- ENTREE de SECOURS -



jeudi 12 octobre 2023

🇨🇭 Suisse - Élections 22.10.2023 : Qui empêchera le traité de l'OMS sur les pandémies ?

 

https://www.kla.tv/fr

111 commentaires:

  1. 🇨🇭 Suisse - Élections 22.10.2023 : Qui empêchera le traité de l'OMS sur les pandémies ?


    11.10.2023
    www.kla.tv/27189


    Le 22 octobre 2023 auront lieu les élections législatives en Suisse. Près de trois ans de la dernière législature, de 2019 à 2023, ont été consacrés à la période de Covid. A cette occasion, la grande majorité du Parlement a approuvé la politique restrictive de Covid. La dernière menace pour la Suisse est la modification du Règlement sanitaire international et le nouveau traité sur les pandémies que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) souhaite introduire dans l'ensemble de ses 194 pays membres. Les observateurs critiques y voient l'instauration d'une dictature sanitaire de l'OMS et donc la fin de toute souveraineté nationale. Il faut maintenant que les parlementaires s'engagent pour que le peuple ait le dernier mot sur des décisions aussi graves. Cette émission se concentre principalement sur les nouveaux mouvements « MASS-VOLL ! » (MASSIF !) et « AUFRECHT » (DROIT), qui ont vu le jour à l'époque dd Covid. Etant donné que les médias de masse ne leur accordent pas la même attention qu'aux partis traditionnels, ils seront brièvement présentés ici. La question de savoir comment ils se positionnent par rapport aux thèmes centraux suivants est d'un grand intérêt :

    Pour une politique de santé autonome sans diktat de l'OMS

    Pour une politique de neutralité sans rattachement à l'UE et à l'OTAN

    Pour une politique énergétique autonome avec un approvisionnement sûr

    Pour une remise à plat de la politique de Covid

    Pour la protection de la population contre les radiations de la téléphonie mobile

    Pour la démocratie directe (le peuple est souverain)

    MASS-VOLL

    Le mouvement de défense des droits civiques « MASS-VOLL ! », avec son président et candidat principal Nicolas A. Rimoldi, est le plus clair sur la question du traité de pandémie de l'OMS. Leur slogan électoral est : un nouveau départ pour la liberté.
    Les objectifs tirés de leur programme électoral sont les suivants :

    Le courage de la liberté : la Suisse se retire systématiquement de toutes les organisations qui privent la population suisse de ses droits. La première étape est le retrait immédiat de l'OMS, qui est totalement discréditée par les événements de ces dernières années.
    La paix plutôt que la guerre : la Suisse se retire de toutes les alliances militaires telles que le Partenariat pour la paix, une sous-organisation de l'OTAN, ou la KFOR.
    La diplomatie plutôt que les sanctions : La Suisse ne sanctionne pas les États et ne fournit pas d'armes. Elle met à disposition des instruments qui permettent aux entreprises et aux personnes privées sanctionnées d'exercer une activité économique.
    Pas d'expérimentation avec notre santé : les fabricants et les distributeurs de vaccins à ARNm ou d'aliments transgéniques, par exemple, sont entièrement responsables et les politiciens doivent assumer les conséquences de leurs décisions.
    UDF

    RépondreSupprimer
  2. En ce qui concerne le traité sur la pandémie et le réexamen Covid, l'Union démocratique fédérale, ou UDF, défend elle aussi une ligne claire. Ce petit parti est représenté au Parlement par son conseiller national Andreas Gafner. On peut lire dans ses thèmes centraux
    « L'UDF s'engage pour que la Suisse ne signe pas d'accords internationaux tels que le pacte de l'ONU sur les migrations et le traité de l'OMS sur les pandémies - la souveraineté de notre pays doit être préservée ».

    « L'UDF dit non à l'adhésion à l'UE et à un rattachement institutionnel à l'UE. Nous nous prononçons pour une neutralité crédible, perpétuelle et armée - avec une armée forte, apte à faire face à des cas sérieux, qui se concentre sur sa mission principale et renonce aux engagements à l'étranger et au rattachement à l'OTAN. »

    « Les mesures gouvernementales Covid ont provoqué de profondes perturbations et beaucoup de souffrance au sein de la population. Dans le but de surmonter la division de la société qui en a résulté, l'UDF demande la mise en place d'un groupe d'experts indépendants qui examinera sans faille toutes les décisions et mesures prises par l'État pendant la pandémie Covid 19. »
    « Il s'agit en particulier de faire le point sur les restrictions du confinement, l'obligation de certificat, les conséquences des 'vaccins' à ARNm et les raisons de l'augmentation de la surmortalité et de la baisse de la natalité ».

    AUFRECHT SCHWEIZ

    Le mouvement de défense des droits civiques « AUFRECHT SCHWEIZ » critique le lobbying au sein du Parlement suisse et considère que cela limite fortement la liberté de décision des parlementaires. Comme le dit le proverbe : « Qui paie le bal mène la danse », un politicien ne votera pas contre les intérêts de ses lobbyistes. « AUFRECHT SCHWEIZ » est probablement le seul parti à mentionner le thème du rayonnement de la téléphonie mobile. On peut lire dans leur prise de position d'avril 2022 ce qui suit :

    « A cause d’un lobbying massif, la population est exposée à des rayonnements toujours plus forts de la part de la branche des télécommunications. Les valeurs indicatives sont adaptées arbitrairement et le plus souvent vers le haut. Les études inquiétantes ne sont pas prises au sérieux. Aucun contrôle de sécurité transparent n'est effectué sur « la faune et la flore ». Le secteur des télécommunications doit prouver dès le départ la sécurité de ses techniques, qui sont réalisées par des instituts de contrôle indépendants (principe de précaution). Dans le cas contraire, ces techniques ne doivent pas être utilisées. Le secteur doit assumer entièrement les dommages causés aux personnes et aux animaux, ainsi qu'à la flore et à la faune (principe du pollueur-payeur), de même que les mesures de protection, comme par exemple la protection des bâtiments contre les rayonnements. »
    Têtes de liste (Spitzenkandidaten) de « AUFRECHT SCHWEIZ°»
    Urs Hans « AUFRECHT ZUÜRICH »

    RépondreSupprimer
  3. Le paysan bio et ancien conseiller cantonal zurichois Urs Hans s'était distingué à l'époque du Covid comme critique des mesures étatiques. Cela a entraîné une brouille avec le parti des Verts et il est maintenant candidat pour « AUFRECHT ZÜRICH » : « Avec AUFRECHT, nous exigeons une médecine libre, des médias libres, un travail de mémoire, la justice pour toutes les personnes lésées, des plaintes contre ceux qui tirent les ficelles et un tournant dans le système de santé ».
    Stefan Millius « AUFRECHT ST. GALLEN°»

    Le journaliste et auteur Stefan Millius a été un observateur perspicace et critique des événements pendant la période Covid. Il est candidat pour « AUFRECHT ST. GALLEN » :
    « Notre parlement de milice s'est transformé en un parlement professionnel de fait. Les 'indemnités' sont si élevées qu'il n'est pas nécessaire d'avoir un autre travail à côté.
    Le lien direct avec la société et l'économie est ainsi perdu. L'influence des lobbyistes sur les parlementaires est trop importante et doit être limitée.
    Des règles plus strictes concernant les fonctions annexes devraient faire en sorte qu'il ne vaille plus la peine de représenter les intérêts de certains secteurs ou entreprises plutôt que ceux des citoyens ».
    Les parlementaires en exercice en faveur d'un processus démocratique concernant le traité de l'OMS sur la pandémie

    Parmi les parlementaires en exercice, les personnes suivantes ont fait des propositions au Parlement pour un processus démocratique concernant le traité de l'OMS sur la pandémie :

    Andreas Gafner (UDF-BE), cosignataire : David Zuberbühler (UDC-AR)
    Andreas Glarner (UDC-AG)
    Franz Grüter (UDC-LU)
    Lukas Reimann (UDC-SG)
    Therese Schläpfer (UDC-ZH), cosignataires : Thomas Aeschi (UDC-ZG), Martina Bircher (UDC-AG), Roland Rino Büchel (UDC-SG), Yvette Estermann (UDC-LU, ne se représente pas), Alfred Heer (UDC-ZH), Stefanie Heimgartner (UDC-AG), Thomas Matter (UDC-ZH), Bruno Walliser (UDC-ZH), David Zuberbühler (UDC-AR), Martin Bäumle (PVL-ZH), Andreas Gafner (UDF-BE)

    RépondreSupprimer
  4. Autres candidats qui s'engagent contre le traité de pandémie et pour la démocratie directe
    Josef Ender SZ, sans parti politique
    Josef Ender, président du mouvement de défense des droits civiques « Aktionsbündnis Urkantone », est candidat à titre privé au Conseil national dans le canton de Schwyz : « En tant que sans-parti, je défends les intérêts de la population schwyzoise - contrairement aux politiciens de parti guidés par les lobbies. A savoir de manière objective et indépendante ».
    Pirmin Schwander, UDC SZ
    Est membre du Conseil national depuis 20 ans et se présente au Conseil des États. Ce qui le motive à se présenter, c'est de contribuer à ce que l'on fasse le point sur la politique de Covid.
    Il s'agit d'une question qui le préoccupe et qui, pour lui, n'est pas encore réglée.
    Sabina Geissbühler-Strupler, UDC BE
    L'ancienne députée UDC bernoise Sabina Geissbühler-Strupler s'engage au sein de son parti pour la démocratie directe de la Suisse. Cela exclut une adhésion à l'OMS et à l'OTAN.
    Pour conclure cette émission, Josef Ender revient sur les raisons qui l'ont poussé à briguer un siège au Parlement :

    « Les partis ne défendent malheureusement plus systématiquement leurs valeurs fondamentales. Ces trois dernières années, j'ai été déçu par des politiciens qui ne défendaient pas leurs convictions personnelles, mais qui ne pouvaient rien dire parce qu'il y avait encore des gens qui pensaient différemment dans le parti.
    Il faut à nouveau plus de politiciens qui ont le courage de s’affirmer, qui discutent décemment, objectivement et sur la base de faits et qui représentent le peuple. »
    Petite aide pour les élections :
    Sur www.smartvote.ch vous pouvez remplir un questionnaire pour trouver les candidats qui répondent le mieux à vos préoccupations.
    Les petits mouvements et les sans-parti ont également conclu des accords de listes. Si cela ne suffit pas pour obtenir un siège, les « voix restantes » ne sont pas perdues, mais passent à un parti qui leur est plus proche.

    UDF
    UDC

    RépondreSupprimer
  5. Légende : Important Partiellement Pas important
    Politique de santé autonome

    Neutralité sans rattachement à l'UE et à l'OTAN

    Politique énergétique indépendante

    Réexamen de la politique Covid

    Protection contre le rayonnement de la téléphonie mobile

    de brm. / dd.
    Sources / Liens :
    Programme électoral de « MASS-VOLL »
    https://www.mass-voll.ch/freiheitskampf/wahlprogramm

    Thèmes clés de l'UDF Suisse
    https://www.edu-schweiz.ch/positionen/kernthemen

    Valeurs fondamentales et priorités de « AUFRECHT SCHWEIZ »
    https://aufrecht-schweiz.ch/unsere-werte

    Prise de position « AUFRECHT SCHWEIZ »
    https://aufrecht-schweiz.ch/wp-content/uploads/2022/07/Positionspapier-Aufrecht-Schweiz_20220718.pdf

    Site web sur les élections 2023 d'Urs Hans
    https://urshans.ch

    Site web sur les élections 2023 de Stefan Millius
    https://www.millius2023.ch

    Site web sur les élections 2023 de Josef Ender
    https://www.josefender.ch

    Site web sur les élections 2023 de Pirmin Schwander
    https://pirmin-schwander.ch

    Interview avec Pirmin Schwander : affaires de guerre, numérisation, Covid & argent liquide
    https://www.youtube.com/watch?v=CwAiSnuu5pc

    Site web de Sabina Geissbühler-Strupler
    https://sabina-geissbuehler.ch/

    Comment les accords de listes influencent les élections d'automne
    https://www.fm1today.ch/schweiz/so-beeinflussen-listenverbindungen-die-wahlen-im-herbst-152808799

    https://www.kla.tv/fr

    RépondreSupprimer
  6. Cancer du sein de stade 4 : très jeune âge, triple négatif, nouvelles mères : caractéristiques du vaccin Turbo à ARNm contre le COVID-19 ; 30 cas

    Résistant à la chimio, tumeurs récurrentes plus agressives


    Par le Dr William Makis
    Recherche mondiale,
    11 octobre 2023


    1er octobre 2023 – La championne internationale Soprano, 25 ans, Patricia Janeckova, chanteuse d'opéra slovaque, a perdu son combat contre le cancer du sein après avoir reçu un diagnostic en février 2022 à l'âge de 23 ans.

    - voir photo sur site -

    10 octobre 2023 – Pearsall, WA, Australie – Megan Lynch, 25 ans, a reçu un diagnostic de cancer du sein de stade 4 qui s'était propagé à ses ganglions lymphatiques et à son poumon. Pour le moment, elle répond à la chimiothérapie.

    - voir photo sur site -

    5 octobre 2023 – Florida Ridge, FL – Jenny a reçu un diagnostic de cancer du sein de stade 4 en avril 2023, qui s'est propagé aux os (colonne vertébrale, hanche, fémur, bassin). Elle souffre également de fractures osseuses récentes. Elle est soignée à la clinique Mayo.

    - voir photo sur site -

    3 octobre 2023 – Sandy, Oregon – Kylie Stoddard, 29 ans, technicienne vétérinaire, a reçu un diagnostic de carcinome canalaire invasif métastatique de stade 4. Une scintigraphie osseuse a révélé qu'elle avait des fractures sur tout le corps, notamment une hanche gauche brisée due à des métastases osseuses. Elle lutte actuellement contre la chimiothérapie.

    - voir photo sur site -

    30 septembre 2023 – Springfield, Illinois – Tiffany Martinez-Rodriguez a reçu un diagnostic de cancer du sein de stade 4, le primaire est une grosse tumeur de 5,5 cm et elle se développe rapidement.

    - voir photo sur site -

    29 septembre 2023 – O'Fallon, MO – Hannah Goymerac, 29 ans, a reçu un diagnostic de cancer du sein de stade 4 en juin 2022. Son traitement ne fonctionne pas et elle a maintenant 11 tumeurs au cerveau.

    - voir photo sur site -

    RépondreSupprimer
  7. 19 septembre 2023 – Denton, Texas – Amanda Anderson-Barberis, 29 ans, a reçu un diagnostic de cancer du sein de stade 4 alors qu'elle était enceinte de son plus jeune enfant et est décédée alors qu'il avait 9 mois.

    - voir photo sur site -

    5 septembre 2023 – Bolton, ON – Meghan Duca, 28 ans, est une ambulancière canadienne. Elle a été mandatée pour les vaccins à ARNm contre la COVID-19 pour conserver son emploi pendant la pandémie. On vient de lui diagnostiquer un cancer du sein de stade 4 qui s'est propagé à sa colonne vertébrale.

    - voir photo sur site -

    31 août 2023 – Marlton, NJ – Jillian Schlueter, étudiante en soins infirmiers de 26 ans, a reçu un diagnostic de cancer du sein de stade 3 en mai 2021 alors qu'elle était étudiante en soins infirmiers. En août 2023, on lui a diagnostiqué un cancer du sein triple négatif de stade 4 qui s'est propagé au cerveau, au foie, aux poumons et aux os.

    - voir photo sur site -

    29 août 2023 – Royaume-Uni – Rebecca Robson, 34 ans, a reçu un diagnostic de cancer du sein de stade 4 et a subi 6 mois de chimiothérapie. Son cancer n'a pas répondu à la chimiothérapie et son cancer a métastasé aux poumons.

    - voir photo sur site -

    27 août 2023 – Zionsville, IN – Susy, 29 ans, a reçu un diagnostic de cancer du sein triple négatif. Elle est porteuse d’une mutation BRCA-1, mais les médecins ont été surpris qu’elle l’ait développée si tôt. Après l’opération, la pathologie est revenue pire que prévu – c’est Triple Négatif.

    - voir photo sur site -

    25 août 2023 – Phoenix, Arizona – Clarice Miles, 34 ans, a reçu un diagnostic de cancer du sein de stade 4 et est décédée trois mois plus tard, le 25 août 2023.

    - voir photo sur site -

    12 août 2023 – Royaume-Uni – Claire Louise Bovis – Clare, 48 ans, a reçu un diagnostic de cancer du sein HER-2 positif en janvier 2022. Elle n'avait plus de cancer en août 2022. En avril 2023, son cancer est réapparu et a MUTÉ jusqu'au stade 4 Cancer du sein triple négatif. On lui donnait 2 ans à vivre et elle est décédée 4 mois plus tard.

    - voir photo sur site -

    RépondreSupprimer
  8. 6 juillet 2023 – Donahue, IA – Jamie Eggers, 44 ans, a reçu un diagnostic de cancer du sein de stade 2 qui semble se développer rapidement, car elle a ensuite été diagnostiquée de stade 3 puis de stade 4 en succession très rapide.

    - voir photo sur site -

    3 juillet 2023 – Jackson, NJ – Jillian Cillo, 24 ans, a reçu un diagnostic de cancer du sein triple négatif et avait besoin d'un plan de traitement agressif.

    Cliquez ici pour lire l'article complet :

    https://www.globalresearch.ca/breast-cancer-stage-4-very-young-age-triple-negative-resistant-chemo-recurrent-tumors-more-aggressive-new-mothers/5835806

    RépondreSupprimer
  9. Santé : la bronchiolite est de retour !

    Comme chaque année à cette période, la bronchiolite touche de nombreux nourrissons. Après la forte épidémie en 2022, les premiers cas de contamination sont connus.


    Par Cédric Bonnefoy
    le 12 octobre 2023 à 12h00


    Trois départements français sont placés au seuil épidémique concernant la bronchiolite par les autorités de santé.

    La France s'arme de nouveau contre la bronchiolite

    Les premiers cas de bronchiolite en France sont connus. La maladie est présente principalement en Île-de-France, mais aussi en Guadeloupe ou en Martinique. Ce fléau annuel frappe principalement les nourrissons, les autorités de santé sont sur le qui-vive. Surtout que cette année semble suivre le schéma des deux précédentes, signe d'un retour précoce de la maladie. En effet, en 2022, le virus circule beaucoup, engorgeant même les services pédiatriques des hôpitaux français.

    La bronchiolite, souvent due au virus respiratoire syncytial (VRS), provoque des problèmes respiratoires chez les bébés. Bien que généralement bénigne, elle peut conduire à des situations d'urgence, nécessitant des hospitalisations. C'est pourquoi il est crucial d'adopter les mesures barrières, surtout auprès des enfants de moins de deux ans. Parmi les recommandations des autorités de santé : éviter les lieux publics confinés ou le passage continu du bébé d'un adulte à l'autre lors des réunions familiales.

    Le secteur de la santé innove

    Face à l'épidémie, le laboratoire Sanofi lance un traitement préventif appelé Beyfortus. L'objectif majeur ? Réduire le nombre d'hospitalisations. Cependant, ce traitement, victime de son succès, est actuellement en pénurie. Ainsi, il reste réservé en priorité aux maternités dans l'attente d'un réapprovisionnement. Malgré cela, l'espoir demeure. L'efficacité de cette campagne d'immunisation est attendue avec impatience.

    Alors que la bronchiolite revient sur le devant de la scène, le Covid-19 montre des signes de recul après une récente vague. Cependant, une légère hausse des hospitalisations chez les seniors demeure préoccupante. Concernant la grippe, les autorités de santé indiquent que seulement quelques cas isolés ont été signalés. Par ailleurs, la campagne de vaccination Covid est en cours. En revanche, celle de la grippe doit démarrer dans les prochains jours.

    https://www.economiematin.fr/sante-retour-bronchiolite-epidemie-2023

    RépondreSupprimer
  10. Étude dévastatrice pour la campagne de vaccination : 17 millions de morts à la suite


    12 octobre 2023
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Le comité du prix Nobel revendique 14 à 17 millions de vies « sauvées » grâce à la campagne de vaccination basée sur la modélisation. En revanche, une étude évaluant des données réelles fait état de 17 millions de décès causés par la campagne de vaccination – « soudains et inattendus ».

    Une nouvelle étude révolutionnaire montre les dommages massifs causés par l’utilisation généralisée des injections d’ARNm du Covid, après que ces injections ont été liées à 17 millions de morts subites dans le monde. L'étude, publiée par « Correlation Research in the Public Interest », a analysé les données sur la mortalité toutes causes confondues dans 17 pays.

    L’étude de Denis G. Rancourt et al, intitulée « Mortalité associée au vaccin COVID-19 dans l’hémisphère sud », quantifie le taux de mortalité par dose de vaccin (vDFR) dans tous les groupes d’âge.

    Le vDFR mesure le rapport entre les décès provoqués par les vaccinations et le nombre total de vaccins administrés à la population. Les chercheurs ont constaté que la toxicité mortelle médiane des injections dans tous les groupes d’âge et dans tous les pays était de 1 décès pour 800 injections.

    En d’autres termes, sur les 13,25 milliards d’injections administrées jusqu’au 2 septembre 2023, 17 millions sont décédés des suites de décès liés au vaccin.

    Dans l’étude, les chercheurs écrivent :

    « Nous estimons le vDFR global pour les 17 pays à (0,126 ± 0,004 %), ce qui représenterait 17,0 ± 0,5 million de décès dus au vaccin COVID-19 dans le monde sur la base de 13,50 milliards d'injections d'ici le 2 septembre 2023.

    « Cela correspondrait à un événement iatrogène de masse qui aurait tué (0,213 ± 0,006) % de la population mondiale (1 décès pour 470 personnes vivantes en moins de 3 ans) et n’aurait empêché aucun décès de manière mesurable. »

    Les chercheurs ont analysé l’ensemble de données mondiales sur la mortalité de 17 pays de l’hémisphère équatorial et sud.

    RépondreSupprimer
  11. « Dans les 17 pays, des transitions vers des régimes ACM élevés se produisent à mesure que les vaccins contre la COVID-19 sont déployés et administrés. Neuf des 17 pays ne disposent pas d'un délai d'environ un an après que la pandémie a été déclarée par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) le 11 mars 2020, jusqu'à ce que les vaccins soient disponibles (Australie, Malaisie, Nouvelle-Zélande, Paraguay, Philippines, Singapour). , Suriname, Thaïlande, Uruguay).

    Les événements de l’été (janvier-février) 2022 survenus dans l’hémisphère sud et dans les pays situés aux latitudes équatoriales coïncident avec ou immédiatement avant le déploiement rapide des doses de rappel du vaccin COVID-19 (3e ou 4e dose). Ce phénomène se produit dans tous les pays pour lesquels des données de mortalité suffisantes sont disponibles (15 pays). Deux des pays examinés ne disposent pas de données de mortalité insuffisantes en janvier-février 2022 (Argentine et Suriname)."

    Ces pays représentent 9,1 % de la population mondiale et 10,3 % des injections mondiales contre le COVID-19 - avec un taux de vaccination de 1,91 injections par personne de tous âges - et comprennent presque tous les produits et fabricants de vaccins contre le COVID-19 sur quatre continents.

    Les principales conclusions du rapport de 180 pages comprennent :

    Dans tous les pays inclus dans l’analyse, la mortalité toutes causes confondues a augmenté lorsque les vaccins contre la COVID-19 étaient utilisés.

    Dans neuf pays sur 17, aucun décès supplémentaire n’a été détectable depuis que l’Organisation mondiale de la santé a déclaré la pandémie le 11 mars 2020 jusqu’au début de la campagne de vaccination contre la COVID-19.
    Des pics sans précédent de mortalité toutes causes confondues ont été observés en janvier et février 2022, pendant la saison estivale dans les pays de l’hémisphère sud, qui ont coïncidé avec ou suivi le déploiement des vaccinations de rappel dans 15 des 17 pays étudiés.
    La surmortalité toutes causes confondues pendant la période de vaccination à partir de janvier 2021 était de 1,74 million de décès, soit un décès pour 800 vaccinations, dans les 17 pays étudiés.
    Le vDFR a augmenté de façon exponentielle avec l’âge, atteignant près de 5 pour cent chez les personnes de 90 ans et plus ayant reçu une quatrième dose de vaccin.
    Les chercheurs ont également fait valoir que la mortalité globale aurait dû baisser si les vaccins avaient fonctionné comme le préconisent les grandes sociétés pharmaceutiques, l’OMS, les gouvernements de l’UE et du monde.

    RépondreSupprimer
  12. L’étude présente également les résultats sous forme graphique de manière très impressionnante. Voici les graphiques pour l’Argentine, l’Australie et la Bolivie.

    - voir graph sur site -

    La ligne bleue montre la mortalité toutes causes (ACM), la ligne rouge montre la moyenne mobile de l'ACM et l'orange montre les injections administrées.

    Enfin, les chercheurs déclarent :

    « Si les 'vaccins' préviennent la transmission, l’infection ou une maladie grave, la mortalité devrait diminuer après le déploiement du vaccin, et non augmenter, comme ce fut le cas dans tous les groupes d’âge plus âgés observés qui ont subi une vaccination de rappel rapide.

    Et la mortalité n’augmenterait pas seulement lorsque les vaccins seraient déployés, s’il n’y avait pas de surmortalité avant le déploiement des vaccins, comme nous l’avons documenté ici dans neuf pays sur trois continents.

    Les chercheurs ont ajouté que les données de pays comme l’Inde, l’Australie, le Canada, Israël et les États-Unis montrent un phénomène similaire, une augmentation de la mortalité globale, à mesure que les injections de rappel étaient déployées. Le TKP l'a démontré à plusieurs reprises pour l'Allemagne.

    https://tkp.at/2023/10/12/verheerende-studie-fuer-impfkampagne-17-millionen-todesfaelle-als-folge/

    RépondreSupprimer
  13. Vidéo : Un cardiologue suisse parle de la vérité sur l'arme biologique à ARN – Écrasez l'OMS !


    Par le Dr Thomas Binder
    Recherche mondiale,
    11 octobre 2023


    « Votre gouvernement négocie actuellement un traité sur la pandémie avec l’OMS ! S'il le signe, l'OMS sera placée au-dessus de la Constitution de votre pays, et non seulement vous, mais aussi votre gouvernement et votre Parlement perdrez TOUTE liberté de choix.

    Qui contrôle l’OMS contrôle le monde. La seule prévention raisonnable, efficace et sûre à 100 %, d’une autre épidémie criminelle est la destruction immédiate de l’OMS en mille morceaux.

    Je m'appelle Thomas Binder. J'ai étudié la médecine à Zurich, obtenu un doctorat en immunologie et virologie, spécialisé en médecine interne et cardiologie, et les 35 années d'expérience dans le diagnostic et le traitement des infections respiratoires aiguës en milieu hospitalier, dans les unités de soins intensifs et dans mon cabinet privé, m'ont Il n’y a JAMAIS eu de pandémie de virus mortel. Il y a eu une pandémie de lâches… et nous, médecins, voyons-nous une pandémie de maladies graves et de morts subites et inattendues dues à une crise cardiaque, une myocardite, une dissection aortique, un accident vasculaire cérébral et une embolie pulmonaire, une thrombose et une inflammation de tous les organes, de l'espace du cerveau et de la colonne vertébrale. cordes, coagulation intervasculaire disséminée, augmentation des infections, y compris CoVID, dues à l'immunosuppression, au cancer, aux maladies auto-immunes, à l'infertilité, aux fausses couches et bien d'autres.

    Ce génocide à ARN modifié constitue le plus grand crime médical de l’histoire de l’humanité, un désastre humanitaire aux proportions sans précédent.

    Actuellement, l’industrie pharmaceutique travaille au transfert de toutes les vaccinations vers la plateforme de vaccins à ARN modifié. Il le fait, même si le simple fait d’être capable de compter et de distinguer les étrangers de soi, même d’avoir une trace d’intelligence, suffit pour se rendre compte que la plateforme vaccinale à ARN modifié est totalement absurde et met la vie en danger.

    Ses deux défauts fondamentaux sont l'injection du plan de construction, d'une protéine étrangère à l'organisme, sans avoir aucun contrôle sur quelles cellules de l'organisme vont la produire, à quelle dose et pendant combien de temps. Et le fait qu’elle se vende par notre parcours pour produire cette protéine étrangère et ensuite la présenter à la surface, sera reconnue à tort par notre système immunitaire comme étrangère, donc détruite… un peu comme le rejet d’un organe étranger transplanté chez vous.

    RépondreSupprimer
  14. La prétendue vaccination à ARN modifié contraint votre corps à produire une toxine à une dose inconnue et pendant une période de temps inconnue, et transforme littéralement certaines parties de vous en extraterrestre.

    Par conséquent, toute la plateforme de vaccins à ARN modifié DOIT ÊTRE INTERDITE IMMÉDIATEMENT !

    Votre gouvernement négocie actuellement un traité sur la pandémie avec l’OMS ! S'il le signe, l'OMS sera placée au-dessus de la Constitution de votre pays, et non seulement vous, mais aussi votre gouvernement et votre Parlement perdrez TOUTE liberté de choix.

    Qui contrôle l’OMS contrôle le monde. La seule prévention raisonnable, efficace et sûre à 100 %, d’une autre épidémie criminelle est la destruction immédiate de l’OMS en mille morceaux.

    Chers humains, si vous avez reçu une injection une, voire plusieurs fois, et que vous souffrez peut-être même des effets secondaires graves des injections d'ARN modifié, ne désespérez pas. De plus en plus de médecins responsables sont prêts à vous aider… et de plus en plus de scientifiques responsables recherchent, un jour, la possibilité de traiter même leurs effets secondaires les plus complexes.

    Je pense qu’avec les injections d’ARN modifié, c’est comme avec le tabagisme ; Il n’est presque jamais trop tard pour y renoncer et vivre en meilleure santé.

    Que vous ayez été injecté ou non… Réveillez-vous ! Donnez un coup de pouce à votre colonne vertébrale. Levez-vous et dites aux fabricants, à vos prétendus experts, à vos gouvernements, à vos parlementaires, à vos généraux et à vos autorités, qui, du point de vue de la population, ont totalement échoué dans le scandale CoVID : « ASSEZ, C'EST ASSEZ ! Reculez enfin et présentez-vous devant les tribunaux. Faites cela et faites cela, sinon pour vous-même, du moins pour un avenir qui vaut la peine d'être vécu, pour vos enfants et petits-enfants MAINTENANT !

    - voir clip sur site :

    https://www.globalresearch.ca/video-swiss-cardiologist-truth-rna-bioweapon-smash-who/5835755

    RépondreSupprimer
  15. Ce n’est pas un homicide involontaire. C'est un meurtre
    Oui, c'est un vaccin qui tue . Ce message doit être fort et clair.

    Cela se produit partout dans le monde : des enfants et des adolescents meurent.

    Crimes contre l'humanité, crimes contre nos enfants.

    Moins de deux mois après le lancement du « vaccin à ARNm » de Pfizer, une manifestation funéraire de masse a eu lieu pour les enfants décédés après avoir reçu le vaccin à Genève, en Suisse (29 janvier 2021).

    - voir clip sur site -

    Myocardite, arrêt cardiaque : « Les jeunes meurent ». Mort subite à grande échelle
    La Vaccine Safety Research Foundation a récemment publié Jusqu'à preuve du contraire , un court documentaire vidéo sur les conclusions corroborantes de deux éminents cardiologues.

    - voir clip sur site -

    Nos enfants sont les victimes
    Partagez largement les vidéos suivantes montrant ce que les parents ont déjà vécu en perdant leurs enfants.

    - voir clip sur site -

    *

    - voir clip sur site -

    Sofia Benharira, 16 ans, décède suite à la vaccination Pfizer.

    - voir clip sur site -

    Mères enceintes vaxxées par Covid. Fausses couches. « De précieux bébés qui ne vivent plus »

    - voir clip sur site -

    Nos athlètes meurent
    Vidéo ci-dessous qui documente les reportages sur « 1 000 athlètes s’effondrant, mourant, problèmes cardiaques, caillots sanguins – de mars 2021 à juin 2022 ».

    - voir clip sur site -

    RépondreSupprimer
  16. « Cette campagne vaccinale sera considérée comme le plus grand scandale de l’histoire de la médecine… et elle sera en outre connue comme le plus grand crime jamais commis contre l’humanité. » – Députée Christine Anderson , députée européenne, juillet 2022

    Ce qui est présenté ci-dessus n’est que la « pointe de l’iceberg » de ce qui se passe dans le monde.
    Tout ce processus est « axé sur le profit » par milliards, soutenu par la fraude scientifique et la désinformation.

    Opération Vaxx mondiale « à gros budget »
    Sur une période de deux ans, plus de 12,9 milliards de doses de vaccin ont été administrées dans 184 pays (Bloomberg, 21 septembre 2022 , voir graphique ci-dessous).

    - voir clip sur site -

    Enregistré le 21 septembre 2022 : 12,9 millions de doses administrées (mi-décembre 2020-21 septembre 2022)

    En juillet 2023, le nombre estimé de doses administrées dans le monde (OMS) est de l'ordre de 14 milliards , pour une population mondiale totale de 8 milliards de personnes. (1,75 doses par personne pour une population mondiale de 8 milliards).

    L’ampleur et l’impact social de cette opération de vaccination sont indescriptibles. C'est une guerre contre l'humanité dans son ensemble.

    La vérité tacite : Nous avons affaire à une opération très rentable de plusieurs milliards de dollars qui repose sur des niveaux croissants de mortalité et de morbidité liées aux vaccins.

    RépondreSupprimer
  17. NE VOUS FAITES PAS VACCINER.
    SOYEZ SOLIDAIRES AVEC CEUX QUI ONT ÉTÉ VACCINÉS.
    INFORMER LES GENS À PARTIR DU TERRAIN SUR LES RISQUES SANITAIRES.
    PRENDRE UNE POSITION FERME CONTRE LE PASSEPORT VACCIN.
    La légitimité des hommes politiques et de leurs sponsors Big Money doit être remise en question.
    Nous devons agir d’une seule voix à l’échelle nationale et internationale.

    Notre première tâche est de désactiver la campagne de peur
    Le programme de « vaccination » contre le COVID-19 devrait être immédiatement interrompu dans le monde entier.
    Veuillez transmettre cet article à vos amis, collègues et famille. Global Research fait l’objet de censure. Les moteurs de recherche ne le capteront pas.

    Pour une analyse plus détaillée et complète. Voir le livre récemment publié de Michel Chossudovsky sur la crise mondiale du coronavirus . Cliquez ici : Téléchargement GRATUIT

    https://www.globalresearch.ca/the-covid-killer-vaccine-people-are-dying-all-over-the-world-its-a-criminal-undertaking/5800358

    RépondreSupprimer
  18. Un autre aveu tacite selon lequel les mandats COVID étaient une erreur désastreuse


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 12 OCTOBRE 2023 - 11H00
    Rédigé par Ian Miller via le Brownstone Institute,


    Les restrictions liées à la pandémie ont été un échec total, et la base de preuves contre les politiciens et les « experts » qui les ont imposées et ont exigé qu’elles soient respectées continue de croître.

    Et cela soulève des questions importantes quant à la nécessité de responsabiliser les responsables de leurs actes. D’autant plus que les mandats de masques reviennent dans certaines régions du pays, avec des indications que d’autres sont en route.

    Récemment, un nouveau rapport du gouvernement du Royaume-Uni a été publié sans grande fanfare, ce qui, sans surprise, reflète la fanfare résultant de la publication de nouvelles données par le CDC lui-même, montrant comment l'efficacité du vaccin est tombée à zéro.

    Enfin, Rochelle Walensky a reconnu publiquement que les vaccins ne pouvaient pas arrêter la transmission. Mais il était déjà bien trop tard pour avoir de l’importance.

    Mais depuis le début, l’agence a fermement affirmé que les injections d’ARNm étaient efficaces pour prévenir les hospitalisations. Ou du moins que le dernier rappel était efficace, reconnaissant tacitement que la série originale à 2 doses a perdu l’impact qu’elle avait autrefois.

    Ce que disent les preuves sur les NPI

    L’Agence britannique de sécurité sanitaire (HSA) a récemment publié un examen approfondi de l’efficacité des interventions non pharmaceutiques pour prévenir ou ralentir la propagation du COVID-19 dans le pays.

    Et au risque de révéler une alerte spoiler, ce n’est pas une bonne nouvelle pour les extrémistes du COVID déterminés à rétablir le port du masque.

    L’objectif de l’examen était exposé succinctement ; La HSA du Royaume-Uni avait l’intention d’utiliser des études primaires sur les NPI au sein de la communauté pour voir dans quelle mesure ils réussissaient ou non à réduire les infections au COVID.

    Le but de cette revue cartographique rapide était d'identifier et de catégoriser les études primaires qui rendaient compte de l'efficacité des interventions non pharmaceutiques (NPI) mises en œuvre en milieu communautaire pour réduire la transmission du coronavirus (COVID-19) au Royaume-Uni.

    RépondreSupprimer
  19. Des méthodes systématiques rationalisées ont été utilisées, notamment des recherches documentaires (en utilisant des sources telles que Medline, Embase et medRxiv) et l'utilisation de revues systématiques comme sources pour identifier les études primaires pertinentes.

    Sans surprise, ils ont constaté que la base de données factuelles sur les interventions liées au COVID était exceptionnellement faible.

    En fait, environ 67 pour cent des preuves identifiées étaient essentiellement inutiles. En fait, les deux tiers des preuves identifiées étaient de la modélisation.

    Les deux tiers des preuves identifiées étaient basées sur des études de modélisation (100 études sur 151).

    Il y avait un manque d’études expérimentales (2 sur 151 études) et d’études observationnelles au niveau individuel (22 sur 151 études). Hormis les stratégies de test et de diffusion pour lesquelles 2 essais contrôlés randomisés (ECR) ont été identifiés, l'ensemble des preuves disponibles sur l'efficacité des NPI au Royaume-Uni fournit des preuves faibles en termes de conception des études, car elles reposent principalement sur des études de modélisation, des études écologiques. , études à méthodes mixtes et études qualitatives.

    Il s’agit d’un point d’apprentissage clé pour la préparation à une future pandémie : il est nécessaire de renforcer l’évaluation des interventions et de l’intégrer dans la conception et la mise en œuvre des interventions de santé publique et des politiques gouvernementales dès le début de toute future pandémie ou autre urgence de santé publique.

    La modélisation, comme nous le savons, est fonctionnellement inutile, étant donné qu’elle est désespérément sujette aux préjugés, aux hypothèses incorrectes et aux besoins idéologiques de ses créateurs.

    RépondreSupprimer
  20. Les deux paragraphes qui suivent sont tout aussi importants.

    Il ne faut pas s’appuyer sur des preuves de faible qualité pour prendre des décisions, et pourtant c’est exactement ce qu’ont fait le Royaume-Uni, les États-Unis et de nombreux autres pays. Fauci, le CDC et d’autres ont adopté la modélisation comme un fait au début de la pandémie. Ils ont ensuite fait référence à plusieurs reprises à un travail de mauvaise qualité, car il confirmait leurs préjugés tout au long de leur durée, avec des résultats sans surprise.

    Et ce rapport du gouvernement est du même avis ; déclarant de manière simple et dévastatrice : « il y a un manque de preuves solides sur l’efficacité des NPI pour réduire la transmission du COVID-19, et pour de nombreux NPI, le consensus scientifique a changé au cours de la pandémie. »

    Bien entendu, le consensus scientifique a évolué au cours de la pandémie car, comme nous l’avons appris, il est devenu politiquement opportun de le modifier.

    Comme le montrent leurs paragraphes sur les preuves disponibles, il existait peu de données solides et de haute qualité démontrant que les NPI avaient un impact significatif sur la propagation du virus, une réalité qui avait été prédite par des décennies de planification en cas de pandémie.

    Mais le consensus s’est déplacé vers les NPI et s’est éloigné de quelque chose qui se rapproche de la stratégie suédoise ou de la Déclaration de Great Barrington, simplement parce que Fauci, le CDC et d’autres « experts » ont exigé que cela s’adapte à leurs objectifs idéologiques.

    Les quelques études de haute qualité, par exemple sur le masquage, menées pendant la pandémie ont montré que le port du masque ne présentait aucun avantage au niveau individuel ou de la population. Et c’est pourquoi la revue Cochrane est arrivée à sa conclusion désormais tristement célèbre.

    RépondreSupprimer
  21. Au lieu de reconnaître qu’ils s’appuyaient sur des preuves de mauvaise qualité, les « experts » ont opéré avec une certitude injustifiée que leurs interventions étaient basées sur « The Science™ ». À chaque instant, lorsqu’ils sont critiqués ou interrogés, ils reviennent par défaut à un appel à l’autorité ; que le consensus au sein de la communauté scientifique croyait sans équivoque que les preuves démontraient que les confinements, les mandats, les restrictions de voyage et autres NPI étaient basés sur les meilleures informations disponibles.

    Après avoir initialement déterminé que le Royaume-Uni devrait suivre l'exemple de la Suède et adopter une approche plus non interventionniste reposant sur la protection des personnes âgées tout en permettant le développement de l'immunité parmi les populations plus jeunes et en bonne santé, Boris Johnson a paniqué, à la demande de Neil Ferguson, et terrifié. groupes d’experts. Abandonner des décennies de planification par peur, tout en prétendant publiquement suivre la science.

    Au lieu de cela, un examen systémique et détaillé des données probantes sur lesquelles s’appuient ces mêmes experts a maintenant conclu qu’il n’y avait jamais eu d’informations de haute qualité suggérant que les politiques liées à la pandémie étaient justifiables. Seulement des vœux pieux de la part d’une communauté « d’experts » incompétente, arrogante et malveillante, et une conformité irréfléchie et sans ciller de la part de politiciens terrifiés qui utilisent des restrictions et des mandats sans se soucier ni se soucier des effets négatifs.

    Bien que ce nouveau rapport n’ait pas été spécifiquement conçu pour déterminer l’efficacité des NPI dans la réduction de la transmission, ses conclusions claires et évidentes donnent également cette réponse.

    S’il était facile de prouver que les politiques et les mandats liés à la COVID-19 ont eu un impact positif sur la propagation du virus, il existerait des dizaines d’études de grande qualité démontrant un bénéfice. Et ces études de haute qualité seraient couvertes dans ce rapport, avec une forte recommandation de rétablir de tels mandats lors de futures pandémies.

    RépondreSupprimer
  22. Au lieu de cela, il n’y a rien.

    Juste des exhortations à faire mieux la prochaine fois, à suivre les preuves réelles de haute qualité et non à des conjectures.

    Compte tenu du peu de responsabilité des « experts » et des politiciens qui ont menti à propos de « The Science™ », il ne fait aucun doute que lorsqu’ils se présenteront à la prochaine opportunité, ils seront sûrs de la gérer exactement de la même manière.

    Abandonner les preuves au profit de la politique.

    https://www.zerohedge.com/covid-19/another-tacit-admission-covid-mandates-were-disastrous-mistake

    RépondreSupprimer
  23. Les arrêts cardiaques hors de l’hôpital ont augmenté en 2021, selon une étude


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 12 OCTOBRE 2023 - 00H45
    Rédigé par Zachary Stieber via The Epoch Times


    Les arrêts cardiaques survenus en dehors des hôpitaux ont augmenté en 2021, selon une nouvelle étude américaine.

    Les arrêts cardiaques hors de l’hôpital étaient plus élevés après la pandémie de COVID-19 qu’avant la pandémie, ont découvert des chercheurs américains.

    Ils ont analysé les données de Seattle et du comté de King dans l’État de Washington pour les années 2018 à 2021. L’ensemble de données comprenait 13 081 patients, dont 7 102 décédés à l’arrivée des secours et 4 952 autres qui ont été soignés mais sont décédés avant l’hospitalisation ou à l’hôpital.

    Par rapport aux années prépandémiques, soit 2018 et 2019, 19 % de personnes supplémentaires ont subi un arrêt cardiaque hors de l’hôpital au cours de la période pandémique, soit 2020 et 2021, ont indiqué les chercheurs. Cela comprenait une augmentation de 10,8 pour cent du nombre de personnes qui ont survécu jusqu'à l'arrivée des intervenants et une augmentation de 27,2 pour cent du nombre de patients déclarés morts lorsque les intervenants ont atteint les patients.

    L'augmentation du nombre de survivants s'est produite chez les 18 à 64 ans, le taux chez les 65 ans et plus restant stable.

    Les chiffres ont été les plus élevés en 2021, après le déploiement des vaccins contre la COVID-19.

    Les chercheurs n’ont pas pris en compte le statut vaccinal, mais ont plutôt cherché à examiner l’impact du COVID-19 sur les arrêts cardiaques hors de l’hôpital.

    Parmi les personnes qui ont subi un arrêt cardiaque hors de l'hôpital pendant la pandémie et ont survécu jusqu'à l'arrivée des secours, 6,2 % ont été testées positives pour le COVID-19 au cours des deux semaines précédant l'arrêt cardiaque ou dans la semaine suivant l'arrêt cardiaque, ou ont reçu un diagnostic de COVID 19. Seulement 3,7 % d’un échantillon aléatoire de personnes déclarées mortes à leur arrivée étaient atteintes du COVID-19, ce qui était inférieur au pourcentage d’une récente étude du Maryland.

    RépondreSupprimer
  24. Pendant la pandémie, ont déclaré les chercheurs de l’État de Washington, la survie était moins probable chez les personnes ayant subi un arrêt cardiaque hors de l’hôpital (OHCA), conformément aux recherches antérieures. Alors que 42,6 pour cent des personnes ont survécu jusqu’à leur admission à l’hôpital avant la pandémie, seulement 35,7 pour cent y sont parvenus en 2020 et 2021. Et par rapport à 2018 et 2019, où 19,2 pour cent des patients ont survécu jusqu’à leur sortie de l’hôpital, seulement 15,4 pour cent des patients sont sortis vivants au cours de la pandémie. pandémie.

    Le COVID-19 a contribué à la baisse du taux de survie, mais seulement dans une certaine mesure, selon les chercheurs. Ils l'ont identifié comme responsable de 18,5 pour cent du ralentissement économique.

    Les principaux facteurs, ont-ils déclaré, comprennent l'isolement social qui a conduit à une diminution du nombre d'événements observés, un retard dans le traitement des patients par les agents de santé en raison de l'équipement et des protocoles de réanimation mis à jour, et des délais d'intervention d'urgence ralentis. Les facteurs ont été décrits comme des caractéristiques d'Utstein.

    "La survie de l'OHCA a été plus faible pendant les années de pandémie, en grande partie à cause des changements dans les caractéristiques d'Utstein à l'échelle du système, par opposition à l'infection aiguë par le SRAS-CoV-2 spécifique au patient", Jennifer Liu, épidémiologiste au département de santé publique de Seattle et du comté de King, et ses coauteurs ont écrit. Le SRAS-CoV-2 provoque le COVID-19.

    D'autres groupes ont également déclaré que les raisons indirectes de la baisse du taux de survie et de l'augmentation du taux d'occurrence pourraient provenir de raisons telles que les délais de réponse retardés.

    Mme Liu et les autres auteurs n'ont déclaré aucun conflit d'intérêts ou de financement.

    Les limites de l'article, publié par JAMA Network Open, incluent les données provenant d'un seul comté.

    Impact de la vaccination ?

    Mme Liu n'a pas répondu à une demande de commentaires, notamment pourquoi le groupe n'a pas analysé l'impact possible de la vaccination sur l'augmentation des arrêts cardiaques hors de l'hôpital. Les vaccins contre la COVID-19 peuvent provoquer une myocardite, ou inflammation cardiaque, ainsi que d’autres événements cardiaques.

    RépondreSupprimer
  25. "Ce qui est le plus frappant est l'absence d'analyse d'une éventuelle corrélation entre les taux de cas d'OHCA et les campagnes de vaccination contre le COVID-19 qui ont débuté fin 2020 et se sont poursuivies tout au long de 2021", a déclaré Retsef Levi, professeur de gestion des opérations au Massachusetts Institute of Technology. Technologie, a déclaré à Epoch Times par courrier électronique.

    "Une telle corrélation a été observée dans d'autres études et comme les auteurs semblent avoir accès à des données complètes sur chaque cas (par exemple, des dossiers médicaux), il semble qu'ils auraient pu le faire", a déclaré M. Levi, qui n'a pas participé à l'étude. la recherche, a ajouté. « Au minimum, les auteurs auraient dû analyser la corrélation temporelle entre les taux de vaccination communautaire et les taux de cas OHCA. »

    M. Levi a noté que le nombre d'événements était principalement regroupé dans les périodes pandémiques et pré-pandémiques, à l'exception d'un graphique dans le contenu supplémentaire, qui montrait que l'année avec le plus d'événements était 2021.

    "Il n'est même pas clair s'il y aura une augmentation en 2020 par rapport au niveau de référence, ou si la totalité de l'augmentation sera observée en 2021", a déclaré M. Levi.

    Les chercheurs ont trouvé une corrélation statistiquement significative entre les taux hebdomadaires de COVID-19 dans la communauté et le taux hebdomadaire d'OHCA, mais seulement en 2020, pas en 2021. M. Levi a contribué à la recherche qui a révélé les pires résultats chez les personnes souffrant de problèmes cardiaques. les arrestations pendant la pandémie à Boston découlaient d’une réticence à recourir aux soins de santé. Lui et d’autres chercheurs ont également découvert qu’en Israël, l’augmentation des appels d’urgence destinés aux jeunes en raison d’événements cardiovasculaires était significativement associée à la vaccination contre le COVID-19.

    Certains autres articles ont révélé qu’avant le déploiement du vaccin, les personnes testées positives pour le COVID-19 et ayant subi un arrêt cardiaque étaient plus susceptibles de mourir que les personnes non testées positives.

    https://www.zerohedge.com/political/out-hospital-cardiac-arrests-spiked-2021-study-finds

    RépondreSupprimer
  26. Syndrome de Guillain-Barré : l'ANSM avoue que les vaccins à adénovirus sont risqués


    le 11 octobre 2023 - 16:50


    Dans un communiqué officiel, l'Agence nationale de sécurité et du médicament (ANSM) avoue que certains vaccins anti-Covid augmentent le risque de développer un syndrome de Guillain-Barré (SGB). Selon une étude publiée début octobre, ce sont le plus souvent les vaccins à adénovirus qui en sont la cause, et non ceux à ARNm.

    "L’objectif de cette étude était de quantifier le risque de SGB associé à l’administration des quatre principaux vaccins contre le Covid-19 – vaccins adénoviraux ChAdOx1-S (Oxford-AstraZeneca) et Ad.26.COV2.S (Janssen/Johnson & Johnson), et vaccins à ARN messager BNT162b2 (Pfizer-BioNTech) et
    mRNA-1273 (Moderna) – parmi l’ensemble des personnes de 12 ans et plus en France.", explique le communiqué.

    Sous l'égide des autorités sanitaires françaises, des chercheurs ont réalisé cette étude et l'ont publiée sur Neurology au début du mois. Comme le rapporte l'AFP, l'étude a comparé, de manière rétrospective, la situation vaccinale des quelque 2.229 personnes hospitalisées pour SGB entre fin 2020 et début 2022. Ces personnes faisaient partie des 88,8 % de la population française de plus de 12 ans à avoir reçu au moins une injection de vaccin.

    Il en ressort que la vaccination par AstraZeneca et Janssen est associée à un risque plus que doublé de développer un syndrome de Guillain-Barré. Les chercheurs rappellent que ce risque est nettement plus élevé en cas d'infection au coronavirus.

    En revanche, "les analyses au niveau de la population française n’indiquent pas d’augmentation statistiquement significative après l’administration des vaccins à ARNm.", plaident les auteurs. Pourtant, ils écrivent aussi : "Hormis parmi les personnes de 12 à 49 ans exposées à la deuxième dose du vaccin [à ARNm de Moderna - NDLR], aucune estimation d’incidence relative n’était significativement augmentée pour les vaccins à ARNm."

    Peut-on alors conclure sans sourciller que "ces résultats sont rassurants quant à l'utilisation actuelle de vaccins à ARNm pour les rappels de vaccination" ?

    https://www.francesoir.fr/societe-sante/syndrome-de-guillain-barre-l-ansm-avoue-que-les-vaccins-adenovirus-sont-risques

    RépondreSupprimer
  27. Vacciné contre le COVID souffrant de psychose, d'attaques de panique et d'hallucinations


    11/10/2023
    Ethan Huff


    Partout au pays, des personnes qui étaient en bonne santé sont plus malades que jamais. Et la cause, disent-ils, ce sont les « vaccins » contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19).
    Une personne « entièrement vaccinée » qui ne peut même plus faire son travail est le Dr Patrick William Slater, neurotologue, 60 ans. Avant l’opération Warp Speed, Slater dirigeait avec succès un entraînement à temps plein à Austin, et pêchait et faisait de la randonnée pendant son temps libre – mais plus maintenant.

    En octobre 2021, Slater a souffert d'ataxie cérébelleuse, une maladie qui affecte le mouvement. Il ne pouvait soudain plus manger ni aller aux toilettes sans aide. Il a pu obtenir des médicaments pharmaceutiques pour l'aider à gérer sa maladie, mais Slater ne semble pas pouvoir gérer ses crises de panique sans précédent.

    Presque toutes les nuits, Slater subissait des crises de panique si graves qu'elles le laissaient dans une « terreur abjecte ». La douleur et la misère étaient si fortes qu’il a envisagé de se suicider à plusieurs reprises.

    Personne dans le domaine médical n’a pu trouver une explication aux symptômes de Slater. Les neurologues et les psychiatres ont qualifié ses symptômes d’anxiété, mais il pense que la véritable cause réside dans les injections d’ARNm COVID qu’il a prises, y compris la double dose initiale suivie d’un rappel.

    "Il n'y avait aucun doute dans mon esprit", a déclaré Slater à propos de la vague de symptômes de plus en plus graves qu'il développait après chaque injection d'ARNm ultérieure.

    (Connexe : Regardez le film documentaire « The Unseen Crisis » pour en savoir plus sur les séquelles dévastatrices de la « vaccination » contre le COVID.)

    Les personnes complètement piquées transmettent-elles ces mêmes conditions aux non vaccinés ?
    Slater n'est pas seul. Depuis fin 2020, après que l’administration Trump a déployé les vaccins contre le COVID à une vitesse fulgurante, les médecins du monde entier ont constaté une augmentation constante des maladies psychiatriques inhabituelles.

    La psychiatre Dr Amanda McDonald a déclaré qu'elle avait personnellement observé que nombre de ses propres patients se transformaient en cas de panier instables, malades mentaux et frappés par la panique, qui souffrent encore aujourd'hui d'hallucinations à cause de tout ce que ces médicaments ont fait à leur corps.

    "Je n'arrivais pas à comprendre pourquoi", aurait déclaré McDonald. "Mes patients restent généralement capables."

    Après le lancement de l'opération Warp Speed, McDonald a commencé à voir des patients inonder son cabinet de symptômes d'insomnie, de dépression et d'anxiété « sans aucune sorte de rime ni de raison ».

    Lorsque McDonald a essayé d’aider ses patients souffrants avec des médicaments et d’autres thérapies, cela n’a eu que peu d’effet. Elle aussi dit qu'elle constate des crises de panique atypiques qui s'intensifient généralement le soir et culminent la nuit.

    Il a fallu plus d’un an à McDonald pour même considérer que les vaccins COVID pourraient en être la cause.

    « Lorsque la pandémie a frappé, j'avais déjà une population de patients que je connaissais très bien », a-t-elle déclaré. "Ce que j'ai vu, ce sont des manifestations chez cette population de patients."

    RépondreSupprimer
  28. La Dre Diane Counce, neurologue et neuroradiologue, a déclaré avoir constaté à peu près la même chose chez ses patients.

    "Les gens parlent aussi de la façon dont leur personnalité a changé. [La famille] dira : 'ils sont simplement différents.'"

    L'infirmier praticien Scott Marsland a déclaré que l'anxiété, la dépression et l'insomnie font désormais partie des symptômes les plus courants qu'il observe.

    Bien qu’il n’existe pas de test définitif permettant de lier à 100 % les injections de COVID à ces symptômes, le moment de leur apparition soudaine correspond parfaitement au déploiement des injections de COVID dirigé par Trump.

    Des chercheurs de l'Institut indien des sciences médicales et de l'hôpital de district ont écrit dans un rapport de cas sur les symptômes similaires qu'ils observent chez les patients qu'ils "indiquent que l'événement indésirable psychiatrique peut être lié au vaccin".

    Les effets secondaires du vaccin COVID sont horribles. Apprenez-en davantage sur ChemicalViolence.com.

    Les sources de cet article incluent :

    Méduses.news
    Newstarget.com

    https://www.naturalnews.com/2023-10-11-covid-vaccinated-having-psychosis-panic-attacks-hallucinations.html

    RépondreSupprimer
  29. New York connaît une augmentation des cas de TUBERCULOSE face à l'afflux de migrants


    11/10/2023
    Olivia Cook


    Une augmentation significative des cas de tuberculose (TB) à New York (NYC) suscite des inquiétudes quant à la résurgence potentielle de cette maladie aéroportée hautement contagieuse aux États-Unis.
    Jusqu'à présent cette année, les premières données montrent qu'environ 500 nouveaux cas de tuberculose ont été officiellement diagnostiqués dans la seule ville – le nombre le plus élevé de cas enregistrés depuis plus d'une décennie pour cette période de l'année. Ce chiffre représente également une augmentation de 20 pour cent des cas par rapport à l’année dernière, ce qui indique une propagation potentielle à d’autres régions du pays.

    Facteurs à l’origine de la hausse

    Les responsables de la santé attribuent l'augmentation des cas de tuberculose à une combinaison de facteurs, notamment l'afflux de plus de 100 000 migrants en provenance de pays où la prévalence des cas de tuberculose est élevée, ainsi que l'impact continu de la pandémie de maladie à coronavirus de Wuhan (COVID-19). .

    Alors que de plus en plus de personnes évitent les cliniques et les traitements, la lassitude persistante face à la pandémie a conduit les gens à être moins vigilants quant au respect des mesures de santé publique, y compris les directives essentielles de base en matière de santé et de sécurité.

    Le ministère de la Santé et de l'Hygiène mentale de New York, qui fonctionne en tant qu'autorité de santé publique et fournisseur de soins de santé par l'intermédiaire des cliniques du ministère de la Santé, manque de personnel et a du mal à répondre aux nouveaux cas.

    Le Bureau de lutte contre la tuberculose du département de santé de la ville est aux prises avec des années de coupes budgétaires et de nombreux postes vacants. La situation est aggravée par la fermeture du centre thoracique du département à Washington Heights – l'une des quatre cliniques municipales proposant des tests et des soins gratuits pour la tuberculose et le seul de ce type à Manhattan.

    La clinique de Washington Heights a été réaménagée pour contribuer à la réponse au COVID-19 et des rénovations sont envisagées. "Sa réouverture dépend de la viabilité de la modernisation de l'établissement", a déclaré Patrick Gallahue, porte-parole du département de la santé de la ville.

    Les migrants courent un risque accru de développer la tuberculose, car l’infection aéroportée peut se propager rapidement, en particulier dans les lieux de rassemblement où la ville les héberge. (Connexe : ENFANTS BIOARMÉS : Des enfants étrangers illégaux infectés par la tuberculose ont été délibérément libérés dans 44 États par le régime Biden.)

    RépondreSupprimer
  30. Selon les employés du bureau antituberculeux, qui souhaitent rester anonymes car ils ne sont pas autorisés à s'exprimer publiquement, les données préliminaires de la ville pour 2023 ont dépassé les attentes. Ils ont également évoqué « les longues attentes inquiétantes pour un traitement dans les cliniques antituberculeuses gérées par la ville ».

    « Il s'agit certainement d'une résurgence plus spectaculaire que ce à quoi nous nous attendions – avec des chiffres internes suggérant que la ville est sur le point de dépasser les 536 nouveaux cas de tuberculose diagnostiqués l'année dernière, soit un taux de 6,1 cas pour 100 000 habitants », a déclaré Elizabeth Lovinger, directeur des politiques de santé au Treatment Action Group, un groupe de défense de la santé publique qui se concentre sur la tuberculose.

    Le nombre de cas de cette année pourrait être le plus élevé à New York depuis 2013 si le taux actuel se maintient. "Lorsqu'il y a des pics particulièrement élevés de tuberculose et d'autres maladies infectieuses à New York, cela tend à être une sorte d'indicateur pour le reste du pays", a ajouté Lovinger.

    Comment prévenir la tuberculose

    La tuberculose est une infection contagieuse aéroportée causée par Mycobacterium tuberculosis et se propage lorsqu'une personne infectée tousse, éternue ou parle. La tuberculose pulmonaire (TB) est une infection qui survient lorsque M. tuberculosis attaque vos poumons et peut se propager à d'autres organes et devenir mortelle dans de nombreux cas. (Connexe : Les experts de la santé préviennent que la tuberculose incurable menace le monde.)

    Sachez si vous êtes « à risque ». Avez-vous un système immunitaire affaibli ? Vivez-vous avec ou prenez-vous soin d’une personne atteinte de tuberculose active ? Vivez-vous dans un espace bondé ou confiné ? Avez-vous des antécédents d’abus d’alcool ou de substances ? Voyagez-vous dans des pays ou des endroits où la tuberculose/PTB active est courante ?

    Menez un mode de vie sain et adoptez des habitudes saines. Mangez intelligemment et suivez un régime alimentaire sain. Faites souvent de l’exercice pour rester en forme physiquement et mentalement. Dormez suffisamment et de bonne qualité. Réduisez votre consommation d’alcool et évitez de fumer ou de prendre des drogues inutilement. Maintenir une bonne hygiène personnelle. Essayez de passer autant de temps à profiter du soleil à l’extérieur et à respirer de l’air frais. (Connexe : Vitamine Sunshine : Une défense puissante contre les nouvelles souches mortelles de tuberculose.)

    RépondreSupprimer
  31. La détection précoce est essentielle. Planifiez un test de tuberculose si vous avez été exposé à une personne diagnostiquée avec la maladie. Si votre test est positif, consultez votre médecin pour connaître la marche à suivre la meilleure et la plus rentable.

    Évitez de propager la tuberculose. Restez à la maison si vous souffrez de tuberculose active et évitez de recevoir des visiteurs jusqu'à ce que vous ne soyez plus contagieux. Assurez une bonne ventilation à la maison. Pratiquez l’étiquette de la toux. Terminez le traitement médicamenteux que votre médecin vous a prescrit, car si vous ne le faites pas, la bactérie tuberculeuse aura une chance de muter, ce qui la rendra plus résistante aux médicaments.

    Visitez Outbreak.news pour plus d’histoires comme celle-ci.

    Regardez cette vidéo pendant laquelle Robert Kennedy Jr. parle des personnes qui ne portent pas de masque contre la tuberculose, qui tue 1,5 million de personnes par an.

    Cette vidéo provient de la chaîne The Big Logic sur Brighteon.com.

    Plus d'histoires connexes:

    Crise des migrants à New York : Central Park considéré comme un LOGEMENT pour les migrants.

    New York va construire une TENT CITY pour migrants près de Riker's Island pour accueillir 2 000 clandestins.

    Curcuma contre tuberculose : ce superaliment peut renforcer votre système immunitaire pour une protection solide.

    Sources include:

    DailyMail.co.uk
    WHO.int
    Politico.com
    BMCInfectDis.BioMedCentral.com
    SAHealth.sa.gov.au
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2023-10-11-nyc-tuberculosis-cases-surge-influx-of-migrants.html

    RépondreSupprimer
  32. CARTEL DES MÉDICAMENTS : L’équivalent Big Pharma du MOB gère les soins de santé américains, c’est pourquoi les prix des médicaments continuent de monter en flèche


    11/10/2023
    Ethan Huff


    Au cas où vous ne l'auriez pas encore compris, tout en Amérique tourne autour de l'argent et des pouvoirs en place qui l'adorent. Et le système de santé hautement corrompu du pays n’est pas différent.

    Après tout, le gouvernement fédéral établit toutes les règles, y compris qui « gagne » et qui « perd ». Comme d’habitude, les Américains ordinaires perdent sous la forme de prix exorbitants associés à des « soins » au plus bas. Et les 1-pour-cent au sommet engrangent tous les profits.

    La soi-disant loi sur les soins abordables (ACA) était la « solution » de Barack Hussein Obama au problème du modèle de conduite des affaires du secteur de l'assurance maladie, cupide pour les soins. Toutes ces années plus tard, l’Obamacare, comme on appelle aussi l’ACA, n’a fait qu’empirer les choses.

    Au lieu de réaligner le système sur quelque chose qui ressemble même à un système équitable et honnête, l’Obamacare a simplement créé une toute nouvelle série de problèmes sans parvenir à résoudre les anciens.

    Dans le cadre d'Obamacare, UnitedHealth Group (UNH) a été choisi comme « gagnant » pour rendre les soins de santé « équitables » et « abordables » pour tous les Américains. Au lieu de cela, il a créé un monopole des soins de santé dans lequel les 1-pour-cent continuent à mettre tout cet argent dans leurs propres coffres privés tout en baisant les Américains.

    "Apparemment, quand Obama a dit 'à un certain moment, vous avez gagné assez d'argent', il ne comptait pas les entreprises bénéficiaires des assurances de sa législation phare", a déclaré Rick Manning d'Americans for Limited Government.

    (Connexe : Il y a quelques mois, une femme de Portland s'est vu refuser un traitement contre le cancer parce qu'elle avait été surprise en train de critiquer le transgenre.)

    Le système de santé américain est aussi corrompu que possible

    Alors que les démocrates ont essayé, du moins en apparence, d’utiliser Obamacare pour uniformiser les règles du jeu en imposant un taux de perte médicale (MLR), UnitedHealth a simplement contourné ce problème pour continuer à escroquer le public tout en remplissant les poches des dirigeants de l’industrie.

    RépondreSupprimer
  33. Le MLR, soit dit en passant, stipule que les compagnies d'assurance doivent consacrer 80 à 85 pour cent de toutes leurs recettes de primes aux soins de santé proprement dits, "afin que les dirigeants ne puissent pas autant remplir leur portefeuille".

    Avec le MLR plafonnant les bénéfices pour le remboursement des réclamations, tout ce que UnitedHealth avait à faire était de s'appuyer sur d'autres aspects de ses intérêts commerciaux diversifiés pour contourner la loi.

    "Dans un style Freakonomics, 'les gens réagissent très fortement aux incitations', le MLR a plutôt créé l'impératif financier pour les compagnies d'assurance de devenir encore plus puissantes plutôt que de les diminuer", écrit Manning.

    Comment UnitedHealth a-t-il procédé ? Elle a simplement consolidé le secteur des gestionnaires de prestations pharmaceutiques (PBM), qui constitue l'un de ses nombreux intérêts commerciaux, en acquérant PacifiCare Health Systems en 2005 et en le rebaptisant « OptumRx ». Dix ans plus tard, UnitedHealth a acheté Catamaran, le quatrième PBM du pays, pour un peu moins de 13 milliards de dollars.

    Ces deux achats ont permis à UnitedHealth de créer un monopole qui peut toujours fonctionner légalement dans les limites de l’Obamacare tout en en contournant l’esprit.

    "Les PBM existent apparemment pour servir de négociateur entre les compagnies pharmaceutiques et les compagnies d'assurance", explique Manning.

    "En théorie, c'est une excellente idée, mais pas si l'un de ces deux partis est propriétaire du PBM. C'est comme si la mafia possédait un cabinet d'avocats. Les trois plus grands PBM appartiennent chacun à un grand assureur : Caremark appartient à CVS/Aetna. , et Express Scripts appartient à Cigna."

    "Les compagnies d'assurance utilisent leurs PBM pour faire monter les prix des médicaments sur ordonnance pour les patients. Un rapport du House Oversight Committee des États-Unis a révélé que les PBM forcent les fabricants de médicaments à augmenter leur prix catalogue afin que les PBM puissent augmenter leurs bénéfices avec des 'remises' plus importantes."

    La leçon, comme d'habitude, est que l'Amérique est un gouffre de cupidité dirigé par des porcs cupides qui, peu importe le nombre de lois adoptées, ne cesseront jamais d'arnaquer et d'arnaquer les moins fortunés, y compris au sein même des systèmes qu'ils dirigent et qui prétendent « aider ». " aux gens en leur prodiguant des " soins ".

    Les dernières nouvelles des Big Pharma peuvent être trouvées sur BadMedicine.news.

    Les sources de cet article incluent :

    Breitbart.com
    Newstarget.com

    https://www.naturalnews.com/2023-10-11-big-pharma-mob-runs-american-health-care.html

    RépondreSupprimer
  34. Boire du VIN muscadine désalcoolisé améliore l’élasticité de la peau chez les femmes d’âge moyen et plus âgées


    11/10/2023
    Evangelyn Rodriguez


    Boire des quantités modérées de vin rouge a été associé à certains bienfaits pour la santé des personnes âgées, comme une amélioration du bon cholestérol et une baisse du taux de sucre dans le sang. Une étude récente menée par des chercheurs de l'Université de Floride (UF) vient d'ajouter l'anti-âge à cette liste de bienfaits, notant que la consommation quotidienne de vin désalcoolisé à base de raisin muscadine peut améliorer l'élasticité et la rétention d'eau de la peau des personnes âgées.

    Cette nouvelle découverte, présentée par l'auteur de l'étude Lindsey Christman le 24 juillet dernier à NUTRITION 2023, le congrès annuel phare de l'American Society for Nutrition, est issue d'un essai clinique randomisé impliquant des femmes âgées de 40 à 67 ans.

    Le vin muscadine est riche en polyphénols anti-âge

    Pour leur étude, les chercheurs de l'UF se sont concentrés uniquement sur le vin muscadine et ses effets sur certains paramètres cutanés associés au vieillissement. Ils ont utilisé du vin désalcoolisé pour délimiter les activités des polyphénols du vin muscadine, qui ont montré de puissantes propriétés anti-inflammatoires et antioxydantes lors d'essais cliniques antérieurs. Quelques exemples de ces polyphénols sont les anthocyanes, la quercétine et l’acide ellagique, qui sont tous connus pour conférer divers bienfaits à la peau.

    Les chercheurs ont noté que les raisins muscadine, à partir desquels le vin muscadine est élaboré, ont un profil polyphénolique unique qui les distingue des autres cépages utilisés pour la vinification. Originaire du sud-est des États-Unis, le raisin muscadine serait la première espèce de raisin indigène cultivée en Amérique du Nord. Des vins de différentes couleurs avec différents niveaux de douceur peuvent être produits à partir de raisins muscadine.

    RépondreSupprimer
  35. Les polyphénols alimentaires, comme ceux présents dans le raisin muscadine, exercent leurs effets bénéfiques sur la santé humaine par divers mécanismes. Il s’agit notamment de réduire la production de radicaux libres et d’espèces réactives de l’oxygène qui déclenchent le stress oxydatif ; protection contre les dommages à l'ADN et aux cellules ; et inhiber les facteurs de signalisation cellulaire spécifiques qui conduisent à une inflammation chronique. Toutes ces cibles d’action des polyphénols ont été impliquées dans les maladies chroniques et le vieillissement prématuré. (Connexe : ÉTUDE : Manger des aliments riches en flavonols (comme la quercétine) peut vous aider à rester fort en vieillissant.)

    En raison du large éventail d’activités antioxydantes et anti-inflammatoires des polyphénols, les chercheurs pensent qu’ils peuvent contribuer à ralentir le vieillissement cellulaire, à prévenir le développement ou la progression de maladies liées à l’âge et même à prolonger la durée de vie des humains. Il a été démontré par exemple que le polyphénol du thé vert, (-)-épicatéchine, favorise la santé et la longévité en modifiant le métabolisme énergétique et l'expression des gènes chez les souris âgées d'une manière qui imite ceux observés chez les souris plus jeunes.

    Dans des études antérieures, les chercheurs de l’UF ont également découvert que les polyphénols contenus dans le vin muscadine possèdent de puissantes propriétés anticancéreuses. Ils ont noté que les effets synergiques des polyphénols du vin muscadine, en particulier les interactions entre la quercétine, l'acide ellagique et le resvératrol, peuvent induire efficacement la mort des cellules cancéreuses tout en favorisant la survie des cellules normales. Le vin de muscadine a également eu un effet positif sur la fonction cérébrale et immunitaire lors d’études sur des animaux.

    Les polyphénols du vin muscadine favorisent une peau d'apparence jeune
    Pour examiner les effets anti-âge potentiels des polyphénols antioxydants et anti-inflammatoires, Christman et Liwei Gu, professeur de chimie alimentaire et d'aliments fonctionnels à l'UF, ont recruté 17 femmes âgées de 40 ans et plus et leur ont assigné au hasard de boire soit du vin de muscadine désalcoolisé, soit du vin de muscadine désalcoolisé. une boisson placebo qui ressemblait au vin en apparence et en goût mais manquait de polyphénols.

    Les participants ont consommé quotidiennement 300 millilitres (environ 10 onces ou l'équivalent de deux verres) de placebo ou de vin muscadine désalcoolisé pendant six semaines, suivis d'une pause de trois semaines, avant de passer à la boisson opposée et de la boire quotidiennement pendant six semaines supplémentaires. semaines. Les chercheurs ont évalué l’état de la peau des participants au début et à la fin de chaque période de six semaines et ont mesuré les marqueurs d’inflammation et de stress oxydatif.

    RépondreSupprimer
  36. Les chercheurs ont découvert que les femmes qui buvaient du vin muscadine désalcoolisé bénéficiaient d’une amélioration de l’élasticité de la peau et d’une diminution de la perte d’eau transépidermique. La perte d’élasticité de la peau, qui entraîne un relâchement cutané, est causée par une production réduite de collagène, d’élastine et de sébum – toutes des conséquences naturelles du vieillissement. Elle est également accélérée par le stress oxydatif dû à une exposition excessive au soleil, au manque de sommeil et à une mauvaise alimentation et nutrition.

    La perte d’eau transépidermique fait référence à la quantité d’eau qui s’évapore passivement à travers la peau vers l’environnement. Il est proportionnel à l’hydratation de la peau et est utilisé comme mesure de la fonction barrière cutanée, qui régule la perte d’eau de l’intérieur et l’entrée d’éléments étrangers de l’extérieur. Tout comme l’élasticité de la peau, l’augmentation de la perte d’eau transépidermique, qui conduit à une peau sèche, a été associée aux dommages causés par les radicaux libres.

    Les chercheurs ont expliqué que la diminution de la perte d’eau à la surface de la peau qu’ils ont observée chez les femmes qui buvaient quotidiennement du vin muscadine désalcoolisé indiquait que leur peau constituait une barrière plus efficace contre les dommages oxydatifs. Bien qu’ils n’aient noté aucune différence dans la quantité de rides entre les buveurs de vin et ceux prenant le placebo, les premiers ont montré une amélioration de la douceur de la peau et une réduction des marqueurs de stress oxydatif et d’inflammation par rapport à la valeur initiale.

    "Cette étude croisée a démontré que six semaines de consommation de vin muscadine désalcoolisé entraînaient une amélioration de certains paramètres cutanés associés au vieillissement, tels que l'élasticité de l'avant-bras et la fonction barrière de la peau du visage, par rapport à la ligne de base et au placebo. est probablement dû à une diminution de l'inflammation et du stress oxydatif", a conclu Christman. (Connexe : Étude : Boire du thé oolong peut aider à inverser le vieillissement.)

    RépondreSupprimer
  37. Christman a également abordé l'utilisation de vin désalcoolisé dans son étude, soulignant la possibilité que l'alcool modifie les effets des polyphénols de muscadine sur la peau. Des études antérieures ont associé la consommation d'alcool, en particulier une consommation excessive d'alcool, à des signes visibles de vieillissement cutané, tels qu'une augmentation des rides supérieures du visage, des gonflements sous les yeux, des commissures buccales et une perte de volume au milieu du visage, ainsi qu'à des vaisseaux sanguins plus visibles. L'alcool peut également provoquer une peau sèche et diminuer l'élasticité de la peau.

    Il convient de noter que de nombreux vins de muscadine disponibles dans le commerce ne sont pas non alcoolisés, la plupart ayant une teneur moyenne en alcool d'environ 10 % d'alcool par volume (ABV). Boire du vin muscadine contenant même de faibles quantités d’alcool peut ne pas conférer les mêmes avantages que le vin désalcoolisé utilisé dans l’étude.

    Le vin rouge est une boisson riche en polyphénols qui offre des bienfaits substantiels pour la santé lorsqu’elle est consommée avec modération. Apprenez-en davantage sur le vin et d’autres boissons saines sur Superfood.news.

    Regardez la vidéo suivante pour découvrir comment des aliments et du vin riches pourraient vous aider à rester en bonne santé.

    This video is from the Daily Videos channel on Brighteon.com.

    More related stories:

    Red wine and dealcoholized red wine can defeat oral bacteria.

    A daily glass of red wide could lower risk of polycystic ovaries, infertility in women.

    Red wine contains properties that can reduce blood pressure, study finds.

    Spanish man lives to 107 drinking homemade red wine instead of water.

    Fruit of known invasive weed found to boost collagen production, prevent skin aging.

    Sources include:

    Scielo.br
    News-Medical.net
    Mirror.com.uk
    EDIS.IFAS.UFL.edu
    Liquor.com
    ScienceDirect.com 1
    MDPI.com
    REEIS.USDA.gov
    WaterhouseYoung.com
    ScienceDirect.com 2
    Healthline.com
    OnlineLibrary.Wiley.com
    NCBI.NLM.NIH.gov
    MedicalNewsToday.com
    TrulyExperiences.com
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2023-10-11-dealcoholized-muscadine-wine-improves-skin-elasticity-women.html

    RépondreSupprimer
  38. Lettre à l'Institut Karolinska concernant la technologie du vaccin à ARNm Covid : le comité du prix Nobel devrait se décerner un prix pour « négligence en matière de diligence raisonnable »


    Par Benjamin Roberts
    Recherche mondiale,
    12 octobre 2023


    Il y a quelques jours à peine, le 2 octobre 2023, j'ai transmis une correspondance au prix Nobel de la paix sur leur page de contact par courrier électronique au sujet de l'attribution de leur prix à Katalin Kariko et Drew Weissman pour avoir « sauvé des vies » grâce à leur exploit révolutionnaire consistant à fournir l'humanité. le vaccin Covid-19 M-ARN.

    Comme ce que je leur ai soumis a été tapé dans une zone de commentaire sur cette page de contact, je n'ai aucun moyen de récupérer ce document, une fois soumis. En tant que tel, je vais tenter de paraphraser ce qui leur a été communiqué, en leur demandant de me recontacter pour toute question qu'ils pourraient avoir, suite à ce que j'ai partagé. Et sur la base de ce que j'ai partagé, ils devraient avoir des questions ou des commentaires sérieux de suivi. Mais pour l’instant, je n’ai eu aucune réponse de leur part. Voici ce dont je me souviens avoir dit :

    Je suis surpris et assez déçu que vous trouviez approprié d'attribuer votre prix à Katalin Kariko et Drew Weissman pour avoir « sauvé des vies » grâce à leur travail sur la technologie du vaccin à ARN M contre le Covid-19.

    Il n'y a aucune preuve que cette thérapie synthétique ait sauvé des vies , même si cette affirmation continue d'être faite « à l'infini ». Je voudrais vous signaler deux documents qui devraient vous amener à reconsidérer sérieusement votre choix pour ce prix. Le premier est un document généré par la FDA des États-Unis lors de la présentation de la réunion interne du « Comité consultatif sur les vaccins et les produits biologiques connexes du 22 octobre 2020 » à la veille du déploiement des vaccins.

    RépondreSupprimer
  39. Le document est intitulé : « Surveillance de la sécurité par la FDA du vaccin contre le Covid-19 : PROJET de liste de travail des effets indésirables possibles. » Ce document, disponible sur leur site début 2021 lorsque j'y ai accédé, et à ce jour toujours disponible, répertorie 22 effets secondaires graves susceptibles de résulter de l'inoculation. Et en fait, étant donné la gravité des conditions qui en résultent, il est trop gentil de les qualifier d’effets secondaires.

    Il serait plus approprié de les qualifier de « conditions de santé invalidantes » , la « décès » faisant partie de la liste.

    Ce n’est guère un critère de reconnaissance pour avoir « sauvé des vies ».

    Et après la mise en œuvre de ces vaccins, ces « effets secondaires »/« problèmes de santé invalidants » se sont présentés de manière frappante et avec une régularité déconcertante dans la vie réelle pour la population vaccinée, pour ensuite être bêtement et imprudemment rejetés à maintes reprises comme étant dus à « conditions sous-jacentes. C’est complètement trompeur.

    Le deuxième est un document publié par la Kaiser Family Foundation (KFF), qui est son examen des données du CDC sur les décès liés à la pandémie pour les années 2021-2022.

    Ce document intitulé : « Part des décès dus au Covid-19 par statut vaccinal, 30 juridictions aux États-Unis, septembre 2021 à août 2022, 18 ans et plus ». Incidemment, ce nouveau document est apparu comme par magie quelques mois après que j'ai reproché au CDC son manque de responsabilité en ne fournissant pas une version de leur très apprécié MMWR détaillant les décès dus au Covid-19 pour les non vaccinés et les vaccinés.

    Ce document, dans sa présentation graphique, montre qu’à l’automne 2021, la plupart des décès dus au Covid-19 se sont produits dans les rangs des non vaccinés. Cependant, après une solide campagne de vaccination en 2021 et au début de 2022, avec près de 70 % de la population américaine vaccinée, nous assistons ensuite à un changement marqué, la majorité de ces décès survenant non pas chez les non vaccinés mais plutôt chez ceux qui ont été vaccinés. leur première série de vaccins contre le Covid-19 [notez que ces sujets n'étaient considérés que comme « partiellement vaccinés »]. S'ils décédaient dans les deux semaines suivant leur première dose et dans les deux semaines suivant leur deuxième dose, ils étaient classés comme « non vaccinés ». Ce système de classification douteux signifie que le pourcentage réel de « décès vaccinés » est encore beaucoup plus élevé que ce que prétend le tableau.

    RépondreSupprimer
  40. Une fois réunies, ces deux sources d’informations qui donnent à réfléchir ne laissent aucun doute sur le fait que votre comité de sélection du prix Nobel a commis une grave erreur dans la sélection de ces deux personnes qui recevront votre prestigieux prix. Trouver ces informations précieuses a nécessité un degré modéré de diligence de ma part, et je suppose qu'une agence comme la vôtre, fière de son excellence, aurait fait preuve d'un niveau plus élevé de diligence raisonnable dans l'examen du vaccin Covid-19 lors de la mise en œuvre de votre prix. .

    La question est la suivante : « Votre comité du prix Nobel, en procédant à sa sélection, participe-t-il involontairement à un exercice de désinformation, ou êtes-vous bien conscient des informations facilement accessibles que je vous ai fournies ? Mon parcours professionnel en recherche scientifique me permet de souligner cette mauvaise décision de votre part. Merci et n'hésitez pas à me contacter à ce sujet.

    Votre serviteur,

    Benjamin Roberts, B.Sc. MT, ASCP, M. Ac., L. Ac.

    https://www.globalresearch.ca/roberts-letter-karolinska-institute-nobel-prize-committee-give-award-negligence-due-diligence/5835963

    RépondreSupprimer
  41. Vaccin à ARNm Pfizer COVID-19 Caillots sanguins dans le cœur Caillots mesurant jusqu'à 40 cm de long

    Survivre à une crise cardiaque causée par une injection de caillot Pfizer. Eliquis de Pfizer est désormais le 6ème médicament le plus vendu au monde !


    Par le Dr William Makis
    Recherche mondiale,
    12 octobre 2023


    - voir photos sur site -

    Février 2023 – Sydney, NSW, Australie – Darious, 42 ans, travaille 5 à 7 jours par semaine en rappel sur des bâtiments en construction. Il faisait de la musculation et s'entraînait 6 fois par semaine. Il a reçu deux vaccins Pfizer et a à peine survécu à une crise cardiaque 2 semaines plus tard – il a fallu lui poser 5 stents.

    Darious était un homme de 42 ans extrêmement en forme
    2 semaines après son 2ème ARNm Pfizer, il a eu une crise cardiaque, un blocage à 99,3% et a dû lui poser 5 stents
    il a encore des douleurs thoraciques allant jusqu'à 10/10 à ce jour
    il prend des antidépresseurs et a des tendances suicidaires

    - voir doc sur site -

    25 novembre 2022 – Margaret River, WA, Australie – Mark, 51 ans, était en pleine forme et en bonne santé et travaillait sur une plate-forme pétrolière en tant que superviseur. J'ai reçu trois injections d'ARNm Pfizer (Pfizer n° 1 FH3221, n° 2 FK6268, n° 3 1F1056A).

    J'ai reçu le Booster d'ARNm Pfizer le 29 mars 2022
    j'ai commencé à avoir le souffle court
    Hospitalisé le 26 avril 2022, opération à cœur ouvert le 27 avril pour retirer un caillot de 30 à 40 cm qui exerçait une pression sur le cœur
    Sa demande d'indemnisation pour blessures causées par un vaccin a été refusée par le gouvernement australien.

    - voir photos sur site -

    25 novembre 2021 : Myrtle Beach, SC, Tim – « 4 semaines après mon dernier vaccin Pfizer, ceux-ci ont traversé mon cœur, et j'ai ensuite été transporté par avion vers une unité de soins de traumatologie où ma plaque thoracique a été ouverte et celles-ci ont été aspirées. hors de ma poitrine.

    - voir photos (de morgelons !) sur site -

    RépondreSupprimer
  42. 21 octobre 2021 – Gosford, NSW, Australie – Cienna Knowles, 19 ans, était une équestre professionnelle. Elle a reçu 2 vaccins Pfizer à ARNm (#1 : FG3712, #2FG6431) et a développé des caillots sanguins dans les poumons et le cœur.

    Cienna a reçu le deuxième ARNm de Pfizer le 21 octobre 2021
    Le 24 octobre 2021, on lui a dit qu'elle souffrait d'une embolie pulmonaire
    Le 11 novembre 2021, on lui a dit que 3 des 5 artères de son cœur étaient bloquées à 100 %
    Elle a été mise sous Eliquis (Apixaban), l'anticoagulant de Pfizer

    - voir doc sur site -

    Mon avis…
    Ces situations sont généralement mortelles.

    Selon une vérification des faits du 30 décembre 2022 par USA Today , il n'y a AUCUN LIEN entre les vaccins à ARNm Pfizer COVID-19 et les caillots sanguins.

    La porte-parole de la FDA, Abigail Capobianco, a également déclaré à USA Today Fact Checkers qu'il n'y avait aucun lien.

    Le cartel COVID NE PERMETTRA tout simplement PAS l’établissement d’un lien entre les vaccins à ARNm Pfizer COVID-19 et les caillots sanguins, et il n’autorisera pas non plus la publication d’articles de recherche. Des chercheurs sud-coréens ont essayé et ont été contraints de revenir avec la « bonne réponse » quelques mois plus tard.

    C'est pourquoi le gouvernement australien nie toutes les allégations de dommages causés par les vaccins impliquant des caillots sanguins et des vaccins à ARNm.

    Eliquis est un anticoagulant développé par Bristol-Myers Squibb et Pfizer pour traiter les caillots sanguins.

    Les ventes d'Eliquis en 2019 s'élevaient à 12,1 milliards de dollars
    Les ventes d'Eliquis en 2020 s'élevaient à 14,1 milliards de dollars
    Les ventes d'Eliquis en 2021 s'élevaient à 16,7 milliards de dollars
    Les ventes d'Eliquis en 2022 s'élevaient à 18,3 milliards de dollars

    AstraZeneca a été retiré du marché en mars 2021 et très peu de J&J ont été distribués. Les deux ont été retirés du marché pour avoir provoqué des caillots sanguins « rares ».

    Cela soulève une question intéressante.

    Qu’est-ce qui explique la hausse des ventes d’Eliquis au point où il devient le 6ème médicament le plus vendu au monde ? Changement climatique? Un long COVID ?

    - voir cadre sur site -

    Je crois que les vaccins à ARNm Pfizer et Moderna contre la COVID-19 provoquent des caillots sanguins et, tout comme ce qui s'est produit avec la myocardite, les véritables risques de coagulation liés à ces vaccins à ARNm ont été considérablement minimisés et supprimés par les autorités.

    Le 3 octobre 2023 , la Maison Blanche de Biden a annoncé que les fabricants d'Eliquis participeraient au programme « Inflation Reduction Act » de Biden pour « réduire les coûts des médicaments sur ordonnance pour les Américains ».

    https://www.globalresearch.ca/pfizer-covid-19-mrna-vaccine-blood-clots-heart-40cm-long-clots/5835952

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. 40 000 milliards de nano-particules d'oxyde de graphène sont injectées par UNE seringue ! Suivant les messages reçus elles peuvent se mettre en boule et provoquer des caillots stoppant toutes circulations sanguines ou créer des morgelons (longs fils de parfois plusieurs mètres !)

      Supprimer
  43. Campagne de désinformation lancée contre l'ivermectine menée par Anthony Fauci, la FDA et le CDC ?


    Par Richard Gale et Dr Gary Null
    Recherche mondiale,
    12 octobre 2023


    Que faire lorsque nos agences, nos institutions et l’appareil même d’un gouvernement démocratique ont été réquisitionnés par des intérêts lucratifs et utilisés comme armes contre le peuple ? Nous appelons à un nouveau Nuremberg.

    Au cours des trois dernières années, la FDA, le CDC, le NIH, le NIAID, l'AMA et le service de santé publique des États-Unis, ainsi qu'un groupe de plus de 3 900 partenaires médiatiques locaux et traditionnels américains[1 2 3] se sont engagés dans une conspiration de désinformation et de désinformation. une mauvaise orientation qui a entraîné la mort évitable[4] de près de 3,4 millions de personnes dans le monde, ainsi que des blessures et des hospitalisations évitables de millions, voire de milliards d’autres. Cela a ouvert la voie à l'administration de plus de 13,5 milliards de doses du produit le plus mortel jamais commercialisé comme vaccin.[5]

    Cette conspiration de désinformation était centrée en partie sur la suppression intentionnelle de l’ivermectine. Une campagne de désinformation consciente menée par la FDA a confondu les formulations humaines d’ivermectine avec les formulations animales. L'un des tweets de la « nouvelle stratégie d'engagement » « réussie » de l'équipe de communication de la FDA[6 7 8 9] dit : « Vous n'êtes pas un cheval[10]. Tu n'es pas une vache. Sérieusement, vous tous. Arrête ça."

    Cette « stratégie » a influencé les organisations médicales[11], les conseils d’administration des pharmacies et les hôpitaux. Leur propagande a été largement citée dans les journaux, les magazines, les médias numériques et les avis médicaux et professionnels. De plus, les tribunaux fédéraux et étatiques ont commencé à citer ces publications dans des affaires impliquant l'ivermectine, et elles ont été mentionnées dans des plaintes juridiques et des avis judiciaires à travers les États-Unis.[12]

    Cette campagne a été menée avec une apparente malveillance et prévoyance. Ces actes ont abouti à ce que l’on peut appeler un génocide médical. Jamais dans l’histoire récente une fraude d’une telle ampleur et d’une telle létalité n’a été perpétrée.

    Drs. Bryan Tyson et George Fareed, des États-Unis, ont traité 20 000 personnes avec de l'ivermectine, signalant une amélioration de 99,9 pour cent et qu'aucune de ces personnes n'est allée à l'hôpital. Le Dr Shankara Chetty, d'Afrique du Sud, a déclaré avoir traité 8 000 personnes avec une mortalité nulle et une amélioration de 100 pour cent. Le Dr Jeff Davis, des États-Unis, a déclaré avoir traité 6 000 personnes avec une amélioration de 100 pour cent et une mortalité nulle. Le Dr Ben Marble, des États-Unis, a déclaré avoir traité 150 000 personnes avec une mortalité nulle et une amélioration de 99,9 pour cent.

    RépondreSupprimer
  44. Une série de cas de 39[13] médecins et leurs équipes du monde entier, qui ont tous utilisé l'ivermectine dans le cadre d'un protocole de traitement précoce, y compris les médecins que nous venons de mentionner, ont montré une amélioration moyenne de plus de 94 pour cent, traitant un total de 237 521 personnes.[14]

    Le Dr Mary Talley Bowden a traité plus de 3 900 patients atteints du COVID-19, avec un taux de réussite de plus de 99,97 %. Aucune des personnes qu’elle a soignées tôt n’a eu besoin d’être hospitalisée. Est-ce qu'elle et ces autres médecins à succès ont été célébrés ? Non. En raison de son succès, Bowden a été forcée de renoncer à ses privilèges hospitaliers.[15]

    Le site c19early.org affiche l'ensemble des preuves sur la sécurité et l'efficacité des différents traitements précoces, présentant l'analyse en temps réel de 3 335 études de 56 traitements précoces du Covid, à partir d'une base de données de 5 674 traitements.

    - voir graph sur site -

    Source : c19early.org

    Selon ce site Internet, l’ivermectine a été étudiée dans 222 études pour le Covid-19, dont 172 ont été évaluées par des pairs et 99 d’entre elles ont comparé le traitement à un groupe témoin. Ces 99 études ont été menées par un total de 1 089 scientifiques, impliquant 137 255 patients dans 28 pays.

    L’ivermectine s’est avérée associée à un risque statistiquement plus faible de mortalité, de ventilation, de soins intensifs, d’hospitalisation et de cas. Les études globales sur le traitement précoce par l'ivermectine montrent une réduction du risque de 62 pour cent. Un traitement précoce à l'ivermectine a entraîné une réduction de 49 pour cent de la mortalité.[16]

    Mais au lieu de recommander l’ivermectine, l’établissement de santé l’a diffamé, la qualifiant de « vermifuge pour chevaux ». Au lieu de cela, Anthony Fauci a déclaré que le remdesivir, le médicament de Gilead, deviendrait la norme de soins. Selon c19early.org, le remdesivir a été étudié dans 58 études publiées[17], menées par un total de 946 scientifiques, impliquant 155 923 patients dans 20 pays. Dans l’ensemble, les études sur le remdesivir montrent une amélioration de 10 pour cent. De toute évidence, le remdesivir n’est pas à la hauteur de l’ivermectine en termes d’efficacité.

    Mais ce n’est pas seulement une question d’efficacité. L'ivermectine a un profil de sécurité très élevé. Le remdesivir, en revanche, entraîne systématiquement une insuffisance rénale aiguë.[19 20 21 22 23] Il semble également être dangereux s'il est pris comme traitement tardif, comme en témoignent les preuves présentées ci-dessous. Aucune des études sur l’ivermectine ne présente de risques comparables à ceux du remdesivir.

    Sydney Wolfe , du groupe de défense du public Public Citizen, a écrit une lettre à la FDA en avril 2021, l'accusant d'avoir accéléré de manière inappropriée l'approbation du remdesivir, en contournant l'examen de son comité consultatif public. [24]

    RépondreSupprimer
  45. Mais la FDA, le CDC, le NIAID, le NIH, le HHS et leurs partenaires médiatiques ont insisté sur le fait que l’ivermectine était dangereuse et pouvait vous tuer. Ils ont diffusé haut et fort la « nouvelle » selon laquelle les centres antipoison partenaires de la FDA/CDC à travers l’Amérique enregistraient un nombre élevé d’« expositions » à l’ivermectine, d’ailleurs exactement au même moment où les prescriptions d’ivermectine étaient anxieusement notées par le CDC comme augmentant considérablement. ]

    Une exposition n’est pas un empoisonnement. Un appel téléphonique sans détails rapportés ne signifie pas en soi[26] qu’il s’agit d’un cas toxique. L'appelant a peut-être simplement pris de l'ivermectine avec cinq autres médicaments, ou donné de l'ivermectine animale à son chien et en a mis sur ses doigts. Si une personne a été hospitalisée « après avoir pris de l'ivermectine », cela ne signifie pas qu'elle a été hospitalisée parce qu'elle a pris de l'ivermectine.

    Pour autant que nous puissions le déterminer, la base de leur propagande[27] contre l’ivermectine reposait sur un canular statistique. En fait, nous n’avons trouvé aucune preuve d’un seul empoisonnement attribuable à l’ivermectine rapporté par une source intransigeante et impartiale lors de la préparation de cet article. (voir supplément pour une analyse complète) D'autre part, l'acétaminophène, ou Tylenol, est responsable de 56 000 visites aux urgences, 2 600 hospitalisations et[28 29] 500 décès par an aux États-Unis.[30]

    Trois médecins qui ont prescrit de l'ivermectine ont intenté une action contre la FDA et le HHS ainsi que trois responsables de la santé pour leur campagne de « vermifuge pour chevaux », détaillant les conséquences néfastes sur leur réputation et leur carrière, telles que des suspensions et la perte de privilèges hospitaliers. Une nouvelle décision a récemment été présentée sur cette affaire.

    Les juges ont jugé que le message anti-ivermectine[31] de la FDA dépassait les limites de la « pratique de la médecine », ce qu'elle n'est pas autorisée à faire en tant qu'agence de santé. Sa campagne contre l’ivermectine pour traiter le Covid-19 n’a pas été protégée par son « immunité souveraine », qui la protège d’être poursuivie en justice dans l’exercice de ses fonctions.

    Nous présentons ici la preuve qu'en menant une guerre de propagande illégale contre l'ivermectine, la FDA, le CDC, le HHS et leurs partenaires criminels étaient directement responsables de la mort injustifiée de 3,4 millions de personnes dans le monde et des blessures injustifiées et des hospitalisations de millions ou de milliards d'autres. . Si l’ivermectine n’avait pas été effectivement mise sur liste noire, son utilisation dans un traitement précoce aurait pu sauver des millions de vies.

    Nous présentons les études scientifiques évaluées par des pairs de la National Library of Medicine qui montrent que l'ivermectine est un traitement médicamenteux sûr et efficace et qu'elle aurait pu réduire la maladie jusqu'à 62 pour cent et la mortalité de 49 pour cent.

    Nous présentons également des preuves selon lesquelles les protocoles autorisés pour une utilisation d’urgence, y compris le remdesivir, un médicament toxique pour les reins, étaient mortels et n’auraient jamais dû être considérés comme sûrs ou efficaces, comme le montre clairement la science.

    RépondreSupprimer
  46. Voici quelques exemples tirés de la littérature évaluée par des pairs des avantages offerts par l’ivermectine :

    Efficacité de l'ivermectine, à partir d'études avec des résultats statistiquement significatifs

    Akhtar et al ont découvert que l'ivermectine était significativement associée à une mortalité inférieure de 90 pour cent, à une admission en soins intensifs inférieure de 72 pour cent et à une sortie d'hôpital supérieure de 80 pour cent.
    Thairu et al ont découvert que l'ivermectine était associée de manière significative à une augmentation de 55 % des sorties d'hôpital.[34]
    Kerr et al. ont découvert que le traitement à l'ivermectine était significativement associé à une mortalité inférieure de 92 pour cent. Dans une autre étude, les mêmes auteurs ont constaté que le traitement à l’ivermectine dans les hôpitaux[35] était significativement associé à une mortalité inférieure de 45 pour cent. Dans une troisième étude, Kerr et[36] al ont découvert que le traitement à l'ivermectine était associé à une mortalité inférieure de 70 %, une hospitalisation inférieure de 67 % et des cas en moins de 44 %.[37]
    Ascencio – Montiel et al ont constaté que le traitement à l'ivermectine était significativement associé à une mortalité/hospitalisation inférieure de 59 pour cent.[38]
    Shimizu et al ont découvert que l'ivermectine était significativement associée à une mortalité inférieure de 100 pour cent, une ventilation inférieure de 48 pour cent, une admission en soins intensifs réduite de 43 pour cent, une durée de soins intensifs réduite de 38 pour cent une fois admise et une réduction de 78 pour cent des complications gastro-intestinales pendant la ventilation.
    Zein et al ont constaté que les personnes traitées à l'ivermectine avaient un taux de mortalité significativement inférieur (61 %).[40]
    Mayer et al ont constaté que les personnes traitées à l'ivermectine avaient une mortalité inférieure de 55 pour cent.[41]
    Samajdar et al. ont constaté que les personnes traitées à l'ivermectine présentaient beaucoup moins de cas (80 %).[42]
    Voici quelques exemples tirés de la littérature évaluée par des pairs sur les dangers d’un traitement tardif au remdesivir :

    RépondreSupprimer
  47. Dangers d'un traitement tardif au remdesivir, à partir d'études avec des résultats statistiquement significatifs. Mitsushima et al., dans une analyse rétrospective de 18 566 personnes hospitalisées au Japon, ont trouvé un taux de mortalité 44 pour cent plus élevé avec un traitement tardif au remdesivir.[43]
    Leo et al. ont découvert qu'un traitement tardif par le remdesivir était associé à une progression de la maladie 416 % plus élevée.[44]
    Bowen et al ont découvert qu'un traitement tardif par le remdesivir était significativement associé à une mortalité plus élevée de 57 pour cent.[45]
    Alshamrani et al. ont constaté que les personnes traitées tardivement par le remdesivir connaissaient une admission en soins intensifs 43 % plus longue.[46]
    Arch et al ont découvert qu'un traitement tardif par le remdesivir était associé à une ventilation 68 % plus élevée.[47]
    Ohl et al ont découvert que les personnes traitées tardivement avec le remdesivir avaient des séjours à l'hôpital 100 % plus longs.[48]
    Schmidt et al ont découvert qu'un traitement tardif par le remdesivir était associé à une incidence 509 % plus élevée de cas graves (p = 0,000015). [49]
    Kurniyanto et al. ont découvert qu'un traitement tardif par le remdesivir était associé à une mortalité 460 % plus élevée (p = 0,0009).[50]
    Kim et coll. ont découvert qu'un traitement tardif par le remdesivir était associé à un risque de décès 1 612,4 % plus élevé, bien que les résultats de cette étude ne soient pas statistiquement significatifs.[51]
    Mais les résultats de ces études sont-ils jamais passés sous les yeux des organisations médiatiques complices qui récitaient quotidiennement les lignes officielles de la FDA et du CDC, même si elles n'avaient aucun fondement scientifique ?

    Des milliers d’organisations médiatiques ont repris les affirmations des agences de santé selon lesquelles les interventions médicales Covid officiellement prescrites sont sûres et efficaces, et que l’ivermectine et d’autres traitements précoces sûrs sont dangereux et inefficaces. La vérité est tout le contraire. N’importe lequel de ces journalistes et rédacteurs aurait pu trouver ce que nous avons trouvé s’il avait passé ne serait-ce que deux heures à chercher.

    Mais ils ne l’ont pas fait. Au lieu de cela, ils ont reçu des ordres d’en haut et se sont alignés sur un gouvernement dissident tyrannique et catastrophique. Avec une évidente malveillance et prévoyance, et en abandonnant les devoirs de leur profession, ils se sont engagés dans une conspiration contre le peuple américain, chacun contribuant à sa manière à des millions de morts et de blessés inutiles.

    Intubation, mesures préventives démystifiées, EUA d'injections mortelles d'ARNm

    Le remdesivir, toxique pour les reins, a été utilisé parallèlement à des protocoles d’intubation inutiles et mortelles. La plupart des personnes intubées sont décédées. Une étude a révélé que 76 pour cent des personnes sont décédées après l'intubation.[52]

    Le remdesivir a également été utilisé sur des personnes malades et affaiblies après avoir suivi consciencieusement les « mesures préventives » frauduleuses, promues avec autant de ferveur que l’ivermectine a été vilipendée. Tout cela a maintenant été démystifié.

    RépondreSupprimer
  48. Ces mesures comprenaient les masques, la distanciation sociale, la mise en quarantaine des personnes en bonne santé et le confinement. L’ivermectine a été supprimée, le plus important et le plus mortel, afin d’ouvrir la voie à l’autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) des injections de thérapie génique à ARNm connues sous le nom de « vaccins » contre le Covid-19.

    Ces « vaccins » sont une technologie nouvelle qui ne ressemble en rien aux vaccins traditionnels. Ces injections d'ARNm ont été responsables des blessures et de la mort de millions de personnes.[53]

    Selon Edward Dowd , ancien gestionnaire de portefeuille de BlackRock, et son équipe de docteurs et de data scientists analysant des données sur l'invalidité, des données actuarielles et d'autres sources officielles, en mars[54] 2023, les vaccins contre le Covid-19 étaient responsables de trois cent mille décès excédentaires, soit 26,6 millions de blessés et 1,36 million d’invalidités. Il pense également qu’ils sont à l’origine d’une augmentation de 84[55] pour cent des décès parmi la génération Y aux États-Unis au troisième trimestre 2021.[56]

    Le bilan officiel des morts : une mise en garde

    Au total, on estime que près de 7 millions de personnes dans le monde sont mortes du Covid-19. Ces chiffres sont promus avec force et ad nauseam par les médias traditionnels et les agences de santé afin de justifier le récit selon lequel le Covid-19 était une crise sanitaire d’une ampleur sans précédent.

    Ce récit a été et est toujours utilisé pour terroriser les gens, les distraire et les empêcher de se rebeller à tout prix et de défendre les quelques fils restants du gouvernement démocratique, de la société civile et des protections offertes par nos droits constitutionnels. Trompés par ce faux récit, les gens sont devenus paralysés par la peur.

    Ensuite, ils sont restés docilement les bras croisés pendant que le complexe médico-industriel, en coordination avec les gouvernements capturés et d’autres parties intéressées, érodait et démantelait davantage nos quelques protections sociétales et institutions démocratiques restantes, et inaugurait un nouveau paradigme totalitaire de fascisme biomédical et tyrannie dépassant de loin celle qui existait auparavant.

    Ces 7 millions de décès attribués au Covid doivent être scrutés avec attention. Ils ont été estimés par toute une série de moyens tout à fait trompeurs. On ne peut en aucun cas leur faire confiance. Plus important encore, ils ont été déterminés sur la base d’un test frauduleux, le test PCR, qui n’est pas du tout un test de diagnostic mais une technique d’amplification conçue pour répliquer des fragments de matériel génétique présents dans le système.

    RépondreSupprimer
  49. Il ne peut pas vous dire s’il existe une activité pathogène, une infection ou une maladie. Ce fait à lui seul fait disparaître l’idée selon laquelle tout décès déterminé par ce test peut être attribué au Covid-19.

    Mais en tenant compte de cette mise en garde, supposons que nous prenions ces chiffres officiels des décès dus au Covid pour argent comptant : supposons qu’il y ait réellement eu 7 millions de décès dus au Covid-19. L'ivermectine réduit le risque des conséquences les plus graves de 62 pour cent. Il réduit la mortalité de 49 pour cent.

    4 340 000 cas, parmi les plus graves, auraient pu être évités grâce à l’utilisation précoce de l’ivermectine seule. 3 430 000 vies auraient pu être sauvées. Il est important de garder à l’esprit qu’il n’existe pas de statistiques tout à fait précises sur le nombre de personnes réellement atteintes du Covid, hospitalisées ou décédées.

    Comment les autorités sanitaires et les médias ont-ils vilipendé ce médicament ? L’ivermectine a un long historique de sécurité et d’utilisation. Il a remporté le prix Nobel et figurait sur la liste des médicaments essentiels[58 59 60] de l'Organisation mondiale de la santé. Il est prescrit sans danger chez l'homme depuis sa première commercialisation par Merck en 1988.

    Comment les établissements de santé ont-ils convaincu les gens que ce médicament n’était pas le médicament relativement sûr et efficace qu’il a toujours été considéré auparavant ?

    Ils se sont engagés dans une conspiration délibérée. Grâce à une fausse propagande et à une technique de marketing connue sous le nom d’« inondation d’informations », ils ont diffusé un faux récit selon lequel l’ivermectine était un « vermifuge pour chevaux[61] » et qu’elle était dangereuse pour les humains.

    Ils ont inondé les médias d'articles fallacieux promouvant des statistiques trompeuses et contradictoires destinées à faire croire que de nombreuses personnes allaient à l'hôpital suite à un empoisonnement à l'ivermectine alors qu'en réalité aucune preuve d'un seul empoisonnement, encore moins d'une hospitalisation ou d'un décès, n'a été présentée par un organisme impartial. source découvrable lors de la recherche pour cet article.

    Ensuite, ils ont rendu presque impossible aux médecins de prescrire de l’ivermectine à leurs patients en appelant à l’interdiction de ce médicament en pharmacie. Les médecins et les pharmaciens ont été intimidés par les organisations de pression du complexe médico-industriel, l’American Medical Association (AMA), l’American Pharmacists Association (APhA) et l’American Society of Health-System Pharmacists (ASHP), pour qu’ils acquiescent à leurs demandes.

    RépondreSupprimer
  50. L'AMA collecte des données et conserve un historique complet des prescriptions de chaque médecin aux États-Unis, et saurait quand il prescrit de l'ivermectine. Les organismes de certification du Conseil menaçaient[62] de révoquer les licences des médecins qui se livraient à « de la désinformation et de la désinformation ».

    Ils ont révoqué la certification du conseil ou suspendu les licences de plusieurs médecins tels que Meryl Nass, Pierre Kory et Paul Marik . Cela devait servir d'exemple de ce à quoi d'autres médecins « hérétiques » pourraient s'attendre s'ils emboîtent le pas.[63, 64, 65]

    Il ne s’agit pas d’un événement isolé de l’histoire qui est terminé et ne constitue plus une menace. Bien que la « pandémie de Covid-19 » ait officiellement pris fin, la nouvelle architecture de « santé publique » et de tyrannie médicale est en cours et progresse, et le cadre mondial qui a facilité ces atrocités peut à tout moment être ressuscité et remis à neuf. utiliser. Comment pouvons-nous arrêter cela?

    Voici ce que nous pouvons prouver : il n’y avait aucune raison légitime pour que la FDA accélère le traitement des vaccins expérimentaux dans le cadre de la politique d’autorisation d’utilisation d’urgence. Parce que selon la propre littérature de la FDA, tant qu'il existe un médicament approuvé par la FDA qui peut être utilisé pour une maladie donnée, vous ne pouvez pas avoir un autre médicament ou vaccin étant donné l'autorisation d'utilisation d'urgence.

    Cependant, la valeur commerciale de la commercialisation de l’ivermectine ou de l’hydroxychloroquine, des anticorps monocolonaux, de l’azythramyacine, de la vitamine C, de la vitamine D3, du zinc et de la quercétine – qui sont tous utiles lorsqu’ils sont utilisés en combinaison pour arrêter la propagation du Covid de l’infection à la maladie et à la mort. Toutefois, ces remèdes ne sont pas rentables pour les particuliers, les industries ou les hôpitaux.

    Jamais auparavant, à notre connaissance, l'ensemble de l'appareil du gouvernement fédéral n'a fait autant d'efforts pour attaquer, vilipender et détruire un médicament qui a été administré à des milliards de doses comme médicament antiparasitaire chez l'homme pendant des décennies, puis pour attaquer, vilipender et annuler la réputation des médecins et scientifiques très respectés du grand public pour avoir utilisé avec succès un médicament sur leurs patients.

    L'ivermectine et ces autres thérapies sont étayées par des volumes dans la littérature scientifique évaluée par des pairs. Mais la raison pour laquelle l’ivermectine et d’autres thérapies ont été détruites était que ce n’était pas rentable et qu’ils n’en avaient pas le contrôle. Cela signifie que ce qu’ils ont fait, ils l’ont fait avec méchanceté et, à notre avis, avec une cupidité totale.

    RépondreSupprimer
  51. Mais au moment où ces responsables ont fait ces choix, il n’y avait aucune voix contrebalancée dans les médias ou dans les agences gouvernementales pour dire : « Arrêtez, cela n’a aucun sens. Nous parlons d’un médicament que les cliniques et les médecins pourraient utiliser pour sauver des centaines de milliers de vies. Nous devrions y prêter attention et mener des études cliniques à ce sujet.

    En conséquence, l’homme qui prétendait représenter la science, Anthony Fauci, a contrecarré tous les efforts visant à financer une étude clinique utilisant l’ivermectine, l’hydroxychloroquine, l’azythromyacine, les anticorps monocolonaux, la vitamine C, la vitamine D, le zinc et la quercétine. Mais d’autres, au cours des deux années suivantes, ont réalisé des études montrant comment chacun de ces éléments, individuellement, avait des résultats statistiquement significatifs, voire remarquables, en sauvant des vies.

    Cela signifie qu’avec toutes les ressources exceptionnelles, les journalistes très compétents, intelligents et compétents de l’establishment médiatique auraient pu trouver cette information aussi facilement que nous. Nous devons donc considérer la culpabilité de l’ensemble des médias et de l’ensemble de l’establishment sanitaire de Washington, responsables de millions de décès évitables et de dizaines de millions d’hospitalisations, de blessures et d’autres souffrances évitables.

    Toutes nos notes de bas de page et l’analyse approfondie proposée dans le supplément technique de ce commentaire peuvent être utilisées par ceux qui souhaitent aller plus loin, y compris dans les recours collectifs. Ils doivent examiner attentivement les informations.

    *

    Note aux lecteurs : veuillez cliquer sur le bouton de partage ci-dessus. Suivez-nous sur Instagram et Twitter et abonnez-vous à notre chaîne Telegram. N'hésitez pas à republier et à partager largement les articles de Global Research.

    Richard Gale est producteur exécutif du Progressive Radio Network et ancien analyste de recherche principal dans les industries de la biotechnologie et de la génomique.

    Le Dr Gary Null est l'animateur de la plus ancienne émission de radio publique du pays sur la santé alternative et nutritionnelle et un réalisateur de documentaires primé à plusieurs reprises, notamment son récent Last Call to Tomorrow.

    Ils contribuent régulièrement à Global Research.

    Remarques

    1 Partenaires médias. Nous pouvons faire cette campagne. Département américain de la Santé et des Services sociaux. Consulté le 25 septembre 2023. https://wecandothis.hhs.gov/sites/default/files/documents/ Paid%20Media%20List%20for%20Posting%207.12.22_508c.pdf

    2 www.wecandothis.hhs.gov.

    RépondreSupprimer
  52. 3 Célia Farber. ILS SAVENT – Les e-mails de la FOIA envoyés à l’équipe Daily Clout révèlent que WH/CDC/NIH SAVAIT que les tirs de Covid provoquaient des caillots sanguins mortels et une myocardite en MAI 2021 – L’équipe senior de WH s’est entendue pour MENTIR au peuple américain. La sous-pile de barrière de vérité. 22 septembre 2023. https://celiafarber.substack.com/p/they-knew-foia-emails-sent-to-daily

    4 APTER c. DÉPARTEMENT DES SERVICES HUMAINS DE SANTÉ n° 22-40802 (Tribunal de district des États-Unis, district sud du Texas, division Galveston, 2023). https://caselaw.findlaw.com/court/us-5th-circuit/115011736.html ; N° 3:22-cv-184, juin 2022 https://www.courthousenews.com/wp-content/uploads/2023/08/322cv184-three-doctors-sue-fda-over-ivermectin.pdf

    5 « Dans le monde, au 27 septembre 2023 à 18 h 32 CEST, 770 875 433 cas confirmés de COVID-19, dont 6 959 316 décès, ont été signalés à l'OMS. Au 19 septembre 2023, un total de 13 505 262 477
    doses de vaccin avaient été administrées. » Tableau de bord de l’OMS sur le coronavirus. Consulté le 29 septembre 2023. https:// covid19.who.int/?mapFilter=deaths

    6 Pourquoi vous ne devriez pas utiliser l’ivermectine pour traiter ou prévenir le COVID-19. Administration américaine des produits alimentaires et pharmaceutiques. Contenu À jour au 10/12/2021. Consulté le 22 septembre 2023. https://www.fda.gov/consumers/consumer-updates/why-you-should-not-use-ivermectin-treat-or-prevent-covid-19

    7 FAQ : COVID-19 et ivermectine destinés aux animaux. Contenu à jour au 26 avril 2021. archive.org Wayback Machine. Archivé du site Web de la Food and Drug Administration des États-Unis le 1er décembre 2021. https://web.archive.org/web/20211201192728/https:// www.fda.gov/animal-veterinary/product-safety-information /faq-covid-19-and-ivermectin-intended-animals?utm_medium=email&utm_source=govdelivery

    8, 21 août 2021. FDA américaine (fda) : https://www.instagram.com/p/CS1giIfJ0sa/?hl=en

    9, 26 avril 2022. FDA américaine (@US_FDA). https://twitter.com/US_FDA/status/1518942739639017472

    RépondreSupprimer
  53. 10 APTER c. DÉPARTEMENT DES SERVICES HUMAINS DE SANTÉ n° 22-40802 (Tribunal de district des États-Unis, district sud du Texas, division Galveston, 2023). https://caselaw.findlaw.com/court/us-5th-circuit/115011736.html ; N° 3:22-cv-184, juin 2022 https://www.courthousenews.com/wp-content/uploads/2023/08/322cv184-three-doctors-sue-fda-over-ivermectin.pdf

    11 21 août 2021. FDA américaine (@US_FDA). https://twitter.com/US_FDA/status/1429050070243192839

    12 APTER c. DÉPARTEMENT DES SERVICES HUMAINS DE SANTÉ n° 22-40802 (Tribunal de district des États-Unis, district sud du Texas, division Galveston, 2023). https://caselaw.findlaw.com/court/us-5th-circuit/115011736.html ; N° 3:22-cv-184, juin 2022 https://www.courthousenews.com/wp- content/uploads/2023/08/322cv184-three-doctors-sue-fda-over-ivermectin.pdf

    13 Résultats de séries de cas de médecins. Version 215. 10 août 2023. Recherche sur le traitement Covid-19. Consulté le 21 septembre 2023. https://c19ivm.org/meta.html#fig_fpv

    14 Résultats de séries de cas de médecins. Version 215. 10 août 2023. Recherche sur le traitement Covid-19. Consulté le 21 septembre 2023. https://c19ivm.org/meta.html#fig_fpv

    15 APTER c. DÉPARTEMENT DES SERVICES HUMAINS DE SANTÉ n° 22-40802 (Tribunal de district des États-Unis, district sud du Texas, division Galveston, 2023). p. 6. https://caselaw.findlaw.com/court/us-5th-circuit/115011736.html ; N° 3:22- cv-184, juin 2022 https://www.courthousenews.com/wp-content/uploads/2023/08/322cv184- three-doctors-sue-fda-over-ivermectin.pdf

    16 225 études sur l’ivermectine sur la COVID-19, 175 évaluées par des pairs, 99 comparant des groupes de traitement et des groupes témoins. Recherche sur le traitement Covid-19. Consulté pour la dernière fois le 2 octobre 2023. https://c19ivm.org/meta.html#fig_fpv

    17 Sue Hughes, Remdesivir Now 'Standard of Care' for COVID-19, Fauci Says, Medscape, 29 avril 2020, https://www.medscape.com/viewarticle/929685 (consulté le 5 août 2020).

    18 Remdesivir pour COVID-19 : méta-analyse en temps réel de 58 études. Septembre 2023. Recherche sur le traitement Covid-19. Consulté le 22 septembre 2023. https://c19early.org/smeta.html

    19 Zhou et al., Lésions rénales aiguës et médicaments prescrits pour le COVID-19 chez les patients diabétiques : une analyse de disproportionnalité dans le monde réel, Frontiers in Pharmacology, frontiersin.org, doi.org.

    20 Wu et al., Lésions rénales aiguës associées au Remdesivir : Une analyse complète de pharmacovigilance des rapports sur le COVID-19 dans FAERS, Frontiers in Pharmacology, frontiersin.org, doi.org.

    21 Gérard et al., Remdesivir et insuffisance rénale aiguë : un signal de sécurité potentiel issu de l'analyse de disproportionnalité de la base de données de sécurité de l'OMS, Pharmacologie clinique et thérapeutique, wiley.com, doi.org.

    RépondreSupprimer
  54. 22 Charan J, Kaur RJ, Bhardwaj P, Haque M, Sharma P, Misra S, Godman B. Examen rapide des événements indésirables suspectés liés aux médicaments dus au remdesivir dans la base de données de l'OMS ; conclusions et implications. Expert Révérend Clin Pharmacol. 2021 janvier;14(1):95-103. est ce que je: 10.1080/17512433.2021.1856655. Publication en ligne le 29 décembre 2020. PMID : 33252992 ; PMCID : PMC7784780.

    23 Veklury 100 mg poudre pour solution à diluer pour perfusion remdesivir. Dernière révision en 01/2023. https://www.medicines.org.uk/emc/files/pil.11597.pdf

    24 https://www.trialsitenews.com/a/did-the-us-fda-improperly-expedite-remdesivirs-approval-the-public-citizen-demand-letter-to-fda-plus-a-trialsite-perspective

    25 Augmentation rapide des prescriptions d'ivermectine et des rapports de maladies graves associées à l'utilisation de produits contenant de l'ivermectine pour prévenir ou traiter le COVID-19. CDCHAN-00449. 26 août 2021. https://emergency.cdc.gov/han/2021/han00449.asp

    26 EXPOSITION OU EMPOISONNEMENT : QUELLE EST LA DIFFÉRENCE ? Centre antipoison de Washington. Consulté le 22 septembre 2023. https://www.wapc.org/programs/education/exposure-versus-poisoning-whats-the-difference/

    27 Gustave Kilander. Deux morts après avoir pris de l'ivermectine au Nouveau-Mexique. 27 septembre 2021. Indépendant. https://www.independent.co.uk/news/world/americas/ivermectin-dead-new-mexico-covid-b1927767.html

    28 Nourjah P, Ahmad SR, Karwoski C, Willy M. Estimations des surdoses associées à l'acétaminophène (Paracétomal) aux États-Unis. Pharmacoépidémiol Drug Saf. juin 2006;15(6):398-405. est ce que je: 10.1002/pds.1191. PMID : 16294364.

    29 Lee WM. Hépatotoxicité de l'acétaminophène (APAP) - N'est-il pas temps pour l'APAP de disparaître ? J Hépatol. Décembre 2017;67(6):1324-1331. est ce que je: 10.1016/j.jhep.2017.07.005. Publication en ligne du 20 juillet 2017. PMID : 28734939 ; PMCID : PMC5696016.

    30 Agrawal S, Khazaeni B. Toxicité de l'acétaminophène. [Mise à jour le 9 juin 2023]. Dans : StatPearls [Internet]. Île au trésor (FL) : StatPearls Publishing ; 2023 janvier-. Disponible sur : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/books/NBK441917/

    31 APTER c. DÉPARTEMENT DES SERVICES HUMAINS DE SANTÉ n° 22-40802 (Tribunal de district des États-Unis, district sud du Texas, division Galveston, 2023). https://caselaw.findlaw.com/court/us-5th-circuit/115011736.html ; N° 3:22-cv-184, juin 2022 https://www.courthousenews.com/wp-content/uploads/2023/08/322cv184-three-doctors-sue-fda-over-ivermectin.pdf

    RépondreSupprimer
  55. 32 225 études sur l’ivermectine sur la COVID-19, 175 évaluées par des pairs, 99 comparant des groupes de traitement et des groupes témoins. Recherche sur le traitement Covid-19. Consulté pour la dernière fois le 2 octobre 2023. https://c19ivm.org/meta.html#fig_fpv

    33 Akhtar, Tehseen et Hanif, Amber et Ali, Pyar et Haroon, Muhammad et Akram, Nimra et Raza, Muhammad et Imran, Khalid et Shakeel, Nimra et Shakeel, Ramsha. (2022). L’ivermectine réduit-elle la mortalité due au COVID-19 et la progression de la gravité de la maladie ? – Une étude rétrospective. The Professional Medical Journal. 29. 1384-1391. 10.29309/TPMJ/2022.29.09.6634.

    34 Thairu, Y. & Babalola, Olufemi & Ajayi, A. & Ndanusa, Y. & Ogedengbe, John & O., Omede. (2022). Une comparaison des régimes à base d'ivermectine et sans ivermectine pour le COVID-19 à Abuja : effets sur l'élimination du virus, les jours avant la sortie et la mortalité. Journal de recherche pharmaceutique internationale. 1-19. 10.9734/jpri/2022/v34i44A36328.

    35 Kerr L, Baldi F, Lobo R et al. (31 août 2022) L'utilisation régulière de l'ivermectine comme prophylaxie du COVID-19 a entraîné une réduction de 92 % du taux de mortalité du COVID-19 de manière dose-réponse : résultats d'une étude observationnelle prospective d'une population strictement contrôlée de 88 012 sujets . Cureus 14(8) : e28624. est ce que je:10.7759/cureus.28624

    36 Kerr, Lucy & Baldi, Fernando & Lôbo, Raysildo & Assagra, Washington & Proença, Fernando & Hibberd, Jennifer & Chamie, Juan & Kory, Pierre & Flávio, Cadegiani. (2021). Le taux de mortalité hospitalière due au COVID-19 est réduit grâce à l'utilisation prophylactique de l'ivermectine : résultats d'une étude observationnelle prospective à l'échelle de la ville utilisant l'appariement des scores de propension (PSM). 10.13140/RG.2.2.26793.52327.

    37 Kerr L, Cadegiani FA, Baldi F et al. (15 janvier 2022) Prophylaxie à l'ivermectine utilisée pour le COVID-19 : une étude observationnelle prospective à l'échelle de la ville portant sur 223 128 sujets utilisant l'appariement des scores de propension. Cureus 14(1) : e21272. est ce que je:10.7759/cureus.21272

    38 Ascencio-Montiel IJ, Tomás-López JC, Álvarez-Medina V, Gil-Velázquez LE, Vega-Vega H, Vargas-Sánchez HR, Cervantes-Ocampo M, Villasís-Keever MÁ, González-Bonilla CR, Duque-Molina C. Une stratégie multimodale pour réduire le risque d'hospitalisation/de décès chez les patients ambulatoires atteints de COVID-19. Arch Med Rés. 2022 avril ;53(3):323-328. est ce que je : 10.1016/ j.arcmed.2022.01.002. Publication en ligne le 24 janvier 2022. PMID : 35123809 ; PMCID : PMC8784438.

    39 Shimizu K, Hirata H, Kabata D, Tokuhira N, Koide M, Ueda A, Tachino J, Shintani A, Uchiyama A, Fujino Y, Ogura H. L'administration d'ivermectine est associée à des complications gastro-intestinales plus faibles et à des jours sans ventilateur plus longs dans les patients atteints de COVID-19 : une analyse du score de propension. J infecte la chimère. 2022 avril;28(4):548-553. est ce que je : 10.1016/j.jiac.2021.12.024. Publication en ligne le 31 décembre 2021. PMID : 35016823 ; PMCID : PMC8718885.

    RépondreSupprimer
  56. 40 Zein AFMZ, Sulistiyana CS, Raffaelo WM, Pranata R. Ivermectine et mortalité chez les patients atteints de COVID-19 : une revue systématique, une méta-analyse et une méta-régression d'essais contrôlés randomisés. Diabète Metab Syndr. 2021 juillet-août ;15(4):102186. est ce que je : 10.1016/j.dsx.2021.102186. Publication en ligne le 27 juin 2021. PMID : 34237554 ; PMCID : PMC8236126.

    41 Mayer MA, Krolewiecki A, Ferrero A, Bocchio M, Barbero J, Miguel M, Paladini A, Delgado C, Ojeda JR, Elorza C, Bertone A, Fleitas PE, Vera G et Kohan MR (2022) Sécurité et efficacité d'un Programme MEURI pour l'utilisation de l'ivermectine à haute dose chez les patients COVID-19. Devant. Santé publique 10 : 813378. est ce que je: 10.3389/fpubh.2022.813378

    42 Samajdar SS, Mukherjee S, Mondal T, Paul J, Tripathi SK, Chakrbarty A, Saha B, Bhattacharrya D, Tripathi R. Ivermectine et hydroxychloroquine pour la chimio-prophylaxie du COVID-19 : enquête par questionnaire sur la perception et la pratique de prescription des médecins vis-à-vis des résultats. J Assoc Médecins Inde. 2021 novembre ;69(11):11-12. PMID : 34781604.

    43 Mitsushima S, Horiguchi H, Taniguchi K. Risque de maladies sous-jacentes et efficacité des médicaments sur les patients hospitalisés atteints de COVID-19 évalués à l'aide d'allégations médicales au Japon : étude observationnelle rétrospective. Int J Gen Med. 2023;16:657-672. https://doi.org/10.2147/IJGM.S394413

    44 Leo M, Galante A, Pagnamenta A, Ruinelli L, Ponziani FR, Gasbarrini A, De Gottardi A. Lésions hépatiques hépatocellulaires chez les patients hospitalisés affectés par le COVID-19 : présence de différents facteurs de risque à différents moments. Creusez le foie Dis. 2022 mai ;54(5):565-571. est ce que je : 10.1016/j.dld.2021.12.014. Publication en ligne le 27 décembre 2021. PMID : 35093272 ; PMCID : PMC8710398.

    45 Anthony Bowen, Jason Zucker, Yanhan Shen, Simian Huang, Qiheng Yan, Medini K Annavajhala, Anne-Catrin Uhlemann, Louise Kuhn, Magdalena Sobieszczyk, Delivette Castor, Réduction du risque de décès chez les patients admis avec COVID-19 entre le premier et le Deuxième vague épidémique à New York, Open Forum Infectious Diseases, Volume 9, Numéro 9, septembre 2022, ofac436, https://doi.org/10.1093/ofid/ofac436

    46 Alshamrani AA, Assiri AM, Almohammed OA. Évaluation complète de six interventions pour les patients hospitalisés atteints de COVID-19 : une étude d’appariement des scores de propension. Saudi Pharm J. 2023 avril; 31(4):517-525. est ce que je: 10.1016/j.jsps.2023.02.004. Publication en ligne le 15 février 2023. PMID : 36819112 ; PMCID : PMC9930407.

    47 Arch, Barbara et Kovacs, Dorottya et Scott, Janet et Jones, Ashley et Harrison, Ewen et Rosala-Hallas, Anna et Gamble, Carrol et Openshaw, Peter et Baillie, Kenneth et Semple, Malcolm. (2021). Évaluation de l'efficacité du remdesivir dans le traitement du COVID-19 sévère à l'aide des données du protocole de caractérisation clinique ISARIC de l'OMS au Royaume-Uni : une étude de cohorte prospective nationale. 10.1101/2021.06.18.21259072.

    48 Ohl ME, Miller DR, Lund BC et al. Association du traitement au remdesivir avec la survie et la durée du séjour à l'hôpital chez les vétérans américains hospitalisés pour le COVID-19. JAMA Netw ouvert. 2021;4(7):e2114741. est ce que je:10.1001/jamanetworkopen.2021.14741

    49 Schmidt AL, Tucker MD, Bakouny Z, et al. Association entre la thérapie de privation androgénique et la mortalité chez les patients atteints d'un cancer de la prostate et du COVID-19. JAMA Netw ouvert. 2021;4(11):e2134330. est ce que je:10.1001/jamanetworkopen.2021.34330

    RépondreSupprimer
  57. 50 Kurniyanto, Setianegari Y, Kurniaty L, Luhulima DEJ, Utomo BSR, Langi LA, Ronny, Arodes ES, Wiyanto M, Suarthana E, Wahyuningsih R. Facteurs associés au décès et à la référence en soins intensifs chez les patients COVID-19 hospitalisés dans le cadre universitaire de référence secondaire. hôpital de l’est de Jakarta, en Indonésie. J Clin Virol Plus. 2022 juin ;2(2):100068. est ce que je : 10.1016/j.jcvp.2022.100068. Publication en ligne le 22 février 2022. PMID : 35261996 ; PMCID : PMC8861124.

    51 Kim, SH; Kim, T. ; Choi, H. ; Shin, TR ; Sim, YS Résultats cliniques et pronostic d'une épidémie nosocomiale de COVID-19. J. Clin. Méd. 2023, 12, 2279. https://doi.org/10.3390/ jcm12062279

    52 Luo M, Cao S, Wei L, Zhao X, Gao F, Li S, Meng L, Wang Y. Intubation, mortalité et facteurs de risque chez les patients Covid-19 gravement malades : une étude pilote. J Clin Anesth. Décembre 2020 ; 67 : 110039. est ce que je: 10.1016/j.jclinane.2020.110039. Publication en ligne le 7 septembre 2020. PMID : 32920347 ; PMCID : PMC7476450.

    53 Surmortalité. 14 juillet 2022. Totalité des preuves. Consulté le 20 septembre 2023. https://totalityofevidence.com/excess-mortality/

    54 Projets Humanitaires : Projets Actifs. Technologies Phinance. Consulté le 20 septembre 2023. https:// phinancetechnologies.com/HumanityProjects/Projects.htm#Nav_title

    55 Le projet sur les dommages causés par les vaccins – Coût humain. Phinance Technologies – Projets humanitaires. Date de mise à jour : mars – 2023. Phinance Technologies. Consulté le 20 septembre 2023. https://phinancetechnologies.com/HumanityProjects/ The%20VDamage%20Project%20-%20Human%20%20Cost.htm

    56 Édouard Dowd. Ils ont menti, les gens sont morts. https://www.theyliedpeopledied.com/

    57 Dre Jessica Rose. Est-ce qu'ils essaient de nous tuer ? Sous-pile Jessica inacceptable. 16 septembre 2023. https://jessicar.substack.com/p/are-they-trying-to-kill-us

    58 Laing R, Gillan V, Devaney E. Ivermectine – Ancien médicament, nouvelles astuces ? Tendances Parasitol. Juin 2017;33(6):463-472. est ce que je: 10.1016/j.pt.2017.02.004. Publication en ligne du 9 mars 2017. PMID : 28285851 ; PMCID : PMC5446326.

    59 Thadanipon K, Anothaisintawee T, Rattanasiri S, Thakkinstian A, Attia J. Efficacité et sécurité des agents antiscabétiques : revue systématique et méta-analyse en réseau d'essais contrôlés randomisés. J Suis Acad Dermatol. Mai 2019;80(5):1435-1444. est ce que je: 10.1016/j.jaad.2019.01.004. Publication en ligne le 14 janvier 2019. PMID : 30654070.

    RépondreSupprimer
  58. 60 Campbell S, Soman-Faulkner K. Médicaments antiparasitaires. [Mise à jour le 29 mai 2023]. Dans : StatPearls [Internet]. Île au trésor (FL) : StatPearls Publishing ; 2023 janvier-. Disponible sur : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/books/NBK544251/

    61 Justus R. Hope MD Le grand canular du déparasitage à l'ivermectine. 6 septembre 2021. La revue du désert. https://www.thedesertreview.com/opinion/columnists/the-great-ivermectin-deworming-hoax/article_19b8f2a6-0f29-11ec-94c1-4725bf4978c6.html

    62 Sidney M. Wolfe. L'American Medical Association et ses sources de revenus douteuses. Lettre de santé publique aux citoyens. Vol. 28. N° 11. p. 1-2. https://www.citizen.org/wp-content/uploads/hl_201211.pdf

    63 Émilie Bader. Un médecin du Maine qui a prescrit des traitements discrédités contre le COVID voulait faire un « spectacle » d'une enquête d'État. 18 mois plus tard, elle a déclaré que oui. Le moniteur du Maine. 31 juillet 2023. https://www.newscentermaine.com/article/news/health/meryl-nass-maine-covid-robert-f-kennedy-jr-us-fda-ivermectin/97-a611d052-b764-4f3a -be5e-cb6e5a4caad2

    64 Pierre Kory. La guerre de longue date de l’American Board of Internal Medicine contre les médecins s’intensifie. Réflexions médiales de Pierre Kory. 23 août 2023. https://pierrekorymedicalmusings.com/p/the-american-board-of-internal-medicines? utm_source=profil&utm_medium=reader2

    65 Michael Nevradakis, Ph.D. Le chef du conseil médical qui voulait que les médecins soient retirés de leur licence pour « désinformation » au lit avec une société de relations publiques liée au CDC, Pfizer, Moderna. 18 août 2023. Le Défenseur. Consulté le 22 septembre 2023. https://childrenshealthdefense.org/defender/richard-baron-misinformation-weber-shandwick-conflict-of-interest-pharma-cdc/

    Annexe : Documents supplémentaires
    Études sur l'ivermectine (page 7) avec l'aimable autorisation de https://c19ivm.org/
    Études sur la vitamine C (page 54) avec l'aimable autorisation de https://c19early.org/c
    Études sur la vitamine D3 (page 86) avec l'aimable autorisation de https://c19early.org/d
    Études sur le zinc (page 198) avec l'aimable autorisation de https://c19early.org/z
    Études sur la quercétine (page 242) avec l'aimable autorisation de https://c19early.org/q
    Études sur l'hydroxychloroquine (page 254) avec l'aimable autorisation de https://c19hcq.org
    Annexe contenant des informations et une analyse plus détaillées sur les problèmes mentionnés dans ce rapport (page 373)
    Études évaluées par des pairs et autres sur l'ivermectine
    13 septembre, Liu et al., Stem Cell Research & Therapy, doi:10.1186/s13287-023-03485-3 : Les gènes viraux du SRAS-CoV-2 Nsp6, Nsp8 et M compromettent les niveaux d'ATP cellulaire pour altérer la survie et le fonctionnement de l'humain. cardiomyocytes dérivés de cellules souches pluripotentes

    RépondreSupprimer
  59. Étude in vitro montrant que l'ivermectine et la méclizine atténuent la mort et le dysfonctionnement des cellules cardiaques causés par les gènes viraux du SRAS-CoV-2. Les auteurs ont découvert que les gènes viraux du SRAS-CoV-2 Nsp6, Nsp8 et M avaient des effets nocifs sur les cardiomyocytes humains (h..

    17 août, Redação MPV : Greg Tucker-Kellogg publie une étude frauduleuse pour attaquer l'ivermectine

    Discussion des erreurs dans [medrxiv.org]. Ce document est très imparfait. Par exemple, les auteurs affirment qu’il y a eu « 499 décès signalés – un taux de mortalité post-hospitalisation dû au COVID dans toute la ville de 30,1 % au cours de la période d’étude », ce qui représente un taux de mortalité de 30,1 % dans toute la ville.

    10 août, Analyse Covid : Ivermectine pour le COVID-19 : méta-analyse en temps réel de 99 études (ivmmeta)

    Un risque statistiquement plus faible est observé en matière de mortalité, de ventilation, d’admission aux soins intensifs, d’hospitalisation, de guérison, de cas et d’élimination virale. Tous restent significatifs pour des études de meilleure qualité. 60 études de 54 équipes indépendantes en 24 heures.

    8 août, Chamie et al., Cureus, doi:10.7759/ cureus.43168 : Décès excédentaires dus au COVID-19 dans les 25 États du Pérou en 2020 : tendances à l'échelle nationale, facteurs de confusion et corrélations avec l'étendue du traitement à l'ivermectine par État

    Analyse écologique montrant que la distribution de l'ivermectine était significativement corrélée (p <0,002) à la réduction des décès excédentaires dans 25 États du Pérou. L'ivermectine a été autorisée pour le traitement du COVID-19 au Pérou en mai 2020 et distribuée.

    16 juillet, Osati et al., medRxiv, doi:10.1101/2023.07.13.2 3292643 : Manifestations cliniques et mortalité chez les patients hospitalisés pour le COVID-19 en Tanzanie, 2021-2022.

    Mortalité inférieure de 32 % (p=0,02). Rétrospective, 1 387 patients hospitalisés par PCR ont confirmé le COVID-19 en Tanzanie, montrant une mortalité plus faible avec le traitement à l'ivermectine et avec le traitement aux stéroïdes en analyse multivariée.

    14 juillet, Vottero et al., Molecular Sciences, doi:10.3390/ijms241411449 : Prédiction informatique de l'interaction de l'ivermectine avec le fibrinogène

    Étude In Silico montrant que l'ivermectine peut se lier avec une forte affinité à plusieurs sites du fibrinogène et peut interférer avec la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 – liaison au fibrinogène, inhibant potentiellement la formation de caillots de fibrine résistants à la de..

    Cliquez ici pour voir la liste complète .

    *

    RépondreSupprimer
  60. Études évaluées par des pairs et autres sur la vitamine C
    4 octobre, Analyse Covid : Vitamine C pour le COVID-19 : méta-analyse en temps réel de 66 études (64 études de traitement et 2 études de suffisance)

    Un risque statistiquement plus faible est observé en matière de mortalité, d’admission aux soins intensifs, d’hospitalisation et de rétablissement. 22 études réalisées auprès de 22 équipes indépendantes dans 12 pays montrent des améliorations statistiquement significatives. • Méta-analyse utilisant le plus de s..

    22 septembre, Seely et al., BMJ Open, doi:10.1136/bmjopen-2023-073761 : Compléments alimentaires pour réduire la gravité et la durée des symptômes chez les personnes atteintes du SRAS-CoV-2 : un essai contrôlé randomisé en double aveugle

    14 % de récupération améliorée (p=0,41). Population à faible risque terminée prématurément (pas d'hospitalisation) traitement très tardif (moyenne 8 jours) ECR avec 44 patients traités par vitamines C, D, K et zinc et 46 patients témoins, ne montrant aucune différence significative. Les auteurs le reconnaissent..

    13 septembre, Albóniga et al., Scientific Reports, doi:10.1038/s41598-023-40999-5 : Abondance différentielle de lipides et de métabolites liés à l'infection et à la susceptibilité du SRAS-CoV-2

    Analyse métabolomique plasmatique montrant des taux d'acide thréonique significativement inférieurs pour les cas graves et légers de COVID-19 par rapport aux cas modérés. L'acide thréonique est un métabolite de la vitamine C. La relation attendue est non linéaire et dépend.

    8 septembre, Sun et al., Nutrition Reviews, doi:10.1093/nutrit/nuad105 : Effets thérapeutiques d'une supplémentation en vitamine C à haute dose chez les patients atteints de COVID-19 : une méta-analyse

    Progression inférieure de 66 % (p=0,03). Méta-analyse de 14 études montrant une progression plus faible du COVID-19 avec un traitement à haute dose de vitamine C.

    20 août, Boerenkamp et al., Nutrients, doi:10.3390/nu15163653 : Faibles niveaux de sérum et de vitamine C intracellulaire chez les patients hospitalisés atteints de COVID-19

    56 % de cas graves en moins (p=0,1). Analyse des taux sériques et intracellulaires de vitamine C chez les patients hospitalisés COVID-19. De faibles taux de vitamine C étaient fréquents, 36 % ayant des taux sériques < 26 μmol/L et 15 % < 11 μmol/L. Niveaux intracellulaires de vitamine C dans les mononutriments du sang périphérique.

    15 juillet, Graydon et al., Current Research in Immunology, doi:10.1016/ j.crimmu.2023.100064 : Des fréquences de base élevées de cellules tueuses naturelles sont associées à une infection asymptomatique par le SRAS-CoV-2

    Analyse de 88 patients COVID+ aux États-Unis montrant qu’une fréquence plus élevée de cellules tueuses naturelles (NK) était associée à une infection asymptomatique. Une amélioration du nombre et du fonctionnement des cellules NK a été démontrée pour l'exercice [Oh], un meilleur sommeil [Ir..

    Cliquez ici pour voir la liste complète .

    *

    RépondreSupprimer
  61. Études évaluées par des pairs et autres sur la vitamine D3
    2 octobre, Analyse Covid : Vitamine D pour le COVID-19 : méta-analyse en temps réel de 302 études (116 études de traitement et 186 études de suffisance)

    116 études de traitement montrent un risque statistiquement significativement plus faible de mortalité, d’admission en soins intensifs, d’hospitalisation et de cas. 58 études menées auprès de 54 équipes indépendantes dans 20 pays montrent un risque statistiquement significativement plus faible. • Effets aléatoires..

    22 septembre, Seely et al., BMJ Open, doi:10.1136/bmjopen-2023-073761 : Compléments alimentaires pour réduire la gravité et la durée des symptômes chez les personnes atteintes du SRAS-CoV-2 : un essai contrôlé randomisé en double aveugle

    14 % de récupération améliorée (p=0,41). Population à faible risque terminée prématurément (pas d'hospitalisation) traitement très tardif (moyenne 8 jours) ECR avec 44 patients traités par vitamines C, D, K et zinc et 46 patients témoins, ne montrant aucune différence significative. Les auteurs le reconnaissent..

    13 septembre, Qiu et al., Virology Journal, doi:10.1186/s12985-023-02165-1 : Le statut en vitamine D chez les patients hospitalisés atteints de COVID‐19 est associé à la gravité de la maladie et à la production d'IL-5.

    Rétrospective de 399 patients hospitalisés en Chine, montrant que des taux inférieurs de vitamine D et des taux plus élevés d'IL-5 étaient des facteurs de risque indépendants de la gravité du COVID-19.

    1er septembre, Konikowska et al., Frontiers in Immunology, doi:10.3389/fimmu.2023.1231813 : Association de la concentration sérique de vitamine D avec le déroulement final de l'hospitalisation chez les patients atteints de COVID-19

    Rétrospective de 474 patients hospitalisés pour le COVID-19 en Pologne, montrant des taux de vitamine D plus faibles associés à la mortalité.

    1er septembre, Ogasawara et al., Clinical Nutrition, doi:10.1016/ j.clnu.2023.08.021 : L'effet du traitement à la 1-hydroxy-vitamine D chez les patients hospitalisés atteints de COVID-19 : une étude rétrospective

    Progression inférieure de 78 % (p=0,05) et besoin d’oxygénothérapie inférieur de 75 % (p=0,09). Rétrospective PSM portant sur 312 patients hospitalisés au Japon, montrant une progression plus faible avec le traitement à la vitamine D (alfacalcidol), statistiquement significative via le log-rank KM.

    25 août, Mbata et al., Journal of Clinical Medicine, doi:10.3390/jcm12175520 : Le taux sérique de 25-hydroxyvitamine D est-il associé à la gravité du COVID-19 ? Une étude rétrospective

    Rétrospective de 763 patients hospitalisés atteints du COVID-19 ne montrant aucune différence significative dans les résultats en fonction des taux sériques. Les résultats non ajustés montrent un risque non significativement plus faible de gravité critique, de décès et de complications avec un apport suffisant en vitamine D.

    Cliquez ici pour voir la liste complète .

    *

    RépondreSupprimer
  62. Études évaluées par des pairs et autres études sur le zinc
    5 octobre, Analyse Covid : Zinc pour COVID-19 : méta-analyse en temps réel de 58 études (43 études de traitement et 15 études de suffisance)

    Un risque statistiquement plus faible est observé en matière de mortalité, de ventilation, d'hospitalisation, de progression, de récupération et d'élimination virale. 17 études réalisées auprès de 17 équipes indépendantes dans 9 pays montrent des améliorations statistiquement significatives. • Rencontré..

    22 septembre, Seely et al., BMJ Open, doi:10.1136/bmjopen-2023-073 761 : Compléments alimentaires pour réduire la gravité et la durée des symptômes chez les personnes atteintes du SRAS-CoV-2 : un essai contrôlé randomisé en double aveugle

    14 % de récupération améliorée (p=0,41). Population à faible risque terminée prématurément (pas d'hospitalisation) traitement très tardif (moyenne 8 jours) ECR avec 44 patients traités par vitamines C, D, K et zinc et 46 patients témoins, ne montrant aucune différence significative. Les auteurs le reconnaissent..

    9 août, Herrera-Quintana et al., Metabolites, doi:10.3390/metabo13080931 : Évolution de l'état des oligo-éléments et des métallothionéines chez les patients atteints de COVID-19 : relation avec les paramètres cliniques, biochimiques et inflammatoires

    Étude prospective portant sur 86 patients atteints de COVID-19 en état critique en Espagne, montrant que de faibles niveaux de zinc étaient prédictifs de la gravité. Il y avait une forte prévalence de carence en zinc.

    26 juillet, Wozniak et al., Nutrients, doi:10.3390/nu15153308 : Association des niveaux d'oligo-éléments avec les résultats chez les patients gravement malades atteints du COVID-19

    Mortalité inférieure de 47 % (p=0,3) et progression inférieure de 62 % (p=0,06). Rétrospective de 345 patients atteints du COVID-19 en Suisse, montrant des niveaux de zinc significativement différents entre les patients en soins intensifs < les patients hospitalisés < les patients ambulatoires. Pour les patients en soins intensifs, la mortalité, le choc septique et la ventilation mécanique étaient plus élevés.

    18 juillet, İşler et al., Life and Medical Sciences, doi:10.54584/ lms.2023.39 : Évaluation du taux de zinc sérique chez les patients suivis à l'hôpital avec le diagnostic de COVID-19 dans la province de Samsun, Turquie

    88 % de cas en moins (p=0,04). Rétrospective de 51 patients COVID-19 et 26 témoins sains en Turquie, montrant des niveaux de zinc significativement plus faibles chez les patients COVID-19 et une carence en zinc associée au COVID-19 dans les résultats non ajustés.

    Cliquez ici pour voir la liste complète .

    *

    RépondreSupprimer
  63. Études évaluées par des pairs sur la quercétine
    5 octobre, Analyse Covid : Quercétine pour le COVID-19 : méta-analyse en temps réel de 11 études

    Un risque statistiquement plus faible est observé pour l’admission en soins intensifs, l’hospitalisation, la guérison, les cas et l’élimination virale. 10 études réalisées par 8 équipes indépendantes dans 7 pays montrent des améliorations statistiquement significatives. • Méta-analyse utilisant ..

    26 septembre, Ziaei et al., Food Science & Nutrition, doi:10.1002/fsn3.3715 : L'effet de la supplémentation en quercétine sur les résultats cliniques chez les patients atteints de COVID‐19 : une revue systématique et une méta‐analyse

    Revue systématique et méta-analyse de 5 études, montrant une mortalité, une admission en soins intensifs et une hospitalisation significativement plus faibles avec le traitement à la quercétine.

    19 septembre, Thapa et al., Makara Journal of Science, doi:10.7454/ mss.v27i3.1609 : Approche in silico pour prédire l'effet inhibiteur des remèdes maison sur le coronavirus-2 du syndrome respiratoire aigu sévère

    Analyse In Silico montrant que la curcumine et la quercétine peuvent être bénéfiques pour le COVID-19 en se liant à la protéase principale (Mpro), à la protéine de pointe et au récepteur ACE2. Les deux composés avaient des propriétés ADME appropriées et une toxicité prévue minimale.

    5 septembre, Xu et al., Proceedings of the National Academy of Sciences, doi:10.1073/pnas.2309870120 : Réponse à Yan et al. : La quercétine possède un effet d'extinction de fluorescence mais est un faible inhibiteur contre la protéase principale du SRAS-CoV-2.

    Étude in vitro [Yan] et réponse associée des auteurs originaux [Xu], montrant collectivement que la quercétine et l'échinatine présentaient une faible inhibition de la protéase du SRAS-CoV-2 dans les tests SDS-PAGE [Xu], malgré les résultats FRET faussement positifs du MCA-A ..

    5 septembre, Yan et al., Proceedings of the National Academy of Sciences, doi:10.1073/pnas.2309289120 : Recadrage de la quercétine en tant qu'inhibiteur promiscuité contre la protéase principale du SRAS-CoV-2

    Étude in vitro [Yan] et réponse associée des auteurs originaux [Xu], montrant collectivement que la quercétine et l'échinatine présentaient une faible inhibition de la protéase du SRAS-CoV-2 dans les tests SDS-PAGE [Xu], malgré les résultats FRET faussement positifs du MCA-A ..

    Cliquez ici pour voir la liste complète :

    https://www.globalresearch.ca/did-anthony-fauci-fda-cdc-cause-deaths-3-4-million-people/5834805

    RépondreSupprimer
  64. Santé : les professions libérales proches du burn-out !

    Aujourd’hui, un millier d’associations et d’entreprises privées prestataires de santé à domicile (PSAD) interviennent sur tout le territoire. À l’origine d’environ 32 000 emplois de proximité, ils sont de véritables acteurs de lien social auprès des quelques 3,5 millions de patients pris en charge chaque année en France. Ces métiers à vocation mélangeant contact humain, conseils et soins de santé, présentent de réels avantages mais sont également soumis à des problématiques profondes. Retour sur le secteur des soins à domicile et ses particularités.


    Par Patricia Prete
    le 13 octobre 2023 à 4h00


    50 % des infirmiers arrêtent son métier au bout de dix ans

    La proximité et le relationnel au cœur des métiers de soin

    La saturation des hôpitaux et la pénurie de soignants font partie des principales préoccupations des acteurs de la santé en France. Afin de tenter de soulager un système au bord de la rupture, le retour précoce à domicile devient une solution évidente. De plus, alors que les déserts médicaux s’intensifient dans certaines régions, les patients n’ont parfois pas d’autre choix que de recevoir des soins directement à domicile. Le personnel médical libéral prend alors le relai du personnel hospitalier, accompagnant les patients aussi bien dans leur convalescence après une intervention pendant un temps imparti, que pour assurer un suivi sur le long terme dans le cadre de pathologies chroniques.

    Chaque année, ce sont plus de 3.5 millions de français qui ont recours aux services de soin à domicile, selon la PSAD. Que ce soit pour le suivi des personnes âgées, mais aussi pour des problèmes d’insuffisance respiratoire, de diabète, d’incontinence, d’handicap, ou encore pour des services de nutrition à domicile ou de perfusion (pour la chimiothérapie, l’antibiothérapie, Parkinson, mucoviscidose, HTA pulmonaires, soins palliatifs…), les services de soin à domicile prennent en charge un panel chaque jour de plus en plus important de pathologies. Au total, ce sont plus de 6 000 pharmaciens, infirmiers, diététiciens, masseurs-ergothérapeutes, nutritionnistes et kinés qui viennent en aide partout en France à domicile.

    RépondreSupprimer
  65. Au quotidien, les professionnels de soins à domicile travaillent étroitement avec les patients et leurs familles et créent une véritable relation de confiance. Rentrant dans l’intimité des patients, les interventions deviennent vite personnalisées et individualisées en fonction des besoins spécifiques, pouvant être très gratifiant pour les acteurs comme pour les malades. Les patients, parfois angoissés à l’idée de rentrer à leur domicile si précocement, bénéficient de soins dans leur environnement familier, améliorant ainsi leur qualité de vie et favorisant leur rétablissement.

    Mais même si l’aspect relationnel et l’accompagnement des Français dans leur guérison sont perçus très positivement par les professionnels du soin à domicile, ceux-ci font malgré tout face à de nombreuses problématiques.

    L’impact émotionnel du métier parfois source de burn-out
    Premièrement, ils peuvent être exposés à des risques pour leur santé et leur sécurité lorsqu'ils interviennent auprès de patients ayant des maladies infectieuses, des troubles cognitifs ou des comportements agressifs, et doivent prendre parfois beaucoup de précaution. Communiquer efficacement avec les familles des patients peut être également complexe, surtout lorsque des décisions doivent être prises concernant les soins et le traitement.

    La pénibilité et l’impact émotionnel du métier peuvent être à l’origine de burn-out. D’ailleurs, la charge mentale, très lourde, fait qu’en moyenne, un infirmier sur deux arrête son métier au bout de 10 ans. L’impact émotionnel alimente ainsi un cercle vicieux : il accentue la pression exercée sur les professionnels en poste, diminue la disponibilité et le temps alloué aux patients, et peut avoir un impact sur la qualité des soins.

    Les professions libérales de santé sont surchargées

    Fait particulièrement visible depuis la crise du COVID, le personnel médical a été confronté à une charge de travail très élevée, ce qui a coûté les fermetures de nombreux services d’urgence dans les hôpitaux cette année (120 en France rien que pendant la période estivale, soit presque 20 % des 620 établissements publics et privés hébergeant un service d’urgence dans l’Hexagone). Cela a eu un impact considérable sur la prise en charge des patients ainsi que sur la réalisation d’actes chirurgicaux, mais également sur les prestataires de santé à domicile, dont les journées sont désormais rythmées par de nombreux déplacements et un nombre toujours plus important de patients auxquels prodiguer des soins. Le manque de temps disponible du personnel, notamment en région, augmente la fatigue et un stress subis par les équipes, surtout quand l’accès aux patients est compliqué dans certaines zones rurales ou isolées.

    RépondreSupprimer
  66. Effectuant une véritable gymnastique entre les impératifs horaires des centres hospitaliers, des ambulances et des patients, le personnel hospitalier et libéral souhaite, malgré ces problématiques, rester impliqué et efficace dans les soins. Les différents corps de métier de santé tentent de se coordonner au mieux, surtout lorsque les patients ont besoin de soins complexes et interdisciplinaires, et que le temps disponible pour communiquer entre eux est moindre.

    Pour pallier le manque de place et de disponibilité au sein des hôpitaux, le soin à domicile, bien géré, peut permettre d’optimiser l’attente des soins et la rapidité des sorties. Certains acteurs du secteur développent, pour coordonner à distance les soins des applications de gestion des dossiers patientèles, afin de faciliter les échanges entre les différents corps médicaux. Mais tous ces nouveaux dispositifs nécessitent des financements, des formations, et des temps d’adaptation, et la filière a besoin d’aide pour mettre ces nombreux dispositifs en place.

    Une nécessité d’investissement pour revaloriser ce secteur sous tension

    Malgré la stratégie d’accélération pour le développement de la « Santé Numérique » lancée par le gouvernement - visant à améliorer la qualité des soins à domicile grâce à des solutions IT, le financement reste une problématique bien présente. Les associations, les professionnels du soin à domicile, et même le ministère des solidarités appellent le gouvernement à revaloriser les métiers de l'aide à domicile. Ces derniers souhaitent engager une réflexion et une réforme de fond de l'aide humaine en développant une offre de service accessible sur tout le territoire. En effet, la moitié des structures d'aide à domicile rapportent des ruptures de prise en charge faute de personnel ; un poste proposé sur trois reste constamment vacant depuis plus de 2 ans (UNA).

    Pour renforcer le dynamisme de la filière, le salaire d’un aidant à domicile nécessite d’être revalorisé pour donner l’envie de faire ce métier, encore trop peu attractif selon l’UNA. Les entreprises employant des professionnels des soins à domicile sont quant à elles entièrement dépendantes des remboursements de la sécurité sociale basés sur les LPPR (liste des produits et prestations remboursables par l'Assurance Maladie). Face aux baisses régulières, elles doivent trouver des solutions au quotidien pour maintenir la qualité de leur prise en charge et faire en sorte que l’activité soit pérenne, et ce sur un marché très concurrentiel.

    RépondreSupprimer
  67. Certains acteurs du corps libéral rencontrent en effet parfois des difficultés à accéder à un équipement médical adéquat ou à d’autres ressources nécessaires pour fournir des soins de qualité - notamment à cause des récentes pénuries de composants électroniques. Résultat, il peut être plus coûteux, à la fois pour les entreprises de ce secteur mais aussi pour la patientèle, d’offrir et de s’offrir un service de soin à domicile de haute qualité.

    À cause du manque de personnel, mais aussi du manque d’attractivité du secteur, les professionnels sont confrontés à une variété de cas plus larges, et ont parfois besoin d'une formation supplémentaire pour s'occuper de patients atteints de maladies chroniques ou complexes. En effet, le nombre de patients âgés ne fait qu’augmenter ces dernières années (papyboom), entraînant de plus en plus de suivis spécifiques pour des maladies précises. Malheureusement, le manque de temps et de financements disponibles pour effectuer et encadrer ces apprentissages limitent les possibilités en matière de développement et de formation. Ceci, d’autant plus que les professionnels de santé doivent s’adapter et se tenir au courant régulièrement des réglementations en vigueur en matière de soins de santé, dépendant des différentes juridictions et des évolutions législatives.

    L’ensemble de ces problématiques nécessitent une attention particulière de la part des décideurs afin d'améliorer les conditions de travail des professionnels du secteur et d'assurer une prestation de soins de qualité aux patients à domicile. Il est nécessaire de trouver des solutions pour restructurer et réorganiser l’écosystème pour améliorer l’attractivité d’un secteur qui reste central pour l’avenir de la santé en France.

    *

    Patricia Prete
    Docteur en Pharmacie Depuis plus de 25 ans dans l’univers de la Prestation de Santé à Domicile, à la fois sur les activités Maintien à Domicile, Perfusion, Nutrition, Insulinothérapie par pompe et RespiratoireAujourd’hui Directrice Commerciale et Marketing d’HOMEPERF et Administratrice au sein du Comité Exécutif du syndicat

    https://www.economiematin.fr/patricia-prete-sante-professions-liberales-burnout

    RépondreSupprimer
  68. Débat au Parlement européen

    « Cette campagne vaccinale sera considérée comme le plus grand scandale de l’histoire de la médecine… et elle sera en outre connue comme le plus grand crime jamais commis contre l’humanité. » –Députée Christine Anderson , députée européenne, juillet 2022.

    Oui, c'est un vaccin qui tue. Ce message doit être fort et clair. Cela se produit partout dans le monde : des enfants et des adolescents meurent. Crimes contre l'humanité, crimes contre nos enfants.

    Quel est l’impact du « vaccin » Covid-19 à l’échelle de la planète entière ?

    Comment cela affecte-t-il la population humaine de 8 milliards de personnes, y compris les nouveau-nés et les enfants à naître ?

    Pour sauver des vies, il est important que le vaccin Covid-19 soit annulé et interrompu sans délai dans le monde entier.

    Nous appelons respectueusement le Comité Nobel à annuler sa décision sans délai.

    Michel Chossudovsky , Global Research, 4 octobre 2023

    Pour accéder au document du Comité Nobel rédigé par l'Institut Karolinska (la célèbre école de médecine de Suède (pdf), cliquez ici

    * * *

    Mais il existe un autre lauréat éminent du prix Nobel dont le nom est à peine mentionné.
    Le Dr Kary Mullis, l'éminent scientifique qui a inventé le « test » de réaction en chaîne par polymérase (PCR), a reçu le prix Nobel de chimie (1993).

    Le Dr Kary Mullis – décédé quelques mois seulement avant le déclenchement de la prétendue pandémie de Covid-19 – nous a mis en garde contre l’utilisation abusive du PCR.

    Selon le regretté Dr Kary Mullis : Le PCR n’est pas un « test » :

    « Le PCR est un processus. Cela ne vous dit pas que vous êtes malade.

    Le PCR a été délibérément utilisé à mauvais escient pour diagnostiquer à tort le Covid et renforcer la campagne de peur.

    « Prétendre que cela a du sens » ? …

    RépondreSupprimer
  69. « La mesure [PCR] n’est pas exacte.

    « Ce [PCR] n’est pas aussi bon que notre mesure pour des choses comme les pommes. Une pomme est une pomme ». (Kary Mullis, interview vidéo ci-dessous)

    Le « test » PCR ne peut pas détecter l’identité du virus, ni ses variantes et sous-variantes.
    Dr Kary Mullis. Son héritage prévaudra.

    * * *

    Smoking Gun : le « test » de réaction en chaîne par polymérase par transcription inverse (RT-PCR)
    « Le PCR est un processus. Cela ne vous dit pas que vous êtes malade. – Le Dr Kary Mullis , lauréat du prix Nobel et inventeur de la RT-PCR, est décédé en août 2019.

    « … La totalité ou une partie substantielle de ces résultats positifs pourrait être due à ce que l’on appelle des tests faussement positifs. » –Dr. Michael Yeadon , scientifique distingué, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer

    « Cet usage abusif de la technique RT-PCR est appliqué comme une stratégie implacable et intentionnelle par certains gouvernements pour justifier des mesures excessives telles que la violation d'un grand nombre de droits constitutionnels, … sous prétexte d'une pandémie basée sur un certain nombre de RT positifs. -Des tests PCR, et non sur un nombre réel de patients. – Dr Pascal Sacré , médecin belge spécialisé en soins intensifs et analyste de santé publique réputé.

    * * *
    La méthodologie biaisée appliquée sous la direction de l'OMS pour détecter la propagation présumée du virus est le test de réaction en chaîne par polymérase par transcription inverse (RT-PCR) , qui est régulièrement appliqué partout dans le monde depuis février 2020.

    Le test RT-PCR a été utilisé dans le monde entier pour générer des millions de « cas confirmés de COVID-19 » erronés, qui sont ensuite utilisés pour entretenir l’illusion que la prétendue pandémie est réelle.

    Cette évaluation basée sur des chiffres erronés a été utilisée au cours des trois dernières années pour lancer et entretenir la campagne de peur.

    Et les gens sont désormais amenés à croire que le « vaccin » contre la COVID-19 est la « solution ». Et cette « normalité » sera rétablie une fois que l’ensemble de la population de la planète Terre aura été vaccinée.

    « Confirmé » est un terme inapproprié. Un « cas confirmé positif à la RT-PCR » n’implique pas un « cas confirmé de COVID-19 ».

    « RT-PCR positive n’est pas synonyme de maladie COVID-19 ! Les spécialistes de la PCR précisent qu'un test doit toujours être comparé au dossier clinique du patient testé, à l'état de santé du patient pour confirmer sa valeur [fiabilité].» (Dr Pascal Sacré)7

    RépondreSupprimer
  70. La procédure utilisée par les autorités sanitaires nationales consiste à catégoriser tous les cas positifs à la RT-PCR comme « cas confirmés de COVID-19 » (avec ou sans diagnostic médical) . Ironiquement, ce processus routinier d'identification des « cas confirmés » déroge aux propres directives du CDC :

    « La détection de l’ARN viral peut ne pas indiquer la présence d’un virus infectieux ou que le 2019-nCoV est l’agent causal des symptômes cliniques. Les performances de ce test n’ont pas été établies pour le suivi du traitement de l’infection au 2019-nCoV. Ce test ne peut exclure les maladies causées par d’autres agents pathogènes bactériens ou viraux . »8

    La méthodologie utilisée pour détecter et estimer la propagation du virus est erronée et invalide.

    Faux positifs

    Le débat précédent, au début de la crise, s’est concentré sur la question des « faux positifs ». Reconnu par l'OMS et le CDC, le test RT-PCR était connu pour produire un pourcentage élevé de faux positifs. Selon le Dr Pascal Sacré :

    « Aujourd’hui, alors que les autorités testent davantage de personnes, il y aura forcément davantage de tests RT-PCR positifs. Cela ne signifie pas que le COVID-19 revient ou que l’épidémie se déplace par vagues. Il y a plus de gens qui se font tester, c'est tout. »9

    Le débat sur les faux positifs (reconnus par les autorités sanitaires) pointe de soi-disant erreurs sans nécessairement remettre en question la validité globale du test RT-PCR comme moyen de détecter la prétendue propagation du virus SARS-CoV-2.

    Le test PCR ne détecte pas l'identité du virus
    Le test RT-PCR ne permet pas d'identifier/détecter le virus. Ce que le test PCR identifie, ce sont des fragments génétiques de nombreux virus (dont les virus de la grippe de types A et B et les coronavirus qui déclenchent des rhumes).

    Les résultats du test RT-PCR ne peuvent pas « confirmer » si une personne qui entreprend le test est infectée par le SRAS-CoV-2.

    Il suffit de la présence de « matériel génétique viral » pour qu’il soit qualifié de « positif ». La procédure n’identifie ni n’isole le SRAS-COV-2 . Ce qui apparaît dans les tests sont des fragments du virus.

    Extraits du chapitre III du livre de Michel Chossudovsky intitulé : La crise mondiale du Corona, coup d'État mondial contre l'humanité. Cliquez ici pour télécharger .

    https://www.globalresearch.ca/video-kary-mullis-nobel-prize-winning-inventor-of-pcr-test-died-in-august-2019/5816915

    RépondreSupprimer
  71. Mesures préventives contre le nouveau fléau de l’arrêt cardiaque soudain de Covid


    Par Wayne Lusvardi
    13 octobre 2023


    Q : Qu’est-ce qu’un arrêt cardiaque soudain ? -Bryan Ardis
    R : Deux mots : « protéine de pointe » – Dr Thomas Levy, MD

    REMARQUE : PAS D'AVIS MÉDICAL – UN PRATICIEN NÉCESSAIRE POUR LE MONITEUR HOLTER ET LES THÉRAPIES UV/EBOO

    Il existe un nouveau fléau insidieux, une maladie mortelle silencieuse, qui sévit actuellement dans le monde moderne. C’est ce qu’on appelle un arrêt cardiaque soudain. À l'heure actuelle, le public n'est pas surpris d'avoir été témoin de morts subites aussi visibles attribuées à une myocardite (inflammation du muscle cardiaque entraînant la mort à cause d'un rythme cardiaque irrégulier) à la télévision et sur Internet. On pense que des milliards de personnes dans le monde qui ont reçu des injections d’immunité synthétique contre le COVID-19 y sont prédisposées. Cela se produit généralement sans symptômes, sauf si l’on souffre de COVID chronique.

    Thomas Levy, MD, JD, Miami, Floride, en collaboration avec le Dr Fabrice Leu, ND, Registre naturel des professions, Suisse, enseigne à ceux qui ont reçu des injections de protéines de pointe synthétiques comment prévenir de tels événements de mort subite. Levy dit qu'il n'a connu qu'un seul cas de mort subite par crise cardiaque au cours de ses décennies de pratique cardiologique, car c'était un événement rare. Il rapporte que 2 000 footballeurs européens se sont effondrés sur le terrain et 1 400 sont morts depuis le COVID et un seul avant cela. Cependant, en 2017, avant le COVID, il y a eu 350 000 morts subites d’origine cardiaque aux États-Unis, de sorte que des causes autres que la protéine de pointe synthétique ne peuvent être écartées.

    Les principales causes d’arrêt cardiaque soudain, autres que la protéine Spike suspectée, sont l’obésité, l’alcoolisme et la fibrose. La fibrose kystique peut être causée par les oxalates, un pesticide naturel présent dans toutes les plantes comme les épinards, le chocolat, les amandes et la vitamine C/champignon. Des niveaux élevés d'oxalate augmentent le risque d'arrêt cardiaque soudain de 62 pour cent. Les métaux lourds tels que l'aluminium sont présents dans toutes les injections immunitaires pour accélérer leur absorption mais peuvent entraîner des maladies cardiovasculaires. Le phosphure d'aluminium, un pesticide courant, a été utilisé comme agent suicidaire. L'aluminium dans le corps humain peut être détecté par électrocardiogramme. Cependant, toutes ces autres causes n’expliquent pas l’augmentation perçue des arrêts cardiaques soudains depuis le COVID, à moins que les métaux lourds présents dans les injections multiples et les rappels ne soient une variable indépendante dans les arythmies cardiaques.

    RépondreSupprimer
  72. Pré-diagnostic sans symptômes

    Levy dit que personne n'essaie d'identifier qui est prédisposé à la mort cardiaque subite. Ainsi, il recommande plusieurs tests de pré-diagnostic peu connus tels que la surveillance du rythme cardiaque Holter, car l'arrêt cardiaque soudain est un événement d'irrégularité du rythme cardiaque (arythmie) qui ne manifeste pas de symptômes antérieurs. Les protéines Spike ont tendance à s’accumuler dans le cœur. Levy prévient qu'un appareil de surveillance Holter portable est simple mais nécessite également un appareil de lecture ECG 24 heures sur 24 pour être interprété par un médecin. Les deux peuvent être trouvés à la vente en ligne. Un test standard de caillot sanguin D-Dimer doit être obtenu dès que possible, qu'il manifeste ou non des symptômes, explique Levy. Le test d’imagerie tardive au gadolinium est la référence en matière de diagnostic et de pronostic des crises cardiaques. Un test d'effort cardiaque sur un tapis roulant est également essentiel, explique Levy, car une certaine coagulation pourrait ne pas être détectée autrement. Un test de protéine troponine pour les crises cardiaques est standard, dit Levy, mais ne détecterait pas les arythmies à l'avance.

    Tests de diagnostic sommaires (par ordre de priorité)

    Le moniteur cardiaque portable Holter et le dispositif de lecture ECG testent les irrégularités du rythme cardiaque
    Test de coagulation sanguine D-Dimer – sans délai
    Test d'imagerie tardive au gadolinium – un test de résonance magnétique cardiaque pour le pronostic (étalon-or)
    Test d'effort sur tapis roulant – peut révéler des caillots sanguins cachés.
    Test de troponine – limité à la survenue d'une crise cardiaque, et non au diagnostic du risque de mort subite.
    Traitement sans symptômes

    De plus, Levy recommande plusieurs traitements préventifs révolutionnaires. L’irradiation sanguine aux ultraviolets est recommandée pour éliminer les protéines de pointe du sang, même si elle peut ne pas être efficace dans l’ensemble du corps. Le but du traitement UV du sang est de réduire la coagulation telle que mesurée par le test D-Dimère.

    Levy dit que Spike Protein a été trouvé dans le sang six mois après l’injection et on ne sait pas combien de temps il peut circuler dans le corps. Un traitement est donc nécessaire, mais il fonctionne lorsqu'il n'y a aucun symptôme préalable. La priorité du traitement est de réduire la coagulation sanguine testée aux D-Dimères. Levy et son co-auteur Fabrice Leu, ND, ont rédigé un article – Persistent Spike Protein Syndrome: Rapid Resolution with Ultraviolet Blood Irradiation – sur le traitement UV du sang pour éliminer la protéine Spike du sang. Le système immunitaire peut faire exploser la protéine Spike, la faisant envoyer des milliers de fragments dans la circulation sanguine. Les UV sont un traitement éprouvé pour éliminer ces fragments, ainsi que les chélateurs tels que l'EDTA ou la Serrapeptase.

    RépondreSupprimer
  73. La thérapie par ozonation et oxygénation IV pour nettoyer le sang des toxines, des produits chimiques, des bactéries et des « déchets » peut être trouvée dans les cliniques sans rendez-vous de nombreuses villes.

    Les métaux lourds provenant d'injections antérieures, tels que le baryum, le césium, l'aluminium et le titane, peuvent provoquer une inflammation cardiaque, une toxicité et attirer les parasites qui capturent les métaux. Levy recommande d'utiliser l'EDTA par injection IV ou l'ETDA-Calcium comme complément alimentaire pour chélater ces métaux.

    Levy est un partisan du traitement naturel, mais étant donné l'absence de symptômes antérieurs, il recommande de prendre un médicament anti-arythmique approprié comme seul autre moyen préventif. La recherche indique que les médicaments régulant l’arythmie ne fonctionnent pas de manière fiable. Cependant, Tom Cowan, MD., dans son livre Human Heart-Cosmic Heart – A Doctor’s Quest to Understand, Treat and Prevent Heart Disease (2015), rapporte qu’il a utilisé avec succès un extrait de graines de Strophanthus appelé Quabain pour prévenir les arythmies – plus d’informations ici.

    Résumé des traitements préventifs

    * Traitement IV par irradiation sanguine aux ultraviolets Kastner pour éliminer les protéines de pointe du sang uniquement
    * Filtrage par ozonation et oxygénation sanguine extra corporelle IV (EBOO) pour nettoyer le sang des bactéries, toxines, produits chimiques, etc.
    * Détoxification des métaux lourds par chélation sanguine intraveineuse à l'EDTA (acide éthylènediaminetétracétique) pour éliminer les métaux lourds du sang ; ou en vente libre, supplémentation en EDTA-Calcium. L'EDTA ne se trouve pas dans la nature.

    RépondreSupprimer
  74. Traitements préventifs supplémentaires

    Vitamine C IV (50 à 150 grammes par jour) ; ou toute forme orale aux doses les plus élevées possibles (attention : une dose ultra élevée de Vit. C dépassant 250 mg/jour peut provoquer des lésions rénales)
    Hydrocortisone IV ou orale (25 à 50 mg) en IV ou avec la première dose orale de vitamine C
    Nébulisation de peroxyde d'hydrogène
    Bleu de méthylène, 25 à 50 mg deux à trois fois par jour (consulter la liste des interactions médicamenteuses)
    Oxygénation en chambre hyperbare
    Chélateurs naturels Serrapeptase, NAC (suppléments)
    Vidéo : Présentation vidéo de Thomas Levy sur l'arrêt cardiaque soudain – LIEN (le titre est incorrect – Cliquez sur le lien)

    Papers: Thomas Levy

    Persistent Spike Protein Syndrome: Rapid Resolution with Ultraviolet Blood Irradiation
    Resolving Persistent Spike Protein Syndrome

    https://www.lewrockwell.com/2023/10/wayne-lusvardi/preventatives-for-the-new-scourge-of-covid-sudden-cardiac-arrest/

    RépondreSupprimer
  75. L’hydroxychloroquine réduit la mortalité due au COVID-19, selon une étude


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 13 OCTOBRE 2023 - 12H30
    Rédigé par Zachary Stieber via The Epoch Times


    Selon une nouvelle étude, les personnes qui prenaient de l'hydroxychloroquine en association avec un autre médicament alors qu'elles étaient hospitalisées pour le COVID-19 étaient moins susceptibles de mourir que celles qui n'en prenaient pas.

    L'hydroxychloroquine, largement utilisée contre le paludisme et l'arthrite, a été administrée à des centaines de patients hospitalisés pour COVID-19 en Belgique. Des milliers d’autres n’ont pas reçu le médicament.

    Les chercheurs ont examiné les dossiers de 352 adultes hospitalisés à l'hôpital AZ Groeninge de Courtrai, en Belgique. Tous les patients ont été testés positifs au COVID-19 ou ont eu des résultats de tomodensitométrie suggérant la présence du COVID-19. Les patients ont reçu de l'hydroxychloroquine seule ou avec de l'azithromycine, un antibiotique. Ils ont été scannés avant et après traitement.

    Les chercheurs ont comparé les résultats de l'analyse des dossiers avec un groupe témoin de 3 533 personnes hospitalisées dans toute la Belgique avec le COVID-19 du 14 mars 2020 au 24 mai 2020. Les personnes n'ont pas reçu d'hydroxychloroquine mais ont reçu des soins standard.

    Vingt-huit jours après le diagnostic du Covid-19, 59 personnes traitées à l’hydroxychloroquine étaient décédées. Le pourcentage de mortalité, soit 16,7 pour cent, était inférieur au pourcentage de 25,9 dans le groupe témoin.

    Les chercheurs ont découvert que les patients ayant reçu de l’hydroxychloroquine étaient plus susceptibles de survivre même après ajustement en fonction de l’âge et d’autres facteurs.

    "Notre étude suggère que, malgré la controverse entourant son utilisation, le traitement à l'hydroxychloroquine et à l'azithromycine reste une option viable", ont écrit le Dr Gert Meeus, néphrologue à l'hôpital AZ Groeninge, et d'autres chercheurs.

    RépondreSupprimer
  76. L'étude a été publiée par la revue New Microbes and New Infections. Les limites incluent la nature rétrospective de l'étude et les différences entre les groupes de traitement et les groupes témoins, le premier étant en moyenne plus jeune. Les auteurs n'ont déclaré aucun conflit d'intérêt ou de financement.

    La recherche s’ajoute à un ensemble de données mixtes sur l’hydroxychloroquine contre le COVID-19.

    Certaines autres études ont montré que les receveurs d’hydroxychloroquine étaient moins susceptibles de mourir, notamment une étude analysant les dossiers d’un système de santé du Michigan. De nombreux résultats positifs concernaient l’hydroxychloroquine en association avec l’azithromycine.

    D’autres ont trouvé peu ou pas de preuves que l’hydroxychloroquine affecte le COVID-19, notamment une étude financée par le gouvernement américain dans 34 hôpitaux.

    L'hydroxychloroquine est approuvée par la Food and Drug Administration des États-Unis, mais l'agence a mis en garde depuis la mi-2020 contre son utilisation pour le COVID-19. Les régulateurs belges ont annulé l'autorisation de l'hydroxychloroquine pour le COVID-19 en juin 2020.

    Problème de dosage ?

    Les partisans de l’hydroxychloroquine affirment que la quantité de médicament et le moment où il est administré sont essentiels pour étudier correctement son effet sur le COVID-19.

    Le Dr Meeus et les autres chercheurs belges ont reconnu les essais cliniques qui n’ont trouvé aucun bénéfice pour l’hydroxychloroquine, ainsi que certaines études observationnelles. D’autres articles d’observation suggèrent que l’hydroxychloroquine est efficace.

    "Une explication potentielle de l'écart entre les résultats des essais d'observation et ceux des grands essais randomisés pourrait être l'utilisation d'une dose différente d'hydroxychloroquine", ont-ils déclaré.

    Les chercheurs ont commencé avec 400 milligrammes, deux fois par jour, dès le premier jour. Cela a été suivi de 200 milligrammes par jour pendant cinq jours, conformément aux directives nationales.

    Dans les essais cliniques qui n’ont trouvé aucun bénéfice, les patients ont reçu quatre fois plus d’hydroxychloroquine.

    RépondreSupprimer
  77. "Notre traitement était plus faible et utilisait également l'antibiotique azithromycine. Ce double traitement est une explication possible de la raison pour laquelle nous avons trouvé des effets positifs, mais d'autres études ne l'ont pas fait", a déclaré le Dr Meeus à Doorbraak.

    Peter Horby, porte-parole de l'un des essais, a déclaré précédemment à Epoch Times que les doses étaient « soigneusement sélectionnées » et « conçues pour atteindre les concentrations nécessaires pour inhiber le virus aussi rapidement et en toute sécurité que possible ».

    Le Dr Meeus a déclaré à Doorbraak que des recherches supplémentaires devaient être menées sur le médicament, ou HCQ, mais que cela pourrait très bien être bénéfique.

    "L'HCQ n'est pas une panacée et, bien sûr, des recherches supplémentaires doivent être menées. Après tout, vous ne pouvez pas simplement conclure d'une étude observationnelle comme la nôtre si quelque chose fonctionne ou non", a-t-il déclaré. "Mais regardez, nous avons suivi le protocole tel qu'il était initialement prescrit en Belgique. Une étude... a également montré début 2020 que l'HCQ entraînait effectivement une baisse de la mortalité. Si les résultats de notre étude le confirment à nouveau, nous pensons que c'est très Il est plausible que le médicament ait aidé un certain nombre de patients. »

    https://www.zerohedge.com/political/hydroxychloroquine-reduces-covid-19-mortality-study-finds

    RépondreSupprimer
  78. La stupidité est atteinte : les résultats des tests ACT pour les étudiants américains chutent à leur plus bas niveau depuis 30 ans


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 13 OCTOBRE 2023 - 02h00


    Le verrouillage des écoles imposé par le gouvernement et les mois d’apprentissage à distance forcé pendant la Covid ont dévasté l’éducation des futurs dirigeants américains. De nouvelles données sur les tests d'admission à l'université ACT montrent que les résultats des élèves du secondaire ont plongé au plus bas depuis plus de trois décennies.

    Selon les données publiées par ACT, l'organisation à but non lucratif qui administre l'examen de préparation à l'université, le score composite moyen au test ACT est tombé à 19,5 pour la promotion 2023, soit une baisse de 0,3 point par rapport à 2022. Les scores moyens en mathématiques, lecture et les matières scientifiques étaient inférieures aux critères de préparation à l'université d'ACT, ce qui indique que moins de personnes âgées que jamais sont prêtes à entrer à l'université.

    - voir graph sur site -
    Source : AXIOS

    "Nous continuons également de constater une augmentation du nombre de personnes âgées qui quittent l'école secondaire sans atteindre aucun des critères de préparation à l'université, même si les moyennes cumulatives des étudiants continuent d'augmenter et que les étudiants déclarent qu'ils se sentent prêts à réussir à l'université", a déclaré Janet, PDG d'ACT. Godwin a écrit dans un communiqué.

    L’un des meilleurs exemples d’un système scolaire pris dans un scandale de notation est celui des écoles publiques de la ville de Baltimore. Le journaliste d'investigation Chris Papst du Project Baltimore de Fox45 News a découvert des dizaines d'écoles avec très peu d'enfants maîtrisant les matières critiques aux examens d'État, même si certains obtiennent des notes satisfaisantes.

    RépondreSupprimer
  79. Godwin a poursuivi : « La dure vérité est que nous n'en faisons pas assez pour garantir que les diplômés soient réellement prêts à réussir leurs études postsecondaires au niveau collégial et professionnel. Ces problèmes systémiques nécessitent une action et un soutien soutenus au niveau politique. Cela ne dépend pas des enseignants et des directeurs d'école. seul – c’est une priorité et un impératif national partagé.

    Environ 1,4 million de lycéens ont passé le test ACT, et environ 21 % d'entre eux satisfaisaient aux critères des matières universitaires. Et un chiffre choquant de 43 % ne répondait à aucun de ces critères.

    Les lecteurs ont bien compris la crise du Covid et les confinements gouvernementaux ont déclenché une « pauvreté d’apprentissage ».

    L'automne dernier, Anthony Fauci a déclaré aux médias institutionnels qu'il n'avait « rien à voir » avec les fermetures d'écoles et la perte d'apprentissage qui en résulte chez les élèves des écoles publiques.

    Mais l’histoire montre que Facui est un menteur.

    Fauci recommence. Il prétend qu'il n'a RIEN à voir avec les fermetures. Devons-nous rejouer cette compilation ? Apparemment oui. pic.twitter.com/73L2pDpABS
    – Justin Hart (@justin_hart) 16 octobre 2022

    Pendant ce temps, certaines universités et collèges n’exigent plus que les candidats soumettent des tests standardisés ACT et SAT. Cela peut être dû au fait que le complexe éducatif et industriel comprend l'abrutissement de la jeunesse - et de plus, la continuation de la bulle EDU n'est rendue possible qu'en donnant de fausses promesses de réussite future à la jeune génération tout en les obligeant à 100 000 $ de dettes étudiantes.

    En outre, il doit y avoir un débat à l'échelle nationale sur les mathématiques « éveillées » et les études sur les pronoms de genre - et sur la manière dont ces sujets formeront les scientifiques de demain.

    L’implosion croissante du système scolaire public est une publicité gratuite pour inciter les parents à envisager l’enseignement à la maison.

    https://www.zerohedge.com/political/dumbocracy-achieved-act-test-scores-us-students-drop-30-year-low

    RépondreSupprimer
  80. Le Dr McCullough met en garde : se faire vacciner à plusieurs reprises avec des « vaccins » à ARNm contre la COVID pourrait favoriser le « turbo-cancer »


    12/10/2023
    Ethan Huff


    Lors d'un récent symposium en ligne organisé par le Conseil mondial de la santé, le célèbre interniste et cardiologue, le Dr Peter McCullough, a mis en garde contre les dernières recherches confirmant que les « vaccins » contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) sont, en fait, liés à un nouveau phénomène connu sous le nom de "un cancer turbo."

    Le Dr McCullough a dévoilé une théorie importante et très crédible selon laquelle le cancer ne peut se former à l'intérieur d'un corps humain que lorsque certains « plusieurs processus différents » sont touchés, même si une « source unique d'exposition » est responsable du déclenchement de ces multiples processus différents.

    La seule source d’exposition à laquelle faisait référence le Dr McCullough est, bien sûr, les vaccins contre la grippe Fauci. Citant « l’hypothèse multi-coups de la carcinogenèse » proposée par Sutherland et J.C. Bailar en 1984, le Dr McCullough a soutenu que les injections d’ARNm en particulier déclenchent de multiples changements différents dans tout le corps qui favorisent la formation et la propagation du cancer.

    Le Dr McCullough a également cité un article pré-imprimé affirmant que le segment S2 de la protéine de pointe produit par les injections d'ARNm covid "est susceptible d'inhiber les systèmes suppresseurs de tumeurs". Selon lui, cet effet cancérigène des injections « est devenu le numéro un ».

    (Connexe : Malheureusement, même ceux d'entre nous qui n'ont pas reçu d'injection directe pour le COVID peuvent quand même avoir été « vaccinés » indirectement par des personnes entièrement injectées qui, sans le savoir, nous ont « versé » le poison en passant.)

    Les « vaccins » contre la COVID ont-ils été délibérément conçus pour déclencher des « cancers turbo » ?
    Des recherches menées en Chine montrent également que le composant ARNm des injections « altère les mécanismes naturels de réparation de l’ADN du corps humain ». Cela pourrait être considéré comme un autre des nombreux processus différents par lesquels les injections de COVID provoquent la formation et la propagation du cancer.

    En d’autres termes, le composant S2 des injections inhibe la suppression de la tumeur tandis que le composant ARNm empêche le corps de réparer l’ADN corrompu, ce dernier étant décrit par le Dr McCullough comme « le coup numéro deux ».

    RépondreSupprimer
  81. Une troisième source potentielle de promotion du cancer par les injections de COVID est la « contamination » apparente des flacons par le virus simien 40, ou SV40. Ceci et d’autres contaminants agissent comme « promoteurs et amplificateurs » du cancer, ainsi que d’autres poisons comme E. coli.

    La prétendue raison pour laquelle E. coli est même utilisée est d'aider les grandes sociétés pharmaceutiques à produire en masse « de grandes quantités d'ARN messager », a expliqué le Dr McCullough.

    Quant au SV40, un autre article publié dans la revue Clinical Microbiology Reviews explique que la toxine est un "virus à ADN oncogène connu qui induit des cancers primaires du cerveau et des os, un mésothéliome malin et des lymphomes chez les animaux de laboratoire".

    L’objectif général du symposium au cours duquel le Dr McCullough a pris la parole était d’aborder les implications de l’ADN plasmidique récemment découvert dans les injections de COVID. Comme l’a prévenu le Dr Sucharit Bhakdi, microbiologiste germano-thaïlandais à la retraite, l’ADN plasmidique provoque des mutations génétiques qui, une fois de plus, sont liées à la formation de cancer.

    L’ADN plasmidique est également toxique simplement parce qu’il s’agit d’un type d’ADN étranger que l’organisme ne reconnaît pas, ce qui l’amène ainsi à s’attaquer avec auto-immunité. Le Dr Bhakdi prévient que cet ADN plasmidique entraîne « une inflammation à long terme et des dommages aux organes dans tout le corps ».

    "Nous savions que cela allait arriver", a écrit l'un de nos propres commentateurs, expliquant ce qu'il fait pour lutter contre le problème de l'excrétion des vaccins contre le COVID. "Le gouvernement et les médias ont tenté de dénoncer la recherche, ce que font les théoriciens du complot. Depuis le début de ces absurdités, je cueille des pissenlits et des pins et je cultive de l'armoise (la principale herbe utilisée dans l'ivermectine).

    "Nous buvons quotidiennement du thé aux aiguilles de pin depuis quelques années maintenant. Il a été démontré que cela aide à empêcher les pointes de se lier aux récepteurs des lymphocytes T via l'acide shikimique, le d-limonène, la quercétine, la vitamine C et les antioxydants contenus dans le pin. " Nous doublons ou parfois tripleons si nous avons côtoyé des excréteurs. "

    Le carnage total de l’opération Warp Speed est encore à venir. Apprenez-en davantage sur Genocide.news.

    RépondreSupprimer
  82. Les sources de cet article incluent :

    LifeSiteNews.com
    Cloudfront.net [PDF]
    NaturalNews.com
    NCBI.NLM.NIH.gov

    https://www.naturalnews.com/2023-10-12-mccullough-jabbed-mrna-covid-vaccines-turbo-cancer.html

    RépondreSupprimer
  83. Le FASCISME des grandes sociétés pharmaceutiques est en hausse


    12/10/2023
    Ethan Huff


    La politique est une drôle de chose. Pendant la majeure partie du 20e siècle et même jusqu'au 21e siècle, la droite s'est concentrée sur l'interdiction des plantes médicinales (c'est-à-dire le cannabis) et sur la promotion uniquement des médicaments pharmaceutiques en tant que « médicaments ». Il y a au moins 10 ou 20 ans, la gauche était davantage attachée à la terre et à la liberté de l’utiliser comme bon lui semblait.

    Puis est arrivée la « pandémie » du coronavirus de Wuhan (COVID-19), qui a provoqué un changement majeur. Soudainement, la gauche voulait forcer tout le monde à porter un masque et à se faire « vacciner » par les grandes entreprises pharmaceutiques et le gouvernement à cause d'un « virus » effrayant, tandis que la droite faisait pression pour la liberté de choix médical.

    Nous savons que les deux principaux partis politiques de ce pays représentent les deux ailes d'un même oiseau et utilisent souvent le chaos et le placement stratégique de sujets de discorde pour diviser la nation et faire autant de ravages que possible dans le processus – leur devise unifiée est « diviser ». et conquérir", après tout.

    D’une manière ou d’une autre, la gauche s’est transformée en promouvant le même type de fascisme des grandes sociétés pharmaceutiques que ses membres décriaient auparavant. Et soudain, la droite est devenue entièrement axée sur la liberté médicale, du moins en ce qui concerne les vaccins contre la grippe Fauci.

    Ce qui a fini par se produire, c’est que des États principalement « bleus » comme la Californie ont vraiment intensifié leurs efforts pour forcer les gens à prendre des drogues sous la forme d’injections de COVID afin d’assurer la « sécurité » de tout le monde. La droite, quant à elle, essaie principalement de maintenir le droit de ne pas se faire piquer à cause du COVID – et maintenant nombre d’entre eux disent la même chose à propos des vaccins en général, arguant qu’ils devraient toujours être une question de choix.

    (Connexe : De nombreux groupes « officiels » auxquels on nous dit de faire confiance sur les questions liées à la santé publique et qui ont fait pression pour des mandats de vaccination contre le COVID sont financés par Pfizer.)

    RépondreSupprimer
  84. Soutenez uniquement les politiciens des deux côtés qui soutiennent véritablement la santé et la liberté médicale.
    La triste vérité dans le climat politique actuel est que les deux parties ont des positions valables sur certaines questions, même si les deux parties ont également des positions invalides sur certaines autres questions. Aucune des deux parties ne promeut pleinement la liberté comme le voulaient les fondateurs, c’est pourquoi de nombreux Américains sont désillusionnés et ne votent plus.

    Cependant, sur la question des injections de COVID, la droite est officiellement du bon côté de l’argument. Les politiciens républicains rejettent presque uniformément l’idée d’un mandat de vaccination contre le COVID – ou tout autre mandat lié au COVID, d’ailleurs. Et la gauche se laisse toujours tromper en croyant qu’elle est du bon côté en soutenant un système forcé, de type communiste, où les vaccins sont nécessaires pour vivre.

    Mais là où les Républicains se trompent encore, c’est en soutenant la privatisation de la médecine, au point que de grandes sociétés multinationales comme Pfizer sont en mesure de prendre les devants – et de distribuer leurs produits sans aucune responsabilité, faisant de l’industrie pharmaceutique la seule industrie qui est injustement protégé de cette manière.

    Si les Républicains veulent vraiment joindre le geste à la parole, le parti dans son ensemble adopterait un véritable programme de liberté médicale où l'individu est autorisé à choisir ou non ce qu'il veut prendre ou utiliser pour sa santé, aussi longtemps que car personne d’autre n’en est directement blessé, comme pour tout autre crime réel.

    Les démocrates feraient également bien de se souvenir de leurs racines, qui incluent la reconnaissance du fait que les grandes sociétés pharmaceutiques et les grandes entreprises en général sont mauvaises pour l’autonomie individuelle. Cela promeut le fascisme contre lequel ils protestent bruyamment sans se rendre compte qu’ils sont en contradiction lorsqu’ils plaident pour davantage de mandats de piqûre au nom de la « santé publique ».

    Si nous le laissons faire, les grandes sociétés pharmaceutiques prendront le contrôle du monde entier et asserviront tout le monde sous le régime de la pharmakeia – ce qui est pratiquement déjà arrivé, si l’on y réfléchit vraiment. Apprenez-en davantage sur BadMedicine.news.

    Les sources de cet article incluent :

    Brownstone.org
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2023-10-12-big-pharma-fascism-rising-ruining-the-commons.html

    RépondreSupprimer
  85. Le Dr Lee Merritt compare le test d’alerte de diffusion d’urgence de la FEMA aux injections de COVID : nous ne savons pas ce qu’il y a dedans – Brighteon.TV


    12/10/2023
    Kevin Hughes


    Le médecin rebelle, le Dr Lee Merritt et James Grundvig, ont discuté du test d'alerte diffusé en cas d'urgence par l'Agence fédérale de gestion des urgences (FEMA) lors de l'épisode du 4 octobre de l'émission Brighteon.TV "Merritt Medical Hour".

    Merritt a déclaré que le peuple américain avait survécu au signal d'urgence diffusé par la FEMA le 4 octobre dernier. S'il n'avait pas été diffusé ce jour-là, le signal aurait été activé une semaine plus tard, le 11 octobre. L'animateur de Brighteon.TV l'a comparé au signal de Wuhan. injections de coronavirus (COVID-19). (Connexe : La FEMA et la FCC mèneront des tests d'alerte d'urgence à l'échelle nationale pour garantir la viabilité des systèmes d'alerte lors des prochaines « urgences » organisées par le gouvernement lui-même)

    "Nous ne savons pas ce que c'est. Pour être honnête, c'est comme le vaccin [COVID] – nous ne savons pas ce qu'il contient", a-t-elle déclaré à Grundvig. "Nous nous méfions, tout comme nous nous méfions de Pfizer. Maintenant, nous nous méfions de la FEMA."

    L'ancien médecin et chirurgien de la Marine a raconté comment elle et son mari ont caché tous leurs gadgets dans des sacs Mylar et ont tout éteint dans leur maison. Alors qu'ils n'avaient rien entendu à 14h22. Heure de l'Est (HE) ou 14 h 32 Vers 14h42, quelque chose s'est produit dans l'un des sacs Mylar. et 14h44 ET de ce jour. Elle a découvert plus tard que l'un des sacs Mylar était défectueux après que la montre Apple de son mari recevait toujours le signal.

    Pendant ce temps, Grundvig a expliqué comment il avait débranché tous ses ordinateurs et son routeur, et désactivé le réseau local et l'alarme de la maison. Il a ensuite stocké tous ses appareils dans un four à micro-ondes, qu’il a décrit comme un parfait exemple de cage de Faraday. Grundvig, qui anime "Unrestricted Truths" sur American Media Periscope, est ensuite sorti avec son fils qui possédait un vieil iPhone.

    RépondreSupprimer
  86. Après avoir allumé l'iPhone, il a entendu trois rafales espacées de cinq secondes chacune, à 14 h 22. ET. Grundvig a ensuite fait remarquer que les Américains doivent toujours surveiller ce qui va se passer après l'envoi du système d'alerte d'urgence.

    "Si rien ne se passe, alors d'accord, ce n'est qu'un test", a déclaré Grundvig. "Mais nous ne le savons pas encore."

    L'alerte de diffusion d'urgence de la FEMA teste à la fois un essai et une évaluation de la menace
    Selon Merritt, le test d'alerte d'urgence de la FEMA aurait pu être un essai, puisque les trois explosions annoncées par l'agence se sont effectivement produites. Elle considère également qu’il s’agit d’une évaluation de la menace par rapport à un événement crédible qui pourrait éventuellement se produire.

    "Pour moi, le risque de ne pas prendre [cette alerte] au sérieux est probablement plus que simplement ne pas écouter cela", a fait remarquer l'animateur de "Merritt Medical Hour". "Vous savez, j'essaie de penser à un inconvénient de tout éteindre. Maintenant, j'ai appris de cette expérience, vous devez enregistrer vos bagages."

    Grundvig a également indiqué que la Russie avait également lancé un test d'alerte d'urgence similaire le même jour que le signal de la FEMA. L'alerte d'urgence a été entendue dans toute la Russie, dans 11 fuseaux horaires. En réponse à cela, Merritt a raconté les tests d'urgence soudains du système de diffusion pendant la crise des missiles de Cuba dans les années 1960 – impliquant une seule explosion.

    L'animateur de "Unrestricted Truth" a finalement déclaré au Medical Rebel que les Américains doivent être vigilants, car c'est tout ce qu'ils peuvent faire pour l'instant.

    RépondreSupprimer
  87. Visitez Preparedness.news pour plus d’histoires sur les alertes d’urgence comme celle activée par la FEMA.

    Regardez l’épisode du 4 octobre de « Merritt Medical Hour » ci-dessous. L'émission "Merritt Medical Hour" est diffusée tous les mercredis de 19h à 20h. et samedi à 14h-15h sur Brighteon.TV.

    Plus d'histoires connexes:

    James Grundvig d'AMP News qualifie FedCoin de déchet et affirme que la CBDC de la Fed est loin d'être prête.

    Le Dr Lee Merritt et Kate Dalley discutent des FAKERIES qui se produisent en Amérique – Brighteon.TV.

    La FEMA a distribué des brochures d’urgence absurdes aux Alaskiens autochtones.

    Les sources incluent :

    Brighteon.com
    FEMA.gov

    https://www.naturalnews.com/2023-10-12-merritt-compares-fema-broadcast-test-covid-vaccine.html

    RépondreSupprimer
  88. (...) "Nous ne savons pas ce que c'est. Pour être honnête, c'est comme le vaccin [COVID] – nous ne savons pas ce qu'il contient", a-t-elle déclaré à Grundvig. (...)

    3 ans de retard !!
    Les scientifiques docteures Astrid Stuckelberger et Carrie Madej ont examiné les flacons injectables. Elles y ont trouvé des nano-particules d'oxyde de graphène !! + des hydres !! + des spikes !! + diverses maladies animales et une quarantaine de venins de serpents différents !!

    RépondreSupprimer
  89. Cancer du poumon stade 4 : très jeune âge, non-fumeur, résistant au traitement, nouvelles mères à risque, mauvais pronostic

    Caractéristiques du vaccin à ARNm COVID-19 Turbo Cancer du poumon - 30 cas tragiques


    Par le Dr William Makis
    Recherche mondiale,
    13 octobre 2023


    5 septembre 2023 (photos ci-dessus) – Glasgow, Écosse – Cheryl Robertson, 28 ans, a reçu un diagnostic de cancer du poumon de stade 4 (ALK-positif) en mars 2023 et elle est décédée six mois plus tard. Elle n’avait aucun antécédent de tabagisme. Le cancer du poumon s'est propagé à ses poumons et à ses ganglions lymphatiques.

    1er octobre 2023 – Royaume-Uni – Hannah Williams, 29 ans, a reçu un diagnostic de cancer du poumon de stade 3 après deux mois de grossesse en juin 2023. Elle a donné naissance à sa fille Nova le 21 septembre 2023 et est décédée 10 jours plus tard, en octobre. 1er janvier 2023. Diagnostic jusqu'au décès : 4 mois.

    - voir photo sur site -

    25 septembre 2023 – Rosemont, Californie – Matt, 42 ans, a reçu un diagnostic de cancer du poumon de stade 4 en mai 2023.

    - voir photo sur site -

    23 septembre 2023 – Mt.Crawford – Dulcilio Junior Velez, 45 ans, a reçu un diagnostic de cancer du poumon de stade 4 en août 2023, a commencé une chimiothérapie mais est décédé un mois après le diagnostic, le 23 septembre 2023.

    - voir photo sur site -

    17 septembre 2023 – Ballinasloe, Irlande – Tom Doyle est un jeune homme, joueur de football, à qui on a diagnostiqué un cancer du poumon de stade 4 qui « s'est propagé pratiquement sur tout mon corps, en particulier le long de ma colonne vertébrale, de mon bassin et de ma cage thoracique » en septembre. 2022. Il est actuellement en rémission.

    - voir photo sur site -

    11 septembre 2023 – Bethléem, Pennsylvanie – Michael Brown, 40 ans, est un vétéran de l’armée américaine qui a récemment perdu sa sœur à cause d’un cancer et qui vient de recevoir un diagnostic inattendu d’un cancer du poumon de stade 4 en août 2023.

    - voir photo sur site -

    RépondreSupprimer
  90. 9 septembre 2023 – Fort Pierce, Floride – Lindsey Porter, 40 ans, est infirmière. Elle est également une nouvelle maman et vient de recevoir un diagnostic de cancer du poumon de stade 4 avec métastases cérébrales.

    - voir photo sur site -

    29 août 2023 – NY – Stefanie Frances Lampf Kennedy, 39 ans, une avocate spécialisée en droit immobilier, est décédée le 29 août 2023 d'un cancer du poumon rare et agressif.

    - voir photo sur site -

    20 août 2023 – Pretoria, Afrique du Sud – Angie Oeh, 24 ans, sensation du rap afrikaans, est décédée subitement le 20 août 2023, seulement 6 jours après avoir reçu un diagnostic de cancer du poumon de stade 4.

    - voir photo sur site -

    18 août 2023 – Reno, NV – Ezti Villanueva, 29 ans, qui travaille à la clinique vétérinaire, vient de recevoir un diagnostic de cancer du poumon de stade 4 après s'être présentée aux urgences avec un poumon effondré et du liquide dans la poitrine.

    - voir photo sur site -

    17 août 2023 – Wilmington, OH – Christopher Campbell, 44 ans, a reçu un diagnostic de cancer du poumon de stade 4 qui s'était propagé à son cerveau et à ses os en juillet 2022. Il n'a pas répondu au traitement et est décédé un an plus tard, le 17 août. , 2023.

    - voir photo sur site -

    RépondreSupprimer
  91. 16 août 2023 – Shoals, Indiana – Le policier Todd Eckert a vaincu un cancer de la boîte vocale qui a été découvert en août 2022. Fin mai 2023, on lui a diagnostiqué un cancer du poumon de stade 4. Cela représente deux cancers en moins d'un an.

    - voir photo sur site -

    15 août 2023 – Montebello, Californie – Michael Zanolini, 29 ans, a reçu un diagnostic de cancer du poumon de stade 4, puis a développé une pneumonie, une septicémie et une embolie pulmonaire.

    - voir photo sur site -

    11 août 2023 – Los Angeles, Californie – Ziv Bahat a reçu un diagnostic de cancer du poumon de stade 4 et est décédé 6 mois plus tard « en raison du cancer extrêmement agressif ».

    - voir photo sur site -

    Le 7 août 2023 – Lively, ON – Mike Kusinskis, 45 ans, a servi dans la Marine royale canadienne en tant que plongeur-démineur à Victoria, en Colombie-Britannique, et a servi son pays à l'étranger et au pays. On lui a diagnostiqué un cancer du poumon de stade 4A en janvier 2023 (non-fumeur). Son cancer s'est propagé à la plèvre et aux os.

    - voir photo sur site -

    31 juillet 2023 – Putnam, CT – Joshua Slagle, 30 ans, a reçu un diagnostic de cancer du poumon de stade 4 à peine 2 semaines après son 30e anniversaire.

    - voir photo sur site -

    25 juillet 2023 – Dallastown, Pennsylvanie – Nick Albert, 36 ans, a eu une crise le 20 avril 2023 et a reçu un diagnostic de masses au cerveau et au poumon, un cancer du poumon de stade 4. Il a subi une opération au cerveau le 25 avril.

    - voir photo sur site -

    13 juillet 2023 – Washington DC – Tiara CT Derouen, 30 ans, travaille au DMV et est esthéticienne, qui vient de recevoir un diagnostic de cancer du poumon de stade 4 avec nodules sur les deux poumons.

    - voir photo sur site -

    RépondreSupprimer
  92. 6 juin 2023 – Maple Ridge, Colombie-Britannique – Bobi-lyn Radke (Reid), 40 ans, a reçu un diagnostic de cancer du poumon de stade 4 (non-fumeuse) le 6 mars 2023, qui s'est propagé à ses ganglions lymphatiques, à ses glandes surrénales et à son foie. Son cancer a progressé pendant la radiothérapie et s'est métastasé à son œil gauche. Elle est décédée 3 mois après le diagnostic.

    - voir photo sur site -

    28 mai 2023 – Emily Morgan, présentatrice d'ITV News, 45 ans, est décédée après une bataille de 2 mois contre un cancer du poumon de stade 4.

    - voir photo sur site -

    26 mai 2023 – Portland, Oregon – Mara Kieval, une infirmière d'une quarantaine d'années, est décédée subitement le 26 mai 2023 après une « grave crise de santé ». Elle avait vaincu le cancer du sein, mais on lui a diagnostiqué un cancer du poumon de stade 4 et elle est décédée 1 mois après le diagnostic.

    - voir photo sur site -

    22 mai 2023 – Williamstown, NJ – Pam Riebel a reçu un diagnostic en octobre 2022 d'un cancer du poumon de stade 4 avec métastases au cerveau et au pancréas. Elle a répondu à la chimiothérapie en mars 2023 et a commencé l'immunothérapie. En avril 2023, son traitement a échoué et une tumeur cérébrale est réapparue. En juin, les médecins n'avaient plus rien à offrir et elle est en soins palliatifs.

    Cliquez ici pour lire l'article complet :

    https://www.globalresearch.ca/lung-cancer-stage-4-very-young-age-non-smoker-resistant-treatment-new-mothers-risk-poor-prognosis/5836055

    RépondreSupprimer
  93. « Les modèles climatiques ne sont-ils pas corrects ? – Le Pacifique se refroidit rapidement » – en conversation sur MEGA Radio


    13 octobre 2023
    par le Dr. Peter F. Mayer


    La désinformation est constamment diffusée dans les grands médias et par les politiciens, plus récemment sur les thèmes du Corona, de l'Ukraine, de la Palestine, de la santé et, depuis des décennies, sur le thème du climat. Les modèles de la sous-organisation de l'ONU, l'IPCC, se sont révélés pour la sixième fois - il n'existe jusqu'à présent pas plus de six modèles et rapports - qu'ils ne correspondent pas à la réalité. J'aborde ce sujet et d'autres sujets climatiques avec notre partenaire média MEGA Radio.

    Une question particulièrement explosive est de savoir si la tendance actuelle à la hausse des températures moyennes va se poursuivre. Il y a maintenant de plus en plus de preuves d'un refroidissement important imminent, que ce soit par la baisse de la température dans le Pacifique Est , l'augmentation de la couverture de glace dans l' Antarctique et l' Arctique, ou la réduction des taches solaires et donc un affaiblissement de celles qui frappent la Terre. et l'énergie solaire.

    La « transition énergétique » actuellement prescrite par l’UE, mise en œuvre par exemple dans la loi allemande sur le chauffage, présente d’énormes risques pour les personnes. Si l'on éteignait deux des trois systèmes de distribution d'énergie qui existent actuellement - à savoir le réseau de stations-service, le réseau de canalisations de gaz naturel et le réseau électrique - ce serait un suicide précipité. En outre, le passage aux voitures électriques et aux pompes à chaleur nécessiterait au moins deux fois plus de production d'électricité que celle actuelle, en particulier pendant la saison froide, lorsque les pompes à chaleur ne peuvent chauffer que de manière purement électrique. Et cela s’appliquerait encore plus aux réseaux électriques, dont la modernisation ne pourrait qu’entraîner des coûts énormes.

    Mais l’intention est peut-être de réduire les prix de l’immobilier à un point tel que les gestionnaires d’actifs ou les requins de l’immobilier puissent acheter des appartements, des maisons et des terrains à moindre coût.

    RépondreSupprimer
  94. Ceci et bien plus encore en conversation avec MEGA Radio.

    La note suivante peut être trouvée sous le podcast sur YouTube :

    - voir sur site -

    L’ONU nous dit donc que le temps et le climat ne sont pas les mêmes. Mais non sans ajouter de fausses informations selon lesquelles « les changements de température et de temps... sont causés principalement par les activités humaines, en particulier par la combustion de combustibles fossiles ». Pourquoi cela est absurde et uniquement dans l'intérêt de la redistribution des biens des citoyens vers les oligarques. à voir avec la baisse prévue des prix de l’immobilier.

    L'explication du « contexte » se lit comme suit : « Vous y verrez des informations générales provenant de fournisseurs tiers indépendants qui vous donneront un contexte plus approfondi sur le sujet en question. . » Qualifier l’ONU de « fournisseur tiers » est carrément une moquerie. L’ONU représente de plus en plus les intérêts des grandes entreprises et de l’élite financière et définit leurs politiques.

    La conversation est également disponible sur Spotify :

    ainsi que sur YouTube :

    - voir clip sur site -

    MEGA Radio est une station qui peut être écoutée sur DAB+ et aborde des sujets de manière critique et ouverte, sans considérations politiques.

    https://tkp.at/2023/10/13/stimmen-klimamodelle-nicht-pazifik-kuehlt-rapide-ab-im-gespraech-bei-mega-radio/

    RépondreSupprimer
  95. D’où vient le gaz de l’UE ?


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 12 OCTOBRE 2023 - 11H45


    L’invasion de l’Ukraine par la Russie et la « militarisation » de l’énergie par Moscou ont placé la diversification des approvisionnements énergétiques en tête des priorités des pays européens.

    Cependant, comme le rapporte Martin Armstrong de Statista, même si cela reste un processus long et coûteux, nécessitant des investissements dans les infrastructures (nouveaux pipelines, terminaux GNL, etc.), les résultats sont déjà visibles.

    - voir graph sur site -

    Infographie : D'où vient le gaz de l'UE ? | Statiste
    Vous trouverez plus d'infographies sur Statista

    Au premier trimestre 2022, la Russie était le plus grand fournisseur de gaz par gazoduc de l'UE, avec une part de 38,8 %, juste devant la Norvège (38,1 %), selon Eurostat.

    Mais au premier trimestre 2023, la part de la Russie avait chuté de 21 points de pourcentage, tandis que celles de la Norvège (+8 points de pourcentage), de l'Algérie (+7 points de pourcentage) et du Royaume-Uni (+4 points de pourcentage) avaient toutes augmenté.

    Quant au gaz naturel liquéfié ou GNL (importé par bateau), la Russie (18,1 %) était le deuxième fournisseur de l'UE au premier trimestre 2022, derrière les États-Unis (48,6 %). Un an plus tard, la part de la Russie avait chuté de 5 points de pourcentage.

    Dans le même temps, les parts de la Norvège (+6 points de pourcentage), du Qatar et de l’Algérie (chacun +2 points de pourcentage) ont toutes augmenté, tandis que celles des États-Unis ont chuté de 8 points de pourcentage.

    https://www.zerohedge.com/energy/where-does-eus-gas-come

    RépondreSupprimer
  96. Le stockage complet du gaz dans l'UE n'élimine pas les risques d'approvisionnement


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 12 OCTOBRE 2023 - 09H30
    Rédigé par Irina Slav via OilPrice.com,


    Les installations de stockage de l’UE sont remplies presque au niveau de leur capacité.

    La demande de gaz dans l'Union européenne a diminué de 10 à 15 % au cours des 12 derniers mois.

    Il est intéressant de noter que les prix du gaz en Europe sont actuellement plus élevés qu’ils ne l’étaient lorsque les travailleurs de Chevron ont commencé leur grève en septembre.

    L’Union européenne a accumulé des quantités record de gaz naturel dans ses installations de stockage, et cela avant son propre calendrier.

    La nouvelle du remplissage avancé des cavernes de stockage a été annoncée pour la première fois en août par Bruxelles avec une fierté compréhensible. À la mi-août, les stockages étaient pleins à 90 %, ce qui était l'objectif de novembre.

    Mais les fournisseurs d’énergie ne se sont pas arrêtés là puisque, début octobre, les stockages de gaz dans l’UE sont presque remplis à 100 %. Il y a juste un petit problème : cela pourrait encore ne pas suffire à garantir l’approvisionnement en gaz en hiver.

    L’année dernière, les pays européens ont connu un hiver plus doux que d’habitude pendant la majeure partie de la saison de chauffage, ce qui était une manifestation bienvenue du changement climatique étant donné les inquiétudes concernant la suffisance du gaz stocké. En fin de compte, une grande partie du gaz acheté à des prix exorbitants pendant l’été est restée stockée, inutilisée, en raison des conditions météorologiques.

    Malgré l’hiver doux et le stockage complet, les gouvernements européens ont imposé des mesures d’austérité énergétique aux gros consommateurs. Cette année ne sera pas différente. Le stockage est peut-être plein à craquer, mais des initiatives d'économie d'énergie, y compris obligatoires, seront récemment votées en Allemagne. Car ce que les commentateurs oublient souvent lorsqu’ils parlent du stockage européen du gaz, c’est qu’il ne couvre pas 100 % de la consommation.

    RépondreSupprimer
  97. La capacité de stockage de gaz naturel dans l’Union européenne couvre en réalité environ un tiers de la demande, selon l’UE elle-même. Il existe un espace pour stocker jusqu’à 100 milliards de mètres cubes de gaz naturel dans le bloc, ce qui représente 33 % de ce qu’il consomme, ce qui est loin d’être suffisant si l’on parle de sécurité d’approvisionnement.

    Parce que le stockage ne peut couvrir qu’un tiers de la consommation européenne – ou peut-être un peu plus si l’on suppose que les mesures d’austérité énergétique fonctionneront aussi bien cette année que l’année dernière – les pays européens devront continuer à importer du gaz naturel liquéfié pendant l’hiver. À moins, bien sûr, que l’Europe ait à nouveau de la chance face au changement climatique et connaisse un nouvel hiver inhabituellement chaud.

    Les responsables européens ont été occupés l’année dernière à trouver des moyens d’améliorer la sécurité de l’approvisionnement en gaz. Il y a eu l’accord sur l’achat commun de gaz, qui semble si bien fonctionner que Bruxelles envisage d’en faire un élément permanent de la vie de l’UE. Il y avait des discussions sur l'achat de plus de gaz à l'Azerbaïdjan, mais cela a échoué après les derniers événements au Haut-Karabagh.

    Pendant ce temps, la demande de gaz dans l’Union européenne a diminué de 10 à 15 % au cours des 12 derniers mois grâce aux efforts du gouvernement – et aux prix. Selon John Kemp de Reuters, il y a peu de chances de voir une reprise de la demande étant donné qu’elle est restée modérée cette année également, malgré une plus grande sécurité d’approvisionnement.

    L’évolution des prix dans le cadre du conflit de travail sur les projets GNL Gorgon et Wheatstone de Chevron en Australie a récemment démontré à quel point l’approvisionnement en gaz de l’Europe est vulnérable. L’Europe n’est pas un gros acheteur de GNL australien, mais l’Australie est le plus grand exportateur mondial et toute perturbation de l’approvisionnement australien perturbe l’approvisionnement mondial.

    RépondreSupprimer
  98. Ainsi, lorsque les travailleurs des projets Chevron ont commencé à faire grève, les prix du gaz en Europe ont bondi, augmentant de 13 % en une seule journée. En toute honnêteté, ils sont encore loin de ce qu’ils étaient à l’été 2022, mais une hausse quotidienne des prix de 13 % reste considérable.

    Il est intéressant de noter que les prix sont actuellement plus élevés qu'ils ne l'étaient lorsque les travailleurs de Chevron ont commencé leur grève en septembre. Puis, le premier jour de grève a vu le prix de référence du TTF en Europe grimper à 34,50 euros par mégawattheure. Désormais, selon Reuters, le contrat TTF du premier mois se négocie à 38 euros par MWh, tandis que le contrat de livraison en janvier se négocie à 44 euros.

    C’est le prix de la dépendance à l’égard d’un marché mondial du gaz naturel liquéfié qui, comme nous l’avons vu l’année dernière, peut très facilement se transformer en un marché de vendeurs, quels que soient les projets des acheteurs, y compris un cartel d’acheteurs. L’année dernière, l’Europe a exclu du marché les pays les plus pauvres, les poussant à se tourner vers le charbon. Pourtant, même si cela peut paraître douteux du point de vue de la lutte contre le changement climatique, c’était la chose naturelle à faire pour l’Europe : sécuriser son approvisionnement énergétique.

    Cette année, l’Europe semble se contenter de savoir que ses cavernes de stockage de gaz sont pleines, et avec des prélèvements saisonniers moyens inférieurs à 600 TWh, les chances d’une pénurie sont minces. Bien sûr, il y a aussi la moindre consommation d’énergie des utilisateurs industriels, qui peut être positive pour les niveaux de stockage de gaz mais négative du point de vue de la croissance économique, mais qui n’attire pas beaucoup d’attention, du moins de la part des responsables européens.

    Les commentateurs y prêtent cependant attention. Dans une chronique de septembre sur la réduction de la consommation de gaz industriel, Kemp de Reuters l’a expliqué très simplement. Notant la réduction significative de la consommation, qui a renforcé la sécurité d'approvisionnement pour les mois d'hiver, il a ajouté que « la région a payé un prix élevé en termes de réduction de l'activité manufacturière, ce qui pourrait conduire à une désindustrialisation permanente à moins que les prix du gaz ne soient réduits de manière significative. dans les deux prochaines années. »

    https://www.zerohedge.com/energy/eus-full-gas-storage-doesnt-eliminate-supply-risks

    RépondreSupprimer

  99. Les exportations indiennes de diesel vers l’Europe atteignent un niveau record


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 12 OCTOBRE 2023 - 08H00
    Rédigé par Charles Kennedy via OilPrice.com,


    Les exportations indiennes de diesel vers l’Europe ont atteint un niveau record en septembre dans un contexte d’arbitrage ouvert pour les expéditions vers l’ouest, a rapporté mercredi Reuters, citant des données de suivi des pétroliers et des analystes.

    Le mois dernier, les cargaisons de diesel chargées en provenance d'Inde et à destination de l'Europe se situaient en moyenne entre 280 000 barils par jour (b/j) et 303 000 b/j – soit environ la moitié de toutes les expéditions indiennes de diesel en septembre, selon les données de suivi des navires citées par LSEG, Vortexa et Kpler. par Reuters.

    Dans le même temps, les expéditions indiennes de diesel vers l’est, vers Singapour, ont chuté en septembre.

    L'arbitrage est-ouest sur les contrats à terme sur le diesel en Europe et en Asie a bondi le mois dernier, ce qui a incité les commerçants à expédier davantage de carburant produit en Inde vers l'Europe, ont déclaré des analystes à Reuters.

    Mais les écarts se sont rétrécis au cours de la semaine dernière, ce qui signifie qu’il est peu probable que les expéditions de diesel de l’Inde vers l’Europe reproduisent en octobre les sommets de septembre, ont-ils ajouté.

    RépondreSupprimer
  100. Les fortes exportations indiennes de diesel vers l'Europe le mois dernier pourraient aider l'Europe à s'approvisionner en carburant avant l'hiver, d'une part, et potentiellement atténuer la pression à la baisse sur les marges de raffinage en Asie, d'autre part, selon les négociants et les analystes qui ont parlé à Reuters.

    L’augmentation des expéditions en septembre pourrait également être le résultat de l’interdiction temporaire par la Russie des exportations de diesel vers la plupart des marchés, y compris la Turquie, a déclaré à Reuters Serena Huang, responsable de l’analyse APAC chez Vortexa.

    À la fin de la semaine dernière, la Russie a levé l'interdiction frappant la plupart de ses exportations de diesel, deux semaines après avoir annoncé des restrictions à l'exportation sur le diesel et l'essence afin de freiner la flambée des prix intérieurs.

    L’interdiction des exportations de diesel et d’essence, entrée en vigueur le 21 septembre, a affecté les exportations russes de diesel, qui ont été détournées de l’UE après l’entrée en vigueur de l’embargo en février. La Russie expédie désormais du diesel vers la Turquie, le Moyen-Orient, l’Afrique du Nord et de l’Ouest et le Brésil en Amérique du Sud.

    https://www.zerohedge.com/energy/indias-diesel-exports-europe-soar-record-high

    RépondreSupprimer
  101. L’éolien offshore est une catastrophe économique et environnementale


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 12 OCTOBRE 2023 - 02h05
    Rédigé par Edward Ring via American Greatness,


    Lorsqu’il s’agit d’énergies « renouvelables » qui font des ravages sur l’environnement, les éoliennes font face à une rude concurrence. Par exemple, plus de 500 000 miles carrés (1 294 994 km²) de plantations de biocarburants ont déjà remplacé les fermes et les forêts pour ne remplacer que 4 % du carburant utilisé dans les transports. Afin de s’approvisionner en matières premières pour fabriquer des batteries « durables », les opérations minières se développent, sans aucune fin en vue, dans des pays où les conditions de travail sont épouvantables et où les réglementations environnementales sont inexistantes. Mais le pire contrevenant est l’industrie éolienne.

    L’industrie américaine de l’énergie éolienne parvient d’une manière ou d’une autre à ne susciter pratiquement aucune couverture négative dans la presse ni aucun litige de la part des écologistes, bien qu’elle ait provoqué certaines des catastrophes environnementales les plus évidentes et les plus tragiques de ce siècle. En août dernier, j’ai écrit sur le massacre en cours de baleines au large de la côte nord-est de l’Amérique grâce à la construction d’éoliennes offshore :

    «Lorsque vous faites exploser des explosifs massifs, que vous enfoncez à plusieurs reprises des pieux d'acier dans le fond de l'océan avec un marteau hydraulique et que vous émettez des signaux de cartographie sonar à décibels élevés sous l'eau, vous allez nuire aux animaux qui dépendent du son pour s'orienter dans l'océan. Dire que c’est une pure coïncidence si des centaines de ces créatures se sont échouées sur le rivage, mortes, tout d’un coup, précisément au cours des mêmes mois où les explosions et les pilonnages ont commencé, est une tromperie éhontée.

    RépondreSupprimer
  102. Néanmoins, lorsque l’histoire ne peut être enterrée, la stratégie est la tromperie. Aucune grande organisation environnementale, aucune agence de surveillance gouvernementale ou aucun média n’a appelé à un ralentissement des projets éoliens industriels offshore. Au lieu de cela, ils affirment à plusieurs reprises que ces allégations sont de la désinformation. Et de ce parangon de vérité, FactCheck.org, nous obtenons ceci : « Aucune preuve que le développement de l’énergie éolienne en mer tue des baleines ».

    Laissons de côté l'impact négatif évident sur les populations de baleines de dizaines de milliers de sorties d'études marines et de travaux de construction dans des zones offshore où le trafic maritime n'a jamais été concentré auparavant, ou l'impact du bruit et des explosions sur aucun site, comme ce serait le cas. avec une seule plate-forme pétrolière, mais sur des milliers de sites, chacun étant préparé pour une éolienne offshore. La destruction causée par les éoliennes va bien au-delà de ce qu’elles causent aux baleines.

    Un rapport récemment publié par une association de pêcheurs de la Nouvelle-Angleterre résume les recherches qu'ils ont réalisées sur des projets éoliens offshore. Leurs découvertes sont stupéfiantes. L’étendue géographique de ces projets éoliens offshore proposés est sans précédent. Selon le rapport, « les régulateurs fédéraux du Bureau of Ocean Energy Management (BOEM) ont désigné près de 10 millions d’acres pour l’étude et le développement de parcs éoliens ». Cela représente plus de 15 000 miles carrés (38 849 km²).

    Ne sont pas inclus dans cette allocation les couloirs où les lignes à haute tension devront traverser le fond de l’océan pour transférer l’électricité des turbines vers les réseaux électriques terrestres. Le rapport révèle que « les champs électromagnétiques (CEM) émanant des câbles sous-marins semblent produire des malformations congénitales chez les juvéniles de homard ». Ce n'est que le début.

    RépondreSupprimer
  103. Le rapport révèle également que les parcs éoliens « augmentent la température de la surface de la mer et modifient l'hydrodynamique des couches supérieures de l'océan d'une manière que les scientifiques ne comprennent pas encore », et « soulèvent les sédiments marins et génèrent des sillages très troubles qui mesurent 30 à 150 mètres de large et plusieurs kilomètres de long, ayant un impact majeur sur la production primaire du phytoplancton qui constitue la base des chaînes alimentaires marines. Et il y a plus encore.

    Les éoliennes « génèrent du bruit de fonctionnement dans une plage de basses fréquences (moins de 700 Hz), la majeure partie de l'énergie étant concentrée entre 2 et 200 Hz. Cette gamme de fréquences chevauche celle utilisée par les poissons pour la communication, l’accouplement, le frai et les déplacements spatiaux », et « les câbles sous-marins à courant continu à haute tension produisent des champs magnétiques qui affectent négativement la trajectoire de dérive des larves d’aiglefin en interférant avec leurs capacités d’orientation magnétique. » L’aiglefin représente « une part importante des débarquements de poisson commercial aux États-Unis et constitue un élément important de la chaîne alimentaire marine ».

    Rien à voir ici, non ?

    Ce qui se passe au large des côtes de la Nouvelle-Angleterre est autorisé à se produire en raison d’une négligence honteuse de la part de la communauté environnementaliste américaine. Ce qui est sur le point de se produire en Californie est tout aussi grave et se déroule sans aucune opposition organisée ni critique sérieuse.

    Plus tôt cette année, le gouvernement fédéral a loué 583 miles carrés (1509 km²) d’eaux océaniques profondes au large des côtes de Californie pour des parcs éoliens offshore. Lorsque la première phase de ces développements éoliens offshore sera achevée, ces parcs éoliens fourniront 4,5 gigawatts d’électricité « propre » au réseau californien. Cela peut sembler beaucoup d’électricité. Ce n'est pas.

    RépondreSupprimer
  104. Pour commencer, même l’éolien offshore ne souffle que par intermittence. Les projections les plus optimistes quant au rendement réel de ces turbines ne dépassent jamais 50 %. Cela signifie qu’en termes de puissance de base, seuls 2,25 gigawatts proviendront de ces nouveaux parcs éoliens offshore. La consommation moyenne d'électricité de la Californie est de 32 gigawatts (dont seulement 22 gigawatts sont produits dans l'État), ce qui signifie que si ces parcs éoliens offshore sont un jour achevés, ils ne fourniront que 6 % de la demande actuelle d'électricité de la Californie – la même quantité actuellement à venir. de Diablo Canyon, la dernière centrale nucléaire en activité de Californie. Mais combien de turbines cela nécessitera-t-il et à quoi ressembleront-elles ?

    Les plus grandes éoliennes du monde peuvent désormais produire 10 mégawatts à pleine puissance. Pour produire autant d'électricité, ces machines mesurent 1 000 pieds de haut (304 m !), soit plus de trois fois plus haut que la Statue de la Liberté, depuis la ligne de flottaison jusqu'à la pointe de la torche. Pour atteindre une capacité collective à pleine puissance de 4,5 gigawatts, il faudrait en construire 450, flotter à 20 miles au large, ancrés au fond marin avec des câbles de près d'un mile de long, puis de chacun d'eux une ligne à haute tension devrait également descendre. 4 000 pieds pour atteindre le fond de l'océan, où il reposerait ensuite sur le fond marin (certaines propositions prévoient même qu'ils soient enterrés) pour transmettre l'électricité au réseau électrique terrestre. Quatre cent cinquante éoliennes flottantes, chacune d'entre elles ayant des dimensions verticales plus longues qu'un super porte-avions moderne. Il existe d’énormes obstacles techniques non résolus liés au développement de grandes éoliennes flottantes.

    Gardez à l’esprit que si la législature de l’État de Californie obtient ce qu’elle veut et que l’État passe au tout électrique – pensez à tous les radiateurs, chauffe-eau, sèche-linge, ainsi que tous les camions, bus et voitures au tout électrique – la demande d’électricité fera plus que tripler. Bien qu’hypothétique, le calcul est simple et révélateur : pour obtenir 100 gigawatts d’énergie de base à partir de l’énergie éolienne offshore, il faudrait 20 000 turbines. Et imaginez toutes les lignes de distribution haute tension et toutes les batteries pour amortir les surtensions massives de puissance intermittente.

    RépondreSupprimer
  105. Pour revenir quelque peu à la réalité, nous devons reconnaître qu’aucun des planificateurs éclairés de Californie n’a l’intention d’utiliser l’énergie éolienne offshore pour produire 100 % de l’électricité renouvelable de la Californie. Mais dans l'une des études les plus réputées produites à ce jour, un professeur de génie civil et environnemental de l'Université de Stanford, Mark Jacobson, a réalisé une série de simulations, aboutissant à un rapport publié en décembre 2021 qui appelait à ce que 20 % de l'électricité de Californie soit réduite. proviennent de l’éolien offshore. Faisant des hypothèses plus prudentes concernant la taille de chaque éolienne offshore et le rendement, il a prédit que plus de 12 000 éoliennes offshore seraient nécessaires.

    Imaginez la logistique.

    Combien de navires cela prendra-t-il ? Combien de sous-marins et de plongeurs ? Combien d’installations portuaires ? Combien de nouveaux logements pour les ouvriers du bâtiment ? Qu’en est-il des câbles électriques sous-marins ? Qu’en est-il des batteries de stockage nécessaires pour tamponner près de 20 gigawatts d’électricité allumée et éteinte ? Qu’en est-il de la maintenance continue ? Qu’en est-il des matières premières nécessaires à la construction de tous ces léviathans ? Qu’en est-il des milliards et des milliards de dollars qui iront dans les poches des intérêts particuliers derrière ce projet désastreux, payés par les contribuables et les contribuables ?

    Dans l’ensemble, l’étude de Jacobson prévoyait qu’environ un tiers de l’électricité de Californie proviendrait d’une combinaison d’éoliennes terrestres et offshore. Devons-nous réitérer ce que nous savons déjà sur les éoliennes ? Leur massacre de rapaces, de chauves-souris et d'insectes ? Leur son incessant, à basse fréquence, audible à des kilomètres à la ronde et, malgré des articles « démystifiés » qui défient le bon sens élémentaire, rend les gens et les animaux fous ? Le fléau visuel ? La quantité faramineuse de matériaux nécessaires à leur fabrication et la tâche difficile, voire impossible, de recycler les matériaux une fois qu’ils ont atteint la fin de leur durée de vie ?

    RépondreSupprimer
  106. (...) pour ne remplacer que 4 % du carburant utilisé dans les transports. (...)

    Mais... qui a t-il dans la tête des gens ??!
    Lorsque l'on vous parle de 4 % de carburant c'est dire que vous n'aurez QUE 4 POUR CENT de carburant !!

    (...) environ un tiers de l’électricité de Californie proviendrait d’une combinaison d’éoliennes terrestres et offshore. (...)

    HAHAHAHA ! 1/3 d'électricité !! PAS 100 % mais un tiers !! HAHAHAHA !

    RépondreSupprimer
  107. Carburants : diesel et fuel en rupture cet hiver ?

    Face aux problèmes d’approvisionnement et aux deux guerres en cours, l’Europe pourrait faire face à une pénurie de diesel cet hiver, alerte l’Agence internationale de l’énergie (AIE) dans son rapport mensuel sur le pétrole.


    Par Anton Kunin
    le 13 octobre 2023 à 7h43


    En France, par exemple, le prix du gazole a dépassé celui de l'essence depuis fin septembre 2023, atteignant 1,89 euro le litre contre 1,86 euro pour l'essence.

    Les origines de la tension sur le diesel

    RépondreSupprimer
  108. Concernant l’approvisionnement en carburants et leur coût, l’Europe serait dans de beaux draps… Tel est en tout cas l’avis exprimé par l’Agence internationale de l’énergie (AIE) dans son dernier rapport mensuel sur le pétrole, publié le 12 octobre 2023. Tout d’abord, l’embargo sur le pétrole russe continue de peser sur l’Europe. Cette mesure économique avait pour but de réduire les bénéfices pétroliers de Moscou. Toutefois, elle a eu des répercussions sur l'approvisionnement en diesel pour l'Europe. En effet, d'après le dernier rapport de l'Agence internationale de l'énergie (AIE), les raffineurs européens ont des difficultés à accroître leur production de diesel.

    De plus, durant la saison froide, le diesel requiert des propriétés particulières pour demeurer fluide et fonctionnel. L'AIE indique que l'Europe pourrait nécessiter des importations conséquentes en provenance d'autres pays. Cependant, les spécificités hivernales du diesel pourraient restreindre ces approvisionnements, rendant ainsi la situation encore plus complexe.

    Un impact bien réel sur les prix à la pompe

    La réduction de l'offre a des répercussions directes sur le consommateur. En France, par exemple, le prix du gazole a dépassé celui de l'essence depuis fin septembre 2023, atteignant 1,89 euro le litre contre 1,86 euro pour l'essence. Le conflit entre le Hamas et Israël, bien qu'il n'ait pas eu d'impact direct sur les flux pétroliers, a suscité des inquiétudes sur les marchés. Les traders, face à l'incertitude, ont intégré une prime de risque géopolitique accrue, ce qui a entraîné une hausse des cours du pétrole de plus de 5%. L'AIE reste toutefois vigilante, prête à intervenir pour garantir un approvisionnement suffisant des marchés.

    RépondreSupprimer
  109. Alors que l'hiver approche, l'Europe se trouve donc dans une situation délicate en matière d'approvisionnement en diesel. La combinaison de l'embargo européen, des contraintes hivernales et des tensions géopolitiques actuelles met en péril la stabilité des approvisionnements, ce qui pourrait avoir des conséquences directes sur les prix à la pompe pour les consommateurs.

    https://www.economiematin.fr/rupture-carburants-diesel-europe-france-alerte-aie

    RépondreSupprimer
  110. ENCORE 4 ARTICLES CENSURÉS ! (120 - 4 = 116)

    RépondreSupprimer