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jeudi 19 octobre 2023

Christine Cotton - La vérité sur les essais Pfizer - Le Zoom - TVL


et:

Effets indésirables : « Les victimes agonisent et tout le monde s’en fout » – Christine Cotton

 

118 commentaires:

  1. Protection de l'enfance : action


    Ariane Bilheran
    15 Octobre 2023


    L'Organisation nationale Ethique Santé et Transparence (O.N.E.S.T.) est une association Loi 1901 en cours d'enregistrement dont les représentantes sont Maître Virginie de Araujo-Recchia (Présidente), Ariane Bilheran (Vice-Présidente) et Dr Laurence Kayser (Vice-Présidente).

    L’association a pour buts :

    la préservation de la vie sous toutes ses formes, humaine, animale et végétale.

    L'intervention en tout temps et en tous lieux et de manière libre sur tous les champs impliquant la défense, la protection, la sensibilisation, l’éducation, l’édition, la formation, la recherche, la promotion de toutes formes d’actions, de colloques et d’événements permettant des avancées et des améliorations de la vie sociale, citoyenne et économique, de la santé humaine, des droits humains, dans le respect de la liberté des patients et des praticiens, des principes humains et du vivant, des principes fondamentaux de la philosophie morale et politique constitutifs de la civilisation.

    Étant précisé que l’on entend notamment par le respect des principes humains, le droit au respect de l’intégrité du corps humain, du psychisme et de la dignité humaine, la protection des droits de l’enfant et des personnes vulnérables, la lutte contre les atteintes à l’humanité (crimes contre l’humanité et atteinte à l’espèce humaine) et l’application des principes d’éthique et de moralité.

    Notamment :

    Soutenir une réelle protection de l’enfance dans tous les domaines, notamment la prévention des risques, la consolidation du bien-être psychique et physique de l’enfant et le respect des principes de la Convention internationale relative aux droits de l’enfant.

    Agir comme force de veille et d'intervention sur les projets nationaux, européens et internationaux, entre autres, les programmes et agendas des Nations-Unies et de son institution spécialisée l’Organisation mondiale de la santé (O.M.S.) ;

    Défendre en justice les objectifs ci-dessus énoncés et développer des instances citoyennes pour l’application de principes éthiques.

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  2. ONEST a rendu public un courrier rédigé par un collège d'experts du psychisme, de la psychologie et du développement de l'enfance ainsi que du Droit, à destination des chefs d'établissement, des professionnels de l'enfance, des parents, des responsables politiques et des citoyens en général, pour un appel à la prudence.

    Ce courrier alerte concernant les cours obligatoires d'"éducation à la sexualité" et à la théorie du genre.

    Il fait suite à une pétition mise en ligne le 28 septembre 2023, portant aujourd'hui près de 24 000 signatures.

    SYNTHÈSE - COURRIER ONEST 14.10.2023
    .pdf
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    RÉSUMÉ - COURRIER ONEST 14.10.2023
    .pdf
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    Courrier ONEST - 14.10.2023
    .pdf
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    https://www.arianebilheran.com/post/protection-de-l-enfance-action

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  3. Ma réponse officielle à la RTBF envoyée le 07 octobre 2023
    Pour publication sur le site de la RTBF


    Ariane Bilheran
    7 octobre 2023


    À l’attention de l’Administrateur général

    M. Jean-Paul Philippot
    Boulevard Auguste Reyers, 52
    1044 Bruxelles
    Belgique

    Lettre + RAR

    Objet :

    Demande de publication de Droit de réponse

    Votre article :

    https://www.rtbf.be/article/complotistes-extreme-droite-et-adeptes-de-theories-pedocriminelles-voici-le-reseau-des-desinformateurs-sur-levras-en-belgique-11256548

    + Ma photographie affichée au journal de 20 heures.


    DROIT DE RÉPONSE

    Mon nom et ma photographie figurent dans un de vos articles, le 16/09/2023.

    Je réfute vos accusations de « désinformation » sur EVRAS ainsi que mon association à tout prétendu réseau de « complotistes anti-covid », de personnalités « adeptes de théories pédocriminelles », d’associations « ultra conservatrices ou d’extrême droite ».

    Mes préoccupations, que votre article ne relaie pas, sont sourcées (cf. mon livre L’Imposture des droits sexuels) et partagées par de nombreux professionnels et experts de santé mentale et du Droit :

    https://www.mesopinions.com/petition/enfants/alerte-protegeons-enfants-respect-integrite-psychique/217299

    Mes propos ne procèdent pas d’opinions politiques ou religieuses, mais d’avis d’experts, corroborés par des experts d’autres spécialités. Je ne suis pas « prétendue » ceci ou cela, mais docteur en psychopathologie, auteur de plus de 40 livres, et de centaines d’articles.

    Enfin, je ne suis pas « adepte de théories pédocriminelles ».

    Je dénonce l’existence de réseaux pédocriminels, comme vous le faites, vous aussi, sur votre site.

    Dr Ariane Bilheran,

    Normalienne (Ulm), psychologue clinicienne, philosophe, docteur en psychologie clinique et psychopathologie (PhD), ancienne chargée de cours à l’Université, expert - France

    https://www.arianebilheran.com/post/ma-réponse-officielle-à-la-rtbf

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  4. La vérité scientifique contre l'endoctrinement totalitaire de l'OMS : exemple dans EDSENS

    Concernant la véracité « scientifique » du guide EDSENS (qui s'appuie, en termes de contenu, sur les "Standards pour l'éducation sexuelle en Europe" de l'OMS), pour "l'éducation sexuelle" en France, un premier petit exemple…


    Ariane Bilheran
    6 oct.


    Freud selon EDSENS (p. 17 du guide) :

    « Il considère que l’absence d’éducation et d’informations sexuelles et la diffusion d’informations erronées sont des sources de la "maladie nerveuse contemporaine" ».

    Donc, d'après EDSENS, Freud était favorable à la diffusion d'éducation et d'informations sexuelles auprès des enfants...

    ????

    Petite vérification si vous le voulez bien...

    Freud selon lui-même :

    L'enfant ne doit pas subir de séduction perverse de la part des adultes.

    Il ne faut surtout pas évoquer la sexualité avec l'enfant, mais consolider ses forces morales défensives par l'éducation :

    « C’est pendant la période de latence, totale ou partielle, que se constituent les forces psychiques qui, plus tard, feront obstacle aux pulsions sexuelles et, telles des digues, limiteront et resserreront leur cours (le dégoût, la pudeur, les aspirations morales et esthétiques). Devant l’enfant né dans une société civilisée, on a le sentiment que ces digues sont l’œuvre de l’éducation, et certes l’éducation y contribue.

    En réalité, cette évolution conditionnée par l’organisme et fixée par l’hérédité peut parfois se produire sans aucune intervention de l’éducation (ndla : point très important ; l’humain développe donc naturellement la pudeur, le dégoût etc. s’il n’est pas perturbé par de la séduction perverse, ceci Freud en parle ailleurs). Celle-ci devra, pour rester dans ses limites, se borner à reconnaître les traces de ce qui est organiquement préformé, à l’approfondir et à l’épurer.

    Les éducateurs (...) se comportent tout comme s’ils partageaient nos vues sur la formation, aux dépens de la sexualité, des forces morales défensives, et comme s’ils savaient par ailleurs que l’activité sexuelle rend l’enfant inéducable. »

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  5. Extrait de Trois essais sur la théorie de la sexualité

    Conclusion :

    Soit nous avons affaire à des ignorants et des incompétents,
    Soit nous avons affaire à des manipulateurs de textes.
    Dans les deux cas : ça ne va pas.

    Signez la pétition si vous aussi, vous trouvez que ça ne va pas !

    https://www.arianebilheran.com/post/la-vérité-scientifique-contre-l-endoctrinement-totalitaire-de-l-oms

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  6. Big Food et Big Pharma sont responsables de la création de directives alimentaires américaines DANGEREUSES qui nuisent réellement aux gens


    17/10/2023
    Ethan Huff


    Près de la moitié des fonctionnaires qui siègent au Comité consultatif gouvernemental sur les directives diététiques (DGAC) ont des conflits d'intérêts directs avec les grandes entreprises alimentaires, les grandes sociétés pharmaceutiques et les sociétés de l'industrie de la perte de poids ayant un intérêt dans le résultat de ces directives, un nouveau rapport du groupe de surveillance. Le droit américain à l’information l’a découvert.

    Neuf des 20 membres de la DGAC sont au chômage de sociétés pharmaceutiques comme Abbott, Novo Nordisk et Eli Lilly, ainsi que d'entreprises et d'entreprises privées comme le National Dairy Council et Weight Watchers International. Ces 20 personnes sont considérées comme des « experts » en alimentation et en nutrition, fournissant des recommandations pour mettre à jour les conseils diététiques officiels du gouvernement des États-Unis au pays.

    Pour son rapport publié le 4 octobre, U.S. Right to Know a compilé des données accessibles au public au cours des cinq dernières années sur les liens de chacun des 20 membres de la DGAC avec l'industrie. En fin de compte, ces liens se sont révélés être des facteurs disqualifiants, du moins dans une société juste et honnête.

    Le rapport conclut que "avec des conflits d'intérêts à haut risque toujours présents au sein de la DGAC, le public ne peut pas avoir confiance que les conseils diététiques officiels du gouvernement américain sont libres de toute influence de l'industrie".

    Les seules "conclusions encourageantes" du rapport sont que sept membres de la DGAC n'ont aucun conflit d'intérêts confirmé ou potentiel, au moins au cours des cinq dernières années.

    (Connexe : Le gouvernement ment également sur la sécurité du lait – seul le lait cru non pasteurisé est nutritif et favorise la santé intestinale.)

    Liste de divulgation de l'USDA et du HHS des 2025 relations des membres de la DGAC avec l'industrie sur la base de réponses VOLONTAIRES, ce qui signifie que les membres peuvent facilement MENTIR et s'en tirer sans problème
    Nous avons déjà une certaine idée de la composition des relations des membres de la DGAC en 2025 avec l'industrie, grâce aux informations obtenues plus tôt cette année par le ministère américain de la Santé et des Services sociaux (HHS) et le ministère américain de l'Agriculture (USDA). Ces divulgations sont cependant limitées et incomplètes.

    Brighton.TV

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  7. "Ces divulgations étaient regroupées, volontaires, n'identifiaient pas les conflits individuels de chaque membre et ne couvraient que l'année dernière", rapporte Children's Health Defense, un projet du candidat à la présidentielle de 2024, Robert F. Kennedy Jr. "Le rapport était un effort pour combler les lacunes. lacunes de la divulgation erronée des agences.

    Intitulé « Divulgation complète : évaluation des conflits d'intérêts du Comité consultatif sur les directives diététiques 2025 », le rapport de divulgation contient six recommandations visant à améliorer le fonctionnement de la DGAC, notamment que l'USDA et le HHS devraient :

    1) Ne pas nommer de membres présentant des conflits d’intérêts à haut risque

    2) Divulguer les conflits des membres individuels au cours des cinq dernières années

    3) Utilisez un formulaire de divulgation transparent, et non un formulaire OGE 450 qui est confidentiel

    4) Publier une liste des personnes nommées provisoirement avant la nomination, ouverte aux commentaires du public, comme recommandé par NASEM

    5) Inclure les rôles de direction ou les rôles rémunérés au sein d'organisations de nutrition en conflit dans les divulgations d'éventuels conflits d'intérêts

    6) Demander au Congrès d’élargir le Physician Payments Sunshine Act pour couvrir le domaine de la nutrition.

    U.S. Right to Know formule également ses propres recommandations, basées sur un consortium de 15 études de santé publique évaluées par des pairs, montrant comment les industries alimentaires et des boissons, ainsi que les groupes financés par l'industrie, tentent d'influencer l'opinion publique, la recherche scientifique et la santé publique. conférences et politiques gouvernementales traitant des questions d’alimentation et de nutrition.

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  8. "C'est pourquoi vous devez faire le contraire de ce que disent les 'experts' américains si vous voulez réellement être en bonne santé", a écrit un commentateur sur le fait que la politique alimentaire officielle des États-Unis devrait en grande partie être ignorée.

    "C'est le même type de corruption auquel nous sommes confrontés dans toutes les facettes du gouvernement et des agences connexes depuis de nombreuses décennies", a écrit un autre.

    L’industrie de la maladie dépend du fait que des personnes en mauvaise santé mangent des aliments malsains. Apprenez-en davantage sur JunkFood.news.

    Les sources de cet article incluent :

    ChildrensHealthDefense.org
    USRTK.org
    NaturalNews.com
    USRTK.org

    https://www.naturalnews.com/2023-10-17-big-food-big-pharma-dangerous-dietary-guidelines.html

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  9. Une infirmière canadienne pourrait perdre son permis pour avoir dénoncé les mandats de vaccination contre la COVID-19


    17/10/2023
    Cassie B.


    Une infirmière canadienne fait actuellement face à une audience disciplinaire devant sa faculté de médecine provinciale après avoir courageusement dénoncé les dangereux mandats de vaccination contre la COVID-19.

    Le College of Registered Nurses of Saskatchewan (CRNS) affirme que l’infirmière Leah McInnes était coupable de « faute professionnelle » pour avoir participé à des manifestations pacifiques contre les mandats et passeports vaccinaux prévus et existants pendant la pandémie.

    Elle est représentée par le Centre de justice pour les libertés constitutionnelles (JCCF), qui affirme être accusée d'avoir publié des messages sur les réseaux sociaux et fait des déclarations aux médias sur son opposition aux politiques vaccinales. Dans ses articles, elle a donné son avis sur les mandats de vaccination ainsi que sur la confidentialité dans les soins de santé, et le CRNS s'y oppose.

    Le CRNS a également noté que les commentaires étaient strictement liés aux politiques de vaccination de la Saskatchewan contre la COVID-19, mais qu’il n’y avait aucun mandat là-bas. En conséquence, ils estiment que ses déclarations étaient de la « désinformation » et qu’elle a abusé de son pouvoir d’infirmière.

    Le JCCF a déclaré qu’elle devrait être libre « d’exprimer ses opinions concernant les mandats de vaccination et les passeports vaccinaux et d’autres questions connexes telles que la liberté de choix et le secret médical ». Ils ont ajouté que les responsables gouvernementaux et les autorités médicales ont souvent « fait référence aux politiques vaccinales du gouvernement et d’autres entités comme des « mandats » en Saskatchewan et dans tout le pays.

    Bien que les responsables de la santé de la Saskatchewan n’aient pas mis en œuvre d’obligations expresses en matière de vaccination contre la COVID-19 pour les travailleurs de la santé de la province, ils ont fortement recommandé de les obtenir.

    Brighton.TV

    McInnes fait actuellement face à un tribunal de quatre jours. Le CRNS lui a proposé un accord qui lui permettrait d'admettre une faute professionnelle, mais elle a refusé et a choisi de défendre son droit d'exprimer ses opinions. Si elle est reconnue coupable, son permis d'infirmière pourrait être suspendu ou carrément retiré.

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  10. Les professionnels de la santé canadiens sont souvent accusés de faute professionnelle lorsque le gouvernement n’aime pas leur opinion
    L'affaire est comparable à une affaire similaire survenue en Saskatchewan en 2020. À cette occasion, une infirmière autorisée de Prince Albert, Carolyn Strom, a été jugée par un comité disciplinaire pour avoir commis une faute professionnelle en partageant ses inquiétudes sur la façon dont un établissement de soins de longue durée établissement a soigné son grand-père, décédé depuis. Elle a gagné un appel devant la Cour d'appel de la Saskatchewan, qui a déclaré dans un communiqué : « De telles critiques, même de la part de ceux qui fournissent ces services, ne sapent pas nécessairement la confiance du public dans les travailleurs de la santé ou dans le système de santé. »

    "En effet, cela peut renforcer la confiance en démontrant que ceux qui ont la plus grande connaissance de ce système massif et opaque, et qui ont la capacité d'effectuer des changements, sont à la fois préparés et autorisés à s'exprimer et à poursuivre un changement positif."

    Ils ont ajouté que la notion même de confiance du public dans le système de santé souffrant des critiques peut inspirer un changement positif.

    Le JCCF a défendu avec succès un médecin urgentiste de la Nouvelle-Écosse qui avait été menacé de mesures disciplinaires après avoir rédigé une chronique d'opinion publiée dans le Chronicle Herald. Ils soutiennent également la défense d'une infirmière de la Colombie-Britannique qui fait face à des procédures disciplinaires en raison de sa participation à un panneau publicitaire à Vancouver soutenant l'auteur de Harry Potter, J. K. Rowling, et son opinion selon laquelle les filles méritent d'avoir des toilettes sûres auxquelles les hommes biologiques n'ont pas accès.

    En avril, le JCCF a annoncé que les accusations avaient été retirées contre une infirmière accusée de conduite non professionnelle après avoir partagé ses expériences en matière d’administration du vaccin contre la COVID-19 à des patients et discuté des blessures causées par le vaccin dont elle avait été témoin. L’organisme de réglementation des soins infirmiers s’est plaint d’avoir donné des réponses honnêtes aux questions des patients et d’avoir discuté des blessures causées par les vaccins qui nécessitaient des appels aux ambulances. Son avocat, Keith Pridgen, l'a aidé à résoudre son cas sans aucune restriction quant à son permis d'infirmière.

    Pridgen a déclaré : « Les infirmières canadiennes méritent mieux que d’être menacées de mesures disciplinaires pour avoir dit la vérité au public. Les régulateurs professionnels doivent mettre fin à cette inquisition à l’échelle nationale contre les médecins et les infirmières qui choisissent simplement de respecter leurs obligations éthiques pour obtenir un consentement éclairé significatif.

    Les sources de cet article incluent :

    LifeSiteNews.com
    WesternStandard.news
    JCCF.ca

    https://www.naturalnews.com/2023-10-17-canadian-nurse-lose-license-resist-vaccine-mandates.html

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  11. Le mensonge du Nobel” : Des médecins et des scientifiques s’insurgent contre l’attribution du prix Nobel à une équipe dont les recherches ont abouti à la technologie du vaccin à ARNm COVID

    La controverse a éclaté au sujet du prix Nobel décerné lundi pour la mise au point d'un vaccin à base d'ARNm, les critiques mettant en doute sa sécurité, soulignant les risques identifiés il y a des années et alléguant que Big Pharma a corrompu la science dans sa course à l'expansion des applications commerciales.


    Par John-Michael Dumais
    Mondialisation.ca,
    16 octobre 2023


    Les scientifiques et les médecins qui critiquent les vaccins contre le Covid-19 ont adressé de vives critiques au comité Nobel norvégien après qu’il a décerné le prix Nobel de physiologie ou de médecine 2023 à deux biochimistes de l’université de Pennsylvanie pour leurs travaux sur le développement de “vaccins ARNm efficaces contre le Covid-19“.

    Katalin Karikó, Ph.D., et Drew Weissman, M.D., Ph.D., ont reçu lundi le prix pour leurs “découvertes révolutionnaires … sur la façon dont l’ARNm interagit avec notre système immunitaire” [and for contributing] et [pour avoir contribué] au rythme sans précédent de développement de vaccins pendant l’une des plus grandes menaces pour la santé humaine des temps modernes”, selon le communiqué de presse du comité Nobel.

    Le Dr Robert Malone, l’inventeur réputé de la technologie de l’ARNm, a réagi sur X/Twitter:

    “Karikó et Weissman obtiennent le prix Nobel, non pas pour avoir inventé les vaccins à ARNm (car c’est moi qui l’ai fait), mais pour avoir ajouté la pseudouridine qui a permis de fabriquer un nombre illimité de toxines à pointe dans ce qui aurait pu être une plate-forme vaccinale sûre et efficace, si elle avait été développée de façon sécuritaire.

    Le Dr Malone a contesté l’intégrité du prix, affirmant que Big Pharma en était à l’origine.

    “Pfizer fait campagne pour ce prix depuis 2020. Au début, ils ont prétendu (comme Karikó) qu’elle avait inventé la technologie du vaccin à ARNm”, a-t-il déclaré, notant que “Pfizer fait des dons importants à l’ Institut Karolinska, qui décerne le prix Nobel”.

    “La science a de nouveau été détournée par les grandes sociétés pharmaceutiques”, conclut-il.

    Le Dr Peter McCullough a déclaré : “Cette décision de Nobel ne fera pas bonne figure dans l’histoire”, citant le rapport de pharmacovigilance du Conseil mondial de la santé sur les effets indésirables des vaccins Covid-19 :

    D’autres chercheurs, scientifiques et organisations de renom se sont également exprimés. En voici un échantillon :

    La présidente de Children’s Health Defense, Mary Holland, a déclaré au Defender:

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  12. Les preuves scientifiques suggèrent que les produits à base d’ARNm ne seront jamais sûrs pour l’ensemble des personnes ou des animaux, et pourtant la course effrénée à la “vaccination” de tous les habitants de la planète se poursuit.

    “Le fossé entre les preuves et la propagande n’a jamais été aussi grand ; il est révoltant de voir le prix Nobel servir la propagande plutôt que la science.

    Une photo de Karikó et Weissman, tous deux portant des masques et tenant des plaques de prix, a fait surface sur Twitter peu après l’annonce. Certains ont prétendu qu’elle avait été photoshopée, mais PBS/NPR l’a publiée dans un article sur les lauréats du prix Nobel. La photo a ensuite été identifiée comme provenant d’un événement organisé en 2022 au Japon.

    Les membres du comité Nobel “sous-estiment” la létalité à long terme de la myocardite

    Sur Twitter, Jikkyleaks a rediffusé mercredi une courte vidéo d’un journaliste chinois demandant aux membres du comité Nobel Olle Kämpe, docteur en médecine, et Rickard Sandberg, Ph. D., “Avec l’ARNm, nous ne connaissons pas encore les effets à long terme. Avons-nous donc des inquiétudes à ce sujet ?”

    Sandberg a répondu : “L’ARNm administré est très transitoire… Le nombre d’effets secondaires observés à ce jour est extrêmement limité, je ne pense donc pas qu’il s’agisse d’une préoccupation majeure”.

    Kämpe a ajouté : “Il ne peut pas être intégré dans le noyau, dans l’ADN, et c’est une précaution de sécurité. Les effets observés sont principalement la myocardite et la périmyocardite, qui touchent surtout les jeunes hommes, mais qui disparaissent normalement sans effets à long terme”.

    Commentant leurs réponses, Jikkyleaks a écrit : “Non seulement deux scientifiques de haut niveau mentent ouvertement sur le mécanisme de ces médicaments … Mais minimiser la myocardite (qui est létale à long terme) montre comment les scientifiques de laboratoire peuvent être transformés en Joseph Mengeles avec un peu de propagande”.

    Jikkyleaks a ensuite publié un message indiquant que la myocardite a un pronostic de 50 % (décès) après 10 ans, en se référant à une étude allemande de la base de données PubMed sur les taux de mortalité des différents types de myocardite.

    Chris Martenson, Ph.D., a réagi aux déclarations de Kämpe et de Sandberg en les qualifiant de “désinformation flagrante“.

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  13. “Si le terme “transitoire” inclut désormais la perspective de quelque chose qui dure *au moins* 60 jours, écrit M. Martenson, alors cette déclaration est exacte. Il a présenté un article de mars 2022 montrant que l’ARNm était détecté dans les ganglions lymphatiques 60 jours après la dernière injection.

    Contestant l’affirmation de Sandberg sur les effets secondaires limités, Martenson a souligné les plus de 300 000 effets indésirables graves enregistrés par l’Institut Paul Ehrlich d’Allemagne. “Le ministre allemand de la santé de l’époque admet aujourd’hui que jusqu’à 1 personne vaccinée sur 1 000 subit des effets secondaires néfastes”, a-t-il déclaré.

    En ce qui concerne l’affirmation de Kämpe selon laquelle l’ARNm ne peut pas être intégré à l’ADN, Martenson a fait référence à la recherche #plasmidgate et au travail du scientifique et expert en génomique Kevin McKernan et d’ autres.

    “Beaucoup d’ADN, codé avec un signal de transport nucléaire, pour une raison ou une autre, a accompagné les injections d’ARNm“, a déclaré M. Martenson. “Ainsi, au lieu d’une ‘précaution de sécurité’, c’est exactement le contraire qui a été inclus dans chaque flacon.

    M. Martenson a qualifié de “spectaculairement fausse” l’affirmation selon laquelle la myocardite se résorbe normalement sans effets à long terme, ajoutant que la déclaration de M. Kämpe “ne peut même pas être qualifiée de “mal informée” – il s’agit soit d’une pure ignorance, soit d’un mensonge pur et simple”.

    Il a ajouté :

    Les annales de la science sont aujourd’hui remplies de personnes qui sont mortes de cette myocardite “bénigne” ou qui continuent d’en souffrir des années plus tard.

    “Mais, aussi grave que soit la myocardite, ce n’est qu’un des dizaines d’effets secondaires différents et très sérieux, ce qui représente une grave déviation et une inexactitude matérielle des faits.

    “CONCLUSION : Il n’est pas possible que des personnes aussi intelligentes et accomplies soient aussi mal informées. Il doit s’agir d’un acte délibéré. Cela signifie que leur caractère moral est entaché de façon permanente et qu’ils devraient être exclus de la société polie.”

    M. McKernan a qualifié les réponses de Kämpe et Sandberg de “mensonge Nobel” et, dans un autre tweet, a déclaré : “Habituellement, le comité Nobel aime attendre une décennie pour voir si les choses se passent vraiment bien… de peur de décerner une autre médaille pour lobotomie”.

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  14. La manipulation de nos cellules … pourrait avoir des inconvénients

    La percée de l’ARNm de Karikó et Weissman a été publiée pour la première fois dans un article de 2005, dans lequel ils ont fait part de leur solution au problème de l’ARN synthétique provoquant des réponses inflammatoires – “une forte réaction immunitaire à l’augmentation des anticorps protecteurs” – selon un article paru dans Scientific American.

    Cette réaction a entraîné la dégradation de l’ARNm et donc la perte de sa capacité à se répliquer.

    Les chercheurs ont résolu le problème en modifiant l’une des bases nucléosidiques de l’ARNm, en remplaçant l’uridine par l’isomère pseudouridine.

    Cette modification a permis à l’ARN synthétique “d’échapper à nos défenses immunitaires et de tromper les cellules humaines pour qu’elles produisent les protéines pour lesquelles l’ARN injecté pourrait coder”, a écrit Eugyppius, auteur sur Substack.

    En 2015, le duo a trouvé un moyen d’administrer l’ARNm à des souris en utilisant des nanoparticules lipidiques (LNP) qui protègent la charge utile de l’ARNm de la dégradation, ce qui permet de l’administrer dans les cellules.

    Les travaux de Karikó et de Weissman “ont rendu possibles les vaccins Moderna et BioNTech/Pfizer”, écrit Eugyppius, qui ajoute : “Que nos défenses biologiques naturelles aient une raison d’être, et que la manipulation de nos cellules pour fabriquer des produits pharmaceutiques dans notre propre corps puisse avoir des inconvénients, sont des réserves que le comité Nobel ne partage pas”.

    Les Médecins pour l’éthique Covid (D4CE), dans leur ouvrage “mRNA Vaccine Toxicity Body” (Toxicité du vaccin ARNm)publiée en juillet, indique que les LNP non seulement “passent sous le radar du système immunitaire”, se frayant un chemin dans de nombreux types de cellules – le foie, la rate et les ovaires en accumulant des quantités particulièrement élevées – mais produisent également un effet immunosuppresseur sur les lymphocytes (cellules T, cellules B et autres).

    Ils ont cité une étude montrant que les modifications à la séquence des réponses immunitairessont transmises à la progéniture des souris ayant reçu une injection de LNP.

    Le prix a été décerné dans l’espoir qu’il “inciterait les personnes hésitantes à se faire vacciner”

    Eugyppius a affirmé que Karikó et Weissman n’étaient pas des candidats évidents pour le prix Nobel car “ni leurs publications ni leurs citations n’étaient suffisantes pour les placer dans le peloton de tête”.

    Phys.org a également pris note de ce choix inhabituel, en écrivant que “le comité Nobel a rompu avec sa pratique habituelle consistant à honorer des découvertes vieilles de plusieurs dizaines d’années”.

    Mais M. Kämpe, dans ce que M. Eugyppius a qualifié de “reconnaissance indirecte“, a laissé entendre qu’il espérait que le prix “inciterait les personnes hésitantes à se faire vacciner et à s’assurer de l’efficacité et de la sécurité du vaccin”.

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  15. La présidente du comité Nobel, Gunilla Karlsson-Hedestam, a déclaré lors de l’ annonce du prix: “Ce qui est important ici, je pense, c’est que des vaccins ont pu être mis au point si rapidement”, et elle a attribué aux contributions de Kariko et de Weissman le mérite d’avoir rendu cela possible.

    Peter Maybarduk, directeur du programme Accès aux médicaments du groupe de pression Public Citizen à Washington, a applaudi la reconnaissance de l’ARNm, mais a déclaré que les pays occidentaux devraient trouver cela “très embarrassantque les pays pauvres n’aient reçu qu’un petit nombre de vaccins, des mois après le début de la vaccination dans les pays riches” a rapporté PBS/NPR.

    “Pour moi, ce prix est une véritable victoire pour les vaccins et le potentiel des vaccins à faire progresser la santé et à améliorer l’équité”, a déclaré Kathleen Neuzil à Scientific American.

    Mme Neuzil est professeur de vaccinologie et directeur du Centre pour le développement des vaccins et la santé mondiale à la faculté de médecine de l’université du Maryland. Elle a dit :

    Nous sortons de la pire pandémie depuis plus d’un siècle, et ces vaccins ont certainement contribué à sauver des vies et à réduire la morbidité…”.

    “Je pense qu’une adaptation de cette technologie et des vaccins à ARNm pourrait vraiment être transformatrice, en particulier pour les pays à revenu faible ou intermédiaire, en raison de l’adaptabilité et de la flexibilité de la plateforme.

    Cependant, le Dr Byram W. Bridle a écrit dans son rapport que les injections d’ARNm étaient non seulement inefficaces, mais que les données montraient “qu’elles pouvaient avoir prédisposé les gens à contracter le Covid-19”.

    Bridle a ajouté :

    “Le jour où le prix Nobel sera décerné à une technologie médicale qui a sous- performé de façon dramatique, et qui n’a pas encore fait l’objet d’essais cliniques complets et appropriés, je perdrai tout respect pour ce prix autrefois si noble. Malheureusement, ce jour est arrivé.”

    Weissman a lancé un avertissement sur les dangers de l’ARNm en 2018

    Dans un tweet publié lundi, Andrew Bostom, M.D., M.S., a noté que Weissman, dans un article paru dans Nature en 2018, avait émis un “avertissement honnête” sur la toxicité potentielle des vaccins ARNm, énumérant spécifiquement les réponses hyperinflammatoires, le déclenchement d’une auto-immunité et la thrombose.

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  16. Weissman a écrit :

    “Les études cliniques portent sur l’inflammation locale et systémique, la biodistribution et la persistance de l’immunogène exprimé, la stimulation d’anticorps auto-réactifs et les effets toxiques potentiels de tout nucléotide non natif et des composants du système d’administration. …

    “ARN extracellulaire lors de la vaccination ARNm [can promote] coagulation sanguine et formation pathologique de thrombus [blood clots].

    En réponse au tweet de Bostom, @CdnFreedomGirl a écrit :

    “Le Dr Weissman était donc bien conscient de ces effets secondaires potentiels, puis ces effets secondaires se sont produits dans la vie réelle. Certaines personnes ont payé de leur vie. Pourtant, ces vaccins sont toujours présentés comme sûrs et efficaces, et le Dr Weissman reçoit un prix Nobel qu’il accepte avec un mépris total pour l’humanité”.

    Lundi, Chief Nerd a publié un tweet contenant un bref extrait d’une vidéo de 2021 dans laquelle Weissman nie que le vaccin puisse être nocif. Weissman avait déclaré:

    “L’ARNm du vaccin est identique à l’ARN de vos cellules. L’ARN présent dans vos cellules ne provoque pas d’effets indésirables à long terme, l’ARN présent dans le vaccin n’en provoquera donc pas non plus. L’ARN est dégradé, probablement en une semaine, il a complètement disparu… Il ne reste rien du vaccin après deux jours ou une semaine environ… Le seul effet indésirable vraiment grave est cette réaction de type anaphylaxie.”

    Weissman dit sciemment des faussetés ici, car, comme nous l’avons déjà indiqué, la pseudouridine utilisée pour modifier l’ARN le transforme en ARN modifié (ou ARNmod) spécifiquement conçu pour le rendre plus stable et plus durable, moins immunogène et plus efficace pour s’auto-répliquer.

    La Penn a également considéré la recherche sur l’ARNm comme risquée

    Karikó s’est jointe à l’université de Pennsylvanie en 1989 en tant que professeur adjoint et chercheur, avant de commencer à collaborer avec Weissman en 1995.

    Cependant, en 1995, l’université a considéré que les recherches de Karikó sur l’ARNm étaient trop risquées et les a même qualifiées de “non conformes à la qualité de la faculté”. Parce qu’elle n’a pas réussi à obtenir suffisamment de subventions, l’entreprise a proposé à la professeure titularisée de partir ou d’être rétrogradée avec une réduction de salaire, selon Forbes.

    Karikó a accepté la rétrogradation et a poursuivi son travail. Mais en 2013, elle a quitté son poste de chercheur principal pour devenir vice-présidente de BioNTech, cofabricant avec Pfizer du vaccin à ARNm Covid-19.

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  17. Les membres de la communauté médicale et universitaire de Penn ont critiqué l’université et l’ont exhortée à présenter des excuses pour sa page de célébration des lauréats du prix Nobel, qui omettait toute référence à la rétrogradation antérieure de Mme Karikó.

    Le potentiel des applications de l’ARNm est énorme

    Karikó, Weissman et d’autres chercheurs en ARNm travaillent déjà à l’application de cette technologie aux maladies auto-immunes, aux cancers, aux allergies alimentaires et environnementales, aux maladies bactériennes et aux maladies transmises par les insectes, y compris “le VIH, le norovirus et le paludisme”, selon le Scientific American.

    “Nous pouvons désormais leur injecter de l’ARN et guérir leur maladie”, a déclaré M. Weissman. “Il est ensuite possible d’étendre cette approche au foie, aux poumons, au cerveau et à tous les autres organes thérapeutiques… Le potentiel est tout simplement énorme”.

    Selon un article de France 24, Weissman met actuellement au point un vaccin à ARNm pour l’ensemble des coronavirus, qui permettrait de “vaincre le Covid pour toujours”. Il a affirmé que ce vaccin serait plus efficace que les rappels annuels et qu’il “devrait couvrir toutes les variantes futures – et tous les coronavirus de chauve-souris susceptibles de passer chez l’homme”.

    “Nous avons vraiment élargi notre champ de recherche, et cela a été possible parce que le monde reconnaît désormais l’importance de l’ARN”, a déclaré M. Weismann, ajoutant qu’il est “incroyablement important de donner accès à la technologie de l’ARN à toutes les parties du monde”.

    Dans son livre intitulé “mRNA Vaccine Toxicity“, D4CE met en garde contre l’utilisation future de la biotechnologie :

    “Chaque futur vaccin à ARNm incitera nos cellules à produire son propre antigène spécifique, lié au microbe particulier qu’il cible. Nous devons donc nous attendre à ce que chacun de ces vaccins induise des dommages immunologiques d’une ampleur similaire à ceux que nous avons observés avec les vaccins dirigés contre le Covid-19”.

    Dans l’avant-propos du livre, Mme Holland note qu’en dépit des effets néfastes bien documentés des injections d’ARNm, “le CDC a l’audace de qualifier les vaccins de “sûrs””, ajoutant que “cette guerre non déclarée contre l’humanité n’est pas terminée, et nous devons nous armer de connaissances”.

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  18. Les auteurs concluent l’ouvrage par cette mise en garde :

    Il n’est pas possible d’interpréter les actions des autorités comme des “erreurs honnêtes”. Trop de choses se sont produites qui indiquent sans équivoque que les vaccins Covid-19 à base de gènes sont le fruit d’un agenda sinistre. L’approbation précipitée sans nécessité, les menaces directes et la coercition, la censure systématique de la science honnête et la suppression de la vérité sur les nombreuses victimes du vaccin tuées ou gravement blessées ont duré bien trop longtemps pour que l’on puisse douter de l’intention et de l’objectif.

    Le livre peut être téléchargé gratuitement ou commandé en version imprimée.

    https://www.mondialisation.ca/le-mensonge-du-nobel-des-medecins-et-des-scientifiques-sinsurgent-contre-lattribution-du-prix-nobel-a-une-equipe-dont-les-recherches-ont-abouti-a-la-technologie-du-vaccin/5682222?doing_wp_cron=1697608413.3333408832550048828125

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  19. Dix-sept mensonges sur la pandémie de Covid qu'on nous a racontés


    Par Richard Gale et Dr Gary Null
    Recherche mondiale,
    17 octobre 2023


    En regardant les trois années et dix mois écoulés depuis l’apparition du virus SRAS-CoV-2 à Wuhan, le monde a été sur des montagnes russes, déchiré entre des scénarios concurrents et belligérants sur ce qui s’est passé, comment et pourquoi.

    Pour ceux qui ont promulgué les récits officiels rédigés par l’Organisation mondiale de la santé et les ministères gouvernementaux de la Santé, les dissidents médicaux constituaient une « infodémie » de désinformation critiquant l’autorité institutionnelle et les preuves scientifiques incarnées dans les politiques officielles censées protéger la santé publique.

    De l’autre côté de la barrière, des voix médicales dissidentes ont observé une potentielle « plandémie » – un effort pré-planifié et orchestré pour tirer pleinement parti d’une épidémie virale afin de servir des arrière-pensées et des objectifs.

    Au-delà du débat « infodémie contre plandémie », ce qui est désormais certain, c’est qu’une grande partie de ce que nos responsables fédéraux de la santé et leurs principaux médias nous ont dit au cours de ces trois années et plus était manifestement faux et faux.

    En fait, rétrospectivement, il s’agissait davantage d’un flot de croyances ad hoc et de vœux pieux que d’une stratégie de santé publique fondée sur des faits scientifiques concrets.

    Par conséquent, nous énumérons bon nombre des erreurs les plus flagrantes, et plus probablement des mensonges intentionnels, auxquels le peuple américain a été endoctriné à croire, avec une brève analyse et des preuves pour mettre un terme à ces mythologies pandémiques.

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  20. 1. Le confinement des personnes positives au COVID-19 et la distanciation sociale freineront la pandémie

    La décision des agences fédérales de santé de procéder à un confinement national massif du pays pour endiguer la pandémie de Covid-19 pourrait être l’un des plus grands désastres politiques de l’histoire américaine. Cette idée n’était étayée par aucune donnée scientifique consensuelle et il n’existait aucun précédent historique pour la justifier.

    Le confinement a été catastrophique pour l’économie et les petites et moyennes entreprises, dont beaucoup ont été contraintes à la faillite. Fin mai 2020, 36 millions de travailleurs américains se retrouvaient au chômage.

    La santé mentale et physique de la nation s’est effondrée. Même la Grande Dépression a mis quelques années à détruire l’économie du pays à ce point, et non en plusieurs mois, comme l’a fait le confinement.

    Certains pays ont compris très tôt que le confinement et la fermeture des entreprises et des écoles étaient une politique insensée. En août 2020, Mark Woolhouse, expert en maladies infectieuses et conseiller médical du gouvernement britannique, a qualifié le confinement britannique de « mesure de panique… ». parce que nous ne pouvions penser à rien de mieux à faire. Il a prédit à juste titre que le confinement ferait plus de mal que le virus Covid-19.

    Les gens seront surpris d'apprendre que, selon une enquête de l'Institut Ron Paul , la pseudo-science derrière la justification de la distance sociale est née en 2006 avec le projet d'expo-sciences d'une lycéenne d'Albuquerque âgée de 15 ans et avec l'aide de son père, un employé du gouvernement. scientifique.

    Le projet de modélisation informatique était basé sur la question suivante : comment empêcher les étudiants de se transmettre une maladie infectieuse ? Ainsi est née l’hypothèse d’une distanciation sociale. D'une manière ou d'une autre, grâce aux relations du père de la jeune fille, son projet a abouti au Département américain de la Sécurité intérieure. En 2007, le CDC, sous l’administration Bush, a officialisé la politique de distanciation sociale.

    Sinon, il n’existe absolument aucune science fondée sur des preuves suggérant que le confinement ou la distanciation sociale peuvent avoir un impact réaliste pendant une pandémie. Les efforts du gouvernement pour financer la recherche afin de légitimer les politiques de confinement ont été démystifiés comme fondamentalement erronés par des chercheurs de l'Université de Lund en Suède et publiés dans Nature.

    De même, un examen des mesures de confinement prises par dix pays par des scientifiques de l'Université de Stanford, dont les signataires de la Déclaration de Great Barrington et le statisticien médical de renommée mondiale John Ioannidis , a conclu que les mesures de confinement restrictives ne présentaient aucun avantage, et que les populations les moins restrictives , comme la Suède et la Corée du Sud, s’en sortent mieux.

    En fait, d’autres conséquences du confinement peuvent avoir un impact bien plus néfaste sur la société, comme un retard de développement mental.

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  21. 2. Les écoles doivent être fermées pour protéger les enfants

    L’une des conséquences les plus déconcertantes des confinements et des fermetures rigides a été la perturbation de l’éducation des enfants. Les justifications des fermetures d’écoles n’ont jamais eu de fondement scientifique et reposaient sur des craintes prématurées.

    En dehors des États-Unis, au début de la pandémie, les responsables de la santé ont réalisé que les enfants n’étaient pas très susceptibles de contracter ou de propager le SRAS-CoV-2, comme on le pensait auparavant. La Suède n’a jamais fermé les écoles et il n’y a pas eu de pic d’infections au Covid-19 chez les enfants.

    Au Canada, une équipe de scientifiques représentant plusieurs institutions médicales professionnelles a surveillé la capacité des enfants à transmettre le virus dans les garderies, les écoles, sur les terrains de jeux et dans d'autres activités parascolaires. Les chercheurs ont conclu qu’il n’y avait aucun risque pour les enfants, ni pour le personnel adulte, de restreindre les cours en personne et les activités de plein air.

    Il n’existe pas non plus de données fondées sur des preuves pour étayer la nécessité de vacciner les enfants avec les vaccins à ARNm. Une vaste étude analysant toutes les admissions à l’hôpital et les décès dus au Covid-19 à travers le Royaume-Uni au cours d’une période de douze mois commençant en mars 2020, n’a signalé que 25 décès chez des personnes de moins de 18 ans.

    La moitié d’entre eux souffraient de comorbidités graves ou de handicaps nécessitant des soins de santé complexes tels que l’alimentation par sonde, soit un taux de 2 pour un million de jeunes. Ce taux est bien inférieur aux enfants qui meurent chaque année à cause des vaccins réguliers du calendrier de vaccination infantile du CDC.

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  22. 3. Les masques faciaux empêchent la transmission virale

    L’hypocrisie la plus bizarre au début de la pandémie a peut-être été la série d’incohérences du médecin américain Anthony Fauci concernant l’importance des masques faciaux pour réduire la transmission virale. Apparaissant tôt dans 60 Minutes, Fauci a annoncé qu’il n’y avait « aucune raison de se promener avec un masque » et que cela avait des « conséquences inattendues ».

    Il s’agit d’une déclaration véridique et de nombreuses recherches évaluées par des pairs remontant à des décennies montrent que les masques sont essentiellement inutiles. Pourtant, plus tard, en juillet 2020, il déclarerait exactement le contraire : « Nous essayons d’amener les gens à porter universellement des masques. »

    Sa volte-face a été déclarée dans une réponse critique contre la prescription d’hydroxychloroquine et pour promouvoir les masques comme alternative. Plus tard encore, Fauci reviendrait sur les avantages préventifs des masques, puis réaffirmerait une fois de plus leur efficacité.

    Il existe plus de 170 études de recherche évaluées par des pairs. Il existe de nombreuses raisons d’éviter les masques autant que possible. Ceux-ci incluent la concentration virale dans les voies nasales entraînant des dommages viraux au canal olfactif et éventuellement la réduction cérébrale de l'oxygénation du sang ; une augmentation anormale des niveaux de gaz carbonique (hypercapnie) et des maux de tête associés à l'hypoxie.

    Cela présente un risque particulièrement dangereux pour les patients cardiaques et cancéreux, car les cellules cancéreuses préfèrent un environnement pauvre en oxygène pour proliférer. Le port d’un masque pendant de longues périodes augmentera également les concentrations de virus en général, et pas seulement de coronavirus ; une surcharge virale peut à son tour contribuer à des tempêtes de cytokines et déclencher de graves maladies auto-immunes.

    4. La vie de chacun est menacée par le virus SRAS-CoV-2

    Même si le message adressé à la communauté mondiale soulignait que la santé de chacun était menacée par le virus SARS-CoV-2, les responsables de la santé ont également reconnu un taux de survie de 99 %. L'épidémiologiste de l'Université de Stanford, John Ioannidis, a calculé que le taux de mortalité moyen était de 0,07 % chez les personnes de moins de 70 ans.

    En fait, une étude ultérieure publiée par le Swiss Policy Institute sur la létalité du Covid-19 a conclu que l’âge médian de décès du Covid est supérieur à l’espérance de vie nationale de la plupart des pays développés tels que les États-Unis, le Royaume-Uni, le Canada, l’Australie et l’Allemagne.

    De plus, la grande majorité des décès liés au Covid impliquaient au moins une comorbidité grave antérieure. Dans une étude italienne, c’était le cas pour plus de 99 % des décès dus au Covid. La plupart des cas concernaient des patients infirmes hébergés dans des maisons de retraite et des hôpitaux pour personnes âgées. Par conséquent, il n’y a jamais eu de taux exagéré de surmortalité.

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  23. 5. Le test PCR est la méthode la plus précise pour confirmer les infections par le SRAS-2-CoV

    Il est important de noter qu’à l’époque où le test PCR a été largement déployé pour l’identification du virus SARS-CoV-2, il fallait un isolat viral quantifié sur lequel développer la PCR avec un minimum de précision. Pour cette raison, l’utilisation de la PCR pour diagnostiquer le virus Covid a reçu une autorisation d’utilisation d’urgence de la FDA.

    Bien que la PCR soit considérée comme la « référence » pour tester les infections par le SRAS-CoV-2, elle n’a jamais été conçue pour être un outil de diagnostic. L'inventeur de la PCR, Kary Mullis , lauréat du prix Nobel, a déclaré : « La PCR… ne vous dit pas que vous êtes malade, ou que la chose avec laquelle vous vous êtes retrouvé allait vous faire du mal ou quoi que ce soit du genre. »

    De plus, la PCR est depuis longtemps peu fiable. Par exemple, une étude chinoise a observé qu’un même patient pouvait subir des tests différents chaque jour. Avant le déploiement des vaccins Covid-19, les tests PCR étaient fixés à des seuils de cycle élevés compris entre 35 et 40 cycles.

    Certains laboratoires américains fixent le cycle à 45, ce qui entraînerait assurément un taux très élevé de faux positifs. Même Anthony Fauci a admis publiquement que les cycles supérieurs à 35 ne sont « presque jamais cultivables » – en d’autres termes, il n’y a pas suffisamment de virus présents, le cas échéant, qui peuvent être isolés pour être cultivés.

    Ce n’est qu’à la fin de 2021, longtemps après que le PCR ait atteint son objectif de maintenir l’illusion des taux d’infection du Covid-19 à un niveau élevé, que les pays ont commencé à l’abandonner au profit de tests plus précis et plus rapides. En fait, le recours à la PCR comme test de confirmation secondaire a également été abandonné.

    Le 31 décembre 2021, le CDC a fait preuve de transparence et a admis que la PCR était incapable de faire la différence entre la grippe et le virus Covid-19. Une étude rapportée dans le Physician's Weekly a annoncé que le CDC savait que les kits étaient fréquemment contaminés et comportaient une grave erreur de conception qui contribuait à des faux positifs.

    Néanmoins, selon la Fondation Kaiser, les tests PCR représentaient une énorme manne financière pour les cliniques et les hôpitaux. Et ce, malgré l’utilisation totalement abusive du test tout au long des deux premières années de la pandémie et le nombre astronomique de faux positifs qui ont exagéré la gravité et la propagation du virus.

    Il existait des alternatives moins chères et meilleures, telles que les analyseurs d'Abbott et de Roche, qui ne coûtaient pas plus de 25 dollars par texte, au lieu des 90 dollars en moyenne pour une PCR défectueuse. Un hôpital facturait 1 400 $ par test.

    En résumé, les taux statistiques de pandémie basés sur les tests PCR n’avaient aucun sens. Il existe également un taux élevé allant jusqu’à 75 pour cent de résultats positifs au Covid qui étaient asymptomatiques mais néanmoins qualifiés selon les directives de l’OMS de « confirmés ». Cela a inévitablement renforcé la perception d’une transmission généralisée du virus SRAS-2.

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  24. 6. Les vaccins contre la COVID-19 nécessitent une autorisation d’utilisation d’urgence car il n’existe aucun médicament efficace contre le SRAS-2-Cov

    Contrairement aux États-Unis, où on nous a dit qu’il n’existait aucun médicament ou thérapie efficace pour traiter avec succès les infections à Covid-19, de nombreuses recherches et applications cliniques ont eu lieu sur les médicaments et nutriments disponibles utilisés à l’étranger.

    Le public occidental sait à peine qu’entre fin janvier 2020 et début février, avant que le responsable de l’OMS ne proclame une pandémie mondiale, le gouvernement chinois avait commandé 50 tonnes de vitamine C à une entreprise néerlandaise et les avait livrées à Wuhan.

    À partir du 9 février , les hôpitaux ont lancé des essais cliniques agressifs sur la vitamine C. Une semaine plus tard, le gouvernement chinois a fait de la vitamine C une recommandation officielle pour le traitement des infections à Covid-19. D’autres pays asiatiques, dont le Japon et la Corée du Sud, ont emboîté le pas. Peu de temps après, la Chine a ajouté l’hydroxychloroquine à sa liste de traitements recommandés.

    Chez nous, dès mars 2020, des médecins de première ligne se sont consacrés à la recherche de médicaments disponibles dotés de propriétés antivirales susceptibles de cibler le SRAS-2. Les recommandations du gouvernement en matière de quarantaine et d'hospitalisation éventuelle n'ont montré aucun signe de succès et n'ont fait qu'augmenter le taux de mortalité.

    Il n’est donc pas surprenant que les États-Unis soient en tête du monde pour le taux de mortalité par habitant dû au Covid-19 le plus élevé. Et il y avait de nombreux médicaments candidats, parmi lesquels l’hydroxychloroquine (HCQ) et l’ivermectine, ainsi que ce que les pays asiatiques faisaient avec des nutriments tels que la vitamine C, la vitamine D et le zinc.

    Il n’y a qu’une seule raison pour laquelle les agences fédérales de santé ont refusé de reconnaître la réutilisation de médicaments existants. S'il existait un médicament ou un protocole existant pour traiter avec succès les infections à Covid-19, la FDA ne pourrait pas accorder d'autorisation d'utilisation d'urgence aux vaccins à ARNm et aux médicaments de conception coûteux dans le pipeline des sociétés pharmaceutiques.

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  25. 7. La mise en quarantaine des personnes positives au COVID-19 et la ventilation sont les seules thérapies fiables

    Avant le lancement des vaccins Covid-19 fin 2020, le seul traitement recommandé par les autorités fédérales de la santé était la mise en quarantaine des personnes positives au Covid et la ventilation en cas d'admission à l'hôpital avec une infection grave.

    L'hôpital Inova Fairfax en Virginie a publié une étude dans PLoS One en novembre 2020 et a rapporté que « la mortalité des patients atteints de Covid-19 nécessitant une ventilation mécanique invasive est élevée, avec une mortalité particulièrement inquiétante observée chez les patients d'un âge avancé, même dans un système de santé bien doté en ressources. système de soins. »

    Le taux de mortalité des patients de plus de 70 ans, les plus sensibles à l'infection, était de 84 pour cent. En fait, la ventilation n’a jamais guéri aucune maladie infectieuse. Néanmoins, les agences gouvernementales de santé, ainsi que l'OMS, ont recommandé la ventilation comme intervention médicale nécessaire pour les cas graves de Covid-19, qui, au début de la pandémie, représentaient 86 % de tous les patients hospitalisés.

    Malgré les preuves médicales de plus en plus nombreuses publiées dans des revues scientifiques, partout dans le monde, indiquant le taux de réussite élevé des médicaments réutilisés, tels que l'hydroxychloroquine et l'ivermectine, le gouvernement a continué à ne rien faire pour sauver des vies et a continué à avancer des recommandations qui se sont avérées inefficaces jusqu'à ce qu'un vaccin soit disponible.

    De plus, la ventilation à long terme a ses propres effets secondaires graves, notamment des pertes de mémoire, une faiblesse musculaire et des troubles du sommeil. Après avoir examiné la littérature, le médecin rédacteur en chef de WebMD a estimé qu'entre 40 et 50 pour cent des patients ventilés décèdent.

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  26. 8. L'hydroxychloroquine est inefficace et dangereuse

    Une autorisation d'utilisation d'urgence ne peut être autorisée pour tout produit ou intervention médicale s'il existe déjà un produit alternatif approuvé par la FDA, à moins que le produit expérimental ne présente clairement des avantages significatifs. Les produits EUA nécessitent également le consentement éclairé du patient.

    Par conséquent, Anthony Fauci et d’autres responsables gouvernementaux de la santé se sont assurés qu’aucun produit médical antérieur ne pourrait contester le statut EUA des vaccins Covid-19 et ont assuré qu’ils seraient contraints de suivre le processus réglementaire avec une évaluation fédérale limitée.

    La seule explication du refus des agences fédérales de santé de recommander l’hydroxychloroquine (HCQ) pour traiter les patients atteints du Covid-19 est une malversation intentionnelle. En février 2020, la Commission nationale de la santé de Chine a inclus l’hydroxychloroquine dans ses lignes directrices pour le traitement des cas légers, modérés et graves de SRAS-2, avec un succès notable.

    Tout au long de la pandémie, les taux de mortalité dus au Covid-19 en Chine étaient bien inférieurs à ceux des États-Unis et de la plupart des pays européens qui ont suivi l’exemple américain. Au début de la pandémie, des médecins comme le regretté médecin new-yorkais Vladimir Zelenko ont rapidement acquis la réputation de traiter avec succès des patients avec une combinaison d’HCQ, d’anticorps azithromycine et de zinc, ce qui a directement menacé la formule Fauci de ne rien faire d’autre que la distance et l’isolement.

    D'autres médecins, dont le Dr Paul Marik de la Eastern Virginia Medical School et le Dr . Pierre Kory a également adopté l'HCQ avec un énorme succès. Pourtant, tout au long des premières années de la pandémie, les grands médias ont continué de promulguer la stratégie de ne rien faire de Fauci en rappelant au public qu'« il faudrait des mois pour trouver un traitement efficace ».

    Il n’y avait absolument aucune raison pour que le CDC ignore et dénigre intentionnellement le HCQ. À ce jour, il existe plus de 430 études évaluant l'efficacité du médicament, la grande majorité des essais randomisés et contrôlés prouvant son efficacité, en particulier lors d'un traitement précoce, avec une réduction de 72 pour cent de la mortalité.

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  27. 9. L'ivermectine est inefficace et dangereuse

    Semblable à l’hydroxychloroquine, l’ivermectine constituait une deuxième menace pour les vaccins Covid-19 et tout futur nouveau médicament anti-Covid. L’ivermectine a été introduite sur le marché au début des années 1980 comme médicament antiparasitaire.

    Cependant, on a observé plus tard que son efficacité possédait un large éventail de propriétés antivirales contre une variété de virus à ARN tels que la grippe aviaire, le zika, la dengue, le VIH, le Nil occidental, la fièvre jaune, le chikungunya et les anciens coronavirus respiratoires graves.

    Il s’est également révélé efficace contre les virus à ADN tels que l’herpès, le polyomavirus, le circovirus-2 et autres. En avril 2020, il existait des preuves solides que le médicament était capable de tuer le virus SARS-CoV-2 en 48 heures.

    Par conséquent, les médecins cliniciens de première ligne ont naturellement voulu prescrire de l’ivermectine à leurs patients parce que la quarantaine et la ventilation étaient un échec. Cependant, une campagne de relations publiques du gouvernement menée par Anthony Fauci a semé la peur dans le public en diffusant de fausses informations selon lesquelles le médicament n'était qu'un vermifuge vétérinaire.

    Les grands médias ont constamment répété le point de vue du gouvernement, bien que l'ivermectine ait l'un des profils de sécurité les plus longs de l'histoire médicale et ait été prescrite à plus de 3,5 milliards de personnes dans le monde. L'HCQ et l'ivermectine figurent toutes deux sur la liste des médicaments essentiels de l'Organisation mondiale de la santé.

    L'ivermectine a un profil de réussite impressionnant tout au long de l'infection par le SRAS-2 : 85 % d'amélioration en tant que prophylaxie, 62 % d'amélioration pour un traitement précoce et 41 % pour un traitement tardif.

    Cent soixante-quinze des 225 études sur l’ivermectine ont été évaluées par des pairs et 99 étaient des essais cliniques comparant le traitement à l’ivermectine et des groupes témoins. Cinquante et une études montrent que l’ivermectine réduit la mortalité globale de 55 % en moyenne. Vingt-deux pays ont officiellement adopté l'ivermectine pour un traitement précoce.

    10. Le remdesivir est le médicament de référence contre les infections au COVID-19

    Malgré les profils thérapeutiques réussis de l'hydroxychloroquine et de l'invermectine et leur utilisation généralisée sans l'approbation de la FDA pour le Covid-19, les agences fédérales ont continué d'attendre un nouveau médicament de synthèse pour traiter les infections par le SRAS-2.

    Le médicament remdesivir de Gilead a reçu une autorisation d'utilisation d'urgence en mai 2020 et a été officiellement lancé fin octobre. Entre-temps, des dizaines de milliers d’Américains sont morts alors qu’ils auraient pu être sauvés grâce aux médicaments préexistants. Sans un examen approprié de la FDA pour évaluer le profil de sécurité et l'efficacité du médicament, celui-ci a été présenté comme le médicament de référence pour lutter contre les infections à Covid-19.

    Cependant, le profil du remdesivir est horrible. Soixante études ont été menées pour déterminer son efficacité et seulement 22 sont favorables avec des résultats faibles. Sa clairance virale est de 10 pour cent. Il est également médiocre pour les traitements sérieux tardifs (9 %).

    Le médicament prévient la mortalité de seulement 11 % et a un taux négatif d’effets indésirables dans la prévention des hospitalisations (-5 %). De plus, le remdemisvir comporte un avertissement sérieux en cas de lésion rénale aiguë.

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  28. 11. Les vaccins COVID-19 sont efficaces à 95 %

    Lorsque les deux développeurs de vaccins, Pfizer et Moderna, ont annoncé au monde que leurs vaccins à ARNm contre le Covid-19 étaient efficaces à 95 % pour protéger les personnes contre le virus du SRAS-CoV-2 et pour prévenir l’infection, cela a été un feu vert automatique pour leur lancement rapide.

    Cependant, les nouvelles étaient basées uniquement sur des communiqués de presse et certains protocoles d'étude sans publication des données complètes des essais. À mesure que davantage d’informations sur les essais étaient publiées au fur et à mesure que les programmes de vaccination étaient en cours, les données ont montré une image complètement différente.

    Certains des participants à l’essai initial manquaient, les données qui auraient dû apparaître manquaient, les effets indésirables observés ont été étrangement redéfinis de manière à être considérés comme une coïncidence et sans rapport avec les vaccins, et les essais ont été interrompus avant leur date de fin.

    Des problèmes ont également été rencontrés avec les tests PCR permettant de déterminer si les participants à l’essai étaient infectés ou non. Un document de Pfizer a exclu 3 410 cas « suspectés et confirmés de Covid-19 » suite à la vaccination. Peter Doshi , alors rédacteur en chef adjoint du British Medical Journal , a mené une enquête approfondie sur les données des essais des sociétés qui étaient alors accessibles au public.

    Il a découvert des incohérences et des écarts de protocole généralisés. La FDA souhaitait garder scellés des dizaines de milliers de documents de données sur la sécurité des vaccins de Pfizer pendant 75 ans ; Cependant, après des pressions considérables exercées par des groupes de santé civile et publique, un tribunal fédéral a statué que la FDA disposait de huit mois pour les libérer.

    Après le lancement des campagnes de vaccination de masse, des rapports contestant l’efficacité de 95 pour cent ont commencé à apparaître régulièrement dans la littérature médicale. Premièrement, l’Université Johns Hopkins a publié une étude selon laquelle les vaccins étaient moins efficaces chez les personnes atteintes de diverses maladies auto-immunes, notamment la polyarthrite rhumatoïde et les maladies musculo-squelettiques.

    Bientôt, les vaccins n’étaient efficaces qu’à 75 % à 60 % et finalement seulement pendant 5 mois maximum. Début 2022, le PDG de Pfizer, Albert Bourla , qui avait déclaré plus tôt une efficacité du vaccin à 100 %, a déclaré que deux injections offraient une protection limitée, « voire inexistante ».

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  29. 12. Les vaccins contre la COVID-19 protégeront les receveurs contre l’infection et la transmission

    Tout au long des campagnes de vaccination contre le Covid-19, la Maison Blanche, Anthony Fauci et d’autres responsables de la santé, ainsi que les experts des médias, nous ont répété à plusieurs reprises qu’il incombait aux citoyens de se faire vacciner afin d’arrêter la pandémie.

    Seules les personnes vaccinées seraient protégées de l’infection, ne seraient pas porteuses du virus et ne transmettraient donc pas le virus à d’autres. La rhétorique de ce message est devenue alarmiste ; c'était le devoir patriotique de chacun de se faire vacciner et ceux qui refusaient mettaient la société en danger.

    Cependant, rien dans le message n’était basé sur un consensus médical. En fait, en juin 2021, on a appris que le gouvernement fédéral ne possédait pas de données suffisantes ou précises pour calculer la transmissibilité du virus.

    Par conséquent, les responsables fédéraux étaient incapables de prédire un objectif pour « l’immunité collective » du vaccin. En d’autres termes, tous les objectifs concernant le pourcentage d’Américains nécessaire pour protéger la population étaient strictement fictifs.

    Lors d’une interview sur CNN, Rochelle Walensky , alors directrice du CDC, a admis que les vaccins n’étaient plus en mesure de « prévenir la transmission ». Interrogée, elle a également admis que même si une personne infectée peut être asymptomatique, le virus peut toujours être transmis.

    En fait, à mesure que le temps passait et qu’une meilleure compréhension des défauts et des risques de l’ARNm était publiée, tout cela n’était que de la désinformation. Lors d’une vaste épidémie de variante Delta lors d’un rassemblement intérieur à Provincetown, dans le Massachusetts, en juillet 2021, un nombre écrasant de cas infectés ont été entièrement vaccinés.

    Malgré toutes les preuves du contraire, et alors que des épidémies similaires parmi les personnes entièrement vaccinées ont continué à se multiplier, cela n’a pas mis fin aux signes de vertu et à la condamnation des non vaccinés comme ennemis de la santé de la nation.

    13. L’immunité naturelle suite à une infection au COVID-19 est insuffisante

    Les partisans du discours officiel sur le vaccin Covid-19 veulent nous faire croire que l’immunité naturelle suite à une infection par l’une des variantes du virus est insuffisante et ne remplace pas le fait de ne pas se faire vacciner. Si cela était vrai, cela contredirait la preuve de la supériorité de l’immunité naturelle sur l’immunité vaccinale pour tous les autres virus à ARN.

    Pourtant, il n’existe aucune preuve convaincante pour étayer l’affirmation officielle. Une vaste étude ayant analysé plus d’un million de personnes a révélé que l’immunité naturelle suite à une infection par le SRAS-2 offre une protection plus durable que la vaccination.

    Dans le même article, Weill Cornell Medicine a découvert qu'une vaccination complète après trois doses des vaccins à ARNm de Pfizer et Moderna n'offrait aucune immunité contre la variante omicron. Au contraire, l’immunité naturelle était efficace à 97 % contre les cas graves de Covid-19 après 14 mois.

    Lorsque la FDA a approuvé le vaccin BNT162b2 de Pfizer pour une utilisation d'urgence chez les enfants âgés de 5 à 11 ans, un groupe de professeurs de médecine et de médecins de l'Université de Caroline du Nord et du ministère de la Santé et des Services sociaux de Caroline du Nord ont publié des preuves dans le New England Journal of Medicine que l'efficacité du vaccin devient négative dans les cinq mois, mais détruit également toute immunité naturelle antérieure que la personne pourrait avoir.

    Autrement dit, en moins de six mois, les vaccinés sont plus sensibles à l’infection au Covid-19 que les non vaccinés. Cette étude est particulièrement inquiétante. Néanmoins, il n'a jamais été repris par les médias, bien qu'il ait été publié dans l'une des revues médicales les plus prestigieuses au monde.

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  30. 15. L'ARNm des vaccins reste uniquement sur le site d'inoculation

    Les responsables de la santé, les médecins et le personnel médical administrant les vaccins à ARNm contre le Covid-19 informent les vaccinés que le matériel génétique codant pour la protéine de pointe et encapsulé par la nanoparticule lipidique PEG reste uniquement à l'emplacement musculaire de l'inoculation.

    En d’autres termes, il ne traverse pas les autres tissus et organes du corps. Cela peut être en partie vrai pour les vaccins traditionnels, qui reposent sur un composant ou un vecteur bactérien ou viral ; ce n’est cependant pas le cas des vaccins Pfizer et Moderna qui utilisent une nanoparticule, capable de diffuser à travers les membranes cellulaires et même la barrière hémato-encéphalique.

    Cela a été rapporté dans l'une des propres études de Pfizer visant à observer les effets toxicologiques du vaccin chez le rat.

    Dans le document Pfizer, au bout de 48 heures après l'injection, les nanoparticules d'ARNm se distribuent spécifiquement dans le foie, les glandes surrénales, la rate et les organes reproducteurs, dont les ovaires.

    De manière non spécifique, les ARNm peuvent migrer vers le cœur, les reins, les poumons et le cerveau. Ce n’est pas différent pour le vaccin de Moderna. Une étude de Moderna rapporte que « de faibles niveaux d’ARNm ont pu être détectés dans tous les tissus examinés, à l’exception du rein. Cela comprenait les tissus du cœur, des poumons, des testicules et du cerveau, indiquant que l’ARNm/LNP a traversé la barrière hémato-encéphalique.

    16. Les femmes enceintes devraient recevoir les vaccins contre la COVID-19

    La croyance selon laquelle les vaccins Covid-19 administrés aux femmes enceintes protégeront à la fois la mère et le fœtus de l’infection reste infondée. Les seules études faisant ces affirmations sont des analyses de cohortes mal conçues. Cependant, de nombreux gynécologues ayant un grand nombre de femmes enceintes ont observé une augmentation excessive du nombre de fausses couches et d’anomalies depuis le lancement des vaccins à ARNm.

    L'événement indésirable lié à la grossesse le plus fréquemment signalé dans la base de données gouvernementale sur les blessures causées par le vaccin VAERS Covid-19 est l'avortement spontané.

    Une analyse de ratio distincte effectuée sur les données VAERS qui comparait les rapports de vaccination post-Covid-19 avec la vaccination contre la grippe pré-pandémique a révélé une augmentation de plus de 100 pour cent des anomalies menstruelles, des fausses couches, des anomalies chromosomiques fœtales, des troubles cardiaques et des arythmies fœtaux, de la thrombose placentaire et mort fœtale/mortinaissance pendant la période Covid-19.

    Une étude ultérieure menée par les mêmes auteurs suggère qu'il pourrait y avoir jusqu'à 92 pour cent de chances d'avortement spontané avant 13 semaines de gestation.

    D'après l'une des études de toxicité pour la reproduction du vaccin à ARNm de Pfizer sur des rats gravides, l'incidence des fausses couches a doublé après la vaccination. L’étude a également observé que les nanoparticules du vaccin étaient distribuées dans « tous les tissus du corps ». Contrairement à l’Union européenne, la FDA n’a pas divulgué tous les détails de l’étude.

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  31. 17. Les voix médicales en désaccord avec le récit officiel diffusent des informations erronées et devraient être censurées

    Alors que les voix dissidentes au sein de la communauté médicale contestant le discours officiel du gouvernement sur la pandémie et les politiques préventives se multipliaient, l'establishment a déclaré que nous étions dans une « infodémie » qui menaçait la santé mondiale.

    Le terme semble provenir d'une responsable des communications des Nations Unies, Melissa Fleming , lors d'un podcast diffusé par le Forum économique mondial en novembre 2020. L'émission comprenait également un ancien employé de Twitter, Mark Little , qui a plaidé pour une contre-attaque mondiale contre dissidents pandémiques via les médias sociaux.

    Le Forum économique mondial a déterminé que la désinformation constituait une crise mondiale qui nécessitait des réponses immédiates et coordonnées de la part des gouvernements, des industries privées et des groupes de la société civile travaillant ensemble. Il ne s’agit là que d’une initiative parmi tant d’autres visant à initier une censure orchestrée des médecins et autres professionnels de la santé qui se sont prononcés contre les politiques gouvernementales de réponse à la pandémie.

    L'un de ces efforts était un accord de collaboration entre l'Organisation mondiale de la santé et Wikipédia, selon le New York Times . Peu de temps après son entrée à la Maison Blanche, l’une des premières initiatives de Biden a été de recruter les grandes sociétés de médias sociaux, telles que Google, Facebook et Twitter, « pour réprimer les bavardages qui s’écartent des informations officiellement diffusées sur le Covid-19 ». L’objectif principal était de faire taire les voix opposées aux vaccins.

    Il convient de rappeler que les efforts visant à restreindre, marginaliser et condamner les médecins dissidents ont commencé immédiatement avant et après le déploiement du vaccin contre le Covid-19.

    Au début, il était largement reconnu que les vaccins à ARNm étaient des interventions médicales expérimentales, qui n’avaient jamais été étudiées dans des conditions réelles pour permettre une évaluation réaliste de leur efficacité et de leur sécurité.

    Les agences fédérales de santé étaient déterminées à s’approprier entièrement tout discours nécessaire pour atteindre leurs objectifs politiques en matière de vaccination et de pandémie. Cela a nécessité de faire taire les informations, même les recherches évaluées par des pairs qui soutenaient les préoccupations anti-vaccination, par tous les moyens disponibles.

    *

    Richard Gale est producteur exécutif du Progressive Radio Network et ancien analyste de recherche principal dans les industries de la biotechnologie et de la génomique.

    Le Dr Gary Null est l'animateur de la plus ancienne émission de radio publique du pays sur la santé alternative et nutritionnelle et un réalisateur de documentaires primé à plusieurs reprises, notamment son récent Last Call to Tomorrow.

    Ils contribuent régulièrement à Global Research.

    https://www.globalresearch.ca/seventeen-pandemic-lies-weve-been-told/5836606

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  32. Ambulanciers paramédicaux et ambulanciers : la profession mandatée par le vaccin à ARNm contre la COVID-19 continue d'avoir des cancers turbo et des morts subites

    Mai à septembre 2023 : 14 cas tragiques


    Par le Dr William Makis
    Recherche mondiale,
    17 octobre 2023


    4 octobre 2023 – Providence, RI – L'ambulancier paramédical Rocio Mondragon a reçu un diagnostic de cancer du sein triple négatif de stade 2, qui est rapidement devenu métastatique de stade 4 au cerveau après une chimiothérapie et une radiothérapie (échec du traitement).

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    29 septembre 2023 – Calgary, AB – Craig Nichol est ambulancier paramédical depuis 10 ans. En juillet 2022, on lui a diagnostiqué un cancer colo-rectal de stade 3B (cancer turbo). En avril, il a subi une intervention chirurgicale de 10,5 heures pour enlever autant de tumeur que possible, mais son cancer se propage trop rapidement et en juillet 2023, il a un cancer colorectal de stade 4. cancer métastatique au foie, aux lésions péritonéales et aux poumons.

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    19 septembre 2023 – Comté de Coryell, Texas – Trent Makare, 61 ans, était ambulancier paramédical. Il est mort subitement d'une crise cardiaque.

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    5 septembre 2023 – Bolton, ON – Meghan Duca, 28 ans, s'est vu confier le vaccin à ARNm contre la COVID-19 pour conserver son emploi. Elle vient de recevoir un diagnostic de cancer du sein de stade 4 qui s'est propagé à sa colonne vertébrale.

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    17 août 2023 – Baltimore, MD – David Lee Spicer, 43 ans, vétéran EMT/pompier du service d'incendie de la ville de Baltimore, est décédé subitement, la cause du décès n'ayant pas été signalée.

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    15 août 2023 – Scottsburg, IN – Devonnia Tscheulin, 34 ans, ambulancière et chef adjointe des services médicaux d'urgence du comté de Scott, est décédée subitement des « complications lors de l'accouchement » de son troisième enfant.

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  33. 5 août 2023 – Fort Erie, Ontario – Alan Doneff, 64 ans, est décédé subitement après une courte bataille contre le cancer.

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    29 juillet 2023 – Franklin, Texas – René Ferrell, 52 ans, vétéran de l'US Air Force, officier de police, pompier et ambulancier, est décédé subitement le 29 juillet 2023.

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    5 juillet 2023 – Baie James, Ontario – Arjanan Sivasathiyarajah, 23 ans, un ambulancier paramédical qui avait commencé à travailler quelques semaines auparavant dans la Première Nation de Kashechewan, a disparu d'un bateau sur la rivière Albany et son corps a été retrouvé le 5 juillet.

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    27 juin 2023 – Baton Rouge, LA – L'ambulancier Kymber Nezat, 28 ans (qui était enceinte) et l'ambulancier paramédical Hunter Fruge ont été impliqués dans une collision avec leur ambulance, Kymber est décédé. La cause de l'accident est inconnue (Pour des raisons inconnues , l'ambulance acadienne a heurté l'arrière d'une Nissan Altima, avant de dépasser la ligne médiane et de s'engager dans la voie en direction sud. Par la suite, l'ambulance est entrée en collision frontale avec un camion Coca Cola.)

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    14 juin 2023 – North Vancouver, Colombie-Britannique – Ryan Vena, un ambulancier paramédical de 42 ans, est décédé dans son sommeil. "La cause de ce décès est encore inconnue."

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    8 juin 2023 – Johns Hopkins – Nicholas Nick Dye, 37 ans, EMT, ingénieur, médecin résident, est décédé subitement.

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    13 mai 2023 – Huntersville, Caroline du Nord – L'ambulancier paramédical Mark Hayes a eu une « urgence médicale » alors qu'il était en service et est décédé subitement.

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    11 mai 2023 – Toronto, ON – Marc Salmanovitch, ambulancier paramédical de 53 ans, est décédé subitement le 11 mai 2023.

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  34. Mon avis…
    Les décès subits dans les professions vaccinées à ARNm contre le COVID-19 se poursuivent à un rythme record.

    La grande majorité semble être un arrêt cardiaque soudain ou une crise cardiaque, d'autres incluent :

    4 personnes sur 14 souffrent d'un cancer turbo de stade 4 (un est décédé)
    1 est mort dans son sommeil
    1 a eu une urgence médicale alors qu’il était en service et est décédé
    1 personne est décédée alors qu'elle prenait un congé de navigation sur une rivière Ontario
    1 est décédée dans un accident d'ambulance inhabituel (elle était enceinte à ce moment-là)
    1 est décédée des suites de complications de l'accouchement
    *

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    Le Dr William Makis est un médecin canadien possédant une expertise en radiologie, oncologie et immunologie. Médaille du Gouverneur général, boursière de l'Université de Toronto. Auteur de plus de 100 publications médicales évaluées par des pairs.

    https://www.globalresearch.ca/paramedics-emts-covid-19-mrna-vaccine-mandated-profession-continues-have-turbo-cancers-sudden-deaths/5836643

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  35. Vidéo : Déclaration de l'Assemblée générale des Nations Unies sur le « Traité de préparation à une pandémie » : l'ONU vient de commettre une fraude et les pays l'ont remarqué

    Il est important de comprendre et de partager ces informations sur le Traité illégal sur la pandémie et les amendements au RSI.


    Par Liberty Talk Canada
    Recherche mondiale, 17 octobre 2023


    - voir clip (Rumble) sur site :

    https://www.globalresearch.ca/video-the-un-just-committed-fraud-and-other-countries-have-noticed/5836699

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  36. Nouvelle-Zélande : « Apocalypse Covid » et les illusions du progrès


    Par le Dr Emanuel Garcia
    Recherche mondiale,
    17 octobre 2023


    Eh bien, nous avons eu des élections en Nouvelle-Zélande et, apparemment, un tout nouveau gouvernement prendra les rênes du pouvoir. Le Parti travailliste est absent et le National est de la partie, avec un partenaire de coalition, et les partis de la liberté n'ont pas réussi à s'unir et à dépasser le seuil de cinq pour cent requis pour une présence parlementaire. Néanmoins, un politicien chevronné qui a commencé à épouser les principes de liberté dans sa campagne a réussi à se démarquer, nous pouvons donc avoir un pied dans la porte.

    En ce qui me concerne, l'establishment Uniparty ne fera rien pour sortir notre pays de l'étreinte mondialiste écrasante du Forum économique mondial ou de l'Organisation mondiale de la santé, et si et quand une autre fausse pandémie est déclarée, elle sera « intéressante ». pour voir comment « le peuple » réagit à une nouvelle tentative gouvernementale de nous priver de nos droits inaliénables.

    Néanmoins, j’ai de nombreuses raisons d’être reconnaissant envers l’apocalypse covid qui nous a assailli ces quatre dernières années. Le voile de l’honnêteté institutionnelle ayant été déchiré, une perspective sur un terrain jusqu’alors inconnu a été léguée – un terrain de corruption et de pourriture profondes où des entités de confiance et vénérées se sont révélées profondément malveillantes et déterminées à inverser des millénaires de progrès.

    Prenez la médecine, par exemple. Au diable le serment d'Hippocrate, détruisez l'immunité naturelle, ne vous inquiétez pas du consentement éclairé : trouvez plutôt des moyens toujours plus ingénieux de vous assurer que chaque mammifère vivant possède une forme d'ARNm dans son sang, même s'il faut des moustiques génétiquement modifiés pour le faire. le sale boulot que des aiguilles maladroites ne pouvaient accomplir complètement.

    Et quand les médecins antédiluviens hésitent, les médecins qui ont haussé les sourcils face à la fuite en avant vers la solution finale offerte par l’inoculation et remis en question la sagesse des masques coupe-vent, font de leur vie un enfer. Lancez des enquêtes, suspendez ou annulez des licences et menacez-les d'amendes, voire de prison, pour le crime d'avoir exprimé des inquiétudes et de se demander comment les fondements mêmes de leur profession ont pu être si complètement vaporisés du jour au lendemain.

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  37. Mais grâce à ces quatre dernières années, je me suis renseigné sur de nombreux aspects des soins médicaux et sur l'histoire de l'industrie pharmaceutique, sur l'arnaque climatique perpétrée, sur les guerres sans fin qui se sont poursuivies au-delà de celle qui a mis fin à toutes les guerres, et sur l’indifférence pure et totale des autorités, telles qu’elles sont, y compris nos gouvernements représentatifs dans le soi-disant monde libre, à l’égard de nos morts et de nos vies.

    Des personnalités éminentes, bien-aimées et « bienveillantes », comme la chercheuse sur les primates Jane Goodall, épousent ouvertement les vertus du dépeuplement, tandis que des « décès excessifs » nous assiègent, les cancers prolifèrent et les effets néfastes du vaccin sont mis sous le tapis et attribués à « long covid », comme si le court covid ne suffisait pas.

    Cette indifférence à l’égard du bien-être des masses sales n’a rien de nouveau, mais son ampleur est telle qu’elle fait réfléchir même un psychopathe endurci. Nous sommes blessés, nous sommes mutilés, nous sommes tués et nous sommes hypnotisés par les Agents de l'Agenda pour célébrer notre immolation, en nombre immense.

    Le XXe siècle a apporté l’Holocauste nazi, les génocides de Staline et de Mao, l’anéantissement nucléaire des villes japonaises habitées, les guerres de Corée et du Vietnam, ainsi que toute une série de coups d’État et de massacres. Le 11 septembre est devenu le prétexte à de nouvelles excursions martiales au Moyen-Orient et à des contraintes importantes sur l’autonomie individuelle, et avec le Covid, la terreur parrainée par l’État a atteint des sommets et une ampleur inédits.

    Il y a environ un an, je me trouvais à Wellington lors d'une marche pour le changement climatique. J'ai regardé le flux humain, pour la plupart jeune, serpenter à travers le centre-ville, criant, criant, scandant et agitant des pancartes concernant le dioxyde de carbone. J'ai pensé à prendre tranquillement quelques personnes à l'écart pour poser des questions significatives, mais j'ai renoncé : cela aurait été impossible, je n'aurais jamais été entendu. Et pendant que je ruminais, j’ai ressenti un frisson de peur – une peur réelle, pas celle fabriquée par une phalange médiatique contrôlée à propos d’un agent pathogène invisible et jamais très mortel. C'était la peur d'une foule.

    Je me souvenais du très grand nombre de personnes qui se masquaient et regardaient avec hostilité ceux qui préféraient ne pas le faire ; Je me suis souvenu de la virulence des attaques contre ceux d'entre nous qui refusaient de se faire injecter , même de la part de collègues de médecine ; et je me suis souvenu des menaces des politiciens de nous traquer. S’il y a un progrès, il sera mesuré par la tolérance, la réflexion, la discussion et le débat, et l’insistance de la majorité sur la préservation de la liberté et du choix humains. Cela favorisera la paix plutôt que la guerre, la liberté plutôt que le contrôle et la réflexion plutôt que l’impulsion.

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  38. Presque tout ce que les autorités nous ont dit sur le Covid est un mensonge. Voir à travers ce grand mensonge nous permet de voir à travers la longue et sordide chaîne des autres – et cela nous permet également de nous préparer à de futures assauts contre le langage, l’histoire et la perception.

    Peu importe qui siège au Parlement, ce sera à nous, gens de terrain, de respecter ou non les directives illégales de l’État. Il en a toujours été ainsi et il en sera toujours ainsi, et notre libre choix entre faire le bien et le mal ne pourra jamais disparaître.

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    Le Dr Garcia est un psychanalyste et psychiatre né à Philadelphie qui a émigré en Nouvelle-Zélande en 2006. Il est l'auteur d'articles allant de l'exploration de la technique psychanalytique à la psychologie de la créativité musicale (Mahler, Rachmaninov, Scriabine, Delius) et à la politique. Il est également poète, romancier et metteur en scène de théâtre. Il a pris sa retraite de la pratique psychiatrique en 2021 après avoir travaillé dans le secteur public en Nouvelle-Zélande. Visitez sa sous-pile sur https://newzealanddoc.substack.com/

    https://www.globalresearch.ca/covid-apocalypse-illusions-progress/5836620

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  39. La lutte contre le formaldéhyde se poursuit depuis des décennies


    17 Octobre 2023
    Susan Goldhaber, ACSH*


    Ma note : Encore une histoire américaine qui peut avoir des retombées en Europe...

    Le 20 juillet, l'American Chemistry Council (ACC), la principale association professionnelle de l'industrie chimique aux États-Unis, a intenté un procès à l'Agence de Protection de l'Environnement (EPA) et aux Académies Nationales des Sciences, de l'Ingénierie et de la Médecine (NASEM) au sujet du projet d'évaluation IRIS 2022 de l'EPA sur le formaldéhyde. Les poursuites contre l'EPA ne sont pas uniques, mais celles qui incluent la NASEM sont une autre histoire.

    Contexte

    Le formaldéhyde est l'un des principaux éléments constitutifs de l'industrie manufacturière. Il s'agit d'un intermédiaire réactif dans de nombreux processus chimiques, le produit final ne contenant que peu ou pas de formaldéhyde. Il est utilisé dans les domaines suivants :

    L'agriculture : engrais, herbicides et désinfectants pour les semences.

    L'industrie automobile : composants pour l'intérieur, peintures, plaquettes de frein et systèmes d'alimentation en carburant.

    Bâtiment et construction : contreplaqué, panneaux de particules, panneaux de fibres, meubles et lambris, isolation et revêtements de sol, armoires de cuisine.

    Santé et hygiène : conservateur dans les produits de soins personnels, les savons et les détergents.

    Médecine : conservateur dans les laboratoires médicaux, dans les vaccins et dans la fabrication de dispositifs médicaux tels que les valves cardiaques et les prothèses.

    Aérospatiale : pour fabriquer des mousses de polyuréthane pour les sièges d'avion, les planchers de cabine et les doublures de cargaison.

    L'EPA travaille à l'évaluation de la toxicité et des effets du formaldéhyde sur la santé depuis plus de 30 ans [1]. Les agences gouvernementales passent régulièrement des contrats avec des institutions à but non lucratif, telles que les NASEM, pour examiner des questions scientifiques complexes. Les NASEM, créées en 1863 par le président Lincoln, « sont une institution privée à but non lucratif qui fournit des analyses et des conseils indépendants et objectifs à la nation afin de résoudre des problèmes complexes et d'éclairer les décisions de politique publique dans les domaines de la science, de l'ingénierie et de la médecine ».

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  40. Questions relatives au formaldéhyde

    La question n'est pas de savoir si le formaldéhyde doit être réglementé, comme il l'est depuis des décennies, mais si la science permet de réviser la réglementation actuelle ou de proposer de nouvelles limites. Le formaldéhyde provoque des effets respiratoires à des niveaux élevés, allant de l'irritation du nez et de la gorge à des affections liées à l'asthme – cependant, la plupart des controverses portent sur le cancer. Des évaluations scientifiques ont conclu que le formaldéhyde ne présente un risque de cancer qu'à des niveaux élevés, et non à des niveaux plus faibles que l'on trouve dans l'environnement.

    « Il existe des preuves que l'inhalation de formaldéhyde provoque le cancer du nasopharynx, le cancer sino-nasal et la leucémie myéloïde chez les humains exposés dans des conditions d'exposition appropriées. »

    Système intégré d'information sur les risques (IRIS) de l'EPA pour 2022 [2]

    Cependant, le document IRIS ne décrit pas les « conditions d'exposition appropriées » pour que le formaldéhyde provoque un cancer, ce qui crée une ambiguïté quant au niveau de sécurité du formaldéhyde. L'absence de définition d'un niveau de sécurité clair pour le cancer laisse la porte ouverte à des niveaux de formaldéhyde « acceptables » si bas qu'il n'est plus économiquement possible de fabriquer des produits essentiels.

    L'action en justice de l'ACC

    Les deux lois que l'ACC affirme que l'EPA et les NASEM ont violées sont la loi sur les comités consultatifs fédéraux (FACA) et la loi sur la procédure administrative (APA). Ces deux lois visent à assurer la transparence et une procédure claire permettant au public de participer au processus d'élaboration des règles.

    L'ACC affirme que le contrôle inapproprié de l'EPA sur le rapport d'expertise des NASEM a violé la loi sur les comités consultatifs fédéraux (FACA). La FACA exige que les membres des comités consultatifs fédéraux soient « équitablement équilibrés » dans les opinions représentées et que « les conseils et recommandations du comité consultatif ne soient pas influencés de manière inappropriée par l'autorité de nomination ou par un intérêt particulier, mais soient au contraire le résultat du jugement indépendant du comité consultatif » [3].

    J'ai écrit sur l'importance de l'APA dans l'établissement des réglementations sur l'eau potable pour les « polluants éternels ». L'APA exige que les agences fédérales prévoient une période d'examen pour que le public puisse soumettre des observations sur les règles proposées et que toutes les règles soient publiées dans le Registre Fédéral.

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  41. L'ACC affirme qu'étant donné que l'EPA a violé la FACA, l'APA lui interdit de s'appuyer « arbitrairement et capricieusement » sur le rapport publié par les NASEM, l'évaluation toxicologique IRIS du formaldéhyde.

    L'action en justice de l'ACC affirme que les NASEM ont violé la FACA en :

    Manquant à l'obligation de garantir un comité équitable et équilibré : le comité n'est pas équilibré d'un point de vue technique, car il manque d'expertise dans plusieurs disciplines scientifiques cruciales pour un examen solide et complet. Le comité ne compte pas de scientifiques spécialisés dans la toxicologie et l'épidémiologie industrielles du secteur privé, des scientifiques particulièrement bien placés pour étudier l'utilisation du formaldéhyde dans le monde réel. Des experts de l'industrie devraient être inclus dans le comité car l'industrie sera directement affectée par l'évaluation finale.

    Ne donnant pas au public une possibilité raisonnable de s'exprimer sur les nominations au sein du comité.

    Permettant à l'EPA d'exercer un contrôle inadmissible sur le comité : l'EPA a indiqué aux NASEM quels scientifiques devaient faire partie du comité et a interdit au comité d'examiner des documents autres que l'évaluation et les documents soumis par l'EPA.

    Ignorant les informations pertinentes provenant de sources extérieures à l'EPA : après l'évaluation du formaldéhyde réalisée par les NASEM en 2010, l'ACC a entrepris un projet de recherche scientifique pour répondre aux besoins de données identifiés par les NASEM. Plus de 50 publications évaluées par des pairs et rédigées par des personnes affiliées à l'ACC faisaient partie de ce projet de recherche. Cependant, l'EPA a ignoré une grande partie de ces recherches dans son évaluation 2022. Lorsque l'ACC a tenté de fournir les publications aux NASEM, elle s'est heurtée à une fin de non-recevoir, les NASEM affirmant que leur mandat était uniquement basée sur les documents présentés par l'EPA.

    La plainte de l'ACC affirme que l'EPA a violé la FACA en contrôlant de manière inadmissible les membres du comité et les questions autorisées à être discutées, en ne prenant en compte que le point de vue de l'EPA sur les éléments de preuve. Au cours des « sessions ouvertes » destinées à solliciter les observations du public sur des questions scientifiques, les NASEM ont déclaré que leur véritable objectif était « d'engager une session de questions-réponses avec l'EPA » et que « le comité estime que le sponsor, l'EPA, est le mieux placé pour […] répondre aux questions sur l'évaluation du formaldéhyde ».

    L'action en justice de l'ACC conclut que « les rapports non fiables sur le formaldéhyde promus par le gouvernement fédéral créent des préjudices concrets et particuliers pour les membres de l'ACC qui utilisent régulièrement le produit chimique pour créer des produits dont la société moderne est dépendante. [Ils posent] des obstacles et des restrictions injustifiables à toutes les entreprises qui utilisent du formaldéhyde. »

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  42. Le dossier montre que l'ACC a tenté de communiquer largement avec l'EPA et les NASEM depuis 2011 et n'a reçu que des réponses limitées. Je pense que cela est dû à la perception par l'EPA que le conflit d'intérêt n'existe que pour l'industrie. Elle ne « voit » pas que la sélection de membres de comités consultatifs ayant une longue histoire d'accord avec l'EPA constitue un conflit. C'est le cœur du problème que la FACA essayait d'éviter.

    Ces lois fournissent-elles simplement des cases à cocher dans des contrôles ou les agences fédérales doivent-elles les appliquer comme elles ont été conçues, c'est-à-dire pour fournir une véritable contribution publique et des opinions diverses sur l'élaboration de règles susceptibles d'affecter la vie de chaque Américain ?
    ______________

    [1] « Le projet d'évaluation de l'EPA n'a pas été établi de manière logiquement cohérente, manque de liens clairs avec un cadre conceptuel sous-jacent et ne documente pas suffisamment les méthodes et les critères utilisés pour identifier les preuves permettant de sélectionner et d'évaluer les études. »

    [2] IRIS est la base de données de l'EPA qui résume les informations essentielles de l'EPA en matière de santé sur les produits chimiques et qui est également utilisée par les États, les gouvernements locaux, l'industrie et le monde universitaire.

    [3] D'autres exigences prévoient que chaque réunion du comité consultatif soit ouverte au public, que des procès-verbaux détaillés soient établis pour toutes les réunions et que les projets de documents de travail, les études et les autres documents établis par le comité consultatif ou présentés à ce dernier soient mis à la disposition du public.

    https://seppi.over-blog.com/2023/10/la-lutte-contre-le-formaldehyde-se-poursuit-depuis-des-decennies.html

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  43. Comment le vaccin COVID pourrait nuire à votre intestin, entraînant un brouillard cérébral et des maladies auto-immunes


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 18 OCTOBRE 2023 - 03H25
    Rédigé par Marina Zhang via The Epoch Times


    La diarrhée, la constipation et les ballonnements sont des problèmes courants qui touchent les deux tiers des Américains.

    Bien que les problèmes intestinaux soient souvent considérés comme causés par une mauvaise alimentation et de mauvaises habitudes de vie, ils peuvent également être le signe de dommages causés par des infections telles que la COVID-19 et par la vaccination contre la COVID-19.

    Le médecin en médecine interne, le Dr Keith Berkowitz, qui a traité 200 patients blessés par le vaccin COVID, a déclaré à Epoch Times qu'il avait découvert des problèmes intestinaux répandus chez les patients atteints d'une longue COVID et après le vaccin. Cependant, les patients ne parviennent souvent pas à soulever ces questions.

    En outre, les gens ne savent peut-être pas que des symptômes tels que la fatigue et le brouillard cérébral peuvent être provoqués par des problèmes intestinaux, a déclaré le Dr Yusuf Saleeby, interniste, à Epoch Times.

    L'intestin est lié à tout

    Une mauvaise santé intestinale est associée à un large éventail de maladies, notamment le diabète, l’obésité, les maladies cardiaques, la démence, le cancer, les infections, les maladies auto-immunes et même les maladies de la reproduction.

    La santé de l’intestin dépend souvent de son microbiome, composé de 100 000 milliards de microbes à l’intérieur du gros intestin.

    Un microbiome sain possède une population diversifiée de microbes contenant de nombreuses bactéries bénéfiques. Ces microbes produisent des produits chimiques nécessaires au métabolisme, à la nutrition, à l’immunité et à la communication au sein des organes. Ils aident également à maintenir la couche muqueuse dans l’intestin, empêchant ainsi les infections de pénétrer par les cellules intestinales.

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  44. Une mauvaise alimentation, un mauvais sommeil, les toxines environnementales, l’alcool et les drogues, les infections et les maladies chroniques peuvent endommager le microbiome en le privant de bactéries bénéfiques, laissant à sa place des bactéries pathologiques.

    Perte de bifidobactéries dans l'intestin après la vaccination contre le COVID

    Il a été démontré que les infections par le virus COVID-19 endommagent le microbiome intestinal et sont associées à une intégrité compromise de la couche muqueuse de l’intestin, provoquant une dysbiose intestinale, un déséquilibre du microbiome.

    Des rapports ont également montré que le vaccin à ARNm contre la COVID-19 est lié à une réduction de la biodiversité dans le microbiome.

    Gastro-entérologue et PDG du laboratoire de recherche génétique ProgenaBiome, le Dr Sabine Hazan a découvert que les résultats des tests de nombreux patients blessés par le vaccin un mois après la vaccination montrent un manque de bifidobactéries probiotiques. Le laboratoire du Dr Hazan a été le premier à rapporter la séquence complète du génome du virus SARS-CoV-2 à l’aide d’échantillons fécaux de patients.

    Les bifidobactéries sont un groupe de bactéries du genre Bifidobacterium et comptent parmi les premiers microbes à coloniser l'intestin. On pense qu’ils sont bénéfiques pour la santé de leur hôte et font partie des probiotiques les plus courants.

    "À l'heure actuelle, nous constatons une persistance [de la perte de bifidobactéries] chez certains patients, mais pas chez beaucoup de patients", a déclaré le Dr Hazan. « Mais si les gens souffrent après le vaccin, il faut les examiner. Ils peuvent participer à un essai clinique dès maintenant… Nous développons des marqueurs pour identifier les patients blessés par le vaccin, et nous essayons de trouver un microbiome caractéristique dans les blessures causées par le vaccin.

    Depuis, son équipe de recherche suit 200 patients blessés par le vaccin. Elle a observé des pertes drastiques de bifidobactéries et d’autres espèces chez certains patients. Cependant, il y a également eu de rares cas où les bifidobactéries ont augmenté.

    Le Dr Hazan estime que les protéines Spike recouvrant la surface du virus SARS-CoV-2, produites dans les cellules humaines après la vaccination, tuent les bifidobactéries, tout comme le virus peut infecter et tuer les bonnes bactéries.

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  45. Comme pour le virus COVID-19, la perte de microbes bénéfiques comme les bifidobactéries peut provoquer une dysbiose intestinale, directement liée à une mauvaise santé intestinale et aux maladies associées.

    Cependant, la dysbiose intestinale est mal définie dans le diagnostic clinique.

    "Dans la recherche clinique portant sur les patients, nous n'avons pas encore cette définition", a déclaré le Dr Hazan. "Il n'existe aucune directive indiquant que la dysbiose intestinale est égale à cela (chose spécifique)."

    Les travaux antérieurs du Dr Hazan chez les patients atteints de la COVID-19 ont montré que l’abondance des bifidobactéries est liée à la gravité de la maladie. Les patients présentant davantage de bifidobactéries dans l’intestin avaient tendance à présenter une maladie légère ou asymptomatique, tandis que les patients présentant peu ou pas de bifidobactéries développaient une maladie grave.

    Le traitement des blessures causées par le COVID-19 pourrait commencer dans l’intestin
    De nombreux facteurs doivent être pris en compte lors de la restauration du microbiome. Les médecins doivent s'assurer que les bons microbes sont cultivés, que cela se produit au bon endroit, que cela ne perturbera pas les autres microbes et que l'intestin peut supporter les nouveaux microbes colonisés, a déclaré le Dr Hazan.

    Restaurer les microbes dans un environnement intestinal malsain pourrait être comme faire pousser un pommier dans le sable.

    « Il s’agit d’une analyse médico-légale du microbiome intestinal », a-t-elle déclaré.

    Pour le Dr Saleeby, aider les patients souffrant de blessures causées par la COVID-19 commence souvent par l’intestin, puisque c’est ce qui permet aux patients d’absorber les médicaments et les nutraceutiques prescrits.

    Il a donné l’exemple de la naltrexone à faible dose, un aliment de base couramment utilisé par les médecins traitant les blessures prolongées dues au COVID et aux vaccins.

    « La naltrexone (LDN) à faible dose aidera à soulager l’inflammation de l’intestin et à lutter contre la maladie de Crohn et/ou la colite ulcéreuse. En échange, lorsque vous commencerez à réparer l’intestin, vous découvrirez que la LDN est mieux absorbée. Cela pourrait donc modifier la dose de LDN », a-t-il déclaré.

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  46. En cas de dysbiose intestinale, une personne peut développer une prolifération bactérienne de l'intestin grêle (SIBO), ce qui peut interférer avec le traitement. Les patients peuvent également se sentir moins bien après le début du traitement. En effet, bon nombre des thérapies de première intention utilisées dans le traitement des blessures causées par le vaccin COVID-19 agissent en éliminant les protéines de pointe et en augmentant la capacité du corps à éliminer les agents pathogènes, a déclaré le Dr Saleeby. Cela peut également amener le système immunitaire à attaquer la prolifération de bactéries dans l’intestin, entraînant une accumulation soudaine et massive de microbes morts dans le corps.

    Le corps considère ces agents pathogènes morts comme une menace, ce qui déclenche une réaction inflammatoire soudaine, provoquant une augmentation des symptômes.

    Réduire la dose de traitement et compléter avec des thérapies anti-inflammatoires comme la thérapie d'hydratation, les saunas et les bains de sel d'Epsom peuvent rendre ces réactions plus tolérables, a déclaré le Dr Saleeby.

    Le Dr Berkowitz a également des patients qui ne peuvent pas tolérer les thérapies post-vaccinales typiques. Ses patients, cependant, ont tendance à présenter des signes d’hyperactivité du système nerveux, ce qui, selon lui, est lié à l’épuisement des neurotransmetteurs dû à la perte de bactéries bénéfiques.

    Ces patients deviennent également beaucoup plus tolérants aux traitements post-vaccinaux une fois qu’ils reçoivent une thérapie d’hydratation et des nutraceutiques qui aident à calmer le système nerveux et à reconstruire le microbiome intestinal.

    Intestin endommagé : problèmes neurologiques

    La recherche a montré que l'intestin et le cerveau sont liés par leur système nerveux, et les Drs. Saleeby et Berkowitz pensent que l'intestin endommagé pourrait contribuer au brouillard cérébral, à la fatigue et à d'autres problèmes observés chez leurs patients.

    Les problèmes intestinaux sont depuis longtemps associés à des déficiences neurocognitives.

    Par exemple, certaines personnes développent un grave brouillard cérébral « dans les 30 minutes » après avoir mangé un morceau de pain parce qu’elles sont sensibles au gluten ou souffrent de la maladie cœliaque, a déclaré le Dr Saleeby.

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  47. La neuroinflammation provoquée par l’intestin pourrait expliquer pourquoi les patients souffrant de problèmes intestinaux développent souvent des problèmes neurocognitifs. Le cerveau et l’intestin sont étroitement liés par l’axe intestin-cerveau. Lorsque les patients souffrant de problèmes intestinaux consomment des aliments ou des produits chimiques particuliers qui déclenchent des maladies, l’intestin peut produire des produits chimiques inflammatoires qui peuvent pénétrer dans le cerveau.

    Une autre cause de déficience neurocognitive est l’épuisement des neurotransmetteurs. De nombreux microbes présents dans l’intestin utilisent des nutriments alimentaires pour fabriquer des neurotransmetteurs. Certains de ces microbes sont perdus dans la dysbiose et l’intestin devient moins capable d’absorber les nutriments nécessaires à son utilisation.

    Des problèmes neurologiques et cognitifs peuvent donc se manifester. Les neurotransmetteurs utilisés dans le cerveau sont également produits dans l’intestin. Quatre-vingt-quinze pour cent et 50 pour cent de la sérotonine et de la dopamine sont respectivement produits dans l’intestin.

    La plupart des neurotransmetteurs produits en dehors du cerveau ne peuvent pas traverser la barrière hémato-encéphalique ni être utilisés par le cerveau. Pourtant, les recherches suggèrent un lien direct entre la santé mentale et cognitive et la santé du microbiome.

    Le Dr Berkowitz a remarqué ce qu'il considère comme une diminution de l'acide gamma-aminobutyrique (GABA), qui peut être produit par les bactéries présentes dans l'intestin, notamment les bifidobactéries. Il pense que le manque de GABA dans le cerveau – un inhibiteur qui calme le système nerveux – est la raison pour laquelle de nombreux patients présentent des signes d’hyperactivité du système nerveux.

    Il traite ces patientes avec du magnésium et de la mélatonine, qui stimulent tous deux le GABA, et du colostrum bovin, un liquide laiteux qui s'écoule des mamelles des vaches les premiers jours après l'accouchement. Le colostrum bovin a eu des résultats prometteurs dans la réparation des dommages gastro-intestinaux chez les animaux et chez les humains. Grâce à ces traitements, le Dr Berkowitz a découvert que le système nerveux hyperactif des patients semblait se calmer, améliorant ainsi leurs symptômes.

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  48. "Les gens décrivent leur système qui roule à 100 milles à l'heure", a-t-il déclaré, et lorsque vous calmez cela, le corps peut alors se réparer. « La réparation ne se produit pas lorsque le corps est dans un état de stress… [puisque toutes les ressources du corps] sont concentrées uniquement sur la survie. »

    Intestin endommagé : maladies auto-immunes

    Les problèmes intestinaux sont également associés depuis longtemps aux maladies auto-immunes, et les médecins traitant des patients blessés par le vaccin ont rapporté des résultats similaires.

    Les problèmes auto-immuns se manifestent généralement par des fuites intestinales, souvent appelées médicalement augmentation de la perméabilité intestinale. Dans un intestin qui fuit, la couche muqueuse protégeant l’intestin des microbes est détruite, et les microbes peuvent alors infecter la muqueuse intestinale et les vaisseaux sanguins voisins.

    "Si [la muqueuse intestinale] est perturbée, c'est un peu comme [briser] le mur d'un château", a déclaré le Dr Saleeby. « S’il y a une brèche, l’ennemi peut y entrer. »

    Pendant cette période stressante d’invasion, si un virus ou une bactérie s’introduit, une infection se produit. Si l’envahisseur est inoffensif, comme un morceau d’arachide ou un produit chimique inoffensif, une réaction allergique se manifeste à la place. Le corps commence à attaquer ces antigènes étrangers mais bénins et, ce faisant, peut se nuire, conduisant à une maladie auto-immune.

    Le Dr Berkowitz a découvert que bon nombre de ses patients souffrant d’hyperactivité du système nerveux et de problèmes intestinaux étaient également positifs aux auto-anticorps, signalant une maladie auto-immune potentielle.

    « Les douleurs nerveuses, la fatigue, les problèmes musculaires et articulaires sont probablement les problèmes les plus courants [chez ces patients] », a-t-il déclaré. Beaucoup signalent également des problèmes de peau tels que des éruptions cutanées.

    Cependant, une fois le traitement prescrit pour leurs intestins et leur système nerveux, les symptômes des patients s’améliorent et leurs niveaux d’anticorps diminuent.

    https://www.zerohedge.com/political/how-covid-vaccine-could-harm-your-gut-leading-brain-fog-and-autoimmune-disease

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  49. Une nouvelle étude révèle les causes des lésions cardiaques chez toutes les personnes vaccinées grâce aux vaccinations à ARNm


    18 octobre 2023
    par le Dr. Peter F. Mayer


    On sait depuis 2021 que les injections d’ARNm provoquent des lésions cardiaques chez un pourcentage élevé de personnes vaccinées. Jusqu'à récemment , on soupçonnait que les dégâts ne pourraient se produire que dans des lots individuels et, en tout cas, seulement chez une fraction des personnes vaccinées. Cependant, une étude récemment publiée a utilisé des méthodes radiologiques pour montrer que des dommages surviennent chez toutes les personnes vaccinées. Plus d'informations à ce sujet ici .

    Dans un nouveau travail, des scientifiques de l’Institut de physiologie Giessen et du Laboratoire national de cardiologie de l’Université Semmelweis de Budapest ont pu montrer certains mécanismes par lesquels les préparations Covid endommagent le cœur. L' étude examinée par Rolf Schockenberg et al intitulée « Effets secondaires cardiaques des vaccins contre le SRAS-CoV-2 à base d'ARN : effets cardiotoxiques cachés de l'ARNm-1273 et du BNT162b2 sur la fonction et la structure des myocytes ventriculaires » ( Effets secondaires cardiaques du SRAS à base d'ARN - Vaccins CoV-2 : effets cardiotoxiques cachés de l’ARNm-1273 et du BNT162b2 sur la fonction et la structure des myocytes ventriculaires) a été publié le 12 octobre dans le British Journal of Pharmacology sous le titre « Rapid Communication ».

    On pensait auparavant que les milliards de protéines Spike inoculées dans l’endothélium des vaisseaux sanguins et des cellules du muscle cardiaque commençaient à se reproduire et que ces cellules étaient donc détruites par le système immunitaire. Les cicatrices qui en résultent provoquent des dommages permanents.

    Cependant, l'étude montre que la protéine Spike seule, sans les réactions du système immunitaire, provoque des dommages aux cellules cardiaques, appelées cardiomyocytes.

    L’étude germano-hongroise fournit une analyse in vitro détaillée en laboratoire de ce qui arrive exactement aux cellules du muscle cardiaque (cardiomyocytes) dans les conditions typiques d’un vacciné contre la COVID. Les auteurs soulignent d’abord une étude de biodistribution qui a mesuré la concentration de vaccins COVID dans le cœur de rats de laboratoire Wistar après vaccination. Les scientifiques ont appliqué les mêmes concentrations aux cellules cardiaques de jeunes rats mâles ainsi qu’aux cellules cardiaques humaines :

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  50. « Dans cette étude, la quantité d’ARNm utilisée a été calculée à partir de la concentration lipidique détectée dans le cœur du rat 2 heures après l’injection de 50 μg d’ARNm de LNP marqué au [3H]. »

    Une expérience est réalisée sur des cultures cellulaires qui n'est pas associée aux nombreuses complications qui surviennent lors de l'étude du cœur des organismes vivants. Ils avaient de véritables groupes témoins – des boîtes de Petri avec des cellules cardiaques qui n’avaient pas reçu d’injection d’ARNm.

    Les cellules cardiaques ont subi des modifications néfastes après la « vaccination » in vitro. Par rapport au groupe témoin, les cellules cardiaques vaccinées ont mal fonctionné de plusieurs manières :

    Les chercheurs le résument ainsi :

    Résultats clés

    Au cours des 24 heures suivant l’application, l’ARNm-1273 et le BNT162b2 n’ont provoqué ni troubles fonctionnels ni anomalies morphologiques. Après 48 heures, l’expression de la protéine de pointe codée a été détectée dans les cardiomyocytes ventriculaires pour les deux ARNm. À ce moment-là, l’ARNm-1273 induisait des contractions à la fois arythmiques et complètement irrégulières, accompagnées de transitoires calciques irréguliers et localisés, indiquant un dysfonctionnement significatif du récepteur cardiaque de la ryanodine (RyR2). En revanche, BNT162b2 a augmenté la contraction des cardiomyocytes en augmentant significativement l’activité de la protéine kinase A (PKA) au niveau cellulaire.

    Conclusions et implications

    Nous avons montré ici pour la première fois que l'ARNm-1273 et le BNT162b2 induisent des dysfonctionnements spécifiques dans les cardiomyocytes isolés qui sont physiopathologiquement corrélés à la cardiomyopathie. La déficience de RyR2 et l’activation soutenue de la PKA peuvent augmenter considérablement le risque d’événements cardiaques aigus.

    Les temps changent donc. Vient maintenant la partie la plus étonnante, rarement vue dans les études évaluées par des pairs et publiées dans les revues officielles. Les auteurs ne mâchent pas leurs mots et affirment que l'administration des vaccins à ARNm doit être réévaluée en raison de leurs effets cardiotoxiques.

    Cependant, cette évaluation avait déjà été réalisée par des scientifiques réputés à l’automne 2020, et les connaissances de l’époque excluaient déjà l’utilisation de cette technologie génétique pour les vaccinations.

    https://tkp.at/2023/10/18/neue-studie-deckt-ursachen-fuer-herzschaeden-bei-allen-geimpften-durch-mrna-impfungen-auf/

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  51. Le rôle fondamental des vitamines B sur la santé


    19 octobre 2023
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Oui je sais. Les vitamines sont des extrémistes de droite et le fait qu’elles soient nécessaires à la santé est une théorie du complot. C'est du moins ce que nous disent les experts du Covid, les vendeurs de produits pharmaceutiques, leurs fidèles politiciens et les grands médias. Et « la science ». Cependant, la branche scientifique la plus sophistiquée appelée biochimie nous dit le contraire. Du moins ce que j'ai lu dans mon manuel de biochimie de 790 pages pour la faculté de médecine.
    Par exemple, les crises cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux, l'artériosclérose ou la thrombose peuvent être dus à une carence en vitamine B si la dégradation ou la conversion de l'homocystéine ne fonctionne pas correctement. Cependant, la caisse d'assurance maladie ne prend pas en charge la mesure de l'homocystéine, elle est donc ignorée même par les cliniques ambulatoires spécialisées, du moins d'après mon expérience personnelle. Une supplémentation massive en complexe de vitamines B, ainsi qu’en B6 et B12, rend inutiles les anticoagulants.

    Mais la vitamine B3 est également extrêmement importante pour la formation de la peau et du collagène. Une carence peut provoquer de la pellagre et des problèmes de peau en cas de froid, de soleil, de transpiration, etc. Les pommades, en revanche, n’aident que dans une mesure limitée.

    La carence en vitamine B peut être évitée en mangeant des aliments sains et fraîchement préparés. Cependant, de nombreuses vitamines B sont très sensibles aux dommages dus à diverses influences telles que la chaleur, la lumière, l'oxygène, les solutions acides et alcalines et les longues durées de stockage.

    Compte tenu des méthodes de traitement prolongées et à haute température utilisées dans la production de plats préparés et d’aliments emballés, il n’est pas surprenant que les aliments transformés puissent être déficients en vitamines B.

    Pour garantir un apport sain en vitamines B, il est important d’inclure dans l’alimentation une variété d’aliments frais et légèrement cuits. Ceux-ci fournissent des sources naturelles de vitamines B qui n’ont pas été endommagées par des méthodes de transformation nocives.

    Mais selon le manuel, 10 % des personnes présentent une mutation du gène de la méthylène-THF réductase. Et un tiers, et encore plus dans certaines régions du monde, présentent une anomalie génétique du facteur V Leiden, un autre facteur de risque pour les maladies mentionnées. Et puis il faut compléter, parfois même à des doses assez élevées, mais ce n'est pas un problème avec les vitamines B hydrosolubles.

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  52. Dr. Joseph Mercola a un article plus long à ce sujet sur son site Internet . Il décrit comment une grave épidémie a sévi dans le sud des États-Unis au début des années 1900. Les symptômes sont d'abord apparus au niveau de l'estomac/de l'intestin, puis une éruption cutanée, puis des problèmes mentaux suivis par la mort.

    Le régime alimentaire du pauvre homme se composait de glucides, de sucre et rarement de porc.

    La maladie était initialement incompréhensible, puis identifiée comme étant une pellagre et ce n'est qu'après des décennies que la carence en vitamine B3 a été identifiée comme étant la cause.

    Mercola écrit :

    « Toute la famille des vitamines B est essentielle à notre santé. Ils jouent un rôle clé dans la capacité de l’organisme à utiliser les enzymes.

    Les enzymes effectuent des tâches importantes dans votre corps, par ex. B. décomposer les acides aminés, transporter l’oxygène et les nutriments et libérer l’énergie des glucides et des graisses que vous consommez.

    Les vitamines B agissent comme des coenzymes dans ces fonctions productrices d’énergie. Ils sont nécessaires pour un état normal et sain :

    Fonction du cerveau et du système nerveux.

    La croissance et le développement.

    Fonction du système immunitaire.
    Production d'énergie.
    Métabolisme cellulaire.
    Santé des organes et des tissus
    Santé musculaire, cutanée et oculaire
    appétit et digestion
    Une carence en vitamines B peut affecter le corps de diverses manières, car les vitamines ont des effets étendus et interdépendants.

    De nombreuses affections courantes peuvent être dues à de faibles niveaux d’une ou plusieurs vitamines B. Ceci comprend:

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  53. Incapacité de bien dormir.
    Fatigue et apathie.
    « Brouillard » mental, confusion et oubli.
    Sautes d'humeur et irritabilité.
    Symptômes gastro-intestinaux.
    Problèmes articulaires ou musculaires.
    Faiblesse musculaire.
    Perte de masse musculaire.
    Maux de tête occasionnels.
    Irritabilité.
    Peau sèche et craquelée.
    Le complexe de vitamines B étant un groupe de huit vitamines B importantes qui agissent ensemble, une carence en une vitamine peut affecter l’efficacité de toutes les autres.

    De nombreuses vitamines du complexe B sont par exemple nécessaires à une peau saine. Si vous manquez d’une ou deux vitamines, les autres vitamines n’auront pas le soutien dont elles ont besoin pour faire leur travail et votre peau pourrait montrer des signes de défaillance.

    Si des symptômes associés à une carence apparaissent, il recommande de prendre une préparation du complexe B et, si nécessaire , de compléter en vitamine B12 , vitamine B3 et vitamine B6 P5P . Un défaut peut être déterminé en mesurant

    À l’ère des vaccinations à ARNm et d’autres médicaments aux effets secondaires nocifs, on accorde beaucoup trop peu d’importance au fonctionnement naturel de l’organisme. De plus, les connaissances en biochimie pourraient être mieux diffusées au sein de la profession médicale, du moins d'après mon expérience personnelle.

    https://tkp.at/2023/10/19/die-grundlegende-rolle-der-b-vitamine-fuer-die-gesundheit/

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  54. Lauterbach inquiet : le traité de l’OMS sur la pandémie pourrait échouer


    19 octobre 2023
    de Thomas Oysmüller


    Si le traité sur la pandémie n’est pas adopté en mai, il pourrait être perdu à jamais, expliquait il y a quelques jours Karl Lauterbach. Apparemment, les pays du Sud ripostent et la réforme de l’OMS pourrait échouer.

    Le ministre allemand de la Santé et bouée hurlante du Corona, Karl Lauterbach, se bat pour le traité de l'OMS sur la pandémie. Cette décision devrait être prise en mai 2024 et reflète, avec la révision du Règlement sanitaire international (RSI), la réforme de l’OMS. Lors du Sommet mondial de la santé, qui s'est tenu jusqu'à mardi à Berlin, Lauterbach s'est montré pour la première fois extrêmement préoccupé. Le traité sur la pandémie qui lui tient tant à cœur pourrait échouer.

    Lauterbach lutte contre la pandémie

    Lauterbach fonde de grands espoirs sur ce contrat. Pour lui, c’est apparemment le remède contre la « pandémie » de désinformation. Il a donc déclaré lors du sommet que « nous » (bonne question de savoir de qui il entend par là) avons une « pandémie d’information » qui « remet en question tout ce que nous faisons ». La pop star de l'épidémie Christian Drosten a également pris son parti et a exigé que seuls des "experts" sélectionnés soient autorisés à commenter une crise sanitaire - le TKP a fait état des projets de censure dans le cadre du contrat pandémique.

    Et ce traité sur la pandémie, que Lauterbach considère comme extrêmement important, risque d’échouer. Ce serait une défaite majeure, en particulier pour le ministère allemand de la Santé, car le gouvernement allemand est l'une (sinon le leader) des forces particulièrement derrière le projet supranational, a rapporté le TKP .

    Le contrat pandémique au bord du gouffre
    Il dit anxieusement sur le podium :

    « Si nous ne parvenons pas à un accord sur la pandémie d’ici mai, nous risquons de perdre l’élan de la pandémie. »

    Lauterbach craint également que le contrat échoue s'il n'est pas adopté en mai.

    Et le secrétaire général de l'OMS, Tedros Ghebreyesus, partage également les préoccupations de Lauterbach. Selon le journal médical, il s'est montré très inquiet lors de son discours d'ouverture. Les négociations sur la réforme de l’OMS sont actuellement au point mort.

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  55. Qu'est-ce que cela signifierait ? Lauterbach :

    « Si nous n’avions pas d’accord, nous pourrions être dans une situation pire [dans la prochaine pandémie]. Car, comme l’a dit le professeur Drosten, la pandémie de désinformation qui s’étend aujourd’hui est une pandémie permanente. En ce sens, nous nous trouvons donc dans une situation encore plus difficile qu’avant la pandémie. L’accord sur la pandémie est donc une étape nécessaire pour aller de l’avant et garantir que nous soyons mieux préparés.

    Norbert Häring souligne un passage particulièrement remarquable dans sa contribution détaillée et lisible au sommet de la santé . En fin de compte, les pays du Sud devraient une fois de plus se défendre contre le traité, car ils ne veulent probablement pas y accepter un abandon complet de la souveraineté nationale (contrairement aux États de l’UE). Häring :

    "Lauterbach a admis indirectement, mais très clairement, pour la première fois, que les options précédemment envisagées pour priver les gouvernements de leurs pouvoirs par le biais de l'OMS allaient trop loin et rendaient le traité inacceptable pour les pays les plus faibles."

    Et sur la question des droits de brevet :

    «Lauterbach a clairement fait comprendre aux nombreux représentants officiels des pays les plus pauvres lors de ce sommet public-privé sur la santé que les gouvernements des pays industrialisés se considèrent comme des lobbyistes au nom de leurs propres sociétés pharmaceutiques et que les pays pauvres doivent donc se contenter d'offres non contraignantes de dons de vaccins et de médicaments en cas de crise.

    L’économiste allemand Häring tire également une brève conclusion :

    « Même en jetant un coup d’œil relativement bref sur ce qui s’est passé lors du Sommet mondial de la santé et sur ceux qui y tirent les ficelles, vous pouvez obtenir des informations et des idées importantes et remarquables qui rendent le silence dans la forêt d’autant plus suspect. L’idée la plus importante est qu’en aucune circonstance les responsables de la politique de santé mondiale et nationale ne doivent avoir les mains libres et davantage de pouvoir. Parce qu’il est étroitement lié aux intérêts des grandes entreprises pharmaceutiques et informatiques et qu’il les place bien au-dessus des intérêts de la population.»

    La table ronde avec Lauterbach peut être trouvée ici :

    - voir clip sur site :

    https://tkp.at/2023/10/19/lauterbach-besorgt-who-pandemievertrag-koennte-scheitern/

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  56. La montée de l’État policier mondial


    Par le Dr Joseph Mercola
    Mercola.com
    18 octobre 2023


    À l’heure actuelle, il est crucial de réaliser que les objectifs de développement durable (ODD) des Nations Unies font partie du plan visant à mettre en œuvre un gouvernement mondial unique, où le monde entier sera dirigé par des bureaucrates non élus, redevables à des idéaux technocratiques.

    Dans une série d'enquêtes en deux parties sur Unlimited Hangout1,2, les journalistes indépendants Iain Davis et Whitney Webb exposent comment l'Objectif de développement durable n° 16 (ODD16), qui prétend promouvoir des « sociétés pacifiques et inclusives » et « la justice pour tous », est Il s’agit en réalité de consolider l’autorité, d’exploiter les menaces pour faire progresser l’hégémonie du régime et d’imposer à l’humanité un « système mondial d’identité numérique3 (identification numérique) contrôlé de manière centralisée ».

    Comme expliqué dans la partie 1,4 le terme utilisé par l’alliance mondialiste des technocrates pour décrire son réseau est un « partenariat public-privé mondial » ou G3P :

    « Le G3P travaille sans relâche pour créer les conditions nécessaires pour justifier l’imposition à la fois d’une gouvernance mondiale « musclée » et de son système d’identification numérique préalable. Ce faisant, le G3P inverse la nature de nos droits. Il fabrique et exploite les crises afin de revendiquer la légitimité des « solutions » qu’il propose.

    Le G3P regroupe pratiquement toutes les organisations intergouvernementales, les gouvernements, les entreprises mondiales, les principales fondations philanthropiques, les organisations non gouvernementales (ONG) et les groupes de la société civile du monde. Collectivement, ceux-ci forment les « parties prenantes » qui mettent en œuvre le développement durable, y compris l’ODD16. »

    Le tableau suivant, tiré de IanDavis.com5, illustre le fonctionnement du G3P.

    - voir doc sur site -

    Qu’est-ce que l’ODD16 ?

    L'objectif central de l'ODD16 est de renforcer le régime dirigé par l'ONU, et de tous les sous-objectifs inclus dans cet ODD, l'établissement d'une « identité juridique pour tous » (ODD16.9) est le plus crucial, car d'autres objectifs reposent sur l’utilisation de l’identité numérique. Comme le notent Davis et Webb :6

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  57. « L’adoption universelle de l’identification numérique ODD16.9 permettra au régime de gouvernance mondiale du G3P d’établir un système mondial de récompense et de punition. Si nous acceptons le modèle prévu d’identification numérique, cela finira par nous asservir au nom du développement durable…

    L'ODD 16.9 « développement durable » signifie que nous devons utiliser l'identification numérique… Sinon, nous ne serons pas protégés par la loi, l'accès aux services nous sera refusé, notre droit d'effectuer des transactions dans l'économie moderne sera supprimé, il nous sera interdit de participer en tant que « citoyens » ' et exclus de la soi-disant 'démocratie'.

    Comprendre l'identité numérique

    Le Forum économique mondial (WEF), fondé par Schwab, promeut depuis des années la mise en œuvre de l’identité numérique. Le problème qu’on appelle « identification numérique » est que les gens pensent à tort que ce n’est pas quelque chose. Il y a une énorme différence entre identité et identification.7

    L'identification fait référence aux documents qui prouvent que vous êtes celui que vous prétendez être. Une identité numérique n’est PAS simplement une forme d’identification. Votre « identité » est qui vous êtes réellement, et une identité numérique gardera un enregistrement permanent de vos choix et de vos comportements, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.

    Votre identité englobe tout ce qui vous rend unique, et c’est ce que recherche réellement la cabale mondialiste. Sortez des sentiers battus et chaque interaction sur les réseaux sociaux, chaque centime dépensé et chaque geste que vous avez fait peut être utilisé contre vous.

    En effet, avoir accès à l’identité numérique de chacun est la clé d’une manipulation et d’un contrôle réussis de la population mondiale. Le graphique ci-dessous, du WEF, illustre leur idée de la manière dont votre identité numérique interagira avec le monde.

    Tout ce à quoi vous pouvez penser doit être connecté à votre identité numérique, et votre comportement, vos croyances et vos opinions dicteront ce que vous pouvez et ne pouvez pas faire au sein de la société. Il déverrouillera les portes où quelqu’un comme vous est le bienvenu et verrouillera celles où vous n’êtes pas.

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  58. Si vous pensez que l'idée des passeports vaccinaux est insensée, attendez que votre accès aux infrastructures et services essentiels dépende non seulement de votre statut vaccinal, mais aussi des livres que vous avez achetés, des idées que vous avez partagées et des personnes que vous avez. reçu de l’argent ou un soutien émotionnel.

    - voir doc sur site -

    L'interopérabilité reliera des systèmes disparates entre eux

    À mesure que les gens commencent à comprendre la menace d’un gouvernement mondial unique, la résistance à l’identification numérique et au crédit social qui l’accompagne a commencé à augmenter. La réponse du G3P à ce dilemme est la construction d’un système interopérable capable de relier entre eux des systèmes d’identification numérique disparates. Comme l'expliquent Davis et Webb :8

    « Cette approche de « plateforme modulaire » est conçue pour éviter les problèmes politiques que la délivrance officielle d’une carte nationale d’identité numérique susciterait autrement.

    L’établissement de l’identification numérique mondiale de l’ODD16.9 est crucial pour 8 des 17 ODD de l’ONU. C’est la cheville ouvrière au centre d’un panoptique numérique mondial qui est conçu sous les auspices du « régime » mondial de partenariat public-privé de l’ONU.

    Vous n’avez aucun droit, seulement des permis, dans le nouvel ordre mondial

    Vous vous demandez peut-être où les droits de l’homme entrent dans tout cela. Si votre identification numérique enregistre chacun de vos mouvements, qui peut ensuite être utilisée contre vous, cela ne violera-t-il pas certains de vos droits fondamentaux en tant qu’être humain libre ? Eh bien, cela dépend de la manière dont les droits de l’homme sont définis – et de qui les définit. Davis et Webb expliquent :9

    «… la Déclaration universelle des droits de l'homme… a été acceptée pour la première fois par tous les membres des Nations Unies le 10 décembre 1948. Le préambule de la Déclaration reconnaît que les « droits égaux et inaliénables » de tous les êtres humains sont le « fondement de la liberté, justice et paix dans le monde.

    Après cela, les « droits inaliénables » ne sont plus jamais mentionnés dans l’ensemble de la Déclaration. Les « droits de l’homme » n’ont rien à voir avec les « droits inaliénables ».

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  59. Les droits inaliénables, contrairement aux droits de l’homme, ne nous sont accordés par aucune autorité gouvernementale. Au contraire, ils sont innés à chacun de nous. Ils sont immuables. Ils nous appartiennent à parts égales. La seule source de droits inaliénables est la loi naturelle, ou la loi de Dieu.

    Personne – aucun gouvernement, aucune organisation intergouvernementale, aucune institution humaine ou dirigeant humain – ne pourra jamais légitimement revendiquer le droit d’accorder ou de refuser nos droits inaliénables. L’humanité ne peut revendiquer aucune autorité collective pour accorder ou refuser les droits inaliénables de tout être humain.

    Au-delà du préambule, la Déclaration universelle des droits de l’homme (DUDH) des Nations Unies s’intéresse exclusivement aux « droits de l’homme ». Mais affirmer, comme elle le fait, que les droits de l’homme sont une sorte d’expression de droits inaliénables est une fabrication – un mensonge.

    Les droits de l'homme, selon la DUDH, sont créés par certains êtres humains et sont accordés par ces êtres humains à d'autres êtres humains. Ce ne sont pas des droits inaliénables ou quoi que ce soit qui s’en rapproche.

    L’article 6 de la DUDH et l’article 16 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques de l’ONU de 1966… disposent tous deux : « Toute personne a le droit [humain] d’être reconnue partout comme personne devant la loi. »

    Remarque : Nous mettons « [humain] » entre parenthèses… pour alerter les lecteurs que ces documents ne font PAS référence à des droits inaliénables. Même si les articles 6 et 16 semblent attrayants, leurs implications sous-jacentes ne le sont pas.

    Les deux articles signifient que « sans existence légale, ces droits ne peuvent être revendiqués par une personne dans l’ordre juridique interne. » Comme nous le verrons, la capacité de prouver son identité deviendra une condition préalable à « l’existence légale ». Ainsi, dans un article -Dans le monde ODD16, les personnes sans pièce d’identité approuvée par l’ONU ne pourront pas faire valoir leurs « droits humains »…

    L’article 29.3 de la DUDH stipule : « Ces droits et libertés [de l’homme] ne peuvent en aucun cas être exercés contrairement aux buts et principes des Nations Unies. »

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  60. En clair : nous ne sommes autorisés à exercer nos prétendus « droits de l’homme » que sous réserve des diktats des gouvernements, des organisations intergouvernementales et des autres « parties prenantes » de l’ONU. L’essentiel est donc que ce que l’ONU appelle les « droits de l’homme » sont… les permis gouvernementaux et intergouvernementaux par lesquels notre comportement est contrôlé.

    COVID était une opportunité de réinitialiser les règles du jeu

    Notre comportement est également contrôlé par la censure et le contrôle de l'information. Dans son document « COVID-19 et droits de l’homme »10, publié en avril 2020, l’ONU présente les droits de l’homme comme des outils politiques et admet ouvertement que « garantir le respect » des mesures sanitaires qui restreignent sévèrement (ou éliminent carrément) les droits de l’homme dépendra de « bâtir la confiance », et cela inclut la censure de ce qui pourrait saper la confiance dans les autorités.

    La censure de la « désinformation » et de la « désinformation » est également requise dans le cadre du projet de Traité international sur la prévention, la préparation et la réponse aux pandémies, qui place l'Organisation mondiale de la santé au centre de tous les agendas liés à la pandémie, et dans les amendements proposés au Protocole international de santé. Règlements (RSI). Il est important de noter que ces deux instruments seront contraignants. Comme le notent Davis et Webb :11

    « Les amendements actuellement proposés12 au RSI illustrent comment les « crises » offrent des opportunités uniques à l’ONU et à ses partenaires de contrôler les populations – par le biais de prétendus « droits de l’homme » – en exploitant ces « droits » comme « un ensemble d’outils puissants ».

    Voici un exemple des propositions avancées : L’OMS souhaite supprimer le libellé suivant de l’article 3.1 du RSI : « La mise en œuvre du présent règlement doit se faire dans le plein respect de la dignité, des droits de l’homme et des libertés fondamentales des personnes. »

    Il entend remplacer ce principe réglementaire par : « La mise en œuvre du présent règlement sera fondée sur les principes d'équité, d'inclusivité, de cohérence et conformément aux responsabilités communes mais différenciées de leurs États parties, en tenant compte de leur développement social et économique. '

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  61. Cet amendement proposé signifie que l'ONU et ses partenaires souhaitent ignorer complètement la Déclaration universelle des droits de l'homme de l'ONU chaque fois que l'une de ces agences déclare une nouvelle « crise » ou identifie une nouvelle « menace internationale ». l’ONU envisageait de naître de « l’opportunité unique » présentée par la crise du COVID-19.»

    L’ONU a déjà assumé l’autorité ; Personne ne l'a accordé

    À l’heure actuelle, l’OMS semble être conçue pour devenir le gouvernement mondial de facto, mais l’ONU est également un concurrent, et elle a ouvertement assumé cette autorité.

    Par exemple, dans son document « Équipe spéciale du système des Nations Unies sur le programme de développement des Nations Unies pour l’après-2015 »13, publié en 2013, il déclare qu’« un régime de gouvernance mondiale, sous les auspices de l’ONU, devra garantir que les biens communs mondiaux sera préservé pour les générations futures.

    La Charte des Nations Unies établit un régime de gouvernance mondiale qui s’oppose à la liberté, à la justice et à la paix, et tous les ODD de l’ONU doivent être compris dans ce contexte.
    Comme le notent Davis et Webb :14

    "L'ONU se qualifie de "régime de gouvernance mondiale". Elle s'arroge arbitrairement le pouvoir de prendre le contrôle de tout ("les biens communs mondiaux"), y compris les êtres humains, à la fois en appliquant sa Charte - citant sa déclaration mal nommée des "Droits de l'homme" - et en réalisant son programme de « Développement durable ».

    Il convient de noter que le « régime de gouvernance mondiale » finira par « se traduire par une meilleure gouvernance nationale et régionale ». Cela signifie que le rôle de chaque gouvernement national consiste simplement à « traduire » la gouvernance mondiale en politique nationale. Choisir un parti politique ou un autre pour entreprendre la traduction ne fait aucune différence matérielle. La politique n’est pas fixée par les gouvernements que nous élisons.

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  62. À mesure que les États-nations mettent en œuvre un par un des politiques basées sur les ODD, le régime consolide davantage sa gouvernance mondiale. Et puisque « le régime de gouvernance mondiale sera essentiel pour parvenir au développement durable », les deux mécanismes – la gouvernance mondiale et le développement durable – sont symbiotiques.

    Encore une fois, de l’aveu même de l’ONU, les droits inaliénables sont le « fondement de la liberté, de la justice et de la paix dans le monde ». Pourtant, l’ensemble du cadre des droits de l’homme fondé sur la Charte des Nations Unies rejette globalement le principe des droits inaliénables et immuables.

    La Charte des Nations Unies est donc un traité international qui établit un régime de gouvernance mondiale qui s’oppose fermement à « la liberté, la justice et la paix dans le monde ». Tous les projets de « développement durable » de l’ONU doivent être compris dans ce contexte…

    Vous vous demandez peut-être ce que l’Objectif de développement durable 16… a à voir avec la protection de la planète et de ses habitants contre le « désastre climatique » annoncé. La réponse est : rien du tout. Mais le « changement climatique » n’est alors que la justification avancée qui légitime et confère une urgence au développement durable.

    Établir une gouvernance mondiale solide – en fait, une dictature mondiale – grâce à la mise en œuvre des ODD est le véritable objectif des Nations Unies. Le « changement climatique » n’est qu’une excuse. »

    « Une seule santé » : la prise de contrôle mondiale de tout

    Le traité sur la pandémie et les amendements au RSI, une fois adoptés, constitueront le fondement de l’autorité juridique de l’OMS pour agir en tant qu’organe directeur mondial. Les deux sont largement axés sur la préparation, la planification et la réponse à une pandémie, mais comportent des failles qui peuvent facilement être invoquées par l’OMS pour la transformer en une dictature mondiale de facto.

    L'instrument central qui permettra d'étendre considérablement le pouvoir de l'OMS est ce qu'on appelle le Plan d'action commun One Health, officiellement lancé en octobre 2022 par l'OMS, l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), l'Organisation des Nations Unies Programme pour l'environnement (PNUE) et l'Organisation mondiale de la santé animale (WOAH).

    Cette initiative revient à plusieurs organisations mondialistes synchronisant leurs plans, tout en combinant leurs ressources et leur pouvoir.

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  63. Le programme « Une seule santé »15,16 reconnaît qu'un large éventail d'aspects humains et environnementaux peuvent avoir un impact sur la santé et relèvent donc du « potentiel » de causer des dommages. C’est par exemple ainsi que l’OMS pourra déclarer le changement climatique comme une urgence sanitaire et exiger ensuite des confinements climatiques.

    Le graphique17 ci-dessous illustre comment le champ de contrôle de l’OMS est élargi dans le cadre du programme One Health pour couvrir de vastes aspects de la vie quotidienne.

    - voir schéma sur site -

    Sur le papier, le Plan d’action commun One Health « vise à améliorer la santé des humains, des animaux, des plantes et de l’environnement, tout en contribuant au développement durable. »18 Son plan quinquennal, qui s’étend de 2022 à 2026, vise à accroître les capacités dans six domaines clés, notamment les systèmes de soins de santé, l’environnement et la sécurité alimentaire.

    Le plan comprend un document technique qui couvre un ensemble d’actions destinées à faire progresser One Health aux niveaux mondial, régional et national. Tel que rapporté par l’OMS :19

    « Ces actions incluent notamment l’élaboration d’un prochain guide de mise en œuvre destiné aux pays, aux partenaires internationaux et aux acteurs non étatiques tels que les organisations de la société civile, les associations professionnelles, les universités et les instituts de recherche. »

    En d’autres termes, l’objectif est de créer des règles sanitaires, environnementales et de sécurité alimentaire applicables à l’échelle mondiale.

    La fin du jeu et comment l'arrêter

    Dans un article de Substack du 16 avril 202320, Jessica Rose, chercheuse postdoctorale en biologie, a tenté de donner un sens aux trois dernières années. À partir de la fin, elle estime que la fin du jeu est la « conversion de la majorité des êtres humains en travailleurs… comme des fourmis ».

    Pour y parvenir, les mondialistes doivent nous déshumaniser, rogner systématiquement l’esprit humain, nous rendre stériles et détruire toute notion d’autonomie corporelle et de souveraineté nationale. Le plan a bien fonctionné jusqu’à présent, mais des fissures commencent à apparaître. De plus en plus de gens commencent à rassembler les pièces du puzzle, comme Rose tente de le faire dans son article.

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  64. La pandémie de COVID en a été le déclencheur, suggère Rose. Il visait à « tester les niveaux de conformité » et à préparer le terrain pour la prochaine loi, qui devait normaliser tout ce qui est anormal. Le mouvement trans, qui a complètement submergé la conscience sociale en une seule année, est une continuation et une expansion de cette phase de « normalisation de l’anormal ».

    C’est également un élément majeur du programme visant à déshumaniser et stériliser la population. Après tout, les jeunes trans – qui font également partie des individus les plus soumis au lavage de cerveau de la société à l’heure actuelle – sont l’avenir de l’humanité. Un tout nouveau rapport d’experts juridiques soutenus par les Nations Unies cherche également à normaliser la pédophilie21, ce qui déshumaniserait et démoraliserait davantage notre jeunesse pour les générations à venir.

    Ajoutant l’insulte à l’injure, le rapport a été publié le 8 mars 2023, « en reconnaissance » de la Journée internationale de la femme. Peu importe le fait que les jeunes filles et les femmes sont les premières victimes de cet état d’esprit malade.

    L’hystérie du « changement climatique d’origine humaine » et la guerre contre le carbone qui s’ensuit sont une autre « urgence » fabriquée de toutes pièces, déconnectée de la science et de la réalité. Et les ODD de l’ONU sont parfaitement adaptés pour permettre la fin du jeu. Dans le cadre de ces objectifs, la liberté humaine, la santé humaine et la qualité de vie sont sacrifiées pour « protéger l’environnement et sauver la planète ».

    Comme le note Rose, si le traité de l’OMS sur la pandémie est adopté, nous pouvons nous attendre à être confinés indéfiniment sous le couvert d’une « catastrophe climatique, probablement liée à un « agent pathogène mortel » transmis aux humains via un insecte vecteur comme les moustiques ».

    D'ici là, les monnaies numériques des banques centrales (CBDC) seront également en place, ce qui permettra au régime totalitaire non élu d'appliquer toutes les restrictions imaginées par l'OMS et ses bailleurs de fonds, qu'il s'agisse de la nourriture que vous êtes autorisé à manger en fonction de votre l'empreinte carbone, les médicaments que vous êtes obligé de prendre, les causes que vous êtes autorisé à financer, les entreprises auprès desquelles vous êtes autorisé à acheter, quand et jusqu'où vous êtes autorisé à voyager ou toute autre chose.

    "Un moyen pratique auquel je peux penser pour empêcher la réalisation de la fin du jeu est d'arrêter la CBDC", écrit Rose. « Utilisez de l’argent liquide. Insistez là-dessus. Ne donnez pas d'affaires aux magasins qui utilisent uniquement des systèmes sans espèces. L’offre est égale à la demande, alors exigez l’utilisation de CASH.

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  65. Autres stratégies pour récupérer nos libertés

    D’autres moyens d’empêcher la prise de pouvoir de l’OMS sont les suivants :

    • Appelez votre membre ou membre du Congrès et exhortez-le à parrainer H.R.79 – The WHO Withdrawal Act22, introduit par le représentant Andy Biggs, qui appelle au définancement et à la sortie de l'OMS. La page Help the House Defund the WHO de la Sovereignty Coalition vous permettra de contacter tous vos élus en quelques clics seulement.

    Remplissez simplement le champ requis, cliquez sur Soumettre et vos coordonnées seront utilisées pour vous mettre en relation avec vos représentants élus.

    • Encouragez également votre membre ou députée à parrainer H.R.1425,23, ce qui nécessiterait que le traité sur la pandémie soit approuvé par le Sénat.

    • Appelez vos sénateurs et exhortez-les à parrainer la version sénatoriale du H.R.1425, qui est le S.444, la loi de l'OMS sur la préparation à une pandémie sans l'approbation du Sénat.24

    • Partagez l'affiche éducative de Door To Freedom25, qui explique comment les amendements du RSI détruiront la souveraineté nationale et augmenteront la surveillance et la censure. Voir doortofreedom.org pour plus d’informations.

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  66. Sources and References

    1, 4, 8, 9, 11, 14 Unlimited Hangout, SDG16 Part 1
    2, 6 Unlimited Hangout, SDG16 Part 2
    3 World Economic Forum November 20, 2020
    5 IanDavis.com G3P Chart
    7 The Sociable November 23, 2020
    10 COVID-19 and Human Rights, April 2020
    12 WHO Article by Article Compilation of Proposed IHR Amendments 2022 (Archived)
    13 UN System Task Team on the Post-2015 UN Development Agenda 2013
    15 WHO One Health September 21, 2017
    16 CDC One Health
    17 Twitter Shiraz Akram BDS April 15, 2023
    18, 19 WHO October 17, 2022
    20 Substack Jessica Rose April 16, 2023
    21 Fox News April 17, 2023
    22 H.R.79 — The WHO Withdrawal Act
    23 H.R.1425, the NO WHO Pandemic Preparedness Treaty Without Senate Approval Act
    24 S.444, the No WHO Pandemic Preparedness Treaty Without Senate Approval Act
    25 Door To Freedom Poster

    https://www.lewrockwell.com/2023/10/joseph-mercola/the-rise-of-the-global-police-state/

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  67. La FDA découvre un « signal » de saisies chez les tout-petits vaccinés contre le COVID-19


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 19 OCTOBRE 2023 - 02H00
    Rédigé par Zachary Stieber via The Epoch Times


    Un signal de sécurité concernant les convulsions chez les jeunes enfants après la vaccination contre le COVID-19 a été détecté par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis.

    La Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis à White Oak, Maryland, le 5 juin 2023. (Madalina Vasiliu/The Epoch Times)

    Les convulsions « ont atteint le seuil statistique d'un signal » chez les enfants âgés de 2 à 4 ans après avoir reçu un vaccin Pfizer COVID-19 et chez les enfants âgés de 2 à 5 ans après avoir reçu un vaccin Moderna COVID-19, des chercheurs de la FDA et de trois grands » ont déclaré les entreprises de soins de santé dans une nouvelle étude pré-imprimée.

    Un signal de sécurité est un signe qu’un problème de santé peut être causé par la vaccination, mais des recherches plus approfondies sont nécessaires pour vérifier un lien.

    Les données proviennent de trois bases de données sur les allégations de santé gérées par Optum, Carelon Research et CVS Health, complétées par des informations sur la vaccination provenant des systèmes nationaux et locaux. Les bases de données sur les allégations de santé font partie du système d'efficacité et de sécurité des produits biologiques de la FDA, un système de surveillance de la sécurité des médicaments.

    Les chercheurs ont examiné 15 problèmes de santé consécutifs à la vaccination enregistrés dans les bases de données commerciales et ont comparé les taux chez les enfants âgés de 6 mois à 17 ans aux taux de base de 2019, 2020 ou les deux.

    Au total, 72 cas de convulsions/convulsions ont été enregistrés dans les sept jours suivant une injection chez des tout-petits et d’autres jeunes enfants. La plupart se sont produits dans les trois jours suivant une injection.

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  68. En stratifiant les données par dose, les chercheurs ont trouvé des signaux pour la première et la deuxième dose du vaccin de Pfizer dans deux des trois bases de données chez les enfants âgés de 2 à 4 ans. Ils ont également trouvé un signal après la deuxième dose du vaccin de Moderna chez les enfants âgés de deux à cinq ans. .

    Le signal de convulsions chez les jeunes enfants « n’a pas été signalé auparavant pour ce groupe d’âge dans les études de surveillance active des vaccins à ARNm contre le COVID-19 », ont déclaré les chercheurs, faisant référence aux injections de Pfizer et Moderna.

    Il y a des rapports de convulsions et de convulsions après la vaccination contre le COVID-19 chez les enfants dans le système de notification des événements indésirables liés aux vaccins, ont noté les chercheurs. Bien que n’importe qui puisse déposer des rapports auprès du système, la plupart sont rédigés par des professionnels de la santé.

    Cinq autres convulsions ont été signalées après la vaccination par Pfizer dans le cadre de l'essai clinique de Pfizer.

    La recherche n’a pas couvert les vaccins bivalents contre la COVID-19, qui ont été introduits pour certaines populations en 2022 et ont complètement remplacé les anciens vaccins en avril, ni les versions les plus récentes des vaccins déployées en septembre. On ne sait pas exactement quand le signal a été détecté pour la première fois. La FDA et Patricia Lloyd, statisticienne de la FDA et auteur correspondant de l'étude, n'ont pas répondu aux demandes de commentaires. Pfizer et Moderna n'ont pas répondu aux demandes.

    Prudence justifiée : chercheurs

    Les chercheurs ont déclaré que le signal "doit être interprété avec prudence et étudié plus en détail dans le cadre d'une étude épidémiologique plus approfondie".

    C'est en partie parce que le signal a disparu lors du changement des années de taux de fond.

    Le signal a été détecté en comparant les taux avec les taux de fond de 2020. Mais en utilisant les taux de fond de 2022, qui étaient environ 2,3 fois plus élevés, aucun signal n’a été détecté.

    Le nombre plus élevé de cas en 2022 pourrait provenir d’une incidence accrue d’infections respiratoires telles que la grippe, ont avancé les chercheurs.

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  69. Le décompte des cas pourrait également inclure des convulsions « non liées à la vaccination », ont indiqué les chercheurs.

    Semblable aux données précédemment analysées du même système, les chercheurs ont également détecté un signal d'inflammation cardiaque et d'une maladie connexe, ou myocardite et péricardite, chez les enfants âgés de 12 à 17 ans. Comme ce signal est connu depuis 2021, les chercheurs n'ont pas tenté de explorez-le davantage.

    Aucun autre signal n'a été détecté.

    Les points forts de l’étude sont que la population couverte par les bases de données est vaste et géographiquement diversifiée. Les limites incluent un manque de contrôle des facteurs de confusion.

    Risque d'accident vasculaire cérébral chez les personnes âgées

    La FDA et les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis ont annoncé en janvier avoir détecté un signal d'accident vasculaire cérébral ischémique chez les personnes âgées de 65 ans ou plus après avoir reçu le vaccin bivalent de Pfizer. L’AVC ischémique est un type d’accident vasculaire cérébral provoqué par la coagulation du sang.

    Dans un autre article préliminaire publié le 15 octobre, des chercheurs de la FDA ont déclaré avoir analysé les données de Medicare pour estimer le risque d'accident vasculaire cérébral après une vaccination bivalente.

    Ils comprenaient des bénéficiaires de Medicare âgés de 65 ans ou plus qui ont reçu une injection bivalente ou un vaccin contre la grippe et ont subi un accident vasculaire cérébral, à l'exception des cas d'accident vasculaire cérébral considérés comme ayant été causés par autre chose qu'une injection de COVID-19.

    L'analyse principale n'a pas identifié de risque accru d'accident vasculaire cérébral, mais la stratification de la population par âge a montré un risque accru après la vaccination Pfizer pour les personnes âgées de 85 ans ou plus d'accident vasculaire cérébral non hémorragique et d'accident vasculaire cérébral non hémorragique/accident ischémique transitoire. Un risque accru a également été constaté chez les receveurs Moderna âgés de 65 à 74 ans d’accident vasculaire cérébral non hémorragique/accident ischémique transitoire.

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  70. Aucune augmentation du risque d’accident vasculaire cérébral hémorragique n’a été constatée.

    Pour les personnes ayant reçu un vaccin Pfizer avec un vaccin contre la grippe, un risque élevé d’accident vasculaire cérébral non hémorragique a été détecté. Pour les personnes ayant reçu un vaccin Moderna avec un vaccin contre la grippe, un risque élevé d’accident ischémique transitoire a été détecté.

    Une analyse distincte de la vaccination antigrippale uniquement a détecté un risque accru d'accident vasculaire cérébral non hémorragique après la réception d'un vaccin antigrippal à forte dose/avec adjuvant, ainsi que des signaux pour différents âges lors de la stratification.

    "Notre étude a identifié un risque élevé d'accident vasculaire cérébral lorsque les vaccins bivalents contre le COVID-19 étaient administrés avec un vaccin antigrippal à forte dose/avec adjuvant. Cependant, les effets observés n'étaient pas cohérents", ont déclaré les chercheurs, en collaboration avec la FDA et Acumen.

    Une découverte similaire a été détectée dans une étude des données du système Vaccine Safety Datalink des Centers for Disease Control and Prevention.

    Les chercheurs ont déclaré que les résultats de l’étude suggèrent que le risque élevé d’accident vasculaire cérébral dans le groupe ayant reçu ensemble les vaccins contre la grippe et le COVID-19 « était probablement dû à la vaccination contre la grippe seule plutôt qu’à une administration concomitante ».

    https://www.zerohedge.com/political/fda-finds-safety-signal-covid-19-vaccination-among-toddlers

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  71. La malbouffe : pourquoi les aliments approuvés par la FDA peuvent être un poison


    Par le Dr Joseph Mercola
    Mercola.com
    19 octobre 2023


    Les aliments approuvés par la Food and Drug Administration des États-Unis sont considérés comme la référence ou, à tout le moins, comme sûrs. Pendant ce temps, l’Académie de nutrition et de diététique (AND), qui prétend être « votre source d’informations scientifiques sur l’alimentation et la nutrition »,1 est considérée comme l’« autorité » en matière de politique alimentaire et d’élaboration de directives alimentaires aux États-Unis.

    - voir clip sur site -

    Mais si vous comptez sur les sceaux d’approbation de la FDA et de l’AND pour guider vos choix alimentaires, vous risquez de vous tromper. Les deux entités – ainsi que d’autres organisations de santé publique prééminentes – représentent des cas d’école de capture par les entreprises. Dépendants de l’industrie, ils sont incapables de représenter les meilleurs intérêts du public américain et mondial. Regardez ce qui s'est passé avec l'aspartame.

    L'OMS envoie des messages contradictoires sur l'aspartame

    En mai 2023, l'Organisation mondiale de la santé a publié une nouvelle directive conseillant de ne pas utiliser d'édulcorants sans sucre (NSS), c'est-à-dire des édulcorants artificiels, pour contrôler le poids, car ils n'offrent aucun avantage à long terme en matière de réduction de la graisse corporelle chez les adultes ou enfants.2

    De plus, la revue systématique suggère « des effets indésirables potentiels liés à l’utilisation à long terme du NSS, tels qu’un risque accru de diabète de type 2, de maladies cardiovasculaires et de mortalité chez les adultes ». Le cancer de la vessie faisait également partie des risques potentiels.3

    Puis, le 14 juillet 2023, l’OMS a publié ses évaluations des dangers et des risques liés à l’aspartame4, dans lesquelles le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) de l’OMS a classé l’aspartame comme « potentiellement cancérigène pour l’homme ». J’ai mis en garde contre le potentiel cancérigène de l’aspartame dans un article que j’ai écrit pour le Huffington Post, maintenant HuffPost, en 2010.5 Il a depuis été supprimé – mais vous pouvez voir depuis combien de temps ce danger est connu.

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  72. L'U.S. Right to Know (USRTK) a également compilé des décennies de données scientifiques démontrant que l'aspartame présente de graves risques pour la santé.6 Le Comité mixte d'experts sur les additifs alimentaires de l'OMS et de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (JECFA), qui était en train de mettre à jour son évaluation des risques liés à l'aspartame. ,7 a cependant publié une recommandation qui ne correspond pas.

    Malgré sa cancérogénicité possible, le JEFCA a réaffirmé que l’aspartame pouvait être consommé en toute sécurité à une dose journalière acceptable de 40 mg/kg de poids corporel.8

    Coca-Cola influence l'examen de l'aspartame par l'OMS

    « Pourquoi cette décision partagée ? » a demandé Gary Ruskin, directeur exécutif de l'USRTK. « Une réponse possible : au moins six des 13 membres du panel du JECFA ont des liens avec l’Institut international des sciences de la vie (ILSI), un groupe écran de longue date de Coca-Cola. Le président et le vice-président du panel du JECFA ont des liens avec l’ILSI. »9

    ILSI est une organisation à but non lucratif fondée par l'ancien vice-président senior de Coca-Cola, Alex Malaspina.10 Coca-Cola a également contribué financièrement à l'ILSI. Selon une étude de cas publiée dans Public Health Nutrition11 :

    « Des recherches antérieures montrent que l'ILSI a été un moyen important pour Coca-Cola d'exercer une influence dans le monde entier, sur les politiques, les chercheurs, les événements, les décideurs politiques et les praticiens, en jouant un rôle dans la promotion de messages susceptibles de promouvoir les intérêts commerciaux.

    L'ILSI a soutenu 30 des événements que nous avons identifiés. Parfois, l’ILSI a proposé de servir d’intermédiaire pour rembourser les scientifiques en santé publique via Coca-Cola en leur demandant de faire des présentations sur des sujets sélectionnés.

    L'ILSI a été dénoncé comme un complice de l'industrie de la malbouffe, et des documents internes ont révélé qu'ILSI s'est intégré à des panels de santé publique en Europe et aux Nations Unies dans le but de promouvoir son propre programme axé sur l'industrie visant à augmenter les profits au détriment de la santé publique. dans le monde entier.12

    Avec Coca-Cola derrière l'ILSI et l'aspartame étant l'édulcorant utilisé dans le Diet Coke, toute personne ayant des liens avec l'ILSI n'aurait pas dû être impliquée dans la décision du JECFA sur l'aspartame. Pourtant, nous y sommes. Ruskin dit :13

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  73. « Les membres du panel du JECFA qui statuent sur un produit chimique important pour Coca-Cola ne devraient pas être affiliés à un groupe écran de longue date de Coca-Cola. Il s’agit d’un conflit d’intérêts évident. En raison de ce conflit d’intérêts, les conclusions du JECFA sur l’aspartame ne sont pas crédibles et le public ne devrait pas s’y fier.

    Les directives nutritionnelles américaines sont corrompues par les entreprises

    Dans la vidéo ci-dessus14, James Li, animateur de 51/49 avec James Li et contributeur de Breaking Points With Krystal et Saagar, détaille également les conflits d’intérêts flagrants qui ont saboté la santé des Américains en corrompant les conseils et les directives diététiques. Cela inclut la capture par l'entreprise des professionnels de la nutrition via AND.

    L’USRTK, en collaboration avec des spécialistes de la santé publique, a mené une enquête de cinq ans sur les liens inconfortablement étroits de l’AND avec des fabricants de malbouffe comme Coca-Cola, PepsiCo, General Mills et Kraft, entre autres.15

    Publiée dans Public Health Nutrition en octobre 2022, l'analyse comprenait des documents de 2014 à 2020 obtenus grâce à des demandes d'accès à l'information.16 Une relation symbiotique entre AND, la Fondation AND (ANDF) et les entreprises a été révélée, avec des géants de l'industrie aidant AND et sa fondation. avec des contributions financières.

    Il n’est pas surprenant que AND se comporte ainsi comme une voix pro-industrielle17, une voix qui ne peut, à ce titre, représenter le meilleur intérêt de la santé des Américains. Selon l’étude18 :

    « La Fondation AND, AND (ANDF) et ses principaux dirigeants entretiennent des interactions continues avec les entreprises. Il s’agit notamment des dirigeants d’AND occupant des postes clés dans des sociétés multinationales alimentaires, pharmaceutiques ou agro-alimentaires, et d’ET acceptant des contributions financières d’entreprises.

    Nous avons découvert que l’AND a investi des fonds dans des sociétés telles que Nestlé, PepsiCo et des sociétés pharmaceutiques, a discuté de politiques internes pour répondre aux besoins de l’industrie et a pris des positions publiques en faveur des sociétés.

    L'Académie de nutrition et de diététique soutient l'aspartame

    Compte tenu de ces informations, pouvez-vous deviner ce que l’Académie de nutrition et de diététique a dit à propos de l’aspartame ? Tout en annonçant que le CIRC avait classé l'édulcorant artificiel comme « potentiellement cancérigène pour l'homme », il l'a néanmoins soutenu, déclarant dans un communiqué de presse :19

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  74. « L’Académie continuera de soutenir les recommandations des diététistes nutritionnistes, des experts en alimentation et en nutrition, qui acceptent l’utilisation d’édulcorants non nutritifs, y compris l’aspartame, par leurs patients et clients dans les limites quotidiennes acceptées jusqu’à ce que des preuves supplémentaires puissent être générées… Non un ingrédient ou un aliment augmente le risque de cancer.

    Ce n’est pas comme si l’aspartame était un nutriment essentiel dont le corps a besoin. Il s’agit d’un additif alimentaire qui peut facilement être exclu de l’alimentation et qui peut provoquer le cancer. Alors pourquoi une autorité en matière de nutrition suggérerait-elle aux gens de prendre le risque d’en consommer ?

    Le fait est que la culture de la malbouffe est profondément ancrée chez AND, commençant dans les établissements universitaires et se poursuivant par des apparitions régulières lors de conférences d’entreprise et des contributions monétaires directes.

    De 2011 à 2017, ET a reçu plus de 4 millions de dollars de dons d’entreprises de malbouffe et d’aliments ultratransformés comme Coca-Cola, PepsiCo, Nestlé, Hershey, Kellogg's et Conagra.20 ET a également investi dans les industries de la malbouffe, en soutenant ces mêmes entreprises au niveau mondial. la cause de l’échec de la santé publique aux États-Unis. Dans un exemple de 2015 et 2016, AND détenait des actions dans PepsiCo, Nestlé et J.M. Smucker évaluées à plus d’un million de dollars.21

    « On pourrait parler de libre marché, mais, assez drôle, des courriels obtenus une fois de plus via la FOIA ont révélé que certains dirigeants de l’Académie étaient conscients que cela présentait un conflit d’intérêts potentiel », dit Li.22

    Dans la vidéo, il présente un e-mail de la porte-parole d’AND, Donna Martin, qui a écrit : « Tout me semble bien. Le seul signal d’alarme que j’ai vu est que PepsiCo fait partie de nos 10 principales actions. Personnellement, j'aime PepsiCo et je n'ai aucun problème à ce que nous en soyons propriétaires, mais je me demande si quelqu'un dira quelque chose à ce sujet.

    « Eh bien, Donna, ce n'est pas un superbe look », dit Li.23 D'autres conclusions flagrantes incluent les suivantes, rapportées par l'USRTK :24

    ET a reçu des millions de dollars d’entreprises des secteurs alimentaire, pharmaceutique et agroalimentaire. En échange de ces cadeaux, ET « avait pour politique d’offrir des faveurs et des avantages en retour ».
    Les dirigeants d’ET ont agi en tant qu’employés ou consultants pour des sociétés multinationales alimentaires, pharmaceutiques et agro-alimentaires.
    AND discute des politiques visant à « répondre aux besoins de ses sponsors de l’industrie alimentaire, agro-industrielle et pharmaceutique ».
    Des diététistes professionnels payés pour promouvoir la « sécurité » de l’aspartame

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  75. Il existe des influenceurs sur les réseaux sociaux pour presque tous les produits imaginables, y compris les aliments. Parmi eux se trouvent des diététistes professionnels qui font la promotion d’édulcorants artificiels et d’autres aliments indésirables alors qu’ils sont à la solde de l’industrie.25

    Certains de ces professionnels de la santé diffusent le hashtag #safetyofaspartame, tout en qualifiant la désignation de l'aspartame par l'OMS d'« appât à clics » et de « titres alarmistes ».26 Une enquête conjointe du Washington Post et de The Examination a révélé qu'il ne s'agissait pas d'une coïncidence mais d'une campagne coordonnée. par le groupe professionnel American Beverage, qui a donné lieu à au moins 35 publications sur les réseaux sociaux de la part de professionnels de la santé. Selon le Washington Post27 :

    "Le groupe commercial a payé un montant non divulgué à 10 diététistes, ainsi qu'à un médecin et à un influenceur du fitness, pour qu'ils utilisent leurs comptes de médias sociaux afin d'atténuer les affirmations de l'OMS selon lesquelles l'aspartame, un pilier du Coca light et d'autres sodas, est inefficace pour perte de poids et « peut-être cancérigène ».

    La campagne, que le groupe des boissons a reconnu avoir organisée, a mis en lumière une tactique peu connue que l'industrie alimentaire et des boissons, qui pèse plusieurs milliards de dollars, utilise pour influencer les consommateurs confrontés à des messages de santé souvent contradictoires sur des produits populaires.

    L'enquête a révélé que sur 68 diététistes qui comptaient 10 000 abonnés ou plus sur les réseaux sociaux, environ la moitié avaient fait la promotion d'aliments, de boissons ou de suppléments auprès d'environ 11 millions d'abonnés au cours de l'année dernière. Les messages incluaient ceux encourageant la consommation de bonbons et de glaces tout en minimisant les risques pour la santé des aliments ultra-transformés.28

    Alors que la Federal Trade Commission demande aux influenceurs des médias sociaux de révéler quand ils sont payés pour des promotions29, l’enquête a révélé que de nombreux influenceurs n’indiquaient pas clairement leurs liens avec l’entreprise.

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  76. Marlene Schwartz, directrice du Rudd Center for Food Policy and Health de l'Université du Connecticut, a déclaré au Washington Post : « Ils demandent à ces diététistes de faire essentiellement leur marketing à leur place. »30 Li a montré un autre exemple dans la vidéo : un article. publié sur le Food Network, rédigé par une diététiste professionnelle, intitulé « Cette diététiste veut que vous mangiez davantage d'aliments transformés. »31

    « C’est ainsi que l’ensemble de l’industrie alimentaire transformée s’implante et obtient une légitimité pour le régime alimentaire américain standard qui nous cause tant de douleur et de souffrance », dit Ruskin.32

    Puisque vous ne pouvez pas compter sur des agences de santé publique conflictuelles comme l’AND et leurs diététistes agréés ou la FDA pour fournir des conseils nutritionnels impartiaux, recherchez-les auprès de sources qui font passer la santé humaine avant les profits. Et soutenez ceux qui œuvrent pour sensibiliser à la corruption généralisée qui entache la santé publique. Li dit :33

    « Que vous pensiez ou non que l’académie est capable de rester indépendante et objective compte tenu de ses liens financiers étroits avec Big Food, Big Pharma et d’autres sociétés agroalimentaires, le fait est que les Américains deviennent de plus en plus malades d’année en année. L’obésité monte en flèche. Diabète de type 2 – en augmentation. Les maladies cardiovasculaires, après un bref déclin, sont à nouveau en hausse.

    Pendant ce temps, et ce n’est certainement pas une coïncidence, les soins de santé sont en train de devenir rapidement la plus grande industrie américaine.

    … nous devons continuer à plaider en faveur de la transparence – soutenir le travail des organisations qui ont travaillé sans relâche pour obtenir des documents auparavant cachés au public – pour nous armer de connaissances et rechercher la vérité sans fard, car notre santé en dépend littéralement.

    Sources and References

    1 Academy of Nutrition and Dietetics
    2 WHO May 15, 2023
    3 WHO April 12, 2022
    4 IARC July 14, 2023
    5 Internet Archive, Wayback Machine, The Huffington Post July 8, 2010
    6 U.S. Right to Know, Aspartame Health Risks September 11, 2023
    7 WHO, IARC, Aspartame Questions and Answers June 26, 2023
    8, 9, 13 U.S. Right to Know July 19, 2023
    10, 11 Public Health Nutr. 2022 Dec 1;1-18. doi: 10.1017/S1368980022002506
    12 Globalization and Health 2019;15:36
    14 YouTube, Breaking Points August 18, 2023
    15, 24 U.S. Right to Know October 24, 2022
    16 Public Health Nutrition October 24, 2022, Abstract
    17, 18 Public Health Nutrition October 24, 2022
    19 Academy of Nutrition and Dietetics July 14, 2023
    20, 21 The Washington Post October 24, 2022
    22, 23 YouTube, Breaking Points August 18, 2023, 5:22
    25, 26, 27, 28, 30 The Washington Post September 13, 2023
    29 FTC.gov, Disclosures 101 for Social Media Influencers
    31 Food Network, This Dietitian Wants You to Eat More Processed Food
    32 YouTube, Breaking Points August 18, 2023, 6:43
    33 YouTube, Breaking Points August 18, 2023, 6:58

    https://www.lewrockwell.com/2023/10/joseph-mercola/junk-food-shills-why-fda-approved-food-can-be-poison/

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  77. Climat, Covid, Ukraine, Israël : les méthodes pour répondre aux critiques sont similaires


    18 octobre 2023
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Lorsqu'il s'agit de savoir si les humains ou le soleil sont à l'origine des changements climatiques et des températures, les astrophysiciens sont plutôt d'accord : c'est le soleil. Cependant, depuis au moins 1950, certains calculateurs de modèles et experts du climat considèrent que l’humain est la cause. Leurs thèses, qui proviennent principalement de l’ONU et de sa filiale IPCC, sont désormais révélées comme étant incorrectes par de nouvelles études. Les réactions des politiques et des experts du IPCC sont violentes.

    Les principales voix du mouvement climatique sont dans la tourmente alors que leurs hypothèses sur le réchauffement se révèlent une fois de plus erronées par de nouveaux articles scientifiques. Les auteurs des articles sont attaqués, affirmant que les « scientifiques activistes » menacés par les nouvelles découvertes « mènent de manière agressive une campagne de désinformation orchestrée pour discréditer les articles et la réputation scientifique des auteurs ».

    Des travaux comme « Preuve de mélange urbain dans les enregistrements de température homogénéisés et les tendances de la température de surface de l'hémisphère nord depuis 1850 » – rapport ici – ou « La détection et l'attribution du réchauffement de la surface des terres de l'hémisphère nord (1850-2018) en termes de facteurs humains et naturels : défis of Inadequate Data - rapport ici - a démontré avec audace ce que peu de journaux modernes sur le climat ont fait auparavant, en utilisant des méthodes scientifiques objectives qui ont toujours enfoncé les clous dans les couvercles des cercueils des faux récits.

    Depuis leur publication, les auteurs de ces études ont fait face à des attaques répétées de la part de « scientifiques activistes » qui « mènent de manière agressive une campagne de désinformation orchestrée pour discréditer le travail et la réputation scientifique des auteurs », ont déclaré les chercheurs à Epoch Times .

    En effet, des insultes sur les réseaux sociaux et des articles de blog en colère aux demandes de la Freedom of Information Act (FOIA) demandant les e-mails d'un rédacteur en chef d'une revue et d'un scientifique d'un groupe de recherche, la controverse devient de plus en plus vive .

    Plusieurs scientifiques qui ont parlé à Epoch Times ont exprimé leur choc face aux tactiques utilisées contre ceux dont les recherches récentes remettent une fois de plus en question la version officielle du climat.

    William Happer, professeur émérite de physique à Princeton et ancien conseiller climatique du président Donald Trump, n'a pas été surpris par la réaction face aux nouvelles découvertes. « Bien entendu, la secte climatique rejette toute information politiquement incorrecte, aussi scientifiquement correcte soit-elle » , a-t-il déclaré à Epoch Times, notant que les nouvelles découvertes soulevaient des points importants et valables.

    Des insultes sur les réseaux sociaux aux demandes désespérées de FOIA de la part de rédacteurs de journaux et de scientifiques gouvernementaux peu professionnels , la controverse devient de plus en plus vive.

    Ces articles sont si violemment contestés parce qu’ils sont coupables du pire de tous les péchés cardinaux : ils alimentent le scepticisme du public à l’égard des conclusions de moins en moins scientifiques du IPCC et des propos alarmistes ignorant les faits qui font en réalité allusion à « la fin du monde ».

    - voir doc sur site -

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  78. Mann, tristement célèbre dans la communauté scientifique pour son graphique désormais largement ridiculisé en forme de « bâton de hockey », prétendant montrer un réchauffement massif causé par l'homme, a également qualifié le rédacteur en chef du magazine Climate de « clown négationniste ».

    Les opinions de Mann ont été protégées d’un examen scientifique approprié (et décent) pendant des décennies parce qu’elles entrent en toute sécurité dans le cadre de ce que l’on attend d’un scientifique traditionnel. Mann suit les règles et est apparemment bien payé pour cela (une valeur nette publique de 5 millions de dollars provenant de son travail de « professeur d'université »).

    Les termes utilisés par Mann –

    « Comme je l’ai déjà dit, les négationnistes du climat sont des gens TERRIBLES. Typiquement fanatique, xénophobe, raciste, misogyne, homophobe, antisémite… »

    sont, pour ainsi dire, des archétypes d’autres conflits comme celui du Covid, de l’Ukraine et maintenant d’Israël.

    - voir doc sur site -

    L’UE agit également contre tout ce qui contredit ses propres politiques. C'est pourquoi il existe désormais sur Twitter une section intitulée « Signaler les contenus illégaux dans l'UE » . La science, la démocratie et les droits fondamentaux sont laissés pour compte.

    https://tkp.at/2023/10/18/klima-covid-ukraine-israel-die-methoden-gegen-kritik-vorzugehen-gleichen-sich/

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  79. L’Allemagne, sur la voie de la rédemption énergétique ?

    L’Allemagne est aujourd’hui dans une impasse énergétique et voit sa stratégie verte vaciller. Le pays se tournera-t-il vers le nucléaire qu’il a longtemps renié ?


    le 19 octobre 2023
    Michel Gay


    Après l’échec cuisant de sa transition énergétique, nommée Energiewende, inefficace et de plus en plus impopulaire, fondée sur des éoliennes et des panneaux solaires, l’Allemagne devra bientôt aller à Canossa en redéveloppant l’énergie nucléaire si elle souhaite vraiment se passer du gaz et du charbon.

    Ira-t-elle à genoux ou existe-t-il une sortie honorable ?

    Deux modèles énergétiques incompatibles

    Entre la France pronucléaire et l’Allemagne antinucléaire, pro-renouvelables… (et aussi pro-gaz russe et charbon allemand), la stratégie énergétique pour l’Europe constitue un sujet de discorde. Et ce d’autant plus que Berlin veut imposer son « modèle » énergétique délirant à toute l’Europe.

    L’Allemagne fait dorénavant face à une crise énergétique majeure qui ébranle son économie et son industrie. Son Energiewende, tant vantée par les institutions de l’Union européenne sous influence allemande et par certains mouvements écologistes, vacille.

    L’Allemagne utilise toujours ses centrales au lignite issu de son sous-sol, un combustible de mauvaise qualité encore plus émetteur de carbone et de gaz carbonique que le charbon. La colère monte dans le pays contre une stratégie coûteuse, voire ruineuse, qui met en péril la souveraineté du pays, et inefficace pour faire baisser les émissions de gaz à effet de serre.

    Or, les institutions européennes veulent imposer cette hérésie à l’Union européenne. Peu importe que le prix de l’électricité s’envole, et que cette stratégie soit inefficace pour réduire les émissions de gaz à effet de serre : l’Allemagne émet toujours deux fois plus de gaz carbonique que la France par habitant.

    De plus, les baisses d’émissions de carbone réalisées par l’Allemagne depuis 1990 résultent surtout des fermetures de vieilles usines polluantes de l’ex-Allemagne de l’Est.

    Remplacer le charbon par le gaz… russe

    Le gaz russe (dont l’Allemagne dépendait pour 52 % avant la guerre en Ukraine) bon marché indispensable à son industrie et au chauffage des habitations, devait constituer la pierre angulaire de la stratégie allemande fondée sur des énergies renouvelables intermittentes (éolien et solaire) et caractérisée par l’abandon du nucléaire.

    Dans le domaine de l’énergie, l’idéologie et les sombres calculs politiques prennent souvent le pas sur la réalité.

    Déjà, il y a deux ans, la Cour des comptes allemande dénonçait une Energiewende dispendieuse et inefficace. Mais l’Allemagne continue à vouloir l’imposer à l’Europe et à s’opposer au modèle nucléaire français à Bruxelles par tous les moyens.

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  80. L’Allemagne continuera donc à s’appuyer sur les capacités traditionnelles de production d’électricité à base de gaz et de charbon !

    Les centrales à gaz émettant presque deux fois moins de gaz carbonique (400 g/kWh) que celles à charbon (800 à 900 g/kWh) ont permis à l’Allemagne d’afficher une réduction sensible de ses émissions de gaz carbonique pendant quelques années.

    Cette substitution a pu masquer un temps la supercherie de l’Energiewende.

    Le lignite, encore pire que le charbon

    Sur injonction de l’Allemagne, les institutions européennes ont donc placé quasiment sur le même plan l’électronucléaire 100 fois moins émetteur de gaz carbonique (4 g/kWh) que le gaz (400 ggaz carbonique/kWh).

    Et, cerise sur le gâteau, le gaz est considéré comme une énergie… de transition qui durera certainement très longtemps. Et personne ne semble remarquer cette aberration à la Commission européenne ! De qui se moque l’Allemagne ?

    Contrainte d’importer massivement par bateaux du gaz naturel liquéfié (GNL) des États-Unis et du Qatar pour remplacer le gaz russe qui arrivait par gazoduc, l’Allemagne doit adapter ses infrastructures, ce qui prendra du temps.

    Le 4 octobre 2023, elle a donc annoncé le maintien en fonctionnement de ses vieilles centrales au lignite qui viendront s’ajouter à ses 45 gigawatts de centrales au charbon encore existantes…

    Une opposition de plus en plus forte

    L’Energiewende se heurte à une opposition de plus en plus forte à l’installation de nouvelles éoliennes terrestres.

    Le projet de loi obligeant les Allemands à remplacer les chaudières à gaz et à mazout par des pompes à chaleur présenté au printemps par le ministre allemand de l’Économie et codirigeant du parti des Verts (Robert Habeck) a provoqué une levée de boucliers contre le « fascisme vert ».

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  81. Environ 80 % des bâtiments allemands sont toujours chauffés par des combustibles fossiles (gaz, mazout et charbon). Et les pompes à chaleur consomment beaucoup d’électricité « carbonée », notamment en hiver, les nuits sans vent…

    Par ailleurs, aucune technologie efficace et rentable de stockage d’électricité à grande échelle industrielle n’est en vue pour lisser les productions intempestives éoliennes et photovoltaïques.

    Paranoïa électrique en Allemagne

    La crainte que le nucléaire français fasse de l’ombre à l’industrie allemande tourne à la paranoïa chez certains politiciens allemands.

    Depuis plusieurs mois, Olaf Scholz et son entourage ruminent contre le nucléaire français et l’avantage compétitif que l’atome donne à la France. L’Allemagne refuse farouchement d’inclure le nucléaire (français ou non) dans les textes européens traçant l’avenir énergétique de l’Union européenne, et son affolement devant la montée d’une opinion favorable au nucléaire en Europe se transforme en paranoïa.

    Ainsi, selon une rumeur qui a circulé au sommet de la chancellerie allemande, EDF aurait démarché des entreprises en Allemagne pour les inciter à s’installer en France en leur proposant des contrats d’approvisionnement électrique de long terme à prix cassé.

    Or, EDF n’a aucun intérêt à effectuer une telle démarche alors qu’elle doit financer la relance du parc nucléaire français ainsi que le grand carénage des réacteurs existants.

    Le criminel abandon du nucléaire par l’Allemagne

    Une récente note de l’Institut français des relations internationales (IFRI) souligne les défis du « modèle » allemand :

    « La flambée des prix de l’énergie constitue un frein à la production et un problème de compétitivité globale de l’industrie ».

    Cela affecte les secteurs à forte intensité énergétique, tels que la chimie, la métallurgie ou la verrerie, qui représentent près du quart des emplois industriels.

    Le risque de désindustrialisation de l’Allemagne est grand au regard de l’attractivité du prix de l’électricité en France, et surtout des marchés chinois et américain. Le tiers des entreprises allemandes (32 %) privilégierait les projets d’investissements à l’étranger par rapport au territoire national, soit deux fois plus en une année.

    L’Allemagne s’inquiète tardivement après avoir joué à la roulette russe en développant à tout prix les ruineuses énergies intermittentes du vent et du soleil. Elle a fait un choix idéologique irréaliste avec des alliances électorales de court terme. Elle a ainsi détruit sa production d’électricité nucléaire peu émettrice de gaz à effet de serre en s’appuyant sur le charbon et le gaz au détriment du climat, malgré ses annonces fumeuses sur les énergies renouvelables.

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  82. Les solutions pour sortir de cette impasse seront-elles nationales ou franco-allemandes avec l’aide de la production électronucléaire française honnie durant près de vingt ans ?

    Devant la nécessité (qui fait toujours loi…), l’Allemagne aura bientôt la révélation des avantages du nucléaire. Son chemin de Damas sera douloureux, mais la rédemption de l’Allemagne réhabilitant le nucléaire chez elle et dans toute l’Europe semble proche.

    https://www.contrepoints.org/2023/10/19/465497-lallemagne-sur-la-voie-de-la-redemption-energetique

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    Réponses
    1. La mise à l'écart des scientifiques et la censure de leurs écrits qu'ils osent encore publier sur l'Internet laisse les 'dirigeants' doryphores dans leurs merdes plus hautes qu'eux. Pourquoi une dictature est-elle incapable de diriger un pays ? parce qu'elle ne sait rien, n'est même pas capable de comprendre le Peuple (qu'elle n'écoute pas) et dépend de dictatures externes (des merdes plus grosses qu'elles !) qui veulent diriger le monde) !!

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  83. Interview MEGA Radio : Analyse du marché du gaz – Pourquoi l’Allemagne paie-t-elle plus pour le GNL américain que les Européens pour le gaz liquide en provenance de Russie ?


    18 octobre 2023
    par Alexandre Boos


    Alors que l'Allemagne continue d'importer du gaz liquéfié GNL coûteux des États-Unis, de nouvelles données montrent que des pays importants de l'UE tels que la France, l'Espagne et la Belgique importent des « quantités records » de GNL de Russie, même si Bruxelles a en fait voulu dire adieu au brut russe matériaux depuis la guerre d'Ukraine. Pourquoi Berlin ne compte-t-il pas sur le GNL bon marché en provenance de Russie ? Le célèbre expert en matières premières Jan Willhöft de « axinocapital » analyse le marché actuel du gaz en exclusivité pour notre partenaire média MEGA Radio.

    L’Union européenne (UE) a importé davantage de gaz naturel liquéfié (GNL) de Russie ces derniers mois, ont rapporté n-tv et ARD-Tagesschau en Allemagne fin août 2023, citant de nouvelles données de l’ONG « Global Witness ».

    Malgré la guerre en Ukraine et les sanctions occidentales contre la Russie : l’UE importe des quantités de gaz naturel liquéfié russe nettement plus importantes qu’avant la guerre en Ukraine. Il s’agit de quantités records de GNL russe. Les principaux pays acheteurs européens sont la Belgique, l'Espagne et la France.

    « Les États de l’UE ont payé près de 5,3 milliards d’euros à la Russie pour du GNL au cours des sept premiers mois de 2023. Cependant, ce ne sont pas les États eux-mêmes, comme l’Espagne ou la Belgique, qui passent ces commandes, mais plutôt les entreprises. C’est ce qu’affirme Jan Willhöft, expert renommé en matière d’énergie et de matières premières et spécialiste en investissements chez « axinocapital ». Il a récemment été interviewé par MEGA Radio Aktuell, partenaire média de TKP.at. Selon sa propre déclaration , « axinocapital » est un portail populaire pour les actions minières et plus encore.

    Dans cette interview radio, vous en apprendrez davantage sur les raisons pour lesquelles l'Europe achète encore aujourd'hui de grandes quantités de matières premières russes, même si Bruxelles veut politiquement y mettre un terme depuis la guerre de la Russie en Ukraine.

    L’expert Willhöft souligne : « Des changements de pouvoir à l’échelle mondiale ont actuellement lieu. Selon les prévisions, d’ici 2075, l’Inde, le Nigeria ou l’Indonésie pourraient figurer parmi les plus grandes économies mondiales.»

    Concernant les sanctions occidentales contre la Russie, l'expert en matières premières déclare : Il n'est pas rare que la méthode consistant à charger du gaz naturel ou du pétrole sanctionné sur des navires, puis à réexpédier cette cargaison dans les eaux internationales pour ensuite l'amener à destination, par exemple exemple pour l'UE.

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  84. L'expert d'« axinocapital » tente également de répondre à la question énergétique importante pour le gouvernement fédéral allemand : pourquoi l'Allemagne achète-t-elle du gaz liquéfié GNL, beaucoup plus cher, aux États-Unis , tandis que d'autres pays européens continuent d'acheter du gaz GNL bon marché à la Russie ?

    Comme le montre ce graphique actuel de « statista » , les États-Unis étaient de loin le plus grand et le plus important exportateur de GNL de la République fédérale d'Allemagne en août 2023 :

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    Par ailleurs, d’autres sujets d’une grande actualité sont abordés dans cette interview de MEGA Radio. Par exemple, les exportateurs d’énergie du Qatar, de l’Azerbaïdjan et de l’OPEP. La situation de l'uranium du Niger destiné aux centrales nucléaires françaises est également abordée ; « axinocapital » a des contacts personnels au Niger. Également sur le sujet : l'actuel contrat à long terme entre les entreprises énergétiques russes et autrichiennes, que l'ancien chancelier autrichien Sebastian Kurz a approuvé en 2018.

    Écoutez cette interview de MEGA Radio sur le marché européen du gaz sur Spotify ici :

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    ... ou YouTube :

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    MEGA Radio est une station qui peut être écoutée sur DAB+ et aborde des sujets de manière critique et ouverte, sans considérations politiques. La station de radio s'est entretenue avec le rédacteur en chef du TKP, le Dr. Peter F. Mayer a déjà réalisé quelques interviews. Récemment, il y a eu plusieurs décès parmi les jeunes espagnols après la vaccination contre le corona et de nouvelles études climatiques . Également sur les thèmes du Corona et de l'OMS , des armes hypersoniques et de la centrale nucléaire de Zaporizhia en Ukraine .

    https://tkp.at/2023/10/18/mega-radio-interview-gasmarkt-analyse-warum-zahlt-deutschland-mehr-fuer-us-lng-als-europaeer-fuer-fluessiggas-aus-russland/

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  85. L’incendie de Luton vient de tuer le marché des véhicules électriques


    Par Jo Nova
    October 18th, 2023


    Geoff Buys Cars est un commentateur passionné de voitures qui a passé des heures à essayer de trouver des preuves que l'incendie de l'aéroport de Luton a été causé par un véhicule électrique. Pour récapituler : 1 200 voitures sont mortes, le sol s’est effondré, l’aéroport a répondu à 16 000 appels de personnes qui avaient besoin d’aide, de réponses, d’un autre vol ou de leur voiture carbonisée. C’était un gros problème pour beaucoup de gens, et selon lui, c’était un tournant dans la quête visant à amener tout le monde à conduire un véhicule électrique.

    En fin de compte, les responsables ont déclaré qu'il s'agissait d'un diesel, et Geoff n'a pas pu prouver avec certitude qu'il s'agissait ou non d'un véhicule électrique, mais il a dit que cela n'avait pas d'importance – tout le monde pensait que c'était un véhicule électrique de toute façon, et il affirme – cela détruirait ventes de voitures électriques de toute façon.

    Si tout le monde pense que c’est un véhicule électrique, il est impossible que les gens entrent chez les concessionnaires automobiles ce matin avec cela aux informations et disent « vous savez quoi, j’ai vraiment envie de garer un de ces véhicules électriques au lithium juste devant ma maison. Je pense que c’est exactement ce que je dois faire pour sauver la planète et prendre soin de mon portefeuille et de ma famille.

    Aujourd’hui, dit-il, les gens téléphonent aux concessionnaires automobiles et leur demandent s’ils modifient leur commande pour le 1.2 Essence…

    C’était le premier jour après l’incendie de Luton, mais une semaine plus tard, il est toujours à la recherche de détails et l’intrigue s’épaissit, quelle chasse, à travers un océan d’informations contradictoires. Il a un style plutôt spirituel…

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  86. Si Dave achète un véhicule électrique, il sauve 5 ours polaires. Si John achète un hybride, il sauve deux ours polaires, mais si la voiture électrique de Craig prend feu, cela tue 50 ours. Et si la voiture de Craig prend feu dans un parking et détruit 1 200 voitures, cela représente 500 ours polaires.

    Impartialement, il se demande s'il ne s'agissait que d'une grande incompétence, sans système de gicleurs, sans extincteurs, avec cupidité et réduction des coûts ? En fin de compte, il pense que c’est les deux :

    C’est systémique de toute façon. Il y a un problème avec la technologie moderne, et c’est le même âge d’avidité et de réduction des coûts. Nous vivons dans un monde où votre poêle à bois va être retiré pour sauver l'environnement, et un conseil peut supprimer un parc de jeux en raison du risque qu'il présente pour les enfants. Mais un constructeur peut vous vendre une voiture à 6 chiffres et vous pouvez la garer dans un parking à 8 chiffres qui n’est pas sûr et tout peut aller à la poubelle… et ce n’est pas grave.

    Geoff achète des voitures : Première vidéo sur Luton : L'incendie de l'aéroport de Luton vient de TUER le marché des véhicules électriques. Voici pourquoi.

    https://joannenova.com.au/2023/10/evs-luton-fire-just-killed-the-ev-market/

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  87. À partir de la fin des années 1960, le nombre de pages publiées dans le Federal Register a explosé (figure 1). Le nombre de pages du Code of Federal Regulations, censé refléter le fardeau réglementaire global, a été multiplié par 10, passant de vingt mille à plus de deux cent mille pages (figure 2).

    Figure 1 : Nombre total de pages publiées dans le Federal Register (1936-2022)

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    Source : Centre d'études réglementaires.

    Figure 2 : Total des pages publiées dans le Code des réglementations fédérales (1950-2021)

    - voir graph sur site -

    Source : Centre d'études réglementaires.

    La plus longue période de faible croissance de notre histoire est également caractérisée par l’expansion de l’État régulateur. La consolidation des entreprises a grimpé en flèche au cours de la même période. En 1970, les quatre plus grandes entreprises d’un secteur donné représentaient en moyenne 20 pour cent de la part de marché. Aujourd’hui, les quatre plus grandes entreprises d’un secteur donné contrôlent environ 80 pour cent. Les monopoles réglementaires créent des points uniques à partir desquels des intérêts particuliers peuvent contrôler des marchés entiers et enrichir les personnes les plus riches. Ils sont pleinement soutenus par les institutions d’élite, mais vendus sous prétexte de protéger les consommateurs vulnérables des asymétries de pouvoir.

    Les personnes qui se soucient légitimement des pauvres ou de l’environnement ne devraient pas soutenir ces agences fédérales. L’idée selon laquelle la réglementation conduit à une amélioration des normes met la charrue avant les bœufs. Si la réglementation américaine sur la quantité maximale de résidus de pesticides autorisée sur les produits était imposée à un pays en développement, la production agricole de ce pays serait anéantie du jour au lendemain.

    Réduire l’utilisation de produits chimiques, lorsqu’elle est effectuée correctement, permet d’économiser des ressources et d’améliorer la qualité et le rendement des sols, mais cela nécessite également beaucoup de connaissances et de technologies. Sans pouvoir savoir exactement quand les insectes arriveront, il peut être nécessaire de pulvériser tous les jours pendant des semaines pour minimiser les risques de panne catastrophique. Sans savoir comment mettre en œuvre correctement un système de rotation des cultures, le sol risque de se dégrader avec le temps. Sans tester, cartographier et intégrer le sol dans le système de pulvérisation du tracteur, il ne sera pas possible de limiter l’utilisation d’engrais aux zones qui en ont besoin.

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  88. La rigueur réglementaire d'un pays a tendance à varier directement en fonction de son niveau de développement économique, car les mandats nécessitent des infrastructures. À terme, les composants du tracteur capables d'identifier et de tuer les mauvaises herbes avec un courant électrique élimineront largement la demande d'herbicides. Une loi sera ensuite adoptée, avec beaucoup d'autosatisfaction, interdisant les herbicides, renforçant ainsi les avantages des plus gros acteurs et créant de nouvelles barrières pour les plus petits.

    Les décès dans les mines ont chuté de façon spectaculaire avec l’avènement de la technologie de l’éclairage électrique et de la ventilation. Le déclin n’a pas été affecté de manière observable après la création de l’Occupational Safety and Health Administration (OSHA), car le gouvernement ne codifie légalement les normes qu’une fois que la technologie et les connaissances pertinentes sont entrées sur le marché. Ils s'attribuent cependant le mérite de l'amélioration et rédigent les normes d'une manière qui favorise la pratique spécifique d'une association industrielle ou d'un cartel d'entreprise particulier.

    Cette préférence prend souvent la forme de réglementations favorisant l’échelle, ce qui explique pourquoi les approvisionnements alimentaires locaux ont diminué tandis que les chaînes d’approvisionnement centralisées gérées par quelques entreprises en sont venues à dominer le marché. Il est ironique que les régulateurs prétendent protéger les consommateurs : des enquêtes montrent que 96 % des consommateurs pensent que les aliments produits localement sont « les aliments les plus frais, les plus sains et les plus nutritifs ».

    Les restrictions réglementaires ralentissent le rythme de l'innovation en créant des barrières à l'entrée sur le marché, mais également en protégeant les entreprises qui opèrent dans les limites des normes réglementaires de toute responsabilité légale en cas de préjudice aux consommateurs ou à l'environnement.

    La capture réglementaire a été décrite par Lao Tseu il y a 2 500 ans en Chine.

    « Dans le royaume, la multiplication des textes prohibitifs augmente la pauvreté du peuple » et « plus il y a de législation, plus il y a de voleurs et de brigands ».

    De telles politiques augmentent considérablement les inégalités de revenus, non pas pour assurer votre sécurité, mais pour que des intérêts particuliers puissent ramener le mercantilisme en contrôlant les marchés comme le faisaient autrefois les guildes.

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  89. Le manque d’options qui en résulte facilite le contrôle technocratique de la société. Rien ne ferait plus de mal au milliardaire moyen que de voir l’Américain moyen cesser de se laisser prendre à cette ruse.

    https://www.zerohedge.com/political/back-future-morphs-dystopia

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  90. Nos écoles publiques sont un désastre national


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 19 OCTOBRE 2023 - 01h20
    Commentaire de Stephen Moore via The Epoch Times


    Ce qui est peut-être le plus pénible dans la dernière chute des résultats aux examens du secondaire, c’est que personne ne semble vraiment affligé.

    Vous avez probablement entendu parler de la baisse des scores ACT pour la sixième année consécutive. Nos lycéens sont moins équipés pour un emploi ou une université qu’à aucun autre moment en trois décennies.

    Pourquoi personne à Washington ou dans notre bureaucratie éducative de 800 milliards de dollars ne tire-t-il la sonnette d’alarme et ne déclare-t-il qu’il s’agit d’une urgence nationale ? Cela met certainement notre sécurité nationale, notre supériorité technologique et notre prospérité économique en grave danger.

    Au lieu d’être indignés, c’est presque comme si les Américains étaient devenus anesthésiés par les mauvaises nouvelles concernant nos enfants.

    Une théorie est que les Américains ressentent à l’égard de leurs écoles locales les mêmes sentiments qu’ils ont envers le Congrès : ils aiment leur propre représentant mais pensent que le reste des membres sont corrompus et incompétents.

    Oui, il existe d’excellentes écoles publiques et oui, il existe des milliers d’excellents professeurs. Mais je vis dans le comté de Montgomery, dans le Maryland, qui est l’un des comtés les plus riches du pays, et nous avons dû retirer nos enfants des écoles publiques parce qu’elles étaient si mauvaises et parce qu’elles ont fermé leurs portes pendant la COVID-19.

    Je frémis en pensant à ce qui se passe dans les écoles de Baltimore à l’avenir.

    Il y a exactement 40 ans, la Commission nationale pour l’excellence en éducation publiait ses conclusions sur l’état des écoles dans son rapport de 1983 intitulé « Une nation en danger ». Voici la sombre conclusion : « Si une puissance étrangère hostile avait tenté d’imposer à l’Amérique les performances éducatives médiocres qui existent aujourd’hui, nous aurions très bien pu considérer cela comme un acte de guerre. »

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  91. La nation n’y a jamais prêté attention. Si vous pensez que je exagère de manière disproportionnée un mauvais rapport, le rapport National Assessment of Educational Progress publié plus tôt cette année a révélé des performances tout aussi lamentables des élèves dans les écoles publiques. Les compétences en lecture et en mathématiques se sont effondrées au cours des quatre dernières années, en partie à cause de l’insistance des syndicats d’enseignants pour que les écoles publiques restent fermées pendant la COVID – un acte national de maltraitance des enfants.

    La gauche est obsédée par l’inégalité des revenus et le fossé entre riches et pauvres. Pourtant, ils sont tellement captifs des syndicats d’enseignants qu’ils ne font rien contre ce qui est sans doute la politique la plus régressive des États-Unis : notre système scolaire public défaillant. La baisse des résultats aux tests ne représente que la moitié du problème. L’autre partie de l’histoire est que les plus fortes baisses en matière d’apprentissage et de réussite se situent parmi les familles les plus pauvres.

    Je suis loin d’être un expert en éducation, mais j’ai eu cinq enfants. Il est clair que trois éléments essentiels d’une éducation enrichissante sont la discipline en classe, des attentes élevées et un programme classique. Ce n’est pas si compliqué. Ce n’est pas comme résoudre un Rubik’s Cube.

    Aujourd’hui, la plupart des écoles publiques ne satisfont pas à ces trois normes.

    La Californie a récemment annoncé qu’elle allait intégrer le changement climatique dans les programmes scolaires. Vraiment ? Ils vont effrayer les enfants avec une campagne de propagande leur disant que le monde touche à sa fin. Pourquoi n’essaient-ils pas simplement la phonétique pour que les enfants puissent lire ?

    La réponse pitoyable du milieu scolaire à cet échec abject en matière d’enseignement est d’exiger plus d’argent. Nous essayons cela depuis 40 ans. Les dépenses par élève dans les écoles publiques, après ajustement à l'inflation, ont augmenté de 50 pour cent en 30 ans, ce qui est presque entièrement en corrélation inverse avec la baisse continue des résultats aux tests.

    La seule lueur d’espoir est le mouvement naissant pour le choix de l’école aux États-Unis, qui permet aux dollars de suivre les étudiants et les parents pour choisir les meilleures écoles pour leurs enfants – publiques, privées, chrétiennes, juives ou toute autre école qui fonctionne. Cette année, dix États ont élargi le choix des écoles.

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  92. Pendant ce temps, les syndicats d'enseignants affirment sans ambages que les chèques scolaires nuiraient aux écoles publiques. Ont-ils vu les résultats des tests ? Comment pourraient-ils empirer ?

    Les opinions exprimées dans cet article sont celles de l’auteur et ne reflètent pas nécessairement celles d’Epoch Times ou de ZeroHedge.

    https://www.zerohedge.com/political/our-public-schools-are-national-disaster

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  93. Ce sont les 10 villes les plus dangereuses d'Amérique


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 19 OCTOBRE 2023 - 00H40
    Rédigé par Joe Gomez via The Epoch Times


    Les maires démocrates sont responsables de presque toutes les 10 villes les plus dangereuses des États-Unis, sur la base des analyses des dernières données nationales disponibles sur les crimes violents et le coût de la criminalité.

    NeighbourhoodScout et MoneyGeek ont utilisé des méthodologies différentes pour évaluer les villes criminelles les plus violentes et les plus coûteuses, bien que cinq d'entre elles se soient retrouvées sur les deux listes.

    Le rapport de NeighbourhoodScout est basé sur le nombre de crimes violents pour 1 000 habitants dans les villes de 25 000 habitants ou plus. Les données sont basées sur le nombre de crimes violents signalés au FBI dans chaque ville, sur des projections des taux de crimes violents basées sur les données des années précédentes et sur la population de chaque ville, selon l'entreprise.

    MoneyGeek a analysé les statistiques de criminalité les plus récentes du FBI pour estimer le coût sociétal de la criminalité par habitant dans 263 villes comptant plus de 100 000 habitants.

    10 villes les plus dangereuses

    NeighbourhoodScout affirme qu'il compare les données sur les incidents criminels de « l'ensemble des 18 000+ agences locales d'application de la loi aux États-Unis avec les communautés locales spécifiques couvertes par l'agence, et donc dans quelle communauté les crimes ont eu lieu ».

    L'organisation considère l'homicide, le viol, le vol à main armée et les voies de fait graves comme des crimes violents.

    Sa ville la plus dangereuse est Bessemer, en Alabama, avec un taux de crimes violents de 33,1 crimes pour 1 000 habitants. Bessemer est une banlieue de Birmingham, qui arrive en sixième position sur cette liste et en deuxième position dans le top 10 du « coût de la criminalité » de MoneyGeek.

    NeighborhoodScout classe Monroe, en Louisiane, comme la deuxième ville la plus dangereuse, avec un taux de 26,3 crimes violents pour 1 000 habitants. Monroe se trouve à mi-chemin entre Shreveport, en Louisiane, et Jackson, dans le Mississippi.

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  94. En troisième position se trouve Saginaw, dans le Michigan, avec un taux de crimes violents de 25,1 pour 1 000 habitants. Saginaw se trouve à environ 100 milles au nord-ouest de Détroit.

    Le top 10 est complété par Memphis, Tennessee ; Détroit ; Birmingham, Alabama ; Pine Bluff, Arkansas ; Little Rock, Arkansas ; Alexandrie, Louisiane ; et Cleveland.

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    (La Grande Époque)

    Plusieurs élections à la mairie dans les villes ci-dessus se déroulent sous la forme d'élections non partisanes, ce qui signifie que tous les candidats sont réunis dans un seul groupe d'électeurs.

    Cependant, toutes les villes sauf une sont dirigées par des maires qui sont soit démocrates, soit affiliés au Parti démocrate. L'exception est Monroe, en Louisiane, dont le maire, Friday Ellis, est un républicain devenu indépendant.

    Top 10 des coûts de la criminalité

    Les données de MoneyGeek mesurent le coût de la criminalité par habitant dans les villes de 100 000 habitants ou plus. Il n'explore pas des villes aussi petites que NeighbourhoodScout (25 000), mais aboutit à une liste très similaire et à cinq correspondances exactes.

    « La criminalité et la sécurité sont étroitement liées à la prospérité, aux revenus et aux opportunités économiques. La criminalité coûte cher aux victimes individuelles, aux auteurs, aux communautés et à la société dans son ensemble », a publié la société financière sur son site Internet.

    Dans l'ensemble, MoneyGeek a calculé que le coût de la criminalité en 2021 était de 1 836 dollars par habitant dans les villes américaines, en hausse de 6 %, ou 100 dollars par habitant, depuis 2020.

    La société affirme avoir analysé les données sur la criminalité, notamment les crimes violents tels que le meurtre, le viol et les voies de fait graves, ainsi que les crimes contre les biens tels que le cambriolage de domicile et le vol de véhicules à moteur. MoneyGeek a omis toutes les villes qui n'ont pas signalé de meurtres et de viols.

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  95. Il a calculé le coût de la criminalité sur la base des « coûts économiques directs de la criminalité pour les individus et la société ».

    Cela comprend les coûts des soins médicaux et de santé mentale des victimes, les dommages et la perte de biens, ainsi que les coûts de la police et des services correctionnels, a déclaré MoneyGeek dans son rapport.

    "Outre le danger imminent de criminalité, les personnes vivant dans des zones à forte criminalité voient la valeur de leurs maisons baisser et paient des prix plus élevés pour des besoins cruciaux, notamment l'assurance habitation, l'assurance locataire et l'assurance automobile", indique le rapport.

    Le premier rang sur la liste de MoneyGeek est Saint-Louis, dont le coût de la criminalité par habitant est estimé à 8 457 dollars, selon la société financière. La démocrate Tishaura Jones a prêté serment en tant que 47e maire et première femme noire maire de l’histoire de la ville le 20 avril 2021. Son prédécesseur était également démocrate.

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    https://www.zerohedge.com/political/meet-americas-10-most-dangerous-cities

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  96. La surveillance des enfants à l’école est une industrie de 3,1 milliards de dollars – et elle rend les enfants “anxieux” et “effrayés”.

    Les entreprises de surveillance technologique qui vendent leurs produits aux administrateurs scolaires créent une "dystopie numérique" pour les écoliers américains, conclut un nouveau rapport de l'Union américaine pour les libertés civiles (American Civil Liberties Union).


    Par Suzanne Burdick
    Mondialisation.ca,
    18 octobre 2023


    Les entreprises de surveillance technologique qui vendent leurs produits aux administrateurs scolaires créent une “dystopie numérique” pour les écoliers américains, conclut un nouveau rapport de l’Union américaine pour les libertés civiles (ACLU).

    Dans le sillage de la pandémie Covid-19, et de l’augmentation de fusillades dans les écoles, un projet de technologie éducative (EdTech) de 3,1 milliards de dollars de d’industrie de surveillancea réalisé d’énormes profits en affirmant que ses outils numériques – notamment les caméras vidéo, les logiciels de reconnaissance faciale, les systèmes de détection des comportements basés sur l’intelligence artificielle (IA), et de surveillancedes médias sociaux et en ligne, et bien d’autres choses encore, permettent de prévenir le harcèlement, l’automutilation et la violence à l’école.

    Toutefois, l’industrie n’a pas étayé cette affirmation par des preuves et a plutôt utilisé la peur comme principale tactique de marketing, selon le rapport de l’ACLU.

    L’ACLU, après avoir mené ses propres recherches et examiné d’autres études commandées par le ministère américain de la justice, a constaté un “manque de preuves évidentes” que les produits annoncés par les entreprises EdTech garantissent la sécurité des élèves.

    Chad Marlow, l’auteur principal du rapport, a déclaré qu’en tant que parent de deux élèves de la maternelle à la terminale, il comprend les inquiétudes des parents et des responsables d’établissements scolaires quant à la sécurité des enfants.

    M. Marlow a déclaré au Defender qu’il voyait avec regret les administrateurs scolaires et les assemblées législatives des États d’utiliser des fonds pour des technologies de surveillance “pour assurer la sécurité de nos enfants”.

    “Ces décisions me hantent”, a-t-il déclaré, “car, en tant que conseiller politique principal de l’ACLU spécialisé dans les questions de vie privée, de surveillance et de technologie, je sais pertinemment que la surveillance ne dissuade pas les mauvais comportements et qu’elle ne protège certainement pas nos étudiants”.

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  97. M. Marlow a déclaré que le rapport de 61 pages révèle un “cauchemar de surveillance” qui “nuit involontairement à nos enfants” en leur refusant l’accès à des informations importantes, en sapant leur confiance dans les adultes et en rendant “trop risqué” le fait de communiquer certaines de leurs pensées.

    “C’est exactement le contraire de la leçon que nous devrions enseigner à nos élèves”, a-t-il déclaré.

    Greg Glaser, expert en protection de la vie privée et avocat de Children’s Health Defense (CHD), a félicité l’ACLU d’avoir levé le voile sur les tactiques de l’industrie EdTech consistant à commercialiser une vidéosurveillance “constante” dans le but supposé de “dissuader la criminalité” parmi les étudiants.

    “Si les parents pouvaient non seulement voir mais aussi vivre ce que leurs enfants vivent dans ces environnements infernaux, il y aurait un exode [des écoles publiques américaines]”, a déclaré M. Glaser à The Defender.

    14 % des élèves déclarent que la surveillance les rend “anxieux”.

    Le rapport de l’ACLU ne se contente pas de démentir les affirmations d’efficacité de l’industrie de la surveillance EdTech et d’attirer l’attention sur ses “pratiques commerciales trompeuses” qui utilisent la peur pour persuader les fonctionnaires d’acheter ses produits.

    Le rapport présente également les voix de plus de 500 élèves âgés de 14 à 18 ans qui ont participé à une enquête représentative au niveau national sur l’impact de la surveillance technologique dans leurs écoles.

    Le rapport comprend les commentaires de plus de trois douzaines d’étudiants qui ont fait part de leurs opinions dans des groupes de discussion dirigés par l’ACLU.

    Certains élèves ont déclaré que la surveillance augmentait leur peur et leur anxiété en les faisant se sentir “anxieux” (14 %), “exposés” (15 %), “paranoïaques” (13 %) et “violés” (12 %). Certains ont même déclaré que la technologie les faisait se sentir “en danger” (7 %) et “effrayés” (5 %).

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  98. Plus d’un quart des élèves interrogés ont déclaré être préoccupés par ce que leur école – et les entreprises avec lesquelles elle passe des contrats – faisait des données personnelles qu’elle collectait.

    Dix-huit pour cent ont déclaré que la surveillance limitait ce qu’ils choisissaient de dire en ligne, ce qui constitue une censure indirecte.

    Selon M. Marlow, l’une des conclusions les plus convaincantes du rapport est que “l’utilisation de technologies de surveillance des étudiants nuit considérablement aux étudiants, en particulier à ceux qui sont les plus vulnérables, notamment les étudiants de couleur, les étudiants LGBTQ+ et non binaires, les étudiants handicapés, les étudiants à faible revenu et les étudiants sans papiers”.

    Par exemple, le rapport explique comment la surveillance des écoles peut “intensifier” les effets de discrimination raciale bien documentés de la filière école-prison “en particulier lorsque des élèves de couleur sont accusés d’avoir commis des actes répréhensibles”.

    M. Marlow a déclaré que l’un des principaux objectifs du projet était de fournir ces informations aux responsables des politiques scolaires dans l’espoir que “l’argent que nous dépensons pour la sécurité des élèves aille aux interventions dont les avantages sont les plus avérés et les effets les moins nocifs”.

    “L’ACLU ne peut pas être physiquement présente à chaque réunion pour aider à éduquer les décideurs”, a-t-il déclaré, “nous avons donc publié notre rapport pour fournir une analyse impartiale, honnête et approfondie de l’industrie de la surveillance EdTech et de ses produits qui, nous l’espérons, aidera les districts scolaires dans leur future prise de décision.”

    La surveillance dans les écoles vise à amener les élèves à “marcher au pas avec un État policier”

    John Whitehead, avocat spécialiste des libertés civiles et auteur, a déclaré que le rapport montrait comment les jeunes étaient préparés “à marcher au pas avec un État policier”.

    Certaines écoles utilisent désormais une multitude de technologies de surveillance, notamment des caméras vidéo, des scanners de doigts et de paumes, des scanners d’iris, des dispositifs d’identification par radiofréquence (RFID) et de suivi par GPS, a déclaré M. Whitehead.

    M. Whitehead a déclaré au Defender :

    “Au lieu d’apprendre les trois R de l’éducation (lecture, écriture et calcul), les jeunes apprennent les trois I de la vie dans l’État policier américain : l’endoctrinement, l’intimidation et l’intolérance.

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  99. Michael Rectenwald, docteur en droit, auteur de “Google Archipelago: The Digital Gulag and the Simulation of Freedom”, a déclaré que l’objet de la surveillance EdTech dans les écoles est “clairement” la soumission à l’autorité plutôt que la dissuasion du crime.

    Selon M. Rectenwald, le système scolaire est le principal lieu d’endoctrinement, où les enfants “sont modelés selon les types de sujets que le système exige”. Il a déclaré que les technologies de surveillance dans les écoles “habituent les élèves à une vie constamment surveillée et contrôlée”.

    “La surveillance biométrique est l’outil de l’élite pour surveiller et contrôler les sujets à un degré inimaginable pour des gens comme Hitler, Staline et Mao”, a-t-il déclaré. Il n’est pas étonnant qu’un pourcentage important d’élèves surveillés se sentent “paranoïaques”, anxieux et pris au piège. Ils sont pris au piège – dans un panopticon géant”.

    Whitehead est d’accord :

    “Sous la direction de fonctionnaires du gouvernement qui cherchent à rendre les écoles plus autoritaires (en faisant croire aux parents que les écoles sont plus sûres), les jeunes Américains sont désormais les premiers à être fouillés, surveillés, espionnés [and] menacés.”

    Les écoles, un microcosme de l’État de surveillance totale

    Selon M. Whitehead, à partir du moment où les enfants entrent dans une école publique américaine et jusqu’à ce qu’ils obtiennent leur diplôme, ils sont exposés à un “régime régulier” de.. :

    Des politiques draconiennes de tolérance zéro qui criminalisent les comportements enfantins.
    Les lois anti-brimades qui ont une portée excessive et qui criminalisent l’expression.
    Les agents scolaires (police) chargés de discipliner et/ou d’arrêter les élèves dits “turbulents”.
    Des tests standardisés qui mettent l’accent sur des réponses apprises par cœur plutôt que sur la pensée critique.
    Des mentalités politiquement correctes qui apprennent aux jeunes à se censurer et à censurer leur entourage.
    Des systèmes biométriques et de surveillance étendus qui, associés à tout le reste, acclimatent les jeunes à un monde dans lequel ils n’ont aucune liberté de pensée, d’expression ou de mouvement.
    “Il s’agit bien d’une dystopie numérique : les écoles de notre pays sont devenues un microcosme de l’État de surveillance totale qui domine actuellement l’Amérique”, a déclaré M. Whitehead.

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  100. W. Scott McCollough, avocat en chef de la CHD pour les affaires de rayonnements électromagnétiques (EMR) de l’organisation, est du même avis.

    M. McCollough a déclaré que les principales conclusions du rapport de l’ACLU reflétaient les réalités de la société dans son ensemble :

    “L’État de surveillance est vendu par le biais de la pornographie de la peur. Les profits sont importants, surtout lorsqu’ils sont subventionnés par le gouvernement. Les outils ne contribuent pas réellement à résoudre le problème énoncé, mais ils permettent d’atteindre d’autres objectifs : tout le monde est gêné et la connaissance d’une surveillance constante modifie leur comportement.

    “Comme d’habitude, les enfants nous donnent des leçons.

    Miriam Eckenfels-Garcia, directrice du programme EMR du CHD, a déclaré qu’elle était heureuse de voir enfin l’ACLU travailler sur une question que le CHD couvre également.

    “Nous espérons qu’il en sera de même dans le domaine de la censure”, a-t-elle ajouté.

    https://www.mondialisation.ca/la-surveillance-des-enfants-a-lecole-est-une-industrie-de-31-milliards-de-dollars-et-elle-rend-les-enfants-anxieux-et-effrayes/5682297?doing_wp_cron=1697694891.5314640998840332031250

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  101. Mettre en jachère les bonnes terres arables – un problème de prospérité ?


    19 Octobre 2023
    Olaf Zinke, AGRARHEUTE*


    « C'est un problème de prospérité que nous ne soyons pas prêts à aider là où l'aide est nécessaire, c'est-à-dire pour les denrées alimentaires », déclare l'agriculteur Aurel Hagen à la NDR.

    L'année dernière, la mise en jachère avait été suspendue. En raison de la crise alimentaire mondiale. Désormais, la crise est terminée. De l'avis des politiques. La règle des 4 % de gel des terres doit à nouveau s'appliquer.

    Mi-août, le commissaire européen à l'Agriculture, Janusz Wojciechowski, avait indiqué que la suspension de la mise en jachère n'avait eu que peu d'impact sur l'année de récolte de cette année.

    Les paiements directs des agriculteurs sont liés à certaines conditions. Parmi celles-ci figure la mise en jachère de 4 % des terres arables. L'année dernière, cette mesure européenne avait été suspendue en raison de la guerre en Ukraine. La suspension était motivée par la crainte de difficultés d'approvisionnement en céréales. La condition : les agriculteurs pouvaient cultiver des céréales, du tournesol et des légumineuses sur ces surfaces, mais pas de maïs.

    Le ministre fédéral de l'Agriculture, Cem Özdemir (Verts), avait soutenu cette démarche. Mais le ministre de l'Agriculture veut désormais revenir sur cette autorisation. « Entre-temps, les marchés céréaliers se sont à nouveau stabilisés. Les réglementations européennes nécessaires à la protection du climat, de la biodiversité et de l'environnement ne peuvent pas être à nouveau suspendues, car il faudrait pour cela modifier la législation européenne de base », a déclaré le ministre à la BR.

    Le ministère fédéral de l'Agriculture écrit au BR : « Celui qui veut encore maintenant réduire la protection du climat et des espèces avec des arguments fallacieux est certainement tout sauf un ami de l'agriculture. »

    Avantages écologiques ou sécurité alimentaire ?

    Le ministre de l'Agriculture Till Backhaus (SPD) du Mecklembourg-Poméranie-Occidentale avance des arguments similaires à ceux de M. Özdemir. Il déclare à la chaîne de télévision NDR : « Guerre contre nourriture ? »: il ne veut « pas tomber dans cette discussion maintenant ». L'Europe s'est fixé pour objectif d'atteindre la neutralité carbone d'ici 2050 au plus tard. L'agriculture en fait également partie, selon M. Backhaus.

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  102. Les agriculteurs voient les choses un peu différemment : « C'est un problème de prospérité, que nous ne soyons pas prêts à aider là où l'aide est nécessaire – à savoir pour les denrées alimentaires », déclare l'agriculteur Aurel Hagen à la NDR.

    Cet agriculteur a le sentiment que « l'utilité écologique apparente » passe « avant l'alimentation des gens ». Selon lui, les surfaces destinées à être mises en jachère n'auraient besoin d'être utilisées pour la production de blé ou de colza que pendant une période limitée – « mais c'est la politique qui en décide ».

    Fin juin, le groupe CDU/CSU avait échoué dans une initiative visant à suspendre durablement l'obligation de mise en jachère de 4 % des terres arables à partir de 2024. Le Bundestag a en effet rejeté la proposition du groupe CDU/CSU. Celle-ci visait à demander au gouvernement fédéral de s'engager à ce que l'obligation de mise en jachère dans le cadre de la conditionnalité ne s'applique pas à l'avenir, comme c'est déjà le cas cette année.

    Une décision anachronique ?

    Mi-août, le commissaire européen à l'Agriculture, Janusz Wojciechowski, avait fait savoir que la suspension de la mise en jachère n'avait guère eu d'impact sur l'année de récolte de cette année.

    Les agriculteurs de l'UE n'auraient pas augmenté leur surface de culture de céréales par suite de cette suspension. Néanmoins, la production de céréales aurait augmenté de cinq pour cent cette année. Il ne faut donc pas s'attendre à ce que l'UE prolonge la dérogation.

    M. Günther Felßner, président de l'Association des Agriculteurs Bavarois, estime que la décision de mettre à nouveau des surfaces en jachère est « anachronique ». Il a déclaré à la BR : « Mettre en jachère ici et importer les produits de quelque part dans le monde avec les empreintes qu'ils auront alors, ce serait très malhonnête et ce ne serait pas non plus durable. »

    Avec du matériel de BR, NDR

    https://seppi.over-blog.com/2023/10/mettre-en-jachere-les-bonnes-terres-arables-un-probleme-de-prosperite.html

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  103. Des millets résistants à la sécheresse pourraient aider le Midwest à survivre au changement climatique


    19 Octobre 2023
    Eva Tesfaye, Harvest Public Media, dans Agdaily*



    KANSAS CITY, Mo. – Le Midwest est connu pour ses rangées et ses rangées de maïs et de soja qui couvrent uniformément le paysage.

    Mais dans le centre du Missouri, l'agriculteur Linus Rothermich perturbe la rotation habituelle du maïs et du soja avec le millet japonais. Il le cultive depuis 1993.

    « Il faut que je réfléchisse à l'époque où cela s'est passé », dit-il. « J'étais jeune et je cherchais d'autres cultures pour gagner plus d'argent. À l'époque, l'agriculture ne rapportait pas beaucoup d'argent. »

    Par rapport à ses cultures de maïs et de soja, il dépense beaucoup moins pour le millet japonais. Sa période de végétation étant plus courte, il s'intègre parfaitement dans la rotation des cultures qu'il produit déjà. Cela lui réussit tellement bien qu'il veut se réserver la céréale.

    « Je l'ai recommandé à d'autres agriculteurs, à condition que ce ne soit pas mon millet japonais », dit-il en plaisantant, soulignant que les prix baisseraient probablement si un grand nombre d'autres agriculteurs commençaient à le cultiver.

    Mais ces humbles céréales pourraient bientôt faire l'objet d'une plus grande attention après que les Nations Unies ont déclaré 2023 Année Internationale du Millet. Les Nations Unies soulignent que les millets sont extrêmement durables, résistants aux intempéries, nutritifs et qu'ils pourraient contribuer à diversifier le système alimentaire mondial.

    Cependant, ces céréales n'ont pas bénéficié du même niveau d'attention politique et de recherche que le maïs et le soja aux États-Unis, ni même que d'autres cultures sur le marché mondial.

    « Le millet a été en quelque sorte marginalisé et n'a donc pas bénéficié des mêmes investissements et de la même attention en matière de recherche que le maïs, le blé et le riz au cours des dernières décennies », a déclaré Mme Makiko Taguchi, responsable agricole à l'Organisation des Nations Unies pour l'Alimentation et l'Agriculture (FAO), « c'est pourquoi nous considérons le millet comme l'une des cultures négligées ».

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  104. Selon elle, les millets peuvent contribuer à la réalisation des objectifs de développement durable des Nations Unies et on peut espérer que ces céréales respectueuses du climat retiendront davantage l'attention, à l'instar du succès remporté par l'Année Internationale du Quinoa, proclamée par les Nations Unies en 2013.

    Une culture respectueuse du climat

    Il existe plusieurs sortes de millets. Outre le millet japonais de M. Rothermich, il y a le millet perlé, le millet à queue de renard, le millet commun et bien d'autres encore. Le sorgho peut également être considéré comme un millet.

    Les millets ont tendance à nécessiter moins d'engrais et sont plus résistants aux insectes et aux maladies (bien que les oiseaux aiment parfois les manger). Les agriculteurs peuvent également utiliser la plupart des mêmes équipements pour les millets que pour le maïs et le soja. Et même si, jusqu'à présent, les millets ne produisent pas les mêmes rendements que ces cultures de base, M. Rothermich estime que le jeu en vaut la chandelle.

    « Le rendement n'est pas aussi élevé, mais les intrants sont moins importants », a-t-il déclaré.

    Ce qui est peut-être encore plus important aujourd'hui dans certaines régions du Midwest et des Grandes Plaines, c'est que de nombreux types de millets sont connus pour être incroyablement résistants à la sécheresse.

    M. Matt Little, agriculteur à la périphérie d'Arnett, dans l'Oklahoma, a commencé à cultiver du millet commun l'année dernière. Il s'attendait à ce que la culture brûle en même temps que sa récolte de blé pendant la chaleur extrême et la sécheresse, mais il a réussi à récolter et à vendre sa récolte.

    « Je suis vraiment impressionné par cette culture. Je n'ai jamais vu une culture qui ait résisté à la chaleur et à la sécheresse et qui m'ait quand même rapporté de l'argent », a-t-il déclaré.

    Le Centre d'Agriculture Régénératrice de l'Université du Missouri s'intéresse également au millet et fournit des informations aux agriculteurs sur ces céréales.

    Le directeur du centre, Rob Myers, explique que les millets sont polyvalents. Le millet commun et le millet perlé conviendraient bien aux États plus secs comme le Nebraska, le Kansas, l'Oklahoma et le Texas.

    Le millet japonais survit aux conditions chaudes et humides et est souvent utilisé pour semer dans les fonds de vallée des ruisseaux afin d'aider la faune.

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  105. « Nous voyons des millets utilisés dans certaines de ces régions en raison des inquiétudes concernant l'approvisionnement en eau d'irrigation », a-t-il déclaré.

    D'autres millets conviendraient mieux dans les régions sujettes aux inondations, comme les fonds du Missouri et du Mississippi. C'est le cas du millet japonais que M. Rothermich cultive dans le Missouri.

    Le marché du millet n'est pas très important aux États-Unis, à l'exception de son utilisation comme graines pour les passereaux. Cependant, les millets pourraient être utilisés pour l'alimentation du bétail, les cultures de couverture et même les biocarburants. Selon M. Myers, ils pourraient même devenir une option alimentaire plus populaire, car les gens cherchent des alternatives sans gluten.

    « Je m'attends à ce que les débouchés continuent à se développer, mais de manière progressive », a déclaré M. Myers.

    Investissements dans la recherche et la politique

    En raison de l'étroitesse du marché, le millet n'est pas aussi connu que d'autres cultures aux États-Unis.

    M. Ram Perumal, directeur du programme de sélection du millet de l'Université d'État du Kansas, a déclaré que le millet ne bénéficiait pas du même niveau de protection fédérale que le maïs et le soja.

    « Ce sont des cultures de rapport : elles bénéficient d'une assurance, de prix, d'un marché et d'un soutien financier pour les produits de base », a-t-il déclaré.

    S'il y a une assurance pour le millet commun, elle n'est disponible que dans certaines régions du pays. Selon M. Perumal, le manque de soutien et de protection rend également plus difficile l'obtention de subventions pour la recherche. Il espère que l'Année Internationale du Millet des Nations Unies contribuera à mettre en lumière l'importance de la science du millet.

    L'agriculteur Jeff Taylor a commencé à cultiver du millet proso dans sa ferme située à l'extérieur d'Ames, dans l'Iowa, il y a environ 6 ans. Il utilise en grande partie le même équipement que pour sa culture de maïs. (Image : Katie Peikes, Harvest Public Media)

    Selon M. Myers, de l'Université du Missouri, il faut poursuivre les recherches pour faire progresser réellement les millets.

    « Si vous dépensez un million de dollars de plus pour la recherche sur le maïs, vous ne faites pas nécessairement avancer beaucoup la science du maïs », a-t-il dit, « mais si vous dépensez un million de dollars pour la recherche sur le millet, vous pourriez soudain créer toute une série de nouvelles informations que nous n'avions pas auparavant ».

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  106. Selon M. James Schnable, professeur à l'Université du Nebraska, il serait par exemple plus facile d'améliorer les rendements du millet que de faire en sorte que le maïs absorbe moins d'eau. Lui et son père, Patrick Schnable, professeur à l'Université d'État de l'Iowa, ont cofondé la start-up Dryland Genetics. Le manque de financement de la recherche est l'une des raisons pour lesquelles ils ont créé une entreprise de recherche et de sélection du millet commun.

    « [Le millet commun] se trouve dans un trou étrange dans les systèmes de financement fédéraux ; c'est en partie pour cette raison que nous avons fini par utiliser des fonds privés pour créer Dryland Genetics. Parce qu'il s'agit d'une céréale, il n'est pas éligible à de nombreuses subventions pour les cultures spécialisées », a déclaré M. James Schnable.

    À Ames, dans l'Iowa, l'agriculteur Jeff Taylor a déclaré qu'il avait commencé à cultiver du millet proso il y a environ six ans, avec l'aide de Dryland Genetics. Il pense que davantage d'agriculteurs essaieraient de nouvelles cultures si les programmes fédéraux assumaient une partie du risque.

    « Ce serait merveilleux si des cultures comme le millet étaient davantage étudiées et s'il y avait des incitations pour que les agriculteurs envisagent de semer d'autres espèces que le maïs et le soja », a-t-il déclaré.
    ________________

    * Cet article a été produit par Harvest Public Media, une collaboration de salles de presse de médias publics du Midwest, et par le Mississippi River Basin Ag & Water Desk, un réseau de reportage indépendant sur le plan rédactionnel basé à l'Université du Missouri, en partenariat avec Report For America.

    Source : Drought-resistant millets could help Midwest survive climate change (agdaily.com)

    https://seppi.over-blog.com/2023/10/des-millets-resistants-a-la-secheresse-pourraient-aider-le-midwest-a-survivre-au-changement-climatique.html

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  107. Météo : la vigilance rouge inondations maintenue en France

    L’automne est enfin arrivé, avec près d’un mois de retard. Plusieurs perturbations météo sont sur la France, ce qui va provoquer des événements intenses. Météo France a une nouvelle fois déclenché la vigilance rouge, le niveau le plus élevé, ce vendredi 20 octobre 2023. Mais quels départements sont concernés ?


    Par Paolo Garoscio
    le 20 octobre 2023 à 6h31


    En France, le coût annuel moyen des dommages causés par les inondations s'élève à 520 millions

    Météo France : vigilance rouge maintenue

    Le bulletin des prévisions météo et de la vigilance météo du vendredi 20 octobre 2023 a de quoi faire craindre d’importants dégâts. Un département, tout particulièrement, est à surveiller : les Alpes-Maritimes (06), soit l’extrême sud-est de la France. Déjà placé en vigilance rouge la veille par Météo France, ce niveau d’alerte très élevé est maintenu dans le bulletin publié à 6 heures du matin.

    La vigilance rouge concerne un risque très élevé de « pluie-inondation », auquel s’ajoutent deux alertes de niveau orange pour le même département : pour un risque de crues et pour un risque de « vagues-submersion ». L’alerte pour les vents violents et les orages est également déclenchée, mais à un niveau léger : jaune.

    Deux départements en vigilance orange

    Conséquence de la même perturbation, deux départements sont placés en vigilance orange par Météo France le vendredi 20 octobre 2023. Il s’agit du département des Hautes-Alpes, en vigilance orange « pluie-inondation » et en vigilance jaune orage, ainsi que le département des Alpes-de-Haute-Provence auquel Météo France prête un risque de crues et de « pluie-inondation ». Les Alpes-de-Haute-Provence sont également placés en vigilance jaune pour vents violents et orages.

    « Pour les Alpes Maritimes : épisode pluvio-orageux particulièrement intense. Une attention particulière doit être apportée dans les vallées et les zones urbanisées. Pour les Alpes du Sud : épisode pluvio-orageux intense nécessitant un suivi particulier », souligne le service météo.

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  108. Vigilance Orange et Rouge un peu partout

    « L'épisode est en cours. Sur les Alpes Maritimes, les cumuls de précipitation vont atteindre 150 à 200 mm sur la durée de l'épisode, ponctuellement 250 mm, voire un peu plus sur les plus hauts reliefs (localement 300 m). Les pluies seront accompagnées d'un vent très fort de secteur sud (rafales jusqu'à 120/140 km/h dès la moyenne montagne). Sur les Alpes de Haute Provence et les Hautes Alpes, les cumuls seront de l'ordre de 100 à 130 mm, ce qui est très inhabituel pour ces départements », peut-on lire sur le bulletin de 6 heures du vendredi 20 octobre 2023.

    - voir carte sur site -

    Météo : d’autres départements en alerte

    Le phénomène qui frappe la France ne s’arrête pas au sud-est. Sur l’ensemble du territoire, ce sont 33 départements qui sont placés en vigilance jaune. Le vent, le risque d’orages et de fortes pluies traverse le pays quasiment d’ouest en est. Les départements du littoral méditerranéen sont quasiment tous placés en vigilance orange pour un risque de vagues, tandis que la vigilance est jaune sur le littoral Atlantique.

    Heureusement, le phénomène devrait s’estomper durant la journée du vendredi 20 octobre 2023. Météo France ne prévoit à 6 heures que quelques départements en vigilance jaune pour des orages dès le samedi 21 octobre 2023.

    - voir carte sur site -

    https://www.economiematin.fr/meteo-vigilance-rouge-france-20-octobre-2023

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    1. Les incapables dirigent (depuis 70 ans !). A l"époque romaine la Gaule s'est transformée grâce à l'ouverture de nouveaux canaux (oublions le gag du Pont du Gard construit plus haut que... la source ! Hahaha !). La France était irriguée ! Les cultures pouvaient enfin être arrosées !

      Mais de nos jours... C'est la merde qui a envahit la France ! (et pas que le fond des fleuves !)? Les fleuves & rivières ne sont plus dragués ! Seules les péniches peuvent encore naviguer ! Bientôt on traversera la Seine (et autres fleuves) à pieds !!

      Donc, dès qu'il pleut quatre gouttes: çà déborde !! C'est 'Alerte inondations !' parce qu'il n'y a plus d'écoulement ! Au lieu que l'eau aille du terrain au fleuve elle va... du fleuve au terrain !! HAHAHA !

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  109. Impôts : taxe foncière, bientôt pour les locataires ?

    La taxe foncière, cet impôt supporté par les propriétaires, pourrait-il bientôt être partagée par les locataires ? C’est la proposition choc du syndicat des propriétaires, l’UNPI.


    Par Axelle Ker
    le 20 octobre 2023 à 9h30


    Taxe foncière : le coup de gueule des propriétaires

    Les propriétaires immobiliers n'ont jamais été aussi exaspérés. Face à une augmentation constante de la taxe foncière, environ 9,5 % en 2023 pour les 200 plus grandes villes, leur désarroi est palpable. Sylvain Grataloup, le tout récent président de l'Union nationale des propriétaires immobiliers (UNPI), ne mâche pas ses mots auprès de nos confrères du Figaro Immobilier lorsqu'il évoque la situation. « Ils ont le sentiment de payer pour tout le monde car on les prend pour des nantis alors que la plupart ne sont pas riches et que la propriété est un outil social », souligne-t-il. L'absence de plafonnement de la taxe foncière, contrairement aux loyers, est la source majeure de leur fureur. Selon l'UNPI, la taxe foncière a connu une hausse vertigineuse de 26,3 % entre 2012 et 2022, soit presque quatre fois plus que celle des loyers (+6,7 %). Ces chiffres, ajoutés à des augmentations spectaculaires comme +60,8 % à Paris ou +44 % à Meudon, montrent l'ampleur du problème. En comparaison, l'augmentation des loyers a été plafonnée à 3,5 % pour l'année 2023.

    En plus des défis financiers, la taxe foncière est aussi un sujet de préoccupation juridique et politique. Frédéric Zumbiehl, juriste à l'UNPI, dénonce le choix du gouvernement qui semble privilégier les collectivités locales plutôt que les propriétaires et les locataires. En refusant de limiter l'augmentation de cette taxe, le gouvernement est accusé de faire peser un poids inégal sur une catégorie de citoyens, sous-entendu, les propriétaires sont riches, les locataires sont pauvres. Pour rappel, la taxe foncière est calculée selon un taux décidé par les collectivités territoriales et la valeur locative cadastrale, elle-même revalorisée chaque année en fonction de l'IPCH publié par l'Insee. Pour 2023, cette valeur a augmenté de 7,1 % et devrait avoisiner les 4,2 % pour 2024 selon les estimations.

    Taxe foncière : une question d'équité fiscale ?

    Pour rectifier cette situation, l'UNPI avance une idée audacieuse : faire participer les locataires au paiement de la taxe foncière. Cette proposition, bien que controversée, est présentée comme une solution à un « problème d'équité fiscale ». Pourquoi les locataires ne contribueraient-ils pas à une taxe sur un bien qu'ils occupent et qui finance des services publics dont ils bénéficient ? Questionne l'UNPI. L'idée semble solide d'un point de vue juridique. Maître Jean-Pascal Michaud, avocat fiscaliste, soutient cette proposition, affirmant qu'il n'est pas juste qu'une seule catégorie de la population supporte le coût de services publics dont bénéficient tous les citoyens. Néanmoins, la mise en œuvre de cette idée serait loin d'être aisée. Elle nécessiterait une modification législative et, étant donné le nombre de locataires parmi les électeurs, il est peu probable que les députés y soient favorables.

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  110. Malgré cette proposition, la situation actuelle est alarmante pour de nombreux propriétaires. À cela s'ajoute l'interdiction progressive des passoires thermiques (les logements classés G en 2025, F en 2028 et E en 2034), qui représente pas moins de 17 % du parc immobilier français. La plupart des propriétaires n'ont pas les ressources financières pour effectuer les travaux de rénovation énergétique imposés par le gouvernement. Les propriétaires sont asphyxiés par le poids des impôts et de l'inflation, les tensions de la crise immobilière ne sont pas prêtes de s'atténuer...

    https://www.economiematin.fr/impots-taxe-fonciere-bientot-pour-locataires

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  111. Un banquier affirme que l’électricité russe est 10 fois moins chère que celle du Royaume-Uni, et au moins 4 fois moins chère que celle de l’UE


    19/10/2023
    Zoey Sky


    Un important banquier de la PJSC Sberbank (anciennement Sberbank of Russia) a déclaré que les coûts de l'électricité pour les consommateurs russes sont environ 10 fois inférieurs à ceux du Royaume-Uni et au moins quatre fois inférieurs à ceux de l'Union européenne (UE). Le banquier faisait référence aux prix destinés aux ménages et aux entreprises.

    Anatoly Popov, vice-président du conseil d'administration du plus grand prêteur russe, l'a révélé lors d'une allocution au forum de la Semaine russe de l'énergie à Moscou.

    Selon Popov, l'électricité est bon marché en Russie. "Si vous prenez le prix en Russie et le prix payé par les industries britanniques, je ne sais pas s'il existe encore une industrie avec de tels prix, mais le prix est presque 10 fois inférieur en Russie qu'au Royaume-Uni", a ajouté Popov.

    Il a également expliqué que dans l'UE, les prix du kilowatt/heure pour les consommateurs industriels sont « quatre fois plus élevés ». Pour les ménages, les prix peuvent également être quatre ou 4,5 fois plus élevés, a expliqué Popov. (Connexe : les prix de l'électricité en Italie augmentent de 30 % EN UNE SEMAINE à l'approche d'un nouvel hiver sans gaz russe bon marché.)

    Selon le site Internet du gouvernement britannique, les prix unitaires plancher de l'électricité pour les ménages étaient en moyenne de 0,34 £ (0,41 $) par kilowattheure (kWh) au cours de l'année écoulée.

    Pendant ce temps, les consommateurs russes ne paient en moyenne que 0,04 dollar par kWh.

    Les revenus énergétiques de la Russie en mars chutent de 43 % sur un an

    Selon le ministère russe des Finances, les recettes du budget fédéral russe provenant du pétrole et du gaz, éléments vitaux de l'économie du pays, ont chuté de 43 % sur un an (YOY) en mars, tandis qu'un impôt trimestriel basé sur les bénéfices a freiné les recettes d'une baisse mensuelle.

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  112. Moscou compte sur les revenus énergétiques, qui s'élevaient à environ 11 600 milliards de roubles (146 milliards de dollars) l'année dernière, pour financer les dépenses publiques. Cependant, Moscou a été contraint de vendre ses réserves de change pour couvrir un déficit accru par le coût de son opération militaire en Ukraine.

    Selon les estimations du ministère des Finances, les recettes budgétaires provenant des ventes de pétrole et de gaz ont atteint 688,2 milliards de roubles (8,67 milliards de dollars) en septembre, contre 521,2 milliards de dollars en février et 1,21 billion de roubles en mars 2022.

    Les revenus du mois de mars ont augmenté grâce aux paiements trimestriels de 220,6 milliards de roubles pour une taxe sur les bénéfices sur l'extraction d'hydrocarbures.

    La taxe sur l'extraction minière (MET) sur le pétrole a été inférieure de 63,6 milliards de roubles à celle de février, tandis que celle sur le gaz naturel a été inférieure de 12,9 milliards de roubles.

    Les recettes fiscales et douanières provenant des ventes d'énergie se redressent progressivement depuis janvier, lorsqu'elles ont atteint leur plus bas niveau depuis août 2020 en raison des sanctions occidentales sur les exportations russes dans le contexte de la guerre russo-ukrainienne.

    Le budget russe pour 2023 prévoit un déficit de 2 % du produit intérieur brut (PIB). Le ministère des Finances a prévu cette année une réduction de 23 pour cent des recettes pétrolières et gazières, à 8 950 milliards de roubles.

    Le ministère a récemment donné un prix notionnel de 47,85 dollars le baril pour le pétrole brut russe de l'Oural en mars, ce qui est inférieur aux 49,56 dollars de février et nettement inférieur au prix de mars 2022 de 88,95 dollars.

    Les revenus énergétiques totaux pour 2022, qui s'élèvent à 11 600 milliards de roubles, ont augmenté de 27,9 % par rapport aux 9 100 milliards de roubles de 2021.

    La Russie restreint ses livraisons d'électricité à la Chine
    Le groupe énergétique public russe InterRAO a annoncé le 2 octobre qu'il avait commencé à restreindre l'approvisionnement en électricité de la Chine pendant que les négociations sur la hausse des prix étaient en cours.

    InterRAO avait précédemment annoncé qu'elle augmenterait les prix de l'électricité de 7 % pour les clients de certains pays en raison des nouveaux droits d'exportation entrés en vigueur le 1er octobre. Elle a également annoncé qu'elle limiterait, voire interromprait les approvisionnements si les clients refusaient d'accepter.

    Les pays touchés comprennent la Chine, la Mongolie, l’Azerbaïdjan et la région géorgienne séparatiste d’Ossétie du Sud.

    Visitez Electricity.news pour plus d’histoires sur les coûts de l’électricité.

    Regardez cette vidéo pour découvrir comment les sanctions énergétiques russes pourraient faire échouer l’économie mondiale.

    Cette vidéo provient de la chaîne InfoWars sur Brighteon.com.

    Plus d'histoires connexes:

    Canular du GREEN DEAL : le prix de l’électricité en Californie s’envole malgré la législation de l’État « respectueuse du climat ».

    Le gouvernement britannique paie désormais les Britanniques pour qu’ils ne consomment PAS d’électricité.

    Projet de loi BLACKOUT : les législateurs du Minnesota adoptent une loi interdisant l'utilisation du charbon, du pétrole et du gaz pour le réseau électrique de l'État.

    Les sources incluent :

    RT.com
    Reuters.com 1
    Reuters.com 2
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2023-10-19-banker-russian-electricity-10x-cheaper-than-uk.html

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  113. Betteraves : et maintenant, on fait appel à la science !


    20 Octobre 2023
    Willi l'agriculteur*



    Depuis quelques semaines, j'entends des agriculteurs et des spécialistes de l'économie sucrière dire qu'un phénomène étrange se répand dans le sud de l'Allemagne : à partir de fin août environ, les champs de betteraves sucrières jaunissent peu à peu et les betteraves finissent par se flétrir, bien que le sol soit suffisamment humide. Ces betteraves sont caoutchouteuses, car la pression osmotique fait défaut. Comme les betteraves rétrécissent, il est facile de les arracher. Si on observe ces betteraves, on constate l'absence de racines fines.

    Sur les corps des betteraves, on trouve des petits animaux blancs d'environ 5 mm. Il s'agit des nymphes de la cicadelle à ailes de verre des roseaux, connue pour être le vecteur de la maladie SBR (syndrome basse richesse).

    Ce phénomène a été découvert pour la première fois en France et a récemment été observé dans le Bade-Wurtemberg et en Bavière.

    https://www.lfl.bayern.de/ips/blattfruechte/273532/index.php

    Mais ce qui se produit cet automne est toutefois nouveau et préoccupant : alors que la teneur en sucre est faible avec la bactérie du SBR, l'infection par la nouvelle bactérie (« Stolbur ») devrait logiquement entraîner une teneur en sucre plus élevée en raison du dessèchement des betteraves. Il est clair qu'il n'y a plus de croissance à partir du début des symptômes. Pourtant, ce sont souvent les mois de septembre et octobre qui font augmenter à la fois le rendement et la production de sucre. Ce n'est pas pour rien que l'on parle d'« octobre doré », qui fait également augmenter la qualité du vin.

    On ne sait pas encore comment les betteraves sucrières se comporteront en cas de stockage prolongé.

    Les cicadelles à ailes de verre (il en existe plusieurs espèces) s'attaquent également à d'autres plantes (pommes de terre, carottes) et peuvent également leur transmettre des bactéries – plus précisément des « phytoplasmes » – et entraîner une baisse de rendement.

    Ce qui inquiète les experts : aucune lutte n'est actuellement possible. On ne sait pas non plus pourquoi ce symptôme est apparu pour la première fois et à grande échelle en 2023. On ne sait pas non plus si les mesures phytosanitaires telles que le travail du sol ou la rotation des cultures ont une quelconque influence. Il est possible que l'on puisse cultiver des betteraves sucrières résistantes. Pour cela, il serait bien sûr utile d'utiliser les nouvelles méthodes de sélection. Il faudrait également examiner toutes les possibilités de protection des plantes.

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  114. Entre-temps, une task force « betteraves caoutchouc » a été créée pour s'occuper de cette problématique. Comme nous l'avons déjà dit, c'est maintenant à la science de jouer. Il y a lieu de s'inquiéter, mais pas de paniquer.

    Comment dit-on dans « xy-ungelöst » (xy non résolu) ? Si vous avez des informations ou des observations pertinentes, adressez-vous à votre association de betteraviers, au service phytosanitaire ou au conseiller de la sucrerie.

    Un grand merci à Peter Breunig pour la mise à disposition des photos.
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    * Source : Jetzt ist die Wissenschaft gefragt! - Bauer Willi

    https://seppi.over-blog.com/2023/10/betteraves-et-maintenant-on-fait-appel-a-la-science.html

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  115. ENCORE 2 ARTICLES CENSURÉS ! (120 - 2 = 118)

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