Codes de santé de l'OMS – une nouvelle « stigmatisation » au potentiel génocidaire
01.04.2023 www.kla.tv/25629
Sous l'impulsion de l'OMS, des codes relatifs à la santé et au statut vaccinal Covid sont disponibles depuis janvier 2023. Selon le code, il pourrait y avoir des restrictions de voyage et autres. Des traitements spéciaux et des exclusions, voire un génocide, se préparent-ils ?
Les choses se corsent maintenant : lors du sommet du G20 en 2022, les dirigeants des 20 plus grandes économies ont annoncé l'objectif commun suivant : Un système mondial de carnet de vaccination numérique doit être mis en place sur la base des standards de l'OMS. Seules les personnes disposant d'un carnet de vaccination numérique sur leur téléphone portable pourront voyager à l'étranger. Yuval Noah Harari, conseiller principal du FEM, a déjà annoncé que cette technologie de surveillance ne serait pas seulement installée sur le téléphone portable, mais aussi « sous la peau » dans une prochaine étape.
Des groupes entiers de population, par exemple ceux qui ne sont pas vaccinés et ceux qui ne le sont pas suffisamment, pourraient être exclus de la vie quotidienne. Il suffirait pour cela de déclarer une « urgence sanitaire internationale », comme le prévoit la nouvelle loi sur les pandémies de l'OMS. Il s’agit ici d’une atteinte flagrante à la vie privée, voire de la suppression des droits de l'homme. En rapport avec ces codes, il a été révélé début février 2023 que les enseignants de la ville de New York qui ne se faisaient pas vacciner étaient « marqués » dans leur dossier personnel. Cela a conduit à l'envoi de leurs empreintes digitales au FBI et au département de la justice pénale de New York. Le but de cette mesure n'est pas encore clair. Mais l'ancien enseignant d'une école publique Michael Kane, fondateur de Teachers for Choice, a des soupçons : à savoir « que les enseignants non vaccinés à New York doivent être considérés comme des « extrémistes de droite », voire des « terroristes » », explique Kane.
Or, tout traitement spécial de ce type à l'égard de groupes ethniques est interdit par la Charte de l'ONU. La raison en est évidente : la stigmatisation des juifs dans l'Allemagne nazie par une « étoile juive » qu’ils devaient porter de manière bien visible a inévitablement entraîné la persécution des Juifs. Devant cette menace, les peuples avaient conclu un accord particulier après la Seconde Guerre mondiale. Dans la convention de l'ONU du 9 décembre 1948, ce n'est pas seulement le génocide qui a été rendu punissable, mais aussi toutes les étapes qui le précèdent. Il peut s'agir d'un traitement spécial de groupes ethniques qui détruit leur existence et provoque des dommages psychiques. Ce passage a également été introduit dans le code pénal allemand le 9 août 1954 en tant que § 220a. Ne convient-il pas d'insister avec détermination sur ces droits à la liberté et à l'autodétermination ? Ne faut-il pas abolir cette stigmatisation imposée par l'OMS avant qu'un autre génocide ne se prépare, cette fois contre le groupe des non vaccinés ?
de hm Sources / Liens : Ärzte-Code für Ungeimpfte https://axelkra.us/sonderbericht-aerzteschaft-fuehrt-digitalen-who-diagnosecode-fuer-ungeimpfe-ein-leo-hohmann/
Die Bundesregierung verfolgt die Ungeimpften https://uncutnews.ch/die-bundesregierung-verfolgt-die-ungeimpften/
Z28.310 - der Code für Covid-Ungeimpfte - Interview mit Dr. Wolfgang Wodarg https://www.youtube.com/watch?v=dts8GnAb3T0
Ende des freien Willens / der Chip unter der Haut https://www.youtube.com/watch?v=o5RbjyicHTU
Übereinkommen über die Verhütung und Bestrafung des Völkermordes https://www.un.org/Depts/german/uebereinkommen/ar260-a-iii-dbgbl.pdf
Préalablement à cela BIEN RAPPELER CE QU'EST UN 'VIRUS' ! Un virus est une POUSSIÈRE et non un microbe. Une poussière (appelée 'virus') est INOFFENSIVE (sauf les poussières radioactives), tandis qu'un microbe lui il est vivant ! Il transporte des maladies (s'il n'en transporte pas il est appelé bactérie). Contre les maladies existent des remèdes. Contre les virus... n'existe AUCUN remède.
L'escroquerie est de proposer et de rendre obligatoire un faux vaccin anti-poussières (appelé aussi Expérimentation génique d'essais). Cette poussière (dite 'maléfique') n'est PAS DANS L'AIR (elle n'a d'ailleurs été observée par aucun centre d'analyse de la qualité de l'air dans le monde depuis 3 ans), mais UNIQUEMENT disponible en flacons injectables ! "Si t'es piqué tu l'as. Si tu l'as t'es mort !"
Certains vaccins Covid triplent le risque de mort cardiaque subite chez les femmes de moins de 30 ans
3 avril 2023 du Dr. Peter F. Mayer
Des décès « soudains et inattendus » se produisent depuis le début de la campagne de vaccination contre le Covid . Jusqu'à 30 % des jeunes ont reçu un diagnostic de myocardite et de péricardite à la suite de vaccinations par ARNm. Mais apparemment, d'autres préparations sont également dangereuses, comme le montre une étude réalisée en Angleterre.
Il s'agit d' une étude qui a révélé que le vaccin Covid d'AstraZeneca est coupable en ce qui concerne la santé des femmes de moins de 30 ans, augmentant le risque de décès de 3,5 fois en 12 semaines. Il a été publié dans Nature le 27 mars 2023 sous le titre « Risque de décès suite à une vaccination au COVID-19 ou »à un test SARS-CoV-2 positif chez les jeunes en Angleterre . Les principaux auteurs étaient des scientifiques travaillant pour le gouvernement britannique.
L'étude a mesuré l'incidence des décès à l'hôpital jusqu'à 12 semaines après une dose de vaccin dans le groupe d'âge de 12 à 29 ans et l'a comparée à l'incidence des décès après la période de 12 semaines. En d'autres termes, on pensait que le risque de blessure lié au vaccin ne durait que 12 semaines. Les auteurs déclarent : « Une augmentation durable du risque [de décès] après la vaccination n'aurait pas été détectable avec cette approche. ”
Ils soulignent également que les décès soudains de jeunes hors de l'hôpital n'auraient probablement pas été pris en compte par l'étude en raison des retards de la médecine légale. Les auteurs notent également qu'une étude similaire en Floride a trouvé des résultats différents, à savoir un risque accru de décès dans les quatre semaines suivant la vaccination par l'ARNm chez les jeunes hommes âgés de 12 à 39 ans.
Cependant, lorsque les résultats ont été ventilés davantage, les experts ont découvert qu'un type de vaccin augmentait le risque de décès liés au cœur chez les femmes.
Les données recueillies par l'Office des statistiques nationales (ONS) ont montré que les femmes qui avaient reçu un vaccin sans ARNm avaient un risque 3,5 fois plus élevé de mourir d'une telle maladie dans les 12 semaines suivant la vaccination.
- voir graph sur site -
Ce graphique montre le risque accru de décès cardiaque chez les jeunes en Angleterre après la vaccination Covid, selon l'analyse de l'ONS. Les lignes colorées représentent le risque identifié à partir des données. Chaque tranche indique les estimations inférieure et supérieure, le point du milieu représentant la moyenne globale. Un score supérieur à 1 signifie un risque plus élevé de décès cardiaque, tandis qu'un score inférieur à 1 signifie un risque plus faible. Les jeunes femmes (lignes roses) qui ont reçu la vaccination Covid sans ARNm avaient un risque 3,5 fois plus élevé de mourir dans les 12 semaines suivant la vaccination. Une augmentation du risque de décès pour les vaccins sans ARN et certaines estimations pour les vaccins à ARNm ont également été observées chez les hommes (bleu).
Cette entrevue de Michel Chossudovsky avec Caroline Mailloux de Lux Media a été réalisée le 24 février 2023
Pour laisser un commentaire ou partager la vidéo (Twitter, Facebook, etc. cliquez sur grondement en bas à droite
- voir cadre sur site -
1 LE RAPPORT D'ARGENT C'est une opération de plusieurs milliards de dollars dans le monde entier.
Dans le mot du Dr Albert Bourla , PDG de Pfizer :
« 2022 a été une année record pour Pfizer , non seulement en termes de chiffre d'affaires et de bénéfice par action, qui étaient les plus élevés de notre longue histoire, mais plus important encore, en termes de pourcentage de patients qui ont une perception positive de Pfizer et le travail que nous faisons.
Cliquez ici pour lire le rapport sur les revenus de Pfizer pour l'année 2022
Une aubaine de plusieurs milliards de dollars Le rapport financier de Pfizer pour l'année complète 2022 ne fournit pas de détails sur la commercialisation mondiale du vaccin de Pfizer.
Ci-dessous une analyse de la commercialisation mondiale du vaccin Covid par Big Pharma, avec Pfizer en tête. Dès le début en novembre 2020, l'objectif était de vacciner complètement (avec plusieurs doses) chaque personne sur la planète : une population de 8 milliards de personnes.
Dans de nombreux pays, sous la pression excessive de Big Pharma, des gouvernements nationaux corrompus ont mis en œuvre des politiques d'application et d'acceptation sociales . De plus, les effets dévastateurs sur la santé du vaccin Covid-19 ont fait l'objet de démentis systématiques de la part des autorités sanitaires ainsi que des médias.
Tout ce processus est « axé sur le profit » par milliards, soutenu par la fraude scientifique et la désinformation.
Opération mondiale Vaxx "Big Money"
Sur une période de deux ans, plus de 12,9 milliards de doses de vaccin ont été administrées dans 184 pays (Bloomberg, 21 septembre 2022 , voir graphique ci-dessous).
- voir graph sur site -
Enregistrement le 21 septembre 2022 : 12,9 millions de doses administrées (mi décembre 2020 - 21 septembre 2022)
L'estimation de l'augmentation quotidienne du nombre de doses était d'environ 7,07 millions de doses par jour . (octobre 2022).
Au moment de la rédaction (20 février 2023), le nombre estimé de doses dans le monde est de l'ordre de 14 milliards , pour une population mondiale totale de 8 milliards de personnes. (1,75 doses par personne pour une population mondiale de 8 milliards)
L'ampleur et l'impact social de cette opération de vaccination sont indescriptibles.
La vérité tacite : Nous avons affaire à une opération hautement rentable de plusieurs milliards de dollars qui repose sur des niveaux accrus de mortalité et de morbidité liées aux vaccins.
Pfizer/Biontech Moderna ont tendance à dominer le marché mondial. (Voir graphique UE ci-dessous)
Le coût unitaire initial par dose peut varier d'un pays à l'autre.
En supposant un prix de 20,00 $ pour chaque dose de vaccin, (prix approximatif de Pfizer/Moderna payé par le gouvernement américain au départ à la mi-décembre 2020), les ventes globales mondiales du vaccin Covid-19 avec Pfizer en tête seraient du commande de 280 milliards de dollars.
Le gouvernement fédéral américain sur une période de deux ans (décembre 2020-décembre 2022) a acheté 1,2 milliard de doses de Pfizer et Moderna Covid Vaccine pour une population américaine de 339 millions de personnes , au coût de 25,3 milliards de dollars , soit à un prix d'achat de 20,69 dollars par dose."
Cher "vaccin tueur"
Pfizer-BioNTech est de loin le plus grand distributeur aux États-Unis et dans l'UE, suivi de Moderna, qui opère dans le cadre d'un partenariat de facto avec Pfizer.
La population de l'Union européenne est de l'ordre de 450 millions . Pfizer/Moderna comptabilise déjà la vente de 818,28 millions de doses (près de deux fois la population de l'UE, soit 1,8 doses par personne) . (voir graphique ci-dessous). Le nombre total de doses dans l'UE est de 908, 66 millions (deux fois la population de l'UE)
Et un autre gros contrat est en cours de négociation avec des responsables gouvernementaux de l'UE qui sont pleinement conscients que le vaccin Covid-19 a entraîné une tendance à la hausse de la mortalité et de la morbidité.
- voir graph sur site -
Ursula von der Leyen : "Mme. 4,5 milliards de doses »
Le prix de chaque dose de vaccin a été négocié directement avec la présidente de la Commission européenne, Ursula von Der Leyen, connue pour sa corruption.
L'objectif plus large du PDG de Pfizer, le Dr Bourla, est de négocier un contrat de 4,5 milliards de doses de vaccins pour une population de 450 millions d' habitants dans l'UE , soit 10 doses par personne. Ce sont des doses supplémentaires à celles déjà achetées par l'UE (plus de 800 millions)
Mislav Kolakusic , député croate (eurodéputé) a dénoncé en octobre 2022 le projet d'achat de 4,5 milliards de doses du "vaccin" Covid-19 négocié avec la présidente de l'UE Ursula von Der Leyen pour 450 millions de résidents de l'UE. 10 doses par personne. c'est-à-dire "le plus grand scandale de corruption de l'histoire de l'humanité".
Kolakusic a appelé en plaisantant la présidente de la Commission européenne (CE), Ursula von der Leyen, «Mme. 4,5 milliards de doses » , parce qu'elle est la responsable de cette fraude massive sur les Européens, dont beaucoup ne sont pas plus conscients que cela s'est même produit.
Et maintenant, ce que veut Pfizer, c'est augmenter le prix par dose entre 110 et 130 dollars. Pfizer Moderna propose :
"a signalé des plages probables qui sont trois à quatre fois supérieures au prix fédéral [américain] pré-acheté pour le booster bivalent". . Cette augmentation du prix du vaccin Covid-19 s'appuie sur une campagne de peur soutenue . Cela se traduira-t-il par une aubaine renouvelée de plusieurs milliards de dollars pour Big Pharma ? Quels seraient les impacts probables sur la surmortalité liée au vaccin Covid-19 ? (Voir la partie II ci-dessous)
- voir cadre sur site -
Cliquez ici pour lire le rapport sur les revenus de Pfizer pour l'année 2022
Les détails spécifiques sur les revenus résultant de cette vente de milliards de doses de vaccin ne sont pas décrits dans le rapport financier de Pfizer.
Selon David Denton, directeur financier et vice-président exécutif :
« Je suis très satisfait de notre performance au quatrième trimestre, qui a été mise en évidence par une forte croissance opérationnelle de [Covid-19 Vaccine] Paxlovid , Prevnar 20, [ Pfizer BionTech Covid-19 Vaccine] Comirnaty, Vyndaqel et [Covid related] Eliquis , ainsi que ainsi que l'inclusion de Nurtec ODT/Vydura et Oxbryta. (nous soulignons)
Portons maintenant notre attention sur le deuxième rapport, à savoir le rapport confidentiel de Pfizer , intitulé
« Analyse cumulative des rapports d'événements indésirables post-autorisation » , Le rapport a été rendu public en vertu de la liberté d'information en octobre 2021.
Ce rapport fournit des données détaillées sur les événements indésirables et les décès liés au vaccin Pfizer BioNTech Covid-19.
II LE RAPPORT SUR LA MORTALITÉ ET LA MORBIDITÉ
Il s'agit d'un document interne confidentiel qui fournit des données sur les décès et les événements indésirables enregistrés par Pfizer depuis le début du projet de vaccin en décembre 2020 jusqu'à fin février 2021, soit une période très courte (au plus deux mois et demi).
Un échantillon relativement large de nombreux pays. Registre des décès et des événements indésirables, classés.
Lisez-le attentivement. C'est un document interne qui a été déclassifié au détriment de Pfizer. Le rapport confirme de nombreux effets indésirables (morbidité). Il confirme également d'innombrables décès, à savoir la mortalité.
Rappelons que les données issues de l'échantillon de Pfizer ont été collectées sur une courte période de deux mois et demi. Il n'évalue pas les impacts à plus long terme du vaccin. Un récent rapport de l'UKHSA confirme que « les vaccins Covid augmentent considérablement le risque d'hospitalisation dans les mois 7 à 9 après la vaccination »
Les données de mi-décembre 2020 à fin février 2021 confirment sans équivoque "l'homicide involontaire".
Sur la base des preuves, Pfizer avait la responsabilité d'annuler et de retirer le "vaccin" le 1er mars 2021 , après examen des résultats de son propre rapport confidentiel (Mortalité et événements indésirables).
Le rapport est dans le domaine public. Et vous pouvez le consulter.
Les gouvernements nationaux et les médias n'ont pas informé le public de ce rapport confidentiel de Pfizer qui vient tout droit de la « gueule du cheval ». Les données sont irréfutables.
Extraits sélectionnés du rapport confidentiel de Pfizer
- voir cadre sur site -
Ce document fournit une analyse intégrée des données cumulées sur l'innocuité post-autorisation, y compris les rapports d'événements indésirables post-autorisation aux États-Unis et à l'étranger reçus jusqu'au 28 février 2021.
Cumulativement, jusqu'au 28 février 2021 [en moins de trois mois], il y avait un total de 42 086 rapports de cas (25 379 médicalement confirmés et 16 707 non médicalement confirmés) contenant 158 893 événements . La plupart des cas (34 762) provenaient des États-Unis (13 739), du Royaume-Uni (13 404), d'Italie (2 578), d'Allemagne (1 913), de France (1 506), du Portugal (866) et d'Espagne (756) ; les 7 324 restants ont été répartis entre 56 autres pays.
Comme le montre la figure 1 [voir ci-dessous], les classes de systèmes d'organes (SOC) qui contenaient le plus grand nombre (≥ 2 %) d'événements, dans l'ensemble de données global, étaient Troubles généraux et anomalies au site d'administration (51 335 EI), Troubles du système nerveux (25 957), Troubles musculosquelettiques et du tissu conjonctif (17 283), Troubles gastro-intestinaux (14 096), Troubles de la peau et du tissu sous-cutané (8 476), Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux (8 848), Infections et infestations (4 610), Lésions, intoxications et interventions complications (5 590) et Enquêtes (3 693)
Pfizer dit tout. "Mea culpa" Pfizer était pleinement conscient, lors de l'évaluation des résultats de son propre «rapport confidentiel» du 1er mars 2021, que la commercialisation mondiale de son vaccin à ARNm Covid-19 impliquant une population cible de 8 milliards de personnes entraînerait une vague à la hausse sans précédent de la mortalité et de la morbidité .
Pfizer avait le choix de retirer et d'annuler le déploiement de son vaccin mortel le 1er mars 2021.
Des profits de plusieurs milliards de dollars ont été le moteur de ce programme diabolique. "Tuer est une bonne affaire" . Ce à quoi nous assistons est un crime contre l'humanité d'une ampleur sans précédent, affectant la vie de toute la population de notre planète.
L'OMS ainsi que quelque 190 gouvernements nationaux sont complices du déploiement du vaccin Covid. Ils avaient la responsabilité d'annuler le vaccin.
Le rapport confidentiel de Pfizer confirme amplement qu'il s'agit d'un « vaccin tueur ».
Je vous suggère de parcourir ce rapport confidentiel qui a été publié en vertu de la liberté d'information.
Le déploiement mondial du vaccin Covid-19 de Pfizer constitue un acte criminel.
La commercialisation mondiale par Pfizer du vaccin Covid-19 au-delà du 28 février 2021 n'est plus un «acte d'homicide involontaire» ou un «homocide involontaire». Une fois la décision prise par Pfizer de mettre en place le vaccin sans tenir compte des résultats de leur « rapport confidentiel », on n'a plus affaire à « l'homicide involontaire ». « Meurtre par opposition à homicide involontaire» implique «intention criminelle» . D'un point de vue juridique, il s'agit d'un "acte de meurtre". Appliqué dans le monde entier à une population cible de 8 milliards de personnes, c'est le Génocide .
Ce qui est contenu dans le rapport "confidentiel" de Pfizer (basé sur un large échantillon réalisé en interne, avec des données compilées de nombreux pays) constitue une preuve détaillée des impacts sur la santé du "vaccin" de Pfizer BioNTech concernant les événements indésirables et la mortalité, y compris, de nombreuses études et rapports évalués par des pairs, estimations de la surmortalité résultant du vaccin ainsi que de sources officielles : EudraVigilance (UE, EEE, Suisse), MHRA (Royaume-Uni), VAERS (États-Unis)
* J'accuse ! Les « vaccins » basés sur les gènes tuent des gens. Les gouvernements du monde entier vous mentent au peuple, aux populations qu'ils sont censés servir
Les "données fiables" contenues dans le rapport secret de Pfizer qui émanent directement de la "gueule du cheval" peuvent désormais être utilisées pour affronter ainsi que formuler des procédures judiciaires contre Big Pharma, les gouvernements, l'OMS et les médias.
La décision de Pfizer de distribuer son vaccin dans le monde était largement basée sur la maximisation du profit plutôt que sur la minimisation de la mortalité et de la morbidité, qui est finalement l'objet de la vaccination.
Saviez-vous ? Pfizer a un casier judiciaire
Fait important, jamais mentionné par les médias ni reconnu par nos gouvernements, Pfizer est la seule société pharmaceutique à avoir un casier judiciaire auprès du ministère américain de la Justice.
Pour consulter la décision historique du ministère de la Justice, cliquez sur la capture d'écran ci-dessous
- voir cadre sur site -
Comment diable pouvons-nous faire confiance à un conglomérat de vaccins Big Pharma qui a plaidé coupable à des accusations criminelles par le ministère américain de la Justice, y compris « marketing frauduleux » et « violation criminelle de la Food, Drug and Cosmetic Act » ?
Les gens n'ont jamais été informés. Les médias et les gouvernements « ont fermé les yeux ».
Aujourd'hui, nous n'avons pas affaire à une question de « marketing frauduleux » : le déploiement du vaccin à ARNm de Pfizer en décembre 2o2o est au-delà de la criminalité, c'est un génocide.
Règlement d'une fraude médicale de 2,3 milliards de dollars avec Pfizer.
Déclaration du procureur général adjoint du DOJ, Thomas Perelli (2009)
Un lycéen de 16 ans a eu un arrêt cardiaque soudain. La myocardite subclinique (silencieuse) induite par le vaccin COVID-19 est extrêmement dangereuse pour les enfants
Par le Dr William Makis Recherche mondiale, 02 avril 2023
Maddox COVID-19 a-t-il été vacciné ?
Maddox McCubbin, un élève de 16 ans du lycée Moline, s'est effondré pendant la salle d'étude ( cliquez ici )
A-t-il été vacciné contre le COVID-19 ? La reponse courte est oui. Sa mère est une fervente partisane des médias grand public, ainsi que des médecins et des scientifiques qui poussent l'ARNm. Elle pense également que les blessures causées par le vaccin COVID-19 sont de la "désinformation" et de la "propagande russe".
C'est le niveau de lavage de cerveau que subissent certains parents :
Ma prise… Il s'agit d'un cas extrêmement important car il prouve que la myocardite induite par le vaccin à ARNm COVID-19 peut entraîner un arrêt cardiaque soudain, non seulement pendant l'exercice ( observé lorsque les athlètes s'effondrent sur le terrain), ou pendant les premières heures du matin (lorsqu'il y a une augmentation de hormones de stress préparant votre corps à se réveiller).
La myocardite induite par le vaccin COVID-19 peut frapper À TOUT MOMENT .
Ce garçon de 16 ans est tombé à plat. DEUX FOIS . Il a été extrêmement chanceux qu'il y ait une infirmière qui l'a électrocuté à plusieurs reprises avec un défibrillateur et l'a ramené à la vie.
Restez à la maison, sauvez des vies : découvrir la supercherie de la COVID
Par Colin Todhunter Recherche mondiale, 02 avril 2023
Que se serait-il passé sans un protocole de verrouillage COVID obligatoire « rester à la maison, sauver des vies » ? Y a-t-il déjà eu une analyse coûts-avantages effectuée par un gouvernement dans n'importe quel pays? Comment les populations ont-elles été amenées à accepter le récit officiel du COVID ?
Ce ne sont là que quelques-unes des questions qui viennent à l'esprit en écoutant Bhaskaran Raman, professeur associé au Département d'informatique et d'ingénierie de l'Institut indien de technologie de Bombay.
Sa récente présentation de 70 minutes sur l'approche globale de la COVID est extrêmement perspicace. La conférence a eu lieu au Dr DY Patil Medical College, Hospital & Research Center à Pune.
Raman nous emmène en voyage. Morceau par morceau, il démonte le récit officiel poussé par les gouvernements et les médias. Il montre comment, entre autres, la "science" a été manipulée pour s'adapter à une politique prédéterminée qui comprenait un rejet de l'immunité naturelle en faveur des politiques "rester à la maison, sauver des vies", comment les protocoles pandémiques en vigueur ont été saccagés, comment la peur a été intensifiée par Des histoires effrayantes 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 et l'utilisation abusive des tests PCR afin de maintenir l'illusion d'une «pandémie mortelle» et comment les verrouillages ont fait plus de mal que de bien.
Trois ans après le début des politiques COVID, nous avons été témoins de protocoles de vaccination obligatoires et de diverses méthodes de coercition pour augmenter l'adoption, la destruction de petites entreprises et la flambée des bénéfices pour les milliardaires du monde et des centaines de millions de personnes poussées dans la pauvreté en raison des restrictions et des blocages.
Nous assistons également à une crise majeure de la dette avec des prêts du FMI et de la Banque mondiale liés à des conditions d'austérité, des millions de réactions indésirables aux vaccins (y compris la mort) et l'OMS faisant pression pour un traité mondial autoritaire sur la pandémie - basé sur le château de cartes décrit ci-dessous et impliquant de nombreux les personnalités qui ont contribué à construire cette tyrannie médicale – qui foulera aux pieds la souveraineté nationale.
Pour ceux qui n'ont pas le temps de regarder la présentation, ce qui suit est un résumé (édité et parfois paraphrasé) avec des captures d'écran.
Les lecteurs sont priés de regarder la présentation dans son intégralité ici .
Raman commence par discuter des taux de mortalité en Suède, un pays qui n'a jamais imposé de confinement.
*
Suède : repérer la pandémie ? J'ai décidé de regarder les données. Ceci est ouvertement disponible. Vous pouvez le faire en 10 à 15 minutes de tableur à partir du lien sur le site Web officiel de la santé en Suède.
Dans ce graphique ( ci-dessous ), ce que j'ai fait, c'est que j'ai pris des fenêtres de temps de trois mois. Il y a quatre fenêtres de ce type chaque année et j'ai pris des données sur six ans à partir de 2015.
Dans le pays qui n'a pas verrouillé, vous ne pouvez pas repérer la pandémie.
- voir graph sur site -
Mais certains disent que la Suède ne peut pas être comparée à d'autres pays car elle possède l'un des meilleurs établissements de santé au monde, ce qui est vrai, et la densité de population suédoise est très faible - bien inférieure à celle de la plupart des autres pays.
J'ai donc jeté un coup d'œil à l'opposé polaire de la Suède en termes de densité de population, qui est Dharavi, le plus grand bidonville d'Asie ( à Mumbai ). Les établissements de santé y sont bien sûr extrêmement pauvres.
Remarque : Raman poursuit en déclarant que Dharavi était sous contrôle et que personne n'était autorisé à quitter la zone. Les gens étaient enfermés et vivaient les uns sur les autres avec une chance limitée de distanciation sociale. Pourtant, le taux de mortalité par COVID était un huitième de celui des États-Unis et du Royaume-Uni.
Des avis impossibles disaient de rester à six pieds l'un de l'autre – impossible dans une pièce de 10 pieds sur 10 pieds avec une famille de quatre ou cinq personnes et des maisons si proches les unes des autres.
Remarque : Il examine le confinement en Inde et retrace la trajectoire du COVID et ne trouve aucun lien entre le confinement et la sévérité ou l'assouplissement des restrictions.
Voici une étude ( ci-dessous ) qui porte sur 188 pays, à peu près le monde entier, et elle recherche une corrélation entre la rigueur des mesures mesurées selon une métrique et les taux de mortalité déclarés.
- voir clip sur site -
Ce qu'ils ont conclu, c'est que les mesures, y compris le verrouillage, ne semblaient pas être liées au taux de mortalité – la corrélation mathématique était proche de zéro.
Si le message "Restez à la maison, sauvez des vies" était effectivement correct, vous vous attendriez à un taux de mortalité énorme dans les pays qui n'ont pas verrouillé par rapport aux pays qui ont verrouillé.
Ce n'était pas le cas; la corrélation était en fait inverse. Plus les mesures sont strictes, plus la mortalité par COVID est élevée.
Vous devez vous demander comment les verrouillages sont devenus le récit poussé.
Les directives en vigueur en matière de pandémie sont saccagées De nombreux pays avaient des directives écrites - des pages et des pages de directives écrites sur ce qu'il fallait faire dans cette situation précise.
Ces lignes directrices ( ci-dessous ) ont été rédigées en 2019.
Il y a plusieurs lignes sur ce qu'il faut faire en cas de pandémie modérée, que faire en cas de gravité élevée et que faire en cas de gravité extraordinaire, et la chose spécifique que je veux souligner est la dernière ligne qui dit non recommandé sous toute circonstance.
Bon, regardons ce qui est écrit sous déconseillé en toutes circonstances.
- voir clip sur site -
La recherche des contacts n'est en aucun cas recommandée. Il dit que vous n'avez pas à être mis en quarantaine. La mise en quarantaine des personnes exposées n'est en aucun cas recommandée. Si vous y réfléchissez, le verrouillage est essentiellement la mise en quarantaine de tout le monde. Le contrôle d'entrée et de sortie et la fermeture des frontières aussi ( ne sont pas recommandés ).
Nous avons un tableau des directives du CDC américain rédigé en 2017. Je vais le lire - "Le CDC pourrait recommander une mise en quarantaine volontaire à domicile des membres exposés du ménage." Mais ce que nous avions dans le monde entier, c'était des ordonnances de séjour à domicile imposées par l'État.
Donc, nous devons maintenant demander - comment cela s'est-il passé alors qu'il existe des directives écrites pour gérer cette situation exacte. Pourquoi toutes les lignes directrices ont-elles été jetées à la poubelle ?
De nouvelles approches ont été adoptées. Je les ai divisés en six parties différentes.
Le premier est le rejet de l'immunité après une infection naturelle. Deuxièmement, l'exagération sauvage de la menace posée. Troisièmement – exagération flagrante du rôle joué par la transmission asymptomatique. Quatre - le test PCR a été présenté comme un outil de diagnostic viable. Cinq – le verrouillage était projeté comme la seule solution viable. Six – je vais aborder les traitements qui ont fait plus de mal que de bien.
Rejeter l'immunité naturelle
Remarque : Il note ensuite que, dès le début, le seul endroit qui montre que le verrouillage a fonctionné – soi-disant ramener les décès dus au COVID à zéro – était la Chine.
Depuis lors, aucun autre pays n'a été en mesure de reproduire ce résultat, il faut donc remettre en question soit les données – soit une autre influence.
Remarque : La présentation traite de l'immunité naturelle après l'infection. Il a été dépeint dès le début que "personne n'est en sécurité tant que tout le monde n'est pas en sécurité". Raman montre une capture d'écran de la façon dont la définition de l'immunité collective a été commodément modifiée par l'OMS en faveur d'un vaccin tout ou rien - restez chez vous et attendez le vaccin. Cette nouvelle définition justifiait les confinements et l'idée que vous n'êtes en sécurité que tant que tout le monde n'est pas en sécurité (vacciné).
- voir clip sur site -
The Lancet a également promu un message similaire.
Les scientifiques appelaient à l'élimination du virus – comme The Lancet. Pas de COVID. Donc, vous voulez réduire le COVID à zéro. Bien sûr, à cette époque aussi, on savait qu'il y avait une communauté répandue partout. Beaucoup de gens ne présentent même pas de symptômes, et il y avait aussi des espèces non humaines auxquelles le virus s'était propagé. L'objectif d'élimination du virus n'est pas simplement impossible. C'est proche du délire : vous ne pouvez pas éliminer un virus respiratoire qui s'est déjà propagé si largement à travers la planète, même à d'autres espèces.
Près des deux tiers des habitants des bidonvilles avaient déjà des anticorps (immunité collective naturelle) .
Remarque : Raman dit que le taux de mortalité à Dharavi était beaucoup plus bas qu'ailleurs, indiquant les effets bénéfiques de l'immunité naturelle.
Menace de COVID: exagération sauvage
Alors, permettez-moi de commencer par ce qui se passait au début de 2020. Grâce à cette technologie appelée médias sociaux, il y avait toutes sortes de vidéos qui circulaient et pas mal d'entre elles dans les médias grand public.
Remarque : Il fournit des exemples d'événements mis en scène, de désinformation des médias grand public (mensonges purs et simples) et d'incitation à la peur, qu'ils émanent de Chine, des États-Unis, d'Italie ou d'ailleurs.
Le directeur général de l'OMS, Ted Ross, a affirmé que le taux de mortalité du COVID était de 3,4 %, alors que la grippe saisonnière à laquelle nous sommes habitués tue beaucoup moins de 1 %. Il a fait cette déclaration – tous les médias du monde entier l'ont suivie. Le taux de mortalité de la grippe saisonnière n'est que de 0,1 %.
Cela semble évidemment très dangereux - 30 fois plus dangereux que ce à quoi nous sommes habitués, c'est suffisant pour effrayer tout le monde. Mais il n'y avait qu'un seul problème avec cela : la comparaison était fausse.
C'est un graphique que j'ai tiré de Business Insider, qui a une portée très large. Début mars 2020, il a comparé côte à côte le taux de mortalité pour la grippe et le COVID. Eh bien, cela semble effrayant. Si vous le regardez maintenant, c'est toujours effrayant, mais c'est faux car il comparait le taux de létalité du COVID avec le taux de létalité par infection de la grippe. Susciter la peur dans l'esprit des gens.
Remarque : L'impact du COVID a été fortement surestimé (parfois 30 à 40 fois plus meurtrier qu'il ne l'était) dans divers graphiques et par diverses données déguisées en « faits » scientifiques, et les médias ont perdu peu de temps à effrayer le public avec cela. données erronées.
Ainsi, cette confusion entre CFR et IFR a été l'un des éléments majeurs dans l'exagération de la menace. À son tour, cela est lié à la raison pour laquelle les gens ont accepté le verrouillage.
Le New York Times avait un podcast où il comparait le taux de mortalité du COVID avec la grippe espagnole. Encore une fois, une exagération sauvage. Sur la base des chiffres disponibles, COVID était environ 30 fois moins dangereux, en regardant les données américaines.
Ce n'est pas juste une exagération normale. C'est une exagération à l'échelle épique.
Accroître la peur : transmission asymptomatique
Il y avait aussi l'exagération flagrante du rôle de la transmission asymptomatique. C'était un élément énorme pour que chaque personne considère les autres comme un agent pathogène, et non comme un humain. Tout le tissu social a été brisé à cause de cela.
Les preuves de transmission asymptomatique depuis le début étaient très faibles – très fragiles.
Les reportages des médias ont alimenté la crainte d'une propagation asymptomatique. En juillet 2020, un rapport basé sur des enquêtes menées en Chine suggérait que des personnes sans symptômes pouvaient infecter d'autres personnes. La chose étrange était que lorsque les scientifiques ont essayé de reproduire cela dans d'autres pays en dehors de la Chine, ils n'ont pas pu le reproduire.
Un article de mai 2020 de Taïwan - ils ont fait une évaluation basée sur la recherche des contacts, et ils n'ont trouvé aucun cas de transmission asymptomatique.
- voir clip sur site -
Remarque : Raman montre que des études en provenance de Chine ont plaidé en faveur d'une propagation asymptomatique, mais les études menées dans d'autres pays n'ont pas réussi à le démontrer.
Une autre méta-analyse à la mi-décembre 2020 a essentiellement conclu que la transmission asymptomatique est statistiquement indiscernable de zéro. Si vous y repensez, c'était la base des confinements - les personnes sans symptômes peuvent transmettre.
Tests PCR : instruments de la peur
Regardons la quatrième partie, qui pousse le test PCR comme un outil de diagnostic viable.
Ce public n'a probablement pas besoin d'introduction au test PCR.
Remarque : Il décrit comment le test PCR a été mis en œuvre comme test incontournable pour le COVID à la « vitesse de la science ». Un groupe de chercheurs a soumis un article sur l'efficacité/l'utilité du test PCR en janvier 2020 - en l'espace de quatre jours, il a été publié dans une revue scientifique.
Cela a été accepté en un jour. Donc, c'était la "vitesse de la science".
- voir clip sur site -
Remarque : Combien de temps faut-il pour mener une recherche avec une rigueur scientifique ? En dehors de cela, combien de temps faudrait-il normalement pour subir un examen par les pairs en bonne et due forme ?
Beaucoup de gens s'en sont plaints ( "vitesse de la science" ) : on leur a donné le raisonnement que c'était une urgence et qu'il fallait donc accélérer. D'accord, cela semble raisonnable, sauf que si vous regardez les données de janvier en dehors de la Chine, je pense que le nombre de décès était probablement à un chiffre ou peut-être à deux chiffres. Comment peuvent-ils conclure qu'une urgence était sur le point de se produire?
Les fragments viraux peuvent rester dans le corps jusqu'à 90 jours et le test PCR ne détecte que les fragments viraux. Il ne détecte pas le virus vivant. Cela a été admis par le directeur du CDC américain en décembre 2021.
Si vous vous promenez à la recherche de virus respiratoires, notamment en milieu hospitalier parmi les personnes décédées, vous les trouverez.
Il s'agit d'un article ( ci-dessous ) qui a examiné la détection de virus respiratoires à l'aide d'un test PCR chez des personnes décédées à partir de 2017 en Espagne. Il a révélé que près de la moitié des personnes avaient un virus respiratoire.
Cependant, avant leur mort, seulement 7% ont été détectés avec la maladie respiratoire, ce qui signifie qu'une PCR positive ne signifie pas qu'elle est la cause du décès.
- voir clip sur site -
Pour la première fois dans l'histoire de l'humanité, une personne ne présente aucun symptôme et il n'y a pas de médecin sur la photo, mais la maladie est détectée. C'est incroyable.
Nous avons eu des cas asymptomatiques. Qu'est-ce que cela signifie? Un cas asymptomatique signifie que la personne est en bonne santé. Je veux dire, bien sûr, les gens dans la rue l'avaient compris. S'ils sont en parfaite santé, ils ont plus peur de subir des tests forcés. Pourquoi voulez-vous que tout votre bâtiment soit mis en quarantaine ?
Je suis sûr que vous savez tous que le test PCR a été conçu comme un outil de recherche. Ce n'est pas pour la détection de virus en l'absence d'un médecin.
Vous ne pouvez pas avoir des politiciens utilisant des tests PCR pour étiqueter les gens comme malades et fermer des villes entières. Cela n'a aucun sens du tout. Et l'OMS ne dispose à ce jour d'aucun protocole de diagnostic clinique. Il ne peut pas parce que les symptômes se chevauchent avec d'autres conditions. Ainsi, l'outil qui a fait le test qui a été largement utilisé - il n'y a pas de taux de faux positifs. Personne ne connaît le taux de faux positifs pour la détection de maladies ou la contagiosité. Il existe des études sur la présence de virus vivants, mais ces deux (présence de la maladie, infectiosité) sont tout simplement impossibles. Il n'y a pas eu d'études car il n'existe pas de protocole de diagnostic clinique.
La projection du test PCR en tant qu'outil de diagnostic viable a de nouveau joué un rôle énorme dans l'introduction des verrouillages, car ils peuvent simplement accélérer les tests et montrer que les gens sont positifs. C'est en fait un virus mort. La personne est parfaitement saine et sauve.
Confinements – La Chine comme modèle
Venons-en à la cinquième partie - où les confinements ont été projetés comme la solution humaine. L'OMS depuis le début a fait l'éloge des méthodes du Parti communiste chinois pour lutter contre le coronavirus. Ceci est une citation du 30 janvier 2020
"Nous saluons le leadership et l'engagement politique du gouvernement chinois et son engagement en faveur de la transparence."
- voir clip sur site -
Si je dois penser à un gouvernement transparent, le dernier pays auquel je penserai est la Chine. Pendant des décennies, il a été complètement non transparent. Pas de liberté journalistique, pas de journalistes étrangers autorisés. Et puis ici, nous avons l'OMS qui en fait l'éloge : comment un gouvernement peut-il soudainement devenir transparent du jour au lendemain ? C'est incroyable.
Donc, cet éloge de l'OMS pour le PCC a duré longtemps. Ensuite, les députés canadiens ont appelé un de ces responsables de l'OMS – il s'agit d'une photo de Bruce Aylward, l'un qui se promenait en montrant les données de la Chine. Ils l'ont convoqué pour une enquête. Il n'y est pas allé. L'OMS lui interdit de témoigner ( devant une commission de santé ).
L'OMS est le patron. Sont-ils les représentants élus du Canada? L'OMS louait la transparence du PCC tout en étant elle-même non transparente.
Et puis nous avons des modélisateurs comme Neil Ferguson de l'Imperial College de Londres, l'un des collèges les plus réputés au monde, prêtant essentiellement une crédibilité implicite à ce graphique (ci- dessous ) disant que ce graphique a résulté des mesures prises par la Chine pour contrôler le COVID 19. C'était utilisé pour introduire des verrouillages au Royaume-Uni.
- voir clip sur site -
Pour rappel, c'était le graphique auquel ils accréditaient – un graphique qu'aucun autre pays n'a été capable de reproduire.
Le New York Times, dans l'un de ses rares moments de véritable journalisme, a publié une série d'articles dénonçant la campagne chinoise sur les réseaux sociaux. Il y avait beaucoup de bots, de faux comptes inondant Internet, louant les méthodes du PCC pour gérer la pandémie.
Remarque : Raman note également que la revue Nature utilisait également la Chine comme modèle pour sa discussion sur les confinements.
"Consensus" par la censure
Fondamentalement, ce qui se passe est une guerre de l'information. Alors que la Chine faisait ce genre de manipulation de l'information, les États-Unis n'étaient pas loin derrière en termes de leur propre censure.
Début octobre 2020, trois épidémiologistes ont publié la déclaration de Great Barrington comme déclaration de position contre les blocages, affirmant qu'ils ne feraient rien pour avoir un impact sur la maladie. Vous devez faire une protection ciblée. Concentrez-vous sur ceux qui sont réellement vulnérables. Sinon, vous allez avoir beaucoup de dommages collatéraux.
Fauci et Collins, qui occupaient des postes élevés au National Institute of Health, qui bénéficiait à l'époque de nombreux financements, ont collaboré avec des sociétés de médias sociaux pour censurer la déclaration de Great Barrington.
- voir clip sur site -
Ainsi, le libellé exact est qu'il doit y avoir un démantèlement publié rapide et dévastateur de ses locaux. Cela a été révélé dans un e-mail via une demande d'accès à l'information. Collins a écrit à – je ne me souviens pas exactement à qui – mais il appelait les entreprises de médias sociaux à retirer une déclaration de Great Barrington, il semblait donc qu'il y avait un consensus scientifique sur le fait que les verrouillages étaient la seule solution viable. Le consensus est facilement démontré lorsque vous avez la censure.
C'est la sixième partie. Il y avait beaucoup d'exemples documentés de traitements dont nous savons maintenant qu'ils causaient plus de mal qu'ils n'aidaient. Au début, l'OMS recommandait une ventilation mécanique précoce, encore une fois sur la base d'études chinoises, puis plus tard après le grand nombre de décès à New York.
Il y avait des articles disant que ce n'est cliniquement pas la bonne façon de faire les choses. Il y avait un article incroyable dans le Wall Street Journal en décembre 2020. Je vais le lire car c'est déchirant à bien des égards. L'un des médecins, infirmier doctorant, raconte qu'on intubait très tôt les patients malades, non pas pour le bénéfice du patient mais pour contrôler l'épidémie et sauver d'autres patients. C'était horrible.
- voir clip sur site -
C'est le récit du confinement qui a été poussé. Qui sait combien de personnes sont devenues la proie de ce genre d'intervention erronée. Choisi non pas pour le bénéfice du patient mais pour le soi-disant confinement.
Et puis nous connaissons tous la panique qui s'est produite en 2021 lors de la deuxième vague indienne. Il y a un article journalistique dans The Mint qui fait état d'un certain lot de remdesivir qui s'est avéré plus tard très toxique. Les gens en avaient envie. Qui sait combien sont venus de ce mauvais lot et ont essentiellement tué des gens.
Nous ne savons vraiment pas combien de personnes ont été réellement tuées par le virus par rapport à combien par ce type de mauvais médicaments. Les publications demandaient même s'il y avait un quelconque avantage à son utilisation dans COVID. Statistiquement, il ne semble pas y avoir eu de bénéfice.
Confinements : destruction de la santé et du bien-être Et qu'en est-il du confinement ?
- voir graph sur site -
Le CDC a noté que l'obésité était la comorbidité la plus élevée, la deuxième était l'anxiété et la troisième était le diabète.
Maintenant, que s'est-il passé à cause du confinement ? L'obésité a augmenté . En Australie, je crois que l'augmentation de poids moyenne était d'environ trois kilos. Un bon nombre de personnes aurait augmenté beaucoup plus que cela.
Anxiété, bien sûr. 24h/24 et 7j/7 pendant deux ans. Effrayer, effrayer, effrayer. Chaque fois que vous avez vu les nouvelles, c'était de l'anxiété et de la peur. S'il y a une véritable situation de panique, il faut calmer les gens pour réduire le bilan de santé mentale.
Les gens se sont vu refuser la marche, l'exercice, les gymnases fermés, les terrains de jeux fermés, pas de promenades matinales. Qu'arrive-t-il aux personnes atteintes de diabète?
Et puis c'est un autre gros problème - la carence en vitamine D si vous fermez une population entière pendant une année entière en disant: "Restez à la maison, restez en sécurité". Vous vous attendez à ce que les niveaux de vitamine D diminuent parce que la lumière du soleil est importante pour la vitamine D. Cette étude israélienne a documenté une augmentation du risque de 14 fois pour la gravité du COVID en raison d'une carence en vitamine D.
- voir cadre sur site -
Ainsi, le confinement lui-même, loin d'être une solution, était en fait contre-productif à bien des égards.
Cela n'a pas sauvé des vies, cela a peut-être reporté des décès et a probablement augmenté le bilan beaucoup plus.
Voici donc ( ci-dessous ) un résumé du château de cartes verrouillé et du mécanisme utilisé pour soutenir le château de cartes.
Scandale mondial : 194 pays membres de l’OMS se révoltent et exigent de publier les contrats entre labos et gouvernements
Par Cheikh Dieng Mondialisation.ca, 02 avril 2023 Le Courrier du Soir
« D’après une information exclusive de l’agence de presse Reuters, les 194 pays membres de l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) sont en train de mettre en place un pacte qui vise à rendre obligatoire la publication des contrats entre laboratoires pharmaceutiques et gouvernements
Une mauvaise nouvelle pour Big Pharma. En pleine pandémie à Coronavirus et au moment où plusieurs dirigeants politiques en Occident comme dans d’autres parties du monde exigent de la transparence dans les contrats signés avec les labos, l’OMS est sur le point de trouver un accord qui n’arrangera certainement pas les affaires des industries pharmaceutiques.
En effet, d’après une information que Lecourrier-du-soir.com a obtenue ce 18 novembre de l’agence de presse Reuters, les 194 pays membres de l’Organisation Mondiale de la Santé sont en train de négocier la mise en place d’un pacte afin de rendre obligatoire la publication des contrats entre labos et gouvernements.
Ainsi, d’après l’agence de presse qui dit avoir consulté le document confidentiel, le pacte en question a pour objectif de faire en sorte que la prochaine pandémie ne soit pas aussi dévastatrice que le Covid. Mais, ce n’est pas tout. Les signataires jugent inacceptable que la confidentialité des contrats passés entre gouvernements et labos donnent aux dirigeants politiques peu de marge de manœuvre pour les traduire en justice.
Tout laisse à croire qu’il s’agit d’une révolte interne déclenchée par les Etats membres de l’OMS. Du moins, c’est ce qu’explique un porte-parole de l’OMS qui s’est confié sous couvert de l’anonymat. Ce dernier affirme que les actionnaires de l’organisation y sont favorables. Et ce n’est pas tout. Ces actionnaires se verront soumettre le document intégral lors d’une rencontre qui était prévue ce vendredi. Mais, le gros souci, selon Reuters, est que les labos rejettent le document en bloc.
Sur les réseaux sociaux, le pacte n’a pas manqué de susciter des réactions.
Le cas du Dr. Kellermayr – Un film de propagande tout fait
3 avril 2023 du Dr. Ronald Bilik
ARD vient de diffuser une "documentation" sur le suicide tragique du Dr. Kellermayr a publié, sous le titre chargé d'émotion : « La mort par la haine et l'agitation. Le cas du Dr. Kellermayr” 1 Avant d'aborder le contenu de ce film, je voudrais faire quelques remarques générales sur les faits. Le médecin autrichien, le Dr. Kellermayr, a été fortement impliqué sur Twitter pour la soi-disant campagne de vaccination et pour la vaccination obligatoire, et dans ce contexte a publié une fois de fausses informations dédiées, ce que la police a immédiatement démenti. Correctement, elle a supprimé son tweet après cette correction. Cependant, cela est devenu viral et le médecin est devenu connu d'un plus grand groupe de personnes.
Ce tweet et d'autres similaires ont conduit à un certain nombre de commentaires critiques sur la position du médecin. Parmi les nombreuses réactions figuraient des menaces de mort dégoûtantes et des messages haineux. L'un des gribouilleurs remplis de haine a décrit avec une cruauté presque sadique comment il torturerait et tuerait le médecin et son personnel. Les messages haineux ont été signalés à la police. Étant donné que certains des auteurs étaient des personnes vivant à l'étranger, très peu de choses ont apparemment été faites pour localiser les auteurs. En raison du peu d'aide de la police, le Dr. Kellermayr est obligé de mettre en place une salle de panique et d'engager la sécurité. La situation générale était naturellement extrêmement stressante et débordée, le Dr. Selon toute apparence, Kellermayr dans une certaine mesure qu'elle a décidé de mettre fin à ses jours dans la pratique. Malheureusement, elle a mis cette décision en pratique.
Comment cette mort malheureuse du médecin apparemment très engagé a-t-elle été traitée dans les médias ? Bien que selon le code de la presse, le suicide ne devrait pas faire l'objet de reportages médiatiques, cette affaire a été immédiatement reprise par les principaux médias pour se mobiliser contre les détracteurs des mesures et informer les personnes sceptiques quant au bout de gène expérimental. L'écrivain Robert Misik mérite une mention spéciale à cet égard, car son attitude extrêmement militante a déclenché des contre-réactions correspondantes. 2Et une fois de plus une mer de lumières s'est organisée à Vienne. Cette fois, le message plus ou moins clairement articulé était : les méchants non vaccinés et ceux qui critiquent la vaccination sont des meurtriers sans scrupules, violents et dangereux. Mais nous, les gentils, restons solidaires !
Ce qui est remarquable ici, c'est que la mobilisation contre un groupe a été totalement indifférenciée et transversale, et cela précisément par ces journalistes qui ne se lassent par ailleurs jamais de souligner qu'il s'agit de cas isolés et que toute généralisation est raciste et d'extrême droite. 3 Les consommateurs normaux des médias n'ont pas non plus été informés qu'un certain nombre de détracteurs éminents des mesures s'étaient clairement positionnés là-dessus. 4 Il a également été suggéré au consommateur moyen que le Dr. Kellermayr était un véritable agneau innocent qui a été injustement critiqué. C'est tellement faux. Ce médecin à l'allure sympathique a également publié des tweets qui semblent extrêmement critiquables. Quelque chose comme ça:
Suggestion : Les personnes non vaccinées doivent payer elles-mêmes leurs frais de traitement en cas d'infection et supporter les coûts pour toutes les personnes qu'elles ont infectées, y compris le manque à gagner. Avec cela, nous pourrions enfin payer raisonnablement le personnel soignant.
Maintenant, vous pouvez Frau Dr. Kellermayr, qui n'a pas toujours été en phase avec la philosophie de la « vaccination » et a apparemment subi des pressions à cet égard, attribue le fait qu'elle a été victime de désinformation politico-médiatique et a ainsi nagé dans le courant de la masse induite psychose. D'un autre côté, on devrait pouvoir attendre d'un médecin qualifié qu'il soit capable d'obtenir des informations de la littérature scientifique et de se forger sa propre opinion professionnelle. Malheureusement, toute personne qui publie de tels tweets n'est pas seulement une victime, mais aussi un auteur. Normalement, ce sont exactement les déclarations qui sont documentées dans la largeur "J'ai participé".
En toute logique (et on ne le soulignera jamais assez), de tels messages haineux ne peuvent être justifiés par rien et les menaces de mort en particulier constituent un délit et, à cet égard, il est incompréhensible que les autorités ici ne se soient pas efforcées de localiser immédiatement ces auteurs. faire. Quiconque a de tels fantasmes sadiques et hautement criminels et les publie doit être interrogé immédiatement par des experts compétents capables de déterminer si la personne concernée représente un danger pour les autres !
les témoins
Il semble plus remarquable et significatif avec quelles personnes l'équipe a mené des entretiens plus approfondis. Dès le début, le journaliste Michael Bonvalot est interviewé en tant qu'expert. C'est un journaliste à l'attitude classique qui ne craint pas les méthodes douteuses et ne manque jamais une occasion de diffamer ceux qui pensent différemment en tant qu'extrémistes de droite. 6 Il convient également que M. Bonvalot figure sur une liste du « Fonds de soutien Covid-19 ». Celle-ci est financée par Facebook (membre de l'initiative pharma-friendly Trusted News) 7 et vise à soutenir les journalistes dans leur action contre la « désinformation ». 8ème
Le "travail des lumières" de Natascha Strobl, qui a également son mot à dire dans ce film, est d'une qualité similaire. Elle aussi ne laisse aucune possibilité de localiser des « extrémistes de droite » dans toutes sortes d'endroits. Dans ses vidéos pédagogiques, par exemple, elle nous explique que les citoyens normaux qui défilent au Coronademos sont "de droite" parce qu'ils sont dirigés par des gens de droite et qu'il y a beaucoup d'accord avec les attitudes autoritaires de la droite -extrémistes de l'aile. 9 Elle explique également que l'agitation contre la soi-disant vaccination n'est pas basée sur des critiques factuelles mais est le produit d'hypothèses basées sur des théories du complot. dix
Pour commencer par le dernier point. Il semble remarquable qu'une personne qui n'a aucune idée de la médecine puisse prétendre discréditer la critique de la soi-disant vaccination, qui est également partagée par un certain nombre d'experts, comme une théorie du complot. Mais Mme Natascha Strobl n'est pas seule avec cet orgueil. Puis, dans une vidéo mise en ligne en janvier 2022, elle va jusqu'à affirmer que dire que le vaccin est dangereux est un mensonge. 11 On voit très bien à quel point ces personnes sont devenues les victimes de la propagande vaccinale.
Sa tentative de qualifier les critiques des mesures de «droite» est si absurde qu'il semble presque une perte de temps d'y entrer. Apparemment, Mme Strobl n'a jamais été présente elle-même à de telles manifestations, sinon elle saurait que ces manifestations ne sont en aucun cas dirigées par des gens de droite. Surtout à Vienne, ces manifestations étaient si fréquentées que la plupart des participants ne pouvaient même pas savoir qui défilait devant. Avec les définitions établies par de tels "éclaireurs", cependant, il semble sans importance de savoir qui était présent à ces manifestations de toute façon, puisque toutes ces personnes sont automatiquement considérées comme des extrémistes de droite.
L'argument de Mme Strobl concernant les attitudes autoritaires n'est pas meilleur. Il lui a apparemment complètement échappé que des protestations étaient faites lors des manifestations contre les interventions autoritaires qui violent les droits fondamentaux. Mme Strobl est susceptible d'être victime de reportages dans les médias, qui tentent d'établir de telles connexions de la même manière qu'elle le fait. Mais c'est le résultat quand des gens qui n'ont aucune idée sur le sujet entreprennent présomptueusement un travail d'éducation. En ce qui concerne la "documentation", je note que seuls deux opposants dévoués aux manifestations ont ici leur mot à dire et pas un seul organisateur ou participant à de telles manifestations.
Steyr - le bastion de la résistance
Bien sûr, les manifestations à Steyr ne devraient pas manquer dans le film. Au lieu de mener une interview avec l'organisateur de cet événement, des manifestants au hasard sont interviewés, qui font alors exactement les déclarations sur la migration et la presse grand public que les journalistes grand public attendaient. Donc le cadrage est parfait. Le téléspectateur peut (également en référence au diffuseur Internet AUF 1) classer les manifestants comme des extrémistes de droite qui croient à la théorie du complot de la presse mensongère. Ce portrait diffamatoire est accompagné de phrases telles que : « La ville semble avoir capitulé (ex. : à l'aile droite).
Pour documenter la volonté des manifestants de recourir à la violence, le message (apparemment) le plus agressif adressé à un journaliste et critiquant sa couverture des manifestations est montré :
Les gribouilleurs de démolition de carrière comme vous appartenez derrière les barreaux. Honte à toi. Je ne peux qu'espérer qu'ils seront expulsés d'Autriche. Ourson diable. En Angleterre, des gens comme vous ont été chassés à mort.
Il va sans dire que le contenu (expulsion, course à la mort, etc.) de cet affichage est totalement hors de question, même s'il n'y a probablement pas de faits juridiquement pertinents. Malgré toutes les critiques justifiées à son égard, la question se pose toujours de savoir quelle était exactement la raison de ces condamnations. Ici aussi, dans le film, comme dans les activités du Dr. Kellermayr, qui donne l'impression que ces manifestants sont agressifs par nature et qu'ils attaquent simplement des journalistes sans aucune raison. Alors, quelle était la raison de ce post ?
Le tournage semble avoir été réalisé au tournant de l'année 2022/23, lorsque Steyr a également déchargé la soi-disant tournée de résilience du Dr. Hubmer-Mogg (une icône de la résistance autrichienne de Corona) est venu. 12 Le reportage local de l'Oberösterreichische Nachrichten, comme l'ensemble du courant dominant, était strictement conforme au gouvernement et aucune occasion n'a donc été manquée de jeter les critiques des mesures sous un mauvais jour. Cependant, les médias régionaux, massivement financés par des fonds publics, sont même allés jusqu'à discréditer « les détracteurs de la vaccination et des mesures » comme une « partie de la population mentalement instable ». 13 Cette diffamation a provoqué un certain émoi dans le milieu des médias alternatifs locaux.
Ainsi, le soi-disant courant dominant n'a pas hésité à désinformer ses lecteurs au moyen de reportages unilatéraux et grossièrement déformés et à soutenir ainsi l'inimitié liée au groupe. Si vous décrivez faussement des citoyens normaux comme des extrémistes de droite, des théoriciens du complot et des malades mentaux et que vous mettez ainsi en danger leur existence sociale et professionnelle, vous ne devriez pas vous étonner des réactions critiques, même si la nature de ces déclarations (au moins dans des cas individuels) doit être sévèrement condamné.
Cependant, la vérité émerge partiellement entre les séquences. Par exemple, il est rapporté que seul un petit groupe autour du maire du SPÖ proteste contre cette "invasion de droite". Le contexte de cette proportionnalité, qui est impopulaire auprès du courant dominant, est dû au fait que les manifestations anti-corona sont désormais soutenues par une grande partie de la population et que les tentatives pour motiver de grandes foules à organiser des contre-manifestations échouent généralement lamentablement. 14
Je vais épargner au lecteur une documentation complète de toutes les sous-intrigues de propagande de ce film. Il continue heureusement de la manière décrite. Un séminaire pour les médecins sur la prévention de la violence est ensuite également présenté et il est suggéré que les participants soient motivés par les violents "négationnistes du corona" pour participer à cette formation complémentaire. Cela peut être vrai dans des cas particuliers. Comme je peux le confirmer grâce à mes contacts avec le personnel médical, on peut maintenant également constater que la violence contre les médecins, les ambulanciers et les infirmières augmente et prend des proportions inquiétantes. Cependant, (au moins par mes informateurs) les personnes sont généralement désignées comme des auteurs qui ont traversé une socialisation ethnique ou religieuse différente.
Le langage comme moyen de manipulation
Les réalisateurs de ce documentaire soumettent le consommateur à un lavage de cerveau permanent à travers les termes utilisés, du début à la fin. Dès le début, il dit en référence à la scène des détracteurs des mesures : « Les médecins s'entraînent pour leur sécurité », « Les théoriciens du complot de droite détournent les centres-villes », « Les gens ont peur pour leurs familles“. Même ici, le spectateur a l'impression qu'il y a un état d'urgence dans la république alpine. Il est explicitement revendiqué que cette scène est violente, voire obsédée par la violence, incroyablement agressive et dangereuse. Nous le soulignons par des images d'affrontements avec la police. Cela donne la fausse impression que les manifestations s'accompagnent automatiquement de violence, même si elles ont généralement été extrêmement pacifiques. Le film regorge d'étiquettes inexactes et trompeuses telles que "négationnistes du corona", "ultra-droite", "populiste de droite" et "masses d'extrême droite".
Quiconque voit ce film et n'a aucune autre information est presque obligé d'arriver à une évaluation traditionnelle très pro-gouvernementale et de confondre ceux qui critiquent les mesures avec des cinglés d'extrême droite et très violents. Si l'on considère également que cette "documentation" n'est pas un cas isolé, mais que le consommateur de médias est bombardé de telles "informations" sans arrêt depuis trois ans, alors il est peut-être plus facile de comprendre les attitudes et réactions de certains contemporains.
Il semble donc d'autant plus important d'expliquer à nos semblables comment ils sont manipulés et quelles ruses de propagande sont utilisées pour monter la population les unes contre les autres. Cette éducation et la promotion des compétences médiatiques de nos semblables sont l'un des facteurs les plus importants pour contrer avec succès une nouvelle division de la société. Cette illumination peut et doit également se faire de manière humoristique, comme par exemple à travers l'ingénieuse "vidéo des petits-enfants" de Walter Kammerhofer. 15
Ce texte critique avec véhémence les créateurs de la « documentation ». Il convient de mentionner expressément que cela ne prétend en aucun cas que les manipulations décrites ont été délibérément produites. Le principe in dubio pro reo s'applique ici. En ce sens, je suppose que nos journalistes grand public ne savaient tout simplement pas mieux et agissaient au mieux de leurs capacités.
En toute fin, je voudrais donc placer ce qui nous unit au-dessus de ce qui nous divise et saluer expressément l'engagement de ces reporters contre la haine sur Internet. C'est précisément pour cette raison que l'auteur attend avec impatience la documentation (certainement déjà prévue) sur l'agitation médiatique contre le biologiste Clemens Arvay, mort par suicide.
13 À ce sujet : https://report24.news/psychisch-labiler-groelender-tross-ooen-hetzen-gegen-widerstaendige-buerger/ : Bien sûr, M. Gerald Winterleitner de l'Oberösterreichische Nachrichten n'a pas le courage de vraiment faire son article à la disposition du public livrer. En ligne, il est caché derrière le soi-disant paywall. Je vais donc vous lire une phrase ou deux. Par exemple, on lit ici : « …Et aussi Maria Hubmer-Mogg. La Styrie a arrêté son travail médical l'année dernière après que l'association médicale a ouvert une procédure disciplinaire à son encontre. La désinformation sur le corona continue de se répandre en première ligne des opposants à la vaccination. Très versés dans la rhétorique, leur alarmisme fonctionne parfaitement avec une partie de la population mentalement instable, comme on peut également le trouver sur les Steyrer Walks.
Frederick Burr Opper , domaine public, via Wikimedia Commons Les opinions exprimées dans cet article ne reflètent pas nécessairement les opinions des auteurs fixes de TKP. Les droits et la responsabilité du contenu incombent à l'auteur.
docteur Ronald Bilik a étudié l'histoire ancienne et la philosophie. Il a rédigé sa thèse grâce à une bourse de l'Académie autrichienne des sciences. Pendant de nombreuses années, il a été vice-président de l'Association Humaniste (anciennement Freidenkerbund) et rédacteur en chef du Freidenker-Zeitung. Ronald Bilik travaille dans la formation et les ressources humaines et a été, entre autres, responsable des ressources humaines à la Croix-Rouge/Basse-Autriche. Il a écrit un certain nombre d'articles sur les sujets du christianisme et de l'islam. En 2022, il a travaillé avec Eric Angerer et Hartmut Krauss sur l'anthologie "Jewish Hostility. Racines idéologiques et manifestations actuelles ».
L'amnistie devrait-elle être accordée à ceux qui étaient d'accord avec les autres vaccins obligatoires ?
Par Davis Taylor Recherche mondiale, 03 avril 2023
"Cet" article sur l'amnistie - celui que tant de gens ont trouvé exaspérant - m'a aussi excité, mais pour une raison différente de la plupart. L'hypocrisie de la masse, la réaction d'indignation à son égard était presque trop lourde à supporter pour moi.
Un contingent s'est formé parmi les nouveaux indignés - ceux qui avaient une foi aveugle dans le slogan "sûr, nécessaire et efficace" sans jamais avoir fait de recherche sur les vaccins, qui sont maintenant sous le choc parce qu'ils viennent d'apprendre des faits réels à leur sujet. Cependant, la plupart des nouveaux indignés n'ont que légèrement avancé dans leur réflexion, pour croire maintenant qu'il existe un vaccin très défectueux qui est poussé au public. Et ils sont scandalisés que ceux qui étaient autrefois en faveur de son mandat demandent maintenant pardon pour manque d'informations. Ils soulignent de nombreuses informations disponibles tout au long de la BS-demic qui ont rendu évident que l'histoire "officielle" sur COVID-19, et sur les piqûres COVID-19, était principalement de la foutaise.
Puits – marmite, bouilloire, noir. Avant le COVID-19, bon nombre des mandats de vaccins infantiles nouvellement indignés ou, à tout le moins, sont restés les bras croisés sans exprimer aucune opposition, malgré les informations disponibles sur de graves problèmes avec les vaccins infantiles.
La vérité est qu'à divers moments, presque tous nous n'avons pas fait preuve de diligence raisonnable avant de nous faire une opinion sur les vaccins, y compris cet auteur il y a de nombreuses années. Presque chacun d'entre nous pourrait utiliser la rédemption sur ce front.
Celui qui prend le temps de regarder constatera que les vaccins COVID-19 ne sont pas uniques. Au contraire, ils partagent la plupart des mêmes problèmes que les vaccins qui les ont précédés. Ci-dessous, une promenade à travers quelques-unes des informations qui le démontrent, dont la plupart sont là depuis le début et ignorées par les nouveaux indignés.
L'aluminium est de plus en plus reconnu comme un ingrédient vaccinal potentiellement dangereux . La recherche indique qu'il joue un rôle dans la maladie d'Alzheimer , l'asthme , l'autisme et d'autres conditions. Une quantité importante d'aluminium est délivrée aux enfants via les vaccins. En plus des vaccins contre le VPH, ces vaccins du calendrier infantile du CDC contiennent de l'aluminium : vaccin contre l'hépatite B, vaccin DTaP, vaccin contre l'Hib, vaccin contre le pneumocoque, vaccin contre l'hépatite A, DTaP/vaccin inactivé contre la polio/Hep B, DTaP/vaccin inactivé contre la polio/Hib, Vaccin contre le méningocoque B et vaccin Tdap.
Le Dr Christopher Exley est un expert de renommée mondiale sur l'aluminium et ses effets. Ses recherches ont révélé une teneur élevée en aluminium dans les tissus cérébraux des personnes autistes et, dans une moindre mesure, de celles atteintes de la maladie d'Alzheimer . Ces découvertes et leurs implications pour les vaccins contenant de l'aluminium lui ont valu l'exil au pays des censurés et des barbouillés. Mais, comme beaucoup de ceux qui sont relégués sur cette terre, il refuse de se taire. Son bulletin Substack est une excellente ressource pour ceux qui souhaitent en savoir plus sur les effets de l'aluminium sur la santé.
L'absence de véritables tests placebo n'est qu'une des lacunes des tests d'innocuité des vaccins pour enfants. Contrairement à la croyance populaire, la plupart d'entre eux n'ont pas subi de longues périodes de tests de pré-approbation pour les effets indésirables. La lettre de l'ICAN du 31 décembre 2018 contient une discussion approfondie sur les périodes étonnamment courtes de ces tests. Cette discussion est exposée aux pages 17 à 23 de la lettre . Les parents qui ne veulent pas lire ces six pages voudront peut-être, à tout le moins, jeter un coup d'œil au tableau des pages 19 et 20. Il répertorie onze des vaccins infantiles et leurs maladies correspondantes, ainsi que la courte « durée de l'examen de l'innocuité après injection » pour chacun. La table est étourdissante, c'est un euphémisme.
Par exemple, des deux vaccins contre l'hépatite B autorisés par la FDA pour l'injection aux nouveau-nés, celui de Merck a été autorisé sur la base d'essais cliniques qui ont examiné les effets indésirables pendant seulement cinq jours après l'injection et celui de GlaxoSmithKline a été autorisé sur la base de ces essais qui les ont examinés pour seulement quatre jours après. À titre d'autres exemples, le vaccin Hib de Merck et le vaccin antipoliomyélitique de Sanofi Pasteur ont chacun été homologués sur la base d'essais cliniques qui ont examiné les effets indésirables pendant seulement trois jours après l'injection.
Une plainte courante des nouveaux indignés est qu'il y a eu une surveillance post-vaccination inadéquate dans la population pour les réactions indésirables aux vaccins COVID-19. Grâce aux vaccins COVID-19, les nouveaux indignés ont enfin appris l'existence du système de notification des événements indésirables des vaccins (VAERS). VAERS est exploité par HHS. Le HHS a financé une étude réalisée en 2011 par la Harvard Medical School qui a suivi les rapports au VAERS sur une période de trois ans à Harvard Pilgrim Health Care et a conclu que «moins de 1% des effets indésirables des vaccins sont signalés». Malgré la réception de ce résultat d'étude, le HHS n'a rien fait pour remédier à l'inefficacité du VAERS et l'a laissé continuer à bourdonner, échouant à capturer la plupart des effets indésirables du vaccin.
Les nouveaux indignés devraient se rendre compte que le même système moche qui n'a pas capturé la plupart des effets indésirables du vaccin COVID-19 n'a pas non plus capturé la plupart des effets indésirables des vaccins pour enfants. Le mythe du « un sur un million » n'a jamais été ancré dans des faits ou dans un système fiable d'enregistrement des effets indésirables. C'était inventé, tiré du derrière d'un complice de la Pharma et répété jusqu'à la nausée au fil des décennies.
Il est impossible de couvrir de manière exhaustive les insuffisances des tests de sécurité des vaccins pour enfants dans un seul article. Par souci de brièveté et parce que j'ai fourni un lien vers la lettre de l'ICAN du 31 décembre 2018 qui couvre davantage ce sujet, je vais passer à autre chose.
2. Il n'y a eu aucune preuve de nécessité pour les vaccins infantiles.
Les nouveaux indignés sont furieux que les vaccins COVID-19 aient été ajoutés au calendrier de l'enfance malgré un manque évident de nécessité pour la santé des enfants. Selon le calendrier, les vaccins COVID-19 doivent être administrés aux bébés à partir de 6 mois . Quoi de pire que de donner à un enfant un vaccin dont il n'a pas besoin avec des effets indésirables potentiels à l'âge de 6 mois ? Donner à un enfant un tel vaccin à la naissance est pire, comme on le fait avec le vaccin contre l'hépatite B.
Le CDC recommande un vaccin contre l'hépatite B à la naissance, à l'âge de 1 à 2 mois et à l'âge de 6 à 18 mois et presque tous les États imposent le vaccin pour la fréquentation scolaire. Ce sont clairement des vaccinations inutiles .
L'hépatite B ne se transmet pas par simple contact. Il se propage lorsque le sang, le sperme ou d'autres fluides corporels d'une personne infectée par le virus pénètrent dans le corps d'une personne non infectée et cela peut se produire par contact sexuel. partage d'aiguilles, de seringues ou d'autre matériel d'injection de drogue ; ou de la mère au bébé à la naissance. Par conséquent, les nouveau-nés ne courent généralement aucun risque de contracter l'hépatite B à moins que leur mère n'héberge le virus, ce qui peut être déterminé par des analyses de sang prénatales de routine. De plus, les vaccins contre l'hépatite B administrés aux nouveau-nés devraient se dissiper avant l'âge de toute exposition probable au virus de l'hépatite B.
Il est également impossible de couvrir de manière exhaustive la question du manque de nécessité pour les vaccins infantiles dans un seul article. Il y a beaucoup trop de choses à examiner. Cette discussion sur le manque de nécessité a commencé avec le premier vaccin que les enfants reçoivent selon le calendrier du CDC, mais on pourrait lancer une fléchette sur le calendrier et atterrir sur un vaccin avec de nombreux faits sur lesquels travailler pour montrer le manque de nécessité. Vous trouverez ci-dessous des exemples d'articles et de vidéos abordant le problème du manque de nécessité en ce qui concerne quelques autres vaccins infantiles : la varicelle, le DCaT et le VPH.
Un article du 4 octobre 2019 publié par Children's Health Defence intitulé « Chickenpox: The Dirty Dozen Facts You Should Know Before Vaccinating » contient des informations démontrant qu'il n'est pas nécessaire que les enfants soient vaccinés contre la varicelle, y compris une discussion sur le faible risque posé par la maladie. . L'article traite également des problèmes associés à la vaccination de masse contre la varicelle, comme une augmentation du taux d'infections par le zona. Presque tous les États rendent obligatoire le vaccin contre la varicelle pour les écoliers. Un segment du 2 février 2023 de The HighWire (HW) (épisode 305) discute de la recherche qui indique qu'être vacciné contre la coqueluche (avec le vaccin DTaP) rend les enfants plus sensibles à la coqueluche tout au long de leur vie, pas moins, ce qui réfute certainement tout argument selon lequel il est nécessaire pour la santé des enfants d'être vaccinés contre la maladie. Le segment discute également de la recherche qui indique que le fait d'être vacciné contre la coqueluche fait de quelqu'un, sans le savoir, un porteur infecté et asymptomatique de la maladie. Tous les États imposent le vaccin DTaP aux écoliers.
En 2023, les preuves qui réfutent l'idée que la vaccination rend les enfants en meilleure santé continuent d'affluer. Une étude de 2023 utilisant des données de 2019 a révélé une corrélation statistique positive entre les taux de mortalité infantile et le nombre de doses de vaccin reçues par les nourrissons. L'étude a confirmé les conclusions faites par les mêmes chercheurs il y a environ une décennie en utilisant les données de 2009.
Conclusion
Revenons à la question de l'amnistie. Il y a un mème qui circule ces jours-ci disant : "Ils pensent que tu es stupide." Quiconque croit que les gouvernements et les grandes entreprises pharmaceutiques ont commencé à mentir sur les vaccins lorsque le COVID-19 est arrivé est, à tout le moins, terriblement naïf. À ce stade, après le mensonge orchestré 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, sur plusieurs années, au sujet des vaccins COVID-19, il est inexcusable de continuer à faire injecter à son enfant des produits sur lesquels il n'a pas fait de recherches approfondies, c'est-à-dire avec des ressources qui ne sont pas financées par Big Pharma ou influencé. Il est encore plus inexcusable de soutenir le mandat de l'un des vaccins infantiles, ou d'accepter docilement de tels mandats par le silence. Aucune amnistie n'est justifiée pour le faire à l'avenir.
Vidéo : Le confinement lié au Covid est un acte de guerre économique contre l'humanité : le Dr Reiner Fuellmich interviewe le professeur Michel Chossudovsky
Par le professeur Michel Chossudovsky et Reiner Fuellmich Recherche mondiale, 02 avril 2023
Le confinement du Covid est un acte de guerre économique et sociale, sans précédent dans l'histoire du Monde, dirigé simultanément d'un seul coup contre 193 États membres de l'ONU
Le confinement fait partie intégrante d'un programme hégémonique, dirigé contre l'humanité et la souveraineté de tous les États-nations.
Ce qui est envisagé dans le cadre de « la grande réinitialisation » est un scénario dans lequel les créanciers mondiaux se seront appropriés d'ici 2030 la richesse mondiale, tout en appauvrissant de larges secteurs de la population mondiale.
La devise du Great Reset du WEF est : En 2030 « Vous ne posséderez rien, et vous serez heureux. A savoir un processus d'appauvrissement global et de destruction sociale sans précédent dans l'histoire du monde.
- voir clip sur site -
Vidéo : Le Dr Reiner Fuellmich interviewe le professeur Michel Chossudovsky
Aussi disponible sur Bitchute
Diffusez cette vidéo au loin, crosspostez sur Independent Media.
Comment Jimmy Dore est sorti de la matrice de propagande
Par le Dr Joseph Mercola Mercola.com 3 avril 2023
Dans cette interview, l'un de mes comédiens préférés, Jimmy Dore, et moi discutons de la machine de propagande entourant tout ce qui concerne le COVID. J'ai posté plusieurs de ses vidéos sur ce site, car j'apprécie ses commentaires directs et incisifs. Comme moi, Dore a grandi à Chicago, dans l'Illinois. Il a emballé ses affaires et s'est rendu à Los Angeles, en Californie, en 1995, et n'a jamais regardé en arrière.
- voir clip sur site -
"Tout a fonctionné à Los Angeles pour moi quand je suis arrivé en ville", dit-il. "C'était un vrai refuge d'être entouré de tous les autres comédiens, acteurs et artistes. J'ai eu de la chance, j'ai eu un agent tout de suite et j'ai pu passer à la télévision tout de suite. Donc tout s'est bien passé. »
Sortir de la matrice
Je suis impressionné par les capacités de réflexion critique de Dore car, comme la plupart des gens, il s'est laissé prendre par la propagande et a cru que le coup COVID serait une bonne stratégie. Il a pris le vaccin, en a souffert des effets secondaires et a dû trouver un médecin holistique capable de le guider vers la santé.
Contrairement à la plupart des gens, cependant, Dore a pu mettre deux et deux ensemble après cela et s'est rendu compte qu'il avait été dupé. Le tir était loin d'être aussi sûr (ou efficace) qu'ils le prétendaient. Après cette prise de conscience, il a également commencé à voir à travers d'autres récits de propagande.
"J'ai été complètement propagandisé", dit-il. "J'ai une maladie osseuse que je dois soigner tous les jours, alors j'avais peur. Ils ont donné l'impression que si vous avez le COVID, il va trouver la partie la plus vulnérable de votre corps, il va l'infecter et vous tuer. Donc, j'étais convaincu que si je l'obtenais, il irait droit dans mes os et me tuerait.
J'étais mort de peur. Donc, je savais que j'allais prendre le vaccin - et j'avais peur de me renseigner. C'est vrai, non ? Parce que je savais que j'allais le prendre de toute façon, et parce que mes deux médecins m'avaient dit de le prendre, parce qu'ils ne savaient pas mieux. Aucun de nous ne savait à l'époque qu'ils supprimaient des informations exactes. Je ne le savais pas. Mes médecins non plus.
À cette époque, nous ne savions pas qu'il y avait d'autres médecins avec un autre récit. Je ne connaissais pas la déclaration de Great Barrington. Je ne savais pas qu'il y avait d'éminents scientifiques et médecins qui avaient une idée différente. Je ne savais pas ce qu'était un criminel, le Dr Fauci. Je ne savais pas qu'il avait fait la même chose lors de la crise du sida.
Alors, j'ai pris le vaccin, je suis tombé malade et je ne me suis jamais amélioré. C'était juste des effets secondaires horribles. J'avais une tension artérielle de 180/120. J'aurais pu faire un AVC à tout moment. J'avais des douleurs nerveuses, des lésions nerveuses. On m'a diagnostiqué une névralgie occipitale, qui si vous savez ce que c'est, c'est la raideur de nuque la plus méchante que vous ayez jamais eue dans votre vie.
J'avais des douleurs articulaires, de la fatigue, un essoufflement. Je l'ai eu pendant des mois. Heureusement, [j'ai trouvé des médecins] qui étaient à l'avant-garde du traitement des personnes blessées par le vaccin… et ils avaient une théorie. Mon médecin était le Dr [Ram] Yogendra. Il travaillait avec [Dr.] Bruce Patterson et leur idée était que les personnes blessées par le vaccin se présenteraient comme si elles avaient un long COVID.
Ils ont fait un test sanguin spécial. Il m'a montré mes marqueurs biologiques et m'a dit: «Vous vous présentez comme si vous aviez un long COVID, mais vous n'avez jamais eu de COVID. Donc, tu as ça du vax'... Ils m'ont donné de la fluvoxamine, de l'azithromycine et de l'ivermectine. Et quand il m'a donné de l'ivermectine, je me suis dit : 'Hé, qu'est-ce que c'est ? Je pensais que c'était cette pâte de cheval.
C'est à ce moment-là qu'on m'a expliqué qu'on nous mentait à une échelle que notre esprit ne peut pas comprendre. Non seulement l'ivermectine n'est pas dangereuse, mais ce n'est pas seulement pour les animaux, c'est un médicament humain. En fait, il a remporté le prix Nobel de médecine humaine, et il figure sur la liste des médicaments essentiels de l'Organisation mondiale de la santé, a été prescrit des milliards de fois et a sauvé des milliards de vies, et est moins toxique que le Tylenol.
J'étais comme, 'Tu te moques de moi ?' Et il a dit: 'Jimmy, avant COVID, ils cherchaient l'ivermectine pour traiter le cancer. Il était considéré comme un médicament miracle. Et la raison pour laquelle ils mentent à ce sujet maintenant est que si l'ivermectine traite le COVID, ils ne peuvent pas obtenir leur autorisation d'utilisation d'urgence pour ces vaccins »...
Donc c'était comme, 'Oh mon dieu, ils mentent à ce sujet. Ce n'est qu'une grosse ponction d'argent. Et dès que j'ai compris cela, et peu importe ce que j'ai regardé, ils ont menti à ce sujet.
Comme Dore l'a finalement compris, l'establishment médical a menti non seulement sur l'ivermectine, mais aussi sur l'hydroxychloroquine et les premiers traitements. Ils ont menti sur l'immunité collective et l'immunité naturelle. Ils ont menti sur les masques. Ils ont menti lorsqu'ils ont déclaré que le vaccin COVID empêchait la transmission et pourrait mettre fin à la pandémie. Ils ont menti sur la sécurité des tirs et sur la gravité du virus lui-même aussi.
"Le virus n'a jamais été un virus grave", dit Dore. "Bill Gates, après avoir encaissé ses actions, l'argent qu'il a investi dans Pfizer, puis il a commencé à dire la vérité aux gens. Il a dit: «Ouais, eh bien, le virus, ce n'est pas si mortel. Il a un faible taux de mortalité. » Ceci est une citation directe…
Elle affecte les personnes âgées et celles qui ont des comorbidités, un peu comme la grippe, mais un peu différemment. L’âge moyen de décès par COVID est supérieur à l’âge de l’espérance de vie, mais nous vaccinons les lycéens… les enfants et les bébés. C'est un acte criminel d'une ampleur incroyable. Et ils le font encore parce qu'ils possèdent les médias et parce qu'ils s'en sont tirés et parce qu'ils ont l'immunité contre les poursuites.
Pourquoi avez-vous besoin de l'immunité contre un procès ? Pourquoi avez-vous besoin de cela si c'est sûr et efficace si vous avez fait tous les essais ? Parce que ce n'est pas le cas et que vous n'avez pas fait tous les essais. C'est pourquoi.
Les gens qui poussent cela sont les plus grands criminels du monde, et ils ont déjà prouvé qu'ils sont prêts à tuer des quantités massives de personnes pour le profit... C'est le système pervers le plus psychopathe que j'aie jamais vu. Et tout le monde est d'accord avec ça. Donc, c'était mon voyage.
Sur le vaccin qui ne l'est pas
Comme l'a noté Dore, un vaccin qui ne bloque pas la transmission d'un virus (et ne vous empêche donc pas de tomber malade) n'est pas un vaccin. C'est une thérapeutique. Nous savons maintenant pertinemment que les injections COVID ne bloquent pas la transmission. Ils n'ont même jamais testé pour voir si cela empêcherait la transmission, ce que moi et d'autres scientifiques avons souligné dès le début. Nous avons également une abondance de preuves montrant que les tirs font plus de mal que de bien.
"Plus de personnes ont été blessées par le" vaccin "qu'il n'en a été sauvé", déclare Dore. « En ce moment, personne ne devrait le prendre. Omicron est un rhume. Il a fait exactement ce que le Dr Robert Malone a expliqué dans mon émission au début de 2021, à savoir que le virus va muter pour devenir beaucoup plus infectieux et moins mortel. Et c'est exactement ce qui s'est passé."
Pendant la vague Omicron, Dore a contracté le COVID trois fois, "et ce n'était rien", dit-il. "C'était le rhume le plus doux que j'aie jamais eu de ma vie." Malheureusement, il a commis une deuxième erreur la première fois qu'il a contracté le COVID. Il a pris Paxlovid et l'a récupéré. Que Paxlovid vous rend sujette à la réinfection est maintenant également un fait établi.
La corruption mettra fin à l'empire américain
"Ce qui se passe, c'est que nous sommes dirigés par des criminels psychopathes et... les gens ne se rendent pas compte que notre gouvernement n'est pas 'régulier' corrompu", dit Dore. La plupart des gens pensent à la corruption du gouvernement en termes de Joe Biden donnant à son fils Hunter un travail confortable au sein d'une commission de l'énergie en Ukraine, ou de Donald Trump mettant son fils en place avec un accord commercial en Arabie saoudite.
Mais la corruption que nous commençons maintenant à voir est bien pire et plus répandue que cela. Il a été intégré à chaque partie du gouvernement et à chaque système utilisé pour le faire fonctionner.
"Tout cela est corrompu", dit Dore. « Toute la politique COVID était corrompue. Tout le déploiement du vaccin est 100 % corrompu. Tout ce qui se passe au Congrès se produit à cause de la graisse de l'huile de la corruption. Et s'il n'y a pas de corruption là-dedans pour graisser les rouages, les mécanismes du gouvernement ne fonctionnent pas.
C'est pourquoi nous pouvons envoyer 100 milliards de dollars à l'Ukraine parce que c'est 100 milliards de dollars de corruption, alors que nous n'envoyons pas 100 milliards de dollars aux États-Unis pour mettre fin à l'itinérance. 100 milliards de dollars pourraient mettre trois fois fin à l'itinérance aux États-Unis, et ils ne l'enverront pas dans notre propre pays parce qu'il n'y a personne pour en tirer profit… Nos législateurs font un gros profit de la guerre.
Donc, nous avons une économie de la mort sans fin, et c'est tout ce que nous pouvons faire. Nous n'investirons pas dans notre propre pays. C'est ce qu'on appelle la fin d'un empire. C'est ainsi que finissent tous les empires, et nous finissons en ce moment...
Nous avons 1 000 bases militaires dans le monde. Vous savez combien en a la Russie ? Trois. Vous savez combien la Chine a ? Je ne sais pas, deux. C'est comme rien. Nous avons 1 000 bases militaires. Nous sommes les terroristes. Nous avons eu 400 bases militaires autour de la Chine depuis la guerre de Corée.
Nous faisons une guerre en ce moment à la frontière russe. Pouvez-vous imaginer si la Russie finançait une guerre contre nous au Mexique à hauteur de 100 milliards de dollars ? Pouvez-vous imaginer si la Russie envoyait ses missiles et ses chars ? Que pensez-vous que nous ferions ? Et c'est exactement ce qui se passe en ce moment."
Nous vivons dans une illusion de démocratie
Comme l'a noté Dore, la Russie, la Chine, l'Inde, l'Italie et le Venezuela unissent désormais leurs forces pour créer de nouveaux centres de pouvoir économique afin de combattre l'hégémonie des États-Unis. "Et ils le font en se battant avec deux puissances nucléaires", dit Dore.
"C'est ce qu'ils ont dit que Trump allait faire. Trump ne l'était pas en fait, il était en fait un pacifiste comparé à ces gars-là. Trump n'a pas déclenché une autre guerre. C'est pourquoi ils l'arrêtent. C'est pourquoi ils l'ont destitué deux fois. Ils devaient faire une opération du FBI le 6 janvier.
Le tout, c'est qu'ils savent que les gens en ont fini avec l'oligarchie. Ils en ont fini avec ce duopole bipartite, qui est unipartite parce qu'ils travaillent tous pour les mêmes personnes. Les démocrates et les républicains sont payés par les mêmes gars : Wall Street, Big Pharma, l'assurance maladie, la Silicon Valley et le complexe militaro-industriel.
Ils travaillent tous pour les mêmes personnes, c'est pourquoi nous pouvons avoir une catastrophe écologique qui empoisonne les gens dans l'est de la Palestine, et personne ne s'en soucie au sein du gouvernement, mais ils s'envoleront pour Kiev et promettront 10 milliards de dollars supplémentaires à un pays étranger parce que la corruption est en train de graisser les rouages de ce qui se passe…
Nous vivons sous un gouvernement fasciste. Quiconque pense voter pour les démocrates et se féliciter comme s'il luttait contre le fascisme ou la suprématie blanche, je veux vous détromper de cette idée stupide. Tu n'es pas. Vous votez pour une autre marque de fascisme…
Cette idée que vous allez mettre fin au fascisme en votant pour un démocrate - nous vivons déjà sous un gouvernement fasciste ! Votre démocratie vous a déjà été volée. Le mariage parfait des entreprises et du gouvernement, c'est ce qu'est le fascisme. C'est pourquoi ils ont imposé des vaccins. C'est pourquoi ils ont donné 100 milliards de dollars à l'Ukraine, et ils ne résoudront pas le sans-abrisme en Amérique.
Comme moi, Dore pense que les choses vont empirer avant de s'améliorer. En termes de renversement de l'uniparti corrompu, il pense que nous avons besoin d'un tout nouveau parti qui n'a pas encore été avalé par la corruption, et sa suggestion pour Robert F. Kennedy Jr., qui envisage de se présenter à la présidence en 2024, est d'abandonner le parti démocrate et en former un nouveau.
"J'aimerais que Bobby Kennedy se présente comme un tiers, et j'aimerais qu'il organise les gens pour qu'ils descendent dans la rue", a déclaré Dore. « Le gars, c'est un vrai espoir. Quand vous lui parlez, vous pouvez juste sentir qu'il est la vraie affaire… Je sais qu'il va se présenter en tant que démocrate, et ne serait-ce pas formidable s'il me prouvait que j'avais tort ?…
Mais les superdélégués… trouveraient d'autres moyens de le truquer. Regardez ce qu'ils ont fait à Bernie Sanders cette dernière fois. Ils ont inventé une nouvelle application pour la primaire de l'Iowa, et d'une manière ou d'une autre, cette nouvelle application ne pouvait pas compter les votes. N'est-ce pas incroyable ? Ils ne pouvaient pas savoir combien de personnes avaient voté. Et qui a inventé cette application ? Un groupe d'agents et de donateurs du Parti démocrate.
Alors, ils vont inventer un moyen. Si ce ne sont pas les superdélégués, ce qu'ils seront, ils inventeront de nouvelles façons de le faire, en plus de l'assaut des médias. De plus, ils diront simplement: "Oh, il n'a pas gagné". Il n'a pas obtenu les votes. " Et puis si vous dites: " Vous volez les élections ", ils vous traiteront de théoricien du complot, comme ils l'ont fait pour quiconque conteste leurs élections.
Lorsque les démocrates contestent une élection, c'est parce qu'ils sont de bonnes personnes qui défendent la démocratie comme ils l'ont fait contre les élections de 2016. Ils disent que les élections de 2016 ont été volées par la Russie. C'est donc bien de le dire, mais vous ne pouvez pas dire qu'une autre élection a été volée ou que vous êtes un fou.
Ainsi, nos élections n'étaient pas suffisamment sûres en 2016 pour qu'un escroc comme Donald Trump puisse gagner, mais elles sont si sûres en 2020 que vous ne pourriez jamais avoir de question à ce sujet.
Ces gens sont des menteurs pathologiques, des criminels. Nous sommes gouvernés par des criminels. Et j'espère que Bobby Kennedy fera descendre les gens dans la rue parce que c'est la seule façon d'y parvenir. Tout comme Martin Luther King l'a fait, tout comme Gandhi l'a fait. C'est le seul moyen de renverser [l'oligarchie].
Alors que l’économie licite de la Birmanie demeure fragile, les revenus des cultivateurs d’opium gagnent en importance.
le 3 avril 2023 Par Côme de Bisschop. Un article de Conflits
L’opium fait son grand retour en Birmanie. L’office des Nations Unies de lutte contre la drogue constate une croissance non seulement des zones cultivées mais aussi de la productivité. La Birmanie redevient l’un des grands producteurs mondiaux de drogue, ce qui bouleverse tant l’Asie que l’Europe.
Dans son enquête en 2022 sur la culture du pavot en Birmanie, l’agence des Nations Unies contre les drogues et le crime (ONUDC) constate un net accroissement de la culture et du rendement à la suite des nouvelles zones cultivées et à une sophistication accrue des pratiques agricoles. Cette augmentation est enregistrée dans un contexte de perturbations économiques et sociales après le coup d’État militaire de février 2021, laissant derrière lui des années d’amélioration dans la lutte contre le trafic de drogue mis en place pendant la parenthèse démocratique.
Une augmentation plurifactorielle
L’augmentation des cultures du pavot est d’abord due à une augmentation de la taille des champs. Selon le rapport, la surface des terres utilisées pour cultiver du pavot, plante à l’origine de l’opium et de l’héroïne, a augmenté de 33 % en un an pour atteindre 40 100 hectares en 2022.
À cela s’ajoute une augmentation considérable des rendements, avec une production totale en hausse de 88 % en un an pour atteindre 790 tonnes, un record depuis 2013 comme le souligne l’étude qui s’appuie sur des images prises par satellite et des études de terrain. Les observations ont permis de remarquer des parcelles, autrefois désordonnées, à présent très bien optimisées pour le haut rendement, grâce des pratiques agricoles plus sophistiquées et davantage de disponibilité concernant l’engrais. En effet, les estimations de rendement nationales indiquent une moyenne de 19,8 kg d’opium par hectare de pavot. Un niveau de production encore loin derrière celui de l’Afghanistan mais qui est à son plus haut en Birmanie depuis que l’ONUDC effectue ces recherches.
La poursuite de l’instabilité politique dans un environnement post-coup d’État où l’inflation est forte incite les agriculteurs à se reconvertir dans la culture du pavot, celle-ci offrant des prix de vente plus attractifs. En effet, la pauvreté, le manque de services et l’insécurité ont poussé les ménages ruraux à dépendre davantage de l’opium. En outre, la crise politique et sociale qui touche le pays a conséquemment abouti à une diminution considérable des efforts d’éradications des différentes cultures de pavot entamées par l’ancien gouvernement.
La rupture avec 2021 est ainsi considérable, où l’augmentation de la superficie cultivée (2 %) et du rendement (4 %) est restée modérée, alors que les chiffres étaient en baisse depuis six années consécutives, notamment à la suite de la période de démocratie initiée par la conseillère d’État Aung San Suu Ky et de son programme de lutte contre le trafic de drogue.
Les hausses les plus significatives se trouvent dans les régions frontalières, notamment l’État de Shan « Les agriculteurs du nord de l’État Shan ou des régions frontalières n’ont pas eu trop le choix sinon que de retourner à la culture du pavot » a révélé Jeremy Douglas, représentant régional pour l’Asie du sud-est de l’UNODC. Le rapport montre en effet une augmentation majeure dans les États frontaliers de la Birmanie, notamment les États de Shan avec une hausse de 29 %, mais également les États de Chin (14 %) et de Kayah (11 %).
Alors que l’économie licite de la Birmanie demeure fragile, les revenus des cultivateurs d’opium gagnent en importance.
Dans un contexte d’expansion de la production de drogues synthétiques, l’économie du pavot en Birmanie est évaluée à près de deux milliards de dollars américains, alors que le commerce régional est estimé à environ 10 milliards de dollars, selon l’ONUDC.
Cela démontre l’attrait de l’opium en tant que culture et produit de base ainsi que la forte expansion de la demande, semblant se reconnecter au marché mondial, notamment celui de l’héroïne du Triangle d’Or (Thaïlande, Birmanie, Laos).
Sans stabilité politique et économique, il y a fort à parier pour que la culture et la production du pavot continuent de croître. Selon l’agence onusienne, la culture de l’opium est une question qui ne peut être résolue en détruisant les cultures, ce qui ne ferait qu’augmenter la précarité dans le pays. Les cultivateurs ont davantage besoin d’aide pour trouver d’autres moyens de revenus, en travaillant ailleurs que dans des champs de pavot.
Les financiers sont les maîtres du système. Interview Elucid
AVRIL 3, 2023 PAR LHK
« LES FINANCIERS SONT LES MAÎTRES DU SYSTÈME ! » – Une interview de Jacques de Larosière par Olivier Berruyer, pour Élucid.
- voir clip sur site -
Jacques de Larosière a passé toute sa carrière à la tête de grandes institutions financières : il a été notamment directeur général du FMI, et gouverneur de la Banque de France. Son expérience au cœur du système lui offre une connaissance rare des rouages de nos économies modernes. Il porte un regard extrêmement critique sur la gestion de la monnaie par les banques centrales, et dénonce avec vigueur les dérives de la finance. Son témoignage est rare : Jacques de Larosière fait partie de ces rares voix dissidentes qui parlent en connaissance de cause, en remettant en question la gestion calamiteuse de notre système économique, favorisant 10% de la population au détriment de 90% d’entre elle.
Voici comment les gouvernements sont infiltrés par le WEF
3 avril 2023 du Dr. Peter F. Mayer
Avec son programme Young Global Leaders, le Forum économique mondial (WEF) a joué un rôle clé dans la formation d'un ordre mondial qui sape tous les principes démocratiques. Pendant plusieurs décennies, ce programme a produit des dirigeants dociles qui agissent en tant que représentants du WEF dans les gouvernements du monde entier. Les conséquences sont considérables et pourraient s'avérer dévastatrices pour l'humanité.
Dans la vidéo, le PDG du WEF, Klaus Schwab, explique fièrement comment son organisation est activement impliquée dans la sape de la démocratie et le lobbying pour le profit et les intérêts dominants du capital financier international :
" Je dois dire que je mentionne ensuite des noms comme Mme Merkel, voire Vladimir Poutine, etc. - ils étaient tous des jeunes leaders mondiaux du Forum économique mondial. Mais ce dont nous sommes vraiment fiers maintenant, c'est que nous entrons dans les cabinets avec la jeune génération comme le premier ministre Trudeau, le président argentin et ainsi de suite… C'est la même chose en Argentine et maintenant en France aussi… (Klaus Schwab) »
- voir clip sur site -
En 1992, Klaus Schwab et le Forum économique mondial ont créé un programme initialement appelé Global Leaders of Tomorrow.
En 2004, ce programme a été transformé en Forum for Young Global Leaders (dont je parle dans mon livre The Global Coup D'Etat) - un programme de cinq ans d'endoctrinement dans les principes et les objectifs du WEF.
L'objectif était - et est - de trouver de futurs leaders appropriés pour la société mondiale émergente. Depuis sa création, le programme a inclus des politiciens, des chefs d'entreprise, des membres de la royauté, des journalistes, des artistes et d'autres travailleurs culturels qui ont excellé dans leurs domaines mais qui ont moins de 40 ans (43 à l'origine pour Angela Merkel). Depuis lors, il s'est transformé en un vaste réseau mondial de dirigeants dévoués dotés de ressources et d'une influence considérables, travaillant tous à mettre en œuvre les plans technocratiques du Forum économique mondial dans leurs pays et domaines respectifs.
Dès la première année, 1992, un certain nombre de candidats très influents ont été élus . Parmi les 200 élus figuraient des hommes politiques de premier plan tels qu'Angela Merkel, Tony Blair, Nicolas Sarkozy, Bill Gates, Bono, Richard Branson (Virgin), Jorma Ollila ( Nokia) et José Manuel Barroso (président de la Commission européenne 2004-2014).
Autres exemples de Young Global Leaders influents :
Princesse héritière Victoria de Suède Prince héritier Haakon de Norvège Prince héritier Fredrik de Danemark Prince Jaime de Bourbon de Parme, Pays-Bas Princesse Reema Bint Bandar Al-Saud, ambassadrice d'Arabie saoudite aux États-Unis Jacinda Arden, Premier ministre, Nouvelle-Zélande Alexander De Croo, Premier ministre, Belgique Emmanuel Macron, président français Sanna Marin, Premier ministre, Finlande Carlos Alvarado Quesada, président, Costa Rica Faisal Alibrahim, ministre de l'Économie et de la Planification, Arabie saoudite Shauna Aminath, Ministre de l'environnement, du changement climatique et de la technologie, Maldives Ida Auken, députée, ancienne ministre de l'Environnement, Danemark (auteur du tristement célèbre article "Welcome To 2030 : I Own Nothing, Have No Privacy And Life Has Never Been Better") Annalena Baerbock, ministre fédérale des Affaires étrangères, présidente de Bündnis 90/Die Grünen, Allemagne Kamissa Camara, ministre de l'Economie numérique et de la Planification, Mali Ugyen Dorji, ministre de l'Intérieur, Bhoutan Chrystia Freeland, vice-première ministre et ministre des Finances, Canada Martín Guzmán, ministre des Finances, Argentine Muhammad Hammad Azhar, ministre de l'Énergie, Pakistan Paula Ingabire, Ministre des technologies de l'information et de la communication et de l'innovation, Rwanda Ronald Lamola, Ministre de la justice et des prisons, Afrique du Sud Birgitta Ohlson, ministre des Affaires de l'Union européenne 2010-2014, Suède Mona Sahlin, chef du parti social-démocrate 2007-2011, Suède Stav Shaffir, chef du Parti vert, Israël Vera Daves de Sousa, ministre des Finances, Angola Leonardo Di Caprio, acteur et militant pour le climat Mattias Klum, photographe et écologiste Jack Ma, fondateur d'Alibaba Larry Page, fondateur de Google Ricken Patel, fondateur d'Avaaz David de Rothschild, aventurier et écologiste Jimmy Wale, fondateur de Wikipédia Jacob Wallenberg, président de l'investisseur Niklas Zennström, fondateur de Skype Mark Zuckerberg, fondateur de Facebook
Dès le départ, l'objectif a été « d'identifier et de faire avancer un programme mondial tourné vers l'avenir qui se concentre sur les questions à l'intersection des secteurs public et privé ».
Les partenariats public-privé sont l'une des pierres angulaires de la philosophie du Forum économique mondial. C'est-à-dire une coalition entre l'État et les grandes entreprises (également appelée corporatisme) dans le but de résoudre « plus efficacement » les problèmes mondiaux. La sélection des dirigeants reflète clairement cette aspiration.
Le groupe Young Global Leaders a d'abord été chargé d'identifier les grands défis du 21e siècle. siècle à identifier. Ceux-ci comprenaient la paix, l'environnement, l'éducation, la technologie et la santé - des domaines que ces futurs dirigeants pourraient utiliser politiquement, économiquement et culturellement dans le nouveau millénaire.
Les partenaires des 2000 Global Leaders of Tomorrow étaient de grandes entreprises mondiales telles que The Coca Cola Company, Ernst & Young, Volkswagen et BP Amoco. Ceux-ci pourraient contribuer à l'agenda en "jouant un rôle actif dans le développement et la mise en œuvre du concept du projet GLT". Les partenaires peuvent ainsi participer activement au développement des programmes GLT ; Des représentants des entreprises partenaires et leurs invités sont conviés aux rencontres GLT… « Depuis que les Global Leaders of Tomorrow se sont transformés en Young Global Leaders en 2004, des partenaires tels que la Fondation Bill & Melinda Gates, Google et JPMorganChase (avec des alumni du programme ) impliqués en tant que sponsors.
La conséquence ultime des partenariats public-privé et de ces zones cibles est la création d'un contrat social largement tyrannique dans lequel l'individu est subordonné à ces intérêts puissants. Même les nobles objectifs de créer un monde meilleur ont été kidnappés. Cela devient particulièrement clair dans le cadre du partenariat entre le WEF et l'ONU et la mise en œuvre des objectifs mondiaux (Agenda 2030) à travers l'application des technologies de la quatrième révolution industrielle.
Cela signifie que les principes démocratiques et la répartition du pouvoir du XXe siècle ont été largement érodés et remplacés par une nouvelle classe mondiale qui façonne notre avenir commun en fonction de ses propres intérêts.
Cela a conduit à une privatisation de facto des gouvernements nationaux et des organisations internationales, les lobbyistes passant du lobby au siège du pouvoir et façonnant les politiques qui affectent directement nos vies. Ce que cela signifie est devenu particulièrement clair depuis la déclaration de la pandémie en mars 2020. En outre, les principaux gestionnaires d'actifs multinationaux tels que BlackRock, dirigé par Larry Fink du Forum économique mondial, ont constamment renforcé leurs positions.
L'analyste et auteur allemand Ernst Wolff estime que de nombreux dirigeants nationaux inclus dans le programme Young Global Leader ont été choisis en raison de leur volonté de mener à bien le programme de verrouillage difficile de ces dernières années sans se poser de questions, et que leur échec à venir (illustré par la croissance mécontentement de masse) servira de prétexte pour créer une nouvelle forme de gouvernement mondial dans laquelle les anciens États-nations deviendront largement obsolètes.
Il existe de nombreuses approches à cet égard, comme celle avec l'OMS, qui doit se voir conférer des pouvoirs dictatoriaux mondiaux grâce à la combinaison du nouveau traité sur la pandémie avec les modifications du Règlement sanitaire international . Cela créerait effectivement un gouvernement mondial sous le contrôle du capital financier, des oligarques occidentaux et de l'industrie pharmaceutique.
Cependant, le WEF n'est pas le seul forum pour façonner et influencer les politiciens de haut niveau. Les Bilderbergers du Conseil des relations étrangères des États-Unis, qui décident également qui devient président des États-Unis, sont connus pour leur influence.
Voici comment la conférence se décrit :
« Créé en 1954, le Bilderberg Meeting est une conférence annuelle destinée à promouvoir le dialogue entre l'Europe et l'Amérique du Nord. Chaque année, entre 120 et 140 dirigeants politiques et experts de l'industrie, de la finance, du travail, du monde universitaire et des médias sont invités à assister à la réunion. Environ les deux tiers des participants viennent d'Europe, le reste d'Amérique du Nord ; environ un quart de la politique et du gouvernement, le reste d'autres domaines.
La dernière réunion a réuni le patron de NEOS Beate Meinl-Reisinger d'Autriche, le patron de Springer Mathias Döpfner et Jörg Kukies d'Allemagne. Les banquiers Andreas Treichl (Erste Bank), Paul M. Achleitner (Deutsche Bank) et le patron de Fast-SPÖ Gerhard Zeiler étaient là. Voici la liste des participants.
L’arrivée des crises économiques, ce que nous dit la théorie
La présentation de l’origine des crises économiques montre la palette importante des causes premières œuvrant pour faire apparaître une crise économique et financière.
le 2 avril 2023 Par Bernard Landais. Un article de Conflits
La faillite de la SVB aux États-Unis et les difficultés du Crédit Suisse en Europe ont relancé les spéculations sur l’arrivée d’une crise économique et financière analogue à celle de 2008. Les derniers mouvements des Bourses d’actions se font aussi plus incertains, loin de l’euphorie des mois précédents. De même, le secteur immobilier commence à rencontrer des difficultés après la période prolongée de gains spéculatifs et de prix hors contrôle.
Que nous apporte la théorie économique sur ces perspectives de crise ? Je donne ici un point de vue, principalement étayé sur le modèle macroéconomique « Océan » publié dans l’un de mes ouvrages récents, Les Fluctuations économiques.
Même s’il ne faut pas abuser du terme, la crise est parfois au rendez-vous pour la plupart des économies mondiales et assez fréquemment synchronisées d’un pays à l’autre. Le modèle Océan a été justement construit pour traiter de cette question en réfléchissant aux conditions de la grande récession économique et financière de 2008-2009 ; il peut donc être suivi pour comprendre la genèse et le déroulement des crises.
Le modèle Océan
Tout d’abord, que veut dire le mot en économie et comment différencier une crise d’une baisse du taux d’expansion ?
Les réponses sont assez attendues : une crise économique est une baisse du PIB pendant une période d’une ou de quelques années et assez forte pour que ses conséquences en matière de faillites, de déclassement du capital, d’emploi et de pauvreté soient durables et graves.
Autrefois, les économistes préféraient parler des cycles et de théorie des cycles parce qu’ils insistaient sur la récurrence quasi mécanique des crises de production à des intervalles à peu près réguliers, mais on peut tourner la page, la régularité dans le temps ayant complètement disparu.
On a pris l’habitude de parler de la Grande Crise des années 1930 ou plus récemment de la Grande Récession de 2008-2009 et on y insiste parce qu’au-delà de leur grande ampleur elles ont été géographiquement ressenties dans tout le monde capitaliste. Quand on étudie les répercussions des crises économiques, on s’aperçoit que les dégâts les plus importants, perte de production, chômage, sont enregistrés quand la crise économique est en même temps une crise financière. Les crises économiques et financières sont donc celles qu’il s’agit d’éviter.
Les crises ne concernent parfois qu’un pays isolé. Pour qu’il en soit ainsi, il faut un pays assez petit et que les causes de la crise soient spécifiques, par exemple un pays mono-exportateur d’un bien quand le prix de ce bien baisse beaucoup ou un pays dont le secteur dominant est affecté par des évènements particuliers ; songeons au cas du Liban contemporain pour son secteur financier.
Contagion
Les crises sont souvent contagieuses et d’autant plus à notre époque où les échanges sont mondialisés. Elles le sont en particulier parce que les systèmes financiers sont interdépendants. Ainsi, en 2008, aucun pays occidental n’a pu se mettre à l’abri de la crise des subprime alors même que l’affaire était totalement américaine au départ. Le poids d’une économie initiant le déséquilibre, ici les USA, est évidemment un facteur primordial de contamination pour les économies étrangères connectées et c’est pourquoi l’alerte actuelle sur son système bancaire est importante. Les crises « économiques et financières » sont donc plus contagieuses parce qu’elles sont financières.
La lecture proposée par Océan correspond à un juste milieu entre le principe de Robert Lucas et celui de Joseph Schumpeter. Pour Robert Lucas « Tous les cycles se ressemblent !». Pour Joseph Schumpeter, il vaut mieux les étudier par la méthode historique parce que, selon lui, les différences d’un épisode à l’autre sont plus marquées que leurs ressemblances.
Causes des crises
Il est clair que la crise financière est une situation dans laquelle les « conditions du crédit », notion mise en avant par le dernier prix Nobel Ben Bernanke et reprises dans le modèle Océan, sont complètement déréglées.
Il existe une nomenclature des crises financières par leurs caractères de départ :
les crises bancaires avec paniques et/ou faillites ; les crises de change, c’est-à-dire l’effondrement de la valeur externe de la monnaie nationale ; les crises de dette souveraines par l’effondrement de la valeur des titres publics et les faillites d’États ; les crises boursières ou krachs boursiers correspondant à des « bulles spéculatives éclatées » ; les crises de restriction monétaire liées à une politique de lutte contre l’inflation ; les crises obligataires.
Les « crises immobilières ne sont pas financières au sens strict mais elles peuvent y conduire très vite comme on l’a vu pour l’épisode des subprime. Parfois, plusieurs types de crise financière se combinent entre elles et la situation est alors d’autant plus grave.
L’équation de détermination du PIB, analysée en détail dans le modèle Océan est évidemment la relation à regarder de près pour expliquer les mouvements réels d’une crise économique. Ce n’est pas qu’une relation de type keynésien à prédominance de demande globale. En effet, parmi les facteurs contribuant à l’évolution de la production et de l’emploi à court terme, on compte à la fois des éléments commandant la demande et des éléments commandant l’offre de production des entreprises.
Dans les deux cas, l’activité dépend d’une large panoplie d’anticipations formées par les uns et par les autres : anticipations du revenu futur, anticipations des profits courants et des profits d’un futur plus lointain, anticipations de la valeur des actifs commandant des effets richesse, anticipations d’inflation et de taux de change réels, anticipations de taux d’intérêt réels… Ce sont les déterminants des fluctuations du produit et de l’emploi.
Ainsi, en jumelant les équations de détermination du produit et du crédit, on a la clef d’explication des crises économiques et financières.
Dans ces deux relations figure en effet toute la gamme des anticipations déjà citées :
Pour le produit ou revenu futur Pour l’inflation future Pour les profits à court terme Pour les profits à moyen terme La valeur des actifs Le risque financier La politique monétaire future
Une crise est susceptible de survenir quand une ou plusieurs des anticipations citées passent dans le rouge avec un pessimisme irrépressible. Si l’on se cantonne aux crises économiques et financières, trois anticipations très sensibles peuvent plus particulièrement déraper :
Les anticipations de profits futurs (4) qui calibrent les investissements.
Les anticipations des valeurs d’actifs (5) : actions, obligations privées et publiques, immobilier, changes…
Les anticipations de risque financier (6), en gros le défaut de paiement des débiteurs.
Ces anticipations peuvent donc sombrer dans le pessimisme et balayer les investissements et les crédits. C’est l’explication des origines de la crise que propose le modèle Océan, explication qui semble convenir à la situation actuelle du moins pour les deux derniers mécanismes.
Concrètement, le pessimisme peut venir au départ d’un phénomène exogène, guerre, épidémie… ou bien simplement d’un retournement d’humeur après une forte période d’euphorie. On se souvient que dans l’épisode lointain concernant le Système de John Law, les actions de la Compagnie des Indes occidentales avaient beaucoup monté, avec une expansion extrême du crédit de la Banque Royale pour soutenir le mouvement de hausse. Mais les rumeurs portant sur le caractère forcément limité des bénéfices de cette compagnie renversèrent les anticipations et déclenchèrent une descente aux enfers, balayant tout et en particulier la richesse des détenteurs d’actions.
On possède deux éléments sûrs pour raisonner sur les crises : les anticipations sensibles risquent d’autant plus de se retourner vers le pessimisme et la crise qu’elles ont été longtemps trop optimistes.
Pendant parfois plusieurs années, des bulles d’optimisme ôtent aux acteurs leur sens critique et leur prudence, ce qui fragilise les marchés. Certains investissements industriels sont longtemps porteurs de profits assurés qui élèvent le niveau de confiance au-dessus du raisonnable ; mais parfois les derniers entrepreneurs arrivés dans le secteur se trouvent dans une impasse de marchés saturés. Un exemple de cela a été apporté par la crise « asiatique » de 1997 quand les investissements d’immobilier de bureaux ont saturé le marché, notamment en Thaïlande. Remarquons qu’en conséquence, l’un des rôles de l’État et des banques centrales est de prévenir les crises en empêchant les spéculations exagérées et en tempérant les euphories. L’exercice n’est pas facile car les mesures de modération qui sont prises trop tard à cette fin peuvent parfois entraîner le retournement pessimiste que l’on redoute ; le remède est alors pire que le mal !
Les anticipations, sous les sept formes citées au début, sont fortement connectées entre elles et s’influencent mutuellement. L’optimisme est contagieux comme le pessimisme et saute d’une forme d’anticipations à l’autre. Ainsi quand les valeurs d’actifs immobiliers (5) servant de garantie aux prêts hypothécaires sont soupçonnées de baisser beaucoup, les banques vont commencer à ruminer des anticipations pessimistes de la solvabilité de leurs clients d’où une remontée brutale du risque financier (6). De même, si les États sont trop endettés, les anticipations de valeur des obligations d’État risquent toujours de plonger.
C’est pourquoi les banques centrales se portent souvent acheteuses de ces obligations. C’est ce que la BCE a fait aussi préventivement lors de la crise covid de 2020. C’est d’ailleurs à cette occasion qu’elle a émis des quantités de monnaie par ses procédures de quantitative easing.
Quelques considérations finales
La présentation de l’origine des crises montre la palette importante des causes premières œuvrant pour faire apparaître une crise économique et financière, essentiellement un retournement pessimiste pour une anticipation sensible. Le choc initial est presque toujours proche de l’une des anticipations présentes dans la détermination du produit et/ou des conditions de crédit.
La période de prévention des crises est généralement forclose bien avant qu’une crise n’éclate. Il est souvent trop tard pour contraindre des anticipations trop optimistes dans les différents domaines : profits futurs, produit futur, confiance financière, valeurs des actifs… Pire, essayer de les bloquer est un risque de déclenchement. Dans la situation présente (mars 2023) c’est donc déjà trop tard. Plus question de vacciner, privilégier le traitement…
Ainsi, les banques centrales se sont aguerries face aux désordres financiers ; la crise de 2008 a montré l’efficacité de sa riposte face à une crise financière, les banques centrales les plus rapides (US) s’étant d’ailleurs plus facilement tirées d’affaire que celles qui avaient attendu (BCE). Le traitement des crises financières est mieux connu et efficace…
Pour en terminer avec les risques de ce mois de mars, deux remarques : si les États-Unis représentent comme en 2008 le principal danger, souvenons-nous qu’après 2007, certaines institutions financières avaient été secourues dans de bonnes conditions et que le non-soutien de Lehmann Brothers ne s’expliquait pas forcément par des raisons purement économiques. Si de telles motivations un peu troubles se renouvelaient pour une banque plus grande que SVB, dans un contexte de politique intérieure tendu, tout pourrait à nouveau se dégrader. En clair, la Réserve fédérale n’est pas « politiquement pure » !
Enfin, rappelons la règle quasi biblique mise en avant par Ludwig Von Mises :
« Nul économiste ne sait ni le jour ni l’heure d’une crise économique et financière ».
D’un côté est le tas de foin prêt à s’enflammer, de l’autre est l’allumette qui lui tourne autour. Personne ne sait si et à quel moment elle peut y mettre le feu.
Pr Bernard Landais auteur de : Fluctuations économiques, L’Harmattan, 2017.
Dans les causes de ce qui se passe il est regrettable que le Pr Bernard Landais n'ait parlé de la véritable ! LA cause véritable est le fruit d'une inattention, d'une incapacité du savoir-faire, voire de la débilité de certains 'économistes' ! Car, ce n'est PAS la faute du Peuple qui travaille (trop ou pas assez) ou de sa consommation (trop ou pas assez) mais bien au manque de cervelle de ceux qui se disent de gouverner !
La France et l’Europe ont sombré dans la poubelle de l’histoire, c’est écœurant !
le 2 avril 2023
L’adoption par l’Assemblée nationale française d’un texte qualifiant l’Holodomor comme un génocide orchestré par Staline m’a conduit à enfin écrire un texte issu de la lecture du livre de Douglas Tottle, syndicaliste canadien et journaliste dont la publication est bien antérieure aux évènements de Maïdan. Ce livre publié en 1987, peu avant la chute de l’Union soviétique, retrace d’abord longuement la propagande orchestrée par William Hearst, magnat de la presse américaine, pour discréditer l’Union soviétique, montrant des photos truquées datant de la famine de 1922 qui sévit pas seulement en Ukraine mais également dans toute la plaine russe globalement à l’ouest de l’Oural. Cette propagande a ensuite été reprise par Paul Getty, également un oligarque de la presse américaine, dans un contexte de chasse aux communistes, la grande époque du Maccarthysme. Les liens entre les Etats-Unis et le Canada avec l’Ukraine qui eurent lieu à l’issue de la deuxième guerre mondiale avec la prise en charge de dizaines de milliers de réfugiés ukrainiens sympathisants du régime nazi durant les trois années durant lesquelles les troupes allemandes stationnèrent dans le pays comme base arrière du conflit entre l’Allemagne et l’Union soviétique conduisit à l’accueil de ces exterminateurs de centaines de milliers de juifs sur le sol ukrainien avec la complicité de la Pologne. Ces criminels de guerre ukrainiens échappèrent aux procès organisés par les alliés et furent ainsi exfiltrés au Canada et aux USA sans que qui que ce soit réagisse. L’affaire des nazi ukrainiens fut donc étouffée par les Américains.
L’Holodomor, période de sécheresse qui dura deux saisons de semis et de récoltes, fut déformé par pure idéologie anti-soviétique des Américains avec la complicité des Canadiens … et du régime nazi allemand qui facilita la fuite des nazis ukrainiens devant l’avancée des soviétiques en direction de Berlin en 1944 alors qu’ils avaient accueilli les allemands en libérateurs dès leur arrivée sur le sol ukrainien. C’est l’histoire telle qu’elle figure dans les archives déclassifiées, un point c’est tout.
Le déroulement de cet épisode explique la persistance de l’idéologie nazie anti-russe qui a perduré en Ukraine depuis 1942 jusqu’à aujourd’hui et c’est indéniable. Les Polonais adoptèrent la même attitude lors de l’arrivée de l’armée hitlérienne puisque le pays avait disparu après la chute de l’empire austro-hongrois, souvenez-vous. Et ceci explique la collaboration des Polonais avec l’Allemagne nazie pour exterminer les juifs et les tziganes avec un zèle jamais atteint par les Allemands eux-mêmes. Il faut relire l’histoire depuis la première guerre mondiale pour comprendre le présent …
La propagande américano-britannique a tout de suite revendiqué la victoire à l’issue de la chute du régime hitlérien mais en réalité ce sont les soviétiques qui furent les vrais victorieux au prix d’un sacrifice humain sans précédent dans aucune guerre. L’histoire a ainsi été arrangée par les Américains et les Anglais qui ont toujours, depuis la révolution de 1917, été viscéralement anti-soviétiques puis anti-russes après la chute de l’Union soviétique. À l’occasion des évènements ukrainiens ces activistes américains anti-russes ont ressorti l’Holodomor pour attiser leur haine qui ne s’est jamais éteinte depuis William Hearst dans les années 1930. Ne cherchez pas d’informations avec Wikipedia en anglais ou en français tout a été caviardé pour être compatible avec l’idéologie anti-russe qui prévaut actuellement. Dans la réalité des faits, l’Holodomor sévit tant en Ukraine que dans toute la plaine russe située à l’ouest de l’Oural et cette sécheresse persistant durant deux années consécutives fit globalement 7 millions de victimes de la faim se répartissant pour moitié entre l’Ukraine annexée à l’époque par l’Union soviétique et la Russie proprement dite. La réforme agraire avec l’extermination de centaines de milliers de koulaks fut un facteur aggravant mais ce ne fut pas un facteur décisif dans cet épisode. Il faut rappeller au passage que cette sécheresse affecta l’Inde occasionnant plus de 25 millions de morts et le dévastateur « dust-bowl » dans le Middle West américain ces mêmes deux années.
Instrumentaliser à des fins politiques ou idéologiques le climat est devenu aujourd’hui chose courante mais instrumentaliser une sécheresse qui provoqua une famine finalement localisée et mise en exergue au sujet de l’Ukraine est une déformation de l’histoire à des fins politiciennes abjectes. Il n’est pas étonnant que les députés français ignorent l’histoire mais elle a été réécrite par les vainqueurs auto-proclamés de la deuxième guerre mondiale qui ont oublié les 25 millions de morts du côté du front russe. C’est scandaleux et indigne des représentants du peuple français qui a le droit de connaître la vérité de l’histoire. J’exprime ici mon dégout total du monde politique français et je jure à mes lecteurs que je ne remettrai jamais les pieds dans ma terre natale !
Liens : https://arretsurinfo.ch/lassemblee-nationale-qualifie-de-genocide-lholodomor/ et https://www.youtube.com/watch?v=hPFqU-ua-qw
Note. Ce n’est pas parce que Annie Lacroix-Riz est estampillée comme communiste qu’il faut dénigrer son analyse d’historienne méticuleuse et férue d’archives incontestables. Il ne faut pas non plus prétendre que sa présentation devant l’Association Dialogue Franco-russe est de la propagande, non ! C’est de l’histoire à l’état pur que les députés français n’ont pas pris la peine de relire devant un texte qui est, lui, de la propagande.
Mais dans le même registre de la désinformation il y a pire encore. Le tribunal pénal international de La Haye a été créé concrètement en juillet 2002 pour juger des personnes physiques ou des États pour génocide, crime contre l’humanité, crime d’agression armée d’un État et crime de guerre. Dès 2002 dix-sept dossiers ont préoccupé ce tribunal reconnu par seulement 123 pays dans le monde dont la totalité des pays de l’Union européenne. De nombreux pays et non des moindres n’ont pas ratifié le traité créant ce tribunal et parmi eux les USA, la Russie, la Chine, l’Inde, Israël, le Soudan. Cette institution s’intéresse donc à des personnes et des États avec une arrière pensée politique. Le cas de la prise de position de ce tribunal au sujet du Président russe Vladimir Poutine est un exemple de la dérive idéologique dans laquelle a sombré cette institution. Inutile de rappeler les démêlés de l’ancien chef d’Etat yougoslave puisque ce tribunal ne pouvait pas accuser les Etats-Unis de crime de guerre pour avoir bombardé la ville de Belgrade pendant 68 jours consécutifs, les Etats-Unis n’ayant pas ratifié le traité de création de cette entité juridique internationale.
La plainte déposée par ce tribunal à l’encontre du chef de l’État russe est rocambolesque et strictement politique. Il s’agit de la « déportation » de plusieurs centaines d’enfants orphelins du Donbass vers la Russie qui avaient été abandonnés à leur sort au début de l’opération spéciale russe par les autorités de Kiev. Il faut situer cette histoire dans son contexte. Il existe de nombreux orphelins en Ukraine et cela ne date pas du conflit actuel. Les orphelins ukrainiens sont très recherchés par des officines non officielles comme source d’organes sur le « dark web ». Le foie ou les reins d’un jeune adolescent représentent une fortune avec un confortable plus value si le groupe lymphocytaires est proche de celui du receveur. En Ukraine ce type de business s’est développé dès la chute de l’URSS pour la plus grande satisfaction de certains pays développés qu’il est inutile de nommer dont des ressortissants sont prêts à payer une véritable fortune pour obtenir un organe humain en parfait état acheminé par jet privé puis hélicoptère à destination. La vie n’ayant pas de prix un rein avec groupe lymphocytaire compatible peut se négocier jusqu’à un million de dollars non compris les frais d’acheminement et je ne parle même pas du prix d’un foie ou d’un poumon. La vie de l’orphelin anonyme ukrainien qui a été sacrifié pour ce business n’a, elle, aucune valeur, « business is business ». En conclusion le Président russe est accusé pour avoir sauvé la vie d’orphelins. On nage dans la propagande occidentale la plus sordide. Cette histoire me rappelle un film dystopique terrible de Mark Romanek, un réalisateur américain spécialisé dans la réalisation de films musicaux, sorti sur les écrans en 2010, « Never Let Me Go », inspiré du roman de fiction de Kazuo Ishiguro, originaire de Nagazaki, dont l’intrigue est une sorte d’élevage d’orphelins qui servent de pourvoyeurs d’organes destinés à être greffés sur d’autres êtres humains jusqu’au prélèvement du cœur ou du foie qui leur est fatal. On peut presque imaginer que ce film a encouragé le régime de Kiev a tolérer le même genre de business, mais compte tenu de la corruption de ce pays on ne peut plus d’étonner de quoi que ce soit …
Scandale d’Etat en France : en plein scandale McKinsey, l’Etat débloque 375 millions d’euros pour 7 cabinets de conseil
By Cheikh Dieng 3 avril 2023
Une information totalement passée sous silence mais révélée par le média Consultor, spécialisé dans des questions liées aux conseils de stratégie. D’après ce média, l’Union des groupements d’achats publics (UGAP) qui dépend du ministère des Finances, donc de l’Etat, a mis sur les rails un marché de 375 millions d’euros consacrés aux cabinets de conseil. Une information qui tombe au moment où l’Etat est visé par une enquête concernant ses liens avec McKinsey
Lecourrier-du-soir.com vous invite à lire l’article dans sa version intégrale
Excellente lecture
« Sept cabinets ont été sélectionnés pour le lot de conseil en stratégie d’un montant initial de 25 millions d’euros et dont la valeur pourra aller jusqu’à 75 millions d’euros. En parallèle, trois lots de conseil en organisation, finance ou immobilier ont été attribués.
L’Union des groupements d’achats publics (UGAP), qui centralise auprès de ministères, collectivités territoriales et établissements hospitaliers, les commandes à des centaines de fournisseurs, vient de rendre publics les sept cabinets de conseil sélectionnés pour accompagner les réflexions stratégiques des clients de la centrale sur les prochaines années.
Et ce, avec quelques mois de retard que le contexte de polémique autour du recours aux cabinets de conseil dans le secteur public en France explique très probablement. L’UGAP avait en effet lancé le 22 octobre 2021 le renouvellement du marché. Il devait clôturer en décembre 2021, et les attributaires être connus en avril 2022. Le marché aura finalement été conclu en juillet et l’attribution publiée le 13 août.
Ainsi que Consultor l’avait annoncé (relire notre article), PwC est le mandataire du marché. Trois cotraitants sont sélectionnés avec lui : l’ADIT, Havas Paris et Landot & associés. Des noms qui peuvent surprendre sur un lot de conseil en stratégie dont ils ne sont a priori pas des spécialistes.
Tous quatre pourront intervenir seul ou ensemble sur des sujets tels que l’accompagnement des 100 premiers jours des nouveaux maires (comme ce fut le cas lors du précédent marché – voir notre article), ou sur la stratégie de vente en ligne de l’UGAP, la centrale ayant eu elle-même recours aux services de McKinsey.
Ces quatre cabinets sont au rang 1 du marché, c’est-à-dire qu’ils auront la primeur de toutes les missions de conseil en stratégie via l’UGAP. Puis viendront les cabinets de rang 2, en cas de défaillance au rang 1.
Au rang 2, on retrouve McKinsey et Eurogroup, des noms plus familiers en matière de conseil en stratégie dans le secteur public. Le cabinet d’avocats Seban & Associés est également retenu.
Lors du précédent marché (2019-2022), McKinsey (mandataire) et Eurogroup Consulting (cotraitant) avaient été choisis au rang 1 du lot de conseil en stratégie. Avaient également été retenus au rang 2 Ernst & Young Advisory en tant que mandataire, et le Boston Consulting Group et KPMG comme cotraitants. Roland Berger avait été retenu au rang 3.
McKinsey et Eurogroup restent donc présents sur le nouveau marché mais au rang 2 – et exit tous les autres.
Les prestations de conseil sont plutôt récentes pour l’UGAP, la centrale qui a été créée en 1968. En 2012, elle a lancé son premier marché de prestations intellectuelles informatiques. En 2016, elle lançait un marché de conseil en organisation (dont Eurogroup était mandataire). Un dernier marché qu’elle reconduisait en 2019 en le divisant en quatre segments : conseil en organisation, conseil immobilier, conseil financier et conseil en stratégie.
Les prestations intellectuelles et les prestations intellectuelles informatiques représentaient 207 millions d’euros d’achats via l’UGAP en 2018, sur un total de 3,39 milliards d’euros d’achats. Dans cet ensemble, le marché de conseil en organisation confié à Eurogroup en 2016 jusqu’en 2019 cumulait 17 millions d’euros de commandes par an (soit 8 % des prestations intellectuelles et les prestations intellectuelles informatiques).
En 2020, les prestations intellectuelles et les prestations intellectuelles informatiques représentaient 253 millions d’achats, toujours via l’UGAP. Sur ce montant, seulement 50 millions sur le conseil en stratégie, organisation, finance et immobilier (19 % du total des prestations intellectuelles). Dans cet ensemble, le conseil en stratégie restait ultra marginal, avec 12 millions d’euros sur quatre ans.
Une Française encourt une amende de 13 000 $ pour avoir posté sur Facebook qualifiant le président Macron de "saleté"
PAR TYLER DURDEN LUNDI 03 AVRIL 2023 - 11:00 Rédigé par Christina Maas via ReclaimTheNet.org,
Dans un cas sans précédent, une femme du nord de la France devrait être jugée pour avoir prétendument insulté le président Emmanuel Macron sur les réseaux sociaux.
L'incident s'est produit lorsque la femme a qualifié Macron de "saleté" dans un message Facebook.
Si elle est reconnue coupable, elle pourrait être giflée d'une lourde amende de 12 000 €, bien que la peine de prison ne soit pas sur la table. Le procès doit avoir lieu en juin.
L'arrestation de la femme a eu lieu vendredi dernier, à la suite d'une plainte déposée par le bureau administratif local en réponse à sa publication sur Facebook.
Le procureur de Saint Omer, Mehdi Benbouzid, a confirmé l'arrestation et fourni des précisions à l'AFP. Le message Facebook en question a été publié le 21 mars, la veille de l'interview télévisée de Macron avec TF1, où il a défendu ses projets controversés de réforme des retraites qui ont suscité des manifestations dans tout le pays.
Dans son post Facebook, la femme avait écrit : « l'ordure va vous parler demain à 13 h pour les gens qui ne sont rien, c'est tjs à la télé que l'on trouve les ordures ».
L'accusée, une femme d'une cinquantaine d'années, a participé activement aux manifestations des "gilets jaunes" qui ont défié Macron lors de son premier mandat.
Accusée d'« insulte au président de la république », la femme doit être jugée à Saint Omer le 20 juin. S'adressant au journal régional La Voix du Nord, la femme a exprimé son incrédulité face aux accusations, déclarant : « Ils veulent faites de moi un exemple.
Identifiée comme Valérie par le journal, elle a raconté son choc en découvrant que des policiers étaient arrivés chez elle pour l'arrêter.
"Je leur ai demandé si c'était une blague, je n'avais jamais été arrêtée", a-t-elle déclaré. "Je ne suis pas l'ennemi public numéro un."
PAR TYLER DURDEN LUNDI 03 AVRIL 2023 - 06:00 Rédigé par Jeffrey Tucker via DailyReckoning.com,
Wall Street Journal a mené un sondage avec les résultats les plus intéressants.
De 1998 à nos jours, le pourcentage d'Américains qui disent que le patriotisme est une valeur importante est passé de 70 % à 38 %. L'essentiel de la chute s'est produit depuis 2019.
Plus de résultats seront discutés dans un instant, mais concentrons-nous d'abord sur cette question du patriotisme.
Le sondage ne définit pas pour les répondants ce qu'est le patriotisme mais réfléchit sur le mot. Cela peut signifier l'amour du pays et de la patrie. C'est peut-être vrai que cela a baissé. C'est crédible puisque les États-Unis en trois ans ont cessé de placer la liberté comme premier principe.
En effet, il existe un mouvement culturel croissant, s'étendant du milieu universitaire au grand public, qui encourage la haine de l'histoire américaine et de ses réalisations. Aucun « père fondateur » n'est à l'abri d'être appelé les pires noms possibles. La haine de ce pays est devenue une norme attendue.
Mais le problème est encore plus profond.
Lorsque vous êtes enfermé chez vous, votre entreprise est fermée, votre église est fermée, vos voisins vous crient de vous masquer, puis les médecins vous attaquent avec des injections que vous ne voulez pas, et vous êtes en outre empêché de quitter le pays à n'importe où sauf au Mexique, et le président appelle les ennemis non vaccinés du peuple, bien sûr, on peut imaginer que les affections pour la patrie déclinent.
Les Américains ont perdu confiance en leurs institutions
Mais il y a un autre pilier important du patriotisme. Il s'agit de la confiance dans les institutions civiques du pays. Il s'agit notamment des écoles, des tribunaux, de la politique et de toutes les institutions gouvernementales à tous les niveaux.
La confiance civique dans ceux-ci est sûrement au plus bas. Les tribunaux ne nous ont pas protégés. Les écoles ont fermé, en particulier les écoles publiques, qui sont censées être le couronnement de l'idéologie progressiste. Nos médecins se sont retournés contre nous.
Et disons que nous considérons les médias comme faisant partie de la culture civique. Il en est ainsi depuis au moins les Fireside Chats de FDR. Il a toujours été le porte-parole de ce à quoi nous sommes censés penser en tant que peuple.
Les médias se sont également tournés vers les gens ordinaires pendant trois ans, qualifiant nos fêtes d'événements de super diffusion, se moquant des pasteurs qui tenaient des services de culte, diabolisant les concerts en direct et criant à tout le monde de rester à la maison et de rester collé au tube.
Pourtant, dans le même temps, ils ont encouragé des manifestations de masse à la suite de la mort de George Floyd. Pensez à la logique, ou à son absence.
Oui, de telles bouffonneries diaboliques ont tendance à diminuer le respect du public pour toutes les institutions impliquées, en particulier lorsque les objections à ces politiques ont été censurées par toutes les institutions auxquelles nous étions censés confier nos données et nos réseaux d'amis. Ils se sont également avérés être entièrement détenus.
Le nouveau patriotisme
Pendant tout ce temps, le soutien public au patriotisme a été abusé pour nier les droits et libertés fondamentaux. Le patriotisme était censé signifier rester à la maison et rester en sécurité, se masquer, s'éloigner de la société, se conformer à chaque édit aléatoire, aussi ridicule soit-il et finalement se faire piquer une fois, deux, trois fois et plus pour toujours, malgré le manque de vulnérabilité médicale pour de vastes pans de le public.
La Constitution est restée lettre morte pendant un temps. Il l'est toujours, car les visiteurs d'autres pays ne peuvent même pas entrer dans nos frontières de peur qu'ils ne se soumettent eux aussi aux clichés réalisés et distribués par des entreprises qui fournissent la moitié du budget des agences obligeant tout le monde à se conformer.
Et tout cela était censé être nécessaire en raison de ce qui était évidemment une infection respiratoire saisonnière, un fait que nous savions au moins un mois avant le début des fermetures. Nous pourrions lire à ce sujet dans tous les lieux grand public.
Ne paniquez pas, ont-ils dit, faites simplement confiance à votre médecin. Mais avec les blocages, ils ont également retiré au médecin la liberté de traiter les patients avec des thérapeutiques connues pour être efficaces contre exactement ce type de virus.
Au lieu de cela, nous étions censés suspendre toute vie normale et attendre l'antidote magique qui était censé être en route. Lorsqu'il n'est arrivé qu'après le renversement du président détesté, il s'est avéré qu'il ne s'agissait pas du tout d'un antidote.
Au mieux, c'était un palliatif temporaire contre des conséquences graves. Cela n'a certainement pas arrêté l'infection ou la propagation. Tout cela s'est produit de toute façon, ce qui montre que les énormes sacrifices consentis au nom du patriotisme n'ont servi à rien.
Foi perdue
Nous ne devrions en aucun cas être surpris que le public ne se sente pas très patriote ces jours-ci. Et oui, c'est très triste à bien des égards. Mais c'est aussi ce qui se passe lorsque le patriotisme est détourné par l'État et l'industrie pour briser nos espoirs et nos rêves.
Nous avons tendance à apprendre de nos erreurs. Ainsi, lorsque les sondeurs viennent nous demander si nous nous sentons patriotes, il n'est pas rare que les gens répondent : Pas vraiment.
Et nous pourrions dire la même chose à propos de l'autre résultat du sondage : l'importance de la religion est passée de 62 % en 1998 à 39 % en 2022. Encore une fois, l'essentiel du crash s'est produit après 201
- voir graph sur site - (Patriotisme, religion, avoir des enfants, implication de la communauté, monnaie)
Et nous pourrions dire la même chose à propos de l'autre résultat du sondage : l'importance de la religion est passée de 62 % en 1998 à 39 % en 2022. Encore une fois, l'essentiel de l'effondrement s'est produit après 2019. Il ne fait aucun doute que la nation était déjà laïque.
Mais que devons-nous penser lorsque deux saisons successives de Pâques et de Noël (ou n'importe quelle fête que vous célébrez) ont été annulées par les élites civiques avec la pleine coopération du courant dominant des chefs religieux ?
Tout l'intérêt de la religion est d'aller au-delà du monde banal de la culture civique dans le domaine du transcendant afin de voir et de vivre selon la vérité. Mais lorsque les préoccupations transcendantes sont remplacées par la peur et la conformité laïque, la religion perd sa crédibilité.
Si vous voulez trouver des gens qui croient encore, vous pouvez le faire dans des groupes qui sont vraiment sérieux au sujet de la foi : les hassidim, les amish, les catholiques traditionalistes et les mormons. Mais dans les dénominations principales, pas tellement. Comme les médias, la technologie et le gouvernement, ils se sont également avérés capturés.
Les jeunes ne veulent même plus d'enfants
Dans les résultats finaux du sondage, l'importance d'avoir des enfants est passée de 59 % à 39 % et l'importance de l'engagement communautaire a culminé à 62 % au plus fort des confinements pour tomber à 27 %.
Encore une fois, le coupable ici semble assez évident : c'était la réponse à la pandémie. Toutes les politiques ont été structurées pour briser les relations humaines. Les gens ne sont que des vecteurs de maladies. Restez loin de tout le monde. Ne devenez pas un super-diffuseur en osant traîner avec les autres. Être seul. Être seul. C'est la seule bonne façon.
Enfin, parmi les seules choses qui montent, il y a l'importance de l'argent. C'est probablement parce que le revenu réel a diminué pendant la majeure partie de deux ans et que l'inflation sape notre niveau de vie.
Une fois de plus, les politiques pandémiques sont coupables. Ils ont dépensé des billions et les imprimeurs d'argent ont égalé cette dépense de près d'un dollar pour un dollar, diluant la valeur d'une monnaie auparavant fiable.
Nous avons besoin d'une comptabilité honnête
Le problème avec l'enquête n'est pas les chiffres mais l'interprétation. Cela est perçu comme un étrange brouillard de nihilisme et de cupidité qui s'est mystérieusement glissé sur la population, comme s'il s'agissait d'une tendance entièrement organique sur laquelle personne n'a aucun contrôle. C'est faux. Il y a une cause précise et tout cela est lié aux mêmes politiques flagrantes sans précédent.
Nous n'avons toujours pas d'honnêteté sur ce qui s'est passé. Et jusqu'à ce que nous l'obtenions, nous ne pouvons pas réparer les graves dommages causés à la culture ou à l'âme nationale.
Nous vivons en temps de crise, mais cette crise a une cause identifiable et donc une solution.
Tant que nous ne pourrons pas en parler franchement, la situation ne peut qu'empirer.
La France dans le monde : un pays riche en régression
Voici un petit panorama de notre pays, ne prétendant nullement à l’exhaustivité mais qui constitue une approche quantitative objective.
le 3 avril 2023 Patrick Aulnas
Comment se situe la France dans le monde et parmi les pays de l’OCDE ?
La réponse à cette question est fournie par les statistiques de la Banque mondiale, qui sont extrêmement riches. Voici un petit panorama de notre pays, ne prétendant nullement à l’exhaustivité mais qui constitue une approche quantitative objective. Les quelques remarques suivant les graphiques peuvent être discutées ou ne pas être partagées du tout. Le commentaire d’une statistique économique devient vite politique…
PIB par habitant : appauvrissement en cours
- voir graph sur site -
France Monde OCDE PIB par habitant en 2021 en dollars 43 659 12 236 42 447
Pour la France, le point le plus haut est atteint en 2008 avec 45 516 dollars par habitant. Pays riche, la France se situe juste au niveau de la moyenne des pays de l’OCDE pour la production par habitant mais elle stagne depuis 2008.
Commerce extérieur : plongée abyssale
- voir graph sur site -
Un excédent de 43,77 milliards de dollars était constaté en 1997 (point le plus haut). Le déficit extérieur commence en 2006 avec 5,41 milliards de dollars. En 2021, il est de 57,45 milliards. Nous ne sommes plus compétitifs, ce qui explique l’appauvrissement constaté précédemment avec la baisse du PIB par habitant.
Dette publique : l’escalade
- voir graph sur site -
Rappelons que la dette publique était de 20 % du PIB en 1980.
L’arrivée au pouvoir des socialistes en 1981 (présidence Mitterrand) a été une catastrophe pour les finances publiques. Nous ne nous en sommes jamais remis. En 1995, à la fin du règne de Mitterrand, la dette atteignait 55 % du PIB. Elle restait encore à 59,5 % du PIB en 2007. Sa croissance est ensuite rapide et constante. Elle atteint 123 % du PIB en 2020. Nous n’avons pas surmonté à cet égard la crise de 2008 et nous vivons à crédit, au-dessus de nos moyens.
Mais pour combien de temps ? Nous ne sommes d’ailleurs pas les seuls puisque, pour 2020, la moyenne des pays de l’OCDE est de 129,3 %. Le basculement du monde vers l’Asie remet en cause la suprématie économique occidentale. Mais la classe politique des pays riches n’ose pas affronter son opinion publique et lui promet toujours des prestations publiques financées en empruntant.
Chômage : nette amélioration
- voir graph sur site -
En 1994 et 1997, la France atteint un taux de chômage record de 12,6 % de la population active pour redescendre ensuite.
En 2015, le taux remonte à 10,4 % mais diminue constamment depuis pour atteindre 7,9 % en 2021. Des pénuries sectorielles de main-d’œuvre apparaissent même dans certains secteurs comme l’informatique. Notre système de formation doit être adapté. Pour l’ensemble du monde, comme pour les pays de l’OCDE, la moyenne était de 6,2 % en 2021.
Pauvreté relative : assez bien
- voir graph sur site -
Le décile le plus pauvre de la population recevait 3,5 % des revenus en 2005 et 3,2 % en 2018.
Ce léger appauvrissement relatif des moins favorisés est à mettre en relation avec la baisse du PIB par habitant et le déficit de la balance des biens et services. Lorsqu’un pays est en déclin économique, les plus pauvres, moins bien formés, s’en sortent moins bien que la moyenne. Comparativement, nous n’avons pas à rougir du sort réservé en France aux plus pauvres. Aux États-Unis, les 10 % les plus pauvres ne reçoivent que 1,8 % des revenus et 3,1 % en Allemagne.
Espérance de vie à la naissance : le privilège des riches
- voir graph sur site - (notation de 70, 72, 74, 76, 78, 80, 82, 84 ans)
Les Français sont des privilégiés sur notre petite planète. De 70 ans en 1960, l’espérance de vie est passée à 83 ans en 2019. Elle baisse à 82 ans en 2020 sous l’effet de la pandémie de Covid-19. Le chiffre est de 72 ans pour le monde et de 79 ans pour les pays de l’OCDE.
L’espérance de vie est un indicateur majeur de développement économique. Dans les pays riches, les dépenses de santé augmentent en général plus vite que le PIB, ce qui évidemment ne peut pas être éternel. L’Afrique subsaharienne se situe à 61 ans, chiffre mondial le plus faible par grandes zones géographiques.
La France demeure un pays riche dans lequel la production par habitant est très importante et l’espérance de vie élevée. Le pays a cependant accumulé une énorme dette publique qui n’a pas été utilisée en vue de l’investissement mais pour maintenir artificiellement le niveau de vie de la population. Il s’agit d’un choix politique de gauche, initié à partir des années 1980, qui se heurtera tôt ou tard aux fondamentaux de l’économie. Parmi ceux-ci, la capacité exportatrice est particulièrement révélatrice car elle rend compte de l’attractivité internationale de la production. La France décline de façon extrêmement inquiétante dans ce domaine. Le beau pays de France, perçu comme frivole à l’étranger, doit cesser de rêvasser à la magie politique, parfois même à la révolution, et se mettre au travail.
Horreur du week-end: le nombre de morts s'élève à 32 après l'épidémie de tornade dans le Midwest et le sud
PAR TYLER DURDEN LUNDI 03 AVRIL 2023 - 15:10
Les habitants du Sud et du Midwest se réveillent lundi matin pour évaluer la destruction causée par de puissantes tempêtes qui ont engendré des dizaines de tornades au cours du week-end, tuant au moins 32 personnes, selon AP News.
"Alors que nous évaluons encore l'étendue des dégâts, nous savons que des familles à travers l'Amérique pleurent la perte d'êtres chers, attendent désespérément des nouvelles d'autres qui se battent pour leur vie et trient les décombres de leurs maisons et de leurs entreprises", a déclaré le président. Biden a déclaré dimanche dans un communiqué.
La violente épidémie de tempête a commencé vendredi, qui a touché au moins sept États et a entraîné au moins 50 rapports de tornade. Ces tornades ont détruit des maisons, des entreprises et des infrastructures.
Il y a eu 15 décès liés aux conditions météorologiques dans le Tennessee. Dans l'Arkansas, au moins cinq personnes ont perdu la vie, incitant le président Biden à approuver une déclaration d'urgence à la suite des tempêtes qui ont touché Little Rock et d'autres régions de l'État. Cinq autres personnes sont mortes dans l'Indiana, tandis que quatre personnes ont péri dans l'Illinois. Des décès ont également été signalés en Alabama et au Mississippi; même une personne est morte dans le Deleware après une tornade.
L'évaluation des dégâts est toujours en cours dans plusieurs États touchés par des tornades. Le nombre de morts pourrait continuer d'augmenter lundi.
"J'ai demandé à mon équipe de rassembler tous les éléments du gouvernement fédéral pour répondre aux besoins immédiats et à la reconstruction à long terme. Tôt ce matin, j'ai approuvé une déclaration accélérée de catastrophe majeure pour fournir rapidement une aide fédérale aux habitants de l'Arkansas", Biden a dit.
La dernière épidémie de tornade dans le sud et le Midwest survient une semaine seulement après qu'un puissant tornade a dévasté Rolling Fork, Mississippi, tuant au moins 26 autres personnes et endommageant une grande partie de la petite ville.
Une entreprise américaine signe des accords en Europe pour de petits réacteurs nucléaires
PAR TYLER DURDEN LUNDI 03 AVRIL 2023 - 09:30 Soumis par Leonard Hyman et William Tilles pour Oilprice.com,
La semaine dernière, Last Energy, basé à Washington, DC, a annoncé avoir signé des accords au Royaume-Uni et en Pologne pour trente-quatre petits réacteurs modulaires. Franchement, lorsque nous avons vu le titre pour la première fois, nous avons supposé l'échec éditorial de la presse britannique et nous sommes passés à autre chose. Mais notre première impression était fausse. Ce sont parmi les plus petites conceptions de réacteurs modulaires que nous ayons vues à ce jour, produisant à peine 20 MW d'électricité. L'ensemble des 34 commandes citées ci-dessus équivaut collectivement à environ la moitié d'une centrale électrique à l'échelle du gigawatt, quel que soit son type. En revanche, les réacteurs NuScale proposés produisent 77 MW et le réacteur GE Hitachi BWRX 300 envisagé par TVA pour son site de Clinch River est, comme son nom l'indique, de 300 MW. Mais la taille n'est pas la seule chose qui différencie Last Energy de ses concurrents plus conventionnels. Last Energy est inhabituel en ce sens que son soutien financier provient de bailleurs de fonds libertaires de la Silicon Valley qui ont généralement été décrits dans la presse comme des « perturbateurs ». Le PDG de Last, Bret Kugelmass, a lancé un groupe de réflexion basé à Washington D.C., le Energy Impact Center, « qui cherchait à répondre à la question ultime de notre vie : comment inverser le changement climatique. Le nucléaire est la réponse. Ils ont également parrainé un podcast, "Titans of Nuclear", mettant en vedette de nombreux experts et problèmes dans le domaine. Notre point ici est que cette société ressemble peu à la gamme conventionnelle d'entrepreneurs de la défense soutenus par le gouvernement représentant la plupart des autres technologies SMR. Compte tenu de son expérience, il n'est pas surprenant que Last Energy nous ressemble un peu comme Uber ou WeWork, mais pour les nouvelles bombes nucléaires. Leur objectif noble et louable est d'inverser les impacts du climat en utilisant une technologie nucléaire prête à l'emploi avec un mode de livraison innovant. Leur revendication est de "suivre les meilleures pratiques de l'industrie des énergies renouvelables : mise à l'échelle de la quantité plutôt que de la taille".
Leur offre est un réacteur compact à eau sous pression à boucle unique de 20 MW qui pourrait s'asseoir sur un site de ½ acre. Il utiliserait du combustible nucléaire conventionnel, de l'uranium enrichi à 4,95 % et des barres de combustible standard dans un réseau de 17 par 17. Le temps de construction est estimé à seulement 30 mois. Mais, compte tenu de la modularité totale de toutes les structures de l'usine, le temps de construction réel estimé sur le site est estimé à seulement trois mois. Le cycle du combustible dure 72 mois avec un intervalle de ravitaillement de trois mois. Ces usines seraient également refroidies à l'air et l'entreprise vantait sa faible consommation d'eau d'à peine 8 gallons par minute. Cela contraste avec les besoins en eau importants d'autres réacteurs, même relativement petits. Comme d'autres réacteurs plus petits, la conception de Last Energy comporterait un «îlot nucléaire souterrain» et un «équilibre de la centrale à profil bas». Finis les grands dômes ou rectangles renforcés des conceptions précédentes qui pourraient résister à tout impact hypothétique à moins d'un astéroïde. Ils décrivent leur approche comme « centrée sur le client » et que « notre innovation est simple ; tirer parti uniquement de la technologie nucléaire éprouvée, créer une centrale électrique reproductible et manufacturable et une taille pour le capital privé. Les premières installations réelles d'usines pourraient avoir lieu dès 2025 ou 2026. Aucun autre constructeur de SMR ne propose une nouvelle usine bien avant 2029.
En termes de coût, la presse britannique a cité un chiffre de 100 millions de livres ou moins par unité de 20 MW, soit environ 6 135 dollars par kw. Cela concernait un total de 34 réacteurs européens, 24 au Royaume-Uni et 10 en Pologne. La Roumanie envisage également la conception. La société a obtenu des PPA, des accords d'achat d'électricité, avec 4 partenaires industriels. En Pologne, ils s'associent à la zone économique spéciale de Katowice dans le sud-ouest de la Pologne. Au Royaume-Uni, ils ont trois partenariats industriels identifiés uniquement comme "un campus des sciences de la vie, un fabricant de carburants durables et un développeur de centres de données à grande échelle". Last Energy est unique en ce sens qu'il offre un « guichet unique » pour les acheteurs d'énergie nucléaire. Ils déclarent que « nous couvrons tous les aspects du processus d'investissement, y compris la conception, la construction, le financement, le service et l'exploitation ».
L'Agence européenne pour l'énergie nucléaire, qui surveille les questions nucléaires, répertorie actuellement pas moins de vingt et une technologies nucléaires prometteuses sur son tableau de bord SMR. (Le PWR 20 de Last Energy n'est pas actuellement répertorié.) Il existe plusieurs entrées dans chacune des cinq catégories de nouvelles petites technologies nucléaires : refroidies à l'eau, refroidies au gaz, à spectre rapide, micro (qui inclurait Last Energy) et sel fondu. L'approche du tableau de bord classe ces différentes technologies selon cinq critères : licence, implantation, chaîne d'approvisionnement, engagement et carburant. Aucune de ces technologies n'a encore fait l'objet d'une licence commerciale en dehors de la Chine et de la Russie. La NEA a déclaré que moins de la moitié des technologies présentées pourraient obtenir un financement pour une unité unique en son genre et un sous-ensemble encore plus petit serait en mesure d'obtenir des accords d'achat d'électricité, ce que Last Energy a fait.
La seule différence majeure entre, disons, le BWRX 300 ou NuScale par rapport au PWR 20 de Last concerne les licences. Les deux premières entreprises se donnent beaucoup de mal pour décrire et annoncer leur proximité avec les approbations réglementaires. Le site Web de Last note que "les plus grandes incertitudes (sont) posées par le processus d'octroi de licences". Ils expriment en outre leur espoir qu'en termes de développement de la conception, "nous sommes en mesure de fabriquer en parallèle avec notre processus d'octroi de licences". Indépendamment de la façon dont ils décrivent le processus de réglementation/d'autorisation, la NEA résume le processus de base aux États-Unis et en Europe comme étant composé de quatre étapes essentielles : 1) interaction préalable à l'autorisation avec les régulateurs, 2) approbation de la conception, 3) construction et enfin 4 ) délivrance d'une licence d'exploitation et exploitation commerciale. En d'autres termes, peu importe la rapidité avec laquelle les ingénieurs de Last Energy peuvent fabriquer et assembler leur PWR 20 jusqu'à ce que divers régulateurs approuvent leur conception.
Du point de vue de l'acceptation commerciale, il est même difficile de se hasarder à deviner la future technologie SMR puisque nous parlons vraiment d'un cycle de remplacement, principalement pour les centrales électriques au gaz naturel vieillissantes dans les années 2040. En supposant qu'une nouvelle génération de SMR commence à fonctionner à la fin de cette décennie comme prévu, il n'y a aucune raison de croire que le marché fusionnera autour d'une taille ou d'une technologie de SMR bien avant le milieu ou la fin des années 2030. À l'heure actuelle, tout ce que nous pouvons dire en gros, c'est qu'il semble y avoir deux marchés pour les SMR, les réacteurs à échelle presque utilitaire produisant des 300 MW comme le modèle BWRX et les microréacteurs dans la gamme 5-50 MW, y compris Last Energy. Et que ceux-ci sont présentés à des types de clients très différents. Les services publics d'électricité se sont tournés vers des réacteurs plus grands pour des raisons de coût, plus gros est toujours considéré comme moins cher. Les réacteurs plus petits, d'autre part, ont un attrait pour les activités commerciales et industrielles à l'intérieur de la clôture, la fourniture de vapeur de traitement et la compatibilité avec les systèmes de chauffage urbain. Et c'est là que Last Energy semble faire des percées.
En fin de compte, cependant, ni les prouesses techniques ni commerciales de Last ne prévaudront si le public devient mal à l'aise avec l'idée de mini-nucléaires répartis dans le paysage. Ceux-ci devront être protégés contre les terroristes, éventuellement par des gouvernements faibles, et dont les déchets doivent être transportés à travers les quartiers et les communautés vers des installations non encore construites. Les mini-nucléaires ont l'air bien sur le papier. Mais comme on dit dans les milieux automobiles, "Attendons que le caoutchouc touche la route." Quelque chose de mieux pourrait arriver pendant que nous attendons.
Le recyclage des éoliennes : un défi majeur pour l’industrie éolienne et ses partenaires
L’énergie éolienne est l’une des sources d’énergie renouvelable les plus populaires dans le monde, d’abord sous forme de moulin transformant le vent en énergie mécanique comme en Perse pour l’irrigation en 620 puis vers le XII siècle en Europe de l’Ouest avec les traditionnels moulins à vent que nous connaissons bien.
Par Patrick Lubsynski le 3 avril 2023 à 6h35
L'éolien représente 6,3 % de la production d'électricité en France.
L’inventeur de l’éolienne électrique serait l’américain Charles Francis Brush en 1888. Puis les éoliennes n’ont jamais cessé d’évoluer dépassant des diamètres de 250 m et capable de dépasser les 15 MW ! Comme toute technologie, les éoliennes ont une durée de vie limitée. Les premières éoliennes ont été installées en France début des années 90. Il y en a désormais environ 8 000 soit l’équivalent de 2 centrales nucléaires de type Fessenheim. Sans parler de l’intermittence, si nous souhaitions de l’électricité exclusivement éolienne, il en faudrait 10 fois plus. Mais le mix énergétique est là pour nous rappeler qu’une variété d’énergies et la meilleure solution pour couvrir nos besoins.
Quelles sont la situation actuelle de la durée de vie des éoliennes, les difficultés techniques rencontrées et l’apport d’un expert en assurance? L'énergie éolienne est considérée comme une source d'énergie propre et renouvelable, mais que se passe-t-il lorsque les éoliennes atteignent la fin de leur durée de vie utile ? Le recyclage des éoliennes est un défi majeur auquel l'industrie éolienne doit faire face.
Recyclage des éoliennes : contexte actuel
La durée de vie des éoliennes dépend de nombreux facteurs, tels que la qualité de la construction, la maintenance régulière, l'emplacement de l'éolienne et les conditions météorologiques. En général, la durée de vie d'une éolienne est d'environ 20 à 25 ans, bien que cela puisse varier en fonction de ces facteurs. En raison de l'augmentation de la demande mondiale en énergie renouvelable, le nombre d'éoliennes installées dans le monde a considérablement augmenté au cours des dernières années. Selon le Global Wind Energy Council, il y avait plus de 743 GW d'énergie éolienne installée dans le monde en 2020. Cependant, avec le nombre croissant d'éoliennes installées, il est également devenu important de surveiller leur durée de vie, en effet la plupart ont une durée de vie de 20 à 25 ans, mais des problèmes techniques peuvent réduire considérablement cette durée de vie.
Cependant, ce processus est coûteux et complexe en raison de la taille et du poids des différents éléments ; notamment en France où les premiers parcs arrivent en bout de vie.
Prenons l’exemple d’une éolienne classique de 2 MW pesant 270 tonnes avec un mat de 80 m de hauteur et 3 pales de 45 m de long.
Les éléments sont les suivants :
Mat : 160 t (en acier ou béton) Nacelle et moyeu porte hélice : 90 t (principalement acier) Les 3 pales : 20 t (composite) A cela il faut rajouter un massif béton de 1000 t !
En dehors des pales, l’éolienne se recycle donc aisément puisque composée principalement d’acier et de béton. Les pales quant à elles sont composées de fibre de verre, de fibre de carbone, de résine époxy, de bois balsa … Les pales sont donc la partie la plus difficile à recycler.
De nos jours, elles sont principalement broyées pour être revalorisées comme combustible où le broyat est récupéré pour constituer de nouveaux matériaux composites. Leur enfouissement est interdit en France, sauf si l’exploitant prouve qu’il n’y a pas d’autres solutions. Le plus difficile est donc de recycler la résine époxy.
Les difficultés techniques rencontrées pour recycler des éoliennes
Aujourd’hui de nombreuses études sont menées pour trouver une solution viable ; les nouvelles générations seront plus faciles à recycler comme les nouvelles pales de Siemens Gamesa, utilisées pour la première fois pour un parc offshore britannique. L’effort doit donc se concentrer à la fois sur le parc existant mais aussi sur les nouvelles générations. Selon l’ADEME, la durée de vie d'un parc éolien est estimée à 20 ans. Au-delà, la fiabilité technique et l'efficacité des éoliennes deviennent insuffisantes. En effet, les éoliennes sont soumises à des conditions environnementales difficiles, notamment des vents violents, des températures extrêmes et des tempêtes. Ces conditions peuvent causer des dommages à l'éolienne et réduire sa durée de vie.
En dehors des pales fortement sollicitées, les pièces internes de l'éolienne, telles que, le frein, le multiplicateur, le système de régulation électrique, le générateur et le système d’orientation, sont soumises à une usure constante, ce qui peut également réduire la durée de vie de l'éolienne
En outre, les éoliennes sont souvent situées dans des zones éloignées et difficiles d'accès, ce qui rend leur maintenance difficile. La maintenance régulière des éoliennes est essentielle pour garantir leur bon fonctionnement et leur durée de vie maximale. Cependant, le coût élevé de la maintenance peut parfois dissuader les propriétaires d'effectuer des travaux de maintenance réguliers.
Enfin, un autre problème technique commun rencontré avec les éoliennes est la foudre. Les éoliennes jouent en effet le rôle de paratonnerre et sont souvent situées dans des zones à risque, ce qui peut endommager l'éolienne et réduire sa durée de vie.
Actuellement, la majorité des éoliennes qui ont atteint leur fin de vie sont démontées et enterrées dans des décharges. Toutefois, de nouvelles initiatives de recyclage émergent pour répondre à ce problème. Des entreprises commencent à développer des techniques pour réutiliser les matériaux des éoliennes démantelées. Des projets pilotes testent des méthodes pour transformer les matériaux en nouvelles matières premières pour l'industrie.
Recyclage : apport de l’expert d’assurance
Un expert en assurance peut aider les propriétaires d'éoliennes à évaluer les risques liés à la durée de vie de leurs éoliennes. Les experts en assurance peuvent effectuer des évaluations de risques pour déterminer les risques environnementaux et techniques qui peuvent affecter la durée de vie des éoliennes. En utilisant des données provenant de sources telles que les modèles météorologiques, les données de maintenance et les données de performances passées, les experts peuvent estimer la durée de vie probable de l'éolienne. Ces évaluations peuvent aider les propriétaires d'éoliennes à comprendre les risques et à planifier les coûts de maintenance et de réparation nécessaires pour prolonger la durée de vie de leur équipement. En parallèle, il est de plus en plus fréquent que les propriétaires de parcs éoliens fassent appel à des experts pour les aider à élaborer des plans d'urgence pour les situations où l'éolienne serait endommagée ou hors service. Ces plans peuvent inclure des mesures de sécurité pour protéger les travailleurs et le public, des plans de secours pour évacuer les zones à risque, ainsi que des plans pour réparer ou remplacer l'éolienne endommagée.
Le recyclage des éoliennes est essentiel pour atteindre un avenir durable et respectueux de l'environnement. Avec les investissements continus dans la recherche et le développement de techniques de recyclage, il est possible d'imaginer un avenir où les éoliennes seront construites de manière circulaire, avec la réutilisation des matériaux comme une norme de l'industrie.
(...) Sans parler de l’intermittence, si nous souhaitions de l’électricité exclusivement éolienne, il en faudrait 10 fois plus. (...)
HAHAHA ! Même 10 000 de plus s'il n'y a pas de vent Y A PAS DE VENT !
Une pale d'éolienne pèse 60 tonnes. Donc 3 = 180 tonnes
Avec ses 248 mètres de hauteur et ses pales de 107 mètres de long, cette giga-éolienne se distingue par sa puissance et sa performance. Ses nacelles ont été construites à Saint-Nazaire, les mâts à Séville et les pales à Cherbourg + 600 à 800 tonnes de béton !
L'accent myope sur l'affaiblissement de la Russie a eu pour conséquence involontaire de renforcer la Chine.
Par Ted Snider Recherche mondiale, 03 avril 2023
Dans une quête pour maintenir son hégémonie dans un monde unipolaire, la stratégie de politique étrangère américaine a cherché à affaiblir une Russie qu'elle considère comme une "menace aiguë" et à affronter et contenir une Chine qu'elle considère comme "le défi le plus complet et le plus sérieux pour Sécurité nationale des États-Unis.
Le défi immédiat est la Russie, selon la théorie, mais le défi à long terme est la Chine. Il n'est pas stratégiquement optimal de combattre les deux superpuissances à la fois. La Russie doit être affaiblie pour que la Chine puisse être confrontée à son défi au monde unipolaire dirigé par les États-Unis.
La tentative d'affaiblir la Russie dans la guerre en Ukraine, cependant, peut avoir l'effet ironique de renforcer le rôle de la Chine dans un monde multipolaire émergent.
Un régime de sanctions sans précédent visait à punir la Russie pour son invasion de l'Ukraine et à l'empêcher d'exécuter cette invasion. Non seulement il n'a pas réussi à atteindre cet objectif; cela a également eu pour conséquence involontaire de rapprocher la Russie de la Chine. Isoler la Russie des marchés occidentaux a forcé la Russie à se tourner vers la Chine, l'Inde, la communauté eurasienne et une communauté mondiale de nations sanctionnées. Ainsi, le régime des sanctions a en fait accéléré l'avènement de la multipolarité, ainsi que renforcé la position de la Chine à l'étranger.
Le président chinois Xi Jinping et le président russe Vladimir Poutine sont « en communication constante ». Et le 20 mars, Xi est arrivé en Russie pour des entretiens qui visent, en partie, à « réaffirmer la nature particulière du partenariat Russie-Chine ».
Le 13 décembre, Xi a promis que la Chine "travaillera avec la Russie pour étendre un soutien mutuel fort sur les questions concernant les intérêts fondamentaux de l'autre et approfondir la coopération pratique dans le commerce, l'agriculture, la connectivité et d'autres domaines". Une semaine plus tard, Xi a déclaré que la Chine était "prête à établir une coopération stratégique avec la Russie, en s'offrant mutuellement des opportunités de développement et en restant des partenaires mondiaux au profit de nos pays...". Le ministère chinois des Affaires étrangères a déclaré que "toute tentative d'arrêter la Chine et Si la Russie continue d'avancer, elle est vouée à l'échec » et que « la Chine et la Russie approfondiront leurs échanges à tous les niveaux et promouvront les relations et la coopération sino-russes dans tous les domaines à un niveau supérieur… »
Le commerce russo-chinois a considérablement augmenté. Dans son récent discours à l'Assemblée fédérale, Poutine a déclaré que « l'économie russe s'est engagée dans un nouveau cycle de croissance. Les experts estiment qu'il s'appuiera sur un modèle et une structure fondamentalement nouveaux. De nouveaux marchés mondiaux prometteurs, dont l'Asie-Pacifique, prennent le pas… » Il a promis que la Russie « développera des liens économiques étrangers prometteurs et construira de nouveaux corridors logistiques. … Cela nous permettra, en partie, d'étendre considérablement nos liens avec les marchés d'Asie du Sud-Est.
Les sanctions contre la Russie ont eu pour conséquence involontaire de coupler plus fermement la Russie et la Chine, un changement géopolitique loin de l'unipolarité.
L'insistance américaine sur un monde de blocs dans lequel les pays doivent choisir leur camp – et faire face aux conséquences s'ils ne s'alignent pas sur les États-Unis et ne sanctionnent pas la Russie – n'a pas bien résonné dans la majeure partie du monde. De grands pays comme l'Inde, le Brésil et l'Afrique du Sud ont refusé de sanctionner la Russie, préférant s'aligner sur la Chine et sa vision multipolaire. L'Inde a maintenu ses préoccupations régionales contre la Chine mais a refusé de se joindre à la rivalité mondiale américaine avec la Chine ; il a été un partenaire américain mais a maintenu son partenariat très étroit avec la Russie. L'Inde a insisté pour s'abstenir lors des votes à l'ONU et a refusé de sanctionner la Russie ; en fait, il a accru ses échanges avec la Russie.
Alors que de grands pays comme l'Inde maintiennent des préférences pour le monde multipolaire de la Chine par rapport au monde unipolaire de l'Amérique, des pays plus petits ont également réaffirmé leur droit à la neutralité et rejeté la vision unipolaire des États-Unis. Ils ont refusé de se joindre aux sanctions ou de prendre parti, affirmant le droit de choisir leurs propres intérêts nationaux. Comme l'Inde, l'Arabie saoudite a déclaré que "nous ne croyons pas à la polarisation ni au choix entre les camps".
Il est difficile pour l'Amérique latine, le Moyen-Orient et l'Afrique d'entendre le message manichéen du bien et du mal et de la démocratie contre l'autocratie. Ils ont des souvenirs, et la critique américaine de la violation par la Russie de la souveraineté de l'État et des frontières territoriales sent l'hypocrisie. Ils se souviennent que leurs démocraties ont été remplacées par des autocraties lors de coups d'État soutenus par les États-Unis. Eux aussi tendent davantage vers le message de multipolarité de la Chine. Ils veulent bénéficier de l'initiative "la Ceinture et la Route" et de la croissance économique de la Chine sans avoir à choisir un camp ni à subir les conséquences. Eux aussi écoutent avec plus d'intérêt les propositions d'investissement de la Chine qui ne nécessitent pas d'alignement idéologique ou d'ajustements structurels économiques ou politiques.
Les tentatives américaines de contraindre les pays à s'opposer et à sanctionner la Russie les ont plutôt amenés à réaffirmer le non-alignement et à façonner un monde qui résonne avec la vision du monde multipolaire de la Chine et renforce le rôle économique et diplomatique de la Chine dans ce monde multipolaire.
Alors que le monde s'est concentré sur les États-Unis en tant que puissance qui décidera s'ils bloqueront ou encourageront les négociations pour mettre fin à la guerre, une alternative imprévue a émergé. Et si la Chine jouait le rôle de courtier de superpuissance et que l'Ukraine et la Russie signaient un accord, contournant l'implication des États-Unis ?
Le 24 février, la Chine a publié sa « Position sur le règlement politique de la crise ukrainienne ». Il ne s'agit pas encore d'une proposition de règlement pleinement élaborée, mais plutôt d'une déclaration de la position de la Chine et d'un engagement selon lequel la Chine est prête à assumer "un rôle constructif à cet égard".
L'émergence de la Chine sur le front diplomatique est un indice du potentiel d'une multipolarité. Ce pourrait être la Chine, et non les États-Unis, qui jouerait le rôle de courtier d'un règlement diplomatique, écartant les États-Unis et permettant à la Chine de façonner le monde d'après-guerre.
Ce potentiel a été démontré le 10 mars lorsque la Chine a négocié un accord transformateur entre ses rivaux l'Iran et l'Arabie saoudite sans implication américaine.
La position publiée par la Chine stipule explicitement la multipolarité. Après avoir insisté sur le strict respect du droit international et le respect de la souveraineté et de l'intégrité territoriale de tous les pays, le premier point du document de position déclare que « tous les pays, grands ou petits, forts ou faibles, riches ou pauvres, sont des membres égaux de la communauté internationale." C'est la négation d'un monde unipolaire et la définition même d'un monde multipolaire.
Le deuxième point est «l'abandon de la mentalité de la guerre froide». Ce point reflète la longue demande de la Russie pour une «architecture de sécurité européenne efficace et durable» qui transcende la «confrontation de blocs» et traite la Russie comme une puissance égale dans une architecture de sécurité transatlantique dans laquelle elle n'est pas une nation subordonnée mais une égale dans un monde multipolaire.
Ce deuxième point remet en cause le droit unipolaire de l'Amérique à étendre l'OTAN et à imposer l'hégémonie américaine : « La sécurité d'une région ne doit pas être obtenue en renforçant ou en élargissant des blocs militaires. Il insiste sur le fait que "la sécurité d'un pays ne doit pas être poursuivie aux dépens des autres" et que "toutes les parties doivent s'opposer à la poursuite de sa propre sécurité au détriment de la sécurité des autres...".
La Russie a longtemps contré la citation américaine du principe international selon lequel les États ont le droit libre et souverain de choisir leurs propres alignements de sécurité par la citation du principe tout aussi contraignant de l'indivisibilité de la sécurité. Ce principe dit que la sécurité d'un État ne doit pas être achetée au détriment de la sécurité d'un autre, comme l'a souligné Richard Sakwa, professeur de politique russe et européenne à l'Université du Kent .
Les États-Unis ont insisté sur le premier pour défendre la politique de la porte ouverte de l'OTAN envers l'Ukraine et l'expansion vers l'Est de son hégémonie. La Russie a insisté sur le fait que l'expansion de l'OTAN jusqu'à ses propres frontières menace ses intérêts fondamentaux en matière de sécurité. Lors d'une conversation avec Biden le 7 décembre 2021, Poutine a déclaré que "chaque pays a le droit de choisir la manière la plus acceptable d'assurer sa sécurité, mais cela doit être fait afin de ne pas empiéter sur les intérêts des autres parties et de ne pas saper le la sécurité des autres pays…. Nous pensons que la sécurité doit être globale et couvrir tout le monde de manière égale. La Russie a même souligné que les propres principes de l'OTAN sont de ne pas « menacer les intérêts légitimes » des autres États.
La position de la Chine défie les États-Unis d'étendre leur hégémonie en augmentant la portée de leur bloc et en faisant pencher la balance en faveur d'un monde unipolaire dirigé par les États-Unis.
L'invasion russe de l'Ukraine a renforcé la communauté transatlantique. Les États-Unis et les membres européens de l'OTAN ont été unis dans leurs sanctions contre la Russie et leur fourniture d'armes à l'Ukraine.
Mais il y a eu des schismes et des défis. Biden a promis que « si la Russie envahit… il n'y aura plus de Nord Stream 2. Nous y mettrons fin » ; Victoria Nuland a assuré que « si la Russie envahit l'Ukraine, d'une manière ou d'une autre Nord Stream 2 n'avancera pas » ; et Antony Blinken a célébré le sabotage comme une « formidable opportunité ». Ces déclarations se combinent avec les aveux de responsables américains selon lesquels l'acte a été commis par un "groupe pro-ukrainien" pour suggérer qu'il a fallu un acte de sabotage historique, un acte de guerre, pour maintenir l'Allemagne pleinement à bord du régime de sanctions américain. Il a fallu couper l'Allemagne et l'Europe de leur approvisionnement crucial en carburant russe en faisant sauter le pipeline Nord Stream.
Si la Chine s'impliquait davantage dans la guerre en Ukraine, soit en s'affirmant comme une puissance diplomatique, soit en aidant la Russie avec une aide non létale ou, d'ailleurs, des armes , les États-Unis, qui insistent déjà sur le rétrécissement de la coopération économique avec la Chine, pourraient exiger plus de ses partenaires européens.
La difficulté de convaincre l'Allemagne de se découpler de la Chine, surtout lorsqu'elle est déjà coupée de la Russie, a été illustrée par le voyage du chancelier allemand Olaf Scholz à Pékin en novembre. Scholz a défié les États-Unis et l'OTAN en devenant le premier dirigeant du G7 à se rendre à Pékin pour rencontrer le président Xi Jinping, qui a soutenu Poutine tout au long de la guerre. Scholz était accompagné lors de son voyage par les plus grands chefs d'entreprise allemands, dont les PDG de Volkswagen, BMW, BASF, Bayer et Deutsche Bank.
La Chine est le partenaire commercial le plus important de l'Allemagne. Depuis l'invasion russe de la Chine, l'Allemagne a accru ses investissements et sa dépendance économique vis-à-vis de la Chine. Il sera plus difficile de faire pression sur l'Allemagne pour qu'elle coupe ses liens économiques avec la Chine qu'avec la Russie. Elle demande beaucoup à l'Allemagne de lui dire de couper les ponts avec les deux.
Un rôle croissant de la Chine dans le conflit actuel pourrait forcer un scénario dans lequel le monde unipolaire est défié en demandant à l'Allemagne et à l'Europe de se ranger du côté des États-Unis et de bannir la Chine. Il y a le potentiel dangereux d'une décision qui pourrait diviser le monde unipolaire dirigé par les États-Unis et renforcer une nouvelle réalité multipolaire.
La tentative d'affaiblir la Russie dans la guerre en Ukraine a peut-être eu pour conséquence involontaire de renforcer la Chine dans un monde multipolaire que l'affaiblissement de la Russie visait à empêcher.
La Chine et la Russie peuvent réduire le nano-groupuscule onussien-bruxellisé à une chiure de mouche en deux ou trois minutes. Donc, les chinois comme les russes n'ont pas de soucis à se faire d'être attaqués par des merdes.
La ligne rouge nucléaire de Poutine. Manlio Dinucci
Par Manlio Dinucci Recherche mondiale, 03 avril 2023
« La Russie déploiera ses armes nucléaires tactiques en Biélorussie à la demande de Minsk », a annoncé le président Poutine.
« En réalité – a-t-il précisé – nous faisons tout ce que les États-Unis font depuis des décennies ».
Moscou rappelle que les États-Unis ont placé leurs armes nucléaires tactiques en Europe, dans six pays de l'OTAN : Italie, Allemagne, Hollande, Belgique, Turquie et Grèce (elles ne sont pas actuellement en Grèce, mais il y a un dépôt prêt à les recevoir ).
Les bombes nucléaires B61 – en Italie, elles sont situées dans les bases d'Aviano et de Ghedi – ont maintenant été remplacées par les nouvelles B61-12, et l'US Air Force les transporte déjà en Europe.
Leurs caractéristiques les rendent bien plus meurtrières que les précédentes : chaque bombe dispose de 4 options de puissance selon la cible à toucher, est dirigée vers la cible par un système de guidage par satellite, et peut pénétrer le sol pour détruire les bunkers du centre de commandement ennemi. Les États-Unis déploieront probablement le B61-12 également en Pologne et dans d'autres pays de l'OTAN encore plus proches de la Russie.
- voir carte sur site -
Trois puissances nucléaires de l'OTAN - les États-Unis, la Grande-Bretagne, la France - et quatre pays de l'OTAN dotés de l'arme nucléaire américaine - l'Italie, l'Allemagne, la Belgique et les Pays-Bas - participent à l'opération Baltic Air Policing dans l'espace aérien de la Lettonie, de la Lituanie, de l'Estonie et de la Pologne, avec des avions pouvant transporter des armes nucléaires tactiques. En plus de ces avions, les bombardiers stratégiques américains B-52H de l'armée de l'air effectuent des missions d'entraînement à la guerre nucléaire dans la région de la Baltique et dans d'autres zones européennes bordant le territoire russe.
Les Alliés européens ont mis 19 aéroports à disposition pour de telles missions. Les États-Unis, après avoir déchiré le traité INF, préparent également des missiles nucléaires à portée intermédiaire qui seront déployés en Europe.
A ce déploiement offensif s'ajoutent les bases et navires du système de « défense antimissile » Aegis déployés par les Etats-Unis en Europe. Les navires et les installations terrestres d'Aegis sont équipés de lanceurs verticaux Lockheed Martin Mk 41 qui - le fabricant lui-même l'a documenté - peuvent lancer non seulement des missiles intercepteurs mais aussi des missiles de croisière armés d'ogives nucléaires.
Après que les États-Unis et l'OTAN ont rejeté toutes les propositions russes pour arrêter cette escalade nucléaire de plus en plus dangereuse, la Russie a réagi en déployant des bombes nucléaires et des missiles à portée intermédiaire en Biélorussie à proximité de bases américano-OTAN en Europe prêtes à être armées d'ogives nucléaires.
*
Cet article a été initialement publié sur byoblu en italien.
Manlio Dinucci, auteur primé, analyste géopolitique et géographe, Pise, Italie. Il est chercheur associé au Centre de recherche sur la mondialisation (CRG).
Le meurtre et la guerre commencent par la déshumanisation
De Robert C. Koehler Recherche mondiale, 03 avril 2023
"Le chef Drake a déclaré qu'il était trop tôt pour discuter d'un motif possible de la fusillade , bien qu'il ait confirmé que l'attaque était ciblée. Les autorités examinaient les écrits et avaient pris contact avec le père du tireur. . . .”
Ouais, ils comprendront.
La dernière fusillade de masse : Six personnes tuées, dont trois enfants de 9 ans , à la Covenant School de Nashville, Tennessee. Le tireur présumé, âgé de 28 ans – un ancien élève de Covenant – est entré dans l'école le 27 mars avec (Dieu bénisse l'Amérique) deux fusils semi-automatiques et une arme de poing. Il/elle, apparemment transgenre, a finalement été abattu(e) par la police.
Dans d'autres nouvelles . . .
Excuse-moi. Asseyons-nous un instant avec la folie, d'accord ? Ceci n'est pas une émission de télé-réalité. Et le « mobile » du tueur ? D'une certaine manière, cela compte ? Une analyse précise permettra-t-elle aux autorités d'arrêter le prochain individu aux motivations similaires avant qu'il n'ouvre le feu ? Je crains, ô combien profondément, que ce ne soit même pas le sujet. Le meurtre de masse fait simplement partie du Great American Shrug. Nous sommes une nation exceptionnelle, la plus grande démocratie et le plus grand espoir du monde, et les putains de meurtres. . . Eh bien, personne n'est parfait. Et après tout, ce ne sont pas les armes à feu qui tuent les gens. Les gens – surtout s'ils sont malades mentaux – tuent des gens.
Mais alors que je suis assis devant cette dernière horreur – selon Gun Violence Archive, il y a eu 130 fusillades de masse aux États-Unis jusqu'à présent cette année (définies comme au moins quatre personnes tuées ou blessées) – je ne peux faire qu'une chose : Étirez l'indignation.
Étirez-le au-delà de l'école Covenant. Étirez-le au-delà de Nashville. Au-delà des armes d'assaut. Au-delà de la politique. Il y a une interaction profonde avec l'enfer dans la structure sociale américaine ; dans la structure sociale mondiale. Le contrôle des armes à feu, aussi sensé et sain soit-il, ne le transcendera pas. Le meurtre de masse émerge d'une tache sombre non examinée et non résolue dans la conscience humaine collective. Elle peut être décrite en un mot : déshumanisation.
Ce n'est pas simplement le défaut psychologique d'un solitaire : le refus de toute humanité, ou de toute humanité – de toute valeur spirituelle – à d'autres personnes choisies. C'est un phénomène ancré dans la norme sociale. Nous avons des ennemis. Nous avons besoin d'eux. Nous les tuons.
"Vêtu d'un pantalon de camouflage, d'un gilet noir et d'une casquette de baseball rouge à l'envers, l'agresseur se promène dans les pièces et les couloirs avec une arme dégainée."
Le tueur, quel que soit son « mobile » spécifique, jouait à la guerre. Il avait, dans son esprit et son cœur, déshumanisé les occupants de l'école Covenant. C'est le jeu des nations du monde – en particulier, « USA ! ETATS-UNIS!" – jouer régulièrement les uns avec les autres. Des fusillades de masse ? Ils sont partout. Quand nous (les gentils avec des armes) faisons la guerre, nous n'avons pas le choix. Lorsque des non-combattants – disons, oh, un groupe d'enfants de neuf ans – meurent, ils se transforment comme par magie en dommages collatéraux.
Le phénomène de la guerre est collectivement glorifié. Ses conséquences horribles sont soit justifiées soit ignorées, à moins que l'ennemi ne le fasse. Et c'est arrivé, alors que j'absorbais les nouvelles sur la fusillade de Nashville, c'était aussi dans l'actualité :
"Le président russe Vladimir Poutine", selon l' Associated Press , "a annoncé samedi des plans pour stationner des armes nucléaires tactiques dans la Biélorussie voisine, un avertissement à l'Occident alors qu'il intensifie son soutien militaire à l'Ukraine.
"Poutine a déclaré que cette décision avait été déclenchée par la décision de la Grande-Bretagne la semaine dernière de fournir à l'Ukraine des obus perforants contenant de l'uranium appauvri."
Nucléaires tactiques ! Le Roi du Mal a fait avancer l'horloge apocalyptique de plusieurs crans. Un monde au bord de la guerre nucléaire ? Il n'y a aucun contexte dans lequel les médias peuvent placer cela, même s'ils invoquent la justification de Poutine pour jouer à la corde raide nucléaire : les Britanniques donnent à l'Ukraine des armes perforantes. Bien sûr, cela ne justifie pas la folie de Poutine, soyons clairs : les deux camps sont fous. La déshumanisation ne crée rien d'autre que le même.
L'uranium appauvri, plus résistant que l'acier, est sale comme l'enfer. Les États-Unis l'ont utilisé en Irak, avec, bien sûr, aucune responsabilité. Lors de ses deux invasions catastrophiques de Fallujah en 2004, par exemple, l'utilisation d'uranium appauvri et de phosphore blanc a laissé des séquelles de cancer et de malformations congénitales d'une ampleur pratiquement inimaginable. Par exemple, les cas de cancer en Irak sont passés d'une moyenne de 40 pour 100 000 personnes en 1991 à 1 600 pour 100 000 personnes en 2005, selon Al-Jazeera .
Et, mon Dieu : « Les médecins de Fallujah continuent d'être témoins de la forte augmentation susmentionnée des malformations congénitales graves, y compris des enfants nés avec deux têtes, des enfants nés avec un seul œil, des tumeurs multiples, des déformations défigurantes du visage et du corps et des troubles nerveux complexes. problèmes de système.
“. . . de nombreuses familles ont trop peur d'avoir des enfants, car un nombre alarmant de femmes subissent des fausses couches et des décès consécutifs avec des nouveau-nés gravement déformés et malades.
La déshumanisation rend tellement possible ! Une âme solitaire et troublée commettant un meurtre de masse n'est que la moindre des choses. Je ne sais pas pour vous, mais je vois un lien direct entre de tels actes et les guerres que les nations se livrent les unes contre les autres, générant des conséquences - réelles et potentielles - un million, peut-être un milliard, fois les coûts supportés cette semaine à la Covenant School.
La liberté d'avoir des armes aux États-Unis est une défense accordée à chaque citoyen. Ce principe ne peut être remis en cause lorsqu'il y a des meurtres commis envers des personnes non agressives. Nous constatons toutes et tous qu'il y a de plus en plus de meurtres commis. Pourquoi ? Parce qu'en plus de la drogue (frontières ouvertes et non surveillées) donc encouragée par les pouvoirs publics, il y a des éléments incitatifs à commettre ces meurtres. Ces éléments très récent viennent des injections reçues dernièrement où les victimes perdent tout contrôle au profit d'ondes arrivées. C'était le but du Plan Dépopulation21, c'est le résultat du génocide programmé.
Pourquoi l'Intelligence Artificielle ne remplace pas les discussions entre humains et le lien social informatif
Caroline Porteu, pour France-Soir le 02 avril 2023 - 14:00
TRIBUNE/OPINION - Merci à France-Soir qui m'a permis de comprendre ce qui motive des personnalités, telles Elon Musk ou Yuval Noah Harari, à faire une pause urgente dans le développement et déploiement de l'IA (Intelligence Artificielle), bien que pour des raisons probablement différentes. En effet, l'IA permet de montrer les manquements et les mensonges des gouvernants sur des sujets d'actualité, ainsi que donner cours à des manipulations d'opinions ! À condition que des humains s'en aperçoivent et échangent à ce sujet. En voilà deux exemples concrets.
En lisant l’article « Lockdown files, la fin de l’histoire de la Covid au Royaume-Uni », ainsi que les commentaires associés, je suis tombée sur celui du pseudo Utoponges. Ce dernier posait la question à ChatGPT*, la fameuse application d'IA, des meilleures solutions à apporter afin de résoudre la crise ukrainienne.
*Que veut dire ChatGPT ? “Chat” veut dire “Discussion” en anglais, à propos des échanges de messages instantanés sur internet. “GPT” est un acronyme qui signifie “Generative Pre-Trained Transformer”, soit “Transformateur génératif pré-entraîné”. Le principe ? Pouvoir discuter non pas avec d’autres internautes en ligne mais avec une “Intelligence Artificielle” (IA) qui, en quelque sorte, se comporterait “comme un être humain”.
L’échange est reproduit tel quel ci-dessous.
Utoponges 31 mars 2023
Hors sujet… Mais ça vaut le coup quand même. J’ai posé la question suivante à ChatGPT : « Quelles seraient, selon toi, les meilleures solutions pour résoudre la crise ukrainienne ? »
Réponse de ChatGPT :
La crise ukrainienne est un conflit complexe et multifacette qui implique de nombreux acteurs internationaux et locaux, ainsi que des enjeux géopolitiques importants. En tant que modèle de langage artificiel, je n'ai pas de position personnelle sur la crise ukrainienne, mais je peux vous fournir quelques pistes de réflexion pour envisager des solutions potentielles.
Le développement et coopération économique (idée 6) est aussi une très bonne idée. Cependant, n’aurait-il pas fallu l’appliquer juste après le coup d’État du Maïdan en 2014, si les nouveaux dirigeants de l'Ukraine se souciaient un tant soit peu de leur population, plutôt que de stigmatiser et bombarder la population russophone du pays ? Peut-on sérieusement croire que nous voulons vraiment la paix ? Parce que si c'était véritablement le cas, et bien, comment dire ?
Par curiosité, et par acquit de conscience, j’ai posé la même question à ChatGPT. Et là, surprise, la réponse est sensiblement différente puisque « la restitution des régions occupées par la Russie à l’Ukraine » fait partie des idées. Lisez plutôt.
caroline Porteu Utoponges 31 mars 2023 "Encore plus amusant : je viens de poser la même question à Chat GPT et j'ai obtenu une réponse un peu différente... Comme par hasard, la restitution des régions fait partie de la réponse !".
Question à ChatGPT "Quels seraient, selon toi, les meilleures solutions pour résoudre la crise ukrainienne ?"
Réponse de ChatGPT :
La crise ukrainienne est un conflit complexe avec des racines historiques et politiques profondes. Il n'y a donc pas de solution simple pour résoudre ce conflit. Cependant, voici quelques suggestions de mesures qui pourraient aider à trouver une solution à la crise ukrainienne :
Dialogue et négociation : Les parties prenantes doivent s'engager dans un dialogue et une négociation honnêtes et sincères pour trouver une solution pacifique et durable à la crise. Les négociations devraient inclure les dirigeants ukrainiens, les représentants des régions contestées, les dirigeants russes et les dirigeants de l'Union européenne.
Respect de l'intégrité territoriale de l'Ukraine : Toutes les parties prenantes devraient reconnaître et respecter l'intégrité territoriale de l'Ukraine. L'annexion de la Crimée par la Russie devrait être rejetée et les zones occupées par les séparatistes pro-russes devraient être rendues à l'Ukraine.
Décentralisation du pouvoir : L'Ukraine devrait adopter une approche plus décentralisée du pouvoir, accordant une plus grande autonomie aux régions et reconnaissant les droits des minorités. Cela pourrait aider à répondre aux préoccupations des régions contestées et à éviter les tensions et les conflits à l'avenir.
Assistance économique : L'Union européenne et les autres pays devraient apporter une assistance économique et financière à l'Ukraine pour aider à stabiliser son économie et à soutenir les réformes économiques. Cela pourrait aider à atténuer les tensions et à réduire les pressions politiques qui peuvent exacerber la crise.
Médiation internationale : L'implication d'une tierce partie de médiation internationale, comme l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) ou les Nations unies, pourrait aider à faciliter les négociations et à trouver une solution pacifique à la crise.
Cependant, il est important de noter que les solutions ne sont pas faciles à trouver dans un conflit aussi complexe. Il faut du temps, de la patience et de la volonté politique de toutes les parties pour trouver une solution durable et pacifique.
Fort de cette constatation, j’ai continué à lire les commentaires de l’article sur les « Lockdown files ». Celui du pseudo Quidam a attiré aussi mon attention :
Quidam 31 mars 2023
"Rien qu'aux USA: Une analyse approfondie des vaccins révèle un préjudice économique de 147 milliards de dollars et des dizaines de millions de personnes blessées ou handicapées"
Ici, l'étude se base que sur l'impact aux États-Unis, mais à l'échelle mondiale, effrayant !
Un nouveau rapport estime que 26,6 millions de personnes ont été blessées, 1,36 million handicapées et 300 000 décès en excès peuvent être attribués aux dommages causés par le vaccin contre le covid-19 pour la seule année 2022, ce qui a coûté à l’économie près de 150 milliards de dollars.
La société de recherche Phinance Technologies, fondée et dirigée par Ed Dowd, ancien gestionnaire de portefeuille chez Blackrock, Yuri Nunes (PhD en physique, MSc en mathématiques) et Carlos Alegria (PhD en physique, finance), a divisé l’impact des vaccins en quatre grandes catégories pour estimer les coûts humains associés au vaccin covid-19 : aucun effet ou asymptomatique, ceux qui ont subi des blessures (résultat léger à modéré), ceux qui sont devenus handicapés (résultat sévère) et la mort (résultat extrême). Les données sur les incapacités et les blessures dues aux vaccins proviennent directement du Bureau of Labor Statistics (BLS), tandis que les chiffres relatifs à la surmortalité sont tirés des chiffres officiels sur les décès aux États-Unis par le biais de deux méthodes différentes (voir la méthodologie ici).
Il est important de noter que les personnes appartenant à une catégorie (blessées, par exemple) peuvent passer à d’autres catégories de gravité, ce que cette analyse ne prend pas en compte.
« Nous devons garder à l’esprit que ces regroupements ne sont pas seulement une tentative de caractériser les différents niveaux de dommages causés par les inoculations, mais qu’ils ne sont pas statiques et qu’ils peuvent interagir les uns avec les autres« , peut-on lire dans le rapport. « Par exemple, il peut y avoir des individus qui n’ont pas eu d’effets visibles après la vaccination, mais qui peuvent néanmoins être affectés ».
« Les personnes ayant subi des lésions légères à la suite des inoculations pourraient, avec le temps, développer des lésions graves au point d’être handicapées, ou une issue extrême telle que la mort. »
Estimation du coût économique
En analysant chacune des catégories ci-dessus, Phinance a utilisé l’excès absolu de temps de travail perdu (voir le rapport précédent) pour déterminer que le coût économique direct des lésions dues aux vaccins s’élevait à 79,5 milliards de dollars en 2022, et à 52,2 milliards de dollars pour les personnes gravement handicapées.
Pour les décès, Phinance a utilisé l’augmentation annuelle moyenne absolue de la surmortalité depuis 2021, soit 0,05 % pour les 25-64 ans, ce qui représente 5,6 milliards de dollars de perte de productivité.
Au total, ils ont trouvé un « coût économique » total de 147,8 milliards de dollars en 2022 en raison des vaccins contre le covid-19.
Comme le note Dowd**, ces chiffres ne représentent que ce qui peut être mesuré actuellement, car « les effets d’entraînement tels que la perte de productivité due au fait qu’un travailleur est présent mais ne travaille qu’à 50-75 % de sa capacité ne sont pas pris en compte, en plus de l’épuisement de ceux qui prennent le relais ».
« Les effets multiplicateurs sont énormes. »
**Edward Dowd est le fondateur de Phinance Technologies
Mon intérêt étant suscité, d'où venait le texte de ce commentaire ? Il s'agit en fait d'un article publié sur le site Wikistrike, daté du 30 mars 2023 : "Rien qu'au USA: Une analyse approfondie des vaccins révèle un préjudice économique de 147 milliards de dollars et des dizaines de millions de personnes blessées ou handicapées".
J’ai voulu alors vérifier et consulter directement les sources évoquées par l'article, issues de Phinance Technologies :
Estimation du coût humain associé au vaccin Covid-19 Méthodologie afin d'obtenir les chiffres relatifs à la surmortalité (à partir des chiffres officiels sur les décès aux États-Unis) Et là, surprise, en parcourant la présentation de l'entreprise, je découvre que Phinance Technologies est une société de conseil en stratégie économique et financière qui fait des analyses et des projections à partir des statistiques officielles qu’elle peut trouver sur les différents sites internationaux et utilise pour ce faire... des modèles algorithmiques et de l’intelligence artificielle !
About the Fund Phinance Technologies Investment Fund, is a global macro alternative investment firm. The flagship product is a Futures fund using proprietary fundamental economic algorithms to generate investment ideas with rigorous risk overlays. The fund is designed to be a conservatively leveraged fund that provides a highly liquid alternative to traditional asset classes. It has a low correlation with the equity markets and could be suitable as an alternative investment, particularly in a period of global uncertainty and volatility. The firm is currently in the process of seeking a seed partner to participate in the growth of the firm.
À noter, par ailleurs, l'extrapolation des résultats obtenus par Phinance par son créateur lui-même, Edward Dowd, quant aux conséquences de la vaccination, à l'échelle mondiale :
Cet échange avec Utoponges a aussi permis de constater que les réponses aux mêmes questions, posées à l'IA, à divers moments, étaient non seulement différentes, mais aussi visiblement liées au profil de l’utilisateur.
Utoponges caroline Porteu 1er avril 18h35
Votre constat de modification dans la réponse m’a fortement intrigué… Aussi, je viens, à l’instant, de lui reformuler exactement la même question. Et la réponse est restée identique, à la virgule près, à sa première réponse à ma question.
Je propose une possibilité logique pour expliquer ce décalage de réponse… Je me suis inscrit sur ChatGPT par le biais de mon compte Google. Or, non seulement Google connait parfaitement mes préférences de visionnage ainsi que le contenu de mes commentaires, mais en plus il est l’un des principaux fournisseurs de données de ChatGPT…
Il est fort probable que dans un souci de rendre cet outil acceptable et sympathique à l’utilisateur, les concepteurs l’aient programmé pour qu’il tienne compte du « profil » de l’utilisateur…
Si c’est le cas, une AI qui modifie ses réponses en fonction des profils, c’est assez effrayant pour l’avenir que leur utilisation nous réserve…
Effectivement, je ne me suis pas inscrite via mon compte Google , et j'ai utilisé le Chat GPT du navigateur Opera pour avoir cette réponse-là. Comme vous le dites, c'est encore plus inquiétant…
Ces deux exemples sont de parfaites illustrations pour comprendre pourquoi, soudainement, de nombreuses personnalités (dont Elon Musk ou Yuval Noah Harari par exemple, réunis au sein d'une pétition) demandent une pause immédiate et urgente quant à l’utilisation de l’intelligence artificielle et des algorithmes générés :
« L'IA permet de montrer les incohérences entre le bon sens et ce que font réellement nos dirigeants ».
Dit autrement :
Elle permet de démontrer les manquements et les mensonges de nos dirigeants, ainsi que les manipulations cognitives et autres psy-ops (opérations psychologiques et de manipulation de masse).
Qu'est-ce que l'intelligence artificielle ? C'est un livre, un programme d'ordinateur, un traducteur qui passe des lettres écrites à la voix pour répondre. Mais, son programme est unique et non universel ! Il a été fait par une personne ! pas par 10, 50 ou 10 000 ! Il n'a donc pas toutes les solutions. Elle va donc vous raconter des conneries de télés, de radios ou de journaux mais pas des solutions scientifiques (interdites par les dictatures). Elle n'est pas faite pour instruire mais pour détruire votre savoir et suppositions.
« Bassines » – oups ! « méga-bassines » : MM. Emmanuel Sagot et Philippe Stoop sur Atlantico
3 Avril 2023 Glané sur la toile 977
Atlantico a publié un article écrit à quatre mains, « Bassines, nappes phréatiques et agriculture : petits éléments de remise en perspective des discours militants qui s’affranchissent du réel ».
Ont répondu aux questions, M. Emmanuel Sagot, agriculteur en Vendée, et M. Philippe Stoop, directeur Recherche et Innovation, ITK, et membre correspondant de l’Académie d’Agriculture de France.
Leurs réponses sont des « petits éléments » qu'il est bon d'exposer de manière rationnelle et pédagogique dans l'océan de désinformation et de mésinformation ambiant, que rien ne semble assécher.
Voici pour l'entrée en matière :
« Atlantico : On entend beaucoup de choses sur les "méga-bassines" de Sainte-Soline. Factuellement quel est ce projet ? En quoi consiste-t-il ? Y-a-t-il un risque d’accaparement ?
Emmanuel Sagot : Le projet consiste à stocker de l’eau lorsqu’elle est abondante en hiver afin de ne plus en pomper l’été et ainsi moins "tirer" sur la nappe en période d’étiage. D’ailleurs méga-bassine n’est pas le nom mais on appelle ceci une réserve de substitution, car on substitue un pompage estival en nappe par un pompage hivernal en nappe avec stockage. Aucun risque d’accaparement puisque le volume d’eau stockée est un volume d’eau qui est déjà pompée [ma note : dans la pratique actuelle] d’avance mais en été. Les agriculteurs qui sont raccordés aux réserves auront interdiction de pomper l’été et leur forage personnel sera détruit et les agriculteurs qui ne sont pas raccordés aux réserves auront toujours le droit d’utiliser leur forage comme avant sans souci. »
Rappelons qu'il existe déjà des « bassines » – oups ! des « méga-bassines » – en Vendée, qu'elles sont opérationnelles, qu'elles ont fait leurs preuves sur le plan tant agricole qu'environnemental, et qu'elles ne font pas (ou guère) débat. Nous avons évoqué avec grand plaisir sur ce blog « La réserve de substitution : kesako ? » de Mme Lucie Mainard (les Jolies Rousses).
« Mais ne vaudrait-il pas mieux passer à des formes d’agriculture plus durables et économes en eau, au lieu de perpétuer avec les bassines l’usage de l’irrigation ? D’ailleurs ces bassines sont-elles vraiment une solution durable ?
Philippe Stoop : […]
Quant à passer à des formes d’agricultures plus durables car plus économes en eau, il ne faut pas se leurrer sur les leviers d’action disponibles. L’eau répond à un besoin physiologique incompressible des cultures, comme pour tout être vivant. Les seuls leviers d’action sont l’amélioration de l’efficience de l’irrigation, grâce aux techniques d’irrigation de précision. Le rapport "Changement climatique, eau et agriculture" des Ministères de l’Agriculture et du Développement Durable a estimé que le potentiel d’action dans ce domaine est de l’ordre d’une réduction de 30% des besoins en irrigation. On parle beaucoup de l’amélioration de la réserve en eau des sols, grâce à l’agriculture de conservation des sols (qui est de plus favorable à la biodiversité et à la réduction des émissions de gaz à effet de serre), mais son effet réel sur les besoins en eau des cultures est marginal, de l’ordre de 5 à 10% maximum au bout de plusieurs années. Si l’on veut réduire davantage la consommation en eau des cultures, la seule solution est d’opter pour des cultures moins productives… qui certes consommerons moins d’eau, mais aussi seront souvent moins efficiente pour l’utilisation de l’eau. On entend beaucoup dire que la production de maïs devrait être abandonnée vu la situation climatique, par exemple en le remplaçant par du blé, qui pousse plus tôt en saison et peut donc se passer d’irrigation. C’est un raisonnement plutôt paradoxal, quand on sait que le maïs (surtout s’il est irrigué) est la culture qui valorise le mieux l’eau : le même rapport rappelait qu’en Gascogne, avec [une certaine quantité] d’eau (pluie et irrigation confondues), on obtient 5 tonnes de blé, 5,2t de maïs non irrigué… et 9 tonnes de maïs irrigué ! En fait, le vrai problème du maïs n’est pas qu’il consomme trop d’eau, mais qu’il la consomme d’une façon trop visible par les citadins et les écologistes !
Nous avons pris l’habitude en France de vouloir réduire l’empreinte environnementale de notre agriculture, sans nous préoccuper de l’effet sur notre production. Tant que notre consommation alimentaire ne diminuera pas en proportion de notre baisse de production (et que les politiques seront plus frileux pour imposer cette réduction à tous le citoyens, que pour inventer de nouvelles contraintes pour les agriculteurs), cela n’aura qu’une conséquence possible : une dépendance accrue aux importations, avec les pertes de souveraineté, et les "importations de déforestation" qui en découlent. Il serait temps que les politiques qui se veulent agro-écologiques reprennent en compte l’efficience de nos facteurs de production agricoles, au lieu de considérer qu’il s’agit d’un gros mot hérité d’une tradition productiviste : quand on parle d’efficience d’utilisation de l’eau, il s’agit d’une efficience écologique, avant d’être économique. »
On ne peut qu'adhérer à cette démonstration.
Mais ajoutons-y ceci : serait-il de bonne politique pour la France de baisser sa production agricole – éventuellement en imposant une réduction (drastique) de notre consommation alimentaire – et, en même temps, sa capacité d'exportation ?
Sommes-nous prêts – en d'autres termes, suffisamment stupides – à laisser à des acteurs géopolitiques comme la Russie le soin d'approvisionner des pays structurellement en déficit, proches de nous ou moins proches, et la capacité d'en faire des vassaux sur la scène internationale ?
On ne peut que recommander la lecture du formidable « Géopolitique du blé Un produit vital pour la sécurité mondiale » de M. Sébastien Abis (IRIS Editions/Armand Colin). Même pour ceux qui ont compris les enjeux stratégiques depuis l'agression de l'Ukraine par la Russie.
Post scriptum
Nous sommes tombés lors de nos recherches sur « Méga-bassines : Jean-Marc Jancovici vous explique tout sur ce projet controversé ». Très franchement, il y a mieux comme explications
Pour « Méga-bassines dans l’Aube : les pêcheurs n’en veulent pas », de l'Est Éclair, nous n'avons accès qu'au chapô :
« Sur ce sujet d’actualité hautement inflammable, la Fédération départementale de la pêche prend clairement position. Elle estime notamment que les méga-bassines et autres rétentions collinaires sont dangereuses pour la préservation des milieux aquatiques, déjà en grande souffrance. »
Très franchement, ça ne vole pas haut... Le lac du Der n'est pourtant pas loin...
Post scriptum 3
Il y a aussi « Décryptage. Y aura-t-il des mega-bassines en Bretagne ? » de M. Romuald Bonnant sur France 3 Régions.
C'est un excellent décryptage. Amis lecteurs, intéressez-vous plus particulièrement aux motivations des personnes interviewées se réclamant de la Confédération Paysanne.
Mais QU'EST-CE QU'ON EN A A FOUTRE que l'être humain consomme 1 million de m³ d'eau dans sa vie ? Il ne pèsera pas 1 million de tonnes à sa mort ! Ah bon ?? et pourquoi ? (HAHAHA !) Pareil pour TOUTES les plantes de la Terre, les arbres et les animaux sans parler... des poissons ! HAHAHAHA !
Depuis DES millions d'années les fleuves & rivières charrient et déversent en mers & océans des km³ d'eaux sales dans l'eau déjà sale des mers et océans ! (les poissons chient dedans !! Une honte ! Hahaha !). Et, cette eau (parce que c'est LA MÊME !) qui s'infiltre aux planchers maritimes & océaniques est bouillie et ressort (sous forme de vapeurs) aux galeries souterraines vers les sources de montagnes et nappes phréatiques ! Çà alors !!
Un article ancien parlé que l'eau que l'on boit a déjà été bue, crachée, suée ou urinée 400 fois depuis Néfertiti !
Il ne manque pas UNE GOUTTE d'eau sur notre planète depuis DES millions d'années ! Çà alors !!
Tout est une question de gestion de l'eau ! (Houlala le terme compliqué !).
L'eau qui sort GRATUITEMENT des sources forme des rivières et des fleuves qui vont aux bassins maritimes & océaniques. Donc: les paysans peuvent GRATUITEMENT user de cette eau sans qu'elle ne puisse manquer à quiconque. Mais... cette eau est facturée !! Eh oui ! Les paysans (pas les pêcheurs) doivent payer ! pour oser irriguer les cultures !!
POLÉMIQUE: Pour le WWF, le menu de Pâques est néfaste pour le climat
Poisson, œufs, agneau… Pour l’organisation écologiste: «Les effets de nos menus de Pâques traditionnels sur l’environnement sont consternants».
Eric Felley 3 avril 2023, 16:26
Nous sommes entrés dans la semaine de Pâques et beaucoup se réjouissent des bonnes tables qui nous attendent en fin de semaine. Beaucoup, mais pas le WWF qui publie ce lundi un communiqué de mise en garde. L’association écologiste demande de favoriser des alternatives. En cause les trois des principaux ingrédients gastronomiques de ces fêtes: le poisson, les œufs et la viande d’agneau.
Le vorace saumon
Concernant le poisson, l’incontournable du Vendredi-Saint, c’est le saumon qui est pointé du doigt. «C’est le poisson de choix dans notre pays, écrit l’organisation, au point de représenter 20% du chiffre d’affaires du commerce de détail dans cette catégorie. L’élevage de ce poisson carnivore est une charge pour la biodiversité et le climat». Concrètement, pour «produire» 100 g de filet de saumon, il faut le nourrir avec 175 g de poissons capturés dans la nature, tels que harengs, anchois et sardines, ainsi que 95 g de soja. Pour le WWF, nous ferions mieux de manger directement ces petits poissons, qui sont riches en micronutriments.
L’agneau voyageur
Pour la viande d’agneau, le problème vient de sa provenance lointaine. La moitié consommée en Suisse est importée: 50 à 60 % de Nouvelle-Zélande et d’Australie. «Près de 60 % des animaux élevés dans ces deux pays sont transportés par avion jusqu’en Suisse après avoir été abattus, regrette le WWF. Les produits voyageant de cette manière ont un impact considérable sur l’environnement, les émissions du trafic aérien faisant partie des causes les plus importantes de la crise climatique».
Trop d’œufs
Pour les œufs, la consommation connaît un pic pascal avec une augmentation de 16 %. Le WWF constate que chaque personne dans ce pays avale 195 œufs par année. Étant donné qu’une poule a besoin quotidiennement de 120 g d’aliment concentré, multiplié par ces 195 œufs, on obtient un total de 23,5 kg d’aliment concentré absorbé par personne et par année. Il en résulte un très grand gaspillage de calories.
Un œuf par personne le jour de Pâques
Pour Mariella Meyer, experte en alimentation au WWF Suisse, il n’est pourtant pas question de renoncer à tout: «Comme souvent dans la vie, écrit-elle, la quantité fait la différence. On peut soigner la tradition de la course aux œufs, mais en se contentant d’un seul œuf par personne le dimanche de Pâques. Une consommation supportable pour la planète serait de deux œufs environ par semaine et par personne.»
«Pas besoin d’être irréprochable pour protéger le climat, mais moins c’est mieux», note encore le WWF, qui conclut: «Nous sommes bien inspirés de réserver le poisson, les œufs et la viande pour des occasions spéciales comme les fêtes de Pâques. Si nous voulons réduire les conséquences pour le climat et la biodiversité et, partant, aussi pour nous-mêmes, nous devons toutefois réduire la consommation moyenne durant toute l’année».
(...) Concrètement, pour «produire» 100 g de filet de saumon, il faut le nourrir avec 175 g de poissons capturés dans la nature, tels que harengs, anchois et sardines, ainsi que 95 g de soja. Pour le WWF, nous ferions mieux de manger directement ces petits poissons, qui sont riches en micronutriments. (...)
Aaaaah les CONS ! Un poisson ça mange... du poisson !! Çà alors !! (et même TOUS LES JOURS !). Et, pour le 'WEF' nous... ferions mieux de manger directement ces petits poissons, qui sont riches en micronutriments !!! HAHAHAHA ! Si c'est pas l'un c'est l'autre ! Çà alors !!
(...) Pour la viande d’agneau, le problème vient de sa provenance lointaine. La moitié consommée en Suisse est importée: 50 à 60 % de Nouvelle-Zélande et d’Australie. «Près de 60 % des animaux élevés dans ces deux pays sont transportés par avion (...)
et... TOUS les membres du WEFNAZI se déplacent... en avions ! Çà alors !! (Les produits voyageant de cette manière ont un impact considérable sur l’environnement, les émissions du trafic aérien faisant partie des causes les plus importantes de la crise climatique».).
(...) Trop d’œufs (...)
Bêh, si tu manges des œufs... tu mangeras moins d'autres choses ! (le caviar à la louche ! 3000 œufs d'esturgeons GLOUP ! d'un coup !)
La France en feu : « Incendies » Partout. Qui est derrière eux ? "Hommes en noir"
Par Peter Koenig Recherche mondiale, 03 avril 2023
La tragédie d'aujourd'hui est que personne ne relie les points. Aucun analyste. Pas de journaliste. Ils se concentrent tous sur le feu et personne ne demande ce qu'il y a derrière. Comment un feu se connecte-t-il à l'autre.
Pendant des semaines sans fin, la France est en feu. C'est comme si la France luttait contre l'augmentation controversée de l'âge de la retraite de Macron de 62 à 64 ans. Cela ne semble pas si grave pour incendier la France – ou le fait-il ?
La plupart des pays d'Europe et d'ailleurs ont des âges de départ à la retraite égaux ou supérieurs. Les syndicats français se battent depuis longtemps pour limiter l'âge de la retraite à 62 ans, date à laquelle les travailleurs auront droit à une pension d'État. De nouvelles augmentations à 66 ans et plus d'ici 2028 et au-delà sont déjà prévues, contribuant aux manifestations.
Cela peut également affecter d'autres pays, car l'âge moyen de notre société augmente et épuise les fonds de pension. Dans le cas de la France, le budget français surchargé s'est discrètement emparé de la Caisse de retraite. La fourniture illimitée d'argent et d'armes à l'Ukraine pour tuer les Russes a encore contribué à épuiser les ressources françaises.
Ce que le courant dominant ne vous dit pas, c'est que les Français protestent aussi contre l'OTAN. Une majorité de Français souhaiteraient quitter l'OTAN, comme ce fut le cas lorsque le président De Gaulle a quitté l'OTAN en 1967. En 2009, la France a rejoint l'OTAN sous le président de l'époque, Nicolas Sarkozy, qui est un "érudit" de Klaus Schwab, WEF, "l'académie" pour Jeunes leaders mondiaux (YGL).
Cependant, avec tout ce contexte, la violence atroce affichée depuis des semaines déjà dans les manifs françaises n'est nullement justifiée. Il y a de violentes « infiltrations » extérieures dans ces manifestations qui ont commencé pacifiquement.
Avez-vous vu les hommes en noir ? Masques et tout ? Semer la violence, en mettant le feu aux voitures, aux pneus, aux magasins – et plus encore, provoquer la police, justifier les ordres de Macron à la police, être dur et réprimer sans relâche, sans pitié et violemment les manifestants ?
Faites le lien avec la conférence du G20 de 2017 à Hambourg - où les émeutes pacifiques sont devenues soudainement violentes le 6 juillet, lorsque plus de 160 policiers ont été blessés lors d'affrontements avec des manifestants et plus de 75 personnes ont été arrêtées.
A Hambourg aussi, il y eut soudain un groupe d'« hommes en noir » semant la violence, un peu comme ce que l'on peut voir à Paris et dans d'autres villes françaises. Il a alors permis à la chancelière Merkel de mobiliser les comportements les plus durs de la police allemande avec des canons à eau et des matraques.
Les gouvernements eux-mêmes introduisent la violence dans les manifestations pacifiques, pour blâmer les manifestants et justifier la violence policière.
Ces infiltrations violentes dans les manifestations pacifiques sont généralement financées par la "Open Society Foundation" de Soros, Gates, Welcome Trust et bien d'autres. Tous des proches associés du Forum économique mondial (WEF) et de l'élite du pouvoir financier derrière lui.
La plus grande oppression des personnes est le nom du jeu.
Nous sommes au milieu de l'exécution par le WEF de The Great Reset, alias , UN Agenda 2030.
La mise en œuvre avance à toute allure, car le lot de la population dort encore.
Le fait est qu'ils nous avertissent toujours. Mais nous n'y prêtons pas attention, parce que n'importe quel Culte – et ceci est un Culte, vous pouvez l'appeler le Culte de la Mort, n'importe quel culte, pour réussir, doit annoncer ses actions, sa trahison envers l'humanité.
Pourtant, la majeure partie de la population est encore inconsciente. Quand tout sera fini, il ne servira à rien de dire – « nous ne savions pas ». C'est totalement inacceptable.
Les scientifiques et les gens ordinaires sortent et disent la vérité, par millions, et toujours plus. Nous devrions au moins avoir le courage d'écouter et d'admettre qu'on nous a menti et qu'il est maintenant grand temps d'ouvrir les yeux et d'agir pour arrêter ce crime contre l'humanité.
Il n'y a PAS de coïncidences.
Relier les points devrait également être fait avec la grève massive des transports qui a frappé l'Allemagne il y a une semaine. Les travailleurs exigent des augmentations de salaire dans un contexte d'inflation élevée. Les patrons syndicaux ont qualifié les augmentations demandées de "question de survie", tandis que la direction a qualifié les grèves de "complètement excessives".
The Local , les nouvelles allemandes en anglais, ont rapporté à la fin de la semaine dernière que les syndicats et les responsables allemands ne sont pas parvenus à un accord lors de leur troisième cycle de négociations salariales cette semaine. Est-ce le début d'une longue vague de grèves ?
Il s'agit des grèves les plus fortes, les plus impactantes et les plus dommageables sur le plan économique et social que l'Allemagne ait connues depuis des décennies.
Pourquoi maintenant ?
Une partie du "Reset Agenda" prévoit de détruire l'économie européenne, en commençant par une désindustrialisation littérale de l'Allemagne - le leader de l'UE.
Sinon, pourquoi pensez-vous que l'administration Biden a fait exploser les pipelines Nord Stream ? – Pour que ces Allemands, qui sont pleinement d'accord avec ce crime, le chancelier allemand Olav Scholz, ainsi que la ressortissante allemande, Madame Ursula von der Leyen, chef non élue de la Commission européenne (CE), ne puissent avoir des doutes de dernière minute et revenir sur leur consentement à la destruction.
On le sait, c'est la CE UNEELUE qui tire les ficelles en Europe, au-delà du Parlement européen qui n'est qu'un semblant, un écran de fumée – une déviation qui attire l'attention.
Certains analystes prédisent que si le WEF était en mesure de faire passer The Reset , cela ramènerait l'Europe à «l'âge de pierre», provoquant une misère indicible, du chômage, des pénuries de nourriture et d'énergie, une hyperinflation, la famine, la mort, une mort massive. – C'est souhaitable par les eugénistes du WEF, Gates, Soros, Rockefeller et al . C'est l'un des objectifs du Reset / Agenda 2030 : Génocide.
Si, Nous le Peuple, sommes des spectateurs « nous ne savions pas » , nous sommes complices du crime.
Pas de coïncidence - plus de protestations et plus de points à relier.
Toujours au mois de mars, les manifestations qui commencent à Milan prolifèrent dans toute l'Italie alors que le gouvernement limite les droits des parents de même sexe. Voir ceci – Le Monde (18 mars 2023).
Les gens sont descendus dans la rue à Milan et ailleurs, après que la ville a cessé d'enregistrer les enfants de couples de même sexe sous de nouvelles instructions du gouvernement d'extrême droite du Premier ministre Giorgia Meloni.
Après avoir été endoctrinés pendant des années par le Woke et l'agenda imprononçable LGBTQ (LGBTQ signifiant : lesbiennes, gays, bisexuels, transgenres, queer ou personnes en questionnement ou la communauté), les gens voient leurs droits bafoués par le gouvernement conservateur Meloni.
Encore une fois, ils - la majorité des gens dans le monde - n'ont aucune idée de ce qui se cache vraiment derrière cette campagne de propagande LGBTQ. Cela relève de l'agenda eugéniste, également largement financé par la Soros Open Society Foundation, Gates, Rockefeller, WEF. Les gays n'ont pas d'enfants .
Cela entre dans la catégorie des Covid-«vaxxes» toxiques, causant des centaines de millions de blessés et de morts. Ces vaxx sont également responsables d'énormes augmentations de l'infertilité chez les femmes et les hommes, atteignant rien qu'en Allemagne 37% en 2022.
Nous parlons – réduction massive, mais massive de la population. Des crimes contre l'humanité, commis sous nos yeux. Et beaucoup d'entre nous ne veulent pas le voir. Le gouvernement Meloni a raison de mettre fin à ce crime.
Reliez les points, des manifestations à The Reset / Agenda 2030.
Les manifestations en Géorgie ne sont pas non plus une coïncidence – comme le rapporte le 9 mars 2023 The Guardian .
Qu'est-ce qui a déclenché les protestations ?
Des milliers de personnes sont descendues dans les rues de la capitale géorgienne, Tbilissi, après que le parlement a soutenu un projet de loi qui, selon les critiques, qui l'a qualifié de "loi russe", limiterait la liberté de la presse et saperait les efforts de la Géorgie pour devenir candidate à l'adhésion à l'UE.
La loi, soutenue par le parti au pouvoir Georgian Dream, exigerait que toute organisation recevant plus de 20 % de son financement de l'étranger s'enregistre en tant qu '«agent étranger» sous peine d'amendes substantielles.
Qu'y a-t-il de mal avec cette loi ? – L'Occident, comme d'habitude, applique deux poids deux mesures. Au moment où ces lignes sont écrites, l'UE envisage une loi similaire - voir ceci par POLITICO (13 mars 2023).
De telles lois existent déjà aux États-Unis et en Australie.
Retour en Géorgie – après deux jours de manifestations à grande échelle, le parti Dream a annoncé qu'il « retirerait sans condition le projet de loi ». La raison en était que les manifestants disaient qu'il copiait une «loi russe». La Russie a adopté une telle loi en 2012, lorsqu'il a été découvert que des ONG financées par des fonds étrangers étaient des agents d'espionnage pour les pays qui les finançaient.
Dans le monde anti-russe d'aujourd'hui, personne ne veut être associé à la Russie – c'est une « mauvaise réputation ». Ainsi, le gouvernement géorgien se range plutôt du côté de l'Occident corrompu que de protéger ses intérêts - abandonnant la loi pour plaire aux manifestants.
Quiconque croit que ces manifestations n'ont pas été financées par l'Occident, toujours par les mêmes suspects mentionnés précédemment, est un imbécile.
Manifestations en mars
Vous pouvez également vous demander pourquoi toutes ces manifestations ont lieu en mars. Les sectes s'appuient beaucoup sur le «symbolisme» et sur la «superstition».
Est-ce que cela a peut-être à voir avec le fait que le nom March est dérivé du mot latin Martius , nommé d'après Mars , le dieu romain de la guerre . Martius était le nom du premier mois du calendrier romain original. Mars est le premier de plusieurs mois nommé d'après un dieu. Nous vivons dans une guerre constante, n'est-ce pas ?
Retour en France
Une partie de la raison pour laquelle Macron est si catégorique sur la réforme des retraites, même l'a fait passer par un décret présidentiel très impopulaire, au lieu du Parlement, est que le fonds de pension français est épuisé depuis longtemps. La réforme ne peut risquer d'échouer.
Outre un budget démesuré, des milliards sont mandatés par le haut (l'administration Biden et le WEF, représentant Giant Finance) pour être transférés soit directement au gouvernement ukrainien corrompu, soit aux fabricants d'armes qui approvisionnent l'Ukraine - pour tuer les Russes.
Tout le monde sait à quel point le gouvernement ukrainien est honteusement malhonnête, mais aucune des marionnettes européennes de Washington/OTAN n'ose le dire.
Le but ultime est en effet que l'Occident s'empare du vaste territoire russe riche en ressources.
Cela n'arrivera pas. Cela ne s'est jamais produit au cours des dernières centaines d'années.
Cela se produira encore moins avec la direction louche de l'Union européenne et l'OTAN à sa tête.
Mais la dette s'accumulera dans ce système monétaire pyramidal occidental basé sur le dollar. Cela s'applique à l'ouest en général. Des pays, autres que la France, vont se trouver dans des situations similaires.
Dette ingérable sans raison.
C'est le moment idéal pour introduire la monnaie numérique programmable de la banque centrale (CBDC) et effacer toute la dette en même temps. Voir aussi ceci .
C'est le plan. Programmable signifie un contrôle total sur l'humanité. La CBDC peut être amenée à expirer, ou partiellement ou entièrement bloquée, selon le comportement des personnes.
La classe ouvrière, les mangeurs inutiles - (Harari du WEF) - porte le poids
car les travailleurs sont censés être progressivement remplacés par des robots et l'intelligence artificielle (IA).
L'économie réelle ne fonctionne pas comme ça.
Jusqu'à ce que ce message s'infiltre dans l'élite ivre de cupidité - beaucoup de souffrances peuvent encore se produire.
Que nos pensées et notre solidarité soient avec les peuples, qui luttent pour leur droit, leur droit de vivre – partout dans le monde, pas seulement en France – s'unissent et opèrent un changement gigantesque pour l'humanité.
Une fois que la police et l'armée se réveillent et se rangent du côté du peuple, une fois qu'ils réalisent qu'ils font partie de Nous, Le Peuple, le jeu est terminé – « leur » – la bataille de l'élite est perdue .
En attendant, on peut penser à mettre en place des sociétés parallèles, des économies, en dehors du système socio-économique actuel. Les civilisations sont venues et sont parties avant. On dit que nous sommes la Cinquième ou Sixième Civilisation.
Certes, c'est un défi, mais pas insurmontable, car nous travaillons tous vers une conscience supérieure.
Gros scandale en France : McKinsey, condamné à 573 millions pour fraude, a créé le parti En Marche en 2016
By Cheikh Dieng 4 avril 2023
Il y a trois mois, la presse française annonçait une enquête du Parquet National Financier (PNF) sur les liens entre le cabinet McKinsey et la campagne d’Emmanuel Macron de 2017. Une information confirmée par le PNF dans un communiqué lu par Lecourrier-du-soir.com
Mais, en attendant les conclusions de l’enquête qui tiennent en haleine toute la France, notre rédaction a jugé bon de rappeler à nos chers lecteurs que le cabinet McKinsey a été au cœur de la création du parti En Marche! présidé par Emmanuel Macron et désormais rebaptisé Renaissance
Ce rappel est surtout motivé par la dernière révélation faite, ce 04 avril 2023 par France Info qui confirme, dans une enquête, la présence de plusieurs éléments de McKinsey dans la campagne présidentielle d’Emmanuel Macron
Pour tout comprendre, Lecourrier-du-soir.com vous invite à relire notre travail sur ce sujet
Excellente lecture
« Le cabinet de conseil McKinsey, condamné en février 2021 à 573 millions de dollars pour son rôle dans la crise des opioïdes, a été l’un des piliers de la création du parti En Marche! en 2016, d’après Le Monde
Entre le tout-puissant cabinet américain McKinsey et Emmanuel Macron, c’est une longue histoire. En effet, ces dernières semaines, une vive polémique a secoué la France après la révélation dans la presse que l’Etat a sollicité le soutien de McKinsey (récemment condamné à 573 millions de dollars pour fraude) pour conseiller l’Exécutif dans la gestion de la campagne de vaccination. L’Etat français ne dément pas, mais refuse de communiquer sur la rémunération du cabinet américain dont le tarif des prestations est extrêmement élevé.
Apparemment, ce n’est pas la première fois que McKinsey est sollicité par Macron. D’ailleurs, d’après une révélation exclusive faite par le journal Le Monde et intégralement lue par Lecourrier-du-soir.com, le média français nous apprend que le cabinet a participé à la création d’En Marche!
En effet, les relations entre McKinsey et Macron ont commencé à se tisser en 2007, date à laquelle Emmanuel Macron, jeune énarque, est nommé rapporteur adjoint de la Commission Attali. La commission avait pour mission de proposer à Nicolas Sarkozy des réformes économiques.
“Le jeune inconnu (Emmanuel Macron) impressionne la quarantaine de membres, tous grands patrons ou experts influents. Parmi eux, Eric Labaye, alors dirigeant de McKinsey en France, et Pierre Nanterme, son homologue d’Accenture”, note le journal Le Monde.
“On se réunissait le soir jusqu’à minuit dans une salle du Sénat avec Attali et Macron”, se souvient un membre de la commission. Et d’ajouter : “dans les sièges du public, il y avait trois ou quatre jeunes de McKinsey. Ils faisaient des simulations sur Excel. Normalement, les consultants n’avaient pas droit à la parole, mais leur chef était si brillant qu’on l’écoutait comme s’il était membre à part entière”.
Ce chef n’est autre que Karim Tadjeddine. “Il a 32 ans à l’époque. Il est passé par deux des plus grandes écoles de la République, Polytechnique et les Ponts et Chaussées. Cet « X-Ponts » est un crack des mathématiques financières. Il sait aussi comment fonctionne l’Etat, après avoir passé quatre ans à Bercy. Il y a notamment participé à la création de l’Agence des participations de l’Etat et à l’ouverture du capital d’EDF, avant d’être débauché par McKinsey”, renseigne Le Monde. On apprendra que Karim Tadjeddine fut l’auteur d’un chapitre du livre “l’Etat en mode start-up” préfacé par Macron.
Son aventure avec Macron ne s’arrête pas là car en 2010, Tadjeddine et l’actuel président de la France rejoignent le conseil d’administration du Think Tank En Temps Réel. “Ils y ont été recrutés par un membre de la commission, Stéphane Boujnah, un banquier passé par le cabinet de Dominique Strauss-Kahn à Bercy”, précise Le Monde.
Dans sa révélation, le journal français note l’implication de McKinsey dans la création du parti En Marche. D’ailleurs, d’après la même source, c’est une société baptisée LMP qui sera chargée de collecter et de traiter les données et les verbatims de la “grande marche” du nouveau parti, c’est-à-dire du porte-à-porte à travers la France pour recueillir les doléances et les désirs sur une application.
Que sait-on de la société LMP ? Et bien, elle appartient à un proche de Macron du nom de Guillaume Liegey, lui aussi ex employé de McKinsey. Une source fiable confirme que plus tard, ce sont des gens de McKinsey qui se sont chargés de la mise en forme du rapport de la “grande marche”.
Ainsi, à quelques semaines de l’annonce de la candidature de Macron, les réunions se succèdent. Mais, une constance : à chaque rencontre, on note la présence d’experts en provenance du cabinet McKinsey. “Emmanuel Macron n’a pas encore annoncé sa candidature mais, à l’été 2016, des groupes de travail sont déjà constitués pour élaborer son programme. On y croise Thomas Cazenave, mais aussi une dizaine de salariés de McKinsey. Ils planchent sur l’économie comme sur les dossiers régaliens. Chez McKinsey, Guillaume de Ranieri dirige la « practice » chargée de la défense et du secteur aérospatial. Il rejoint le groupe de travail concerné”, révèle Le Monde.
La source ajoute qu’après la victoire de Macron à la présidentielle de 2017, le nouveau président n’a pas hésité une seule seconde à recruter des jeunes de McKinsey dans son gouvernement. Parmi eux, figurent Mounir Mahjoubi, secrétaire d’Etat au numérique, mais aussi Cédric O.
Codes de santé de l'OMS – une nouvelle « stigmatisation » au potentiel génocidaire
RépondreSupprimer01.04.2023
www.kla.tv/25629
Sous l'impulsion de l'OMS, des codes relatifs à la santé et au statut vaccinal Covid sont disponibles depuis janvier 2023. Selon le code, il pourrait y avoir des restrictions de voyage et autres. Des traitements spéciaux et des exclusions, voire un génocide, se préparent-ils ?
Les choses se corsent maintenant : lors du sommet du G20 en 2022, les dirigeants des 20 plus grandes économies ont annoncé l'objectif commun suivant : Un système mondial de carnet de vaccination numérique doit être mis en place sur la base des standards de l'OMS. Seules les personnes disposant d'un carnet de vaccination numérique sur leur téléphone portable pourront voyager à l'étranger. Yuval Noah Harari, conseiller principal du FEM, a déjà annoncé que cette technologie de surveillance ne serait pas seulement installée sur le téléphone portable, mais aussi « sous la peau » dans une prochaine étape.
Des groupes entiers de population, par exemple ceux qui ne sont pas vaccinés et ceux qui ne le sont pas suffisamment, pourraient être exclus de la vie quotidienne. Il suffirait pour cela de déclarer une « urgence sanitaire internationale », comme le prévoit la nouvelle loi sur les pandémies de l'OMS. Il s’agit ici d’une atteinte flagrante à la vie privée, voire de la suppression des droits de l'homme.
En rapport avec ces codes, il a été révélé début février 2023 que les enseignants de la ville de New York qui ne se faisaient pas vacciner étaient « marqués » dans leur dossier personnel. Cela a conduit à l'envoi de leurs empreintes digitales au FBI et au département de la justice pénale de New York. Le but de cette mesure n'est pas encore clair. Mais l'ancien enseignant d'une école publique Michael Kane, fondateur de Teachers for Choice, a des soupçons : à savoir « que les enseignants non vaccinés à New York doivent être considérés comme des « extrémistes de droite », voire des « terroristes » », explique Kane.
Or, tout traitement spécial de ce type à l'égard de groupes ethniques est interdit par la Charte de l'ONU. La raison en est évidente : la stigmatisation des juifs dans l'Allemagne nazie par une « étoile juive » qu’ils devaient porter de manière bien visible a inévitablement entraîné la persécution des Juifs. Devant cette menace, les peuples avaient conclu un accord particulier après la Seconde Guerre mondiale. Dans la convention de l'ONU du 9 décembre 1948, ce n'est pas seulement le génocide qui a été rendu punissable, mais aussi toutes les étapes qui le précèdent. Il peut s'agir d'un traitement spécial de groupes ethniques qui détruit leur existence et provoque des dommages psychiques. Ce passage a également été introduit dans le code pénal allemand le 9 août 1954 en tant que § 220a.
Ne convient-il pas d'insister avec détermination sur ces droits à la liberté et à l'autodétermination ? Ne faut-il pas abolir cette stigmatisation imposée par l'OMS avant qu'un autre génocide ne se prépare, cette fois contre le groupe des non vaccinés ?
de hm
Sources / Liens :
Ärzte-Code für Ungeimpfte
https://axelkra.us/sonderbericht-aerzteschaft-fuehrt-digitalen-who-diagnosecode-fuer-ungeimpfe-ein-leo-hohmann/
Die Bundesregierung verfolgt die Ungeimpften
https://uncutnews.ch/die-bundesregierung-verfolgt-die-ungeimpften/
Z28.310 - der Code für Covid-Ungeimpfte - Interview mit Dr. Wolfgang Wodarg
https://www.youtube.com/watch?v=dts8GnAb3T0
Ende des freien Willens / der Chip unter der Haut
https://www.youtube.com/watch?v=o5RbjyicHTU
Übereinkommen über die Verhütung und Bestrafung des Völkermordes
https://www.un.org/Depts/german/uebereinkommen/ar260-a-iii-dbgbl.pdf
https://www.kla.tv/fr
Préalablement à cela BIEN RAPPELER CE QU'EST UN 'VIRUS' ! Un virus est une POUSSIÈRE et non un microbe. Une poussière (appelée 'virus') est INOFFENSIVE (sauf les poussières radioactives), tandis qu'un microbe lui il est vivant ! Il transporte des maladies (s'il n'en transporte pas il est appelé bactérie). Contre les maladies existent des remèdes. Contre les virus... n'existe AUCUN remède.
SupprimerL'escroquerie est de proposer et de rendre obligatoire un faux vaccin anti-poussières (appelé aussi Expérimentation génique d'essais). Cette poussière (dite 'maléfique') n'est PAS DANS L'AIR (elle n'a d'ailleurs été observée par aucun centre d'analyse de la qualité de l'air dans le monde depuis 3 ans), mais UNIQUEMENT disponible en flacons injectables !
"Si t'es piqué tu l'as. Si tu l'as t'es mort !"
Certains vaccins Covid triplent le risque de mort cardiaque subite chez les femmes de moins de 30 ans
RépondreSupprimer3 avril 2023
du Dr. Peter F. Mayer
Des décès « soudains et inattendus » se produisent depuis le début de la campagne de vaccination contre le Covid . Jusqu'à 30 % des jeunes ont reçu un diagnostic de myocardite et de péricardite à la suite de vaccinations par ARNm. Mais apparemment, d'autres préparations sont également dangereuses, comme le montre une étude réalisée en Angleterre.
Il s'agit d' une étude qui a révélé que le vaccin Covid d'AstraZeneca est coupable en ce qui concerne la santé des femmes de moins de 30 ans, augmentant le risque de décès de 3,5 fois en 12 semaines. Il a été publié dans Nature le 27 mars 2023 sous le titre « Risque de décès suite à une vaccination au COVID-19 ou »à un test SARS-CoV-2 positif chez les jeunes en Angleterre . Les principaux auteurs étaient des scientifiques travaillant pour le gouvernement britannique.
L'étude a mesuré l'incidence des décès à l'hôpital jusqu'à 12 semaines après une dose de vaccin dans le groupe d'âge de 12 à 29 ans et l'a comparée à l'incidence des décès après la période de 12 semaines. En d'autres termes, on pensait que le risque de blessure lié au vaccin ne durait que 12 semaines. Les auteurs déclarent : « Une augmentation durable du risque [de décès] après la vaccination n'aurait pas été détectable avec cette approche. ”
Ils soulignent également que les décès soudains de jeunes hors de l'hôpital n'auraient probablement pas été pris en compte par l'étude en raison des retards de la médecine légale. Les auteurs notent également qu'une étude similaire en Floride a trouvé des résultats différents, à savoir un risque accru de décès dans les quatre semaines suivant la vaccination par l'ARNm chez les jeunes hommes âgés de 12 à 39 ans.
Cependant, lorsque les résultats ont été ventilés davantage, les experts ont découvert qu'un type de vaccin augmentait le risque de décès liés au cœur chez les femmes.
RépondreSupprimerLes données recueillies par l'Office des statistiques nationales (ONS) ont montré que les femmes qui avaient reçu un vaccin sans ARNm avaient un risque 3,5 fois plus élevé de mourir d'une telle maladie dans les 12 semaines suivant la vaccination.
- voir graph sur site -
Ce graphique montre le risque accru de décès cardiaque chez les jeunes en Angleterre après la vaccination Covid, selon l'analyse de l'ONS. Les lignes colorées représentent le risque identifié à partir des données. Chaque tranche indique les estimations inférieure et supérieure, le point du milieu représentant la moyenne globale. Un score supérieur à 1 signifie un risque plus élevé de décès cardiaque, tandis qu'un score inférieur à 1 signifie un risque plus faible. Les jeunes femmes (lignes roses) qui ont reçu la vaccination Covid sans ARNm avaient un risque 3,5 fois plus élevé de mourir dans les 12 semaines suivant la vaccination. Une augmentation du risque de décès pour les vaccins sans ARN et certaines estimations pour les vaccins à ARNm ont également été observées chez les hommes (bleu).
https://tkp.at/2023/04/03/bestimmte-covid-impfstoffe-verdreifachen-risiko-von-ploetzlichen-herztodes-bei-frauen-unter-30/
Cette entrevue de Michel Chossudovsky avec Caroline Mailloux de Lux Media a été réalisée le 24 février 2023
RépondreSupprimerPour laisser un commentaire ou partager la vidéo (Twitter, Facebook, etc. cliquez sur grondement en bas à droite
- voir cadre sur site -
1
LE RAPPORT D'ARGENT
C'est une opération de plusieurs milliards de dollars dans le monde entier.
Dans le mot du Dr Albert Bourla , PDG de Pfizer :
« 2022 a été une année record pour Pfizer , non seulement en termes de chiffre d'affaires et de bénéfice par action, qui étaient les plus élevés de notre longue histoire, mais plus important encore, en termes de pourcentage de patients qui ont une perception positive de Pfizer et le travail que nous faisons.
Cliquez ici pour lire le rapport sur les revenus de Pfizer pour l'année 2022
Une aubaine de plusieurs milliards de dollars
Le rapport financier de Pfizer pour l'année complète 2022 ne fournit pas de détails sur la commercialisation mondiale du vaccin de Pfizer.
Ci-dessous une analyse de la commercialisation mondiale du vaccin Covid par Big Pharma, avec Pfizer en tête. Dès le début en novembre 2020, l'objectif était de vacciner complètement (avec plusieurs doses) chaque personne sur la planète : une population de 8 milliards de personnes.
Dans de nombreux pays, sous la pression excessive de Big Pharma, des gouvernements nationaux corrompus ont mis en œuvre des politiques d'application et d'acceptation sociales . De plus, les effets dévastateurs sur la santé du vaccin Covid-19 ont fait l'objet de démentis systématiques de la part des autorités sanitaires ainsi que des médias.
Tout ce processus est « axé sur le profit » par milliards, soutenu par la fraude scientifique et la désinformation.
Opération mondiale Vaxx "Big Money"
Sur une période de deux ans, plus de 12,9 milliards de doses de vaccin ont été administrées dans 184 pays (Bloomberg, 21 septembre 2022 , voir graphique ci-dessous).
- voir graph sur site -
Enregistrement le 21 septembre 2022 : 12,9 millions de doses administrées (mi décembre 2020 - 21 septembre 2022)
L'estimation de l'augmentation quotidienne du nombre de doses était d'environ 7,07 millions de doses par jour . (octobre 2022).
Au moment de la rédaction (20 février 2023), le nombre estimé de doses dans le monde est de l'ordre de 14 milliards , pour une population mondiale totale de 8 milliards de personnes. (1,75 doses par personne pour une population mondiale de 8 milliards)
L'ampleur et l'impact social de cette opération de vaccination sont indescriptibles.
RépondreSupprimerLa vérité tacite : Nous avons affaire à une opération hautement rentable de plusieurs milliards de dollars qui repose sur des niveaux accrus de mortalité et de morbidité liées aux vaccins.
Pfizer/Biontech Moderna ont tendance à dominer le marché mondial.
(Voir graphique UE ci-dessous)
Le coût unitaire initial par dose peut varier d'un pays à l'autre.
En supposant un prix de 20,00 $ pour chaque dose de vaccin, (prix approximatif de Pfizer/Moderna payé par le gouvernement américain au départ à la mi-décembre 2020), les ventes globales mondiales du vaccin Covid-19 avec Pfizer en tête seraient du commande de 280 milliards de dollars.
Le gouvernement fédéral américain sur une période de deux ans (décembre 2020-décembre 2022) a acheté 1,2 milliard de doses de Pfizer et Moderna Covid Vaccine pour une population américaine de 339 millions de personnes , au coût de 25,3 milliards de dollars , soit à un prix d'achat de 20,69 dollars par dose."
Cher "vaccin tueur"
Pfizer-BioNTech est de loin le plus grand distributeur aux États-Unis et dans l'UE, suivi de Moderna, qui opère dans le cadre d'un partenariat de facto avec Pfizer.
La population de l'Union européenne est de l'ordre de 450 millions . Pfizer/Moderna comptabilise déjà la vente de 818,28 millions de doses (près de deux fois la population de l'UE, soit 1,8 doses par personne) . (voir graphique ci-dessous). Le nombre total de doses dans l'UE est de 908, 66 millions (deux fois la population de l'UE)
Et un autre gros contrat est en cours de négociation avec des responsables gouvernementaux de l'UE qui sont pleinement conscients que le vaccin Covid-19 a entraîné une tendance à la hausse de la mortalité et de la morbidité.
- voir graph sur site -
Ursula von der Leyen : "Mme. 4,5 milliards de doses »
Le prix de chaque dose de vaccin a été négocié directement avec la présidente de la Commission européenne, Ursula von Der Leyen, connue pour sa corruption.
L'objectif plus large du PDG de Pfizer, le Dr Bourla, est de négocier un contrat de 4,5 milliards de doses de vaccins pour une population de 450 millions d' habitants dans l'UE , soit 10 doses par personne. Ce sont des doses supplémentaires à celles déjà achetées par l'UE (plus de 800 millions)
Mislav Kolakusic , député croate (eurodéputé) a dénoncé en octobre 2022 le projet d'achat de 4,5 milliards de doses du "vaccin" Covid-19 négocié avec la présidente de l'UE Ursula von Der Leyen pour 450 millions de résidents de l'UE. 10 doses par personne. c'est-à-dire "le plus grand scandale de corruption de l'histoire de l'humanité".
RépondreSupprimerKolakusic a appelé en plaisantant la présidente de la Commission européenne (CE), Ursula von der Leyen, «Mme. 4,5 milliards de doses » , parce qu'elle est la responsable de cette fraude massive sur les Européens, dont beaucoup ne sont pas plus conscients que cela s'est même produit.
Et maintenant, ce que veut Pfizer, c'est augmenter le prix par dose entre 110 et 130 dollars. Pfizer Moderna propose :
"a signalé des plages probables qui sont trois à quatre fois supérieures au prix fédéral [américain] pré-acheté pour le booster bivalent".
.
Cette augmentation du prix du vaccin Covid-19 s'appuie sur une campagne de peur soutenue . Cela se traduira-t-il par une aubaine renouvelée de plusieurs milliards de dollars pour Big Pharma ? Quels seraient les impacts probables sur la surmortalité liée au vaccin Covid-19 ? (Voir la partie II ci-dessous)
- voir cadre sur site -
Cliquez ici pour lire le rapport sur les revenus de Pfizer pour l'année 2022
Les détails spécifiques sur les revenus résultant de cette vente de milliards de doses de vaccin ne sont pas décrits dans le rapport financier de Pfizer.
Selon David Denton, directeur financier et vice-président exécutif :
« Je suis très satisfait de notre performance au quatrième trimestre, qui a été mise en évidence par une forte croissance opérationnelle de [Covid-19 Vaccine] Paxlovid , Prevnar 20, [ Pfizer BionTech Covid-19 Vaccine] Comirnaty, Vyndaqel et [Covid related] Eliquis , ainsi que ainsi que l'inclusion de Nurtec ODT/Vydura et Oxbryta. (nous soulignons)
Portons maintenant notre attention sur le deuxième rapport, à savoir le rapport confidentiel de Pfizer , intitulé
« Analyse cumulative des rapports d'événements indésirables post-autorisation » ,
RépondreSupprimerLe rapport a été rendu public en vertu de la liberté d'information en octobre 2021.
Ce rapport fournit des données détaillées sur les événements indésirables et les décès liés au vaccin Pfizer BioNTech Covid-19.
II
LE RAPPORT SUR LA MORTALITÉ ET LA MORBIDITÉ
Il s'agit d'un document interne confidentiel qui fournit des données sur les décès et les événements indésirables enregistrés par Pfizer depuis le début du projet de vaccin en décembre 2020 jusqu'à fin février 2021, soit une période très courte (au plus deux mois et demi).
Un échantillon relativement large de nombreux pays. Registre des décès et des événements indésirables, classés.
Lisez-le attentivement. C'est un document interne qui a été déclassifié au détriment de Pfizer. Le rapport confirme de nombreux effets indésirables (morbidité). Il confirme également d'innombrables décès, à savoir la mortalité.
Rappelons que les données issues de l'échantillon de Pfizer ont été collectées sur une courte période de deux mois et demi. Il n'évalue pas les impacts à plus long terme du vaccin. Un récent rapport de l'UKHSA confirme que « les vaccins Covid augmentent considérablement le risque d'hospitalisation dans les mois 7 à 9 après la vaccination »
Les données de mi-décembre 2020 à fin février 2021 confirment sans équivoque "l'homicide involontaire".
Sur la base des preuves, Pfizer avait la responsabilité d'annuler et de retirer le "vaccin" le 1er mars 2021 , après examen des résultats de son propre rapport confidentiel (Mortalité et événements indésirables).
Le rapport est dans le domaine public. Et vous pouvez le consulter.
Les gouvernements nationaux et les médias n'ont pas informé le public de ce rapport confidentiel de Pfizer qui vient tout droit de la « gueule du cheval ». Les données sont irréfutables.
Extraits sélectionnés du rapport confidentiel de Pfizer
- voir cadre sur site -
Ce document fournit une analyse intégrée des données cumulées sur l'innocuité post-autorisation, y compris les rapports d'événements indésirables post-autorisation aux États-Unis et à l'étranger reçus jusqu'au 28 février 2021.
Cumulativement, jusqu'au 28 février 2021 [en moins de trois mois], il y avait un total de 42 086 rapports de cas (25 379 médicalement confirmés et 16 707 non médicalement confirmés) contenant 158 893 événements . La plupart des cas (34 762) provenaient des États-Unis (13 739), du Royaume-Uni (13 404), d'Italie (2 578), d'Allemagne (1 913), de France (1 506), du Portugal (866) et d'Espagne (756) ; les 7 324 restants ont été répartis entre 56 autres pays.
RépondreSupprimerComme le montre la figure 1 [voir ci-dessous], les classes de systèmes d'organes (SOC) qui contenaient le plus grand nombre (≥ 2 %) d'événements, dans l'ensemble de données global, étaient Troubles généraux et anomalies au site d'administration (51 335 EI), Troubles du système nerveux (25 957), Troubles musculosquelettiques et du tissu conjonctif (17 283), Troubles gastro-intestinaux (14 096), Troubles de la peau et du tissu sous-cutané (8 476), Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux (8 848), Infections et infestations (4 610), Lésions, intoxications et interventions complications (5 590) et Enquêtes (3 693)
emphase ajoutée
- voir graph sur site -
Lire le rapport confidentiel complet de Pfizer
III
RépondreSupprimerCRIMINALITÉ MONDIALE
Pfizer dit tout. "Mea culpa"
Pfizer était pleinement conscient, lors de l'évaluation des résultats de son propre «rapport confidentiel» du 1er mars 2021, que la commercialisation mondiale de son vaccin à ARNm Covid-19 impliquant une population cible de 8 milliards de personnes entraînerait une vague à la hausse sans précédent de la mortalité et de la morbidité .
Pfizer avait le choix de retirer et d'annuler le déploiement de son vaccin mortel le 1er mars 2021.
Des profits de plusieurs milliards de dollars ont été le moteur de ce programme diabolique. "Tuer est une bonne affaire" . Ce à quoi nous assistons est un crime contre l'humanité d'une ampleur sans précédent, affectant la vie de toute la population de notre planète.
L'OMS ainsi que quelque 190 gouvernements nationaux sont complices du déploiement du vaccin Covid. Ils avaient la responsabilité d'annuler le vaccin.
Le rapport confidentiel de Pfizer confirme amplement qu'il s'agit d'un « vaccin tueur ».
Je vous suggère de parcourir ce rapport confidentiel qui a été publié en vertu de la liberté d'information.
Le déploiement mondial du vaccin Covid-19 de Pfizer constitue un acte criminel.
La commercialisation mondiale par Pfizer du vaccin Covid-19 au-delà du 28 février 2021 n'est plus un «acte d'homicide involontaire» ou un «homocide involontaire». Une fois la décision prise par Pfizer de mettre en place le vaccin sans tenir compte des résultats de leur « rapport confidentiel », on n'a plus affaire à « l'homicide involontaire ». « Meurtre par opposition à homicide involontaire» implique «intention criminelle» . D'un point de vue juridique, il s'agit d'un "acte de meurtre". Appliqué dans le monde entier à une population cible de 8 milliards de personnes, c'est le Génocide .
Ce qui est contenu dans le rapport "confidentiel" de Pfizer (basé sur un large échantillon réalisé en interne, avec des données compilées de nombreux pays) constitue une preuve détaillée des impacts sur la santé du "vaccin" de Pfizer BioNTech concernant les événements indésirables et la mortalité, y compris, de nombreuses études et rapports évalués par des pairs, estimations de la surmortalité résultant du vaccin ainsi que de sources officielles : EudraVigilance (UE, EEE, Suisse), MHRA (Royaume-Uni), VAERS (États-Unis)
*
J'accuse ! Les « vaccins » basés sur les gènes tuent des gens. Les gouvernements du monde entier vous mentent au peuple, aux populations qu'ils sont censés servir
Par Doctors for COVID Ethics , 22 octobre 2022
*
Les "données fiables" contenues dans le rapport secret de Pfizer qui émanent directement de la "gueule du cheval" peuvent désormais être utilisées pour affronter ainsi que formuler des procédures judiciaires contre Big Pharma, les gouvernements, l'OMS et les médias.
RépondreSupprimerLa décision de Pfizer de distribuer son vaccin dans le monde était largement basée sur la maximisation du profit plutôt que sur la minimisation de la mortalité et de la morbidité, qui est finalement l'objet de la vaccination.
Saviez-vous ? Pfizer a un casier judiciaire
Fait important, jamais mentionné par les médias ni reconnu par nos gouvernements, Pfizer est la seule société pharmaceutique à avoir un casier judiciaire auprès du ministère américain de la Justice.
Pour consulter la décision historique du ministère de la Justice, cliquez sur la capture d'écran ci-dessous
- voir cadre sur site -
Comment diable pouvons-nous faire confiance à un conglomérat de vaccins Big Pharma qui a plaidé coupable à des accusations criminelles par le ministère américain de la Justice, y compris « marketing frauduleux » et « violation criminelle de la Food, Drug and Cosmetic Act » ?
Les gens n'ont jamais été informés. Les médias et les gouvernements « ont fermé les yeux ».
Aujourd'hui, nous n'avons pas affaire à une question de « marketing frauduleux » : le déploiement du vaccin à ARNm de Pfizer en décembre 2o2o est au-delà de la criminalité, c'est un génocide.
Règlement d'une fraude médicale de 2,3 milliards de dollars avec Pfizer.
Déclaration du procureur général adjoint du DOJ, Thomas Perelli (2009)
- voir clip sur site :
https://www.globalresearch.ca/the-pfizer-big-money-maker-have-a-look-at-their-report/5807009
Un lycéen de 16 ans a eu un arrêt cardiaque soudain. La myocardite subclinique (silencieuse) induite par le vaccin COVID-19 est extrêmement dangereuse pour les enfants
RépondreSupprimerPar le Dr William Makis
Recherche mondiale,
02 avril 2023
Maddox COVID-19 a-t-il été vacciné ?
Maddox McCubbin, un élève de 16 ans du lycée Moline, s'est effondré pendant la salle d'étude ( cliquez ici )
A-t-il été vacciné contre le COVID-19 ? La reponse courte est oui. Sa mère est une fervente partisane des médias grand public, ainsi que des médecins et des scientifiques qui poussent l'ARNm. Elle pense également que les blessures causées par le vaccin COVID-19 sont de la "désinformation" et de la "propagande russe".
C'est le niveau de lavage de cerveau que subissent certains parents :
Ma prise…
Il s'agit d'un cas extrêmement important car il prouve que la myocardite induite par le vaccin à ARNm COVID-19 peut entraîner un arrêt cardiaque soudain, non seulement pendant l'exercice ( observé lorsque les athlètes s'effondrent sur le terrain), ou pendant les premières heures du matin (lorsqu'il y a une augmentation de hormones de stress préparant votre corps à se réveiller).
La myocardite induite par le vaccin COVID-19 peut frapper À TOUT MOMENT .
Ce garçon de 16 ans est tombé à plat. DEUX FOIS . Il a été extrêmement chanceux qu'il y ait une infirmière qui l'a électrocuté à plusieurs reprises avec un défibrillateur et l'a ramené à la vie.
L'ignorance de sa mère l'a presque tué.
*
Restez à la maison, sauvez des vies : découvrir la supercherie de la COVID
RépondreSupprimerPar Colin Todhunter
Recherche mondiale,
02 avril 2023
Que se serait-il passé sans un protocole de verrouillage COVID obligatoire « rester à la maison, sauver des vies » ? Y a-t-il déjà eu une analyse coûts-avantages effectuée par un gouvernement dans n'importe quel pays? Comment les populations ont-elles été amenées à accepter le récit officiel du COVID ?
Ce ne sont là que quelques-unes des questions qui viennent à l'esprit en écoutant Bhaskaran Raman, professeur associé au Département d'informatique et d'ingénierie de l'Institut indien de technologie de Bombay.
Sa récente présentation de 70 minutes sur l'approche globale de la COVID est extrêmement perspicace. La conférence a eu lieu au Dr DY Patil Medical College, Hospital & Research Center à Pune.
Raman nous emmène en voyage. Morceau par morceau, il démonte le récit officiel poussé par les gouvernements et les médias. Il montre comment, entre autres, la "science" a été manipulée pour s'adapter à une politique prédéterminée qui comprenait un rejet de l'immunité naturelle en faveur des politiques "rester à la maison, sauver des vies", comment les protocoles pandémiques en vigueur ont été saccagés, comment la peur a été intensifiée par Des histoires effrayantes 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 et l'utilisation abusive des tests PCR afin de maintenir l'illusion d'une «pandémie mortelle» et comment les verrouillages ont fait plus de mal que de bien.
Trois ans après le début des politiques COVID, nous avons été témoins de protocoles de vaccination obligatoires et de diverses méthodes de coercition pour augmenter l'adoption, la destruction de petites entreprises et la flambée des bénéfices pour les milliardaires du monde et des centaines de millions de personnes poussées dans la pauvreté en raison des restrictions et des blocages.
Nous assistons également à une crise majeure de la dette avec des prêts du FMI et de la Banque mondiale liés à des conditions d'austérité, des millions de réactions indésirables aux vaccins (y compris la mort) et l'OMS faisant pression pour un traité mondial autoritaire sur la pandémie - basé sur le château de cartes décrit ci-dessous et impliquant de nombreux les personnalités qui ont contribué à construire cette tyrannie médicale – qui foulera aux pieds la souveraineté nationale.
Pour ceux qui n'ont pas le temps de regarder la présentation, ce qui suit est un résumé (édité et parfois paraphrasé) avec des captures d'écran.
RépondreSupprimerLes lecteurs sont priés de regarder la présentation dans son intégralité ici .
Raman commence par discuter des taux de mortalité en Suède, un pays qui n'a jamais imposé de confinement.
*
Suède : repérer la pandémie ?
J'ai décidé de regarder les données. Ceci est ouvertement disponible. Vous pouvez le faire en 10 à 15 minutes de tableur à partir du lien sur le site Web officiel de la santé en Suède.
Dans ce graphique ( ci-dessous ), ce que j'ai fait, c'est que j'ai pris des fenêtres de temps de trois mois. Il y a quatre fenêtres de ce type chaque année et j'ai pris des données sur six ans à partir de 2015.
Dans le pays qui n'a pas verrouillé, vous ne pouvez pas repérer la pandémie.
- voir graph sur site -
Mais certains disent que la Suède ne peut pas être comparée à d'autres pays car elle possède l'un des meilleurs établissements de santé au monde, ce qui est vrai, et la densité de population suédoise est très faible - bien inférieure à celle de la plupart des autres pays.
J'ai donc jeté un coup d'œil à l'opposé polaire de la Suède en termes de densité de population, qui est Dharavi, le plus grand bidonville d'Asie ( à Mumbai ). Les établissements de santé y sont bien sûr extrêmement pauvres.
Remarque : Raman poursuit en déclarant que Dharavi était sous contrôle et que personne n'était autorisé à quitter la zone. Les gens étaient enfermés et vivaient les uns sur les autres avec une chance limitée de distanciation sociale. Pourtant, le taux de mortalité par COVID était un huitième de celui des États-Unis et du Royaume-Uni.
Des avis impossibles disaient de rester à six pieds l'un de l'autre – impossible dans une pièce de 10 pieds sur 10 pieds avec une famille de quatre ou cinq personnes et des maisons si proches les unes des autres.
Remarque : Il examine le confinement en Inde et retrace la trajectoire du COVID et ne trouve aucun lien entre le confinement et la sévérité ou l'assouplissement des restrictions.
RépondreSupprimerVoici une étude ( ci-dessous ) qui porte sur 188 pays, à peu près le monde entier, et elle recherche une corrélation entre la rigueur des mesures mesurées selon une métrique et les taux de mortalité déclarés.
- voir clip sur site -
Ce qu'ils ont conclu, c'est que les mesures, y compris le verrouillage, ne semblaient pas être liées au taux de mortalité – la corrélation mathématique était proche de zéro.
Si le message "Restez à la maison, sauvez des vies" était effectivement correct, vous vous attendriez à un taux de mortalité énorme dans les pays qui n'ont pas verrouillé par rapport aux pays qui ont verrouillé.
Ce n'était pas le cas; la corrélation était en fait inverse. Plus les mesures sont strictes, plus la mortalité par COVID est élevée.
Vous devez vous demander comment les verrouillages sont devenus le récit poussé.
Les directives en vigueur en matière de pandémie sont saccagées
De nombreux pays avaient des directives écrites - des pages et des pages de directives écrites sur ce qu'il fallait faire dans cette situation précise.
Ces lignes directrices ( ci-dessous ) ont été rédigées en 2019.
Il y a plusieurs lignes sur ce qu'il faut faire en cas de pandémie modérée, que faire en cas de gravité élevée et que faire en cas de gravité extraordinaire, et la chose spécifique que je veux souligner est la dernière ligne qui dit non recommandé sous toute circonstance.
Bon, regardons ce qui est écrit sous déconseillé en toutes circonstances.
- voir clip sur site -
La recherche des contacts n'est en aucun cas recommandée. Il dit que vous n'avez pas à être mis en quarantaine. La mise en quarantaine des personnes exposées n'est en aucun cas recommandée. Si vous y réfléchissez, le verrouillage est essentiellement la mise en quarantaine de tout le monde. Le contrôle d'entrée et de sortie et la fermeture des frontières aussi ( ne sont pas recommandés ).
Nous avons un tableau des directives du CDC américain rédigé en 2017. Je vais le lire - "Le CDC pourrait recommander une mise en quarantaine volontaire à domicile des membres exposés du ménage." Mais ce que nous avions dans le monde entier, c'était des ordonnances de séjour à domicile imposées par l'État.
RépondreSupprimerDonc, nous devons maintenant demander - comment cela s'est-il passé alors qu'il existe des directives écrites pour gérer cette situation exacte. Pourquoi toutes les lignes directrices ont-elles été jetées à la poubelle ?
De nouvelles approches ont été adoptées. Je les ai divisés en six parties différentes.
Le premier est le rejet de l'immunité après une infection naturelle. Deuxièmement, l'exagération sauvage de la menace posée. Troisièmement – exagération flagrante du rôle joué par la transmission asymptomatique. Quatre - le test PCR a été présenté comme un outil de diagnostic viable. Cinq – le verrouillage était projeté comme la seule solution viable. Six – je vais aborder les traitements qui ont fait plus de mal que de bien.
Rejeter l'immunité naturelle
Remarque : Il note ensuite que, dès le début, le seul endroit qui montre que le verrouillage a fonctionné – soi-disant ramener les décès dus au COVID à zéro – était la Chine.
Depuis lors, aucun autre pays n'a été en mesure de reproduire ce résultat, il faut donc remettre en question soit les données – soit une autre influence.
Remarque : La présentation traite de l'immunité naturelle après l'infection. Il a été dépeint dès le début que "personne n'est en sécurité tant que tout le monde n'est pas en sécurité". Raman montre une capture d'écran de la façon dont la définition de l'immunité collective a été commodément modifiée par l'OMS en faveur d'un vaccin tout ou rien - restez chez vous et attendez le vaccin. Cette nouvelle définition justifiait les confinements et l'idée que vous n'êtes en sécurité que tant que tout le monde n'est pas en sécurité (vacciné).
- voir clip sur site -
The Lancet a également promu un message similaire.
Les scientifiques appelaient à l'élimination du virus – comme The Lancet. Pas de COVID. Donc, vous voulez réduire le COVID à zéro. Bien sûr, à cette époque aussi, on savait qu'il y avait une communauté répandue partout. Beaucoup de gens ne présentent même pas de symptômes, et il y avait aussi des espèces non humaines auxquelles le virus s'était propagé. L'objectif d'élimination du virus n'est pas simplement impossible. C'est proche du délire : vous ne pouvez pas éliminer un virus respiratoire qui s'est déjà propagé si largement à travers la planète, même à d'autres espèces.
RépondreSupprimerPrès des deux tiers des habitants des bidonvilles avaient déjà des anticorps (immunité collective naturelle) .
Remarque : Raman dit que le taux de mortalité à Dharavi était beaucoup plus bas qu'ailleurs, indiquant les effets bénéfiques de l'immunité naturelle.
Menace de COVID: exagération sauvage
Alors, permettez-moi de commencer par ce qui se passait au début de 2020. Grâce à cette technologie appelée médias sociaux, il y avait toutes sortes de vidéos qui circulaient et pas mal d'entre elles dans les médias grand public.
Remarque : Il fournit des exemples d'événements mis en scène, de désinformation des médias grand public (mensonges purs et simples) et d'incitation à la peur, qu'ils émanent de Chine, des États-Unis, d'Italie ou d'ailleurs.
Le directeur général de l'OMS, Ted Ross, a affirmé que le taux de mortalité du COVID était de 3,4 %, alors que la grippe saisonnière à laquelle nous sommes habitués tue beaucoup moins de 1 %. Il a fait cette déclaration – tous les médias du monde entier l'ont suivie. Le taux de mortalité de la grippe saisonnière n'est que de 0,1 %.
Cela semble évidemment très dangereux - 30 fois plus dangereux que ce à quoi nous sommes habitués, c'est suffisant pour effrayer tout le monde. Mais il n'y avait qu'un seul problème avec cela : la comparaison était fausse.
C'est un graphique que j'ai tiré de Business Insider, qui a une portée très large. Début mars 2020, il a comparé côte à côte le taux de mortalité pour la grippe et le COVID. Eh bien, cela semble effrayant. Si vous le regardez maintenant, c'est toujours effrayant, mais c'est faux car il comparait le taux de létalité du COVID avec le taux de létalité par infection de la grippe. Susciter la peur dans l'esprit des gens.
- voir clip sur site -
Remarque : L'impact du COVID a été fortement surestimé (parfois 30 à 40 fois plus meurtrier qu'il ne l'était) dans divers graphiques et par diverses données déguisées en « faits » scientifiques, et les médias ont perdu peu de temps à effrayer le public avec cela. données erronées.
RépondreSupprimerAinsi, cette confusion entre CFR et IFR a été l'un des éléments majeurs dans l'exagération de la menace. À son tour, cela est lié à la raison pour laquelle les gens ont accepté le verrouillage.
Le New York Times avait un podcast où il comparait le taux de mortalité du COVID avec la grippe espagnole. Encore une fois, une exagération sauvage. Sur la base des chiffres disponibles, COVID était environ 30 fois moins dangereux, en regardant les données américaines.
Ce n'est pas juste une exagération normale. C'est une exagération à l'échelle épique.
Accroître la peur : transmission asymptomatique
Il y avait aussi l'exagération flagrante du rôle de la transmission asymptomatique. C'était un élément énorme pour que chaque personne considère les autres comme un agent pathogène, et non comme un humain. Tout le tissu social a été brisé à cause de cela.
Les preuves de transmission asymptomatique depuis le début étaient très faibles – très fragiles.
Les reportages des médias ont alimenté la crainte d'une propagation asymptomatique. En juillet 2020, un rapport basé sur des enquêtes menées en Chine suggérait que des personnes sans symptômes pouvaient infecter d'autres personnes. La chose étrange était que lorsque les scientifiques ont essayé de reproduire cela dans d'autres pays en dehors de la Chine, ils n'ont pas pu le reproduire.
Un article de mai 2020 de Taïwan - ils ont fait une évaluation basée sur la recherche des contacts, et ils n'ont trouvé aucun cas de transmission asymptomatique.
- voir clip sur site -
Remarque : Raman montre que des études en provenance de Chine ont plaidé en faveur d'une propagation asymptomatique, mais les études menées dans d'autres pays n'ont pas réussi à le démontrer.
Une autre méta-analyse à la mi-décembre 2020 a essentiellement conclu que la transmission asymptomatique est statistiquement indiscernable de zéro. Si vous y repensez, c'était la base des confinements - les personnes sans symptômes peuvent transmettre.
Tests PCR : instruments de la peur
Regardons la quatrième partie, qui pousse le test PCR comme un outil de diagnostic viable.
Ce public n'a probablement pas besoin d'introduction au test PCR.
RépondreSupprimerRemarque : Il décrit comment le test PCR a été mis en œuvre comme test incontournable pour le COVID à la « vitesse de la science ». Un groupe de chercheurs a soumis un article sur l'efficacité/l'utilité du test PCR en janvier 2020 - en l'espace de quatre jours, il a été publié dans une revue scientifique.
Cela a été accepté en un jour. Donc, c'était la "vitesse de la science".
- voir clip sur site -
Remarque : Combien de temps faut-il pour mener une recherche avec une rigueur scientifique ? En dehors de cela, combien de temps faudrait-il normalement pour subir un examen par les pairs en bonne et due forme ?
Beaucoup de gens s'en sont plaints ( "vitesse de la science" ) : on leur a donné le raisonnement que c'était une urgence et qu'il fallait donc accélérer. D'accord, cela semble raisonnable, sauf que si vous regardez les données de janvier en dehors de la Chine, je pense que le nombre de décès était probablement à un chiffre ou peut-être à deux chiffres. Comment peuvent-ils conclure qu'une urgence était sur le point de se produire?
Les fragments viraux peuvent rester dans le corps jusqu'à 90 jours et le test PCR ne détecte que les fragments viraux. Il ne détecte pas le virus vivant. Cela a été admis par le directeur du CDC américain en décembre 2021.
Si vous vous promenez à la recherche de virus respiratoires, notamment en milieu hospitalier parmi les personnes décédées, vous les trouverez.
Il s'agit d'un article ( ci-dessous ) qui a examiné la détection de virus respiratoires à l'aide d'un test PCR chez des personnes décédées à partir de 2017 en Espagne. Il a révélé que près de la moitié des personnes avaient un virus respiratoire.
Cependant, avant leur mort, seulement 7% ont été détectés avec la maladie respiratoire, ce qui signifie qu'une PCR positive ne signifie pas qu'elle est la cause du décès.
- voir clip sur site -
Pour la première fois dans l'histoire de l'humanité, une personne ne présente aucun symptôme et il n'y a pas de médecin sur la photo, mais la maladie est détectée. C'est incroyable.
Nous avons eu des cas asymptomatiques. Qu'est-ce que cela signifie? Un cas asymptomatique signifie que la personne est en bonne santé. Je veux dire, bien sûr, les gens dans la rue l'avaient compris. S'ils sont en parfaite santé, ils ont plus peur de subir des tests forcés. Pourquoi voulez-vous que tout votre bâtiment soit mis en quarantaine ?
RépondreSupprimerJe suis sûr que vous savez tous que le test PCR a été conçu comme un outil de recherche. Ce n'est pas pour la détection de virus en l'absence d'un médecin.
Vous ne pouvez pas avoir des politiciens utilisant des tests PCR pour étiqueter les gens comme malades et fermer des villes entières. Cela n'a aucun sens du tout. Et l'OMS ne dispose à ce jour d'aucun protocole de diagnostic clinique. Il ne peut pas parce que les symptômes se chevauchent avec d'autres conditions. Ainsi, l'outil qui a fait le test qui a été largement utilisé - il n'y a pas de taux de faux positifs. Personne ne connaît le taux de faux positifs pour la détection de maladies ou la contagiosité. Il existe des études sur la présence de virus vivants, mais ces deux (présence de la maladie, infectiosité) sont tout simplement impossibles. Il n'y a pas eu d'études car il n'existe pas de protocole de diagnostic clinique.
La projection du test PCR en tant qu'outil de diagnostic viable a de nouveau joué un rôle énorme dans l'introduction des verrouillages, car ils peuvent simplement accélérer les tests et montrer que les gens sont positifs. C'est en fait un virus mort. La personne est parfaitement saine et sauve.
Confinements – La Chine comme modèle
Venons-en à la cinquième partie - où les confinements ont été projetés comme la solution humaine. L'OMS depuis le début a fait l'éloge des méthodes du Parti communiste chinois pour lutter contre le coronavirus. Ceci est une citation du 30 janvier 2020
"Nous saluons le leadership et l'engagement politique du gouvernement chinois et son engagement en faveur de la transparence."
- voir clip sur site -
Si je dois penser à un gouvernement transparent, le dernier pays auquel je penserai est la Chine. Pendant des décennies, il a été complètement non transparent. Pas de liberté journalistique, pas de journalistes étrangers autorisés. Et puis ici, nous avons l'OMS qui en fait l'éloge : comment un gouvernement peut-il soudainement devenir transparent du jour au lendemain ? C'est incroyable.
Donc, cet éloge de l'OMS pour le PCC a duré longtemps. Ensuite, les députés canadiens ont appelé un de ces responsables de l'OMS – il s'agit d'une photo de Bruce Aylward, l'un qui se promenait en montrant les données de la Chine. Ils l'ont convoqué pour une enquête. Il n'y est pas allé. L'OMS lui interdit de témoigner ( devant une commission de santé ).
- voir clip sur site -
L'OMS est le patron. Sont-ils les représentants élus du Canada? L'OMS louait la transparence du PCC tout en étant elle-même non transparente.
RépondreSupprimerEt puis nous avons des modélisateurs comme Neil Ferguson de l'Imperial College de Londres, l'un des collèges les plus réputés au monde, prêtant essentiellement une crédibilité implicite à ce graphique (ci- dessous ) disant que ce graphique a résulté des mesures prises par la Chine pour contrôler le COVID 19. C'était utilisé pour introduire des verrouillages au Royaume-Uni.
- voir clip sur site -
Pour rappel, c'était le graphique auquel ils accréditaient – un graphique qu'aucun autre pays n'a été capable de reproduire.
Le New York Times, dans l'un de ses rares moments de véritable journalisme, a publié une série d'articles dénonçant la campagne chinoise sur les réseaux sociaux. Il y avait beaucoup de bots, de faux comptes inondant Internet, louant les méthodes du PCC pour gérer la pandémie.
Remarque : Raman note également que la revue Nature utilisait également la Chine comme modèle pour sa discussion sur les confinements.
"Consensus" par la censure
Fondamentalement, ce qui se passe est une guerre de l'information. Alors que la Chine faisait ce genre de manipulation de l'information, les États-Unis n'étaient pas loin derrière en termes de leur propre censure.
Début octobre 2020, trois épidémiologistes ont publié la déclaration de Great Barrington comme déclaration de position contre les blocages, affirmant qu'ils ne feraient rien pour avoir un impact sur la maladie. Vous devez faire une protection ciblée. Concentrez-vous sur ceux qui sont réellement vulnérables. Sinon, vous allez avoir beaucoup de dommages collatéraux.
Fauci et Collins, qui occupaient des postes élevés au National Institute of Health, qui bénéficiait à l'époque de nombreux financements, ont collaboré avec des sociétés de médias sociaux pour censurer la déclaration de Great Barrington.
- voir clip sur site -
Ainsi, le libellé exact est qu'il doit y avoir un démantèlement publié rapide et dévastateur de ses locaux. Cela a été révélé dans un e-mail via une demande d'accès à l'information. Collins a écrit à – je ne me souviens pas exactement à qui – mais il appelait les entreprises de médias sociaux à retirer une déclaration de Great Barrington, il semblait donc qu'il y avait un consensus scientifique sur le fait que les verrouillages étaient la seule solution viable. Le consensus est facilement démontré lorsque vous avez la censure.
Confinement ou nuisance ?
RépondreSupprimerC'est la sixième partie. Il y avait beaucoup d'exemples documentés de traitements dont nous savons maintenant qu'ils causaient plus de mal qu'ils n'aidaient. Au début, l'OMS recommandait une ventilation mécanique précoce, encore une fois sur la base d'études chinoises, puis plus tard après le grand nombre de décès à New York.
Il y avait des articles disant que ce n'est cliniquement pas la bonne façon de faire les choses. Il y avait un article incroyable dans le Wall Street Journal en décembre 2020. Je vais le lire car c'est déchirant à bien des égards. L'un des médecins, infirmier doctorant, raconte qu'on intubait très tôt les patients malades, non pas pour le bénéfice du patient mais pour contrôler l'épidémie et sauver d'autres patients. C'était horrible.
- voir clip sur site -
C'est le récit du confinement qui a été poussé. Qui sait combien de personnes sont devenues la proie de ce genre d'intervention erronée. Choisi non pas pour le bénéfice du patient mais pour le soi-disant confinement.
Et puis nous connaissons tous la panique qui s'est produite en 2021 lors de la deuxième vague indienne. Il y a un article journalistique dans The Mint qui fait état d'un certain lot de remdesivir qui s'est avéré plus tard très toxique. Les gens en avaient envie. Qui sait combien sont venus de ce mauvais lot et ont essentiellement tué des gens.
Nous ne savons vraiment pas combien de personnes ont été réellement tuées par le virus par rapport à combien par ce type de mauvais médicaments. Les publications demandaient même s'il y avait un quelconque avantage à son utilisation dans COVID. Statistiquement, il ne semble pas y avoir eu de bénéfice.
Confinements : destruction de la santé et du bien-être
Et qu'en est-il du confinement ?
- voir graph sur site -
Le CDC a noté que l'obésité était la comorbidité la plus élevée, la deuxième était l'anxiété et la troisième était le diabète.
Maintenant, que s'est-il passé à cause du confinement ? L'obésité a augmenté . En Australie, je crois que l'augmentation de poids moyenne était d'environ trois kilos. Un bon nombre de personnes aurait augmenté beaucoup plus que cela.
Anxiété, bien sûr. 24h/24 et 7j/7 pendant deux ans. Effrayer, effrayer, effrayer. Chaque fois que vous avez vu les nouvelles, c'était de l'anxiété et de la peur. S'il y a une véritable situation de panique, il faut calmer les gens pour réduire le bilan de santé mentale.
RépondreSupprimerLes gens se sont vu refuser la marche, l'exercice, les gymnases fermés, les terrains de jeux fermés, pas de promenades matinales. Qu'arrive-t-il aux personnes atteintes de diabète?
Et puis c'est un autre gros problème - la carence en vitamine D si vous fermez une population entière pendant une année entière en disant: "Restez à la maison, restez en sécurité". Vous vous attendez à ce que les niveaux de vitamine D diminuent parce que la lumière du soleil est importante pour la vitamine D. Cette étude israélienne a documenté une augmentation du risque de 14 fois pour la gravité du COVID en raison d'une carence en vitamine D.
- voir cadre sur site -
Ainsi, le confinement lui-même, loin d'être une solution, était en fait contre-productif à bien des égards.
Cela n'a pas sauvé des vies, cela a peut-être reporté des décès et a probablement augmenté le bilan beaucoup plus.
Voici donc ( ci-dessous ) un résumé du château de cartes verrouillé et du mécanisme utilisé pour soutenir le château de cartes.
- voir cadre sur site -
https://www.globalresearch.ca/stay-home-save-lives-uncovering-covid-deception/5814448
Scandale mondial : 194 pays membres de l’OMS se révoltent et exigent de publier les contrats entre labos et gouvernements
RépondreSupprimerPar Cheikh Dieng
Mondialisation.ca,
02 avril 2023
Le Courrier du Soir
« D’après une information exclusive de l’agence de presse Reuters, les 194 pays membres de l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) sont en train de mettre en place un pacte qui vise à rendre obligatoire la publication des contrats entre laboratoires pharmaceutiques et gouvernements
Une mauvaise nouvelle pour Big Pharma. En pleine pandémie à Coronavirus et au moment où plusieurs dirigeants politiques en Occident comme dans d’autres parties du monde exigent de la transparence dans les contrats signés avec les labos, l’OMS est sur le point de trouver un accord qui n’arrangera certainement pas les affaires des industries pharmaceutiques.
En effet, d’après une information que Lecourrier-du-soir.com a obtenue ce 18 novembre de l’agence de presse Reuters, les 194 pays membres de l’Organisation Mondiale de la Santé sont en train de négocier la mise en place d’un pacte afin de rendre obligatoire la publication des contrats entre labos et gouvernements.
Ainsi, d’après l’agence de presse qui dit avoir consulté le document confidentiel, le pacte en question a pour objectif de faire en sorte que la prochaine pandémie ne soit pas aussi dévastatrice que le Covid. Mais, ce n’est pas tout. Les signataires jugent inacceptable que la confidentialité des contrats passés entre gouvernements et labos donnent aux dirigeants politiques peu de marge de manœuvre pour les traduire en justice.
Tout laisse à croire qu’il s’agit d’une révolte interne déclenchée par les Etats membres de l’OMS. Du moins, c’est ce qu’explique un porte-parole de l’OMS qui s’est confié sous couvert de l’anonymat. Ce dernier affirme que les actionnaires de l’organisation y sont favorables. Et ce n’est pas tout. Ces actionnaires se verront soumettre le document intégral lors d’une rencontre qui était prévue ce vendredi. Mais, le gros souci, selon Reuters, est que les labos rejettent le document en bloc.
Sur les réseaux sociaux, le pacte n’a pas manqué de susciter des réactions.
https://www.mondialisation.ca/scandale-mondial-194-pays-membres-de-loms-se-revoltent-et-exigent-de-publier-les-contrats-entre-labos-et-gouvernements/5676657
Le cas du Dr. Kellermayr – Un film de propagande tout fait
RépondreSupprimer3 avril 2023
du Dr. Ronald Bilik
ARD vient de diffuser une "documentation" sur le suicide tragique du Dr. Kellermayr a publié, sous le titre chargé d'émotion : « La mort par la haine et l'agitation. Le cas du Dr. Kellermayr” 1
Avant d'aborder le contenu de ce film, je voudrais faire quelques remarques générales sur les faits. Le médecin autrichien, le Dr. Kellermayr, a été fortement impliqué sur Twitter pour la soi-disant campagne de vaccination et pour la vaccination obligatoire, et dans ce contexte a publié une fois de fausses informations dédiées, ce que la police a immédiatement démenti. Correctement, elle a supprimé son tweet après cette correction. Cependant, cela est devenu viral et le médecin est devenu connu d'un plus grand groupe de personnes.
Ce tweet et d'autres similaires ont conduit à un certain nombre de commentaires critiques sur la position du médecin. Parmi les nombreuses réactions figuraient des menaces de mort dégoûtantes et des messages haineux. L'un des gribouilleurs remplis de haine a décrit avec une cruauté presque sadique comment il torturerait et tuerait le médecin et son personnel. Les messages haineux ont été signalés à la police. Étant donné que certains des auteurs étaient des personnes vivant à l'étranger, très peu de choses ont apparemment été faites pour localiser les auteurs. En raison du peu d'aide de la police, le Dr. Kellermayr est obligé de mettre en place une salle de panique et d'engager la sécurité. La situation générale était naturellement extrêmement stressante et débordée, le Dr. Selon toute apparence, Kellermayr dans une certaine mesure qu'elle a décidé de mettre fin à ses jours dans la pratique. Malheureusement, elle a mis cette décision en pratique.
Instrumentalisation des médias
RépondreSupprimerComment cette mort malheureuse du médecin apparemment très engagé a-t-elle été traitée dans les médias ? Bien que selon le code de la presse, le suicide ne devrait pas faire l'objet de reportages médiatiques, cette affaire a été immédiatement reprise par les principaux médias pour se mobiliser contre les détracteurs des mesures et informer les personnes sceptiques quant au bout de gène expérimental. L'écrivain Robert Misik mérite une mention spéciale à cet égard, car son attitude extrêmement militante a déclenché des contre-réactions correspondantes. 2Et une fois de plus une mer de lumières s'est organisée à Vienne. Cette fois, le message plus ou moins clairement articulé était : les méchants non vaccinés et ceux qui critiquent la vaccination sont des meurtriers sans scrupules, violents et dangereux. Mais nous, les gentils, restons solidaires !
Ce qui est remarquable ici, c'est que la mobilisation contre un groupe a été totalement indifférenciée et transversale, et cela précisément par ces journalistes qui ne se lassent par ailleurs jamais de souligner qu'il s'agit de cas isolés et que toute généralisation est raciste et d'extrême droite. 3 Les consommateurs normaux des médias n'ont pas non plus été informés qu'un certain nombre de détracteurs éminents des mesures s'étaient clairement positionnés là-dessus. 4 Il a également été suggéré au consommateur moyen que le Dr. Kellermayr était un véritable agneau innocent qui a été injustement critiqué. C'est tellement faux. Ce médecin à l'allure sympathique a également publié des tweets qui semblent extrêmement critiquables. Quelque chose comme ça:
Suggestion : Les personnes non vaccinées doivent payer elles-mêmes leurs frais de traitement en cas d'infection et supporter les coûts pour toutes les personnes qu'elles ont infectées, y compris le manque à gagner. Avec cela, nous pourrions enfin payer raisonnablement le personnel soignant.
Maintenant, vous pouvez Frau Dr. Kellermayr, qui n'a pas toujours été en phase avec la philosophie de la « vaccination » et a apparemment subi des pressions à cet égard, attribue le fait qu'elle a été victime de désinformation politico-médiatique et a ainsi nagé dans le courant de la masse induite psychose. D'un autre côté, on devrait pouvoir attendre d'un médecin qualifié qu'il soit capable d'obtenir des informations de la littérature scientifique et de se forger sa propre opinion professionnelle. Malheureusement, toute personne qui publie de tels tweets n'est pas seulement une victime, mais aussi un auteur. Normalement, ce sont exactement les déclarations qui sont documentées dans la largeur "J'ai participé".
En toute logique (et on ne le soulignera jamais assez), de tels messages haineux ne peuvent être justifiés par rien et les menaces de mort en particulier constituent un délit et, à cet égard, il est incompréhensible que les autorités ici ne se soient pas efforcées de localiser immédiatement ces auteurs. faire. Quiconque a de tels fantasmes sadiques et hautement criminels et les publie doit être interrogé immédiatement par des experts compétents capables de déterminer si la personne concernée représente un danger pour les autres !
RépondreSupprimerles témoins
Il semble plus remarquable et significatif avec quelles personnes l'équipe a mené des entretiens plus approfondis. Dès le début, le journaliste Michael Bonvalot est interviewé en tant qu'expert. C'est un journaliste à l'attitude classique qui ne craint pas les méthodes douteuses et ne manque jamais une occasion de diffamer ceux qui pensent différemment en tant qu'extrémistes de droite. 6 Il convient également que M. Bonvalot figure sur une liste du « Fonds de soutien Covid-19 ». Celle-ci est financée par Facebook (membre de l'initiative pharma-friendly Trusted News) 7 et vise à soutenir les journalistes dans leur action contre la « désinformation ». 8ème
Le "travail des lumières" de Natascha Strobl, qui a également son mot à dire dans ce film, est d'une qualité similaire. Elle aussi ne laisse aucune possibilité de localiser des « extrémistes de droite » dans toutes sortes d'endroits. Dans ses vidéos pédagogiques, par exemple, elle nous explique que les citoyens normaux qui défilent au Coronademos sont "de droite" parce qu'ils sont dirigés par des gens de droite et qu'il y a beaucoup d'accord avec les attitudes autoritaires de la droite -extrémistes de l'aile. 9 Elle explique également que l'agitation contre la soi-disant vaccination n'est pas basée sur des critiques factuelles mais est le produit d'hypothèses basées sur des théories du complot. dix
Pour commencer par le dernier point. Il semble remarquable qu'une personne qui n'a aucune idée de la médecine puisse prétendre discréditer la critique de la soi-disant vaccination, qui est également partagée par un certain nombre d'experts, comme une théorie du complot. Mais Mme Natascha Strobl n'est pas seule avec cet orgueil. Puis, dans une vidéo mise en ligne en janvier 2022, elle va jusqu'à affirmer que dire que le vaccin est dangereux est un mensonge. 11 On voit très bien à quel point ces personnes sont devenues les victimes de la propagande vaccinale.
Sa tentative de qualifier les critiques des mesures de «droite» est si absurde qu'il semble presque une perte de temps d'y entrer. Apparemment, Mme Strobl n'a jamais été présente elle-même à de telles manifestations, sinon elle saurait que ces manifestations ne sont en aucun cas dirigées par des gens de droite. Surtout à Vienne, ces manifestations étaient si fréquentées que la plupart des participants ne pouvaient même pas savoir qui défilait devant. Avec les définitions établies par de tels "éclaireurs", cependant, il semble sans importance de savoir qui était présent à ces manifestations de toute façon, puisque toutes ces personnes sont automatiquement considérées comme des extrémistes de droite.
L'argument de Mme Strobl concernant les attitudes autoritaires n'est pas meilleur. Il lui a apparemment complètement échappé que des protestations étaient faites lors des manifestations contre les interventions autoritaires qui violent les droits fondamentaux. Mme Strobl est susceptible d'être victime de reportages dans les médias, qui tentent d'établir de telles connexions de la même manière qu'elle le fait. Mais c'est le résultat quand des gens qui n'ont aucune idée sur le sujet entreprennent présomptueusement un travail d'éducation. En ce qui concerne la "documentation", je note que seuls deux opposants dévoués aux manifestations ont ici leur mot à dire et pas un seul organisateur ou participant à de telles manifestations.
RépondreSupprimerSteyr - le bastion de la résistance
Bien sûr, les manifestations à Steyr ne devraient pas manquer dans le film. Au lieu de mener une interview avec l'organisateur de cet événement, des manifestants au hasard sont interviewés, qui font alors exactement les déclarations sur la migration et la presse grand public que les journalistes grand public attendaient. Donc le cadrage est parfait. Le téléspectateur peut (également en référence au diffuseur Internet AUF 1) classer les manifestants comme des extrémistes de droite qui croient à la théorie du complot de la presse mensongère. Ce portrait diffamatoire est accompagné de phrases telles que : « La ville semble avoir capitulé (ex. : à l'aile droite).
Pour documenter la volonté des manifestants de recourir à la violence, le message (apparemment) le plus agressif adressé à un journaliste et critiquant sa couverture des manifestations est montré :
Les gribouilleurs de démolition de carrière comme vous appartenez derrière les barreaux. Honte à toi. Je ne peux qu'espérer qu'ils seront expulsés d'Autriche. Ourson diable. En Angleterre, des gens comme vous ont été chassés à mort.
Il va sans dire que le contenu (expulsion, course à la mort, etc.) de cet affichage est totalement hors de question, même s'il n'y a probablement pas de faits juridiquement pertinents. Malgré toutes les critiques justifiées à son égard, la question se pose toujours de savoir quelle était exactement la raison de ces condamnations. Ici aussi, dans le film, comme dans les activités du Dr. Kellermayr, qui donne l'impression que ces manifestants sont agressifs par nature et qu'ils attaquent simplement des journalistes sans aucune raison. Alors, quelle était la raison de ce post ?
Le tournage semble avoir été réalisé au tournant de l'année 2022/23, lorsque Steyr a également déchargé la soi-disant tournée de résilience du Dr. Hubmer-Mogg (une icône de la résistance autrichienne de Corona) est venu. 12 Le reportage local de l'Oberösterreichische Nachrichten, comme l'ensemble du courant dominant, était strictement conforme au gouvernement et aucune occasion n'a donc été manquée de jeter les critiques des mesures sous un mauvais jour. Cependant, les médias régionaux, massivement financés par des fonds publics, sont même allés jusqu'à discréditer « les détracteurs de la vaccination et des mesures » comme une « partie de la population mentalement instable ». 13 Cette diffamation a provoqué un certain émoi dans le milieu des médias alternatifs locaux.
Ainsi, le soi-disant courant dominant n'a pas hésité à désinformer ses lecteurs au moyen de reportages unilatéraux et grossièrement déformés et à soutenir ainsi l'inimitié liée au groupe. Si vous décrivez faussement des citoyens normaux comme des extrémistes de droite, des théoriciens du complot et des malades mentaux et que vous mettez ainsi en danger leur existence sociale et professionnelle, vous ne devriez pas vous étonner des réactions critiques, même si la nature de ces déclarations (au moins dans des cas individuels) doit être sévèrement condamné.
RépondreSupprimerCependant, la vérité émerge partiellement entre les séquences. Par exemple, il est rapporté que seul un petit groupe autour du maire du SPÖ proteste contre cette "invasion de droite". Le contexte de cette proportionnalité, qui est impopulaire auprès du courant dominant, est dû au fait que les manifestations anti-corona sont désormais soutenues par une grande partie de la population et que les tentatives pour motiver de grandes foules à organiser des contre-manifestations échouent généralement lamentablement. 14
Je vais épargner au lecteur une documentation complète de toutes les sous-intrigues de propagande de ce film. Il continue heureusement de la manière décrite. Un séminaire pour les médecins sur la prévention de la violence est ensuite également présenté et il est suggéré que les participants soient motivés par les violents "négationnistes du corona" pour participer à cette formation complémentaire. Cela peut être vrai dans des cas particuliers. Comme je peux le confirmer grâce à mes contacts avec le personnel médical, on peut maintenant également constater que la violence contre les médecins, les ambulanciers et les infirmières augmente et prend des proportions inquiétantes. Cependant, (au moins par mes informateurs) les personnes sont généralement désignées comme des auteurs qui ont traversé une socialisation ethnique ou religieuse différente.
Le langage comme moyen de manipulation
Les réalisateurs de ce documentaire soumettent le consommateur à un lavage de cerveau permanent à travers les termes utilisés, du début à la fin. Dès le début, il dit en référence à la scène des détracteurs des mesures : « Les médecins s'entraînent pour leur sécurité », « Les théoriciens du complot de droite détournent les centres-villes », « Les gens ont peur pour leurs familles“. Même ici, le spectateur a l'impression qu'il y a un état d'urgence dans la république alpine. Il est explicitement revendiqué que cette scène est violente, voire obsédée par la violence, incroyablement agressive et dangereuse. Nous le soulignons par des images d'affrontements avec la police. Cela donne la fausse impression que les manifestations s'accompagnent automatiquement de violence, même si elles ont généralement été extrêmement pacifiques. Le film regorge d'étiquettes inexactes et trompeuses telles que "négationnistes du corona", "ultra-droite", "populiste de droite" et "masses d'extrême droite".
Quiconque voit ce film et n'a aucune autre information est presque obligé d'arriver à une évaluation traditionnelle très pro-gouvernementale et de confondre ceux qui critiquent les mesures avec des cinglés d'extrême droite et très violents. Si l'on considère également que cette "documentation" n'est pas un cas isolé, mais que le consommateur de médias est bombardé de telles "informations" sans arrêt depuis trois ans, alors il est peut-être plus facile de comprendre les attitudes et réactions de certains contemporains.
RépondreSupprimerIl semble donc d'autant plus important d'expliquer à nos semblables comment ils sont manipulés et quelles ruses de propagande sont utilisées pour monter la population les unes contre les autres. Cette éducation et la promotion des compétences médiatiques de nos semblables sont l'un des facteurs les plus importants pour contrer avec succès une nouvelle division de la société. Cette illumination peut et doit également se faire de manière humoristique, comme par exemple à travers l'ingénieuse "vidéo des petits-enfants" de Walter Kammerhofer. 15
Ce texte critique avec véhémence les créateurs de la « documentation ». Il convient de mentionner expressément que cela ne prétend en aucun cas que les manipulations décrites ont été délibérément produites. Le principe in dubio pro reo s'applique ici. En ce sens, je suppose que nos journalistes grand public ne savaient tout simplement pas mieux et agissaient au mieux de leurs capacités.
En toute fin, je voudrais donc placer ce qui nous unit au-dessus de ce qui nous divise et saluer expressément l'engagement de ces reporters contre la haine sur Internet. C'est précisément pour cette raison que l'auteur attend avec impatience la documentation (certainement déjà prévue) sur l'agitation médiatique contre le biologiste Clemens Arvay, mort par suicide.
crédits
1 https://www.ardmediathek.de/video/weltspiegel/tod-durch-hass-und-hetze-der-fall-dr-kellermayr/das-erste/Y3JpZDovL2Rhc2Vyc3RlLmRlL3dlbHRzcGllZ2VsLzllZjJlNGVmLTEwODctNGE3OC1hNDgwLTdlNGEzNTQzMjE
2 https://magma-magazin.su/2022/08/freie-linke-oesterreich/herr-misik-wider-die-militarisierungs-des-normalen-offener-brief-der-freie-leften-oesterreich/ ; voir aussi : https://report24.news/freie-linke-kontern-covid-hardliner-misik-mit-offenem-brief-take-militarization-not-hin/
3 Pour cela : https://www.rubikon.news/artikel/der-instrumentalisiert-suizid
4 https://tkp.at/2022/08/11/offener-brief-von-aktivisten-zum-suizid-der-aerztin/
5 https://report24.news/suizid-aerztin-stand-auch-seitens-pharmaindustrie-unter-druck/
6 https://tkp.at/2022/09/23/soldaten-fuer-neutralitaet-qualitaetsjournalisten-recherchieren-vor-ort-und-die-RESULTS-UECOURAGE/
7 Michael Meyen, Contrôle des médias 2.0 ; https://medienblog.hypotheses.org/10448
8 https://tkp.at/2022/08/16/facebooks-journalistenprogramm-finanzierte-covid-journalisten-auch-bonvalot/ .
9 https://www.facebook.com/momentat/videos/sind-corona-demos-rechts-natascha-strobl-analysiert/1570814339962359/
10 https://www.youtube.com/watch?v=MCJMMb3h3hk
11 https://www.youtube.com/watch?v=NDpgRt3xHiM
12 https://report24.news/kein-der-hetze-steyrs-spoe-buergermeister-laedt-resilienz-tour-aus-malone-hubmer-mogg/
13 À ce sujet : https://report24.news/psychisch-labiler-groelender-tross-ooen-hetzen-gegen-widerstaendige-buerger/ : Bien sûr, M. Gerald Winterleitner de l'Oberösterreichische Nachrichten n'a pas le courage de vraiment faire son article à la disposition du public livrer. En ligne, il est caché derrière le soi-disant paywall. Je vais donc vous lire une phrase ou deux. Par exemple, on lit ici : « …Et aussi Maria Hubmer-Mogg. La Styrie a arrêté son travail médical l'année dernière après que l'association médicale a ouvert une procédure disciplinaire à son encontre. La désinformation sur le corona continue de se répandre en première ligne des opposants à la vaccination. Très versés dans la rhétorique, leur alarmisme fonctionne parfaitement avec une partie de la population mentalement instable, comme on peut également le trouver sur les Steyrer Walks.
RépondreSupprimer14 https://background-verlag.de/spaetkapitalistische-systementwicklung/zauner-melanie-pseudolinke-gegendemonstranten-als-neue-propagandastrategie-des-dominion-cartel/
15 https://www.youtube.com/watch?v=WTsrxq8Qtr0
Frederick Burr Opper , domaine public, via Wikimedia Commons
Les opinions exprimées dans cet article ne reflètent pas nécessairement les opinions des auteurs fixes de TKP. Les droits et la responsabilité du contenu incombent à l'auteur.
docteur Ronald Bilik a étudié l'histoire ancienne et la philosophie. Il a rédigé sa thèse grâce à une bourse de l'Académie autrichienne des sciences. Pendant de nombreuses années, il a été vice-président de l'Association Humaniste (anciennement Freidenkerbund) et rédacteur en chef du Freidenker-Zeitung. Ronald Bilik travaille dans la formation et les ressources humaines et a été, entre autres, responsable des ressources humaines à la Croix-Rouge/Basse-Autriche. Il a écrit un certain nombre d'articles sur les sujets du christianisme et de l'islam. En 2022, il a travaillé avec Eric Angerer et Hartmut Krauss sur l'anthologie "Jewish Hostility. Racines idéologiques et manifestations actuelles ».
https://tkp.at/2023/04/03/der-fall-dr-kellermayr-ein-propagandafilm-von-der-stange/
L'amnistie devrait-elle être accordée à ceux qui étaient d'accord avec les autres vaccins obligatoires ?
RépondreSupprimerPar Davis Taylor
Recherche mondiale,
03 avril 2023
"Cet" article sur l'amnistie - celui que tant de gens ont trouvé exaspérant - m'a aussi excité, mais pour une raison différente de la plupart. L'hypocrisie de la masse, la réaction d'indignation à son égard était presque trop lourde à supporter pour moi.
Un contingent s'est formé parmi les nouveaux indignés - ceux qui avaient une foi aveugle dans le slogan "sûr, nécessaire et efficace" sans jamais avoir fait de recherche sur les vaccins, qui sont maintenant sous le choc parce qu'ils viennent d'apprendre des faits réels à leur sujet. Cependant, la plupart des nouveaux indignés n'ont que légèrement avancé dans leur réflexion, pour croire maintenant qu'il existe un vaccin très défectueux qui est poussé au public. Et ils sont scandalisés que ceux qui étaient autrefois en faveur de son mandat demandent maintenant pardon pour manque d'informations. Ils soulignent de nombreuses informations disponibles tout au long de la BS-demic qui ont rendu évident que l'histoire "officielle" sur COVID-19, et sur les piqûres COVID-19, était principalement de la foutaise.
Puits – marmite, bouilloire, noir. Avant le COVID-19, bon nombre des mandats de vaccins infantiles nouvellement indignés ou, à tout le moins, sont restés les bras croisés sans exprimer aucune opposition, malgré les informations disponibles sur de graves problèmes avec les vaccins infantiles.
La vérité est qu'à divers moments, presque tous nous n'avons pas fait preuve de diligence raisonnable avant de nous faire une opinion sur les vaccins, y compris cet auteur il y a de nombreuses années. Presque chacun d'entre nous pourrait utiliser la rédemption sur ce front.
Celui qui prend le temps de regarder constatera que les vaccins COVID-19 ne sont pas uniques. Au contraire, ils partagent la plupart des mêmes problèmes que les vaccins qui les ont précédés. Ci-dessous, une promenade à travers quelques-unes des informations qui le démontrent, dont la plupart sont là depuis le début et ignorées par les nouveaux indignés.
L'aluminium est de plus en plus reconnu comme un ingrédient vaccinal potentiellement dangereux . La recherche indique qu'il joue un rôle dans la maladie d'Alzheimer , l'asthme , l'autisme et d'autres conditions. Une quantité importante d'aluminium est délivrée aux enfants via les vaccins. En plus des vaccins contre le VPH, ces vaccins du calendrier infantile du CDC contiennent de l'aluminium : vaccin contre l'hépatite B, vaccin DTaP, vaccin contre l'Hib, vaccin contre le pneumocoque, vaccin contre l'hépatite A, DTaP/vaccin inactivé contre la polio/Hep B, DTaP/vaccin inactivé contre la polio/Hib, Vaccin contre le méningocoque B et vaccin Tdap.
RépondreSupprimerLe Dr Christopher Exley est un expert de renommée mondiale sur l'aluminium et ses effets. Ses recherches ont révélé une teneur élevée en aluminium dans les tissus cérébraux des personnes autistes et, dans une moindre mesure, de celles atteintes de la maladie d'Alzheimer . Ces découvertes et leurs implications pour les vaccins contenant de l'aluminium lui ont valu l'exil au pays des censurés et des barbouillés. Mais, comme beaucoup de ceux qui sont relégués sur cette terre, il refuse de se taire. Son bulletin Substack est une excellente ressource pour ceux qui souhaitent en savoir plus sur les effets de l'aluminium sur la santé.
L'absence de véritables tests placebo n'est qu'une des lacunes des tests d'innocuité des vaccins pour enfants. Contrairement à la croyance populaire, la plupart d'entre eux n'ont pas subi de longues périodes de tests de pré-approbation pour les effets indésirables. La lettre de l'ICAN du 31 décembre 2018 contient une discussion approfondie sur les périodes étonnamment courtes de ces tests. Cette discussion est exposée aux pages 17 à 23 de la lettre . Les parents qui ne veulent pas lire ces six pages voudront peut-être, à tout le moins, jeter un coup d'œil au tableau des pages 19 et 20. Il répertorie onze des vaccins infantiles et leurs maladies correspondantes, ainsi que la courte « durée de l'examen de l'innocuité après injection » pour chacun. La table est étourdissante, c'est un euphémisme.
Par exemple, des deux vaccins contre l'hépatite B autorisés par la FDA pour l'injection aux nouveau-nés, celui de Merck a été autorisé sur la base d'essais cliniques qui ont examiné les effets indésirables pendant seulement cinq jours après l'injection et celui de GlaxoSmithKline a été autorisé sur la base de ces essais qui les ont examinés pour seulement quatre jours après. À titre d'autres exemples, le vaccin Hib de Merck et le vaccin antipoliomyélitique de Sanofi Pasteur ont chacun été homologués sur la base d'essais cliniques qui ont examiné les effets indésirables pendant seulement trois jours après l'injection.
Une plainte courante des nouveaux indignés est qu'il y a eu une surveillance post-vaccination inadéquate dans la population pour les réactions indésirables aux vaccins COVID-19. Grâce aux vaccins COVID-19, les nouveaux indignés ont enfin appris l'existence du système de notification des événements indésirables des vaccins (VAERS). VAERS est exploité par HHS. Le HHS a financé une étude réalisée en 2011 par la Harvard Medical School qui a suivi les rapports au VAERS sur une période de trois ans à Harvard Pilgrim Health Care et a conclu que «moins de 1% des effets indésirables des vaccins sont signalés». Malgré la réception de ce résultat d'étude, le HHS n'a rien fait pour remédier à l'inefficacité du VAERS et l'a laissé continuer à bourdonner, échouant à capturer la plupart des effets indésirables du vaccin.
RépondreSupprimerLes nouveaux indignés devraient se rendre compte que le même système moche qui n'a pas capturé la plupart des effets indésirables du vaccin COVID-19 n'a pas non plus capturé la plupart des effets indésirables des vaccins pour enfants. Le mythe du « un sur un million » n'a jamais été ancré dans des faits ou dans un système fiable d'enregistrement des effets indésirables. C'était inventé, tiré du derrière d'un complice de la Pharma et répété jusqu'à la nausée au fil des décennies.
Il est impossible de couvrir de manière exhaustive les insuffisances des tests de sécurité des vaccins pour enfants dans un seul article. Par souci de brièveté et parce que j'ai fourni un lien vers la lettre de l'ICAN du 31 décembre 2018 qui couvre davantage ce sujet, je vais passer à autre chose.
2. Il n'y a eu aucune preuve de nécessité pour les vaccins infantiles.
Les nouveaux indignés sont furieux que les vaccins COVID-19 aient été ajoutés au calendrier de l'enfance malgré un manque évident de nécessité pour la santé des enfants. Selon le calendrier, les vaccins COVID-19 doivent être administrés aux bébés à partir de 6 mois . Quoi de pire que de donner à un enfant un vaccin dont il n'a pas besoin avec des effets indésirables potentiels à l'âge de 6 mois ? Donner à un enfant un tel vaccin à la naissance est pire, comme on le fait avec le vaccin contre l'hépatite B.
Le CDC recommande un vaccin contre l'hépatite B à la naissance, à l'âge de 1 à 2 mois et à l'âge de 6 à 18 mois et presque tous les États imposent le vaccin pour la fréquentation scolaire. Ce sont clairement des vaccinations inutiles .
L'hépatite B ne se transmet pas par simple contact. Il se propage lorsque le sang, le sperme ou d'autres fluides corporels d'une personne infectée par le virus pénètrent dans le corps d'une personne non infectée et cela peut se produire par contact sexuel. partage d'aiguilles, de seringues ou d'autre matériel d'injection de drogue ; ou de la mère au bébé à la naissance. Par conséquent, les nouveau-nés ne courent généralement aucun risque de contracter l'hépatite B à moins que leur mère n'héberge le virus, ce qui peut être déterminé par des analyses de sang prénatales de routine. De plus, les vaccins contre l'hépatite B administrés aux nouveau-nés devraient se dissiper avant l'âge de toute exposition probable au virus de l'hépatite B.
RépondreSupprimerIl est également impossible de couvrir de manière exhaustive la question du manque de nécessité pour les vaccins infantiles dans un seul article. Il y a beaucoup trop de choses à examiner. Cette discussion sur le manque de nécessité a commencé avec le premier vaccin que les enfants reçoivent selon le calendrier du CDC, mais on pourrait lancer une fléchette sur le calendrier et atterrir sur un vaccin avec de nombreux faits sur lesquels travailler pour montrer le manque de nécessité. Vous trouverez ci-dessous des exemples d'articles et de vidéos abordant le problème du manque de nécessité en ce qui concerne quelques autres vaccins infantiles : la varicelle, le DCaT et le VPH.
Un article du 4 octobre 2019 publié par Children's Health Defence intitulé « Chickenpox: The Dirty Dozen Facts You Should Know Before Vaccinating » contient des informations démontrant qu'il n'est pas nécessaire que les enfants soient vaccinés contre la varicelle, y compris une discussion sur le faible risque posé par la maladie. . L'article traite également des problèmes associés à la vaccination de masse contre la varicelle, comme une augmentation du taux d'infections par le zona. Presque tous les États rendent obligatoire le vaccin contre la varicelle pour les écoliers.
Un segment du 2 février 2023 de The HighWire (HW) (épisode 305) discute de la recherche qui indique qu'être vacciné contre la coqueluche (avec le vaccin DTaP) rend les enfants plus sensibles à la coqueluche tout au long de leur vie, pas moins, ce qui réfute certainement tout argument selon lequel il est nécessaire pour la santé des enfants d'être vaccinés contre la maladie. Le segment discute également de la recherche qui indique que le fait d'être vacciné contre la coqueluche fait de quelqu'un, sans le savoir, un porteur infecté et asymptomatique de la maladie. Tous les États imposent le vaccin DTaP aux écoliers.
En 2023, les preuves qui réfutent l'idée que la vaccination rend les enfants en meilleure santé continuent d'affluer. Une étude de 2023 utilisant des données de 2019 a révélé une corrélation statistique positive entre les taux de mortalité infantile et le nombre de doses de vaccin reçues par les nourrissons. L'étude a confirmé les conclusions faites par les mêmes chercheurs il y a environ une décennie en utilisant les données de 2009.
RépondreSupprimerConclusion
Revenons à la question de l'amnistie. Il y a un mème qui circule ces jours-ci disant : "Ils pensent que tu es stupide." Quiconque croit que les gouvernements et les grandes entreprises pharmaceutiques ont commencé à mentir sur les vaccins lorsque le COVID-19 est arrivé est, à tout le moins, terriblement naïf. À ce stade, après le mensonge orchestré 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, sur plusieurs années, au sujet des vaccins COVID-19, il est inexcusable de continuer à faire injecter à son enfant des produits sur lesquels il n'a pas fait de recherches approfondies, c'est-à-dire avec des ressources qui ne sont pas financées par Big Pharma ou influencé. Il est encore plus inexcusable de soutenir le mandat de l'un des vaccins infantiles, ou d'accepter docilement de tels mandats par le silence. Aucune amnistie n'est justifiée pour le faire à l'avenir.
https://www.globalresearch.ca/should-amnesty-granted-those-who-were-ok-other-vaccines-being-mandated/5814532
Vidéo : Le confinement lié au Covid est un acte de guerre économique contre l'humanité : le Dr Reiner Fuellmich interviewe le professeur Michel Chossudovsky
RépondreSupprimerPar le professeur Michel Chossudovsky et Reiner Fuellmich
Recherche mondiale,
02 avril 2023
Le confinement du Covid est un acte de guerre économique et sociale, sans précédent dans l'histoire du Monde, dirigé simultanément d'un seul coup contre 193 États membres de l'ONU
Le confinement fait partie intégrante d'un programme hégémonique, dirigé contre l'humanité et la souveraineté de tous les États-nations.
Ce qui est envisagé dans le cadre de « la grande réinitialisation » est un scénario dans lequel les créanciers mondiaux se seront appropriés d'ici 2030 la richesse mondiale, tout en appauvrissant de larges secteurs de la population mondiale.
La devise du Great Reset du WEF est : En 2030 « Vous ne posséderez rien, et vous serez heureux. A savoir un processus d'appauvrissement global et de destruction sociale sans précédent dans l'histoire du monde.
- voir clip sur site -
Vidéo : Le Dr Reiner Fuellmich interviewe le professeur Michel Chossudovsky
Aussi disponible sur Bitchute
Diffusez cette vidéo au loin, crosspostez sur Independent Media.
https://www.globalresearch.ca/video-the-covid-lockdown-is-an-act-of-economic-warfare-against-humanity-dr-reiner-fuellmich-interviews-prof-michel-chossudovsky/5783254
Comment Jimmy Dore est sorti de la matrice de propagande
RépondreSupprimerPar le Dr Joseph Mercola
Mercola.com
3 avril 2023
Dans cette interview, l'un de mes comédiens préférés, Jimmy Dore, et moi discutons de la machine de propagande entourant tout ce qui concerne le COVID. J'ai posté plusieurs de ses vidéos sur ce site, car j'apprécie ses commentaires directs et incisifs. Comme moi, Dore a grandi à Chicago, dans l'Illinois. Il a emballé ses affaires et s'est rendu à Los Angeles, en Californie, en 1995, et n'a jamais regardé en arrière.
- voir clip sur site -
"Tout a fonctionné à Los Angeles pour moi quand je suis arrivé en ville", dit-il. "C'était un vrai refuge d'être entouré de tous les autres comédiens, acteurs et artistes. J'ai eu de la chance, j'ai eu un agent tout de suite et j'ai pu passer à la télévision tout de suite. Donc tout s'est bien passé. »
Sortir de la matrice
Je suis impressionné par les capacités de réflexion critique de Dore car, comme la plupart des gens, il s'est laissé prendre par la propagande et a cru que le coup COVID serait une bonne stratégie. Il a pris le vaccin, en a souffert des effets secondaires et a dû trouver un médecin holistique capable de le guider vers la santé.
Contrairement à la plupart des gens, cependant, Dore a pu mettre deux et deux ensemble après cela et s'est rendu compte qu'il avait été dupé. Le tir était loin d'être aussi sûr (ou efficace) qu'ils le prétendaient. Après cette prise de conscience, il a également commencé à voir à travers d'autres récits de propagande.
"J'ai été complètement propagandisé", dit-il. "J'ai une maladie osseuse que je dois soigner tous les jours, alors j'avais peur. Ils ont donné l'impression que si vous avez le COVID, il va trouver la partie la plus vulnérable de votre corps, il va l'infecter et vous tuer. Donc, j'étais convaincu que si je l'obtenais, il irait droit dans mes os et me tuerait.
J'étais mort de peur. Donc, je savais que j'allais prendre le vaccin - et j'avais peur de me renseigner. C'est vrai, non ? Parce que je savais que j'allais le prendre de toute façon, et parce que mes deux médecins m'avaient dit de le prendre, parce qu'ils ne savaient pas mieux. Aucun de nous ne savait à l'époque qu'ils supprimaient des informations exactes. Je ne le savais pas. Mes médecins non plus.
À cette époque, nous ne savions pas qu'il y avait d'autres médecins avec un autre récit. Je ne connaissais pas la déclaration de Great Barrington. Je ne savais pas qu'il y avait d'éminents scientifiques et médecins qui avaient une idée différente. Je ne savais pas ce qu'était un criminel, le Dr Fauci. Je ne savais pas qu'il avait fait la même chose lors de la crise du sida.
Alors, j'ai pris le vaccin, je suis tombé malade et je ne me suis jamais amélioré. C'était juste des effets secondaires horribles. J'avais une tension artérielle de 180/120. J'aurais pu faire un AVC à tout moment. J'avais des douleurs nerveuses, des lésions nerveuses. On m'a diagnostiqué une névralgie occipitale, qui si vous savez ce que c'est, c'est la raideur de nuque la plus méchante que vous ayez jamais eue dans votre vie.
RépondreSupprimerJ'avais des douleurs articulaires, de la fatigue, un essoufflement. Je l'ai eu pendant des mois. Heureusement, [j'ai trouvé des médecins] qui étaient à l'avant-garde du traitement des personnes blessées par le vaccin… et ils avaient une théorie. Mon médecin était le Dr [Ram] Yogendra. Il travaillait avec [Dr.] Bruce Patterson et leur idée était que les personnes blessées par le vaccin se présenteraient comme si elles avaient un long COVID.
Ils ont fait un test sanguin spécial. Il m'a montré mes marqueurs biologiques et m'a dit: «Vous vous présentez comme si vous aviez un long COVID, mais vous n'avez jamais eu de COVID. Donc, tu as ça du vax'... Ils m'ont donné de la fluvoxamine, de l'azithromycine et de l'ivermectine. Et quand il m'a donné de l'ivermectine, je me suis dit : 'Hé, qu'est-ce que c'est ? Je pensais que c'était cette pâte de cheval.
C'est à ce moment-là qu'on m'a expliqué qu'on nous mentait à une échelle que notre esprit ne peut pas comprendre. Non seulement l'ivermectine n'est pas dangereuse, mais ce n'est pas seulement pour les animaux, c'est un médicament humain. En fait, il a remporté le prix Nobel de médecine humaine, et il figure sur la liste des médicaments essentiels de l'Organisation mondiale de la santé, a été prescrit des milliards de fois et a sauvé des milliards de vies, et est moins toxique que le Tylenol.
J'étais comme, 'Tu te moques de moi ?' Et il a dit: 'Jimmy, avant COVID, ils cherchaient l'ivermectine pour traiter le cancer. Il était considéré comme un médicament miracle. Et la raison pour laquelle ils mentent à ce sujet maintenant est que si l'ivermectine traite le COVID, ils ne peuvent pas obtenir leur autorisation d'utilisation d'urgence pour ces vaccins »...
Donc c'était comme, 'Oh mon dieu, ils mentent à ce sujet. Ce n'est qu'une grosse ponction d'argent. Et dès que j'ai compris cela, et peu importe ce que j'ai regardé, ils ont menti à ce sujet.
Tous mensonges
RépondreSupprimerComme Dore l'a finalement compris, l'establishment médical a menti non seulement sur l'ivermectine, mais aussi sur l'hydroxychloroquine et les premiers traitements. Ils ont menti sur l'immunité collective et l'immunité naturelle. Ils ont menti sur les masques. Ils ont menti lorsqu'ils ont déclaré que le vaccin COVID empêchait la transmission et pourrait mettre fin à la pandémie. Ils ont menti sur la sécurité des tirs et sur la gravité du virus lui-même aussi.
"Le virus n'a jamais été un virus grave", dit Dore. "Bill Gates, après avoir encaissé ses actions, l'argent qu'il a investi dans Pfizer, puis il a commencé à dire la vérité aux gens. Il a dit: «Ouais, eh bien, le virus, ce n'est pas si mortel. Il a un faible taux de mortalité. » Ceci est une citation directe…
Elle affecte les personnes âgées et celles qui ont des comorbidités, un peu comme la grippe, mais un peu différemment. L’âge moyen de décès par COVID est supérieur à l’âge de l’espérance de vie, mais nous vaccinons les lycéens… les enfants et les bébés. C'est un acte criminel d'une ampleur incroyable. Et ils le font encore parce qu'ils possèdent les médias et parce qu'ils s'en sont tirés et parce qu'ils ont l'immunité contre les poursuites.
Pourquoi avez-vous besoin de l'immunité contre un procès ? Pourquoi avez-vous besoin de cela si c'est sûr et efficace si vous avez fait tous les essais ? Parce que ce n'est pas le cas et que vous n'avez pas fait tous les essais. C'est pourquoi.
Les gens qui poussent cela sont les plus grands criminels du monde, et ils ont déjà prouvé qu'ils sont prêts à tuer des quantités massives de personnes pour le profit... C'est le système pervers le plus psychopathe que j'aie jamais vu. Et tout le monde est d'accord avec ça. Donc, c'était mon voyage.
Sur le vaccin qui ne l'est pas
Comme l'a noté Dore, un vaccin qui ne bloque pas la transmission d'un virus (et ne vous empêche donc pas de tomber malade) n'est pas un vaccin. C'est une thérapeutique. Nous savons maintenant pertinemment que les injections COVID ne bloquent pas la transmission. Ils n'ont même jamais testé pour voir si cela empêcherait la transmission, ce que moi et d'autres scientifiques avons souligné dès le début. Nous avons également une abondance de preuves montrant que les tirs font plus de mal que de bien.
"Plus de personnes ont été blessées par le" vaccin "qu'il n'en a été sauvé", déclare Dore. « En ce moment, personne ne devrait le prendre. Omicron est un rhume. Il a fait exactement ce que le Dr Robert Malone a expliqué dans mon émission au début de 2021, à savoir que le virus va muter pour devenir beaucoup plus infectieux et moins mortel. Et c'est exactement ce qui s'est passé."
RépondreSupprimerPendant la vague Omicron, Dore a contracté le COVID trois fois, "et ce n'était rien", dit-il. "C'était le rhume le plus doux que j'aie jamais eu de ma vie." Malheureusement, il a commis une deuxième erreur la première fois qu'il a contracté le COVID. Il a pris Paxlovid et l'a récupéré. Que Paxlovid vous rend sujette à la réinfection est maintenant également un fait établi.
La corruption mettra fin à l'empire américain
"Ce qui se passe, c'est que nous sommes dirigés par des criminels psychopathes et... les gens ne se rendent pas compte que notre gouvernement n'est pas 'régulier' corrompu", dit Dore. La plupart des gens pensent à la corruption du gouvernement en termes de Joe Biden donnant à son fils Hunter un travail confortable au sein d'une commission de l'énergie en Ukraine, ou de Donald Trump mettant son fils en place avec un accord commercial en Arabie saoudite.
Mais la corruption que nous commençons maintenant à voir est bien pire et plus répandue que cela. Il a été intégré à chaque partie du gouvernement et à chaque système utilisé pour le faire fonctionner.
"Tout cela est corrompu", dit Dore. « Toute la politique COVID était corrompue. Tout le déploiement du vaccin est 100 % corrompu. Tout ce qui se passe au Congrès se produit à cause de la graisse de l'huile de la corruption. Et s'il n'y a pas de corruption là-dedans pour graisser les rouages, les mécanismes du gouvernement ne fonctionnent pas.
C'est pourquoi nous pouvons envoyer 100 milliards de dollars à l'Ukraine parce que c'est 100 milliards de dollars de corruption, alors que nous n'envoyons pas 100 milliards de dollars aux États-Unis pour mettre fin à l'itinérance. 100 milliards de dollars pourraient mettre trois fois fin à l'itinérance aux États-Unis, et ils ne l'enverront pas dans notre propre pays parce qu'il n'y a personne pour en tirer profit… Nos législateurs font un gros profit de la guerre.
Donc, nous avons une économie de la mort sans fin, et c'est tout ce que nous pouvons faire. Nous n'investirons pas dans notre propre pays. C'est ce qu'on appelle la fin d'un empire. C'est ainsi que finissent tous les empires, et nous finissons en ce moment...
Nous avons 1 000 bases militaires dans le monde. Vous savez combien en a la Russie ? Trois. Vous savez combien la Chine a ? Je ne sais pas, deux. C'est comme rien. Nous avons 1 000 bases militaires. Nous sommes les terroristes. Nous avons eu 400 bases militaires autour de la Chine depuis la guerre de Corée.
RépondreSupprimerNous faisons une guerre en ce moment à la frontière russe. Pouvez-vous imaginer si la Russie finançait une guerre contre nous au Mexique à hauteur de 100 milliards de dollars ? Pouvez-vous imaginer si la Russie envoyait ses missiles et ses chars ? Que pensez-vous que nous ferions ? Et c'est exactement ce qui se passe en ce moment."
Nous vivons dans une illusion de démocratie
Comme l'a noté Dore, la Russie, la Chine, l'Inde, l'Italie et le Venezuela unissent désormais leurs forces pour créer de nouveaux centres de pouvoir économique afin de combattre l'hégémonie des États-Unis. "Et ils le font en se battant avec deux puissances nucléaires", dit Dore.
"C'est ce qu'ils ont dit que Trump allait faire. Trump ne l'était pas en fait, il était en fait un pacifiste comparé à ces gars-là. Trump n'a pas déclenché une autre guerre. C'est pourquoi ils l'arrêtent. C'est pourquoi ils l'ont destitué deux fois. Ils devaient faire une opération du FBI le 6 janvier.
Le tout, c'est qu'ils savent que les gens en ont fini avec l'oligarchie. Ils en ont fini avec ce duopole bipartite, qui est unipartite parce qu'ils travaillent tous pour les mêmes personnes. Les démocrates et les républicains sont payés par les mêmes gars : Wall Street, Big Pharma, l'assurance maladie, la Silicon Valley et le complexe militaro-industriel.
Ils travaillent tous pour les mêmes personnes, c'est pourquoi nous pouvons avoir une catastrophe écologique qui empoisonne les gens dans l'est de la Palestine, et personne ne s'en soucie au sein du gouvernement, mais ils s'envoleront pour Kiev et promettront 10 milliards de dollars supplémentaires à un pays étranger parce que la corruption est en train de graisser les rouages de ce qui se passe…
Nous vivons sous un gouvernement fasciste. Quiconque pense voter pour les démocrates et se féliciter comme s'il luttait contre le fascisme ou la suprématie blanche, je veux vous détromper de cette idée stupide. Tu n'es pas. Vous votez pour une autre marque de fascisme…
Cette idée que vous allez mettre fin au fascisme en votant pour un démocrate - nous vivons déjà sous un gouvernement fasciste ! Votre démocratie vous a déjà été volée. Le mariage parfait des entreprises et du gouvernement, c'est ce qu'est le fascisme. C'est pourquoi ils ont imposé des vaccins. C'est pourquoi ils ont donné 100 milliards de dollars à l'Ukraine, et ils ne résoudront pas le sans-abrisme en Amérique.
Prédictions pour l'avenir
RépondreSupprimerComme moi, Dore pense que les choses vont empirer avant de s'améliorer. En termes de renversement de l'uniparti corrompu, il pense que nous avons besoin d'un tout nouveau parti qui n'a pas encore été avalé par la corruption, et sa suggestion pour Robert F. Kennedy Jr., qui envisage de se présenter à la présidence en 2024, est d'abandonner le parti démocrate et en former un nouveau.
"J'aimerais que Bobby Kennedy se présente comme un tiers, et j'aimerais qu'il organise les gens pour qu'ils descendent dans la rue", a déclaré Dore. « Le gars, c'est un vrai espoir. Quand vous lui parlez, vous pouvez juste sentir qu'il est la vraie affaire… Je sais qu'il va se présenter en tant que démocrate, et ne serait-ce pas formidable s'il me prouvait que j'avais tort ?…
Mais les superdélégués… trouveraient d'autres moyens de le truquer. Regardez ce qu'ils ont fait à Bernie Sanders cette dernière fois. Ils ont inventé une nouvelle application pour la primaire de l'Iowa, et d'une manière ou d'une autre, cette nouvelle application ne pouvait pas compter les votes. N'est-ce pas incroyable ? Ils ne pouvaient pas savoir combien de personnes avaient voté. Et qui a inventé cette application ? Un groupe d'agents et de donateurs du Parti démocrate.
Alors, ils vont inventer un moyen. Si ce ne sont pas les superdélégués, ce qu'ils seront, ils inventeront de nouvelles façons de le faire, en plus de l'assaut des médias. De plus, ils diront simplement: "Oh, il n'a pas gagné". Il n'a pas obtenu les votes. " Et puis si vous dites: " Vous volez les élections ", ils vous traiteront de théoricien du complot, comme ils l'ont fait pour quiconque conteste leurs élections.
Lorsque les démocrates contestent une élection, c'est parce qu'ils sont de bonnes personnes qui défendent la démocratie comme ils l'ont fait contre les élections de 2016. Ils disent que les élections de 2016 ont été volées par la Russie. C'est donc bien de le dire, mais vous ne pouvez pas dire qu'une autre élection a été volée ou que vous êtes un fou.
Ainsi, nos élections n'étaient pas suffisamment sûres en 2016 pour qu'un escroc comme Donald Trump puisse gagner, mais elles sont si sûres en 2020 que vous ne pourriez jamais avoir de question à ce sujet.
Ces gens sont des menteurs pathologiques, des criminels. Nous sommes gouvernés par des criminels. Et j'espère que Bobby Kennedy fera descendre les gens dans la rue parce que c'est la seule façon d'y parvenir. Tout comme Martin Luther King l'a fait, tout comme Gandhi l'a fait. C'est le seul moyen de renverser [l'oligarchie].
https://www.lewrockwell.com/2023/04/joseph-mercola/how-jimmy-dore-broke-out-of-the-propaganda-matrix/
Birmanie : le retour de l’opium
RépondreSupprimerAlors que l’économie licite de la Birmanie demeure fragile, les revenus des cultivateurs d’opium gagnent en importance.
le 3 avril 2023
Par Côme de Bisschop.
Un article de Conflits
L’opium fait son grand retour en Birmanie. L’office des Nations Unies de lutte contre la drogue constate une croissance non seulement des zones cultivées mais aussi de la productivité. La Birmanie redevient l’un des grands producteurs mondiaux de drogue, ce qui bouleverse tant l’Asie que l’Europe.
Dans son enquête en 2022 sur la culture du pavot en Birmanie, l’agence des Nations Unies contre les drogues et le crime (ONUDC) constate un net accroissement de la culture et du rendement à la suite des nouvelles zones cultivées et à une sophistication accrue des pratiques agricoles. Cette augmentation est enregistrée dans un contexte de perturbations économiques et sociales après le coup d’État militaire de février 2021, laissant derrière lui des années d’amélioration dans la lutte contre le trafic de drogue mis en place pendant la parenthèse démocratique.
Une augmentation plurifactorielle
L’augmentation des cultures du pavot est d’abord due à une augmentation de la taille des champs. Selon le rapport, la surface des terres utilisées pour cultiver du pavot, plante à l’origine de l’opium et de l’héroïne, a augmenté de 33 % en un an pour atteindre 40 100 hectares en 2022.
À cela s’ajoute une augmentation considérable des rendements, avec une production totale en hausse de 88 % en un an pour atteindre 790 tonnes, un record depuis 2013 comme le souligne l’étude qui s’appuie sur des images prises par satellite et des études de terrain. Les observations ont permis de remarquer des parcelles, autrefois désordonnées, à présent très bien optimisées pour le haut rendement, grâce des pratiques agricoles plus sophistiquées et davantage de disponibilité concernant l’engrais. En effet, les estimations de rendement nationales indiquent une moyenne de 19,8 kg d’opium par hectare de pavot. Un niveau de production encore loin derrière celui de l’Afghanistan mais qui est à son plus haut en Birmanie depuis que l’ONUDC effectue ces recherches.
La poursuite de l’instabilité politique dans un environnement post-coup d’État où l’inflation est forte incite les agriculteurs à se reconvertir dans la culture du pavot, celle-ci offrant des prix de vente plus attractifs. En effet, la pauvreté, le manque de services et l’insécurité ont poussé les ménages ruraux à dépendre davantage de l’opium. En outre, la crise politique et sociale qui touche le pays a conséquemment abouti à une diminution considérable des efforts d’éradications des différentes cultures de pavot entamées par l’ancien gouvernement.
La rupture avec 2021 est ainsi considérable, où l’augmentation de la superficie cultivée (2 %) et du rendement (4 %) est restée modérée, alors que les chiffres étaient en baisse depuis six années consécutives, notamment à la suite de la période de démocratie initiée par la conseillère d’État Aung San Suu Ky et de son programme de lutte contre le trafic de drogue.
Les hausses les plus significatives se trouvent dans les régions frontalières, notamment l’État de Shan
« Les agriculteurs du nord de l’État Shan ou des régions frontalières n’ont pas eu trop le choix sinon que de retourner à la culture du pavot » a révélé Jeremy Douglas, représentant régional pour l’Asie du sud-est de l’UNODC. Le rapport montre en effet une augmentation majeure dans les États frontaliers de la Birmanie, notamment les États de Shan avec une hausse de 29 %, mais également les États de Chin (14 %) et de Kayah (11 %).
Accroissement des revenus des cultivateurs
RépondreSupprimerAlors que l’économie licite de la Birmanie demeure fragile, les revenus des cultivateurs d’opium gagnent en importance.
Dans un contexte d’expansion de la production de drogues synthétiques, l’économie du pavot en Birmanie est évaluée à près de deux milliards de dollars américains, alors que le commerce régional est estimé à environ 10 milliards de dollars, selon l’ONUDC.
Cela démontre l’attrait de l’opium en tant que culture et produit de base ainsi que la forte expansion de la demande, semblant se reconnecter au marché mondial, notamment celui de l’héroïne du Triangle d’Or (Thaïlande, Birmanie, Laos).
Sans stabilité politique et économique, il y a fort à parier pour que la culture et la production du pavot continuent de croître. Selon l’agence onusienne, la culture de l’opium est une question qui ne peut être résolue en détruisant les cultures, ce qui ne ferait qu’augmenter la précarité dans le pays. Les cultivateurs ont davantage besoin d’aide pour trouver d’autres moyens de revenus, en travaillant ailleurs que dans des champs de pavot.
https://www.contrepoints.org/2023/04/03/453672-birmanie-le-retour-de-lopium
Les financiers sont les maîtres du système. Interview Elucid
RépondreSupprimerAVRIL 3, 2023 PAR LHK
« LES FINANCIERS SONT LES MAÎTRES DU SYSTÈME ! » – Une interview de Jacques de Larosière par Olivier Berruyer, pour Élucid.
- voir clip sur site -
Jacques de Larosière a passé toute sa carrière à la tête de grandes institutions financières : il a été notamment directeur général du FMI, et gouverneur de la Banque de France. Son expérience au cœur du système lui offre une connaissance rare des rouages de nos économies modernes. Il porte un regard extrêmement critique sur la gestion de la monnaie par les banques centrales, et dénonce avec vigueur les dérives de la finance. Son témoignage est rare : Jacques de Larosière fait partie de ces rares voix dissidentes qui parlent en connaissance de cause, en remettant en question la gestion calamiteuse de notre système économique, favorisant 10% de la population au détriment de 90% d’entre elle.
https://lilianeheldkhawam.com/2023/04/03/les-financiers-sont-les-maitres-du-systeme-interview-elucid/
Voici comment les gouvernements sont infiltrés par le WEF
RépondreSupprimer3 avril 2023
du Dr. Peter F. Mayer
Avec son programme Young Global Leaders, le Forum économique mondial (WEF) a joué un rôle clé dans la formation d'un ordre mondial qui sape tous les principes démocratiques. Pendant plusieurs décennies, ce programme a produit des dirigeants dociles qui agissent en tant que représentants du WEF dans les gouvernements du monde entier. Les conséquences sont considérables et pourraient s'avérer dévastatrices pour l'humanité.
Dans la vidéo, le PDG du WEF, Klaus Schwab, explique fièrement comment son organisation est activement impliquée dans la sape de la démocratie et le lobbying pour le profit et les intérêts dominants du capital financier international :
" Je dois dire que je mentionne ensuite des noms comme Mme Merkel, voire Vladimir Poutine, etc. - ils étaient tous des jeunes leaders mondiaux du Forum économique mondial. Mais ce dont nous sommes vraiment fiers maintenant, c'est que nous entrons dans les cabinets avec la jeune génération comme le premier ministre Trudeau, le président argentin et ainsi de suite… C'est la même chose en Argentine et maintenant en France aussi… (Klaus Schwab) »
- voir clip sur site -
En 1992, Klaus Schwab et le Forum économique mondial ont créé un programme initialement appelé Global Leaders of Tomorrow.
En 2004, ce programme a été transformé en Forum for Young Global Leaders (dont je parle dans mon livre The Global Coup D'Etat) - un programme de cinq ans d'endoctrinement dans les principes et les objectifs du WEF.
L'objectif était - et est - de trouver de futurs leaders appropriés pour la société mondiale émergente. Depuis sa création, le programme a inclus des politiciens, des chefs d'entreprise, des membres de la royauté, des journalistes, des artistes et d'autres travailleurs culturels qui ont excellé dans leurs domaines mais qui ont moins de 40 ans (43 à l'origine pour Angela Merkel). Depuis lors, il s'est transformé en un vaste réseau mondial de dirigeants dévoués dotés de ressources et d'une influence considérables, travaillant tous à mettre en œuvre les plans technocratiques du Forum économique mondial dans leurs pays et domaines respectifs.
Dès la première année, 1992, un certain nombre de candidats très influents ont été élus . Parmi les 200 élus figuraient des hommes politiques de premier plan tels qu'Angela Merkel, Tony Blair, Nicolas Sarkozy, Bill Gates, Bono, Richard Branson (Virgin), Jorma Ollila ( Nokia) et José Manuel Barroso (président de la Commission européenne 2004-2014).
Autres exemples de Young Global Leaders influents :
RépondreSupprimerPrincesse héritière Victoria de Suède
Prince héritier Haakon de Norvège
Prince héritier Fredrik de Danemark
Prince Jaime de Bourbon de Parme, Pays-Bas
Princesse Reema Bint Bandar Al-Saud, ambassadrice d'Arabie saoudite aux États-Unis
Jacinda Arden, Premier ministre, Nouvelle-Zélande
Alexander De Croo, Premier ministre, Belgique
Emmanuel Macron, président français
Sanna Marin, Premier ministre, Finlande
Carlos Alvarado Quesada, président, Costa Rica
Faisal Alibrahim, ministre de l'Économie et de la Planification, Arabie saoudite
Shauna Aminath, Ministre de l'environnement, du changement climatique et de la technologie, Maldives
Ida Auken, députée, ancienne ministre de l'Environnement, Danemark (auteur du tristement célèbre article "Welcome To 2030 : I Own Nothing, Have No Privacy And Life Has Never Been Better")
Annalena Baerbock, ministre fédérale des Affaires étrangères, présidente de Bündnis 90/Die Grünen, Allemagne
Kamissa Camara, ministre de l'Economie numérique et de la Planification, Mali
Ugyen Dorji, ministre de l'Intérieur, Bhoutan
Chrystia Freeland, vice-première ministre et ministre des Finances, Canada
Martín Guzmán, ministre des Finances, Argentine
Muhammad Hammad Azhar, ministre de l'Énergie, Pakistan
Paula Ingabire, Ministre des technologies de l'information et de la communication et de l'innovation, Rwanda
Ronald Lamola, Ministre de la justice et des prisons, Afrique du Sud
Birgitta Ohlson, ministre des Affaires de l'Union européenne 2010-2014, Suède
Mona Sahlin, chef du parti social-démocrate 2007-2011, Suède
Stav Shaffir, chef du Parti vert, Israël
Vera Daves de Sousa, ministre des Finances, Angola
Leonardo Di Caprio, acteur et militant pour le climat
Mattias Klum, photographe et écologiste
Jack Ma, fondateur d'Alibaba
Larry Page, fondateur de Google
Ricken Patel, fondateur d'Avaaz
David de Rothschild, aventurier et écologiste
Jimmy Wale, fondateur de Wikipédia
Jacob Wallenberg, président de l'investisseur
Niklas Zennström, fondateur de Skype
Mark Zuckerberg, fondateur de Facebook
Dès le départ, l'objectif a été « d'identifier et de faire avancer un programme mondial tourné vers l'avenir qui se concentre sur les questions à l'intersection des secteurs public et privé ».
RépondreSupprimerLes partenariats public-privé sont l'une des pierres angulaires de la philosophie du Forum économique mondial. C'est-à-dire une coalition entre l'État et les grandes entreprises (également appelée corporatisme) dans le but de résoudre « plus efficacement » les problèmes mondiaux. La sélection des dirigeants reflète clairement cette aspiration.
Le groupe Young Global Leaders a d'abord été chargé d'identifier les grands défis du 21e siècle. siècle à identifier. Ceux-ci comprenaient la paix, l'environnement, l'éducation, la technologie et la santé - des domaines que ces futurs dirigeants pourraient utiliser politiquement, économiquement et culturellement dans le nouveau millénaire.
Les partenaires des 2000 Global Leaders of Tomorrow étaient de grandes entreprises mondiales telles que The Coca Cola Company, Ernst & Young, Volkswagen et BP Amoco. Ceux-ci pourraient contribuer à l'agenda en "jouant un rôle actif dans le développement et la mise en œuvre du concept du projet GLT". Les partenaires peuvent ainsi participer activement au développement des programmes GLT ; Des représentants des entreprises partenaires et leurs invités sont conviés aux rencontres GLT… « Depuis que les Global Leaders of Tomorrow se sont transformés en Young Global Leaders en 2004, des partenaires tels que la Fondation Bill & Melinda Gates, Google et JPMorganChase (avec des alumni du programme ) impliqués en tant que sponsors.
La conséquence ultime des partenariats public-privé et de ces zones cibles est la création d'un contrat social largement tyrannique dans lequel l'individu est subordonné à ces intérêts puissants. Même les nobles objectifs de créer un monde meilleur ont été kidnappés. Cela devient particulièrement clair dans le cadre du partenariat entre le WEF et l'ONU et la mise en œuvre des objectifs mondiaux (Agenda 2030) à travers l'application des technologies de la quatrième révolution industrielle.
Cela signifie que les principes démocratiques et la répartition du pouvoir du XXe siècle ont été largement érodés et remplacés par une nouvelle classe mondiale qui façonne notre avenir commun en fonction de ses propres intérêts.
RépondreSupprimerCela a conduit à une privatisation de facto des gouvernements nationaux et des organisations internationales, les lobbyistes passant du lobby au siège du pouvoir et façonnant les politiques qui affectent directement nos vies. Ce que cela signifie est devenu particulièrement clair depuis la déclaration de la pandémie en mars 2020. En outre, les principaux gestionnaires d'actifs multinationaux tels que BlackRock, dirigé par Larry Fink du Forum économique mondial, ont constamment renforcé leurs positions.
L'analyste et auteur allemand Ernst Wolff estime que de nombreux dirigeants nationaux inclus dans le programme Young Global Leader ont été choisis en raison de leur volonté de mener à bien le programme de verrouillage difficile de ces dernières années sans se poser de questions, et que leur échec à venir (illustré par la croissance mécontentement de masse) servira de prétexte pour créer une nouvelle forme de gouvernement mondial dans laquelle les anciens États-nations deviendront largement obsolètes.
Il existe de nombreuses approches à cet égard, comme celle avec l'OMS, qui doit se voir conférer des pouvoirs dictatoriaux mondiaux grâce à la combinaison du nouveau traité sur la pandémie avec les modifications du Règlement sanitaire international . Cela créerait effectivement un gouvernement mondial sous le contrôle du capital financier, des oligarques occidentaux et de l'industrie pharmaceutique.
Cependant, le WEF n'est pas le seul forum pour façonner et influencer les politiciens de haut niveau. Les Bilderbergers du Conseil des relations étrangères des États-Unis, qui décident également qui devient président des États-Unis, sont connus pour leur influence.
Voici comment la conférence se décrit :
« Créé en 1954, le Bilderberg Meeting est une conférence annuelle destinée à promouvoir le dialogue entre l'Europe et l'Amérique du Nord. Chaque année, entre 120 et 140 dirigeants politiques et experts de l'industrie, de la finance, du travail, du monde universitaire et des médias sont invités à assister à la réunion. Environ les deux tiers des participants viennent d'Europe, le reste d'Amérique du Nord ; environ un quart de la politique et du gouvernement, le reste d'autres domaines.
La dernière réunion a réuni le patron de NEOS Beate Meinl-Reisinger d'Autriche, le patron de Springer Mathias Döpfner et Jörg Kukies d'Allemagne. Les banquiers Andreas Treichl (Erste Bank), Paul M. Achleitner (Deutsche Bank) et le patron de Fast-SPÖ Gerhard Zeiler étaient là. Voici la liste des participants.
Des participants tels que le PDG de Pfizer et le responsable de la CIA s'assurent que le contenu est correct .
RépondreSupprimerhttps://tkp.at/2023/04/03/so-werden-regierungen-vom-wef-infiltriert/
Rapport différent sur:
https://www.globalresearch.ca/world-economic-forum-young-global-leaders-revealed/5769766
L’arrivée des crises économiques, ce que nous dit la théorie
RépondreSupprimerLa présentation de l’origine des crises économiques montre la palette importante des causes premières œuvrant pour faire apparaître une crise économique et financière.
le 2 avril 2023
Par Bernard Landais.
Un article de Conflits
La faillite de la SVB aux États-Unis et les difficultés du Crédit Suisse en Europe ont relancé les spéculations sur l’arrivée d’une crise économique et financière analogue à celle de 2008. Les derniers mouvements des Bourses d’actions se font aussi plus incertains, loin de l’euphorie des mois précédents. De même, le secteur immobilier commence à rencontrer des difficultés après la période prolongée de gains spéculatifs et de prix hors contrôle.
Que nous apporte la théorie économique sur ces perspectives de crise ? Je donne ici un point de vue, principalement étayé sur le modèle macroéconomique « Océan » publié dans l’un de mes ouvrages récents, Les Fluctuations économiques.
Même s’il ne faut pas abuser du terme, la crise est parfois au rendez-vous pour la plupart des économies mondiales et assez fréquemment synchronisées d’un pays à l’autre. Le modèle Océan a été justement construit pour traiter de cette question en réfléchissant aux conditions de la grande récession économique et financière de 2008-2009 ; il peut donc être suivi pour comprendre la genèse et le déroulement des crises.
Le modèle Océan
Tout d’abord, que veut dire le mot en économie et comment différencier une crise d’une baisse du taux d’expansion ?
Les réponses sont assez attendues : une crise économique est une baisse du PIB pendant une période d’une ou de quelques années et assez forte pour que ses conséquences en matière de faillites, de déclassement du capital, d’emploi et de pauvreté soient durables et graves.
Autrefois, les économistes préféraient parler des cycles et de théorie des cycles parce qu’ils insistaient sur la récurrence quasi mécanique des crises de production à des intervalles à peu près réguliers, mais on peut tourner la page, la régularité dans le temps ayant complètement disparu.
On a pris l’habitude de parler de la Grande Crise des années 1930 ou plus récemment de la Grande Récession de 2008-2009 et on y insiste parce qu’au-delà de leur grande ampleur elles ont été géographiquement ressenties dans tout le monde capitaliste. Quand on étudie les répercussions des crises économiques, on s’aperçoit que les dégâts les plus importants, perte de production, chômage, sont enregistrés quand la crise économique est en même temps une crise financière. Les crises économiques et financières sont donc celles qu’il s’agit d’éviter.
Les crises ne concernent parfois qu’un pays isolé. Pour qu’il en soit ainsi, il faut un pays assez petit et que les causes de la crise soient spécifiques, par exemple un pays mono-exportateur d’un bien quand le prix de ce bien baisse beaucoup ou un pays dont le secteur dominant est affecté par des évènements particuliers ; songeons au cas du Liban contemporain pour son secteur financier.
RépondreSupprimerContagion
Les crises sont souvent contagieuses et d’autant plus à notre époque où les échanges sont mondialisés. Elles le sont en particulier parce que les systèmes financiers sont interdépendants. Ainsi, en 2008, aucun pays occidental n’a pu se mettre à l’abri de la crise des subprime alors même que l’affaire était totalement américaine au départ. Le poids d’une économie initiant le déséquilibre, ici les USA, est évidemment un facteur primordial de contamination pour les économies étrangères connectées et c’est pourquoi l’alerte actuelle sur son système bancaire est importante. Les crises « économiques et financières » sont donc plus contagieuses parce qu’elles sont financières.
La lecture proposée par Océan correspond à un juste milieu entre le principe de Robert Lucas et celui de Joseph Schumpeter. Pour Robert Lucas « Tous les cycles se ressemblent !». Pour Joseph Schumpeter, il vaut mieux les étudier par la méthode historique parce que, selon lui, les différences d’un épisode à l’autre sont plus marquées que leurs ressemblances.
Causes des crises
Il est clair que la crise financière est une situation dans laquelle les « conditions du crédit », notion mise en avant par le dernier prix Nobel Ben Bernanke et reprises dans le modèle Océan, sont complètement déréglées.
Il existe une nomenclature des crises financières par leurs caractères de départ :
les crises bancaires avec paniques et/ou faillites ;
les crises de change, c’est-à-dire l’effondrement de la valeur externe de la monnaie nationale ;
les crises de dette souveraines par l’effondrement de la valeur des titres publics et les faillites d’États ;
les crises boursières ou krachs boursiers correspondant à des « bulles spéculatives éclatées » ;
les crises de restriction monétaire liées à une politique de lutte contre l’inflation ;
les crises obligataires.
Les « crises immobilières ne sont pas financières au sens strict mais elles peuvent y conduire très vite comme on l’a vu pour l’épisode des subprime. Parfois, plusieurs types de crise financière se combinent entre elles et la situation est alors d’autant plus grave.
RépondreSupprimerL’équation de détermination du PIB, analysée en détail dans le modèle Océan est évidemment la relation à regarder de près pour expliquer les mouvements réels d’une crise économique. Ce n’est pas qu’une relation de type keynésien à prédominance de demande globale. En effet, parmi les facteurs contribuant à l’évolution de la production et de l’emploi à court terme, on compte à la fois des éléments commandant la demande et des éléments commandant l’offre de production des entreprises.
Dans les deux cas, l’activité dépend d’une large panoplie d’anticipations formées par les uns et par les autres : anticipations du revenu futur, anticipations des profits courants et des profits d’un futur plus lointain, anticipations de la valeur des actifs commandant des effets richesse, anticipations d’inflation et de taux de change réels, anticipations de taux d’intérêt réels… Ce sont les déterminants des fluctuations du produit et de l’emploi.
Ainsi, en jumelant les équations de détermination du produit et du crédit, on a la clef d’explication des crises économiques et financières.
Dans ces deux relations figure en effet toute la gamme des anticipations déjà citées :
Pour le produit ou revenu futur
Pour l’inflation future
Pour les profits à court terme
Pour les profits à moyen terme
La valeur des actifs
Le risque financier
La politique monétaire future
Une crise est susceptible de survenir quand une ou plusieurs des anticipations citées passent dans le rouge avec un pessimisme irrépressible. Si l’on se cantonne aux crises économiques et financières, trois anticipations très sensibles peuvent plus particulièrement déraper :
Les anticipations de profits futurs (4) qui calibrent les investissements.
Les anticipations des valeurs d’actifs (5) : actions, obligations privées et publiques, immobilier, changes…
Les anticipations de risque financier (6), en gros le défaut de paiement des débiteurs.
Ces anticipations peuvent donc sombrer dans le pessimisme et balayer les investissements et les crédits. C’est l’explication des origines de la crise que propose le modèle Océan, explication qui semble convenir à la situation actuelle du moins pour les deux derniers mécanismes.
Concrètement, le pessimisme peut venir au départ d’un phénomène exogène, guerre, épidémie… ou bien simplement d’un retournement d’humeur après une forte période d’euphorie. On se souvient que dans l’épisode lointain concernant le Système de John Law, les actions de la Compagnie des Indes occidentales avaient beaucoup monté, avec une expansion extrême du crédit de la Banque Royale pour soutenir le mouvement de hausse. Mais les rumeurs portant sur le caractère forcément limité des bénéfices de cette compagnie renversèrent les anticipations et déclenchèrent une descente aux enfers, balayant tout et en particulier la richesse des détenteurs d’actions.
Questions d’anticipations
RépondreSupprimerOn possède deux éléments sûrs pour raisonner sur les crises : les anticipations sensibles risquent d’autant plus de se retourner vers le pessimisme et la crise qu’elles ont été longtemps trop optimistes.
Pendant parfois plusieurs années, des bulles d’optimisme ôtent aux acteurs leur sens critique et leur prudence, ce qui fragilise les marchés. Certains investissements industriels sont longtemps porteurs de profits assurés qui élèvent le niveau de confiance au-dessus du raisonnable ; mais parfois les derniers entrepreneurs arrivés dans le secteur se trouvent dans une impasse de marchés saturés. Un exemple de cela a été apporté par la crise « asiatique » de 1997 quand les investissements d’immobilier de bureaux ont saturé le marché, notamment en Thaïlande. Remarquons qu’en conséquence, l’un des rôles de l’État et des banques centrales est de prévenir les crises en empêchant les spéculations exagérées et en tempérant les euphories. L’exercice n’est pas facile car les mesures de modération qui sont prises trop tard à cette fin peuvent parfois entraîner le retournement pessimiste que l’on redoute ; le remède est alors pire que le mal !
Les anticipations, sous les sept formes citées au début, sont fortement connectées entre elles et s’influencent mutuellement. L’optimisme est contagieux comme le pessimisme et saute d’une forme d’anticipations à l’autre. Ainsi quand les valeurs d’actifs immobiliers (5) servant de garantie aux prêts hypothécaires sont soupçonnées de baisser beaucoup, les banques vont commencer à ruminer des anticipations pessimistes de la solvabilité de leurs clients d’où une remontée brutale du risque financier (6). De même, si les États sont trop endettés, les anticipations de valeur des obligations d’État risquent toujours de plonger.
C’est pourquoi les banques centrales se portent souvent acheteuses de ces obligations. C’est ce que la BCE a fait aussi préventivement lors de la crise covid de 2020. C’est d’ailleurs à cette occasion qu’elle a émis des quantités de monnaie par ses procédures de quantitative easing.
Quelques considérations finales
La présentation de l’origine des crises montre la palette importante des causes premières œuvrant pour faire apparaître une crise économique et financière, essentiellement un retournement pessimiste pour une anticipation sensible. Le choc initial est presque toujours proche de l’une des anticipations présentes dans la détermination du produit et/ou des conditions de crédit.
La période de prévention des crises est généralement forclose bien avant qu’une crise n’éclate. Il est souvent trop tard pour contraindre des anticipations trop optimistes dans les différents domaines : profits futurs, produit futur, confiance financière, valeurs des actifs… Pire, essayer de les bloquer est un risque de déclenchement. Dans la situation présente (mars 2023) c’est donc déjà trop tard. Plus question de vacciner, privilégier le traitement…
Ainsi, les banques centrales se sont aguerries face aux désordres financiers ; la crise de 2008 a montré l’efficacité de sa riposte face à une crise financière, les banques centrales les plus rapides (US) s’étant d’ailleurs plus facilement tirées d’affaire que celles qui avaient attendu (BCE). Le traitement des crises financières est mieux connu et efficace…
Pour en terminer avec les risques de ce mois de mars, deux remarques : si les États-Unis représentent comme en 2008 le principal danger, souvenons-nous qu’après 2007, certaines institutions financières avaient été secourues dans de bonnes conditions et que le non-soutien de Lehmann Brothers ne s’expliquait pas forcément par des raisons purement économiques. Si de telles motivations un peu troubles se renouvelaient pour une banque plus grande que SVB, dans un contexte de politique intérieure tendu, tout pourrait à nouveau se dégrader. En clair, la Réserve fédérale n’est pas « politiquement pure » !
RépondreSupprimerEnfin, rappelons la règle quasi biblique mise en avant par Ludwig Von Mises :
« Nul économiste ne sait ni le jour ni l’heure d’une crise économique et financière ».
D’un côté est le tas de foin prêt à s’enflammer, de l’autre est l’allumette qui lui tourne autour. Personne ne sait si et à quel moment elle peut y mettre le feu.
Pr Bernard Landais auteur de : Fluctuations économiques, L’Harmattan, 2017.
https://www.contrepoints.org/2023/04/02/453667-larrivee-des-crises-economiques-ce-que-nous-dit-la-theorie
Dans les causes de ce qui se passe il est regrettable que le Pr Bernard Landais n'ait parlé de la véritable !
SupprimerLA cause véritable est le fruit d'une inattention, d'une incapacité du savoir-faire, voire de la débilité de certains 'économistes' ! Car, ce n'est PAS la faute du Peuple qui travaille (trop ou pas assez) ou de sa consommation (trop ou pas assez) mais bien au manque de cervelle de ceux qui se disent de gouverner !
La France et l’Europe ont sombré dans la poubelle de l’histoire, c’est écœurant !
RépondreSupprimerle 2 avril 2023
L’adoption par l’Assemblée nationale française d’un texte qualifiant l’Holodomor comme un génocide orchestré par Staline m’a conduit à enfin écrire un texte issu de la lecture du livre de Douglas Tottle, syndicaliste canadien et journaliste dont la publication est bien antérieure aux évènements de Maïdan. Ce livre publié en 1987, peu avant la chute de l’Union soviétique, retrace d’abord longuement la propagande orchestrée par William Hearst, magnat de la presse américaine, pour discréditer l’Union soviétique, montrant des photos truquées datant de la famine de 1922 qui sévit pas seulement en Ukraine mais également dans toute la plaine russe globalement à l’ouest de l’Oural. Cette propagande a ensuite été reprise par Paul Getty, également un oligarque de la presse américaine, dans un contexte de chasse aux communistes, la grande époque du Maccarthysme. Les liens entre les Etats-Unis et le Canada avec l’Ukraine qui eurent lieu à l’issue de la deuxième guerre mondiale avec la prise en charge de dizaines de milliers de réfugiés ukrainiens sympathisants du régime nazi durant les trois années durant lesquelles les troupes allemandes stationnèrent dans le pays comme base arrière du conflit entre l’Allemagne et l’Union soviétique conduisit à l’accueil de ces exterminateurs de centaines de milliers de juifs sur le sol ukrainien avec la complicité de la Pologne. Ces criminels de guerre ukrainiens échappèrent aux procès organisés par les alliés et furent ainsi exfiltrés au Canada et aux USA sans que qui que ce soit réagisse. L’affaire des nazi ukrainiens fut donc étouffée par les Américains.
L’Holodomor, période de sécheresse qui dura deux saisons de semis et de récoltes, fut déformé par pure idéologie anti-soviétique des Américains avec la complicité des Canadiens … et du régime nazi allemand qui facilita la fuite des nazis ukrainiens devant l’avancée des soviétiques en direction de Berlin en 1944 alors qu’ils avaient accueilli les allemands en libérateurs dès leur arrivée sur le sol ukrainien. C’est l’histoire telle qu’elle figure dans les archives déclassifiées, un point c’est tout.
Le déroulement de cet épisode explique la persistance de l’idéologie nazie anti-russe qui a perduré en Ukraine depuis 1942 jusqu’à aujourd’hui et c’est indéniable. Les Polonais adoptèrent la même attitude lors de l’arrivée de l’armée hitlérienne puisque le pays avait disparu après la chute de l’empire austro-hongrois, souvenez-vous. Et ceci explique la collaboration des Polonais avec l’Allemagne nazie pour exterminer les juifs et les tziganes avec un zèle jamais atteint par les Allemands eux-mêmes. Il faut relire l’histoire depuis la première guerre mondiale pour comprendre le présent …
La propagande américano-britannique a tout de suite revendiqué la victoire à l’issue de la chute du régime hitlérien mais en réalité ce sont les soviétiques qui furent les vrais victorieux au prix d’un sacrifice humain sans précédent dans aucune guerre. L’histoire a ainsi été arrangée par les Américains et les Anglais qui ont toujours, depuis la révolution de 1917, été viscéralement anti-soviétiques puis anti-russes après la chute de l’Union soviétique. À l’occasion des évènements ukrainiens ces activistes américains anti-russes ont ressorti l’Holodomor pour attiser leur haine qui ne s’est jamais éteinte depuis William Hearst dans les années 1930. Ne cherchez pas d’informations avec Wikipedia en anglais ou en français tout a été caviardé pour être compatible avec l’idéologie anti-russe qui prévaut actuellement. Dans la réalité des faits, l’Holodomor sévit tant en Ukraine que dans toute la plaine russe située à l’ouest de l’Oural et cette sécheresse persistant durant deux années consécutives fit globalement 7 millions de victimes de la faim se répartissant pour moitié entre l’Ukraine annexée à l’époque par l’Union soviétique et la Russie proprement dite. La réforme agraire avec l’extermination de centaines de milliers de koulaks fut un facteur aggravant mais ce ne fut pas un facteur décisif dans cet épisode. Il faut rappeller au passage que cette sécheresse affecta l’Inde occasionnant plus de 25 millions de morts et le dévastateur « dust-bowl » dans le Middle West américain ces mêmes deux années.
RépondreSupprimerInstrumentaliser à des fins politiques ou idéologiques le climat est devenu aujourd’hui chose courante mais instrumentaliser une sécheresse qui provoqua une famine finalement localisée et mise en exergue au sujet de l’Ukraine est une déformation de l’histoire à des fins politiciennes abjectes. Il n’est pas étonnant que les députés français ignorent l’histoire mais elle a été réécrite par les vainqueurs auto-proclamés de la deuxième guerre mondiale qui ont oublié les 25 millions de morts du côté du front russe. C’est scandaleux et indigne des représentants du peuple français qui a le droit de connaître la vérité de l’histoire. J’exprime ici mon dégout total du monde politique français et je jure à mes lecteurs que je ne remettrai jamais les pieds dans ma terre natale !
Liens : https://arretsurinfo.ch/lassemblee-nationale-qualifie-de-genocide-lholodomor/ et https://www.youtube.com/watch?v=hPFqU-ua-qw
Note. Ce n’est pas parce que Annie Lacroix-Riz est estampillée comme communiste qu’il faut dénigrer son analyse d’historienne méticuleuse et férue d’archives incontestables. Il ne faut pas non plus prétendre que sa présentation devant l’Association Dialogue Franco-russe est de la propagande, non ! C’est de l’histoire à l’état pur que les députés français n’ont pas pris la peine de relire devant un texte qui est, lui, de la propagande.
Mais dans le même registre de la désinformation il y a pire encore. Le tribunal pénal international de La Haye a été créé concrètement en juillet 2002 pour juger des personnes physiques ou des États pour génocide, crime contre l’humanité, crime d’agression armée d’un État et crime de guerre. Dès 2002 dix-sept dossiers ont préoccupé ce tribunal reconnu par seulement 123 pays dans le monde dont la totalité des pays de l’Union européenne. De nombreux pays et non des moindres n’ont pas ratifié le traité créant ce tribunal et parmi eux les USA, la Russie, la Chine, l’Inde, Israël, le Soudan. Cette institution s’intéresse donc à des personnes et des États avec une arrière pensée politique. Le cas de la prise de position de ce tribunal au sujet du Président russe Vladimir Poutine est un exemple de la dérive idéologique dans laquelle a sombré cette institution. Inutile de rappeler les démêlés de l’ancien chef d’Etat yougoslave puisque ce tribunal ne pouvait pas accuser les Etats-Unis de crime de guerre pour avoir bombardé la ville de Belgrade pendant 68 jours consécutifs, les Etats-Unis n’ayant pas ratifié le traité de création de cette entité juridique internationale.
RépondreSupprimerLa plainte déposée par ce tribunal à l’encontre du chef de l’État russe est rocambolesque et strictement politique. Il s’agit de la « déportation » de plusieurs centaines d’enfants orphelins du Donbass vers la Russie qui avaient été abandonnés à leur sort au début de l’opération spéciale russe par les autorités de Kiev. Il faut situer cette histoire dans son contexte. Il existe de nombreux orphelins en Ukraine et cela ne date pas du conflit actuel. Les orphelins ukrainiens sont très recherchés par des officines non officielles comme source d’organes sur le « dark web ». Le foie ou les reins d’un jeune adolescent représentent une fortune avec un confortable plus value si le groupe lymphocytaires est proche de celui du receveur. En Ukraine ce type de business s’est développé dès la chute de l’URSS pour la plus grande satisfaction de certains pays développés qu’il est inutile de nommer dont des ressortissants sont prêts à payer une véritable fortune pour obtenir un organe humain en parfait état acheminé par jet privé puis hélicoptère à destination. La vie n’ayant pas de prix un rein avec groupe lymphocytaire compatible peut se négocier jusqu’à un million de dollars non compris les frais d’acheminement et je ne parle même pas du prix d’un foie ou d’un poumon. La vie de l’orphelin anonyme ukrainien qui a été sacrifié pour ce business n’a, elle, aucune valeur, « business is business ». En conclusion le Président russe est accusé pour avoir sauvé la vie d’orphelins. On nage dans la propagande occidentale la plus sordide. Cette histoire me rappelle un film dystopique terrible de Mark Romanek, un réalisateur américain spécialisé dans la réalisation de films musicaux, sorti sur les écrans en 2010, « Never Let Me Go », inspiré du roman de fiction de Kazuo Ishiguro, originaire de Nagazaki, dont l’intrigue est une sorte d’élevage d’orphelins qui servent de pourvoyeurs d’organes destinés à être greffés sur d’autres êtres humains jusqu’au prélèvement du cœur ou du foie qui leur est fatal. On peut presque imaginer que ce film a encouragé le régime de Kiev a tolérer le même genre de business, mais compte tenu de la corruption de ce pays on ne peut plus d’étonner de quoi que ce soit …
https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/04/02/la-france-et-leurope-ont-sombre-dans-la-poubelle-de-lhistoire-cest-ecoeurant/
(...) La France et l’Europe ont sombré dans la poubelle de l’histoire, c’est écœurant ! (...)
SupprimerNe parlons pas du Peuple qui n'y ait POUR RIEN mais plutôt désigner par 'France' et 'Europe' les dirigeants qui en sont responsables.
Scandale d’Etat en France : en plein scandale McKinsey, l’Etat débloque 375 millions d’euros pour 7 cabinets de conseil
RépondreSupprimerBy Cheikh Dieng
3 avril 2023
Une information totalement passée sous silence mais révélée par le média Consultor, spécialisé dans des questions liées aux conseils de stratégie. D’après ce média, l’Union des groupements d’achats publics (UGAP) qui dépend du ministère des Finances, donc de l’Etat, a mis sur les rails un marché de 375 millions d’euros consacrés aux cabinets de conseil. Une information qui tombe au moment où l’Etat est visé par une enquête concernant ses liens avec McKinsey
Lecourrier-du-soir.com vous invite à lire l’article dans sa version intégrale
Excellente lecture
« Sept cabinets ont été sélectionnés pour le lot de conseil en stratégie d’un montant initial de 25 millions d’euros et dont la valeur pourra aller jusqu’à 75 millions d’euros. En parallèle, trois lots de conseil en organisation, finance ou immobilier ont été attribués.
L’Union des groupements d’achats publics (UGAP), qui centralise auprès de ministères, collectivités territoriales et établissements hospitaliers, les commandes à des centaines de fournisseurs, vient de rendre publics les sept cabinets de conseil sélectionnés pour accompagner les réflexions stratégiques des clients de la centrale sur les prochaines années.
Et ce, avec quelques mois de retard que le contexte de polémique autour du recours aux cabinets de conseil dans le secteur public en France explique très probablement. L’UGAP avait en effet lancé le 22 octobre 2021 le renouvellement du marché. Il devait clôturer en décembre 2021, et les attributaires être connus en avril 2022. Le marché aura finalement été conclu en juillet et l’attribution publiée le 13 août.
Ainsi que Consultor l’avait annoncé (relire notre article), PwC est le mandataire du marché. Trois cotraitants sont sélectionnés avec lui : l’ADIT, Havas Paris et Landot & associés. Des noms qui peuvent surprendre sur un lot de conseil en stratégie dont ils ne sont a priori pas des spécialistes.
Tous quatre pourront intervenir seul ou ensemble sur des sujets tels que l’accompagnement des 100 premiers jours des nouveaux maires (comme ce fut le cas lors du précédent marché – voir notre article), ou sur la stratégie de vente en ligne de l’UGAP, la centrale ayant eu elle-même recours aux services de McKinsey.
Ces quatre cabinets sont au rang 1 du marché, c’est-à-dire qu’ils auront la primeur de toutes les missions de conseil en stratégie via l’UGAP. Puis viendront les cabinets de rang 2, en cas de défaillance au rang 1.
RépondreSupprimerAu rang 2, on retrouve McKinsey et Eurogroup, des noms plus familiers en matière de conseil en stratégie dans le secteur public. Le cabinet d’avocats Seban & Associés est également retenu.
Lors du précédent marché (2019-2022), McKinsey (mandataire) et Eurogroup Consulting (cotraitant) avaient été choisis au rang 1 du lot de conseil en stratégie. Avaient également été retenus au rang 2 Ernst & Young Advisory en tant que mandataire, et le Boston Consulting Group et KPMG comme cotraitants. Roland Berger avait été retenu au rang 3.
McKinsey et Eurogroup restent donc présents sur le nouveau marché mais au rang 2 – et exit tous les autres.
Les prestations de conseil sont plutôt récentes pour l’UGAP, la centrale qui a été créée en 1968. En 2012, elle a lancé son premier marché de prestations intellectuelles informatiques. En 2016, elle lançait un marché de conseil en organisation (dont Eurogroup était mandataire). Un dernier marché qu’elle reconduisait en 2019 en le divisant en quatre segments : conseil en organisation, conseil immobilier, conseil financier et conseil en stratégie.
Les prestations intellectuelles et les prestations intellectuelles informatiques représentaient 207 millions d’euros d’achats via l’UGAP en 2018, sur un total de 3,39 milliards d’euros d’achats. Dans cet ensemble, le marché de conseil en organisation confié à Eurogroup en 2016 jusqu’en 2019 cumulait 17 millions d’euros de commandes par an (soit 8 % des prestations intellectuelles et les prestations intellectuelles informatiques).
En 2020, les prestations intellectuelles et les prestations intellectuelles informatiques représentaient 253 millions d’achats, toujours via l’UGAP. Sur ce montant, seulement 50 millions sur le conseil en stratégie, organisation, finance et immobilier (19 % du total des prestations intellectuelles). Dans cet ensemble, le conseil en stratégie restait ultra marginal, avec 12 millions d’euros sur quatre ans.
https://lecourrier-du-soir.com/scandale-detat-en-france-en-plein-scandale-mckinsey-letat-debloque-375-millions-deuros-pour-7-cabinets-de-conseil/
Une Française encourt une amende de 13 000 $ pour avoir posté sur Facebook qualifiant le président Macron de "saleté"
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 03 AVRIL 2023 - 11:00
Rédigé par Christina Maas via ReclaimTheNet.org,
Dans un cas sans précédent, une femme du nord de la France devrait être jugée pour avoir prétendument insulté le président Emmanuel Macron sur les réseaux sociaux.
L'incident s'est produit lorsque la femme a qualifié Macron de "saleté" dans un message Facebook.
Si elle est reconnue coupable, elle pourrait être giflée d'une lourde amende de 12 000 €, bien que la peine de prison ne soit pas sur la table. Le procès doit avoir lieu en juin.
L'arrestation de la femme a eu lieu vendredi dernier, à la suite d'une plainte déposée par le bureau administratif local en réponse à sa publication sur Facebook.
Le procureur de Saint Omer, Mehdi Benbouzid, a confirmé l'arrestation et fourni des précisions à l'AFP. Le message Facebook en question a été publié le 21 mars, la veille de l'interview télévisée de Macron avec TF1, où il a défendu ses projets controversés de réforme des retraites qui ont suscité des manifestations dans tout le pays.
Dans son post Facebook, la femme avait écrit : « l'ordure va vous parler demain à 13 h pour les gens qui ne sont rien, c'est tjs à la télé que l'on trouve les ordures ».
L'accusée, une femme d'une cinquantaine d'années, a participé activement aux manifestations des "gilets jaunes" qui ont défié Macron lors de son premier mandat.
Accusée d'« insulte au président de la république », la femme doit être jugée à Saint Omer le 20 juin. S'adressant au journal régional La Voix du Nord, la femme a exprimé son incrédulité face aux accusations, déclarant : « Ils veulent faites de moi un exemple.
Identifiée comme Valérie par le journal, elle a raconté son choc en découvrant que des policiers étaient arrivés chez elle pour l'arrêter.
"Je leur ai demandé si c'était une blague, je n'avais jamais été arrêtée", a-t-elle déclaré. "Je ne suis pas l'ennemi public numéro un."
https://www.zerohedge.com/political/french-woman-faces-13000-fine-facebook-post-calling-president-macron-filth
La mort du patriotisme
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 03 AVRIL 2023 - 06:00
Rédigé par Jeffrey Tucker via DailyReckoning.com,
Wall Street Journal a mené un sondage avec les résultats les plus intéressants.
De 1998 à nos jours, le pourcentage d'Américains qui disent que le patriotisme est une valeur importante est passé de 70 % à 38 %. L'essentiel de la chute s'est produit depuis 2019.
Plus de résultats seront discutés dans un instant, mais concentrons-nous d'abord sur cette question du patriotisme.
Le sondage ne définit pas pour les répondants ce qu'est le patriotisme mais réfléchit sur le mot. Cela peut signifier l'amour du pays et de la patrie. C'est peut-être vrai que cela a baissé. C'est crédible puisque les États-Unis en trois ans ont cessé de placer la liberté comme premier principe.
En effet, il existe un mouvement culturel croissant, s'étendant du milieu universitaire au grand public, qui encourage la haine de l'histoire américaine et de ses réalisations. Aucun « père fondateur » n'est à l'abri d'être appelé les pires noms possibles. La haine de ce pays est devenue une norme attendue.
Mais le problème est encore plus profond.
Lorsque vous êtes enfermé chez vous, votre entreprise est fermée, votre église est fermée, vos voisins vous crient de vous masquer, puis les médecins vous attaquent avec des injections que vous ne voulez pas, et vous êtes en outre empêché de quitter le pays à n'importe où sauf au Mexique, et le président appelle les ennemis non vaccinés du peuple, bien sûr, on peut imaginer que les affections pour la patrie déclinent.
Les Américains ont perdu confiance en leurs institutions
Mais il y a un autre pilier important du patriotisme. Il s'agit de la confiance dans les institutions civiques du pays. Il s'agit notamment des écoles, des tribunaux, de la politique et de toutes les institutions gouvernementales à tous les niveaux.
La confiance civique dans ceux-ci est sûrement au plus bas. Les tribunaux ne nous ont pas protégés. Les écoles ont fermé, en particulier les écoles publiques, qui sont censées être le couronnement de l'idéologie progressiste. Nos médecins se sont retournés contre nous.
RépondreSupprimerEt disons que nous considérons les médias comme faisant partie de la culture civique. Il en est ainsi depuis au moins les Fireside Chats de FDR. Il a toujours été le porte-parole de ce à quoi nous sommes censés penser en tant que peuple.
Les médias se sont également tournés vers les gens ordinaires pendant trois ans, qualifiant nos fêtes d'événements de super diffusion, se moquant des pasteurs qui tenaient des services de culte, diabolisant les concerts en direct et criant à tout le monde de rester à la maison et de rester collé au tube.
Pourtant, dans le même temps, ils ont encouragé des manifestations de masse à la suite de la mort de George Floyd. Pensez à la logique, ou à son absence.
Oui, de telles bouffonneries diaboliques ont tendance à diminuer le respect du public pour toutes les institutions impliquées, en particulier lorsque les objections à ces politiques ont été censurées par toutes les institutions auxquelles nous étions censés confier nos données et nos réseaux d'amis. Ils se sont également avérés être entièrement détenus.
Le nouveau patriotisme
Pendant tout ce temps, le soutien public au patriotisme a été abusé pour nier les droits et libertés fondamentaux. Le patriotisme était censé signifier rester à la maison et rester en sécurité, se masquer, s'éloigner de la société, se conformer à chaque édit aléatoire, aussi ridicule soit-il et finalement se faire piquer une fois, deux, trois fois et plus pour toujours, malgré le manque de vulnérabilité médicale pour de vastes pans de le public.
La Constitution est restée lettre morte pendant un temps. Il l'est toujours, car les visiteurs d'autres pays ne peuvent même pas entrer dans nos frontières de peur qu'ils ne se soumettent eux aussi aux clichés réalisés et distribués par des entreprises qui fournissent la moitié du budget des agences obligeant tout le monde à se conformer.
Et tout cela était censé être nécessaire en raison de ce qui était évidemment une infection respiratoire saisonnière, un fait que nous savions au moins un mois avant le début des fermetures. Nous pourrions lire à ce sujet dans tous les lieux grand public.
RépondreSupprimerNe paniquez pas, ont-ils dit, faites simplement confiance à votre médecin. Mais avec les blocages, ils ont également retiré au médecin la liberté de traiter les patients avec des thérapeutiques connues pour être efficaces contre exactement ce type de virus.
Au lieu de cela, nous étions censés suspendre toute vie normale et attendre l'antidote magique qui était censé être en route. Lorsqu'il n'est arrivé qu'après le renversement du président détesté, il s'est avéré qu'il ne s'agissait pas du tout d'un antidote.
Au mieux, c'était un palliatif temporaire contre des conséquences graves. Cela n'a certainement pas arrêté l'infection ou la propagation. Tout cela s'est produit de toute façon, ce qui montre que les énormes sacrifices consentis au nom du patriotisme n'ont servi à rien.
Foi perdue
Nous ne devrions en aucun cas être surpris que le public ne se sente pas très patriote ces jours-ci. Et oui, c'est très triste à bien des égards. Mais c'est aussi ce qui se passe lorsque le patriotisme est détourné par l'État et l'industrie pour briser nos espoirs et nos rêves.
Nous avons tendance à apprendre de nos erreurs. Ainsi, lorsque les sondeurs viennent nous demander si nous nous sentons patriotes, il n'est pas rare que les gens répondent : Pas vraiment.
Et nous pourrions dire la même chose à propos de l'autre résultat du sondage : l'importance de la religion est passée de 62 % en 1998 à 39 % en 2022. Encore une fois, l'essentiel du crash s'est produit après 201
- voir graph sur site -
(Patriotisme, religion, avoir des enfants, implication de la communauté, monnaie)
Et nous pourrions dire la même chose à propos de l'autre résultat du sondage : l'importance de la religion est passée de 62 % en 1998 à 39 % en 2022. Encore une fois, l'essentiel de l'effondrement s'est produit après 2019. Il ne fait aucun doute que la nation était déjà laïque.
RépondreSupprimerMais que devons-nous penser lorsque deux saisons successives de Pâques et de Noël (ou n'importe quelle fête que vous célébrez) ont été annulées par les élites civiques avec la pleine coopération du courant dominant des chefs religieux ?
Tout l'intérêt de la religion est d'aller au-delà du monde banal de la culture civique dans le domaine du transcendant afin de voir et de vivre selon la vérité. Mais lorsque les préoccupations transcendantes sont remplacées par la peur et la conformité laïque, la religion perd sa crédibilité.
Si vous voulez trouver des gens qui croient encore, vous pouvez le faire dans des groupes qui sont vraiment sérieux au sujet de la foi : les hassidim, les amish, les catholiques traditionalistes et les mormons. Mais dans les dénominations principales, pas tellement. Comme les médias, la technologie et le gouvernement, ils se sont également avérés capturés.
Les jeunes ne veulent même plus d'enfants
Dans les résultats finaux du sondage, l'importance d'avoir des enfants est passée de 59 % à 39 % et l'importance de l'engagement communautaire a culminé à 62 % au plus fort des confinements pour tomber à 27 %.
Encore une fois, le coupable ici semble assez évident : c'était la réponse à la pandémie. Toutes les politiques ont été structurées pour briser les relations humaines. Les gens ne sont que des vecteurs de maladies. Restez loin de tout le monde. Ne devenez pas un super-diffuseur en osant traîner avec les autres. Être seul. Être seul. C'est la seule bonne façon.
Enfin, parmi les seules choses qui montent, il y a l'importance de l'argent. C'est probablement parce que le revenu réel a diminué pendant la majeure partie de deux ans et que l'inflation sape notre niveau de vie.
Une fois de plus, les politiques pandémiques sont coupables. Ils ont dépensé des billions et les imprimeurs d'argent ont égalé cette dépense de près d'un dollar pour un dollar, diluant la valeur d'une monnaie auparavant fiable.
Nous avons besoin d'une comptabilité honnête
Le problème avec l'enquête n'est pas les chiffres mais l'interprétation. Cela est perçu comme un étrange brouillard de nihilisme et de cupidité qui s'est mystérieusement glissé sur la population, comme s'il s'agissait d'une tendance entièrement organique sur laquelle personne n'a aucun contrôle. C'est faux. Il y a une cause précise et tout cela est lié aux mêmes politiques flagrantes sans précédent.
Nous n'avons toujours pas d'honnêteté sur ce qui s'est passé. Et jusqu'à ce que nous l'obtenions, nous ne pouvons pas réparer les graves dommages causés à la culture ou à l'âme nationale.
RépondreSupprimerNous vivons en temps de crise, mais cette crise a une cause identifiable et donc une solution.
Tant que nous ne pourrons pas en parler franchement, la situation ne peut qu'empirer.
https://www.zerohedge.com/political/death-patriotism
La France dans le monde : un pays riche en régression
RépondreSupprimerVoici un petit panorama de notre pays, ne prétendant nullement à l’exhaustivité mais qui constitue une approche quantitative objective.
le 3 avril 2023
Patrick Aulnas
Comment se situe la France dans le monde et parmi les pays de l’OCDE ?
La réponse à cette question est fournie par les statistiques de la Banque mondiale, qui sont extrêmement riches. Voici un petit panorama de notre pays, ne prétendant nullement à l’exhaustivité mais qui constitue une approche quantitative objective. Les quelques remarques suivant les graphiques peuvent être discutées ou ne pas être partagées du tout. Le commentaire d’une statistique économique devient vite politique…
PIB par habitant : appauvrissement en cours
- voir graph sur site -
France Monde OCDE
PIB par habitant en 2021 en dollars 43 659 12 236 42 447
Pour la France, le point le plus haut est atteint en 2008 avec 45 516 dollars par habitant. Pays riche, la France se situe juste au niveau de la moyenne des pays de l’OCDE pour la production par habitant mais elle stagne depuis 2008.
Commerce extérieur : plongée abyssale
- voir graph sur site -
Un excédent de 43,77 milliards de dollars était constaté en 1997 (point le plus haut). Le déficit extérieur commence en 2006 avec 5,41 milliards de dollars. En 2021, il est de 57,45 milliards. Nous ne sommes plus compétitifs, ce qui explique l’appauvrissement constaté précédemment avec la baisse du PIB par habitant.
Dette publique : l’escalade
- voir graph sur site -
Rappelons que la dette publique était de 20 % du PIB en 1980.
L’arrivée au pouvoir des socialistes en 1981 (présidence Mitterrand) a été une catastrophe pour les finances publiques. Nous ne nous en sommes jamais remis. En 1995, à la fin du règne de Mitterrand, la dette atteignait 55 % du PIB. Elle restait encore à 59,5 % du PIB en 2007. Sa croissance est ensuite rapide et constante. Elle atteint 123 % du PIB en 2020. Nous n’avons pas surmonté à cet égard la crise de 2008 et nous vivons à crédit, au-dessus de nos moyens.
Mais pour combien de temps ? Nous ne sommes d’ailleurs pas les seuls puisque, pour 2020, la moyenne des pays de l’OCDE est de 129,3 %. Le basculement du monde vers l’Asie remet en cause la suprématie économique occidentale. Mais la classe politique des pays riches n’ose pas affronter son opinion publique et lui promet toujours des prestations publiques financées en empruntant.
Chômage : nette amélioration
- voir graph sur site -
En 1994 et 1997, la France atteint un taux de chômage record de 12,6 % de la population active pour redescendre ensuite.
En 2015, le taux remonte à 10,4 % mais diminue constamment depuis pour atteindre 7,9 % en 2021. Des pénuries sectorielles de main-d’œuvre apparaissent même dans certains secteurs comme l’informatique. Notre système de formation doit être adapté. Pour l’ensemble du monde, comme pour les pays de l’OCDE, la moyenne était de 6,2 % en 2021.
RépondreSupprimerPauvreté relative : assez bien
- voir graph sur site -
Le décile le plus pauvre de la population recevait 3,5 % des revenus en 2005 et 3,2 % en 2018.
Ce léger appauvrissement relatif des moins favorisés est à mettre en relation avec la baisse du PIB par habitant et le déficit de la balance des biens et services. Lorsqu’un pays est en déclin économique, les plus pauvres, moins bien formés, s’en sortent moins bien que la moyenne. Comparativement, nous n’avons pas à rougir du sort réservé en France aux plus pauvres. Aux États-Unis, les 10 % les plus pauvres ne reçoivent que 1,8 % des revenus et 3,1 % en Allemagne.
Espérance de vie à la naissance : le privilège des riches
- voir graph sur site - (notation de 70, 72, 74, 76, 78, 80, 82, 84 ans)
Les Français sont des privilégiés sur notre petite planète. De 70 ans en 1960, l’espérance de vie est passée à 83 ans en 2019. Elle baisse à 82 ans en 2020 sous l’effet de la pandémie de Covid-19. Le chiffre est de 72 ans pour le monde et de 79 ans pour les pays de l’OCDE.
L’espérance de vie est un indicateur majeur de développement économique. Dans les pays riches, les dépenses de santé augmentent en général plus vite que le PIB, ce qui évidemment ne peut pas être éternel. L’Afrique subsaharienne se situe à 61 ans, chiffre mondial le plus faible par grandes zones géographiques.
Conclusion
RépondreSupprimerLa France demeure un pays riche dans lequel la production par habitant est très importante et l’espérance de vie élevée. Le pays a cependant accumulé une énorme dette publique qui n’a pas été utilisée en vue de l’investissement mais pour maintenir artificiellement le niveau de vie de la population. Il s’agit d’un choix politique de gauche, initié à partir des années 1980, qui se heurtera tôt ou tard aux fondamentaux de l’économie. Parmi ceux-ci, la capacité exportatrice est particulièrement révélatrice car elle rend compte de l’attractivité internationale de la production. La France décline de façon extrêmement inquiétante dans ce domaine. Le beau pays de France, perçu comme frivole à l’étranger, doit cesser de rêvasser à la magie politique, parfois même à la révolution, et se mettre au travail.
https://www.contrepoints.org/2023/04/03/453809-la-france-dans-le-monde-un-pays-riche-en-regression
Horreur du week-end: le nombre de morts s'élève à 32 après l'épidémie de tornade dans le Midwest et le sud
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 03 AVRIL 2023 - 15:10
Les habitants du Sud et du Midwest se réveillent lundi matin pour évaluer la destruction causée par de puissantes tempêtes qui ont engendré des dizaines de tornades au cours du week-end, tuant au moins 32 personnes, selon AP News.
"Alors que nous évaluons encore l'étendue des dégâts, nous savons que des familles à travers l'Amérique pleurent la perte d'êtres chers, attendent désespérément des nouvelles d'autres qui se battent pour leur vie et trient les décombres de leurs maisons et de leurs entreprises", a déclaré le président. Biden a déclaré dimanche dans un communiqué.
La violente épidémie de tempête a commencé vendredi, qui a touché au moins sept États et a entraîné au moins 50 rapports de tornade. Ces tornades ont détruit des maisons, des entreprises et des infrastructures.
Il y a eu 15 décès liés aux conditions météorologiques dans le Tennessee. Dans l'Arkansas, au moins cinq personnes ont perdu la vie, incitant le président Biden à approuver une déclaration d'urgence à la suite des tempêtes qui ont touché Little Rock et d'autres régions de l'État. Cinq autres personnes sont mortes dans l'Indiana, tandis que quatre personnes ont péri dans l'Illinois. Des décès ont également été signalés en Alabama et au Mississippi; même une personne est morte dans le Deleware après une tornade.
L'évaluation des dégâts est toujours en cours dans plusieurs États touchés par des tornades. Le nombre de morts pourrait continuer d'augmenter lundi.
"J'ai demandé à mon équipe de rassembler tous les éléments du gouvernement fédéral pour répondre aux besoins immédiats et à la reconstruction à long terme. Tôt ce matin, j'ai approuvé une déclaration accélérée de catastrophe majeure pour fournir rapidement une aide fédérale aux habitants de l'Arkansas", Biden a dit.
La dernière épidémie de tornade dans le sud et le Midwest survient une semaine seulement après qu'un puissant tornade a dévasté Rolling Fork, Mississippi, tuant au moins 26 autres personnes et endommageant une grande partie de la petite ville.
https://www.zerohedge.com/weather/weekend-horror-death-toll-rises-32-after-tornado-outbreak-across-midwest-south
Une entreprise américaine signe des accords en Europe pour de petits réacteurs nucléaires
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 03 AVRIL 2023 - 09:30
Soumis par Leonard Hyman et William Tilles pour Oilprice.com,
La semaine dernière, Last Energy, basé à Washington, DC, a annoncé avoir signé des accords au Royaume-Uni et en Pologne pour trente-quatre petits réacteurs modulaires. Franchement, lorsque nous avons vu le titre pour la première fois, nous avons supposé l'échec éditorial de la presse britannique et nous sommes passés à autre chose. Mais notre première impression était fausse. Ce sont parmi les plus petites conceptions de réacteurs modulaires que nous ayons vues à ce jour, produisant à peine 20 MW d'électricité. L'ensemble des 34 commandes citées ci-dessus équivaut collectivement à environ la moitié d'une centrale électrique à l'échelle du gigawatt, quel que soit son type. En revanche, les réacteurs NuScale proposés produisent 77 MW et le réacteur GE Hitachi BWRX 300 envisagé par TVA pour son site de Clinch River est, comme son nom l'indique, de 300 MW. Mais la taille n'est pas la seule chose qui différencie Last Energy de ses concurrents plus conventionnels. Last Energy est inhabituel en ce sens que son soutien financier provient de bailleurs de fonds libertaires de la Silicon Valley qui ont généralement été décrits dans la presse comme des « perturbateurs ». Le PDG de Last, Bret Kugelmass, a lancé un groupe de réflexion basé à Washington D.C., le Energy Impact Center, « qui cherchait à répondre à la question ultime de notre vie : comment inverser le changement climatique. Le nucléaire est la réponse. Ils ont également parrainé un podcast, "Titans of Nuclear", mettant en vedette de nombreux experts et problèmes dans le domaine. Notre point ici est que cette société ressemble peu à la gamme conventionnelle d'entrepreneurs de la défense soutenus par le gouvernement représentant la plupart des autres technologies SMR. Compte tenu de son expérience, il n'est pas surprenant que Last Energy nous ressemble un peu comme Uber ou WeWork, mais pour les nouvelles bombes nucléaires. Leur objectif noble et louable est d'inverser les impacts du climat en utilisant une technologie nucléaire prête à l'emploi avec un mode de livraison innovant. Leur revendication est de "suivre les meilleures pratiques de l'industrie des énergies renouvelables : mise à l'échelle de la quantité plutôt que de la taille".
- voir schéma sur site -
Leur offre est un réacteur compact à eau sous pression à boucle unique de 20 MW qui pourrait s'asseoir sur un site de ½ acre. Il utiliserait du combustible nucléaire conventionnel, de l'uranium enrichi à 4,95 % et des barres de combustible standard dans un réseau de 17 par 17. Le temps de construction est estimé à seulement 30 mois. Mais, compte tenu de la modularité totale de toutes les structures de l'usine, le temps de construction réel estimé sur le site est estimé à seulement trois mois. Le cycle du combustible dure 72 mois avec un intervalle de ravitaillement de trois mois. Ces usines seraient également refroidies à l'air et l'entreprise vantait sa faible consommation d'eau d'à peine 8 gallons par minute. Cela contraste avec les besoins en eau importants d'autres réacteurs, même relativement petits. Comme d'autres réacteurs plus petits, la conception de Last Energy comporterait un «îlot nucléaire souterrain» et un «équilibre de la centrale à profil bas». Finis les grands dômes ou rectangles renforcés des conceptions précédentes qui pourraient résister à tout impact hypothétique à moins d'un astéroïde. Ils décrivent leur approche comme « centrée sur le client » et que « notre innovation est simple ; tirer parti uniquement de la technologie nucléaire éprouvée, créer une centrale électrique reproductible et manufacturable et une taille pour le capital privé. Les premières installations réelles d'usines pourraient avoir lieu dès 2025 ou 2026. Aucun autre constructeur de SMR ne propose une nouvelle usine bien avant 2029.
RépondreSupprimerEn termes de coût, la presse britannique a cité un chiffre de 100 millions de livres ou moins par unité de 20 MW, soit environ 6 135 dollars par kw. Cela concernait un total de 34 réacteurs européens, 24 au Royaume-Uni et 10 en Pologne. La Roumanie envisage également la conception. La société a obtenu des PPA, des accords d'achat d'électricité, avec 4 partenaires industriels. En Pologne, ils s'associent à la zone économique spéciale de Katowice dans le sud-ouest de la Pologne. Au Royaume-Uni, ils ont trois partenariats industriels identifiés uniquement comme "un campus des sciences de la vie, un fabricant de carburants durables et un développeur de centres de données à grande échelle". Last Energy est unique en ce sens qu'il offre un « guichet unique » pour les acheteurs d'énergie nucléaire. Ils déclarent que « nous couvrons tous les aspects du processus d'investissement, y compris la conception, la construction, le financement, le service et l'exploitation ».
L'Agence européenne pour l'énergie nucléaire, qui surveille les questions nucléaires, répertorie actuellement pas moins de vingt et une technologies nucléaires prometteuses sur son tableau de bord SMR. (Le PWR 20 de Last Energy n'est pas actuellement répertorié.) Il existe plusieurs entrées dans chacune des cinq catégories de nouvelles petites technologies nucléaires : refroidies à l'eau, refroidies au gaz, à spectre rapide, micro (qui inclurait Last Energy) et sel fondu. L'approche du tableau de bord classe ces différentes technologies selon cinq critères : licence, implantation, chaîne d'approvisionnement, engagement et carburant. Aucune de ces technologies n'a encore fait l'objet d'une licence commerciale en dehors de la Chine et de la Russie. La NEA a déclaré que moins de la moitié des technologies présentées pourraient obtenir un financement pour une unité unique en son genre et un sous-ensemble encore plus petit serait en mesure d'obtenir des accords d'achat d'électricité, ce que Last Energy a fait.
RépondreSupprimerLa seule différence majeure entre, disons, le BWRX 300 ou NuScale par rapport au PWR 20 de Last concerne les licences. Les deux premières entreprises se donnent beaucoup de mal pour décrire et annoncer leur proximité avec les approbations réglementaires. Le site Web de Last note que "les plus grandes incertitudes (sont) posées par le processus d'octroi de licences". Ils expriment en outre leur espoir qu'en termes de développement de la conception, "nous sommes en mesure de fabriquer en parallèle avec notre processus d'octroi de licences". Indépendamment de la façon dont ils décrivent le processus de réglementation/d'autorisation, la NEA résume le processus de base aux États-Unis et en Europe comme étant composé de quatre étapes essentielles : 1) interaction préalable à l'autorisation avec les régulateurs, 2) approbation de la conception, 3) construction et enfin 4 ) délivrance d'une licence d'exploitation et exploitation commerciale. En d'autres termes, peu importe la rapidité avec laquelle les ingénieurs de Last Energy peuvent fabriquer et assembler leur PWR 20 jusqu'à ce que divers régulateurs approuvent leur conception.
Du point de vue de l'acceptation commerciale, il est même difficile de se hasarder à deviner la future technologie SMR puisque nous parlons vraiment d'un cycle de remplacement, principalement pour les centrales électriques au gaz naturel vieillissantes dans les années 2040. En supposant qu'une nouvelle génération de SMR commence à fonctionner à la fin de cette décennie comme prévu, il n'y a aucune raison de croire que le marché fusionnera autour d'une taille ou d'une technologie de SMR bien avant le milieu ou la fin des années 2030. À l'heure actuelle, tout ce que nous pouvons dire en gros, c'est qu'il semble y avoir deux marchés pour les SMR, les réacteurs à échelle presque utilitaire produisant des 300 MW comme le modèle BWRX et les microréacteurs dans la gamme 5-50 MW, y compris Last Energy. Et que ceux-ci sont présentés à des types de clients très différents. Les services publics d'électricité se sont tournés vers des réacteurs plus grands pour des raisons de coût, plus gros est toujours considéré comme moins cher. Les réacteurs plus petits, d'autre part, ont un attrait pour les activités commerciales et industrielles à l'intérieur de la clôture, la fourniture de vapeur de traitement et la compatibilité avec les systèmes de chauffage urbain. Et c'est là que Last Energy semble faire des percées.
RépondreSupprimerEn fin de compte, cependant, ni les prouesses techniques ni commerciales de Last ne prévaudront si le public devient mal à l'aise avec l'idée de mini-nucléaires répartis dans le paysage. Ceux-ci devront être protégés contre les terroristes, éventuellement par des gouvernements faibles, et dont les déchets doivent être transportés à travers les quartiers et les communautés vers des installations non encore construites. Les mini-nucléaires ont l'air bien sur le papier. Mais comme on dit dans les milieux automobiles, "Attendons que le caoutchouc touche la route." Quelque chose de mieux pourrait arriver pendant que nous attendons.
https://www.zerohedge.com/markets/us-company-signs-deals-europe-small-nuclear-reactors
Le recyclage des éoliennes : un défi majeur pour l’industrie éolienne et ses partenaires
RépondreSupprimerL’énergie éolienne est l’une des sources d’énergie renouvelable les plus populaires dans le monde, d’abord sous forme de moulin transformant le vent en énergie mécanique comme en Perse pour l’irrigation en 620 puis vers le XII siècle en Europe de l’Ouest avec les traditionnels moulins à vent que nous connaissons bien.
Par Patrick Lubsynski
le 3 avril 2023 à 6h35
L'éolien représente 6,3 % de la production d'électricité en France.
L’inventeur de l’éolienne électrique serait l’américain Charles Francis Brush en 1888. Puis les éoliennes n’ont jamais cessé d’évoluer dépassant des diamètres de 250 m et capable de dépasser les 15 MW ! Comme toute technologie, les éoliennes ont une durée de vie limitée. Les premières éoliennes ont été installées en France début des années 90. Il y en a désormais environ 8 000 soit l’équivalent de 2 centrales nucléaires de type Fessenheim. Sans parler de l’intermittence, si nous souhaitions de l’électricité exclusivement éolienne, il en faudrait 10 fois plus. Mais le mix énergétique est là pour nous rappeler qu’une variété d’énergies et la meilleure solution pour couvrir nos besoins.
Quelles sont la situation actuelle de la durée de vie des éoliennes, les difficultés techniques rencontrées et l’apport d’un expert en assurance? L'énergie éolienne est considérée comme une source d'énergie propre et renouvelable, mais que se passe-t-il lorsque les éoliennes atteignent la fin de leur durée de vie utile ? Le recyclage des éoliennes est un défi majeur auquel l'industrie éolienne doit faire face.
Recyclage des éoliennes : contexte actuel
La durée de vie des éoliennes dépend de nombreux facteurs, tels que la qualité de la construction, la maintenance régulière, l'emplacement de l'éolienne et les conditions météorologiques. En général, la durée de vie d'une éolienne est d'environ 20 à 25 ans, bien que cela puisse varier en fonction de ces facteurs. En raison de l'augmentation de la demande mondiale en énergie renouvelable, le nombre d'éoliennes installées dans le monde a considérablement augmenté au cours des dernières années. Selon le Global Wind Energy Council, il y avait plus de 743 GW d'énergie éolienne installée dans le monde en 2020. Cependant, avec le nombre croissant d'éoliennes installées, il est également devenu important de surveiller leur durée de vie, en effet la plupart ont une durée de vie de 20 à 25 ans, mais des problèmes techniques peuvent réduire considérablement cette durée de vie.
Cependant, ce processus est coûteux et complexe en raison de la taille et du poids des différents éléments ; notamment en France où les premiers parcs arrivent en bout de vie.
RépondreSupprimerPrenons l’exemple d’une éolienne classique de 2 MW pesant 270 tonnes avec un mat de 80 m de hauteur et 3 pales de 45 m de long.
Les éléments sont les suivants :
Mat : 160 t (en acier ou béton)
Nacelle et moyeu porte hélice : 90 t (principalement acier)
Les 3 pales : 20 t (composite)
A cela il faut rajouter un massif béton de 1000 t !
En dehors des pales, l’éolienne se recycle donc aisément puisque composée principalement d’acier et de béton. Les pales quant à elles sont composées de fibre de verre, de fibre de carbone, de résine époxy, de bois balsa … Les pales sont donc la partie la plus difficile à recycler.
De nos jours, elles sont principalement broyées pour être revalorisées comme combustible où le broyat est récupéré pour constituer de nouveaux matériaux composites. Leur enfouissement est interdit en France, sauf si l’exploitant prouve qu’il n’y a pas d’autres solutions. Le plus difficile est donc de recycler la résine époxy.
Les difficultés techniques rencontrées pour recycler des éoliennes
Aujourd’hui de nombreuses études sont menées pour trouver une solution viable ; les nouvelles générations seront plus faciles à recycler comme les nouvelles pales de Siemens Gamesa, utilisées pour la première fois pour un parc offshore britannique. L’effort doit donc se concentrer à la fois sur le parc existant mais aussi sur les nouvelles générations. Selon l’ADEME, la durée de vie d'un parc éolien est estimée à 20 ans. Au-delà, la fiabilité technique et l'efficacité des éoliennes deviennent insuffisantes. En effet, les éoliennes sont soumises à des conditions environnementales difficiles, notamment des vents violents, des températures extrêmes et des tempêtes. Ces conditions peuvent causer des dommages à l'éolienne et réduire sa durée de vie.
En dehors des pales fortement sollicitées, les pièces internes de l'éolienne, telles que, le frein, le multiplicateur, le système de régulation électrique, le générateur et le système d’orientation, sont soumises à une usure constante, ce qui peut également réduire la durée de vie de l'éolienne
En outre, les éoliennes sont souvent situées dans des zones éloignées et difficiles d'accès, ce qui rend leur maintenance difficile. La maintenance régulière des éoliennes est essentielle pour garantir leur bon fonctionnement et leur durée de vie maximale. Cependant, le coût élevé de la maintenance peut parfois dissuader les propriétaires d'effectuer des travaux de maintenance réguliers.
Enfin, un autre problème technique commun rencontré avec les éoliennes est la foudre. Les éoliennes jouent en effet le rôle de paratonnerre et sont souvent situées dans des zones à risque, ce qui peut endommager l'éolienne et réduire sa durée de vie.
RépondreSupprimerActuellement, la majorité des éoliennes qui ont atteint leur fin de vie sont démontées et enterrées dans des décharges. Toutefois, de nouvelles initiatives de recyclage émergent pour répondre à ce problème. Des entreprises commencent à développer des techniques pour réutiliser les matériaux des éoliennes démantelées. Des projets pilotes testent des méthodes pour transformer les matériaux en nouvelles matières premières pour l'industrie.
Recyclage : apport de l’expert d’assurance
Un expert en assurance peut aider les propriétaires d'éoliennes à évaluer les risques liés à la durée de vie de leurs éoliennes. Les experts en assurance peuvent effectuer des évaluations de risques pour déterminer les risques environnementaux et techniques qui peuvent affecter la durée de vie des éoliennes. En utilisant des données provenant de sources telles que les modèles météorologiques, les données de maintenance et les données de performances passées, les experts peuvent estimer la durée de vie probable de l'éolienne. Ces évaluations peuvent aider les propriétaires d'éoliennes à comprendre les risques et à planifier les coûts de maintenance et de réparation nécessaires pour prolonger la durée de vie de leur équipement. En parallèle, il est de plus en plus fréquent que les propriétaires de parcs éoliens fassent appel à des experts pour les aider à élaborer des plans d'urgence pour les situations où l'éolienne serait endommagée ou hors service. Ces plans peuvent inclure des mesures de sécurité pour protéger les travailleurs et le public, des plans de secours pour évacuer les zones à risque, ainsi que des plans pour réparer ou remplacer l'éolienne endommagée.
Le recyclage des éoliennes est essentiel pour atteindre un avenir durable et respectueux de l'environnement. Avec les investissements continus dans la recherche et le développement de techniques de recyclage, il est possible d'imaginer un avenir où les éoliennes seront construites de manière circulaire, avec la réutilisation des matériaux comme une norme de l'industrie.
https://www.economiematin.fr/recyclage-eoliennes-defi-entretien-ecologie-filiere-energie-lubsinski
(...) Sans parler de l’intermittence, si nous souhaitions de l’électricité exclusivement éolienne, il en faudrait 10 fois plus. (...)
SupprimerHAHAHA ! Même 10 000 de plus s'il n'y a pas de vent Y A PAS DE VENT !
Une pale d'éolienne pèse 60 tonnes. Donc 3 = 180 tonnes
Avec ses 248 mètres de hauteur et ses pales de 107 mètres de long, cette giga-éolienne se distingue par sa puissance et sa performance. Ses nacelles ont été construites à Saint-Nazaire, les mâts à Séville et les pales à Cherbourg + 600 à 800 tonnes de béton !
Course à la multipolarité
RépondreSupprimerL'accent myope sur l'affaiblissement de la Russie a eu pour conséquence involontaire de renforcer la Chine.
Par Ted Snider
Recherche mondiale,
03 avril 2023
Dans une quête pour maintenir son hégémonie dans un monde unipolaire, la stratégie de politique étrangère américaine a cherché à affaiblir une Russie qu'elle considère comme une "menace aiguë" et à affronter et contenir une Chine qu'elle considère comme "le défi le plus complet et le plus sérieux pour Sécurité nationale des États-Unis.
Le défi immédiat est la Russie, selon la théorie, mais le défi à long terme est la Chine. Il n'est pas stratégiquement optimal de combattre les deux superpuissances à la fois. La Russie doit être affaiblie pour que la Chine puisse être confrontée à son défi au monde unipolaire dirigé par les États-Unis.
La tentative d'affaiblir la Russie dans la guerre en Ukraine, cependant, peut avoir l'effet ironique de renforcer le rôle de la Chine dans un monde multipolaire émergent.
Un régime de sanctions sans précédent visait à punir la Russie pour son invasion de l'Ukraine et à l'empêcher d'exécuter cette invasion. Non seulement il n'a pas réussi à atteindre cet objectif; cela a également eu pour conséquence involontaire de rapprocher la Russie de la Chine. Isoler la Russie des marchés occidentaux a forcé la Russie à se tourner vers la Chine, l'Inde, la communauté eurasienne et une communauté mondiale de nations sanctionnées. Ainsi, le régime des sanctions a en fait accéléré l'avènement de la multipolarité, ainsi que renforcé la position de la Chine à l'étranger.
Le président chinois Xi Jinping et le président russe Vladimir Poutine sont « en communication constante ». Et le 20 mars, Xi est arrivé en Russie pour des entretiens qui visent, en partie, à « réaffirmer la nature particulière du partenariat Russie-Chine ».
Le 13 décembre, Xi a promis que la Chine "travaillera avec la Russie pour étendre un soutien mutuel fort sur les questions concernant les intérêts fondamentaux de l'autre et approfondir la coopération pratique dans le commerce, l'agriculture, la connectivité et d'autres domaines". Une semaine plus tard, Xi a déclaré que la Chine était "prête à établir une coopération stratégique avec la Russie, en s'offrant mutuellement des opportunités de développement et en restant des partenaires mondiaux au profit de nos pays...". Le ministère chinois des Affaires étrangères a déclaré que "toute tentative d'arrêter la Chine et Si la Russie continue d'avancer, elle est vouée à l'échec » et que « la Chine et la Russie approfondiront leurs échanges à tous les niveaux et promouvront les relations et la coopération sino-russes dans tous les domaines à un niveau supérieur… »
RépondreSupprimerLe commerce russo-chinois a considérablement augmenté. Dans son récent discours à l'Assemblée fédérale, Poutine a déclaré que « l'économie russe s'est engagée dans un nouveau cycle de croissance. Les experts estiment qu'il s'appuiera sur un modèle et une structure fondamentalement nouveaux. De nouveaux marchés mondiaux prometteurs, dont l'Asie-Pacifique, prennent le pas… » Il a promis que la Russie « développera des liens économiques étrangers prometteurs et construira de nouveaux corridors logistiques. … Cela nous permettra, en partie, d'étendre considérablement nos liens avec les marchés d'Asie du Sud-Est.
Les sanctions contre la Russie ont eu pour conséquence involontaire de coupler plus fermement la Russie et la Chine, un changement géopolitique loin de l'unipolarité.
L'insistance américaine sur un monde de blocs dans lequel les pays doivent choisir leur camp – et faire face aux conséquences s'ils ne s'alignent pas sur les États-Unis et ne sanctionnent pas la Russie – n'a pas bien résonné dans la majeure partie du monde. De grands pays comme l'Inde, le Brésil et l'Afrique du Sud ont refusé de sanctionner la Russie, préférant s'aligner sur la Chine et sa vision multipolaire. L'Inde a maintenu ses préoccupations régionales contre la Chine mais a refusé de se joindre à la rivalité mondiale américaine avec la Chine ; il a été un partenaire américain mais a maintenu son partenariat très étroit avec la Russie. L'Inde a insisté pour s'abstenir lors des votes à l'ONU et a refusé de sanctionner la Russie ; en fait, il a accru ses échanges avec la Russie.
Alors que de grands pays comme l'Inde maintiennent des préférences pour le monde multipolaire de la Chine par rapport au monde unipolaire de l'Amérique, des pays plus petits ont également réaffirmé leur droit à la neutralité et rejeté la vision unipolaire des États-Unis. Ils ont refusé de se joindre aux sanctions ou de prendre parti, affirmant le droit de choisir leurs propres intérêts nationaux. Comme l'Inde, l'Arabie saoudite a déclaré que "nous ne croyons pas à la polarisation ni au choix entre les camps".
RépondreSupprimerIl est difficile pour l'Amérique latine, le Moyen-Orient et l'Afrique d'entendre le message manichéen du bien et du mal et de la démocratie contre l'autocratie. Ils ont des souvenirs, et la critique américaine de la violation par la Russie de la souveraineté de l'État et des frontières territoriales sent l'hypocrisie. Ils se souviennent que leurs démocraties ont été remplacées par des autocraties lors de coups d'État soutenus par les États-Unis. Eux aussi tendent davantage vers le message de multipolarité de la Chine. Ils veulent bénéficier de l'initiative "la Ceinture et la Route" et de la croissance économique de la Chine sans avoir à choisir un camp ni à subir les conséquences. Eux aussi écoutent avec plus d'intérêt les propositions d'investissement de la Chine qui ne nécessitent pas d'alignement idéologique ou d'ajustements structurels économiques ou politiques.
Les tentatives américaines de contraindre les pays à s'opposer et à sanctionner la Russie les ont plutôt amenés à réaffirmer le non-alignement et à façonner un monde qui résonne avec la vision du monde multipolaire de la Chine et renforce le rôle économique et diplomatique de la Chine dans ce monde multipolaire.
Alors que le monde s'est concentré sur les États-Unis en tant que puissance qui décidera s'ils bloqueront ou encourageront les négociations pour mettre fin à la guerre, une alternative imprévue a émergé. Et si la Chine jouait le rôle de courtier de superpuissance et que l'Ukraine et la Russie signaient un accord, contournant l'implication des États-Unis ?
Le 24 février, la Chine a publié sa « Position sur le règlement politique de la crise ukrainienne ». Il ne s'agit pas encore d'une proposition de règlement pleinement élaborée, mais plutôt d'une déclaration de la position de la Chine et d'un engagement selon lequel la Chine est prête à assumer "un rôle constructif à cet égard".
L'émergence de la Chine sur le front diplomatique est un indice du potentiel d'une multipolarité. Ce pourrait être la Chine, et non les États-Unis, qui jouerait le rôle de courtier d'un règlement diplomatique, écartant les États-Unis et permettant à la Chine de façonner le monde d'après-guerre.
RépondreSupprimerCe potentiel a été démontré le 10 mars lorsque la Chine a négocié un accord transformateur entre ses rivaux l'Iran et l'Arabie saoudite sans implication américaine.
La position publiée par la Chine stipule explicitement la multipolarité. Après avoir insisté sur le strict respect du droit international et le respect de la souveraineté et de l'intégrité territoriale de tous les pays, le premier point du document de position déclare que « tous les pays, grands ou petits, forts ou faibles, riches ou pauvres, sont des membres égaux de la communauté internationale." C'est la négation d'un monde unipolaire et la définition même d'un monde multipolaire.
Le deuxième point est «l'abandon de la mentalité de la guerre froide». Ce point reflète la longue demande de la Russie pour une «architecture de sécurité européenne efficace et durable» qui transcende la «confrontation de blocs» et traite la Russie comme une puissance égale dans une architecture de sécurité transatlantique dans laquelle elle n'est pas une nation subordonnée mais une égale dans un monde multipolaire.
Ce deuxième point remet en cause le droit unipolaire de l'Amérique à étendre l'OTAN et à imposer l'hégémonie américaine : « La sécurité d'une région ne doit pas être obtenue en renforçant ou en élargissant des blocs militaires. Il insiste sur le fait que "la sécurité d'un pays ne doit pas être poursuivie aux dépens des autres" et que "toutes les parties doivent s'opposer à la poursuite de sa propre sécurité au détriment de la sécurité des autres...".
La Russie a longtemps contré la citation américaine du principe international selon lequel les États ont le droit libre et souverain de choisir leurs propres alignements de sécurité par la citation du principe tout aussi contraignant de l'indivisibilité de la sécurité. Ce principe dit que la sécurité d'un État ne doit pas être achetée au détriment de la sécurité d'un autre, comme l'a souligné Richard Sakwa, professeur de politique russe et européenne à l'Université du Kent .
Les États-Unis ont insisté sur le premier pour défendre la politique de la porte ouverte de l'OTAN envers l'Ukraine et l'expansion vers l'Est de son hégémonie. La Russie a insisté sur le fait que l'expansion de l'OTAN jusqu'à ses propres frontières menace ses intérêts fondamentaux en matière de sécurité. Lors d'une conversation avec Biden le 7 décembre 2021, Poutine a déclaré que "chaque pays a le droit de choisir la manière la plus acceptable d'assurer sa sécurité, mais cela doit être fait afin de ne pas empiéter sur les intérêts des autres parties et de ne pas saper le la sécurité des autres pays…. Nous pensons que la sécurité doit être globale et couvrir tout le monde de manière égale. La Russie a même souligné que les propres principes de l'OTAN sont de ne pas « menacer les intérêts légitimes » des autres États.
RépondreSupprimerLa position de la Chine défie les États-Unis d'étendre leur hégémonie en augmentant la portée de leur bloc et en faisant pencher la balance en faveur d'un monde unipolaire dirigé par les États-Unis.
L'invasion russe de l'Ukraine a renforcé la communauté transatlantique. Les États-Unis et les membres européens de l'OTAN ont été unis dans leurs sanctions contre la Russie et leur fourniture d'armes à l'Ukraine.
Mais il y a eu des schismes et des défis. Biden a promis que « si la Russie envahit… il n'y aura plus de Nord Stream 2. Nous y mettrons fin » ; Victoria Nuland a assuré que « si la Russie envahit l'Ukraine, d'une manière ou d'une autre Nord Stream 2 n'avancera pas » ; et Antony Blinken a célébré le sabotage comme une « formidable opportunité ». Ces déclarations se combinent avec les aveux de responsables américains selon lesquels l'acte a été commis par un "groupe pro-ukrainien" pour suggérer qu'il a fallu un acte de sabotage historique, un acte de guerre, pour maintenir l'Allemagne pleinement à bord du régime de sanctions américain. Il a fallu couper l'Allemagne et l'Europe de leur approvisionnement crucial en carburant russe en faisant sauter le pipeline Nord Stream.
Si la Chine s'impliquait davantage dans la guerre en Ukraine, soit en s'affirmant comme une puissance diplomatique, soit en aidant la Russie avec une aide non létale ou, d'ailleurs, des armes , les États-Unis, qui insistent déjà sur le rétrécissement de la coopération économique avec la Chine, pourraient exiger plus de ses partenaires européens.
La difficulté de convaincre l'Allemagne de se découpler de la Chine, surtout lorsqu'elle est déjà coupée de la Russie, a été illustrée par le voyage du chancelier allemand Olaf Scholz à Pékin en novembre. Scholz a défié les États-Unis et l'OTAN en devenant le premier dirigeant du G7 à se rendre à Pékin pour rencontrer le président Xi Jinping, qui a soutenu Poutine tout au long de la guerre. Scholz était accompagné lors de son voyage par les plus grands chefs d'entreprise allemands, dont les PDG de Volkswagen, BMW, BASF, Bayer et Deutsche Bank.
La Chine est le partenaire commercial le plus important de l'Allemagne. Depuis l'invasion russe de la Chine, l'Allemagne a accru ses investissements et sa dépendance économique vis-à-vis de la Chine. Il sera plus difficile de faire pression sur l'Allemagne pour qu'elle coupe ses liens économiques avec la Chine qu'avec la Russie. Elle demande beaucoup à l'Allemagne de lui dire de couper les ponts avec les deux.
RépondreSupprimerUn rôle croissant de la Chine dans le conflit actuel pourrait forcer un scénario dans lequel le monde unipolaire est défié en demandant à l'Allemagne et à l'Europe de se ranger du côté des États-Unis et de bannir la Chine. Il y a le potentiel dangereux d'une décision qui pourrait diviser le monde unipolaire dirigé par les États-Unis et renforcer une nouvelle réalité multipolaire.
La tentative d'affaiblir la Russie dans la guerre en Ukraine a peut-être eu pour conséquence involontaire de renforcer la Chine dans un monde multipolaire que l'affaiblissement de la Russie visait à empêcher.
https://www.globalresearch.ca/racing-multipolarity/5814544
La Chine et la Russie peuvent réduire le nano-groupuscule onussien-bruxellisé à une chiure de mouche en deux ou trois minutes. Donc, les chinois comme les russes n'ont pas de soucis à se faire d'être attaqués par des merdes.
SupprimerLa ligne rouge nucléaire de Poutine. Manlio Dinucci
RépondreSupprimerPar Manlio Dinucci
Recherche mondiale,
03 avril 2023
« La Russie déploiera ses armes nucléaires tactiques en Biélorussie à la demande de Minsk », a annoncé le président Poutine.
« En réalité – a-t-il précisé – nous faisons tout ce que les États-Unis font depuis des décennies ».
Moscou rappelle que les États-Unis ont placé leurs armes nucléaires tactiques en Europe, dans six pays de l'OTAN : Italie, Allemagne, Hollande, Belgique, Turquie et Grèce (elles ne sont pas actuellement en Grèce, mais il y a un dépôt prêt à les recevoir ).
Les bombes nucléaires B61 – en Italie, elles sont situées dans les bases d'Aviano et de Ghedi – ont maintenant été remplacées par les nouvelles B61-12, et l'US Air Force les transporte déjà en Europe.
Leurs caractéristiques les rendent bien plus meurtrières que les précédentes : chaque bombe dispose de 4 options de puissance selon la cible à toucher, est dirigée vers la cible par un système de guidage par satellite, et peut pénétrer le sol pour détruire les bunkers du centre de commandement ennemi. Les États-Unis déploieront probablement le B61-12 également en Pologne et dans d'autres pays de l'OTAN encore plus proches de la Russie.
- voir carte sur site -
Trois puissances nucléaires de l'OTAN - les États-Unis, la Grande-Bretagne, la France - et quatre pays de l'OTAN dotés de l'arme nucléaire américaine - l'Italie, l'Allemagne, la Belgique et les Pays-Bas - participent à l'opération Baltic Air Policing dans l'espace aérien de la Lettonie, de la Lituanie, de l'Estonie et de la Pologne, avec des avions pouvant transporter des armes nucléaires tactiques. En plus de ces avions, les bombardiers stratégiques américains B-52H de l'armée de l'air effectuent des missions d'entraînement à la guerre nucléaire dans la région de la Baltique et dans d'autres zones européennes bordant le territoire russe.
Les Alliés européens ont mis 19 aéroports à disposition pour de telles missions. Les États-Unis, après avoir déchiré le traité INF, préparent également des missiles nucléaires à portée intermédiaire qui seront déployés en Europe.
A ce déploiement offensif s'ajoutent les bases et navires du système de « défense antimissile » Aegis déployés par les Etats-Unis en Europe. Les navires et les installations terrestres d'Aegis sont équipés de lanceurs verticaux Lockheed Martin Mk 41 qui - le fabricant lui-même l'a documenté - peuvent lancer non seulement des missiles intercepteurs mais aussi des missiles de croisière armés d'ogives nucléaires.
Après que les États-Unis et l'OTAN ont rejeté toutes les propositions russes pour arrêter cette escalade nucléaire de plus en plus dangereuse, la Russie a réagi en déployant des bombes nucléaires et des missiles à portée intermédiaire en Biélorussie à proximité de bases américano-OTAN en Europe prêtes à être armées d'ogives nucléaires.
*
Cet article a été initialement publié sur byoblu en italien.
Manlio Dinucci, auteur primé, analyste géopolitique et géographe, Pise, Italie. Il est chercheur associé au Centre de recherche sur la mondialisation (CRG).
https://www.globalresearch.ca/putins-nuclear-red-line/5814568
Le meurtre et la guerre commencent par la déshumanisation
RépondreSupprimerDe Robert C. Koehler
Recherche mondiale,
03 avril 2023
"Le chef Drake a déclaré qu'il était trop tôt pour discuter d'un motif possible de la fusillade , bien qu'il ait confirmé que l'attaque était ciblée. Les autorités examinaient les écrits et avaient pris contact avec le père du tireur. . . .”
Ouais, ils comprendront.
La dernière fusillade de masse : Six personnes tuées, dont trois enfants de 9 ans , à la Covenant School de Nashville, Tennessee. Le tireur présumé, âgé de 28 ans – un ancien élève de Covenant – est entré dans l'école le 27 mars avec (Dieu bénisse l'Amérique) deux fusils semi-automatiques et une arme de poing. Il/elle, apparemment transgenre, a finalement été abattu(e) par la police.
Dans d'autres nouvelles . . .
Excuse-moi. Asseyons-nous un instant avec la folie, d'accord ? Ceci n'est pas une émission de télé-réalité. Et le « mobile » du tueur ? D'une certaine manière, cela compte ? Une analyse précise permettra-t-elle aux autorités d'arrêter le prochain individu aux motivations similaires avant qu'il n'ouvre le feu ? Je crains, ô combien profondément, que ce ne soit même pas le sujet. Le meurtre de masse fait simplement partie du Great American Shrug. Nous sommes une nation exceptionnelle, la plus grande démocratie et le plus grand espoir du monde, et les putains de meurtres. . . Eh bien, personne n'est parfait. Et après tout, ce ne sont pas les armes à feu qui tuent les gens. Les gens – surtout s'ils sont malades mentaux – tuent des gens.
Mais alors que je suis assis devant cette dernière horreur – selon Gun Violence Archive, il y a eu 130 fusillades de masse aux États-Unis jusqu'à présent cette année (définies comme au moins quatre personnes tuées ou blessées) – je ne peux faire qu'une chose : Étirez l'indignation.
Étirez-le au-delà de l'école Covenant. Étirez-le au-delà de Nashville. Au-delà des armes d'assaut. Au-delà de la politique. Il y a une interaction profonde avec l'enfer dans la structure sociale américaine ; dans la structure sociale mondiale. Le contrôle des armes à feu, aussi sensé et sain soit-il, ne le transcendera pas. Le meurtre de masse émerge d'une tache sombre non examinée et non résolue dans la conscience humaine collective. Elle peut être décrite en un mot : déshumanisation.
Ce n'est pas simplement le défaut psychologique d'un solitaire : le refus de toute humanité, ou de toute humanité – de toute valeur spirituelle – à d'autres personnes choisies. C'est un phénomène ancré dans la norme sociale. Nous avons des ennemis. Nous avons besoin d'eux. Nous les tuons.
Nous partons en guerre !
RépondreSupprimer"Vêtu d'un pantalon de camouflage, d'un gilet noir et d'une casquette de baseball rouge à l'envers, l'agresseur se promène dans les pièces et les couloirs avec une arme dégainée."
Le tueur, quel que soit son « mobile » spécifique, jouait à la guerre. Il avait, dans son esprit et son cœur, déshumanisé les occupants de l'école Covenant. C'est le jeu des nations du monde – en particulier, « USA ! ETATS-UNIS!" – jouer régulièrement les uns avec les autres. Des fusillades de masse ? Ils sont partout. Quand nous (les gentils avec des armes) faisons la guerre, nous n'avons pas le choix. Lorsque des non-combattants – disons, oh, un groupe d'enfants de neuf ans – meurent, ils se transforment comme par magie en dommages collatéraux.
Le phénomène de la guerre est collectivement glorifié. Ses conséquences horribles sont soit justifiées soit ignorées, à moins que l'ennemi ne le fasse. Et c'est arrivé, alors que j'absorbais les nouvelles sur la fusillade de Nashville, c'était aussi dans l'actualité :
"Le président russe Vladimir Poutine", selon l' Associated Press , "a annoncé samedi des plans pour stationner des armes nucléaires tactiques dans la Biélorussie voisine, un avertissement à l'Occident alors qu'il intensifie son soutien militaire à l'Ukraine.
"Poutine a déclaré que cette décision avait été déclenchée par la décision de la Grande-Bretagne la semaine dernière de fournir à l'Ukraine des obus perforants contenant de l'uranium appauvri."
Nucléaires tactiques ! Le Roi du Mal a fait avancer l'horloge apocalyptique de plusieurs crans. Un monde au bord de la guerre nucléaire ? Il n'y a aucun contexte dans lequel les médias peuvent placer cela, même s'ils invoquent la justification de Poutine pour jouer à la corde raide nucléaire : les Britanniques donnent à l'Ukraine des armes perforantes. Bien sûr, cela ne justifie pas la folie de Poutine, soyons clairs : les deux camps sont fous. La déshumanisation ne crée rien d'autre que le même.
L'uranium appauvri, plus résistant que l'acier, est sale comme l'enfer. Les États-Unis l'ont utilisé en Irak, avec, bien sûr, aucune responsabilité. Lors de ses deux invasions catastrophiques de Fallujah en 2004, par exemple, l'utilisation d'uranium appauvri et de phosphore blanc a laissé des séquelles de cancer et de malformations congénitales d'une ampleur pratiquement inimaginable. Par exemple, les cas de cancer en Irak sont passés d'une moyenne de 40 pour 100 000 personnes en 1991 à 1 600 pour 100 000 personnes en 2005, selon Al-Jazeera .
Et, mon Dieu : « Les médecins de Fallujah continuent d'être témoins de la forte augmentation susmentionnée des malformations congénitales graves, y compris des enfants nés avec deux têtes, des enfants nés avec un seul œil, des tumeurs multiples, des déformations défigurantes du visage et du corps et des troubles nerveux complexes. problèmes de système.
RépondreSupprimer“. . . de nombreuses familles ont trop peur d'avoir des enfants, car un nombre alarmant de femmes subissent des fausses couches et des décès consécutifs avec des nouveau-nés gravement déformés et malades.
La déshumanisation rend tellement possible ! Une âme solitaire et troublée commettant un meurtre de masse n'est que la moindre des choses. Je ne sais pas pour vous, mais je vois un lien direct entre de tels actes et les guerres que les nations se livrent les unes contre les autres, générant des conséquences - réelles et potentielles - un million, peut-être un milliard, fois les coûts supportés cette semaine à la Covenant School.
https://www.globalresearch.ca/murder-war-begin-dehumanization/5814551
La liberté d'avoir des armes aux États-Unis est une défense accordée à chaque citoyen. Ce principe ne peut être remis en cause lorsqu'il y a des meurtres commis envers des personnes non agressives.
SupprimerNous constatons toutes et tous qu'il y a de plus en plus de meurtres commis. Pourquoi ? Parce qu'en plus de la drogue (frontières ouvertes et non surveillées) donc encouragée par les pouvoirs publics, il y a des éléments incitatifs à commettre ces meurtres. Ces éléments très récent viennent des injections reçues dernièrement où les victimes perdent tout contrôle au profit d'ondes arrivées.
C'était le but du Plan Dépopulation21, c'est le résultat du génocide programmé.
Pourquoi l'Intelligence Artificielle ne remplace pas les discussions entre humains et le lien social informatif
RépondreSupprimerCaroline Porteu,
pour France-Soir
le 02 avril 2023 - 14:00
TRIBUNE/OPINION - Merci à France-Soir qui m'a permis de comprendre ce qui motive des personnalités, telles Elon Musk ou Yuval Noah Harari, à faire une pause urgente dans le développement et déploiement de l'IA (Intelligence Artificielle), bien que pour des raisons probablement différentes. En effet, l'IA permet de montrer les manquements et les mensonges des gouvernants sur des sujets d'actualité, ainsi que donner cours à des manipulations d'opinions ! À condition que des humains s'en aperçoivent et échangent à ce sujet. En voilà deux exemples concrets.
En lisant l’article « Lockdown files, la fin de l’histoire de la Covid au Royaume-Uni », ainsi que les commentaires associés, je suis tombée sur celui du pseudo Utoponges. Ce dernier posait la question à ChatGPT*, la fameuse application d'IA, des meilleures solutions à apporter afin de résoudre la crise ukrainienne.
*Que veut dire ChatGPT ? “Chat” veut dire “Discussion” en anglais, à propos des échanges de messages instantanés sur internet. “GPT” est un acronyme qui signifie “Generative Pre-Trained Transformer”, soit “Transformateur génératif pré-entraîné”. Le principe ? Pouvoir discuter non pas avec d’autres internautes en ligne mais avec une “Intelligence Artificielle” (IA) qui, en quelque sorte, se comporterait “comme un être humain”.
L’échange est reproduit tel quel ci-dessous.
Utoponges 31 mars 2023
Hors sujet… Mais ça vaut le coup quand même. J’ai posé la question suivante à ChatGPT : « Quelles seraient, selon toi, les meilleures solutions pour résoudre la crise ukrainienne ? »
Réponse de ChatGPT :
La crise ukrainienne est un conflit complexe et multifacette qui implique de nombreux acteurs internationaux et locaux, ainsi que des enjeux géopolitiques importants. En tant que modèle de langage artificiel, je n'ai pas de position personnelle sur la crise ukrainienne, mais je peux vous fournir quelques pistes de réflexion pour envisager des solutions potentielles.
Le développement et coopération économique (idée 6) est aussi une très bonne idée. Cependant, n’aurait-il pas fallu l’appliquer juste après le coup d’État du Maïdan en 2014, si les nouveaux dirigeants de l'Ukraine se souciaient un tant soit peu de leur population, plutôt que de stigmatiser et bombarder la population russophone du pays ?
RépondreSupprimerPeut-on sérieusement croire que nous voulons vraiment la paix ? Parce que si c'était véritablement le cas, et bien, comment dire ?
Par curiosité, et par acquit de conscience, j’ai posé la même question à ChatGPT. Et là, surprise, la réponse est sensiblement différente puisque « la restitution des régions occupées par la Russie à l’Ukraine » fait partie des idées. Lisez plutôt.
caroline Porteu Utoponges 31 mars 2023 "Encore plus amusant : je viens de poser la même question à Chat GPT et j'ai obtenu une réponse un peu différente... Comme par hasard, la restitution des régions fait partie de la réponse !".
Question à ChatGPT "Quels seraient, selon toi, les meilleures solutions pour résoudre la crise ukrainienne ?"
Réponse de ChatGPT :
La crise ukrainienne est un conflit complexe avec des racines historiques et politiques profondes. Il n'y a donc pas de solution simple pour résoudre ce conflit. Cependant, voici quelques suggestions de mesures qui pourraient aider à trouver une solution à la crise ukrainienne :
Dialogue et négociation : Les parties prenantes doivent s'engager dans un dialogue et une négociation honnêtes et sincères pour trouver une solution pacifique et durable à la crise. Les négociations devraient inclure les dirigeants ukrainiens, les représentants des régions contestées, les dirigeants russes et les dirigeants de l'Union européenne.
Respect de l'intégrité territoriale de l'Ukraine : Toutes les parties prenantes devraient reconnaître et respecter l'intégrité territoriale de l'Ukraine. L'annexion de la Crimée par la Russie devrait être rejetée et les zones occupées par les séparatistes pro-russes devraient être rendues à l'Ukraine.
Décentralisation du pouvoir : L'Ukraine devrait adopter une approche plus décentralisée du pouvoir, accordant une plus grande autonomie aux régions et reconnaissant les droits des minorités. Cela pourrait aider à répondre aux préoccupations des régions contestées et à éviter les tensions et les conflits à l'avenir.
Assistance économique : L'Union européenne et les autres pays devraient apporter une assistance économique et financière à l'Ukraine pour aider à stabiliser son économie et à soutenir les réformes économiques. Cela pourrait aider à atténuer les tensions et à réduire les pressions politiques qui peuvent exacerber la crise.
RépondreSupprimerMédiation internationale : L'implication d'une tierce partie de médiation internationale, comme l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) ou les Nations unies, pourrait aider à faciliter les négociations et à trouver une solution pacifique à la crise.
Cependant, il est important de noter que les solutions ne sont pas faciles à trouver dans un conflit aussi complexe. Il faut du temps, de la patience et de la volonté politique de toutes les parties pour trouver une solution durable et pacifique.
Fort de cette constatation, j’ai continué à lire les commentaires de l’article sur les « Lockdown files ». Celui du pseudo Quidam a attiré aussi mon attention :
Quidam 31 mars 2023
"Rien qu'aux USA: Une analyse approfondie des vaccins révèle un préjudice économique de 147 milliards de dollars et des dizaines de millions de personnes blessées ou handicapées"
Ici, l'étude se base que sur l'impact aux États-Unis, mais à l'échelle mondiale, effrayant !
Un nouveau rapport estime que 26,6 millions de personnes ont été blessées, 1,36 million handicapées et 300 000 décès en excès peuvent être attribués aux dommages causés par le vaccin contre le covid-19 pour la seule année 2022, ce qui a coûté à l’économie près de 150 milliards de dollars.
La société de recherche Phinance Technologies, fondée et dirigée par Ed Dowd, ancien gestionnaire de portefeuille chez Blackrock, Yuri Nunes (PhD en physique, MSc en mathématiques) et Carlos Alegria (PhD en physique, finance), a divisé l’impact des vaccins en quatre grandes catégories pour estimer les coûts humains associés au vaccin covid-19 : aucun effet ou asymptomatique, ceux qui ont subi des blessures (résultat léger à modéré), ceux qui sont devenus handicapés (résultat sévère) et la mort (résultat extrême). Les données sur les incapacités et les blessures dues aux vaccins proviennent directement du Bureau of Labor Statistics (BLS), tandis que les chiffres relatifs à la surmortalité sont tirés des chiffres officiels sur les décès aux États-Unis par le biais de deux méthodes différentes (voir la méthodologie ici).
Il est important de noter que les personnes appartenant à une catégorie (blessées, par exemple) peuvent passer à d’autres catégories de gravité, ce que cette analyse ne prend pas en compte.
RépondreSupprimer« Nous devons garder à l’esprit que ces regroupements ne sont pas seulement une tentative de caractériser les différents niveaux de dommages causés par les inoculations, mais qu’ils ne sont pas statiques et qu’ils peuvent interagir les uns avec les autres« , peut-on lire dans le rapport. « Par exemple, il peut y avoir des individus qui n’ont pas eu d’effets visibles après la vaccination, mais qui peuvent néanmoins être affectés ».
« Les personnes ayant subi des lésions légères à la suite des inoculations pourraient, avec le temps, développer des lésions graves au point d’être handicapées, ou une issue extrême telle que la mort. »
Estimation du coût économique
En analysant chacune des catégories ci-dessus, Phinance a utilisé l’excès absolu de temps de travail perdu (voir le rapport précédent) pour déterminer que le coût économique direct des lésions dues aux vaccins s’élevait à 79,5 milliards de dollars en 2022, et à 52,2 milliards de dollars pour les personnes gravement handicapées.
Pour les décès, Phinance a utilisé l’augmentation annuelle moyenne absolue de la surmortalité depuis 2021, soit 0,05 % pour les 25-64 ans, ce qui représente 5,6 milliards de dollars de perte de productivité.
Au total, ils ont trouvé un « coût économique » total de 147,8 milliards de dollars en 2022 en raison des vaccins contre le covid-19.
Comme le note Dowd**, ces chiffres ne représentent que ce qui peut être mesuré actuellement, car « les effets d’entraînement tels que la perte de productivité due au fait qu’un travailleur est présent mais ne travaille qu’à 50-75 % de sa capacité ne sont pas pris en compte, en plus de l’épuisement de ceux qui prennent le relais ».
« Les effets multiplicateurs sont énormes. »
**Edward Dowd est le fondateur de Phinance Technologies
Mon intérêt étant suscité, d'où venait le texte de ce commentaire ? Il s'agit en fait d'un article publié sur le site Wikistrike, daté du 30 mars 2023 : "Rien qu'au USA: Une analyse approfondie des vaccins révèle un préjudice économique de 147 milliards de dollars et des dizaines de millions de personnes blessées ou handicapées".
J’ai voulu alors vérifier et consulter directement les sources évoquées par l'article, issues de Phinance Technologies :
RépondreSupprimerEstimation du coût humain associé au vaccin Covid-19
Méthodologie afin d'obtenir les chiffres relatifs à la surmortalité (à partir des chiffres officiels sur les décès aux États-Unis)
Et là, surprise, en parcourant la présentation de l'entreprise, je découvre que Phinance Technologies est une société de conseil en stratégie économique et financière qui fait des analyses et des projections à partir des statistiques officielles qu’elle peut trouver sur les différents sites internationaux et utilise pour ce faire... des modèles algorithmiques et de l’intelligence artificielle !
About the Fund
Phinance Technologies Investment Fund, is a global macro alternative investment firm. The flagship product is a Futures fund using proprietary fundamental economic algorithms to generate investment ideas with rigorous risk overlays. The fund is designed to be a conservatively leveraged fund that provides a highly liquid alternative to traditional asset classes. It has a low correlation with the equity markets and could be suitable as an alternative investment, particularly in a period of global uncertainty and volatility. The firm is currently in the process of seeking a seed partner to participate in the growth of the firm.
À noter, par ailleurs, l'extrapolation des résultats obtenus par Phinance par son créateur lui-même, Edward Dowd, quant aux conséquences de la vaccination, à l'échelle mondiale :
Cet échange avec Utoponges a aussi permis de constater que les réponses aux mêmes questions, posées à l'IA, à divers moments, étaient non seulement différentes, mais aussi visiblement liées au profil de l’utilisateur.
Utoponges caroline Porteu 1er avril 18h35
Votre constat de modification dans la réponse m’a fortement intrigué… Aussi, je viens, à l’instant, de lui reformuler exactement la même question. Et la réponse est restée identique, à la virgule près, à sa première réponse à ma question.
Je propose une possibilité logique pour expliquer ce décalage de réponse… Je me suis inscrit sur ChatGPT par le biais de mon compte Google. Or, non seulement Google connait parfaitement mes préférences de visionnage ainsi que le contenu de mes commentaires, mais en plus il est l’un des principaux fournisseurs de données de ChatGPT…
Il est fort probable que dans un souci de rendre cet outil acceptable et sympathique à l’utilisateur, les concepteurs l’aient programmé pour qu’il tienne compte du « profil » de l’utilisateur…
Si c’est le cas, une AI qui modifie ses réponses en fonction des profils, c’est assez effrayant pour l’avenir que leur utilisation nous réserve…
caroline Porteu Utopongesil 1er avril 2023 21h04
Effectivement, je ne me suis pas inscrite via mon compte Google , et j'ai utilisé le Chat GPT du navigateur Opera pour avoir cette réponse-là. Comme vous le dites, c'est encore plus inquiétant…
RépondreSupprimerCes deux exemples sont de parfaites illustrations pour comprendre pourquoi, soudainement, de nombreuses personnalités (dont Elon Musk ou Yuval Noah Harari par exemple, réunis au sein d'une pétition) demandent une pause immédiate et urgente quant à l’utilisation de l’intelligence artificielle et des algorithmes générés :
« L'IA permet de montrer les incohérences entre le bon sens et ce que font réellement nos dirigeants ».
Dit autrement :
Elle permet de démontrer les manquements et les mensonges de nos dirigeants, ainsi que les manipulations cognitives et autres psy-ops (opérations psychologiques et de manipulation de masse).
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-discussions-entre-humains-permettent-detablir
Qu'est-ce que l'intelligence artificielle ?
SupprimerC'est un livre, un programme d'ordinateur, un traducteur qui passe des lettres écrites à la voix pour répondre. Mais, son programme est unique et non universel ! Il a été fait par une personne ! pas par 10, 50 ou 10 000 ! Il n'a donc pas toutes les solutions. Elle va donc vous raconter des conneries de télés, de radios ou de journaux mais pas des solutions scientifiques (interdites par les dictatures). Elle n'est pas faite pour instruire mais pour détruire votre savoir et suppositions.
« Bassines » – oups ! « méga-bassines » : MM. Emmanuel Sagot et Philippe Stoop sur Atlantico
RépondreSupprimer3 Avril 2023
Glané sur la toile 977
Atlantico a publié un article écrit à quatre mains, « Bassines, nappes phréatiques et agriculture : petits éléments de remise en perspective des discours militants qui s’affranchissent du réel ».
Ont répondu aux questions, M. Emmanuel Sagot, agriculteur en Vendée, et M. Philippe Stoop, directeur Recherche et Innovation, ITK, et membre correspondant de l’Académie d’Agriculture de France.
Leurs réponses sont des « petits éléments » qu'il est bon d'exposer de manière rationnelle et pédagogique dans l'océan de désinformation et de mésinformation ambiant, que rien ne semble assécher.
Voici pour l'entrée en matière :
« Atlantico : On entend beaucoup de choses sur les "méga-bassines" de Sainte-Soline. Factuellement quel est ce projet ? En quoi consiste-t-il ? Y-a-t-il un risque d’accaparement ?
Emmanuel Sagot : Le projet consiste à stocker de l’eau lorsqu’elle est abondante en hiver afin de ne plus en pomper l’été et ainsi moins "tirer" sur la nappe en période d’étiage. D’ailleurs méga-bassine n’est pas le nom mais on appelle ceci une réserve de substitution, car on substitue un pompage estival en nappe par un pompage hivernal en nappe avec stockage. Aucun risque d’accaparement puisque le volume d’eau stockée est un volume d’eau qui est déjà pompée [ma note : dans la pratique actuelle] d’avance mais en été. Les agriculteurs qui sont raccordés aux réserves auront interdiction de pomper l’été et leur forage personnel sera détruit et les agriculteurs qui ne sont pas raccordés aux réserves auront toujours le droit d’utiliser leur forage comme avant sans souci. »
Rappelons qu'il existe déjà des « bassines » – oups ! des « méga-bassines » – en Vendée, qu'elles sont opérationnelles, qu'elles ont fait leurs preuves sur le plan tant agricole qu'environnemental, et qu'elles ne font pas (ou guère) débat. Nous avons évoqué avec grand plaisir sur ce blog « La réserve de substitution : kesako ? » de Mme Lucie Mainard (les Jolies Rousses).
Et voici la fin :
RépondreSupprimer« Mais ne vaudrait-il pas mieux passer à des formes d’agriculture plus durables et économes en eau, au lieu de perpétuer avec les bassines l’usage de l’irrigation ? D’ailleurs ces bassines sont-elles vraiment une solution durable ?
Philippe Stoop : […]
Quant à passer à des formes d’agricultures plus durables car plus économes en eau, il ne faut pas se leurrer sur les leviers d’action disponibles. L’eau répond à un besoin physiologique incompressible des cultures, comme pour tout être vivant. Les seuls leviers d’action sont l’amélioration de l’efficience de l’irrigation, grâce aux techniques d’irrigation de précision. Le rapport "Changement climatique, eau et agriculture" des Ministères de l’Agriculture et du Développement Durable a estimé que le potentiel d’action dans ce domaine est de l’ordre d’une réduction de 30% des besoins en irrigation. On parle beaucoup de l’amélioration de la réserve en eau des sols, grâce à l’agriculture de conservation des sols (qui est de plus favorable à la biodiversité et à la réduction des émissions de gaz à effet de serre), mais son effet réel sur les besoins en eau des cultures est marginal, de l’ordre de 5 à 10% maximum au bout de plusieurs années. Si l’on veut réduire davantage la consommation en eau des cultures, la seule solution est d’opter pour des cultures moins productives… qui certes consommerons moins d’eau, mais aussi seront souvent moins efficiente pour l’utilisation de l’eau. On entend beaucoup dire que la production de maïs devrait être abandonnée vu la situation climatique, par exemple en le remplaçant par du blé, qui pousse plus tôt en saison et peut donc se passer d’irrigation. C’est un raisonnement plutôt paradoxal, quand on sait que le maïs (surtout s’il est irrigué) est la culture qui valorise le mieux l’eau : le même rapport rappelait qu’en Gascogne, avec [une certaine quantité] d’eau (pluie et irrigation confondues), on obtient 5 tonnes de blé, 5,2t de maïs non irrigué… et 9 tonnes de maïs irrigué ! En fait, le vrai problème du maïs n’est pas qu’il consomme trop d’eau, mais qu’il la consomme d’une façon trop visible par les citadins et les écologistes !
- voir tableau sur site -
Nous avons pris l’habitude en France de vouloir réduire l’empreinte environnementale de notre agriculture, sans nous préoccuper de l’effet sur notre production. Tant que notre consommation alimentaire ne diminuera pas en proportion de notre baisse de production (et que les politiques seront plus frileux pour imposer cette réduction à tous le citoyens, que pour inventer de nouvelles contraintes pour les agriculteurs), cela n’aura qu’une conséquence possible : une dépendance accrue aux importations, avec les pertes de souveraineté, et les "importations de déforestation" qui en découlent. Il serait temps que les politiques qui se veulent agro-écologiques reprennent en compte l’efficience de nos facteurs de production agricoles, au lieu de considérer qu’il s’agit d’un gros mot hérité d’une tradition productiviste : quand on parle d’efficience d’utilisation de l’eau, il s’agit d’une efficience écologique, avant d’être économique. »
RépondreSupprimerOn ne peut qu'adhérer à cette démonstration.
Mais ajoutons-y ceci : serait-il de bonne politique pour la France de baisser sa production agricole – éventuellement en imposant une réduction (drastique) de notre consommation alimentaire – et, en même temps, sa capacité d'exportation ?
Sommes-nous prêts – en d'autres termes, suffisamment stupides – à laisser à des acteurs géopolitiques comme la Russie le soin d'approvisionner des pays structurellement en déficit, proches de nous ou moins proches, et la capacité d'en faire des vassaux sur la scène internationale ?
On ne peut que recommander la lecture du formidable « Géopolitique du blé Un produit vital pour la sécurité mondiale » de M. Sébastien Abis (IRIS Editions/Armand Colin). Même pour ceux qui ont compris les enjeux stratégiques depuis l'agression de l'Ukraine par la Russie.
Post scriptum
Nous sommes tombés lors de nos recherches sur « Méga-bassines : Jean-Marc Jancovici vous explique tout sur ce projet controversé ». Très franchement, il y a mieux comme explications
Post scriptum 2
RépondreSupprimerPour « Méga-bassines dans l’Aube : les pêcheurs n’en veulent pas », de l'Est Éclair, nous n'avons accès qu'au chapô :
« Sur ce sujet d’actualité hautement inflammable, la Fédération départementale de la pêche prend clairement position. Elle estime notamment que les méga-bassines et autres rétentions collinaires sont dangereuses pour la préservation des milieux aquatiques, déjà en grande souffrance. »
Très franchement, ça ne vole pas haut... Le lac du Der n'est pourtant pas loin...
Post scriptum 3
Il y a aussi « Décryptage. Y aura-t-il des mega-bassines en Bretagne ? » de M. Romuald Bonnant sur France 3 Régions.
C'est un excellent décryptage. Amis lecteurs, intéressez-vous plus particulièrement aux motivations des personnes interviewées se réclamant de la Confédération Paysanne.
Il y a bien sûr d'autres articles.
https://seppi.over-blog.com/2023/04/bassines-oups-mega-bassines-mm.emmanuel-sagot-et-philippe-stoop-sur-atlantico.html
Mais QU'EST-CE QU'ON EN A A FOUTRE que l'être humain consomme 1 million de m³ d'eau dans sa vie ? Il ne pèsera pas 1 million de tonnes à sa mort ! Ah bon ?? et pourquoi ? (HAHAHA !)
SupprimerPareil pour TOUTES les plantes de la Terre, les arbres et les animaux sans parler... des poissons ! HAHAHAHA !
Depuis DES millions d'années les fleuves & rivières charrient et déversent en mers & océans des km³ d'eaux sales dans l'eau déjà sale des mers et océans ! (les poissons chient dedans !! Une honte ! Hahaha !). Et, cette eau (parce que c'est LA MÊME !) qui s'infiltre aux planchers maritimes & océaniques est bouillie et ressort (sous forme de vapeurs) aux galeries souterraines vers les sources de montagnes et nappes phréatiques ! Çà alors !!
Un article ancien parlé que l'eau que l'on boit a déjà été bue, crachée, suée ou urinée 400 fois depuis Néfertiti !
Il ne manque pas UNE GOUTTE d'eau sur notre planète depuis DES millions d'années ! Çà alors !!
Tout est une question de gestion de l'eau ! (Houlala le terme compliqué !).
L'eau qui sort GRATUITEMENT des sources forme des rivières et des fleuves qui vont aux bassins maritimes & océaniques. Donc: les paysans peuvent GRATUITEMENT user de cette eau sans qu'elle ne puisse manquer à quiconque. Mais... cette eau est facturée !! Eh oui ! Les paysans (pas les pêcheurs) doivent payer ! pour oser irriguer les cultures !!
POLÉMIQUE: Pour le WWF, le menu de Pâques est néfaste pour le climat
RépondreSupprimerPoisson, œufs, agneau… Pour l’organisation écologiste: «Les effets de nos menus de Pâques traditionnels sur l’environnement sont consternants».
Eric Felley
3 avril 2023, 16:26
Nous sommes entrés dans la semaine de Pâques et beaucoup se réjouissent des bonnes tables qui nous attendent en fin de semaine. Beaucoup, mais pas le WWF qui publie ce lundi un communiqué de mise en garde. L’association écologiste demande de favoriser des alternatives. En cause les trois des principaux ingrédients gastronomiques de ces fêtes: le poisson, les œufs et la viande d’agneau.
Le vorace saumon
Concernant le poisson, l’incontournable du Vendredi-Saint, c’est le saumon qui est pointé du doigt. «C’est le poisson de choix dans notre pays, écrit l’organisation, au point de représenter 20% du chiffre d’affaires du commerce de détail dans cette catégorie. L’élevage de ce poisson carnivore est une charge pour la biodiversité et le climat». Concrètement, pour «produire» 100 g de filet de saumon, il faut le nourrir avec 175 g de poissons capturés dans la nature, tels que harengs, anchois et sardines, ainsi que 95 g de soja. Pour le WWF, nous ferions mieux de manger directement ces petits poissons, qui sont riches en micronutriments.
L’agneau voyageur
Pour la viande d’agneau, le problème vient de sa provenance lointaine. La moitié consommée en Suisse est importée: 50 à 60 % de Nouvelle-Zélande et d’Australie. «Près de 60 % des animaux élevés dans ces deux pays sont transportés par avion jusqu’en Suisse après avoir été abattus, regrette le WWF. Les produits voyageant de cette manière ont un impact considérable sur l’environnement, les émissions du trafic aérien faisant partie des causes les plus importantes de la crise climatique».
Trop d’œufs
Pour les œufs, la consommation connaît un pic pascal avec une augmentation de 16 %. Le WWF constate que chaque personne dans ce pays avale 195 œufs par année. Étant donné qu’une poule a besoin quotidiennement de 120 g d’aliment concentré, multiplié par ces 195 œufs, on obtient un total de 23,5 kg d’aliment concentré absorbé par personne et par année. Il en résulte un très grand gaspillage de calories.
Un œuf par personne le jour de Pâques
Pour Mariella Meyer, experte en alimentation au WWF Suisse, il n’est pourtant pas question de renoncer à tout: «Comme souvent dans la vie, écrit-elle, la quantité fait la différence. On peut soigner la tradition de la course aux œufs, mais en se contentant d’un seul œuf par personne le dimanche de Pâques. Une consommation supportable pour la planète serait de deux œufs environ par semaine et par personne.»
Pas besoin d’être irréprochable
RépondreSupprimer«Pas besoin d’être irréprochable pour protéger le climat, mais moins c’est mieux», note encore le WWF, qui conclut: «Nous sommes bien inspirés de réserver le poisson, les œufs et la viande pour des occasions spéciales comme les fêtes de Pâques. Si nous voulons réduire les conséquences pour le climat et la biodiversité et, partant, aussi pour nous-mêmes, nous devons toutefois réduire la consommation moyenne durant toute l’année».
https://www.lematin.ch/story/pour-le-wwf-le-menu-de-paques-est-nefaste-pour-le-climat-133501272560
Non-non, ce n'est pas un 'poisson d'avril' !
Supprimer(...) Concrètement, pour «produire» 100 g de filet de saumon, il faut le nourrir avec 175 g de poissons capturés dans la nature, tels que harengs, anchois et sardines, ainsi que 95 g de soja. Pour le WWF, nous ferions mieux de manger directement ces petits poissons, qui sont riches en micronutriments. (...)
Aaaaah les CONS ! Un poisson ça mange... du poisson !! Çà alors !! (et même TOUS LES JOURS !). Et, pour le 'WEF' nous... ferions mieux de manger directement ces petits poissons, qui sont riches en micronutriments !!! HAHAHAHA ! Si c'est pas l'un c'est l'autre ! Çà alors !!
(...) Pour la viande d’agneau, le problème vient de sa provenance lointaine. La moitié consommée en Suisse est importée: 50 à 60 % de Nouvelle-Zélande et d’Australie. «Près de 60 % des animaux élevés dans ces deux pays sont transportés par avion (...)
et... TOUS les membres du WEFNAZI se déplacent... en avions ! Çà alors !! (Les produits voyageant de cette manière ont un impact considérable sur l’environnement, les émissions du trafic aérien faisant partie des causes les plus importantes de la crise climatique».).
(...) Trop d’œufs (...)
Bêh, si tu manges des œufs... tu mangeras moins d'autres choses ! (le caviar à la louche ! 3000 œufs d'esturgeons GLOUP ! d'un coup !)
La France en feu : « Incendies » Partout. Qui est derrière eux ? "Hommes en noir"
RépondreSupprimerPar Peter Koenig
Recherche mondiale,
03 avril 2023
La tragédie d'aujourd'hui est que personne ne relie les points. Aucun analyste. Pas de journaliste. Ils se concentrent tous sur le feu et personne ne demande ce qu'il y a derrière. Comment un feu se connecte-t-il à l'autre.
Pendant des semaines sans fin, la France est en feu. C'est comme si la France luttait contre l'augmentation controversée de l'âge de la retraite de Macron de 62 à 64 ans. Cela ne semble pas si grave pour incendier la France – ou le fait-il ?
La plupart des pays d'Europe et d'ailleurs ont des âges de départ à la retraite égaux ou supérieurs. Les syndicats français se battent depuis longtemps pour limiter l'âge de la retraite à 62 ans, date à laquelle les travailleurs auront droit à une pension d'État. De nouvelles augmentations à 66 ans et plus d'ici 2028 et au-delà sont déjà prévues, contribuant aux manifestations.
Cela peut également affecter d'autres pays, car l'âge moyen de notre société augmente et épuise les fonds de pension. Dans le cas de la France, le budget français surchargé s'est discrètement emparé de la Caisse de retraite. La fourniture illimitée d'argent et d'armes à l'Ukraine pour tuer les Russes a encore contribué à épuiser les ressources françaises.
Ce que le courant dominant ne vous dit pas, c'est que les Français protestent aussi contre l'OTAN. Une majorité de Français souhaiteraient quitter l'OTAN, comme ce fut le cas lorsque le président De Gaulle a quitté l'OTAN en 1967. En 2009, la France a rejoint l'OTAN sous le président de l'époque, Nicolas Sarkozy, qui est un "érudit" de Klaus Schwab, WEF, "l'académie" pour Jeunes leaders mondiaux (YGL).
Cependant, avec tout ce contexte, la violence atroce affichée depuis des semaines déjà dans les manifs françaises n'est nullement justifiée. Il y a de violentes « infiltrations » extérieures dans ces manifestations qui ont commencé pacifiquement.
Avez-vous vu les hommes en noir ? Masques et tout ? Semer la violence, en mettant le feu aux voitures, aux pneus, aux magasins – et plus encore, provoquer la police, justifier les ordres de Macron à la police, être dur et réprimer sans relâche, sans pitié et violemment les manifestants ?
Faites le lien avec la conférence du G20 de 2017 à Hambourg - où les émeutes pacifiques sont devenues soudainement violentes le 6 juillet, lorsque plus de 160 policiers ont été blessés lors d'affrontements avec des manifestants et plus de 75 personnes ont été arrêtées.
A Hambourg aussi, il y eut soudain un groupe d'« hommes en noir » semant la violence, un peu comme ce que l'on peut voir à Paris et dans d'autres villes françaises. Il a alors permis à la chancelière Merkel de mobiliser les comportements les plus durs de la police allemande avec des canons à eau et des matraques.
Les gouvernements eux-mêmes introduisent la violence dans les manifestations pacifiques, pour blâmer les manifestants et justifier la violence policière.
Ces infiltrations violentes dans les manifestations pacifiques sont généralement financées par la "Open Society Foundation" de Soros, Gates, Welcome Trust et bien d'autres. Tous des proches associés du Forum économique mondial (WEF) et de l'élite du pouvoir financier derrière lui.
La plus grande oppression des personnes est le nom du jeu.
Nous sommes au milieu de l'exécution par le WEF de The Great Reset, alias , UN Agenda 2030.
La mise en œuvre avance à toute allure, car le lot de la population dort encore.
Le fait est qu'ils nous avertissent toujours. Mais nous n'y prêtons pas attention, parce que n'importe quel Culte – et ceci est un Culte, vous pouvez l'appeler le Culte de la Mort, n'importe quel culte, pour réussir, doit annoncer ses actions, sa trahison envers l'humanité.
Pourtant, la majeure partie de la population est encore inconsciente.
Quand tout sera fini, il ne servira à rien de dire – « nous ne savions pas ». C'est totalement inacceptable.
Les scientifiques et les gens ordinaires sortent et disent la vérité, par millions, et toujours plus. Nous devrions au moins avoir le courage d'écouter et d'admettre qu'on nous a menti et qu'il est maintenant grand temps d'ouvrir les yeux et d'agir pour arrêter ce crime contre l'humanité.
RépondreSupprimerIl n'y a PAS de coïncidences.
Relier les points devrait également être fait avec la grève massive des transports qui a frappé l'Allemagne il y a une semaine. Les travailleurs exigent des augmentations de salaire dans un contexte d'inflation élevée. Les patrons syndicaux ont qualifié les augmentations demandées de "question de survie", tandis que la direction a qualifié les grèves de "complètement excessives".
The Local , les nouvelles allemandes en anglais, ont rapporté à la fin de la semaine dernière que les syndicats et les responsables allemands ne sont pas parvenus à un accord lors de leur troisième cycle de négociations salariales cette semaine. Est-ce le début d'une longue vague de grèves ?
Il s'agit des grèves les plus fortes, les plus impactantes et les plus dommageables sur le plan économique et social que l'Allemagne ait connues depuis des décennies.
Pourquoi maintenant ?
Une partie du "Reset Agenda" prévoit de détruire l'économie européenne, en commençant par une désindustrialisation littérale de l'Allemagne - le leader de l'UE.
Sinon, pourquoi pensez-vous que l'administration Biden a fait exploser les pipelines Nord Stream ? – Pour que ces Allemands, qui sont pleinement d'accord avec ce crime, le chancelier allemand Olav Scholz, ainsi que la ressortissante allemande, Madame Ursula von der Leyen, chef non élue de la Commission européenne (CE), ne puissent avoir des doutes de dernière minute et revenir sur leur consentement à la destruction.
On le sait, c'est la CE UNEELUE qui tire les ficelles en Europe, au-delà du Parlement européen qui n'est qu'un semblant, un écran de fumée – une déviation qui attire l'attention.
Certains analystes prédisent que si le WEF était en mesure de faire passer The Reset , cela ramènerait l'Europe à «l'âge de pierre», provoquant une misère indicible, du chômage, des pénuries de nourriture et d'énergie, une hyperinflation, la famine, la mort, une mort massive. – C'est souhaitable par les eugénistes du WEF, Gates, Soros, Rockefeller et al . C'est l'un des objectifs du Reset / Agenda 2030 : Génocide.
Si, Nous le Peuple, sommes des spectateurs « nous ne savions pas » , nous sommes complices du crime.
Pas de coïncidence - plus de protestations et plus de points à relier.
Prenez l'Italie
RépondreSupprimerToujours au mois de mars, les manifestations qui commencent à Milan prolifèrent dans toute l'Italie alors que le gouvernement limite les droits des parents de même sexe. Voir ceci – Le Monde (18 mars 2023).
Les gens sont descendus dans la rue à Milan et ailleurs, après que la ville a cessé d'enregistrer les enfants de couples de même sexe sous de nouvelles instructions du gouvernement d'extrême droite du Premier ministre Giorgia Meloni.
Après avoir été endoctrinés pendant des années par le Woke et l'agenda imprononçable LGBTQ (LGBTQ signifiant : lesbiennes, gays, bisexuels, transgenres, queer ou personnes en questionnement ou la communauté), les gens voient leurs droits bafoués par le gouvernement conservateur Meloni.
Encore une fois, ils - la majorité des gens dans le monde - n'ont aucune idée de ce qui se cache vraiment derrière cette campagne de propagande LGBTQ. Cela relève de l'agenda eugéniste, également largement financé par la Soros Open Society Foundation, Gates, Rockefeller, WEF. Les gays n'ont pas d'enfants .
Cela entre dans la catégorie des Covid-«vaxxes» toxiques, causant des centaines de millions de blessés et de morts. Ces vaxx sont également responsables d'énormes augmentations de l'infertilité chez les femmes et les hommes, atteignant rien qu'en Allemagne 37% en 2022.
Nous parlons – réduction massive, mais massive de la population. Des crimes contre l'humanité, commis sous nos yeux. Et beaucoup d'entre nous ne veulent pas le voir. Le gouvernement Meloni a raison de mettre fin à ce crime.
Reliez les points, des manifestations à The Reset / Agenda 2030.
Les manifestations en Géorgie ne sont pas non plus une coïncidence – comme le rapporte le 9 mars 2023 The Guardian .
Qu'est-ce qui a déclenché les protestations ?
Des milliers de personnes sont descendues dans les rues de la capitale géorgienne, Tbilissi, après que le parlement a soutenu un projet de loi qui, selon les critiques, qui l'a qualifié de "loi russe", limiterait la liberté de la presse et saperait les efforts de la Géorgie pour devenir candidate à l'adhésion à l'UE.
La loi, soutenue par le parti au pouvoir Georgian Dream, exigerait que toute organisation recevant plus de 20 % de son financement de l'étranger s'enregistre en tant qu '«agent étranger» sous peine d'amendes substantielles.
Qu'y a-t-il de mal avec cette loi ? – L'Occident, comme d'habitude, applique deux poids deux mesures. Au moment où ces lignes sont écrites, l'UE envisage une loi similaire - voir ceci par POLITICO (13 mars 2023).
De telles lois existent déjà aux États-Unis et en Australie.
Retour en Géorgie – après deux jours de manifestations à grande échelle, le parti Dream a annoncé qu'il « retirerait sans condition le projet de loi ». La raison en était que les manifestants disaient qu'il copiait une «loi russe». La Russie a adopté une telle loi en 2012, lorsqu'il a été découvert que des ONG financées par des fonds étrangers étaient des agents d'espionnage pour les pays qui les finançaient.
Dans le monde anti-russe d'aujourd'hui, personne ne veut être associé à la Russie – c'est une « mauvaise réputation ». Ainsi, le gouvernement géorgien se range plutôt du côté de l'Occident corrompu que de protéger ses intérêts - abandonnant la loi pour plaire aux manifestants.
RépondreSupprimerQuiconque croit que ces manifestations n'ont pas été financées par l'Occident, toujours par les mêmes suspects mentionnés précédemment, est un imbécile.
Manifestations en mars
Vous pouvez également vous demander pourquoi toutes ces manifestations ont lieu en mars. Les sectes s'appuient beaucoup sur le «symbolisme» et sur la «superstition».
Est-ce que cela a peut-être à voir avec le fait que le nom March est dérivé du mot latin Martius , nommé d'après Mars , le dieu romain de la guerre . Martius était le nom du premier mois du calendrier romain original. Mars est le premier de plusieurs mois nommé d'après un dieu. Nous vivons dans une guerre constante, n'est-ce pas ?
Retour en France
Une partie de la raison pour laquelle Macron est si catégorique sur la réforme des retraites, même l'a fait passer par un décret présidentiel très impopulaire, au lieu du Parlement, est que le fonds de pension français est épuisé depuis longtemps. La réforme ne peut risquer d'échouer.
Outre un budget démesuré, des milliards sont mandatés par le haut (l'administration Biden et le WEF, représentant Giant Finance) pour être transférés soit directement au gouvernement ukrainien corrompu, soit aux fabricants d'armes qui approvisionnent l'Ukraine - pour tuer les Russes.
Tout le monde sait à quel point le gouvernement ukrainien est honteusement malhonnête, mais aucune des marionnettes européennes de Washington/OTAN n'ose le dire.
Le but ultime est en effet que l'Occident s'empare du vaste territoire russe riche en ressources.
Cela n'arrivera pas. Cela ne s'est jamais produit au cours des dernières centaines d'années.
Cela se produira encore moins avec la direction louche de l'Union européenne et l'OTAN à sa tête.
La justice a son chemin.
Mais la dette s'accumulera dans ce système monétaire pyramidal occidental basé sur le dollar. Cela s'applique à l'ouest en général. Des pays, autres que la France, vont se trouver dans des situations similaires.
RépondreSupprimerDette ingérable sans raison.
C'est le moment idéal pour introduire la monnaie numérique programmable de la banque centrale (CBDC) et effacer toute la dette en même temps. Voir aussi ceci .
C'est le plan. Programmable signifie un contrôle total sur l'humanité. La CBDC peut être amenée à expirer, ou partiellement ou entièrement bloquée, selon le comportement des personnes.
La classe ouvrière, les mangeurs inutiles - (Harari du WEF) - porte le poids
car les travailleurs sont censés être progressivement remplacés par des robots et l'intelligence artificielle (IA).
L'économie réelle ne fonctionne pas comme ça.
Jusqu'à ce que ce message s'infiltre dans l'élite ivre de cupidité - beaucoup de souffrances peuvent encore se produire.
Que nos pensées et notre solidarité soient avec les peuples, qui luttent pour leur droit, leur droit de vivre – partout dans le monde, pas seulement en France – s'unissent et opèrent un changement gigantesque pour l'humanité.
Une fois que la police et l'armée se réveillent et se rangent du côté du peuple, une fois qu'ils réalisent qu'ils font partie de Nous, Le Peuple, le jeu est terminé – « leur » – la bataille de l'élite est perdue .
En attendant, on peut penser à mettre en place des sociétés parallèles, des économies, en dehors du système socio-économique actuel. Les civilisations sont venues et sont parties avant. On dit que nous sommes la Cinquième ou Sixième Civilisation.
Certes, c'est un défi, mais pas insurmontable, car nous travaillons tous vers une conscience supérieure.
https://www.globalresearch.ca/france-fire-fires-everywhere-who-behind-them/5814660
Gros scandale en France : McKinsey, condamné à 573 millions pour fraude, a créé le parti En Marche en 2016
RépondreSupprimerBy Cheikh Dieng
4 avril 2023
Il y a trois mois, la presse française annonçait une enquête du Parquet National Financier (PNF) sur les liens entre le cabinet McKinsey et la campagne d’Emmanuel Macron de 2017. Une information confirmée par le PNF dans un communiqué lu par Lecourrier-du-soir.com
Mais, en attendant les conclusions de l’enquête qui tiennent en haleine toute la France, notre rédaction a jugé bon de rappeler à nos chers lecteurs que le cabinet McKinsey a été au cœur de la création du parti En Marche! présidé par Emmanuel Macron et désormais rebaptisé Renaissance
Ce rappel est surtout motivé par la dernière révélation faite, ce 04 avril 2023 par France Info qui confirme, dans une enquête, la présence de plusieurs éléments de McKinsey dans la campagne présidentielle d’Emmanuel Macron
Pour tout comprendre, Lecourrier-du-soir.com vous invite à relire notre travail sur ce sujet
Excellente lecture
« Le cabinet de conseil McKinsey, condamné en février 2021 à 573 millions de dollars pour son rôle dans la crise des opioïdes, a été l’un des piliers de la création du parti En Marche! en 2016, d’après Le Monde
Entre le tout-puissant cabinet américain McKinsey et Emmanuel Macron, c’est une longue histoire. En effet, ces dernières semaines, une vive polémique a secoué la France après la révélation dans la presse que l’Etat a sollicité le soutien de McKinsey (récemment condamné à 573 millions de dollars pour fraude) pour conseiller l’Exécutif dans la gestion de la campagne de vaccination. L’Etat français ne dément pas, mais refuse de communiquer sur la rémunération du cabinet américain dont le tarif des prestations est extrêmement élevé.
Apparemment, ce n’est pas la première fois que McKinsey est sollicité par Macron. D’ailleurs, d’après une révélation exclusive faite par le journal Le Monde et intégralement lue par Lecourrier-du-soir.com, le média français nous apprend que le cabinet a participé à la création d’En Marche!
En effet, les relations entre McKinsey et Macron ont commencé à se tisser en 2007, date à laquelle Emmanuel Macron, jeune énarque, est nommé rapporteur adjoint de la Commission Attali. La commission avait pour mission de proposer à Nicolas Sarkozy des réformes économiques.
RépondreSupprimer“Le jeune inconnu (Emmanuel Macron) impressionne la quarantaine de membres, tous grands patrons ou experts influents. Parmi eux, Eric Labaye, alors dirigeant de McKinsey en France, et Pierre Nanterme, son homologue d’Accenture”, note le journal Le Monde.
“On se réunissait le soir jusqu’à minuit dans une salle du Sénat avec Attali et Macron”, se souvient un membre de la commission. Et d’ajouter : “dans les sièges du public, il y avait trois ou quatre jeunes de McKinsey. Ils faisaient des simulations sur Excel. Normalement, les consultants n’avaient pas droit à la parole, mais leur chef était si brillant qu’on l’écoutait comme s’il était membre à part entière”.
Ce chef n’est autre que Karim Tadjeddine. “Il a 32 ans à l’époque. Il est passé par deux des plus grandes écoles de la République, Polytechnique et les Ponts et Chaussées. Cet « X-Ponts » est un crack des mathématiques financières. Il sait aussi comment fonctionne l’Etat, après avoir passé quatre ans à Bercy. Il y a notamment participé à la création de l’Agence des participations de l’Etat et à l’ouverture du capital d’EDF, avant d’être débauché par McKinsey”, renseigne Le Monde. On apprendra que Karim Tadjeddine fut l’auteur d’un chapitre du livre “l’Etat en mode start-up” préfacé par Macron.
Son aventure avec Macron ne s’arrête pas là car en 2010, Tadjeddine et l’actuel président de la France rejoignent le conseil d’administration du Think Tank En Temps Réel. “Ils y ont été recrutés par un membre de la commission, Stéphane Boujnah, un banquier passé par le cabinet de Dominique Strauss-Kahn à Bercy”, précise Le Monde.
Dans sa révélation, le journal français note l’implication de McKinsey dans la création du parti En Marche. D’ailleurs, d’après la même source, c’est une société baptisée LMP qui sera chargée de collecter et de traiter les données et les verbatims de la “grande marche” du nouveau parti, c’est-à-dire du porte-à-porte à travers la France pour recueillir les doléances et les désirs sur une application.
Que sait-on de la société LMP ? Et bien, elle appartient à un proche de Macron du nom de Guillaume Liegey, lui aussi ex employé de McKinsey. Une source fiable confirme que plus tard, ce sont des gens de McKinsey qui se sont chargés de la mise en forme du rapport de la “grande marche”.
Ainsi, à quelques semaines de l’annonce de la candidature de Macron, les réunions se succèdent. Mais, une constance : à chaque rencontre, on note la présence d’experts en provenance du cabinet McKinsey. “Emmanuel Macron n’a pas encore annoncé sa candidature mais, à l’été 2016, des groupes de travail sont déjà constitués pour élaborer son programme. On y croise Thomas Cazenave, mais aussi une dizaine de salariés de McKinsey. Ils planchent sur l’économie comme sur les dossiers régaliens. Chez McKinsey, Guillaume de Ranieri dirige la « practice » chargée de la défense et du secteur aérospatial. Il rejoint le groupe de travail concerné”, révèle Le Monde.
La source ajoute qu’après la victoire de Macron à la présidentielle de 2017, le nouveau président n’a pas hésité une seule seconde à recruter des jeunes de McKinsey dans son gouvernement. Parmi eux, figurent Mounir Mahjoubi, secrétaire d’Etat au numérique, mais aussi Cédric O.
https://lecourrier-du-soir.com/gros-scandale-en-france-mckinsey-condamne-a-573-millions-pour-fraude-a-cree-le-parti-en-marche-en-2016/
ENCORE 3 ARTICLES CENSURÉS ! (120 - 3 = 117)
RépondreSupprimer