- ENTREE de SECOURS -



mercredi 4 octobre 2023

Des députés américains mettent en garde contre le traité sur les pandémies et demandent le retrait de l'OMS

 

49 commentaires:

  1. Des députés américains mettent en garde contre le traité sur les pandémies et demandent le retrait de l'OMS


    03.10.2023
    www.kla.tv/27137


    Le 17 mai 2023, lors d'une conférence de presse en direct de la Sovereignty Coalition, c'est-à-dire la Coalition pour la souveraineté, 18 parlementaires américains ont attiré l'attention sur une menace sérieuse pour leur pays : l'OMS et son traité sur les pandémies. Ils exigent « … que les États-Unis quittent l'OMS ».

    D'ici mai 2024, la version finale du traité de l'OMS sur les pandémies devrait être prête pour la 77e Assemblée mondiale de la santé et devra ensuite être ratifiée par les 194 États membres de l'OMS. En combinaison avec la modification du Règlement sanitaire international également prévue, l'OMS et son directeur général Tedros deviendraient ainsi l'instance dirigeante absolue en matière de politique sanitaire internationale. En outre, Tedros pourrait censurer massivement les informations indésirables en les qualifiant de « désinformation » et restreindre la souveraineté des États nationaux dans le monde entier.

    Grâce à ces mesures, l'OMS, jusqu'à présent consultative, deviendrait une instance dirigeante mondiale juridiquement contraignante. En bref, les recommandations deviennent des ordres !
    On sait depuis des années, et cela suscite de plus en plus de critiques, que l'OMS est financée à 80% par des donateurs et des fondations privés, parfois très douteux. De même, le directeur général Tedros entretient des liens avec des stratèges mondiaux notoires, comme par exemple Bill Clinton, Barack Obama, Bill Gates et Klaus Schwab. L'émission Kla.TV « Le dossier Tedros » informe sur d'autres points inquiétants du curriculum vitae de Tedros.

    Les députés américains de la Coalition pour la souveraineté ont également soulevé ces critiques et évoqué d'autres facteurs problématiques concernant l'OMS. Ces politiciens ont été contactés par de nombreux citoyens américains qui ont exprimé leurs préoccupations et leurs inquiétudes concernant le traité sur les pandémies, ce qui a conduit à la création de la Coalition pour la souveraineté. Forts de l'appui de leurs concitoyens, les députés ont uni leurs forces et agissent publiquement avec courage pour le bien de leur pays et des citoyens.

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  2. Dans ce qui suit, nous donnons la parole aux politiciens américains eux-mêmes et vous faisons part des principales critiques qu'ils formulent. En fin de compte, ces préoccupations ne concernent pas seulement les États-Unis mais tous les pays du monde.

    Il convient toutefois de mentionner d'emblée que la plupart des députés soulignent que l'OMS a été infiltrée et est désormais dirigée par le Parti communiste chinois, ou PCC, ou par la Chine. Le député Frank Gaffney, par exemple, estime notamment que le Parti communiste chinois dirige l'OMS afin de réaliser son objectif de longue date d'un gouvernement mondial.
    En faisant de telles déclarations, il faut garder à l'esprit que les mêmes stratèges mondiaux qui planifient la mise en place d'un gouvernement mondial n'influencent pas seulement la Chine, mais aussi le gouvernement américain et de nombreux pays dans le monde.
    Le documentaire de Kla.TV « Comment fonctionnent les guerres modernes » explique en détail comment les dirigeants mondiaux se servent toujours des pays ou des personnes dont ils ont besoin pour mener à bien leurs manœuvres géostratégiques.

    Mais écoutez maintenant les motivations des députés :

    UT_Pourquoi exactement rejetez-vous le traité de l'OMS sur les pandémies, qui prévoit une modification du règlement sanitaire international, et demandez-vous à quitter l'OMS ?

    4mn05_Ronny Jackson, Texas : Je voudrais juste dire que l'OMS est une organisation corrompue. Elle n'est rien d'autre qu'une marionnette du gouvernement chinois. [...] Nous avons vu comment ils ont été complices de la dissimulation des événements, comment ils ont stoppé le flux d'informations. [...] Ils ont prouvé qu'on ne pouvait pas leur faire confiance et nous ne devrions pas leur faire confiance.

    Tim Burchett, Tennessee : Mon bureau a reçu des dizaines d'appels de citoyens inquiets de l'est du Tennessee, préoccupés par les conséquences que ce traité sur les pandémies pourrait avoir sur leurs libertés. [...] Le traité sur les pandémies de l'OMS est très vague. Il porte atteinte à notre souveraineté et pourrait être utilisé pour dicter aux Américains le type de soins de santé dont ils auraient besoin en cas de pandémie mondiale. Ma priorité a toujours été de protéger la liberté des Américains de choisir leurs propres soins de santé.

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  3. Brian Babin, Texas : Si nous continuons à nous plier aux organisations mondialistes qui n'agissent pas dans l'intérêt de notre propre pays, nous continuerons à subir des dommages. Il suffit de regarder l'OMS et la manière dont elle a géré le Covid, les confinements, la corruption, le manque de transparence et de vérité. La dernière chose dont nous avons besoin, c'est d'être soumis à l’OMS et de perdre notre souveraineté. Nous ne pouvons pas nous permettre de céder ne serait-ce qu'un centimètre supplémentaire de notre indépendance et de notre autonomie à Pékin ou à ceux qui vont dans leur sens.

    Andy Biggs, Arizona : Vous savez que la commission des affaires étrangères de la Chambre des représentants a publié un rapport sur le Parti communiste chinois et ses relations avec l'OMS concernant le Covid. [...] Il ne fait aucun doute que le PCC s'est activement engagé dans une opération de dissimulation visant à masquer des données, à dissimuler des informations pertinentes sur la santé publique et à étouffer les médecins et les journalistes qui tentaient d'alerter le monde.

    Eli Crane, Arizona : Et je continuerai à soutenir toute législation, toute résolution, tout écrit qui préservent notre souveraineté et notre liberté et nous éloignent de ces organisations mondiales comme l'OMS qui n'ont pas en tête l’intérêt le meilleur pour le peuple américain ou sa santé.

    Lauren Boebert, Colorado : L'OMS a été très claire : elle censurera tous ceux qui ne sont pas d'accord avec son programme et veut contrôler tous les aspects de la vie des individus. Ils veulent un contrôle total sur les vaccins, la numérisation des données de santé et sur vos déplacements. Avec ce plan, l’administration Biden adhère au marxisme en attribuant des médicaments sur la base du principe de justice distributive. Ce n'est pas à cela que ressemble une république constitutionnelle. Il s'agit d'une dictature et nous devons cesser de financer l'OMS et stopper cet agenda radical du gouvernement Biden.

    Eric Burleson, Southwest Missouri : Les habitants du sud-ouest du Missouri savent, après le Covid-19, que l'OMS est l'une des institutions les plus corrompues, les plus incompétentes et les plus discréditées au monde. Pourtant, l'une des premières actions de Joe Biden a été de ramener les États-Unis dans cette organisation corrompue. En effet, cette même institution a poussé des pays comme les États-Unis à fermer des écoles et des entreprises, les plongeant ainsi dans la crise économique de l'inflation et obligeant les gens à se faire vacciner. Ils ont soutenu des obligations de port de masques dans le monde entier et ont fait l'éloge de toutes les fermetures.

    Anna Paulina Luna, Floride : Au cas où vous soutiendriez toujours l'OMS pour une raison ou une autre, je voudrais que vous sachiez exactement ce que vous soutenez.
    En 2010, l'OMS a publié des normes internationales pour l'éducation sexuelle des enfants, qui recommandent d'accorder aux enfants de moins de quatre ans le droit fondamental d'explorer leur nudité, et d'enseigner aux enfants de quatre à six ans la masturbation précoce et la joie et le plaisir de toucher leur propre corps et leurs organes génitaux.

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  4. L'un des partenaires de l'OMS aux Pays-Bas a contribué à l'élaboration de ces normes et les a mises en œuvre dans le pays par le biais de programmes scolaires qui enseignaient aux enfants de cinq ans comment se masturber et quelles étaient les techniques sexuelles.

    L'une de ces vidéos était si obscène et a suscité tant de réactions de la part du public qu'elle a dû être entièrement retirée. Mais ce n'est qu'une petite partie de l'agenda de l'OMS en matière de sexualisation des enfants. En effet, l'OMS est un grand donateur de l'International Planned Parenthood Federation (IPPF), une organisation mondiale de sexualisation qui existe dans plus de 146 pays et qui a lancé en 2017 une boîte à outils pour les enfants afin de normaliser la prostitution des enfants de moins de dix ans.

    Reggie Littlejohn : Dans le traité sur les pandémies qu'ils sont en train de négocier, il y a une section sur la surveillance, la surveillance détaillée des personnes, des plantes, des animaux et de l'environnement, et aussi la censure, le dénigrement de quiconque n'est pas d'accord avec leur narratif.

    Comment vont-ils l'appliquer ? Ils pourraient l'appliquer comme ils l'ont fait au Canada, en retirant tout simplement aux gens l'accès à leurs cartes de crédit et à leurs comptes bancaires. C'est un bon moyen de faire taire les dissidents. Je voudrais également parler de ce qu'on appelle One Health. C'est quelque chose dont les gens ne sont pas encore vraiment conscients, mais c'est cette idée qui sonne bien, du lien entre la santé humaine, la santé animale, la santé végétale et l'environnement. Et ils veulent être en mesure de nous surveiller et de nous censurer dans tous les aspects de la vie humaine sur Terre. C'est pourquoi nous devons absolument quitter l'OMS maintenant, sinon c'est le coup de grâce pour la démocratie.

    Clay Higgins, Louisiane : La réponse à une pandémie devrait impliquer un haut niveau de discussion et de débat véridique, ouvert et honnête, avec une comparaison des études scientifiques avec les meilleurs médecins du monde. [...]

    Mais nous sommes ici aux États-Unis d'Amérique. Nous sommes une république représentative et nous, le peuple, défendons cette cause. Vous devez donc décider, avec votre famille et votre médecin, si vous voulez ou non maintenir des contacts personnels pendant une pandémie, si votre enfant peut aller à l'école, etc. Si vous voulez vous faire vacciner, faites-le. Si vous ne voulez pas le faire, ne le faites pas. C'est ce qu'on appelle la liberté. L'OMS ne devrait pas avoir d'influence sur ma liberté ni sur la vôtre.

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  5. Ralph Norman, membre fondateur de la Coalition pour la souveraineté, Caroline du Sud :
    Il s'agit aussi de diffuser ce que ce document (sous-entendu le traité sur les pandémies) et les membres du gouvernement font à ce pays. Nous espérons que vous et la presse le diffuserez. Nous espérons que vous ferez des recherches. Mon bureau a été inondé d'appels et mes collègues derrière moi aussi.

    Chers téléspectateurs, il ressort de ces déclarations que le fait que les citoyens contactent leurs députés sur des sujets importants tels que les projets de traité de l'OMS sur les pandémies a de l'effet.
    Les déclarations des députés américains concernent presque tous les pays, puisque le traité sur les pandémies de l'OMS s'appliquerait aux 194 États membres de l'OMS s'il entrait en vigueur. Ce traité n'est pas encore entré en vigueur. C'est pourquoi l'information des députés ainsi que des personnes non informées dans tous les pays du monde est une priorité absolue !

    Vous aussi, chers téléspectateurs, saisissez l'occasion de faire part de vos préoccupations et de vos inquiétudes à vos députés ou de les informer des faits. Présentez vos arguments pour expliquer pourquoi VOTRE pays doit voter contre le traité !
    Il en va de la souveraineté de chaque État, de la liberté de chacun et, surtout, d'une vie digne d'être vécue pour nos enfants.

    de nm.
    Sources / Liens :
    Live Sovereignty Coalition Press Conference: Get the US out of the W.H.O.
    https://youtube.com/watch?v=kmfammyYfVc

    https://www.kla.tv/fr

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  6. L’OMS a déclaré qu’une nouvelle campagne de « vaxxination » allait être organisée contre la grippe et le mutant Omicron du SARS-CoV-2


    le 3 octobre 2023


    Ce n’est pas d’une fraîche actualité mais la campagne de « vaxxination » qui se profile va renforcer le pouvoir supra-national de l’OMS, de la Commission européenne et des divers gouvernements européens et au sens large « occidentaux ». Nul ne sait si d’autres pays se sentiront concernés par ce projet. Il faut avouer que les réactions à ce projet sont de plus en plus molles comme par exemple en France qui se singularise par des débats jusqu’au Palais Bourbon concernant les punaises de lit … Il faut dire que ce genre de diversion (une forme de censure qui ne dit pas son nom) a été organisé pour que le peuple ne s’effarouche pas au sujet de ce nouveau « vaxxin » bivalent, donc potentiellement doublement dangereux. Note : j’utilise ici le mot « vaxxin » pour différencier cette pseudo-vaccination utilisant un ARN messager modifié après des années de travail par la biochimiste qui a été nobélisée il y a quelques jours par l’Institut suédois Karolinska, un établissement notoirement financé par Pfizer, Moderna et la Fondation Gates. Il est donc légitime de douter de la validité et de la valeur de cette distinction sans pour autant remettre en cause les travaux de cette personne dont j’ignorais l’existence car les acides nucléiques n’ont jamais fait partie de mes propres travaux ce recherche mis à part quelques PCRs et autres électrophorèses d’ADN dans la mesure où je n’ai jamais été qu’un modeste chimiste des protéines.

    - voir cadre sur site -

    La première personne semblant monter aux créneaux du véritable château-fort de l’OMS est le Docteur Takayuki Miyazawa de l’Université de Kyoto qui dénonce le fait que les compères de Pfizer et Moderna préparent déjà le « vaxxin » dirigé à nouveau contre la sous-unité-1 de la protéine de la spicule du SARS-CoV-2. Aucune information n’a filtré quant à la construction également avec un ARN message du « vaxxin » sensé protéger contre la grippe à influenza. On en connaîtra les détails quand les premiers effets indésirables seront mentionnés dans la presse alternative fasciste et anti-démocratique, comme il se doit. Ce virologiste japonais s’insurge contre la stratégie adoptée pour développer un nouveau « vaxxin ». Selon ses exposés le génome du variant Omicron aurait été modifié afin de permettre parallèlement la mise au point de la production d’ARN messager à des fins « vaxxinales ». Or j’ai tenté de trouver sans succès sa dernière publication au sujet du mutant Omicron du SARS-CoV-2 sur le site de l’Université de Kyoto. L’article paru sur le site espagnol « Alerta Digital » serait donc une fausse nouvelle. J’étaie mon argumentation : l’arbre généalogique du mutant Omicron présenté dans cet article constitue un défi pour les spécialistes tels que le Professeur Didier Raoult dont l’Institut a rassemblé plusieurs milliers de séquences pour conclure que ce mutant provient d’une suite de mutations qui se sont accumulées au cours de l’épidémie et non d’un hypothétique ancêtre comme indiqué ci-dessous :

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  7. - voir graph sur site -

    Cet arbre phylogénétique (lien en fin d’article) serait donc une pure invention et ne serait certainement pas de la main du Docteur Takayuki Miyazawa, le conditionnel est ici de rigueur. Le Docteur Miyazawara est pourtant un virologiste réputé qui a à son actif près de 400 publications scientifiques de haute tenue. Que les laboratoires pharmaceutiques aient déjà préparé la production d’un ARN messager est réel mais ils ont certainement choisi la séquence du virus Omicron le plus répandu aujourd’hui. Alors pourquoi obliger à nouveau les peuples à se plier à une nouvelle « vaxxination » si ce virus Omicron reste majoritairement bénin ? La première réponse est simple : habituer les populations à se soumettre ou alors il s’agit vraiment d’une manipulation orchestrée par l’OMS et les laboratoires pharmaceutiques pour soumettre à nouveau les peuples à des injections létales dans la mesure où il n’y a pas eu assez de morts à l’issue de la dernière campagne de « vaxxination ». Ou encore une dissémination de ce mutant très probablement manipulé en laboratoire comme ce fut le cas (avéré) pour le SARS-CoV-2

    Si cet arbre phylogénétique a bien été publié par le Docteur Miyazawa ce nouvel Omicron devrait être plus dangereux qu’il ne l’est dans les faits et une « vaxxination » sera alors considérée comme indispensable. Il y a donc une deuxième réponse explicative : Il existerait bien un nouveau mutant Omicron issu de la souche dite Wuhan mise en évidence par le Docteur Miyazawara venue d’on ne sait où qui nécessiterait et justifierait donc cette nouvelle campagne de « vaxxination ». On vit dans un monde étrange … Je laisse à mes lecteurs toute latitude pour se forger une opinion … https://www.alertadigital.com/2023/10/01/importante-virologo-japones-advierte-sobre-una-cepa-omicron-fabricada/

    Voir aussi : https://twitter.com/search?q=Takayuki%20Miyazawa&src=typed_query
    Note. J’ai contacté le Docteur Miyazawa par courrier électronique ce jour et sa réponse fera probablement l’objet d’un autre article sur ce blog.

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/10/03/loms-a-declare-quune-nouvelle-campagne-de-vaxxination-allait-etre-organisee-contre-la-grippe-et-le-mutant-omicron-du-sars-cov-2/

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    1. Même si une importante partie de la population est touchée par le MICROBE de la grippe et dont certains en décèdent, il n'existe pas de 'vaccin' anti-grippaux et donc doit être renouvelé chaque année ! Mais, ce qui met les Peuples en alerte et l'addition d'autres organes dans la seringue !

      HOULALA !

      Car, je le rappelle, le soi-disant 'virus' est UNE POUSSIÈRE INOFFENSIVE (comme toutes autres sauf les poussières radioactives, ce qui n'est pas le cas ici). Et, malgré que chaque être humain (et animal) respire 200 000 poussières (appelées 'virus') et microbes PAR MINUTE, (soit DES milliards depuis ce matin et DES montagnes de milliards depuis notre naissance), ces poussières parfaitement inoffensives constituent la rigidité de nos os et de notre corps. Il n'y a donc pas lieu de les combattre ni d'imaginer un 'vaccin anti-poussières ! (Bombe Pliz ?).

      Donc, revenons-en au fait: Il y a 3 ans a été imaginé l'arrivée d'une 'nouvelle poussière ! (extraterrestre ?) dans notre atmosphère et, malgré qu'il y ait des milliers de laboratoires dans le monde qui examinent chaque jour la 'qualité de l'air', ils n'ont JAMAIS trouvé de poussière 'corona' ou 'cocovide19' ou autres Deltaplane-Tango-Charlie-Omicron' !! Çà alors !!

      Mais alors... OÙ EST-ELLE ????? !!

      Devinez !!

      C'est pourquoi les révélations scientifiques des docteures Astrid Stuckelberger et Carrie Madej qui ont examiné le contenu des flacons injectables sont censurées.
      Ils se composaient de: Entre 95 et 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène !! (qui n'ont RIEN à voir avec un vaccin comme l'est l'addition d'aluminium - Alzheimer - depuis 1929 !), + des hydres (- Qui est l'hydre, cette créature capable de se faire pousser de nouvelles têtes ? Petit polype d'eau douce, l'hydre possède un pouvoir hors du commun : faire repousser les parties de son corps qui ont pu lui être amputées. Une particularité qui lui vaut la réputation d'être immortelle), + des spikes !! + diverses maladies animales et une quarantaine de venins de serpents différents !!

      Nota: Une poussière (appelée 'virus' !) NE FAIT PAS PARTIE DES VIVANTS ! et ne peut donc 'muter' ou avoir de petits frères ou cousins-germains, ni avoir des petits ! (réponse des scientifiques du Corps Médical).

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  8. La contamination alarmante des piqûres de Covid choque les scientifiques


    Par le Dr Joseph Mercola
    Mercola.com
    4 octobre 2023


    Début avril 2023, le microbiologiste Kevin McKernan – ancien chercheur et chef d'équipe du projet Génome humain du MIT1 – a publié un article préimprimé2 détaillant la contamination massive de l'ADN dans les injections de rappel bivalentes de Pfizer et Moderna.3,4,5,6 Comme expliqué dans le résumé:7

    « Plusieurs méthodes ont été déployées pour évaluer la composition en acides nucléiques de quatre flacons expirés des vaccins bivalents à ARNm Moderna et Pfizer. Deux flacons de chaque fournisseur ont été évalués…

    Plusieurs tests soutiennent une contamination de l’ADN qui dépasse les exigences de 330 ng/mg de l’Agence européenne des médicaments (EMA) et les exigences de 10 ng/dose de la FDA… »

    Le niveau le plus élevé de contamination de l'ADN trouvé était de 30 %, ce qui signifie que près d'un tiers du contenu de certains flacons était de l'ADN plasmidique, dont la présence augmente considérablement le risque d'intégration génomique et de cancer.

    Ce que cela signifie, en termes simples, c’est que les injections pourraient potentiellement altérer votre ADN, ce que les fabricants de vaccins, les autorités sanitaires et les vérificateurs des faits ont nié avec véhémence et considéré comme « impossible ». Pourtant, nous voilà face à des faits gênants qui nous regardent une fois de plus en face.

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  9. Les agences de régulation étaient conscientes du problème

    Dans un article de Substack du 20 mai 20238, McKernan a souligné que les agences de réglementation étaient clairement conscientes de ce problème dès le début, puisque Pfizer a soumis des documents à l'Agence européenne des médicaments (EMA) démontrant que les lots échantillonnés contenaient une large gamme d'ADN double brin (ADNdb) en eux.

    La limite de l’EMA pour l’ADNdb est de 330 nanogrammes par milligramme (ng/mg), et les données de Pfizer montrent que les lots échantillonnés contenaient entre 1 ng/mg et 815 ng/mg d’ADN. Et, selon McKernan9, la limite de l’EMA pourrait être trop élevée au départ, car « des limites inférieures devraient être appliquées si l’ADN est conditionné dans des nanoparticules lipidiques prêtes à la transfection », comme c’est le cas dans les clichés.

    Dans un environnement réglementaire sain, ce type de contamination aurait entraîné un rappel massif, compte tenu des dangers connus et suspectés des contaminants ADNdb. Pourtant, rien n’a été fait.

    Depuis la publication de l’article de McKernan, d’autres ont confirmé la présence de contaminants d’ADNdb dans les injections de COVID. Pour être clair, l’ADN ne devrait pas être présent dans un produit commercial fabriqué selon de bonnes pratiques de fabrication.

    De toute évidence, Pfizer et Moderna n’ont pas perfectionné leur processus commercial, ou ont pris des raccourcis qu’ils n’auraient pas dû prendre. En conséquence, d’innombrables millions de personnes ont reçu des injections inutilement risquées contre le COVID.

    Contamination de l'ADN confirmée

    Le professeur Phillip Buckhaults de l’Université de Caroline du Sud a depuis confirmé la présence d’ADNdb dans les clichés COVID. Le 13 septembre 2023, il en a témoigné10 devant le comité ad hoc des affaires médicales du Sénat de Caroline du Sud du ministère de la Santé et du Contrôle environnemental (DHEC).

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  10. Les injections de COVID peuvent provoquer le cancer de plusieurs manières

    La présence d’ADN n’est pas le seul moyen par lequel les injections d’ARNm COVID peuvent provoquer le cancer. L’ARNm peut également effectuer une transcription inverse en ADN dans de bonnes circonstances. Par exemple, une expérience in vitro15,16 publiée en 2022 a démontré que l’ARN modifié contenu dans le vaccin Pfizer a la capacité de pénétrer dans les cellules hépatiques humaines et de subir une transcription inverse en ADN en seulement six heures après l’exposition. Comme le rapporte cette étude évaluée par des pairs :17

    « … une étude récente a montré que l’ARN du SRAS-CoV-2 peut être soumis à une transcription inverse et intégré dans le génome des cellules humaines. Dans cette étude, nous avons étudié l'effet du BNT162b2 sur la lignée cellulaire hépatique humaine Huh7 in vitro. Les cellules Huh7 ont été exposées à BNT162b2 et une PCR quantitative a été réalisée sur l'ARN extrait des cellules.

    Nous avons détecté des niveaux élevés de BNT162b2 dans les cellules Huh7 et des modifications dans l'expression génique de l'élément nucléaire 1 longuement intercalé (LINE-1), qui est une transcriptase inverse endogène.

    L'immunohistochimie utilisant la liaison d'anticorps à la protéine de liaison à l'ARN (ORFp1) du cadre de lecture ouvert LINE-1 sur des cellules Huh7 traitées avec BNT162b2 a indiqué une distribution accrue du noyau de LINE-1…

    Nos résultats indiquent une absorption rapide de BNT162b2 dans la lignée cellulaire hépatique humaine Huh7, entraînant des modifications dans l'expression et la distribution de LINE-1. Nous montrons également que l’ARNm de BNT162b2 est transcrit de manière intracellulaire en ADN en 6 heures seulement après l’exposition à BNT162b2.

    L’ARNm de COVID Jab peut pénétrer dans le noyau cellulaire

    Selon une étude de 202218, la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 et l’ARNm de la protéine de pointe ont été transférés dans le noyau des cellules humaines infectées. Selon les auteurs, « la translocation nucléaire de l’ARNm S et de la protéine S révèle une nouvelle caractéristique pathogène du SRAS-CoV-2 ».

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  11. Ainsi, l’affirmation selon laquelle l’ARNm contenu dans les injections de COVID – qui est basé mais non identique à l’ARNm de la protéine de pointe trouvée dans le SRAS-CoV-2 – ne peut pas pénétrer dans le noyau des cellules humaines et ne peut donc pas être intégré dans le génome humain, est tout simplement faux. La science nous dit que l’intégration du génome peut se produire de plusieurs manières.

    Le vaccin COVID peut avoir des effets intergénérationnels

    Une autre étude de 202221 a révélé que les souris ayant reçu une injection d’ARNm du COVID transmettaient leurs traits immunitaires acquis – bons et mauvais – à leur progéniture, ce qui suggère non seulement que l’ARNm peut pénétrer dans le noyau de la cellule, mais également qu’il peut être intégré de manière permanente. dans l’ADN chromosomique et ont des effets intergénérationnels. Comme le rapporte cette étude :

    « Des centaines de millions de doses de vaccin contre le SRAS-CoV-2 à ARNm-LNP ont déjà été administrées à des humains. Cependant, nous manquons d’une compréhension globale des effets immunitaires de cette plateforme.

    Le vaccin SARS-CoV-2 à base d’ARNm-LNP [à base de nanoparticules d’ARNm-lipides] est hautement inflammatoire et son composant lipidique ionisable synthétique responsable de l’induction de l’inflammation a une longue demi-vie in vivo.

    Étant donné que l’inflammation chronique peut entraîner un épuisement immunitaire et une non-réactivité, nous avons cherché à déterminer les effets de la pré-exposition à l’ARNm-LNP sur les réponses immunitaires adaptatives et la forme immunitaire innée.

    Nous avons constaté qu'une pré-exposition aux ARNm-LNP ou aux LNP seuls entraînait une inhibition à long terme de la réponse immunitaire adaptative… En revanche, nous rapportons qu'après une pré-exposition aux ARNm-LNP, la résistance des souris aux infections hétérologues avec le virus de la grippe a augmenté tandis que la résistance à Candida albicans a diminué…

    Fait intéressant, les souris pré-exposées à la plateforme ARNm-LNP peuvent transmettre les traits immunitaires acquis à leur progéniture…

    En résumé, la plateforme vaccinale ARNm-LNP induit des changements immunologiques inattendus à long terme affectant à la fois les réponses immunitaires adaptatives et la protection hétérologue contre les infections. Ainsi, nos études mettent en évidence la nécessité de mener davantage de recherches pour déterminer le véritable impact de cette plateforme sur la santé humaine.

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  12. Si les injections ne sont pas censées modifier le génome humain, pourquoi contiennent-elles des morceaux d’ADN et un promoteur SV40 qui peuvent conduire cet ADN dans le noyau ?

    Compte tenu de ces faits, n’est-il pas raisonnable de soupçonner, alors, que les « turbo-cancers » que signalent actuellement les oncologues 26 pourraient effectivement être un effet secondaire des vaccins contre le COVID ? Le « cancer turbo » est un terme inventé pour décrire les cancers qui se développent à un rythme si sans précédent que les patients meurent souvent avant qu'un plan de traitement puisse être mis en œuvre.

    Un dosage répété peut favoriser le cancer et les problèmes auto-immuns

    Cela fait donc trois façons dont certaines injections peuvent contribuer au cancer ou le provoquer directement. Une quatrième façon dont les vaccins peuvent déclencher le cancer est simplement de répéter le dosage. Comme détaillé dans un article de mai 2023 dans la revue Vaccines :27

    « À ce jour, 72,3 % de la population totale a reçu au moins une injection d’un vaccin contre la COVID-19… Des preuves croissantes ont montré que… ces vaccins ne produisent pas d’immunité stérilisante, ce qui permet aux gens de subir de fréquentes réinfections.

    De plus, des enquêtes récentes ont révélé des taux anormalement élevés d’IgG4 chez les personnes ayant reçu deux injections ou plus de vaccins à ARNm…

    [E]Des preuves émergentes suggèrent que l’augmentation signalée des niveaux d’IgG4 détectée après une vaccination répétée avec les vaccins à ARNm… constitue un mécanisme de tolérance immunitaire à la protéine de pointe qui pourrait favoriser une infection et une réplication sans opposition du SRAS-CoV2 en supprimant les réponses antivirales naturelles.

    L’augmentation de la synthèse d’IgG4 due à une vaccination répétée d’ARNm avec des concentrations élevées d’antigènes peut également provoquer des maladies auto-immunes et favoriser la croissance du cancer et de la myocardite auto-immune chez les individus sensibles.

    Contamination du promoteur SV40 confirmée

    Buckhaults a également confirmé la présence du promoteur SV40 dans l'ADN plasmidique, tout comme Yusuke Murakami, professeur à l'Université de Tokyo. Dans une interview, Murakami a expliqué :28

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  13. « La séquence du vaccin Pfizer contient une partie de la séquence SV40… Cette séquence est connue sous le nom de promoteur. En gros, le promoteur provoque une expression accrue du gène.

    Le problème est que la séquence est présente dans un virus cancérigène bien connu. La question est de savoir pourquoi une telle séquence dérivée d’un virus cancéreux est présente dans le vaccin de Pfizer.

    Il ne devrait absolument pas être nécessaire d’avoir une telle séquence de virus cancérigène dans le vaccin. Cette séquence est totalement inutile pour produire le vaccin à ARNm. C’est un problème qu’une telle séquence soit solidement contenue dans le vaccin…

    Si une séquence comme celle-ci est présente dans l’ADN, l’ADN migre facilement vers le noyau. Cela signifie donc que l’ADN peut facilement pénétrer dans le génome. C’est un problème tellement alarmant. Il est indispensable de supprimer la séquence. Cependant, Pfizer a produit le vaccin sans supprimer la séquence. C’est scandaleusement malveillant.

    Surmortalité en 2023

    Si la pandémie de COVID était réelle, nous aurions connu les taux de surmortalité les plus élevés en 2020, lorsque la souche la plus problématique du virus était en circulation. Mais ce n’est pas le cas. Au lieu de cela, les taux de surmortalité n’ont vraiment décollé qu’avec le déploiement des vaccins expérimentaux contre le COVID – et les taux continuent d’augmenter, deux ans plus tard.

    Dans la vidéo ci-dessus, John Campbell, Ph.D., un infirmier formateur à la retraite, passe en revue les dernières statistiques de mortalité de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).29 Il compare également les données de l'OCDE avec celles de Our World in Les données et les deux ensembles de données concordent : la surmortalité est restée bien supérieure à la normale en 2023, et il n’y a aucune pandémie à imputer à cela.

    Au Royaume-Uni, il y a eu 36 316 décès supplémentaires au cours des semaines 1 à 30 (du 1er janvier au 30 juillet 202330). Une tendance révélatrice est que les décès dans les foyers privés et dans « d’autres contextes » sont supérieurs à la moyenne quinquennale, tandis que les décès dans les hôpitaux et les maisons de retraite sont tous deux inférieurs à la moyenne.31,32

    Qu'est-ce que cela signifie? Cela signifie que plus de personnes que d’habitude meurent de façon inattendue, à leur domicile et ailleurs qu’à l’hôpital. Cela suggère également que les jeunes meurent à un taux plus élevé. Le taux de surmortalité plus élevé n’est pas dû au fait que davantage de personnes âgées meurent dans les maisons de retraite.

    Aux États-Unis, il y a eu 147 828,8 décès de plus que prévu au cours des 30 premières semaines de 2023. D’autres données intéressantes révèlent qu’au Minnesota, la surmortalité liée aux troubles sanguins a commencé en 2020, mais a ensuite grimpé en flèche en 2022, doublant presque par rapport à 2020.33

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  14. La souche originale de Wuhan du SRAS-CoV-2 était associée à des troubles sanguins, mais cette souche avait muté en un léger rhume en 2022. Ce que nous avons eu en 2022, cependant, ce sont les vaccins COVID, qui sont également associés à des troubles sanguins.

    Vous avez reçu le vaccin ? Agissez pour protéger votre santé

    Si vous avez déjà reçu un ou plusieurs vaccins et que vous avez maintenant des inquiétudes concernant votre santé, que pouvez-vous faire ? Eh bien, avant tout, ne prenez jamais un autre rappel COVID, une autre injection de thérapie génique à ARNm ou un vaccin ordinaire. Vous devez mettre fin à l’assaut contre votre système.

    Si vous avez développé des symptômes que vous n’aviez pas avant votre injection, je vous encourage à demander l’aide d’un expert. À l’heure actuelle, la Front Line COVID-19 Critical Care Alliance (FLCCC) semble disposer de l’un des meilleurs protocoles de traitement pour les blessures post-piqûres. Il s’appelle I-RECOVER et peut être téléchargé depuis covid19criticalcare.com.34

    Le Dr Pierre Kory, cofondateur du FLCCC, est passé au traitement plus ou moins exclusif des blessés vaccinaux. Pour plus d’informations, consultez DrPierreKory.com. Le Dr Peter McCullough étudie également les traitements post-injection, que vous pouvez trouver sur PeterMcCulloughMD.com.

    Le Conseil mondial de la santé a également publié des listes de remèdes qui peuvent aider à inhiber, neutraliser et éliminer la protéine de pointe, dont la plupart des experts s'accordent à dire qu'elle est la principale responsable. J’en ai parlé dans mon article de 2021, « Le Conseil mondial de la santé révèle Spike Protein Detox ».

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  15. Sources and References

    1, 5 The Healthcare Channel May 22, 2023
    2, 7 OSF Preprints April 10, 2023, Edited April 11, 2023 DOI: 10.31219/osf.io/b9t7m
    3, 28 Twitter KanekoaTheGreat May 20, 2023
    4, 8, 9 Anandamide (Kevin McKernan) Substack May 20, 2023
    6, 11, 12, 16, 25 Spectator Australia September 25, 2023
    10 Jessica Rose Substack September 18, 2023
    13, 19, 20, 22, 23 Maryanne Demasi September 21, 2023
    14 Ann N Y Acad Sci November 27, 1995; 772: 140-151
    15, 17 Curr Issues Mol Biol 2022; 44(3): 1115-1126
    18 BioRxiv September 27, 2022 DOI: 10.1101/2022.09.27.509633
    21 PLOS Pathogens September 2, 2022 DOI: 10.1371/journal.ppat.1010830
    24 Expert Rev Respir Med October 2011; 5(5): 683-697
    26 Makis MD Substack June 16, 2023
    27 Vaccines (Basel) May 2023; 11(5): 991
    29 Organization for Economic Co-Operation and Development Excess Deaths by Week, 2020-2023
    30 Week Number Calendar 2023
    31 ONS.gov.uk Deaths Registered Weekly in England and Wales Week 36
    32 ONS.gov.uk Deaths Registered Weekly in England and Wales Week 37
    33 Resisting the Intellectual Illiteratti Substack September 19, 2023
    34 Covid19criticalcare.com

    https://www.lewrockwell.com/2023/10/joseph-mercola/alarming-covid-jab-contamination-shocks-scientists/

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  16. Le premier mandat de vaccination aux États-Unis a été promulgué dans le Massachusetts en 1810. Il visait à conjurer la variole. La législation qui la sous-tendait était essentiellement une loi ad hoc qui donnait aux conseils locaux de santé le pouvoir d’exiger la vaccination.

    Le premier mandat d’école publique a été émis dans le Massachusetts dans les années 1850. A cette époque, comme en 1810, le seul vaccin intéressant était celui contre la variole. À la fin des années 1800, la plupart des six États de la Nouvelle-Angleterre exigeaient le vaccin contre la variole pour les enfants fréquentant les écoles publiques.

    indéfini

    La prochaine avancée significative en matière de recommandations et d’exigences en matière de vaccins pour les enfants surviendra un siècle plus tard, en 1954, pour être exact, lorsque l’attention se concentrera sur le vaccin contre la polio développé par Jonas Salk .

    En 1955, le vaccin contre la polio était pleinement autorisé. Par le biais de la Polio Vaccine Assistance Act , le Congrès a affecté des fonds pour fournir des subventions fédérales aux États afin qu'ils puissent acheter le vaccin et couvrir le coût de la planification et de la conduite des programmes de vaccination.

    Cette loi deviendrait le modèle d’utilisation des fonds fédéraux pour couvrir divers coûts des programmes de vaccination dans tous les États. Sans surprise, cela a également donné l’impulsion à une campagne de vaccination massive contre la polio.

    À l’heure actuelle, il n’existait aucun mécanisme codifié pour imposer le recours au vaccin. Les recommandations des médecins n’étaient considérées que comme de simples conseils, sans obligation stricte ni pouvoir d’exécution.

    La Loi sur l’assistance aux vaccins de 1962 a établi un mécanisme permanent pour fournir un soutien financier continu aux services de santé étatiques et locaux. Cette loi a permis aux Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis d'affecter des fonds fédéraux à la fourniture de vaccins et a créé un groupe consultatif pour aider à la gestion des programmes de vaccination.

    À ce jour, la loi de 1962 reste l’un des mécanismes les plus importants pour aligner les activités de vaccination des départements de santé locaux et étatiques avec les fonds fédéraux pour fournir des vaccins aux enfants.

    En 1964, le Comité consultatif sur les pratiques d'immunisation (ACIP) a été créé sous l'égide du service de santé publique des États-Unis. Sa mission était d'examiner la science et l'efficacité des vaccins administrés aux enfants et de formuler des recommandations sur le moment où ces vaccins devraient être administrés et à quel âge.

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  17. Les années 1960 et 1970 ont vu une vague de nouveaux vaccins arriver sur le marché. Un deuxième type de vaccin contre la polio a été développé, tout comme le premier vaccin contre l’hépatite B. Le vaccin contre la rougeole a commencé comme un vaccin unique, mais a ensuite été combiné avec les vaccins contre les oreillons et la rubéole pour créer le vaccin ROR .

    Parallèlement à l’augmentation du volume de vaccins aux États-Unis, des programmes mondiaux de vaccination ont été créés. En 1974, l'Organisation mondiale de la santé (OMS), basée à Genève, a créé le Programme élargi de vaccination , conçu pour « renforcer les programmes, l'approvisionnement et la livraison de vaccins, et garantir un accès universel à tous les vaccins pertinents pour toutes les populations tout au long de la vie. »

    Ces changements ont radicalement modifié le paysage commercial de la fabrication de vaccins . Ce qui était autrefois une industrie artisanale composée de petites sociétés pharmaceutiques, de chercheurs individuels et de médecins scientifiques est devenu les méga-entreprises qui existent aujourd’hui.

    En 1977, le gouvernement américain avait mis en place l’ Initiative de vaccination des enfants . Son objectif était d'augmenter les taux de vaccination des enfants et d'immuniser contre sept maladies (diphtérie, rougeole, oreillons, coqueluche, poliomyélite, rubéole, tétanos) pour lesquelles des vaccins avaient été développés. Ainsi commença le processus par lequel les 50 États adopteraient la vaccination scolaire obligatoire.

    Dans les années 1980, les vaccins contre le virus de l’hépatite B (VHB), l’Haemophilus influenzae de type B et la maladie pneumococcique étaient recommandés pour les enfants de différents âges. En 1983, le nombre d’ injections recommandées était passé à 23 doses de sept vaccins pour les enfants âgés de un à six ans.

    En 1986, la loi nationale sur les blessures causées par les vaccins chez l'enfant a créé un système de surveillance passive et active des cas de réactions indésirables aux vaccins ainsi qu'un mécanisme d'indemnisation de toute personne blessée par les vaccins.

    Avec l’adoption de la loi de 1986 et sa mise en œuvre en 1988, une protection contre la responsabilité des fabricants de vaccins a été créée. Dans la foulée de la loi de 1986, le nombre de vaccins inscrits au calendrier des CDC a commencé à augmenter considérablement.

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  18. À mesure que la liste des vaccins disponibles s'allongeait, les conseils de santé locaux et nationaux avaient des opinions divergentes sur le moment où administrer les vaccins, sur les enfants qui devraient les recevoir et sur le nombre de vaccins à administrer.

    Afin de normaliser la vaccination, le premier calendrier de vaccination infantile « harmonisé » a été publié en 1995 par le Comité consultatif sur les pratiques d’immunisation (ACIP), l’Académie américaine de pédiatrie (AAP) et l’Académie américaine des médecins de famille (AAFP). Ce calendrier unique combinait les recommandations des trois groupes nationaux.

    Le calendrier initial comprenait les vaccins contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, la rougeole, les oreillons, la rubéole, la poliomyélite (orale), l'haemophilus influenzae de type b (Hib) et l'hépatite B (HepB). (Le DTC est un vaccin combiné contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche. Le ROR est un vaccin combiné contre la rougeole, les oreillons et la rubéole.)

    Depuis lors, le calendrier a été ajusté chaque fois qu'un nouveau vaccin est développé ou chaque fois qu'un ancien vaccin est retiré du marché ou chaque fois que le profil de risque pour les enfants change.

    Aujourd'hui, selon la Conférence nationale des législatures des États (NCSL), les 50 États ont tous une législation exigeant des vaccins spécifiques pour les étudiants. Les exemptions médicales, religieuses et philosophiques concernant les vaccins varient d'un État à l'autre, à mesure que les lois sont ajoutées ou modifiées par les législateurs des États.

    Ces lois s'appliquent non seulement aux enfants fréquentant les écoles publiques mais également à ceux qui fréquentent des écoles privées et des garderies.

    Actuellement, 45 États et Washington DC accordent des exemptions religieuses aux parents qui ont des objections religieuses à la vaccination, et 15 États autorisent des exemptions philosophiques.

    Depuis 2021, cinq États (Californie, Connecticut, Maine, New York et Virginie-Occidentale) n'autorisent plus les exemptions religieuses ou philosophiques des exigences de vaccination.

    Les lois sur la vaccination scolaire dans les 50 États accordent des exemptions pour des raisons médicales.

    La littérature du NCSL souligne que les lois et réglementations sur les exigences en matière de vaccins dans les 50 États et DC suivent le calendrier de vaccination établi par le CDC.

    Il est difficile de suivre la trajectoire ascendante du calendrier de vaccination des enfants. Il suffit de dire qu’avant la pandémie 2019, le calendrier complet des CDC prévoyait 54 injections de 72 antigènes entre la naissance et l’âge de dix-huit ans. Et, sans surprise, les vaccins Covid ont désormais été inscrits sur le calendrier de vaccination des enfants.

    Cette gamme vertigineuse d'injections commence dès le premier jour de vie d'un enfant avec le vaccin contre l'hépatite B (HepB).

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  19. *

    La maladie de l’hépatite B : une étude de cas sur la perception du public
    La première question que tout nouveau parent qui cherche des informations sur les vaccins infantiles devrait se poser est la suivante : « Mon enfant a-t-il vraiment besoin d’un vaccin contre l’hépatite B, et en particulier le premier jour de sa vie ?

    Compte tenu du faible risque que les nouveau-nés contractent l'infection HepB et de la facilité avec laquelle les femmes enceintes peuvent être dépistées, il est juste de se demander pourquoi le vaccin HepB est recommandé aux nouveau-nés.

    Avant d'arriver à cette réponse, regardons comment la maladie appelée hépatite B (VHB) est passée d'une maladie relativement obscure qui touchait une population limitée à un problème de santé publique largement répandu.

    La caractérisation conventionnelle de l’hépatite B est celle d’un type d’hépatite virale provoquant une infection hépatique aiguë et chronique. Il est généralement admis que la condition pour contracter cette maladie est le contact direct avec du sang ou d’autres fluides corporels infectés. Il s’agit de voies de transmission qui, quelle que soit la norme, présentent peu ou pas de risque pour les nourrissons.

    Cette description correspond à la manière dont les responsables de la santé publique ont caractérisé la maladie lorsque le vaccin contre l'hépatite B (HepB) a été initialement approuvé en 1981. À l'époque et encore aujourd'hui, la propre fiche d'information du CDC sur l'hépatite B n'inclut pas « tous les nouveau-nés » comme risque. groupe !

    Voici la liste des groupes à risque d'hépatite B : « les utilisateurs de drogues injectables, les hommes homosexuels, les hétérosexuels sexuellement actifs, les nourrissons/enfants d'immigrants provenant de zones d'endémie, les contacts sexuels/familiaux de personnes infectées, les nourrissons nés de mères infectées, les travailleurs de la santé. et les patients hémodialysés.

    Qu'est-ce qui a changé la recommandation vaccinale du CDC de 1982 , qui ciblait uniquement la petite population « à risque » exposée à l'hépatite B, en un ensemble de politiques plus agressives qui aboutiraient à la recommandation de 1991 selon laquelle tous les nourrissons devraient recevoir trois doses de VHB. entre la naissance et 18 mois ?

    En outre, comment le vaccin HepB est-il devenu obligatoire pour tous les écoliers de 47 États en 2000 ? Cette recommandation a été émise malgré l' aveu du CDC du manque de preuve que le VHB se transmet en milieu scolaire.

    La réponse à cette anomalie réside dans la façon dont la perception du public sur l'hépatite B a été radicalement modifiée par des messages médiatiques orchestrés et des représentations délibérément provocatrices de la maladie par l'industrie et les responsables de la santé publique.

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  20. Notamment, le changement dans l’image de la maladie s’est produit immédiatement après le développement, l’homologation et l’introduction du vaccin en 1981 .

    À la fin des années 1970, avant l’approbation du vaccin, l’hépatite B était une maladie qui n’avait que peu ou pas d’importance pour la plupart des Américains et qui était introuvable dans les médias. En effet, avant que le vaccin HepB ne soit développé et commercialisé, la plupart des Américains avaient peu de raisons de considérer la maladie comme une menace pour leur santé ou celle de leurs enfants.

    Les nouveaux cas d’hépatite B étaient assez faibles dans les années 1970. Ils ont commencé à augmenter dans les années 1980, parallèlement à la crise du sida , puis ont recommencé à diminuer dans les années 1990.

    De son propre aveu, le CDC a attribué le déclin des années 1990 à « la réduction de la transmission parmi les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes et les utilisateurs de drogues injectables, grâce aux efforts de prévention du VIH ».

    Tout au long des années 1980 et 1990, l’hépatite B a acquis une image encore plus publique. L’avènement de la crise du sida au début des années 1980, le développement de produits pharmaceutiques génétiquement modifiés à la fin des années 1980 et la pression politique en faveur d’une réforme de la santé au début des années 1990 ont tous conduit à des changements dans la manière dont l’hépatite B était présentée aux Américains.

    Les médias, la communauté médicale et scientifique ont contribué à modifier l’image de l’hépatite B tout au long de cette période.

    Les médias confondaient souvent le virus de l’hépatite B (VHB) avec le VIH/SIDA afin d’éveiller l’intérêt du public pour cette maladie autrefois obscure et de susciter la peur. Des titres et des articles provocateurs ont commencé à faire surface, affirmant que l’hépatite B était similaire au VIH, voire pire.

    La vision médicale historique selon laquelle l’hépatite B était une maladie touchant seulement un sous-ensemble restreint de la population a été progressivement remplacée par des représentations médiatiques hystériques selon lesquelles n’importe qui pouvait être à risque d’en être atteinte.

    Dans un article intitulé « Avons-nous vraiment besoin de l’hépatite B le deuxième jour de la vie ? Mandats de vaccination et représentations changeantes de l’hépatite B », Elena Conis, professeur d’histoire des sciences de la santé, raconte une partie de cette histoire :

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  21. Des médias allant du Philadelphia Tribune à Good Housekeeping ont rapporté qu'un tiers des personnes atteintes de la maladie n'appartenaient à aucun des groupes à risque connus. Redbook a averti ses lecteurs que l’hépatite « se propageait rapidement », et le Boston Globe a noté que l’hépatite se propageait par le partage de chewing-gum, de nourriture, de brosses à dents et de rasoirs, ainsi que par le perçage corporel. Le magazine New York, dans un article intitulé « L'autre peste », a raconté les histoires d'une jeune femme qui a contracté un cas mortel en se faisant percer les oreilles, d'un jeune homme qui a été infecté lors d'une agression sous la menace d'un couteau et d'une femme infectée. dans un salon de manucure. Les mentions fréquentes de la prévalence des porteurs asymptomatiques renforcent le sentiment d'une menace immédiate pour la santé : selon les mots du journaliste du magazine New York, n'importe qui peut être l'un des 1,5 million de « Typhoïde Mary » des États-Unis.

    - voir cadre sur site -

    Capture d'écran de l'article du NCBI

    De tels reportages médiatiques citant des statistiques sur l’hépatite B proviennent généralement de déclarations faites par des responsables du CDC.

    La plupart des statistiques gonflées sur les maladies ont été générées dans le même rapport hebdomadaire de l’ACIP sur la morbidité et la mortalité (MMWR) qui appelait à une vaccination de masse avec le vaccin contre l’hépatite B (HepB).

    Dans ce rapport, le CDC a déclaré qu'il y avait « environ 1 à 1,25 million de personnes atteintes d'une infection chronique par l'hépatite B aux États-Unis », que « chaque année, environ 4 000 à 5 000 de ces personnes meurent d'une maladie chronique du foie » et que « On estime qu’entre 200 000 et 300 000 nouvelles infections [d’hépatite B] se sont produites chaque année au cours de la période 1980-1991. »

    Pour générer ces statistiques, le CDC, dans une démarche pour le moins considérée comme trompeuse, est revenu sur lui-même, citant un rapport MMWR de 1990 comme base de ses affirmations. Nulle part dans les deux rapports n’ont été utilisées des références scientifiques pour étayer ces affirmations.

    Malgré la campagne médiatique, l’adoption du vaccin HepB n’atteint pas les niveaux souhaités. La vaccination des adultes à haut risque s’avère difficile, c’est le moins qu’on puisse dire. Leur hésitation a conduit à une stratégie plus systématique au niveau national.

    En septembre 1991, le Comité consultatif sur les pratiques d'immunisation (ACIP) a développé et codifié un programme national pour le vaccin HepB : Virus de l'hépatite B : une stratégie globale pour éliminer la transmission aux États-Unis grâce à la vaccination universelle des enfants .

    En 1992 , l’OMS a emboîté le pas, recommandant que « tous les nourrissons reçoivent leur première dose de vaccin contre l’hépatite B dès que possible après la naissance, de préférence dans les 24 heures, même dans les pays où le virus de l’hépatite B est faiblement endémique ».

    Reconnaissant que les enfants ne faisaient pas partie du groupe à risque de contracter la maladie, le comité de l’ACIP a déploré que « la transmission du VHB ne puisse être évitée en vaccinant uniquement les groupes à haut risque d’infection ». [Je souligne.]

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  22. Vaccin Engerix-B, pour l'hôpital

    En 2017, l'Informed Consent Action Network (ICAN) a reçu une information d'un partisan selon laquelle les essais cliniques utilisés par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis pour autoriser les deux vaccins contre l'hépatite B pour enfants, Engerix-B et Recombivax HB , avaient examiné données de sécurité quelques jours seulement après l’injection. Cette information était facilement disponible sur les notices.

    Les avocats de l'ICAN ont été tellement stupéfaits par cette révélation qu'ils ont supposé que le partisan faisait de fausses déclarations. Cependant, après avoir examiné les notices des deux vaccins, l’ICAN a constaté que les affirmations étaient vraies.

    La notice du vaccin Energix-B de GlaxoSmithKline, approuvé en 1989, reconnaît que les sujets n'ont été surveillés que quatre jours après l'administration du vaccin. Quelle que soit la norme, quatre jours de données post-injection ne suffisent pas pour garantir la sécurité d'un produit. Comme le note l’ICAN, « [L]a période d’examen de la sécurité dans un essai clinique pour un vaccin administré aux bébés et aux jeunes enfants devrait être plus longue, car les troubles auto-immuns, neurologiques et du développement ne seront souvent diagnostiqués qu’après que les bébés aient au moins quelques ans. ans."

    Une étude de 2019 rédigée par des chercheurs de la FDA et de l'Université Duke a confirmé la position de l'ICAN. Ils ont soutenu que, par rapport à la période d’homologation pour les adultes, « les données sur l’efficacité et la sécurité des médicaments chez les enfants pourraient nécessiter six années supplémentaires ».

    Un autre aspect troublant des essais cliniques préalables à l'homologation de GSK est qu'Engerix-B a été administré à 5 071 adultes et enfants en bonne santé. Pourtant, nulle part il n’existe de liste indiquant combien des 13 495 doses d’Engerix-B administrées dans 36 essais cliniques étaient destinées à des adultes, combien à des enfants et combien à des nourrissons. Sans connaître le nombre de sujets au sein de chaque tranche d’âge, les résultats de ces essais sont ininterprétables en ce qui concerne les risques liés à la vaccination des nourrissons.

    Alors que les essais pour Energix-B étaient certainement loin d'être rigoureux, les essais préalables à l'homologation du vaccin Recombivax HB de Merck pourraient avoir la distinction douteuse d'être les essais les plus sans scrupules et les moins puissants dans les annales de l'industrie pharmaceutique.

    Dans seulement trois études cliniques , 434 doses de RECOMBIVAX HB, 5 mcg, ont été administrées à seulement 147 nourrissons et enfants en bonne santé (jusqu'à 10 ans), qui ont été surveillés pendant seulement cinq jours après chaque dose.

    Outre le fait que 147 sujets constituent un nombre largement insuffisant sur lequel fonder toute détermination sur la sécurité des vaccins, l'âge des participants à l'essai reste une énigme. Combien de nourrissons participaient à l’étude ? Y avait-il ne serait-ce qu’un seul nouveau-né dans l’étude ?

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  23. De plus, comme c'est le cas pour pratiquement tous les essais cliniques de vaccins, aucun de ces deux essais sur l'hépatite B n'a utilisé un essai clinique randomisé contrôlé par placebo approprié .

    Au-delà du caractère peu fiable de la composition et de l’exécution de ces essais, il existe également un problème persistant lié à la différence entre les résultats constatés des essais cliniques et l’expérience post-commercialisation.

    Dans les essais cliniques, les effets ne sont étudiés que pendant quelques jours immédiatement après la vaccination (sans véritable placebo), et seuls les effets indésirables mineurs tels que l'irritabilité, la fièvre, la diarrhée, la fatigue/faiblesse et la douleur au site d'injection sont mentionnés.

    Mais dans les « données post-commercialisation », c'est-à-dire les injections post-approbation dans la population générale, une longue liste d'effets indésirables plus graves tels que le syndrome de Guillain-Barré, la sclérose en plaques, l'encéphalite, la thrombocytopénie, la méningite, le syndrome de Stevens-Johnson, des tachycardies et bien d'autres encore sont rapportées.

    C’est l’une des astuces élémentaires utilisées par l’industrie pharmaceutique pour dissimuler la nature et l’étendue des blessures pouvant être imputables aux tirs.

    Les effets indésirables plus graves sont passés sous silence en affirmant qu’« aucun lien de causalité n’a été établi » entre l’injection et ces réactions.

    Dans les essais, les sujets sont observés pendant quelques jours seulement et rien n’est jamais inquiétant.

    Mais lorsque le grand public commence à signaler des événements indésirables graves réels, ceux-ci sont écartés et aucune étude à long terme n’est réalisée qui pourrait établir une relation causale entre l’injection et la déclaration des événements indésirables.

    Dans une déposition de neuf heures , l'avocat principal de l'ICAN, Aaron Siri, a porté ces nombreux problèmes à l'attention de Stanley Plotkin , le « Parrain des vaccins », auteur de ce qui est considéré comme la bible sur les vaccins .

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  24. Dans sa déposition , Siri a fait admettre à Plotkin que le vaccin contre l'hépatite B (administré aux bébés le premier jour de leur vie) n'a pas fait l'objet d'une étude de sécurité adéquate :

    Aaron Siri : « Combien de temps cela dit-il que la sécurité a été surveillée après chaque dose ? »
    Dr Stanley Plotkin : « Cinq jours. »
    Siri : « Est-ce suffisamment long pour détecter un problème auto-immun qui survient après cinq jours ? »
    Plotkin : « Non. »
    Siri : « Y avait-il un groupe témoin dans cet essai ? »
    Le Dr Plotkin, qui venait de soutenir que les groupes témoins sont essentiels pour évaluer les causes et les effets, a répondu : « Il ne mentionne aucun groupe témoin, non. »
    Sur la base du poids de ce témoignage, l'ICAN demande actuellement à la FDA de retirer l'homologation des vaccins contre l'hépatite B et affirme qu'ils n'auraient jamais dû être approuvés .

    Étant donné que l’utilité du vaccin contre l’hépatite B chez les tout-petits n’est pas fondée et que les essais cliniques sont, au mieux, problématiques, il semblerait qu’il incombe aux fabricants de fournir au moins des preuves irréfutables de la sécurité de ces produits.

    Alors, fournissent-ils des preuves irréfutables de sécurité ?

    Les données révèlent le contraire.

    *

    Dangers du vaccin contre l'hépatite B : un secret de polichinelle

    Au cours des premiers mois de la vie, le cerveau et les systèmes biologiques d’un enfant se trouvent à des stades critiques de développement. Tout au long de la grossesse, les parents sont généralement bombardés de directives de leur médecin, qui les prévient qu'une multitude de vaccins seront essentiels pour protéger leur enfant du torrent imminent de maladies infectieuses.

    En plus des prescriptions médicales données par leur pédiatre, on fait comprendre aux parents qu'ils seront confrontés à des mandats de garde et de scolarisation ainsi qu'à des pressions sociétales omniprésentes. La combinaison de ces forces crée un climat de peur et de coercition destiné à amener le respect automatique du calendrier de vaccination des enfants.

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  25. Peu ou pas d’informations sur les vaccins sont fournies volontairement lors de la plupart des visites pédiatriques. On attend des parents qu’ils fassent docilement confiance à leur médecin et qu’ils placent leur confiance dans un système médical qui prétend assidûment que les vaccinations sont nécessaires, sûres et efficaces. Les questions remettant en question l’utilité et la sécurité d’un vaccin sont généralement découragées et rejetées.

    Aux États-Unis, le voyage dans ce monde de vaccination de masse commence le jour de la naissance avec le vaccin contre l’hépatite B.

    Dans la mesure où l’hépatite B représente un danger pour quiconque, ce risque s’entend du contact sexuel ou du partage de seringues. Un risque de transmission sexuelle ou un risque d’échange de seringues signifie qu’il n’y a pratiquement aucun risque d’infection par l’hépatite B pour les nourrissons, ce qui remet en question la justification fondamentale de ce vaccin.

    Moins de 1 pour cent de tous les cas d’hépatite B surviennent chez des enfants de moins de 15 ans. En Amérique du Nord, en Europe et en Australie, seulement un dixième de un pour cent seraient porteurs. Parmi les adultes infectés, 90 à 95 % éliminent le virus d’eux-mêmes, sans intervention.

    Bien que l’on pense que les nourrissons nés de mères infectées par l’hépatite B courent un plus grand risque de contracter la maladie, les femmes enceintes peuvent facilement être dépistées et trouvées positives ou négatives.

    Étant donné le faible risque d’infection par l’hépatite B chez les nourrissons et les jeunes enfants, nous devons nous demander : « Ce vaccin vaut-il le risque potentiel de troubles du développement neurologique ou d’autres effets indésirables associés à ce vaccin ?

    La réponse à cette question peut être trouvée en répondant d’abord à la question la plus importante pour tout produit médical : est-il sûr ?

    Dès les premiers jours du développement et de la production, des problèmes de sécurité ont persisté dans les différentes itérations du vaccin contre l’hépatite B.

    La version originale, Heptavax B , fabriquée par Merck Sharp & Dolme et approuvée par la FDA en 1981, était différente des vaccins précédents en ce sens qu'elle contenait un virus inactivé collecté à partir du plasma de donneurs infectés par HepB plutôt qu'un virus vivant, affaibli ou tué et dénaturé. .

    Le prolifique vaccinologue Maurice Hilleman a émis l'hypothèse qu'il pourrait fabriquer un vaccin contre l'hépatite B en injectant aux patients la protéine de surface de l'hépatite B en utilisant trois traitements de sérum sanguin, ainsi qu'une filtration rigoureuse. Pour obtenir le plasma nécessaire, Hilleman a collecté du sang auprès d'hommes homosexuels et de consommateurs de drogues intraveineuses, groupes considérés comme étant à risque d'hépatite virale.

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  26. Hilleman pensait qu'après la vaccination, le système immunitaire de l'organisme reconnaîtrait les protéines de surface comme étrangères et fabriquerait des anticorps spécifiques qui détruiraient ces protéines. Sa théorie était que si, après la vaccination, le patient était infecté par le VHB, le système immunitaire produirait des anticorps protecteurs qui détruiraient les virus.

    Le 16 novembre 1981 , le journaliste de CBS Evening News, Dan Rather, a présenté le vaccin de Hilleman comme le « premier vaccin viral entièrement nouveau depuis dix ans » et l'a salué comme « le premier vaccin jamais autorisé aux États-Unis fabriqué directement à partir de sang humain ».

    Bien que salué à l’époque comme une réalisation médicale révolutionnaire, le vaccin HepB original dérivé du plasma n’était pas destiné à une utilisation généralisée aux États-Unis. D’une part, le cancer du foie était encore relativement rare aux États-Unis. D’autre part, le coût du vaccin était considéré comme prohibitif.

    L'enthousiasme suscité par ce nouveau vaccin plasmatique s'est rapidement dissipé en raison d'un problème de relations publiques. Il est apparu que les essais cliniques qui ont testé le vaccin dans les années 1970 n’avaient inclus que des hommes homosexuels identifiés comme présentant un risque élevé d’infection.

    L'approbation du vaccin dérivé du sérum a coïncidé avec la crise du sida, qui a accru les inquiétudes quant à la sécurité de l'utilisation de sérum humain potentiellement contaminé dans les vaccins, par crainte de transmettre le VHB vivant ou d'autres agents pathogènes véhiculés par le sang.

    Plus précisément, étant donné que les hommes gais et les utilisateurs de drogues injectables donnaient fréquemment du sang pour le vaccin, on craignait que le plasma sanguin puisse être infecté et que le vaccin lui-même devienne porteur du VIH/SIDA.

    L'inquiétude suscitée par une contamination potentielle par des virus humains a conduit à l'introduction en 1986 d'un deuxième vaccin contre l'hépatite B, Recombivax-HB . Ce nouveau type de vaccin, connu sous le nom de vaccin recombinant , a été le premier vaccin produit à l'aide de la technologie de l'ADN recombinant. Comme Heptavax B, Recombivax-HB a été fabriqué par Merck Sharp & Dolme.

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  27. La création de ce nouveau type de vaccin a nécessité l'insertion du gène de l'enveloppe protéique du virus HepB dans des cellules de levure , éliminant ainsi le risque de contamination virale lié à l'utilisation de sérum humain pour produire le vaccin.

    Frank E. Young, commissaire de la FDA à l'époque, a salué ce développement comme une autre merveille médicale, déclarant : « Ce vaccin ouvre une toute nouvelle ère de production de vaccins. Ces techniques devraient pouvoir être étendues à n’importe quel virus ou parasite pour produire d’autres vaccins qui ne peuvent normalement pas être propagés en laboratoire.

    Notant que le vaccin dérivé du plasma, HeptavaxB, avait des ventes annuelles de seulement 45 millions de dollars, Edward E. Penhoet, président du collaborateur de Merck, Chiron Corp. , a suggéré que le nouveau vaccin Recombivax-HB serait plus rentable pour Merck, considérant que génétiquement les vaccins fabriqués sont « moins chers à produire » que ceux dérivés du sang humain.

    En 1989, un deuxième vaccin recombinant contre l'hépatite B, Engerix-B , fabriqué par SmithKline Beecham, a été approuvé pour une utilisation aux États-Unis.

    Alors que les nouveaux vaccins HepB tempéraient l’anxiété qui entourait les précédents vaccins à base de plasma, un autre ensemble de problèmes s’est matérialisé dans les processus de fabrication et avec certains ingrédients des vaccins recombinants HepB.

    Une étude française de 2005 intitulée « Vaccination contre la sclérose en plaques et l’hépatite B : ajouter la crédibilité de la biologie moléculaire à un niveau inhabituel de preuves cliniques et épidémiologiques » a mis en évidence les problèmes liés à la contamination par la polymérase du virus HepB . Il affirmait :

    Nous avons examiné les preuves montrant que le vaccin contre l'hépatite B contre le VHB a un potentiel marqué d'induire des risques auto-immunes, neurologiques et non neurologiques. Nous avons souligné que pour un médicament utilisé à titre préventif, le VHB se distinguait par la fréquence, la gravité et la variété inhabituelles de ses dangers.

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  28. Les auteurs de l'étude ont conclu que :

    « le principe de précaution » devrait être appliqué de toute urgence [en ce qui concerne] le bénéfice minime (le cas échéant) d'une vaccination à grande échelle contre l'HepB dans les pays à faible endémie. De plus, le rapport bénéfice/bénéfice de cette prophylaxie coûteuse devrait être sérieusement réévalué même dans les pays où la fréquence de l'HepB est plus élevée.

    Un autre problème a surgi : celui des protéines de levure génétiquement modifiées utilisées dans les vaccins HepB. Des liens entre tous les vaccins contenant de la levure et les maladies auto-immunes ont été observés, suscitant des inquiétudes quant au fait que cet ingrédient des vaccins HepB pourrait provoquer une réaction grave au vaccin chez les enfants allergiques à la levure.

    En effet, des preuves bioinformatiques et épidémiologiques relient la protéine de levure présente dans les vaccins contre l’hépatite B à de nombreuses maladies auto-immunes. Pourtant, selon l’étude française, « les fabricants de vaccins ont refusé d’effectuer de tels contrôles, ce qui a eu des conséquences dévastatrices ».

    Sur son site Internet, la Hepatitis B Foundation prévient : « Le vaccin peut ne pas être recommandé aux personnes présentant des allergies documentées aux levures ou des antécédents de réaction indésirable au vaccin. »

    Parallèlement, le Pinkbook du CDC sur l'hépatite B a identifié un autre problème potentiel : « Certaines présentations [c'est-à-dire les emballages] des vaccins HepB contiennent du latex, qui peut provoquer des réactions allergiques. »

    Sachant que la première dose du vaccin HepB est recommandée – et habituellement administrée – le jour de la naissance, comment savoir si un nouveau-né est allergique à la levure, au latex ou à l'un des autres ingrédients du vaccin ?

    Les allergies aux levures et au latex ne sont certainement pas des préoccupations insignifiantes. Mais des problèmes de sécurité encore plus alarmants ont été identifiés avec d’autres ingrédients présents dans le vaccin HepB.

    Jusqu'au début des années 2000, les vaccins HepB originaux basés sur le gène, Recombivax et Engerix , contenaient le thimérosal , un conservateur à base de mercure . Le thimérosal est un composé organique contenant du mercure et du thiosalicylate doté de propriétés antiseptiques, bactéricides et fongicides. Certaines expositions au thimérosal sont connues pour être toxiques pour le système nerveux central, les reins, le foie, la rate et la moelle osseuse. Certains pensent que même les plus petites quantités de méthylmercure, présent dans le thimérosal, comportent un risque de conséquences neuropsychologiques indésirables .

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  29. Une étude longitudinale de 2016 sur la relation entre la vaccination contre l’hépatite B contenant du thimérosal et les retards de développement a abouti à cette évaluation :

    Au cours de la décennie au cours de laquelle les vaccins Thimerosal-HepB (T-HBV) ont été systématiquement recommandés et administrés aux nourrissons américains (1991-2001), environ 0,5 à 1 million d'enfants américains supplémentaires ont reçu un diagnostic de retards de développement spécifiques en raison de l'administration de 25 μg. ou 37,5 μg de Hg organique provenant des T-HBV administrés au cours des 6 premiers mois de la vie.

    [ . . . ] [Cette] étude fournit de nouvelles preuves convaincantes pour confirmer et étendre les études épidémiologiques précédentes révélant une relation significative entre l'exposition au Hg organique provenant de vaccins infantiles contenant du thimérosal et le risque accru qui en résulte d'un diagnostic de retards de développement spécifiques.

    Une étude transversale de 2018 publiée dans l’ International Journal of Environmental Research and Public Health a fortement suggéré que le vaccin HepB contenant du thimérosal des années 1990 avait causé des dommages considérables aux enfants. Cette étude concluait :

    Cette étude transversale fournit de nouvelles preuves cohérentes avec et étend les résultats d'études épidémiologiques et biologiques antérieures sur les effets indésirables de l'exposition au Hg provenant des vaccins infantiles contenant du thimérosal. Cette étude confirme une augmentation significative d'environ neuf fois du risque d'effets indésirables, mesuré par la réception de services d'éducation spécialisée chez les garçons recevant un vaccin contre l'hépatite B contenant du thimérosal.

    L’étude de 2018 s’est ajoutée au chœur des voix exigeant que le thimérosal soit retiré de tous les vaccins administrés aux femmes enceintes et aux enfants.

    Ce n’est pas comme si des préoccupations concernant le mercure n’avaient pas déjà été soulevées par les régulateurs. La loi de 1997 sur la modernisation de la Food and Drug Administration (FDA) a demandé à la FDA d'examiner et d'évaluer les risques liés à tous les aliments et médicaments contenant du mercure.

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  30. En 1999, la FDA a déterminé :

    [S]ans le calendrier de vaccination des enfants recommandé, les nourrissons peuvent être exposés à des doses cumulatives d'éthylmercure qui dépassent certaines lignes directrices fédérales de sécurité établies pour l'ingestion de méthylmercure, une autre forme de mercure organique (Ball et al., 2001). En juillet 1999, l’American Academy of Pediatrics (AAP) et le Public Health Service (PHS) des États-Unis ont publié une déclaration commune recommandant le retrait le plus tôt possible du thimérosal des vaccins.

    La déclaration de la FDA recommandait « une suspension temporaire de la dose de naissance du vaccin contre l’hépatite B pour les enfants nés de mères à faible risque jusqu’à ce qu’une alternative sans thimérosal soit disponible ».

    Merck a réagi immédiatement en fabriquant un nouveau vaccin HepB. La société a obtenu l'approbation de la FDA pour son vaccin Recombivax HB sans thimérosal le 27 août 1999. La distribution du nouveau produit a commencé en septembre.

    SmithKline Beecham a reformulé son Engerix-B sans thimérosal , approuvé par la FDA en 2000.

    Le directeur de l'Institut pour la sécurité des vaccins, Neal Halsey, MD, a assuré au public que le nouvel Engerix-B de SmithKline Beecham ne contenait que des traces de thimérosal (<1 mcg), qui, a-t-il déclaré, « n'auront aucun effet cliniquement pertinent ». ] ce qui en fait l’équivalent d’un produit sans thimérosal.

    Pendant ce temps, le CDC recommande aux nouveau-nés et aux nourrissons de moins de six mois d’éviter les vaccinations au thimérosal. Mais il permet toujours aux nourrissons de plus de six mois de recevoir les vaccins HepB contenant du thimérosal.

    Même si le thimérosal était progressivement retiré des vaccins pour enfants, les problèmes de sécurité concernant un autre ingrédient du vaccin HepB persistaient. Des rapports inquiétants concernant les adjuvants à base d'aluminium présents dans les vaccins faisaient leur apparition. Ils continuent à ce jour.

    Dans un article paru en 2008 dans le magazine Mothering , le pédiatre Robert Sears a tiré la sonnette d'alarme sur les dangers des vaccins contenant des adjuvants à base d'aluminium.

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  31. Avant d’écrire cet article, le Dr Sears s’était lancé dans sa propre enquête pour voir si quelqu’un avait effectivement testé et évalué scientifiquement des niveaux « sûrs » d’aluminium injecté. Au cours de son enquête, il avait découvert un document de la FDA sur la toxicité de l'aluminium, qui prévenait :

    L'aluminium peut atteindre des niveaux toxiques en cas d'administration parentérale prolongée [c'est-à-dire injecté dans le corps] si la fonction rénale est altérée. La recherche indique que les patients souffrant d'insuffisance rénale, y compris les nouveau-nés prématurés [c'est-à-dire les bébés], qui ont reçu des niveaux parentéraux d'aluminium supérieurs à 4 à 5 microgrammes par kilogramme de poids corporel par jour, accumulent de l'aluminium à des niveaux associés au système nerveux central et aux os: toxicité. Une charge tissulaire [c'est-à-dire une accumulation toxique dans certains tissus corporels] peut se produire à des taux d'administration encore plus faibles.

    Un autre document au sujet de la toxicité de l'aluminium, celui-ci produit par l'American Society for Parenteral and Enteral Nutrition (ASPEN), soulignait une limite quotidienne de 4 à 5 mcg d'aluminium par kilogramme (2,2 lb) de poids corporel pour les bébés nourris avec un Solution IV contenant de l'aluminium.

    Bien qu'aucun de ces documents ne mentionne spécifiquement les vaccins, la FDA et ASPEN étaient d'avis que toutes les solutions injectables pour enfants devraient être limitées à une quantité maximale de 25 mcg d'aluminium sur une période de 24 heures.

    Le Code des réglementations fédérales de la FDA stipule explicitement : « La teneur en aluminium des produits médicamenteux parentéraux à grand volume (LVP) utilisés dans le traitement par nutrition parentérale totale (TPN) ne doit pas dépasser 25 microgrammes par litre ([micro]g/L)."

    Le fait troublant concernant le vaccin HepB en ce qui concerne l'aluminium est que chaque dose - administrée à la naissance, à 2 mois et à 6 mois - contient 250 mcg d'aluminium, une quantité dépassant de loin les niveaux de sécurité recommandés pour les administrations parentérales à grand volume ( LVP) produits pharmaceutiques.

    Dans une étude de 2011, deux scientifiques canadiens, le professeur Christopher Shaw et la Dre Lucija Tomljenovic, ont posé une question sérieuse dans le titre d'un article qu'ils ont co-écrit, « Adjuvants à l'aluminium pour les vaccins : sont-ils sûrs ? "

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  32. Les réponses qu’ils ont découvertes méritent d’être longuement citées :

    L’aluminium est une neurotoxine démontrée expérimentalement et l’adjuvant vaccinal le plus couramment utilisé. Malgré près de 90 ans d’utilisation généralisée des adjuvants à base d’aluminium, la science médicale comprend encore très mal leurs mécanismes d’action.

    La recherche expérimentale montre cependant clairement que les adjuvants à base d'aluminium (depuis 1929) peuvent potentiellement induire de graves troubles immunologiques chez l'homme. En particulier, l'aluminium sous forme d'adjuvant comporte un risque d'auto-immunité, d'inflammation cérébrale à long terme et de complications neurologiques associées et peut donc avoir des conséquences néfastes profondes et généralisées sur la santé (Alzheimer). [Je souligne.] [ . . .]

    Étant donné que plusieurs vaccins avec adjuvant d'aluminium sont souvent administrés à de très jeunes enfants (âgés de 2 à 6 mois), en une seule journée, lors de séances de vaccination individuelles, les inquiétudes quant aux impacts potentiels de la charge corporelle totale en aluminium dérivée de l'adjuvant peuvent être importantes . Ces questions méritent d’être examinées sérieusement car, à notre connaissance, aucune étude adéquate n’a été menée pour évaluer la sécurité de l’administration simultanée de différents vaccins aux jeunes enfants. [Je souligne.]

    Deux ans plus tard, en 2013, les mêmes scientifiques ont produit une autre étude, celle-ci avec dans son titre une déclaration de fait plutôt qu'une question : « L'aluminium dans le système nerveux central : toxicité chez les humains et les animaux, adjuvants de vaccins et auto-immunité. "

    Dans cette étude, Shaw et Tomljenovic ont conclu :

    Chez les jeunes enfants, il existe une corrélation très significative entre le nombre de vaccins pédiatriques avec adjuvant aluminium administrés et le taux de troubles du spectre autistique. De nombreuses caractéristiques de la neurotoxicité induite par l'aluminium peuvent provenir, en partie, de réactions auto-immunes, dans le cadre du syndrome auto-immune/inflammatoire induit par les adjuvants (ASIA).

    Aucun article sur l'aluminium dans les vaccins n'est complet à moins qu'il ne mentionne le chimiste britannique Christopher Exley , professeur de chimie bio-organique et chef de groupe du laboratoire de chimie bio-organique de l'université de Keele. Connu sous le nom de « M. Aluminium », le Dr Exley a consacré une grande partie de sa vie à étudier les dangers de l’aluminium. Il s'intéresse particulièrement à l'utilisation d'adjuvants à base d'aluminium dans les vaccins destinés aux enfants.

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  33. Si nous examinons le programme de vaccination des enfants contre l’hépatite B du point de vue de la santé et du fait de « sauver des vies », nous sommes confrontés à un monde de contradictions et de manipulations – et rien de tout cela n’a de sens.

    Mais si nous examinons le programme de vaccination des enfants contre l’hépatite B sous l’angle du pouvoir, de l’argent et du contrôle, alors tout prend tout son sens.

    Une lettre écrite en 2005 par le Dr Marc Girard au directeur général de l'Organisation mondiale de la santé faisait référence à une correspondance qu'il avait eue avec un collègue indien, le Dr J. Puliyel, sur les fausses données diffusées par l'OMS sur l'épidémiologie de l'hépatite B en Inde .

    Cet échange nous donne un aperçu des processus par lesquels une menace autrefois inexistante se transforme en crise de santé publique, ainsi que des arrière-pensées qui sous-tendent cette évolution.

    Le Dr Girard note gravement :

    [L]es mécanismes de tromperie décrits par le Dr Puliyel étaient exactement comparables à ceux que j'ai observés dans mon propre pays – et bien sûr avec les mêmes résultats : un appel des « experts » pour inclure la vaccination contre l'hépatite B dans le programme national de vaccination, malgré ses coûts et sa toxicité sans précédent.

    Il a continué:

    Il est flagrant que dans la promotion de la vaccination contre l’hépatite B, l’OMS n’a jamais été qu’un écran pour une promotion commerciale indue, notamment via le Viral Hepatitis Prevention Board (VHPB), créé, sponsorisé et infiltré par les fabricants.

    En septembre 1998, alors que les terribles aléas de la campagne étaient médiatisés en France, le VHPB rencontrait un panel d'« experts », dont les conclusions rassurantes étaient largement annoncées comme reflétant la position de l'OMS : pourtant, certains des participants à cette campagne Le panel n’avait pas plus d’« expertise » que celle d’employés des fabricants.

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  34. Dans la même lettre adressée à l'OMS, Girard attirait l'attention sur une interview de 1997 publiée dans la revue française Sciences et Avenir , dans laquelle le directeur commercial de SmithKline Beecham admettait :

    Nous avons commencé à sensibiliser les experts européens de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) à l’hépatite B en 1988. Depuis lors et jusqu’en 1991, nous avons financé des études épidémiologiques sur le sujet afin de créer un consensus scientifique sur le fait que l’hépatite constitue un problème majeur de santé publique. Nous avons réussi car en 1991, l’OMS a publié de nouvelles recommandations sur la vaccination contre l’hépatite B.

    Cet aveu cynique de la part de l’un des principaux fabricants du vaccin contre l’hépatite B offre un aperçu de la façon dont la stratégie séculaire du problème-réaction-solution est appliquée dans l’industrie pharmaceutique.

    La maladie elle-même est largement considérée comme superflue. Tout ce qui est nécessaire pour susciter la peur – et pour tirer un grand profit de cette peur – est de créer l’impression qu’il existe une crise de santé publique généralisée nécessitant une intervention médicale internationale héroïque sous la forme d’un vaccin qui, curieusement, était déjà disponible. dans la production menant à la « crise ».

    Les aveux du chef d'entreprise renforcent les faits entourant l'histoire de l'hépatite B. Il est important de noter que cette maladie n'a pratiquement posé aucun problème jusqu'à ce que le vaccin soit disponible. À ce stade, il fallait faire de la propagande sur la maladie à des fins de marketing, c’est-à-dire à des fins de rentabilité.

    En remontant le fil d'Ariane de toute la production de la campagne de vaccination contre l'hépatite B, nous détectons une tendance : un programme résolument non médical et non lié à la santé émerge, prouvant, une fois de plus, que pour trouver la vérité, il faut toujours suivre l'argent . .

    Depuis des années, d’énormes sommes financières et politiques ont été investies dans le vaccin contre l’hépatite B. D'énormes quantités de ressources ont été allouées à sa recherche et à son développement. Chaque nouveau vaccin HepB a été salué comme une merveille médicale.

    Malgré ces efforts monumentaux, l’industrie médicale n’a pas réussi à convaincre ses cibles de se faire vacciner. Cet échec s’est traduit par de maigres retours sur d’énormes investissements.

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  35. Ainsi, pour résoudre ce dilemme et faire face aux coûts irrécupérables, l'industrie pharmaceutique, par l'intermédiaire de son groupe de décideurs politiques capturés , a inventé des réglementations conçues pour rendre les vaccins obligatoires pour les nourrissons vulnérables, dont les mères, se remettant des douleurs et des joies de l'accouchement, sont difficilement en mesure de donner leur « consentement éclairé ». Ainsi, une clientèle capturée est créée. Et ainsi, un flux de revenus est garanti.

    Les vaccins HepB « à la naissance » ont l'avantage supplémentaire, du point de vue des fabricants, de fournir des « roues d'entraînement aux vaccins » aux nouveaux parents, les conditionnant à se conformer silencieusement à 18 ans de rendez-vous de vaccination de routine.

    Les 12 millions de doses de vaccin HepB administrées aux enfants chaque année rien qu’aux États-Unis – sans compter le monde – représentent une source de revenus annuelle substantielle pour les fabricants de vaccins.

    Le New York Times a rapporté que le coût moyen de la vaccination complète d'un enfant de la naissance à l'âge de 18 ans dans un cabinet médical privé est passé de 100 dollars en 1986 à 2 192 dollars en 2014.

    Et maintenant, en 2023, si un enfant reçoit chaque dose de chaque vaccin prévu dans le calendrier infantile dans le cabinet d'un pédiatre privé, le coût dépasse 3 000 $.

    Au XXIe siècle, la commercialisation des vaccins est devenue une entreprise mondiale colossale et rentable . Selon Kristalina Georgieva , directrice générale du Fonds monétaire international , la politique vaccinale est désormais l'un des moteurs les plus importants de la politique économique mondiale.

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  36. Un dernier mot

    Lors de deux audiences distinctes au Congrès en 1999, Michael Belkin, dont la petite fille est décédée du syndrome de mort subite du nourrisson (SMSN) quelques heures après avoir reçu une dose de vaccin contre l'hépatite B, a témoigné, qualifiant la politique de vaccination contre l'hépatite B de « programme de vaccination bureaucratique mis en œuvre automatiquement », pilote volant dans une montagne » et accusant les bureaucrates du CDC d’avoir « un intérêt direct dans le statu quo ».

    Les conclusions de M. Belkin méritent un récit complet des faits concernant ce vaccin mortel :

    Les nouveau-nés ne courent aucun risque de contracter l’hépatite B à moins que leur mère ne soit infectée.
    L'hépatite B est avant tout une maladie qui touche les toxicomanes, les homosexuels et les hétérosexuels promiscuités.
    Le vaccin est imposé aux bébés parce que les autorités sanitaires n’ont pas réussi à persuader les groupes à haut risque de se soumettre à ce vaccin. Les effets indésirables sont plus nombreux que les cas de la maladie dans les statistiques gouvernementales.
    Rien n'est fait pour enquêter sur ces effets indésirables.
    Ces effets indésirables comprennent de nombreux décès, convulsions et affections arthritiques survenant quelques jours après la vaccination contre l’hépatite B.
    Le CDC déforme les statistiques hypothétiques et estimées de l’hépatite B comme s’il s’agissait de cas réels de la maladie.
    L'ACIP recommande de nouveaux vaccins pour les prématurés sans disposer d'études scientifiques prouvant leur sécurité.
    Le processus américain de recommandation de vaccins est désespérément compromis par des conflits d’intérêts avec les fabricants de vaccins, avec l’American Academy of Pediatrics et avec le CDC.
    On se rend compte que M. Belkin parlait spécifiquement et uniquement de l'injection de l'hépatite B en mettant en garde contre le risque du vaccin pour la santé. Mais nous aimerions conclure la première partie en soulignant, au nom de tous les enfants et de leurs parents, le risque élevé de toxicité et d'effets indésirables posés par tous les vaccins.

    Nous examinerons rigoureusement chaque vaccin infantile recommandé dans les prochains épisodes de cette série. Nous espérons fournir un cadre pour une évaluation attendue depuis longtemps de cette question médicale souvent cachée, interdite et hautement controversée.

    [Le prochain volet, la deuxième partie de notre série de 26 parties, examinera le vaccin contre le rotavirus.]

    https://www.globalresearch.ca/childhood-vaccination-schedule/5834798

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  37. Le récit du vaccin s’effondre alors qu’une étude de Harvard montre que le vaccin est plus dangereux que le COVID


    Par Jonas Vesterberg
    Recherche mondiale,
    4 octobre 2023


    [Cet article important a été initialement publié sur GR en octobre 2022.]

    Alors que des rappels qui n’ont pas été testés sur des humains sont déployés à travers le pays, une nouvelle étude indique que le vaccin est bien plus dangereux que le COVID-19 lui-même. Et le CDC a fourni de fausses informations concernant leur suivi des événements indésirables liés aux vaccins.

    Alors que les responsables gouvernementaux et les grands médias exhortent les vaccinés à s'injecter un deuxième rappel dit « bivalent » censé cibler la variante Omicron, il s'avère que cette substance n'a pas été testée sur des humains . Et le seul essai sur des animaux qui a été réalisé portait sur huit souris .

    "Cela n'a pas été prouvé dans un essai clinique, parce que nous n'avons pas le temps de faire un essai clinique parce que nous devons sortir le vaccin maintenant parce que nous avons une telle situation partout dans le monde et certainement aux États-Unis, nous Nous avons 400 décès par jour et jusqu'à 5 000 hospitalisations par jour », a expliqué le Dr Anthony Fauci du NIAID dans une interview .

    La directrice du CDC, Rochelle Walensky, a également déclaré que les rappels doivent être accélérés pour fonctionner correctement. Un retard rendrait potentiellement les tirs « obsolètes » à mesure que de nouvelles variantes se formeraient, affirme Walensky .

    Étude : Pire que le virus

    Une nouvelle étude menée par des scientifiques de Harvard et de Johns Hopkins, actuellement en pré-impression, révèle que les vaccins contre le COVID-19 étaient jusqu'à 98 fois pires que le virus lui-même. L’étude critique l’exigence de rappel pour les étudiants universitaires américains, déclarant dans le résumé : « En utilisant les données sur les événements indésirables signalés par le CDC et les sponsors, nous constatons que les mandats de rappel peuvent causer un préjudice net attendu : par hospitalisation liée au COVID-19 évitée chez des personnes auparavant non infectées. Chez les jeunes adultes, nous prévoyons 18 à 98 événements indésirables graves, dont 1,7 à 3,0 cas de myocardite associés au rappel chez les hommes, et 1 373 à 3 234 cas de réactogénicité de grade ≥ 3 qui interfèrent avec les activités quotidiennes.

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  38. Fausse information

    Comme cela a été rapporté pour la première fois dans Epoch Times, le CDC a fourni de fausses informations concernant le suivi des événements indésirables provoqués par les vaccins. Dans le même temps, Walensky admet qu’il existe une relation causale entre les vaccins à ARNm et la myocardite :

    Dans une lettre datée du 2 septembre de la directrice du CDC, Rochelle Walensky, au sénateur Ron Johnson, le directeur déclare que « le CDC effectue systématiquement une collecte et une analyse approfondies de données pour détecter les événements indésirables potentiels et les signaux de sécurité, puis communique ces informations au public. Par exemple, le personnel du VAERS a mené des évaluations montrant qu'il existe des associations causales entre la thrombose avec syndrome de thrombocytopénie et le vaccin COVID-19 de Janssen et entre la myocardite et la vaccination à ARNm contre le COVID-19.

    Dans la même lettre, Walensky a également déclaré que le CDC n’avait pas du tout analysé certains types de rapports d’événements indésirables en 2021, bien qu’il ait précédemment déclaré avoir commencé ce suivi en février de la même année.

    https://www.globalresearch.ca/vaccine-narrative-collapses-as-harvard-study-shows-jab-more-dangerous-than-covid/5793668

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  39. Le « vaccin aérien » est là, aucune aiguille n’est nécessaire pour introduire la technologie de l’ARNm chez les humains


    Par Mac Slavo
    Recherche mondiale,
    3 octobre 2023


    Le « vaccin aérien » est là et il est capable d'introduire la technologie de l'ARNm dans le corps humain sans injection d'aiguille. L’ARNm peut être délivré directement dans les poumons et a été utilisé pour « vacciner » des souris par voie intranasale.

    Une équipe de l’Université de Yale a développé une nouvelle méthode aéroportée pour délivrer l’ARNm directement dans vos poumons. La méthode a également été utilisée pour vacciner des souris par voie intranasale , « ouvrant la porte à des tests sur l’homme dans un avenir proche ».

    Alors que les scientifiques peuvent célébrer cette invention comme une méthode pratique pour vacciner de grandes populations, les sceptiques ont commencé à exprimer des inquiétudes évidentes quant à l'utilisation abusive potentielle d'un vaccin aéroporté, y compris la possibilité de bioaméliorations secrètes, un concept qui a déjà été suggéré dans la littérature universitaire .

    Roman Balmakov de Facts Matter discute de l'étude dans la vidéo ci-dessous :

    - voir clip (Rumble) sur site -

    Dans la recherche, les scientifiques ont utilisé des nanoparticules polymères pour encapsuler l’ARNm, le transformant en une forme inhalable pouvant être administrée aux poumons. Courtney Malo, rédactrice en chef de Science Translational Medicine , la publication qui présente l'étude, a expliqué : « La capacité d'administrer efficacement l'ARNm aux poumons aurait des applications pour le développement de vaccins, la thérapie génique, et bien plus encore. Ici, Suberi et al. ont montré qu'une telle délivrance d'ARNm peut être réalisée en encapsulant des ARNm d'intérêt dans des polyplexes poly(amine-co-ester) [nanoparticules] optimisés.

    Les ARNm délivrés par Polyplex ont été efficacement traduits en protéines dans les poumons de souris avec des preuves limitées de toxicité. Cette plateforme a été appliquée avec succès en tant que vaccin intranasal contre le SRAS-CoV-2, provoquant des réponses immunitaires robustes qui ont conféré une protection contre les défis viraux ultérieurs.

    Ces résultats mettent en évidence le potentiel de ce système de distribution pour les applications de vaccins et au-delà.

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  40. L’équipe, dirigée par le physiologiste cellulaire et moléculaire Mark Saltzman, affirme que le vaccin inhalable à ARNm « a réussi à protéger contre le « SRAS-CoV-2 », et qu’il « ouvre la porte à la délivrance d’autres thérapies à ARN messager (ARNm) pour le traitement des gènes ». thérapie de remplacement et autres traitements dans les poumons. »( source ) -The Daily Exposé

    En créant un vaccin aéroporté, la classe dirigeante n’a pas besoin de convaincre les gens de passer leur temps à se faire injecter individuellement. Cela peut prendre du temps et être ardu, surtout si les gens continuent de rejeter les « vaccins ». Il est beaucoup plus facile d’introduire la technologie de l’ARNm dans le corps humain si les dirigeants peuvent simplement la diffuser dans l’air. Mais s’ils peuvent y parvenir grâce aux vaccins, qu’est-ce qui les empêche de créer une arme biologique que tout le monde inhale ?

    Un vaccin aéroporté, tout comme une arme biologique, peut être libéré dans l'air sans le consentement ni même à l'insu du public.

    Une stratégie similaire est utilisée avec l’ARNm des crevettes, qui sont trop petites et trop nombreuses pour être injectées individuellement. Au lieu de cela, un « nanovaccin » oral a été créé pour arrêter la propagation d’un virus. Shai Ufaz, PDG de ViAqua, qui a développé la technologie, a déclaré :

    « L'administration orale est le Saint Graal du développement de la santé de l'aquaculture en raison à la fois de l'impossibilité de vacciner des crevettes individuelles et de sa capacité à réduire considérablement les coûts opérationnels de la gestion des maladies tout en améliorant les résultats… » -The Daily Exposé

    Le COVID-19 a toujours été une question de « vaccin » et de transmission au plus grand nombre d’êtres humains possible. Cela fait toujours partie de la fin du jeu. Les dirigeants doivent exposer le plus grand nombre de personnes possible à la technologie de l’ARNm avec le moins de coûts et d’efforts. Le vaccin aéroporté est une solution au « problème » de la classe dirigeante avec « l’hésitation à l’égard du vaccin ».

    Un virologue pro-vaccin déclare : « Nous allons payer un prix énorme pour la vaccination de masse contre le COVID »

    Si jamais vous pensez que la classe dirigeante ne fera pas d’expérimentations sur le bétail humain qu’elle prétend posséder, détrompez-vous :

    Les programmes les plus effrayants de la DARPA pour le contrôle humain : « À quel point notre avenir sera-t-il sombre ? »

    https://www.globalresearch.ca/air-vaccine-no-needle-necessary-get-mrna-technology-humans/5834721

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  41. Début avril 2023, le microbiologiste Kevin McKernan – ancien chercheur et chef d'équipe du projet Génome humain du MIT 1 – a publié un article préimprimé 2 détaillant la contamination massive de l'ADN dans les injections de rappel bivalentes de Pfizer et Moderna. 3 , 4 , 5 , 6 Comme expliqué dans le résumé : 7

    « Plusieurs méthodes ont été déployées pour évaluer la composition en acides nucléiques de quatre flacons expirés des vaccins bivalents à ARNm Moderna et Pfizer. Deux flacons de chaque fournisseur ont été évalués…

    Plusieurs tests soutiennent une contamination de l’ADN qui dépasse les exigences de 330 ng/mg de l’Agence européenne des médicaments (EMA) et les exigences de 10 ng/dose de la FDA… »

    Le niveau le plus élevé de contamination de l'ADN trouvé était de 30 %, ce qui signifie que près d'un tiers du contenu de certains flacons était de l'ADN plasmidique, dont la présence augmente considérablement le risque d'intégration génomique et de cancer.

    Ce que cela signifie, en termes simples, c’est que les injections pourraient potentiellement altérer votre ADN, ce que les fabricants de vaccins, les autorités sanitaires et les vérificateurs des faits ont nié avec véhémence et considéré comme « impossible ». Pourtant, nous voilà face à des faits gênants qui nous regardent une fois de plus en face.

    Les agences de régulation étaient conscientes du problème

    Dans un article de Substack du 20 mai 20238, McKernan a souligné que les agences de réglementation étaient clairement conscientes de ce problème dès le début, puisque Pfizer a soumis des documents à l'Agence européenne des médicaments (EMA) démontrant que les lots échantillonnés contenaient une large gamme d'ADN double brin . (ADNdb) en eux.

    La limite de l'EMA pour l'ADNdb est de 330 nanogrammes par milligramme (ng/mg), et les données de Pfizer montrent que les lots échantillonnés contenaient entre 1 ng/mg et 815 ng/mg d'ADN. Et, selon McKernan, 9 la limite de l'EMA pourrait être trop élevée au départ, car « des limites inférieures devraient être appliquées si l'ADN est conditionné dans des nanoparticules lipidiques prêtes à la transfection », comme c'est le cas dans les clichés.

    Dans un environnement réglementaire sain, ce type de contamination aurait entraîné un rappel massif, compte tenu des dangers connus et suspectés des contaminants ADNdb. Pourtant, rien n’a été fait.

    Depuis que l'article de McKernan a été publié, d'autres ont confirmé la présence de contaminants d'ADNdb dans les injections de COVID. Pour être clair, l’ADN ne devrait pas être présent dans un produit commercial fabriqué selon de bonnes pratiques de fabrication.

    De toute évidence, Pfizer et Moderna n’ont pas perfectionné leur processus commercial, ou ont pris des raccourcis qu’ils n’auraient pas dû prendre. En conséquence, d’innombrables millions de personnes ont reçu des injections inutilement risquées contre le COVID.

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  42. Les injections de COVID peuvent provoquer le cancer de plusieurs manières

    La présence d’ADN n’est pas la seule manière dont les injections d’ARNm COVID peuvent provoquer le cancer. L’ARNm peut également effectuer une transcription inverse en ADN dans de bonnes circonstances. Par exemple, une expérience in vitro 15 , 16 publiée en 2022 a démontré que l’ARN modifié contenu dans le vaccin Pfizer a la capacité de pénétrer dans les cellules hépatiques humaines et de subir une transcription inverse en ADN en seulement six heures après l’exposition. Comme le rapporte cette étude évaluée par des pairs : 17

    « … une étude récente a montré que l’ARN du SRAS-CoV-2 peut être soumis à une transcription inverse et intégré dans le génome des cellules humaines. Dans cette étude, nous avons étudié l'effet du BNT162b2 sur la lignée cellulaire hépatique humaine Huh7 in vitro. Les cellules Huh7 ont été exposées à BNT162b2 et une PCR quantitative a été réalisée sur l'ARN extrait des cellules.

    Nous avons détecté des niveaux élevés de BNT162b2 dans les cellules Huh7 et des modifications dans l'expression génique de l'élément nucléaire 1 longuement intercalé (LINE-1), qui est une transcriptase inverse endogène.

    L'immunohistochimie utilisant la liaison d'anticorps à la protéine de liaison à l'ARN (ORFp1) du cadre de lecture ouvert LINE-1 sur des cellules Huh7 traitées avec BNT162b2 a indiqué une distribution accrue du noyau de LINE-1…

    Nos résultats indiquent une absorption rapide de BNT162b2 dans la lignée cellulaire hépatique humaine Huh7, entraînant des modifications dans l'expression et la distribution de LINE-1. Nous montrons également que l’ARNm de BNT162b2 est transcrit de manière intracellulaire en ADN en 6 heures seulement après l’exposition à BNT162b2.

    L’ARNm de COVID Jab peut pénétrer dans le noyau cellulaire

    Selon une étude de 202218, la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 et l’ARNm de la protéine de pointe ont été transloqués dans le noyau des cellules humaines infectées. Selon les auteurs, « la translocation nucléaire de l’ARNm S et de la protéine S révèle une nouvelle caractéristique pathogène du SRAS-CoV-2 ».

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  43. Ce sont donc les deux choses qui me viennent immédiatement à l’esprit : la faible possibilité de cancer chez l’homme au cours des cinq prochaines années, ou la possibilité d’une auto-immunité due à la production de ces peptides.

    Ainsi, l’affirmation selon laquelle l’ARNm contenu dans les injections de COVID – qui est basé mais non identique à l’ARNm de la protéine de pointe trouvée dans le SRAS-CoV-2 – ne peut pas pénétrer dans le noyau des cellules humaines et ne peut donc pas être intégré dans le génome humain, est tout simplement faux. La science nous dit que l’intégration du génome peut se produire de plusieurs manières.

    Le vaccin COVID peut avoir des effets intergénérationnels

    Une autre étude de 202221 a révélé que les souris ayant reçu une injection d’ARNm du COVID transmettaient leurs traits immunitaires acquis – bons et mauvais – à leur progéniture, ce qui suggère non seulement que l’ARNm peut pénétrer dans le noyau de la cellule, mais aussi qu’il peut y être de façon permanente. intégrés dans l’ADN chromosomique et ont des effets intergénérationnels. Comme le rapporte cette étude :

    « Des centaines de millions de doses de vaccin contre le SRAS-CoV-2 à ARNm-LNP ont déjà été administrées à des humains. Cependant, nous manquons d’une compréhension globale des effets immunitaires de cette plateforme.

    Le vaccin SARS-CoV-2 à base d’ARNm-LNP [à base de nanoparticules d’ARNm-lipides] est hautement inflammatoire et son composant lipidique ionisable synthétique responsable de l’induction de l’inflammation a une longue demi-vie in vivo.

    Étant donné que l’inflammation chronique peut entraîner un épuisement immunitaire et une non-réactivité, nous avons cherché à déterminer les effets de la pré-exposition à l’ARNm-LNP sur les réponses immunitaires adaptatives et la forme immunitaire innée.

    Nous avons constaté qu'une pré-exposition aux ARNm-LNP ou aux LNP seuls entraînait une inhibition à long terme de la réponse immunitaire adaptative… En revanche, nous rapportons qu'après une pré-exposition aux ARNm-LNP, la résistance des souris aux infections hétérologues avec le virus de la grippe a augmenté tandis que la résistance à Candida albicans a diminué…

    Fait intéressant, les souris pré-exposées à la plateforme ARNm-LNP peuvent transmettre les traits immunitaires acquis à leur progéniture…

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  44. Le promoteur SV40 est un élément oncogène d’un virus connu pour conduire une expression génique très agressive pour le cancer. Combinée à des morceaux d’ADN, la présence du promoteur SV40 rend le risque de cancer d’autant plus probable. De plus, selon McKernan25, le promoteur SV40 est une séquence utilisée en thérapie génique pour conduire l'ADN dans le noyau des cellules !

    Si les injections ne sont pas censées modifier le génome humain, pourquoi contiennent-elles des morceaux d’ADN et un promoteur SV40 qui peuvent conduire cet ADN dans le noyau ?

    Compte tenu de ces faits, n’est-il pas raisonnable de soupçonner, alors, que les « turbo-cancers » signalés actuellement par 26 oncologues pourraient effectivement être un effet secondaire des vaccins contre le COVID ? Le « cancer turbo » est un terme inventé pour décrire les cancers qui se développent à un rythme si sans précédent que les patients meurent souvent avant qu'un plan de traitement puisse être mis en œuvre.

    Un dosage répété peut favoriser le cancer et les problèmes auto-immuns

    Cela fait donc trois façons dont certaines injections peuvent contribuer au cancer ou le provoquer directement. Une quatrième façon dont les vaccins peuvent déclencher le cancer est simplement de répéter le dosage. Comme détaillé dans un article de mai 2023 dans la revue Vaccines : 27

    « À ce jour, 72,3 % de la population totale a reçu au moins une injection d’un vaccin contre la COVID-19… Des preuves croissantes ont montré que… ces vaccins ne produisent pas d’immunité stérilisante, ce qui permet aux gens de subir de fréquentes réinfections.

    De plus, des enquêtes récentes ont révélé des taux anormalement élevés d’IgG4 chez les personnes ayant reçu deux injections ou plus de vaccins à ARNm…

    [E]Des preuves émergentes suggèrent que l’augmentation signalée des niveaux d’IgG4 détectée après une vaccination répétée avec les vaccins à ARNm… constitue un mécanisme de tolérance immunitaire à la protéine de pointe qui pourrait favoriser une infection et une réplication sans opposition du SRAS-CoV2 en supprimant les réponses antivirales naturelles.

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  45. L’augmentation de la synthèse d’IgG4 due à une vaccination répétée d’ARNm avec des concentrations élevées d’antigènes peut également provoquer des maladies auto-immunes et favoriser la croissance du cancer et de la myocardite auto-immune chez les individus sensibles.

    Contamination du promoteur SV40 confirmée

    Buckhaults a également confirmé la présence du promoteur SV40 dans l'ADN plasmidique, tout comme Yusuke Murakami, professeur à l'Université de Tokyo. Dans une interview, Murakami a expliqué : 28

    « La séquence du vaccin Pfizer contient une partie de la séquence SV40… Cette séquence est connue sous le nom de promoteur. En gros, le promoteur provoque une expression accrue du gène.

    Le problème est que la séquence est présente dans un virus cancérigène bien connu. La question est de savoir pourquoi une telle séquence, dérivée d'un virus cancéreux, est présente dans le vaccin de Pfizer.

    Il ne devrait absolument pas être nécessaire d’avoir une telle séquence de virus cancérigène dans le vaccin. Cette séquence est totalement inutile pour produire le vaccin à ARNm. C’est un problème qu’une telle séquence soit solidement contenue dans le vaccin…

    Si une séquence comme celle-ci est présente dans l’ADN, l’ADN migre facilement vers le noyau. Cela signifie donc que l’ADN peut facilement pénétrer dans le génome. C’est un problème tellement alarmant. Il est indispensable de supprimer la séquence. Cependant, Pfizer a produit le vaccin sans supprimer la séquence. C’est scandaleusement malveillant.

    Surmortalité en 2023

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    Si la pandémie de COVID était réelle, nous aurions connu les taux de surmortalité les plus élevés en 2020, lorsque la souche la plus problématique du virus était en circulation. Mais ce n'est pas le cas. Au lieu de cela, les taux de surmortalité n’ont vraiment décollé qu’avec le déploiement des injections expérimentales de COVID – et les taux continuent d’augmenter, deux ans plus tard.

    Dans la vidéo ci-dessus, John Campbell, Ph.D., un infirmier formateur à la retraite, passe en revue les dernières statistiques de mortalité de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). Il compare également les données de l’OCDE avec celles de Our World in Data, et les deux ensembles de données concordent : la surmortalité est restée bien au-dessus de la normale en 2023, et il n’y a aucune pandémie à imputer à cela.

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  46. Au Royaume-Uni, il y a eu 36 316 décès supplémentaires au cours des semaines 1 à 30 (du 1er janvier au 30 juillet 2023 30 ). Une tendance révélatrice est que les décès dans les foyers privés et « dans d’autres contextes » sont supérieurs à la moyenne quinquennale, tandis que les décès dans les hôpitaux et les maisons de retraite sont tous deux inférieurs à la moyenne. 31 , 32

    Qu'est-ce que cela signifie? Cela signifie que plus de personnes que d’habitude meurent de façon inattendue, à leur domicile et ailleurs qu’à l’hôpital. Cela suggère également que les jeunes meurent à un taux plus élevé. Le taux de surmortalité plus élevé n’est pas dû au fait que davantage de personnes âgées meurent dans les maisons de retraite.

    Aux États-Unis, il y a eu 147 828,8 décès de plus que prévu au cours des 30 premières semaines de 2023. D’autres données intéressantes révèlent qu’au Minnesota, la surmortalité liée aux troubles sanguins a commencé en 2020, mais est ensuite montée en flèche en 2022, doublant presque par rapport à 2020. 33

    La souche originale de Wuhan du SRAS-CoV-2 était associée à des troubles sanguins, mais cette souche avait muté en un léger rhume en 2022. Ce que nous avons eu en 2022, cependant, ce sont les vaccins COVID, qui sont également associés à des troubles sanguins.

    Vous avez reçu le vaccin ? Agissez pour protéger votre santé

    Si vous avez déjà reçu un ou plusieurs vaccins et que vous avez maintenant des inquiétudes concernant votre santé, que pouvez-vous faire ? Eh bien, avant tout, ne prenez jamais un autre rappel COVID, une autre injection de thérapie génique à ARNm ou un vaccin ordinaire. Vous devez mettre fin à l’assaut contre votre système.

    Si vous avez développé des symptômes que vous n'aviez pas avant votre injection, je vous encourage à demander l'aide d'un expert. À l’heure actuelle, la Front Line COVID-19 Critical Care Alliance (FLCCC) semble disposer de l’un des meilleurs protocoles de traitement pour les blessures post-piqûres. Il s'appelle I-RECOVER et peut être téléchargé sur covid19criticalcare.com. 34

    Le Dr Pierre Kory, cofondateur du FLCCC, est passé au traitement plus ou moins exclusif des blessés vaccinaux. Pour plus d'informations, consultez DrPierreKory.com . Le Dr Peter McCullough étudie également les traitements post-injection, que vous pouvez trouver sur PeterMcCulloughMD.com .

    Le Conseil mondial de la santé a également publié des listes de remèdes qui peuvent aider à inhiber, neutraliser et éliminer la protéine de pointe, dont la plupart des experts s'accordent à dire qu'elle est la principale responsable. J’en ai parlé dans mon article de 2021, « Le Conseil mondial de la santé révèle Spike Protein Detox ».

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  47. *

    Remarques

    1, 5 The Healthcare Channel 22 mai 2023

    2, 7 Prépublications OSF le 10 avril 2023, éditées le 11 avril 2023 DOI : 10.31219/osf.io/b9t7m

    3, 28 Twitter KanekoaTheGreat 20 mai 2023

    4, 8, 9 Anandamide (Kevin McKernan) Sous-pile 20 mai 2023

    6, 11, 12, 16, 25 Spectateur Australie 25 septembre 2023

    10 Sous-pile de Jessica Rose 18 septembre 2023

    13, 19, 20, 22, 23 Maryanne Demasi 21 septembre 2023

    14 Ann NY Acad Sci, 27 novembre 1995 ; 772 : 140-151

    15, 17 numéros actuels Mol Biol 2022 ; 44(3) : 1115-1126

    18 BioRxiv 27 septembre 2022 DOI : 10.1101/2022.09.27.509633

    21 Agents pathogènes PLOS 2 septembre 2022 DOI : 10.1371/journal.ppat.1010830

    24 Expert Rev Respir Med octobre 2011 ; 5(5) : 683-697

    26 Sous-pile Makis MD 16 juin 2023

    27 vaccins (Bâle) mai 2023 ; 11(5) : 991

    29 Organisation de coopération et de développement économiques Surmortalité par semaine, 2020-2023

    Calendrier numéroté de 30 semaines 2023

    31 ONS.gov.uk Décès enregistrés chaque semaine en Angleterre et au Pays de Galles Semaine 36

    32 ONS.gov.uk Décès enregistrés chaque semaine en Angleterre et au Pays de Galles Semaine 37

    33 Résister à la sous-pile intellectuelle Illiteratti 19 septembre 2023

    34 Covid19criticalcare.com

    https://www.globalresearch.ca/alarming-covid-jab-contamination-shocks-scientists/5834738

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  48. La violence armée meurtrière en Suède


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 04 OCTOBRE 2023 - 10H15


    Le Premier ministre suédois Ulf Kristersson appelle l'armée à aider la police à lutter contre la montée de la violence liée aux gangs dans le pays, alors que des fusillades et des attentats à la bombe ont coûté la vie à 12 personnes le mois dernier.

    Comme le rapporte Anna Fleck de Statista, le gouvernement suédois a annoncé vendredi qu'il autoriserait une future assistance militaire à la police, à la suite d'une réunion entre Krisstersson et les chefs des deux forces sur la manière de réduire la violence des gangs criminels organisés. On ne sait pas encore exactement quelles tâches l’armée assumera.

    "La vague de violence est sans précédent en Suède, mais elle est également sans précédent en Europe, aucun autre pays ne connaît une situation comme celle que nous connaissons", a commenté Kristersson dans un discours télévisé.

    "La police ne peut pas faire tout le travail elle-même."

    Selon les rapports annuels de la police suédoise, 62 personnes au total ont été tuées par balle l'année dernière, ce qui constitue l'année la plus meurtrière en matière de fusillades depuis que les autorités ont commencé à publier des données fin 2016.

    - voir graph sur site -

    Infographie : La violence armée meurtrière en Suède | Statiste
    Vous trouverez plus d'infographies sur Statista

    Au total, 11 personnes ont été tuées par balle le mois dernier seulement, en plus d'une personne décédée dans l'explosion d'une bombe. Ces 11 portent le nombre de morts par arme à feu à 42 en 2023, un chiffre qui pourrait encore augmenter à trois mois de la fin de l'année.

    Septembre marque le deuxième mois le plus meurtrier jamais enregistré pour les crimes commis avec des armes à feu en Suède, après décembre 2019, lorsque 12 personnes ont été tuées par balle.

    https://www.zerohedge.com/political/swedens-deadly-gun-violence

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