- ENTREE de SECOURS -



jeudi 6 avril 2023

Aurore Stephant, géologue spécialiste des risques environnementaux et sanitaires des filières minérales

 

115 commentaires:

  1. Voitures électriques : business dangereux pour l’environnement, loin de contribuer au changement climatique


    le 5 avril 2023


    Le changement climatique semble être la priorité dans les agendas des pays industrialisés : la voiture électrique, en ce sens, est généralement imaginée comme une contribution fondamentale au développement vert et durable. Tesla, Volskwagen (VW), Renault, BMW, Nissan, Hyundai, Mitsubishi sont quelques-unes des entreprises qui se consacrent à ce défi, un défi qui montre de plus en plus son vrai visage, qui sent plus le business que la solution au changement climatique. Article d’Elena Rusca

    « Les États doivent prendre des mesures drastiques et accélérer sans tarder les solutions au changement climatique, conformément aux recommandations du Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC). J’exhorte les principaux producteurs de gaz à effet de serre à prendre des engagements plus ambitieux avant le Sommet sur la crise climatique de septembre 2023 », a déclaré Ian Fry, Rapporteur spécial des Nations Unies sur la promotion et la protection des droits de l’homme dans le contexte du changement climatique.

    Axée sur l’action climatique, la session annuelle de cette année du Comité des transports intérieurs (ITC) de la CEE-ONU a convenu d’actions spécifiques pour faciliter une adoption plus large des véhicules électriques (VE) en travaillant sur l’harmonisation des politiques, en améliorant la collecte de données pertinentes et en promouvant les échanges mondiaux entre les experts du secteurs public et privé.

    « Le Comité des transports intérieurs (ITC) embrasse pleinement l’électrification des transports, qui est déjà en plein essor, et nombre de ses groupes de travail espèrent aborder l’électrification dans le cadre de leurs tâches régulières », a déclaré Els de Wit, présidente du groupe sur les Tendances et économies des transports. « Il y a beaucoup de place pour de nouvelles actions ici, qu’il s’agisse de production de données harmonisées, d’amélioration des protocoles de communication ou de la conception des prises, et d’une meilleure gestion des tâches d’intégration du réseau, ainsi que de l’accessibilité et de la commodité de la recharge. »

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  2. Selon l’Agence internationale de l’énergie, en 2021, 18 États membres de la CEE-ONU figuraient parmi les 20 premiers pays pour les ventes de véhicules électriques dans le monde, avec la part la plus élevée de ventes en Norvège (86 %), suivie de l’Islande (72 %) et de la Suède (43 %).

    Cependant, plusieurs défis entravent l’adoption massive des véhicules électriques. En plus des coûts d’achat plus élevés, une crainte commune chez les automobilistes est d’être à court avant d’atteindre une borne de recharge disponible. Les bornes et équipements de recharge pour véhicules électriques ne sont pas encore aussi répandus que les stations-service. Même lorsqu’ils existent, ils sont limités en termes de nombre d’appareils, d’alimentation électrique, d’accessibilité, de localisation géographique et de prix.

    L’électrification remodèle la façon dont le secteur des transports est alimenté, loin des combustibles fossiles liquides. Les pays de la région de la CEE-ONU s’orientent déjà vers l’électrification et devraient le faire davantage, car la plupart d’entre eux se sont engagés à adopter des véhicules à zéro émission dans les décennies à venir.

    Mais ces véhicules électriques sont-ils vraiment une solution pour lutter contre le changement climatique ou juste un business de plus parmi tant d’autres qui existent déjà ?

    Alors que Bruxelles s’est engagé à instaurer une interdiction de vente de véhicules neufs essence et diesel à partir de 2035, l’objectif d’éliminer totalement les émissions du secteur, conformément à l’accord de Paris sur le climat, semble utopique. Selon le cabinet de conseil Kearney, d’ici 2050, la production automobile dépassera son « budget carbone » de 75 % (c’est-à-dire la limite d’émission autorisée qui ne dépasse pas 1,5 degré).
    Contrairement à ce que prétendent de nombreux constructeurs automobiles, les voitures hybrides émettent beaucoup plus de gaz carbonique que ne le prétendent leurs constructeurs. C’est ce qu’a indiqué une enquête indépendante menée par l’Université de Graz, en Autriche, et le groupe Transport & Environnement (T&E), qui a effectué des essais routiers sur certains modèles BMW, Renault et Peugeot.

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  3. Des tests effectués sur de courtes distances (55 kilomètres), il ressort qu’une BMW Série 3 émet jusqu’à 112 grammes de gaz carbonique par kilomètre, trois fois les 36 grammes indiqués par l’entreprise. La Peugeot 308 émet 20 % de plus que les 27 grammes par kilomètre déclarés par la maison mère Stellantis. Renault Mégane pollue jusqu’à 70 % de plus que le laboratoire, où les émissions estimées sont de 30 grammes par kilomètre.

    Le problème, selon les experts, est que les voitures sont incapables de maintenir leur autonomie électrique pendant de longues périodes dans le trafic : la Peugeot 308 l’a fait pendant un peu plus de la moitié du trajet (53 %), tandis que la BMW Série 3 74 %.

    Alors que ces problèmes pourraient être résolus avec des améliorations techniques, d’autres l’empêchent coli sont envisagées en analysant les voitures électriques comme une solution au changement climatique.
    Selon la plupart des estimations, il faut environ deux fois plus de dioxyde de carbone pour construire une voiture électrique qu’une voiture à moteur à combustion. Grâce aux batteries, qui sont majoritairement produites en Chine, avec de l’énergie produite grâce au charbon.

    A cela il faut ajouter l’énergie utilisée pour recharger la batterie. Contrairement à ce que la propagande gouvernementale voudrait nous faire croire, l’électricité ne tombe pas du ciel au bon vouloir d’une fée écolo bienveillante. Une source d’énergie est toujours nécessaire pour le produire. Dans la plupart des pays, y compris des pays européens comme l’Allemagne ou la Pologne, le charbon est encore largement utilisé et n’a que peu à voir avec « l’énergie verte ».

    Comme si cela ne suffisait pas, concentrons-nous maintenant sur le « moteur » de la voiture électrique : les batteries ne sont pas constituées d’air, mais d’éléments bien spécifiques : le lithium et le cobalt, entre autres, qui ne naissent pas des arbres, mais sont procurés par les systèmes miniers de pays très polluants dans des pays très pauvres qui, même si on l’oublie parfois, appartiennent à la même planète et, en les polluant, on pollue le monde entier.

    Poussée principalement par la hausse des ventes de voitures électriques, la demande mondiale de lithium, un métal doux blanc argenté parfois appelé «or blanc», devrait être multipliée par plus de 40 d’ici 2040.

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  4. Le rapport Achieving Zero Emissions with More Mobility and Less Mining, publié par l’organisation californienne Climate and Community, prédit que le passage du parc de véhicules américain entièrement du moteur à combustion interne à la propulsion électrique d’ici 2050 créerait des inégalités environnementales et sociales mondiales causées par l’exploitation minière due à l’extraction du lithium.
    « La transition de l’Amérique vers les véhicules électriques pourrait nécessiter trois fois plus de lithium que ce qui est actuellement produit pour l’ensemble du marché mondial », indique le rapport californien. Cela impliquerait la destruction de territoires entiers pour créer de nouvelles mines nécessaires à l’extraction des minerais pour la construction de voitures électriques.

    L’exploitation minière est une industrie qui cause d’immenses impacts environnementaux, visuels, humains et culturels. Il existe différentes techniques pour mener à bien l’activité minière, l’une d’elles est l’application de produits chimiques pour lessiver le sol grâce à l’utilisation de cyanure, de mercure et d’acide sulfurique. Ces substances sont hautement toxiques et sont responsables de la dissolution de composés indésirables, dans le but d’obtenir les minéraux à extraire de la terre. Cela se fait sur de vastes étendues de terre, créant des cratères de grand diamètre et s’approfondissant au fur et à mesure que le processus progresse. Les impacts sont dévastateurs, pour l’environnement et pour les personnes qui vivent à proximité.

    La voiture électrique sera-t-elle alors une solution pour sauver la planète ou un business de plus parmi tant d’autres que notre système développe déjà ?

    - voir clip sur site -

    Source : El Clarin (Chili), traduction Investig’Action

    À ce sujet et prolonger les informations que présente cet article voici deux entrevues de Aurore Stephant, géologue spécialiste des risques environnementaux et sanitaires des filières minérales sur Thinkerview :

    - voir clip sur site -

    et présentation de Systext : https://www.systext.org/node/1568

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/04/05/voitures-electriques-business-dangereux-pour-lenvironnement-loin-de-contribuer-au-changement-climatique/

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    1. 😎 L'atmosphère terrestre est l'enveloppe gazeuse, entourant la Terre, que l'on appelle air. L'air sec se compose à 78,087 % d'azote, à 20,95 % d'oxygène, à 0,93 % d'argon, à 0,041 % de gaz carbonique, et de traces d'autres gaz.

      Azote (N₂) 78,084 %
      Oxygène (O₂) 20,953 %
      Argon (Ar) 0,9340 %
      Gaz carbonique (CO₂) 0,041 % / 414,7 ppmv (2021)
      Néon (Ne) 18,18 ppm
      Hélium (He) 5,24 ppm
      Méthane (CH4) 1,745 ppm
      Krypton (Kr) 1,14 ppm
      Dihydrogène (H₂) 550 ppb
      Vapeur d'eau (H₂O) de < 0,5 % à ~ 5 %
      (très variable)

      - Le dioxyde de carbone est aussi appelé gaz carbonique ou anhydride carbonique, ou CO2 !

      🏡 L'air pèse: 1,2 gr/litre
      Gaz carbonique: 1,8 gr/l.
      Oxygène (O2): 1,42 gr/l.

      Vers 800 km, on ne compte plus que 106 atomes au cm³ et seulement 1 atome par cm³ vers 2400 km.

      L'air sec se compose à 78,087 % d'azote, à 20,95 % d'oxygène, à 0,93 % d'argon, à 0,041 % de gaz carbonique

      - Le gaz carbonique n'est donc PAS UN POLLUANT et sa rareté ne nuit à personne.

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    2. Clip d'Aurore Stephant:

      PS: Mais... reprenons l'information: Pour trouver 1 gramme de métal il faut creuser, pelleter, traiter x tonnes de roches et de terres ! C'est-à-dire que ce gramme devrait revenir (terrain + géolocalisation des mines + engins de chantier/coût énorme (8 à 10 % de l'énergie mondiale !)+ paiement des employés !) à x millions !
      Et, dans votre téléphone ou ordinateur, etc, il y a x grammes !... Et... combien coûte votre téléphone ou ordinateur ?
      Donc: il y a Perte, Déficit, et pourtant... aucun manque à gagner !! Çà alors !!
      Donc, il y a 'anguille sous roche' du non-dit sur le véritable prix de revient !
      Comment cela se fait-il ? Bêh... VOUS N'AVEZ AUCUN DROIT A VISUALISER LES FINANCES ! Et toc !

      1:14:40 : Le véhicule électrique c'est 2 fois plus de gaz carbonique qu'un véhicule thermique. Véhicule thermique c'est 20 kg de cuivre, Véhicule hybride 40 kg de cuivre, hybride rechargeable c'est 60 kg de cuivre, hybride électrique c'est 80 kg de cuivre.

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  5. Le « climat » n'est pas un phénomène naturel


    6 avril 2023
    par Elena Louisa Lange


    Bien que le "climat" soit censé déclencher la grande catastrophe, aucune organisation, qu'elle soit gouvernementale ou militante, ne peut même définir le terme. Au lieu de cela, le climat est un phénomène politique et non naturel. Quiconque comprend cela a franchi la première et importante étape de voir à travers les tromperies.

    Du « réchauffement climatique » au « changement climatique » en passant par « l'urgence climatique » : depuis des décennies, des organisations transnationales telles que l' Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC), fondé en 1988, et la CCNUCC (Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques) ont essayé d'influencer l'opinion publique sur le climat pour "sensibiliser". Leur objectif semble aujourd'hui atteint : il ne se passe presque pas un jour sans que le climat mondial ne fasse partie de l'actualité quotidienne. Le climat semble déterminer nos vies non seulement thématiquement, mais aussi dans la réalité. Des protestations de plus en plus spectaculaires contre « l'urgence climatique » pénètrent le quotidien des médias, que ce soit à travers des routes et des ponts bloqués, des œuvres d'art défigurées ou la rhétorique incitant à une panique délibérée de la part de jeunes militants.

    Si le climat a un tel impact sur notre existence, il est d'autant plus surprenant qu'aucune des organisations militantes ou politiques ne semble pouvoir définir le « climat » comme un phénomène à part entière. Comme le dit l'Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC)

    "Le climat au sens strict est généralement défini comme le temps moyen - ou, plus strictement, comme la description statistique en termes de moyenne et de variabilité des quantités pertinentes sur une période allant de quelques mois à des milliers ou des millions d'années." [1]

    Cette description ne satisfait que partiellement les critères d'une définition valide. Une définition doit pouvoir exprimer la nature essentielle de la chose , c'est-à-dire la délimiter d'un phénomène essentiellement différent (definitio, lat. délimitation). Il doit exprimer ce qui en fait une chose en premier lieu, un concept en contraste avec les autres .

    La définition de l'Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) n'y parvient pas. Au lieu d'exprimer la qualité du climat, la définition de l'IPCC se réfère à un quantumde quelque chose d'autre : "A est X (unités) de B". Dans ce cas, le climat fait référence au temps. On peut très bien définir la météo. Le temps est "[l]'état de l'atmosphère à un moment et à un endroit précis, en termes de variables telles que la température, l'humidité, la vitesse du vent et la pression barométrique". Globalement, le temps global ou la "circulation planétaire" reflète les propriétés thermodynamiques de la planète Terre, qui à son tour est basée sur ses propriétés météorologiques - c'est-à-dire que la Terre pleut de l'eau et non du plomb comme le fait Vénus. Les températures mondiales sont faciles à déterminer, tout comme leur moyenne dans le temps.

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  6. En d'autres termes : il n'y a pas de définition essentielle du climat qui ne soit épuisée dans la définition du temps. Donc, logiquement, on devrait pouvoir substituer le terme « climat » à « temps dans le temps ».

    Essayons:

    « Changements météorologiques généralisés, rapides et plus intenses au fil du temps » .IPCC, août 2021.

    "Le rapport de l'ONU sur le temps au fil du temps souligne l'urgence d'agir pour assurer un avenir vivable". ONU, 2023

    « Nous n'avons jamais été mieux équipés pour relever le défi de l'évolution des conditions météorologiques au fil du temps. Mais nous devons maintenant prendre des mesures météorologiques dans le temps à la vitesse de l'éclair ! » Antonio Guterres, 20 mars 2023.

    "Une 'scientifique de haut niveau' prévient que le changement climatique au fil du temps anéantira toute l'humanité si nous n'arrêtons pas d'utiliser des combustibles fossiles dans les cinq prochaines années." Greta Thunberg sur Twitter, 2018.

    Ce ne sera guère dans l'intérêt des faiseurs d'opinion. Les changements de temps dans le temps sont naturels : pourquoi intervenir ? Cette évaluation est également partagée dans la recherche. Des climatologues comme le Dr. Judith Curry insiste toujours sur la correspondance du temps et du climat et sur le changement naturel du temps au cours des siècles. L'influence humaine existe, mais jusqu'à présent personne n'a été en mesure de répondre à la question de savoir si elle est aussi nocive . Beaucoup plus dommageable est l'énorme consommation d'énergie dans le développement des technologies de protection du climat, car il est "insensé de vouloir contrôler le temps", a déclaré Curry dans une récente interview avec le journaliste américain Kim Iversen. [2]

    Mais le problème avec le concept de climat est moins sémantique que rhétorique : dans le langage courant, « climat » a acquis un sens différent, plus autoritaire. Imaginez si l'UE devait interdire les voitures à moteur à combustion interne à partir de l'année prochaine en raison de « conditions météorologiques créées par l'homme au fil du temps ». Ou imaginez un démocrate américain disant : "Lève-toi contre les changements climatiques dans le temps !". Alors qu'en est-il du statut ontologique du climat – son état d'être ?

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  7. Que représentent les modèles climatiques ?

    Un modèle climatique est un logiciel de simulation basé sur des données météorologiques. Il simule par prévision : la simulation des événements thermodynamiques actuels sur Terre et sa prévision coïncident. Certains modèles climatiques indiquent, par exemple, que le réchauffement climatique augmentera d'environ 2 °C au cours des 100 prochaines années. Cependant, puisque le climat est défini comme un temps prévisible à long terme (par opposition au temps à court terme), un problème se pose : selon la théorie des systèmes chaotiques comme le temps, l'imprévisibilité augmente avec la durée . Le pronostic ne devient pas plus précis, mais moins précis.

    Plus dévastateur, la réalité du « climat » et ses modèles s'effondrent. La représentation et la chose sont identiques. Les modèles climatiques ne font que simuler une réalité indépendante, ce que le philosophe français Jean Baudrillard appelait « l'hyperréalité » : la simulation d'une chose qui n'a pas d'existence en dehors de sa représentation, mais à l'inverse façonne notre réalité vécue, par exemple à travers des interdictions et des commandements ou des décrets ( huile et interdiction du chauffage au gaz, interdiction des moteurs à combustion, villes à 15 minutes, etc.), en bref : ce sont des hypothèses scientifiques motivées par l'intérêt .

    Ce n'est pas un hasard si cela rappelle les modèles corona présentés par Neil Ferguson de l'Imperial College de Londres en mars 2020. "Plus de 500 000 morts" voulait avoir calculé la simulation et donc prévenu . Cela conduit au paradoxe suivant, comme le note l'auteur américain Geoff Shullenberger :

    "Si une simulation prétend prédire l'occurrence ou la probabilité d'un résultat particulier afin de l'empêcher, une simulation "réussie" et une simulation "infructueuse" sont par définition indiscernables." [3 ]

    Le succès d'un modèle climatique consiste en un paradoxe analogue que ses prédictions ne se réalisent jamais. Parce que le modèle doit "se secouer" et passer à "l'action immédiate". Si la réalité prédite ne se produit pas, le modèle a réussi, mais si cela se produit, alors la prédiction est vérifiée et donc tout aussi réussie. Par conséquent, à proprement parler, les modèles climatiques ne sont pas scientifiques s'ils suivent une directive politique - car ils ne sont alors pas falsifiables .

    En d'autres termes, la réalité du climat ne se crée qu'en étant politisée . S'il n'y avait aucune préoccupation politique que ces modèles représentent en fin de compte, alors il n'y aurait pas du tout de modèles climatiques ou corona. La réalité du climat tient et tombe avec la fonction idéologique qu'il remplit. Regardons de plus près.

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  8. Pourquoi croire au « changement climatique » détruit le monde

    Si le concept de climat repose déjà sur une mystification, alors le concept de « changement climatique » devient encore plus confus. Et c'est bien de cela qu'il s'agit : de puissantes institutions mondiales comme l'ONU ou l'OMS redirigent habilement les véritables doléances sociales vers des "phénomènes naturels" promis à être maîtrisés si seulement certaines mesures - précisées par elles et nullement justifiées démocratiquement - sont mises en place . Le « changement climatique » est le candidat idéal pour cela. Il semble fondé sur la science mais répond à tous les critères d'un culte religieux, comme l'ont montré Michael Shellenberger et Peter Boghossian, « complété par des tabous, le péché originel, un diable, un mythe de la création, des élus, des croyances surnaturelles et des rituels de pureté qui n'ont rien à voir avec la science." [4] J'irais même plus loin : croire au changement climatique détruit la planète. Nous pouvons enregistrer au moins trois phénomènes qui sont basés sur la croyance au changement climatique et qui rendent la vie sur terre plus difficile pour tout le monde :

    1. C'est le "changement climatique" et non l'infrastructure inadéquate qui est désigné comme le coupable. Comme l'ont montré les inondations catastrophiques dans la vallée de l'Ahr, qui ont fait plus de 2000 morts en 2021, les politiciens trouvent un moyen de se concentrer sur le changement climatique en cas de catastrophe, plutôt que sur le fait que les investissements dans les infrastructures de la région ne se sont systématiquement pas concrétisés. En plus d'économiser sur les salaires, maintenir un capital constant bon marché ou renoncer à des remplacements lorsque l'usure est poussée au-delà de la limite est un moyen de réduire les coûts - en Allemagne, c'est un argument de compétitivité depuis des décennies. Souvenez-vous de l'effondrement des archives de Cologne en 2009 - il était difficile de l'attribuer au changement climatique, mais les responsables ont retenu la leçon. [5]

    2. négligence de la protection de l'environnement. Alors que nous parlons de choses abstraites comme la réduction du gaz carbonique pour atteindre des « objectifs climatiques » arbitraires comme 1,5 °C, le monde concret et naturel se meurt autour de nous. L'eau potable et la bonne qualité de l'air sont reléguées aux échelons inférieurs. Des logements abordables et propres, des rues propres, suffisamment de terrains de jeux, des forêts et le bien-être des animaux ne sont pas pertinents. Rien qu'au Royaume-Uni, entre 10 et 100 000 oiseaux meurent chaque année dans les éoliennes. Bien qu'il soit un passionné d'oiseaux, l'écrivain américain Jonathan Franzen ne le mentionne pas dans son article du New Yorker 2019, qui vaut la peine d'être lu, mais mentionne l'aspect suivant :"Chaque mégaprojet d'énergie renouvelable qui détruit un écosystème vivant - le développement de l'énergie "verte" qui se déroule actuellement dans les parcs nationaux du Kenya, les énormes projets hydroélectriques au Brésil, la construction de fermes solaires dans la nature plutôt que dans des zones peuplées - sape la La résilience d'un monde naturel luttant déjà pour la vie. » Nous avons vu ce dernier en février lorsqu'un train de marchandises a explosé et libéré des toxines qui se sont également infiltrées dans les eaux souterraines à East Palestine, Ohio. Cependant, comme la catastrophe ne pouvait être attribuée au changement climatique, tout ce qui a été fait n'a été qu'un haussement d'épaules et une compensation dérisoire pour les plusieurs milliers d'habitants qui n'ont pas pu regagner leur domicile à ce jour.

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  9. 3. La démocratie est abolie au nom d'une « nécessité objective ». Le phénomène est bien connu du script Covid : au nom de la chose dangereuse les gouvernements et les entreprises mondiales ont pris la liberté de fermer la démocratie. Comme on le sait, cela comprend l'abolition des droits fondamentaux, y compris la liberté de réunion, la protection de l'intégrité physique et l'exercice de pressions et de contraintes de vaccination inconstitutionnelles. Le réductionnisme vitaliste du récit climatique s'inscrit dans le même cadre que les confinements et la nécessité de vacciner et la misère psychologique et physique qu'ils ont provoquée. Plus que cela, en termes psychanalytiques, le « climat », comme « couronne », c'est le surmoi qui ne peut jamais être satisfait : plus on obéit, plus de soi, du moi, il dévore. Vous ne serez jamais assez masqué ou boosté ; on ne peut jamais se passer assez du confort de la vie. Que vous arrêtiez de manger de la viande jamais assez . C'est l'aspect religieux du culte du changement climatique. Dans ce scénario, le suicide de masse n'est que logique. Cependant, je ne savais pas que les suicides avaient amélioré la vie de quiconque.

    Hormis l'humour de la potence : le climat n'a pas de substance propre, pas d'essence propre. C'est une abstraction purement technologique. En tant que tel, il a été doté d'une aura autoritaire dans les médias et offre un terrain de jeu parfait pour les technocrates qui peuvent remplir leur mission dans le cadre d'un programme politique plus large de restructuration de la société vers la dépossession, une acceptation plus large de l'abolition de la société civile démocratique, et la soumission volontaire sous la domination d'une abstraction qui a autant de réalité ou de pouvoir qu'une idole païenne.

    Avec le récit climatique, les élites dirigeantes assurent la consolidation de leur pouvoir. Le climat est un phénomène politique et non « naturel ».

    Comprendre cela – dans un premier temps – peut nous aider à nous libérer des tromperies, des mystifications délibérées et des confusions soigneusement élaborées qui continuent à légitimer la primauté des intérêts des autres sur les nôtres.

    [1] https://www.ipcc.ch/srocc/chapter/glossary/

    [2] https://rumble.com/v2fp78k-climate-emergency-is-fabricated-alarmism-holding-poor-back-conversation-wit.html

    [3] Dans Emergency Capitalism, Covid-19, and the Left: The Tyranny of Fear (édité par Elena Louisa Lange et Geoff Shullenberger, Routledge, automne 2023).

    [4] https://twitter.com/ShellenbergerMD/status/1638650941309358081?s=20

    [5] https://www.fm1today.ch/varies/knowledge/grund-fuer-einfallen-von-koelner-archiv-geklaert-135025918

    https://tkp.at/2023/04/06/das-klima-ist-kein-phaenomen-der-natur/

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  10. Techniques de modification de l'environnement (ENMOD) et tremblement de terre entre la Turquie et la Syrie : une enquête d'expert est requise


    Par le Pr Michel Chossudovsky
    Recherche mondiale,
    04 avril 2023


    Introduction

    Les derniers rapports font état d'un nombre de morts en Turquie et en Syrie bien supérieur à 50 000, plus d'un demi-million de blessés, des dizaines de milliers de personnes portées disparues. La dévastation et la destruction sociales sont au-delà de toute description. Les premier et deuxième tremblements de terre du 6 février 2023 dans la province de Kahramanmaras dans le sud de la Turquie étaient respectivement d'une magnitude de 7,6 et 7,8 (échelle de Richter).

    Un troisième tremblement de terre d'une magnitude de 6,3 a été enregistré le 20 février.

    En Turquie, quelque 530 000 personnes ont été évacuées de la zone sinistrée. Ankara confirme que « 173 000 bâtiments ont jusqu'à présent été enregistrés comme effondrés ou gravement endommagés, avec plus de 1,9 million de personnes se réfugiant dans des abris temporaires ou des hôtels et des installations publiques. ”

    Pour reprendre les mots du président Recep Tayyip Erdogan : « « Nous vivons les jours les plus douloureux de notre histoire ».

    En Syrie, les tremblements de terre ont largement touché les villes d' Alep, Lattaquié et Hama , situées à proximité de la frontière nord-ouest de la Syrie avec la Turquie. Le dernier bilan annoncé des morts en Syrie était de 5 914, avec 8,8 millions de personnes touchées.

    Le président Bachar Al Assad a souligné que l'US-OTAN est en guerre avec la Syrie depuis près de 12 ans, tout en soulignant que « la Syrie n'a pas été une zone sismique depuis environ deux siècles et demi » .

    Dans cet article, la première partie se concentrera sur l' histoire de l'activité sismique en Turquie, tout en soulignant le fait qu'avant le tremblement de terre du 6 février 2023, il n'y avait aucune preuve récente ou historique d' activité «sismique majeure» dans le sud de l'Anatolie.

    La partie II fournira un examen des techniques de modification de l'environnement (ENMOD).

    La partie III se concentrera sur la Convention sur l'interdiction de l'utilisation militaire ou de toute autre utilisation hostile des techniques de modification de l'environnement, ratifiée en 1977 par l'Assemblée générale des Nations Unies.

    Ce qui est important en ce qui concerne le tremblement de terre entre la Turquie et la Syrie, c'est que la Convention des Nations Unies de 1977 (citée ci-dessus) contient des dispositions pour la conduite d'une enquête en ce qui concerne les « destructions, dommages ou blessures » subis par les « États parties » , en vertu de la sous les auspices d'un "Comité consultatif d'experts" de l'ONU .

    La Convention contient également des dispositions prévoyant la saisine du Conseil de sécurité des Nations Unies au nom des « États parties ». Ces questions sont décrites dans la partie IV.

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  11. 1
    Historique de l'activité sismique en Turquie

    En ce qui concerne la Turquie, l'analyse géologique suggère ce qui suit :

    "Les activités sismiques se produisent principalement" sur la plaque anatolienne, une petite plaque tectonique en forme de coin qui est pressée vers l'ouest alors que la plaque arabe à l'est claque dans la plaque eurasienne ". (nous soulignons) .

    Ce qui caractérise l'activité sismique de la Turquie est :

    " une séquence le long de la faille nord-anatolienne qui a commencé en 1939, provoquant de grands tremblements de terre qui se sont déplacés progressivement d'est en ouest sur une période de 60 ans"

    - voir carte sur site -

    Les tremblements de terre du 6 février 2023 avec des épicentres à Pazarcik (7,8) et Ekinozu (7,5) respectivement à proximité de Gaziantep et Kahramanmaraş sont les plus grands "séismes majeurs" de l'histoire récente. (Voir tableau en annexe, graphique ci-dessous).

    Le 6 février, vers 4 h 15, heure locale, un tremblement de terre de magnitude 7,8 a frappé le centre-sud de la Turquie près de la frontière entre la Turquie et la Syrie. À peine 11 minutes plus tard, une réplique de magnitude 6,7 a secoué la région. Neuf heures plus tard, un séisme de magnitude 7,5 a suivi. ( USGS - Centre national d'information sur les tremblements de terre )

    La carte ci-dessous identifie les épicentres des tremblements de terre du 6 février 2023, situés dans le sud, à proximité de la frontière nord-ouest de la Syrie.

    - voir carte sur site -

    Épicentre d'Ekinozu, tremblements de terre de Pazarcik, 6 février 2023

    "Tremblements de terre majeurs" récents

    Historiquement, les plus grands tremblements de terre en Turquie ont des épicentres dans le nord-ouest de l'Anatolie, à proximité d'Istanbul, dans l'ouest de l'Anatolie ainsi que dans la région du nord-est.

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  12. La faille nord-anatolienne

    Sept grands tremblements de terre (MS) 7,0 dans la période de 1939 à 1999 le long de la faille nord-anatolienne . Voir la carte ci-dessus

    Ces séismes ont rompu la faille progressivement d'est en ouest. Voici les données des sept grands tremblements de terre qui ont progressivement rompu la faille nord-anatolienne :

    1939 26 décembre. Magnitude (MS) 7,9 - 8,0. 30 000 morts. Longueur de faille environ 360 km. Initié la migration vers l'est d'importants tremblements de terre sur la faille nord-anatolienne. (Appelé le tremblement de terre d'Erzincan de 1939 , Anatolie du Nord)
    20 décembre 1942. Magnitude (MS) 7.1. Longueur de faille environ 50 km. (Appelé le tremblement de terre d'Erbaa de 1942, Anatolie du Nord)
    1943 26 novembre. Magnitude (MS) 7,6. Longueur de faille environ 280 km. (appelé le tremblement de terre de Tosya de 1943, dans le nord de l'Anatolie)
    01 février 1944. Magnitude (MS) 7.3. Longueur de faille environ 165 km. (appelé le tremblement de terre de Bolu-Gerede de 1944, dans le nord de l'Anatolie)
    1957 26 mai. Magnitude (MS) environ 7. Longueur de faille environ 30 km. (appelé le tremblement de terre d'Abant de 1957, dans le nord de l'Anatolie)
    1967 22 juillet. Magnitude (MS) 7.1. Longueur de faille environ 80 km. (appelé tremblement de terre de 1967 dans la vallée de Mudurnu, nord de l'Anatolie)
    1999 17 août. Ismit. Magnitude (MS) 7,8 ; MW 7,4-7,5) Anatolie du nord-ouest

    Vous trouverez ci-dessous les rapports des 5 plus grands tremblements de terre depuis 1950, qui se situent tous le long de la faille nord-anatolienne.

    Bingol : une magnitude de 6,9 ​​et s'est produit dans la ville orientale de la Turquie le 22 mai 1971.

    Ville d'Izmit : 17 août 1999, à 90 km au sud-est d'Istanbul, magnitude 7,6. Le tremblement de terre s'est produit dans les zones urbaines industrialisées et les plus densément peuplées d' Istanbul, Sakarya, Golcuk, Darica et Derince .

    Düzce Quake , 12 novembre 1999, un tremblement de terre majeur s'est produit à 70 kilomètres (45 miles) à l'est d'Adapazari ou à 170 km (105 miles) au nord-ouest d'Ankara, une magnitude de 7,2.

    La ville de Van . 23 octobre 2011. Séisme de magnitude 7,1, ville du nord-est proche de la frontière avec l'Iran.

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  13. Izmir : du 30 octobre 2020, une magnitude 7,0 avec un épicentre à environ 14 km au nord-est de l'île grecque de Samos

    - voir carte sur site -

    épicentre du tremblement de terre d'Izmit-Golcuk dans le nord-ouest de l'Anatolie

    Nota Bene : Aucun de ces tremblements de terre majeurs (1939-1999) ne se situe dans le sud de l'Anatolie.

    Histoire à long terme des tremblements de terre en Turquie (342 AD -1999)
    L'histoire des «séismes majeurs» est enregistrée depuis 342 après JC sur la base des données compilées par l' USGS - National Earthquake Information Center ( voir tableau en annexe).

    Au XIIIe siècle, un « tremblement de terre majeur » (60 000 morts) est enregistré à Adana en 1268 (Anatolie du Sud). De plus, depuis le 15ème siècle, tous les "séismes majeurs" se sont produits dans le nord-ouest, l'ouest et le nord-est de l'Anatolie. (Voir annexe)

    Séismes dans le sud de la Turquie

    Reuters a classé le premier tremblement de terre majeur (6 février 2023) « comme le plus puissant de la région depuis au moins un siècle ». C'est un euphémisme. En ce qui concerne le sud de l'Anatolie, c'est le plus grand tremblement de terre depuis plus de sept siècles. (Adana en 1268, voir tableau en annexe )

    On enregistre dans le sud de la Turquie, le tremblement de terre de Ceyhan-Adana le 27 juin 1998, d'une magnitude de 6,3, affectant les villes de Ceyhan et Adana, 146 morts. Le tremblement de terre de Ceyan, cependant, n'est pas classé comme "un tremblement de terre majeur".

    Comme indiqué ci-dessus, les principaux tremblements de terre en Turquie se produisent le long de la faille d'Anatolie du Nord.

    Avant le 6 février 2023
    Pas un seul "séisme majeur" dans le sud de l'Anatolie en plus de 700 ans : cela ne "nous dit-il pas quelque chose" concernant la "probabilité" ou la "probabilité" d'un "séisme majeur" se produisant dans le sud de la Turquie ?

    « Prévision » des tremblements de terre

    La prévision des tremblements de terre est courante. Un tremblement de terre peut être prévu jusqu'à plusieurs mois à l'avance. La "prévision" ne doit cependant pas être confondue avec la "prédiction sismologique":

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  14. Le sismologue néerlandais Frank Hoogerbeets, qui travaille pour le Solar System Geometry Survey (SSGS) aux Pays-Bas, a prédit le tremblement de terre en Turquie le 3 février 2023, trois jours avant son apparition.

    Aucune preuve solide d'une attaque terroriste
    Bien qu'il puisse y avoir des doutes au niveau politique, il n'y a à ce stade aucune preuve solide qu'il s'agissait d'une attaque terroriste. Sur la base d'informations du domaine public (par opposition aux informations classifiées), il n'y a aucune preuve tangible que des « techniques de modification de l'environnement » aient été utilisées contre la Turquie et la Syrie.

    Cependant, il y a eu une déclaration non officielle ( encore à confirmer ) de Serdar Hussein , le chef de l'Agence spatiale turque, dans une interview à la télévision russe. Il a fait référence à des tiges en alliage de titane dur envoyant de puissants faisceaux d'énergie vers la terre , profondément dans le sol.

    Ci-dessous, la traduction de son interview.

    Transcription (Traduction)

    Le chef de l'Agence spatiale turque, Serdar Hussein Yildirim, sur les armes capables de provoquer des tremblements de terre :

    Vous connaissez ces poteaux électriques dans les rues. Ils sont similaires à ces piliers, d'environ 8 à 10 mètres de haut. Tiges métalliques.

    Il n'y a rien à l'intérieur de la tige, pas d'explosifs, rien, mais c'est une tige métallique faite d'un alliage de titane dur.

    Ils les ont mis dans un satellite. Et puis ils les visent et les lancent sur Terre. C'est comme un bâton avec une pointe acérée. Par exemple, Dieu nous en préserve, il tombe quelque part, nous ne nommerons pas le scénario catastrophe maintenant, mais dès qu'il tombe au sol, il pénètre jusqu'à 5 km de profondeur dans la terre.

    Cela se produit très rapidement et crée un tremblement de terre de magnitude 7-8.

    À la suite de l'impact, tout ce qui s'y trouve sera détruit. Regardez, il n'y a pas d'armes ici, pas d'explosifs, pas de bombes, rien de tout ça. Bâtons simples [tiges]. Mais il y a une telle force qui vient de l'espace et vous n'avez aucune chance de la voir, de l'arrêter ou de vous défendre. (nous soulignons)

    Voir la vidéo ici

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  15. 2
    Techniques de modification de l'environnement

    Il existe une vaste littérature sur les techniques de modification du temps à usage militaire, dont une grande partie est classifiée. Les États-Unis et la Russie sont enregistrés. Ils possèdent des technologies ENMOD avancées.

    L'armée américaine peut contrôler la météo. Ceci est confirmé par un document de l'US Air Force intitulé "Weather as a Force Multiplier: Owning the Weather in 2025 "

    La regrettée scientifique de renommée mondiale, le Dr Rosalie Bertell, a confirmé que «les scientifiques militaires américains… travaillent sur les systèmes météorologiques comme une arme potentielle. Déjà dans les années 1970, l'ancien conseiller à la sécurité nationale Zbigniew Brzezinski avait prévu dans son livre « Entre deux âges » que :

    « La technologie mettra à la disposition des dirigeants des grandes nations des techniques de conduite de la guerre secrète, dont seul un strict minimum des forces de sécurité a besoin d'être expertisé… »

    Le scientifique Dr Nicholas Begich , qui a participé activement à la campagne publique contre HAARP, a décrit HAARP comme :

    "Une technologie de faisceaux d'ondes radio super puissante qui soulève des zones de l'ionosphère [couche supérieure de l'atmosphère] en focalisant un faisceau et en chauffant ces zones. Les ondes électromagnétiques rebondissent ensuite sur la terre et pénètrent tout – vivant et mort.

    https://nwohaarp.wordpress.com/2017/10/05/haarp-the-day-after-tomorrow/

    Marc Filterman , ancien militaire français, décrit plusieurs types d'"armes non conventionnelles" utilisant les radiofréquences. Il fait référence à la « guerre du temps », indiquant que les États-Unis et l'Union soviétique avaient déjà

    « a maîtrisé le savoir-faire nécessaire pour déclencher des changements climatiques soudains (ouragans, sécheresse) au début des années 1980. »

    Mon article intitulé Weather Warfare publié pour la première fois par The Ecologist le 22 mai 2008 fournit un résumé de plusieurs articles approfondis et détaillés que j'ai écrits à une période antérieure sur les techniques de modification de l'environnement (ENMOD) à usage militaire :

    « Rarement reconnue dans le débat sur le changement climatique mondial, la météo mondiale peut désormais être modifiée dans le cadre d'une nouvelle génération d'armes électromagnétiques sophistiquées. Les États-Unis et la Russie ont tous deux développé des capacités pour manipuler le climat à des fins militaires.

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  16. Les techniques de modification de l'environnement sont appliquées par l'armée américaine depuis plus d'un demi-siècle. Le mathématicien américain John von Neumann , en liaison avec le département américain de la Défense, a commencé ses recherches sur la modification du climat à la fin des années 1940, au plus fort de la guerre froide, et a prévu "des formes de guerre climatique encore inimaginables".

    Pendant la guerre du Vietnam, des techniques d'ensemencement des nuages ​​​​ont été utilisées, à partir de 1967 dans le cadre du projet Popeye, dont l'objectif était de prolonger la saison de la mousson et de bloquer les routes d'approvisionnement ennemies le long du sentier Ho Chi Minh.

    L'armée américaine a développé des capacités avancées qui lui permettent de modifier sélectivement les conditions météorologiques. La technologie, qui est perfectionnée dans le cadre du programme de recherche aurorale active à haute fréquence (HAARP) [fermé en 2014, officiellement transféré à l'Université de l'Alaska] est un appendice de l'Initiative de défense stratégique - "Star Wars". D'un point de vue militaire, HAARP est une arme de destruction massive, opérant depuis l'atmosphère extérieure et capable de déstabiliser les systèmes agricoles et écologiques du monde entier.

    Créé en 1992, HAARP, basé à Gakona, en Alaska, est un réseau d'antennes de grande puissance qui transmettent, par le biais d'ondes radio à haute fréquence, d'énormes quantités d'énergie dans l'ionosphère (la couche supérieure de l'atmosphère). Leur construction a été financée par l'US Air Force, l'US Navy et la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA).

    Exploité conjointement par l'Air Force Research Laboratory et l'Office of Naval Research, HAARP constitue un système d'antennes puissantes capables de créer des "modifications locales contrôlées de l'ionosphère".

    " Rosalie Bertell, présidente de l'International Institute of Concern for Public Health, déclare que HAARP fonctionne comme "un gigantesque radiateur qui peut provoquer des perturbations majeures dans l'ionosphère, créant non seulement des trous, mais de longues incisions dans la couche protectrice qui empêche les radiations mortelles de bombarder la planète'.

    Le physicien Dr Bernard Eastlund l'a appelé "le plus grand réchauffeur ionosphérique jamais construit".

    HAARP est présenté par l'US Air Force comme un programme de recherche, mais des documents militaires confirment que son objectif principal est « d'induire des modifications ionosphériques » en vue de modifier les conditions météorologiques et de perturber les communications et les radars.

    (Lire l'article complet ici )
    https://theecologist.org/2008/may/22/weather-warfare

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  17. Le documentaire de CBC sur HAARP

    Fait important, un reportage de CBC TV (1996) a reconnu que l'installation HAARP en Alaska sous les auspices de l'US Air Force avait la capacité de déclencher des typhons, des tremblements de terre, des inondations et des sécheresses :

    « L'énergie dirigée est une technologie si puissante qu'elle pourrait être utilisée pour chauffer l'ionosphère afin de transformer le temps en arme de guerre. Imaginez utiliser une inondation pour détruire une ville ou des tornades pour décimer une armée qui approche dans le désert. L'armée a consacré énormément de temps à la modification du climat en tant que concept pour les environnements de combat. Si une impulsion électromagnétique se produisait au-dessus d'une ville, pratiquement tous les appareils électroniques de votre maison clignoteraient et s'éteindraient, et ils seraient définitivement détruits.

    Reportage télévisé de la SRC (1996)

    - voir clip sur site -

    A noter que si le programme HAARP basé à Gakona en Alaska a été fermé en 2014 (transféré à l'Université d'Alaska), l'US Air Force qui gérait le projet HAARP a néanmoins confirmé que les techniques ENMOD à usage militaire devaient se poursuivre :

    "Nous passons à d'autres façons de gérer l'ionosphère , ce pour quoi le HAARP a vraiment été conçu", a-t-il déclaré.

    «Injecter de l'énergie dans l'ionosphère pour pouvoir réellement la contrôler. Mais ce travail est terminé. »

    "La météo comme multiplicateur de force : posséder la météo"
    L'objectif sous-jacent d'un point de vue militaire est de « s'approprier le temps ». Au moment où cette étude de l'US Air Force a été commandée en 1996, le programme HAARP était déjà pleinement opérationnel, comme l'a documenté la CBC.

    L'objectif déclaré du rapport est décrit ci-dessous :

    Dans cet article, nous montrons qu'une application appropriée de la modification des conditions météorologiques peut fournir une domination de l'espace de combat à un degré jamais imaginé auparavant. À l'avenir, de telles opérations renforceront la supériorité aérienne et spatiale et fourniront de nouvelles options pour façonner l'espace de combat et la sensibilisation à l'espace de combat là-bas, en attendant que nous rassemblions tout cela ; » en 2025, nous pouvons « posséder le temps ». (Commandé par le document US Air Force AF 2025 Final Report, (document public)

    La modification des conditions météorologiques, selon le rapport de l'US Air Force " offre au combattant un large éventail d'options possibles pour vaincre ou contraindre un adversaire", les capacités, dit-il, s'étendent au déclenchement d'inondations, d'ouragans, de sécheresses et de tremblements de terre :

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  18. « La modification du temps deviendra une partie de la sécurité nationale et internationale et pourrait être effectuée unilatéralement… Elle pourrait avoir des applications offensives et défensives et même être utilisée à des fins de dissuasion. La capacité de générer des précipitations, du brouillard et des tempêtes sur Terre ou de modifier la météo spatiale… et la production de conditions météorologiques artificielles font toutes partie d'un ensemble intégré de technologies [militaires].

    Document de l'US Air Force AF 2025 Final Report, (le lien du document AF d'origine n'est plus disponible)

    Voir les rapports complets commandés par l'US Air Force

    ….De l'amélioration des opérations amies ou de la perturbation de celles de l'ennemi via une adaptation à petite échelle des modèles météorologiques naturels à la domination complète des communications mondiales et du contrôle de l'espace, la modification du temps offre au combattant un large éventail d'options possibles pour vaincre ou contraindre un adversaire. Certaines des capacités potentielles qu'un système de modification des conditions météorologiques pourrait fournir à un commandant en chef (CINC) combattant sont répertoriées dans le tableau 1. (soulignement ajouté)

    Bien que le déclenchement de tremblements de terre fasse partie intégrante de la technologie HAARP, le terme tremblements de terre n'apparaît pas explicitement dans la version ci-dessus du document de l'US Air Force. Les annexes A et B du rapport indiquent le rôle de l'ionosphère concernant la fréquence maximale utilisable (MUF).

    L'implication de la CIA dans ENMOD Technologies
    En juillet 2013, MSN News rapportait que la CIA était impliquée dans le financement d'un projet de l'Académie nationale des sciences (NAS) axé sur la géo-ingénierie et la manipulation du climat. Le rapport a non seulement reconnu ces technologies, mais il a confirmé que les services de renseignement américains ont été régulièrement impliqués dans la résolution du problème de la manipulation climatique :

    "Le but de l'étude NAS soutenue par la CIA est de mener une" évaluation technique d'un nombre limité de techniques de géo-ingénierie proposées ", selon le site Web du NAS. Les scientifiques tenteront de déterminer quelles techniques de géo-ingénierie sont réalisables et essaieront d'évaluer les impacts et les risques de chacune (y compris les "préoccupations de sécurité nationale")". (Voir Ardoise , juillet 2013)

    "La CIA aide à financer la recherche parce que le NAS prévoit également d'évaluer" les problèmes de sécurité nationale (qui pourraient être) liés aux technologies de géo-ingénierie déployées quelque part dans le monde ", a déclaré Kearney.

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  19. 3
    La Convention des Nations Unies de 1977
    sur l'utilisation des techniques de modification de l'environnement

    En 1977, une convention internationale a été ratifiée par l'Assemblée générale des Nations Unies qui interdit « l'utilisation à des fins militaires ou hostiles des techniques de modification de l'environnement ayant des effets étendus, durables ou graves ».

    Les techniques ENMOD s'appliquent également aux séismes :

    "Il a défini les" techniques de modification de l'environnement "comme" toute technique visant à modifier - par la manipulation délibérée de processus naturels - la dynamique, la composition ou la structure de la Terre, y compris son biote, sa lithosphère , son hydrosphère et son atmosphère, ou de l'espace extra-atmosphérique. (nous soulignons)

    - voir doc sur site -

    La Convention historique de 1977 ratifiée par l'Assemblée générale des Nations Unies interdisant "l'utilisation militaire ou hostile des techniques de modification de l'environnement ayant des effets étendus, durables ou graves".

    ….Chaque État partie à la présente Convention s'engage à ne pas se livrer à l'utilisation militaire … de techniques de modification de l'environnement ayant des effets étendus, durables ou graves comme moyens de destruction, de dommages ou de blessures à tout autre État partie. ( Convention sur l'interdiction de l'utilisation à des fins militaires ou de toute autre utilisation hostile des techniques de modification de l'environnement, Nations Unies, Genève, 18 mai 1977. Entrée en vigueur : 5 octobre 1978, voir le texte intégral de la convention en annexe)

    Pour lire le texte intégral de la Convention des Nations Unies, cliquez ici

    La liste des pays qui ont ratifié ou signé le Traité

    En 2022, 78 pays ont ratifié ou adhéré au traité, dont la Syrie, la Turquie, l'Irak, l'Iran, les États-Unis et la Fédération de Russie. Israël n'a pas ratifié le Traité.

    Document officiel de l'ONU

    Proposition de résolution de la commission du Parlement européen
    Il convient également de noter qu'en février 1998, la commission des affaires étrangères, de la sécurité et de la politique de défense du Parlement européen a tenu des auditions publiques à Bruxelles sur le programme HAARP. La « proposition de résolution » du Comité soumise au Parlement européen :

    «Considère HAARP… en raison de son impact considérable sur l'environnement comme une préoccupation mondiale et demande que ses implications juridiques, écologiques et éthiques soient examinées par un organisme international indépendant…; [le Comité] regrette le refus répété de l'administration des États-Unis… de témoigner à l'audience publique… sur les risques environnementaux et publics [du] programme HAARP.

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  20. 4
    "Une enquête d'experts" sur "l'utilisation hostile d'ENMOD"

    Compte tenu de la gravité du tremblement de terre entre la Turquie et la Syrie, les pertes en vies humaines, les impacts sociaux et économiques dévastateurs, une "enquête d'expert" devrait être menée sur la base de la Convention internationale de 1977 interdisant "l'utilisation militaire ou hostile des techniques de modification de l'environnement" . .

    Je dois mentionner que depuis la ratification de la Convention des Nations Unies de 1977 citée ci-dessus, les techniques ENMOD à usage militaire sont devenues de plus en plus sophistiquées.

    Peut-on faire confiance aux Nations Unies ? Les deux « États parties », à savoir la Turquie et la Syrie, devraient collaborer et mener leur propre enquête interne avant la conduite d'une enquête d'experts sous les auspices de l'ONU.

    Les termes de référence de cette enquête sont contenus dans les articles de l'accord du Traité des Nations Unies.

    Je ferai référence aux articles I, II et V (extraits) qui identifient la nature de l'enquête d'experts. (nous soulignons). Cliquez ici, pour consulter la liste complète des articles

    Article premier . 1.

    Chaque État partie à la présente Convention s'engage à ne pas se livrer à l'utilisation militaire ou à toute autre utilisation hostile de techniques de modification de l'environnement ayant des effets étendus, durables ou graves comme moyen de destruction, de dommage ou de blessure à tout autre État partie.

    L'article II fait référence aux techniques ENMOD incluant les séismes :

    Article second

    Tel qu'utilisé à l'article 1, le terme "techniques de modification de l'environnement" fait référence à toute technique visant à modifier - par la manipulation délibérée de processus naturels - la dynamique, la composition ou la structure de la Terre, y compris son biote , sa lithosphère, son hydrosphère et son atmosphère, ou de Cosmos.

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  21. Article cinquième

    1. Les États parties à la présente Convention s'engagent à se consulter et à coopérer pour résoudre tout problème qui pourrait se poser en relation avec les objectifs ou l'application des dispositions de la Convention. La consultation et la coopération visées au présent article peuvent également être entreprises par le biais de procédures internationales appropriées dans le cadre de l'Organisation des Nations Unies et conformément à sa Charte . Ces procédures internationales peuvent inclure les services d'organisations internationales appropriées, ainsi que d'un comité consultatif d'experts tel que prévu au paragraphe 2 du présent article.

    2. Aux fins énoncées au paragraphe 1 du présent article, le Dépositaire convoque, dans un délai d'un mois à compter de la réception d'une demande d'un État partie à la présente Convention, un comité consultatif d' experts . …

    3. Tout État partie à la présente Convention qui a des raisons de croire qu'un autre État partie agit en violation des obligations découlant des dispositions de la Convention peut déposer une plainte auprès du Conseil de sécurité des Nations Unies . Une telle plainte doit inclure toutes les informations pertinentes ainsi que toutes les preuves possibles à l'appui de sa validité.

    4. Chaque État partie à la présente Convention s'engage à coopérer à la réalisation de toute enquête que le Conseil de sécurité pourrait ouvrir, conformément aux dispositions de la Charte des Nations Unies, sur la base de la plainte reçue par le Conseil. Le Conseil de sécurité informe les États parties des résultats de l'enquête.

    En annexe au texte de la Convention figure ce qui suit :

    1. Le Comité consultatif d'experts s'engage à faire des constatations de fait appropriées et à fournir des avis d'experts concernant tout problème soulevé conformément au paragraphe 1 de l'article V de la présente Convention par l'État partie qui demande la convocation du Comité.

    Remarques finales
    Nous sommes solidaires avec les peuples de Turquie et de Syrie.

    A ce stade, il serait imprudent et prématuré de tirer des conclusions simplistes.

    Il y a une vérité interdite. J'ai essayé de fournir un cadre d'analyse et de compréhension.

    Les dégâts et les pertes humaines sont indescriptibles : la question devrait faire l'objet d'analyses, de dialogues et de débats, en référence à la Convention internationale de 1977 interdisant « l'utilisation à des fins militaires ou hostiles des techniques de modification de l'environnement ».

    La Turquie et la Syrie en tant qu'« États parties » doivent, dans un premier temps, mener leur propre enquête interne avant de la renvoyer au Comité consultatif d'experts de l'ONU et/ou au Conseil de sécurité de l'ONU.

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  22. Annexe

    Source : Cette information a été fournie par l'USGS - Centre national d'information sur les tremblements de terre

    Tremblements de terre en Turquie qui ont causé 10 000 morts ou plus (342 AD- 1999)

    - voir cadre sur site -

    Voici les sources et les notes de bas de page

    ISK : Earthquake catalog of Kandilli Observatory, Bogazici University, Istanbul, fourni par NOAA/NGDC (Meyers and Von Hake), Boulder CO, 1985.

    ITU : K. Ergin, U. Guclu et Z. Uz, A Catalog of Earthquakes for Turkey and Surroundings Area (11 AD to 1964 AD), Université technique d'Istanbul, Faculté de génie minier, 1967.

    AFAD : Earthquake Risk Map by AFAD, Department of Disasters and Emergency Management, 2018.

    NG(n) : R. Ganse et J. Nelson, Catalogue of Important Earthquakes 2000 BC - 1979, y compris Quantitative Casualties and Damage, NOAA/NGDC Report SE-27, Boulder CO, 1981. Le nombre entre parenthèses provient de leur tableau de références, comme indiqué ci-dessous :

    2 : Lomnitz, Tectonique mondiale et risque de tremblement de terre, 1974.

    3 : Bath, Introduction à la sismologie, 1978.

    5b : (il n'y a pas de source 5b - devrait probablement être 55 ?).

    7 : Meyers et von Hake, Résumé du fichier de données sur les tremblements de terre, 1976.

    51 : Munchener Ruckversicherungs-Gesellschaft, Carte mondiale des risques naturels, 1978.

    55 : Milne, Catalogue des tremblements de terre destructeurs, 1911.

    73 : Congrès américain, Grands tremblements de terre, 1888.

    99 : Karnik, Sismicité de la zone européenne, 1971.

    120 : Alsinawi et Galih, Sismicité historique de l'Irak, 1978.

    138: Ambraseys, Moyen-Orient Une réévaluation de la sismicité, 1978.

    https://www.globalresearch.ca/environmental-modification-techniques-enmod-and-the-turkey-syria-earthquake-an-expert-investigation-is-required/58082

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  23. Guerre météorologique


    Michel Chossudovsky
    22 mai 2008


    Méfiez-vous des expériences de guerre climatique de l'armée américaine, dit Michel Chossudovsky
    Rarement reconnu dans le débat sur le changement climatique mondial, le climat mondial peut désormais être modifié dans le cadre d'une nouvelle génération d'armes électromagnétiques sophistiquées. Les États-Unis et la Russie ont tous deux développé des capacités pour manipuler le climat à des fins militaires.

    Les techniques de modification de l'environnement sont appliquées par l'armée américaine depuis plus d'un demi-siècle. Le mathématicien américain John von Neumann, en liaison avec le département américain de la Défense, a commencé ses recherches sur la modification du climat à la fin des années 1940, au plus fort de la guerre froide, et a prévu "des formes de guerre climatique encore inimaginables".

    Pendant la guerre du Vietnam, des techniques d'ensemencement des nuages ​​ont été utilisées, à partir de 1967 dans le cadre du projet Popeye, dont l'objectif était de prolonger la saison de la mousson et de bloquer les routes d'approvisionnement ennemies le long du sentier Ho Chi Minh.

    L'armée américaine a développé des capacités avancées qui lui permettent de modifier sélectivement les conditions météorologiques. La technologie, qui est perfectionnée dans le cadre du programme de recherche aurorale active à haute fréquence (HAARP), est un appendice de l'initiative de défense stratégique - "Star Wars". D'un point de vue militaire, HAARP est une arme de destruction massive, opérant depuis l'atmosphère extérieure et capable de déstabiliser les systèmes agricoles et écologiques du monde entier.

    La modification des conditions météorologiques, selon le rapport final AF 2025 du document de l'US Air Force, "offre au combattant un large éventail d'options possibles pour vaincre ou contraindre un adversaire", les capacités, dit-il, s'étendent au déclenchement d'inondations, d'ouragans, de sécheresses et tremblements de terre : « La modification du temps fera partie de la sécurité nationale et internationale et pourrait être effectuée unilatéralement… Elle pourrait avoir des applications offensives et défensives et même être utilisée à des fins de dissuasion. La capacité de générer des précipitations, du brouillard et des tempêtes sur Terre ou de modifier la météo spatiale… et la production de conditions météorologiques artificielles font toutes partie d'un ensemble intégré de technologies [militaires].

    En 1977, une convention internationale a été ratifiée par l'Assemblée générale des Nations Unies qui interdisait « l'utilisation à des fins militaires ou hostiles des techniques de modification de l'environnement ayant des effets étendus, durables ou graves ». Elle définissait les « techniques de modification de l'environnement » comme « toute technique visant à par la manipulation délibérée de processus naturels – la dynamique, la composition ou la structure de la terre, y compris son biote, sa lithosphère, son hydrosphère et son atmosphère, ou de l'espace extra-atmosphérique.

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  24. Alors que la substance de la Convention de 1977 a été réaffirmée dans la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC) signée lors du Sommet de la Terre de 1992 à Rio, le débat sur la modification du temps à des fins militaires est devenu un tabou scientifique. Les analystes militaires sont muets sur le sujet. Les météorologues n'enquêtent pas sur la question et les écologistes se concentrent sur les émissions de gaz à effet de serre dans le cadre du protocole de Kyoto. La possibilité de manipulations climatiques ou environnementales dans le cadre d'un programme militaire et de renseignement, bien que tacitement reconnue, ne fait pas non plus partie du débat plus large sur le changement climatique sous les auspices de l'ONU.

    Le programme HAARP

    Créé en 1992, HAARP, basé à Gakona, en Alaska, est un réseau d'antennes de grande puissance qui transmettent, par le biais d'ondes radio à haute fréquence, d'énormes quantités d'énergie dans l'ionosphère (la couche supérieure de l'atmosphère). Leur construction a été financée par l'US Air Force, l'US Navy et la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA).

    Exploité conjointement par l'Air Force Research Laboratory et l'Office of Naval Research, HAARP constitue un système d'antennes puissantes capables de créer des "modifications locales contrôlées de l'ionosphère". Selon son site Web officiel, www.haarp.alaska.edu, HAARP sera utilisé "pour induire un petit changement localisé de la température ionosphérique afin que les réactions physiques puissent être étudiées par d'autres instruments situés sur le site HAARP ou à proximité".

    Mais Rosalie Bertell, présidente de l'International Institute of Concern for Public Health, affirme que HAARP fonctionne comme "un gigantesque appareil de chauffage qui peut provoquer des perturbations majeures dans l'ionosphère, créant non seulement des trous, mais de longues incisions dans la couche protectrice qui empêche les radiations mortelles de bombarder". la planète'. Le physicien Bernard Eastlund l'a appelé "le plus grand radiateur ionosphérique jamais construit".

    HAARP est présenté par l'US Air Force comme un programme de recherche, mais des documents militaires confirment que son objectif principal est d'"induire des modifications ionosphériques" en vue de modifier les conditions météorologiques et de perturber les communications et les radars. Selon un rapport de la Douma d'État russe : "Les États-Unis prévoient de mener des expériences à grande échelle dans le cadre du programme HAARP [et] de créer des armes capables de briser les lignes de communication radio et les équipements installés sur les vaisseaux spatiaux et les fusées, de provoquer de graves accidents dans les réseaux électriques et dans les oléoducs et les gazoducs, et ont un impact négatif sur la santé mentale de régions entières.

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  25. Une analyse des déclarations émanant de l'US Air Force pointe vers l'impensable : la manipulation secrète des conditions météorologiques, des communications et des systèmes d'alimentation électrique comme arme de guerre mondiale, permettant aux États-Unis de perturber et de dominer des régions entières.

    La manipulation météorologique est l'arme préventive par excellence. Elle peut être dirigée contre des pays ennemis ou des « nations amies » à leur insu, utilisée pour déstabiliser les économies, les écosystèmes et l'agriculture. Cela peut également provoquer des ravages sur les marchés financiers et des matières premières. La perturbation de l'agriculture crée une plus grande dépendance à l'aide alimentaire et aux importations de céréales de base des États-Unis et d'autres pays occidentaux.

    HAARP a été développé dans le cadre d'un partenariat anglo-américain entre Raytheon Corporation, propriétaire des brevets HAARP, et British Aerospace Systems (BAES). Le projet HAARP est l'une des nombreuses entreprises de collaboration dans les systèmes d'armes avancés entre les deux géants de la défense.

    Le projet HAARP a été lancé en 1992 par Advanced Power Technologies, Inc. (APTI), une filiale d'Atlantic Richfield Corporation (ARCO). APTI (y compris les brevets HAARP) a été vendu par ARCO à E-Systems Inc, en 1994.

    E-Systems, sous contrat avec la CIA et le département américain de la Défense, a équipé le «plan apocalyptique», qui «permet au président de gérer une guerre nucléaire». Acquise par la suite par Raytheon Corporation, elle fait partie des plus grands sous-traitants du renseignement au monde.

    BAES a participé au développement du stade avancé du réseau d'antennes HAARP dans le cadre d'un contrat de 2004 avec l'Office of Naval Research. L'installation de 132 émetteurs haute fréquence a été confiée par BAES à sa filiale américaine, BAE Systems Inc. Le projet, selon un rapport de juillet dans Defence News, a été entrepris par la division de guerre électronique de BAES. En septembre, il a reçu le premier prix de la DARPA pour ses réalisations techniques pour la conception, la construction et l'activation du réseau d'antennes HAARP.

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  26. Le système HAARP est pleinement opérationnel et, à bien des égards, éclipse les systèmes d'armes conventionnelles et stratégiques existants. Bien qu'il n'y ait aucune preuve solide de son utilisation à des fins militaires, les documents de l'Air Force suggèrent que HAARP fait partie intégrante de la militarisation de l'espace. On s'attendrait à ce que les antennes aient déjà été soumises à des tests de routine.

    Dans le cadre de la CCNUCC, the Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) a pour mandat "d'évaluer les informations scientifiques, techniques et socio-économiques pertinentes pour la compréhension du changement climatique". Ce mandat comprend la guerre environnementale. La « géo-ingénierie » est reconnue, mais les applications militaires sous-jacentes ne font pas l'objet d'analyses politiques ou de recherches scientifiques dans les milliers de pages de rapports du GIEC et de documents à l'appui, basés sur l'expertise et la contribution de quelque 2 500 scientifiques, décideurs et écologistes.

    La « guerre climatique » menace potentiellement l'avenir de l'humanité, mais a été exclue des rapports pour lesquels l'IPCC a reçu le prix Nobel de la paix en 2007. Michel Chossudovsky est professeur d'économie à l'Université d'Ottawa et éditeur au Centre de recherche sur la mondialisation, www.globalresearch.ca

    This article first appeared in the Ecologist December 2007

    https://theecologist.org/2008/may/22/weather-warfare

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    1. 😎 https://nwohaarp.wordpress.com/2017/10/05/haarp-the-day-after-tomorrow/

      https://educate-yourself.org/mc/

      https://rudy2.wordpress.com/smart-dustla-polvere-intelligenteitalianoenglish/

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  27. Réduction de la production pétrolière : impact sur les prix, l'inflation et la politique


    5 avril 2023
    du Dr. Peter F. Mayer


    Les réductions de production de pétrole de choc à partir de mai annoncées par l'OPEP+ dimanche signifient essentiellement que huit pays clés de l'OPEP ont décidé de s'associer à la Russie pour réduire la production de pétrole, ce qui signifie que l'OPEP et l'OPEP+ ont désormais repris le contrôle du marché pétrolier. L'Arabie saoudite et sept autres grands pays de l'OPEP ont décidé de manière inattendue de soutenir les efforts de la Russie et de réduire unilatéralement la production.
    Alors que les huit pays de l'Opep parlent d'une coupe d'un million de barils par jour de mai à la fin de l'année, la Russie va prolonger son ajustement volontaire, entamé en mars, de 500.000 barils pour la même période.

    Si vous ajoutez maintenant les ajustements de production déjà décidés par l'OPEP+, le total des ajustements de production volontaires supplémentaires s'élève à 1,6 million de b/j.

    Impact sur les prix du carburant et l'inflation

    Suite à l'annonce surprise du week-end dernier selon laquelle les principaux pays producteurs de pétrole du monde réduiraient leur production de pétrole brut, beaucoup se sont demandé comment cette décision affecterait les prix du carburant dans le monde. Gulf News a analysé comment une telle décision globale peut affecter vos finances.

    Le prix du carburant couvre le coût d'approvisionnement et de raffinage du pétrole brut, ainsi que sa distribution et sa commercialisation. Cependant, les prix du pétrole et donc les coûts quotidiens du carburant sont essentiellement déterminés par les forces du marché de l'offre et de la demande.

    "Le coût du pétrole brut représente environ la moitié du prix total du carburant, selon les données des régulateurs de la plupart des grandes économies mondiales, à l'exclusion des coûts de raffinage, de distribution et de commercialisation, qui sont généralement reflétés dans les coûts de gros, que les négociants en carburant payer aux distributeurs », Gulf News cite Ahmed Ghazi, un analyste des matières premières basé à Abu Dhabi et observateur de l'industrie.

    Alors que des études montrent que les prix du pétrole brut et de l'essence sont étroitement liés, les économistes estiment généralement que chaque augmentation de 10 $ du coût du baril de pétrole déclenche une augmentation de 0,4 % de l'inflation dans le monde.

    Qu'est-ce qui a conduit à ce développement ?

    Fondamentalement, comme de nombreux analystes l'avaient prédit, les sanctions occidentales contre le pétrole russe ont créé des distorsions et des anomalies sur le marché pétrolier, perturbant le délicat écosystème de l'offre et de la demande, provoquées par la décision incroyablement risquée du G7, à la demande du département du Trésor américain, de l'introduction d'un plafonnement des prix des ventes de pétrole russe à l'étranger a été renforcée.

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  28. En outre, les actions de l'administration Biden visant à libérer régulièrement du pétrole de la réserve stratégique américaine de pétrole afin de maintenir les prix du pétrole à des niveaux inhabituellement bas dans l'intérêt du consommateur américain et de freiner les pressions inflationnistes se sont révélées un affront aux pays producteurs de pétrole dont l'économie est fortement dépendante. sur les recettes d'exportation du pétrole.

    L'OPEP+ décrit les réductions de production comme « une mesure de précaution pour soutenir la stabilité du marché pétrolier » . Suite à la décision de l'OPEP+, les analystes s'attendent à une hausse des prix du pétrole à court terme et à une augmentation de la pression sur les banques centrales occidentales en raison d'une éventuelle hausse de l'inflation.

    Les implications politiques
    Une analyse intéressante a de nouveau été présentée par l'ancien ambassadeur indien de haut rang MK Bhadrakumar sur son blog Indian Punchline intitulé « OPEP : les Saoudiens n'ont plus peur des États-Unis » . L'Inde est ce qui se rapproche le plus de la neutralité interbloc. Par conséquent, de leur point de vue, les évaluations doivent être prises particulièrement au sérieux.

    La particularité de la décision de l'OPEP+, selon Bhadrakumar, c'est que la décision de la Russie de réduire la production de pétrole d'ici la fin de l'année « a fait l'unanimité auprès des principaux producteurs arabes. Des déclarations indépendantes mais opportunes ont été faites par l'Arabie saoudite, les Émirats arabes unis, le Koweït, l'Irak, l'Algérie, Oman et le Kazakhstan, tandis que la Russie a confirmé son intention de prolonger sa propre réduction de production de 500 000 barils par jour, qui a commencé en mars, par la fin mars pour être prolongé à la fin de l'année.

    Il est significatif que ces déclarations aient été faites par les plus grands producteurs de pétrole de l'OPEP, qui ont épuisé au maximum leurs quotas existants. Cela signifie que la réduction de la production sera réelle et pas seulement sur le papier .

    "Au moins en partie, la crise bancaire aux États-Unis et en Europe a incité l'OPEP+ à intervenir. Bien que Washington minimise cela, les prix du pétrole Brent sont tombés à 70 dollars le baril en mars pour la première fois depuis 2021, alors que plusieurs banques américaines ont déposé le bilan et que Credit Suisse, l'une des plus grandes banques suisses, a failli être tuée. Ces événements ont alimenté les inquiétudes quant à la stabilité du système bancaire occidental et les craintes d'une récession affectant la demande de pétrole.

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  29. Il est très probable que les tensions entre les États-Unis et l'Arabie saoudite augmenteront à mesure que la hausse des prix du pétrole alimente l'inflation et rend encore plus difficile pour la Réserve fédérale américaine de trouver un équilibre entre l'augmentation des taux d'intérêt et la préservation des conditions financières et économiques pour trouver la stabilité. De même, l'administration Biden doit être furieuse que la coopération pratique entre la Russie et les pays de l'OPEP, en particulier l'Arabie saoudite, se poursuive malgré le plafonnement des prix du pétrole russe imposé par l'Occident et la décision de Moscou de réduire unilatéralement la production en mars".

    Bhadrakumar ne voit qu'une gamme limitée d'options pour que le gouvernement Biden réagisse à la décision surprenante de l'OPEP+ : premièrement, une nouvelle libération de pétrole de la réserve stratégique de pétrole ; deuxièmement, la pression sur les producteurs américains pour qu'ils augmentent la production nationale de pétrole ; troisièmement, soutenir une législation qui permettrait aux États-Unis de prendre la mesure dramatique de poursuivre l'OPEP ; ou quatrièmement, la réduction des exportations américaines d'essence et de diesel.

    «Ainsi, à la suite des sanctions contre la Russie, l'Europe est confrontée à une situation complexe d'inflation et de quasi-récession connue sous le nom de stagflation. En réalité, l'Opep+ adaptable et agile a correctement évalué la situation et s'est montrée prête à agir en amont. À une époque où l'économie mondiale peine à croître sainement, la demande de pétrole est relativement faible et il est logique de réduire la production de pétrole pour maintenir l'équilibre des prix.

    Le diplomate voit d'énormes problèmes en réserve pour l'Occident car " Le sort des économies occidentales ne peut être imputé à l'OPEP+ car il y a des problèmes inhérents qui font maintenant surface. Par exemple, les protestations à grande échelle en France contre la réforme des retraites ou les grèves généralisées en Grande-Bretagne pour des salaires plus élevés montrent qu'il existe dans ces économies des problèmes structurels profonds que les gouvernements semblent incapables de maîtriser. "

    Ce qui a précédé les annonces est également significatif :

    En termes géopolitiques, la décision de l'OPEP+ est intervenue après une réunion entre le vice-Premier ministre russe Alexander Novak et le ministre saoudien de l'énergie, le prince Abdulaziz bin Salman, le 16 mars à Riyad, qui s'est concentrée sur la coopération sur le marché pétrolier. Il est donc largement considéré comme un approfondissement des relations entre la Russie et l'Arabie saoudite.

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  30. Apparemment, les pays et les politiciens de l'OPEP sont également conscients que la hausse des prix du pétrole brut profitera principalement à la Russie . "En termes simples, les réductions de production resserreront le marché pétrolier, aidant ainsi la Russie à obtenir de meilleurs prix pour le pétrole brut qu'elle vend. Deuxièmement, les nouvelles réductions confirment également que la Russie fait toujours partie intégrante et importante du groupe des pays producteurs de pétrole, malgré les tentatives de l'Occident de l'isoler. Troisièmement, les implications de la décision de dimanche sont d'autant plus importantes que, contrairement aux précédentes coupes du groupe OPEP+ au plus fort de la pandémie ou en octobre de l'année dernière, la demande mondiale de pétrole augmente désormais au lieu de baisser, d'autant plus qu'une forte reprise en Chine est attendu. »

    Et l'évaluation finale de l'importance géopolitique est difficile :

    "Ainsi, la réduction surprise de l'OPEP+ solidifie l'alliance énergétique saoudo-russe en alignant leurs niveaux de production et en les mettant sur un pied d'égalité. C'est une gifle pour Washington.

    Ne vous méprenez pas, c'est encore un autre signal d'une nouvelle ère dans laquelle les Saoudiens n'ont plus peur des États-Unis, car le « levier » de l'OPEP est du côté de Riyad. Les Saoudiens ne font que ce qu'ils ont à faire et la Maison Blanche n'a pas son mot à dire en la matière. Il est évident que la transformation récemment initiée des dynamiques régionales et mondiales prend de l'ampleur. L'avenir du pétrodollar semble de plus en plus incertain.

    Nous verrons quelles conséquences la démarche de l'OPEP+ aura à long terme. Les plus âgés d'entre nous se souviennent encore de la crise pétrolière de 1973. A cette époque, elle nous avait apporté une journée sans voiture par semaine à court terme. Ce qu'il nous reste, ce sont les « vacances énergétiques ». Les effets cette fois pourraient être encore plus durables.

    https://tkp.at/2023/04/05/reduktion-der-oelfoerderung-auswirkung-auf-preise-inflation-und-politik/

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  31. Le Japon ignore le plafonnement des prix et paie 16 % de plus pour le pétrole russe


    Par Drago Bosnic
    Recherche mondiale,
    05 avril 2023


    Le 3 avril, le Wall Street Journal a rapporté que le Japon, l'un des États vassaux les plus importants des États-Unis, achète désormais du pétrole russe à des prix nettement supérieurs au plafond illégal États-Unis/UE, brisant ainsi les sanctions imposées par l'Occident politique. Selon le rapport , le Japon a également obtenu de Washington DC qu'il accepte l'exception, affirmant que cette décision visait à maintenir la sécurité énergétique du Japon.

    La concession souligne à quel point Tokyo dépend de la Russie pour les combustibles fossiles. Le WSJ affirme que les analystes (occidentaux) pensent que cela a contribué à "beaucoup d'hésitation" à Tokyo pour soutenir le régime de Kiev de manière plus décisive. Cela expose également l'Occident politique, qui s'est rendu compte que le plafonnement des prix était essentiellement dénué de sens et a été mis en place à la hâte de manière à n'avoir aucun impact négatif sur les exportations énergétiques russes, servant de tentative symbolique pour maintenir l'illusion du pouvoir des sanctions occidentales.

    Cependant, la flambée continue des coûts de l'énergie signifie qu'à moins que le plafond illégal des prix ne soit levé, l'Occident politique est sur le point de « se tirer une balle dans le pied ». En fait, contrairement à la plupart des pays européens/occidentaux qui prétendent avoir réduit leur dépendance à l'énergie russe, le Japon a en fait augmenté ses importations de gaz naturel russe en 2022. Apparemment, Tokyo est également le seul membre du G-7 qui n'a pas encore fourni des armes létales à la junte néo-nazie, tandis que le Premier ministre Fumio Kishida était le dernier dirigeant du G-7 à se rendre à Kiev après le début de la SMO (opération militaire spéciale). Cette décision a été largement considérée comme une vaine tentative de refléter la rencontre beaucoup plus conséquente entre Vladimir Poutine et Xi Jinping.. Heureusement pour le Japon, le gouvernement de Kishida n'a toujours pas changé sa position sur le transfert de la soi-disant « aide létale » au régime de Kiev.

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  32. Ceci est crucial pour l'économie du pays, car au cours des deux premiers mois de 2023 seulement, le Japon a acheté environ 750 000 barils de pétrole russe pour un total de 6,9 ​​milliards de yens (yens japonais), selon les statistiques commerciales officielles. Au taux de change actuel, cela représente près de 52 millions de dollars ou un peu moins de 70 dollars le baril, ce qui est supérieur de plus de 16 % au plafond de prix fantaisiste dont se vantaient les dirigeants politiques de l'Occident et dont il « limitait les revenus de la Russie ». Et tandis que Tokyo rejette l'idée qu'elle dépend tellement de la Russie pour sa sécurité énergétique, le fait qu'elle ait demandé à ses suzerains américains une exemption de plafonnement des prix en est la preuve. Cependant, la machine de propagande dominante est toujours catégorique sur le fait que le Japon est un "fervent partisan de la démocratie et de la liberté ukrainiennes".

    Pourtant, ce n'est rien de plus qu'une rhétorique creuse, car les achats de pétrole autorisés par Washington DC constituent une rupture significative par rapport aux «lignes rouges» déclarées sur le plafond illégal du prix de l'énergie russe, qui s'élève actuellement à 60 dollars le baril de pétrole brut russe. L'année dernière, le Japon a obtenu une exception au plafond jusqu'au 30 septembre pour le pétrole acheté au projet Sakhalin-2 dans l'Extrême-Orient russe. Un responsable du ministère japonais de l'Économie, du Commerce et de l'Industrie a déclaré que Tokyo souhaitait garantir l'accès au principal produit de Sakhalin-2, le gaz naturel, qui est liquéfié puis expédié au Japon. "Nous avons fait cela dans le but d'avoir un approvisionnement stable en énergie pour le Japon", a déclaré le responsable. Tokyo a également été un contributeur majeur au projet qui visait à l'origine à la sécurité énergétique du Japon.

    Le responsable anonyme a déclaré qu'une petite quantité de pétrole brut est également extraite aux côtés du gaz naturel à Sakhalin-2 et doit être vendue pour assurer la poursuite de la production de GNL (gaz naturel liquéfié). "Le prix est décidé par des négociations entre les deux parties", a-t-il déclaré. La Russie représente environ 10 % des importations de GNL de Tokyo, la plupart provenant de Sakhalin-2, tandis que les importations japonaises de gaz naturel en 2022 étaient supérieures de 4,6 % à celles de 2021. Tokyo semble tenter d'éviter le sort de l'Allemagne, car Berlin, qui s'appuyait sur sur Moscou pour 55 % de ses importations de gaz naturel au cours des années précédentes, a été complètement coupé du gaz naturel russe par des embargos auto-imposés et des attaques terroristes américaines contre les deux gazoducs Nord Stream .

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  33. Alors que l'Allemagne a remplacé sa dépendance à l'égard du gaz russe beaucoup moins cher par des expéditions de GNL américain, qui sont nettement plus chères , cela pèse lourdement sur l'économie allemande déjà en difficulté. De nombreux experts et décideurs américains sont mécontents que le Japon refuse de faire de même. « Ce n'est pas comme si le Japon ne pouvait pas s'en passer. Ils peuvent. Ils ne veulent tout simplement pas », affirme James Brown, professeur au campus japonais de l'Université Temple. Brown veut que Tokyo se retire des projets de Sakhaline pour montrer "qu'ils sont vraiment sérieux dans leur soutien à l'Ukraine". Cependant, Tokyo est extrêmement réticente à sortir d'un projet dans lequel elle a investi des moyens conséquents et qui assure sa sécurité énergétique depuis les années 1990.

    Cependant, ce dont l'establishment politique américain a peur, c'est que d'autres suivent bientôt l'exemple du Japon. Une fois que l'Oural russe dépassera les 60 dollars le baril, d'autres seront affectés par des sanctions potentielles, ce qui signifie que Washington DC et Bruxelles devront expliquer comment et pourquoi le Japon est autorisé à acheter du pétrole russe sans être affecté par le plafonnement des prix, mais ils ne peuvent pas. En conséquence, les pays touchés commenceront non seulement à s'éloigner de l'Occident politiquement, mais aussi économiquement et financièrement , car payer 70 $ ou même 80 $ le baril de brut russe est une alternative très tentante au pétrole saoudien ou norvégien plus cher.

    https://www.globalresearch.ca/japan-ignoring-price-cap-paying-16-more-for-russian-oil/5814932

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  34. L'embargo pétrolier anti-russe de l'Occident s'effondre alors que les nations commencent à acheter du carburant directement à la Russie au-dessus du plafond de prix


    Mercredi 05 avril 2023
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Le reste du monde en a assez de l'intimidation de la Russie par l'Occident en ce qui concerne l'achat de pétrole russe bon marché.

    Un embargo pétrolier dirigé par les États-Unis contre la Russie qui visait à arrêter l'importation de pétrole russe par les membres de la coalition pétrolière anti-russe au-delà du plafond établi du prix du brut russe de 60 dollars le baril est en train d'échouer, le Japon étant en tête du peloton pour s'opposer à l'accord .

    Il s'avère que d'autres pays ne veulent pas commettre de suicide national juste pour plaire aux banquiers centraux privés qui veulent voir Volodymyr Zelensky et son pays blanchisseur d'argent persister, au grand dam de la Réserve fédérale.

    Pendant tout ce temps, les pays ont acheté du pétrole russe bon marché à moins de 60 dollars le baril, ce qui faisait partie de l'accord. Mais maintenant, le Japon l'achète pour plus que cela – et d'autres participants à l'embargo sont susceptibles de suivre cet exemple.

    (Connexe : Au printemps dernier, le géant bancaire JPMorgan Chase a imposé un embargo complet sur le pétrole russe, envoyant les prix du pétrole au-dessus de 185 dollars le baril.)

    Mystery Babylon a presque fini de contrôler le monde
    Aux prix actuels, le pétrole russe devrait désormais être interdit à ceux qui ont accepté le pacte mené par l'Occident contre la Russie. Au lieu de cela, le Japon et probablement d'autres pays continueront à l'acheter plutôt que de passer au pétrole plus cher de l'OPEP.

    « Que se passe-t-il alors ? » a demandé à Zero Hedge à ce sujet.

    "Les nations occidentales suivront-elles les directives de sanction et cesseront-elles d'acheter du pétrole russe, ce qui signifie envoyer le prix de tout le pétrole non russe fortement plus élevé (même si l'Inde et la Chine intensifient et achètent tout ce que les importateurs occidentaux ne souhaitent plus), ou l'anti-Russie éclat d'alliance ?

    "Bien que nous soyons convaincus que de nombreux gouvernements adopteront la première solution, même si cela signifie plus de difficultés pour leurs citoyens, ne serait-ce que pour signaler leur vertu et satisfaire le département d'État américain, certains montrent déjà que l'alliance anti-russe ne vaut rien. le papier sur lequel il est écrit en crédits carbone.

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  35. En d'autres termes, les efforts de l'Occident pour couper la Russie à genoux lors de son invasion de l'Ukraine échouent. Et seuls les États-Unis et tout autre pays assez fou pour continuer à s'opposer à ce qui est clairement une tentative ratée de vaincre la Russie ne seront que les seuls tenants du sac.

    Le Japon et tout autre pays qui continue d'acheter du brut russe au-dessus du plafond mondial de 60 dollars le baril seraient désormais sanctionnés si l'alliance prévalait réellement. La réalité est que de telles sanctions ne se produiront pas alors que de plus en plus de pays abandonnent les États-Unis dans leurs efforts anti-russes.

    Les changements qui se produisent actuellement n'indiquent rien d'autre que la disparition continue de l'Occident. C'est un sujet quelque peu compliqué à comprendre pour la personne moyenne, mais il suffit de dire que les États-Unis et quiconque est toujours un véritable allié sont du côté des perdants dans le commerce du pétrole.

    "USSA Empire of Lies s'effondre comme un joueur de football qui a pris un trop grand nombre de coups de caillot", a écrit un commentateur sur ce qui se passe actuellement dans les anciens États-Unis d'Amérique.

    "Nous avons besoin d'une réinitialisation", a ajouté un autre. « Wall Street doit mourir. Wall Street est l'ennemi. Je prie pour sa disparition.

    « Wall Street n'est qu'un dérivé de la City de Londres. Le vrai pouvoir est détenu par les banquiers centraux, la BRI (Banque des règlements internationaux) – les banques centrales doivent mourir », a écrit un autre, développant ce que le commentateur précédent a écrit.

    "Cela se termine lorsque les banquiers sont envoyés en prison", a déclaré un autre.

    « Rappelez-moi encore ce que nous faisons dans ce pays à part la guerre et la dette ? Et c'est votre réponse. Babylone est grillée », a écrit quelqu'un d'autre, auquel un autre a répondu en plaisantant :

    "Tranny influenceurs?"

    La domination occidentale dans les affaires mondiales est en passe de devenir l'histoire. Pour en savoir plus, visitez Collapse.news.

    Les sources de cet article incluent :

    ZeroHedge.com

    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2023-04-05-anti-russian-oil-embargo-crumbling-buying-fuel-russia.html

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  36. La politique énergétique des États-Unis et de l'UE tourne au fiasco total


    6 avril 2023
    du Dr. Peter F. Mayer


    L'administration Biden et la Commission Leyen resteront dans l'histoire comme les fossoyeurs de l'Occident. Ensemble, ils se sont retournés pour inventer constamment de nouvelles sanctions contre la Russie et ont tiré un coup après l'autre dans leurs propres genoux et pieds.
    Le pic de déraison économique et politique était la limite supérieure du prix de 60 dollars le baril de pétrole. Et, bien sûr, les États-Unis ont fait sauter Nord Stream. L'Occident a ainsi détruit les bases de sa propre économie. La deuxième plus grande économie du G7 qui a pris la décision initiale de plafonnement de 60 $ est le Japon. Et le Japon a déjà abandonné. Vous payez à la Russie 70 $ ou plus un baril et bientôt ce sera 100 $. Le voyage du Premier ministre à Kiev, parallèle à celui de Xi à Moscou, était une façade. Ils semblent même s'entendre avec la Chine.

    Le gouvernement Biden, la Commission européenne et la plupart des politiciens européens se tiennent là comme des idiots. Ils n'ont pas du tout compris ce qui a changé dans la politique mondiale.

    Certains changements géopolitiques importants sont apparus ces derniers jours . L'OPEP+ a réduit sa production pour maintenir le niveau des prix . Le gouvernement saoudien est désormais totalement ouvert sur ce qu'il pense des politiciens occidentaux. Le prince héritier Mohammad bin Salman a déclaré qu'il n'était "plus intéressé à plaire aux États-Unis" et "ne se soucie pas" de ce que Biden pense de lui.

    Compte tenu de cette nouvelle, nous devons comprendre que ce n'est pas seulement la production qui est étranglée ici. Le pétrole était déjà utilisé comme arme dans les années 1970 et 1980. Après la crise pétrolière de 1973, qui nous a donné les vacances énergétiques, il y a eu une surabondance de pétrole dans les années 1980, ce qui a été convenu entre le gouvernement américain et les Saoudiens. Les prix mondiaux du pétrole ont culminé à plus de 35 $ US le baril en 1980 (équivalent à 109 $ US le baril en 2019 corrigé de l'inflation). Il est passé de 27 $ à moins de 10 $ en 1986 . Dans le même temps, l'administration de Ronald Reagan a organisé une course aux armements, comme l' a rapporté le secrétaire adjoint au Trésor de l'époque, Paul Craig Roberts.. Le but des deux mesures était de conduire l'URSS à la ruine, ce qui, comme on le sait, s'est produit.

    Apparemment, la même chose se passe maintenant , mais dans la direction opposée. Les Saoudiens ont vraiment laissé échouer le président Biden lors de sa visite en juillet 2022, puis se sont moqués de "Sleepy Joe" sur leur propre télévision. Xi Jinping, quant à lui, a déroulé le tapis rouge lors de sa visite à Riyad. Toute une série d'accords de coopération ont été conclus et le paiement futur du pétrole en yuan a été convenu.

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  37. Une autre initiative ingénieuse des dirigeants chinois a été l'effort diplomatique pour régler le différend entre Téhéran et Riyad. Cela a supprimé la seule menace dangereuse pour l'Arabie saoudite, qui est désormais libre de se déplacer. Par conséquent, ils souhaitent rejoindre les BRICS et l'Organisation de coopération de Shanghai, les organisations les plus importantes pour la Russie et la Chine.

    Et avec les producteurs les plus importants, ils réduisent la production de pétrole et font ainsi monter les prix. Le changement de l'ordre géopolitique a permis à l'Arabie saoudite de changer facilement de comportement, car elle ne dépend plus des États-Unis comme auparavant.

    Les partisans de la limite supérieure des prix en Europe vont-ils simplement arrêter d'acheter du pétrole et simplement vivre vert ? Comme l' a récemment déclaré A. Baerbock lors d'une conférence de presse conjointe avec le ministre indien des Affaires étrangères :

    "... si nous avons des relations économiques profondes avec des partenaires qui ne sont pas des partenaires de valeur, cela peut avoir des conséquences économiques dramatiques .."

    Le centre économique de la croissance serait en train de se déplacer de l'ouest vers l'est. Pour les économies émergentes comme celles situées de part et d'autre du Golfe, les États-Unis et l'Europe n'ont plus autant à offrir que la Chine et la Russie. Et avec cela, l'écart de prospérité se déplacera également et peut-être s'inversera assez rapidement.

    La Chine deviendra la première puissance économique, tout le monde le sait, en termes de valeur de production, c'est déjà le cas. L'Arabie saoudite deviendra le prochain centre financier et la Russie deviendra un autre centre financier en raison de son marché intérieur solide et de son solide développement industriel/technologique. Les pays du Sud global se détournent de plus en plus de l'Occident et de son ordre soi-disant fondé sur des règles, et misent sur la coopération économique et politique avec les pays de l'Est.

    Les États-Unis, qui consomment plus de pétrole qu'ils ne peuvent en produire eux-mêmes, auront également des problèmes. Par conséquent, ils achètent du pétrole à l'étranger pour répondre aux besoins de leur industrie. S'il ne reste plus assez de pétrole, l'industrie américaine pourrait s'arrêter ou du moins être partiellement paralysée.

    Les gagnants relatifs en Europe seront ceux qui n'ont pas participé, qui se sont opposés aux politiques de l'UE et aux livraisons d'armes, comme la Hongrie ou la Serbie. Ces pays souffriront également du déclin général de l'Europe. Le "Great Reset" souhaité par le WEF pourrait arriver plus vite que prévu, mais il est plus que douteux que la partie du programme Build-back-Better réussisse alors.

    https://tkp.at/2023/04/06/us-und-eu-energiepolitik-wurde-zum-totalen-fiasko/

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  38. À un moment donné, l'IPCC s'est transformé d'une équipe de scientifiques en militants. "Il existe une fenêtre d'opportunité qui se referme rapidement pour assurer un avenir vivable et durable pour tous", nous avertit le rapport. Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, l'a qualifié de "guide de survie pour l'humanité". Mais un ancien journaliste de l'action climatique devenu sceptique, Michael Shellenberger, a décrit l'ONU comme un "acteur de la menace de désinformation climatique".

    Des appels à une action climatique urgente basés sur le langage de « se diriger vers des points de basculement » ont été lancés pendant de nombreuses années. Les scientifiques de l'atmosphère et anciens membres de l'IPCC, Richard McNider et John Christy, notent que les prévisions de la modélisation climatique ont "toujours surestimé le degré de réchauffement de la Terre par rapport à ce que nous voyons dans le climat réel". Quelques exemples :

    En 1982, le directeur exécutif du PNUE, Mostafa Tolba, a mis en garde contre une catastrophe environnementale irréversible d'ici 2000 sans action urgente immédiate.

    En 2004, un rapport du Pentagone a averti que d'ici 2020, les grandes villes européennes seraient submergées par la montée des mers, la Grande-Bretagne serait confrontée à un climat sibérien et le monde serait pris dans des méga-sécheresses, la famine et des émeutes généralisées.

    En 2007, le président de l'IPCC, Rajendra Pachauri, a déclaré : « S'il n'y a pas d'action avant 2012, c'est trop tard.

    Plus hilarant, dans le Montana, le parc national des Glaciers a installé des plaques « Au revoir aux glaciers », avertissant : « Les modèles informatiques indiquent que les glaciers auront tous disparu d'ici 2020. » En 2020, les 29 glaciers étaient toujours là, mais les panneaux avaient disparu, enlevés par les autorités embarrassées du parc.

    Troisièmement, le complexe industriel de la censure, qui se consolidait rapidement, couvrait les deux programmes jusqu'à ce qu'Elon Musk commence à publier les fichiers Twitter pour exposer ce qui se passait. Cela fait référence à la censure et à la suppression extraordinaires des voix dissidentes, avec une collusion étendue et peut-être illégale entre les gouvernements et Big Tech – et, dans le cas de la pandémie, également Big Pharma et le milieu universitaire.

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  39. Même la vérité n'était pas une défense, par exemple avec des récits de blessures causées par des vaccins, si leur effet était de promouvoir le scepticisme narratif. Les médias sociaux Big Tech ont censuré, supprimé, interdit et masqué les étiquettes de « faux », « trompeur », « sans contexte », etc. au contenu en désaccord avec les ministères de la vérité à source unique. La «vérification des faits» a été militarisée en utilisant de nouveaux jeunes diplômés - sans formation, compétences ou capacité à faire le tri entre la science authentique et la science indésirable - pour apposer de telles empreintes de jugement sur les déclarations d'experts de renommée mondiale dans leur domaine.

    Quatrièmement, une explication importante de la propagation du Covid et du catastrophisme climatique est la promotion de la peur et de la panique dans la population comme moyen de stimuler une action politique drastique. Les deux programmes ont connu un succès étonnant.

    Les sondages ont constamment montré les croyances extrêmement exagérées sur l'ampleur de la menace Covid. Sur le changement climatique, l'écart entre les actions rigoureuses requises, les engagements pris et le bilan réel jusqu'à présent est utilisé pour semer la panique. L'idée que nous sommes déjà condamnés promeut une culture de désespoir et de désespoir mieux incarnée par le cri angoissé de Greta Thunberg : "Comment osez-vous" voler mes rêves et mon enfance avec des mots vides.

    Un cinquième thème commun est l'appel à l'autorité scientifique. Pour que cela fonctionne, le consensus scientifique est crucial. Pourtant, poussé par la curiosité intellectuelle, remettre en question les connaissances existantes est l'essence même de l'entreprise scientifique. Pour que la prétention au consensus scientifique soit largement acceptée, les preuves à l'appui doivent donc être exagérées, les preuves contraires discréditées, les voix sceptiques apaisées et les dissidents ridiculisés et marginalisés. Cela s'est produit dans les deux agendas : il suffit de demander à Jay Bhattacharya sur l'un et à Bjorn Lomborg sur l'autre.

    Un sixième élément partagé est l'énorme expansion des pouvoirs de l'État nounou qui dirige les citoyens et les entreprises parce que les gouvernements savent mieux faire et peuvent choisir les gagnants et les perdants. Le contrôle croissant de l'État sur les activités privées est justifié par le fait qu'il est présenté comme des inconvénients mineurs et temporaires dans la croisade morale pour sauver Granny et le monde.

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  40. Pourtant, dans les deux agendas, les interventions politiques ont sur-promis et sous-réalisé. Les effets bénéfiques des interventions sont exagérés, des prévisions optimistes sont faites et les coûts et inconvénients potentiels sont actualisés. Les confinements n'étaient censés être nécessaires que pendant 2 à 3 semaines pour aplatir la courbe et les vaccins, nous avait-on promis, nous aideraient à revenir à la normalité d'avant Covid sans être obligatoires. De même, depuis des décennies, on nous promet que les énergies renouvelables deviennent moins chères et que l'énergie sera moins chère et plus abondante. Pourtant, des subventions accrues sont toujours nécessaires, les prix de l'énergie continuent d'augmenter et l'approvisionnement en énergie devient moins fiable et plus intermittent.

    Septièmement, le cadrage moral a également été utilisé pour écarter l'automutilation économique massive. Outre les dommages économiques substantiels et durables causés par les fermetures sauvages des entreprises et les conséquences à long terme d'une impression massive d'argent, la persistance obstinée de décès excessifs est la preuve douloureuse d'une automutilation collective de santé publique.

    De même, le monde n'a jamais été en meilleure santé, plus riche, mieux éduqué et plus connecté qu'aujourd'hui. L'intensité énergétique a joué un rôle essentiel dans la production agricole et industrielle qui sous-tend l'infrastructure sanitaire et le niveau de vie confortable d'un grand nombre de personnes dans le monde. Les pays à revenu élevé bénéficient de normes et de résultats de santé incomparablement meilleurs en raison de leur richesse nationale.

    Huitièmement, les politiques gouvernementales dans les deux programmes ont servi à élargir considérablement les inégalités économiques au sein et entre les nations avec de gros profits pour Big Pharma et une énergie verte à la recherche de rente. On disait qu'il fallait beaucoup d'argent pour maintenir Mahatma Gandhi dans le style de pauvreté qu'il exigeait. De même, beaucoup d'argent est nécessaire pour soutenir la pensée magique de Covid et de la politique climatique où les gouvernements peuvent résoudre tous les problèmes en jetant plus d'argent qui ne doit ni être gagné ni remboursé.

    Dans le triomphe de la politique de luxe, les coûts des riches baignés dans la lueur dorée de la vertu sont supportés par les pauvres. Un milliard de Chinois et d'Indiens supplémentaires auraient-ils dû rester pauvres et démunis au cours des quatre dernières décennies, afin que les Occidentaux puissent se sentir vert vertueux ? Alternativement, pour les sociétés post-industrielles, l'action climatique nécessitera des réductions du niveau de vie à mesure que les subventions augmentent, que les prix de l'électricité augmentent, que la fiabilité diminue et que des emplois sont perdus.

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  41. Les tentatives d'évaluation de l'équilibre des coûts et des avantages de Covid et des politiques climatiques sont criées comme immorales et diaboliques, faisant passer les profits avant les vies. Mais ni la santé ni la politique climatique ne peuvent dicter les politiques économiques, de développement, énergétiques et autres. Tous les gouvernements s'efforcent d'équilibrer de multiples priorités politiques concurrentes. Quel est le point idéal qui garantit une sécurité énergétique fiable, abordable et propre sans grandes pertes d'emplois ? Ou le point idéal d'une prestation de soins de santé publique abordable, accessible et efficace qui ne compromet pas la capacité de la nation à éduquer ses jeunes, à s'occuper des personnes âgées et vulnérables et à garantir des emplois décents et des opportunités de vie aux familles ?

    Le dernier élément commun est la subordination de la prise de décision étatique aux technocrates internationaux. Ceci est mieux illustré dans la prolifération des bureaucraties mondiales sur le changement climatique et la promesse – menace ? – d'un nouveau traité mondial sur la pandémie dont le gardien sera une puissante Organisation mondiale de la santé. Dans les deux cas, la bureaucratie internationale dédiée aura un puissant intérêt direct dans les crises climatiques en cours et les pandémies qui se répètent en série.

    Reposted from Resistance Press

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/beware-catastrophizing-climate-models-and-activists

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    1. Certaines personnes n'écoutent que le nano-micro-groupuscule de microbes qui dirigent plutôt que de faire appel à leur intelligence si elles en ont une ! C'est 'un peu plus que con' ! Con de ne pas se rendre compte que si la glace vient à fondre elle PERD du volume et non en gagne ! De plus, à l'article que 'la mer va monter !' HAHAHAHAHAHAHA ! ÂAAAAAah les cons ! Même pas capable de réfléchir que: TOUS LES JOURS (et même 24/24 h) des rivières et des fleuves se déversent en mers ... sans qu'elle ne montent ! Çà alors !!
      Ce sont ces mêmes handicapés trisomique qui courent pour se faire inoculer profond (et en redemandent !) et se font aussi fileter les fosses nasales ! HAHAHAHAHA ! et après... ils sont morts ! Çà alors !!

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  42. 88 % des Allemands ne croient pas à la transition énergétique solaire et éolienne verte


    Par Jo Nova
    April 6th, 2023


    La transition est en cours, ce n'est tout simplement pas la verte.

    Seul un Allemand sur dix pense encore que l'énergie solaire et éolienne peut répondre aux besoins énergétiques de l'Allemagne. Les trois quarts des personnes qui étaient optimistes quant à l'énergie verte ont changé d'avis.

    Mais en ce moment, les gens déneigent les panneaux solaires pendant que le gouvernement travaille avec le plan…

    "Les Allemands ont réalisé que leur gouvernement est sur une chevauchée fantôme suicidaire."
    — Equipe éditoriale AUF1

    Merci à Pierre Gosselin de NoTricksZone :
    Les Allemands en ont assez du passage aux énergies vertes
    Alors que le gouvernement se prépare à essayer d'adopter une législation qui obligerait la plupart des propriétaires à effectuer des rénovations importantes de leurs maisons et à moderniser leurs systèmes de chauffage, l'Energiewende ne ressemble plus à une bonne affaire et n'est plus la bienvenue par la grande majorité des Allemands, selon une enquête Forsa.

    Les sceptiques sont majoritaires.

    La majorité des Allemands doutent d'une transition énergétique complète
    Die Welt, Allemagne

    Les Allemands ne croient pas que les besoins énergétiques du pays puissent être entièrement satisfaits par les énergies renouvelables. Incroyable : Beaucoup moins de gens croient à la transition énergétique qu'il y a douze ans.

    En Allemagne, le scepticisme a augmenté quant à la capacité de la demande énergétique à être couverte uniquement par des énergies renouvelables dans un avenir prévisible. Selon un sondage Forsa, seuls 10 % le croient, tandis que 88 % ne le croient pas. En 2011, la valeur mesurée par Forsa était encore de 39 % pour le « oui » et de 61 % pour le « non ».

    Les gens peuvent appeler les parieurs stupides, mais six Allemands sur dix ont réalisé que le gaz naturel et l'énergie nucléaire sont de bonnes choses. Les masses non lavées peuvent comprendre les choses.

    Une nette majorité en a assez de la folie climatique et de la transition énergétique
    L'équipe éditoriale de l'AUF1

    Le gouvernement Scholz fait face à un scepticisme et à un rejet massifs dans ses projets de base comme aucun autre gouvernement fédéral auparavant.
    Majorité pour le gaz naturel et le nucléaire
    59 % sont toujours favorables à l'utilisation du gaz naturel comme source d'énergie, 57 % sont favorables au maintien de l'énergie nucléaire – même nettement plus qu'il y a 10 ans. Les Allemands ont réalisé que leur gouvernement est sur une chevauchée fantôme suicidaire. Malgré cela, le chancelier Scholz continue de fabriquer que la transition énergétique réussira et que d'ici 2030, 80 % de l'électricité proviendra d'énergies renouvelables. Ainsi, les interdictions de chauffage et les obligations de rénovation des bâtiments sont respectées, l'installation de pompes à chaleur – et surtout l'arrêt ce mois-ci des trois dernières centrales nucléaires restantes. Le gouvernement fédéral utilise le pied de biche pour poursuivre une politique qui a déjà échoué et est rejetée par une majorité écrasante de sa propre population.

    Les 10 % dominent-ils sur les 90 ? À qui répond exactement le chancelier Scholz ?

    https://joannenova.com.au/2023/04/88-of-germans-dont-believe-in-the-solar-and-wind-green-energy-transition/

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  43. Les OGM sont maintenant appelés bio-ingénierie aux États-Unis : pourquoi c'est important


    Par Maysie Dee
    Recherche mondiale,
    06 avril 2023


    Ce fut une lutte acharnée pour mettre en place des lois sur l'étiquetage des OGM, et maintenant les choses sont devenues plus compliquées. Avec le nouveau nom, Bioengineered, la présence d'OGM sera plus difficile à identifier dans vos achats alimentaires. Lisez la suite pour en savoir plus sur les changements et comment faire des choix judicieux concernant les aliments que vous mangez.

    À l'époque de nos arrière-grands-parents et grands-parents, on ne se préoccupait pas beaucoup de la pureté et de la salubrité des aliments, car la nourriture saine de la ferme à la table était la norme - pas un événement spécial. C'est-à-dire tant que les gens en amont n'ont pas pollué la rivière !

    Nos générations ont plus à penser, car plus de 80 % des aliments transformés aux États-Unis contiennent des organismes génétiquement modifiés. Le souci de la pureté des aliments a pris une tournure au début de l'année dernière, lorsque l'USDA (département de l'agriculture des États-Unis) a décidé de renommer les organismes génétiquement modifiés (OGM) en aliments issus de la bio-ingénierie (BE).

    Pendant de nombreuses décennies, les entreprises technologiques ont développé des moyens de modifier génétiquement, d'améliorer et (à leur avis) d'ajouter de la valeur aux aliments que nous cultivons et consommons. Il y a beaucoup d'écrits sur la "science" sommaire qui constitue la base de ce programme de modification des aliments.

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  44. Plutôt que de débattre de ces points, le principal problème est que la nouvelle désignation de BE comporte une échappatoire qui n'inclut pas certains aliments OGM. Malheureusement (mais sans surprise), cette nouvelle loi fédérale ne respecte pas les normes d'étiquetage des OGM.

    La nouvelle loi est entrée en vigueur en janvier 2022, sans grande fanfare, et la plupart des gens ne l'ont même pas remarquée. La loi stipule que pour être étiquetés comme BE, les aliments doivent contenir une quantité détectable de matériel génétiquement modifié. Malheureusement, de nombreux aliments génétiquement modifiés ne peuvent pas être testés et sont donc éliminés de l'exigence d'étiquetage.

    Quels aliments relèvent du parapluie bio-ingénierie (BE) ?
    L'USDA fournit une liste d'aliments contenant du matériel génétiquement modifié et nécessitant l'étiquette BE :

    Luzerne
    Pomme ArcticMC
    Colza
    Maïs
    Coton
    Aubergine Bt
    Papaye résistante au virus Ringspot
    Ananas rose
    Pomme de terre
    Saumon AquAdvantage®
    Soja
    Courge d'été
    Betterave à sucre

    De nombreux aliments transformés porteront désormais le label BE. Certains de ces aliments sont :

    Sodas/boissons gazeuses
    Aliments surgelés (repas et articles uniques)
    Soupes en conserve
    Produits de boulangerie
    Tofu à base de graines de soja OGM
    Lait non biologique fabriqué à partir de vaches nourries avec des produits de soja génétiquement modifiés
    Jus sucrés
    Vinaigrettes à base de canola, soja, maïs, tournesol, carthame OGM
    Céréales

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  45. Cependant, la nouvelle loi sur l'étiquetage n'inclut pas les produits fabriqués à partir de ces ingrédients de base et formant un nouveau produit. Il existe de nombreux produits fabriqués avec de nouvelles techniques OGM, dont on entend parler en ce moment dans l'actualité, par exemple : les techniques CRISPR , TALEN et RNAi . Ces techniques ne disposent pas de tests disponibles dans le commerce et il est impossible d'identifier les ingrédients génétiquement modifiés qu'elles contiennent ; par conséquent, ils sont exclus de l'exigence d'étiquetage BE.

    Le Projet Non-OGM fournit cette liste de produits exclus de l'étiquetage :

    Certains aliments destinés à la consommation humaine directe sont exemptés, comme la viande, la volaille et les œufs.
    Les produits multi-ingrédients dans lesquels la viande, la volaille ou les œufs sont le premier ingrédient répertorié sont exemptés même si d'autres ingrédients avec du matériel génétique modifié détectable sont inclus dans le produit.
    Les aliments pour animaux, les aliments pour animaux de compagnie et les produits de soins personnels sont tous exemptés de l'étiquetage BE.

    Pour donner un exemple, le projet non-OGM décrit l'étiquetage d'une boîte de soupe contenant du maïs BE, mais la liste des ingrédients de la soupe nomme la viande comme ingrédient principal (après l'eau et le bouillon ou le bouillon, qui sont négligés à cette fin ). Comme la loi n'exige pas que la viande BE soit étiquetée, la soupe n'a pas à identifier la présence de maïs BE dans la soupe. Cela signifie donc qu'une boîte de soupe à la crème de maïs contenant du maïs BE comme ingrédient principal doit être étiquetée, mais toute soupe en conserve contenant du maïs BE non comme ingrédient principal n'a pas besoin d'avoir une étiquette BE.

    Que signifie cette nouvelle loi pour le consommateur ?
    La réponse courte : la confusion

    Au cours des dernières décennies, de nombreuses organisations axées sur les consommateurs, dont le Non-GMO Project et Jeffrey Smith, de l' Institute for Responsible Technology , ont travaillé sans relâche pour éduquer le public sur les risques pour la santé des OGM et leurs effets sur l'environnement. À l'heure actuelle, la plupart des gens connaissent bien le concept d'OGM… et plus de 40 % de la population américaine veut savoir ce qu'il y a dans leur nourriture. Maintenant, le gouvernement fédéral a renommé les OGM (tout en excluant certains d'entre eux). La plupart des gens ne connaissent pas le terme bio-ingénierie (BE) et n'ont aucune idée que cela signifie que des organismes génétiquement modifiés se trouvent dans leur alimentation.

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  46. La langue est importante.

    Nous avons tous vu au fil du temps que la langue change et, lentement, le sens des mots change dans l'usage courant. Par exemple, dans les années 60, la chanson thème du dessin animé Flintstones mentionnait joyeusement avoir un « vieux temps gay » (comme dans : insouciant) mais de nos jours, vous ne pouvez pas utiliser cette phrase sans signifier quelque chose de complètement différent.

    Ou, que diriez-vous de l'utilisation en argot du mot "malade" pour signifier quelque chose de grand ? Ou un mec, utilisé pour désigner un homme travaillant dans un ranch, mais est maintenant utilisé comme un terme d'argot non spécifique au genre. Ou, comme sur la côte est des États-Unis, le terme « méchant » signifie vraiment bon, pas mauvais.

    Donc, c'est reparti, avec un changement de nom inutile et indésirable pour quelque chose que les gens ont fini par comprendre - les OGM.

    Ajoutez à cela la confusion du nouveau terme d'étiquetage : depuis des décennies, dans d'autres parties du monde, en particulier en Europe, le terme "Bio" ou "Biologishe" est devenu synonyme de produits biologiques naturels - l'exact opposé de ce nouveau BE utilisation du mot « BIO » aux États-Unis. En fait, l'un des plus grands salons de produits biologiques de toute l'Europe, auquel participent des milliers d'entreprises d'aliments et de produits biologiques du monde entier, s'appelle BIOFACHE.

    Ainsi, cette nouvelle définition du mot « Bio » sert également à saper l'usage compris et accepté de la terminologie couramment utilisée par ceux qui veulent savoir que leurs produits alimentaires et de soins personnels n'ont pas été modifiés en laboratoire. Cela semble être encore un autre plan conçu par ces personnes morales qui sont poussées à bricoler avec la génétique.

    Au cours des dernières années, le public est devenu plus conscient de ce qui peut arriver lorsque la « thérapie » génique à base d'ARN et d'ADN est introduite dans la population. Il me semble que ce nouveau nom bio-ingénierie pour les OGM est une tentative de masquer le fait que ces produits sont génétiquement modifiés.

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  47. Cela s'inscrit parfaitement dans le programme promu par le Forum économique mondial (WEF) pour créer une quatrième révolution industrielle. Le leader du WEF, Klaus Schwab, n'hésite pas à annoncer que leur objectif est de « fusionner nos identités physiques, numériques et biologiques ». Si cela vous sonne l'alarme, vous pouvez également consulter notre article sur la compréhension de l'ingénierie sociale et comment elle s'insinue dans notre monde (et pas de la manière la plus positive !).

    Pourquoi voudriez-vous éviter les aliments OGM et BE ?

    Nous avons déjà mentionné que pendant que les consommateurs moyens vaquent à leurs occupations quotidiennes, les grandes entreprises technologiques (fabricants de produits chimiques et alimentaires) créent activement de nouveaux OGM dans leurs laboratoires. Ces aliments ont également été surnommés "Frankenfoods" car, comme Frankenstein, le mélange, l'appariement et l'épissage du matériel génétique dans un laboratoire ont des conséquences non testées et invisibles.

    Cependant, ceux qui sont impliqués dans les pratiques affirment que ce qu'ils font n'est pas très différent du croisement traditionnel, mais les changements se produisent juste un peu plus rapidement. Tout en allant de l'avant avec leur programme de modification génétique de nos approvisionnements alimentaires, ils ne répondent pas non plus aux préoccupations des consommateurs concernant les allergies, le cancer et les problèmes environnementaux entourant ces produits modifiés.

    Cette attitude est déconcertante car elle ne tient pas compte des micro-changements très complexes du monde naturel qui se produisent sur de longues périodes. Je remets cela en question chaque fois que je vois un article répertorié sur une étiquette alimentaire comme « identique à la nature » - ce qui signifie qu'il a été produit chimiquement en utilisant les mêmes composants chimiques d'un article naturel - mais est-il vraiment identique ?

    Si oui, pourquoi ne pas utiliser l'ingrédient naturel ? Je ne pense pas qu'il soit identique, même s'il a la même composition chimique, car il ne provient pas d'un milieu naturel. Il y a tellement de choses qui contribuent aux composants d'un fruit ou d'un légume cultivé dans la nature. Que vous considériez les oiseaux, les abeilles, le vent, la lumière du soleil, le sol, l'eau, même l'attention bienveillante du fermier présent - toute cette synergie s'ajoute pour créer un aliment nourrissant que nous pouvons utiliser pour notre santé.

    Contourner ces facteurs contributifs naturels semble irresponsable. Il ne produira pas le même résultat si nous accélérons l'évolution naturelle de quelque chose en le reproduisant artificiellement dans un environnement de laboratoire. Tout comme Frankenstein, il faut du temps pour savoir quels seront les effets du bricolage avec la nature. Dans un monde qui se précipite toujours pour accomplir plus, gagner plus, faire plus, remplir vos journées au maximum… nous avons tendance à aller plus loin avec l'idée qui a inspiré le mouvement Slow Food… prenez le temps d' apprécier la nourriture naturelle à mesure qu'elle pousse dans son propre temps.

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  48. Conclusion

    Qu'on le veuille ou non, l'USDA a pris la décision de changer le nom des OGM et cela se reflète dans leur étiquetage requis. Lorsque vous voyez le nouvel étiquetage circulaire sur les aliments emballés qui indique soit « issu de la bio-ingénierie », soit « issu de la bio-ingénierie », vous devez savoir que cela signifie que des organismes génétiquement modifiés (OGM) sont contenus dans ces aliments.

    Dans le même temps, tous les aliments contenant des OGM ne seront pas tenus d'avoir une étiquette BE. Puisque vous ne pouvez plus être sûr qu'un produit ne contient pas de matériel génétiquement modifié, la meilleure façon d'éviter ces produits est de :

    assurez-vous d'acheter des produits biologiques dans la mesure du possible
    évitez les aliments transformés, ou si vous en utilisez, utilisez ceux qui contiennent des ingrédients biologiques
    recherchez les étiquettes sans OGM ou l'étiquette papillon du projet sans OGM qui garantit l'absence d'ingrédients BE dans les produits portant l'étiquette
    essayez d'acheter auprès de petits agriculteurs et producteurs locaux qui partagent votre point de vue sur les OGM
    Si vous n'êtes pas sûr d'un produit, notre devise est toujours : "En cas de doute, laissez-le de côté !"

    En cas de doute, faites des recherches afin d'être mieux informé sur les produits BE. Et, si vous le souhaitez, déterminez comment vous pouvez les éviter. À tout le moins, vous êtes maintenant au courant de la nouvelle étiquette et de ce qu'elle signifie, vous pouvez donc prendre des décisions éclairées sur ce que vous mangez pour votre santé.

    *

    Cet article a été initialement publié sur le site Web de l'auteur, Enchanted SpiceBox .

    https://www.globalresearch.ca/gmo-now-called-bioengineered-usa-why-this-matters/5815073

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  49. « 170 pesticides différents retrouvés dans l'environnement, chez les animaux et chez l'homme aux Pays-Bas »


    6 Avril 2023
    Wageningen University & Research*


    Mes pérégrinations cybernétiques m'ont amené à un communiqué de presse de l'Université de Wageningen assez inquiétant. Un projet européen a tout l'air d'une vaste opération d'enfumage digne d'une entreprise française incorporée sous forme d'association loi 1901 et bénéficiant d'un généreux financement du biobusiness dans une relation à bénéfices mutuels.

    On a trouvé des tas de pesticides ? Et alors ? À quelles doses ? Ce n'est pas précisé...

    Serait-ce pour créer une ambiance propice à l'adoption du projet de règlement SUR (sustainable use [of pesticides] regulation) ? Il faudra attendre l'article scientifique (ou « scientifique ») pour voir.

    La personne à contacter est Mme Violette Geissen... C'est tout vu en ce qui me concerne, même s'il s'agit ici d'une étude essentiellement observationnelle...

    le 2 février 2023

    Le projet européen SPRINT, financé par la Commission Européenne, mène des recherches à grande échelle sur la présence de pesticides dans l'environnement, chez les animaux et chez l'homme. Les résultats provisoires montrent qu'un mélange de résidus de pesticides peut être trouvé presque partout dans l'environnement, ainsi que chez les animaux et les humains. Des recherches supplémentaires devraient révéler les effets de ces mélanges de substances sur la santé.

    Les pesticides chimiques sont utilisés dans l'agriculture depuis les années 1960 pour protéger les cultures contre les maladies et les parasites. Certaines substances sont désormais interdites en raison de leurs effets nocifs sur l'homme et l'environnement, tandis que d'autres sont toujours sur le marché. En Europe, près de 500 pesticides sont commercialisés. Le nombre et la quantité de pesticides utilisés, les résidus effectivement présents dans l'écosystème et chez l'homme, ainsi que les effets des mélanges de résidus sur l'écosystème et la santé humaine n'ont pas encore été étudiés à l'échelle (inter)nationale.

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  50. Test sur 207 pesticides différents

    Au cours des deux dernières années, l'étude a examiné les quantités de résidus de pesticides que l'on peut trouver dans l'environnement, chez les animaux et chez l'homme. Dans dix pays européens et en Argentine, les chercheurs de SPRINT ont prélevé des échantillons de sol, d'eau de surface, de sédiments, de poussière domestique et d'air. Ils ont également prélevé du sang sur plus de 700 personnes et examiné des échantillons de selles et d'urine.

    Les échantillons ont été testés pour 207 pesticides différents, dont 151 ont été autorisés sur le marché et 56 ont été rejetés. Cependant, des résidus de ces pesticides peuvent encore être trouvés après des années.

    Le glyphosate est le plus fréquemment trouvé

    Aux Pays-Bas, des recherches ont été menées auprès de 24 agriculteurs de Groningue et de Frise, qui cultivent principalement des pommes de terre, et de leurs environnements, ainsi qu'auprès de 24 habitants de la ville de Groningue. Au total, 170 substances différentes ont été trouvées. C'est l'herbicide glyphosate qui a été trouvé le plus souvent et en plus grande quantité.

    L'étude a porté à la fois sur l'agriculture conventionnelle et sur l'agriculture biologique. Des résidus ont également été trouvés chez les agriculteurs biologiques, où l'utilisation de pesticides chimiques est interdite. Les quantités trouvées étaient toutefois plus faibles en moyenne. Par rapport à d'autres pays, les Pays-Bas se situent dans le haut du panier en ce qui concerne les résidus dans l'environnement et chez l'homme dans le cadre de l'agriculture conventionnelle.

    Aux Pays-Bas, des mélanges de résidus ont été trouvés dans presque tous les échantillons. La poussière domestique se distingue avec plus de 144 résidus, et souvent plus de 100 substances ont été trouvées dans les échantillons de poussière domestique. Environ trois quarts des substances trouvées sont autorisées sur le marché, un quart sont interdites.

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  51. Réduire de moitié d'ici à 2030

    L'Union Européenne souhaite réduire de 50 % l'utilisation des pesticides chimiques d'ici à 2030, comme le prévoit la stratégie « de la ferme à la table ». Les résultats de l'étude SPRINT peuvent être utilisés dans cette transition vers une utilisation moindre et plus durable des pesticides dans l'agriculture.

    Au cours des deux prochaines années, les risques des résidus trouvés dans l'écosystème et chez les humains seront étudiés. Pour ce faire, une collaboration avec des instituts de toxicologie de toute l'Europe sera mise en place. Une boîte à outils est également en cours d'élaboration au niveau européen afin que les risques puissent être identifiés plus rapidement. Avec un large groupe de parties prenantes, les chercheurs tentent d'identifier les goulets d'étranglement afin d'accélérer la transition vers une protection durable des cultures.

    Les résultats de cette première phase feront l'objet d'une publication scientifique dans les mois à venir.
    _______________

    * Source : 170 verschillende bestrijdingsmiddelen aangetroffen in milieu, dieren en mensen in Nederland - WUR

    https://seppi.over-blog.com/2023/04/170-pesticides-differents-retrouves-dans-l-environnement-chez-les-animaux-et-chez-l-homme-aux-pays-bas.html

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    1. 😎 99,99 % des pesticides que nous ingérons sont produits par les plantes elles-mêmes

      https://huemaurice5.blogspot.com/2018/12/9999-des-pesticides-que-nous-ingerons.html

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  52. Le nucléaire durable de quatrième génération : une nécessité morale

    Le nucléaire durable de quatrième génération est une solution éthique et écologique pour l’avenir.


    le 6 avril 2023
    Michel Gay


    Cet article s’inspire de points saillants du livre de Claire Kerboul L’urgence du nucléaire durable à mettre entre les mains du plus grand nombre.

    Le nucléaire actuel n’est pas durable. Le développement du nucléaire durable de quatrième génération pour fournir à la France l’énergie dont elle a besoin, en économisant la ressource, reste à mettre en œuvre. Et bien que les échéances paraissent encore lointaines à certains décideurs, c’est une nécessité morale urgente au regard des futures générations pour ne pas épuiser, au cours de ce siècle, le seul élément fissile sur Terre, l’uranium 235.

    Durable ?

    Le nucléaire actuel est une source d’énergie peu émettrice de gaz à effet de serre pour produire de la chaleur et de l’électricité mais il utilise très mal la ressource : 1 % de l’uranium naturel. Ce dernier est composé de 99,3 % d’uranium 238 (U238), et de 0,7 % d’uranium 235 (U235).

    Et l’U235 est le seul élément terrestre, un don de Dieu (?), qui permet d’initier et d’entretenir une réaction nucléaire en chaîne dans les réacteurs. Sans lui, il ne serait plus possible de démarrer et d’entretenir une réaction nucléaire en chaîne, y compris avec du thorium, nulle part dans le monde.

    De plus, le nucléaire actuel produit des déchets radioactifs de haute activité à vie longue (transuraniens) qui pourraient être fissionnés dans un réacteur durable pour produire de l’électricité. Les seuls déchets ultimes à vie beaucoup plus courte (quelques dizaines d’années) seraient les produits de fission.

    Le nucléaire actuel n’est donc pas durable…

    Or, celui-ci existe et son développement doit se préparer maintenant afin de ne pas « brûler » définitivement au cours de ce siècle la seule matière fissile naturelle sur Terre à l’origine de toutes les réactions nucléaires, l’U235.

    Cette exigence de durabilité implique, comme pour toute filière de production industrielle, d’utiliser avec parcimonie la ressource naturelle et de minimiser les déchets ultimes produits.

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  53. Voici un conte horrible

    Un jeune fermier hérite d’une belle ferme dotée de meubles, de charrettes et d’outils. Étant imprévoyant et adepte de la facilité, pour se chauffer il décide de brûler dans sa cheminée les meubles, les charrettes et les manches d’outils ainsi que tous les objets en bois de la ferme parce que c’est plus simple et moins cher que d’aller le scier dans l’immense forêt pourtant proche.

    Il décide aussi d’aller vendre à bas prix ce petit bois sur le marché extérieur (à l’export). Les affaires sont prospères car les autres vendeurs des fermes environnantes utilisent le bois de forêt qu’il faut extraire avec peine. Aussi décident-ils tous de briser les meubles, les manches d’outils, les charrettes et même les charpentes de leur ferme parce que c’est effectivement plus simple et qu’ils deviennent ainsi concurrentiels.

    Vendeurs et clients, cherchant toujours les prix les plus bas, sont satisfaits durant « un certain temps » de ce commerce de bon bois sec qui brûle bien.

    Soudain, les fermiers s’aperçoivent tous ensemble que la ressource s’est tarie dans leur ferme. Mais il ne reste plus d’outil ni de charrette pour extraire le bois de l’immense forêt et il n’y a plus aucun bois de chauffe à acheter nulle part.

    Au milieu de leur ferme détruite et vide, dans le froid de l’hiver et sous la pluie, il ne reste plus aux fermiers qu’à gémir sur leur imprévoyance, et aux clients à maudire leur avidité qui les a rendus aveugles.

    Ce conte désespérant représente exactement la situation de l’énergie nucléaire actuelle en France et dans le monde.

    Les fermiers sont les décideurs politiques de la stratégie énergétique des fermes-États.

    Le bois « de ferme » est l’uranium 235 (U235).

    L’immense forêt est l’uranium 238 (U238) dont la gigantesque énergie durable ne peut être extraite que grâce à l’outil U235… tant qu’il existe.

    Les clients sont les États qui achètent des centrales nucléaires de troisième génération bon marché consommant l’U235, rare dans la nature au regard de l’U238 cent fois plus abondant.

    La morale de cette histoire : arrêtons de brûler les meubles (l’U235) de la maison Terre pour se chauffer et allons utiliser le bois de chauffe disponible (U238) dans l’immense forêt proche !

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  54. Des neutrons « lents » et « rapides »

    Les réacteurs nucléaires dits « à neutrons lents » (RNL) de deuxième génération (REP) et troisième génération (EPR) actuellement en exploitation ont l’avantage de produire aujourd’hui l’électricité pilotable décarbonée (4 grammes de gaz carbonique par kilowattheure (ggaz carbonique/kWh) en France et 12 ggaz carbonique/kWh dans le monde) la moins chère, avec celle issue de l’hydraulique des barrages.

    L’électricité nucléaire produit deux fois moins de gaz carbonique que l’éolien (10 ggaz carbonique/kWh), 12 fois moins que le photovoltaïque (30 g), 100 fois moins que le gaz (418 g), 200 fois moins que le pétrole (730 g), et 250 fois moins que le charbon (1058 g). Et l’occupation au sol du nucléaire est 50 à 300 fois moindre que celle des autres sources d’énergie bas carbone pour une même production d’électricité.

    Mais les réserves de l’uranium naturel (contenant seulement 0,7 % d’U235) actuellement consommé par ces réacteurs « RNL » sont estimées à environ un siècle à peine pour le parc mondial actuel appelé à croître de 45 % d’ici à 2040 (chiffres 2020 de l’Agence Internationale de l’Énergie).

    Cet immense gaspillage des RNL depuis une cinquantaine d’années n’est pas « durable » car ces réacteurs utilisent moins de 1 % de l’uranium naturel, alors que 100 % (100 fois plus !) pourraient être utilisés dans la quatrième génération de réacteurs dits « à neutrons rapide » (RNR) qui, elle, est durable.

    Dans le nucléaire, 238 vaut 100 fois plus que 235 !

    Le mot durable doit s’entendre dans la définition que lui donne l’ONU pour la première fois, en 1987, afin de définir le développement durable : « développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs ».

    Attention : Un RNR est « durable » non pas uniquement parce qu’il est « durable dans le temps », mais aussi parce qu’il économise beaucoup la ressource et réduit sensiblement la production de déchets, selon la définition première de l’ONU en 1987.

    Le renouvelable n’est pas nécessairement durable

    Les centaines de milliards d’euros engloutis en Allemagne et en France dans le développement à marche forcée des énergies renouvelables éoliennes et photovoltaïques par nature intermittentes et aléatoires (EnRI), ainsi que la prévision, insuffisante pour le moment, de lancement de la construction d’une douzaine de RNL « EPR2 » risquent de conduire la France à manquer d’énergie et notamment d’électricité dans quelques dizaines d’années.

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  55. Elle dispose pourtant sur son sol d’une énorme quantité de matière énergétique pour des RNR (plus de 400 000 tonnes d’uranium, soit deux fois les réserves mondiales en équivalent pétrole) qui permettrait d’assurer ses besoins en électricité pendant des milliers d’années.

    L’impact important des panneaux photovoltaïques et éoliennes, dites « énergies renouvelables », sur les ressources en terres rares, leurs conséquences environnementales et leur bilan carbone global qui n’est pas favorable au climat avec leurs externalités (batteries, centrales de compensation au gaz et au charbon) illustrent la différence de sens entre renouvelable et durable.

    Ces EnRI ne peuvent pas suivre les variations de la demande et doivent être complétées le plus souvent par des moyens thermiques alimentés en énergie fossile, ce qui dégrade significativement le bilan carbone du système complet. Leurs productions ingérables nécessitent d’immenses stockages (inexistants) d’électricité, et ne sont donc pas « durables ».

    L’hydroélectricité serait une bonne solution partielle de stockage mais son potentiel est limité par le nombre de sites disponibles.

    Les EnRi sont des solutions malhonnêtes qui brouillent parfois les esprits en France et en Europe.

    Dans ces conditions, le nucléaire durable des RNR apparaît alors comme LA seule solution pour fournir sur le long terme une électricité décarbonée, massive, propre, largement pilotable et disponible à toute heure, jour et nuit, afin de prendre le relais des actuels réacteurs RNL (REP et EPR).

    Pourtant, dans certains cercles de pouvoir, dans de nombreux grands médias, et y compris au sein même d’institutions d’enseignement, il est littéralement impensable que le nucléaire puisse être une ressource énergétique vertueuse ! L’opinion et les croyances y surpassent le savoir.

    Pourquoi ce gâchis ?

    Au début de l’aventure électronucléaire, économiser la ressource qui était bon marché et réduire les déchets n’était pas la priorité.

    Le seul argument qui va prévaloir pendant des décennies, et encore aujourd’hui, sera économique. Seule une augmentation excessive du coût de l’uranium aurait pu justifier la construction de RNR, ce qui ne sera pas le cas. L’uranium naturel est aujourd’hui toujours bon marché et ne compte quasiment pour rien (environ 5 %) dans le coût de production, et 2 % dans le prix de vente aux particuliers. Le déni de la finitude des ressources naturelles et son gaspillage continuent.

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  56. La recherche du prix le plus bas a conduit EDF à privilégier les RNL pour être compétitif face au gaz bon marché à l’époque, et surtout au charbon toujours très bon marché.

    Le CEA indique dans son étude de décembre 2012 :

    « Le développement des systèmes de quatrième génération, basés sur le recyclage dans des RNR, de l’uranium et du plutonium contenus dans les combustibles usés, constitue une perspective de production d’une électricité sans émission de gaz à effet de serre, sûre et économiquement compétitive répondant aux objectifs d’une gestion durable des matières nucléaires ».

    Or, le nucléaire est encore exploité aujourd’hui avec les premières technologies RNL conçues pour fissionner l’U235, et quasiment rien d’autre (12 % de Pu239 au mieux).

    Seuls les RNR peuvent fissionner tous les noyaux (uranium, plutonium et transuraniens) disponibles, fissiles ou pas.

    Aujourd’hui, la ressource naturelle d’uranium doit être préservée car, comme toutes les ressources issues de la Terre, elle est limitée, surtout par sa faible teneur en U235. Cette ressource doit être utilisée le plus efficacement possible et avec parcimonie dans des RNR alors qu’elle est aujourd’hui gaspillée dans des RNL. Sinon l’humanité répétera l’erreur qui a consisté à brûler en à peine plus de deux siècles les réserves d’énergies fossiles accumulées pendant des centaines de millions d’années.

    En résumé, l’U235 est à consommer avec modération… si l’humanité veut pouvoir utiliser l’U238 sans modération pour les générations à venir… bien au-delà de ce siècle !

    Pourtant, depuis 30 ans, cette notion de gaspillage de la ressource ne choque personne au sein de cette filière industrielle.

    Les RNR surgénérateurs

    Par le phénomène remarquable de « surgénération », les RNR sont durablement « autonomes » en produisant leur propre matière fissile qui leur servira de combustible, le plutonium (Pu239), formé à partir de l’U238. C’est le meilleur exemple possible d’économie circulaire dans le domaine nucléaire.

    Puisque le combustible U238 pour les RNR est déjà présent en France en grande quantité, l’énergie ainsi produite n’a plus à intégrer les coûts et les dégâts environnementaux actuels de l’amont du cycle (extraction minière et enrichissement).

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  57. De plus, ces RNR recyclent en les « brûlant » la partie des déchets à vie longue produits par les RNL, les « transuraniens ». Au final, il ne reste donc plus que des produits de fission à vie nettement plus courte ce qui réduit considérablement la durée du stockage géologique en la ramenant à 500 ans.

    Outre l’avantage principal de préservation des ressources pour les futures générations, les coûts globaux de production d’électricité des RNR doivent tenir compte de ces économies substantielles en amont et en aval de cette industrie.

    Enfin, les RNR, notamment ceux refroidis au sodium, ont un meilleur rendement thermodynamique en produisant de la vapeur à plus haute température que les RNL (43 % à comparer à environ 33 % pour un RNL à eau pressurisée), ce qui permet de produire encore davantage d’électricité avec une même quantité d’uranium.

    Voilà les raisons profondes et fortes qui militent pour un développement urgent du nucléaire durable avec des RNR de quatrième génération, dont la montée en puissance en France et dans le monde se déroulera en parallèle avec des RNL qui fourniront le Pu239 indispensable à leur démarrage… pour économiser l’U235.

    Les fausses solutions

    Certains préconisent la mise au point de réacteurs au thorium alors qu’on dispose de quantités considérables d’uranium, le multirecyclage en RNL qui revient à transmuter le plutonium en déchet, ou encore d’attendre une lointaine et peut-être chimérique fusion nucléaire pour la production d’électricité.

    Il faut se méfier des idées fausses et des diversions qui détournent l’attention des véritables solutions, dispersent les finances et les talents et empêchent d’avancer efficacement dans la bonne direction. La magie utilise aussi le détournement d’attention qui est une technique essentielle à la base de toute illusion… pour tromper les sens.

    Attention : par manque d’anticipation sur ce futur de la filière « surgénératrice », les matières stratégiques Pu239 et U238 pourraient être perdues si rien n’est fait pour montrer leur future utilité, car l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) serait alors en droit d’exiger leur classification définitive en déchets.

    Le besoin d’une vision large

    Aujourd’hui, la France n’a plus de vision globale et à long terme de politique énergétique. Elle semble davantage gouvernée par l’idéologie que par les faits depuis plusieurs décennies. Le divorce semble prononcé entre l’action politique et la raison. Est-ce définitif ?

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  58. Les véritables experts (et non les pseudo-experts autoproclamés) regardent consternés l’incohérence des lois et des plans successifs censés poser le cadre d’une « transition écologique » sur laquelle personne ne s’accorde vraiment. Abandon de l’électronucléaire ? Déploiement tous azimuts d’énergies renouvelables intermittentes sous perfusion de charbon et de gaz ? Les deux « en même temps » ? Selon quel dosage ?

    Ce plaidoyer pour le développement urgent d’un nucléaire durable fondé sur des RNR de quatrième génération constitue un appel aux présidents de la République française actuel et futurs en faveur d’une vision stratégique à long terme impliquant un changement de cap radical.

    Il s’agit de refonder la filière nucléaire pour l’engager dès maintenant sur la voie du nucléaire durable avec des RNR surgénérateurs, en s’appuyant au début sur le trésor stratégique (Pu239 produit par les REP et EPR actuels et stocks d’uranium naturel appauvri) pour que le nucléaire devienne l’énergie durable de la France, comme elle est en train de le devenir dans le monde (cf. Rapport AIE 2020).

    La compréhension de cette réalité par nos gouvernants leur permettra d’aboutir à une vision claire de la politique énergétique indispensable à la prospérité de la France. Ensuite, une ferme volonté conditionnera sa mise en œuvre dans la durée.

    Un homme courageux et clairvoyant viendra-t-il un jour prochain, (sans tarder) aux portes de la Cité pour donner à la France l’énergie de son futur ?

    https://www.contrepoints.org/2023/04/06/453924-le-nucleaire-durable-de-quatrieme-generation-une-necessite-morale

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  59. L’élite européenne en marche pour contrôler nos vies et notre économie

    Reconnaissance faciale, système d’intelligence artificielle et score social : la France s’engage-t-elle dans une surveillance de masse ?


    le 6 avril 2023
    François Jolain


    À la chute de l’URSS, l’élite européenne a perdu son modèle de bonheur et de prospérité. Heureusement, elle semble avoir fait le deuil des 100 millions de morts de son idéologie préférée. Car seulement 30 ans après la chute de l’URSS, la voilà de nouveau en marche pour contrôler nos vies et notre économie.

    Depuis maintenant 30 ans, notre élite copie sur son nouveau maître à penser chinois qui lui souffle toutes les tendances autoritaires.

    Le score social est bien arrivé en Europe, votre nombre de doses de vaccin définissait vos droits. La BCE fonce vers son euro numérique qui va permettre un contrôle total de nos finances (décortiqué dans un article). Il permet aussi bien de geler l’argent de n’importe quel citoyen trop critique à l’égard du Parti. Mais également imposer des quotas de transaction : seulement 50 euros d’essence par semaine, un billet d’avion par an, etc.

    Enfin la reconnaissance faciale tant convoitée par notre élite est arrivée dans notre pays. Le Parlement a voté le projet de loi, et notamment l’article 7 :

    À titre expérimental et jusqu’au 30 juin 2025, à la seule fin d’assurer la sécurité de manifestations sportives, récréatives ou culturelles, qui, par leur ampleur ou leurs circonstances sont particulièrement exposées à des risques d’actes de terrorisme ou d’atteinte grave à la sécurité des personnes, les images collectées au moyen de systèmes de vidéoprotection […] peuvent faire l’objet de traitements comprenant un système d’intelligence artificielle.
    Analysons ces termes.

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  60. Système d’intelligence artificielle

    La fameuse Intelligence Artificielle (IA) fait beaucoup parler d’elle. Elle a réponse à tout avec chatGPT, peut dessiner n’importe quoi avec Midjourney ou Dall-e. Dans nos smartphones, l’IA permet déjà d’extraire du texte des images ou de détecter des objets et des visages de nos photos.

    Mais l’IA va plus loin. En détectant les visages, elle peut aussi retrouver l’identité de la personne en mesurant l’espacement des yeux, du nez et des oreilles. Elle peut comparer ces données biométriques avec une base pour retrouver l’identité de la personne. Or des bases de données regroupant les visages des personnes avec leur identité existent, il s’agit des réseaux sociaux, tels Facebook, Instagram ou Tiktok.

    Le gouvernement dispose donc de toute la technologie pour traquer tous ses citoyens à chaque instant juste en déployant des caméras dans les rues.

    Le Parti chinois a déjà déployé cette surveillance dans ses rues. Le Parti européen pousse cette solution, le Parlement français vient de franchir le pas.

    Manifestations sportives, récréatives ou culturelles

    … qui, par leur ampleur ou leurs circonstances sont particulièrement exposées à des risques d’actes de terrorisme ou d’atteinte grave à la sécurité des personnes.

    Si ce dispositif ne sert que pour les JO de 2024, pourquoi ne pas avoir écrit « durant les JO de Paris en 2024 » ? Le choix de termes flous est voulu pour pérenniser la surveillance en dehors de Paris et des JO. Nos élites profitent d’un évènement exceptionnel pour mettre en place une surveillance permanente.

    On peut même imaginer que les « manifestations culturelles » concernent toute manifestation contre le Parti afin de traquer les citoyens opposants.

    Qui croire ?

    Plus loin dans l’article nous trouvons :

    … ces traitements n’utilisent aucun système d’identification biométrique, ne traitent aucune donnée biométrique et ne mettent en œuvre aucune technique de reconnaissance faciale.

    C’est en contradiction avec l’utilisation du « système d’intelligence artificielle » cité plus haut. Mais s’ils prennent la peine de se contredire c’est qu’une fois installés, nous n’avons que cette promesse de députés pour éviter la surveillance biométrique.

    Devant une caméra comment savoir si elle est allumée ou éteinte ? Si son contenu est analysé pour identifier les citoyens ou non ?

    Tout ce traitement est caché du citoyen, parfaitement réfutable par le gouvernement, impossible à auditer par le citoyen.

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  61. Faisons les comptes

    L’Union européenne souhaite espionner nos conversations privées. Mais Ursula von der Leyen ne veut pas rendre publique ses conversations avec le patron de Pfizer, ni les contrats.

    L’Union européenne veut interdire le cash et les crypto pour tout achat de plus de 1000 euros. Dans le même temps, on retrouve 1 500 000 euros en cash venant du Qatar chez une eurodéputée.

    La France fait la chasse à l’évasion fiscale. Mais le maigrichon patrimoine de Macron reste un mystère.

    On peut se retrouver en garde à vue pour insulte à Macron. Mais Macron peut lui nous « emmerder. »

    À cela s’ajoute la note sociale, la reconnaissance faciale, la monnaie numérique traçable, les lois arbitraires sur les logements ou les voitures.

    Nous sommes bien en Chine… la croissance économique en moins.

    https://www.contrepoints.org/2023/04/06/454120-lelite-europeenne-en-marche-pour-controler-nos-vies-et-notre-economie

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    1. Pourquoi cet espionnage des communications au lieu tout simplement de demander, poser la question au Peuple ? Parce que le Peuple est des dizaines de millions de fois plus intelligent que les trisomiques au pouvoir ! Et donc que les Gréta, les Gréto, Grétu et Grété-Gréti n'étant pas à la hauteur pour comprendre relègue même cette haute fonction à... à l''Intelligence Artificielle' ! Houlala ! Et donc, cette IA devient traductrice indépendante de signes de sourds-muets à l'interprétation perso ! ÔH PUTAING ! (Posez la question à votre réveil pourquoi qui sonne à 7 h ou à votre chien, c'est pareil).

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  62. Un génocide des plus parfaits


    Par le Dr Emmanuel Garcia
    Recherche mondiale,
    05 avril 2023


    Me voici donc, assis dans un fauteuil en cuir richement ouvragé, un scotch brut de fût à mon coude et un cigare cubain aux lèvres. Je souffle et regarde les ronds de fumée monter vers le haut plafond et se tourner vers mes camarades, et leur proposer mon plan.

    Oui, nous avons tous été alarmés et dégoûtés par le fluage bouillonnant de la lie de l'humanité - tant de gens, de si mauvais goûts, les piercings et les tatouages ​​et la musique terrible, leur fécondité. Nous savons tous qu'il faut faire quelque chose. Ce vaste monde devrait être notre terrain de jeu, avec ses collines verdoyantes, ses pentes enneigées, ses eaux invitantes - pas un asile bondé pour ceux qui ne sont pas lavés et sans imagination, pour ceux qui n'ont aucun flair créatif quand il s'agit d'utiliser le pouvoir.

    Nous savons que pendant un certain temps, la plupart, dans leurs illusions, ont chéri leur soi-disant individualité et autonomie. Ils ont voyagé beaucoup plus loin qu'ils n'auraient dû l'être, et beaucoup moins cher que jamais. Les notions de justice et d'opportunité, d'égalité et de leurs droits inaliénables… ils n'ont jamais réalisé qu'il ne s'agissait que d'un mirage passager. Peut-être leur avons-nous donné un peu trop de latitude ?

    Néanmoins, il est temps de les maîtriser, de leur montrer qui est qui.

    Notre plan est en gestation depuis longtemps. Nous savons comment ils pensent, comment ils convoitent, comment ils réagissent, comment ils se comportent, nous savons à quel point ils sont craintifs dans l'âme, et à quel point ils sont crédules, naïfs. Nous savons à quel point ils peuvent semer la discorde lorsqu'ils sont aiguillonnés. Nous savons comment ils prennent l'appât.

    Et nous avons perfectionné le spectacle, n'est-ce pas ? Le grand spectacle, l'événement captivant et choquant qui hypnotise et suscite l'admiration : un tireur solitaire au sixième étage du Texas School Books Depository à Dallas, des voyages sur la lune, des avions de ligne étrangement mais habilement réquisitionnés qui s'écrasent sur les tours jumelles qui s'effondrent à la vitesse de gravité…

    Mais ça, ça doit être notre chef-d'œuvre, notre crime parfait.

    Bien que les nazis aient réalisé beaucoup de choses dans le domaine du meurtre mécanique, leur approche n'aurait jamais marché. Non, le monde est bien trop grand et, de plus, nous aimons – nous chérissons – des mains plus propres.

    Nous libérons donc un agent pathogène dans un endroit lointain et exotique. Ce pathogène n'est pas particulièrement nocif, bien qu'il puisse causer une certaine détresse et souffrance et même, chez ceux qui ne sont pas en si bonne santé au départ, la mort.

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  63. Les masses seront reconnaissantes de notre inquiétude, de la dure bienveillance de leurs gouvernements, de leurs autorités médicales, de leurs médias de confiance bien-aimés.

    Et avec le temps, ils tombent, ils tombent malades, seuls et en multitude, au fil des ans.

    Ce ne sera pas la plus pure des ardoises, mais plutôt un vannage, une coupe prudente.

    Et puis ?

    Nous devrons garder un œil sur les insurgés, sur les refuzniks, sur les manifestement insensés, de peur que leurs préoccupations ne se propagent parmi la multitude réduite. Il n'y en aura pas beaucoup, n'est-ce pas ? Et ils seront facilement identifiables.

    Pendant ce temps nous rêvons. Notre richesse a triplé. Nous fusionnons notre vision mécaniste de la vie avec nos machines. Nous devenons alors, je pense, pour toujours. Ces autres qui survivent ne seront-ils pas alors reconnaissants de servir ?

    Un chaleureux murmure d'accord gronde dans le club, les verres sont trinqués, d'autres cigares sont coupés, les juvéniles sont prêts à notre entière disposition.

    « Comment l'appellerons-nous, messieurs ? Je demande.

    Cela prend du temps… nous ergotons longtemps dans la nuit et le jour avec la « réinitialisation », le « nettoyage », la « renaissance » et même le désagréable « génocide ». Mais quel que soit le terme que nous employons, nous sommes d'accord : c'est le plus parfait.

    N'est-ce pas ?

    *

    Le Dr Garcia est un psychanalyste et psychiatre né à Philadelphie qui a émigré en Nouvelle-Zélande en 2006. Il est l'auteur d'articles allant de l'exploration de la technique psychanalytique à la psychologie de la créativité en musique (Mahler, Rachmaninov, Scriabine, Delius) et à la politique. Il est également poète, romancier et directeur de théâtre. Il a pris sa retraite de la pratique psychiatrique en 2021 après avoir travaillé dans le secteur public en Nouvelle-Zélande. Visitez sa sous-pile sur https://newzealanddoc.substack.com/

    https://www.globalresearch.ca/most-perfect-genocide/5814958

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  64. Les dossiers de Medicare montrent clairement que les vaccins tuent des gens

    Le CDC pourrait rendre publics instantanément les enregistrements de décès par vaccination dans Medicare. Mais ils ne le feront pas. Je vais vous montrer pourquoi dans cet article d'une manière que tout le monde peut comprendre.


    Steve Kirsch
    5 avril


    Résumé

    Chaque État possède à la fois des bases de données sur les décès et les statuts vax. Une simple fusion des deux tableaux (en utilisant le nom, le SSID, la date de naissance, le sexe, etc.) nous indique, pour chaque personne décédée, combien de jours se sont écoulés depuis chaque dose de vaccin. Lorsque vous tracez cela pour les données de Medicare, il est "supposé" être indépendant de la dose car le vaccin est "censé" n'avoir aucun impact sur la mortalité. Ce devrait être juste le taux de mortalité de fond, peut-être avec les décès dus au COVID aplatis si cela fonctionne comme annoncé.

    La réalité est que les courbes ne sont pas des versions décalées horizontalement les unes des autres. Cela signifie que l'intervention a eu un effet non intentionnel sur la mortalité toutes causes confondues lorsque le COVID n'était pas présent (c'est-à-dire pour tuer des gens).

    C'est pourquoi ils ne nous montrent pas les données brutes.

    Parce qu'ils ne veulent pas que quiconque sache la vérité.

    Introduction

    Étant donné que les vaccins ne sont pas administrés au hasard au fil du temps, mais sont concentrés dans certains quartiers, le moyen le plus simple d'analyser les résultats des jours précédant le décès est de limiter l'échantillon aux personnes qui ont contracté le vax #N dans un intervalle de temps spécifique.

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  65. Les résultats
    Les courbes étaient dépendantes de la dose (la forme variait en fonction du nombre de doses)

    Les courbes ne correspondaient ni à la référence de base ni à la référence 2021.

    Les courbes ne correspondent même pas à elles-mêmes ; avec des fenêtres de qualification d'une semaine, les courbes doivent simplement être des versions "décalées" horizontalement les unes des autres (le plus simple est d'aligner la chute à la fin lors de la comparaison).

    Cela signifie que les vaccins ne sauvent pas de vies. Ils tuent des gens.

    Les données de référence : la clé pour comprendre les courbes Medicare
    Pour que vous compreniez ce qui se passe, vous devez d'abord comprendre à quoi vous attendre.

    C'est très simple. Si le tir est donné au premier trimestre de 2021, la courbe de la mort après le tir devrait ressembler à la courbe de la mort en arrière-plan puisque les tirs sont parfaitement sûrs. Ils ne devraient pas vous tuer.

    Il y a 3 possibilités ici :

    Si les injections réduisent considérablement le risque de décès par COVID d'un facteur 10 comme le prétend le CDC, alors la courbe "décès vs jours après le tir" devrait ressembler presque exactement à la courbe de décès "avant COVID", c'est-à-dire la courbe de référence dans 2015-20109. En effet, tous ceux qui se font vacciner ont désormais le profil de risque moyen normal de décès. Il n'y aura pas de "bosses" lorsque les décès par COVID seront élevés.

    Si les injections ne font rien pour réduire la mortalité, alors la courbe « décès par rapport aux jours après l'injection » devrait ressembler exactement à la courbe de mortalité sous-jacente globale pour cette année et chaque graphique ne sera qu'une version décalée des autres graphiques.

    Si les tirs tuent des personnes, alors la courbe "décès vs jours après le tir" ne correspondra à aucun des cas ci-dessus (ou quoi que ce soit entre les deux).

    Nous n'envisageons pas la possibilité que les injections réduisent la mortalité toutes causes confondues puisqu'il n'y a pas de mécanisme d'action plausible pour cela, personne ne l'a affirmé, aucun des essais cliniques n'a montré une diminution mesurable de l'ACM, et l'activité funéraire a augmenté après le injections ainsi que le % de personnes qui meurent avec des caillots étranges.

    [Correction : il faut lire que personne n'a revendiqué un ACM inférieur dans une étude crédible. Il y a apparemment 5 articles faisant l'affirmation absurde que le vaccin abaisse l'ACM. J'ai écrit sur l'un d'entre eux il y a un an et demi (mon article « fontaine de jouvence »). Ces articles sont un embarras pour la communauté médicale.]

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  66. Voici donc les courbes de référence…

    Référence de base : voici les données 2015-2019 pour les 64 ans et plus du site Web du CDC ; il culmine à une moyenne annuelle de 92 000 personnes par semaine et le creux en milieu d'année (semaines 22 à 38) est d'environ 73 000 personnes/semaine) :

    - voir graph sur site -

    5 ans 2015-2019 décès hebdomadaire aux États-Unis pour les personnes de 65 ans et plus à partir des données du CDC. Capture d'écran tirée du site Web du CDC.

    Voici les mêmes données pour les États-Unis, mais seulement pour 2020. Les pics supplémentaires peuvent être raisonnablement attribués au COVID (mais surtout à nos horribles protocoles de traitement hospitalier (au lieu de conseiller les premiers traitements développés par de nombreux médecins indépendants à l'époque). C'est parce qu'il y a n'y avait pas de vaccin à l'époque, donc personne ne pouvait mourir du vaccin car il n'était pas disponible.Notez que nous n'avons pas vu la baisse normale en janvier… les taux sont restés élevés.

    - voir graph sur site -

    Décès en 2020 à la semaine 65 et plus

    Référence 2021 : Pour 2021, nous sortons d'un énorme pic en janvier, mais nous ne voyons jamais les creux que nous devrions voir. Et il y a une grosse bosse au troisième trimestre qui commence vers la semaine 30 (28 juillet) et se termine vers la semaine 41 (14 octobre). La bosse est-elle COVID ? Ou des morts vaccinales ? Ou un combi ? Une chose est sûre; les deux tiers du pays avaient au moins une dose à ce moment-là, donc si le vaccin fonctionnait vraiment, nous nous attendrions à voir au plus un pic de décès de 10K COVID.

    - voir graph sur site -

    2021 : Décès hebdomadaires par rapport au nombre de semaines pour les 65 ans et plus. Si le vax ne fait rien, les plans doivent avoir un profil qui ressemble à une version décalée de celui-ci (selon le moment où le plan a été donné)

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  67. Et juste pour prouver que les données du CDC pour les 65 ans et plus correspondent aux données de Medicare, voici les données de Medicare :

    - voir graph sur site -

    Ceci est directement tiré de Medicare pour 2021. Notez qu'il correspond à notre graphique CDC pour les 65 ans et plus. Ceci est totalement attendu.

    Pour 2022, nous ne sommes toujours pas revenus à la normale car il y a eu un énorme pic au premier trimestre de 2022, mais après cela, les choses semblent plus normales, mais le creux est toujours élevé d'environ 10 % par rapport à notre référence de 5 ans qui serait cohérent avec le fait qu'une grande partie de la population serait blessée par le vaccin et plus susceptible de mourir. Remarque : Pas de pics de COVID. La semaine 25 est de 85 785 (2022) contre 73 977 (référence sur 5 ans), ce qui est un

    - voir graph sur site -

    2022 : Décès hebdomadaires par rapport au nombre de semaines pour les 65 ans et plus. L'important ici est que la partie plate ici est comparable à la partie plate en 2021. Ainsi, les baisses en 2021 devraient être comparables aux baisses en 2022. S'ils sont inférieurs en 2022, cela signifie que le tir a tué des personnes en 2021. Si les creux sont plus élevés en 2022, cela signifie que les tirs tuent des gens à long terme. Notez que le pic de 2022 est à peu près à la même hauteur qu'au début de 2021.

    Les données de l'assurance-maladie

    Il s'agit des données de Medicare pour les personnes vaccinées au cours du trimestre indiqué et décédées. L'axe x du graphique indique le nombre de jours jusqu'à ce qu'ils meurent à partir de leur date de vaccination comme spécifié (et non leur « dernière » date de vaccination qui donnerait des résultats faussés).

    Le moyen le plus simple de voir ce qui se passe est de regarder les courbes effectuées par semaine où chaque personne a reçu un nombre de coups spécifique au cours d'une semaine spécifique. Chaque courbe doit être juste une version "décalée dans le temps" de la courbe précédente. Ainsi, la courbe de la semaine 3 devrait ressembler à la 3ème semaine de la courbe de la semaine 1.

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  68. Voici toutes les courbes, mais ce ne sont pas des versions décalées les unes des autres comme elles doivent l'être si les prises de vue ne sont pas un événement. Cela signifie que le vaccin a un impact sur leur mortalité puisque c'est la seule différence... c'est à peu près le même groupe de personnes dans toutes les cohortes (65 ans et plus de patients Medicare). Et il est UNIQUEMENT prétendu réduire la taille de la "bosse" dans les données de 2021.

    En bref, chacun des graphiques ci-dessous ne devrait être qu'une version décalée horizontalement des autres.

    Voici quelques exemples.

    - voir graph sur site -

    Figure 1. Si vous avez reçu votre vaccin au cours de la semaine 1, les jours de décès après le vaccin ressemblent à une moustache avec un côté droit tombant. Ce qui est intéressant ici, c'est que la pente est négative. Mais nous avons vu à partir des données sous-jacentes que les pics de janvier étaient les mêmes hauteurs en janvier 2021 par rapport à janvier 2022. Ici, ils sont très différents. Le vaccin a-t-il réduit votre risque de mourir en décembre 2021 ? Ou recherchons-nous un énorme pic en 2021 à partir de la prise de vue elle-même, c'est pourquoi le coup d'œil en décembre 2021 semble plus petit ?

    Cinq semaines plus tard, la pente s'inverse et les 100 premiers jours sont

    - voir graph sur site -

    Figure 2. Coups donnés en semaine 6. C'est une surprise ! Notre « moustache » est censée se déplacer vers la gauche et garder la même forme, mais elle s'est clairement inclinée, alors maintenant le côté gauche est tombant. Mais ce n'est censé être que la figure 1 à gauche décalée de 35 jours. Mais la pente a tourné dans l'autre sens en seulement 5 semaines ! Et le pic saisonnier à 350 jours plus tard est BEAUCOUP plus élevé et plus net que si vous aviez reçu votre photo il y a 5 semaines. Ce pic inclut COVID. Alors peut-être que nos coups ne fonctionnent pas après tout pour réduire les décès dus au COVID parce que la pente est censée être plate !
    Regardons maintenant les données du Shot 2 :

    - voir graph sur site -

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  69. Fig 3. Pour la dose 2 à la semaine 4 de 2021, il "moustache" s'affaisse sur la droite. La pente est NÉGATIVE. Meilleure explication : cela augmente votre risque de mourir la première année.

    - voir graph sur site -

    Figure 4. À peine deux semaines plus tard, la pente est presque plate. Dépendance à la dose. Houston nous avons un problème.

    - voir graph sur site -

    Figure 5. À la semaine 11, la pente est très ascendante. Mais c'est un problème car tous ces plans sont censés être simplement des versions décalées les uns des autres; la forme et la pente ne sont pas censées changer. Alors maintenant, il semble que vous êtes plus susceptible de mourir> 1 an après le coup de feu !
    Toutes les données

    - voir graph sur site -

    Graphiques dose 1

    - voir graph sur site -

    Graphiques dose 2

    Résumé

    Si les tirs sont sûrs et efficaces, ils doivent être juste des versions décalées à gauche/droite les unes des autres. J'ai vérifié que c'est le cas avec le vaccin contre la grippe.

    On pourrait dire que les personnes qui se sont fait vacciner en premier étaient les plus vulnérables, mais la priorisation était uniquement par tranche d'âge. Mais même si cela est vrai, les formes des courbes de mortalité devraient être identiques et être liées à des effets externes (comme la saisonnalité ou une vague COVID). Si les personnes vulnérables recevaient les coups plus tôt, cela n'aurait qu'un impact sur la hauteur de leur courbe, pas sur la forme.

    Des pentes qui changent comme ça sont difficiles à expliquer : cela signifie que l'intervention a fait une différence. Vous pouvez affirmer que l'intervention est censée faire une différence et vous auriez raison : elle est censée aplatir la bosse de la mort COVID si vous en croyez le récit, mais elle n'est PAS censée changer la pente globale de la courbe car cela est déterminé dans la période où il n'y a pas de COVID. Il fait clairement ce dernier.

    Comment expliquez-vous le fait que la pente soit négative dans les premiers plans et positive dans les derniers ?

    Il n'y a qu'une seule explication à ma connaissance : les plans n'ont pas eu le même contenu dans le temps.

    Ni les fabricants de vaccins ni le CDC n'ont effectué d'assurance qualité des flacons, il n'y a donc aucun moyen de réfuter mon hypothèse AFAIK.

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  70. Dans tous les cas, changer de pente est un problème pour le récit « sûr et efficace ». La pente est censée être plate. Il semble donc que les doses administrées au début du programme de vaccination aient eu tendance à tuer les gens à des taux qui ont diminué avec le temps, tandis que les doses administrées plus tard semblent tuer les gens à des taux qui ont augmenté avec le temps.

    Si quelqu'un a une meilleure explication, je suis tout ouïe.

    Enfin, si ces injections étaient vraiment sûres et efficaces, le CDC publierait tous les enregistrements de décès par vax de VSD, BEST et Medicare pour prouver leur point de vue. C'est étonnant qu'ils se donnent beaucoup de mal pour dissimuler les données de vaccination des personnes décédées, n'est-ce pas ?

    https://stevekirsch.substack.com/p/the-medicare-records-clearly-show

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  71. Combien de temps la protéine de pointe COVID-19 peut-elle rester dans votre corps et que pouvez-vous y faire ?


    PAR LA COMPAGNIE DE BIEN-ÊTRE


    Alors que nous sommes aux prises avec les conséquences de la pandémie de COVID-19, il reste encore beaucoup à découvrir sur le virus, les vaccins à ARNm et leurs effets à long terme sur notre corps. Un domaine d'intérêt particulier est la protéine de pointe, qui se trouve à la surface du SARS-CoV-2. Jusqu'à assez récemment, on ne savait pas combien de temps cette protéine, qui joue un rôle crucial en aidant le virus à envahir nos cellules et semble capable de causer des dommages biologiques importants, peut rester dans notre corps. De même, jusqu'à récemment, on ne savait pas si quelque chose pouvait être fait pour se protéger contre les protéines de pointe.

    Pour la plupart des gens, les symptômes du COVID-19 durent généralement quelques semaines, mais pour un sous-ensemble de personnes infectées par le virus, les symptômes persistent même après la phase aiguë de la maladie. Cette condition est communément appelée "long-COVID". Bien que les estimations varient, il est rapporté qu'entre une personne sur dix et une à trois personnes présentent des symptômes même après 12 semaines de diagnostic.

    Une étude récente détecte un pic 12 mois après l'infection

    Les causes du long COVID ne sont pas parfaitement comprises, mais une étude récente suggère qu'il est probablement associé à des éléments du virus SARS-CoV-2 persistant dans le corps. L'étude en question a mesuré les niveaux d'antigène et de cytokines du SRAS-CoV-2 dans des échantillons de plasma prélevés sur des personnes ayant développé le PASC.

    Les chercheurs ont trouvé des protéines de pointe circulantes chez la grande majorité des patients présentant des symptômes à long terme. La détection d'un pic à plusieurs moments, même 2 à 12 mois après l'infection, confirme que les réservoirs viraux peuvent persister dans l'organisme bien au-delà de la phase aiguë de la maladie.

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  72. La question est donc de savoir quel effet cela pourrait avoir sur notre santé.

    Effets nocifs de la protéine de pointe

    Avec le long COVID, le pic circulant est susceptible de causer des dommages de plusieurs manières. Premièrement, la protéine de pointe a la capacité d'altérer la fonction du récepteur des lymphocytes T (une importante cellule immunitaire), affaiblissant potentiellement l'immunité. D'autres recherches indiquent que le long COVID est fortement lié à des marqueurs inflammatoires élevés. De plus, il a également été démontré que le pic provoque un dysfonctionnement des péricytes, des cellules endothéliales des vaisseaux sanguins et de la barrière hémato-encéphalique.

    Conclusion

    La persistance à long terme de la protéine de pointe COVID-19 dans le corps humain a des implications majeures pour notre compréhension du virus et de ses effets à long terme. Compte tenu de la capacité de la protéine de pointe à nuire à une foule de processus biologiques - du dysfonctionnement des cellules immunitaires aux anomalies des vaisseaux sanguins - il est crucial que des recherches supplémentaires soient menées pour comprendre pleinement les mécanismes sous-jacents à ces effets persistants.

    Que pouvez-vous faire pour vous protéger contre les protéines de pointe

    Malgré la censure de la communauté médicale traditionnelle, des solutions aux protéines de pointe existent. Le Dr Peter McCullough, l'un des plus grands cardiologues et combattants de la liberté du COVID au monde, note les remèdes potentiels suivants :

    1. Ivermectine sur ordonnance

    2. Naltrexone à faible dose sur ordonnance

    3. Nattokinase en vente libre

    En particulier, la nattokinase est très prometteuse. Du Dr McCullough :

    J'ai découvert que la nattokinase, le produit japonais dérivé du natto (un aliment traditionnel japonais à base de graines de soja entières qui ont été fermentées avec Bacillus subtilis var. Natto.) était l'approche la plus convaincante et scientifiquement soutenue pour éliminer la protéine Spike du corps via dégradation protéolytique.

    Le Dr Peter McCullough et son équipe de The Wellness Company ont conçu un supplément optimisé à base de Nattokinase, Spike Support, pour vous aider à vous sentir mieux.

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  73. Nattokinase pour faciliter la circulation et dissoudre les protéines de pointe
    Pissenlit pour un agent détoxifiant et empêche la liaison cellulaire des protéines de pointe
    Sativa noire pour éventuellement faciliter la réparation cellulaire
    Thé vert pour des défenses supplémentaires au niveau cellulaire en éliminant les radicaux libres
    Mousse de mer d'Irlande pour aider à reconstruire les tissus et les muscles endommagés
    Voici l'un des collègues du Dr McCullough, le Dr Jen VanDeWater, qui parle de tous les éléments de la formule Spike Support de The Wellness Company :

    Selon The Wellness Company, l'achat de tous les ingrédients séparés de la Spike Support Formula coûterait plus de 100 $ - vous pouvez économiser 36 % avec la formulation unique de la Spike Support Formula de The Wellness Company.

    Cliquez ici pour commander la formule de support Spike dès aujourd'hui !

    Les gens parlent de la formule de soutien Spike de The Wellness Company :

    « J'ai vu le Dr McCullough parler du produit et j'ai décidé de l'essayer. Un mois et demi plus tard, je me sens tellement mieux. J'ai également recommandé le produit aux membres de la famille pour les aider à se désintoxiquer des effets secondaires douloureux du vaccin.

    "J'ai l'impression d'avoir eu un brouillard cérébral au cours des 18 derniers mois et après avoir pris ce supplément, j'ai finalement remarqué que le brouillard se dissipait. Je prévois d'en acheter plus pour moi et maintenant un ami souffrant de problèmes cardiaques.

    «Je suis reconnaissant envers la Wellness Company et envers vous qui sortez avec ces vitamines protéiques de pointe. Je suis un grand partisan de la guérison naturelle et non des médicaments pharmaceutiques. Merci de faire ce qui est juste et de dire la vérité dans un monde si sombre.

    Ce message est un contenu sponsorisé et Zerohedge a été rémunéré pour sa publication.

    https://www.zerohedge.com/sponsored-post/how-long-can-covid-19-spike-protein-stay-your-body-and-what-can-you-do-about-it

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  74. Violence armée aux États-Unis pendant la crise de Covid : les décès et les blessures chez les adolescents ont augmenté de 64,8 %

    Recherche fondée sur des preuves - depuis 2013


    Par Gun Violence Archive et Global Research
    Recherche mondiale,
    05 avril 2023


    Le tableau suivant. du Gun Violence Archive confirme une augmentation significative des cas signalés de décès et de blessures au cours de la période de trois ans de la crise de Covid (2020-2022)

    Armes à feu Violence Les décès (intentionnels, malveillants, accidentels) tels que définis dans le tableau ci-dessous sont passés de 15 509 en 1919 à 20 200 en 2022, soit une augmentation de 30,2 %.

    Le nombre d'enfants tués ou blessés a augmenté de 43,0 % (1919-2022)

    Le nombre d'adolescents âgés de 12 à 17 ans tués ou blessés a augmenté de 64,8 %. (1919-2022)

    La campagne de peur, qui a commencé au début de la pandémie de Covid fin janvier 2020, a-t-elle joué un rôle ?

    Le confinement de mars 2020 a confiné les gens chez eux, paralysé l'activité économique et déclenché la pauvreté et le désespoir.

    Les données ci-dessous nécessitent une analyse minutieuse des causes de cette augmentation spectaculaire des décès et des blessures par arme à feu.

    Michel Chossudovsky , 5 avril 2023

    - voir cadre sur site -

    La violence armée et les incidents criminels sont collectés/validés à partir de 7 500 sources quotidiennement -

    Les rapports d'incidents et leurs données sources se trouvent sur le site Web gunviolencearchive.org.

    - voir carte sur site -

    Nombre de décès en 2023

    - voir carte sur site -

    Enfants tués ou blessés en 2023

    Adolescents tués ou blessés en 2023

    - voir carte sur site -

    Tous les chiffres sont sujets à changement ou les incidents sont reclassés à mesure que de nouvelles preuves sont établies et vérifiées.

    Notes (basées sur le premier tableau)

    Nombre de décès et de blessures dont la source a été vérifiée
    Nombre d'INCIDENTS signalés et vérifiés
    Calcul basé sur les données du CDC sur le suicide
    Total réel de tous les décès non suicidaires plus les décès par suicide calculés quotidiennement

    https://www.globalresearch.ca/gun-violence-during-the-covid-crisis-teenage-deaths-and-injuries-increased-by-64-8/5814628

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  75. Bénéfice corona pour 4 sociétés pharmaceutiques de la vaccination : 118 milliards de dollars


    6 avril 2023
    du Dr. Peter F. Mayer


    Les gagnants de la pandémie de Corona sont désormais évidents. Big Pharma est autorisée à bénéficier des injections de Covid-19 sans être tenue responsable des dommages qu'elles causent. L'OMS, l'UE et des "experts" rémunérés ont déployé des efforts intensifs.

    Les autres gagnants sont les forces antidémocratiques et fascistes du monde entier. Les confinements, les masques, les carnets de vaccination et autres mesures répressives ainsi que l'atteinte à la démocratie et aux droits de l'homme pour soi-disant protéger la santé ont été rendus socialement acceptables. Ils sont devenus le modèle pour la future politique menée par l'OMS ou l'UE au nom du WEF et du capital financier.

    En tout cas, la pandémie a été bénéfique pour l'industrie pharmaceutique, comme le montre le tableau :

    - voir cadre sur site -

    Nous constatons l'augmentation des ventes des quatre plus grandes entreprises impliquées dans la fabrication d'injections Covid-19.

    Le chiffre d'affaires combiné de ces sociétés a augmenté de 118 milliards de dollars depuis 2019, Moderna, AstraZeneca et BioNTech recevant chacun environ 20 milliards de dollars et Pfizer recevant la moitié restante d'environ 60 milliards de livres sterling.

    Les fabricants ont obtenu l'immunité contre tous les dommages causés par ces injections expérimentales par les gouvernements du monde entier.

    Ces injections entraînent la mort, des maladies graves et des blessures . Les contribuables paient pour enrichir les milliardaires avec des injections de Covid-19 . Les injections n'ont même pas fonctionné .

    Voici les informations financières pour :

    Pfizer
    BioNTech
    Moderne
    AstraZeneca

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  76. Et voici un bref aperçu des principaux actionnaires de Pfizer :

    - voir cadre sur site -

    La situation est similaire dans les autres grandes sociétés pharmaceutiques et dans l'industrie de la défense. Des milliardaires comme Rockefeller, Ford, Soros, Gates, Warburg, etc. ont investi dans les gestionnaires de patrimoine répertoriés ici, soit directement, soit par l'intermédiaire de leurs fondations. Donc au final, ces milliardaires deviennent encore plus riches.

    https://tkp.at/2023/04/06/corona-profit-fuer-4-pharma-firmen-durch-impfung-118-milliarden-dollar/

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  77. Poursuites contre AstraZeneca pour dommages massifs aux vaccins


    6 avril 2023
    du Dr. Peter F. Mayer


    AstraZenca a été très tôt sur le marché avec le vaccin vecteur génétiquement modifié développé par l'Université d'Oxford. Il y a maintenant un procès au Royaume-Uni de 75 parties lésées. Les producteurs d'ARNm ont rapidement réussi à forcer AstraZeneca à quitter le marché des États occidentaux grâce à une propagande intelligente. Cependant, dans des pays comme l'Inde, il a été vacciné chez des centaines de millions de personnes. Un produit similaire a été utilisé en Russie.
    Comme le rapporte le British Medical Journal dans un article , des dizaines de patients et de familles ont intenté des poursuites contre AstraZeneca pour un effet secondaire rare du vaccin Covid-19.

    Les avocats ont envoyé des lettres à la société avec une déclaration préliminaire de plainte. Il s'agit de la première étape d'un procès au nom d'environ 75 plaignants. Certains ont perdu des êtres chers, d'autres ont survécu avec des blessures catastrophiques causées par des caillots sanguins.

    En 2021, l'Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé a confirmé un lien possible entre le vaccin connu sous le nom de Vaxzevria et une maladie qui provoque des caillots sanguins et des taux anormalement bas de plaquettes. Les demandeurs ont reçu un diagnostic de thrombocytopénie thrombotique induite par le vaccin. Comme indiqué , il y avait aussi des soi-disant «lettres rouges» avec les approbations dans l'UE qui mettaient en garde contre ces effets secondaires.

    Il est prévu au BMJ :

    Les plaignants poursuivent une stratégie à deux volets : ils poursuivent en vertu de la loi de 1987 sur la protection des consommateurs et demandent une indemnisation dans le cadre du programme gouvernemental de paiement des dommages causés par les vaccins. Le programme a effectué des paiements dans un certain nombre de cas, mais il est plafonné à 120 000 £ par demande et les demandeurs doivent démontrer un handicap grave.1 Le paiement au titre du programme n'empêche pas une action en justice pour préjudice corporel. Toute personne intentant une action en vertu de la loi sur la protection des consommateurs doit prouver que le vaccin n'était pas aussi sûr que le public aurait pu s'y attendre.

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  78. Même la BBC rapporte :

    - voir clip sur site -

    Que peut-on déduire de ce rapport d'un des plus ardents défenseurs des mesures et de la vaccination ? Qu'ils sont prêts à jeter le vaccin AstraZeneca sous le bus pour protéger les vaccins à ARNm de Pfizer et Moderna. AstraZeneca a été retiré du marché britannique il y a longtemps, donc ce n'est peut-être pas une perte pour eux.

    La seule chose qui ressort de ce jeu est que la réputation de l'ARNm doit être protégée à tout prix car ils veulent que TOUS les futurs vaccins humains et animaux soient basés sur l'ARNm. C'est une stratégie très risquée - si c'est une stratégie - car une fois que les gens apprendront les méfaits des vaccins, beaucoup commenceront à considérer tous les vaccins comme problématiques et à les éviter.

    Il sera intéressant de voir si les avocats feront bientôt une annonce sur Pfizer et/ou Moderna.

    https://tkp.at/2023/04/06/klagen-gegen-astrazeneca-wegen-massiven-impfschaeden/

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  79. Le traitement corona comme une grande insulte


    6 avril 2023
    par Thomas Oysmuller


    Insulte à grande échelle pour les citoyens : les experts gouvernementaux et les politiciens qui ont joué un rôle de premier plan dans la politique corona admettent maintenant (partiellement) leurs erreurs. C'est le traitement.

    La manœuvre corona s'effectue finalement discrètement et dans le fond du bruissement général de la forêt de journaux. Quasiment tout ce à quoi le contre-public critique s'oppose depuis 3 ans est désormais admis. Et toujours sur un ton arrogant et je-sais-tout. Les politiques fascisantes et incendiaires qui ont causé des dommages incompréhensibles – à l'échelle mondiale et régionale – se seraient tout simplement produites. Une petite évaluation peut-être, puis continuez simplement avec le programme.

    Les mesures ont été exagérées

    L'expert gouvernemental Gerald Gartlehner a donné un exemple de la façon dont le "traitement Corona" se déroule en Autriche mardi sur ORF avec Armin Wolf.

    Quelques faits sur l'épidémiologiste d'abord : en mars 2022, alors que les politiciens avaient déjà suspendu la vaccination obligatoire, il réclamait encore la vaccination obligatoire dans le système de santé. Dès l'été 2021, il affirmait qu'une "vaccination obligatoire" mériterait d'être envisagée là-bas. A l'époque, il souhaitait également des obligations 3G plus contraignantes associées à des tests payants "pour inciter les gens à se faire vacciner".

    Maintenant, Gartlehner peut confortablement réfléchir sur les dernières années avec Armin Wolf, qui aimait aussi le mot "Schwurbler" et l'avait utilisé contre le public critique et le mouvement démocratique. Le "confinement pour les non vaccinés" n'était que "politique" pour récompenser les vaccinés. Les fermetures d'écoles n'auraient rien fait. Les tests de masse en 2020 ont été inutiles - mais il ne mentionne pas que le titre de champion du monde de l'Autriche dans les tests n'a été qu'annoncé. Après tout, le parquet enquête actuellement sur la société de gargarisme viennoise Lead Horizon. La présomption d'innocence s'applique également ici. La société de laboratoire "Lifebrain" n'est pas (encore) dans le collimateur.

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  80. Continuez à vacciner

    Que ressentez-vous en tant que citoyen si vous pointez du doigt tout cela depuis trois ans - l'inutilité des tests (de masse), le danger des fermetures d'écoles, la politisation de la vaccination ? Bon nombre d'entre eux ont ainsi perdu leur emploi ou leur environnement social. Tout cela est maintenant admis d'en haut - à l'exception des dangers associés à la vaccination par l'ARNm. Cela reste sacré.

    Gartlehner critique la fin de la campagne publicitaire pour le traitement de l'ARNm en Basse-Autriche. De plus, le "bus de vaccination" de Basse-Autriche continue de rouler joyeusement à travers le pays. Donc, toute personne qui veut son injection l'obtiendra. Le bus est à Hollabrunn aujourd'hui, jeudi, à Mistelbach demain et à Horn samedi.

    À peu près au même moment, la Cour des comptes a publié un nouveau rapport Corona : toute cette campagne a coûté 48 milliards à l'Autriche. Cela n'inclut pas les tests et les fermetures d'écoles. Bien sûr, le prix que la raison a dû payer n'est pas non plus indiqué. De plus, les chiffres utilisés pour élaborer une politique étaient plus ou moins arbitraires et dénués de sens. La plus grosse blague : la Cour des comptes l'a annoncé en septembre 2021. Qu'est-ce qui a suivi? Vaccination, vaccination obligatoire, confinement pour les non-vaccinés et agitation massive des politiciens et des médias. L'argument était les chiffres dénués de sens des hôpitaux.

    Maintenant, nous voulons clore le chapitre. Calme et silencieux. Avec une « réconciliation » qui vient du manuel d'un département militaire de la « Johns Hopkins University » ( selon le jeu de simulation de pandémie de 2017, il est recommandé d'être perspicace « après la pandémie » et d'approcher le public critique ) : Lauterbach s'excuse , les experts gouvernementaux admettent tout et la Bavière ouvre une ligne d' assistance téléphonique sur les dommages causés par la vaccination .

    Ce traitement est une insulte à la raison, à l'intellect et au citoyen responsable.

    https://tkp.at/2023/04/06/die-corona-aufarbeitung-als-grosse-beleidigung/

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  81. Ce pourrait aussi être le fruit d’un travail sur une arme biologique. Ces deux points, origine (virus de laboratoire) et modifications ("gain de fonction") ne sont pas des critiques, c’est un constat. C’est la raison d’être de ces laboratoires, sinon ils n’existeraient pas.

    La fuite ? Ce n’est pas une critique non plus, le risque zéro n’existe pas. Cette fuite est possible partout, elle aurait pu arriver en France, il y en a déjà eu dans le monde, sans conséquences. Pour moi, plus que l’origine, accidentelle, c’est la suite qui pose un problème de santé publique.

    Secret-défense
    Dans secret-défense, il y a le mot secret, donc des choses que l’on refuse de communiquer au commun des mortels. Et qui dit secret, dit obligatoirement mensonges pour garder ce secret. Il y a aussi le mot défense, d’où la présence de militaires pour prendre en charge les opérations, à commencer par le chef des armées.

    Aux États-Unis, les militaires étaient également dans les organes décisionnels au plus haut niveau.
    Pourquoi ce choix de secret-défense ? Probablement et tout simplement car on considérait que ce virus, fabriqué par l’homme, était très toxique, sans traitement existant, et il a été traité comme s’il s’agissait d’une guerre bactériologique, avec des opérations qui doivent rester secrètes.

    Ce traitement de “guerre bactériologique” peut être affirmé par des faits : décision d’un secret-défense, au lieu d’un plan ORSAN (Organisation de la Réponse du système de santé en situations SANitaires exceptionnelles), ainsi qu’une phrase du Président qui le confirme : "Nous sommes en guerre".

    Ce "choix" de guerre bactériologique, non argumenté, est une première en infectiologie. Plus létaux et tout aussi contagieux, les virus Ébola, HIV (40 millions de morts), grippe de Hong Kong (plus de 2 millions de morts en 1968-69) et H1N1 ( près de 500 000 morts en 2009) n’ont jamais eu droit à un tel traitement.

    Il y a bien une raison, que les initiés ont délibérément voulu nous cacher. Le secret-défense n’est pas qu’un mot, c’est un fait, tout comme la déclaration du Président.

    On ne connaît pas la composition (à la discrétion du Président) de la Commission qui se réunit à l’Élysée dans le salon Murat, sinon qu’il n’y avait que deux médecins : le Ministre de la Santé et le Directeur de la Santé.

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  82. Ils se comportaient comme des porte-parole de la Commission, le Ministre ayant d’ailleurs bien pris le pli, devenant par la suite le porte-parole du gouvernement, avec le même succès dans les affirmations contredites par les faits quelques jours plus tard.

    Dans cette commission siègent également traditionnellement le chef des armées (Président), le Ministre des armées, le Premier Ministre et le Ministre de l’intérieur. Pour court-circuiter les instances médicales existantes, on a également créé le "Conseil scientifique" pour conseiller le Conseil de Défense. Conseil scientifique dont le Président lors de son départ a regretté d'avoir été parfois "instrumentalisé".

    Aux États-Unis, on ne peut ignorer les liens de ce "Docteur Fauci et Mister Hyde" avec le Pentagone, la CIA, les militaires de la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency agence du département de la Défense des États-Unis chargée de la recherche et développement des nouvelles technologies destinées à un usage militaire), pour effectuer ce genre de "gains de fonction", ayant pourtant été mis au pas par Barak Obama après trois fuites de virus, avant de devenir le grand ordonnateur mondial de la crise avec le Président suivant (après avoir transféré ces activités à Wuhan, cf. le livre de Michel Cucchi).

    Il fallait cacher tout cela. N’oublions pas non plus ses mails avec notre Président du Conseil Scientifique qui lui disait avoir du mal à contrer l’hydroxychloroquine. Tout est lié.

    Le choix des armes

    Je ne suis pas sûr que l’on puisse dire qu’il y a eu une erreur comme je le pensais au début, dans le fait de penser que face à ce virus synthétique, il n’y avait pas de traitement médical possible. On n’a pas interdit les traitements parce que l’on pensait que cela ne marchait pas, mais parce qu’une stratégie différente a été décidée et mise en place.

    Nous sommes en guerre…, en guerre bactériologique. Et dans une guerre, le premier objectif est de supprimer l’ennemi. L’ennemi, c’est la spike fabriquée, et on a fait la guerre à la spike, pas à l’épidémie. On n’était pas là pour soigner, mais pour faire disparaître cette spike de la surface du globe, avant que l’on ne découvre le pot aux roses. Raté, rien n’a marché comme souhaité.

    Pour faire disparaître cette spike, on avait heureusement un antidote spécifique, ne ciblant que cette spike : la technologie à ARN messager.

    Sur le papier, en théorie, c’était l’antidote parfait, créant un anticorps qui s’emboîtait parfaitement avec l’antigène. La technologie était connue, maîtrisée, mais encore interdite. On a très rapidement fait sauter les verrous juridiques, et lancé la fabrication et la diffusion à une allure impressionnante, sans se préoccuper des inconvénients possibles de ce "traitement" encore inconnu chez l’homme (et qui n’avait pas fait ses preuves chez l’animal depuis des années). On verra le reste après, occupons-nous d’abord de faire disparaître cette spike.

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  83. Cette stratégie supposait que rien ne vienne perturber cette éradication totale prévue via l’ARN messager. Si un traitement autre marchait, aussi modeste soit-il, cela remettait en question cette stratégie.

    Un malade traité, c’est bien, mais si cela marche, on vaccine moins et on laisse circuler la spike. Il faut empêcher de traiter, pour que tout le monde ait l’antidote, d’où la vaccination massive, envisagée dès le premier jour, y compris de ceux qui n’en avaient pas besoin car n’ayant rien à craindre de la maladie.

    Pour cela on a donc décidé d’interdire tout traitement, en attendant que les "vaccins" arrivent. On a dit aux médecins "ne traitez pas, il n’y a pas de traitement", affirmation sans aucune preuve scientifique. On a dit aux patients "n’allez pas voir votre médecin, il ne pourra rien, et si vous allez vraiment mal, appelez directement le Samu".

    Il ne fallait pas que les médecins essaient quoi que ce soit, donc mieux valait qu’ils ne voient pas les malades, au cas où ils auraient envie de faire leur métier. On a fait taire ceux qui essayaient de traiter, les succès n’ont pas été ignorés, ils ont été cachés.

    On a fait taire, en les discréditant tous les scientifiques ayant l’expérience et le savoir d’une carrière consacrée à ces traitements, en les faisant passer pour de dangereux incompétents et des charlatans. On a censuré la presse et les réseaux au maximum, n’autorisant à s’exprimer que ceux qui relayaient le discours officiel.

    On a créé des officines de fact-cheking, avec ici un barman, là un spécialiste de jeux vidéo, qui avaient bien entendu plus de compétences que des Raoult, des Perronne ou des Henrion-Caude.

    On n’a pas traité des patients ou une épidémie, non, on a fait la chasse à la spike. La spike, rien que la spike, et rien d’autre. C’était une obsession.

    Les faits montrent que l’on n’a pas cherché à traiter. On ne s’est pas intéressé aux traitements, ni même aux vaccins : les labos qui travaillaient sur des vaccins classiques n’ont pas été aidés, Pasteur avec son traitement au clofoctol n’a reçu aucune aide, même des dons privés n’ont pas suffi tant on lui a mis des bâtons dans les roues. L’ARNm et rien d’autre.

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  84. Ils savaient

    Ils savaient pertinemment que médicalement le résultat ne serait pas à la hauteur. Qu’à cela ne tienne, il fallait faire la guerre à cette foutue spike, pas faire de la médecine, et pour cela ils n’avaient pas besoin des médecins, encore moins de médecins réfractaires qui pouvaient venir perturber leur stratégie.

    Ces faibles résultats étaient connus au vu de tout ce qui a été fait depuis l’apparition des corona virus chez l’homme. Toutes les publications antérieures sur les coronavirus montraient que l’immunité naturelle après infection s’épuise rapidement dans le temps, le vaccin ne pouvait faire mieux.

    On savait que les mutations sont rapides et fréquentes, rendant la souche vaccinale rapidement obsolète, cela s’est confirmé. N’oublions pas les réservoirs animaux impossibles à atteindre, garants de la persistance de tous ces coronavirus qui pouvaient circuler ailleurs que chez l’homme. Des faits, rien que des faits.

    Il existe une preuve matérielle irréfutable prouvant qu’ils connaissaient l’échec médical dès le premier jour, et que la guérison ne les intéressait pas, l’objectif étant la spike, pas le patient.

    La preuve évidente ? La commande au niveau de l’Europe de plusieurs milliards de doses pour 450 millions d’habitants ! Pourquoi commander 6 à 8 fois le nombre de doses pour un vaccin annoncé efficace à 95 % ?

    Ils savaient, quand ils ont passé commande, d’une part que cela ne protégeait pas à 95%, et qu’il faudrait revacciner régulièrement, et donc prévoir les doses adéquates, l’immunité disparaissant rapidement. Ils savaient que leur "vaccin" n’empêcherait ni la contamination ni la transmission, l’importance de leur commande en est la preuve.

    Toujours en ce qui concerne la chasse à la spike, le dernier "vaccin" polyvalent comportait encore la souche Wuhan, totalement périmée depuis 2 ans, ce qui montre bien que cette souche initiale restait encore l’objectif principal.

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  85. Leçons

    Il y a au moins deux leçons à tirer impérativement de cette affaire.

    La première leçon : la médecine aux médecins. Ce n’est pas aux politiques (ni aux militaires) de dire aux médecins comment ils doivent soigner. Je ne comprends pas que l’Ordre et les syndicats, voire même la profession n’aient pas protesté quand on leur a dit de ne rien faire, quand on a poursuivi ceux qui soignaient sans regarder leurs résultats.

    La seconde leçon : il faut absolument fermer tous ces laboratoires qui manipulent les virus (sournoisement dénommés "laboratoires de haute sécurité biologique P4"). Un jour ils vont tuer l’humanité.

    Quand on lit certaines demandes refusées par les autorités, certains de ces chercheurs ont autant de scrupules que certains médecins de triste mémoire de la dernière guerre mondiale. Ce qu’ils manipulent est pire qu’une bombe atomique, qui elle ne se répand pas sur toute la planète.

    Par ailleurs, le "bénéfice/risque" de ces laboratoires est négatif, raison de plus. Qu’ont trouvé ces centaines de laboratoires, depuis des décennies contre Ébola, contre le HIV, contre les coronas et plus largement contre les virus ?

    Rien qui puisse nous rendre service (à ma connaissance). Production zéro, risque total. Ces chercheurs qui s’amusent à faire des chimères sont trop dangereux, on vient de le voir, cela aurait pu être bien pire, ce que craignaient les autorités vu leur comportement.

    Ce coup de semonce doit être salutaire, malheureusement encore personne n’a remis en question l’existence de ces laboratoires.

    Accessoirement il faut aussi revoir le fonctionnement de ces Agences de sécurité du médicament, qui ont ignoré la sécurité en autorisant, au vu de plaquettes publicitaires de laboratoires pharmaceutiques, et en quelques jours, sans aucune transparence, refusant de communiquer leurs délibérations, des produits nouveaux, sans aucun recul, dont ils ne connaissaient même pas la composition réelle.

    Eux aussi savaient, mais n’ont rien dit. Inversement, ces agences ont empêché des produits bénins, comme l’ivermectine, dont le plus grand risque pour le patient était que cela soit sans effet, mais pour eux que cela marche.

    Pour cela, ils ont manipulé le résultat de leurs propres études. La guideline de l’OMS sur l’ivermectine précisait noir sur blanc (encore un fait, pas des paroles), que cela réduisait de 80% la mortalité (lisez, page 19).

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  86. On nous explique que 7 études et 1 419 patients (en occultant 89 autres études portant sur 134 554 patients), ce n’est pas assez. Rappelons que pour autoriser l’ivermectine dans l’onchocercose, cela a été fait à partir d’une seule étude, et sur 1 206 patients. Mais c’était un autre temps…, “autres temps, autres mœurs”, autre médecine.

    Gérard Maudrux est médecin, chirurgien retraité, ex-président de la Caisse autonome de retraite des médecins de France (CARMF).

    https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/l-histoire-du-covid-cachee-par-le-secret-defense-0

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    1. Premièrement est arrivée l'information mondiale comme quoi ce n'est cette fois pas un microbe (qui lui apporte des maladies) mais une poussière (appelée virus) qui va nous attaquer !
      Là, confusion des intéressés qui se demandent s'il ne s'agirait pas d'une poussière radioactive. Mais, comme il y a des milliers de laboratoires dans le monde qui analysent tous les jours la qualité de l'air, AUCUN laboratoire ne trouve dans l'air de virus (appelé corona, puis cocovide19, puis suppléant, remplaçant au banc de touche, mutant, doublon, immigré, embryonnaire, voire intérimaire !).
      Là, GROS MYSTÈRE ! Mais... (côté rassurant) y a des morts ! Ouf ! Oui mais mort de quoi ? (certains se tuent à la tache, sont crevé, mort de fatigue) mais là, les claqués étaient 'asymptomatiques' et, comme les médecins-légistes n'ont pu faire d'autopsie, le défunt et vite brûlé-cramé et hop ! Pas vu pas pris ! Donc, on en arrive là où le tombé de bicyclette est mort du cocovide19 ! et le dealer qui partait en courant abattu des 50 balles de 9 mm est mort... du cocovide19 !

      Çà y est ? Vous avez compris ?
      Non ? J'en rajoute:

      Et là, deuxièmement, les laboratoires sortent un 'parapluie anti-balles' appelé 'le vaccin' (ou plutôt 'Expérimentation génique d'essai'). Immédiatement des scientifiques (Astrid Stuckelberger et Carrie Madej) se précipitent pour analyser les flacons injectables et... et elles découvrent...que les composants... ne peuvent s'appeler 'vaccins' ou 'remèdes' car ils s'appellent tous 'POISONS' ! Houlala !
      De 95 à 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène (soit 40 000 milliards de !), + des hydres ! + des spikes ! + diverses maladies animales dont une quarantaine de venins de serpents différents !!
      Siiiii avec çà t'es pas mort...

      Bon, déjà là çà devrait être clair. La poussière mortelle n'est pas dans l'air... donc: Où qu'elle est ??!
      Elle est... elle est dans la boubou, la boubou, la bouteille ! EH OUI ! Fallait y penser ! Des génies on proposé la mort en flacons ! Pas beau çà ?
      Si t'es piqué tu l'as, si tu l'as t'es mort !

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  87. L'action de santé publique devrait dépendre uniquement des valeurs et des priorités du peuple, et non de celles des dictateurs étrangers ou de leurs agents. Il serait insensé de donner le contrôle à ceux qui ont des valeurs diamétralement opposées.

    Incompétence manifeste

    Avant de confier votre santé à d'autres, vous devez savoir s'ils sont compétents. Bien que l'OMS ait utilisé des conseils fondés sur des preuves sur les pandémies, elle a échoué de manière catastrophique sur Covid-19. Elle a soutenu des politiques qui exacerbaient des maladies comme le paludisme, la tuberculose et la malnutrition, et augmentaient la dette et la pauvreté pour assurer la santé de la prochaine génération.

    Ces politiques encourageaient le travail des enfants et facilitaient le viol de millions de filles qui ont été contraintes au mariage précoce, tandis que des centaines de millions d'enfants se sont vu refuser une éducation formelle. Les personnes âgées malades ne pouvaient pas recevoir de soins, tandis que les personnes en bonne santé étaient confinées à domicile. Ils ont favorisé la plus grande concentration de richesses de l'histoire et l'appauvrissement massif qui en a résulté.

    Au cours des deux dernières années, l'OMS s'est lancée dans un projet de vaccination de masse de 70 % de la population africaine, même si la moitié de la population a moins de 20 ans et donc à un risque minimal et l'OMS a montré dans sa propre étude que la grande majorité avait déjà contracté le Covid-19. Ce programme est le plus cher par an que l'OMS ait jamais financé. Elle cherche maintenant des pouvoirs qui lui permettront de répéter souvent ce type d'actions.

    mépris des droits de l'homme

    Les pays qui acceptent les amendements proposés au RSI accepteront les recommandations de l'OMS comme contraignantes. La liste incluse dans le RSI comprend les fermetures de frontières et les refus de voyage individuels, l'isolement des personnes «suspectes», les examens médicaux et les vaccinations obligatoires, les contrôles de sortie et l'exigence d'une preuve de test. Ces mesures sont imposées aux citoyens d'un pays lorsqu'un individu de cette organisation parrainée par de grandes multinationales et de riches investisseurs décide indépendamment qu'une "menace pour la santé" non spécifiée présente un risque pour d'autres pays.

    Il n'y a pas de critères clairs de « risque » et aucun préjudice n'a besoin d'être prouvé pour que cette abolition draconienne des droits humains fondamentaux soit appliquée. Le directeur général de l'OMS n'a même pas besoin de consulter et de demander l'approbation d'un public plus large.

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  88. D'autres initiatives sont en cours pour s'assurer que les vaccinations requises n'ont pas besoin d'être soumises à des tests de sécurité standard. On ne pense pas aux conséquences dévastatrices pour les individus et l'économie causées par des mesures similaires pendant le Covid-19. Au lieu de cela, l'OMS et ses partenaires affirment que l'urgence a augmenté, justifiant leur précipitation avec des épidémies non pertinentes comme la variole du singe. C'est la santé et les droits de l'homme axés sur la communauté après la Seconde Guerre mondiale qui ont été bouleversés.

    Un trou noir auto-entretenu dans la finance

    Le système proposé par l'OMS créera une bureaucratie mondiale de la santé différente de celle traditionnellement parrainée par l'OMS. Tous les deux ans, l'organisation évaluera l'état de préparation de chaque pays pour répondre à des événements rares et demander des mesures correctives. Une surveillance intensive traquera les nouvelles variantes de virus qui évoluent constamment dans la nature. Plutôt que de laisser ces variantes passer inaperçues, cette bureaucratie les séquencera, les nommera, décidera qu'elles constituent une menace et lancera les politiques destructrices de la société et de l'économie qu'elle a peaufinées depuis 2020.

    Bien que l'OMS n'ait enregistré qu'une seule "pandémie" bénigne par génération au cours des 100 dernières années, ce système rend inévitable la déclaration d'urgences fréquentes. Un tel "succès" sera une justification majeure du maintien du financement. La réponse comprendra des confinements et des fermetures de frontières, puis des tests et des vaccinations de masse "pour échapper à ces confinements et sauver l'économie". Les médias vendront les dernières nouvelles en comptant les infections et les lits d'hôpitaux disponibles sans donner de contexte ; les ministères de la santé salueront les travailleurs essentiels comme des héros aux niveaux international, régional et national. Covid-19 a introduit ce modèle.

    Dans un pays doté d'une démocratie constitutionnelle fonctionnelle, un système basé sur des incitations aussi perverses ne serait pas acceptable. Mais l'OMS ne relève d'aucune juridiction nationale et ne rend compte directement à aucune population. Elle n'a pas à subir les effets négatifs de sa dictée. Elle fait passer les besoins de ses financiers en premier et essaie de les imposer aux autres. Si elle doit prendre ces fonds et payer les salaires de ses employés, elle n'a pas le choix.

    voir la santé de façon réaliste

    L'OMS n'est plus l'organisation qu'elle était il y a 40 ans. Mesuré par le fardeau de la maladie (ce qui mutile et tue les gens), les grands tueurs de l'humanité, outre l'âge, sont les maladies non transmissibles (c'est-à-dire la plupart des cancers, les maladies cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux, le diabète et d'autres maladies métaboliques), les maladies infectieuses telles que la tuberculose, le VIH /SIDA, le paludisme et les nombreuses maladies qui résultent de la malnutrition infantile. En comparaison, les pandémies ont fait un petit tribut à l'humanité au cours du siècle dernier. Sans se laisser décourager par ces faits, l'OMS considère toujours le Covid-19 (âge moyen au décès > 75 ans) et même la variole du singe (< 100 décès dans le monde) comme des urgences internationales.

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  89. Les accords de financement de l'OMS, ses antécédents et la nature perverse de sa proposition de réponse à la pandémie devraient suffire à rendre ces accords proposés anathèmes dans les États démocratiques. Si elle est mise en œuvre, l'OMS ne devrait pas recevoir de financement public ni être autorisée à fournir des conseils de santé. La communauté internationale peut bénéficier d'une coordination sanitaire, mais il serait insensé de confier cette tâche à une organisation qui sert manifestement d'autres intérêts.

    https://tkp.at/2023/04/06/who-wird-zum-drogenkartell/

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  90. Les milliardaires français s’imposent au sommet de la richesse mondiale

    Le classement Forbes 2023 révèle que les deux personnalités françaises les plus riches, Bernard Arnault et Françoise Bettencourt Meyers, dominent désormais la liste des milliardaires mondiaux. Le secteur du luxe et de la cosmétique est particulièrement bien représenté, mettant en lumière la solidité économique de la France.


    Par Paolo Garoscio
    le 5 avril 2023 à 6h42


    La fortune de Bernard Arnault est estimée à 211 milliards de dollars.
    Le luxe et la cosmétique, moteurs de la fortune française

    Le secteur du luxe et de la cosmétique se distingue dans le classement Forbes des milliardaires français de 2023. Les cinq personnalités les plus fortunées de France sont en effet des acteurs majeurs de cette industrie. Parmi eux, on retrouve Bernard Arnault, fondateur et président de LVMH, ainsi que Françoise Bettencourt Meyers, héritière de L'Oréal. Ils sont, en 2023, respectivement l’homme et la femme les plus riches du monde avec des fortunes estimées à 211 et 80 milliards de dollars, soit 290 milliards de dollars à eux deux.

    François Pinault, créateur de Kering, et les frères Alain et Gérard Wertheimer, propriétaires de Chanel SA, complètent ce top 5.

    Emmanuel Besnier, à la tête de Lactalis, est le premier milliardaire du classement issu d'un secteur différent, avec une fortune évaluée à 20,4 milliards d'euros. Le rayonnement international du luxe et de la cosmétique français reste de fait le premier moteur de richesse du pays.

    En outre, le classement Forbes des milliardaires français en 2023 compte sept femmes parmi les membres les plus fortunés. La plupart d'entre elles sont des héritières, telles que Françoise Bettencourt Meyers, qui occupe la place de femme la plus riche du monde (11e au classement mondial), ou encore Tanya Saadé Zeenny et Danielle Bellon.

    Les milliardaires français finalement peut représentés

    Le palmarès des milliardaires français de 2023 fait également état de disparités notables. Deux personnalités, Francis Holder, président des boulangeries/pâtisseries Paul, et Clément Fayat, vigneron, quittent ce cercle fermé. Toutefois, le nombre total de milliardaires français reste inchangé, avec 43 membres.

    Quant aux figures emblématiques de la téléphonie mobile française, Xavier Niel et Patrick Drahi, dirigeants de Free et SFR, ils régressent dans le classement, se positionnant respectivement aux 18e et 22e places.

    Par ailleurs, l'impact du Covid-19 sur les entreprises liées à la santé semble s'atténuer, même si Stéphane Bancel, PDG de Moderna Therapeutics, intègre le palmarès à la 21e place avec une fortune estimée à 4,1 milliards d'euros.

    On notera néanmoins que la France ne compte qu’un seul milliardaire dans le Top10 mondial, bien qu’à la place la plus prestigieuse de numéro 1. Elon Musk, Jeff Bezos et Larry Ellison sont respectivement numéros 2, 3 et 4, confirmant l’importance du secteur de la technologie. Warren Buffet, investisseur de génie, clos le Top5. Le classement Forbes 2023 voit également disparaître du Top 10 l’indien Gautam Andani dont l’empire s’est effondré début février 2023.

    https://www.economiematin.fr/milliardaires-richesse-classement-forbes-2023-arnault-bettencourt

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    1. Un milliardaire dépense des milliers de fois plus que tout autres, oui mais... est-ce si sûr ? L'investissement est dans quoi ? (les 'paradis fiscaux' ?). Certains investissent dans la migration en payant cher chaque timbré à quitter son pays et voyager en car, voiture, train, bateau ou avion afin de sur-saturer tel ou tel pays (voir le nombre très impressionnant de camions de livraison de supermarchés qu'il y a sur les routes et autoroutes !! Çà fait peur !), car, en cas de guerre ce sont les endroits les plus chargés qui seront déchargés ! (Plus de 90 % de la population mondiale habite l'hémisphère Nord).
      Et, comme l'Afrique est à prendre (cause au refroidissement planétaire)... oui mais s'incrustent les chinois qui modernisent le continent !
      Donc, l'idéal est encore d'avoir son bateau et de s'arrêter à son île. Pas d'impôt, pas d'emmerde.

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  91. Rejet du Brésil du dollar dans le commerce avec la Chine - L'Amérique latine suit


    5 avril 2023
    du Dr. Peter F. Mayer


    Les sanctions des États-Unis et de leur entourage européen contre la Russie et un certain nombre d'autres pays ont conduit à un abandon du dollar. De plus en plus de pays veulent faire leur commerce extérieur dans leur propre monnaie et au moins éviter le dollar. Le 29 mars, les banques centrales du Brésil et de Chine ont convenu de créer un centre de compensation offshore.
    La transition du Brésil et de la Chine vers l'utilisation des monnaies nationales dans leurs échanges bilatéraux aura un impact sérieux sur la région latino-américaine, a déclaré Pedro Costa Junior de l'Université de Sao Paulo.

    « Ce n'est pas la première expérience pour la Chine. Il négocie déjà en yuan avec 25 pays ; avec l'Argentine dans la région latino-américaine. Cependant, le Brésil se situe en fait à un niveau différent car il s'agit de l'économie la plus importante de la région. "Comme l'a dit [l'ex-président américain Harry] Truman, où que le Brésil aille, toute la région suivra", a déclaré l'expert.

    Le Brésil représente environ la moitié du territoire et de la population du continent et plus de la moitié du PIB de la région, selon Costa Junior. D'autres pays d'Amérique latine suivront le Brésil peu de temps après avoir commencé de tels échanges en devises nationales avec la Chine, a-t-il ajouté.

    Le 29 mars, les banques centrales du Brésil et de Chine ont convenu de créer un centre de compensation offshore. La Chine est le premier partenaire commercial du Brésil depuis 2009.

    https://tkp.at/2023/04/05/brasiliens-ablehnung-des-dollars-im-handel-mit-china-lateinamerika-folgt/

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  92. Les pays renfloués par la Chine


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 05 AVRIL 2023 - 08:45


    Un nouveau rapport publié par le laboratoire de recherche AidData du Virginia’s College of William & Mary met en lumière la pratique généralement non transparente des prêts d’urgence bilatéraux chinois.

    Comme le rapporte Katharina Buchholz de Statista, les chercheurs qui viennent également de la Banque mondiale, de l'Université de Harvard et de l'Institut de Kiel pour l'économie mondiale ont identifié 22 pays qui ont été renfloués par des prêts chinois lorsqu'ils ont rencontré des problèmes de liquidité entre 2000 et 2021.

    - voir carte sur site -

    Infographie : Les pays renfloués par la Chine | Statistique
    Vous trouverez plus d'infographies sur Statista

    Les pays qui ont utilisé ces prêts pendant un nombre particulièrement élevé d'années, c'est-à-dire qui ont reconduit leurs prêts aux années suivantes, sont le Pakistan, la Mongolie, l'Argentine et le Sri Lanka.

    Ce dernier pays a fait appel à la banque centrale chinoise pour la première fois en 2021 avant de faire défaut sur sa dette de toute façon en 2022. L'Argentine et la Mongolie ont également été identifiées par le rapport comme des pays en grande difficulté financière depuis le début des années 2010 et utilisaient la Chine comme un prêteur de dernier recours bien que les conditions de prêt du pays soient moins favorables que les renflouements à faible taux d'intérêt offerts par le FMI ou la Fed américaine. La liste des plans de sauvetage chinois comprend également des pays connaissant des événements inflationnistes majeurs, comme le Pakistan, la Turquie et l'Égypte susmentionnés.

    Le rapport constate que les renouvellements répétés des prêts chinois fournis par les swaps de liquidité de la banque centrale les placent dans une zone grise douteuse qui les distingue des pratiques de prêt similaires, par exemple les swaps de liquidité de la Fed américaine. Ceux-ci sont également souvent utilisés dans les situations de crise mais doivent être remboursés dans les 12 mois ou déclarés en tant que dette réelle. Les prêts de la Fed sont le plus souvent utilisés par les pays développés, tandis que les pays en développement et à revenu intermédiaire - dont beaucoup ont également accumulé une dette régulière envers la Chine - se tournent de plus en plus vers la superpuissance asiatique pour obtenir une aide d'urgence. Ces pays ont donc pu conserver des lignes de swap pendant de longues périodes sans avoir à déclarer davantage de dette extérieure, mais à un coût plus élevé et avec une perte de transparence de la dette internationale.

    Les montants de renflouement fournis par la Chine sont restés assez faibles dans les années 2000 et au début des années 2010, avant de monter en flèche à partir de 2015, atteignant un total de 100 milliards de dollars pour les deux décennies. Les deux manières les plus courantes dont ces prêts fonctionnent sont par le biais d'un échange de liquidités avec la Banque centrale chinoise - où la plupart des soldes impayés d'environ 40 milliards de dollars étaient situés en 2021 - ou par le biais de lignes de crédit de banques publiques chinoises. Trois pays, le Venezuela, le Soudan du Sud et l'Équateur, ont reçu des acomptes sur les marchandises qu'ils devaient livrer en Chine.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/countries-bailed-out-china

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  93. Gagnants et perdants de la population californienne : pourquoi certains comtés ont explosé et d'autres ont diminué


    PAR TERRY CASTLEMAN
    RÉDACTEUR DU PERSONNEL
    5 AVRIL 2023 05:00 PT


    Une prison fermée dans le comté de Lassen. Les campus universitaires ont accueilli des étudiants dans les comtés de Santa Barbara et de Santa Cruz, et des milliers de nouveaux logements ont été ajoutés dans le comté de Yolo.

    Alors que la population globale de la Californie a continué de diminuer, de nouvelles données de recensement montrent qu'au cours de la période pandémique des deux dernières années, les fluctuations de population ont affecté les grands et les petits comtés de l'État, le résultat des protocoles de santé COVID-19, le retour des employés sur les lieux de travail , la construction de nouveaux logements et divers autres facteurs.

    Plusieurs grands comtés urbains – dont Los Angeles, San Francisco et Santa Barbara – ont rebondi après les pertes de population qui ont le plus durement frappé au début de la pandémie.

    Pendant ce temps, dans les comtés ruraux tels que Lassen et Yolo, la population a fluctué en raison de changements locaux, tels que la fermeture d'une prison ou la construction de nouveaux logements.

    Le grand point à retenir des dernières données du recensement : les Californiens ont beaucoup déménagé en réponse à la pandémie et à d'autres facteurs, mais de nombreux comtés commencent maintenant à se réinstaller dans le statu quo pré-pandémique.

    Les experts démographiques affirment que les données du recensement reflètent les mouvements de population pendant la période où COVID-19 était encore une préoccupation majeure – et ils soulignent qu'il est possible que les pertes de population aient ralenti et que des centres urbains tels que le comté de Los Angeles pourraient bientôt voir leur les populations rebondissent lorsque les chiffres pour 2022-23 sont publiés.

    Le comté de San Luis Obispo, qui abrite Morro Rock, figurait dans le top 10 des comtés de Californie qui ont le plus gagné en population entre juillet 2021 et juillet 2022. (D'après Dennis Johnson)
    Dans les données du recensement de 2020-21, les comtés urbains tels que Los Angeles et San Francisco ont affiché les plus fortes pertes en pourcentage. Mais la perte de population a commencé l'année suivante dans ces comtés urbains par rapport aux comtés ruraux.

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  94. Le «déclin des pires jours de la pandémie a ralenti la sortie des grandes villes» car la peur de vivre dans des communautés surpeuplées a diminué et les employés de bureau sont devenus plus courants, a fait valoir Paul Ong, directeur du Center for Neighborhood Knowledge à UCLA .

    Les villes sont « redevenues attrayantes pour une nouvelle génération de jeunes travailleurs », a-t-il déclaré, bien qu'elles aient encore des problèmes majeurs à résoudre.

    Les problèmes de logement, de sans-abrisme, d'infrastructure et de sécurité ont été "exacerbés et exacerbés" par la pandémie, et "sans corriger ces défauts, les grandes villes continueront de se dépeupler", a déclaré Ong.

    Déménager

    Voici les 10 comtés de Californie avec le taux de perte de population le plus élevé entre juillet 2021 et juillet 2022.

    Comté de Lassen : -6 %
    Comté Alpin : -3,64%
    Comté de Plumas : -2,95 %
    Comté de Sierra : -2,36 %
    Comté de Mono : -2,13 %
    Comté de Trinité : -1,74 %
    Comté de Del Norte : -1,71 %
    Comté de Napa : -1,40 %
    Comté de Mendocino : -1,34 %
    Comté de San Mateo : -1,34 %

    Dans le comté de Lassen, le superviseur Jason Ingram attribue une grande partie de la récente perte de population à la fermeture du centre correctionnel de Californie à Susanville.

    "Un grand pourcentage de cela serait des détenus", qui ont été en grande partie "vidés" à la fermeture de la prison, a-t-il déclaré.

    Les employés de la prison peuvent également partir à mesure que les emplois se tarissent, ce qui contribue à la diminution de la population. "Nous avons perdu des agents pénitentiaires au profit d'autres États", a déclaré Ingram.

    À l'autre extrémité du spectre, certains des comtés qui ont perdu de nombreuses personnes en 2020-2021 ont rebondi l'année suivante.

    Le comté de Yolo s'est démarqué. Après avoir perdu 1,5% de sa population en 2020 – se classant au 10e rang de l'État – le comté est en tête de liste en termes de croissance en 2021-22.

    Notamment, les comtés de Santa Cruz et de Santa Barbara sont passés de la perte parmi le plus grand nombre de personnes – 2e et 4e plus, respectivement – à afficher les 10 meilleurs pourcentages de gains de population.

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  95. "De nombreux comtés dotés de grandes universités ont vu leur population rebondir complètement cette année avec le retour des étudiants", a déclaré Christine Hartley, chef de division adjointe pour les estimations et les projections au sein de la division de la population du US Census Bureau, à propos des résultats du recensement. Santa Cruz et Santa Barbara ont toutes deux de grands campus universitaires.

    Les comtés de Riverside, Madera, Placer, Yuba et San Benito ont tous continué de croître, affichant les 10 meilleurs pourcentages de gains de population au cours des deux années.

    Mission Inn Riverside est inondé de lumières pendant les vacances. Le comté de Riverside a affiché les 10 meilleurs pourcentages de gains de population en 2020-2021 et 2021-22. (Mission Inn)
    Voici les 10 comtés de Californie qui ont le plus gagné en population entre juillet 2021 et juillet 2022.

    Comté de Yolo : +4,26 %
    Comté de Merced : +1,95 %
    Comté de Santa Cruz : +1,49 %
    Comté de Santa Barbara : +1,46 %
    Comté de San Benito : +1,36 %
    Comté de Yuba : +1,31 %
    Comté de Placer : +1,20 %
    Comté de San Luis Obispo : +0,97 %
    Comté de Madera : +0,85 %
    Comté de Riverside : +0,84 %

    La population de la Californie a chuté de 500 000 en deux ans alors que l'exode se poursuit
    16 février 2023

    Angel Barajas, un superviseur du comté de Yolo, a souligné plusieurs domaines de croissance, y compris le côté sud de Woodland, où les développeurs "ajoutent quelques milliers d'unités".

    Woodland, l'une des quatre villes incorporées du comté, "attire des gens de la région de la baie et aussi de la région de Sacramento", a-t-il déclaré.

    Le logement dans le comté est "abordable par rapport aux tarifs de la région de la baie", a déclaré Barajas, et les gens peuvent y vivre et faire la navette ou le télétravail vers les emplois de la région de la baie.

    "C'est un beau comté, pour être tout à fait honnête", a-t-il déclaré. Le comté abrite également UC Davis, ce qui explique peut-être une partie de la croissance.

    Dans l'ensemble, la perte de population de la Californie a considérablement ralenti de la première année de l'ensemble de données à la seconde. En 2020-2021, l'État a perdu 0,91% de sa population. L'année suivante, il n'a perdu que 0,29 %.

    https://www.latimes.com/california/story/2023-04-05/here-are-californias-fastest-growing-and-shrinking-counties

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  96. Alors que la Chine embrasse la Russie, le récit occidental doit être repensé

    Les liens croissants entre Pékin et Moscou sont alimentés par les politiques américaines qui mettent les deux pays dans un coin


    Par Marco Carnelos
    Recherche mondiale,
    05 avril 2023


    La semaine dernière, The Economist a consacré sa couverture et son article de fond à la vision du monde du président chinois Xi Jinping. Le moment était parfait : Xi venait de terminer une visite controversée de trois jours en Russie, où les deux pays ont signé d'importants accords élargissant leur coopération. Xi et le président russe Vladimir Poutine ont tous deux publié des déclarations orgueilleuses et très confiantes quant à l'avenir.

    Poutine a invité les principaux partenaires de la Russie en Amérique latine, en Afrique et en Asie à utiliser le yuan pour les règlements du commerce extérieur. Xi a dit :

    « Il y a des changements qui ne se sont pas produits depuis 100 ans. Lorsque nous sommes ensemble, nous conduisons ces changements », a déclaré Xi à Poutine dans ses mots de départ.

    Le premier est un nouvel élan à la dé-dollarisation dans les pays du Sud ; quant au second, les changements auxquels Xi fait référence sont sûrement le déclin perçu des États-Unis et du libéralisme occidental. L'article de The Economist illustre parfaitement ce qui ne va pas avec la pensée occidentale sur la politique étrangère et la dangereuse pensée de groupe qui pourrait amener les démocraties occidentales au bord du gouffre.

    Après des mois de discours de la part des gouvernements et des médias occidentaux sur les tensions présumées entre la Chine et la Russie au sujet de la guerre en Ukraine , la visite de Xi en Russie a été un choc mal dissimulé. Les vœux pieux se transforment rarement en réalité, et pourtant, aucune réévaluation du récit occidental n'a été déclenchée.

    Comme on pouvait s'y attendre, The Economist a souligné que la visite de Xi a coïncidé avec le mandat d'arrêt contre Poutine émis par la Cour pénale internationale (CPI). Mais l'article notait que le dirigeant chinois n'était "pas troublé par des incohérences insignifiantes".

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  97. Compte tenu de ce qui se passe en Ukraine, la décision de la CPI était un acte nécessaire. Malheureusement, The Economist n'a pas fourni le contexte plus large nécessaire à son commentaire. Ni la Russie, ni la Chine, ni même les États-Unis ne sont signataires du Statut de Rome de la CPI. Lorsque la CPI a lancé une enquête contre les États-Unis pour des crimes de guerre présumés en Afghanistan, l'administration américaine a menacé le personnel de la Cour et a révoqué leurs visas.

    L'article de The Economist a également noté que Xi croit au "déclin inexorable de l'ordre mondial dirigé par les États-Unis, avec sa préoccupation déclarée pour les règles et les droits de l'homme". Mais ce que le dirigeant chinois croit ou ne croit pas n'est pas pertinent ; c'est une question aussi complexe et ésotérique que l'était la kremlinologie pendant la guerre froide. Ce qui est pertinent, au contraire, c'est l'histoire que The Economist semble avoir manquée.

    L'ordre mondial dirigé par les Américains est en déclin parce que sa préoccupation déclarée pour les règles et les droits de l'homme est ternie par des doubles standards. Les pays du Sud ne cessent de transmettre ce message aux États-Unis et à leurs alliés, en vain.

    Remodeler l'ordre mondial ?

    The Economist attribue également à la Chine une main impitoyable et bien jouée en Ukraine ; c'est-à-dire assurer la subordination de Moscou à Pékin. Croire cela implique que Poutine est stupide, ou naïf, c'est le moins qu'on puisse dire. Alors que le président russe peut être accusé de beaucoup de choses – cruauté, cynisme, manque de scrupules – la stupidité est un peu trop loin.

    The Economist ne semble pas avoir envisagé l'idée que la coopération russo-chinoise croissante n'est pas alimentée par la prétendue naïveté de Poutine, mais par les politiques américaines qui mettent les deux pays dans un coin – se jetant pratiquement l'un dans les bras de l'autre.

    L'invasion déplorable de l'Ukraine par la Russie est la dernière étape d'un différend croissant entre Moscou et l'Otan, principalement centré sur l'expansion de cette dernière vers l'est en Europe. Les tensions américano-chinoises proviennent en grande partie du reniement de facto de Washington sur sa politique « Une seule Chine » vis-à-vis de Taïwan, et de son incapacité à voir la position mondiale des États-Unis menacée par les succès économiques et technologiques de Pékin.

    La Chine est victime de son propre succès ; les États-Unis sont victimes des politiques d'automutilation qu'ils ont adoptées au cours des dernières décennies.

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  98. The Economist note que Xi "veut remodeler l'ordre mondial post-1945". Cette affirmation se débat avec les faits et la réalité. La Chine a prospéré dans l'ordre mondial post-1945 dirigé par les États-Unis. Depuis 1979, cette ordonnance a permis de sortir 800 millions de Chinois de la pauvreté ; dans la même période, le pays est devenu non seulement l'usine du monde, mais sa deuxième économie.

    Au début de 2017, alors que les États-Unis commençaient à réfléchir à leur propre ordre mondial fondé sur des règles, le dirigeant qui s'est rendu à Davos pour le défendre n'était autre que Xi. Pourquoi la Chine devrait-elle remodeler un système qui l'a si bien servie ?

    Selon The Economist, l'utilisation par Xi du mot "multilatéralisme" est devenue "le code d'un monde qui abandonne les valeurs universelles et est dirigé en équilibrant les intérêts des grandes puissances".

    Parfois, il vaut la peine de se demander quel monde l'Economist a observé au cours des dernières décennies. Avant et après la guerre froide, les super, grandes et ordinaires puissances ont ignoré ou déformé les soi-disant valeurs universelles, comme l'exigent leurs intérêts acquis et leurs jeux de pouvoir.

    Il existe des centaines d'exemples où les valeurs universelles ont été bafouées par la realpolitik. Les droits universels sont encodés dans la Charte et les conventions des Nations Unies. Il y a un problème inhérent à leur respect, mais il y a aussi des visions de plus en plus contradictoires sur qui devrait avoir le dernier mot pour déterminer les violations de ces droits – et surtout, comment ces règles devraient être appliquées.

    De nombreux pays dans le monde, dont beaucoup ne sont pas autocratiques, pensent que les démocraties occidentales ont souvent militarisé les droits de l'homme à des fins politiques égoïstes.

    Dans un ordre mondial fondé sur des règles largement vanté, pour faire fonctionner un tel système, les règles devraient s'appliquer à tous - principalement aux pays qui les ont rédigées et prétendent les appliquer. Dans un tel contexte, les États-Unis et leurs alliés ont largement échoué.

    Susceptible d'indignation

    L'article de The Economist réserve sa découverte la plus étonnante pour la fin de l'article, notant que « le véritable objectif de la politique étrangère de M. Xi est de rendre le monde plus sûr pour le Parti communiste chinois ». Aucun effort n'est fait pour expliquer pourquoi les dirigeants chinois devraient se comporter différemment de tous les autres gouvernements du monde.

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  99. La Chine est accusée de ne pas croire "à la démocratie, aux droits de l'homme ou aux grandes puissances contraignantes". C'est juste. Les démocraties occidentales, cependant, ne semblent pas plus saines. La faible participation aux urnes ces dernières années est un signal d'alarme. Le président français Emmanuel Macron, confronté ce mois-ci à d'énormes protestations contre sa politique, a été réélu l'an dernier avec un faible taux de participation. Sur 48 millions d'électeurs français éligibles, seuls 18 millions d'électeurs l'ont élu.

    Ces mêmes démocraties ont sélectivement protégé les droits de l'homme, et pour ce qui est de contraindre les grandes puissances, il y a beaucoup de travail à faire en ce qui concerne les États-Unis.

    The Economist reproche à la Chine de toujours soutenir les élites dirigeantes et considère qu'une telle approche est susceptible d'indigner les gens ordinaires du monde entier. Pourtant, au moment où l'histoire allait sous presse, les vrais gens ordinaires indignés étaient principalement visibles dans les rues de Paris et de Tel-Aviv , sans parler de la vague de grèves qui touchait le Royaume-Uni .

    Dans ses dernières phrases, The Economist admet que les démocraties occidentales visent à long terme « à réfuter l'accusation selon laquelle les règles mondiales ne servent que les intérêts occidentaux ». Pour mémoire, ce n'est pas une charge, mais une triste réalité. Plus tôt The Economist et ses pairs partageant les mêmes idées l'obtiendront, mieux ce sera.

    En fin de compte, l'article critique la Chine pour sa prétendue croyance principale : « que la vraie démocratie implique le développement économique, mais ne dépend pas de la liberté politique ». C'est un point crucial. Les deux millénaires de dures leçons historiques de la Chine ont probablement amené ses dirigeants à des conclusions aussi inacceptables. Après tout, gouverner la plus grande population de la planète n'a jamais dû être facile.

    L'espoir est que cette approche puisse bientôt changer. Néanmoins, compter sur la pression occidentale pour y arriver implique une mauvaise interprétation grossière des feuilles de thé liées à l'establishment chinois.

    Les démocraties occidentales devraient passer à une véritable réforme, plutôt que de simplement faire semblant de la soutenir. Ils pourraient commencer par mettre de côté les sermons et les prétentions grandiloquentes de supériorité morale ; de même, leur focalisation sur les droits civils ne doit pas continuer à se faire au détriment des droits sociaux.

    Comme l'ont montré les deux dernières semaines, l'indignation des gens ordinaires ne connaît pas de frontières politiques.

    *

    Marco Carnelos est un ancien diplomate italien. Il a été affecté en Somalie, en Australie et aux Nations Unies. Il a fait partie du personnel de politique étrangère de trois premiers ministres italiens entre 1995 et 2011. Plus récemment, il a été envoyé spécial du coordonnateur du processus de paix au Moyen-Orient pour la Syrie pour le gouvernement italien et, jusqu'en novembre 2017, ambassadeur d'Italie en Irak.

    https://www.globalresearch.ca/china-embraces-russia-western-narrative-needs-rethink/5814996

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  100. Pas d’ordures à l’abandon dans une société libre

    Les éboueurs en grève soulèvent la question de la responsabilité de l’État dans la gestion des services publics et des monopoles.


    le 6 avril 2023
    Finn Andreen


    Pendant les récentes grèves, les ordures ménagères se sont entassées dans les rues, nuisant au bien-être des Français. Les photos de milliers de poubelles dans Paris ont choqué à l’étranger, dégradant encore plus une image de la France déjà écornée. Mais il faut dire que tout aussi choquantes sont la tolérance ou la résignation des Français face à cette accumulation d’immondices.

    Si les idées libérales étaient davantage comprises et répandues en France, les Français comprendraient mieux à quel point l’organisation politique actuelle est non seulement inefficace mais aussi et surtout moralement inacceptable quand elle permet à une telle situation de se développer. D’ailleurs, il n’est pas possible de comprendre le problème des déchets non collectés sans comprendre plus largement la problématique des biens soi-disant publics.

    Les éboueurs et le « droit » de grève

    Puisque la cause directe des amas d’ordures dans les rues est la grève des éboueurs, il faut évoquer le « droit de grève ». Dans une société libre, pouvoir décider unilatéralement de ne pas travailler ne serait pas un droit légal protégé par la loi. Le « droit de grève » actuel doit alors plutôt être considéré comme une ingérence injuste de l’État dans la relation entre employé et employeur ; en d’autres termes, une défense par l’État de la violation du contrat de travail par des employés syndiqués.

    Dans un marché libre les travailleurs ne peuvent pas être interdits d’adhérer à des syndicats ; au contraire, des employés de catégories professionnelles similaires ont naturellement un intérêt à s’organiser, par exemple pour mieux négocier les contrats de travail avec les employeurs. Par contre, sans subventions de l’État, les syndicats utiliseraient prudemment l’arme de la grève contre une entreprise privée et ne devraient pas s’attendre a être défendus par l’État.

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  101. Dans un marché libre, l’employeur pourrait légitimement répondre par une baisse de salaire, une sanction ou un licenciement de l’employé gréviste. De plus, si une grève empêchait certains produits ou services d’être proposés par une entreprise, elle perdrait des parts de marché et des entreprises concurrentes prendraient immédiatement le relais.

    Mais le problème de la grève des fonctionnaires, qu’ils soient éboueurs ou cheminots, est qu’ils sont en position de monopole et que leurs victimes sont des citoyens et des entreprises tierces – et pas leur employeur. Le « droit de grève » des fonctionnaires a donc encore moins de raison d’être toléré par le libéral. En effet, dans beaucoup de pays, comme l’Allemagne, l’Estonie ou la Turquie, les fonctionnaires n’ont pas de droit de grève, dans la mesure où ils sont au service de la société et que leur grève pénalise seulement le public.

    D’ailleurs, même en France le Conseil constitutionnel a décidé (n°79-105 DC du 25 juillet 1979) que le droit de grève n’est pas simplement « acquis » dans la fonction publique. Au contraire, il est toujours à mettre en relation avec le service fourni et il est possible de décider « l’interdiction du droit de grève aux agents dont la présence est indispensable pour assurer le fonctionnement des éléments du service dont l’interruption porterait atteinte aux besoins essentiels du pays ». La collecte quotidienne des ordures ne serait-elle pas un « besoin essentiel » ?

    Il faut rappeler que certaines fonctions publiques sont déjà exclues du droit de grève, comme la police, les juges, les militaires, le personnel pénitencier, etc. En 1964, De Gaulle avait aussi interdit le droit de grève aux contrôleurs aériens (loi ensuite partiellement abrogée en 1984). Pour quand les éboueurs ?

    La place « publique » n’est pas publique

    Mais la cause fondamentale des tas d’ordures dans les rues à la suite à la grève des éboueurs est que la rue est considérée comme un bien public. C’est la notion étatiste selon laquelle certains biens auraient des caractéristiques particulières qui les rendent publics, comme supposément les voies et les places des villes, et que d’autres biens auraient des caractéristiques qui les classent clairement en tant que biens privés.

    Deux arguments sont utilisés pour essayer de justifier l’existence des biens publics :

    La supposée impossibilité de limiter la jouissance de ces biens aux utilisateurs payants (notion de « passager clandestin »).
    Les non-payants ne nuisent pas aux payants quand les premiers jouissent du bien (notion de non-rivalité).

    Cependant, cette distinction entre bien privé et public est artificielle comme le démontra brillamment le professeur Hoppe dans un essai souvent cité :

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  102. « Il n’existe pas de dichotomie nette entre biens privés et biens publics, et c’est essentiellement pour cela qu’il peut y avoir tant de désaccords sur la façon de classer un bien. Tous les biens sont plus ou moins privés ou publics et peuvent – et changent constamment – en ce qui concerne leur degré de caractère privé/public, à mesure que les valeurs et les évaluations des gens changent, et que des changements se produisent dans la composition de la population. »

    Il n’y a donc aucune raison de considérer que les voies et les places soient des biens publics ; et beaucoup d’exemples historiques et actuels montrent que ce n’est en effet pas le cas. En réalité, les places et les voies publiques n’ont qu’une caractéristique qui les rend particulières : leur seul possible propriétaire est l’État dans la grande majorité des cas. Leur caractère de bien public est implicitement utilisé pour justifier que l’État doit en être propriétaire.

    Étant donné que les voies sont propriété de l’État, il ne faut pas s’étonner du délabrement et du manque d’entretien de celles-ci dans beaucoup de villes du monde, dont Paris. L’existence d’un monopole légal sur ces biens minimise l’incitation pour l’État d’en maintenir la qualité. Pis, les riverains n’ont pas d’autre choix que les utiliser, car les voies étatiques commencent sous forme de trottoirs à l’entrée même des propriétés privées. Il y a donc non seulement une absence totale de choix pour les usagers, mais ceux-ci sont même obligés d’utiliser la voie publique, souvent de mauvaise qualité. Le même raisonnement s’applique évidemment à beaucoup d’autre biens dits publics.

    En conclusion, pour les deux raisons présentées ici, il ne faut donc pas s’étonner que les riverains soient forcés de supporter des milliers de tonnes d’ordures non collectées sur les voies de France. La tolérance des Français aux poubelles devant leurs foyers montre à quel point le libéralisme est absent de la scène idéologique et intellectuelle en France.

    Même si les idées présentées ci-dessus sont généralement considérées comme impensables aujourd’hui, il ne faut pas oublier qu’elles étaient banales au XIXe siècle. C’est un signe que les libéraux doivent continuer leurs efforts pour expliquer et convaincre les Français que le salut économique, politique et culturel de la France passe par la liberté.

    https://www.contrepoints.org/2023/04/06/453956-pas-dordures-a-labandon-dans-une-societe-libre

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    1. D'abord il y a le tuteur, qui pour l'histoire s'appellera 'le syndicat'. Il se dit 'nécessaire' pour défendre les handicapés qui ne peuvent le faire d'eux-mêmes. Le rôle du psychiatre face au patient qui le paye, est celui d'emmerdeur car lui aussi en tient une couche aussi épaisse que l'intéressé devant lui. Tout deux ne comprennent RIEN à l'économie et ne peuvent donc que parler pognon-demande-pognon et c'est tout. C'est deux cons face à face.

      Bien sûr en Démocratie les choses se dérouleraient différemment, chacun irait en mairie déposer son propre projet de loi et, signatures à l'a-point, obtiendrait donc la voie du référendum où chaque habitant vote. Les ordures seraient ramassées et tout irait bien sauf qu'à côté, les dictatures des autres pays voient de plus en plus les patient se lever pour insulter les psychiatres qui se disent de faire la loi. C'est là que l'on comprend que le fou n'est pas celui qu'on croit.

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  103. CARAÏBES: La Barbabe, cette petite île qui veut remodeler le FMI et la Banque mondiale


    7 avril 2023, 08:18


    Le petit État des Caraïbes, menacé par le réchauffement, est devenu le principal avocat d’une réforme des institutions économiques internationales afin de lutter contre la crise climatique.

    Avec son décor de carte postale, la Barbade est un état particulièrement exposé aux effets du réchauffement climatique comme la montée du niveau des océans ou la multiplication des ouragans.
    Avec son décor de carte postale, la Barbade est un état particulièrement exposé aux effets du réchauffement climatique comme la montée du niveau des océans ou la multiplication des ouragans.

    Les appels à réformer l’architecture de la finance mondiale pour mieux répondre aux défis du dérèglement climatique se multiplient. Et l’une des voix les plus fortes provient de la Barbade, petite île exposée aux menaces. Cet État des Caraïbes, situé sur le passage des ouragans et menacé par la montée du niveau des océans, est devenu le principal avocat de la réforme des institutions économiques internationales.

    Connu sous le nom d’initiative de Bridgetown – du nom de la capitale du pays –, le plan de la Barbade prévoit d’utiliser le Fonds monétaire international (FMI) pour transformer «les milliards en milliers de milliards» d’investissements afin de réduire les émissions de gaz carbonique, avec également des taxes sur les entreprises fossiles destinées à amortir les chocs économiques liés au climat.

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  104. 2000 milliards de dollars par an

    Ces propositions sont toujours débattues mais gagnent du terrain parmi les nations les plus développées qui font la pluie et le beau temps au FMI et à la Banque mondiale. Cette dernière est particulièrement sous pression pour faire plus en faveur du climat, un domaine dans lequel le président sortant David Malpass – nommé sur proposition de Donald Trump – a été critiqué pour son manque de volontarisme.

    Les institutions multilatérales ne sont cependant pas restées les bras croisés. Le FMI a, par exemple, mis sur pied un fonds pour encourager la résilience des pays à revenus faible et intermédiaire – et dont la Barbade a été le premier bénéficiaire. Mais les critiques estiment que ce n’est pas suffisant. Un groupe d’experts indépendants mandaté par l’ONU et coprésidé par Vera Songwe estimait l’an dernier qu’il faudrait plus de 2000 milliards de dollars par an pour répondre à la crise climatique.

    Plus de taxes, nouveau fonds et gel des dettes

    La Barbade propose d’utiliser les droits de tirage spéciaux du FMI – un avoir de réserve – pour y adosser un nouveau fonds climatique, qui pourrait emprunter à bon compte et investir dans des projets de réduction des émissions de gaz carbonique. Elle demande aussi aux banques multilatérales d’augmenter leurs prêts, avec de préférence une clause pour geler les remboursements pendant deux ans en cas d’événement climatique extrême. Le plan suppose enfin une taxation – par exemple sur les transactions financières ou les bénéfices des entreprises fossiles – pour aider les pays à faire face aux dégâts climatiques.

    Les ONG ont dans l’ensemble accueilli favorablement ces pistes même si elles souhaitent que la question de l’annulation des dettes soit mise sur la table – tout comme une reconnaissance de la responsabilité historique des pays riches pollueurs. «Tant qu’il n’y aura pas l’argent sur la table, on n’arrivera pas à résoudre la crise climatique», juge Harjeet Singh du Climate Action Network.

    Même si la Barbade est considérée comme relativement prospère par d’autres pays plus pauvres, Avinash Persaud, qui mène la campagne de la Barbade avec «un employé et demi et un tableau Excel», espère pouvoir construire une large coalition de pays – pesant quelque 40 % de la population mondiale – en faveur d’avancées dans la prise en compte des enjeux climatiques. «Cela changera le monde pour ces 3,2 milliards de personnes», s’enthousiasme-t-il.

    https://www.lematin.ch/story/la-barbabe-cette-petite-ile-qui-veut-remodeler-le-fmi-et-la-banque-mondiale-711607796003

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    1. (...) Connu sous le nom d’initiative de Bridgetown – du nom de la capitale du pays –, le plan de la Barbade prévoit d’utiliser le Fonds monétaire international (FMI) pour transformer «les milliards en milliers de milliards» d’investissements afin de réduire les émissions de gaz carbonique, avec également des taxes sur les entreprises fossiles destinées à amortir les chocs économiques liés au climat. (...)

      Faut dire que les océans sont des milliards de fois les plus gros émetteurs de gaz carbonique et, qu'il faudrait couvrir de bâches des millions de km² d'océan afin d'en empêcher le dégazage !

      Notez que c'est l'argent qui va refroidir, pas les idées.

      Pire... la 'montée des océans' !! WHÔAW ! (hors marées). Notez bien que les politichiens et merdias n'en parlent pas ! : sournoisement et passant inaperçus des milliers de rivières et de fleuves se déversent (24/24 h)... dans les mers & océans !! c'est LE RÉCHAUFFEMENT CLIMATIIIIIIIIIQUE !

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