- ENTREE de SECOURS -



mardi 17 octobre 2023

La Dr Astrid Stuckelberger expose l'horrible programme secret de l'ONU et de l'OMS : l'asservissement total de l'humanité

58 commentaires:

  1. Voir clip (sous-titré) sur site:

    https://twitter.com/i/status/1660204620352831488

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  2. Les preuves suggèrent qu’il n’y a JAMAIS AUCUN ESSAI DE MÉDICAMENT pour le « vaccin » COVID de Pfizer


    16/10/2023
    Ethan Huff


    Une autre bombe a été lancée à propos du « vaccin » de Pfizer contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19), suggérant qu'il n'a jamais été réellement testé comme le prétendait avant de recevoir l'autorisation d'utilisation d'urgence (EUA), puis l'approbation, de la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis.

    Un examen plus approfondi du tour de passe-passe utilisé pour prétendre que les vaccins COVID de Pfizer ont été testés révèle que l'essai BNT162b2 de la société a été réalisé en utilisant un composé différent de celui contenu dans les flacons réellement distribués dans les bras des gens.

    "Il s'agissait d'un processus de petits lots très coûteux qui ne pouvait pas atteindre des millions, voire des centaines de millions de doses", a rapporté la page Boriqua Gato Substack, qui a ajouté qu'un processus de fabrication totalement différent était également utilisé.

    "Et c'est TRÈS important car dans ce type de produits biologiques, l'axiome de l'industrie est constant depuis 100 ans :" le processus est le produit ". Faites-le d'une manière différente, et vous ne savez pas si c'est la même chose. Et la FDA le sait très bien ; c'est la pierre angulaire de son processus d'approbation depuis le début.

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  3. "Le genre de changement que Pfizer a apporté à la fabrication n'était pas mineur, il était massif", a expliqué Boriqua Gato à propos de la différence dans le fait que Pfizer a remplacé pour ses essais un médicament complètement différent de celui qui a finalement été distribué dans le monde.

    "Et cela signifie, en termes simples, que le vaccin qu'ils ont expédié était un médicament différent de celui qu'ils ont obtenu approuvé par la FDA selon à peu près n'importe quelle norme raisonnable... et c'est une fraude pure et simple. Cela signifie que le médicament qu'ils ont piqué dans un milliard de bras n'a jamais été testé de manière significative. »

    Les dernières nouvelles concernant l’arnaque au « vaccin » COVID peuvent être trouvées sur Genocide.news.

    Les sources de cet article incluent :

    BoriquaGato.substack.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2023-10-16-evidence-no-drug-trials-pfizer-covid-vaccine.html

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  4. Pfizer pourrait faire faillite, les marchés financiers s'en rendent compte
    La cupidité et l’insouciance de Pfizer les rattraperont. C'est arrivé à Purdue Pharma


    IGOR TCHOUDOV
    16 octobre 2023


    RÉSUMÉ : Le marché boursier pourrait prendre conscience de la possibilité que Pfizer fasse faillite en raison des prochaines allégations concernant le vaccin Covid. De nombreux parallèles peuvent être établis entre les comportements des entreprises Pfizer et Purdue Pharma, une autre entreprise pharmaceutique qui commercialisait de manière malhonnête et agressive des produits nocifs. Purdue Pharma a fait faillite en raison de la cupidité et de la dépravation de ses dirigeants, alors que leurs « protections juridiques » se sont évaporées. La même chose pourrait arriver à Pfizer.

    Des sociétés de vaccins anciennes et expérimentées comme GSK ont refusé de participer aux « vaccins Covid » – et nous comprenons maintenant pourquoi elles ont fait le bon choix.

    Jetez un œil à ce graphique : l'action Pfizer (PFE) est valorisée 25 % de moins qu'il y a cinq ans, malgré les milliards de dollars qu'elle a reçus de la vente de vaccins anti-Covid et la hausse de la bourse et de l'indice pharmaceutique :

    - voir graph sur site -

    À première vue, Pfizer, géant pharmaceutique mondial, ne devrait pas valoir moins qu’avant la pandémie. Le vaccin COVID de Pfizer a rapporté des milliards et aurait dû ajouter de la valeur à l'entreprise, même si les ventes futures de produits spécifiques au COVID-19 ne peuvent être assurées. Et pourtant, le PFE a inexorablement chuté depuis novembre dernier et vaut 25 % de moins qu’il y a cinq ans, défiant les tendances générales à la hausse observées pour les autres produits pharmaceutiques et le marché boursier.

    Depuis novembre 2022, Pfizer s'est écarté de la tendance de l'indice pharmaceutique, sous-performant de 35 %.

    Cela ne peut s’expliquer que par le fait que les marchés des capitaux voient quelque chose de particulièrement problématique pour Pfizer. Cet article explorera ce que cela peut être.

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  5. Je suis loin d’être le premier à suggérer que Pfizer, qui a commercialisé de manière agressive ses vaccins anti-Covid et a souscrit une opération d’influence mondiale pour rendre obligatoire son produit, pourrait faire face à des responsabilités ruineuses.

    Ed Dowd, un ancien gestionnaire d’actifs, a été l’un des premiers à s’en rendre compte. Il a expliqué que la protection juridique accordée à Pfizer par la loi PREP cessera de la protéger si une fraude importante de la part de Pfizer est découverte.

    Purdue Pharma comme modèle pour l’avenir de Pfizer

    Purdue Pharma était une entreprise fabriquant des analgésiques à base d'opioïdes. Ils étaient très addictifs. Purdue appartenait à la « famille Sackler », avec l’ensemble de la direction de l’entreprise obsédée par la maximisation des ventes d’opioïdes et la minimisation des préoccupations éthiques.

    L’histoire de Purdue Pharma, sa poussée incessante vers des doses plus élevées d’opioïdes administrées aux patients pour les rendre dépendants, est bien plus longue que l’histoire des vaccins Covid. Cet article n'est pas le meilleur endroit pour un historique complet. La meilleure introduction rapide aux méfaits de la famille Sackler, propriétaire de Purdue Pharma, est de lire le PDF de la plainte légale du Massachusetts.

    La plainte se lit comme un roman policier, plein de détails sordides sur les malversations de Purdue Pharma et les décès qu'elles ont provoqués.

    Il est intéressant de noter que la page ci-dessus pourrait être réécrite, mot à mot, pour couvrir les vaccins COVID, qui ne créent techniquement pas de dépendance mais nécessitent des injections répétées sans fin, ne préviennent pas le COVID-19 et provoquent un excès de décès !

    Les Sackler et Purdue Pharma ont utilisé le même modèle que Pfizer en rachetant la presse corrompue pour publier des publications favorables. Jetez un œil à un seul exemple : un article payant du New York Times :

    Comme l'explique la plainte judiciaire du Massachusetts, Purdue Pharma payait le New York Times pour sa publicité :

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  6. Gestion cupide et imprudente chez Purdue et Pfizer

    Purdue Pharma et Pfizer ont quelque chose en commun : une gestion contraire à l’éthique, cupide et imprudente, illustrée respectivement par la famille Sackler et Albert Bourla.

    Notre ami Geert Vanden Bossche, expert en vaccins, détaille ici le comportement imprudent de Pfizer concernant les vaccins contre la COVID :

    - voir graph sur site -

    Voix pour la science et la solidarité par Geert Vanden Bossche
    Certaines sociétés de vaccins ont renommé leur département de contrôle de la qualité (CQ) en département de « compromis » de qualité......
    Je suis sûr que beaucoup d'entre vous ont regardé la récente audition d'experts sur la contamination par l'ADN des vaccins à ARNm organisée par la WCH : Audition urgente d'experts sur les rapports de contamination de l'ADN dans les vaccins à ARNm (worldcouncilforhealth.org). J'ai déjà travaillé dans une société de vaccins bien connue en tant que cadre supérieur en contrôle qualité. En fait, c'est ainsi que j'ai commencé ma carrière dans le domaine des vaccins.

    Comparons Pfizer, un entrant agressif dans le secteur des vaccins, à GSK, un acteur établi et plus prudent. GSK a refusé de jouer au jeu du vaccin contre la COVID. Ils ont réalisé que rien de bon ne pouvait sortir à long terme. GSK a refusé de s’exposer à la responsabilité potentielle de mettre en danger des millions de personnes avec un vaccin dont l’efficacité était extrêmement improbable.

    L’histoire du vaccin maternel contre le VRS souligne encore davantage à quel point Pfizer est imprudent.

    Le NIH a donné le modèle du vaccin contre le RSV à Pfizer et GSK. Les deux sociétés ont testé essentiellement le même produit. Les essais cliniques ont révélé que l'administration du vaccin contre le VRS aux femmes enceintes augmentait les naissances prématurées et la mortalité infantile.

    GSK, la société de vaccins établie et conservatrice, a sagement tenu compte du signal d'alarme et a abandonné le développement du vaccin maternel contre le RSV. Au lieu de mettre honnêtement fin au programme, Pfizer a délibérément sélectionné de petits groupes de vaccins et de placebos pour rendre le signal de naissance prématurée statistiquement insignifiant et a fait pression sur la FDA corrompue pour qu'elle approuve son vaccin.

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  7. La newsletter d'Igor

    Mathématiques du vaccin contre le VRS de Pfizer : tuez 4 000 nouveau-nés pour en sauver 300 du VRS
    Le virus respiratoire syncytial, ou RSV, est un virus respiratoire largement circulant qui provoque le rhume. Ce virus est apparu dans un laboratoire vers 1955, alors que des scientifiques effectuaient des recherches sur les singes à l'Institut militaire Walter Reed, mais depuis lors, il est endémique chez l'homme. La première rencontre avec le VRS est la pire, et certains bébés tombent très malades…
    En savoir plus
    il y a 23 jours · 573 j'aime · 362 commentaires · Igor Chudov
    Ce n’est rien d’autre que de l’avidité et de l’insouciance !

    Si tel est le cas, voici les similitudes entre Pfizer et Purdue Pharma :

    Mépris imprudent des dangers pour les destinataires de leurs produits. Pfizer a abandonné tout semblant de souci de la sécurité du vaccin Covid. Pfizer a testé ses vaccins récents sur plusieurs souris seulement – juste un exemple.

    La cupidité des entreprises est illustrée par des décisions risquées visant à générer des milliards de profits immédiats au risque de la faillite à long terme.

    Acheter de la presse et des régulateurs pour obtenir de manière corrompue un soutien pour leurs produits.

    Cacher les décès et les effets indésirables au public.

    Purdue Pharma a pu jouer son jeu pendant des années. Finalement, les morts étaient trop nombreuses et les poursuites judiciaires l'ont fait cesser.

    Si l’on en croit le cours de l’action Pfizer, les marchés financiers comprennent désormais que la même chose pourrait éventuellement lui arriver.

    Espérons que les personnes qui ont souffert de divers maux dus aux vaccins contre la COVID-19 auront droit à une indemnisation.

    Pfizer pourrait également être l’acteur idéal à jeter sous le bus pour sauver d’autres acteurs de la pandémie de Covid.

    Pfizer, cependant, ne dispose pas de suffisamment d’argent pour indemniser équitablement toutes les victimes.

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  8. Google et Facebook sont-ils également responsables ?

    Il y a un an, j’ai écrit un article expliquant que Google et Facebook peuvent également être responsables envers les victimes du vaccin Covid parce qu’ils ont intentionnellement conspiré pour cacher au public les dangers des vaccins COVID.

    La newsletter d'Igor

    Google et Facebook doivent une indemnisation aux victimes du vaccin contre la COVID
    Cet article expose une théorie juridique et explique pourquoi, à mon avis, Google et Facebook doivent une compensation monétaire aux nombreuses victimes des « vaccins Covid ». Plusieurs autres sociétés Internet comme Twitter devraient également être incluses dans cette discussion, mais par souci de concision, je ne parlerai que de Google et Facebook…

    Ces géants de l’Internet, qui ont largement profité de la pandémie, sont de plus gros poissons que Pfizer : chaque victime pourrait recevoir jusqu’à 15 000 dollars si Google et Facebook étaient reconnus coupables.

    Les propriétaires de Purdue Pharma ont pensé, pendant des années, qu'ils pouvaient cacher leurs actes répréhensibles et éviter toute responsabilité grâce aux boucliers de l'entreprise. Cependant, lorsque les malversations furent découvertes et que les victimes ne purent plus être cachées, les théories juridiques les rattrapèrent. Les réclamations ont mis cette entreprise en faillite et ont coûté des milliards à leurs propriétaires, les Sackler.

    Espérons que la même chose arrivera éventuellement à Pfizer, Google et Facebook, les trois sociétés les plus déterminantes dans ce qui s’est passé au cours des trois dernières années.

    Je me rends compte que c’est loin d’être le cas, mais j’ai l’espoir d’une certaine mesure de justice. Mon espoir est soutenu par la prise de conscience qu’une compensation monétaire peut inciter de larges groupes de personnes à demander réparation.

    Il semble que le marché boursier connaisse la même chose aujourd’hui, avec une baisse incessante du titre Pfizer.

    Pensez-vous qu’un jour, Pfizer fera faillite à cause des réclamations liées au Covid ?

    https://www.igor-chudov.com/p/pfizer-may-go-bankrupt-financial?utm_source=post-email-title&publication_id=441185&post_id=137957930&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=9atnc&utm_medium=email

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  9. Ils viennent chercher vos ENFANTS : le gouverneur de Californie Gavin Newsom signe une loi « anti-parents »


    16/10/2023
    Richard Brun


    Des enfants dès l'âge de 12 ans peuvent désormais être transférés dans des « services d'hébergement résidentiels » financés par le gouvernement en Californie pour un traitement de santé mentale ou des conseils liés à leur identité de genre sans nécessiter le consentement des parents ou l'avis d'un médecin.

    Le gouverneur démocrate de Californie, Gavin Newsom, a adopté le controversé projet de loi 665 de l'Assemblée, que les critiques ont qualifié de « dangereux » et « illégal ».

    Le projet de loi précise que les jeunes de 12 ans peuvent donner leur consentement à ces services s'ils sont jugés « suffisamment mûrs pour s'engager intelligemment dans des services ambulatoires ou dans des refuges résidentiels » et s'ils sont une « victime présumée » d'inceste ou de maltraitance d'enfants, ce qui présente des risques pour leur santé. eux-mêmes ou autrui. Il est important de noter que la loi n’exige pas la preuve d’un préjudice important.

    De plus, la législation oblige les professionnels de la santé à consulter le mineur pour évaluer si l'implication de son parent ou tuteur serait inappropriée.

    Les législateurs californiens affirment que cette intrusion dans l'autorité parentale est justifiée parce que les enfants s'identifiant comme LGBT sont souvent confrontés au rejet de leurs parents, au harcèlement en milieu scolaire et à une stigmatisation sociétale plus large. Obtenir le consentement des parents peut être difficile en raison des croyances des parents et de la stigmatisation concernant les soins de santé mentale.

    La loi s'est heurtée à l'opposition du Parti républicain de Californie avant son adoption, le sénateur Ochoa Bogh envoyant une lettre à Newsom déclarant qu'« en éliminant l'obligation pour les mineurs de vivre des circonstances extraordinaires pour consentir aux services de santé mentale de manière indépendante, nous méconnaissons le droit des parents à prendre des décisions éclairées. concernant la santé de leur enfant. (Connexe : le discours d'AOC contre les droits parentaux montre que la gauche pro-LGBT en veut vraiment à vos enfants.)

    Brighton.TV

    La Californie a vu une attention croissante aux questions liées aux LGBT sous Newsom
    Récemment, l’État a introduit une loi exigeant que toutes les écoles disposent de toilettes non sexistes d’ici 2026. De plus, les écoles qui ne parviennent pas à enseigner des personnages historiques comme Harvey Milk, un éminent militant des droits LGBT, risquent des amendes pouvant atteindre 1,5 million de dollars.

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  10. La loi antiparentale de Newsom fait l'objet de nombreuses poursuites.

    La loi soulève des inquiétudes quant aux droits parentaux en accordant le pouvoir aux thérapeutes, stagiaires et stagiaires des agences sociales financées par le gouvernement de retirer les enfants à leurs parents sans procédure légale.

    Le projet de loi 665 de l'Assemblée, présenté par la députée Wendy Carrillo, permet aux enfants âgés de 12 ans et plus d'être transférés dans un refuge résidentiel ou de suivre un traitement et des conseils en santé mentale sans avoir besoin du consentement parental.

    Les critiques, dont Carl DeMaio, président de Reform California, qualifient cette loi de « dangereuse » et « illégale ». Ils soutiennent que cela pourrait séparer les enfants de leurs parents s’ils ne s’alignent pas sur certaines perspectives idéologiques.

    DeMaio a également souligné l'absence de procédure régulière pour retirer les enfants de leur foyer et le potentiel de nombreuses poursuites fédérales en matière de droits civils. Il a déclaré que le projet de loi "éloigne effectivement les enfants de leurs parents s'ils ne sont pas suffisamment 'éveillés'".

    "Le pire, c'est que le projet de loi permet même aux conseillers et aux stagiaires de prendre et de faciliter des décisions permettant à l'État de retirer ces enfants à leurs parents", a-t-il ajouté.

    Les partisans du projet de loi soutiennent qu'il vise à protéger les enfants des situations de violence, qu'ils définissent comme celles où les parents ou tuteurs ne soutiennent pas les traitements « d'affirmation du genre ». DeMaio a cependant contesté cette notion, soulignant que les mécanismes et ressources de signalement existants répondent déjà aux problèmes d'abus.

    De plus, le projet de loi élimine l'exigence légale actuelle d'une conclusion crédible de mauvais traitements, de négligence ou de danger de préjudice pour autoriser le retrait d'un enfant.

    DeMaio a qualifié la loi de nouvelle étape dans le programme « anti-parent » poursuivi par les politiciens libéraux de Sacramento, qui ont été critiqués pour avoir érodé les droits parentaux de diverses manières. Il a souligné que le projet de loi suscite l'indignation dans tout le spectre politique et qu'il est particulièrement préoccupant pour les familles latino-américaines, qui valorisent les liens familiaux étroits.

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  11. Cela représente une opportunité pour les réformateurs républicains de s'engager auprès des communautés latino-américaines et d'avoir potentiellement un impact sur le paysage électoral lors des élections californiennes de 2024.

    Reform California s'efforce activement de s'opposer à l'AB 665 et de cibler les politiciens qui soutiennent la loi, avec l'intention d'en faire un enjeu de campagne lors des élections de 2024. Ils publieront un guide de l'électeur en « anglais simple » à l'approche des élections primaires de Californie de 2024.

    Lisez plus d’actualités sur la Californie sur Collapsifornia.com.

    Regardez comment une loi californienne pourrait être adoptée pour tous les enfants du pays.

    Cette vidéo provient de la chaîne High Hopes sur Brighteon.com.

    Plus d'histoires connexes:

    Victoire pour les droits parentaux : le district scolaire de Californie accepte de payer à la famille un règlement de 100 000 $ après que les enseignants ont « fait la transition » d'un élève vers la communauté LGBT dans le dos de ses parents.

    Des millions d'élèves britanniques utilisent la BIOMÉTRIE pour des activités scolaires sans le consentement de leurs parents.

    L'Utah devient le premier État à exiger le consentement des parents pour que les enfants puissent utiliser les réseaux sociaux.

    Sources include:

    TheNationalPulse.com
    CarlDeMaio.com
    Catholicvote.org
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2023-10-16-california-governor-newsom-signs-anti-parent-law.html

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  12. Seulement 2 % des Américains ont reçu un nouveau vaccin contre le COVID : CDC


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 16 OCTOBRE 2023 - 18H20
    Rédigé par Jack Phillips via The Epoch Times,


    Environ 2 % de tous les Américains ont reçu le rappel mis à jour du COVID-19 après qu’il ait été autorisé et recommandé par les autorités fédérales de la santé il y a plusieurs semaines, selon les données mises à jour fournies par le ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS).

    Plus de 7 millions d'Américains ont pris le vaccin mis à jour, autorisé pour les personnes âgées de 6 mois et plus, a déclaré un porte-parole du HHS. Cela représente environ 2 pour cent de tous les Américains.

    "La distribution des vaccins contre le COVID-19, qui s'est déplacée vers le marché privé, est très différente de ce qu'elle était l'année dernière, lorsque le gouvernement les distribuait", a déclaré un porte-parole du HHS à propos des données de vaccination. Il a ajouté que l'agence est "directement avec les fabricants et les distributeurs pour garantir que les vaccins parviennent à différents endroits.

    Le communiqué ajoute que 91 % des Américains âgés de 12 ans et plus « peuvent accéder au vaccin dans un rayon de 8 km de leur lieu de résidence », ajoutant que 14 millions de rappels mis à jour pour le COVID-19 ont été expédiés aux pharmacies et à d'autres endroits. Le vaccin a été approuvé il y a environ un mois par la Food and Drug Administration (FDA) avant d'être recommandé par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis peu de temps après.

    Cela s'est produit alors que certaines personnes ont signalé qu'il était difficile de trouver des doses des nouveaux 'vaccins' dans les pharmacies et chez les médecins locaux. Jen Kates, vice-présidente principale de la Kaiser Family Foundation, a déclaré sur X en septembre que son rendez-vous pour le vaccin avait été annulé en raison d'un manque d'approvisionnement.

    Ce chiffre de 7 millions est en hausse depuis le 6 octobre, lorsque le Dr Mandy Cohen, directrice du CDC, a déclaré aux journalistes que 4 millions avaient reçu les nouveaux vaccins.

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  13. Le HHS a déclaré jeudi que le dernier taux de vaccination mis à jour était à peu près le même que celui du rappel bivalent initial lors de son déploiement en 2022. Cependant, la demande pour le vaccin de rappel de 2022 était tout aussi faible, selon les données du CDC.

    Les données ont montré qu’environ 17 % de la population américaine a reçu la précédente injection mise à jour, soit environ 56,5 millions de personnes.

    Les 'vaccins' mis à jour étaient destinés à cibler la variante XBB.1.5 du COVID-19, qui se propageait à travers les États-Unis lorsque des sociétés comme Moderna et Pfizer ont proposé la nouvelle version.

    Les données d’observation des 'vaccins' bivalents, ou des versions précédentes, ont révélé une faible efficacité initiale qui a rapidement diminué.

    Les responsables du CDC ont fait des affirmations non étayées lors du briefing, ce qui fait partie d'une tendance de l'agence. "Ces vaccins préviendront les formes graves du COVID-19", a déclaré aux journalistes le Dr Demeter Daskalakis, directeur du Centre national d'immunisation et des maladies respiratoires du CDC. Il n’y a aucune preuve que ce soit vrai.

    Les seules données d’étude clinique pour les nouveaux vaccins proviennent d’une étude menée par Moderna qui comprenait l’injection de la formation mise à jour de l’entreprise à 50 humains. Le résultat était un niveau plus élevé d’anticorps neutralisants. Les autorités pensent que les anticorps protègent contre le COVID-19.

    Moderna n’a fourni aucune estimation de l’efficacité clinique en matière d’infection, de maladie grave ou de décès. Pfizer a déclaré qu'il menait un essai mais n'a communiqué aucun résultat.

    Le 'vaccin' de Novavax a été autorisé plus tard sans aucune nouvelle donnée d’essai, car les responsables du CDC ont déclaré qu’ils recommandaient cette injection. Contrairement aux vaccins Moderna et Pfizer, Novavax n'utilise pas la technologie de l'ARNm et est à base de protéines.

    Hospitalisations en baisse

    Malgré les récentes poussées en faveur des derniers vaccins, les données fournies par le CDC montrent que les hospitalisations pour COVID-19 sont en baisse depuis environ trois semaines consécutives.

    Au 30 septembre, le taux d'hospitalisation est en baisse de 6 pour cent, tandis que les visites aux services d'urgence sont en baisse de 14,5 pour cent et les cas de COVID-19 sont en baisse de 1,2 pour cent, selon les chiffres. Les décès ont augmenté de 3,8 pour cent, bien que les responsables de la santé aient déclaré précédemment que les décès étaient généralement en retard par rapport aux hospitalisations et au nombre de cas.

    En juillet, les hospitalisations liées au COVID-19 étaient en augmentation depuis plusieurs semaines consécutives. Les données historiques du CDC suggèrent que les décès ont été relativement faibles par rapport aux années précédentes.

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  14. Mais avec la publication des données du 30 septembre, les hospitalisations ont diminué pendant plusieurs semaines consécutives.

    Le Dr Shira Doron, responsable du contrôle des infections chez Tufts Medicine, a déclaré à ABC News que la récente « reprise n’est pas une poussée ; ce n’est même pas une vague.

    Le médecin a ajouté : « Ce que nous constatons, c’est une trajectoire ascendante très progressive et légère des cas et des hospitalisations, sans qu’il y ait vraiment de décès, ce qui est une excellente nouvelle. »

    Le 6 octobre, le CDC a publié un rapport qui tentait de pousser les Américains plus âgés à se faire vacciner les plus récents en affirmant que le COVID-19 constitue toujours une « menace pour la santé publique », notamment pour les personnes âgées de 65 ans et plus. Selon le journal, la majorité des hospitalisations surviennent parmi ce groupe démographique plus âgé.

    Entre-temps, une poignée d’hôpitaux de Californie, de l’État de New York, du Massachusetts et du New Jersey ont rétabli le port du masque obligatoire, du moins pour le personnel.

    Plusieurs comtés du nord de la Californie ont imposé un mandat de port du masque à tout le personnel de santé à partir du mois prochain et se terminant fin avril 2024. Il s'agit notamment des comtés de Contra Costa, Sonoma, Alameda et San Mateo. Les autorités du comté de San Luis Obispo, en Californie du Sud, ont également émis un mandat de vaccination ou de masque au début du mois.

    https://www.zerohedge.com/covid-19/only-2-americans-have-received-new-covid-vaccine-cdc

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  15. Machine de propagande européenne pour un contrôle total des discussions


    17 octobre 2023
    de Thomas Oysmüller


    Afin de faire adopter le paquet de contrôle des discussions, la Commission européenne met actuellement en marche la machine de propagande. Ce faisant, les gens ne respectent pas les réglementations qu’ils souhaitent rendre obligatoires pour tout le monde.

    "Comment dit-on "hypocrisie" dans le langage de l'UE ?", s'interroge actuellement la plateforme Reclaim the Net. Ils y rendent actuellement compte des efforts de propagande de Bruxelles pour diffuser de la « désinformation » sur les nouveaux paquets législatifs numériques. « L’hypocrisie se manifeste sur plusieurs fronts. » L’UE essaie actuellement non seulement de resserrer la laisse sur les principales plateformes numériques, mais aussi sur ses États membres et enfin de mettre en œuvre ses plans de contrôle total des discussions.

    Contrôle du chat

    L’essentiel ? Alors que l’UE cible le cryptage et la protection des données dans les communications « sous prétexte de « penser aux enfants », elle recourt elle-même à « exactement les mêmes astuces » que celles dont sont accusées les plateformes critiquées. Il s’agit du règlement CSAM (Child Sexual Abuse Material). Les critiques appellent ce package « contrôle du chat » car il vise à mettre fin aux communications cryptées au sein de l’UE. Avec une mise en œuvre réussie, la Commission européenne pourrait s'imposer comme un Big Brother - les options de censure - y compris politiques - s'étendraient alors dans une mesure jusqu'alors inconnue.

    Ainsi, toutes les applications de messagerie cryptées - WhatsApp, iMessage, Instagram, Telegram, TikTok, etc. - c'est-à-dire toutes les applications dotées de tout type de cryptage, devraient renoncer à cette partie. Un élément essentiel de la sécurité d'Internet serait mort, écrivent les militants du réseau. Mais les militants ne sont pas les seuls à critiquer vivement ce projet. Les critiques s'étendent jusqu'aux juristes du Conseil de l'UE. Jusqu'à présent, tout est déjà connu. Mais maintenant, un autre chapitre est ajouté.

    L’UE utilise donc les mêmes méthodes qu’elle veut combattre avec le paquet de propagande. Vous faites l’expérience d’un « niveau inconnu d’hypocrisie flagrante », écrit Reclaim the Net dans ses recherches.

    Les règles ne s'appliquent pas à la commission

    L’UE riposte actuellement avec une campagne de publicité numérique, précisément contre les pays qui ont manifesté une résistance à la réglementation. Par exemple en Finlande. Ils s’appuient sur X (Twitter), décrit par l’UE comme une fronde majeure des « fausses nouvelles » depuis le rachat d’Elon Musk.

    Reclaim the Net résume :

    « Au sein de l’UE, la proposition (qui s’appuie fortement sur « l’IA » – qui est pour le moins notoirement inexacte et comporte un grand nombre de faux positifs potentiellement dommageables) se heurte à de la résistance – et à de nombreux bras de fer procéduraux. La dernière tentative pour « faire avancer les choses » a échoué.

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  16. Et comment l’UE a-t-elle réagi le 15 septembre ? A-t-elle pris ces considérations à cœur et repensé/réécrit la proposition juridique ? Non. Il semble avoir lancé une campagne publicitaire ciblée et payante contre les citoyens des pays dissidents.

    Cependant, les campagnes ciblées sont exactement ce contre quoi l'UE dit vouloir réprimer - c'est-à-dire le profilage basé sur "les préférences personnelles, les intérêts, la situation géographique, le comportement, les opinions politiques et les convictions religieuses ou philosophiques" - et pourtant l'organisation utilise désormais le exactement la même tactique contre certains membres qui s'opposent au règlement pour d'autres motifs (à savoir la vie privée).

    C'est ce que rapporte le journal néerlandais Volkskrant. "Le problème est que les utilisateurs X de ces pays qui ne sont pas satisfaits des règles CSAM proposées sont devenus la cible de la campagne faisant la promotion de ces règles."

    En plus de toutes les données disponibles telles que les préférences personnelles, les intérêts, le comportement, etc., le ciblage basé sur la localisation est également utilisé.

    La campagne européenne affirme ensuite que la « majorité des Européens » soutiendrait le paquet législatif. Une déclaration plus que controversée qui, si l’on regarde l’enquête de plus près, pourrait bien être qualifiée de désinformation.

    https://tkp.at/2023/10/17/eu-propagandamaschine-zur-totalen-chatkontrolle/

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  17. La ville de Heidelberg va réduire la consommation de viande et les voitures particulières


    17 octobre 2023
    par le Dr. Peter F. Mayer


    TKP a rendu compte du « C40 Cities Climate Leadership Group » (C40) en août . Le C40 s’est fixé un « objectif ambitieux » pour atteindre les objectifs du WEF de sauver le climat et de restructurer complètement la société d’ici 2030. Pour atteindre cet « objectif », les villes du C40 se sont engagées à ce que leurs habitants respectent la liste de règles impératives suivante :

    « 0 kg de consommation de viande »
    « 0 kg de produits laitiers ».
    « 3 nouveaux vêtements par personne et par an ».
    « 0 véhicule particulier » possédé
    « 1 vol court-courrier (moins de 1500 km) tous les 3 ans par personne ».

    Ces objectifs dystopiques des villes du C40 peuvent être retrouvés dans leur rapport « L'avenir de la consommation urbaine dans un monde à 1,5°C » . Le rapport a été publié pour la première fois en 2019 et réaffirmé en 2023 . L'organisation est dirigée et largement financée par le milliardaire américain Michael Bloomberg.

    La conseillère municipale de Heidelberg, Timethy Bartesch (AfD), a profité de l'article pour clarifier le type de participation de Heidelberg, qui figure dans la liste des villes du C40 (une petite partie de la liste scandaleusement longue des villes européennes figure également dans le TKP) . ). -trouver des articles ).

    Dans la réponse, qui peut être téléchargée à partir du site Web de requête à l'aide de la flèche en bas à droite, il apparaît rapidement que Heidelberg soutient pleinement les plans du WEF quant à la manière dont ils devraient être mis en œuvre dans les projets du C40.

    La question des intentions derrière la consommation de viande reçoit une réponse très idéologique mais sans aucun fondement factuel.

    « 10. La production de viande et d’autres aliments d’origine animale entraîne des émissions de gaz carbonique, en fonction de la teneur en calories, plusieurs fois supérieures à celles de la production d’aliments d’origine végétale, entre trois et huit fois plus élevées selon le produit et l’espèce animale.

    Réduire la consommation de viande entraîne donc une réduction des émissions de gaz à effet de serre. Une attention particulière est portée ici au méthane produit par l’élevage bovin. De plus, une consommation réduite entraîne une diminution de la consommation d’énergie et de ressources dans la production. Moins de forêts sont abattues pour les pâturages et la production d’aliments, moins d’eau est utilisée et il n’y a plus besoin de transport de nourriture, qui consomme de l’énergie et libère des émissions.

    Le fait que plus de gaz carbonique ne modifie pas le climat, mais assure une croissance plus rapide des plantes et donc plus de verdure et des rendements agricoles plus élevés, reste ignoré. Ce qui est également gardé secret, c'est que la production de viande issue de la nature et de l'agriculture doit être transférée vers des usines où la viande est cultivée à partir de cellules souches en utilisant beaucoup d'énergie . Il est également omis que l'UE ait approuvé l'utilisation de vers de farine et de grillons domestiques dans tous les types de plats cuisinés. Par exemple, ces produits sont fabriqués au Vietnam et livrés dans l’UE.

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  18. Interrogée sur les projets visant à réduire la propriété privée des véhicules, la municipalité a répondu :

    11. En 2022, Heidelberg avait la densité automobile la plus faible du Bade-Wurtemberg, avec 319 voitures pour 1 000 habitants (Bade-Wurtemberg 543/1 000 E - Allemagne 608/1 000 E). Les principales raisons en sont la forte proportion d'étudiants ainsi que les itinéraires et offres attractifs de l'association environnementale.

    12. Un nombre réduit de véhicules présente des avantages très différents pour une commune comme Heidelberg :

    Réduction des émissions de gaz carbonique

    Les villes disposent de toute une gamme d’options pour restreindre la mobilité de leurs résidents et le feront si elles suivent cet agenda. Cela n’a aucun impact sur le climat, car toutes les prévisions climatiques basées sur le gaz carbonique se sont jusqu’à présent révélées fausses.

    Quoi qu’il en soit, le rapport du C40 indique que l’ objectif d’élimination de la viande, des produits laitiers et des véhicules particuliers d’ici 2030 « repose sur une vision future d’une production économe en ressources et de changements profonds dans le comportement des consommateurs » . L'adhésion confirme évidemment la participation et le soutien à ces projets.

    Texte de la demande et de sa réponse .

    https://tkp.at/2023/10/17/stadt-heidelberg-zu-reduzierung-von-fleischkonsum-und-privaten-pkws/

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  19. Des effluents de bovins transformés en carburant pour fusées ? Une entreprise tente l'expérience


    15 Octobre 2023
    AGDAILY Reporters*


    Une entreprise japonaise de fabrication de produits chimiques a travaillé sur la création de biométhane liquide à partir d'effluents de bovins pour l'utiliser comme carburant de fusée.

    Selon un article de Kyodo News, la société Air Water Inc. affirme qu'elle pourrait commencer les essais dès cet automne, en utilisant le carburant pour fusée sur une fusée fabriquée par Interstellar Technologies Inc.

    « Nous voulons faire décoller la fusée en utilisant une énergie neutre en carbone », a déclaré un représentant d'Air Water à Kyodo News.

    L'entreprise espère que l'utilisation des effluents de vaches comme carburant pourra constituer une solution potentielle pour les producteurs laitiers confrontés à des problèmes d'élimination.

    Air Water produit du biométhane liquide depuis 2021 dans l'île de Hokkaido. Les excréments et l'urine des bovins sont fermentés dans une usine construite par l'entreprise dans une ferme laitière à Taiki, avant que le biogaz généré ne soit transporté vers une usine à Obihiro.

    Le méthane est séparé, refroidi, puis converti en biométhane liquide – le carburant potentiel des fusées. Les fusées ayant besoin d'un carburant liquide pour être propulsées dans l'espace, le méthane de haute pureté est généralement fabriqué à partir de gaz naturel liquide.

    La teneur en méthane du biogaz issu des effluents de vache varie, mais elle se situe généralement entre 50 et 70 %.

    La digestion anaérobie est déjà utilisée pour alimenter des maisons et des véhicules au gaz naturel

    La production d'électricité et de carburants à partir du fumier de vache est envisagée depuis des années par de nombreux élevages et entreprises. Ce processus, communément appelé digestion anaérobie, consiste à décomposer la matière organique du fumier de vache pour produire du biogaz, qui peut être utilisé comme biocarburant.

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  20. Le biogaz riche en méthane produit lors de la digestion anaérobie est collecté et stocké dans des réservoirs de gaz. Les impuretés telles que le dioxyde de carbone, le sulfure d'hydrogène et la vapeur d'eau sont éliminées pour que le biogaz puisse être utilisé comme carburant.

    Une fois purifié, le biogaz peut être utilisé directement comme combustible pour le chauffage et la production d'électricité, ou pour remplacer le gaz naturel dans diverses applications. Il peut également être transformé pour produire des biocarburants liquides tels que le biométhane ou le bioGNC (gaz naturel comprimé), qui peut être utilisé comme carburant pour les transports.

    Après la digestion anaérobie, il reste un résidu solide appelé digestat. Ce matériau peut être utilisé comme engrais riche en nutriments pour l'agriculture.
    ____________

    * Source : Japanese company wants to turn cow waste into rocket fuel | AGDAILY

    https://seppi.over-blog.com/2023/10/des-effluents-de-bovins-transformes-en-carburant-pour-fusees-une-entreprise-tente-l-experience.html

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    1. Après "Mettez un tigre dans votre moteur !" voici qu'arrive "Mettez une vache dans la fusée !"

      Les investissements dans l'haricot ne vont pas tarder !

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  21. 16 octobre : Journée mondiale de l'alimentation... Journée européenne de la mise en jachère


    16 Octobre 2023
    Willi l'agriculteur


    16 octobre
    Journée du pain
    Journée mondiale contre la faim
    Journée mondiale de l'alimentation
    Journée [européenne] de la mise en jachère

    Aujourd'hui, c'est la Journée mondiale de l'alimentation, également appelée Journée mondiale contre la faim. C'est aussi la Journée du pain. Pour nous, agriculteurs, c'est la Journée de la mise en jachère, où nous commémorons la folie de ne plus utiliser 4 % des terres arables en Europe pour la production de denrées alimentaires, face à un monde qui nous explose à la figure dans de plus en plus de coins et de recoins.

    Voici quelques mots à ce sujet (en allemand) :
    ______________

    * Source : 16. Oktober: Europäischer Tag der Flächenstilllegung - Bauer Willi

    https://seppi.over-blog.com/2023/10/16-octobre-journee-mondiale-de-l-alimentation.journee-europeenne-de-la-mise-en-jachere.html

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    1. Demain, SEULS les Paysans auront de quoi à manger ! Youpiiiiiie !!

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  22. Glyphosate : la France en position d'arbitre de l'avenir de l'agriculture européenne


    16 Octobre 2023
    André Heitz*


    Note : Cet article a été publié sur Atlantico le 13 octobre 2023. La double majorité requise pour (ou contre) le renouvellement de l'autorisation du glyphosate n'a pas été obtenue « grâce » à l'abstention de la France. La France reste en position d'arbitre pour le vote en appel.

    Aujourd'hui, 13 octobre 2023, le sort de la proposition de la Commission Européenne de renouveler l'approbation du glyphosate pour une durée de 10 ans dépendra (provisoirement) du vote de la France. Avec cette proposition, c'est aussi l'avenir de l'agriculture et de la sécurité alimentaire européennes

    Les Vingt-Sept doivent se prononcer vendredi 13 octobre sur le renouvellement pour dix ans de l’autorisation du glyphosate dans l’Union européenne, sous conditions. Quels sont les enjeux sur la question ?

    Cette question mérite sans aucun doute une réponse plus détaillée.

    « Le glyphosate, un herbicide unique en son genre », est la traduction de « Glyphosate: a once in a century herbicide », un article de Stephen O. Dukel et Stephen B. Powles, du Service de Recherches Agricoles du Département Américain de l'Agriculture de 2008.

    Titre un peu problématique en anglais, car le glyphosate est un phénomène à cheval sur deux siècles. E il restera vraisemblablement un phénomène pendant très longtemps encore.

    C'est un herbicide total – qui vient à bout de la quasi-intégralité de la végétation indésirable. Et il est devenu sélectif avec l'avènement des OGM qui le tolèrent (variétés HT) ; c'est du reste à partir de ce moment là qu'il est devenu un totem à abattre par tous les moyens.

    Il est systémique – pénètre dans la plante, mais aidé par des co-formulants. Il s'attaque donc aussi aux parties souterraines des plantes (alors que nous n'avons plus beaucoup d'herbicides à effet racinaire).

    Il peut être utilisé pour faire place nette dans un champ pour un semis qui peut avoir lieu dans les jours suivant son application.

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  23. Il bloque une voie métabolique qui n'existe que chez les plantes et les bactéries. Il a ainsi un excellent profil toxicologique et écotoxicologique. C'est du reste le constat, en résumé, de l'évaluation faite nominalement par l'Autorité Européenne de Sécurité des Aliments (EFSA), en réalité par les experts de quatre États rapporteurs (France, Hongrie, Pays-Bas et Suède), suivis par les experts de l'EFSA et des 27 États membres.

    Rappelons que le glyphosate a été disponible en France pour les utilisateurs non professionnels dans les jardineries et les supermarchés jusqu'à son interdiction pour cause de jusqu'au-boutisme « écologique ». Mais otons qu'il y a aussi un marché illicite sur Internet en direction des particuliers... Le produit est demandé !

    Il est tombé dans le domaine public en 2000 et est maintenant disponible à très bas coût... et donc également utilisé à grande échelle à ce titre.

    Il est plutôt résistant aux résistances acquises par des plantes cibles. La littérature militante abonde sur les cas de résistance – notamment de l'amarante de Palmer aux États-Unis d'Amérique qui aurait « stérilisé » des milliers d'hectares de terres arables ; mais les agriculteurs ne sont pas démunis dans ces cas (sauf si on leur vide la boîte à outils...), et les résistances se gèrent. En France, on a répertorié deux espèces seulement présentant ou ayant présenté des résistances dans des zones limitées (des ivraies, Lolium spp., et tout dernièrement le vulpin des champs, Alopecurus myosuroides, avec une détection en Haute-Saône).

    Le glyphosate est aussi le fondement d'une « révolution écologique ».

    « Révolution Verte » est une expression attachée à la diffusion, initialement, à partir des années 1960, de variétés de blé à paille courte, beaucoup plus productives que les variétés traditionnelles, et à Norman E. Borlaug, « l'homme qui a sauvé un milliard de vies », prix Nobel de la Paix 1970.

    Le glyphosate et John E. Franz, de Monsanto Co., qui le premier testa la molécule en tant qu'herbicide en 1970, n'ont pas eu ce genre de prestige. Et pourtant !

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  24. Le glyphosate a révolutionné la gestion des mauvaises herbes, que ce soit dans les champs, dans les espaces sensibles tels que les voies de chemin de fer et les sites industriels à protéger des incendies, les espaces publics tels que les trottoirs, et les jardins privés. Bien sûr, en France, jusqu'à la mise en vigueur des interdictions ou, comme dans le cas des voies de chemin de fer, des décisions devant faire plaisir aux autorités tenant les cordons de la bourse des subventions.

    Cette première révolution s'appelle « agriculture de conservation » – en France, on ajoute « des sols »(ACS) –, un mode de culture qui supprime ou minimise les façons culturales (le travail du sol) et maintient une couverture permanente du sol grâce à des résidus de culture et, surtout, des couverts végétaux (plantes de service) entre deux cultures de vente.

    Le bénéfice est immense en termes de protection de l'environnement, comme l'explique dans ces colonnes le spécialiste Gérard Rass dans « Ces nouvelles technologies venues des Pays-Bas pourront-elles permettre à l’agriculture d’améliorer puissamment son bilan environnemental ? »

    Le glyphosate sert ici à détruire ou déprimer le couvert végétal avant le semis de la nouvelle culture de vente. Il est, certes, inutile quand la destruction se fait par le gel (quand il gèle... et gare aux plantes adventices résistantes...) et substituable par une destruction mécanique ou une combinaison d'herbicides différents. Mais cela a un coût en termes de temps et d'argent... et d'environnement. Et si le compte n'y est pas, adieu le bénéfice environnemental de l'ACS.

    « Labourage et pâturage sont les deux mamelles de la France » est une formule proverbiale inspirée de Sully. Aujourd'hui, on sait que le « labourage » est, sauf circonstances particulières, un désastre.

    (Source)

    Les plantes génétiquement modifiées pour tolérer le glyphosate (et plus récemment d'autres herbicides) constituent une deuxième révolution écologique, n'en déplaise à l'activisme technophobe et « glyphystérique » selon l'expression de M. David Zaruk.

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  25. Le glyphosate facilite énormément la gestion des mauvaises herbes en cours de culture sur les OGM HT (herbicide tolerant), notamment en se substituant à des herbicides sélectifs qui ne seraient pas efficaces contre toute la flore adventice (et moins favorables sur le plan de la santé et de l'environnement). C'est ce que montre la photo ci-dessous du malherbologue Andrew Kniss, pour la betterave à sucre, un « client » très difficile. Avant, à gauche, après avec la betterave GM, à droite.

    On ne s'étonnera donc pas que la très grande majorité des surfaces cultivées soient en variétés HT pour les espèces pour lesquelles elles existent dans les pays dans lesquels elles sont autorisées. En Europe, les agriculteurs n'ont pas accès aux variétés HT, le courage politique (et syndical) manquant pour démonter et surmonter les oppositions devenues idéologiques. En Inde, il y a un marché de contrebande pour le cotonnier HT ; la contrebande pour des produits qui ne sont pas demandés, ça n'existe pas !

    (Source)

    Les agriculteurs qui déploient des techniques plus classiques peuvent également bénéficier du glyphosate pour la préparation des champs avant les semis. Un traitement avec une rampe de 24 mètres, par exemple, c'est un passage au lieu de 10 avec un outil de travail superficiel du sol de 2,40 mètres ; à vitesse égale 10 fois moins de temps à l'hectare. L'herbicide, c'est du gazole consommé en moins, des GES émis en moins, de l'érosion liée aux façons culturales en moins, une vie du sol préservée...

    Dans le cas des cultures pérennes comme la vigne, le glyphosate sert aussi à l'entretien des sols sur toute la surface ou seulement sur le rang.

    Pour les agriculteurs – qui sont ici les premiers concernés – une interdiction du glyphosate signifie d'importantes pertes de productivité, voire la mise en cause de la pérennité de l'exploitation.

    Cela ne signera certes pas la fin du monde. Mais la fin d'un monde et la réécriture de l'avenir de l'agriculture, mais aussi de la santé des sols et de notre environnement, selon des canons qui furent en vigueur au XXe siècle.

    « Au Luxembourg, l'apprentissage douloureux d'une agriculture sans glyphosate », produit initialement par l'AFP, est une description très instructive des conséquences de la décision de bannir la commercialisation glyphosate à partir de janvier 2021 (retoquée par une décision de la Cour Administrative du 30 mars 2023).

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  26. Est-ce cela que nous voulons ? Surtout quand nous avons pris conscience, par ailleurs, de l'importance de la souveraineté alimentaire ? Et que nous sommes entrés dans un nouveau cycle inflationniste, particulièrement en matière alimentaire ?

    Comment se prend la décision à Bruxelles ?

    Le Règlement d’application … renouvelant l’approbation de la substance active glyphosate conformément au règlement (CE) n° 1107/2009 du Parlement européen et du Conseil et modifiant le règlement d’exécution (UE) n° 540/2011 de la Commission (notre traduction) a beau comprendre « de la Commission » dans son intitulé (à la place des points de suspension), il doit être adopté par les États membres.

    Ceux-ci doivent voter ce 13 octobre (en principe) dans le cadre du ScoPAFF (Comité permanent des végétaux, des animaux, des denrées alimentaires et de l’alimentation animale). Une double majorité est requise : 55 % des États membres (soit 15 sur 27) représentant 65 % de la population européenne doivent voter en faveur de la proposition, les abstentions étant comptabilisées avec les votes contre (on trouvera un simulateur ici).

    Si le vote n'aboutit pas, un nouveau vote a lieu « en appel ». Et, en cas de nouvel échec, la décision revient à la Commission.

    C'est la théorie... Le renouvellement de l'autorisation du glyphosate intervenu en novembre 2017, pour cinq ans, après des tractations sous la forme d'enchères descendantes, a montré que l'on pouvait manœuvrer avant d'obtenir la décision finale.

    Le poids de la France pèse-t-il dans les négociations au niveau européen ?

    Beaucoup de pays n'ont pas donné de signal, ou de signal clair, sur leurs intentions.

    La majorité des États membres (15 sur 27) devrait être acquise si l'on considère les votes précédents (ceux qui ont abouti à la prolongation de cinq ans de 2017 et celui qui a été rendu nécessaire par l'extension d'un an du délai d'évaluation par l'EFSA à la suite des nombreuses contributions reçues du public – lire : ONG).

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  27. Mais, dit-on, les prévisions sont hasardeuses, surtout si elles concernent l'avenir !

    D'après ce que nous savons, cinq pays devraient s'abstenir ou voter contre, pour un total de 27,30 % de la population : l'Allemagne (coalition « feux tricolores » ayant acté la sortie du glyphosate dans son programme), l'Autriche (conformément à une décision prise en 2017 par la commission des affaires européennes du Parlement), la Belgique (abstention compte tenu de divergences entre gouvernements fédéral et régionaux, mais ce ne serait pas encore sûr, selon Euractiv), le Luxembourg et les Pays-Bas (abstention parce qu'il s'agirait d'un gouvernement intérimaire, en réalité parce que c'est une patate chaude à un mois des élections à la deuxième chambre).

    D'autres s'adjoindront sans doute à cette liste. Mais il faudra sans doute l'apport de la France (15,16 % de la population) pour franchir la barre des 35 %. Cela explique l'intense activisme déployé en France pour peser sur le gouvernement en faveur de l'interdiction du glyphosate.

    Quelle est la position de la France ?

    La position française est très lourdement affectée par la déclaration intempestive et irréfléchie du Président Macron du 27 novembre 2017 annonçant une sortie du glyphosate dès que des alternatives auront été trouvées et au plus tard dans un délai de trois ans.

    Cela a suscité des oppositions supplémentaires au glyphosate, y compris dans son propre camp. Sans surprise, il y a eu des déclarations à hue et à dia de membres du gouvernement. La dernière déclaration, rapportée par France Info sous le titre : « Glyphosate : Olivier Véran veut "supprimer totalement et de manière générale les pesticides dont on suspecte un rôle négatif sur la santé" » est une merveille de haute voltige. C'était le 10 octobre 2023...

    La position n'est toujours pas claire dans le pays du « en même temps », à voir la formidable agitation sur les réseaux sociaux – y compris avec des méthodes indignes comme l'instrumentalisation d'un jeune homme atteint d'une grave malformation congénitale et une description manifestement fausse (corrigée ici) de l'avis du Fond d'Indemnisation des Victimes de Pesticides.

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  28. Dans un premier temps, la France a voulu imposer à Bruxelles des restrictions à l'utilisation du glyphosate correspondant à celles qu'elle a introduites sur le sol national. Il s'agissait d'éliminer une distorsion de compétitivité auto-infligée. Pour rétablir l'équilibre, péjorons aussi les conditions de l'agriculture chez les autres ! Il existe, paraît-il, des alternatives qui sont « sans inconvénients économiques ou pratiques majeurs »... parole d'organisme de recherche très obséquieux vis-à-vis du gouvernement.

    Aux dernières nouvelles – selon des acteurs semblant bénéficier de fuites – la France plaiderait pour un renouvellement de sept ans.

    Si la proposition trouve gré auprès de la Commission et de la majorité des États membres, cela ouvrirait la voie à la réautorisation, nos gouvernants pouvant revendiquer une victoire.

    « Il faut une solution scientifique rationnelle, on est en train de la développer, on est en train de la mettre en place », a déclaré M. Olivier Véran ? Non ! On est en train, comme dans d'autres États membres, de rechercher le moins pire des positionnements politiciens et démagogiques.

    Quelle est la genèse du débat sur le glyphosate en France ? Pourquoi a-t-il pris une telle tournure ?

    Il faudra un jour analyser ce véritable effondrement obscurantiste sur le plan historique et sociologique. Comme déjà dit, le glyphosate est devenu un totem à abattre, par tous les moyens et quoi qu'il en coûte. Et pas qu'en France.

    Mais, chez nous, il y a eu une extraordinaire convergence de discours et de manœuvres activistes (y compris, hélas, dans la recherche), médiatiques et politiques.

    Voyez le dernier assaut qui a instrumentalisé de manière indigne un jeune homme atteint d'une malformation congénitale. Selon un journal, dit de référence et menant une politique éditoriale très critique de l'agriculture qui nous nourrit, le lien avec le glyphosate a été établi par une commission d'indemnisation. En fait, celle-ci n'a retenu que « la possibilité de lien de causalité » en rapport avec « la profession de la maman », l'exposition professionnelle aux pesticides (le glyphosate n'est pas nommé) « bien que limitée [étant] possible ». Mais bien des journaux, et au moins deux journaux télévisés, se sont engouffrés dans la brèche, sans recul ni esprit critique.

    Hélas aussi, il y a une quasi-absence de réponses rationnelles. D'ailleurs, à quoi servent-elles ? L'analyse circonstanciée de Mme Géraldine Woessner dans le Point ne sera pas reprise par des médias devenus paresseux et complaisant.

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  29. Après l'indigent Envoyé Spécial de janvier 2019 (auquel le CSA n'avait rien trouvé à redire et qui, du reste, avait aussi instrumentalisé Théo...), elle avait aussi écrit un « Preuve à l'appui : les glyphotests sont bidon ! ». Écho médiatique ? Au mieux très limité. Mais les « pisseurs de glyphosate », ayant utilisé le même test mis en œuvre par un laboratoire... vétérinaire allemand, bénéficieront par la suite d'un écho considérable. La campagne est tombée en capilotade – et le site internet dédié a été supprimé –, et personne n'en parle...

    Et, encore hélas, il y a ce tweet hâbleur du président Macron...

    La position de la France est-elle bien perçue auprès des agriculteurs français ?

    On peut imaginer sans peine la réponse des agriculteurs qui ont fondé leur système de culture sur le recours au glyphosate, que ce soit en traditionnel ou en agriculture de conservation des sols.

    La Confédération Paysanne a pris fait et cause pour les démolisseurs de l'agriculture qui nous nourrit. C'est du reste un des acteurs importants des Soulèvements de la Terre...

    La Coordination Rurale dit que la France doit suivre l'avis de la Commission européenne. Mais au-delà des communiqués de presse...

    La FNSEA ? Inaudible et manifestement traversée par des courants de pensée divergents. Mon moteur de recherche me dit qu'elle « est favorable à une ré-autorisation limitée du glyphosate pour une durée de 3 à 5 ans, le temps de trouver des alternatives efficaces. » Et pour les alternatives efficaces, il cite le désherbage mécanique, thermique et « chimique alternatif ». Bref, c'est le cauchemar pour un esprit rationnel.

    Et Bing conclut : « Il convient de noter que la FNSEA considère que le glyphosate reste un outil important pour les agriculteurs et qu'il ne doit pas être interdit sans alternative crédible. »

    Des alternatives moins efficaces, plus chères, moins favorables à la santé des sols et à l'environnement... mais si l'État – c'est à dire le contribuable – compense par des aides et subventions... tout ira bien.

    Dans l'assourdissant silence actuel, il y a tout de même des sections qui se démènent, en particulier la Fédération Régionale du Centre-Val-de-Loire.

    https://seppi.over-blog.com/2023/10/glyphosate-la-france-en-position-d-arbitre-de-l-avenir-de-l-agriculture-europeenne.html

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  30. Daniel Yergin – L’ère de l’extraction minière

    Daniel Yergin, vice-président de S&P Global, est l’auteur de l’ouvrage intitulé The New Map: Energy, Climate and the Clash of Nations (Penguin, 2021).


    Par Daniel Yergin
    le 17 octobre 2023 à 5h00


    General Motors a investi 650 millions de dollars dans un projet de lithium au Nevada

    Une pénurie de minerais court-circuitera-t-elle la transition énergétique ? Un certain nombre de gouvernements nationaux – notamment américain, japonais, britannique et canadien – ainsi que l’Union européenne et plusieurs organisations internationales telles que la Banque mondiale, le Fonds monétaire international et l’Agence internationale de l’énergie tirent actuellement la sonnette d’alarme. Comme l’explique le FMI, l’objectif zéro émission nette d’ici 2050 « entraînera une demande sans précédent autour de quelques-uns des métaux les plus stratégiques », conduisant à « une explosion des coûts » susceptible « de faire dérailler ou de reporter la transition énergétique elle-même ».

    De plus en plus exprimée, cette inquiétude est justifiée : les « métaux cruciaux » pourraient en effet devenir le plus important goulot d’étranglement dans la transition loin des combustibles fossiles. La décarbonation nécessite un accroissement considérable des équipements et infrastructures, ce qui implique un besoin immense en métaux utilisés pour le câblage et les batteries indispensables à une avenir électrifié. Comme je l’explique dans mon livre The New Map, transformer la manière dont l’économie mondiale est alimentée nécessitera de passer de l’univers du « Big Oil » (les géants du pétrole) à celui des « Big Shovels » (les géants de la mine). Autrement dit, il faudra énormément d’extraction minière.

    La demande autour des minerais nécessaires augmente déjà considérablement, et le scénario zéro net 2050 de l’AIE annonce qu’elle devrait plus que tripler au cours des sept prochaines années seulement. Cette projection est d’ailleurs optimiste. La multiplication des programmes gouvernementaux d’accélération de la transition énergétique est vouée à faire augmenter la demande encore davantage. D’après une récente analyse de S&P Global, le très important Inflation Reduction Act (IRA) américain alourdira significativement des prévisions déjà élevées.

    La course s’intensifie autour de la sécurisation des approvisionnements et de la création de nouvelles chaînes d'approvisionnement. General Motors a investi 650 millions $ dans un projet de lithium au Nevada, afin répondre à la nécessité d’une « chaîne de valeur établie, en soutien de nos ambitions pour les dix prochaines années ». Ford détient une participation dans une installation de traitement de nickel d’une valeur de 4,5 milliards $ en Indonésie. De même, Volkswagen et Stellantis participent à la création d’une nouvelle société minière d’extraction de cuivre et de nickel au Brésil.

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  31. La demande croissante n’en demeurera pas moins un défi considérable, comme l’illustre le cas du cuivre. Une grande partie de la transition énergétique concerne l’électrification, à laquelle le cuivre est indispensable. Ce métal est d’ailleurs appelé « Dr Copper » depuis plusieurs années, dans la mesure où les tendances de la demande et des prix sur les marchés traditionnels constituent de solides signaux concernant l’activité économique globale et les perspectives du PIB. Or, voici que la demande liée à la transition énergétique ne concerne plus seulement le cuivre, mais également des métaux tels que le lithium, le cobalt et le nickel.

    Les politiques des États autour du zéro net incitent à la production de véhicules électriques qui nécessitent en moyenne 2,5 à 3 fois plus de cuivre qu’une automobile traditionnelle. Le stockage par batteries, les installations éoliennes offshore et onshore, ainsi que les panneaux solaires requièrent également d’importantes quantités de cuivre. Afin d’estimer la quantité de cuivre supplémentaire qui sera nécessaire pour répondre à cette demande nouvelle, S&P Global a commencé par se pencher sur les objectifs climatiques des États-Unis et de l’UE d’ici 2050, puis l’agence a évalué les technologies nécessaires à l’accomplissement de ces objectifs. La conclusion est sans équivoque : l’approvisionnement en cuivre devra doubler d’ici la seconde moitié des années 2030.

    Or, il est très peu probable que cette multiplication soit possible, dans la mesure où la mise en service d’une nouvelle mine nécessite 16 à 20 ans, voire plus. À travers le monde, les procédures d’autorisation, de plus en plus contraintes par des controverses politiques, prennent de plus en plus de temps. Bien entendu, les pénuries et les prix élevés inciteront au recyclage, à l’innovation technologique ainsi qu’à des solutions de substitution, mais ces évolutions nécessiteront elles-mêmes un certain temps.

    Par ailleurs, la production de cuivre est plus concentrée encore que celle du pétrole. Là où trois pays – États-Unis, Arabie saoudite et Russie – produisent 40 % du pétrole brut au niveau mondial, seulement deux États produisent 40 % du cuivre : le Pérou et le Chili. Le Pérou a connu sept présidents en sept ans, et le gouvernement populiste chilien est déterminé à renforcer l’intervention de l’État ainsi qu’à augmenter les recettes minières, comme l’illustrent ses plans de nationalisation des réserves de lithium du pays, les plus abondantes au monde.

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  32. Le plan chilien révèle un obstacle majeur aux nouveaux investissements dans l’extraction minière à travers le monde : ce que l’éminent économiste international Raymond Vernon a appelé « obsolescing bargain ». Le gouvernement d’un État riche en ressources et une société minière internationale conviennent d’un régime fiscal facilitant un investissement de plusieurs milliards de dollars dans un nouveau projet minier. Les années passent, l’argent est investi, et la mine devient opérationnelle. Mais un nouveau gouvernement accède ensuite au pouvoir, constate que les prix des minerais augmentent, et décide de modifier les conditions de l’accord afin d’accroître sa part de recettes.

    Ce type d’instabilité conduira la société en question à suspendre les nouveaux investissements. Dans le cas d’une nationalisation pure et simple, tout nouvel investissement par la société initiale sera alors par définition gelé, puisque cette société ne sera plus exploitante. Dans tous les cas, l’augmentation prévue de la production minière n’aura pas lieu. Sachant la croissance prochaine de la demande liée à la transition énergétique, ainsi que des prix qui l’accompagneront, il sera difficile pour les gouvernements des États riches en ressources de résister à la tentation de modifier les conditions d’accords existants. Ces gouvernements fixeront également des modalités d’entrée plus strictes pour les nouveaux projets, ce qui dissuadera les sociétés (et leur conseil d’administration) d’investir dans ces projets.

    Intervient par ailleurs une autre complication : la géopolitique. Les chaînes d'approvisionnement destinées au zéro émission net sont enchevêtrées dans la rivalité croissante entre d’un côté les États-Unis et leurs alliés, et de l’autre la Chine, qui jouit d’une position de dominante dans la transformation des minerais en métaux. Environ deux tiers du lithium et du cobalt au niveau mondial sont traités en Chine, comme près de la moitié du cuivre planétaire. Les États-Unis, certes pays producteur de cuivre, importent de Chine du cuivre traité.

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  33. La prise de conscience de la dépendance de ces chaînes d'approvisionnement vis-à-vis de la Chine conduit à sonner l’alerte aux États-Unis et en Europe. Les gouvernement s’efforcent aujourd'hui de « dérisquer » les chaînes d'approvisionnement de minerais, en leur faisant contourner la Chine. D’où le lancement par les États-Unis d’un nouveau Partenariat pour la sécurité des minerais entre pays consommateurs et producteurs à l’état d’esprit similaire, ainsi que les dispositions majeures de l’IRA spécifiquement destinées à réduire les dépendances vis-à-vis de la Chine, et à installer aux États-Unis la chaîne d'approvisionnement des batteries électriques.

    Ce dérisquage des chaînes d'approvisionnement sera toutefois lent et coûteux, en raison de procédures d’autorisation interminables. Si les tensions dans ce domaine n’atteignent pour l’heure pas les mêmes sommets que le conflit autour des puces électroniques, cela pourrait changer. Si la rivalité sino-américaine s’intensifie, il deviendra encore plus difficile de bâtir de nouvelles chaînes d'approvisionnement, avec pour conséquence un risque accru de voir les minerais cruciaux devenir vulnérables à des pénuries critiques.

    https://www.economiematin.fr/extraction-minerai-metaux-industrie-yergin

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    1. Primo, comme pour le fer: il n'y a PAS un gramme de plus ou de moins sur Terre depuis DES milliards d'années ! Donc: ce qui est sorti est sorti. Les poutrelles, les bagnoles, etc pourrissent çà et là, s'oxydent, se rouillent, se désagrègent sans que personnes dans le secteur minier n'y prête attention !! Alors, sont entrepris de creuser la terre, de fouiller, de chercher pour trouver des trucs, des machins ou des choses qu'il faut séparer, laver, fondre pour récupérer alors... que les métaux sont là ! Là au bord des routes ! Là-bas à l'abandon envahi par le lierre !

      Secundo, là, je crois voir et comprendre le pourquoi de l'arrivée de LIA ! HAHAHAHA ! ÂÂââaaaah les cons !

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  34. Les monnaies, l’art de berner : la métamorphose du dollar à travers les âges

    De l’étalon-or à la monnaie numérique, le dollar a connu des transformations radicales. Mais ces changements ont-ils miné la confiance que nous plaçons dans notre monnaie ?


    François Jolain
    17 octobre 2023


    Les points de vue exprimés dans les articles d’opinion sont strictement ceux de l'auteur et ne reflètent pas forcément ceux de la rédaction.

    Les monnaies suivent les civilisations depuis 3000 ans, elles sont des créations humaines, et pourtant elles restent des ovnis. Leur rôle est de permettre l’échange de biens à travers un support capable de « cristalliser » de la valeur dans le temps, une sorte de confiance palpable.

    S’il est compliqué de définir une monnaie, c’est parce que nous avons utilisé des centaines de monnaies différentes qui n’ont rien de commun, à part être une monnaie. Et aucune d’entre elles n’entre dans les critères d’Aristote : unité de compte, réserve de valeur et intermédiaire d’échange.

    Avec l’inflation, nos monnaies d’État sont de mauvaises réserves de valeur : un dollar a perdu 95 % de sa valeur en 50 ans. L’or est un piètre moyen d’échange : d’une part, on peut facilement se faire avoir en achetant un lingot ; d’autre part, son poids le rend coûteux à transporter.

    Aujourd’hui plus que jamais, nos monnaies laissent perplexe, et c’est tout le sujet de cet article que de découvrir leur fonctionnement.

    Je dis bien nos monnaies, pas pour parler des euros, francs ou dollars. Toutes les monnaies d’État se ressemblent de nos jours. Nos monnaies, car derrière un nom unique comme « le dollar » se cachent plusieurs types de monnaies totalement différentes.

    L’histoire du dollar américain est fascinante, et illustre parfaitement l’évolution des monnaies au fil du temps. Au départ, le dollar était directement lié à une pièce en or, ce qui signifie qu’il pouvait être échangé contre une quantité spécifique d’or. Cette période, connue sous le nom d’étalon-or, garantissait la stabilité de la valeur du dollar, car la quantité d’or disponible limitait la quantité de dollars en circulation.

    Cependant, au fil du temps, les besoins économiques et les contraintes financières ont conduit à une transformation significative du dollar. Le billet de dollar est devenu une représentation de la valeur de l’or, plutôt que de l’or lui-même. En d’autres termes, le dollar était toujours adossé à l’or, mais les gens n’échangeaient plus directement des pièces d’or contre des billets de un dollar. Cela a permis une plus grande flexibilité dans l’économie, et a simplifié les échanges commerciaux.

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  35. Puis, au cours du XXe siècle, le dollar a connu une révolution monétaire majeure.

    En 1971, le président américain Richard Nixon a mis fin à la convertibilité du dollar en or, abandonnant ainsi l’étalon-or.

    Cela signifiait que les dollars n’étaient plus liés à une réserve d’or tangible. Ils sont devenus essentiellement du papier sans garantie. Cette transition, connue sous le nom de Nixon Shock, a donné naissance au système monétaire actuel, où la plupart des monnaies du monde sont des monnaies fiduciaires, c’est-à-dire qu’elles n’ont de valeur que parce que les gens ont confiance en elles, et les acceptent comme moyen de paiement.

    En parallèle, le dollar a également évolué dans le monde numérique.

    Les fonds que vous avez sur votre compte bancaire sont une forme encore différente de dollar, souvent appelée « monnaie scripturale » ou « monnaie électronique ». Cette monnaie n’existe que sous forme de données comptables dans les systèmes bancaires. Elle peut être créée électroniquement lors de l’octroi d’un crédit, ce qui signifie qu’elle peut être multipliée presque à l’infini par les banques.

    Cette monnaie électronique est celle que nous utilisons dans nos transactions quotidiennes, que ce soit par virement, par carte bancaire ou même par des moyens plus modernes tels que les paiements via téléphone mobile. Elle a le pouvoir de stimuler l’économie en facilitant les transactions rapides et en permettant le financement de projets, mais elle comporte également des risques, notamment celui de l’inflation excessive si la création monétaire n’est pas bien gérée.

    Enfin, la dernière forme de dollar est les obligations.

    Lorsque vous détenez une obligation, vous possédez essentiellement une dette contractuelle d’un gouvernement. Si l’État vous doit 100 dollars en obligations, cela signifie qu’il a émis une promesse de vous payer cette somme à une date future convenue, généralement avec des intérêts.

    Dans un monde idéal, cette promesse serait perçue comme une quasi-monnaie, car elle garantit un paiement futur par l’État qui émet la monnaie. Vous pourriez, en théorie, échanger cette obligation avec d’autres investisseurs sur un marché obligataire, leur assurant ainsi un paiement futur sécurisé, ce qui en ferait un instrument financier relativement stable et liquide.

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  36. Cependant, ce sentiment de sécurité n’est pas toujours justifié, comme cela a été mis en évidence par le krach boursier de l’été dernier. La crise boursière de l’été dernier a été déclenchée par une hausse rapide des taux directeurs, qui sont les taux d’intérêt fixés par les banques centrales. Cette hausse soudaine a eu des répercussions majeures sur le secteur financier.

    En augmentant les taux directeurs, les banques centrales ont rendu les nouvelles obligations plus alléchantes, car mieux rémunérées que les anciennes obligations. Et c’est ainsi que le prix des obligations sur le marché secondaire s’est déprécié de 20 %. Ce véritable krach boursier a fragilisé toutes les banques, certaines ont même fini en faillite comme la Silicon Valley Bank.

    Nos monnaies sont donc plus que jamais douteuses : nous avons le choix entre un bout de papier sans garantie, un dépôt qui vient directement d’un crédit et en subit son risque, ou des obligations, que la banque centrale peut faire vaciller à n’importe quel moment.



    Pour en savoir plus, voir la conférence donnée à Lausanne par l’auteur de cet article.

    https://www.contrepoints.org/2023/10/17/465252-les-monnaies-lart-de-berner-la-metamorphose-du-dollar-a-travers-les-ages

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    1. (...) monnaies du monde sont des monnaies fiduciaires, c’est-à-dire qu’elles n’ont de valeur que parce que les gens ont confiance en elles, et les acceptent comme moyen de paiement. (...)

      Si sur le papelard-à-la-con est inscrit le mot '1 Milliard" les cons se diront milliardaires !

      Primo, le référencement à l'or n'a JAMAIS EXISTÉ !
      Ce qui est appelé 'monnaie' ou 'argent' ou 'biftons-pèze' ou 'caillasse-pognon-blé etc' ne représente RIEN.
      Petite note: Pourquoi ce choix de l'adosser à l'or ? Parce que ceux qui en avait pouvaient ! HAHAHA !

      Secundo, ce qui aurait 'échappé' aux dictateurs sanguinaires (empereurs, présidents ou rois) c'est LA VALEUR DE L'ÊTRE HUMAIN !
      Si un pays a 10 habitants il aura une valeur de 10, s'il en a 10 000 il aura la valeur 10 000 (adultes diplômés). Voyez la différence entre la Chine (1,5 milliard d'hab.) et l'Inde (1,5 milliard d'hab.). L'un a plus de 1 milliard de surdoués et, l'autre... 1 milliard de cons !
      Et je crois (je m'avance, je m'avance !) que cette idée c'est LA perspective de nous tous ! On sera des pièces interchangeables, monnayables, immigrantes ou qui font partie du corbillon de la mariée !

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  37. Fibre optique : pourquoi vous ne l’aurez jamais !

    La fibre optique, devenue de plus en plus nécessaires aux Français, est redevenue un sujet brûlant en France. Les promesses d’un accès universel d’ici 2025, projet du gouvernement, semblent s’éloigner. Celui qui n’y croit pas est tout simplement l’opérateur qui doit la déployer : Orange. Et la question se pose désormais : certains Français seront-ils privés de fibre optique à jamais ?


    Par Paolo Garoscio
    le 17 octobre 2023 à 7h30


    Il reste 14 % des Français à relier à la fibre optique en France.

    La fibre optique pour tous : « un rêve » selon le patron d'Orange

    « Quand j'ai pris mes fonctions, ce fameux 100 % fibre, cela m'a surpris. Je pense que c'est un rêve », a déclaré Jean-François Fallacher, le nouveau directeur général d'Orange France, jeudi 12 octobre 2023. Des mots qui ont jeté un froid sur les ambitions nationales.

    Malgré une couverture fibre optique de 86 % du territoire, les 14 % restants représentent un véritable casse-tête. Les zones rurales et isolées, en particulier, posent des défis techniques et financiers majeurs. Avec un investissement supplémentaire nécessaire estimé à 3 milliards d'euros pour raccorder 2 millions de foyers, la route vers la généralisation semble semée d'embûches.

    Pas de fibre optique… mais la 5G et le satellite ?

    Selon Orange, la sujet est donc simple : soit on met plus d’argent dans le déploiement soit… il faudra trouver autre chose. Mais quoi ? Faut-il explorer d'autres voies ?

    La 5G fixe et le satellite sont souvent cités comme des alternatives viables, le coût des investissements étant trop élevé. « Dès lors, la 5G fixe et le satellite devraient être privilégiés », a indiqué Jean-François Fallacher. Orange, anticipant cette tendance, prépare le lancement d'une offre satellitaire pour le grand public. Mais cette solution est-elle satisfaisante pour tous ?

    Le non respect du plan 100 % fibre optique crée un tollé

    « L'objectif politique c'est la généralisation de la fibre » a rappelé Laure de La Raudière, présidente de l'Arcep, en réponse aux déclarations du patron d'Orange. L'AVICCA, de son côté, a exprimé son inquiétude face à la possible mise à l'écart de certaines zones. Patrick Chaize, sénateur de l'Ain et président de l'association, a martelé l'importance d'une couverture totale pour éviter toute fracture numérique.

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  38. Derrière cette polémique, des négociations sont en cours. Orange, souhaitant éviter des sanctions pour non-respect de ses engagements, serait en pourparlers avec le gouvernement, selon La Tribune. Un accord pourrait voir le jour, permettant à l'opérateur de bénéficier de délais supplémentaires pour le déploiement en échange d'efforts accrus dans les grandes villes.

    Fibre optique ou pas fibre optique ? Telle est la question

    L’objectif du gouvernement, raccorder tous les Français en fibre optique FTTH (fibre optique jusqu’à l’abonné) arrive bientôt à sa date limite. Le plan court jusqu’en 2025, et il ne reste que deux ans à Orange pour déployer le reste du réseau. Mais désormais, rien n’est moins sûr. Et ce malgré les 36,92 millions de foyers déjà raccordables à l’Internet très haut débit.

    Les foyers restants seront-ils privés de fibre optique ? L’auront-elle un jour ?

    https://www.economiematin.fr/fibre-optique-deploiement-echec-orange-france

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    1. La communication satellites coûte 10 fois plus cher que la fibre ! ET, comme la 'wifi' est hackable'...

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  39. La controverse de l’amarante, suite


    le 17 octobre 2023


    Trouvé sur la toile ce jour, cet article paraît entaché d’erreurs au regard d’un biologiste un peu dépassé par les évènements. Les enjeux économiques de l’agrochimie et la pression constante des lobbys de protection de l’environnement entrent directement en conflit. L’argumentation développée dans ce document est sujette à caution et contredit les principes fondamentaux de la biologie.Voici donc cet article :

    - "Cette plante est en train de faire tourner les beaux rêves de Monsanto en cauchemars. Les OGM, pour Monsanto, c’est la réponse absolue à la prédation des insectes. Pour les écologistes, et pour beaucoup de citoyens responsables, les OGM sont une menace pour l’environnement.

    Mais là où tous les militants du monde se cassent les dents contre le puissant lobby OGM, une plante fait de la résistance. L’amarante est une plante bien connue de nos ancêtres, puisque les Incas la considéraient comme une plante sacrée.

    Mais pour le lobby OGM, c’est plutôt une « sacrée » plante. Chaque plante produit environ 12.000 graines par an, et les feuilles contiennent des vitamines A, C et des sels minéraux. Elle est même plus riche en protéine que le soja, pourtant considéré comme champion en la matière. Les diététiciens affirment que la protéine de l’amarante est de qualité supérieure à celle du lait de vache. Ils conseillent d’utiliser les graines moulues d’amarante, mélangées à celle du blé pour faire du pain à qui elles donnent un délicieux goût de noisette.

    Mais revenons aux OGM. La scène du « drame » s’est tenue aux USA, à Macon, en Géorgie. Un agriculteur remarqua en 2004 que certaines pousses d’amarantes résistaient au Roundup dont il arrosait généreusement ses plants de soja. Les champs victimes de cette amarante comportaient une semence qui avait reçu un gène de résistance RoundUp [cf. la remarque en fin d’article]. Depuis cette date, le phénomène s’est étendu à d’autres états : la Caroline du Sud, et du Nord, l’Arkansas, le Tennessee et le Missouri. Le 25 juillet 2005, The Guardian publiait un article de Paul Brown qui révélait que des gènes modifiés avaient transité vers les plantes naturelles, créant ainsi une graine résistante aux herbicides.

    Ce que confirmèrent les experts du CEH (Centre for Ecology and Hydrology), et ce qui contredit les affirmations des pro-OGM qui ont toujours prétendu qu’une hybridation entre une plante génétiquement modifiée, et une plante naturelle était impossible. Pour le généticien britannique, Brian Johnson, spécialisé dans les problèmes liés à l’agriculture : « il suffit d’un seul croisement réussi sur plusieurs millions de possibilités. Dès qu’elle est créée, la nouvelle plante possède un avantage sélectif énorme et elle se multiplie rapidement. L’herbicide puissant utilisé ici, à base de glyphosphate et d’ammonium a exercé sur les plantes une pression énorme qui a encore accru la vitesse d’adaptation ». La seule solution qu’il restait aux agriculteurs était d’arracher les plants d’amarante à la main. Sauf que cette plante s’enracine très profondément, rendant cette solution quasi impossible à réaliser. Du coup, les agriculteurs ont renoncé à cet arrachage, 5000 hectares ont été à ce jour purement et simplement abandonnés, et 50.000 autres hectares sont menacés.

    Depuis, ils sont de plus en plus nombreux ces agriculteurs américains qui renoncent à utiliser les plants OGM, d’abord parce qu’ils coûtent de plus en plus cher, et que la rentabilité est de mise en agriculture comme ailleurs, et enfin parce que l’efficacité des OGM est contestable au vu de ce qui est en train de se passer. Pour Alan Rowland, producteur et marchand de semences de soja, à Dudley, Missouri, personne ne demande plus de graines Monsanto, au point que les graines OGM ont purement et simplement disparu de son catalogue. Pourtant, cela représentait il y a peu 80% de son catalogue. Il constate que les agriculteurs retournent aujourd’hui à l’agriculture traditionnelle.

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  40. Comme le dit Sylvie Simon dans un article à paraître dans la revue « Votre Santé » l’amarante est en quelque sorte un boomerang renvoyé par la nature à Monsanto. « Elle neutralise le prédateur, et s’installe dans des lieux ou elle pourra nourrir l’humanité en cas de famine. Elle supporte la plupart des climats, aussi bien les régions sèches que les zones de mousson, et les hautes terres tropicales et n’a pas de problèmes ni avec les insectes, ni avec les maladies, donc n’aura jamais besoin de produits chimique ». Les plantes vont-elles réussir là où tous les militants anti OGM du monde ont jusqu’à présent échoué ? En tout cas, comme disait un vieil ami africain : «Le mensonge donne des fleurs, mais jamais de fruits».

    Auteur : Olivier Cabanel via Les 7 du Québec

    Ce document appelle quelques remarques. J’ai tenté de trouver des articles scientifiques, c’est-à-dire publiés dans des revues à comité de lecture, qui décrivaient que l’amarante avait bien incorporé la construction introduite dans les plantes de grande culture génétiquement modifiées pour résister au glyphosate. Aucune publication « digne de ce nom » n’existe. La seule hypothèse acceptable est que l’amarante a été soumise à une pression de sélection durant plusieurs années et qu’une accumulation de mutations a fait apparaître une EPSP-synthase résistante au glyphosate dans cette plante. N’importe quel laboratoire de biologie moléculaire bien équipé peut réaliser une telle étude en quelques jours et à n’en pas douter Bayer s’est certainement intéressé à ce problème. En effet, dire qu’une plante a pris sa revanche sur les agissements délictueux des grandes firmes de l’agrochimie est un peu leste si aucune preuve scientifique irréfutable n’est présentée dans l’argumentaire. Il s’agit de la stratégie des défenseurs de la nature et de l’environnement : ils présentent des arguments fragmentaires trouvés dans des magazines populaires, le Guardian en est un exemple.

    Affirmer qu’une chance sur un million suffit pour faire apparaître une plante « mutante » est raisonnable et prudent. Enfin il est nécessaire de commenter l’attitude des agriculteurs américains qui ne veulent plus acheter de semences auprès des firmes agro-biologiques. Ces semences comprennent celles des plantes génétiquement modifiées résistantes au glyphosate ou exprimant la toxine Bt mais dans la grande majorité du marché des semences ce sont les hybrides F1 qui sont commercialisés. La descendance de ces hybrides atteignant des rendements exceptionnels ne possède pas ces caractères et les rendements de l’hybride nommé alors F2 sont décevants. Pour mémoire près de 100 % des maïs semés sont des hybrides F1 suivis par la betterave, le tournesol mais aussi les épinards et d’autres légumes. Le public a tendance à ignorer cet état de fait. Dans la réthorique des militants anti-OGMs il y a donc une confusion évidente. Mais entretenir la confusion lorsqu’il n’existe pas d’arguments scientifiques convaincants n’est-il pas la stratégie de ces militants …

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/10/17/la-controverse-de-lamarante-suite/

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  41. Connaissez-vous le nombre gigantesque de dos d’âne illégaux ?

    Face à une prolifération des ralentisseurs urbains, une question se pose : les villes françaises ont-elles privilégié la sécurité au détriment de la légalité ? 450 000 dos d’âne seraient actuellement hors-la-loi.


    Par Grégoire Hernandez
    le 18 octobre 2023 à 12h54


    Une voiture consomme 10 à 28% d'énergie en plus en passant sur un ralentisseur.

    450 000 dos d'âne hors-la-loi !

    Les rues de nos villes et villages sont désormais couvertes de dos d'âne contre les excès de vitesse. Ces ralentisseurs, présents partout, suscitent toutefois une vive inquiétude. L’association varoise "Pour Une Mobilité Sereine et Durable" met en avant un chiffre choc : 450 000 ralentisseurs seraient hors-la-loi. Thierry Modolo-Dominati, porte-parole de l'association, est déterminé à mener ces aménagements problématiques devant le Conseil d'État.

    S'ils sont indéniablement utiles pour sécuriser certains points stratégiques, les dos d’âne sont loin de faire l'unanimité. Philippe Nozière, de 40 Millions d’automobilistes, souligne l'écartèlement des autorités locales, entre ceux qui réclament ces ralentisseurs à chaque carrefour et ceux qui les jugent dangereux. Leur rôle principal reste la protection, notamment « aux abords des écoles ou des passages piétons ». Mais si l'installation déroge aux normes, leur efficacité peut être compromise. Nées dans les années 80, ces installations ont rapidement été critiquées pour leur non-conformité, une tendance qui, hélas, persiste encore aujourd'hui selon Pierre Chasseray, délégué général de l’association sur Le Progrès.

    Des critères très peu respectés

    La réglementation, bien que claire, est trop souvent mise de côté. Un dos d’âne conforme doit respecter des critères précis : une hauteur de 10 cm, une forme circulaire étalée sur quatre mètres et une saillie d’attaque de moins de 5 mm. Les lieux d'installation sont également réglementés, écartant les zones à forte affluence ou les proximités avec des centres de secours. Pourtant, dans la réalité, ces normes sont écartées. Près de Toulouse, un ralentisseur culminant à 15 cm fait jaser. Les riverains se plaignent des bruits récurrents, témoignant de son non-respect des standards.

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  42. Outre les nuisances sonores, un ralentisseur non conforme représente un risque pour les véhicules. En effet, une mauvaise conception peut causer des dommages matériels, voire des accidents. Jean-Christian Meslet, à la tête de l’automobile club du Midi Toulouse, exige le respect strict des normes sur France 3 Occitanie. Les chiffres parlent d'eux-mêmes : 4 ralentisseurs sur 10 dérogeraient à la législation. Face à ce constat, les associations montent au créneau, prêtes à faire entendre leur voix pour que sécurité rime enfin avec légalité.

    https://www.economiematin.fr/dos-dane-securite-route-illegaux

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  43. Prix du gaz : une forte hausse vous attend en 2024

    Le tarif de distribution du gaz, qui représente environ un quart de la facture totale, connaîtra une augmentation significative au 1er juillet 2024. Mais de combien exactement ? Et pourquoi cette hausse ? Voici ce que vous devez savoir.


    Par Paolo Garoscio
    le 18 octobre 2023 à 12h32


    L'augmentation moyenne des prix du gaz sera de 15 % en 2023 en France.

    Une augmentation du prix du gaz à cause des coûts de distribution

    La Commission de régulation de l’énergie (CRE) est actuellement en consultation avec les acteurs du marché sur les évolutions envisagées pour le futur tarif de distribution de gaz naturel de GRDF pour la période 2024-2027. Cette consultation, ouverte jusqu'au 20 novembre 2023, s'inscrit dans le cadre des orientations de la prochaine Programmation Pluriannuelle de l’Energie (PPE).

    L’objectif de la consultation est simple : établir le niveau d’augmentation du tarif de distribution. Un montant que les Français payent dans leur facture. Celle-ci va donc augmenter de manière certaine.

    Plusieurs facteurs expliquent cette augmentation. D'une part, il y a une volonté de réduire la consommation de gaz et d'augmenter la production de biométhane pour atteindre la neutralité carbone d'ici 2050. D'autre part, des coûts supplémentaires sont anticipés pour maintenir et adapter les réseaux de distribution face à ces nouveaux enjeux.

    Plus de 10 % d’augmentation de la facture de gaz pour certains clients

    GRDF a demandé une hausse de 41 % de son tarif de distribution. Cependant, la CRE estime cette demande excessive. En se basant sur les charges envisagées, la CRE prévoit une augmentation moyenne des termes tarifaires du tarif de distribution de GRDF de +30 % au 1er juillet 2024. C’est ce taux qui doit être fixé dans le cadre de la consultation lancée par la Commission de Régulation de l’Énergie. Cette hausse serait ensuite limitée à l'inflation pour les trois années suivantes. Ce qui implique de nouvelles augmentations annuelles, mais moindres.

    L’augmentation du tarif de distribution du gaz se traduirait alors par une augmentation d'environ 6,3 % hors taxes pour un client moyen chauffé au gaz. Pour ceux qui utilisent le gaz pour l'eau chaude et la cuisson, l'augmentation serait de 11,3 %. Une augmentation qui ne dépend pas du type de contrat et qui sera, de fait, payée par tous les ménages qui utilisent le gaz comme énergie.

    https://www.economiematin.fr/augmentation-tarif-gaz-2024-facture-energie

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  44. La réinitialisation globale se produira rapidement, vous ne serez pas prévenu. (Soit vous serez prêt à l'avance, soit vous serez soumis à toute crise qui se produira. Qu'il s'agisse d'un effondrement des banques, d'un effondrement économique, d'une guerre ou des trois, personne ne le sait, mais ce sera la plus grande crise au monde.) événement économique de l'histoire.)


    parMadge Waggy
    16 octobre 2023


    Avez-vous entendu parler de la réinitialisation prévue par le Fonds monétaire international pour le système financier mondial ? Ce n’est probablement pas le cas, mais ce n’est pas grave, la plupart des gens ne l’ont pas fait. S’il n’était pas à la tête de l’institution financière la plus puissante du monde, il serait facile de le considérer comme sans importance, mais le FMI a le pouvoir d’y parvenir.

    Mais comment ? Réponse rapide, le SDR. Le DTS est l’abréviation de « Droits de tirage spéciaux », qui est pour ainsi dire l’argent du FMI. Sans entrer dans les complexités du sujet, considérez-le comme une monnaie réservée aux États-nations.

    Les entreprises et les particuliers ne peuvent pas accéder aux DTS. Les DTS sont ce que le FMI utilise pour renflouer les nations et « rééquilibrer les économies ». Il s’agit de monnaie numérique et non de monnaie forte. Vous ne pouvez pas détenir un DTS en main, ni en faire un chèque. Qu'est-ce qui les soutient ? Monnaies internationales. Les grandes économies comme l’UE, les États-Unis, la Grande-Bretagne, la Chine et d’autres apportent leurs monnaies au FMI sous forme de dons destinés à maintenir le système financier mondial.

    L’article le plus choquant se trouve ci-dessous.

    L’agenda caché des libéraux : bien plus que vos armes…

    … l’effondrement imminent du système d’approvisionnement alimentaire américain volera la nourriture des tables de vos enfants…

    Regardez cette vidéo ci-dessous pour découvrir les grands secrets cachés par le gouvernement.

    - voir sur site -

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  45. Lorsqu’un pays comme la Grèce est en difficulté, le FMI peut choisir d’émettre des DTS, qui peuvent être convertis dans n’importe quelle devise. Ainsi, dans le cas de la Grèce, il convertirait ses DTS en euros. N'oubliez pas que les DTS sont uniquement numériques et que l'on pourrait dire qu'ils ont été créés pour être convertis dans une autre devise.

    Les DTS ont été créés en 1969 et sont utilisés par de nombreux pays. Il y a eu des moments où des forces politiques ont tenté de faire des DTS la monnaie mondiale, mais aucune n’y est parvenue. Mais aujourd’hui plus que jamais, il existe un consensus croissant parmi les nations pour amener les DTS sur la scène mondiale en tant que monnaie unique. À quoi cela ressemblerait exactement et comment cela se produirait sont des détails que seule une poignée de personnes connaissent, mais il y a une réunion tous les 5 ans pour discuter du DTS et la prochaine réunion aura lieu en octobre 2025.

    Pourquoi c’est important.

    Au cours des cinq dernières années, des pays comme la Russie et la Chine ont appelé à un système mondial unique, à une monnaie mondiale unique, à savoir le DTS. Auparavant, ces deux nations s’opposaient à ce système, mais elles sont désormais toutes deux de ardents défenseurs de ce changement monumental. Cela ne laisse aucune résistance substantielle aux DTS parmi les nations, à l’exception de pays comme l’Iran, la Syrie et de petits pays qui n’ont pas leur mot à dire sur ces questions.

    Retour à la réinitialisation. Le terme « destruction créatrice » est populaire parmi les économistes, il fait référence au processus de destruction de quelque chose afin de donner naissance à quelque chose de meilleur. Dans ce scénario, ils considéreraient la destruction comme « créatrice ». C’est exactement ce que pensent les dirigeants des grandes institutions financières, des nations et de divers acteurs mondiaux. Ils l’ont dit avec leurs propres mots, et quand des gens dotés de ce genre de pouvoir disent qu’ils veulent faire quelque chose, il serait sage de s’en souvenir. C’est vrai qu’ils ne réussissent pas toujours, mais généralement ils y parviennent.

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  46. La réinitialisation globale sera une réinitialisation de la devise. Certaines devises seront choisies pour former un « panier » de devises, qui constitueront les quelques devises privilégiées vers lesquelles les DTS pourront se convertir. D’autres monnaies existeront-elles encore ? Je ne le sais pas, mais même s’ils le faisaient, leur valeur serait considérablement diminuée. Au moment où j’écris ces lignes, nous sommes déjà confrontés à une crise monétaire dans le monde, car le dollar américain est devenu bien plus précieux que les autres monnaies, en particulier celles des pays émergents.

    Pourquoi c'est un problème. Le dollar américain est la monnaie de réserve mondiale, donc pour commercer avec d’autres pays, il est généralement nécessaire de convertir la monnaie de votre pays en USD. Cela devient un problème lorsque votre monnaie vaut très peu de dollars américains, cela rend tout plus cher, trop cher. Cela peut cependant être un avantage pour les exportations, car d’autres pays considèrent vos produits comme moins chers en raison de la dévaluation de votre monnaie, mais à moins que le pays ne soit un exportateur majeur, cela ne suffit pas à compenser le désavantage de la dévaluation.

    Cette tendance ne montre aucun signe de changement et aura pour conséquence, à terme, que les pays émergents ne soient pas en mesure de rembourser leur dette libellée en USD ou d’importer les biens nécessaires à leur société. C’est pourquoi nous avons besoin d’une réinitialisation, entre autres raisons avancées par le FMI. Si vous écoutez le FMI discuter de la réinitialisation, cela semble être un changement nécessaire et bénéfique pour le commerce mondial. Mais derrière ces quelques avantages se cachent des pièges très désagréables.

    Les DTS placeront le contrôle de la monnaie mondiale entre les mains de quelques-uns. L’argent n’aura aucune valeur intrinsèque, pire encore qu’aujourd’hui, où nous échangeons simplement des morceaux de papier sans valeur intrinsèque, nous passerons à la monnaie numérique. D’un simple clic de souris, des milliards, des billions ou des quadrillions peuvent être donnés ou retirés. C'est beaucoup de pouvoir. Beaucoup de gens comprennent le danger d’un tel système et résisteront donc, le FMI et ses alliés le savent déjà, c’est pourquoi ils croient qu’ils devront orchestrer une crise suffisamment grande pour pousser le monde entier à mendier un nouveau système. Cela est facile à réaliser lorsque vous bénéficiez de la coopération des plus grandes banques, gouvernements et institutions du monde.

    La réinitialisation globale se produira rapidement, vous ne serez pas prévenu. Soit vous serez prêt à l’avance, soit vous serez soumis à toute crise qui se produira. Qu’il s’agisse d’un effondrement des banques, d’un effondrement économique, d’une guerre, ou des trois, personne ne le sait, mais ce sera le plus grand événement économique mondial de l’histoire.

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  47. Il n’y a aucun moyen de savoir exactement ce qui va se passer, mais il existe des moyens de s’y préparer.

    Je recommande fortement ce livre : The Home Doctor – Practical Medicine for Every Household – est un guide de 304 pages écrit et approuvé par un médecin sur la façon de gérer la plupart des situations de santé lorsque l'aide n'est pas en route.

    Si vous voulez voir ce qui se passe lorsque les choses tournent mal, il suffit de regarder le Venezuela : pas d’électricité, pas d’eau courante, pas de loi, pas d’antibiotiques, pas d’analgésiques, pas d’anesthésiques, pas d’insuline ou d’autres choses importantes.

    Mais si vous voulez savoir comment vous pouvez encore vous débrouiller dans une situation comme celle-ci, vous devez également vous tourner vers le Venezuela et apprendre les méthodes ingénieuses qu’il a développées pour y faire face.

    https://sevenwop.home.blog/2023/10/16/the-global-reset-will-happen-fast-you-wont-be-warned-youll-either-be-ready-in-advance-or-youll-be-subject-to-whatever-crisis-unfolds-whether-it-be-a-collapse-of-the-ban/

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    1. (...) Retour à la réinitialisation. Le terme « destruction créatrice » est populaire parmi les économistes, il fait référence au processus de destruction de quelque chose afin de donner naissance à quelque chose de meilleur. Dans ce scénario, ils considéreraient la destruction comme « créatrice ». (...)

      Le 'Droits de Tirage Spéciaux' est LA planche-à-billets numérique. Ce 'droit' permet d'inventer des milliards de milliards et d'en prêter cet 'argent' contre remboursement... non-pas d'ordinateur à ordinateur mais de billets !! contre cette 'somme' fantôme imaginée !!
      C'est-à-dire que VOUS TRAVAILLEZ POUR RIEN !!

      Eh oui ! Fallait le dire ! Le mot 'tirage' (dans DTS) est fortement imagé car l'ordinateur qui envoie des chiffres ne fait pas de tirage mais seulement un envoie de chiffres à quelqu'un et non de billets.
      Donc, on passe de la vieille 'planche-à-billets' à l'ordinateur.
      Mais là où est le problème c'est que n'importe qui peut acheter n'importe quoi avec ! Par exemple 3000 hectares de terre qui seront laissées à l'abandon afin qu'elles ne produisent plus et que la famine s'installe !

      Depuis l'arrivée des machines, ces dernières ont multiplié le rendement par 100 ou 1000 ou 10 000. Donc là - me direz-vous - tout le monde doit être milliardaires de faire travailler des machins 24/24 h sans payer le truc qui continue de fonctionner. Exact. Oui mais là interviennent... des taxes !! Des taxes ?!! Des taxes sur quoi ??! Des taxes sur le pétrole utilisé ou sur l'électricité consommée par la machine afin de réduire les bénéfices... à presque zéro !

      Regardez le prix du pétrole ! Multiplié par... En Irak, au bon temps de Saddam Hussein (avant la 'guerre du Golfe') le prix du litre d'essence à Bagdad était de 0,5 centime de franc ! Soit 200 litres d'essence pour un franc - c'est-à-dire 15 centimes d'euro ! Et... à quel prix il est aujourd'hui ? HOULALA ! Le prix de la machine a t-il été augmenté ? NON ! Mais alors... d'où vient ce prix plafond ? Devinez !

      C'est tous les jours que les comptes en banques sont surveillés afin qu'ils ne grossissent pas (d'où l'arrivée de taxes et d'impôts illégaux. C'est à çà que les fonctionnaires s'activent à être surpayés pour un travail... fournit par l'ordinateur (payé par le contribuable).

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  48. Presque immédiatement, la notion de droits de l’homme est passée au second plan. Évidemment. Il en a été de même pour l’idée d’une liberté égale : elle a été immédiatement mise à mal. Par édit, la population humaine était divisée en catégories. Cela a commencé par des distinctions essentielles et non essentielles tirées de protocoles militaires qui se sont soudainement propagés à l’ensemble du monde civil.

    Ce n’était que le début de profondes divisions. La stigmatisation des malades commença aussi immédiatement. Étaient-ils malades parce qu’ils n’étaient pas suffisamment observants ? Ont-ils désobéi aux protocoles ? En cent ans de santé publique, nous n’avons pas vu un tel niveau et une telle échelle de démarcation. Une partie de cela a été tentée pendant la crise du sida (sous l’impulsion de nul autre qu’Anthony Fauci), mais pas de manière agressive ou globale.

    À cette époque, on sentait disparaître le souci des droits fondamentaux et des libertés, et avec lui la conscience morale de l’esprit public. Dès le début, c’était comme la loi martiale et la population était divisée : malades contre bien portants, conformes contre non conformes, essentiels contre non essentiels, chirurgies électives contre urgences nécessitant des services médicaux. Et ainsi de suite.

    Et cela s’est considérablement développé au cours des mois suivants. Lorsque les couvre-visages sont arrivés, ils étaient masqués ou non. Lorsque certains États ont commencé à s’ouvrir, c’est devenu le rouge contre le bleu. Nous contre eux.

    Lorsque le vaccin est arrivé, la division ultime a frappé, s’empilant et submergeant toutes les autres : vaccinés contre non vaccinés. Les mandats ont massivement perturbé la main-d’œuvre. Les lieux publics de villes entières ont été fermés aux personnes non vaccinées, de sorte que les citoyens non conformes ne pouvaient pas se rendre dans les restaurants, bars, bibliothèques, théâtres ou autres lieux publics. Même les lieux de culte ont continué même s’ils n’y étaient pas obligés, divisant leurs congrégations en deux parties.

    Derrière tout cela se cache un motif politique qui remonte à un texte que tous les grands experts célèbrent encore comme une réfutation prémonitoire et décisive des valeurs libérales : le Concept du politique de Carl Schmitt de 1932. Cet essai est totalement dédaigneux des droits de l'homme au motif que de tels ces notions ne soutiennent pas des États robustes. Il était bien sûr un juriste nazi et sa pensée a jeté les bases de la diabolisation des Juifs et de la marche vers l’État totalitaire.

    Dans l’esprit de Schmitt, la distinction ami/ennemi est la meilleure méthode pour rallier les gens autour d’une grande cause qui donne un sens à la vie. C’est cette impulsion qui donne la force à l’État. Il va plus loin : la distinction ami/ennemi s’enflamme mieux dans la réalité de l’effusion de sang :

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  49. Chaque guerre est précédée d’une période de démoralisation (je m’en fiche), de démotivation (je ne peux rien faire) et de déshumanisation (ces gens ne valent pas la peine d’être sauvés). À partir de là, il suffit simplement d’appuyer sur l’interrupteur.

    Brownstone a été fondée à la lumière de l'histoire ci-dessus pour mettre en lumière des idéaux supérieurs, non pas une guerre schmittienne entre amis et ennemis, mais des sociétés de compassion, de dignité, de liberté, de droits et d'exercice de la volonté humaine contre toutes les menaces et tous les recours à la violence publique. et privé. C’est notre phare, maintenant et toujours. L'apocalyptisme ne construit rien ; cela ne fait que détruire. C’est l’instanciation de la philosophie du Joker. Aucune nation ni aucune communauté ne peut y survivre.

    Peu d’entre nous connaissaient ou comprenaient pleinement la profondeur de la dépravation juste sous le mince vernis de civilisation qui dominait auparavant la vaste étendue de nos vies. C’est l’expérience maniaque de contrôle des maladies menée il y a seulement quelques années qui a déclenché cet épisode d’inhumanité de l’homme envers l’homme. Il existe un besoin urgent de savoir comment et pourquoi cela s’est produit, et de prendre des mesures, aujourd’hui désespérées, pour remettre dans la boîte de Pandore tout ce qui a été libéré.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/triumph-apocalyptics

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  50. Le canal de Suez en Égypte se prépare à augmenter les frais de transit, ce qui pourrait intensifier l'inflation mondiale


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 17 OCTOBRE 2023 - 17H45


    L'Égypte a annoncé lundi qu'elle augmenterait les frais de transit pour tous les types de navires transitant par le canal de Suez, une mesure qui pourrait encore amplifier les craintes d'inflation mondiale.

    - voir carte sur site -

    Selon un communiqué publié par l'Autorité du canal de Suez, les frais de transit pour les pétroliers bruts, les transporteurs de GPL, les méthaniers, les chimiquiers et autres pétroliers pour vrac liquide transitant par le canal augmenteront de 15 %, à compter du 15 janvier 2024. l'augmentation pour les vraquiers secs, les cargos, les navires rouliers et autres navires sera de 5 %.

    SCA a déclaré que les porte-conteneurs en provenance de ports de « l'Europe du Nord-Ouest » et se dirigeant directement vers des ports de « l'Extrême-Orient » sont exemptés des hausses de prix des frais de transit.

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  51. Voici l'annonce de SCA :

    - voir doc sur site -

    Même si cela n’aura pas d’impact majeur sur les flux commerciaux, l’augmentation des frais de transit pour les transporteurs empruntant le canal sera très probablement répercutée sur les consommateurs, alimentant encore plus l’inflation.

    Malgré la hausse des prix, le canal reste l'itinéraire le moins cher pour les transporteurs. En 2021, les données de Statista montrent que 20 600 navires ont transité par le canal en 2021.

    https://www.zerohedge.com/commodities/egypts-suez-canal-prepares-rise-transit-fees-potentially-intensifying-global-inflation

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  52. ENCORE 2 ARTICLES CENSURÉS ! (60 - 2 = 58)

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