- ENTREE de SECOURS -



lundi 30 octobre 2023

Le processus de fabrication de modèles alimentaires. Artisan japonais légendaire en modélisme

 

58 commentaires:

  1. Joyeux 41e anniversaire, insuline génétiquement modifiée


    29 Octobre 2023
    Ton approbation par la FDA a pris 5 mois en 1982. Combien d'années cela prendrait-il aujourd'hui ?
    Henry Miller, Genetic Literacy Project*


    Soumission d'une nouvelle demande de médicament à la FDA. Image : FDA

    Ce 29 octobre marque le 41e anniversaire de l'une des étapes les plus importantes de la biotechnologie : l'approbation par la Food and Drug Administration de l'Humulin, l'insuline humaine synthétisée dans des bactéries génétiquement modifiées, pour traiter le diabète. Premier « produit biopharmaceutique », c'est-à-dire médicament fabriqué à l'aide de techniques du génie génétique moléculaire, à être approuvé, il a marqué le début d'une ère révolutionnaire dans la mise au point de médicaments.

    Fait remarquable, cette autorisation a été accordée en cinq mois, à une époque où le délai moyen d'autorisation était de 31,5 mois (comme aujourd'hui).

    L'insuline est sécrétée par le pancréas et est essentielle au métabolisme des glucides et des lipides. La carence en insuline conduit au développement du diabète (de type 1), qui nécessite des injections régulières d'insuline pour rester en vie et en bonne santé.

    En tant qu'examinateur médical de la FDA en 1982 et chef de l'équipe d'évaluation de « Humulin », le nom de marque de l'insuline humaine, j'étais aux premières loges. Cette saga est remarquable à plusieurs égards, notamment parce que, bien que les fabricants de médicaments et les autorités de réglementation aient exploré un terrain inconnu, le développement du médicament et son examen réglementaire ont progressé rapidement et sans heurts.

    Avant l'insuline issue du génie génétique

    L'insuline sous forme brute a été produite pour la première fois il y a un siècle, en 1922, par les chercheurs canadiens Frederick Banting et Charles Best, ce qui a permis de lever l'arrêt de mort qui frappait jusqu'alors les diabétiques. À la fin de cette même année, la société pharmaceutique Eli Lilly and Company avait mis au point une méthode permettant une purification beaucoup plus poussée.

    Mais ce « médicament miracle » dépendait de l'extraction de l'insuline des porcs et des vaches, en utilisant les déchets – les pancréas – de l'industrie du conditionnement de la viande. Selon l'article paru dans Diabetes Forecast, plus d'une tonne de parties de porc étaient nécessaires pour extraire seulement 100 grammes d'insuline purifiée.

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  2. À gauche, des glandes de pancréas sont examinées lorsqu'elles arrivent d'un abattoir. À droite, les glandes sont passées dans des broyeurs avant l'étape suivante du processus, l'extraction de l'insuline. Image : Musée National d'Histoire Américaine

    Au cours du demi-siècle suivant, les insulines purifiées obtenues à partir des pancréas de porc ou de vache, dont la composition chimique diffère légèrement de celle de l'insuline humaine, ont été constamment améliorées en termes de pureté et formulées de manière à offrir aux médecins et aux patients diabétiques un meilleur contrôle de la glycémie.

    L'insuline extraite était, presque littéralement, un médicament miracle. La photo ci-dessous, datant des années 1920, montre un patient avant (à gauche) et deux mois après (à droite) avoir reçu de l'insuline.

    Premiers développements de l'insuline génétiquement modifiée

    Au début des années 1970, une crise est apparue : alors que l'offre de pancréas animaux diminuait et que la prévalence du diabète insulinodépendant augmentait, la crainte d'une éventuelle pénurie d'insuline s'est répandue. Fortuitement, à la même époque, un nouvel outil puissant – la technologie de l'ADN recombinant, également connue sous le nom de « génie génétique » ou « épissage de gènes » – est devenu disponible, offrant la promesse de quantités illimitées d'insuline qui, contrairement à l'insuline animale, était identique à la molécule produite par l'homme.

    L'expérience fondamentale de génie génétique moléculaire a été rapportée dans un article de recherche de 1973 par les scientifiques universitaires Stanley Cohen, Herbert Boyer et leurs collaborateurs. Ils ont isolé un anneau d'ADN appelé « plasmide » d'une bactérie, utilisé certaines enzymes pour épisser un gène d'une autre bactérie dans ce plasmide, puis introduit l'ADN « recombinant » ou chimérique qui en a résulté dans la bactérie E. coli.

    Lorsque ces bactéries désormais « recombinantes » se sont reproduites, les plasmides contenant l'ADN étranger se sont également multipliés et ont produit des quantités amplifiées d'ADN recombinant fonctionnel. Et comme l'ADN contient le code génétique qui dirige la synthèse des protéines, cette nouvelle méthodologie promettait la capacité d'induire des bactéries génétiquement modifiées (ou d'autres cellules) à synthétiser les protéines souhaitées en grandes quantités.

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  3. Lilly a immédiatement perçu la promesse de cette technologie de produire des quantités illimitées d'insuline humaine dans des bactéries. Après avoir obtenu la bactérie recombinante E. coli qui synthétise l'insuline humaine auprès de la jeune entreprise de biotechnologie Genentech, Inc., elle a mis au point des procédés pour la culture à grande échelle de l'organisme (dans d'énormes fermenteurs comme ceux utilisés pour fabriquer du vin ou de la bière) et pour la purification et la formulation du médicament.

    Les insulines ont longtemps été les produits phares de Lilly, et l'expertise de la société était évidente dans la purification, les tests de laboratoire et les essais cliniques de l'insuline humaine. Les scientifiques de la société ont minutieusement vérifié que leur produit était extrêmement pur et identique à l'insuline humaine pancréatique (dont la composition chimique diffère légèrement de celle de l'insuline de bœuf et de porc).

    Lilly a commencé les essais cliniques de son insuline humaine en juillet 1980. Le produit a donné d'excellents résultats. Le traitement des patients « naïfs » (qui n'ont jamais reçu d'injections d'insuline) ou de ceux qui sont passés de l'insuline animale à l'insuline humaine n'a pas posé de problèmes systématiques. Un petit nombre de patients qui avaient eu des réactions indésirables aux insulines animales ont bien toléré l'insuline humaine.

    La procédure d'examen rapide de la FDA

    Le dossier contenant les preuves de l'innocuité et de l'efficacité a été soumis en mai 1982 à la FDA, dont j'étais l'examinateur médical et le chef de l'équipe d'évaluation. Pendant de nombreuses années, la FDA avait acquis une expérience prodigieuse en matière d'insulines et de médicaments dérivés de divers micro-organismes, de sorte qu'il a été décidé qu'aucun paradigme réglementaire fondamentalement nouveau n'était nécessaire pour évaluer l'insuline humaine recombinante.

    En d'autres termes, les techniques de recombinaison de l'ADN ont été considérées comme une extension, ou un perfectionnement, de méthodes de fabrication de médicaments connues et utilisées depuis longtemps. Cette décision s'est avérée historique, a créé un précédent et s'est avérée correcte.

    Sur la base de l'examen exhaustif par mon équipe de la FDA des données de Lilly, obtenues à partir d'essais précliniques sur des animaux, puis d'essais cliniques sur des milliers de diabétiques, la FDA a accordé l'autorisation de mise sur le marché de l'insuline humaine en octobre 1982. L'examen et l'approbation n'ont pris que cinq mois, alors que le délai moyen d'approbation des nouveaux médicaments par l'agence était de 30,5 mois.

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  4. Rétrospectivement, cette approbation rapide est particulièrement remarquable pour un médicament produit à l'aide d'une nouvelle technologie révolutionnaire et qui, une fois approuvé, allait être disponible dans les pharmacies de tout le pays pour des millions de diabétiques américains.

    - voir schéma sur site -

    L'histoire est cependant révélatrice. Mon équipe et moi-même étions prêts à recommander l'approbation après quatre mois d'examen. Mais lorsque j'ai présenté le dossier à mon supérieur, il m'a dit : « Quatre mois ? Pas question ! Si quelque chose ne va pas avec ce produit, les gens diront que nous l'avons fait à la hâte et nous serons grillés. »

    C'est la mentalité bureaucratique. Je ne sais pas combien de temps il aurait retardé la décision, mais lorsqu'il est parti en vacances un mois plus tard, j'ai apporté le dossier à son patron, le directeur de la division, et il a donné son accord.

    Cette anecdote illustre l'observation de Milton Friedman selon laquelle, pour comprendre la motivation d'un individu ou d'une organisation, il faut « suivre l'intérêt personnel ». Une grande partie de l'intérêt personnel des régulateurs consiste à éviter les ennuis. Une façon d'y parvenir, comme l'avait compris mon supérieur, est de ne pas approuver en un temps record un produit qui pourrait connaître des problèmes imprévus.

    L'approbation de l'Humulin a eu des effets significatifs. Un article de première page du New York Times citait ma prédiction selon laquelle cette approbation rapide constituait une avancée majeure dans la « viabilité scientifique et commerciale » de la technologie de l'ADN recombinant. « Nous avons atteint l'âge adulte », avais-je déclaré, et les investisseurs et entrepreneurs potentiels étaient d'accord avec moi. Voyant que les produits biopharmaceutiques seraient en concurrence avec d'autres médicaments sur un pied d'égalité, l'« industrie de la biotechnologie » était sur la bonne voie.

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  5. La lourdeur actuelle de la procédure d'examen de la FDA

    Malheureusement, l'approbation rapide de l'insuline humaine s'est révélée être une anomalie. Même si la FDA et l'industrie disposent d'une panoplie de technologies améliorées, la mise sur le marché d'un nouveau médicament prend aujourd'hui en moyenne 10 à 12 ans et coûte en moyenne plus de 2,5 milliards de dollars. Les délais d'examen ne se sont pas beaucoup améliorés par rapport aux examens de médicaments effectués avant l'ère électronique, lorsque les demandes de nouveaux médicaments étaient soumises sur papier. (La pile de papier pour l'examen de l'insuline que mon groupe a effectué était environ trois fois plus grande que celle qui figure sur la photo d'archive de la FDA en haut de l'article).

    Les régulateurs sont très réticents à prendre des risques, peu de nouveaux médicaments sont approuvés aujourd'hui sans que des comités consultatifs extra-muros soient convoqués, et les décisions sont parfois détournées par des forces politiques extérieures à la FDA. Malgré cela, cinq des médicaments qui rapporteront le plus aux États-Unis en 2022 seront produits par la biotechnologie, soit avec de l'ADN recombinant, soit avec la technologie des anticorps monoclonaux.

    D'autres secteurs biotechnologiques réglementés par la FDA ont connu des résultats bien pires. Les régulateurs ont fait un gâchis colossal de la réglementation des animaux génétiquement modifiés, que la FDA a bizarrement choisi de réglementer en tant que « nouveaux médicaments pour animaux » sur la base de son interprétation d'une loi de 1938. Ce processus byzantin a conduit à un examen grotesquement prolongé de plus de 20 ans par la FDA d'un saumon de l'Atlantique à croissance plus rapide.

    La confusion est encore plus grande dans le cas des moustiques génétiquement modifiés pour lutter contre les moustiques vecteurs de maladies virales : inexplicablement, il a fallu plus de cinq ans à la FDA pour décider que, du point de vue réglementaire, cette technologie « gene drive » (forçage génétique) était une forme de pesticide, et que la compétence en la matière appartenait à l'Agence pour la Protection de l'Environnement. En raison de cet imbroglio bureaucratique, l'ensemble du secteur biotechnologique des animaux génétiquement modifiés est moribond.

    La réglementation gouvernementale n'a pas vieilli aussi gracieusement que la technologie du génie génétique elle-même, qui a considérablement progressé au fil des ans. Les régulateurs sont censés respecter le « marché » que la société a conclu avec eux : les fonctionnaires sont titularisés à vie et protégés des pressions politiques et des représailles, en échange de quoi ils sont censés prendre des décisions fondées uniquement sur l'intérêt public. Mais, souvent, ils ne le font pas.

    Pour que les produits réglementés par la FDA parviennent à ceux qui en ont besoin, le contrôle du Congrès doit sortir de son hibernation et créer un équilibre plus sain et plus constructif.

    https://seppi.over-blog.com/2023/10/joyeux-41e-anniversaire-insuline-genetiquement-modifiee.html

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  6. Traitement du cancer : la révolution ne fait que commencer

    La lutte contre le cancer a connu ces dernières années des avancées majeures. Richard Guédon revient sur ces progrès qui ne font que commencer.


    le 30 octobre 2023
    Richard Guédon


    Aujourd’hui encore le mot « cancer » est porteur d’une charge émotionnelle, personnelle et sociale considérable pour les personnes atteintes et pour leur entourage. Il est vrai que cette maladie fait peser sur la santé publique un poids qui ne semble pas s’alléger avec le temps, bien au contraire.

    Mais la révolution arrive… D’ailleurs, elle est déjà là.

    Le cancer n’est plus une fatalité
    En effet, que de progrès accomplis en une seule génération !

    Il y a trente ans, tous types de cancers confondus, le taux de survie à dix ans des patients ne dépassait pas 25 %, aujourd’hui il s’élève à plus de 50 %, et il augmente régulièrement ; certains cancers, comme les cancers de la thyroïde ou des testicules sont presque tous guéris. Ce sont plusieurs dizaines de milliers de vies qui sont ainsi épargnées chaque année.

    Personnalisation et précision
    Deux concepts-clefs expliquent pour l’essentiel ces progrès :

    La personnalisation des traitements
    La précision des traitements


    La seconde étant pour l’essentiel fonction de la première.

    La personnalisation s’exerce à deux niveaux : celui des patients, dont on sait aujourd’hui qu’ils ne reçoivent pas l’agression tumorale de la même façon, mais aussi, et peut-être surtout, au niveau des cancers eux-mêmes dont les variations cellulaires sont pratiquement infinies : on ne devrait plus jamais écrire le mot « cancer » au singulier.

    C’est donc à un couple individualisé « cancer – patient » qu’ont affaire les thérapeutes, dont la tâche a cru en complexité mais aussi en précision, celle-ci permettant à la fois d’augmenter l’efficacité des traitements, mais aussi de limiter les effets secondaires : plus on frappe juste, plus on frappe fort, et plus on limite les dégâts collatéraux.

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  7. Personnalité tumorale
    Ce ne sont donc pas tant les traitements des cancers qui ont changé que la façon dont ils sont finement adaptés à chaque personnalité tumorale, et à chaque patient.

    Prenons l’exemple des leucémies des enfants : voici 40 ans, sur dix jeunes malades, un ou deux étaient sauvés, on en perdait donc huit à neuf. De nos jours, la proportion s’est inversée et ce, en l’absence de chimiothérapies vraiment nouvelles.

    Comment cela a-t-il été possible, et surtout ces succès vont-ils durer ?

    La fin de la résignation
    Là, comme ailleurs, le premier facteur est le facteur humain : d’une part les médecins ne se résignent pas à voir souffrir et mourir leurs patients atteints d’un cancer, et toutes les pistes sont bonnes pour trouver des moyens de les soigner ; d’autre part, les malades eux-mêmes, et la société, n’acceptent plus la fatalité du cancer. Ils se mobilisent pour trouver les moyens de lutter contre la maladie.

    Et bien sûr, ne pas se résigner consiste en premier lieu à lutter contre les addictions au tabac et à l’alcool qui sont responsables de 42 % des cancers en France, et à promouvoir les dépistages précoces des cancers du sein, du col de l’utérus, du côlon, de la peau…

    Un progrès technique exponentiel
    Pour progresser dans la découverte de nouveaux traitements, les chercheurs utilisent les ressources d’un progrès technique exponentiel en termes de biotechnologies, d’informatique, d’ingénierie et d’imagerie.

    Grâce en particulier au développement du séquençage à haut débit et aux big data, ils peuvent désormais compiler et croiser les informations concernant les malades et leurs tumeurs, au niveau des cellules, des molécules et du génome, informations que l’intelligence artificielle permet d’analyser.

    La recherche clinique
    Ces outils permettent à la recherche clinique de proposer des protocoles de plus en plus élaborés, comme l’explique l’INCa, Institut National du Cancer :

    « Parmi les essais cliniques, les essais thérapeutiques doivent notamment évaluer :

    de nouveaux médicaments ou associations de médicaments (contre la maladie ou ses effets secondaires), comparés dans certains cas aux traitements existants ;
    de nouvelles façons de les administrer (par comprimés plutôt que par injections, par exemple) ;
    de nouvelles techniques de traitement (nouveau type d’opération chirurgicale ou de radiothérapie, par exemple).
    D’autres essais cliniques peuvent porter sur de nouvelles techniques de diagnostic (nouveau test biologique, par exemple) ou de prévention.

    Les essais cliniques sont indispensables pour faire progresser et améliorer la prise en charge des cancers et, en conséquence, le parcours de soins des patients ».

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  8. Et le capitalisme mondialisé !
    Enfin, et il n’aurait pas été abusif de mettre ce facteur en premier : seules les ressources financières considérables fournies par le capitalisme mondialisé, appuyé sur la veille marketing de tout marché libre, à l’affût des innovations rentables, rendent possible le financement de toute la chaîne de recherche.

    Rappelons en effet que les médicaments anticancéreux occupent la première place du marché pharmaceutique mondial, représentant 14 % de ce marché, en hausse constante.

    La triade chirurgie/radiologie/chimiothérapie
    Si d’authentiques innovations ont contribué à ces avancées – nous en reparlerons – les principes de base du traitement n’ont pas changé : aujourd’hui comme naguère ils reposent pour l’essentiel sur la triade chirurgie / radiologie / chimiothérapie.

    On enlève au scalpel le plus possible de tissu tumoral, on brûle les résidus avec des radiations, et on injecte dans le corps des médicaments destinés à tuer les cellules cancéreuses qui survivent.

    Une chirurgie plus fine et moins invasive

    Pour les tumeurs dites solides, par opposition aux cancers du sang et de la lymphe, dits liquides, la chirurgie est le plus souvent le traitement de premier recours.

    La chirurgie est plus fine, moins invasive et donc beaucoup plus sûre : anesthésies partielles, cœlioscopie, c’est-à-dire une intervention via de petites incisions et une caméra, chirurgie au laser, aux ultrasons, par radiofréquence, voire cryochirurgie, qui utilise le froid, rivalisent d’innovations pour des interventions toujours plus légères et efficaces.

    La radiothérapie plus précise

    La radiothérapie est elle aussi une technique ancienne pour traiter les cancers, mais les radiologues d’antan n’y retrouveraient pas leurs rayons.

    La radiothérapie d’aujourd’hui est plus précise. Elle permet de guérir un plus grand nombre de patients en limitant les effets indésirables ­: modulation de l’intensité des doses, délivrance de doses différentielles au sein de la tumeur, contrôle par l’image, utilisation de nouvelles énergies comme les protons, qui permettent de cibler précisément la tumeur en milieu fragile (cancers du cerveau).

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  9. Une chimiothérapie ciblée

    La chimiothérapie a pour but de détruire ou d’empêcher la prolifération des cellules cancéreuses. Ce traitement est capable de dégrader l’ADN des cellules tumorales, de cibler ses composants essentiels, d’inhiber les enzymes et molécules permettant à ces cellules de bien fonctionner, ou encore de bloquer la division cellulaire.

    Beaucoup des médicaments utilisés sont restés les mêmes, mais ils sont associés et dosés de façon ciblée en fonction de l’analyse cellulaire du « couple tumeur – patient », ce qui permet d’augmenter leur efficacité tout en limitant leurs effets indésirables.

    Mais le progrès en cancérologie ne s’est pas borné à améliorer les traitements existants. Il a aussi profité, et profitera de plus en plus, d’innovations radicales, à commencer par l’immunothérapie.

    L’immunothérapie, une révolution en cours
    Le système immunitaire permet de protéger notre organisme des virus et bactéries pathogènes, mais il permet aussi de détruire les cellules dangereuses, inutiles, malformées ou cancéreuses.

    Certains cancers sont capables de s’adapter et d’échapper à la vigilance du système immunitaire.

    Le principe de l’immunothérapie est d’aider le système immunitaire du patient à s’adapter lui aussi et à éliminer les cellules cancéreuses.

    Des molécules efficaces sont déjà utilisées avec succès contre les mélanomes, les cancers du rein, du poumon, les leucémies. Ils le seront très bientôt dans les cancers du sein, du foie, de la vessie, de la prostate, du colon, des os, et dans les lymphomes.

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  10. Les vaccins thérapeutiques en oncologie
    Ils représentent une voie très prometteuse dans la lutte contre les cancers.

    Le vaccin fonctionne en éduquant le système immunitaire à lutter contre des éléments propres à la tumeur. Ce n’est donc pas un vaccin préventif pour les personnes en bonne santé, il est destiné aux personnes déjà touchées par le cancer. Il s’agit d’un traitement ultra-personnalisé, puisqu’on va identifier les antigènes spécifiques des cellules cancéreuses du patient, puis les réintroduire dans l’organisme pour l’entraîner à reconnaître ses cibles et à les combattre.

    Des études cliniques très encourageantes ont été publiées cette année dans le traitement des cancers du pancréas, devant lesquels les thérapeutes sont souvent démunis, et dans les mélanomes cutanés.

    Les thérapies cellulaires à cellules CAR-T
    La production des cellules CAR-T consiste à extraire des lymphocytes T par leucaphérèse, un prélèvement sanguin ciblant les globules blancs du patient, puis à les modifier génétiquement en laboratoire afin qu’ils puissent reconnaître les cellules cancéreuses. On réinjecte ensuite ces cellules activées au patient, qui vont aller se fixer sur les cellules cancéreuses et les détruire.

    Ce traitement est déjà utilisé avec succès dans les lymphomes et certaines leucémies, notamment chez l’enfant et le jeune adulte.

    La greffe de moelle osseuse
    Citons enfin la greffe de moelle osseuse, utilisée contre certains cancers du sang où elle permet parfois des guérisons complètes chez des patients auparavant considérés comme perdus.

    La moelle osseuse, à ne pas confondre avec la moelle épinière, contient des cellules dans les os longs qui fabriquent les éléments essentiels du sang. Ces cellules dites « hématopoïétiques » peuvent être altérées, soit par un cancer soit par les chimiothérapies. La greffe consiste à remplacer la moelle déficiente du malade par celle d’un donneur sain compatible.

    Ainsi, dans le meilleur des cas, la moelle se remet à produire du sang normal avec les cellules du donneur.

    Enfin, une révolution de velours
    Néanmoins, une autre révolution, de velours celle-là, moins spectaculaire mais non moins efficace, a transformé la vie des patients atteints de cancers.

    C’est celle de la communication sur la maladie, le parcours de soins et l’accompagnement des patients et de leur famille.

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  11. Il y a 40 ans, les médecins dissimulaient le diagnostic d’une maladie vécue comme une condamnation à mort. Aujourd’hui, l’information sur la maladie et son traitement sont la règle, faisant du malade et de ses proches des intervenants à part entière dans le processus de soins. Ainsi, l’image sociale de la maladie s’améliore peu à peu pour rejoindre celle des autres maladies chroniques, cardiovasculaires ou rhumatismales.

    La multidisciplinarité autour de ces maladies complexes, l’accompagnement psychologique et social, la collaboration entre les professionnels de santé libéraux, hospitaliers ou associatifs, remettent le patient au centre du système et lui donnent le pouvoir sur sa maladie.

    Cette révolution-là n’est pas la plus facile !

    https://www.contrepoints.org/2023/10/30/465949-traitement-du-cancer-la-revolution-ne-fait-que-commencer

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  12. Sécheresse en Amazonie, propagande climatique dans le « Standard »


    30 octobre 2023
    par Assoc. Prof. Dr. Stephan Sander Faes


    Il n'y a pratiquement pas un jour sans une « programmation » de la part des « médias de premier plan et de qualité », dont les illusions sont de plus en plus mauvaises – et de plus en plus évidentes. Cette fois, cela a frappé le Wiener Standard , dont la rédaction est apparemment trop paresseuse pour écrire ses propres articles et présente également beaucoup de propagande au lecteur. Un excellent exemple de la façon dont le « journalisme » ne fonctionne pas de toute façon.
    Tout d'abord, chère rédaction du Standard : il y a un dicton en anglais que je voudrais vous suggérer : « if you're in a Hole, stop digging ». ).

    Apparemment, il ne suffit cependant pas de faire fuir de nombreux lecteurs par le biais du journalisme d'attitude et d'inscrire plusieurs employés - les médias parlent de 25 personnes - auprès du service de l'emploi pour licenciement ; C’est plutôt la devise de ce qu’on appelle « l’engagement croissant », qui joue un rôle dans la recherche comportementale et économique et qui peut paraître un peu plus sérieuse que l’expression mentionnée ci-dessus, qui semble décrire exactement ce qui se passe ici.

    Lochgött:auberge au Standard

    Le point de départ a été ce « reportage » sur la sécheresse actuelle dans le bassin amazonien, que la rédaction a qualifié de « question d’opinion ». Avec le titre « Les bas niveaux de l'Amazonie rendent visibles les peintures rupestres », vous pouvez apprendre beaucoup de choses :

    Le Rio Negro, qui se jette dans l'Amazonie, a perdu 15 mètres de profondeur depuis juillet. Cela apporte des avantages surprenants, du moins pour les archéologues. Cela rend visibles des choses que les gens ont laissées derrière eux il y a des centaines d’années, lorsque le paysage était différent et que les rivières avaient des niveaux d’eau plus bas. Plus précisément, ce sont des gravures qui ont été gravées dans les pierres du lit des rivières...

    "Les gravures sont préhistoriques ou précoloniales", suppose de Santana Oliveira. D’après l’histoire de la colonisation de la région, ils seraient probablement âgés de 1 000 à 2 000 ans.

    Une chose passionnante en soi : en raison des niveaux d'eau actuellement bas, de nombreux vestiges archéologiquement intéressants de cultures anciennes ont été découverts, qui autrement étaient cachés sous la surface de l'eau.

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  13. J'ai parlé à plusieurs reprises d'archéologues norvégiens qui, en raison de la fonte des glaciers, tombent presque par hasard sur de grands artefacts qui indiquent une activité humaine régulière à l'époque préindustrielle (voir ici ou ici , tous deux via mon Substack, même si je vous enverrai le deuxième une si cela vous intéresse, suggère Link, qui contient une belle histoire sur une flèche de chasse vieille de 4 000 ans qui a en fait été trouvée « de manière imprévue » sous le bord d'un glacier).

    Mais qu’y a-t-il à critiquer ici ?

    D’une part, la pratique douteuse de la rédaction du Standard consistant à traduire en allemand un article qui n’est pas expressément identifié comme tel, dont le « truc » peut être vu ici :

    L'archéologue Jaime de Santana Oliveira de l'Institut national du patrimoine historique et artistique (IPHAN) a déclaré à Reuters que des gravures dans la roche y avaient été découvertes dès 2010.

    Quelques instants plus tard, j'ai trouvé un article presque identique de Suamy Beydoun de Reuters , qui constitue la base du chef-d'œuvre journalistique de ce qui sera bientôt le « journal des lecteurs » (Oscar Bronner).

    Mais sur un point, la "question d'opinion" standard - qui, soit dit en passant, n'est pas qualifiée d'"opinion" ou quelque chose de similaire - est certainement une réussite en soi : l'introduction de la désinformation et de la désinformation sur les causes et les liens de la sécheresse dans le bassin amazonien.

    La folie climatique à la hauteur

    L'article sous-jacent de Suamy Beydoun contient un total de 231 mots (sans titre), et les photos (à mon avis superbes) des artefacts valent à elles seules une visite. Une comparaison directe montre que la « question d’opinion » est presque deux fois plus longue, soit 529 mots.

    Mais qu’a ajouté la rédaction du Standard ?

    D'une part, un paragraphe sur des découvertes similaires, comme un immense complexe préhistorique en Espagne, un complexe de palais vieux d'environ 3 000 ans dans ce qui est aujourd'hui l'Irak et un complexe d'autels dans la rivière Vilcanota au Pérou, probablement attribué à l'époque de Incas.

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  14. Il est dommage que personne ici - ni au Standard , ni à Reuters ou similaire - ne fasse preuve de diligence raisonnable : Oui, les dauphins de rivière sont répertoriés comme « en voie de disparition », mais devinez quoi d'autre :

    ... Une étude à long terme (25 ans) de la biologie et de l'écologie d'I. geoffrensis dans et à proximité de la réserve de Mamirauá dans l'État brésilien d'Amazonas a produit des estimations des taux de survie et de reproduction basées sur la détection individuelle de plus de 650 animaux... En utilisant des paramètres connus comme données d'entrée, le programme Vortex a prédit l'extinction de la population dans tous les scénarios et une perte de 95 % des dauphins d'ici 50 ans. Avec les paramètres par défaut, le modèle prédit une baisse annuelle de 5,5 % , ce qui est cohérent avec la baisse observée. Nous concluons que la population de dauphins du fleuve Amazone est en grave déclin en raison de la pression humaine , même dans l'une des parties les plus protégées de son aire de répartition.

    Si vous vous interrogez sur cette citation : elle vient de A. Martin et V. Da Silva, dans leur propre étude publiée l'année dernière (2022) par la célèbre usine de shill and denier (/ironie) Cambridge University Press est , a écrit ce qui suit. Voici la référence à l'étude intitulée « Les dauphins du fleuve Amazone Inia geoffrensis sont en voie d'extinction au cœur de leur aire de répartition », Oryx, 56(4), 587-591 ; voir aussi doi:10.1017/S0030605320001350 ( source ; ici et ci-dessous mes traductions et soulignements).

    Oui, vous avez bien lu : le déclin attribué à la sécheresse de cette année est impossible à distinguer des taux de référence.

    Il n'y a rien à voir ici, alors passons à autre chose.

    Les températures extrêmement élevées de l'eau du lac Tefé tuent les dauphins
    J'ai beaucoup cherché sur Internet, notamment sur le site Internet de l'Institut Mamirauá pour le développement durable près du lac Tefé, mais je n'ai trouvé aucune donnée solide et publiée sur la température de l'eau.

    Dans ma recherche, cependant, j'ai trouvé de nombreux rapports médiatiques tout aussi alarmants, parmi lesquels celui du New York Times ( version archivée et non payante ) est, à mon avis, le plus représentatif :

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  15. Jeudi [28. Septembre 2023], la température du lac a atteint 102 degrés Fahrenheit, soit environ 39 degrés Celsius , soit environ neuf degrés de plus que d'habitude, selon l'[Institut Mamirauá pour le développement durable], qui a déclaré avoir récupéré les premières carcasses le 23 septembre. Alors que les scientifiques étudient d'autres causes, notamment une maladie possible ou une eau contaminée, le seul facteur connu est la température exceptionnellement élevée de l'eau, selon le Dr. Marmontel appelé « soupe ».

    Mardi, l'eau s'était refroidie à 36,5 degrés Celsius, mais les scientifiques restent préoccupés par les dauphins, qui nagent désorientés et incapables de plonger comme d'habitude, utilisant leur cou extrêmement flexible pour naviguer dans et hors de l'eau trouble. les branches dans l'eau.

    S'il vous plaît, ne me demandez pas comment la température de l'eau affecte les dauphins pendant la plongée.

    Fait intéressant, après avoir élargi mes paramètres de recherche, j'ai trouvé d'autres « choses », comme cette étude de Yu-Chiang Lao et al. (2020) intitulé « Cycle saisonnier amplifié dans l'hydroclimat sur le bassin du fleuve Amazone et sa région de panache » dans Nat[ure] Communications [ ications ] 11, 4390 (2020) ; voir aussi https://doi.org/10.1038/s41467-020-18187-0 ( source ).

    Je sais que c'est loin d'être la seule étude à considérer ici, mais elle met en évidence les points suivants :

    Cette étude montre qu'une augmentation du cycle saisonnier des précipitations en Amazonie au cours de la période 1979-2018 entraîne une augmentation des fluctuations saisonnières du ruissellement du fleuve Amazone et de la salinité des océans dans l'APR. En utilisant une combinaison d'observations et de données de réanalyse…

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  16. Au sein du APR… on peut constater que la tendance à l’augmentation des précipitations pendant la saison des pluies (principalement janvier-février-mars) contribue davantage à la tendance saisonnière croissante que la saison sèche (principalement juillet-août-septembre). Cependant, la relation presque linéaire dans nos résultats de modélisation n'inclut pas les processus de rétroaction entre l'atmosphère, la terre et l'océan. Il peut y avoir des limites à relier les changements saisonniers du ruissellement du fleuve Amazone et la salinité de l'océan APR, ainsi que des réponses saisonnières irréalistes. En outre, des études antérieures ont montré que l'écoulement du fleuve Amazone peut influencer les interactions air-mer dans l'Atlantique tropical et les hauteurs régionales du niveau de la mer, ce qui pourrait avoir des effets considérables sur l'AMOC (Atlantic meridional renversement circulation), les principaux courants océaniques de l' Atlantique . . ] a…

    Il convient de noter que les modes de variabilité naturelle décennale et multidécennale , tels que la variabilité décennale du Pacifique (PDV), la variabilité interdécennale du Pacifique (IPV) ou la variabilité multidécennale de l'Atlantique (AMV), constituent des facteurs possibles à grande échelle pour les changements dans la saisonnalité des précipitations sur des échelles de temps plus longues, qui se sont révélées dans certaines études comme étant plus influentes que les influences anthropiques dans le bassin amazonien dans les observations et les simulations de modèles climatiques .

    La citation est déjà très longue, c'est en partie pourquoi je terminerai par là ; Mais deux choses importantes ressortent : premièrement, l’océan Atlantique semble jouer un rôle plus important dans ce qui se passe dans le bassin amazonien que les autres océans.¨

    Et deuxièmement : quoi qu’il arrive dans le Pacifique – actuellement El Niño – « certaines études se sont révélées plus influentes que les influences anthropiques ».

    Traduit du jargon technique, cela signifie également ici qu’il n’a jusqu’à présent guère semblé possible d’imputer, plus ou moins sans enthousiasme, les événements actuels (la sécheresse) au « changement climatique provoqué par l’homme™ ».

    Mais qu’est-ce qui alimente la sécheresse en Amazonie ?

    Enfin, regardons brièvement un article de Lucas Ferrante dans The Conversation , qui dans une certaine mesure - apparemment involontairement - révèle quelque chose sur le contexte :

    La déforestation a été particulièrement dévastatrice dans la région BR-319 , dans le sud de l’État d’Amazonas, provoquée par l’accaparement des terres qui a fourni des terres bon marché aux éleveurs d’autres États. Cette déforestation a à son tour augmenté le nombre d’incendies, aggravant encore la crise climatique. Lorsqu’elles se produisent à proximité des berges des rivières, la déforestation accroît également le phénomène dit des « terres tombées » [orig. Les « terres tombées », ndlr] sont connues et ont drastiquement affecté le niveau d’eau des rivières…

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  17. Un autre facteur qui affecte considérablement le transport maritime est l’exploitation minière …

    Les barrages contribuent également à la sécheresse, notamment sur le fleuve Madère. Cela est dû en grande partie à la décomposition de la matière organique dans les réservoirs créés par les barrages, libérant dans l’atmosphère du méthane, un puissant gaz à effet de serre. De plus, la déforestation associée à la construction de barrages, ainsi que la dégradation et l'érosion des terres résultant de l'altération des écosystèmes aquatiques et terrestres , peuvent augmenter les émissions de gaz carbonique et d'autres polluants, contribuant ainsi aux impacts des barrages sur la pollution. changement climatique [la « réduction de la crise climatique™ »].

    Le fleuve Madère, qui a aujourd'hui son niveau d'eau le plus bas depuis près de 60 ans , a été radicalement affecté et modifié par les barrages de Jirau et Santo Antônio . Cela est dû au changement radical du débit naturel de la rivière provoqué par la retenue d'eau pour la production d'électricité ...[et] qui a un impact direct sur les écosystèmes aquatiques et terrestres de la région en perturbant le cycle de l'eau du bassin . La réduction de la quantité d'eau du fleuve Madère, par exemple, peut entraîner des périodes de sécheresse prolongées , affectant non seulement la faune aquatique et les habitats riverains, mais également les communautés locales qui dépendent du fleuve pour leur subsistance.

    Nous notons également que les plans d’eau en grande partie stagnants, tels que les réservoirs, se réchauffent également plus facilement que les rivières qui coulent.

    Nous apprenons en outre que M. Ferrante pointe principalement du doigt les humains, ce qui témoigne en quelque sorte d'une contribution anthropique spécifique, sans pour autant faire référence « directement » à « la crise climatique™ ».

    Si je peux commenter cela en tant que parent, je dirais que c'est similaire à mes enfants qui viennent me voir et prétendent que peu importe le résultat (ou l'origine immédiate) de leur dispute, c'est une sorte de ", a-t-il déclaré. /elle a dit « l’argument est. Vous ne pouvez pas « gagner » de telles discussions, et personne ne peut comprendre le sujet initial de ces discussions.

    Réduction de la « crise climatique™ » – et fraude
    Comme le savaient les anciens Grecs, on ne peut pas se baigner deux fois dans le même fleuve.

    Et comme nous l’apprenons littéralement chaque jour, vous ne pouvez pas lire un seul article sans penser à sa « version », à son origine (im)directe et à l’ impact escompté .

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  18. Après avoir analysé les trois arguments principaux de l’article ci-dessus, j’aimerais discuter brièvement de la manière dont les « journalistes » font leur « travail » de nos jours.

    Comme mentionné, la personne (abréviation de l'auteur « sic ») qui a concocté l'article ci-dessus pour la norme . Cela figurait d'ailleurs dans la section « Une question de point de vue », mais ne contenait aucune référence à un employé en particulier. Au moins, il aurait été poli de faire référence à l’article de Reuters précédemment lié.

    Si vous voulez quelque chose qui vous fasse sourire à ce stade, je citerai le « Code d'honneur » - les « Lignes directrices pour garantir l'indépendance journalistique » - de l' équipe éditoriale du Standard , dont les employés...

    ...tenir compte avec une attention particulière des obligations légales et éthiques professionnelles de la presse concernant les informations privilégiées, résumées par le Conseil autrichien de la presse dans la publication « Principes pour le travail journalistique (Code d'honneur de la presse autrichienne) » ou « Directives du Conseil autrichien de la presse sur l'information financière et économique ».

    Oui, vous avez bien lu : pour la rédaction du Standard , dont l’employé, en accord avec le chef du département, a simplement traduit un article de Reuters et ajouté de l’agit-prop, cette procédure relève apparemment des « obligations éthiques professionnelles » habituelles.

    Chers rédacteurs, vous devriez avoir honte - et aussi vous réjouir que la « contribution » mentionnée ne soit pas une dissertation à l'université - car cela a des conséquences, comme l'exclusion des études.

    À mon avis, le plagiat dans le domaine universitaire n’est guère plus qu’une tricherie (semblable, par exemple, au dopage dans le sport professionnel). Ce que Der Standard appelle ici « journalisme » est le même.

    Néanmoins, notons : s’il y a une chose que Der Standard a faite à elle seule, pour ainsi dire, qui pourrait être interprétée comme une « contribution indépendante », c’est bien l’ajout de la tournure incontestée requise par l’ inquisition climatique , à partir de laquelle nous supposons que « l’intention » peut se conclure par rapport au contenu de l’agit-prop et de la propagande.

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  19. épilogue

    Je ne veux pas prétendre que je sais tout sur la « crise climatique™ », mais il est évident que j’en parle « plus » que le « journaliste » (attitude) moyen.

    Au contraire, cet article est un autre appel clair à vérifier toutes les informations grâce à vos propres recherches (qui incluent explicitement ce que vous lisez ici).

    Et – cliquez sur l’ article de Reuters pour voir plus d’images d’Amazonie, notamment les vestiges archéologiques.

    Semblable aux archéologues norvégiens, qui ne cessent de tomber sur des artefacts impressionnants du passé, mais ne se posent même pas la question essentielle : SI le récit dominant (« bâton de hockey ») du « changement climatique™ » est correct, alors comment est-ce possible, expliquez-vous ces résultats ?

    Éviter cette question est révélateur.

    https://tkp.at/2023/10/30/duerre-im-amazonas-klima-propaganda-im-standard/

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    Réponses
    1. (...) Le Rio Negro, qui se jette dans l'Amazonie, a perdu 15 mètres de profondeur depuis juillet. (...)

      Le débit des sources dépend des entrées d'infiltrations océaniques. Compte tenu des tremblements de terres (sous-marins à 78 %) des galeries d'eau (aux planchers océaniques) s'ouvrent ou se ferment, ce qui peut augmenter ou réduire donc l'arrivée d'eau aux sources et nappes phréatiques.

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  20. Lettre ouverte à madame Agnès Pannier-Runacher : la Commission européenne a l’obligation de favoriser l’industrie nucléaire

    Lettre ouverte de Michel Gay à destination d’Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition énergétique, pour appeler la ministre à exiger de la Commission européenne des preuves de la mise en application d’une politique œuvrant à la croissance rapide d’une puissante industrie nucléaire.


    le 29 octobre 2023
    Michel Gay


    Madame la ministre de la Transition énergétique,

    Cette lettre ouverte souhaite attirer votre attention sur la récente attitude en 2023 de la Commission européenne concernant la prise de position favorable à l’atome de la Cour de Justice de l’Union Européenne (CJUE) en 2020.

    J’ai interrogé par courrier la présidente de la Commission européenne, madame Van der Leyen, sur sa politique nucléaire le 28 mars 2023 (PJ a812). Cette lettre a été publiée sous forme d’un article sur le site de Contrepoints le 30 mars 2023.

    Par la suite, j’ai échangé deux courriers par emails avec la Commission sous signature commune avec Lionel Taccoen.

    La présidente a confié sa réponse à deux hauts fonctionnaires de la Commission (Hans Rhein par courrier postal le 19 juin 2023 (PJ a812b) puis, suite à ma réponse du 22 juin (a812d), Andrei Ionut Florea par email le 19 juillet (PJ a812e) auquel j’ai répondu le 23 juillet (PJ a812f), et qui m’a écrit le 11 août (PJ a812h).

    Voici en résumé les échanges les plus marquants :

    Le 22 juin 2023

    Nous rappelons l’arrêt très favorable au nucléaire de la Cour de Justice de l’Union Européenne (CJUE) du 22 septembre 2020 (Affaire Autriche/Commission). Cet arrêt indique que le Traité Euratom a la même valeur que tout autre Traité européen et qu’il oblige l’UE « à créer les conditions nécessaires pour le développement rapide d’une puissante industrie nucléaire… et à faciliter les investissements, notamment en encourageant les initiatives des entreprises nécessaires à la réalisation des installations fondamentales », dont les centrales nucléaires font partie. (PJ a812d).

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  21. Le 19 juillet 2023

    La Commission, assure que cette dernière a toujours respecté « pleinement les décisions de la CJUE, y compris celles invoquées dans votre lettre » [arrêt de la CJUE du 22/09/2020]. (PJ a812e).

    Le 23 juillet 2023

    Nous suggérons un communiqué de la Commission afin de « clarifier » sa position sur l’atome en indiquant : qu’elle respecte « pleinement » le Traité Euratom ainsi que sa lecture par la CJUE, et que l’objectif de la Commission est bien une croissance rapide d’une puissante industrie nucléaire en encourageant des investissements dans la construction de centrales nucléaires (PJ a812f).

    À ce jour, la présidente n’a pas émis un tel communiqué.

    La Commission européenne, gardienne des Traités dont l’interprétation est de la responsabilité de la CJUE, ne peut s’écarter du Traité Euratom et de sa lecture par la Cour, comme l’a rappelé la Commission dans sa lettre du 19 juillet 2023.

    La politique nucléaire de la Commission, obligatoirement conforme à l’Arrêt de la CJUE de 2020, doit donc avoir pour objectif « une croissance rapide d’une puissante industrie nucléaire ».

    Toute partie autorisée peut donc exiger de la Commission des preuves de mise en œuvre d’une telle politique sous peine de recours devant la CJUE.

    Veuillez agréer, Madame la ministre, l’expression de mes respectueuses salutations.

    6 Pièces-jointes :

    Ma lettre à la Présidente de la Commission du 23 mars 2023 (a812)
    La réponse de la Commission par Hans Rhein du 19 juin 2023 (a812b)
    Ma réponse du 22 juin 2023 (a812d)
    La réponse de la Commission par Andrei Ionut Florea du 19 juillet 2023 (a812e)
    Ma réponse du 22 juillet 2023 (a812f)
    La réponse de la Commission par Andrei Ionut Florea du 11 août 2023 (a812h)

    https://www.contrepoints.org/2023/10/29/466025-lettre-ouverte-a-madame-agnes-pannier-runacher-la-commission-europeenne-a-lobligation-de-favoriser-lindustrie-nucleaire

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  22. Percée en matière d'énergie propre : le microréacteur nucléaire eVinci de Westinghouse reçoit un contrat du DOE


    27/10/2023
    Cassie B.


    Le ministère de l’Énergie a attribué au microréacteur eVinci de Westinghouse un prestigieux contrat d’ingénierie frontale et de conception d’expériences (FEEED), qui contribuera au déploiement du réacteur d’essai nucléaire de l’entreprise à l’Idaho National Lab (INL).

    Le microréacteur nucléaire marque une avancée énergétique significative, fournissant une énergie sûre, sans carbone, facilement évolutive et hautement portable. Il peut être utilisé pour fournir du chauffage et de l’électricité à tout, depuis les centres de données et les installations de défense jusqu’aux opérations minières, aux communautés isolées et éventuellement à la surface de la Lune.

    Ce qui le distingue des autres solutions est son faible nombre de pièces mobiles, qui lui permet de fonctionner comme une batterie tout en fournissant jusqu'à 5 mégawatts d'électricité 24 heures sur 24 pendant plus de huit ans sans avoir besoin de faire le plein. Il n’a pas besoin d’eau pour son fonctionnement ou son refroidissement, et le combustible usé peut être envoyé au fabricant pour un stockage à long terme. Il est également capable de fournir de la chaleur à haute température pour une gamme d’applications industrielles, telles que la production de carburants alternatifs comme l’hydrogène.

    Un autre avantage de ce nouveau microréacteur est qu'il est entièrement assemblé en usine et peut être envoyé sur le site où il doit être utilisé dans un conteneur d'expédition par camion, barge ou train. Il est installé au-dessus du sol et nécessite un minimum de personnel sur place pour fonctionner, sécuriser et entretenir.

    Le microréacteur est piloté par la technologie avancée de caloducs de Westinghouse, qui offre une fiabilité supérieure et élimine une multitude de risques, depuis ceux liés à la perte de liquide de refroidissement et aux pressions élevées du système jusqu'aux vibrations et à la corrosion induite par l'écoulement auxquelles les systèmes à débit forcé sont vulnérables.

    Il est également doté de nombreuses fonctionnalités de sécurité passive, telles que des tambours de contrôle, des tiges d'arrêt et un système d'évacuation passive de la chaleur, ainsi que des capacités de surveillance à distance.

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  23. Westinghouse mise gros sur sa technologie de microréacteur nucléaire

    L'entreprise mise gros sur la technologie en créant un nouvel accélérateur et pôle technologique eVinci à Pittsburgh, où seront fabriqués tous les caloducs de l'unité de démonstration et des unités commerciales. L'entreprise a reçu une proposition de financement de plus d'un million de dollars du ministère du Développement communautaire et économique de Pennsylvanie pour soutenir l'installation de 87 000 pieds carrés, qui devrait être achevée au début de l'année prochaine.

    Le réacteur de test est une représentation d’un véritable microréacteur à l’échelle d’un cinquième. Il servira à finaliser la conception, à tester et à octroyer une licence pour sa technologie. Les tests seront effectués au banc d’essai DOME du National Reactor Innovation Center à l’INL. La phase du contrat FEEED verra l’équipe eVinci de Westinghouse collaborer avec l’INL pour développer un plan de test de réacteur de bout en bout.

    Le président d'eVinci Technologies chez Westinghouse, Jon Ball, a déclaré que l'entreprise était reconnaissante du soutien du DOE.

    « Nous sommes à un point d’inflexion et accélérons la commercialisation de notre technologie eVinci. Le partenariat du NRIC sera un catalyseur essentiel pour faire progresser la préparation technologique et l’octroi de licences », a-t-il déclaré.

    Patrick Fragman, PDG de la société, a déclaré qu'ils espèrent avoir plusieurs microréacteurs eVinci en service dans le monde d'ici la fin de la décennie.

    La secrétaire adjointe du ministère de l’Énergie chargée de l’énergie nucléaire, le Dr Kathryn Huff, a déclaré : « Ces technologies offriront des choix à diverses communautés qui cherchent à faire la transition vers un avenir énergétique propre. »

    Les microréacteurs nucléaires sont présentés comme un moyen sûr de générer de petites quantités d’électricité utiles, capables de faire fonctionner un site comme un hôpital ou un complexe militaire sans occuper beaucoup d’espace. Cela ne coûte également qu’une fraction de l’énergie nucléaire traditionnelle.

    Les sources de cet article incluent :

    Info.WestinghouseNuclear.com
    WestinghouseNuclear.com

    https://www.naturalnews.com/2023-10-27-evinci-nuclear-microreactor-westinghouse-receives-doe-contract.html

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  24. Embarrassant : un véhicule électrique primé fait un « bruit étonnamment fort » et perd de la puissance pendant les tests


    27/10/2023
    Zoey Sky


    Les testeurs ont noté la soudaine « détonation » émise par une voiture de luxe Lucid Air Grand Touring pendant les tests. Ils ont également subi une perte de puissance alors qu’ils conduisaient le véhicule électrique de luxe. Les testeurs conduisaient un véhicule électrique qui a remporté le prix de la Voiture de l'année 2022 du magazine automobile, qui coûte environ 125 600 $ neuf.

    L'écrivain Erick Ayapana a détaillé son récit de la panne du VE survenue il y a plusieurs mois dans un article publié le 17 octobre. Selon Ayapana, ce qui "était censé être un test amusant et de routine" du VE s'est transformé en "un test d'une heure" de supplice."

    Les testeurs ont commencé les tests instrumentés avec un freinage à 60-0 miles par heure (mph). Le Lucid a exécuté six de ces tests, ainsi qu'un test supplémentaire allant de 100 à 0 mph, sans problème.

    Après le freinage, Ayapana a déclaré qu'ils étaient passés aux tests d'accélération. Le Lucid Air dispose d’un système de contrôle de lancement facile à activer, et l’utilisation du contrôle de lancement donne généralement les meilleurs résultats.

    Tout d'abord, l'un des pilotes d'essai a sélectionné le mode sprint, le « réglage de conduite le plus sportif », en appuyant fermement sur la pédale de frein avec son pied gauche et en appuyant à fond sur l'accélérateur avec son pied droit. Après quelques secondes, un message « mode lancement activé » apparaît au tableau de bord.

    Ensuite, le conducteur a relâché la pédale de frein et a tenu le coup tandis que le Lucid sortait de l'arrêt avec une force impressionnante. Quelque part entre 40 et 60 mph, ils ont soudainement entendu une « détonation étonnamment forte », suivie d'une soudaine perte de puissance.

    Finalement, le Lucid s'est arrêté en roue libre, les freins et la direction étant toujours opérationnels. Ensuite, le groupe d'instruments s'est allumé avec des voyants d'avertissement et des messages d'erreur, notamment « Défaut du système d'entraînement, contactez le service client ». (Connexe : Une explosion massive dans un entrepôt de batteries pour véhicules électriques en Ouzbékistan tue un garçon de 15 ans et en blesse 163.)

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  25. Les testeurs ont alors décidé de retirer la voiture de la piste d'essai parce qu'ils étaient à la fin du temps imparti et risquaient de retarder les essais de la journée. Après 20 à 30 minutes de blocage sur la piste, le personnel de l'établissement a décidé de remorquer la voiture jusqu'à un parking voisin.

    Lucid n'est toujours pas en mesure de fournir un diagnostic du problème
    Une fois le Lucid déchargé de la dépanneuse, il s’est apparemment réparé tout seul et a pu rouler normalement, mais avec un voyant toujours allumé. Les auteurs ont expliqué la situation à un représentant de Lucid, qui a décidé de faire remorquer le véhicule jusqu'à un centre de service à Los Angeles.

    Il était en réparation depuis plusieurs jours, a déclaré Ayapana. Plusieurs mois après l'incident, Lucid n'est toujours pas en mesure de fournir un diagnostic sur le problème.

    Le rédacteur adjoint Justin Banner, qui a également été témoin de l'incident, a suggéré qu'il s'agissait d'un problème similaire qui a touché la Ford Mach-E et a conduit au rappel de près de 50 000 véhicules.

    Le rapport de Banner sur le rappel de Ford a révélé que le problème pouvait être attribué aux « contacteurs du Mach E – essentiellement un interrupteur à commande électrique permettant à la batterie haute tension de se connecter à son système moteur – qui sont soit surchauffés, soit déformés pour les empêcher d'entrer en contact. (et rester ouvert, coupant le courant) ou se souder fermé.

    Ford a affirmé que le problème était dû à l’utilisation répétée de la charge rapide CC et à la conduite à plein régime. Peu de temps après, Ford a publié une mise à jour logicielle pour résoudre le rappel.

    Ayapana a déclaré qu'ils ne pouvaient qu'espérer que Lucid travaille sur une solution similaire pour éviter les problèmes qu'ils ont rencontrés.

    Apprenez-en davantage sur les dangers des véhicules électriques sur RoboCars.news.

    Regardez la vidéo ci-dessous pour en savoir plus sur l’arnaque aux voitures électriques basée sur le changement climatique artificiel.

    Cette vidéo provient de la chaîne Mike Martins sur Brighteon.com.

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  26. Plus d'histoires connexes:

    La promotion des véhicules électriques est l’objectif politique gouvernemental le plus mal conçu de l’histoire moderne, déclare l’auteur du livre Ron Ross.

    Une voiture électrique EXPLOSE dans une allée et met le feu à la maison familiale après un dysfonctionnement de la batterie.

    Ford suspend la construction d'une usine de batteries pour véhicules électriques d'une valeur de 3,5 milliards de dollars dans le Michigan, au milieu d'un examen minutieux de l'implication du PCC dans le projet.

    Les sources incluent :

    WesternJournal.com
    MotorTrend.com
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2023-10-27-electric-car-loses-power-loud-bang-testing.html

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  27. Les investisseurs dans l’énergie éolienne abandonnent Siemens Energy – une autre baisse choquante de 37 %, et ce n’est pas la seule


    Par Jo Nova
    October 28th, 2023


    C’est désastreux. Après avoir subi une chute de 36 % en juin en raison de factures de maintenance étonnamment mauvaises, Siemens Energy a encore perdu 37 % jeudi en révélant que les commandes et les revenus seraient encore inférieurs aux attentes actuellement modérées. L'action qui se vendait à 24 euros en mai se vend désormais à 7.

    - voir graph sur site -

    Cours de l'action Siemens en euros.
    Bourse de Francfort

    Les choses vont tellement mal qu'Olaf Scholz, chancelier allemand, a même déclaré que Siemens Energy était « très important ». Apparemment, les négociations sont « intensives », ce qui signifie probablement que l’entreprise est aux portes de la mort et qu’il est demandé au gouvernement allemand d’aider à la sauver.

    Nous arrivons ainsi au point où une entreprise vendant des produits qui dépendent de subventions gouvernementales demande désormais à être elle-même subventionnée. Et l’ensemble de l’industrie verte dépendait en premier lieu de la « science » pompée par le gouvernement et de taux d’intérêt artificiellement bas pour exister. Comme un système pyramidal qui skie sur deux escroqueries à la Ponzi, il doit tôt ou tard s’effondrer.

    Tyler Durden, ZeroHedge

    Les actions de Siemens Energy s'effondrent de 37 % alors que la crise des énergies renouvelables déclenche une « panique verte »
    Les actions de Siemens Energy en Allemagne se sont effondrées jeudi après que la société a averti que son activité d'éoliennes était aux prises avec des problèmes de qualité et des défis de montée en puissance offshore. L’entreprise a déclaré qu’elle évaluait diverses mesures visant à renforcer son bilan et qu’elle discutait des garanties d’État avec le gouvernement allemand. Cela survient alors qu’une crise financière dans l’énergie éolienne offshore se prépare.

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  28. Les derniers titres sur Orsted disent tout :

    Orsted : Le projet Sunrise Wind risque d'être abandonné après l'échec de l'obtention de subventions supplémentaires ; Actions bon marché
    Il y a une semaine, Deutsche Bank « a réduit de 36 % ses prévisions de cours sur 12 mois pour le géant danois de l’énergie Ørsted, en invoquant des retards chez les fournisseurs, une baisse des crédits d’impôt et une hausse des taux ». -CNBC

    Les choses n’ont pas non plus été vraiment bonnes pour Vestas :
    Vestas est également en baisse de 30 % cette année.

    - voir graph sur site -

    Cours de l’action Vesta.
    Bourse de Francfort

    Malgré des subventions massives, de nombreuses bonnes intentions et des réglementations draconiennes sur les concurrents des combustibles fossiles, l’énergie verte ne fonctionne pas et Net Zéro n’est qu’un pur fantasme.

    Il s'agit du rotor du plus récent et du plus grand Siemens SG 14MW offshore. Regardez la taille de ces machines.

    En théorie, il finira calé sur une tige de 140 mètres de haut au-dessus des vagues de l'océan, ou quelque chose comme ça. Les pales mesurent 115 m de long. Imaginez le réparer.

    à destination de StJohnofGrafton

    https://joannenova.com.au/2023/10/wind-power-investors-abandon-siemens-energy-another-shocking-37-fall/

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  29. Promesse et danger de la décarbonation

    Erik Berglöf est économiste en chef de la Banque asiatique d’investissement pour les infrastructures. Il s’inquiète de l’augmentation de la dette des Etats devant la nécessité de réduire les émissions mondiales de carbone.


    Par Erik Berglöf
    le 28 octobre 2023 à 9h30

    Les pays en voie de développement auront besoin de 1.700 milliards de dollars d’investissements annuels pour accomplir la transition écologique.

    Pour limiter le réchauffement climatique à 1,5° Celsius, il indispensable de décarboner l’ensemble du monde. Seulement voilà, conduire les économies émergentes à atteindre trop rapidement zéro émission nette risquerait d’entraîner une explosion de la dette libellée en dollar ainsi que de l’instabilité financières dans les pays en voie de développement. L’intégration de ces pays à l’effort de décarbonation nécessite par conséquent une stratégie plus nuancée.

    Au cours de l’année dernière, dirigeants politiques et chercheurs, pour certains issus des pays en voie de développement, ont proposé des solutions à ce dilemme. Tandis que se réunissent les dirigeants mondiaux à l’occasion des réunions annuelles du Fonds Monétaire International et de la Banque mondiale, du 9 au 15 octobre 2023 à Marrakech, trois propositions en particulier méritent d’être sérieusement débattues.

    Bien que les économies émergentes et en voie de développement aient peu contribué à la crise climatique, leurs émissions de dioxyde de carbone augmentent aujourd’hui rapidement. Pour atteindre la croissance économique qu’attendent leurs citoyens, pour respecter leur budget carbone et pour s’éloigner des énergies fossiles, il est nécessaire que ces pays investissent massivement dans les technologies vertes, financées principalement par les flux de capitaux internationaux.

    D’après les prévisions formulées par la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement, dans son Rapport 2023 sur l’investissement dans le monde, les pays en voie de développement auront besoin de 1 700 milliards $ d’investissements annuels pour accomplir la transition écologique. En 2022, ils ne sont parvenus à obtenir que 544 milliards $. La plupart de ces financements sont libellés en dollar, ce qui alourdit la charge de la dette de pays à revenu faible déjà en difficulté pour honorer leurs obligations existantes à la suite de la pandémie de COVID-19, ainsi que de l’invasion de l’Ukraine par la Russie. L’option consistant à recourir à d’autres financements en devises étrangères semble tout aussi peu réaliste, les revenus de ces pays étant pour l’essentiel libellés en monnaie locale.

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  30. Les trois propositions actuellement débattues se complètent. La plus connue, l’Initiative de Bridgetown 2.0, place le financement en monnaie locale au premier plan du débat politique mondial. Dans sa première version, l’Initiative de Bridgetown, soutenue par la Première ministre barbadienne Mia Amor Mottley et son conseiller climatique, l'économiste Avinash Persaud, portait sur l’émission de droits de tirage spéciaux (DTS, l’actif de réserve du FMI). La nouvelle version exhorte le FMI et les banques multilatérales de développement (BMD) à proposer des garanties subventionnées tenant compte des risques monétaires mal évalués, réduisant ainsi les coûts d'emprunt pour les pays en voie de développement.

    La deuxième proposition consiste à développer et fournir des garanties au fonds TCX, basé à Amsterdam, un mécanisme de mutualisation des risques conçu pour conférer aux pays à revenu faible un moyen de protection efficace et rentable face aux fluctuations monétaires. La troisième proposition encourage les BMD et les institutions bilatérales de financement du développement à renforcer leurs exigences en termes de liquidités, grâce à une plateforme « onshore » opérant en monnaies locales.

    Bien que ces trois propositions soient adaptées à des pays et contextes économiques différents, avec des effets variés sur l’évolution à long terme des monnaies locales et des marchés financiers intérieurs, elles peuvent être développées à plus grande échelle. L’Initiative de Bridgetown, par exemple, se concentre sur les grands émetteurs au sein des économies émergentes et en voie de développement. C’est essentiel pour maintenir les températures mondiales en dessous du seuil de 1,5°C, et cela pourrait également être appliqué à de nombreux pays développés.

    De même, bien que TCX traite principalement de monnaies plus volatiles et d’envergure réduite, le mécanisme onshore proposé serait adapté aux pays disposant d'institutions suffisamment matures. Ce groupe pourrait être élargi pour inclure des économies plus conséquentes et plus développées, permettant ainsi une plus grande variété de mécanismes de couverture.

    L’Initiative de Bridgetown évoque l’existence d’une prime pour la couverture du risque de change dans les économies émergentes et en voie de développement. Bien que les défenseurs de l’initiative aient présenté une analyse empirique détaillée indiquant la réalité d’une telle prime, son impact reste déterminer. Pour autant, l’argument principal selon lequel investir dans les technologies vertes au sein de ces pays serait beaucoup plus coûteux que dans les économies avancées apparaît indéniablement convainquant.

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  31. La stratégie du fonds TCX repose sur le manque de corrélation entre les différentes monnaies. Naturellement, plus TCX inclut de monnaies, plus les avantages de la mutualisation sont importants. Par opposition, la justification économique de la plateforme onshore provient de la réduction attendue des coûts de couverture lorsque les intermédiaires ont accès aux monnaies locales. Bien que la possibilité d’élargissement de cette approche soit encore incertaine, il existe bel et bien un potentiel de réalisation d’économies d'échelle.

    Pour éviter un effondrement financier, il est nécessaire que la communauté internationale aide les pays émergents et en voie de développement à gérer d’énormes flux de capitaux. Les trois propositions devraient être combinées à des efforts renouvelés pour renforcer les institutions et les marchés locaux. Le mécanisme onshore, à la différence des deux autres propositions, pourrait permettre de progresser sur cette voie en opérant en collaboration avec les banques centrales et les prêteurs commerciaux.

    L’urgence et l’importance mondiale de la crise climatique créent une opportunité unique de promouvoir cet agenda. Renforcer la capacité des pays en voie de développement à mobiliser l'épargne intérieure et stabiliser les fluctuations monétaires produirait des avantages bien au-delà de la transition vers la neutralité carbone.

    Par ailleurs, le mécanisme onshore proposé, qui faciliterait une coordination accrue entre les BMD, s’inscrit en phase avec l'objectif plus large consistant à rationaliser le système financier international. Actuellement, les agences de notation pénalisent les BMD pour leur manque d’accès aux mêmes réserves de liquidité que les banques commerciales. Or, en coordonnant leur gestion de la liquidité, les prêteurs multilatéraux pourraient augmenter considérablement leur capacité de prêt.

    Bien que le développement des marchés en monnaies locales et des marchés de capitaux demeure jusqu’à présent limité, l’espoir est permis. Les récents chocs au sein du système international ont moins affecté les économies émergentes que les crises précédentes, ce qui témoigne d'une plus grande résilience macroéconomique.

    L’augmentation des niveaux d'endettement suscite néanmoins de nouvelles inquiétudes, en particulier dans les pays les plus vulnérables aux effets du changement climatique. Renforcer la résilience de ces économies est essentiel non seulement pour la stabilité du système financier mondial, mais également pour maintenir la dynamique de lutte contre le changement climatique.

    https://www.economiematin.fr/decarbonation-economie-dette-pays-developpement-berglof

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    1. La 'décarbonisation' (enlever le gaz carbonique !!) NE PEUT AVOIR LIEU !
      Because que la combustion de notre masse ferrique incandescente (à 30 km sous nos pieds) en produit continuellement et que ce gaz se recycle continuellement dans l'atmosphère (sans quoi la vie sur Terre n'aurait JAMAIS pu avoir lieu) !

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  32. Comment le fonds d'investissement Blackrock a déclenché la crise énergétique mondiale
    "Adhésion au programme de développement durable des Nations Unies à l'horizon 2030". Désinvestissement colossal dans le secteur pétrolier et gazier mondial qui pèse des milliers de milliards de dollars.


    Par F. William Engdahl
    Recherche mondiale,
    28 octobre 2023


    La plupart des gens sont déconcertés par ce qui constitue une crise énergétique mondiale, avec des prix du pétrole, du gaz et du charbon qui montent simultanément et forcent même la fermeture de grandes usines industrielles telles que celles de la chimie, de l’aluminium ou de l’acier.

    L’administration Biden et l’UE ont insisté sur le fait que tout cela était dû aux actions militaires de Poutine et de la Russie en Ukraine. Ce n'est pas le cas. La crise énergétique est une stratégie planifiée de longue date par les milieux économiques et politiques occidentaux pour démanteler les économies industrielles au nom d’un programme vert dystopique . Cela trouve ses racines dans la période bien antérieure à février 2022, lorsque la Russie a lancé son action militaire en Ukraine.

    Blackrock pousse l’ESG

    En janvier 2020, à la veille des confinements liés au Covid, économiquement et socialement dévastateurs, le PDG du plus grand fonds d'investissement au monde, Larry Fink de Blackrock, a publié une lettre à ses collègues de Wall Street et aux PDG d'entreprises sur l'avenir des flux d'investissement. Dans le document, modestement intitulé « Une refonte fondamentale de la finance » , Fink, qui gère le plus grand fonds d'investissement au monde avec quelque 7 000 milliards de dollars alors sous gestion, a annoncé un changement radical pour l'investissement des entreprises. L’argent « passerait au vert ». Dans sa lettre de 2020, Fink a déclaré :

    « Dans un avenir proche – et plus tôt que prévu – il y aura une réallocation importante du capital… Le risque climatique est un risque d’investissement. » Il a ajouté : « Chaque gouvernement, entreprise et actionnaire doit faire face au changement climatique. » [i]

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  33. Dans une lettre distincte adressée aux clients investisseurs de Blackrock, Fink a présenté le nouveau programme d'investissement en capital. Il a déclaré que Blackrock abandonnerait certains investissements à forte teneur en carbone, comme le charbon, la plus grande source d'électricité des États-Unis et de nombreux autres pays. Il a ajouté que Blackrock examinerait les nouveaux investissements dans le pétrole, le gaz et le charbon pour déterminer leur adhésion à la « durabilité » de l’Agenda 2030 des Nations Unies.

    Fink a clairement indiqué que le plus grand fonds mondial commencerait à désinvestir dans le pétrole, le gaz et le charbon. "Au fil du temps", écrit Fink, "les entreprises et les gouvernements qui ne répondent pas aux parties prenantes et ne s'attaquent pas aux risques liés au développement durable se heurteront à un scepticisme croissant de la part des marchés et, par conséquent, à un coût du capital plus élevé." Il a ajouté que « le changement climatique est devenu un facteur déterminant dans les perspectives à long terme des entreprises… nous sommes à la veille d'une refonte fondamentale de la finance. » [ii]

    À partir de ce moment-là, l’investissement dit ESG, pénalisant les entreprises émettrices de CO2 comme ExxonMobil, est devenu à la mode parmi les hedge funds, les banques de Wall Street et les fonds d’investissement dont State Street et Vanguard. Telle est la puissance de Blackrock. Fink a également réussi à convaincre quatre nouveaux membres du conseil d'administration d'ExxonMobil de s'engager à mettre fin aux activités pétrolières et gazières de la société.

    La lettre de Fink de janvier 2020 était une déclaration de guerre de la grande finance contre l’industrie énergétique conventionnelle. BlackRock a été membre fondateur du Groupe de travail sur les informations financières liées au climat (TCFD) et est signataire des PRI de l'ONU (Principes pour l'investissement responsable), un réseau d'investisseurs soutenu par l'ONU qui encourage l'investissement zéro carbone en utilisant l'ESG hautement corrompu. critères— Facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance dans les décisions d’investissement. Il n’existe aucun contrôle objectif sur les fausses données pour l’ESG d’une entreprise. Blackrock a également signé la déclaration du Vatican de 2019 préconisant des régimes de tarification du carbone. BlackRock a également rejoint en 2020 Climate Action 100, une coalition de près de 400 gestionnaires d’investissement gérant 40 000 milliards de dollars américains.

    Avec cette lettre fatidique du PDG de janvier 2020, Larry Fink a déclenché un désinvestissement colossal dans le secteur pétrolier et gazier mondial, qui pèse des milliers de milliards de dollars. Notamment, la même année, Fink de BlackRock a été nommé au conseil d'administration du Forum économique mondial dystopique de Klaus Schwab, le lien entre les entreprises et les politiques de l'Agenda zéro carbone des Nations Unies pour 2030. En juin 2019, le Forum économique mondial et les Nations Unies ont signé un accord stratégique. cadre de partenariat pour accélérer la mise en œuvre de l’Agenda 2030. Le WEF dispose d'une plateforme de renseignement stratégique qui comprend les 17 objectifs de développement durable de l'Agenda 2030.

    Dans sa lettre au PDG de 2021, Fink a redoublé d’attaques contre le pétrole, le gaz et le charbon. "Étant donné l'importance cruciale de la transition énergétique pour les perspectives de croissance de chaque entreprise, nous demandons aux entreprises de divulguer un plan sur la façon dont leur modèle commercial sera compatible avec une économie nette zéro", a écrit Fink. Un autre responsable de BlackRock a déclaré lors d’une récente conférence sur l’énergie : « là où BlackRock va, d’autres suivront ». [iii]

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  34. En seulement deux ans, d’ici 2022, on estime que 1 000 milliards de dollars auront été retirés des investissements dans l’exploration et le développement pétroliers et gaziers à l’échelle mondiale. L’extraction pétrolière est une activité coûteuse et l’arrêt des investissements externes par BlackRock et d’autres investisseurs de Wall Street signifie la mort lente de l’industrie.

    Vidéo : BlackRock, la société qui possède le monde

    - voir sur site -

    Biden : un président de BlackRock ?
    Au début de sa candidature présidentielle alors terne, Biden a eu une réunion à huis clos fin 2019 avec Fink qui aurait dit au candidat : ​​« Je suis là pour aider ». Après sa rencontre fatidique avec Fink de BlackRock, le candidat Biden a annoncé : « Nous allons nous débarrasser des combustibles fossiles… » En décembre 2020, avant même l'investiture de Biden en janvier 2021, il a nommé Brian Deese, responsable mondial de l'investissement durable de BlackRock. être assistant du président et directeur du Conseil économique national. Ici, Deese, qui a joué un rôle clé pour Obama dans la rédaction de l’Accord de Paris sur le climat en 2015, a discrètement façonné la guerre de Biden contre l’énergie.

    Cela a été catastrophique pour l’industrie pétrolière et gazière. Deese, l'homme de Fink, s'est employé à donner au nouveau président Biden une liste de mesures anti-pétrolières à signer par décret dès le premier jour en janvier 2021. Cela comprenait la fermeture de l'énorme oléoduc Keystone XL qui amènerait 830 000 barils par jour du Canada jusqu'en janvier 2021. comme les raffineries du Texas, et l'arrêt de tout nouveau bail dans l'Arctic National Wildlife Refuge (ANWR). Biden a également rejoint l’Accord de Paris sur le climat que Deese avait négocié pour Obama en 2015 et que Trump avait annulé.

    Le même jour, Biden a mis en œuvre une modification du soi-disant « coût social du carbone » qui impose une taxe punitive de 51 dollars la tonne de CO2 à l’industrie pétrolière et gazière. Cette seule décision, prise sous l’autorité purement exécutive sans le consentement du Congrès , entraîne un coût dévastateur pour les investissements dans le pétrole et le gaz aux États-Unis, un pays qui, seulement deux ans auparavant, était le plus grand producteur de pétrole au monde.[iv]

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  35. Tuer la capacité des raffineries

    Pire encore, les règles environnementales agressives de Biden et les mandats d'investissement ESG de BlackRock tuent la capacité de raffinage américaine. Sans raffineries, le nombre de barils de pétrole que vous extrayez de la réserve stratégique de pétrole n’a pas d’importance. Au cours des deux premières années de la présidence de Biden, les États-Unis ont fermé environ 1 million de barils par jour de capacité de raffinage d'essence et de diesel, certaines en raison de l'effondrement de la demande liée au covid, la baisse la plus rapide de l'histoire des États-Unis. Les arrêts sont permanents. En 2023, une capacité supplémentaire de 1,7 million de b/j devrait être fermée en raison du désinvestissement ESG de BlackRock et de Wall Street et de la réglementation Biden. [v]

    Citant le désinvestissement massif de Wall Street dans le pétrole et les politiques anti-pétrolières de Biden, le PDG de Chevron a déclaré en juin 2022 qu'il ne croyait pas que les États-Unis construiraient un jour une autre nouvelle raffinerie.[vi]

    Larry Fink, membre du conseil d'administration du Forum économique mondial de Klaus Schwab, est rejoint par l'UE dont la présidente de la Commission européenne, la notoirement corrompue Ursula von der Leyen, a quitté le conseil d'administration du WEF en 2019 pour devenir chef de la Commission européenne. Son premier acte majeur à Bruxelles a été de faire adopter le programme européen Zero Carbon Fit for 55. Cela a imposé d’importantes taxes sur le carbone et d’autres contraintes sur le pétrole, le gaz et le charbon dans l’UE bien avant les actions russes de février 2022 en Ukraine. L’impact combiné du programme ESG frauduleux de Fink dans l’administration Biden et de la folie zéro carbone de l’UE crée la pire crise énergétique et inflationniste de l’histoire.

    *

    F. William Engdahl est consultant en risques stratégiques et maître de conférences. Il est titulaire d'un diplôme en politique de l'Université de Princeton et est un auteur à succès sur le pétrole et la géopolitique.

    Il est chercheur associé au Centre de recherche sur la mondialisation.

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  36. Comme il y a des milliers d'années des criminels ont inventé des 'dieux' qui ne peuvent pas être vus, ni entendus, et qui seraient responsables de milliards de morts, d'autres criminels de la même secte ont inventé LA poussière invisible de chez invisible mais qui tuerait tout le monde !
    La mot 'virus' (vie russe ?) a été inventé pour désigner cette poussière qu'AUCUN laboratoire dans le monde n'a pu encore voir !! Cette 'vie russe' (appelée aussi 'chinoise sorti de Wuhan' !) est un poison, mais... ce poison n'est PAS dans l'air ! MAIS ALORS OÙ EST-IL ?? Il est... dans les seringues offertes avec son petit flacon injectable !

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  37. « La tolérance prend fin quand les gens pensent différemment ! »


    30 octobre 2023
    par le Dr. Rencontre avec Jesper Larsson


    À l'occasion d'une nouvelle (auto)célébration académique, il ne s'agit certes pas d'une citation littérale, mais la manière de penser, la direction et l'intention derrière l'engagement académique et confessionnel en faveur d'une tolérance globale ont été signifiées clairement et complètement sérieusement : ceux qui pensent les gens soi-disant non tolérants sont différemment les ennemis de la science, les négationnistes de la science, les sceptiques de la science, en particulier les négationnistes du corona, les refus et les opposants de la vaccination, les négationnistes du climat, les compréhensifs de Poutine, les négationnistes de la diversité et les propageurs de fausses nouvelles et information; Et il est important de remettre à leur place, voire de les exclure, des personnes aussi dangereuses qui pensent différemment et de manière erronée. Cela doit bien sûr être une tâche importante d’une académie responsable et solidaire.

    Des interdictions de parole, de réflexion ou même de travail sont-elles déjà envisageables ? Le discours des « négationnistes » de toutes nuances est connu et omniprésent dans le complexe politico-médiatique, dans la matrice de la propagande, au moins depuis trois ans ; qu'elle a officiellement trouvé sa place à l'académie, ce qui est révélateur du non-État actuel. Les gens ont visiblement (depuis longtemps) pris position, choisi un camp, ne se soucient plus du débat objectif, de la neutralité, de l’équilibre, de la science sobre. Au lieu de cela, ce qui est livré : du faste, des prix (Nobel), une affiche et une liste de conclusion.

    Le monde universitaire est devenu petit, un système fermé et exclusif, peu connecté à la réalité réelle. Même la contradiction interne de tous ces termes et définitions qui font partie de notre image de soi ne semble pas perceptible. Le scepticisme et la critique sont les traits fondamentaux productifs d'une approche scientifique (scepticisme, faillibilisme, falsificationnisme), ainsi que le « suspense du jugement », la distance et la lucidité, une pincée de cynisme, et cette sensibilité doit s'appliquer en particulier à la politique. les sujets et les agendas chargés du jour sont considérés comme une défense saine contre l’opportunisme et la conduite sociale à contre-sens. Des complots existent certes, par exemple sous la forme d'accords entre grandes entreprises pour faire respecter certains prix ou certaines pratiques commerciales, ou entre commissions et entreprises pour sécuriser la vente de certains produits, souvent pharmacologiques, sans risque (pour la commission et l'entreprise), bien sûr).

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  38. Théoriser signifie regarder derrière les phénomènes afin de découvrir et de comprendre les liens réels (ou d’expliquer là où il n’y en a pas). La science signifie faire cela d’une manière vérifiable et intersubjective. Ceux qui comprennent Poutine devraient être les bienvenus, car n’est-il pas important de comprendre « l’ennemi » et « l’adversaire » diabolisés ou simplement les voisins ? Aucune guerre n'a jamais commencé à la date officielle du début de la guerre, et aucune guerre ne s'est jamais terminée à la date officielle de la fin de la guerre ; Chaque guerre a généralement une histoire longue et compliquée et des conséquences longues et douloureuses (qui, malheureusement, en Europe, impliquent trop rarement l’acceptation et la réconciliation). L’oubli de l’histoire, voire le « déni » et non le révisionnisme, semble être le problème médiatique et académique d’aujourd’hui.

    Il y a certainement des découvertes en science, il y a du bien et du mal, et surtout il y a du bon et du mauvais savoir-faire, mais il n'y a pas de clé toute faite, pas de liste de conclusions (même pas sous forme de classements, d'indices de citation, de succès avec financement de tiers, prix, etc., voire évaluations par les pairs) et aucun expert capable de prédire quelles « mesures » sociales devront être prises le moment venu. Peut-être que « l’ennemi et le négationniste de la science » est justement celui qui s’oppose à ce fantasme technocratique ?

    Une simulation, une forme de science très douteuse qui doit être réalisée avec beaucoup de prudence et d'habileté, est, dans la mesure où elle est possible et ne se perd pas dans le bruit et le chaos, aussi bonne que les modèles, les hypothèses, les données. et le savoir-faire sur lequel il est basé Exécution. Ces quatre composantes peuvent être mises en doute, à juste titre, comme le montrent l’actualité récente et le débat (climatique) en cours.

    Pourquoi ne pouvons-nous pas admettre scientifiquement ce qui est évident : que l'expérience de contrôle socio-médical des trois dernières années, tant en ce qui concerne les interventions pharmaceutiques que non pharmaceutiques, a complètement échoué ? Tout comme les expériences de surveillance sociale en cours sous le terme collectif de « numérisation » (et/ou « intelligence artificielle ») échoueront également. Les termes vagues et les définitions dénuées de sens (comme « pandémie » ou « numérisation ») sont presque intrinsèquement autoritaires : ils déterminent tout et rien et peuvent donc être utilisés par ceux qui ont l’autorité pour les interpréter selon ce que veut le pouvoir. La vraie science aspire au contraire, à une clarté maximale, à une acuité maximale, à des définitions significatives, et donc anti-autoritaires et émancipatrices dans le meilleur sens du terme.

    https://tkp.at/2023/10/30/bei-andersdenkenden-hoert-die-toleranz-auf/

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    1. Aujourd'hui, la vérité intolérante est appelée 'I.A.' Ce programme conçu par et pour la dictature est là dès que quelqu'un ose dire la vérité scientifique. Elle ferme, bloque, censure, supprime les textes révélateurs de l'incontestabilité.

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  39. Phare ARD – ou : Les médias peuvent-ils être réformés ?


    29 octobre 2023
    par Andrea Drescher


    Le 29 octobre 1923 eut lieu la première émission de radio allemande depuis Berlin. Depuis lors, les médias allemands ont changé à plusieurs reprises en raison de l’environnement politique. Le code de la presse visait dès le départ à éviter les « périodes sombres » dans le travail médiatique. Mais les médias d’aujourd’hui sont-ils à la hauteur de cette affirmation ? Actuellement, la fourniture d'informations dans les médias grand public - en particulier dans les médias publics - doit être optimisée en raison de son caractère unilatéral. Dit prudemment.

    Il n’y a eu pratiquement aucun reportage sur les manifestations de l’OMS les 1er et 14 octobre 2023 à Vienne. Mais sans rapports complets qui donnent la parole à toutes les parties, les gens ne peuvent pas être pleinement informés – et prendre des décisions éclairées.

    Il est évident qu’il faut agir. Certains déficits sont comblés par les médias alternatifs, mais ils n’ont pas (encore) une portée comparable. Jimmy Gerum poursuit depuis deux ans une approche différente avec le projet de phare : Leuchtturm ARD ORF SRG . Jimmy Gerum est un producteur de cinéma allemand qui a participé à plusieurs films très connus depuis 1996, dont « The Deadmaker », « Cascadeur – La chasse à la chambre d'ambre », « Jusqu'à ce que vos pieds puissent porter » et « The Mur".

    Selon sa propre déclaration, l'objectif de Leuchtturm ARD est d'informer les principaux médias (locaux) des événements (locaux) sur des sujets importants tels que la paix et le mouvement démocratique. Et c'est international, donc ça s'adresse aussi à ORF, SRF, BBC ou CNN. Les créateurs de médias et les militants sont reliés via une application de navigateur accessible à tous gratuitement et sans téléchargement. Si tous les militants les utilisent, il sera impossible pour les créateurs de médias de continuer à détourner le regard.

    Qui se cache derrière ce projet ambitieux ? Pouvez-vous vous présenter?

    J'ai 59 ans, je suis marié et j'ai un fils de 19 ans. Je suis producteur de cinéma de profession. J'ai toujours été très intéressé par l'histoire et je fais des recherches en géopolitique depuis 2014.

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  40. C'était quoi 2014 ?

    J'ai rencontré Daniele Ganser en ligne, ce qui m'a incité à me lancer dans un voyage de recherche. La recherche est typique de mon métier. Cela m'est apparu clairement : le monde est mal informé, mais cela fait de nombreuses années que l'on peut obtenir des informations complètes sur Internet. J’ai également constaté que les grands médias sont responsables de cette désinformation car ils sont loin de respecter le code de la presse.

    C'est ainsi qu'est née l'idée d'un phare ?

    Oui. Je cherchais une solution pour mettre fin à la désinformation. Je ne m'intéresse pas aux réponses politiques individuelles, je veux simplement que le code de la presse soit respecté et qu'une concurrence équitable entre les idées politiques puisse naître.

    Comment est-ce possible?

    Lorsque la désinformation cesse, la paix en est automatiquement la conséquence. Ma conviction fondamentale : tous les conflits internationaux peuvent être résolus par des personnes pleinement informées autour de tables rondes au lieu de se terminer par la violence. L’éthique professionnelle du journalisme exige la prise en compte des intérêts individuels mondiaux qui entrent en conflit avec le bien commun.

    Pourquoi l'éthique ?

    La violation de cette éthique journalistique s’est produite progressivement et en partie inconsciemment, en raison de décennies d’endoctrinement. Il faut contrecarrer cela et cela ne peut se faire que par un dialogue à la hauteur des yeux. Nous avons besoin d’un discours ouvert et équitable à ce sujet.

    Nous devons rechercher le dialogue avec l'institution du quatrième pilier, car elle a pour mission de surveiller attentivement les évolutions indésirables de la politique. L’approche apaisée et respectueuse est cruciale pour que nous soyons écoutés.

    Que faites-vous – de manière très pratique ?

    En fin de compte, nous souhaitons utiliser notre outil pour entrer en contact avec tous les journalistes du monde entier et les informer de ce qui se passe dans leur région. À cette fin, tous les événements régionaux sont enregistrés – idéalement par les militants eux-mêmes. Nous vous invitons actuellement à plus de 200 événements chaque semaine par e-mail. De cette manière, nous informons les journalistes sur l’important travail de paix et d’éducation réalisé dans leur région.

    Nous vous invitons à des démonstrations, des conférences ou des ateliers sur des sujets critiques mais aussi à des discussions personnelles avec nous. Nous disposons actuellement d'environ 3 400 adresses, mais les invitations sont toujours pertinentes au niveau régional, de préférence de radiodiffusion publique, car nous pouvons exiger le droit d'y équilibrer.

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  41. Quelle est la taille de votre équipe ?

    Même si je suis la plaque tournante de la coordination, il est très important pour moi que nous soyons décentralisés. Cela fait partie de la stratégie. 50 villes sont activement impliquées, soit 50 phares dans lesquels des veillées sont désormais organisées devant les médias. L’idée derrière les veillées était Lighthouse 2.0. L’idée de base est que chaque ville devrait avoir un phare dédié à l’établissement de relations avec le journalisme local. Et lorsqu'il y a des événements dans ces villes, les organisateurs vous invitent via l'outil web. Environ 150 groupes organisationnels se sont joints à nous et organisent régulièrement des événements. Les organisateurs ont désormais envoyé environ 180 invitations et nous nous occupons du reste. Il y a environ 10 personnes qui aident de temps en temps, enregistrent des événements, rédigent et envoient des e-mails. Par exemple, j’ai invité une fois le New York Times à un événement pour la paix à New York.

    Vous parlez de Leuchturm 2.0 – que dois-je imaginer par là ?

    Nous sommes actuellement au Phare 4.0. Le développement a commencé il y a deux ans avec la version 1.0, l'arrêt de paiement légal du GEZ. Nous entamons la procédure d'opposition contre le GEZ. Ce refus de paiement donne lieu à des poursuites judiciaires contre la désinformation. Il y a actuellement environ 200 procédures en cours dans toute l’Allemagne.

    2.0 étaient les veillées déjà mentionnées devant les maisons de radiodiffusion, qui durent depuis 67 semaines. La version 3.0 visait à s'étendre pour inclure des invitations à des promenades et des démonstrations. 150 personnes se sont jointes et invitent depuis lors les médias à leurs événements.

    Lighthouse 4.0 est l'internationalisation et l'automatisation du dialogue médiatique via l'outil Web, où nous proposons déjà six langues dans le système.

    Combien de temps investissez-vous ?

    Je fais ça à temps plein depuis deux ans, 16 heures par jour. En plus de réseauter, de parler aux gens, d'assister à des événements, l'administration de l'application prend beaucoup de temps. Je collecte des données sur les médias ou les événements et vérifie chaque entrée saisie par d'autres. Les militants eux-mêmes ne se présentent pas - pour des raisons de protection des données. Chaque événement est vérifié avant son activation afin de garantir que les entrées extrémistes ou stupides soient empêchées.

    Pourquoi tant de temps ?

    Le réseautage prend du temps. Ce qui est bien, c'est que cela ne coûte rien. Notre projet est presque gratuit. Si nous voulons la paix, nous devons agir avec sagesse. On évite surtout la violence verbale. Étant donné que nous utilisons des données provenant de rédactions et d’événements publics accessibles en ligne, l’application est également juridiquement invulnérable. Nous évitons les positions politiques, toute opinion constructive doit être entendue. Établir des relations avec les journalistes locaux est essentiel au succès.

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  42. Comment est née l’application et l’avez-vous implémentée techniquement vous-même ?
    Non. Je ne connais rien du tout à la technologie. Le site internet et l'application m'ont été offerts, un grand merci à Jens et Hermann ! Le Web Tool est un logiciel gratuit disponible sur Internet. Il existe encore un grand potentiel d’automatisation ; les sympathisants compétents et disposés à s’impliquer sur une base non lucrative sont les bienvenus.

    De quoi vivez-vous, qui vous finance lorsque vous investissez tout votre temps dans ce projet ? Voulez-vous gagner de l’argent avec le projet à moyen terme ?
    Je vis dans une réserve ; en tant que producteur de films, je gagnais bien et dépensais peu. Je ne suis pas une personne matérialiste, je n'ai pas besoin de maison, de voiture ou de luxe. Le projet est et reste gratuit. Je ne veux pas gagner d’argent avec ça, maintenant ou dans le futur.

    L'utilisation est gratuite. Comment le projet est-il financé ?

    Les dons étaient toujours en cours de collecte pour Lighthouse 1.0. Les quelque 15 000 euros de frais ont été compensés par environ 12 000 euros de dons. Le facteur de coût le plus important concerne les frais de déplacement. Mais c'est gérable. Pour moi, la campagne est une question de confiance. Et quand il s’agit d’argent, la confiance prend souvent fin. Je veux que cela reste gratuit. Et c'est également possible. Parce que notre idée est basée sur la communication numérique et la mise en réseau. Et aujourd’hui, c’est presque gratuit dans le monde entier.

    Selon vous, y a-t-il déjà eu des succès ?

    Notre objectif est de construire des relations afin qu’un dialogue puisse avoir lieu à hauteur de vue. Cela demande de la patience et de la continuité. Bien entendu, la majorité des journalistes ne répondent pas dans un premier temps à l’invitation. Il a fallu 20 semaines pour que le premier journaliste se rende à un événement. Mais alors commencent les conversations dans lesquelles on peut aussi parler des échecs du journalisme en ce qui concerne le code de la presse.

    Une vingtaine de tables rondes ont déjà été organisées au niveau régional, au cours desquelles des discussions exploratoires ont eu lieu avec différents journalistes. La Société bavaroise de radiodiffusion et la CSU étaient représentées lors d'une table ronde publique en septembre. Nous sommes sur la bonne voie.

    Quelles sont les prochaines étapes importantes ?

    Le plus important est la poursuite de la mise en réseau des militants, des journalistes et des personnes actives au sein de l'équipe du phare. Lorsque les gens se connaissent, la confiance se développe, ce qui favorise un dialogue apaisé. Le prochain objectif est d'envoyer 1 000 invitations par semaine au lieu de 200 invitations. Nous recherchons des personnes plus actives pour rendre compte des événements et rejoindre leurs équipes éditoriales régionales. Et si possible, dans tous les pays du monde.

    Et que peut faire ensuite le lecteur de cet article ?

    Beaucoup sont frustrés parce que nous n’avons pas encore atteint l’objectif de vivre dans la liberté et la paix. Beaucoup ne savent pas quoi faire. L'outil Web offre à chacun la possibilité de devenir actif et de collaborer. Sans téléchargement ni inscription, vous pouvez vous lancer sur https://lstu.fr/mediendialog et désormais participer aux invitations – mondiales – de la presse aux événements organisés par le mouvement international pour la paix.

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  43. Tout le monde peut participer à des événements publics dans l'application et inviter les médias locaux avec une lettre toute prête en quelques minutes seulement - de manière anonyme ou en tant qu'organisateur. Une heure par semaine de dix personnes à Vienne ou à Berlin suffirait facilement pour enregistrer tous les événements à Vienne ou à Berlin.

    Le journalisme et les médias ont le pouvoir de changer les choses. Militants pacifiques et journalistes attachés au code de la presse pourraient travailler ensemble pour garantir un monde juste, car en fin de compte, nous, les humains, sommes plus forts que le complexe numérique-financier-militaire-industriel.

    Notre réussite dépend de nous tous, de chaque individu. Ensemble, nous pouvons développer la confiance en soi nécessaire pour façonner notre propre avenir.

    Alors j’espère que le plus grand nombre possible de personnes participeront ! Bonne chance à vous et à nous tous.

    https://tkp.at/2023/10/29/leuchtturm-ard-oder-sind-die-medien-reformierbar/

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  44. La puce mémoire la plus avancée au monde vient désormais de Chine


    29 octobre 2023
    par le Dr. Peter F. Mayer


    La politique de sanctions des États-Unis et de leurs partisans se retourne de plus en plus contre eux. L’Iran, la Russie, la Chine et d’innombrables autres pays ont ainsi découvert leurs propres capacités. Mais cet échec est en partie dû au fait que les politiciens occidentaux d’aujourd’hui ne comprennent pas grand-chose. Baerbock, par exemple, estime que les puces extraites des machines à laver pourraient être utilisées pour contrôler des missiles hypersoniques capables de parcourir 4 km en une seconde.

    Les États-Unis ont imposé toutes sortes de sanctions à la Chine, touchant les puces les plus puissantes, tout ce qui touche à la technologie militaire et toute une série d’autres produits. Les sanctions visaient à garantir son propre avantage, mais en fin de compte, elles aboutissent exactement au contraire, comme le montre ce rapport chinois.

    Yangtze Memory Technologies Co (YMTC), le premier fabricant chinois de puces mémoire, a produit la puce mémoire NAND 3D « la plus avancée au monde » connue pour être présente dans un appareil grand public – un « bond technologique surprenant », selon un rapport de TechInights.

    L'avancée de YMTC fait suite à l'analyse de TechInsights de la puce Kirin 9000S 5G trouvée dans le smartphone Mate 60 Pro de Huawei sorti en août

    La puce mémoire de YMTC, trouvée dans un disque SSD discrètement lancé en juillet, montre que le fabricant continue de développer des technologies de pointe malgré les obstacles imposés par les sanctions après avoir répondu à la liste des sanctions du département américain du Commerce, selon un rapport du ministère américain du Commerce. société d'analyse de semi-conducteurs mercredi.

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  45. Ce développement fait suite à une analyse antérieure réalisée par TechInsights sur le processeur Kirin 9000S 5G trouvé dans le smartphone Mate 60 Pro de Huawei Technologies sorti en août, qui figure sur la liste noire américaine et qui aurait été fabriqué par la fonderie chinoise Semiconductor Manufacturing International Corp (SMIC). ). La puissante puce locale a surpris de nombreux analystes du secteur compte tenu des restrictions strictes américaines.

    « À l’instar de l’innovation découverte par TechInsights dans le processeur HiSilicon Kirin 9000s du Huawei Mate 60 Pro (qui utilise le processus SMIC 7 nm (N+2)), il est de plus en plus évident que les efforts de la Chine pour surmonter les restrictions commerciales et sa « construction de sa propre offre nationale de semi-conducteurs » La chaîne a plus de succès que prévu », a déclaré TechInsights dans son rapport.

    Les mémoires NAND 3D sont à la pointe du développement des puces mémoire et constituent un composant important du calcul haute performance dans des applications telles que l'intelligence artificielle et l'apprentissage automatique.

    YMTC et 21 autres entreprises chinoises « majeures » du secteur des puces ont été ajoutées à la liste des entités américaines à la mi-décembre 2022 dans un contexte d'escalade des tensions commerciales et géopolitiques entre les deux plus grandes économies du monde.

    À ce stade, le fabricant de puces basé à Wuhan était sur le point de défier les principaux fabricants de puces mémoire Samsung Electronics, SK Hynix et Micron Technology avec une nouvelle puce flash NAND 3D phare, la X3-9070 à 232 couches. Les perspectives de production de masse de cette puce sont devenues discutables après que les fournisseurs américains KLA et Lam Research ont arrêté leurs ventes et leurs services à YMTC.

    Cependant, le récent ralentissement du marché des puces mémoire et l'attention renouvelée portée aux mesures de réduction des coûts dans l'industrie pourraient avoir donné à YMTC l'opportunité d'aller de l'avant avec une puce plus avancée avec une densité de bits plus élevée, a déclaré TechInsights.

    Les récents progrès de YMTC dans le développement de puces mémoire ont été signalés pour la première fois en avril, lorsque des sources anonymes ont déclaré au South China Morning Post que YMTC avait redoublé d'efforts pour travailler avec des fournisseurs chinois pour produire ses puces les plus avancées. Cet effort était basé sur l'architecture « Xtacking 3.0 » de YMTC, et les sources ont indiqué que des progrès avaient été réalisés sur un projet top secret nommé Wudangshan.

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  46. Selon les sources, le projet devait utiliser uniquement des équipements chinois et YMTC avait attribué d'importants contrats à des fournisseurs d'équipements nationaux, notamment au groupe Naura Technology, basé à Pékin, l'un des principaux fabricants chinois d'outils de gravure, qui constituent également la principale gamme de produits de la société américaine Lam Research.

    Cependant, à l'époque, les analystes avaient souligné de nombreux goulots d'étranglement dans la chaîne d'approvisionnement de fabrication de puces en Chine, tels que : B. le manque d'alternatives chinoises viables pour les outils de fabrication de puces tels que les systèmes de lithographie de la société néerlandaise ASML Holding. L'entreprise néerlandaise détient un quasi-monopole dans la production des machines de lithographie EUV (Extreme Ultraviolet) les plus avancées au monde.

    Mercredi, Bloomberg a publié un rapport citant des sources anonymes selon lequel SMIC avait utilisé des équipements convertis d'ASML, en particulier ses systèmes de lithographie ultraviolette profonde (DUV), pour produire le processeur avancé du smartphone révolutionnaire de Huawei.

    On estime que le procédé DUV – lorsqu’il est produit à grande échelle – est plus coûteux que l’utilisation de systèmes de lithographie EUV plus avancés, qu’ASML n’a pas le droit de vendre à la Chine depuis 2019.

    Toutefois, des restrictions plus strictes sur les ventes d'ASML en Chine se profilent à l'horizon. À partir de janvier 2024, il sera interdit à l'entreprise de vendre ses machines DUV de la série 2000 à la Chine en raison des récentes restrictions de La Haye.

    Alors que les récentes percées en matière de puces en Chine ont suscité l'enthousiasme quant aux progrès du pays dans la production de ses propres puces avancées, certains experts préviennent que les entreprises chinoises ont encore des années de retard dans la production des systèmes de lithographie nécessaires à un réel progrès.

    La Chine aurait répondu aux sanctions américaines en limitant les exportations de matières premières essentielles à l’industrie militaire américaine et à la production de puces. Cela inclut également le germanium, qui sera utilisé à la place du silicium pour la prochaine génération de puces, beaucoup plus puissantes. La Russie serait déjà très avancée dans le développement de puces à base de germanium.

    https://tkp.at/2023/10/29/weltweit-fortschrittlichster-speicherchip-kommt-nun-aus-china/

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  47. Une nouvelle arme secrète russe fait exploser des avions ennemis dans les airs


    30 octobre 2023
    par le Dr. Peter F. Mayer


    L’équilibre militaire qui existait pendant la guerre froide commence à se déplacer de plus en plus au détriment de l’Occident politique et des États-Unis. Les États-Unis et l’OTAN n’ont rien pour contrer les armes hypersoniques de la Russie, de la Chine et de l’Iran ; elles ne peuvent ni être détectées ni se défendre. Et maintenant, dans la guerre en Ukraine, la Russie a démontré une toute nouvelle dimension de défense aérienne, qui semble garantir une supériorité aérienne absolue.
    La défense aérienne russe a abattu 24 avions en 5 jours. Les experts se demandent actuellement quelles armes ont été utilisées pour y parvenir. Cela n'est pas sans rappeler l' interception d'un F-35 italien au-dessus de la mer Baltique par un Su-30SM russe, dont l'approche n'avait pas été détectée par les instruments des avions américains. « C’est presque sorti de nulle part. J'étais très confus car je ne m'attendais pas à le voir d'aussi près ", raconte le pilote italien, décrivant ses premières impressions sur l'apparition soudaine du Su-30SM. Les mesures de camouflage développées par la Russie ne peuvent apparemment pas être pénétrées par la technologie américaine.

    L'ancien officier de la marine américaine et plus tard inspecteur des armes de l'ONU en Irak, Scott Ritter, rend compte de la série de tirs contre des avions ukrainiens dans une interview avec Garland Nixon :

    « Les Russes viennent de lancer ce qui est sans doute le programme de défense aérienne le plus sophistiqué de l’histoire. Nous ne comprenons pas ce qui s'est passé. Tout ce que nous savons, c'est que les avions sont détruits. Même si nous saturons le ciel avec nos radars, nous recherchons tout ce qui se trouve dans le ciel, mais les avions explosent tout simplement. Les Russes ont trouvé une solution. Les MiG-29 vont exploser et les Su-24 équipés de missiles britanniques vont exploser. Et ils exploseront aussi parce qu’ils devront se rapprocher encore plus et ils se feront attraper. Les Russes ont pour l’essentiel neutralisé l’armée de l’air ukrainienne. Et nous voulons leur envoyer des F-16. Vous pouvez oublier cela même si vous n'essayez même pas de démarrer. Mais ce n'est pas tout. La technologie moderne ne concerne pas seulement le F-35. Il s'agit des Awacs, du RC-135 et de tous les drones dont nous disposons. Si ce système est tel que je le crois, cela signifie que les Russes viennent d’assurer la supériorité aérienne lors du prochain conflit. Nous installerons nos appareils et ils disparaîtront tout simplement. Et nous ne saurons même pas ce qui s'est passé.

    Leur système sera-t-il capable d'intercepter un missile balistique ou un missile hypersonique ? Nous ne le savons pas encore."

    Victor vicktop55 @vicktop55 a écrit sur X/Twitter le 24 octobre 2023 :

    « Expert militaire Vladislav Chouryguine : Le Pentagone est très préoccupé par l'efficacité soudainement accrue des forces aérospatiales russes.

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  48. En deux semaines, les Russes ont semé un véritable massacre dans le ciel ukrainien. Les forces armées ukrainiennes ont perdu au moins 10 de leurs avions (14 selon d’autres sources).

    En outre, ils ont tous été abattus loin de la ligne de front et en dehors du rayon des systèmes de défense aérienne russes, ainsi qu'en dehors du rayon standard des avions de combat russes. Les pilotes qui ont pu sortir du siège éjectable ont déclaré qu'ils n'avaient reçu aucune information sur l'attaque de la part des systèmes d'alerte concernés jusqu'au moment où leurs avions ont été touchés.

    Les Américains estiment que les forces aérospatiales russes ont acquis de nouveaux missiles capables non seulement d'atteindre des cibles à longue distance, mais aussi de suivre indépendamment une cible après le lancement, sans qu'elle soit détectée par le radar. L'avion est éclairé grâce à une signature radio pour guide (la cible).

    Les Américains examinent attentivement ces informations et les considèrent comme extrêmement importantes. Car si cela se confirme, cela signifiera que les Russes ont acquis une arme qui annulera tous les avantages vantés de leur nouvel avion de combat principal, le F-35.»

    L’affirmation selon laquelle il y aurait un « véritable massacre dans le ciel ukrainien » est exacte si les derniers rapports quotidiens du ministère russe de la Défense correspondent à la réalité. Le taux de perte typique de l'armée de l'air ukrainienne au cours des trois premiers trimestres de cette année était d'un à trois avions ou hélicoptères par semaine.

    Depuis la mi-octobre, les quotidiens russes rapportent, selon les archives de Moon of Alabama , la fusillade de :

    17 avions de combat ukrainiens Mig-29
    2 bombardiers tactiques ukrainiens SU-24
    3 avions d'attaque au sol ukrainiens SU-25
    1 avion d'entraînement ukrainien L-39
    3 hélicoptères de transport MI-8
    Cela fait un total de 26 forces aériennes en seulement 9 jours !

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  49. Si cela s’approche de la vérité, il s’agit d’un taux de pertes catastrophiques pour l’armée de l’air ukrainienne.

    Est-ce même possible, pourrait-on se demander. En octobre 2022, après des décennies de développement, les médias ont rapporté le premier avion ukrainien abattu par un missile air-air russe à longue portée R-37M :

    Le R-37 a été développé à partir du R-33. Pour assurer la compatibilité avec les avions qui ne disposent pas du radar sophistiqué du MiG-31, l'autodirecteur semi-actif a été remplacé par une variante de l'autodirecteur actif Agat 9B-1388. De même, les commandes de queue rabattables permettent un transport semi-conforme sur des avions pas aussi grands que le MiG-31.

    Les jambes de force centrales du fuselage augmentent la flottabilité et donc la portée. Selon Defense Today, la portée dépend du profil de vol et s'étend de 150 km pour un tir direct à 398 km pour un profil plané.

    La désignation R-37M a depuis été utilisée pour une variante modernisée du missile, également connue sous le nom de RVV-BD (Raketa Vozduh-Vozduh Bolyshoy Dalnosty, ou missile air-air à longue portée). Le R-37M a une autonomie de plus de 200 km et atteint des vitesses hypersoniques (~Mach 5). Il sera transporté par les intercepteurs modernisés MiG-31BM et les avions de combat multirôles Su-35S et Su-57. On ne sait pas si le missile air-air à longue portée du Su-57, désigné Izdeliye 810, est un dérivé du R-37M.

    Le missile peut attaquer des cibles à une altitude de 15 000 à 25 000 mètres et est guidé de manière semi-active ou active via le système Agat 9B-1388.

    Le R-37M aurait une portée maximale de 400 kilomètres et une vitesse hypersonique de Mach 5-6. Il peut être lancé profondément en Ukraine depuis un espace aérien sûr, hors de portée des défenses aériennes ukrainiennes.

    Des avions ukrainiens modifiés ont été utilisés pour lancer des missiles britanniques Storm Shadow (et des missiles français similaires SCALP-EG) sur des cibles russes. L’armée de l’air ukrainienne doit voler près du sol pour survivre.

    L’augmentation soudaine des pertes aériennes ukrainiennes suggère qu’une nouvelle variante du R-37M dotée de capacités de ciblage mises à jour et/ou d’une portée encore plus longue a été introduite en grand nombre.

    Les États-Unis prévoient d’introduire en Ukraine des avions de combat F-16 équipés de missiles air-air AIM-120D à longue portée (100 kilomètres). Ils sont clairement inférieurs aux capacités de l’armée de l’air russe et ne peuvent qu’aggraver les pertes.

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  50. Voilà pour les analyses faites jusqu’à présent. TKP a fait état à plusieurs reprises de missiles hypersoniques . Les changements physiques à des vitesses hypersoniques, c'est-à-dire à partir d'environ Mach 5, les rendent invisibles au radar. La compression de l'air et l'augmentation de la température créent un cône de plasma autour de l'objet volant, qui neutralise et ne réfléchit pas les faisceaux radar des appareils couramment utilisés aux États-Unis et à l'OTAN. Les systèmes d'alerte de l'avion de combat ne répondent donc plus et le pilote ne reçoit aucune information sur l'objet entrant. Si le missile est tiré à une plus grande distance, l’avion attaquant peut se « cacher » sous l’horizon.

    La Russie a ainsi acquis une nette supériorité aérienne. Apparemment, les fusées ont déjà été produites en grande quantité et livrées au front. Les forces russes en Syrie en ont peut-être également été équipées. On peut se demander si l’Iran, qui a acheté des avions de combat russes Su-35, en est également équipé.

    https://tkp.at/2023/10/30/neue-russische-geheimwaffe-laesst-gegner-flugzeuge-in-der-luft-explodieren/

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  51. 95,8 % des ÉTRANGERS ILLÉGAUX utilisant l'application CBP One lancée aux États-Unis


    27/10/2023
    Kevin Hughes


    Le Comité de la sécurité intérieure de la Chambre des représentants a constaté que 95,8 % des étrangers illégaux qui ont demandé un rendez-vous via l'application mobile lancée par les douanes et la protection des frontières (CBP) pour les immigrants au cours des derniers mois ont été libérés aux États-Unis sous condition avec un avis de comparution (NTA).

    Cela représente plus de 266 000 clandestins sur plus de 278 000 qui ont demandé un rendez-vous via l'application CBP One du 12 janvier au 30 septembre, sur la base des documents fournis au comité par le ministère de la Sécurité intérieure (DHS).

    "Le secrétaire [du DHS] [Alejandro] Mayorkas a complètement abusé de l'application CBP One dans sa quête d'ouverture des frontières. Ces chiffres sont la preuve que l'opération de Mayorkas est un écran de fumée pour la libération massive dans ce pays d'individus qui autrement n'auraient aucun droit à la liberté. être admis", a déclaré le président du comité, le représentant Mark Green (R-Tennessee) dans une déclaration sur la publication des statistiques de l'application CBP One. (Connexe : Président du Comité de la sécurité intérieure : Mayorkas a « intentionnellement violé » la loi et « menti au Congrès sous serment. »)

    Green a reçu les documents après avoir menacé d'assigner Mayorkas à comparaître s'ils n'étaient pas présentés avant le 20 octobre. Son comité a fixé cette date limite au 13 octobre, des mois après l'expiration du délai initial de production des documents.

    "À ce jour, le ministère n'a ni produit ni fourni de calendrier pour produire les documents ou informations demandés dans les lettres du comité du 1er juin et du 14 septembre, qui aideront tous la surveillance par le comité de la demande du ministère CBP One", a écrit Green dans un communiqué. Lettre du 13 octobre à Mayorkas.

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  52. Le comité a déclaré que les premiers documents répondant à leur demande étaient arrivés « quelques minutes seulement » avant la date limite. "Il ne devrait pas falloir une menace d'assignation de la part du Congrès pour obtenir ces réponses", a déclaré Green, qui avait initialement demandé les documents pour diriger la surveillance de l'application CBP One le 1er juin. Son délai initial était le 15 juin.

    Les cartels de la drogue peuvent abuser de l'application pour poursuivre leurs opérations
    La commission est particulièrement préoccupée par l'utilisation abusive de l'application par les cartels de la drogue. « Les implications sur la sécurité nationale sont que les cartels sont simplement capables de manipuler tout ce que fait le secrétaire pour poursuivre leurs opérations », a déclaré à Epoch Times une source du comité qui a requis l'anonymat.

    L’application CBP One a été publiée pour la première fois en 2020 et étendue au début de 2021 après l’entrée en fonction du président Joe Biden et la nomination de Mayorkas à la tête du DHS.

    L'application a rencontré de vives critiques de la part de divers groupes. Selon Grant Newman de NumbersUSA, une organisation qui cherche à réduire le taux d'immigration tant illégale que légale vers l'Amérique, le taux de libération conditionnelle de 95,8 pour cent « parle de lui-même ».

    Newman a déclaré que cela "démontre précisément pourquoi le DHS s'est battu si dur pour garder les données pour lui".

    "Le président Green était clairement préoccupé, à juste titre, par le fait que l'application CBP One était utilisée pour dissimuler le jeu de coquilles de l'administration Biden à la frontière, où les immigrants illégaux pouvaient désormais planifier leur entrée illégale à un point d'entrée plutôt qu'entre les deux, et être libérés vers disparaître à l'intérieur", a noté Newman. "C'est dommage que le DHS ne croit pas que le Congrès [et] le peuple américain mérite de savoir ce qui se passe réellement à la frontière."

    Green a annoncé en juin dernier une enquête sur la manière dont Mayorkas traitait les clandestins à la frontière sud. Il a déclaré que l'enquête faisait partie des tâches de surveillance de sa commission et s'est engagé à ne ménager « aucun effort » pour découvrir les faits.

    La nouvelle du nombre de clandestins libérés en Amérique après avoir pris rendez-vous via l'application est arrivée moins d'une semaine après que le CBP a publié le nombre de clandestins rencontrés aux frontières américaines cette année. Le Daily Signal a rapporté que les agents frontaliers ont rencontré 3,2 millions de clandestins aux points d’entrée américains entre le 1er octobre 2022 et le 30 septembre 2023.

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  53. Suivez Migrants.news pour plus d’informations sur les immigrants illégaux entrant aux États-Unis.

    Regardez la vidéo ci-dessous pour découvrir comment l'application CBP One est utilisée par les trafiquants d'êtres humains.

    Cette vidéo provient de la chaîne HALOROCK sur Brighteon.com.

    Plus d'histoires connexes:

    Le Texas poursuit l’administrateur de Biden pour avoir autorisé l’approbation « illégale » de migrants via une application mobile.

    Une caméra infrarouge capture une petite armée de migrants entrant illégalement aux États-Unis alors que les républicains envisagent de destituer le chef du DHS.

    Un groupe de républicains de la Chambre appelle à la destitution du chef du DHS, Mayorkas, pour immigration clandestine record et trafic de drogue.

    Le plan du chef du DHS, Mayorkas, pour résoudre la crise des migrants de Biden est de permettre à des millions d’autres d’entrer dans le pays.

    INVASION DE MIGRANTS : L’administration Biden a laissé entrer plus de 4 MILLIONS D’ILLÉGAUX depuis janvier 2021.

    Sources include:

    The Epoch Times.com
    House.gov
    WND.com
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2023-10-27-95percent-aliens-using-cbp-one-app-released.html

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  54. L'Australie prévoit d'abattre 16.000 chevaux sauvages en trois ans, par hélicoptère


    France-Soir, avec AFP
    le 27 octobre 2023 - 16:00


    Ils sont à la fois un symbole national et une menace pour l'écosystème. En Australie, les autorités de l'État de Nouvelle-Galles du Sud ont officiellement déclaré la guerre aux chevaux sauvages, les "brumbies". Elles prévoient d'en abattre près de 16.000 en trois ans, par hélicoptère.

    Environ 19.000 chevaux sauvages vivent dans le parc national du Kosciuszko, dans le sud-est du pays. Le problème, c'est qu'ils sont considérés comme des animaux nuisibles, car ils augmentent l'érosion des sols, tuent la végétation, provoquent l'effondrement de terriers, sont en concurrence avec d'autres animaux pour la nourriture et les abris, et rendent les points d'eau insalubres.

    En temps normal, les agents du parc éliminent ces chevaux sauvages au sol avec des armes à feu ou des pièges, ou les transfèrent ailleurs. Les autorités ont décidé de passer à la vitesse supérieure : l'abattage par hélicoptère.

    Brièvement employée en 2000, cette méthode avait permis de tuer quelque 600 chevaux sauvages en trois jours. Mais les autorités locales avaient fait marche arrière devant l'indignation de l'opinion publique. Et pour cause ! Ces animaux sont un symbole national. Célébrés par l'emblématique poète du bush Banjo Paterson (1864-1941), connu pour sa glorification romantique du monde rural australien, ils sont aussi le surnom de l'équipe de rugby à XV de la capitale australienne appelée les "Brumbies".

    "Ce n'était pas une décision facile à prendre, personne ne voudrait tuer des chevaux sauvages", a toutefois assuré Penny Sharpe, la ministre de l'Environnement de Nouvelle-Galles du Sud.

    Finalement, les autorités de l'État de Nouvelle-Galles du Sud veulent abattre quelque 16.000 bêtes d'ici à l'été 2027, pour passer de 19.000 à 3.000.

    https://www.francesoir.fr/societe-environnement/l-australie-va-recommencer-abattre-des-chevaux-sauvages-par-helicoptere

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  55. ENCORE 2 ARTICLES CENSURÉS ! (60 - 2 = 58)

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