- ENTREE de SECOURS -



mercredi 11 octobre 2023

De l’étude de l’environnement au traitement des cancers …

 le 10 octobre 2023


Lorsque Rachel Carson publia son fameux livre « Le Printemps silencieux » dénonçant l’usage intempestif de pesticides variés, la mode à l’époque était le DDT, ce fut l’émergence de l’ « écologie scientifique ». Pourtant cet ouvrage (1962) n’entrait pas dans les préoccupations professionnelles de cette scientifique spécialisée dans la biologie marine. Si ses précédents ouvrages étaient de véritables traités scientifiques « Le Printemps Silencieux » (Silent Spring) rassemblait une multitude d’approximations et de contre-vérités allant à l’encontre des résultats toxicologiques des fabricants de pesticides dont en particulier le DDT. 

Ce composé chloré constitua la cible principale de cet ouvrage cer , il faut le répéter, l’usage de ce produit était totalement délirant. Je me souviens avoir attrapé des poux dans l’école primaire de mon village natal et le traitement plébiscité sans contestation était de la Marie-Rose, une poudre rose parfumée avec laquelle on saturait la chevelure et qui était une formulation contenant 50 % de DDT ! Bref, personne n’en est mort par contre Rachel Carson accusa le DDT qui, selon elle, était la cause de la disparition du grand condor de la sierra californienne (si ma mémoire ne me fait pas défaut). L’utilisation du DDT fut par la suite considérablement contrôlé et son usage reste encore l’une des meilleures approches pour exterminer les moustiques dans des circonstances particulières comme par exemple l’application sur les murs à l’intérieur des logements au moyen d’une formulation qui prévient la formation de poussières et d’aérosols. Les moustiques ont en effet une tendance à pénétrer dans les maisons, se poser sur les murs et les plafonds et attendre leur proie au sang chaud. Au contact des murs ou du plafond ils sont foudroyés.

La situation au sujet de la protection de l’environnement a, on pourrait l’affirmer sans être trop éloigné de la réalité, pris une tournure excessive un peu comme Carson l’exprima dans son livre car la réalité est toute autre et je vais m’expliquer en exposant la raison exacte de la disparition alarmante du pygargue à tête blanche (Haliaeetus leucocephalus), l’emblème de l’impérialisme américain (j’ai craché un peu de venin au passage) .

Dans la majeure partie des USA cet oiseau de proie est victime d’une maladie du cerveau et des nerfs appelée myélinopathie vacuolaire. Au cours des tentatives de caractérisation de l’origine de ce désastre « écologique » préoccupant dans le subconscient des Américains un composé fut identifié par une équipe américano-européenne comme étant une toxine bromée produite par des cyanobactéries dont en particulier Aetokthonos hydrillicola qui sont incorporées par les algues des eaux douces et le cycle vivant de l’écosystème aquatique se retrouve intoxiqué jusqu’au pygargue (Science : doi : 10.1126/science.aax9050) :

Revenu d’Europe après cette découverte à l’Université Martin-Luther de Halle-Wittenberg en Allemagne le Docteur Steffen Breinlinger reprit ses travaux sur les toxines des cyanobactéries et il se heurta à un résultat inexplicable en étudiant un extrait de la cyanobactérie Aetokthonos hydrillicola. Il existait à l’évidence une ou plusieurs autres toxines dans cet extrait car l’effet de cette toxine bromée, l’aetokthonotoxine (AETX, voir la structure dans l’illustration ci-dessus et ci-après) était loin de rendre compte de la toxicité de l’extrait total de cyanobactéries. C’est ainsi que la découverte d’une autre toxine près de 1000 fois plus active sur des cultures de cellule en inhibant la formation des micro-tubules intracellulaires impliquées dans la division cellulaire. Il s’agit d’un petit peptide atypique qui a été appelé Aetokthonostatine :

L’étude de la disparition du pygargue va peut-être déboucher sur des traitements anti-tumoraux car ce composé est un très puissant inhibiteur de la division cellulaire. Ce type d’approche thérapeutique pour traiter diverses formes de cancers est prometteur car la quantité de toxine utilisée est très faible compte tenu de la puissance d’inhibition remarquable observée avec divers modèles biologiques utilisés pour quantifier cette activité en laboratoire. Étudier l’équilibre de l’environnement et sa préservation conduit, dans ce cas à une exceptionnelle découverte aux applications thérapeutiques prometteuses. Ce travail, motivé par la curiosité d’une équipe de biologistes travaillant avec des spécialistes de la chimie analytique, permettra probablement de soigner des pathologies qui résistent à la créativité scientifique depuis de nombreuses années. La recherche sur le cancer progresse ainsi grâce au préoccupations des adeptes de la protection de l’environnement … Le Docteur Steffen Breinlinger est ici vivement remercié pour m’avoir communiqué les deux articles cités en référence.

https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/10/10/de-letude-de-lenvironnement-au-traitement-des-cancers/

55 commentaires:

  1. Santé : les bébés aux urgences en danger !

    Le rapport de la Société Française de néonatalogie est plus qu’alarmant : de nombreux nourrissons nécessitant des soins critiques sont en danger. Les services de néonatalogie sont délaissés. Le taux mortalité infantile en France ne descend plus, au contraire, il augmente.


    Par Axelle Ker
    le 11 octobre 2023 à 16h22


    74 % de la mortalité infantile est néonatale en 2021 contre 65 % en 2005

    Bébés en danger : le rapport inquiétant de la SFN

    Les données du dernier rapport de la Société française de néonatalogie, publié le 9 octobre 2023, sont glaçantes. La Société française de néonatologie (SFN), dirigée par Jean-Christophe Rozé, se consacre à la santé des nouveau-nés (âgés de moins de 28 jours), notamment ceux qui sont nés prématurément ou qui présentent des comorbidités. La situation des services de néonatologie est plus qu'inquiétante : « Nous réanimons des bébés dans les couloirs », déclare Jean-Christophe Rozé, président de la SFN, lors d'une interview pour France Info. Les raisons de cette situation alarmante : une surcharge des services de néonatologie et une pénurie de lits de réanimation spécialisés pour les nourrissons. D'après l'enquête de la SFN, « 23 % des services déclarent refuser régulièrement des entrées critiques, faute de place (…) Dans certains services, le taux d'occupation moyen des lits de réanimation pour les nourrissons est supérieur à 100 % ».

    Dans cette pénurie de lits, le rapport de la Société française de néonatalogie met en lumière les grandes disparités entre certaines régions françaises : « Pour bien fonctionner, il faut au minimum un lit pour 1.000 naissances ». Or, seule la région du Grand-Est atteint ce ratio avec 1,28 lits pour 1.000 naissances. D'une région à l'autre, le nombre de lits peut passer du simple au double. La plupart des régions françaises sont en deçà du seuil indiqué par le président de la SFN. Pour illustrer cette disparité : un enfant de 2 mois originaire des Hauts-de-Seine a dû être transféré au CHU de Rouen pour obtenir des soins, parcourant ainsi plus de 100 km.

    Mortalité infantile (UE) : la France passe de la 3e à la 20ème position

    Chaque jour, la France semble prendre le chemin de la tiers-mondisation. En effet, une autre difficulté relevée par l'enquête de la SFN est l'extrême surcharge des services de néonatologie. D'après le rapport, près de 80 % des pédiatres néonatologistes ont déclaré travailler plus de 50 heures par semaine, et 13 % franchissent la barre des 75 heures hebdomadaires. La pression sur ces services est telle que le métier de néonatologiste peine à recruter et perd des vocations chaque année : « au moins un poste de pédiatre néonatologiste est vacant dans 73 % des services de, et deux ou plus sont vacants dans 46 % des services ». Autre chiffre préoccupant : « 80 % des services de néonatalogie comptent au moins 1/3 de leur effectif infirmier ayant moins de deux ans d’expérience ».

    Comme l'indique le rapport de la Société française de néonatalogie, le taux de mortalité infantile est en augmentation en France : en 2021, 74 % de la mortalité infantile était néonatale, contre 65 %. Et comme le souligne, Jean-Christophe Rozé, président de la SFN : « Il est frappant de voir que certains pays, comme la Suède, progressent positivement, tandis que d'autres, comme la France, regrettent leur trajectoire ». En une décennie, la France est passée de la 3ème à la 20ème place dans le classement européen de la mortalité infantile. « On compte 1 000 enfants de moins d'un an qui décèdent en plus, comparativement à des pays comme la Suède et la Norvège. Parmi eux, environ 700 ont moins d'un mois ».

    https://www.economiematin.fr/sante-bebe-urgence-hausse-mortalite

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  2. AYEZ PEUR : les experts mondiaux de la santé affirment que la prochaine pandémie pourrait être jusqu’à 20 FOIS PLUS MORTELLE que le 'COVID-19'


    10/10/2023
    Laura Harris


    Des experts alarmistes en santé mondiale pensent que la prochaine pandémie pourrait être jusqu’à 20 fois plus meurtrière que le coronavirus de Wuhan (COVID-19).

    « Permettez-moi de m'exprimer ainsi : la pandémie de grippe de 1918-1919 a tué au moins 50 millions de personnes dans le monde, soit deux fois plus que celles tuées lors de la Première Guerre mondiale. Aujourd'hui, nous pourrions nous attendre à un bilan similaire en raison de l'un des nombreux virus qui ont déjà existent", a prévenu Kate Bingham, ancienne présidente du groupe de travail britannique sur les vaccins.

    Surnommée « Maladie X » par l'Organisation mondiale de la santé (OMS), cette catastrophe potentielle est plus une probabilité qu'une possibilité et pourrait survenir à tout moment. Le virus responsable pourrait émerger du vaste réservoir de virus non découverts qui se cachent dans Mère Nature. (En relation : Prochaine PLANDÉMIE ? Le CDC prévient que le virus de Marburg arrive.)

    En comparant l’ampleur potentielle de la maladie X à celle de la pandémie de grippe espagnole de 1918, les spécialistes de l’OMS affirment qu’elle pourrait atteindre des proportions similaires. Par conséquent, le monde doit être prêt à développer et à distribuer rapidement des vaccins pour combattre la maladie, car son impact destructeur dépassera probablement celui du COVID-19, auquel le monde était mal préparé lorsqu’il est apparu début 2020.

    Bingham a souligné que les scientifiques connaissent actuellement 25 familles de virus, chacune comprenant des milliers de virus individuels présentant un potentiel pandémique. En outre, on estime qu’environ un million de virus non découverts pourraient se cacher dans le monde naturel, capables de se propager d’une espèce à l’autre et de provoquer une dévastation humaine généralisée.

    "Dans un sens, nous avons eu de la chance avec le COVID-19. Le fait est que la grande majorité des personnes infectées par le virus ont réussi à s'en remettre. Imaginez que la maladie X soit aussi contagieuse que la rougeole avec le taux de mortalité d'Ebola [67 pour cent]. Quelque part dans le monde, cela se reproduit, et tôt ou tard, quelqu'un commencera à se sentir malade", a prévenu Dame Kate Bingham.

    Bill Gates prévient que la prochaine pandémie pourrait être d’origine humaine et pire que le COVID-19
    Pendant ce temps, le mondialiste et cofondateur de Microsoft, Bill Gates, a averti le public que la prochaine pandémie pourrait être « d’origine humaine » et « beaucoup plus brutale » que la précédente.

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  3. Lors de son discours au Lowy Institute plus tôt cette année à Sydney, en Australie, Gates a souligné l’urgence d’une coopération mondiale et d’une préparation pour éviter une catastrophe économique sans précédent.

    Gates a souligné l’importance d’éviter une dévastation économique et a appelé à une plus grande collaboration mondiale en réponse à d’éventuelles futures pandémies. "Comparez le coût économique de la préparation à la prochaine crise au coût de celle-ci – plus de 10 000 milliards de dollars de perte économique", a déclaré Gates, soulignant l'impact stupéfiant de la pandémie de COVID-19 sur l'économie mondiale. « Avec la pandémie, nous avons été stupides de ne pas disposer des outils, de la pratique et de la capacité mondiale nécessaires pour être en veille, comme nous le faisons en cas d'incendie ou de tremblement de terre. »

    Il a proposé des exercices complets et réguliers de préparation à une pandémie aux niveaux national et régional et a souligné la nécessité d'un organisme mondial pour évaluer et noter l'état de préparation des nations à la pandémie dans le monde entier.

    "La seule chose qui reste en jeu est de savoir si nous aurons la capacité mondiale, aux niveaux régional et national, d'agir rapidement lorsqu'une menace de maladie infectieuse apparaît pour l'empêcher de se propager à l'échelle mondiale. Nous devons mener des exercices complets tous les cinq années aux niveaux national et régional de préparation à une pandémie, et nous avons besoin d'un groupe mondial qui note tout le monde", a expliqué Gates.

    Gates a également salué la réponse de l'Australie à la pandémie de COVID-19, en particulier son adoption rapide de diagnostics à l'échelle de la population et de politiques strictes de quarantaine. Il a salué les mesures « presque draconiennes » prises par le pays, qui ont contribué à maintenir les taux d'infection à un faible niveau au cours de la première année, lorsque les vaccins n'étaient pas encore disponibles.

    "Certaines choses qui ressortent sont que l'Australie et environ sept autres pays ont réalisé très tôt des diagnostics à l'échelle de la population et ont mis en place des politiques de quarantaine. Cela signifie que vous avez maintenu le niveau d'infection à un faible niveau au cours de cette première année où il n'y avait pas de vaccins", a déclaré Gates. l'auditoire.

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  4. Visitez Outbreak.news pour plus d’histoires sur les épidémies.

    Regardez Todd Callender avertir Maria Zeee que Marburg est la prochaine « plandémie ».

    Cette vidéo vient de la chaîne sur Brighteon.com.

    More related stories:

    Why globalists desperately need control of Arizona before they unleash the next staged pandemic.

    IT’S COMING: Fake president Biden already buying more covid equipment, hiring pandemic “safety protocol” enforcers for next round of LOCKDOWNS.

    The “next pandemic” is coming, says Bill Gates, who says more censorship needed to “moderate some of the insanity online.”

    Eerie coincidence or smoking gun? Daszak warned WHO in 2018 that next pandemic would be caused by unknown, novel pathogen new to humans.

    Bill Gates: Next pandemic likely to be man-made and worse than COVID-19.

    Sources include:

    Mirror.co.uk
    NewsPunch.com
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2023-10-10-health-experts-next-pandemic-deadlier-than-covid.html

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    1. (...) Bingham a souligné que les scientifiques connaissent actuellement 25 familles de virus, chacune comprenant des milliers de virus individuels présentant un potentiel pandémique. (...)

      Primo, il ne s'agit pas de 'les scientifiques' mais DES 'scientifiques' !
      Secundo: Un 'virus' est une NANO-POUSSIÈRE (1 millième de millimètre, un millionième de centimètre ou 1 milliardième de mètre) TOTALEMENT INOFFENSIVE (sauf les poussières radioactives - ce qui n'est PAS le cas !).

      Nota: Ces poussières microscopiques NE SONT PAS DANS L'AIR ! (et celles qui y sont sont TOTALEMENT INOFFENSIVES !/Nous respirons toutes & tous 200 000 poussières (appelées 'virus') ET microbes PAR MINUTE ! Soir DES milliards depuis CE MATIN et DES montagnes de milliards depuis notre naissance !! Et... NOUS NE SOMMES PAS MOOOOOORT(E)S !! Çà alors !!

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  5. L’hydroxychloroquine sauve des vies après tout, selon une nouvelle étude
    Entendrons-nous des excuses ?


    IGOR TCHOUDOV
    10 octobre 2023


    Une toute nouvelle étude scientifique a comparé des centaines de patients hospitalisés sous hydroxychloroquine (et azithromycine) avec des milliers de témoins ayant reçu des soins hospitaliers standards.

    https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2052297523000914

    Cette étude a été soigneusement réalisée, évaluée par des pairs et publiée dans une revue prestigieuse.

    L’étude a porté sur des patients très malades et hospitalisés atteints du COVID-19 et a tenté de voir si l’hydroxychloroquine, administrée avec ou sans l’antibiotique azithromycine, contribuerait à sauver des vies.

    Les auteurs ont sélectionné des contrôles correspondants pour tenir compte d'éventuels effets de confusion.

    Nous avons mené une analyse rétrospective pour comparer le taux de mortalité à 28 jours chez 352 patients traités par hydroxychloroquine avec ou sans azithromycine (groupe HCQ) dans notre hôpital avec un groupe témoin contemporain de 3533 patients recevant les soins standard du Groupe de collaboration belge sur le COVID. -19 Surveillance hospitalière.

    Les scientifiques ont découvert que l’hydroxychloroquine sauvait effectivement des vies :

    Une réduction statistiquement significative du taux brut de mortalité à 28 jours a été observée dans le groupe HCQ par rapport au traitement standard (16,8 % contre 25,9 %, p ​= ​0,001).

    Pour ceux qui ne sont pas enclins aux statistiques, p = 0,001 signifie qu’il y a moins d’une possibilité sur mille que ce résultat soit un hasard. En d’autres termes, il s’agit d’une constatation d’un très haut degré de certitude statistique.

    Les scientifiques ont fait tout leur possible pour éliminer tous les facteurs de confusion possibles, tels que l'effet de l'âge, etc.

    Après ajustement pour ces variables, le RC pour la mortalité était de 0,635 (IC à 95 % : 0,464-0,875). Les patients qui n’ont pas reçu d’HCQ présentaient un risque de mortalité 57 % plus élevé.

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  6. Relisez ceci : ceux qui n’ont pas reçu d’HCQ avaient 57 % de chances en plus de mourir, toutes choses égales par ailleurs !

    Les auteurs concluent :

    Un peu d'histoire

    L’hydroxychloroquine était connue comme un médicament sûr et efficace contre le Covid-19 (inoculé) et a été utilisée en Chine dès le début.

    Cependant, disposer d’un médicament sûr et efficace empêcherait une approbation accélérée (autorisation d’utilisation d’urgence) du vaccin Covid-19. Par conséquent, pour les promoteurs du vaccin, il était essentiel d’écarter tout traitement sûr et efficace.

    En effet, une fausse étude Surgisphere a été organisée pour « prouver » l’inefficacité de l’HCQ en utilisant un ensemble de données entièrement fabriqué. Sur la base de cette étude et d’une autre étude parrainée par l’industrie administrant intentionnellement des doses nocives de HCQ, la FDA a recommandé de ne pas utiliser d’hydroxychloroquine. Malgré l'étude Surgisphere révélée comme une fraude élaborée, l'HCQ n'a jamais été réintégrée comme médicament recommandé.

    Malheureusement, le président Trump a présenté l’HCQ comme un traitement efficace. Les médias sponsorisés par Pfizer, souffrant en outre du syndrome de dérangement de Trump, n’ont pas tardé à dénoncer tout ce que Trump recommandait. La vérité ne leur importait pas ; ni la vie des personnes qui pourraient mourir suite à de mauvaises recommandations.

    La suppression des médicaments sûrs et efficaces contre la COVID, tels que l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, coûte malheureusement des vies.

    Combien de vies ont été perdues ?

    Selon les statistiques officielles, 1 178 411 personnes sont mortes du Covid (inoculé) aux États-Unis. Si 37 % de ces vies pouvaient être sauvées grâce à l’HCQ, environ 436 000 personnes ne mourraient pas inutilement. Ils seraient toujours parmi nous, profitant de la compagnie de leurs proches, de leurs enfants et petits-enfants.

    Au lieu de cela, Pfizer a gagné des milliards, la pandémie n’a jamais été stoppée et la presse parrainée par Pfizer a déplacé l’objet de son attention hystérique ailleurs.

    Pensez-vous que nous entendrons des « excuses liées à la pandémie » ?

    https://www.igor-chudov.com/p/hydroxychloroquine-does-save-lives?utm_source=post-email-title&publication_id=441185&post_id=137820800&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=9atnc&utm_medium=email

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    1. (...) Selon les statistiques officielles, 1 178 411 personnes sont mortes du Covid (inoculé) aux États-Unis. Si 37 % de ces vies pouvaient être sauvées grâce à l’HCQ, environ 436 000 personnes ne mourraient pas inutilement. (...)

      100 % des personnes qui ont refusé de se faire inoculer sont vivantes !

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  7. Les « cancers turbo » liés aux vaccins Covid


    Par le Dr Joseph Mercola
    Mercola.com
    11 octobre 2023


    Lien vidéo

    - voir clip sur site -

    Dans une interview accordée à Highwire le 22 septembre 2023 (vidéo ci-dessus), le Dr William Makis, oncologue et chercheur canadien en oncologie, a discuté de l'augmentation alarmante des « cancers turbo » post-injection, un terme inventé pour décrire les cancers à croissance incroyablement rapide chez les personnes qui ont reçu un ou plusieurs 'vaccins' COVID.

    Un exemple de ceci est détaillé dans un rapport de cas de septembre 20231 co-écrit par le Dr Peter McCullough. Il décrit la détérioration rapide d’un homme de 56 ans qui, quelques jours après son injection de COVID, a développé la paralysie de Bell, qui a évolué vers une tumeur agressive à l’oreille et au visage. Comme indiqué dans le résumé :2

    « La tumeur maligne était d'origine cutanée et le cas présentait des symptômes compatibles avec une paralysie de Bell et une névralgie du trijumeau commençant quatre jours après la vaccination… Dans cette étude, nous décrivons tous les aspects de ce cas et discutons des liens de causalité possibles entre l'émergence rapide de ce cancer métastatique et Vaccination à ARNm.

    Nous plaçons cela dans le contexte de multiples déficiences immunitaires potentiellement liées aux injections d’ARNm qui devraient potentialiser une présentation et une progression plus agressives du cancer.

    Le type de tumeur maligne que nous décrivons suggère un risque dans la population d'apparition d'une grande variété de cellules cancéreuses de phénotype basaloïde relativement courantes, qui peuvent potentiellement entraîner une maladie métastatique. Cela peut être évitable grâce à un diagnostic précoce et à un traitement adéquat.

    Étant donné que la paralysie/douleur faciale est l’un des événements neurologiques indésirables les plus courants après l’injection d’ARNm, une inspection minutieuse des tissus cutanés/mous doit être effectuée pour exclure toute tumeur maligne.

    Une revue approfondie de la littérature est réalisée, afin d'élucider la toxicité de la vaccination à ARNm qui aurait pu conduire au décès de ce patient. Des investigations cliniques de routine préventives et précises peuvent potentiellement éviter de futures mortalités.

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  8. Un autre rapport de cas3, publié en novembre 2021, décrivait la progression remarquablement rapide du lymphome angio-immunoblastique à cellules T chez un homme de 66 ans, quelques jours seulement après avoir reçu sa troisième injection de Pfizer.

    Ironiquement, il a reçu le vaccin pour le protéger pendant la chimiothérapie, et en huit jours, le cancer a explosé et s'est propagé comme une traînée de poudre. Selon Makis, ce type de progression prendrait normalement quelques années, ou tout au plus quelques mois.

    Turbo Cancers – Un nouveau phénomène de l’ère COVID

    Comme l’a noté Makis, nous assistons désormais à l’émergence de cancers à croissance rapide du sein, du côlon, de l’œsophage, des reins, du foie, du pancréas, des voies biliaires, du cerveau, des poumons et du sang – y compris des types de cancer extrêmement rares.

    Mais ce n'est pas tout. Ces cancers apparaissent chez les jeunes, souvent âgés de moins de 30 ans, sans antécédents familiaux de cancer. Ils apparaissent chez les femmes enceintes et les jeunes enfants. Tout aussi étrange est le fait que la plupart sont au stade 3 ou 4 au moment où ils sont diagnostiqués, alors que les symptômes sont apparus il y a seulement quelques jours ou semaines.

    Les cancers se développent et se propagent si rapidement que bon nombre de ces patients meurent avant même que le traitement puisse commencer. La plupart d’entre eux résistent également aux traitements conventionnels et n’y répondent pas. "Je n'ai jamais vu un cancer se comporter ainsi", déclare Makis, et il devrait le savoir, ayant jusqu'à présent diagnostiqué 20 000 patients atteints de cancer au cours de sa carrière.

    Makis a eu vent de ce phénomène pour la première fois lorsqu’il a commencé à suivre les décès soudains de médecins canadiens, qui ont dû recevoir toute la batterie de vaccins contre la COVID pour conserver leur emploi. En quelques mois, il y a eu une série de morts subites parmi eux, la plupart dues à des crises cardiaques et mourant dans leur sommeil. Mais il y avait aussi un groupe important de médecins qui ont développé des cancers agressifs.

    Makis souligne que lorsque vous consultez les pages de Go Fund Me demandant des dons pour le traitement du cancer, une grande partie de ces personnes exercent des professions mandatées pour prendre des photos, comme des professionnels de la santé et des enseignants, des policiers, des pompiers, le personnel militaire et les équipages des compagnies aériennes.

    Mécanismes d'action potentiels

    Lorsqu’on lui demande comment les injections de COVID pourraient causer ces turbo-cancers, Makis décrit plusieurs mécanismes possibles pouvant conduire au cancer chez les personnes sensibles. La principale est la modification de l’ARNm utilisé.

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  9. Les injections COVID ne contiennent pas l’ARNm identique trouvé dans le virus SARS-CoV-2. L’ARNm a été génétiquement manipulé selon un processus appelé « optimisation des codons », dans lequel de la pseudouridine est insérée pour stabiliser l’ARN et empêcher une dégradation rapide.4

    La raison pour laquelle l’optimisation des codons a été utilisée est qu’il est difficile d’amener votre corps à produire une protéine donnée en injectant de l’ARNm. Non seulement ils sont rapidement détruits, mais pour que l’injection fonctionne, ils ont également besoin de niveaux d’expression protéique plus élevés que ce qui est naturellement possible.

    Ils ont contourné ce problème en effectuant des substitutions dans les instructions génétiques. Vous pouvez échanger certains nucléotides (trois nucléotides constituent un codon) et vous retrouver au final avec la même protéine, mais l’efficacité accrue a un coût terrible.

    En remplaçant ainsi des parties du code, la protéine résultante peut facilement être mal repliée, ce qui a été associé à diverses maladies chroniques,5 notamment la maladie d’Alzheimer, la maladie de Parkinson et l’insuffisance cardiaque.6

    Comme l'explique Makis, l'insertion de pseudouridine peut également supprimer votre surveillance immunitaire innée en atténuant l'activité des récepteurs de type péage, ce qui a pour effet en aval de réduire la surveillance du cancer.

    Plus vous prenez d’injections d’ARNm, plus les dommages au système immunitaire sont importants, plus votre risque de surveillance altérée du cancer est grand et, par conséquent, plus votre risque de turbo-cancer est grand.

    D'autres mécanismes possibles incluent :

    • Intégration génomique de l'ARNm modifié par transcription inverse, ce qui pourrait perturber les gènes suppresseurs de tumeurs.

    • Intégration génomique de contaminants ADN dans les injections, ce qui pourrait perturber les gènes suppresseurs de tumeurs.

    • Les tumeurs peuvent ainsi être favorisées par la présence d'un promoteur SV40 dans les contaminants ADN.

    • Les nanoparticules liposomales (LNP) propagent l'ARNm de manière systémique, dans tous les tissus, avec de graves conséquences sur votre fonction immunitaire. Nous savons maintenant que certains individus continuent à produire des protéines de pointe pendant au moins six mois, et lorsque votre corps est exposé de manière répétée (et encore moins continue) au même antigène, cela crée une tolérance.

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  10. En conséquence, vous devenez plus vulnérable aux infections car votre système immunitaire ne lutte plus contre l’antigène. Cependant, les mêmes anticorps qui ciblent les infections ciblent également les cellules cancéreuses, de sorte que votre risque de cancer augmente également.

    • L'ADN plasmidique peut également être absorbé par les bactéries intestinales, les transformant ainsi en une source de production constante d'antigènes (protéines de pointe).

    L’augmentation du cancer sera probablement une tendance à long terme

    Au cours de la première année suivant le déploiement des 'vaccins' contre la COVID-19, la mortalité toutes causes confondues a commencé à augmenter dans les pays du monde entier et, une fois de plus, ce sont les personnes plus jeunes, en âge de travailler, qui meurent à un rythme sans précédent.

    La bonne nouvelle est que l’utilisation du rappel a explosé au cours des six derniers mois. Au Canada, seulement 5 à 6 % ont été boostés. La mauvaise nouvelle est que l’avalanche de cancers va probablement se poursuivre à long terme.

    Les décès par cancer vont probablement continuer à augmenter, car si nous ne connaissons pas le mécanisme exact qui les sous-tend, nous ne pouvons pas les traiter, note Makis, et la chimiothérapie et la radiothérapie s’avèrent inutiles. Ils ne fonctionnent pas contre ces cancers à apparition rapide.

    - voir clip sur site -

    Ce qu’il faut retenir ici, c’est que plus vous prenez d’injections d’ARNm, plus les dommages au système immunitaire sont importants, plus votre risque de surveillance altérée du cancer est grand et, par conséquent, plus votre risque de turbo-cancer est grand.

    Lésions cérébrales et cardiaques mortelles après une injection

    Le cancer n’est pas le seul danger auquel le vaccin est confronté. Dans la vidéo ci-dessus, John Campbell, un infirmier enseignant à la retraite, passe en revue le cas7 d’un homme de 76 ans atteint de la maladie de Parkinson, décédé trois semaines après avoir reçu sa troisième injection contre le COVID-19. L'autopsie a révélé d'importantes lésions cardiaques et cérébrales.

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  11. Le premier vaccin qu’il a reçu était le vaccin vectoriel adénoviral d’AstraZeneca. Les deux suivants étaient de Pfizer. Comme l’a noté Campbell, alors que certains soutiennent que les lésions cardiaques et cérébrales constituent un risque d’infection au COVID, mais pas les injections, ce rapport de cas a démontré de manière concluante que ces dommages ont été causés par les injections et non par une infection naturelle. Comme indiqué dans le résumé :8

    «… les analyses histopathologiques du cerveau ont révélé des résultats insoupçonnés auparavant, notamment une vascularite aiguë… ainsi qu'une encéphalite nécrosante multifocale d'étiologie inconnue avec une inflammation prononcée, notamment une réaction gliale et lymphocytaire.

    Au niveau du cœur, des signes de cardiomyopathie chronique ainsi qu'une myocardite lympho-histiocytaire aiguë légère et une vascularite étaient présents. Bien qu’il n’y ait eu aucun antécédent de COVID-19 pour ce patient, une immunohistochimie des antigènes du SRAS-CoV-2 (protéines de pointe et nucléocapside) a été réalisée.

    Étonnamment, seule la protéine de pointe, mais aucune protéine de nucléocapside, n’a pu être détectée dans les foyers d’inflammation du cerveau et du cœur, en particulier dans les cellules endothéliales des petits vaisseaux sanguins.

    Puisqu’aucune protéine de nucléocapside n’a pu être détectée, la présence de protéine de pointe doit être attribuée à la vaccination plutôt qu’à une infection virale. Les résultats corroborent les rapports antérieurs sur l’encéphalite et la myocardite causées par les vaccins génétiques contre la COVID-19.

    La fertilité est-elle également affectée ?

    Des recherches récentes confirment également des rapports antérieurs9 faisant état d’hémorragies menstruelles chez les femmes pré-, péri- et postménopausées, dont les implications sont encore inconnues. Tel que rapporté par Medical Xpress, le 2 octobre 2023 : 10

    « Des recherches menées par l’Institut norvégien de santé publique suggèrent que les vaccins contre le COVID-19 ou la réponse de l’organisme à ceux-ci peuvent entraîner des saignements vaginaux inattendus chez les femmes. Ce phénomène a été observé chez les femmes à différents stades de reproduction.

    Dans un article11 intitulé « Saignements vaginaux inattendus et vaccination contre le COVID-19 chez les femmes non menstruées », publié dans Science Advances, l'équipe de chercheurs en santé publique détaille ses résultats qui soulèvent la possibilité que la protéine de pointe du virus SARS-CoV-2, qui est visé par les vaccins, pourrait être impliqué dans ce phénomène…

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  12. L'étude a inclus environ 22 000 participants, âgés de 32 à 64 ans, de l'étude norvégienne de cohorte mère, père et enfant (MoBa) et de la cohorte senior, âgés de 65 à 80 ans.

    Des saignements vaginaux inattendus ont été signalés chez 3,3 % des femmes ménopausées, 14,1 % des femmes en périménopause et 13,1 % des femmes préménopausées, soit plus de trois fois les taux attendus. Environ la moitié des femmes qui ont signalé des saignements vaginaux inattendus en ont eu connaissance dans les 28 jours suivant une vaccination contre le COVID-19.

    Il est important de noter que l’étude a révélé que seulement 31 % des femmes ayant signalé des saignements anormaux ont consulté un médecin, et encore moins ont consulté un médecin lorsque le saignement s’est produit après leur injection de COVID. Par conséquent, cet effet secondaire n’est pas pris en compte par les bases de données liées aux soins de santé.

    Vous avez reçu le vaccin ? Agissez pour protéger votre santé

    Si vous avez déjà reçu un ou plusieurs vaccins et que vous avez maintenant des inquiétudes concernant votre santé, que pouvez-vous faire ? Eh bien, avant tout, ne prenez jamais un autre rappel COVID, une autre injection de thérapie génique à ARNm ou un vaccin ordinaire. Vous devez mettre fin à l’assaut contre votre système.

    Si vous avez développé des symptômes que vous n’aviez pas avant votre injection, je vous encourage à demander l’aide d’un expert. À la lumière de la fréquence des turbo-cancers, les femmes ménopausées présentant des saignements intermenstruels après leur injection de COVID seraient probablement sages de se faire évaluer pour exclure un cancer de l'endomètre.

    À l’heure actuelle, la Front Line COVID-19 Critical Care Alliance (FLCCC) semble disposer de l’un des meilleurs protocoles de traitement pour les blessures post-piqûres. Il s’appelle I-RECOVER et peut être téléchargé depuis covid19criticalcare.com.12

    Le Dr Pierre Kory, cofondateur du FLCCC, est passé au traitement plus ou moins exclusif des blessés vaccinaux. Pour plus d’informations, consultez DrPierreKory.com. Le Dr Peter McCullough étudie également les traitements post-injection, que vous pouvez trouver sur PeterMcCulloughMD.com.

    Le Conseil mondial de la santé a également publié des listes de remèdes qui peuvent aider à inhiber, neutraliser et éliminer la protéine de pointe, dont la plupart des experts s'accordent à dire qu'elle est la principale responsable. J’en ai parlé dans mon article de 2021, « Le Conseil mondial de la santé révèle Spike Protein Detox ».

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  13. Sources and References

    1, 2 EXCLI Journal 2023;22:992-1011
    3 Frontiers in Medicine November 25, 2021; 8: 798095
    4 Ehden Substack August 20, 2021
    5 Nature Medicine December 6, 2011; 17: 1536-1538
    6 Autophagy August 2008; 4(6): 821-823
    7, 8 Vaccines 2022; 10(10): 1651
    9 Science July 15, 2022
    10 Medical Xpress October 2, 2023
    11 Science Advances September 22, 2023; 9(38)
    12 Covid19criticalcare.com

    https://www.lewrockwell.com/2023/10/joseph-mercola/turbo-cancers-linked-to-covid-jabs/

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  14. Bill Gates investit 40 millions de dollars pour le développement d'un vaccin à ARNm en Afrique


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 11 OCTOBRE 2023 - 10H15
    Rédigé par Naveen Athrappully via The Epoch Times


    La Fondation Gates dépense 40 millions de dollars dans des pays d’Afrique et d’autres pays économiquement arriérés pour produire de nouveaux vaccins à ARNm dans le cadre des efforts de prévention contre des maladies comme la tuberculose et le paludisme.

    Lundi, la Fondation Bill & Melinda Gates a annoncé un financement de 40 millions de dollars pour « améliorer l'accès à la recherche sur l'ARNm et à la technologie de fabrication de vaccins qui soutiendra la capacité des pays à revenu faible et intermédiaire (PRFI) à développer à grande échelle des vaccins de haute qualité qui sauvent des vies. ", selon un communiqué de presse du 9 octobre. Les 40 millions de dollars seront consacrés à l’amélioration de l’accès à une plateforme de recherche et de fabrication d’ARNm à faible coût développée par la société belge Quantoom Biosciences.

    Alors que 20 millions de dollars iront à Quantoom, deux instituts de recherche en Afrique, situés au Sénégal et en Afrique du Sud, recevront chacun 5 millions de dollars. Les 10 millions de dollars restants seront destinés aux fabricants de vaccins des pays à revenu faible ou intermédiaire.

    La plate-forme de Quantoom peut entraîner une baisse de plus de 50 % des coûts de développement de vaccins à ARNm par rapport à la technologie traditionnelle à ARNm, indique le communiqué.

    La fondation fait valoir que les vaccins à ARNm ont « des processus de recherche et de fabrication plus simples » par rapport aux vaccins traditionnels. Ainsi, l’extension de la technologie à des pays comme l’Afrique du Sud et le Sénégal pourrait conduire au développement de vaccins à ARNm à faible coût contre des maladies comme le paludisme et la tuberculose.

    Le financement de 40 millions de dollars s’ajoute à l’investissement précédent de la fondation d’une valeur de 55 millions de dollars dans la technologie de fabrication d’ARNm.

    « Mettre la technologie innovante de l'ARNm entre les mains des chercheurs et des fabricants en Afrique et dans le monde contribuera à garantir qu'un plus grand nombre de personnes bénéficient des vaccins de nouvelle génération », a déclaré le Dr Muhammad Ali Pate, ministre coordonnateur de la santé et de la protection sociale du Nigéria et expert mondial. sur les vaccins.

    « Cette collaboration est une étape encourageante qui augmentera l’accès aux technologies de santé essentielles et aidera les pays africains à développer des vaccins qui répondent aux besoins de leurs populations. »

    Le nouvel investissement de la fondation Gates intervient alors que la technologie de l’ARNm a suscité de nombreux problèmes de sécurité. Lors d’un témoignage au Parlement européen le mois dernier, le cardiologue Dr Peter McCullough a déclaré que tout ce qu’il avait appris sur les vaccins à ARNm était « horrible ».

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  15. « Aucune étude ne montre que l'ARN messager est dégradé » dans le corps humain une fois injecté, a-t-il déclaré. "Il n'y a pas d'étude montrant qu'il quitte le corps." Puisque les vaccins sont « fabriqués de manière synthétique, ils ne peuvent pas être décomposés ».

    Pour le vaccin COVID-19, la séquence d'ARNm a été copiée à partir de la protéine de pointe du virus, qui était considérée comme au moins l'un des aspects du virus SARS-CoV-2 qui le rendait si nocif pour l'organisme.

    « Nous avons la protéine Spike – la protéine mortelle des vaccins [COVID-19] trouvée dans le corps humain après la vaccination – qui circule pendant au moins six mois, voire plus. Et si les gens reçoivent une injection dans six mois, il y aura une autre installation de protéines potentiellement mortelles en circulation », a déclaré le Dr McCullough à propos du vaccin à ARNm COVID-19.

    Le scientifique Drew Weissman, qui a remporté le prix Nobel de médecine 2023 pour son rôle dans le développement de la technologie de l’ARNm, a averti dans un article de 2018 que non seulement les essais cliniques de vaccins à ARNm produisaient « des [résultats] plus modestes chez l’homme que ce à quoi on s’attendait sur la base des études animales. modèles », mais que « les effets secondaires n’étaient pas anodins ».

    Effets secondaires potentiels du vaccin à ARNm contre la COVID-19
    Une étude récente publiée dans Frontiers in Immunology a soulevé des inquiétudes quant aux altérations potentielles des fonctions de base du système immunitaire d’une personne par le vaccin à ARNm de Pfizer contre la COVID-19.

    Les chercheurs ont examiné des enfants qui avaient reçu des vaccins contre le COVID-19 et ont constaté qu’il y avait « une diminution générale des réponses des cytokines et des chimiokines » aux bactéries, aux champignons et aux virus non-COVID. Les cytokines et chimiokines sont des protéines sécrétées par les cellules du système immunitaire.

    "Nos résultats suggèrent que la vaccination par ARNm du SRAS-CoV-2 pourrait modifier la réponse immunitaire à d'autres agents pathogènes, qui provoquent à la fois des maladies évitables par un vaccin et des maladies non évitables par un vaccin", ont écrit les chercheurs.

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  16. « Ceci est particulièrement pertinent chez les enfants car ils : sont largement exposés aux microbes à la garderie, à l’école et lors d’occasions sociales ; vous rencontrez souvent ces microbes pour la première fois ; et recevez plusieurs vaccins dans le cadre des programmes de vaccination systématique des enfants.

    Dans une interview avec Epoch Times, Andrew Bostom, expert en recherche cardiovasculaire et professeur de médecine à la retraite à l’Université Brown, a déclaré que l’étude suggère que des vaccinations répétées à base d’ARNm pourraient « prédisposer les enfants aux infections virales et bactériennes ».

    Problèmes cardiaques

    Plusieurs études ont confirmé les liens entre les vaccins à ARNm contre la COVID-19 et les infections au COVID-19 associées à des problèmes cardiaques.

    Une étude récente menée au Japon a porté sur des personnes ayant reçu une injection d’ARNm Pfizer ou Moderna. Ils ont découvert que ces personnes présentaient des taux plus élevés de fluorodésoxyglucose F18 (FDG) dans le cœur, la rate et le foie par rapport aux individus non vaccinés.

    Le FDG est un analogue du glucose et un marqueur de l’inflammation dans l’organisme. Des niveaux plus élevés de FDG indiquent une inflammation cardiaque, ont écrit les auteurs dans l’étude.

    Une autre étude a révélé que le vaccin à ARNm-1273 de Moderna présentait un risque plus élevé de dommages au myocarde, la couche musculaire intermédiaire du cœur.

    Recevoir un vaccin était associé à « une élévation des marqueurs de lésions myocardiques » chez environ une personne sur 35 (2,8 %), selon l’étude. Dans une population généralement en bonne santé, ce niveau serait d'environ 1 pour cent, précise-t-on.

    Les chercheurs ont suivi les sujets ayant subi des effets indésirables après la vaccination pendant 30 jours et ont découvert que la moitié d’entre eux présentaient des taux inhabituellement élevés de troponine T cardiaque de haute sensibilité, un indicateur de lésions cardiaques subcliniques.

    Au milieu de preuves accablantes selon lesquelles les vaccins à ARNm entraînent des complications cardiaques, certaines études suggèrent également que l’infection au COVID-19 pourrait être plus dangereuse que les vaccins.

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  17. Une étude d’août 2022 publiée dans l’American Heart Association (AHA) a porté sur des personnes de plus de 13 ans qui avaient reçu au moins une dose de vaccins à ARNm contre la COVID-19 fabriqués par Pfizer et Moderna. Les sujets ont été admis à l’hôpital ou sont décédés d’une myocardite entre le 1er décembre 2020 et le 15 décembre 2021.

    "Dans l'ensemble, le risque de myocardite est plus grand après une infection par le SRAS-CoV-2 qu'après une vaccination contre le COVID-19 et reste modeste après des doses séquentielles, y compris une dose de rappel du vaccin à ARNm BNT162b2 (Pfizer)", indique le communiqué.

    Cependant, « le risque de myocardite après vaccination est plus élevé chez les hommes plus jeunes, en particulier après une deuxième dose du vaccin à ARNm-1273 (Moderna). »

    Le mois dernier, le chirurgien général de Floride, le Dr Joseph Ladapo, a conseillé aux personnes de moins de 65 ans de ne pas prendre les nouveaux vaccins à ARNm contre le COVID-19, et aux personnes de plus de 65 ans de discuter des risques du vaccin à ARNm contre le COVID-19 avec leur médecin pour décider. sur leur approche sanitaire pendant la pandémie.

    « Il n’y a pratiquement aucune preuve de cela. Il n'y a eu aucun essai clinique réalisé sur des êtres humains démontrant que cela profite aux gens, aucun essai clinique n'a montré que c'est un produit sûr pour les gens », a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse.

    « Il existe désormais de nombreuses études dans le monde entier, au Brésil, en Australie et aux États-Unis, qui montrent qu'au fil du temps, ces vaccins et ces produits à ARNm contre le COVID-19 augmentent en fait vos chances de contracter le COVID-19. »

    Marina Zhang contributed to the report.

    https://www.zerohedge.com/political/bill-gates-investing-40-million-mrna-vaccine-development-africa

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  18. Un long COVID pourrait être diagnostiqué avec une précision de près de 100 % : étude


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 11 OCTOBRE 2023 - 02H40
    Rédigé par George Citroner via The Epoch Times


    Un simple test sanguin pourrait enfin apporter des réponses aux millions de personnes (inoculées) aux prises avec des symptômes de longue durée du COVID.

    Une nouvelle recherche publiée dans Nature révèle des biomarqueurs distincts chez les patients atteints de cette maladie complexe, permettant à un algorithme d'apprentissage automatique de la diagnostiquer correctement presque à chaque fois.

    "Il s'agit du premier article parmi de nombreux résultats dans lesquels nous constatons des anomalies évidentes entre une population témoin en bonne santé et des personnes atteintes d'un long COVID", a déclaré le chercheur principal de l'étude, David Putrino, titulaire d'un doctorat en neurosciences et professeur de réadaptation et de médecine humaine. performance à l’école de médecine Icahn du Mont Sinaï à New York, a déclaré à Epoch Times.

    Comment l’IA détecte-t-elle le long COVID dans les échantillons de sang ?

    Les résultats offrent l’espoir d’une confirmation objective aux personnes souffrant de longue durée du COVID, qui représentent environ 6 % de la population américaine, selon les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis. Beaucoup ont des doutes sur la réalité de leur fatigue persistante, de leur brouillard cérébral et de leurs douleurs après une infection au COVID-19.

    M. Putrino et son équipe ont analysé environ 270 patients provenant de trois sites : l'hôpital Mount Sinai, Mount Sinai Union Square et la Yale School of Medicine, entre janvier 2021 et juin 2022.

    Ils ont divisé les participants en trois groupes : ceux qui n’avaient jamais été infectés par le COVID, ceux qui se sont complètement rétablis et ceux qui présentaient des symptômes de long COVID pendant au moins quatre mois après l’infection.

    Les chercheurs ont demandé à tous les patients de remplir des questionnaires sur les symptômes, les antécédents médicaux et la qualité de vie liée à la santé et de donner des échantillons de sang pour identifier les différences entre les biomarqueurs.

    Un algorithme d’apprentissage automatique a été appliqué pour déterminer quels biomarqueurs ont le mieux identifié le long COVID. Les données du questionnaire ont ensuite été introduites dans le programme.

    L'algorithme a différencié ceux avec et sans long COVID avec une précision de 96 %, détectant des caractéristiques uniques dans le sang des patients atteints de long COVID. Les plus grandes différences concernaient une activité anormale des cellules immunitaires, la réactivation des virus de l’herpès dormants comme Epstein-Barr et une réduction des niveaux de cortisol.

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  19. Les résultats sont prometteurs pour identifier objectivement la « constellation de cellules immunitaires » diagnostique pour le COVID long, a déclaré à Epoch Times le Dr Thomas Gut, directeur du centre de récupération post-COVID à l’hôpital universitaire de Northwell Staten Island à New York. "Les marqueurs sérologiques pourraient constituer un grand pas en avant vers la confirmation d'un long COVID par rapport à d'autres complications", a-t-il ajouté.

    Les données soulèvent également des questions sur le rôle du COVID dans l’éveil d’autres virus, a noté le Dr Gut. "Ces données suggèrent qu'il existe un lien entre ces virus."

    Est-ce un long COVID ou autre chose ?

    Une analyse récente publiée dans le British Medical Journal par des chercheurs du Royaume-Uni, du Danemark et des États-Unis a révélé des failles importantes dans la littérature scientifique sur la longue COVID. Des études antérieures pourraient avoir surestimé la prévalence en raison de définitions larges et du manque de groupes témoins, alimentant potentiellement l’anxiété du public et les erreurs de diagnostic.

    « Il y a un besoin de meilleures définitions de cas et de critères [long-COVID] plus stricts », ont écrit les auteurs.

    Les découvertes de M. Putrino offrent aux cliniciens des conseils pour confirmer une longue COVID.

    Plutôt qu'une batterie générale avec des résultats normaux, les médecins pourront cibler des symptômes spécifiques, selon M. Putrino. "Nous pouvons examiner la santé hormonale. Nous pouvons faire une batterie hormonale détaillée. Nous pouvons faire une batterie immunitaire détaillée. Et nous pouvons rechercher des preuves de co-infection", a-t-il déclaré, notant que l'étude permet également aux médecins de trouver le facteur exact. problème et traitez-le avec des médicaments.

    Ce n’est pas dans votre tête : le long COVID est une vraie maladie

    Cette nouvelle recherche pourrait offrir un moyen de distinguer le long COVID de la détresse psychologique causée par le COVID-19 lui-même. M. Putrino a souligné que l’essentiel à retenir est que la COVID longue n’est pas un trouble fonctionnel sans signes physiques.

    "Nous ne parlons pas d'une maladie psychosomatique", a-t-il déclaré. "Nous voyons des preuves très, très claires qu'il s'agit d'une maladie chronique complexe associée à une infection, et cette étude le prouve."

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  20. Une étude publiée en février dans le Journal of Psychosomatic Research trouve des preuves « substantielles » suggérant un rôle des mécanismes psychologiques dans le long COVID. Les chercheurs ont souligné qu'il est bien établi que la détresse psychologique n'est pas seulement un symptôme mais également un facteur de risque de longue COVID, notant que des niveaux plus élevés de résilience personnelle étaient associés à une moindre gravité de la maladie.

    Que ce passe t-il après ?

    La conception éventuelle d’un test sanguin pour diagnostiquer un long COVID nécessitera très probablement l’utilisation d’un logiciel d’apprentissage automatique et des recherches plus approfondies, a déclaré M. Putrino.

    Le test n'offrirait pas une réponse simple par oui ou par non en raison de la diversité des symptômes ressentis par les différents patients, a-t-il noté. Au lieu de cela, le test impliquerait d’analyser divers facteurs et symptômes, créant ainsi une approche nuancée pour identifier avec précision les cas de longue durée de COVID sur la base de la fusion de ces résultats.

    https://www.zerohedge.com/covid-19/long-covid-might-be-diagnosed-nearly-100-percent-accuracy-study

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  21. Pour conclure, il est possible d’affirmer que ces contrats sont léonins au profit du contractant Pfizer-BioNtech et font ressortir le principe de privatisation des profits au profit d’entreprises privées pour une socialisation des risques et des coûts au détriment des États.Il s’avère qu’aujourd’hui des entreprises privées, pourtant multi condamnées dans le cas de Pfizer, sont plus puissante que des États et des organisations internationales à qui elles peuvent se permettre de dicter leurs conditions.

    Annexe à la fiche du 05 octobre 2023 : comparatif des trois contrats Pfizer-BioNtech

    https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/les-contrats-d-achats-de-vaccins-anti-covid-19-de-pfizer-biontech-en-europe

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    1. Qu'ils soient docteurs ou journalistes ils passent leur temps à comparer leur trou de cul ! A parler du dernier suppo-menthol ou vanille-fraise ! Mais pas UN ! PAS UN ne parlera du pourquoi qu'il N'Y A PAS de nano-poussières dans l'air appelées 'cocovide19' ou 'COCORONA' ou Deltaplane-Charlie-Bravo-Omicron' !
      C'est pourquoi ils (ou elles) passent sur france-soir !

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  22. Ce que vous pourriez savoir et quand


    11 octobre 2023
    par Walter Helm


    Thomas Maul a fourni ce que vous pouviez savoir et quand. Les conseils sur la façon de faire face aux crimes du Corona battent les adeptes de la science progressiste à leur propre jeu. Vous pourriez tout savoir.

    L'ancien éditeur des Bahamas , Thomas Maul, présente son livre What you could know when. Des notes sur la manière de traiter les crimes du Corona suggèrent un recueil d'essais qui pourraient être placés sous la devise « Battre les positivistes avec le positivisme ». Contrairement à ce que l'on pourrait attendre d'un auteur qui, entre autres choses, a écrit une critique clairvoyante de l'Islam quotidien et une discussion concise de la dialectique négative d'Adorno.Comme on pouvait peut-être s’y attendre, ses essais n’interprètent que marginalement l’autoritarisme du Corona d’une manière idéologiquement critique. L’accent est plutôt mis sur la réponse positiviste au titre du livre. À cet égard, Maul ne fait pas attendre les lecteurs, mais saute directement dans la maison (9) : Dès le début, on pouvait « tout dire » (9) sur le danger réel et le « monstrueux » ( 11) Connaître la disproportionnalité de la réponse politique et médiatique au virus.

    Maul ne le démontre pas en s’appuyant sur une quelconque connaissance experte exceptionnelle et certainement pas sur des faits alternatifs. Sa procédure est différente : Dans le contexte des connaissances sur les virus corona et la lutte contre la pandémie qui étaient valables jusqu’en mars 2020, Maul soumet d’une part les faits produits par l’État Corona lui-même à une analyse détaillée (cf. 19). D’un autre côté, Maul utilise les normes de la société civile et sa constitution constitutionnelle pour critiquer les mesures étatiques. Non seulement dans le contexte de la menace réelle que représente le Corona, qui était plus que gérable dès le départ, il considère qu'il s'agit d'un « crime (d'État) » (11). Même « si le Corona avait été la peste » (20), l’opération fondamentale et l’idéologie légitimatrice de l’autoritarisme du Corona, consistant à imposer politiquement « la non-liberté au nom de la protection de la vie » (20) à la société en général et à chaque individu en particulier, devrait être catégoriquement rejetée. D’un autre côté, Maul utilise les normes de la société civile et sa constitution constitutionnelle pour critiquer les mesures étatiques. Non seulement dans le contexte de la menace réelle que représente le Corona, qui était plus que gérable dès le départ, il considère qu'il s'agit d'un « crime (d'État) » (11). Même « si le Corona avait été la peste » (20), l’opération fondamentale et l’idéologie légitimatrice de l’autoritarisme du Corona, consistant à imposer politiquement « la non-liberté au nom de la protection de la vie » (20) à la société en général et à chaque individu en particulier, devrait être catégoriquement rejetée.

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  23. D’un autre côté, Maul utilise les normes de la société civile et sa constitution constitutionnelle pour critiquer les mesures étatiques. Non seulement dans le contexte de la menace réelle que représente le Corona, qui était plus que gérable dès le départ, il considère qu'il s'agit d'un « crime (d'État) » (11). Même « si le Corona avait été la peste » (20), l’opération fondamentale et l’idéologie légitimatrice de l’autoritarisme du Corona, consistant à imposer politiquement « la non-liberté au nom de la protection de la vie » (20) à la société en général et à chaque individu en particulier, devrait être catégoriquement rejetée. ce qui était plus que gérable dès le départ, car il s’agit pour lui d’un « crime (d’État) » (11). Même « si le Corona avait été la peste » (20), l’opération fondamentale et l’idéologie légitimatrice de l’autoritarisme du Corona, consistant à imposer politiquement « la non-liberté au nom de la protection de la vie » (20) à la société en général et à chaque individu en particulier, devrait être catégoriquement rejetée. ce qui était plus que gérable dès le départ, car il s’agit pour lui d’un « crime (d’État) » (11). Même « si le Corona avait été la peste » (20), l’opération fondamentale et l’idéologie légitimatrice de l’autoritarisme du Corona, consistant à imposer politiquement « la non-liberté au nom de la protection de la vie » (20) à la société en général et à chaque individu en particulier, devrait être catégoriquement rejetée.

    Faits tirés des tests de vaccination

    Puisque les essais portent avant tout sur la présentation positiviste de connaissances factuelles (ignorées, refoulées, dénoncées, etc.), nous pouvons nous limiter à une brève reproduction des énoncés centraux à ce stade, ce qui donne un bon aperçu du livre.

    Dans le texte Logging and archiving the madness (21-30 ; publié pour la première fois le 21 novembre 2021), Maul dresse un état des connaissances valable jusqu'en mars sur « le fonctionnement des virus corona » et les procédures de tests médicaux - et dans quelle mesure cela , libre de toute justification rationnelle, a été jeté par-dessus bord, ce qui a ouvert la voie à la politique irrationnelle et autoritaire du Corona : « Bien sûr, les critiques avaient raison dans cette affaire. Mais apparemment, cela n’a jamais été le sujet. Parce que l'autre côté a raison - même si, du point de vue de la société civile avant mars 2020, il avait (extrêmement) tort . RKI(31-38 ; publié pour la première fois le 3 février 2021) montre à quel point les rapports de gestion du RKI se révèlent être des « rapports (de courtoisie) politiques » (32) sur fond de « rapports scientifiques » internes . À aucun moment une épidémie de portée nationale n’a pu être détectée à l’aide des moyens d’observation conventionnels. Cela a nécessité le test PCR douteux et les tests de masse. La manière dont ces éléments sont liés à la personne de Christian Drosten est montrée dans la polémique épicée Dr. Drosten ou comment j'ai appris à aimer le test PCR (39-37 ; première publication le 29 janvier 2021), et en ce qui concerne la question scientifique du test PCR, le texte le plus long du livre Scandals of PCR mass testing(56-92 ; première publication du 14 au 19 décembre 2020) ;

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  24. Les deux aspects sont explorés plus en détail plus loin dans le livre dans l’essai Professeur Drosten dans le dilemme PCR (132-147 ; publié pour la première fois le 20 février 2021). Dans le texte Health Regime on Speed ​​​​(48-52 ; publié pour la première fois le 23 octobre 2021), Maul prend le« Justification d’urgence » de l’État autoritaire du Corona : « la menace abstraite de surcharge du système de santé » (48). Cependant, cela n’a jamais été menacé, mais au moyen de paramètres pandémiques artificiellement produits et faciles à critiquer, cela est devenu la « légitimation idéologique et propagandiste du régime Covid » (48), qui, complètement indépendante des faits, a été modélisée avec les pires -scénarios de cas un cas fictif de cas écartant de manière préventive toutes les contradictions. Maul insiste à juste titre sur le fait que la suspension de la Constitution est essentiellement une fiction, un scandale politique et juridique qui ouvre la porte à l'arbitraire - et que si l'État le voulait seulement « sérieusement », « il surchargerait le système de santé avec des moyens simples, sans aucune restrictions à la liberté » (50). Le courtPolémique sur le mode du crime de dissimulation(53-55 ; publié pour la première fois le 28 août 2021) dépasse parfois le cap, ce qui peut certainement être interprété comme une réaction (compréhensible) à la radicalisation massive (vaccination) de l'État Corona à partir de la fin de l'été 2021.

    Même si la « réelle innocuité du coronavirus » a été prouvée depuis longtemps – entre autres par John Ioannidis – parler d’une « psychose perpétuelle ou d’une auto-hypnose » (55) ne va pas vraiment plus loin. Plus pertinentes sont les références à la radicalisation insensée et cumulative de l'état des mesures, qui, contrairement à la prédiction de Maul, ont pu « cesser » de devoir « commettre constamment de nouvelles violations de la loi » (55), car sinon elles seraient immédiatement dénoncées. . À cet égard, Maul sous-estime le pouvoir factuel de l’État. C'était assez facile pour lui – et pour tous ceux qui y ont participé –

    Les hypocondriaques arrivent : la revue de juillet (93-100 ; publiée pour la première fois le 18 juillet 2020) tente une première et brève classification historique (culturelle) de l'état d'urgence du Corona, des meurtres iatrogènes résultant de l'invention d'une nouvelle maladie ( 101-123 ; publié pour la première fois le 14 août 2020) examine la question de savoir dans quelle mesure la panique liée au Corona a conduit à des méthodes de traitement médical incorrectes, qui, comme l'intubation et l'administration d'antiviraux, ont entraîné des dommages d'origine médicale (entraînant la mort). cela n’était pas dû au virus lui-même.

    Les peurs des adultes exigent des enfants victimes(124-131 ; publié pour la première fois le 21 avril 2021) enquête sur l'un des chapitres les plus sombres de la politique du Corona : le harcèlement totalement inutile et préjudiciable au bien-être des enfants des écoliers avec des masques et des tests corona. Outre le confinement et le confinement des maisons de retraite, c'est probablement l'exemple le plus laid de la « solidarité » des « sensibles » avec leurs groupes « vulnérables » tant valorisés, transportés comme un ostensoir ; des mots creux et plastiques de la part des idéologues du Corona qui ont perdu tout sens.

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  25. Alors que les articles The Great Intensive Care Bed Swindle (148-154 ; première publication le 22 mai 2021), Ingrédients d'une pseudopandémie (161-169 ; première publication le 6 juillet 2021) ainsi que L'argument circulaire de l'immunité non stérile ou les trois principaux mensonges de la virologie judiciaire(176-184 ; sur la base de diverses publications) montrent une fois de plus que les principales allégations qui ont conduit à la suspension de la constitution sont fausses, comme le montre la publication de BMG qui confirme les éléphants roses (170-175 ; publié pour la première fois le 15 mai 2021) - ici, entre autres, très sympa Briser le soi-disant paradoxe de la prévention (cf. 173 s.) - et sur la perte de réalité en cas d'état d'urgence(185-190 ; publié pour la première fois le 9 juin 2021), quelle folie irrationnelle les protagonistes de Corona ont développée. Ce sont leurs propres données qui contredisent avec véhémence leur politique, qui mérite sans aucun doute une critique de principe malgré cela (cf. 174) : « Il n’y a même pas de tentative pour dissimuler ou dissimuler cette irrationalité, cette perte de réalité et de raison. Au contraire, tout est là, s'exprime ouvertement, en noir et blanc. » (190) Cela s'applique également au fanatisme allemand en matière de vaccination, couronnement de la folie du corona, comme le dit Maul dans son dernier article « La vaccination » au bord du gouffre. , qui laisse le lecteur frémir ( 191-208 ; basé sur diverses publications).

    Maul écrit avec une clarté impressionnante et utilise la polémique, comme une légitime défense intellectuelle, aux bonnes doses et aux bons endroits. Il y a ici et là des redondances auxquelles l'auteur lui-même fait référence. Même si ceux-ci peuvent être un peu dérangeants lorsqu'ils sont lus d'un seul tenant, ils ont néanmoins une pertinence factuelle qui n'est pas seulement due à la compilation d'essais autonomes : ils reflètent l'extrême redondance de la machine de propagande médiatique de l'État Corona qui publiquement a justifié ses politiques avec les mêmes affirmations contrefactuelles et les a portées à l’attention du peuple. Tout cela s’est avéré tout simplement faux, le plus clairement et délibérément dans la campagne de vaccination – qui, comme le montre Maul, aurait pu être connue très tôt. Ce qui est un peu dommage, c'est le manque de sources,

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  26. Prendre les adeptes de la science au mot

    Un aspect qui mérite d'être discuté de manière critique et détaillée est l'espoir de Maul d'une révision juridique de la politique Corona, comme cela est particulièrement clair dans l'article Corona Processing : It will take you off guard (155-160 ; publié pour la première fois le 16 mai 2021). . Rétrospectivement, Maul lui-même parle d’un « optimisme utilitariste » qui a « été gêné par la réalité » (159). Il continue cependant de considérer son livre comme une contribution à une éventuelle « analyse juridique » (9) de l’état d’urgence lié au Corona. Même si leur nécessité ne fait aucun doute [1], une telle chose semble tout à fait illusoire, du moins en Allemagne. Il convient également de se demander si l'explication de Maul sur l'état d'urgence lié au Corona est suffisante. La réponse à sa question initiale, à savoir pourquoi « la grande majorité des gens – dans le monde – étaient incapables de voir l’évidence » est assez volontariste et peu complexe : « parce qu’ils ne voulaient pas le voir » .(9) et ont préféré profiter de la « ‘pandémie du siècle’ sans rime ni raison » (11). Il n’y a certainement aucune raison de simplement rejeter toute responsabilité sur les masses de partisans, les accusant d’avoir été séduits et victimes de chantage. Une telle réponse néglige toujours la mesure dans laquelle le pouvoir de l'État et le pouvoir des médias de masse ont activement « contribué » à créer une masse conformiste en créant la panique d'un côté et des menaces tangibles de l'autre.

    Comme mentionné au début, Maul ne propose pas un examen idéologiquement critique et/ou matérialiste de la politique autoritaire du Corona. Ses déclarations sont plutôt impressionnantes, car il prend au mot le positivisme des adeptes de la science progressiste et prouve le désastre de la politique épidémique de l'État en utilisant des sources officielles qui ne intéressent pas particulièrement ses partisans progressistes ; Ils n’ont ni une conception de la science et de sa fonction sociale, ni un intérêt reconnaissable pour les chiffres/faits qui va au-delà de la répétition des tweets Twitter de Drosten ou de Lauterbach. Le véritable mérite des écrits de Maul réside précisément dans cette approche positiviste :

    Dans un manuscrit de conférence du 27 juin 2023, qui résume succinctement le contenu central du livre, Maul parvient également à une interprétation globale idéologiquement critique de l’État autoritaire du Corona. Cela ne souligne pas seulement la portée historique de sa politique. Elle insiste également sur le fait que tout le reste concernant la question du Corona a été réglé. Dans la politique épidémique de l'État, il y a eu une rupture qualitative avec les principes de la société civile et de la politique médiatisée par l'État de droit, qui présente une spécificité particulière : d'une part, nous constatons un retour massif de la vie quotidienne à l'ancienne normalité qui aurait été, alors que ceux qui aujourd'hui n'en veulent plus ont scandé le plus fort qu'il ne devrait plus jamais être restauré, et d’autre part, un état d’urgence permanent de facto d’une véritable nouvelle normalité, qui n’est plus perceptible dans la vie quotidienne (pour le moment), mais qui représente en soi une rupture drastique et durable avec les principes de la société civile. et son état. Ce dernier point indique l'émergence d'un nouvel ordre de pouvoir, dont l'état d'urgence lié au coronavirus a été un premier signe avant-coureur, comme le souligne à juste titre Maul :

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  27. « Il ne s’agit plus du décalage entre idéal et réalité, ni du capitalisme niant les promesses bourgeoises de bonheur, qui sont en quelque sorte conservées comme substrat dans les droits de défense de l’individu contre l’État et la communauté comme idée et minimum matériel résiduel. par des institutions inertes Désormais, la liberté n'est institutionnalisée d'emblée que comme un manque de liberté détendu - soumis à la protection du danger et en échange d'une volonté de se soumettre . […]. Avec l’abolition actuelle des mesures restrictives de liberté, il se peut que la sensation, sensuellement et empiriquement, soit à nouveau la même qu’auparavant. Seulement:Une fois que des droits catégoriquement inaliénables ont été arbitrairement aliénés, ils ne peuvent plus être considérés comme inaliénables de la même manière qu’auparavant. À cet égard, les anciennes sociétés bourgeoises post-fascistes sont entrées dans une phase post-bourgeoise et pré-totalitaire . » [2]

    Le livre peut entre autres être commandé ici.

    Notes de bas de page

    [1] Voir aussi Sebastian Lucetti : La boussole perdue dans la crise du Corona. En ligne : https://www.cicero.de/innenpolitik/der-verlorene-kompass-in-der-corona-kritik L'auteur a également écrit un autre texte important pour le traitement juridique et publié dans le Nouveau Journal de droit administratif ( 2/2023, pp. 1-12) a été publié : Pas de « Lex-COVID-19 » pour les mesures Corona - Partie I. La fin de la vision tunnel constitutionnelle sur les décisions de l'État dans des conditions d'incertitude. En ligne : https://rsw.beck.de/docs/librariesprovider176/default-document-library/aufs%C3%A4tze-online/online-aufsatz-2-2023.pdf?sfvrsn=787bf02_1

    [2] Thomas Maul : Sur la fin des libertés civiles ou comment la lâcheté avant la vie enterre l'Occident. En ligne : http://magazinredaktion.tk/maul_corona.php Les italiques dans la citation sont de moi.

    https://tkp.at/2023/10/11/was-man-wann-wissen-konnte/

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  28. Deux questions : y a-t-il des virus ? Le SRAS-CoV-2 était-il nouveau ?


    11 octobre 2023
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Depuis quatre ans, la virologie et les virus ont été mis sur le devant de la scène. Et la nouveauté d’un coronavirus plutôt ordinaire a été présentée comme le contenu central de la propagande. Cela aurait dû porter sur l’immunologie et la santé. Au lieu des immunologistes et des biochimistes, les virologues ont joué un rôle central. En guise de contre-position, la thèse selon laquelle les virus n’existent pas était assez répandue.

    Mercredi 4 octobre, la UK Health Advisory and Recovery Team (HART) , un groupe d'experts réputé pour lutter contre les illusions du Covid, a publié un rapport racontant l'histoire du "virus inexistant".

    Le rapport commence par examiner et confirmer la thèse selon laquelle il n'y avait pas de nouveau virus parce que les défenses immunitaires des gens contre le SRAS-CoV-2 n'étaient pas significativement différentes des virus respiratoires précédents et que le taux de mortalité était faible, comme les infections respiratoires hivernales précédentes. Là où il y avait une augmentation du taux de mortalité, comme Par exemple, chez les jeunes de New York – qui seraient morts par milliers au printemps 2020, mais pas ailleurs – les causes pourraient avoir été complètement différentes.

    Pour les raisons suivantes, le « modèle » du virus explique le mieux les observations entourant l’épidémie de 2020, même si la science ne peut pas encore expliquer pleinement comment les virus se propagent et pourquoi ils provoquent des maladies chez certaines personnes et pas chez d’autres.

    – Dans la plupart des cas, des groupes de personnes sont tombés malades avec des symptômes similaires après avoir été exposés au virus dans un environnement partagé.

    – Le test PCR (réaction en chaîne par polymérase) a permis de détecter une signature génétique (ARN) unique chez les personnes présentant ces symptômes, bien plus fréquemment que chez les personnes saines. Bien que le test ait été utilisé à mauvais escient, entraînant des résultats faussement positifs, la séquence d’ARN recherchée était longue et spécifique, et l’association était réelle.

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  29. – Grâce à des tests de flux latéral réalisables à domicile, la protéine codée par cette séquence a été identifiée avec succès.

    – La cristallographie a montré que la structure de la protéine Spike (inoculée) signature confère au virus une capacité extraordinaire à infecter les cellules humaines.

    – Les malades produisaient alors des anticorps contre les protéines produites par la séquence d’ARN.

    – Si du matériel suspecté de contenir le virus était cultivé dans des cellules, l’étendue des dommages était proportionnelle à la force du résultat du test PCR. Lorsque le virus cultivé en laboratoire a été utilisé pour infecter des jeunes en bonne santé, la moitié d’entre eux (les inoculés) ont développé un virus détectable au bout de deux jours et des symptômes de Covid au bout de deux à quatre jours.

    – Des scientifiques du monde entier ont procédé à un séquençage approfondi du génome du virus, montrant comment le virus évolue au fil du temps.

    – Enfin, une maladie respiratoire est apparue, qui a été perçue par certaines personnes comme une maladie virale présentant des symptômes caractéristiques et inhabituels tels qu'une perte du goût ou de l'odorat et des nausées et une toux prolongées. Bien que dans d'autres circonstances (moins paniquées), cela aurait pu simplement être décrit comme « un virus étrange » ou une « vilaine grippe », les cliniciens affirmaient qu'ils pouvaient le diagnostiquer sans tests, et les patients semblaient bien en être conscients.

    Les auteurs soulignent que cela ne dit rien sur l’impact du virus sur la santé ou la mortalité, mais seulement sur le fait que le virus a réellement existé.

    Deux éléments de preuve auxquels les partisans du « non-virus » semblent accorder une grande valeur sont examinés de manière critique.

    Ils écrivent : La première est que le virus SARS-CoV-2, contrairement à la rougeole et à la polio, par exemple, ne se réplique pas dans les cellules et ne les remplit pas de virus avant de les exploser et de libérer les particules. Au lieu de cela, on prétend que les particules du virus SARS-CoV-2 se détachent individuellement de la surface cellulaire.

    La même affirmation est faite pour la grippe et le VIH. Il est vrai qu’il existe donc des différences intéressantes à explorer entre ces types de virus, mais le terme générique de virus reste utile compte tenu de leurs autres similitudes.

    La deuxième raison est le fait qu’il n’y a jamais eu d’isolat pur du virus SARS-CoV-2 (c’est-à-dire une solution contenant uniquement des particules virales et aucune cellule). Cela pourrait être dû au fait que personne n’a encore pris la peine de faire ce travail.

    Mais disons que c'est parce qu'il n'est pas possible d'isoler ce virus. Qu'est-ce que cela signifierait ? Cela signifierait que l’explication de la façon dont les virus apparaissent et se transmettent d’une personne à l’autre est quelque peu simpliste et doit être examinée plus en détail. Il ne suffit pas d’exclure toute autre preuve selon laquelle le modèle viral constitue la meilleure explication de cette maladie.

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  30. Le rapport conclut que l’industrie pharmaceutique favorise la théorie des germes en raison de son potentiel à augmenter les ventes de médicaments, tandis que les approches de santé holistiques sont souvent considérées comme du « charlatanisme alternatif ». Au lieu d’adopter des positions aussi extrêmes, « il est préférable de continuer à rassembler des preuves pour découvrir quel (ou quels modèles) fournit la meilleure explication du fonctionnement du monde ».

    Il s’agit d’une approche véritablement scientifique, très différente de la distorsion des procédures scientifiques qui a accompagné l’introduction des vaccins à ARN et du déni des conséquences qui se font encore jour.

    https://tkp.at/2023/10/11/zwei-fragen-gibt-es-viren-war-sars-cov-2-neuartig/

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  31. Agence européenne HERA – imitation régionale de l’OMS


    11 octobre 2023
    par le Dr. Peter F. Mayer


    La Commission européenne a été et reste l’un des partisans les plus radicaux des mesures néfastes pour la santé, telles que les vaccins génétiquement modifiés qui provoquent le cancer, les crises cardiaques et les maladies auto-immunes. L'UE est également l'organisation la plus radicale au monde en ce qui concerne l'application des passeports vaccinaux, l'identité numérique et la collecte de données sur les citoyens pour les commercialiser auprès des grandes sociétés internationales. L'UE a nommé l'ancien directeur général de l'association européenne du lobby pharmaceutique à la tête de l'agence médicale européenne EMA.

    L’UE joue également un rôle de premier plan en donnant à l’OMS les pouvoirs les plus étendus possibles en tant que gouvernement mondial dictatorial et non élu. Mais apparemment, on craint qu’il n’y ait une résistance de la part de l’Afrique et d’autres pays non occidentaux et que les plans ne soient contrecarrés. C'est pourquoi une sorte d'OMS de remplacement est mise en place au niveau de l'UE et se donne des pouvoirs dictatoriaux. L’autorité nouvellement créée, HERA (Health Emergency Preparedness and Response Authority), agira au-delà des frontières et, entre autres, déclarera les « urgences sanitaires » dans toute l’UE et coordonnera les contre-mesures médicales et non médicales dans l’ensemble de l’UE.

    L'Initiative GGI, l'Association verte pour les droits fondamentaux et la liberté d'information, a résumé dans un communiqué de presse les projets de l'UE avec HERA :

    HERA – petite sœur de l'OMS ?

    L'Union européenne (UE) se considère non seulement comme une union économique et monétaire, mais désormais aussi comme une « Union européenne de la santé ». Déclenchée par la crise du Corona, la commission a fondé à l’automne 2021 une nouvelle autorité sanitaire : HERA. En cas de pandémie ou de crise réelle, l’UE peut désormais déclarer de manière indépendante une « urgence sanitaire » dans ses États membres et ordonner des mesures.

    L’objectif déclaré est d’agir au-delà des frontières et de transformer les instruments de gestion de la pandémie créés ad hoc au niveau de l’UE pendant la pandémie de Corona en une structure permanente. La surveillance accrue et les dossiers de santé électroniques compromettront encore davantage la protection des données. Les obligations de déclaration des États membres ouvrent la porte à des contrôles et à d'éventuelles restrictions - avec les arguments sans issue de la « protection de la santé » et de la « protection du climat ».

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  32. Les responsabilités officielles en matière de santé humaine et animale sont étendues, allant du ministère autrichien de la Santé et des autorités des Länder à l'Union européenne et à des organisations actives à l'échelle mondiale telles que l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

    Presque inaperçue des médias – et aussi de la population – une autre autorité sanitaire a été fondée en Europe il y a environ deux ans . Cette décision a été déclenchée par les événements liés au coronavirus, comme le montrent les communications publiques de la Commission de l'automne 2020 . La nouvelle HERA (Health Emergency Preparedness and Response Authority) est l’ autorité chargée de la préparation aux crises et de la réponse aux urgences sanitaires .

    Profil HERA
    Créée le 16 septembre 2021 par avis et décision de la commission

    Service direct de la Commission européenne. Organisation et gestion d'HERA : Commissaire Stella Kyriakides (photo ci-dessus [Julien Warnand/EPA-EFE]), Directeur général adjoint Laurent Muschel
    Budget 6 milliards d'euros d'ici 2027 pour la prévention et la préparation, dont 1,3 milliard d'euros pour la première année d'activité en 2022

    Outre le coronavirus, concentrez-vous dans un premier temps sur trois menaces sanitaires : la résistance aux antimicrobiens, la grippe et le bioterrorisme.
    HERA a pour objectif d'agir au-delà des frontières et, entre autres, de déclarer des « urgences sanitaires » dans toute l'UE et de coordonner les contre-mesures médicales et non médicales dans toute l'UE . De telles puissances sont bien connues de nombreuses personnes depuis Corona, car elles rappellent (!) les efforts de grande envergure de l'OMS. L’OMS et ses donateurs s’efforcent d’étendre largement leurs pouvoirs. Des modifications massives du Règlement sanitaire international (IGV2005) et un nouveau traité sur la pandémie sont actuellement en cours de négociation avec les représentants des 194 États membres de l'OMS ; Achèvement et résolution prévus pour mai 2024.

    La Commission vise à renforcer la capacité de l'Europe à prévenir, détecter et réagir rapidement aux urgences sanitaires en garantissant le développement, la production, l'approvisionnement et la distribution équitable de contre-mesures médicales essentielles. Les tâches principales d'HERA comprennent les mesures d'aide d'urgence en cas de crise, la recherche et le développement, la comparaison des capacités de production, l'approvisionnement ordonné ou la sécurité des chaînes d'approvisionnement pour les « contre-mesures médicales » telles que les médicaments, les vaccins, les tests de diagnostic ou les équipements de protection individuelle (gants, masques). En tant que quasi-troisième pilier, HERA est destiné à soutenir le travail du Centre européen de contrôle des maladies (ECDC) et de l'Agence européenne des médicaments (EMA).

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  33. Les critiques et les inquiétudes sont généralisées

    La coordination, voire le regroupement des efforts conjoints des États membres de l’UE en cas de crise sanitaire sont certainement appropriés. Ce qu’il faut cependant rejeter, c’est l’affirmation absolue et le diktat sanitaire que la Commission européenne – tout comme l’OMS – impose désormais en matière de santé.
    Responsabilité personnelle en matière de santé et responsabilisation consciente des personnes ? Pas du tout!

    Égalité et technocratie à tout prix

    HERA, en revanche, vise à garantir que l'UE et ses États membres puissent prendre rapidement les mesures médicales et autres les plus avancées en cas d'urgence sanitaire.

    Des milliers d'années de connaissances en matière de santé, de conditions régionales et éthiques, ainsi que d'une approche holistique de la santé sont complètement ignorées ! De même l'approche de soins de santé publique et de prévention ( santé publique ). Leur compétence principale réside dans la vue d'ensemble des disciplines spécialisées les plus diverses. L’examen d’un large éventail de sous-domaines tels que l’épidémiologie, la médecine sociale, la promotion et la prévention de la santé, la politique de la santé et l’éthique médicale conduit à une compréhension globale de la propagation et de la prévention des maladies au sein de la population.
    En regardant la situation dans son ensemble, gérer les coûts et maintenir l’unité de la société, ne sont-ils pas LA leçon cruciale à tirer de trois années d’échec de la politique Corona ?

    Une discussion globale et éthique sur la recherche sur le gain de fonction (GoF) ne serait-elle pas absolument nécessaire ? GoF est un domaine de recherche biomédicale dans lequel les scientifiques dotent un organisme (par exemple des bactéries ou des virus) de nouvelles capacités et accélèrent les processus de mutation. Les objectifs de ces recherches sont d'adapter la transmissibilité, la virulence (degré de pathogénicité, notamment agressivité et toxicité) ou encore l'antigénicité . Dans un cas positif, cela permet de mieux prédire les maladies infectieuses émergentes et de développer des vaccins, mais dans un cas négatif, cela permet également de développer des agents pathogènes complètement nouveaux, voire des armes biologiques.

    Pourquoi l’OMS et l’UE ne coopèrent-elles pas activement sur ces questions importantes ? Pourquoi le débat éthique et moral nécessaire n'a-t-il pas lieu avec toutes les parties prenantes, y compris les experts critiques et les citoyens - sur les potentiels mais aussi sur les risques ?

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  34. Surveillance contre protection des données

    La création prévue d'un système de surveillance renforcé et intégré au niveau de l'UE, basé sur les dossiers médicaux électroniques et les ensembles de données harmonisés, les données environnementales, l'analyse des données et l'intelligence artificielle, ainsi que les médias sociaux, est très préoccupante . Il existe également un système d'alerte précoce en temps réel. Un échange complet de données est nécessaire et les États membres sont obligés d'élargir leurs rapports sur les indicateurs du système de santé. La remise en cause de la protection des données est inévitable ! Les systèmes de surveillance et instruments informatiques créés ouvrent la porte à tous les contrôles et restrictions électroniques, sociaux et financiers ! Même dans le monde entier !

    Mépris de l’autodétermination en matière de santé

    Pourquoi l’UE proclame-t-elle que toutes ces contre-mesures médicales (des vaccins aux tests de diagnostic en passant par les mesures de protection) doivent toujours bénéficier à « tous les citoyens », qu’elles soient liées à la santé ou non, qu’il y ait un risque ou non ?
    Les gens courageux et les critiques ne sont pas entendus. Les approches de la Commission européenne ignorent complètement toute responsabilité individuelle des citoyens en matière de santé ! Toutefois, les droits fondamentaux et le droit à l’intégrité physique doivent être respectés par tous les moyens – envers l’UE – et en particulier auprès du gouvernement et des parlementaires autrichiens.

    Pas d'indépendance officielle

    Contrairement à l’ECDC et à l’EMA, HERA ne sera pas en mesure de travailler de manière indépendante car elle est organisée comme une direction générale au sein de la Commission européenne.

    https://tkp.at/2023/10/11/eu-agentur-hera-regionaler-abklatsch-der-who/

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  35. La Russie et la Chine dominent le secteur de la production d’électricité nucléaire, devant les États-Unis.


    10/10/2023
    Laura Harris


    La Russie et la Chine, ainsi que la France et la Finlande, ont pris la tête de la production d'électricité nucléaire alors que les États-Unis sont aux prises avec les défis posés par les sources d'énergie renouvelables intermittentes.

    Selon plusieurs rapports, la Russie et la Chine fournissent une électricité continue, ininterrompue et sans émission. Environ 60 réacteurs nucléaires sont en construction dans 15 pays à travers le monde. La Russie et la Chine représentent ensemble 70 % des nouvelles centrales nucléaires en cours de développement.

    Les États-Unis, autrefois pionniers dans le domaine de l’énergie nucléaire, se retrouvent désormais à la traîne dans la course, avec seulement une poignée de nouveaux réacteurs en construction. La domination de la Russie et de la Chine dans la production d’énergie nucléaire devrait persister à mesure qu’elles investissent massivement dans les technologies de pointe et développent leurs programmes nucléaires.

    L’un des facteurs clés du succès de ces centrales nucléaires de nouvelle génération est l’utilisation d’uranium faiblement enrichi à haute teneur (HALEU), une forme d’uranium enrichi nécessaire à leur fonctionnement. Il convient de noter que la Russie est actuellement le seul producteur de HALEU, ce qui suscite des inquiétudes quant à la sécurité nationale américaine. (Connexe : L’essor des véhicules électriques entraîne une demande accrue d’électricité à mesure que la production d’électricité sur le réseau diminue.)

    Alors que la demande mondiale d’électricité abordable, fiable, sûre et propre continue d’augmenter, la Russie et la Chine ont dépassé les États-Unis en termes de nombre d’accords pour la vente de matériel et de services liés à l’énergie nucléaire. Ces accords offrent non seulement des avantages économiques, mais servent également d'outils pour exercer une influence géopolitique et établir des normes en matière de sécurité et de non-prolifération.

    Les États-Unis ont vu leur position sur le marché s’éroder avec l’émergence de nouveaux fournisseurs internationaux, menés par la Russie et la Chine. Les implications de cette érosion s’étendent au-delà de l’économie, impactant la sécurité nationale, la démocratie et d’autres intérêts vitaux.

    La Russie et la Chine s’engagent activement dans des efforts diplomatiques pour aider leurs entreprises nucléaires publiques à conclure des accords à l’étranger. Les initiatives collaboratives de recherche et de développement, ainsi que les opportunités de formation offertes aux étudiants des pays partenaires, servent à familiariser les États clients avec les technologies nucléaires russes et chinoises.

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  36. Les deux pays ont considérablement accru leur présence sur les marchés internationaux. La Russie, en particulier, est le leader mondial en matière d’exportation de centrales nucléaires, avec des accords en place avec 45 pays différents. La Chine, bien qu’étant un entrant relativement récent, a également établi une base industrielle importante pour les exportations nucléaires.

    L’Amérique manque de vision stratégique pour la production d’électricité nucléaire
    Le manque de vision stratégique et l’intérêt croissant porté aux sources d’énergie renouvelables poussent les États-Unis à céder du terrain face à des rivaux mondiaux comme la Russie et la Chine.

    Les experts affirment que l’absence d’une vision claire et cohérente de la politique énergétique nucléaire a laissé les États-Unis à la traîne. Les dirigeants américains doivent formuler un plan stratégique qui englobe l’énergie nucléaire et les exportations nucléaires civiles pour concurrencer efficacement la Russie et la Chine.

    Le président Joe Biden et ses homologues européens ont souligné la nécessité d’abandonner les combustibles fossiles dans leurs efforts de lutte contre le changement climatique. Cependant, les détracteurs soutiennent que cette focalisation néglige les implications plus larges d’un tel changement.

    Les critiques s’étendent aux implications pratiques de l’abandon des combustibles fossiles. Les énergies éolienne et solaire sont certes de précieuses sources d’électricité, mais elles ne possèdent pas la polyvalence et la capacité des combustibles fossiles à fabriquer une large gamme de produits essentiels à la société moderne.

    Alors que les États-Unis et d’autres pays intensifient leurs efforts pour s’appuyer sur la production intermittente d’électricité à partir d’énergies renouvelables, les inquiétudes quant à la durabilité de ces approches et à leur impact potentiel sur les industries et les infrastructures essentielles augmentent.

    Les produits fabriqués à partir de pétrole brut comprennent ceux de l’industrie médicale, des communications, de l’électronique, de la technologie militaire et de l’exploration spatiale.

    Apprenez-en davantage sur la crise énergétique actuelle sur NewEnergyReport.com.

    Regardez ce clip d'InfoWars avec Harrison Smith expliquant comment les dirigeants européens appellent au confinement pour faire baisser la consommation d'énergie et les prix de l'électricité.

    Cette vidéo provient de la chaîne InfoWars sur Brighteon.com.

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  37. More related stories:

    Après avoir fermé ses trois dernières centrales nucléaires, l’Allemagne doit désormais acheter de l’électricité nucléaire à la France.

    Le directeur du principal opérateur du réseau électrique français prévient que les pénuries d’énergie obligeront le pays à rationner l’électricité cet hiver.

    Le gouvernement britannique paie désormais les Britanniques pour qu’ils ne consomment PAS d’électricité.

    Apprenez à vivre sans électricité grâce à la communauté Amish.

    Il a fallu la guerre russe en Ukraine pour révéler l’arnaque de l’énergie « verte ».

    Sources include:

    WhatsUpWithThat.com
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2023-10-10-russia-china-dominate-nuclear-electricity-generation-industry.html

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  38. La planète est-elle vraiment « en ébullition » ou mesurons-nous les mauvaises choses ?
    Devinez la bonne réponse pour gagner des prix


    IGOR TCHOUDOV
    9 octobre 2023


    On nous dit que nous vivons à une époque d’ébullition mondiale. Notre planète se réchauffe rapidement, comme le calculent les relevés de température des stations météorologiques réparties dans le monde entier.

    - voir photos sur site -

    Une nouvelle organisation officielle, la Overshoot Commission, a été récemment créée pour gérer l’ébullition mondiale, envisageant, entre autres, d’assombrir le ciel pour refroidir la planète à mesure que l’urgence climatique se développe. (J'ai déjà parlé de l'atténuation du soleil.)

    De la Commission de dépassement :

    - voir photos sur site -

    https://www.overshootcommission.org/_files/ugd/0c3b70_bab3b3c1cd394745b387a594c9a68e2b.pdf

    L’« ébullition mondiale » est-elle basée sur des données biaisées ?
    Une nouvelle étude élégante qui élimine l’effet des « îles urbaines » jette le doute sur l’ampleur et les causes du réchauffement climatique.

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    https://www.mdpi.com/2225-1154/11/9/179

    Il s’avère que nous mesurions la mauvaise chose depuis le début ! Pour des raisons compréhensibles de commodité, les scientifiques ont placé des stations météorologiques à proximité de leur lieu de résidence, dans ou à proximité des zones urbaines.

    Cela s’est avéré problématique : au lieu de mesurer le réchauffement de la planète, on a mesuré le réchauffement des villes.

    La plupart des gens vivent dans des zones urbaines ; cependant, la plupart des terres ne sont pas urbaines : les zones métropolitaines n’occupent que 3 % de la masse terrestre (22 % et 78 % par les mers & océans), comme le montre cette image.

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  39. Les scientifiques ont démontré que si l’on mesure les changements de température à l’aide de stations rurales uniquement, l’ampleur du réchauffement climatique passe de 0,89 degrés (C) par siècle à seulement 0,55 degrés centigrade par siècle.

    Deux estimations de température différentes ont été prises en compte : un mélange rural et urbain (qui correspond presque exactement à la plupart des estimations actuelles) et une estimation rurale uniquement. Le mélange rural et urbain indique un réchauffement à long terme de 0,89 °C/siècle depuis 1850, tandis que le mélange rural indique 0,55 °C/siècle. Cela contredit une hypothèse courante selon laquelle les indices de température mondiale actuels basés sur les thermomètres sont relativement peu affectés par les biais liés au réchauffement urbain.

    De plus, l’utilisation des modèles standards d’attribution du changement climatique déplace la détermination causale du forçage humain au forçage naturel comme cause principale des changements de température.

    Qu’est-ce qui change le climat de la Terre ?

    Je suis conscient que beaucoup de mes lecteurs se soucient, d’une manière ou d’une autre, du changement climatique (changement de saisons), et nous avons nos idées sur ce qui change le climat et ce qui ne le fait pas. Je n’essaie pas de vous faire changer d’avis – je suis toujours en train de me décider. Dans cet article, je souhaite expliquer ce que les scientifiques ont découvert - et vous pouvez avoir n'importe quelle opinion sur leurs découvertes comme bon vous semble.

    Bientôt et al. a entrepris d’examiner les effets des principales forces affectant le climat : l’activité solaire, volcanique et les changements causés par l’homme sur notre planète.

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    Pour rappel, le consensus de la « science du climat » est que les facteurs d’origine humaine expliquent l’essentiel du réchauffement climatique.

    Bientôt et al. a entrepris de reproduire la méthodologie standard d'attribution climatique, en utilisant uniquement les stations rurales au lieu de l'ensemble principalement urbain sujet aux biais urbains.

    Ils ont utilisé des régressions linéaires, un outil pour trouver des corrélations, que nous connaissons grâce à mes articles sur la mortalité.

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  40. Il s’avère que la pente (l’ampleur de l’effet) et le r carré (le pouvoir explicatif) de l’activité humaine étaient bien inférieurs pour l’ensemble de données uniquement rural. Pour les stations exclusivement rurales, l’activité humaine n’expliquait que 38 % du changement climatique, tandis que pour « toutes les stations » urbaines, l’activité humaine expliquait 80 % du changement climatique.

    Étant donné que la majeure partie de la masse continentale de notre planète est rurale, il est logique d’essayer d’utiliser des stations météorologiques rurales plus représentatives des conditions de la planète entière, n’est-ce pas ?

    Si tel est le cas, les données uniquement rurales montrent que la Terre ne change son climat que de 0,55 °C par siècle, et que seulement 38 % de ce changement s’explique par d’éventuels 'facteurs humains'. Cela signifie que nos activités collectives de conduite automobile, de consommation de viande, de CVC et autres ne 'son't responsables que de 0,55*0,38 = 0,20 degrés par siècle !

    Le modèle standard de l'IPCC, qui accorde une grande importance aux stations météorologiques urbaines, suggère que le changement climatique est de 0,89 degré par siècle, dont 80 % est expliqué par l''activité humaine', donc nous, les humains, sommes blâmés par 0,89*0,8 = 0,7 degré par siècle. .

    Alors, l’humanité est-elle responsable de 0,7 degré par siècle, comme le suggère l’ensemble de données axées sur les zones urbaines, ou de 0,2 degrés, comme le suggère l’ensemble de données uniquement rurales (représentatives de la majeure partie de la masse continentale de la planète) ?

    En d’autres termes, nous avons mal mesuré en plaçant la plupart des stations météorologiques à proximité des villes.

    Si tel est le cas, nous pouvons nous demander si l’ébullition mondiale est en train de se produire ou s’agit-il d’une autre erreur de la pensée de groupe scientifique et politique ?

    Soyons humbles

    Je n’essaie pas de vous dire que j’en sais plus sur le climat de la Terre que « 97 % des scientifiques ». Le climat est complexe et la communauté scientifique commence seulement à le comprendre.

    Je suis un humble auteur de Substack qui lit des magazines scientifiques. J’essaie de trouver des études scientifiques intéressantes à rapporter, avec quelques tentatives de s’en tenir à la « bonne science » et d’exclure les déchets scientifiques.

    J'apprécie également l'importance du climat pour le bien-être de notre planète et reconnais les limites de mes connaissances.

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  41. Les changements climatiques de la Terre – avec ou sans nous !

    Il y avait une mine de sable abandonnée près de ma maison d'été où je vivais pendant les étés quand j'étais enfant. De nombreux lecteurs seraient surpris d’apprendre que le site n’était pas clôturé (c’était dans les années 1980 en URSS). La mine de sable était une immense fosse contenant une couche de sédiments océaniques de 10 pieds d’épaisseur. J'aimais traîner dans cette mine de sable et fouiller dans les anciens fossiles. J'en ai même apporté quelques-uns lorsque j'ai immigré aux États-Unis :

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    Cela signifie qu’il y a plusieurs millions d’années, cette zone (presque le milieu du continent eurasien) était recouverte par l’océan. Cela s'est produit il y a 200 à 145 millions d'années, pendant la période jurassique, lorsque l'océan était 330 pieds plus haut qu'aujourd'hui. Des sédiments et des fossiles de cette période (fonte des glaces) peuvent être trouvés dans la plupart des endroits de basse altitude.

    C’est la preuve que le climat et le niveau des océans du passé n’avaient rien à voir avec les conditions actuelles.

    À mesure que le climat a changé, la vie sur Terre a également changé et les espèces autrefois prospères représentées par les fossiles ci-dessus sont mortes et ont été remplacées par la faune moderne.

    La Terre changera à nouveau de manière imprévisible, peut-être violente et dévastatrice (pour certaines espèces). C’est notre seule planète, alors respectons-la et veillons à ce qu’elle soit vivable – tout en restant fidèles à la vraie science dans l’évaluation de notre impact sans céder à l’hystérie corrompue, à la pensée de groupe et à l’alarmisme commercialisé.

    Mon rôle ici est de partager les dernières avancées scientifiques - tout en vous permettant de vous forger votre propre opinion.

    Alors qu'est-ce que tu en penses ? Sommes-nous trompés par l’ébullition mondiale, ou est-ce que cela se produit comme on dit ? Les deux opinions ont leur place, et ma section de commentaires est une zone de liberté d’expression où vous pouvez dire presque n’importe quoi tant que vous restez poli.

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    https://www.igor-chudov.com/p/is-the-planet-truly-boiling-or-are?utm_source=post-email-title&publication_id=441185&post_id=136652959&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=9atnc&utm_medium=email

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  42. La politique énergétique allemande alimente l’inflation et les prix à la consommation


    11 octobre 2023
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Début 2024, le prix du gaz carbonique doublera pour atteindre 40 euros la tonne. Début 2025, il devrait alors remonter à 50 euros. En outre, les péages routiers et d’autres augmentations de prix de 83 % augmenteront encore davantage l’inflation et le coût de la vie. La seule chose qui n’est pas affectée est le climat. Toutefois, les causes de l’inflation et de la hausse des prix sont plus profondes.
    Le consultant en risques stratégiques, économiste et auteur à succès William F. Engdahl analyse dans un article que la crise énergétique n'est pas due à des politiciens comme Scholz ou au ministre allemand de l'économie verte Robert Habeck ou au vice-président de la Commission européenne pour l' énergie verte, Frans Timmermans, étant stupide ou ignorant. « Corrompu et malhonnête, peut-être. Mais ils savent exactement ce qu’ils font. Ils lisent un scénario. Tout cela fait partie du plan de l’UE visant à désindustrialiser l’une des concentrations industrielles les plus économes en énergie de la planète. Il s’agit de l’Agenda vert 2030 de l’ONU, également connu sous le nom de Grande Réinitialisation de Klaus Schwab.

    La déréglementation a entraîné un changement dans la manière dont les prix du gaz naturel sont déterminés. «Pendant près de deux décennies, la Commission européenne, soutenue par des mégabanques comme JP MorganChase ou de grands fonds spéculatifs spéculatifs, a commencé à jeter les bases de la déréglementation complète actuelle du marché du gaz naturel. « Ce type de changement est bien entendu toujours présenté comme une « libéralisation ». Le libéralisme a l’air bien, mais ce n’est qu’une méthode qui permet aux oligarques et aux grandes institutions financières de réaliser des profits rapides. Au lieu de conclure et de récompenser des contrats à long terme, les prix sont désormais déterminés par des échanges en temps réel et non réglementés sur le marché libre. Vous pouvez également négocier divers produits dérivés, contrats à terme, etc. - en principe, des paris sur des événements futurs, comme à la roulette.

    Si l’on regarde l’évolution, l’augmentation du coût de la vie est clairement visible à partir de 2020 au moins, comme on peut le voir ici sur le graphique de Destatis :

    Le prix du gaz carbonique augmentera chaque année. Selon finanztip.de « le prix devrait à nouveau augmenter le 1er janvier 2024. Selon un projet de loi du gouvernement fédéral, une augmentation à 40 euros par tonne de gaz carbonique émise est prévue pour 2024. En 2025, le prix du gaz carbonique devrait être de 50 euros la tonne. "

    D’ici 2027, il pourrait atteindre 65 euros la tonne.

    Cela rendra l’énergie nettement plus chère pour tous les Allemands et dans tous les domaines de la vie. Cela poussera également davantage les industries à forte intensité énergétique à quitter le pays.

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  43. Non seulement l’augmentation de la taxe sur le gaz carbonique rend les transports plus chers, mais également les péages pour les poids lourds, qui augmenteront de 83 % début 2024.

    Selon Welt, « les péages pour les poids lourds… seront bientôt augmentés de manière significative – de 83 %. Cela met les petites compagnies maritimes dans une situation désespérée. Il y a également un tollé dans le commerce de détail. Les deux secteurs s’accordent sur qui doit supporter les coûts supplémentaires.»

    Le problème pour les transporteurs de fret de taille moyenne réside notamment dans le fait que les coûts supplémentaires ne peuvent pas être facilement répercutés, par exemple dans le cas de voyages à vide. L'augmentation des péages interviendra en décembre, d'abord pour les poids lourds, et six mois plus tard également pour les petits camions.

    « Nous devons répercuter 100 % de la prochaine augmentation des péages sur nos clients de la production alimentaire. Cela augmentera considérablement l'inflation », déclare Jes-Christian Hansen, directeur général de la société de vente HaBeMA de Hambourg, qui livre des aliments pour l'agriculture.

    La flambée des prix en Allemagne n’a pas grand-chose à voir avec l’économie. La spirale inflationniste est alimentée par une politique énergétique à courte vue et malavisée de l’UE et du gouvernement allemand. Les études en climatologie démontrant que le gaz carbonique « d’origine humaine » joue un rôle extrêmement faible dans l’augmentation des températures sont si nombreuses que même les politiciens ne pourraient pas les ignorer. En dehors de cela, ils ne peuvent pas ignorer que la majorité des pays dans le monde ne sont pas d’accord avec l’alarmisme climatique anti-scientifique et « rejettent la faute sur le gaz carbonique ».

    Ce type de politique énergétique devient particulièrement dangereux et irresponsable compte tenu de la perspective d'un refroidissement imminent de la température moyenne de la Terre jusqu'à une petite période glaciaire, comme le prédisent par exemple les prévisions du Space Weather Service américain concernant la réduction drastique dans l'activité solaire ou les calculs des astrophysiciens .

    https://tkp.at/2023/10/11/deutsche-energiepolitik-heizt-inflation-und-konsumentenpreis-an/

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  44. Les mandats EV sont mauvais. . . L'éthanol est obligatoire, c'est bien !


    Eric Peters
    10 octobre 2023751698


    Donald Trump a dénoncé les mandats obligeant les véhicules électriques à entrer sur le « marché » – entre guillemets pour souligner l’absurdité d’utiliser ce mot pour décrire le fait de forcer les gens à acheter des choses. En partie en forçant les choses que les gens veulent acheter hors du marché.

    Il a raison de dénoncer les mandats pour les véhicules électriques – cela évince le marché des véhicules que les gens peuvent se permettre et sont prêts à acheter avec leur propre argent, de manière à les forcer à n'avoir d'autre choix que d'acheter un véhicule électrique dont ils ne veulent pas et probablement Je ne peux de toute façon pas me permettre (le prix de transaction moyen d'un véhicule électrique – qui n'est pas une sous-compacte comme la Chevrolet Bolt – est de près de 50 000 $) d'utiliser l'argent des autres pour aider à le payer.

    C’est faux en principe – et c’est désastreux en fait.

    Comme les mandats sur l’éthanol que Trump a défendus dans la même bouchée.

    « Les mandats insensés de Biden sur les véhicules électriques décimeront totalement les voitures à essence et si cela se produit, l’éthanol de l’Iowa sera mort. Vous savez, c'est triste. Vous n’aurez pas besoin d’éthanol. Vous n’aurez pas besoin d’essence et vous ne ferez jamais un trajet à plus de douze minutes de chez vous.

    Et ils me demandent pourquoi je bois, disait le Greaseman il y a toutes ces années.

    Comment s’opposer aux mandats en les approuvant ? Trump – comme la plupart des Républicains – ne s’oppose pas aux mandats. En principe. Lui (et eux) s’opposent aux mandats qu’ils n’approuvent pas.

    La distinction est importante car elle explique pourquoi il n’y a pas eu d’opposition efficace aux mandats – en principe.

    Si vous êtes favorable au fait d’obliger les gens à acheter de l’éthanol – presque tout le « gaz » vendu dans ce pays est en fait du gaz frelaté qui contient au moins 10 % d’alcool éthanolique, grâce aux mandats fédéraux l’exigeant – alors comment pouvez-vous vous opposer au fait de forcer les gens à acheter de l’éthanol ? acheter des véhicules électriques en exigeant que la plupart des véhicules disponibles à la vente soient des véhicules électriques ?

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  45. Trump dit qu'il s'oppose au fait de forcer les gens à acheter des véhicules électriques en ne leur laissant aucune alternative – tout comme les gens n'ont d'autre choix que d'acheter du « gaz » dilué avec de l'alcool éthanolique, ce qui non seulement augmente le coût de ce « gaz » (si l'éthanol est utilisé). étaient moins chers, cela ne devrait pas être obligatoire) mais rend également le « gaz » moins dense en énergie (l'éthanol a une teneur en BTU inférieure à celle de l'essence), ce qui entraîne une économie de carburant réduite, un double coup dur.

    Un triple coup dur, en fait, car l’éthanol attire l’eau, ce qui accélère la rouille des réservoirs d’essence en métal et des conduites de carburant non conçues pour gérer le « gaz » contenant de l’alcool. C’est le fléau des équipements électriques extérieurs et des moteurs marins ainsi que des systèmes de distribution de carburant des véhicules plus anciens fabriqués lorsque le gaz était encore du gaz ; c’est-à-dire avant que le gouvernement fédéral ne commence à forcer les Américains à acheter (et à payer, par d’autres moyens) du « gaz » contenant de l’éthanol.

    Mais Trump parle également de « l’industrie » de l’éthanol – entre guillemets pour souligner l’absurdité d’utiliser ce mot pour décrire un projet de création d’emplois qui utilise le gouvernement pour forcer les gens à acheter (et à payer, dans une myriade de d’autres manières) un produit que peu d’entre eux choisiraient librement d’acheter, s’ils étaient libres de choisir de ne pas l’acheter – c’est bien parce que c’est ce que son public voulait entendre.

    Tout comme le public de Biden veut entendre parler des véhicules électriques.

    Aucun des deux publics n’est gêné par l’imposition de leur desideratum – la chose qu’ils veulent ou dont ils bénéficient et pour laquelle ils pensent qu’il est acceptable que le gouvernement force d’autres personnes à acheter et à payer.

    C'est pourquoi l'éthanol obligatoire ne sera jamais abrogé. C’est pourquoi les mandats EV se poursuivront. Il pourrait y avoir des débats sur leur degré et leur rythme. Mais il n’y a aucune opposition de principe à l’un ou l’autre. Trump ne dira jamais qu’il est mal – que c’est immoral – de forcer qui que ce soit à acheter ou de subventionner l’achat de quoi que ce soit, car s’il disait cela, il perdrait le soutien politique de ceux qui bénéficient de mandats gouvernementaux qui obligent d’autres à acheter quelque chose. acheter (et payer de multiples autres manières) les choses qu'ils vendent.

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  46. Il s’opposera uniquement aux choses que ses opposants politiques prétendent que ses partisans politiques doivent être forcés d’acheter (et de payer de multiples autres manières).

    Ainsi, son opposition à l’obligation des véhicules électriques en exigeant qu’il n’y ait (d’ici 2030 environ) aucune alternative à eux et – dans le même souffle – sa défense de l’obligation de l’éthanol qui n’a laissé aux gens d’autre choix que de l’acheter et de payer. pour cela de multiples autres manières, telles qu'une économie de carburant réduite et un risque accru de problèmes liés à la corrosion dans les systèmes de carburant des véhicules plus anciens construits lorsque le gaz était encore du gaz.

    Mais Trump ne fait que faire la même chose en termes de bénéfices (et de coûts) que les Républicains font depuis des décennies, c’est pourquoi le pays se déplace toujours plus à gauche au fil du temps. « Ne touchez pas à ma sécurité sociale », ont déclaré les militants du Tea Party opposés aux arnaques sociales qu’ils n’appréciaient pas d’être obligés de payer.

    Vous ne pouvez pas arrêter les progrès du gauchisme en l’approuvant.

    Et c’est pourquoi les élections américaines ne sont rien d’autre qu’une sorte d’enchère anticipée de biens volés, comme le disait H.L. Mencken il y a près d’un siècle. Mais c’est pire que cela, car il s’agit désormais d’un simple vol – le transfert de richesse de « a » à « b ». C’est devenu quelque chose d’illusoire plutôt que simplement cynique.

    Il est honnête, d’une certaine manière, de prôner le vol. Mais il est en réalité insensé de le défendre quand on le favorise tout en s’y opposant quand on ne l’aime pas.

    Orwell a appelé cette forme de maladie mentale Doublethink. Et vous venez de lire la dernière démonstration de Trump à ce sujet.

    https://www.ericpetersautos.com/2023/10/10/ev-mandates-bad-ethanol-mandates-good/

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  47. Le mois de septembre le plus chaud de tous les temps – encore un appât à clics pour les mammifères aimant la chaleur qui vivent dans une plage de 90 degrés

    Les villes les plus chaudes et les plus froides du monde.

    - voir photo sur site -

    Les humains vivent dans un angle de 90 degrés, de Marble Bar, en Australie, à Oymyakon, en Sibérie. | Photos : Marble Bar, Wilford Peloquin, Oymyakon (et plus glorieux) par Amos Chapple.


    Par Jo Nova
    October 9th, 2023 (Printemps le 21 Septembre en Australie)


    Le titre « le plus chaud de tous les temps » est trompeur

    Même si les mesures satellitaires UAH sont de loin les plus chaudes des 44 années d’enregistrement satellitaire, rien dans la frénésie médiatique « la plus chaude jamais enregistrée » n’a de sens – ni pour la santé, l’histoire, le long terme ou la biologie humaine. Ce n’est que « le plus chaud de tous les temps » si nous ignorons la majeure partie des dix mille dernières années. C’est juste une autre tentative pour effrayer les gens et leur faire perdre leur argent.

    Les dernières mesures du satellite UAH pourraient être affectées par la vapeur d'eau rejetée dans l'atmosphère par le volcan Hunga Tonga. Il ne semble pas y avoir de détails clairs à ce sujet, mais même si nous acceptons cela tel quel, ce n’est toujours pas une raison pour dépenser des milliards de dollars :

    - voir graph sur site -

    UAH Tendances mondiales des températures.
    De Roy Spencer, UAH

    Dans le grand schéma de l’histoire de l’humanité, le monde a été beaucoup plus chaud et beaucoup plus froid. Les Homo sapiens sont des animaux à 37 degrés qui se retirent dans des climats chauds et non froids. La plupart des habitants de la Terre vivent dans les tropiques chauds, et non dans les pôles froids. Deux cents millions d'années d'évolution signifient que les mammifères sont faits pour faire face aux changements de température. Nous vivons dans des endroits où la température varie de moins 50 °C minimum à plus 40 °C maximum (-58 °F à 107 °F). Cela représente une plage de température de quatre-vingt-dix degrés (ou 160F), et pourtant nous sommes censés paniquer si le monde se réchauffe d’un demi-degré de plus ?

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  48. L'endroit habité le plus chaud sur Terre est probablement Kébili, en Tunisie, où vivent 60 000 personnes et où la température maximale moyenne en juillet est de 41,7°C (107F). Et Marble Bar, en Australie occidentale, a connu une moyenne de 41°C en janvier au cours des 100 dernières années (106F). Les combustibles fossiles rendent cela possible. Donnez à la mauvaise climatisation !

    L'endroit habité le plus froid est Oymyakon, en Sibérie, en Russie, où vivent 500 personnes même si la température moyenne en janvier est de -50°C (-58F). Ce sont les températures moyennes, pas les jours les plus chauds et les plus froids.

    Presque tous les jours de l’année, nous sommes confrontés à un réchauffement de cinq à vingt degrés, et ce n’est qu’à l’aube du thé de l’après-midi.

    Les humains détestent la chaleur, n'est-ce pas ?

    - voir phito sur site -

    Plage de Bondi, bain de soleil.

    Le froid est la grande menace pour les cultures et les vies, pas la chaleur

    La mortalité humaine est 6 à 20 fois plus élevée en hiver, même dans les villes chaudes comme Brisbane, en Australie. La plus grande menace climatique à laquelle l’humanité est confrontée est la prochaine période glaciaire. Il y a vingt mille ans, il y avait des murs de glace d’un kilomètre de haut au-dessus de New York – cela représente 2 000 pieds d’eau gelée qui doit fondre avant de pouvoir planter un prunier.

    Le « mois de septembre le plus chaud de tous les temps » n’est que le mois de septembre le plus chaud enregistré par satellite depuis 40 ans. Le monde était probablement plus chaud à l’époque romaine, plus chaud à l’époque minoenne et plus chaud pendant le pic de l’Holocène, il y a 7 000 ans. Le niveau de la mer était alors 1 à 2 mètres plus haut, lorsque les humains vivaient dans des huttes de terre et des tipis. Pourtant, d’une manière ou d’une autre, les humains ont prospéré.

    Il y a sept mille ans, la planète était plus chaude que notre « septembre le plus chaud de tous les temps » et pourtant la Grande Barrière de Corail a survécu, les forêts amazoniennes se sont développées et même les ours polaires et les pingouins n’ont pas été anéantis. Il y a seulement 6 000 ans, le monde était plus chaud et le Sahara était verdoyant et humide.

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  49. En Occident, des universitaires avisés pourraient prendre la parole pour nous donner une certaine perspective, mais ils restent silencieux. Pour quoi les contribuables les paient-ils sinon pour cela ? Nos médias financés par l’État pourraient nous donner toute la vérité et rien que la vérité. Nos chaînes ABC, BBC, CBC et NPR disposent d’« unités scientifiques » spécialisées dans les reportages scientifiques, et pas seulement dans la propagande unilatérale qui détourne l’argent des contribuables et alimente l’anxiété des enfants.

    Ces institutions n’ont aucun problème à nous rappeler que le gaz carbonique n’a pas été aussi élevé depuis 4 millions d’années, mais elles oublient jour après jour que les températures le sont depuis des milliers d’années.

    - voir graph sur site -

    Carotte de glace du Groenland, GISP, Température, holocène, Graphique.

    MISE À JOUR : Ce graphique montre les données sur les carottes de glace jusqu'en 1855. Les 150 dernières années (1705 à 1855) sont surlignées en rouge pour montrer le réchauffement lorsque la Terre a commencé à sortir du LIA.

    Le niveau de la mer baisse depuis 7 000 ans :
    L’Australie occidentale est l’une des régions de la Terre les plus anciennes et les plus stables, ce qui en fait un endroit idéal pour étudier le niveau de la mer. Nous nous inquiétons de la montée des mers de 3 mm par an (et seulement après que les satellites aient été « ajustés »), mais les océans se sont élevés de 125 mètres, sont restés hauts pendant des milliers d’années et ont baissé pendant la majeure partie de la civilisation humaine.

    Le niveau de la mer baisse depuis 7 000 ans en Australie occidentale

    Sauvez le monde des sorciers. Enseigner aux enfants la géologie et l'histoire de la Terre.
    ___

    PS : Y a-t-il des mineurs qui lisent ceci avec des photos de Marble Bar et cela ne les dérange pas que j'utilise ? Veuillez les envoyer. Il y a étonnamment peu de photos disponibles dans les bibliothèques libres de droits. Quelque part, quelqu’un doit avoir une photo de la chaleur chatoyante s’élevant du bitume !

    REFERENCE:
    Lewis, S.E., et al., Post-glacial sea-level changes around the Australian margin: a review, Quaternary Science
    Reviews (2012), http://dx.doi.org/10.1016/j.quascirev.2012.09.006 [abstract] (paywalled).

    https://joannenova.com.au/2023/10/hottest-ever-september-just-more-headline-clickbait-for-heat-loving-mammals-that-live-across-a-90-degree-range/

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  50. L'identité numérique comme base du passeport gaz carbonique


    11 octobre 2023
    de Thomas Oysmüller


    Les agences de voyages prévoient des restrictions massives sur les voyages individuels jusqu'en 2040. Selon les prévisions, cela sera organisé à l'aide de passeports gaz carbonique.

    L'identité numérique pour tous émerge rapidement : ce n'est que mardi que le gouvernement autrichien a annoncé qu'il mettrait fin aux signatures sur les téléphones portables. Comme alternative, il existe « ID Austria » – rien de plus que la version rouge-blanc-rouge de l’identité numérique.

    Passeports gaz carbonique

    L’identité numérique pose également les bases du passeport gaz carbonique. Des propositions à cet égard sont déjà ouvertement formulées. Intrepid Travel, une agence de voyage australienne, a récemment présenté le « voyage » du futur. Et cela s’accompagnera de restrictions importantes, car la « crise climatique » entraînera des restrictions à la liberté de voyager.

    Dans le rapport découvert par Reclaim the Net , l'entreprise parle de « quotas carbone personnels ». Il est indiqué qu'ils décideront de la durée pendant laquelle l'individu est encore autorisé à voyager. Les certificats l'obligeront à respecter le « budget mondial gaz carbonique ».

    D’ici 2040, « on peut s’attendre à des restrictions sur les voyages » qui limiteront le nombre de voyages annuels, indique le rapport de l’agence de voyages. Le texte a été rédigé en collaboration avec l'agence de prévision The Future Laboratory. Des destinations de voyage populaires comme la Grèce ou Majorque ne seront plus accessibles dans 15 ans car elles seront alors considérées comme « trop chaudes pour les humains ».

    Reclaim the Net résume :

    L'introduction de passeports carbone pourrait susciter de sérieuses inquiétudes quant au niveau de surveillance des mouvements et des comportements des individus.

    Ces mesures pourraient-elles servir de précurseur à une surveillance généralisée de l’empreinte carbone des individus ?

    Il est essentiel de garantir que les mesures mondiales ne portent pas atteinte au droit à la vie privée et ne deviennent pas des pratiques invasives.

    https://tkp.at/2023/10/11/digital-identitaet-als-grundlage-fuer-den-co2-reisepass/

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    Réponses
    1. Par exemple, si vous êtes pilote d'avions ou hôtesse de l'air vous ne pouvez faire que 10 voyages par an !! (5 A-R) ou... pilote d'avions de chasse ou d'hélicoptères !
      Dans qq jours cette mesure s'appliquera aussi aux pilotes de drones puis à TOUS les oiseaux et abeilles et aussi (Hourra !) les mouches et les moustiques ! (puis au microbes ? et aux nano-poussières appelées 'virus' ?). HAHAHAHA ! et puis aussi AUX VENTS !

      On comprend bien pourquoi les compagnies aériennes chinoises et brésiliennes ne paient pas de taxe à l'aéroport !! "Ton gaz carbonique tu peux te le mettre au cul !" Hahahaha !

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  51. iPhone : ne faites pas la dernière mise à jour !

    L’iPhone 15 donne du fil à retordre à ses utilisateurs ainsi qu’à son fabricant, Apple. Malgré les tentatives de la firme pour résoudre les problèmes de surchauffe de cet appareil, la dernière mise à jour iOS 17 les aggrave et en ajoute d’autres.


    Par Axelle Ker
    le 11 octobre 2023 à 12h30


    l'iPhone 15 est vendu à partir de 969 euros

    Mise à jour iPhone 15 : les problèmes de surchauffe persistent

    Lors de son lancement, l'iPhone 15 avait déjà été au cœur des controverses en raison de problèmes de surchauffe. Avec l'introduction d'iOS 17, la situation semble s'être aggravée. Selon Tom's Hardware, certaines décisions prises par Apple pourraient être à l'origine de ces complications. En effet, dans le but d'alléger le téléphone, Apple aurait décidé de sacrifier le système de refroidissement, entraînant des surchauffes sur ces appareils. Du côté d'Apple, ces désagréments proviendraient du logiciel. La firme a donc entrepris d'effectuer une nouvelle mise à jour.

    Malheureusement, la mise à jour iOS 17.0.3 n'a pas résolu le problème. Les iPhone 15 continuent de montrer des signes de surchauffe. De nombreux utilisateurs ont fait part de leur mécontentement sur divers forums et signalent l'apparition d'autres problèmes.

    Des problèmes de connexion Internet et wifi

    Pas de chance pour Apple.... alors que la firme cherchait à résoudre les problèmes de surchauffe, la dernière mise à jour iOS 17 a engendré d'autres soucis, notamment des problèmes d'accès au Wi-Fi et à Internet. Selon les témoignages des utilisateurs d'iPhone 15, leur appareil peine à télécharger certaines applications comme Instagram ou TikTok. De plus, leur connexion internet, qu'elle soit via Wi-Fi ou autre, est particulièrement lente. Un autre problème signalé concernerait le haut-parleur du téléphone qui ne fonctionne pas toujours de manière optimale

    Phonandroid a mené une enquête sur les performances réelles de l'iPhone 15 Pro. Une hypothèse avance qu'Apple aurait délibérément bridé les performances pour réduire la surchauffe. En effet, bien que l'iPhone 15 offre de nombreux avantages sur le papier, des tests ont révélé que ses performances sont inférieures à celles des modèles précédents. Selon plusieurs experts, dont Ming-chi Kuo mentionné par Clubic, Apple pourrait être amenée à réduire (encore) les performances de l'iPhone 15 pour remédier à ces désagréments. Il n'y a donc pas de solution pour le problème de surchauffe pour l'instant. Toutefois, si les problèmes de Wi-Fi et d'accès à Internet ont émergé avec la dernière mise à jour, on peut espérer que la prochaine parviendra à les résoudre. Pour ce qui concerne les autres modèles d'iPhone, la dernière mise à jour iOS 17 ne semble pas affecter leur performances.

    https://www.economiematin.fr/iphone15-ios17-apple-probleme-surchauffe-wifi

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