- ENTREE de SECOURS -



mercredi 11 octobre 2023

Astrid Stuckelberger - Révélation Secrète

 

51 commentaires:

  1. Augmentation de la censure des opposants politiques dans l'UE par la Commission non élue


    11 octobre 2023
    par le Dr. Peter F. Mayer


    La loi sur les services numériques, qui réglemente la censure sur les réseaux sociaux, est en vigueur dans l'UE depuis le 24 août 2023. En 2022, en raison de l’extension de la guerre en Ukraine, certains médias proches de la Russie ont été totalement interdits dans l’UE. Depuis le 19 septembre 2023, la loi la plus ambitieuse à ce jour réglementant la censure des contenus en ligne est en vigueur au Royaume-Uni, et le 29 septembre 2023, l'Autorité de la télévision et de la radio du Canada a annoncé que les podcasts devaient désormais également être signalés afin qu’ils puissent être « réglementés ». Il ne s’agit pas ici de protéger les enfants ou de « fausses » ou de « désinformations », mais clairement de censurer les contenus politiques indésirables qui pourraient nuire à sa propre politique et au maintien du pouvoir.

    Ce qui est intéressant, c’est que la loi est en préparation au Royaume-Uni depuis 5 ans. La loi sur la censure de l'UE est également en préparation depuis un laps de temps similaire, de sorte qu'aucune des deux n'a le moindre rapport avec une prétendue « désinformation médicale qui met des vies en danger ». Elle est simplement utilisée comme prétexte, au même titre qu'une prétendue protection contre la pornographie ou les enfants. Selon les dernières directives de l'OMS, ils reçoivent une éducation sexuelle complète à la maternelle et des instructions sur la façon de changer de sexe et de se masturber au mieux. Les prétextes sont faciles à comprendre : il ne s'agit ni de santé, ni de protection des enfants, ni de la haine, mais simplement de protéger sa propre politique et son propre pouvoir.

    Dans une large mesure, les politiciens ne veulent pas se salir les mains dans ce secteur et ont donc chargé des sociétés en ligne de procéder à la censure. Voici l’un des exemples les plus récents concernant un livre du célèbre cardiologue Dr. Peter McCullough :

    Ou ici le commissaire européen à la censure, Thierry Breton, menaçant X/Twitter :

    Breton est le décideur de tous les contenus qui doivent être censurés, c'est-à-dire le législatif, l'exécutif et le juge en une seule personne.

    Voici un autre exemple de la façon dont Breton, le principal disciplinaire de l'UE, veut simplement interdire les opinions politiquement inacceptables sur Twitter. La santé ou quoi que ce soit d’autre n’est même plus un prétexte. L’eurocrate décrète simplement ce qui est politiquement acceptable et ce qui ne l’est pas.

    En fin de compte, cela servira à supprimer ou à interdire les informations qui gênent ceux qui sont au pouvoir. La « désinformation sur les vaccins », par exemple, sera interdite en vertu du nouveau projet de loi, tout comme tout autre matériel susceptible d’être « nocif pour la santé ».

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  2. Le traité sur la pandémie de l'Organisation mondiale de la santé et les amendements au Règlement sanitaire international (RSI) désignent l'OMS comme l'arbitre final de la vérité en matière de santé.

    Mais qui décide de ce qui pourrait nuire à votre santé ? Bien sûr, ceux qui sont au pouvoir, qu’on puisse les reconnaître ou non. Cependant, nous savons que le traité sur la pandémie de l'Organisation mondiale de la santé et les amendements au Règlement sanitaire international (RSI) désignent l'OMS comme l'autorité finale pour dire la vérité en matière de santé.

    Étant donné que l’OMS appartient à ses bailleurs de fonds, notamment Bill Gates, nous pouvons être sûrs que des choses comme la santé holistique et des informations nutritionnelles précises seront en péril, comme elles l’ont déjà été.

    Un exemple de l’impact politique direct de la censure nous vient des États-Unis. Il est utilisé pour faire taire certaines personnes, comme Russell Brand, accusé d'inconduite sexuelle et d'autres abus de la part de quatre femmes qu'il aurait harcelées entre 2006 et 2013. Curieusement, ces allégations n'ont émergé qu'après qu'il ait commencé à soutenir la campagne présidentielle de Robert F. Kennedy Jr. et à mettre en garde contre le coup d'État mondial en cours.

    La censure a longtemps été utilisée en Israël pour imposer les vaccinations et les mesures Corona, pour soutenir les plans du gouvernement visant à faire taire le pouvoir judiciaire et maintenant toutes les questions portent sur les origines israéliennes du Hamas et les 5 à 7 heures qui leur ont été accordées. Afin de paraître serein, il a été rejeté comme théorie du complot et censuré. C’est ce que rapporte le journaliste et ancien soldat israélien Efrat Fenigson dans cette interview qui vaut absolument la peine d’être vue et écoutée :

    L’essentiel est que la censure concerne la politique et la protection du pouvoir des personnes au pouvoir et des élites. Il ne s’agit pas de santé, d’éviter la haine ou de protéger les enfants.

    La censure n’est qu’un instrument de pouvoir, surtout dans une société qui glisse de plus en plus vers le fascisme.

    https://tkp.at/2023/10/11/zunahme-der-zensur-politischer-gegner-in-der-eu-durch-die-ungewaehlte-kommission/

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  3. Pendant ce temps, les forces de l’ordre affirment que les prédateurs cherchent simplement à s’attaquer aux plus vulnérables. Joseph Giacalone, sergent à la retraite du NYPD et professeur adjoint au John Jay College of Criminal Justice, a déclaré au Post : « Les criminels sont des opportunistes, et ils sont des lâches, et ils vont rechercher les cibles les plus faciles disponibles. C'est aussi simple que ça."

    Il a ajouté : « Il y a beaucoup de gens qui sortent, en particulier dans le métro et dans les rues, et qui ne devraient pas être parmi le public… et cela entraîne davantage de victimisation. »

    https://www.zerohedge.com/markets/felony-assaults-against-women-new-york-41-over-last-four-years

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  4. Loi sur les frais de port des livres : la réglementation jusqu’à l’absurde

    La loi va imposer 3 euros de frais de port pour toute commande de livres neufs inférieure à 35 euros. Derrière la volonté de garantir une concurrence équitable entre les vendeurs, cette réglementation pose plusieurs problèmes.


    le 11 octobre 2023
    Yannick Chatelain


    Lorsqu’il s’agit de légiférer sur Internet, on ne peut pas dire que le législateur soit à court d’idées…

    Il ne se passe pas une semaine – je caricature à peine – sans qu’une loi nationale ou européenne viennent « contraindre » tel ou tel secteur, quand ce ne sont pas les usagers qui sont ciblés, voire les deux. Si nul n’est censé ignorer les lois, il devient de plus en plus complexe pour les acteurs concernés d’être certains de pouvoir les respecter à la lettre tant leur multiplication est incessante, et ce d’autant plus que ces lois sont souvent à géométrie variable selon la taille des structures, alors que celles-ci ne disposent pas toutes d’une armada d’avocats pour être certains de rester dans les clous.

    L’interventionnisme de l’État est en tous les cas permanent.

    L’étrange et controversée loi Darcos

    Voilà donc une énième réglementation qui concerne les livres neufs, et plus particulièrement leurs frais de livraison.

    Pour ceux qui auraient la mémoire courte, lors de la crise liée au covid, ils ont été considérés par ces mêmes « sauveurs » du secteur comme des « produits non essentiels ».

    Ainsi, par on ne sait quel miracle, les livres sont redevenus essentiels.

    À partir du 7 octobre prochain, la proposition de loi de Laure Darcos, et promulguée avec un large consensus parlementaire le 30 décembre 2021 « verra l’une de ses principales mesures entrer en vigueur » : toute commande de livres inférieure à 35 euros donnera lieu à la facturation des frais de port, à un tarif minimal de 3 euros. Passé 35 euros, l’expédition à un centime popularisée par Amazon pourra être appliquée.

    L’enfer est toujours pavé de bonnes intentions, il n’en demeure pas moins l’enfer !
    L’objectif principal et affiché de cette loi – selon le législateur – serait de « rétablir une plus juste concurrence entre les différents vendeurs de livres ».

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  5. Bref, de cibler les plateformes…

    Si l’intention est louable (comme toujours), le législateur semble avoir oublié que les libraires indépendants seront impactés comme tous les autres libraires qui, eux aussi, vendent en ligne… Il est difficile de comprendre que le législateur n’ait pas intégré qu’il n’existe pas que des personnes vivant dans les centres-villes… et sans librairie de proximité…

    Il est dès lors difficile de comprendre la logique, si ce n’est une fois de plus une loi pour rien, et contre-intuitive !

    Loin de leur venir en appui, cette loi va potentiellement nuire aux librairies. De nombreuses voix se sont élevées alors pour tenter d’expliquer les effets contre-intuitifs.

    Ainsi, dans un avis circonstancié – avec les conséquences que cela impliquait – en février 2023 la Commission européenne avait estimé – entre autres – le tarif minimal pour les frais de port comme « une restriction de la libre circulation des services », ajoutant que :

    « La mise en place de frais minimaux de livraison de 3 euros, à ajouter au prix moyen des livres vendus en France, devrait entraîner une augmentation significative du prix final que les détaillants, y compris ceux qui constituent des prestataires de services de la société de l’information, seront en mesure d’offrir aux consommateurs potentiels ».

    Elle explicite, avec force arguments, en quoi cette loi serait préjudiciable aux libraires. En juin 2023, c’était au tour d’Amazon de déposer plainte pour excès de pouvoir devant le Conseil d’État « afin de contester la mesure relative aux frais d’envoi des livres achetés en ligne. »

    Outre la Commission européenne, outre Amazon, Géraldine Bannier (MoDem), la rapporteure de la loi, elle-même en pointait tous les écueils :

    « Il est […] possible que cette mesure conduise à des ventes moindres ou à des reports vers d’autres marchés : peu probable sans doute vers le livre numérique, mais plus probable vers le livre d’occasion ou d’autres biens culturels, d’autres loisirs, qui ne financeront pas, hélas, les auteurs ni les éditeurs à un niveau équivalent »
    Les habitants des territoires ruraux pourraient par ailleurs voir leur accès aux livres rendu plus complexe, et plus coûteux, tout comme les jeunes et les étudiants. Pour éviter un impact trop délétère, Géraldine Bannier propose « la mise en place d’un dépôt gratuit de livres dans une maison France Service, par exemple », afin de réduire les coûts d’expédition.

    Enfin, la rapporteure reconnaît que la « disposition sera probablement contournée d’une manière ou d’une autre » par les gros opérateurs, notamment par le recours au « panier mixte ». En effet, ces derniers pourront contourner la loi en proposant des frais de port gratuits à tout acheteur d’un autre produit en complément du ou des livres, et ce, dans une autre catégorie. Nous le verrons, elle ne croyait pas si bien dire !

    Qu’à cela ne tienne, sans la moindre étude d’impact – ce qui aurait dû être un préambule – malgré l’évidence, ou du moins un doute plus que raisonnable sur l’efficacité de cette loi, après avoir été promulguée à une large majorité…. elle est entrée en vigueur.

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  6. S’il est une « consolation », cette dernière devrait être revisitée tous les deux ans en fonction des résultats… Pour autant, il se pourrait qu’elle ne reste pas en vigueur bien longtemps : la Commission européenne demeure dubitative et attend naturellement le verdict du Conseil d’État. Ce dernier – sauf erreur ou omission de ma part – n’a pas tranché.

    Dans le même temps, la Commission évalue l’arrêté du 4 avril 2023 du ministère de la Culture relatif au montant minimal de tarification du service de livraison du livre :

    « Nous ne pouvons pas préjuger des conclusions de cette évaluation. La Commission est habilitée à engager des procédures d’infraction contre les États membres en cas de violation du droit communautaire ».

    Les contournements de la loi ont déjà commencé

    Devant le fait accompli, des enseignes comme la FNAC ont déjà réagi pour éviter à leurs clients de payer les frais de port. L’enseigne suit à la lettre le mode de contournement évoqué par la rapporteure de la loi, à savoir la mise en place du « panier mixte ». Nul doute que les autres grosses plateformes vont suivre la tendance.

    Pour conclure, si même la rapporteure ne croit pas en la loi qu’elle porte, si même le législateur n’admet pas l’évidence des points d’achoppements, si même un avis circonstancié de la Commission européenne n’a pas fait reculer le législateur français, alors que penser ?

    « La bêtise insiste toujours » aurait dit Albert Camus. Sans aller jusqu’à l’injure qui n’est en rien un argument, je dirais plutôt que l’absurde tend à devenir la norme, que cela laisse pour le moins perplexe, et ce d’autant plus dans une période d’inflation préoccupante.

    « Toute loi, dès lors qu’elle est contournable par les puissants, ne peut protéger les « faibles » qu’elle est censée protéger, par contre, elle servira juste un peu plus les puissants, et il en est souvent ainsi. » Tonvoisin.

    https://www.contrepoints.org/2023/10/11/465180-loi-sur-les-frais-de-port-des-livres-la-reglementation-jusqua-labsurde

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  7. Pouvoir d’achat : les œufs, bon plan anti-crise ?

    Dans un contexte économique marqué par l’inflation, les habitudes alimentaires des Français évoluent. Concilier alimentation équilibrée et préservation du budget devient crucial. Les œufs, sources nutritives à moindre coût, s’érigent en véritables champions de la consommation en temps de crise.


    Par Grégoire Hernandez
    le 11 octobre 2023 à 13h00


    97 % des Français considèrent les oeufs comme bénéfique pour la santé.

    2023 : l'année des oeufs en France

    2023 se profile comme l'année de l'œuf en France. Les chiffres parlent d'eux-mêmes : les ménages français ont acheté presque 4% d’œufs supplémentaires entre janvier et juillet par rapport à la même période en 2022. Derrière cette augmentation, un chiffre frappant se démarque : « Chacun des Français devrait consommer en moyenne 229 œufs cette année », détaille l'ITAVI. Comparativement à 2022, c'est une progression de neuf œufs par personne. Un tel engouement pour ce produit simple, mais ô combien nutritif, est sans précédent.

    Et pourquoi cet engouement ? La réponse est double. D'une part, la pression inflationniste rend certaines sources de protéines, notamment la viande, moins accessibles pour de nombreux ménages. Les œufs, en tant qu'alternative abordable, trouvent donc naturellement leur place dans les paniers des consommateurs. D'autre part, leur réputation n'a jamais été aussi positive. Une étude menée par l'Institut CSA pour le CNPO révèle que presque la totalité des Français (96%) considèrent l'œuf comme un pilier de leur alimentation. De plus, un impressionnant 97% le considèrent comme bénéfique pour la santé.

    Les producteurs face à l'évolution des choix des consommateurs et des enseignes
    Si l'origine française des œufs reste un critère de choix essentiel pour beaucoup, la réalité économique actuelle pousse de plus en plus de consommateurs à privilégier le prix. Pour preuve, 13% des personnes interrogées placent désormais le coût comme critère principal pour choisir un œuf, soit une augmentation notable de 6% en un an. Et ces choix ont des répercussions claires sur le marché : pendant que les œufs issus d'élevages au sol et en plein air voient leurs ventes grimper, les œufs bio subissent une baisse de 7%. Face à cette évolution, Loïc Coulombel, président du Syndicat National des Industriels et Professionnels des Œufs, observe sur France Inter : « Le prix n'est plus un simple critère, il devient le critère d'achat. »

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  8. Les producteurs d'œufs sont confrontés à une réalité en mutation rapide. L'élevage en cage, autrefois prédominant, connaît un déclin significatif. Pour Yves-Marie Beaudet, président du Comité National pour la Promotion de l’Œuf, c'est un véritable casse-tête : « Nous avions anticipé une forte demande pour les œufs bio, mais la tendance actuelle est à la régression. » Si les consommateurs jouent un rôle dans cette évolution, les enseignes de distribution ne sont pas en reste. Elles délaissent progressivement les œufs issus d'élevages en batterie au profit de ceux de plein air. Le paysage de la production d'œufs en France est en pleine métamorphose, et d'ici 2025, les rayons français devraient quasiment être débarrassés des œufs issus d'élevages en batterie.

    https://www.economiematin.fr/oeufs-pouvoir-achat-france-prix-crise-inflation

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  9. Promotions dans les supermarchés : profitez-en avant leur interdiction !

    Vous avez l’habitude de scruter les rayons des supermarchés à la recherche des meilleures promotions ? Ce plaisir, ou cette peine, pourrait bientôt vous être retiré : le gouvernement prépare un projet de loi interdisant les super-promotions dans les supermarchés.


    Par Adelaïde Motte
    le 11 octobre 2023 à 15h12


    Les promotions à plus de 34 % sur les produits d'hygiène pourraient être interdites

    Les supermarchés face à une nouvelle réglementation

    Une proposition de loi Renaissance vient d'être adoptée, avec en point clé la limitation des promotions dites « choc » sur les produits d'hygiène et de beauté. Jusqu'à présent, aucune limite n'était imposée mais le texte envisage de plafonner ces promotions à 34 % de leur valeur, à l'instar de ce qui est pratiqué dans le secteur alimentaire. Quoique présenté par Frédéric Descrozaille, député Renaissance du Val-de-Marne, cette proposition ne satisfait pas Bruno Le Maire, ministre de l'Économie, qui s'est déclaré en faveur d'une autorisation permettant aux distributeurs de proposer des promotions allant jusqu'à 50 %. Toutefois, aucune modification officielle n'a encore été apportée dans ce sens.

    Michel-Édouard Leclerc, à la tête du comité stratégique E. Leclerc, s'inquiète des conséquences de cette limitation sur le budget des ménages. Selon lui, les produits concernés par cette mesure, tels que les lessives, déodorants ou shampoings, représentent un coût non négligeable pour les consommateurs. Il rappelle que le taux moyen de promotion dans ce secteur est de 25 %, mais peut atteindre 47 % pour certains produits comme les lessives.

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  10. Les promotions, un rempart contre l'inflation

    En période d'inflation, les promotions agissent comme des bouées de sauvetage auprès des consommateurs. La montée des prix impacte directement le pouvoir d'achat des ménages. Les produits d'hygiène et de beauté, bien que non essentiels, font partie des dépenses courantes des ménages. Or, le coût du panier de la ménagère a connu une hausse significative, notamment en ce qui concerne les produits du quotidien. En décembre dernier, l'augmentation moyenne s'élevait à +1,38 euro pour un panier composé de 37 produits essentiels, allant des produits alimentaires aux produits d'hygiène.

    En un an, l'inflation sur ces produits du quotidien a atteint +14,6 %. Selon une étude de l'Insee, les prix des produits d'entretien et de l'hygiène-beauté vendus dans la grande distribution ont connu une augmentation notable. En avril 2023, ces produits ont enregistré une hausse de 0,7 % par rapport au mois précédent, après une augmentation de 0,5 % le mois d'avant. Une autre étude, menée par l'association UFC-Que Choisir, révèle une augmentation de 12 % en un an sur les produits d'entretien et d'hygiène. Ces chiffres sont d'autant plus préoccupants que ces produits, essentiels au quotidien, représentent une part importante des dépenses des ménages.

    https://www.economiematin.fr/promotions-supermarches-bientot-interdiction

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  11. Le malheur de Théo fait le bonheur des activistes anti-glyphosate


    11 Octobre 2023


    Un Blitz médiatique avec le concours de médias complaisants initiant le mouvement panurgique de médias suivistes tente de peser sur la position du gouvernement français sur le vote à venir (le 13 octobre 2023) sur le renouvellement de l'autorisation du glyphosate pour dix ans.

    Il instrumentalise un jeune homme affecté d'une grave malformation congénitale et une décision administrative qu'on aura gardée « au chaud » pendant 19 mois et qu'on a travestie.

    Un Blitz médiatique

    Le Blitz médiatique a été soigneusement préparé et orchestré. Les médias complaisants – sinon complices – ont été rapidement imités par des médias suivistes qui, évidemment, ne pouvaient plus ignorer l'« information » passé un certain stade.

    Speedy Gonzalez, en l'occurrence, semble être France Info qui titre : « Glyphosate : un lien entre malformations et exposition prénatale à ce désherbant est reconnu par le Fonds d'indemnisation des victimes de pesticides, une première mondiale ».

    En chapô :

    « La commission d'indemnisation des enfants victimes d'une exposition prénatale aux pesticides a établi un lien de causalité entre l'exposition au glyphosate de Sabine G[...], alors qu'elle était enceinte, et la maladie de son fils. »

    C'est faux, mais l'effet est garanti.

    Médaille d'argent, le Monde, bien sûr de M. Stéphane Foucart, avec « Glyphosate : Théo G[...], porteur de graves malformations après une exposition prénatale, sera indemnisé »

    Là encore, le lien de cause à effet est explicite. En chapô :

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  12. « Les experts du Fonds d’indemnisation des victimes de pesticides ont reconnu un lien entre l’utilisation de l’herbicide controversé pendant la grossesse de la mère et la maladie de l’enfant, aujourd’hui âgé de 16 ans. Une première en France. »

    Toujours le lien...

    Mais voici ce qu'on lit dans le texte

    « Près de seize ans plus tard, le 10 mars 2022, les experts du Fonds d’indemnisation des victimes de pesticides (FIVP) ont reconnu "la possibilité du lien de causalité entre la pathologie de l’enfant et l’exposition aux pesticides durant la période prénatale du fait de l’activité professionnelle de l’un ou des deux parents", ouvrant ainsi droit à l’indemnisation de la famille, à hauteur d’environ un millier d’euros par mois. Le versement sera effectué par la Mutualité sociale agricole, la sécurité sociale des agriculteurs. C’est la première fois en France que l’herbicide est officiellement considéré comme une cause potentielle de malformations congénitales. »

    Apportons une précision sur les 16 ans : ils ne sont pas dus à une longue bataille avec une administration réticente, comme on pourrait le supposer, mais au fait que le Fonds n'a été créé qu'en 2019, par la loi n° 2019-1146 du 24 décembre 2019 de financement de la sécurité sociale pour 2020. Le décret d'application, n° 2020-1463 du 27 novembre 2020 relatif à l'indemnisation des victimes de pesticides, a ouvert la possibilité d'indemniser des cas survenus avant la mise en place de ce dispositif. Pour ce qui nous intéresse ici, il prévoit :

    « La commission se prononce sur le lien de causalité entre la pathologie de l'enfant et l'exposition aux pesticides durant la période prénatale du fait de l'activité professionnelle de l'un des parents. »

    Mais on ne peut que remercier M. Stéphane Foucart d'avoir été précis et d'avoir cité un élément de la décision : ce n'est pas un lien de causalité avéré, mais « la possibilité du lien de causalité », et le mot « reconnu » étant en dehors de la citation, il faut en conclure qu'il n'a pas été utilisé par l'organe de décision.

    Du lobbying par médias instrumentalisés

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  13. La décision a donc été prise le 10 mars 2022... et rendue publique par les intéressés le 9 octobre 2023.

    Nous n'entrerons pas dans les propos, en principe explicatifs, de Mme Sabine G.

    Mais une annonce en mars 2022 n'aurait pas eu le même effet qu'une annonce à quatre jours du vote que les États membres doivent donner à Bruxelles pour ou contre un renouvellement de l'approbation du glyphosate pour une nouvelle période de 10 ans. Surtout une annonce bien « mise en scène »...

    Les journaux suivistes ont pour beaucoup adopté des titres incorrects et trompeurs. Signalons – du bon côté – le Quotidien du Médecin et son « Glyphosate : premier patient indemnisé pour malformations congénitales, le lien de causalité reconnu possible ».

    Des chaînes de télévision – notamment France 2 aux informations de 20 heures du 9 octobre 2023 et M6 au 12:45 du 10 – ont aussi diffusé une séquence avec Mme Sabine G. et Théo à faire pleurer dans les chaumières.

    Peser sur le vote, au moins français, c'est bien l'objectif clairement affiché selon, par exemple, le Quotidien du Médecin.

    France Info, toujours lui, bon porte-voix du lobbying anti-glyphosate, a du reste produit un autre article, très explicite : « Glyphosate : "Il faut à tout prix arrêter ce produit, pour éviter de nouvelles victimes", alerte la mère de Théo, atteint d'une malformation à cause du pesticide ».

    Et ça marche (ou semble marcher)

    Cela n'a pas laissé indifférent un Olivier Véran, porte-parole du Gouvernement, dont on se demande s'il a exprimé une position gouvernementale ou personnelle. France Info titre en effet : « Glyphosate : Olivier Véran veut "supprimer totalement et de manière générale les pesticides dont on suspecte un rôle négatif sur la santé" ».

    La position gouvernementale, telle qu'elle a été exprimée ce 10 octobre 2023, est d'une clarté plutôt obscure :

    « "La France considère qu'il n'y a pas vocation à reconduire pendant dix ans, en faisant comme s'il n'y a pas des alternatives qui se développent, l'utilisation du glyphosate", a martelé le porte-parole du gouvernement. "Encore faut-il qu'il y ait des alternatives partout", a-t-il nuancé.

    "Parce que si vous laissez les agriculteurs sans alternative, vous me réinviterez pour me dire que la France n'est plus capable de fournir des fruits et légumes et que l'on achète des produits au Maghreb remplis de glyphosate", a expliqué Olivier Véran. "Il faut une solution scientifique rationnelle, on est en train de la développer, on est en train de la mettre en place", a assuré Olivier Véran.

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  14. Quel artiste !

    Un lien de causalité ?

    L'atrésie de l'œsophage est une malformation congénitale qui consiste en l'interruption de l'œsophage. Il présente donc deux culs-de-sac, pour la partie qui est reliée à la bouche et pour la partie reliée à l'estomac. Elle est fréquemment associée à une fistule œsophage-trachée (une connexion anormale). En France, on recense environ 200 cas par an selon le professeur qui a opéré l'enfant (un enfant sur 2.500 à 3.500 selon Wikipedia).

    Selon le Quotidien du Médecin,

    « La Pr Béatrice Fervers, membre de la commission et cheffe du département Prévention Cancer Environnement du centre Léon-Bérard à Lyon, explique que "juger de la présomption du lien entre l'exposition prénatale à des pesticides et des malformations n'a pas toujours été facile. En l'absence d'un tableau de maladie professionnelle, ou d'une classification de tératogénicité, nous avons dû revenir à l'examen de la littérature scientifique". La spécialiste cite notamment l'expertise collective Inserm de juin 2021. »

    Il va de soi que, sauf exception comme les effets de l'alcoolisme maternel sur le bébé, un lien de cause à effet ne peut pas être établi dans un cas individuel.

    Dans ce cas précis, il y aurait eu un effet à partir d'une application unique de glyphosate...

    La littérature – et en particulier la littérature militante – n'est pas diserte sur les liens entre atrésie de l'œsophage et glyphosate.

    Il y a bien Wikipedia en français (mais pas en allemand, anglais et en espagnol). « … le glyphosate (ou le roundup, c'est-à-dire le glyphosate associé à ses additifs) et d'autres produits pesticides font partie des produits suspectés de pouvoir induire cette malformation. », avec pour référence mise en lien... Marie-Monique Robin...

    Bref, ce qu'on lit généralement, est que les causes de l'atrésie de l'œsophage ne sont pas connues.

    On peut trouver étonnant que d'autres cas n'aient pas été signalés à la suite du ramdam autour de Théo. Et donc penser que si le glyphosate avait un effet reconnu, ou même suspecté, France Info n'aurait pas titré : « ...une première mondiale ».

    Et l'expertise collective de l'INSERM ?

    Si l'INSERM a fait une revue de la littérature scientifique, on ne peut que constater qu'il n'y a pas eu beaucoup de poissons dans le chalut.

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  15. Une recherche avec « prénatal » livre « Maternal residential exposure to specific agricultural pesticide active ingredients and birth defects in a 2003-2005 North Carolina birth cohort » (exposition résidentielle de la mère à des matières actives spécifiques de pesticides agricoles et malformations congénitales dans une cohorte de naissance de 2003 à 2005 en Caroline du Nord) de Kristen M. Rappazzo, Joshua L. Warren, Angel D. Davalos, Robert E. Meyer, Alison P. Sanders, Naomi C. Brownstein, Thomas J. Luben (manuscrit). C'est sur quelque 300.000 naissances, l'exposition étant définie comme des cultures à moins de 500 mètres.

    Le glyphosate n'y est mentionné dans le résumé que pour une association positive avec un problème cardiaque, la communication interauriculaire. L'étude évoque aussi la fistule trachéo-œsophagienne, mais pas en relation avec le glyphosate (et relève qu'elle survient, comme d'autres anomalies, plus fréquemment chez les mères âgées).

    Une recherche avec « térato » livre un article de Paganelli et al. (2010) sur des têtards de Xenopus laevis et des poulets et deux articles de Dallegrave et al. (2003 et 2007).

    Sauf erreur, le premier, c'est Andrés Carrasco, une étude très fortement contestée. La deuxième, sur des rates Wistar, utilisait des doses de 500, 750 et 1.000 mg/kg de glyphosate du jour 6 au jour 15 ! La troisième n'était guère plus raisonnable avec 50, 150 et 450 mg/kg de glyphosate. Pour rappel : notre imprégnation, mesurée à partir des analyses d'urine, est de l'ordre du microgramme.

    Curieusement – ou peut-être pas – l'expertise collective ne cite pas « Glyphosate and adverse pregnancy outcomes, a systematic review of observational studies » (glyphosate et effets indésirables sur la grossesse, une revue systématique des études observationnelles) de Jessica S. A. de Araujo, Isabella F. Delgado et Francisco J. R. Paumgartten. Conclusion prudente :

    « Les preuves épidémiologiques actuelles, bien que limitées à quelques études utilisant des estimations non quantitatives et indirectes et une analyse dichotomique des expositions, ne confirment pas les inquiétudes du public selon lesquelles les pesticides à base de glyphosate pourraient présenter des risques pour le développement de l'enfant à naître. Néanmoins, en raison des limites méthodologiques des études d'observation analytiques existantes, et en particulier de l'absence de mesure directe (niveaux dans l'urine et/ou le sang) ou d'estimation indirecte de l'exposition qui se soit avérée valide, ces résultats négatifs ne peuvent pas être considérés comme une preuve définitive que le GLY, aux niveaux actuels d'exposition professionnelle et environnementale, ne présente aucun risque pour le développement humain et la reproduction.

    Mais admettons que l'expertise collective ne cite pas non plus « Teratogenic Effects of Glyphosate-Based Herbicides: Divergence of Regulatory Decisions from Scientific Evidence » (effets tératogènes des herbicides à base de glyphosate : divergence entre les décisions réglementaires et les preuves scientifiques) de M. Antoniou, M.E.M. Habib, C.V. Howard, R.C. Jennings, C. Leifert, R.O. Nodari, C.J. Robinson et J. Fagan... un bel échantillonnage de militants, ergotant sur des résultats d'essais utilisant aussi des doses invraisemblables.

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  16. Cela pose question, à notre sens, sur la valeur de l'expertise collective, et surtout sur son exploitation à des fins administratives et son instrumentalisation à des fins militantes.

    Mais le pire est encore l'instrumentalisation d'un jeune homme atteint d'une lourde malformation congénitale.

    https://seppi.over-blog.com/2023/10/le-malheur-de-theo-fait-le-bonheur-des-activistes-anti-glyphosate.html

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  17. Thanksgiving consistait à « prendre », « les colonialistes ont pris la terre »


    Par Kim Petersen
    Recherche mondiale,
    10 octobre 2023


    Personne ne contestera que les peuples autochtones de l’île de la Tortue, depuis Umingmak Nuna (île d’Ellesmere) jusqu’à la Terre de Feu, étaient là bien avant l’arrivée de l’Homme blanc.

    Ainsi, si la terre doit être « possédée », il semble normal que les premiers colons en deviennent propriétaires. Cependant, les Européens qui sont tombés par hasard sur l'Île de la Tortue l'ont revendiquée au nom de leur Dieu et de leurs dirigeants. Maintenant, si les Martiens atterrissaient ici et revendiquaient la terre, l’un des habitants de l’hémisphère occidental l’accepterait-il ? Non, parce que les Martiens étaient des retardataires et qu’ils ont leur propre planète. Alors, par quelle moralité les Johnny-come-latelies européens revendiquent-ils l’Île de la Tortue ? Et par Johnny-venu-dernières, c'est plusieurs millénaires après l'arrivée des Premiers Peuples.

    On pensait à l'origine que les Premiers Peuples avaient traversé le pont de glace de Béring il y a environ 12 000 YA. Cette période est maintenant dépassée, car même au Canada, il est prouvé que les peuples autochtones se trouvaient dans les grottes Bluefish, au Yukon, il y a 24 000 ans . Et maintenant, certains chercheurs postulent que les premiers humains pourraient être restés ici il y a 130 000 YA . Quoi qu'il en soit, c'est plusieurs millénaires de plus que les premiers hommes blancs, les Normands, qui sont restés pendant un certain temps à Ktaqmkuk (désignation mi'kmaq de Terre-Neuve) en 1000 de notre ère.

    Néanmoins, les Européens sont arrivés, ont revendiqué et pris (voler serait un verbe précis) les continents du nord et du sud.

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  18. Aujourd'hui, c'est le jour de Thanksgiving au Canada. Thanksgiving remonte à 1621 aux États-Unis. Au Canada, son origine remonte au troisième voyage de l'explorateur anglais Martin Frobisher en 1578 . Frobisher est arrivé à Ktaqmkuk/Terre-Neuve alors qu'il cherchait le passage du Nord-Ouest. C'est à Ktaqmkuk, à Terre-Neuve, que Frobisher a pris un repas composé de bœuf salé, de biscuits et de purée de pois pour célébrer et remercier pour son atterrissage en toute sécurité.

    Mais l’arrivée de l’Homme Blanc n’était pas une question de céder ; il s'agissait d' une prise qui s'est poursuivie jusqu'à ce jour.

    Qu'est-ce qui a été pris (contexte canadien, mais applicable aux États-Unis) ?

    Tout d’abord, les colonialistes ont pris la terre . Il a été divisé en provinces et territoires, coiffés de noirs et renommés (souvent sous le nom de colonialiste).
    Leurs enfants. L'État a demandé à la GRC de retirer les enfants de leur famille et de les placer dans des pensionnats indiens.
    Leur spiritualité. Les peuples autochtones ont été forcés de faire du prosélytisme dans les écoles gérées par l’Église.
    La riche culture. Le Canada a interdit le Potlatch, une cérémonie importante des Premières Nations du nord-ouest du Pacifique. [1]
    Les langues vibrantes. Il était interdit aux enfants de parler leur langue dans les pensionnats. Le résultat fut un linguicide.
    Droit et gouvernance. Les peuples autochtones étaient désormais soumis aux lois de l'homme blanc. Même leurs façons de se gouverner ont été rejetées par l'Homme Blanc.

    Les ressources. L’Homme blanc pratiquait le capitalisme, un système économique antithétique à celui des peuples autochtones. « Ces Indiens qui se tournent vers l'homme blanc ne peuvent être que des mendiants, car il ne respecte que les richesses, et comment un Indien peut-il être un homme riche ? Il ne peut pas le faire sans cesser d’être un Indien », a déclaré le vénéré chef des Oglala Lakota, Red Cloud (Maȟpíya Lúta) [2]. Le professeur John Lutz a écrit à propos du « dialogue » historique et de la subordination des économies autochtones dans le nord-ouest du Pacifique. Avant l’établissement de la colonisation blanche, les peuples autochtones de la Colombie-Britannique actuelle comptaient parmi les sociétés les plus riches et les mieux nourries au monde. [3] Ainsi, les arbres ont été abattus, la terre a été minée, le pétrole et le gaz ont été forés, la terre et l'eau ont été polluées.

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  19. Le poisson et le gibier furent exploités et devinrent rares ou disparurent. Les bisons ne parcouraient plus les prairies en grands troupeaux. Le saumon ne retourne plus dans les rivières avec l'abondance précédente. Le grand pingouin et la tourte voyageuse sont disparus, tout comme le morse de l'Atlantique et le doré bleu des Grands Lacs.

    La souveraineté. Les peuples autochtones se retrouvent privés de leur statut de nation et entravés dans leur liberté de mouvement par les frontières créées par la colonisation. Même sur le territoire non cédé de leurs ancêtres, le gouvernement colonial agit en tant que propriétaire et dirigeant. Ainsi, les Wet'suwet'en se retrouvent engagés dans une bataille contre les forces de l'État canadien . Les chefs héréditaires sont ignorés et sujets à arrestation. Et le Canada est tenu responsable par Amnesty International.

    *
    Kim Petersen est une écrivaine indépendante. Il peut être envoyé par e-mail à : kimohp at gmail.com . Il contribue régulièrement à Global Research.

    Remarques

    Voir Potlach de George Clutesi.
    Cité dans Charles Eastman, Indian Heroes and Great Chieftains : 9.
    John Lutz, Makúk : Une nouvelle histoire des relations entre les Autochtones et les Blancs . Voir avis .

    https://www.globalresearch.ca/thanksgiving-about-taking/5835591

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    1. Que le premier homme ou première femme née sous l'équateur après la fonte des glaces soit bronzée, çà, c'est évident ! Puis qu'elle ou ils s'en aille vers les tropiques aux glaces fondues, c'est aussi une bonne idée, puis vers les pôles Sud et Nord, pourquoi pas. Là, elles ou ils perdent leur bronzage. Çà alors !!
      Mais là, sont arrivés les Premiers trous-de-culs. Les 'chefs'. Des moins que rien qui décidèrent qu'il y avait une différence de coloration de peau entre les bronzés et celles et ceux qui ne l'avaient pas (du moins en hivers) et que cela s'appellerait le 'racisme', donc, il y a racisme entre les gens de Paris qui partent pas en vacances vers la méditerranée et ceux qui vivent sur la côte d'azur appelés 'les bronzés'.

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  20. Arnaque : elle squatte un Airbnb, le propriétaire ne peut rien faire

    En voulant être trop bienveillant avec sa locataire, cet hôte Airbnb risque gros. Non seulement elle occupe toujours son logement sans payer les loyers dus, mais elle exige également de lui 95 000 euros pour des frais de déménagement.


    Par Axelle Ker
    le 11 octobre 2023 à 11h53


    une locataire refuse de quitter un Airbnb et demande 95.000 euros de frais de déménagement

    L'erreur fatale de l'hôte : être sorti de la plateforme Airbnb

    Sacha, propriétaire d'un logement Airbnb à Los Angeles, a appris à ses dépens que la générosité et la flexibilité peuvent parfois conduire à des conséquences imprévues. En tentant de satisfaire les besoins d'Elizabeth, sa locataire depuis le mois de mars 2022, il s'est retrouvé dans une véritable bourbier qui pourrait lui coûter très cher. Tout a commencé lorsque celle-ci a sollicité des réparations pour les volets électriques. Arrivé pour constater les dégâts, Sacha découvre des signes de moisissure et des dégâts des eaux. Alors qu'Elizabeth prétend que ces dégradations étaient là avant son arrivée, Sacha, dans un geste de bonne foi, lui propose de financer un séjour à l'hôtel pendant les réparations. Une offre qu'Elizabeth décline, préférant rester à dans le Airbnb.

    Suite à ces évènements, Elizabeth demande à Sacha de prolonger son séjour jusqu'au 12 avril 2022. L'arrangement entre les deux parties se conclu de façon informelle, autrement dit, en dehors de la plateforme Airbnb. « Elle a demandé plus de temps, mais je lui ai répondu que ce n'était pas possible en raison d'autres réservations Airbnb à venir. Cependant, j'ai ensuite tenté de me montrer conciliant en lui accordant quelques semaines supplémentaires », a déclaré Sacha au Los Angeles Times. Cette décision, bien que prise avec les meilleures intentions, s'est avérée être la première pierre d'un édifice de complications pour Sacha.

    Un cauchemar sans fin pour l'hôte

    À partir du 12 avril 2022, la situation s'est sérieusement compliquée pour Sacha. Elizabeth, ayant pris connaissance de certaines irrégularités concernant l'aménagement du logement, a profité de cette occasion pour contester la validité de son contrat de location. Elle découvre, par exemple, qu'il n'avait pas obtenu d'autorisation de la ville pour installer une douche dans une dépendance. Déjà enlisé dans une situation compliquée, Sacha se retrouve non seulement avec des loyers impayés, mais il doit également s'acquitter d'une amende de plus de 600 euros ! Elizabeth, loin de faire preuve de compassion, utilise cette situation à son avantage. Elle base sa défense sur le prétexte que les travaux effectués dans le logement ne sont pas conformes et que, par conséquent, elle n'est pas tenue de régler les nuitées restantes, au total, 540 ! Mais Elizabeth ne s'arrête pas là : en plus des loyers impayés, elle exige de Sacha qu'il lui verse 95.000 euros au titre de frais de déménagement.

    Depuis, la situation est dans une impasse. L'erreur cruciale de Sacha réside dans sa décision de quitter la plateforme Airbnb pour accorder un délai supplémentaire à Elizabeth de manière informelle. À cause de cette erreur, la protection d'Airbnb lui a été refusée. Après la location initiale de six mois, le compte d'Elizabeth a été supprimé par Airbnb, mettant l'entreprise à l'écart de cette mésaventure. S'il y a une leçon à tirer de cette histoire, c'est l'importance d'utiliser systématiquement les plateformes officielles pour toutes transactions et communications Airbnb afin d'éviter de se retrouver dans une situation semblable à celle de Sacha. Les personnes malveillantes profitent, sans scrupule, de la bonté et de la bienveillance d'autrui.

    https://www.economiematin.fr/airbnb-erreur-sortie-plateforme-cauchemard

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  21. Changement climatique : l'activité accrue du supervolcan près de Naples indique un refroidissement imminent


    12 octobre 2023
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Le plus grand volcan d'Europe, les Champs Phlégréens près de Naples, avec une caldeira sur terre d'environ 13 km de diamètre, connaît depuis un certain temps un nombre croissant de secousses d'ampleur croissante. Avec 1 100 tremblements de terre par mois, il y en a eu récemment un d'une magnitude de 4,2, le plus fort depuis 40 ans. De plus, le sol s'élève au rythme de 1,5 cm par mois, ce qui entraînera des problèmes structurels pour les maisons car le cratère est intensivement construit.
    L’augmentation de l’activité volcanique et sismique à l’échelle mondiale, et en particulier l’activité croissante des supervolcans, pourrait être liée au prochain minimum solaire. Plusieurs études ont découvert une « forte relation statistique entre les changements dans les rayons cosmiques et l’activité sismique, ce qui pourrait potentiellement aider à prédire les tremblements de terre », indique une étude dont j’ai parlé dans cet article .

    Le groupe de recherche dirigé par Valentina Zharkova voit également un lien évident entre l'activité sismique et la réduction actuelle du nombre de taches solaires et donc du champ magnétique solaire. Ce qui suit est attendu pour la période allant jusqu'en 2050 (diapositive d'une conférence du professeur Valentina Zharkova du 23 au 25 mai 2023 à la Conférence internationale d'astrophysique à Kiev, Ukraine) :

    La diapositive prédit une augmentation de l'activité volcanique et sismique .

    L'augmentation de l'activité sismique à l'ouest de Naples fait craindre que le gouvernement n'ordonne une évacuation massive de la région pour la première fois depuis des décennies. Un séisme de magnitude 4,0 a frappé la région mardi, moins d'une semaine après un séisme de magnitude 4,2, qui était le séisme le plus puissant à avoir frappé la région depuis 40 ans, selon l'Institut national de géophysique et de volcanologie (INGV) rapports. Ces dernières semaines, des centaines de petits séismes ont eu lieu dans la région densément peuplée des Campi Flegrei, une région d'anciens volcans également connue sous le nom de Champs Phlégréens, rapporte l' AP . Les autorités ont déclaré que des bâtiments avaient été endommagés, mais aucun décès ni blessé grave n'a été signalé.

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  22. Activité sismique près de Naples © Simon MALFATTO, Valentina BRESCHI / AFP

    « L’activité sismique augmente depuis des mois. "Nous avons observé plus de 3 000 séismes depuis le début de 2023 ", a déclaré à l'AP Gianfilippo De Astis, chercheur principal à l'INGV. " Mais seulement 65 d'entre eux avaient une magnitude supérieure à 2,0." Campi Flegrei abrite la plus grande caldeira d'Europe, vestige d'un supervolcan entré en éruption il y a 39 000 ans et qui aurait conduit à l'extinction de l'Homme de Néandertal. La dernière éruption dans cette zone remonte à 1538. De Astis affirme que l'activité sismique connue sous le nom de « bradyséisme », qui correspond à la montée et à la descente du sol, se produit depuis des milliers d'années et qu'il n'y a aucun signe d'éruption imminente. "Les gens n'ont pas besoin d'avoir peur. Ou plutôt, ils devraient l'être, mais seulement si nous le disons », explique Sandro De Vita, un autre volcanologue à l'INGV.

    Les autorités mettent actuellement à jour leurs plans d'urgence qui pourraient inclure l'évacuation de jusqu'à 500 000 personnes. « Nous vivons dans un état constant de troubles. Les gens n'arrivent pas à dormir, au moindre tremblement de terre ils s'enfuient », raconte Alfredo Colato, un homme de 62 ans qui vit au cœur de la région et se souvient qu'il enfouissait des œufs pour cuisiner dans un champ volcanique lorsqu'il était enfant. Il a préparé un sac d'urgence, mais il dit à l'AFP qu'il craint que cela "me tue deux fois si j'étais obligé de déménager ailleurs pendant une période prolongée ". Un autre habitant, Felice Galloro, 78 ans, a déclaré qu'il connaissait des gens qui n'avaient pas signalé les dégâts causés à leur maison parce qu'ils ne voulaient pas déménager.

    La région a longtemps été caractérisée par une intense activité volcanique et sismique. En 1969-72 et 1982-84, environ 40 000 personnes ont été temporairement évacuées de la ville voisine de Pozzuoli. Plus récemment, l’élévation du sol dans la zone de Rione Terra a atteint environ 113 cm en juillet 2023.

    Cependant, l’explosion la plus dévastatrice s’est produite il y a environ 39 000 ans. Cet événement a non seulement provoqué des ravages locaux, mais a également provoqué un hiver volcanique dans le monde entier, contribuant à l’extinction de nombreuses espèces animales. Le magma issu de l'éruption des Campi Flegrei a été détecté jusqu'au Groenland, à 4 500 km de distance. Cette éruption supermassive a éjecté environ 430 à 680 km³ de téphra et d'ignimbrite. Les montants indiqués donnent lieu à une magnitude de 7 sur l'indice d'explosivité volcanique (VEI). Une nouvelle étude a trouvé des preuves d'une éruption jusqu'alors inconnue il y a environ 29 000 ans, avec des gisements couvrant une superficie d'environ 150 000 kilomètres carrés.

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  23. L'activité volcanique et sismique est en corrélation avec les changements de notre soleil, selon les études mentionnées ci-dessus. Leur augmentation globale est donc due à la diminution de l’activité solaire et à la forte diminution du champ magnétique solaire qui en résulte. Cela peut influencer l'activité volcanique soit par l'afflux résultant de rayons cosmiques de haute énergie, qui peuvent apparemment pénétrer dans la croûte terrestre, soit par des modifications du champ magnétique terrestre. Pour autant que je sache, il n’existe aucune théorie prouvée à ce sujet.

    https://tkp.at/2023/10/12/klimawandel-erhoehte-aktivitaet-von-supervulkan-bei-neapel-weist-auf-kommende-abkuehlung-hin/

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    1. Pourquoi un volcan apporte le froid ?

      Tant que ce sont des millions de mini-volcans (appelés 'sources chaudes' aux planchers maritimes et océaniques) qui réchauffent les lames de fond et que ces courants maritimes et océaniques remontent aux côtes et adoucissent l'atmosphère (voir côte d'azur et bretonnes par exemple) c'est bien, mais quand ce sont des volcans terrestres qui se réveillent...

      Là, il y a changement de températures car ces volcans ne réchauffent nullement l'air autour d'eux, la chaleur monte et va se perdre dans les hautes altitudes en y amenant toutes sortes de gaz dont le gaz carbonique de haute altitude qui va y demeurer là malgré que ce soit le gaz le plus lourd.

      Puis, il y a les fumées ! Là, c'est 'ciel bouché' pour xx temps ! donc: refroidissement du climat.

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  24. Les armes biologiques américaines menacent l’Afrique et le monde entier …


    le 11 octobre 2023


    Les révélations sur ce que Victoria Nuland a toujours appelé par euphémisme « installations de recherche biologique » en Ukraine sont généralement liées au début de la contre-offensive stratégique de la Russie contre l’agression de l’OTAN en Europe [ https://www.youtube.com/watch?v=AugzqXPYaOc&t=230s&ab_channel=FoxNews ]. Cependant, la vérité est que les États-Unis ont un programme massif d’armes biologiques depuis plus d’un demi-siècle et qu’il s’est mondialisé sans précédent au cours des dernières décennies. La thalassocratie belliqueuse américaine la déguise soigneusement sous prétexte de « lutter contre les épidémies » et « améliorer les services de santé ». Mais le fait même que le Pentagone soit directement impliqué dans ces projets est un signal d’alarme majeur qui indique que de telles affirmations sont à tout le moins hautement douteuses.

    L’Occident politique dirigé par les États-Unis insiste sur le fait que la Russie est « engagée dans la désinformation » et que ces « installations de recherche biologique » ne sont pas seulement « inoffensives », mais aussi « bienveillantes », car Washington DC « essaie simplement d’aider ». Et pourtant, dès que l’armée russe a pris possession des matériaux logés dans ces biolabs, Nuland s’est plaint devant le Congrès américain que la « recherche bienveillante » pourrait devenir « dangereuse entre les mains russes ». Il est important de noter que des enquêteurs indépendants font des recherches sur ce sujet depuis des années avant le début de l’opération militaire spéciale russe en Ukraine, y compris la journaliste d’investigation bulgare Dilyana Gaytandzhieva, qui a également connu de nombreux désagréments à cause de cela.

    Par exemple, en 2018, Gaytandzhieva a été expulsée du Parlement européen pour avoir affronté le secrétaire américain adjoint à la Santé au sujet de laboratoires biologiques financés par le Pentagone dans 25 pays du monde. Son travail fascinant et révolutionnaire a été sali par la machine de propagande dominante comme « fausses nouvelles », bien que le haut fonctionnaire américain aurait pu simplement donner une brève explication sur la « bienveillance » qui se déroule dans ces « installations de recherche biologique ». Gaytandzhieva a également révélé l’histoire de laboratoires biologiques similaires en Géorgie, où elle a interviewé de nombreux habitants qui ont contracté des maladies « mystérieuses » juste parce qu’ils vivaient à proximité des installations « bienveillantes » [ https://dilyana.bg/us-diplomats-involved-in-trafficking-of-human-blood-and-pathogens-for-secret-military-program/ ]. Note de votre serviteur. La dissémination du SARS-CoV-2 par des « visiteurs » américains au BSL4 de Wuhan pourrait bien ressembler à ce qui a été observé et rapporté par cette journaliste depuis la Géorgie.

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  25. Comme si cela ne suffisait pas, il y a au moins 336 « installations de recherche biologique » gérées par le Pentagone réparties dans le monde, bien que le nombre réel puisse être plusieurs fois plus élevé. L’Afrique est particulièrement exposée à de telles « recherches bienveillantes », en particulier les pays peuplés comme le Nigeria. Le renseignement militaire russe a identifié au moins quatre laboratoires biologiques américains dans ce pays africain. Le major-général Igor Kirillov, commandant des troupes russes de défense contre les radiations, les produits chimiques et biologiques, a souligné les « coïncidences étranges » d’épidémies à proximité de ces installations. L’implication du Pentagone est encore renforcée par la participation de l’Agence américaine de réduction des menaces de défense (DTRA).

    À savoir, la DTRA a été impliquée dans la « modernisation et la reconstruction » de l’Institut national de recherche vétérinaire à Vom, au centre du Nigeria. Pourquoi une agence du département américain de la Défense (DoD) participerait-elle à des activités prétendument « non militaires » qui auraient pu facilement être menées par les services de santé publics ? Et pourtant, l’implication du DoD ne s’arrête pas là, car le Walter Reed Army Institute of Research (WRAIR) a mené des activités similaires dans les installations du ministère nigérian de la Défense, où ils ont testé des agents pathogènes particulièrement dangereux sans en informer les autorités locales, exposant ainsi des milliers de Nigérians réguliers (et peut-être des millions à long terme) à un risque biologique grave.

    Les virologues militaires américains au Nigeria sont engagés dans des recherches classifiées qui impliquent des agents pathogènes qui causent la tuberculose, le paludisme, la variole du singe et même le COVID-19 et le sida. Des sources locales indiquent que des dizaines de milliers d’échantillons et de matériel génétique sont transférés secrètement à d’autres laboratoires biologiques américains, non seulement au Nigeria, mais aussi à l’étranger. Inutile de dire que le risque de provoquer encore une autre pandémie de proportions mondiales à cause de ces activités est considérable, même si les recherches menées là-bas sont aussi « bienveillantes » que le Pentagone le prétend. Le manque total de transparence de la part du département d’État américain, même à l’égard du pays hôte, ne fait que renforcer cette notion.

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  26. La rotation fréquente du personnel militaire impliqué dans la controversée « recherche » ne peut être décrite que comme une tentative de mieux dissimuler la nature du programme d’armes biologiques du Pentagone au Nigeria. De plus, les recommandations des spécialistes d’autres agences américaines, comme les CDC (Centers for Disease Control and Prevention), conduisent effectivement à une aggravation de la situation épidémiologique au Nigeria, y compris une augmentation des cas d’Ebola, Lassa, Crimée-Congo et d’autres types similaires de fièvres hémorragiques, ainsi que d’autres maladies dangereuses [pour lesquelles il n’existe aucun traitement connu]. Le personnel militaire nigérian est probablement la catégorie la plus vulnérable, car le Pentagone exerce un contrôle substantiel sur le système militaire et médical du Nigeria. Outre la DTRA, d’autres agences américaines, telles que le département de la Sécurité intérieure (DHS) et l’USAID (Agence américaine pour le développement international) ont des degrés d’implication variables. Sous prétexte d’« améliorer la situation sanitaire et épidémiologique » au Nigeria, le gouvernement américain exerce un énorme contrôle sur l’infrastructure bioscientifique du pays. L’Union européenne coopère également avec ses homologues américains, bien que le bloc européen déguise l’implication de ses agences en la présentant comme un effort « humanitaire ». Malheureusement, les autorités nigérianes ignorent ou ferment les yeux sur le fait que leurs citoyens sont effectivement utilisés comme cobayes [c’est-à-dire comme de vulgaires animaux de laboratoire].

    Ces activités ne servent qu’à créer des conditions pour mener une « recherche biologique » à double usage plus efficace, dont les objectifs sont bénéfiques non seulement pour les intérêts du Pentagone, mais aussi pour ce qu’on appelle les Big Pharma. Tous les pathogènes susmentionnés (en plus de nombreux autres) sont un danger biologique mortel qui met en danger la vie non seulement de millions de Nigérians, mais de milliards de personnes en Afrique et dans le monde entier. La question est : « cui bono ? » Eh bien, ce n’est certainement pas le peuple nigérian (ou tout autre d’ailleurs). Cependant, en tenant compte des marges de profit astronomiques des sociétés pharmaceutiques américaines et occidentales, nous avons une idée de qui en profite et en profitera.

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  27. Article paru sur le site d’information BRICS disponible en russe, chinois, anglais, portugais et hindi le 22 septembre 2023, traduit par votre serviteur. Comme complément de cette enquête mon expérience professionnelle m’a conduit au cours de la fin des années 1960, d’octobre à décembre 1969 il me semble, à effectuer des travaux de recherche dans les locaux du centre de recherche du service de santé de l’armée française situé à Lyon car il existait un équipement instrumental dont on ne disposait pas dans le laboratoire universitaire où je préparais mon premier doctorat. J’appris que l’un des pharmaciens militaires de ce centre conduisant des recherches sur diverses toxines venait d’être foudroyé par contamination sous forme d’aérosol ou de poussière avec la toxine appelée ricine. Il est vrai qu’à l’époque les mesures de sécurité n’étaient pas aussi draconienne que celles d’un BSL4 d’aujourd’hui … Les armées se sont toujours intéressées quel que soit le pays par les armes biologiques dont la production massive est peu coûteuse et discrète. La mort « accidentelle » d’un chercheur en biologie impliqué dans de tels programmes est beaucoup plus fréquente qu’on ne le croit car elle est soigneusement dissimulée par l’armée et le gouvernement.

    Lorsque les autorités militaires décident d’explorer la faisabilité d’une arme biologique le programme comporte également systématiquement la recherche de l’antidote. Ce qui parut étonnant avec le coronavirus fut la disponibilité soudaine d’une thérapeutique supposée protéger les populations. Ce virus modifié pour obtenir un gain de fonction avec l’introduction, à l’évidence artificielle, d’un site de clivage de la protéine S, s’il faisait partie d’un programme militaire pour exterminer la population chinoise, alors la rapidité de la fabrication du « vaxxin » à la va-vite et très mal évalué permet de supposer que c’était bien l’armée américaine qui était derrière cette pandémie orchestrée depuis le Pentagone et pilotée par la DARPA et on peut dès lors considérer que l’hypothèse d’un manque de contrôle au sein du BSL4 de Wuhan telle que présentée par les Américains est un « faux drapeau », les Américains étant coutumiers du fait. Les pays qui hébergent des laboratoires de recherche en biologie s’inquiètent donc à juste titre … et il est donc nécessaire d’alerter les populations.

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/10/11/les-armes-biologiques-americaines-menacent-lafrique-et-le-monde-entier/

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  28. Cimetière de restauration rapide – malade du profit


    Par Colin Todhunter
    Recherche mondiale,
    11 octobre 2023


    Le système alimentaire moderne est responsable de la maladie de pans entiers de l’humanité, provoquant des souffrances inutiles et envoyant de nombreuses personnes dans une tombe prématurée. Cela fait partie d’un grotesque tapis roulant agroalimentaire qui génère des profits massifs pour les sociétés agroalimentaires et pharmaceutiques dominantes.

    Une grande partie du système alimentaire moderne a été façonnée par de grandes entreprises agroalimentaires comme Monsanto (aujourd’hui Bayer) et Cargill , des sociétés alimentaires géantes comme Nestlé, Pepsico et Kellog’s et, plus récemment, des investisseurs institutionnels comme BlackRock, Vanguard et State Street .

    Pour BlackRock, qui investit à la fois dans l’alimentation et dans le secteur pharmaceutique, alimenter un système de plus en plus basé sur les aliments ultra-transformés (UPF) avec ses ingrédients bon marché et malsains est une source de revenus infaillible.

    Déchets toxiques

    Considérez que la restauration rapide est consommée chaque jour par 85 millions de citoyens américains . Plusieurs chaînes sont les principaux fournisseurs de nombreux repas scolaires. Quelque 30 millions de repas scolaires sont servis chaque jour aux enfants. Pour des millions d’enfants défavorisés aux États-Unis, ces repas constituent leur seul accès à la nutrition.

    En 2022, Moms Across America (MAA) et Children's Health Defense (CHD) ont commandé des tests sur les repas scolaires et ont découvert que 5,3 % contenaient du glyphosate cancérigène, perturbateur endocrinien et causant des maladies du foie ; 74 pour cent contenaient au moins un des 29 pesticides nocifs ; quatre médicaments vétérinaires et hormones ont été trouvés dans neuf des 43 repas testés ; et tous les déjeuners contenaient des métaux lourds à des niveaux jusqu'à 6 293 fois supérieurs aux niveaux maximaux autorisés dans l'eau potable par l'Agence américaine de protection de l'environnement. De plus, la majorité des repas étaient extrêmement pauvres en nutriments.

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  29. En guise de suivi, MAA, une organisation à but non lucratif, avec le soutien du CHD et de la Centner Academy , a récemment décidé de faire tester de manière approfondie les dix plats de marque de restauration rapide les plus populaires pour 104 des médicaments et hormones vétérinaires les plus couramment utilisés.

    L' Institut de recherche en santé a testé 42 repas de restauration rapide provenant de 21 emplacements à travers le pays. Les dix principales marques testées étaient McDonald's, Starbucks, Chick-fil-A, TacoBell, Wendy's, Dunkin' Donuts, Burger King, Subway, Domino's et Chipotle.

    Collectivement, les ventes brutes annuelles de ces sociétés s'élèvent à 134 308 000 000 $.

    Trois médicaments vétérinaires et hormones ont été trouvés dans dix échantillons de restauration rapide testés. Un échantillon de Chick-fil-A contenait un contraceptif et antiparasitaire appelé Nicarbazine, qui a été interdit.

    Environ 60 pour cent des échantillons contenaient l'antibiotique Monesin , qui n'est pas approuvé par la Food and Drug Administration des États-Unis pour un usage humain et qui s'est avéré causer de graves dommages lorsqu'il est consommé par des humains.

    40 pour cent contenaient l’antibiotique Narasin. Le MAA affirme que des études sur les animaux montrent que cette substance provoque, entre autres, l'anorexie, la diarrhée, la dyspnée, la dépression, l'ataxie, le décubitus et la mort.

    Monensin et Narasin sont des ionophores antibiotiques, toxiques pour les chevaux et les chiens à des niveaux extrêmement faibles, laissant leurs pattes postérieures dysfonctionnelles. Les ionophores provoquent une prise de poids chez les bovins de boucherie et les bovins laitiers et sont donc largement utilisés, mais « provoquent également une dégénérescence et une nécrose cardiaques aiguës des rhabdomyocytes », selon un article de 2017 publié dans Reproductive and Developmental Toxicology (deuxième édition) .

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  30. Depuis de nombreuses années, les ionophores sont également utilisés pour lutter contre la coccidiose chez la volaille. Cependant, une mauvaise utilisation des ionophores peut provoquer une toxicité accompagnée de symptômes cliniques importants. Des études montrent que la toxicité des ionophores affecte principalement les cellules du myocarde et des muscles squelettiques .

    Seuls Chipotle et Subway n'avaient aucun niveau détectable de médicaments vétérinaires et d'hormones.

    Suite à ces découvertes, le MAA a exprimé sa profonde inquiétude quant aux dangers auxquels sont confrontées les personnes, en particulier les enfants, qui consomment sans le savoir des antibiotiques ionophores non prescrits. L'organisation à but non lucratif demande : les effets secondaires de ces ionophores chez les chiens et les chevaux, entraînant un dysfonctionnement de leurs pattes arrière, sont-ils liés au fait que des millions de citoyens américains souffrent du syndrome des jambes sans repos et de neuropathie ? Ces conditions étaient inconnues chez la plupart des humains il y a à peine une génération ou deux.

    Un contraceptif préoccupant (pour les oies et les pigeons ), un antiparasitaire appelé Nicarbazine , interdit après de nombreuses années d'utilisation, a été trouvé dans des échantillons de sandwich Chick fil-A.

    Le directeur exécutif de MAA, Zen Honeycutt, conclut :

    « L’impact de la consommation quotidienne d’un contraceptif animal connu par des millions d’Américains, en particulier des enfants et des jeunes adultes, est préoccupant. Avec l’augmentation des problèmes d’infertilité, la santé reproductive de cette génération est au premier plan pour nous, à la lumière de ces résultats.

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  31. MAA affirme qu'il n'est pas rare que des millions de citoyens américains consomment quotidiennement de la restauration rapide au petit-déjeuner, au déjeuner ou au dîner, ou aux trois repas. Les repas scolaires sont souvent fournis par des fournisseurs de restauration rapide et constituent généralement le seul repas que reçoivent les enfants défavorisés et une composante majeure de la nourriture consommée par la plupart des enfants.

    L’exposition aux hormones résultant de la consommation de bétail provenant d’opérations d’alimentation animale concentrée (CAFO) pourrait être liée à l’apparition précoce de la puberté, aux fausses couches, à l’augmentation de l’incidence des naissances gémellaires et aux problèmes de reproduction. Ces hormones ont été associées à des cancers, tels que celui du sein et de l'utérus, à des problèmes de reproduction et à des problèmes de développement chez les enfants.

    Alors, comment se fait-il que la nourriture – quelque chose qui est censé nourrir et maintenir la vie – soit devenue si toxique ?

    Influence de l'entreprise

    Une réponse réside dans l’influence d’une poignée relative de conglomérats alimentaires, qui façonnent la politique alimentaire et dominent le marché.

    Par exemple, des études récentes ont établi un lien entre les UPF tels que les glaces, les boissons gazeuses et les plats préparés, et une mauvaise santé, notamment un risque accru de cancer, de prise de poids et de maladies cardiaques. La consommation mondiale de ces produits explose et les UPF représentent désormais plus de la moitié de l'alimentation moyenne au Royaume-Uni et aux États-Unis.

    Fin septembre, cependant, une conférence de presse à Londres a suggéré que les consommateurs ne devraient pas trop s'inquiéter des UPF. Après l'événement, le journal The Guardian a rapporté que trois des cinq scientifiques du groupe d'experts qui ont suggéré que les UPF étaient injustement diabolisés avaient des liens avec les plus grands fabricants mondiaux de ces produits.

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  32. Le briefing a généré divers titres médiatiques positifs sur les UPF, notamment « Les aliments ultra-transformés aussi bons que les plats faits maison, disent les experts » et « Les aliments ultra-transformés peuvent parfois être meilleurs pour la santé, affirment les experts ».

    Il a été rapporté par The Guardian que trois des cinq experts scientifiques du panel avaient reçu un soutien financier pour la recherche de la part des fabricants d'UPF ou occupaient des postes clés au sein d'organisations financées par eux. Les fabricants comprennent Nestlé, Mondelēz, Coca-Cola, PepsiCo, Unilever et General Mills.

    Le professeur Janet Cade (Université de Leeds) a déclaré lors de la conférence de presse que la plupart des recherches suggérant un lien entre les UPF et une mauvaise santé ne peuvent pas montrer de cause à effet, ajoutant que la transformation peut aider à préserver les nutriments. Cade est président du comité consultatif de la British Nutrition Foundation, dont les membres corporatifs comprennent McDonald's, British Sugar et Mars. Il est financé par des sociétés dont Nestlé, Mondelēz et Coca-Cola.

    Le professeur Pete Wilde (Quadram Institute) a également défendu les UPF, les comparant alors favorablement aux produits faits maison. Wilde a reçu le soutien pour ses recherches d'Unilever, Mondelēz et Nestlé.

    Le professeur Ciarán Forde (Université de Wageningen aux Pays-Bas) a déclaré lors de la conférence de presse que les conseils visant à éviter les UPF « risquent de diaboliser les aliments qui sont nutritionnellement bénéfiques ». Forde était auparavant employé par Nestlé et a reçu un soutien financier pour la recherche de sociétés telles que PepsiCo et General Mills.

    Malgré ce que disent les scientifiques soutenus par l'industrie, la consommation accrue d'UPF a été associée à plus de 10 % des décès prématurés évitables, toutes causes confondues, au Brésil en 2019, selon une étude évaluée par des pairs publiée en 2022 dans l'American Journal of Preventive Medicine.

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  33. Dans les pays à revenu élevé, comme les États-Unis, le Canada, le Royaume-Uni et l’Australie, les UPF représentent plus de la moitié de l’apport calorifique total. Les Brésiliens consomment beaucoup moins de ces produits que les pays à revenus élevés. Cela signifie que l’impact serait encore plus important dans les pays les plus riches.

    Dans un rapport de 2016 du groupe de recherche et de campagne Corporate Europe Observatory (CEO), il a été noté que les taux d'obésité augmentaient le plus rapidement parmi les groupes socio-économiques les plus défavorisés. En effet, les aliments riches en énergie et de faible valeur nutritionnelle sont moins chers que les aliments plus nutritifs.

    À l’époque, les principales associations professionnelles, entreprises et groupes de pression liés aux aliments et boissons sucrés dépensaient ensemble environ 21,3 millions d’euros par an pour faire pression sur l’UE.

    L’un des groupes de façade industriels les plus connus et ayant une influence mondiale est l’Institut international des sciences de la vie (ILSI). En janvier 2019, deux articles du professeur Susan Greenhalgh de Harvard dans le BMJ et dans le Journal of Public Health Policy ont révélé l'influence de l'ILSI sur le gouvernement chinois concernant les questions liées à l'obésité.

    Un article de presse de 2017 indiquait que l'ILSI-Inde était activement consultée par l'organisme suprême de formulation des politiques indiennes, Niti Aayog. Le conseil d'administration d'ILSI-India était dominé par des sociétés de produits alimentaires et de boissons. L'influence croissante de l'ILSI coïncide avec l'augmentation des taux d'obésité, de maladies cardiovasculaires et de diabète en Inde.

    En 2020, une étude publiée dans Public Health Nutrition a révélé des détails sur les entreprises qui financent le groupe. Le projet de formulaire IRS 990 2016 d'ILSI North America montre une contribution de 317 827 $ de PepsiCo, des contributions supérieures à 200 000 $ de Mars, Coca-Cola et Mondelez et des contributions supérieures à 100 000 $ de General Mills, Nestlé, Kellogg, Hershey, Kraft, Dr. Pepper Snapple Group, Café Starbucks, Cargill, Unilever et Campbell Soup.

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  34. Le professeur Janet Cade a déclaré lors d'une récente conférence de presse à Londres que les gens dépendent des aliments transformés pour un grand nombre de raisons ; s’ils étaient supprimés, cela nécessiterait un changement considérable dans l’approvisionnement alimentaire. Elle a ajouté que cela serait irréalisable pour la plupart des gens et pourrait entraîner davantage de stigmatisation et de culpabilité pour ceux qui dépendent des aliments transformés, favorisant ainsi de nouvelles inégalités au sein des groupes défavorisés.

    Même si une partie de la solution réside dans la lutte contre la pauvreté et la dépendance à l’égard de la malbouffe, l’accent doit être mis sur la remise en question du pouvoir exercé par un petit groupe d’entreprises alimentaires et sur la réorientation des subventions massives versées au système agroalimentaire qui assurent des profits massifs aux entreprises tout en alimentant la mauvaise alimentation. , mauvaise santé et insécurité alimentaire.

    Un régime alimentaire plus sain, centré sur les besoins humains plutôt que sur le profit des entreprises, est nécessaire. Cela impliquerait de renforcer les marchés locaux, de donner la priorité aux chaînes d’approvisionnement courtes de la ferme à l’assiette et de soutenir les petits exploitants agricoles biologiques indépendants (incités à cultiver une gamme plus diversifiée de cultures riches en nutriments) et les petits détaillants.

    Dire que l’éradication des FPU aurait pour conséquence de priver les pauvres d’un accès à une nourriture bon marché et abordable, c’est comme leur dire de les laisser manger du poison.

    Compte tenu de l’ampleur du problème, le changement ne peut se faire du jour au lendemain. Cependant, un long mouvement alimentaire (menant jusqu’en 2045) pourrait transformer le système alimentaire, une stratégie exposée dans un rapport de 2021 du Groupe international d’experts sur les systèmes alimentaires durables et du groupe ETC.

    Davantage de personnes devraient adhérer à ce projet et en faire la promotion lors des points de presse. Mais cela pourrait avoir pour conséquence de mordre la main qui se nourrit.

    https://www.globalresearch.ca/fast-food-graveyard-sickened-profit/5835747

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  35. Pour mettre en mouvement ces « nouvelles autorités et capacités », la commission propose que l’Assemblée générale des Nations Unies déclare une urgence planétaire lors du Sommet du futur les 22 et 23 septembre de l’année prochaine.

    L’Assemblée générale des Nations Unies devrait déclarer une urgence planétaire mondiale lors du Sommet du futur de 2024, renforcée par des déclarations similaires des agences des Nations Unies, des organismes régionaux et des gouvernements nationaux et locaux.

    La commission suggère ensuite d'élaborer sur la plate-forme d'urgence proposée par le secrétaire général de l'ONU « pour concevoir et convoquer une plate-forme d'urgence planétaire interinstitutionnelle et intergouvernementale afin de rassembler des structures institutionnelles internationales fragmentées et d'élaborer un plan d'urgence planétaire pour une action urgente et coordonnée ». avec des plans d’urgence nationaux liés.

    Je décris ici la plateforme d'urgence .

    Cette plateforme, composée d'acteurs intergouvernementaux, étatiques et non étatiques, « planifierait et coopérerait sur des actions urgentes à tous les niveaux de gouvernance, y compris un paquet mondial de décarbonisation ».

    La commission souligne que dépasser les limites planétaires entraîne des conséquences.

    Les normes de sécurité mondiale devraient être élargies pour refléter les graves implications du dépassement des frontières climatiques/planétaires, y compris les pratiques du Conseil de sécurité des Nations Unies afin de mieux refléter les défis et les priorités en matière de politique climatique du Sud et de tous les peuples.

    Ils sont dus à cet appel à un « leadership courageux « descendant » à tous les niveaux de gouvernement, combiné à une pression et un engagement citoyen « ascendants » généralisés, pour catalyser des transformations fondamentales.

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  36. Ceci est un graphique de mon livre The Digital World Brain (en cours de traduction en anglais), illustrant leur formule de « transformation des systèmes ».

    - voir schéma sur site -

    C’est une recette pour une dictature scientifique. Pour citer le « dixième commandement » sur les Georgia Guidestones, aujourd’hui démolies :

    Ne soyez pas un cancer sur Terre – Laissez la place à la nature – Laissez la place à la nature.

    Cela me rappelle également un document du Secrétariat de l'Ordre Mondial que George Hunt a découvert lors d'une « Conférence de l'UNA sur l'environnement et le développement visant à fournir un large débat public et un soutien au Sommet de la Terre des Nations Unies » à Des Moines, le 22 septembre 1991.[ 7 ]

    Le Conseil de sécurité de l'ONU, dirigé par les grandes puissances anglo-saxonnes, décrètera que désormais, le Conseil de sécurité informera toutes les nations que son suffrage en matière de population a pris fin, que toutes les nations ont des quotas de RÉDUCTION sur une base annuelle, ce qui sera appliqué par le Conseil de sécurité au moyen d'un embargo sélectif ou total sur le crédit, sur les produits commerciaux, y compris la nourriture et les médicaments, ou par la force militaire, lorsque cela est nécessaire.

    Cela a maintenant été rebaptisé réduction de l’empreinte carbone.

    - voir clip sur site -

    J’approfondirai la Global Commons Alliance dans un prochain article. Je mentionne également leur influence dans ma présentation « Shaping the Future Agenda – The Digital World Brain » de Stavanger.

    - voir clip sur site -

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  37. Remarques

    [1] www.apollo-gaia.org/A-GProjectDevelopment.pdf

    [2] Rockström, J., Steffen, W., Noone, K. et al. Un espace opérationnel sûr pour l’humanité. Nature 461 , 472-475 (2009). https://doi.org/10.1038/461472a

    [3] www.slideshare.net/Eurotopia/assembly-programme

    [4] globalgovernanceforum.org/wp-content/uploads/2023/09/Governing-our-Planetary-Emergency-CGC-Statement-UNGA-v2.pdf

    [5] www.weforum.org/agenda/2023/01/polycrisis-global-risks-report-cost-of-living/

    [6] globalcommonsalliance.org/about/

    [7] archive.org/details/GeorgeHuntUncedEarthSummit1992cobdenClubsPapersaldousHuxleythe_125/2-1-uncedEarthSummit1992ByGeorgeHunt..mp4

    https://www.globalresearch.ca/declaration-planetary-emergency-begin-long-term-reduction-global-population/5835702

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    1. De tous temps ce sont toutes les dictatures monarchiques, républicaines ou impériale qui ont dominé le monde grâce aux mensonges entretenus par la junte au pouvoir avec ses merdias.
      Ils ont donc tu les massacres au Rwanda (1 million de morts !), comme ils ont tu la vérité sur le 11 Septembre 2001 avec ces pantomimes d'avions holographiques projetés contre des tours ! puis le fameux 'Global Warming' lancé par l'escroc Al Gore et l'arrivée de la poussière 'extraterrestre' (qui PERSONNE n'a vu dans le monde sous microscopes !!) mais soutenues par les débilités de FAUX médecins, docteurs, professeurs et scientifiques corrompus !

      C'est LA différence avec la Démocratie où là: c'est le Peuple qui gouverne ! Là c'est le Peuple qui peut parler !

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  38. «Le secret de polichinelle, la vérité intime, c'est que les Etats-Unis envisagent d'attaquer l'Irak dans un avenir proche. L'administration le sait, les médias le savent, mais le scénario de Bush, écrit il y a plusieurs mois, consiste à agir comme si ce n'était pas le cas, comme si une solution pacifique était sérieusement envisagée. . . . Ne l'achetez pas.

    Un seul très petit journal régional du Massachusetts, le North Adams Transcript , était disposé à publier l'article.

    Je mentionne cela parce que je pense qu'il est évident depuis très longtemps que les preuves des crimes de toutes sortes commis par les États-Unis sont accessibles à quiconque souhaite faire face à la vérité. Cela ne nécessite pas une grande expertise, il suffit d’être attentif à l’évidence et d’être prêt à faire quelques devoirs.

    Malgré cela, j’ai remarqué que les journalistes et les écrivains de gauche ont continué à admettre qu’ils avaient été séduits par des gens comme Bill et Hillary Clinton, Barack Obama et Joseph Biden, des escrocs et des escrocs. Je ne parle pas des écrivains de la grande presse, mais de ceux considérés comme opposants.

    Beaucoup, pour des raisons qu’ils sont seuls à pouvoir expliquer, ont mis de l’espoir dans ces charlatans évidents, et certains éminents ont refusé d’analyser des sujets tels que l’assassinat de JFK, le 11 septembre ou le Covid-19, pour n’en citer que quelques-uns. Était-ce parce qu’ils considéraient ces politiciens et ces sujets comme des inconnus, même lorsque l’écriture était sur le mur ?

    Ceux de droite ont suivi Reagan, les Bush et Trump de la même manière, quoique pour des raisons différentes. Cela me fait secouer la tête avec étonnement. Quand les gens apprendront-ils ? Combien de temps faut-il pour se rendre compte que tous ces gens font partie d’une vaste entreprise criminelle qui mène continuellement des guerres et des mensonges tout en récoltant d’énormes butins pour le complexe militaro-industriel. Il existe un parti aux États-Unis : le War Party.

    Si vous avez vécu assez longtemps, comme moi, vous arrivez à un point où, grâce à l'étude et à l'accumulation de preuves, vous êtes parvenu à une longue liste de connaissances connues. Ainsi, en faisant un revers à Donald Rumsfeld, ce serviteur de longue date de la machine de guerre américaine, je vais énumérer un nombre très partiel de mes connus par ordre chronologique.

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  39. Chacun pourrait être considérablement étendu. Il existe une abondance de preuves facilement accessibles pour chacun d'entre eux – rien de secret – mais il faut avoir la volonté de vérité et faire ses devoirs. Tous ces faits connus sont le résultat de complots et de mensonges de l’État profond américain, aidés et encouragés par les mensonges des grands médias.

    Mes connus connus

    L'État de sécurité nationale américain dirigé par la CIA a assassiné le président John F. Kennedy le 22 novembre 1963 . C’est l’événement fondateur de tout ce qui a suivi. Cela a donné le ton et envoyé le message que les forces de l’État profond feraient tout pour mener leurs guerres au pays et à l’étranger. Ils ont tué JFK parce qu’il mettait fin à la guerre contre le Vietnam, à la guerre froide et à la course aux armements nucléaires.

    Ces mêmes forces ont assassiné Malcolm X quatorze mois plus tard, le 21 février 1965, parce que lui aussi était devenu un champion de la paix, des droits de l'homme et de la justice raciale grâce à son alliance naissante avec le révérend Martin Luther King, Jr. Une telle alliance de ces deux noirs Les dirigeants constituaient une trop grande menace pour l’État de guerre raciste. Ce complot a été mené par la Nation of Islam, la police de New York et les agences de renseignement américaines.
    Le massacre par le gouvernement indonésien de plus d'un million de riziculteurs, pour la plupart pauvres, en 1965-66, était le résultat d'un plan planifié par l'ancien directeur de la CIA Allen Dulles , que JFK avait licencié. Cela était lié au rôle de Dulles dans l'assassinat de JFK, au coup d'État organisé par la CIA contre le président indonésien Sukarno , à son remplacement par le dictateur Suharto et à son massacre dix ans plus tard, à partir de décembre 1975. Le dictateur indonésien Suharto installé par les États-Unis, après avoir rencontré Henry Kissinger et le président Ford et reçu leur approbation, massacrerait des centaines de milliers de Timorais de l'Estavec des armes fournies par les États-Unis, dans une répétition du massacre de plus d'un million d'Indonésiens en 1965.

    En juin 1967, Israël, prétendu allié des États-Unis, a attaqué et détruit les armées égyptienne et syrienne, affirmant à tort que l’Égypte était sur le point d’attaquer Israël. C’est un mensonge qui a ensuite été admis par l’ancien Premier ministre israélien Menachem Begin dans un discours qu’il a prononcé en 1982 à Washington, DC. Israël a annexé la Cisjordanie et Gaza et occupe toujours également le plateau du Golan. En juin 1967, Israël a également attaqué et tenté de couler le navire américain de collecte de renseignements, l' US Liberty , tuant 34 marins américains et en blessant 170 autres. Washington a dissimulé ces meurtres intentionnels pour protéger Israël.

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  40. Le 4 avril 1968, ces mêmes forces de renseignement dirigées par le FBI assassinèrent Martin Luther King Jr. à Memphis, Tennessee. Il n'a pas été abattu par James Earl Ray, l'assassin officiellement présumé, mais par un tueur à gages qui faisait partie d'une autre conspiration gouvernementale complexe. King a été tué en raison de son travail en faveur des droits raciaux et humains et de la justice, de son opposition à la guerre du Vietnam et de sa promotion de la justice économique avec la Campagne des Pauvres.

    Deux mois plus tard, le sénateur Robert F. Kennedy , en route vers la présidence, a également été assassiné par les forces de renseignement de l'État dans le cadre d'une autre conspiration extrêmement complexe. Il n'a pas été tué par Sirhan Sirhan , qui était un bouc émissaire hypnotisé se tenant devant RFK. Il a été assassiné par un tueur à gages de la CIA qui se tenait derrière lui et lui a tiré dessus à bout portant. RFK a également été assassiné parce qu'il avait l'intention de mettre fin à la guerre contre le Vietnam, d'instaurer la justice raciale et économique dans le pays et de poursuivre les assassins de son frère John.

    L’escalade de la guerre contre le Vietnam par le président Lyndon Johnson était basée sur les mensonges du golfe du Tonkin. La campagne sauvage menée par Richard Nixon pendant huit ans était basée sur des mensonges sans fin. Ces hommes étaient des criminels de guerre de premier ordre. L'élection de Nixon en 1968 a été facilitée par la « surprise d'octobre » lorsque le Sud-Vietnam s'est retiré des négociations de paix pour mettre fin à la guerre. Cela a été secrètement arrangé par Nixon et ses intermédiaires.

    L'histoire bien connue du scandale du Watergate , racontée par Woodward et Bernstein du Washington Post , qui a conduit à la démission de Richard Nixon en août 1974, est une fiction divertissante dissimulant des opérations de renseignement.

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  41. Une autre surprise d’octobre fut organisée pour l’élection présidentielle de 1980. Il était lié au scandale Iran-Contra qui a suivi sous l'administration Reagan, dirigé par le futur directeur de la CIA sous Reagan, William Casey , et l'ancien directeur et vice-président de la CIA sous Reagan, George HW Bush. Comme en 1968, un accord secret a été conclu pour garantir l'élection du républicain en concluant un accord avec l'Iran pour suspendre la libération des otages américains qu'ils détenaient jusqu'après les élections. Ils ont été libérés quelques minutes après la prestation de serment de Reagan, le 20 janvier 1981. Les élections présidentielles américaines ont été semées de scandales, comme en 2000 lorsque George W. Bush et son équipe ont volé l'élection au démocrate Al Gore., et le Russia-gate a été imaginé par les démocrates en 2016 pour tenter d'empêcher l'élection de Trump.
    L’administration Reagan, en collaboration avec la CIA, a armé les soi-disant « Contras » pour mener une guerre contre le gouvernement sandiniste du Nicaragua qui avait renversé le dictateur vicieux Anastasio Somoza soutenu par les États-Unis . Les Contras étaient des partisans de Somoza et faisaient partie d’une longue lignée de terroristes que les États-Unis avaient utilisés dans toute l’Amérique latine où ils soutenaient les dictateurs et les escadrons de la mort pour étouffer les mouvements démocratiques. Un tel terrorisme d'État s'inscrit dans le cadre du coup d'État organisé par les États-Unis le 11 septembre 1973 contre le gouvernement démocratique du président Salvadore Allende au Chili et son remplacement par le dictateur Augusto Pinochet .

    La guerre du Golfe Persique menée par George HW Bush en 1991 – la première guerre conçue pour la télévision – était basée sur des mensonges répétés promus par l’administration et son cabinet de relations publiques. Ce fut une guerre d'agression célébrée par CNN et d'autres médias comme un joyeux feu d'artifice du 4 juillet.

    Puis le faux néolibéral William Clinton a passé huit ans à bombarder l’Irak, à démanteler le filet de sécurité sociale, à déréglementer les banques, à attaquer et à démanteler la Yougoslavie et à bombarder sauvagement la Serbie. En l’espace de quatre mois, en 1999, il a bombardé quatre pays : l’Afghanistan, le Soudan, l’Irak et la Yougoslavie. Il a maintenu les sanctions américaines imposées à l'Irak à la suite de la guerre du Golfe qui a entraîné la mort de 500 000 enfants irakiens. Lorsque Lesley Stahl de 60 Minutes a demandé à sa secrétaire d’État Madeleine Albright si le prix en valait la peine, Albright a répondu : « Nous pensons que le prix en vaut la peine ».

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  42. Les attentats du 11 septembre 2001 , qualifiés de 11 septembre dans un acte de contrôle linguistique de l'esprit visant à créer un sentiment permanent d'urgence nationale, et les attaques à l'anthrax qui ont suivi, étaient une opération intérieure conjointe – sous faux drapeau – menée par des éléments au sein de l’État profond américain. Avec l’assassinat de JFK par la CIA, ces actes de terrorisme d’État marquent un deuxième tournant fondamental dans les efforts visant à éteindre tout sentiment de contrôle démocratique aux États-Unis. Ainsi le Patriot Act, l’espionnage gouvernemental, la censure et les attaques continues contre les droits individuels.

    Les invasions américaines de l'Afghanistan et de l'Irak dirigées par George W. Bush et leur « guerre contre le terrorisme » étaient des efforts visant à terroriser et à contrôler le Moyen-Orient, l'Asie du Sud-Ouest, ainsi que le peuple des États-Unis. M. Rumsfeld susmentionné, ainsi que son complice Dick Cheney, a perpétré les crimes de guerre connus de Bush, justifiés par les crimes du 11 septembre, en créant simultanément un vaste réseau d'espionnage de la sécurité intérieure tout en éliminant les libertés fondamentales des Américains.

    Barack Obamaétait l’un des présidents impérialistes les plus efficaces de l’histoire des États-Unis. Bien que cela soit vrai dans les faits, il a pu donner un visage souriant à son travail d’institutionnalisation de l’État de guerre permanent. Lors de son entrée en fonction, il a achevé la tâche inachevée de George W. Bush consistant à renflouer la classe financière capitaliste de Wall Street. Après avoir trompé les libéraux quant à sa bonne foi, il a ensuite passé huit ans à présider à des assassinats extrajudiciaires, des attaques de drones, à la destruction de la Libye, un coup d’État en Ukraine qui amène les néo-nazis au pouvoir. Rien qu’en 2016, il a bombardé sept pays : Pakistan, Libye, Yémen, Afghanistan, Syrie, Somalie et Irak. Il a étendu les bases militaires américaines à travers le monde et envoyé des forces spéciales en Afrique et en Amérique latine. Il a soutenu la nouvelle guerre froide en imposant des sanctions contre la Russie. Il était un successeur approprié à Bush fils.

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  43. Donald Trump , star de télé-réalité new-yorkaise et magnat de l'immobilier, vainqueur surprise de l'élection présidentielle américaine de 2016 malgré la fausse propagande du Parti démocrate en faveur du Russiagate, a attaqué la Syrie depuis la mer et les airs au cours des deux premières années de sa présidence, affirmant à tort que ces frappes visaient à l'utilisation par la Syrie d'armes chimiques à Douma et à la production d'armes chimiques. Ce faisant, il a averti la Russie de ne pas s’associer au président syrien Assad , un « meurtrier en masse d’hommes, de femmes et d’enfants ». Il n’a pas critiqué Israël qui continue aujourd’hui de bombarder la Syrie, mais il a reconnu Jérusalem comme la capitale d’Israël. Il a ordonné l'assassinat par drone du général iranien Qasem Soleimaniprès de l'aéroport international de Bagdad lors d'une visite pour rencontrer le Premier ministre irakien.

    En tant qu'initié contrairement à toutes les représentations, il a présidé le développement et le déploiement de la vaccination Operation Warp Speed ​​​​Covid, qui était un programme militaro-pharmaceutique de la CIA, dont l'acteur clé était Robert Kadlec (ancien collègue de Donal Rumsfeld ayant des liens profonds avec les agences d'espionnage), Secrétaire adjoint de Trump à la Santé et aux Services sociaux pour la préparation et la réponse et allié du Dr Anthony Fauci et de Bill Gates. Le 8 décembre 2020, Trump a joyeusement déclaré : « Avant l’opération Warp Speed, le délai typique de développement et d’approbation [des vaccins], comme vous le savez, pouvait être infini. Et nous étions très, très heureux d’avoir pu faire avancer les choses à un niveau que personne n’avait jamais vu auparavant. Le vaccin de référence a été réalisé en moins de neuf mois. Et il a annoncé qu’il distribuerait rapidement un tel « vaccin dont la sécurité et l’efficacité peuvent être vérifiées » dès que la FDA l’aurait approuvé, car « Nous sommes la nation la plus exceptionnelle de l’histoire du monde. Aujourd’hui, nous sommes à la veille d’un autre miracle médical américain. Le vaccin Pfizer/BioNTech a été approuvé trois jours plus tard. Le vaccin Covid-19 de Moderna a reçu l'autorisation d'utilisation d'urgence de la FDA une semaine plus tard.

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  44. Ce miracle médical du Covid-19 était dès le départ une arnaque. L’opération officielle Covid lancée le 11 mars 2020 avec des confinements mondiaux qui ont détruit les économies tout en enrichissant les super-riches et en dévastant les gens ordinaires, était un exploit de propagande mené par les services de renseignement et militaires en collaboration avec les grandes sociétés pharmaceutiques, l’OMS, l’économie mondiale. Forum et promulgué par une vaste campagne de désinformation médiatique 24 heures sur 24. C'était le troisième tournant fondamental– suite à l’assassinat de JFK et aux attentats du 11 septembre 2001 et à l’anthrax – en déstabilisant la vie économique, sociale et politique de toutes les nations tout en portant atteinte à leur souveraineté. Elle était basée sur de fausses données scientifiques dans le but d’établir davantage un État de biosécurité. Les planificateurs des agences de renseignement qui avaient mené de nombreuses simulations de jeux de guerre bactériologique avant le Covid-19 ont qualifié l’avenir résultant de telles « attaques » de « nouvelle normalité ». Une étude approfondie de ces précédents, de la planification du jeu et des joueurs le montre clairement. L’objectif était de militariser la médecine et de produire un État autoritaire centralisé. Son utilisation du « test » PCR pour détecter le virus était dès le départ un mensonge. Le scientifique lauréat du prix Nobel qui a développé le test, Kary Mullis, a clairement indiqué que« le PCR est un processus. Cela ne vous dit pas que vous êtes malade. Il s’agit d’un processus consistant à « faire beaucoup de choses à partir de rien », mais il ne permet pas de détecter un virus spécifique. Qu’il ait été utilisé pour détecter tous ces « cas » de Covid, c’est tout ce qu’il faut savoir sur la fraude.

    Joseph Biden , qui était l'homme de référence d'Obama pour l'Ukraine alors que le vice-président et les États-Unis organisaient le coup d'État de 2014 en Ukraine, est arrivé au pouvoir avec l'intention de promouvoir la nouvelle guerre froide avec la Russie et a refusé tous les efforts russes pour régler pacifiquement la crise ukrainienne. . Il a poussé l'OTAN à provoquer davantage la Russie en se déplaçant plus à l'est, en entourant les frontières russes. Il a soutenu les éléments néonazis ukrainiens et les attaques continues de son gouvernement contre la région russophone du Donbass, dans l'est de l'Ukraine. Ce faisant, il a clairement incité la Russie à envoyer des troupes en Ukraine le 24 février 2022. Il a alimenté cette guerre sans relâche et a poussé le monde au bord de l’anéantissement nucléaire. Il a soutenu l'invasion de l'Afghanistan et de l'Irak. Il préside actuellement à une provocation agressive contre la Chine. Et comme son prédécesseur Trump, il promeut la campagne de désinformation sur le Covid et l’utilisation de « vaccins », exhortant les gens à se faire vacciner.

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  45. Lorsqu'il a déclaré : « J'aurais pu dire que l'absence de preuve n'est pas une preuve d'absence, ou vice versa », il l'a bien sûr dit. Malgré des équivoques comme lui, les preuves de décennies de propagande américaine sont faciles à voir si l’on est contraint par la volonté de vérité.

    « Des voix ancestrales prophétisant la guerre ; esprits ancestraux dans la danse macabre ou danse de guerre ; Valhalla, des guerriers fantomatiques qui s'entretuent et renaissent pour se battre à nouveau. Toute guerre est fantomatique, chaque armée est un exercitus feralis (armée de fantômes), chaque soldat est un cadavre vivant. – Norman O. Brown

    Remarque : Si vous pensez que moi aussi je n'ai aucune preuve, regardez ceci pour beaucoup d'entre elles.

    https://www.globalresearch.ca/message-donald-rumsfelds-ghost-known-knowns/5835577

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  46. Pourquoi l’uranium a un énorme potentiel de hausse


    Par Doug Casey
    Homme international
    12 octobre 2023


    International Man : Qu’est-ce qui rend l’uranium attractif en tant que spéculation ?

    Doug Casey : Tout d’abord, considérons la simple réalité physique. L’uranium est la forme de production d’électricité de masse la plus propre, la moins chère et la plus sûre. Je comprends que la plupart des gens seront choqués d’entendre cela, alors laissez-moi vous expliquer.

    C'est le plus propre. Contrairement au charbon, qui génère des millions de tonnes de polluants qui doivent être enfouis ou rejetés dans l’air, une grande centrale nucléaire ne produit que des déchets mesurables en mètres cubes (vapeurs d'eau).

    C'est le moins cher. Bien sûr, c’est quelque chose de très difficile à déterminer étant donné que l’industrie nucléaire est accablée par de nombreuses réglementations, contrôles et exigences contre-productifs. Mais l’uranium lui-même représente moins de 5 % du coût global de fonctionnement d’une centrale nucléaire. Dans un marché libre – ce que nous n’avons pas – le nucléaire serait, de loin, le type de production d’électricité de masse le moins cher.

    Et c'est le plus sûr. Malgré ce qui s’est passé à Tchernobyl – qui a échoué à cause d’une technologie soviétique arriérée et de mauvaise qualité, ou à Fukushima, qui avait littéralement une chance sur un million de se produire – personne n’est jamais mort à cause de l’énergie nucléaire. Mais des milliers de personnes meurent chaque année à cause de la pollution provoquée par la combustion du charbon. Et lorsqu’un barrage produisant de l’hydroélectricité s’effondre, des milliers de personnes meurent. Il y a des risques et des coûts dans absolument tout.

    Je ne parle pas de l’éolien et du solaire car, contrairement aux énormes volumes de propagande qui les vantent et aux centaines de milliards mal investis dans ceux-ci, ils ne sont viables que pour des applications sélectionnées et isolées. Ils ne produisent que quelques pour cent de l’énergie mondiale et le font à un coût très élevé. Ce ne sont pas des alternatives viables pour une civilisation industrielle.

    International Man : Vous et vos lecteurs avez réalisé d’énormes profits dans le passé avec l’uranium. Parlez-nous de certaines de vos plus grandes victoires.

    Doug Casey : J'ai écrit un article très long et approfondi sur l'uranium et l'énergie nucléaire en octobre 1998 pour mon bulletin d'information, dans lequel je recommandais plusieurs stocks d'uranium. Environ deux ans plus tard, leur valeur a explosé et a continué à fonctionner.

    À cette époque, l’uranium se vendait entre 10 et 12 dollars la livre. Mais il en coûte entre 20 et 25 dollars la livre pour extraire une livre d'U308. Il était évident que les prix devaient augmenter, sinon plus de 400 centrales nucléaires dans le monde devraient fermer leurs portes, et avec elles, environ 10 % de l’énergie électrique mondiale.

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  47. Le marché a ensuite augmenté et a culminé en 2007 à 140 dollars la livre. Lorsque j’ai écrit cet article en 1998, il n’existait qu’une demi-douzaine de sociétés minières d’uranium dans le monde. Au moment où le marché a atteint son apogée, 500 sociétés prétendaient être des mineurs d’uranium, mais le seul uranium que presque toutes possédaient était un mot imprimé sur leurs certificats d’actions.

    L'un des meilleurs sur ma liste était Paladin Resources, qui est passé de 10 cents à 10 $. Mais de très nombreuses entreprises ont augmenté leur valeur entre 10 et 50 fois.

    Les sociétés de ressources – en particulier celles des explorateurs et des développeurs, par opposition aux producteurs – constituent la catégorie d’actions la plus volatile au monde. Cela s’explique en partie par le fait que leurs capitalisations boursières sont très petites ; un simple achat ou vente peut les faire bouger énormément. Dans le monde d’aujourd’hui, la plupart des gens ne connaissent rien à l’exploitation minière, mais ils pensent que c’est sale et qu’elle détruit « l’écologie ». Le public considère l’exploitation minière comme une activité de type train tchou du XIXe siècle. Et il est vrai que c’est un secteur très difficile : d’énormes coûts d’investissement initiaux, des problèmes constants avec les groupes autochtones, des prix des matières premières imprévisibles et une vingtaine d’autres problèmes.

    Mais de manière cyclique, le public se rend compte que sans les éléments extraits des mines, la civilisation elle-même cesserait d’exister : pas d’outils, pas de voitures, pas d’ordinateurs, pas même de couteaux et de fourchettes. L’exploitation minière est une activité qui empêche le monde de revenir à l’âge de pierre. Ensuite, des milliards de dollars sont investis dans quelques petites entreprises. Cela peut arriver aux entreprises qui exploitent des centaines d’éléments et de composés. L’or est bien entendu le plus connu d’entre eux.

    Lorsque le marché se tourne vers les actions aurifères, c’est comme essayer de forcer le contenu du barrage Hoover à passer par un tuyau d’arrosage. Toutefois, dans le cas des stocks d’uranium, il s’agit plutôt d’une paille à soda. C’est un très, très petit marché.

    Les déséquilibres marqués entre l’offre et la demande, accompagnés de fluctuations tout aussi brutales des prix, surprennent souvent les personnes qui ne sont pas familiarisées avec le secteur des ressources. Mais c’est la nature même de la bête, et c’est l’une des raisons pour lesquelles spéculer là-dessus peut être si rentable – si votre timing est bon.

    Il est plus facile de réunir l’argent nécessaire pour découvrir des gisements et construire des mines lorsque les prix sont élevés, car c’est à ce moment-là que l’investisseur type est prêt à financer des entreprises, pensant qu’il fera de l’argent. Bien entendu, l’industrie profite ensuite de cette fenêtre, ce qui se traduit par une immense quantité de nouvelles capacités.

    Parallèlement, les mêmes prix élevés qui encouragent la nouvelle production découragent également la consommation. Cependant, cela n’est que marginalement vrai pour l’uranium car, comme je l’ai dit, le coût du combustible est insignifiant par rapport aux coûts globaux de production d’électricité. Cela signifie qu’au moment où le nouveau produit arrive sur le marché, après un décalage de plusieurs années, les prix se sont effondrés, tout comme les cours des actions des entreprises survivantes.

    C’est à ce moment-là que les professionnels qui comprennent comment ces choses fonctionnent ouvrent leur chéquier parce que le secteur des ressources naturelles – pétrole, métaux précieux, céréales, uranium, etc. – est aussi cyclique que les saisons de l’année. C’est juste que chaque produit a ses propres particularités.

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  48. Le marché de l’uranium, comme celui de la plupart des métaux, est à la fois cyclique et volatil. Comme l’or, c’est un métal très politique. Cela génère beaucoup d’émotion. Cela peut être très bénéfique pour le spéculateur expérimenté. Le moment d’acheter est lorsque les prix sont bas, ce qui correspond exactement au moment où la plupart des gens ont peur d’agir.

    International Man : Comment la configuration actuelle de l’uranium se compare-t-elle à d’autres marchés haussiers ?

    Doug Casey : Ce marché prend de l'ampleur. Au moment où nous parlons, l’uranium se négocie à environ 70 dollars la livre. En hausse par rapport à environ 50 $ l’année dernière. Il en coûte environ 60 $ pour extraire la livre moyenne. Ainsi, même si cela est légèrement rentable pour les mines existantes, il n’y a toujours pas beaucoup d’incitation à l’exploration. Les stocks continuent de s'épuiser.

    Aucun nouveau gisement n'est mis en production. Mais à moins que vous ne vouliez éteindre les lumières, étant donné qu’environ 20 % de la production d’électricité américaine et 10 % de la production mondiale d’électricité proviennent du nucléaire, davantage d’uranium doit être extrait pour alimenter les centrales nucléaires.

    Penchons-nous maintenant sur le tiers-monde. La plupart des nouvelles centrales nucléaires en construction aujourd’hui se trouvent en Chine et en Inde. Et ces deux pays en construisent des dizaines, avec des dizaines d’autres sur la planche à dessin. La demande d’uranium augmente à court et à long terme. Ce marché haussier de l’uranium devrait être aussi bon que le précédent. C’est pour cette raison que je possède de nombreux stocks d’uranium.

    International Man : Quel effet le discours ESG aura-t-il sur l’uranium ?

    Doug Casey : Le discours ESG en lui-même n’est pas seulement contre-productif. C’est une absurdité destructrice et inutile.

    Cela dit, le thème ESG a définitivement pris le dessus sur le psychisme de l’investisseur moyen et du gestionnaire de fonds moyen. Tout le monde pense que l’éolien et le solaire sont la voie de l’avenir. Ce n’est pas le cas, sauf pour des applications spécialisées dans des endroits spécifiques. Ils ne sont certainement pas destinés à l’alimentation de base.

    La réalité va attirer massivement l’attention sur l’uranium, d’autant plus que de nombreux progrès sont réalisés dans le développement de réacteurs de quatrième et cinquième générations, qui rendront l’uranium plus important et plus utilisable que jamais. Les nouvelles générations de réacteurs résoudront les problèmes réels et imaginaires évoqués par les acteurs ESG. Le vrai problème est qu’ils ne résoudront pas les problèmes psychologiques des gens – à savoir que les éveillés qui promeuvent toutes ces absurdités détestent simplement les autres. Mais c'est une autre histoire.

    Pourtant, ces gens pourraient décider que l’uranium est génial simplement parce qu’ils détestent irrationnellement le pétrole et le charbon. Ils trouveront une excuse pour rationaliser et justifier leur aversion pour le nucléaire dans le passé. Les anciens ennemis de l’uranium pourraient s’avérer être ses amis.

    En fin de compte, je m’attends à ce que le marché haussier de l’uranium soit au moins aussi bon que le précédent.

    International Man : Quel type de potentiel de hausse voyez-vous actuellement ?

    Doug Casey : Énorme potentiel de hausse. Les stocks d’uranium commencent tout juste à se redresser après un profond marché baissier qui a duré plus d’une décennie. Il y a un potentiel explosif pour les sociétés uranifères.

    Ensuite, alors que Wall Street se familiarisera tardivement avec l’uranium, les entreprises verront une valeur ridiculement gonflée pour des actifs dont peu de gens se soucient aujourd’hui. C’est un cycle éternel et assez prévisible.

    Reprinted with permission from International Man.

    https://www.lewrockwell.com/2023/10/doug-casey/why-uranium-has-enormous-upside-potential/

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