selon les données publiées par Public Health Scotland, le nombre de personnes souffrant d'un cancer de l'ovaire a considérablement augmenté en 2021 par rapport à l'année précédente et à la moyenne 2017-2019.
Cela pourrait potentiellement être lié à l’accumulation du vaccin Pfizer COVID-19 dans les ovaires, comme le révèle une étude sur des rats.
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Cancer de l'ovaire – Source
Les décès de nouveau-nés en Écosse ont également atteint un niveau critique pour la deuxième fois en sept mois seulement, selon les chiffres officiels.
RépondreSupprimerLe taux de décès néonatals en mars 2022 était de 4,6 pour 1 000 naissances vivantes, soit une augmentation de 119 % par rapport au taux de décès attendu.
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Cela signifie que le taux de mortalité néonatale a dépassé un seuil d’alerte supérieur connu sous le nom de « limite de contrôle » pour la deuxième fois après le déploiement des vaccins Covid-19 auprès des femmes/femmes enceintes.
La dernière fois que cette limite a été dépassée, c’était en septembre 2021, lorsque les décès néonatals pour 1 000 naissances vivantes ont atteint 5,1. Ces niveaux sont comparables à ceux généralement observés à la fin des années 1980.
À l’époque, le PHS avait déclaré que le fait que la limite supérieure de contrôle ait été dépassée « indique qu’il existe une probabilité plus élevée qu’il existe des facteurs au-delà de la variation aléatoire qui ont contribué au nombre de décès survenus ».
Cette nouvelle est choquante et soulève de sérieuses inquiétudes quant à la sécurité des vaccins contre le Covid-19.
Mortalité accrue
Il est alarmant de voir dans les chiffres trouvés dans un rapport publié par le gouvernement britannique intitulé « Deaths by Vaccination Status, England, 1 January 2021 to 31 May 2022 », et accessible sur le site de l'ONS ici , et téléchargé ici , qu'en chaque mois entre janvier et mai 2022, les personnes âgées de 18 à 39 ans qui étaient partiellement ou entièrement vaccinées étaient plus susceptibles de mourir de causes non liées à Covid que leurs homologues non vaccinés.
La situation est particulièrement désastreuse pour les individus triplement vaccinés, dont les taux de mortalité n’ont fait qu’empirer mois après mois depuis la vaste campagne de rappel de décembre 2021.
Ces chiffres choquants, fournis par l'Office britannique des statistiques nationales, confirment que les vaccins Covid-19 augmentent considérablement le risque de décès d'une personne.
Il est clair que non seulement les vaccins ne parviennent pas à protéger les individus, mais qu’ils causent activement des dommages. Il est crucial que des mesures soient prises pour mettre un terme à leur propagation et enquêter sur les véritables dangers qu'ils représentent.
Mais cette situation n’est pas limitée aux 18-39 ans. C’est courant dans tous les groupes d’âge.
Les deux graphiques suivants montrent les taux de mortalité mensuels standardisés selon l’âge par statut vaccinal pour les décès non liés à Covid-19 en Angleterre entre janvier et mai 2022 pour tous les groupes d’âge –
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Vous pouvez lire ici une enquête complète sur les chiffres ci-dessus, ventilés par tranche d'âge .
RépondreSupprimerDépopulation par la vaccination contre le COVID-19
Les conséquences potentielles de la campagne de vaccination contre le Covid-19 sont alarmantes et pourraient conduire à un dépeuplement à l’échelle mondiale.
Le cœur est un organe vital et tout effet néfaste sur celui-ci pourrait avoir des conséquences dévastatrices. Cela est particulièrement vrai pour les adultes et les enfants jeunes et en bonne santé, car la myocardite peut ne provoquer aucun symptôme jusqu'à ce que la maladie ait atteint un stade grave.
Les données de Pfizer révèlent que 46 % des femmes enceintes ayant reçu le vaccin ont subi des effets indésirables, dont 58 % ont subi des effets indésirables graves allant de la contraction utérine à la mort fœtale.
De plus, des études ont montré que le vaccin s’accumule dans les ovaires au fil du temps, ce qui suscite des inquiétudes quant à son impact potentiel sur la fertilité.
Les chiffres officiels révèlent également que les taux de mortalité sont les plus élevés parmi les personnes vaccinées et les plus faibles parmi la population non vaccinée, dans tous les groupes d’âge.
Avec toutes ces preuves, il est clair que la campagne de vaccination contre le Covid-19 pourrait avoir de graves conséquences sur l’avenir de l’humanité.
Mais pourquoi ?
Il existe diverses raisons pour lesquelles certaines personnes peuvent vouloir dépeupler la planète.
L'une des raisons pourrait être la surpopulation, car certaines personnes pensent que les ressources de la Terre s'épuisent à un rythme insoutenable en raison de l'augmentation de la population.
D’autres personnes pourraient affirmer que le dépeuplement est nécessaire en raison de l’impact négatif que les humains ont eu sur l’environnement, et que la réduction de la population pourrait contribuer à atténuer certains de ces problèmes.
Certaines personnes peuvent également plaider en faveur du dépeuplement en raison des préoccupations concernant l'impact du changement climatique, car une population plus petite entraînerait probablement une réduction des émissions de gaz à effet de serre.
Enfin, certaines personnes peuvent simplement croire qu’une population plus petite serait plus gérable et plus facile à contrôler, et pourraient préconiser le dépeuplement pour cette raison.
RépondreSupprimerKlaus Schwab et Bill Gates sont deux personnalités puissantes qui ont exprimé leur soutien à l’idée du dépeuplement par divers moyens, dont la vaccination.
Schwab, fondateur du Forum économique mondial, a soutenu que la réduction de la population mondiale serait bénéfique pour l'environnement et l'économie, et a suggéré que les technologies avancées telles que l'intelligence artificielle pourraient jouer un rôle dans la réalisation de cet objectif.
De même, Bill Gates a déclaré que les campagnes de vaccination peuvent être utilisées pour réduire la population et a financé de nombreuses initiatives promouvant la vaccination comme moyen de contrôler la croissance démographique.
Il convient donc maintenant de comprendre pourquoi des personnalités puissantes comme Bill Gates et Klaus Schwab ont plaidé en faveur de campagnes de vaccination généralisées.
La campagne de vaccination de masse contre le Covid-19 ne vise pas à combattre un virus, mais à réduire la population mondiale.
RépondreSupprimerCet objectif correspond aux intérêts de certaines entreprises et individus qui bénéficieront d’une population plus petite et plus gérable.
https://www.globalresearch.ca/genocide-government-reports-pfizer-documents-reveal-sinister-agenda-depopulate-covid-vaccination/5834966