- ENTREE de SECOURS -



dimanche 15 octobre 2023

STRIPPED NAKED - Sarah Allen, Jon Cor, Mark Slacke, Tommie-Amber Pirie, Cinthia Burke, Linden Ashby

 

56 commentaires:

  1. Persécution officielle par de « fausses accusations criminelles » contre la biostatisticienne Christine Massey et l'activisme anti-vaccin Covid-19 à Peterborough, en Ontario

    "Il ne s'agit ni du faux-covid, ni des virus imaginaires, ni du mythe de la contagion"


    Par Christine Massey
    Recherche mondiale,
    14 octobre 2023


    Un projet d'enquête détaillé et controversé de la célèbre biostatisticienne canadienne Christine Massey (MSc) intitulé

    « Demandes d’accès à l’information : les établissements de santé et scientifiques du monde entier « n’ont aucun dossier » sur l’isolement/purification du SRAS-COV-2 »

    fournit une documentation concernant l’identité du virus.

    Les réponses à ces demandes de Christine Massey dans le cadre de la liberté d'information (FOI) de 217 entités dans 40 pays confirment (sur la base de déclarations officielles) qu'il n'y a aucune trace d'isolement/purification du SRAS-CoV-2 « ayant été effectué par qui que ce soit, n'importe où, jamais.

    Il convient de noter que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a confirmé en janvier 2020 qu’elle n’était pas en possession d’un isolat provenant d’un patient infecté.

    Les articles de Christine Massey peuvent être consultés sur Fluoride Free Peel

    Demandes d’accès à l’information : les établissements de santé et scientifiques du monde entier « n’ont aucune trace » de l’isolement/purification du SRAS-COV-2

    Par Peeling sans fluorure , 04 août 2021

    90 institutions scientifiques et de santé dans le monde n’ont pas réussi à citer ne serait-ce qu’un seul cas de purification du « SARS-COV-2 », par qui que ce soit, n’importe où et jamais

    Par Peeling sans fluorure , le 4 août 2021.
    Voir également


    Vidéo : Le virus existe-t-il ? Le SRAS-CoV-2 a-t-il été isolé ? Entretien avec Christine Massey

    Par Christine Massey et Pr Michel Chossudovsky , le 04 décembre 2022

    * * *

    Ceci est une mise à jour sur ma situation personnelle concernant les « accusations criminelles » fausses/fausses/frauduleuses et ce qui s’est passé au tribunal la semaine dernière. Il ne traite pas directement du faux-covid, ni de virus imaginaires, ni du mythe de la contagion (bien qu'il mette en scène un «médecin» menteur du point de vente, Thomas Piggott ).

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  2. Mise à jour

    J'y ai assisté via « zoom ». Timothy Breen agissait/ faisait des affaires en tant que « juge ».

    Paul Murray, faisant affaire sous le nom de « la Couronne », a discuté de l'« accusation de harcèlement » fausse/fausse/frauduleuse inscrite dans le dossier comme si elle était 100 % légitime.

    Il a ensuite « ordonné au tribunal » d’accorder une « suspension » conformément à l’article du Code criminel. 579(1), et d’annuler la date prévue du procès du 5 décembre 2023 et une « date de confirmation » du 18 octobre 2023 (dont je n’avais même jamais entendu parler auparavant, putain).

    Apparemment Doug Downey agissant/faisant affaire en tant que « procureur général de l'Ontario » était intervenu parce que je lui avais envoyé 3 lettres recommandées depuis le 8 août 2023. (J'avais également envoyé une lettre à Timothy Breen agissant en tant que « juge » la veille. .)

    Notez qu’un « séjour » n’est pas la même chose qu’un retrait. Cela signifie qu’ils pourraient (légalement, pas légalement) essayer de ressusciter l’affaire fausse/fausse/frauduleuse plus tard.

    En « suspendant » l’affaire au lieu de la « retirer », ils évitent le risque de voir toutes les fraudes/mensonges exposés lors d’un procès, ils maintiennent la « charge » fausse/fausse/frauduleuse et la possibilité d’un procès suspendue au-dessus de ma tête, et ils continuent de nuire à ma réputation.

    En même temps, un détail intéressant est que l’art. 579 (2) du Code criminel (en vertu duquel ils opèrent si/quand cela leur convient) traite de la possibilité d'une « reprise de la procédure ». Cet article fait référence à un délai d'un an pour la reprise et à « l'expiration du délai dans lequel la procédure aurait pu être engagée , la date la plus rapprochée étant retenue » .

    Étant donné que:

    1) Plus de 20 mois se sont déjà écoulés depuis que j'ai été menotté et

    2) tout délai supérieur à 18 mois est généralement considéré comme un délai déraisonnable (à compter de la date des « accusations » jusqu'à la fin des arguments lors d'un procès)…

    il semble qu’ils se soient en quelque sorte éloignés de la fausse/fausse « affaire » comme si elle n’avait jamais commencé, sans l’admettre en langage clair. C'est du moins mon avis. Aucune garantie qu'ils n'essaieront pas de recommencer, surtout si je contacte le « médecin » menteur du POS, Thomas Piggott.

    De plus, en vertu du par. 579 (2) « rester », l'« engagement »/l'accord que j'étais censé avoir pris de ne pas contacter le menteur Thomas (qui était nul et non avenu depuis le début car il n'y avait pas les coches nécessaires pour indiquer que lesdites conditions étaient en vigueur , et je ne l'ai jamais signé ni accepté, et je ne l'ai jamais donné à aucun agent de la paix) est maintenant censé être « libéré ».

    (Si je contacte le menteur, que va-t-il se passer à votre avis ?)

    Quoi qu’il en soit, après que Paul Murray, faisant affaire sous le nom de « la couronne », ait terminé sa représentation théâtrale sur les « accusations » fausses/fausses/frauduleuses et le « séjour » (comment « rester » quelque chose qui n’a jamais vraiment existé en premier lieu et qui n’existe pas ? ) 'même pas tamponné/scellé par un vrai tribunal ? ), Timothy Breen faisant des affaires en tant que « juge » a dit « ok ». Timothy a alors demandé si CHRISTINE MASSEY était à l'appel.

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  3. Voici à peu près ce que j'ai réussi à dire officiellement avant que Timothy ne m'interrompe brutalement et ne me fasse couper le son :

    "Je m'appelle Christine, je suis la femme menottée et on lui a dit qu'elle était "inculpée" dans cette soi-disant affaire, apparaissant spécialement sous la menace, la contrainte, la coercition, n'ayant pas accepté de contracter ou de se joindre, non constituée en société ou acceptant de se constituer en société, pas sous tout serment au tribunal/à la couronne/à l'État, parlant anglais et non juridique.

    Je n'ai jamais reçu de procédure émise par un tribunal, ni de plainte pour intrusion de la part d'un homme ou d'une femme prétendant que j'avais violé leur infraction de quelque manière que ce soit, ni de déclaration de détails.

    Je n’ai jamais donné d’« engagement » à un soi-disant « agent de la paix ». Je n'ai jamais contracté, accepté ou promis de comparaître, et je ne suis pas non plus sous serment envers REGINA ou l'État/la couronne, et je ne peux donc « manquer de comparaître ».

    J’attire votre attention sur….

    Timothy Breen faisant affaire en tant que « juge » m'a interrompu ici pour que je ne puisse pas terminer ma phrase, qui allait se conclure par :

    «…. la lettre et les courriels que j'ai envoyés au tribunal hier et aujourd'hui, et je m'en tiens à cela. La seule chose légale que vous pouvez faire est de radier/de rejeter/de renvoyer/de retirer complètement cette prétendue affaire, de façon permanente .

    Timothy m'a entendu parler et a répondu. D’autres participants à l’appel zoom m’ont également entendu. Il a grossièrement bavardé sur le fait que « l’accusation » avait déjà été « suspendue ».

    J'ai répondu à plusieurs reprises : « Il n'y a pas de frais. »

    Timothy m'a fait couper le son et quelqu'un m'a complètement expulsé du « terrain » de zoom.

    Détail intéressant : quelqu’un a empêché d’une manière ou d’une autre ma voix (et seulement ma voix) d’être entendue sur un enregistrement de l’appel zoom, avant même que je ne sois mis en sourdine. Ma voix est très brouillée et inintelligible à la lecture, alors que toutes les autres voix fonctionnent très bien. (Hmm, cela signifie-t-il qu'une transcription n'inclura pas mon discours ?)

    Les absurdités ont continué le lendemain. Dans la matinée, le site Web qui répertorie les affaires judiciaires en Ontario avait mis à jour l'entrée pour cette « affaire », de sorte que la date du procès du 5 décembre 2023, qui avait soi-disant été « annulée », était à nouveau indiquée comme « date de prochaine comparution ».

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  4. Les virus, inertes ou vivants ?


    Clementine Ducharme
    Transcription

    - voir dessins et photos sur site -

    Les virus, inertes ou vivants ? Plus qu elles ne répondent à cette interrogation, les découvertes récentes replacent les virus dans une position d'arbitre : ne sont vivants que les organismes qui sont infectés par un virus ! Ali Saïb 1. Le virus ATV (pour Acidianus Two-tailed Virus) remet en cause un des dogmes de la virologie selon lequel un virus ne peut se modifier en dehors d'une cellule. En effet, ce micro-organisme qui infecte une archébactérie (Aciadianus convivator) des sources hydrothermales acides peut croître en dehors d'une cellule. En forme de citron lorsqu'il bourgeonne de la cellule (en bas, à gauche), deux bras poussent à chaque extrémité quand la température est comprise entre 75 et 90° C. Ce processus est actif et n'est pas la conséquence d'une simple réorganisation des molécules du virus. Bruno Bourgeois

    La biologie, ou science de la vie, est l'étude des êtres vivants et des interactions qu'ils établissent avec d'autres ou avec l'environnement. Partant, le biologiste se doit de distinguer ce qui est vivant de ce qui ne l'est pas. Cette frontière entre la matière inerte et le vivant est également l'objet d'études d'autres disciplines scientifiques, telles la chimie ou la physique, et reste un sujet de réflexion pour philosophes et religieux. Intuitivement, nous savons distinguer ce qui est vivant de ce qui ne l'est pas: un arbre, un animal sont vivants, un caillou, un livre ne le sont pas. Cette dichotomie qui semble aisée au niveau macroscopique se complique à l'échelle microscopique. Pour nous aider, rappelons les caractéristiques généralement admises pour qualifier un organisme de vivant. Aujourd' hui, plusieurs définitions coexistent, toutes évoluant au gré des progrès des connaissances. Sans tendre à l'exhaustivité, dressons la liste des dénominateurs communs à la plupart des écoles. Ainsi, une entité serait vivante si elle peut utiliser ou créer de l'énergie, si elle se reproduit, si elle échange avec le milieu extérieur, si elle répond à des stimulus, si elle croît, s'il peut exister une variabilité génétique distinguant la génération parentale des descendants.

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  5. Sur ces critères, les bactéries sont des organismes vivants. Jusqu à la fin des années 1970, les organismes vivants étaient classés en deux règnes, les eucaryotes et les procaryotes.
    Schématiquement, les premiers sont caractérisés par une structure intracellulaire complexe, le noyau, séparant le cytoplasme du nucléoplasme où baigne le patrimoine génétique, l'acide désoxyribonucléique (ADN). Cette structure est absente chez les procaryotes, c'est-à-dire les bactéries. Cette répartition des organismes vivants a été bouleversée avec la découverte d'un nouveau groupe d'êtres vivants au sein même des procaryotes, les archébactéries, constituant le troisième règne du vivant. Ces archébactéries présentent en effet des particularités, notamment la nature et l'agencement des lipides membranaires, qui les distinguent des deux autres domaines.
    Ainsi, tout organisme nouvellement recensé dans le grand catalogue du vivant est placé dans l'un de ces trois domaines. Toutefois, les virus posent problème : certains scientifiques les voient comme des structures complexes constituées certes de molécules organiques, mais totalement dénuées de vie; d'autres ont une position opposée, affirmant que les virus sont des organismes vivants. De fait, les virus sont classés en ordres, familles, sous-familles, genres et espèces, à la façon des organismes vivants.

    Quelle est la raison de cet apparent paradoxe ?

    Nous verrons que des découvertes récentes remettent en question le caractère inerte des virus et rendent floue la frontière entre le vivant et l'inanimé: le parasitisme obligatoire que l'on croyait être l'apanage des virus existe aussi chez les bactéries, des organismes indéniablement vivants; des virus contiennent de l'ARN et de l'ADN, alors que l'on pensait caractériser ces micro-organismes par la présence d'un seul acide nucléique; enfin, certains virus changent de forme en dehors de tout contexte cellulaire (voir la figure 1), ce que l'on tenait pour impossible. Ces découvertes confèrent aux virus un rôle inédit, celui de précurseurs de la vie, et en font même un moyen de définir ce qu est la vie. La complexité du monde viral. Les virus ont été découverts à la fin du XIX e siècle chez les plantes, puis chez les animaux et l'homme au début du XX e siècle. Pour beaucoup, virus et bactéries sont synonymes, tous deux regroupés sous le terme générique de microbes. Pourtant, ces deux types de micro-organismes n'ont quasiment rien en commun. Au début du siècle dernier, admettre l'existence des virus n a pas été chose facile et la virologie a difficilement trouvé sa place dans les manuels de biologie ou de médecine. Alors que la bactériologie connaissait un développement spectaculaire, l'arrivée des virus comme «nouveaux» microbes laissait sceptique et il a fallu attendre la mise au point du microscope électronique dans les années 1930 pour ne plus douter de l'existence de ces agents.

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  6. Dès lors, des virus ont été retrouvés dans les organismes des trois domaines du vivant, chez la plupart des espèces animales et végétales et chez les bactéries. On sait aujourd'hui que les virus existent sous toutes les latitudes, dans tous les milieux. Environ 1000 fois plus petits que les bactéries (nous verrons que ce n'est pas toujours le cas), les virus sont constitués d un acide nucléique (ADN ou ARN), support de l'information génétique virale, protégé par une structure protéique, nommée capside, et parfois une enveloppe lipidique. Malgré ces constituants de base communs, le monde des virus est extraordinairement hétérogène. Les virus présentent une multitude de tailles, de génomes, de cycles réplicatifs différents.

    À l'inverse de la plupart des bactéries, les virus sont des parasites obligatoires: ils ne se multiplient qu'au sein d une cellule hôte. Pour ce faire, un virus pénètre dans une cellule grâce à une porte d' entrée, un récepteur situé à la surface de l'hôte. Une fois à l'intérieur, le génome viral impose à la cellule une série de tâches qui la condamne à fabriquer des virus, en des milliers d'exemplaires (voir la figure 2). De plus, certains ADN viraux s insèrent dans le patrimoine génétique de l'hôte et sont transmis à chaque génération comme tout gène cellulaire: ce sont des virus endogènes.
    Vus depuis leur découverte comme de simples assemblages de molécules organiques, les virus sont certes capables de parasiter un organisme vivant, mais semblent dénués de vie lorsqu ils sont à l' extérieur d'une cellule. Les virus furent mêmes assimilés à de simples «états virulents des corps organisés». En effet, on avait montré que les virus sont incapables de synthèse protéique, leur petite taille les empêchant de contenir la machinerie nécessaire, et leur patrimoine génétique ne codant pas les enzymes requises par ce processus. De plus, ils ne peuvent croître hors contexte cellulaire. Ils ne contiennent qu'un seul type d'acide nucléique (ADN ou ARN), alors que les deux types coexistent dans tout organisme vivant. Enfin, ils n'ont aucun métabolisme propre, l'énergie nécessaire à leur multiplication étant fournie par l'hôte. Cependant, les virus sont susceptibles de variabilité génétique (c'est pourquoi certains médicaments deviennent inefficaces) et par conséquent peuvent évoluer.

    Ainsi, les virus seraient porteurs de potentialités qui s'expriment seulement lorsque les conditions sont favorables, à la façon d une graine qui peut suspendre son métabolisme pendant des milliers d' années, pour reprendre vie quand les conditions s'y prêtent. Du nouveau chez les virus Le parasitisme obligatoire serait-il un argument recevable pour placer le monde viral hors du vivant ? Non, puisque nous savons aujourd'hui que de nombreuses bactéries, telles les rickettsies, sont totalement dépendantes de leur cellule hôte.

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  7. Pour ces raisons, les biologistes sont partagés entre placer les virus dans le vivant ou n y voir qu un assemblage chimique complexe, mais sans vie. La récente synthèse chimique du génome d un bactériophage (un virus de bactérie), capable de se multiplier après son introduction dans une bactérie, a ravivé le débat; les uns, menés par Craig Venter, l'auteur de ce virus «artificiel», affirment qu il a été possible de créer la vie en laboratoire, les autres arguent que les virus ne sont pas vivants et que ce n'est donc pas un scoop ! Dotés à la fois des caractéristiques du vivant et du nonvivant, les virus ont été placés à la frontière entre ces deux mondes, dans une sorte de no man's land qui contente Protéine d'enveloppe1 Le virus se fixe à la cellule et y pénètre. Nouvelle particule virale Génome Enveloppe Capside2 Le virus libère son matériel génétique. Enzymes cellulaires Gènes viraux Noyau ADN viral Protéine virale ARN viral Ribosome Protéine native6 . Les nouvelles particules virales s'échappent pour aller infecter d'autres cellules5 . Les protéines virales et l'ADN viral se recombinent pour former de nouvelles particules virales. Cellule hôte3 . Des enzymes de la cellule transcrivent l'ADN viral en ARN et copient également l'ADN viral4 . Les ribosomes, dans le cytoplasme, traduisent l ARN en protéines virales. Bryan Christies Design2. Un virus est un parasite obligatoire. Il pénètre dans une cellule grâce à un ou plusieurs récepteurs à la surface (1). Dès son entrée, il détourne de nombreux acteurs cellulaires pour se multiplier en des milliers d'exemplaires. Certains virus pénètrent dans le noyau (2) et insèrent leur matériel génétique dans celui de la cellule (on parle alors de rétrovirus), obligeant celle-ci à fabriquer des constituants viraux (de 3 à 5). Ces derniers s assemblent en nouveaux virus (des milliers d exemplaires) et quittent la cellule par bourgeonnement (6) ou par destruction de la cellule. 62 POUR LA SCIENCE - N 350 DÉCEMBRE 2006 4 tous les belligérants.

    Toutefois, des découvertes récentes bousculent ce statu quo. Chaque année, de nouveaux virus sont identifiés dans les organismes des trois domaines du vivant. C'est justement l'étude de deux virus «inédits» qui a conduit à repenser la place des virus dans le règne du vivant. En 2003, la découverte d un virus infectant une amibe et baptisé Mimivirus (pour Mimicking Microbe Virus, ou Virus imitant les microbes) a fait l effet d un coup de tonnerre (voir la figure 4). D'une taille supérieure à certaines bactéries, ce virus géant de 400 nanomètres de diamètre est le seul virus visible au microscope optique. Par ailleurs, son génome, comptant environ 1200 gènes, est plus grand et plus complexe que celui de certaines bactéries. Pour comparaison, le génome (en ADN) de ce Mimivirus est constitué de près de 1,2 million de bases, alors que celui de Nanoarcheum equitans, une archébactérie, en a trois fois moins. Plus étonnant encore, parmi les gènes de Mimivirus, plusieurs participeraient à la synthèse protéique et à la réparation de son propre patrimoine génétique ! Enfin, côtoyant l'ADN du virus, des ARN ont été détectés dans les virus extracellulaires de Mimivirus. Les virologistes n'étaient pas au bout de leurs surprises. Jusqu ici, ils pensaient que les gènes viraux avaient une origine cellulaire et qu'ils résultaient d'une sorte de rapt génétique effectué par les virus au cours de l'évolution. L'analyse du génome de Mimivirus a prouvé le contraire : de nombreux gènes de ce virus n'ont aucun homologue chez les organismes des trois domaines du vivant, ce qui indique une origine indépendante. Ce virus une réelle énigme serait le chef de file d' une nouvelle famille de virus géants, des virus qui semblent être apparus sur Terre en même temps que la vie elle-même, il y a quatre milliards d'années. Ces observations ont conduit plusieurs biologistes à proposer la création d'une quatrième branche dans l'arbre du vivant (voir la figure 3), celle des Girus (pour Giant Virus). Le débat est ouvert. Un virus autonome.

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  8. Plus récemment, l'étude des virus d'archébactéries a révélé que certains d'entre eux changent de forme, selon un processus actif, en dehors de tout contexte cellulaire (voir la figure 1). C'est le cas du virus ATV (pour Acidianus Two-tailed Virus): il a une forme de citron, qui s'allonge à chaque extrémité quand la température atteint environ 80° C. Ces modifications morphologiques faciliteraient l'infection de son hôte qui vit à proximité des sources hydrothermales où les températures sont de l'ordre de 80° C.

    Ces deux exemples non seulement montrent à quel point le monde viral est plus complexe qu'on ne le pensait, mais ils remettent également en cause certains dogmes en biologie. On estime qu environ virus différents existent sur notre planète, une diversité infiniment supérieure à celle cumulée des organismes des trois (autres) règnes du vivant. Aujourd'hui, nous en connaissons quelque différents, c'est dire notre ignorance. La caractérisation de nouveaux virus, mais aussi la mise au point de nouvelles techniques toujours plus sensibles, élargiront les limites que nous avons initialement assignées au monde viral et nous conduiront probablement à admettre que les virus sont autre chose que de simples boîtes à génome inertes.

    POUR LA SCIENCE - Virologie 63 5 Eucaryotes Levures Chêne Humains Bactéries Bacillus subtilis Mycobacterium tuberculosis Escherichia coli Archeoglobus fulgidus Mimivirus (Girus ?) Aeropyrum pernix Pyrococcus abyssi Archébactéries 3. Le vivant (en vert) était, jusqu à aujourd'hui, divisé en trois domaines : les eucaryotes, les archébactéries et les bactéries. Depuis la découverte de Mimivirus, certains biologistes ont proposé d'ajouter une quatrième branche (en rose), celle des Girus. Le concept du vivant a toujours été exclusif. Une entité est vivante ou ne l'est pas. Cependant, la biologie nous apprend tous les jours que les conceptions purement dualistes ne sont plus tenables, des «zones grises» étant de plus en plus mises en évidence. Cette vision simpliste nous a déjà conduits à commettre des erreurs.

    L'exemple du feu est révélateur. Il n'y a pas si longtemps, le feu était considéré comme une entité vivante puisque celui-ci répondait aux principaux critères du vivant. Il naît, croît et meurt comme tout organisme vivant. Il se propage et se reproduit grâce à des étincelles, il répond à des stimulus externes comme le vent. Il est doué d un métabolisme, consumant de l'oxygène et produisant des déchets. Le mot «phlogistique» avait même été créé par les physiciens au XVII e siècle pour décrire le principe vital qui l'animait. C'est en comprenant les mécanismes de la combustion que cette conception fut abandonnée, à l'image des travaux de Pasteur, initiés par ceux de Francesco Redi dans les années 1660, qui discréditèrent la génération spontanée. De même, un cristal croît, mais n est pas vivant, alors qu une mule incapable de se reproduire est un organisme vivant. Aussi, définir la vie par une liste de propriétés est une entreprise vaine, puisque ces critères, en constante évolution, sont sujets de discorde. Une frontière en pointillés. Parce qu'objets inertes, on pensait que les virus ne jouaient aucun rôle dans l'évolution. Cette vision est révolue, et certains, comme le virologiste Patrick Forterre, de l'Institut de génétique et microbiologie, à Orsay, affirment que les virus seraient les «inventeurs» de l'ADN. En effet, les capacités remarquables qu ont les virus à modifier leur patrimoine génétique en réponse à l' environnement, en particulier pour échapper aux défenses cellulaires, semblent les avoir conduits à «créer» cette nouvelle forme de matériel génétique dans un monde dominé à l'époque par l'ARN.

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  9. Parlement autrichien : motions contre le transfert de souveraineté à l’OMS


    14 octobre 2023
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Le traité de l’OMS sur la pandémie vise à intervenir massivement dans la souveraineté de tous les pays. L'OMS veut avoir le pouvoir sur l'abolition des droits fondamentaux, l'ordre de censure, la prescription de traitements obligatoires, les vaccinations obligatoires et d'autres mesures coercitives, ainsi qu'une souveraineté au moins partielle sur le budget et sur l'utilisation de l'argent des contribuables. A l'OMS, ce sont les sociétés pharmaceutiques et les bailleurs de fonds qui décident. L’approbation du traité sur la pandémie et l’élargissement du Règlement sanitaire international signifieront la fin de la démocratie.

    Les résistances à ce transfert de souveraineté étatique vers un consortium industriel se multiplient dans de nombreux pays. D’innombrables initiatives, manifestations et efforts sont actuellement en cours contre ces contrats de l’OMS. Et cela fait déjà son effet ! Ce qui devait être introduit discrètement et secrètement, sans impliquer la population, est désormais sur toutes les lèvres. Notamment grâce à l’initiative internationale Who is WHO, dans laquelle l’auteur du TKP est impliqué de manière significative.

    Mais la résistance grandit également au niveau parlementaire. Des députés américains se sont déjà tenus devant la caméra pour mettre en garde contre le traité de l'OMS sur la pandémie et exiger le retrait de l'OMS, entre autres https://www.kla.tv/27041.

    Il existe également des initiatives parlementaires bienvenues en Autriche : les députés du FPÖ ont présenté deux propositions de résolution au Parlement le 5 juillet 2023 :

    1. Protection de la souveraineté de l'Autriche et du système de santé vis-à-vis de l'Organisation mondiale de la santé (OMS )

    2. Non aux atteintes aux droits de l’homme à travers le Règlement sanitaire international

    Ces deux dossiers ont été attribués à la commission de la santé par le Conseil national. Ils ont été ajournés à la réunion du 3 octobre 2023.

    Une émission de kla.tv suggère de contacter les 23 députés du Comité de la santé, de les informer des projets de l'OMS et de les appeler à agir contre le traité de l'OMS sur la pandémie. Sur la base de l'expérience des préparatifs parlementaires de la loi sur la vaccination obligatoire, on peut supposer que le niveau de connaissance des parlementaires et de leurs collaborateurs sur les projets de l'OMS est faible, sinon cette loi aurait été rejetée depuis longtemps.

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  10. Il est certainement judicieux de contribuer à l'information, comme ce fut le cas pour la loi sur la vaccination obligatoire. Vous pouvez trouver la liste actuelle des députés de la commission de la santé ici : https://www.parlament.gv.at/gemeinschaft/XXVII/A-GE/1/00889

    Qui est qui ? – Il est temps de sortir de la bulle – Sortir de la bulle du filtre

    Qui est l’OMS – Une organisation en passe de gouverner seule ?

    https://tkp.at/2023/10/14/parlament-in-oesterreich-antraege-gegen-uebertragung-der-souveraenitaet-an-die-who/

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  11. ÉTUDE : Les arrêts cardiaques hors de l’hôpital entraînant la MORT ont augmenté de près de 30 % après le déploiement des « vaccins » contre la COVID.


    13/10/2023
    Ethan Huff


    En 2021, année du « vaccin » contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) – l’opération Warp Speed a été lancée par le régime Trump fin 2020 – les arrêts cardiaques hors de l’hôpital ont augmenté de façon spectaculaire, selon une nouvelle étude.

    Les données de Seattle et du comté de King à Washington entre 2018 et 2021 montrent une nette augmentation des arrêts cardiaques hors de l'hôpital immédiatement après le lancement des vaccins contre le COVID, suggérant une corrélation causale entre leur déploiement et la destruction massive du cœur des gens.

    L’ensemble de données comprenait 13 081 patients, dont 7 102 étaient déjà morts au moment où les secours sont arrivés sur les lieux. 4.952 autres patients ont été soignés par le personnel d'urgence mais sont décédés soit avant leur arrivée à l'hôpital, soit après leur arrivée à l'hôpital.

    Par rapport à 2018 et 2019, que l’étude qualifie d’années pré-pandémiques, 19 % de personnes supplémentaires ont subi un arrêt cardiaque hors de l’hôpital au cours de la période pandémique, qui a été marquée comme les années 2020 et 2021.

    "Cela inclut une augmentation de 10,8 pour cent du nombre de personnes ayant survécu jusqu'à l'arrivée des intervenants et une augmentation de 27,2 pour cent du nombre de patients déclarés morts lorsque les intervenants sont arrivés chez les patients", a rapporté Epoch Times.

    (Connexe : Découvrez cette preuve tangible montrant que les vaccins COVID ont été intentionnellement conçus pour tuer les bébés à naître.)

    Ce n’est pas le COVID qui a tué tous ces gens – c’est le JABS, soit directement, soit par excrétion.
    Dans la tranche d'âge de 18 à 64 ans, le nombre total de patients ayant survécu à un arrêt cardiaque hors de l'hôpital a en fait augmenté, même si le pourcentage global de personnes dans cette tranche d'âge ayant subi un arrêt cardiaque hors de l'hôpital était également beaucoup plus élevé pendant la COVID qu’avant.

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  12. Brighton.TV

    Le taux de patients survivants dans la catégorie des 65 ans et plus est resté stable avant la pandémie et pendant la pandémie, bien que le pourcentage global, comme dans le groupe des 18 à 64 ans, d'arrêts cardiaques hors de l'hôpital ait augmenté pendant la période pandémique par rapport à à la période pré-pandémique.

    Une légère augmentation des arrêts cardiaques hors hôpital a été enregistrée en 2020 avant le lancement de l’opération Warp Speed. Puis en 2021, après son lancement, le plus grand nombre d’arrêts cardiaques hors hôpital a été enregistré.

    Dans cette étude particulière, les chercheurs n’ont pas enregistré le statut vaccinal des victimes. Nous ne savons donc pas combien de personnes ayant subi un arrêt cardiaque hors de l’hôpital ont reçu le vaccin. Cependant, ce que nous savons, c’est qu’il y a eu beaucoup plus d’arrêts cardiaques hors de l’hôpital après le déclenchement des coups de feu qu’avant.

    Parmi ceux qui ont subi un arrêt cardiaque hors de l'hôpital pendant la pandémie et qui ont survécu au moins jusqu'à l'arrivée des secours, environ 6,2 % ont été testés positifs pour le « virus » au cours des deux semaines précédant leur accident cardiaque. Cela suggère que le COVID lui-même n’en était pas nécessairement la cause, mais plutôt les vaccins contre le COVID.

    Seulement 3,7 % d'un échantillon aléatoire de patients déclarés morts à leur arrivée par les secouristes ont été testés positifs au COVID, montrant un lien encore moindre entre le « virus » et l'événement cardiaque, et davantage un lien entre les injections et l'événement cardiaque. .

    Avant la pandémie, 42,6 pour cent des personnes ayant subi un événement cardiaque hors de l’hôpital ont survécu et se sont rendues à l’hôpital pour y être soignées. En 2020 et 2021, ce chiffre est tombé à seulement 35,7 %.

    "Et par rapport à 2018 et 2019, où 19,2 pour cent des patients ont survécu jusqu'à leur sortie de l'hôpital, seulement 15,4 pour cent des patients sont sortis vivants pendant la pandémie", explique le Times.

    "Le COVID-19 a contribué au déclin du taux de survie, mais seulement dans une faible mesure, ont déclaré les chercheurs. Ils l'ont identifié comme responsable de 18,5 pour cent du ralentissement."

    Il est regrettable que les chercheurs à l’origine de cette étude particulière n’aient pas réussi à évaluer l’impact possible des injections de COVID sur ces phénomènes, d’autant plus que les injections de COVID ont déjà été concrètement liées à la myocardite, à l’inflammation cardiaque et à d’autres événements cardiaques.

    L’holocauste du vaccin COVID ne fait que commencer. Apprenez-en davantage sur Genocide.news.

    Les sources de cet article incluent :

    TheEpochTimes.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2023-10-13-cardiac-arrests-death-spiked-30percent-covid-vaccines.html

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  13. Les médicaments antiparasitaires benzimidazole semblent prometteurs pour traiter le cancer, mais restent SUPPRIMES par la FDA


    13/10/2023
    Lance D Johnson


    Plusieurs articles évalués par des pairs suggèrent que les médicaments antiparasitaires à base de benzimidazole pourraient être utiles dans les protocoles de traitement du cancer. Le fenbendazole, par exemple, possède au moins douze mécanismes d'action anticancéreux et s'est avéré efficace contre une multitude de cancers différents, notamment les cellules du cancer colorectal, la leucémie, le cancer du sein, les lymphomes et le cancer des ovaires.

    Cependant, aux États-Unis, l’utilisation de ce médicament chez l’homme n’est toujours pas approuvée, malgré son faible profil de toxicité chez les animaux et chez l’homme depuis les années 1960. Ce médicament antiparasitaire peu coûteux et efficace pourrait être utile dans le traitement de divers cancers, mais tout comme l'ivermectine, un médicament antiparasitaire, il reste également supprimé par la Food and Drug Administration et est relégué au rang de simple « vermifuge pour chevaux » à usage vétérinaire. seulement.

    Plusieurs études évaluées par des pairs montrent que le Fenbendazole est un puissant médicament anticancéreux
    Dans l’étude « Repurposing anti-parasite benzimidazole medicines as sélective anticancéreuses chemotherapeutics (2023) », les chercheurs ont découvert que le fenbendazole possède deux principaux mécanismes d’action contre les cellules cancéreuses. Premièrement, le médicament présente une activité antimitotique, ce qui signifie qu’il inhibe la polymérisation de la tubuline en se liant aux sites de tubuline des cellules à division rapide. Cette action provoque un arrêt du cycle cellulaire. Deuxièmement, le médicament induit un stress oxydatif qui perturbe les processus métaboliques cellulaires. Il inhibe l'absorption du glucose, supprime les enzymes clés et réduit le niveau d'énergie ATP disponible, conduisant à l'apoptose des parasites et des cellules cancéreuses.

    Les chercheurs ont cependant constaté que les médicaments à base de benzimidazole ont une faible solubilité dans l’eau, ce qui les rend difficiles à appliquer dans des applications cliniques. Cela a conduit les chercheurs à combiner le médicament avec des nanoparticules pour des applications plus efficaces in vivo. Il n’existe actuellement aucun essai clinique sur le fenbendazole, mais il existe des essais cliniques sur un médicament similaire de cette classe, appelé mébendazole. Ce médicament s'avère prometteur comme traitement adjuvant du cancer du côlon et des tumeurs cérébrales, en association avec d'autres agents antiprotozoaires. Il existe également des preuves que les médicaments à base de benzimidazole sensibilisent les cellules tumorales afin qu'elles deviennent plus sensibles à la radiothérapie.

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  14. Brighton.TV

    Dans l’étude intitulée « Effet anticancéreux des nanoparticules PLGA incorporées au fenbendazole dans le cancer de l’ovaire », les chercheurs ont découvert que les effets anticancéreux du fenbendazole n’étaient pas réalisés dans des modèles murins jusqu’à ce qu’il soit préparé à l’aide de nanoparticules pour une administration efficace du médicament. Les nanoparticules augmentent la biodisponibilité du médicament, lui permettant d’interférer efficacement avec la polymérisation des microtubules. Comme le médicament bloquait la progression du cycle cellulaire, il augmentait la stabilité de la protéine p53 et induisait l’apoptose des cellules cancéreuses. En fin de compte, le médicament a diminué la prolifération cellulaire des cellules cancéreuses de l’ovaire chimiosensibles et chimiorésistantes.

    Le fenbendazole est efficace contre le cancer du sein et le cancer colorectal chimiorésistant
    Dans l’étude intitulée « Activité anticancéreuse à médiation redox du médicament antiparasitaire Fenbendazole dans les cellules de cancer du sein triple négatif », les chercheurs ont testé le fenbendazole sur des cellules de cancer du sein triple négatif, y compris un type hautement métastatique. Le médicament a induit un stress oxydatif sur les cellules cancéreuses, les rendant plus vulnérables à l’apoptose.

    Dans une autre étude de 2023, le médicament a été testé sur des lymphomes de souris et des cellules de la rate pour voir s’il existait une différence entre la destruction des cellules cancéreuses et la préservation des cellules de la rate saines. La recherche a montré que le fenbendazole induit des espèces réactives de l’oxygène et provoque la mort cellulaire des cellules du lymphome, mais ne nuit pas aux cellules normales de la rate. Le médicament s'avère moins toxique pour les cellules saines que les agents de chimiothérapie traditionnels, mais tout aussi mortel pour les cellules cancéreuses.

    Dans une étude de 2022, le fenbendazole a été testé contre des cellules cancéreuses colorectales chimiorésistantes. Les chercheurs ont découvert que le fenbendazole avait six mécanismes d’action. Le médicament déclenche l’apoptose sans affecter l’expression de p53. Il induit également l'apoptose de Beclin-1 et provoque l'arrêt du cycle cellulaire des cellules cancéreuses en phase G2/M. De plus, le médicament provoque une autophagie, une nécroptose et une ferroptose, tuant même les cellules cancéreuses les plus résistantes.

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  15. Le fenbendazole peut être réutilisé pour traiter le glioblastome humain et la leucémie
    Une autre étude de 2022 fournit la preuve que les benzimidazoles induisent l’apoptose et la pyroptose des cellules cancéreuses du glioblastome humain (GBM). Les chercheurs ont découvert que le fenbendazole supprimait la synthèse de l'ADN de manière dose-dépendante. De plus, le médicament a inhibé la migration cellulaire, empêchant ainsi une invasion ultérieure des cellules GBM. Les chercheurs ont détaillé la voie directe par laquelle le médicament a provoqué la mort cellulaire programmée in vivo et l'endroit exact où il a provoqué l'arrêt du cycle cellulaire.

    Enfin, deux études de 2020 révèlent que le benzimidazole pourrait être transformé en médicament antitumoral pour les humains et pourrait être utilisé avec succès contre la leucémie. Dans la première étude, les chercheurs ont félicité le benzimidazole pour sa bonne tolérance chez les animaux et les humains, avec très peu d’effets secondaires. Les médicaments non seulement se lient à la β-tubuline des vers parasites, provoquant leur immobilisation et leur mort, mais ils exercent également des activités anticancéreuses telles que : la perturbation de la polymérisation des microtubules, l'inhibition de la viabilité des cellules cancéreuses, la migration, l'invasion et l'induction de l'apoptose et de l'autophagie du cancer. cellules.

    Dans l’autre étude de 2020, il a été spécifiquement démontré que le fenbendazole avait une activité anticancéreuse dans les cellules HL-60, qui sont une lignée cellulaire de leucémie humaine. De manière dépendante de la concentration, le médicament diminue l'activité métabolique et le potentiel de la membrane mitochondriale des cellules leucémiques. En fin de compte, le médicament a augmenté l’apoptose et la nécrose des cellules leucémiques.

    Avec toutes les recherches prometteuses sur ce médicament antiparasitaire, il ne devrait y avoir aucune raison de suspendre les essais cliniques du Fenbendazole dans le traitement des cancers humains.

    Sources include:

    VigilantNews.com
    Anser.Press
    eJGO.org
    Ar.iiarJournals.org
    KJVR.org
    KJPP.net
    Nature.com
    ImmuneNetwork.org
    KJVR.org

    https://www.naturalnews.com/2023-10-13-fda-still-suppresses-anti-parasitic-benzimidazole-drugs.html

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  16. Comprenez-moi bien : je ne blâme pas les patients atteints de cancer. Mais j'ai vraiment l'impression que les opposants au Roundup, ainsi qu'aux cultures génétiquement modifiées, ont parfaitement préparé le terrain. La classification du CIRC était suffisante pour justifier des poursuites judiciaires et frapper les fabricants au portefeuille. Les groupes d'activistes, comme l'Environmental Working Group, se sont fait connaître en promouvant la classification et en la liant à leur propagande. Ces tactiques ont par la suite sapé d'autres outils importants de protection des cultures.

    Les seuls à en bénéficier sont les avocats (et, oui, je dis cela en tant qu'avocate), les militants écologistes radicaux et les universitaires qui cherchent à donner leur avis d'expert devant les tribunaux.

    Aujourd'hui, il semble que la même formule soit utilisée pour cibler l'aspartame.

    L'aspartame est un édulcorant artificiel que l'on trouve dans divers aliments et boissons, comme les sodas diététiques et les chewing-gums. Il apporte une saveur sucrée sans les calories associées au sucre. Bien que certaines personnes se plaignent d'effets secondaires tels que des maux de tête et des vertiges, la Food and Drug Administration a conclu que l'aspartame est sans danger pour la plupart des gens qui le consomment avec modération. Plus important encore, il ne provoque pas de cancer.

    Mais cela n'a pas empêché le CIRC de conclure la semaine dernière – sur la base de ce qu'il appelle des « preuves limitées » liées à un type de cancer du foie – que l'aspartame est « peut-être » cancérogène pour l'homme. Comme l'explique Food Science Babe, il s'agit là d'un ramassis d'inepties. Elle souligne qu'il s'agit de l'un des additifs alimentaires les plus étudiés au monde. Et de nombreuses études solides n'ont trouvé aucun lien de cause à effet avec le cancer. Seul un article (un seul) a établi une légère corrélation, qui était également susceptible d'être expliquée par d'autres facteurs.

    Cette histoire ne vous semble-t-elle pas familière ? Il s'agit en tout cas d'une trop grande coïncidence. Le CIRC classe l'herbicide le plus utilisé au monde comme cancérogène [probable] et donne lieu à d'innombrables procès. Le CIRC classe l'additif alimentaire le plus consommé au monde comme [peut-être] cancérogène et... donne lieu à d'innombrables procès ? Je n'en doute pas. Les blogueurs alimentaires et les gourous du fitness ont battu le tambour anti-aspartame pendant très longtemps. Il est peut-être temps pour eux d'en tirer profit.

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  17. En tant que survivante d'un cancer, cela me met hors de moi. S'il existait un ensemble substantiel de preuves montrant une corrélation entre l'exposition à une substance ou sa consommation (par exemple, fumer des cigarettes), je n'aurais aucun problème avec la classification du CIRC. Mais j'ai l'impression qu'il s'agit d'un jeu auquel les gens se livrent pour semer la confusion, exploiter les patients atteints de cancer et frapper les entreprises qui ont les poches pleines. Et si nous commençons à voir apparaître des procès contre l'aspartame, nous saurons que j'ai raison.

    Malheureusement, le CIRC ne va pas dédommager les entreprises et les personnes lésées par ces classifications. Il n'y a pas d'obligation de rendre compte de ses décisions.
    _____________

    * Amanda Zaluckyj tient un blog sous le nom The Farmer's Daughter USA. Son objectif est de promouvoir les agriculteurs et de lutter contre la désinformation qui tourbillonne autour de la filière agroalimentaire américaine.

    Source : Perspective: IARC relishes stirring the pot with thin science | AGDAILY

    https://seppi.over-blog.com/2023/10/point-de-vue-le-circ-se-delecte-de-remuer-le-couteau-dans-la-plaie-avec-des-donnees-scientifiques-insuffisantes-pour-l-aspartame.html

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  18. La guerre des organisations mondiales telles que l’UE, l’OMS et l’ONU contre les agriculteurs


    15 octobre 2023
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Au moins depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, il y a une guerre contre les agriculteurs, en particulier contre les petites exploitations, non seulement en Europe mais aussi et surtout dans les pays du Sud. J'ai rapporté à plusieurs reprises les débuts de cette guerre sur la base des notes de l'auteur à succès, ethnologue et anthropologue culturel de renom Wolf-Dieter Storl .

    Dans son livre « My American Culture Shock », il décrit les méthodes utilisées pour chasser les agriculteurs de leurs terres. Avec le Green Deal de l’UE, le programme « One Health » de l’OMS, l’Agenda 2030 et les 17 objectifs de développement durable de l’ONU, la guerre contre les agriculteurs s’accélère encore.

    Les agriculteurs devraient être chassés des terres qu’ils cultivent depuis des générations. Si les petites et moyennes exploitations agricoles ferment leurs portes, les gouvernements et les entreprises peuvent s’emparer des terres. Ceux qui contrôlent le pays contrôlent l’approvisionnement alimentaire et donc la population. Une grande partie de cette menace est masquée par l’Agenda 2030, qui contient 17 objectifs de développement durable et 169 cibles spécifiques à mettre en œuvre dans le monde entier et dans chaque pays d’ici 2030.

    Favoriser la consommation d’insectes fait partie de ce plan ; En 2021, la Commission européenne a approuvé les vers de farine comme aliment, soulignant le rôle croissant des insectes et des grillons domestiques dans le cadre d’une alimentation plus saine et plus durable.

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  19. Les politiques vertes à travers le monde qui ciblent tout, depuis l’excès d’azote jusqu’à la protection des espèces menacées, font-elles partie d’un plan visant à chasser les petits agriculteurs de leurs terres et à ouvrir la voie à un contrôle totalitaire de l’approvisionnement alimentaire ?

    Roman Balmakov, journaliste d'Epoch Times et animateur de Facts Matter, pose ces questions ainsi que d'autres questions difficiles dans « Pas d'agriculteurs, pas de nourriture : allez-vous manger les insectes ? » Balmakov dit :

    « Les dirigeants de certaines des organisations les plus puissantes du monde ont décidé que l’agriculture, en particulier l’élevage, est responsable du réchauffement climatique, et que le réchauffement climatique est responsable de la hausse des prix alimentaires et des pénuries alimentaires.

    "Donc, si nous passons du bœuf, du poulet et du porc aux grillons et aux vers de farine, nous pouvons arrêter la hausse des températures, réduire les prix des denrées alimentaires et peut-être même sauver la planète."

    Cependant, lors d'entretiens avec des agriculteurs du monde entier, notamment aux Pays-Bas et au Sri Lanka, une histoire très différente est racontée, qui commence par ce que Storl écrit dans son livre : le Corps de la Paix, les Bérets verts américains et les semences génétiquement modifiées, dont les ONG ont développé le développement. financé par Rockefeller et Ford.

    L’Agenda 2030 menace les agriculteurs

    En 1972, une réunion des Nations Unies sur le changement climatique a eu lieu pour élaborer un plan de gestion durable de la planète. Cela a donné naissance à l'Agenda 21 (Agenda pour le 21e siècle) - le plan d'inventaire et de contrôle de toutes les terres, eaux, minéraux, plantes, animaux, structures, moyens de production, nourriture, énergie, information, éducation et de toutes les personnes du monde. monde.

    L'Agenda 21 est désormais communément appelé Agenda 2030, année au cours de laquelle les objectifs du plan devraient être atteints. En 2019, le Forum économique mondial (WEF) a conclu une alliance stratégique avec les Nations Unies , l'appelant à « utiliser les partenariats public-privé comme modèle pour presque toutes les politiques qu'il met en œuvre, notamment la mise en œuvre des 17 objectifs de développement durable ». Les partenariats public-privé aboutissent généralement à ce que les coûts soient couverts par l'argent des contribuables et que les bénéfices reviennent aux entreprises et aux oligarques.

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  20. L'Agenda 21 est désormais communément appelé Agenda 2030, année au cours de laquelle les objectifs du plan devraient être atteints. En 2019, le Forum économique mondial (WEF) a conclu une alliance stratégique avec les Nations Unies , l'appelant à « utiliser les partenariats public-privé comme modèle pour presque toutes les politiques qu'il met en œuvre, notamment la mise en œuvre des 17 objectifs de développement durable ». Les partenariats public-privé aboutissent généralement à ce que les coûts soient couverts par l'argent des contribuables et que les bénéfices reviennent aux entreprises et aux oligarques.

    L'Agenda 2030 comprend ces 17 objectifs de développement durable avec 169 cibles spécifiques, notamment l'élimination de la pauvreté et la réalisation de l'égalité des sexes, à atteindre dans le monde entier et dans chaque pays d'ici 2030.

    « Un document très complet quand on le lit » , estime le journaliste international Alex Newman . « Nous parlons de centaines de pages qui régissent littéralement toutes les facettes de la vie, de l'éducation à la politique d'aménagement du territoire en passant par l'économie et le droit. Tous les domaines de la vie s’y retrouvent. Mais derrière ces initiatives aux consonances vertes, dit Newman, il pourrait y avoir des motivations encore plus sinistres :

    « Il n’existe absolument aucun moyen de mettre en œuvre, de poursuivre et de contrôler les objectifs du développement durable sans éteindre complètement la liberté individuelle. Certains objectifs semblent bons : l’éradication de la faim, qui pourrait s’y opposer ? Le problème est que, lorsqu’on se fixe un objectif aussi nébuleux, il faut le pouvoir total de l’État pour l’atteindre.

    Et bien sûr, ils n’y parviendront jamais, n’est-ce pas ? Il n’existe aucun moyen d’éradiquer littéralement la pauvreté de la surface de la terre, mais cela donne aux gouvernements et aux institutions mondiales comme l’ONU une excuse facile pour faire ce qu’ils veulent sous couvert d’atteindre ces objectifs. »

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  21. La crise de l’azote est-elle réelle ?

    Les agriculteurs néerlandais sont en crise alors que leur gouvernement a intensifié ses plans visant à les chasser de leurs terres . Vous pouvez en savoir plus dans le rapport et le podcast de la journaliste d'investigation néerlandaise Elze van Hamelen pour le rapport Solari - Agriculteurs et pêcheurs néerlandais : les gens qui nous nourrissent.

    « En 2021, le réseau Natura 2000 de l’Union européenne a publié une carte montrant les zones des Pays-Bas désormais protégées des émissions d’azote. Tout agriculteur néerlandais opérant dans un rayon de 5 kilomètres d'une zone protégée Natura 2000 devrait désormais limiter sévèrement ses émissions d'azote, ce qui limiterait sa production », explique Balmakov .

    Nynke Koopmans, productrice laitière néerlandaise du Forum pour la Démocratie, estime que le problème de l'azote est une invention. « C'est un gros mensonge », dit-elle. « L'azote n'a rien à voir avec l'environnement. Il s’agit simplement de se débarrasser des agriculteurs. Un autre agriculteur a déclaré que si les nouvelles règles sur l'azote entrent en vigueur, il devra réduire son troupeau de 58 vaches laitières à six.

    Le scientifique de l'azote Jaap C. Hanekamp a travaillé pour un comité gouvernemental étudiant l'azote et a été chargé d'analyser le modèle gouvernemental sur l'azote. Il dit à Balmakov :

    « L'ensemble de la politique est basée sur le modèle de dépôt pour gérer les émissions d'azote dans les zones naturelles. Et j’ai regardé les études de validation et j’ai réalisé que le modèle était en fait de la merde. Ça ne marche pas. Et cela n'a pas d'importance. Ils continuent néanmoins à l’utiliser, ce qui est inquiétant à certains égards. Je veux dire, pouvons-nous vraiment faire quelque chose comme ça en politique ? Vous utilisez un modèle qui ne fonctionne pas ? Il ne s’agit jamais d’innover, il s’agit toujours de se débarrasser des agriculteurs.

    Le programme ultime : pas de propriété foncière pour le peuple

    Si les agriculteurs abandonnent, le gouvernement peut intervenir et prendre les terres, et c'est peut-être de cela qu'il s'agit réellement. Eva Vlaardingerbroek, ancienne membre du Forum pour la démocratie et commentatrice politique, déclare :

    « J’ai toujours dit que la crise de l’azote était avant tout une crise inventée. Cela s’invente et la seule solution jamais proposée est l’expropriation forcée. C'est donc le gouvernement qui s'empare de leurs terres... Nous avons une crise du logement aux Pays-Bas, comme vous le savez, c'est un très petit pays. Nous avons beaucoup de monde et notre population augmente à cause de l'immigration. Et nous avons besoin de lieux pour accueillir ces immigrants.

    Et je crois que c’est aussi pour cela que le gouvernement veut ce pays. Ils ont besoin de maisons, et ils doivent construire des maisons, ce qui est drôle car apparemment, construire des maisons émet aussi de l’azote. Mais ce ne sont pas ces gens-là qu’ils recherchent. Ils ciblent principalement les agriculteurs parce qu’ils veulent de la terre. C’est donc le véritable objectif.

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  22. Sans agriculteurs, il n’y a pas de nourriture. Mais les petites structures agricoles et la propriété foncière privée ont longtemps été une épine dans le pied des entreprises agroalimentaires et de l’élite financière. L'UE, l'OMS et l'ONU répondent fidèlement à leurs préoccupations.

    https://tkp.at/2023/10/15/der-krieg-globaler-organisationen-wie-eu-who-und-uno-gegen-die-landwirte

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  23. Pathologie et climat – conversation avec le Dr. Helmut Chance


    15 octobre 2023
    par le Dr. Peter F. Mayer


    L'été dernier a été marqué par un temps mitigé en Europe centrale, avec des périodes chaudes et plutôt froides et pluvieuses. Dans d'autres parties du monde, tant dans l'hémisphère sud que dans l'hémisphère nord, de nouveaux records de températures minimales ont été enregistrés. Néanmoins, des avertissements ont été répétés concernant les « décès dus à la chaleur », même si les études et l'expérience montrent que plus de personnes meurent en hiver qu'en été, soit environ dix fois plus.
    Ici, les deux agendas de l’ONU, de l’OMS, de l’UE et de la bulle des grandes entreprises, des oligarques et des élites financières qui les contrôlent se rejoignent clairement. Raison suffisante pour discuter de ces deux sujets avec le pathologiste autrichien Dr. discuter avec Helmut Luck. Il est chef du service de pathologie à l'hôpital d'Amstetten et conseiller de chambre au sein de l'ordre des médecins figurant sur la liste MFG-Schuller.

    Grâce à sa passion pour la physique, Luck a également acquis une solide connaissance des enjeux climatiques. Dans la vidéo, il explique, entre autres, les fausses informations découvertes lors du Climate Gate. Bien entendu, nous discutons également des conséquences de la campagne de vaccination et des conclusions des pathologistes Prof. Walter Lang et Prof. Arne Burkhardt.

    Luck montre également des analyses des enregistrements de la répartition saisonnière des décès en Autriche. Les effets négatifs de la campagne de vaccination sont également clairement visibles.

    Mais écoutez et voyez par vous-même :

    -voir clip sur site -

    https://tkp.at/2023/10/15/pathologie-und-klima-gespraech-mit-dr-helmut-luck/

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  24. Nucléaire : l’Europe à la croisée des chemins ?

    Le nucléaire connait un renouveau bienvenu à l’échelle mondiale, en réponse aux défis énergétiques contemporains. En Europe pourtant, il existe encore des obstacles.


    le 16 octobre 2023
    Michel Negynas


    Des conditions favorables

    Au niveau mondial, les choses bougent pour le nucléaire. Le bel endormi se réveille sous la pression de multiples évènements.

    Il devient d’abord de plus en évident, pour le grand public, que le nucléaire peut être un élément important de relative indépendance énergétique pour les régions n’ayant pas de combustibles fossiles. La guerre en Ukraine en est le révélateur. En outre, la pression médiatique sur le réchauffement climatique, et la véritable panique qu’elle entraîne, conduit à envisager tous les recours, même jusque-là détestés. Le nucléaire est de ceux-là.

    Des prix de l’électricité aberrants et volatiles ont également touché les citoyens au portefeuille, ce qui fait fléchir les réticences idéologiques. À la lumière du passé, les gens (et les entreprises) comprennent que le nucléaire assure une grande stabilité des prix, garante d’un développement à long terme.

    Le marché des grosses centrales électriques redevient ainsi très actif. Les acteurs sont peu nombreux : dans l’ordre, la Russie, la Chine, les États-Unis, la Corée du Sud et la France.

    En Europe, des contraintes encore en suspens

    L’Europe se distingue dans son obstination à ne pas lâcher prise dans sa lutte antinucléaire, sous l’impulsion principalement de l’Allemagne.

    Même si certaines aberrations ont été gommées, comme exclure le nucléaire des activités décarbonées, alors que c’est le meilleur outil pour ça, le combat n’est pas gagné sur le plan financier.

    EDF ne pourra emprunter les énormes fonds nécessaires au renouveau du nucléaire. L’État devra trouver un moyen de financement en contournant le dédale de lois sur la concurrence inadaptées. Et les taux d’intérêts élevés sont un facteur essentiel d’un coût d’investissement à très long terme.

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  25. Pour l’EPR, le mal est fait depuis longtemps

    Les difficultés des EPR français et finlandais ne sont pas à relativiser : elles dénotent une perte de compétence des industriels concernés, mais aussi de leurs donneurs d’ordre et des autorités de contrôle. Les évolutions réglementaires et normatives, au cours de constructions qui ont duré des lustres, ont ainsi joué un rôle non négligeable. Ceci dit, les réacteurs chinois ont respecté coûts et délais, et ils tournent. Le Finlandais aussi, malgré des ennuis de dernières minutes, mais sur les équipements allemands, il est vrai.

    Il y a bien eu les incidents sur Taishan 1, le réacteur chinois. Ils ont été naturellement montés en épingle par les antinucléaires. Il s’agit d’usure anormale de certaines gaines de combustibles. Ce type de problème semble assez classique et accessible à des solutions.

    Notons également que Westinghouse, le concurrent américain, a connu lui aussi d’énormes problèmes de reprise de ses activités, pour les mêmes raisons qu’EDF : une perte de compétence.

    Mais les pires fossoyeurs de l’EPR sont malheureusement les ministres qui se sont succédés à la tête des entités qui auraient dû au contraire défendre le nucléaire français : Voynet, Royal, Hulot…

    De Rugy a même déclaré dimanche 18 novembre 2018 sur une radio grand public :

    « Je ne vois pas comment on pourrait décider aujourd’hui de commander de nouveaux EPR alors que la fiabilité technologique et sa sûreté n’est pas démontrée et la compétitivité économique non plus. »

    L’EPR de Flamanville entame ses derniers essais pour un démarrage en 2024. Et alors ?
    Même si tout se passe bien, cela ne changera guère la situation, ni en termes de sécurité électrique pour la France, ni en termes de perspectives commerciales.

    Certes, on aura 1600 MW de capacité en plus ; mais on projette d’arrêter à peu près autant de centrales à charbon. On sera toujours à la merci d’un hiver froid.

    Le démarrage de Flamanville ne sera après tout que la quatrième mise en service.

    Les vrais enjeux se situent dans l’aptitude que devra avoir EDF à reconstituer les compétences passées. En ce sens, c’est le déroulement du chantier d’Hinkley Point, en Angleterre, qui sera déterminant. Les premiers enseignements sont encourageants : ils montrent tout l’intérêt de construire ces équipements par paires pour augmenter la productivité des opérations.

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  26. EDF semble aussi avoir repris de la combativité. L’entreprise a réalisé et continue un exploit dans la réparation des tuyauteries fissurées des centrales existantes. Nul doute que la perspective de la reprise du nucléaire redynamise les équipes.

    Mais le chemin vers de véritables perspectives commerciales est encore long, d’autant que les commandes mondiales sont largement affectées par la géopolitique. Il faudra en particulier définir une offre adaptée à la demande, qui ne sera pas forcément l’EPR.

    Un futur compliqué, mais radieux ?

    En résumé, rien n’est gagné, mais rien n’est perdu non plus. L’équipe dirigeante actuelle d’EDF aura une lourde responsabilité dans la bataille, qui s’exercera au niveau mondial, et, malheureusement, comme on le voit déjà, nationalement contre ses propres autorités de tutelle.

    https://www.contrepoints.org/2023/10/16/465389-nucleaire-leurope-a-la-croisee-des-chemins

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  27. Avec l'accès aux bons outils, l'Afrique contribuera à nourrir le monde


    14 Octobre 2023
    Onyaole Patience Koku, Réseau Mondial d'Agriculteurs*


    Les engrais font pousser les plantes, et l'une des principales raisons pour lesquelles les agriculteurs africains ne produisent pas suffisamment de nourriture est que nous n'utilisons pas assez d'engrais.

    Les chiffres en témoignent.

    En Afrique subsaharienne, le taux moyen d'application d'engrais est de 22,5 kg par hectare, selon la Banque Mondiale. Dans mon pays, le Nigeria, la moyenne est encore plus basse, avec 19,6 kg par hectare. La moyenne mondiale est de 146,4 kg par hectare, soit plus de sept fois ce que mes compatriotes nigérians et moi-même appliquons.

    Les différents types de sols et de cultures requièrent des types et des quantités d'engrais différents, une certaine variabilité est donc normale. Les agriculteurs du Koweït, pays aride, utilisent plus de 1.000 kg d'engrais par hectare. Aux États-Unis, le taux est de 126,2 kg. En Inde et en Chine – les pays les plus peuplés du monde – il est respectivement de 209,4 kg et de 383,3 kg.

    Les données de la Banque Mondiale montrent également que les plus grandes différences sont une question d'argent. Les agriculteurs des pays à revenu élevé utilisent 140,7 kg par hectare et ceux des pays à revenu intermédiaire 167,9 kg par hectare. Dans les pays à faible revenu, le taux n'est que de 14,4 kg par hectare.

    De nombreux Africains n'ont tout simplement pas les moyens d'acheter des engrais. Dans certains endroits, un sac de 50 kg peut coûter autant que le salaire mensuel d'un agriculteur.

    Faut-il s'étonner que l'Afrique, qui abrite environ un sixième de la population mondiale, ne produise qu'une infime partie des denrées alimentaires de la planète ?

    Pour renforcer la sécurité alimentaire mondiale, il faut améliorer la capacité des agriculteurs à accéder aux engrais, en particulier en Afrique, qui est le continent qui offre les meilleures perspectives de progrès agricole. Un meilleur accès aux engrais se traduira par des rendements plus élevés pour les agriculteurs africains, ce qui se traduira par une diminution de la faim, une augmentation des revenus, une réduction du prix des denrées alimentaires et une amélioration des moyens de subsistance.

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  28. Le mois dernier, j'ai assisté à l'UNFSS+2, un « moment de bilan » organisé par les Nations Unies à Rome pour évaluer les progrès réalisés par les parties prenantes au cours des deux dernières années, depuis le sommet des Nations Unies sur les systèmes alimentaires.

    En ce qui concerne les engrais, la situation a empiré. Le coût de cet intrant essentiel a grosso modo triplé. Il y a d'abord eu le stress de la pandémie et la perturbation des chaînes d'approvisionnement partout dans le monde. Ensuite, l'invasion de l'Ukraine par la Russie a pratiquement éliminé deux grands exportateurs d'engrais des marchés mondiaux.

    Nous avons été confrontés à un problème classique d'offre et de demande : alors que l'offre diminuait et que la demande augmentait, les prix ont grimpé, grimpé, grimpé.

    Nous avons également assisté à des avancées positives dans le domaine de l'agriculture. Les nouvelles technologies continuent de promettre des semences plus prometteuses, une meilleure protection des cultures, etc. Nous avons également pris conscience de notre interconnexion et de la nécessité pour les agriculteurs d'échanger des idées et des informations par-delà les frontières, dans le cadre d'un transfert de connaissances entre pairs qui est tout aussi important que n'importe quel accord commercial ou réduction tarifaire.

    Si un consensus s'est dégagé de la réunion de Rome, c'est la simple reconnaissance du fait que nous sommes tous dans le même bateau et que nous faisons tous partie de la solution à ce défi, alors que des centaines de millions de personnes continuent de vivre dans l'insécurité alimentaire.

    Cela peut sembler une platitude, mais cela n'en est pas moins vrai.

    Elle suggère également des mesures pratiques pour l'avenir, notamment la possibilité pour les agriculteurs africains comme moi de se procurer plus facilement des engrais.

    J'utilise des engrais de synthèse pour produire des bananes, des graines de niébé, etc. Bien que mon exploitation se porte bien, l'augmentation des prix m'a fait du tort. Et de nombreux agriculteurs africains ont souffert bien davantage. Il est également nécessaire d'aller au-delà des seuls engrais de synthèse pour les agriculteurs africains. Les solutions biologiques mises au point par Genesis qui permettent aux céréales comme le maïs, le sorgho et le riz de fixer l'azote sont révolutionnaires et pourraient offrir une solution rentable pour garantir des rendements plus élevés aux agriculteurs africains.

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  29. Nous ne cherchons pas la charité ou les subventions. Nous voulons que les marchés fonctionnent et qu'une plus grande quantité d'engrais soit acheminée vers la partie du monde qui a le plus grand potentiel pour augmenter sa production alimentaire. Cela implique des réseaux commerciaux solides ainsi que des services financiers sains. Cela exige également une stabilité politique, et non le chaos provoqué par le coup d'État auquel nous avons assisté récemment au Niger, pays limitrophe du mien au nord. Et nous avons nos propres problèmes au Nigeria, où des bandits ont envahi certaines de nos meilleures terres agricoles.

    Quelques tendances semblent aller dans le bon sens, suggérant que les prix des engrais pourraient commencer à baisser à mesure que les chaînes d'approvisionnement retrouvent leur efficacité d'avant la pandémie et que l'inflation générale est maîtrisée. La guerre entre la Russie et l'Ukraine se poursuit, mais si la paix revient dans la région, cela aidera les marchés des engrais. On peut toujours espérer. Enfin, il y a l'excellente nouvelle d'une découverte majeure de phosphate en Norvège, qui promet à terme d'augmenter l'offre mondiale d'engrais de synthèse.

    Veillons à ce qu'une partie de ces engrais parvienne à l'Afrique. Plus nous fertilisons, plus nous produisons et mieux nous nous portons.
    _______________

    * Onyaole Patience Koku

    Patience Koku est au service du Réseau Mondial d'Agriculteurs (GFN – Global Farmer Network) en tant que responsable régional pour l'Afrique. La ferme de Patience est située sur le site d'irrigation de Jere Azara, dans le gouvernement local de Kagarko, dans l'État de Kaduna, au Nigeria. L'exploitation produit deux cultures par an grâce à l'irrigation par pivot central. Elle produit principalement du maïs de semence et du maïs grain pour les principales entreprises de transformation alimentaire du Nigeria, comme Flour Mills of Nigeria. Elle a reçu le prix Kleckner 2019 du Réseau Mondial d'Agriculteurs et a été élue Agricultrice de l'Année 2018 par l'Alliance Cornell pour la Science. Elle siège également au conseil consultatif de l'Alliance Cornell pour la Science. En tant que membre du GFN, elle a défendu des causes sur des scènes importantes.

    Source : With Access to the Right Tools, Africa will Help Feed the World – Global Farmer Network

    ° o 0 o °

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  30. Patience Koku sourit doucement des problèmes de l'Allemagne. Cette entrepreneuse engagée, originaire du Nigeria, a d'abord cultivé 500 ha de maïs et de soja dans le centre du pays. Les récoltes ont été volées et elle a elle-même été menacée. En conséquence, Mme Koku a abandonné le site et cultive maintenant 200 ha de maïs sur un autre site et 20 ha de bananiers sur un site militaire. Par rapport à nos préoccupations, cela semble être d'un tout autre ordre. Pour Patience Koku, la sécurité et la fiabilité politique sont donc tout à fait cruciales pour le développement de la production agricole dans son pays.

    Lorsqu'on l'interroge sur les problèmes généraux de l'agriculture, la première chose qui lui vient à l'esprit est le prix des engrais et du gazole. C'est surprenant, car le Nigeria est un pays riche en ressources, un grand exportateur de pétrole et dispose d'une nouvelle usine d'urée. Pourtant, il y a une pénurie d'engrais et de gazole, parce que les capacités de raffinage et de production d'engrais sont insuffisantes. « Nous sommes un pays fertile », déclare Mme Koku, « et nous pourrions nourrir nous-mêmes nos 200 millions d'habitants, mais nous manquons d'organisation et d'argent ». Bien que les conditions naturelles soient bonnes et que les prix des denrées alimentaires soient très élevés, la rentabilité des agriculteurs diminue. La commercialisation n'y est pas étrangère, car les agriculteurs vendent leur récolte directement au prix du jour. Le stockage, les contrats d'avance ou les groupements de producteurs sont des mots étrangers au Nigeria.

    Les faibles rendements, de l'ordre de 10 à 20 q/ha pour le maïs, constituent un problème majeur. L'amélioration des rendements n'est pas un problème en raison du sol et du climat, mais cela reste un grand défi pour les agriculteurs : « J'ai besoin de meilleures semences, de meilleures technologies et innovations, ainsi que d'un meilleur accès au marché. Mais les chaînes d'approvisionnement sont interrompues et il n'y a pas de soutien de la part de l'État. Même les banques refusent souvent d'accorder des prêts. »

    Source : Agriculture worldwide - The problems of your colleagues (l'agriculture dans le monde : les problèmes de vos collègues), de Christian Bickert.

    https://seppi.over-blog.com/2023/10/avec-l-acces-aux-bons-outils-l-afrique-contribuera-a-nourrir-le-monde.html

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    1. L'Afrique est un joyau ! Il y fait chaud toute l'année et il y a des fleuves et rivières. Mais, ces derniers s'écoulent naturellement depuis des millénaires sans que leurs cours soit détournés ou séparés dans leur débit. C'est alors qu'arriva la Chine ! Enfin l'Afrique allait connaître la vie ! (grand rêve de Mouamar Kadhafi qui irriguait la Libye).
      L'arrivée de tracteurs, d'engins de terrassements et de tuyauteries va et est en train enfin de nourrir l'Afrique !

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  31. Paris dévoile sa nouvelle carte de la pollution : ce que vous devez savoir

    Paris se dote d’une carte inédite de la pollution atmosphérique, fruit d’une étude de cinq ans basée sur des capteurs installés sur des véhicules électriques. Découvrez les zones à risque et les implications pour les habitants.


    Par Rédaction
    le 14 octobre 2023 à 13h30


    Une technologie innovante pour une cartographie précise de Paris

    Au lieu de se fier uniquement à des stations fixes, cette étude a utilisé des capteurs placés sur plus de 400 véhicules électriques circulant dans la ville. Ces capteurs, de la taille d'un smartphone, ont permis de collecter des données en temps réel, offrant une vision beaucoup plus complète de la pollution à Paris. Avec des relevés chaque seconde pendant cinq ans, c'est une mine d'informations qui a été recueillie, surpassant largement les méthodes traditionnelles.

    Les résultats montrent que le sud-ouest parisien est relativement moins pollué que le nord-est. De plus, vivre ou travailler près de grands axes routiers, en particulier à proximité du périphérique, expose davantage aux particules fines PM 2,5. Pour mettre cela en perspective, ces particules sont 40 fois plus petites que le diamètre d'un cheveu, ce qui les rend particulièrement dangereuses pour la santé.

    Les implications pour la santé publique de Paris

    Les nouvelles directives de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) fixent un plafond de 5 microgrammes de PM 2,5 par mètre cube d'air. Or, cette étude révèle que Paris dépasse régulièrement cette limite. En effet, la géographie du Bassin parisien, semblable à une cuvette, favorise l'accumulation de ces polluants, surtout pendant les périodes sans pluie ni vent.

    Au-delà des PM 2,5, il y a également les particules ultrafines, moins de 0,1 micromètre, qui sont encore plus préoccupantes. Émises par le chauffage au bois, les véhicules thermiques et les avions, elles peuvent pénétrer directement dans le cerveau. Des études récentes ont établi un lien entre ces particules et des maladies comme Alzheimer ou des troubles cognitifs.

    Cette nouvelle carte est un outil précieux pour les Parisiens, leur permettant de mieux comprendre les risques liés à la pollution de l'air dans leur ville. Elle souligne également l'importance de continuer à innover et à investir dans des solutions pour améliorer la qualité de l'air pour tous.

    https://www.economiematin.fr/paris-pollution-particule-capteurs-carte

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    Réponses
    1. (...) à proximité du périphérique, expose davantage aux particules fines PM 2,5. Pour mettre cela en perspective, ces particules sont 40 fois plus petites que le diamètre d'un cheveu, ce qui les rend particulièrement dangereuses pour la santé. (...)

      TOUT est une question de nocivité de la particule.

      NOUS respirons TOUTES & TOUS (AVEC ou SANS masque) 200 000 nano-particules (appelées 'virus') ET microbes PAR MINUTE. Soit DES milliards depuis CE MATIN et, DES montagnes de milliards depuis notre naissance ! Çà alors !! ET NOUS NE SOMMES PAS MOOOOORT(E)S !! Çà alors !!

      C'est vrai que les villes sont plus polluées que la campagne. Les urbanistes ont construit des demeures trop rapprochées ! Et, faute de vent: la pollution est là, et, quand il est là... il tourne en rond !! Salit les rez-de-chaussées et parfois les premiers étages !

      Mais... RASSUREZ-VOUS ! la 'pollution' disparaît comme elle est venue ! car, TOUS les gaz se recyclent immédiatement et, celles qui noircissent les façades (et que vous respirez !) , ne demeurent pas dans nos corps ! OUF !

      (...) Des études récentes ont établi un lien entre ces particules et des maladies comme Alzheimer ou des troubles cognitifs. (...)

      Des 'études' !! Çà alors !! mais... de qui viennent-elles ?

      Depuis 1929 l'aluminium a été introduit dans les 'vaccins' ! et, aux années suivantes est apparue la 'maladie d'Alzheimer' ! Çà alors !!
      Mais l'aluminium n'a PAS été retiré des seringues !! et, la maladie d'Alzheimer a touché les plus de 90 ans. Puis, les 80, puis les 70, puis les 60, puis les 50, les 40, les 30 et, aux années dernières... les personnes de 20 ans !! (piquouzés de 150 'vaccins' !).

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  32. Pas d'agriculteurs, pas de nourriture. Le programme ultime : pas de propriété foncière pour le peuple


    Par le Dr Joseph Mercola
    Recherche mondiale,
    15 octobre 2023


    Une guerre contre les agriculteurs a éclaté, menaçant de les chasser des terres qu'ils cultivent depuis des générations.

    Alors que les petites et moyennes exploitations agricoles ferment leurs portes, les gouvernements et les entreprises peuvent récupérer les terres.

    Ceux qui contrôlent la terre contrôlent l’approvisionnement alimentaire et, avec lui, la population.

    Une grande partie de cette menace est masquée par l’Agenda 2030, qui comprend 17 objectifs de développement durable et 169 cibles spécifiques à imposer à travers le monde, dans chaque pays, d’ici 2030.

    La volonté de manger des insectes fait partie de ce plan ; en 2021, la Commission européenne a autorisé les vers de farine comme aliment, en publiant un communiqué de presse vantant « le rôle croissant que les insectes joueront dans le cadre d'une alimentation plus saine et plus durable ».

    *

    Les politiques vertes partout dans le monde, ciblant tout, depuis l'excès d'azote jusqu'à la protection des espèces menacées, font-elles toutes partie d'un plan visant à éloigner les petits agriculteurs de leurs terres, ouvrant la voie à un contrôle totalitaire de l'approvisionnement alimentaire - et des insectes comme partie intégrante de votre quotidien ? régime?

    Ces questions, ainsi que d’autres, sont posées par Roman Balmakov, journaliste d’Epoch Times et animateur de Facts Matter, dans « Pas d’agriculteurs, pas de nourriture : allez-vous manger les insectes ? » 1 Balmakov dit : 2

    « Les responsables de certaines des organisations les plus puissantes de la planète ont déterminé que l’agriculture, en particulier l’élevage, est responsable du réchauffement climatique, et que le réchauffement climatique est responsable des prix élevés des denrées alimentaires ainsi que des pénuries alimentaires.

    Ainsi, en remplaçant notre alimentation par le bœuf, le poulet et le porc par des grillons et des vers de farine, nous pourrons empêcher la hausse des températures, faire baisser le prix de la nourriture et peut-être même sauver la planète.

    Mais lors d’entretiens avec des agriculteurs du monde entier, notamment aux Pays-Bas et au Sri Lanka, une histoire très différente est racontée, une histoire qui a commencé avec une politique environnementale vieille de plusieurs décennies.

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  33. L’Agenda 2030 menace les agriculteurs

    En 1972, une réunion des Nations Unies sur le changement climatique a eu lieu pour élaborer un plan de gestion durable de la planète. Cela a conduit à la création de l'Agenda 21 (Agenda pour le 21e siècle) 3 — le plan d'inventaire et de contrôle de toutes les terres, eaux, minéraux, plantes, animaux, constructions, moyens de production, nourriture, énergie, information, éducation et tous les êtres humains. êtres au monde.

    L'Agenda 21 est désormais plus communément appelé Agenda 2030, l'année où les objectifs du plan devraient être atteints. En 2019, le Forum économique mondial (FEM) a conclu une alliance stratégique avec les Nations Unies, qui appelait l’ONU à « utiliser les partenariats public-privé comme modèle pour presque toutes les politiques qu’elle met en œuvre, plus particulièrement la mise en œuvre des 17 objectifs de développement durable. » 4

    L'Agenda 2030 est composé de ces 17 objectifs de développement durable avec 169 cibles spécifiques, notamment l'élimination de la pauvreté et la réalisation de l'égalité des sexes, qui seront imposées à travers le monde, dans chaque pays, d'ici 2030.

    "Document très complet si vous le lisez", estime le journaliste international Alex Newman. « Nous parlons de centaines de pages traitant de toutes les facettes de la vie, de l'éducation à la politique d'aménagement du territoire, en passant par l'économie et le droit. Tous les domaines de la vie s’y retrouvaient. Mais derrière ces initiatives aux consonances vertes, dit Newman, se cache peut-être un motif plus sinistre : 5

    « Il n’existe absolument aucun moyen de mettre en œuvre, de suivre et de contrôler les objectifs de développement durable sans l’anéantissement total de la liberté individuelle. Certains objectifs semblent intéressants : mettre fin à la faim, qui pourrait être contre l’élimination de la faim ? Le problème est que lorsque vous fixez un objectif nébuleux comme celui-là, il faut un pouvoir total de la part de l’État pour pouvoir l’atteindre.

    Et bien sûr, ils n’y parviendront jamais, n’est-ce pas ? Il n’existe aucun moyen d’éradiquer littéralement toute la pauvreté de la surface de la Terre, mais cela donne aux gouvernements et aux institutions mondiales, comme l’ONU, une excuse facile pour faire ce qu’ils veulent sous couvert d’atteindre ces objectifs.

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  34. La crise de l’azote est-elle réelle ?

    Les agriculteurs néerlandais sont en crise alors que leur gouvernement a intensifié ses plans pour les expulser de leurs terres. Vous pouvez en entendre parler en profondeur grâce au rapport et au podcast de la journaliste d'investigation néerlandaise Elze van Hamelen pour The Solari Report — Dutch Farmers and Fishermen: The People Who Feed Us . 6

    « En 2021, le réseau Natura 2000 de l'Union européenne a publié une carte des zones des Pays-Bas désormais protégées contre les émissions d'azote. Tout agriculteur néerlandais qui exploite sa ferme dans un rayon de 5 kilomètres d’une zone protégée Natura 2000 devrait désormais réduire considérablement sa production d’azote, ce qui limiterait sa production », explique Balmakov. 7

    Nynke Koopmans, une productrice laitière néerlandaise du Forum pour la démocratie, estime que le problème de l'azote est résolu. «C'est un gros mensonge», dit-elle. « L'azote n'a rien à voir avec l'environnement. Il s'agit simplement de se débarrasser des agriculteurs. Un autre agriculteur a déclaré que si de nouvelles règles sur l'azote entrent en vigueur, il devra réduire son troupeau de 58 vaches laitières à six.

    Le scientifique de l'azote Jaap C. Hanekamp travaillait pour un comité gouvernemental chargé d'étudier l'azote, chargé d'analyser le modèle gouvernemental sur l'azote. Il a dit à Balmakov : 8

    « L'ensemble de la politique est basée sur le modèle des dépôts concernant la manière de gérer les émissions d'azote dans les espaces naturels. Et j'ai regardé les études de validation et j'ai montré que le modèle est en fait de la merde. Ça ne marche pas. Et cela n'a pas d'importance. Ils continuent à l’utiliser, ce qui est, en un sens, déstabilisant. Je veux dire, vraiment, pouvons-nous faire une telle chose en termes de politique ? Utiliser un modèle qui ne fonctionne pas ? Il ne s’agit jamais d’innovation, il s’agit toujours de se débarrasser des agriculteurs.»

    Le programme ultime : pas de propriété foncière pour le peuple

    À mesure que les agriculteurs ferment leurs portes, le gouvernement peut intervenir et s’emparer des terres, ce qui constitue peut-être l’objectif réel du programme. Selon Eva Vlaardingerbroek, ancienne membre du Forum pour la démocratie et commentatrice politique : 9

    « J'ai toujours dit que la crise de l'azote était avant tout une crise inventée. C'est fabriqué, et la seule solution qui ait jamais été proposée est l'expropriation forcée. C'est donc le gouvernement qui va s'emparer de leurs terres… Nous avons une crise du logement aux Pays-Bas, comme vous le savez, c'est un tout petit pays. Nous avons beaucoup de monde et notre population augmente à cause de l’immigration. Et nous avons besoin de lieux pour héberger ces immigrants.

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  35. Et je pense que c'est en partie pour cela que le gouvernement veut ces terres. Ils ont besoin de maisons, et ils ont besoin de construire des maisons, ce qui est drôle, car apparemment, construire des maisons est aussi ce qui émet de l'azote. Mais ce ne sont pas ces gens-là qu’ils s’en prennent. Ils s'en prennent spécifiquement aux agriculteurs parce qu'ils veulent la terre. C’est donc le but ultime.

    Mais les agriculteurs des Pays-Bas ne sont pas les seuls à être touchés. En 2020, la Californie est devenue le premier État américain à s’engager sur un objectif 30 millions d’ici 30, en s’engageant à placer 30 % de ses terres et de ses eaux sous le contrôle du gouvernement d’ici 2030. Mais comme le dit Margaret Byfield, directrice exécutive d’American Stewards of Liberty, cela ouvre la voie à la disparition de la propriété foncière privée : 10

    « Le concept en Amérique est l’autonomie. Nous, le peuple, dirigerons notre gouvernement et nos pères fondateurs ont compris que le petit propriétaire foncier est la partie la plus importante de l'État. L’idée était que les terres seraient distribuées entre les gens afin qu’ils puissent toujours contrôler leur gouvernement. La Californie a élaboré un plan 30 millions d’ici 30. Ils poussent 30 par 30 dans l’État…

    L’objectif ultime est qu’il n’y ait pas de propriété foncière, de sorte que nous ne possédons rien. Soit nous possédons une propriété, soit nous sommes une propriété. C'est vraiment contre cela que nous nous battons du point de vue de la gouvernance mondiale. Ils doivent éliminer notre capacité à contrôler notre gouvernement, ce qui signifie qu’ils doivent prendre nos terres. »

    D’autres réglementations gouvernementales apparemment durables pourraient également être intégrées à ce plan. Le représentant Doug LaMalfa, agriculteur et représentant de Californie, explique : 11

    « Une grande partie de cela s'est produite au début des années 70 avec la Clean Water Act, la Clean Air Act, qui étaient de bonnes choses, vous savez, la Endangered Species Act, mais elles ont été détournées de l'intention initiale. Le Congrès n’avait pas l’intention qu’on en abuse et qu’on le manipule. Dans l’état actuel des choses, lorsqu’ils rédigeaient ces projets de loi, ils ne les auraient jamais adoptés.

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  36. Ils ont publié des communiqués de presse expliquant à quel point ils s'aiment. Il y a donc les supercapitalistes, représentés par le Forum économique mondial, et du côté gouvernemental, il y a les communistes. après l'adoption de l'Agenda 2030, ils sont devenus le Parti chinois, diffusés à travers tous leurs organes de propagande.

    … Javier Solana, le chef de l'OTAN, a déclaré que cela allait être le prochain grand pas en avant, n'est-ce pas ? Le dernier grand bond en avant en Chine a tué des millions de personnes. Pourquoi en voudrions-nous un autre? C'est fou.

    Il y a donc des communistes et des supercapitalistes qui se rassemblent et travaillent sur ce programme de développement durable. Et cela devrait nous faire tous réfléchir et dire : « Attendez une minute, cela n’a aucun sens en apparence. Que se passe t-il ici?'"

    Apportez les bugs

    Les mondialistes suggèrent que manger des insectes protégera la planète en éliminant le besoin d’élevage, en réduisant l’utilisation des terres agricoles et en protégeant l’environnement. 14 L'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture encourage également la consommation d'insectes et d'aliments à base d'insectes. 15

    En juin 2021, le WEF a également publié un article classé sous « sécurité alimentaire », dans lequel il promeut l'utilisation des insectes, écrivant que nous « devons donner aux insectes le rôle qu'ils méritent dans nos systèmes alimentaires ». 16 Ils justifient cette proposition en affirmant qu’elle répondra à une crise alimentaire imminente.

    En 2021, la Commission européenne a autorisé les vers de farine comme aliment, en publiant un communiqué de presse vantant « le rôle croissant que les insectes joueront dans le cadre d’une alimentation plus saine et plus durable, ainsi que les avantages pour l’environnement pour les années à venir ». 17 Victor Davis Hanson, historien militaire et producteur d’amandiers, note : 18

    «Il y a cette idée mondialiste descendante selon laquelle certains pays occidentaux ont des régimes alimentaires qu'ils n'approuvent pas. En d’autres termes, ils sont davantage à base de viande. Et ils estiment que les humains n’ont pas besoin de protéines à base de viande. Et ils veulent soit forcer les gens à suivre leurs paradigmes, soit acheter ou accumuler des terres agricoles. Et c'est comme ça qu'ils vont l'exploiter. C'est un peu comme l'Union soviétique ou la révolution culturelle de Mao. C'est de haut en bas. Et cela entraîne des catastrophes.

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  37. Sans agriculteurs, il n'y a pas de nourriture

    Si le gouvernement et les entreprises parviennent à prendre le contrôle de la terre, ils pourront contrôler l’approvisionnement alimentaire et, avec lui, la population.

    « Partout où vous regardez, les petites et moyennes exploitations agricoles sont englouties par ces méga-exploitations agricoles, parce qu'elles ne peuvent plus suivre le rythme. Ils ne peuvent pas se conformer à ces flots incessants de réglementations qui arrivent », dit Newman.

    "Nous le constatons aujourd'hui en Chine, où ces grandes entreprises mécanisées et contrôlées par le gouvernement remplacent toutes ces petites fermes familiales que les familles exploitent depuis des centaines d'années - dans certains cas depuis plus longtemps." 19 Sans terre, les gens perdent leur autonomie, leur liberté et leur indépendance. Hanson dit : 20

    « Lorsque la nation américaine a été fondée, 95 % de la population était des citoyens de ferme. Ils possédaient leur propre terre et étaient complètement indépendants, autonomes. Ils élevaient leur propre nourriture. Ils étaient francs et économiquement viables. L'agriculture répond à deux objectifs. Cela ne produit pas seulement de la nourriture, mais aussi des citoyens.»

    En fin de compte, la guerre contre les agriculteurs est une guerre contre l’humanité tout entière, une guerre qui menace ce que signifie être libre. « Nous nous dirigeons, je pense, vers une période de pénurie alimentaire très importante. Pouvons-nous nous attendre à voir des augmentations massives des prix alimentaires l’année prochaine ? Oh, cela ne fait aucun doute », dit Newman, ajoutant : 21

    « Je pense que l'objectif final de la guerre contre les agriculteurs à laquelle nous assistons, qui est guidée à chaque étape par les objectifs de développement durable et l'Agenda 2030, sera une consolidation totale de l'agriculture, une consolidation totale de l'approvisionnement alimentaire. Et comme l’ont compris tous les tyrans communistes des 100 dernières années, si vous contrôlez la nourriture, vous contrôlez les gens. C'est finalement l'objectif final.

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  38. *

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    Remarques

    1 Epoch Times, pas d'agriculteurs, pas de nourriture

    2, 10 Epoch Times, Pas d’agriculteurs, pas de nourriture, 1:19

    3 YouTube, Ivor Cummins, La plus grande histoire jamais racontée 24 juin 2023, 57:31

    4 YouTube, MintPress News, Whitney Webb, Qu'est-ce que le Forum économique mondial ? 8 février 2023, 16h30

    5 Epoch Times, Pas d'agriculteurs, pas de nourriture, 1:05

    6 Le rapport Solari du 17 août 2023

    7 Epoch Times, Pas d'agriculteurs, pas de nourriture, 1:09

    8 Epoch Times, Pas d'agriculteurs, pas de nourriture, 1:16

    9 Epoch Times, Pas d’agriculteurs, pas de nourriture, 1:17

    11 Epoch Times, Pas d'agriculteurs, pas de nourriture, 1:21

    12 Epoch Times, Pas d'agriculteurs, pas de nourriture, 1:40

    13 Epoch Times, Pas d'agriculteurs, pas de nourriture, 1:43

    14, 16 Forum économique mondial, 12 juin 2021

    15 BI.edu 4 janvier 2022

    17 Commission européenne 2 juin 2021

    18 Epoch Times, Pas d'agriculteurs, pas de nourriture, 1:50

    19 Epoch Times, Pas d’agriculteurs, pas de nourriture, 1:54

    20 Epoch Times, Pas d’agriculteurs, pas de nourriture, 1:56

    21 Epoch Times, Pas d’agriculteurs, pas de nourriture, 1:58

    https://www.globalresearch.ca/no-farmers-no-food-the-ultimate-agenda-no-land-ownership-for-the-people/5836283

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  39. Comment le gouvernement va créer 200.000 pauvres de plus

    Les minima sociaux, conçus pour être un filet de sécurité pour les plus démunis, semblent ne plus remplir leur rôle. L’augmentation des prix à la consommation que connaît la France depuis plus d’un an pèse sur le portefeuille de tous les ménages. Mais surtout sur les plus pauvres.


    Par Paolo Garoscio
    le 16 octobre 2023 à 11h30


    Le patrimoine des 10 % les plus pauvres est inférieur à 4.400 euros.

    Or, la récente revalorisation de ces aides ne suit pas le rythme de l'inflation, mettant en danger des centaines de milliers de Français.

    Minima sociaux : une revalorisation insuffisante

    Les minima sociaux ont été revalorisés de 1,6 % en avril 2023, alors que l'inflation est prévue à 5% voire 5,8 % pour cette année. Cette décision gouvernementale s'explique par une augmentation exceptionnelle de 4 % accordée en juillet 2022. Cependant, cette hausse ne compense pas la perte de pouvoir d'achat ressentie par les allocataires.

    Comme le souligne la Fondation Jean Jaurès dans une analyse publiée le 12 octobre 2023, « la revalorisation des minima sociaux est devenue une nécessité pour éviter une augmentation de la pauvreté ».

    200.000 pauvres de plus en France ?

    Depuis deux ans, la hausse des prix n'a pas été suivie d'une augmentation équivalente des minima sociaux. Par exemple, une mère élevant seule ses deux enfants a vu ses dépenses augmenter de 305 euros par mois, tandis que ses prestations sociales n'ont augmenté que de 108 euros sur la même période.

    « La faiblesse de ces prestations risque de faire basculer 200.000 personnes dans la pauvreté d'ici à avril 2024 », alerte la Fondation Jean Jaurès.

    Selon les estimations, 200.000 personnes pourraient tomber sous le seuil de pauvreté officiel (60% du niveau de vie médian) et 160.000 sous le seuil de grande pauvreté (50% du niveau de vie médian). Ces chiffres alarmants montrent l'urgence d'une revalorisation adéquate des minima sociaux. « La prise en compte de l'inflation de l'année 2023 doit s'opérer en avril prochain, par un rattrapage ».

    Un appel à augmenter les minima sociaux pour éviter la pauvreté

    Noam Leandri, président du collectif ALERTE, et Pierre Madec, économiste à Sciences Po, ont souligné l'importance d'une revalorisation anticipée des minima sociaux. Ils estiment qu'une telle mesure permettrait d'éviter une perte de pouvoir d'achat des ménages les plus vulnérables.

    « Les ménages subissent depuis deux ans une forte augmentation des prix qui ne s’est pas traduite par une augmentation équivalente des minima sociaux », déclarent-ils.

    https://www.economiematin.fr/pauvres-inflation-minima-sociaux-augmentation

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  40. Prime carburant 2024 : qui va en bénéficier ?

    La prime carburant, une initiative du gouvernement pour soutenir les Français face à l’augmentation constante des prix du carburant, sera reconduite en 2024. Cette mesure, qui a déjà prouvé son efficacité en 2023, vise à alléger le fardeau financier des ménages les plus modestes.


    Par Paolo Garoscio
    le 16 octobre 2023 à 12h30


    Les taxes représentent 60 % du prix du litre de carburant.

    Qui peut bénéficier de la prime carburant ?

    La prime carburant est une aide financière mise en place pour aider les Français à faire face à la hausse des prix du carburant. Pour l'année 2024, cette prime sera de 100 euros. Elle a pour objectif d'assister les personnes les plus modestes à couvrir une partie de leurs dépenses en gazole ou en essence.

    Cette aide est destinée aux 50 % de ménages français les plus modestes qui dépendent de leur véhicule pour se rendre au travail. Elle concerne une variété de véhicules, y compris les deux-roues, les véhicules électriques et hybrides rechargeables.

    La prime est attribuée par individu et non par foyer. Ainsi, chaque membre d'un couple modeste utilisant son véhicule pour le travail peut recevoir 100 euros, permettant à un couple d'obtenir jusqu'à 200 euros d'aide.

    Prime carburant : comment l’obtenir ?

    Pour être éligible, il faut avoir au moins 16 ans au 31 décembre 2022, résider en France
    métropolitaine ou dans les DOM-TOM, et être fiscalement domicilié en France pour l'année 2022. De plus, le bénéficiaire doit être actif, posséder un véhicule pour des raisons professionnelles, avoir des revenus modestes et ne pas être assujetti à l'impôt sur la fortune immobilière en 2022. Un formulaire sera disponible sur le site des impôts pour vérifier son éligibilité.

    Bien que la date exacte n'ait pas encore été annoncée, le ministère de l'Économie a indiqué que la prime carburant serait versée « début 2024 ». Pour l'année 2023, le formulaire était accessible du 16 janvier au 31 mars 2023, et l'aide était versée dans un délai de huit jours.

    https://www.economiematin.fr/prime-carburant-2024-montant-condition

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    1. - En France, la consommation moyenne des voitures, essence et Diesel confondus, est de plus de 6 L/100 km. -

      Si la voiture parcourt 20 km/A/R = 1,2 l. (soit 2,20 € ) à 2 €/l..

      x 30 jours = 66 €/mois.

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  41. Australiens – N’oubliez pas de voter – qui veut la ségrégation raciale ?
    Comme un moment de Brexit pour la nation.


    October 14th, 2023

    MISE À JOUR : L’Australie vote massivement pour la non-ségrégation. 60h40

    MISE À JOUR : La Nouvelle-Zélande vote pour renverser le gouvernement travailliste. C'est une bonne journée !

    Le gouvernement travailliste veut apporter quelques modifications à la Constitution, mais il ne nous dit pas ce que contiennent ces modifications vaguement formulées*. Vraisemblablement, ils savent que cela ne nous plaira pas, et la plupart des Australiens semblent l’avoir compris.

    Comment, sous le soleil, une nation d’adultes en est-elle arrivée au point où l’on nous demande de signer effectivement des documents juridiques que personne n’a lus ?

    - voir carte sur site -

    Carte de vote à prédiction vocale
    FocalData

    Un sondage de FocalData suggère que les personnes qui vivent dans les centres-villes à forte densité, les plus éloignés des communautés autochtones défavorisées, sont celles qui votent oui. C'est comme un accessoire de mode. Et pour les grandes entreprises et les célébrités échouées aussi.

    FocalData a également déclaré : « … nos estimations pointent vers une perte importante et la possibilité d’un réalignement de la politique australienne qui ressemble beaucoup au réalignement des États-Unis et du Royaume-Uni. »

    à Neville

    *Modifié : Il s’agit d’un chèque en blanc. La formulation du changement constitutionnel est répertoriée ici, donnant au Parlement et à la Haute Cour une latitude infiniment large pour interpréter le fonctionnement du nouveau « corps » constitutionnel, la manière dont les membres sont sélectionnés, qui peut voter sur « The Voice » et qui est exclu. Le corps serait effectivement capable de « faire des représentations » sur tout. Quelle loi pourrait-on adopter qui n’affecterait pas ou ne se rapporterait pas aux « peuples aborigènes et insulaires du détroit de Torres » ? Quel pourcentage du patrimoine autochtone est suffisant ? 10 %, 1 %, 0,1 % ou pas du tout ?

    Merci à Strop.

    https://joannenova.com.au/2023/10/australians-dont-forget-to-vote-should-we-have-racial-segregation/

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  42. L’Australie vote massivement pour « Pas de ségrégation »


    Par Jo Nova
    October 15th, 2023


    Bien qu’ils aient dépensé des millions pour dire aux Australiens que les bonnes personnes votent oui, les Australiens ont massivement voté non pour traiter les gens différemment en fonction de leur couleur de peau, de leur héritage ou de ce que faisaient leurs ancêtres.

    Ils ont voté non pour donner à un nouveau groupe de bureaucrates le pouvoir de ralentir, d'interférer ou de rançonner toute loi votée par le Parlement australien. Et dans un sens, ils ont également voté non à la publicité superficielle, implacable et vague.

    Aucun signe spontané n’a été observé dans presque tous les États d’Australie dans des zones de 110 km :

    Aucun signe vocal dans WA
    Vu en Australie occidentale | Photo de Stephen Neil.

    Le principal avantage des 365 millions de dollars que coûte le référendum est que de nombreux Australiens se sentent désormais plus à l’aise pour parler de race, tandis que beaucoup d’autres ont découvert que qualifier les gens de « racistes » ne les convainc pas. Ce n’était peut-être pas l’objectif des responsables. Mais j’espère que nous pourrons désormais avoir des conversations plus productives au lieu de banalités sans fin et de complaisances dénuées de sens. La culture de la victimisation n’aide personne.

    Il est important de noter que le référendum a échoué dans tous les États d’Australie. À l'échelle nationale, c'était 39,7 % = Oui à 60,2 % = Non. Le seul territoire à voter Oui, était le Territoire de la capitale australienne (ACT), le pays des bulles en lévitation, qui a voté « Oui » à 60 % dans un pays où toutes les autres circonscriptions ont voté le contraire. Il est remarquable que le Territoire du Nord, qui compte de loin la plus forte proportion d’aborigènes (30 %), a voté aussi fortement contre The Voice que tous les autres États (62 % ont voté non).

    La Voix était véritablement un outil des banquiers, de la classe bureaucratique et des grandes entreprises, et les Australiens l’ont compris.

    De l’autre côté de la Tasmanie, les Néo-Zélandais ont voté pour renverser le gouvernement travailliste. C'est une bonne journée !

    https://joannenova.com.au/2023/10/australia-overwhelmingly-votes-for-no-segregation/

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  43. Les militants pour le climat cherchent à sauver la planète en coupant et en enterrant des arbres
    Alors que Bill Gates investit dans un plan visant à éclaircir les forêts et à enterrer les arbres pour séquestrer le carbone, un écologiste qualifie cela de « spectaculairement mauvaise idée ».

    D’ici l’automne Spredemann
    13 octobre 2023


    Abattre des arbres pour lutter contre les incendies de forêt n’est pas une nouveauté, même si cela reste une pratique très controversée.

    L’éclaircissage des arbres est une procédure controversée qui suscite autant de critiques que de soutien au sein de la communauté environnementale. De nombreux scientifiques, chercheurs et défenseurs de l’environnement s’y opposent, affirmant que l’éclaircie des arbres peut même aggraver les incendies de forêt.

    Cependant, les forêts américaines ont été abattues pendant plus de deux décennies à des fins de gestion des incendies. Aujourd’hui, les militants du climat se lancent dans la conversation en avançant l’argument du « captage du carbone » en faveur de l’éclaircissage des arbres.

    Des militants tels que le cofondateur de Microsoft, Bill Gates, ont mis tout leur poids et leurs chéquiers en faveur de la pratique consistant à abattre des arbres et à les enterrer pour répondre aux craintes liées aux émissions de carbone.

    Par l'intermédiaire de sa fondation Breakthrough Energy Ventures, M. Gates fait partie du pool d'investisseurs d'amorçage de 6,6 millions de dollars qui soutient Kodama Systems dans sa proposition visant à abattre les arbres des forêts californiennes ravagées par les incendies et à les enterrer au Nevada pour séquestrer le gaz carbonique.

    "Nous devons accélérer considérablement les traitements d'éclaircie des forêts", déclare la société basée à Boston sur son site Internet. Kodama se définit comme un « service de restauration forestière axé sur la technologie ».

    M. Gates est bien connu pour ses méthodes qui ont fait la une des journaux pour répondre à ses préoccupations climatiques – depuis l’achat de vastes étendues de terres agricoles américaines jusqu’au soutien à des expériences farfelues telles que la géo-ingénierie solaire et, plus récemment, en critiquant la plantation d’arbres comme un moyen viable de réduire les émissions de gaz carbonique.

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  44. Lors du Climate Forward Summit du New York Times en septembre, le milliardaire n'a pas hésité à partager ses réflexions sur le rôle de la plantation d'arbres pour atténuer les problèmes climatiques, le qualifiant de « complètement absurde ».

    Dans une interview accordée au journaliste du New York Times David Gelles, M. Gates a répondu avec dédain à l’idée selon laquelle planter davantage d’arbres pourrait inverser les effets néfastes du climat.
    "C'est complètement absurde... Je veux dire, sommes-nous des scientifiques ou sommes-nous des idiots ?" M. Gates a demandé rhétoriquement.

    Les critiques ne tardent pas à souligner les failles dans la logique entourant les prétendus avantages de l’abattage des arbres et de leur enterrement.

    « C'est une idée incroyablement mauvaise et contre-productive », a déclaré à Epoch Times Chad Hanson, chercheur écologiste et co-fondateur du projet John Muir.

    Il affirme que les arbres et les forêts existantes sont « de loin, notre moyen le meilleur et le plus efficace » pour réduire tout « excès de carbone dans notre atmosphère ».

    De plus, l’abattage sélectif présente un risque pour les arbres anciens, qui, selon les recherches, capturent beaucoup plus de carbone atmosphérique que leurs homologues plus jeunes.
    Les arbres vivants stockent une quantité massive de carbone atmosphérique. Une estimation estime la valeur du stockage de gaz carbonique des forêts et prairies américaines à 866 millions de tonnes par an. À titre de comparaison, cela équivaut aux émissions annuelles de 50 millions de véhicules à essence ou diesel.

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  45. Certaines recherches soutiennent la théorie selon laquelle l’enfouissement des débris des arbres coupés peut constituer une forme de captage du carbone. Une étude de 2019 a montré que le stockage de la biomasse ligneuse peut éliminer des milliards de tonnes de carbone chaque année.
    « Les arbres continuent de séquestrer et de stocker de plus en plus de carbone à mesure qu'ils vieillissent, et cela est vrai quel que soit leur âge », a déclaré M. Hanson pour contrer ce point. « Couper les arbres existants et les enterrer élimine leur capacité à s'abattre. et réduire le carbone atmosphérique.

    Il n’existe aucune analyse approfondie des avantages affirmés ou des effets environnementaux secondaires de l’éclaircie des arbres et du stockage des débris.

    "La recherche relative à la durabilité dans le domaine des impacts sociaux et environnementaux du captage du carbone n'a pas été suffisamment menée et ce domaine d'études est encore immature", déclare une étude publiée dans Science Direct.

    Sur son site Internet, Kodama Systems indique que des cadres de comptabilisation du carbone sont en cours d'élaboration, mais n'offre pas plus de détails.
    Les représentants de Kodama n’ont pas répondu à une demande de commentaires d’Epoch Times.

    L’argument selon lequel il faut laisser intactes les forêts matures et la canopée dense – strictement pour la séquestration du gaz carbonique – bénéficie du soutien des meilleurs chercheurs scientifiques.

    William Moomaw, directeur fondateur du Centre pour la politique internationale de l'environnement et des ressources à la Fletcher School of Law and Diplomacy de l'Université Tufts, fait partie de ce qu'il appelle l'école de pensée de « proforestation » sur le stockage du carbone atmosphérique.

    Il est un fervent partisan de la plantation d’arbres et préconise de laisser tranquilles les forêts plus anciennes et d’âge moyen, en raison de leurs capacités supérieures de stockage du carbone.

    "La chose la plus efficace que nous puissions faire est de permettre aux arbres déjà plantés, qui poussent déjà, de continuer à croître pour atteindre leur plein potentiel écologique, à stocker le carbone et à développer une forêt dotée de tous ses services environnementaux", " a déclaré M. Moomaw lors d'une interview en 2019 avec Yale Environment 360.
    "Laisser pousser les forêts naturelles existantes est essentiel à tout objectif climatique que nous nous fixons."

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  46. Abattage pour atténuer les risques d'incendie

    L’éclaircie des arbres a également un bilan discutable en matière de gestion des incendies de forêt, mais elle bénéficie d’un nombre croissant de partisans dans les secteurs public et privé.
    Le Service forestier des États-Unis a fait de l’abattage sélectif des arbres un élément essentiel de son plan décennal de gestion des incendies de forêt.

    Les autorités espèrent utiliser cette méthode sur des millions d’acres boisés d’ici 2030.

    « Nous estimons qu'un total de 50 millions d'acres de forêts aux États-Unis ont besoin de combustibles dangereux et de traitements de santé des forêts pour faire face à la crise croissante des incendies de forêt », a déclaré à Epoch Times le porte-parole du Service forestier américain, John Winn.

    Il a déclaré que 20 millions d'acres se trouvaient sur des forêts et des prairies nationales, et 30 millions d'acres sur d'autres terres.

    "Près d'un quart du territoire contigu des États-Unis reste exposé à un risque modéré à très élevé d'incendies de forêt graves", a déclaré M. Winn.

    Il a déclaré que certaines études soutiennent l’éclaircissage des arbres comme outil d’atténuation des incendies de forêt.

    "Les recherches du Service forestier ont démontré que les arbres sont stressés par le surpeuplement, ce qui entraîne souvent la disparition des espèces dépendantes du feu et permet aux combustibles hautement inflammables de s'accumuler et de devenir littéralement du fourrage pour des incendies de forêt massifs", a-t-il déclaré.

    "C'est pourquoi le processus d'éclaircie mécanique est si crucial pour la santé des forêts. C'est en partie l'éclaircie des peuplements denses d'arbres qui rend les terres sauvages plus à même de résister au feu."

    En tant que pratique autonome ou combinée à des « brûlages dirigés », M. Winn soutient que l'éclaircie des arbres peut modifier le comportement d'un incendie de forêt et le rendre moins destructeur.

    Il a également mentionné que de tels « traitements des carburants » ont gagné du terrain « comme moyen de réduire les émissions de carbone en augmentant la résilience des stocks de carbone restants ».

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  47. "Une forêt qui n'est pas résiliente aux incendies de forêt comporte un risque plus élevé de perte de carbone", a déclaré M. Winn.

    De l'autre côté du débat, M. Hanson n'a pas mâché ses mots lorsqu'on lui a demandé de partager ses réflexions sur l'utilisation de l'éclaircissage des arbres pour atténuer les incendies de forêt.

    "Les incendies de forêt sont en grande partie provoqués par les conditions météorologiques, en particulier par des conditions chaudes, sèches et venteuses. La plupart des recherches scientifiques actuelles montrent que les conditions forestières denses créent un tampon contre les conditions météorologiques estivales extrêmes", a-t-il déclaré.

    "Les forêts plus denses ont plus d'ombre rafraîchissante en raison d'une couverture forestière plus élevée, et des densités d'arbres plus élevées créent un brise-vent contre les rafales qui alimentent les flammes lors d'un incendie."

    Il a déclaré que l’éclaircie des arbres compromettait cette zone tampon.

    L'éclaircie crée « des conditions plus chaudes, plus sèches et plus venteuses qui propagent les flammes plus rapidement et souvent plus intensément », a-t-il déclaré. "Ces conclusions sont étayées par des dizaines de sources scientifiques et des centaines de scientifiques."

    Une sécheresse prolongée et des conditions météorologiques inhabituelles, telles que des vents violents fréquents et soutenus, ont créé une véritable poudrière dans les bois américains. Des recherches indiquent que les incendies de forêt dans les États de l’ouest des États-Unis sont devenus plus importants et plus chauds depuis 1980, selon une étude publiée dans l’International Journal of Wildland Fire.

    M. Hanson affirme qu'il faut plus d'arbres, et non moins, pour relever ces défis.

    Les partisans de l'éclaircissage des arbres contredisent le point de vue de M. Hanson en affirmant que davantage de matière ligneuse doit être enlevée puisque des décennies de sécheresse ont asséché les forêts. Mais cela aussi est contredit par la science.

    Les arbres réduisent le ruissellement de l’eau et aident à équilibrer et à retenir les eaux souterraines importantes du sol grâce à leur système racinaire. Selon l'Institut international de l'eau de Stockholm, il est prouvé que les arbres stimulent la recharge des eaux souterraines dans certains types de forêts, comme les zones tropicales arides.

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  48. Ces données suggèrent que moins d’arbres pourraient équivaloir à encore moins d’eau dans des forêts déjà aux prises avec la sécheresse.

    "Si vous éclaircissez une forêt, vous introduisez très souvent la lumière du soleil et le vent qui assèchent les choses. À moins que vous n'ayez une espèce d'arbre adaptée aux incendies de sol de faible intensité et relativement fréquents, vous risquez de rendre la forêt plus inflammable", Erik Molvar , directeur exécutif du Western Watersheds Project, a déclaré à Epoch Times.

    En tant que biologiste de la faune et chercheur publié, M. Molvar est passionné par la préservation des forêts américaines. Il a ajouté que tous les arbres ne sont pas égaux face au feu.

    "Le pin ponderosa est l'espèce la plus couramment invoquée. En Californie, il existe des Live Oaks et des Valley Oaks qui peuvent également être quelque peu adaptés à ces types d'incendies au sol de faible intensité et à haute fréquence. Cela ne fonctionne pas avec L'épinette et le sapin, les pins tordus, la pruche subalpine ou d'autres types de systèmes de canopée fermée. C'est donc très spécifique à chaque arbre », a-t-il expliqué.

    Cela dit, M. Molvar a noté que les recherches menées dans les forêts de pins ponderosa du nord de l'Arizona suggèrent que les espèces de pins se sont déjà adaptées aux brûlages fréquents et de faible intensité. Cependant, il estime que cette mesure a été « mal appliquée » par les industries qui profitent de l'abattage des arbres, en particulier l'exploitation forestière.

    Il ne pense pas que l’ampleur et l’intensité des incendies de forêt soient dues à un « excès de combustibles » disponibles pour le feu.

    Sauver des maisons et des vies

    L’éclaircissage des arbres est déployé depuis des années dans le cadre d’une stratégie de gestion des incendies de forêt et a produit des résultats discutables.
    M. Hanson a fourni une liste d’incendies de forêt aux États-Unis dans lesquels, selon lui, l’éclaircie des arbres a aggravé les incendies malveillants.

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  49. "Malheureusement, il existe de nombreux cas où l'éclaircissage des arbres a été associé à des incendies se propageant rapidement vers les villes, les détruisant finalement", a-t-il déclaré.

    Il mentionne spécifiquement les incendies en Californie, notamment à Paradise en 2018, à Greenville et Grizzly Flats en 2021, et à Berry Creek et Feather Falls en 2020.

    « De nombreuses autres villes [ont été] détruites lorsque des incendies ont balayé rapidement et intensément de vastes zones où des coupes d'arbres avaient été réalisées auparavant, soi-disant pour servir de coupe-feu et sauver la ville », a-t-il déclaré.

    "L'éclaircie des arbres n'arrête pas les incendies ; elle les fait brûler plus rapidement, souvent vers les habitations."

    M. Molvar était d'accord et a cité comme autre exemple l'incendie tragiquement destructeur de Jasper dans la région des Black Hills du Dakota du Sud en 2000.

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  50. "L'incendie de Jasper... a entièrement brûlé dans une zone qui avait été fortement éclaircie par le service forestier. Et il s'agissait du pin ponderosa, c'était donc le genre d'espèce d'arbre pour laquelle l'industrie du bois s'attendait à une éclaircie, et peut-être à juste titre, pour réduire les risques d'incendie », a-t-il déclaré.

    M. Hanson et M. Molvar conviennent qu'il existe de meilleurs moyens d'atténuer les dégâts causés par les incendies de forêt que d'abattre davantage d'arbres.

    "Nous devrions plutôt concentrer notre attention sur l'aide aux communautés pour qu'elles soient à l'abri des incendies grâce au renforcement des maisons et à l'élagage défendable de la végétation dans un rayon de 100 pieds des maisons", a déclaré M. Hanson. "La science montre clairement que ces actions sont très efficaces pour sauver des maisons et des vies."

    https://www.theepochtimes.com/article/climate-activists-seek-to-save-the-planet-by-cutting-burying-trees-2-post-5499439?utm_source=partner&utm_campaign=ZeroHedge&src_src=partner&src_cmp=ZeroHedge

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    1. Les arbres ne représentent pas un volume de gaz carbonique mais de nano-particules de carbone (charbon) comme le fait le phytoplancton à la surface des eaux qui l'absorbe et le transforme en nano-particules de carbone (charbon).

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    2. ENCORE UN ARTICLE CENSURÉ ! (60 - 1 = 59)

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  51. ENCORE 2 ARTICLES CENSURÉS ! (60 - 2 = 58)

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