Bill Gates : un dictateur mondial au profil de grand criminel
14.10.2023 www.kla.tv/27222
Qui ne connaît pas Bill Gates, ce philanthrope héroïque qui utilise sa fortune pour sauver le monde des calamités planétaires ? Dans ce numéro, vous découvrirez un tout autre personnage : par exemple, comment il impose les soins de santé dans le monde, manipule les médias d’information, infiltre l’industrie alimentaire, corrompt les gouvernements, pousse à la manipulation de la météo, encourage les manipulations génétiques, développe des technologies de contrôle total et bien plus encore. En fin de compte, Bill Gates est un dictateur mondial qui a le profil d’un dangereux criminel.
1. Bill Gates – le pape de la vaccination
Bill Gates, un individu sans la moindre formation médicale, a été désigné lors de l’Assemblée Mondiale de la Santé comme responsable du plan mondial de vaccination 2012-2020 et donc responsable de la vaccination de l’humanité toute entière. Vous trouvez ça normal ? Cela ne cache-t-il pas plutôt un programme visant à créer un monde dans lequel les gens pourront participer à la société à la seule condition de se faire vacciner plusieurs fois par an ?
2. Bill Gates – le dictateur mondial
Bill Gates est le principal bailleur de fonds de l’Organisation mondiale de la santé, ce qui lui confère un contrôle total sur cette organisation. Bill Gates a personnellement recruté le directeur de l’OMS, Tedros, qui était auparavant un terroriste communiste actif en Éthiopie. L’OMS a mis en place le « Traité sur les pandémies », qui lui permet d’exercer un contrôle absolu sur tous les pays du monde chaque fois qu’elle décrète une pandémie. Si nous réalisons que l’OMS est essentiellement contrôlée par Bill Gates, nous savons que les pandémies le placent fondamentalement en position de dictateur mondial.
L’OMS, principalement financée par Bill Gates, peut déclarer une pandémie à sa convenance en ayant recours à n’importe quel outil de diagnostic frauduleux de son choix. Elle a par exemple opté pour le test PCR, totalement erroné, qui donne jusqu’à 94 % de résultats faussement positifs et constitue donc un instrument parfait pour déclarer une « pandémie » sur la base de résultats de tests imprécis. De cette manière, Gates et son OMS peuvent agir à leur guise à la manière d’un gouvernement mondial unique.
4. Bill Gates – le prophète des pandémies
Bill Gates organise des « simulations de pandémies » peu de temps avant que ne se produise précisément le scénario pour lequel elles ont été planifiées. C’est ainsi que la simulation de pandémie Event 201 a eu lieu juste avant la pandémie Covid-19. N’est-il pas curieux de constater que l’homme qui devient dans les faits une sorte de dictateur mondial pendant une pandémie est la même personne qui « prépare » toujours le monde à ces pandémies ?
5. Bill Gates corrompt les gouvernements
La députée Sara Cunial a révélé au parlement italien que Gates contrôlait le président de la République italien. Des membres du parlement nigérian ont affirmé que Gates avait proposé 10 millions de dollars au gouvernement pour qu’il impose des vaccinations à la population nigériane. Gates a nié, mais il a accepté de payer 79 millions de dollars pour « aider » le Nigeria. Suite à cela, le Nigeria est devenu le premier pays au monde à interdire l’accès aux services bancaires à ses citoyens non vaccinés.
6. Bill Gates – le patron de tous les médecins
Un homme qui n’a aucune formation médicale, qui n’a jamais soigné un patient et qui ne connaît rien aux soins médicaux a été nommé première « autorité sanitaire » mondiale. Il dicte à des millions de professionnels de la santé ce qu’ils ont le droit de faire ou pas. Un individu qui a passé la majeure partie de sa vie devant un ordinateur, prive aujourd’hui le monde médical de ses droits et dirige notre système de santé.
Bill Gates finance de nombreuses organisations qui s’occupent de développement agricole et pratiquent un lobbying massif, voire la corruption, par exemple via la « Révolution verte » en Afrique. Par le biais de ces ONG, Gates exerce une influence directe sur la politique alimentaire et agricole mondiale, ruinant la paysannerie qui s’est développée et plongeant des continents entiers dans la ruine.
8. Bill Gates – rédacteur en chef de tous les médias
Bill Gates contrôle les agences de presse et les entreprises de médias en leur faisant don de plus de 300 millions de dollars par le biais de la Fondation Bill & Melinda Gates. Il s’agit notamment d’un grand nombre des principales chaînes d’information américaines, dont CNN, NBC, NPR, PBS et The Atlanti ; en outre, un grand nombre d’organisations étrangères influentes, dont la BBC, The Guardian, The Financial Times et The Daily Telegraph au Royaume-Uni, des journaux européens de premier plan comme Le Monde (France), Der Spiegel (Allemagne) et El País (Espagne), ainsi que de grandes chaînes de télévision mondiales comme Al-Jazeera. Il peut ainsi manipuler directement les informations dans le monde entier.
9. Bill Gates – l’inspecteur de la santé
Bill Gates a créé en 2000 la plus grande fondation américaine, la Fondation. Bill & Melinda Gates Des dons d’un montant total de 28 milliards de dollars ont été versés à différentes organisations, prétendument pour éradiquer la pauvreté et développer des vaccins. Ce qui est problématique, c’est que Bill Gates impose sa vision de la promotion de la santé par le biais de ses fondations. De fait, la Fondation Gates investit surtout dans des mesures techniques contre les maladies infectieuses, par exemple dans des campagnes de vaccination et la distribution de médicaments. Des spécialistes dans le domaine de la santé, comme Thomas Gebauer de l’organisation humanitaire Medico International, critiquent le fait que d’autres actions importantes sont ainsi négligées, par exemple la mise en place de systèmes de santé fonctionnels dans les pays pauvres. Les idées personnelles de Bill Gates et son influence financière ouvrent ainsi la voie à son contrôle global de la santé.
10. Bill Gates – le père de la « fausse viande »
Bill Gates construit des laboratoires dans lesquels de la viande synthétique est cultivée. L’objectif est prétendument de lutter contre la malnutrition à l’échelle mondiale. Mais en fin de compte, cette fausse viande supplante l’élevage naturel. L’humanité perd ainsi non seulement son autosuffisance, mais elle est également exposée sans défense aux risques sanitaires de cette fausse viande.
Bill Gates achète des centaines de milliers d’hectares de terres agricoles, ce qui fait de lui le plus grand propriétaire foncier des États-Unis. Il cultive des plantes génétiquement modifiées, principalement celles à forte teneur en protéines, qui nécessitent l’emploi d’une énorme quantité de pesticides extrêmement toxiques. Ce qui ne ravage pas seulement les terres agricoles à long terme mais supplante également l’élevage naturel de bovins, pratiqué depuis des temps immémoriaux, et ruine la paysannerie au profit d’une agriculture industrielle.
12. Bill Gates – le fabricant d’armes biologiques
Bill Gates a modifié génétiquement des millions de moustiques et les a relâchés soi-disant pour éradiquer la malaria. En réalité, il les utilise comme arme biologique pour injecter des substances nocives génétiquement modifiées à des personnes, des animaux ou des plantes.
13. Bill Gates – le surveillant de l’humanité
Alors que le projet de couvrir le monde de caméras de surveillance ressemble à l’intrigue d’un mauvais film de science-fiction, le projet de surveiller la planète entière en temps réel est un projet bien réel, en grande partie grâce au financement de Bill Gates. La société EarthNow, basée à Washington, prévoit de déployer une armée de plus de 500 satellites dans notre atmosphère afin d’offrir à ses utilisateurs un retour vidéo quasi instantané avec seulement une seconde de décalage. Presque chaque coin de la planète sera bientôt surveillé par des satellites de vidéosurveillance capables de retransmettre en direct les activités humaines pour « les gouvernements et les grandes entreprises ». L’observation de la Terre est un domaine classique des services secrets et des militaires sur ordre de la mafia financière : ils espionnent également les rampes de lancement de missiles, les sites d’essais nucléaires et les camps terroristes. En d’autres termes : vidéosurveillance non-stop du monde entier.
14. Bill Gates – le faiseur de maladies
Bill Gates gagne des milliards en plaçant des capitaux dans certains secteurs industriels qui ont tous quelque chose à voir avec des effets délétères, comme le surpoids, le diabète et autres. Ainsi, la Fondation Gates détient des actions des groupes alimentaires tels que Coca Cola, Pepsi Co, Unilever, Kraft-Heinz, Mondelez et Tyson Foods ; des groupes producteurs d’alcool Anheuser-Busch et Pernod. Le spécialiste dans le domaine de la santé Thomas Gebauer parle d’une division du travail presque perverse. Gates gagne en effet deux fois : d’une part en provoquant des maladies et d’autre part en les traitant en tant que « pape de la santé ».
Bill Gates soutient un projet d’extraction du dioxyde de carbone de l’atmosphère afin de réduire le taux de CO2. Il soutient également un projet de l’Université de Harvard qui vise à renvoyer les rayons du soleil dans l’espace en injectant des poussières dans l’atmosphère. De cette manière, on doit tenir la lumière du soleil à l’écart de la Terre et obtenir un effet de refroidissement. La justification de ce projet est la simulation informatique du « réchauffement climatique », laquelle s’est avérée être une escroquerie complète.
16. Bill Gates crée une carte d’esclave numérique Bill Gates pousse tous les gouvernements du monde à introduire des cartes d’identité numériques obligatoires. Grâce à ces cartes d’identité numériques, les personnes peuvent être contrôlées et conditionnées dans les moindres détails. L’accès à certains bâtiments, l’acquisition de biens, l’utilisation de services et autres peuvent être autorisés de manière favorable ou restrictive, en fonction de l’obéissance au régime. Cela permet à la mafia financière tyrannique de maintenir les gens comme des esclaves dans une prison interconnectée.
Conclusion
L’expression « Tout ce qui brille n’est pas d’or » s’applique également à Bill Gates. Pire encore, plus la façade semble brillante, c’est-à-dire plus Bill Gates se présente comme un homme vertueux et philanthrope, plus la réalité est sombre derrière, de sorte qu’il devrait être recherché comme l’un des pires criminels. Il est important de garder à l'esprit cette constatation importante de la complémentarité entre l'apparence et la réalité lors de l'évaluation d'autres « améliorateurs du monde », par exemple dans le domaine de la politique environnementale, climatique ou énergétique.
de hm; lexa; vic; herm; rena; doro; ew; bri Sources / Liens : Bill Gates - le dirigeant du monde https://stopworldcontrol.com/Gates/
Bill Gates – l’exterminateur des paysans Rich Appetites (Film 2: Seeds + Film 3: Money) https://www.richappetitesfilm.com/
Bill Gates – le père de la « fausse viande » https://de.technocracy.news/bill-gates-investierte-in-k%C3%BCnstliche-eier%2C-bevor-mysteri%C3%B6se-eierknappheit-und-preiserh%C3%B6hungen-einsetzten/
Bill Gates – « le perturbateur climatique » https://www.fr.de/panorama/sonne-strahlung-erde-harvard-bill-gates-kalzium-staub-all-atmosphaere-zr-90469520.html
L’identité du virus : les établissements de santé et scientifiques du monde entier « n’ont aucun enregistrement » de l’isolement/purification du SRAS-COV-2.
Demandes d'accès à l'information
Par Christine Massey Recherche mondiale, 16 octobre 2023
Note de recherche mondiale
Nous portons à la connaissance de nos lecteurs cette étude soigneusement documentée.
Alors que les autorités chinoises annonçaient IL Y A DEUX ANS, le 7 janvier 2020, avoir isolé et identifié « un nouveau type de virus », aucun détail n’a été fourni. Puis, le 28 janvier 2020, le Centre américain de contrôle et de prévention des maladies (CDC) a déclaré que le nouveau virus corona avait été isolé.
La question centrale soulevée dans cette étude est la suivante : existe-t-il des preuves fiables que le SRAS-CoV-2 a été isolé à partir d’un « échantillon pur prélevé sur un patient malade » ?
L'étude fournit une documentation basée sur les demandes d'accès à l'information adressées aux institutions de santé et de sciences dans un grand nombre de pays.
Les réponses à ces demandes confirment qu'il n'existe aucune trace d'isolement/purification entreprise par les nombreux établissements de santé/sciences contactés.
Il convient de noter que, selon l'Institut de virologie de Berlin, l'OMS n'avait pas en sa possession en janvier 2020 des détails concernant l'isolement et l'identité du SRAS-CoV-2.
De plus, comme les détails pertinents concernant l'isolement/purification n'étaient pas disponibles, l'OMS a décidé, conformément aux conseils de l'Institut de virologie de Berlin, de « personnaliser » la réaction en chaîne par polymérase par transcription inverse en temps réel (rRT-PCR) en utilisant le test « similaire » du SRAS de 2003. (rebaptisé par la suite SARS-1) comme « point de référence » pour détecter les fragments génétiques du SARS-CoV-2 2019.
Gardez à l’esprit que ce test RT-PCR totalement erroné est utilisé non seulement pour détecter le virus V, mais aussi pour « détecter » les variantes du SRAS-CoV-2.
Des documents justificatifs, y compris les réponses des institutions de santé/sciences, des CDC, etc., sont fournis dans cette étude. D'autres documents peuvent également être consultés en téléchargeant les fichiers PDF pertinents compilés par les chercheurs.
Michel Chossudovsky , Global Research, 4 août 2021, 6 janvier 2022
(Le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) est « une maladie respiratoire virale causée par un coronavirus associé au SRAS », identifiée pour la première fois en Chine en février 2003).
Les FOI révèlent que les institutions de santé et scientifiques du monde entier (218 et plus !) n’ont aucune trace d’isolement/purification du SRAS-COV-2, où que ce soit et jamais Par Christine Massey
Une personne sensée mélangerait-elle un échantillon de patient (contenant diverses sources de matériel génétique et dont il n’a jamais été prouvé qu’il contient un virus particulier) avec des cellules rénales de singe transfectées, du sérum fœtal bovin et des médicaments toxiques, puis prétendrait que la concoction résultante est « SARS-COV-2 ? isoler » et l’expédier à l’échelle internationale pour une utilisation dans des recherches critiques (y compris le développement de vaccins et de tests) ?
Parce que c'est le genre d'activité frauduleuse qui est présentée comme de l'« isolement du virus » par les équipes de recherche du monde entier.
Un seul exemple parmi tant d’autres est présenté ci-dessous – il s’agit d’une étude citée par le ministère australien de la Santé comme un article « qui a conduit à l’isolement du SRAS-CoV-2 en culture ». (Pouvez-vous repérer l’oxymore dans cette citation ?)
Si vous êtes nouveau sur le sujet de « l'isolement/purification des virus », je vous recommande fortement de commencer par lire la Déclaration sur l'isolement des virus du Dr Andrew Kaufman, du Dr Thomas Cowan et de Sally Fallon Morell, MA ou de regarder cette vidéo de 5 minutes. du Dr Cowan.
- voir clip sur site -
Mon collègue Michael S. en Nouvelle-Zélande, moi-même (CM) et de nombreuses autres personnes dans le monde avons déposé des « demandes » d’accès à l’information auprès d’institutions de divers pays pour obtenir des dossiers décrivant l’isolement/purification du prétendu « virus COVID-19 ». » à partir de tout échantillon non falsifié prélevé sur un patient malade.
La raison : sans que l’étape cruciale d’isolement/purification n’ait été réalisée (sur de nombreux patients, suivie d’une caractérisation, d’un séquençage et d’expériences contrôlées), il n’y a aucun moyen d’affirmer scientifiquement que le prétendu « nouveau coronavirus » (accusé d’une mortalité/maladie généralisée) /mesures de confinement) existe réellement.
Sans que cette étape ait été réalisée et suivie d’une caractérisation, d’un séquençage et d’expériences contrôlées, toutes les allégations concernant ce prétendu « virus » ne sont que de folles spéculations soutenues uniquement par une science frauduleuse, des tests frauduleux et des diagnostics fondés sur la fraude. (J'ai réalisé de nombreuses interviews sur ce sujet, que vous pouvez trouver au bas de cette page.)
Les « demandes » déposées par mon collègue en Nouvelle-Zélande et moi-même (et de nombreux autres auteurs) ne se sont pas limitées aux dossiers d'isolement effectués par l'institution respective, ni aux dossiers rédigés par l'institution respective, mais elles étaient plutôt ouvertes à tous. enregistrements décrivant l’isolement/purification du « virus COVID-19 » (alias « SARS-COV-2 ») effectué par n’importe qui, n’importe quand, n’importe où sur la planète.
Jusqu'à présent (15 mai 2023), 52 institutions canadiennes ont fourni leurs réponses : Agence de la santé publique du Canada (et une autre de l'Agence de la santé publique du Canada , celle-ci concernant la prétendue « variante britannique » alias « B.1.1.7 » alias « Alpha ; et un autre de l'Agence de la santé publique du Canada concernant tout virus/variant présumé, et un autre de l'Agence de la santé publique du Canada concernant TOUT type de virus présumé), Santé Canada (et un autre de Santé Canada ; et un autre de Santé Canada ), Conseil national de recherches du Canada , Organisation des vaccins et des maladies infectieuses-Centre international des vaccins (VIDO-InterVac) , Instituts de recherche en santé du Canada , Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada , Conseil d'examen du prix des médicaments brevetés Canada , Gendarmerie royale du Canada (GRC) , Santé publique Ontario , ministère de la Santé de l'Ontario (et un autre du ministère de la Santé de l'Ontario concernant la « variante delta », Réseau universitaire de santé , ministère du Solliciteur général de l'Ontario et Police provinciale de l'Ontario , ministère de la Santé de l'Alberta , premier ministre de l'Alberta , Jason Kenney , son bureau et son conseil exécutif , le service de police de Calgary , l'Institut national de santé publique du Québec (un autre de Santé publique Québec ), le ministère de la Santé de la Colombie-Britannique (concernant « la variante britannique ») (un autre du ministère de la Santé de la Colombie-Britannique ), le ministère de la Santé de la Colombie- Britannique Columbia's Center for Disease Control , Autorité provinciale des services de santé de la Colombie-Britannique (2 réponses, 1 concernant le « SRAS-COV-2 », 1 concernant le prétendu « B.1.1.7 » alias « Variante Alpha » alias « Variante britannique »), Vancouver Coastal Health Authority (concernant « B.1.1.7 » alias « variante Alpha » alias « variante britannique »), ministère de la Santé et des Services communautaires de Terre-Neuve-et-Labrador , ministère/ministère de la Santé du Nouveau-Brunswick , Université McGill , Université d'Ottawa , Université de Waterloo , Université Dalhousie , Université de Guelph , Université de la Colombie-Britannique , Ville de Toronto , Police de Toronto (et un autre de la police de Toronto ), Région de Halton, Service de police de Hamilton (Ontario), Service de police régional de Halton (Ontario), Région de Peel (Ontario), Région de Durham (Ontario); KFL&A Public Health (Kingston, Frontenac, Lennox et Addington, Ontario, concernant « toute variante »), Grey Bruce Health Services , Grey Bruce Health Unit , Simcoe Muskoka Health Unit , Niagara Regional Police Service , Peterborough Public Health (Ontario) (et un autre de Santé publique de Peterborough ), Service de police de Peterborough (Ontario) (un autre de la police de Peterborough ), Ville de Peterborough (Ontario) Service de police d'Aylmer (Ontario) (et un autre de la police d'Aylmer ), Service de police de Woodstock (Ontario), Service de police de Sudbury ( Ontario), Hastings Prince Edward Public Health (Ontario), la ville de Collingwood , l' Université de Toronto (un autre de l'Université de Toronto ), le Sunnybrook Health Sciences Centre , l'Université McMaster et l'Hôpital Mount Sinai (Toronto) (à noter que les chercheurs du dernier 4 établissements avaient publiquement affirmé avoir « isolé le virus » (tout comme VIDO-Intervac).
Aucune institution n’a réussi à fournir ou à citer ne serait-ce qu’un seul document décrivant l’isolement, c’est-à-dire la purification du prétendu « virus COVID-19 » directement à partir d’un échantillon de patient qui n’a pas été préalablement frelaté avec d’autres sources de matériel génétique. (Ces autres sources sont généralement des reins de singe, également appelés cellules « Vero », et du sérum fœtal bovin).
(Et, à notre connaissance, personne sur la planète n’a jamais purifié le prétendu « virus », même à partir d’une culture cellulaire !)
Dans leurs réponses, de nombreuses institutions ont clairement indiqué que l'isolement/purification n'est tout simplement jamais fait en virologie, et que « isolement » en virologie signifie exactement le contraire de ce qu'il signifie dans l'anglais courant. Ceci est également démontré dans tous les documents sur l’isolement du virus que nous ayons jamais vus, pour tout prétendu « virus ».
Pour avoir un aperçu de ce qui se passe réellement : les responsables de la santé publique canadienne n'ont jamais enregistré d'isolement/purification du SRAS-COV-2 effectué nulle part.
(Remarque : Sébastien Grammond, un homme qui agit comme « juge de la Cour fédérale » ici au Canada, a concocté une fausse « confirmation » selon laquelle « le virus SRAS-CoV-2 est réel » – basée sur zéro science valide et bien qu'il sache tout cela. 138 institutions répertoriées dans mon affidavit n'ont pas réussi à citer ne serait-ce qu'un seul exemple de virus présumé ayant été purifié à partir d'un échantillon de patient sur la planète. Pourquoi perdre du temps en science ou en logique quand vous pouvez simplement « accepter » l'invitation du procureur général du Canada à prendre acte judiciaire que le virus est réel" ? Cela semble parfaitement légitime. "Remarquer" les croyances répandues est bien mieux que d'examiner les faits pertinents.)
Au 16 septembre 2023 : 218 institutions et bureaux dans 40 pays ont répondu jusqu'à présent, ainsi que certains auteurs de l'étude « isolement du SRAS-COV-2 », et aucun n'a fourni ou cité de dossier décrivant le véritable « isolement du SRAS-COV-2 ». » isolement/purification. Toutes les réponses de notre collection sont disponibles sur cette page.
Dossier Google Drive où tous les documents FOI au 14 juillet 2022 sont regroupés par pays (pour la plupart) et compilés en 11 fichiers PDF (pièces 1 à 4 ; la pièce 4 comporte 8 parties) : voir ceci .
Voici ma déclaration détaillée concernant la collection mondiale FOI et le caractère non scientifique de la virologie (14 pages), qui est notariée, datée du 2 décembre 2022 (je m'empressais de faire quelques modifications de dernière minute avant de l'imprimer et de me rendre chez le notaire ; veuillez pardonner les fautes de frappe) : voir ceci .
Vous trouverez ci-dessous (et ici ) une déclaration notariée d’une page mise à jour et simplifiée concernant les FOI « virus ». Cela parle de lui-même. N'hésitez pas à le partager.
- voir doc sur site -
La liste ci-dessous était à jour au 5 octobre 2021 ; c'est beaucoup plus long maintenant.
- voir doc sur site -
(Oui, nous sommes conscients des nombreuses publications dans lesquelles les auteurs prétendent avoir « isolé le virus ». Nous avons examiné de nombreuses études de ce type et nous n'en avons pas encore vu une où ils l'ont réellement fait. Prétendre avoir fait quelque chose et le faire réellement. sont parfois 2 choses différentes, même dans la science évaluée par les pairs.
Et oui, nous sommes conscients des nombreux prétendus « génomes du SRAS-COV-2 » publiés – ceux-ci ont en fait été fabriqués et non découverts.
Et oui, nous savons que des photos EM ont été publiées, prétendument du « virus », mais une photo de quelque chose ne vous dit pas ce qu'est la chose, d'où elle vient ou ce qu'elle fait. Il faut scruter les méthodes utilisées pour « isoler le virus » / obtenir lesdites photos / obtenir de prétendus génomes, et c’est alors qu’absolument tout s’écroule avec le « COVID-19 » (et la virologie en général).
Réponses FOI d'institutions aux États-Unis, en Inde, en République d'Afrique du Sud, en Nouvelle-Zélande, en Australie, au Royaume-Uni, en Angleterre, en Écosse, au Pays de Galles, en Irlande, au Danemark, en Norvège, en Finlande, aux Pays-Bas, en Suède, en Espagne, CDC européen, en Slovénie et en République tchèque. , Ukraine, Colombie, Uruguay, Italie, Portugal, Brésil, République de Colombie, Argentine, Île de Man, Philippines, etc., ainsi que des courriels de l'Institut Robert Koch (RKI) allemand et de plusieurs « auteurs d'isolement de virus ».
Un grand merci à toutes les personnes qui ont aimablement partagé les réponses supplémentaires qu'elles ont obtenues concernant l'isolement/purification/existence du « SARS-COV-2 ». Certains préfèrent rester anonymes, d’autres sont nommés ci-dessous.
OK allons y. Vous trouverez ci-dessous les réponses à la FOI concernant le SRAS-COV-2 provenant de plus de 150 institutions à l'extérieur du Canada.
L’Organisation mondiale de la santé n’a pas répondu à ma requête de type FOI envoyée le 22 février 2022 visant à obtenir des documents décrivant un prétendu « SRAS-COV-2 » trouvé dans les fluides/tissus corporels de quiconque sur Terre et purifié par quiconque. , n'importe où, n'importe quand… pour que « cela » soit séquencé, caractérisé et étudié avec des expériences contrôlées (alias « science ») : voir ceci .
- voir doc sur site -
28 novembre 2022 : Un collègue au Japon a demandé aux membres de l'Organisation mondiale de la santé de fournir/citer tout enregistrement du SRAS-COV-2 imaginaire trouvé et purifié chez toute personne malade sur la planète, afin que « cela » être séquencé, caractérisé et étudié avec des expériences contrôlées, c'est-à-dire la science. Mais au lieu de cela, ils l’ont dirigée vers une page Web inutile sur une base de données mondiale des mesures publiques « de santé » et « sociales » appliquées pendant la pandémie imaginaire : voir ceci .
- voir doc sur site -
Sur ce lien suivant, vous verrez une réponse FOI « aucun enregistrement d'isolement/purification du SRAS-COV-2 » de la part des Centers for Disease Control and Prevention et de l'Agence pour les substances toxiques et le registre des maladies (CDC/ATSDR) des États-Unis, datée du 2 novembre. 2020, obtenu par Michael S. en Nouvelle-Zélande : voir ceci .
Le 1er mars 2021, le CDC a une fois de plus clairement indiqué qu’il n’avait toujours aucun enregistrement d’isolement du « SRAS-COV-2 » effectué par qui que ce soit, n’importe où sur la planète, jamais… mais pas en termes explicites. Au lieu de cela, le CDC a laissé entendre de manière absurde que l’isolement du « SARS-COV-2 » nécessiterait la réplication d’un « virus » sans cellules hôtes et est donc impossible. Voyez ceci.
- voir doc sur site -
3 mars 2021 : le CDC omet encore une fois de fournir/citer aucun document décrivant l’isolement/purification du « SARS-COV-2 » par qui que ce soit, où que ce soit… MAIS ne le dira plus simplement (comme ils l’ont fait le 2 novembre) ; au lieu de cela, ils chantent et dansent et citent leur propre étude frauduleuse (par Harcourt et al.) : voir ceci .
- voir doc sur site -
7 juin 2021 : les CDC ont admis qu'ils n'avaient aucune trace de purification du « SARS-COV-2 » à partir d'un échantillon de patient par macération, filtration et utilisation d'une ultracentrifugeuse, par qui que ce soit, n'importe où et jamais : voir ceci .
1er septembre 2021 : Encore une autre réponse FOIA du CDC dans laquelle ils n'ont pas fourni ou cité ne serait-ce qu'un seul enregistrement du prétendu « virus COVID-19 » alias « SARS-COV-2 », ou de toute « variante » ayant été purifiée à partir de n'importe quel échantillon de patients sur la planète, par n'importe qui, n'importe où, jamais : voyez ceci .
- voir doc sur site -
8 septembre 2021 : Une autre réponse FOIA du CDC concernant la purification du fantôme « SARS-COV-2 ». Cette fois, le CDC a cité un article dans lequel les auteurs n’ont même jamais prétendu avoir purifié eux-mêmes un quelconque « virus », mais ont déclaré à tort que : « Le SRAS-CoV-2 a été isolé dans des cellules Vero… (8) » [oxymore]. [La référence n°8 du CDC est le tristement célèbre Harcourt et al. étude.] Voir ceci .
26 octobre 2021 : Les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis ont encore une fois échoué à fournir ou à citer ne serait-ce qu'un seul enregistrement de purification du « SARS-COV-2 », par qui que ce soit, n'importe où sur la planète : voir ceci .
- voir doc sur site -
1er avril 2022 : Les National Institutes of Health des États-Unis n’ont pas fourni ou cité ne serait-ce qu’un seul enregistrement du prétendu « SRAS-COV-2 » (ou de toute prétendue « variante ») ayant été purifié à partir de fluides/tissus/excréments corporels de quelque nature que ce soit. patient sur la planète, par n'importe qui, n'importe où, en répondant à une demande de dossiers sous la garde du CDC, et ils ont déclaré de manière bizarre et inexacte que la demande était « inappropriée ». Lettre complète : voir ceci .
- voir doc sur site -
17 novembre 2022 : le CDC n'a pu fournir/citer aucune trace de la purification présumée du SARS-COV-2, même à partir d'une culture cellulaire, au lieu de cela, ils ont cité des études et des pages Web non pertinentes : voir ceci .
- voir doc sur site -
20/21 octobre 2022 : Les gens du CDC ont été mis au défi de fournir/citer des preuves scientifiques de l'existence du prétendu SRAS-COV-2 ou du prétendu VIH sur la base d'expériences contrôlées utilisant des particules purifiées. Ils ne le pouvaient pas, puisqu’il n’en existe pas, et ils ont donc fourni des liens inutiles vers le VIH, sans même prétendre montrer des expériences contrôlées. Pour le SRAS-COV-2, ils ont donné les mêmes paragraphes qu'ils donnent aux gens depuis environ un an, avec des liens vers des études et des pages Web plus inutiles. Voyez ceci .
- voir doc sur site -
16 décembre 2022 : Les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis n’ont pas été en mesure de fournir aucune trace de la prétendue protéine de pointe du SRAS-COV-2 trouvée chez qui que ce soit et purifiée (par opposition à la « protéine de pointe » « recombinante » créée dans un laboratoire ). laboratoire puis étudié, comme si cela reflétait quelque chose qui se passait chez de vraies personnes) ; et ils ont donc répondu comme s'il s'agissait d'une autre FOI concernant le faux virus, et ont fourni les mêmes paragraphes inutiles qu'ils donnent aux gens depuis environ un an : voyez ceci .
14 février 2023 : Une fois de plus, les centres américains de contrôle et de prévention des maladies n'ont pas été en mesure de fournir aucune trace de la prétendue protéine de pointe du SRAS-COV-2 trouvée chez qui que ce soit et purifiée. (J'ai spécifiquement exclu les études dans lesquelles la « protéine de pointe » « recombinante » a été créée en laboratoire afin d'être étudiée, car ces études ne peuvent fournir aucune preuve de l'existence réelle de la prétendue « protéine de pointe du SRAS-COV-2 » chez les humains. , c'est-à-dire les personnes ayant reçu un diagnostic frauduleux de covid, ou les personnes qui ont reçu de faux vaccins à ARNm, ou n'importe qui du tout.) : voir ceci .
21 mars 2023 : Roger Andoh, agissant en tant que responsable de la FOIA au sein du bureau du directeur de l'exploitation, CDC a avoué que le CDC ne dispose même pas d'une étude dans laquelle les auteurs ont effectué l'une des opérations suivantes :
1) testé la prétendue « protéine de pointe du SRAS-COV-2 » dans le sang de personnes « vaccinées » et « non vaccinées », et comparé les résultats – pour rechercher des preuves que les charlatans « ARNm » incitent les corps à créer la protéine
2) comparé les niveaux d'anticorps des personnes « vaccinées » et des personnes ayant reçu une injection d'autres toxines (c'est-à-dire d'autres charlatans), pour évaluer la spécificité des anticorps .
Voyez ceci .
- voir doc sur site -
2 mars 2023 : les Centers for Disease Control des États-Unis ne peuvent pas prouver l'existence de la « protéine de pointe du SRAS-COV-2 »
Roger Andoh, agissant en tant que FOIA Officer au sein du bureau du directeur des opérations du CDC et de l'Agence pour le registre des substances toxiques et des maladies , a avoué que ces institutions n'ont aucune preuve de l'existence de la prétendue « protéine de pointe du SRAS-COV-2 ». temps à mon collègue Louis Stephen.
Aussi, dans cette réponse, Roger a éludé :
une demande de preuve de réclamation concernant les anticorps dits « SARS-COV-2 », une demande de documentation expliquant pourquoi il est nécessaire d'utiliser de l'ARNm synthétique plutôt que naturel (prétendu) dans les vaccins convid, une demande de documentation expliquant pourquoi il est nécessaire d'utiliser des cellules rénales de singe pour (prétendument mais pas réellement) cultiver un « virus » censé infecter les poumons humains, etc. : voir ceci .
- voir doc sur site -
[Quelqu'un a aimablement transmis une autre réponse FOI du CDC datée du 30 décembre 2020 concernant le prétendu « SRAS-COV-1 » de 2003 et tous les « coronavirus du rhume » – le CDC n'a aucune trace d'isolement d'un seul : voir ceci ]
13 septembre 2022 : un homme ou une femme anonyme du bureau des archives publiques de l'université de Caroline du Nord à Chapel Hill a fourni des documents inutiles qui ne contiennent pas de preuves scientifiques du prétendu SRAS-COV-2 et a avoué qu'il n'existait aucun autre document pertinent. à la demande : voir ceci .
10 décembre 2021 : Le Département américain du Travail et l'Occupational Safety and Health Administration (OSHA) ont admis qu'ils n'avaient aucun dossier décrivant la purification d'un quelconque "virus COVID-19" (alias "SARS-COV-2", y compris les "variantes" présumées). à partir de n’importe quel échantillon de patient sur la planète, par n’importe qui, jamais : voyez ceci .
- voir doc sur site -
3 septembre 2021 : Fauci's National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) / National Institutes of Health , en réponse à une demande de dossiers démontrant que le NIAID ou le NIH dispose d'un échantillon physique de « SARS-CoV-2 » purifié :
confond l'isolement/purification avec la croissance du virus imaginaire en culture cellulaire, fournit des commentaires non pertinents et distrayants sur les postulats de Koch, cite des études et des pages Web inutiles et non pertinentes, et des « génomes » informatiques fabriqués de toutes pièces, et confirme que la virologie n'est pas une science. Voyez ceci .
- voir doc sur site -
11 mars 2022 : Le ministère américain de la Santé et des Services sociaux confirme que Vivek Murthy, l'homme qui agit en tant que « chirurgien général » , n'a aucun dossier décrivant quelqu'un sur Terre ayant trouvé et purifié le prétendu « SRAS-COV-2 » (le présumé « virus COVID-19 »), ou toute variante présumée de celui-ci, à partir des fluides corporels de tout être humain malade. Voyez ceci .
- voir doc sur site -
19 août 2021 : Le ministère américain de la Santé et des Services sociaux a cité des études et des pages Web inutiles et non pertinentes, et a fabriqué des « génomes » informatiques en réponse à une demande de la FOIA concernant des « dossiers démontrant que le ministère américain de la Santé et des Services sociaux dispose d'un échantillon physique. du virus SARS-CoV-2 isolé et purifié … » Voir ceci.
Réponse de la FOIA du 24 juin 2021 : L'Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) d'Anthony Fauci n'a fourni/cite aucun enregistrement de purification du « SARS-COV-2 » à partir d'un échantillon de patient par qui que ce soit, où que ce soit.
Le NIAID m'a renvoyé à l'étude anti-scientifique du CDC réalisée par Harcourt et al., même après les avoir informés de la réponse « aucun enregistrement » du CDC du 7 juin 2021 . J'ai fait appel à l'agent de liaison public FOIA du NIAID.
Les communications entre moi et le NIAID sont fournies ici .
- voir doc sur site -
L’étude du CDC citée par le NIAID n’a rien purifié d’un échantillon de patient. Il s’agit de la même étude sur laquelle le Dr Thomas Cowan a écrit en 2020 (« Only Poisoned Monkey Kidney Cells 'Grew' the 'Virus' »), dans laquelle il abordait également la nature frauduleuse du « génome du SRAS-COV-2 » fabriqué par les auteurs. (comme le montre la capture d'écran ci-dessous).
- voir doc sur site -
Auparavant, en 2020, Ron Bublitz avait déjà posé la question ci-dessous à l' Institut national américain des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), National Institutes of Health (NIH) . Sa correspondance est publiée sur le lien suivant, avec la réponse évasive fournie par le chef de la section NIH/NIAID pour la correspondance contrôlée et les enquêtes publiques, la branche des affaires législatives et de la gestion de la correspondance. Pdf montrant le texte et une photo des emails réels : voir ceci .
- voir doc sur site -
Ron a aimablement fourni une capture d'écran de ses communications avec le NIAID, présentée ci-dessous.
Notez que le NIH/NIAID n'a répondu à aucune des questions de Ron Bublitz et a simplement cité la même étude du CDC réalisée par Harcourt et al. mentionné ci-dessus qui s’adonnait à l’approche frauduleuse typique du « business des singes » en matière de soi-disant « isolement » – comme le montre la capture d’écran ci-dessous).
- voir doc sur site -
10 juin 2022 : Julia Spiegel, femme qui agit en tant que secrétaire adjointe aux affaires juridiques sous Gavin Newsom , l'homme qui agit au bureau du gouverneur de Californie, a avoué à Kristen Welch qu'elle n'avait aucun dossier décrivant un prétendu « SRAS-COV-2 ». (ou « variante ») étant trouvé dans le fluide/tissu corporel de n'importe qui sur Terre et purifié… par n'importe qui, n'importe où, jamais… afin que « cela » soit séquencé, caractérisé et étudié avec des expériences contrôlées (alias « science ») : vois ça .
- voir doc sur site -
27 janvier 2022 : Le ministère de la Santé de l'État de Washington a fourni la « tranche n° 1 » de dossiers prétendument mais pas vraiment sensibles à une FOI pour des études dans lesquelles le prétendu « SRAS-COV-2 » a été trouvé dans les fluides/tissus corporels de des gens malades et purifiés. « Installation #1 » est une comédie de science-fiction n'ayant rien à voir avec la purification ou un virus, intitulée « Séquençage et variantes du SRAS-CoV-2 dans l'État de Washington ».
Il commence ainsi : « Le séquençage de nouvelle génération est un ensemble de méthodes de laboratoire que les scientifiques utilisent pour analyser un génome viral afin de déterminer la séquence génomique d’un virus. »
Attention à la suite prévue le 25 juillet 2022 !
Le département a également avoué que son laboratoire : « n’a pas tenté d’isoler le SRAS-CoV-2 à partir d’un quelconque spécimen ou matrice. Le PHL n’a pas non plus en sa possession un virus SARS-CoV-2 viable isolé. Le WAPHL effectue des tests de diagnostic basés sur la PCR… Le séquençage de nouvelle génération est effectué sur des échantillons de patients positifs au SRAS-CoV-2 en utilisant du matériel génomique extrait, et non des isolats de virus.
25 novembre 2021 : Kate Wilson, agissant pour le département de santé du comté de Multnomah, Portland, Oregon, a confirmé qu'une recherche approfondie n'a donné aucune trace de quiconque sur Terre ayant trouvé et purifié le prétendu « SRAS-COV-2 » (par macération, filtration et ultracentrifugation). ) à partir de n'importe quel fluide/tissu corporel de toute personne malade, n'importe où, n'importe quand : voyez ceci .
- voir doc sur site -
11 mars 2022 : L'Université de l'Illinois a confirmé pour Natalia Litbarg, MD, que : les dépositaires des dossiers de l'université qui, en raison de la nature de leur travail, auraient pu détenir des dossiers décrivant quelqu'un sur Terre ayant trouvé le prétendu « SRAS-COV-2 » dans le corps les fluides d'un hôte malade et le purifiant de « celui », n'ont pas pu identifier de tels enregistrements : voir ceci .
- voir doc sur site -
18 mai 2022 : Jorge Perez, l'homme qui agit en tant que responsable adjoint de la santé, enquête sur la santé publique, département de la santé publique du comté de Los Angeles , a avoué à Kristen Welch qu'il n'existe aucune trace de la découverte présumée du SRAS-COV-2 dans le fluide/tissu corporel de n'importe qui et purifié… par n'importe qui, n'importe où, jamais… mais apparemment il est d'accord avec le fait que les virologues n'ont pas de variable indépendante à utiliser dans toute expérience sur les « virus » et il pense que « le comté » a le « droit » » pour terroriser les gens avec leur « doctrine » : voir ceci .
- voir doc sur site -
13 avril 2022 : Le ministère de la Santé de la République de Trinité-et-Tobago a confirmé pour Chetawayo La Borde que « le COVID-19 n'a pas été isolé et purifié » : voir ceci .
- voir doc sur site -
Suisse : novembre 2021 : Office fédéral de la santé publique (OFSP)
Janvier 2022 : Institut de Virologie et Immunologie (IVI)
Les deux n’ont pas fourni ou cité, pour l’homme qui a demandé, ne serait-ce qu’un seul enregistrement de « SARS-COV-2 » trouvé dans les fluides corporels de tout humain malade et purifié (ce qui serait nécessaire pour que « ce » puisse être séquencé, caractérisé et étudié avec des expériences contrôlées pour déterminer si « cela » existe réellement) : voir ceci .
16 mars 2022 : Larry Stinson, qui agit à titre de directeur des opérations pour la soi-disant « organisation à but non lucratif » Peterborough Public Health (PPH), a confirmé que PPH et Thomas Piggott, l'homme qui agit à titre de médecin-hygiéniste , n'ont aucun document décrivant toute personne sur Terre trouvant et purifiant tout «virus» présumé du SRAS, H5N1, H1N1, MERS, Ebola ou SARS-COV-2 à partir des fluides corporels de tout être humain malade, jamais… ou toute étude qui, de l'avis de Thomas, prouve le existence de l'un de ces prétendus virus… malgré l'affirmation de Thomas d'avoir vécu toutes ces prétendues épidémies : voir ceci .
- voir doc sur site -
25 août 2021 : Le service de santé publique de Peterborough et le médecin (sortant), le Dr Rosana Salvaterra, confirment qu'ils n'ont aucun dossier décrivant la purification du prétendu « SRAS-COV-2 », « VIH » alias « virus de l'immunodéficience humaine », « virus de l'hépatite B ». » ou « virus de l’hépatite C » provenant de n’importe quel échantillon de patient sur la planète, par n’importe qui, n’importe où. Ce qui signifie qu’ils n’ont aucune preuve de leur existence. Voyez ceci .
3 janvier 2022 : Sarah B. Kotler, JD (avocate), directrice de la Division de la liberté d'information de la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis, a refusé de répondre formellement à ma demande FOIA qui lui a été transmise par e-mail… mais a également indiqué que la FDA n’a aucun dossier décrivant la purification du « SARS-COV-2 » à partir d’un échantillon de patient sur Terre, par qui que ce soit, n’importe où et jamais. Elle n’a pas non plus répondu à ma question sur ce qu’elle ferait en sachant que personne sur la planète n’a de preuve du « virus », bien qu’elle soit une « fonctionnaire » travaillant pour une agence qui a approuvé toutes sortes de choses. Appareils « Covid-19 », injections, etc. Elle m'a également traité de « grossier », alors qu'elle semble plutôt satisfaite de la fraude mondiale et des violations du Code de Nuremberg : voir ceci .
- voir doc sur site -
20 août 2022 : Le Centre de contrôle et de prévention des maladies du Maine a été interrogé sur les enregistrements du prétendu SARS-COV-2 trouvé et purifié à partir de tout échantillon clinique sur Terre, et a répondu avec des instructions inutiles des fabricants pour 2 « tests » PCR. Voyez ceci .
28 juillet 2022 : Un homme ou une femme anonyme travaillant au sein du service de réglementation et d'éthique de l' Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé, France, alias L'Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de santé (ANSM), a répondu à ma FOI pour les enregistrements de toute personne sur Terre trouvant et purifiant l'hypothèse du virus convid de tout fluide/tissu corporel de n'importe qui sur la planète. Selon la traduction de mon collègue Marc Gray, cet homme ou cette femme a indiqué que l'ANSM n'est pas habilitée à vérifier l'existence de prétendus virus sauf si cela est « nécessaire dans le cadre d'une demande concernant un médicament ou un micro-organisme », ce qui, selon ce n’est pas le cas de leur activité « pandémique ». « Les documents demandés n'existent pas au sein de l'ANSM » et la science « n'entre pas dans le champ de compétence de l'ANSM ». Tellement bon à savoir. Voyez ceci .
- voir doc sur site -
Janvier 2022 : le ministère roumain de la Santé/l'Institut de santé publique de Bucarest et le Centre national de surveillance et de contrôle des maladies transmissibles n'ont fourni/cité aucun enregistrement indiquant que le prétendu « SRAS-COV-2 » aurait été trouvé dans les fluides corporels d'un patient. sur Terre et purifié, afin que « cela » puisse être séquencé, caractérisé et étudié avec des expériences contrôlées… et ainsi démontrer son existence : voir ceci .
- voir doc sur site -
Août 2022 : le CDC de Taïwan n'a fourni ni cité à Michael S. aucune preuve scientifique de l'existence du prétendu – mais avouons-le, strictement in silico – SARS-COV-2 : voir ceci .
- voir doc sur site -
Janvier 2022 : le CDC de Taiwan a confirmé pour Michael S. en Nouvelle-Zélande qu'il n'avait pas purifié le prétendu « SRAS-COV-2 » à partir d'un échantillon de patient ou d'une culture de « virus », et qu'il s'était appuyé exclusivement sur des tests PCR frauduleux et dénués de sens pour détecter l'imaginaire. virus : voir ceci .
- voir doc sur site -
22 avril 2022 : Le ministère de la Santé et de l'Hygiène mentale de la ville de New York a confirmé qu'il ne disposait d'aucun dossier décrivant la purification d'un prétendu « SRAS-COV-2 » (y compris de toute prétendue « variante ») à partir d'un échantillon prélevé sur un humain malade par n'importe qui, n'importe où, jamais : voyez ceci .
4 mars 2022 : Le ministère de la Santé et de l'Hygiène mentale de la ville de New York a soudainement rejeté une demande FOIL de Louis Stephen qui comprenait les éléments suivants :
« Les informations que je demande sont : 1) Une preuve d'isolement ou un isolat du virus SARS-COV-2 », avec cette explication : « votre demande ne décrit pas raisonnablement les enregistrements que vous demandez » : voir ceci .
- voir doc sur site -
21 mars 2022 : Le ministère de la Santé et des Hôpitaux de la ville de New York déclare : « Notre service de recherche a mené une recherche diligente de tous les protocoles COVID prospectifs pour les méthodes de purification/description du SRAS-Cov2 et n'a trouvé aucun enregistrement répondant à votre demande FOIL. Les équipes de recherche de l’établissement Santé + Hôpitaux ont confirmé n’avoir effectué aucune méthode de purification du virus. Veuillez également noter que H+H ne réalise pas de travaux de recherche en laboratoire. » Voir page 3 .
- voir doc sur site -
30 mars 2022 : Bureau du maire de la ville de New York : En réponse à une demande d'enregistrement décrivant l'isolement/purification du prétendu « SRAS-COV-2 » à partir d'un échantillon prélevé sur un humain malade, le bureau du maire a révélé que : « Après avoir effectué des recherches, la Mairie n'a trouvé aucun dossier répondant à votre demande » : voir ceci .
- voir doc sur site -
23 octobre 2021 : l'avocat général adjoint de l'université de Clemson, en Caroline du Sud, a confirmé au demandeur que l'université n'a aucun dossier de purification du « SARS-COV-2 », bien que son département de génie environnemental et des sciences de la Terre ait récemment reçu 900 000 $ pour étudier le prétendu « virus » : voir ceci .
- voir doc sur site -
15 octobre 2021 : le bureau du gouverneur de l'Illinois a confirmé n'avoir trouvé aucune étude décrivant l'isolement et l'analyse du prétendu « virus COVID-19 » alias « SARS-COV-2 » : voir ceci .
- voir doc sur site -
24 septembre 2021 : le gouverneur du Wisconsin et le ministère des Services de santé ont confirmé à Charles R. Haeuser qu'ils n'avaient aucun dossier concernant l'isolement/purification du prétendu « virus COVID-19 » (ou concernant la sécurité et/ou l'approbation des soi-disant « vaccins »). »). (Le DHS a fourni des pièces jointes concernant la « subvention de sensibilisation communautaire COVID-19 » du Wisconsin ; cliquez ici pour les voir ou les télécharger.) Voir ceci .
29 septembre 2021 : Le Metro Public Health Department, Nashville, Tennessee, a indiqué qu'« aucun dossier de ce type n'existe, ou ce bureau ne conserve pas de dossier(s) en réponse à » une demande d'Irucka Embry concernant la purification du prétendu « SRAS- COV-2 » ou la correspondance complète des « séquences génomiques du virus » provenant des victimes du virus présumé dans la région métropolitaine de Nashville et Wuhan, en Chine. Voyez ceci .
- voir doc sur site -
18 août 2021 : Le ministère des Services de santé de l'Arizona a confirmé à Timothy Martin qu'il n'avait aucun dossier décrivant l'isolement/purification d'un quelconque « SRAS-COV-2 » à partir d'un échantillon de patient sur la planète, et qu'il confondait celui-ci avec des soins de santé privés/protégés/identifiables. données : voir ceci .
- voir doc sur site -
4 février 2022 : le ministère de la Santé de Floride a finalement admis à Beatrice Scova qu'il n'avait aucune trace de purification du « SARS-COV-2 » : voir ceci .
- voir doc sur site -
13 juin 2022 : Rosemary Hewig agissant en tant qu'« Esq., Records Access Officer », le Département de la Santé de l'État de New York a rassuré Louis en lui disant qu'ils recherchaient toujours avec diligence des documents prouvant l'existence du « SARS-COV-2 » et qu'ils n'auraient besoin que de jusqu'au 17 août 2022 pour répondre à sa FOI du 4 janvier 2022 : voir ceci .
Rosemary semble avoir oublié ses réponses précédentes à mon ami Bill Huston et moi, dans lesquelles elle a avoué que les personnes qui dirigent le NYS DoH n'ont aucun dossier indiquant que le « SRAS-COV-2 » a jamais été isolé, ci-dessous.
- voir doc sur site -
9 décembre 2021 : 10 petits mois suffisent au ministère de la Santé de l’État de New York pour fournir à William Huston une liste dénuée de sens de variantes imaginaires du « SRAS-COV-2 » en réponse à sa demande d’enregistrements indiquant que « le virus » a été isolé. Et, le 25 février 2022, ils ont finalement conclu leur « recherche diligente » de documents en réponse à ma demande de purification datée du 5 novembre 2021, et ont confirmé qu’ils n’avaient trouvé aucun document : voir ceci .
30 septembre 2021 : Le Département de la Santé de l'État de New York a informé William Huston qu'il n'avait aucun dossier indiquant que le prétendu « SRAS-CoV-2 » était la cause du « COVID-19 ». Voyez ceci .
- voir doc sur site -
25 mai 2022 : Le recteur, le professeur Piotr Ponikowski, du département médical de l'université de Wroclaw, en Pologne, a confirmé que l'université n'avait aucune trace de l'isolement présumé du SRAS-COV-2, point final.
(...) Alors que les autorités chinoises annonçaient IL Y A DEUX ANS, le 7 janvier 2020, avoir isolé et identifié « un nouveau type de virus », aucun détail n’a été fourni. Puis, le 28 janvier 2020, le Centre américain de contrôle et de prévention des maladies (CDC) a déclaré que le nouveau virus corona avait été isolé. (...)
'le nouveau virus corona avait été isolé'. !! Primo: il n'est ps 'nouveau' puisque cette nano-particule en forme de couronne existe depuis... des milliards d'années et est rejetée (par milliards de milliards chaque seconde) par la combustion de notre magma dont les mers & océans abondent (et tous les poissons les mangent !!). Secundo: Ces nano-particules (appelées 'corona') sont TOTALEMENT INOFFENSIVES et portent le pseudonymes de 'virus' (comme existent aussi le 'virus de l'ordinateur', le 'virus du cinéma', 'de la chasse', 'de la pêche' ou 'de la bonne bouffe' !). Le 'virus de l'ordinateur n'est NI UNE POUSSIÈRE, NI UN MICROBE mais seulement un programme malfaisant ! Quant aux autres...
Mais... Mais il y a 3 ans a été sorti un... 'vaccin anti-poussière' !! HAHAHAHAHA ! (et non un vaccin anti-microbes !).
Le Dr Sucharit Bhakdi, microbiologiste de premier plan, qualifie les injections d'ARNm de « crime contre l'humanité »
Par Frank Wright Recherche mondiale, 16 octobre 2023
Le Dr Sucharit Bhakdi , s'exprimant lors d'un événement virtuel animé par le Dr Mark Trozzi, a déclaré avec insistance que « quiconque propage des vaccins à ARN comme étant efficaces et sûrs… est soit incroyablement ignorant, soit infiniment mauvais ».
Dans une longue présentation mettant en vedette neuf experts internationaux, le Dr Sucharit Bhakdi a formulé en termes crus la question du respect des injections d’ARNm contaminés par l’ADN.
« Celui qui prétend que les vaccins à ARN sont efficaces et sûrs – celui qui prétend que rien ne peut arriver à votre génome – est soit incroyablement ignorant, soit infiniment mauvais », a-t-il déclaré.
De telles personnes, affirme le professeur de microbiologie à la retraite de l’Université de Mayence, tournent le dos au « scénario d’horreur qui se déroule sous nos yeux ».
S'adressant au Dr Mark Trozzi lors d'une tribune organisée par le Conseil mondial de la santé, Bhakdi a appelé les peuples – et les médecins – du monde entier à décider de leur position.
- voir clip sur site -
« Citoyens et médecins du monde entier, détournez-vous de la perpétration de ce monstrueux crime contre l’humanité », a-t-il déclaré.
"Faites cela pour vous sauver vous-mêmes, pour sauver vos descendants, pour sauver le nom de votre famille, ou entrer dans l'histoire comme l'un des plus grands criminels de tous les temps."
Le segment de Bhakdi sur la vidéo de trois heures et demie était consacré à une explication du fonctionnement des injections d'ARNm, avec un accent particulier sur l'ADN plasmidique récemment découvert qu'elles contiennent.
Il a affirmé que non seulement cet ADN plasmidique est présent, mais qu’il peut effectivement provoquer une mutation génétique chez l’hôte. De plus, dit-il, ces mutations peuvent être héréditaires. Cela signifie que les enfants des personnes vaccinées peuvent être soumis à une modification génétique sans se faire injecter eux-mêmes et sans leur consentement.
Bhakdi a été invité à parler en termes simples des dangers des soi-disant vaccins, « afin que n’importe quel jeune de 14 ans puisse comprendre ».
Il a utilisé une analogie avec la boulangerie pour montrer comment fonctionnent l’ARNm et l’ADN.
Le génome est l’ensemble des instructions de l’ADN de la cellule, contenues dans les chromosomes – les « livres de vie » – qui sont conservés en sécurité dans le noyau cellulaire.
Lorsqu'une « recette » pour un produit est requise, « disons un gâteau », le « livre » est ouvert à la bonne page et une copie est faite à partir de la recette.
Cette recette est envoyée au site de fabrication – la « boulangerie » – dans la cellule.
Le gâteau est placé pour inspection sur le rebord de la fenêtre de la cellule. Une fois son objectif rempli, la recette copiée – qui est de l’ARNm – est éliminée. L’ARNm d’origine naturelle est de courte durée.
Les « vaccins » à ARN dirigent la production d’antigènes sélectionnés – comme la protéine de pointe. Plus d’un milliard de copies de cette recette de protéines Spike sont administrées à chaque injection.
La production massive d’ARNm nécessite une disponibilité massive de la matrice d’ADN. Comment les injections font-elles cela ?
Les injections contiennent des milliards et des milliards de minuscules chromosomes bactériens – appelés plasmides. Il s’agit de la base d’ADN pour la réplication de la protéine Spike dans les injections d’ARNm.
Ceux-ci sont conditionnés dans des nanoparticules lipidiques – de minuscules globules gras – qui protègent l’ARN injecté de la destruction afin qu’il puisse « voyager dans la circulation sanguine pour atteindre tous les organes du corps ».
Lorsqu’elles arrivent aux organes du corps, ces nanoparticules agissent comme des « chevaux de Troie ».
« Ils sont absorbés par la cellule et la recette donne naissance à leur produit, qui est ensuite exposé sur le rebord de la fenêtre. Ce que tout le monde doit savoir, c’est qu’à l’extérieur de la cellule, des agents de sécurité veillent », a déclaré Bhakdi.
Rapide et furieux
Bhakdi a souligné le danger d’introduction d’ADN plasmidique étranger dans le corps.
« Tout va bien quand la recette est élaborée à partir de son propre livre de vie – son propre génome », a-t-il poursuivi. « Mais malheur si la recette provient d’un livre extraterrestre » – comme c’est le cas pour les vaccins à ARNm.
Si cela se produit, les « gardes de sécurité » du corps – notre système immunitaire – attaqueront cette cellule.
Bhakdi a souligné que la capacité des réponses immunitaires à reconnaître ces intrusions, qu’il a décrites comme la distinction entre le matériel génétique qui est « le soi et le non-soi », est « donnée à la naissance et se termine à la mort ». Il a cité l’exemple du rejet d’organes, où les organes du « non-soi » sont systématiquement rejetés, même au sein de la même espèce (humaine).
Il a ajouté que si cette intrusion se répétait, une « réaction explosive s’ensuivrait – rapide et furieuse ».
C’est le principe à l’œuvre, a-t-il affirmé, qui explique l’intensification et l’aggravation des effets indésirables suite à des injections répétées d’ARNm ou à des injections de « rappel ».
Il a décrit le volume considérable de matériel d’ARN emballé introduit dans chaque injection comme « gigantesque », ce qui entraîne « une myriade d’événements d’attaque immunitaire ». L’éruption de ces réactions ne peut « s’arrêter que lorsque la production de la protéine étrangère prend fin ».
Alors combien de temps cela prend-il ? Bhakdi a déclaré que l’affirmation des « auteurs du vaccin » et du Comité du prix Nobel selon laquelle le processus s’arrêterait dans « quelques jours seulement » est tout simplement fausse.
Bhakdi a mentionné « une découverte alarmante » qui montre que « des pics de protéines et une inflammation de plusieurs organes ont été détectés chez les vaccinés des semaines, voire des mois après l’injection ».
Bhakdi a noté que des blessures telles que des lésions vasculaires, des caillots sanguins, des saignements et la mort des tissus, même au niveau du cœur, du cerveau, ainsi que des lésions du système auto-immune sont toutes susceptibles d'en résulter. Soulignant que le cœur ne peut pas remplacer les cellules mortes, il a demandé : « Qui n’a pas entendu parler des mystérieuses morts subites qui se produisent dans le monde ? »
"Ils ne sont que la pointe de l'iceberg", a-t-il conclu.
(...) De plus, dit-il [Dr Bhakdi], ces mutations peuvent être héréditaires. Cela signifie que les enfants des personnes vaccinées peuvent être soumis à une modification génétique sans se faire injecter eux-mêmes et sans leur consentement. (...)
Et oui ! Cela fait partie du Plan 'Dépopulation21' !
Les vaccins contre le COVID-19 « pourraient déclencher » des maladies rhumatismales inflammatoires : étude
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 15 OCTOBRE 2023 - 15H20 Rédigé par Marina Zhang via The Epoch Times
Une nouvelle étude suggère que les 'vaccins' contre la COVID « pourraient déclencher » des maladies inflammatoires rhumatismales à médiation immunitaire, notamment l’arthrite, la vascularite, le lupus et la maladie de Still à l’âge adulte.
En moyenne, les patients ont développé des maladies rhumatismales 11 jours après l'administration du vaccin, selon l'étude. 75 (plus de 27 %) de ces patients ont connu une rémission totale de la maladie et environ 50 % se sont améliorés après le traitement. Huit ont été admis en soins intensifs et deux sont décédés des suites de leurs symptômes.
"Le court laps de temps entre l'administration du vaccin COVID-19 et l'apparition des R-IMID suggère la possibilité potentielle d'une relation de cause à effet", ont écrit les auteurs.
Les maladies inflammatoires rhumatismales à médiation immunitaire (R-IMID) impliquent une inflammation qui se manifeste dans les articulations, les tendons, les muscles et les os pour une cause inconnue.
L'étude, dirigée par des chercheurs du National Health Service du Royaume-Uni, a examiné 271 participants issus de 190 études de cas publiées dans le monde entier.
Plus de 80 % des patients ont développé des symptômes après leur première ou deuxième dose du vaccin COVID-19, et la plupart ont été traités et améliorés avec des corticostéroïdes.
Près de 57 % des patients blessés ont reçu le vaccin Pfizer, près d'un quart ont reçu le vaccin AstraZeneca et 12 % des maladies rhumatismales manifestées après l'administration du vaccin Moderna.
Maladies signalées
Les maladies rhumatismales pourraient être moins fréquentes que la myocardite, un événement indésirable connu de la vaccination contre la COVID. Une recherche sur le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) a révélé que plus de 3 000 cas de myocardite ont été signalés après l'administration du vaccin contre le COVID-19, avec plus de 2 300 cas d'arthrite et plus de 370 cas de lupus érythémateux disséminé, le type de lupus le plus courant, et 280 cas de vascularite. Les maladies rhumatismales suivantes ont été incluses dans cette toute première revue systématique des R-MID nouvellement apparus après la vaccination contre la COVID.
Inflammation des vaisseaux sanguins
La vascularite était la maladie rhumatismale la plus courante dans la revue, avec 86 événements indésirables enregistrés. Les vascularites les plus courantes affectent les petits vaisseaux sanguins, provoquant des taches rouges et des bosses sur la peau et d'éventuelles lésions des organes. Les vaisseaux sanguins moyens et plus gros peuvent également être affectés, provoquant des lésions tissulaires, musculaires et rénales.
Une patiente présentant une inflammation des plus gros vaisseaux sanguins a présenté une accumulation de liquide dans ses poumons. Un autre a développé une inflammation des artères de sa tête et a perdu la vision de son œil gauche en raison d’une réduction du flux sanguin vers ses nerfs optiques.
Maladies du tissu conjonctif
Soixante-six cas de maladies affectaient les tissus conjonctifs. Les maladies qui entrent dans cette catégorie comprennent le lupus, une maladie auto-immune affectant la peau, les articulations et les organes internes, ainsi que la myosite et la dermatomyosite, qui se manifestent par une inflammation des muscles et des tissus.
Deux patients sont décédés des suites de leur état. L’un d’eux était un homme de 44 ans qui a développé une myosite, ou inflammation musculaire, et un syndrome des loges dans les membres. Le syndrome des loges est une affection douloureuse et potentiellement mortelle dans laquelle la pression dans les muscles s'accumule. Une autre femme de 62 ans est décédée des suites d’un diabète et d’une dermatomyosite, une inflammation de la peau et des muscles, après avoir reçu le vaccin Pfizer.
Arthrite
Cinquante-cinq patients ont développé une arthrite après avoir reçu le vaccin, se manifestant principalement au niveau des genoux, des coudes et des chevilles.
Après un traitement aux stéroïdes, la plupart ont constaté une certaine amélioration de leurs symptômes, 12 sont entrés en rémission et deux présentaient des symptômes persistants.
Maladie de Still de l'adulte
Vingt-deux cas de maladie de Still à l'âge adulte ont été documentés dans le rapport. Les symptômes de cette maladie rare comprennent une fièvre quotidienne, de l'arthrite dans plus de cinq articulations et des éruptions cutanées rose saumon sur le corps. Six de ces patients ont également développé des problèmes cardiaques, dont deux ont développé une myocardite et une insuffisance cardiaque.
Cinq des patients sont entrés en rémission, tandis que la plupart ont connu une amélioration de leur état après avoir été traités aux stéroïdes.
Autres maladies
Les maladies moins courantes comprennent la polymyalgie rhumatismale, signalée chez 21 personnes. Les symptômes de cette maladie comprennent une raideur et une inflammation des épaules, du cou et des hanches, ainsi que la sarcoïdose, qui survient lorsque des tissus enflammés commencent à se développer à l'intérieur des organes, provoquant un dysfonctionnement des tissus.
Le mimétisme moléculaire est la principale explication
Les auteurs ont noté le délai très court entre la vaccination et l’apparition des symptômes, la durée moyenne étant de 11 jours. Cette durée est similaire à celles trouvées dans d’autres études portant sur les effets secondaires de la myocardite après les vaccins contre la COVID-19. Les auteurs ont estimé que le vaccin aurait pu être un « déclencheur » des maladies rhumatoïdes.
Cependant, certains patients pourraient avoir été prédisposés aux maladies rhumatismales, ont expliqué les auteurs. De plus, certains pourraient avoir été prédisposés à avoir une réponse hautement inflammatoire aux vaccinations à ARNm, entraînant des symptômes rhumatismaux comme une raideur articulaire et une inflammation.
Le mimétisme moléculaire, qui se produit lorsque l’organisme prend des substances étrangères pour les siennes et déclenche une réponse immunitaire, est la principale explication du développement de ces maladies auto-immunes. Les auteurs ont estimé que les adjuvants vaccinaux comme l’aluminium pourraient avoir une structure similaire aux protéines humaines. Par conséquent, le corps pourrait s’être trompé de tissus naturels en attaquant ces adjuvants, perçus comme des envahisseurs étrangers.
Cependant, de nombreuses études ont montré que les protéines Spike présentes à la surface du virus COVID-19 partagent des similitudes structurelles avec les protéines humaines. Une étude a révélé que les anticorps qui réagissaient à la protéine Spike pouvaient également réagir à près de 30 tissus humains différents. Si les protéines de pointe induites par les vaccins COVID-19 sont similaires aux protéines de pointe virales d’origine, alors les protéines de pointe du vaccin peuvent également déclencher l’auto-immunité.
Une autre possibilité est que les vaccins à ARNm déclenchent la formation d’inflammasomes. Les inflammasomes sont des groupes de protéines qui signalent l'inflammation et l'élimination virale. Cela peut également rendre les cellules immunitaires hyperactives et endommager les tissus naturels dans le but d’éliminer le vaccin.
Procès en raison de décès dus à la vaccination, prix Nobel de médecine absurdes pour différents lots – en conversation sur MEGA Radio
16 octobre 2023 par le Dr. Peter F. Mayer
Les blessures et les décès dus aux vaccins donnent de plus en plus souvent lieu à des poursuites judiciaires, par exemple en Espagne, où les parents d'enfants décédés à cause de la vaccination ont également déposé des plaintes pénales contre les autorités compétentes. De plus en plus de faits montrent que la campagne de vaccination a causé un nombre élevé de décès, les dernières évaluations de données réelles évaluant ce chiffre à environ 17 millions dans le monde .
Néanmoins, un prix Nobel de médecine a été décerné pour le développement de ces préparations, ce qui est tout aussi absurde que le prix Nobel de la paix décerné à Obama, responsable de 11 guerres.
Même le ministre allemand de la Santé, Lauterbach, doit désormais reconnaître les graves dommages causés par les vaccins à ARNm, alors qu'il avait précédemment déclaré que ces vaccins corona étaient « exempts d'effets secondaires ». Les différents lots des différents vaccins contre le SRAS-CoV-2 diffèrent donc considérablement dans leur composition, comme l’a récemment découvert une nouvelle étude danoise . Par exemple, il a été prouvé qu’une contamination par l’ADN était présente dans certains lots. De plus, les protéines Spike se trouvent souvent dans des organes comme le cœur, où elles n’ont pas leur place.
En Allemagne, l’Institut Paul Ehrlich (PEI) aurait eu l’obligation d’examiner les lots de vaccins pour voir s’ils étaient produits proprement ou non. Nous discutons également des nouvelles études du pathologiste Prof. Walter Lang et du pathologiste récemment décédé Prof. Arne Burkhardt, parues en exclusivité sur TKP.at il y a quelques semaines .
Une nouvelle étude américaine a récemment confirmé leurs résultats.
Nous parlons également des manifestations en cours en Autriche contre la nouvelle politique de santé mondiale de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et évaluons la campagne de vaccination actuelle contre le coronavirus, notamment menée par les institutions européennes. Il en va de même pour les critiques du Premier ministre slovaque nouvellement élu, Robert Fico.
Et la même conversation sur YouTube :
- voir clip sur site -
MEGA Radio est une station qui peut être écoutée sur DAB+ et aborde des sujets de manière critique et ouverte, sans considérations politiques.
Les décès après une crise cardiaque seront nettement plus fréquents en 2021, selon une étude
16 octobre 2023 par le Dr. Peter F. Mayer
Depuis l’automne 2020, scientifiques et médecins n’ont cessé de mettre en garde contre les dégâts que l’on peut attendre de la thérapie génique, récompensée par un prix Nobel. De plus en plus d’études prouvent que cet avertissement était et est toujours correct. Les dommages au cœur en particulier sont énormes, comme le montre une autre étude évaluée par des pairs. Les données des hôpitaux américains montrent une augmentation spectaculaire du nombre d’Américains décédés subitement après un arrêt cardiaque inattendu en 2021, selon une nouvelle étude évaluée par des pairs.
L'étude a été dirigée par Jennifer Z. Liu, épidémiologiste à la santé publique de Seattle et du comté de King, et comprenait plusieurs co-auteurs représentant le département de médecine d'urgence de la faculté de médecine de l'Université de Washington. L' étude est parue dans Jama Infectious Diseases, intitulée « Infection aiguë par le SRAS-CoV -2, incidence et résultats de l'arrêt cardiaque hors de l'hôpital ». Les chercheurs ont constaté une forte augmentation des décès dus à un arrêt cardiaque hors de l’hôpital.
Pour les besoins de l’étude, le terme « décès hors hôpital » fait référence aux personnes qui ont subi un arrêt cardiaque inattendu et sont décédées avant de pouvoir être soignées à l’hôpital, expliquent les chercheurs. L’étude a analysé cet ensemble de données, qui compare le nombre de personnes décédées subitement et de manière inattendue.
Les chercheurs ont analysé les données de Seattle et du comté de King, Washington, de 2018 à 2021. L’ensemble de données comprenait 13 081 patients, dont 7 102 qui étaient déjà morts à l’arrivée des secours et 4 952 autres qui ont été soignés mais avant leur admission ou sont décédés à l’hôpital.
Par rapport aux années précédant la pandémie, c'est-à-dire 2018 et 2019, 19 % de personnes supplémentaires ont subi un arrêt cardiaque hors de l'hôpital en 2020 et 2021, c'est-à-dire pendant la pandémie, ont indiqué les chercheurs. Il y a eu une augmentation de 27,2 % du nombre de patients déclarés morts lorsque les secouristes sont arrivés chez les patients.
Cependant, les chercheurs n’ont pas pris en compte le statut vaccinal. Au lieu de cela, ils ont examiné le choc du COVID-19 sur les arrêts cardiaques hors de l’hôpital.
Cependant, l’étude a révélé que le nombre d’arrêts cardiaques était le plus élevé en 2021 après l’introduction de la vaccination contre le COVID-19.
Les chercheurs ont comparé les résultats des tests Covid avec ceux de ceux qui ont subi un arrêt cardiaque hors de l’hôpital. Parmi les personnes qui ont subi un arrêt cardiaque hors de l’hôpital pendant la pandémie et ont survécu jusqu’à l’arrivée des secours, 6,2 % ont été testées positives pour le COVID-19.
Les tests positifs ont été enregistrés soit au moment du traitement, soit dans les deux semaines précédant l'arrêt cardiaque, soit dans la semaine suivant l'arrêt cardiaque. Dans un échantillon aléatoire de personnes déclarées mortes à leur arrivée, seulement 3,7 % souffraient d’une infection corona.
Les chercheurs de l’État de Washington ont déclaré que les personnes ayant subi un arrêt cardiaque hors de l’hôpital pendant la pandémie avaient moins de chances de survivre.
Ils notent que cela est cohérent avec des recherches antérieures . L'étude, « Arrêt cardiaque hors hôpital pendant la pandémie de COVID-19 : une revue systématique », a révélé que les crises cardiaques et les taux de mortalité hors de l'hôpital ont augmenté de manière significative pendant la pandémie de COVID-19 par rapport à la même période l'année dernière. .
Une augmentation transitoire de deux fois de l’incidence des infarctus hors de l’hôpital a été observée, accompagnée d’une diminution concomitante de la survie. Pendant la pandémie, la réponse de la population aux infarctus extrahospitaliers a changé : moins de mesures de réanimation cardio-pulmonaire par les profanes, des délais de réponse plus longs des services d'urgence et des taux de survie aux infarctus plus faibles.
Les effets de la propagande alarmiste des opérateurs de la pandémie deviennent apparemment visibles ici, lorsque les gens n'ont plus la confiance nécessaire pour aider d'autres personnes dans le besoin.
Procès en raison de décès dus à la vaccination, prix Nobel de médecine absurdes pour différents lots – en conversation sur MEGA Radio
16 octobre 2023 par le Dr. Peter F. Mayer
Les blessures et les décès dus aux vaccins donnent de plus en plus souvent lieu à des poursuites judiciaires, par exemple en Espagne, où les parents d'enfants décédés à cause de la vaccination ont également déposé des plaintes pénales contre les autorités compétentes. De plus en plus de faits montrent que la campagne de vaccination a causé un nombre élevé de décès, les dernières évaluations de données réelles évaluant ce chiffre à environ 17 millions dans le monde . Néanmoins, un prix Nobel de médecine a été décerné pour le développement de ces préparations, ce qui est tout aussi absurde que le prix Nobel de la paix décerné à Obama, responsable de 11 guerres.
Même le ministre allemand de la Santé, Lauterbach, doit désormais reconnaître les graves dommages causés par les vaccins à ARNm, alors qu'il avait précédemment déclaré que ces vaccins corona étaient « exempts d'effets secondaires ». Les différents lots des différents vaccins contre le SRAS-CoV-2 diffèrent donc considérablement dans leur composition, comme l’a récemment découvert une nouvelle étude danoise . Par exemple, il a été prouvé qu’une contamination par l’ADN était présente dans certains lots. De plus, les protéines Spike se trouvent souvent dans des organes comme le cœur, où elles n’ont pas leur place.
En Allemagne, l’Institut Paul Ehrlich (PEI) aurait eu l’obligation d’examiner les lots de vaccins pour voir s’ils étaient produits proprement ou non. Nous discutons également des nouvelles études du pathologiste Prof. Walter Lang et du pathologiste récemment décédé Prof. Arne Burkhardt, parues en exclusivité sur TKP.at il y a quelques semaines .
Une nouvelle étude américaine a récemment confirmé leurs résultats.
Nous parlons également des manifestations en cours en Autriche contre la nouvelle politique de santé mondiale de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et évaluons la campagne de vaccination actuelle contre le coronavirus, notamment menée par les institutions européennes. Il en va de même pour les critiques du Premier ministre slovaque nouvellement élu, Robert Fico.
Et la même conversation sur YouTube :
-voir clip sur site -
MEGA Radio est une station qui peut être écoutée sur DAB+ et aborde des sujets de manière critique et ouverte, sans considérations politiques.
Comment protéger votre enfant des mensonges transgenres
Par le Dr Joseph Mercola Mercola.com 16 octobre 2023
Télécharger la transcription de l'interview – Téléchargez mon podcast GRATUIT – Lien vidéo
Dans cette interview, le Dr Miriam Grossman, psychiatre pour enfants et adolescents et médecin certifié, discute des dangers de l'idéologie transgenre, qui est sa spécialité, et, plus important encore, de la manière d'en protéger vos enfants.
Elle est l’auteur de deux livres, « Vous apprenez quoi à mon enfant ? : Un médecin expose les mensonges de l’éducation sexuelle et comment ils nuisent à votre enfant » et « Lost in Trans Nation, un guide du pédopsychiatre pour sortir de la folie ».
Grossman est également chercheur principal au Do No Harm Medicine, qui lutte « contre les politiques identitaires » et « pour les patients individuels ». « D’abord, ne faites pas de mal » fait partie du serment d’Hippocrate que les médecins à travers les âges ont juré de respecter. Malheureusement, le serment d’Hippocrate a été massivement perverti et le principe « ne pas nuire » a été pratiquement abandonné.
« Do No Harm est une organisation assez récente de professionnels de la santé qui estiment que notre profession s'est égarée », explique Grossman.
«Cela est devenu politisé – par les politiques identitaires et d’autres questions – à un tel point que nos patients et notre profession souffrent. DoNoHarmMedicine.org a été fondé par le Dr Stanley Goldfarb, néphrologue à la retraite de l'Université de Pennsylvanie.
Je crois qu'il avait la responsabilité d'organiser les programmes d'études pour les étudiants en médecine de l'Université de Pennsylvanie, et il a reconnu à quel point la politique était entrée dans les programmes et a été très alarmé. Il a donc pris sa retraite et a formé cette incroyable organisation, que j’encouragerais tous les professionnels de la santé à consulter et à rejoindre.
La montée de l’idéologie transgenre
Bien que Grossman ne soit connue que récemment comme une voix de premier plan s’opposant au discours transgenre dominant, son implication et ses préoccupations concernant ce système de croyance non scientifique remontent à environ 15 ans. Pour l’observateur occasionnel, il peut sembler que l’idéologie transgenre est apparue de nulle part, du jour au lendemain, mais ce n’est pas le cas.
« L’explosion du nombre de cas s’est produite assez rapidement, mais les enseignements, l’idéologie selon laquelle nos identités peuvent être séparées de notre biologie – qui n’est pas fondée sur la science – et la croyance selon laquelle nous pouvons être quelqu’un de différent de ce que notre corps nous dit. sont, cela a été enseigné aux enfants dans le cadre de l'éducation sexuelle depuis longtemps », dit Grossman.
" J'en ai pris conscience au milieu des années 2000 lorsque j'écrivais mon livre " Vous apprenez quoi à mon enfant ? " J'étais psychiatre pour des étudiants de l'UCLA, et beaucoup d'enfants venaient me voir avec de l'anxiété et de la dépression. , en particulier les jeunes femmes, étaient là à cause de comportements sexuels malsains.
Beaucoup d’entre eux, un nombre alarmant, souffraient d’une maladie sexuellement transmissible, une MST. Ils avaient de l'herpès ou des verrues génitales, et ces maladies sont causées par des virus essentiellement incurables. Une fois que vous avez reçu un diagnostic de verrues génitales, de virus du papillome humain ou de virus de l’herpès, vous l’avez pour la vie.
Elle peut être contrôlée, mais pas éliminée. Ce sont donc des maladies graves… C’étaient des enfants intelligents, et c’étaient des enfants ambitieux, et pourtant ils avaient pris ces décisions sexuelles insensées de sortir avec des inconnus au hasard…
J’ai donc commencé à étudier ce que l’on enseigne aux enfants en matière d’éducation sexuelle et j’ai découvert que l’éducation sexuelle… n’est pas une question de santé. Il ne s’agit pas de rester en bonne santé. Il s’agit de… promouvoir la liberté sexuelle – toutes sortes de comportements à risque – et de changer la société.
Mon livre, « Vous apprenez quoi à mon enfant ? »… se penche sur les origines de l’éducation sexuelle dans ce pays. Il s’agit de liberté sexuelle. Il s’agit de rejeter les valeurs judéo-chrétiennes. Il ne s’agit certainement pas de lutter contre les bactéries et les virus. Et l’éducation sexuelle est introduite très jeune, à la maternelle.»
L’idéologie du genre est introduite encore plus tôt, à l’école maternelle. Les livres lus aux enfants d'âge préscolaire diront des choses comme : « Les adultes font des erreurs quand les bébés naissent et vous seul savez si vous êtes une fille ou un garçon » et « Les adultes ont peut-être fait une erreur lorsqu'ils ont décidé que vous étiez une fille ou un garçon ». un garçon » ou « Certaines personnes naissent avec un cerveau de garçon et un corps de fille ».
C’est pourquoi j’utilise le mot endoctriné, et c’est pourquoi la majorité d’entre eux vont le croire. Cela leur est présenté par les autorités, les autorités éducatives, les autorités médicales, les autorités gouvernementales, et ils n’entendent pas les arguments de l’autre côté.
Dysphorie de genre hier et aujourd'hui
Lorsque Grossman était étudiant en médecine, la dysphorie de genre à apparition rapide (lorsqu'un jeune enfant insiste soudainement sur le fait qu'il est du sexe opposé) était extrêmement rare. Tout a changé vers 2015, lorsque le nombre de cas a soudainement explosé.
Cependant, contrairement à la dysphorie de genre classique, ces cas plus récents concernent généralement des adolescents et de jeunes adultes, ce qui n’avait jamais été le cas auparavant. De plus, dans le passé, la dysphorie de genre touchait principalement les garçons, dans un rapport d’environ 6 pour 1. Aujourd’hui, les filles s’identifiant comme garçons représentent environ 60 % des cas.
Comme beaucoup d’autres, je soupçonne que les produits chimiques synthétiques, dont beaucoup ont une activité œstrogénique, peuvent jouer un rôle, en particulier chez les garçons s’identifiant comme des filles. Grossman n’écarte pas cette possibilité, mais, sur la base de son travail, elle soupçonne que les médias sociaux et la pression des pairs restent les principaux contributeurs.
«Les enfants le disent», dit-elle. « Ils développent des symptômes d’insatisfaction avec leur corps après avoir visionné ces vidéos YouTube d’enfants qui racontent leur propre dysphorie et leur propre chemin. Il y a donc certainement un élément de contagion sociale.
Le transgenre est un faux remède à leurs maux
Il n’est pas surprenant que les enfants ayant des antécédents de problèmes psychiatriques, comme être autistes ou souffrir d’anxiété, de dépression ou de traumatisme émotionnel, soient plus susceptibles d’être victimes de l’idéologie de genre.
« Ils découvrent l’idéologie du genre et on leur dit que cela pourrait être la raison de votre détresse : « Vous avez l’impression de ne pas vous intégrer… parce que vous n’êtes pas dans le bon corps. »
Et ils en viennent à croire que tous leurs problèmes vont être résolus par cette seule solution, celle de s’identifier comme étant du sexe opposé, de changer de nom, de pronoms et d’apparence… telle sera la solution.
Ceux qui ont subi une opération de changement de sexe, en particulier, sont confrontés à la possibilité très réelle de problèmes médicaux permanents et de dépression associée. Beaucoup souffrent de problèmes urologiques, d’infections récurrentes, de douleurs chroniques et de dysfonctionnements sexuels. Ils sont également stériles et ne pourront jamais avoir d’enfants.
« Dans mon témoignage au Congrès que j'ai donné il y a quelques mois, j'ai souligné que dans des pays comme la Suède, la Norvège, la Finlande et le Royaume-Uni, où ces traitements médicaux ont été rendus pratiquement inaccessibles aux enfants au cours des dernières années, il y a eu une Il n’y a pas eu d’augmentation des suicides ni de diminution de la santé mentale.
Ce n’est donc tout simplement pas vrai. C'est une terrible désinformation et un chantage émotionnel [de dire] "La seule chance qu'a votre enfant de vivre une vie heureuse et épanouissante est si vous acceptez sa nouvelle identité et lui donnez tout ce qu'il dit vouloir, même si votre enfant a 10 ans". ou 12 ans. » Et c’est ce qui se passe dans les cliniques de genre.
Il est très, très important que les gens lisent mon livre, non seulement les familles dans lesquelles ils se trouvent au milieu de cette difficulté, mais aussi les familles qui pourraient y être confrontées à l'avenir, afin qu'elles soient préparées et puissent comprendre de quoi il s'agit, afin qu'elles sachent comment réagir et comment protéger leur enfant avant qu'il ne soit endoctriné.
Une génération de jeunesse meurtrie
Même s’ils ne subissent pas d’intervention chirurgicale sur les organes sexuels, les garçons reçoivent des doses massives d’œstrogènes, un cancérigène connu pour l’homme qui a de nombreux effets néfastes sur la santé. Les filles qui prennent de fortes doses de testostérone sont également confrontées à de graves effets néfastes sur leur santé, notamment des modifications irréversibles de la voix et des troubles de la coagulation sanguine.
Un nombre toujours croissant d’adolescentes subissent également une double mastectomie. Il n’existe pas de chiffres précis sur le nombre d’opérations chirurgicales de premier plan réalisées, car personne ne suit les traitements transgenres et les opérations de changement de sexe, mais ce n’est certainement plus une rareté. Grossmann commente :
"Quand j'écrivais mon livre et travaillais sur le chapitre sur les doubles mastectomies, il y avait 47 000 jeunes filles qui collectaient des fonds sur GoFundMe pour se faire opérer des seins - 47 000... Vous avez toute une population de jeunes femmes qui ont été amenées à croire que leurs seins sont simplement des objets sexuels jetables qui ne servent à rien d’autre.
Les jeunes femmes n’apprennent jamais la magnifique biologie des soins infirmiers et de la nutrition, qui est la nutrition de référence pour les nouveau-nés. Il n’y a rien de meilleur pour un nouveau-né que le lait maternel.
La folie vient d'en haut
La vie des enfants est ruinée par les mensonges, et nous devons être tout aussi agressifs en nous en tenant aux faits biologiques que les endoctrineurs sont agressifs en poussant les enfants vulnérables à faire des choix destructeurs en matière de santé.
Une grande partie du problème réside dans le système éducatif, car la plupart des écoles enseignent l’idéologie transgenre. La solution serait alors de retirer vos enfants de ces écoles. Grossman est d'accord et dit :
« Parce que les questions de genre ont été considérées comme un droit civil, chaque enseignant peut l’introduire dans sa classe – dans la littérature anglaise, les études sociales, l’éducation civique et l’histoire.
Les parents doivent également être conscients du fait que… il existe des enseignants militants, des travailleurs sociaux militants et des conseillers d’orientation qui sont là pour influencer votre enfant, et ils iront jusqu’à garder le secret sur la famille si l’enfant demande à le faire. une sorte de changement d'identité à l'école.
L’école gardera le secret sur les parents, ce qui est un autre élément scandaleux dans tout cela car c’est le droit des parents de savoir une telle chose. Alors oui, vous pouvez retirer votre enfant non seulement de l’école publique, mais il existe aussi des écoles privées qui poussent cette idéologie…
Leurs organisations professionnelles – la National Educational Association, les organisations professionnelles de travailleurs sociaux, de conseillers scolaires, de conseillers d’orientation et de directeurs d’école – ont toutes adhéré au récit. Ils sont donc obligés de suivre ces politiques, et ces politiques appellent à garder les parents dans l’ignorance si l’enfant dit que c’est ce qu’il veut.
Dans mon livre, je raconte l’histoire d’enseignants qui ont estimé qu’il était mal de garder les parents dans l’ignorance de l’identité de genre de leur enfant à l’école et qui ont partagé cette information avec les parents. Ils ont été licenciés.
Il y a des enseignants, surtout les plus jeunes, qui ont été endoctrinés. Mais j’ai des gens qui m’écrivent, qui sont des psychologues scolaires et des enseignants, et ils me disent des choses comme : « Je ne peux plus faire ça. Je quitte ce domaine. Je prends ma retraite, je ne peux plus faire ça, c’est mal.
Les parents doivent donc en être conscients. Et je fournis dans le livre une annexe rédigée par des avocats spécialistes des droits des enfants et des parents, et ils expliquent exactement comment être proactifs.
Même si votre enfant entre à la maternelle, vous pouvez aller à l'école et vous pouvez, avec un formulaire que je fournis sur mon site Web, merriamgrossmanmd.com, qui avertit l'école qu'elle n'a aucun droit constitutionnel de diriger l'éducation des enfants. votre enfant, que vous ne voulez pas qu'on lui enseigne l'idéologie du genre et que vous ne permettez pas à votre enfant de faire partie d'un programme ou d'un club dans lequel cette idéologie est enseignée.
Et vous n’autorisez certainement pas que votre enfant soit appelé par un nom différent, ou que votre enfant utilise les toilettes du sexe opposé. Vous devez [faire ça].
Vaccinez vos enfants grâce à l'affirmation biologique
Une autre stratégie importante que les parents doivent adopter consiste à affirmer dès le départ la biologie de leurs enfants. En leur apprenant la valeur et la permanence de leur sexe biologique, vous pouvez les « vacciner » efficacement contre les idées dérangées qui seront introduites plus tard. Grossman explique :
« Vous pouvez dire à un enfant de 2 ou 3 ans : « Tu sais que tu es un garçon et tu seras toujours un garçon. Dès le premier instant de ta création, tu étais un garçon.
Cette expression « sexe assigné à la naissance » me rend folle parce qu’elle est tellement fausse. C’est tellement scandaleusement faux. Le sexe n'est pas attribué à la naissance. Le sexe est établi dès la conception et il est permanent.
Les enfants sont amenés à croire que le sexe – qu’il soit masculin ou féminin – est attribué au hasard. Un médecin ou une infirmière dans la salle d’accouchement vous examine et prend cette décision aléatoire qui n’est vraiment basée sur rien de réel. Non, vous voulez vacciner votre enfant contre cette idée.
Vous voulez dire à votre enfant : « Tu as toujours été un garçon ou une fille et tu le seras toujours ». Et c’est une bonne chose. » De plus, [apprenez-leur qu’] il existe de nombreuses façons différentes d’être une fille ou un garçon. Il n’y a pas une seule façon.
Il y a des filles qui aiment se maquiller et font toutes ces choses stéréotypées féminines, et il y a d’autres filles qui ne veulent jamais mettre de robe et qui aiment construire des choses et faire du sport. Et c'est génial. C’est une façon d’être une fille.
En plus de croire qu’ils sont peut-être nés dans le mauvais corps, ils ont subi un lavage de cerveau leur faisant croire que quiconque les défie, quiconque n’utilise pas leur nouveau nom et leurs nouveaux pronoms, est une mauvaise personne. [On leur a dit] que leur maison pourrait être dangereuse si leurs parents n’utilisaient pas leur nouveau nom et qu’ils pourraient devoir vivre ailleurs…
Il s’agit d’une volonté de changer notre culture, de changer notre société – de créer un fossé entre les enfants et leurs parents et pour que l’État dise que nous savons ce qui est le mieux pour votre enfant, pas pour vous. C’est une situation très dangereuse.
Et je pense qu’il est important de mentionner que d’autres pays, des pays très progressistes comme la Suède, ont tous fait un virage à 180°. Ces autres pays disent que ce dont les enfants ont besoin, c’est d’une psychothérapie. Il s’agit d’un trouble émotionnel.
En plus de son livre, vous pouvez également trouver plus d’informations sur son site Web, miriamgrossmanmd.com, y compris « l’Avis aux parents aux écoles ». Si vous souhaitez la suivre sur Twitter/X, son pseudo est @Miriam_Grossman. Pensez également à devenir membre de Do No Harm Medicine.
demande poliment formulée en anglais ; mentionner la base juridique VO 1049/01 relative à l'accès aux documents ; répondre aux questions des employés de l'EMA par courrier électronique (en d'autres termes, toute personne qui ne répond pas aux questions de l'EMA et ne communique pas ne verra aucun document divulgué) ; idéalement, ne demandez que les données PSUR actuelles d'un vaccin Covid, sinon elles ne seront pas traitées car l'EMA limite chaque demande à un maximum de 2 documents ; Si vous souhaitez recevoir l'annexe, vous devez en faire la demande explicite, sinon vous ne l'obtiendrez pas ; se renseigner pour savoir si les documents demandés ont déjà été divulgués (puisque cela n'est pas communiqué par l'EMA) Exemple de texte pour une demande auprès de l'EMA concernant Vaxzevria : Conformément au Règlement 1049/01, je demande le dernier PSUR disponible, le rapport d'évaluation du PRAC ainsi que les annexes de Vaxzevria. Pourriez-vous s'il vous plaît m'indiquer si les documents demandés ont déjà été publiés ?
Le référendum « Sortez de l’OMS » peut encore être soutenu
17 octobre 2023 par le Dr. Peter F. Mayer
Le TKP a déjà fait état du référendum lancé par le MFG contre l'adhésion à l'OMS . Il est ouvert à la signature depuis le 12 août. Il a reçu jusqu'à présent près de 41 000 signatures et doit donc impérativement être soumis à signature. Cependant, le processus d'initiation peut toujours être appuyé par une signature. La demande indique :
« L'OMS, une association de pays œuvrant pour améliorer la santé des populations, est devenue une institution autoritaire largement financée par des organisations privées dont elle représente les intérêts. Cela signifie que les États sont condescendants et que les décisions sont transférées à l’OMS, comme c’est actuellement le cas dans le cadre du traité sur la pandémie. Afin de préserver l'autodétermination de l'Autriche, la seule option est de se retirer de l'OMS. Le Parlement devrait décider des mesures (constitutionnelles) à cet effet.»
Le référendum recueille des déclarations de soutien depuis le 12 août. Ceux-ci peuvent être déposés soit en personne au bureau municipal concerné, soit en ligne avec une « signature de téléphone portable » ou une « carte de citoyen ».
Il y a eu récemment des manifestations très fréquentées contre l'OMS. Néanmoins, les projets visant à transférer la souveraineté des États à l’OMS progressent. Il existe également des motions contre cette prise de pouvoir au Parlement autrichien .
L' initiative « Who is WHO » met à disposition depuis le 1er octobre 2023 du matériel d'information au sujet du traité de l'OMS sur la pandémie et du Règlement sanitaire international (RSI) modifié sur le site Internet www.mehr-wissen.info , également au niveau international sous le nom www.whoiswho.fail disponible.
Les effets du traité sur la pandémie et du RSI ne concernent pas seulement l’espace germanophone. C’est un problème mondial dès que les pays cèdent une partie de leur souveraineté à l’OMS. Il est donc important que les citoyens de tous les pays soient informés du traité.
Sur le site Web de MFG, vous trouverez des informations sur l'état de la collecte des signatures et sur la manière dont la signature peut être soumise.
Protestation contre la saisie illégale de Reiner Fuellmich par le gouvernement allemand
Par Emmanuel Pastreich Recherche mondiale, 16 octobre 2023
Je voudrais vous parler ce soir d'un incident extrêmement important et inquiétant, à savoir l'arrestation de l'avocat responsable d'un effort extrêmement important visant à découvrir les crimes commis par un réseau d'éléments criminels à travers le monde pour nous enfermer, et détruire nos libertés corporelles et mentales.
Je parle de l'avocat Reiner Fuellmich qui a été arrêté en Allemagne, après avoir été ramené illégalement de l'ambassade d'Allemagne au Mexique. Je n'ai pas le temps aujourd'hui de détailler tous les efforts du Comité d'enquête sur les crimes internationaux de Fuellmich pour dévoiler la criminalité qui s'installe dans pratiquement tous les pays du monde.
Ce que je tiens à souligner, c'est que nous devons nous unir pour soutenir non seulement lui, mais aussi les milliers de personnes comme lui qui s'élèvent contre les efforts visant à transformer les gouvernements en marionnettes des grandes entreprises, des banques internationales et de la classe milliardaire, la classe parasite, qui se cache derrière eux.
Cliquez pour voir la vidéo
Nous savons que si nous n'arrêtons pas cet effort visant à détruire l'État de droit, à tous les niveaux, pour créer un royaume séparé qui n'appartient qu'aux très riches et aux plus puissants, nous avons la garantie d'un système fasciste mondial qui, s'il le peut, , nous exterminer exactement de la manière qui a été tentée en Europe dans les années 1940.
Je tiens également à souligner que cet effort visant à réprimer quelqu'un qui travaille si dur pour faire respecter l'État de droit et pour faire connaître la vérité à tout le monde, au moment précis où l'on cherche à déclencher une guerre mondiale entre Israël et l'Iran, y compris les États-Unis, Ce n’est pas un hasard si certains États, et peut-être de nombreux autres pays, sont en fait parallèles.
« Ce qui m’inquiète, c’est que cette arme biologique soit en train d’être larguée »
PAR LA COMPAGNIE DE BIEN-ÊTRE MARDI 17 OCTOBRE 2023
Un médecin de renom révèle la solution à la menace post-Covid qui se profile
Alors que la fumée se dissipe de la pandémie, une ombre inquiétante émerge...
C’est la lutte du « Long Covid », et elle frappe fort.
Beaucoup de ceux qui ont combattu le COVID-19 ne sont pas encore sauvés.
Cerveau, brouillard, fatigue, gonflement. Vous ne pouvez pas penser correctement, vous concentrer ou vous souvenir des choses.
Cela fait des années, alors comment se fait-il que Big Pharma n’ait pas trouvé de solution à ce problème ?
Il est clair que l’establishment vous ment activement, comme ils l’ont fait sur l’efficacité de l’ivermectine. Mais le crime le plus grave est celui où ils mentent par omission.
Les protéines Spike, que vous soyez vacciné ou non, ont été trouvées à des niveaux élevés depuis la pandémie. Et chaque nouvelle saison grippale ne fait qu'empirer les choses...
Le problème avec eux peut paraître surprenant : les caillots sanguins.
Mais ce ne sont pas vos caillots sanguins quotidiens. Ils sont petits et rusés, frappant vos organes et provoquant non seulement les symptômes généraux du Long Covid, mais même des problèmes cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux et d'autres menaces graves.
Et ceux qui sont déjà aux prises avec des maladies préexistantes, comme le diabète ou l’hypertension artérielle… Cela ne s’annonce pas bien pour eux.
Mais il y a une lueur d'espoir – une nouvelle formule développée par une équipe de médecins et de chercheurs qui défendent la liberté médicale et n'hésitent pas à s'opposer au courant dominant.
La formule de support Spike.
Ce supplément révolutionnaire constitue un bouclier contre le Long Covid et ses symptômes apparemment interminables.
Comment ? Principalement grâce à son ingrédient principal, la Nattokinase, dont il a été scientifiquement prouvé qu'elle dissout les protéines de pointe, réduit les caillots sanguins et améliore généralement la santé en ces temps post-Covid.
Spike Support est la recommandation n°1 en tant que source de Nattokinase de Nattokinase.com de Health Consumer.
Mais la formule ne se limite pas à cela...
Sélénium, racine de pissenlit, mousse de mer d'Irlande, ainsi que des extraits de Black Sativa et de thé vert. Ensemble, ils travaillent de manière globale pour :
• Renforcez votre système immunitaire
• Réduire les niveaux de stress et le cortisol
• Atténuer l'inflammation et les dommages cellulaires...
Et attaquez-vous à la cause profonde du Long Covid, des protéines de pointe et des caillots sanguins.
Le tout présenté dans un package efficace par The Wellness Company, dirigé par le Dr Peter McCullough et le Dr Jim Thorp. Ces deux médecins courageux dénoncent fréquemment l'establishment corrompu et l'influence des Big Pharma...
Il n’est pas étonnant qu’ils aient proposé une solution que le système médical traditionnel continue d’éviter.
Et il est fabriqué ici même, aux États-Unis d'Amérique.
Bill Gates : un dictateur mondial au profil de grand criminel
RépondreSupprimer14.10.2023
www.kla.tv/27222
Qui ne connaît pas Bill Gates, ce philanthrope héroïque qui utilise sa fortune pour sauver le monde des calamités planétaires ? Dans ce numéro, vous découvrirez un tout autre personnage : par exemple, comment il impose les soins de santé dans le monde, manipule les médias d’information, infiltre l’industrie alimentaire, corrompt les gouvernements, pousse à la manipulation de la météo, encourage les manipulations génétiques, développe des technologies de contrôle total et bien plus encore. En fin de compte, Bill Gates est un dictateur mondial qui a le profil d’un dangereux criminel.
1. Bill Gates – le pape de la vaccination
Bill Gates, un individu sans la moindre formation médicale, a été désigné lors de l’Assemblée Mondiale de la Santé comme responsable du plan mondial de vaccination 2012-2020 et donc responsable de la vaccination de l’humanité toute entière. Vous trouvez ça normal ? Cela ne cache-t-il pas plutôt un programme visant à créer un monde dans lequel les gens pourront participer à la société à la seule condition de se faire vacciner plusieurs fois par an ?
2. Bill Gates – le dictateur mondial
Bill Gates est le principal bailleur de fonds de l’Organisation mondiale de la santé, ce qui lui confère un contrôle total sur cette organisation. Bill Gates a personnellement recruté le directeur de l’OMS, Tedros, qui était auparavant un terroriste communiste actif en Éthiopie. L’OMS a mis en place le « Traité sur les pandémies », qui lui permet d’exercer un contrôle absolu sur tous les pays du monde chaque fois qu’elle décrète une pandémie. Si nous réalisons que l’OMS est essentiellement contrôlée par Bill Gates, nous savons que les pandémies le placent fondamentalement en position de dictateur mondial.
3. Bill Gates – l’escroc mondial
RépondreSupprimerL’OMS, principalement financée par Bill Gates, peut déclarer une pandémie à sa convenance en ayant recours à n’importe quel outil de diagnostic frauduleux de son choix. Elle a par exemple opté pour le test PCR, totalement erroné, qui donne jusqu’à 94 % de résultats faussement positifs et constitue donc un instrument parfait pour déclarer une « pandémie » sur la base de résultats de tests imprécis. De cette manière, Gates et son OMS peuvent agir à leur guise à la manière d’un gouvernement mondial unique.
4. Bill Gates – le prophète des pandémies
Bill Gates organise des « simulations de pandémies » peu de temps avant que ne se produise précisément le scénario pour lequel elles ont été planifiées. C’est ainsi que la simulation de pandémie Event 201 a eu lieu juste avant la pandémie Covid-19. N’est-il pas curieux de constater que l’homme qui devient dans les faits une sorte de dictateur mondial pendant une pandémie est la même personne qui « prépare » toujours le monde à ces pandémies ?
5. Bill Gates corrompt les gouvernements
La députée Sara Cunial a révélé au parlement italien que Gates contrôlait le président de la République italien. Des membres du parlement nigérian ont affirmé que Gates avait proposé 10 millions de dollars au gouvernement pour qu’il impose des vaccinations à la population nigériane. Gates a nié, mais il a accepté de payer 79 millions de dollars pour « aider » le Nigeria. Suite à cela, le Nigeria est devenu le premier pays au monde à interdire l’accès aux services bancaires à ses citoyens non vaccinés.
6. Bill Gates – le patron de tous les médecins
Un homme qui n’a aucune formation médicale, qui n’a jamais soigné un patient et qui ne connaît rien aux soins médicaux a été nommé première « autorité sanitaire » mondiale. Il dicte à des millions de professionnels de la santé ce qu’ils ont le droit de faire ou pas. Un individu qui a passé la majeure partie de sa vie devant un ordinateur, prive aujourd’hui le monde médical de ses droits et dirige notre système de santé.
7. Bill Gates – l’exterminateur des paysans
RépondreSupprimerBill Gates finance de nombreuses organisations qui s’occupent de développement agricole et pratiquent un lobbying massif, voire la corruption, par exemple via la « Révolution verte » en Afrique. Par le biais de ces ONG, Gates exerce une influence directe sur la politique alimentaire et agricole mondiale, ruinant la paysannerie qui s’est développée et plongeant des continents entiers dans la ruine.
8. Bill Gates – rédacteur en chef de tous les médias
Bill Gates contrôle les agences de presse et les entreprises de médias en leur faisant don de plus de 300 millions de dollars par le biais de la Fondation Bill & Melinda Gates. Il s’agit notamment d’un grand nombre des principales chaînes d’information américaines, dont CNN, NBC, NPR, PBS et The Atlanti ; en outre, un grand nombre d’organisations étrangères influentes, dont la BBC, The Guardian, The Financial Times et The Daily Telegraph au Royaume-Uni, des journaux européens de premier plan comme Le Monde (France), Der Spiegel (Allemagne) et El País (Espagne), ainsi que de grandes chaînes de télévision mondiales comme Al-Jazeera. Il peut ainsi manipuler directement les informations dans le monde entier.
9. Bill Gates – l’inspecteur de la santé
Bill Gates a créé en 2000 la plus grande fondation américaine, la Fondation. Bill & Melinda Gates Des dons d’un montant total de 28 milliards de dollars ont été versés à différentes organisations, prétendument pour éradiquer la pauvreté et développer des vaccins. Ce qui est problématique, c’est que Bill Gates impose sa vision de la promotion de la santé par le biais de ses fondations. De fait, la Fondation Gates investit surtout dans des mesures techniques contre les maladies infectieuses, par exemple dans des campagnes de vaccination et la distribution de médicaments. Des spécialistes dans le domaine de la santé, comme Thomas Gebauer de l’organisation humanitaire Medico International, critiquent le fait que d’autres actions importantes sont ainsi négligées, par exemple la mise en place de systèmes de santé fonctionnels dans les pays pauvres. Les idées personnelles de Bill Gates et son influence financière ouvrent ainsi la voie à son contrôle global de la santé.
10. Bill Gates – le père de la « fausse viande »
Bill Gates construit des laboratoires dans lesquels de la viande synthétique est cultivée. L’objectif est prétendument de lutter contre la malnutrition à l’échelle mondiale. Mais en fin de compte, cette fausse viande supplante l’élevage naturel. L’humanité perd ainsi non seulement son autosuffisance, mais elle est également exposée sans défense aux risques sanitaires de cette fausse viande.
11. Bill Gates – le manipulateur de gènes
RépondreSupprimerBill Gates achète des centaines de milliers d’hectares de terres agricoles, ce qui fait de lui le plus grand propriétaire foncier des États-Unis. Il cultive des plantes génétiquement modifiées, principalement celles à forte teneur en protéines, qui nécessitent l’emploi d’une énorme quantité de pesticides extrêmement toxiques. Ce qui ne ravage pas seulement les terres agricoles à long terme mais supplante également l’élevage naturel de bovins, pratiqué depuis des temps immémoriaux, et ruine la paysannerie au profit d’une agriculture industrielle.
12. Bill Gates – le fabricant d’armes biologiques
Bill Gates a modifié génétiquement des millions de moustiques et les a relâchés soi-disant pour éradiquer la malaria. En réalité, il les utilise comme arme biologique pour injecter des substances nocives génétiquement modifiées à des personnes, des animaux ou des plantes.
13. Bill Gates – le surveillant de l’humanité
Alors que le projet de couvrir le monde de caméras de surveillance ressemble à l’intrigue d’un mauvais film de science-fiction, le projet de surveiller la planète entière en temps réel est un projet bien réel, en grande partie grâce au financement de Bill Gates. La société EarthNow, basée à Washington, prévoit de déployer une armée de plus de 500 satellites dans notre atmosphère afin d’offrir à ses utilisateurs un retour vidéo quasi instantané avec seulement une seconde de décalage. Presque chaque coin de la planète sera bientôt surveillé par des satellites de vidéosurveillance capables de retransmettre en direct les activités humaines pour « les gouvernements et les grandes entreprises ». L’observation de la Terre est un domaine classique des services secrets et des militaires sur ordre de la mafia financière : ils espionnent également les rampes de lancement de missiles, les sites d’essais nucléaires et les camps terroristes. En d’autres termes : vidéosurveillance non-stop du monde entier.
14. Bill Gates – le faiseur de maladies
Bill Gates gagne des milliards en plaçant des capitaux dans certains secteurs industriels qui ont tous quelque chose à voir avec des effets délétères, comme le surpoids, le diabète et autres. Ainsi, la Fondation Gates détient des actions des groupes alimentaires tels que Coca Cola, Pepsi Co, Unilever, Kraft-Heinz, Mondelez et Tyson Foods ; des groupes producteurs d’alcool Anheuser-Busch et Pernod. Le spécialiste dans le domaine de la santé Thomas Gebauer parle d’une division du travail presque perverse. Gates gagne en effet deux fois : d’une part en provoquant des maladies et d’autre part en les traitant en tant que « pape de la santé ».
15. Bill Gates – « le perturbateur climatique »
RépondreSupprimerBill Gates soutient un projet d’extraction du dioxyde de carbone de l’atmosphère afin de réduire le taux de CO2. Il soutient également un projet de l’Université de Harvard qui vise à renvoyer les rayons du soleil dans l’espace en injectant des poussières dans l’atmosphère. De cette manière, on doit tenir la lumière du soleil à l’écart de la Terre et obtenir un effet de refroidissement. La justification de ce projet est la simulation informatique du « réchauffement climatique », laquelle s’est avérée être une escroquerie complète.
16. Bill Gates crée une carte d’esclave numérique
Bill Gates pousse tous les gouvernements du monde à introduire des cartes d’identité numériques obligatoires. Grâce à ces cartes d’identité numériques, les personnes peuvent être contrôlées et conditionnées dans les moindres détails. L’accès à certains bâtiments, l’acquisition de biens, l’utilisation de services et autres peuvent être autorisés de manière favorable ou restrictive, en fonction de l’obéissance au régime. Cela permet à la mafia financière tyrannique de maintenir les gens comme des esclaves dans une prison interconnectée.
Conclusion
L’expression « Tout ce qui brille n’est pas d’or » s’applique également à Bill Gates. Pire encore, plus la façade semble brillante, c’est-à-dire plus Bill Gates se présente comme un homme vertueux et philanthrope, plus la réalité est sombre derrière, de sorte qu’il devrait être recherché comme l’un des pires criminels. Il est important de garder à l'esprit cette constatation importante de la complémentarité entre l'apparence et la réalité lors de l'évaluation d'autres « améliorateurs du monde », par exemple dans le domaine de la politique environnementale, climatique ou énergétique.
de hm; lexa; vic; herm; rena; doro; ew; bri
RépondreSupprimerSources / Liens :
Bill Gates - le dirigeant du monde
https://stopworldcontrol.com/Gates/
Bill Gates – l’exterminateur des paysans
Rich Appetites (Film 2: Seeds + Film 3: Money)
https://www.richappetitesfilm.com/
Bill Gates – le père de la « fausse viande »
https://de.technocracy.news/bill-gates-investierte-in-k%C3%BCnstliche-eier%2C-bevor-mysteri%C3%B6se-eierknappheit-und-preiserh%C3%B6hungen-einsetzten/
Bill Gates – « le perturbateur climatique »
https://www.fr.de/panorama/sonne-strahlung-erde-harvard-bill-gates-kalzium-staub-all-atmosphaere-zr-90469520.html
https://www.thetimes.co.uk/article/bill-gates-invests-in-verdoxs-carbon-capture-technology-62z5jcw9z
https://www.kla.tv/fr
L’identité du virus : les établissements de santé et scientifiques du monde entier « n’ont aucun enregistrement » de l’isolement/purification du SRAS-COV-2.
RépondreSupprimerDemandes d'accès à l'information
Par Christine Massey
Recherche mondiale,
16 octobre 2023
Note de recherche mondiale
Nous portons à la connaissance de nos lecteurs cette étude soigneusement documentée.
Alors que les autorités chinoises annonçaient IL Y A DEUX ANS, le 7 janvier 2020, avoir isolé et identifié « un nouveau type de virus », aucun détail n’a été fourni. Puis, le 28 janvier 2020, le Centre américain de contrôle et de prévention des maladies (CDC) a déclaré que le nouveau virus corona avait été isolé.
La question centrale soulevée dans cette étude est la suivante : existe-t-il des preuves fiables que le SRAS-CoV-2 a été isolé à partir d’un « échantillon pur prélevé sur un patient malade » ?
L'étude fournit une documentation basée sur les demandes d'accès à l'information adressées aux institutions de santé et de sciences dans un grand nombre de pays.
Les réponses à ces demandes confirment qu'il n'existe aucune trace d'isolement/purification entreprise par les nombreux établissements de santé/sciences contactés.
Il convient de noter que, selon l'Institut de virologie de Berlin, l'OMS n'avait pas en sa possession en janvier 2020 des détails concernant l'isolement et l'identité du SRAS-CoV-2.
De plus, comme les détails pertinents concernant l'isolement/purification n'étaient pas disponibles, l'OMS a décidé, conformément aux conseils de l'Institut de virologie de Berlin, de « personnaliser » la réaction en chaîne par polymérase par transcription inverse en temps réel (rRT-PCR) en utilisant le test « similaire » du SRAS de 2003. (rebaptisé par la suite SARS-1) comme « point de référence » pour détecter les fragments génétiques du SARS-CoV-2 2019.
RépondreSupprimerGardez à l’esprit que ce test RT-PCR totalement erroné est utilisé non seulement pour détecter le virus V, mais aussi pour « détecter » les variantes du SRAS-CoV-2.
Des documents justificatifs, y compris les réponses des institutions de santé/sciences, des CDC, etc., sont fournis dans cette étude. D'autres documents peuvent également être consultés en téléchargeant les fichiers PDF pertinents compilés par les chercheurs.
Michel Chossudovsky , Global Research, 4 août 2021, 6 janvier 2022
(Le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) est « une maladie respiratoire virale causée par un coronavirus associé au SRAS », identifiée pour la première fois en Chine en février 2003).
Les FOI révèlent que les institutions de santé et scientifiques du monde entier (218 et plus !) n’ont aucune trace d’isolement/purification du SRAS-COV-2, où que ce soit et jamais
Par Christine Massey
Une personne sensée mélangerait-elle un échantillon de patient (contenant diverses sources de matériel génétique et dont il n’a jamais été prouvé qu’il contient un virus particulier) avec des cellules rénales de singe transfectées, du sérum fœtal bovin et des médicaments toxiques, puis prétendrait que la concoction résultante est « SARS-COV-2 ? isoler » et l’expédier à l’échelle internationale pour une utilisation dans des recherches critiques (y compris le développement de vaccins et de tests) ?
Parce que c'est le genre d'activité frauduleuse qui est présentée comme de l'« isolement du virus » par les équipes de recherche du monde entier.
Un seul exemple parmi tant d’autres est présenté ci-dessous – il s’agit d’une étude citée par le ministère australien de la Santé comme un article « qui a conduit à l’isolement du SRAS-CoV-2 en culture ». (Pouvez-vous repérer l’oxymore dans cette citation ?)
- voir doc sur site -
RépondreSupprimerSi vous êtes nouveau sur le sujet de « l'isolement/purification des virus », je vous recommande fortement de commencer par lire la Déclaration sur l'isolement des virus du Dr Andrew Kaufman, du Dr Thomas Cowan et de Sally Fallon Morell, MA ou de regarder cette vidéo de 5 minutes. du Dr Cowan.
- voir clip sur site -
Mon collègue Michael S. en Nouvelle-Zélande, moi-même (CM) et de nombreuses autres personnes dans le monde avons déposé des « demandes » d’accès à l’information auprès d’institutions de divers pays pour obtenir des dossiers décrivant l’isolement/purification du prétendu « virus COVID-19 ». » à partir de tout échantillon non falsifié prélevé sur un patient malade.
La raison : sans que l’étape cruciale d’isolement/purification n’ait été réalisée (sur de nombreux patients, suivie d’une caractérisation, d’un séquençage et d’expériences contrôlées), il n’y a aucun moyen d’affirmer scientifiquement que le prétendu « nouveau coronavirus » (accusé d’une mortalité/maladie généralisée) /mesures de confinement) existe réellement.
Sans que cette étape ait été réalisée et suivie d’une caractérisation, d’un séquençage et d’expériences contrôlées, toutes les allégations concernant ce prétendu « virus » ne sont que de folles spéculations soutenues uniquement par une science frauduleuse, des tests frauduleux et des diagnostics fondés sur la fraude. (J'ai réalisé de nombreuses interviews sur ce sujet, que vous pouvez trouver au bas de cette page.)
Les « demandes » déposées par mon collègue en Nouvelle-Zélande et moi-même (et de nombreux autres auteurs) ne se sont pas limitées aux dossiers d'isolement effectués par l'institution respective, ni aux dossiers rédigés par l'institution respective, mais elles étaient plutôt ouvertes à tous. enregistrements décrivant l’isolement/purification du « virus COVID-19 » (alias « SARS-COV-2 ») effectué par n’importe qui, n’importe quand, n’importe où sur la planète.
Jusqu'à présent (15 mai 2023), 52 institutions canadiennes ont fourni leurs réponses : Agence de la santé publique du Canada (et une autre de l'Agence de la santé publique du Canada , celle-ci concernant la prétendue « variante britannique » alias « B.1.1.7 » alias « Alpha ; et un autre de l'Agence de la santé publique du Canada concernant tout virus/variant présumé, et un autre de l'Agence de la santé publique du Canada concernant TOUT type de virus présumé), Santé Canada (et un autre de Santé Canada ; et un autre de Santé Canada ), Conseil national de recherches du Canada , Organisation des vaccins et des maladies infectieuses-Centre international des vaccins (VIDO-InterVac) , Instituts de recherche en santé du Canada , Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada , Conseil d'examen du prix des médicaments brevetés Canada , Gendarmerie royale du Canada (GRC) , Santé publique Ontario , ministère de la Santé de l'Ontario (et un autre du ministère de la Santé de l'Ontario concernant la « variante delta », Réseau universitaire de santé , ministère du Solliciteur général de l'Ontario et Police provinciale de l'Ontario , ministère de la Santé de l'Alberta , premier ministre de l'Alberta , Jason Kenney , son bureau et son conseil exécutif , le service de police de Calgary , l'Institut national de santé publique du Québec (un autre de Santé publique Québec ), le ministère de la Santé de la Colombie-Britannique (concernant « la variante britannique ») (un autre du ministère de la Santé de la Colombie-Britannique ), le ministère de la Santé de la Colombie- Britannique Columbia's Center for Disease Control , Autorité provinciale des services de santé de la Colombie-Britannique (2 réponses, 1 concernant le « SRAS-COV-2 », 1 concernant le prétendu « B.1.1.7 » alias « Variante Alpha » alias « Variante britannique »), Vancouver Coastal Health Authority (concernant « B.1.1.7 » alias « variante Alpha » alias « variante britannique »), ministère de la Santé et des Services communautaires de Terre-Neuve-et-Labrador , ministère/ministère de la Santé du Nouveau-Brunswick , Université McGill , Université d'Ottawa , Université de Waterloo , Université Dalhousie , Université de Guelph , Université de la Colombie-Britannique , Ville de Toronto , Police de Toronto (et un autre de la police de Toronto ), Région de Halton, Service de police de Hamilton (Ontario), Service de police régional de Halton (Ontario), Région de Peel (Ontario), Région de Durham (Ontario); KFL&A Public Health (Kingston, Frontenac, Lennox et Addington, Ontario, concernant « toute variante »), Grey Bruce Health Services , Grey Bruce Health Unit , Simcoe Muskoka Health Unit , Niagara Regional Police Service , Peterborough Public Health (Ontario) (et un autre de Santé publique de Peterborough ), Service de police de Peterborough (Ontario) (un autre de la police de Peterborough ), Ville de Peterborough (Ontario) Service de police d'Aylmer (Ontario) (et un autre de la police d'Aylmer ), Service de police de Woodstock (Ontario), Service de police de Sudbury ( Ontario), Hastings Prince Edward Public Health (Ontario), la ville de Collingwood , l' Université de Toronto (un autre de l'Université de Toronto ), le Sunnybrook Health Sciences Centre , l'Université McMaster et l'Hôpital Mount Sinai (Toronto) (à noter que les chercheurs du dernier 4 établissements avaient publiquement affirmé avoir « isolé le virus » (tout comme VIDO-Intervac).
RépondreSupprimerAucune institution n’a réussi à fournir ou à citer ne serait-ce qu’un seul document décrivant l’isolement, c’est-à-dire la purification du prétendu « virus COVID-19 » directement à partir d’un échantillon de patient qui n’a pas été préalablement frelaté avec d’autres sources de matériel génétique. (Ces autres sources sont généralement des reins de singe, également appelés cellules « Vero », et du sérum fœtal bovin).
RépondreSupprimer(Et, à notre connaissance, personne sur la planète n’a jamais purifié le prétendu « virus », même à partir d’une culture cellulaire !)
Dans leurs réponses, de nombreuses institutions ont clairement indiqué que l'isolement/purification n'est tout simplement jamais fait en virologie, et que « isolement » en virologie signifie exactement le contraire de ce qu'il signifie dans l'anglais courant. Ceci est également démontré dans tous les documents sur l’isolement du virus que nous ayons jamais vus, pour tout prétendu « virus ».
Pour avoir un aperçu de ce qui se passe réellement : les responsables de la santé publique canadienne n'ont jamais enregistré d'isolement/purification du SRAS-COV-2 effectué nulle part.
(Remarque : Sébastien Grammond, un homme qui agit comme « juge de la Cour fédérale » ici au Canada, a concocté une fausse « confirmation » selon laquelle « le virus SRAS-CoV-2 est réel » – basée sur zéro science valide et bien qu'il sache tout cela. 138 institutions répertoriées dans mon affidavit n'ont pas réussi à citer ne serait-ce qu'un seul exemple de virus présumé ayant été purifié à partir d'un échantillon de patient sur la planète. Pourquoi perdre du temps en science ou en logique quand vous pouvez simplement « accepter » l'invitation du procureur général du Canada à prendre acte judiciaire que le virus est réel" ? Cela semble parfaitement légitime. "Remarquer" les croyances répandues est bien mieux que d'examiner les faits pertinents.)
Au 16 septembre 2023 : 218 institutions et bureaux dans 40 pays ont répondu jusqu'à présent, ainsi que certains auteurs de l'étude « isolement du SRAS-COV-2 », et aucun n'a fourni ou cité de dossier décrivant le véritable « isolement du SRAS-COV-2 ». » isolement/purification. Toutes les réponses de notre collection sont disponibles sur cette page.
Fichier Excel répertoriant 218 établissements : voir ceci .
RépondreSupprimerDossier Google Drive où tous les documents FOI au 14 juillet 2022 sont regroupés par pays (pour la plupart) et compilés en 11 fichiers PDF (pièces 1 à 4 ; la pièce 4 comporte 8 parties) : voir ceci .
Voici ma déclaration détaillée concernant la collection mondiale FOI et le caractère non scientifique de la virologie (14 pages), qui est notariée, datée du 2 décembre 2022 (je m'empressais de faire quelques modifications de dernière minute avant de l'imprimer et de me rendre chez le notaire ; veuillez pardonner les fautes de frappe) : voir ceci .
Vous trouverez ci-dessous (et ici ) une déclaration notariée d’une page mise à jour et simplifiée concernant les FOI « virus ». Cela parle de lui-même. N'hésitez pas à le partager.
- voir doc sur site -
La liste ci-dessous était à jour au 5 octobre 2021 ; c'est beaucoup plus long maintenant.
- voir doc sur site -
(Oui, nous sommes conscients des nombreuses publications dans lesquelles les auteurs prétendent avoir « isolé le virus ». Nous avons examiné de nombreuses études de ce type et nous n'en avons pas encore vu une où ils l'ont réellement fait. Prétendre avoir fait quelque chose et le faire réellement. sont parfois 2 choses différentes, même dans la science évaluée par les pairs.
Et oui, nous sommes conscients des nombreux prétendus « génomes du SRAS-COV-2 » publiés – ceux-ci ont en fait été fabriqués et non découverts.
Et oui, nous savons que des photos EM ont été publiées, prétendument du « virus », mais une photo de quelque chose ne vous dit pas ce qu'est la chose, d'où elle vient ou ce qu'elle fait. Il faut scruter les méthodes utilisées pour « isoler le virus » / obtenir lesdites photos / obtenir de prétendus génomes, et c’est alors qu’absolument tout s’écroule avec le « COVID-19 » (et la virologie en général).
Réponses FOI d'institutions aux États-Unis, en Inde, en République d'Afrique du Sud, en Nouvelle-Zélande, en Australie, au Royaume-Uni, en Angleterre, en Écosse, au Pays de Galles, en Irlande, au Danemark, en Norvège, en Finlande, aux Pays-Bas, en Suède, en Espagne, CDC européen, en Slovénie et en République tchèque. , Ukraine, Colombie, Uruguay, Italie, Portugal, Brésil, République de Colombie, Argentine, Île de Man, Philippines, etc., ainsi que des courriels de l'Institut Robert Koch (RKI) allemand et de plusieurs « auteurs d'isolement de virus ».
RépondreSupprimerUn grand merci à toutes les personnes qui ont aimablement partagé les réponses supplémentaires qu'elles ont obtenues concernant l'isolement/purification/existence du « SARS-COV-2 ». Certains préfèrent rester anonymes, d’autres sont nommés ci-dessous.
OK allons y. Vous trouverez ci-dessous les réponses à la FOI concernant le SRAS-COV-2 provenant de plus de 150 institutions à l'extérieur du Canada.
L’Organisation mondiale de la santé n’a pas répondu à ma requête de type FOI envoyée le 22 février 2022 visant à obtenir des documents décrivant un prétendu « SRAS-COV-2 » trouvé dans les fluides/tissus corporels de quiconque sur Terre et purifié par quiconque. , n'importe où, n'importe quand… pour que « cela » soit séquencé, caractérisé et étudié avec des expériences contrôlées (alias « science ») : voir ceci .
- voir doc sur site -
28 novembre 2022 : Un collègue au Japon a demandé aux membres de l'Organisation mondiale de la santé de fournir/citer tout enregistrement du SRAS-COV-2 imaginaire trouvé et purifié chez toute personne malade sur la planète, afin que « cela » être séquencé, caractérisé et étudié avec des expériences contrôlées, c'est-à-dire la science. Mais au lieu de cela, ils l’ont dirigée vers une page Web inutile sur une base de données mondiale des mesures publiques « de santé » et « sociales » appliquées pendant la pandémie imaginaire : voir ceci .
- voir doc sur site -
Sur ce lien suivant, vous verrez une réponse FOI « aucun enregistrement d'isolement/purification du SRAS-COV-2 » de la part des Centers for Disease Control and Prevention et de l'Agence pour les substances toxiques et le registre des maladies (CDC/ATSDR) des États-Unis, datée du 2 novembre. 2020, obtenu par Michael S. en Nouvelle-Zélande : voir ceci .
- voir doc sur site -
Le 1er mars 2021, le CDC a une fois de plus clairement indiqué qu’il n’avait toujours aucun enregistrement d’isolement du « SRAS-COV-2 » effectué par qui que ce soit, n’importe où sur la planète, jamais… mais pas en termes explicites. Au lieu de cela, le CDC a laissé entendre de manière absurde que l’isolement du « SARS-COV-2 » nécessiterait la réplication d’un « virus » sans cellules hôtes et est donc impossible. Voyez ceci.
RépondreSupprimer- voir doc sur site -
3 mars 2021 : le CDC omet encore une fois de fournir/citer aucun document décrivant l’isolement/purification du « SARS-COV-2 » par qui que ce soit, où que ce soit… MAIS ne le dira plus simplement (comme ils l’ont fait le 2 novembre) ; au lieu de cela, ils chantent et dansent et citent leur propre étude frauduleuse (par Harcourt et al.) : voir ceci .
- voir doc sur site -
7 juin 2021 : les CDC ont admis qu'ils n'avaient aucune trace de purification du « SARS-COV-2 » à partir d'un échantillon de patient par macération, filtration et utilisation d'une ultracentrifugeuse, par qui que ce soit, n'importe où et jamais : voir ceci .
1er septembre 2021 : Encore une autre réponse FOIA du CDC dans laquelle ils n'ont pas fourni ou cité ne serait-ce qu'un seul enregistrement du prétendu « virus COVID-19 » alias « SARS-COV-2 », ou de toute « variante » ayant été purifiée à partir de n'importe quel échantillon de patients sur la planète, par n'importe qui, n'importe où, jamais : voyez ceci .
- voir doc sur site -
8 septembre 2021 : Une autre réponse FOIA du CDC concernant la purification du fantôme « SARS-COV-2 ». Cette fois, le CDC a cité un article dans lequel les auteurs n’ont même jamais prétendu avoir purifié eux-mêmes un quelconque « virus », mais ont déclaré à tort que : « Le SRAS-CoV-2 a été isolé dans des cellules Vero… (8) » [oxymore]. [La référence n°8 du CDC est le tristement célèbre Harcourt et al. étude.] Voir ceci .
- voir doc sur site -
26 octobre 2021 : Les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis ont encore une fois échoué à fournir ou à citer ne serait-ce qu'un seul enregistrement de purification du « SARS-COV-2 », par qui que ce soit, n'importe où sur la planète : voir ceci .
RépondreSupprimer- voir doc sur site -
1er avril 2022 : Les National Institutes of Health des États-Unis n’ont pas fourni ou cité ne serait-ce qu’un seul enregistrement du prétendu « SRAS-COV-2 » (ou de toute prétendue « variante ») ayant été purifié à partir de fluides/tissus/excréments corporels de quelque nature que ce soit. patient sur la planète, par n'importe qui, n'importe où, en répondant à une demande de dossiers sous la garde du CDC, et ils ont déclaré de manière bizarre et inexacte que la demande était « inappropriée ». Lettre complète : voir ceci .
- voir doc sur site -
17 novembre 2022 : le CDC n'a pu fournir/citer aucune trace de la purification présumée du SARS-COV-2, même à partir d'une culture cellulaire, au lieu de cela, ils ont cité des études et des pages Web non pertinentes : voir ceci .
- voir doc sur site -
20/21 octobre 2022 : Les gens du CDC ont été mis au défi de fournir/citer des preuves scientifiques de l'existence du prétendu SRAS-COV-2 ou du prétendu VIH sur la base d'expériences contrôlées utilisant des particules purifiées. Ils ne le pouvaient pas, puisqu’il n’en existe pas, et ils ont donc fourni des liens inutiles vers le VIH, sans même prétendre montrer des expériences contrôlées. Pour le SRAS-COV-2, ils ont donné les mêmes paragraphes qu'ils donnent aux gens depuis environ un an, avec des liens vers des études et des pages Web plus inutiles. Voyez ceci .
- voir doc sur site -
16 décembre 2022 : Les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis n’ont pas été en mesure de fournir aucune trace de la prétendue protéine de pointe du SRAS-COV-2 trouvée chez qui que ce soit et purifiée (par opposition à la « protéine de pointe » « recombinante » créée dans un laboratoire ). laboratoire puis étudié, comme si cela reflétait quelque chose qui se passait chez de vraies personnes) ; et ils ont donc répondu comme s'il s'agissait d'une autre FOI concernant le faux virus, et ont fourni les mêmes paragraphes inutiles qu'ils donnent aux gens depuis environ un an : voyez ceci .
14 février 2023 : Une fois de plus, les centres américains de contrôle et de prévention des maladies n'ont pas été en mesure de fournir aucune trace de la prétendue protéine de pointe du SRAS-COV-2 trouvée chez qui que ce soit et purifiée. (J'ai spécifiquement exclu les études dans lesquelles la « protéine de pointe » « recombinante » a été créée en laboratoire afin d'être étudiée, car ces études ne peuvent fournir aucune preuve de l'existence réelle de la prétendue « protéine de pointe du SRAS-COV-2 » chez les humains. , c'est-à-dire les personnes ayant reçu un diagnostic frauduleux de covid, ou les personnes qui ont reçu de faux vaccins à ARNm, ou n'importe qui du tout.) : voir ceci .
- voir doc sur site -
21 mars 2023 : Roger Andoh, agissant en tant que responsable de la FOIA au sein du bureau du directeur de l'exploitation, CDC a avoué que le CDC ne dispose même pas d'une étude dans laquelle les auteurs ont effectué l'une des opérations suivantes :
RépondreSupprimer1) testé la prétendue « protéine de pointe du SRAS-COV-2 » dans le sang de personnes « vaccinées » et « non vaccinées », et comparé les résultats – pour rechercher des preuves que les charlatans « ARNm » incitent les corps à créer la protéine
2) comparé les niveaux d'anticorps des personnes « vaccinées » et des personnes ayant reçu une injection d'autres toxines (c'est-à-dire d'autres charlatans), pour évaluer la spécificité des anticorps .
Voyez ceci .
- voir doc sur site -
2 mars 2023 : les Centers for Disease Control des États-Unis ne peuvent pas prouver l'existence de la « protéine de pointe du SRAS-COV-2 »
Roger Andoh, agissant en tant que FOIA Officer au sein du bureau du directeur des opérations du CDC et de l'Agence pour le registre des substances toxiques et des maladies , a avoué que ces institutions n'ont aucune preuve de l'existence de la prétendue « protéine de pointe du SRAS-COV-2 ». temps à mon collègue Louis Stephen.
Aussi, dans cette réponse, Roger a éludé :
une demande de preuve de réclamation concernant les anticorps dits « SARS-COV-2 »,
une demande de documentation expliquant pourquoi il est nécessaire d'utiliser de l'ARNm synthétique plutôt que naturel (prétendu) dans les vaccins convid,
une demande de documentation expliquant pourquoi il est nécessaire d'utiliser des cellules rénales de singe pour (prétendument mais pas réellement) cultiver un « virus » censé infecter les poumons humains, etc. : voir ceci .
- voir doc sur site -
[Quelqu'un a aimablement transmis une autre réponse FOI du CDC datée du 30 décembre 2020 concernant le prétendu « SRAS-COV-1 » de 2003 et tous les « coronavirus du rhume » – le CDC n'a aucune trace d'isolement d'un seul : voir ceci ]
13 septembre 2022 : un homme ou une femme anonyme du bureau des archives publiques de l'université de Caroline du Nord à Chapel Hill a fourni des documents inutiles qui ne contiennent pas de preuves scientifiques du prétendu SRAS-COV-2 et a avoué qu'il n'existait aucun autre document pertinent. à la demande : voir ceci .
- voir doc sur site -
10 décembre 2021 : Le Département américain du Travail et l'Occupational Safety and Health Administration (OSHA) ont admis qu'ils n'avaient aucun dossier décrivant la purification d'un quelconque "virus COVID-19" (alias "SARS-COV-2", y compris les "variantes" présumées). à partir de n’importe quel échantillon de patient sur la planète, par n’importe qui, jamais : voyez ceci .
RépondreSupprimer- voir doc sur site -
3 septembre 2021 : Fauci's National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) / National Institutes of Health , en réponse à une demande de dossiers démontrant que le NIAID ou le NIH dispose d'un échantillon physique de « SARS-CoV-2 » purifié :
confond l'isolement/purification avec la croissance du virus imaginaire en culture cellulaire,
fournit des commentaires non pertinents et distrayants sur les postulats de Koch,
cite des études et des pages Web inutiles et non pertinentes, et des « génomes » informatiques fabriqués de toutes pièces, et
confirme que la virologie n'est pas une science.
Voyez ceci .
- voir doc sur site -
11 mars 2022 : Le ministère américain de la Santé et des Services sociaux confirme que Vivek Murthy, l'homme qui agit en tant que « chirurgien général » , n'a aucun dossier décrivant quelqu'un sur Terre ayant trouvé et purifié le prétendu « SRAS-COV-2 » (le présumé « virus COVID-19 »), ou toute variante présumée de celui-ci, à partir des fluides corporels de tout être humain malade. Voyez ceci .
- voir doc sur site -
19 août 2021 : Le ministère américain de la Santé et des Services sociaux a cité des études et des pages Web inutiles et non pertinentes, et a fabriqué des « génomes » informatiques en réponse à une demande de la FOIA concernant des « dossiers démontrant que le ministère américain de la Santé et des Services sociaux dispose d'un échantillon physique. du virus SARS-CoV-2 isolé et purifié … » Voir ceci.
- voir doc sur site -
Réponse de la FOIA du 24 juin 2021 : L'Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) d'Anthony Fauci n'a fourni/cite aucun enregistrement de purification du « SARS-COV-2 » à partir d'un échantillon de patient par qui que ce soit, où que ce soit.
RépondreSupprimerLe NIAID m'a renvoyé à l'étude anti-scientifique du CDC réalisée par Harcourt et al., même après les avoir informés de la réponse « aucun enregistrement » du CDC du 7 juin 2021 . J'ai fait appel à l'agent de liaison public FOIA du NIAID.
Les communications entre moi et le NIAID sont fournies ici .
- voir doc sur site -
L’étude du CDC citée par le NIAID n’a rien purifié d’un échantillon de patient. Il s’agit de la même étude sur laquelle le Dr Thomas Cowan a écrit en 2020 (« Only Poisoned Monkey Kidney Cells 'Grew' the 'Virus' »), dans laquelle il abordait également la nature frauduleuse du « génome du SRAS-COV-2 » fabriqué par les auteurs. (comme le montre la capture d'écran ci-dessous).
- voir doc sur site -
Auparavant, en 2020, Ron Bublitz avait déjà posé la question ci-dessous à l' Institut national américain des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), National Institutes of Health (NIH) . Sa correspondance est publiée sur le lien suivant, avec la réponse évasive fournie par le chef de la section NIH/NIAID pour la correspondance contrôlée et les enquêtes publiques, la branche des affaires législatives et de la gestion de la correspondance. Pdf montrant le texte et une photo des emails réels : voir ceci .
- voir doc sur site -
Ron a aimablement fourni une capture d'écran de ses communications avec le NIAID, présentée ci-dessous.
- voir doc sur site -
Notez que le NIH/NIAID n'a répondu à aucune des questions de Ron Bublitz et a simplement cité la même étude du CDC réalisée par Harcourt et al. mentionné ci-dessus qui s’adonnait à l’approche frauduleuse typique du « business des singes » en matière de soi-disant « isolement » – comme le montre la capture d’écran ci-dessous).
RépondreSupprimer- voir doc sur site -
10 juin 2022 : Julia Spiegel, femme qui agit en tant que secrétaire adjointe aux affaires juridiques sous Gavin Newsom , l'homme qui agit au bureau du gouverneur de Californie, a avoué à Kristen Welch qu'elle n'avait aucun dossier décrivant un prétendu « SRAS-COV-2 ». (ou « variante ») étant trouvé dans le fluide/tissu corporel de n'importe qui sur Terre et purifié… par n'importe qui, n'importe où, jamais… afin que « cela » soit séquencé, caractérisé et étudié avec des expériences contrôlées (alias « science ») : vois ça .
- voir doc sur site -
27 janvier 2022 : Le ministère de la Santé de l'État de Washington a fourni la « tranche n° 1 » de dossiers prétendument mais pas vraiment sensibles à une FOI pour des études dans lesquelles le prétendu « SRAS-COV-2 » a été trouvé dans les fluides/tissus corporels de des gens malades et purifiés.
« Installation #1 » est une comédie de science-fiction n'ayant rien à voir avec la purification ou un virus, intitulée « Séquençage et variantes du SRAS-CoV-2 dans l'État de Washington ».
Il commence ainsi : « Le séquençage de nouvelle génération est un ensemble de méthodes de laboratoire que les scientifiques utilisent pour analyser un génome viral afin de déterminer la séquence génomique d’un virus. »
Attention à la suite prévue le 25 juillet 2022 !
Le département a également avoué que son laboratoire : « n’a pas tenté d’isoler le SRAS-CoV-2 à partir d’un quelconque spécimen ou matrice. Le PHL n’a pas non plus en sa possession un virus SARS-CoV-2 viable isolé. Le WAPHL effectue des tests de diagnostic basés sur la PCR… Le séquençage de nouvelle génération est effectué sur des échantillons de patients positifs au SRAS-CoV-2 en utilisant du matériel génomique extrait, et non des isolats de virus.
Voyez ceci .
- voir doc sur site -
25 novembre 2021 : Kate Wilson, agissant pour le département de santé du comté de Multnomah, Portland, Oregon, a confirmé qu'une recherche approfondie n'a donné aucune trace de quiconque sur Terre ayant trouvé et purifié le prétendu « SRAS-COV-2 » (par macération, filtration et ultracentrifugation). ) à partir de n'importe quel fluide/tissu corporel de toute personne malade, n'importe où, n'importe quand : voyez ceci .
RépondreSupprimer- voir doc sur site -
11 mars 2022 : L'Université de l'Illinois a confirmé pour Natalia Litbarg, MD, que : les dépositaires des dossiers de l'université qui, en raison de la nature de leur travail, auraient pu détenir des dossiers décrivant quelqu'un sur Terre ayant trouvé le prétendu « SRAS-COV-2 » dans le corps les fluides d'un hôte malade et le purifiant de « celui », n'ont pas pu identifier de tels enregistrements : voir ceci .
- voir doc sur site -
18 mai 2022 : Jorge Perez, l'homme qui agit en tant que responsable adjoint de la santé, enquête sur la santé publique, département de la santé publique du comté de Los Angeles , a avoué à Kristen Welch qu'il n'existe aucune trace de la découverte présumée du SRAS-COV-2 dans le fluide/tissu corporel de n'importe qui et purifié… par n'importe qui, n'importe où, jamais… mais apparemment il est d'accord avec le fait que les virologues n'ont pas de variable indépendante à utiliser dans toute expérience sur les « virus » et il pense que « le comté » a le « droit » » pour terroriser les gens avec leur « doctrine » : voir ceci .
- voir doc sur site -
13 avril 2022 : Le ministère de la Santé de la République de Trinité-et-Tobago a confirmé pour Chetawayo La Borde que « le COVID-19 n'a pas été isolé et purifié » : voir ceci .
- voir doc sur site -
Suisse : novembre 2021 : Office fédéral de la santé publique (OFSP)
Janvier 2022 : Institut de Virologie et Immunologie (IVI)
Les deux n’ont pas fourni ou cité, pour l’homme qui a demandé, ne serait-ce qu’un seul enregistrement de « SARS-COV-2 » trouvé dans les fluides corporels de tout humain malade et purifié (ce qui serait nécessaire pour que « ce » puisse être séquencé, caractérisé et étudié avec des expériences contrôlées pour déterminer si « cela » existe réellement) : voir ceci .
- voir doc sur site -
16 mars 2022 : Larry Stinson, qui agit à titre de directeur des opérations pour la soi-disant « organisation à but non lucratif » Peterborough Public Health (PPH), a confirmé que PPH et Thomas Piggott, l'homme qui agit à titre de médecin-hygiéniste , n'ont aucun document décrivant toute personne sur Terre trouvant et purifiant tout «virus» présumé du SRAS, H5N1, H1N1, MERS, Ebola ou SARS-COV-2 à partir des fluides corporels de tout être humain malade, jamais… ou toute étude qui, de l'avis de Thomas, prouve le existence de l'un de ces prétendus virus… malgré l'affirmation de Thomas d'avoir vécu toutes ces prétendues épidémies : voir ceci .
RépondreSupprimer- voir doc sur site -
25 août 2021 : Le service de santé publique de Peterborough et le médecin (sortant), le Dr Rosana Salvaterra, confirment qu'ils n'ont aucun dossier décrivant la purification du prétendu « SRAS-COV-2 », « VIH » alias « virus de l'immunodéficience humaine », « virus de l'hépatite B ». » ou « virus de l’hépatite C » provenant de n’importe quel échantillon de patient sur la planète, par n’importe qui, n’importe où. Ce qui signifie qu’ils n’ont aucune preuve de leur existence. Voyez ceci .
3 janvier 2022 : Sarah B. Kotler, JD (avocate), directrice de la Division de la liberté d'information de la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis, a refusé de répondre formellement à ma demande FOIA qui lui a été transmise par e-mail… mais a également indiqué que la FDA n’a aucun dossier décrivant la purification du « SARS-COV-2 » à partir d’un échantillon de patient sur Terre, par qui que ce soit, n’importe où et jamais. Elle n’a pas non plus répondu à ma question sur ce qu’elle ferait en sachant que personne sur la planète n’a de preuve du « virus », bien qu’elle soit une « fonctionnaire » travaillant pour une agence qui a approuvé toutes sortes de choses. Appareils « Covid-19 », injections, etc. Elle m'a également traité de « grossier », alors qu'elle semble plutôt satisfaite de la fraude mondiale et des violations du Code de Nuremberg : voir ceci .
- voir doc sur site -
20 août 2022 : Le Centre de contrôle et de prévention des maladies du Maine a été interrogé sur les enregistrements du prétendu SARS-COV-2 trouvé et purifié à partir de tout échantillon clinique sur Terre, et a répondu avec des instructions inutiles des fabricants pour 2 « tests » PCR. Voyez ceci .
- voir doc sur site -
28 juillet 2022 : Un homme ou une femme anonyme travaillant au sein du service de réglementation et d'éthique de l' Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé, France, alias L'Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de santé (ANSM), a répondu à ma FOI pour les enregistrements de toute personne sur Terre trouvant et purifiant l'hypothèse du virus convid de tout fluide/tissu corporel de n'importe qui sur la planète. Selon la traduction de mon collègue Marc Gray, cet homme ou cette femme a indiqué que l'ANSM n'est pas habilitée à vérifier l'existence de prétendus virus sauf si cela est « nécessaire dans le cadre d'une demande concernant un médicament ou un micro-organisme », ce qui, selon ce n’est pas le cas de leur activité « pandémique ». « Les documents demandés n'existent pas au sein de l'ANSM » et la science « n'entre pas dans le champ de compétence de l'ANSM ». Tellement bon à savoir. Voyez ceci .
RépondreSupprimer- voir doc sur site -
Janvier 2022 : le ministère roumain de la Santé/l'Institut de santé publique de Bucarest et le Centre national de surveillance et de contrôle des maladies transmissibles n'ont fourni/cité aucun enregistrement indiquant que le prétendu « SRAS-COV-2 » aurait été trouvé dans les fluides corporels d'un patient. sur Terre et purifié, afin que « cela » puisse être séquencé, caractérisé et étudié avec des expériences contrôlées… et ainsi démontrer son existence : voir ceci .
- voir doc sur site -
Août 2022 : le CDC de Taïwan n'a fourni ni cité à Michael S. aucune preuve scientifique de l'existence du prétendu – mais avouons-le, strictement in silico – SARS-COV-2 : voir ceci .
- voir doc sur site -
Janvier 2022 : le CDC de Taiwan a confirmé pour Michael S. en Nouvelle-Zélande qu'il n'avait pas purifié le prétendu « SRAS-COV-2 » à partir d'un échantillon de patient ou d'une culture de « virus », et qu'il s'était appuyé exclusivement sur des tests PCR frauduleux et dénués de sens pour détecter l'imaginaire. virus : voir ceci .
- voir doc sur site -
22 avril 2022 : Le ministère de la Santé et de l'Hygiène mentale de la ville de New York a confirmé qu'il ne disposait d'aucun dossier décrivant la purification d'un prétendu « SRAS-COV-2 » (y compris de toute prétendue « variante ») à partir d'un échantillon prélevé sur un humain malade par n'importe qui, n'importe où, jamais : voyez ceci .
- voir doc sur site -
4 mars 2022 : Le ministère de la Santé et de l'Hygiène mentale de la ville de New York a soudainement rejeté une demande FOIL de Louis Stephen qui comprenait les éléments suivants :
RépondreSupprimer« Les informations que je demande sont : 1) Une preuve d'isolement ou un isolat du virus SARS-COV-2 », avec cette explication : « votre demande ne décrit pas raisonnablement les enregistrements que vous demandez » : voir ceci .
- voir doc sur site -
21 mars 2022 : Le ministère de la Santé et des Hôpitaux de la ville de New York déclare : « Notre service de recherche a mené une recherche diligente de tous les protocoles COVID prospectifs pour les méthodes de purification/description du SRAS-Cov2 et n'a trouvé aucun enregistrement répondant à votre demande FOIL. Les équipes de recherche de l’établissement Santé + Hôpitaux ont confirmé n’avoir effectué aucune méthode de purification du virus. Veuillez également noter que H+H ne réalise pas de travaux de recherche en laboratoire. » Voir page 3 .
- voir doc sur site -
30 mars 2022 : Bureau du maire de la ville de New York : En réponse à une demande d'enregistrement décrivant l'isolement/purification du prétendu « SRAS-COV-2 » à partir d'un échantillon prélevé sur un humain malade, le bureau du maire a révélé que : « Après avoir effectué des recherches, la Mairie n'a trouvé aucun dossier répondant à votre demande » : voir ceci .
- voir doc sur site -
23 octobre 2021 : l'avocat général adjoint de l'université de Clemson, en Caroline du Sud, a confirmé au demandeur que l'université n'a aucun dossier de purification du « SARS-COV-2 », bien que son département de génie environnemental et des sciences de la Terre ait récemment reçu 900 000 $ pour étudier le prétendu « virus » : voir ceci .
- voir doc sur site -
15 octobre 2021 : le bureau du gouverneur de l'Illinois a confirmé n'avoir trouvé aucune étude décrivant l'isolement et l'analyse du prétendu « virus COVID-19 » alias « SARS-COV-2 » : voir ceci .
- voir doc sur site -
24 septembre 2021 : le gouverneur du Wisconsin et le ministère des Services de santé ont confirmé à Charles R. Haeuser qu'ils n'avaient aucun dossier concernant l'isolement/purification du prétendu « virus COVID-19 » (ou concernant la sécurité et/ou l'approbation des soi-disant « vaccins »). »). (Le DHS a fourni des pièces jointes concernant la « subvention de sensibilisation communautaire COVID-19 » du Wisconsin ; cliquez ici pour les voir ou les télécharger.) Voir ceci .
- voir doc sur site -
29 septembre 2021 : Le Metro Public Health Department, Nashville, Tennessee, a indiqué qu'« aucun dossier de ce type n'existe, ou ce bureau ne conserve pas de dossier(s) en réponse à » une demande d'Irucka Embry concernant la purification du prétendu « SRAS- COV-2 » ou la correspondance complète des « séquences génomiques du virus » provenant des victimes du virus présumé dans la région métropolitaine de Nashville et Wuhan, en Chine. Voyez ceci .
RépondreSupprimer- voir doc sur site -
18 août 2021 : Le ministère des Services de santé de l'Arizona a confirmé à Timothy Martin qu'il n'avait aucun dossier décrivant l'isolement/purification d'un quelconque « SRAS-COV-2 » à partir d'un échantillon de patient sur la planète, et qu'il confondait celui-ci avec des soins de santé privés/protégés/identifiables. données : voir ceci .
- voir doc sur site -
4 février 2022 : le ministère de la Santé de Floride a finalement admis à Beatrice Scova qu'il n'avait aucune trace de purification du « SARS-COV-2 » : voir ceci .
- voir doc sur site -
13 juin 2022 : Rosemary Hewig agissant en tant qu'« Esq., Records Access Officer », le Département de la Santé de l'État de New York a rassuré Louis en lui disant qu'ils recherchaient toujours avec diligence des documents prouvant l'existence du « SARS-COV-2 » et qu'ils n'auraient besoin que de jusqu'au 17 août 2022 pour répondre à sa FOI du 4 janvier 2022 : voir ceci .
Rosemary semble avoir oublié ses réponses précédentes à mon ami Bill Huston et moi, dans lesquelles elle a avoué que les personnes qui dirigent le NYS DoH n'ont aucun dossier indiquant que le « SRAS-COV-2 » a jamais été isolé, ci-dessous.
- voir doc sur site -
9 décembre 2021 : 10 petits mois suffisent au ministère de la Santé de l’État de New York pour fournir à William Huston une liste dénuée de sens de variantes imaginaires du « SRAS-COV-2 » en réponse à sa demande d’enregistrements indiquant que « le virus » a été isolé. Et, le 25 février 2022, ils ont finalement conclu leur « recherche diligente » de documents en réponse à ma demande de purification datée du 5 novembre 2021, et ont confirmé qu’ils n’avaient trouvé aucun document : voir ceci .
- voir doc sur site -
30 septembre 2021 : Le Département de la Santé de l'État de New York a informé William Huston qu'il n'avait aucun dossier indiquant que le prétendu « SRAS-CoV-2 » était la cause du « COVID-19 ». Voyez ceci .
RépondreSupprimer- voir doc sur site -
25 mai 2022 : Le recteur, le professeur Piotr Ponikowski, du département médical de l'université de Wroclaw, en Pologne, a confirmé que l'université n'avait aucune trace de l'isolement présumé du SRAS-COV-2, point final.
- voir doc sur site -
Cliquez ici pour lire l'article complet :
https://www.globalresearch.ca/foi-reveal-health-science-institutions-around-world-have-no-record-sars-cov-2-isolation-purification-anywhere-ever/5751969
(...) Alors que les autorités chinoises annonçaient IL Y A DEUX ANS, le 7 janvier 2020, avoir isolé et identifié « un nouveau type de virus », aucun détail n’a été fourni. Puis, le 28 janvier 2020, le Centre américain de contrôle et de prévention des maladies (CDC) a déclaré que le nouveau virus corona avait été isolé. (...)
Supprimer'le nouveau virus corona avait été isolé'. !! Primo: il n'est ps 'nouveau' puisque cette nano-particule en forme de couronne existe depuis... des milliards d'années et est rejetée (par milliards de milliards chaque seconde) par la combustion de notre magma dont les mers & océans abondent (et tous les poissons les mangent !!).
Secundo: Ces nano-particules (appelées 'corona') sont TOTALEMENT INOFFENSIVES et portent le pseudonymes de 'virus' (comme existent aussi le 'virus de l'ordinateur', le 'virus du cinéma', 'de la chasse', 'de la pêche' ou 'de la bonne bouffe' !). Le 'virus de l'ordinateur n'est NI UNE POUSSIÈRE, NI UN MICROBE mais seulement un programme malfaisant ! Quant aux autres...
Mais... Mais il y a 3 ans a été sorti un... 'vaccin anti-poussière' !! HAHAHAHAHA ! (et non un vaccin anti-microbes !).
Le Dr Sucharit Bhakdi, microbiologiste de premier plan, qualifie les injections d'ARNm de « crime contre l'humanité »
RépondreSupprimerPar Frank Wright
Recherche mondiale,
16 octobre 2023
Le Dr Sucharit Bhakdi , s'exprimant lors d'un événement virtuel animé par le Dr Mark Trozzi, a déclaré avec insistance que « quiconque propage des vaccins à ARN comme étant efficaces et sûrs… est soit incroyablement ignorant, soit infiniment mauvais ».
Dans une longue présentation mettant en vedette neuf experts internationaux, le Dr Sucharit Bhakdi a formulé en termes crus la question du respect des injections d’ARNm contaminés par l’ADN.
« Celui qui prétend que les vaccins à ARN sont efficaces et sûrs – celui qui prétend que rien ne peut arriver à votre génome – est soit incroyablement ignorant, soit infiniment mauvais », a-t-il déclaré.
De telles personnes, affirme le professeur de microbiologie à la retraite de l’Université de Mayence, tournent le dos au « scénario d’horreur qui se déroule sous nos yeux ».
S'adressant au Dr Mark Trozzi lors d'une tribune organisée par le Conseil mondial de la santé, Bhakdi a appelé les peuples – et les médecins – du monde entier à décider de leur position.
- voir clip sur site -
« Citoyens et médecins du monde entier, détournez-vous de la perpétration de ce monstrueux crime contre l’humanité », a-t-il déclaré.
"Faites cela pour vous sauver vous-mêmes, pour sauver vos descendants, pour sauver le nom de votre famille, ou entrer dans l'histoire comme l'un des plus grands criminels de tous les temps."
Le segment de Bhakdi sur la vidéo de trois heures et demie était consacré à une explication du fonctionnement des injections d'ARNm, avec un accent particulier sur l'ADN plasmidique récemment découvert qu'elles contiennent.
Il a affirmé que non seulement cet ADN plasmidique est présent, mais qu’il peut effectivement provoquer une mutation génétique chez l’hôte. De plus, dit-il, ces mutations peuvent être héréditaires. Cela signifie que les enfants des personnes vaccinées peuvent être soumis à une modification génétique sans se faire injecter eux-mêmes et sans leur consentement.
RépondreSupprimerBhakdi a été invité à parler en termes simples des dangers des soi-disant vaccins, « afin que n’importe quel jeune de 14 ans puisse comprendre ».
Il a utilisé une analogie avec la boulangerie pour montrer comment fonctionnent l’ARNm et l’ADN.
Le génome est l’ensemble des instructions de l’ADN de la cellule, contenues dans les chromosomes – les « livres de vie » – qui sont conservés en sécurité dans le noyau cellulaire.
Lorsqu'une « recette » pour un produit est requise, « disons un gâteau », le « livre » est ouvert à la bonne page et une copie est faite à partir de la recette.
Cette recette est envoyée au site de fabrication – la « boulangerie » – dans la cellule.
Le gâteau est placé pour inspection sur le rebord de la fenêtre de la cellule. Une fois son objectif rempli, la recette copiée – qui est de l’ARNm – est éliminée. L’ARNm d’origine naturelle est de courte durée.
Les « vaccins » à ARN dirigent la production d’antigènes sélectionnés – comme la protéine de pointe. Plus d’un milliard de copies de cette recette de protéines Spike sont administrées à chaque injection.
La production massive d’ARNm nécessite une disponibilité massive de la matrice d’ADN. Comment les injections font-elles cela ?
Les injections contiennent des milliards et des milliards de minuscules chromosomes bactériens – appelés plasmides. Il s’agit de la base d’ADN pour la réplication de la protéine Spike dans les injections d’ARNm.
Ceux-ci sont conditionnés dans des nanoparticules lipidiques – de minuscules globules gras – qui protègent l’ARN injecté de la destruction afin qu’il puisse « voyager dans la circulation sanguine pour atteindre tous les organes du corps ».
Chevaux de Troie
RépondreSupprimerLorsqu’elles arrivent aux organes du corps, ces nanoparticules agissent comme des « chevaux de Troie ».
« Ils sont absorbés par la cellule et la recette donne naissance à leur produit, qui est ensuite exposé sur le rebord de la fenêtre. Ce que tout le monde doit savoir, c’est qu’à l’extérieur de la cellule, des agents de sécurité veillent », a déclaré Bhakdi.
Rapide et furieux
Bhakdi a souligné le danger d’introduction d’ADN plasmidique étranger dans le corps.
« Tout va bien quand la recette est élaborée à partir de son propre livre de vie – son propre génome », a-t-il poursuivi. « Mais malheur si la recette provient d’un livre extraterrestre » – comme c’est le cas pour les vaccins à ARNm.
Si cela se produit, les « gardes de sécurité » du corps – notre système immunitaire – attaqueront cette cellule.
Bhakdi a souligné que la capacité des réponses immunitaires à reconnaître ces intrusions, qu’il a décrites comme la distinction entre le matériel génétique qui est « le soi et le non-soi », est « donnée à la naissance et se termine à la mort ». Il a cité l’exemple du rejet d’organes, où les organes du « non-soi » sont systématiquement rejetés, même au sein de la même espèce (humaine).
Il a ajouté que si cette intrusion se répétait, une « réaction explosive s’ensuivrait – rapide et furieuse ».
C’est le principe à l’œuvre, a-t-il affirmé, qui explique l’intensification et l’aggravation des effets indésirables suite à des injections répétées d’ARNm ou à des injections de « rappel ».
Il a décrit le volume considérable de matériel d’ARN emballé introduit dans chaque injection comme « gigantesque », ce qui entraîne « une myriade d’événements d’attaque immunitaire ». L’éruption de ces réactions ne peut « s’arrêter que lorsque la production de la protéine étrangère prend fin ».
Alors combien de temps cela prend-il ? Bhakdi a déclaré que l’affirmation des « auteurs du vaccin » et du Comité du prix Nobel selon laquelle le processus s’arrêterait dans « quelques jours seulement » est tout simplement fausse.
Bhakdi a mentionné « une découverte alarmante » qui montre que « des pics de protéines et une inflammation de plusieurs organes ont été détectés chez les vaccinés des semaines, voire des mois après l’injection ».
Bhakdi a noté que des blessures telles que des lésions vasculaires, des caillots sanguins, des saignements et la mort des tissus, même au niveau du cœur, du cerveau, ainsi que des lésions du système auto-immune sont toutes susceptibles d'en résulter. Soulignant que le cœur ne peut pas remplacer les cellules mortes, il a demandé : « Qui n’a pas entendu parler des mystérieuses morts subites qui se produisent dans le monde ? »
RépondreSupprimer"Ils ne sont que la pointe de l'iceberg", a-t-il conclu.
https://www.globalresearch.ca/top-microbiologist-dr-sucharit-bhakdi-calls-mrna-injections-crime-against-humanity/5836389
(...) De plus, dit-il [Dr Bhakdi], ces mutations peuvent être héréditaires. Cela signifie que les enfants des personnes vaccinées peuvent être soumis à une modification génétique sans se faire injecter eux-mêmes et sans leur consentement. (...)
SupprimerEt oui ! Cela fait partie du Plan 'Dépopulation21' !
Les vaccins contre le COVID-19 « pourraient déclencher » des maladies rhumatismales inflammatoires : étude
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 15 OCTOBRE 2023 - 15H20
Rédigé par Marina Zhang via The Epoch Times
Une nouvelle étude suggère que les 'vaccins' contre la COVID « pourraient déclencher » des maladies inflammatoires rhumatismales à médiation immunitaire, notamment l’arthrite, la vascularite, le lupus et la maladie de Still à l’âge adulte.
En moyenne, les patients ont développé des maladies rhumatismales 11 jours après l'administration du vaccin, selon l'étude. 75 (plus de 27 %) de ces patients ont connu une rémission totale de la maladie et environ 50 % se sont améliorés après le traitement. Huit ont été admis en soins intensifs et deux sont décédés des suites de leurs symptômes.
"Le court laps de temps entre l'administration du vaccin COVID-19 et l'apparition des R-IMID suggère la possibilité potentielle d'une relation de cause à effet", ont écrit les auteurs.
Les maladies inflammatoires rhumatismales à médiation immunitaire (R-IMID) impliquent une inflammation qui se manifeste dans les articulations, les tendons, les muscles et les os pour une cause inconnue.
L'étude, dirigée par des chercheurs du National Health Service du Royaume-Uni, a examiné 271 participants issus de 190 études de cas publiées dans le monde entier.
Plus de 80 % des patients ont développé des symptômes après leur première ou deuxième dose du vaccin COVID-19, et la plupart ont été traités et améliorés avec des corticostéroïdes.
RépondreSupprimerPrès de 57 % des patients blessés ont reçu le vaccin Pfizer, près d'un quart ont reçu le vaccin AstraZeneca et 12 % des maladies rhumatismales manifestées après l'administration du vaccin Moderna.
Maladies signalées
Les maladies rhumatismales pourraient être moins fréquentes que la myocardite, un événement indésirable connu de la vaccination contre la COVID. Une recherche sur le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) a révélé que plus de 3 000 cas de myocardite ont été signalés après l'administration du vaccin contre le COVID-19, avec plus de 2 300 cas d'arthrite et plus de 370 cas de lupus érythémateux disséminé, le type de lupus le plus courant, et 280 cas de vascularite. Les maladies rhumatismales suivantes ont été incluses dans cette toute première revue systématique des R-MID nouvellement apparus après la vaccination contre la COVID.
Inflammation des vaisseaux sanguins
La vascularite était la maladie rhumatismale la plus courante dans la revue, avec 86 événements indésirables enregistrés. Les vascularites les plus courantes affectent les petits vaisseaux sanguins, provoquant des taches rouges et des bosses sur la peau et d'éventuelles lésions des organes. Les vaisseaux sanguins moyens et plus gros peuvent également être affectés, provoquant des lésions tissulaires, musculaires et rénales.
Une patiente présentant une inflammation des plus gros vaisseaux sanguins a présenté une accumulation de liquide dans ses poumons. Un autre a développé une inflammation des artères de sa tête et a perdu la vision de son œil gauche en raison d’une réduction du flux sanguin vers ses nerfs optiques.
Maladies du tissu conjonctif
Soixante-six cas de maladies affectaient les tissus conjonctifs. Les maladies qui entrent dans cette catégorie comprennent le lupus, une maladie auto-immune affectant la peau, les articulations et les organes internes, ainsi que la myosite et la dermatomyosite, qui se manifestent par une inflammation des muscles et des tissus.
Deux patients sont décédés des suites de leur état. L’un d’eux était un homme de 44 ans qui a développé une myosite, ou inflammation musculaire, et un syndrome des loges dans les membres. Le syndrome des loges est une affection douloureuse et potentiellement mortelle dans laquelle la pression dans les muscles s'accumule. Une autre femme de 62 ans est décédée des suites d’un diabète et d’une dermatomyosite, une inflammation de la peau et des muscles, après avoir reçu le vaccin Pfizer.
RépondreSupprimerArthrite
Cinquante-cinq patients ont développé une arthrite après avoir reçu le vaccin, se manifestant principalement au niveau des genoux, des coudes et des chevilles.
Après un traitement aux stéroïdes, la plupart ont constaté une certaine amélioration de leurs symptômes, 12 sont entrés en rémission et deux présentaient des symptômes persistants.
Maladie de Still de l'adulte
Vingt-deux cas de maladie de Still à l'âge adulte ont été documentés dans le rapport. Les symptômes de cette maladie rare comprennent une fièvre quotidienne, de l'arthrite dans plus de cinq articulations et des éruptions cutanées rose saumon sur le corps. Six de ces patients ont également développé des problèmes cardiaques, dont deux ont développé une myocardite et une insuffisance cardiaque.
Cinq des patients sont entrés en rémission, tandis que la plupart ont connu une amélioration de leur état après avoir été traités aux stéroïdes.
Autres maladies
Les maladies moins courantes comprennent la polymyalgie rhumatismale, signalée chez 21 personnes. Les symptômes de cette maladie comprennent une raideur et une inflammation des épaules, du cou et des hanches, ainsi que la sarcoïdose, qui survient lorsque des tissus enflammés commencent à se développer à l'intérieur des organes, provoquant un dysfonctionnement des tissus.
Le mimétisme moléculaire est la principale explication
RépondreSupprimerLes auteurs ont noté le délai très court entre la vaccination et l’apparition des symptômes, la durée moyenne étant de 11 jours. Cette durée est similaire à celles trouvées dans d’autres études portant sur les effets secondaires de la myocardite après les vaccins contre la COVID-19. Les auteurs ont estimé que le vaccin aurait pu être un « déclencheur » des maladies rhumatoïdes.
Cependant, certains patients pourraient avoir été prédisposés aux maladies rhumatismales, ont expliqué les auteurs. De plus, certains pourraient avoir été prédisposés à avoir une réponse hautement inflammatoire aux vaccinations à ARNm, entraînant des symptômes rhumatismaux comme une raideur articulaire et une inflammation.
Le mimétisme moléculaire, qui se produit lorsque l’organisme prend des substances étrangères pour les siennes et déclenche une réponse immunitaire, est la principale explication du développement de ces maladies auto-immunes. Les auteurs ont estimé que les adjuvants vaccinaux comme l’aluminium pourraient avoir une structure similaire aux protéines humaines. Par conséquent, le corps pourrait s’être trompé de tissus naturels en attaquant ces adjuvants, perçus comme des envahisseurs étrangers.
Cependant, de nombreuses études ont montré que les protéines Spike présentes à la surface du virus COVID-19 partagent des similitudes structurelles avec les protéines humaines. Une étude a révélé que les anticorps qui réagissaient à la protéine Spike pouvaient également réagir à près de 30 tissus humains différents. Si les protéines de pointe induites par les vaccins COVID-19 sont similaires aux protéines de pointe virales d’origine, alors les protéines de pointe du vaccin peuvent également déclencher l’auto-immunité.
Une autre possibilité est que les vaccins à ARNm déclenchent la formation d’inflammasomes. Les inflammasomes sont des groupes de protéines qui signalent l'inflammation et l'élimination virale. Cela peut également rendre les cellules immunitaires hyperactives et endommager les tissus naturels dans le but d’éliminer le vaccin.
https://www.zerohedge.com/medical/covid-19-vaccines-may-trigger-rheumatic-inflammatory-diseases-study
Procès en raison de décès dus à la vaccination, prix Nobel de médecine absurdes pour différents lots – en conversation sur MEGA Radio
RépondreSupprimer16 octobre 2023
par le Dr. Peter F. Mayer
Les blessures et les décès dus aux vaccins donnent de plus en plus souvent lieu à des poursuites judiciaires, par exemple en Espagne, où les parents d'enfants décédés à cause de la vaccination ont également déposé des plaintes pénales contre les autorités compétentes. De plus en plus de faits montrent que la campagne de vaccination a causé un nombre élevé de décès, les dernières évaluations de données réelles évaluant ce chiffre à environ 17 millions dans le monde .
Néanmoins, un prix Nobel de médecine a été décerné pour le développement de ces préparations, ce qui est tout aussi absurde que le prix Nobel de la paix décerné à Obama, responsable de 11 guerres.
Même le ministre allemand de la Santé, Lauterbach, doit désormais reconnaître les graves dommages causés par les vaccins à ARNm, alors qu'il avait précédemment déclaré que ces vaccins corona étaient « exempts d'effets secondaires ». Les différents lots des différents vaccins contre le SRAS-CoV-2 diffèrent donc considérablement dans leur composition, comme l’a récemment découvert une nouvelle étude danoise . Par exemple, il a été prouvé qu’une contamination par l’ADN était présente dans certains lots. De plus, les protéines Spike se trouvent souvent dans des organes comme le cœur, où elles n’ont pas leur place.
En Allemagne, l’Institut Paul Ehrlich (PEI) aurait eu l’obligation d’examiner les lots de vaccins pour voir s’ils étaient produits proprement ou non. Nous discutons également des nouvelles études du pathologiste Prof. Walter Lang et du pathologiste récemment décédé Prof. Arne Burkhardt, parues en exclusivité sur TKP.at il y a quelques semaines .
Une nouvelle étude américaine a récemment confirmé leurs résultats.
Nous parlons également des manifestations en cours en Autriche contre la nouvelle politique de santé mondiale de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et évaluons la campagne de vaccination actuelle contre le coronavirus, notamment menée par les institutions européennes. Il en va de même pour les critiques du Premier ministre slovaque nouvellement élu, Robert Fico.
Et la même conversation sur YouTube :
- voir clip sur site -
MEGA Radio est une station qui peut être écoutée sur DAB+ et aborde des sujets de manière critique et ouverte, sans considérations politiques.
https://tkp.at/2023/10/16/prozesse-wegen-impftodesfaellen-absurde-medizin-nobelpreise-unterschiedliche-chargen-im-gespraech-bei-mega-radio/
Les décès après une crise cardiaque seront nettement plus fréquents en 2021, selon une étude
RépondreSupprimer16 octobre 2023
par le Dr. Peter F. Mayer
Depuis l’automne 2020, scientifiques et médecins n’ont cessé de mettre en garde contre les dégâts que l’on peut attendre de la thérapie génique, récompensée par un prix Nobel. De plus en plus d’études prouvent que cet avertissement était et est toujours correct. Les dommages au cœur en particulier sont énormes, comme le montre une autre étude évaluée par des pairs.
Les données des hôpitaux américains montrent une augmentation spectaculaire du nombre d’Américains décédés subitement après un arrêt cardiaque inattendu en 2021, selon une nouvelle étude évaluée par des pairs.
L'étude a été dirigée par Jennifer Z. Liu, épidémiologiste à la santé publique de Seattle et du comté de King, et comprenait plusieurs co-auteurs représentant le département de médecine d'urgence de la faculté de médecine de l'Université de Washington. L' étude est parue dans Jama Infectious Diseases, intitulée « Infection aiguë par le SRAS-CoV -2, incidence et résultats de l'arrêt cardiaque hors de l'hôpital ». Les chercheurs ont constaté une forte augmentation des décès dus à un arrêt cardiaque hors de l’hôpital.
Pour les besoins de l’étude, le terme « décès hors hôpital » fait référence aux personnes qui ont subi un arrêt cardiaque inattendu et sont décédées avant de pouvoir être soignées à l’hôpital, expliquent les chercheurs. L’étude a analysé cet ensemble de données, qui compare le nombre de personnes décédées subitement et de manière inattendue.
Les chercheurs ont analysé les données de Seattle et du comté de King, Washington, de 2018 à 2021. L’ensemble de données comprenait 13 081 patients, dont 7 102 qui étaient déjà morts à l’arrivée des secours et 4 952 autres qui ont été soignés mais avant leur admission ou sont décédés à l’hôpital.
Par rapport aux années précédant la pandémie, c'est-à-dire 2018 et 2019, 19 % de personnes supplémentaires ont subi un arrêt cardiaque hors de l'hôpital en 2020 et 2021, c'est-à-dire pendant la pandémie, ont indiqué les chercheurs. Il y a eu une augmentation de 27,2 % du nombre de patients déclarés morts lorsque les secouristes sont arrivés chez les patients.
Cependant, les chercheurs n’ont pas pris en compte le statut vaccinal. Au lieu de cela, ils ont examiné le choc du COVID-19 sur les arrêts cardiaques hors de l’hôpital.
Cependant, l’étude a révélé que le nombre d’arrêts cardiaques était le plus élevé en 2021 après l’introduction de la vaccination contre le COVID-19.
RépondreSupprimerLes chercheurs ont comparé les résultats des tests Covid avec ceux de ceux qui ont subi un arrêt cardiaque hors de l’hôpital. Parmi les personnes qui ont subi un arrêt cardiaque hors de l’hôpital pendant la pandémie et ont survécu jusqu’à l’arrivée des secours, 6,2 % ont été testées positives pour le COVID-19.
Les tests positifs ont été enregistrés soit au moment du traitement, soit dans les deux semaines précédant l'arrêt cardiaque, soit dans la semaine suivant l'arrêt cardiaque. Dans un échantillon aléatoire de personnes déclarées mortes à leur arrivée, seulement 3,7 % souffraient d’une infection corona.
Les chercheurs de l’État de Washington ont déclaré que les personnes ayant subi un arrêt cardiaque hors de l’hôpital pendant la pandémie avaient moins de chances de survivre.
Ils notent que cela est cohérent avec des recherches antérieures . L'étude, « Arrêt cardiaque hors hôpital pendant la pandémie de COVID-19 : une revue systématique », a révélé que les crises cardiaques et les taux de mortalité hors de l'hôpital ont augmenté de manière significative pendant la pandémie de COVID-19 par rapport à la même période l'année dernière. .
Une augmentation transitoire de deux fois de l’incidence des infarctus hors de l’hôpital a été observée, accompagnée d’une diminution concomitante de la survie. Pendant la pandémie, la réponse de la population aux infarctus extrahospitaliers a changé : moins de mesures de réanimation cardio-pulmonaire par les profanes, des délais de réponse plus longs des services d'urgence et des taux de survie aux infarctus plus faibles.
Les effets de la propagande alarmiste des opérateurs de la pandémie deviennent apparemment visibles ici, lorsque les gens n'ont plus la confiance nécessaire pour aider d'autres personnes dans le besoin.
https://tkp.at/2023/10/16/todesfaelle-nach-herzinfarkt-im-jahr-2021-deutlich-haeufiger-wie-studie-zeigt/
Procès en raison de décès dus à la vaccination, prix Nobel de médecine absurdes pour différents lots – en conversation sur MEGA Radio
RépondreSupprimer16 octobre 2023
par le Dr. Peter F. Mayer
Les blessures et les décès dus aux vaccins donnent de plus en plus souvent lieu à des poursuites judiciaires, par exemple en Espagne, où les parents d'enfants décédés à cause de la vaccination ont également déposé des plaintes pénales contre les autorités compétentes. De plus en plus de faits montrent que la campagne de vaccination a causé un nombre élevé de décès, les dernières évaluations de données réelles évaluant ce chiffre à environ 17 millions dans le monde .
Néanmoins, un prix Nobel de médecine a été décerné pour le développement de ces préparations, ce qui est tout aussi absurde que le prix Nobel de la paix décerné à Obama, responsable de 11 guerres.
Même le ministre allemand de la Santé, Lauterbach, doit désormais reconnaître les graves dommages causés par les vaccins à ARNm, alors qu'il avait précédemment déclaré que ces vaccins corona étaient « exempts d'effets secondaires ». Les différents lots des différents vaccins contre le SRAS-CoV-2 diffèrent donc considérablement dans leur composition, comme l’a récemment découvert une nouvelle étude danoise . Par exemple, il a été prouvé qu’une contamination par l’ADN était présente dans certains lots. De plus, les protéines Spike se trouvent souvent dans des organes comme le cœur, où elles n’ont pas leur place.
En Allemagne, l’Institut Paul Ehrlich (PEI) aurait eu l’obligation d’examiner les lots de vaccins pour voir s’ils étaient produits proprement ou non. Nous discutons également des nouvelles études du pathologiste Prof. Walter Lang et du pathologiste récemment décédé Prof. Arne Burkhardt, parues en exclusivité sur TKP.at il y a quelques semaines .
Une nouvelle étude américaine a récemment confirmé leurs résultats.
Nous parlons également des manifestations en cours en Autriche contre la nouvelle politique de santé mondiale de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et évaluons la campagne de vaccination actuelle contre le coronavirus, notamment menée par les institutions européennes. Il en va de même pour les critiques du Premier ministre slovaque nouvellement élu, Robert Fico.
Et la même conversation sur YouTube :
-voir clip sur site -
MEGA Radio est une station qui peut être écoutée sur DAB+ et aborde des sujets de manière critique et ouverte, sans considérations politiques.
https://tkp.at/2023/10/16/prozesse-wegen-impftodesfaellen-absurde-medizin-nobelpreise-unterschiedliche-chargen-im-gespraech-bei-mega-radio/
Comment protéger votre enfant des mensonges transgenres
RépondreSupprimerPar le Dr Joseph Mercola
Mercola.com
16 octobre 2023
Télécharger la transcription de l'interview – Téléchargez mon podcast GRATUIT – Lien vidéo
Dans cette interview, le Dr Miriam Grossman, psychiatre pour enfants et adolescents et médecin certifié, discute des dangers de l'idéologie transgenre, qui est sa spécialité, et, plus important encore, de la manière d'en protéger vos enfants.
Elle est l’auteur de deux livres, « Vous apprenez quoi à mon enfant ? : Un médecin expose les mensonges de l’éducation sexuelle et comment ils nuisent à votre enfant » et « Lost in Trans Nation, un guide du pédopsychiatre pour sortir de la folie ».
Grossman est également chercheur principal au Do No Harm Medicine, qui lutte « contre les politiques identitaires » et « pour les patients individuels ». « D’abord, ne faites pas de mal » fait partie du serment d’Hippocrate que les médecins à travers les âges ont juré de respecter. Malheureusement, le serment d’Hippocrate a été massivement perverti et le principe « ne pas nuire » a été pratiquement abandonné.
« Do No Harm est une organisation assez récente de professionnels de la santé qui estiment que notre profession s'est égarée », explique Grossman.
«Cela est devenu politisé – par les politiques identitaires et d’autres questions – à un tel point que nos patients et notre profession souffrent. DoNoHarmMedicine.org a été fondé par le Dr Stanley Goldfarb, néphrologue à la retraite de l'Université de Pennsylvanie.
Je crois qu'il avait la responsabilité d'organiser les programmes d'études pour les étudiants en médecine de l'Université de Pennsylvanie, et il a reconnu à quel point la politique était entrée dans les programmes et a été très alarmé. Il a donc pris sa retraite et a formé cette incroyable organisation, que j’encouragerais tous les professionnels de la santé à consulter et à rejoindre.
La montée de l’idéologie transgenre
Bien que Grossman ne soit connue que récemment comme une voix de premier plan s’opposant au discours transgenre dominant, son implication et ses préoccupations concernant ce système de croyance non scientifique remontent à environ 15 ans. Pour l’observateur occasionnel, il peut sembler que l’idéologie transgenre est apparue de nulle part, du jour au lendemain, mais ce n’est pas le cas.
« L’explosion du nombre de cas s’est produite assez rapidement, mais les enseignements, l’idéologie selon laquelle nos identités peuvent être séparées de notre biologie – qui n’est pas fondée sur la science – et la croyance selon laquelle nous pouvons être quelqu’un de différent de ce que notre corps nous dit. sont, cela a été enseigné aux enfants dans le cadre de l'éducation sexuelle depuis longtemps », dit Grossman.
RépondreSupprimer" J'en ai pris conscience au milieu des années 2000 lorsque j'écrivais mon livre " Vous apprenez quoi à mon enfant ? " J'étais psychiatre pour des étudiants de l'UCLA, et beaucoup d'enfants venaient me voir avec de l'anxiété et de la dépression. , en particulier les jeunes femmes, étaient là à cause de comportements sexuels malsains.
Beaucoup d’entre eux, un nombre alarmant, souffraient d’une maladie sexuellement transmissible, une MST. Ils avaient de l'herpès ou des verrues génitales, et ces maladies sont causées par des virus essentiellement incurables. Une fois que vous avez reçu un diagnostic de verrues génitales, de virus du papillome humain ou de virus de l’herpès, vous l’avez pour la vie.
Elle peut être contrôlée, mais pas éliminée. Ce sont donc des maladies graves… C’étaient des enfants intelligents, et c’étaient des enfants ambitieux, et pourtant ils avaient pris ces décisions sexuelles insensées de sortir avec des inconnus au hasard…
J’ai donc commencé à étudier ce que l’on enseigne aux enfants en matière d’éducation sexuelle et j’ai découvert que l’éducation sexuelle… n’est pas une question de santé. Il ne s’agit pas de rester en bonne santé. Il s’agit de… promouvoir la liberté sexuelle – toutes sortes de comportements à risque – et de changer la société.
Mon livre, « Vous apprenez quoi à mon enfant ? »… se penche sur les origines de l’éducation sexuelle dans ce pays. Il s’agit de liberté sexuelle. Il s’agit de rejeter les valeurs judéo-chrétiennes. Il ne s’agit certainement pas de lutter contre les bactéries et les virus. Et l’éducation sexuelle est introduite très jeune, à la maternelle.»
L’idéologie du genre est introduite encore plus tôt, à l’école maternelle. Les livres lus aux enfants d'âge préscolaire diront des choses comme : « Les adultes font des erreurs quand les bébés naissent et vous seul savez si vous êtes une fille ou un garçon » et « Les adultes ont peut-être fait une erreur lorsqu'ils ont décidé que vous étiez une fille ou un garçon ». un garçon » ou « Certaines personnes naissent avec un cerveau de garçon et un corps de fille ».
C’est pourquoi j’utilise le mot endoctriné, et c’est pourquoi la majorité d’entre eux vont le croire. Cela leur est présenté par les autorités, les autorités éducatives, les autorités médicales, les autorités gouvernementales, et ils n’entendent pas les arguments de l’autre côté.
RépondreSupprimerDysphorie de genre hier et aujourd'hui
Lorsque Grossman était étudiant en médecine, la dysphorie de genre à apparition rapide (lorsqu'un jeune enfant insiste soudainement sur le fait qu'il est du sexe opposé) était extrêmement rare. Tout a changé vers 2015, lorsque le nombre de cas a soudainement explosé.
Cependant, contrairement à la dysphorie de genre classique, ces cas plus récents concernent généralement des adolescents et de jeunes adultes, ce qui n’avait jamais été le cas auparavant. De plus, dans le passé, la dysphorie de genre touchait principalement les garçons, dans un rapport d’environ 6 pour 1. Aujourd’hui, les filles s’identifiant comme garçons représentent environ 60 % des cas.
Comme beaucoup d’autres, je soupçonne que les produits chimiques synthétiques, dont beaucoup ont une activité œstrogénique, peuvent jouer un rôle, en particulier chez les garçons s’identifiant comme des filles. Grossman n’écarte pas cette possibilité, mais, sur la base de son travail, elle soupçonne que les médias sociaux et la pression des pairs restent les principaux contributeurs.
«Les enfants le disent», dit-elle. « Ils développent des symptômes d’insatisfaction avec leur corps après avoir visionné ces vidéos YouTube d’enfants qui racontent leur propre dysphorie et leur propre chemin. Il y a donc certainement un élément de contagion sociale.
Le transgenre est un faux remède à leurs maux
Il n’est pas surprenant que les enfants ayant des antécédents de problèmes psychiatriques, comme être autistes ou souffrir d’anxiété, de dépression ou de traumatisme émotionnel, soient plus susceptibles d’être victimes de l’idéologie de genre.
« Ils découvrent l’idéologie du genre et on leur dit que cela pourrait être la raison de votre détresse : « Vous avez l’impression de ne pas vous intégrer… parce que vous n’êtes pas dans le bon corps. »
Et ils en viennent à croire que tous leurs problèmes vont être résolus par cette seule solution, celle de s’identifier comme étant du sexe opposé, de changer de nom, de pronoms et d’apparence… telle sera la solution.
Ceux qui ont subi une opération de changement de sexe, en particulier, sont confrontés à la possibilité très réelle de problèmes médicaux permanents et de dépression associée. Beaucoup souffrent de problèmes urologiques, d’infections récurrentes, de douleurs chroniques et de dysfonctionnements sexuels. Ils sont également stériles et ne pourront jamais avoir d’enfants.
RépondreSupprimer« Dans mon témoignage au Congrès que j'ai donné il y a quelques mois, j'ai souligné que dans des pays comme la Suède, la Norvège, la Finlande et le Royaume-Uni, où ces traitements médicaux ont été rendus pratiquement inaccessibles aux enfants au cours des dernières années, il y a eu une Il n’y a pas eu d’augmentation des suicides ni de diminution de la santé mentale.
Ce n’est donc tout simplement pas vrai. C'est une terrible désinformation et un chantage émotionnel [de dire] "La seule chance qu'a votre enfant de vivre une vie heureuse et épanouissante est si vous acceptez sa nouvelle identité et lui donnez tout ce qu'il dit vouloir, même si votre enfant a 10 ans". ou 12 ans. » Et c’est ce qui se passe dans les cliniques de genre.
Il est très, très important que les gens lisent mon livre, non seulement les familles dans lesquelles ils se trouvent au milieu de cette difficulté, mais aussi les familles qui pourraient y être confrontées à l'avenir, afin qu'elles soient préparées et puissent comprendre de quoi il s'agit, afin qu'elles sachent comment réagir et comment protéger leur enfant avant qu'il ne soit endoctriné.
Une génération de jeunesse meurtrie
Même s’ils ne subissent pas d’intervention chirurgicale sur les organes sexuels, les garçons reçoivent des doses massives d’œstrogènes, un cancérigène connu pour l’homme qui a de nombreux effets néfastes sur la santé. Les filles qui prennent de fortes doses de testostérone sont également confrontées à de graves effets néfastes sur leur santé, notamment des modifications irréversibles de la voix et des troubles de la coagulation sanguine.
Un nombre toujours croissant d’adolescentes subissent également une double mastectomie. Il n’existe pas de chiffres précis sur le nombre d’opérations chirurgicales de premier plan réalisées, car personne ne suit les traitements transgenres et les opérations de changement de sexe, mais ce n’est certainement plus une rareté. Grossmann commente :
"Quand j'écrivais mon livre et travaillais sur le chapitre sur les doubles mastectomies, il y avait 47 000 jeunes filles qui collectaient des fonds sur GoFundMe pour se faire opérer des seins - 47 000... Vous avez toute une population de jeunes femmes qui ont été amenées à croire que leurs seins sont simplement des objets sexuels jetables qui ne servent à rien d’autre.
RépondreSupprimerLes jeunes femmes n’apprennent jamais la magnifique biologie des soins infirmiers et de la nutrition, qui est la nutrition de référence pour les nouveau-nés. Il n’y a rien de meilleur pour un nouveau-né que le lait maternel.
La folie vient d'en haut
La vie des enfants est ruinée par les mensonges, et nous devons être tout aussi agressifs en nous en tenant aux faits biologiques que les endoctrineurs sont agressifs en poussant les enfants vulnérables à faire des choix destructeurs en matière de santé.
Une grande partie du problème réside dans le système éducatif, car la plupart des écoles enseignent l’idéologie transgenre. La solution serait alors de retirer vos enfants de ces écoles. Grossman est d'accord et dit :
« Parce que les questions de genre ont été considérées comme un droit civil, chaque enseignant peut l’introduire dans sa classe – dans la littérature anglaise, les études sociales, l’éducation civique et l’histoire.
Les parents doivent également être conscients du fait que… il existe des enseignants militants, des travailleurs sociaux militants et des conseillers d’orientation qui sont là pour influencer votre enfant, et ils iront jusqu’à garder le secret sur la famille si l’enfant demande à le faire. une sorte de changement d'identité à l'école.
L’école gardera le secret sur les parents, ce qui est un autre élément scandaleux dans tout cela car c’est le droit des parents de savoir une telle chose. Alors oui, vous pouvez retirer votre enfant non seulement de l’école publique, mais il existe aussi des écoles privées qui poussent cette idéologie…
Leurs organisations professionnelles – la National Educational Association, les organisations professionnelles de travailleurs sociaux, de conseillers scolaires, de conseillers d’orientation et de directeurs d’école – ont toutes adhéré au récit. Ils sont donc obligés de suivre ces politiques, et ces politiques appellent à garder les parents dans l’ignorance si l’enfant dit que c’est ce qu’il veut.
Dans mon livre, je raconte l’histoire d’enseignants qui ont estimé qu’il était mal de garder les parents dans l’ignorance de l’identité de genre de leur enfant à l’école et qui ont partagé cette information avec les parents. Ils ont été licenciés.
Il y a des enseignants, surtout les plus jeunes, qui ont été endoctrinés. Mais j’ai des gens qui m’écrivent, qui sont des psychologues scolaires et des enseignants, et ils me disent des choses comme : « Je ne peux plus faire ça. Je quitte ce domaine. Je prends ma retraite, je ne peux plus faire ça, c’est mal.
Les parents doivent donc en être conscients. Et je fournis dans le livre une annexe rédigée par des avocats spécialistes des droits des enfants et des parents, et ils expliquent exactement comment être proactifs.
Même si votre enfant entre à la maternelle, vous pouvez aller à l'école et vous pouvez, avec un formulaire que je fournis sur mon site Web, merriamgrossmanmd.com, qui avertit l'école qu'elle n'a aucun droit constitutionnel de diriger l'éducation des enfants. votre enfant, que vous ne voulez pas qu'on lui enseigne l'idéologie du genre et que vous ne permettez pas à votre enfant de faire partie d'un programme ou d'un club dans lequel cette idéologie est enseignée.
RépondreSupprimerEt vous n’autorisez certainement pas que votre enfant soit appelé par un nom différent, ou que votre enfant utilise les toilettes du sexe opposé. Vous devez [faire ça].
Vaccinez vos enfants grâce à l'affirmation biologique
Une autre stratégie importante que les parents doivent adopter consiste à affirmer dès le départ la biologie de leurs enfants. En leur apprenant la valeur et la permanence de leur sexe biologique, vous pouvez les « vacciner » efficacement contre les idées dérangées qui seront introduites plus tard. Grossman explique :
« Vous pouvez dire à un enfant de 2 ou 3 ans : « Tu sais que tu es un garçon et tu seras toujours un garçon. Dès le premier instant de ta création, tu étais un garçon.
Cette expression « sexe assigné à la naissance » me rend folle parce qu’elle est tellement fausse. C’est tellement scandaleusement faux. Le sexe n'est pas attribué à la naissance. Le sexe est établi dès la conception et il est permanent.
Les enfants sont amenés à croire que le sexe – qu’il soit masculin ou féminin – est attribué au hasard. Un médecin ou une infirmière dans la salle d’accouchement vous examine et prend cette décision aléatoire qui n’est vraiment basée sur rien de réel. Non, vous voulez vacciner votre enfant contre cette idée.
Vous voulez dire à votre enfant : « Tu as toujours été un garçon ou une fille et tu le seras toujours ». Et c’est une bonne chose. » De plus, [apprenez-leur qu’] il existe de nombreuses façons différentes d’être une fille ou un garçon. Il n’y a pas une seule façon.
Il y a des filles qui aiment se maquiller et font toutes ces choses stéréotypées féminines, et il y a d’autres filles qui ne veulent jamais mettre de robe et qui aiment construire des choses et faire du sport. Et c'est génial. C’est une façon d’être une fille.
En plus de croire qu’ils sont peut-être nés dans le mauvais corps, ils ont subi un lavage de cerveau leur faisant croire que quiconque les défie, quiconque n’utilise pas leur nouveau nom et leurs nouveaux pronoms, est une mauvaise personne. [On leur a dit] que leur maison pourrait être dangereuse si leurs parents n’utilisaient pas leur nouveau nom et qu’ils pourraient devoir vivre ailleurs…
RépondreSupprimerIl s’agit d’une volonté de changer notre culture, de changer notre société – de créer un fossé entre les enfants et leurs parents et pour que l’État dise que nous savons ce qui est le mieux pour votre enfant, pas pour vous. C’est une situation très dangereuse.
Et je pense qu’il est important de mentionner que d’autres pays, des pays très progressistes comme la Suède, ont tous fait un virage à 180°. Ces autres pays disent que ce dont les enfants ont besoin, c’est d’une psychothérapie. Il s’agit d’un trouble émotionnel.
En plus de son livre, vous pouvez également trouver plus d’informations sur son site Web, miriamgrossmanmd.com, y compris « l’Avis aux parents aux écoles ». Si vous souhaitez la suivre sur Twitter/X, son pseudo est @Miriam_Grossman. Pensez également à devenir membre de Do No Harm Medicine.
https://www.lewrockwell.com/2023/10/joseph-mercola/how-to-protect-your-child-from-transgender-lies/
demande poliment formulée en anglais ;
RépondreSupprimermentionner la base juridique VO 1049/01 relative à l'accès aux documents ;
répondre aux questions des employés de l'EMA par courrier électronique (en d'autres termes, toute personne qui ne répond pas aux questions de l'EMA et ne communique pas ne verra aucun document divulgué) ;
idéalement, ne demandez que les données PSUR actuelles d'un vaccin Covid, sinon elles ne seront pas traitées car l'EMA limite chaque demande à un maximum de 2 documents ;
Si vous souhaitez recevoir l'annexe, vous devez en faire la demande explicite, sinon vous ne l'obtiendrez pas ;
se renseigner pour savoir si les documents demandés ont déjà été divulgués (puisque cela n'est pas communiqué par l'EMA)
Exemple de texte pour une demande auprès de l'EMA concernant Vaxzevria :
Conformément au Règlement 1049/01, je demande le dernier PSUR disponible, le rapport d'évaluation du PRAC ainsi que les annexes de Vaxzevria. Pourriez-vous s'il vous plaît m'indiquer si les documents demandés ont déjà été publiés ?
https://tkp.at/2023/10/17/psur4doctors-aerzte-zwingen-ema-zur-herausgabe-tausender-seiten-covid-impfstoff-sicherheitsdaten/
Voir clip (sous-titré) sur site:
RépondreSupprimerhttps://twitter.com/i/status/1660204620352831488
Le référendum « Sortez de l’OMS » peut encore être soutenu
RépondreSupprimer17 octobre 2023
par le Dr. Peter F. Mayer
Le TKP a déjà fait état du référendum lancé par le MFG contre l'adhésion à l'OMS . Il est ouvert à la signature depuis le 12 août. Il a reçu jusqu'à présent près de 41 000 signatures et doit donc impérativement être soumis à signature. Cependant, le processus d'initiation peut toujours être appuyé par une signature.
La demande indique :
« L'OMS, une association de pays œuvrant pour améliorer la santé des populations, est devenue une institution autoritaire largement financée par des organisations privées dont elle représente les intérêts. Cela signifie que les États sont condescendants et que les décisions sont transférées à l’OMS, comme c’est actuellement le cas dans le cadre du traité sur la pandémie. Afin de préserver l'autodétermination de l'Autriche, la seule option est de se retirer de l'OMS. Le Parlement devrait décider des mesures (constitutionnelles) à cet effet.»
Le référendum recueille des déclarations de soutien depuis le 12 août. Ceux-ci peuvent être déposés soit en personne au bureau municipal concerné, soit en ligne avec une « signature de téléphone portable » ou une « carte de citoyen ».
Il y a eu récemment des manifestations très fréquentées contre l'OMS. Néanmoins, les projets visant à transférer la souveraineté des États à l’OMS progressent. Il existe également des motions contre cette prise de pouvoir au Parlement autrichien .
L' initiative « Who is WHO » met à disposition depuis le 1er octobre 2023 du matériel d'information au sujet du traité de l'OMS sur la pandémie et du Règlement sanitaire international (RSI) modifié sur le site Internet www.mehr-wissen.info , également au niveau international sous le nom www.whoiswho.fail disponible.
Les effets du traité sur la pandémie et du RSI ne concernent pas seulement l’espace germanophone. C’est un problème mondial dès que les pays cèdent une partie de leur souveraineté à l’OMS. Il est donc important que les citoyens de tous les pays soient informés du traité.
RépondreSupprimerSur le site Web de MFG, vous trouverez des informations sur l'état de la collecte des signatures et sur la manière dont la signature peut être soumise.
https://tkp.at/2023/10/17/volksbegehren-raus-aus-der-who-kann-noch-unterstuetzt-werden/
Protestation contre la saisie illégale de Reiner Fuellmich par le gouvernement allemand
RépondreSupprimerPar Emmanuel Pastreich
Recherche mondiale,
16 octobre 2023
Je voudrais vous parler ce soir d'un incident extrêmement important et inquiétant, à savoir l'arrestation de l'avocat responsable d'un effort extrêmement important visant à découvrir les crimes commis par un réseau d'éléments criminels à travers le monde pour nous enfermer, et détruire nos libertés corporelles et mentales.
Je parle de l'avocat Reiner Fuellmich qui a été arrêté en Allemagne, après avoir été ramené illégalement de l'ambassade d'Allemagne au Mexique. Je n'ai pas le temps aujourd'hui de détailler tous les efforts du Comité d'enquête sur les crimes internationaux de Fuellmich pour dévoiler la criminalité qui s'installe dans pratiquement tous les pays du monde.
Ce que je tiens à souligner, c'est que nous devons nous unir pour soutenir non seulement lui, mais aussi les milliers de personnes comme lui qui s'élèvent contre les efforts visant à transformer les gouvernements en marionnettes des grandes entreprises, des banques internationales et de la classe milliardaire, la classe parasite, qui se cache derrière eux.
Cliquez pour voir la vidéo
Nous savons que si nous n'arrêtons pas cet effort visant à détruire l'État de droit, à tous les niveaux, pour créer un royaume séparé qui n'appartient qu'aux très riches et aux plus puissants, nous avons la garantie d'un système fasciste mondial qui, s'il le peut, , nous exterminer exactement de la manière qui a été tentée en Europe dans les années 1940.
Je tiens également à souligner que cet effort visant à réprimer quelqu'un qui travaille si dur pour faire respecter l'État de droit et pour faire connaître la vérité à tout le monde, au moment précis où l'on cherche à déclencher une guerre mondiale entre Israël et l'Iran, y compris les États-Unis, Ce n’est pas un hasard si certains États, et peut-être de nombreux autres pays, sont en fait parallèles.
« Ce qui m’inquiète, c’est que cette arme biologique soit en train d’être larguée »
RépondreSupprimerPAR LA COMPAGNIE DE BIEN-ÊTRE
MARDI 17 OCTOBRE 2023
Un médecin de renom révèle la solution à la menace post-Covid qui se profile
Alors que la fumée se dissipe de la pandémie, une ombre inquiétante émerge...
C’est la lutte du « Long Covid », et elle frappe fort.
Beaucoup de ceux qui ont combattu le COVID-19 ne sont pas encore sauvés.
Cerveau, brouillard, fatigue, gonflement. Vous ne pouvez pas penser correctement, vous concentrer ou vous souvenir des choses.
Cela fait des années, alors comment se fait-il que Big Pharma n’ait pas trouvé de solution à ce problème ?
Il est clair que l’establishment vous ment activement, comme ils l’ont fait sur l’efficacité de l’ivermectine. Mais le crime le plus grave est celui où ils mentent par omission.
Les protéines Spike, que vous soyez vacciné ou non, ont été trouvées à des niveaux élevés depuis la pandémie. Et chaque nouvelle saison grippale ne fait qu'empirer les choses...
Le problème avec eux peut paraître surprenant : les caillots sanguins.
Mais ce ne sont pas vos caillots sanguins quotidiens. Ils sont petits et rusés, frappant vos organes et provoquant non seulement les symptômes généraux du Long Covid, mais même des problèmes cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux et d'autres menaces graves.
Et ceux qui sont déjà aux prises avec des maladies préexistantes, comme le diabète ou l’hypertension artérielle… Cela ne s’annonce pas bien pour eux.
Mais il y a une lueur d'espoir – une nouvelle formule développée par une équipe de médecins et de chercheurs qui défendent la liberté médicale et n'hésitent pas à s'opposer au courant dominant.
RépondreSupprimerLa formule de support Spike.
Ce supplément révolutionnaire constitue un bouclier contre le Long Covid et ses symptômes apparemment interminables.
Comment ? Principalement grâce à son ingrédient principal, la Nattokinase, dont il a été scientifiquement prouvé qu'elle dissout les protéines de pointe, réduit les caillots sanguins et améliore généralement la santé en ces temps post-Covid.
Spike Support est la recommandation n°1 en tant que source de Nattokinase de Nattokinase.com de Health Consumer.
Mais la formule ne se limite pas à cela...
Sélénium, racine de pissenlit, mousse de mer d'Irlande, ainsi que des extraits de Black Sativa et de thé vert. Ensemble, ils travaillent de manière globale pour :
• Renforcez votre système immunitaire
• Réduire les niveaux de stress et le cortisol
• Atténuer l'inflammation et les dommages cellulaires...
Et attaquez-vous à la cause profonde du Long Covid, des protéines de pointe et des caillots sanguins.
Le tout présenté dans un package efficace par The Wellness Company, dirigé par le Dr Peter McCullough et le Dr Jim Thorp. Ces deux médecins courageux dénoncent fréquemment l'establishment corrompu et l'influence des Big Pharma...
Il n’est pas étonnant qu’ils aient proposé une solution que le système médical traditionnel continue d’éviter.
Et il est fabriqué ici même, aux États-Unis d'Amérique.
https://www.zerohedge.com/sponsored-post/my-concern-bioweapon-being-shed
ENCORE 3 ARTICLES CENSURÉS ! (60 - 3 = 57)
RépondreSupprimer