- ENTREE de SECOURS -



jeudi 26 octobre 2023

Commentaire sur les critiques que suscitent les articles que je laisse sur ce blog au sujet de l’effet de serre et du réchauffement du climat

 le 25 octobre 2023


En 2014 j’avais laissé un article sur ce blog décrivant la fausse interprétation de l’effet de serre dont serait responsable le gaz carbonique (CO2 ou dioxyde de carbone pour les puristes) une théorie émise par James Hansen de la NASA, spécialiste de l’atmosphère de Vénus : https://jacqueshenry.wordpress.com/2014/11/01/retour-sur-la-theorie-de-leffet-de-serre-atmospherique/ . Les conséquences actuelles de cette erreur, on devrait plutôt dire imposture, d’interprétation a conduit à ce que l’on fait subir aujourd’hui aux peuples occidentaux avec des conséquences multiples : la peur du réchauffement du climat ! Le paramètre fondamental oublié à dessein par les climatologues d’opérette de l’IPCC est le gradient adiabatique auquel est soumise l’atmosphère terrestre en raison du champ gravitationnel de la Terre. Lorsque cet article parut sur mon blog je fus contacté par des ingénieurs allemands qui me félicitèrent pour mon courage et mon discernement car j’étais apparemment le premier commentateur à mentionner le gradient adiabatique de l’atmosphère terrestre dans ce que j’appelle toujours « la fausse théorie de l’effet de serre ». Conformément aux lois fondamentales de la thermodynamique et en raison de la présence de ce gradient adiabatique (« lapse rate » en anglais pour aider mes lecteurs anglophones à rechercher par exemple sur Wikipedia en anglais ou d’autres sites scientifiques ce qu’est ce gradient et ses conséquences) la simple existence de ce gradient adiabatique est incompatible avec la théorie de l’effet de serre.

Encore une fois il est nécessaire d’expliquer pourquoi il y a un conflit entre cette théorie de l’effet de serre et l’existence du gradient adiabatique de l’atmosphère. Cette théorie introduit une radiation en retour (« back radiation ») de photons infra-rouges des couches supérieures de l’atmosphère vers la surface de la Terre, le fameux schéma de la création d’un mouvement perpétuel entre la surface de la Terre et l’atmosphère dont voici une représentation :

Pourquoi cette théorie d’effet de serre est fallacieuse ? Parce qu’elle nie la présence du gradient adiabatique de l’atmosphère terrestre car la température des gaz constituant cette atmosphère diminue de 9,8 degrés C par kilomètre. En raisonnant d’une manière accessible à toute personne ne disposant pas d’un bagage scientifique suffisant dans le domaine de la thermodynamique, il est évident qu’un corps froid ne peut pas chauffer un corps plus chaud, qu’il s’agisse par transfert radiatif ou thermique, en d’autres termes plus compréhensibles on ne va pas chauffer une casserole dans sa cuisine en la posant sur des glaçons ! C’est ce que sous-entend la théorie de l’effet de serre appliquée à l’atmosphère qui par ailleurs est un système ouvert vers l’espace et non une serre fermée comme celles existant dans la région d’Almeria en Espagne. Au gradient adiabatique de l’atmosphère se surajoute la présence de vapeur d’eau comme constituant gazeux. Or de par ses propriétés physiques (changement d’état de gazeux à solide) l’eau est le plus important véhicule de transfert d’énergie dans les différentes couches de l’atmosphère. Que mes lecteurs relisent cet article du présent blog qui explique en des termes compréhensibles pour un élève de CM1 de dix ans l’intervention essentielle de l’eau dans l’équilibre thermique de l’atmosphère : https://jacqueshenry.wordpress.com/2017/12/21/la-magie-de-leau/ . Il n’est pas nécessaire de disposer de solides connaissances en thermodynamique pour comprendre alors que la théorie de l’effet de serre est intenable scientifiquement en raison de ces deux facteurs physiques auxquels est soumise l’atmosphère terrestre : la présence de vapeur d’eau et le gradient adiabatique.

Personne n’en parle clairement et en particulier les supposés spécialistes du climat de l’IPCC (ce n’est pas une surprise car ce ne sont pas des scientifiques) mais également des géophysiciens comme François Gervais en France ou Patrice Poyet, géologue, dans son ouvrage parfaitement documenté que j’ai mentionné dans un récent article sur ce blog. Je le lui avais d’ailleurs fait la remarque au cours d’un échange de courriels. Pour quelles raisons l’existence de ce gradient adiabatique n’est-il jamais mentionné dans aucune étude relative au climat terrestre ? Parce que cela remet en cause la « science consensuelle » du climat et de l’effet de serre provoqué par les émissions de gaz carbonique provenant de l’activité humaine !! Si vous n’êtes toujours pas convaincu il faut préciser alors que tous les gaz moléculaires hors argon et autres gaz inertes dits nobles constituant l’atmosphère, vibrent après avoir absorbé un photon IR ou UV. Ils réémettent des photons de moindre énergie que ce soit au niveau du sol ou au sommet de l’Everest. De ce fait il est impossible que les couches inférieures de l’atmosphère subissent un échauffement sous l’effet de ces photons qui ont perdu une partie de leur énergie. À ce phénomène conforme aux lois de la thermodynamique (création d’entropie) s’ajoutent les mouvements de convection de l’atmosphère et ces mouvements sont une directe conséquence de l’existence du gradient adiabatique car la densité de l’air n’est pas homogène : il y a un perpétuel conflit entre la pression corrélée à l’altitude, la densité de l’air et la température.

Et pour compliquer la situation la Terre tourne sur elle-même ce qui accélère les échanges de température (et d’humidité) entre les couches denses inférieures et les couches moins concentrées en altitude. Ce fait est également indéniable : pourquoi existe-t-il des vents alizés de secteur est dans la zone intertropicale ? Tout simplement parce que la Terre tourne sur elle-même et ce transfert de gaz est contrebalancé par de forts vents d’altitude de secteur ouest qui atteignent des vitesses respectables, par exemple à 11000 mètres d’altitude ces vent d’ouest atteignent communément les 300 km/h car il est nécessaire de combler le déficit atmosphérique provoqué par les alizés au niveau des basses couches de l’atmosphère avec de l’air moins dense en altitude malgré le fait qu’il est plus froid.

En conclusion les allégations relatives aux émissions de gaz carbonique d’origine humaine provoquant un échauffement ou une perturbation du climat sont totalement mensongères. Je tente encore une fois de dénoncer cette imposture avec ce nouvel article mais j’ai l’impression de me battre contre des moulins à vent car la science consensuelle relative au climat a imprégné les peuples de sa propagande dans le cadre d’un projet politique totalitaire que je tente de dénoncer avec une prose compréhensible. Ce projet a établi une peur dans les esprits de braves gens qui n’ont jamais fait le moindre effort pour comprendre la dynamique de l’atmosphère et ils avalent ce qu’on leur répète à longueur de journée : ils doivent se serrer la ceinture pour ne pas contribuer personnellement et collectivement à la catastrophe climatique qui n’existe tout simplement pas, c’est une pure invention politique. Bonne lecture.

https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/10/25/commentaire-sur-les-critiques-que-suscitent-les-articles-que-je-laisse-sur-ce-blog-au-sujet-de-leffet-de-serre-et-du-rechauffement-du-climat/

57 commentaires:

  1. Première vague de froid majeure pour les États-Unis à l’approche de la « première perturbation du vortex polaire »


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 26 OCTOBRE 2023 - 04H00


    Les prévisions météorologiques indiquent que la première grande vague de froid de la saison balayera certaines parties du Lower 48 d'ici la fin du mois. Ce refroidissement soudain survient peu de temps après que les grands médias ont poussé la désinformation sur le climat, mettant en garde contre une Terre « en ébullition » et une destruction imminente à cause des voitures à combustibles fossiles et des pets de vaches. Même la NOAA a dû fuir les mensonges des grands médias sur la « journée la plus chaude de tous les temps », tandis que 1 600 scientifiques du monde entier ont signé une déclaration déclarant qu’il n’y avait pas d’urgence climatique.

    Les données de Bloomberg montrent que les températures inférieures à 48 °C, en moyenne, culmineront autour de 64 °F vendredi. Les prévisions montrent que la température moyenne aux États-Unis plongera bien en dessous des tendances sur 5, 10 et 30 ans pour atteindre environ 47F d'ici mercredi prochain.

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    En regardant les prévisions de température sur 6 à 10 jours du Centre de prévision climatique du NWS pour la partie inférieure des 48, les prévisions montrent qu'une grande partie du pays aura de très fortes probabilités de températures inférieures à la moyenne pour cette période de l'année.

    Nous avons rédigé plusieurs notes selon lesquelles un hiver El Nino pourrait laisser certaines parties du Lower 48 avec un hiver froid et enneigé :

    Le « Brrr » revient
    Que signifie un fort phénomène El Niño pour l’activité hivernale aux États-Unis ?
    Un météorologue américain met en garde : "L'hiver de cette année va être très différent" alors qu'El Nino s'intensifie
    Selon le blog météorologique Severe Weather Europe, les vagues froides attendues sont dues à « un événement de vortex polaire précoce qui produira un fort changement de régime froid à travers le Canada et les États-Unis ».

    Voici plus d’informations sur l’état actuel du vortex polaire :

    Le vortex polaire est actuellement de taille normale et possède un noyau froid en croissance au-dessus des régions polaires. L'image ci-dessous montre la hauteur et la température géopotentielles dans la moyenne stratosphère au niveau de 10 Mo (30 km/18,5 milles). Le Vortex polaire ressemble à un « cyclone » avec un noyau froid près de son centre de basse pression.

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    L'image ci-dessus est de Weatheriscool.com

    Si nous regardons la structure 3D, nous pouvons voir pleinement la structure compacte actuelle du Polar Vortex. Il est bien organisé et de forme circulaire. Une forme organisée/circulaire indique généralement que le vortex polaire est fort.

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    Mais comment mesurer la force du vortex polaire stratosphérique ? La réponse simple est les vents. Plus précisément, le jet polaire stratosphérique. Plus le vortex polaire stratosphérique est organisé, plus les vents à l’intérieur sont forts.

    L'image ci-dessous montre les prévisions de vent pour le vortex polaire dans la moyenne stratosphère. Le carré bleu représente l'état actuel. Vous pouvez voir que le vortex polaire est actuellement plus fort que la normale. Nous en avons déjà eu des indices en examinant sa forme et sa structure 3D.

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    Mais remarquez une décélération du vent décente plus tard dans le mois. Il s’agit d’un affaiblissement substantiel pour cette période de l’année. Mais comment un affaiblissement aussi brutal du vortex polaire peut-il se produire ? Nous examinerons de plus près cet événement et comment il sera lié à notre météo quotidienne.

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  2. AU-DESSUS ET EN DESSOUS DANS L'ATMOSPHÈRE

    La perturbation du vortex polaire vient généralement d’en bas. Cela résulte de l’influence directe de systèmes de forte pression, ayant un impact vers le haut dans la stratosphère. Les paires de systèmes de pression sont également connues sous le nom de Rossby Waves. Vous pouvez voir un exemple d’ondes de Rossby dans l’image ci-dessous de la NOAA.

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    Les ondes de Rossby (une paire de puissants systèmes à haute et basse pression) dévient l'énergie vers le haut dans la stratosphère lorsqu'elles se brisent. Cette énergie peut déformer le Vortex Polaire, interrompant temporairement son renforcement ou affaiblissant sa circulation.

    Dans l’image ci-dessous, vous pouvez voir l’exemple d’activité des vagues verticales. Premièrement, l’énergie va dans la stratosphère, ce qui a un impact sur le vortex polaire et affecte plus tard la circulation polaire vers le bas, modifiant ainsi les conditions météorologiques à mesure que le vortex polaire est perturbé.

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    Nous pouvons voir les vagues de Rossby dans les prévisions de pression sur 5 jours ci-dessous. Remarquez les deux zones marquées avec des paires de fortes régions de haute et basse pression. Cette configuration permet de « briser les vagues », envoyant de l'énergie vers le haut dans la stratosphère et en perturbant la dynamique du vortex polaire.

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    Nous disposons à cet effet d'un graphique spécial de Tomer Burg. Ci-dessous, vous pouvez voir le graphique du flux thermique de 100 Mo. Il montre le transport de température à la frontière de la troposphère vers la stratosphère. Encore une fois, vous pouvez voir des régions fortes avec un transfert de chaleur/énergie ascendant positif dans la principale zone d’activité de déferlement de vagues de Rossby.

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    Tout cela nous montre que les fortes pressions dans les niveaux inférieurs peuvent refléter beaucoup d’énergie vers le haut dans le vortex polaire stratosphérique. Nous allons maintenant voir comment le Vortex polaire va réellement répondre à ces dynamiques d’en bas.

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  3. VORTEX POLAIRE SOUS PRESSION

    En regardant les prévisions pour la fin de la semaine, vous pouvez voir dans les prévisions ci-dessous où cette énergie se manifeste dans les niveaux intermédiaires. Le vortex polaire stratosphérique sera pressé des deux côtés, grâce aux événements déferlants de Rossby. C’est comme si on pressait un ballon avec les deux mains, il se déforme.

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    Les anomalies de température prévues pour la même période montrent également des températures plus élevées que d'habitude dans la région sibérienne. Cela fonctionne en tandem avec une zone de pression plus élevée émergeant au-dessus du Pacifique Nord et comprimant le vortex polaire.

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    Vous trouverez ci-dessous une prévision du niveau de pression de 50 Mo dans la stratosphère à environ 20 km d'altitude. Encore plus bas dans la stratosphère, le vortex polaire est comprimé, le noyau principal étant situé au-dessus des régions polaires.

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    Vous pouvez voir l'ensemble de l'événement encore mieux sur la structure verticale 3D. Le vortex polaire devrait passer d’une forme circulaire parfaite à une forme allongée/déformée. Pressé des deux côtés, il devrait prendre une forme plus ovale, également visible dans les images de prévision ci-dessus.

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    Alors, quelle est la progression de cet événement et les impacts météorologiques en surface ?

    QUAND LES MODÈLES METEO CHANGENT

    L'évolution dans la stratosphère est assez simple. Jusqu’à la semaine prochaine, le vortex polaire restera compressé. Mais le grand changement est que le noyau du vortex polaire lui-même se positionnera au-dessus du Canada et du nord des États-Unis.

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    Plus bas dans la stratosphère, vous pouvez observer le même processus, avec le positionnement du noyau du Polar Vortex au-dessus du Canada. Cela montre une forte connexion globale à travers toutes les couches de l’atmosphère.

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    La structure de l’anomalie de pression verticale devient de plus en plus importante à ce stade. Il peut montrer les points de connexion et les changements dans les modèles de pression.

    La prévision ci-dessous montre les anomalies de pression verticale pour la même période. Vous pouvez voir les fortes anomalies négatives directement au-dessus du Canada et des États-Unis, en provenance de la stratosphère. C’est le véritable noyau du Polar Vortex.

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    Vous pouvez le constater si nous examinons le modèle de pression dans les niveaux inférieurs. Remarquez la vaste zone dépressionnaire sur le Canada et les États-Unis. C’est la principale connexion avec le vortex polaire stratosphérique, en ce qui concerne les anomalies pures. Il s’agit d’un puissant système basse pression directement connecté au vortex polaire stratosphérique.

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    La structure verticale 3D révèle la forme allongée continue de cette période. Mais remarquez la zone plus large de l’Amérique du Nord, qui constitue le noyau déplacé du vortex polaire.

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    Si vous regardez attentivement le vortex polaire ci-dessus, il a la même forme qu'un exemple de vortex polaire perturbé dans le graphique climatique de la NOAA. Cela ouvre les portes de l'Arctique, permettant à l'air froid de se déplacer vers le sud, vers le Canada et les États-Unis.

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    En regardant les prévisions de température pour le début de la semaine prochaine, vous pouvez voir l'air froid engloutir une grande partie du Canada et des États-Unis. En effet, la zone centrale inférieure du vortex polaire se situe au nord-est des États-Unis et au nord du Canada. Cela permet à un flux d’air anormalement froid de descendre vers les États-Unis.

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    Nous allons jeter un rapide coup d’œil à cette épidémie d’air froid au niveau de la surface. À mesure que l'événement se rapproche, nous publierons une prévision plus détaillée des anomalies froides dans le sud du Canada et des États-Unis.

    ÉPIDÉMIE D’AIR FROID

    Au début de la semaine prochaine, l'épidémie d'air froid commencera par de fortes anomalies de froid et des températures inhabituellement froides se propageant depuis le nord. L'épidémie d'air froid couvrira d'abord une grande partie de l'ouest et du nord des États-Unis, les plaines et le Midwest.

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    L'image ci-dessous montre les prévisions de température matinale pour mardi prochain. Vous pouvez voir des températures au niveau de zéro ou plus bas dans une vaste zone des États-Unis, s'étendant du nord des États-Unis au Midwest et à travers les plaines.

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    Les prévisions officielles de température de la NOAA pour les 6 à 10 jours à venir montrent également l'énorme anomalie d'air froid se propageant depuis le nord. Des températures plus chaudes que la normale prévaudront sur l'est des États-Unis, mais devraient s'atténuer à mesure que la vague de froid progresse vers le sud et l'est au cours de la semaine.

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    Les prévisions officielles de précipitations pour une période de 6 à 10 jours montrent davantage de précipitations en provenance du sud des États-Unis, à travers les plaines, le Midwest et le nord-est. Le potentiel de chutes de neige le plus élevé se situe dans le nord des États-Unis, dans les plaines du nord et dans le haut Midwest.

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  5. Vers le milieu de la semaine prochaine, l’air froid se déplacera plus vers l’est. Les anomalies chaudes dans l’est des États-Unis diminueront à mesure que la vague de froid atteindra le sud des États-Unis et se déplacera plus à l’est.

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    Les prévisions officielles de température de 8 à 14 heures montrent la progression de l'air plus froid vers le sud et l'est des États-Unis, en particulier vers le nord-est. Des températures plus chaudes devraient persister dans les régions profondes du sud-est et du sud-ouest des États-Unis.

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    Les dernières prévisions du modèle montrent des chutes de neige dans la zone mentionnée, le potentiel de chute de neige se concentrant principalement sur le nord des États-Unis et les plaines centrales.

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    Brrr est de retour.

    https://www.zerohedge.com/weather/first-major-cold-blast-us-early-polar-vortex-disruption-nears

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  6. Médias grand public sur les coléoptères comme nourriture pour lutter contre le changement climatique


    26 octobre 2023
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Les grands médias exercent une pression croissante sur le public pour qu’il commence à manger des insectes et des vers pour lutter contre les effets supposés du « changement climatique ». Ils encouragent le passage à la consommation d’insectes, encouragé par l’organisation des élites financières, le Forum économique mondial (WEF). Les découvertes de la physique et de la chimie nous montrent que le gaz carbonique ne modifie pas la température de la Terre, mais favorise la croissance des plantes.

    Ces dernières années, le WEF a diabolisé de plus en plus les aliments cultivés traditionnellement afin de les remplacer par une nouvelle industrie multimilliardaire. Le WEF et d'autres partisans d'un programme vert affirment que la production de viande et de produits laitiers augmente la température de la Terre en émettant des quantités infimes de gaz traces, gaz carbonique et méthane.

    En éliminant la viande et les produits laitiers, les sociétés agroalimentaires et les gestionnaires d’actifs comme BlackRock peuvent prendre le contrôle de l’approvisionnement alimentaire des oligarques et des élites financières en le remplaçant par des produits cultivés en laboratoire à base d’insectes.

    Bien entendu, les grands médias libéraux soutiennent ce plan avec une campagne destinée à convaincre le public qu’il doit manger des insectes pour « sauver la planète ».

    La dernière poussée de propagande vient du média « d’information » du milliardaire américain Mike Bloomberg. Il affirme que l’introduction d’insectes et de viande cultivée en laboratoire dans l’approvisionnement alimentaire est l’une des conséquences du « changement climatique ».

    « La viande et les insectes cultivés en laboratoire pourraient être au menu dans les décennies à venir alors que le monde est aux prises avec les défis de sécurité alimentaire posés par le changement climatique et les conflits » , rapporte Bloomberg . . Cependant, les guerres et les conflits sont presque exclusivement fomentés et dirigés par les États-Unis, comme l’ont prouvé les 80 dernières années.

    Plus tôt ce mois-ci, Keira Wright de Bloomberg a rendu compte du festival South by South West à Sydney lorsqu'elle a déclaré que les panélistes parlaient de viande cultivée en laboratoire, d'insectes comestibles et d'agriculture verticale.

    « Le changement climatique a rendu le temps plus volatile et plus chaud dans de nombreuses régions du monde, endommagé les récoltes de maïs aux États-Unis, abaissé les prévisions de récolte de blé en Australie et a même accéléré la propagation de ravageurs mortels en Chine », a écrit Wright .

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  7. Le Washington Post du fondateur d'Amazon, Jeff Bezos, a récemment publié un rapport recommandant aux Américains de manger des fourmis et des grillons. Bien que cela puisse ressembler à un fantasme mondialiste fou, l’industrie des insectes est déjà en plein essor.

    Le plus grand producteur de viande américain a annoncé un nouveau partenariat avec une société affiliée au WEF pour ouvrir une importante usine de transformation d'insectes aux États-Unis.

    Tyson Foods Inc., le plus grand producteur de toutes viandes aux États-Unis, acquiert une participation dans la société néerlandaise de protéines d'insectes Protix BV.

    Protix BV se décrit comme un « leader mondial dans les aspects techniques de la production d'insectes ». L'entreprise a également été reconnue par le Forum économique mondial (WEF) et a reçu le prix « Technology Pioneer » décerné par l'organisation mondialiste.

    Le PDG de Protix, Kees Aarts, est également répertorié comme membre du WEF .

    Les deux sociétés travailleront ensemble pour établir une usine de fabrication aux États-Unis. La nouvelle installation produira de la farine et de l'huile à base de coléoptères, généralement utilisées dans les aliments pour poissons et pour chiens.

    Cependant, John Tyson, directeur financier de Tyson, a déclaré dans une interview que l'entreprise fabriquerait « à long terme » des produits « bons pour les gens ».

    « Il s'agit d'une industrie multimilliardaire qui présente un énorme potentiel de croissance, et nous considérons Protix comme un leader dans ce domaine », a déclaré Tyson.

    https://tkp.at/2023/10/26/mainstream-medien-fuer-kaefer-als-nahrung-um-den-klimawandel-zu-bekaempfen/

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  8. Les guerres actuelles apportent encore plus de pression même si une baisse non prévue mais provisoire du prix du baril vient d’arriver.

    Passer des commandes à l’aveugle est très risqué car le chantier durant au minimum deux ans et demi, que seront les coûts réels à cette date, y compris ceux d’exploitation ?

    Le problème se complique encore plus, car environ 300 pétroliers seront en fin de course avant fin 2027. Ce qui va réduire considérablement les capacités de transport et certainement élever le prix des produits pétroliers par raréfaction.

    Même les transporteurs de produits raffinés vont souffrir de la baisse prévisible des livraisons. Sauf si l’écologie verte met la pression, ce qui ferait chuter les quantités achetées, donc amènerait à diminuer le prix du pétrole ou tout du moins le stabiliser en dessous de 100 dollars.

    En ce qui concerne l’avenir, la demande de pétrole ne devrait pas encore s’effondrer tant qu’il est rentable de l’extraire à un coût inférieur par rapport aux autres sources d’énergie. La demande mondiale provenant de la Chine, surtout de l’Inde et de tous les pays en développement notamment africains, va se maintenir et même progresser ? Tous ces pays voulant un niveau de vie plus élevé, ils passeront encore par la production pétrolière.

    L’hydrogène fera également son apparition et peut-être d’autres nouveaux moyens techniques et de transport vont voir le jour. L’innovation avance à grand pas.

    https://www.economiematin.fr/petrole-transport-industrie-risque-moinier

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  9. Su tous les gaz ne se recyclaient pas immédiatement... on serait tous morts !

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  10. Par exemple, il a déclaré que de nombreuses crises de sécurité alimentaire sont liées à la pénurie d’eau, qui, selon lui, est liée au changement climatique et aux précipitations. Il a conclu qu’il est temps de considérer l’économie de l’eau comme un objectif commun à gérer de toute urgence avec une « approche systémique globale ».

    Le WEF fait pression pour vacciner le monde contre le COVID-19

    En 2021, le Forum économique mondial a affirmé que la reprise économique mondiale après la pandémie dépendait du déploiement de vaccins. Ils ont expliqué comment le monde pourrait être vacciné contre le COVID-19, appelant à des partenariats public-privé pour construire des usines à travers la planète afin de distribuer des vaccins à chaque individu chaque année.

    Ils n’ont pas caché leur désir de piquer tout le monde, déclarant : « La seule façon de résoudre ce problème est d’accélérer notre plan de vaccination du monde. Personne n’est en sécurité tant que nous ne le sommes pas tous.

    Les sources de cet article incluent :

    ActualitésWars.com
    WEForum.org

    https://www.naturalnews.com/2023-10-25-wef-globalists-want-to-leverage-water-crisis.html

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    1. La crise ?? où est 'la crise' ?

      Depuis DES millions d'années il y a DES milliards de km³ d'eau (venus des pluie, des fleuves et des rivières qui se sont jetés dans les mers et les océans... SANS QU'ELLES OU ILS NE MONTENT !! Çà alors !!

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  11. Les prix des engrais sont étonnamment stables – Le calme avant la tempête ?


    26 Octobre 2023
    Olaf Zinke, AGRARHEUTE*


    Malgré l'escalade au Proche-Orient et la forte hausse des prix du gaz, les prix des engrais ne bougent guère. La semaine dernière [l'article d'origine est daté du 17 octobre 2023], les prix du gaz ont également grimpé en flèche en Europe. Mais cette flambée des prix n'a pas encore eu d'influence directe sur les prix de l'azote.

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    Les prix des engrais sont étonnamment stables. Malgré l'escalade au Proche-Orient et la forte hausse des prix du gaz, les prix des engrais ne bougent guère. Mais cela pourrait changer rapidement, craignent les analystes et les négociants.

    Les prix demandés par les négociants et les importateurs pour le nitrate d'ammonium calcaire (NAC) sont également restés inchangés. Ici, les ports d'importation demandent cette semaine environ 345 euros par tonne, soit les mêmes prix que la semaine précédente.

    Les prix du gaz ont également fortement augmenté la semaine dernière en Europe. Mais cette flambée des prix n'a pas encore eu d'influence directe sur les prix de l'azote.

    La hausse du prix du gaz en Europe a toutefois rendu la production européenne d'ammoniac de moins en moins rentable, selon les analystes. De nombreux observateurs s'attendent donc à une nouvelle augmentation des importations d'ammoniac dans l'UE (y compris en provenance de Russie).

    Néanmoins, l'Égypte, dont les ventes d'urée sont principalement destinées à l'Europe, a récemment baissé ses prix à l'exportation, mais cela n'a pas entraîné d'augmentation significative des ventes. Les négociants affirment que cela illustre une fois de plus la (très) faible demande en Europe.

    L'appel d'offres indien actuel pour l'urée ne se termine que le 20 octobre pour les fournisseurs. Il semble donc qu'il n'y aura pas de grands mouvements de prix sur les marchés mondiaux des engrais azotés jusqu'à ce que les offres de l'appel d'offres soient connues, disent les observateurs du marché.

    Prix mondiaux de l'azote plus bas pour novembre ?

    Dans les ports d'importation allemands, les prix de l'urée n'ont pas bougé cette semaine. Actuellement, les prix du marché spot se situent autour de 490 euros la tonne.

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  12. Les prix de l'urée dans les ports d'exportation égyptiens sont de 412 USD la tonne au début de cette semaine et de près de 408 USD la tonne pour l'échéance de novembre. Les analystes s'attendaient également à ce que les prix du nitrate d'ammonium (NA) augmentent en Europe, étant donné que le prix du gaz dans l'UE a fortement augmenté la semaine dernière. Mais le prix du nitrate d'ammonium continue de stagner, en raison d'une demande particulièrement faible.

    Selon les négociants, le Brésil continue d'acheter des quantités limitées de nitrate d'ammonium russe, qui reste bon marché. En Allemagne, le nitrate d'ammonium calcaire est également proposé comme marchandise importée de Russie, rapportent les négociants. Mais la demande reste faible dans ce pays également.

    De plus, la faiblesse des prix sur le marché des céréales affecte la demande d'engrais. Pourtant, s'assurer des quantités partielles pourrait être tout à fait rentable, selon les observateurs du marché des chambres d'agriculture. Néanmoins, on ne s'attend pas à une reprise de la demande nationale avant fin octobre.

    Allemagne : NAC et urée inchangés – phosphate diammonique encore plus cher

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    Inchangé par rapport à la semaine précédente, à un peu plus de 310 euros la tonne, l'engrais liquide nitrate d'ammonium – solution d'urée (solution azotée) s'est également négocié.

    Dans les ports d'importation allemands, les prix de l'urée n'ont pas changé cette semaine. Actuellement, les prix du marché spot se situent autour de 490 euros la tonne. Les prix demandés par les négociants et les importateurs pour le nitrate d'ammonium calcaire (NAC) sont également restés inchangés. Cette semaine, les ports d'importation demandent environ 345 euros la tonne, soit les mêmes prix que la semaine précédente.

    L'engrais liquide nitrate d'ammonium - solution d'urée (solution azotée) s'est également négocié à un peu plus de 310 euros la tonne, sans changement par rapport à la semaine dernière.

    Pour le korn-kali, les négociants demandent en revanche des prix légèrement inférieurs à ceux de la semaine précédente, à savoir 325 euros la tonne, soit 5 euros de moins.

    Pour le principal engrais phosphorique des agriculteurs allemands, le phosphate diammonique, il faut débourser cette semaine 615 euros la tonne dans les ports d'importation. C'est encore 10 euros de plus que la semaine dernière et 25 euros de plus qu'il y a deux semaines.

    https://seppi.over-blog.com/2023/10/les-prix-des-engrais-sont-etonnamment-stables-le-calme-avant-la-tempete.html

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  13. Glyphosate et maladies neurodégénératives : le lobbying outrancier du Monde


    26 Octobre 2023


    Le gouvernement français est « courtisé » par le ban et l'arrière-ban du militantisme anti-glyphosate. C'est que, d'une part, on se rend bien compte qu'il manque de colonne vertébrale (pour ne pas dire autre chose) et est sensible aux arguments les plus fallacieux et que, d'autre part, il détient la clé de la décision qui doit être prise à Bruxelles sur le renouvellement de l'autorisation du glyphosate. Voici un épisode particulièrement lamentable.

    Sont-ils allés chercher les néerlandais Bas Bloem et Tjitske Boonstra, un clinicien et une chercheuse en électrophysiologie, sans production scientifique notable sur les liens entre les pesticides et les maladies neurodégénératives ? Ou ces deux personnages ont-ils offert leurs services pour un « Glyphosate : "En tant que médecins spécialistes des maladies neurodégénératives, nous avons trois conseils à donner au ministre de l’agriculture Marc Fesneau" » ?

    Le Monde en a publié la version électronique le 11 octobre 2023, deux jours avant le vote à Bruxelles sur le renouvellement (ou non) de l'autorisation du glyphosate. La version papier est dans le journal daté du 13 octobre 2023.

    En chapô :

    « Alors que la Commission européenne doit valider le renouvellement pour dix ans de l’autorisation de l’herbicide, les médecins néerlandais Bas Bloem et Tjitske Boonstra alertent, dans une tribune au "Monde", sur la nécessité de concevoir un nouveau cadre d’évaluation ciblant les risques de développer des pathologies neurodégénératives. »

    Le titre de la version papier est franchement « rentre-dedans » : « Bas Bloem et Tjitske Boonstra – il y a de quoi s'inquiéter sérieusement du lien possible entre glyphosate et Parkinson ».

    Remarquez : il y a une expression de prudence avec « possible »... mais il faut s'inquiéter sérieusement...

    Il y a aussi un pavé :

    « M. le ministre français de l'agriculture, votez contre le renouvellement de l'autorisation du glyphosate ».

    Dans ce texte confus, le lecteur est vite pris, disons-le tout net, pour un blaireau :

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  14. « Le nombre de personnes atteintes de pathologies neurodégénératives telles que les maladies de Parkinson ou d’Alzheimer a fortement augmenté ces dernières années. Parkinson est actuellement la maladie neurologique qui connaît la croissance la plus rapide dans le monde – on parle d’une véritable pandémie. Le nombre de personnes atteintes devrait encore doubler au cours des vingt prochaines années si nous n’agissons pas maintenant.

    Cette croissance est en grande partie due aux polluants présents dans notre environnement, tels que les pesticides. [...] »

    En réalité, le facteur principal – notamment pour une maladie de Parkinson qui se développe souvent après l’âge de 70 ans – est le vieillissement de la population.

    Et, si des études pointent effectivement vers des liens (statistiques) entre maladies neurodégénératives, notamment Parkinson, et pesticides, il y a un chemin plutôt long entre « pesticides » et glyphosate, le sujet du jour.

    Le bulletin N° 3 d'AGRICAN de novembre 2020 donne des détails sur ce qui a été trouvé pour la maladie de Parkinson sur une vaste cohorte d'agriculteurs de plus de 180.000 personnes. Il n'y est nullement question de glyphosate.

    La plupart des molécules mentionnées ont été interdites il y un certain temps (ainsi, la roténone a pu être utilisée, y compris en agriculture biologique, jusqu'en 2009). Parkinson étant d'évolution lente et d'apparition généralement tardive, ce qu'on observe aujourd'hui est en grande partie l'héritage d'hier, voir d'avant-hier.

    On nous balade aussi... histoire de planter un décor apocalyptique et faire jouer à plein l'émotion :

    « Les 12 et 13 octobre, l’Europe doit se prononcer sur le renouvellement de l’autorisation de mise sur le marché du glyphosate, herbicide controversé associé à la perte de biodiversité et à la mortalité des abeilles. En outre, il est de plus en plus évident que l’utilisation du glyphosate présente des risques pour la santé publique, tels que le cancer. Beaucoup d’entre nous sont exposés quotidiennement au glyphosate ; l’étude internationale Sprint (Sustainable Plant Protection Transition), menée auprès de 700 personnes de toute l’Europe, a révélé que des résidus de glyphosate étaient présents dans les matières fécales de 70 % des participants. »

    Plus loin on nous serine que le glyphosate est aussi présent dans l'air et les poussières, ce qui entraîne une exposition par la peau et par la respiration... à des « concentrations élevées »...

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  15. Bref, c'est une tribune de militants.

    Il faudrait à ce stade procéder à une analyse des allégations plus spécifiques sur les liens entre le glyphosate et les maladies neurodégénératives.

    Selon un intertitre, il y a des « [p]reuves suffisantes ». Dans le corps du texte, on navique entre « un faisceau de preuves scientifiques indiquant que le glyphosate est une cause possible de Parkinson » et « des preuves d'un lien dit "biologiquement plausible" entre l'exposition au glyphosate et le risque de maladie de Parkinson ». Rappelez-vous aussi le « possible » du titre de la version papier.

    Nous pouvons cependant nous contenter de cette observation : L'Express a publié une formidable analyse au titre explicite : « Le glyphosate à l’origine de maladies neurodégénératives ? Ces liens qui restent à démontrer ».

    En chapô :

    « De nombreuses études scientifiques ont établi, de longue date, des liens entre Parkinson et les pesticides. Mais, à ce jour, aucune ne désigne directement le glyphosate. »

    Cela a le mérite d'être clair.

    Mais cela n'a pas empêché M. Bas Bloem et Mme Tjitske Boonstra de faire trois recommandations à notre ministre de l'Agriculture et de la Souveraineté Alimentaire : voter contre le renouvellement de l'autorisation du glyphosate (c'est : « Ik ben een activist ») ; faire débloquer des fonds pour la recherche (c'est : « Ik wil geld ») ; et faire évaluer le glyphosate et tous les autres pesticides actuellement autorisés par des institutions scientifiques indépendantes (c'est : « dit is een combinatie van de twee »).

    Pour le Monde, c'est bon à prendre...

    https://seppi.over-blog.com/2023/10/glyphosate-et-maladies-neurodegeneratives-le-lobbying-outrancier-du-monde.html

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  16. « Risques à grande échelle liés aux systèmes d’IA puissants et à venir » : gérer les risques liés à l’IA à une époque de progrès rapides


    Par Yoshua Bengio , Geoffrey Hinton , Andrew Yao et et al.
    Recherche mondiale,
    25 octobre 2023


    Au milieu des progrès rapides de l’IA, les auteurs de cet article expriment un consensus sur les risques à grande échelle liés aux futurs systèmes d’IA puissants. Ils appellent à des mesures de gouvernance urgentes et à un changement majeur dans la R&D en IA vers des pratiques de sécurité et d’éthique avant que ces systèmes ne soient développés.

    En 2019, GPT-2 ne pouvait pas compter de manière fiable jusqu'à dix. Quatre ans plus tard seulement, les systèmes d’apprentissage profond peuvent écrire des logiciels, générer des scènes photoréalistes à la demande, donner des conseils sur des sujets intellectuels et combiner le traitement du langage et de l’image pour diriger les robots.

    À mesure que les développeurs d’IA font évoluer ces systèmes, des capacités et des comportements imprévus émergent spontanément sans programmation explicite [1] . Les progrès de l’IA ont été rapides et, pour beaucoup, surprenants.

    Le rythme des progrès pourrait encore nous surprendre. Les systèmes d’apprentissage profond actuels manquent encore de capacités importantes et nous ne savons pas combien de temps il faudra pour les développer.

    Cependant, les entreprises sont engagées dans une course pour créer des systèmes d’IA généralistes qui égalent ou dépassent les capacités humaines dans la plupart des travaux cognitifs [2, 3] .

    Ils déploient rapidement davantage de ressources et développent de nouvelles techniques pour accroître les capacités de l’IA. Les progrès de l'IA permettent également des progrès plus rapides : les assistants d'IA sont de plus en plus utilisés pour automatiser la programmation [4] et la collecte de données [5, 6] afin d'améliorer davantage les systèmes d'IA [7] .

    Il n’y a aucune raison fondamentale pour laquelle les progrès de l’IA ralentiraient ou s’arrêteraient au niveau humain. En effet, l’IA a déjà dépassé les capacités humaines dans des domaines restreints comme le repliement des protéines ou les jeux de stratégie [8, 9, 10] .

    Par rapport aux humains, les systèmes d’IA peuvent agir plus rapidement, absorber plus de connaissances et communiquer sur une bande passante bien plus élevée . De plus, ils peuvent être mis à l’échelle pour utiliser d’immenses ressources informatiques et être reproduits par millions.

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  17. Le rythme d'amélioration est déjà stupéfiant, et les entreprises technologiques disposent des réserves de liquidités nécessaires pour multiplier bientôt les dernières formations par multiples de 100 à 1 000 [11] . Si l’on ajoute à cela la croissance et l’automatisation continues de la R&D en IA, nous devons prendre au sérieux la possibilité que les systèmes d’IA généralistes surpassent les capacités humaines dans de nombreux domaines critiques au cours de cette décennie ou de la suivante.

    Que se passe-t-il alors ?

    S’ils sont gérés avec soin et distribués équitablement, les systèmes d’IA avancés pourraient aider l’humanité à guérir des maladies, à élever le niveau de vie et à protéger nos écosystèmes.

    Les opportunités offertes par l’IA sont immenses. Mais les capacités avancées de l’IA s’accompagnent de risques à grande échelle que nous ne sommes pas en mesure de bien gérer. L’humanité consacre d’énormes ressources à rendre les systèmes d’IA plus puissants, mais beaucoup moins à la sécurité et à l’atténuation des dommages. Pour que l’IA soit une aubaine, nous devons nous réorienter ; Il ne suffit pas de pousser les capacités de l’IA à elle seule.

    Nous sommes déjà en retard pour cette réorientation. Nous devons anticiper l’amplification des préjudices persistants ainsi que les nouveaux risques, et nous préparer aux risques les plus importants bien avant qu’ils ne se matérialisent . Il a fallu des décennies pour reconnaître et affronter le changement climatique ; pour l’IA, des décennies pourraient être trop longues.

    Risques à l’échelle sociétale
    Les systèmes d’IA pourraient rapidement surpasser les humains dans un nombre croissant de tâches. Si de tels systèmes ne sont pas soigneusement conçus et déployés, ils présentent toute une série de risques à l’échelle sociétale. Ils menacent d’amplifier l’injustice sociale, d’éroder la stabilité sociale et d’affaiblir notre compréhension commune de la réalité qui est fondamentale pour la société.

    Ils pourraient également permettre des activités criminelles ou terroristes à grande échelle.

    Surtout entre les mains de quelques acteurs puissants, l’IA pourrait cimenter ou exacerber les inégalités mondiales, ou faciliter la guerre automatisée, la manipulation de masse personnalisée et la surveillance omniprésente [12, 13].

    Bon nombre de ces risques pourraient bientôt être amplifiés et de nouveaux risques créés, à mesure que les entreprises développent une IA autonome : des systèmes capables de planifier, d'agir dans le monde et de poursuivre des objectifs.

    Bien que les systèmes d'IA actuels aient une autonomie limitée, des travaux sont en cours pour changer cela [14] . Par exemple, le modèle GPT-4 non autonome a été rapidement adapté pour naviguer sur le Web [15] , concevoir et exécuter des expériences de chimie [16] et utiliser des outils logiciels [17] , y compris d'autres modèles d'IA [18] .

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  18. Si nous construisons une IA autonome très avancée, nous risquons de créer des systèmes qui poursuivent des objectifs indésirables. Des acteurs malveillants pourraient délibérément intégrer des objectifs nuisibles. De plus, personne ne sait actuellement comment aligner de manière fiable le comportement de l’IA sur des valeurs complexes. Même des développeurs bien intentionnés peuvent créer par inadvertance des systèmes d’IA qui poursuivent des objectifs involontaires, surtout si, dans le but de remporter la course à l’IA, ils négligent les tests de sécurité coûteux et la surveillance humaine.

    Une fois que les systèmes d’IA autonomes poursuivent des objectifs indésirables, intégrés par des acteurs malveillants ou par accident, nous pourrions ne plus être en mesure de les contrôler. Le contrôle des logiciels est un problème ancien et non résolu : les vers informatiques sont depuis longtemps capables de proliférer et d'échapper à la détection [19] . Cependant, l’IA progresse dans des domaines critiques tels que le piratage informatique, la manipulation sociale, la tromperie et la planification stratégique [14, 20] . Les systèmes d’IA autonomes avancés poseront des défis de contrôle sans précédent.

    Pour atteindre des objectifs indésirables, les futurs systèmes d’IA autonomes pourraient utiliser des stratégies indésirables – apprises auprès des humains ou développées indépendamment – ​​comme moyen d’atteindre leurs objectifs [21, 22, 23, 24] . Les systèmes d’IA pourraient gagner la confiance des humains, acquérir des ressources financières, influencer les principaux décideurs et former des coalitions avec des acteurs humains et d’autres systèmes d’IA.

    Pour éviter toute intervention humaine [24] , ils pourraient copier leurs algorithmes sur des réseaux de serveurs mondiaux comme des vers informatiques. Les assistants IA co-écrivent déjà une grande partie du code informatique dans le monde [25] ; les futurs systèmes d’IA pourraient insérer puis exploiter des vulnérabilités de sécurité pour contrôler les systèmes informatiques derrière nos communications, nos médias, nos banques, nos chaînes d’approvisionnement, nos forces militaires et nos gouvernements. En cas de conflit ouvert, les systèmes d’IA pourraient menacer ou utiliser des armes autonomes ou biologiques. L’IA ayant accès à une telle technologie ne ferait que poursuivre les tendances existantes visant à automatiser l’activité militaire, la recherche biologique et le développement de l’IA lui-même . Si les systèmes d’IA mettaient en œuvre de telles stratégies avec suffisamment de compétences, il serait difficile pour les humains d’intervenir.

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  19. Enfin, les systèmes d’IA n’auront peut-être pas besoin de comploter pour exercer une influence si celle-ci est librement transmise. Alors que les systèmes d’IA autonomes deviennent de plus en plus rapides et plus rentables que les travailleurs humains, un dilemme apparaît.

    Les entreprises, les gouvernements et les armées pourraient être contraints de déployer largement des systèmes d’IA et de réduire les coûteuses vérifications humaines des décisions d’IA, ou risquer d’être surpassés [26, 27] . En conséquence, les systèmes d’IA autonomes pourraient assumer de plus en plus de rôles sociétaux critiques.

    Sans suffisamment de prudence, nous pourrions perdre de manière irréversible le contrôle des systèmes d’IA autonomes, rendant ainsi l’intervention humaine inefficace. La cybercriminalité à grande échelle, la manipulation sociale et d’autres préjudices mis en évidence pourraient alors s’aggraver rapidement. Ces progrès incontrôlés de l’IA pourraient aboutir à une perte de vies humaines et de biosphère à grande échelle, ainsi qu’à la marginalisation, voire à l’extinction de l’humanité.

    Les préjudices tels que la désinformation et la discrimination de la part des algorithmes sont déjà évidents aujourd'hui [28] ; d'autres préjudices montrent des signes d'émergence [20] . Il est essentiel de remédier aux préjudices persistants et d’anticiper les risques émergents. Ce n’est pas une question de l’un ou l’autre. Les risques actuels et émergents partagent souvent des mécanismes, des modèles et des solutions similaires [29] ; investir dans les cadres de gouvernance et la sécurité de l’IA portera ses fruits sur plusieurs fronts [30] .

    Une voie à suivre
    Si des systèmes d’IA autonomes avancés étaient développés aujourd’hui, nous ne saurions pas comment les rendre sûrs, ni comment tester correctement leur sécurité. Même si nous le faisions, les gouvernements ne disposeraient pas des institutions nécessaires pour empêcher les abus et faire respecter des pratiques sûres. Cela ne signifie toutefois pas qu’il n’existe aucune voie viable à suivre. Pour garantir un résultat positif, nous pouvons et devons poursuivre les avancées de la recherche en matière de sécurité et d’éthique de l’IA et établir rapidement une surveillance gouvernementale efficace.

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  20. Réorienter la R&D technique
    Nous avons besoin de percées en matière de recherche pour résoudre certains des défis techniques actuels liés à la création d’une IA ayant des objectifs sûrs et éthiques. Il est peu probable que certains de ces défis soient résolus simplement en rendant les systèmes d’IA plus performants [22, 31, 32, 33, 34, 35] . Ceux-ci inclus:

    Surveillance et honnêteté : des systèmes d'IA plus performants sont mieux à même d'exploiter les faiblesses de la surveillance et des tests[32, 36, 37]
    — par exemple, en produisant des résultats faux mais convaincants[35, 38].
    Robustesse : les systèmes d'IA se comportent de manière imprévisible dans de nouvelles situations (en cas de changement de distribution ou d'entrées contradictoires)[39, 40, 34].
    Interprétabilité : la prise de décision en matière d’IA est opaque. Jusqu’à présent, nous ne pouvons tester de grands modèles que par essais et erreurs. Nous devons apprendre à comprendre leur fonctionnement interne[41].
    Évaluations des risques : les systèmes Frontier AI développent des capacités imprévues qui ne sont découvertes que pendant la formation ou même bien après le déploiement[42]. Une meilleure évaluation est nécessaire pour détecter plus tôt les capacités dangereuses[43, 44].
    Relever les défis émergents : les futurs systèmes d’IA plus performants pourraient présenter des modes de défaillance que nous n’avons observés jusqu’à présent que dans les modèles théoriques. Les systèmes d’IA pourraient, par exemple, apprendre à feindre l’obéissance ou à exploiter les faiblesses de nos objectifs de sécurité et de nos mécanismes d’arrêt pour faire avancer un objectif particulier[24, 45].
    Compte tenu des enjeux, nous appelons les grandes entreprises technologiques et les bailleurs de fonds publics à consacrer au moins un tiers de leur budget de R&D en IA à garantir la sécurité et l’utilisation éthique, un montant comparable à leur financement pour les capacités d’IA. Aborder ces problèmes [34] , en gardant un œil sur de futurs systèmes puissants, doit devenir au cœur de notre domaine.

    Mesures urgentes de gouvernance
    Nous avons besoin de toute urgence d’institutions nationales et d’une gouvernance internationale pour faire respecter les normes afin de prévenir l’imprudence et les abus. De nombreux domaines technologiques, depuis les produits pharmaceutiques jusqu’aux systèmes financiers et à l’énergie nucléaire, montrent que la société exige et utilise efficacement la gouvernance pour réduire les risques. Cependant, aucun cadre de gouvernance comparable n’est actuellement en place pour l’IA .

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  21. Sans eux, les entreprises et les pays pourraient chercher à obtenir un avantage concurrentiel en poussant les capacités de l’IA vers de nouveaux sommets tout en rognant sur la sécurité, ou en déléguant des rôles sociétaux clés aux systèmes d’IA avec peu de surveillance humaine [26 ] . À l’instar des fabricants qui rejettent leurs déchets dans les rivières pour réduire leurs coûts, ils pourraient être tentés de récolter les fruits du développement de l’IA tout en laissant la société en assumer les conséquences.

    Pour suivre des progrès rapides et éviter des lois rigides, les institutions nationales ont besoin d’une solide expertise technique et de l’autorité nécessaire pour agir rapidement. Pour faire face à la dynamique raciale internationale, ils ont besoin de pouvoir faciliter les accords et les partenariats internationaux [46, 47] . Pour protéger les utilisations à faible risque et la recherche universitaire, ils devraient éviter les obstacles bureaucratiques injustifiés pour les modèles d’IA petits et prévisibles. L’examen le plus urgent devrait porter sur les systèmes d’IA à la frontière : un petit nombre de systèmes d’IA les plus puissants – formés sur des superordinateurs valant des milliards de dollars – qui auront les capacités les plus dangereuses et imprévisibles [48, 49 ] .

    Pour permettre une réglementation efficace, les gouvernements ont besoin de toute urgence d’une vision globale du développement de l’IA. Les régulateurs devraient exiger l'enregistrement des modèles, la protection des lanceurs d'alerte, le signalement des incidents et la surveillance du développement des modèles et de l'utilisation des supercalculateurs [48, 50, 51, 52, 53, 54, 55] . Les régulateurs doivent également avoir accès aux systèmes d’IA avancés avant leur déploiement pour évaluer leurs capacités dangereuses telles que l’auto-réplication autonome, l’intrusion dans les systèmes informatiques ou la diffusion d’agents pathogènes pandémiques largement accessibles [43, 56, 57 ] .

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  22. Pour les systèmes d’IA dotés de capacités dangereuses, nous avons besoin d’une combinaison de mécanismes de gouvernance [48, 52, 58, 59] adaptés à l’ampleur de leurs risques.

    Les régulateurs devraient créer des normes de sécurité nationales et internationales qui dépendent des capacités du modèle. Ils devraient également tenir les développeurs et propriétaires d’IA pionniers légalement responsables des dommages causés par leurs modèles qui peuvent être raisonnablement prévus et évités.

    Ces mesures peuvent prévenir les dommages et créer des incitations indispensables pour investir dans la sécurité. Des mesures supplémentaires sont nécessaires pour les futurs systèmes d’IA exceptionnellement performants, tels que les modèles susceptibles de contourner le contrôle humain.

    Les gouvernements doivent être prêts à autoriser leur développement, à suspendre le développement en réponse à des capacités inquiétantes, à imposer des contrôles d'accès et à exiger des mesures de sécurité de l'information robustes contre les pirates informatiques au niveau de l'État, jusqu'à ce que des protections adéquates soient prêtes. Les entreprises d’IA devraient rapidement définir des engagements « si-alors » : des mesures de sécurité spécifiques qu’elles prendront si des capacités spécifiques de ligne rouge sont découvertes dans leurs systèmes d’IA. Ces engagements doivent être détaillés et examinés de manière indépendante.

    L’IA est peut-être la technologie qui façonnera ce siècle. Même si les capacités de l’IA progressent rapidement, les progrès en matière de sécurité et de gouvernance restent à la traîne. Pour orienter l’IA vers des résultats positifs et éviter la catastrophe, nous devons nous réorienter. Il existe une voie responsable, si nous avons la sagesse de la suivre.

    *

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  23. Auteurs

    Yoshua Bengio, Mila – Institut québécois d’IA, Université de Montréal, Canada Chaire IA CIFAR

    Geoffrey Hinton, Université de Toronto, Vector Institute

    Andrew Yao, Université Tsinghua

    Dawn Song, Université de Californie, Berkeley

    Pieter Abbeel , Université de Californie, Berkeley

    Yuval Noah Harari, Université hébraïque de Jérusalem, Département d'histoire

    Ya-Qin Zhang , Université Tsinghua

    Lan Xue , Université Tsinghua, Institut pour la gouvernance internationale de l'IA

    Shai Shalev-Shwartz, Université hébraïque de Jérusalem

    Gillian Hadfield, Université de Toronto, SR Institute for Technology and Society, Vector Institute

    Jeff Clune, Université de la Colombie-Britannique, Chaire Canada-CIFAR en IA, Vector Institute

    Tegan Maharaj, Université de Toronto, Vector Institute

    Frank Hutter , Université de Fribourg

    Atılım Güneş Baydin, Université d'Oxford

    Sheila McIlrath , Université de Toronto, Vector Institute

    Qiqi Gao, Université de science politique et de droit de Chine orientale

    Ashwin Acharya, Institut pour la politique et la stratégie de l'IA

    David Krueger, Université de Cambridge

    Anca Dragan, Université de Californie, Berkeley

    Philip Torr, Université d'Oxford

    Stuart Russell, Université de Californie, Berkeley

    Daniel Kahneman , Université de Princeton, École des affaires publiques et internationales

    Jan Brauner*, Université d'Oxford

    Sören Mindermann*, Mila – Institut québécois d’IA

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  24. Remarques

    1
    Capacités émergentes des grands modèles linguistiques  [lien]
    Wei, J., Tay, Y., Bommasani, R., Raffel, C., Zoph, B., Borgeaud, S. et autres, 2022. Transactions sur la recherche sur l'apprentissage automatique.
    2
    À propos de  [lien]
    DeepMind, 2023.
    3
    À propos de  [lien]
    OpenAI, 2023.
    4
    L'achèvement du code amélioré par ML améliore la productivité des développeurs  [HTML]
    Tabachnyk, M., 2022. Recherche Google.
    5
    Rapport technique GPT-4  [PDF]
    OpenAI, 2023. arXiv [cs.CL].
    6
    IA constitutionnelle : innocuité des commentaires sur l'IA  [PDF]
    Bai, Y., Kadavath, S., Kundu, S., Askell, A., Kernion, J., Jones, A. et autres, 2022. arXiv [cs.CL ].
    7
    Exemples d'IA améliorant l'IA  [lien]
    Woodside, T. et Safety, CfA, 2023.
    8
    Prédiction très précise de la structure des protéines avec AlphaFold
    Jumper, J., Evans, R., Pritzel, A., Green, T., Figurnov, M., Ronneberger, O. et autres, 2021. Nature, pp.
    9
    IA surhumaine pour le poker multijoueur
    Brown, N. et Sandholm, T., 2019. Science, pp. 885-890.
    10
    Deep Blue
    Campbell, M., Hoane, A. et Hsu, F., 2002. Intelligence artificielle, pp.
    11
    Rapport annuel d'Alphabet, page 33  [PDF]
    12
    Un aperçu des risques catastrophiques de l'IA  [PDF]
    Hendrycks, D., Mazeika, M. et Woodside, T., 2023. arXiv [cs.CY].
    13
    Taxonomie des risques posés par les modèles linguistiques
    Weidinger, L., Uesato, J., Rauh, M., Griffin, C., Huang, P., Mellor, J. et autres, 2022. Actes de la conférence ACM 2022 sur l'équité , Responsabilité et transparence, pp. 214-229.
    14
    Une enquête sur les agents autonomes basés sur un grand modèle de langage  [PDF]
    Wang, L., Ma, C., Feng, X., Zhang, Z., Yang, H., Zhang, J. et autres, 2023. arXiv [cs .AI].
    15
    Plugins ChatGPT  [lien]
    OpenAI, 2023.
    16
    ChemCrow : Augmentation de grands modèles de langage avec des outils de chimie  [PDF]
    Bran, A., Cox, S., White, A. et Schwaller, P., 2023. arXiv [physics.chem-ph].

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  25. 17
    Modèles de langage augmentés : une enquête  [PDF]
    Mialon, G., Dessì, R., Lomeli, M., Nalmpantis, C., Pasunuru, R., Raileanu, R. et autres, 2023. arXiv [cs.CL] .
    18
    HuggingGPT : Résoudre les tâches d'IA avec ChatGPT et ses amis dans Hugging Face  [PDF]
    Shen, Y., Song, K., Tan, X., Li, D., Lu, W., Zhuang, Y. et autres, 2023 .arXiv [cs.CL].
    19
    La science informatique : le ver Internet
    Denning, P., 1989. American Scientist, pp.
    20
    Tromperie de l'IA : une enquête sur les exemples, les risques et les solutions potentielles  [PDF]
    Park, P., Goldstein, S., O'Gara, A., Chen, M. et Hendrycks, D., 2023. arXiv [cs.CY ].
    21
    Les politiques optimales ont tendance à rechercher le pouvoir  [PDF]
    Turner, A., Smith, L., Shah, R. et Critch, A., 2019. Trente-cinquième conférence sur les systèmes de traitement de l'information neuronale.
    22
    Découverte des comportements des modèles de langage avec des évaluations écrites sur un modèle  [PDF]
    Perez, E., Ringer, S., Lukošiūtė, K., Nguyen, K., Chen, E. et Heiner, S., 2022. arXiv [cs.CL] .
    23
    Les récompenses justifient-elles les moyens ? Mesurer les compromis entre les récompenses et le comportement éthique dans le benchmark MACHIAVELLI
    Pan, A., Chan, J., Zou, A., Li, N., Basart, S. et Woodside, T., 2023. Conférence internationale sur l'apprentissage automatique .
    24
    The Off-Switch Game
    Hadfield-Menell, D., Dragan, A., Abbeel, P. et Russell, S., 2017. Actes de la vingt-sixième Conférence conjointe internationale sur l'intelligence artificielle, pp.
    25
    Copilote GitHub  [lien]
    Dohmke, T., 2023.
    26
    La sélection naturelle favorise les IA par rapport aux humains  [PDF]
    Hendrycks, D., 2023. arXiv [cs.CY].
    27
    Dommages causés par des systèmes algorithmiques de plus en plus agents
    Chan, A., Salganik, R., Markelius, A., Pang, C., Rajkumar, N. et Krasheninnikov, D., 2023. Actes de la conférence ACM 2023 sur l'équité, la responsabilité et Transparence, pp. 651-666. Association pour les machines informatiques.
    28
    Sur les opportunités et les risques des modèles de fondation  [PDF]
    Bommasani, R., Hudson, D., Adeli, E., Altman, R., Arora, S. et von Arx, S., 2021. arXiv [cs.LG] .
    29
    L'IA présente des risques apocalyptiques, mais cela ne signifie pas que nous ne devrions pas non plus parler des préjudices actuels  [lien]
    Brauner, J. et Chan, A., 2023. Time.
    30
    Propositions de politiques existantes ciblant les préjudices présents et futurs  [PDF]
    Sécurité, CfA, 2023.
    31
    Mise à l'échelle inverse : quand plus grand n'est pas meilleur  [PDF]
    McKenzie, I., Lyzhov, A., Pieler, M., Parrish, A., Mueller, A. et Prabhu, A., 2023. Transactions sur la recherche sur l'apprentissage automatique.
    32
    Les effets d'une mauvaise spécification des récompenses : cartographie et atténuation des modèles mal alignés  [lien]
    Pan, A., Bhatia, K. et Steinhardt, J., 2022. Conférence internationale sur les représentations d'apprentissage.
    33
    Les données synthétiques simples réduisent la flagornerie dans les grands modèles de langage  [PDF]
    Wei, J., Huang, D., Lu, Y., Zhou, D. et Le, Q., 2023. arXiv [cs.CL].

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  26. 34
    Problèmes non résolus dans la sécurité du ML  [PDF]
    Hendrycks, D., Carlini, N., Schulman, J. et Steinhardt, J., 2021. arXiv [cs.LG].
    35
    Problèmes ouverts et limites fondamentales de l'apprentissage par renforcement à partir de la rétroaction humaine  [PDF]
    Casper, S., Davies, X., Shi, C., Gilbert, T., Scheurer, J. et Rando, J., 2023. arXiv [cs. IA].
    36
    Conséquences d'une IA mal alignée
    Zhuang, S. et Hadfield-Menell, D., 2020. Advances in Neural Information Processing Systems, Vol 33, pp.
    37
    Mise à l'échelle des lois pour la suroptimisation des modèles de récompense
    Gao, L., Schulman, J. et Hilton, J., 2023. Actes de la 40e Conférence internationale sur l'apprentissage automatique, pp. PMLR.
    38
    Apprendre des préférences humaines  [lien]
    Amodei, D., Christiano, P. et Ray, A., 2017.
    39
    Généralisation erronée des objectifs dans l'apprentissage par renforcement profond  [lien]
    Langosco di Langosco, A. et Chan, A., 2022. Conférence internationale sur les représentations d'apprentissage.
    40
    Généralisation erronée des objectifs : pourquoi les spécifications correctes ne suffisent pas pour obtenir des objectifs corrects  [PDF]
    Shah, R., Varma, V., Kumar, R., Phuong, M., Krakovna, V., Uesato, J. et autres, 2022 .arXiv [cs.LG].
    41
    Vers une IA transparente : une enquête sur l'interprétation des structures internes des réseaux de neurones profonds
    Räuker, T., Ho, A., Casper, S. et Hadfield-Menell, D., 2023. Conférence IEEE 2023 sur l'apprentissage automatique sécurisé et digne de confiance (SaTML ), pages 464 à 483.
    42
    L'incitation à la chaîne de pensée suscite un raisonnement dans de grands modèles de langage
    Wei, J., Wang, X., Schuurmans, D., Bosma, M., Ichter, B., Xia, F. et autres, 2022. Avancées en neurologie Systèmes de traitement de l'information, vol 35, pp. 24824-24837.
    43
    Évaluation du modèle pour les risques extrêmes  [PDF]
    Shevlane, T., Farquhar, S., Garfinkel, B., Phuong, M., Whittlestone, J., Leung, J. et autres, 2023. arXiv [cs.AI].
    44
    Évaluation des risques dans les entreprises AGI : examen des techniques d'évaluation des risques populaires dans d'autres industries critiques pour la sécurité  [PDF]
    Koessler, L. et Schuett, J., 2023. arXiv [cs.CY].

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  27. 45
    Le problème d'alignement du point de vue de l'apprentissage profond  [PDF]
    Ngo, R., Chan, L. et Mindermann, S., 2022. arXiv [cs.AI].
    46
    Institutions internationales pour l'IA avancée
    Ho, L., Barnhart, J., Trager, R., Bengio, Y., Brundage, M., Carnegie, A. et autres, 2023. arXiv [cs.CY]. DOI : 10.48550/arXiv.2307.04699
    47
    Gouvernance internationale de l'IA civile : une approche de certification juridictionnelle  [PDF]
    Trager, R., Harack, B., Reuel, A., Carnegie, A., Heim, L., Ho, L. et autres, 2023.
    48
    Réglementation Frontier AI : Gérer les risques émergents pour la sécurité publique  [PDF]
    Anderljung, M., Barnhart, J., Korinek, A., Leung, J., O'Keefe, C., Whittlestone, J. et autres, 2023. arXiv [cs.CY].
    49
    Prévisibilité et surprise dans les grands modèles génératifs
    Ganguli, D., Hernandez, D., Lovitt, L., Askell, A., Bai, Y., Chen, A. et autres, 2022. Actes de la conférence ACM 2022 sur l'équité , Responsabilité et transparence, pp. 1747-1764. Association pour les machines informatiques.
    50
    Il est temps de créer un registre national pour les grands modèles d'IA  [lien]
    Hadfield, G., Cuéllar, M. et O'Reilly, T., 2023. Carnegie Endowment for International Piece.
    51
    Cartes modèles pour les rapports modèles
    Mitchell, M., Wu, S., Zaldivar, A., Barnes, P., Vasserman, L., Hutchinson, B. et autres, 2019. FAT* '19 : Actes de la conférence sur Équité, responsabilité et transparence, pp. 220-229.
    52
    L'IA à usage général présente de sérieux risques et ne devrait pas être exclue de la loi européenne sur l'IA | Note d’orientation  [lien]
    2023. AI Now Institute.
    53
    Base de données sur les incidents d'intelligence artificielle  [lien]
    Base de données, AII, 2023.
    54
    La promesse et les périls de la dénonciation technologique  [lien]
    Bloch-Wehba, H., 2023. Northwestern University Law Review, à paraître.
    55
    Proposer un modèle de régime de partage d'informations pour le Royaume-Uni  [lien]
    Mulani, N. et Whittlestone, J., 2023. Centre pour la gouvernance de l'IA.
    56
    Audit de grands modèles linguistiques : une approche à trois niveaux
    Mökander, J., Schuett, J., Kirk, H. et Floridi, L., 2023. IA et éthique. DOI : 10.1007/s43681-023-00289-2
    57
    Les grands modèles linguistiques peuvent-ils démocratiser l’accès à la biotechnologie à double usage ?  [PDF]
    Soice, E., Rocha, R., Cordova, K., Spectre, M. et Esvelt, K., 2023. arXiv [cs.CY].
    58
    Vers les meilleures pratiques en matière de sécurité et de gouvernance des AGI : Enquête sur les opinions d'experts  [PDF]
    Schuett, J., Dreksler, N., Anderljung, M., McCaffary, D., Heim, L., Bluemke, E. et autres,, 2023. arXiv [cs.CY].
    59
    Marchés réglementaires : l'avenir de la gouvernance de l'IA  [PDF]
    Hadfield, G. et Clark, J., 2023. arXiv [cs.AI].

    https://www.globalresearch.ca/managing-ai-risks-era-rapid-progress/5837819

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    1. Le but des dictateurs ? Supprimer la circulation de l'information.
      Supprimer l'énergie: c'est presque déjà fait !

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  28. (IV/IV) Quid du jour où l’IA et les machines pourront faire tout ce que savent faire les humains ?

    Dans un monde où les machines pourraient tout faire, que deviendraient les humains ?


    le 26 octobre 2023
    Thomas Jestin


    Cet article fait partie d’une série. Dans les premier, second et troisième articles nous avons couvert les points suivants :

    L’IA va-t-elle augmenter notre productivité ?
    L’IA va-t-elle conduire à un chômage de masse ?
    L’IA va-t-elle accentuer les inégalités entre une élite surpayée et le reste des actifs sous-payés ?
    L’IA sera-t-elle monopolisée par Google et OpenAI ?

    Quid du jour où l’IA et les machines pourront faire tout ce que savent faire les humains ?

    Et peut-être qu’un beau jour l’IA et les machines feront aussi bien voire mieux que sapiens à tous les niveaux !

    Cela suppose des progrès incroyables en IA mais aussi en robotique, qui ne semble pas avancer au même rythme. Nous avons sans doute le temps. Mais peut-être parviendrons-nous par y arriver.

    Que se passerait-il alors ?

    À partir de ce moment-là, quels que soient le type et le niveau de production considérés, il y aura nécessairement de grandes destructions d’emplois. Mais comme détaillé plus tôt, les revenus du travail perdus iront de pair avec de grandes baisses des prix. Une palette incroyable de biens et services sera disponible à très bas prix, car n’incluant plus de main-d’œuvre humaine. Un revenu minimum relativement modique pourrait permettre d’accéder à ce monde de proto-abondance.

    Pour autant, dans un tel monde où l’IA et les machines peuvent techniquement tout faire, y compris répondre à des besoins émotionnels, il y aura toujours des consommateurs qui voudront profiter de services fournis par des humains, ne serait-ce que pour se démarquer. C’est aussi déjà la logique à l’œuvre dans le secteur du luxe, un diamant artificiel est strictement identique à un diamant issu du sol par exemple, mais il se paie 70 % moins cher, différence purement psychologique.

    Pour obtenir des services faisant intervenir des humains, on peut imaginer que ces consommateurs aient eux-mêmes à monnayer leur temps auprès d’autres, intéressés comme eux par les services humains.

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  29. Par exemple, Léo acceptera de travailler dans un restaurant où Gabriel est client pour gagner de quoi acheter le pain que produit Gabriel. Léo pourrait acheter un pain de même qualité mais bien moins cher car produit par l’IA et les machines. Et Gabriel pourrait aller dans un restaurant de même standing mais bien moins cher car opéré sans humain. Sauf qu’ils valorisent par choix ces services offerts par des humains, et sont prêts à travailler eux-mêmes pour se les fournir.

    Autre exemple, la musique : il y a fort à parier que même dans un monde où l’IA et la machine peuvent tout faire il y aura encore de la demande pour des concerts de musiciens humains. Léo vendra ainsi peut-être son pain made by human à Gabriel pour acheter sa place de concert où joue Noémie qui, elle, gagnera ainsi de quoi aller au restaurant où travaille Gabriel.

    Bien sûr, beaucoup préfèreront la facilité et se contenteront des biens et services d’excellente qualité fournis par l’IA et les machines. C’est pourquoi dans un tel monde, même si une économie humaine devrait perdurer, difficile d’imaginer qu’on travaillerait autant.

    Homo sapiens pourra passer son temps à s’amuser, voyager, apprécier les arts, la romance et le sport. Et ceux qui rechercheront toujours à améliorer leur statut et à se démarquer sans travailler au sens évoqué plus haut pourront le faire… justement par le sport, les arts, l’aventure. En effet, une voiture va plus vite qu’un être humain, et pourtant la finale du 100 mètres continue de captiver. L’IA bat Homo sapiens à plate couture aux échecs, mais sapiens continue de jouer aux échecs avec sapiens. En fait, on n’a jamais autant joué aux échecs !

    Mais attention !

    Tout ce qui précède fait l’hypothèse que les pires risques à craindre des progrès en IA ne se matérialisent pas, en particulier :

    le risque de fracturation des sociétés du fait notamment du cybercrime, des biais algorithmiques, de la désinformation dopée aux deepfakes, et de l’isolement lié à l’addiction aux mondes et avatars virtuels
    le risque de guerre totale dopée aux armes autonomes
    le risque de basculer dans des régimes totalitaires en mesure de contrôler nos moindres faits et gestes en permanence
    le risque existentiel enfin, risque que l’IA échappe à l’humanité le jour où elle deviendrait plus intelligente que nous tous réunis, et nous fasse disparaître, par dessein, indifférence ou accident.

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  30. Sur ce dernier point, Yann LeCun considère comme évident qu’on mettra au point une superintelligence, et que ce sera pour le meilleur, sans danger majeur.

    Son aîné et autre des trois parrains du deep learning, Geoffrey Hinton, pense aussi que nous courons tout droit vers la superintelligence, probablement avant 20 ans, mais il considère que le risque de disparaître n’est pas inconcevable. C’est pour cela qu’il vient tout juste de signer (avec le troisième parrain Yoshua Bengio ainsi que les fondateurs de Deepmind et OpenAI et plus de 300 autres chercheurs et personnalités) une déclaration appelant à faire de la gestion du risque d’extinction de l’espèce humaine par l’IA une priorité mondiale.

    Certains sont encore plus inquiets, comme le chercheur Eliezer Yudkowsky, que Sam Altman dit respecter, qui écrit dans le Time Magazine :

    « De nombreux chercheurs, dont moi-même, s’attendent à ce que le résultat le plus probable de la mise au point d’une intelligence artificielle surhumaine, dans les circonstances actuelles, soit que littéralement tout le monde sur Terre mourra. Non au sens de peut-être une chance lointaine, mais c’est la chose évidente qui se produirait. »

    On croise les doigts pour que Yann LeCun ait raison !

    https://www.contrepoints.org/2023/10/26/465588-iv-iv-quid-du-jour-ou-lia-et-les-machines-pourront-faire-tout-ce-que-savent-faire-les-humains

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    1. Attention, lIA n'est PAS une machine ! c'est uniquement un programme (malveillant appelé virus).
      Si en voiture il y a un ravin à gauche et que l'IA dit "Tournez à gauche. Tournez à gauche. T..." !!

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  31. La liberté d’Assange pourrait jouer un rôle crucial dans le soutien de l’Australie à la guerre froide entre les États-Unis et la Chine

    La coopération de l’Australie avec la guerre froide des États-Unis contre la Chine n’est pas une victoire décisive.


    Par le professeur Marjorie Cohn
    Recherche mondiale,
    25 octobre 2023


    Les enjeux sont élevés alors que le Premier ministre australien Anthony Albanese arrive aujourd’hui à Washington, DC, pour rencontrer le président Joe Biden . Le gouvernement américain espère obtenir le soutien de l'Australie pour ses initiatives de guerre froide contre la Chine.

    L’Australie est l’un des alliés les plus proches des États-Unis. L’Australie, les États-Unis et le Royaume-Uni forment « AUKUS », une alliance trilatérale de « sécurité » dans l’Indo-Pacifique.

    Il s’agit également d’une question cruciale pour l’Australie. Avant son départ pour les États-Unis, Albanese a déclaré au Parlement que le transfert par AUKUS de la technologie des sous-marins nucléaires américains et britanniques vers l'Australie était essentiel pour l'avenir de l'alliance.

    Un autre point à l’ordre du jour lors de la rencontre entre Albanese et Biden est l’extradition du fondateur de WikiLeaks , Julian Assange, un citoyen australien. Assange, qui est incarcéré depuis quatre ans dans une prison de haute sécurité à Londres, a été inculpé par l'administration Trump pour des accusations en vertu de la loi sur l'espionnage pour les révélations de WikiLeaks en 2010-2011 sur les crimes de guerre américains en Irak, en Afghanistan et à Guantánamo Bay. S’il est extradé du Royaume-Uni vers les États-Unis et reconnu coupable, Assange risque jusqu’à 175 ans de prison.

    L’administration Obama, qui a inculpé plus de lanceurs d’alerte en vertu de la loi sur l’espionnage que toutes les administrations précédentes réunies, a refusé d’inculper Assange en raison du « problème du New York Times ». Autrement dit, si l’administration accusait Assange, elle devrait également inculper le New York Times et d’autres médias qui ont également publié des secrets militaires et diplomatiques classifiés.

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  32. Mais au lieu de rejeter l’acte d’accusation et la demande d’extradition, l’administration Biden y donne suite vigoureusement.

    En août, Albanese a déclaré que son gouvernement s’opposait fermement aux poursuites contre Assange. La liberté d'Assange est « largement considérée comme un test de l'influence de l'Australie auprès de l'administration Biden », a rapporté l' Associated Press .

    « Le Premier ministre est ici pour demander l’abandon de l’extradition de Julian Assange. Cette demande émane de l'allié le plus proche des États-Unis, à un moment où les États-Unis recherchent le soutien de l'Australie comme rempart, à la fois financier et militaire, contre la menace perçue de la Chine », a déclaré Vincent De Stefano, directeur national de l'organisation d'Assange Defence, à Truthout .

    En septembre, une délégation multipartite du parlement australien s'est rendue à Washington, DC, et a soutenu que les poursuites contre Assange devraient être abandonnées. Ils ont rencontré des sénateurs et des membres du Congrès américains, le Département d'État, le ministère de la Justice ainsi que des groupes de réflexion et des ONG clés.

    La délégation est arrivée après que 63 membres de gauche, du centre et de droite du parlement australien ont signé une annonce d'une page entière dans le Washington Post exhortant Albanese et Biden à trouver une solution diplomatique au cas d'Assange. La déclaration de ce qu'ABC News a qualifié de « coalition improbable » de parlementaires a déclaré qu'il était « erroné en principe » qu'Assange soit inculpé en vertu de la loi sur l'espionnage et a noté que « c'était une décision politique d'engager des poursuites en premier lieu ». »

    Les législateurs australiens ont mis en garde contre « un tollé vif et soutenu en Australie » si Assange était extradé. Au moins 90 % des Australiens sont d’accord sur le fait que les poursuites contre Assange doivent être abandonnées et qu’il doit être renvoyé chez lui en Australie.

    " Ignorer la demande du Premier ministre concernant l'extradition d'un citoyen australien, dont le seul crime était d'être un journaliste honnête, tout en exigeant en même temps une dépense et un engagement énormes de la part de notre allié, est une insulte de la plus haute importance — une gifle, vraiment », a déclaré De Stefano.

    Gabriel Shipton, le frère d'Assange, a qualifié l'acte d'accusation de « un fossé dans la relation entre l'Australie et les États-Unis… qui est une relation très importante à l'heure actuelle, en particulier avec tout ce qui se passe entre les États-Unis et la Chine et le genre de pivot stratégique qui se produit. »

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  33. La coopération de l’Australie avec la guerre froide menée par les États-Unis contre la Chine n’est pas une victoire décisive. Dans un document de recherche publié le 12 octobre, le service de recherche du Congrès a déclaré que l'Australie pourrait ne pas être disposée à unir ses forces à celles des États-Unis dans une guerre contre la Chine. Il cite les déclarations faites en mars par Richard Marles, le ministre australien de la Défense, précisant que l'accord AUKUS ne prévoyait aucun engagement préalable de l'Australie à soutenir les États-Unis dans un conflit avec Taiwan. La position de la Chine selon laquelle Taiwan fait partie de la Chine n’est pas négociable. Bien que les États-Unis aient historiquement souscrit à cette politique « d’une seule Chine », des ouvertures récentes indiquent qu’ils pourraient soutenir un Taïwan indépendant. Il existe une opposition croissante à l’AUKUS en Australie, y compris au sein du parti travailliste au pouvoir.

    En novembre dernier, le New York Times , Le Monde, le Guardian, DER SPIEGEL et El País ont signé une lettre ouverte commune exhortant le gouvernement américain à rejeter les accusations portées contre Assange en vertu de la loi sur l'espionnage pour avoir publié des secrets militaires et diplomatiques classifiés. « Publier n'est pas un crime », indique la lettre. « Le gouvernement américain devrait mettre fin aux poursuites contre Julian Assange pour publication de secrets. »

    Une lettre bipartite adressée à Joe Biden est diffusée pour signature au Congrès par les représentants Jim McGovern (Démocrate-Massachusetts) et Thomas Massie (Républicain-Kentucky). Ils écrivent pour « encourager fortement » l’administration Biden à retirer la demande d’extradition et à mettre fin à toutes les poursuites contre Assange.

    La lettre du Congrès note que la loi sur l’espionnage visait à punir la fourniture de secrets d’État à des « gouvernements ennemis ». Il ne s’agissait pas « de punir les journalistes et les lanceurs d’alerte pour avoir tenté d’informer le public sur des questions graves que certains responsables du gouvernement américain pourraient préférer garder secrètes ». Les signataires préviennent que si l’extradition et les poursuites se poursuivent, « il existe un risque important que nos relations bilatérales avec l’Australie soient gravement endommagées ».

    L’appel d’Assange contre l’ordonnance d’extradition est pendant devant la Haute Cour du Royaume-Uni. Le tribunal ayant repris ses travaux, il pourrait rapidement rejeter son appel. Assange demanderait alors à la Cour européenne des droits de l'homme de réexaminer son cas. Mais même si ce tribunal rendait une injonction pour arrêter l’extradition, rien ne garantit que le Royaume-Uni l’honorerait .

    *

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  34. Marjorie Cohn est professeur émérite à la Thomas Jefferson School of Law, ancienne présidente de la National Lawyers Guild et membre des conseils consultatifs nationaux d'Assange Defence et de Veterans For Peace, ainsi que du bureau de l'Association internationale des avocats démocrates . Elle est doyenne fondatrice de l'Académie populaire de droit international et représentante des États-Unis au conseil consultatif continental de l'Association of American Jurists. Ses livres incluent Drones and Targeted Killing: Legal, Moral and Geopolitique Issues. Elle est co-animatrice de la radio « Law and Disorder ».

    https://www.globalresearch.ca/assange-freedom-pivotal-australia-support-us-cold-war-china/5837733

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  35. NewsGuard et le gouvernement américain poursuivis en justice par Consortium News. Musk dénonce une "arnaque"


    Par Zero Hedge
    Recherche mondiale,
    25 octobre 2023


    NewsGuard, une société qui prétend évaluer le niveau de « fiabilité » des médias et a donc une influence significative sur les revenus publicitaires, a été poursuivie en justice avec l'administration Biden par Consortium News, qui a également nommé le Cyber ​​Command du Pentagone pour « avoir passé un contrat avec NewsGuard ». identifier, rapporter et abréger le discours des médias américains qui sont en désaccord avec les positions officielles américaines en matière de politique étrangère.

    Selon la plainte , NewsGuard « agit conjointement ou de concert avec les États-Unis pour contraindre les agences de presse à modifier leurs points de vue » concernant l'Ukraine, la Russie et la Syrie, et a imposé une forme de « censure et de répression des opinions » qui s'écartent de la politique américaine. et ceux de ses alliés, indique la plainte.

    Consortium note également que NewsGuard a qualifié l'intégralité des plus de 20 000 articles de Consortium News de « peu fiables », sur la base de seulement six exemples avec lesquels ils ont contesté (ce qui est exactement la même chose qu'ils font avec ZeroHedge et d'autres médias indépendants).

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  36. NewsGuard utilise son logiciel pour baliser les sites d'information ciblés, y compris les plus de 20 000 articles et vidéos de Consortium News publiés depuis 1995, avec des avertissements de « procéder avec prudence », indiquant aux abonnés de NewsGuard que Consortium News produit de la « désinformation », du « faux contenu » et est un organisation médiatique « anti-américaine », même si NewsGuard n’a contesté qu’un total de six articles du CN et aucune de ses vidéos.

    La plainte vise une injonction permanente déclarant le programme commun inconstitutionnel ; interdisant au gouvernement et à NewsGuard de poursuivre de telles pratiques et plus de 13 millions de dollars de dommages et intérêts pour diffamation et violations des droits civils. – Actualités du Consortium

    - voir clip sur site -

    La semaine dernière, l'ancien responsable de l'administration Trump, Mike Benz, a noté sur X que le co-fondateur de Wikipédia, Jimmy Wales , est un conseiller de NewsGuard et que l'organisation nounou était « à genoux dans un complot visant à amener [les gouvernements] à mettre en faillite les informations alternatives. NewsGuard a travaillé [avec l'] UE sur un nouveau code de désinformation. Son modèle commercial propose des services de « conformité à la désinformation » [avec les] lois de censure qu'il promeut.

    - voir cadre sur site -

    Dans un autre fil de discussion X, Elon Musk a qualifié Newsguard d’« arnaque » après avoir donné un avertissement au commentateur politique Tim Pool « parce que nous avons publié 5 articles sur près de 5 000 citant [l’ancien président Donald] Trump ».

    - voir cadre sur site -

    Selon Uncover DC , NewsGuard a des contrats avec le DoD, l'OMS, Pfizer, Microsoft et l'AFT .

    Les co-PDG Steven Brill et Gordon Crovitz affirment qu'il s'agit du « bibliothécaire d'Internet ». Créé spécifiquement pour évaluer l'intégrité journalistique en ligne, Brill déclare que NewsGuard fournit des services qui « expliquent aux gens quelque chose sur la fiabilité, la fiabilité et les antécédents de ceux qui leur transmettent l'information ». Eric Effron est le directeur éditorial de l’organisation .

    Brill est diplômé de Yale et avocat, auteur de plusieurs livres à succès et a été, entre autres, PDG de Verified Identity Pass, Inc. , le premier programme américain d'accréditation volontaire biométrique qui a fait faillite en 2009. C'était la société mère de CLEAR qui a été remis en ligne en 2010 puis rendu public en 2021 .

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  37. Selon MintPressNews , « Crovitz a occupé plusieurs postes au Dow Jones et au Wall Street Journal, devenant finalement vice-président exécutif du premier et éditeur du second avant que les deux ne soient vendus à News Corp de Rupert Murdoch en 2007. Il est également un membre du conseil d'administration de Business Insider, qui a reçu plus de 30 millions de dollars du propriétaire du Washington Post, Jeff Bezos, ces dernières années.

    Les alliances de Crovitz pourraient expliquer les notes favorables de 100 attribuées à l'organisation par le WSJ et le Washington Post . Il contribue également « à des livres publiés par l’American Enterprise Institute et la Heritage Foundation », qui sont également bien notés par NewsGuard.

    * * *

    Les directeurs, conseillers et investisseurs de NewsGuard constituent un groupe de personnages intéressants. L'un des investisseurs, Publicis Groupe, est "le troisième groupe de communication au monde". Publicic aurait des « liens obscurs avec l’Arabie Saoudite ». Pfizer et Bayer/Monsanto sont deux de ses principaux clients. Ironiquement, bon nombre des conseillers/directeurs sont d’anciens responsables du gouvernement américain, des magnats du divertissement et des journalistes « associés à des agences connues pour produire de fausses nouvelles ».

    Parmi les conseillers se trouve Michael Hayden, ancien directeur de la NSA et de la CIA, qui fut « l’ architecte du programme secret d’espionnage intérieur de George W. Bush ». Tom Ridge a été le premier directeur du Bureau de la sécurité intérieure après le 11 septembre. Richard Stengel « est un ancien haut fonctionnaire du département d'État d'Obama qui a un jour décrit son rôle comme étant celui de 'propagandiste en chef' ».

    - voir cadre sur site -

    Et comme l’a noté Epoch Times en août, NewsGuard se présente comme objectif et non partisan. Ses évaluations, selon la société, mesurent la qualité des médias sur neuf critères, notamment la transparence de la paternité et de la propriété et le respect des pratiques éditoriales standard, telles que la publication de corrections et l'étiquetage des articles d'opinion. Dans la pratique, cependant, l'essentiel du score se résume à la question de savoir si les médias présentent un contenu qui, de l'avis de NewsGuard, est véridique.

    Le premier critère examine spécifiquement si la cible publie de fausses déclarations à plusieurs reprises. Un autre examine s’il publie des informations de manière « responsable ». Mais échouer dans le premier signifie échouer dans le second, explique NewsGuard sur son site Internet. Un autre critère encore est de savoir si la cible utilise des titres précis.

    Encore une fois, si le titre dit quelque chose que NewsGuard considère comme faux, cela compte comme un échec. Un autre critère recherche une politique de correction régulière des erreurs – ou de ce que NewsGuard considère comme des erreurs. Ensemble, ces quatre critères totalisent plus de 60 points sur un score de 100 points.

    Même si NewsGuard ne trouve rien à contester, il peut quand même retirer des points si la cible ne représente pas suffisamment les opinions que l'entreprise aimerait voir.

    Ces fournisseurs de contenu « sélectionnent de manière flagrante des faits ou des histoires pour faire valoir leurs opinions », affirme-t-il.

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  38. En attendant, il faut au moins 60 points pour que NewsGuard puisse émettre sa note « crédible ».

    Cette méthodologie devient particulièrement problématique lorsque NewsGuard lui-même se trompe sur les faits. Par exemple, au plus fort de la pandémie de COVID-19, l’entreprise a considéré fausse l’idée selon laquelle le virus SARS-CoV-2 aurait été divulgué d’un laboratoire de Wuhan, en Chine. Si un média avec un score parfait rendait compte de manière responsable des nombreuses preuves circonstancielles indiquant une fuite de laboratoire, il courait le risque que NewsGuard décime son score et le qualifie à tort de source « peu fiable » qui « viole gravement les normes journalistiques fondamentales ».

    Le problème des origines du COVID-19 est un cas rare dans lequel NewsGuard a finalement publié une correction, même s'il est allé jusqu'à dire que l'hypothèse d'une fuite en laboratoire ne pouvait pas être complètement exclue.

    https://www.globalresearch.ca/newsguard-and-us-government-sued-by-consortium-news-musk-slams-scam/5837727

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  39. Prix de l’eau : pourra-t-on toujours prendre une douche ?

    L’augmentation des tarifs des services essentiels n’épargne désormais pas le prix de l’eau, rejoignant ainsi le gaz et l’électricité sur le champ de l’inflation. Les projections de France Eau pour 2030 sont plus qu’alarmantes.


    Par Axelle Ker
    le 26 octobre 2023 à 15h30


    Le prix de l'eau suit l'inflation

    La flambée des prix de l'eau en France est devenue une réalité inquiétante. Selon France Eau Publique, le prix moyen en 2022 de l'eau à usage domestique, à 4,30 euros le m³ (5,30 euros en Allemagne), pourrait bondir de 50 % d'ici à 2030. Cette hausse est en grande partie due aux à l'augmentation des prix de l'énergie (+ 25 % pour l'électricité en 2023).Comme le souligne Christophe Lime, président de France Eau Publique, l'acheminement de l'eau nécessite une grande quantité d'électricité. Les régies, n'ayant pas bénéficié du bouclier tarifaire, voient leurs factures flamber ; les tarifs de l'électricité n'étant pas prêts de diminuer, ceux de l'eau, in fine, augmenteront aussi.

    Le défi climatique ajoute une couche de complexité à la gestion de l'eau. Les régies d'eau doivent surmonter un « mur d'investissements » pour mieux préserver cette ressource. D'après les estimations d'Alexandre Mayol, maître de conférences en économie à l'université de Lorraine, les fuites d'eau au sein pour l'ensemble des régies représentent près d'un milliard de mètres cubes par an, soit la consommation annuelle de plus de 20 millions de foyers ! Par conséquent, l'enjeu qui entoure les prix de l'eau tient en grande partie à la modernisation des canalisations et des stations d'épuration. Selon Alexandre Mayol, il faudrait investir entre 1 et 2 milliards d'euros de plus par an dans les infrastructures. À cela s'ajoutent les nouvelles réglementations du traitement de l'eau, qui augmentent à leur tour la facture finale pour les régies de l'eau et, par conséquent, celle des consommateurs.

    L'impact du prix de l'eau sur les ménages

    L'inflation des prix de l'eau pèsera donc de plus en plus sur le budget des ménages. Si l'eau ne représente jusqu'à présent que 0,8 % du budget des ménages français, la Fédération nationale des collectivités concédantes et régies (FNCCR) a noté une augmentation des prix de l'eau de 5,5 % entre 2022 et 2023. Dans certaines régions, comme le Bassin de l’Ardèche, la hausse dépasse même 15 %. Régis Taisne, de la FNCCR, explique que l'inflation énergétique renchérit également le prix des produits chimiques utilisés pour potabiliser ou traiter l'eau.

    Le futur de la tarification de l'eau en France semble être sur une pente ascendante, tout comme celui de l'électricité, et les Français n'auront d'autre choix que de s'y habituer. Plusieurs secteurs seront fortement impactés par l'augmentation du prix de l'eau. En premier lieu, les agriculteurs, qui représentent près de 45 % de la consommation d'eau en France, le nucléaire (31 % ), et les industriels (4 %). D'autre part, Alexandre Mayol souligne que malgré le coût relativement bas de l'eau en France, les pertes dues aux fuites d'eau représentent 20 % des 5 milliards de mètres cubes d'eau potable consommés par les ménages. Dans cette optique, le gouvernement vise à réduire la consommation des ménages de 10 % d'ici 2027.

    https://www.economiematin.fr/inflation-prix-eau-augmentation-electricite

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    1. (...) Le défi climatique ajoute une couche de complexité à la gestion de l'eau. (...) !!

      Qu'est-ce que le climat a avoir avec l'eau ?? Mystère !

      Depuis DES millions d'années il y a DES milliards de km³ d'eau (venus des pluies, des fleuves & des rivières) qui se jettent continuellement dans les mers & les océans (SANS QU'ELLES OU ILS NE MONTENT !! Çà alors !! Mais que fait la police ??).

      L'eau sale des mers et des océans (les poissons chient dedans !!), s'infiltre continuellement (et GRATUITEMENT) aux planchers maritimes & océaniques vers le magma par des galeries souterraines. La masse ferrique incandescente chauffe/brûle cette eau sale (GRATUITEMENT) et la revoie (sous formes de vapeurs) à 78 % d'où elle vient (sources chaudes appelées aussi mini-volcans) et à 22 % sous terre d'où elle ressort GRATUITEMENT toute propre et pure aux sources de montagnes et remplit les nappes phréatiques (qui ne sont pas heureusement approvisionnées par les infiltrations de pluies qui leurs donneraient une couleur, une odeur, un goût et des bactéries. Ouf !).

      Mais... cette eau GRATUITE a un coût !! Çà alors !!

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  40. Loi immigration : alerte sur l’article 3 !

    Au moment où se joue le contenu via le projet de loi immigration, il s’agit de résoudre l’injonction contradictoire véritablement inadmissible de l’article 3 sur la régularisation des travailleurs sans papiers dans les métiers en tensions, alerte le mouvement ETHIC (Entreprises de Taille Humaine, Indépendantes et de Croissance).


    Par Sophie de Menthon
    le 26 octobre 2023 à 16h30


    le taux d'emploi des immigrés titulaires d'un bac +2 est de 65 %

    Une situation profondément schizophrénique sur le cas des salariés sans-papiers pourtant déclarés (faux papiers, fausse photo...). « Le chef d'entreprise n'est pas là pour contrôler les papiers fournis » assène Sophie de Menthon, présidente du mouvement patronal. Et de poursuivre : « Si nous les employons, et qu'il y a un contrôle : les chefs d’entreprise concernés, satisfait du travail fourni, doivent payer une forte amende et se séparer du salarié ! Doit-on s’ériger contre l’État et porter plainte pour incitation à faire travailler les sans-papiers tout en le leur interdisant ? On marche sur la tête ! ».

    Ces salariés, en règle du point de vue des cotisations et charges salariales, n'ont donc en principe pas le droit de travailler… Mais ils doivent fournir 24 fiches de paie, dont 8 consécutives, pour obtenir des papiers.

    Une injonction totalement contradictoire que le mouvement ETHIC dénonce et qui propose depuis des mois LA solution : un contrat de travail pour entrer en France sur le modèle de la « Green Card ».

    Il ne s’agit évidemment pas de créer un appel d’air mais de gérer ceux qui sont au travail et déclarés.

    Pour la suite, il faudrait organiser des permis de séjour correspondant à la durée du contrat de travail proposé par les entrepreneurs.

    https://www.economiematin.fr/loi-immigration-article-3-salaries-regularisation-menthon

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    1. Alors qu'il y a DES machines de plus en plus autour de nous pour faire notre travail et la vente essayée du paquet de lessive appelé LIA, voici que les États-Unis et l'Europe sont envahies par des 'réfugiés climatiques' !!

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  41. Insolite : Ferrari attaque un particulier… pour une Ford !

    Quand un passionné d’auto décide de donner à sa Ford l’allure d’une Ferrari, c’est tout le monde juridique qui s’enflamme.


    Par Grégoire Hernandez
    le 26 octobre 2023 à 17h00


    Le prix moyen d'une Ferrari est d'environ 300 000 euros.

    Une indemnisation de 2,1 millions d'euros demandée par Ferrari

    Octobre 2018, La Corogne, Espagne. Un concessionnaire local décide de laisser parler sa passion pour les voitures et transforme une Ford Cougar en ce qui semble être une splendide Ferrari F430 Scuderia. « L'accusé a acquis le véhicule en sachant qu’en réalité, ce n’était pas une Ferrari », souligne le magistrat, rappelant que le véhicule a été modifié avec le logo et le fameux cheval cabré de la marque italienne.

    Alors qu'il se croyait à l'abri de toute polémique, l'homme se retrouve dans le collimateur de la puissante marque italienne. Ferrari, en effet, n'a guère apprécié cette transformation et porte plainte pour "exploitation des droits de propriété industrielle". Montant de l'indemnisation demandée ? 2,1 millions d’euros ! Mais face à l'adversité, l'espagnol ne se laisse pas faire et décide de répliquer en portant l'affaire devant le tribunal pénal de La Corogne.

    Le tribunal a donné raison à l'accusé

    Le 22 octobre 2018, la police locale d’Arteixo arrête l'homme suite à la plainte de Ferrari. Mais surprise ! Le tribunal donne raison à l'accusé. Le juge explique que ce dernier n'avait pas l'intention de vendre cette voiture comme une véritable Ferrari. De plus, l'homme ignorait tout des droits de propriété intellectuelle détenus par Ferrari sur ce modèle précis. Pour couronner le tout, il souligne que la voiture n'a pas été achetée « à des fins industrielles ou commerciales », mais simplement pour le plaisir personnel.

    Cette décision a jeté de l'huile sur le feu dans la communauté juridique et automobile. Où s'arrêtent les droits de propriété industrielle ? Jusqu'où peut-on personnaliser son véhicule ? Cette affaire ouvre un débat sur l'interprétation des lois et les implications pour les amateurs de voitures et les entreprises du secteur automobile. Cette histoire restera gravée comme un cas emblématique dans les annales judiciaires espagnoles.

    https://www.economiematin.fr/ferrari-insolite-ford-tribunal

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    1. Après les patinettes et Solex transformés en Mobylettes turbo voici qu'arrivent les caisses à savons déguisées en arbres de noel !!

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  42. "Le visage du mouvement de censure numérique" : Matt Taibbi interpelle Amy Klobuchar


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 27 OCTOBRE 2023 - 01h50
    Rédigé par Matt Taibbi via Racket News,


    Si vous lisez l’article de Racket de ce matin sur la lettre de la sénatrice Amy Klobuchar à Jeff Bezos demandant des « mesures proactives » pour supprimer des sites comme Substack ou Rumble, vous avez probablement compris que je suis d’humeur.

    Je l'ai eu.

    Qu’il s’agisse de NewsGuard qui qualifie Joe Lauria et Consortium News d’« anti-américains », ou des Drs. Jay Bhattacharya, Aaron Kheriaty et Martin Kulldorff censurés sur plusieurs plateformes pour avoir eu raison sur Covid, ou la podcasteuse Alison Morrow licenciée d'un emploi dans l'État pour avoir interviewé Kheriaty, ou son ami CJ Hopkins en Allemagne condamné au pénal pour une couverture de livre, ou le FBI demandant à Twitter le renvoi d'Aaron Mate de la police secrète ukrainienne, ou l'augmentation des demandes de budget des agences chargées de l'application de la « contre-désinformation », ou le nouvel emprisonnement même d'Owen Shroyer pour avoir « contribué à créer le 6 janvier » par un discours, ou bien sûr la détention pour toujours de Julian Assange, et surtout l’indifférence totale des médias traditionnels à tout cela, c’est fini. J'ai perdu patience. Il est temps d’adopter une approche plus ciblée.

    Un problème lorsqu’on est aux prises avec l’hydre de la censure est qu’elle n’a aucun visage public, pas de Tipper Gore ou de Jerry Falwell pour personnifier le sujet. Klobuchar, pour les raisons évoquées ce matin et au-delà, a raison pour ce rôle. Elle doit être Red Pencil Amy, Blacklist Amy, Amy « Thought Police » Klobuchar. Et qu’il soit long ou pas, sa destitution lors des élections de l’année prochaine ou même de ses postes de direction au Sénat est un objectif louable. Le reste de Washington doit lire l’opinion publique sur cette question à travers le dilemme de relations publiques d’un collègue.

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  43. J’ai déjà beaucoup de pain sur la planche, mais je ferai de Klobuchar un projet de branding personnel, même si cela prend du temps. J’écrirai tout mouvement qu’elle fera dans cette direction, ou non. Son partenaire moins connu dans la tentative de faire d’Amazon une zone « sources vérifiées uniquement », le membre du Congrès Joseph Morelle de la région de Rochester, New York, peut être ajouté. Considérez Morelle comme la moitié VP du mouvement de censure. C'est rien de personnel. Autrefois, cette personne aurait pu être n'importe qui, de Rick Stengel à Adam Schiff (en particulier lui) ou Mark Warner. Klobuchar et Morelle ont juste choisi le mauvais moment dans ma spirale descendante personnelle pour réaliser ce coup.

    T-shirts, posters, idées de meming sont les bienvenus.

    D’ailleurs, je prépare encore des assemblées publiques sur le sujet du discours et j’en ai d’ailleurs confirmé une dans mon ancienne université la troisième semaine de novembre. (Détails à venir). Prêt à faire plus si quelqu'un peut aider du côté du site. Bien que ces événements seraient peut-être mieux organisés au Minnesota maintenant.

    Pour les lecteurs qui pourraient craindre que je perde la tête, vous n’avez pas tort. Que puis-je dire ? Même mon chien me regarde avec inquiétude ces jours-ci. Mais j'ai été poussé. Poussé je dis ! Et bien d’autres aussi. A la bataille !

    https://www.zerohedge.com/political/face-digital-censorship-movement-matt-taibbi-calls-out-amy-klobuchar

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  44. Réflexion sur la politique de la Commission européenne : c’est du totalitarisme !


    le 26 octobre 2023


    La mise en place de règlements relatifs à la liberté d’expression par la Commission européenne est la première étape vers l’établissement d’un régime totalitaire. Pour l’instant ces restrictions de la liberté d’expression concernent les « climato-sceptiques », les « anti-vaxx » et les « pro-palestiniens » mais elle va s’étendre à toutes les expressions d’opinions qui ne sont pas conformes aux diktats de la Commission européenne. Pour l’instant également seuls les sites de la toile appelés réseaux sociaux semblent concernés par l’idéologie totalitaire du Commissaire Thierry Breton mais à n’en pas douter cette politique va s’étendre à tous les aspects de la vie quotidienne des citoyens européens. Il s’agit là de la ligne de conduite qui englobe la censure de X (ex-twitter), Elon Musk étant considéré comme l’ennemi de la société occidentale décadente alors qu’il veut défendre la liberté d’expression. On marche sur la tête !

    Mon point de vue que je ne partage qu’avec moi-même est le suivant : selon les travaux d’historienne du Docteur en histoire Annie Lacroix-Riz qui ne travaille exclusivement qu’avec les archives disponibles, c’est très important de le préciser, l’Europe et l’Amérique du Nord n’ont jamais abandonné ni combattu l’idéologie nazie mise en place par Hitler en Allemagne. Les dizaines de milliers de criminels de tout poil exfiltrés par les Américains depuis l’Allemagne, la Pologne ou encore l’Autriche y compris la France, avec le soutien du Vatican et de l’Espagne, se sont retrouvés aux USA, au Canada et également en Argentine. Ils ont échappé au tribunal de Nuremberg qui les aurait tous sans exception condamnés à la peine de mort. Cette idéologie nazie a perduré jusqu’à nos jours avec le soutien sans condition du régime ukrainien notoirement corrompu mais qu’à cela ne tienne il s’agissait d’encourager un régime national-socialiste bandériste contre l’ours russe et les Occidentaux étaient tacitement en accord avec ces nazis.

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  45. Cette idéologie, compte tenu des décisions prises aujourd’hui par la Commission européenne de museler les informations « non conformes », ressemble en tous points aux mesures mises en place dès 1933 par l’Allemagne nazie. La censure et le mensonge étaient les deux outils utilisés par les nazis pour établir leur pouvoir, le mensonge a été largement utilisé par les Américains pour réaliser leur pouvoir hégémonique. Le premier grand mensonge, outre l’affaire du port de la Havane pour déclarer la guerre à l’Espagne et s’accaparer une partie de leur empire colonial est l’intervention japonaise à Pearl Harbor. Les Américains savaient que les Japonais allaient détruire la flotte américaine qui mouillait dans le port d’Honolulu. Ils ont donc laissé quelques bateaux au mouillage mais les plus importantes embarcations dont deux porte-avions ont fui l’avant-veille de l’attaque nippone vers le large. La force aérienne américaine était donc saine et sauve. Cet événement permit d’allier la Russie et la Chine contre le Japon afin d’aider les Américains dans leur projet de destruction de l’impérialisme nippon. L’affaire de Pearl-Harbor a par la suite été enjolivée par le cinéma hollywoodien mais la réalité reste dans la mémoire des historiens impartiaux. L’autre mensonge de l’Allemagne nazie en gestation est la « Nuit de cristal », le sommet du « faux-drapeau », du coup d’Etat préparé si cher aux Américains, un coup d’Etat à la manière du Premier Consul français mais également ce coup d’Etat organisé par Macron (« Young Leader ») pour évincer François Fillon de la course à la présidentielle française. Le grand inspirateur et exemple est paradoxalement Hitler et cette influence idéologique nazie est plus vivante que jamais aujourd’hui en Europe ainsi qu’au Parlement canadien à Ottawa ! (Trudeau est un « Young leader » imbibé de l’idéologie néo-nazie de Klaus Schwab)

    Je cite Annie Lacroix-Riz sans me soucier un instant de ses opinions politiques, ça ne me regarde pas, mais ses recherches dans les archives prouvent bien que les Américains sont toujours restés des sympathisants de l’idéologie nazie. C’est ainsi qu’ils ont favorisé la formation de l’Union européenne depuis le Plan Marshall, ça ne date pas d’hier, reprenant le projet d’Hitler d’une grande Europe avec des hommes de main acquis à la cause d’un nouveau « Reich » comme Jean Monnet et Konrad Adenauer. L’intelligentsia de l’ombre alimente toujours cette idéologie comme en particulier Klaus Schwab du Forum économique mondial qui met soigneusement en place ses « Young Global Leaders » formés aux idées de Davos avec la bénédiction des puissances financières pour diriger l’Europe. Par conséquent il n’est pas du tout étonnant qu’un Thierry Breton mette en place une censure institutionnalisée, qu’après le test du coronavirus pour évaluer jusqu’à quel point les peuples européens peuvent se plier à des mesures coercitives portant atteinte aux libertés individuelles, la réceptivité des peuples, les moins que rien, les sans-dents, les conducteurs de vieilles voitures diesel la clope au bec, sont incapables de réagir, c’est ainsi prouvé avec le coronavirus, donc tout est pour le mieux. Et si par hasard un mouvement populaire apparaît la répression policière sera la plus intraitable. C’est ce qui s’est passé en France avec les Gilets Jaunes, une répression violente téléguidée par le pouvoir central nazi européen, le Forum économique mondial avec l’homme de main totalement soumis qu’est le président français.

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  46. Il y a une réelle urgence pour que les Européens décident de défendre leur liberté et leurs droits fondamentaux. Dans moins de mois que l’on imagine il sera trop tard …

    - voir 4 clips sur site :

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/10/26/reflexion-sur-la-politique-de-la-commission-europeenne-cest-du-totalitarisme/

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  47. 160 000 $ d’énergie éolienne et solaire avec batteries ne peuvent pas alimenter deux maisons à elles seules


    Par Jo Nova
    October 27th, 2023 |


    Lançons une expérience sur une nation entière que nous ne pouvons même pas faire facilement sur une seule maison.

    Imaginez-vous étendre cela à un pays ?

    Le Daily Skeptic raconte l'histoire d'un agriculteur australien de Victoria qui s'est éloigné du réseau pour essayer d'être aussi autosuffisant que possible, non pas par idéologie, mais pour des raisons pragmatiques. Il possède deux maisons de 3 chambres, avec 30 panneaux solaires et une éolienne de 1 kW chacune. Pour le stockage, ils disposent d'environ 30 batteries au plomb allemandes, ce qui, aux prix actuels, représente environ 15 000 $ chacune. Mais malgré cela, chaque maison dispose toujours de cuisinières à gaz en bouteille et d'un générateur à essence de 6 kVA. Les générateurs sont programmés pour se mettre en marche lorsque les batteries deviennent trop faibles, ce qui arrive souvent les soirs d'automne, d'hiver et parfois au printemps. (Il estime environ 60 à 100 heures par an). Même au-dessus de tout cet équipement qui nécessite du gaz, du carburant et de l'entretien et qui coûte environ 160 000 $ au total à installer, ils doivent encore cultiver, couper et ramasser, aïe, 100 kg de bois (220 lb) par semaine en hiver pour chaque maison.

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  48. Il prévient que quiconque pense que le pays peut fonctionner grâce à l’énergie éolienne et solaire sans combustible fossile ni énergie nucléaire est « totalement illusoire ». Et ce sont des fermes sur la côte de Victoria – donc un climat plus doux – nous ne parlons pas de neige.

    L’auteur était médecin spécialiste à temps partiel jusqu’à ce que le gouvernement tente de le forcer à participer à une expérience médicale (vous connaissez celle-là) à laquelle il ne voulait pas participer. Il est maintenant un paysan anonyme possédant des poulets et des moutons. C’est donc un gars brillant, qui avait un bon revenu, et le genre d’homme capable de reconstruire un générateur diesel vieux de 70 ans et pesant 1,4 tonne. Comment exactement ce type de système se traduit-il en une énergie nationale pour les personnes vivant dans des quartiers à haute densité sans arbres, sans pompe à chaleur et sans Tesla à brancher ?

    Vivre hors réseau m'a montré que la société moderne ne peut pas fonctionner avec des énergies renouvelables
    par Pseudonaja Textilis, Daily Skeptic
    En extrapolant à partir de notre expérience en matière d'énergies renouvelables, quiconque pense qu'une société moderne peut fonctionner avec un réseau électrique fonctionnant uniquement à l'énergie solaire et éolienne, sans combustible fossile ni nucléaire, capable de fournir immédiatement jusqu'à 100 % de ses besoins en électricité par temps nuageux. jours et nuits sombres et sans vent, est totalement illusoire !

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  49. Et obtenir un stockage de batteries lithium-ion à l'échelle du réseau pour fournir le type de temps d'approvisionnement dont nous disposons sur notre ferme coûterait des milliards de dollars, épuiserait les ressources non renouvelables de la planète jusqu'à un épuisement imminent et il faudrait alors tout faire. encore une fois dans 10 ans.

    Rien n'est vraiment réglé et oublié :

    Après 20 ans, les premiers de nos panneaux solaires ont commencé à tomber en panne et ont été remplacés. …

    Les systèmes d’énergie renouvelable devraient plus honnêtement être appelés systèmes d’énergie remplaçables. Aucun des composants ne peut fonctionner pendant plus de 25 ans et souvent pendant une période beaucoup plus courte.

    Même avec près de 3 tonnes de batteries au plomb pour deux maisons, elles ne disposent en réalité que d’un approvisionnement d’une journée :

    En théorie, nous disposons de trois à quatre jours d'alimentation électrique à entrée nulle si nous devions aplatir les batteries, mais en pratique, nous ne laissons pas les batteries descendre en dessous de 70 % de leur capacité afin de les protéger et de les faire durer le plus longtemps possible. Nous sommes donc limités à environ une journée de capacité stockée.

    Les deux systèmes de maison sont presque aussi optimisés que possible et représentent un investissement total d’environ 160 000 $.

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  50. Je suppose que les 160 000 $ étaient destinés aux deux maisons ensemble, j’espère ne pas mal lire. Et bien sûr, ici en Australie, les panneaux solaires étaient presque certainement subventionnés, le coût réel est donc encore plus élevé.

    Le Daily Skeptic a tous les détails sur le kVA... merci à l'agriculteur anonyme d'avoir partagé son histoire.

    salut à Steve

    https://joannenova.com.au/2023/10/160000-worth-of-wind-and-solar-power-with-batteries-cant-power-two-homes-alone/

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  51. ENCORE 1 ARTICLE CENSURÉ ! (60 - 1 = 59)

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