- ENTREE de SECOURS -



mardi 4 avril 2023

Dr Peter McCullough : 3 choses que vous devez savoir sur le traitement du syndrome de pointe et post-COVID

 

PAR LA COMPAGNIE DE BIEN-ÊTRE


Longtemps après les mandats de masque, les fermetures et les exigences en matière de vaccins ne sont plus qu'un lointain souvenir, l'héritage de COVID-19 et les vaccins COVID-19 continueront de nous hanter sous la forme de protéines de pointe.

Perte de goût, insomnie, manque d'énergie - Des millions d'Américains souffrent inutilement des effets à long terme du COVID19. Pire encore, ces symptômes peuvent être amplifiés si vous avez été vacciné.

Le Dr McCullough a été l'un des dirigeants les plus francs et les plus courageux pendant la pandémie, et aujourd'hui, il poursuit son travail pour garder les Américains en bonne santé et en sécurité dans cette nouvelle ère post-pandémique de protéine de pointe.

Le Dr McCullough écrit que,

Plus de trois ans après le début de la pandémie, presque tout le pays étant tombé malade du SRAS-CoV-2, un virus conçu pour envahir le corps, des millions de personnes souffrent du syndrome du long courrier. Environ la moitié des patients admis aux soins intensifs avec COVID-19 auront un syndrome post-COVID qui est maintenant compris comme étant dû à la persistance de la protéine SARS-CoV-2 Spike dans les cellules, les tissus et les organes. Les personnes vaccinées ont été en outre chargées de Spike, et peuvent donc avoir une évolution encore pire avec des symptômes prolongés, notamment fatigue, léthargie, brouillard cérébral, perte musculaire, changements cutanés et capillaires, insomnie et intolérance à l'effort. L'ampleur du problème a conduit à une recherche globale de stratégies de gestion pour résoudre le(s) syndrome(s).

Malgré la censure de la communauté médicale traditionnelle, des solutions existent. Le Dr Peter McCullough note les remèdes potentiels suivants :

1. Ivermectine sur ordonnance

2. Naltrexone à faible dose sur ordonnance

3. Nattokinase en vente libre

En particulier, la nattokinase est très prometteuse. Du Dr McCullough :

J'ai découvert que la nattokinase, le produit japonais dérivé du natto (un aliment traditionnel japonais à base de graines de soja entières qui ont été fermentées avec Bacillus subtilis var. Natto.) était l'approche la plus convaincante et scientifiquement soutenue pour éliminer la protéine Spike du corps via dégradation protéolytique.

Le Dr Peter McCullough et son équipe de The Wellness Company ont conçu un supplément optimisé à base de Nattokinase, Spike Support, pour vous aider à vous sentir mieux.

Nattokinase pour faciliter la circulation et dissoudre les protéines de pointe

Pissenlit pour un agent détoxifiant et empêche la liaison cellulaire des protéines de pointe

Sativa noire pour éventuellement faciliter la réparation cellulaire

Thé vert pour des défenses supplémentaires au niveau cellulaire en éliminant les radicaux libres

Mousse de mer d'Irlande pour aider à reconstruire les tissus et les muscles endommagés

Voici l'un des collègues du Dr McCullough, le Dr Jen VanDeWater, qui parle de tous les éléments de la formule Spike Support de The Wellness Company :

Selon The Wellness Company, l'achat de tous les ingrédients séparés de la Spike Support Formula coûterait plus de 100 $ - vous pouvez économiser 36 % avec la formulation unique de la Spike Support Formula de The Wellness Company.

Cliquez ici pour commander la formule de support Spike dès aujourd'hui !

https://www.zerohedge.com/sponsored-post/headline-dr-peter-mccullough-3-things-you-need-know-about-treating-spike-post-covid

58 commentaires:

  1. Notons quand même si les produits cités atténuent, ils ne sont pas des antidotes au poison injecté !
    Les spikes, les hydres, les nano-particules d'oxyde de graphène et diverses maladies animales y seront toujours !

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  2. L’infertilité touche une personne sur six selon l’OMS

    Environ une personne sur six dans le monde souffre d’infertilité, d’où le besoin urgent d’accroître l’accès à des soins abordables et de haute qualité, a plaidé l’OMS mardi.


    4 avril 2023, 00:54


    «Une personne sur six dans le monde est touchée par l’incapacité d’avoir un enfant à un moment ou à un autre de la vie. Et ce, quels que soient leur lieu de vie et les ressources dont elles disposent», a souligné le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, dans la préface d’un nouveau rapport. Il s’agit, selon l’OMS, d’un véritable «problème sanitaire majeur», qui touche 17,8 % de la population adulte des pays riches et 16,5 % des pays à revenus faibles et intermédiaires. «Ce rapport, le premier du genre depuis dix ans, est révélateur d’un fait important: l’infertilité ne fait pas de discriminations», a mis en exergue le Dr Tedros.

    Le rapport ne se penche pas sur les causes médicales, environnementales ou autres de l’infertilité, ni sur son évolution au fil du temps mais donne un premier aperçu de sa prévalence en analysant l’ensemble des études pertinentes de 1990 à 2021. Il en ressort que «l’infertilité touche une grande partie de la population mondiale» puisque la question concerne environ 17,5 % de la population adulte.

    «L’infertilité touche des millions de personnes» et pourtant, a souligné le Dr Tedros, «le sujet est encore peu étudié et les solutions restent insuffisamment financées et sont inaccessibles pour beaucoup en raison des coûts élevés, de la stigmatisation sociale et de la disponibilité limitée».

    «La proportion même des personnes touchées montre la nécessité d’élargir l’accès aux soins relatifs à la fertilité et de veiller à ce que cette question ne soit plus mise de côté dans la recherche et les politiques de santé, afin que des moyens sûrs, efficaces et abordables d’atteindre la parentalité soient disponibles pour ceux qui le souhaitent», a-t-il demandé.

    «Système reproducteur masculin ou féminin»

    L’infertilité est, selon l’OMS, «une maladie du système reproducteur masculin ou féminin, définie par l’incapacité d’obtenir une grossesse après 12 mois ou plus de rapports sexuels réguliers non protégés. Cette situation peut entraîner une détresse majeure, de la stigmatisation et des difficultés financières.

    «La procréation s’accompagne d’une pression sociale importante. Dans des pays, la grossesse reste essentielle à la perception de la féminité et de ce qu’est un couple. L’échec est souvent stigmatisé», a déclaré la Dre Pascale Allotey, la directrice à l’OMS du Département Santé sexuelle et reproductive, en présentant le rapport aux journalistes. «Les personnes ayant un problème d’infertilité souffrent souvent d’anxiété et de dépression» et il existe aussi «un risque accru de violences conjugales qui est associé à l’infertilité», a-t-elle ajouté.

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  3. L’OMS appelle les pays à développer les solutions pour la prévention, le diagnostic et le traitement de l’infertilité – y compris les technologies de procréation assistée telles que la fécondation in vitro. «Nous voulons nous assurer que nous brisons le silence sur l’infertilité, en veillant à ce qu’elle soit incluse dans les politiques, les services et le financement de la santé sexuelle et reproductive», a expliqué aux journalistes le Dr Gitau Mburu, de l’OMS.

    Bien que le nouveau rapport présente des données attestant de la «forte prévalence mondiale» de l’infertilité, il met en évidence un manque de données dans de nombreux pays, notamment en Afrique, en Méditerranée orientale et en Asie du Sud-Est. Il appelle les pays à faire en sorte que davantage de données sur l’infertilité, ventilées par âge et par cause, soient disponibles pour aider à quantifier le problème, ainsi qu’à savoir qui a besoin de soins de fertilité et comment les risques peuvent être réduits.

    https://www.lematin.ch/story/linfertilite-touche-une-personne-sur-six-selon-loms-681284154343

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  4. Le Gardasil ne diminue pas la fréquence des cancers du col de l’utérus, ni de l’anus

    Le gardasil n’est pas efficace contre le cancer et non dénué d’effets secondaires


    Par Dr Gérard Delépine
    Mondialisation.ca,
    03 avril 2023



    INFECTION N’EST PAS CANCER

    Faits avérés concernant cette vaccination
    Depuis plusieurs semaines, les lobbys des entreprises pharmaceutiques ont mobilisé les médias, notre ministre de la Santé et notre président pour faire la promotion de la vaccination anti-HPV (papillomavirus). Après avoir déploré qu’« un tiers des jeunes filles » et moins de 10 % des garçons se font vacciner », il s’être déclaré « ouvert à une vaccination obligatoire »1, et vient de déclarer des contre-vérités flagrantes dans un collège de Charente. Comment ses conseillers peuvent-ils le tromper à ce point et lui cacher les résultats inquiétants de cette vaccination dans le monde réel ?

    Pourtant la Commission de la transparence dans son avis du 13 septembre 20172 avait alerté :

    « Les données disponibles ne permettent pas de répondre aux interrogations concernant… l’efficacité en termes de prévention des cancers ».

    La consultation des registres des cancers des pays pionniers de cette vaccination anti-HPV montre que nulle part la vaccination n’a fait régresser les cancers invasifs et que, parfois, paradoxalement, la vaccination anti-HPV est suivie d’une augmentation du risque de cancer invasif du col de l’utérus !3

    Le lien de causalité exclusive entre infection à HPV et cancer n’est pas démontré
    Un ami gendarme m’a rappelé que « sur les lieux d’un crime, on trouve aussi les témoins ».

    Avant la mise sur le marché de ce vaccin, tous les articles recherchant les causes du cancer du col utérin démontraient que ce dernier est statistiquement lié à de très nombreux facteurs4 5, eux-mêmes liés entre eux dont : l’activité sexuelle précoce, importante et variée (source de microtraumatismes répétés et d’inflammations chroniques qui constituent des causes classiques de cancérisation), le tabagisme, l’usage prolongé des contraceptifs oraux, le nombre élevé d’enfants (plus de cinq), le Sida et les autres déficits immunitaires et les infections génitales dont l’herpès, la chlamydia et une vingtaine de souches de HPV, les dépressions6. Depuis la mise sur le marché des vaccins anti-HPV, les articles détaillant les facteurs favorisants des cancers se focalisent uniquement sur ces derniers virus et prétendent qu’ils en seraient les seuls responsables.

    De plus un certain nombre de cancéreuses se révèlent d’ailleurs HPV négatives7 8, ce qui contredit le discours habituel repris par l’agence officielle Santé publique France faisant de cette infection une condition indispensable au cancer.

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  5. Le papillomavirus qui ne donne aucun signe clinique est habituellement commensal comme le staphylocoque blanc sur la peau, le colibacille dans l’intestin ou le bacille de Doderlein dans le vagin. Plus de 150 souches de papillomavirus peuvent infecter l’homme. La contamination se fait par simple contact cutané (plus de 50 % des vierges sont ou ont été infectées9) ou lors d’un acte sexuel. Près de 80 % des personnes sexuellement actives seront infectées sans le savoir un jour ou l’autre, souvent à plusieurs reprises, et se débarrasseront naturellement du HPV dans 90 % des cas en quelques mois, sans séquelles avec acquisition d’une immunité solide contre la souche concernée.

    Une réinfection est possible avec une autre des 150 souches existantes. La multiplicité des partenaires et des contacts sexuels fréquents favorise la persistance d’une infection à HPV. Une vingtaine de souches connues peuvent précéder un cancer. Il existe, certes, une corrélation statistique entre persistance d’infection à HPV et cancer, mais aucune preuve de causalité directe n’a jamais été établie. L’absence de lien de causalité exclusive10 démontré entre infection à HPV et cancer rend très hypothétique l’efficacité des vaccins anti-HPV contre les cancers associés au virus11, qu’il s’agisse du cancer du col de l’utérus, du cancer anal ou ORL et explique certainement l’échec de la prévention contre le cancer dans les pays adeptes de cette vaccination d’autant que le faux sentiment de sécurité créé par la propagande Gardasil peut inciter certaines jeunes filles à commencer plus tôt leurs expériences sexuelles et d’autres à négliger le dépistage cytologique.

    En Australie, la vaccination n’a pas fait reculer l’incidence des cancers invasifs
    L’Australie a été le premier pays à instaurer la vaccination scolaire des filles dès 2006. Des journalistes ignorants (ou corrompus ?) proclament régulièrement que le pays va « éradiquer le cancer du col grâce à la vaccination »12 13, mais les chiffres officiels montrent que depuis la généralisation de la vaccination, l’incidence standardisée14 des cancers invasifs ne diminue plus alors qu’elle avait diminué de plus de 50 % entre 1987 et 2006, grâce aux dépistages par frottis cytologiques.

    La capture d’écran qui suit illustre cette vérité officielle que chacun peut vérifier à l’adresse Internet qui y figure. On peut regretter que ce graphique publié en décembre 2022 par l’agence sanitaire australienne (AIHW) ne donne des chiffres observés que jusqu’en 2019 (les services statistiques officiels australiens ne sont pas très réactifs), mais les prévisions officielles des années suivantes ne font que confirmer la tendance avec une incidence 2022 estimée à 7,1/100 000 contre moins de 6/100000 en France peu vaccinée).

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  6. De plus, le nombre annuel de nouveaux cancers invasifs, loin de diminuer, augmente :

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    Les articles qui claironnent la victoire de la vaccination sur le cancer du col en Australie ne reposent donc sur aucun fait réel, mais seulement sur la croyance que la diminution des infections à HPV entraînera une diminution des cancers invasifs, à l’aide de simulations aux hypothèses incertaines, alors que les faits constatés dans le monde réel démontrent le contraire. Prétendre comme tant de journalistes que l’Australie serait en train d’éradiquer le cancer du col grâce à la vaccination n’est donc qu’un énorme mensonge auquel le président a cru et qu’il a répété !

    En Grande-Bretagne non plus, la vaccination n’a pas fait régresser les cancers invasifs
    La Grande-Bretagne a été le second pays à généraliser la vaccination des jeunes filles à l’école. En 2008, la Grande-Bretagne a mis en place une campagne de vaccination systématique contre les papillomavirus humains dès 2008 pour les jeunes filles de 12 – 13 ans et en rattrapage entre 2008 et 2010 pour les 14 – 18 ans. Entre 2008 – 2009 et 2011 – 2012, la couverture annuelle (pour une dose du vaccin) en Angleterre se situait entre 85,9 % et 90,6 %.

    Un article mensonger récent15 mélangeant allègrement vrais cancers invasifs et dysplasies bénignes, largement diffusé par les médias, proclame fièrement : « Vaccin anti-HPV : quasi-élimination du cancer du col utérin en Angleterre ». Mais, curieusement, l’agence officielle Cancer research UK (CRUK) publie sur son site la dernière incidence standardisée de cancer invasif à 9,6/100 000 (soit supérieure de 50 % au taux français actuel).

    Depuis les campagnes de vaccination, l’évolution globale d’incidence des cancers invasifs au Royaume-Uni se caractérise par l’absence de diminution, ainsi que le constate Cancer Research UK :

    « Au cours de la dernière décennie, au Royaume uni (entre 2006-2008 et 2016-2018 les taux d’incidence du cancer de l’utérus chez les femmes sont restés stables »

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    De 1993 à 2006, grâce au dépistage cytologique, l’incidence standardisée avait régressé de 13/100 000 à 9/100 000, mais depuis le début de la vaccination, elle est passée de 9/100 000 en 2006 – 2008 à 10/100 000 en 2016 – 2018, dernière période publiée.

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  7. Et cette estimation globale dissimule l’augmentation d’incidence dans les groupes les plus vaccinés. L’analyse par groupes d’âge objective en effet une diminution franche d’incidence chez les femmes âgées, non vaccinées.

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    À l’opposé, le groupe des 20-24 ans, le plus vacciné, souffre d’une augmentation d’incidence de 19 % des cancers invasifs passée de 16/100 000 en 2007 à 19/100 000 en 2016 – 2018, dernière période publiée en mars 2023.

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    En Grande-Bretagne aussi la vaccination est donc très loin d’amorcer l’éradication du cancer que promettent les avocats du vaccin avec une augmentation d’incidence dans le groupe le plus vacciné !

    En Suède, l’incidence des cancers invasifs a franchement augmenté depuis la vaccination
    En Suède, grâce au dépistage cytologique une diminution de 66 % de l’incidence standardisée des cancers invasifs avait été observée entre 1965 et 2007 (de 24/100 000 à 8/100 000).16

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    La généralisation de la vaccination à l’école en 2010 a été suivie, au contraire, d’une augmentation de l’incidence des cancers invasifs17 de 7/100 000 en 2006 – 2009 à 11.5/100 000 en 2014–2015 (p <0.03) et même 13/100 000 en 2021, augmentation que reconnaissent les avocats de cette vaccination qui tentent seulement de nier le lien de causalité avec la vaccination18 19. L’analyse en break point (recherche du point de rupture) faite par l’agence sanitaire suédoise date l’apparition de cette augmentation en 2011, un an après la généralisation de la vaccination et plaide t pour sa responsabilité.

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    En Norvège, l’incidence des cancers invasifs a augmenté depuis la vaccination
    La vaccination HPV a été commencée en automne 2009 pour les Norvégiennes. Contrairement aux articles écrits par des auteurs trop liés aux labos, qui claironnent les bénéfices supposés de la vaccination anti HPV, la consultation du registre norvégien du cancer20 montre que l’incidence de ce cancer a augmenté depuis la vaccination passant de 12,1/100 000 en 2007-2011 à 13,5 en 2017-

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    2021 (2 fois plus élevée qu’en France !)

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    RÉSULTATS GLOBAUX DES VACCINATIONS ANTI-HPV DANS LE MONDE : EFFICACE SUR LE VIRUS, INEFFICACE SUR LA PRÉVENTION DU CANCER

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  8. Globalement, dans tous les pays qui l’ont instauré, la vaccination anti-HPV s’est révélée efficace sur les souches de virus visées, les verrues et les dysplasies cytologiques, mais s’est jusqu’ici révélée inefficace (avec 16 ans de recul) sur la fréquence des cancers invasifs.

    En 2016, nous avions fait part de nos inquiétudes au président de l’Institut national du cancer (INCa) par courrier privé, et le député Gérard Bapt21 avait interrogé oralement la ministre de la Santé de l’époque, ne s’attirant comme réponse qu’un « il est trop tôt pour juger ». Et pourtant ce vaccin existait déjà depuis 10 ans à l’époque. De nombreux cris d’alarme avaient été émis depuis de longues années sans effet, par exemple par le Dr de Chazournes22.

    Six ans plus tard, la situation est toujours aussi préoccupante, alors que la publicité mensongère s’intensifie en France et s’accompagne de déclarations gouvernementales ahurissantes, sans jamais évoquer les problèmes que soulève cette vaccination (inefficacité contre le cancer et effets secondaires possibles).

    En France, faible taux de vaccination et faible incidence du cancer invasif du col utérin
    En France, la prudence envers cette vaccination explique un taux de vaccination relativement bas par rapport aux pays voisins, qui va de pair avec une incidence standardisée de cancers moindre que chez les champions de la vaccination, tendance qui s’est amorcée dès la généralisation de la vaccination selon les données de l’agence internationale de recherche sur le cancer illustrée par le graphique suivant :

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    En France, en 2018, l’incidence standardisée monde était de 6,1/100 000 et est depuis passée en dessous de 6/100 000 (seuil définissant les maladies rares, selon l’OMS) alors qu’elle atteint des taux supérieurs dans tous les pays apôtres de la vaccination : 7,1 en Australie, 9 en Grande-Bretagne, 13 en Suède et 13,5 en Norvège.

    Pourquoi le Président fustige-t-il le faible taux de vaccinées en France au lieu de regretter les taux de cancers invasifs élevés dans les pays adeptes des vaccinations scolaires ? Ses conseillers sont-ils incompétents ou trop liés aux laboratoires pharmaceutiques ? L’ont-ils informé sur les dégâts éventuels de cette injection ? Pourquoi le trompent-ils ?

    Des accidents post vaccination graves ont été constatés dans de nombreux pays
    En France, le calvaire de Marie-Océane23 24 a mis en évidence les risques neurologiques de ces vaccins liés possiblement à l’aluminium utilisé comme adjuvant et à une prédisposition génétique. Le lien de causalité a été reconnu par les experts et une indemnisation accordée par les juges, retoquée en appel. L’affaire est en cassation.

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  9. Les complications post Gardasil ont été rapportées dans de nombreux autres pays (Danemark, Bolivie, Japon, Irlande) où elles ont motivé des manifestations de parents que personne ne peut pourtant qualifier d’antivax, puisqu’ils ont fait vacciner leurs enfants en étant persuadés de bien faire et qu’ils le regrettent après la survenue des complications et des procès aux USA25 26 27.

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    En août 2022, une commission judiciaire américaine a rendu une ordonnance validant plus de 31 actions en justice intentées contre Merck pour des complications graves survenues après injection de son vaccin Gardasil28 29 et les premières audiences devraient se tenir en avril 2023.

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    Les poursuites montrent que le géant pharmaceutique a accéléré le processus d’approbation de Gardasil par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis et a mené des essais cliniques trompeurs pour masquer les effets secondaires graves et pour exagérer l’efficacité du vaccin.

    L’argument de Merck selon lequel la tenue des procès augmenterait l’hésitation à se faire vacciner et provoquerait un afflux de plaintes « infondées » pour complications dues aux vaccins, n’a pas convaincu la commission.

    « La consolidation de tous les cas de blessures liées au Gardasil aux États-Unis dans une seule salle d’audience signifie que chaque enfant et chaque adulte victime du vaccin Gardasil peuvent maintenant plaider leur cause devant un seul juge fédéral ».

    Ne vaccinons surtout pas les garçons par le Gardasil !

    Le risque de cancer anal possiblement lié aux HPV a été le prétexte de la proposition du CDC américain (qui reçoit des royalties sur les ventes de vaccin) et de la Haute Autorité de santé française (dont beaucoup d’experts ont des liens d’intérêt avec l’industrie pharmaceutique) de vacciner les garçons. Mais ce cancer, exceptionnel (800 cas/an en France), ne menace qu’un groupe très restreint de la population mâle : les homosexuels adeptes de rapports anaux passifs30 avec de multiples partenaires (74 % des cas), et séropositifs au sida (77 % des cas)31 32 et les personnes souffrant de déficit immunitaires, ce qui ne justifie donc pas une vaccination généralisée des garçons d’autant plus que là aussi l’efficacité contre le cancer anal n’est pas du tout démontrée.

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  10. Il existe certes une corrélation statistique entre la présence de HPV et le cancer anal, mais une fois de plus le lien causal n’est pas démontré contrairement au fait d’être homosexuel passif et porteur du virus du sida. Lorsqu’on n’est pas homosexuel passif ni malade du Sida, le risque de cancer anal est infime, même si on est porteur de HPV.

    De plus, les exemples de l’Australie, de la Grande-Bretagne et des USA suggèrent l’inefficacité des vaccins anti-HPV contre le cancer anal, car depuis 15 ans, malgré le très fort taux de vaccination chez les filles, leur risque de cancer anal a augmenté 3 à 4 fois plus vite que celle des garçons très peu vaccinés.

    Aux USA, la vaccination par Gardasil a été popularisée dès 2008, mais depuis l’incidence des cancers anaux a augmenté plus que dans les précédentes décennies comme le précise le Surveillance and End Results Program (SEER) du National Cancer Institute33:

    « Les taux ajustés selon l’âge pour les nouveaux cas de cancer anal ont augmenté en moyenne de 2,2 % chaque année de 2010 à 2019. Les taux de mortalité ajustés en fonction de l’âge ont augmenté en moyenne de 3,9 % par an entre 2011 et 2020. »

    En Grande-Bretagne, Cancer Research UK précise ainsi34:

    « Au cours de la dernière décennie, les taux d’incidence du cancer anal chez les femmes ont augmenté de plus de la moitié (53 %) et les taux chez les hommes ont augmenté d’environ un septième (13 %). »

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    On peut donc craindre que ce vaccin anti-HPV favorise paradoxalement l’éclosion d’un cancer anal comme il favorise l’apparition plus précoce et fréquente d’un cancer du col utérin !

    Les arguments avancés par la Haute Autorité de Santé pour généraliser ce vaccin chez les garçons sont d’ailleurs révélateurs de l’absence de bénéfice médical démontré pour les garçons et de la volonté de faciliter le passage à l’homosexualité.

    Initialement les recommandations visaient seulement les homosexuels mâles et les immunodéprimés35 :

    « La vaccination par GARDASIL 9® (9HPV) est recommandée chez les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (HSH) jusqu’à l’âge de 26 ans et chez les adolescents immunodéprimés »

    Mais le 16 décembre 2019, à la suite d’une saisine de la direction générale de la santé et de la Ministre chargée de la santé, la Haute Autorité de santé (HAS) a élargi ses recommandations36 à l’ensemble des mâles « pour ne pas stigmatiserdes adolescents ou des hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes à un âge où la préférence sexuelle n’est pas connue ou pas affirmée. »

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  11. La HAS recommande un vaccin potentiellement dangereux et totalement inutile chez les hétérosexuels pour calmer les angoisses de potentiels homosexuels mâles passifs ou garçons indécis !

    En l’état actuel de la science, la prévention pratique du cancer anal repose sur l’utilisation systématique du préservatif (pour éviter la contamination par le virus du sida), la limitation de la fréquence des rapports anaux passifs et peut-être le traitement des lésions précancéreuses par radiofréquence37. La vaccination anti HPV, qui confère un faux sentiment de sécurité, risque de favoriser la survenue de la maladie, comme on l’a constaté lors des essais de vaccins contre le Sida.

    Un vaccin jugé peu efficace et trop cher par 400 praticiens38

    Rappelons que la vaccination anti-HPV ne permet pas de se dispenser du dépistage et peut-être justifierait même une fréquence accrue, comme le suggèrent les Suédois39. La vaccination ne diminue donc pas le coût de la prévention du cancer, mais l’augmente.

    Le coût financier de la généralisation de cette vaccination serait exorbitant, car, avec près de 500 euros le coût de chaque vaccination complète (trois doses plus quatre consultations), il faudrait dépenser environ 400 millions d’euros chaque année sans même pouvoir espérer le moindre résultat avant 15 ans ! En prenant les hypothèses d’efficacité les plus invraisemblables (100 % d’efficacité sur 100 % des cancers concernés) le coût/efficacité financière atteindrait 200 000 euros par année de vie gagnée ajustée sur la qualité de vie (QALY)40, alors que la Grande-Bretagne fixe le seuil d’acceptabilité à 30 000 euros par qaly. Un bénéfice très incertain (et potentiellement négatif) pour un coût colossal, totalement disproportionné de plus en cette période de déficit budgétaire.

    Comme le souligne Bijan Esfandiari, avocat spécialisé dans les litiges en matière de responsabilité du fait des produits pharmaceutiques et associé principal chez Wisner Baum à Los Angeles41 :

    « le moyen le plus efficace et sans effets secondaires pour prévenir le cancer du col de l’utérus est le test de Papanicolaou42.

    Des études montrent que les jeunes femmes qui ont reçu du Gardasil ont un faux sentiment de sécurité et renoncent aux frottis vaginaux de routine. Les données ont également montré que, dans les pays où l’utilisation du Gardasil est élevée, les taux de cancer augmentent chez les jeunes femmes, pour un cancer qui apparaît généralement lorsque les femmes atteignent la cinquantaine et la soixantaine. Il y a quelque chose qui ne va pas ici et nos enfants ne devraient pas être soumis à une obligation de l’État qui les transforme en cobayes et les expose à un risque accru de contracter la maladie même si on leur dit que ce vaccin la prévient. »

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  12. On peut conseiller à Monsieur le Président de ne plus croire des conseillers incompétents ou corrompus qui le décrédibilisent, et de vérifier personnellement les données officielles des pays qui ont généralisé le Gardasil. Il constatera qu’il ne faut pas promouvoir cette vaccination efficace sur l’infection et les verrues, mais inefficace contre les cancers, hors de prix et dont les dangers conduisent actuellement à de nombreux procès aux USA.

    Dans l’état actuel de la science,
    il ne faut vacciner ni filles ni garçons avec le Gardasil !

    Dr Gérard Delépine

    Notes :

    1 Maëlane Loaëc avec Noëlle Ly (et AFP) Publié le 8 décembre 2022 Source : Sujet TF1 Info

    2 https://www.has-sante.fr/upload/docs/evamed/CT 15867_GARDASIL_9_PIC_INS_Avis3_CT15867.pdf

    3 HYSTERIE VACCINALE. VACCIN GARDASIL ET CANCER : UN PARADOXE, Delépine Gérard et Nicole FAUVES ÉDITIONS 25/10/2018. Les données officielles les plus récentes confirment nos conclusions de l’époque.

    4 Murthy NS, Mathew A. Risk factors for pre-cancerous lesions of the cervix. Eur J Cancer Prev. 2000 Feb;9(1):5-14. doi: 10.1097/00008469-200002000-00002. PMID : 10777005.

    5 Burkett BJ, Peterson CM, Birch LM, Brennan C, Nuckols ML, Ward BE, Crum CP. The relationship between contraceptives, sexual practices, and cervical human papillomavirus infection among a college population. J Clin Epidemiol. 1992 Nov;45(11):1295-302. doi: 10.1016/0895-4356(92)90170-r. PMID : 1331341

    6 Lu D, Sundström K, Sparén P, Fall K, Sjölander A, Dillner J, Helm NY, Adami HO, Valdimarsdóttir U, Fang F. Bereavement Is Associated with an Increased Risk of HPV Infection and Cervical Cancer: An Epidemiological Study in Sweden. Cancer Res. 2016 Feb 1;76(3):643-51. doi: 10.1158/0008-5472.CAN-15-1788. Epub 2015 Dec 3. PMID : 26634926 ; PMCID : PMC4738001.

    7 Kaliff M, Karlsson MG, Sorbe B, Bohr Mordhorst L, Helenius G, Lillsunde-Larsson G. HPV-negative Tumors in a Swedish Cohort of Cervical Cancer. Int J Gynecol Pathol. 2020 May;39(3):279-288. doi: 10.1097/PGP.0000000000000612. PMID : 31206367 ; PMCID : PMC7147426.

    8 Rodríguez-Carunchio L, Soveral I, Steenbergen RD, Torné A, Martinez S, Fusté P, Pahisa J, Marimon L, Ordi J, del Pino M. HPV-negative carcinoma of the uterine cervix: a distinct type of cervical cancer with poor prognosis. BJOG. 2015 Jan;122(1):119-27. doi: 10.1111/1471-0528.13071. Epub 2014 Sep 17. PMID : 25229645

    9 The high prevalence of the infection among the virginal women indicated that transmission of HPV by nonsexual modes was common Tay Sun‐Kuie Is Genital Human Papillomavirus Infection Always Sexually Transmitted? August 1990 https://doi.org/10.1111/j.1479-828X.1990.tb03223.x

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  13. 10 Santé publique France reconnait d’ailleurs « Une infection persistante par un HPV à haut est une condition nécessaire, mais non suffisante au développement du cancer du col. D’autres facteurs de risque peuvent agir de concert avec le HPV : tabac, infection par le VIH, utilisation à long terme de contraceptifs oraux, multiparité… https://www.santepubliquefrance.fr/maladies-et-traumatismes/cancers/cancer-du-col-de-l-uterus

    11 Franco EL. Viral etiology of cervical cancer: a critique of the evidence. Rev Infect Dis. 1991 Nov-Dec;13(6):1195-206. doi: 10.1093/clinids/13.6.1195. PMID : 1663652. PMID : 1663652

    12 https://sante.lefigaro.fr/article/l-australie-sur-le-point-d-eradiquer-le-cancer-du-col-de-l-uterus

    13 L’Australie sur la voie de l’éradication du cancer du col de l’utérus
    https://www.diplomatie.gouv.fr/fr/politique-etrangere-de-la-france/diplomatie-scientifique-et-universitaire/veille-scientifique-et-technologique/australie/article/l-australie-sur-la-voie-de-l-eradication-du-cancer-du-col-de-l-uterus

    14 Nombre de nouveaux cancers découverts chaque année chez 100000 femmes, corrigé des variations démographiques

    15 Falcaro M, Castañon A, Ndlela B, Checchi M, Soldan K, Lopez-Bernal J, Elliss-Brookes L, Sasieni P. The effects of the national HPV vaccination programme in England, UK, on cervical cancer and grade 3 cervical intraepithelial neoplasia incidence: a register-based observational study. Lancet. 2021 Dec 4;398(10316):2084-2092. doi: 10.1016/S0140-6736(21)02178-4. Epub 2021 Nov 3. PMID : 34741816

    16 Bergström R, Sparén P, Adami HO. Trends in cancer of the cervix uteri in Sweden following cytological screening. Br J Cancer. 1999 Sep;81(1):159-66. doi: 10.1038/sj.bjc.6690666. PMID : 10487628 ; PMCID: PMC2374360. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/10487628/

    17 Increased incidence of cervical cancer in Sweden: Possible link with HPV vaccination. Indian J Med Ethics. 2018 Jul-Sep;3(3):246. doi: 10.20529/IJME.2018.057. Epub 2018 May 26. PMID: 30044233.

    18 Jørgensen L, Gøtzsche PC, Jefferson T. Increased incidence of cervical cancer in Sweden: an unlikely link with human papillomavirus (HPV) vaccination. BMJ Sex Reprod Health. 2019 Sep 18:bmjsrh-2018-200245. doi : 10.1136/bmjsrh-2018-200245. Epub ahead of print. PMID: 31533920.

    19 Jiangrong Wang Increase of cervical cancer incidence in Sweden in relation to screening history: population cohort study Acta Oncologica Volume 59, 2020—Issue 8 https://www.tandfonline.com/doi/full/10.1080/0284186X.2020.1764095

    20 https://www.fhi.no/en/op/Indicators-for-NCD/premature-mortality/cancer-incidence-indicator-2/

    21 Toulouse : Gérard Bapt déconseille aux jeunes filles de se faire vacciner contre le papillomavirus (francetvinfo.fr)

    22 https://www.youtube.com/watch?v=OoSkLNvz2YA et son site

    23 Bourguignon https://sante.lefigaro.fr/actualite/2013/11/25/21551-gardasil-calvaire-doceane

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  14. 24 https://www.maxisciences.com/vaccin/cancer-de-l-uterus-les-effets-secondaires-du-vaccin-gardasil-de-nouveau-mis-en-cause_art31425.html

    25 The HPV Vaccine On Trial: Seeking Justice For A Generation Betrayed Paperback — September 25, 2018
    by Mary Holland

    26 March 1, 2023: In addition to the Gardasil cases pending in the MDL in federal courts, there are a large number of Gardasil vaccine lawsuits pending in California state courts. Many of the state court Gardasil cases were filed first and a group of them were scheduled to go to trial beginning in September of this year.
    https://www.millerandzois.com/products-liability/gardasil/

    27 https://www.baumhedlundlaw.com/blog/2022/august/judicial-panel-consolidates-gardasil-lawsuits-in/

    28 https://childrenshealthdefense.org/defender/les-plaignants-attendent-leur-jour-au-tribunal-alors-que-le-comite-judiciaire-consolide-des-dizaines-de-proces-contre-le-vaccin-vph-gardasil-de-merck/?lang=fr

    29 https://www.mondialisation.ca//les-proces-americains-contre-le-gardasil-rappellent-les-dangers-du-vaccin-contre-le-papillomavirus-de-plus-en-plus-impose-en-france/5672066

    30 Nelson RA, Levine AM, Bernstein L, Smith DD, Lai LL. Changing patterns of anal canal carcinoma in the United States. J Clin Oncol2013;31:1569–75

    31 Silverberg MJ , Lau B, Justice AC et al. Risk of anal cancer in HIV-infected and HIV-uninfected individuals in North America. Clin Infect Dis2012;54:1026–34.

    32 Richel O, Van Der Zee RP, Smit C, De Vries HJ, Prins JM. Brief report: anal cancer in the HIV-positive population: slowly declining incidence after a decade of cART. J Acquir Immune Defic Syndr2015;69:602—05.

    33 https://seer.cancer.gov/statfacts/html/anus.html

    34 https://www.cancerresearchuk.org/health-professional/cancer-statistics/statistics-by-cancer-type/anal-cancer#heading-Zero

    35 https://www.has-sante.fr/upload/docs/application/pdf/2019-12/fiche_synthese_de_la_recommandation_vaccinale_vaccination_contre_les_papillomavirus_chez_les_garcons.pdf

    36 https://www.has-sante.fr/jcms/p_3147966/fr/papillomavirus-la-vaccination-recommandee-pour-tous-les-garcons

    37 https://www.abc.net.au/news/2023-01-12/anal-cancer-therapy-radiofrequency-ablation/101819714

    38 https://www.lejdd.fr/Societe/400-medecins-contre-un-Gardasil-inefficace-et-trop-cher-659198-3187676

    39 Tous les deux ans au lieu de tous les trois ans chez les femmes non vaccinées

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  15. 40 le QALY est une mesure permettant de mesurer les résultats médicaux. Les résultats liés à la santé sont présentés dans une taille unique. L’espérance de vie est pondérée par l’indice de qualité du facteur (q).

    41 https://finance.yahoo.com/news/parents-arms-over-california-assembly-164300338.html?fr=sycsrp_catchall

    42 Précisons qu’il faut refuser les recherches de virus HPV en même temps que le frottis vaginal banal qui accroîtrait artificiellement les anomalies et conduiraient à des conisations inutiles et à risque d’infertilité
    Tests de dépistage HPV versus frottis : acte médical ou marchand ? — AgoraVox le média citoyen

    https://www.mondialisation.ca/le-gardasil-ne-diminue-pas-la-frequence-des-cancers-du-col-de-luterus-ni-de-lanus/5675759

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  16. Podcast TKP avec le Dr. Hans-Joachim Kremer : Turbo cancer selon l'ARNm


    4 avril 2023
    par Thomas Oysmuller


    Peter F. Mayer et Thomas Oysmüller discutent cette semaine avec l'auteur invité du TKP, le Dr. Hans-Joachim Kremer ses recherches sur le turbo cancer après la vaccination par l'ARNm.

    dans une série en six épisodes, Dr. Hans-Joachim Kremer a analysé les données du VAERS pour étudier le lien entre le turbo cancer et la vaccination par ARNm. Cette semaine, il discute de ses découvertes sur le podcast TKP.

    Sur Spotify :

    Sur Rumble :

    Les données du VAERS prouvent le turbocancer (6) : métastases et aperçu

    Les données du VAERS démontrent un turbo cancer (4) : cancer du poumon et néoplasie

    Les données du VAERS confirment le turbo cancer (3) : cancer gastro-intestinal

    Les données du VAERS prouvent le turbo cancer (2) : cancer du sein

    Les données du VAERS supportent le turbo cancer (1) : cancer de la prostate

    https://tkp.at/2023/04/04/tkp-podcast-mit-dr-hans-joachim-kremer-turbokrebs-nach-mrna/

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  17. Berenson : les défenseurs les plus féroces des vaccins commencent à admettre la vérité sur les ARNm


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 04 AVRIL 2023 - 01:00
    Écrit par Alex Berenson via la sous-pile "Unreported Truths",


    Même le New York Times ne peut pas cacher éternellement la réalité des piqûres d'ARNm.

    La semaine dernière, le Times a publié un article intitulé « Devez-vous obtenir un autre rappel Covid ? »

    Le sous-titre de l'article indiquait que "la Grande-Bretagne et le Canada ont autorisé une autre série de rappels", ce qui implique que les États-Unis ont en quelque sorte été négligents en ne le faisant pas.

    Et l'article a été écrit par Apoorva Mandavilli, parmi les pires reporters de Covid. J'ai donc supposé que l'article serait rempli d'absurdités habituelles, d'autant plus que la première personne citée par Mandavilli était le Dr Céline Gounder, qui a poussé bruyamment les piqûres d'ARNm.

    Après la mort du mari de Gounder d'un anévrisme de l'aorte, elle s'est déchaînée en janvier contre les sceptiques de l'ARNm (dont moi) qui se demandaient si les coups pouvaient être liés à sa mort - même si les médecins ont signalé à plusieurs reprises des cas d'anévrismes post-jab.

    Dans son article de janvier, Gounder s'est même plainte que l'abrogation par le Congrès du mandat du vaccin Covid des forces armées "menace la préparation militaire". (Un non-sens, bien sûr. Les soldats et les Marines de première ligne sont jeunes, en forme et en bonne santé, ce qui les expose à un risque beaucoup plus élevé de myocardite liée à l'ARNm que Covid lui-même.)

    J'ai donc été stupéfait que Gounder ait proposé la recommandation la plus tiède possible pour de nouvelles doses d'ARNm à Mandavilli.

    La plupart des gens ne devraient pas avoir de rappels, même une fois par an, a-t-elle déclaré. Elle a approuvé les injections régulières uniquement pour «les personnes immunodéprimées et les personnes dans les maisons de retraite».

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  18. Le vrai dire, ce sont les «maisons de retraite».

    En les mentionnant, Gounder ne suggérait pas que toutes les personnes de plus de 65 ans - ou même de 85 ans - devraient recevoir plus de vaccins. Les maisons de retraite sont en fait des hospices pour la plupart des résidents. Environ un tiers de leurs résidents meurent chaque année, selon une étude de 2018; une étude de 2010 avait des résultats encore plus sombres, faisant état d'une survie médiane de cinq mois après l'admission.

    Ce que Gounder disait que seules les personnes très fragiles - qui ont probablement peu de risques ou bénéficient peu des injections (ou, en réalité, de toute intervention médicale) - devraient encore les recevoir régulièrement.

    En revanche, en octobre, Gounder a offert des conseils très différents, recommandant des rappels pour toutes les personnes de plus de 50 ans "dès que possible".

    (Céline Gounder voit la lumière.)

    Le rejet par Gounder des rappels annuels est particulièrement stupéfiant car elle et d'autres spécialistes de la santé publique promeuvent avec joie les vaccins antigrippaux annuels malgré leur inutilité démontrée. La théorie semble être que les vaccins contre la grippe font sortir les personnes âgées de la maison, ou augmentent les bénéfices de Walgreen, ou quelque chose comme ça. Quoi qu'il en soit, ils ne font probablement aucun mal même s'ils ne font aucun bien, alors pourquoi pas ?

    Pourtant Gounder n'applique plus la même logique aux ARNm.

    Je ne pense pas que des rappels annuels pour tout le monde aient un sens.

    Ce qui implique soit que Covid est maintenant encore moins dangereux que la grippe (possible mais peu probable), soit que les injections sont encore plus inutiles (ce qui impliquerait une efficacité négative), ou bien… elles sont en fait plus dangereuses que les vaccins antigrippaux inactivés.

    Ce qu'ils sont.

    Mais Gounder n'était pas le seul défenseur des vaccins cité dans l'article du Times. Mandavilli a également parlé au Dr Paul Offit. Personne ne confondra jamais Offit avec Robert F. Kennedy Jr. - il est directeur du Vaccine Education Center à l'hôpital pour enfants de Philadelphie.

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  19. En avril 2021, Offit avait ceci à dire à propos des piqûres d'ARNm :

    Certes, personne n'aurait prédit que ces vaccins à ARNm auraient fonctionné aussi bien ou auraient été aussi sûrs qu'ils le sont… Je ne pense pas que vous auriez pu concevoir un vaccin qui semble être plus parfait.

    Moins de deux ans plus tard, Offit a rejeté plus de doses de ces vaccins « parfaits ».

    Pour tout le monde. Même les immunodéprimés.

    Mais encore plus étonnant que le rejet d'Offit étaient les mots qu'il a utilisés :

    "Compte tenu du manque de données, je ne pense pas qu'il soit juste de dire aux gens:" Injectez-vous un agent biologique "", a déclaré le Dr Paul Offit.

    (Pas plus la perfection…)

    Les défenseurs des vaccins évitent vigoureusement ce genre de langage, pour des raisons évidentes.

    Vous injecter un agent biologique ? Ouais, je vais passer.

    Mais l'échec des ARNm est maintenant si évident qu'Offit et ses collègues défenseurs des vaccins n'ont d'autre choix que d'essayer de le protéger s'ils veulent sauver d'autres piqûres.

    https://www.zerohedge.com/covid-19/berenson-fiercest-vaccine-advocates-are-starting-admit-truth-about-mrnas

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    1. Il y a seulement quelques décennies que l'on a compris que les vaccins ne servaient à rien !
      Les maladies passent et disparaissent d'elles-même.
      Au contraire, depuis 1929 de l"aluminium a été ajouté à tous les vaccins. C'est depuis qu'existent les Alzheimer et Parkinson ! Et donc: plus un être humain reçoit de piqûres plus il se rapproche de la mort.

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  20. Sex-ratio perturbé dans les taux de mortalité allemands


    4 avril 2023
    du Dr. Peter F. Mayer


    En 2021, il y a eu un renversement de tendance inattendu du sex-ratio des décès, qui, selon les chiffres préliminaires, s'est poursuivi jusqu'à présent. Comme pour de nombreuses autres anomalies, l'analyse révèle un lien avec la campagne de vaccination contre le C19.

    Quelques explications sur les lois fondamentales sont nécessaires pour une meilleure compréhension. Les humains ont le trait biologique de donner naissance à plus de garçons que de filles. La proportion de descendants mâles en Allemagne est de 51,4 % depuis 1950. Une population à l'état d'équilibre aurait la même proportion de décès masculins. De plus, les femmes vivent plus longtemps, ce qui conduit à une moitié féminine plus large de la pyramide des âges dans les cohortes plus âgées. Vous pouvez en avoir un bon aperçu dans cette excellente animation . Du fait de cette constellation, la proportion de femmes augmente et la proportion d'hommes diminue dans les vagues saisonnières de décès, au cours desquelles un nombre particulièrement élevé de personnes âgées meurent.

    À la suite de la Seconde Guerre mondiale, la pyramide des âges allemande n'est pas dans l'équilibre décrit. Les personnes nées avant 1927 environ étaient déjà réduites du côté masculin pendant la guerre et dans la captivité de guerre qui a suivi. Cependant, ces cohortes s'éteignent progressivement, de sorte que la proportion de décès masculins augmente assez régulièrement depuis de nombreuses années, c'est-à-dire se rapproche de la valeur d'équilibre. (Fig. 1).

    - voir graph sur site -

    Fig. 1 : Pourcentage de décès masculins par rapport au nombre total annuel de décès (bleu) et valeur d'équilibre théorique 0,514 (ligne verte pointillée horizontale).

    Après 2021, on aurait pu s'attendre à une nouvelle convergence vers la valeur d'équilibre, mais c'est l'inverse qui s'est produit ; la proportion d'hommes a diminué. Selon les chiffres disponibles à ce jour, cela se poursuivra en 2023. Étant donné que 2021 et 2022 avaient été nettement surmortels, ces années auraient dû montrer une tendance à la baisse constante selon la règle décrite ci-dessus, mais en 2021, la proportion d'hommes a augmenté et en 2022, elle a diminué.

    Une évaluation plus détaillée permet une section agrandie avec des valeurs hebdomadaires (Fig. 2).

    - voir graph sur site -

    Fig. 2 : Pourcentage de décès masculins par rapport au nombre total hebdomadaire de décès (bleu) avec tendance (rouge) et valeur d'équilibre théorique 0,514 (ligne verte pointillée horizontale).

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  21. L'inversion de tendance s'est produite vers le milieu de 2021. Mais ce qui est vraiment étonnant, c'est la phase précédente avec des valeurs particulièrement élevées au premier semestre (voir marquage). La largeur et la hauteur de ce signal plaident contre un effet aléatoire, et encore une fois un lien causal avec la campagne de vaccination C19 doit être considéré.

    Notons que cette hausse a commencé par une pente raide, dans la semaine civile 12 (2021) de la troisième décade de mars. Jusqu'à cette époque, les personnes âgées et les travailleurs de la santé en Allemagne étaient principalement vaccinés, ce dernier n'étant pas pertinent en termes de nombre total de décès.

    Vous allez maintenant vous demander ce que cela pourrait avoir à voir avec le sex-ratio dans les taux de mortalité, et c'est vraiment un peu un casse-tête pour les cellules grises. Si nous supposons un risque supplémentaire de décès pour le groupe prioritaire de vaccinés mentionné ci-dessus, alors le même effet aurait été montré dans le nombre de décès que dans les vagues de décès saisonnières (proportion décroissante d'hommes). Début 2021, après la fin de la vague de mortalité hivernale, la sous-mortalité prévalait, de sorte que le risque supplémentaire supposé était masqué. Jusqu'à la semaine civile 12 (2021), la courbe bleue apparaît donc moins visible.

    Par la suite, il y a eu une extension de la campagne de vaccination aux groupes de population plus jeunes, et ceux-ci contiennent une proportion plus élevée d'hommes que les personnes âgées. Plus d'hommes ont été exposés au risque supplémentaire supposé de décès qu'auparavant, et la proportion d'hommes parmi les morts a augmenté. Les chiffres des décès liés à l'âge montrent également qu'un nombre inhabituellement élevé de personnes en âge de travailler sont décédées au cours de cette période (voir ici , Fig. 7 là).

    Le changement d'étiquette de genre en « divers » aurait-il pu jouer un rôle ? A peine, car ceux-ci sont attribués au hasard soit au sexe masculin soit au sexe féminin dans les données statistiques, comme l' ont fait savoir les autorités responsables .

    Résumons : L'inversion de tendance vers la mi-2021 est un effet collatéral de la surmortalité des personnes âgées qui existe depuis et de la structure démographique par âge. En 2022, la volonté de vacciner a fortement chuté, en particulier dans les tranches d'âge jeunes, mais les personnes âgées en particulier ont reçu de nouvelles administrations allant jusqu'à 6 doses. Ceci est une explication possible de la tendance négative à la fin des courbes tracées. En 2021 également, le nombre de décès était globalement nettement plus élevé, mais la proportion d'hommes a augmenté conformément à la tendance des années précédentes. Cela ne peut s'expliquer que par une augmentation du risque dans les couches les plus jeunes de la population. À quel moment de loin le plus d'injections a-t-il été administré aux jeunes? En 2021 ! On dirait qu'un autre pistolet fumant a été trouvé.

    Un grand merci au dr. Hans-Joachim Kremer pour une discussion inspirante sur le sujet.

    https://tkp.at/2023/04/04/gestoerter-geschlechterproporz-in-deutschen-sterbezahlen/

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    1. Ne pas oublier que les enfants comme les personnes âgées n'ont pas de 'téléphone portable' !

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  22. Étude : Long Covid n'existe pas


    4 avril 2023
    par Thomas Oysmuller


    Une nouvelle étude norvégienne suggère que le long covid n'a jamais existé, du moins chez les enfants et les adolescents.

    Pour Vinay Prasad, professeur d'épidémiologie en Californie, la nouvelle étude est une "bombe". Même s'il a ses limites. Mais le journal suggérerait que Long Covid a toujours été un mensonge. Les symptômes après une infection au Covid seraient donc dus à la solitude, au manque d'exercice physique et aux conditions sociales.

    Mythe Long Covid

    300 enfants qui avaient définitivement le Covid-19 ont été comparés à 85 enfants qui ne l'avaient certainement pas. Les enfants ont été observés pendant six mois. L'étude compare ensuite les conditions post-Covid. Prasad , qui a fait référence à la recherche sur son blog Substack , qualifie le calcul de "plutôt décent" et le document de "significatif".

    Et les résultats de l'article « Prévalence et caractéristiques associées à la condition post-COVID-19 chez les adolescents et les jeunes adultes non hospitalisés » ? 48,5 % des enfants du groupe Covid présentaient des "conditions post-Covid", c'est-à-dire des symptômes qui sont également enregistrés sous "Long Covid". Mais même dans le groupe qui n'avait pas de Covid, ces "conditions post-Covid" s'appliquaient à 47,1 % des enfants. Clairement pas de différence significative.

    14 % du groupe Covid et 8,2 % du groupe non-Covid souffraient du syndrome de fatigue post-infectieux. Ce n'est pas non plus une différence significative. La conclusion du professeur :

    "Le Covid-19 n'a rien à voir avec l'une ou l'autre de ces deux maladies. Permettez-moi de répéter cela. Avoir Covid-19 n'a rien à voir avec des symptômes compatibles avec "Long Covid". » Ou en d'autres termes, vous pouvez avoir Long Covid sans avoir Covid.

    Fatigue, pression psychologique, solitude, dépression : toutes ces choses sont liées, mais n'ont rien à voir avec une infection au Covid. Prasad conclut plusieurs points de l'article (emphase ajoutée par TKP):

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  23. 1. Quand on parle de Long COVID, il faut avoir un groupe témoin. Notre nouvel article aborde cette question.

    2. Au fil du temps, tout le monde va de toute façon attraper le COVID19, donc des études historiques avec des groupes témoins pourraient être le mieux que nous puissions faire. Il n'y aura plus de contrôles à l'avenir.

    3. La peur de Long COVID chez les enfants n'est pas justifiée car ils l'obtiendront de toute façon, et beaucoup souffriront de symptômes de Long COVID, mais les deux ne sont pas liés.

    4. Les médias ont rendu un très mauvais service en faisant des reportages sur le long COVID.

    5. La raison de la couverture inexacte de Long COVID est qu'elle était nécessaire - elle devait être terrifiante - pour justifier le maintien des restrictions dans les populations jeunes .

    https://tkp.at/2023/04/04/studie-long-covid-gibt-es-nicht/

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  24. La mémoire innée et la mémoire acquise …


    le 3 avril 2023


    Georges Didi-Huberman, philosophe de son état, discute au cours d’une entrevue de la mémoire innée et de la mémoire acquise (lien). Il faut malheureusement spéculer sur le mécanisme de la mémoire. C’était l’un des sujets que nous abordions Francis Crick et moi-même lorsque nous dégustions notre déjeuner au bout de la terrasse du Salk presque chaque jour au tout début des années 1980. Pour Crick le mécanisme de stockage de la mémoire dans le cerveau était à l’époque inconnu et aujourd’hui, avec le développement de l’imagerie fonctionnelle du cerveau on sait à peu près où se trouvent les zones cérébrales dans lesquelles résident la mémoire des mots. Il s’agit des lobes pariétaux proches du lobe frontal. L’imagerie par émission de positons ou l’imagerie fonctionnelle sont une chose mais elles n’indiquent qu’une consommation d’énergie. Un processus dont on ignore toujours la nature au niveau moléculaire consomme de l’énergie, ce qui indique uniquement qu’il existe une activité métabolique. Cette consommation d’énergie se mesure à l’aide d’un appareil de résonance magnétique nucléaire, mesure basée sur le fait que la déoxyhémoglobine (hémoglobine qui a cédé son oxygène) a pour propriété de posséder un moment magnétique très puissant par rapport à celui de l’oxyhémoglobine. Dès lors il est possible de détecter le flux sanguin dans une zone quelconque du cerveau à l’aide d’un appareil de résonance magnétique nucléaire sans devoir injecter un quelconque produit étranger. Passons sur les détails techniques pour explorer les possibilités de telles investigations. La variation du flux sanguin dans une partie précise du cerveau révèle donc une activité métabolique et les candidats pouvant être les supports de la mémoire sont nombreux.

    - voir photos sur site -

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  25. Il peut s’agir de la création de nouvelles connexions inter-neuronales. Cette hypothèse est cependant à exclure puisque le cerveau est déjà extrêmement complexe à ce niveau. De plus la plasticité neuronale est limitée. L’illustration ci-dessus montre les zones pariétales du cerveau intervenant dans l’activité d’élocution de mots simples après leur mémorisation. Le sujet mémorise des mots et doit les répéter dans l’ordre au cours du test. S’il s’agit d’images ou de sons d’autres zones du cerveau sont activées. S’agit-il de protéines servant de support de la mémoire ? C’est peu probable car une protéine ne possède qu’une information accessible, sa forme aussi appelée structure tertiaire ou spatiale. Il est difficile d’imaginer un système aussi complexe soit-il capable de reconnaître la structure spatiale d’une protéine. Dans l’organisme on ne connaît que les anticorps capables de reconnaître une protéine, encore faut-il qu’elle soit étrangère. Cette hypothèse est donc exclue. Il reste un domaine mystérieux qui peut être un bon candidat, les microARNs dont on découvre presque chaque semaine de nouvelles propriétés comme par exemple des propriété catalytiques inattendues. Ces microARNs peuvent se replier sur eux-mêmes en forme d’épingle à cheveux. Ont-ils une durée de vie suffisamment longue pour satisfaire aux exigences de la mémoire à long terme ? Ce n’est pas certain et ce dernier point sera très difficile à démontrer. Enfin on retombe sur la complexité du cerveau humain avec une multitude de types de neurones. Le cerveau renferme près de 100 milliards de neurones dont les fonctions sont variées et toutes interconnectées par des jonctions synaptiques. La variété de ces neurones est extrême. Il existe pas moins de 30 types de neurones différents. Le fonctionnement des neurones est de type électrique, c’est schématique mais c’est ainsi, et fait intervenir une série de molécules appelées des neurotransmetteurs. Les axones sont de véritables câbles électriques isolés par une gaine de myéline. La comparaison n’est pas exagérée. Chaque neurone peut partager une bonne douzaine de connexions avec d’autres neurones, avec des « partenaires de travail », assurant des relations avec des zones cérébrales éloignées. La complexité du cerveau peut alors s’exprimer à 100 milliards multipliés par 10 ou 20 et c’est chaque être humain qui est équipé par un tel organe juste phénoménal. Ce foisonnement de neurones est donc à l’évidence le siège de la mémoire.

    Pour se faire une idée du mécanisme de la mémoire le seul exemple récent est l’ordinateur dont l’usage est devenu courant, depuis l’ordinateur de bureau jusqu’au téléphone portable. Lorsque j’écris ce texte j’envoie des impulsions électriques avec le clavier, la mémoire physique de l’ordinateur reconnaît ces signaux électriques et les traduit graphiquement sur l’écran.

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  26. Mon analogie s’arrêtera là car je n’y connaît rien en informatique. Lorsque je bavardais avec Francis Crick l’ordinateur de bureau était une nouveauté exclusivement réservée au traitement de texte et à des calculs très simple comme des régressions linéaires, c’était il y a plus de 40 ans. Le transistor peut aujourd’hui être comparé à une jonction synaptique et le flux d’informations est, comme dans le cerveau, assuré par des électrons. C’est une explication satisfaisante et j’arrêterai là cette recherche d’hypothèses. Il reste à expliquer la mémoire innée que mentionne Georges Didi-Huberman. Il paraît que le nouveau-né a emmagasiné des sons au cours de sa vie fœtale et qu’il reconnaîtrait le son de la voix de sa mère dès la naissance. Peut-être, mais le cerveau d’un nouveau-né n’est pas « terminé », entendons la complexité de ses interconnexions neuronales va aller croissante pendant près de 18 ans puisqu’on considère qu’à cet âge le cerveau est enfin « adulte ». Il existe donc une évolution lente de la structure des interactions entre neurones aboutissant à la puissance de réflexion corrélée à celle de la mémoire. C’est la raison pour laquelle l’apprentissage de la mémoire est essentiel pour le développement du cerveau et par conséquent de ce que l’on appelle peut-être à tort l’intelligence. Durant mon enfance on apprenait des fables de La Fontaine, des vers de Racine ou de Rimbaud par cœur pour les réciter à haute voix devant l’instituteur et les autres élèves. Les téléviseurs et les téléphones portables n’existaient pas et que faisait-on ? On lisait … Aujourd’hui des enfants de 7 ans passent des heures avec un téléphone portable et quelles seront les conséquences ? Les interconnexions de leur cerveau seront à l’âge adulte déficientes et la conséquence est l’émergence d’un génération entière d’« idiots du village » dont la maturité du cerveau sera mal terminée et déficiente, un désastre incommensurable qui précipitera une grande partie de l’humanité dans une sorte d’hébétude terrible.

    Liens : https://www.youtube.com/watch?v=_md2Cp3XnVc&ab_channel=librairiemollat

    et https://www.trtf.eu/pubs/Textbook_AdvancedContrast.pdf

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/04/03/la-memoire-innee-et-la-memoire-acquise/

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  27. Dommages causés par les vaccins : 300 000 morts aux États-Unis, 148 milliards de dollars perdus et 10 % disent qu'un membre de leur foyer est décédé


    Par Jo Nova
    April 4th, 2023


    Le crime du siècle

    "Peut-être que la chose la plus extraordinaire à propos de cet état de fait est que la plupart des Américains ne savent pas que cela se produit."

    "... ce nombre de morts en un an est 5,2 fois le nombre d'hommes tués en dix ans de combat au Vietnam."
    —John Leake

    Le rapport sur les dommages causés par les vaccins d'Ed Dowd est enfin arrivé. Il examine la surmortalité dans la population en bonne santé en âge de travailler aux États-Unis – les 148 millions d'Américains âgés de 18 à 64 ans qui travaillent. Étonnamment, environ 300 000 personnes sont décédées à cause des vaccins Covid, et 1,4 million de plus sont désormais classées comme handicapées. Dans le monde entier, cela se traduirait par environ 5 millions de décès et 46 millions de personnes handicapées et jusqu'à 900 millions de personnes blessées.

    Un sondage Rasmussen qui vient de sortir corrobore que quelque chose d'horrible s'est produit en Amérique. Ce nombre a été réparti uniformément entre les électeurs démocrates et républicains, ce qui montre qu'il ne s'agit pas d'une réponse politique, mais probablement simplement d'un triste reflet de la colère de la situation. À peu près le même nombre de personnes (11%) ont déclaré qu'un membre du ménage était décédé du covid. Ce qui est remarquable, c'est que sans les gros titres des médias, bon nombre de ces 1 foyers sur 10 peuvent penser que leur souffrance est un événement "rare" et qu'ils n'ont simplement pas eu de chance. L'indignation coulera sûrement quand ils relieront les points.

    MISE À JOUR : Le sondage Rasmussen reflète sûrement un vote de protestation, pas de décès réels. Toutes les personnes (des deux côtés de la politique) qui ont subi un préjudice, ou ont vu un préjudice, ou connaissent quelqu'un qui a souffert, ont vraisemblablement coché la case parce qu'elles se sont senties sans voix face à la pire des corruptions. Considérez-le comme une fusée éclairante d'urgence sur une scène de crime.

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    Ed Dowd, décès excessifs, États-Unis

    @DowdEdward via Peter McCullough

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  28. Cela ne va pas disparaître, les chiffres sont tout simplement trop gros. Si une personne sur dix vivait avec quelqu'un qui est décédé, bien plus que cela en connaîtrait l'existence. Une enquête similaire en janvier a révélé qu'un quart des personnes interrogées ont déclaré connaître personnellement quelqu'un qui était mort, pensaient-ils, des vaccins.

    Des taux choquants de blessures chez les personnes dans la fleur de l'âge :

    Essentiellement, 82 % des personnes n'ont subi aucun effet indésirable après le vaccin (du moins, comme le montrent ces données). Mais environ 18 % ont subi une blessure légère à modérée. Ce chiffre remarquablement élevé est corroboré par les données sur les taux d'absentéisme au travail en 2022, qui étaient supérieurs de 29 % à ceux de 2019. Comme nous le rappelle Ed Dowd, cela est hors du commun — un écart-type de 11 par rapport à la norme. C'est un signal rouge chaud radioactif. Rien de tel ne s'est produit dans les données auparavant. Rien de tel n'est arrivé aux travailleurs des États-Unis auparavant.

    Près de 1 % ont souffert d'une sorte d'invalidité, et pire, 0,05 à 0,1 % sont décédés - peut-être jusqu'à 1 personne sur 1 000 est décédée, et cela concerne le groupe d'âge en bonne santé des 18 à 64 ans. Cela représente une augmentation de 23% des décès excédentaires dans ce groupe par ailleurs en bonne santé en 2021 et 2022. Dans son entretien avec Tucker Carlson il y a quelques semaines, Ed Dowd a alors expliqué que les décès excédentaires étaient plus élevés dans la partie de la population en âge de travailler en bonne santé que dans les chômeurs – probablement en raison des mandats de traitement médical qui s'appliquaient aux travailleurs et non aux chômeurs.

    2021 a été une année terrible pour les moins de 75 ans

    Surmortalité. Comparaison des tranches d'âge. Ed Dowd. Vaccin. Etats-Unis
    Phinance Technologies

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    Quatre niveaux différents de préjudice ont été classés, expliqués dans ce tableau :

    - voir graph sur site -

    Projet V-Damage - Estimation du coût humain. Décès vaccinaux, invalidité. ETATS-UNIS. Globalement. Ed Dowd.

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  29. Edward Dowd demande de l'aide pour effectuer cette analyse sur d'autres pays, comme l'Australie, le Canada, Israël, le Japon et d'autres. Les gouvernements devraient faire ces évaluations, mais ils ne le font pas. En Australie, le plus grand essai sur l'innocuité des vaccins médicaux est abandonné un an seulement après son lancement. 14 000 Australiens sont morts de quelque chose de mystérieux l'année dernière et personne ne veut en faire la recherche.

    Si les vaccins étaient sûrs et efficaces, ils feraient une centaine d'études. Au lieu de cela, les citoyens privés doivent faire les recherches que le gouvernement ne fera pas.

    Les chiffres australiens pour 2022 montrent des taux de mortalité globalement similaires à ceux des États-Unis. La population américaine est 15 fois plus nombreuse, bien qu'elle ne soit vaccinée qu'à 70 %, et leurs chiffres ci-dessus proviennent de 2021 et 2022, alors que les données australiennes ne datent que d'un an et se répartissent sur l'ensemble de la population, pas seulement sur les travailleurs.

    LES RÉFÉRENCES
    Rapport sur les dommages causés par les vaccins aux États-Unis (2022) Phinance Technologies.

    Voir l'aperçu, le projet V-Damage
    Le projet V-Damage, Le coût humain et
    Le rapport V-Damage, l'impact économique.
    Art par Syaifulptak

    *Modifier : dans le sondage Rassmussen, le mot "ceci" a été remplacé par "que quelque chose d'horrible s'est produit en Amérique".

    https://joannenova.com.au/2023/04/vaccine-damage-300000-deaths-in-the-us-148-billion-lost-and-10-say-a-member-of-their-house-died/#more-90437

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  30. Ensemble nous sommes forts. Si nous, citoyens, nous unissons, nous pouvons percer un trou dans le monde


    Par le Dr Rudolf Hänsel
    Recherche mondiale,
    03 avril 2023


    Introduction

    Lorsque, après de longues délibérations, j'en suis venu à la conclusion d'écrire à d'anciens amis et collègues pour leur demander de reprendre des relations personnelles et d'unir leurs forces face à la situation mondiale, ma femme m'a raconté la fable d'Ésope et la parabole des sept bâtons . Elle m'a suggéré d'écrire un article au lieu de la lettre car les anciens ne se sentent pas personnellement attaqués par cela.

    * * *

    C'est mon souci de travailler avec toutes les « forces » constructives pour le bien des êtres humains, parce que nous, citoyens, pouvons changer le monde grâce à cela. Après tout, nous devons à la prochaine génération un avenir digne d'être vécu.

    Un extrait du livre de Rosalie Bertell « Planet Earth » dans « Global Research » du 1er avril a confirmé mon inquiétude.

    La parabole des sept bâtons d'Esope
    Les fables de l'ancien poète grec Ésope (VIe siècle av. J.-C.) sont des paraboles des faiblesses humaines dans des nouvelles. Ils jugent et démasquent, mais ne condamnent personne. C'est aussi le cas de sa parabole des sept piliers :

    Un père avait sept fils qui étaient souvent en désaccord les uns avec les autres, de sorte qu'ils manquaient même leur travail à cause des querelles. C'est pourquoi, un jour, le vieux père fit assembler les sept fils, plaça devant eux sept bâtons étroitement liés et dit : « À celui d'entre vous qui brise ce fagot en deux, je paierai cent gros thalers. Un à un, ils ont déployé toutes leurs forces. Après un long effort futile, chacun a dit : « Ce n'est pas possible du tout.

    "Oui, c'est vrai", répondit le père, "rien n'est plus facile."

    Il dénoua le paquet et, avec peu d'effort, cassa un bâton après l'autre.

    Alors il dit à ses fils :

    «Comme il en est avec ces bâtons, il en va de même pour vous. Tant que vous vous tiendrez fermement ensemble, vous persévérerez et personne ne pourra vous maîtriser. Mais si le lien de concorde qui doit vous unir est rompu, vous serez comme les bâtons brisés ici par terre. (1)

    Dr Rosalie Bertell : « Tolérance zéro pour le pouvoir destructeur de la guerre ».

    Dans son livre "Planète Terre. The Latest Weapon of War », la scientifique américaine Rosalie Bertell (1929-2012) a confirmé mon inquiétude :

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  31. « La première étape pour changer est la conviction que le changement est nécessaire…. Ceux qui travaillent pour la paix, la justice économique, la justice sociale et l'intégrité environnementale doivent tous rester connectés. Dans un projet aussi grandiose, « rester connecté » ne signifie jamais un accord total sur tout, mais un cycle constant de communication, d'action, de rétroaction et d'évaluation. Un dialogue honnête sur les succès et les échecs protège contre les erreurs majeures dans l'élaboration de politiques alternatives… » (2)

    Chers amis et collègues, chers concitoyens, unissons-nous !

    Je crois que le monde est dans un état très alarmant et que la société rend les gens malades. Nous, citoyens, ne pourrons changer cette situation que si nous nous unissons et nous entraidons (Kropotkine) (3). Ensemble, nous avons un très grand potentiel pour y parvenir – surtout si nous mettons la science de la psychologie au travail.

    Si même des États longtemps ennemis peuvent s'unir plus étroitement et reprendre des relations (diplomatiques), pourquoi d'anciens amis et collègues, nous citoyens, ne pourrions-nous pas faire de même ? Mais dans ce cas, nous devons également abandonner les animosités de longue date (attitudes hostiles envers quelqu'un) et avancer les uns vers les autres. Il n'y a plus de place pour le dicton « la concurrence est bonne pour les affaires ». La corruption sociale omniprésente s'étend de plus en plus aux amitiés personnelles et aux collèges.

    Et les États européens – surtout l'Allemagne – perdent de plus en plus leur souveraineté et ne sont que les vassaux de la « seule puissance mondiale », les États-Unis. Par exemple, la Finlande appartiendra bientôt à l'OTAN. La ville russe de renommée mondiale de Saint-Pétersbourg (Leningrad jusqu'en 1991) avec ses millions d'habitants n'est pas loin de la future frontière finlandaise de l'OTAN. Je pense au « blocus de Leningrad » (« blokada Leningrada »), le siège de 28 mois de la ville par l'armée allemande au début des années 1940.

    À cette époque, environ 1,1 million de civils ont perdu la vie à cause du blocus. Environ 90 % de ces victimes sont mortes de faim. Les gens concentraient toute leur énergie sur la recherche de nourriture. Tout ce qui était d'origine organique était consommé, comme la colle, la graisse et la colle à papier peint. Les articles en cuir étaient bouillis et en novembre 1941, il n'y avait ni chats ni chiens, ni rats ni corbeaux à Leningrad (4).

    Au cours de l'hiver 1941/1942, les gens ont perdu jusqu'à 45 % de leur poids corporel. En conséquence, les corps ont commencé à décomposer les tissus musculaires et le cœur et le foie ont rétréci. La dystrophie (malnutrition) est devenue la principale cause de décès. Les morts massives ont commencé (5).

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  32. Le récit de la peur de la grippe aviaire s'intensifie

    La grippe aviaire s'est propagée aux mammifères


    Par le Dr Joseph Mercola
    Recherche mondiale,
    03 avril 2023


    Considérant que la biosécurité mondiale est l'une des principales tactiques choisies pour inaugurer un gouvernement mondial totalitaire, il est clair que d'autres pandémies sont à l'horizon, et une grippe aviaire militarisée semble probable

    Historiquement, la grippe aviaire naturelle (H5N1) n'a jamais constitué une menace pour l'humanité, mais les scientifiques ont créé un hybride avec un potentiel de pandémie humaine

    Si nous nous retrouvons avec une grippe aviaire humaine mortelle, il y a toutes les raisons de soupçonner qu'elle a été causée par l'homme. Il y a aussi toutes les raisons de soupçonner qu'un vaccin contre la grippe aviaire sera inefficace, dangereux ou les deux

    Le H5N1 (grippe aviaire) affecte maintenant les mammifères à un rythme jamais vu auparavant, y compris les mouffettes, les ours, les phoques, les renards, les visons et même les dauphins. L'infection se propage également entre les mammifères. C'est un nouveau développement qui inquiète les scientifiques. Si le virus est en train de muter (ou d'être muté) pour se propager parmi les mammifères, le saut vers l'homme n'est peut-être pas loin derrière

    Déjà, les États-Unis et d'autres pays stockent le vaccin H5N1 "juste au cas où". Alors que certains vaccins traditionnels sont dans la gamme, des injections d'ARNm ajustées pour cibler le H5N1 sont également prévues, et ils n'auront probablement pas besoin de subir des tests supplémentaires au-delà de ce qui a été fait pour les piqûres COVID

    *

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  33. La grippe aviaire a toujours été une fraude, c'est pourquoi j'ai écrit mon best-seller du New York Times « The Great Bird Flu Hoax », il y a près de 15 ans. Le président George Bush a dépensé plus de 7 milliards de dollars et a averti que plus de 2 millions d'Américains pourraient mourir. 1 La réalité est que personne aux États-Unis n'est mort de la grippe aviaire.

    Avance rapide de 15 ans, et maintenant la biosécurité mondiale est l'une des principales tactiques choisies pour inaugurer un gouvernement totalitaire mondial, de sorte que d'autres pandémies sont sans aucun doute dans notre avenir. Au printemps 2022, Bill Gates a averti qu'une autre pandémie allait émerger et que cette pandémie encore à venir "attirera l'attention cette fois". 2

    Basé sur le bavardage de nouvelles émergeant en ce moment, une grippe aviaire militarisée semble probable. Dans une interview du 30 mars 2022, CenterPoint, l'ancien directeur des Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis, le Dr Robert Redfield, a plus qu'évoqué cette possibilité en disant : 3

    « Je crois que la grande pandémie est encore dans le futur, et ce sera une pandémie de grippe aviaire pour l'homme. Il va avoir une mortalité importante dans la gamme de 10 à 50 %. Ça va être un problème.

    La grippe aviaire ne représentait aucune menace jusqu'à ce que les scientifiques la transforment en arme
    Historiquement, la grippe aviaire naturelle (H5N1) n'a jamais constitué une menace pour l'humanité, mais les scientifiques ont ensuite commencé à la modifier, créant un hybride à potentiel pandémique humain. 4 Certaines de ces recherches ont été entreprises dans des laboratoires biologiques financés par le Pentagone en Ukraine. 5 , 6 , 7

    Gates et le Dr Anthony Fauci, ancien directeur des Instituts nationaux des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) ont également financé des recherches sur le gain de fonction sur le H5N1. 8 Un scientifique dont les travaux sur le H5N1 ont été financés à la fois par Fauci et Gates est le Dr Yoshihiro Kawaoka. 9

    Dans une expérience, Kawaoka a mélangé le virus de la grippe aviaire avec le virus de la grippe espagnole, ce qui a donné un virus respiratoire hautement mortel avec une capacité de transmission humaine. Kawaoka a également joué avec des mélanges de H5N1 et du virus H1N1 (grippe porcine) de 2009, créant un hybride aéroporté 10 , 11 , 12 capable d'échapper au système immunitaire humain, rendant ainsi les humains sans défense contre lui, 13 et cette recherche extrêmement risquée était fait dans un laboratoire de niveau 2 de biosécurité ! 14

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  34. La grippe aviaire a été manipulée et manipulée de différentes manières, la rendant à la fois aéroportée (ce qu'elle n'était pas initialement) et capable d'infection interspécifique.
    Fauci a également financé les travaux du virologue Ron Fouchier, un chercheur néerlandais dont l'équipe a créé une version aéroportée de la grippe aviaire en utilisant une combinaison de génie génétique et d'infection en série de furets. 15 Ainsi, la grippe aviaire a été manipulée et manipulée de différentes manières, la rendant à la fois aéroportée (ce qu'elle n'était pas initialement) et capable d'infection interspécifique.

    En 2012, les travaux de Kawaoka et Fouchier ont suscité une inquiétude généralisée concernant la recherche sur le gain de fonction, car il a été facilement reconnu qu'elle pourrait accidentellement provoquer une pandémie humaine. 16 , 17

    En conséquence, le gouvernement américain a émis une interdiction temporaire de la recherche sur le gain de fonction sur certains virus en 2014, qui est restée en vigueur jusqu'en décembre 2017.18 Nous savons maintenant que cette interdiction a été contournée par Fauci, qui a continué à financer le gain de fonction. -fonctionner la recherche sur les coronavirus en Chine pendant ces années.

    Il semble maintenant que la grippe aviaire militarisée pourrait éventuellement être libérée pour atteindre les objectifs géopolitiques de la cabale technocratique qui tente de donner à l'Organisation mondiale de la santé le monopole de la prise de décision en cas de pandémie.

    La grippe aviaire est répandue parmi les volailles et les oiseaux sauvages 19 aux États-Unis, 20 mais le virus naturel n'est pas très transmissible ou mortel pour l'homme. Donc, si nous nous retrouvons avec une grippe aviaire humaine mortelle, il y a toutes les raisons de soupçonner qu'elle a été causée par l'homme. Il y a aussi toutes les raisons de soupçonner qu'un vaccin contre la grippe aviaire sera inefficace, dangereux ou les deux.

    La grippe aviaire s'est propagée aux mammifères

    Selon un rapport d'ABC News du 9 février 2023, le 21 H5N1 (grippe aviaire) affecte également les mammifères à un rythme jamais vu auparavant, notamment les mouffettes, les ours, les phoques, les renards, les visons et même les dauphins. Nichola Hill, virologue de l'Université du Massachusetts à Boston, a déclaré à ABC News :

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  35. "La taille, la gamme et le nombre d'espèces touchées par cette épidémie sont sans précédent... Ce n'est pas vraiment la façon dont la grippe aviaire devrait se comporter."

    Alors que des infections sporadiques chez les mammifères ont été signalées depuis 20 ans, le virus semble maintenant se propager entre les mammifères, au lieu de se limiter aux mammifères individuels infectés en mangeant un oiseau infecté.

    C'est un tout nouveau développement qui inquiète les scientifiques. Si le virus est en train de muter (ou d'être muté) pour se propager parmi les mammifères, le saut vers l'homme n'est peut-être pas loin derrière.

    Les humains sont-ils les prochains ?

    En 2022, la division de la grippe des Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis a suivi plus de 50 cas de grippe aviaire humaine dans sept pays et, bien qu'extrêmement rares, les CDC prévoient que davantage d'infections se produiront. Comme indiqué dans sa mise à jour H5N1 du 17 mars 2023 : 22

    « À ce jour, les virus HPAI [grippe aviaire hautement pathogène] A(H5N1) circulant actuellement chez les oiseaux et la volaille, avec des retombées sur les mammifères, et ceux qui ont causé des infections humaines n'ont pas la capacité de se lier facilement aux récepteurs qui prédominent dans la voies respiratoires supérieures humaines. Par conséquent, le risque actuel pour le public lié aux virus HPAI A(H5N1) reste faible.

    Cependant, en raison du potentiel d'évolution rapide des virus grippaux et de la large prévalence mondiale des virus HPAI A(H5N1) chez les oiseaux sauvages et les flambées de volailles, des infections humaines sporadiques continues sont à prévoir.

    Une surveillance complète et continue de ces virus chez les oiseaux sauvages, la volaille, les mammifères et les humains dans le monde entier, et des réévaluations fréquentes sont essentielles pour déterminer le risque pour la santé publique, ainsi que les efforts de préparation en cours.

    Les experts canadiens craignent également que l'élan actuel de la grippe aviaire ne devienne une pandémie humaine. Tel que rapporté par Global News le 25 mars 2023 : 23

    « L'épidémie actuelle qui circule en Amérique du Nord et du Sud est connue sous le nom de H5N1 clade 2.3.4.4b. Il a tué un nombre record d'oiseaux et de mammifères infectés.

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  36. Bien que les cas humains restent rares, Shayan Sharif, professeur et doyen associé à l'Ontario Veterinary College… a averti que le virus « prend de l'ampleur » et devient de plus en plus une menace humaine.

    "Diverses pièces du puzzle s'assemblent pour que ce virus devienne transmissible entre humains", a-t-il déclaré à Global News. "Ce virus particulier a le potentiel de devenir un virus pandémique, et si c'est le cas, nous devons être absolument prêts car le taux de mortalité de ce virus pourrait être bien supérieur à ce que nous avons vu pour COVID-19."

    Les contre-mesures actuelles contre la grippe aviaire sont la mauvaise approche
    Tout comme nous l'avons vu avec la pandémie de COVID, les autorités sanitaires insistent sur le fait qu'il n'y a qu'une seule solution aux épidémies de grippe aviaire, et c'est la vaccination. Pendant ce temps, cette stratégie aggrave la situation.

    L'abattage de tous les poulets chaque fois qu'un seul cas est détecté garantit essentiellement que l'immunité naturelle ne se développera jamais. Une stratégie beaucoup plus sensée serait d'éliminer les poulets qui meurent de l'infection mais de garder en vie ceux qui y survivent.

    Un article intéressant du fermier régénérateur Joel Salatin, dans lequel il discute du cycle de la grippe aviaire, a été publié par le Brownstone Institute à la mi-mars 2023 : 24

    « Si les gens qui réfléchissent n'ont appris qu'une seule chose de la pandémie de COVID, c'est que les récits officiels du gouvernement sont politiquement biaisés et souvent faux. Dans cette dernière épidémie d'IAHP, l'écart le plus flagrant avec la vérité est peut-être l'idée que les oiseaux sont morts des suites de la maladie et que l'euthanasie pour les survivants est la meilleure et la seule option...

    Certes, l'IAHP est et peut être mortelle, mais elle ne tue jamais tout. La politique d'extermination massive sans égard à l'immunité, sans même rechercher pourquoi certains oiseaux s'épanouissent alors que tout autour meurent, est insensée. Les principes les plus fondamentaux de l'élevage et de la sélection animale exigent que les agriculteurs sélectionnent pour des systèmes immunitaires sains. Nous, les agriculteurs, faisons cela depuis des millénaires…

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  37. Mais dans sa sagesse, le département américain de l'Agriculture (USDA—Usduh) n'a aucun intérêt à sélectionner, protéger puis propager les survivants sains. La politique est claire et simple : tuez tout ce qui est entré en contact avec les oiseaux malades. La deuxième partie de la politique est également simple : trouver un vaccin pour stopper l'IAHP...

    La politique de la terre brûlée est la seule option même si elle ne semble pas fonctionner. En fait, les cycles s'accélèrent et semblent affecter davantage d'oiseaux. Quelqu'un devrait remettre en question l'efficacité.

    Des solutions contre la grippe aviaire qui ont du sens
    Comme l'a noté Salatin, il est bien connu parmi les agriculteurs que les quartiers exigus et le fait d'avoir trop d'élevages de poulets trop proches les uns des autres, géographiquement, sont le problème. "L'USDA et l'industrie veulent désespérément blâmer les oiseaux sauvages, les troupeaux de basse-cour et les chaussures sales plutôt que de se regarder dans le miroir et de réaliser que c'est la façon naturelle de crier 'Assez !'", écrit Salatin.

    La réponse est relativement simple. Sauvez les oiseaux qui survivent à l'infection et reproduisez-les. De cette façon, les générations futures auront une immunité naturelle. « Si un troupeau attrape l'IAHP, laissez-le suivre son cours. Il tuera ceux qu'il tuera mais dans quelques jours les survivants seront évidents. Gardez-les et mettez-les dans un programme de sélection », écrit Salatin.

    Deuxièmement, les éleveurs de poulets peuvent également conjurer les épidémies en se concentrant sur la taille optimale des troupeaux. Par exemple, les dindons sauvages vivent en groupes de quelques centaines au maximum. Les cochons sauvages dépassent rarement les groupes de 100. Pour les poulets, la taille optimale du troupeau est d'environ 1 000, selon Salatin. Il poursuit en expliquant :

    "Un scientifique âgé de l'industrie de la volaille a visité notre ferme une fois et m'a dit que si les maisons séparaient les poulets en groupes de 1 000 oiseaux, cela éliminerait pratiquement les maladies.

    Il a dit qu'il était acceptable d'avoir 10 000 oiseaux dans une maison tant qu'ils étaient dans des unités de 1 000 oiseaux. De cette façon, leur structure sociale peut fonctionner dans une interaction naturelle. Les animaux ont une hiérarchie d'intimidateurs et de timides. Cette structure sociale s'effondre au-dessus de la taille optimale...

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  38. Bien que je ne veuille pas paraître désinvolte ou au-dessus de la sensibilité à l'IAHP, les taux d'incidents indiquent certainement moins de vulnérabilité dans les troupeaux au pâturage bien gérés.

    La création d'un protocole de renforcement immunitaire mérite certainement autant la recherche que de remplacer le système immunitaire par des vaccins et d'essayer de garder une longueur d'avance sur les mutations et les adaptations de la maladie avec l'intelligence humaine. Que diriez-vous de chercher humblement des solutions dans la nature plutôt que de vous fier à l'orgueil ?

    Les parallèles entre l'orthodoxie des experts HPAI et l'orthodoxie COVID sont trop nombreux pour être mentionnés… L'inquiétude HPAI alimente l'inquiétude alimentaire, ce qui fait que les gens réclament la sécurité du gouvernement. Les gens accepteront à peu près n'importe quoi s'ils ont peur… Réfléchissez-y et adoptez un remède plus naturel : une volaille de pâturage décentralisée bien gérée avec des tailles de troupeaux appropriées.

    Faites attention aux récits à venir

    Au fur et à mesure que nous avançons, gardez un œil sur les récits que nous recevons. Encore une fois, si la grippe aviaire devient une épidémie humaine ou une pandémie, il y a de nombreuses raisons de soupçonner qu'il s'agit d'un virus armé, et la "solution" proposée sera la même que celle pour COVID-19 : "Faites-vous vacciner".

    Compte tenu des dommages généralisés causés par les injections d'ARNm du COVID-19, pouvons-nous vraiment croire que les injections accélérées contre la grippe aviaire seront plus sûres ou plus efficaces ? Déjà, les États-Unis et d'autres pays stockent le vaccin H5N1 25 « juste au cas où », ce qui est révélateur.

    Alors que certains vaccins traditionnels sont dans la gamme, des injections d'ARNm ajustées pour cibler le H5N1 sont également prévues, et ils n'auront probablement pas besoin de subir des tests supplémentaires au-delà de ce qui a déjà été fait pour les piqûres COVID.

    Ceci même si les récentes tentatives de fabrication d'un vaccin contre la grippe à base d'ARNm ont échoué. Tel que rapporté par Reuters : 26

    "Certains des principaux fabricants mondiaux de vaccins contre la grippe disent qu'ils pourraient faire des centaines de millions de vaccins contre la grippe aviaire pour les humains en quelques mois si une nouvelle souche de grippe aviaire traversait la division des espèces...

    En cas de pandémie, les fabricants de vaccins déplaceraient la production de vaccins contre la grippe saisonnière et feraient plutôt des vaccins adaptés à la nouvelle épidémie en cas de besoin…

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  39. En première étape de prévention de base, optimisez votre apport en vitamine D (la fourchette idéale se situe entre 60 ng/ml et 80 ng/ml). Assurez-vous de le mesurer pour confirmer, car il n'y a aucun moyen de savoir quel est votre taux de vitamine D sans faire une analyse de sang.

    L'été est presque là, alors abandonnez votre supplément de vitamines orales, enlevez vos vêtements et sortez au soleil vers midi solaire, qui est 13 heures pour la plupart des gens aux États-Unis. Pour en savoir plus, téléchargez mon "La vitamine D dans la prévention du COVID -19", disponible sur stopCOVIDcold.com .

    Au cas où vous tomberiez malade, je vous conseillerais fortement d'acheter un nébuliseur afin de pouvoir nébuliser du peroxyde d'hydrogène dès les premiers signes de symptômes. Allez simplement sur ma chaîne Bitchute et recherchez mes vidéos sur le peroxyde . Ils ont des instructions complètes sur la façon de le faire.

    À l'heure actuelle, la Front Line COVID-19 Critical Care Alliance (FLCCC) semble avoir l'un des meilleurs protocoles de traitement COVID. Il s'appelle I-CARE et peut être téléchargé sur covid19criticalcare.com. 27 Ils ont également un protocole de traitement pour le VRS et la grippe . Imprimez-les et assurez-vous d'avoir les suppléments de base dans votre armoire à pharmacie.

    *

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    Remarques

    1 Une rétrospective sur la peur de la grippe aviaire de 2005 AIER 22 mars 2020

    2, 7 Fermier de l'ère glaciaire 8 avril 2022

    3 Actualités de la Presse du Vin 29 avril 2022

    4 Ardoise 22 décembre 2011

    5, 8, 9 OCA 22 avril 2022

    6 YouTube Ice Age Farmer

    10 Journal de virologie mai 2009 ; 83(10): 5278-5281

    11, 15, 16 Cidrap 21 juin 2012

    12 Scott Mc Pherson 22 février 2010

    13, 14 Business Insider 1 juillet 2014

    17 Sciences 2 mai 2012

    18 Nature 19 décembre 2017

    19 RNP 9 avril 2022

    20 Mise à jour du CDC sur la grippe aviaire au 22 mars 2023

    21 ABC Nouvelles 9 février 2023

    22 Mise à jour du CDC sur la grippe aviaire au 17 mars 2023

    23 Nouvelles mondiales 25 mars 2023

    24 Institut Brownstone 14 mars 2023

    25 Précision Vaccination Audenz pour 2022

    26 Reuters 20 mars 2023

    27 Covid19soinscritiques.com

    https://www.globalresearch.ca/bird-flu-scare-narrative-ramps-up/5814657

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    1. Après çà on passera à un autre canular sur la grippe chatière, chiennière, poisson-rougière, moustiquière et, pourquoi pas airière et terrière ! Whoaw !

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  40. Le récit de la peur de la grippe aviaire s'intensifie


    Par le Dr Joseph Mercola
    Mercola.com
    4 avril 2023


    La grippe aviaire a toujours été une fraude, c'est pourquoi j'ai écrit mon best-seller du New York Times "The Great Bird Flu Hoax", il y a près de 15 ans. Le président George Bush a dépensé plus de 7 milliards de dollars et a averti que plus de 2 millions d'Américains pourraient mourir.1 La réalité est que personne aux États-Unis n'est mort de la grippe aviaire.

    Avance rapide de 15 ans, et maintenant la biosécurité mondiale est l'une des principales tactiques choisies pour inaugurer un gouvernement totalitaire mondial, de sorte que d'autres pandémies sont sans aucun doute dans notre avenir. Au printemps 2022, Bill Gates a averti qu'une autre pandémie allait émerger et que cette pandémie encore à venir "attirera l'attention cette fois".

    Basé sur le bavardage de nouvelles émergeant en ce moment, une grippe aviaire militarisée semble probable. Dans une interview du 30 mars 2022, CenterPoint, l'ancien directeur des Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis, le Dr Robert Redfield, a plus qu'évoqué cette possibilité en disant :3

    « Je crois que la grande pandémie est encore dans le futur, et ce sera une pandémie de grippe aviaire pour l'homme. Il va avoir une mortalité importante de l'ordre de 10 à 50 %. Ça va être un problème.

    La grippe aviaire ne représentait aucune menace jusqu'à ce que les scientifiques la transforment en arme

    Historiquement, la grippe aviaire naturelle (H5N1) n'a jamais constitué une menace pour l'humanité, mais les scientifiques ont commencé à la modifier, créant un hybride à potentiel pandémique humain.4 Une partie de cette recherche a été entreprise dans des laboratoires biologiques financés par le Pentagone en Ukraine.5,6 ,7

    Gates et le Dr Anthony Fauci, ancien directeur des National Institutes of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) ont également financé la recherche sur le gain de fonction sur le H5N1.8 Un scientifique dont les travaux sur le H5N1 ont été financés à la fois par Fauci et Gates est le Dr .Yoshihiro Kawaoka.9

    Dans une expérience, Kawaoka a mélangé le virus de la grippe aviaire avec le virus de la grippe espagnole, ce qui a donné un virus respiratoire hautement mortel avec une capacité de transmission humaine. Kawaoka a également joué avec des mélanges de H5N1 et du virus H1N1 (grippe porcine) de 2009, créant un hybride aéroporté10,11,12 capable d'échapper au système immunitaire humain, rendant ainsi les humains sans défense contre lui,13 et cette recherche extrêmement risquée a été menée dans un laboratoire de biosécurité de niveau 2 !14

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  41. La grippe aviaire a été manipulée et manipulée de différentes manières, la rendant à la fois aéroportée (ce qu'elle n'était pas initialement) et capable d'infection interspécifique.
    Fauci a également financé le travail du virologue Ron Fouchier, un chercheur néerlandais dont l'équipe a créé une version aéroportée de la grippe aviaire en utilisant une combinaison de génie génétique et d'infection en série de furets.15 Ainsi, la grippe aviaire a été manipulée et bricolée dans une variété de différentes manières, le rendant à la fois aéroporté (ce qu'il n'était pas initialement) et capable d'infection inter-espèces.

    En 2012, les travaux de Kawaoka et Fouchier ont suscité une inquiétude généralisée concernant la recherche sur le gain de fonction, car il a été facilement reconnu qu'elle pourrait accidentellement provoquer une pandémie humaine.16,17

    En conséquence, le gouvernement américain a émis une interdiction temporaire de la recherche sur le gain de fonction sur certains virus en 2014, qui est restée en vigueur jusqu'en décembre 2017.18 Nous savons maintenant que cette interdiction a été contournée par Fauci, qui a continué à financer le gain de fonction. recherches sur les coronavirus en Chine au cours de ces années.

    Il semble maintenant que la grippe aviaire militarisée pourrait éventuellement être libérée pour atteindre les objectifs géopolitiques de la cabale technocratique qui tente de donner à l'Organisation mondiale de la santé le monopole de la prise de décision en cas de pandémie.

    La grippe aviaire est répandue parmi les volailles et les oiseaux sauvages19 aux États-Unis,20 mais le virus naturel n'est pas très transmissible ou mortel pour l'homme. Donc, si nous nous retrouvons avec une grippe aviaire humaine mortelle, il y a tout lieu de soupçonner qu'elle a été causée par l'homme. Il y a aussi toutes les raisons de soupçonner qu'un vaccin contre la grippe aviaire sera inefficace, dangereux ou les deux.

    La grippe aviaire s'est propagée aux mammifères

    Selon un rapport d'ABC News du 9 février 202321, le H5N1 (grippe aviaire) affecte également les mammifères à un rythme jamais vu auparavant, notamment les mouffettes, les ours, les phoques, les renards, les visons et même les dauphins. Nichola Hill, virologue de l'Université du Massachusetts à Boston, a déclaré à ABC News :

    "La taille, la gamme et le nombre d'espèces touchées par cette épidémie sont sans précédent... Ce n'est pas vraiment la façon dont la grippe aviaire devrait se comporter."

    Alors que des infections sporadiques chez les mammifères ont été signalées depuis 20 ans, le virus semble maintenant se propager entre les mammifères, au lieu de se limiter aux mammifères individuels infectés en mangeant un oiseau infecté.

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  42. C'est un tout nouveau développement qui inquiète les scientifiques. Si le virus est en train de muter (ou d'être muté) pour se propager parmi les mammifères, le saut vers l'homme n'est peut-être pas loin derrière.

    Les humains sont-ils les prochains ?

    En 2022, la division de la grippe des Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis a suivi plus de 50 cas humains de grippe aviaire dans sept pays et, bien qu'extrêmement rares, le CDC prévoit que davantage d'infections se produiront. Comme indiqué dans sa mise à jour H5N1 du 17 mars 2023 :22

    « À ce jour, les virus HPAI [grippe aviaire hautement pathogène] A(H5N1) circulant actuellement chez les oiseaux et la volaille, avec des retombées sur les mammifères, et ceux qui ont causé des infections humaines n'ont pas la capacité de se lier facilement aux récepteurs qui prédominent dans la voies respiratoires supérieures humaines. Par conséquent, le risque actuel pour le public lié aux virus HPAI A(H5N1) reste faible.

    Cependant, en raison du potentiel d'évolution rapide des virus grippaux et de la large prévalence mondiale des virus HPAI A(H5N1) chez les oiseaux sauvages et les flambées de volailles, des infections humaines sporadiques continues sont à prévoir.

    Une surveillance complète et continue de ces virus chez les oiseaux sauvages, la volaille, les mammifères et les humains dans le monde entier, et des réévaluations fréquentes sont essentielles pour déterminer le risque pour la santé publique, ainsi que les efforts de préparation en cours.

    Les experts canadiens craignent également que l'élan actuel de la grippe aviaire ne devienne une pandémie humaine. Tel que rapporté par Global News le 25 mars 2023 : 23

    « L'épidémie actuelle qui circule en Amérique du Nord et du Sud est connue sous le nom de H5N1 clade 2.3.4.4b. Il a tué un nombre record d'oiseaux et de mammifères infectés.

    Bien que les cas humains restent rares, Shayan Sharif, professeur et doyen associé à l'Ontario Veterinary College … a averti que le virus « prend de l'ampleur » et devient de plus en plus une menace humaine.

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  43. La politique de la terre brûlée est la seule option même si elle ne semble pas fonctionner. En fait, les cycles s'accélèrent et semblent affecter davantage d'oiseaux. Quelqu'un devrait remettre en question l'efficacité.

    Des solutions contre la grippe aviaire qui ont du sens

    Comme l'a noté Salatin, il est bien connu parmi les agriculteurs que les quartiers exigus et le fait d'avoir trop d'élevages de poulets trop proches les uns des autres, géographiquement, sont le problème. "L'USDA et l'industrie veulent désespérément blâmer les oiseaux sauvages, les troupeaux de basse-cour et les chaussures sales plutôt que de se regarder dans le miroir et de réaliser que c'est la façon naturelle de crier "Assez!", écrit Salatin.

    La réponse est relativement simple. Sauvez les oiseaux qui survivent à l'infection et reproduisez-les. De cette façon, les générations futures auront une immunité naturelle. « Si un troupeau attrape l'IAHP, laissez-le suivre son cours. Il tuera ceux qu'il tuera, mais dans quelques jours, les survivants seront évidents. Gardez-les et mettez-les dans un programme de sélection », écrit Salatin.

    Deuxièmement, les éleveurs de poulets peuvent également conjurer les épidémies en se concentrant sur la taille optimale des troupeaux. Par exemple, les dindons sauvages vivent en groupes de quelques centaines au maximum. Les cochons sauvages dépassent rarement les groupes de 100. Pour les poulets, la taille optimale du troupeau est d'environ 1 000, selon Salatin. Il poursuit en expliquant :

    "Un scientifique âgé de l'industrie de la volaille a visité notre ferme une fois et m'a dit que si les maisons séparaient les poulets en groupes de 1 000 volailles, cela éliminerait pratiquement les maladies.

    Il a dit qu'il était acceptable d'avoir 10 000 volailles dans une maison tant qu'ils étaient dans des unités de 1 000 volailles. De cette façon, leur structure sociale peut fonctionner dans une interaction naturelle. Les animaux ont une hiérarchie d'intimidateurs et de timides. Cette structure sociale s'effondre au-dessus de la taille optimale...

    Bien que je ne veuille pas paraître désinvolte ou au-dessus de la sensibilité à l'IAHP, les taux d'incidents indiquent certainement moins de vulnérabilité dans les troupeaux au pâturage bien gérés.

    La création d'un protocole de renforcement immunitaire mérite certainement autant la recherche que de remplacer le système immunitaire par des vaccins et d'essayer de garder une longueur d'avance sur les mutations et les adaptations de la maladie avec l'intelligence humaine. Que diriez-vous de chercher humblement des solutions dans la nature plutôt que de vous fier à l'orgueil ?

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  44. Les parallèles entre l'orthodoxie des experts HPAI et l'orthodoxie COVID sont trop nombreux pour être mentionnés… L'inquiétude HPAI alimente l'inquiétude alimentaire, ce qui fait que les gens réclament la sécurité du gouvernement. Les gens accepteront à peu près n'importe quoi s'ils ont peur… Réfléchissez-y et adoptez un remède plus naturel : une volaille de pâturage décentralisée bien gérée avec des tailles de troupeaux appropriées.

    Faites attention aux récits à venir

    Au fur et à mesure que nous avançons, gardez un œil sur les récits que nous recevons. Encore une fois, si la grippe aviaire devient une épidémie humaine ou une pandémie, il y a de nombreuses raisons de soupçonner qu'il s'agit d'un virus armé, et la "solution" proposée sera la même que celle pour COVID-19 : "Faites-vous vacciner".

    Compte tenu des dommages généralisés causés par les injections d'ARNm du COVID-19, pouvons-nous vraiment croire que les injections accélérées contre la grippe aviaire seront plus sûres ou plus efficaces ? Déjà, les États-Unis et d'autres pays stockent le vaccin H5N125 "au cas où", ce qui est révélateur.

    Alors que certains vaccins traditionnels sont dans la gamme, des injections d'ARNm ajustées pour cibler le H5N1 sont également prévues, et ils n'auront probablement pas besoin de subir des tests supplémentaires au-delà de ce qui a déjà été fait pour les jabs COVID.

    Ceci même si les récentes tentatives de fabrication d'un vaccin contre la grippe à base d'ARNm ont échoué. Tel que rapporté par Reuters :26

    "Certains des principaux fabricants mondiaux de vaccins contre la grippe affirment qu'ils pourraient faire des centaines de millions de vaccins contre la grippe aviaire pour les humains en quelques mois si une nouvelle souche de grippe aviaire traversait la division des espèces...

    En cas de pandémie, les fabricants de vaccins déplaceraient la production de vaccins contre la grippe saisonnière et feraient plutôt des vaccins adaptés à la nouvelle épidémie en cas de besoin…

    De nombreux vaccins pandémiques potentiels sont pré-approuvés par les régulateurs, sur la base de données d'essais sur l'homme montrant que les vaccins sont sûrs et déclenchent une réponse immunitaire, un processus déjà utilisé avec les vaccins contre la grippe saisonnière.

    Cela signifie qu'ils pourraient ne pas nécessiter d'autres essais sur l'homme, même s'ils doivent être modifiés pour mieux correspondre à la souche qui saute aux humains. Des données sur la façon dont les vaccins protègent réellement contre l'infection seraient recueillies en temps réel...

    Les experts plaident depuis longtemps pour de nouvelles approches dans le développement de vaccins, à la fois contre la grippe saisonnière et pandémique. COVID a prouvé le potentiel de la technologie de l'ARNm pour s'adapter plus rapidement à l'évolution des virus car les vaccins utilisent les informations génétiques de l'agent pathogène, plutôt que d'avoir à développer le virus lui-même.

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  45. La recherche sur le vaccin à ARNm de Moderna a en fait commencé avec la grippe pandémique et a été modifiée pour le COVID, a déclaré Raffael Nachbagauer, directeur exécutif des maladies infectieuses chez Moderna.

    La société prévoit de lancer un petit essai sur l'homme d'un vaccin contre la grippe pandémique à ARNm adapté au nouveau sous-type de grippe aviaire au cours du premier semestre 2023, a-t-il déclaré, ajoutant que Moderna pourrait réagir "très rapidement" dans un scénario d'épidémie. Les résultats seront surveillés de près, car les données sur le candidat grippe saisonnière de Moderna étaient mitigées.

    Penser qu'un vaccin à base d'ARNm contre une grippe aviaire militarisée sera plus sûr que les vaccins contre le COVID-19 serait naïf à l'extrême, si vous me le demandez, mais vous pouvez être sûr qu'on nous dira le contraire, si l'oiseau la grippe finit par se propager parmi la population humaine.

    Soyez prêt

    L'une des meilleures choses que j'ai faites dans ma jeunesse a été de rejoindre les Boy Scouts. Leur devise "Soyez préparé" a été extrêmement utile toute ma vie. Eh bien, cela s'applique également à la grippe aviaire. Bien que nous ne le sachions pas avec certitude, car aucune étude n'a été réalisée, il est fort probable que bon nombre des mêmes protocoles utilisés dans le traitement ambulatoire précoce du COVID fonctionneront également pour la grippe aviaire, car ils sont tous deux des agents pathogènes respiratoires viraux.

    En première étape de prévention de base, optimisez votre apport en vitamine D (la fourchette idéale se situe entre 60 ng/ml et 80 ng/ml). Assurez-vous de le mesurer pour confirmer, car il n'y a aucun moyen de savoir quel est votre taux de vitamine D sans faire une analyse de sang.

    L'été est presque là, alors abandonnez votre supplément vitaminique oral, enlevez vos vêtements et sortez au soleil vers midi solaire, soit 13 heures. pour la plupart des gens aux États-Unis. Pour en savoir plus, téléchargez mon rapport « La vitamine D dans la prévention du COVID-19 », disponible sur stopCOVIDcold.com.

    Au cas où vous tomberiez malade, je vous conseillerais fortement d'acheter un nébuliseur afin de pouvoir nébuliser du peroxyde d'hydrogène dès les premiers signes de symptômes. Allez simplement sur ma chaîne Bitchute et recherchez mes vidéos sur le peroxyde. Ils ont des instructions complètes sur la façon de le faire.

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  46. À l'heure actuelle, la Front Line COVID-19 Critical Care Alliance (FLCCC) semble avoir l'un des meilleurs protocoles de traitement COVID. Il s'appelle I-CARE et peut être téléchargé à partir de covid19criticalcare.com.27 Ils ont également un protocole de traitement pour le VRS et la grippe. Imprimez-les et assurez-vous d'avoir les suppléments de base dans votre armoire à pharmacie.

    Sources and References

    1 A Retrospective on the Avian Flu Scare of 2005 AIER March 22, 2020
    2, 7 Ice Age Farmer April 8, 2022
    3 Wine Press News April 29, 2022
    4 Slate December 22, 2011
    5, 8, 9 OCA April 22, 2022
    6 Youtube Ice Age Farmer
    10 Journal of Virology May 2009; 83(10): 5278-5281
    11, 15, 16 Cidrap June 21, 2012
    12 Scott McPherson February 22, 2010
    13, 14 Business Insider July 1, 2014
    17 Science May 2, 2012
    18 Nature December 19, 2017
    19 NPR April 9, 2022
    20 CDC Bird Flu Update as of March 22, 2023
    21 ABC News February 9, 2023
    22 CDC Bird Flu Update as of March 17, 2023
    23 Global News March 25, 2023
    24 Brownstone Institute March 14, 2023
    25 Precision Vaccination Audenz for 2022
    26 Reuters March 20, 2023
    27 Covid19criticalcare.com

    https://www.lewrockwell.com/2023/04/joseph-mercola/bird-flu-scare-narrative-ramps-up/

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    1. Ne perdons pas notre temps à nous demander qui a fait quoi dans quel laboratoire de quelle ville et de quel pays, mais regardons plutôt le choix:

      Vaches folles et grippe aviaire. Les chèvres, moutons, chevaux, chiens ou autres bestioles a quatre pattes ne sont pas concernées. Idem pour les canards, les pintades, pigeons et les oiseaux.
      Donc: Vaches et poules. Cela ne vous dit rien ? Réfléchissez.
      Les vaches fournissent du lait et les poules des œufs (tous les jours) ! Donc, cela va à l'encontre du Plan Dépopulation21 où les humains doivent être exterminés.

      Çà y est ? vous avez compris ?

      Parallèlement dans l'agriculture il y a une lutte gouvernementale pour empêcher-interdire que des remèdes soient apportés pour lutter contre les maladies des plantes et leurs insectes ravageurs !
      Et de plus (parce que ce n'est pas fini !), faut ajouter l'interdiction de se servir d'herbicide ! et d'apporter de l'engrais (azote) aux plantes !! (en plus des restrictions de l'eau et de l'interdiction de faire des réserves !!)

      Le plan c'est FAMINEPOURTOUS ! (sauf pour les dictateurs vous l'aurez compris).

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  47. Fragmentation de l’être humain, fragmentation de la santé et OGM


    Par Marie-France de Meuron
    Mondialisation.ca,
    03 avril 2023


    Afin de vouloir mieux maîtriser et diriger la société humaine, l’idéologie prédominante incite à tout fragmenter. Une illustration flagrante en a magnifié le processus ces trois années de covidémie. Afin de donner l’illusion de maîtriser la situation, le système politico-médiatique a divisé la population entre corona-positifs, corona-« vaccinés » et corona-sceptiques. L’art médical a été annihilé et la notion si connue de « le microbe n’est rien, le terrain est tout » (A. Béchamp) a été niée. Les finances ont été investies massivement dans un produit brandi comme une panacée, fragmentant ainsi la richesse des nations et la santé des populations.

    Un auteur décrit très clairement « La fragmentation dans la science et la société » à la page 173 :

    « Si la science et la technologie sont entachées de défauts et ont des répercussions préjudiciables à la société, c’est qu’elles reflètent une grave imperfection de la société même : la fragmentation. Aucune activité humaine, aucun élément de l’univers n’est – pas plus que l’homme lui-même – comparable à une île ; et pourtant nous traitons tous ces « fragments » comme s’il s’agissait d’entités distinctes sans considérer comment ils s’articulent en « touts ». La fragmentation est profondément ancrée dans la pensée et le langage humains. (…)

    Une solution : Il faudrait donc maintenant, estime-t-on, que la société reprenne en main la science dans son ensemble pour faire en sorte qu’elle serve effectivement l’intérêt de l’humanité et pour chercher à réduire l’écart qui la sépare des autres aspects de la vie. »

    La fragmentation obéit aussi à des critères politiques qui se dissocient des différents secteurs de la société tout en s’appuyant sur certains qui sont de connivence. Nous apprenons que « La HAS donne son feu vert à la levée de l’obligation vaccinale pour les soignants » :

    « La Haute autorité de santé (HAS) recommande de « lever l’obligation de vaccination » contre le Covid-19 en vigueur depuis 18 mois pour les soignants et les autres professionnels concernés. »

    Comment une autorité de santé peut-elle aussi longtemps restreindre à ce point les besoins sanitaires d’une population et étouffer la conscience de tant de professionnels de la santé ?

    La recherche médicale est aussi terriblement segmentée, autant par l’origine des financements que par l’objectif recherché. Un exemple nous en est donné par une étude lancée au sujet du covid long avec un objectif très délimité.

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  48. « Un essai clinique, coordonné par les HUG, est en cours afin de tester un médicament susceptible de traiter le Covid Long. Ou plus exactement, une certaine catégorie de personnes atteintes par ce nouveau mal. Le recrutement a commencé pour inclure les 200 patients répondant à tous les critères de participation (qui sont forcément bien délimités et peu représentatifs de l’entièreté des malades). Mais d’autres critères sont aussi pris en compte, comme la présence d’une certaine protéine dans l’organisme. Elle s’appelle « HER-W ENV ». La protéine qui se cache derrière ce nom quelque peu barbare est suspectée d’être responsable de nombreux cas de Covid Long ; on la retrouve chez plus d’un patient sur quatre affecté par la maladie. »

    D’autres établissements hospitaliers participent à cette étude qui est destinée à tester une molécule s’attaquant à ladite protéine, afin de la neutraliser. Quelle réduction, quelle fragmentation de la complexité de l’organisme humain !

    Un être humain est un micro-univers qui se révèle dans un corps connecté à une âme et à un esprit. La technicité actuelle cherche à le réduire en une Intelligence Artificielle (IA).

    Dans la ligne droite du 1.4.2023, Radio Courtoisie expose très pertinemment : « Votre QI n’est pas votre liberté de pensées, de raisonner. Mettre une puce pour augmenter le QI à 250 consiste à prendre le contrôle de votre intellect. Votre cerveau humain sera soumis à ce QI. On peut être ainsi contrôlé et hacké. La puce électronique vous enlève le libre arbitre. »

    C’est un exemple fort que le transhumaniste ne fait qu’augmenter l’homme de façon fragmentée.

    Un professeur d’économie émérite nous expose magistralement dans une entrevue « La plus grave crise économique et sociale de l’histoire » et comment le monde a été fracturé en plusieurs morceaux.

    « Commencée avec la dite crise Covid-19 à partir de la fin janvier 2020, cette crise mondiale (2020-2023) – qui est en cours – a bouleversé et détruit la vie des peuples dans le monde entier au cours des trois dernières années. (…)

    Tout est lié, à commencer par la pandémie Covid-19, le vaccin à ARNm, les pouvoirs des grandes sociétés pharmaceutiques, la gouvernance mondiale, les gouvernements corrompus, la déstabilisation de l’État-nation, la guerre en Ukraine, la désinformation médiatique, les entraves à diplomatie et des rapports entre pays, et la menace d’une guerre nucléaire. »

    Fondamentalement, on peut se demander ce qui anime autant de dirigeants, en principe responsables, pour fragmenter ainsi des peuples, des nations, des régions.

    « Diviser pour mieux régner » relève aussi d’une stratégie de fragmentation. Ainsi, un chercheur en ingénierie sociale soulève la question : « Gouverner par le chaos, la nouvelle tendance politique ? »

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  49. Il explicite un des mécanismes sur lequel s’appuie cette nouvelle tendance : l’ingénierie sociale « transformation furtive des sujets, individuelle ou en groupe ». Il ajoute aussi qu’il s’agit de « la ruse au service de l’utopie pour faire passer un projet utopiste, une organisation scientifique de la société. Le plus grand génocide de tous les temps est en cours car il vise tout le vivant.

    Ainsi, avec les OGM, les fruits et les légumes y ont déjà passé car la technologie les a déjà frappés. Les humains, c’est la suite. Les animaux eux-mêmes sont déjà stérilisés et pucés. »

    Il souligne :

    « La nature est gratuite et décentralisée, ce que n’aime pas le capitalisme où tout doit être payant. Le capitalisme n’est pas libéral, pas décentralisé : quête de la centralisation et une planification qui n’a rien à envier à une économie étatique où planifiée de type socialiste. »

    « Qu’est-ce qu’un OGM ? » Un généticien et un professeur à l’Institut de géographie et durabilité nous en présentent différentes facettes : « Ce nouveau type d’agriculture suscite de nombreux débats, qu’ils soient scientifiques, éthiques ou éco-politiques.

    Les débats d’ordre scientifique questionnent les risques environnementaux et sanitaires ainsi que la pollution génétique. Les débats d’ordre éthique portent sur la modification du patrimoine génétique d’un organisme vivant et sur le fait que l’on dépose un brevet sur cet organisme. Enfin, les questions éco-politiques portent sur les monopoles qu’ont les multinationales spécialisées dans les technologies agricoles sur lesdits brevets et sur la technologie. »

    Ainsi sous une appellation simplifiée, nous pouvons prendre conscience de toutes les ramifications imposées d’un processus technologique qui ne vise que le rendement de certaines cultures et, par conséquent, aboutit à la fragmentation de nos savoirs agricoles.

    De plus, les plantes alimentaires génétiquement modifiées supplantent la diversité naturelle des semences, ce qui appauvrit grandement notre patrimoine par conséquent les apports nutritionnels indispensables à notre santé.

    « La fragmentation se manifeste dans les Menaces éthiques »

    « Les OGM posent un problème éthique fondamental : le choix de quelques-uns met en péril la liberté du plus grand nombre. La culture des OGM empêche toute autre forme d’agriculture. Pour arriver à créer une étanchéité toute relative entre cultures OGM et non-OGM, ces dernières nécessitent des investissements importants. Le surcoût pour un agriculteur non-OGM est ainsi estimé en 2008 de 5 à 37 euros par tonne de maïs non-OGM. C’est clairement une atteinte au principe du pollueur-payeur. Les questions éthiques posées par les OGM appellent à un débat national et européen. »

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  50. La médecine conventionnelle favorise la fragmentation de l’être humain. Les médecins généralistes se raréfient tandis que les spécialistes se subdivisent toujours davantage. On a même vu des médecins limiter une consultation à un seul problème.

    Le système assécurologique a structuré les soins selon les diagnostics et les protocoles leur correspondant. Ses responsables, économistes et juristes dénonceront au tribunal les médecins dont la moyenne des coûts par patient/année dépasse la moyenne des praticiens de la même catégorie.

    Le temps d’écoute est très limité, ce qui ne permet pas d’avoir une perception globale du patient et de ce qui relie l’ensemble de ses problèmes apparaissant sur différents plans et nécessitant des traitements adéquats, à créer pour chacun puisqu’il est évident que chaque être humain est particulier. Comme cette façon de pratiquer n’est pas codifiable, elle n’est pas considérée, d’autant plus que le praticien ne peut pas fournir, entre autres, de statistiques par catégories de maladie selon les normes consacrées des études en double aveugle.

    Les services de soins à domicile doivent « affronter les défis du système de santé avec la notion de complexité » :

    « À l’heure actuelle, la fragmentation du système de santé suisse en silos de spécialistes s’avère peu adaptée à la prise en charge des patients dits complexes, souffrant de multimorbidités, de problèmes psychiatriques, ou encore d’isolement. La recherche sur la complexité vise entre autres à casser ces silos afin de favoriser la coordination des prises en soins, seule à même d’améliorer l’état de santé des patients et d’éviter des hospitalisations coûteuses.

    Alors que le concept de complexité concernait auparavant essentiellement le milieu hospitalier et médical, il se déploie depuis peu dans le domaine des soins à domicile et dans le champ infirmier.

    Si le système de santé suisse a atteint toute une série d’objectifs importants, la fragmentation de son organisation affecte son efficacité, son efficience et sa qualité. Nombre d’experts invoquent la nécessité de coordonner les soins et les services, particulièrement dans le cadre des maladies complexes et, souvent, chroniques. Les médecins ont un rôle de coordination clé à jouer, mais la croissance exponentielle des connaissances alliée à un développement technologique toujours plus sophistiqué requièrent que ce rôle se fonde sur une pratique interdisciplinaire et une organisation en réseau.

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  51. Cet article « Continuité, coordination, intégration des soins : entre théorie et pratique » propose un modèle pour implanter, autour du médecin traitant, une organisation d’un premier niveau de soins pouvant assumer cette coordination. Ce modèle innovant permettrait de mieux répondre aux futurs défis du système de santé suisse.

    En Belgique aussi, « L’actuelle fragmentation des compétences en Santé est un non-sens » :

    « Le directeur du Groupement Belge des Omnipraticiens (GBO), était auditionné par la Commission parlementaire mixte en charge d’évaluer l’efficacité des répartitions de compétences suite à la dernière réforme institutionnelle. Il a copieusement illustré les incohérences découlant de la balkanisation des prérogatives dans le secteur de la santé, avant d’énoncer quelques pistes à creuser pour corriger le tir, en gardant pour mantra de fournir les soins au plus près du patient. »

    Aurions-nous oublié que nous sommes uni(s)-vers ?

    https://www.mondialisation.ca/fragmentation-de-letre-humain-fragmentation-de-la-sante-et-ogm/5676716

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  52. En Allemagne, les organisations environnementales NABU et WWF ne veulent plus publier les noms de leurs grands donateurs


    4 Avril 2023
    Olaf Zinke, AGRARHEUTE*



    En 2019, l'alliance dite « Alliance pour la transparence des lobbies » avait été fondée entre autres par Transparency International Allemagne, par la NABU et par des associations de consommateurs et d'entreprises.

    Les associations environnementales NABU [Naturschutzbund Deutschland – fédération allemande de protection de la nature] et WWF ne veulent plus publier à l'avenir les noms de leurs grands donateurs. La NABU se retire donc, avec l'organisation environnementale WWF, de l'initiative pour la transparence dans le lobbying.

    Comme le rapportent les journaux «Welt » et « Welt am Sonntag », les deux organisations environnementales ont quitté l'« Alliance pour la transparence du lobbying ». Dans leur lettre de démission, elles expliquent que les grands donateurs devraient continuer à avoir la possibilité de rester anonymes. Dans la lettre dont la Welt a eu connaissance, on peut lire que « la mention de noms clairs », comme l'exige l'Alliance pour la transparence, n'est « pas praticable ».

    Interrogé par la Welt, le WWF a expliqué que les raisons invoquées par les grands donateurs pour ne pas être nommés allaient de litiges avec des membres de leur famille à des manifestations d'hostilité. Selon le WWF, faire fuir les donateurs serait un mauvais service rendu à l'action des organisations environnementales. Selon les informations, il s'agit de dons d'argent d'un montant total de plus de 50.000 euros par an.

    En 2019, l'« Alliance pour la transparence des lobbies » a été fondée entre autres par Transparency International Allemagne, la NABU et des associations de consommateurs et d'entreprises. La NABU est la plus grande et la plus ancienne association environnementale d'Allemagne. Avec Transparency International Allemagne et des associations de consommateurs et d'entreprises, elle s'est engagée pour la mise en place d'un « registre des lobbies » au Bundestag en 2021 et pour que les groupes de pression soient obligés de nommer les donateurs de plus de 20.000 euros.

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  53. * Olaf Zinke travaille pour AGRARHEUTE en tant que rédacteur cross-média pour les opérations et les marchés. Il analyse les marchés agricoles et des produits de base nationaux et internationaux depuis trois décennies et a travaillé à ce titre pour diverses institutions.

    Source : Umweltverbände NABU und WWF wollen Großspender nicht nennen | agrarheute.com

    https://seppi.over-blog.com/2023/04/en-allemagne-les-organisations-environnementales-nabu-et-wwf-ne-veulent-plus-publier-les-noms-de-leurs-grands-donateurs.html

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  54. ENCORE 1 ARTICLE CENSURÉ ! (60 - 1 = 59)

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