- ENTREE de SECOURS -



lundi 23 octobre 2023

HeikoSchöning met en garde– la prochaine attaque :les armes biologiques et les bactéries (interview AUF1 Autriche radio)

 

53 commentaires:

  1. HeikoSchöning met en garde– la prochaine attaque :les armes biologiques et les bactéries (interview AUF1 Autriche radio)


    21.10.2023
    www.kla.tv/27265


    HeikoSchöning:
    Ils ont des projets bien plus vastes, et c'est vraiment très, très menaçant. [...]
    De nouveaux projets sont en cours et je peux également vous informer aujourd'hui de la dernière révélation. [...] Ce que je peux clairement démontrer - et de nombreux autres chercheurs internationaux de qualité et intègres également - c'est ce qui se passe maintenant, ce qui s'est passé et ce qui se passe maintenant de nouveau. [...] Les premiers chefs et aussi les chefs de département de la CIA et de son prédécesseur OSS (en français : Office des services stratégiques), ils venaient effectivement des banques d'investissement. [...] Et les véritables tueurs ne sont pas des virus, mais des bactéries. Et c'est précisément ce qui se prépare. Et des milliards sont investis dans ce domaine. [...] L'entreprise actuelle qui produit les soi-disant antidotes contre les armes biologiques, contre les nouveaux agents pathogènes et aussi les vaccins à ARNm s'appelle National Resilience. Et les directeurs viennent de banques liées à la mafia et aussi directement de la CIA. [...] Et nous avons maintenant la chance, en été/automne 2023, de pouvoir justement contrer, peut-être même stopper, le nouveau crime qui sera lié à la National Resilience.

    Présentateur AUF1 Stefan Magnet :
    Cher Monsieur Schöning, merci beaucoup d'être revenu nous voir dans le studio d'AUF1.

    HeikoSchöning :
    Oui, merci beaucoup pour l'invitation. Je suis heureux d'être de retour en Autriche.

    Présentateur d'AUF1 Stefan Magnet :
    Nous entrons tout de suite à fond dans le vif du sujet, de manière bien connue, quand on observe tout ce que les groupes mondiaux, mais aussi les acteurs régionaux, nationaux, font et préparent ici, on ne peut pas avoir l'impression que la pandémie est définitivement terminée, que c'est fini avec le Covid et que 2023 n'est pas la dernière année où nous avons vécu dans un état d'urgence. Comment voyez-vous les choses ?

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  2. HeikoSchöning :
    Exactement, ce qui donne aussi tout l'arrière-plan et les noms. Ou encore le documentaire (« The Big Reset Movie ») avec le lauréat du prix Nobel Luc Montagnier, qui a justement dit dans ce documentaire que nous avons réalisé ensemble : « Le nouveau coronavirus est artificiel et provient d'un laboratoire ».

    Présentateur AUF1 Stefan Magnet :
    Maintenant, on admet cela et vous dites que cela fait partie d'une diversion planifiée. Nous allons peut-être revenir très brièvement sur ce que vous appelez le crime, que nous... - On fait circuler artificiellement une arme biologique, et ensuite il y a une réponse, un antidote, un vaccin, un traitement qui est géré par les groupes pharmaceutiques. Et dans le sillage de cela, le monde est en train d'être reconstruit, car aussi bien les marchés financiers quel'économie, les lois nationales, l'État de surveillance, tout cela a été introduit dans le sillage de ces trois années. Est-ce qu'on peut dire cela en gros ? Est-ce que c'est le déroulement approximatif ?

    HeikoSchöning:
    Oui, je pense qu'il faut revenir un peu en arrière. Quand on voit que les armes NBC - armes nucléaires, biologiques, chimiques - existaient déjà dans le monde, et que c'était menaçant. Les armes biologiques n'ont pas encore été utilisées à grande échelle, car cela n'était pas techniquement possible. Mais nous sommes désormais à l'ère des armes biologiques. Ce progrès technique est possible. Et si nous revenons en arrière, nous voyons que oui, en 1972, il y avait officiellement un bannissement des armes biologiques. Elles ne pouvaient pas être utilisées, produites, stockées, pas du tout. Et c'est curieusement le président américain Richard Nixon qui l'a dit. Seulement, ce qui est bien documenté, Richard Nixon était le meilleur magouilleur de la mafia du crime organisé mondial. Son surnom officiel était « Tricky Dick ». Oui, et effectivement Nixon n'a fait que cacher et renommer la recherche sur les armes biologiques aux États-Unis car l'un des principaux sites, aux États-Unis c'était Fort Detrick. Et que sont devenus tous ces chercheurs en armes biologiques et ces installations, ces bâtiments ? Ils ont juste été rebaptisés. Il y avait une nouvelle enseigne. Et cette enseigne s'appelait NCI, National Cancer Institute - Institut national de recherche sur le cancer. Il faut vraiment comprendre cela. Les mêmes chercheurs, les mêmes bâtiments sont restés là, et c'était maintenant officiellement de la recherche sur le cancer. Et ce que nous avons vu, c'est effectivement que dans ce domaine, le nombre de bénéfices, mais aussi de décès, a énormément augmenté. C'est un point très important qu'il faut comprendre, c'est que nous étions effectivement dans une grande préparation. Ces armes biologiques ont été suspendues. Et une couverture, c'est-à-dire une dissimulation, a été par exemplele fait que ces chercheurs en armes biologiques ont ensuite subitement fait des recherches pendant des décennies sur un vaccin contre le cancer. C'est à nouveau tombé dans l'oubli. Et pour faire le lien, nous entendons qu’on nous vantedésormais des vaccins à ARNm, c'est-à-dire des thérapies géniques réellement expérimentales contre le cancer.

    Présentateur AUF1 Stefan Magnet :
    Oui, c'est particulièrement absurde quand on pense que dans le sillage de la première campagne ARNm contre le Covid-19, les taux de cancer et de turbo-cancer ont explosé. Et tout à coup, un vaccin ARNm devrait maintenant voir le jour pour lutter à nouveau contre ce phénomène. Cela correspondrait à ce cycle criminel que vous avez évoqué. Peut-être pourriez-vous encore préciser le terme de mafia. Car les téléspectateurs qui nous voient ici pour la première fois dans cette constellation vont naturellement se demander comment un président américain était un bon magouilleur de la mafia, apparenté à Al Capone... - ou quel est le lien entre les deux ? Définissez peut-être encore une fois comment vous voyez la mafia, car c'est évidemment une thèse audacieuse.

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  3. HeikoSchöning :
    C'est effectivement bien documenté. Et on peut très bien le voir chez Richard Nixon. Il y a déjà plusieurs décennies. Richard Nixon n'appartenait pas seulement à la mafia politique, mais aussi vraiment à la mafia classique. Il avait lui-même de nombreux contacts directs et ses soutiens, ses bailleurs de fonds venaient également de ce milieu. Tout cela est aujourd'hui bien documenté dans les livres et dans la recherche. Mais cela n'a pas été porté à la connaissance du public. Mais là, on peut le voir. Et aussi la mafia de Chicago tout à fait classique avec Al Capone, Meyer Lansky, c'étaient des soutiens. Et il y a effectivement une continuité qui s'est poursuivie pendant les années de la présidence de Ronald Reagan. C'est ce que j'ai mis en lumière dans mon livre « Game Over ». On peut donc vraiment lire que Ronald Reagan est lui aussi issu de la mafia.

    Présentateur AUF1 Stefan Magnet :
    J'ai trouvé ce passage dans votre livre, j'y reviendrai plus tard, mais j'ai relevé et je voulais vous demander si ces affirmations que Ronald Reagan, la mafia Reagan, comme vous l'appelez… s'il existe une continuité passant de Nixon à Reagan, puis à l'ère de Trump,où nous rencontrons soudain le coronavirus. Y a-t-il une continuité mafia-armes biologiques ?

    HeikoSchöning :
    Oui, effectivement il y en a une. Donc Richard Nixon est celui qui a justement caché la recherche sur les armes biologiques, oui, avec Kissinger. Et tout cela n'était qu'une ruse, la recherche a continué. Ronald Reagan, oui, avec la mafia, pour ceux qui ne le croient pas vraiment, non, et qui viennent du mainstream, ce que je viens de dire était même le texte de l’émission de l'ARD de la première chaîne allemande. Il existe un documentaire ARTE à ce sujet, qui a également été diffusé sur ARD avec son propre texte. J'ai également cité l'original dans mon livre. Et là, ils disent directement, l'émission s'appelle : « Un président sur mesure - Ronald Reagan ». On peut encore le regarder. Ronald Reagan est venu de la mafia. Et c'est vraiment le cas. Et il faut imaginer cette dimension, ce que nous avons ici. Et c'est prouvé, et c'est dans le mainstream, même sur ARD. Ça n'a été diffusé qu'une fois, un dimanche soirtard, et presque personne ne le sait. Et la continuité, vous avez raison, se poursuit jusqu'au président Trump. Car aussi, comme je l'ai montré dans le livre, preuves à l'appui, le chef du personnel de facto de Donald Trump était Edwin Meese, la main droite de Ronald Reagan. Et il a placé plus de 200 de ses anciens mafieux de Reagan dans l'administration de Trump. Et je ne peux que dire que Trump n'est pas un bon. Sous Trump, ce crime du Covid a d'abord été déployé dans le monde entier et il est maintenant poursuivi par les autres. Il faut le voir comme ça.

    Présentateur AUF1 Stefan Magnet :
    Et si vous dites mafia, ça veut dire qu'il n'y a pas de scrupules, qu'on fait des affaires. Pouvez-vous me dire quel plan vous soupçonnez derrière cela ? Qu'est-ce que vous pensez qu'il y a derrière ?
    Vous avez fait de nombreuses allusions dans votre livre, vous avez cité de nombreux noms. Quelle est donc la grande stratégie derrière tout ça ? Quel est le but recherché quand vous dites que Nixon a caché la recherche sur les armes biologiques et qu'il a continué à la pratiquer alors qu'il y avait des accords selon lesquels il n'aurait plus dû le faire, etc. Qu'est-ce qui est en train de se passer ? Qu'est-ce que nous vivons, si nous vivons maintenant l'ère des armes biologiques, c'était auparavant la phase préparatoire, pendant des décennies. Maintenant ils sont prêts, maintenant ils les déploient. Quel est le but recherché ?

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  4. HeikoSchöning :
    Je dois dire clairement que je ne peux pas juger ici des motivations. C'est comme un procès, pour ainsi dire, prouvant les motivations des auteurs. C'est vraiment la partie libre, pour ainsi dire. Et je laisserais volontiers cela à d'autres. Mais ce que je peux clairement démontrer - et beaucoup d'autres bons chercheurs internationaux intègres également - c'est ce qui se passe maintenant, ce qui s'est passé et ce qui se passe maintenant de nouveau. Et avec cette recherche sur les armes biologiques, on peut maintenant cultiver des agents pathogènes qui sont par exemple émis par des prétendus terroristes. Et alors, il y a une grande panique. Et les véritables tueurs ne sont pas des virus, mais des bactéries. Et c'est justement ce qui se prépare. Et c'est là que des milliards sont investis. Et ce qui est dangereux, c'est que je peux voir que ce sont les mêmes personnes qui viennent de la même écurie. Car par exemple, l'ancienne mafia de Chicago - Meyer Lansky, Al Capone - était soutenue par une société d'investissement, donc par une banque. C'était Allen & Co. Et un directeur d'Allen & Co siège aujourd'hui au conseil d'administration de National Resilience. Et un deuxième directeur est Christopher Darby. Et il vient directement de la CIA. Christopher Darby est également membre du conseil d'administration de la CIA Officers MemorialFoundation et également chef de la société d'investissement de la CIA In-Q-Tel. Donc, encore une fois, l'entreprise actuelle qui produit les prétendus antidotes contre les armes biologiques, contre les nouveaux agents pathogènes et également les vaccins à ARNm, s'appelle National Resilience. Et les directeurs viennent de banques liées à la mafia et aussi directement de la CIA, notamment Christopher Darby.

    Présentateur de l'émission AUF1 Stefan Magnet :
    Nous avons donc maintenant une nouvelle entreprise qui entre en scène, que peu de gens connaissent, que je ne connaissais pas non plus avant cette interview, et qui est composée, comme vous le dites, de personnes ayant des contacts importants, disons, et ouvertement de directeurs de la CIA. Les services secrets sont donc impliqués. Et qu'est-ce qui est prévu maintenant ? Qu'est-ce que vous pensez, qu'est-ce que vous supposez qu'ils vont faire ?

    HeikoSchöning :
    Donc ce que nous voyons aujourd'hui, et c'est avec le communiqué de presse aussi de National Resilience - National Resilience est une toute nouvelle société de production qui est pour ainsi dire venue de rien, avec des milliards derrière elle. Les services secrets sont impliqués. Et qu'est-ce qui est prévu maintenant ? Qu'est-ce que vous pensez, qu'est-ce que vous supposez qu'ils vont faire ? Et National Resilience produit aujourd'hui des vaccins ARNm pour Moderna. Moderna est une société de couverture relativement connue et le véritable site de production, et c'est sur cela que je me concentre, sur les sites de production, le véritable site de production est maintenant devenu National Resilience. Et c'est aussi un point auquel nous pouvons nous accrocher, parce que dans un crime planifié, on peut encore changer les noms des entreprises, comme je l'avais décrit avec le crime de l’Anthrax et les crimes du Covid, c'était l'entreprise BioPort qui avait changé de nom pour devenir l'entreprise Emergent BioSolutions. J'avais mentionné tout cela dans des interviews précédentes et je l'avais également décrit dans le livre. On peut donc changer ce genre de nom. Maintenant, c'est devenu National Resilience et on peut peut-être aussi changer les personnes, ce qui est déjà plus difficile. C'est pour cela que je cite Christopher Darby.Mais ce qu'on ne peut pas vraiment changer, ce sont ces usines. Cela prend des années pour les installer et le site reste. Et si on va sur Resilience.com (https://resilience.com/), on voit aussi ces sites où ces choses sont fabriquées. Et ce n'est pas seulement maintenant que Resilience produit des vaccins ARNm pour Moderna, pour Covid-19, mais ils ont des projets bien plus ambitieux et c'est vraiment très, très menaçant.

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  5. HeikoSchöning :
    C'est effectivement le cas, j'ai déjà cité en décembre 2018, lorsque cette interview a été enregistrée, diffusée en septembre 2019, j'ai cité Emergent BioSolutions et aussi son directeur Fuad El-Hibri, un germano-libanais qui a exactement ce genre de liens avec les services secrets. C'est malheureusement ce qui s'est produit.Nous aurions pu sauver encore plus de personnes s'il y avait eu plus de soutien pour diffuser ce message. Et nous avons maintenant l'occasion, en été/automne 2023, d'enrayer, peut-être même de stopper, le nouveau crime qui sera associé à la National Resilience.Parce que, de la même manière, nous avons réussi à le faire pour une partie du plan Covid-19. C'est très important. Je voudrais juste dire aujourd'hui que ce que National Resilience prépare a moins à voir avec les virus mais plus avec les bactéries. Il s'agit justement de bactéries résistantes aux antibiotiques. Il y a des liens entre les contenus et les personnes, qui touchent même à la mafia. C'est pourquoi je demande instamment que nous disposions cette fois d'un livre dans les délais, dans lequel tout soit vraiment clair, avec les preuves et les illustrations originales. Et de préférence avant Noël. Et ça doit être possible. Car c'était tellement tragique lorsque j'ai donné cette interview en décembre 2018 et que j'ai dit qu'une panique nous attendait pour 2020 ; que la société Emergent BioSolutions serait impliquée, que Fuad El-Hibri serait impliqué. C'est exactement ce qui s'est passé. C'était essentiel. Et maintenant, ce sera National Resilience et ce sera Christopher Darby. Et pour ajouter un deuxième nom qui est important et qui fait aussi le lien entre l'ancien et le nouveau crime, c'est le directeur général, le PDG de National Resilience. Et son nom est Rahul Singhvi.Et Rahul Singhvi n'est pas seulement maintenant PDG de National Resilience, il a aussi été PDG de Novavax. Et c'est exactement ce que j'avais déjà...

    Présentateur AUF1 Stefan Magnet :
    Une entreprise de vaccins.

    HeikoSchöning :
    Oui, exactement. Et Novavax, je l'ai déjà prédit plusieurs fois, l'un de ses directeurs est Michael McManus. Michael McManus, j'ai pu le prouver, n'est pas seulement le directeur de l'entreprise de vaccins Novavax, mais aussi un trafiquant d'armes et de drogues illégales. Donc maintenant, nous avons de nouveau une connexion mafieuse. Michael McManus, Rahul Singhvi, Christopher Darby et, au centre, National Resilience.

    Présentateur AUF1 Stefan Magnet :
    Maintenant, on peut pour ainsi dire choisir si on prendra à l'avenir un vaccin de la CIA ou d'un mafieux officiel.

    HeikoSchöning :
    Oui, en effet. Et il y a aussi des dossiers judiciaires à ce sujet. Donc c'est vraiment une histoire de fou derrière tout ça. Michael McManus était également lié au cartel de la drogue Atlantis, où il travaillait. Et ils ont fourni de la cocaïne à la mère du président canadien Justin Trudeau. (« Maggie Trudeau »,UNITED STATES DISTRICT COURT DISTRICT OF MASSACHUSETTS, CIVIL ACTION NO. 2020-cv-11894, 20 octobre 2020, DENNIS SOLOMON vs. FRANK FREDRICKSON, KAMALA HARRIS, JOE BIDEN).C'est bien connu.
    Et nous avons affaire à peu de criminels. Il faut le comprendre. Et nous pouvons le prouver. Nous pouvons le diffuser, notamment avec l'aide de la télévision, afin d'avertir les gens à temps. Parce que, comme vous l'avez dit au début, le livre de l'interview que j'ai présenté sur l’Anthrax et le Coronavirus en décembre 2018, j'avais le projet de livre, il a été retardé de plus de deux ans à cause de la censure et de l'obstruction. Et nous devons maintenant sortir le nouveau avant Noël.

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  6. Présentateur AUF1 Stefan Magnet :
    Parce qu'il était déjà avec Bush à l'époque ?

    HeikoSchöning :
    C'est exact, précisément. C'est très important, les détails sont dans le livre. Mais le Dr Richard Tubb connaissait préalablement les intentions criminelles avec le Covid. Il a même fait partie de la commission américaine sur le Covid. Et ensuite il est devenu médecin et brigadier général, où ça ? Au conseil d'administration d'un groupe de cigarettes, BAT (British American Tobacco). Et British American Tobacco a une filiale qui produit quoi ? Le vaccin Covid à partir de plants de tabac génétiquement modifiés. Et c'est maintenant quelque chose de très important, que nous avons obtenu grâce à l'information et à la diffusion médiatique, qui est si importante. Ce projet de crime a été stoppé. Et cela peut faire froid dans le dos si on y réfléchit : le 1er avril 2020, le groupe BAT a déclaré dans un communiqué de presse officiel qu'il avait déjà des vaccins prêts pour juin 2020, par millions. C'était donc le plan A. Souvenons-nous, mars 2020.

    Présentateur d'AUF1 Stefan Magnet :
    Situation d'exception.

    HeikoSchöning :
    Déclaration de la pandémie. 1er avril, communiqué de presse. En juin 2020, nous aurons des millions de doses de vaccin Covid prêtes à partir de plants de tabac OGM. Et je l'avais déjà dit deux semaines auparavant, le 11 mars 2020, dans une interview. J'ai cité des noms. J'ai tenu un plant de tabac devant la caméra. Et deux semaines plus tard, le communiqué de presse officiel est sorti. C'était le plan A, si nous nous souvenons que tant de gens disaient que nous aurions rapidement un vaccin.

    Présentateur AUF1 Stefan Magnet :
    Et puis il n'y en a pas eu. Les vaccins à base de plants de tabac et de plantes transgéniques ne sont pas arrivés, il a fallu trouver un plan B qui n'a pas fonctionné de manière irréprochable. Cela a encore duré des mois avant qu’on fasse les premières injections.

    HeikoSchöning :
    C'est exact. Et il y a eu aussi de nombreux problèmes de livraison et de qualité. Et on voyait bien que ce n'était pas parfaitement planifié. Et avec cette technologie de production de vaccins à partir de plantes OGM, deux grands groupes, British Medical Tobacco et Philip Morris, le leader mondial avec son entreprise Medicago, avaient déjà prévu le coup. Et le Dr Richard Tubb, que je viens de mentionner, avait déjà en 2014 acheté Kentucky BioProcessing (KBP) pour son groupe de tabac. Il s'agit donc là encore d’une merveilleuse intuition criminelle.

    Présentateur AUF1 Stefan Magnet :
    Et ensuite, le groupe a été démantelé, fermé, et Richard Tubb a également été écarté. C'est correct.

    HeikoSchöning :
    Exactement, c’est vrai. C'est le cas de le dire. Avant, il en avait fait une vraie publicité à la télévision, et ensuite il a complètement disparu de la scène. Et une autre information : les entreprises Kentucky BioProcessing (KBP) et Medicago ont aussi été mises au rebut. Et cela bien que Medicago ait pourtant une autorisation au Canada pour le vaccin Covid-19, imaginez ça. Des milliards ont été investis, ils ont même une autorisation de vendre le vaccin Covid dans un grand pays, et ces entreprises ont été mises au rebut.
    C'est pourquoi, si nous nous concentrons sur quelques personnes clés, qui ne sont que des exécutants, mais tout de même, si nous nous concentrons sur elles, nous pourrons vraiment mettre des bâtons dans les roues de ce crime organisé.
    Et ça passe par des hommes clés comme Fuad El-Hibri, comme Richard Tubb, comme maintenant Christopher Darby et Rahul Singhvi. Mais le plus important, c’est les usines elles-mêmes, comme Emergent BioSolutions, et aujourd’hui National Resilience, avec leurs sites. Parce qu'ils ne peuvent pas changer comme ça.

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  7. Présentateur AUF1 Stefan Magnet :
    Il y a différents niveaux auxquels nous allons bientôt arriver. Je voudrais juste montrer le schéma que vous avez à la dernière page de votre livre, p 449. On y voit le fameux El-Hibri et le fameux Richard Tubb, et il y a déjà le tampon Game Over. Vous les avez pour ainsi dire déjà liquidés en 2021 et vous avez dit que le jeu était terminé parce qu'ils étaient connus. Aujourd’hui, deux ans plus tard, c'est effectivement le cas, ils ne jouent plus aucun rôle. L'un est mort ou a été tué et l'autre a été écarté. Mais maintenant, Bill Gates dit que nous devons nous efforcer, il l'écrit littéralement dans son livre, de maintenir la pandémie à l'ordre du jour. Et dans différents reportages médiatiques, comme en 2021, Bill Gates a déclaré, je cite un titre : « Bill Gates dit que le bioterrorisme et le changement climatique sont les plus grandes menaces après la pandémie. » Donc il annonce déjà qu'il y aura du bioterrorisme. Et il y a différents niveaux, c'est ce que je voulais aussi évoquer. Il y a le Forum économique mondial, les politiques, un certain Karl Lauterbach. Et vous vous concentrez sur les fabricants, sur les usines, parce que vous pensez que c'est là que nous trouverons la clé de ce qui va suivre. Et vous ciblez vraiment la CIA. Vous dites que ça a quelque chose à voir avec ça. Comment les services secrets sont-ils impliqués dans tout cela ?

    HeikoSchöning :
    Oui, on peut bien sûr remonter dans l'histoire. En fait, les services secrets américains ont été créés par Wall Street, par les banquiers d'investissement. Les premiers patrons et chefs de service de la CIA et de son prédécesseur, l'OSS, venaient effectivement des banques d'investissement. C'étaient des fils de milliardaires qui dirigeaient cela. C'étaient de vrais casse-cou.

    Présentateur AUF1 Stefan Magnet :
    Ils ont créé leurs propres services secrets.

    HeikoSchöning ;
    C'est vrai. Et c'était en particulier les avocats - Allen Dulles est connu, un avocat - qui ont aussi financé les nazis avec IG Farben. C'étaient les frères Dulles. Talbot a écrit un très bon livre à ce sujet.
    « L'échiquier du diable » de David Talbot (Westend éditions, Francfort). C'est un journaliste du New York Times. Mais il y a aussi d'autres avocats qui sont aussi importants pour toute l'histoire, comme John McCloy, qui sont extrêmement importants.
    Et presque personne ne sait que John McCloy n'a pas seulement financé Mussolini à Rome dans les années 20. Il s'est installé là-bas et a contribué à financer le fascisme. Il s'est également assis dans la loge d'honneur d'Hitler avec Göring aux Jeux olympiques de 1936. John McCloy a personnellement empêché le bombardement des voies ferrées menant à Auschwitz en tant que secrétaire adjoint à la Défense des États-Unis. C'était John McCloy.
    (Source : Kai Bird - The Chairman_ John J. McCloy& The Making of the American Establishment (2017, Simon & Schuster))

    Le beau-frère de John McCloy est également devenu le premier chancelier de la République fédérale d'Allemagne. Son beau-frère. C'était Konrad Adenauer. Tout cela remonte à si loin. Et c'est pourquoi il faut poser ces questions à des gens comme Friedrich Merz de la CDU, un ancien chef de la Constitution, qui critiquent seulement en surface, mais ne disent pas vraiment au peuple quels sont les fondements. Et encore une fois, John McCloy, qui a commis ces crimes et a donné des conseils et des propositions à neuf présidents américains, neuf en tout, a également épousé une Zinsser.

    Konrad Adenauer a épousé une Zinsser. Et lorsqu'il est arrivé en Allemagne en tant que commissaire de la Ruhr, son beau-frère, Konrad, est devenu président ou chancelier. Ce sont les bases. Et John McCloy, ses amis ont justement contribué à la création de la CIA. C'est pour ainsi dire toute la base. Et voilà à quel point tout cela est grave. C'est pourquoi la question de savoir si nous pouvons vraiment nous fier aux structures étatiques ou d'où vient la solution, cette questionest en fait assez claire. Les gens, les citoyens, doivent s'en sortir eux-mêmes.

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  8. HeikoSchöning :
    C'est exact. Des armes biologiques et aussi des armes chimiques. Colin Powell avait brandi un tube d'anthrax au Sénat américain en 2003 et avait dit : « Voilà, l'Irak en a, et c’est un informateur d'un service secret ami qui nous l'a dit. » Le service secret ami était le service de renseignement allemand BND, apparenté au « Verfassungsschutz ». Et c'était un mensonge. C'est aussi ce qui a été avéré. L'informateur lui-même, sous le nom de code Curveball, l'a admis plus tard. Et cela a causé environ un million de morts. Voilà, l'Allemagne était donc impliquée là-dedans. Et ce que nous voyons aujourd'hui, et c'est très actuel, ce que nous voyons aujourd'hui et, c'est menaçant, nous voyons le conflit entre l'Allemagne et la Russie. Et nous avons envoyé des casques, nous avons envoyé des munitions, nous avons envoyé des chars. On a toujours dit : Non, on ne fait pas ça, on n’envoie que ça. A présent, on envoie même des avions de combat. Quelle est la prochaine étape de cette escalade ? Envoyer des soldats ? Imaginez ! Des soldats autrichiens ou allemands se battant contre des soldats russes en Ukraine. Ce qu’il faut pour aboutir à ça, c'est un mensonge de guerre qui prétendrait que la Russie aurait attaqué l'Allemagne. Et c'est exactement ce que je vois : on prépare quelque chose avec un récit qui dit que la Russie aurait armé des citoyens allemands du Reich qui seraient des terroristes. C’est un acte de guerre. Nous devrions donc riposter.
    Et c’est ce qui a été préparé maintenant, car des personnes comme Johanna Findeisen, la présidente de la base du Bade-Wurtemberg, a été arrêtée. Elle est inculpée sur la base de soupçons tirés par les cheveux d’avoir pris contact avec la Russie, d'appartenir aux milieux des citoyens du Reich et elle est suspectée de terrorisme depuis de nombreux mois.
    Au centre de ces trois cercles - terrorisme, citoyens du Reich, Russie -, un nouveau mensonge de guerre est en train de naître. Et c’est ainsi que ça doit être clairement appelé.

    Présentateur AUF1 Stefan Magnet :
    Vous supposez en fait, puisque vous dites Curveball 1 et Curveball 2.0, que cela pourrait se dérouler d’une manière similaire que lors de la guerre en Irak. Les gens, surtout les citoyens d’Amérique et d’Europe, les Britanniques, n'étaient pas prêts à envahir l'Irak. On n'en voyait aucune raison, car le citoyen lambda ne connaît pas les intentions géostratégiques. Avec l'aide des services secrets, on a donc mis en scène un mensonge de guerre, à savoir des armes de destruction massive. Et vous craignez que ça puisse se produire de la même manière, en prétendant que la Russie équipe les citoyens du Reich, les conspirateurs du Covid, les opposants au régime, afin de rendre la population enfin prête : « Ah oui, maintenant nous devons nous défendre » ?

    HeikoSchöning :
    Exactement, ça c'est le récit. Et ce sont exactement ces faits que le procureur général a déjà mentionnés dans un communiqué de presse, que ces personnes auraient pris contact avec la Russie, que ce seraient des terroristes, et que divers autres agissements néfastes pouvaient leur être attribués. Et c'est précisément à partir d'une telle version éhontée, comme on le dit aussi en Autriche, qu’on peut élaborer un tel scénario. Et je ne peux que mettre en garde contre cela, ce serait Curveball 2.0. Et c'est exactement ce genre de mensonge éhonté qui est déjà passé par le sol allemand avec Curveball. On peut le vérifier. Et même la chaîne ARD a consacré un documentaire à ce sujet. Tout a commencé par un mensonge. C'est tellement important de remonter dans l'histoire.

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  9. Présentateur AUF1 Stefan Magnet :
    Ce n'était pas un jeu, parce qu'il y a eu des centaines de milliers de morts. En Irak ils souffrent encore à cause des munitions à l'uranium. Une souffrance incroyable. Et la personne qui se trouve en détention provisoire depuis des semaines, cette Madame Findeisen - nous avons essayé d'obtenir des informations du parquet. Nous allons essayer de le faire après l'interview, avant de la diffuser. Mais vous connaissez cette personne. Vous affirmez qu'il ne s'agit nid’un membre des citoyensdu Reich, ni qu'elle est dangereuse. Vous pouvez donc éventuellement ajouter quelques remarques. Est-ce que c'est typiquement une personne sur laquelle on peut coller ce genre de choses ?

    HeikoSchöning :
    Oui, je la connais parce qu'elle a participé au mouvement pour la paix. Et tous ceux qui la connaissent personnellement savent qu'elle est en fait une personne simple et chaleureuse. Et aussi cette histoire fabriquée selon laquelle elle aurait pris contact avec la Russie. Si on regarde de près ce qui s'est vraiment passé, eh bien, il est question d’un accident d'avion près d'Überlingen, au bord du lac de Constance, dans lequel 50 enfants russes ont trouvé la mort. Chaque année, une cérémonie commémorative a lieu, à laquelle participent également des diplomates russes. Et Mme Findeisen était la seule personne qui, même dans les années du Covid, avait la décence de tendre la main aux diplomates russes. Il s'agissait d'enfants morts.

    Présentateur AUF1 Stefan Magnet :
    Et maintenant, on monte ça en épingle et on dit qu'il y a des contactsétroits, bon, je comprends… Revenons encore une fois brièvement sur les services secrets. Un bref résumé: cette année, en novembre, c'est l'anniversaire de l'assassinat de John F. Kennedy. Et il est toujours question que les services secrets seraient impliqués. Quant à savoir quels services secrets, on ne peut que spéculer. Mais dans ce domaine, la recherche progresse également. Nous y accorderons également une grande attention. Pensez-vous qu'il y ait là aussi une continuité ? Et maintenant s’y ajoute encore une candidature passionnante.

    HeikoSchöning :
    Oui, en effet. Donc, non seulement c'est l'anniversaire de l'assassinat du président américain John F. Kennedy, mais son neveu Robert F. Kennedy Junior est effectivement candidat à la présidence des États-Unis. Et son père, Robert F. Kennedy, ministre de la justice et candidat à la présidence, a lui aussi été abattu. Et je connais personnellement Robert F. Kennedy Jr. Nous avons fait deux conférences de presse à Berlin en 2020. Avant cela, nous étions officieusement devant la porte de Brandebourg. J'étais allé le chercher à l'aéroport. Et puis, le 29 août 2020, nous avons parlé devant plus d'un million de personnes. Et la bonne nouvelle est, selon moi, que Robert F. Kennedy Jr. est authentique. C'est vraiment une grande chance d'avoir ainsi un candidat à la présidence réellement authentique. Et avec le nom de Kennedy, l’impact est bien sûr énorme. Et ça lui donne donc une réelle chance. Et - on peut le considérer ainsi - comme l'élection présidentielle américaine aura lieu en novembre 2024, donc à la fin de l'année prochaine, je pense qu'entre-temps, aucun projet criminel d'envergure ne sera plus lancé tant qu'il y aura un risque que Robert F. Kennedy Jr obtienne encore plus de soutien sous l'effet d'une nouvelle panique, d'une nouvelle vague de crimes. Donc, en bref, je vois là que cela nous donnerait un répit d'un an et demi environ. Et c'est précisément ce temps que nous devons utiliser maintenant, car pour une fois les comptes bancaires ne sont pas bloqués. Maintenant, nous pouvons aussi nous rencontrer physiquement. La liberté de voyager est de retour. Nous devons profiter de ce temps.

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  10. HeikoSchöning :
    Oui, alors effectivement, il y a des risques et des opportunités. Et la plus grande chance, la meilleure chose qui s'est formée au cours de ces trois ou quatre années du Covid, qui m’a positivement surpris, ce sont ces petites communautés partout en Europe qui se sont constituées sur l'ensemble du territoire. C'est comme des villages gaulois, comme dans Astérix et Obélix. La plupart du temps, il s'agit d'une trentaine de personnes, parfois 15, parfois 45, avec des domaines d'activité différents.
    Mais il y en a vraiment partout en Europe, tous les 50 kilomètres et tous les 5 kilomètres dans les agglomérations. Et comme je travaille beaucoup à l'international, je reviens de Budapest où j'ai participé à la quatrième conférence Covid, je peux en quelque sorte en faire l'expérience et parler avec ces gens. C'est un peu comme la renaissance d'une grande famille. Et ces petits villages gaulois, comme dans Astérix et Obélix, peuvent bien sûr être rasés les uns après les autres. Nous sommes nombreux, nous sommes forts, mais il nous manque la potion magique. Et la potion magique, c'est l'information.
    C'est la diffusion médiatique, comme ici, et c'est aussi la recherche de pointe qui doit être imprimée dans des livres pour mettre au point la potion magique, qui rend ces villageois - comme Astérix et Obélix et les autres habitants du village - forts et invincibles. Car ensemble, si nous sentons et nous remarquons que nous sommes nombreux, que nous sommes convaincus, alors nous avons la force, alors tous ces villages gaulois peuvent aussi se rassembler, comme nous l'avons fait deux fois de suite en août avec plus d'un million de personnes, les 1er et 29 août. Nous pouvons le faire ensemble. Et ces communautés se sont réunies. Et pour finir, je peux aussi simplement dire que nous, les citoyens, devons y arriver par nous-mêmes. Les structures, comme je l'ai mentionné aujourd'hui, McCloy, Adenauer, les services secrets - comment fonctionnent en fait les choses ou aussi les armes biologiques et la recherche sur le cancer dans leur ensemble. C'est malheureusement comme ça quand on regarde à l'intérieur. Nous ne pouvons compter que sur nous-mêmes. Et c'est pour cela qu'en fin de compte, ma formule est toujours la même : Ne plus acheter aux criminels, ne plus travailler pour les criminels, créer nos propres structures indépendantes afin que nous ne puissions plus être soumis au chantage ! Et cela passe par https://www.wirkraft-institut.net/
    Présentateur AUF1 Stefan Magnet :
    Nous prenons cela comme mot de la fin. HeikoSchöning, merci beaucoup d'avoir été là, d'être venu, d'avoir répondu à nos questions et de nous avoir donné à nouveau un aperçu passionnant. A la prochaine fois.
    HeikoSchöning :Merci beaucoup et bonne chance.
    Présentateur de l'émission AUF1 Stefan Magnet :
    Et merci d'être resté en ligne. A bientôt sur AUF1.

    de ts.
    Sources / Liens :
    Interview AUF 1 HeikoSchöning met en garde: la prochaine attaque, ce sont des armes biologiques et des bactéries

    https://www.kla.tv/fr

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    Réponses
    1. (...) Et les véritables tueurs ne sont pas des virus, mais des bactéries.(...)

      DES BACTÉRIES !! Les bactéries sont des agents qui nous défendent de l'arrivée (attaques) de microbes. Une bactérie chargée de maladies s'appelle microbe.
      Or le lutte anti-bactérienne n'est pas une lutte anti-microbes ! Les anti-biotiques nous aident à nous défende contre les microbes. Les anti bactéries sont des poisons pour notre organisme.
      Dès lors que l'on s'attaque à nos bactéries défensives il y a danger mortel.

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  11. L’Austerlitz des antivax : la campagne de vaccination 2023 fait un flop retentissant


    samedi 21 octobre 2023


    Même la presse mainstream s’en fout, c’est dire. Plus grand-monde ne tente d’intoxiquer les esprits et les corps avec ces faux vaccins, puisque la communication sur les effets secondaires a saturé les RS. La plupart des octogénaires, malgré la pression des médecins, qui sont intéressés au piquage, ne s’y risquent pas.

    Les centres d’injection géants ont disparu, comme ces collabos zélés qui faisaient la retape des produits du Big Pharma sur les trottoirs, avec tentes et tables. Quelques pousse-mousse à gel sont réapparus dans des restos et commerces, mais seuls les paranoïaques intoxiqués au dernier degré s’en servent. Une sorte de gel contre la lucidité...

    L’Express, en pointe dans la collaboration avec le ministère de la Santé, lui même en lien avec le Big Pharma, pleurniche : seuls 1,8 % des Français de plus de 65 ans, la catégorie prétendument à risque, est allée se faire shooter l’épaule avec un produit peu utile dans la plupart des cas, risqué dans les autres.

    Cela n’empêche pas le canard (encore) contrôlé par Drahi (via Alain Weill) de regretter que le chiffre soit « en deçà des attentes des autorités sanitaires dont la stratégie pour éviter un nouvel engorgement des services de réanimation cet hiver repose essentiellement sur la vaccination ». Sauf que ces autorités, plus personne ou presque ne les écoute : le lent travail d’information et de réinformation sur les réseaux sociaux a atteint son but, soit le cœur de la population, le fameux grand public, celui qui se précipitait fin 2021 pour sauver sa peau ou celle des autres, et qui en réalité la risquait avec l’ARN messager...

    Signe de l’effondrement de la confiance, cette stat :

    À titre comparatif, au 17 octobre 2022, 74,5 % des 18 ans et plus, ainsi que 82,5 % des 65 ans et plus avaient reçu leur première dose de rappel, et 31,3 % des 60-79 ans ainsi que 38,3 % des 80 ans et plus avaient reçu leur deuxième dose de rappel.

    En un an, on est passés de 80 % de la population à risque à moins de 2 %. C’est même plus un effondrement, c’est un désaveu total des autorités sanitaires, qui ne méritent plus ce nom, puisqu’elles n’ont plus aucune autorité sur les gens. C’est une victoire totale des antivax, un Austerlitz.

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  12. La preuve, le nouveau (ils se crament tous à vitesse grand V) ministre de la Santé passe pour un bouffon. Il faut dire qu’il a déclaré que le nouveau vaccin était sans effets secondaires... Autant se faire hara-kiri en place publique.

    Le karma, le karma !
    Dévbut 2019, Alain Weill reprend l’hebdomadaire. Un au plus tard, au début du covidisme, l’homme d’affaires veut doubler les ventes numériques. Deux ans plus tard, l’objectif a été divisé par deux. Fallait pas pousser les gens à la piquouze !
    Wikipédia raconte la chute de popularité du titre.

    En janvier 2020, Alain Weill annonce son plan pour L’Express. L’hebdomadaire ambitionne de devenir un genre de The Economist à la française. L’Express adoptera des prises de position plus tranchées, se démarquant ainsi de la presse magazine traditionnelle. L’idée est de traiter davantage l’international tout en se recentrant sur la politique, l’économie, le numérique, les sciences et les idées.

    Alain Weill a annoncé un budget de communication de 4 millions d’euros pour annoncer le changement de direction pris par L’Express qui visera les 200 000 abonnements numériques. Cet objectif a été divisé par deux en 2023. L’ambition à court terme est désormais « de maintenir les 100 000 abonnés, en augmentant les prix ». Le prix de vente au numéro est passé de 4,90 à 6,90 euros en deux ans.

    https://www.egaliteetreconciliation.fr/L-Austerlitz-des-antivax-la-campagne-de-vaccination-2023-fait-un-flop-retentissant-73926.html

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  13. Papillomavirus : une nouvelle campagne de vaccination qui pose question


    mercredi 4 octobre 2023


    Le docteur Philippe de Chazournes et la biostatisticienne Christine Cotton sont interrogés sur la vaccination contre le papillomavirus, alors qu’une vaste campagne de ce qui nous est présenté comme de la santé publique est lancée dans tous les collèges de France.

    - voir clip sur site (Odysee) -

    https://www.egaliteetreconciliation.fr/Papillomavirus-une-nouvelle-campagne-de-vaccination-qui-pose-question-73754.html

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  14. Au boulot, les antivax : revoilà Charlie, Buzyn et le Gardasil


    jeudi 5 octobre 2023


    En 2020, la pandémie de Covid-19 déferle sur le monde. L’économie est à l’arrêt et la population se confine. Seule l’arrivée de vaccins, en particulier ceux utilisant la technologie de l’ARN messager, change la donne. Une campagne de vaccination massive à travers le monde permet à la population de se rapprocher d’une immunité collective.

    Mais au gré des variants, le virus s’accroche et persiste. Cet été, une hausse importante des cas d’infections pousse le gouvernement à lancer une campagne de vaccination supplémentaire, ce lundi 2 octobre, afin de protéger les populations les plus à risque.

    Avec le retour de la pandémie dans le débat public, ressurgit un groupe qui s’était fait plus discret : les idéologues antivax. Particulièrement présents sur les réseaux sociaux, ceux-là n’en sont pas restés à une méfiance raisonnable et inondent l’espace virtuel de fausses informations plus délirantes les unes que les autres. Dangerosité du vaccin, implantation de puces 5G, voire pour les plus extrêmes d’entre eux intoxication volontaire de la population par le gouvernement, tout y passe.

    Ces délires pourraient prêter à sourire si leurs adeptes se contentaient d’éructer dans leur coin. Mais non contents de se livrer à une propagande soutenue visant à convaincre les plus fragiles d’entre nous, ils se livrent à de véritables campagnes de harcèlement contre des élus ou des scientifiques.

    Tel est le cas du groupe antivax « V_V », dont les membres sont en procès depuis cette semaine pour avoir violemment harcelé des élus en les traitant de nazis pour leur soutien à cette stratégie vaccinale.

    Les vaccins contre le Covid-19 nous ont permis d’entrevoir une issue à la première grande pandémie du XXIe siècle. À quand un vaccin contre la connerie ?

    Rassurez-vous, ce n’est pas de nous, mais de Charlie Hebdo. Ça ressemble furieusement à une coproduction entre le gouvernement et Big Pharma, validée par McKinsey. Tout ça de la part d’un canard qui se dit de gauche, d’opposition. Imaginez la gueule des fondateurs historiques de Charlie qui découvriraient leurs descendants se déchaînant contre les résistants d’aujourd’hui, contre les musulmans, contre les victimes du néolibéralisme... Car pour Charlie version 2, les Gilets jaunes, c’est ça :

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  15. Les exemples de Buzyn et Lacombe n’ont pas servi de leçon à Jimmy et Barrière : attirés par la lumière des médias, ils vont se cramer de la même manière que leurs prédécesseurs. Car aujourd’hui, qui se rapproche du pouvoir s’éloigne du peuple. Et finit sous escorte.

    https://www.egaliteetreconciliation.fr/Au-boulot-les-antivax-revoila-Charlie-Buzyn-et-le-Gardasil-73747.html

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  16. Qu’est-ce qui peut ralentir le coup d’État mondial de l’OMS ?


    23 octobre 2023
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Malgré certaines voix sceptiques, comme celles récemment émises par Lauterbach , l'OMS, l'ONU, l'UE et un certain nombre d'États-nations sont sur le point de promouvoir l'OMS en tant que gouvernement mondial doté de pouvoirs très étendus. Il existe également des signes positifs, tels que le scepticisme en Afrique à l’égard des plans des anciens et des nouveaux colonialistes et l’opposition de 11 États à la déclaration des Nations Unies sur la prévention, la préparation et la réponse aux pandémies (PPPR) .

    Les amendements proposés au Règlement sanitaire international de l'OMS et au traité proposé sur les pandémies ont été créés comme moyen de transférer la gestion et le contrôle des pandémies ou d'autres urgences sanitaires des États-nations à l'OMS.

    Les documents proposés exigent que les États imposent une censure basée uniquement sur le discours de santé publique de l'OMS et donnent à l'OMS de larges pouvoirs pour contrôler quels médicaments peuvent être utilisés et lesquels peuvent être supprimés afin de lutter contre un développement rapide, de contrôler la production et l'utilisation de vaccins, assurer une protection en matière de responsabilité pour ces produits, contrôler les voyages aux frontières, exiger des passeports vaccinaux et réglementer d'autres aspects de la vie qui n'ont pas encore été déterminés.

    En mai 2022, les modifications proposées par les États-Unis et l’UE au Règlement sanitaire international de l’OMS existant ont été approuvées, ce qui accélérera l’adoption des modifications futures. Cela a été convenu en coulisses lors de la réunion annuelle de 2022 de l’Assemblée mondiale de la santé et il n’y a pas eu de vote formel. La décision a été prise par « consensus », aucun pays ne s’y étant opposé.

    Les modifications adoptées en 2022 resteront soumises aux anciennes règles jusqu’à ce que les nouvelles modifications entrent en vigueur en mai 2024.

    Les anciennes règles exigeaient que les modifications entrent en vigueur 24 mois après leur adoption, et les pays disposaient de 18 mois après l'adoption pour se retirer formellement des nouvelles modifications. Pour les pays qui se désengagent, l’ancienne version du Règlement sanitaire international s’appliquera à la place de la nouvelle.

    Les changements adoptés en mai 2022 ne donnent aux pays que 10 mois pour se « retirer », et non 18 mois, et signifient que les nouveaux changements n’entrent en vigueur qu’après 12 mois, et non 24 mois. Ces nouveaux délais s’appliquent aux modifications envisagées en mai 2024. Toutefois, en vertu des règles existantes toujours en vigueur, les pays ont jusqu’à fin novembre 2023 pour se retirer des changements de 2022 qui accélèrent l’adoption des changements futurs, soit 18 mois après mai 2022 ou fin novembre 2023.

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  17. Les pays qui soumettent à l’OMS une déclaration formelle de non-participation très courte (même une phrase) aux modifications de mai 2022 continueront alors de disposer de 18 mois (et non de 10) pour se retirer des modifications futures et de 24 mois après leur adoption, et non de 12. avant que de futurs changements ne s’appliquent à leur pays.

    Cela retardera l'entrée en vigueur des changements qui devraient être adoptés en mai 2024, car leur adoption ne nécessite qu'une majorité de 50 % plus une voix des 194 membres de l'Assemblée mondiale de la santé. Au lieu d’entrer en vigueur pour les pays en mai 2025, elles ne s’appliqueront qu’en mai 2026. Et les pays qui se sont retirés des changements de 2022 disposeront d’un délai supplémentaire de 8 mois (de 10 à 18 mois) pour se retirer des changements futurs après leur approbation.

    Un retrait non seulement ralentit la « vitesse fulgurante » avec laquelle l'OMS cherche à acquérir la souveraineté sur la santé des pays et la gestion des urgences, mais envoie également le message au monde que votre pays n'est pas satisfait de l'approche de l'OMS. Cela pourrait encourager d’autres pays à faire de même et contribuerait à donner une bonne image du traité proposé et de ses amendements.

    Les petits pays peuvent le faire facilement ! Il leur suffit d’envoyer un bref avis à l’OMS avant le 1er décembre pour s’opposer aux changements de 2022 et souligner qu’ils ont besoin de plus de temps pour envisager des modifications du RSI.

    https://www.nursetogether.com/ , CC BY 4.0 , via Wikimedia Commons

    https://tkp.at/2023/10/23/was-kann-den-globalen-coup-der-who-bremsen/

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  18. Arrêts maladie : de quoi souffrent réellement les Français ?

    Depuis la crise du Covid-19, le nombre d’arrêts maladie dus à une dégradation de la santé mentale ne cesse de progresser. La quête du bien-être au travail concerne autant les employés que les entreprises.


    Par Axelle Ker
    le 23 octobre 2023 à 11h00


    la dégradation de la santé mentale représentait près de 18 % de l'ensemble des arrêts maladie en 2022.

    Arrêts maladie : quête du bien-être, la dépression chez les Français

    Dans un entretien accordé au Figaro, le dimanche 22 octobre 2023, le docteur Rémy Pécault-Charby, responsable de la Mission animation du service médical à la Caisse nationale de l'assurance-maladie (CNAM), fait le point sur les principaux motifs des arrêts maladie.

    Selon les estimations de la CNAM, la dégradation de la santé mentale représentait près de 18 % de l'ensemble des arrêts maladie en 2022.

    Ce chiffre ne cesse de progresser à l'échelle mondiale depuis la crise du Covid-19 (+28 % du nombre de cas de dépression dans le monde en 2020). Une tendance confirmée par le dernier baromètre de Santé publique (baromètre santé 2021), publié le 14 février 2023 :

    le nombre d'épisodes dépressifs chez les 18-75 ans a augmenté de près de 40 % depuis 2017.

    Aucun segment de la population n'est épargné. Néanmoins, cette hausse de prévalence des épisodes dépressifs se manifeste en particulier chez les jeunes âgés de 18 à 24 ans. Pour rappel, est considéré comme un épisode dépressif caractérisé (EDC) une période de 15 jours durant laquelle une personne a perdu presque tout centre d'intérêt.

    Les arrêts maladie dus à une dégradation de la santé mentale ont dépassé ceux qui sont dus à une infection virale, qui représentent (hors Covid) 15 % des arrêts maladie. Les maux physiques (lombalgie, sciatiques), quant à eux, ne dépassent pas les 10 % (8 % en 2022).

    À noter également, que comme le souligne le docteur Rémy Pécault-Charby, les arrêts maladie dus à une dégradation de la santé mentale durent généralement sur un temps long : environ 6 mois pour une dépression.

    Les entreprises en quête de solution...

    Cette tendance soulève des questions sur les risques psychosociaux et l'évolution du rapport au travail, qui a été exacerbée par la crise du Covid, mais aussi par l'augmentation des indemnités journalières (environ 4 % chaque année entre 2010 et 2019).

    L'allongement de la durée des arrêts de travail et l'augmentation de leur fréquence ont des répercussions financières et structurelles importantes pour les entreprises, confrontées à la gestion de l'absentéisme et à la prévention des risques :

    perte économique, perte de productivité et d'image, baisse de la motivation des autres employés, réorganisation des tâches...

    L'Assurance Maladie a engagé, dès 2018, des actions auprès des entreprises, notamment celles de plus de 150 salariés avec un nombre anormalement élevé d'arrêts de travail. Sur les 200 entreprises contactées en 2022, plus de 90 % d'entre elles ont accepté le principe d'un diagnostic et les propositions de plans d'actions préventives proposés par l'Assurance Maladie et en lien avec la Carsat (Caisse de l'Assurance Retraite et de la Santé au Travail). La prise de conscience progresse également chez les femmes dirigeantes, 30 % d'entre elles faisant de la lutte contre les risques psychosociaux une priorité. Depuis la crise du Covid, le rapport entre employeurs et salariés a changé et la quête du bien-être au travail devient l'une des principales priorités des employés, un enjeu majeur pour les entreprises.

    https://www.economiematin.fr/entreprises-arrets-maladies-depression

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  19. Une nouvelle étude du JAMA montre que ni les vaccins contre le COVID ni les vaccins contre la grippe ne réduisent le risque d'hospitalisation


    22/10/2023
    Ethan Huff


    L'Administration fédérale des anciens combattants (VA) a récemment publié une étude visant à montrer les avantages de se faire « vacciner » à la fois contre la grippe saisonnière et contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19). Le seul problème est que le journal a montré « accidentellement » exactement le contraire.

    Au lieu d'aider à réduire le risque d'hospitalisation, les vaccins contre la grippe et les vaccins contre le COVID n'ont aucun effet positif, selon l'article publié dans le Journal of the American Medical Association (JAMA).

    Avec plus de 100 000 vues, au moment d'écrire ces lignes, l'étude a examiné le risque de décès des patients VA hospitalisés pour COVID par rapport à la grippe entre le 1er octobre 2022 et le 2 mars 2023. L'âge moyen des personnes examinées dans les deux groupes étaient respectivement de 71 et 73.

    Entre le 1er octobre 2022 et le 31 janvier 2023, tous les participants à l’étude inscrits ont été admis à l’hôpital avec un COVID ou une grippe – mais pas les deux. L’étude a intentionnellement exclu les patients testés positifs pour les deux infections, bien que de nombreuses personnes inscrites aient reçu à la fois des vaccins contre le COVID et contre la grippe.

    L'étude a examiné les taux d'hospitalisation et les taux de mortalité entre les deux groupes. Ce que les chercheurs ont découvert, c’est qu’il n’y avait aucune signification statistique du capital-décès entre ceux qui reçoivent une ou deux doses de vaccins et ceux qui ne sont pas vaccinés – bien que l’article ne l’ait pas spécifiquement souligné.

    "C'est un gros problème", écrit Steve Kirsch sur son Substack. "[I]f vous avez été vacciné avec la série primaire plutôt que non vacciné, ils n'ont trouvé AUCUNE PRESTATION DE DÉCÈS STATISTIQUEMENT SIGNIFICATIVE."

    "Au mieux, le bénéfice était de 2,32/1,66, ce qui équivaut à 40 % de décès en moins, mais les chiffres étaient tout simplement trop petits pour dire qu'il était meilleur (les barres d'erreur se chevauchaient de 50 %). "

    Quant aux « boostés » par rapport aux non vaccinés, les barres d’erreur de 95 % se sont presque touchées, ce qui a permis aux scientifiques d’affirmer qu’il est probable à 95 % que les personnes boostées soient moins mortes après avoir été admises à l’hôpital et avoir attrapé le COVID – bien qu’il y ait toujours 5 pourcentage de chance qu'il n'y ait aucune différence.

    "Mais rappelez-vous que si vous recevez un boost et que vous êtes toujours en vie, il y a un biais de sélection", souligne encore Kirsch.

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  20. (Connexe : plus tôt cette année, les National Institutes of Health [NIH] ont lancé des tests sur un nouveau vaccin universel contre la grippe à ARNm fabriqué à partir d'ingrédients éditant des gènes.)

    À ce jour, aucune étude n’a encore été publiée comparant les résultats des non vaccinés de janvier 2020 aux résultats des vaccinés aujourd’hui.
    Quant à ce que l’étude n’a pas souligné, ni suivi, c’est une cohorte de personnes sélectionnées au hasard à partir de janvier 2020 avant même que le COVID ne devienne une « pandémie » officielle. Si cela avait été fait à l’aide d’une analyse de séries chronologiques, cela aurait montré les performances des vaccinés, par rapport aux non vaccinés, en termes de décès.

    "Ils ne semblent jamais vouloir faire ces études pour une raison quelconque", explique Kirsch. "Je me demande pourquoi ?"

    "Si vous voulez prouver que le vaccin fonctionne ou non, c'est comme ça qu'il faut le faire. Pourquoi personne ne l'a-t-il fait ? Se pourrait-il qu'une telle étude expose un résultat qu'aucune revue ne publierait ?"

    Une autre non-admission flagrante dans l’étude qui peut être constatée en examinant les données avec un œil inquisiteur est le fait qu’il n’y a absolument aucun avantage en matière d’hospitalisation à se faire vacciner non plus. En d’autres termes, se faire vacciner contre le COVID et la grippe ne présente aucun avantage en termes d’évitement d’une visite à l’hôpital ou de mourir prématurément – alors pourquoi se faire vacciner ?

    La meilleure chose que vous puissiez faire pour votre système immunitaire pendant cette saison grippale est de ne pas vous faire vacciner contre la grippe – et d’éviter à tout prix les vaccins contre la COVID. Apprenez-en davantage sur ChemicalViolence.com.

    Les sources de cet article incluent :

    KirschSubstack.com
    JamaNetwork.com
    Newstarget.com

    https://www.naturalnews.com/2023-10-22-jama-study-covid-jabs-flu-shots-useless.html

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  21. Soudainement et de manière inattendue : un coureur de lycée de 16 ans s'effondre et meurt après avoir remporté la course


    23 octobre 2023
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Un coureur de lycée de 16 ans originaire du Texas s'est effondré et est décédé alors qu'il courait en cross-country après avoir remporté une course, selon des informations locales. Angel Hernandez, un élève de 10e année âgé de 16 ans à l'école secondaire Chisholm Trail, est décédé subitement quelques instants seulement après avoir battu son record personnel.

    Hernandez venait de terminer une course de 5 km lors d'une réunion de district le 13 octobre lorsqu'il est décédé. Des témoins ont déclaré à KHOU que l'adolescent s'était effondré de manière inattendue peu de temps après avoir franchi la ligne d'arrivée.

    Les amis inquiets de l'adolescent l'ont emmené à une fontaine, où il s'est à nouveau effondré. Ils n’ont cependant pas réussi à le réanimer. Il a été transporté dans un hôpital local où son décès a été constaté une heure plus tard.

    Brent Brevard, qui a entraîné Hernandez lors de sa dernière année à la Chisholm Trail High School avant de prendre sa retraite, a déclaré qu'Hernandez était l'étudiant-athlète idéal. "Il travaillait dur et se souciait de ses coéquipiers", a déclaré Brevard au magazine.

    Les amis et la famille cherchent désespérément des réponses aux raisons pour lesquelles le jeune adolescent en bonne santé pourrait mourir subitement. La famille du garçon n'a pas encore reçu d'informations des médecins sur les causes de l'effondrement de l'adolescent après avoir couru l'une de ses meilleures courses.

    Les funérailles de Hernandez ont eu lieu vendredi. Lors des funérailles, la famille de Hernandez a reçu une veste universitaire, a rapporté KHOU. Plus tard dans la soirée, une minute de silence a été observée en sa mémoire lors du match de football de retour au lycée.

    L'adolescent avait également une passion pour les arts martiaux et participait à des compétitions à travers le pays, selon sa nécrologie. Son entraîneur de karaté Ashley Wood a déclaré qu'elle avait réconforté ses coéquipiers dévastés depuis sa mort.

    La liste des athlètes décédés subitement et inopinément s'allonge de plus en plus .

    https://tkp.at/2023/10/23/ploetzlich-und-unerwartet-16-jaehriger-high-school-laeufer-kollabiert-und-stirbt-nach-gewonnenem-rennen/

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  22. (I/IV) L’IA va-t-elle augmenter notre productivité et conduire à un chômage de masse ?

    Alors que ChatGPT conquiert le monde, l’inquiétude monte : sera-t-il l’architecte d’un chômage massif ou le catalyseur d’une productivité sans précédent ? Plongée dans les méandres de cette révolution technologique.


    Thomas Jestin
    le 23 octobre 2023


    Cet article est le premier d’une série de 4. Voici les liens vers la partie 2 (prochainement publiée), la partie 3 (prochainement publiée) et la partie 4 (prochainement publiée).

    Depuis le succès fou de ChatGPT lancé en novembre dernier, on ne compte plus les articles qui partagent des exemples d’utilisation plus impressionnants les uns que les autres, conduisant certains à dire qu’une vague sans précédent de destruction d’emplois se profile à l’horizon, que cela ne pourra que favoriser les plus éduqués et expérimentés, et qu’enfin ce sera encore un moyen pour les géants américains de la tech de cimenter toujours plus leur emprise sur notre monde.

    Rien n’est moins sûr, et dans pareilles circonstances il semble indiqué de détailler les raisons de penser le contraire afin de mieux appréhender cette révolution annoncée de toutes parts.

    Nous allons nous pencher sur le sujet en cinq temps :

    L’IA va-t-elle augmenter notre productivité ? (partie I)
    L’IA va-t-elle conduire à un chômage de masse ? (partie I)
    L’IA va-t-elle accentuer les inégalités entre une élite surpayée et le reste des actifs sous-payés ? (partie II)
    L’IA sera-t-elle monopolisée par Google et OpenAI ? (partie III)
    Et quid du jour où l’IA et les machines pourront faire tout ce que savent faire les humains ? (partie IV)

    L’IA va-t-elle augmenter notre productivité ?
    Il y a beaucoup de raisons de le croire. Voici quelques études concluantes :

    Cette étude de 2023 réalisée par des chercheurs d’OpenAI et de l’Université de Pennsylvanie nous dit qu’environ 80 % de la main-d’œuvre américaine pourrait voir au moins 10 % de ses tâches professionnelles affectées par l’introduction des large language models (derrière des outils comme ChatGPT), tandis que cela pourrait concerner 50 % des tâches de 19 % des travailleurs.

    Cette autre étude de 2022 constate que les ingénieurs peuvent coder jusqu’à deux fois plus vite en utilisant un outil appelé Codex, dérivé du large language model GPT-3

    Celle-ci, de 2023, conclut que de nombreuses tâches d’écriture peuvent également être effectuées deux fois plus vite grâce à l’IA générative.

    Cette expérience d’un professeur américain relate qu’il a réussi à condenser plusieurs jours de travail qualifié en 30 minutes en utilisant l’IA pour créer un site web, une campagne email, un logo, un visuel, une vidéo, des campagnes social media.

    Cette autre étude de 2023 tend à montrer, sur la base de 25 cas d’usage, que les économistes peuvent être 10 à 20 % plus productifs en utilisant les larges langages modèles.

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  23. Cette étude de septembre 2023 réalisées auprès de centaines de consultants BCG : les consultants utilisant l’IA ont terminé 12,2 % de tâches en plus en moyenne, ont terminé les tâches 25,1 % plus rapidement, et ont produit des résultats de qualité 40 % supérieure à ceux qui n’en avaient pas.

    Citons aussi cet article d’OpenAI datant de mai 2023 :

    « Il est concevable qu’au cours des dix prochaines années, les systèmes d’intelligence artificielle dépassent le niveau de compétence des experts dans la plupart des domaines et réalisent autant d’activités productives que l’une des plus grandes entreprises d’aujourd’hui. »

    Ces dernières innovations en IA se démocratisent à une vitesse inédite.

    ChatGPT est devenu le premier produit, toutes catégories confondues, à atteindre les 100 millions d’utilisateurs deux mois seulement après son lancement. N’importe qui, même avec un smartphone à bas prix, peut accéder à la version gratuite, et l’interface de tchat rend l’utilisation facile et intuitive, y compris pour les enfants et les seniors habituellement peu à l’aise avec la technologie. Cette révolution se fait depuis la base, en mode bottom up. Ethan Mollick, professeur à l’université de Wharton, explique qu’il ne compte plus les retours qu’il reçoit d’employés qui utilisent ChatGPT en secret sans le dire à leur patron.

    Il semble donc très probable que la productivité augmente dans une série de tâches, emplois et secteurs, et sans doute au niveau de l’économie toute entière, au sens de produire plus ou mieux par heure travaillée.

    Tempérons toutefois ce propos en soulignant certains vents contraires :

    Si l’IA générative peut nous produire du divertissement sur mesure toujours plus additictif, certains ne seront-ils pas encore plus distraits au travail qu’ils ne le sont déjà du fait des réseaux sociaux ?

    L’IA générative ne va-t-elle pas rendre le spam plus difficile à détecter ? Ne courons-nous pas de ce fait vers un monde où il y aura toujours plus de bruit et de difficulté à discerner des signaux utiles ? Comment cela ne pourrait-il pas nuire au développement économique ?

    Les banques, entre autres, ne vont-elles pas devoir dépenser plus pour se protéger des risques accrus de fraudes ? Induisant une hausse de leurs frais, autant de frictions de plus dans les échanges, et réduction du pouvoir d’achat des consommateurs ?

    Si l’IA générative permet de générer des plaintes et réclamations en justice bien plus facilement que jusque-là, et pour bien moins cher, ne risquons-nous pas d’assister à un judiciarisation croissante de l’économie causant toutes sortes de frictions susceptibles de la ralentir ?

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  24. Le journal The Economist citait Preston Byrne de Brown Rudnick, un cabinet d’avocats.

    « Dans les années 1970, vous pouviez conclure une transaction de plusieurs millions de dollars en 15 pages parce que tout refaire à la machine à écrire était un casse-tête. L’IA nous permettra de couvrir les 1000 cas les plus probables dans le premier projet, puis les parties se disputeront pendant des semaines. »

    L’IA va-t-elle conduire à un chômage de masse ?

    En 1900 aux États-Unis, l’agriculture employait près de 42 % de la main-d’œuvre. Grâce aux progrès techniques elle n’en représentait plus que 2 % en l’an 2000. Cela n’a pas entraîné pour autant un chômage généralisé. Une étude montre qu’aujourd’hui, aux États-Unis, 60 % des emplois n’existaient pas il y a 80 ans.

    Est-ce que ce sera différent cette fois-ci avec l’IA ? Allons-nous assister à du chômage de masse ? C’est a priori ce que peuvent laisser penser des annonces comme celle de British Telecom en mai 2023 qui prévoit de licencier 55 000 personnes d’ici à 2030, dont jusqu’à 20 % remplacées par l’IA.

    Pour dire les choses simplement : non, du moins pas tant que l’IA et les machines ne parviennent pas à remplacer TOUT ce que font les humains, ce qui nous laisse beaucoup de répit. Ce n’est pas parce qu’on pourrait soudainement produire autant qu’avant avec bien moins d’employés qu’on assisterait en net à de vastes destructions d’emplois.

    En effet, dans une économie relativement concurrentielle, produire une quantité donnée avec moins d’employés signifie qu’on vend moins cher, si bien que d’une part, on vend beaucoup plus en général, ce qui limite voire évite les pertes d’emplois dans le secteur en question ; et d’autre part, les économies faites par les consommateurs peuvent être dépensées dans d’autres secteurs, y créant de l’emploi en compensation. Ainsi, rien ne dit que le progrès technique doit nécessairement détruire massivement des emplois en net, tant que l’IA et les machines ne peuvent pas entièrement nous remplacer, précision importante.

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  25. Détaillons quelque peu

    Si les employés d’un secteur deviennent collectivement bien plus productifs grâce aux nouveaux agents conversationnels intelligents (du type ChatGPT) et à l’IA en général, et cela, rapidement et sans grand investissement en formation, cela implique que le coût de production d’un bien/service dans ce secteur doit baisser à qualité égale, ou sa qualité augmenter à coût égal, voire un mélange des deux. Autrement dit, on peut produire plus et/ou mieux à coût total égal.

    Dans un monde relativement concurrentiel qui est celui des économies prospères et innovantes comme la nôtre, cela signifie que le prix de vente finit par baisser à qualité égale, ou rester constant voire augmenter, mais avec un meilleur rapport qualité/prix (voire un mélange de meilleur prix et meilleure qualité). Les consommateurs apparaissent ainsi comme les grands gagnants.

    S’il existait une demande latente pour ces biens/services, alors la consommation explose jusqu’à saturation. C’est ce qu’on appelle l’effet rebond, défini par Wikipedia comme « l’augmentation de consommation liée à la réduction des limites à l’utilisation d’une technologie, ces limites pouvant être monétaires, temporelles, sociales, physiques, liées à l’effort, au danger, à l’organisation ».

    Si toutes les tâches ne sont pas encore automatisables, cela signifie que l’emploi peut même augmenter dans ce secteur pour un temps (et non pas nécessairement seulement pour les plus diplômés, tout dépend de ce que la machine/l’IA n’arrive pas encore à faire, voir section suivante).

    L’exemple typique est celui des distributeurs de billets, qui, loin de détruire des emplois en banque, en ont en fait créé de nombreux d’après cette étude : si les succursales bancaires nécessitaient moins d’agents, elles devenaient du même coup moins chères à opérer. Les banques en ont donc ouvertes davantage. Le personnel en agence s’est aussi moins concentré sur le comptage des espèces, et davantage sur la relation client et la vente de produits comme les cartes de crédit.

    Les progrès en IA devraient aussi permettre de proposer de nouveaux biens et services qui jusque-là étaient inconcevables ou non rentables. Si toute la production n’est pas encore automatisable, encore une fois, cela crée de l’emploi. Et on peut faire confiance à Homo sapiens pour s’inventer de nouveaux besoins sitôt satisfaits tous les autres. Nous vivons objectivement dans un monde d’abondance en France. Si on compare à il y a 300 ans, finies les famines, mais pourtant la plupart des gens continuent de ressentir des besoins à beaucoup de niveaux. L’appétit pour la nouveauté semble intarissable, on ne compte plus ces applications ou appareils dont nous nous étions bien passés jusque-là, mais qui nous deviennent indispensables.

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  26. En théorie, si l’on figeait l’offre de biens et services du moment en qualité et quantité produites par an, une productivité accrue permettrait de fournir autant, mais avec moins d’heures de travail. On aurait alors effectivement moins besoin de travailler, il y aurait moins de travail, et donc moins de revenus du travail, mais parallèlement biens et services coûteraient moins chers. En agrégat on profiterait des mêmes biens et services en travaillant moins. Nos revenus baisseraient, mais pas notre niveau de vie qui augmenterait, puisqu’on profiterait d’autant en échange de moins d’efforts.

    Et en pratique, nouveauté, meilleure qualité et meilleurs prix offerts par l’IA (et le progrès technique en général) permettent aux consommateurs de consommer plus et/ou mieux et/ou de faire des économies à dépenser dans d’autres secteurs. Quand le prix d’un bien/service baisse par exemple, davantage de consommateurs peuvent en profiter, certains de ceux qui achetaient déjà en achètent davantage, et d’autres profitent des économies pour consommer d’autres biens et services, permettant le maintien voire le développement de l’emploi en agrégat, tant que tout ne peut pas être automatisé.

    Il est probable aussi que le temps de travail moyen continue de diminuer.

    D’après l’OCDE, il était d’environ 60 heures par semaine en moyenne à la fin du XIXe siècle en France, et en dessous de 40 heures aujourd’hui. En 1930, déjà, John Maynard Keynes écrivait dans Economic Possibilities for our Grandchildren qu’en 2030 on ne travaillerait que 15 heures par semaine grâce au progrès technique.

    Je parle en agrégat, mais dans les faits il y aura évidemment un certain nombre de personnes pour qui ces transitions seront compliquées, les États vont avoir plus que jamais un rôle à jouer pour les accompagner.

    Et bien sûr, le jour où l’IA et les machines peuvent faire tout ce qu’un humain peut faire, cela change tout, nous y reviendrons en toute dernière partie.

    https://www.contrepoints.org/2023/10/23/465581-i-iv-lia-va-t-elle-augmenter-notre-productivite-et-conduire-a-un-chomage-de-masse

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    1. Depuis toujours les personnes aisées ont eu recours à l'esclavage qui - 'au fil du temps' - deviendra l'ouvrier, puis l'employé pour finir par (le bouquet !) le 'technicien de surface' !! pour le balayeur !

      La machine à laver comme celle pour faire du café nous fait gagner du temps. Demandez à vos parents, grands-parents pourquoi ils tricotaient ! ils reprisaient les chaussettes et rapiéçaient les pantalons ! Actuellement c'est plus vite fait et moins cher de jeter un vêtement troué et en acheter un autre ! Idem pour les chaussures et les 'ressemelages' ! C'est le 'progrès' !
      Donc, on a toutes et tous des esclaves. Des esclaves qui peuvent travailler 24/24 h (frigo), nous emmener loin (la voiture) et porter de lourdes charges (camions, trains, bateaux, avions).
      Pas belle la vie ?
      Mais, ces esclaves n'ont pas d'intelligence, n'ont pas le pouvoir d'améliorer les conceptions ni d'en inventer de nouvelles ! Ils ont (comme le dit le texte plus vendeur) l'intelligence artificielle ! 'Artificielle' pour qui n'existe pas et 'intelligence' pour faire croire qu'elle en a ! HAHAHAHA ! Bref, un appareil de cons qui se croirait (d'après les concepteurs) intelligent !!

      Donc, de ce côté là, on a rien à craindre puisque les machines n'ont pas de cervelles.

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  27. Près de la moitié des PDG pensent que l’IA pourrait et devrait les remplacer


    20/10/2023
    Olivia Cook


    Une enquête visant à mieux comprendre comment les professionnels se préparent à l'ère de l'intelligence artificielle (IA) a révélé que 49 % des PDG pensent que l'IA non seulement pourrait – mais devrait – les remplacer.

    Menée par edX, la principale plateforme de formation en ligne pour le perfectionnement des travailleurs, et la société de recherche Workplace Intelligence, l'enquête a également révélé que seulement 20 % des travailleurs pensent que leurs rôles pourraient être remplacés par l'IA. (Connexe : CONSIDÉREZ-VOUS AVERTI : les robots humanoïdes prétendent qu'ils pourraient diriger le monde mieux que les humains.)

    Aux États-Unis, edX a interrogé les personnes suivantes :

    Plus de 500 PDG – Responsables devant le conseil d'administration ou les parties prenantes de l'entreprise et souvent le visage public de l'entreprise, les PDG sont chargés de prendre des décisions importantes pour l'entreprise, de gérer les opérations globales et de définir l'orientation stratégique de l'entité.

    800 cadres C-suite (également appelés C-level) – Le terme est utilisé pour décrire les cadres supérieurs d'une entreprise avec « chef » dans leur titre de poste. Souvent bien payés et influents, ces cadres supérieurs de haut rang sont responsables de domaines particuliers au sein de la hiérarchie d’une entreprise.

    800 travailleurs du savoir – Ce sont des travailleurs de haut niveau qui sont payés pour gagner leur vie, contrairement aux travailleurs manuels qui sont payés pour effectuer des tâches physiques. Ils appliquent les connaissances théoriques et analytiques acquises grâce à une formation formelle, comme les architectes, les concepteurs, les ingénieurs, les analystes financiers, les avocats, les médecins, les scientifiques, etc.
    Intitulé « Naviguer sur le lieu de travail à l'ère de l'IA », certaines des conclusions du rapport sont les suivantes :

    49 % des PDG estiment que l’IA pourrait – et devrait – automatiser complètement « la plupart » ou « la totalité » de leurs fonctions professionnelles ou être remplacée par l’IA – ce qui est considéré comme une évolution souhaitable. (Connexe : L'essor des robots : 8 métiers qui seront repris par la technologie de l'IA.)

    79 % des dirigeants craignent de prendre du retard et craignent que s’ils n’apprennent pas à utiliser l’IA, ils ne seront pas préparés à l’avenir du travail avec les outils et technologies d’IA – et leurs inquiétudes s’étendent également au personnel de l’entreprise.

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  28. 49 pour cent des compétences qui existent actuellement dans leur main-d'œuvre ne seront pas pertinentes en 2025, selon les PDG et autres cadres supérieurs de l'enquête – avec 47 pour cent de leur main-d'œuvre "non préparée à l'avenir du travail" et seulement 24 pour cent pour cent de la main-d'œuvre utilisant les programmes de leur entreprise pour apprendre, développer ou mettre à niveau leurs compétences en IA.

    87 % des cadres dirigeants de la plupart des entreprises ont du mal à devancer la tendance de l'IA et ont du mal à trouver des talents possédant un sens ou des compétences en matière d'IA ; 77 % déclarent que l’IA « perturbe » leurs stratégies commerciales.

    Les PDG ne vont nulle part

    Anant Agarwal, fondateur et ancien PDG d'edX, ne croit pas à un exode massif des PDG. Il a fait valoir que les PDG pourraient gagner s’ils étaient bien préparés à travailler confortablement avec les outils et technologies d’IA.

    Agarwal a déclaré que si les perspectives étaient modifiées, les cadres supérieurs pourraient aider à remplacer les tâches les plus banales de leur responsabilité professionnelle par l'IA afin de maximiser les tâches les plus significatives (par exemple, la communication, la pensée critique, la prise de décision, l'intelligence émotionnelle, le leadership, la gestion et compétences en résolution de problèmes) pour créer des sources de revenus durables, introduire de nouveaux produits, inspirer les employés et bien plus encore.

    Cela sera particulièrement utile pour les PDG de petites entreprises. "Les petites équipes peuvent commencer à paraître beaucoup plus grandes, à condition qu'elles soient qualifiées dans l'utilisation des outils et technologies d'IA", a déclaré Agarwal.

    Dan Schawbel, associé directeur de Workplace Intelligence, a déclaré : « La solution réside dans davantage d'apprentissage et de formation. Les dirigeants qui prennent des mesures pour maîtriser l'IA seront mieux équipés pour prendre des décisions qui positionneront leur entreprise sur la voie du succès dans un secteur d'activité en constante évolution. paysage."

    Il a ajouté que certains dirigeants ont déjà pris des mesures pour modifier cela :

    41 % ont augmenté leurs budgets de formation pour les technologies d’IA et la maîtrise des outils d’IA.
    39 % exigent désormais que leurs employés apprennent les outils d'IA, développent des compétences et maîtrisent leur utilisation.

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  29. Les dirigeants sont également disposés à adoucir l’offre pour les employés qualifiés et leur maîtrise de l’IA pourrait leur apporter un élan considérable dans leur carrière :

    72 % des dirigeants estiment que leur entreprise devrait redoubler d’efforts en matière d’IA. programmes d’apprentissage et de développement au cours des deux prochaines années.

    82 % pensent que les travailleurs qualifiés en IA devraient être rémunérés en fonction de leur niveau de maîtrise de l’IA – plus les travailleurs qualifiés devraient être mieux payés.

    74 % pensent que les travailleurs experts en technologie devraient être promus plus souvent.

    82 % de ces cadres supérieurs estiment que les employés devraient être autorisés à utiliser l'IA. d'exercer plusieurs emplois.

    "Je vois cela comme une énorme opportunité pour les PDG de petites entreprises", a déclaré Agarwal. "S'ils ne voient pas l'opportunité, mais que tous les autres PDG la voient et sautent dessus et perfectionnent leurs employés dans ce domaine, ils perdront."

    Andy Morgan, responsable d'edX for business, a déclaré à Fortune : « Pour les hauts dirigeants, y compris les PDG potentiels et actuels, comprendre et exploiter l'IA sera primordial pour le succès futur. Il ne s'agit pas des humains contre l'IA, mais plutôt de la manière dont nous intégrons ces développements dans le lieu de travail pour garantir une pertinence à long terme.

    Regardez cette vidéo qui examine si l'IA générative peut remplacer les PDG.

    Cette vidéo provient de la chaîne Daily Videos sur Brighteon.com.

    Plus d'histoires connexes:

    Les gauchistes prévoient d'accorder des « droits de personne » à l'intelligence artificielle « consciente » dans un avenir proche… ce qui signifie que les logiciels d'IA pourront VOTER.

    Bienvenue dans votre avenir sans emploi… L’intelligence artificielle remplacera la moitié de tous les emplois au cours de la prochaine décennie.

    La prise de contrôle de l’IA est INÉVITABLE : les experts préviennent que l’intelligence artificielle deviendra suffisamment puissante pour contrôler l’esprit et les comportements humains.

    Sources include:

    Technocracy.News
    Press.edX.org
    Investopedia.com
    CorporateFinanceInstitute.com
    Business.edX.org
    Inc.com
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2023-10-20-nearly-half-ceos-believe-ai-replace-them.html

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  30. Emploi : la Suisse propose 85 000 postes à pourvoir immédiatement

    La Suisse, connue pour sa prospérité et sa qualité de vie, est en quête de talents. Avec un déficit de 85 000 travailleurs qualifiés, le pays lance un appel vibrant aux professionnels du monde entier.


    Par Stéphanie Haerts
    le 23 octobre 2023 à 17h30


    Les opportunités abondent en Suisse, et les salaires, débutent à 3500 euros.

    Des difficultés à recruter dans certains secteurs

    Depuis 2020, la Suisse ressent un manque criant de professionnels qualifiés. Le secteur de la santé est particulièrement touché. Un médecin sur quatre a plus de 60 ans, créant une demande urgente de nouveaux talents. Parallèlement, l'évolution rapide de la technologie a boosté la demande d'informaticiens et d'ingénieurs qualifiés. Les experts en numérique sont les bienvenus dans ce pays aux paysages pittoresques. Les salaires en Suisse varient, débutant à 3500 euros par mois et pouvant atteindre jusqu'à 6500 euros pour les professionnels qualifiés, peut-on lire sur L'internaute.

    Le tourisme et l'hôtellerie ne sont pas en reste. La Suisse, avec ses destinations touristiques emblématiques, a un besoin impérieux de professionnels pour accueillir et servir des visiteurs du monde entier. Les ouvriers qualifiés, les chauffeurs et les employés domestiques peuvent également trouver des opportunités lucratives dans ce pays européen.

    Travailler en tant que frontalier

    La Suisse n'est pas seulement une terre d'opportunité pour ses résidents. Les frontaliers, notamment les Français, peuvent travailler en Suisse tout en profitant du coût de vie français. Grâce aux accords bilatéraux, obtenir un permis G est une formalité, ouvrant la porte à des salaires élevés et des conditions de travail avantageuses.

    Cependant, travailler en Suisse exige plus que des compétences professionnelles. La maîtrise de l'allemand, de l'italien ou du suisse allemand est souvent indispensable. Les différences culturelles et professionnelles entre la France et la Suisse nécessitent une adaptabilité et une ouverture d'esprit. La ponctualité, la précision et l'autonomie sont des valeurs suisses centrales.

    Le processus de recrutement

    Pour les aspirants travailleurs, postuler directement auprès d'agences de recrutement suisses comme Adecco est une étape cruciale. Les candidats multilingues ont un avantage distinct, grâce à la nature multiculturelle de la Suisse. La préparation à intégrer la société suisse et à naviguer dans ses nuances culturelles est également essentielle.

    La reconnaissance des diplômes français peut nécessiter des démarches spécifiques. Les candidats doivent être prêts à démontrer leur adaptabilité et leur volonté d'intégrer la société suisse. Avec des opportunités dans des secteurs variés et des salaires attractifs, la Suisse se positionne comme une destination de choix pour les professionnels en quête de croissance et de prospérité.

    Pourquoi choisir la Suisse pour sa carrière ?

    Travailler en Suisse, c’est s’offrir une opportunité unique de conjuguer épanouissement professionnel et qualité de vie exceptionnelle. Le pays est réputé pour son environnement de travail de premier ordre, ses infrastructures modernes et son engagement envers l’innovation et l’excellence. Les salaires y sont compétitifs, souvent supérieurs à ceux proposés dans d’autres pays européens, permettant ainsi aux professionnels de jouir d’un niveau de vie confortable. De plus, la Suisse est célèbre pour sa sécurité, sa propreté et ses paysages à couper le souffle, offrant un cadre de vie idyllique.

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  31. La Suisse se distingue également par son marché du travail dynamique et diversifié. Les opportunités de carrière y sont nombreuses, notamment dans des secteurs clés tels que la santé, la technologie, l’hôtellerie et le tourisme. Le pays est un carrefour de talents internationaux, et son caractère multiculturel offre un environnement de travail enrichissant. Les professionnels ont l’occasion de côtoyer des collègues de divers horizons, d’échanger des idées et de collaborer dans un esprit d’innovation et de créativité. Travailler en Suisse, c’est aussi bénéficier d’un système éducatif et de formation continue de qualité, propice au développement des compétences et à l’avancement de carrière.

    https://www.economiematin.fr/emploi-suisse-propose-85000-postes-pourvoir

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  32. Quel pays a l'Internet le plus rapide au monde ?


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 23 OCTOBRE 2023 - 08H45


    Selon la ligue de vitesse haut débit 2023 de cable.co.uk, Taïwan (Chine - Taïwan est en effet, depuis 1945, régie par les lois de la république de Chine, 'ROC' en anglais), est au premier rang mondial en matière d'Internet rapide, avec une vitesse de téléchargement moyenne de 153,51 Mbps, soit légèrement devant la France, deuxième, avec 152,45 Mbps.

    - voir graph sur site -

    Infographie : Qui a l'Internet le plus rapide ? | Statiste
    Vous trouverez plus d'infographies sur Statista

    Martin Armstrong de Statista note que Taiwan était également en tête de ce classement l'année dernière. Soulignant les progrès rapides réalisés dans ce domaine, sa vitesse moyenne était alors beaucoup plus lente, de 135,88 Mbps. En 2022, le Japon occupait la deuxième place, et bien que le pays ait également connu une augmentation, le taux de croissance est bien inférieur, augmentant de seulement 2,37 Mbps – le voyant tomber en bas de la liste alors que Taïwan et les pays d’Europe et d’Amérique du Nord progressaient plus rapidement.

    Pour cette infographie, nous avons exclu les lieux comptant moins d’un million d’habitants. En incluant tous les emplacements mesurés, la petite île de Jersey, située dans la Manche, possède en moyenne le haut débit le plus rapide, avec un énorme 264,52 Mbps.

    https://www.zerohedge.com/technology/which-country-has-fastest-internet-world

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  33. Censure sur Internet, partout et à la fois


    Par Debbie Lerman
    Recherche mondiale,
    20 octobre 2023


    Autrefois, c'était une vérité universellement reconnue par les citoyens des nations démocratiques que la liberté d'expression était le fondement non seulement de la démocratie, mais de tous les droits de l'homme.

    Lorsqu’une personne ou un groupe peut censurer le discours d’autrui, il existe – par définition – un déséquilibre des pouvoirs. Ceux qui exercent le pouvoir peuvent décider quelles informations et quelles opinions sont autorisées et lesquelles doivent être supprimées. Afin de maintenir leur pouvoir, ils supprimeront naturellement les informations et les opinions qui remettent en question leur position.

    La liberté d’expression est le seul moyen pacifique de demander des comptes à ceux qui sont au pouvoir, de contester les politiques potentiellement néfastes et de dénoncer la corruption. Ceux d’entre nous qui ont le privilège de vivre dans des démocraties comprennent instinctivement cette valeur presque sacrée de la liberté d’expression dans le maintien de nos sociétés libres et ouvertes.

    Ou bien nous ?

    Il est alarmant de constater que de nombreuses personnes dans ce que nous appelons les pays démocratiques perdent cette compréhension. Et ils semblent prêts à céder leur liberté d’expression aux gouvernements, aux organisations et aux grandes entreprises technologiques qui, soi-disant, doivent contrôler le flux d’informations pour assurer la « sécurité » de chacun.

    Le lieu de l’inquiétant abandon de la liberté d’expression est la place publique mondiale du XXIe siècle : Internet. Et les raisons invoquées pour permettre aux personnes au pouvoir de restreindre notre liberté d’expression sur Internet sont : la « désinformation » et le « discours de haine ».

    Dans cet article, je passerai en revue le processus en trois étapes par lequel les lois anti-désinformation sont introduites. Ensuite, j’examinerai certaines des lois mises en œuvre presque simultanément dans plusieurs pays, et ce que ces lois impliquent en termes d’augmentation considérable du potentiel de censure du flux mondial d’informations.

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  34. Comment adopter des lois sur la censure
    Étape 1 : Déclarer une menace existentielle pour la démocratie et les droits de l’homme

    Étape 2 : Affirmer que la solution protégera la démocratie et les droits de l’homme

    Étape 3 : Adopter rapidement et à l’unisson une censure antidémocratique et anti-droits de l’homme

    Les mensonges, la propagande, les « deep fakes » et toutes sortes d’informations trompeuses ont toujours été présents sur Internet. Le vaste centre d’information mondial qu’est le World Wide Web offre inévitablement des opportunités aux criminels et à d’autres acteurs néfastes, notamment les trafiquants sexuels d’enfants et les dictateurs maléfiques.

    Dans le même temps, Internet est devenu le lieu central d'un discours ouvert pour la population mondiale, démocratisant l'accès à l'information et la possibilité de publier ses opinions auprès d'un public mondial.

    Le bon et le mauvais sur Internet reflètent le bon et le mauvais dans le monde réel. Et lorsque nous régulons le flux d’informations sur Internet, nous devons appliquer le même équilibre prudent entre le blocage des acteurs véritablement dangereux et le maintien d’un maximum de liberté et de démocratie.

    Il est regrettable de constater que les récentes lois régissant l’information sur Internet vont dans le sens d’une limitation de la liberté d’expression et d’un renforcement de la censure. La raison, affirment les régulateurs, est que les fausses nouvelles, la désinformation et les discours de haine constituent des menaces existentielles pour la démocratie et les droits de l’homme.

    Voici des exemples de terribles avertissements, émis par de grandes organisations internationales, concernant les menaces catastrophiques pour notre existence, prétendument posées par la désinformation :

    La propagande, la désinformation et les fausses nouvelles peuvent polariser l’opinion publique, promouvoir l’extrémisme violent et les discours de haine et, en fin de compte, saper les démocraties et réduire la confiance dans les processus démocratiques. – Conseil de l'Europe

    Le monde doit s’attaquer aux graves dommages causés à l’échelle mondiale par la prolifération de la haine et des mensonges dans l’espace numérique. – Nations Unies

    Les discours de haine et la désinformation en ligne incitent depuis longtemps à la violence, et parfois à des atrocités de masse. – Forum économique mondial (WEF)/The New Humanitarian

    Considérant le danger existentiel de la désinformation et du discours de haine, ces mêmes groupes affirment que toute solution favorisera évidemment le contraire :

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  35. Face à une telle menace mondiale, nous avons clairement besoin d’une solution mondiale. Et bien entendu, une telle solution renforcerait la démocratie, protégerait les droits des populations vulnérables et respecterait les droits de l’homme. – FEM

    En outre, au-delà de la simple affirmation selon laquelle le renforcement de la démocratie et le respect des droits de l’homme font partie intégrante de la lutte contre la désinformation, le droit international doit être invoqué.

    Dans sa note d'orientation politique commune de juin 2023, intitulée Intégrité de l'information sur les plateformes numériques , l'ONU détaille le cadre juridique international pour les efforts visant à lutter contre les discours de haine et la désinformation.

    L'image est une capture d'écran du rapport de l'ONU

    - voir sur site -

    Premièrement, il nous rappelle que la liberté d’expression et d’information sont des droits humains fondamentaux :

    L'article 19 de la Déclaration universelle des droits de l'homme et l'article 19 (2) du Pacte protègent le droit à la liberté d'expression, y compris la liberté de rechercher, de recevoir et de répandre des informations et des idées de toutes sortes, sans distinction de frontières et par l'intermédiaire de tous médias. .

    Liée à la liberté d’expression, la liberté d’information est en soi un droit. L’Assemblée générale a déclaré : « La liberté d’information est un droit humain fondamental et constitue la pierre de touche de toutes les libertés auxquelles les Nations Unies sont consacrées. » (p. 9)

    Ensuite, le document de l’ONU explique que la désinformation et les discours de haine sont des maux si colossaux et si universels que leur existence même est contraire à la jouissance de tout droit de l’homme :

    Le discours de haine a été un précurseur de crimes atroces, notamment le génocide. La Convention de 1948 pour la prévention et la répression du crime de génocide interdit « l’incitation directe et publique à commettre le génocide ».

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  36. Dans sa résolution 76/227, adoptée en 2021, l'Assemblée générale a souligné que toutes les formes de désinformation peuvent avoir un impact négatif sur la jouissance des droits de l'homme et des libertés fondamentales, ainsi que sur la réalisation des objectifs de développement durable. De même, dans sa résolution 49/21, adoptée en 2022, le Conseil des droits de l'homme a affirmé que la désinformation peut nuire à la jouissance et à la réalisation de tous les droits de l'homme.

    Ce labyrinthe alambiqué de jargon juridique mène à une séquence illogique absurde et contradictoire :

    Tout ce que l’ONU est censée protéger est fondé sur la liberté d’information, qui, avec la liberté d’expression, est un droit humain fondamental.
    L’ONU estime que les discours de haine et la désinformation détruisent tous les droits humains.
    PAR CONSÉQUENT, tout ce que nous faisons pour lutter contre les discours de haine et la désinformation protège tous les droits de l’homme, même si cela abroge les droits fondamentaux de la liberté d’expression et d’information, dont dépendent tous les autres droits.
    Parce que : génocide !
    En pratique, cela signifie que, même si l’ONU a considéré à un moment donné de son histoire la liberté d’expression et d’information comme fondamentale pour tous les autres droits, elle estime désormais que les dangers du discours de haine et de la désinformation éclipsent l’importance de protéger ces droits.

    La même déformation des valeurs démocratiques, telle que définie par notre instance dirigeante internationale, se produit désormais dans les démocraties du monde entier.

    Les lois et les actions de censure se produisent toutes maintenant

    Si les discours de haine et la désinformation sont les précurseurs d’inévitables horreurs génocidaires, la seule façon de protéger le monde passe par un effort international coordonné. Qui devrait mener cette campagne ?

    Selon le WEF , « les gouvernements peuvent apporter certaines des solutions les plus significatives à la crise en adoptant des réglementations de grande envergure ».

    C'est exactement ce qu'ils font.

    États-Unis

    Aux États-Unis, la liberté d'expression est inscrite dans la Constitution, il est donc difficile d'adopter des lois qui pourraient la violer.

    Au lieu de cela, le gouvernement peut travailler avec des organisations universitaires et non gouvernementales pour forcer les sociétés de médias sociaux à censurer les contenus défavorisés. Le résultat est le Complexe Censure-Industriel , un vaste réseau de groupes « anti-désinformation » universitaires et à but non lucratif proches du gouvernement, tous ostensiblement mobilisés pour contrôler la parole en ligne afin de nous protéger de ce qu’ils considèrent comme la prochaine calamité annihilatrice de civilisation.

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  37. Les fichiers Twitter et les récentes affaires judiciaires révèlent comment le gouvernement américain utilise ces groupes pour faire pression sur les plateformes en ligne afin qu'elles censurent les contenus qui ne leur plaisent pas :

    Fichiers Twitter sur Covid

    Découverte dans le procès de censure Missouri contre Biden Covid
    Découverte potentielle dans le procès Berenson contre Biden

    Google

    Dans certains cas, les entreprises peuvent même prendre sur elles de contrôler le discours en fonction de leurs propres politiques et valeurs déclarées, sans avoir besoin d’une intervention gouvernementale. Par exemple : Google, la société d’information la plus puissante au monde, aurait corrigé ses algorithmes pour promouvoir, rétrograder et faire disparaître du contenu conformément à des directives internes « d’équité » non divulguées.

    Cela a été révélé par un lanceur d'alerte nommé Zach Vorhies dans son livre presque totalement ignoré, Google Leaks , et par Project Veritas, dans une opération d'infiltration contre Jen Gennai , responsable de l'innovation responsable de Google.

    Dans leur désir bienveillant de nous protéger des discours de haine et de la désinformation, Google/YouTube a immédiatement supprimé la vidéo originale du Projet Veritas d'Internet.

    Union européenne

    La loi sur les services numériques est entrée en vigueur le 16 novembre 2022. La Commission européenne se réjouit que « les responsabilités des utilisateurs, des plateformes et des pouvoirs publics soient rééquilibrées selon les valeurs européennes ». Qui décide quelles sont les responsabilités et quelles sont les « valeurs européennes » ?

    les très grandes plateformes et les très grands moteurs de recherche en ligne [sont obligés] de prévenir toute utilisation abusive de leurs systèmes en prenant des mesures fondées sur les risques et en effectuant des audits indépendants de leurs systèmes de gestion des risques
    Les pays de l'UE auront le rôle principal de [surveillance], soutenu par un nouveau Conseil européen des services numériques.
    David Thunder, collaborateur de Brownstone, explique comment la loi offre un potentiel de censure essentiellement illimité :

    Ce projet de loi tient la liberté d’expression en otage des penchants idéologiques de responsables européens non élus et de leurs armées de « signaleurs de confiance ».

    La Commission européenne se donne également le pouvoir de déclarer l’état d’urgence à l’échelle européenne, ce qui lui permettrait d’exiger des interventions supplémentaires des plateformes numériques pour contrer une menace publique.

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  38. Royaume-Uni

    Le projet de loi sur la sécurité en ligne a été adopté le 19 septembre 2023. Le gouvernement britannique déclare : « Il rendra les sociétés de médias sociaux plus responsables de la sécurité de leurs utilisateurs sur leurs plateformes. »

    Selon l'organisme de surveillance d'Internet Reclaim the Net , ce projet de loi constitue l'une des attaques les plus importantes contre la vie privée et la liberté d'expression dans une démocratie occidentale :

    Le projet de loi confère au gouvernement un pouvoir énorme ; la capacité d'exiger que les services en ligne utilisent un logiciel approuvé par le gouvernement pour analyser le contenu des utilisateurs, y compris les photos, les fichiers et les messages, afin d'identifier le contenu illégal.

    L’ Electronic Frontier Foundation , une organisation à but non lucratif dédiée à la défense des libertés civiles dans le monde numérique, prévient : « la loi créerait un modèle de répression dans le monde entier ».

    Australie

    Le projet de loi 2023 modifiant la législation sur les communications (lutte contre la désinformation et la désinformation) a été publié sous forme de projet le 25 juin 2023 et devrait être adopté d'ici la fin de 2023. Le gouvernement australien déclare :

    Les nouveaux pouvoirs permettront à l’ACMA [Australian Communications and Media Authority] de surveiller les efforts et d’exiger que les plateformes numériques en fassent davantage, plaçant ainsi l’Australie à l’avant-garde dans la lutte contre la désinformation et la désinformation préjudiciables en ligne, tout en équilibrant la liberté d’expression.

    Reclaim the Net explique :

    Cette législation confère un large éventail de nouveaux pouvoirs à l’ACMA, notamment l’application d’une « norme » à l’échelle de l’industrie qui obligera les plateformes numériques à supprimer ce qu’elles considèrent comme de la désinformation ou de la désinformation.

    Rebekah Barnett, contributrice de Brownstone, précise :

    De manière controversée, le gouvernement sera exempté des lois proposées, tout comme les médias professionnels, ce qui signifie que l’ACMA n’obligera pas les plateformes à contrôler la désinformation et la désinformation diffusées par le gouvernement officiel ou par des sources d’information.

    La législation permettra la prolifération de récits officiels, qu’ils soient vrais, faux ou trompeurs, tout en supprimant la possibilité pour les récits dissidents de rivaliser.

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  39. Canada

    La Loi sur la diffusion en continu en ligne (projet de loi C-10) est entrée en vigueur le 27 avril 2023. Voici comment le gouvernement canadien la décrit, en ce qui concerne le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) :

    La législation précise que les services de diffusion en continu en ligne relèvent de la Loi sur la radiodiffusion et garantit que le CRTC dispose des outils appropriés pour mettre en place un cadre réglementaire moderne et flexible pour la radiodiffusion. Ces outils incluent la possibilité d'établir des règles, de recueillir des informations et d'attribuer des sanctions en cas de non-conformité.

    Selon Open Media , une organisation communautaire de défense des droits numériques,

    Le projet de loi C-11 donne au CRTC un pouvoir de réglementation sans précédent pour surveiller tout le contenu audiovisuel en ligne. Ce pouvoir s’étend jusqu’à pénaliser les créateurs de contenu et les plateformes et, à travers eux, les créateurs de contenu qui ne s’y conforment pas.

    Organisation Mondiale de la Santé

    Dans sa proposition de nouveau traité sur la pandémie et dans les amendements à son Règlement sanitaire international, qu'elle espère tous adopter en 2024, l'OMS cherche à inciter les gouvernements membres à

    Combattre et traiter les impacts négatifs de la désinformation, des discours de haine et de la stigmatisation liés à la santé, en particulier sur les plateformes de médias sociaux, sur la santé physique et mentale des personnes, afin de renforcer la prévention, la préparation et la réponse aux pandémies, et de favoriser la confiance dans les systèmes de santé publique. et les autorités.

    David Bell , collaborateur de Brownstone , écrit que cela donnera essentiellement à l'OMS, un organisme international non élu,

    pouvoir de qualifier des opinions ou des informations de « mésinformation ou désinformation », et d'exiger des gouvernements des pays qu'ils interviennent et mettent fin à une telle expression et diffusion. Ceci… est bien sûr incompatible avec la Déclaration universelle des droits de l'homme , mais celle-ci ne semble plus être un principe directeur pour l'OMS.

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  40. (...) L’ONU estime que les discours de haine et la désinformation détruisent tous les droits humains. (...)

    Si l'injure est considérée comme étant un crime... je serais mort 10 000 fois !
    Par contre, le nano-groupuscule de siègeants à l'ONU ne demande l'avis DE PERSONNE pour parler des Droits Humains !! Çà alors !

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  41. Les risques auxquels nous sommes confrontés dans un monde devenu fou : les récits d’État sont toujours des mensonges


    Par Gary D. Barnett
    23 octobre 2023


    « Les gens ne s’attendent pas à trouver la chasteté dans un bordel. Pourquoi alors s’attendent-ils à trouver de l’honnêteté et de l’humanité dans un gouvernement, un ensemble d’institutions dont le mode opératoire consiste à mentir, à tricher et, le cas échéant, à assassiner ceux qui résistent ?
    ~ HL Menchen

    (Remarque : toutes mes excuses aux prostituées, qui sont bien au-dessus de tout politicien)

    Je pense qu’il convient de souligner quelques-uns des nombreux risques auxquels nous sommes confrontés dans ce monde rongé par le mensonge. La malhonnêteté poursuivie et perpétuée par tout gouvernement utilise de fausses causes et effets afin non seulement de tromper les gens, mais aussi d’utiliser le mensonge de cause initial afin d’obtenir l’effet pervers prémédité qu’ils recherchent. Cela ne fait aucun doute, comme toute vision de l’histoire, passée ou présente, le confirmera certainement, car nous vivons à une époque de pure tromperie, de mensonges, de manipulation, de contrôle, de terreur et de meurtre par l’État ; tous les États.

    Réfléchissons à certaines des atrocités qui nous ont été infligées, dont la faute incombe certainement à la classe dirigeante composée d’oligarques, de politiciens et de leurs exécutants brutaux au sein de la police, de l’armée et des hideux services de « renseignement ». Mais cela retombe également sur tous ceux qui composent les masses, qui ont permis que cela se produise sans résistance active. Cette indifférence est plus aiguë aujourd’hui à l’échelle mondiale qu’à tout autre moment de l’histoire. C’est non seulement décourageant, mais complètement pathétique.

    Premièrement, il est important de souligner que ces atrocités commises au cours de l’existence humaine par les gouvernements et les dirigeants, avec l’aide et la complicité de la population en général, en disent peu sur le prétendu bien de l’homme. Oui, beaucoup ont été trompés, mais comment tant de gens peuvent-ils être trompés pendant si longtemps ? des milliers d'années en fait ? Cette situation semble impossible, mais un regard sur la situation actuelle devrait apaiser tous ceux qui croient encore que la plupart des hommes désirent être libres et sans agression. Certes, les masses ont été délibérément abruties et endoctrinées, de sorte que moins de résistance est évidente, mais encore une fois, cela a été volontairement accepté par la population en général, donc l'honnêteté et la logique indiqueraient que si seulement une majorité mineure était en désaccord, elle dirait non aux structures de gouvernement. , non à l’agression, et ne soutiendrait aucune activité violente, agression ou ordre mandaté par l’État, la tyrannie prendrait fin très rapidement. Malheureusement, cela ne s’est jamais produit et nous nous trouvons donc dans la pire situation possible, celle qui garantit le risque le plus mortel pour nos vies.

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  42. À cela s’ajoutent des émeutes planifiées, des incendies de villes, des pillages, des vols, des bandes de criminels se faisant appeler Black Lives Matter et Antifa, commettant des actes de terreur. Désormais, des bandes organisées de voleurs sont autorisées à détruire et à voler sans aucun risque de poursuites, les squatteurs sont protégés tandis que les propriétaires sont maltraités. Les troubles civils sont généralisés et la criminalité monte en flèche. Beaucoup ne se sentent pas en sécurité chez eux ou dans les rues de leur ville. Tout cela a été accepté et sanctionné par cette ordure gouvernementale, qui tolère et autorise intentionnellement un tel comportement.

    Ensuite, il y a eu la pression du gouvernement et des médias en faveur de comportements illicites, de la mise en scène d’un mouvement transgenre, de la destruction de tous les hommes, en particulier des hommes blancs, suivie par la destruction des femmes également, afin d’avoir une société « neutre en termes de genre ». Les ondes, les événements sportifs, les publications et promotions médiatiques, le soutien politique ; tous dans le monde et d’un seul coup, étaient au courant de cette folie d’un soi-disant mouvement qui ne représente qu’une fraction de 1% de la population. Il s’agit d’une tentative évidente de promouvoir des programmes de division et, en même temps, de saper toute la moralité de la majeure partie des sociétés ; voilà si une quelconque moralité a survécu aux assauts de cette hystérie démente.

    Nous avons eu de nombreux déraillements de trains suspects avec d'horribles déversements de produits chimiques, des incendies intentionnels (incendies criminels) ou des destructions provoquées par des micro-ondes dans le monde entier, dans des endroits comme la Californie, le Canada, Hawaï, la Grèce, la Turquie, la Chine et bien d'autres. La pulvérisation de métaux et de produits chimiques censés bloquer la lumière du soleil est en cours et se déroule aux quatre coins de la planète. L’ingénierie météorologique semble être omniprésente, manipulant des événements extrêmes imputés à un faux « changement climatique » d’origine humaine.

    La numérisation de la vie est en cours, car les systèmes monétaires et les faux systèmes de monnaie fiduciaire sont voués à l’échec au profit d’une monnaie numérique entièrement traçable. Les banques centrales du monde entier sont pleinement impliquées, et la destruction et l’élimination des espèces et de l’argent réel sont sans fin. La monnaie numérique de la banque centrale (fausse monnaie CBDC), destinée uniquement au contrôle de l’humanité, progresse continuellement et la plupart ne semblent pas s’en soucier. La mise en œuvre généralisée de ce principe éliminerait en soi la liberté.

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  43. Et puis, comme toujours, il y a la guerre. Plus récemment, l’escalade d’une fausse guerre a été entreprise en Ukraine, qui semble être une opération des États-Unis et de la CIA, avec la participation du gouvernement israélien et du Mossad. Je pense que la même chose est non seulement probable, mais certaine, avec cette attaque sous faux drapeau en Israël. Il est impossible de connaître toute la vérité, car les mensonges inondent toutes les informations et conversations politiques. Il suffit de dire que c’est exactement le plan, car cette horrible situation conduit à un génocide massif du peuple palestinien à Gaza, tout cela à dessein. Mais le risque est d’autant plus mortel que nous sommes désormais confrontés à une guerre régionale dans tout le Moyen-Orient et, très probablement, à une nouvelle guerre mondiale impliquant l’Iran. En raison du gouvernement belliciste pervers des États-Unis et du soutien inconditionnel à l’Israël sioniste, la situation pourrait considérablement s’intensifier, impliquant non seulement l’Iran et d’autres États du Moyen-Orient, mais également les forces de l’OTAN, la Russie et la Chine. Rien d'autre que l'enfer ne pourrait provenir d'un tel mal.

    Gardez à l’esprit qu’il ne s’agit là que d’une liste très partielle des atrocités commises au cours des quatre dernières années seulement. Beaucoup de choses se sont passées avant, et beaucoup se passeront dans le futur, et cela ne peut qu’engendrer des menaces, de la terreur et la mort de millions, voire de milliards de personnes. Est-ce que cela a été le plan depuis le début, ou tout est-il la conséquence d’événements inattendus ? Le premier est tout ce qui a du sens, et cela devrait être compris par tous ceux qui conservent encore une capacité de raisonner et de penser de manière critique, ce qui, malheureusement, n’est encore que très rare.

    L’État et ceux qui le contrôlent mentent sans cesse, trichent, volent, pervertissent, incarcèrent, torturent et assassinent tous ceux qui se trouvent sur leur passage. Il n’a d’utilité pour personne, est pervers jusqu’à la moelle et utilisera comme fourrage toute l’humanité afin de faire avancer ses infâmes programmes mondialistes. Le mal doit être étouffé, il doit être éliminé partout où il apparaît, et prendre parti pour des États ou des gouvernements dans une guerre brutale est l’antithèse de tout progrès en matière de liberté, de raison et de moralité. Tout renforcement du gouvernement ou de l’État, ou de ses politiques et guerres, cautionne le mal et est donc le mal. Oui, il y a toujours de grandes victimes, pour la plupart innocentes, mais en prenant parti, on soutient les monstres qui perpétuent la terreur. Les individus doivent être du côté d’eux-mêmes et d’autres individus innocents, et jamais du côté de l’État ou de l’État-nation.

    Aucune solution politique n’existe et, en fait, ne peut qu’aggraver la situation. Demander à votre maître de vous sauver, de vous réformer, de diminuer son pouvoir, d'enquêter sur lui-même et de se punir lui-même est l'état d'esprit d'un imbécile, donc soutenir n'importe quel politicien, n'importe quelle élection ou n'importe quel État est la manifestation d'un état d'esprit déchu. et des gens réduits en esclavage. Trump, Biden, Netanyahu ou tout autre déchet politique ne résoudront jamais ces problèmes, alors arrêtez de leur donner le pouvoir qu’ils cherchent à vous détruire. Au lieu de cela, détruisez-les ainsi que leur capacité à vous gouverner.

    "Les autorités ? Les autorités ?" J'ai ri. « Pourquoi les gens pensent-ils que les autorités sont une sorte de dieux dotés soit d’une grande justice, soit d’un mal grand et rusé, plutôt que les mêmes imbéciles laborieux qu’ils voient dans leur vie quotidienne, et surtout dans leurs miroirs ?
    ~ Author: Richard Ben Sapir

    https://www.lewrockwell.com/2023/10/gary-d-barnett/the-risks-we-face-in-a-world-gone-mad-state-narratives-are-always-lies/

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    1. (...) Mais cela retombe également sur tous ceux qui composent les masses, qui ont permis que cela se produise sans résistance active. Cette indifférence est plus aiguë aujourd’hui à l’échelle mondiale qu’à tout autre moment de l’histoire. C’est non seulement décourageant, mais complètement pathétique. (...)

      En l'absence de Démocratie dans le monde (sauf en Suisse), les dictateurs font ce qu'ils veulent.

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  44. Un scientifique de l’Arctique réfute la « crise climatique » et met en garde contre une ère glaciaire à venir


    23 octobre 2023
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Il existe désormais toute une série de thèses scientifiques qui pointent vers le début d’une petite période glaciaire. Ces thèses sont étayées par des observations de l'activité solaire au cours des 20 dernières années. Sur cette base, une réduction supplémentaire du rayonnement solaire total est calculée. La crise climatique, attendue dans les modèles de l’ONU et de l'IPCC, serait donc complètement différente de celle annoncée, avec un refroidissement au lieu d’un réchauffement.
    C’est ce qu’affirme un scientifique arctique de renommée mondiale, réfutant le récit de la « crise climatique » et avertissant le public que la Terre se dirige en réalité vers une période de « refroidissement global ». Andrey Fedotov, expert polaire de la branche sibérienne de l'Académie des sciences de Russie, a expliqué que « le réchauffement va bientôt prendre fin et la planète entrera dans une ère glaciaire ».

    « Nous allons inévitablement entrer dans une période de froid défavorable » , a-t-il prévenu, selon l'Académie russe des sciences (RAS). Selon Fedotov, directeur de l'Institut limnologique de l'Académie russe des sciences de Russie, la période de « froid défavorable » débutera vers 2030.

    Fedotov a lancé cet avertissement dans un communiqué publié par l'Académie scientifique russe (RAS), la principale institution scientifique du pays.

    Selon le communiqué, Fedotov a déclaré :

    « Le réchauffement va bientôt prendre fin.

    « Et la cause n’est pas l’homme, mais l’interaction entre le soleil et la terre.

    "Actuellement, nous sommes dans une période favorable, mais nous allons inévitablement passer à une période [froide] défavorable... vers 2030-2035."

    Fedotov, docteur en sciences géologiques et minéralogiques, a évoqué ses études sur le lac Baïkal et les époques climatiques historiques.

    « Lorsque l'ère glaciaire arrivera, vous le ressentirez immédiatement », prévient-il.

    Fedotov a exhorté le public à se préparer, car le froid attendu aurait de graves conséquences sur les approvisionnements alimentaires mondiaux.

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  45. Dans une interview avec RAS, Fedotov a expliqué ses conclusions.

    ABSTRAIT:

    Académie russe des sciences (RAS) : « En d’autres termes : ce qui nous attend n’est pas un réchauffement, mais un refroidissement. Et quand ?"

    Andreï Fedotov : « Nous sommes maintenant dans une période prospère, mais nous allons passer à une période défavorisée.

    «C'est inévitable. Mes estimations sont que la transition aura lieu entre 2030 et 2035. »

    RAS : « Donc l’ère glaciaire est déjà là, mais nous ne l’avons pas encore ressentie ?

    Fedotov : « Non. Quand elle viendra, vous la sentirez immédiatement.

    RAS : « Et que dois-tu faire maintenant ?

    « Préparer des bottes en feutre, des vêtements chauds, des radiateurs ?

    Fedotov : « Je commencerais par la nourriture.

    "Si vous mourez de faim dans des bottes de feutre, vous ne tiendrez pas longtemps."

    Alors que les médias occidentaux continuent de promouvoir l’image de la « crise climatique » auprès du public, les chaînes russes évoquent rarement les arguments de l’agenda vert.

    Les téléspectateurs russes supposeraient que le « changement climatique » n’est pas un fait reconnu.

    Le président russe Vladimir Poutine a également exprimé des opinions mitigées sur le climat au cours de ses deux décennies au pouvoir. En 2003, Poutine a plaisanté en disant que les Russes n’auraient pas besoin d’acheter autant de manteaux de fourrure si le réchauffement climatique était réel.

    En 2019, il a déclaré qu’il était prouvé que le réchauffement était causé par l’homme et a affirmé que « personne ne connaît les causes du changement climatique mondial ».

    Comme indiqué, une résolution de mai 2023 de l’Académie des sciences de Russie pourrait avoir des conséquences considérables sur la politique internationale. Selon de nouvelles recherches, le réchauffement climatique n’est pas causé par l’homme. On dit plutôt que la raison se trouve à l’intérieur de la terre. Les résultats seront désormais également présentés à Poutine. Jusqu’à présent, la Russie fait également partie de l’alliance mondiale « NetZero ».

    La décision a été partagée par le Conseil scientifique de l'Académie Sergei Glazjev. Il est président du conseil, proche conseiller de Vladimir Poutine, économiste et l'un des scientifiques les plus importants de Russie. Sur Telegram, il a résumé la décision qui pourrait avoir un impact majeur sur la position de la Russie dans la « lutte contre le changement climatique » : la Russie se retirerait de l'effort mondial pour une société « Net Zero ».

    https://tkp.at/2023/10/23/arktis-wissenschaftler-widerlegt-klimakrise-und-warnt-vor-kommender-eiszeit/

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    1. Primo, la température ne se prend pas dans un village, un région ou un pays mais dans le monde entier. Là, nous constatons que les températures baissent (-20 à -30°C aux USA ! et Russie !).

      Secundo, dès que les 'sources chaudes' sous-marines se ferment: l'air se refroidit.

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  46. Végétalisation : un toit pour la planète !

    Après une année 2022 classée la plus chaude jamais enregistrée, et été 2023 ayant battu des records, le constat est clair : l’économie des ressources est devenue vitale. Il est grand temps de tout faire pour optimiser le potentiel de résilience des villes, de l’habitat et des zones commerciales en France. Sur les 40 millions de mètres carrés de toiture plate existantes en France, 50 %1 d’entre elles restent à fonctionnaliser c’est-à-dire être végétalisées, aménagées, équipées de panneaux solaires.


    Par Pierre-Etienne Bindschedler
    le 21 octobre 2023 à 11h30


    41% des espèces d’oiseaux sont en diminution depuis 10 ans

    Créer des oasis de fraîcheur pour aménagement véritablement durable
    Atteindre la neutralité carbone d’ici 2050 en divisant par 6 les émissions de gaz à effet de serre2 est un challenge immense qui nécessite l’expertise de tous les industriels de bonne volonté. Soprema y tend, en travaillant sur la mise au point de matériaux décarbonés notamment, conçus à partir de la biomasse pour une proportion croissante d’entre eux. C’est essentiel, mais pas suffisant. Nous sommes en mesure de créer un cercle écologiquement vertueux par l’aménagement intelligent des toits-terrasses. De véritables boucliers thermiques peuvent mieux protéger du froid et de la chaleur : à l’intérieur des bâtiments en toute saison, comme à l’extérieur l’été, en évitant la formation d’ilots de chaleurs. Alors que l’on enregistre en moyenne un écart de 2,5°C entre zones urbaines et rurales, et jusqu’à 10°C 3 de différence par vent faible et ciel clair, il est urgent de créer des oasis de fraicheur qui limitent la dépense énergétique et préservent la santé de tous.

    Les matériaux « cool roof » réfléchissant le rayonnement solaire, la meilleure gestion des eaux pluviales, ainsi que la végétalisation des toitures plates, y contribuent. C’est prouvé : investir dans la multiplication de zones végétales dans les villes pour réduire les températures à l’échelle locale n’est pas un luxe mais une nécessité, et bientôt même une obligation, en vertu de la loi Climat et Résilience. Les bâtiments à usage commercial, industriel ou artisanal de plus de 500m²4 et les immeubles de bureaux de plus de 1000m² sont soumis depuis cet été à l'obligation d'équiper au moins un tiers de la surface de leurs toits d'une couverture solaire ou végétalisée. Il est temps de s’y mettre !

    Nos toits doivent devenir une ressource pour le bâtiment et pour son environnement
    La démarche représente forcément un investissement, mais elle est source d’importantes économies. Un toit bien équipé peut même devenir générateur de richesse et d’énergie, en produisant de l’électricité grâce à l’installation de panneaux photovoltaïques.

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  47. Végétaliser les toits contribue également au respect de la biodiversité, alors que le nombre d’insectes a baissé de 70 à 80% au cours des dernières décennies5 et que 41% des espèces d’oiseaux sont en diminution depuis 10 ans6. La flore et les ruches implantées en hauteur donnent tout leur sens à ces oasis. L’agriculture urbaine y a sa place, en réponse à la quête d’autonomisation alimentaire des villes. Il y a tant à faire dans ce sens !

    Les dérèglements climatiques ont également rendu cruciale une meilleure gestion des eaux pluviales. Si l’on souffre plus de sécheresse aujourd’hui en France, les risques d’inondations et de pollution sont paradoxalement devenus plus importants lors d’épisodes de précipitations violents, surtout en villes. La végétalisation des toits s’impose aujourd’hui comme une alternative indispensable en recréant des zones d’absorption, c’est pourquoi elles sont éligibles aux subventions accordées par les Agences de l’eau et cela répond bien à une logique « gagnant-gagnant ».

    Une responsabilité collective
    Une qualité de vie plus belle peut se développer sur le toit des villes, il suffit de lever les yeux et d’investir ces espaces de résilience où il fait bon planter, se rafraichir, socialiser aussi grâce à la création de roof top conviviaux.

    Pourquoi ne pas aller plus loin que la loi actuelle, avec des matériaux plus verts, moins dépendants de la pétrochimie, et des aménagements qui peuvent être menés par les copropriétés de toute taille mais aussi les bailleurs sociaux ? En rendant à la nature ce que les humains lui prennent par l’emprise au sol des bâtiments, on ne peut qu’y gagner individuellement et collectivement. La planète aussi.

    1 Étude de marché MSI Reports

    2 https://www.ecologie.gouv.fr/strategie-nationale-bas-carbone-snbc

    3 https://meteofrance.com/actualites-et-dossiers/magazine/pourquoi-fait-il-plus-chaud-en-ville-qua-la-campagne-la-nuit

    4 D’emprise au sol. Source : Loi climat et résilience : l’écologie dans nos vies | Ministères Écologie Énergie Territoires (ecologie.gouv.fr)

    5 https://www.lemonde.fr/planete/article/2023/02/10/en-europe-l-effondrement-des-populations-d-insectes-est-vertigineux_6161277_3244.html

    6 Observatoire des oiseaux et des jardins

    https://www.economiematin.fr/toit-vegetalisation-ville-rechauffement-bindschedler

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    Réponses
    1. 1°) Le gaz carbonique n'est pas à 5 m d'altitude ni à 10 m ou 50 m mais... au ras du sol !

      2°) Mettre de la terre sur des toits facilite la froidure et les infiltrations d'eau par les plafonds

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  48. ENCORE 6 ARTICLES CENSURÉS ! (60 - 6 = 54)

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