Les pirates ont eu accès à des courriels scandaleux de climatologues de renommée mondiale. Même le mainstream a dû en parler à l'époque : Le journal FAZ écrivait ainsi en 2013 : « De nouvelles incohérences apparaissent régulièrement dans les rapports des climatologues. Pour sauver le monde, il semble qu'il y ait eu quelques manipulations. Les échanges de courriels publiés par les voleurs de données ont révélé non seulement une utilisation laxiste des données de mesure, mais aussi la volonté de présenter les événements climatiques sur la planète de la manière la plus dramatique possible. » En Grande-Bretagne et aux Etats-Unis [...], le Conseil climatique de l'ONU fait depuis l'objet d'une surveillance accrue. De nouvelles incohérences dans les rapports des chercheurs y sont désormais dénoncées presque chaque semaine [...]. Focus a écrit à ce sujet : « Un courriel de Phil Jones, le directeur de l'institut, est devenu tristement célèbre. Il y écrit à un collègue : [...] « Je viens de terminer l'astuce naturelle de Mike consistant à ajouter les températures réelles à chaque série (de données) pour les 20 dernières années [...] afin de dissimuler la baisse (de température). » » [...] Une bonne partie des courriels parle en effet de faire disparaître des données. A l'époque, le GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat) était également très critiqué. Zeit-online écrivait : « Une série de scandales ébranle la crédibilité et l'autorité du GIEC ; les scénarios catastrophes qu'ils décrivent se révèlent en partie être des déclarations scientifiquement non vérifiables. » Mais au lieu de s'accrocher, de dévoiler jusqu'à ce que les responsables soient tenus pour responsables, jusqu’à ce que les erreurs soient corrigées et que l'exactitude scientifique soit rétablie, les médias tentent jusqu'à aujourd'hui d'étouffer en grande partie ces scandales. Mais comment se fait-il que des climatologues comme le Dr Ben Santer manipulent les rapports sur le climat ? La climatologue Judith Curry donne ici une réponse claire. Dans un exposé présenté à une commission d'enquête, elle le montre en détail : « Il existe une énorme pression sur les climatologues pour qu'ils se rallient au prétendu consensus. Cette pression ne vient pas seulement des politiques, mais aussi des organismes de financement gouvernementaux, des universités et des sociétés savantes [...]. »
Malgré ces scandales flagrants, l’Unité de recherche sur le climat de l'Université d'East Anglia et le GIEC, avec ses climatologues, continuent à influencer l'opinion mondiale sur le changement climatique. Presque toutes les nations orientent leurs actions en fonction de leurs rapports et de leurs calculs climatiques. Nous devons exiger ensemble la divulgation totale de ces scandales. Il est inadmissible que les climatologues, les universités et le GIEC, dont les mensonges et les manipulations ont été démasqués une fois pour toutes, continuent à occuper leur poste comme si de rien n'était et à influencer sans cesse l'ensemble des événements mondiaux par leurs données climatiques falsifiées.
de mf Sources / Liens :
Faux de Ben Santer, témoin oculaire Lord Monckton : (5ans déjà, en anglais, mais important!) https://www.dailymotion.com/video/x6u3h2o
Le compromis de la réforme des marchés européens de l’électricité est-il une victoire à la Pyrrhus ?
Face à la flambée des prix de l’électricité, l’UE est parvenue à un compromis avec le projet de réforme des marchés de l’électricité. Mais la réponse est-elle à la hauteur des enjeux ?
le 27 octobre 2023 François Henimann
Cet article analyse les causes de la flambée des prix de l’électricité et en mesure les conséquences, puis donne une évaluation de l’adéquation des réponses apportées dans le projet de réforme des marchés de l’électricité approuvé par le Conseil européen le 17 octobre dernier, après un long bras de fer entre l’Allemagne et la France sur le sujet de la production nucléaire.
Des prix de l’électricité devenus fous, sans rapport avec les coûts de production Depuis septembre 2021, les prix du gaz en Europe se sont envolés et sont devenus très volatiles. Le gaz étant une des sources de production d’électricité, cela affecte directement le prix spot de l’électricité, basé sur le coût marginal de la dernière centrale appelée pour assurer la sécurité d’approvisionnement, donc la plus chère. Ce phénomène se répercute sur les prix des marchés à terme.
La situation s’est aggravée en 2022 avec la guerre en Ukraine, et plus particulièrement en France, en raison de la chute de 25 % de la production nucléaire, déjà affectée par la fermeture de Fessenheim, puis par un défaut générique fin 2021, qui nous a fait passer pour la première fois en situation importatrice nette : les prix de marché de l’électricité ont atteint des valeurs de 250 à plus de 400 euros/MWh, contre 50 à 80 euros/MWh dans les années antérieures.
Ces prix sont sans aucune mesure le coût de production moyen du mix électrique du parc français, constitué pour l’essentiel de moyens de production décarbonés (nucléaire, hydraulique, éolien, solaire), dont les coûts sont stables et prévisibles, car ils dépendent essentiellement du coût de l’investissement, et peu ou pas du tout du coût d’un combustible :
Source Production prévue en 2023 (TWh) Coût en € / MWh
Nucléaire:::::: 315 58 (1) Hydraulique:: 55 55 (mix fleuves et barrages – Stations de Pompage) Éolien:::::::::::: 40 80 (mix terrestre et maritime) Solaire:::::::::: 16 (2) 70 (mix parcs au sol et toitures) Biomasse:::::: 10 110 Total :::::::::::::436 61,3 (coût moyen pondéré)
Dans son rapport de juillet 2023, la CRE évalue le coût complet du parc nucléaire existant à 60,7 €/MWh en € 2022 pour la période 2026-2030, avec un coût moyen pondéré du capital (CMPC) avant impôts de 8,35 %. En fait, dans le cadre d’un prix régulé, minimisant les risques, le coût pondéré du capital (CMPC) pourrait être inférieur. Dans ce coût, l’impact de l’intégration de l’EPR Flamanville 3 (mise en service prévue en 2024) est évalué par la CRE à 2,5 €/MWh. En excluant 4 TWh vendus à 510 €/MWh en obligation d’achat (contrat avant moratoire de 2011)
Au total, on peut estimer que le parc de production décarboné français va produire en 2023 près de 90 % des besoins nationaux (495 TWh en intégrant les pertes réseau), à un coût moyen se situant dans une fourchette de 60 à 65 euros/MWh.
Des conséquences désastreuses pour les Français et les entreprises Par voie de conséquence, dans le calcul du tarif régulé de vente d’électricité HT (TRVE) par la Commission de Régulation de l’Énergie (CRE) pour 2023 (Délibération de la CRE du 19 janvier 2023 portant proposition des tarifs réglementés de vente d’électricité – CRE), le coût de fourniture ressort à 238 euros/MWh, dans un mix constitué de 45 % de nucléaire à 42 euros/MWh (ARENH), et de 55 % de prix de marché (398 euros/MWh), construit en vertu du principe de « contestabilité » visant à permettre à un fournisseur pur trader de faire une offre concurrentielle.
Deux remarques :
Ce coût de fourniture calculé par la CRE début 2021 était de 50 euros/MWh, dont 47 % d’ARENH, soit un coût moyen d’approvisionnement sur le marché de 55 euros/MWh : on mesure les dégâts ! Sans le plafonnement à 100 TWh du volume d’ARENH, la part de nucléaire serait de 67 %, le rôle modérateur du nucléaire n’est que partiellement utilisé : il vaudrait mieux déplafonner et relever le prix pour éviter qu’EDF vende à perte, comme la CRE l’avait demandé.
Les artisans (à l’instar des boulangers) et les entreprises n’ayant pas accès au TRVE sont directement exposés à cette multiplication par 4 à 5 du coût de fourniture, même en intégrant la part de nucléaire auquel ont accès leurs fournisseurs. Cela dégrade leur compétitivité, et menace parfois leur existence, malgré le dispositif « amortisseur » mis en place par le gouvernement dans la loi de finances 2023 pour les PME et les collectivités locales (compensation à 50 % au-delà de 180 euros/MWh) et les TPE (compensation supplémentaire à 100 % au-delà de 230 euros/MWh).
Les particuliers et les TPE qui ont accès au TRVE ont bénéficié du « bouclier tarifaire » mis en place par le gouvernement, limitant la hausse du tarif TTC à 5 % en février 2022. Mais leur pouvoir d’achat subit les conséquences d’une augmentation du tarif de 15 % en février 2023, suivie d’une deuxième augmentation de 10 % en août dernier, qui apparaît peu justifiée au regard des coûts de production d’EDF.
En effet, l’analyse des délibérations de la CRE (délibération de la CRE du 13 avril 2023 relative à l’évaluation des acomptes versés aux fournisseurs d’électricité dans le cadre du second guichet simplifié pour la compensation des pertes de recettes définies à l’article 181 de la loi de finances pour 2023 – CRE ; et délibération de la CRE du 13 juillet 2023 relative à l’évaluation des charges de service public de l’énergie pour 2024, et à la réévaluation des charges de service public de l’énergie pour 2023 – CRE) permet de voir que l’écart à compenser entre le niveau du TRVE HT calculé par la CRE, et le niveau qui résulte du plafonnement de l’augmentation à 15 % est de 143 euros/MWh (!), ce qui signifie que le coût de fourniture implicite dans le TRVE effectivement appliqué en février 2023 est de 95 euros/MWh, toutes choses égales par ailleurs.
Ce niveau de 95 euros/MWh permet à EDF de redresser ses comptes : au 1er semestre 2023, EDF, bien que pénalisé par la vente à perte d’une partie de sa production nucléaire (63 TWh sur un total de 158 TWh), a réalisé un EBITDA de 8,6 milliards d’euros sur ses activités de production et de vente d’électricité en France, représentant une marge opérationnelle moyenne de 40 euros/MWh pour 215 TWh de ventes totales.
Cela s’explique, car EDF bénéficie des mêmes compensations que ses concurrents dans le cadre du bouclier tarifaire, alors que son coût moyen de production est certainement inférieur au coût implicite de fourniture du TRVE (ventes 58 TWh), et EDF prend en compte le niveau des offres de ses concurrents pour déterminer ses offres sur le marché aux entreprises (ventes 64,7 TWh). (Source présentations résultats S1 2023 EDF).
Sur ces bases, la CRE évalue le coût du dispositif de protection (bouclier et amortisseur) à 23,5 milliards d’euros en 2023 pour les contribuables, partiellement compensé à hauteur de 4,6 milliards par les remboursements des producteurs ENR qui injectent sur le marché dans le cadre d’un « contrat pour différence », principalement les parcs éoliens.
Après l’augmentation de 10 % du TRVE appliquée en août, et compte tenu de l’augmentation du tarif d’acheminement de l’électricité, l’écart à compenser calculé par la CRE est ramené à environ 127 euros/MWh, correspondant à un coût implicite de fourniture de 111 euros/MWh.
Le mode de calcul du TRVE est devenu une mécanique inflationniste infernale, totalement décorrélée des coûts de production en France, et l’on peut s’interroger sur la pertinence du niveau de compensation dont bénéficient les fournisseurs et qui pèse sur nos impôts, dans le seul but d’assurer une concurrence artificielle.
Perspectives pour 2024 Le niveau des prix de marché à terme en France est en diminution depuis l’été 2023 :
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Le prix de base à terme pour 2024 est revenu à 140 euros/MWh en raison du repli du prix du gaz, revenu à environ 50 euros/MWh, et du redressement de la production nucléaire d’EDF, qui diminue les risques de tensions sur l’approvisionnement. Le prix en période de pointe (peakload) est bien entendu supérieur, mais ne concerne qu’une part marginale du volume vendu.
Ce niveau de prix est similaire à celui qu’ont maintenu dès le début 2022 l’Espagne et le Portugal, en plafonnant le prix du gaz utilisé pour produire de l’électricité à 50 euros/MWh (avec une dérogation accordée par l’UE), ce qui leur a permis d’amortir la hausse des prix de l’électricité sur le marché.
Même si ce niveau de prix de marché se maintient durablement (ce qui n’est pas garanti), et permet d’envisager pour 2024 une stabilisation du TRVE tout en supprimant le bouclier tarifaire, il reste environ deux fois plus élevé que le coût moyen du mix électrique français, dominé par le nucléaire.
C’est pourquoi la France réclame depuis le printemps 2022 une réforme structurelle du fonctionnement du marché européen de l’électricité de l’UE, avec l’objectif de disposer d’un prix de l’électricité « qui reflète le coût de production de son mix énergétique », en découplant le prix de l’électricité de celui du gaz.
Le projet de réforme du marché européen de l’électricité
Dans son document, la Commission européenne présente l’accélération du déploiement des sources de production ENR, en particulier l’éolien offshore, et des technologies de flexibilité, comme les meilleures solutions pour réduire de façon structurelle la demande en combustibles fossiles pour la production d’électricité, et ainsi réduire les prix.
Il est parfois fait référence de façon plus large aux « sources bas carbone », mais le nucléaire n’est jamais cité explicitement comme faisant partie de la solution, ce qui explique qu’il ait fallu aux 13 États membres comptant développer des projets nucléaires beaucoup d’insistance pour l’imposer en quelque sorte comme « passager clandestin » de la réforme, pouvant utiliser les instruments destinés à procurer un signal prix à long terme qui sont proposés.
En effet, quel que soit le moyen de production d’électricité bas carbone qui est projeté (à l’exception de la biomasse), son coût de production est déterminé essentiellement par le coût d’investissement, y compris le coût du financement de cet investissement, qui est fonction du niveau de risque encouru : risque marché pendant la durée de vie de l’actif (visibilité sur le prix de vente), et risque projet (coût et délai de construction avant mise en service, puis coût des investissements de maintenance).
Le débat s’est in fine cristallisé sur la possibilité pour la France d’inclure son parc historique de 56 réacteurs dans le dispositif, ce qui est motivé par les investissements très importants qui restent nécessaires pour prolonger la durée de vie au-delà de 40 ans (grand carénage), et au-delà jusqu’à 60 ans (ou plus), sous réserve que la sûreté soit garantie (la faisabilité dépend avant tout de la fiabilité de la cuve du réacteur, seul composant non remplaçable).
La fin de l’article analyse les caractéristiques des deux instruments du projet d’accord offrant une visibilité de prix dans le temps long, ainsi que leur adéquation pour financer le nucléaire, avant de regretter en conclusion qu’aucun instrument de prix régulé n’ait été demandé, ni défendu par la France.
Contrats d’achat à long terme
Il s’agit de contrats d’achat entre un producteur et un acheteur (fournisseur d’énergie, industriel), qui garantissent à l’acheteur une stabilité des prix à long terme, et, en contrepartie, apporte au producteur une garantie de débouché à un prix connu, qui lui permet d’engager l’investissement.
L’électricité produite est ainsi vendue hors marché, ce qui est particulièrement intéressant pour les parcs éoliens et solaires, dont la variabilité de production injectée sur le marché spot peut induire des perturbations de prix importantes.
Dans l’article 28 du projet, les États membres sont invités à promouvoir ce type d’accord, supprimer les barrières injustifiées, et sont autorisés à prendre des dispositions pour réduire les risques liés au défaut de l’acheteur dans ses obligations de long terme, et à faciliter l’agrégation de demandes (pool d’acheteurs).
EDF envisage ce type de montage pour la construction d’une partie des EPR2, avec un écho favorable par exemple de TotalEnergies. Mais pour un actif de très long terme dont la durée de construction est au mieux de 10 ans, et la durée d’exploitation de 60 ans, le niveau de risque ne permet pas un financement optimisé, donc un prix compétitif, à moins que l’acheteur (ou un pool d’acheteurs) participe à due concurrence à l’investissement, en échange d’un droit de tirage : la centrale de Fessenheim a été en partie financée de cette manière dans les années 1990, avec ENBW (17,5 %) et un consortium suisse (15 %).
Contrats pour différence (CFD)
Le texte de compromis validé en Conseil le 17 octobre dernier dispose dans son article 19b qu’un schéma direct de soutien des prix par un État membre, sous la forme exclusive d’un contrat pour différence bidirectionnel (CFD), peut s’appliquer aux sources d’électricité suivantes, sur la base du volontariat : éolien, solaire, hydraulique au fil de l’eau, géothermie, nucléaire.
Schématiquement, un CFD bidirectionnel fonctionne sur le principe suivant, la production étant écoulée sur le marché (le tarif cible peut être dédoublé avec un plafond et un plancher) :
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Le prix minimum garanti, ainsi que le prix plafond destiné à prévenir une rémunération excessive doivent être déterminés en fonction du coût du nouvel investissement, de façon à assurer la viabilité économique à long terme de la centrale de production, tout en évitant toute surcompensation.
Le but est que les revenus des producteurs issus de nouveaux investissements qui bénéficient d’un support public deviennent indépendants des prix volatiles de productions fossiles qui fixent le prix spot.
L’article 30 dispose que, bien que cet instrument soit destiné à financer de nouvelles centrales, il pourra aussi concerner des centrales existantes, nécessitant des investissements de maintenance conséquents pour en accroitre la capacité ou prolonger la durée de vie.
La Commission devra s’assurer que la conception du CFD ne conduit pas à des distorsions de concurrence.
Ce type de contrat s’applique déjà aux nouveaux parcs éoliens et solaires en France issus des appels d’offre depuis 2016 : depuis fin 2021, la subvention versée aux producteurs s’est transformée en remboursements par les producteurs, le prix de marché dépassant les tarifs cibles issus des appels d’offre (de l’ordre de 60 euros/MWh). L’utilisation qui en est faite par l’État consiste à participer au financement du bouclier tarifaire et du dispositif amortisseur : 1,9 milliard d’euros en 2022 et 4,6 milliards prévus en 2023.
L’application des CFD au nucléaire n’est cependant pas la solution optimale
La première raison est que le CFD ne permet pas un financement optimisé, car seul le risque marché est pris en compte, alors que le risque projet reste intégralement à la charge de l’opérateur.
En conséquence, le coût moyen pondéré du capital (CMPC ou WACC en anglais) ressort à environ 10%, ce qui est par exemple le cas du financement des deux EPR de Hinkley Point en Grande Bretagne, un CFD conclu entre l’État britannique et EDF Energy (et son partenaire CGN) garantissant un prix de vente du MWh de 96 livres (115 euros) pendant 35 ans.
Pour la deuxième paire d’EPR à Sizewell, le schéma de financement en discussion entre l’État britannique et EDF Energy est un schéma de prix régulé, analogue à celui du financement des réseaux (coût opérationnel + financement de la base d’actifs). Ce schéma, qui transfère le risque projet sur la communauté des consommateurs, permet d’obtenir un financement avec un CMPC de l’ordre de 4 %, car le prix est revu régulièrement sur la base des coûts effectifs, ce qui garantit à l’opérateur le cash flow nécessaire pour investir. Ce schéma devrait permettre d’obtenir un coût du MWh de l’ordre de 60 livres (70 euros)
Voir un précédent article : « Financer le nucléaire sans argent public et sans démanteler EDF : une solution existe ! »
La deuxième raison est que le CFD appliqué au parc nucléaire français, en remplacement d’un prix « régulé » comme l’ARENH, va générer des flux financiers très élevés dans la durée entre l’opérateur et l’État (subvention / remboursement). En pratique, au lieu d’avoir à leur disposition un sourcing nucléaire pour assurer le ruban de base de leur approvisionnement à un prix connu d’avance et relativement stable, les fournisseurs vont s’approvisionner intégralement sur le marché (au-delà de leur propre production), charge à l’État de gérer un mécanisme de redistribution des écarts qui sera forcément imparfait et source de distorsions de concurrence, le tout sous le contrôle attentif de la Commission européenne.
L’État n’ayant pas demandé à la Commission d’inclure la possibilité d’un dispositif de prix régulé pour le nucléaire dans la réforme du marché européen, pourrait bien connaître une victoire à la Pyrrhus en ayant arraché la possibilité d’appliquer le mécanisme CFD aux investissements sur le parc nucléaire existant, et au renouvellement du parc, avec un haut niveau d’autosatisfaction.
Cela est probablement dû au « traumatisme de l’ARENH » subi par EDF en raison des défauts congénitaux de ce mécanisme qui n’ont pas été corrigés, et surtout au refus de l’État de mettre en œuvre une régulation effective du prix pour qu’EDF ne vende pas à perte avec des cash flows libres négatifs, la CRE ayant indiqué dans un rapport publié en 2020 que l’ARENH devrait être de l’ordre de 50 euros/MWh.
Il est très dommageable qu’à cause de l’impéritie des gouvernements depuis 2012, l’ARENH soit devenu un bouc émissaire de la crise des prix de l’énergie, alors qu’un véritable prix régulé du nucléaire pourrait constituer le socle pertinent d’une organisation du marché de l’électricité en France, sujet qui sera abordé dans un second article.
Règlement européen SUR – Usage Durable des Pesticides : Encore un double discours du Gouvernement français !
27 Octobre 2023 Communiqué de presse de la FNSEA*
Le mardi 24 octobre, les députés de la majorité française à la Commission de l’Environnement du Parlement Européen ont voté en faveur du rapport Wiener sur l’utilisation durable des pesticides (SUR) contribuant ainsi à son adoption : une catastrophe pour l’agriculture française.
Ce rapport, qui se révèle plus irréaliste encore dans ses objectifs que la proposition initiale de la Commission européenne, a été établi en l’absence de l’étude d’impact complémentaire demandée par les Etats membres. De surcroit, il va à l’encontre de toutes les études menées dans le cadre du Pacte Vert qui démontrent une baisse significative des rendements agricoles et un renchérissement des aliments, sans effet environnemental concluant.
Ce vote intervient quelques jours seulement après l’abstention de la France pour la réhomologation du glyphosate. Il suscite à nouveau une vive indignation de la FNSEA : encore une preuve du double discours du Gouvernent français !
Les grandes déclarations – « la science et rien que la science », l’engagement à ne plus faire subir à l’agriculture française de surtranspositions néfastes à sa compétitivité intra et extra européenne – demeurent au stade de l’intention. Les faits prouvent l’absence de réelle volonté de les transformer en actes.
Dans un contexte où la préservation de notre souveraineté alimentaire est essentielle, et alors que l’agriculture française tient le haut du palmarès des systèmes agricoles les plus durables au monde, cet entêtement à retirer aux agriculteurs leurs moyens de production, à les placer en position de faiblesse, à freiner leur transformation agroécologique est parfaitement incompréhensible.
Chaque jour, l’agriculture française perd en compétitivité. Chaque nouvelle décision à contre sens des objectifs exigeants et contraignants de la planification écologique lui fait perdre un temps précieux. Les agricultrices et agriculteurs le demandent avec insistance : de la cohérence !
1. Heureusement que le moteur de recherche a été là... Impossible – ou au mieux difficile – d'accéder à ce communiqué de presse en partant de la page d'accueil de la FNSEA. Vous avez un gros problème d'organisation de votre communication.
2. D'ailleurs, à quoi sert ce communiqué, à part exprimer une certaine mauvaise humeur et, au mieux, se retrouver reflété dans la presse agricole, auprès de milieux déjà acquis à la cause ?
3. Vous avez, FNSEA, sans doute communiqué auprès des députés européens. Mais bon nombre d'entre eux sont déjà personnellement sensibles au discours « écolo », même dans les rangs du groupe relevant au niveau national de la majorité relative. Et pour cause ! La liste de ce groupe a été constituée sur la base d'une analyse de marketing politique de manière à « ratisser large ». Vous ne pouvez pas ignorer que, surtout dans les conditions actuelles où les médias et les réseaux sociaux distillent un discours « écolo » et surtout anti-pesticides, le message de la raison ne peut passer que s'il touche une partie significative de la population – de l'électorat. Votre communication touche-t-elle les bonnes cibles ? Non !
4. Plutôt que de dénoncer un double discours du Gouvernement – certes réel mais hors de cause ici puisqu'il s'agit du vote d'eurodéputés « macronistes » – ferez-vous l'effort d'expliquer clairement aux citoyens-électeurs-consommateurs-contribuables les effets de ce règlement et du « Green Deal » en général ?
5. C'est ce que je souhaite, et je pense ne pas être le seul.
Post scriptum
Et, s'il vous plaît, faites cesser les manifestations de colère avec actes de vandalisme. Comment peut-on obtenir le respect de la personne de l'agriculteur, de son travail et de son outil si « les gens d'en face » peuvent s'en prévaloir pour « justifier » ou « excuser » leurs exactions ?
Engrais et sécurité alimentaire : une situation compliquée
27 Octobre 2023 André Heitz*
Régulièrement, les médias s'intéressent à la situation en matière d'engrais. Le New York Times a publié récemment un long article, « How a Fertilizer Shortage Is Spreading Desperate Hunger » (comment une pénurie d'engrais propage une faim dramatique). En chapô : « En Afrique et dans certaines régions d'Asie, les perturbations de la chaîne d'approvisionnement en engrais entraînent une hausse des prix des denrées alimentaires et une aggravation de la malnutrition. »
Peut-on dire que nous connaissons une situation de pénurie d’engrais ?
Une remarque liminaire s'impose : toutes ces interrogations prennent acte du fait que l'alimentation mondiale dépend des engrais, particulièrement des engrais azotés de synthèse. C'est tout à fait remarquable sachant que nombre de médias font par ailleurs la promotion d'une agriculture dite « biologique » qui s'interdit ces engrais et d'une « agro-écologie » censée s'en dispenser ou en utiliser moins.
En actualisant par exemple les données de Our World in Data, on peut affirmer que la moitié de la population mondiale dépend maintenant du procédé Haber-Bosch pour son alimentation.
- voir graph sur site -
La situation est tributaire de l'offre et de la demande, en interaction, de la logistique et de la saisonnalité.
Pour l'offre, le facteur principal est sans doute le prix du gaz, le procédé Haber-Bosch étant grand consommateur d'énergie. L'été 2022, Yara, leader mondial des engrais minéraux azotés, avertissait ainsi d'un risque de pénurie en France, l'envolée du prix du gaz ayant contraint des usines européennes à fermer.
Côté demande, les agriculteurs sont susceptibles de procéder à des arbitrages en fonction des prix relatifs des intrants, notamment des engrais, et de leurs produits. Il ne sert évidemment à rien de produire des quintaux en plus s'ils ne font que payer les intrants nécessaires pour les produire et ne rapportent rien.
Pour des pays éloignés des sites de production, une réticence à acheter quand les cours sont élevés peut faire que les engrais ne sont pas livrés à temps, quand les agriculteurs en ont besoin.
S'agissant de la situation actuelle, je n'ai pas connaissance d'avertissements particuliers. Si je prends le cas de l'Allemagne, et en me fondant sur les prix comme indicateurs des tensions sur le marché, j'aurais tendance à dire que la situation actuelle est plutôt bonne. La solution nitrate d'ammonium-urée, par exemple, est tombée de plus de 600 € la tonne en début d'année à près de 300 € ces jours.
Cette évolution illustre l'instabilité du marché. Et, si nous avons trouvé un certain équilibre depuis le commencement de la guerre d'agression de la Russie, nous avons justement une nouvelle instabilité, et ce, dans une région importante pour le marché de l'énergie.
Qu’est-ce que cela veut dire concrètement ? A quel point l’augmentation du prix des engrais met en danger la population mondiale ?
Il est un principe incontournable en agronomie (mais pas forcément en « agrologie », un terme forgé par M. Philippe Stoop sur le modèle de l'astronomie et de l'astrologie) : les plantes ont besoin d'azote pour pousser, et les récoltes « exportent » de l'azote. Les besoins diffèrent selon les cultures. Ainsi, pour le blé, il faut en moyenne trois kilos d'azote par quintal de grain, jusqu'à un maximum qui n'est pas, nécessairement, l'optimum économique..
D'où, moins d'azote, égal moins de quintaux, égal moins de disponibilités alimentaires.
Et on ajoutera : égal augmentation des prix des denrées alimentaires, égal risques de troubles sociaux dans les pays en pénurie.
Et aussi : égal diminution de la capacité de jouer un rôle géostratégique pour les pays exportateurs (message insistant à l'intention de nos décideurs politiques).
Selon un rapport publié en juillet 2023 par cinq agences des Nations Unies, à l’échelle mondiale, « plus de 122 millions de personnes supplémentaires souffrent de la faim par rapport à 2019, en raison de la pandémie, des chocs météorologiques à répétition et des conflits, notamment de la guerre en Ukraine ». Et : « L’édition 2023 du rapport révèle qu’entre 691 millions et 783 millions de personnes ont souffert de la faim en 2022. »
Mais ces statistiques ne sont qu'un reflet déshumanisé et généralisateurs des situations réelles. Il est généralement constaté que l'insécurité alimentaire touche davantage les personnes qui vivent en milieu rural, qui dépendent davantage des productions locales et ont moins accès aux circuits de distribution plus étendus.
On ne peut donc que se féliciter des rapports tels que celui du New York Times qui nous rappellent l'importance des engrais.
Face aux prix extraordinaires des engrais inorganiques ou commerciaux, certains agriculteurs se tournent vers d’autres types d’engrais. Cette solution est-elle viable ?
À l'échelle individuelle, se tourner vers les engrais organiques est évidemment une option quand ces engrais sont disponibles. Mais ce que fait l'un, se fait généralement au détriment d'un autre, la disponibilité en engrais organiques étant aussi limitée.
À plus grande échelle, il y a des études qui proclament qu'il est « possible » de nourrir le monde – ou une partie comme l'Union Européenne ou la France – sans recours aux engrais de synthèse. Cela vient toujours avec des conditions : la réduction drastique du gaspillage (yaka... comme si nous gaspilliions aujourd'hui par plaisir), la suppression ou la forte réduction de l'élevage (pourtant producteur d'engrais organiques...) et la réduction concomitante de la part animale de notre alimentation, la réduction des apports caloriques (bref, la police de l'assiette).
Cela relève du Kriegsspiel sur tableur ! D'un exercice de manipulation de chiffres, qui énonce une conclusion prédéfinie, rassemble les hypothèses nécessaires et conclut que le résultat souhaité est – plus précisément « peut être » ou « pourrait être » – réalisable.
Voir par exemple ici un communiqué de presse du CNRS et ici une critique. L'article de Billen at al. a au moins le mérite de poser la question du bouclage du cycle de l'azote, du recyclage des excréments humains.
- voir cadre sur site -
Un autre article, de Barbieri et al., trouve en résumé que « les politiques publiques pourraient favoriser une transition vers l'agriculture biologique sur 40 à 60 % de la surface agricole mondiale, même dans les limites actuelles de l'azote ».
Il va de soi (ironie) que l'INRAE, dont relèvent trois co-auteurs, a communiqué sur le chiffre de 60 %, et au conditionnel... « En rééquilibrant la consommation alimentaire mondiale et en réduisant le gaspillage alimentaire d'au moins 50%, il serait possible d'augmenter la part de l'agriculture biologique mondiale jusqu'à 60% », écrivent-ils dans un pavé.
Mais entrons dans le monde réel.
Le Sikkim, vanté comme le premier « État » du monde 100 % biologique, y compris par la FAO (canal idéologique, si l'on peut dire) dépend dans une très large mesure des États indiens voisins pour l'alimentation de sa population. Mais il attire bien des équipes de tournage pour des « documentaires » laudateurs, complaisants et myopes (voir par exemple ici une critique de Ludger Wess).
Le Bhoutan a initié une stratégie de conversion dès 2003 et annonçait en 2012, dans le cadre de la Conférence des Nations Unies sur le développement durable, vouloir devenir le premier État 100 % biologique du monde. L'objectif est maintenant repoussé à... 2035 (voir ici, une excellente analyse de Gil Rivière-Wekstein).
Et il y a le cas du Sri Lanka, qui a tout de même fait l'objet d'une médiatisation largement liée aux conséquences politiques. Le pays est passé rapidement et brutalement au « sans chimique » en mai 2021, et revenu à la normale en octobre de la même année. Mais le mal était fait... et s'inscrit dans la durée comme le rapporte la Presse Canada dans « La Presse au Sri Lanka – La malnutrition 100 % bio ».
Sans qu'il soit nécessaire d'entrer dans les considérations agronomiques, on peut affirmer sans crainte : non, le recours aux engrais organiques à 100 % n'est pas viable.
Lorsque j’étais pensionnaire dans une école privé au sud de Lyon, les enseignants organisaient à peu près tous les trois mois la visite d’un site industriel pour familiariser les élèves à partir de la cinquième avec la vie réelle. C’est ainsi que j’ai pu visiter la cokerie et les hauts-fourneaux de Chasse-sur-Rhône, aujourd’hui disparus, puis la verrerie Boussois-Souchon-Neuvezel (BSN), à Givors au sud de Lyon également. Nous avons également visité le chantier de construction de la centrale électrique thermique de Loire-sur-Rhône (EDF) que j’ai souvent mentionné sur ce blog. Plus loin de la pension nous sommes aussi allé visiter le chantier du barrage de Pierre-Bénite, un projet herculéen avec le canal de dérivation temporaire du Rhône, l’immense trou où s’affairaient les ouvriers pour construire les fondations du local des turbines au fil de l’eau, la construction de l’écluse, etc, impressionnant.
Nous avons aussi visité la raffinerie de pétrole nouvellement en fonctionnement, du moins une partie, à Feyzin au sud de Lyon. Dans la banlieue nord de Lyon nous avons visité une grosse exploitation maraîchère sous serres, en verre à l’époque, et enfin, le sommet de la diversité de ces visites : la centrale nucléaire de Bugey-1. J’ignorais naturellement qu’un jour je reviendrais sur ce site pour accompagner des visiteurs étrangers, majoritairement américains, pour leur montrer les avances technologiques françaises dans le domaine de l’électronucléaire, l’unité de Bugey-1 étant encore aujourd’hui fermée pour attendre qu’une intervention sur les briques de graphite et l’ensemble des tubulures de réception des assemblages de combustibles devienne possible en toute sécurité.
Je me permets ici une digression au sujet de cette unité de production d’électricité de modeste puissance. Il s’agissait de la technologie graphite-gaz, une véritable usine à produire du plutonium pour l’armée française et produire accessoirement de l’électricité, mais personne ne nous informa de cet aspect de l’usine. L’usine était en fonctionnement lorsque nous la visitâmes et comme beaucoup de personnes l’ignorent on pouvait se promener sur la dalle supérieure tiède du réacteur avec tous les regards pour recharger le réacteur en combustible qui était de l’uranium naturel. Les souffleries du gaz carbonique de refroidissement étaient parfaitement audibles, un intense et profond ronronnement. Nous étions tous, élèves de quatrième, profondément impressionnés.
À l’issue de ces souvenirs je voudrais poser une question au Ministre de l’Éducation (il serait plus approprié de dire d’Enseignement) de la France : existe-t-il en France, dans les collèges et les lycées, de telles visites ? Vaine question car à l’époque où mes propres enfants étaient au collège ou au lycée je ne les ai jamais entendu parler de ce genre de visites pourtant indispensables pour ouvrir l’esprit des collégiens à la réalité du monde industriel. L’enseignement dans les écoles de la République ne peut pas se limiter aux livres, aux cahiers et aux devoirs surveillés (puisqu’il paraît que les devoirs à la maison ont été supprimés), la visite d’une usine ou d’un chantier industriel est tout aussi importante que l’enseignement livresque.
J’ai oublié dans ces souvenirs la visite d’une entreprise produisant des voilages à Tarare à l’ouest de l’agglomération lyonnaise, aujourd’hui disparue comme la cokerie Prénat de Chasse-sur-Rhône, la verrerie BSN, et la centrale électrique de Loire-sur-Rhône. Le tissu industriel français régional s’est délité. Que reste-t-il aujourd’hui de cette splendeur de l’industrie française ? De vaporeux souvenirs et par exemple l’imposante cheminée de la verrerie BSN au milieu d’un vaste terrain vague au bord du Gier :
- voir photo sur site -
La fameuse « École Centrale » forme-t-elle encore des ingénieurs appelés des « Pistons » autrefois ? Et savez-vous pourquoi on les appelait des « pistons », tout simplement parce que ce sont eux qui créaient dans les années 1920 et 30 et 40 des locomotives à vapeur ! Bien sûr que non: l’École centrale forme surtout des informaticiens qui feront fortune dans le trading haute fréquence et par conséquent seront totalement non créatifs. Il existe néanmoins quelques très rares exceptions comme par exemple l’une de mes petites-filles « X-Ponts » aujourd’hui architecte directrice de chantier au sein d’une grosse entreprise de travaux publics et de construction immobilière française que je ne nommerai pas. Et l’artisanat, le grand oublié ? Je me passionne pour une série de documentaires relatifs à l’artisanat et l’indjstrie japonais et je conseille modestement à mes lecteurs de regarder cette série dont voici le lien pour l’un d’eux : https://www.youtube.com/watch?v=Chi8hk1Vqs8&ab_channel=%E3%83%97%E3%83%AD%E3%82%BB%E3%82%B9X qui décrit la fabrication des faux plats cuisinés que l’on retrouve à la vitrine de tous les restaurants japonais … Il n’y a pas de sot métier, les livres, c’est une chose, les mains en sont une autre. Il n’y a aucun déshonneur à devenir plombier ou menuisier voire maraîcher ou couvreur. Si le Ministère de l’Enseignement sensibilisait les jeunes élèves des collèges peut-être que beaucoup d’entre eux choisiraient l’artisanat, ce qui sauverait la France du marasme dans lequel elle s’enfonce.
« La science » à l’OMS : Déclarer le climat une urgence sanitaire
26 octobre 2023 de Thomas Oysmüller
La crise climatique doit être déclarée urgence sanitaire, appelle la « science » à l’OMS. Le traité sur la pandémie donnera à l’OMS les outils appropriés.
La « science » demande à l’OMS de déclarer une nouvelle urgence sanitaire. La raison en est la crise climatique, affirment 200 revues scientifiques qui ont publié mercredi un appel en ce sens. Plus récemment, une urgence sanitaire Covid a été déclarée.
La réforme de l’OMS comme élément de base L'appel de trois pages à l'OMS a été formulé par les rédacteurs en chef des principales revues scientifiques occidentales. Ils écrivent que la crise climatique ne ralentira pas : « Nous appelons donc l’OMS à faire cette déclaration avant ou lors de la 77e Assemblée mondiale de la santé en mai 2024. »
Ce serait opportun. La réforme de l'OMS (Traité sur la pandémie et Règlement sanitaire international) devrait s'achever en mai. L’OMS pourrait alors également être créée de manière à ce que le concept de santé – notamment grâce à l’idéologie « One Health » – puisse facilement être étendu au climat et à ce qu’on appelle la « crise climatique ».
Dans le cas le plus extrême, l’OMS pourrait même imposer aux États des mesures contraignantes contre la crise climatique, conformément au droit international. Toutefois, la déclaration de l’état d’urgence n’aurait actuellement aucun impact immédiat. Il s’agirait d’une demande non contraignante de faire tout son possible pour éliminer l’urgence. Toutefois, la réforme de l’OMS pourrait rendre une telle demande contraignante.
UneSanté Est-ce donc une coïncidence si le secrétaire général de l’OMS, Tedros, appelle aujourd’hui dans une vidéo, un jour après l’appel « scientifique », à ce que le traité sur la pandémie soit enfin lancé en mai 2024 ?
L’idéologie One Health se lit également clairement dans l’appel. Voici ce que dit le rédacteur en chef du BMJ :
« La crise climatique et la perte de biodiversité nuisent toutes deux à la santé humaine et sont liées. C'est pourquoi nous devons les examiner ensemble et déclarer une urgence sanitaire mondiale. Les professionnels de la santé (…) ont un rôle central à jouer pour transmettre ce message important et pour inciter les décideurs politiques à reconnaître l’urgence sanitaire mondiale et à prendre des mesures urgentes.
One Health reconnaît l’interdépendance de la santé humaine et animale et le lien avec l’environnement. Tout d’abord, c’est logique et cela ne semble pas particulièrement dangereux. Mais cela donnera à l’OMS le pouvoir de prendre des décisions sur les questions environnementales (NetZero), la vaccination du bétail et des animaux et la santé humaine (vaccinations). La « science » réclame depuis des années des politiques plus strictes (c’est-à-dire plus autoritaires) en raison du climat. Le rôle de la « science » ne devrait pas être très différent de celui du Covid : exiger quelque chose de plus que ce que les politiciens font déjà afin de créer le cadre discursif de la politique climatique. Les politiciens peuvent expliquer que cela est alors « scientifiquement légitime », même si la « science » exige encore plus – mais cela n’est pas politiquement réalisable. NetZero peut être considéré en toute confiance comme la sœur jumelle de ZeroCovid.
Vous pouvez lire l’appel dans le British Medical Journal (BMJ) ici.
Consortium News poursuit NewsGuard et le gouvernement américain pour « arnaque » à la vérification des faits
26/10/2023 Ethan Huff
L'industrie des « fausses nouvelles » est servie par Consortium News, qui accuse sa division de « vérification des faits » de se livrer à une censure parrainée par le gouvernement. Selon Consortium News, NewsGuard, une société qui prétend évaluer les médias en fonction de leur niveau de « fiabilité », ainsi que le régime Biden, sont tous deux complices de l'action « visant à identifier, rapporter et abréger le discours des médias américains qui dissidence par rapport aux positions officielles américaines en matière de politique étrangère.
La plainte accuse NewsGuard d'avoir « agi conjointement ou de concert avec les États-Unis pour contraindre les agences de presse à modifier leurs points de vue » concernant l'Ukraine, la Russie et la Syrie.
En collaboration avec le Cyber Command du Pentagone, NewsGuard a imposé une forme de « censure et de répression des opinions » qui s'écarte des politiques officielles de l'État profond américain et de ses alliés.
Concernant Consortium News lui-même, NewsGuard aurait qualifié l'intégralité de ses plus de 20 000 articles, qui remontent à 1995, de « peu fiables », sur la base de seulement six exemples utilisés par la plateforme de censure comme preuve que les lecteurs doivent « procéder avec prudence ».
NewsGuard dit au monde que Consortium News diffuse de la « désinformation » et du « faux contenu », alléguant en outre que le groupe de médias est « anti-américain », ce qui signifie vraisemblablement l'État profond américain.
(Connexe : Saviez-vous que NewsGuard est financé par le ministère de la Défense [DOD], l'Organisation mondiale de la santé [OMS], Microsoft, l'AFT et Pfizer ?)
Le co-fondateur de Wikipédia, Jimmy Wales, exposé comme conseiller de NewsGuard L’objectif de la plainte est que Consortium News obtienne une injonction permanente contre NewsGuard et le régime Biden, déclarant inconstitutionnel leur programme de censure commun. La poursuite empêcherait également les deux entités de poursuivre leurs pratiques et obtiendrait plus de 13 millions de dollars de dommages et intérêts.
L'un des conseillers de NewsGuard n'est autre que Jimmy Wales, l'un des cofondateurs du site de désinformation Wikipédia, comme l'a révélé l'ancien responsable de l'administration Trump, Mike Benz.
Selon Benz, NewsGuard est « plongé dans un complot visant à amener [les gouvernements] à mettre les informations alternatives en faillite ».
"NewsGuard a travaillé [avec] l'UE sur un nouveau code de désinformation", a ajouté Benz dans un article sur X. "Son modèle commercial dispose de services de" conformité en matière de désinformation "[avec les] lois de censure qu'il promeut."
En réponse aux révélations de Benz, le propriétaire de X, Elon Musk, a tweeté au Pays de Galles lui demandant de « S'il vous plaît, réparez wokipedia ».
Dans un autre article X, Musk a qualifié NewsGuard d'"arnaque", après que la plateforme ait donné un avertissement au commentateur politique Tim Pool simplement "parce que nous avons publié 5 articles sur près de 5 000 citant [l'ancien président Donald] Trump", pour citer un article X. de la piscine.
"Ils ont affirmé que rendre compte des déclarations de Trump était irresponsable parce que nous devrions plutôt vérifier les faits et Trump avait tort."
Nous avons également appris que NewsGuard a été cofondée par deux individus douteux, Steven Brill et Gordon Crovitz, qui entretiennent des liens notables avec l’État profond.
Brill est diplômé de l'Université de Yale, siège de « Skull & Bones », et avocat qui a été PDG de Verified Identity Pass, Inc., le premier programme d'accréditation volontaire biométrique basé aux États-Unis, qui a fait faillite en 2009.
Verified était la société mère de CLEAR, le système de vérification biométrique des aéroports lancé en 2010 et rendu public en 2021.
Crovitz, quant à lui, a occupé un certain nombre de postes importants au Dow Jones et au Wall Street Journal avant de devenir vice-président exécutif du premier et éditeur du second avant que les deux sociétés ne soient vendues à News Corp de Rupert Murdoch en 2007.
"Il est également membre du conseil d'administration de Business Insider, qui a reçu plus de 30 millions de dollars du propriétaire du Washington Post, Jeff Bezos, ces dernières années", a rapporté Undercover DC.
Les dernières nouvelles sur l’arnaque connue sous le nom de « vérification des faits » – du moins en ce qui concerne la manière dont l’État profond la déploie – peuvent être trouvées sur Censorship.news.
« Dix fois plus des arrêts cardiaques chez les athlètes européens depuis le déploiement des vaccins contre le COVID-19 ». Douleur au bras avec la vaccination contre le COVID-19
La première injection chez les athlètes masculins pourrait être un signal de danger
Par le Dr Peter McCullough Recherche mondiale, 27 octobre 2023
J’ai été étonné de voir combien de personnes ont pris un ou plusieurs vaccins contre la COVID-19 sans aucun effet secondaire. On a émis l’hypothèse que les flacons non inspectés des vaccins contre la COVID-19 contiennent des quantités différentes d’ARNm en raison de l’agrégation de nanoparticules lipidiques (regroupées au sein d’un lot).
Pfizer affirme effectuer de nombreux contrôles de qualité de ses produits ; cependant, ni Pfizer ni la FDA n'ont publié de rapport d'inspection sur la qualité, la pureté et la quantification de l'ARNm dans les flacons multi-usages. S’il y avait peu ou pas d’ARNm viable, alors la protéine Spike ne serait pas produite du côté de l’injection (muscle deltoïde) ou d’autres tissus, ce qui expliquerait l’absence d’effets secondaires dans le bras et ailleurs dans le corps.
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Polykretis et McCullough ont signalé une multiplication par 10 des arrêts cardiaques chez les athlètes européens depuis le déploiement des vaccins obligatoires contre le COVID-19. Ces arrêts cardiaques auraient-ils pu être anticipés d’une manière ou d’une autre dès le début ? Komici et al. ont étudié 460 athlètes compétitifs et récréatifs de l’Université de Molise en Italie en cours de vaccination contre le COVID-19. Des douleurs au bras ont été signalées chez 81,3 % des receveurs de la première dose et 24,9 % des receveurs de la deuxième dose. Le sexe masculin était le facteur prédictif le plus puissant de douleur au bras.
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Komici K, Verderosa S, D'Amico F, Guerra G. Effets secondaires autodéclarés suite à la vaccination contre le COVID-19 chez les athlètes : une étude rétrospective. Hum Vaccin Immunother. 1er août 2023;19(2):2234788. est ce que je: 10.1080/21645515.2023.2234788. PMID : 37470390 ; PMCID : PMC10361131.
Les résultats sont similaires à ceux de Schmeling et al qui ont rapporté qu'environ 32,1 % des doses n'entraînaient aucun effet indésirable signalé aux autorités sanitaires danoises après la vaccination.
Schmeling M, Manniche V, Hansen PR. Sécurité dépendante du lot du vaccin à ARNm BNT162b2 contre la COVID-19. Eur J Clin Invest. Août 2023 ;53(8) :e13998. est ce que je: 10.1111/eci.13998. Publication en ligne le 9 avril 2023. PMID : 36997290.
Schwab et al . ont rapporté une découverte cohérente d’une inflammation simultanée induite par le vaccin dans le muscle deltoïde et le cœur chez les personnes décédées après la vaccination. Les zones d’inflammation semblent très similaires dans les deux échantillons.
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Enfin, Nakahara et al. ont rapporté qu’il y avait un déplacement plus important de l’absorption normale des acides gras libres vers l’absorption du 18-FDG dans le cœur humain chez ceux qui avaient mal au bras (65,4 %) après la vaccination. Ce résultat TEP cardiaque est associé à une maladie myocardique et à une ischémie chronique.
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Nakahara T, Iwabuchi Y, Miyazawa R, Tonda K, Shiga T, Strauss HW, Antoniades C, Narula J, Jinzaki M. Évaluation de l'absorption myocardique de 18 F-FDG lors de la TEP/CT chez les personnes asymptomatiques vaccinées contre le SRAS-CoV-2 et non vaccinées Les patients. Radiologie. Septembre 2023 ; 308(3) :e230743. est ce que je: 10.1148/radiol.230743. PMID : 37724969.
En rassemblant ces données dans ma pratique clinique, je demande toujours aux patients s'ils ont eu une douleur au bras ou une réaction plus grave dans les quelques jours suivant l'injection. Cela peut être le signe avant-coureur de futurs événements indésirables cardiovasculaires graves, notamment la myocardite et la mort subite d'origine cardiaque.
Restauration rapide chargée d'antibiotiques, d'hormones, de métaux lourds, mais peu de nutriments
Par le Dr Joseph Mercola Recherche mondiale, 27 octobre 2023
La plupart des chaînes de restaurants dépendent du bœuf et du poulet provenant d'opérations d'alimentation animale concentrée (CAFO), où des médicaments vétérinaires sont couramment utilisés, et sur 10 repas de restauration rapide échantillonnés et testés, tous sauf deux ont été testés positifs aux médicaments vétérinaires.
Six des dix échantillons de restauration rapide (Taco Bell, Dunkin', Wendy's, Domino's, Burger King et McDonald's) contenaient un ionophore antibiotique vétérinaire appelé monensine, qui n'est pas approuvé pour un usage humain car il peut causer de graves dommages.
Sur 43 repas scolaires testés, 95 % contenaient des niveaux détectables de glyphosate, un désherbant cancérigène et perturbateur endocrinien lié à l'inflammation du foie, aux troubles métaboliques, aux maladies cardiovasculaires et au cancer.
100 % des repas scolaires testés contenaient des métaux lourds à des niveaux jusqu'à 6 293 fois supérieurs aux niveaux maximaux autorisés dans l'eau potable. Le cadmium et le plomb ont été trouvés aux niveaux les plus élevés
Sur 21 repas de restauration rapide testés pour les minéraux essentiels, aucun ne répondait aux besoins quotidiens recommandés en calcium, potassium, manganèse, cuivre, zinc et fer, et aucun des 10 repas de restauration rapide testés pour les vitamines B ne contenait des niveaux détectables de B9 ou de B12. Les niveaux de vitamine B3 (niacine) étaient également exceptionnellement bas
Bien que des quantités élevées d'acide linoléique (AL) soient l'une des principales raisons pour lesquelles les aliments transformés et la restauration rapide sont si mauvais pour la santé, des contaminants comme les médicaments vétérinaires, les antibiotiques, les hormones et les métaux lourds – associés à des quantités inférieures de nutriments essentiels – en sont d'autres. des raisons de premier plan à éviter.
8 repas de restauration rapide sur 10 contiennent des médicaments vétérinaires
En septembre 2023, Moms Across America (MAA) a soumis des échantillons d'aliments provenant de 10 chaînes de restauration rapide au Health Research Institute, un laboratoire à but non lucratif qui teste les aliments pour en déterminer la teneur en éléments nutritifs, les contaminants et les toxines. Chaque échantillon alimentaire a été testé pour détecter la présence de 104 médicaments et hormones vétérinaires les plus courants. Vous pouvez lire le certificat d'analyse ici . 1
Les restaurants de restauration rapide échantillonnés comprenaient McDonald's, Starbucks, Subway, Chick-fil-A, Burger King, Taco Bell, Chipotle, Dunkin', Wendy's et Domino's. Parmi eux, seuls Chipotle et Subway ont été testés négatifs aux médicaments vétérinaires.
Ce n'est pas si surprenant, étant donné que la plupart des chaînes de restaurants dépendent du bœuf et du poulet provenant d'opérations d'alimentation animale concentrée (CAFO), où des médicaments vétérinaires sont couramment utilisés. Comme expliqué par MAA : 2
« En raison des conditions confinées des opérations d'alimentation des animaux dans les grandes industries, qui incluent des espaces extrêmement restreints, des espaces insalubres et une incidence élevée de maladies, la plupart de la viande non biologique d'Amérique provient d'animaux qui sont fortement traités avec des antibiotiques, des hormones de croissance et un anti- parasite qui est également un contraceptif aviaire connu.
6 sur 10 contiennent des antibiotiques potentiellement dangereux
Six des dix échantillons de restauration rapide (Taco Bell, Dunkin', Wendy's, Domino's, Burger King et McDonald's) 3 contenaient un ionophore antibiotique vétérinaire appelé monensine, qui n'est pas approuvé pour un usage humain car il peut causer de graves dommages. L'échantillon avec la concentration la plus élevée (Taco Bell) contenait 0,64 microgrammes (mcg). La dose journalière « acceptable » est de 12,5 mcg/kg de poids corporel par jour.
Le monensin a également un certain nombre d'effets secondaires chez les animaux, notamment l'anorexie, la diarrhée, la dépression, l'ataxie, la dégénérescence du cœur et des muscles squelettiques, la nécrose et la mort.
L'antibiotique ionophore narasine, qui a les mêmes effets secondaires chez les animaux que le monensin, a été trouvé dans 4 des 10 échantillons (Wendy's, Dunkin', Domino's et Starbucks). La concentration la plus élevée, 1,53 mcg, a été trouvée dans un cheeseburger Wendy's. Les trois autres ne contenaient que des traces. La dose journalière « acceptable » est de 5 mcg/kg par jour.
Le monensin et le narasin sont tous deux toxiques pour les chiens et les chevaux et peuvent provoquer une paralysie des pattes postérieures à des niveaux extrêmement faibles. Ils peuvent également provoquer une dégénérescence cardiaque aiguë des rhabdomyocytes et une nécrose chez les bovins de boucherie et les bovins laitiers. La raison pour laquelle ils sont utilisés chez les bovins est qu’ils favorisent la prise de poids. MAA a commenté ces résultats : 4
« Moms Across America est gravement préoccupée par le fait que notre population, en particulier les enfants, mange sans le savoir du bétail contenant des ionophores antibiotiques non prescrits, même à de faibles niveaux, de manière constante en raison des dommages potentiels au microbiome ainsi que du risque de croissance de bactéries résistantes aux antibiotiques.
Nous nous demandons si les effets secondaires de ces ionophores chez les chiens et les chevaux, entraînant un dysfonctionnement de leurs pattes postérieures, pourraient être liés au fait que des millions d'Américains souffrent du syndrome des jambes sans repos et de la neuropathie, des conditions inconnues de la plupart des humains il y a à peine une génération ou deux… Jusqu'à preuve de leur innocuité. , nous exhortons nos agences de réglementation, telles que l’USDA et la FDA, à interdire l’utilisation de ces médicaments chez notre bétail.
Un « contraceptif pour volaille » détecté dans un sandwich Chick-fil-A
Le sandwich au poulet Chick-fil-A contient de la nicarbazine, 5 un médicament antiparasitaire et un contraceptif pour la volaille qui provoque l'infertilité chez certaines volailles, comme les pigeons et les oies. En fait, il est utilisé pour contrôler les populations d’oies et de pigeons.
Chez les poulets, il est utilisé pour contrôler certains types d’infections et les faire grossir. Les effets secondaires du médicament comprennent une sensibilité accrue au stress thermique, des processus dégénératifs du foie et des reins et la mort.
En 2009, la British Soil Association a cherché à faire interdire la nicarbazine au Royaume-Uni, faute de preuves prouvant que le médicament ne causerait pas de dommages génétiques, de mutations, de malformations congénitales ou de malformations. En conséquence, un comité d'examen européen n'a pas été en mesure d'établir un niveau sûr de résidus dans les poulets et les œufs. 6
Malgré des questions en suspens, la Commission européenne et la Direction des médicaments vétérinaires du Royaume-Uni ont continué à autoriser l'utilisation systématique de ce médicament dans l'industrie avicole en utilisant une faille juridique. Aux États-Unis, la nicarbazine est un médicament vétérinaire approuvé depuis 1955 comme agent anticoccidien chez les poulets de chair.7
Le sandwich Chick-fil-A contenait 0,36 mcg de nicarbazine et le niveau « acceptable » est de 200 mcg/kg par jour. 8 La marge de sécurité apparemment large ne signifie pas pour autant qu'il n'y a pas de quoi s'inquiéter. Comme l'a noté Zen Honeycutt, directeur exécutif du MAA :
« L’impact de la consommation quotidienne d’un contraceptif animal connu par des millions d’Américains, en particulier des enfants et des jeunes adultes, est préoccupant. Avec l’augmentation des problèmes d’infertilité, la santé reproductive de cette génération est au premier plan pour nous, à la lumière de ces résultats.
Ce sont des médicaments vétérinaires et des hormones… donc les seules études que j’ai trouvées, et que vous trouverez, concerneront les animaux. [Ils ne sont] pas autorisés pour les humains, et pourtant ils sont autorisés [dans l'approvisionnement alimentaire]. Certaines personnes consomment cette nourriture tous les jours, nous ne savons donc pas quelle quantité elles accumulent dans leur corps.
John Fagan, scientifique en chef au Health Research Institute, a également noté que les niveaux acceptables de la FDA n'ont de sens que lorsqu'il s'agit d'intoxication aiguë. Dans le cas de la restauration rapide, que certaines personnes mangent trois fois par jour, le problème est l'intoxication chronique due à l'accumulation de toxines au fil du temps. 9
Repas scolaires chargés de pesticides
En septembre 2022, le MAA a également testé 43 repas scolaires pour détecter la présence non seulement d'hormones et de médicaments vétérinaires, mais également de pesticides, de métaux lourds et de contenu nutritionnel. 10 Les résultats y étaient encore plus préoccupants.
Quatre-vingt-quinze pour cent des repas scolaires contenaient des niveaux détectables de glyphosate, un désherbant cancérigène et perturbateur endocrinien couramment utilisé sur les céréales OGM et qui a été associé à une inflammation du foie, des troubles métaboliques, des maladies cardiovasculaires et du cancer, y compris le cancer du foie et les maladies non génétiques. Lymphome de Hodgkin. 11 , 12
Les niveaux les plus élevés de glyphosate ont été trouvés dans les tacos au bœuf avec tortilla de blé tendre (286,77 nanogrammes par gramme) et dans la pizza (156,14 ng/g). Comme le note le MAA, ces niveaux sont très préoccupants : 13
« En cas de consommation régulière, des résultats avec un glyphosate total efficace supérieur à 25 ng/g pourraient avoir des effets nocifs. Il s'agit de niveaux qui, s'ils sont régulièrement administrés à des rats, les amènent à présenter des symptômes de stéatose hépatique non alcoolique (NAFLD).
La NAFLD met la vie en danger et constitue une épidémie aux États-Unis. Ces niveaux de glyphosate dans les repas scolaires devraient avoir des effets similaires sur les enfants.
On peut s’attendre à ce que des niveaux inférieurs à 25 ng/g contribuent à la NAFLD et à d’autres pathologies, car un enfant mangera plus d’une chose au cours de la journée contenant du glyphosate, et les niveaux de glyphosate seraient cumulatifs.
D'autres pesticides toxiques trouvés dans les repas scolaires comprennent :
Le thiabendazole , qui a des effets immunosuppresseurs, a été trouvé dans 27,9 % des échantillons. Le butoxyde de pipéronal , présent dans 18 des 43 échantillons (41 %), est une toxine développementale qui provoque des malformations congénitales et des perturbations du développement neurologique. Il a été démontré que le pyriméthanil , détecté à 595,04 ppb sur une pomme, provoque des tumeurs thyroïdiennes chez les animaux. Repas scolaires : drogues, métaux lourds, mais peu de nutriments Neuf des 43 repas scolaires contenaient également quatre types de médicaments vétérinaires et d'hormones, et un nombre choquant de 100 % des repas contenaient des métaux lourds à des niveaux jusqu'à 6 293 fois supérieurs aux niveaux maximaux autorisés dans l'eau potable. Les niveaux variaient de 0,5 ppb à 94,4 mcg/kg.
Les niveaux les plus élevés de métaux lourds étaient le cadmium et le plomb, atteignant jusqu'à 46,8 mcg/kg (cadmium) et 94,4 mcg/kg (plomb). Pendant ce temps, la plupart des repas étaient « extrêmement pauvres » en nutriments essentiels. Comme le rapporte le MAA :
« Un conseiller a calculé la contribution que l'échantillon d'aliment apporterait aux besoins nutritionnels d'une personne, en supposant qu'elle mangeait une portion de 4 onces (standardement utilisée dans l'analyse nutritionnelle) et en supposant que cet aliment représentait ¼ de sa nutrition pour la journée.
« Les éléments nutritionnels sont systématiquement très déficients en cuivre et sont également systématiquement déficients (mais dans une moindre mesure) en calcium, potassium et phosphore. Le magnésium, le zinc et le manganèse sont déficients dans de nombreux échantillons, soit environ 50 %. Le seul minéral qui satisfait ou dépasse constamment les exigences est le fer. C'est bien mais ce n'est pas suffisant !' …
Sans nutriments appropriés, le cerveau de nos enfants ne fonctionnera pas correctement et leur corps ne se développera pas comme il le devrait. Souvent, les enfants ayant des problèmes d’apprentissage et de comportement manquent d’un ou deux minéraux ou vitamines seulement ; Lorsque ces nutriments sont ajoutés à leur alimentation, leurs problèmes mentaux, physiques et comportementaux disparaissent. Même les comportements violents sont mis fin. Nos enfants doivent avoir une alimentation appropriée, riche en nutriments.
La restauration rapide ne peut pas vous soutenir
Après avoir effectué l’analyse des médicaments vétérinaires sur 10 repas de restauration rapide, MAA a ensuite testé 21 marques de restauration rapide pour les minéraux essentiels et les 10 principales marques pour les vitamines B.
« Les tests ont été effectués par souci de la crise de santé mentale et physique qui monte en flèche aux États-Unis », écrit Honeycutt dans son rapport du 18 octobre 2023. 14
« Quatre-vingt-cinq millions d’Américains mangent de la restauration rapide chaque jour. Les entreprises de restauration rapide fournissent souvent une part importante des 30 millions de repas scolaires servis chaque jour à nos enfants.
La qualité de la nourriture, y compris la contamination des produits agrochimiques et le manque de nutriments dû aux apports chimiques toxiques, contribue à nos problèmes de santé mentale et physique. Un Américain sur cinq souffre d'une maladie mentale et 54 % de nos enfants ont un problème de santé chronique.
Pour de nombreux enfants pauvres, les repas scolaires sont la seule nourriture qu’ils consomment chaque jour. De nombreuses études ont établi un lien entre les toxines présentes dans l’approvisionnement alimentaire et le manque de nutrition et des pathologies telles que l’autisme, la dépression, l’agressivité, le suicide et les homicides. Ce rapport… divulguera les niveaux de minéraux, de vitamines B et de calories dans les 20 principaux restaurants de restauration rapide/fournisseurs de repas scolaires.
Sur la base des tests de micronutriments effectués sur les repas scolaires en 2022 (ci-dessus), vous pouvez probablement deviner ce que ces tests nutritionnels ont révélé. La teneur en minéraux des fast-foods testés ne répondait pas aux besoins quotidiens recommandés en calcium, potassium, manganèse, cuivre, zinc et fer.
Par exemple, l'apport journalier recommandé (AJR) en cuivre est de 900 mcg par jour, et les nuggets de poulet de Chick-fil-A ne contiennent que 1,4 mcg de cuivre par gramme. Pour atteindre l’AJR, un adulte devrait consommer près de neuf portions de nuggets.
Les signes d’une carence en cuivre comprennent la fatigue, une mauvaise concentration et une mauvaise humeur. En outre, «les enfants atteints d'autisme et de comportements violents présentent souvent un déséquilibre en cuivre», écrit Honeycutt.
Restauration rapide presque dépourvue de vitamines B
Pire encore, aucune quantité de vitamine B9 ou B12 n'a été détectée dans les 10 principaux échantillons de restauration rapide, et des carences en ces vitamines B peuvent entraîner de la fatigue, des problèmes digestifs, des problèmes cardiaques, des troubles du système nerveux et un comportement erratique. En effet, la vitamine B12 (cobalamine) est connue comme « la vitamine énergétique ». Votre corps en a besoin pour la production d'énergie.
Il joue également un rôle important dans la fonction neurologique, et une déficience peut aboutir à toute une gamme de symptômes de santé mentale, allant de l'irritabilité et de la dépression à la démence et même à la psychose. Vous pouvez en apprendre davantage sur le rôle de la vitamine B12 dans la santé mentale dans cet article du 6 novembre 2022 .
Les signes avant-coureurs d’une carence en vitamine B12 comprennent le brouillard cérébral, les pertes de mémoire, les sautes d’humeur, l’apathie, la fatigue, la faiblesse musculaire et les picotements dans les extrémités. Malheureusement, une carence en B12 peut ne pas se manifester avant plusieurs années, donc au moment où vous remarquerez des symptômes, vous pourriez être déjà gravement déficient.
Le fait qu’AUCUN des 10 principaux fast-foods ne contient de B12 est plutôt remarquable si l’on considère les aliments riches en B12, notamment le bœuf, les fruits de mer, le poulet et les œufs. Le bœuf et le poulet sont des aliments de base dans la restauration rapide, mais le bœuf et le poulet de la restauration rapide ne fournissent aucun B12 ! Si cela ne vous convainc pas que la viande de restauration rapide est loin d’être la même que la viande biologique nourrie à l’herbe, je ne sais pas ce qui le fera.
Les niveaux de B3 (niacine) étaient également catastrophiques. L'AJR pour les femmes est de 14 mg par jour et pour les hommes de 16 mg. Pour atteindre cet AJR, une femme devrait consommer 333 portions de sandwichs au poulet Chick-fil-A (pour une portion de 210 grammes) et un homme devrait manger 380 portions.
Le bol de carnitas de Chipotle avec tout, qui contenait la plus grande quantité de B3, vous oblige toujours à manger huit portions si vous êtes une femme et neuf portions si vous êtes un homme, pour atteindre votre AJR de niacine. Tel que rapporté par MAA : 15
« En moyenne, les adultes devraient consommer entre 64 et 73 portions des 10 meilleurs fast-foods pour obtenir une nutrition adéquate en vitamine B3 par jour. Alternativement, une portion de foie (élevé au pâturage, idéalement) ou une boîte de thon (SafeCatch) fournirait suffisamment de vitamine B3 ou de niacine pour une bonne nutrition pendant une journée. De toute évidence, la restauration rapide bon marché n’est pas aussi bon marché qu’il y paraît si l’on prend en compte la valeur des nutriments fournis lors de l’achat.
1, 3 Certificat d'analyse de l'Institut de recherche en santé 2, 4 mamans à travers l'Amérique 9 octobre 2023 5, 7 EPA Nicarbazine 6 Le site avicole 9 mars 2009 8 Science Direct, Nicarbazine, Détection et contrôle des résidus de médicaments vétérinaires dans la volaille 9 Couverture zéro 13 octobre 2023 10, 13 mamans à travers l’Amérique 28 septembre 2022 11 Santé publique de Berkeley 1er mars 2023 12 Patient Power Lymphome non hodgkinien 13 février 2023 14, 15 mamans à travers l’Amérique 18 octobre 2023
12 août 2023 – Nicoya, Costa Rica – Le cycliste professionnel Sergio Andres Campos Rodriguez, 37 ans, est décédé subitement le 12 août 2023 des suites d'un arrêt cardiaque subi lors d'une course cycliste, à 3 km de la ligne d'arrivée.
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30 juillet 2023 – Belfast, Irlande – Le docteur et chirurgien cardiothoracique de premier plan, le Dr Simon MacGowan, est décédé dans son sommeil les 29 et 30 juillet 2023. « Il avait fait un tour des Alpes de six jours, de Genève à Nice, lorsqu'il est décédé. dans son sommeil à Nice à la fin du voyage.
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29 juillet 2023 – La triathlète irlandaise Sarah Fagan, 48 ans, originaire de Dundalk dans le comté de Louth, est décédée tragiquement en France le samedi 29 juillet après avoir été victime d'un arrêt cardiorespiratoire alors qu'elle participait au triathlon de l'Alpe d'Huez le vendredi 28 juillet.
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18 juillet 2023 – Coeur d'Alene, Idaho – Clark Campbell, professeur d'éducation physique, est décédé subitement d'un arrêt cardiaque lors d'un voyage en VTT le 18 juillet 2023.
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15 juillet 2023 – Cala Regina, Italie – Andrea Sechi, cycliste de 48 ans, s'est effondré suite à un arrêt cardiaque alors qu'il faisait du vélo sur une route en bord de mer et est décédé subitement des suites du « changement climatique » le 15 juillet 2023.
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7 juillet 2023 – Le cycliste professionnel belge de 34 ans Sep Vanmarcke a annoncé sa retraite en raison d'une IRM cardiaque montrant des tissus cicatriciels cardiaques dont il ignorait l'existence.
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17 mai 2023 – Dinmukhammed Ulysbayev, coureur cycliste professionnel kazakh de 24 ans, est décédé subitement d'une « insuffisance cardiaque aiguë » le 17 mai 2023 à Los Angeles, en Californie.
6 mai 2023 – François Beaulieu, 56 ans, principal régulateur de l'énergie du Nouveau-Brunswick, est décédé subitement le 6 mai 2023. Il a subi un arrêt cardiaque soudain alors qu'il faisait du vélo samedi et est décédé. Épouse : « Il faisait ce qu’il aimait, faire du vélo. Son cœur s’est arrêté, mais pas le mien.
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Mon avis… Les athlètes continuent de s’effondrer suite à des arrêts cardiaques soudains et je pense que nous commençons à constater des dommages cardiaques à long terme causés par les vaccins à ARNm contre la COVID-19.
Par exemple, le cycliste professionnel belge Sep Vanmarcke, 34 ans, a annoncé sa retraite car il a passé une IRM cardiaque qui a confirmé la présence de cicatrices dont il n'avait pas conscience. Il avait récemment commencé à avoir une fréquence cardiaque anormalement élevée, ce qui a motivé une IRM cardiaque.
La plupart des athlètes amateurs ne peuvent pas passer une IRM cardiaque ou une TEP cardiaque pour rechercher des cicatrices qui les prédisposeraient à une mort cardiaque subite. Mais cela pourrait faire la différence entre la vie et la mort subite.
D’après Ethical Skeptic, la mort subite d’origine cardiaque chez les 0 à 54 ans reste à un niveau record :
Vidéo : Rapport « secret » de Pfizer sur le vaccin Covid. Au-delà de l'homicide involontaire. Les preuves sont accablantes. Le vaccin devrait être immédiatement retiré dans le monde entier
Par le professeur Michel Chossudovsky Recherche mondiale, 27 octobre 2023
Note de l'auteur
Pourquoi le « rapport confidentiel Pfizer » rendu public au titre de la liberté d’information (FOI) en octobre 2021 n’est-il pas cité ou évoqué dans les enquêtes parlementaires comme moyen de réfuter le discours officiel (qui prétend que le vaccin Covid-19 est « sûr et efficace »). efficace").
Nous avons documenté de nombreuses enquêtes publiques. Les plus récentes sont les auditions du Sénat australien. (août 2023)
Les preuves confirment amplement que le vaccin Pfizer est une substance dangereuse, entraînant des décès et des événements indésirables.
Ceci est confirmé par le rapport confidentiel de Pfizer publié sous FOI en octobre 2021. Il vient de Horse's Mouth.
Michel Chossudovsky , Global Research, 19 août 2023
* * *
Le rapport confidentiel fait l'effet d'une bombe. Le vaccin a été lancé à la mi-décembre 2020. Fin février 2021, « Pfizer avait déjà reçu plus de 1 200 rapports de décès prétendument causés par le vaccin et des dizaines de milliers d’effets indésirables signalés , dont 23 cas d’avortements spontanés survenus survenus à la mi-décembre 2020. » 270 grossesses et plus de 2 000 signalements de troubles cardiaques.
Ce Rapport Confidentiel Pfizer fournit des données sur les décès et les événements indésirables enregistrés par Pfizer depuis le début du projet vaccinal en décembre 2020 jusqu'à fin février 2021, soit une période très courte (au maximum deux mois et demi).
Les données de mi-décembre 2020 à fin février 2021 confirment sans équivoque « un homicide involontaire ». Sur la base des preuves, Pfizer avait la responsabilité d’annuler et de retirer immédiatement le « vaccin ».
La commercialisation mondiale par Pfizer du vaccin Covid-19 au-delà du 28 février 2021 ne constitue plus un « acte d'homicide involontaire ».
La FDA devrait rappeler le vaccin Pfizer « frelaté » contre la COVID-19 : Robert Malone
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 28 OCTOBRE 2023 - 02H20 Rédigé par Zachary Stieber via The Epoch Times
Le vaccin COVID-19 de Pfizer est frelaté en raison de la présence non divulguée d'une séquence d'ADN, selon les experts.
Un agent de santé remplit une seringue avec un vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19 dans une image de fichier. (Emmi Korhonen/Lehtikuva/AFP via Getty Images) Cela devrait inciter la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis à procéder à un rappel, selon le Dr Robert Malone, un expert en vaccins dont les travaux ont été cités par Pfizer.
« Il faut absolument le rappeler », a déclaré le Dr Malone à Epoch Times.
« La FDA fera-t-elle son travail ? il a ajouté plus tard.
Le vaccin de Pfizer contient une séquence d'ADN du virus simien 40 (SV40), ont confirmé les autorités canadiennes à Epoch Times. Les autorités ont trouvé la séquence après que des chercheurs extérieurs, dont Kevin McKernan, ont découvert la séquence dans la prise de vue.
Le virus SV40 dans son ensemble peut provoquer le cancer, ce qui a conduit à son retrait des vaccins contre la polio dans le passé. Bien que la séquence génétique primaire du virus associé au cancer ne figure pas dans le vaccin de Pfizer, il existe une partie de la séquence appelée promoteur-amplificateur, qui "peut introduire des éléments dans le noyau, c'est donc un sujet de préoccupation", a déclaré David Wiseman, un chercheur. ancien scientifique de Johnson & Johnson, a déclaré à Epoch Times.
En raison de la présence de la séquence, disent certains experts, la FDA devrait constater que le produit est frelaté, ce qui est défini par la loi fédérale comme ayant une « force, une qualité ou une pureté différente de celle du recueil officiel ».
Le Congrès a ordonné à la FDA que si des tests sont effectués sur un médicament soupçonné d'être frelaté et que le médicament ne répond pas aux normes du recueil, et qu'il existe un risque pour la santé, d'ordonner au fabricant d'émettre un rappel, a noté le Dr Malone dans un communiqué. essai.
Si le fabricant omet de procéder à un rappel, "une saisie doit être envisagée", précise la loi.
« La politique générale est qu'en cas de falsification et de risque raisonnable de toxicité, il doit y avoir une action immédiate », a déclaré le Dr Malone à Epoch Times. "Il s'agit d'un mandat essentiel confié à la FDA par le Congrès pour prévenir la falsification des médicaments, des dispositifs médicaux et des aliments. Et puis la question suivante est : s'agit-il d'une falsification ? Est-elle associée à un risque raisonnable de toxicité chez l'homme ? Et mon opinion est la suivante : , absolument."
D'autres experts, comme le Dr Janci Lindsay, affirment également que la présence de la séquence signifie que le vaccin est frelaté.
La FDA a refusé de commenter.
Pfizer n'a pas répondu aux demandes de renseignements.
Le sénateur Ron Johnson (Républicain du Wisconsin), membre éminent de la sous-commission permanente des enquêtes sur la sécurité intérieure et les affaires gouvernementales du Sénat, a déclaré que les régulateurs doivent fournir des réponses.
« J'ai mené des recherches et consulté des experts sur la question de la contamination de l'ADN dans les vaccins contre la COVID-19 depuis que celle-ci a été révélée », a déclaré M. Johnson par courrier électronique à Epoch Times. "La FDA doit apporter des réponses aux questions légitimes soulevées."
Si la FDA n’agit pas, les procureurs généraux des États pourraient saisir le vaccin en raison de la falsification, a déclaré le Dr Malone.
Epoch Times a demandé à plusieurs procureurs généraux s’ils envisageaient ou envisageraient une telle décision, mais ils n’ont pas répondu.
"Nous ne savons pas ce qui a été divulgué" Santé Canada a déclaré que les sponsors tels que Pfizer devraient identifier les séquences d'ADN biologiquement fonctionnelles dans un plasmide, telles que la séquence SV40, lors de la soumission de demandes d'autorisation.
Pfizer a bien fourni la séquence complète d'ADN du plasmide mais "n'a pas identifié spécifiquement la séquence SV40", a indiqué l'agence sanitaire.
Après que M. McKernan et d'autres scientifiques ont découvert la séquence, Santé Canada a « confirmé la présence de l'amplificateur », ajoute-t-il.
Il n’est pas clair si la séquence n’a pas non plus été identifiée par Pfizer pour la FDA.
"Nous ne savons pas ce qui a été divulgué à la FDA avant l'autorisation. Si cela a été divulgué, alors sa présence n'est pas inattendue. Si cela n'a pas été divulgué, je pense qu'il y a un cas où il s'agit d'une falsification", a déclaré M. Wiseman. .
Les règles en vertu desquelles le vaccin a initialement reçu une autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) peuvent cependant fournir une défense à l’agence.
"La FDA pourrait-elle affirmer qu'en raison de l'EUA, ou parce qu'elle en avait connaissance, ou pour une autre raison, aucune action n'est requise de sa part, et qu'il n'y a rien à voir ici ? Ils peuvent essayer de faire valoir cela. Mais la totalité est que c'est complètement faux", a déclaré M. Wiseman.
M. McKernan a présenté en juin, lors d'une réunion publique de la FDA, ses conclusions et a montré que Pfizer n'avait pas divulgué la séquence à l'Agence européenne des médicaments (EMA). La FDA ne répond généralement pas lors de la partie commentaires publics de ses réunions, ni après ce qui a été présenté.
"Ce qui est vraiment écrasant ici, c'est que Pfizer n'a jamais divulgué les informations sur le SV40 à l'EMA. Ils leur ont donné une carte plasmidique de la composition du plasmide, avec toutes les caractéristiques étiquetées, à l'exception du site SV40", a déclaré M. McKernan. « Leaders d'opinion américains » d'EpochTV. "Ils l'ont fait parce qu'ils savent que la région SV40 est une base très controversée dans son histoire dans le domaine des vaccins."
Dans un article préliminaire publié ce mois-ci, M. Wiseman, M. McKernan et d’autres chercheurs ont testé 27 flacons des vaccins Moderna et Pfizer COVID-19 et ont découvert la présence de la séquence SV40 dans les flacons Pfizer, et non dans ceux de Moderna.
Les tests, ainsi que la déclaration de Santé Canada, contribuent à confirmer les résultats des tests antérieurs de M. McKernan, qui ont identifié la présence de la séquence.
Le Dr Phillip Buckhaults, expert en génomique du cancer et professeur à l'Université de Caroline du Sud, a également trouvé des morceaux d'ADN plasmidique dans le vaccin. Il a déclaré à Epoch Times que « personne ne sait si cet ADN a un effet cliniquement significatif, mais il est prudent de vérifier chez les personnes vaccinées toute preuve de modification du génome ».
Le Dr Wafik El-Deiry, un autre expert en cancérologie et directeur du Legorreta Cancer Center de l'Université Brown, a déclaré que les résultats devraient stimuler davantage de recherches sur l'impact des vaccins sur différentes parties du corps, y compris le cœur et cerveau.
Les vaccins à ARNm contre le COVID-19 réduisent une bactérie bénéfique majeure, la biodiversité intestinale : recherche
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 29 OCTOBRE 2023 - 03h10 Rédigé par Marina Zhang via The Epoch Times
La recherche a montré que les vaccins à ARNm contre la COVID-19 réduisent les bactéries appartenant au genre Bifidobacteria, une bactérie intestinale courante et bénéfique. La vaccination contre le COVID est également liée à une réduction de la biodiversité intestinale.
Les travaux de la gastro-entérologue Dr Sabine Hazan, PDG de ProgenaBiome, un laboratoire de recherche génomique sur le microbiome, ont révélé qu'après la vaccination contre le COVID-19, les niveaux de bifidobactéries chez les personnes peuvent chuter jusqu'à 90 %. Certaines de ses données non publiées ont révélé que les niveaux de bifidobactéries sont négligeables chez les personnes vaccinées.
Les bifidobactéries sont parmi les premiers microbes à coloniser le tractus gastro-intestinal d'un bébé lors de son passage dans le canal génital de la mère. On pense qu’ils exercent des effets positifs sur la santé de leur hôte.
Les bifidobactéries interagissent avec le système immunitaire et leur présence est liée à une meilleure immunité contre les agents pathogènes et le cancer.
Les travaux antérieurs du Dr Hazan sur les patients hospitalisés atteints du COVID-19 ont montré que les patients qui souffraient d'une forme grave du COVID-19 avaient tendance à avoir des niveaux de bifidobactéries faibles ou nuls, tandis que ceux ayant des réserves plus élevées de bifidobactéries avaient tendance à développer une infection asymptomatique.
Au cours de ses recherches, elle est tombée sur deux frères et sœurs inscrits aux essais cliniques du vaccin contre la COVID-19.
"Un frère ou une sœur a reçu un placebo et un autre a reçu le vaccin. Le seul frère qui a reçu le vaccin a été blessé... et elle n'a pas de bactérie bifidobactérie. Son frère, qui a reçu le placebo n'a pas été blessé, a cette bifidobactérie", a-t-elle déclaré. L'Epoque Times.
L'importance des bifidobactéries
La perte de bifidobactéries a été découverte en comparant la diversité du microbiome avant et après la vaccination. Généralement, la perte est transitoire, alors qu'elle peut persister pendant plus de neuf mois dans des cas plus extrêmes.
Il existe également de rares cas où la population de bifidobactéries augmente. Le Dr Hazan a parlé de la population de bifidobactéries d'un patient qui a plus que doublé un mois après la vaccination. Cependant, six à neuf mois après la vaccination, le nombre de bifidobactéries du patient était tombé à zéro.
Le Dr Hazan a déclaré qu'on ne sait pas pourquoi les niveaux de bifidobactéries chez certaines personnes augmentent après la vaccination.
Les bifidobactéries sont un probiotique courant et il est bien établi que les humains peuvent les consommer pour améliorer la santé intestinale. En fait, les produits contenant des bifidobactéries représentent des milliards de dollars de part de marché sur le marché des probiotiques.
L’absence de microbes bifidobactéries est liée à des maladies chroniques, notamment le diabète, le cancer et les maladies auto-immunes. Certaines études ont montré que l’administration de bifidobactéries probiotiques peut contribuer à améliorer les conditions diabétiques et à combattre le cancer.
Perte d'autres microbes après la vaccination Certains patients peuvent avoir d’autres microbiomes manquants après la vaccination, et tenter de retrouver les microbes que le patient aurait pu avoir avant la vaccination implique un travail médico-légal difficile, selon le Dr Hazan.
Une étude menée par des chercheurs de Hong Kong a révélé que l’administration du vaccin à ARNm contre la COVID-19 était directement liée à une réduction de la biodiversité intestinale, entraînant la perte d’au moins 10 microbes différents.
Alors que certaines personnes vaccinées ont constaté une augmentation de certaines bactéries, la vaccination a réduit la diversité globale du microbiome.
Les auteurs ont également noté que les risques d’effets indésirables courants comme la fièvre, les maux de tête, la douleur aux sites d’injection, etc. peuvent également être liés aux bactéries présentes dans l’intestin. Par exemple, les patients présentant un taux élevé de bifidobactéries avaient tendance à être moins enclins à développer des effets indésirables du vaccin.
Un microbiome intestinal avec une faible biodiversité est associé à une mauvaise santé et au vieillissement. Après la naissance, les bébés développent un microbiome intestinal très diversifié. En vieillissant, ils perdent cette diversité car ils développent des maladies, prennent des antibiotiques et des médicaments, mangent mal, dorment moins, etc.
Les bifidobactéries peuvent représenter jusqu'à 95 % du microbiome intestinal du bébé pendant la petite enfance. Ce chiffre diminue ensuite et se stabilise à moins de 10 pour cent à l’âge adulte.
Pourtant, le Dr Hazan a observé des cas de bébés allaités par des mères vaccinées ne possédant aucune bifidobactérie. Les conséquences à long terme de cette situation sont inconnues, d'autant plus que les bifidobactéries sont impliquées dans la construction du système immunitaire d'une personne.
La prise de conscience croissante de l'importance du microbiome intestinal pour la santé a conduit certains parents à congeler les premières selles de leur bébé en vue d'une transplantation fécale à l'avenir, a déclaré le médecin interne, le Dr Yusuf Saleeby, à Epoch Times. À mesure que le bébé grandit et que son microbiome s’épuise, l’échantillon fécal peut être transplanté pour corriger la composition du microbiome intestinal.
"Si l'enfant tombe malade et souffre de dysbiose, les parents peuvent retourner dans l'entreprise... et réinoculer ces microbes au bébé, pour essayer de lui redonner ce qu'il aurait dû avoir", a-t-il expliqué.
Vidéo : La Dre Naomi Wolf découvre le programme de dépopulation de Pfizer, comme en témoignent ses propres documents
Par The Vigilant Fox et Dr Naomi Wolf Recherche mondiale, 28 octobre 2023
« Il s’agit d’un roman policier dans lequel la question est : comment empêcher les femmes d’avoir des bébés en bonne santé ? C'est l'histoire des documents Pfizer.
« Ces gens [les pouvoirs en place] ne veulent pas que nous soyons autonomes », a conclu la Dre Naomi Wolf devant un public lors d'un récent événement familial d'ACC . « Ils veulent que nous soyons dépendants et effrayés. »
- voir clip sur site -
Quelle qualité autonome ciblent-ils le plus ? Notre capacité à nous reproduire, atteste le Dr Wolf .
« Une chose que les gens sont capables de faire depuis des milliers d’années, c’est d’avoir des relations sexuelles et d’avoir des bébés sans aucune intervention ni aide de qui que ce soit. C'est une formidable façon pour la race humaine d'être autonome, de pouvoir survivre à une catastrophe. Eh bien, les Tech Bros. et probablement la Chine veulent nous retirer cela. Cela ressort clairement des documents de Pfizer.
"Il y a une section des documents de Pfizer dans laquelle Pfizer détaille les événements indésirables et conclut que les femmes en subissent 72%", a-t-elle poursuivi. « Et parmi ceux-ci – et ce sont les mots de Pfizer – 16 % sont, entre guillemets, des « troubles de la reproduction », contre 0,49 % pour les hommes. Ils sont donc très concentrés sur la reproduction, sur la reproduction féminine.
"Je crois qu'ils essayaient de perturber en particulier la reproduction féminine", a déterminé le Dr Wolf . « Et la question est : comment puis-je le savoir ? Et la réponse vient de la structure de ce qu’ils ont examiné. Encore une fois, je suis critique littéraire, mais il s'agit d'un roman policier dans lequel la question est : comment pouvons-nous empêcher les femmes d'avoir des bébés en bonne santé ? C'est l'histoire des documents Pfizer.
"Donc, dans les documents de Pfizer, il y a un graphique", a détaillé le Dr Wolf . « Et en tant que femme, c’est l’une des choses les plus douloureuses à voir. Et je suis juif. Et ma grand-mère a perdu neuf frères et sœurs à cause de l’Holocauste. Je ne dis donc pas cela à la légère, mais ce graphique est un graphique de type Mengele. C'est la science Mengele.
« Pourquoi s'agit-il de la science Mengele ? » elle a demandé. "Parce qu'ils décomposent 20 choses horribles différentes qui peuvent arriver aux menstruations des femmes."
D'autres effets indésirables sur la reproduction sont répertoriés ici .
Voici une fraction de la vingtaine de façons différentes dont Pfizer admet que le vaccin à ARNm peut déréguler ou affecter la santé reproductive des femmes :
Saignements menstruels abondants – 27 685 cas Troubles menstruels (douleurs, saignements abondants ou absence de règles) – 22 145 cas Menstruations irrégulières (durées de cycle irrégulières) – 15 083 cas Menstruation retardée – 13 989 cas Dysmennorhée (douleur pendant les règles) – 13 904 cas Saignements intermenstruels (saignements entre les règles) – 12 424 cas Aménorrhée (absence de règles) – 11 363 cas Polyménorrhée (règles multiples) – 9 546 cas Hémorragie vaginale (saignement excessif de l'appareil reproducteur féminin) – 4 699 cas. Oligoménorrhée (règles peu fréquentes) – 3 437 cas «Je vois des vies ruinées», a déploré le Dr Wolf . "Et ils [Pfizer] les notent simplement calmement, un par un."
Il existe également en France un groupe appelé Où est mon cycle , qui se traduit par « Où est mon cycle ?
Le Dr Wolf a détaillé des « choses extrêmement étranges » dans les documents Pfizer, telles que « des filles de dix ans ayant leurs règles dès la première injection » et « des femmes ménopausées depuis longtemps dans les années 80 et 90 qui saignent à nouveau après avoir reçu l’injection ».
Il ne suffisait pas à Pfizer de voir des femmes se ruiner, a affirmé le Dr Wolf . « Encore une fois, je n’arrête pas de dire qu’il s’agit d’un pathogène respiratoire. Pourquoi sont-ils si concentrés sur le sexe ? À un moment donné, ils s’accouplent avec des rats mâles vaccinés et des rats femelles non vaccinés. Ensuite, ils les tuent, disséquent et examinent les cellules de leurs organes sexuels . D'accord? Ils sont donc très, très concentrés sur la sexualité des mammifères.
"Et il n'est pas nécessaire d'être un génie" pour comprendre que les injections d'ARNm de Pfizer provoqueraient des problèmes de fertilité, a souligné le Dr Wolf . « Il faut des mathématiques de niveau 8 pour deviner que si les femmes ont d’horribles problèmes menstruels en 2021, il y aura des problèmes de fertilité en 2023, n’est-ce pas ?
« Alors maintenant, nous sommes en 2023 », a déploré le Dr Wolf , alors que ces problèmes de fertilité se sont concrétisés. » Igor Chudov a comparé les bases de données de pays du monde entier. Il y a un million de bébés disparus en Europe. Ils ne sont jamais nés. [Il y a] le double du nombre de fausses couches et d'avortements spontanés en Écosse [et une] baisse de 13 à 20 % des naissances vivantes dans le monde. [Il y a] deux ou trois fois plus d’avortements spontanés et de fausses couches à Tel Aviv qu’avant. Et ainsi de suite partout dans le monde. Et maintenant nous savons pourquoi. Maintenant, nous connaissons le mécanisme.
« Il ne s’agit donc pas seulement d’une attaque contre l’humanité ; c'est une attaque contre notre avenir », a déterminé le Dr Wolf . « Ce n'est pas seulement une attaque contre nous. Il ne s’agit pas seulement d’un meurtre de masse, comme l’ Ofcom s’y oppose , mais d’une attaque existentielle. Et réfléchissez-y chronologiquement. Je suis très inquiet qu'une source britannique ait déclaré vouloir imposer un embargo sur ces informations pendant 20 ans. Parce que je me demande, que s'attendent-ils à ce qu'il se passe dans 20 ans ?
"Je pense que c'est la pointe de l'iceberg", a-t-elle poursuivi. "Nous avons [ les volontaires DailyClout/War Room ] un rapport sur les turbo-cancers, nous avons un rapport sur les accidents vasculaires cérébraux, nous avons un rapport sur les lésions hépatiques et rénales."
"Je ne veux pas vous déprimer, mais tout autour de vous il y a des gens qui souffrent de maladies", a déploré le Dr Wolf . "Aucun de leurs médecins ne leur dit que ces maladies figurent dans les documents de Pfizer comme effets secondaires et que nous en comprenons désormais les mécanismes."
"Et si vous voulez savoir ce qui arrive à vos proches, veuillez lire les rapports sur Dailyclout.io ", a exhorté le Dr Wolf . « Ils sont gratuits . Ou commandez le livre , s'il vous plaît. Il y a toutes les preuves ici. Mais tout autour de vous, tout autour de moi, il y a des gens qui souffrent et meurent des effets secondaires mentionnés dans ces documents dont ils avaient connaissance.
L’intégralité du discours du Dr Wolf est disponible dans la vidéo ci-dessous :
Si nous relions les points, nous réalisons que le « cerveau comme champ de bataille du futur » est MAINTENANT et que nous avons été prévenus bien à l’avance. Selon le Dr Giordano, la science des neurotechnologies a débuté il y a une quarantaine d'années et lui, Giordano, en fait partie depuis au moins 35 ans. C'est pourquoi les avertissements ont été omniprésents, au plus tard dans la « Quatrième révolution industrielle » de Klaus Schwab (disponible sur Amazon).
Le Culte de la Mort a de nouveau donné des avertissements aux gens, conformément à ses « règles » – bien à l’avance, donc ils pourraient réussir.
Pourquoi ne prenons-nous jamais note de tels avertissements ?
Parce que nous ne croyons pas à tant de mal inhérent à l’humanité ? Ou, parce que nous ne voulons pas quitter notre « zone de confort », notre vision dystopique d’un « monde sûr » ? Ils le savent. Et nous DEVONS briser cette frontière entre le confort et la réalité. Sinon, nous sommes condamnés.
« Si vous êtes ciblé, vous ne pouvez pratiquement rien faire », déclare William Binney, ancien directeur technique et lanceur d'alerte de la NSA. La NSA est l'Agence de sécurité nationale des États-Unis, l'une des 15 agences de renseignement américaines.
Si vous voulez qu’un principal manifestant arrête de manifester, vous ciblez son cerveau avec des ondes ultra-courtes.
Nous les connaissons désormais sous le nom de 5G. Vous les déprimez, donc ils ne veulent plus manifester ; vous les rendez suicidaires et le problème est résolu. Vous faites cela autant de fois que vous le souhaitez et créez une ambiance de dépression. Ce sont des mots paraphrasés de Barry Trower, ancien scientifique et lanceur d’alerte du MI5 Microwave.
Le syndrome de La Havane aurait également été signalé par le personnel de l'ambassade américaine en Chine.
La DARPA a signé quelques contrats en 2011/2012 avec l'Université de Californie pour ce qu'on appelle la « télépathie électronique », afin de pouvoir surveiller le cerveau des gens à distance et déterminer ce qu'ils pensent.
En vertu d'un contrat distinct, l'université devait étudier l'envoi de signaux au cerveau d'une personne, lui envoyant littéralement des messages indiquant ce qu'elle devait penser – et faire. C’est là qu’en est la technologie aujourd’hui.
Cela pourrait être utilisé dans votre vie privée, ainsi que dans votre vie professionnelle. Cela signifie que, déjà aujourd’hui, ils pourraient vous obliger à faire et à vous comporter comme ils le souhaitent. Ils pourraient faire de vous un meurtrier, un tricheur ou tout simplement obéir aux ordres qui pourraient suivre.
Je le répète : « Ce que vous devez savoir, c'est que le cerveau est et sera le champ de bataille du 21e siècle », déclare le Dr James Giordano, neurologue de la DARPA, lors de son intervention au Modern War Institute de West Point NY.
Il est important de s'en souvenir, d'autant plus que nous devons accorder plus d'attention à notre environnement, au comportement des gens, qu'à ce à quoi nous sommes habitués. Nous pouvons en déduire de nombreuses leçons. Afin que nous puissions continuer et élargir le domaine de la connexion des points.
Dans la vidéo ci-dessous, vous verrez un graphique indiquant que les neurosciences et les neurotechnologies de la Division des stupéfiants et des enquêtes spéciales (NSID), qui font partie de la DARPA, sont « valides, précieuses et déjà utilisées par le NSID depuis 2014 ».
La technologie pourrait être utilisée pour vous inciter à commettre un meurtre de masse. Certaines des fusillades de masse « soudaines et inattendues » dans les écoles et les centres commerciaux sont-elles déclenchées par de tels mécanismes ?
Il s'agit là d'une possibilité réelle, car dans la plupart des cas, le tireur n'est pas appréhendé et traduit en justice, mais immédiatement tué sur place par la police, de peur qu'il ne se souvienne de ce qui lui est arrivé et ne divulgue le secret au tribunal . le cerveau comme champ de bataille. Dans la plupart des cas, la police dit simplement que le « coupable » était connu de la police et/ou avait déjà un casier judiciaire. C’est pour vous empêcher de réfléchir davantage.
Pourquoi le font- ils ? Ils sont des « monstres » qu’on ne peut pas facilement appeler des humains.
Pour créer la terreur, une peur constante, pour vous garder sur vos gardes. Pour vous habituer à la terreur et à la violence, car le pire, voire le pire, est à venir, s'ils réussissent. Et nous nous conformons simplement, devenons déprimés et passifs, au lieu de nous rebeller à l’unisson et dans la paix, mais en rejetant fermement la domination de quelques-uns sur nous, le grand nombre.
Curieusement, la quatrième révolution industrielle ne donne pas une seule raison valable pour laquelle la numérisation, le transhumanisme et le contrôle total de l’humanité sont bons pour l’humanité et pour la Terre Mère ; ni la Grande Réinitialisation, ni l’Agenda 2030 des Nations Unies.
Nous devons mettre fin à cet abus de l’humanité, à cet asservissement humain au profit de quelques-uns. Par exemple, nous pouvons le faire, entre autres actions, en désactivant collectivement et solidairement les antennes 5G/6G ; en restant à l'écart autant que possible des vaccins, des médicaments altérant vos activités cérébrales, comme provoquer une dépression et une extrême gaieté. Éloignez-vous des médicaments traditionnels et en particulier des antennes à ondes courtes.
N'oubliez pas que les personnes effrayées sont plus faciles à manipuler. Et c’est l’un des objectifs finaux, vous manipuler selon leur volonté.
L'expert de la DARPA, Giordano, qui est également un éminent scientifique du Département américain de la Santé et des Services sociaux – cela parle de lui-même – parle également de technologies non invasives, comme le soi-disant « Programme N3 », la neurochirurgie, la neuromodulation et programme de lutte contre les stupéfiants.
« L’idée est de placer des électrodes de taille minimale dans votre cerveau, pour une intervention minimale afin de pouvoir lire et écrire dans les fonctions cérébrales. En temps réel. À distance….. influencer de manière cinétique et non cinétique les attitudes, les croyances, les pensées, les émotions et les activités ; regardez le pouvoir et les outils qu’offrent les sciences du cerveau.
C’était le niveau de la science en 2018, lorsque le Dr Giordano a prononcé son fameux discours à West Point. Entre-temps, les neurosciences ont fait un bond en avant, de sorte que les implants ne sont plus nécessaires.
Barry Tower , ancien scientifique du MI5 Microwave , explique comment ils détruisent un individu ciblé. Il dit,
« Si vous voulez provoquer une maladie psychiatrique spécifique, vous devez toujours faire en sorte que le faisceau micro-ondes cible une glande spécifique, ou une partie spécifique du cerveau, ou un œil, ou un cœur… » Et vous ne pouvez rien faire. "Si cela ne fonctionne pas, ils peuvent toujours envoyer le FBI, prendre une photo, puis vous éliminer par d'autres moyens."
Les communautés du renseignement, même celles au sein des gouvernements, avec l’aide de leurs outils de surveillance assistés par algorithmes, deviennent si puissantes qu’elles échappent aux frontières de l’État pour lequel elles travaillent, deviennent indépendantes et contrôlent l’État qui devrait les contrôler.
Nous nous dirigeons à toute vitesse vers un État nazi-Stasi que nous voyons venir, mais que nous sommes incapables de faire quoi que ce soit contre lui, car nous ne sommes pas liés les uns aux autres, nous sommes séparés en tant qu'individus, avec nos petits avantages individuels et nos privilèges. – nous tenant en laisse individuelle, nous éloignant délibérément de nous unir aux autres.
« Stasi » – pour ceux qui sont trop jeunes pour s’en souvenir, est un terme familier pour décrire le ministère de la Sécurité d’État est-allemand.
Cela affecte non seulement les États-Unis, mais aussi les pays du monde entier, en particulier le monde occidental, qui a toujours l’intention de rester L’ Empire, émergeant vers un Ordre Mondial Unique (OWO).
Cela ne peut se produire qu’avec (i) une population massivement réduite, pour réduire la résistance ; (ii) avec une population effrayée ; et finalement, (iii) avec les survivants transformés en transhumains facilement manipulables.
La façon dont cela fonctionne a été démontrée de manière très éloquente dans la vidéo ci-dessus. Ci-dessous une version sommaire mais tout aussi explicite (vidéo de 23 min).
Est-ce l'avenir qui nous attend ?
Cela y ressemble, d’autant plus que la plupart des gens, peut-être jusqu’à 99,999 %, n’en ont aucune idée et sont totalement vulnérables mais, en tant que tels, ils constituent de parfaits cobayes pour les essais, pour perfectionner leur « champ de bataille cérébral », afin de parler.
Ce n’est pas une vie qui vaut la peine d’être vécue. Mais le suicide n’est pas la solution. Au contraire, sortir de ce système diabolique, ouvertement promu par le Forum économique mondial (WEF) avec « The Great Reset » ; L'OMS, avec l'asservissement international des vaccins et des certificats de voyage basé sur le code QR ; et l’Agenda 2030 des Nations Unies, qui peut être lu à égalité avec The Great Reset.
Un éminent banquier suisse appelle à « l’arrestation » de l’ensemble du Forum économique mondial (FEM) pour « démocide » provoqué par des tirs d’« armes biologiques » contre le COVID
27/10/2023 Ethan Huff
Le fils de l'un des cofondateurs du Forum économique mondial (WEF), aujourd'hui banquier suisse à la retraite, réclame justice contre les criminels qui ont lancé les « vaccins » contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) dans le monde.
Pascal Najadi, dont le père Hussain Najadi a été assassiné en 2013, s'associerait apparemment au Dr Astrid Stuckelberger – avez-vous vu la récente apparition du Dr Stuckelberger dans le Health Ranger Report ? (vous pouvez le regarder dans son intégralité ci-dessous) – pour exiger des poursuites pénales complètes contre toutes les personnes impliquées dans les injections de COVID, qu’ils appellent désormais tous deux des « armes biologiques ».
Najadi et le Dr Stuckelberger ont réalisé un nouveau film documentaire
Najadi et le Dr Stuckelberger ont réalisé un nouveau film documentaire intitulé « Couper la tête du serpent » qui se penche sur le « démocide » dans lequel les auteurs du vaccin contre le COVID se sont livrés sous couvert de lutter contre une « pandémie » mondiale, qui a été largement falsifié pour effet de terreur maximum.
Najadi a démissionné de son puissant poste bancaire il y a peu de temps, mais pendant qu'il était en poste, il a exercé une influence significative sur les affaires mondiales. Son travail consistait à conseiller les pays et les chefs d'État sur l'orientation financière de leurs pays respectifs.
Najadi est également responsable de la récente démission du président suisse Alain Berset, contre lequel Najadi a déposé une plainte pénale devant la Haute Cour suprême de Suisse, accusant Berset d'avoir fait de fausses déclarations sur la « sécurité » et « l'efficacité » des vaccins à ARNm contre le COVID.
(Connexe : En juillet, le Comité exécutif républicain du comté de Brevard (BREC) en Floride a déclaré que les tirs contre le COVID étaient des armes biologiques.)
Le moment est MAINTENANT de punir les criminels de guerre derrière l’Opération Warp Speed. Peu disposé à faire face aux accusations, probablement parce qu'il est coupable, Berset démissionne officiellement de son poste d'ici la fin de l'année, même s'il a déjà pratiquement laissé son siège vacant.
Dans le film documentaire de Najadi et du Dr Stuckelberger, Najadi explique longuement le mépris de son défunt père pour le WEF basé à Genève. Son père a en fait quitté le WEF, qu'il avait cofondé, au début des années 1980, laissant Klaus Schwab à la tête.
"Tout le mal dans le monde lié au démocide vient malheureusement de Genève", dit Najadi.
"Il y a l'OMS [Organisation mondiale de la santé] à Genève, vous avez GAVI [Alliance pour le vaccin de Bill Gates], puis vous avez le WEF, dont mon père était l'un des cofondateurs et qu'il a laissé par dégoût à Klaus Schwab au début des années 80, qui a immunité diplomatique."
Najadi déclare en outre qu'en tant que citoyen suisse, il est libre de déclarer le WEF inéligible à toute nouvelle immunité diplomatique, qui a longtemps servi de couverture à ses crimes contre l'humanité.
Najadi souhaite que les autorités suisses commencent maintenant à arrêter les auteurs de crimes contre l'humanité liés au COVID, qui incluent une "injection mondiale d'humanité par une arme biologique".
Les grandes sociétés pharmaceutiques, les grandes technologies, le WEF, Bill Gates, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et de nombreuses autres entités contrôlées par les mondialistes sont tous responsables en partie du programme de vaccination contre le COVID, et Najadi souhaite que tous fassent face à la situation.
"J'appelle les autorités et la sécurité suisses à arrêter ces personnes immédiatement", déclare Najadi. "Pourquoi ? Le WEF, l'OMS, GAVI, Big Pharma, Big Tech et Bill Gates ont tous préconisé une injection mondiale d'humanité par une arme biologique injectant des nanolipides à 5,7 milliards de personnes."
"Et nous, les Suisses, les accueillons. C'est terrible."
Najadi dit que lui et sa mère sont également des victimes, ayant tous deux reçu les vaccins, et qu'ils en meurent tous les deux, dit-il.
"C'est un démocide et il sera jugé", a encore déclaré Najadi. "Cela sera corrigé au nom de l'humanité."
Dans le contexte américain, les patriotes feraient bien de se concentrer sur ceux qui ont propagé l’opération Warp Speed et de les poursuivre en justice. Beaucoup d’entre eux portent les mêmes noms et organisations que ceux mentionnés par Najadi, c’est donc un bon point de départ. »
Les dernières nouvelles concernant les vaccins contre la grippe Fauci peuvent être trouvées sur ChemicalViolence.com.
Les pirates ont eu accès à des courriels scandaleux de climatologues de renommée mondiale. Même le mainstream a dû en parler à l'époque : Le journal FAZ écrivait ainsi en 2013 : « De nouvelles incohérences apparaissent régulièrement dans les rapports des climatologues. Pour sauver le monde, il semble qu'il y ait eu quelques manipulations. Les échanges de courriels publiés par les voleurs de données ont révélé non seulement une utilisation laxiste des données de mesure, mais aussi la volonté de présenter les événements climatiques sur la planète de la manière la plus dramatique possible. » En Grande-Bretagne et aux Etats-Unis [...], le Conseil climatique de l'ONU fait depuis l'objet d'une surveillance accrue. De nouvelles incohérences dans les rapports des chercheurs y sont désormais dénoncées presque chaque semaine [...]. Focus a écrit à ce sujet : « Un courriel de Phil Jones, le directeur de l'institut, est devenu tristement célèbre. Il y écrit à un collègue : [...] « Je viens de terminer l'astuce naturelle de Mike consistant à ajouter les températures réelles à chaque série (de données) pour les 20 dernières années [...] afin de dissimuler la baisse (de température). » » [...] Une bonne partie des courriels parle en effet de faire disparaître des données. A l'époque, le GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat) était également très critiqué. Zeit-online écrivait : « Une série de scandales ébranle la crédibilité et l'autorité du GIEC ; les scénarios catastrophes qu'ils décrivent se révèlent en partie être des déclarations scientifiquement non vérifiables. » Mais au lieu de s'accrocher, de dévoiler jusqu'à ce que les responsables soient tenus pour responsables, jusqu’à ce que les erreurs soient corrigées et que l'exactitude scientifique soit rétablie, les médias tentent jusqu'à aujourd'hui d'étouffer en grande partie ces scandales.
RépondreSupprimerMais comment se fait-il que des climatologues comme le Dr Ben Santer manipulent les rapports sur le climat ? La climatologue Judith Curry donne ici une réponse claire. Dans un exposé présenté à une commission d'enquête, elle le montre en détail : « Il existe une énorme pression sur les climatologues pour qu'ils se rallient au prétendu consensus. Cette pression ne vient pas seulement des politiques, mais aussi des organismes de financement gouvernementaux, des universités et des sociétés savantes [...]. »
Malgré ces scandales flagrants, l’Unité de recherche sur le climat de l'Université d'East Anglia et le GIEC, avec ses climatologues, continuent à influencer l'opinion mondiale sur le changement climatique. Presque toutes les nations orientent leurs actions en fonction de leurs rapports et de leurs calculs climatiques. Nous devons exiger ensemble la divulgation totale de ces scandales. Il est inadmissible que les climatologues, les universités et le GIEC, dont les mensonges et les manipulations ont été démasqués une fois pour toutes, continuent à occuper leur poste comme si de rien n'était et à influencer sans cesse l'ensemble des événements mondiaux par leurs données climatiques falsifiées.
RépondreSupprimerde mf
Sources / Liens :
Faux de Ben Santer, témoin oculaire Lord Monckton :
(5ans déjà, en anglais, mais important!)
https://www.dailymotion.com/video/x6u3h2o
Santer, Université d’East Anglia: https://fr.wikipedia.org/wiki/Benjamin_D._Santer
Rockefeller:
https://fr.wikipedia.org/wiki/Unit%C3%A9_de_recherche_climatique
https://www.kla.tv/24988
https://www.kla.tv/fr
Le compromis de la réforme des marchés européens de l’électricité est-il une victoire à la Pyrrhus ?
RépondreSupprimerFace à la flambée des prix de l’électricité, l’UE est parvenue à un compromis avec le projet de réforme des marchés de l’électricité. Mais la réponse est-elle à la hauteur des enjeux ?
le 27 octobre 2023
François Henimann
Cet article analyse les causes de la flambée des prix de l’électricité et en mesure les conséquences, puis donne une évaluation de l’adéquation des réponses apportées dans le projet de réforme des marchés de l’électricité approuvé par le Conseil européen le 17 octobre dernier, après un long bras de fer entre l’Allemagne et la France sur le sujet de la production nucléaire.
Des prix de l’électricité devenus fous, sans rapport avec les coûts de production
Depuis septembre 2021, les prix du gaz en Europe se sont envolés et sont devenus très volatiles. Le gaz étant une des sources de production d’électricité, cela affecte directement le prix spot de l’électricité, basé sur le coût marginal de la dernière centrale appelée pour assurer la sécurité d’approvisionnement, donc la plus chère. Ce phénomène se répercute sur les prix des marchés à terme.
La situation s’est aggravée en 2022 avec la guerre en Ukraine, et plus particulièrement en France, en raison de la chute de 25 % de la production nucléaire, déjà affectée par la fermeture de Fessenheim, puis par un défaut générique fin 2021, qui nous a fait passer pour la première fois en situation importatrice nette : les prix de marché de l’électricité ont atteint des valeurs de 250 à plus de 400 euros/MWh, contre 50 à 80 euros/MWh dans les années antérieures.
Ces prix sont sans aucune mesure le coût de production moyen du mix électrique du parc français, constitué pour l’essentiel de moyens de production décarbonés (nucléaire, hydraulique, éolien, solaire), dont les coûts sont stables et prévisibles, car ils dépendent essentiellement du coût de l’investissement, et peu ou pas du tout du coût d’un combustible :
Source Production prévue en 2023 (TWh) Coût en € / MWh
RépondreSupprimerNucléaire:::::: 315 58 (1)
Hydraulique:: 55 55 (mix fleuves et barrages – Stations de Pompage)
Éolien:::::::::::: 40 80 (mix terrestre et maritime)
Solaire:::::::::: 16 (2) 70 (mix parcs au sol et toitures)
Biomasse:::::: 10 110
Total :::::::::::::436 61,3 (coût moyen pondéré)
Dans son rapport de juillet 2023, la CRE évalue le coût complet du parc nucléaire existant à 60,7 €/MWh en € 2022 pour la période 2026-2030, avec un coût moyen pondéré du capital (CMPC) avant impôts de 8,35 %. En fait, dans le cadre d’un prix régulé, minimisant les risques, le coût pondéré du capital (CMPC) pourrait être inférieur. Dans ce coût, l’impact de l’intégration de l’EPR Flamanville 3 (mise en service prévue en 2024) est évalué par la CRE à 2,5 €/MWh.
En excluant 4 TWh vendus à 510 €/MWh en obligation d’achat (contrat avant moratoire de 2011)
Au total, on peut estimer que le parc de production décarboné français va produire en 2023 près de 90 % des besoins nationaux (495 TWh en intégrant les pertes réseau), à un coût moyen se situant dans une fourchette de 60 à 65 euros/MWh.
Des conséquences désastreuses pour les Français et les entreprises
Par voie de conséquence, dans le calcul du tarif régulé de vente d’électricité HT (TRVE) par la Commission de Régulation de l’Énergie (CRE) pour 2023 (Délibération de la CRE du 19 janvier 2023 portant proposition des tarifs réglementés de vente d’électricité – CRE), le coût de fourniture ressort à 238 euros/MWh, dans un mix constitué de 45 % de nucléaire à 42 euros/MWh (ARENH), et de 55 % de prix de marché (398 euros/MWh), construit en vertu du principe de « contestabilité » visant à permettre à un fournisseur pur trader de faire une offre concurrentielle.
Deux remarques :
Ce coût de fourniture calculé par la CRE début 2021 était de 50 euros/MWh, dont 47 % d’ARENH, soit un coût moyen d’approvisionnement sur le marché de 55 euros/MWh : on mesure les dégâts !
Sans le plafonnement à 100 TWh du volume d’ARENH, la part de nucléaire serait de 67 %, le rôle modérateur du nucléaire n’est que partiellement utilisé : il vaudrait mieux déplafonner et relever le prix pour éviter qu’EDF vende à perte, comme la CRE l’avait demandé.
Les artisans (à l’instar des boulangers) et les entreprises n’ayant pas accès au TRVE sont directement exposés à cette multiplication par 4 à 5 du coût de fourniture, même en intégrant la part de nucléaire auquel ont accès leurs fournisseurs. Cela dégrade leur compétitivité, et menace parfois leur existence, malgré le dispositif « amortisseur » mis en place par le gouvernement dans la loi de finances 2023 pour les PME et les collectivités locales (compensation à 50 % au-delà de 180 euros/MWh) et les TPE (compensation supplémentaire à 100 % au-delà de 230 euros/MWh).
Les particuliers et les TPE qui ont accès au TRVE ont bénéficié du « bouclier tarifaire » mis en place par le gouvernement, limitant la hausse du tarif TTC à 5 % en février 2022. Mais leur pouvoir d’achat subit les conséquences d’une augmentation du tarif de 15 % en février 2023, suivie d’une deuxième augmentation de 10 % en août dernier, qui apparaît peu justifiée au regard des coûts de production d’EDF.
RépondreSupprimerEn effet, l’analyse des délibérations de la CRE (délibération de la CRE du 13 avril 2023 relative à l’évaluation des acomptes versés aux fournisseurs d’électricité dans le cadre du second guichet simplifié pour la compensation des pertes de recettes définies à l’article 181 de la loi de finances pour 2023 – CRE ; et délibération de la CRE du 13 juillet 2023 relative à l’évaluation des charges de service public de l’énergie pour 2024, et à la réévaluation des charges de service public de l’énergie pour 2023 – CRE) permet de voir que l’écart à compenser entre le niveau du TRVE HT calculé par la CRE, et le niveau qui résulte du plafonnement de l’augmentation à 15 % est de 143 euros/MWh (!), ce qui signifie que le coût de fourniture implicite dans le TRVE effectivement appliqué en février 2023 est de 95 euros/MWh, toutes choses égales par ailleurs.
Ce niveau de 95 euros/MWh permet à EDF de redresser ses comptes : au 1er semestre 2023, EDF, bien que pénalisé par la vente à perte d’une partie de sa production nucléaire (63 TWh sur un total de 158 TWh), a réalisé un EBITDA de 8,6 milliards d’euros sur ses activités de production et de vente d’électricité en France, représentant une marge opérationnelle moyenne de 40 euros/MWh pour 215 TWh de ventes totales.
Cela s’explique, car EDF bénéficie des mêmes compensations que ses concurrents dans le cadre du bouclier tarifaire, alors que son coût moyen de production est certainement inférieur au coût implicite de fourniture du TRVE (ventes 58 TWh), et EDF prend en compte le niveau des offres de ses concurrents pour déterminer ses offres sur le marché aux entreprises (ventes 64,7 TWh). (Source présentations résultats S1 2023 EDF).
Sur ces bases, la CRE évalue le coût du dispositif de protection (bouclier et amortisseur) à 23,5 milliards d’euros en 2023 pour les contribuables, partiellement compensé à hauteur de 4,6 milliards par les remboursements des producteurs ENR qui injectent sur le marché dans le cadre d’un « contrat pour différence », principalement les parcs éoliens.
Après l’augmentation de 10 % du TRVE appliquée en août, et compte tenu de l’augmentation du tarif d’acheminement de l’électricité, l’écart à compenser calculé par la CRE est ramené à environ 127 euros/MWh, correspondant à un coût implicite de fourniture de 111 euros/MWh.
Le mode de calcul du TRVE est devenu une mécanique inflationniste infernale, totalement décorrélée des coûts de production en France, et l’on peut s’interroger sur la pertinence du niveau de compensation dont bénéficient les fournisseurs et qui pèse sur nos impôts, dans le seul but d’assurer une concurrence artificielle.
RépondreSupprimerPerspectives pour 2024
Le niveau des prix de marché à terme en France est en diminution depuis l’été 2023 :
- voir graph sur site -
Le prix de base à terme pour 2024 est revenu à 140 euros/MWh en raison du repli du prix du gaz, revenu à environ 50 euros/MWh, et du redressement de la production nucléaire d’EDF, qui diminue les risques de tensions sur l’approvisionnement. Le prix en période de pointe (peakload) est bien entendu supérieur, mais ne concerne qu’une part marginale du volume vendu.
Ce niveau de prix est similaire à celui qu’ont maintenu dès le début 2022 l’Espagne et le Portugal, en plafonnant le prix du gaz utilisé pour produire de l’électricité à 50 euros/MWh (avec une dérogation accordée par l’UE), ce qui leur a permis d’amortir la hausse des prix de l’électricité sur le marché.
Même si ce niveau de prix de marché se maintient durablement (ce qui n’est pas garanti), et permet d’envisager pour 2024 une stabilisation du TRVE tout en supprimant le bouclier tarifaire, il reste environ deux fois plus élevé que le coût moyen du mix électrique français, dominé par le nucléaire.
C’est pourquoi la France réclame depuis le printemps 2022 une réforme structurelle du fonctionnement du marché européen de l’électricité de l’UE, avec l’objectif de disposer d’un prix de l’électricité « qui reflète le coût de production de son mix énergétique », en découplant le prix de l’électricité de celui du gaz.
Le projet de réforme du marché européen de l’électricité
Dans son document, la Commission européenne présente l’accélération du déploiement des sources de production ENR, en particulier l’éolien offshore, et des technologies de flexibilité, comme les meilleures solutions pour réduire de façon structurelle la demande en combustibles fossiles pour la production d’électricité, et ainsi réduire les prix.
Il est parfois fait référence de façon plus large aux « sources bas carbone », mais le nucléaire n’est jamais cité explicitement comme faisant partie de la solution, ce qui explique qu’il ait fallu aux 13 États membres comptant développer des projets nucléaires beaucoup d’insistance pour l’imposer en quelque sorte comme « passager clandestin » de la réforme, pouvant utiliser les instruments destinés à procurer un signal prix à long terme qui sont proposés.
RépondreSupprimerEn effet, quel que soit le moyen de production d’électricité bas carbone qui est projeté (à l’exception de la biomasse), son coût de production est déterminé essentiellement par le coût d’investissement, y compris le coût du financement de cet investissement, qui est fonction du niveau de risque encouru : risque marché pendant la durée de vie de l’actif (visibilité sur le prix de vente), et risque projet (coût et délai de construction avant mise en service, puis coût des investissements de maintenance).
Le débat s’est in fine cristallisé sur la possibilité pour la France d’inclure son parc historique de 56 réacteurs dans le dispositif, ce qui est motivé par les investissements très importants qui restent nécessaires pour prolonger la durée de vie au-delà de 40 ans (grand carénage), et au-delà jusqu’à 60 ans (ou plus), sous réserve que la sûreté soit garantie (la faisabilité dépend avant tout de la fiabilité de la cuve du réacteur, seul composant non remplaçable).
La fin de l’article analyse les caractéristiques des deux instruments du projet d’accord offrant une visibilité de prix dans le temps long, ainsi que leur adéquation pour financer le nucléaire, avant de regretter en conclusion qu’aucun instrument de prix régulé n’ait été demandé, ni défendu par la France.
Contrats d’achat à long terme
Il s’agit de contrats d’achat entre un producteur et un acheteur (fournisseur d’énergie, industriel), qui garantissent à l’acheteur une stabilité des prix à long terme, et, en contrepartie, apporte au producteur une garantie de débouché à un prix connu, qui lui permet d’engager l’investissement.
L’électricité produite est ainsi vendue hors marché, ce qui est particulièrement intéressant pour les parcs éoliens et solaires, dont la variabilité de production injectée sur le marché spot peut induire des perturbations de prix importantes.
Dans l’article 28 du projet, les États membres sont invités à promouvoir ce type d’accord, supprimer les barrières injustifiées, et sont autorisés à prendre des dispositions pour réduire les risques liés au défaut de l’acheteur dans ses obligations de long terme, et à faciliter l’agrégation de demandes (pool d’acheteurs).
EDF envisage ce type de montage pour la construction d’une partie des EPR2, avec un écho favorable par exemple de TotalEnergies. Mais pour un actif de très long terme dont la durée de construction est au mieux de 10 ans, et la durée d’exploitation de 60 ans, le niveau de risque ne permet pas un financement optimisé, donc un prix compétitif, à moins que l’acheteur (ou un pool d’acheteurs) participe à due concurrence à l’investissement, en échange d’un droit de tirage : la centrale de Fessenheim a été en partie financée de cette manière dans les années 1990, avec ENBW (17,5 %) et un consortium suisse (15 %).
RépondreSupprimerContrats pour différence (CFD)
Le texte de compromis validé en Conseil le 17 octobre dernier dispose dans son article 19b qu’un schéma direct de soutien des prix par un État membre, sous la forme exclusive d’un contrat pour différence bidirectionnel (CFD), peut s’appliquer aux sources d’électricité suivantes, sur la base du volontariat : éolien, solaire, hydraulique au fil de l’eau, géothermie, nucléaire.
Schématiquement, un CFD bidirectionnel fonctionne sur le principe suivant, la production étant écoulée sur le marché (le tarif cible peut être dédoublé avec un plafond et un plancher) :
- voir graph sur site -
Le prix minimum garanti, ainsi que le prix plafond destiné à prévenir une rémunération excessive doivent être déterminés en fonction du coût du nouvel investissement, de façon à assurer la viabilité économique à long terme de la centrale de production, tout en évitant toute surcompensation.
Le but est que les revenus des producteurs issus de nouveaux investissements qui bénéficient d’un support public deviennent indépendants des prix volatiles de productions fossiles qui fixent le prix spot.
L’article 30 dispose que, bien que cet instrument soit destiné à financer de nouvelles centrales, il pourra aussi concerner des centrales existantes, nécessitant des investissements de maintenance conséquents pour en accroitre la capacité ou prolonger la durée de vie.
La Commission devra s’assurer que la conception du CFD ne conduit pas à des distorsions de concurrence.
Ce type de contrat s’applique déjà aux nouveaux parcs éoliens et solaires en France issus des appels d’offre depuis 2016 : depuis fin 2021, la subvention versée aux producteurs s’est transformée en remboursements par les producteurs, le prix de marché dépassant les tarifs cibles issus des appels d’offre (de l’ordre de 60 euros/MWh). L’utilisation qui en est faite par l’État consiste à participer au financement du bouclier tarifaire et du dispositif amortisseur : 1,9 milliard d’euros en 2022 et 4,6 milliards prévus en 2023.
RépondreSupprimerL’application des CFD au nucléaire n’est cependant pas la solution optimale
La première raison est que le CFD ne permet pas un financement optimisé, car seul le risque marché est pris en compte, alors que le risque projet reste intégralement à la charge de l’opérateur.
En conséquence, le coût moyen pondéré du capital (CMPC ou WACC en anglais) ressort à environ 10%, ce qui est par exemple le cas du financement des deux EPR de Hinkley Point en Grande Bretagne, un CFD conclu entre l’État britannique et EDF Energy (et son partenaire CGN) garantissant un prix de vente du MWh de 96 livres (115 euros) pendant 35 ans.
Pour la deuxième paire d’EPR à Sizewell, le schéma de financement en discussion entre l’État britannique et EDF Energy est un schéma de prix régulé, analogue à celui du financement des réseaux (coût opérationnel + financement de la base d’actifs). Ce schéma, qui transfère le risque projet sur la communauté des consommateurs, permet d’obtenir un financement avec un CMPC de l’ordre de 4 %, car le prix est revu régulièrement sur la base des coûts effectifs, ce qui garantit à l’opérateur le cash flow nécessaire pour investir. Ce schéma devrait permettre d’obtenir un coût du MWh de l’ordre de 60 livres (70 euros)
Voir un précédent article : « Financer le nucléaire sans argent public et sans démanteler EDF : une solution existe ! »
La deuxième raison est que le CFD appliqué au parc nucléaire français, en remplacement d’un prix « régulé » comme l’ARENH, va générer des flux financiers très élevés dans la durée entre l’opérateur et l’État (subvention / remboursement). En pratique, au lieu d’avoir à leur disposition un sourcing nucléaire pour assurer le ruban de base de leur approvisionnement à un prix connu d’avance et relativement stable, les fournisseurs vont s’approvisionner intégralement sur le marché (au-delà de leur propre production), charge à l’État de gérer un mécanisme de redistribution des écarts qui sera forcément imparfait et source de distorsions de concurrence, le tout sous le contrôle attentif de la Commission européenne.
Conclusion
RépondreSupprimerL’État n’ayant pas demandé à la Commission d’inclure la possibilité d’un dispositif de prix régulé pour le nucléaire dans la réforme du marché européen, pourrait bien connaître une victoire à la Pyrrhus en ayant arraché la possibilité d’appliquer le mécanisme CFD aux investissements sur le parc nucléaire existant, et au renouvellement du parc, avec un haut niveau d’autosatisfaction.
Cela est probablement dû au « traumatisme de l’ARENH » subi par EDF en raison des défauts congénitaux de ce mécanisme qui n’ont pas été corrigés, et surtout au refus de l’État de mettre en œuvre une régulation effective du prix pour qu’EDF ne vende pas à perte avec des cash flows libres négatifs, la CRE ayant indiqué dans un rapport publié en 2020 que l’ARENH devrait être de l’ordre de 50 euros/MWh.
Il est très dommageable qu’à cause de l’impéritie des gouvernements depuis 2012, l’ARENH soit devenu un bouc émissaire de la crise des prix de l’énergie, alors qu’un véritable prix régulé du nucléaire pourrait constituer le socle pertinent d’une organisation du marché de l’électricité en France, sujet qui sera abordé dans un second article.
https://www.contrepoints.org/2023/10/27/465879-le-compromis-de-la-reforme-des-marches-europeens-de-lelectricite-est-il-une-victoire-a-la-pyrrhus
Règlement européen SUR – Usage Durable des Pesticides : Encore un double discours du Gouvernement français !
RépondreSupprimer27 Octobre 2023
Communiqué de presse de la FNSEA*
Le mardi 24 octobre, les députés de la majorité française à la Commission de l’Environnement du Parlement Européen ont voté en faveur du rapport Wiener sur l’utilisation durable des pesticides (SUR) contribuant ainsi à son adoption : une catastrophe pour l’agriculture française.
Ce rapport, qui se révèle plus irréaliste encore dans ses objectifs que la proposition initiale de la Commission européenne, a été établi en l’absence de l’étude d’impact complémentaire demandée par les Etats membres. De surcroit, il va à l’encontre de toutes les études menées dans le cadre du Pacte Vert qui démontrent une baisse significative des rendements agricoles et un renchérissement des aliments, sans effet environnemental concluant.
Ce vote intervient quelques jours seulement après l’abstention de la France pour la réhomologation du glyphosate. Il suscite à nouveau une vive indignation de la FNSEA : encore une preuve du double discours du Gouvernent français !
Les grandes déclarations – « la science et rien que la science », l’engagement à ne plus faire subir à l’agriculture française de surtranspositions néfastes à sa compétitivité intra et extra européenne – demeurent au stade de l’intention. Les faits prouvent l’absence de réelle volonté de les transformer en actes.
Dans un contexte où la préservation de notre souveraineté alimentaire est essentielle, et alors que l’agriculture française tient le haut du palmarès des systèmes agricoles les plus durables au monde, cet entêtement à retirer aux agriculteurs leurs moyens de production, à les placer en position de faiblesse, à freiner leur transformation agroécologique est parfaitement incompréhensible.
Chaque jour, l’agriculture française perd en compétitivité. Chaque nouvelle décision à contre sens des objectifs exigeants et contraignants de la planification écologique lui fait perdre un temps précieux. Les agricultrices et agriculteurs le demandent avec insistance : de la cohérence !
Contact presse : Renan Morgat – renan.morgat@reseaufnsea.fr – 06.21.16.80.84
______________
* Source : fnsea.fr
Mes notes
RépondreSupprimer1. Heureusement que le moteur de recherche a été là... Impossible – ou au mieux difficile – d'accéder à ce communiqué de presse en partant de la page d'accueil de la FNSEA. Vous avez un gros problème d'organisation de votre communication.
2. D'ailleurs, à quoi sert ce communiqué, à part exprimer une certaine mauvaise humeur et, au mieux, se retrouver reflété dans la presse agricole, auprès de milieux déjà acquis à la cause ?
3. Vous avez, FNSEA, sans doute communiqué auprès des députés européens. Mais bon nombre d'entre eux sont déjà personnellement sensibles au discours « écolo », même dans les rangs du groupe relevant au niveau national de la majorité relative. Et pour cause ! La liste de ce groupe a été constituée sur la base d'une analyse de marketing politique de manière à « ratisser large ». Vous ne pouvez pas ignorer que, surtout dans les conditions actuelles où les médias et les réseaux sociaux distillent un discours « écolo » et surtout anti-pesticides, le message de la raison ne peut passer que s'il touche une partie significative de la population – de l'électorat. Votre communication touche-t-elle les bonnes cibles ? Non !
4. Plutôt que de dénoncer un double discours du Gouvernement – certes réel mais hors de cause ici puisqu'il s'agit du vote d'eurodéputés « macronistes » – ferez-vous l'effort d'expliquer clairement aux citoyens-électeurs-consommateurs-contribuables les effets de ce règlement et du « Green Deal » en général ?
5. C'est ce que je souhaite, et je pense ne pas être le seul.
Post scriptum
Et, s'il vous plaît, faites cesser les manifestations de colère avec actes de vandalisme. Comment peut-on obtenir le respect de la personne de l'agriculteur, de son travail et de son outil si « les gens d'en face » peuvent s'en prévaloir pour « justifier » ou « excuser » leurs exactions ?
https://seppi.over-blog.com/2023/10/reglement-europeen-sur-usage-durable-des-pesticides-encore-un-double-discours-du-gouvernement-francais.html
Engrais et sécurité alimentaire : une situation compliquée
RépondreSupprimer27 Octobre 2023
André Heitz*
Régulièrement, les médias s'intéressent à la situation en matière d'engrais. Le New York Times a publié récemment un long article, « How a Fertilizer Shortage Is Spreading Desperate Hunger » (comment une pénurie d'engrais propage une faim dramatique). En chapô : « En Afrique et dans certaines régions d'Asie, les perturbations de la chaîne d'approvisionnement en engrais entraînent une hausse des prix des denrées alimentaires et une aggravation de la malnutrition. »
Peut-on dire que nous connaissons une situation de pénurie d’engrais ?
Une remarque liminaire s'impose : toutes ces interrogations prennent acte du fait que l'alimentation mondiale dépend des engrais, particulièrement des engrais azotés de synthèse. C'est tout à fait remarquable sachant que nombre de médias font par ailleurs la promotion d'une agriculture dite « biologique » qui s'interdit ces engrais et d'une « agro-écologie » censée s'en dispenser ou en utiliser moins.
En actualisant par exemple les données de Our World in Data, on peut affirmer que la moitié de la population mondiale dépend maintenant du procédé Haber-Bosch pour son alimentation.
- voir graph sur site -
La situation est tributaire de l'offre et de la demande, en interaction, de la logistique et de la saisonnalité.
Pour l'offre, le facteur principal est sans doute le prix du gaz, le procédé Haber-Bosch étant grand consommateur d'énergie. L'été 2022, Yara, leader mondial des engrais minéraux azotés, avertissait ainsi d'un risque de pénurie en France, l'envolée du prix du gaz ayant contraint des usines européennes à fermer.
Côté demande, les agriculteurs sont susceptibles de procéder à des arbitrages en fonction des prix relatifs des intrants, notamment des engrais, et de leurs produits. Il ne sert évidemment à rien de produire des quintaux en plus s'ils ne font que payer les intrants nécessaires pour les produire et ne rapportent rien.
Pour des pays éloignés des sites de production, une réticence à acheter quand les cours sont élevés peut faire que les engrais ne sont pas livrés à temps, quand les agriculteurs en ont besoin.
RépondreSupprimerS'agissant de la situation actuelle, je n'ai pas connaissance d'avertissements particuliers. Si je prends le cas de l'Allemagne, et en me fondant sur les prix comme indicateurs des tensions sur le marché, j'aurais tendance à dire que la situation actuelle est plutôt bonne. La solution nitrate d'ammonium-urée, par exemple, est tombée de plus de 600 € la tonne en début d'année à près de 300 € ces jours.
Cette évolution illustre l'instabilité du marché. Et, si nous avons trouvé un certain équilibre depuis le commencement de la guerre d'agression de la Russie, nous avons justement une nouvelle instabilité, et ce, dans une région importante pour le marché de l'énergie.
Qu’est-ce que cela veut dire concrètement ? A quel point l’augmentation du prix des engrais met en danger la population mondiale ?
Il est un principe incontournable en agronomie (mais pas forcément en « agrologie », un terme forgé par M. Philippe Stoop sur le modèle de l'astronomie et de l'astrologie) : les plantes ont besoin d'azote pour pousser, et les récoltes « exportent » de l'azote. Les besoins diffèrent selon les cultures. Ainsi, pour le blé, il faut en moyenne trois kilos d'azote par quintal de grain, jusqu'à un maximum qui n'est pas, nécessairement, l'optimum économique..
D'où, moins d'azote, égal moins de quintaux, égal moins de disponibilités alimentaires.
Et on ajoutera : égal augmentation des prix des denrées alimentaires, égal risques de troubles sociaux dans les pays en pénurie.
Et aussi : égal diminution de la capacité de jouer un rôle géostratégique pour les pays exportateurs (message insistant à l'intention de nos décideurs politiques).
Selon un rapport publié en juillet 2023 par cinq agences des Nations Unies, à l’échelle mondiale, « plus de 122 millions de personnes supplémentaires souffrent de la faim par rapport à 2019, en raison de la pandémie, des chocs météorologiques à répétition et des conflits, notamment de la guerre en Ukraine ». Et : « L’édition 2023 du rapport révèle qu’entre 691 millions et 783 millions de personnes ont souffert de la faim en 2022. »
Mais ces statistiques ne sont qu'un reflet déshumanisé et généralisateurs des situations réelles. Il est généralement constaté que l'insécurité alimentaire touche davantage les personnes qui vivent en milieu rural, qui dépendent davantage des productions locales et ont moins accès aux circuits de distribution plus étendus.
RépondreSupprimerOn ne peut donc que se féliciter des rapports tels que celui du New York Times qui nous rappellent l'importance des engrais.
Face aux prix extraordinaires des engrais inorganiques ou commerciaux, certains agriculteurs se tournent vers d’autres types d’engrais. Cette solution est-elle viable ?
À l'échelle individuelle, se tourner vers les engrais organiques est évidemment une option quand ces engrais sont disponibles. Mais ce que fait l'un, se fait généralement au détriment d'un autre, la disponibilité en engrais organiques étant aussi limitée.
À plus grande échelle, il y a des études qui proclament qu'il est « possible » de nourrir le monde – ou une partie comme l'Union Européenne ou la France – sans recours aux engrais de synthèse. Cela vient toujours avec des conditions : la réduction drastique du gaspillage (yaka... comme si nous gaspilliions aujourd'hui par plaisir), la suppression ou la forte réduction de l'élevage (pourtant producteur d'engrais organiques...) et la réduction concomitante de la part animale de notre alimentation, la réduction des apports caloriques (bref, la police de l'assiette).
Cela relève du Kriegsspiel sur tableur ! D'un exercice de manipulation de chiffres, qui énonce une conclusion prédéfinie, rassemble les hypothèses nécessaires et conclut que le résultat souhaité est – plus précisément « peut être » ou « pourrait être » – réalisable.
Voir par exemple ici un communiqué de presse du CNRS et ici une critique. L'article de Billen at al. a au moins le mérite de poser la question du bouclage du cycle de l'azote, du recyclage des excréments humains.
- voir cadre sur site -
Un autre article, de Barbieri et al., trouve en résumé que « les politiques publiques pourraient favoriser une transition vers l'agriculture biologique sur 40 à 60 % de la surface agricole mondiale, même dans les limites actuelles de l'azote ».
Il va de soi (ironie) que l'INRAE, dont relèvent trois co-auteurs, a communiqué sur le chiffre de 60 %, et au conditionnel... « En rééquilibrant la consommation alimentaire mondiale et en réduisant le gaspillage alimentaire d'au moins 50%, il serait possible d'augmenter la part de l'agriculture biologique mondiale jusqu'à 60% », écrivent-ils dans un pavé.
RépondreSupprimerMais entrons dans le monde réel.
Le Sikkim, vanté comme le premier « État » du monde 100 % biologique, y compris par la FAO (canal idéologique, si l'on peut dire) dépend dans une très large mesure des États indiens voisins pour l'alimentation de sa population. Mais il attire bien des équipes de tournage pour des « documentaires » laudateurs, complaisants et myopes (voir par exemple ici une critique de Ludger Wess).
Le Bhoutan a initié une stratégie de conversion dès 2003 et annonçait en 2012, dans le cadre de la Conférence des Nations Unies sur le développement durable, vouloir devenir le premier État 100 % biologique du monde. L'objectif est maintenant repoussé à... 2035 (voir ici, une excellente analyse de Gil Rivière-Wekstein).
Et il y a le cas du Sri Lanka, qui a tout de même fait l'objet d'une médiatisation largement liée aux conséquences politiques. Le pays est passé rapidement et brutalement au « sans chimique » en mai 2021, et revenu à la normale en octobre de la même année. Mais le mal était fait... et s'inscrit dans la durée comme le rapporte la Presse Canada dans « La Presse au Sri Lanka – La malnutrition 100 % bio ».
Sans qu'il soit nécessaire d'entrer dans les considérations agronomiques, on peut affirmer sans crainte : non, le recours aux engrais organiques à 100 % n'est pas viable.
https://seppi.over-blog.com/2023/10/engrais-et-securite-alimentaire-une-situation-compliquee.html
Souvenirs … technologiques et industriels
RépondreSupprimerle 27 octobre 2023
Lorsque j’étais pensionnaire dans une école privé au sud de Lyon, les enseignants organisaient à peu près tous les trois mois la visite d’un site industriel pour familiariser les élèves à partir de la cinquième avec la vie réelle. C’est ainsi que j’ai pu visiter la cokerie et les hauts-fourneaux de Chasse-sur-Rhône, aujourd’hui disparus, puis la verrerie Boussois-Souchon-Neuvezel (BSN), à Givors au sud de Lyon également. Nous avons également visité le chantier de construction de la centrale électrique thermique de Loire-sur-Rhône (EDF) que j’ai souvent mentionné sur ce blog. Plus loin de la pension nous sommes aussi allé visiter le chantier du barrage de Pierre-Bénite, un projet herculéen avec le canal de dérivation temporaire du Rhône, l’immense trou où s’affairaient les ouvriers pour construire les fondations du local des turbines au fil de l’eau, la construction de l’écluse, etc, impressionnant.
Nous avons aussi visité la raffinerie de pétrole nouvellement en fonctionnement, du moins une partie, à Feyzin au sud de Lyon. Dans la banlieue nord de Lyon nous avons visité une grosse exploitation maraîchère sous serres, en verre à l’époque, et enfin, le sommet de la diversité de ces visites : la centrale nucléaire de Bugey-1. J’ignorais naturellement qu’un jour je reviendrais sur ce site pour accompagner des visiteurs étrangers, majoritairement américains, pour leur montrer les avances technologiques françaises dans le domaine de l’électronucléaire, l’unité de Bugey-1 étant encore aujourd’hui fermée pour attendre qu’une intervention sur les briques de graphite et l’ensemble des tubulures de réception des assemblages de combustibles devienne possible en toute sécurité.
Je me permets ici une digression au sujet de cette unité de production d’électricité de modeste puissance. Il s’agissait de la technologie graphite-gaz, une véritable usine à produire du plutonium pour l’armée française et produire accessoirement de l’électricité, mais personne ne nous informa de cet aspect de l’usine. L’usine était en fonctionnement lorsque nous la visitâmes et comme beaucoup de personnes l’ignorent on pouvait se promener sur la dalle supérieure tiède du réacteur avec tous les regards pour recharger le réacteur en combustible qui était de l’uranium naturel. Les souffleries du gaz carbonique de refroidissement étaient parfaitement audibles, un intense et profond ronronnement. Nous étions tous, élèves de quatrième, profondément impressionnés.
À l’issue de ces souvenirs je voudrais poser une question au Ministre de l’Éducation (il serait plus approprié de dire d’Enseignement) de la France : existe-t-il en France, dans les collèges et les lycées, de telles visites ? Vaine question car à l’époque où mes propres enfants étaient au collège ou au lycée je ne les ai jamais entendu parler de ce genre de visites pourtant indispensables pour ouvrir l’esprit des collégiens à la réalité du monde industriel. L’enseignement dans les écoles de la République ne peut pas se limiter aux livres, aux cahiers et aux devoirs surveillés (puisqu’il paraît que les devoirs à la maison ont été supprimés), la visite d’une usine ou d’un chantier industriel est tout aussi importante que l’enseignement livresque.
J’ai oublié dans ces souvenirs la visite d’une entreprise produisant des voilages à Tarare à l’ouest de l’agglomération lyonnaise, aujourd’hui disparue comme la cokerie Prénat de Chasse-sur-Rhône, la verrerie BSN, et la centrale électrique de Loire-sur-Rhône. Le tissu industriel français régional s’est délité. Que reste-t-il aujourd’hui de cette splendeur de l’industrie française ? De vaporeux souvenirs et par exemple l’imposante cheminée de la verrerie BSN au milieu d’un vaste terrain vague au bord du Gier :
RépondreSupprimer- voir photo sur site -
La fameuse « École Centrale » forme-t-elle encore des ingénieurs appelés des « Pistons » autrefois ? Et savez-vous pourquoi on les appelait des « pistons », tout simplement parce que ce sont eux qui créaient dans les années 1920 et 30 et 40 des locomotives à vapeur ! Bien sûr que non: l’École centrale forme surtout des informaticiens qui feront fortune dans le trading haute fréquence et par conséquent seront totalement non créatifs. Il existe néanmoins quelques très rares exceptions comme par exemple l’une de mes petites-filles « X-Ponts » aujourd’hui architecte directrice de chantier au sein d’une grosse entreprise de travaux publics et de construction immobilière française que je ne nommerai pas. Et l’artisanat, le grand oublié ? Je me passionne pour une série de documentaires relatifs à l’artisanat et l’indjstrie japonais et je conseille modestement à mes lecteurs de regarder cette série dont voici le lien pour l’un d’eux : https://www.youtube.com/watch?v=Chi8hk1Vqs8&ab_channel=%E3%83%97%E3%83%AD%E3%82%BB%E3%82%B9X qui décrit la fabrication des faux plats cuisinés que l’on retrouve à la vitrine de tous les restaurants japonais … Il n’y a pas de sot métier, les livres, c’est une chose, les mains en sont une autre. Il n’y a aucun déshonneur à devenir plombier ou menuisier voire maraîcher ou couvreur. Si le Ministère de l’Enseignement sensibilisait les jeunes élèves des collèges peut-être que beaucoup d’entre eux choisiraient l’artisanat, ce qui sauverait la France du marasme dans lequel elle s’enfonce.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/10/27/souvenirs-technologiques-et-industriels/
« La science » à l’OMS : Déclarer le climat une urgence sanitaire
RépondreSupprimer26 octobre 2023
de Thomas Oysmüller
La crise climatique doit être déclarée urgence sanitaire, appelle la « science » à l’OMS. Le traité sur la pandémie donnera à l’OMS les outils appropriés.
La « science » demande à l’OMS de déclarer une nouvelle urgence sanitaire. La raison en est la crise climatique, affirment 200 revues scientifiques qui ont publié mercredi un appel en ce sens. Plus récemment, une urgence sanitaire Covid a été déclarée.
La réforme de l’OMS comme élément de base
L'appel de trois pages à l'OMS a été formulé par les rédacteurs en chef des principales revues scientifiques occidentales. Ils écrivent que la crise climatique ne ralentira pas : « Nous appelons donc l’OMS à faire cette déclaration avant ou lors de la 77e Assemblée mondiale de la santé en mai 2024. »
Ce serait opportun. La réforme de l'OMS (Traité sur la pandémie et Règlement sanitaire international) devrait s'achever en mai. L’OMS pourrait alors également être créée de manière à ce que le concept de santé – notamment grâce à l’idéologie « One Health » – puisse facilement être étendu au climat et à ce qu’on appelle la « crise climatique ».
Dans le cas le plus extrême, l’OMS pourrait même imposer aux États des mesures contraignantes contre la crise climatique, conformément au droit international. Toutefois, la déclaration de l’état d’urgence n’aurait actuellement aucun impact immédiat. Il s’agirait d’une demande non contraignante de faire tout son possible pour éliminer l’urgence. Toutefois, la réforme de l’OMS pourrait rendre une telle demande contraignante.
UneSanté
Est-ce donc une coïncidence si le secrétaire général de l’OMS, Tedros, appelle aujourd’hui dans une vidéo, un jour après l’appel « scientifique », à ce que le traité sur la pandémie soit enfin lancé en mai 2024 ?
L’idéologie One Health se lit également clairement dans l’appel. Voici ce que dit le rédacteur en chef du BMJ :
« La crise climatique et la perte de biodiversité nuisent toutes deux à la santé humaine et sont liées. C'est pourquoi nous devons les examiner ensemble et déclarer une urgence sanitaire mondiale. Les professionnels de la santé (…) ont un rôle central à jouer pour transmettre ce message important et pour inciter les décideurs politiques à reconnaître l’urgence sanitaire mondiale et à prendre des mesures urgentes.
One Health reconnaît l’interdépendance de la santé humaine et animale et le lien avec l’environnement. Tout d’abord, c’est logique et cela ne semble pas particulièrement dangereux. Mais cela donnera à l’OMS le pouvoir de prendre des décisions sur les questions environnementales (NetZero), la vaccination du bétail et des animaux et la santé humaine (vaccinations).
RépondreSupprimerLa « science » réclame depuis des années des politiques plus strictes (c’est-à-dire plus autoritaires) en raison du climat. Le rôle de la « science » ne devrait pas être très différent de celui du Covid : exiger quelque chose de plus que ce que les politiciens font déjà afin de créer le cadre discursif de la politique climatique. Les politiciens peuvent expliquer que cela est alors « scientifiquement légitime », même si la « science » exige encore plus – mais cela n’est pas politiquement réalisable. NetZero peut être considéré en toute confiance comme la sœur jumelle de ZeroCovid.
Vous pouvez lire l’appel dans le British Medical Journal (BMJ) ici.
https://tkp.at/2023/10/26/die-wissenschaft-an-who-klima-zum-gesundheitsnotstand-erklaeren/
Consortium News poursuit NewsGuard et le gouvernement américain pour « arnaque » à la vérification des faits
RépondreSupprimer26/10/2023
Ethan Huff
L'industrie des « fausses nouvelles » est servie par Consortium News, qui accuse sa division de « vérification des faits » de se livrer à une censure parrainée par le gouvernement.
Selon Consortium News, NewsGuard, une société qui prétend évaluer les médias en fonction de leur niveau de « fiabilité », ainsi que le régime Biden, sont tous deux complices de l'action « visant à identifier, rapporter et abréger le discours des médias américains qui dissidence par rapport aux positions officielles américaines en matière de politique étrangère.
La plainte accuse NewsGuard d'avoir « agi conjointement ou de concert avec les États-Unis pour contraindre les agences de presse à modifier leurs points de vue » concernant l'Ukraine, la Russie et la Syrie.
En collaboration avec le Cyber Command du Pentagone, NewsGuard a imposé une forme de « censure et de répression des opinions » qui s'écarte des politiques officielles de l'État profond américain et de ses alliés.
Concernant Consortium News lui-même, NewsGuard aurait qualifié l'intégralité de ses plus de 20 000 articles, qui remontent à 1995, de « peu fiables », sur la base de seulement six exemples utilisés par la plateforme de censure comme preuve que les lecteurs doivent « procéder avec prudence ».
NewsGuard dit au monde que Consortium News diffuse de la « désinformation » et du « faux contenu », alléguant en outre que le groupe de médias est « anti-américain », ce qui signifie vraisemblablement l'État profond américain.
(Connexe : Saviez-vous que NewsGuard est financé par le ministère de la Défense [DOD], l'Organisation mondiale de la santé [OMS], Microsoft, l'AFT et Pfizer ?)
Le co-fondateur de Wikipédia, Jimmy Wales, exposé comme conseiller de NewsGuard
L’objectif de la plainte est que Consortium News obtienne une injonction permanente contre NewsGuard et le régime Biden, déclarant inconstitutionnel leur programme de censure commun. La poursuite empêcherait également les deux entités de poursuivre leurs pratiques et obtiendrait plus de 13 millions de dollars de dommages et intérêts.
L'un des conseillers de NewsGuard n'est autre que Jimmy Wales, l'un des cofondateurs du site de désinformation Wikipédia, comme l'a révélé l'ancien responsable de l'administration Trump, Mike Benz.
RépondreSupprimerSelon Benz, NewsGuard est « plongé dans un complot visant à amener [les gouvernements] à mettre les informations alternatives en faillite ».
"NewsGuard a travaillé [avec] l'UE sur un nouveau code de désinformation", a ajouté Benz dans un article sur X. "Son modèle commercial dispose de services de" conformité en matière de désinformation "[avec les] lois de censure qu'il promeut."
En réponse aux révélations de Benz, le propriétaire de X, Elon Musk, a tweeté au Pays de Galles lui demandant de « S'il vous plaît, réparez wokipedia ».
Dans un autre article X, Musk a qualifié NewsGuard d'"arnaque", après que la plateforme ait donné un avertissement au commentateur politique Tim Pool simplement "parce que nous avons publié 5 articles sur près de 5 000 citant [l'ancien président Donald] Trump", pour citer un article X. de la piscine.
"Ils ont affirmé que rendre compte des déclarations de Trump était irresponsable parce que nous devrions plutôt vérifier les faits et Trump avait tort."
Nous avons également appris que NewsGuard a été cofondée par deux individus douteux, Steven Brill et Gordon Crovitz, qui entretiennent des liens notables avec l’État profond.
Brill est diplômé de l'Université de Yale, siège de « Skull & Bones », et avocat qui a été PDG de Verified Identity Pass, Inc., le premier programme d'accréditation volontaire biométrique basé aux États-Unis, qui a fait faillite en 2009.
Verified était la société mère de CLEAR, le système de vérification biométrique des aéroports lancé en 2010 et rendu public en 2021.
Crovitz, quant à lui, a occupé un certain nombre de postes importants au Dow Jones et au Wall Street Journal avant de devenir vice-président exécutif du premier et éditeur du second avant que les deux sociétés ne soient vendues à News Corp de Rupert Murdoch en 2007.
"Il est également membre du conseil d'administration de Business Insider, qui a reçu plus de 30 millions de dollars du propriétaire du Washington Post, Jeff Bezos, ces dernières années", a rapporté Undercover DC.
Les dernières nouvelles sur l’arnaque connue sous le nom de « vérification des faits » – du moins en ce qui concerne la manière dont l’État profond la déploie – peuvent être trouvées sur Censorship.news.
Les sources de cet article incluent :
RépondreSupprimerZeroHedge.com
Drive.Google.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2023-10-26-consortium-news-sues-newsguard-government-fact-check-scam.html
« Dix fois plus des arrêts cardiaques chez les athlètes européens depuis le déploiement des vaccins contre le COVID-19 ». Douleur au bras avec la vaccination contre le COVID-19
RépondreSupprimerLa première injection chez les athlètes masculins pourrait être un signal de danger
Par le Dr Peter McCullough
Recherche mondiale,
27 octobre 2023
J’ai été étonné de voir combien de personnes ont pris un ou plusieurs vaccins contre la COVID-19 sans aucun effet secondaire. On a émis l’hypothèse que les flacons non inspectés des vaccins contre la COVID-19 contiennent des quantités différentes d’ARNm en raison de l’agrégation de nanoparticules lipidiques (regroupées au sein d’un lot).
Pfizer affirme effectuer de nombreux contrôles de qualité de ses produits ; cependant, ni Pfizer ni la FDA n'ont publié de rapport d'inspection sur la qualité, la pureté et la quantification de l'ARNm dans les flacons multi-usages. S’il y avait peu ou pas d’ARNm viable, alors la protéine Spike ne serait pas produite du côté de l’injection (muscle deltoïde) ou d’autres tissus, ce qui expliquerait l’absence d’effets secondaires dans le bras et ailleurs dans le corps.
- voir cadre sur site -
Polykretis et McCullough ont signalé une multiplication par 10 des arrêts cardiaques chez les athlètes européens depuis le déploiement des vaccins obligatoires contre le COVID-19. Ces arrêts cardiaques auraient-ils pu être anticipés d’une manière ou d’une autre dès le début ? Komici et al. ont étudié 460 athlètes compétitifs et récréatifs de l’Université de Molise en Italie en cours de vaccination contre le COVID-19. Des douleurs au bras ont été signalées chez 81,3 % des receveurs de la première dose et 24,9 % des receveurs de la deuxième dose. Le sexe masculin était le facteur prédictif le plus puissant de douleur au bras.
- voir cadre sur site -
Komici K, Verderosa S, D'Amico F, Guerra G. Effets secondaires autodéclarés suite à la vaccination contre le COVID-19 chez les athlètes : une étude rétrospective. Hum Vaccin Immunother. 1er août 2023;19(2):2234788. est ce que je: 10.1080/21645515.2023.2234788. PMID : 37470390 ; PMCID : PMC10361131.
Les résultats sont similaires à ceux de Schmeling et al qui ont rapporté qu'environ 32,1 % des doses n'entraînaient aucun effet indésirable signalé aux autorités sanitaires danoises après la vaccination.
- voir graph sur site -
Schmeling M, Manniche V, Hansen PR. Sécurité dépendante du lot du vaccin à ARNm BNT162b2 contre la COVID-19. Eur J Clin Invest. Août 2023 ;53(8) :e13998. est ce que je: 10.1111/eci.13998. Publication en ligne le 9 avril 2023. PMID : 36997290.
RépondreSupprimerSchwab et al . ont rapporté une découverte cohérente d’une inflammation simultanée induite par le vaccin dans le muscle deltoïde et le cœur chez les personnes décédées après la vaccination. Les zones d’inflammation semblent très similaires dans les deux échantillons.
- voir cadre sur site -
Enfin, Nakahara et al. ont rapporté qu’il y avait un déplacement plus important de l’absorption normale des acides gras libres vers l’absorption du 18-FDG dans le cœur humain chez ceux qui avaient mal au bras (65,4 %) après la vaccination. Ce résultat TEP cardiaque est associé à une maladie myocardique et à une ischémie chronique.
- voir cadre sur site -
Nakahara T, Iwabuchi Y, Miyazawa R, Tonda K, Shiga T, Strauss HW, Antoniades C, Narula J, Jinzaki M. Évaluation de l'absorption myocardique de 18 F-FDG lors de la TEP/CT chez les personnes asymptomatiques vaccinées contre le SRAS-CoV-2 et non vaccinées Les patients. Radiologie. Septembre 2023 ; 308(3) :e230743. est ce que je: 10.1148/radiol.230743. PMID : 37724969.
En rassemblant ces données dans ma pratique clinique, je demande toujours aux patients s'ils ont eu une douleur au bras ou une réaction plus grave dans les quelques jours suivant l'injection. Cela peut être le signe avant-coureur de futurs événements indésirables cardiovasculaires graves, notamment la myocardite et la mort subite d'origine cardiaque.
https://www.globalresearch.ca/arm-pain-covid-19-vaccination-key-risk-stratification-serious-complications/5838027
Restauration rapide chargée d'antibiotiques, d'hormones, de métaux lourds, mais peu de nutriments
RépondreSupprimerPar le Dr Joseph Mercola
Recherche mondiale,
27 octobre 2023
La plupart des chaînes de restaurants dépendent du bœuf et du poulet provenant d'opérations d'alimentation animale concentrée (CAFO), où des médicaments vétérinaires sont couramment utilisés, et sur 10 repas de restauration rapide échantillonnés et testés, tous sauf deux ont été testés positifs aux médicaments vétérinaires.
Six des dix échantillons de restauration rapide (Taco Bell, Dunkin', Wendy's, Domino's, Burger King et McDonald's) contenaient un ionophore antibiotique vétérinaire appelé monensine, qui n'est pas approuvé pour un usage humain car il peut causer de graves dommages.
Sur 43 repas scolaires testés, 95 % contenaient des niveaux détectables de glyphosate, un désherbant cancérigène et perturbateur endocrinien lié à l'inflammation du foie, aux troubles métaboliques, aux maladies cardiovasculaires et au cancer.
100 % des repas scolaires testés contenaient des métaux lourds à des niveaux jusqu'à 6 293 fois supérieurs aux niveaux maximaux autorisés dans l'eau potable. Le cadmium et le plomb ont été trouvés aux niveaux les plus élevés
Sur 21 repas de restauration rapide testés pour les minéraux essentiels, aucun ne répondait aux besoins quotidiens recommandés en calcium, potassium, manganèse, cuivre, zinc et fer, et aucun des 10 repas de restauration rapide testés pour les vitamines B ne contenait des niveaux détectables de B9 ou de B12. Les niveaux de vitamine B3 (niacine) étaient également exceptionnellement bas
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- voir clip sur site -
RépondreSupprimerBien que des quantités élevées d'acide linoléique (AL) soient l'une des principales raisons pour lesquelles les aliments transformés et la restauration rapide sont si mauvais pour la santé, des contaminants comme les médicaments vétérinaires, les antibiotiques, les hormones et les métaux lourds – associés à des quantités inférieures de nutriments essentiels – en sont d'autres. des raisons de premier plan à éviter.
8 repas de restauration rapide sur 10 contiennent des médicaments vétérinaires
En septembre 2023, Moms Across America (MAA) a soumis des échantillons d'aliments provenant de 10 chaînes de restauration rapide au Health Research Institute, un laboratoire à but non lucratif qui teste les aliments pour en déterminer la teneur en éléments nutritifs, les contaminants et les toxines. Chaque échantillon alimentaire a été testé pour détecter la présence de 104 médicaments et hormones vétérinaires les plus courants. Vous pouvez lire le certificat d'analyse ici . 1
Les restaurants de restauration rapide échantillonnés comprenaient McDonald's, Starbucks, Subway, Chick-fil-A, Burger King, Taco Bell, Chipotle, Dunkin', Wendy's et Domino's. Parmi eux, seuls Chipotle et Subway ont été testés négatifs aux médicaments vétérinaires.
Ce n'est pas si surprenant, étant donné que la plupart des chaînes de restaurants dépendent du bœuf et du poulet provenant d'opérations d'alimentation animale concentrée (CAFO), où des médicaments vétérinaires sont couramment utilisés. Comme expliqué par MAA : 2
« En raison des conditions confinées des opérations d'alimentation des animaux dans les grandes industries, qui incluent des espaces extrêmement restreints, des espaces insalubres et une incidence élevée de maladies, la plupart de la viande non biologique d'Amérique provient d'animaux qui sont fortement traités avec des antibiotiques, des hormones de croissance et un anti- parasite qui est également un contraceptif aviaire connu.
6 sur 10 contiennent des antibiotiques potentiellement dangereux
Six des dix échantillons de restauration rapide (Taco Bell, Dunkin', Wendy's, Domino's, Burger King et McDonald's) 3 contenaient un ionophore antibiotique vétérinaire appelé monensine, qui n'est pas approuvé pour un usage humain car il peut causer de graves dommages. L'échantillon avec la concentration la plus élevée (Taco Bell) contenait 0,64 microgrammes (mcg). La dose journalière « acceptable » est de 12,5 mcg/kg de poids corporel par jour.
Le monensin a également un certain nombre d'effets secondaires chez les animaux, notamment l'anorexie, la diarrhée, la dépression, l'ataxie, la dégénérescence du cœur et des muscles squelettiques, la nécrose et la mort.
L'antibiotique ionophore narasine, qui a les mêmes effets secondaires chez les animaux que le monensin, a été trouvé dans 4 des 10 échantillons (Wendy's, Dunkin', Domino's et Starbucks). La concentration la plus élevée, 1,53 mcg, a été trouvée dans un cheeseburger Wendy's. Les trois autres ne contenaient que des traces. La dose journalière « acceptable » est de 5 mcg/kg par jour.
RépondreSupprimerLe monensin et le narasin sont tous deux toxiques pour les chiens et les chevaux et peuvent provoquer une paralysie des pattes postérieures à des niveaux extrêmement faibles. Ils peuvent également provoquer une dégénérescence cardiaque aiguë des rhabdomyocytes et une nécrose chez les bovins de boucherie et les bovins laitiers. La raison pour laquelle ils sont utilisés chez les bovins est qu’ils favorisent la prise de poids. MAA a commenté ces résultats : 4
« Moms Across America est gravement préoccupée par le fait que notre population, en particulier les enfants, mange sans le savoir du bétail contenant des ionophores antibiotiques non prescrits, même à de faibles niveaux, de manière constante en raison des dommages potentiels au microbiome ainsi que du risque de croissance de bactéries résistantes aux antibiotiques.
Nous nous demandons si les effets secondaires de ces ionophores chez les chiens et les chevaux, entraînant un dysfonctionnement de leurs pattes postérieures, pourraient être liés au fait que des millions d'Américains souffrent du syndrome des jambes sans repos et de la neuropathie, des conditions inconnues de la plupart des humains il y a à peine une génération ou deux… Jusqu'à preuve de leur innocuité. , nous exhortons nos agences de réglementation, telles que l’USDA et la FDA, à interdire l’utilisation de ces médicaments chez notre bétail.
Un « contraceptif pour volaille » détecté dans un sandwich Chick-fil-A
Le sandwich au poulet Chick-fil-A contient de la nicarbazine, 5 un médicament antiparasitaire et un contraceptif pour la volaille qui provoque l'infertilité chez certaines volailles, comme les pigeons et les oies. En fait, il est utilisé pour contrôler les populations d’oies et de pigeons.
Chez les poulets, il est utilisé pour contrôler certains types d’infections et les faire grossir. Les effets secondaires du médicament comprennent une sensibilité accrue au stress thermique, des processus dégénératifs du foie et des reins et la mort.
En 2009, la British Soil Association a cherché à faire interdire la nicarbazine au Royaume-Uni, faute de preuves prouvant que le médicament ne causerait pas de dommages génétiques, de mutations, de malformations congénitales ou de malformations. En conséquence, un comité d'examen européen n'a pas été en mesure d'établir un niveau sûr de résidus dans les poulets et les œufs. 6
Malgré des questions en suspens, la Commission européenne et la Direction des médicaments vétérinaires du Royaume-Uni ont continué à autoriser l'utilisation systématique de ce médicament dans l'industrie avicole en utilisant une faille juridique. Aux États-Unis, la nicarbazine est un médicament vétérinaire approuvé depuis 1955 comme agent anticoccidien chez les poulets de chair.7
RépondreSupprimerLe sandwich Chick-fil-A contenait 0,36 mcg de nicarbazine et le niveau « acceptable » est de 200 mcg/kg par jour. 8 La marge de sécurité apparemment large ne signifie pas pour autant qu'il n'y a pas de quoi s'inquiéter. Comme l'a noté Zen Honeycutt, directeur exécutif du MAA :
« L’impact de la consommation quotidienne d’un contraceptif animal connu par des millions d’Américains, en particulier des enfants et des jeunes adultes, est préoccupant. Avec l’augmentation des problèmes d’infertilité, la santé reproductive de cette génération est au premier plan pour nous, à la lumière de ces résultats.
Ce sont des médicaments vétérinaires et des hormones… donc les seules études que j’ai trouvées, et que vous trouverez, concerneront les animaux. [Ils ne sont] pas autorisés pour les humains, et pourtant ils sont autorisés [dans l'approvisionnement alimentaire]. Certaines personnes consomment cette nourriture tous les jours, nous ne savons donc pas quelle quantité elles accumulent dans leur corps.
John Fagan, scientifique en chef au Health Research Institute, a également noté que les niveaux acceptables de la FDA n'ont de sens que lorsqu'il s'agit d'intoxication aiguë. Dans le cas de la restauration rapide, que certaines personnes mangent trois fois par jour, le problème est l'intoxication chronique due à l'accumulation de toxines au fil du temps. 9
Repas scolaires chargés de pesticides
En septembre 2022, le MAA a également testé 43 repas scolaires pour détecter la présence non seulement d'hormones et de médicaments vétérinaires, mais également de pesticides, de métaux lourds et de contenu nutritionnel. 10 Les résultats y étaient encore plus préoccupants.
Quatre-vingt-quinze pour cent des repas scolaires contenaient des niveaux détectables de glyphosate, un désherbant cancérigène et perturbateur endocrinien couramment utilisé sur les céréales OGM et qui a été associé à une inflammation du foie, des troubles métaboliques, des maladies cardiovasculaires et du cancer, y compris le cancer du foie et les maladies non génétiques. Lymphome de Hodgkin. 11 , 12
RépondreSupprimerLes niveaux les plus élevés de glyphosate ont été trouvés dans les tacos au bœuf avec tortilla de blé tendre (286,77 nanogrammes par gramme) et dans la pizza (156,14 ng/g). Comme le note le MAA, ces niveaux sont très préoccupants : 13
« En cas de consommation régulière, des résultats avec un glyphosate total efficace supérieur à 25 ng/g pourraient avoir des effets nocifs. Il s'agit de niveaux qui, s'ils sont régulièrement administrés à des rats, les amènent à présenter des symptômes de stéatose hépatique non alcoolique (NAFLD).
La NAFLD met la vie en danger et constitue une épidémie aux États-Unis. Ces niveaux de glyphosate dans les repas scolaires devraient avoir des effets similaires sur les enfants.
On peut s’attendre à ce que des niveaux inférieurs à 25 ng/g contribuent à la NAFLD et à d’autres pathologies, car un enfant mangera plus d’une chose au cours de la journée contenant du glyphosate, et les niveaux de glyphosate seraient cumulatifs.
D'autres pesticides toxiques trouvés dans les repas scolaires comprennent :
Le thiabendazole , qui a des effets immunosuppresseurs, a été trouvé dans 27,9 % des échantillons.
Le butoxyde de pipéronal , présent dans 18 des 43 échantillons (41 %), est une toxine développementale qui provoque des malformations congénitales et des perturbations du développement neurologique.
Il a été démontré que le pyriméthanil , détecté à 595,04 ppb sur une pomme, provoque des tumeurs thyroïdiennes chez les animaux.
Repas scolaires : drogues, métaux lourds, mais peu de nutriments
Neuf des 43 repas scolaires contenaient également quatre types de médicaments vétérinaires et d'hormones, et un nombre choquant de 100 % des repas contenaient des métaux lourds à des niveaux jusqu'à 6 293 fois supérieurs aux niveaux maximaux autorisés dans l'eau potable. Les niveaux variaient de 0,5 ppb à 94,4 mcg/kg.
Les niveaux les plus élevés de métaux lourds étaient le cadmium et le plomb, atteignant jusqu'à 46,8 mcg/kg (cadmium) et 94,4 mcg/kg (plomb). Pendant ce temps, la plupart des repas étaient « extrêmement pauvres » en nutriments essentiels. Comme le rapporte le MAA :
RépondreSupprimer« Un conseiller a calculé la contribution que l'échantillon d'aliment apporterait aux besoins nutritionnels d'une personne, en supposant qu'elle mangeait une portion de 4 onces (standardement utilisée dans l'analyse nutritionnelle) et en supposant que cet aliment représentait ¼ de sa nutrition pour la journée.
« Les éléments nutritionnels sont systématiquement très déficients en cuivre et sont également systématiquement déficients (mais dans une moindre mesure) en calcium, potassium et phosphore. Le magnésium, le zinc et le manganèse sont déficients dans de nombreux échantillons, soit environ 50 %. Le seul minéral qui satisfait ou dépasse constamment les exigences est le fer. C'est bien mais ce n'est pas suffisant !' …
Sans nutriments appropriés, le cerveau de nos enfants ne fonctionnera pas correctement et leur corps ne se développera pas comme il le devrait. Souvent, les enfants ayant des problèmes d’apprentissage et de comportement manquent d’un ou deux minéraux ou vitamines seulement ; Lorsque ces nutriments sont ajoutés à leur alimentation, leurs problèmes mentaux, physiques et comportementaux disparaissent. Même les comportements violents sont mis fin. Nos enfants doivent avoir une alimentation appropriée, riche en nutriments.
La restauration rapide ne peut pas vous soutenir
Après avoir effectué l’analyse des médicaments vétérinaires sur 10 repas de restauration rapide, MAA a ensuite testé 21 marques de restauration rapide pour les minéraux essentiels et les 10 principales marques pour les vitamines B.
« Les tests ont été effectués par souci de la crise de santé mentale et physique qui monte en flèche aux États-Unis », écrit Honeycutt dans son rapport du 18 octobre 2023. 14
« Quatre-vingt-cinq millions d’Américains mangent de la restauration rapide chaque jour. Les entreprises de restauration rapide fournissent souvent une part importante des 30 millions de repas scolaires servis chaque jour à nos enfants.
La qualité de la nourriture, y compris la contamination des produits agrochimiques et le manque de nutriments dû aux apports chimiques toxiques, contribue à nos problèmes de santé mentale et physique. Un Américain sur cinq souffre d'une maladie mentale et 54 % de nos enfants ont un problème de santé chronique.
RépondreSupprimerPour de nombreux enfants pauvres, les repas scolaires sont la seule nourriture qu’ils consomment chaque jour. De nombreuses études ont établi un lien entre les toxines présentes dans l’approvisionnement alimentaire et le manque de nutrition et des pathologies telles que l’autisme, la dépression, l’agressivité, le suicide et les homicides. Ce rapport… divulguera les niveaux de minéraux, de vitamines B et de calories dans les 20 principaux restaurants de restauration rapide/fournisseurs de repas scolaires.
Sur la base des tests de micronutriments effectués sur les repas scolaires en 2022 (ci-dessus), vous pouvez probablement deviner ce que ces tests nutritionnels ont révélé. La teneur en minéraux des fast-foods testés ne répondait pas aux besoins quotidiens recommandés en calcium, potassium, manganèse, cuivre, zinc et fer.
Par exemple, l'apport journalier recommandé (AJR) en cuivre est de 900 mcg par jour, et les nuggets de poulet de Chick-fil-A ne contiennent que 1,4 mcg de cuivre par gramme. Pour atteindre l’AJR, un adulte devrait consommer près de neuf portions de nuggets.
Les signes d’une carence en cuivre comprennent la fatigue, une mauvaise concentration et une mauvaise humeur. En outre, «les enfants atteints d'autisme et de comportements violents présentent souvent un déséquilibre en cuivre», écrit Honeycutt.
Restauration rapide presque dépourvue de vitamines B
Pire encore, aucune quantité de vitamine B9 ou B12 n'a été détectée dans les 10 principaux échantillons de restauration rapide, et des carences en ces vitamines B peuvent entraîner de la fatigue, des problèmes digestifs, des problèmes cardiaques, des troubles du système nerveux et un comportement erratique. En effet, la vitamine B12 (cobalamine) est connue comme « la vitamine énergétique ». Votre corps en a besoin pour la production d'énergie.
RépondreSupprimerIl joue également un rôle important dans la fonction neurologique, et une déficience peut aboutir à toute une gamme de symptômes de santé mentale, allant de l'irritabilité et de la dépression à la démence et même à la psychose. Vous pouvez en apprendre davantage sur le rôle de la vitamine B12 dans la santé mentale dans cet article du 6 novembre 2022 .
Les signes avant-coureurs d’une carence en vitamine B12 comprennent le brouillard cérébral, les pertes de mémoire, les sautes d’humeur, l’apathie, la fatigue, la faiblesse musculaire et les picotements dans les extrémités. Malheureusement, une carence en B12 peut ne pas se manifester avant plusieurs années, donc au moment où vous remarquerez des symptômes, vous pourriez être déjà gravement déficient.
Le fait qu’AUCUN des 10 principaux fast-foods ne contient de B12 est plutôt remarquable si l’on considère les aliments riches en B12, notamment le bœuf, les fruits de mer, le poulet et les œufs. Le bœuf et le poulet sont des aliments de base dans la restauration rapide, mais le bœuf et le poulet de la restauration rapide ne fournissent aucun B12 ! Si cela ne vous convainc pas que la viande de restauration rapide est loin d’être la même que la viande biologique nourrie à l’herbe, je ne sais pas ce qui le fera.
Les niveaux de B3 (niacine) étaient également catastrophiques. L'AJR pour les femmes est de 14 mg par jour et pour les hommes de 16 mg. Pour atteindre cet AJR, une femme devrait consommer 333 portions de sandwichs au poulet Chick-fil-A (pour une portion de 210 grammes) et un homme devrait manger 380 portions.
Le bol de carnitas de Chipotle avec tout, qui contenait la plus grande quantité de B3, vous oblige toujours à manger huit portions si vous êtes une femme et neuf portions si vous êtes un homme, pour atteindre votre AJR de niacine. Tel que rapporté par MAA : 15
« En moyenne, les adultes devraient consommer entre 64 et 73 portions des 10 meilleurs fast-foods pour obtenir une nutrition adéquate en vitamine B3 par jour. Alternativement, une portion de foie (élevé au pâturage, idéalement) ou une boîte de thon (SafeCatch) fournirait suffisamment de vitamine B3 ou de niacine pour une bonne nutrition pendant une journée. De toute évidence, la restauration rapide bon marché n’est pas aussi bon marché qu’il y paraît si l’on prend en compte la valeur des nutriments fournis lors de l’achat.
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RépondreSupprimerRemarques
1, 3 Certificat d'analyse de l'Institut de recherche en santé
2, 4 mamans à travers l'Amérique 9 octobre 2023
5, 7 EPA Nicarbazine
6 Le site avicole 9 mars 2009
8 Science Direct, Nicarbazine, Détection et contrôle des résidus de médicaments vétérinaires dans la volaille
9 Couverture zéro 13 octobre 2023
10, 13 mamans à travers l’Amérique 28 septembre 2022
11 Santé publique de Berkeley 1er mars 2023
12 Patient Power Lymphome non hodgkinien 13 février 2023
14, 15 mamans à travers l’Amérique 18 octobre 2023
https://www.globalresearch.ca/fast-food-loaded-antibiotics-hormones-heavy-metals-few-nutrients/5838034
12 août 2023 – Nicoya, Costa Rica – Le cycliste professionnel Sergio Andres Campos Rodriguez, 37 ans, est décédé subitement le 12 août 2023 des suites d'un arrêt cardiaque subi lors d'une course cycliste, à 3 km de la ligne d'arrivée.
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30 juillet 2023 – Belfast, Irlande – Le docteur et chirurgien cardiothoracique de premier plan, le Dr Simon MacGowan, est décédé dans son sommeil les 29 et 30 juillet 2023. « Il avait fait un tour des Alpes de six jours, de Genève à Nice, lorsqu'il est décédé. dans son sommeil à Nice à la fin du voyage.
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29 juillet 2023 – La triathlète irlandaise Sarah Fagan, 48 ans, originaire de Dundalk dans le comté de Louth, est décédée tragiquement en France le samedi 29 juillet après avoir été victime d'un arrêt cardiorespiratoire alors qu'elle participait au triathlon de l'Alpe d'Huez le vendredi 28 juillet.
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18 juillet 2023 – Coeur d'Alene, Idaho – Clark Campbell, professeur d'éducation physique, est décédé subitement d'un arrêt cardiaque lors d'un voyage en VTT le 18 juillet 2023.
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15 juillet 2023 – Cala Regina, Italie – Andrea Sechi, cycliste de 48 ans, s'est effondré suite à un arrêt cardiaque alors qu'il faisait du vélo sur une route en bord de mer et est décédé subitement des suites du « changement climatique » le 15 juillet 2023.
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7 juillet 2023 – Le cycliste professionnel belge de 34 ans Sep Vanmarcke a annoncé sa retraite en raison d'une IRM cardiaque montrant des tissus cicatriciels cardiaques dont il ignorait l'existence.
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17 mai 2023 – Dinmukhammed Ulysbayev, coureur cycliste professionnel kazakh de 24 ans, est décédé subitement d'une « insuffisance cardiaque aiguë » le 17 mai 2023 à Los Angeles, en Californie.
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6 mai 2023 – François Beaulieu, 56 ans, principal régulateur de l'énergie du Nouveau-Brunswick, est décédé subitement le 6 mai 2023. Il a subi un arrêt cardiaque soudain alors qu'il faisait du vélo samedi et est décédé. Épouse : « Il faisait ce qu’il aimait, faire du vélo. Son cœur s’est arrêté, mais pas le mien.
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Mon avis…
Les athlètes continuent de s’effondrer suite à des arrêts cardiaques soudains et je pense que nous commençons à constater des dommages cardiaques à long terme causés par les vaccins à ARNm contre la COVID-19.
Par exemple, le cycliste professionnel belge Sep Vanmarcke, 34 ans, a annoncé sa retraite car il a passé une IRM cardiaque qui a confirmé la présence de cicatrices dont il n'avait pas conscience. Il avait récemment commencé à avoir une fréquence cardiaque anormalement élevée, ce qui a motivé une IRM cardiaque.
La plupart des athlètes amateurs ne peuvent pas passer une IRM cardiaque ou une TEP cardiaque pour rechercher des cicatrices qui les prédisposeraient à une mort cardiaque subite. Mais cela pourrait faire la différence entre la vie et la mort subite.
D’après Ethical Skeptic, la mort subite d’origine cardiaque chez les 0 à 54 ans reste à un niveau record :
https://www.globalresearch.ca/four-professional-international-cyclists-forced-retire-due-cardiac-issue
Vidéo : Rapport « secret » de Pfizer sur le vaccin Covid. Au-delà de l'homicide involontaire. Les preuves sont accablantes. Le vaccin devrait être immédiatement retiré dans le monde entier
RépondreSupprimerPar le professeur Michel Chossudovsky
Recherche mondiale,
27 octobre 2023
Note de l'auteur
Pourquoi le « rapport confidentiel Pfizer » rendu public au titre de la liberté d’information (FOI) en octobre 2021 n’est-il pas cité ou évoqué dans les enquêtes parlementaires comme moyen de réfuter le discours officiel (qui prétend que le vaccin Covid-19 est « sûr et efficace »). efficace").
Nous avons documenté de nombreuses enquêtes publiques. Les plus récentes sont les auditions du Sénat australien. (août 2023)
Les preuves confirment amplement que le vaccin Pfizer est une substance dangereuse, entraînant des décès et des événements indésirables.
Ceci est confirmé par le rapport confidentiel de Pfizer publié sous FOI en octobre 2021. Il vient de Horse's Mouth.
Michel Chossudovsky , Global Research, 19 août 2023
* * *
Le rapport confidentiel fait l'effet d'une bombe. Le vaccin a été lancé à la mi-décembre 2020. Fin février 2021, « Pfizer avait déjà reçu plus de 1 200 rapports de décès prétendument causés par le vaccin et des dizaines de milliers d’effets indésirables signalés , dont 23 cas d’avortements spontanés survenus survenus à la mi-décembre 2020. » 270 grossesses et plus de 2 000 signalements de troubles cardiaques.
Ce Rapport Confidentiel Pfizer fournit des données sur les décès et les événements indésirables enregistrés par Pfizer depuis le début du projet vaccinal en décembre 2020 jusqu'à fin février 2021, soit une période très courte (au maximum deux mois et demi).
Les données de mi-décembre 2020 à fin février 2021 confirment sans équivoque « un homicide involontaire ». Sur la base des preuves, Pfizer avait la responsabilité d’annuler et de retirer immédiatement le « vaccin ».
La commercialisation mondiale par Pfizer du vaccin Covid-19 au-delà du 28 février 2021 ne constitue plus un « acte d'homicide involontaire ».
La FDA devrait rappeler le vaccin Pfizer « frelaté » contre la COVID-19 : Robert Malone
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 28 OCTOBRE 2023 - 02H20
Rédigé par Zachary Stieber via The Epoch Times
Le vaccin COVID-19 de Pfizer est frelaté en raison de la présence non divulguée d'une séquence d'ADN, selon les experts.
Un agent de santé remplit une seringue avec un vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19 dans une image de fichier. (Emmi Korhonen/Lehtikuva/AFP via Getty Images)
Cela devrait inciter la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis à procéder à un rappel, selon le Dr Robert Malone, un expert en vaccins dont les travaux ont été cités par Pfizer.
« Il faut absolument le rappeler », a déclaré le Dr Malone à Epoch Times.
« La FDA fera-t-elle son travail ? il a ajouté plus tard.
Le vaccin de Pfizer contient une séquence d'ADN du virus simien 40 (SV40), ont confirmé les autorités canadiennes à Epoch Times. Les autorités ont trouvé la séquence après que des chercheurs extérieurs, dont Kevin McKernan, ont découvert la séquence dans la prise de vue.
Le virus SV40 dans son ensemble peut provoquer le cancer, ce qui a conduit à son retrait des vaccins contre la polio dans le passé. Bien que la séquence génétique primaire du virus associé au cancer ne figure pas dans le vaccin de Pfizer, il existe une partie de la séquence appelée promoteur-amplificateur, qui "peut introduire des éléments dans le noyau, c'est donc un sujet de préoccupation", a déclaré David Wiseman, un chercheur. ancien scientifique de Johnson & Johnson, a déclaré à Epoch Times.
En raison de la présence de la séquence, disent certains experts, la FDA devrait constater que le produit est frelaté, ce qui est défini par la loi fédérale comme ayant une « force, une qualité ou une pureté différente de celle du recueil officiel ».
Le Congrès a ordonné à la FDA que si des tests sont effectués sur un médicament soupçonné d'être frelaté et que le médicament ne répond pas aux normes du recueil, et qu'il existe un risque pour la santé, d'ordonner au fabricant d'émettre un rappel, a noté le Dr Malone dans un communiqué. essai.
Si le fabricant omet de procéder à un rappel, "une saisie doit être envisagée", précise la loi.
RépondreSupprimer« La politique générale est qu'en cas de falsification et de risque raisonnable de toxicité, il doit y avoir une action immédiate », a déclaré le Dr Malone à Epoch Times. "Il s'agit d'un mandat essentiel confié à la FDA par le Congrès pour prévenir la falsification des médicaments, des dispositifs médicaux et des aliments. Et puis la question suivante est : s'agit-il d'une falsification ? Est-elle associée à un risque raisonnable de toxicité chez l'homme ? Et mon opinion est la suivante : , absolument."
D'autres experts, comme le Dr Janci Lindsay, affirment également que la présence de la séquence signifie que le vaccin est frelaté.
La FDA a refusé de commenter.
Pfizer n'a pas répondu aux demandes de renseignements.
Le sénateur Ron Johnson (Républicain du Wisconsin), membre éminent de la sous-commission permanente des enquêtes sur la sécurité intérieure et les affaires gouvernementales du Sénat, a déclaré que les régulateurs doivent fournir des réponses.
« J'ai mené des recherches et consulté des experts sur la question de la contamination de l'ADN dans les vaccins contre la COVID-19 depuis que celle-ci a été révélée », a déclaré M. Johnson par courrier électronique à Epoch Times. "La FDA doit apporter des réponses aux questions légitimes soulevées."
Si la FDA n’agit pas, les procureurs généraux des États pourraient saisir le vaccin en raison de la falsification, a déclaré le Dr Malone.
Epoch Times a demandé à plusieurs procureurs généraux s’ils envisageaient ou envisageraient une telle décision, mais ils n’ont pas répondu.
"Nous ne savons pas ce qui a été divulgué"
RépondreSupprimerSanté Canada a déclaré que les sponsors tels que Pfizer devraient identifier les séquences d'ADN biologiquement fonctionnelles dans un plasmide, telles que la séquence SV40, lors de la soumission de demandes d'autorisation.
Pfizer a bien fourni la séquence complète d'ADN du plasmide mais "n'a pas identifié spécifiquement la séquence SV40", a indiqué l'agence sanitaire.
Après que M. McKernan et d'autres scientifiques ont découvert la séquence, Santé Canada a « confirmé la présence de l'amplificateur », ajoute-t-il.
Il n’est pas clair si la séquence n’a pas non plus été identifiée par Pfizer pour la FDA.
"Nous ne savons pas ce qui a été divulgué à la FDA avant l'autorisation. Si cela a été divulgué, alors sa présence n'est pas inattendue. Si cela n'a pas été divulgué, je pense qu'il y a un cas où il s'agit d'une falsification", a déclaré M. Wiseman. .
Les règles en vertu desquelles le vaccin a initialement reçu une autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) peuvent cependant fournir une défense à l’agence.
"La FDA pourrait-elle affirmer qu'en raison de l'EUA, ou parce qu'elle en avait connaissance, ou pour une autre raison, aucune action n'est requise de sa part, et qu'il n'y a rien à voir ici ? Ils peuvent essayer de faire valoir cela. Mais la totalité est que c'est complètement faux", a déclaré M. Wiseman.
M. McKernan a présenté en juin, lors d'une réunion publique de la FDA, ses conclusions et a montré que Pfizer n'avait pas divulgué la séquence à l'Agence européenne des médicaments (EMA). La FDA ne répond généralement pas lors de la partie commentaires publics de ses réunions, ni après ce qui a été présenté.
"Ce qui est vraiment écrasant ici, c'est que Pfizer n'a jamais divulgué les informations sur le SV40 à l'EMA. Ils leur ont donné une carte plasmidique de la composition du plasmide, avec toutes les caractéristiques étiquetées, à l'exception du site SV40", a déclaré M. McKernan. « Leaders d'opinion américains » d'EpochTV. "Ils l'ont fait parce qu'ils savent que la région SV40 est une base très controversée dans son histoire dans le domaine des vaccins."
Nouveau papier
RépondreSupprimerDans un article préliminaire publié ce mois-ci, M. Wiseman, M. McKernan et d’autres chercheurs ont testé 27 flacons des vaccins Moderna et Pfizer COVID-19 et ont découvert la présence de la séquence SV40 dans les flacons Pfizer, et non dans ceux de Moderna.
Les tests, ainsi que la déclaration de Santé Canada, contribuent à confirmer les résultats des tests antérieurs de M. McKernan, qui ont identifié la présence de la séquence.
Le Dr Phillip Buckhaults, expert en génomique du cancer et professeur à l'Université de Caroline du Sud, a également trouvé des morceaux d'ADN plasmidique dans le vaccin. Il a déclaré à Epoch Times que « personne ne sait si cet ADN a un effet cliniquement significatif, mais il est prudent de vérifier chez les personnes vaccinées toute preuve de modification du génome ».
Le Dr Wafik El-Deiry, un autre expert en cancérologie et directeur du Legorreta Cancer Center de l'Université Brown, a déclaré que les résultats devraient stimuler davantage de recherches sur l'impact des vaccins sur différentes parties du corps, y compris le cœur et cerveau.
Matthew Horwood contributed to this report.
https://www.zerohedge.com/political/fda-should-recall-adulterated-pfizer-covid-19-vaccine-robert-malone
Les vaccins à ARNm contre le COVID-19 réduisent une bactérie bénéfique majeure, la biodiversité intestinale : recherche
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 29 OCTOBRE 2023 - 03h10
Rédigé par Marina Zhang via The Epoch Times
La recherche a montré que les vaccins à ARNm contre la COVID-19 réduisent les bactéries appartenant au genre Bifidobacteria, une bactérie intestinale courante et bénéfique. La vaccination contre le COVID est également liée à une réduction de la biodiversité intestinale.
Les travaux de la gastro-entérologue Dr Sabine Hazan, PDG de ProgenaBiome, un laboratoire de recherche génomique sur le microbiome, ont révélé qu'après la vaccination contre le COVID-19, les niveaux de bifidobactéries chez les personnes peuvent chuter jusqu'à 90 %. Certaines de ses données non publiées ont révélé que les niveaux de bifidobactéries sont négligeables chez les personnes vaccinées.
Les bifidobactéries sont parmi les premiers microbes à coloniser le tractus gastro-intestinal d'un bébé lors de son passage dans le canal génital de la mère. On pense qu’ils exercent des effets positifs sur la santé de leur hôte.
Les bifidobactéries interagissent avec le système immunitaire et leur présence est liée à une meilleure immunité contre les agents pathogènes et le cancer.
Les travaux antérieurs du Dr Hazan sur les patients hospitalisés atteints du COVID-19 ont montré que les patients qui souffraient d'une forme grave du COVID-19 avaient tendance à avoir des niveaux de bifidobactéries faibles ou nuls, tandis que ceux ayant des réserves plus élevées de bifidobactéries avaient tendance à développer une infection asymptomatique.
Au cours de ses recherches, elle est tombée sur deux frères et sœurs inscrits aux essais cliniques du vaccin contre la COVID-19.
"Un frère ou une sœur a reçu un placebo et un autre a reçu le vaccin. Le seul frère qui a reçu le vaccin a été blessé... et elle n'a pas de bactérie bifidobactérie. Son frère, qui a reçu le placebo n'a pas été blessé, a cette bifidobactérie", a-t-elle déclaré. L'Epoque Times.
L'importance des bifidobactéries
La perte de bifidobactéries a été découverte en comparant la diversité du microbiome avant et après la vaccination. Généralement, la perte est transitoire, alors qu'elle peut persister pendant plus de neuf mois dans des cas plus extrêmes.
Il existe également de rares cas où la population de bifidobactéries augmente. Le Dr Hazan a parlé de la population de bifidobactéries d'un patient qui a plus que doublé un mois après la vaccination. Cependant, six à neuf mois après la vaccination, le nombre de bifidobactéries du patient était tombé à zéro.
Le Dr Hazan a déclaré qu'on ne sait pas pourquoi les niveaux de bifidobactéries chez certaines personnes augmentent après la vaccination.
RépondreSupprimerLes bifidobactéries sont un probiotique courant et il est bien établi que les humains peuvent les consommer pour améliorer la santé intestinale. En fait, les produits contenant des bifidobactéries représentent des milliards de dollars de part de marché sur le marché des probiotiques.
L’absence de microbes bifidobactéries est liée à des maladies chroniques, notamment le diabète, le cancer et les maladies auto-immunes. Certaines études ont montré que l’administration de bifidobactéries probiotiques peut contribuer à améliorer les conditions diabétiques et à combattre le cancer.
Perte d'autres microbes après la vaccination
Certains patients peuvent avoir d’autres microbiomes manquants après la vaccination, et tenter de retrouver les microbes que le patient aurait pu avoir avant la vaccination implique un travail médico-légal difficile, selon le Dr Hazan.
Une étude menée par des chercheurs de Hong Kong a révélé que l’administration du vaccin à ARNm contre la COVID-19 était directement liée à une réduction de la biodiversité intestinale, entraînant la perte d’au moins 10 microbes différents.
Alors que certaines personnes vaccinées ont constaté une augmentation de certaines bactéries, la vaccination a réduit la diversité globale du microbiome.
Les auteurs ont également noté que les risques d’effets indésirables courants comme la fièvre, les maux de tête, la douleur aux sites d’injection, etc. peuvent également être liés aux bactéries présentes dans l’intestin. Par exemple, les patients présentant un taux élevé de bifidobactéries avaient tendance à être moins enclins à développer des effets indésirables du vaccin.
Un microbiome intestinal avec une faible biodiversité est associé à une mauvaise santé et au vieillissement. Après la naissance, les bébés développent un microbiome intestinal très diversifié. En vieillissant, ils perdent cette diversité car ils développent des maladies, prennent des antibiotiques et des médicaments, mangent mal, dorment moins, etc.
Les bifidobactéries peuvent représenter jusqu'à 95 % du microbiome intestinal du bébé pendant la petite enfance. Ce chiffre diminue ensuite et se stabilise à moins de 10 pour cent à l’âge adulte.
Pourtant, le Dr Hazan a observé des cas de bébés allaités par des mères vaccinées ne possédant aucune bifidobactérie. Les conséquences à long terme de cette situation sont inconnues, d'autant plus que les bifidobactéries sont impliquées dans la construction du système immunitaire d'une personne.
RépondreSupprimerLa prise de conscience croissante de l'importance du microbiome intestinal pour la santé a conduit certains parents à congeler les premières selles de leur bébé en vue d'une transplantation fécale à l'avenir, a déclaré le médecin interne, le Dr Yusuf Saleeby, à Epoch Times. À mesure que le bébé grandit et que son microbiome s’épuise, l’échantillon fécal peut être transplanté pour corriger la composition du microbiome intestinal.
"Si l'enfant tombe malade et souffre de dysbiose, les parents peuvent retourner dans l'entreprise... et réinoculer ces microbes au bébé, pour essayer de lui redonner ce qu'il aurait dû avoir", a-t-il expliqué.
https://www.zerohedge.com/medical/covid-19-mrna-vaccines-reduce-major-beneficial-bacteria-gut-biodiversity-research
Vidéo : La Dre Naomi Wolf découvre le programme de dépopulation de Pfizer, comme en témoignent ses propres documents
RépondreSupprimerPar The Vigilant Fox et Dr Naomi Wolf
Recherche mondiale,
28 octobre 2023
« Il s’agit d’un roman policier dans lequel la question est : comment empêcher les femmes d’avoir des bébés en bonne santé ? C'est l'histoire des documents Pfizer.
« Ces gens [les pouvoirs en place] ne veulent pas que nous soyons autonomes », a conclu la Dre Naomi Wolf devant un public lors d'un récent événement familial d'ACC . « Ils veulent que nous soyons dépendants et effrayés. »
- voir clip sur site -
Quelle qualité autonome ciblent-ils le plus ? Notre capacité à nous reproduire, atteste le Dr Wolf .
« Une chose que les gens sont capables de faire depuis des milliers d’années, c’est d’avoir des relations sexuelles et d’avoir des bébés sans aucune intervention ni aide de qui que ce soit. C'est une formidable façon pour la race humaine d'être autonome, de pouvoir survivre à une catastrophe. Eh bien, les Tech Bros. et probablement la Chine veulent nous retirer cela. Cela ressort clairement des documents de Pfizer.
"Il y a une section des documents de Pfizer dans laquelle Pfizer détaille les événements indésirables et conclut que les femmes en subissent 72%", a-t-elle poursuivi. « Et parmi ceux-ci – et ce sont les mots de Pfizer – 16 % sont, entre guillemets, des « troubles de la reproduction », contre 0,49 % pour les hommes. Ils sont donc très concentrés sur la reproduction, sur la reproduction féminine.
"Je crois qu'ils essayaient de perturber en particulier la reproduction féminine", a déterminé le Dr Wolf . « Et la question est : comment puis-je le savoir ? Et la réponse vient de la structure de ce qu’ils ont examiné. Encore une fois, je suis critique littéraire, mais il s'agit d'un roman policier dans lequel la question est : comment pouvons-nous empêcher les femmes d'avoir des bébés en bonne santé ? C'est l'histoire des documents Pfizer.
"Donc, dans les documents de Pfizer, il y a un graphique", a détaillé le Dr Wolf .
« Et en tant que femme, c’est l’une des choses les plus douloureuses à voir. Et je suis juif. Et ma grand-mère a perdu neuf frères et sœurs à cause de l’Holocauste. Je ne dis donc pas cela à la légère, mais ce graphique est un graphique de type Mengele. C'est la science Mengele.
« Pourquoi s'agit-il de la science Mengele ? » elle a demandé. "Parce qu'ils décomposent 20 choses horribles différentes qui peuvent arriver aux menstruations des femmes."
D'autres effets indésirables sur la reproduction sont répertoriés ici .
Voici une fraction de la vingtaine de façons différentes dont Pfizer admet que le vaccin à ARNm peut déréguler ou affecter la santé reproductive des femmes :
RépondreSupprimerSaignements menstruels abondants – 27 685 cas
Troubles menstruels (douleurs, saignements abondants ou absence de règles) – 22 145 cas
Menstruations irrégulières (durées de cycle irrégulières) – 15 083 cas
Menstruation retardée – 13 989 cas
Dysmennorhée (douleur pendant les règles) – 13 904 cas
Saignements intermenstruels (saignements entre les règles) – 12 424 cas
Aménorrhée (absence de règles) – 11 363 cas
Polyménorrhée (règles multiples) – 9 546 cas
Hémorragie vaginale (saignement excessif de l'appareil reproducteur féminin) – 4 699 cas.
Oligoménorrhée (règles peu fréquentes) – 3 437 cas
«Je vois des vies ruinées», a déploré le Dr Wolf .
"Et ils [Pfizer] les notent simplement calmement, un par un."
Il existe également en France un groupe appelé Où est mon cycle , qui se traduit par « Où est mon cycle ?
Le Dr Wolf a détaillé des « choses extrêmement étranges » dans les documents Pfizer, telles que « des filles de dix ans ayant leurs règles dès la première injection » et « des femmes ménopausées depuis longtemps dans les années 80 et 90 qui saignent à nouveau après avoir reçu l’injection ».
Il ne suffisait pas à Pfizer de voir des femmes se ruiner, a affirmé le Dr Wolf .
« Encore une fois, je n’arrête pas de dire qu’il s’agit d’un pathogène respiratoire. Pourquoi sont-ils si concentrés sur le sexe ? À un moment donné, ils s’accouplent avec des rats mâles vaccinés et des rats femelles non vaccinés. Ensuite, ils les tuent, disséquent et examinent les cellules de leurs organes sexuels . D'accord? Ils sont donc très, très concentrés sur la sexualité des mammifères.
"Et il n'est pas nécessaire d'être un génie" pour comprendre que les injections d'ARNm de Pfizer provoqueraient des problèmes de fertilité, a souligné le Dr Wolf .
« Il faut des mathématiques de niveau 8 pour deviner que si les femmes ont d’horribles problèmes menstruels en 2021, il y aura des problèmes de fertilité en 2023, n’est-ce pas ?
- voir graph sur site -
RépondreSupprimer« Alors maintenant, nous sommes en 2023 », a déploré le Dr Wolf , alors que ces problèmes de fertilité se sont concrétisés. » Igor Chudov a comparé les bases de données de pays du monde entier. Il y a un million de bébés disparus en Europe. Ils ne sont jamais nés. [Il y a] le double du nombre de fausses couches et d'avortements spontanés en Écosse [et une] baisse de 13 à 20 % des naissances vivantes dans le monde. [Il y a] deux ou trois fois plus d’avortements spontanés et de fausses couches à Tel Aviv qu’avant. Et ainsi de suite partout dans le monde. Et maintenant nous savons pourquoi. Maintenant, nous connaissons le mécanisme.
« Il ne s’agit donc pas seulement d’une attaque contre l’humanité ; c'est une attaque contre notre avenir », a déterminé le Dr Wolf .
« Ce n'est pas seulement une attaque contre nous. Il ne s’agit pas seulement d’un meurtre de masse, comme l’ Ofcom s’y oppose , mais d’une attaque existentielle. Et réfléchissez-y chronologiquement. Je suis très inquiet qu'une source britannique ait déclaré vouloir imposer un embargo sur ces informations pendant 20 ans. Parce que je me demande, que s'attendent-ils à ce qu'il se passe dans 20 ans ?
"Je pense que c'est la pointe de l'iceberg", a-t-elle poursuivi. "Nous avons [ les volontaires DailyClout/War Room ] un rapport sur les turbo-cancers, nous avons un rapport sur les accidents vasculaires cérébraux, nous avons un rapport sur les lésions hépatiques et rénales."
"Je ne veux pas vous déprimer, mais tout autour de vous il y a des gens qui souffrent de maladies", a déploré le Dr Wolf . "Aucun de leurs médecins ne leur dit que ces maladies figurent dans les documents de Pfizer comme effets secondaires et que nous en comprenons désormais les mécanismes."
"Et si vous voulez savoir ce qui arrive à vos proches, veuillez lire les rapports sur Dailyclout.io ", a exhorté le Dr Wolf .
« Ils sont gratuits . Ou commandez le livre , s'il vous plaît. Il y a toutes les preuves ici. Mais tout autour de vous, tout autour de moi, il y a des gens qui souffrent et meurent des effets secondaires mentionnés dans ces documents dont ils avaient connaissance.
L’intégralité du discours du Dr Wolf est disponible dans la vidéo ci-dessous :
- voir clip sur site -
https://www.globalresearch.ca/dr-naomi-wolf-uncovers-pfizer-depopulation-agenda-evidenced-its-own-documents/5821250
Si nous relions les points, nous réalisons que le « cerveau comme champ de bataille du futur » est MAINTENANT et que nous avons été prévenus bien à l’avance. Selon le Dr Giordano, la science des neurotechnologies a débuté il y a une quarantaine d'années et lui, Giordano, en fait partie depuis au moins 35 ans. C'est pourquoi les avertissements ont été omniprésents, au plus tard dans la « Quatrième révolution industrielle » de Klaus Schwab (disponible sur Amazon).
RépondreSupprimerLe Culte de la Mort a de nouveau donné des avertissements aux gens, conformément à ses « règles » – bien à l’avance, donc ils pourraient réussir.
Pourquoi ne prenons-nous jamais note de tels avertissements ?
Parce que nous ne croyons pas à tant de mal inhérent à l’humanité ? Ou, parce que nous ne voulons pas quitter notre « zone de confort », notre vision dystopique d’un « monde sûr » ? Ils le savent. Et nous DEVONS briser cette frontière entre le confort et la réalité. Sinon, nous sommes condamnés.
« Si vous êtes ciblé, vous ne pouvez pratiquement rien faire », déclare William Binney, ancien directeur technique et lanceur d'alerte de la NSA. La NSA est l'Agence de sécurité nationale des États-Unis, l'une des 15 agences de renseignement américaines.
Si vous voulez qu’un principal manifestant arrête de manifester, vous ciblez son cerveau avec des ondes ultra-courtes.
Nous les connaissons désormais sous le nom de 5G. Vous les déprimez, donc ils ne veulent plus manifester ; vous les rendez suicidaires et le problème est résolu. Vous faites cela autant de fois que vous le souhaitez et créez une ambiance de dépression. Ce sont des mots paraphrasés de Barry Trower, ancien scientifique et lanceur d’alerte du MI5 Microwave.
Le syndrome de La Havane aurait également été signalé par le personnel de l'ambassade américaine en Chine.
RépondreSupprimerLa DARPA a signé quelques contrats en 2011/2012 avec l'Université de Californie pour ce qu'on appelle la « télépathie électronique », afin de pouvoir surveiller le cerveau des gens à distance et déterminer ce qu'ils pensent.
En vertu d'un contrat distinct, l'université devait étudier l'envoi de signaux au cerveau d'une personne, lui envoyant littéralement des messages indiquant ce qu'elle devait penser – et faire. C’est là qu’en est la technologie aujourd’hui.
Cela pourrait être utilisé dans votre vie privée, ainsi que dans votre vie professionnelle. Cela signifie que, déjà aujourd’hui, ils pourraient vous obliger à faire et à vous comporter comme ils le souhaitent. Ils pourraient faire de vous un meurtrier, un tricheur ou tout simplement obéir aux ordres qui pourraient suivre.
Je le répète : « Ce que vous devez savoir, c'est que le cerveau est et sera le champ de bataille du 21e siècle », déclare le Dr James Giordano, neurologue de la DARPA, lors de son intervention au Modern War Institute de West Point NY.
Il est important de s'en souvenir, d'autant plus que nous devons accorder plus d'attention à notre environnement, au comportement des gens, qu'à ce à quoi nous sommes habitués. Nous pouvons en déduire de nombreuses leçons. Afin que nous puissions continuer et élargir le domaine de la connexion des points.
Dans la vidéo ci-dessous, vous verrez un graphique indiquant que les neurosciences et les neurotechnologies de la Division des stupéfiants et des enquêtes spéciales (NSID), qui font partie de la DARPA, sont « valides, précieuses et déjà utilisées par le NSID depuis 2014 ».
La technologie pourrait être utilisée pour vous inciter à commettre un meurtre de masse. Certaines des fusillades de masse « soudaines et inattendues » dans les écoles et les centres commerciaux sont-elles déclenchées par de tels mécanismes ?
Il s'agit là d'une possibilité réelle, car dans la plupart des cas, le tireur n'est pas appréhendé et traduit en justice, mais immédiatement tué sur place par la police, de peur qu'il ne se souvienne de ce qui lui est arrivé et ne divulgue le secret au tribunal . le cerveau comme champ de bataille. Dans la plupart des cas, la police dit simplement que le « coupable » était connu de la police et/ou avait déjà un casier judiciaire. C’est pour vous empêcher de réfléchir davantage.
Pourquoi le font- ils ? Ils sont des « monstres » qu’on ne peut pas facilement appeler des humains.
RépondreSupprimerPour créer la terreur, une peur constante, pour vous garder sur vos gardes. Pour vous habituer à la terreur et à la violence, car le pire, voire le pire, est à venir, s'ils réussissent. Et nous nous conformons simplement, devenons déprimés et passifs, au lieu de nous rebeller à l’unisson et dans la paix, mais en rejetant fermement la domination de quelques-uns sur nous, le grand nombre.
Curieusement, la quatrième révolution industrielle ne donne pas une seule raison valable pour laquelle la numérisation, le transhumanisme et le contrôle total de l’humanité sont bons pour l’humanité et pour la Terre Mère ; ni la Grande Réinitialisation, ni l’Agenda 2030 des Nations Unies.
Nous devons mettre fin à cet abus de l’humanité, à cet asservissement humain au profit de quelques-uns. Par exemple, nous pouvons le faire, entre autres actions, en désactivant collectivement et solidairement les antennes 5G/6G ; en restant à l'écart autant que possible des vaccins, des médicaments altérant vos activités cérébrales, comme provoquer une dépression et une extrême gaieté. Éloignez-vous des médicaments traditionnels et en particulier des antennes à ondes courtes.
N'oubliez pas que les personnes effrayées sont plus faciles à manipuler. Et c’est l’un des objectifs finaux, vous manipuler selon leur volonté.
L'expert de la DARPA, Giordano, qui est également un éminent scientifique du Département américain de la Santé et des Services sociaux – cela parle de lui-même – parle également de technologies non invasives, comme le soi-disant « Programme N3 », la neurochirurgie, la neuromodulation et programme de lutte contre les stupéfiants.
« L’idée est de placer des électrodes de taille minimale dans votre cerveau, pour une intervention minimale afin de pouvoir lire et écrire dans les fonctions cérébrales. En temps réel. À distance….. influencer de manière cinétique et non cinétique les attitudes, les croyances, les pensées, les émotions et les activités ; regardez le pouvoir et les outils qu’offrent les sciences du cerveau.
C’était le niveau de la science en 2018, lorsque le Dr Giordano a prononcé son fameux discours à West Point. Entre-temps, les neurosciences ont fait un bond en avant, de sorte que les implants ne sont plus nécessaires.
Barry Tower , ancien scientifique du MI5 Microwave , explique comment ils détruisent un individu ciblé. Il dit,
RépondreSupprimer« Si vous voulez provoquer une maladie psychiatrique spécifique, vous devez toujours faire en sorte que le faisceau micro-ondes cible une glande spécifique, ou une partie spécifique du cerveau, ou un œil, ou un cœur… » Et vous ne pouvez rien faire. "Si cela ne fonctionne pas, ils peuvent toujours envoyer le FBI, prendre une photo, puis vous éliminer par d'autres moyens."
Les communautés du renseignement, même celles au sein des gouvernements, avec l’aide de leurs outils de surveillance assistés par algorithmes, deviennent si puissantes qu’elles échappent aux frontières de l’État pour lequel elles travaillent, deviennent indépendantes et contrôlent l’État qui devrait les contrôler.
Nous nous dirigeons à toute vitesse vers un État nazi-Stasi que nous voyons venir, mais que nous sommes incapables de faire quoi que ce soit contre lui, car nous ne sommes pas liés les uns aux autres, nous sommes séparés en tant qu'individus, avec nos petits avantages individuels et nos privilèges. – nous tenant en laisse individuelle, nous éloignant délibérément de nous unir aux autres.
« Stasi » – pour ceux qui sont trop jeunes pour s’en souvenir, est un terme familier pour décrire le ministère de la Sécurité d’État est-allemand.
Cela affecte non seulement les États-Unis, mais aussi les pays du monde entier, en particulier le monde occidental, qui a toujours l’intention de rester L’ Empire, émergeant vers un Ordre Mondial Unique (OWO).
Cela ne peut se produire qu’avec (i) une population massivement réduite, pour réduire la résistance ; (ii) avec une population effrayée ; et finalement, (iii) avec les survivants transformés en transhumains facilement manipulables.
La façon dont cela fonctionne a été démontrée de manière très éloquente dans la vidéo ci-dessus. Ci-dessous une version sommaire mais tout aussi explicite (vidéo de 23 min).
Est-ce l'avenir qui nous attend ?
Cela y ressemble, d’autant plus que la plupart des gens, peut-être jusqu’à 99,999 %, n’en ont aucune idée et sont totalement vulnérables mais, en tant que tels, ils constituent de parfaits cobayes pour les essais, pour perfectionner leur « champ de bataille cérébral », afin de parler.
Ce n’est pas une vie qui vaut la peine d’être vécue. Mais le suicide n’est pas la solution. Au contraire, sortir de ce système diabolique, ouvertement promu par le Forum économique mondial (WEF) avec « The Great Reset » ; L'OMS, avec l'asservissement international des vaccins et des certificats de voyage basé sur le code QR ; et l’Agenda 2030 des Nations Unies, qui peut être lu à égalité avec The Great Reset.
Un éminent banquier suisse appelle à « l’arrestation » de l’ensemble du Forum économique mondial (FEM) pour « démocide » provoqué par des tirs d’« armes biologiques » contre le COVID
RépondreSupprimer27/10/2023
Ethan Huff
Le fils de l'un des cofondateurs du Forum économique mondial (WEF), aujourd'hui banquier suisse à la retraite, réclame justice contre les criminels qui ont lancé les « vaccins » contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) dans le monde.
Pascal Najadi, dont le père Hussain Najadi a été assassiné en 2013, s'associerait apparemment au Dr Astrid Stuckelberger – avez-vous vu la récente apparition du Dr Stuckelberger dans le Health Ranger Report ? (vous pouvez le regarder dans son intégralité ci-dessous) – pour exiger des poursuites pénales complètes contre toutes les personnes impliquées dans les injections de COVID, qu’ils appellent désormais tous deux des « armes biologiques ».
Najadi et le Dr Stuckelberger ont réalisé un nouveau film documentaire
Najadi et le Dr Stuckelberger ont réalisé un nouveau film documentaire intitulé « Couper la tête du serpent » qui se penche sur le « démocide » dans lequel les auteurs du vaccin contre le COVID se sont livrés sous couvert de lutter contre une « pandémie » mondiale, qui a été largement falsifié pour effet de terreur maximum.
Najadi a démissionné de son puissant poste bancaire il y a peu de temps, mais pendant qu'il était en poste, il a exercé une influence significative sur les affaires mondiales. Son travail consistait à conseiller les pays et les chefs d'État sur l'orientation financière de leurs pays respectifs.
Najadi est également responsable de la récente démission du président suisse Alain Berset, contre lequel Najadi a déposé une plainte pénale devant la Haute Cour suprême de Suisse, accusant Berset d'avoir fait de fausses déclarations sur la « sécurité » et « l'efficacité » des vaccins à ARNm contre le COVID.
(Connexe : En juillet, le Comité exécutif républicain du comté de Brevard (BREC) en Floride a déclaré que les tirs contre le COVID étaient des armes biologiques.)
Le moment est MAINTENANT de punir les criminels de guerre derrière l’Opération Warp Speed.
Peu disposé à faire face aux accusations, probablement parce qu'il est coupable, Berset démissionne officiellement de son poste d'ici la fin de l'année, même s'il a déjà pratiquement laissé son siège vacant.
Dans le film documentaire de Najadi et du Dr Stuckelberger, Najadi explique longuement le mépris de son défunt père pour le WEF basé à Genève. Son père a en fait quitté le WEF, qu'il avait cofondé, au début des années 1980, laissant Klaus Schwab à la tête.
"Tout le mal dans le monde lié au démocide vient malheureusement de Genève", dit Najadi.
RépondreSupprimer"Il y a l'OMS [Organisation mondiale de la santé] à Genève, vous avez GAVI [Alliance pour le vaccin de Bill Gates], puis vous avez le WEF, dont mon père était l'un des cofondateurs et qu'il a laissé par dégoût à Klaus Schwab au début des années 80, qui a immunité diplomatique."
Najadi déclare en outre qu'en tant que citoyen suisse, il est libre de déclarer le WEF inéligible à toute nouvelle immunité diplomatique, qui a longtemps servi de couverture à ses crimes contre l'humanité.
Najadi souhaite que les autorités suisses commencent maintenant à arrêter les auteurs de crimes contre l'humanité liés au COVID, qui incluent une "injection mondiale d'humanité par une arme biologique".
Les grandes sociétés pharmaceutiques, les grandes technologies, le WEF, Bill Gates, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et de nombreuses autres entités contrôlées par les mondialistes sont tous responsables en partie du programme de vaccination contre le COVID, et Najadi souhaite que tous fassent face à la situation.
"J'appelle les autorités et la sécurité suisses à arrêter ces personnes immédiatement", déclare Najadi. "Pourquoi ? Le WEF, l'OMS, GAVI, Big Pharma, Big Tech et Bill Gates ont tous préconisé une injection mondiale d'humanité par une arme biologique injectant des nanolipides à 5,7 milliards de personnes."
"Et nous, les Suisses, les accueillons. C'est terrible."
Najadi dit que lui et sa mère sont également des victimes, ayant tous deux reçu les vaccins, et qu'ils en meurent tous les deux, dit-il.
"C'est un démocide et il sera jugé", a encore déclaré Najadi. "Cela sera corrigé au nom de l'humanité."
Dans le contexte américain, les patriotes feraient bien de se concentrer sur ceux qui ont propagé l’opération Warp Speed et de les poursuivre en justice. Beaucoup d’entre eux portent les mêmes noms et organisations que ceux mentionnés par Najadi, c’est donc un bon point de départ. »
Les dernières nouvelles concernant les vaccins contre la grippe Fauci peuvent être trouvées sur ChemicalViolence.com.
Les sources de cet article incluent :
SlayNews.com
Brighteon.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2023-10-27-banker-calls-for-wef-arrest-vaccine-democide.html
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