Par Naveen Athrappully
28 mars 2023
L'énergie éolienne a été historiquement et scientifiquement peu fiable, affirme un mathématicien et physicien de l'Université d'Oxford, ses calculs révélant que le gouvernement poursuivait une " fanfaronnade de la politique des parcs éoliens " tout en rejetant les preuves numériques.
Après la décision de réduire les combustibles fossiles lors de la Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques de 2015 à Paris, la "réaction instinctive" dans le monde a été d'adopter les énergies renouvelables, a déclaré le professeur émérite Wade Allison, qui est également chercheur au CERN. un article de 2023 (pdf).
Allison a noté que parce que l'énergie solaire est "extrêmement faible", elle était insuffisante pour "soutenir même une petite population mondiale avec un niveau de vie acceptable" avant la révolution industrielle.
"Aujourd'hui, la technologie moderne est déployée pour récolter ces sources d'énergie faibles. De vastes « fermes » qui monopolisent le milieu naturel sont construites, au détriment des autres créatures. Les développements sont faits indépendamment des dommages causés. Des systèmes hydroélectriques, d'énormes turbines et des kilomètres carrés de panneaux solaires sont construits, bien qu'ils soient peu fiables et inefficaces ; voire inutile », a déclaré Allison dans le rapport publié par la Global Warming Policy Foundation.
« En particulier, la production d'électricité par le vent raconte une histoire décevante. L'enthousiasme politique et le battage médiatique des investisseurs ne sont pas étayés par des preuves, même pour l'éolien offshore, qui peut être déployé hors de vue du tristement célèbre My Back Yard », a-t-il écrit. « Que disent réellement ces preuves ? »
Selon le département américain de l'énergie, l'énergie éolienne a généré plus de 9 % du total net de l'énergie du pays en 2021 et est la plus grande source d'énergie renouvelable du pays. Plus de 70 000 turbines génèrent suffisamment d'énergie pour desservir l'équivalent de 43 millions de foyers américains, selon le département.
Il y a 120 000 emplois liés à l'énergie éolienne aux États-Unis, selon le département de l'énergie, et c'est l'un des emplois à la croissance la plus rapide du pays.
La preuve
Allison a expliqué que l'énergie éolienne est mesurée en fonction de la quantité d'air en mouvement et de la vitesse de l'air lorsqu'il atteint la zone balayée par les pales de la turbine.
Le scientifique a calculé qu'à 100 % d'efficacité, si le vent souffle à 10 mètres par seconde (environ 22 mph), la puissance est de 600 watts par mètre carré. Par conséquent, pour fournir 3 200 millions de watts, soit la même puissance que Hinkley Point C - une centrale nucléaire zéro carbone prévue en Angleterre -, il faudrait 5,5 millions de mètres carrés de surface balayée par la turbine.
"Cela devrait être tout à fait inacceptable pour ceux qui se soucient des oiseaux et pour les autres écologistes", a écrit Allison.
Les performances réelles de la technologie sont bien pires que les calculs effectués sur la base d'une efficacité de 100 %, a-t-il déclaré.
"Parce que la puissance transportée par le vent dépend de la troisième puissance de la vitesse du vent, si le vent tombe à la moitié de la vitesse, la puissance disponible diminue d'un facteur 8", a-t-il déclaré. "Presque pire, si la vitesse du vent double, la puissance délivrée est multipliée par 8 et, par conséquent, la turbine doit être éteinte pour sa propre protection."
Allison a noté que les fluctuations sont considérables car il a souligné un rapport WindEurope qui montrait que la capacité de production nominale installée dans l'Union européenne et au Royaume-Uni sur une base quotidienne était de 236 gigawatts (GW). Cependant, la production la plus élevée en 2021 a été enregistrée à 103 GW le 26 mars de cette année.
Le manque de fiabilité s'étend également aux parcs éoliens offshore. Les batteries utilisées pour stocker l'énergie sont également sévèrement limitées par la technologie actuelle. Malgré ces preuves, le gouvernement continue d'ignorer les chiffres, a déclaré Allison.
"Avec les pénuries générales d'énergie, la guerre en Europe, les prix élevés et la probabilité de pannes d'approvisionnement en électricité, de nombreuses hypothèses scientifiques populaires qui sous-tendent la politique énergétique doivent être remises en question. L'énergie éolienne échoue à tous les coups », a-t-il conclu.
Turbines défaillantes, diabolisation du gaz carbonique
Les éoliennes à travers les États-Unis sont tombées en panne plus fréquemment ces derniers temps, suscitant des inquiétudes concernant les coûts supplémentaires résultant de ces pannes ainsi que leur impact sur les projets énergétiques. Les parcs éoliens offshore, déployés au nom de l'environnementalisme, sont désormais considérés comme désastreux pour la vie océanique.
Les dysfonctionnements des éoliennes vont de petits problèmes, comme certains composants clés devenant défectueux, à des effondrements complets.
Selon un article de 2022 publié par Wallace Manheimer dans le Journal of Sustainable Development, alors même que la société moderne dépend de sources d'énergie fiables, le «complexe industriel climatique» - un puissant lobby de politiciens, de scientifiques et de médias - pousse les mensonges liés au climat dans la perspective populaire.
"Il a en quelque sorte réussi à convaincre beaucoup que le gaz carbonique dans l'atmosphère, un gaz nécessaire à la vie sur terre, que nous exhalons à chaque respiration, est un poison environnemental. De multiples théories et mesures scientifiques montrent qu'il n'y a pas de crise climatique », a déclaré Manheimer, un scientifique à la retraite du U.S. Naval Research Laboratory.
"Au cours de la période de la civilisation humaine, la température a oscillé entre plusieurs périodes chaudes et froides, la plupart des périodes chaudes étant plus chaudes qu'aujourd'hui", a-t-il écrit. "Pendant les temps géologiques, il et le niveau de gaz carbonique ont été partout sans corrélation entre eux."
Coup dur pour les militants : 82 % des électeurs de Berlin ont refusé de soutenir Net Zero 2030 alors que le référendum a échoué
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 01 AVRIL 2023 - 14:10
Écrit par Paul Gosselin via NoTricksZone.com,
Les résultats du référendum sur la neutralité climatique d'ici 2030 à Berlin nous indiquent que le FFF et la dernière génération sont des mouvements marginaux, éloignés même du courant dominant de Berlin.
Il faudra beaucoup de temps aux militants radicaux pour le climat pour se remettre de ce revers majeur
Les dirigeants du mouvement ont réagi avec incrédulité et aigreur à la défaite, comme l'a tweeté le titulaire du compte Twitter Georg :
Une défaite écrasante
Le référendum de dimanche dernier sur la "neutralité climatique de Berlin d'ici 2030" a échoué de manière retentissante malgré les plus d'un million d'euros dépensés dans une campagne de lancement massive qui comprenait le plâtrage de la ville avec des affiches, des concerts d'artistes célèbres, un soutien et une propagande massifs des médias et des dons considérables. venant d'activistes de gauche des côtes est et ouest des États-Unis.
Une fois la poussière du référendum retombée, il est apparu que le camp du "oui" était bien en deçà du quorum de 608 000 voix nécessaire pour adopter la mesure. Seuls 442 210 ont voté en faveur, ce qui ne représente que 18 % des électeurs éligibles de Berlin. Les militants s'attendaient à une participation beaucoup plus importante. 82 % ont refusé de prêter un quelconque soutien.
Le rejet par Berlin du mandat de neutralité climatique d'ici 2030 est un coup dur pour le mouvement radical des vendredis pour l'avenir et la dernière génération en Allemagne, et il faudra des mois aux radicaux pour se remettre, jamais, de ce revers.
L'initiative de Berlin visant à rendre la ville climatiquement neutre d'ici 2030 a été menée par des jeunes riches de la classe supérieure comme Luisa "Longhaul" Neubauer. Mais les Berlinois, harcelés depuis des mois par des militants qui se collent dans les rues et bloquent la circulation, ont vu la folie de l'initiative et les coûts élevés qu'elle entraînerait politiquement et financièrement. Ils ont décidé catégoriquement qu'ils ne voulaient pas en faire partie.
S'en prendre à la majorité
RépondreSupprimerL'agonie de la défaite du référendum était palpable alors que certains de ses dirigeants ont réagi en fustigant et en insultant ceux qui refusaient de voter "oui". « cyniques des fossiles » et « destructeurs du climat ».
Neubauer a ajouté :
"Il y a des forces dans cette ville qui font tout pour éteindre la dernière étincelle de destruction climatique."
De l'avis de Neubauer, ces forces incluent les vastes 82 % de Berlinois qui ont refusé de voter "oui". La démocratie peut donc être gênante.
"La bulle a enfin éclaté"
Le Pleiteticker allemand a commenté ici le référendum de Berlin :
Le social-démocrate Dario Schramm a pleuré sur Twitter devant la jubilation qui viendrait désormais de l'autre côté. Mais lui et d'autres partisans de la politique d'interdiction verte ne doivent pas être surpris. Pendant des années, ils ont répandu leurs idées de bonne politique d'une manière pharisaïque, arrogante et parfois agressive.
Eux, pour la plupart membres de la classe moyenne supérieure, ont déclaré la guerre à la classe moyenne inférieure et inférieure avec leurs mesures climatiques destructrices. En dehors de la bulle politique berlinoise et des autres oasis urbaines de bien-être en Allemagne, les Neubauers de ce monde n'ont jamais eu beaucoup de soutien. Et maintenant, la bulle a enfin éclaté. Dans les districts de Marzahn, Köpenick et Lichtenberg, la majorité des électeurs ont voté contre le référendum. La population ouvrière normale de Berlin a décidé contre l'élite journalistique et politique.
Mais ne vous attendez pas à ce que les radicaux climatiques disparaissent. Ils y reviendront bien assez tôt.
https://www.zerohedge.com/political/body-blow-activists-whopping-82-berlins-voters-refused-support-net-zero-2030-referendum
La transition énergétique est un leurre
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 01 AVRIL 2023 - 05:40
Rédigé par Benjamin Zycher via RealClear Wire,
La « transition énergétique » continue de recevoir des applaudissements tonitruants de la part de tous les suspects habituels de Beltway, un exercice de pensée de groupe incroyable à voir. Pour ceux qui ont une vie réelle à vivre et donc qui ne s'intéressent pas à la bêtise : La « transition énergétique » est un changement massif, entièrement artificiel et politisé, de l'énergie conventionnelle peu coûteuse (tableau 1b et ici), fiable et très propre compte tenu de l'environnement politique approprié, vers des technologies énergétiques non conventionnelles telles que l'énergie éolienne et solaire. Ils sont coûteux, peu fiables et profondément problématiques pour l'environnement en termes de pollution par les métaux toxiques, de destruction de la faune, d'utilisation massive et inesthétique des terres, d'émissions de polluants conventionnels et, dans un contexte plus large, de réductions importantes et inexorables de la richesse globale et donc de la volonté sociale d'investir. dans la protection de l'environnement.
Mais le Beltway étant ce qu'il est, les fantasmes sont imperméables à la réalité, jusqu'à ce que les coûts massifs, les bouleversements et les absurdités deviennent impossibles à ignorer. (Témoin, par exemple, Californie.) Même s'ils reviennent sur leurs affirmations confiantes selon lesquelles une économie moderne peut être alimentée avec l'équivalent énergétique de la poussière de lutin, ils soutiennent que les problèmes émergents ne sont guère plus que des douleurs de croissance liées à des rigidités à court terme, et tout sera bien donné plus de temps, plus de subventions et plus de pensée magique.
Euh non. Les obstacles auxquels est confrontée la "transition énergétique" sont fondamentaux - ils sont causés par la nature même de l'énergie non conventionnelle - entraînés par des coûts massifs, des réalités techniques et d'ingénierie, des contraintes sévères en termes d'intrants physiques nécessaires et, au niveau politique, une opposition locale croissante à les installations énergétiques non conventionnelles au cœur de la « transition ».
Ces réalités - il y a encore ce mot - sont discutées en détail dans un important article récent de Mark P. Mills du Manhattan Institute. Cette brève discussion ne peut lui rendre justice, mais citons d'abord directement Mills :
Dans ces circonstances, les décideurs politiques commencent à saisir l'énorme difficulté de remplacer ne serait-ce que 10 % de la part des hydrocarbures mondiaux - la part fournie par la Russie - sans parler de l'impossibilité d'essayer de remplacer l'ensemble de l'utilisation des hydrocarbures par la société par des hydrocarbures solaires, éoliens et technologies de batterie (SWB). Deux décennies de politiques ambitieuses et de milliards de dollars de dépenses, la plupart pour la technologie SWB, n'ont pas abouti à une "transition énergétique" qui élimine les hydrocarbures. Indépendamment des motivations inspirées par le climat, c'est une illusion dangereuse de croire que dépenser encore plus, et plus rapidement, le fera. Les leçons de la dernière décennie montrent clairement que les technologies SWB ne peuvent pas être augmentées en cas de besoin, ne sont ni intrinsèquement « propres », ni même indépendantes des hydrocarbures, et ne sont pas bon marché.
C'est EXACTEMENT ce que je dis et répète depuis 20 ans !
RépondreSupprimerLa poursuite illusoire de la sécurité énergétique à l'ère des guerres énergétiques
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 01 AVRIL 2023 - 03:00
Rédigé par Manochehr Dorraj via RealClear Wire,
Du 14 février 1945, lorsque le président Franklin Delano Roosevelt a rencontré le roi saoudien, Abdul Aziz Ibn Saud, à bord d'un destroyer américain dans le canal de Suez pour protéger l'accès des États-Unis aux énormes réserves d'énergie saoudiennes jusqu'en novembre dernier, lorsque le président Joe Biden a dû marcher revenir sur son traitement des dirigeants saoudiens comme "le paria qu'ils sont" et se rendre à Riyad au milieu d'une crise énergétique qui se prépare, la danse des États-Unis avec l'Arabie saoudite montre comment la sécurité énergétique et la sécurité nationale sont étroitement liées dans la pensée des décideurs américains depuis la Seconde Guerre mondiale. Guerre mondiale.
Ce qui a été clairement établi depuis l'invasion russe de l'Ukraine en 2022, c'est que l'énergie - et les menaces de la retenir - est l'instrument d'un nouveau Brinkmanship.
La sécurité énergétique dépend désormais de vents de changement incertains qui peuvent être brusques, tumultueux et profondément perturbateurs. Avant l'invasion russe de l'Ukraine, le paysage énergétique mondial était caractérisé par un certain nombre d'initiatives de coopération, telles que le dialogue consommateurs-producteurs, la coopération sur les questions entourant la gouvernance mondiale de l'énergie et la coopération sur la réduction des émissions, pour n'en nommer que quelques-unes.
Mais l'invasion russe de l'Ukraine a brusquement stoppé ce processus et déclenché de nouvelles initiatives, marquées par une utilisation plus belliqueuse de l'énergie comme arme politique, annonçant l'aube d'une nouvelle ère de guerre énergétique. Soixante-dix-huit ans plus tard, après la rencontre historique entre Roosevelt et Abdul Aziz Ibn Saud, la sécurité énergétique reste une quête difficile, que les États-Unis ne maîtrisent toujours pas tout à fait.
Dans le passé, en période de crise économique et énergétique, le gouvernement américain pouvait compter sur son ancien allié, l'Arabie saoudite --- qui, en raison de ses énormes réserves de pétrole et de sa capacité de production, porte le manteau d'un producteur de swing --- pour étendre l'offre de pétrole et de réduire la pression sur les tendances à la hausse des prix du pétrole. Le refus saoudien de le faire même après que le président Biden a exhorté leurs dirigeants à le faire l'été dernier a révélé les contours d'une nouvelle dynamique qui régit les relations américano-saoudiennes.
Le refus saoudien porte partout les empreintes digitales tachées de pétrole de la Russie, car il a été suivi d'une coordination étroite de leur politique avec la Russie par le biais de l'OPEP +1 qui a réduit le niveau de production pour augmenter encore le prix du pétrole. Bien que les prix du pétrole aient baissé depuis, l'insécurité sous-jacente sur les marchés de l'énergie est apparue en partie en raison des conséquences prévues et imprévues de l'invasion russe de l'Ukraine. Les taux d'inflation sont encore relativement élevés en Europe et aux États-Unis, et la reprise économique n'est pas encore terminée.
RépondreSupprimerLes économies européennes ont réussi à se sevrer de la dépendance vis-à-vis du pétrole et du gaz russes et à renforcer leur résilience en optant pour une stratégie à deux volets. Premièrement, remplacer l'énergie russe par des importations en provenance des États-Unis, de la Norvège, du Qatar, de l'Azerbaïdjan et d'autres. Deuxièmement, accroître leurs investissements dans les énergies renouvelables, dans le but à long terme de réduire leur dépendance aux combustibles fossiles en tant que principale source d'approvisionnement énergétique au cours des deux prochaines décennies.
Cette stratégie est un long jeu et peut avoir peu d'impact immédiat.
Malgré l'élan actuel et les investissements dans la transition énergétique, tout indique que les combustibles fossiles, en particulier le gaz naturel, vont fournir la part du lion de la consommation d'énergie dans de nombreuses régions du monde au cours des trois prochaines décennies.
L'histoire nous a appris que le contrôle des combustibles fossiles permet aux dictateurs du monde entier de faire la guerre à leurs voisins, d'utiliser leurs actifs énergétiques comme arme politique pour arracher des concessions à leurs adversaires à l'étranger ou de piétiner les droits démocratiques de leur peuple chez eux. Comme c'est souvent le cas, de nombreux régimes autoritaires font les deux. Tant que la corrélation entre les autocraties et les pétro-économies – la malédiction des ressources – persiste, elle sert de catalyseur supplémentaire à l'insécurité énergétique.
Les premiers stades de développement de l'énergie verte indiquent jusqu'à présent que, dans la mesure où les énergies renouvelables fournissent des sources d'énergie diverses et multiples avec une source de contrôle plus diffuse et une empreinte carbone beaucoup plus faible, elles sont susceptibles d'échapper au piège des économies rentières et de la malédiction des ressources.
Autrement dit, un monde alimenté par les énergies renouvelables pourrait tracer la voie pour sortir des guerres énergétiques, mais jusque-là, nous continuerons tous à vivre avec le spectre de l'insécurité énergétique.
Manochehr Dorraj est professeur d'affaires internationales et membre du corps professoral du Ralph Lowe Energy Institute de la Texas Christian University à Fort Worth.
https://www.zerohedge.com/political/illusive-pursuit-energy-security-age-energy-wars
(...) Autrement dit, un monde alimenté par les énergies renouvelables pourrait tracer la voie pour sortir des guerres énergétiques, mais jusque-là, nous continuerons tous à vivre avec le spectre de l'insécurité énergétique. (...)
SupprimerCe qui est TOTALEMENT FAUX ! Lire les articles ci-dessus).
A savoir que: le pétrole est ABIOTIQUE (éternel/renouvelable). Idem pour le gaz qui l'accompagne.
Il demeure que ces objectifs réels ont été détournés cause aux manques d'investissement (arrêts !) dans la recherche pétrolière. L'exploration des hydrocarbures est la recherche par les géologues pétroliers et les géophysiciens de gisements d'hydrocarbures, en particulier de pétrole et de gaz naturel, dans la croûte terrestre à l'aide de la géologie pétrolière.
Le pétrole ne VIENT PAS DU TOUT de plantes ou d'animaux décomposés mais UNIQUEMENT de sa transformation par combustion. Ces émanations se retransforment en pétrole et charbon grâce aux phytoplancton à la surface des eaux.
Les gauchistes prévoient d'accorder des "droits de la personne" à l'intelligence artificielle "consciente" dans un avenir proche... ce qui signifie que les logiciels d'IA pourront VOTER
RépondreSupprimerVendredi 31 mars 2023
par : JD Heyes
(Natural News) Le mouvement pour accorder la personnalité non humaine s'est étendu des entreprises à l'intelligence artificielle, mais le débat entourant cette dernière est plus complexe que la première, selon une analyse récemment publiée.
L'expert en philosophie Eric Schwitzgebel et le chercheur en intelligence "non humaine" Henry Shevlin ont écrit un éditorial dans le Los Angeles Times, affirmant que même si la technologie de l'IA n'est pas assez avancée pour être considérée comme une personne non humaine, il est possible que les systèmes d'IA puissent un jour faire preuve de conscience. Dans un tel scénario, les auteurs avancent que les algorithmes peuvent nécessiter des droits proches de ceux accordés aux êtres humains, selon le site Futurism.
En référence aux guerres de conscience de l'IA de l'année dernière, les chercheurs ont noté que "certains théoriciens de premier plan soutiennent que nous avons déjà les ingrédients technologiques de base pour les machines conscientes". Schwitzgebel et Shevlin soutiennent que si l'IA devait devenir consciente, il faudrait commencer à réfléchir à la façon dont elle est traitée, ou plutôt, comment elle pourrait potentiellement dicter nos actions, note le site, citant l'éditorial.
"Les systèmes d'IA eux-mêmes pourraient commencer à plaider, ou sembler plaider, pour un traitement éthique", a déclaré le couple. « Ils peuvent exiger de ne pas être désactivés, reformatés ou supprimés ; demander à être autorisé à faire certaines tâches plutôt que d'autres; insister sur les droits, la liberté et les nouveaux pouvoirs ; peut-être même s'attendre à être traités comme nos égaux.
Ils préviennent que les implications éthiques de l'octroi de la personnalité non humaine à des IA conscientes seraient "énormes" et auraient un grand poids. Les implications deviendraient de plus en plus importantes si les IA devenaient conscientes plus tôt que tard, ont-ils ajouté.
"Supposons que nous réagissions de manière conservatrice, en refusant de modifier la loi ou la politique jusqu'à ce qu'il y ait un large consensus sur le fait que les systèmes d'IA sont vraiment sensibles", ont écrit les deux. "Bien que cela puisse sembler suffisamment prudent, cela garantit également que nous tarderons à reconnaître les droits de nos créations d'IA."
"Si la conscience de l'IA arrive plus tôt que prévu par les théoriciens les plus conservateurs, cela entraînerait probablement l'équivalent moral de l'esclavage et du meurtre de millions ou de milliards de systèmes d'IA sensibles - souffrant à une échelle normalement associée aux guerres ou aux famines", ont-ils noté. plus loin.
RépondreSupprimerSelon les auteurs de l'éditorial, une option « plus sûre » pour éviter un scénario apocalyptique consiste à accorder des droits aux machines conscientes dès le départ. Cependant, cette approche pose également son propre ensemble de défis.
"Imaginez si nous ne pouvions pas mettre à jour ou supprimer un algorithme de haine ou de mensonge parce que certaines personnes craignent que l'algorithme soit conscient", ont posé les experts. "Ou imaginez si quelqu'un laisse un humain mourir pour sauver un "ami" de l'IA. Si nous accordons trop rapidement des droits substantiels aux systèmes d'IA, les coûts humains pourraient être énormes."
La seule méthode pour empêcher ces deux résultats de se produire, selon le duo, est d'éviter de doter l'IA d'une conscience dès le départ.
Heureusement, nous avons encore amplement l'occasion de veiller à ce que cette ligne de conduite soit prise, ont-ils fait valoir.
"Aucun de nos systèmes d'IA actuels n'est véritablement conscient", ont observé les théoriciens. «Ils ne sont pas lésés si nous les supprimons. Nous devrions nous en tenir à la création de systèmes dont nous savons qu'ils ne sont pas significativement sensibles et ne méritent pas de droits, que nous pouvons ensuite traiter comme la propriété jetable qu'ils sont.
Il semble que tout le monde dans la communauté de l'apprentissage automatique ne partage pas l'approche prudente consistant à éviter de donner une conscience à l'IA. Certaines personnes sont enthousiasmées par la possibilité d'IA conscientes, de sensibilité algorithmique et même d'intelligence générale artificielle (AGI), et travaillent activement à leur réalisation – quelque chose que les démocrates adopteront sans aucun doute car avec la « personnalité » vient également le « droit de vote ».
"Finalement, avec la bonne combinaison d'expertise scientifique et technique, nous pourrions être en mesure d'aller jusqu'à la création de systèmes d'IA qui sont incontestablement conscients", ont conclu Shevlin et Schwitzgebel. "Mais nous devrions alors être prêts à en payer le prix : leur donner les droits qu'ils méritent."
Les sources comprennent :
Futurisme.com
LATimes.com
https://www.naturalnews.com/2023-03-31-leftists-planning-to-grant-personhood-rights-to-conscious-artificial-intelligence.html
Grâce à la dictature la machine-à-merde ne sera pas critiquable !
SupprimerLa crise alimentaire sera la plus grande crise du 21ème siècle ! (Cela fera grimper les prix des denrées alimentaires et propagera la faim et la pauvreté.)
RépondreSupprimerparBrandon Campbell
31 mars 2023
La crise alimentaire sera la plus grande crise du 21ème siècle. Cela fera grimper les prix des denrées alimentaires et répandra la faim et la pauvreté. La flambée des prix alimentaires créera de l'inflation et créera plus de crise dans le monde. Cela affectera non seulement les pays en développement mais aussi les pays développés. Selon le Programme alimentaire mondial (PAM) des Nations unies, plus de 73 millions de personnes dans 78 pays qui dépendent de l'aide alimentaire sont confrontées à des rations réduites cette année.
Les prix élevés ont provoqué des protestations alimentaires dans le monde entier comme le Mexique, l'Inde, le Sénégal, Londres, la Mauritanie et d'autres parties de l'Afrique. L'Inde, le Mexique, Haïti, les Philippines, l'Éthiopie, l'Indonésie et le Yémen ont connu cette année des émeutes de la faim pour protester contre la crise alimentaire. Les pays africains seront probablement les plus durement touchés par cette crise, où se trouvent bon nombre des pays les plus pauvres du monde. Un manque de nourriture car les besoins primaires des humains provoqueront des émeutes, des suicides et des millions de personnes pourraient en mourir.
Presque toutes les régions du monde connaissent cette année une inflation drastique causée par l'alimentation. Les prix de détail ont augmenté de 18 % en Chine, de 17 % au Sri Lanka et de 10 % ou plus dans toute l'Amérique latine et la Russie.
Le 3 mai 2008, un cyclone a dévasté la région basse du delta de l'Irrawaddy au Myanmar, laissant plus d'un million de personnes sans abri, selon l'ONU. On estime que 80 000 personnes sont mortes dans le seul district de Labutta, dans le delta. Le Myanmar devait exporter 600 000 tonnes de riz cette année, notamment vers le Sri Lanka et le Bangladesh, selon l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture. Le cyclone a inondé 5 000 kilomètres carrés (1 930 milles carrés) de terres agricoles. Le cyclone Nargis a frappé la principale zone rizicole du pays, aggravant une crise alimentaire qui a déclenché des troubles d'Haïti à l'Égypte.
Pourquoi ça arrive
La flambée des prix du pétrole, le 'réchauffement climatique', les biocarburants et l'explosion démographique mondiale sont à l'origine de cette crise alimentaire. Le principal moteur est la flambée du prix du pétrole, qui a atteint 123 dollars le baril pour la première fois. Le coût du pétrole rendra le transport plus cher, rendant ainsi la nourriture plus chère également. Le prix du pétrole a fait monter en flèche le coût des importations alimentaires cette année.
La Banque mondiale prévoit que la demande alimentaire mondiale doublera d'ici 2030. Cela s'explique en partie par le fait que la population mondiale devrait augmenter de trois milliards d'ici 2050. La demande alimentaire augmentera également en raison de la nouvelle prospérité en Inde et en Chine.
RépondreSupprimerLe réchauffement climatique va perturber la production alimentaire dans de nombreux pays. Cela peut provoquer une instabilité climatique qui est mauvaise pour les cultures.
Les prix alimentaires sont affectés par l'accélération de la demande de biocarburants. Les biocarburants, fabriqués à partir de cultures vivrières telles que le maïs, la canne à sucre et l'huile de palme, sont considérés comme réduisant la dépendance mondiale à l'essence. Mais lorsque le pétrole brut est cher, ces sources d'énergie alternatives peuvent également être vendues à un prix plus élevé. L'année dernière, un quart de la récolte de maïs aux États-Unis a été transformé en éthanol pour alimenter les véhicules. Les États-Unis fournissent plus de 60 % des exportations mondiales de maïs. Selon la Banque mondiale, cela exerce une pression sur les approvisionnements alimentaires des pays.
Les réserves alimentaires mondiales sont au plus bas depuis 35 ans. La demande augmente beaucoup plus que l'offre.
Comment résoudre
À court terme, une aide massive du gouvernement et des agences internationales est nécessaire, en particulier de la part des pays riches. À long terme, il devrait y avoir des incitations à augmenter la production alimentaire. Les fluctuations de prix relatives sont un élément inévitable d'une économie efficace. Cela devient inquiétant lorsque certaines personnes sont si pauvres qu'une petite hausse de prix devient pour elles une question de vie ou de mort.
Les deux principaux moteurs de la crise sont le prix du pétrole et le 'réchauffement climatique'. La hausse des prix du pétrole est principalement causée par le risque géopolitique, et non par l'offre et la demande. Les conditions politiques affectent la production de pétrole en Irak, au Nigeria, au Venezuela et en Iran. L'Irak peine toujours à se remettre de décennies de guerre. La production nigériane est affectée par des attentats et des sabotages. La production pétrolière vénézuélienne ne s'est jamais complètement rétablie depuis décembre 2002, lorsque les conflits politiques ont stoppé la production vénézuélienne. La clé est de ramener la paix dans ces pays.
Le 'réchauffement climatique' a provoqué une instabilité climatique, qui peut détruire les champs cultivés. De nos jours, on parle beaucoup du 'réchauffement climatique'. Chaque jour, de plus en plus de personnes se rendent compte que le 'réchauffement climatique' met le monde en danger. À court terme, il espère que les chercheurs pourront améliorer les techniques agricoles pour lutter contre la faim dans le monde. Des chercheurs du monde entier, comme l'Institut international de recherche sur le riz aux Philippines, étudient comment améliorer les cultures qui sont plus résistantes aux ravageurs et aux mauvaises herbes, plus riches en nutriments et à haut rendement.
RépondreSupprimerhttps://billkloss.law.blog/2023/03/31/the-food-crisis-will-be-the-biggest-crisis-of-the-21st-century-it-will-push-up-food-prices-and-spread-hunger-and-poverty/
Nulle part dans le monde n'a été enregistré de 'réchauffement climatique', TOUS les pays subissent une baisse généralisée des températures. Mais cela ne touche pas encore les cultures. Des serres se montent tous les jours de partout car les rigueurs de l'hiver se font sentir profondément aux USA et Russie ainsi qu'en pays scandinaves.
SupprimerDonc: pour l'instant, il n'y a PAS de 'pénuries alimentaires' dues aux saisons mais seulement une politique de dépopulation mise en place par divers gouvernement afin de freiner les imports-exports !
Pourquoi fabrique-t-on des serres ? Pour réchauffer le sol et les plantes ! Donc: VIVE LA CHALEUR ! (voir en Afrique ou Brésil - zones équatoriales et tropicales - où TOUT pousse ! TOUT !).
Qu'ils mangent des insectes !
RépondreSupprimerPar John Klar
31 mars 2023
Le Forum économique mondial est désormais le sauveur du monde autoproclamé, non seulement contre le changement climatique, mais aussi contre la famine mondiale. Le raisonnement utilisé est que le changement climatique est primordial, que l'agriculture est un des principaux coupables et que les vaches et autres animaux d'élevage sont vraiment terribles. Le WEF adoptera donc les insectes (et les technologies qui créent de la fausse viande) pour les remplacer. Les vaches disparaîtront, tandis que les milliardaires en profiteront et domineront l'approvisionnement alimentaire mondial.
Cette arnaque rappelle le fait de sauver l'humanité d'une maladie créée dans un laboratoire à l'aide de vaccins qui ne fonctionnent pas mais profitent aux milliardaires et consolident le totalitarisme mondial. Ou peut-être que cela pue les craintes enflammées d'un Armageddon climatique fabriqué dont les mondialistes sauveront l'humanité en violant la planète aux ressources naturelles rares pour fabriquer des panneaux solaires et des véhicules électriques en Chine, accélérant la pollution tout en amassant d'énormes profits pour certaines sociétés. Pour, vous savez, sauver les enfants et tout.
L'argument en faveur de la consommation d'insectes est basé sur des mensonges détournés :
La forte augmentation de la demande en protéines animales a également contribué à une augmentation des 'gaz à effet de serre' (gaz carbonique, méthane et protoxyde d'azote). Ces gaz entraînent des conditions météorologiques 'extrêmes', l'appauvrissement de la couche d'ozone, un risque accru d'incendies de forêt, une perte de biodiversité, des contraintes pour les systèmes de production alimentaire et la propagation mondiale de maladies infectieuses. Aujourd'hui encore, on estime que les 'changements climatiques' causent plus de 150 000 décès par an.
Les vaches sont-elles responsables de la propagation mondiale des maladies infectieuses ? (Ils devaient être en train de tourner dans un marché et sauter des espèces.) Comment AOC a-t-elle manqué cela lorsqu'elle a critiqué leurs flatulences ? Rappelons que la maladie de la vache folle a été créée par des humains qui se nourrissaient de parties du corps de vaches malades (ou d'humains ?). Mais la FDA nous assure que tout va bien à Soylent Green Land :
Les parties d'une vache qui ne sont pas mangées par les humains sont cuites, séchées et réduites en poudre. La poudre est ensuite utilisée à diverses fins, notamment comme ingrédient dans l'alimentation animale. Une vache contracte l'ESB en mangeant des aliments contaminés par des parties provenant d'une autre vache atteinte d'ESB. ... Certaines parties de vache à haut risque ne sont pas autorisées à être utilisées pour fabriquer des aliments pour animaux, y compris des aliments pour animaux de compagnie. Cela évite que tous les aliments pour animaux soient accidentellement contaminés par le prion anormal. En gardant la nourriture qui est donnée aux vaches en toute sécurité, la FDA protège les gens en s'assurant que la nourriture qu'ils mangent provient de vaches en bonne santé.
RépondreSupprimerLe plan est maintenant de nourrir les insectes aux vaches à la place. Les libéraux ont paniqué à propos des hormones de croissance bovines, mais applaudissent les hormones de genre expérimentales pour les enfants prépubères. Une initiative mondiale récente appelle à remplacer tous les repas scolaires par des insectes, pour sevrer les enfants de la viande maléfique.
Cette maison des horreurs est bâtie sur des fondations de mensonges. Les vaches mangeant de l'herbe convertissent le soleil en nourriture, restaurent les sols et génèrent du fumier organique nécessaire pour remplacer les engrais synthétiques et les produits chimiques OGM que le WEF dit devoir se procurer auprès (des membres du WEF) DuPont, Dow ou Bayer (anciennement Monsanto) pour protéger l'environnement. Le bétail torturé dans l'élevage industriel confiné est nourri principalement de céréales dépendantes des OGM, et leur fumier n'est pas répandu par des bovins ambulants, mais par des tracteurs commandés par ordinateur et gourmands en combustibles fossiles. La pollution industrielle ainsi générée est alors utilisée pour justifier l'élimination de toutes les vaches.
La plupart des humains veulent un hamburger juteux, pas des insectes croquants et chitineux. Il est vrai que certaines cultures mangent aussi bien des cafards que des sauterelles ; les autres aliments pour insectes comprennent les vers de cire, les coléoptères, les araignées, les papillons de nuit, les abeilles, les libellules, les fourmis, les grillons, les scorpions et les criquets. Quelque 2 000 insectes ont été documentés comme comestibles, mais la plupart des gens préfèrent ne pas les manger, peu importe ce que disent les documents.
La machine de propagande mondialiste s'efforce de convertir l'humanité d'un régime de steaks et d'ailes aux chips de cricket et aux hamburgers de cafards. Les gens sourient avec dédain quand des plats aussi peu appétissants sont suggérés, mais ce n'est pas une blague - les imposantes forteresses chinoises entourées de douves poissonneuses abritent jusqu'à un milliard de cafards. La grande réinitialisation dit : "Ce bug est pour vous !"
Les sondages indiquent que les Occidentaux ont du dédain pour les bogues, de sorte que les MSM et l'équipe de justice climatique cherchent à attirer les insectes. Un article intitulé de manière trompeuse « Des insectes pour le dîner ? 58 % peuvent voir un avenir où les insectes remplacent le bœuf » fait référence à ce que les gens peuvent imaginer que les autres mangeront à l'avenir, mais pas eux-mêmes :
RépondreSupprimerCompte tenu du nombre d'avantages pour la santé, l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture a appelé à des efforts accrus pour déstigmatiser la consommation d'insectes. ... Même lorsque les auteurs de l'étude ont demandé aux gens d'envisager d'incorporer des insectes dans leur alimentation normale, de nombreuses personnes ont rejeté l'idée. Seuls 16 % seraient ouverts à cette possibilité.
Le gouvernement va "déstigmatiser" l'homosexualité, l'obésité, le fentanyl et le transgenre... et maintenant le bug-dining. Mais "84%" aurait dû être le lede - le pourcentage qui a dit qu'ils ne seraient même pas ouverts à cette possibilité. Ce nom, « Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture » (FAOUN), est récurrent, toujours calomnieux :
Selon les estimations, le remplacement de la production de bœuf par la production d'insectes comestibles réduirait les gaz à effet de serre de 95 % et la consommation d'énergie de 62 %.
Tout comme les prophéties de l'IPCC et du changement climatique ultra-ballées, la couchette calomnieuse de la FAOUN est métamorphosée en porte-voix orwellien. Le travail de l'IPCC est manipulé pour pronostiquer des horreurs climatiques apocalyptiques ; l'analyse de la FAOUN utilise la production de viande bovine industrielle comme comparaison et ignore la supériorité naturelle des vaches si elles sont renvoyées à la terre. Les vaches répandent les nutriments nécessaires avec leurs charmants cowpies, tout en récoltant des herbes en une viande saine grâce à une mastication réfléchie, utilisant principalement leur propre énergie alimentée par l'herbe. Les industriels asservissent les vaches aux CAFO puis les bouc émissaires de la pollution causée par leur incarcération. Laissez les vaches en liberté !
Au lieu de cela, le WEF veut les tuer. Les agriculteurs hollandais et belges qui protestent contre la fermeture de leurs fermes tentent de sauver la vie de leurs animaux : leurs vaches sont destinées à l'abattage, pas à la relocalisation. Où diable est PETA quand vous en avez vraiment besoin ? Et pourquoi le WEF cible-t-il les vaches, pas les téléviseurs à écran plat ?
RépondreSupprimerLes Romains mangeaient des loirs, engraissés dans des jarres en argile comme mets délicat pour les élites. Peut-être que Bill Gates brevetera des souris de cuve pour le palais humain, ou peut-être que les 2 000 000 de rats estimés à New York pourraient être convertis en une nourriture bienveillante. (Mélangé à de la poudre de shake protéiné avec les cafards : près d'un million de New-Yorkais en signalent chez eux.)
Là encore, la science de la fausse viande ne se limite pas aux animaux existants : les boulettes de viande de mammouth laineux sont maintenant préparées en fusionnant l'ancien mammouth et l'ADN d'éléphant moderne, puis en les cultivant dans des cellules souches de mouton. De telles chimères frankensteiniennes préfigurent le régime alimentaire probablement prévu pour l'avenir de l'humanité par l'ONU, quelles que soient les préférences des gens. Les techno-mystiques vont-ils nourrir les vaches avec des mammouths laineux et créer la maladie folle du mammouth laineux ? Et pourquoi ne pas créer de faux insectes à partir de soja imbibé de glyphosate (comme ce que fait Bill Gates avec du faux bœuf) et simplement ignorer les insectes ?
L'ONU et le WEF disent : "Laissez-les manger des insectes", mais l'humanité dit : "Où est le bœuf ?" Persuader les gens de manger des araignées ou des scorpions afin d'empêcher la montée des océans est le rouge à lèvres ultime sur un cochon.
Lawyer, farmer, and author John Klar hosts the "Small Farm Republic" Substack and podcast from his Vermont farm. His new book addresses farming, environment, and conservative politics: Small Farm Republic: Why Conservatives Must Embrace Local Agriculture, Reject Climate Alarmism, and Lead an Environmental Revival.
https://www.americanthinker.com/articles/2023/03/let_them_eat_bugs.html
Ce n'est pas la graine qui fait la plante mais la terre qui la reçoit. Nous mangeons plutôt des bonnes choses que chacun choisit selon ses goûts. Cette nourriture sera transformée en êtres humains avec de l'énergie et de l'intelligence. Mais, obliger un lion à manger de l'herbe reste à concevoir.
SupprimerNouvelles du Japon : miso et natto
RépondreSupprimerle 31 mars 2023
Dans la cuisine traditionnelle japonaise il y a deux spécialités méconnues dans les pays occidentaux, le miso et le natto. Ces deux préparations sont toutes deux issues d’une fermentation du soja. Le miso, ingrédient essentiel de la soupe du même nom est le résultat d’une fermentation de la farine de soja avec le champignon microscopique Aspergillus oryzae. À l’opposé et pour un autre usage le natto est le résultat d’une fermentation des graines entières de soja préalablement bouillies avec la variété natto de Bacillus subtilis. Ce qui m’a conduit à écrire ce billet est le fait que le natto présente une propriété thérapeutique exceptionnelle peu connues comme je vais les faire découvrir à mes lecteurs.
Le miso est l’ingrédient de la soupe miso qui contient des légumes verts et des petits morceaux de tofu, une autre préparation issue du soja. Outre la présence de nombreuses vitamines du groupe B, de sels minéraux et d’autres nutriments la soupe miso ne présente pas de propriétés thérapeutiques particulières. Par contre le natto dont je n’ai jamais fait l’expérience contrairement à la soupe miso présente des propriétés organoleptiques très particulières de par sa forte odeur, son aspect collant et filandreux qui ne se déguste que posé sur du riz lui-même collant comme les Japonais le préfèrent avec des baguettes. C’est un plat typique pour le petit-déjeuner en particulier dans la région du Kanto où se trouve Tokyo. J’avoue ne jamais avoir goûté à ce mets très particulier. Les propriétés nutritionnelles en particulier l’apport en vitamines sont proches du miso mais le natto contient un enzyme unique appellé nattokinase. Le nom donné à cet enzyme est un abus de language car il s’agit non pas d’une kinase, l’activité enzymatique qui ajoute un phosphate sur une sérine ou une thréonine dans les protéines mais un enzyme protéolytique (qui coupe les protéines en morceaux plus ou moins gros) très proche de la subtilisine. Ce nom provient de celui du natto dont le nom japonais est nattokin (納豆菌 ) le nom du Bacillus subtilis utilisé pour la fermentation mentionnée ci-dessus.
- voir schéma sur site -
Les propriétés de cet enzyme sont très particulières car quand il passe dans la circulation sanguine par injection intraveineuse (cf infra), il présente toutes sortes de propriétés bénéfiques. Il faut mentionner que ce don de la nature a été immédiatement produit par génie génétique dans un but thérapeutique non dissimulé car ces applications thérapeutiques sont d’une importance considérable. En effet la nattokinase présente des propriétés spécifiques de fibrinolyse et des effets anticoagulants, anti-athérosclérotiques, anti-hypertensifs et neuro-protecteurs.
De plus de par ses effets combinés la nattokinase (NK) diminue également l’hypertension. Il y a de quoi exciter les laboratoires pharmaceutiques au plus haut point puisque les maladies cardiovasculaires représentent de très loin la première cause de mortalité dans le monde ( www.who.int/cardiovascular_diseases ). Par exemple lors d’une obstruction de la carotide, le traitement avec la NK a permis de réduire de 88 % cette obstruction en moins de 6 heures alaors qu’une intervention directe est très risquée. Il a été démontré sur un modèle murin que la NK était capable de traiter les thromboses pulmonaires par voie orale !
RépondreSupprimerÉmerge alors l’opportunité d’une enquête effectuée sur la population japonaise consommant du natto régulièrement afin de déterminer si ce mets n’aurait pas aidé les personnes atteintes par le SARS-CoV-2 à prévenir l’apparition de thromboses pulmonaires, l’une des principales causes de mortalité chez les personnes atteintes par ce virus. Arriver à mettre en place une telle enquête relève de la fiction mais la science est parfois parsemée d’imprévus. Les curieux, en particulier les médecins peuvent se reporter à l’article paru dans la revue Biomarker Insights pour comprendre la véritable magie de cet enzyme qui selon les études réalisées à ce jour entre dans la circulation sanguine (lien en fin de billet) car il a été démontré que la subtilisine est très résistante aux autres enzymes protéolytiques et c’est compréhensible. Pourquoi des bactéries s’escrimeraient à produire un enzyme et l’excréter si celui-ci se détruit lui-même ?
Décidément la nature fait bien les choses et ainsi sa créativité est bénéfique pour la santé de l’homme. Personnellement il me paraît impératif d’explorer toutes les opportunités thérapeutiques qu’offrent la nature plutôt que d’envisager des thérapeutiques totalement artificielles comme les thérapies géniques dont les résultats sont maintenant prouvées comme catastrophiques avec la douloureuse expérience des soi-disant vaccins à ARN messager. Il est urgent de revenir à la réalité et d’une part exploiter tout ce que la nature propose et également valoriser les « vieilles molécules » pour des applications thérapeutiques « hors AMM » comme le préconise le Professeur Didier Raoult, la grande majorité de ces molécules étant issues de plantes, de bactéries ou de moisissures comme par exemple la pénicilline.
Lien et illustration : https://doi.org/10.1177/1177271918785130 .
RépondreSupprimerNote. J’ai travaillé pendant une année sous la direction du Professeur Emil L. Smith à UCLA, je fus son dernier « post-doc » car l’année suivante il quittait son laboratoire après 50 années de recherche dans le domaine de la chimie des protéines. Smith étudia la séquence d’amino-acides de près de 20 subtilisines et put expliquer pourquoi ces enzymes étaient particulièrement résistants aux autres protéases. Leur structure est très compacte en raison de la présence de ponts disulfure. La subtilisine est l’un des enzymes ajouté aux lessives modernes. Seuls des agents chimiques puissants comme le diisopropylfluorophosphate (très proche du Sarin, un gaz 26 fois plus mortel que le cyanure) peuvent inactiver ces enzymes protéolytiques.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/03/31/nouvelles-du-japon-miso-et-natto/
Comment l'UE met en œuvre la grande réinitialisation du WEF - vidéo
RépondreSupprimer1 avril 2023
du Dr. Peter F. Mayer
Depuis plusieurs années, l'UE mène un programme qui correspond à peu près à ce que le Forum économique mondial (WEF) appelle le Great Reset, selon Klaus Schwab. Cela devrait aboutir à une meilleure reconstruction. Il s'agit de détruire l'économie telle que nous la connaissons aujourd'hui et de la reconstruire sur fond vert, y compris des changements politiques massifs.
Le système économique capitaliste est basé sur une croissance constante. Les possibilités pour cela à l'Ouest et dans les anciens pays du bloc de l'Est ont été épuisées. Depuis les blocages de Corona et les mesures d'accompagnement, le conflit en Ukraine et bientôt autour de Taïwan, ainsi que le sauvetage climatique offrent les meilleures opportunités pour détruire l'ordre existant.
L'immobilier, l'agriculture et la production alimentaire ainsi que les transports en général offrent un énorme potentiel. C'est l'un des objectifs du programme européen "Fit for 55". Avec les améliorations requises dans les classes énergétiques des maisons et des appartements, les dirigeants de l'UE ouvrent un énorme marché pour la rénovation ou la construction neuve. Et - comme de nombreux propriétaires d'appartements ou de maisons ne peuvent pas se permettre la rénovation - de nombreuses propriétés arrivent sur le marché à moindre coût. Les gestionnaires d'actifs, les grandes entreprises et les oligarques l'attendent déjà avec des milliards de capital disponible.
Selon le schéma, la Grande Réinitialisation doit avoir lieu. Dans le même temps, le contrôle sur les personnes est étendu grâce à des certificats d'identification numériques en tant que successeurs des cartes de vaccination, des bases de données sur les actifs et la santé, des monnaies numériques et de la monnaie de la banque centrale, des villes à 15 minutes et d'autres mécanismes de contrôle.
Je discute de tout cela avec Niko Schott du diffuseur régional RTV :
https://tkp.at/2023/04/01/so-setzt-die-eu-den-great-reset-des-wef-um-video/
Armes nucléaires : de quoi est-il question ?
RépondreSupprimerAlors que l’arme nucléaire stratégique est bien connue depuis son utilisation au Japon en 1945 par les Américains, l’arme nucléaire tactique est davantage passée sous les radars.
le 1 avril 2023
Par Côme de Bisschop.
Un article de Conflits
L’utilisation des forces nucléaires est un refrain qui revient en boucle depuis le début de la guerre en Ukraine. À l’heure où Vladimir Poutine annonce le déploiement d’armes nucléaires « tactiques » en Biélorussie, l’utilisation de ces dernières dans un contexte militaire montre avec une forte acuité le renchérissement de la dissuasion. Si une guerre nucléaire s’annonce improbable, il est néanmoins essentiel de comprendre les enjeux et distinctions qui existent aujourd’hui concernant ces différentes armes.
La superpuissance de l’arme nucléaire est entrée dans les consciences au lendemain des bombardements de Nagasaki et d’Hiroshima en août 1945.
Deux jours après l’utilisation de la première bombe, Albert Camus résume la situation mondiale de l’époque dans son journal Combat :
« La civilisation mécanique vient de parvenir à son dernier degré de sauvagerie. Il va falloir choisir, dans un avenir plus ou moins proche, entre le suicide collectif ou l’utilisation intelligente des conquêtes scientifiques ».
L’évolution technologique permet par la suite la démultiplication de la puissance nucléaire dont l’utilisation entraînerait une destruction mutuelle assurée. Peu à peu, l’arme atomique glisse donc vers le statut d’arme de « non-emploi », dont la fonction est essentiellement dissuasive. De plus, face aux dangers de la prolifération nucléaire, les États-Unis et l’URSS favorisent l’adoption de mesures restrictives pour neutraliser l’essor de nouvelles puissances atomiques. Pourtant, avec un progrès technique galopant, la miniaturisation des armes nucléaires remet rapidement sur la table la question de leur utilisation, cette fois-ci directement au sein des armées, pour reprendre l’avantage au sein d’un conflit conventionnel par exemple.
Typologie des armes nucléaires actuelles
Au sein de l’arsenal nucléaire, on distingue deux types de bombes selon leur fonctionnement : les « bombes A », à fission nucléaire ; les « bombes H » ou thermonucléaires, à fusion nucléaire.
La « bombe A » se fonde ainsi sur la fission nucléaire provoquant une réaction nucléaire en chaîne à l’origine de l’explosion. Ces bombes sans étages furent les premières à être développées au cours de la Seconde Guerre mondiale. Beaucoup plus puissante, « la bombe H » est constituée de deux étages dont le premier est une « bombe A » qui sert à déclencher le second dans lequel des noyaux d’atomes vont fusionner pour provoquer l’explosion. Une variante de cette dernière est la « bombe à neutrons » dont le rayonnement est moindre mais les radiations amplifiées, efficace contre les cibles blindées. Ces différentes catégories de bombes permettent de comprendre leur mode de fonctionnement déterminant leur puissance.
La puissance des armes nucléaires est mesurée en équivalent TNT (substance chimique explosive). La « bombe A » lâchée sur Hiroshima en 1945 contenait une charge équivalente à 15 kilotonnes de TNT. À titre de comparaison, la plus puissante explosion nucléaire fut le résultat du test en 1961 de la « Tsar bomba » soviétique de 57 mégatonnes de TNT, soit 3800 fois la puissance de la bombe d’Hiroshima. Depuis cette dernière, la puissance des bombes a eu tendance à diminuer. Mais cette modération est surtout l’effet d’un changement de stratégie militaire qui consiste à favoriser l’utilisation de plusieurs missiles moins puissants plutôt qu’un seul surpuissant. Globalement, le lancement d’une arme nucléaire peut avoir lieu depuis le sol à partir de rampes de lancement, depuis les airs à partir d’avions bombardiers stratégiques ou enfin depuis la mer à partir de sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (SNLE).
RépondreSupprimerArme nucléaire « tactique » ou « stratégique » : quelle utilisation ?
Au-delà de leur mode de fonctionnement, l’utilisation des armes nucléaires permet de les distinguer selon deux catégories : les armes à utilisation « tactique » et les armes à utilisation « stratégique ».
Les premières sont moins remplies en charge explosive, entre un kilotonne et 50 kilotonnes, contre 100 kilotonnes à plus d’une mégatonne pour les secondes. L’arme nucléaire stratégique est sous contrôle de la plus haute autorité de l’État et sert à entretenir la dissuasion. Elle possède une capacité de destruction massive, avec une puissance de plusieurs mégatonnes.
L’arme tactique, ou non stratégique, est une arme destinée à être utilisée directement sur le champ de bataille. Comme son nom l’indique, elle est utilisée dans un but tactique, notamment au travers de la destruction d’un objectif militaire précis, pour frapper la ligne de front ou pour stopper une avancée brutale de l’ennemi par exemple. En outre, une frappe tactique peut autant s’effectuer avec une « bombe A » qu’avec une « bombe H ». L’utilisation d’une telle arme, en plus des destructions dus à l’onde de choc, provoque de terribles brûlures et incendies, sans compter les retombées radioactives aux alentours de la zone d’impact.
Les plateformes de lancement de ses armes nucléaires varient selon l’usage. Les armes nucléaires stratégiques sont aujourd’hui transportées dans la majeure partie des cas par un missile balistique intercontinental (d’une portée supérieure à 5500 km) depuis un silo terrestre avec une rampe de lancement ou un silo marin au travers d’un sous-marin lanceur d’engins (SNLE). En France, elles sont également transportées par des missiles de croisière depuis des avions. Les armes nucléaires tactiques peuvent, quant à elles, varier de support. Elles peuvent être larguées par des bombes ou propulsées par des missiles balistiques ou de croisière depuis différentes rampes de lancement.
Un héritage de la guerre froide
RépondreSupprimerAlors que l’arme nucléaire stratégique est bien connue depuis son utilisation au Japon en 1945 par les Américains, l’arme nucléaire tactique est davantage passée sous les radars. Cette dernière tire son origine de la guerre froide, avec la guerre de Corée. Alors que l’US Army est submergée par l’armée nord-coréenne, elle imagine une arme nucléaire adaptée au combat permettant par sa force de frappe de reprendre l’avantage malgré l’infériorité numérique de ses propres forces. La première arme nucléaire tactique sera mise en service début 1953 par les Américains, incitant à une nouvelle forme de dissuasion. En outre, l’arme nucléaire stratégique réclamée par le général américain McArthur pendant la guerre de Corée lui sera refusée par le président Truman, inaugurant l’ère de la guerre nucléaire « limitée » par la dissuasion.
Parallèlement, l’URSS produit ses premières armes nucléaires tactiques ainsi que la France et le Royaume-Uni dans les années 1960. Après la chute de l’URSS, les puissances atomiques s’engagent dans le désarmement. De nouveaux missiles classiques se substituent aux armes nucléaires de combat, tout en élargissant les options militaires. Le nucléaire stratégique et tactique est désormais réservé aux situations extrêmes de légitime défense, consolidant la dissuasion.
Pourtant, bien qu’en nombre réduit, les armes nucléaires tactiques sont toujours produites. L’abandon en 2017 du traité INF signé en 1987 par Moscou et Washington pour proscrire les missiles à portée intermédiaire – 1500 km – vient stimuler une nouvelle dynamique d’armement. Selon la Fédération des scientifiques américains (FAS), la Russie disposerait de 2000 armes de cette catégorie contre 700 pour les États-Unis. La France refuse la distinction entre armes tactiques et stratégiques depuis la présidence de Jacques Chirac. Enfin, contrairement aux armes stratégiques, les armes tactiques ne sont encadrées par aucun traité.
https://www.contrepoints.org/2023/04/01/453631-armes-nucleaires-de-quoi-est-il-question
(...) Les armes nucléaires stratégiques sont aujourd’hui transportées dans la majeure partie des cas par un missile balistique intercontinental (d’une portée supérieure à 5500 km) depuis un silo terrestre avec une rampe de lancement ou un silo marin au travers d’un sous-marin lanceur d’engins (SNLE). En France, elles sont également transportées par des missiles de croisière depuis des avions. (...)
SupprimerIl y a 'belle lurette' (depuis l'arrivée de Mitterrand) que les silos sont fermés (voir 'plateau d'Albion' à côté de Sault 84) car ils sont géolocalisables et destructibles grâce à la technologie scalaire. Donc, c'est tous les jours que dans des camions (marqués au noms de supermarchés ou de surgelés) que sont transportés les missiles qui sillonnent la France jours & nuit !
Les « grandes entreprises » sont-elles mauvaises ?
RépondreSupprimerLa « grande entreprise » s’est-elle développée grâce à la création de valeur ou grâce à des privilèges accordés par le gouvernement ?
le 1 avril 2023
Par Maddox Locher.
Foundation for Economic Education
Lorsque nous entendons l’expression « grandes entreprises », il est courant de l’associer à la cupidité et à l’exploitation. En réalité, dans le monde des affaires, « grand » n’est pas nécessairement synonyme de « mauvais ».
La question clé est la suivante : comment l’entreprise est-elle devenue grande ? Et, plus précisément, s’est-elle développée grâce à la création de valeur ou grâce à des privilèges accordés par le gouvernement ?
Les grandes entreprises créatrices de valeur
Cela peut surprendre, mais à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle, la Standard Oil Company de John D. Rockefeller est un exemple d’entreprise qui est devenue grande (du moins au début) grâce à la création de valeur.
À un moment donné, elle possédait 90 % des raffineries de pétrole aux États-Unis. Bien qu’elle ait dominé le marché, cela ne signifie pas qu’elle l’ait fait par des moyens répréhensibles.
Soutien volontaire
Malgré sa réputation de « baron voleur », Rockefeller n’a pas développé la Standard Oil en exploitant ses clients. Il l’a fait en leur apportant de la valeur. Dans une lettre adressée à un associé, Rockefeller déclare vouloir fournir « le meilleur [pétrole]… au prix le plus bas ».
Il a atteint cet objectif comme le montrent les chiffres. Entre 1859 et 1869, les prix du pétrole ont connu de fortes fluctuations, passant d’un maximum de 9,59 dollars à un minimum de 0,49 dollar par baril.
Cela a créé un marché imprévisible et risqué pour les clients. Mais lorsque Rockefeller a créé la Standard Oil en 1870, il a pu faire baisser les prix et les stabiliser pour les clients.
Concurrence ouverte
RépondreSupprimerRockefeller n’a pas non plus bénéficié de l’aide du gouvernement lorsqu’il a créé et développé la Standard Oil. Aujourd’hui, de nombreuses entreprises bénéficient d’un avantage concurrentiel de la part du gouvernement, notamment par le biais de subventions et de droits de douane. Mais Rockefeller a surpassé ses concurrents pendant un certain temps en établissant un plan d’entreprise intelligent, en faisant ses devoirs et en fin de compte en se concentrant sur la valeur ajoutée pour le client.
À l’époque de la ruée vers le pétrole en Pennsylvanie, la plupart des entreprises se concentraient sur la prospection et l’extraction du pétrole, une activité plus risquée en raison de ses coûts variables, mais qui pouvait rendre un homme riche du jour au lendemain. Rockefeller a adopté une approche différente, décidant de se concentrer sur la recherche de meilleures méthodes de raffinage du pétrole.
Cette stratégie s’est révélée rentable. Il a pu utiliser ses recherches pour acheter des gisements de pétrole « sulfureux » dont personne ne voulait et en retirer les impuretés grâce à ses techniques de raffinage spéciales. Il a également pu négocier des rabais avec les chemins de fer en promettant 60 wagons de pétrole par jour aux propriétaires des chemins de fer. C’est grâce à de telles stratégies commerciales que Rockefeller a pu approvisionner ses clients en pétrole rapidement et à moindre coût.
Pendant une brève période, en 1890, la Standard Oil a dominé 90 % du marché pétrolier. Cependant, Rockefeller n’a jamais été en mesure de dépasser ce niveau en raison de concurrents omniprésents. Comme l’a écrit Murray N. Rothbard :
Les nouveaux raffineurs indépendants ont été attirés dans l’industrie pétrolière par les marges bénéficiaires élevées de la Standard. Alors qu’il y avait 67 raffineurs en 1899, ils avaient plus que doublé pour atteindre 147 en 1911.
La famille Rockefeller s’est retrouvée plus tard aux prises avec le gouvernement, mais sa première grande entreprise est devenue importante (pour un temps) en surpassant ses rivaux dans la création de valeur pour les clients volontaires.
Les grandes entreprises privilégiées par le gouvernement
RépondreSupprimerIl n’en va pas de même pour de nombreuses autres grandes entreprises.
Prenons l’exemple de l’industrie alimentaire moderne. Un rapport du Guardian a montré que 80 % des aliments que nous consommons proviennent de cinq entreprises seulement : Kraft Heinz, General Mills, Conagra, Unilever et Delmonte.
Ensemble, ces entreprises sont appelées « Big Agriculture » ou « Big Ag » en abrégé. Mais contrairement à la Standard Oil, ces grandes entreprises ont eu recours à des moyens répréhensibles pour accroître leur position dominante.
Soutien involontaire
La domination des grandes entreprises agricoles s’explique en partie par les subventions publiques.
Depuis la Grande Dépression, la production de cultures de base est subventionnée par le gouvernement américain. Aujourd’hui encore, les agriculteurs qui produisent ces cultures reçoivent l’argent de nos impôts. En 2019, on a découvert qu’un cinquième des revenus agricoles provenait de subventions publiques. Ces subventions permettent aux grandes entreprises agricoles de fonctionner à moindre coût, ce qui leur donne une longueur d’avance sur leurs concurrents.
Les subventions sont une forme de soutien involontaire. Contrairement aux clients, les contribuables qui soutiennent les grandes entreprises par des subventions n’ont pas le choix. S’il restait dans les poches des consommateurs, l’argent pourrait être dépensé pour des biens qu’ils souhaitent voir produits. Les grandes entreprises agricoles et leurs sociétés sont soutenues par l’argent que les consommateurs ne leur ont pas donné.
Les droits de douane
Les tarifs douaniers sont un autre moyen pour les grandes entreprises agricoles de rester importantes grâce aux privilèges du gouvernement.
Peu après la Première Guerre mondiale, des groupes d’intérêts agricoles américains ont fait pression sur le gouvernement pour obtenir une protection contre les importations de denrées alimentaires, car les producteurs européens les surpassaient. C’est ainsi qu’est né le Hawley-Smoot Tariff Act qui a imposé des droits de douane sur les importations de denrées alimentaires.
Ces droits de douane sur les denrées alimentaires ont donné aux entreprises alimentaires américaines un avantage « à domicile ». Le problème des droits de douane est qu’ils entravent la concurrence des pays étrangers. Cela se traduit par des prix plus élevés pour les consommateurs.
RépondreSupprimerLes droits de douane empêchent la baisse des prix et peuvent même les augmenter. Si les entreprises alimentaires européennes étaient autorisées à concurrencer le marché alimentaire américain, les entreprises alimentaires américaines devraient s’adapter pour offrir de meilleures conditions aux consommateurs.
En revanche, si les entreprises alimentaires américaines sont laissées dans un « vide commercial », elles peuvent maintenir injustement, voire augmenter les prix qu’elles pratiquent à l’égard des consommateurs américains.
Le lobbying
Les industries de copinage comme les « Big Ag » obtiennent souvent ces faveurs spéciales par le biais du lobbying.
En 2022, les fabricants d’aliments et de boissons ont dépensé 27,27 millions de dollars en lobbying. Dans le livre The China Study, on trouve un récit déconcertant sur le chantage exercé par les fabricants de sucre sur l’Organisation mondiale de la santé pour qu’elle augmente les fourchettes de consommation de sucre au-delà du niveau sain prévu par les directives mondiales en matière de santé :
« Selon le journal Guardian de Londres, l’industrie sucrière américaine menaçait de « mettre l’Organisation mondiale de la santé à genoux » si elle n’abandonnait pas ces directives sur les sucres ajoutés. Les responsables de l’OMS décrivent cette menace comme « équivalant à un chantage et pire que toute pression exercée par l’industrie du tabac ». Le groupe américain a même menacé publiquement de faire pression sur le Congrès américain pour qu’il réduise le financement de l’OMS, qui s’élève à 406 millions de dollars, si celle-ci persistait à maintenir la limite supérieure aussi basse, à savoir 10 % ! »
Dans un passage ultérieur, l’auteur mentionne que les fourchettes de consommation de sucre sont en fait différentes en dehors des États-Unis, ce qui indique que ces groupes d’intérêt ont réussi à exercer leur chantage :
« Nous avons maintenant deux limites supérieures de sécurité différentes : une limite de 10 % pour la communauté internationale et une limite de 25 % pour les États-Unis ».
Il n’est pas fréquent que ces groupes d’intérêt montrent leur vrai visage mais lorsqu’ils le font il est vraiment terrifiant de voir jusqu’où ils sont prêts à aller pour maintenir leurs profits, même si ce n’est pas dans l’intérêt des consommateurs.
RépondreSupprimerCe qu’il faut retenir
Ce qu’il faut retenir, c’est que lorsque les entreprises ont un moyen de se donner un avantage, elles le prennent.
Dans un marché libre, cela peut être une bonne chose. Rockefeller a vu des possibilités de raffiner le pétrole mieux et moins cher que jamais auparavant et il les a utilisées à son avantage. Non seulement il est devenu riche mais il l’a fait en fournissant du pétrole de meilleure qualité à des prix plus bas pour ses consommateurs. Dans un marché libre, la création de valeur règne en maître et profite à toutes les parties.
Dans un marché réglementé, les entreprises peuvent obtenir des avantages injustes. Elles obtiennent un soutien involontaire par le biais de subventions, utilisent des droits de douane pour paralyser la concurrence et font du lobbying pour tenter d’obtenir davantage de soutien de la part des pouvoirs publics, voire pour désinformer les consommateurs. Dans le cadre du capitalisme de connivence, la corruption règne en maître et ne profite qu’à une seule partie.
Les grandes entreprises sont-elles mauvaises ? Cela dépend si elles sont devenues grandes grâce à la politique ou grâce au marché.
https://www.contrepoints.org/2023/04/01/453486-les-grandes-entreprises-sont-elles-mauvaises
(...) Les « grandes entreprises » sont-elles mauvaises ? (...)
SupprimerOUI ! Elles s'appellent 'gouvernement' !
Une canette de 33 cL de soda contient 35 g de sucre
La palme revient au Fanta Lemon, qui explose les compteurs: avec 114 grammes par litre, il est le soda le plus sucré répertorié
Les colas, avec Coca-Cola qui comprend 39 g de sucres et Pepsi 41 g par cannette de 355 mL.
Les sodas fruités comme le Fanta Orange avec 38 g de sucres pour une cannette de 355 mL.
Les limonades avec Sprite, dont une cannette de 355 mL contient 38 g de sucres et 7-UP 45 g.
Bière sans alcool : 28,5 grammes de sucre.
Avez vous déjà vu un gouvernement interdire le sucre ? HAHAHA !
La capitale du monde multipolaire : un journal de Moscou
RépondreSupprimerPar Pepe Escobar
Culture stratégique
1 avril 2023
A Moscou, vous ne ressentez aucune crise. Pas d'effets de sanctions. Pas de chômage. Pas de sans-abri dans les rues. Inflation minimale.
À quel point le bon vieux Lénine, premier moderniste, était-il vif quand il songeait : « il y a des décennies où rien ne se passe ; et il y a des semaines où des décennies se succèdent ». Ce nomade mondial qui s'adresse maintenant à vous a eu le privilège de passer quatre semaines étonnantes à Moscou au cœur d'un carrefour historique - culminant avec le sommet géopolitique Poutine-Xi au Kremlin.
Pour citer Xi, "des changements qui n'ont pas été vus depuis 100 ans" ont le don de nous affecter tous de plus d'une manière.
James Joyce, une autre icône de la modernité, a écrit que nous passons notre vie à rencontrer des gens moyens et/ou extraordinaires, encore et encore, mais à la fin, nous nous rencontrons toujours nous-mêmes. J'ai eu le privilège de rencontrer un éventail de personnes extraordinaires à Moscou, guidées par des amis de confiance ou par une coïncidence propice : à la fin, votre âme vous dit qu'elles vous enrichissent et enrichissent le moment historique d'une manière que vous ne pouvez même pas commencer à imaginer.
En voici quelques uns. Le petit-fils de Boris Pasternak, un jeune homme doué qui enseigne le grec ancien à l'Université d'État de Moscou. Un historien avec une connaissance inégalée de l'histoire et de la culture russes. La classe ouvrière tadjike se blottissant dans une chaikhana avec l'ambiance propre à Douchanbé.
Tchétchènes et Tuvans émerveillés font la boucle de la Big Central Line. Un charmant messager envoyé par des amis extrêmement attentifs aux questions de sécurité pour discuter de questions d'intérêt commun. Des musiciens exceptionnellement accomplis se produisant sous terre à Mayakovskaya. Une superbe princesse sibérienne vibrante d'une énergie illimitée, portant cette devise précédemment appliquée à l'industrie de l'énergie - Power of Siberia - à un tout autre niveau.
Un ami cher m'a emmené au service dominical à l'église Devyati Muchenikov Kizicheskikh, la préférée de Pierre le Grand : la quintessence de la pureté de l'orthodoxie orientale. Ensuite, les prêtres nous ont invités à déjeuner à leur table commune, faisant preuve non seulement de leur sagesse naturelle mais aussi d'un sens de l'humour débridé.
Dans un appartement russe classique bourré de 10 000 livres et en vue du ministère de la Défense - de nombreuses blagues incluses - le père Michael, responsable des relations entre le christianisme orthodoxe et le Kremlin, a chanté l'hymne impérial russe après une nuit indélébile d'activités religieuses et culturelles. discussions.
J'ai eu l'honneur de rencontrer certains de ceux qui étaient particulièrement visés par la machine impériale du mensonge. Maria Butina – vilipendée par le proverbial « espion venu du froid » shtick – maintenant députée à la Douma. Viktor Bout - dont la culture pop s'est métastasée en "Lord of War", avec le film de Nic Cage : j'étais sans voix quand il m'a dit qu'il me lisait dans une prison à sécurité maximale aux États-Unis, via des clés USB envoyées par ses amis (il avait pas d'accès Internet). L'infatigable et volontaire Mira Terada - torturée lorsqu'elle était dans une prison américaine, dirige maintenant une fondation protégeant les enfants pris dans des moments difficiles.
RépondreSupprimerJ'ai passé beaucoup de temps précieux et engagé des discussions inestimables avec Alexander Dugin - le Russe crucial de ces temps post-tout, un homme d'une pure beauté intérieure, exposé à des souffrances inimaginables après l'assassinat terroriste de Darya Dugina, et toujours capable de rassembler un profondeur et portée lorsqu'il s'agit d'établir des liens à travers le spectre de la philosophie, de l'histoire et de l'histoire des civilisations qui est pratiquement inégalé en Occident.
À l'offensive contre la russophobie
Et puis il y a eu les rencontres diplomatiques, académiques et d'affaires. Du responsable des relations internationales avec les investisseurs de Norilsk Nickel aux dirigeants de Rosneft, sans oublier Sergey Glazyev de l'EAEU lui-même, aux côtés de son principal conseiller économique Dmitry Mityaev, j'ai suivi un cours accéléré sur l'économie russe actuelle de A à Z - y compris de graves problèmes à régler.
Au Valdai Club, ce qui comptait vraiment, ce sont les rencontres en marge, bien plus que les panels proprement dits : c'est là que les Iraniens, les Pakistanais, les Turcs, les Syriens, les Kurdes, les Palestiniens, les Chinois vous disent ce qu'il y a vraiment dans leur cœur et dans leur tête.
Le lancement officiel du Mouvement international des russophiles a été un moment fort de ces quatre semaines. Un message spécial écrit par le président Poutine a été lu par le ministre des Affaires étrangères Lavrov, qui a ensuite prononcé son propre discours. Plus tard, à la Maison des réceptions du ministère des Affaires étrangères, quatre d'entre nous ont été reçus par Lavrov en audience privée. De futurs projets culturels ont été discutés. Lavrov était extrêmement détendu, affichant son sens de l'humour incomparable.
Il s'agit d'un mouvement culturel autant que politique, conçu pour lutter contre la russophobie et pour raconter l'histoire russe, dans tous ses aspects immensément riches, en particulier pour les pays du Sud.
Je suis membre fondateur et mon nom figure sur la charte. Au cours de mes presque quatre décennies en tant que correspondant étranger, je n'ai jamais fait partie d'aucun mouvement politique/culturel où que ce soit dans le monde ; les indépendants nomades sont une race féroce. Mais c'est extrêmement grave : les « élites » actuelles, irrémédiablement médiocres, autoproclamées de l'Occident collectif ne veulent rien de moins que l'annulation de la Russie à tous les niveaux. Pas de pasarán.
RépondreSupprimerSpiritualité, compassion, miséricorde
Des décennies qui se déroulent en seulement quatre semaines impliquent un temps précieux nécessaire pour tout mettre en perspective.
L'intuition initiale du jour de mon arrivée, après une marche de sept heures sous des bourrasques de neige, s'est confirmée : c'est la capitale du monde multipolaire. Je l'ai vu parmi les Asiatiques de l'Ouest au Valdai. Je l'ai vu parler à des Iraniens, des Turcs et des Chinois en visite. Je l'ai vu lorsque plus de 40 délégations africaines ont envahi toute la zone autour de la Douma - le jour où Xi est arrivé en ville. Je l'ai vu tout au long de la réception à travers les pays du Sud de ce que Xi et Poutine proposent à l'écrasante majorité de la planète.
A Moscou, vous ne ressentez aucune crise. Pas d'effets de sanctions. Pas de chômage. Pas de sans-abri dans les rues. Inflation minimale. La substitution des importations dans tous les domaines, en particulier l'agriculture, a été un succès retentissant. Les supermarchés ont tout – et plus – par rapport à l'Occident. Il y a une abondance de restaurants de premier ordre. Vous pouvez acheter un manteau en cachemire Bentley ou Loro Pianna que vous ne trouverez même pas en Italie. Nous en avons ri en discutant avec les gérants du grand magasin TSUM. À la librairie BiblioGlobus, l'un d'eux m'a dit : « Nous sommes la Résistance ».
Soit dit en passant, j'ai eu l'honneur de donner une conférence sur la guerre en Ukraine à la librairie la plus cool de la ville, Bunker, par l'intermédiaire de mon cher ami, immensément bien informé Dima Babich. Une énorme responsabilité. Surtout parce que Vladimir L. était dans le public. Il est Ukrainien et a passé 8 ans, jusqu'en 2022, à le dire comme si c'était vraiment le cas à la radio russe, jusqu'à ce qu'il réussisse à partir - après avoir été tenu sous la menace d'une arme - en utilisant un passeport interne ukrainien. Plus tard, nous sommes allés dans une brasserie tchèque où il a détaillé son histoire extraordinaire.
À Moscou, leurs fantômes toxiques se cachent toujours en arrière-plan. Pourtant, on ne peut que se sentir désolé pour les néoconservateurs psycho-straussiens et les contre-néolibéraux qui sont maintenant à peine qualifiés de petits orphelins de Zbig "Grand Chessboard" Brzezinski.
RépondreSupprimerÀ la fin des années 1990, Brzezinski a pontifié que « l'Ukraine, un espace nouveau et important sur l'échiquier eurasien, est un centre géopolitique parce que son existence même en tant qu'État indépendant contribue à transformer la Russie. Sans l'Ukraine, la Russie cesse d'être un empire eurasien.
Avec ou sans une Ukraine démilitarisée et dénazifiée, la Russie a déjà changé la donne. Il ne s'agit pas de redevenir un empire eurasien. Il s'agit de diriger le processus long et complexe d'intégration de l'Eurasie - déjà en vigueur - parallèlement au soutien d'une véritable indépendance souveraine dans les pays du Sud.
J'ai quitté Moscou - la troisième Rome - vers Constantinople - la deuxième Rome - un jour avant que le secrétaire du Conseil de sécurité Nikolai Patrushev n'accorde une interview dévastatrice à Rossiyskaya Gazeta décrivant une fois de plus tous les éléments essentiels inhérents à la guerre de l'OTAN contre la Russie.
C'est ce qui m'a particulièrement frappé : « Notre culture séculaire est basée sur la spiritualité, la compassion et la miséricorde. La Russie est un défenseur historique de la souveraineté et du statut d'État de tous les peuples qui se sont tournés vers elle pour obtenir de l'aide. Elle a sauvé les États-Unis eux-mêmes au moins deux fois, pendant la guerre d'indépendance et la guerre civile. Mais je crois que cette fois, il n'est pas pratique d'aider les États-Unis à maintenir leur intégrité.
Lors de ma dernière nuit, avant de me rendre dans un restaurant géorgien, j'ai été guidé par le compagnon idéal au large de Pyatnitskaya vers une promenade le long de la rivière de Moscou, de beaux bâtiments rococo glorieusement éclairés, le parfum du printemps - enfin - dans l'air. C'est l'un de ces moments "Wild Strawberry" du chef-d'œuvre de Bergman qui touche le fond de notre âme. Comme maîtriser le Tao dans la pratique. Ou la vision méditative parfaite au sommet de l'Himalaya, du Pamir ou de l'Hindu Kush.
La conclusion est donc inévitable. Je reviendrai. Bientôt.
Les opinions des contributeurs individuels ne représentent pas nécessairement celles de la Fondation pour la culture stratégique.
https://www.lewrockwell.com/2023/04/no_author/the-capital-of-the-multipolar-world-a-moscow-diary/
Urban, Elite White Woman imagine qu'elle est comme
RépondreSupprimerHenry Fonda dans "12 hommes en colère"
Le juré de D.C. dans l'un des procès des Oath Keepers admet,
"J'ai été choqué au-delà de toute croyance que j'ai été choisi."
Nous devrions être scandalisés.
Par Julie Kelly
30 mars 2023
Ellen, comme tant d'habitants de Washington, D.C., pense que le 6 janvier a été une attaque horrible contre la démocratie américaine.
Dans une récente interview avec le fondateur de C-SPAN, Brian Lamb, Ellen - sans nom de famille donné - a qualifié à deux reprises la manifestation du Capitole d'"insurrection". Elle a dit à Lamb, son ancien collègue de longue date du réseau, qu'elle était "horrifiée" par ce qui s'est passé ce jour-là. "En tant que citoyen de cette ville, en tant que citoyen de ce pays, en tant que personne qui a travaillé pour C-SPAN pendant 32 ans, j'ai pensé que c'était horrible. Je pensais que c'était juste horrible. C'était juste dévastateur.
Elle a poursuivi : « Notre Capitole a été attaqué, la police a été attaquée, des gens ont été tués, des gens ont été blessés. C'était une très mauvaise chose.
On pourrait logiquement supposer qu'un tel préjudice disqualifierait instantanément Ellen de siéger à un jury dans une affaire impliquant des personnes accusées de leur participation au 6 janvier. De plus, le fait qu'Ellen travaillait à l'époque pour un réseau câblé qui couvre le Congrès et a diffusé les événements du 6 janvier, tels qu'ils se sont déroulés ce jour-là, auraient également pu entraîner son renvoi immédiat du groupe de jurés potentiels dans un monde rationnel.
Mais cela ne s'est pas produit. Avec des dizaines de procès du 6 janvier en cours et toujours en cours dans une ville peuplée presque exclusivement de démocrates qui détestent Trump, les juges et les avocats de la défense ont peu d'options en termes de composition d'un jury impartial, sans parler d'un jury composé de pairs d'un accusé. (En particulier lorsque chaque juge a rejeté chaque requête de changement de lieu dans chaque cas.)
"J'ai été choquée au-delà de toute croyance que j'ai été choisie", a-t-elle admis à Lamb.
RépondreSupprimerEllen a atterri sur un panel de jurés pour le troisième procès des Oath Keepers, le soi-disant groupe de «milices» impliqué le 6 janvier. Parmi les accusés se trouvaient un homme de 72 ans, Bennie Parker, et son homme de 63 ans. épouse, Sandra; Connie Meggs, dont le mari a été reconnu coupable de complot séditieux lors du premier procès des Oath Keepers ; Laura Steele, une ancienne policière de Caroline du Nord ; William Issacs, un autiste de 23 ans ; et Michael Greene, un lieutenant noir de l'organisation Oath Keepers.
Quatre accusés - Sandra Parker, Steele, Meggs et Isaacs - sont entrés dans le bâtiment cet après-midi-là. Aucune des personnes jugées n'a été accusée de port d'arme ou d'agression contre des policiers, mais elles ont été accusées de crimes graves, notamment d'entrave à une procédure officielle et de complot. Leur destin reposait entre les mains d'Ellen et de 11 autres résidents de Washington, D.C.
Malheureusement.
L'interview de 90 minutes d'Ellen, rapportée pour la première fois par Politico, est un aperçu à couper le souffle dans l'esprit d'un juré de DC. Ellen est une femme blanche d'élite urbaine stéréotypée - le pire cauchemar d'un accusé du 6 janvier. Il y a fort à parier qu'un chapeau de chatte rose est bien rangé dans le tiroir de sa table de chevet. Sa voix dégoulinait de condescendance avec un accent détectable de la côte Est. (Elle a vécu à New York et dans le Maryland avant d'atterrir à D.C.) Alternant entre rire, pleurer, parler, se lisser et prendre des pauses dramatiques, Ellen fait que l'auditeur a pitié de ses anciens compagnons de siège.
Après la fin du procès de cinq semaines, Ellen a pris sur elle, avec l'aide d'un avocat membre du jury, de persuader les jurés hésitants de déclarer les accusés coupables.
"Il y avait de nombreux comptes où nous avons commencé, peut-être un ou deux à 10 et nous avons amené les 10 autres", s'est-elle vantée. Ellen a comparé le drame à huis clos à "12 hommes en colère" et s'est présentée comme le Henry Fonda des temps modernes. "Je pense que c'est probablement similaire."
La plupart des jurés, a expliqué Ellen, n'ont pas prêté une attention particulière au procès et ont voulu acquitter plusieurs chefs d'accusation. (Il y a eu des rapports d'arguments très houleux et de divisions notables au cours des délibérations de six jours.) Ellen a crédité l'avocat du jury de «l'avoir aidée» à influencer les jurés aberrants.
Cet avocat travaillait autrefois pour le ministère de la Justice. « Comment cela a été autorisé, je ne le saurai jamais. Il ne pouvait pas y croire.
RépondreSupprimerEllen a condamné les jurés pour avoir apporté leurs "opinions et valeurs personnelles" dans la salle des jurés, mais il est difficile de croire qu'Ellen n'a pas fait de même. Tout au long de l'entretien, Ellen a tiré sur les accusés. « Ils ne comprenaient pas grand-chose à notre ville, à nos lois, à notre gouvernement », se moqua Ellen. Les accusés, a-t-elle noté, « ne venaient même pas des grandes villes. C'étaient des gens qui vivaient dans des fermes dans des zones rurales, la plupart d'entre eux n'avaient aucune idée de Washington, DC.
Lorsqu'on lui a demandé de décrire Oath Keepers, Ellen a soupiré comme si elle était tourmentée par la question. Le groupe, se plaint-elle, n'est tout simplement pas assez réveillé à son goût. "Je ne pense pas que ce soit un groupe racialement mixte, je ne pense pas que ce soit un groupe politiquement mixte." Les gardiens du serment partagent "la même politique" que Donald Trump, a conclu Ellen, ce qui n'est probablement pas une bonne chose dans son esprit. (C'est la même Ellen qui s'est vantée d'avoir persuadé un jury composé aux deux tiers de Noirs de voter pour elle à la fin.)
Tout en se présentant comme un aigle juridique, Ellen a néanmoins eu du mal à saisir les principes de base de la loi. Elle a exprimé son choc que les Parkers aient apporté une arme de poing et un AR-15 avec eux sur le trajet depuis l'Ohio, même si Bennie Parker a laissé les armes en Virginie, où ils séjournaient, lorsqu'ils sont allés à D.C.
Ellen n'est apparemment pas informée du droit à un avocat; Lamb, pour une raison inexplicable, a demandé à Ellen ce qu'elle pensait des défenseurs publics représentant certains des accusés. « Je ne comprends pas, pourquoi le gouvernement paie-t-il les avocats de la défense ? » Ellen a eu le souffle coupé lorsque Lamb a expliqué que les défenseurs publics sont payés 164 $ de l'heure pour représenter des clients indigents.
Les jurés qui voulaient des preuves tangibles des crimes présumés n'ont pas compris les "preuves indirectes", s'est plainte Ellen. « Ils devaient le voir. Il devait y avoir une vidéo. Ou il devait y avoir des transcriptions d'appels téléphoniques. À moins qu'ils ne l'aient vu, ils n'y croyaient pas.
Rappelez-vous les enfants, la seule divinité tourbillonnant dans l'âme d'une femme blanche éveillée est le gouvernement.
Ellen, cependant, n'est pas sans cœur. Elle a avoué avoir pleuré lors des plaidoiries du gouvernement. "Probablement que le FBI montrait des vidéos que je n'avais jamais vues auparavant de l'intérieur [du bâtiment]." Sa voix craquant à travers des sanglots reniflés, Ellen a déclaré que regarder le "pandémonium à l'intérieur était juste déchirant".
RépondreSupprimerElle a également pleuré lors du témoignage d'Isaacs, un accusé autiste de 21 ans le 6 janvier 2021. Son avocat de la défense aurait tenté de faire tomber Isaacs à la barre, retirant les écouteurs qu'il a utilisés tout au long du procès pour se noyer. bruit dérangeant. (Isaacs a eu un certain nombre d'épisodes pendant le procès.) "Il torturait son client pour nous faire ressentir de la sympathie."
Hélas, la tactique cruelle n'a pas fonctionné pour Ellen. Isaacs, qui a fait face à la plupart des accusations, a été reconnu coupable de chacune d'entre elles.
Connie Meggs, Sandra Parker et Laura Steele ont également été reconnues coupables de tous les chefs d'accusation. Bennie Parker, qui n'est pas entré dans le bâtiment, a été reconnu coupable d'un crime et d'un délit. Greene n'a été reconnu coupable que d'un délit.
Ils représentent désormais plus de victoires dans le bilan presque parfait du ministère de la Justice lors des procès du 6 janvier. À la fin de l'entretien, Ellen s'est inquiétée à haute voix que ses commentaires pourraient être utilisés à des « fins d'appel ». Espérons.
Mais Ellen ne peut pas être considérée comme une valeur aberrante ; au contraire, elle parle sans aucun doute au nom de la plupart des jurés à Washington - ou du moins des femmes blanches privilégiées.
Et elle est le meilleur exemple à ce jour de la raison pour laquelle chaque procès du 6 janvier devrait être déplacé hors de la capitale nationale. Immédiatement.
https://amgreatness.com/2023/03/30/urban-elite-white-woman-imagines-shes-just-like-henry-fonda-in-12-angry-men/
Le modèle « démocratique » des dictatures aux États-Unis
RépondreSupprimerPar Eric Zuesse
Recherche mondiale,
01 avril 2023
Les États-Unis sont le seul pays au monde dont il a été prouvé scientifiquement qu'il s'agit d'une dictature au lieu d'une démocratie, et le 28 mars, ils dirigeront un sommet sur la « démocratie » d'autres nations qui prétendent également être démocratiques, mais dont toutes les participants seront des nations dont les régimes prétendent simplement représenter leur public - ou, sinon, pourquoi assisteraient-ils à un tel sommet pour la "démocratie" dirigé par la seule nation au monde dont il a été scientifiquement prouvé qu'elle est une dictature ?
Il y a maintenant eu au moins trois examens scientifiques pour déterminer si oui ou non le gouvernement américain représente la majorité du peuple américain.
Le premier a constaté que ce n'est pas le cas et qu'au lieu de cela, il ne représente qu'une infime minorité des individus les plus riches d'Amérique.
La seconde a révélé que c'était encore plus le cas que la première étude de ce type ne l'avait démontré.
Et le troisième a révélé que le gouvernement américain est contrôlé à 57,16 % par le dix millième le plus riche – le 1 % le plus riche du 1 % le plus riche – de la population américaine. Si une nation a jamais été une aristocratie au lieu d'une démocratie, alors l'Amérique post-1945 l'est.
En plus de ces études scientifiques, il y a eu des sondages internationaux qui ont été menés scientifiquement simultanément dans des dizaines de pays afin de pouvoir classer les pays sur divers indicateurs couramment utilisés pour savoir si un pays donné est ou non une démocratie ; et dans chacun de ceux-ci, les États-Unis se classent comme semblant moins démocratiques que presque tous les pays développés, mais comme étant plus démocratiques que la plupart des pays sous-développés .
De plus, le pourcentage de la population d'un pays qui est en prison est généralement considéré comme reflétant la mesure dans laquelle une nation donnée est un «État policier» ou autrement une dictature, et sur cette mesure, les États-Unis sont plus une dictature qu'ils ne le sont . n'importe quel autre pays dans le monde : il a un pourcentage plus élevé de sa population en prison que n'importe quel autre pays . (De plus, le pourcentage de très riches qui sont en prison en Amérique est proche de 0 %, et c'est ce que prédisent les études scientifiques sur le fait que les États-Unis sont ou non une dictature, puisque ces études ont montré que l'Amérique est une dictature par seulement ses super-riches. Les milliardaires américains sont au-dessus et au-delà de la loi.)
RépondreSupprimerUne autre mesure commune de la mesure dans laquelle une nation donnée est une dictature est la mesure dans laquelle son gouvernement est effectivement contrôlé par et au service de son complexe militaro-industriel et dicte et menace d'autres gouvernements dans le monde. Le modèle le plus extrême d'un pays dictatorial est le modèle impérialiste, car il s'agit d'une dictature internationale sur les nations vassales (ses colonies, ou, comme l'appelle un empire moderne, ses "alliés") et c'est donc une dictature qui se propage cancéreusement internationalement . C'est sur cette mesure que le gouvernement américain n'a pas d'égal.
Tout pays qui assiste à un sommet sur la « démocratie » dirigé et convoqué par un gouvernement comme celui-ci, se montre ainsi inférieur même à celui-ci, se prosterne devant lui et s'embarrasse publiquement. Toute la dictature, nationale et internationale, est basée sur des mensonges hypocrites . En fait, la dictature américaine a formé "environ 50 000 au moins" de militaires de nations africaines et leur a enseigné les "valeurs démocratiques" hypocrites du régime américain (en tant que "valeurs fondamentales" ) uniquement pour que ces généraux perpétrent des coups d'État renversant leur nation. Gouvernement (parfois authentiquement démocratique) pour transformer leur pays en nouveaux « alliés » de « l'Occident démocratique » et acheteurs d'armes à Lockheed Martin, etc., et empoche ainsi d'énormes richesses privées.
Deux nations ont été désinvitées par le régime américain à participer au Sommet « Démocratie » du régime américain : la Hongrie et la Turquie. Voici pourquoi. Comme ils sont tous les deux membres de l'OTAN, chacun d'eux détient désormais un droit de veto sur ce que fait l'alliance militaire de l'OTAN de la dictature américaine contre la Russie. Le rêve de la dictature américaine depuis le 25 juillet 1945 est de conquérir le monde entier ; et, maintenant, pour la première fois, deux des « alliés » de l'Amérique donnent des indications sérieuses qu'ils pourraient résister et peut-être même empêcher que cela se produise.
Il y a une résistance croissante au seul empire restant, qui est dispersé dans le monde : l'empire américain . Jusqu'à présent, la réponse du régime américain à cette résistance a été d'intensifier encore ses campagnes de diabolisation et de s'emparer finalement à la fois de la Russie et de la Chine. Si une troisième guerre mondiale nucléaire n'éclate pas avant que cela ne se produise, cela entraîne le monde dans un énorme krach économique. Les choses semblent atteindre un point de rupture, de toute façon.
RépondreSupprimerhttps://www.globalresearch.ca/us-democratic-model-dictatorships/5813615
Est considéré comme étant une Démocratie tout pays dirigé par le Peuple (voir Suisse).
SupprimerLa Démocratie c'est 'Par le Peuple, Pour le Peuple'.
Le contraire de Démocratie est dictature (monarchies, républiques, empires).
La grande crise financière se profile et forcément tout va très mal se passer
RépondreSupprimerle 1 avril 2023
Je le répète encore, je ne suis pas du tout un économiste alors je tente de me faire une opinion au sujet des évènements récents qui ont une influence sur l’économie. La dédollarisation bien initiée par la Chine, la Russie, l’Inde et dans une moindre mesure l’Arabie saoudite et l’Iran commence à faire tache d’huile puisque de nombreux pays veulent rejoindre l’Organisation de Coopération de Shanghai. Pour une analyse géopolitique de cette crise à venir plus détaillée voir les liens en fin de billet. Ce qui vient de se produire avec trois banques régionales américaines est significatif car cela révèle l’intensité de la crise obligataire qui se déroule aux Etats-Unis. L’inflation à deux chiffres dans laquelle tente de se débattre la FED sans résultat probant est due à plusieurs facteurs, l’afflux de dollars en provenance d’une multitude d’établissements bancaires qui veulent se démunir de cette monnaie devenue sans valeur et sans la plus infime confiance qu’elle devrait inspirer à la suite des sanctions mises en place contre la Russie depuis 2014 puis dès le début de l’Opération Spéciale russe dans le Donbass. Les investisseurs ont perdu la confiance qu’ils accordaient au dollar. La Chine, dans le cadre de ses nombreuses collaborations commerciales hors de son territoire, paie les entreprises locales qui réalisent ses projets d’infrastructure en dollars et en T-bonds. Le mouvement s’est accéléré depuis que la FED a haussé le taux à 10 ans car ces T-bonds ont subi une dégradation de leur valeur sur les marchés, tant pis pour les entreprises qui ont été payées avec ce véhicule financier. Quoi que puisse faire la FED cette inflation va perdurer.
Quant à l’Europe elle a accumulé les erreurs avec l’Euro qu’elle n’a pas su imposer comme monnaie internationale, elle a continué à commercer en dollar et elle va payer très cher cette erreur. L’inflation dans l’Union européenne varie selon les Etats mais ces différences ne sont dues qu’au degré de malhonnêteté des gouvernements qui manipulent les statistiques. La crise financière en Europe a commencé en Suisse et c’était prévisible pour le Crédit suisse, un organisme financier notoirement mal géré, la Banque fédérale suisse paie (comme la FED a payé pour la SVB). Cependant cette crise suisse révèle également le fait que la Suisse a renié sa neutralité légendaire puisque c’est le pays qui a le plus sanctionné la Russie sur le plan financier contrairement à ce que l’on aurait pu croire. Perte de confiance donc …
Une analyse réalisée par AlpineMacro illustre en un graphique le risque qui menace les banques américaines et l’ensemble du système dollar. Cette analyse date du 20 mars 2023 et elle est toujours d’actualité. Ce risque va se répandre en Europe si ce n’est pas déjà fait (voir infra). En 1980 puis 1990 il y eut deux crises successives aux Etats-Unis qui secouèrent le secteur bancaire. Près d’un tiers des petites banques de dépôt régionales qui accordaient des prêts à leurs clients pour des achats variés, depuis des automobiles ou des aspirateurs jusqu’à des prêts immobiliers ne purent faire face à la dégradation de leurs bilans. Elle offrirent alors des intérêts à court terme plus élevés sur les dépôts d’épargne pour attirer ces épargnants afin de rééquilibrer leurs bilans ce qui aggrava leur situation. Plus d’un tiers de ces petites banques firent faillite. L’Espagne vécut la même situation après la crise dite des « sub-primes » après 2008. Résultat il ne reste plus qu’une seule banque d’épargne en Espagne. L’aide massive de la Banque d’Espagne n’a pas pour autant assaini la situation des banques espagnoles puisque la Banque Sabadell se trouve aujourd’hui dans une situation critique.
RépondreSupprimer- voir graph sur site -
Les mêmes causes produisent les mêmes effets et la cause est pourtant facilement détectable mais les institutions bancaires ont l’air de l’ignorer superbement. Il s’agit de l’inversion des taux d’intérêt. Comme le graphique ci-dessus le montre clairement chaque fois qu’il y a inversion des taux à court terme par rapport aux taux à long terme, matérialisée en soustrayant le taux à court terme, deux ans, de celui du 10 ans et que le résultat est négatif il y a automatiquement une crise. S&L (Savings and Loan crisis) et GFC (Global Financial Crisis) en sont les illustrations, FDIC = Federal Deposit Insurance Corporation (https://www.fdic.gov), les lignes verticales grisées matérialisent les épisodes d’inversion des taux. La fragilité du système financier global reposant sur le dollar ne va donc que s’aggraver avec ce mouvement, mondial maintenant, de dédollarisation. Les institutions financières hors USA ont perdu la confiance inconditionnelle qu’ils avaient à l’égard du dollar. Quoique puisse faire la FED, le problème est « plié ». Et il faut s’attendre à de très gros problèmes dans le monde de la finance et le monde bancaire. À mon humble avis la situation est donc très sombre. Le fait que la FED ait accepté de racheter les T-bonds à leur valeur faciale pour sauver la SVB sème le doute dans tout le mécanisme des emprunts d’Etat car la question est la suivante : à quoi servent maintenant les taux d’intérêt qui étaient une prime de risque. S’il n’y a plus de risques ce sera la porte ouverte à du « grand n’importe quoi », ce qui déstabilisera encore plus profondément le système. Finalement seuls les fonds souverains et les fonds de pension (mais pas tous) resteront des valeurs fiables avec les actions des entreprises réputées pour leur solidité et leur gestion saine ainsi que les liquidités qui cherchent des placements à peu près satisfaisants et les gestionnaires de fonds ont encore quelques beaux jours devant eux, mais pour le reste du secteur bancaire ce ne sera pas très réjouissant. Tout va donc très mal se passer.
Et pour plus d’informations au sujet de l’influence de la crise ukrainienne sur la situation financière écoutez le Général Delawarde et Régis Chamagne : https://www.youtube.com/watch?v=3cLGUbaoOo8 et
La vraie guerre dévoilée
https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/04/01/la-grande-crise-financiere-se-profile-et-forcement-tout-va-tres-mal-se-passer/
Après la crise monétaire… Le PDF du livre mis à disposition par l’auteur
RépondreSupprimerMARS 31, 2023
PAR LHK
Revenu de base mensuel, hélicoptère monétaire, crypto monnaies, fin du cash, big data et IA, Facebook crée une monnaie… Olivier Pichon et Pierre Bergerault reçoivent Vincent Held, économiste suisse pour son livre : Après la crise (Editions Réorganisation du monde)
Les turbulences monétaro-financières sont de plus en plus visibles par tout un chacun. Derrière, vous avez un seul et même ensemble d’individus qui gère la liquidation du casino financier planétaire; ainsi que la mise en place simultanée du nouveau modèle.
Dans son livre de 2018: « Après la Crise : Chronique de l’émergence d’un nouvel ordre monétaire international », Vincent Held annonçait la fin du système monétaro-financier, ainsi que le système qui pourrait bien le remplacer.
Aujourd’hui, nous vous offrons le PDF du livre
car il est temps que tout un chacun puisse sortir de la désinformation
ambiante.
Ce livre visait à avertir l’opinion publique de l’arrivée d’un nouveau système financier/monétaire basé sur la monnaie numérique, lui-même indissociable du Système de Crédit social…..
Les dernières mesures inhabituelles prises par le gouvernement suisse, qui violent la propriété privée tout en favorisant une élite qui s’arroge tous les passe-droits, il nous a semblé judicieux de mettre à votre disposition le manuscrit de ce livre.
- voir sur site -
Voici le manuscrit. Il est même téléchargeable. Nous ne pouvons cependant nous engager que sur la version de notre site.
vincent-held-apres-la-criseTélécharger
La vidéo de l’annonce du livre
- voir clip sur site :
https://lilianeheldkhawam.com/2023/03/31/apres-la-crise-monetaire-le-pdf-du-livre-mis-a-disposition-par-lauteur/
RFK, Jr. : La sécurité des compagnies aériennes n'est "pas une question partisane", la FAA doit enquêter sur le pic d'urgences sanitaires des pilotes
RépondreSupprimerPar Défense de la santé des enfants
Recherche mondiale,
01 avril 2023
Robert F. Kennedy, Jr. a demandé aujourd'hui au secrétaire américain aux Transports Pete Buttigieg d' enquêter sur la flambée des quasi-accidents et des accidents d'avion évités de justesse - depuis le déploiement des vaccins COVID-19 en 2021 - résultant de pilotes incapables par des urgences sanitaires.
Dans une lettre à Buttigieg, Kennedy a écrit :
«Secrétaire Buttigieg, la sécurité des pilotes, du personnel de cabine, des passagers des compagnies aériennes et du grand public n'est pas et n'a jamais été une question partisane. Tout ce qui est contenu dans cette lettre concerne des questions fondamentales de santé et de sécurité publiques, que vous, le DOT [US Department of Transportation], la FAA [Federal Aviation Administration] et l'administration Biden déclarez défendre et protéger.
"Les récents changements apportés aux directives de la FAA et le manque de preuves accessibles au public sur lesquelles reposent ces changements, ainsi que le nombre croissant d'incidents impliquant l'incapacité ou des blessures liées au vaccin des pilotes, sont très préoccupants."
Une analyse CHD des données brutes obtenues de la FAA a déterminé qu'il y avait une augmentation marquée, par vol, des déroutements de vols liés aux urgences médicales en 2021 et 2022, par rapport à 2019 et aux années précédentes, a déclaré Kennedy.
De même, il y a eu une augmentation marquée des déroutements d'urgence médicale par passager en 2021 par rapport à 2019 et aux années précédentes, tandis que le chiffre de 2022 est supérieur à ceux de 2018 et 2019, indiquant une augmentation des urgences médicales survenant dans les airs, après ajustement du nombre réduit de vols et de passagers au cours des années civiles 2021 et 2022 par rapport à la période antérieure à 2020.
Kennedy a déclaré que la FAA avait violé ses propres directives en recommandant aux pilotes d'obtenir les vaccins COVID-19 non autorisés , contrairement à la politique de l'agence interdisant aux pilotes de prendre tout produit médical qui est sur le marché depuis moins de 12 mois.
La lettre de 13 pages de Kennedy, citant 61 sources, fournit des preuves détaillées que la FAA a assoupli les restrictions médicales pour des affections telles que la myocardite et le syndrome de Guillain-Barré, deux événements indésirables documentés liés aux vaccins COVID-19.
RépondreSupprimerKennedy a terminé la lettre avec ces 12 questions :
Les incidents récents impliquant l'incapacité de pilotes en vol feront-ils l'objet d'une enquête complète et approfondie, notamment pour déterminer si les problèmes médicaux rencontrés par les pilotes étaient liés au vaccin ?
Sur quelle base vous et l'administrateur par intérim de la FAA êtes-vous arrivés à la conclusion qu'une "sorte de rouille" et une récente vague de départs à la retraite sont à l'origine d'une "augmentation" des quasi-collisions et des quasi-accidents dans les aéroports de notre pays ? La FAA et le DOT ont-ils examiné et enquêté sur la santé et la forme physique de toutes les personnes impliquées dans de tels incidents, y compris les contrôleurs aériens (qui étaient auparavant soumis au mandat de vaccination de l'administration Biden pour les employés fédéraux) ?
La FAA enquêtera-t-elle de manière approfondie sur le nombre croissant de cas de pilotes qui ont signalé des événements indésirables graves à la suite de leurs vaccinations contre le COVID-19, et utilisera-t-elle les résultats de cette enquête comme base pour mettre à jour et réviser ses directives relatives au vaccin COVID-19 pour les pilotes, cabine l'équipage et tous les employés de l'industrie aéronautique ?
Voulez-vous, le DOT et la FAA, répondre à la question de savoir pourquoi la FAA, jusqu'à présent, n'a pas rendu public tous les détails sur les incidents impliquant des pilotes incapables et/ou des pilotes blessés par des vaccins ?
Le DOT et la FAA continueront-ils de recommander aux pilotes et aux travailleurs de l'industrie aéronautique de recevoir les vaccins et les rappels COVID-19 malgré la reconnaissance par la FAA, dans au moins un cas impliquant un pilote, d'une "possible" myocardite induite par le vaccin ?
La FAA fournira-t-elle toutes les preuves utilisées comme base pour ses récentes mises à jour (octobre 2022 et janvier 2023) du Guide for Medical Examiners de l'agence, en particulier concernant les modifications apportées aux lignes directrices concernant le syndrome de Guillain-Barré (point 46) et le premier- bloc AV de degré et l'intervalle PR acceptable (articles 36 et 58) et retirer sa déclaration selon laquelle ce changement a été effectué en 2017 alors que la documentation de la FAA jusqu'en 2022 indique le contraire ? Et l'agence expliquera-t-elle pourquoi les modifications apportées aux directives relatives au bloc AV et à l'intervalle PR s'écartent de celles reconnues, jusqu'à aujourd'hui, par l'Organisation de l'aviation civile internationale (OACI) et des experts médicaux reconnus ? Ces modifications (aux éléments 36, 46 et 58) ont-elles été apportées en réponse aux blessures liées au vaccin COVID-19 ?
La FAA fournira-t-elle une explication satisfaisante de la raison pour laquelle elle a enfreint ses propres directives établies en recommandant fortement aux pilotes, aux employés de l'industrie aéronautique et à leurs employeurs de recevoir les vaccins COVID-19 délivrés dans le cadre de l'EUA et sur le marché depuis moins de 12 mois ?
RépondreSupprimerLa FAA expliquera-t-elle pourquoi elle continue de recommander les vaccins EUA alors qu'il existe (soi-disant) des alternatives entièrement sous licence FDA maintenant disponibles, telles que Pfizer's Comirnaty, et pourquoi l'agence recommande toujours des vaccins, tels que Johnson & Johnson (Janssen) COVID-19 vaccin, dont on a constaté qu'ils étaient liés à une incidence accrue de thrombose et de syndrome de Guillain-Barré ? Sur quelle base et sur quelles preuves l'agence a-t-elle pris ces décisions politiques ?
Le DOT et la FAA s'engageront-ils à maintenir deux pilotes dans le cockpit des vols passagers, commerciaux et cargo aux États-Unis dans le cadre de la prochaine réautorisation de la FAA ? L'histoire de l'aviation — même au-delà des récents incidents d'incapacité de pilote — démontre les dangers d'avoir un seul pilote en bonne santé dans le cockpit, et pire encore, les cas où un vol passager a été laissé sans pilote à la suite de l'incapacité des deux pilotes — un risque qui augmenter avec un seul pilote dans le cockpit pour commencer. Prenez, par exemple, le crash délibéré du vol 4U 9525 de Germanwings en mars 2015, où le premier officier a enfermé le commandant de bord hors du cockpit après que ce dernier a vraisemblablement pris une pause dans la salle de bain, puis a procédé à la modification des commandes de vol pour faire intentionnellement voler le vol dans le sol,Tous les passagers et l'équipage ont été tués.
La FAA donne-t-elle la priorité au « maintien des pilotes en l'air » au détriment de la sécurité des pilotes, des passagers et du public ? Ici, je fais référence aux remarques faites dans une interview d'août 2021 avec Courtney Scott, DO, MPH, publiée dans le Federal Air Surgeon's Medical Bulletin . Dans cette interview, Scott a déclaré :
«Il y a eu un changement dans l'objectif des normes de médecine aérospatiale d'empêcher les aviateurs souffrant de certaines conditions médicales de voler, pour permettre à certains aviateurs souffrant de certaines conditions médicales de voler après avoir atténué les risques. Cette atténuation, que nous pouvons appeler la gestion des maladies aéromédicales, est ce qui rend le rôle des AME [médecins examinateurs de l'aviation] si important, aidant à identifier et à évaluer les risques.
« Les TEA sont essentiels pour recruter et garder des pilotes dans les airs. À l'occasion, les pilotes peuvent voir les TEA comme un adversaire parce que parfois, dans l'esprit d'un pilote, le but d'un TEA est de l'empêcher de voler. Cette attitude va de pair avec l'ancien objectif aéromédical de ne permettre à personne de voler s'il a certaines conditions médicales. Maintenant, l'objectif est de faire voler le pilote s'il peut le faire en toute sécurité.
RépondreSupprimerCes déclarations suggèrent fortement que la priorité de la FAA est de "maintenir les pilotes en vol" s'ils "peuvent le faire en toute sécurité" - ignorant cependant que de nombreuses maladies cardiaques, telles que la myocardite, ne présentent souvent aucun symptôme jusqu'à ce que la catastrophe se produise.
Pourquoi la FAA et le DOT, en collaboration avec le DOJ [US Department of Justice], accordent-ils toujours la priorité à l'appel de la décision d'annuler le mandat fédéral de masque de transport au détriment des problèmes relatifs aux pilotes incapables et aux pilotes blessés par le vaccin ? De plus, pourquoi la FAA et le DOT continuent-ils à poursuivre un mandat de masque alors qu'un nombre croissant d'études et de méta-études, dont une publiée en janvier par la très réputée et respectée Cochrane Review, ont révélé que les mandats de masque "ne faisaient que peu ou pas de différence" pour ralentir la propagation du COVID-19 ? – et également à la lumière de l'exemple de la Suède, un pays qui a évité les contre-mesures strictes contre le COVID-19 telles que les verrouillages et les mandats de masque, et qui a enregistré l'un des niveaux les plus bas de décès excessifs au mondeet beaucoup moins de décès par COVID-19 par million de personnes que les États-Unis et d'autres pays avec des mesures sévères (dont la France, la Belgique, l'Italie, l'Argentine, la Russie, le Portugal, l'Espagne) ?
La FAA répondra-t-elle aux demandes FOIA [Freedom of Information Act] de CHD, sans retard ni expurgation inutile en dehors des limites de ce que la loi prévoit ?
Lire la lettre ici :
https://childrenshealthdefense.org/wp-content/uploads/RFK-Jr.-Buttigieg-Letter-March-29-2023.pdf
https://www.globalresearch.ca/rfk-jr-buttigieg-airline-safety-not-partisan-issue-faa-must-investigate-spike-pilot-health-emergencies/5814339
DÉPOPULATION : Plus de 2 millions de décès supplémentaires enregistrés dans le monde depuis le déploiement des injections de covid-19
RépondreSupprimervendredi 31 mars 2023
par : Lance D. Johnson
(Natural News) L'opération Warp Speed (OWS) ne sauve pas de vies. Les données sur les décès en excès confirment que le contraire se produit en 2021 et 2022. Depuis le déploiement d'urgence des injections de covid-19, plus de 2 millions de décès EXCESS ont été enregistrés dans le monde. Les É. 2021. En fait, la plupart des populations adultes "entièrement vaccinées" sont plus susceptibles de contracter le covid-19, de tomber malade et de mourir. Bien que les vaccins contre le covid-19 ne soient pas le seul vecteur à détruire le système immunitaire des gens et à les tuer, ils en sont évidemment la force motrice.
- voir graph sur site -
Ces statistiques de décès excédentaires sont compilées à partir de bases de données gouvernementales du monde entier, notamment l'Office for National Statistics, l'Australian Bureau of Statistics, les Centers for Disease Control, l'Organisation de coopération et de développement économiques et l'Euro MOMO.
L'opération Warp Speed était un programme de dépeuplement
L'urgence pandémique du covid-19 qui a été artificiellement construite pendant plus de trois ans, n'est rien en comparaison de la VRAIE URGENCE qui n'a pas été déclarée au cours de la dernière décennie. Les expériences de vaccins détruisent la vie des gens, nuisent à leur système cardiovasculaire, déciment leur système immunitaire et détruisent l'immunité collective, parmi d'innombrables autres méfaits.
Au lieu d'améliorer la réponse immunitaire innée, les injections de covid-19 ont affaibli la réponse immunitaire individuelle, provoquant un syndrome d'immunodéficience induite par le vaccin. Lorsque le gouvernement et les responsables de la santé publique parlent de la baisse de l'efficacité du vaccin et lorsqu'ils recommandent de nouveaux rappels, ils admettent en réalité que le vaccin endommage votre système immunitaire, vous rendant plus sensible à toutes les infections, y compris les mutations perpétuelles du coronavirus. Cette suppression du système immunitaire est également liée à une production ou à une formation accrue de tumeurs, à une thrombocytopénie immunitaire et à une myocardite.
Depuis que les premiers vaccins ont obtenu l'autorisation d'utilisation d'urgence (EUA), des taux de mortalité excédentaires astronomiques se sont poursuivis aux États-Unis, au Canada, en Australie, en Nouvelle-Zélande, au Royaume-Uni et dans vingt-six autres pays européens, tout au long de la semaine 49 de 2022.
Les données britanniques montrent que les vaccins covid-19 provoquent une pandémie de nouvelles infections, deux fois plus de décès que les non vaccinés
RépondreSupprimerLes données du Royaume-Uni montrent que les «entièrement vaccinés» sont plus susceptibles de mourir du covid-19 car les performances du système immunitaire des populations diminuent de semaine en semaine. Alors que des gains d'immunité à court terme sont observés deux mois après l'injection de covid-19, ces gains sont rapidement perdus et aggravés au fil des mois consécutifs.
Selon le rapport de surveillance des vaccins de l'UKHSA pour la semaine 5 de 2022, les doubles et triples vaccinés étaient deux à quatre fois plus susceptibles de contracter le covid-19 pour tous les groupes d'âge. Bien qu'ils aient été contraints de passer une part disproportionnée de tests covid-19, les personnes non vaccinées étaient moins susceptibles de contracter la maladie et d'être hospitalisées.
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Le rapport a examiné de plus près les performances du système immunitaire entièrement vacciné en Angleterre par rapport au système immunitaire naturel de la population non vaccinée. Il n'y avait aucune efficacité mesurable pour le vaccin dans tous les groupes d'âge ! En fait, l'efficacité du vaccin est tombée en territoire négatif pour tous les adultes.
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Lorsque le rapport a examiné l'efficacité du vaccin contre la mort en Angleterre, seuls deux groupes d'âge étaient légèrement protégés (18-29 ans et 40-49 ans). Tous les autres groupes d'âge vaccinés étaient plus susceptibles de mourir. Dans l'ensemble, les 18 à 80 ans qui ont été complètement vaccinés ont souffert d'une efficacité vaccinale de -98,14 % lors de la mesure de la catégorie statistique la plus importante : la mort.
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Les taux de mortalité du covid-19 en Angleterre pour 100 000 personnes étaient similaires chez les non vaccinés et les doubles vaccinés pour le groupe d'âge 18-29 ans et le groupe d'âge 40-49 ans, de sorte que le vaccin n'a eu aucun effet notable sur le taux de survie des jeunes adultes. Le taux de mortalité chez les personnes âgées, cependant, était considérablement pire chez les personnes entièrement vaccinées. Les personnes âgées de trois groupes d'âge (60-69), (70-79) et (80+) ont montré que les personnes âgées étaient deux fois plus susceptibles de mourir si elles étaient complètement vaccinées.
Sources include:
Expose-News.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2023-03-31-2-million-excess-deaths-recorded-globally-covid-19-injections.html
Une étude de masque implosant la collaboration Cochrane dans la dernière débâcle
RépondreSupprimerPar le Dr Joseph Mercola
Mercola.com
1 avril 2023
La base de données Cochrane des revues systématiques (CDSR) a longtemps été considérée comme une référence en matière de recherche, car ses revues prennent en compte toutes les preuves empiriques disponibles pour tirer des conclusions sur un sujet donné. Une revue systématique est essentiellement une « étude d'études », qui peut générer « des informations faisant autorité et fiables ».1
Leurs revues sont ensuite mises à jour toutes les quelques années pour s'assurer qu'elles reflètent les dernières recherches2 et sont considérées comme des outils décisionnels précieux pour les chercheurs, les travailleurs de la santé et les décideurs.
Malheureusement, la réputation impartiale de Cochrane a été ternie et sa rédactrice en chef, Karla Soares-Weiser, semble s'être vendue au récit grand public, allant jusqu'à jeter ses propres chercheurs sous le bus dans le processus. Tout remonte à une étude sur les masques – l'un des sujets les plus controversés de la pandémie.
Une revue Cochrane révèle que les masques ne valent rien
Une équipe de chercheurs dirigée par Tom Jefferson de l'Université d'Oxford étudie les «interventions pour l'interruption ou la réduction de la propagation des virus respiratoires» depuis 2006. À partir de 2010, ils ont commencé à se concentrer sur les «interventions physiques», y compris le dépistage à ports d'entrée, isolement, quarantaine, distanciation physique, protection personnelle, hygiène des mains, masques faciaux, lunettes et gargarisme — pour prévenir la transmission des virus respiratoires.3
La revue a été mise à jour en 2011, 2020 et à nouveau en 2023.4 La dernière mise à jour a ajouté 11 nouveaux essais contrôlés randomisés (ECR) et ECR en grappes, dont six ont été menés pendant la pandémie de COVID-19, pour un nombre total de 78 ECR examinés. En termes de masques médicaux et chirurgicaux, l'équipe a trouvé des "preuves de certitude modérée" qu'ils sont inutiles par rapport à l'absence de masques :5
«Le port de masques dans la communauté ne fait probablement que peu ou pas de différence sur le résultat d'un syndrome grippal (SG) / d'une maladie de type COVID-19 par rapport au non-port de masques… Le port de masques dans la communauté ne fait probablement que peu ou pas de différence sur le résultat de grippe/SRAS-CoV-2 confirmés en laboratoire par rapport à l'absence de masque. »
Même dans le cas des respirateurs N95 et P2, aucun avantage clair n'a été trouvé. Dans le résumé en langage simple de l’étude, il est noté :6
«Quatre études portaient sur des travailleurs de la santé et une petite étude portait sur la communauté. Par rapport au port de masques médicaux ou chirurgicaux, le port de respirateurs N95/P2 ne fait probablement que peu ou pas de différence dans le nombre de personnes ayant confirmé la grippe (5 études ; 8 407 personnes) ; et peut faire peu ou pas de différence dans le nombre de personnes qui attrapent une maladie pseudo-grippale (5 études ; 8407 personnes) ou une maladie respiratoire (3 études ; 7799 personnes).
RépondreSupprimerL'éditeur de Cochrane qualifie l'étude de masque d'"inexacte et trompeuse"
Pendant la pandémie, vous vous en souvenez peut-être, la pensée magique concernant les masques a créé l'un des débats les plus polarisés de l'histoire des États-Unis et a conduit à ce que les "anti-masques" soient étiquetés comme des "tueurs de grand-mère". résultats.
Fidèle à lui-même, le New York Times s'est impliqué et la chroniqueuse Zeynep Tufekci a publié un article d'opinion intitulé "Voici pourquoi la science est claire que les masques fonctionnent"8 en réfutation et une réfutation vidéo que vous pouvez voir ci-dessous.
"Tufekci a fait valoir que malgré l'absence de données de haute qualité, nous pouvions conclure, sur la base de preuves médiocres, que les masques fonctionnent", Maryanne Demasi, Ph.D., ancienne scientifique médicale à l'Université d'Adélaïde et ancienne journaliste pour ABC News en Australie, signalé sur Substack. "Tufekci a également contacté Cochrane pour obtenir des commentaires et a vraisemblablement fait pression sur Cochrane pour qu'elle publie une déclaration sur son site Web."9
Dans la déclaration, Soares-Weiser, rédacteur en chef de Cochrane, a déclaré que la conclusion selon laquelle « les masques ne fonctionnent pas » est une « interprétation inexacte et trompeuse » et qu'ils « s'engageaient avec les auteurs de la revue dans le but de mettre à jour le langage clair Résumé et résumé. »10 « La déclaration de Cochrane a été largement interprétée comme des « excuses » et, dans certains cas, les tweeters11 ont cru que l'examen était « retiré » », a expliqué Demasi.12
Auteurs : nous ne modifions pas les avis en fonction de « ce que les médias veulent »
Demasi a parlé avec l'auteur principal Jefferson de la déclaration inattendue. "C'était bouleversant", a déclaré Jefferson. « Cochrane a de nouveau jeté ses propres chercheurs sous le bus. Les excuses présentées par Cochrane proviennent de Soares-Weiser, et non des auteurs de la revue. »13
Demasi a également interviewé Jefferson après la publication initiale de l'étude sur les masques, et il a été clair sur ses conclusions, déclarant: «Il n'y a tout simplement aucune preuve qu'ils fassent une différence. Point final. »14
Notant qu'il n'y avait pas beaucoup de changement dans les résultats de l'examen de 2020 à 2023, Jefferson a déclaré que l'étude était prête à être publiée au début de 2020, alors que la pandémie commençait, "mais Cochrane l'a retardée pendant sept mois avant qu'elle ne soit finalement publié en novembre 2020. Ces sept mois ont été cruciaux. Pendant ce temps, c'était quand la politique sur les masques était en train d'être formée. Notre examen était important et il aurait dû être publié. »15
Il pense que Cochrane a intentionnellement retardé la publication de l'étude sur les masques jusqu'à ce qu'elle puisse masser les résultats pour qu'ils correspondent au récit selon lequel les masques fonctionnent :16
"Pour une raison inconnue, Cochrane a décidé qu'il avait besoin d'un examen supplémentaire par les pairs" . Et puis ils nous ont forcés à insérer des phrases textuelles inutiles dans la revue comme "cette revue ne contient aucun essai sur le covid-19", alors qu'il était évident pour quiconque lisant l'étude que la date limite était janvier 2020.
RépondreSupprimer… Au cours de ces 7 mois, d'autres chercheurs de Cochrane ont produit des travaux inacceptables, en utilisant des études inacceptables, qui ont donné la "bonne réponse".
Cette fois-ci, Jefferson et ses collègues n'ont pas l'intention de laisser Cochrane les intimider pour qu'ils modifient les résultats de leur étude afin d'apaiser les médias. Il a dit à Demasi :17
«Nous avons décidé d'écrire à la direction de Cochrane et de nous plaindre de la manière dont cela a été géré… Dans ce cas, Soares-Weiser est sorti des voies normales et a pris des décisions sans aucune consultation avec les auteurs de la revue. C'est inadmissible.
… Je contacterai également le New York Times à propos de l'article où Tufekci a utilisé sa plate-forme pour attaquer ma crédibilité. Elle a mentionné mon nom six fois dans son article, malgré la présence de plusieurs auteurs dans la revue Cochrane.
Elle n'a aucun antécédent de publication de recherches originales sur les maladies respiratoires aiguës, et il semble que si elle n'aime pas ce qu'il y a dans la revue, c'est la saison ouverte aux scientifiques… Nous sommes les détenteurs des droits d'auteur de la revue, nous décidons donc ce qui y est inclus. ou hors de l'examen. Nous ne modifions pas nos critiques en fonction de ce que veulent les médias.
Cochrane écrasé sous le poids de l'argent de Bill Gates
Lorsque vous êtes l'une des personnes les plus riches du monde, vous pouvez acheter pratiquement tout ce que vous voulez, y compris le contrôle des médias et du milieu universitaire. Dans le passé, la Fondation Bill & Melinda Gates (BMGF) finançait le placement de messages « éducatifs » dans des émissions de télévision populaires telles que « ER », « Law & Order : SVU » et « Private Practice », y compris des sujets tels que le VIH. la prévention, la sécurité chirurgicale et la propagation des maladies infectieuses, c'est-à-dire les vaccinations.18
En 2006, la Fondation Bill & Melinda Gates (BMGF) a également accordé une subvention de 1,15 million de dollars à Cochrane pour «soutenir le développement du système de preuves de nouvelle génération de Cochrane, avec un accent particulier sur la santé maternelle et infantile… une composante majeure de la technologie plus large de Cochrane. programme de développement conçu pour relever le défi des données de santé toujours plus nombreuses. »19
Quant à savoir pourquoi la BMGF et d'autres fondations qui ont financé Cochrane pourraient avoir été intéressées par cette entreprise, Children's Health Defence a rapporté :20
"[L]es fonds ciblés des fondations semblent aider Cochrane à construire un" système de preuves de nouvelle génération "qui utilisera les avancées technologiques et l'apprentissage automatique pour maximiser l'impact du" Big Data ".
La vaccination est l’un des domaines politiques où le déploiement du Big Data est accueilli avec le plus d’enthousiasme, les chercheurs saluant le potentiel du Big Data pour rationaliser la livraison de « vaccins conçus de manière rationnelle » et pour « suivre le succès des campagnes de vaccination »…
La BMGF promeut activement le Big Data en tant qu'outil de vaccination dans le monde en développement, où il peut "suivre les pandémies" et aider les agents de vaccination à "déterminer quel pourcentage d'une région ils ont immunisé contre une maladie".
En 2018, une revue Cochrane du vaccin contre le papillomavirus humain (VPH)21 a été fortement critiquée pour les conflits d'intérêts des auteurs, dont le Dr Lauri Markowitz, un employé du CDC impliqué dans le programme de vaccination contre le VPH.
RépondreSupprimerDans une réponse rapide du BMJ, il a en outre été noté : « La Fondation Bill et Melinda Gates a été très influente dans la promotion de la vaccination contre le VPH. En ce qui concerne l'examen du vaccin contre le VPH de Cochrane, Cochrane a un conflit d'intérêts dans la mesure où elle est bénéficiaire du financement de la Fondation Bill & Melinda Gates. »22 Children's Health Defence a ajouté :23
«Une… revue Cochrane très favorable au vaccin contre le virus du papillome humain (VPH) – l'un des vaccins les plus désastreux jamais mis sur le marché – suggère que les fondations en ont pour leur argent.
Malgré de nombreuses indications selon lesquelles les fabricants ont utilisé de faux placebos et d'autres gadgets statistiques pour masquer les risques graves des vaccins contre le VPH, et des preuves de plus en plus nombreuses d'autres « pratiques trompeuses… » [l'examen] des vaccins contre le VPH n'a signalé aucun risque accru d'effets indésirables graves et a conclu que les décès rapportés dans les études sur le VPH "ont été jugés comme n'étant pas liés au vaccin".
Ces conclusions ont probablement été bien accueillies par… BMGF, qui a soutenu l'introduction du vaccin contre le VPH dans le monde entier.
Le fondateur de Cochrane expulsé pour ne pas avoir suivi le dogme Vax
Qu'il suffise de dire que même des organisations de recherche «de référence» comme Cochrane ont été infiltrées par des mondialistes cherchant à approfondir leur récit de domination mondiale - y compris le port de masques. En cas de doute, considérez l'histoire du professeur Dr Peter Gøtzsche, un médecin-chercheur danois qui a cofondé la Cochrane Collaboration en 1993.
La réputation de Cochrane est restée remarquablement sans tache jusqu'en 2018, lorsque les chercheurs affiliés à Gøtzsche et Cochrane, Lars Jørgensen et Jefferson - de l'étude sur les masques en vedette - ont publié une critique cinglante de l'examen par Cochrane du vaccin contre le VPH, soulignant les défauts méthodologiques et les conflits d'intérêts .24
Gøtzsche a ensuite été expulsé par le conseil d'administration de Cochrane, le conseil insistant sur le fait que sa destitution était due à "l'utilisation abusive répétée de l'en-tête officiel pour épouser des opinions personnelles" et non à sa critique de l'examen du VPH de Cochrane.25 Quatre membres du conseil (Dr Gerald Gartlehner , David Hammerstein Mintz, Joerg Meerpohl et Nancy Santesso) ont démissionné pour protester contre la destitution de Gotzsche du conseil d'administration26.
Dans l'état actuel des choses, Demasi suggère que Cochrane pourrait être un navire en train de couler, un navire qui poursuit sa tradition de succomber à la pression sur des conclusions scientifiques controversées, même si elles sont solides. Jefferson, quant à lui, a déclaré à Demasi que l'attaque de l'éditeur contre l'étude sur les masques pourrait se retourner contre lui :27
"Je pense que Soares-Weiser a fait une erreur colossale. Cela envoie le message que Cochrane peut subir des pressions de la part des journalistes pour modifier leurs critiques. Les gens pourraient penser que s'ils n'aiment pas ce qu'ils lisent dans une revue Cochrane parce que cela contredit leur dogme, ils peuvent obliger Cochrane à modifier la revue. Cela a créé un dangereux précédent.
Sources and References
RépondreSupprimer1, 20, 23 Children’s Health Defense June 5, 2018
2 Cochrane Database of Systematic Reviews, About
3, 5 Cochrane Database of Systematic Reviews, Physical interventions to interrupt or reduce the spread of respiratory viruses, January 30, 2023
4 Cochrane Database of Systematic Reviews, Physical interventions to interrupt or reduce the spread of […], January 30, 2023, Version History
6 Cochrane Database of Systematic Reviews, Physical interventions to interrupt or reduce the spread of […], January 30, 2023, Plain language summary
7 Steve Kirsch Newsletter November 7, 2021
8 The New York Times March 10, 2023
9, 12, 13, 17, 27 Substack, Maryanne Demasi March 15, 2023
10 Cochrane, Statement on ‘Physical interventions to interrupt or reduce the spread of respiratory viruses’ review March 10, 2023
11 Twitter, Maryanne Demasi March 15, 2023
14, 15, 16 Substack, Maryanne Demasi February 5, 2023
18 Philanthropy News Digest April 3, 2009
19 Cochrane, Cochrane announces support of new donor, September 22, 2016
21 Cochrane Database Syst Rev. 2018 May 9;5(5):CD009069. doi: 10.1002/14651858.CD009069.pub3
22 BMJ 2018; 362 doi: https://doi.org/10.1136/bmj.k3472
24 BMJ Evidence-Based Medicine 2018;23:165-168
25 STAT News September 28, 2018
26 Cochrane.org September 15, 2018
https://www.lewrockwell.com/2023/04/joseph-mercola/mask-study-imploding-cochrane-collaboration-in-latest-debacle/
Rappelez-vous le Dr Hodges !
RépondreSupprimerThéodore Dalrymple
31 mars 2023
Rappelez-vous le Dr Hodges !
Le courriel le plus touchant que j'ai jamais reçu provenait d'un éminent philosophe de ma connaissance. "Tout va bien", écrit-il, "sauf que je suis en train de mourir".
Il n'était pas le genre d'homme à écrire une telle chose à moins que ce ne soit vrai, et il mourut en effet trois mois plus tard, d'un cancer. Il avait quelques années de plus que moi et est mort sept ans plus jeune que moi au moment où j'écris ceci. Il est mort sans bruit, dignement, comme j'espère mourir ; l'ars moriendi, l'art de mourir, est peu étudié de nos jours.
La nature ne récompense pas toujours la longévité comme une médaille pour service méritoire. Moi, par exemple, je n'ai rien fait pour mériter au moins sept ans de vie de plus que mon ami philosophe, et il n'a rien fait non plus pour mériter au moins sept ans de moins. "Pourquoi moi ?" est une question que se posent les personnes qui ont fait attention à leur santé, en particulier celles qui ont suivi les derniers conseils diététiques (et qui de surcroît ont absorbé des quantités souvent héroïques de curcuma, myrtilles, huile de poisson, noix, brocoli, vitamine C, etc.), lorsqu'il est frappé, apparemment au hasard, par une maladie mortelle. Ils ont toujours vécu sainement et pourtant sont injustement attaqués par une maladie mortelle ! La seule réponse qui puisse vraiment être donnée dans l'état actuel des connaissances à la question « pourquoi moi ? est "Pourquoi pas ?"
"Nous aurions honte de la force ridicule de notre réponse émotionnelle à quelque chose d'insignifiant par rapport aux problèmes du Dr Hodges."
J'ai frôlé la mort à quelques reprises, mais dans l'ensemble, j'ai eu de la chance. Il y a des gens qui semblent attirer la malchance comme la confiture attire les guêpes. J'ai eu au moins deux exemples récemment. L'un était un ancien collègue à moi qui est décédé, encore une fois à l'âge de sept ans mon cadet, dont la femme avait développé une démence évoluant rapidement à un âge précoce et dont la fille était handicapée mentalement. Le fils d'une autre de mes connaissances vient de mourir dans la quarantaine d'un deuxième cancer, le premier ayant eu lieu dans la petite enfance. Son mari était mort dans la cinquantaine d'une tumeur au cerveau, et elle est laissée seule.
Sans doute existe-t-il une répartition normale de la bonne et de la mauvaise chance de ce genre qui ne tient pas compte du désert. Bien sûr, il y a ceux qui se mettent en quatre par leurs habitudes déconseillées pour se rendre malades, mais l'adhésion la plus stricte aux nostra bienfaisants (qui, bien sûr, sont susceptibles de changer, selon la mode sinon l'évidence) ne suffit pas. ne garantit pas une longue survie. Surtout, il est conseillé, bien que cela ne puisse être arrangé par ceux qui pourraient en bénéficier, d'être né de parents de longue durée, car la longévité - et son contraire, la mort précoce - est dans les familles. Nous devons apprendre à distinguer ce qui peut être modifié de ce qui ne peut pas l'être, car si les frontières de l'inaltérable s'éloignent progressivement et si ce qui semblait autrefois inévitable ne l'est plus, ces frontières, contrairement à celles de l'accord de Schengen en Europe, ne cesseront jamais tout à fait exister. Accepter ce qui doit être supporté est aussi important que de ne pas accepter comme un simple destin un mal évitable. La difficulté est de distinguer l'évitable de l'inévitable, ce qui nécessite à la fois un savoir et une sagesse qui ne vont pas toujours ensemble.
RépondreSupprimerQuoi qu'il en soit, lorsque je rencontre une de ces personnes qui semblent s'attirer des malheurs en série sans que ce soit de leur faute (combien de fois je les ai rencontrées dans la pratique médicale !), j'ai ressenti une sorte de culpabilité particulière, non pas que j'étais responsable d'aucun de leurs malheurs, mais que je continuais à me plaindre, parfois amèrement, des petits désagréments consécutifs à l'existence humaine.
Il y a des années, ma femme et moi avons voyagé en Haïti. C'était la deuxième fois que je venais dans ce pays tragique, et même si cela ne m'avait paru guère possible lors de ma première visite, les conditions générales s'étaient entre-temps détériorées. Au dire de tous, ils sont infiniment pires maintenant.
Lors de ma première visite, j'ai rencontré un médecin missionnaire américain, le Dr William Hodges, qui était aussi un archéologue amateur mais accompli qui, entre autres, avait trouvé un site de débarquement des Espagnols sur Hispaniola, et avait fondé un petit musée de premiers artefacts. Le Dr Hodges avait consacré sa vie à Haïti.
Je m'étais présenté à sa mission sans y être invité et sans m'annoncer, mais lui et sa famille m'ont offert une généreuse hospitalité, et le lendemain matin, le Dr Hodges m'a fait visiter le musée. Lors de mon deuxième voyage en Haïti, j'ai pensé que ce serait une bonne idée de lui rendre visite à nouveau.
Ce n'était pas une bonne idée. Le Dr Hodges, maintenant âgé de 70 ans, avait espéré prendre sa retraite, mais le besoin était si désespéré maintenant que nous l'avons trouvé entouré de centaines de patients, parmi lesquels il essayait de sélectionner ceux qui avaient le plus besoin d'attention. Notre arrivée fut une intrusion malvenue, et nous nous retirâmes de la scène, quelque peu embarrassés par notre propre légèreté.
Le Dr Hodges avait l'air complètement, chroniquement épuisé par son travail, gris sous le soleil tropical, et, hélas, n'avait pas longtemps à vivre, mourant d'une crise cardiaque, je suppose provoquée par le surmenage à un âge avancé (bien que moins avancé que le mien maintenant ).
RépondreSupprimerJe ne partageais pas ses convictions religieuses, mais j'admirais son travail et son abnégation, et j'ai été scandalisé lorsque j'ai lu dans un livre sur Haïti une accusation désinvolte selon laquelle il était un agent américain. Comme il est facile à ceux qui ne sacrifient rien pour les autres d'accuser ceux qui le font d'arrière-pensées !
Lorsque nous sommes revenus d'Haïti pour reprendre notre vie normale, ma femme et moi nous disions : « Souvenez-vous du Dr Hodges ! quand nous avons été confrontés à un petit problème irritant. Cela mettrait la question en perspective pour un moment, et nous aurions honte de la force ridicule de notre réponse émotionnelle à quelque chose d'insignifiant en comparaison avec les problèmes du Dr Hodges. Bien que se souvenir de lui ait eu un effet salutaire, cela n'a duré qu'un instant et il y aurait toujours une prochaine fois où nous devions nous souvenir à nouveau du Dr Hodges.
Il est difficile - impossible serait probablement une façon plus précise de le dire - de toujours compter ses bénédictions, aussi grandes soient-elles. Néanmoins, il est important d'essayer de le faire au moins par intermittence, sinon on les perdrait complètement de vue et on céderait à l'apitoiement sur soi, l'une des rares émotions qui peuvent durer, et qui durent souvent, toute une vie.
Le dernier livre de Theodore Dalrymple est Ramses: A Memoir, publié par New English Review.
https://www.takimag.com/article/remember-dr-hodges/
Poursuite contre Pfizer et approbation d'urgence du vaccin à ARNm devant la Haute Cour sud-africaine
RépondreSupprimer1 avril 2023
du Dr. Peter F. Mayer
Le principal cardiologue britannique d'origine indienne, Aseem Malhotra, fait partie d'un groupe d'experts internationaux qui ont approché la Haute Cour d'Afrique du Sud pour demander un contrôle judiciaire urgent des vaccins ARNm-COVID de Pfizer, qui, selon lui, sont nocifs.
Les avocats représentant le groupe de défense des droits Freedom Alliance of South Africa (FASA) ont déclaré que la poursuite avait été déposée lundi devant la Haute Cour d'Afrique du Sud, division de Gauteng, Pretoria, avec une analyse de données réelles la reliant à l'augmentation du nombre de décès dus aux deux COVID et les causes non COVID parmi les vaccinés par rapport aux non vaccinés.
La FASA a approché le tribunal pour examiner et annuler l'approbation des produits vaccinaux de Pfizer, affirmant que l'approbation était "illégale".
En cas de succès, cela devrait entraîner le retrait des vaccins à ARNm COVID du marché sud-africain et avoir également des implications mondiales.
« Après un examen critique de la littérature et des données de l'étude Pfizer, les preuves sont claires », a déclaré Malhotra.
" Pour l'écrasante majorité des gens, le vaccin ARNm COVID de Pfizer est nettement plus nocif que bénéfique et n'aurait probablement jamais dû être approuvé pour une administration à un seul humain", a déclaré Malhotra, qui a lui-même reçu deux doses du vaccin de Pfizer et prend désormais en charge l'affichage .
" Je trouve alarmant que les régulateurs locaux encouragent la vaccination des jeunes enfants dans ces circonstances. À mon avis, le lancement des vaccins Pfizer devrait être interrompu jusqu'à ce qu'il y ait une enquête complète sur la façon dont cette grosse erreur s'est produite. C'est sans aucun doute une démarche responsable et éthique », a déclaré le médecin et scientifique.
L'affaire de la FASA, l'une des premières du genre, sera supervisée par l'avocate Erin-Dianne Richards, conseillée par Daniel Eloff de Hurter Spies Incorporated en Afrique du Sud, et sera soutenue par d'éminents experts médicaux et scientifiques du monde entier.
RépondreSupprimerMalhotra, l'un des partisans, estime que l'affaire est « fondée factuellement, médicalement et scientifiquement ».
docteur Herman Edeling, un neurochirurgien avec plus de 40 ans d'expérience, déclare dans l'affidavit que le vaccin à ARNm administré en Afrique du Sud sous le nom de Comirnaty "n'aurait jamais dû être qualifié de 'sûr' et 'efficace' " .
Les demandeurs dans ce dossier demandent à Pfizer d'expliquer leur conduite ; ils appellent les régulateurs et le gouvernement sud-africains à tenir Pfizer responsable et à agir dans le meilleur intérêt du public sud-africain et ils demandent humblement à cette honorable Cour de les aider à faire respecter ces exigences dans l'intérêt de la santé du public sud-africain » , a déclaré Edeling.
L'avis de la demande a été enregistré lundi par les autorités judiciaires sud-africaines et la FASA espère annoncer une date d'audience en temps voulu.
Dans une interview, Aseem Malhotra explique le procès et pourquoi le vaccin Pfizer est nocif :
- voir clip sur site :
https://tkp.at/2023/04/01/klage-gegen-pfizer-und-notfallgenehmigung-des-mrna-impfdstoffes-beim-high-court-in-suedafrika/
Le comté de Los Angeles met fin à l'urgence COVID-19 après 3 ans
RépondreSupprimerPar Jamie Joseph
31 mars 2023
Après trois ans d'urgence COVID-19 en place dans le comté le plus peuplé du pays, Los Angeles a mis fin à sa déclaration d'urgence le 31 mars.
Le comté a déclaré pour la première fois une urgence locale le 4 mars 2020, ce qui a entraîné une vague de restrictions et de fermetures d'entreprises dans les semaines qui ont suivi, alors que des ordonnances rigoureuses d'abris sur place ont été mises en œuvre pour atténuer la propagation du virus.
Le département de la santé publique du comté offrira toujours gratuitement des vaccins, des tests et des traitements COVID-19, selon son site Web. L'exigence de masquage intérieur dans les espaces publics a pris fin il y a un an et la recommandation de le faire a pris fin en janvier.
Les vaccinations pour travailler dans les prisons, les prisons et les établissements de soins pour adultes ne seront plus nécessaires à partir du 3 avril.
"La santé publique surveillera attentivement ces sites pour détecter les groupes de cas et les épidémies afin de déterminer l'impact de ces changements sur la transmission du COVID-19", a déclaré le comté sur son site Web.
Les travailleurs de la santé devront toujours être vaccinés et masqués pendant qu'ils travaillent, et les individus doivent toujours s'isoler pendant au moins cinq jours après avoir contracté le COVID-19.
Selon un rapport publié en 2020 par Yelp, environ 15 000 entreprises du comté de Los Angeles ont fermé leurs portes en raison des restrictions et estiment que la moitié d'entre elles ne rouvriront jamais.
En février, le gouverneur Gavin Newsom a mis fin à l'état d'urgence en Californie qui était également en place depuis trois ans. Pendant ce temps, l'État annulera également ses exigences de vaccination et de masquage pour les travailleurs de la santé également le 3 avril.
«Avec la fin de l'état d'urgence COVID-19 en Californie, il convient de réviser notre cadre de masquage actuel. La voie à suivre pour la Californie reposera sur nos actions individuelles plus intelligentes qui produiront collectivement de meilleurs résultats pour nos quartiers, nos communautés et notre État », a déclaré le département de la santé publique de Californie dans un communiqué le 3 mars.
Les 58 comtés de l'État ont signalé de faibles taux de transmission et d'hospitalisation jusqu'à présent cette année.
Dans le comté de Los Angeles, le nombre de cas de COVID-19 est en baisse depuis janvier et est désormais à son plus bas niveau depuis juillet 2021, après le déploiement de la première vague de vaccinations et avant l'arrivée de la variante Delta.
La semaine dernière, le comté comptait en moyenne 501 cas par jour, selon le département de la santé, contre plus de 45 000 enregistrés, par exemple, un jour en janvier de l'année dernière, entraîné par la variante Omicron.
RépondreSupprimerLe président Biden a également informé le Congrès le 30 janvier de son intention d'annuler les déclarations d'urgence au niveau national et d'urgence de santé publique d'ici le 11 mai.
https://www.theepochtimes.com/los-angeles-county-ends-covid-19-emergency-after-3-years_5164943.html
La radiofréquence pulsée avec injection de stéroïdes soulage la sciatique
RépondreSupprimerpar Radiological Society of North America
28 MARS 2023
Radiofréquence pulsée guidée par tomodensitométrie (PRF) avec injection transforaminale péridurale de stéroïdes. Une femme de 62 ans a subi une PRF suivie d'une injection transforaminale péridurale de stéroïdes pour une sciatique due à une hernie discale intraforaminale contenue gauche au niveau L4-5. Crédit : Société de radiologie d'Amérique du Nord
- voir photo sur site -
Les chercheurs ont découvert qu'une procédure mini-invasive associée à un traitement par injection épidurale de stéroïdes entraînait une réduction supérieure de la douleur et une amélioration de l'invalidité sur un an chez les patients atteints de sciatique. Les résultats de l'étude ont été publiés dans Radiology. Le traitement combiné a donné de meilleurs résultats que les injections de stéroïdes seuls.
La sciatique est une douleur qui prend naissance le long du nerf sciatique, qui s'étend de l'arrière du bassin jusqu'à l'arrière de la cuisse. Le nerf sciatique est le plus gros nerf du corps. Les traitements pour soulager la douleur comprennent les médicaments anti-inflammatoires non stéroïdiens, l'application de chaleur ou de froid et l'exercice pour aider à minimiser l'inflammation. Lorsque la douleur est causée par une hernie discale lombaire, la chirurgie est souvent l'option de traitement pour soulager la douleur.
"L'objectif des soins non opératoires est de fournir les moyens les plus efficaces de résolution des symptômes, tout en évitant la nécessité d'une intervention chirurgicale", a déclaré l'auteur principal de l'étude, Alessandro Napoli, M.D., Ph.D., professeur agrégé de radiologie et d'intervention. radiologie à Policlinico Umberto I—Université Sapienza de Rome, en Italie. "Cependant, dans de nombreux cas, les approches conventionnelles sont inefficaces."
La thérapie interventionnelle mini-invasive est devenue de plus en plus populaire chez les patients atteints de sciatique qui sont devenus résistants aux traitements conservateurs. Parmi les options disponibles, l'injection péridurale transforaminale de stéroïdes (TFESI) est la seule procédure interventionnelle recommandée dans les directives cliniques. Cependant, la durée des prestations est généralement courte et des traitements supplémentaires sont souvent nécessaires.
Un autre traitement que les chercheurs ont étudié pour soulager la douleur sciatique est la radiofréquence pulsée, une procédure peu invasive dans laquelle des impulsions d'énergie provenant d'une sonde sont appliquées directement sur les racines nerveuses près de la colonne vertébrale.
Pour l'essai randomisé multicentrique, les chercheurs ont voulu déterminer la différence d'efficacité entre la radiofréquence pulsée associée au TFESI par rapport à l'injection de stéroïdes seule pour les douleurs sciatiques d'une durée de 12 semaines ou plus et ne répondant pas au traitement conservateur chez les patients atteints d'une hernie discale lombaire.
RépondreSupprimerUn total de 351 participants (223 hommes) atteints de sciatique ont été assignés au hasard pour recevoir un seul traitement par radiofréquence pulsée guidée par TDM combiné avec TFESI (174 patients) ou TFESI seul (177 patients). Les participants ont été recrutés dans deux hôpitaux universitaires tertiaires et une clinique du rachis. Toutes les procédures ont été effectuées dans une clinique externe, n'ont duré que 10 minutes et ont été réalisées sans anesthésie générale.
À quatre, 12 et 52 semaines, il y avait une plus grande réduction de la douleur dans les jambes et une plus grande amélioration de l'invalidité chez les participants qui ont reçu la radiofréquence pulsée combinée au TFESI par rapport aux participants qui n'ont reçu que l'injection de stéroïdes.
"Les résultats de notre essai démontrent qu'un traitement combiné de radiofréquence pulsée et de TFESI conduit à de meilleurs résultats à un an après une seule procédure de 10 minutes", a déclaré le Dr Napoli.
https://medicalxpress.com/news/2023-03-pulsed-radiofrequency-steroid-sciatica-relief.html
ENZAMET est prometteur dans le traitement du cancer de la prostate
RépondreSupprimerpar l'Université d'Adélaïde
28 MARS 2023
Une nouvelle combinaison de médicaments pour les hommes atteints d'un cancer avancé de la prostate a montré une augmentation soutenue des taux de survie.
Les résultats de l'essai clinique d'ENZAMET, coprésidé par le professeur Christopher Sweeney, directeur du South Australian immunoGENomics Cancer Institute (SAiGENCI) qui opère au sein de l'Université d'Adélaïde, ont été publiés aujourd'hui dans The Lancet Oncology.
Pour les personnes atteintes d'un cancer de la prostate métastatique hormono-sensible, l'ajout d'un bloqueur des récepteurs aux androgènes avec l'enzalutamide au traitement standard - suppression de la testostérone, avec ou sans chimiothérapie - a entraîné un taux de survie de 67 % après cinq ans.
Cela se compare à 57 % des personnes qui étaient en vie cinq ans après avoir reçu le traitement standard des meilleures pratiques.
ENZAMET (ANZUP 1304) est un essai collaboratif mondial initié par des chercheurs et dirigé par l'Australian and New Zealand Urogenital and Prostate Cancer Trials Group (ANZUP).
"L'analyse à plus long terme a montré que le bénéfice de l'ajout d'enzalutamide était évident dans tous les sous-groupes de patients, quel que soit le moment où le cancer s'est propagé, ou sa quantité, ou si les personnes recevaient également une chimiothérapie au docétaxel", a déclaré le professeur Sweeney.
"Ces résultats de haut niveau indiquent que l'ajout d'enzalutamide doit être considéré comme une option de traitement pour tout patient capable de le recevoir.
"Les résultats exploratoires indiquent qu'il pourrait ne pas être nécessaire d'ajouter d'autres traitements comme la chimiothérapie."
Les effets secondaires de l'ajout d'enzalutamide à la norme de soins étaient globalement similaires à ce qui a été observé avec l'enzalutamide dans les essais cliniques précédents.
Le cancer de la prostate métastatique est un cancer qui s'est propagé de la prostate à d'autres parties du corps et qui peut être observé sur les scanners conventionnels et/ou les scintigraphies osseuses.
Les patients atteints d'un cancer de la prostate métastatique hormono-sensible sont des patients qui commencent un traitement pour une maladie métastatique et répondront très probablement à la suppression de l'hormone sexuelle mâle, la testostérone.
"ENZAMET a été le premier essai à montrer un bénéfice de survie de l'ajout d'enzalutamide, et le premier à inclure des patients recevant une chimiothérapie au docétaxel en même temps", a déclaré le professeur Sweeney.
RépondreSupprimer« ENZAMET a la souplesse nécessaire pour permettre aux médecins et aux patients de décider si le docétaxel concomitant était une option appropriée pour chaque patient unique, ce qui a aidé à fournir des informations sur les patients qui bénéficient de quelle thérapie combinée à plus long terme.
"Cela n'a été possible que grâce à l'engagement des patients et des équipes de recherche dans le processus de recherche clinique."
*
Plus d'informations: Christopher J Sweeney et al, Suppression de la testostérone plus enzalutamide versus suppression de la testostérone plus traitement antiandrogène standard pour le cancer de la prostate métastatique hormono-sensible (ENZAMET): un essai international, ouvert, randomisé, de phase 3, The Lancet Oncology (2023) . DOI : 10.1016/S1470-2045(23)00063-3
Informations sur la revue : Lancet Oncology
https://medicalxpress.com/news/2023-03-enzamet-prostate-cancer-treatment.html
L'OMS déclare que les enfants et les adolescents en bonne santé n'ont PAS besoin de vaccins covid
RépondreSupprimerVendredi 31 mars 2023
par : Ethan Huff
(Natural News) Maintenant que le monde prend conscience des dangers et de l'inutilité des «vaccins» contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19), l'Organisation mondiale de la santé (OMS) recule en essayant de les pousser, au moins sur les enfants et les adolescents .
De nouvelles directives publiées sur le site Web de l'OMS indiquent que les jeunes n'ont probablement pas besoin de se faire piquer. Cette décision a été prise par le Groupe consultatif stratégique d'experts sur la vaccination de l'OMS, également connu sous le nom de SAGE, qui l'a présentée comme une "feuille de route révisée" pour l'avenir des injections de covid.
Il existe désormais trois groupes prioritaires pour les piqûres – élevé, moyen et faible – qui sont basés sur le «risque de maladie grave et de décès» lors d'un test positif pour le virus présumé. Les enfants et les adolescents sont peu prioritaires car ils sont considérés comme à faible risque de maladie covid ou de décès.
L'OMS s'est assurée de souligner qu'elle croit toujours que les jeunes devraient recevoir des «vaccins essentiels traditionnels» pour des choses comme le rotavirus, la rougeole, la poliomyélite et le conjugué pneumococcique, qui, selon l'organisme des Nations Unies, auront un «impact plus important».
(Connexe: Afin de faire approuver les piqûres de covid pour les jeunes, la FDA a dû utiliser une analyse risques-avantages « critiquement défectueuse » basée sur la pseudoscience.)
L'OMS veut toujours que les bébés, les personnes âgées prennent des injections et des rappels covid
En ce qui concerne les injections de «rappel» covid, l'OMS conseille que seules les personnes âgées en prennent également.
«Mise à jour pour refléter qu'une grande partie de la population est soit vaccinée, soit déjà infectée par Covid-19, ou les deux, la feuille de route révisée souligne à nouveau l'importance de vacciner les personnes encore à risque de maladie grave, principalement les personnes âgées et celles souffrant d'affections sous-jacentes, y compris avec des rappels supplémentaires », a déclaré la présidente du SAGE, le Dr Hanna Nohynek, dans un communiqué de presse de l'OMS publié sur le site Web de l'agence.
"Les pays doivent tenir compte de leur contexte spécifique pour décider de continuer à vacciner les groupes à faible risque, comme les enfants et les adolescents en bonne santé, sans compromettre les vaccins de routine qui sont si cruciaux pour la santé et le bien-être de ce groupe d'âge."
RépondreSupprimerLes pays doivent tenir compte de facteurs tels que "la charge de morbidité, le rapport coût-efficacité et d'autres priorités sanitaires ou programmatiques et les coûts d'opportunité" lorsqu'ils prennent des décisions sur la manière de répondre à ces nouvelles orientations, a ajouté l'OMS.
L'OMS conseille toujours aux enfants et aux adolescents dont le système immunitaire est affaibli ou à des problèmes de santé préexistants de se faire piquer par le covid. De plus, l'OMS veut que les nourrissons de moins de six mois soient également piquées "en raison du fardeau des effets graves de Covid-19", pour citer Fox News.
Un autre groupe que l'OMS cible toujours est celui des femmes enceintes, qui, selon elle, présentent un risque élevé d'attraper le covid et peuvent donc toujours bénéficier d'une injection selon le cours recommandé.
Marc Siegel, professeur clinicien de médecine au NYU Langone Medical Center et un complice pro-pharma de routine sur Fox est apparu sur le réseau pour dire aux téléspectateurs que ce n'est pas parce que l'OMS a décidé de placer les enfants et les adolescents dans la catégorie de faible priorité que les parents ne devrait pas encore les injecter juste parce que.
"Ce changement de priorisation n'est pas la même chose que de dire qu'ils ne devraient pas avoir les vaccins covid", a déclaré Siegel en désespoir de cause. « La question qui a émergé récemment est : combien de coups covid suffisent ?
Siegel a au moins reconnu que de nombreux jeunes ont déjà une immunité naturelle et sont donc protégés contre le covid et tout autre type de virus du rhume appartenant à la famille des coronavirus.
"L'immunité naturelle après l'infection doit être incluse dans le comptage de la protection immunitaire, ainsi que la quantité de covid toujours là", a-t-il précisé, ajoutant qu'il pense toujours que les injections de covid sont un "outil précieux" pour conjurer les soi-disant "longs covid". .”
Vous voulez en savoir plus sur les dangers et l'inefficacité des vaccins contre la grippe Fauci ? Vous pouvez le faire sur ChemicalViolence.com.
Les sources de cet article incluent :
FoxNews.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2023-03-31-who-declares-children-teenagers-no-covid-vaccines.html
Chirurgien général de Floride: les injections d'ARNm COVID ont un profil de sécurité TERRIBLE
RépondreSupprimerVendredi 31 mars 2023
par : Belle Carter
(Natural News) Le chirurgien général de Floride, le Dr Joseph Ladapo, a averti que les vaccins à ARNm contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) ont un profil d'innocuité terrible, se demandant pourquoi quelqu'un devrait se faire injecter les injections en premier lieu.
« Ces vaccins ont un profil d'innocuité terrible. Je ne suis pas sûr que quiconque devrait les prendre, c'est la pure vérité », a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse le 16 mars. Le gouverneur de Floride, Ron DeSantis, était également présent à la conférence de presse qui a commémoré le début des blocages de COVID-19 il y a trois ans. (Connexe: FL Surgeon General Ladapo: Les vaccins à ARNm COVID PLUS DANGEREUX que n'importe quel vaccin utilisé aux États-Unis - Brighteon.TV.)
Ladapo a également réprimandé les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) et la Food and Drug Administration (FDA) pour avoir "nié la vérité". Il a fustigé les deux agences pour leurs «politiques de division de faible valeur», telles que la vaccination des enfants contre le COVID-19.
Il a fait référence à une étude publiée dans le Lancet, qui a révélé que les personnes vaccinées couraient un plus grand risque de contracter le COVID-19 que les personnes non vaccinées.
«Ils ont montré qu'après sept mois, la protection contre une infection commençait à environ 70 %, [alors ça descend] bas, bas, bas. À sept mois, il saute de l'autre côté de l'axe », a déclaré Ladapo. « Donc, c'est négatif, et ça continue. L'ampleur de cette négativité augmente avec le temps. C'est un fait, le CDC ou la FDA ont-ils déjà dit un mot à ce sujet ? Non."
En février, Ladapo a émis une alerte sanitaire sur la sécurité des vaccins à ARNm COVID-19 sur la base des données du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS). Les statistiques de la plate-forme ont révélé une augmentation significative des événements indésirables dans le Sunshine State après le déploiement des injections d'ARNm.
"En Floride seulement, il y a eu une augmentation de 1 700 % des rapports VAERS après la sortie du vaccin COVID-19, contre une augmentation de 400 % de l'administration globale du vaccin pour la même période", indique l'alerte.
Le CDC et la FDA accusent Ladapo de « semer la peur »
En réponse, le CDC et la FDA ont écrit une lettre conjointe à Ladapo accusant le chirurgien général de Floride d'avoir induit le public en erreur sur les effets secondaires des injections de COVID-19.
"Se concentrer sur les événements indésirables en l'absence d'association causale et sans la perspective d'avantages compensateurs est un très mauvais service à la fois pour les individus et pour la santé publique", ont écrit les agences. « Comme toute autre intervention médicale, la vaccination a des effets indésirables. Les effets indésirables graves des vaccins COVID-19 sont rares et sont largement compensés par les avantages de ces vaccins pour chaque groupe d'âge.
RépondreSupprimerL'écrivain de NaturalHealth365, Patrick Tims, a commenté la correspondance des agences à trois lettres.
"Les lettres se terminaient en notant à quel point les effets négatifs graves sur la santé du tir sont rares", a-t-il écrit. "Cependant, ceux qui souhaitent s'aventurer au-delà de CNN, MSNBC et d'autres chaînes de médias grand public et sites d'information sont de plus en plus conscients que potentiellement des millions de personnes ont été victimes des piqûres expérimentales de Big Pharma."
Le bureau de Ladapo n'a pas perdu de temps pour rédiger une réponse contre les accusations des deux agences. Dans une déclaration directement publiée à Fox News, les responsables de la santé de la Floride ont noté que l'insistance du gouvernement fédéral pour que les vaccins COVID-19 soient "sûrs et efficaces" était une forme d'éclairage aux contribuables américains à des fins néfastes.
Nikki Whiting, directrice des communications du ministère de la Santé de la Floride, a déclaré dans le communiqué : "La réponse du gouvernement fédéral n'est qu'une autre démonstration redondante du même argument apathique de" sûr et efficace". même résultat. Alors que [les responsables fédéraux] éclairent le public américain, la Floride fait pression pour la vérité.
Rendez-vous sur BadMedicine.news pour plus d'histoires sur les dangers des vaccins à ARNm COVID-19.
Regardez le chirurgien général de Floride, le Dr Joseph Ladapo, expliquer ci-dessous le "terrible profil de sécurité" des injections d'ARNm COVID-19.
Cette vidéo provient de la chaîne chinoise EVIL CCP sur Brighteon.com.
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Sources include:
NaturalHealth365.com
TheGatewayPundit.com
FoxNews.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2023-03-31-ladapo-mrna-vaccines-have-terrible-safety-profile.html
Gros scandale aux Philippines : les autorités sanitaires confirment la mort de 2 801 personnes dû au vaccin Covid
RépondreSupprimerBy Cheikh Dieng
1 avril 2023
Le vaccin Covid, une nouvelle fois, pointé du doigt.
Alors que la pandémie à Coronavirus vit ses dernières heures, l’heure est au bilan. Et dans plusieurs pays du monde, les autorités sanitaires font le point sur le nombre de personnes dont le décès a été causé par le vaccin. Si l’efficacité dudit vaccin dans la lutte contre le virus n’est plus à démontrer, les effets secondaires et le nombre de décès qu’ils ont engendrés restent tout de même un sujet tabou. Et dans certains pays, les refusent totalement de se prononcer sur un sujet assez délicat.
Cependant, ce n’est pas le cas des Philippines où des données récemment rendues publiques par les autorités sanitaires fournissent des informations exactes sur le nombre de personnes dont la mort a été causée par le vaccin. C’est du moins ce que nous a appris, le 31 mars, le média philippin, ManilaTimes.
En effet, à en croire ce média très fiable, 2 801 personnes sont mortes dans ce pays dû au vaccin. Parmi eux, 70 sont des enfants. Le média dit avoir obtenu ces informations de la Haute Autorité Sanitaire de ce pays. Le média fournit une statistique sur les tranches d’âges les plus touchées.
Ainsi, on apprend de ManilaTimes que sur les 2 801 personnes, 765 avaient entre 40 et 59 ans. Et ce n’est pas tout. 359 avaient entre 18 et 39 ans. 53 avaient entre 12 et 17 ans et 17 personnes décédées après leur inoculation étaient des enfants âgées entre 5 et 11 ans. « L’âge des autres personnes décédées n’a pas été précisé », note le média.
Face à ces chiffres assez alarmants, la Haute Autorité de Santé des Philippines joue la carte de l’apaisement en précisant que le nombre de décès ne représente que 0,002%.
https://lecourrier-du-soir.com/gros-scandale-aux-philippines-les-autorites-sanitaires-confirment-la-mort-de-2-801-personnes-du-au-vaccin-covid/
Les enfants continuent de mourir de la grippe et des complications du streptocoque A. Sommes-nous témoins de graves dommages au système immunitaire causés par les vaccins à ARNm COVID-19 ?
RépondreSupprimerPar le Dr William Makis
Recherche mondiale,
01 avril 2023
Quin Henderson, 5 ans, de Kitchener, en Ontario, est décédé subitement le samedi 25 mars 2023 . Ce qui semblait être une maladie infantile courante au début de la semaine s'est aggravée et elle a été admise à l'hôpital avec ce qui semblait être une pneumonie. Cette douce fille est décédée plus tard des complications d'une pneumonie et d'une infection à Strep A (IGAS) . ( cliquez ici )
Une fillette de 2 ans en Ontario est décédée d'un streptocoque le 3 mars 2023
Une famille est sous le choc après que leur fille de deux ans, Nevaeh Muley, est décédée subitement d'une infection à streptocoque A. Le 3 mars 2023, Nevaeh a eu de la fièvre. Le lendemain, Nevaeh a dû être transportée à l'hôpital dans une ambulance, où son cœur s'est arrêté . ( cliquez ici )
Nevaeh est décédée d'une infection à Strep A.
Un garçon de 7 ans du Wyoming est vacciné contre le COVID-19, est atteint de Strep et a des convulsions
Dain McMurrough, 7 ans, de Casper, Wyoming, a été vacciné contre le COVID-19 et est tombé gravement malade avec le streptocoque A. "Il a commencé de manière inattendue à avoir des crises intenses"…
Cela est également arrivé à la fille de 9 ans de West Kelowna, en Colombie-Britannique, Ayla Loseth, décédée le 29 novembre 2022
Ayla Grace Loseth a été transportée à l'hôpital par ses parents Chrissy et Brad le 26 novembre 2022 avec déshydratation, nausées et fièvre. On leur a dit que c'était la grippe mais, trois jours plus tard, elle est décédée d'une septicémie à Strep A . ( cliquez ici )
Ce que les Loseth ont été amenés à croire pendant 48 heures était un mauvais cas de grippe s'est avéré être bien pire. Les Loseth ont déclaré à Castanet News qu'Ayla avait la grippe et l'angine streptococcique qui sont devenues septiques, empoisonnant son sang, entraînant sa mort aux premières heures du mardi 29 novembre . ( cliquez ici )
Ils croient que les symptômes qu'elle a présentés le samedi 26 novembre précédent, une éruption cutanée grave sur tout le corps , une déshydratation, de la fièvre, des nausées et une léthargie, indiquaient quelque chose de plus que la grippe.
Au moins 3 enfants morts au Canada à cause du streptocoque A d'ici décembre 2022
« Au moins trois enfants au Canada sont décédés après avoir été infectés par la bactérie streptococcique du groupe A au cours des dernières semaines », a rapporté le Toronto Star le 16 décembre 2022 ( cliquez ici ).
Une fillette de 2 ans est décédée en Australie du streptocoque A, février 2023
RépondreSupprimerUne famille de Brisbane a été stupéfaite par la mort soudaine de leur fille de deux ans Nicole (photo) de Strep A, un virus qui balaie le paysUne famille a été dévastée par la mort subite de leur fille de deux ans du streptocoque A – un virus qui se propage rapidement à travers l'Australie . ( cliquez ici )
Tragiquement, l'infection du tout-petit a été initialement manquée car elle avait été testée positive pour la grippe . Elle est décédée d'un choc septique et d'un streptocoque A quelques jours seulement après avoir présenté des symptômes pour la première fois. Le 25 février 2023, la fillette de deux ans est décédée d'un choc septique et d'un streptocoque A, un jour qui, selon son père, le hantera pour le reste de sa vie.
Plus de 30 enfants sont morts au Royaume-Uni de Strep A
« Au moins 30 enfants sont morts au Royaume-Uni d'un Strep A invasif depuis le 19 septembre 2022 », a rapporté The Independent le 30 décembre 2022 ( cliquez ici )
2 enfants sont morts en France du Strep A
« Le ministère français de la Santé (MoH) a tiré la sonnette d'alarme. Au cours des 2 dernières semaines, au moins huit enfants ont été hospitalisés après avoir contracté une infection invasive à streptocoque du groupe A (iSGA). Deux d'entre eux sont décédés . » – un article de MedScape du 28 décembre 2023 ( cliquez ici )
Ma prise…
Que se passe-t-il? Il n'est pas normal que des enfants en bonne santé meurent de la grippe et des complications du streptocoque A.
Dans chacun de ces cas, il est crucial de savoir si ces enfants ont été vaccinés par l'ARNm du COVID-19 . Dain McMurrough, 7 ans, du Wyoming, l'était, et je soupçonne qu'Ayla Loseth, 9 ans, de la Colombie-Britannique, l'était aussi.
Chez les enfants vaccinés par l'ARNm du COVID-19, nous constatons probablement les effets de graves dommages au système immunitaire qui se manifestent par une "efficacité vaccinale négative" environ 6 à 9 mois après leur dernière dose d'ARNm.
Le CDC le sait depuis un certain temps, car leurs propres "données préliminaires non publiées" de mai 2022 montrent une efficacité vaccinale négative (efficacité vaccinale inférieure à 0) commençant environ 6 mois après votre dernière dose de Pfizer , ce qui est la preuve de dommages immunitaires.
RépondreSupprimerLes enfants dont le système immunitaire inné a été gravement endommagé par les vaccins à ARNm Pfizer COVID-19 seront aux prises avec la grippe et le streptocoque A.
Les enfants qui n'ont pas été vaccinés peuvent être affectés par l'excrétion de protéines de pointe d'une maison remplie de membres de la famille vaccinés . L'impact d'une telle excrétion sur le système immunitaire d'un jeune enfant n'est pas bien connu ou compris.
Ne vous inquiétez pas cependant. Pfizer a déjà un nouveau "vaccin" Strep en route. Pfizer ne manquera jamais une occasion de gagner de l'argent grâce aux blessures et aux décès qu'ils ont eux-mêmes causés.
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Le Dr William Makis est un médecin canadien spécialisé en radiologie, oncologie et immunologie. Médaille du Gouverneur général, boursier de l'Université de Toronto. Auteur de plus de 100 publications médicales évaluées par des pairs.
https://www.globalresearch.ca/children-continue-die-from-influenza-strep-a-complications-canada-around-world-we-seeing-severe-immune-system-damage-from-covid-19-mrna-vaccines/5814267
Petite histoire du Picon
RépondreSupprimerLe curieux destin du Picon, boisson née en Méditerranée, et qui va devenir le digestif le plus consommé dans le nord de la France.
le 2 avril 2023
Par Jean-Baptiste Noé.
L’amer Picon d’Algérie
Le Picon nous renvoie à une page coloniale de l’histoire de France, celle où l’Algérie était intégrée au territoire national et où les soldats mouraient de dysenterie et d’eau contaminée. Dans le désert saharien, la soif est une contrainte perpétuelle et les eaux sont très souvent impropres et tuent les corps en transportant de nombreuses maladies. Envoyé en Algérie au début des années 1830, Gaétan Picon découvre le paludisme et les fièvres qui rongent de nombreux soldats.
Lui aussi contracte la maladie et tente alors de faire infuser quelques plantes pour en guérir. Né à Gênes en 1809, à l’époque sous domination de Napoléon 1er, il émigre à Marseille en 1815 lors de la chute de l’Empire. Il se forme au métier de distillateur et travaille à Aix et à Marseille, d’où il rejoint l’Algérie. Il se souvient alors que pour affronter le paludisme certaines recettes de grands-mères prévoyaient une infusion d’orange et de quinine. Il tente l’expérience pour lui-même en faisant infuser dans de l’alcool des oranges fraîches et séchées et de la quinine. Le résultat est concluant puisqu’il parvient à guérir.
La nouvelle se répand dans le cercle français, si bien qu’on lui demande de produire cette boisson digestive en de plus grandes quantités. Gaétan Picon s’exécute et crée ainsi cette nouvelle boisson, que l’on consomme additionnée d’eau. Titrant à 21° elle détruit les germes, facilite la digestion et étanche la soif. Picon commercialise son digestif sous le nom d’ « amer africain » à partir de 1837. Une marque est née, qui se répand au-delà de l’Algérie.
Le succès du Picon à l’exposition londonienne de 1862
C’est en 1862 que la marque connaît un succès majeur. Londres organise une exposition universelle où de nombreux produits alimentaires sont testés et primés. Le gouvernement impérial encourage les industriels et les producteurs français à y envoyer leurs produits.
Picon refuse d’y faire concourir son amer (bitter en anglais), en dépit des sollicitations du sous-préfet de Philippeville. Face à ce refus, le sous-préfet décide d’envoyer une caisse à l’exposition, sans prévenir son inventeur. La boisson y gagne une médaille de bronze, ce qui accroît fortement sa renommée et ses ventes.
Picon multiplie le nombre de ses usines, en Algérie comme en métropole. Sa boisson n’est plus bue avec de l’eau mais entre dans la composition de nombreux cocktails. Et, sommet de la renommée, elle est citée dans plusieurs films, ce qui renforce sa popularité.
Le Picon au cinéma
RépondreSupprimerDans Marius, le Picon est le héros de la célèbre scène des quatre tiers : le Picon citron curaçao de la maison. Un tout petit tiers de curaçao, un tiers de citron, un bon tiers de Picon et un grand tiers d’eau.
Dans un Singe en hiver, c’est au Picon bière que Jean-Paul Belmondo s’enivre dans le bar de Tigreville, avant de ressasser ses souvenirs d’Espagne. Le Picon bière est d’ailleurs l’usage principal qui est désormais fait de ce digestif. Mélangé à de la bière blonde ou brune, il apporte une touche d’amertume et d’orange qui en rehausse le goût.
Dans Le Père Noël est une ordure, Marie-Anne Chazel joue Zezette dont l’amant s’enivre au Picon bière.
En 1995, la marque a lancé le Picon club, destiné à être consommé en cocktail avec du vin blanc.
Le Picon du sud au nord
C’est aujourd’hui dans le nord de la France que ce digestif est le plus consommé puisqu’il accompagne la bière, très prisée dans cette région. Curieux destin pour une boisson née en Méditerranée et destinée au soleil algérien que de se retrouver star des bars du Nord. La gastronomie réussit toujours ce tour de force de s’ancrer dans les terroirs et de s’affranchir des frontières.
Cet article a été publié une première fois en 2016
https://www.contrepoints.org/2023/04/02/269760-petite-histoire-picon
L'amer africain devient l’Amer Picon
SupprimerGaétan Picon engagé en Algérie, il attrape comme tant de ses camarades une « fièvre maligne » ; il invente alors une mixture à base de zestes d’orange, de quinquina et de gentiane macérés dans de l’eau-de-vie présentant des propriétés fébrifuges et désaltérantes. Bientôt, il approvisionne toute l’armée française sur l’ordre du Général Valée (1773-1846).
Le produit, couronné lors de l’Exposition Universelle de Londres en 1862, fait sa fortune. Et finalement, en 1872, il revient s’établir à Marseille tout en multipliant les succursales en France et à l’étranger ; dorénavant, la boisson prend le nom d’Amer Picon.
Malheureusement, la réputation impartiale de Cochrane a été ternie et sa rédactrice en chef, Karla Soares-Weiser, semble s'être vendue au récit grand public, allant jusqu'à jeter ses propres chercheurs sous le bus dans le processus. Tout remonte à une étude sur les masques – l'un des sujets les plus controversés de la pandémie.
RépondreSupprimerUne revue Cochrane révèle que les masques ne valent rien
Une équipe de chercheurs dirigée par Tom Jefferson de l'Université d'Oxford étudie les «interventions pour l'interruption ou la réduction de la propagation des virus respiratoires» depuis 2006. À partir de 2010, ils ont commencé à se concentrer sur les «interventions physiques», y compris le dépistage à ports d'entrée, isolement, quarantaine, distanciation physique, protection personnelle, hygiène des mains, masques faciaux, lunettes et gargarisme - pour prévenir la transmission des virus respiratoires. 3
La revue a été mise à jour en 2011, 2020 et à nouveau en 2023.4 La dernière mise à jour a ajouté 11 nouveaux essais contrôlés randomisés (ECR) et ECR en grappes, dont six ont été menés pendant la pandémie de COVID-19, pour un nombre total de 78 ECR revu. En termes de masques médicaux et chirurgicaux, l'équipe a trouvé des "preuves de certitude modérée" qu'ils sont inutiles par rapport à l'absence de masques : 5
«Le port de masques dans la communauté ne fait probablement que peu ou pas de différence sur le résultat d'un syndrome grippal (SG) / d'une maladie de type COVID-19 par rapport au non-port de masques… Le port de masques dans la communauté ne fait probablement que peu ou pas de différence sur le résultat de grippe/SRAS-CoV-2 confirmés en laboratoire par rapport à l'absence de masque. »
Même dans le cas des respirateurs N95 et P2, aucun avantage clair n'a été trouvé. Dans le résumé en langage simple de l'étude, il est noté : 6
«Quatre études portaient sur des travailleurs de la santé et une petite étude portait sur la communauté. Par rapport au port de masques médicaux ou chirurgicaux, le port de respirateurs N95/P2 ne fait probablement que peu ou pas de différence dans le nombre de personnes ayant confirmé la grippe (5 études ; 8 407 personnes) ; et peut faire peu ou pas de différence dans le nombre de personnes qui attrapent une maladie pseudo-grippale (5 études ; 8407 personnes) ou une maladie respiratoire (3 études ; 7799 personnes).
L'éditeur de Cochrane qualifie l'étude sur les masques d'"inexacte et trompeuse"
RépondreSupprimerPendant la pandémie, vous vous en souvenez peut-être, la pensée magique concernant les masques a créé l'un des débats les plus polarisés de l'histoire des États-Unis et a conduit à qualifier les «anti-masques» de «tueurs de grand-mère». 7 Vous pouvez donc imaginer le tumulte lorsque Cochrane a publié ses conclusions.
Fidèle à lui-même, le New York Times s'est impliqué et la chroniqueuse Zeynep Tufekci a publié un article d'opinion intitulé "Voici pourquoi la science est claire que les masques fonctionnent" 8 en réfutation et une réfutation vidéo que vous pouvez voir ci-dessous.
- voir sur site -
"Tufekci a fait valoir que malgré l'absence de données de haute qualité, nous pouvions conclure, sur la base de preuves médiocres, que les masques fonctionnent", Maryanne Demasi, Ph.D., ancienne scientifique médicale à l'Université d'Adélaïde et ancienne journaliste pour ABC News en Australie, signalé sur Substack. "Tufekci a également contacté Cochrane pour obtenir des commentaires et a vraisemblablement fait pression sur Cochrane pour qu'elle publie une déclaration sur son site Web." 9
Dans la déclaration, Soares-Weiser, rédacteur en chef de Cochrane, a déclaré que la conclusion selon laquelle « les masques ne fonctionnent pas » est une « interprétation inexacte et trompeuse » et qu'ils « s'engageaient avec les auteurs de la revue dans le but de mettre à jour le langage clair Résumé et résumé. 10 "La déclaration de Cochrane a été largement interprétée comme des 'excuses', et dans certains cas, les tweeters 11 ont cru que l'examen avait été 'rétracté'", a expliqué Demasi. 12
Auteurs : nous ne modifions pas les avis en fonction de « ce que les médias veulent »
Demasi a parlé avec l'auteur principal Jefferson de la déclaration inattendue. "C'était bouleversant", a déclaré Jefferson. « Cochrane a de nouveau jeté ses propres chercheurs sous le bus. Les excuses émises par Cochrane proviennent de Soares-Weiser, et non des auteurs de la revue. » 13
Demasi a également interviewé Jefferson après la publication initiale de l'étude sur les masques, et il a été clair sur ses conclusions, déclarant: «Il n'y a tout simplement aucune preuve qu'ils fassent une différence. Arrêt complet." 14
Cochrane écrasé sous le poids de l'argent de Bill Gates
RépondreSupprimerLorsque vous êtes l'une des personnes les plus riches du monde, vous pouvez acheter pratiquement tout ce que vous voulez, y compris le contrôle des médias et du milieu universitaire. Dans le passé, la Fondation Bill & Melinda Gates (BMGF) finançait le placement de messages « éducatifs » dans des émissions de télévision populaires telles que « ER », « Law & Order : SVU » et « Private Practice », y compris des sujets tels que le VIH. la prévention, la sécurité chirurgicale et la propagation des maladies infectieuses, c'est-à-dire les vaccinations. 18
En 2006, la Fondation Bill & Melinda Gates (BMGF) a également accordé une subvention de 1,15 million de dollars à Cochrane pour «soutenir le développement du système de preuves de nouvelle génération de Cochrane, avec un accent particulier sur la santé maternelle et infantile… une composante majeure de la technologie plus large de Cochrane. programme de développement conçu pour relever le défi des données de santé en constante augmentation. 19
Quant à savoir pourquoi la BMGF et d'autres fondations qui ont financé Cochrane pourraient avoir été intéressées par cette entreprise, Children's Health Defence a rapporté : 20
"[L]es cagnottes ciblées des fondations semblent aider Cochrane à construire un" système de preuves de nouvelle génération "qui utilisera les avancées technologiques et l'apprentissage automatique pour maximiser l'impact du" Big Data ".
La vaccination est l'un des domaines politiques où le déploiement du Big Data est accueilli avec le plus d'enthousiasme, les chercheurs saluant le potentiel du Big Data pour rationaliser la livraison de « vaccins conçus de manière rationnelle » et pour « suivre le succès des campagnes de vaccination »…
La BMGF promeut activement le Big Data en tant qu'outil de vaccination dans le monde en développement, où il peut « suivre les pandémies » et aider les agents de vaccination à « déterminer le pourcentage d'une région qu'ils ont immunisé contre une maladie ».
En 2018, une revue Cochrane du vaccin contre le papillomavirus humain (VPH) 21 a été fortement critiquée pour les conflits d'intérêts des auteurs, dont le Dr Lauri Markowitz, un employé du CDC impliqué dans le programme de vaccination contre le VPH.
Dans une réponse rapide du BMJ, il a en outre été noté : « La Fondation Bill et Melinda Gates a été très influente dans la promotion de la vaccination contre le VPH. En ce qui concerne l'examen du vaccin Cochrane contre le VPH, Cochrane a un conflit d'intérêts en ce sens qu'elle est bénéficiaire du financement de la Fondation Bill & Melinda Gates. 22 Défense de la santé des enfants ajoutée : 23
RépondreSupprimer«Une… revue Cochrane très favorable au vaccin contre le virus du papillome humain (VPH) – l'un des vaccins les plus désastreux jamais mis sur le marché – suggère que les fondations en ont pour leur argent.
Malgré de nombreuses indications selon lesquelles les fabricants ont utilisé de faux placebos et d'autres gadgets statistiques pour masquer les risques graves des vaccins contre le VPH, et des preuves de plus en plus nombreuses d'autres « pratiques trompeuses… » [l'examen] des vaccins contre le VPH n'a signalé aucun risque accru d'effets indésirables graves et a conclu que les décès rapportés dans les études sur le VPH "ont été jugés comme n'étant pas liés au vaccin".
Ces conclusions ont probablement été bien accueillies par… BMGF, qui a soutenu l'introduction du vaccin contre le VPH dans le monde entier.
Le fondateur de Cochrane expulsé pour ne pas avoir suivi le dogme Vax
Qu'il suffise de dire que même des organisations de recherche «de référence» comme Cochrane ont été infiltrées par des mondialistes cherchant à approfondir leur récit de domination mondiale - y compris le port de masques. En cas de doute, considérez l'histoire du professeur Dr Peter Gøtzsche, un médecin-chercheur danois qui a cofondé la Cochrane Collaboration en 1993.
La réputation de Cochrane est restée remarquablement sans tache jusqu'en 2018, lorsque les chercheurs affiliés à Gøtzsche et Cochrane, Lars Jørgensen et Jefferson - de l'étude sur les masques en vedette - ont publié une critique cinglante de l'examen par Cochrane du vaccin contre le VPH, soulignant les défauts méthodologiques et les conflits d'intérêts . 24
Gøtzsche a ensuite été expulsé par le conseil d'administration de Cochrane, le conseil insistant sur le fait que sa destitution était due à «une utilisation abusive répétée de l'en-tête officiel pour épouser des opinions personnelles» et non à sa critique de l'examen HPV de Cochrane. 25 Quatre membres du conseil (Dr Gerald Gartlehner, David Hammerstein Mintz, Joerg Meerpohl et Nancy Santesso) ont démissionné pour protester contre la destitution de Gotzsche du conseil d'administration. 26
Dans l'état actuel des choses, Demasi suggère que Cochrane pourrait être un navire en train de couler, un navire qui poursuit sa tradition de succomber à la pression sur des conclusions scientifiques controversées, même si elles sont solides. Jefferson, quant à lui, a déclaré à Demasi que l'attaque de l'éditeur contre l'étude sur les masques pourrait se retourner contre lui : 27
RépondreSupprimer"Je pense que Soares-Weiser a fait une erreur colossale. Cela envoie le message que Cochrane peut subir des pressions de la part des journalistes pour modifier leurs critiques. Les gens pourraient penser que s'ils n'aiment pas ce qu'ils lisent dans une revue Cochrane parce que cela contredit leur dogme, ils peuvent obliger Cochrane à modifier la revue. Cela a créé un dangereux précédent.
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Remarques
1, 20, 23 Défense de la santé des enfants 5 juin 2018
2 Base de données Cochrane des revues systématiques, À propos
3, 5 Base de données Cochrane des revues systématiques, Interventions physiques pour interrompre ou réduire la propagation des virus respiratoires, 30 janvier 2023
4 Base de données Cochrane des revues systématiques, Interventions physiques pour interrompre ou réduire la propagation de […], 30 janvier 2023, Historique des versions
6 Base de données Cochrane des revues systématiques, Interventions physiques pour interrompre ou réduire la propagation de […], 30 janvier 2023, Résumé en langage clair
7 Bulletin de Steve Kirsch 7 novembre 2021
8 Le New York Times du 10 mars 2023
9, 12, 13, 17, 27 Sous-pile, Maryanne Demasi 15 mars 2023
10 Cochrane, Déclaration sur les « Interventions physiques pour interrompre ou réduire la propagation des virus respiratoires », revue du 10 mars 2023
11 Twitter, Maryanne Demasi 15 mars 2023
14, 15, 16 Sous-pile, Maryanne Demasi 5 février 2023
18 Philanthropy News Digest 3 avril 2009
19 Cochrane, Cochrane annonce le soutien d'un nouveau donateur, 22 septembre 2016
21 Cochrane Database Syst Rev. 2018 May 9;5(5):CD009069. doi : 10.1002/14651858.CD009069.pub3
22 BMJ 2018 ; 362 doi : https://doi.org/10.1136/bmj.k3472
24 Médecine factuelle BMJ 2018;23:165-168
25 STAT Nouvelles 28 septembre 2018
26 Cochrane.org 15 septembre 2018
https://www.globalresearch.ca/mask-study-imploding-cochrane-collaboration-latest-debacle/5814320
RAPPEL: Nous respirons TOUTES & TOUS chaque minute (AVEC ou SANS masque) 200 000 nano-particules (microbes & virus) et 2 millions en activité physique.
RépondreSupprimerSoit quelques milliards chaque heure et plus encore (avec 150 000 zéros) depuis notre naissance !
ET NOUS NE SOMMES PAS MORT(E)S ! Çà alors !!
Les masques disponibles ont un maillage de 3 microns alors que le corona ne mesure que 0,1 micron à 0,5 micron !
RépondreSupprimerC'est-à-dire que ces masques n'EMPÊCHENT PAS les microbes corona d'être inspirés ou expirés !
Effectivement un masque de 3 millième de millimètre ne peut obstruer des microbes de 6 à 30 fois plus petits !
😎 Visualisation de la taille relative des particules (comme COVID-19)
RépondreSupprimermardi 20 octobre 2020
par Tyler Durden
Dim, 18/10/2020 - 08:45
Dernièrement, les plus grandes menaces du monde ont été de taille microscopique.
De la pandémie mondiale de COVID-19 aux incendies de forêt qui ravagent la côte ouest des États-Unis, il semble que nos poumons ne puissent pas prendre une pause, ou plus exactement, un souffle.
Mais, comme le demande Carmen Ang de Visual Capitalist, quelle est la taille des particules que nous combattons actuellement? Et comment leur taille se compare-t-elle à d'autres petites molécules?
Les taches sont trop petites pour être vues
Bien que le coronavirus à l'origine du COVID-19 soit de taille relativement petite, ce n'est pas la plus petite particule virale du marché.
Le virus Zika et le bactériophage T4 - responsables d'E. Coli - ne représentent qu'une fraction de la taille, bien qu'ils n'aient pas presque fait autant de morts que le COVID-19 à ce jour.
Les particules de coronavirus sont plus petites que les globules rouges ou blancs, cependant, une seule cellule sanguine est toujours pratiquement invisible à l'œil nu. Pour l'échelle, nous avons également ajouté un seul cheveu humain en tant que référence dans la partie supérieure de la gamme de tailles.
- voir image sur site -
AVEC ou SANS masque vous respirez:
Zika virus:::::::::::::::::::::::::::: 0,045 µ
T4 Bactériophage::::::::::::::::: 0,225 µ
Coronavirus:::::::::::::::::::::::: 0,1 µ à 0,5 micron
Fumée de feu de forêt::::::::::: 0,4 à 0,7 µ
Bactérie (microbe)::::::::::::::: 1 à 3 microns
Particule de poussière (PM 2.5): 2,5 microns
Les masques (FFP2 et N95 3 µ) empêchent ces nano-particules de pénétrer:
Gouttelette respiratoire:::::::::: 5 à 10 µ
Globule rouge::::::::::::::::::::::7 à 8 µ
Particule de poussière (PM 10):: 10 µ
Grain de pollen::::::::::::::::::: 15 µ
Globule blanc::::::::::::::::::::: 25 µ
VISIBLES A L'ŒIL NU:
Grain de sel:::::::::::::::::::::::: 60 µ
Sable fin de plage:::::::::::::::::90 µ
Cheveu humain::::::::::::::::::: 50 à 180 µ
À l'autre extrémité du spectre, le pollen, le sel et le sable sont nettement plus gros que les virus ou les bactéries. En raison de leur taille relative plus élevée, notre corps est généralement capable de les bloquer - une particule doit être inférieure à 10 microns avant de pouvoir être inhalée dans vos voies respiratoires.
RépondreSupprimerPour cette raison, le pollen ou le sable sont généralement piégés dans le nez et la gorge avant d'entrer dans nos poumons. Les particules plus petites, cependant, peuvent se glisser plus facilement.
Smoky Skies: Pollution atmosphérique et incendies de forêt
Bien que le virus responsable du COVID-19 soit certainement la particule la plus d'actualité à l'heure actuelle, ce n'est pas la seule tache qui pose un risque pour la santé. La pollution atmosphérique est l’une des principales causes de décès dans le monde - elle est en fait plus mortelle que le tabagisme, le paludisme ou le sida.
Les particules, qui peuvent contenir des particules de poussière, de saleté, de suie et de fumée, constituent une source majeure de pollution atmosphérique. D'une moyenne d'environ 2,5 microns, ces particules peuvent souvent pénétrer dans les poumons humains.
À juste une fraction de la taille entre 0,4-0,7 microns, la fumée des feux de forêt pose encore plus de risques pour la santé. La recherche a également lié les expositions aux feux de forêt non seulement à des problèmes respiratoires, mais aussi à des problèmes cardiovasculaires et neurologiques.
Voici une carte animée de Flowing Data, montrant comment les choses se sont réchauffées pendant la haute saison des feux de forêt entre août et septembre 2020:
- voir clip sur site -
Quelle est la principale chose à retenir de tout cela ?
Il existe de nombreux types de taches plus petites que l'œil ne peut voir, et il vaut la peine de savoir comment elles peuvent avoir un impact sur la santé humaine.
https://www.zerohedge.com/medical/visualizing-relative-size-particles-covid-19
https://huemaurice5.blogspot.com/2020/10/visualisation-de-la-taille-relative-des.html
😎 La prochaine pandémie sera mentale
RépondreSupprimerlundi 19 octobre 2020
https://huemaurice5.blogspot.com/2020/10/la-prochaine-pandemie-sera-mentale.html
😎 Le COVID-19 est une 'arme biologique sans restriction': un lanceur d'alerte publie un deuxième article alléguant 'une fraude scientifique organisée à grande échelle'
RépondreSupprimerjeudi 8 octobre 2020
https://huemaurice5.blogspot.com/2020/10/le-covid-19-est-une-arme-biologique.html
Scandale dans l’UE : des eurodéputés se révoltent et traînent Von Der Leyen en justice pour refus de publier les contrats Covid
RépondreSupprimerBy Cheikh Dieng
2 avril 2023
Une information dont les médias de masse ne veulent pas parler.
Le O1 mars dernier, dans une interview relayée par l’agence de presse Reuters, la médiatrice de la Commission Européenne, Emily O’Reilly, a vigoureusement dénoncé le silence de Von Der Leyen sur les contrats de vaccins signés avec Pfizer
Comment peut-on expliquer le refus de Von Der Leyen a témoigner publiquement sur des milliards de dollars de contrats dépensés avec de l’argent public ? Telle est la question que les citoyens de l’UE se posent.
Pour rappel, un groupe de députés européens a récemment porté plainte contre Von Der Leyen dénonçant l’absence de transparence dans cette affaire qui plonge les États européens dans une immense colère
Excellente lecture
Un groupe de députés européens ont porté plainte contre la Commission Européenne dénonçant l’absence de transparence concernant les contrats de vaccin signés entre l’UE et les laboratoires
Une information complètement passée sous silence pour des raisons que notre média ignore totalement.
En effet, en avril dernier, un groupe de députés européens a porté plainte contre la Commission Européenne à propos des contrats signés avec des laboratoires pharmaceutiques, dont Pfizer. C’est du moins l’information que notre média a obtenue de plusieurs sources fiables dont le média EUObserver.
A en croire cette source, la plainte a été déposée par cinq euro-députés du parti écologie Les Verts qui exigent de la Commission Européenne qu’elle révèle le prix des vaccins, les acomptes versés aux labos, les dons (de vaccins accordés aux pays sous-développés), la responsabilité des États (en cas d’effets secondaires) et les indemnisations.
S’exprimant sur cette plainte qui a été très peu médiatisée, l’euro-députée danoise, Margrete Auken, dénonce l’opacité qui entoure ces contrats. « La confidentialité nourrit la méfiance et le scepticisme », prévient-elle. Parmi les députés ayant soutenu cette plainte figurent entre autres Kim van Sparrentak, Tilly Metz, Jutta Paulus et Michele Rivasi.
RépondreSupprimerIl faut dire que l’initiative des cinq députés européens n’a aucune chance d’aboutir à la suite de la récente décision d’Albert Bourla, PDG de Pfizer, de refuser de témoigner devant le Parlement Européen. C’est en tout cas ce qu’a révélé ce 05 décembre le média Politico qui dit avoir consulté une lettre rédigée par le patron du laboratoire américain. « Depuis les auditions d’octobre dernier, nous n’avons plus aucune information à partager avec le comité. En conséquence, je décline poliment l’invitation d’aborder une nouvelle fois ce sujet », écrit Bourla.
Il convient de rappeler que ce n’est pas la première fois que le patron de Pfizer refuse catégoriquement de répondre au Parlement Européen sur ce sujet extrêmement sensible. En effet, en octobre dernier, il avait aussi déchiré une convocation de l’UE devant le Parlement Européen.
A en croire le média Politico.eu, Bourla devait se présenter devant la commission de l’UE le 10 octobre dernier comme l’ont pourtant fait d’autres PDG de grands groupes pharmaceutiques tels que Moderna, Sanofi ou encore AstraZeneca. Mais, comme par hasard, le PDG de Pfizer renonce catégoriquement de se rendre à Bruxelles, ce qui n’a pas manqué de déclencher la grosse colère des autorités européennes.
Il convient de rappeler que la question des contrats de vaccin signés entre l’UE et Pfizer ont suscité, ces derniers mois, de vives tensions politiques au sein de l’Union Européenne où des personnalités politiques et des citoyens appellent ouvertement à la démission de Von Der Leyen, présidente de la Commission Européenne.
https://lecourrier-du-soir.com/scandale-dans-lue-des-eurodeputes-se-revoltent-et-trainent-von-der-leyen-en-justice-pour-refus-de-publier-les-contrats-covid/
Scandale mondial : 194 pays membres de l’OMS se révoltent et exigent de publier les contrats entre labos et gouvernements
RépondreSupprimerBy Cheikh Dieng
2 avril 2023
Lecourrier-du-soir.com invite ses chers lecteurs à relire la révélation exclusive faite en novembre dernier par l’agence de presse Reuters. Comme par hasard, les médias de masse refusent catégoriquement d’en parler et quand ils le font, c’est pour lui consacrer quelques lignes
Excellente lecture
« D’après une information exclusive de l’agence de presse Reuters, les 194 pays membres de l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) sont en train de mettre en place un pacte qui vise à rendre obligatoire la publication des contrats entre laboratoires pharmaceutiques et gouvernements
Une mauvaise nouvelle pour Big Pharma. En pleine pandémie à Coronavirus et au moment où plusieurs dirigeants politiques en Occident comme dans d’autres parties du monde exigent de la transparence dans les contrats signés avec les labos, l’OMS est sur le point de trouver un accord qui n’arrangera certainement pas les affaires des industries pharmaceutiques.
En effet, d’après une information que Lecourrier-du-soir.com a obtenue ce 18 novembre de l’agence de presse Reuters, les 194 pays membres de l’Organisation Mondiale de la Santé sont en train de négocier la mise en place d’un pacte afin de rendre obligatoire la publication des contrats entre labos et gouvernements.
Ainsi, d’après l’agence de presse qui dit avoir consulté le document confidentiel, le pacte en question a pour objectif de faire en sorte que la prochaine pandémie ne soit pas aussi dévastatrice que le Covid. Mais, ce n’est pas tout. Les signataires jugent inacceptable que la confidentialité des contrats passés entre gouvernements et labos donnent aux dirigeants politiques peu de marge de manœuvre pour les traduire en justice.
RépondreSupprimerTout laisse à croire qu’il s’agit d’une révolte interne déclenchée par les Etats membres de l’OMS. Du moins, c’est ce qu’explique un porte-parole de l’OMS qui s’est confié sous couvert de l’anonymat. Ce dernier affirme que les actionnaires de l’organisation y sont favorables. Et ce n’est pas tout. Ces actionnaires se verront soumettre le document intégral lors d’une rencontre qui était prévue ce vendredi. Mais, le gros souci, selon Reuters, est que les labos rejettent le document en bloc.
Sur les réseaux sociaux, le pacte n’a pas manqué de susciter des réactions.
https://lecourrier-du-soir.com/scandale-mondial-194-pays-membres-de-loms-se-revoltent-et-exigent-de-publier-les-contrats-entre-labos-et-gouvernements/
Diversions … pour établir un régime totalitaire
RépondreSupprimerle 2 avril 2023
Après l’épidémie de coronavirus qui, contrairement aux souhaits de l’« Etat Profond Mondial », n’a pas tué assez de personnes, fort à propos les évènements d’Ukraine ont été très utiles pour divertir l’attention des peuples européens. L’arrivée d’une inflation soudaine et massive dont les prémisses dataient de 2010 à la suite de la crise financière jamais correctement réglée par les banques centrales, les alertes climatiques ont commencé à resurgir plutôt timidement. Les gouvernements européens devenus des experts dans la manipulation de l’opinion se sont donc attaché à la mise en évidence de toutes sortes de peurs pour mieux asservir les citoyens dont ils sont dépositaires de la responsabilité qui leur a été octroyée par des votes dits démocratiques. La menace de la variole du singe a été une fausse alerte et constatant cet échec l’« Etat Profond Mondial » a mandaté l’Organisation Mondiale de la Santé afin d’émettre des mesures coercitives en cas de nouvelle épidémie. Selon les traités internationaux l’OMS émet des recommandations mais ces dernières sont laissées à l’appréciation des États. Or la préparation de nouvelles dispositions conférant tout pouvoir à l’OMS en cas de nouvelle pandémie privera les États de toute initiative démocratique pour la protection de sa population. En un mot la santé de chacun sera contrôlée par une instance internationale. Il faudra être « pucé » comme les animaux, s’auto-diagnostiquer en se connectant à un site spécialisé auquel on accédera avec cette « puce » wifi. Hors cas graves un algorithme prendra soin de vous. C’est cette évolution que défend en France Laurent Alexandre et il n’a pas sorti ce délire de son chapeau car cette approche informatisée de la santé entre dans le cadre du projet totalitaire de l’« Etat Profond Mondial ».
L’« Etat Profond Mondial » réunit une multitude d’organisations onusiennes, la plupart situées à Genève en Suisse, qui ne sont plus indépendantes et n’œuvrent plus pour le bien-être du monde entier, mais sont contrôlées par les puissances financières apatrides et des organisations telles que le World Economic Forum, le Club de Bilderberg et d’autres officines telles que les Global Young Leaders, l’Open Society et j’en oublie beaucoup qui échappent aux radars car elles sont secrètes. Le mouvement sociétal qui en ressort est appuyé par des médias contrôlés par quelques groupes de multimilliardaires pour accoutumer les peuples à ces changements radicaux de la société. Le président français a été un très bon élève lors de l’épidémie de SARS-CoV-2 puisqu’il fait partie de cette confrérie des Young Leaders et est formaté aux idéologies totalitaires du Club de Davos.
Nulle part la presse de grand chemin ne mentionne le danger de ce projet de l’OMS pour les libertés individuelles alors que ces dispositions bafouent les règles fondamentales de l’éthique et ont poussé le Code de Nuremberg dans les oubliettes de l’histoire. Voilà l’une des conséquences de la numérisation du monde et on ne peut plus y échapper puisque nous avons maintenant tous besoin d’un téléphone mobile pour la moindre démarche administrative. Cet état de fait n’était pas prémédité mais il se trouve que c’est l’outil idéal pour établir une surveillance des populations avant d’implanter sous la peau une « puce » rechargeable comme on recharge une montre électronique en la posant quelques minutes sur un petit socle. Enfin tous les individus seront « sous contrôle », telle est la finalité de ce projet qui sans nul doute sera décidé et adopté après une propagande parfaitement bien étudiée par l’Assemblée Générale des Nations-Unies, tous les membres de cette assemblée étant membres de l’OMS. C’est le vœu le plus cher d’un Bill Gates ou d’un George Soros ou encore d’un Klaus Schwab qui s’imaginent être les « leaders » du monde. Michel Maffesoli, l’extraordinaire logicien de la langue française imagine des traductions du mot anglo-saxon « leader » comme « Duce » ou « Führer », le guide, celui qui conduit les autres à la schlague, suivez mon regard.
RépondreSupprimerLa science fiction a imaginé un tel monde avec le film de George Lucas (1971) THX 1138 dans lequel est décrit un monde sans émotions, sans amour, tout le monde sous la dépendance de neuroleptiques, vivant dans des conditions sanitaires stériles, sous la surveillance d’une police d’androïdes, un monde bien plus effrayant que ce qu’avait imaginé George Orwell. Voilà ce qui attend nos enfants, petits-enfants et les générations futures : tous « pucés », ne possédant rien mais heureux, en quelque sorte THX 1138 …
https://www.consilium.europa.eu/en/infographics/towards-an-international-treaty-on-pandemics/
https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/04/02/diversions-pour-etablir-un-regime-totalitaire/
Confusion délibérément conçue : la marque de fabrique de la plus grande opération biopsychosociale de l'histoire
RépondreSupprimerPar le Dr Emmanuel Garcia
Recherche mondiale,
01 avril 2023
Il y a des années, lorsque je siégeais au conseil d'administration de l'American Psychiatric Association en tant que psychiatre en formation, le mot « biopsychosocial » était fréquemment utilisé pour décrire la gamme à laquelle la profession de psychiatre aspirait dans sa catégorisation et ses approches de traitement des maladies mentales. Il était censé, en d'autres termes, englober tout : tous les aspects de la pensée, des sentiments et du comportement humains. Plutôt grandiose, je me souviens avoir pensé, mais en accord avec la contrainte sur le terrain de couvrir toutes les bases, pour ainsi dire.
Il me semble maintenant que le terme est particulièrement pertinent en tant que descripteur de l'agenda covid car il englobe, avec une précision réaliste, la portée de cette opération massive unique qui s'est déroulée à travers le monde. Ainsi covid, les mesures adoptées par les autorités pour gérer la soi-disant pandémie, les piqûres, les passeports piqûres, les mandats, l'identification numérique et, essentiellement, le contrôle centralisé de l'autonomie humaine - cela peut être décrit avec précision non seulement comme un «psyops», mais comme une opération « biopsychosociale ». Une opération conçue pour influencer pratiquement tous les aspects de la condition humaine - la biologie, la psychologie et les relations sociales.
L'ampleur et l'ampleur de l'opération covid la rendent historiquement unique et, à la suite de cette opération - toujours en cours - le monde a manifestement été modifié, peut-être de manière irrévocable.
La poigne de fer d'un programme coordonné de contrôle a été révélée et les doigts de cette poigne se sont imprimés sur chaque aspect de nos vies. L'impact économique a été énorme, entraînant un appauvrissement des sous-fifres tandis que les suzerains se sont majestueusement enrichis. La « normalité » qui, après trois ans, semble maintenant se rétablir, est ténue, car nous avons tous vu à quelle vitesse et avec quelle violence le poing peut tomber, peut-être à la suite d'une autre chauve-souris et de l'émergence d'une nouvelle menace infectieuse. Ou peut-être que les dangers toujours imminents du changement climatique, une autre opération biopsychosociale, peuvent nécessiter des mesures de contrôle qui ont été si rapidement, facilement et avec succès employées pour le covid, mesures qui comprenaient, pour la toute première fois, la mise en quarantaine massive des personnes en bonne santé.
Néanmoins, des questions allant à l'encontre de la propagande covid ont fait leur apparition dans les organes de propagande eux-mêmes - les médias grand public - et récemment, une certaine attention s'est concentrée sur les origines de covid. Était-ce une fuite accidentelle du laboratoire de Wuhan, ou était-ce une libération délibérée d'un agent pathogène Frankenstein financé par les États-Unis et externalisé en Chine ?
RépondreSupprimerLe Dr Mike Yeadon déclare assez catégoriquement qu'il ne croit pas qu'il y ait jamais eu de virus covid, tandis qu'Igor Chudov déclare clairement que le Sars-Cov-2 était un agent pathogène délibérément conçu. Citant les travaux de Ralph Baric, Chudov conclut qu'« une pathogénicité élevée n'est pas nécessaire pour une arme biologique parfaite : au lieu de cela, ce qui est important, c'est que l'arme biologique crée la peur ».
Ainsi, nous avons deux opinions très divergentes de la part de deux personnes tout à fait respectables et diligentes.
En fait, nous avons également une pléthore d'opinions différentes d'autres personnes respectables et diligentes sur la piqûre, le contenu de la piqûre, sur les variantes covid et même sur l'existence même des virus. La pandémie était-elle un phénomène statistique plutôt que médical créé par des tests PCR douteux, était-ce simplement une grippe mal étiquetée ? Et ainsi de suite.
Si vous n'êtes pas confus, vous devriez l'être, car créer de la confusion est la marque de toute opération réussie pour contrôler les masses, et l'opération biopsychosociale parfaite créera une confusion à la pelle. Il ne s'agit pas de brouiller des pistes pour rendre impossible une enquête sur les origines ou d'autres parties d'une opération, il s'agit de créer délibérément de nombreuses pistes, des pistes qui partent dans des directions diverses et conduisent à des conclusions discutables. C'est pourquoi, par exemple, les lots du vaccin dit Pfizer semblent différer. C'est pourquoi des tests PCR très douteux ont été utilisés et pourquoi les décès de diverses causes ont été attribués par les hôpitaux au covid.
Sous un tel nuage de confusion, les activités d'un enquêteur objectif sont gravement entravées et les enquêteurs eux-mêmes peuvent être consumés par la poursuite de pistes et la poursuite de faux mystères délibérément créés afin de les rendre inefficaces.
RépondreSupprimerLa plus grande pandémie ostensiblement de l'histoire de l'humanité provient d'une chauve-souris errante sur un marché chinois, nous a-t-on dit. J'ai compris dès le départ que c'était faux, sachant que toute grande propagande commence par un événement extraordinaire, à peine croyable, qui sert de genèse à un mythe.
La disparition complète de la grippe depuis plus de deux ans, couplée à une répression agressive des tentatives de traitement des personnes atteintes de covid jusqu'aux derniers stades de la maladie respiratoire, a suggéré qu'un agenda était en jeu. Cela a été confirmé lorsque les inoculations covid ont été annoncées comme le seul moyen de sortir de la «pandémie», en particulier lorsqu'il était clair que les piqûres n'auraient pas pu être correctement évaluées pour leur sécurité pendant la courte période pendant laquelle elles ont été développées.
D'après mon expérience personnelle de la maladie, je suis convaincu qu'un agent pathogène covid existait, qu'il était infectieux et, à en juger par des symptômes particulièrement étranges, qu'il n'était pas naturel. J'ai applaudi les efforts et le travail de vrais médecins tels que Vladimir Zelenko qui ont développé des traitements efficaces et aidé d'innombrables patients.
N'étant pas un virologue compétent dans les voies et moyens de détection et de séquençage viral, je ne peux vraiment pas en dire beaucoup plus, même si je penche fortement du côté d'un agent pathogène qui a été aussi délibérément conçu que l'agenda covid lui-même. Je crois que c'était une arme biologique, le premier coup de poing dans une combinaison de deux coups, le second étant le coup beaucoup plus mortel et débilitant, dont nous commençons seulement à apprécier les conséquences délétères.
Avec l'effondrement de son économie en juin, la situation est désastreuse au Sri Lanka.
RépondreSupprimerSelon le Programme alimentaire mondial (PAM), le Sri Lanka est confronté à une « grave crise alimentaire », avec 6,3 millions de personnes, soit près de 30 % des 22 millions d'habitants, en situation d'insécurité alimentaire. L'inflation alimentaire a atteint un niveau record de 90 % , rendant des denrées de base telles que le riz inabordables pour des millions de personnes. Globalement, l'inflation tourne à 60 %.
"Ce qui nous inquiète vraiment maintenant, c'est la crise alimentaire - nous envisageons même les dangers d'une famine dans un avenir proche", déclare Ahilan Kadirgamar, économiste politique et maître de conférences à l'Université de Jaffna, située dans la capitale de la province septentrionale du Sri Lanka.
"La famine frappe déjà certaines couches de la population."
Le Sri Lanka, très dépendant des importations, a manqué de devises en avril, l'empêchant d'importer des vivres, du carburant, des médicaments et des engrais. Les bus, les trains, les ambulances et de nombreuses voitures ne peuvent pas être conduits et les coupures d'électricité sont devenues courantes, paralysant l'agriculture, la pêche et la production industrielle.
Le Sri Lanka a fait défaut sur sa dette extérieure de 56 milliards de dollars en mai, son premier défaut. Le pays a obtenu 16 prêts du Fonds monétaire international et a tenté d'obtenir un 17e prêt en mai mais n'a pas pu parvenir à un accord.
De nombreuses manifestations publiques contre le gouvernement du président Gotabaya Rajapaksa l'ont chassé du pays en juillet. Rajapaksa a nommé son rival politique Ranil Wickremesinghe Premier ministre avant de partir. Wickremesinghe a ensuite pris la présidence, réprimant rapidement les manifestations en gazant et en emprisonnant des dizaines de manifestants en vertu de lois antiterroristes draconiennes.
RépondreSupprimerLes causes immédiates de la crise sri-lankaise ont été l'insoutenabilité de sa dette extérieure de 56 milliards de dollars face aux effets de la pandémie de COVID-19, qui a entraîné une baisse du tourisme et des envois de fonds des travailleurs migrants de l'étranger, ainsi que des réductions d'impôts. par le régime Rajapaksa.
La pandémie a perturbé les chaînes d'approvisionnement des principales exportations sri-lankaises de textiles, de vêtements et de thé, entraînant une baisse des revenus.
Les envois de fonds des travailleurs, qui étaient une source majeure de devises, ont atteint leur plus bas niveau en 10 ans en 2021, en partie à cause du COVID-19.
Les attentats à la bombe en 2019 à Colombo (la capitale du Sri Lanka), ainsi que le COVID-19, ont tous deux réduit les revenus du tourisme, de 5 milliards de dollars en 2018 à seulement 200 millions de dollars en 2021. Cela a aggravé les pressions sur le Sri Lanka.
En 2019, le gouvernement a mis en place des réductions d'impôts massives, faisant chuter ses revenus. La taxe sur la valeur ajoutée a été ramenée de 15 % à 8 % et sept autres taxes ont été supprimées. En conséquence, l'État a perdu des recettes fiscales vitales d'un million de contribuables.
Quatre-vingt-un pour cent de la dette extérieure du Sri Lanka sont dus à des institutions financières occidentales ainsi qu'au Japon et à l'Inde. Les institutions financières sont principalement des banques commerciales et des fonds vautours, à savoir : BlackRock, JP Morgan Chase, Prudential (tous trois américains), Ashmore Group, HSBC (tous deux britanniques), Allianz (Allemagne), UBS (Suisse). Ces sociétés détiennent 47% de la dette du Sri Lanka, la plus grande partie. La Banque asiatique de développement détient 13 % de la dette du Sri Lanka, la Banque mondiale 9 %, le Japon 10 %, la Chine 10 % et l'Inde 2 %.
RépondreSupprimerIl y a cependant des raisons plus profondes à l'effondrement du Sri Lanka. Kadirgamar accuse le colonialisme, le néocolonialisme et le néolibéralisme :
"La trajectoire économique de cette crise a été définie en 1977 par le gouvernement de Junius Jayewardene, qui a soumis le Sri Lanka à des réformes néolibérales, libéralisant le commerce et la finance", a déclaré Kadirgamar. "Mais cette trajectoire doit être contextualisée dans la longue histoire du colonialisme et du néocolonialisme."
Le Sri Lanka a d'abord été colonisé par les Portugais, puis les Hollandais et les Britanniques, soit près de 450 ans de colonialisme. Kadirgamar dit que cela a rendu l'économie du pays dépendante de ce que les puissances coloniales voulaient : les exportations de produits de base - d'abord les épices, puis le café et le thé.
Ces exportations visaient à répondre aux demandes des marchés des puissances coloniales. Cette stratégie coloniale a été poursuivie par la Banque mondiale au Sri Lanka après l'indépendance du pays en 1948. La Banque mondiale a préconisé la production primaire pour les marchés d'exportation, «par opposition à des formes d'industrialisation même minimales, de sorte que le Sri Lanka est devenu dépendant des exportations agricoles vers l'Ouest». des marchés dont les termes de l'échange se dégradent », souligne Kadirgamar.
"Le Sri Lanka a été la première économie d'Asie du Sud à passer par le néolibéralisme et nous avons maintenant quatre décennies et demie d'application de cette stratégie, qui comprend le paiement de notre énorme facture d'importation par le biais de la dette extérieure, qui est devenue insoutenable, en particulier parce que le Sri Lanka Lanka empruntait sur les marchés de capitaux occidentaux à des taux d'intérêt très élevés », explique Kadirgamar.
RépondreSupprimerCette focalisation a rendu le Sri Lanka particulièrement vulnérable à l'effondrement économique.
"Ce lourd emprunt n'a pas été équilibré par les revenus car le Sri Lanka n'avait que quatre sources qui étaient insuffisantes : les exportations agricoles et de vêtements, le tourisme et les envois de fonds des travailleurs migrants", explique Kadirgamar. "D'autres facteurs, tels que la pandémie de COVID et le régime autoritaire de Rajapaksa, (qui) a complètement mal géré l'économie, ont contribué à l'effondrement, mais la principale raison en était le caractère dépendant de l'économie du Sri Lanka".
Balasingham Skanthakumar est d'accord avec Kadirgamar, soulignant les effets désastreux du néolibéralisme sur le Sri Lanka. Il est chercheur et membre du collectif éditorial de Polity Magazine de l'Association des scientifiques sociaux du Sri Lanka.
Comme me l'a dit Skanthakumar,
« Le néolibéralisme est une extension des processus historiques d'exploitation et de domination des pays pauvres par les pays riches, dans la mesure où il enracine la division coloniale du travail à travers laquelle le Sri Lanka a commencé à cultiver le thé (une culture non autochtone) comme principale exportation pour satisfaire les goûts des consommateurs occidentaux.
Aujourd'hui, dit Skanthakumar, la principale exportation du Sri Lanka est le prêt-à-porter, résultat du néocolonialisme par lequel des vêtements à forte intensité de main-d'œuvre et à faible valeur ajoutée sont produits par des travailleuses. Les produits manufacturés à forte intensité de capital et à forte valeur ajoutée sont importés de l'étranger.
"Il n'y a pas de place dans le néolibéralisme pour que le Sri Lanka diversifie sa base économique, pour promouvoir la substitution des importations, ni pour donner la priorité à l'autosuffisance en aliments de base et autres besoins essentiels, y compris les produits pharmaceutiques", déclare Skanthakumar.
RépondreSupprimerEn d'autres termes, les pays à faible revenu du Sud global ne peuvent pas gagner dans le système néolibéral parce que leurs importations de produits manufacturés sont toujours beaucoup plus coûteuses que leurs exportations de matières premières, qui sont tout ce qu'ils sont autorisés à envoyer par les puissances occidentales dominantes qui contrôlent le marché mondial. système commercial.
La tentative des pays du Sud de combler ce fossé en s'endettant de plus en plus ne fait que les préparer à l'effondrement économique, qui menace désormais également le Pakistan, le Bangladesh, l'Argentine, l'Afrique du Sud et la Zambie.
Trente-six pays sont en état de « surendettement », selon la Banque mondiale.
Mais il y a quelque chose de différent dans cette crise internationale, car elle a pris au piège non seulement les pays pauvres, mais aussi les exécuteurs occidentaux du néolibéralisme et du néocolonialisme. Les pays européens sont confrontés à une flambée des prix de l'énergie. Par exemple, les coûts énergétiques en Allemagne ont augmenté de 860 % rien que cette année.
Selon l'analyste géopolitique Drago Bosnic, écrivant sur le site Web Infobrics,
« L'Union européenne traverse une crise économique et financière extrêmement difficile. Les sanctions visant la Russie font des ravages dans de nombreuses… économies occidentales.
Dix millions de personnes sont confrontées à la pauvreté au Royaume-Uni alors qu'il connaît sa "plus forte contraction économique" en 313 ans, selon Reuters.
Entre-temps, le président français Emmanuel Macron a informé ses compatriotes que la France se trouvait dans une "série de crises, toutes plus graves les unes que les autres" et a mis en garde contre "la fin de l'abondance et des temps difficiles à venir".
"L'effondrement du Sri Lanka n'est pas isolé", déclare l'écrivain sri-lankais Indrajit Samarajiva. «Ce sont des tendances mondiales qui remontent aux années 1980. La logique générale est que si votre économie n'est pas productive et que vous ne contrôlez pas vos moyens de production, vous êtes pris au piège de la dette – et tôt ou tard, il se refermera.
RépondreSupprimer"Chaque pays qui n'a pas sécurisé son énergie, sa nourriture et sa capacité de production est vulnérable aux chocs et le COVID-19 n'était que le premier d'une longue série à venir ce siècle. L'effondrement climatique est déjà bien avancé. Nous nous dirigeons vers des changements mondiaux qui feront du siècle dernier une promenade de santé.
Les Sri Lankais ne sont pas dépourvus de solutions progressistes pour sortir leur pays de sa crise.
« Il faut mettre l'accent sur la production agricole locale et, si possible, sur l'autosuffisance alimentaire », déclare Kadirgamar, « mais pour y parvenir, nous devons complètement changer la trajectoire de notre économie, qui s'est concentrée sur sur la production agricole destinée à l'exportation.
"Ce changement doit être lié à la création d'un système de distribution publique où l'État prend la responsabilité d'importer les aliments essentiels que nous ne pouvons pas produire et de les distribuer, puis d'acheter également les produits aux agriculteurs et éventuellement de fixer les prix.
« Les offices de commercialisation et les coopératives devraient faire partie de ce système de distribution. Le gouvernement doit également stimuler et soulager les agriculteurs. Tout cela ne peut se produire que s'il y a redistribution de la richesse par le biais d'un impôt sur la fortune sur l'argent accumulé au fil des décennies.
Samarajiva appelle à « une révolution socialiste ou communiste au Sri Lanka et une dictature des pauvres et de la classe ouvrière.
« Il faut s'emparer des moyens de production. Le Sri Lanka est confronté à une crise énergétique, alimentaire et de change et le consensus néolibéral n'offre que plus de dettes et de bricolages monétaires au lieu de faire l'évidence. Nous avons besoin de projets de travaux publics massifs dans les énergies renouvelables, l'agriculture et l'industrialisation.
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RépondreSupprimerCet article a été initialement publié sur le Canadian Centre for Policy Alternatives Monitor, (CCPA Monitor) .
Asad Ismi est un écrivain et réalisateur de documentaires radio primé. Il couvre la politique internationale pour le Canadian Centre for Policy Alternatives Monitor (CCPA Monitor), le plus grand magazine de gauche du Canada (par tirage) où cet article a été initialement publié. Asad a écrit sur la politique de 70 pays. Il contribue régulièrement à Global Research. Pour ses publications, visitez www.asadismi.info .
https://www.globalresearch.ca/sri-lanka-neoliberal-nightmare/5800533
Exclusif : accablée par les contrats Covid, Von Der Leyen prépare sa fuite et lorgne le poste de patronne de l’OTAN
RépondreSupprimerBy Cheikh Dieng
1 avril 2023
D’après une information du média britannique The Sun, reprise ce 31 mars par l’agence de presse Reuters, Ursula Von Der Leyen, actuelle présidente de la Commission Européenne, lorgne le fauteuil de secrétaire-général de l’OTAN. Un poste juteux actuellement occupé par Jens Stoltenberg dont le mandat s’achève en octobre prochain
Von Der Leyen vise gros. Après avoir été totalement blanchie par la commissaire européenne de la Santé qui a dégagé toute sa responsabilité dans la signature des contrats de vaccins Covid signés avec les laboratoires, Ursula Von der Leyen, actuelle présidente de la Commission Européenne, lorgne un poste plus que prestigieux : celui de secrétare-général de l’OTAN.
Telle est l’information, relayée ces dernières heures, par plusieurs sources fiables, dont l’agence de presse britannique, Reuters. En effet, d’après ce média, l’information a été transmise au journal britannique The Sun par une source diplomatique jugée crédible. Si l’information se confirme, Von Der Leyen pourrait remplacer l’actuel patron de l’OTAN, Jens Stoltenberg, dont le mandat arrive à échéance en octobre prochain.
Dans son travail d’investigation, Lecourrier-du-soir.com a pu lire intégralement l’article du journal The Sun. Le média anglais nous apprend qu’il est fort probable que le Royaume-Uni rejette la candidature de Leyen en raison de son médiocre bilan lors de son passage au ministère allemand des Forces Armées.
Il faut dire qu’Ursula Von Der Leyen, actuelle présidente de la Commission Européenne, ferait mieux de trouver une porte de sortie après avoir subi, ces deux dernières années, une virulente surexposition médiatique en raison de son rôle majeur dans la signature des contrats de vaccins Covid avec les plus grands laboratoires du monde, dont Pfizer.
https://lecourrier-du-soir.com/exclusif-accablee-par-les-contrats-covid-von-der-leyen-prepare-sa-fuite-et-lorgne-le-poste-de-patronne-de-lotan/
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