La montée en puissance de la terreur médicale et des mesures totalitaires « Covid »
Par Gary D. Barnett 4 septembre 2021
« Je ne crois pas au gouvernement. Je déteste la politique. Je suis contre. Et j'espère que cet automne, nous pourrons détruire une partie de notre gouvernement, et l'année prochaine en détruire encore plus. Moins il y a de gouvernement, plus je serai heureux". ~ Ray Bradbury, entretien avec Rachel Goldstein, content.time.com. 23 août 2010.
Sans dirigeants, il n'y aurait pas de régime totalitaire. Il n'y aurait pas de confinement. Il n'y aurait pas de mandats. Il n'y aurait pas de loi martiale médicale forcée. Il n'y aurait pas d'isolement forcé. Il n'y aurait pas de vol par taxation. Il n'y aurait pas d'impression illimitée d'argent pour enrichir le mal et corrompre le prolétariat. Il n'y aurait pas de fausse « pandémie de virus ». Il y aurait beaucoup moins de morts et de destructions. Avec le gouvernement à l'écart, il y aurait de la joie et du bonheur au lieu de la haine et de la tyrannie. Le gouvernement est un culte, et sous toutes ses formes le mal, donc toute diminution du gouvernement ne peut signifier qu'une diminution du mal.
Comme prévu, le calme temporaire de l'été est terminé, et à l'approche de l'automne, il en va de plus de tyrannie sous forme d'oppression, de menaces, de mandats et de propagande alarmiste extrême. Le mensonge « Covid » continue, mais avec une vigueur renouvelée et des mesures de contrôle autoritaires véhémentes planifiées et mises en œuvre à l'échelle nationale.
Cela est particulièrement évident dans le domaine de ce que l'on appelle ridiculement « soins de santé » dans l'un des pays développés les plus obèses et les plus malsains de la planète. Nous vivons dans un système fasciste/socialiste dans lequel la plupart des citoyens « croient » à tort qu'ils ont droit à des soins médicaux « gratuits ». Bien que cette pensée soit absurde, elle est due à plusieurs décennies d'endoctrinement, de législation sur la dépendance à la « santé » et de contrôle par quelques-uns et leurs pions au sein du gouvernement, du système médical, des compagnies d'assurance privées et gouvernementales, y compris les escroqueries communistes Medicare et Medicaid. . La majeure partie de la société dépend entièrement de l'État d'une manière ou d'une autre pour la plupart des services médicaux. Cette dépendance a effectivement fait de ses citoyens des esclaves.
Puis l'année dernière, le complot "Covid" s'est déchaîné sur cette société, et l'enfer est venu avec. Nous vivons maintenant dans une ère de terrorisme ; pas des attaques terroristes à distance, mais de l'intérieur, aux mains de ce qui est considéré à tort par les masses comme « leur » gouvernement. Ce n'est pas une telle chose. Avec autant de pouvoir de l'État sur les décisions en matière de santé, l'hospitalisation, les médicaments, les médicaments sur ordonnance, les « vaccins », et qui doit recevoir des soins et qui ne le sont pas, le public respectueux est exposé à un grand risque. En raison de la « pandémie » faussement prétendue, toutes sortes de restrictions pour les soins sont imminentes, et les soi-disant protocoles d'état d'urgence à travers ce pays seront utilisés pour refuser des soins à bon nombre de ceux qui en ont le plus besoin, en particulier les groupes qui sont considérés comme moins importants par l'Etat. Cela inclut les personnes âgées et infirmes, les malades, les handicapés mentaux, certains groupes ethniques, les enfants vulnérables, les pauvres, tous ceux qui sont considérés comme une ponction sur le système économique, et enfin tous ceux qui refusent d'accepter le courant dominant narratif, et refusent de se conformer aux mandats draconiens « Covid » émis par la classe dirigeante et leurs partenaires.
Les non vaccinés les plus intelligents seront blâmés pour tous les prétendus maux de la société. La pression pour prendre cette injection toxique sera considérablement augmentée et l'application deviendra plus agressive. En ce qui concerne la santé et les soins médicaux, les personnes non vaccinées et ne souhaitant pas obéir aux règles stupides de Covid se verront refuser les soins et les chirurgies nécessaires, les procédures médicales vitales, les médicaments et l'admission dans le système hospitalier. Ce ne sera que le début de la guerre contre les dissidents et les faibles. En fait, cela se produit déjà.
L'Idaho vient d'annoncer qu'il pourrait utiliser "Crisis Care" pour les "patients Covid". Les représentants de l'État à travers le pays « supplient » le public de se faire « vacciner » contre Covid-19, non pas parce que quelqu'un est malade, mais parce que « les cas augmentent à nouveau ». Les menaces du gouverneur de l'Idaho, Brad Little, ont permis au ministère de la Santé et du Bien-être de l'Idaho d'avertir (menacer) que le rationnement des soins de santé pourrait se produire dans moins de deux semaines. Si c'est le cas, il y aurait une liste de priorité pour ceux qui recherchent des soins ; un ordre de soin quant à qui serait le premier et qui serait le dernier. Les enfants jusqu'à 17 ans et les femmes enceintes à terme (plus de 28 semaines) seraient considérés comme prioritaires, et tous les adultes classés par âge seraient les derniers à recevoir des soins. Le plus vieux, bien sûr, serait laissé à mourir.
Ce n'est un secret pour personne que de nombreux patients à travers ce pays ont été refoulés, et n'ont pas reçu de soins ou n'ont pas reçu les chirurgies nécessaires, tout cela sous prétexte que les personnes atteintes de «Covid» ont rempli tous les lits d'hôpitaux. Mais la vérité sur l'affaire raconte une histoire différente, alors que les hôpitaux ont continué à fermer pendant cette panique orchestrée, tandis que les congés de masse et les licenciements chez ceux encore ouverts étaient courants et généralisés. Tout cela a été imputé au mensonge de perdre de l’argent à cause du « Covid » remplissant les hôpitaux, alors qu’en réalité, les centres médicaux ont reçu d’énormes sommes d’argent supplémentaires pour tous les patients « Covid ». Si cela vous semble aussi stupide que moi, félicitations pour avoir la capacité de penser et de voir à travers la tromperie.
L'année dernière sera pâle en comparaison à mon avis à ce qui s'en vient. La maladie et la mort vont considérablement s'intensifier en raison non de quoi que ce soit qui prétend être des variantes « Covid » ou « Covid », mais en raison des dizaines de millions de personnes qui ont volontairement pris ces injections toxiques. Lorsque cela se produira, la capacité d'accéder aux « soins de santé » pour ceux qui en ont vraiment besoin deviendra une tâche difficile. Les mesures de triage tracées deviendront monnaie courante, car la propagande du «virus» fera rage. Le blâme sera imputé à tous ceux qui s'opposent au complot "Covid", et à ceux qui refusent de recevoir l'injection, permettant au système médical criminel d'attribuer le traitement et la chirurgie, ou de refuser catégoriquement les soins sur la base du statut "vaccin".
Cela conduira bien sûr également à davantage de blocages des non vaccinés, à l'élimination ou à l'accès limité aux besoins et aux produits de survie, à des menaces d'amendes et d'incarcération, à la brutalité de l'application et à la loi martiale médicale.
Les choses vont très mal tourner, très bientôt. Je crois que plusieurs événements sous fausse bannière sont prévus et pourraient l'être dans un avenir proche. Je pense également que la montée en puissance des mesures draconiennes devrait être publiée dans les prochaines semaines, peut-être même dès le gâchis de l'anniversaire du 11 septembre. Il y a certainement des indications et des télégraphies de tactiques terroristes contre le peuple non seulement de ce gouvernement, mais d'autres dans le monde. Le calendrier des événements menant à l'anniversaire du 11 septembre et aux saisons de la « grippe » d'automne et d'hiver n'est pas accidentel, y compris le fiasco en Afghanistan. Comme je l'ai dit à maintes reprises, absolument rien de ce que fait le gouvernement n'est accidentel, ce n'est ni naturel ni organique ; c'est toujours prévu à l'avance. Ce qui se passe maintenant et ce qui se passera dans les semaines et les mois à venir est déjà en préparation, et ce depuis toujours.
Ceux d'entre nous qui ne prendront jamais ce poison étiqueté à tort comme un "vaccin", ceux d'entre nous qui ne porteront jamais de masque, et ceux d'entre nous qui continuent d'exposer cette "pandémie" frauduleuse pour ce qu'elle est vraiment, une arnaque, seront fortement ciblé à l'avenir. Nous serons blâmés pour tous les maux de la société, privés de soins médicaux, de services refusés et condamnés par les médias grand public, la classe politique et tous les auteurs de cette fraude mortelle.
Face à une tyrannie extrême, il est impératif de rester défiant, de désobéir, de se dissoudre et de rester solidaires afin de protéger la vie et la liberté. Rien de moins ne conduira qu'au servage.
Liens sources supplémentaires :
L'Idaho menace de « soins de crise » pour « Covid-19 »
Accès réduit aux soins du CDC en raison de la «pandémie de coronavirus»
266 hôpitaux mettant en congé des travailleurs en réponse à «Covid-19»
Alerte rouge : False flag entrant
Ce calme avant la tempête est-il destiné à créer une guerre contre les dissidents et les « non vaccinés ? » Absolument !
Les hôpitaux refusent des patients à cause du « Covid »
« COVID Zéro » La Nouvelle-Zélande a achevé sa transformation en un État policier à part entière Les Kiwis solidaires sont devenus fous.
Jordan Schachtel 3 sept.
La Nouvelle-Zélande, la dernière des nations dédiées au « COVID Zéro » sur terre, a achevé sa transformation en un régime tyrannique à part entière et, de manière choquante, elle est venue avec le consentement de la grande majorité des Kiwis.
Un sondage mené par Kantar et publié par The New Zealand Herald montre que 85 % des Kiwis soutiennent l'objectif d'élimination, contre 13 % affirmant « vivre avec » le virus.<= Publicerad idag
Les Kiwis soutiennent la stratégie d'élimination de Covid: sondage Les Néo-Zélandais ont signalé un soutien écrasant à la stratégie d'élimination de Covid-19 de Jacinda Ardern, alors même que le pays subit un autre verrouillage...
Autrefois salués comme la « success story » préférée des médias et des « experts de la santé publique » en matière de gestion de COVID-19, les morceaux de bouffée ont été de plus en plus difficiles à trouver, car Wellington a engendré une concoction dystopique d'édits gouvernementaux despotiques et insensés, revendiqués comme absolument partie nécessaire de leur combat éternel contre une maladie avec un taux de guérison de 99,8 %.
Observez simplement ce qui s'est passé dans le pays partenaire de Five Eyes au cours de cette seule semaine :
1) La quasi-totalité du pays est à nouveau sous verrouillage indéfini, après que quelques cas de COVID-19 ont été signalés dans tout le pays. Un seul cas nécessite un « verrouillage instantané », dans lequel tous les droits de millions de citoyens sont immédiatement restreints et indéfiniment soumis au confinement d'une maladie respiratoire saisonnière. Le verrouillage actuel a été prolongé sur Auckland jusqu'à au moins la mi-septembre, beaucoup prédisant une peine beaucoup plus longue. Selon les précédents, les Kiwis ne récupéreront pas leur liberté jusqu'à ce que – c'est la partie vraiment folle de Zero COVID – il n'y ait aucune propagation communautaire de COVID-19.
Et à la seconde où un autre cas apparaît sur le radar, tout le pays revient à la case départ du protocole Zero COVID.
Éclosion de delta du coronavirus Covid 19: le verrouillage d'Auckland pourrait durer «trois à quatre semaines», selon un expert, via @nzherald
Éclosion de delta du coronavirus Covid 19: le verrouillage d'Auckland pourrait durer «trois à quatre semaines», selon un expert - NZ Herald Un expert dit qu'il sera difficile pour Auckland de sortir du niveau 4 dans quinze jours.
2) Un homme est humilié par ses compatriotes pour avoir eu l'audace de « s'échapper » d'un camp d'internement COVID sanctionné par le gouvernement. Les camps ont été décrits sous un jour plus positif, mais faux, par la presse et les responsables gouvernementaux comme des « hôtels de quarantaine », mais il s'agit très certainement d'un centre d'internement, car il n'est pas permis de partir et il est passible d'une amende et d'une longue peine de prison.
The Hill a rapporté : « La personne a été accusée de ne pas s’être conformée à l’ordonnance sanitaire néo-zélandaise sur les coronavirus. En vertu d'une nouvelle loi adoptée l'année dernière, il pourrait encourir une amende ou jusqu'à six mois de prison s'il est reconnu coupable.
3) La police et les services militaires du pays installent des points de contrôle de sécurité dans toute la Nouvelle-Zélande afin de s'assurer que les citoyens ne voyagent pas pendant le verrouillage. Voyager librement pendant le verrouillage entraîne désormais une amende massive et/ou une peine de prison en guise de punition.
La police a mis en place des points de contrôle à travers Auckland pour empêcher les déplacements non essentiels alors que la Nouvelle-Zélande a enregistré 75 nouveaux cas de COVID-19. Auckland restera dans un verrouillage strict de niveau 4 pendant encore deux semaines, mais les restrictions pour le reste du pays ont été assouplies
La Nouvelle-Zélande est désormais le seul pays au monde qui reste dédié à COVID Zéro, la poursuite de l'élimination totale d'un virus de leur nation, qui est sous un auto-siège sanctionné par le gouvernement depuis le début de 2020. les autres nations qui ont tenté de poursuivre la pseudoscience derrière COVID Zéro ont échoué de manière catastrophique. La Nouvelle-Zélande est passée d'une « success story » de COVID très vantée à une maison d'horreurs à part entière, et malheureusement, il n'y a pas de fin en vue à la folie en cours.
Sur le ponton de l'embarcadère est inscrit en pancarte "ENTRÉE INTERDITE AUX MICROBES"
New-Z.: 268 021 km² pour 5 millions d'habitants.(Superficie du Colorado) Australie: 7 692 000 km² pour 25 millions d'habitants États-Unis: 9 834 000 km²
Bon, maintenant que vous savez tout, où irait votre ennemi se cacher en cas de ?
Par Jon Rappoport Le blog de Jon Rappoport 4 septembre 2021
— Mémo aux avocats et aux dirigeants politiques qui veulent détruire le récit COVID qui a été utilisé pour justifier les blocages, les masques, la destruction économique, les mandats —
Comme vous le savez bien, le test PCR est au cœur du récit. Un test positif équivaut à un « cas COVID ». De nombreux cas de COVID sont égaux : « nous devons réprimer les citoyens ; il faut les enfermer, fermer les commerces ; déployer un vaccin… »
J'ai passé un an à disséquer le test PCR et ses NOMBREUX défauts et problèmes de terminal. Bref, le test est une fraude totale.
Ici, je veux souligner UN seul scandale majeur.
Celui que j'ai choisi, s'il est poursuivi, fera un cas dévastateur. C'est simple; rigide; surprenant; le public peut le saisir facilement ; et même si un dossier judiciaire ne vole pas, l'exposition des faits peut être intégrée dans un ouragan d'une histoire.
Il existe un secret de polichinelle dans la communauté des tests PCR professionnels : DIFFÉRENTS LABORATOIRES ONT DES RÉSULTATS DE TEST CONFLITS POUR LE MÊME ÉCHANTILLON.
Un écouvillon nasal prélevé sur John Jones, envoyé à six laboratoires différents, reviendra fréquemment POSITIF, NÉGATIF, POSITIF, NÉGATIF, INDÉTERMINÉ, NÉGATIF…
Il n'y a donc pas de résultat fiable. Il n'y a pas de norme. Il n'y a aucun moyen de déterminer si le test doit indiquer « COVID » ou « NON-COVID ».
Cette variable de base est de l'ordre d'un ingénieur qui dit : « J'ai terminé la conception du pont, mes experts sont tous en désaccord sur la viabilité de la conception et nous ne pouvons donc pas construire le pont ».
Alors, comment appliquez-vous cette histoire d'horreur irréparable au test PCR ?
Vous choisissez cinq personnes. En l'espace d'une journée, vous envoyez l'échantillon d'écouvillonnage de chaque personne à six laboratoires différents pour analyse. Vous documentez ce processus, il n'y a donc aucun argument sur la « chaîne de possession ».
Lorsque les résultats reviennent sur les cinq personnes de tous les laboratoires et que vous voyez les résultats contradictoires – COVID, PAS COVID – vous avez le cas. Vous avez la preuve. Vous avez la vérité. Vous avez l'histoire.
Ce n'est pas compliqué. Vous n'avez pas besoin de rédiger un dossier de 500 pages pour le tribunal.
Et comme je l'ai dit, même si un juge à guichets fermés ou stupide comme un rock lance votre cas, vous avez une sacrée révélation.
Si vous êtes un leader politique - je pense à vous, gouverneur DeSantis - vous pouvez lancer votre procès d'en haut. Vous pouvez utiliser votre procureur général de l'État pour porter l'affaire devant les tribunaux et en faire un scandale public montagneux.
En prime, j'ai une autre stratégie.
Comme je l'ai documenté, les experts traditionnels conviennent que le test PCR doit être exécuté à 35 cycles ou moins ; sinon le résultat n'a pas de sens et est inutilisable.
Cependant, les directives de la FDA/CDC recommandent d'effectuer le test à 40 cycles. Par conséquent, les laboratoires se conforment.
Mais il y a plus. Les laboratoires ne sont pas tenus (sauf en Floride [1] [1a]) de déclarer le nombre de cycles qu'ils déploient dans leurs tests PCR. Par conséquent, les laboratoires ne rapportent pas ce facteur essentiel au patient ou à son médecin.
Donc… vous avez un client qui a reçu l'ordre de passer le test qui dit : « Bien sûr, je suis prêt. Mais d'abord, j'aurai besoin que le laboratoire déclare par écrit combien de cycles ils utilisent pour traiter mon échantillon.
Si le représentant du gouvernement ou l'employé de l'entreprise refuse de transmettre la demande au laboratoire, poursuivez-le.
S'il transmet la demande et que le laboratoire refuse d'indiquer le nombre de cycles qu'il utilise, poursuivez le laboratoire.
Si le laboratoire déclare qu'il utilise plus de 35 cycles, poursuivez le laboratoire.
Poursuivez toutes les parties connectées.
Voici le contexte soutenant ces deux stratégies—
UN : RÉSULTATS DE TEST DE LABORATOIRE CONFLITS
Dans un monde à moitié sain d'esprit, le test PCR aurait été validé, il y a des décennies, avant sa sortie initiale pour utilisation.
Je parle d'une grande étude de, disons, cinq mille volontaires. Sur chaque volontaire, prélevez un échantillon de tissu et envoyez cet échantillon à une douzaine de laboratoires différents, avec l'instruction de rechercher un microbe particulier.
Lorsque les résultats reviennent pour les 5000 volontaires, vérifiez leur cohérence.
CE TEST DU TEST, CETTE ÉTUDE N'A JAMAIS ÉTÉ FAIT.
L'uniformité des résultats des tests en laboratoire n'a jamais été établie.
L'étude n'a jamais été réalisée, car les «experts» savaient quels seraient les résultats et la perspective d'être exposés à des fraudes les terrifiait.
La FDA n'a jamais exigé une validation sérieuse du test PCR.
16 juillet 2020, podcast, « This Week In Virology » [2] : Tony Fauci tient à dire que le test PCR COVID est inutile et trompeur lorsque le test est exécuté à « 35 cycles ou plus ». Un résultat positif, indiquant une infection, ne peut être accepté ou cru.
Voici, en langage techno, un extrait de la citation clé de Fauci [2] (à partir de la marque 4m01s jusqu'à la marque 5m45s (Fauci commence sa première réponse à la première question à la marque 4m20s et commence sa deuxième réponse à la seconde question à la barre des 5m26s)) :
« ... Si vous obtenez [effectuer le test à] un seuil de cycle de 35 ou plus... les chances qu'il soit compétent pour la réplication [aka précis] sont minimes... vous ne pouvez presque jamais cultiver le virus [détecter un vrai résultat positif] à partir d'un 37 cycle de seuil…même 36…”
Chaque « cycle » du test est un saut quantique dans l'amplification et le grossissement de l'échantillon de test prélevé sur le patient.
Trop de cycles, et le test révélera toutes sortes de documents non pertinents qui seront interprétés à tort comme pertinents.
C'est ce qu'on appelle un faux positif.
Ce que Fauci n'a pas dit sur la vidéo, c'est: la FDA, qui autorise le test à usage public, recommande que le test soit effectué jusqu'à 40 cycles. Pas 35.
Par conséquent, tous les laboratoires aux États-Unis qui suivent les directives de la FDA participent sciemment ou inconsciemment à la fraude. Fraude à un niveau monstrueux, parce que…
Des millions d'Américains se font dire qu'ils sont infectés par le virus sur la base d'un faux résultat positif, et…
Le nombre total de cas de COVID en Amérique – qui est basé sur le test – est une fausseté grossière.
Les blocages et autres mesures de restriction sont basés sur ces numéros de cas frauduleux.
Laisse-moi revenir en arrière et recommencer. Fauci dit que le test est inutile lorsqu'il est exécuté à 35 cycles ou plus. La FDA dit exécuter le test jusqu'à 40 cycles, afin de déterminer si le virus est là. C'est le crime en un mot.
Voici deux éléments de preuve. Tout d'abord, nous avons une citation du CDC sur le site Web de la FDA, dans un document intitulé : "CDC 2019-Novel Coronavirus (2019-nCoV) Real-Time RT-PCR Diagnostic Panel For Emergency Use Only". [3] Voir page 35. Ce document porte la mention « En vigueur : 21/07/21 ». Cela signifie que, même si le virus est désigné par son ancien nom, le document est toujours d'actualité en juillet 2021. « À usage d'urgence uniquement » fait référence au fait que la FDA a certifié le test PCR dans une catégorie traditionnelle appelée « » Autorisation d'utilisation d'urgence.
FDA : « ... un échantillon est considéré comme positif pour le 2019-nCoV [virus] si toutes les courbes de croissance du seuil de cycle du marqueur 2019-nCoV (N1, N2) franchissent la ligne de seuil dans les 40 cycles ([moins de] 40,00 Ct). »
Naturellement, les laboratoires de test lisant cette directive concluraient: «Eh bien, pour voir si le virus est présent chez un patient, nous devrions exécuter le test jusqu'à 40 cycles. C'est le conseil officiel.
Ensuite, nous avons un article du New York Times (29 août / mis à jour le 17 septembre 2020) intitulé : « Votre test de coronavirus est positif. Peut-être que cela ne devrait pas être. [4] Voici des citations d'argent :
« La plupart des tests fixent la limite à 40 [cycles]. Quelques-uns à 37 ans.
Fixer la limite signifierait, nous allons chercher jusqu'à 40 cycles, pour voir si le virus est là.
The Times : « Ce nombre de cycles d'amplification nécessaires pour trouver le virus, appelé seuil de cycle, n'est jamais inclus dans les résultats envoyés aux médecins et aux patients atteints de coronavirus. » C'est le capper, la grande finale. Les laboratoires ne révèlent pas ou ne révéleront pas leur collusion dans ce crime.
Alors… avocats et dirigeants politiques sensés, voulez-vous faire des gestes dont les avantages sont énormes, en faveur de la liberté ?
(...) Un écouvillon nasal prélevé sur John Jones, envoyé à six laboratoires différents, reviendra fréquemment POSITIF, NÉGATIF, POSITIF, NÉGATIF, INDÉTERMINÉ, NÉGATIF… (...)
Les bestioles examinées sous lunettes de microscopes électronique ne portent pas des maillots 'ICI MICROBE' ou 'ICI VIRUS'. Donc, le laborantin, bien conscient que nous respirons toutes & tous avec ou sans masque 200 000 microbes ou virus PAR MINUTE et 2 millions en activité physique, soit DES milliards depuis ce matin et DES milliards de trains de milliards depuis votre naissance (et que vous n'êtes pas mort(e) !!), n'en a RIEN A FOUTRE de ce qu'il observe. Il ne dira que les directives du chef. "Faut 2000 positifs avant ce soir !" "OUI chef !"
Vous imaginez un laborantin dire "J'ai poussé le RT-PCR jusqu'à 150 cycles et n'ai rien trouvé, chef !"
C'était – autrefois – la principale directive de la médecine, inscrite dans le serment d'Hippocrate. Les médecins étaient enjoints de traiter leurs patients de manière conservatrice, de la manière qui leur présentait le moins de risques. Les personnes qui n'étaient pas malades n'étaient pas obligées de prendre des médicaments dont elles n'avaient pas besoin, surtout lorsqu'il existait des alternatives plus sûres au cas où elles tomberaient malades.
Cela a favorisé la confiance dans la médecine, qui était autrefois une profession honorable.
C'est devenu une profession mercenaire et politique - poussée par le fouet des HMO et la peur de l'American Medical Association, redevable aux chaînes et aux conglomérats McHospital d'entreprise qui sont, à leur tour, financièrement redevable aux mêmes cartels d'entreprise qui poussent les produits de l'industrie pharmaceutique. cartels sur la population, d'abord via le TeeVee – demandez à votre médecin à propos de Zipthoria – et maintenant via le gouvernement et la matrice des employeurs d'entreprise qui est effectivement la même chose que le gouvernement, sauf pire parce que vous ne pouvez pas voter pour un autre.
Tout ce qui précède explique pourquoi tant de médecins - pas tous, mais beaucoup d'entre eux - pratiquent maintenant l'inverse du serment d'Hippocrate et recommandent des « vaccinations » risquées à leurs patients, y compris les enfants - qui courent peu, voire aucun risque de la maladie. maladie qu'il prétend prévenir (et qu'il est maintenant douloureusement clair que ce n'est pas le cas). Ils ne les préviennent pas des risques – et ils nient souvent les résultats – des « vaccinations ». (Voici l'un des derniers tels.)
Ils amenent des « masques » portés par des personnes en bonne santé qui ne peuvent rendre personne malade et quels « masques » qu'ils connaissent parfaitement n'ont jamais été démontrés comme ayant une utilité médicale en dehors du contexte d'un hôpital – en particulier lorsqu'ils sont portés de la manière que la plupart des gens portent. eux – et étant donné que la plupart des gens ne portent pas le type de « masque » qui pourrait au moins théoriquement servir un objectif médicalement légitime.
La seule explication possible à tout cela – compte tenu des faits sur la suppression des faits sur le risque de maladie et des faits sur les risques des « vaccins » – et de l'inutilité des « masques » – est que les médecins qui le prescrivent tous sont sous la même pression économique (leur emploi continu) qui est utilisé comme un gourdin pour contraindre la population à retrousser ses manches et à effacer leurs visages.
Seulement dans le cas des médecins, la pression est plus grande en raison de la perspective d'être défroqué. Un ouvrier ordinaire peut toujours trouver un nouvel emploi, souvent du même type, travaillant pour une autre entreprise. Au diable vos « masques » – et vos jabs !
Mais un médecin défroqué ne peut plus exercer légalement son métier - n'importe où - et cela signifie non seulement ne pas travailler comme médecin, cela signifie probablement ne pas être en mesure de payer ce qui a été engagé pour le devenir.
C'est une forte incitation pour les médecins à suivre la ligne AMA (et le conglomérat hospitalier McCorporate). Les médecins de famille indépendants – comme le grand-père de cet écrivain – qui possédaient leurs cabinets, ont en grande partie disparu, souvent dirigés dans la même maison que celle où vivait la famille. Ils pouvaient pratiquer la médecine plutôt que la politique.
Ou la religion, d'ailleurs – c'est de cela qu'il s'agit et que désormais toute personne non membre de la secte peut clairement voir.
À l'époque avant les McHospitals et les HMO, lorsque les médecins indépendants n'avaient pas la pression écrasante de l'obligation financière et la menace d'excommunication de leur profession planant constamment au-dessus de leur tête, ils étaient beaucoup plus libres de donner des conseils gratuits - comme perdre quelques poids plutôt que de prendre ces pilules (pour toujours). Ils n'ont pas non plus été emmenés pour des dîners coûteux par les représentants des médicaments, qui à leur tour s'attendaient à ce que le médecin prenne la note de ces dîners coûteux en le transmettant à leurs patients – sous forme d'ordonnances.
Mais surtout, ils ont essayé de ne pas faire de mal.
Considérez maintenant où en sont les choses.
Il est incontestable que les «vaccins» ne sont pas seulement nocifs – ce sont les «vaccins» les plus nocifs jamais prescrits au cours des 40 dernières années, au moins. Même si vous supprimez 90 pour cent des décès et des effets secondaires graves signalés au VAERS - le Vaccine Adverse Event Reporting System - les 10 pour cent qui restent constituent plus de dommages à la santé des personnes par ordre de grandeur que le tristement célèbre vaccin contre la grippe porcine du milieu années 1970, qui a été retiré de la circulation après qu'environ 50 personnes soient apparemment décédées à cause de cela.
Des milliers de décès de personnes sont désormais associés à ces « vaccins » qui – insulte empilée sur blessure – offrent désormais clairement au mieux une protection temporaire et sommaire et peuvent n’avoir d’autre but que la suppression des symptômes et peuvent même amplifier la susceptibilité à la maladie.
Pourtant, la poussée vers le jab augmente plutôt que diminue.
Les parents sont harcelés pour amener leurs enfants pour un coup dont ils n'ont pas besoin par aucune norme médicale rationnelle qui est connue pour porter avec elle de nombreux et sérieux qui est connue pour comporter de nombreux et graves risques. Des « vaccins » qui sont maintenant connus pour ne pas être efficaces, en plus de cela. Les parents réticents à Jab sont séparés de leurs enfants. Les ordres du médecin (et maintenant, du tribunal) !
S'il ne s'agit pas d'une faute professionnelle, qu'est-ce qui la constituerait ?
Dans le même temps, la poignée de médecins assez courageux pour conseiller des contre-mesures plus conservatrices qui pèchent par excès de prudence sont mises au pilori – ce qui présente une juxtaposition intéressante. Les palliatifs tels que la vitamine D et C, le zinc et l'ivermectine peuvent - l'avocat du diable - ne pas être des traitements efficaces pour cette maladie.
Mais ils ne causent certainement aucun mal, en tant que tels.
Vous n'obtiendrez pas la paralysie de Bell ou la myocardite en prenant des comprimés de vitamine D ou C ou de zinc. L'ivermectine est elle-même sans effets secondaires inquiétants. La soi-disant « douzaine de désinformation » qui a été mise au pilori - et excommuniée - n'a causé ni la mort ni la mutilation d'une seule personne en prescrivant l'un des éléments ci-dessus.
Mais ils sont au centre d'une indignation organisée (par le système McHospital).
Cela devrait dire quelque chose aux gens. Mais pour que cela se produise, il faudrait d'abord qu'ils soient capables de penser. Et c'est, hélas, la vraie maladie à laquelle nous avons affaire.
Si vous attendez un mandat de vaccination pour vous défendre, vous attendez trop longtemps
Par Allan Stevo 4 septembre 2021
OBJET : Mon fils ne peut pas aller au bal de promo sans se faire vacciner - Que dois-je faire ?
Cher Alain,
Notre lycée n'autorisera pas les élèves à assister aux danses s'ils n'ont pas été vaccinés. Le vaccin n'étant pas obligatoire, c'est illégal. Ils n'ont rien en place pour les exemptions religieuses. Je voulais parler à un avocat afin qu'il puisse écrire une lettre au nom des parents d'élèves non vaxxés. Est-ce que quelqu'un connait un avocat qui pourrait nous aider?
Il y a un procès qui sortira demain où un juge fédéral arrête la politique de vaccination forcée de l'Université Western Michigan après que l'école a refusé aux étudiants une exemption basée sur leurs croyances religieuses.
Merci beaucoup d'avance pour toute piste.
- Maman du lycée
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Très malade, cette idée d'un gamin ayant le bras tordu pour se faire vacciner pour pouvoir aller au bal comme tout le monde. Bien que vous ne l'écriviez pas dans votre lettre, toute école qui aurait proposé cette politique est une école qui masque également votre enfant – un mal particulier dans lequel vous avez permis à votre enfant d'être impliqué.
Vous avez attendu beaucoup trop longtemps pour régler ce problème et vous aurez probablement maintenant du rattrapage à faire
Je suis heureux que vous ayez tracé une ligne et que vous ayez dit « Assez, c'est assez ». Votre famille sera mieux lotie grâce à ce leadership et à une communication claire en ces temps déroutants.
J'aurais aussi aimé que vous m'écriviez avant de laisser votre enfant mettre un masque et aller à l'école. Si vous aviez dû faire face à cette même maladie sous-jacente parmi les administrateurs et le personnel de l'école, vous n'auriez pas eu à vous en occuper maintenant. C'est parce que
1.) Vous auriez trouvé quelque chose,
2.) Les administrateurs et le personnel auraient été réprimandés et remis à leur place, ou
3.) Vous et votre famille vous seriez séparés de cette école.
Maintenant, avec cette danse suspendue au-dessus de la tête de votre enfant, et les nombreuses pressions de l'adolescence et l'inévitable myopie et myopie qui surviennent à ce moment de la vie, si vous ne tracez pas une ligne claire, à la fois avec votre enfant et avec l'école, ne ne soyez pas surpris si votre fils rentre à la maison pour signaler « Ils m'ont fait une piqûre aujourd'hui » ou « Je me suis arrêté sur le chemin de l'école à la tente étrange derrière l'épicerie du coin que le service de santé publique a installée dans cette saleté ruelle et j'ai reçu la piqûre » ou « J'appelle de l'hôpital, j'ai reçu la piqûre il y a trois semaines sans vous le dire, et maintenant ils disent que quelque chose ne va pas chez moi, mais je suis trop désorienté et étourdi pour comprendre, alors J'ai besoin que tu viennes ici et que tu m'aides.
Vous jouez avec le feu, comme quiconque prétend que les masques faciaux sont différents des vaccins – ils sont des espaces réservés les uns pour les autres et pour bien pire
Je crains que vous ne jouiez vraiment avec le feu et que vous ne preniez pas au sérieux le danger de cette situation. Le masque facial est très nocif pour vous et pour votre enfant. Ce n'est pas sûr. Ce n'est pas efficace. En porter un est un mensonge total. Le vaccin n'est pas sûr. Ce n'est pas efficace.
Ces pas vers la tyrannie, qui sont faussement revendiqués comme des approches vers une meilleure santé publique, ne peuvent plus recevoir votre approbation tacite. De plus, je crains que vous recherchiez une solution rapide et une approche au coup par coup, alors que vous êtes confronté à tout un réseau d'interventions rempli de sangsues démoniaques qui ont hâte de mettre la main sur votre enfant.
Les élus de votre comté veulent vacciner les enfants de cinq ans
Soit dit en passant, les élus de votre comté discutent de la manière de faire vacciner les enfants de 5 ans à l'école, sans tenir compte de la contribution des parents. Il va de soi, dans leur esprit, qu'une personne de l'âge de votre fils sera également convaincue, en milieu scolaire, de se faire vacciner.
Ce ne sont pas des bureaucrates des coulisses dans des pièces enfumées. Ce sont des élus de votre comté qui en parlent lors de réunions publiques.
Les mêmes commentaires sont faits partout au pays par les élus. Heureusement, vous avez plus d'autorité qu'eux sur le bien-être de votre fils, si vous choisissez de l'exercer.
Je n'écris pas ceci juste pour vous, mais pour d'autres parents qui n'ont pas été mis dans cette impasse, confrontés à cette politique de vaccination rampante. Avant que cette politique ne vous soit imposée, une politique que beaucoup envisagent de mettre sur vous et votre famille, vous avez une chance de la devancer en combattant les masques.
Options à considérer lorsque vous recherchez un avocat
Pendant que vous cherchez un avocat (ce qui est une excellente décision), j'aimerais également recommander quelques autres approches.
Tout avocat ayant une capacité de base à rédiger de manière concise et à rédiger une lettre juridique fera probablement ce dont vous avez besoin, à savoir une lettre de mise en demeure légale, ou peut-être une lettre de cessation et d'abstention suffisamment dure pour que les administrateurs de l'école reculent.
Un avocat n'a pas besoin d'être trop expert sur ce sujet pour y parvenir. Vous avez probablement juste besoin que l'école recule assez longtemps pour que quelques administrateurs reprennent leurs esprits et pour qu'un ou deux autres administrateurs ressentent le besoin de s'exprimer. Si vous pouvez obtenir un avocat expert facilement, tant mieux.
Obtenez le PDF de la politique et utilisez-le à votre avantage
Je voudrais également vous recommander de mettre la main sur la politique, un PDF réel de la politique, probablement quelques pages.
Cette pièce que j'ai écrite sur le fait d'assister à une remise de diplôme sans masque est le même processus que d'assister à une danse sans carte de vaccination. Beaucoup l'ont trouvé utile.
C'est un article sur le fait d'être sans masque à l'école. C'est aussi le même processus que d'être non vacciné à l'école.
Il s'agit d'être sans masque dans une école privée – se concentrant davantage sur la civilité et moins sur la coercition, les menaces, l'intimidation et les démonstrations de force qui finissent si souvent par être associées à la fois à l'activité gouvernementale et à l'activisme gouvernemental. Ceci, encore une fois, est le même processus que d'être non vacciné à l'école, ou n'importe où d'ailleurs.
Au cœur de toutes ces tactiques se trouve cette stratégie
Tout ce qui précède revient vraiment à identifier la politique exacte, à comprendre la politique, puis à avoir une conversation avec un décideur à propos de la politique d'une manière qui lui permet de dire quelque chose entre « Oui ! J'adore cette idée" et en fredonnant tristement les mots "Je suppose", à la vraie mode Bourriquet qui réside si souvent au cœur de la plupart des administrateurs d'école. Cela ne fonctionne pas tout le temps, mais cela fonctionne la plupart du temps.
De nombreux parents ont trouvé ces pièces utiles alors qu'ils étaient en train de trouver un avocat.
Encore une fois, à l'école ou ailleurs, si vous pouvez
1.) Identifiez la politique et comprenez la politique - qui, encore une fois, doit être un PDF rédigé par un avocat, pas un signe, un e-mail à puces ou un site Web, dont aucun n'est une politique, et
2.) Déterminez l'autorité de la politique - les écoles privées, en particulier les petites écoles privées, peuvent ressentir moins de pression pour avoir une politique formelle, puis
3.) Ayez une conversation raisonnable avec une personne en autorité au sujet de la politique, puis vous êtes à mi-chemin de l'endroit où vous devez être.
Vous pouvez escalader prudemment et impliquer le conseil scolaire
Si vous devez aller plus loin et impliquer le conseil scolaire - une escalade qui doit être effectuée avec prudence, car les subordonnés du conseil scolaire peuvent s'assouplir lorsque vous le faites ou ils peuvent creuser - voici un article sur la façon de communiquer davantage efficacement avec les membres du conseil scolaire. Peu importe à quel point vous êtes un militant chevronné, je parie que vous n'avez pas réfléchi à toutes les approches proposées dans cet article détaillé.
Ou vous pouvez remplacer la commission scolaire
Si le conseil scolaire ne vous aide pas, il est peut-être temps de les remplacer, même si je reconnais que cela pourrait ne pas apaiser vos préoccupations immédiates. Cet article explique comment procéder — comment remplacer un membre d'un conseil scolaire ou tout autre élu.
Si tout le reste échoue…
Si tout le reste échoue, et seulement si tout le reste échoue, voici un article sur le fait de faire un Je vous salue Marie et de prendre d'assaut les portes de l'école, politique ou non.
Conseils pour trouver un avocat
En ce qui concerne votre question, voici un article sur la façon de trouver un avocat. L'article traite en particulier de la façon de poursuivre votre gouverneur, mais les mêmes informations s'appliquent pour poursuivre n'importe quel tyran.
Beaucoup de ces pièces sont envoyées sous forme de vidéos à ceux qui s'inscrivent à ma newsletter par e-mail sur RealStevo.com. Afin d'obtenir des informations, j'aime mieux lire les mots écrits. Ce n'est pas la tasse de thé de tout le monde, cependant. Ces vidéos ont été soigneusement conçues pour ceux qui n'aiment pas autant lire que les vidéos.
Pour les personnes qui préfèrent avoir beaucoup de vidéos à portée de main en même temps, les chaînes Radio Remnant suivantes ont toutes mes vidéos.
Rumble, Brighteon, UGETube, Bitchute, LBRY (Odysee), et ce boiteux qui marche assez bien, mais que je déteste supporter : Youtube.
Organisations susceptibles de s'intéresser
En plus des conseils d'avocat dans l'article ci-dessus, America's Frontline Doctors, Informed Consent Action Network et Children's Health Defense voudront probablement tous qu'une personne chargée de l'accueil entende votre histoire (bien que probablement via un formulaire), peut-être avec un intérêt pour vous aider à trouver un avocat. Christina Hildebrand de A Voice for Choice, une défenseure de longue date de la sécurité des vaccins, peut également s'y intéresser, bien qu'elle ne soit pas avocate à ma connaissance. Faites une recherche d’avocat Covid dans votre région ou votre état, ou d’avocats vaccins. Il existe de très nombreux avocats et organisations comme celle-ci. Vous n'aurez peut-être pas besoin d'un spécialiste, même si ce serait bien, et vous n'aurez peut-être pas besoin d'un avocat non plus, même si en avoir un peut vous aider à fléchir vos muscles d'une manière un peu plus intimidante. Fidèle à l'esprit aimable, ingénieux et entrepreneurial de tant de personnes, de nombreuses exploitations de chalets locaux cherchent à aider les autres à surmonter la tyrannie dans des moments comme celui-ci.
C'est une de mes passions
J'espère que cette note vous sera utile ainsi qu'à d'autres dans une situation similaire. J'ai passé une grande partie de mon temps libre depuis le tout premier jour du verrouillage, le 17 mars 2020, à aider les gens, les parents en particulier, à naviguer dans les ordres de santé universels. Si vous pouvez dire « Non ! » au masque, vous pouvez dire « Non ! » au vaccin. Les principes en jeu sont les mêmes.
Le masque facial est la vraie bataille que vous devez avoir
Bien que ce ne soit pas la bataille précise à mener, si vous ne le faites pas déjà à 100 % du temps, je vous encourage à dire avec diligence « Non ! » au masque facial pendant quelques jours et en faire une politique pour vous et votre famille, en jurant de ne plus jamais porter la chose pour quelque raison que ce soit. C'est une approche idéale avant de passer ensuite à la bataille du vaccin. Les deux sont une seule et même chose. Les deux sont des commandes uniformes inefficaces et dangereuses qui ne devraient être imposées à personne.
Toute personne qui n'est pas encore confrontée à un ultimatum comme celui auquel vous êtes maintenant confronté, chère maman du lycée, serait sage de suivre ce conseil avant qu'un ultimatum de vaccin n'apparaisse dans la vie de cette personne. En disant non au masque facial, cette personne sera toute formée au moment où le mandat du vaccin arrivera, le cas échéant. Il est beaucoup plus facile de faire face à cette tyrannie et de développer vos muscles sur le thème du masque facial plus facile à naviguer que de le faire sur le thème du vaccin « il n'y a pas de retour en arrière ».
Dire « Non ! » To The Face Mask vous protège d'avoir à prendre le vaccin
Une fois que vous avez cédé au vaccin, il n'y a pas de retour en arrière. L'année et demi écoulée, depuis les Ides de mars 2020, m'ont appris que si vous dites oui au masque facial, vous direz oui au vaccin, vous n'avez tout simplement pas encore reçu la bonne raison, et si vous dites « Non ! » au masque facial, vous disposez de tous les outils nécessaires pour dire « Non ! » au vaccin. Quiconque dit le contraire peut peut-être être l'exception à la règle que je n'ai pas encore rencontrée, mais la réalité est qu'il est beaucoup plus probable qu'il soit simplement dans le déni, une réaction courante face à la rencontre d'informations difficiles à supporter.
Au cas où le mal causé au porteur par le masque facial dangereux et inefficace ne suffirait pas, cette observation ci-dessus est une raison d'une importance vitale pour tracer une limite impénétrable et pour ne plus jamais porter de masque facial. Le vaccin ne prend que dix secondes de faiblesse pour recevoir de manière irréversible.
Dire oui au masque facial vous y prépare. Dire « non » au masque facial vous en empêche. Les responsables de la santé publique passent beaucoup de temps à étudier la psychologie comportementale et d'autres formes de manipulation. Beaucoup d'entre eux réalisent pleinement ce lien entre les deux.
Il y a de bonnes nouvelles : ce n'est qu'une question de temps avant de gagner et le temps est de notre côté !
Le temps est de notre côté. Accessibles au public, les dossiers officiels du gouvernement sur quelques continents indiquent désormais 100 000 rapports de décès dus au vaccin. Ces rapports sont probablement sous-estimés. Le récit selon lequel le tir de Covid est sûr et efficace ne durera pas éternellement, tout comme le récit selon lequel d'autres vaccins sont sûrs et efficaces ne durera pas éternellement.
Une fois que suffisamment de fausses couches tragiques (rien à voir avec le vaccin, nous assure-t-on) se produisent, une fois que suffisamment d'athlètes américains du secondaire se retrouvent tragiquement avec le cœur myocardique marqué en permanence d'un homme de 84 ans qui a eu trois crises cardiaques (rien à voir avec le vaccin, nous dit-on, tout à fait normal), et une fois que suffisamment de vice-présidents d'associations de condos se rendent compte que leur cerveau a irréversiblement vieilli beaucoup plus rapidement en 2021 que la normale (pas non plus rien à voir avec le vaccin, les masques, les blocages ou quoi que ce soit de ce genre ), alors le récit sera terminé. Il y a une limite jusqu'où cette psychose peut aller.
Je souhaite vraiment que cette tragédie n'ait pas à se produire pour que les aveugles puissent voir ce qui est si évident pour tant d'entre nous. L'histoire a toujours répété la même histoire de tragédie qui a précédé la révélation.
Il ne vous reste plus qu'à attendre la fin de cette psychose. Je suis désolé que cette psychose perturbe peut-être certains des plans sociaux mémorables de votre enfant au lycée. C'est une grande honte ce qui arrive aux enfants au milieu de cette psychose. La perte de QI à deux chiffres chez les enfants observée au cours de la dernière année, à elle seule, éclipse de loin les quelques points déjà ignobles des dommages au QI causés par le plomb ou le fluorure dans l'eau potable. Pourtant, tant de personnes restent silencieuses et tant de parents prétendent que tout va bien.
Mon dernier plaidoyer pour vous : l'éducation que votre enfant mérite vraiment
Enfin, je sais que ce n'est peut-être pas pour vous, mais je vous prie d'arrêter de laisser les personnes qui ont proposé cette politique de fréquentation de danse tordue, manipulatrice, discriminatoire et statistiquement raciste, avoir une influence sur votre enfant. Veuillez cesser de laisser votre enfant à sa charge. S'il vous plaît, arrêtez de laisser vos enfants seuls avec eux. Cela ne se terminera pas bien.
Ce dernier article est ma demande pour que vous les retiriez de cette école aussi vite que possible, il y a dix minutes, c'était bien trop tard pour l'avoir fait. Aussi difficile que cela puisse être à réaliser, je pense que vous serez tous, en tant que famille, mieux lotis. Tout comme les enfants n’ont pas leur place dans un masque facial pendant cette psychose, ni les enfants vaccinés contre Covid pendant cette psychose, ils n’ont certainement pas leur place à l’école pendant cette psychose.
Tracez une ligne entre vous et le masque. Le livre à succès « » existe pour vous aider à le faire, tout comme ces articles de LewRockwell.com et le bulletin électronique de RealStevo.com regorgeant de vidéos rapides et faciles à regarder sur la façon de faire de cela et d'autres étapes audacieuses une réalité dans votre propre la vie.
Comment des gens qui se disent 'intelligents' peuvent-ils encore porter un masque dit 'anti-microbes ou anti-virus' ?! Faut vraiment être le roi des cons ou la reine des connes pour se foutre une culotte ou une couche Pampers sur la gueule et se dire protégé !!! Si l'air passe = le microbe passe. Ok ? C'est entré dans votre petite tête de moineau ? Car il n'existe pas et ne peut exister de maillage plus fin que le micron. Et, les microbes ou poussières nanoscopiques ('corona') font de 0,1 à 0,5 micron.
TOUT ce que vous avez entendu jusque là depuis 18 mois c'est du vent ! Des conneries, de l'escroquerie à n'en plus finir, bref, de la télé, de la radio, des journaux, des politiques et de faux scientifiques-professeurs-docteurs ! Primo, le 'covide19' n'est PAS une poussière (virus) mais un microbe (maladie). Ce microbe répliqué en laboratoires en embouteillé en petit flacon 'COVIDE N°5' n'existe qu'en flacons (n'allez donc pas fouiller chez l'épicier pour savoir dans quelle boite il s'est caché !). Vous pouvez respirer sans masque tant que vous voulez il n'est pas là. Par contre, siiiii vous voulez vous suicider, vous exterminer pour expier toutes vos fautes (avoir voter pour des cons, avoir regardé la télé, mangé bio, etc), allez vous faire inoculer ! (profond) parce que c'est là qu'il est ! Dans la seringue ! Et oui, c'est 'La surprise du chef' ! T'es piqué = T'es mort !
Le virus respiratoire syncytial (VRS) – un virus respiratoire qui provoque des symptômes généralement légers de type rhume – a apparemment été sélectionné comme le prochain boogey man invisible. La plupart des enfants ont été exposés au VRS avant leur deuxième anniversaire.
Le fait que la plupart des enfants survivent après l'âge de 2 ans vous renseigne sur les risques encourus. Cela dit, dans de très rares cas, le VRS peut évoluer vers une pneumonie ou une bronchiolite (inflammation des petites voies respiratoires des poumons).
Le RSV émerge hors saison dans le monde entier
Selon certaines informations, le VRS fait désormais rage dans le monde entier, de la Nouvelle-Zélande1 au Japon2 et aux États-Unis3, où il a frappé si fort en juin 2021 que les Centers for Disease Control and Prevention ont émis une alerte d'urgence4 pour certaines parties du sud des États-Unis.
Le CDC a encouragé le dépistage du VRS chez les patients dont le test de dépistage du COVID-19 était négatif mais qui présentaient des symptômes de « maladie respiratoire aiguë ». Ils ont également conseillé au personnel de santé, aux fournisseurs de services de garde d'enfants et au personnel des établissements de soins de longue durée de rester à la maison s'ils présentaient des symptômes respiratoires, même s'ils étaient négatifs pour COVID, car ils pourraient avoir le VRS.
Comme le coronavirus, les efforts précédents pour développer un vaccin contre le VRS ont échoué car les sujets testés ont tendance à mourir ou à tomber gravement malades lorsqu'ils sont exposés au virus sauvage, grâce à l'amélioration immunitaire paradoxale (PIE), également connue sous le nom d'amélioration dépendante des anticorps (ADE ). En Nouvelle-Zélande, les responsables de la santé ont déclaré qu'il y avait eu peu de cas de VRS en 2020 pendant la pandémie et, bien qu'il s'agisse normalement d'une maladie hivernale, il fait maintenant un retour hors saison en 2021. Selon Stuff.co.nz,5 l'épidémie " était plus de deux fois supérieure à la moyenne historique de 2014 à 2019 pour cette période de l'année.
Des rapports similaires ont été publiés au Japon où, début juillet 2021, l'Institut national des maladies infectieuses a mis en garde contre les infections à VRS en dehors de la période de pointe normale. Selon le Japan Times :6
« … le nombre de patients atteints de VRS par établissement médical était de 3,87 au cours de la semaine se terminant le 27 juin – le nombre de cas le plus élevé depuis 2019. En 2018, l'année où le système de comptage a été modifié, le nombre d'infections a culminé en septembre à 2,46, et il a atteint 3,45 patients par établissement médical un an plus tard.
Le 3 août 2021, les responsables de la santé américains ont signalé que le VRS avait commencé à diminuer au milieu de l'été, mais une résurgence est maintenant observée, avec "un record de 563 nouveaux cas de VRS" signalés dans la semaine précédant le 3 août.
L'ARNm Fast-Tracks de la FDA contre le VRS
Le même jour, le 3 août 2021, la Food and Drug Administration a accordé une désignation accélérée à Moderna pour une injection à base d'ARNm contre ce virus du rhume. Comme indiqué dans un communiqué de presse de Moderna :8
« … la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a accordé la désignation Fast Track pour l'ARNm-1345, son vaccin expérimental à ARNm à dose unique contre le virus respiratoire syncytial (VRS) chez les adultes de plus de 60 ans.
"Nous recherchons un vaccin contre le VRS à ARNm pour protéger les populations les plus vulnérables - les jeunes enfants et les personnes âgées", a déclaré Stéphane Bancel, PDG de Moderna.
«Nous étudions l'ARNm-1345 dans ces populations dans le cadre d'un essai clinique en cours et nous sommes impatients de partager les données lorsqu'elles seront disponibles… Nous avons accéléré la recherche et le développement de notre domaine thérapeutique contre les maladies infectieuses et nous continuerons à faire progresser nos vaccins à ARNm dans de nouveaux domaines de besoin élevé non satisfait.
Le communiqué de presse de Moderna souligne à juste titre qu'il n'y a pas de vaccin approuvé disponible pour le VRS. Ce qu'ils ne mentionnent pas, c'est pourquoi. La raison pour laquelle il n'y a pas de vaccin contre le VRS sur le marché est la même raison pour laquelle il n'y a jamais eu de vaccin contre le coronavirus, et c'est parce qu'aucun d'entre eux n'a pu passer les essais.
Comme pour le coronavirus, les efforts précédents pour développer un vaccin contre le VRS ont échoué car les sujets testés ont une fâcheuse tendance à mourir ou à tomber gravement malades lorsqu'ils sont exposés au virus sauvage, grâce à l'amélioration immunitaire paradoxale (PIE), également connue sous le nom d'amélioration dépendante des anticorps. (ADE).9
RSV Shot s'appuie sur COVID Jab
Le tir RSV de Moderna utilise la même nanoparticule lipidique que son injection de COVID-19. La principale différence entre les deux injections est le codage de l'ARNm. Dans le tir RSV, l'ARNm code pour une glycoprotéine F de préfusion.
La protéine Prefusion F est une protéine qui médie l'entrée du virus RSV dans vos cellules et est connue pour provoquer une réponse d'anticorps neutralisants.10 Dans des circonstances normales, il est difficile d'imaginer qu'un vaccin RSV construit sur une nouvelle plate-forme d'ARNm soit accéléré, mais nous ne sommes plus en temps normal.
Le déploiement des injections d'ARNm COVID a, comme prévu, ouvert la voie à un certain nombre de nouvelles injections à base d'ARNm allant directement aux essais humains. Donc, si jamais vous avez l'impression que votre corps manque d'ARNm synthétique, n'ayez crainte. Ce n'est que le début. Ceux qui embrassent les passeports vaccinaux se retrouveront sûrement appelés plusieurs fois par an au centre de vaccination le plus proche pour des renouvellements obligatoires.
Sommes-nous en train de créer une catastrophe de santé publique ?
La décision d'accélérer encore une autre injection d'ARNm ne prend pas en considération la possibilité que nous puissions déjà créer une avalanche de maladies liées à l'ADE à partir du tir COVID. L'ajout d'une autre injection pour un virus respiratoire historiquement associé à l'EIM pourrait être extrêmement risqué.
Comme indiqué dans un article de Nature Microbiology du 9 septembre 2020 intitulé « Antibody-Dependent Enhancement and SARS-CoV-2 Vaccines and Therapies » :11
« Les données de l'étude du SRAS-CoV et d'autres virus respiratoires suggèrent que les anticorps anti-SARS-CoV-2 pourraient exacerber le COVID-19 par le biais d'une amélioration dépendante des anticorps (ADE). Des études antérieures sur le virus respiratoire syncytial et le vaccin contre le virus de la dengue ont révélé des risques de sécurité clinique chez l'homme liés à l'ADE, entraînant l'échec des essais de vaccins…
L'EIM peut augmenter la gravité de plusieurs infections virales, y compris d'autres virus respiratoires tels que le virus respiratoire syncytial (VRS) et la rougeole.
L'ADE dans les infections respiratoires est inclus dans une catégorie plus large appelée maladie respiratoire améliorée (ERD), qui comprend également des mécanismes non basés sur des anticorps tels que les cascades de cytokines et l'immunopathologie à médiation cellulaire…
De plus, l'ADE et l'ERD ont été signalés pour le SRAS-CoV et le MERS-CoV à la fois in vitro et in vivo… Les voies de l'ADE peuvent se produire lorsque des anticorps non neutralisants ou des anticorps à des niveaux sous-neutralisants se lient aux antigènes viraux sans bloquer ou éliminer l'infection…
L'ADE a été observé dans le SRAS, le MERS et d'autres infections à virus respiratoires humains, y compris le VRS et la rougeole, ce qui suggère un risque réel d'ADE pour les vaccins contre le SRAS-CoV-2 et les interventions à base d'anticorps…
À l'avenir, il sera crucial d'évaluer les ensembles de données animales et cliniques pour détecter les signes d'EIM, et d'équilibrer les risques de sécurité liés à l'EIM par rapport à l'efficacité de l'intervention si un EIM clinique est observé. »
Au cas où vous l'auriez manqué, les auteurs soulignent spécifiquement que l'EIM peut aggraver la gravité du VRS. Théoriquement donc, si vous vous faites vacciner contre le COVID et que vous vous retrouvez avec l'ADE, alors contracter le RSV pourrait devenir un problème beaucoup plus grave qu'il ne le serait autrement.
Les politiques COVID ont-elles affaibli les systèmes immunitaires ?
Bien que le vaccin COVID puisse jouer un rôle si nous commençons à voir un VRS sévère chez les adultes, il est peu probable qu'il fasse partie de l'équation en ce qui concerne les enfants, car le vaccin n'est toujours pas autorisé pour les enfants de moins de 12 ans. Plus que probable, l'augmentation hors saison du VRS chez les enfants est liée à l'assouplissement des restrictions après n'avoir pas été exposés à des agents pathogènes normaux pendant de longues périodes.
Au cours des 18 derniers mois, alors que la plupart des pays du monde ont été masqués, enfermés et éloignés les uns des autres, les enfants et les adultes n'ont pas été exposés aux virus et aux bactéries comme ils le feraient normalement.
D'une part, il y a eu une réduction significative du nombre de personnes déclarant des rhumes, des grippes et d'autres maladies infectieuses. D'un autre côté, certains experts de la santé se demandent si ce manque d'exposition peut avoir augmenté le risque pour certains de souffrir davantage de maladies lorsque les enfants retournent à l'école et que les adultes retournent sur le marché du travail.12
Les deux parties principales de votre système immunitaire sont votre système immunitaire inné, avec lequel vous êtes né, et votre système immunitaire adaptatif, qui se développe au fur et à mesure que vous êtes exposé à des agents pathogènes.13 Un système immunitaire sain conserve une trace de chaque agent pathogène auquel il a été exposé afin qu'il puisse le reconnaître rapidement s'il est à nouveau exposé. Votre système immunitaire est activé lorsque vous êtes exposé à une protéine qu'il ne reconnaît pas, appelée antigène.
Étant donné que le système est si complexe, il existe plusieurs façons potentielles dont les choses peuvent mal tourner. Si votre système immunitaire ne fonctionne pas correctement, cela peut entraîner des maladies d'immunodéficience, entraînant une maladie plus longue et plus longue.
Certains experts de la santé craignent que les enfants aient subi plus de dommages à leur système immunitaire que les adultes, car ils ont passé la majeure partie des 18 derniers mois isolés de presque toutes les expositions.14
D'après ce que les chercheurs découvrent maintenant, ce sont les nourrissons et les enfants qui peuvent avoir la réponse la plus néfaste à la distanciation sociale.15 Depuis le début de 2020, les médecins et les hôpitaux ont remarqué une réduction significative du nombre d'infections bactériennes et virales que les enfants contractent. . Cela comprend la bronchiolite, la rougeole, la varicelle, le VRS et la coqueluche.
Un article16 publié en août 2021, du Pediatric Infectious Disease Group a postulé que les interventions non pharmaceutiques imposées en 2020 pourraient entraîner des épidémies plus importantes de maladies infectieuses une fois ces interventions levées.
Augmentation du nombre de nourrissons atteints du VRS lié à la dette immunitaire
Certains experts qualifient un nombre croissant d'infections à VRS chez les bébés de « dette d'immunité » créée parce que les nourrissons nés en 2020 n'avaient pas été exposés à des agents pathogènes normaux.17 Une fois que les nourrissons et les enfants sont introduits en masse à ces agents pathogènes environnementaux, cela peut provoquer une augmentation vertigineuse des cas.
Selon The Guardian18, la Nouvelle-Zélande a signalé une réduction de 99,9 % de la grippe et de 98 % du VRS en 2020. Cela a presque éliminé le pic de décès qui survient pendant les mois d'hiver à cause de la grippe et du VRS. À court terme, cela a peut-être permis d'éviter une surcharge du système de santé pendant que d'autres étaient traités pour COVID-19.
Cependant, à long terme, cela peut avoir créé un problème supplémentaire chez les nourrissons et les enfants. Lorsque le système immunitaire n'est pas mis à l'épreuve à un âge précoce, cela peut entraîner des épidémies plus importantes, ce qui pèse à nouveau sur le système de santé. Début juillet 2021, la Nouvelle-Zélande avait signalé près de 1 000 cas de VRS sur cinq semaines. Le nombre habituel rapporté est de 1 743 sur 29 semaines.
Les médecins espèrent que cela ne signifie pas nécessairement qu'il y aura plus de cas de VRS, mais seulement qu'ils se succèdent plus rapidement au début de la saison. L'épidémie actuelle a mis à rude épreuve les ressources en Nouvelle-Zélande et en Australie, qui connaissent également une augmentation du nombre de cas. Le directeur général de la santé de la Nouvelle-Zélande, le Dr Ashley Bloomfield, a déclaré à un journaliste du Guardian qu'il était :19
« … certainement préoccupé par la forte augmentation des cas de VRS … Il y a des spéculations selon lesquelles [l'épidémie actuelle] pourrait être en partie exacerbée par le fait que nous n'en avons pas eu l'année dernière et qu'il y a donc un plus grand bassin d'enfants qui y sont sensibles . "
Au Canada, l'épidémiologiste de Wellington, Michael Baker, prévient que son pays pourrait également connaître une tendance similaire dans les cas de VRS au cours de la prochaine année, avertissant que les bébés nés prématurément sont les plus à risque.20
Cela dit, bien que le Canada puisse voir un rebond des infections à VRS, Baker ne pense pas qu'un manque d'exposition aux agents pathogènes à un âge précoce aura «en aucune façon entravé le développement d'un système immunitaire sain».
Une prise de vue RSV accélérée est-elle la réponse ?
Compte tenu de la multitude de problèmes associés aux injections de COVID basées sur les gènes, je ne suis pas optimiste quant au développement d'un "vaccin" à ARNm accéléré contre le VRS. Les risques sont nombreux. Déjà, nous observons des tendances qui pourraient indiquer que l'ADE est en jeu chez les personnes âgées qui ont reçu le jab (mais pas les plus jeunes).
Au Royaume-Uni, au 15 août 2021, 68% des patients COVID admis à l'hôpital qui avaient plus de 50 ans avaient reçu une ou deux injections de COVID. Les statistiques de mortalité révèlent exactement la même tendance. Dans le groupe des plus de 50 ans, 70 % des décès dus au COVID ont été partiellement ou totalement « vaccinés ».21
Cela pourrait-il être dû au fait que les personnes âgées développent un EIM et souffrent donc d'une infection plus grave lorsqu'elles sont exposées au virus SARS-CoV-2 ? Dans la catégorie des moins de 50 ans, les non vaccinés représentent la majorité des hospitalisations et des décès au Royaume-Uni, donc peut-être que le vaccin affecte différemment les différents groupes d'âge.
Les personnes âgées sont également le groupe cible du vaccin contre le VRS, et les nourrissons et les jeunes enfants sont une cible à la fois pour les vaccins COVID et les vaccins contre le VRS. Le temps nous dira quelles pourraient être les ramifications de la programmation des corps des très jeunes et des très vieux pour produire plus d'un antigène. Mais je suppose que ce ne sera pas bon.
Sources and References
1, 5 Stuff.co.nz July 21, 2021 2, 6 The Japan Times July 7, 2021 3 Vanderbilt University Medical Center June 23, 2021 4 CDC Emergency Alert June 10, 2021 HAN00443 7 Clinical Trials Arena August 3, 2021 8 Moderna Press Release August 3, 2021 9, 11 Nature Microbiology September 9, 2020; 5:1185-1191 10 Nature Communications May 8, 2019; 10: 2105 12, 18, 19 The Guardian, July 8, 2021 13 Informed Health, July 30, 2020 14 DW, February 8, 2021 15, 16 Infectious Diseases Now, 2021;51(5) 17 Independent, July 9, 2021 20 Global News, July 13, 2021 21 Evening Standard August 20, 2021
La Floride inflige une amende de 5 000 $ aux entreprises pour violation de l'interdiction de passeport pour les vaccins
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 03 SEP 2021 - 19:40 Par Tom Ozimek de The Epoch Times
Le Florida Department of Health a publié un avis indiquant qu'il commencera à imposer des amendes de 5 000 $ aux entreprises, aux écoles et aux agences gouvernementales qui exigent que les Floridiens présentent une preuve de vaccination contre le COVID-19.
La règle du département de la santé, qui entre en vigueur le 16 septembre, détaille les sanctions que les entreprises et autres entités, y compris les organisations à but non lucratif, encourent pour avoir enfreint l'article 381.00316 des statuts de la Floride de 2021, qui leur interdit d'exiger des clients ou des clients qu'ils fournissent tout document certifiant Vaccination COVID-19 ou récupération post-infection afin d'accéder à leurs locaux ou services.
« Chaque violation de la section 381.00316, F.S., entraînera l'imposition d'une amende de 5 000 $ par individu et une violation distincte contre l'entreprise, l'entité gouvernementale ou l'établissement d'enseignement. Les amendes imposées sont dues et payables au ministère dans les 30 jours suivant l'entrée de la commande finale, sauf indication contraire dans la commande finale », lit-on dans l'avis du Florida Department of Health.
Les prestataires de soins de santé sont exonérés de l'amende, qui ne s'applique pas non plus aux exigences en matière de vaccins que les entreprises ou autres entités imposent à leurs propres employés. Le gouverneur républicain Ron DeSantis a signé en avril un décret interdisant les passeports vaccinaux.
"Aucun vaccin COVID-19 n'est requis par la loi", a déclaré l'ordonnance du gouverneur, ajoutant que "les dossiers de vaccination sont des informations de santé privées" qui ne devraient pas être partagées via un mandat. Les passeports, a déclaré DeSantis à l'époque, porteraient atteinte aux libertés personnelles et porteraient atteinte à la vie privée des patients.
"L'obligation de présenter un passeport pour participer à la vie quotidienne comme un événement sportif, aller au restaurant ou aller au cinéma créerait" deux classes de citoyens "", a déclaré DeSantis.
Réagissant à l'annonce du département de la santé de Floride selon laquelle il commencerait à imposer des amendes aux entités exigeant que les clients présentent une preuve de vaccination, la commissaire à l'Agriculture Nikki Fried, la seule démocrate élue de l'État et candidate espérant défier DeSantis au poste de gouverneur l'année prochaine, a été critique.
"Le gouverneur DeSantis exerce des représailles contre les Floridiens qui tentent de se protéger et de protéger leurs communautés contre COVID-19", a déclaré Fried à l'Associated Press dans un communiqué envoyé par courrier électronique. "Cela va non seulement à l'encontre du bon sens, mais c'est aussi une insulte aux principes du marché libre qu'il prétend défendre."
La présentation d'un certificat que la personne s'est bien faite inoculer prouve que l'inoculée va bientôt très bientôt crever. D'où la soucis à se faire de l'employeur délesté subitement si l'inoculée se retire.
BUSTED: les vaccins Covid ne sont pas du tout des vaccins, juste des "agents génétiques" mortels qui réduisent la transmission du virus de moins de 1%
Friday, September 03, 2021 by: S.D. Wells
(Natural News) Il n'est pas surprenant pour les fabricants de vaccins Covid-19 que des dommages graves et chroniques pour la santé proviennent de l'injection d'agents pathogènes synthétiques, et de leurs producteurs, qui inondent le sang, les organes et les tissus humains de milliards de protéines de pointe toxiques. Lorsque le corps humain est catapulté dans cet état de choc et de défense gravement compromis, il devient très difficile d'éviter toute maladie, en particulier celles qui sont hautement transmissibles, comme la grippe chinoise.
Aujourd'hui, les vaccins Covid sont le «traitement» le plus mortel que toute personne puisse prendre, car ils renforcent les variantes Covid et ne fournissent que moins d'un pour cent de réduction de la transmission pour les vaccinés. Voilà pour la théorie des troupeaux. Ce temps est passé. En d'autres termes, il n'a PAS été prouvé que les vaccins préviennent l'infection ou la transmission, alors à quoi servent-ils ?
Ce dont tout le monde a besoin – un médecin aguerri et honnête pour expliquer les dangers des vaccins Covid Le Dr Lee Merritt, auparavant président de l'Association of American Physicians and Surgeons, qui a siégé au Navy Research Advisory Committee (sous-comité du Congrès), est un médecin de formation classique qui explique les dangers des vaccins Covid en termes que tout le monde peut comprendre. Ce n'est pas un profane «anti-vaxxer» ou «anti-science»; elle est une professionnelle qualifiée avec des informations privilégiées sur les vaccins Covid et le monde doit tenir compte des dangers de participer à la plus grande expérience médicale au monde jamais menée.
Le Dr Merritt a dénoncé le « syndrome de la guerre du Golfe » étant en réalité le squalène utilisé dans le vaccin expérimental « usage d'urgence » contre l'anthrax. Le squalène, lorsqu'il est injecté par vaccin, provoque une maladie neurologique permanente. Maintenant, vous trouvez du squalène dans certains vaccins contre la grippe, et l'industrie des vaccins cache son nom néfaste, l'appelant maintenant MF-59. Personne ne le savait alors, mais nous le savons maintenant. Il est temps de se réveiller et de prendre note des ingrédients des vaccins Covid et des dommages chaotiques et chroniques qu'ils causent aux systèmes vasculaire et immunitaire humains.
Maintenant, le Dr Merritt explique à quel point les personnes naïves doivent participer volontairement à cette expérience génétique expérimentale et non approuvée menée sous couvert de vaccination, avec les injections d'ARNm et de charge utile de protéines qui ont tué les animaux dans les études sur les animaux. Laissez cela couler pendant une minute.
Si vous travaillez dans l'industrie médicale, vous ne pouvez pas parler des dangers des vaccins ou vous risquez de perdre vos subventions, votre emploi et toute licence médicale. Tous ceux qui connaissent la fraude aux vaccins et les dommages pour la santé doivent s'exprimer et « sortir » de la canopée de l'industrie insidieuse, même si vous vous sentez piégé. Éloignez-vous. Trouvez un autre emploi ou une autre carrière si vous le devez, car tout est en jeu, pas seulement votre travail, mais votre santé et vos moyens de subsistance, et ceux de tous vos enfants. Il n'y a plus de « zone grise » avec les vaccins. Soit vous les prenez et souffrez de graves conséquences pour la santé, soit vous niez avoir reçu des injections expérimentales de caillots sanguins et restez «humain».
Même de nombreux experts en maladies infectieuses régurgitent maintenant des mensonges écrits par la pharmacie, même s'ils n'ont eux-mêmes fait aucune recherche sur ce qu'ils disent. Cela comprend la promotion des masques, la distanciation sociale, les blocages et les injections de protéines de pointe.
La "pseudo-réalité" a du sens pour les profanes, les patients, comme l'explique le Dr Merritt, et c'est pourquoi tant de millions de personnes succombent à cette expérience médicale de masse mortelle connue sous le nom de "vaccination" Covid (les jabs ne sont même pas vraiment des vaccins, juste des agents génétiques).
Nous vivons tous dans un « bocal à virus » et les masques et les injections de thérapie génique ne nous aident pas à nous défendre contre l'infection ou la transmission virale. Le virus ne se propage pas par des personnes qui toussent ou éternuent les unes sur les autres, mais plutôt par de minuscules particules submicroscopiques répandues partout dans notre environnement, indépendamment des personnes portant leurs masques et des moutons qui ont des milliards de protéines de pointe dans leur sang qui imitent les agents pathogènes viraux. Rien de tout cela n'a d'importance, mais aucun médecin, scientifique ou infirmier en « pratique publique » n'est correctement éduqué à ce sujet, ou n'oserait en parler s'il l'était.
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C'est désormais clair : les vaccins Covid sont un abonnement sans fin pour la dépendance pharmaceutique et une durée de vie raccourcie
vendredi 03 septembre 2021 par : Lance D Johnson
(Natural News) Il y a plus d'un an, il était considéré comme une «théorie du complot» de suggérer que les vaccins contre le covid étaient un programme d'ARNm sans fin, nécessitant des injections de rappel de routine et des mises à jour périodiques des cellules humaines. Après tout, un vaccin efficace devrait générer des cellules B à mémoire robustes qui durent plus de trois semaines. Mais avec les vaccins à ARNm de Pfizer et Moderna, une deuxième dose était manifestement nécessaire après seulement trois semaines. Si la science des vaccins échouait en moins d'un mois, combien de doses seraient finalement nécessaires pour que les gens se considèrent comme « sûrs » et « entièrement protégés ? »
Ces expériences de protéines de pointe d'ARNm ne sont PAS des vaccins et ne sauvent PAS de vies Un vaccin efficace devrait augmenter une réponse en anticorps qui ne diminue pas chaque année, et encore moins tous les deux ou trois mois. Pourtant, c'est exactement ce qui a été découvert dans les essais cliniques hâtifs des vaccins contre le covid. Les anticorps ont rapidement chuté après le premier tir, et il n'y a eu aucune mesure de l'immunité des lymphocytes T, qui est l'une des mesures les plus importantes pour évaluer l'immunité contre les coronavirus.
Un vaccin efficace ne nécessiterait certainement pas trois à quatre doses par an, mais c'est exactement vers quoi se dirige la fraude au vaccin contre le covid aujourd'hui. Moderna a même admis que son vaccin est un "système d'exploitation" conçu pour programmer les humains et pirater leurs fonctions biologiques pour des mises à jour perpétuelles de l'ARNm. Israël exige déjà une troisième dose d'ARNm de protéine de pointe pour que les gens se considèrent "complètement vaccinés". Les Israéliens qui ont reçu les deux premières doses ne sont plus autorisés dans les espaces publics, car leur passeport vaccinal Green Pass est maintenant expiré. Le gouvernement des États-Unis fait également pression pour une troisième dose après que le Dr Fauci et le régime Biden ont fait pression sur la FDA pour approuver frauduleusement le vaccin et imposer son utilisation. Les scientifiques de longue date de la FDA qui réglementent les produits biologiques, le Dr Marion Gruber et le Dr Philip Krause, ont démissionné en raison de la pression politique et de la coercition.
Une fois les cendres de la fraude, de la coercition et des abus retombées, ce sera encore plus clair : les vaccins Covid sont un abonnement ARNm sans fin, nécessitant des rappels annuels (ou semestriels) et des mises à jour logicielles pour une population asservie qui est désactivée, hospitalisée et tués à un taux jamais vu auparavant dans l'histoire de la science des vaccins.
Les gens sont subjugués et contraints à un abonnement sans fin de dépendance pharmaceutique Lorsque les fabricants de vaccins se sont précipités pour développer un "vaccin" contre le covid-19, les gouvernements ont promis à la population qu'elle pourrait retrouver sa liberté, sans la menace de futurs blocages, si tout le monde consentait collectivement à cette expérience. Les gouvernements ont eu recours à la force totalitaire pour contraindre les gens à s'y conformer.
La plupart des personnes qui se sont alignées pour le premier et le deuxième coup n'ont PAS vraiment consenti au programme expérimental, car leur gagne-pain et leurs libertés civiles ont été menacés dès le début. La vraie définition du consentement est une décision personnelle qui est prise sans aucune menace extérieure de coercition, de corruption, de fraude ou de contrainte. Toutes ces tactiques violentes, y compris la discrimination et la ségrégation, ont été illégalement utilisées pour forcer un grand nombre de personnes à participer à cette arnaque vaccinale.
Que les gens le sachent ou non, leur consentement (non informé) pour les vaccins contre le covid est en fait un accord pour un abonnement à vie aux injections d'ARNm. Cet abonnement à vie pourrait inclure deux à six « vaccins » covid par an. Le Dr Fauci, qui est financièrement lié à l'expérience, souhaite commencer une troisième dose pour les personnes cinq mois seulement après leur deuxième dose. Cet abonnement à vie pourrait inclure des injections mensuelles d'ARNm pour conserver une version mise à jour de la protéine de pointe circulant dans le sang de la personne. Cette idée a en fait été proposée pour lutter contre le « long covid ».
Ce programme de dépendance pharmaceutique est une source de revenus constante pour le système médical, car il supervise désormais des milliers de nouveaux cas de caillots sanguins, de péricardite et de myocardite chez les jeunes. La FDA a récemment approuvé un nouveau médicament pour lutter contre les caillots sanguins chez les adolescents. Cette blessure due au vaccin (caillots sanguins) continuera d'augmenter à mesure que les adolescents seront forcés de participer à l'expérience.
Ce programme de dépendance pharmaceutique assurera des visites de routine à l'hôpital pour les personnes qui n'ont plus un système immunitaire fonctionnel
LA TYRANNIE NE SE TERMINE JAMAIS : l'Australie prolonge de trois mois les pouvoirs d'urgence du COVID-19
vendredi 03 septembre 2021 par : Divina Ramirez
(Natural News) Le gouverneur général de l'Australie, David Hurley, a prolongé jeudi de trois mois la période d'urgence du pays en matière de biosécurité humaine. La période d'urgence, qui est en place depuis le 18 mars 2020 pour protéger les Australiens pendant la pandémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19), se poursuivra jusqu'au 17 décembre.
Cela étend quatre mesures d'urgence existantes, y compris les tests obligatoires avant le départ et le port du masque pour les vols internationaux, les restrictions à l'entrée des navires de croisière dans les eaux australiennes, les restrictions aux voyages internationaux sortants pour les Australiens et les restrictions au commerce des points de vente dans les aéroports internationaux .
L'annonce de jeudi fait suite à l'avis du Comité principal australien de protection de la santé (AHPPC) et du médecin-chef Paul Kelly selon lequel la situation internationale du COVID-19 pose toujours un "risque inacceptable" pour la santé publique, selon le ministre de la Santé Greg Hunt.
Cependant, Hurley a déclaré que le gouvernement fédéral continuerait de consulter les autorités des États, les territoires et l'industrie maritime sur les options de reprise des croisières une fois qu'il sera jugé sûr de le faire. Les mesures d'urgence existantes peuvent également être modifiées ou abrogées à tout moment.
Les politiques draconiennes sont inefficaces
En vertu de la Loi sur la biosécurité de 2015, les pouvoirs d'urgence permettent au gouvernement fédéral de prendre les mesures nécessaires pour contrôler la propagation du COVID-19. Ils devaient initialement expirer le vendredi 17 septembre.
Ces pouvoirs d'urgence sont essentiels au plan national du pays visant à modifier sa réponse à la pandémie de la suppression à la prévention des maladies graves et des décès dus au COVID-19.
Le Premier ministre du pays et les autorités de l'État et du territoire forment le Cabinet national, et ils ont tous accepté le plan. Actuellement, à la phase A, le plan exige que les chefs d'État mettent en œuvre des mesures pour « accélérer les taux de vaccination ».
La phase B est déverrouillée lorsque 70 pour cent de la population est vaccinée. Les autorités peuvent également assouplir les restrictions pour les personnes entièrement vaccinées à cette phase. Pendant ce temps, la phase C est déverrouillée lorsque 80% de la population est vaccinée. Cette phase peut inclure l'ouverture des frontières internationales pour les voyages.
Cependant, il ne semble pas que l'Australie atteindra bientôt ces chiffres. Le pays a récemment enregistré un nombre record de cas malgré les efforts de vaccination, ce qui a incité les autorités à réappliquer les mandats de masque et à prolonger les blocages draconiens.
Le mois dernier, les autorités australiennes ont prolongé le verrouillage de Sydney jusqu'à fin septembre. De plus, ils ont instauré un couvre-feu dans les banlieues les plus touchées de la ville. Pendant ce temps, la première ministre de la Nouvelle-Galles du Sud (NSW), Gladys Berejiklian, a annoncé que les cinq millions d'habitants de Syndey devraient porter un masque lorsqu'ils sortent, sauf lorsqu'ils font de l'exercice, ce qui a également été limité à une heure par jour.
Berejiklian a déclaré que les restrictions strictes étaient dues à l'augmentation des cas de COVID-19 et au mépris des ordonnances de verrouillage. Elle a également donné aux policiers de nouveaux pouvoirs pour assurer le respect des mesures de confinement dans toute la ville, qui sont en place depuis le 26 juin. Selon le commissaire de police de l'État, Mick Fuller, les résidents qui pénètrent dans une zone de préoccupation du gouvernement local sans excuse seront condamnés à une amende. et forcé de s'isoler pendant 14 jours.
Le Queensland n'ouvrira pas les frontières tant que les enfants ne seront pas vaccinés Dans le Queensland, la première ministre Annastacia Palaszczuk a signalé un changement par rapport au plan national après avoir déclaré qu'elle pourrait ne pas ouvrir la frontière de son État avec la Nouvelle-Galles du Sud voisine tant que tous les enfants du Queensland de moins de 12 ans ne seront pas vaccinés.
« À moins qu'il n'y ait une réponse sur la façon dont ces jeunes vont être vaccinés, vous mettez cette population la plus vulnérable en danger », a déclaré Palaszczuk. Il n'y a pas de vaccin COVID-19 approuvé pour les enfants de moins de 12 ans, qui sont peu susceptibles d'être hospitalisés ou de mourir lorsqu'ils sont infectés.
Le trésorier fédéral Josh Frydenberg a fustigé Palaszczuk pour avoir refusé de s'en tenir au plan initial, notant qu'elle niait désespérément la réalité selon laquelle COVID-19 chez les enfants est moins grave que chez les adultes. "Aucun pays n'a éliminé [COVID-19], et c'est pourquoi il est si important que nous nous en tenions au plan et que nous nous ouvrions en conséquence", a déclaré Frydenberg.
Palaszczuk a été critiqué au début de l'année pour avoir étendu les pouvoirs d'urgence de la chef de la santé publique de l'État, Jeannette Young, qui deviendra gouverneure du Queensland en novembre. Le gouvernement de l'État avait accordé à Young des pouvoirs d'urgence pour lutter contre la pandémie en mars 2020, ce qui a déjà été officiellement examiné par une commission parlementaire.
Young, qui conservera ses pouvoirs pendant huit mois supplémentaires, peut mettre les villes sous verrouillage, imposer la fermeture des frontières, restreindre les rassemblements, diriger les gens vers la quarantaine et collecter des informations confidentielles pour la recherche des contacts. En janvier, les législateurs ont déclaré que les Queenslanders n'avaient pas élu Young pour prendre des décisions d'une telle portée. (Connexe: GOUVERNEMENT ABUS D'ENFANTS: le directeur de la santé du Queensland réfléchit au mandat de masque pour les enfants de moins de 12 ans.)
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«Risque de rébellion»: Le Canard enchaîné explique l’absence de l’obligation vaccinale pour la police
03.09.2021
À la différence des policiers, les gendarmes au contact du public devront être vaccinés avant le 15 septembre. Le ministre de l'Intérieur a évoqué le chiffre de 70 % de vaccinés parmi les policiers, mais d’où vient-il ? Le Canard enchaîné a tenté d’apporter une réponse.
Obligation dans les casernes, option dans les commissariats? Après les personnels soignants et les pompiers, les gendarmes doivent à leur tour se faire vacciner… à la différence des policiers.
Le Canard enchaîné évoque une cérémonie de commémoration de la Libération de Paris qui a eu lieu dans la cour d’honneur de la préfecture de police le 24 août.
«Pour assister aux solennités, il suffisait de présenter son badge et sa carte professionnelle», écrit le Canard, avant de s’interroger: «Combien de policiers sont réellement vaccinés contre le Covid ?». D’où viennent les 70 % des policiers vaccinés ? La question qui tracasse le journal satirique fait écho à une déclaration de Gérald Darmanin qui a affirmé que «plus de 70 % de[s] policiers [sont] vaccinés», soit 10 à 15 points de plus que la population française. Sur Franceinfo le 24 août, le ministre de l'Intérieur a ajouté qu’il pourrait imposer la vaccination si «nous n'obtenons pas un chiffre plus important, 90 % par exemple de taux vaccinal».
Interrogé par le JDD, l'entourage de Gérald Darmanin précise que ce chiffre de 70 % résulte des remontées des chefs de service qui ont fait un point avec leur équipe début août.
Ce pourcentage ne provenant toutefois pas d’une méthodologie totalement fiable, Le Canard enchaîné a interrogé un gradé de la place Beauveau, qui a accepté de répondre sous couvert d’anonymat:
«L’Intérieur n’a jamais procédé à aucun recensement exhaustif. Nous disposons seulement de quelques sondages informels réalisés au doigt levé ici et là, dans certains services, et qui donc n’ont aucune valeur». Le JDD note que Gérald Darmanin devait refaire un point avec les syndicats de police dans la première quinzaine de septembre.
Vaccination des policiers et des gendarmes
Contrairement aux gendarmes, les policiers ne sont pas tenus d'être vaccinés, souligne le média. Le 17 août, une note impose à tous les gendarmes «affectés sur le terrain ou en contact avec le public d’être complètement vaccinés d’ici au 15 septembre». Se référant aux responsables, le journal note que 80% des gendarmes sont déjà immunisés.
Ainsi, comment expliquer la réticence des forces de l’ordre à faire le pas? D’après le Canard, les syndicats policiers sont rétifs à la vaccination «non parce qu’ils sont antivax, mais par rancune».
«Ils n’ont pas oublié qu’au début de la pandémie, alors qu’ils étaient en première ligne pour contrôler les attestations de sortie, on leur a interdit le port du masque sous peine de sanctions administratives», rappelle un responsable syndical. Avec 2022 en vue, G.Darmanin ne veut pas «prendre le risque d’une rébellion» en imposant l’obligation vaccinale aux policiers, conclut le journal.
Le 18 août, l’AFP a rapporté avoir consulté une note concertant la vaccination des gendarmes qui fait suite à une instruction du Service de santé des armées (SSA), datée du 29 juillet et révélée par Le Monde, rendant la vaccination obligatoire «pour tout militaire servant […] sur le territoire métropolitain au titre d’un engagement opérationnel décidé par l’état-major des armées ou la direction de la gendarmerie nationale».
Les concernés par l’obligation vaccinale sont «les personnels militaires, d’active et de réserve, en missions de sécurité publique, de sécurité routière, de maintien de l’ordre, de police judiciaire et d’accueil ou effectuant des services au contact du public ou de personnes extérieures à la Gendarmerie», détaille dans sa note la Direction générale de la gendarmerie nationale (DGGN).
Cependant, parmi les policiers (qui n’ont pas le statut militaire), les chefs de service sont invités à «poursuivre l’incitation à la vaccination» des agents placés sous leur autorité, selon un courrier envoyé mardi aux préfets par le secrétaire général du ministère de l’Intérieur, Jean-Benoît Albertini.
HAHAHAHA ! La plaisanterie suit son cours ! ILS seront piqués (comme les ministres et chefs d'Etats) avec du sérum physiologique et non du létal de chez labo !
Ce ne sera certainement «pas un mois de septembre normal» pour l'économie américaine qui implose rapidement
3 SEPTEMBRE 2021 Par Michael Snyder
Les « bons moments » étaient censés se dérouler maintenant, mais au lieu de cela, les roues commencent à se détacher et les perspectives économiques pour le reste de l'année ne sont pas bonnes du tout. Pas plus tard qu'hier, j'ai averti mes lecteurs que les choses étaient sur le point d'empirer, et il n'a fallu qu'une seule journée pour que cela se produise réellement.
Comme vous le verrez ci-dessous, des fermetures d'usines majeures viennent d'être annoncées, et cela va aggraver les pénuries. La peur du COVID restreint la production dans le monde entier, et pendant ce temps, les gouvernements nationaux et les banques centrales inondent absolument leurs systèmes d'argent frais. En conséquence, nous avons maintenant beaucoup trop d'argent pour trop peu de biens et de services, et quiconque a suivi ECON 101 vous dira que cela entraînera inévitablement des prix plus élevés et des pénuries.
Comme je l'ai discuté hier, s'il y a quelque chose que vous devez acheter, sortez et obtenez-le maintenant, car les pénuries ne feront qu'empirer dans les mois à venir.
Jeudi, General Motors a choqué tout le pays en annonçant qu'il allait fermer presque toutes ses installations de fabrication en raison de notre pénurie continue de puces informatiques…
General Motors mettra au ralenti presque toutes ses usines d'assemblage en Amérique du Nord à partir de lundi, car la pandémie de COVID-19 affecte la production de puces semi-conductrices à l'étranger.
GM a déclaré que son Arlington Assembly au Texas, où il fabrique ses VUS pleine grandeur très rentables, produirait régulièrement la semaine prochaine, ainsi que Flint Assembly au Michigan, où il fabrique ses camionnettes robustes, Bowling Green Assembly dans le Kentucky, où il fabrique sa Corvette et une partie de Lansing Grand River Assembly dans le Michigan, où elle fabriquera des voitures Chevrolet Camaro et Cadillac Blackwing.
Je savais que les choses allaient mal, mais je ne savais pas qu'elles étaient devenues aussi mauvaises.
Ford a également annoncé qu'il allait réduire sa production en raison d'un manque de puces...
Ford Motor réduit une fois de plus la production de sa camionnette F-150 et d'autres véhicules très rentables en raison de la pénurie mondiale actuelle de puces semi-conductrices.
Le constructeur automobile a informé mercredi ses employés des réductions, qui ont également un impact sur la production de ses plus gros pick-up Super Duty et de son SUV Expedition.
C'était censé être une période où les ventes de véhicules atteignaient des sommets sans précédent, mais grâce à un manque de puces, le nombre de véhicules Ford neufs vendus le mois dernier a diminué de 33% par rapport à il y a un an…
Le mois dernier, les ventes de véhicules neufs de Ford Motor aux États-Unis ont diminué de 33,1% par rapport à l'année précédente en raison d'une pénurie mondiale persistante de puces semi-conductrices qui fait des ravages dans l'industrie automobile, a annoncé jeudi la société.
Les ventes du constructeur automobile de Détroit ont clôturé un mois lamentable de ventes d'automobiles aux États-Unis en août, qui ont chuté à un taux de vente ajusté de 13,09 millions de véhicules. C'est le pire rythme depuis juin 2020 et en baisse par rapport au sommet de 18,5 millions de cette année en avril, selon la société de données automobiles Motor Intelligence.
Il n'y a tout simplement pas assez de véhicules Ford pour circuler en ce moment, et cela a poussé les stocks des concessionnaires à des niveaux terriblement bas…
Les concessionnaires n'ont qu'environ 942 000 véhicules en stock pour la vente au détail, contre environ 3 millions avant la pandémie de coronavirus il y a deux ans, selon Thomas King, président de la division des données et de l'analyse chez J.D. Power.
Bien sûr, il n'y a pas que l'industrie automobile qui est confrontée à ce genre de problèmes.
Partout dans le monde, les chaînes d'approvisionnement sont dans un état de chaos total et total, et cela semble ne faire qu'empirer chaque jour qui passe. J'aime beaucoup la façon dont Wolf Richter a décrit la situation actuelle…
Hier, juste à l'extérieur des ports de Los Angeles et de Long Beach, un nombre record de 44 porte-conteneurs étaient ancrés, attendant. Et il y a des centaines de ces navires bloqués quelque part dans le monde, essayant d'entrer dans un port, ou ils sont réacheminés vers différents ports. Et tout cela prend du temps.
Et les conteneurs sont bloqués dans les ports parce que les chemins de fer sont en retard, les entreprises de camionnage sont troublées par les pénuries de chauffeurs, et les conteneurs sont suspendus dans les gares ferroviaires et les obstruent là où certains chemins de fer ont cessé d'acheminer les trains vers ces gares ferroviaires particulières jusqu'à ce que l'arriéré soit éliminé, contribuant à l'empilement des conteneurs dans les ports.
Et chaque jour supplémentaire qu'un conteneur chargé n'arrive pas à destination est un jour où il ne peut pas être déchargé et remis dans le flux de conteneurs, et ne peut pas être envoyé à un fabricant qui a des marchandises prêtes à être expédiées mais ne peut pas les expédier parce qu'elles impossible d'obtenir des conteneurs vides.
Dans mon dernier article, j'ai discuté du fait que les experts préviennent déjà que Noël a été gâché à cause de tout le chaos.
Et maintenant, la peur de Delta et d'autres variantes menace de gommer encore plus les œuvres. La plupart des Américains avaient supposé que nous serions en train de « revenir à la normale », mais au lieu de cela, nous semblons aller à l'envers à bien des égards…
La variante delta du coronavirus empêche un retour à la normale et freine la reprise économique. De grandes entreprises telles qu'Apple, Facebook et Ford ont repoussé leurs dates de retour au pouvoir de septembre à janvier. Les écoles rétablissent les mandats de masque et, dans certains cas, font face à des épidémies de virus, renvoyant les élèves chez eux en quarantaine. Les restaurants et les détaillants réduisent leurs heures, car les travailleurs hésitent toujours à reprendre des emplois de service moins bien rémunérés dans lesquels ils sont également plus exposés au virus. Pendant ce temps, des marques comme Nike et Gap avertissent que les usines au Vietnam et ailleurs ne fonctionnent pas à pleine capacité et que certains articles peuvent ne pas être disponibles alors que le coronavirus augmente dans le monde.
Les autorités pensaient qu'elles seraient désormais en mesure de maîtriser la pandémie, mais elles ont dramatiquement échoué.
Tant que ces variantes balayeront le monde comme une traînée de poudre, il n'y aura certainement pas de retour à la «normale» de si tôt.
La machinerie de notre économie est ébranlée à un niveau très basique, et beaucoup pensent que ce n'est que le début.
Pendant de nombreuses années, il y a eu des signes avant-coureurs, mais nos dirigeants ont réussi à maintenir l'économie américaine ensemble.
Mais maintenant, l'inflation est hors de contrôle, les pénuries deviennent extrêmement douloureuses et la confiance dans nos dirigeants nationaux est tombée à des niveaux extrêmement bas.
Nous n'avons même pas encore atteint la fin officielle de l'été, et les choses commencent déjà à devenir très, très intéressantes.
Bon, reprenons. Vous aviez cru que divers pays au monde étaient des pays dits 'ennemis'. Or, ces pays sont gérés par des chefs d’États mis au trône par les 'hommes de l'ombre'. La presse n'est là que pour blablater. Jetez un œil sur HAARP dans le monde ! 12 stations ! Alaska, Zone 51, Norvège, Chine, Russie, etc, etc ! Alors ? C'est qui qui dirige le monde ? Hahaha !
7 exemples qui montrent à quel point notre société est devenue complètement folle
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 03 SEP 2021 - 20:20 Rédigé par Michael Snyder via TheMostImportantNews.com,
Lire les nouvelles est devenu comme aller à un freak show. Vous ne savez jamais ce que vous allez voir chaque jour, mais ce sera presque certainement dingue. Certaines des choses que je vais partager avec vous dans cet article sont étranges, d'autres sont exaspérantes, mais elles mènent toutes à la même conclusion. De haut en bas, l'Amérique devient folle. Et je le pense de la pire des manières. Nous sommes vraiment devenus une « idiocratie », et il semble que ceux qui sont les plus incompétents soient souvent récompensés en étant élevés au sommet de la chaîne alimentaire. Pendant ce temps, ceux d'entre nous qui essaient encore d'aborder les choses de manière rationnelle sont de plus en plus poussés en marge de la société.
Si vous ne comprenez pas le point que j'essaie de faire valoir, j'espère que les choses deviendront plus claires au moment où vous aurez terminé cet article.
Voici 7 exemples qui montrent à quel point notre société est devenue complètement folle…
#1 À une époque où les approvisionnements alimentaires mondiaux se resserrent de plus en plus, Joe Biden veut payer les agriculteurs pour qu'ils ne cultivent rien afin de lutter contre le changement climatique…
Le président Joe Biden veut lutter contre le changement climatique en payant plus d'agriculteurs pour qu'ils ne cultivent pas. Mais il trouve déjà qu'il est difficile de faire en sorte que cela fonctionne.
Son ministère de l'Agriculture est loin de son objectif d'inscrire de nouvelles terres dans un programme qui a cet objectif, la participation étant la plus faible depuis plus de trois décennies.
Heureusement, relativement peu d'agriculteurs saisissent l'argent que Biden offre, car les prix des produits agricoles ont grimpé en flèche alors que les approvisionnements mondiaux se sont resserrés.
Ainsi, dans une tentative désespérée d'inciter davantage d'agriculteurs à s'inscrire, l'administration Biden a «plus que doublé les principaux paiements incitatifs»…
Même si l'USDA a plus que doublé cet été les principaux paiements incitatifs pour le programme qui encourage les agriculteurs et les éleveurs à laisser leurs terres inutilisées, les prix élevés des produits de base rendent les cultures plus intéressantes pour les producteurs.
En plus de cela, le plan, connu sous le nom de programme de réserve de conservation, retire les terres de la production pendant seulement 10 à 15 ans – de sorte que ces acres pourraient libérer du carbone dans l'atmosphère si la terre est replantée et ainsi annuler ses avantages pour l'environnement.
Compte tenu de l'orientation des tendances mondiales, payer les agriculteurs pour qu'ils ne produisent pas de nourriture est l'une des choses les plus stupides que notre gouvernement puisse faire en ce moment.
#2 Nous apprenons maintenant que l'évacuation chaotique en Afghanistan aurait pu être menée de manière très, très différente. Selon le Washington Post, les talibans ont en fait proposé un accord à l'administration Biden qui aurait permis aux États-Unis de sécuriser toute la ville de Kaboul…
Lors d'une réunion en personne organisée à la hâte, de hauts responsables militaires américains à Doha – dont McKenzie, le commandant du Commandement central américain – se sont entretenus avec Abdul Ghani Baradar, chef de l'aile politique des talibans.
"Nous avons un problème", a déclaré Baradar, selon le responsable américain. « Nous avons deux options pour y faire face : vous [l'armée américaine] assumez la responsabilité de sécuriser Kaboul ou vous devez nous permettre de le faire. »
Pouvez-vous imaginer à quel point l'évacuation des Américains et des Afghans alliés aurait pu être plus ordonnée si les forces américaines avaient effectivement sécurisé tout Kaboul ?
Inutile de dire que les forces de l'Etat islamique ne se seraient probablement jamais approchées suffisamment pour bombarder l'aéroport.
Mais au lieu d'accepter l'opportunité de sécuriser l'ensemble de Kaboul, les responsables américains ont décidé de remettre Kaboul aux talibans et d'entasser tous ceux qui devaient être évacués dans l'aéroport…
Sur place, un accord a été trouvé, selon deux autres responsables américains : les États-Unis pourraient avoir l'aéroport jusqu'au 31 août. Mais les talibans contrôleraient la ville.
Il est difficile de croire que nos fonctionnaires pourraient en fait être aussi incompétents, mais personne ne sera même tenu responsable de cette décision parce que nous vivons vraiment dans une « idiocratie ».
#3 L'une des nouvelles tendances les plus en vogue sur les réseaux sociaux est de montrer que votre corps est habité par de multiples « êtres »…
Plusieurs comptes TikTok et YouTube de ces personnes brisées, qui se définissent comme un «hôte» ou un «système» d'êtres multiples, ont des millions d'adeptes en ligne. Ils exposent leurs diverses personnalités pour la notoriété en ligne sous le couvert d'« éduquer » et de « sensibiliser ».
Un TikToker qui dit qu'elle a DID explique dans un Q&A sur ses personnalités, "Je ne peux forcer personne [à l'intérieur de moi] à sortir mais je peux très bien communiquer au sein du système et demander à quelqu'un de sortir, mais parfois c'est très involontaire . "
Pourquoi diable « des millions de followers en ligne » voudraient-ils voir ces personnes manifester leurs différentes « personnalités » ?
Et la plupart de ces « adeptes » ne peuvent-ils pas réellement comprendre ce qui se passe réellement avec ces personnes ?
# 4 Un homme de 43 ans a poursuivi ses parents en justice après avoir jeté sa collection de porno. Au lieu de rire de l'affaire hors du tribunal, un juge du Michigan lui a accordé plus de 30 000 $ de dommages et intérêts…
Un juge a ordonné à un couple de l'ouest du Michigan de payer 30 441 $ à leur fils pour s'être débarrassé de sa collection de pornographie. La décision du juge de district américain Paul Maloney cette semaine est intervenue huit mois après que David Werking, 43 ans, a remporté un procès contre ses parents.
Selon NBCDFW, il a déclaré qu'ils n'avaient pas le droit de jeter sa collection de films, de magazines et d'autres objets. Werking avait vécu dans leur maison de Grand Haven pendant 10 mois après un divorce avant de déménager à Muncie, dans l'Indiana. Le juge a suivi la valeur fixée par un expert, a rapporté MLive.com.
La valeur de la collection a-t-elle été « fixée par un expert » ?
De quel type de diplômes une personne a-t-elle besoin pour devenir « un expert » dans ce domaine ?
#5 Après avoir refusé à un élève transgenre la possibilité d'utiliser une salle de bain particulière, un conseil scolaire de Virginie a été contraint de payer plus de 1,3 million de dollars…
Un conseil scolaire de Virginie versera plus de 1,3 million de dollars à l'American Civil Liberties Union après avoir perdu une bataille judiciaire impliquant un élève transgenre qui a poursuivi l'école pour sa politique relative aux toilettes.
Selon le Virginian-Pilot, le conseil scolaire du comté de Gloucester a accepté jeudi de payer à l'ACLU le montant total des frais et honoraires associés à sa représentation de l'un de ses anciens élèves, Gavin Grimm, marquant la fin d'une longue période de six ans. lutte.
Au fur et à mesure que la nouvelle de cette affaire se répandra, les écoles de tout le pays auront peur de dire à quiconque quelles salles de bain elles peuvent ou ne peuvent pas utiliser.
Personne ne voudra être la prochaine victime à faire l'objet d'un procès d'un million de dollars, et il ne faudra probablement pas longtemps avant que les panneaux « garçons » et « filles » sur les toilettes des écoles disparaissent complètement.
#6 Quand je grandissais, le drapeau américain était fièrement affiché dans nos salles de classe et nous disions le serment d'allégeance tous les jours.
Mais aujourd'hui, le drapeau américain est retiré dans les salles de classe de toute l'Amérique, et une enseignante d'une école publique en Californie exhorte ses élèves à prêter allégeance à un nouveau drapeau…
Une enseignante d'une école publique du sud de la Californie a été surprise en train d'admettre avoir encouragé ses élèves à prêter allégeance au drapeau de la fierté LGBT comme alternative au drapeau américain, se vantant de l'endoctrinement sur son propre compte TikTok.
L'enseignante, identifiée comme étant Kristin Pitzen du district scolaire de Newport Mesa dans le comté d'Orange, raconte avoir retiré le drapeau américain, puis désigné le drapeau LGBT comme alternative.
"Nous avons un drapeau dans la classe auquel vous pouvez prêter allégeance", a déclaré Pitzen lorsqu'un étudiant a posé des questions sur le drapeau américain qu'elle avait retiré de la classe "à cause de COVID".
# 7 Ces derniers jours, Joe Biden a encouragé les autorités de tout le pays à imposer des mandats de vaccination extrêmement stricts. Pendant ce temps, Vladimir Poutine insiste sur le fait que « personne ne devrait être obligé de recevoir une injection »…
« La vaccination est la principale arme contre la propagation du virus. Surtout, personne ne devrait être obligé de recevoir une piqûre. La pression, où les gens peuvent perdre leur emploi, est encore moins acceptable. Les gens doivent être convaincus de la nécessité de se faire inoculer », a-t-il déclaré.
Quand même Vladimir Poutine est nettement moins tyrannique que le gars qui dirige votre pays, vous avez un problème majeur entre les mains.
Quand je grandissais, les gens risquaient tout pour fuir l'Union soviétique afin de pouvoir vivre une véritable liberté dans le monde occidental.
Pourrions-nous bientôt arriver à un point où les Américains fuient réellement vers la Russie afin qu'ils puissent « vivre libres » ?
Cela semble être une question tellement bizarre à poser, mais c'est à quel point les choses ont mal tourné aux États-Unis.
Nous vivons dans une société où le haut est maintenant le bas, le bien est maintenant le mal et les mensonges sont maintenant la vérité.
Notre nation est devenue un cirque géant, et les fous dirigent le spectacle. Ce sera amusant à regarder pendant un petit moment, mais il ne faudra pas longtemps avant que tout s'écroule sur nous tous.
La Chine repousse Kerry dans les pourparlers sur le climat : "Nous suivrons notre propre feuille de route"
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 03 SEP 2021 - 12:01
mise à jour (12 h 01 HE): La Chine et les États-Unis n'ont pas réussi à parvenir à un accord sur le climat après que l'envoyé de Biden pour le climat, John Kerry, a poussé Pékin à prendre davantage d'engagements publics avant un sommet des Nations Unies sur le climat en novembre.
"La Chine a déjà ses propres plans et feuille de route pour atteindre ses objectifs climatiques", a déclaré un responsable chinois cité dans le South China Morning Post. La source a ajouté que Pékin ne tolérerait pas que Washington lui dise ce qu'il doit faire ou ne pas faire. SCMP a résumé les propositions de Kerry :
Lors des entretiens avec les dirigeants chinois à Tianjin, l'envoyé américain pour le climat John Kerry a présenté une liste de propositions à Pékin pour accélérer ses efforts climatiques. Ils comprenaient un engagement public envers la limite de 1,5 degré Celsius (2,7 degrés Fahrenheit) du réchauffement climatique visée dans l'Accord de Paris de 2015, un délai précis pour que les émissions de carbone atteignent un pic avant 2030 et un moratoire sur le financement de projets de chauffage au charbon à l'étranger.
Il n'y aura donc pas d'« accord sur le climat » entre les États-Unis et la Chine malgré les efforts de Kerry à Tianjin, d'autant plus qu'il apparaît de plus en plus que des tensions plus larges telles que le commerce ou les droits de l'homme sont liées aux négociations sur le climat.
* * *
Bien que les États-Unis souhaitent depuis longtemps que la « diplomatie climatique » reste une question distincte de leurs différends plus larges avec la Chine, tels que le commerce et les droits de l'homme, le ministre chinois des Affaires étrangères Wang Yi avertit maintenant que la détérioration des relations menace les efforts conjoints pour lutter contre le réchauffement climatique et le changement climatique. .
Wang a informé jeudi l'émissaire américain de Biden pour le climat, John Kerry, lors de la visite de ce dernier dans la ville chinoise de Tianjin, que "la coopération climatique ne peut pas être séparée de l'environnement plus large" des relations américano-chinoises.
Le haut diplomate chinois a comparé le potentiel d'une coopération étroite américano-chinoise sur le climat à une "oasis" et a expliqué : "Mais entourer l'oasis est un désert, et l'oasis pourrait être désertifiée très bientôt".
C'est à ce moment-là qu'il a conclu en s'exprimant par liaison vidéo : "La coopération sino-américaine sur le climat ne peut être séparée de l'environnement plus large des relations sino-américaines".
"Tous ceux qui vous ont rencontrés devront passer deux semaines en quarantaine, mais nous sommes prêts à payer ce prix, pour discuter de la coopération avec les États-Unis sur des affaires d'intérêt mutuel", a-t-il ajouté.
Il est largement admis que si un côté ou l'autre associe le climat aux tensions plus larges qui assaillent les relations américano-chinoises, cela ralentirait considérablement toute action climatique de fond.
Via Reuters Selon Reuters :
Bien que Wang ait averti que le changement climatique pourrait désormais être lié à d'autres problèmes diplomatiques, la Chine a déclaré que ses efforts pour réduire les émissions et adopter des formes d'énergie plus propres sont essentiels à son ambitieux programme national.
"Les dirigeants chinois disent depuis longtemps qu'ils sont engagés dans l'action climatique non pas à cause de pressions extérieures, mais parce que cela profite à la Chine et au monde en général", a déclaré Alex Wang, expert en climat et professeur à l'UCLA.
Et en outre, Yang Jiechi, membre du Bureau politique du Comité central du Parti communiste chinois (PCC) et directeur du Bureau de la Commission des affaires étrangères, a appelé les États-Unis à "corriger leurs méfaits" et à faire des efforts pour "nouer des relations bilatérales". de nouveau sur la bonne voie."
Du côté des États-Unis, Kerry a exhorté la Chine à faire plus tout en promettant sa volonté d'améliorer la communication avec la Chine.
« Le secrétaire Kerry a affirmé que les États-Unis restaient déterminés à coopérer avec le monde pour faire face à la crise climatique, qui doit être traitée avec le sérieux et l'urgence qu'elle exige, et a encouragé la RPC à prendre des mesures supplémentaires pour réduire les émissions », a déclaré un Le porte-parole du département d'État a déclaré dans un communiqué.
Bien sûr qu'en aparté les discussions et rigolades vont bon train ! Les idées de merde deviennent discutables en dehors de la présence des journalistes. Faut dire que face à la vérité rigide il est difficile d'envisager un autre monde où la Terre tournerait moins vite afin que les gens travaillent 30 heures par jours... tandis que d'autres dormiraient 30 heures !! Houlala y a un problème !!
Le gouvernement britannique donne son feu vert à un essai en plein champ de blé génétiquement édité
2 Septembre 2021
Le premier blé édité par CRISPR cultivé en Europe sera semé cet automne
Rothamstead Research*
L'institut de recherche britannique Rothamsted Research, pionnier des essais de cultures génétiquement modifiées depuis les années 1990, a reçu l'autorisation du Defra [département (ministère) de l'environnement, de l'alimentation et des affaires rurales] de mener une série d'essais en plein champ de blé dont le génome a été édité.
Les expériences menées dans le Hertfordshire seront les premiers essais en plein champ de blé modifié par CRISPR au Royaume-Uni et en Europe.
Le blé a été modifié pour réduire les niveaux d'un acide aminé naturel, l'asparagine, qui est converti en un contaminant cancérigène, l'acrylamide, lorsque le pain est cuit ou grillé.
L'objectif ultime du projet est de produire du blé non génétiquement modifié à très faible teneur en asparagine, explique le professeur Nigel Halford, responsable du projet.
« L'acrylamide est un problème très sérieux pour les fabricants de produits alimentaires depuis sa découverte dans les aliments en 2002. Il provoque le cancer chez les rongeurs et est considéré comme "probablement cancérigène" pour l'homme. Il est présent dans le pain et augmente considérablement lorsque le pain est grillé, mais il est également présent dans d'autres produits à base de blé et dans de nombreux aliments d'origine végétale qui sont frits, cuits, rôtis ou grillés, notamment les chips et autres snacks, les frites, les pommes de terre rôties et le café.
« Nous pensons qu'il est possible de réduire considérablement les niveaux d'asparagine dans le blé sans compromettre la qualité du grain. Cela profiterait aux consommateurs en réduisant leur exposition à l'acrylamide dans leur alimentation, et aux entreprises alimentaires en leur permettant de se conformer aux réglementations sur la présence d'acrylamide dans leurs produits.
« Il s'agit toutefois d'un objectif à long terme, et ce projet vise à évaluer les performances des plantes de blé sur le terrain et à mesurer la concentration d'asparagine dans le grain produit dans des conditions de terrain. »
Au cours du développement en laboratoire, les chercheurs ont « assommé** » le gène de l'asparagine synthétase, TaASN2.
Les concentrations d'asparagine dans le grain des plantes modifiées ont été considérablement réduites par rapport aux plantes non modifiées, une lignée présentant une réduction de plus de 90 %, selon le Dr Sarah Raffan, scientifique du projet.
« Ce nouvel essai permettra maintenant de mesurer la quantité d'asparagine dans le grain du même blé lorsqu'il est cultivé en plein champ, et d'évaluer d'autres aspects de la performance du blé, comme le rendement et la teneur en protéines. »
Le projet est prévu pour une durée maximale de cinq ans, se terminant en 2026, les plantes étant semées en septembre/octobre de chaque année et récoltées au mois de septembre suivant. Le financement est en place pour la première année, et un soutien supplémentaire est recherché pour les années suivantes.
Les plantes éditées seront cultivées à côté de blés dans lesquels la synthèse de l'asparagine a été affectée par la méthode « vieux jeu » de la mutation induite chimiquement.
Cette technique est largement utilisée dans l'amélioration des plantes depuis le milieu du XXe siècle, mais elle n'est pas ciblée comme l'est CRISPR et entraîne des mutations aléatoires dans tout le génome.
En revanche, CRISPR apporte de petites modifications à un gène cible, en l'occurrence pour assommer ce gène afin qu'il ne produise plus de protéine fonctionnelle. Le processus implique initialement une modification génétique pour introduire dans la plante les gènes nécessaires au processus CRISPR.
Une fois l'édition effectuée, la partie GM peut être retirée des plantes par des méthodes de sélection végétale conventionnelles sur quelques générations. Selon le professeur Halford, le plus grand nombre de plantes pouvant être cultivées sur le terrain accélérera ce processus.
« Le plus grand nombre de plantes que nous pouvons avoir dans l'essai en plein champ par rapport à une serre permettra d'identifier plus facilement les plantes qui ne sont plus génétiquement modifiées. Cela signifie que la première année de l'essai comprendra des plantes à la fois génétiquement éditées et génétiquement modifiées, mais que d'ici la troisième année de l'essai, elles devraient être uniquement génétiquement éditées. »
Malgré les différences entre l'édition du génome par CRISPR et les OGM, les plantes dont le génome a été édité sont actuellement traitées de la même manière que les OGM en vertu de la réglementation européenne, ce qui bloque essentiellement l'utilisation d'une technologie qui est en train d'obtenir une approbation officielle dans de nombreuses autres parties du monde.
L'espoir est que la consultation actuelle du gouvernement britannique sur cette question débouche sur une nouvelle législation au Royaume-Uni, permettant aux produits alimentaires issus d'une édition du génome, soigneusement réglementés, d'être disponibles pour les consommateurs.
La nouvelle de ce nouvel essai sera probablement bien accueillie par l'industrie alimentaire, l'acrylamide étant classé comme un contaminant de transformation qui nécessite une surveillance étroite en vertu de la législation européenne.
« La réglementation actuelle sur l'acrylamide prévoit des "niveaux de référence" pour sa concentration dans différents types d'aliments et exige des entreprises alimentaires qu'elles contrôlent la présence de l'acrylamide dans leurs produits. Il est probable que ces réglementations seront renforcées, l'UE s'orientant vers l'introduction de niveaux maximums au-dessus desquels il serait illégal de vendre un produit alimentaire. Il est probable que d'autres autorités réglementaires suivront cet exemple. »
On trouvera de plus amples informations sur les plantes qui seront cultivées dans le cadre de l'essai en plein champ, ainsi qu'une liste de questions et réponses.
La lettre du Defra autorisant l'essai peut être consultée ici. ____________
* Source : Genome Edited Wheat Field Trial Gets Go-Ahead from UK Government | Rothamsted Research
** « Knocked out », que DeepL a donc traduit par « assommé » (ce qui est correct s'agissant d'une personne. Mais c'est tellement plus joli que « neutralisé » ou « inactivé ».
Le 16 août 2021, le Comité français de la semoule industrielle (CFSI) et le Syndicat des industriels fabricants de pâtes alimentaires de France (SIFPAF) publiaient un communiqué de presse alarmiste.
En résumé :
« Le dérèglement climatique met en danger le marché des pâtes alimentaires : des pluies beaucoup trop abondantes en Europe et une sécheresse sans précédent au Canada conduisent à une pénurie de blé dur, seule matière première des pâtes alimentaires, et à la flambée historique des prix mondiaux. »
Le « dérèglement climatique » a évidemment bon dos.
Mais le fait est que la récolte sera catastrophique au Canada, premier producteur mondial, du fait aussi de la vague de chaleur (quelque -30 % prévus par rapport à la moyenne quinquennale), que la récolte européenne est insuffisante (7,3 Mt pour un besoin de 9,5 Mt selon les deux entités) et qu’une partie de la récolte française ne sera pas utilisable par l’industrie de la semoule et des pâtes du fait d’une qualité fortement affectée par les pluies.
Les deux entités en ont donc appelé au gouvernement pour qu’il mette en place un plan d’urgence permettant aux semouliers et pastiers d’assurer leur approvisionnement en blé français et faire en sorte que les distributeurs répercutent « l’explosion du prix du blé dur dans les prix de vente pour traverser cette crise exceptionnelle ».
Il y a quelque chose de pathétique dans cet appel au secours fait à l’État nounou par une industrie passablement concentrée (par exemple trois semouliers et cinq usines). Mais nous sommes en France…
C’EST DU PAIN BÉNIT POUR DES MÉDIAS ET DÉCROISSANTISTES
Le communiqué a été répercuté par l’AFP… et les médias s’en sont délectés. Libération a ainsi titré : « Dérèglement climatique : l’industrie des pâtes en manque de blé ».
L’écologiste Dominique Bourg s’est particulièrement illustré sur Twitter :
Sauf qu’il s’agissait de blé dur (pour le blé tendre, on peut aussi avoir des inquiétudes s’agissant de la production, mais les stocks sont un peu plus conséquents, quoique historiquement bas).
La situation sera sans doute tendue dans le monde. Et comme nous l’ont montré les émeutes de la faim de 2008, il y a un sérieux risque d’instabilité politique et géopolitique dans certains pays.
Pour la France, le 19 août 2021, s’exprimant d’une manière générale, Intercéréales déclarait :
« La moisson française de 2021 encore en cours dans le nord du pays saura répondre aux besoins des consommateurs (français en particulier). »
Mais Réussir écrivait le 17 août 2021 pour les produits à base de blé dur, sans nul doute sur la base de l’alerte des industriels :
« Comme en 2007, il serait possible que certains marchés « bagarrés » doivent faire face à des ruptures en Europe. »
Pleinchamp et la Coopération agricole ont donné des indications plus précises les 16 et 27 août 2021, respectivement : les surfaces de blé dur ont été estimées à 288 000 hectares, en progression par rapport à 2020, mais en retrait de près de 11 % par rapport à la moyenne quinquennale 2016-2020. La production atteindrait 1,6 Mt (+22 % par rapport à 2020 mais – 6% par rapport à la moyenne quinquennale). De quoi, a priori, produire les quelque 240 000 tonnes de pâtes/an et 84 000 tonnes de couscous/an de l’industrie française. Reste la question de la qualité, la filière industrielle ayant des exigences précises.
S’agissant des pâtes aux œufs alsaciennes, la matière première céréalière ne sera pas locale…
LA FLAMBÉE DES COURS
Au 31 août 2021, le blé dur rendu La Pallice était coté à 400 euros/t, contre 247 euros/t pour le blé tendre meunier. Au 2 septembre, au moment du bouclage de cet article, il est à 430 euros/t. Au cours de l’année écoulée, jusqu’à début juillet 2021, les cours se situaient entre 260 et 275 euros/t.
Cet indice a été élaboré en collaboration avec le ministère de l’Agriculture et partagé avec la DGCCRF afin d’être le plus représentatif des cours du blé dur mis en œuvre en France (source).
On peut penser que les cours se maintiendront à un niveau élevé. Cela se répercutera sur les prix des produits de consommation, dont l’essentiel est composé par le coût de la matière première (75 % pour les pâtes ordinaires et 50 % pour les pâtes aux œufs).
Les pastiers et semouliers s’étaient déjà dits préoccupés en septembre 2012. Ils avaient déjà fait le coup de l’annonce de l’apocalypse en octobre 2014. Et ils avaient déjà demandé un « plan d’urgence ».
Le contexte était similaire, à deux nuances près.
Le réchauffement climatique n’était pas encore devenu l’alpha et l’oméga des programmes politiques et de la gesticulation publique.
Et la récolte française avait baissé de 2,3 Mt en 2012 à 1,5 Mt (dont plus du tiers déclassé) en raison d’une chute de 40 % des surfaces, elle-même due à des prix peu ou pas assez rémunérateurs pour une culture de surcroît très technique et délicate. Ainsi, le 5 novembre 2014, le blé dur cotait 430 euros/t rendu La Pallice contre 200 euros/t en 2013 à la même époque. C’était la séquence « flambée historique des prix mondiaux » en 2021… (Source)
Le communiqué de presse du CFSI et du SIFPAF apparaît en définitive comme un nouvel appel au loup. À l’avant-veille des grandes négociations tarifaires – qui débuteront en octobre et doivent s’inscrire dans le fiasco législatif qu’est la loi « EGALIM » de 2018 – il a toutefois eu l’avantage de préparer le terrain en faveur d’industriels pris entre le marteau de la guerre des prix entre distributeurs et l’enclume des cours des denrées de base.
Sera-ce suffisant ?
Michel-Édouard Leclerc a déjà tonné le 27 août 2021 : « des industriels profitent de la crise » :
« Avant même les négociations commerciales qui seront encadrées cette année avec la loi Egalim 2 [pas encore adoptée…], on nous annonce des hausses sur le sucre raffiné de 10 %, sur les pâtes de 23 %, sur la charcuterie entre 9 et 15 %, sur le vinaigre 15 %, sur l’huile d’olive 11 % ». »
Pour les pâtes, la présidente de la FNSEA Christiane Lambert a voulu se faire rassurante le 23 août 2021 sur BFM Business :
« Il faut relativiser […] Si par exemple le prix du blé dur augmente de 10 %, ça va représenter quatre centimes de plus par kilo de pâtes. On en consomme 9,1 kg […] ça fait 36 centimes par an par personne. »
LE DILEMME NON RÉSOLU
Mais l’année agroclimatique peu favorable à la production dans plusieurs parties du monde laisse entrevoir une hausse des cours, et donc des prix et, partant, de l’inflation.
La tentation sera forte de peser sur les prix à la consommation, surtout dans un pays qui privilégie la défense du pouvoir d’achat par cette méthode plutôt que par la création de richesses. Cela fait longtemps que les gouvernements successifs se sont accommodés de la guerre des prix.
Intercéréales estime que s’ils se maintiennent, les cours mondiaux équivaudront à une « juste rémunération des producteurs d’autant plus indispensable après plusieurs années extrêmement difficiles » Et d’ajouter :
« Reste à faire passer la hausse des cours tout au long de la chaine alimentaire. « Nous ne pouvons plus collectivement accepter que les acteurs de notre filière – production, commercialisation, transformation – soient toujours pris en otage par la guerre des prix ».
Mais l’enjeu est bien plus vaste. Selon M. Jean-François Loiseau, président d’Intercéréales :
« La France restera en 2021-2022 exportatrice nette de céréales. Toutefois, la tension sur les stocks mondiaux, et son impact sur les prix, rappelle l’importance d’une filière forte, disposant d’innovations dans le domaine de la protection des plantes et de la génétique afin d’augmenter les rendements. »
La filière forte – ou plutôt les filières fortes –, c’est aussi la capacité d’investir et aussi d’assurer le renouvellement des générations dans l’agriculture. Ainsi que d’assurer la pérennité et le développement des outils industriels.
Cet enjeu sera-t-il saisi par le gouvernement à quelques mois d’une échéance électorale dans laquelle il sera indispensable de ne pas irriter les consommateurs-électeurs et plus « payant » de les flatter ?
En tout cas, au niveau de l’Union européenne – dont la France prendra la présidence au 1er janvier 2021 avec l’intention de faire des étincelles – l’avenir de la production dite « agricole » – elle est essentiellement « alimentaire » – est plutôt sinistre. Les stratégies « farm to fork » (de la ferme à la table) et « biodiversité 2030 » sont, selon le titre d’un article de Mme Emmanuelle Ducros dans L‘Opinion, un désastre « annoncé et assumé ».
Pour nos nouilles, plutôt que des méfaits du dérèglement climatique, on ferait mieux de s’inquiéter des méfaits des nouilles qui nous gouvernent.
En premier, il n'y a PAS de 'changement climatique' mais (n'ayons pas peur de prononcer le mot:) des SAISONS ! Des saisons comme il y en a toujours eu. Mais dont le cycle n'est pas réchauffant (comme l'avait suggéré l'escroc Al Gore en 1997 à Kyoto) mais REFROIDISSANT ! La nature ne ment pas. Suffit de se promener à travers l'Europe ou les USA pour y découvrir des millions d'hectares de serres. Des serres en verre ou des serres en plastique, bref, aujourd'hui (comme demain) le paysan travaille sous serre. Mais là, interviennent de puissants phénomènes qui ne sont pas 'naturels' et donc un (sur douze) se trouve à Gakona (Alaska). Çà s'appelle 'HAARP' et çà peut réchauffer (de + 100°C !) comme refroidir (de -100°C !) une région ou tout un pays ! En l'an 2000 la NASA avait dit "Avant l'an 2020-2025 nous serons les maîtres du monde en météorologie". Le climat appartient à HAARP ! Il y a des stations en Russie, Chine, Japon, Angleterre, Australie, Brésil, Norvège, etc).
Donc, demain, s'il n'y a plus de blé (dur ou tendre), plus de riz, de tomates, de pommes ou d’œufs, je vous rassure c'est que c'est voulu ! et ne dépend nullement du rapprochement exceptionnel de la Terre et du soleil ou de leur éloignement tout aussi exceptionnel mais des ondes envoyées vers l'ionosphère où elles se répercutent et se dirigent vers le sol à des milliers de kilomètres de là. On peut aussi appeler çà des tremblements de terre, des ouragans, des sécheresses ou inondations, bref, on s'amuse comme on peut quand on a les clés du monde (l'affaire du 'covide19' n'étant qu'une parenthèse pour se marrer !).
Pendant ce temps, au Canada, les 'cabanes' rurales se vendent 37 % au-dessus de la demande en quelques jours
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 03 SEP 2021 - 23:20
La crise du logement au Canada s'aggrave à mesure que les guerres d'enchères s'intensifient et que les pénuries persistent. Une combinaison de personnes quittant les villes et cherchant des propriétés rurales combinées à une pénurie de logements a entraîné une flambée des prix qui ne sont pas durables.
Selon The Globe and Mail, les prix des maisons au Canada ont bondi de 22 % au cours de la dernière année, et le prix médian des maisons est à un niveau record. Les prêts bon marché de la Banque du Canada (BdC), les pénuries de logements et les personnes quittant les villes ont entraîné des guerres d'enchères.
Prenez, par exemple, Palgrave, une petite ville à 31 milles au nord-ouest de Toronto. Un éleveur construit dans les années 1970 avait un prix demandé de 998 000 $ en juin et s'est vendu plus tard dans le mois pour 1 365 000 $. Quelques jours seulement sur le marché, une guerre d'enchères féroce a éclaté avec 13 enchérisseurs qui ont finalement augmenté le prix de 37 % au-dessus de la liste.
"Il n'y avait pas beaucoup d'inventaire, et il y avait une autre propriété qui s'était vendue récemment dans plusieurs offres, nous voulions donc profiter de tous les acheteurs restants", a déclaré l'agent basé à Toronto Luisa Piccirilli.
La maison n'a rien de spécial et semble être un éleveur typique avec 3 000 pieds carrés et un garage pour trois voitures. Mais ce qui a attiré les soumissionnaires, c'est la cour arrière, un solide 2,4 acres (8000 m²).
Piccirilli a décrit la guerre d'enchères principalement entre ceux qui voulaient échapper à la vie urbaine et voulaient une arrière-cour.
"Il y a un exode de personnes quittant la ville et voulant plus de propriétés et de terres", a déclaré Piccirilli.
Comme nous l'avons noté au cours de l'été, le boom de l'investissement dans le logement a été l'un des plus importants depuis des années, mais s'est depuis refroidi par rapport à son sommet de mars, car les prix de l'immobilier devraient atteindre des sommets l'année prochaine.
Cela signifie que la Banque du Canada pourrait ne pas être « impatiente d'augmenter les taux d'intérêt » si le ralentissement de l'activité immobilière se poursuit, a déclaré Stephen Brown, économiste canadien principal chez Capital Economics.
Pour la variation d'une année à l'autre des prix des logements neufs, les niveaux actuels sont généralement associés à des périodes d'instabilité. En d'autres termes, le taux de croissance des prix ne peut être maintenu.
Doug Porter de BMO a déclaré à ses clients en juillet que le Canada est l'une des plus grandes bulles immobilières au monde.
Pendant ce temps, le leader libéral canadien Justin Trudeau a promis : « de mettre un terme à la croissance spéculative de l'immobilier ».
Trudeau a déclaré que le marché immobilier canadien avait été victime de "l'instabilité" et de "l'incertitude", qui ont conduit à "une flambée des prix, des guerres d'enchères, une spéculation galopante et un trop grand nombre de propriétés vacantes".
Si Trudeau était vraiment prêt à « réparer » la bulle immobilière de son pays, alors une correction des prix pèserait sur le PIB. Au 2T, la construction résidentielle était d'environ 10 % du PIB.
Ainsi, toute intervention de Trudeau pour maîtriser les prix des logements est peu probable avant les élections fédérales canadiennes plus tard ce mois-ci.
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 03 SEP 2021 - 13:50 Rédigé par James Rickards via DailyReckoning.com,
La raison pour laquelle les humains meurent est simple et directe. C'est mieux résumé dans la célèbre phrase du dessin animé Pogo de Walt Kelly en 1970 : "Nous avons rencontré l'ennemi et il est nous."
Les humains sont la raison pour laquelle les humains meurent. Nous n'avons pas assez de bébés. C'est si simple.
Lorsque j'utilise le mot « assez », il est important d'attribuer une valeur mathématique à cela. Ce n'est pas une conjecture. Le numéro de clé est 2.1. Cela fait référence à 2,1 enfants par couple, appelé taux de remplacement. Le taux de remplacement est le nombre d'enfants que chaque couple doit avoir en moyenne pour maintenir la population mondiale à un niveau constant.
Un taux de natalité de 1,8 est inférieur au taux de remplacement de 2,1. Cela signifie que votre population est en déclin. Il se peut aussi qu'elle vieillisse, car la population actuelle vit plus longtemps et les nouvelles naissances ne remplacent pas les mourants et ne diminuent pas l'âge médian.
Un taux de natalité de 4,1 est bien supérieur au taux de remplacement. Cela signifie que votre population augmente et que votre âge médian diminue même si les individus vivent plus longtemps. Le comportement est complexe, mais le calcul est vraiment aussi simple que cela. Le taux de remplacement de 2,1 est la ligne de démarcation entre la croissance et le déclin de la population.
Pourquoi le taux de remplacement n'est-il pas de 2.0 ? Si deux personnes ont deux enfants, cela ne maintient-il pas la population à un niveau constant ? La réponse est non à cause de la mortalité infantile et d'autres décès prématurés.
Si un couple a deux enfants et que l'un meurt avant d'atteindre l'âge adulte, alors un seul enfant peut contribuer à la croissance future de la population à l'âge adulte. Un taux de natalité de 2,1 compense ce facteur et contribue à deux enfants adultes pour deux parents adultes.
Évidemment, personne n'a 2,1 enfants. Le taux de remplacement est une moyenne. Si cinq couples ont trois enfants chacun et que deux autres couples ont un enfant chacun, la moyenne des sept couples est de 2,43 par couple, largement au-dessus du taux de remplacement de 2,1.
De même, il n'est pas nécessaire que chaque couple ait un nombre égal de garçons et de filles. Encore une fois, tout est question de moyennes. Si un couple a trois garçons et un autre couple a trois filles, la répartition globale garçons/filles est de 50/50 et le taux de natalité est de 3,0. Cela fonctionne très bien pour augmenter la population.
Soit dit en passant, dans les grands échantillons de population, il y a un peu plus de garçons que de filles nés. C'est tout à fait normal et est causé par des facteurs génétiques. Ce n'est pas un problème. Tant qu'il y a plus de garçons que de filles, il n'y a pas de limite pratique à la capacité de chaque femelle à se reproduire.
C'est ce qui compte en démographie.
Telle est la réalité : la démographie n'est pas seulement l'un des nombreux facteurs affectant les marchés. La démographie est de loin le facteur dominant.
Je peux tous énumérer les facteurs qui affectent les prix du marché. Ceux-ci incluent les taux d'intérêt, les taux de change, l'inflation, la déflation, les taux directeurs de la banque centrale, les chaînes d'approvisionnement, la géopolitique, les attentes des consommateurs et bien d'autres.
Pourtant, aucun de ces éléments n'est aussi important que la démographie, car la démographie concerne les personnes et les économies ne sont rien de plus que la somme totale des actions des individus dans ces économies.
Démographiquement, le Japon est le canari de la mine de charbon. Le Japon a connu de multiples récessions et aucune croissance soutenue depuis plus de trente ans. Cette dépression moderne coïncide avec le fait que le Japon a la société la plus ancienne de toutes les grandes économies.
L'âge médian au Japon aujourd'hui est de 48,6 ans. (L'âge médian d'aujourd'hui aux États-Unis est de 38,5 ans et en Chine, il est de 38,4 ans).
Ces chiffres vont empirer rapidement. En 2050, la médiane japonaise sera de 53 ans. La Chine aura 50 ans et les États-Unis 42 ans. La vieillesse est fortement corrélée avec la maladie d’Alzheimer, la maladie de Parkinson et la démence. Le Japon est déjà une société vieillissante et à croissance lente.
Le reste du monde sera bientôt le Japon. La bombe à retardement démographique a déjà explosé.
Ceux qui s'attendent à ce que l'Afrique subsaharienne compense les faibles taux de natalité dans le monde développé peuvent être déçus de constater que les taux de natalité africains chutent fortement et pourraient bientôt être aussi bas que ceux d'Amérique du Nord et d'Europe occidentale.
Qu'en est-il de la Chine et de l'Inde, avec leurs populations massives ?
Ensemble, ces deux pays ont une population d'environ 2,8 milliards de personnes sur une population mondiale totale d'environ 7,9 milliards de personnes. En d'autres termes, la Chine et l'Inde ont 35% de tous les habitants de la planète. Comme ils vont, ainsi va la population mondiale.
Contrairement à la perception populaire, la population chinoise s'effondre et l'Inde ne connaîtra pas une croissance aussi rapide que beaucoup le pensent et pourrait bientôt amorcer son propre déclin.
Ce phénomène est mondial. Presque toutes les économies développées ont des taux de natalité inférieurs au niveau de remplacement. Les pays avec des taux de natalité plus élevés voient ces taux baisser fortement.
Il existe une convergence mondiale sur des taux de natalité inférieurs à 2,1 même parmi les pays ayant des taux plus élevés aujourd'hui. Qu'est-ce qui motive cette méga-tendance ?
Les trois principaux moteurs sont l'urbanisation, l'éducation et l'émancipation des femmes. Les trois ont un effet amplificateur.
L'effondrement démographique est inévitable; il est déjà intégré aux taux de natalité existants et aux tendances probables. Pourtant, ce n'est pas la fin du monde. Ce ne sera même pas la fin de l'humanité. Mais ce sera la fin d'un paradigme économique de croissance plus élevée, de consommation plus élevée et de production plus élevée qui a prévalu au cours des deux cents dernières années.
Le nouveau paradigme consistera en moins de personnes dans les grandes villes – une forme d'urbanisation sans précédent au-delà de ce que nous savons déjà. Les industries traditionnelles telles que l'automobile seront abandonnées. Les soins de santé en général et les soins aux personnes âgées en particulier vont exploser.
Les opportunités d'investissement ne manqueront pas. Pourtant, les investisseurs devront éviter de nombreux investissements traditionnels qui ont bien performé dans le passé mais qui n'auront que peu ou pas de rôle dans un avenir vieillissant et fortement urbanisé.
Nous n'en sommes plus aux siècles derniers ! où chaque personne devait se nourrir. Aujourd'hui, grâce aux machines qui remplacent l'être humain, les productions sont multipliées par 100 ou 1000 ! C'est pourquoi il y a trop de valeurs produites et donc trop d'argent. D'où l'invention quotidienne de nouvelles idées de taxes sur du n'importe quoi ! Après l'eau gratuite qui doit être payée ! et le sol gratuit qui doit être payé pour le fouler voire le travailler !! voici qu'arrive le prix... de l'air et pour après le prix du soleil et du décor que l'on voit gratuitement !!
Le réseau électrique devient de plus en plus vulnérable aux pannes catastrophiques
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 03 SEP 2021 - 13:12 Par John Kemp, journaliste et commentateur sur l'énergie de Reuters
Les futurs systèmes électriques doivent être rendus plus résilients
Les coupures de courant prolongées en Louisiane à la suite de l'ouragan Ida rappellent que le réseau électrique doit devenir plus résilient et plus fiable si encore plus de services tels que les véhicules électriques en dépendent à l'avenir.
Le système électrique est déjà directement responsable de la fourniture d'un large éventail de services énergétiques dans les maisons, les bureaux et les usines, y compris le chauffage des locaux, la climatisation, la cuisson, la réfrigération et l'électricité. Le réseau est également au cœur d'un ensemble d'autres systèmes critiques, notamment l'approvisionnement en pétrole et en gaz, l'eau et l'assainissement, les transports, les communications, la sécurité publique et les soins de santé, qui ne peuvent fonctionner correctement sans lui.
À l'avenir, le réseau sera probablement responsable de la fourniture d'encore plus de services énergétiques alors que les décideurs politiques poussent à électrifier de nombreux services restants dans le cadre de la stratégie visant à atteindre des émissions nettes nulles.
Mais dans la précipitation pour électrifier l'ensemble du système énergétique, les décideurs politiques peuvent augmenter par inadvertance la vulnérabilité de l'économie et de la société en cas de panne de courant longue durée.
Plutôt que plusieurs systèmes étroitement liés mais séparés pour l'électricité, le gaz, le pétrole et les transports, il n'y aura à l'avenir de plus en plus qu'un seul système très étroitement intégré, ce qui augmentera sa vulnérabilité aux défaillances catastrophiques.
Le risque créé par la connexion de systèmes autrefois séparés en un système central sujet à un point de défaillance unique est compris depuis des décennies (« Brittle power : energy strategy for national security », Lovins, 1982). En particulier, plus les systèmes sont étroitement couplés, plus grand est le risque qu'un problème imprévu dans une partie puisse se répercuter sur l'ensemble (« Accidents normaux : vivre avec des technologies à haut risque », Perrow, 1999).
À l'heure actuelle, les coupures de courant rendent certains services indisponibles (éclairage, électricité), mais les ménages et les entreprises peuvent être en mesure d'en utiliser d'autres (chauffage au gaz, véhicules à essence). À l'avenir, les pannes pourraient perturber sensiblement tous les services énergétiques.
RÉSILIENCE DU RÉSEAU
Les décideurs devront accorder plus d'attention à la fiabilité du système électrique, en minimisant le risque de pannes, généralement en s'assurant qu'une production suffisante est disponible et que le système peut absorber les chocs. Mais même dans un système bien géré, certaines pannes sont inévitables, de sorte que les décideurs devront également accorder plus d'attention à la résilience, en veillant à ce qu'en cas de défaillance, le système se rétablisse rapidement et que les conséquences néfastes soient minimisées.
« Renforcer la résilience du système électrique du pays » était au centre d'une étude de recherche majeure publiée par les National Academies of Sciences, Engineering and Medicine des États-Unis en 2017.
Les chercheurs ont identifié un éventail de menaces, notamment les cyberattaques, la sécheresse, les tremblements de terre, les inondations, les ouragans, les tempêtes de verglas, les erreurs opérationnelles, les attaques physiques, les tornades, la météo spatiale, les tsunamis, les éruptions volcaniques et les incendies de forêt. La plupart des interruptions de l'électricité sont généralement localisées, ne durent que quelques heures, et les résultats sont généralement gênants plutôt que critiques.
Les utilisateurs d'électricité ayant des besoins critiques, tels que les hôpitaux, les postes de police et les centrales nucléaires, se préparent aux interruptions temporaires en installant des batteries ou des générateurs diesel.
Malgré cela, 1 % des générateurs diesel des centrales nucléaires ne démarrent pas à la demande et 15 % tombent en panne après 24 heures de fonctionnement continu. Les générateurs d'hôpitaux ne démarrent pas 10 % du temps. Les générateurs domestiques sont encore moins fiables.
Mais les interruptions de service électrique de longue durée et de grande envergure se produisent beaucoup plus fréquemment que la plupart des utilisateurs ne le pensent, avec des conséquences beaucoup plus graves.
PANNES MASSIVES
Au cours des 40 dernières années, l'Amérique du Nord a connu une série de pannes importantes qui ont interrompu le service d'au moins 10 000 mégawatts de charge client, l'équivalent de la totalité de la demande d'électricité de pointe de la ville de New York.
Les pannes majeures ont inclus la panne d'électricité du Nord-Est en août 2003 (70 000 MW de perte de charge client), la panne de courant sur la côte ouest en août 1996 (33 000 MW), la tempête géomagnétique du Québec en mars 1989 (20 000 MW), la tempête de verglas États-Unis/Canada en janvier 1998 (19 000 MW) et Superstorm Sandy en octobre 2012 (20 000 MW). À la suite de pannes de courant à grande échelle, de nombreux clients ont été rétablis en quelques heures ou un jour ou deux, mais certains clients sont sans électricité depuis un mois ou plus.
Lors de la tempête de verglas de janvier 1998, trois des quatre principales lignes de transport d'électricité de la région de Montréal sont tombées en panne et une grande partie de la ville a perdu son approvisionnement en eau après que son usine de filtration et ses stations de pompage n'ont été alimentées.
Les autorités ont envisagé d'évacuer la ville ou de déplacer les résidents vers des installations comme le stade olympique. Les perturbations se sont répercutées dans les chaînes d'approvisionnement alimentaire, les transports, les communications et d'autres activités économiques
Les autorités ont envisagé d'évacuer la ville ou de déplacer les résidents vers des installations comme le stade olympique. Les perturbations se sont répercutées sur les chaînes d'approvisionnement alimentaire, les transports, les communications et d'autres activités économiques pendant des semaines.
Dans la région de la rive sud, connue sous le nom de « triangle des ténèbres », le courant est resté coupé pendant deux à trois semaines. Les épiceries étaient incapables d'ouvrir ou manquaient de produits de première nécessité, les stations-service manquaient (ou étaient incapables de pomper) de carburant et les services de transport de base étaient irréguliers.
En dehors de l'Amérique du Nord, le centre-ville d'Auckland, en Nouvelle-Zélande, a perdu presque tout service de réseau pendant cinq semaines à l'été 1998, lorsque les quatre principaux câbles desservant la région ont rapidement échoué.
Les pannes massives de réseau électrique sont inconfortablement courantes et peuvent laisser des centaines de milliers, voire des millions de clients sans service électrique pendant des semaines. Les conséquences deviendront encore plus graves à l'avenir si de plus en plus de services énergétiques sont transférés d'autres systèmes (tels que l'essence, le diesel et le gaz naturel) vers le réseau électrique.
Les décideurs politiques, les régulateurs et les services publics doivent donc se concentrer sur l'amélioration de la fiabilité et de la résilience en même temps que l'électrification et la décarbonisation afin de minimiser la menace de défaillance catastrophique.
INVESTISSEMENT DANS LE RÉSEAU
La fiabilité et la résilience ne sont pas les mêmes, bien qu'elles soient souvent étroitement associées, et l'étude des National Academies a souligné la nécessité de se concentrer davantage sur les questions de résilience dans la planification des services publics.
Les pannes survenues lors du grand gel au Texas en février 2021 et dans le nord-est des États-Unis en août 2003 étaient principalement des défaillances de fiabilité, causées par une mauvaise gestion de la production. Mais la panne de courant prolongée attendue en Louisiane et la tempête de verglas au Québec étaient principalement des défaillances de résilience.
Les défaillances de fiabilité et de résilience sont toutes deux des événements à faible fréquence et à fort impact, qui nécessitent des investissements coûteux pour réduire les conséquences attendues, ce qui rend difficile la mise en place d'un support.
Le renforcement de la résilience nécessite souvent de renforcer les systèmes de transmission et de distribution en enterrant les câbles, en remplaçant les poteaux en bois par des poteaux en béton, en renforçant les tours, en stockant des transformateurs de remplacement et en élevant les sous-stations au-dessus des niveaux d'inondation potentiels.
Plus généralement, les systèmes électriques doivent intégrer une capacité de réserve et une redondance suffisantes pour les rendre plus fiables et plus résilients en cas de défaillance d'un ou plusieurs composants.
Différents clients peuvent attribuer des valeurs différentes à la fiabilité et à la résilience en fonction de leur situation et de la durée de l'interruption de service, ce qui rend la recherche d'un consensus encore plus difficile.
Par exemple, les hôpitaux et les raffineries de pétrole peuvent accorder une plus grande valeur à un hiver ininterrompu qu'un client résidentiel disposant d'un générateur de secours. Les courtes interruptions peuvent être tolérables tandis que les longues sont inacceptables.
Les fournisseurs d'électricité ont souvent du mal à convaincre les régulateurs et les clients de la nécessité d'augmenter les factures, sauf immédiatement après une panne majeure, alors qu'il peut y avoir une fenêtre étroite pour obtenir le financement des changements.
Mais si davantage de services énergétiques doivent être transférés sur le réseau, il faudra investir beaucoup plus dans sa modernisation afin de réduire la probabilité de défaillance et de garantir un rétablissement rapide du service.
Les lignes d'approvisionnement mondiales s'effondrent alors que les usines sont confrontées à des pénuries de main-d'œuvre et de matériaux
Vendredi 03 septembre 2021 par : Ethan Huff
(Natural News) Juste un jour après que les données du produit intérieur brut (PIB) aient montré une croissance substantielle de la fabrication au premier trimestre de l'exercice en cours, les usines du monde entier ont signalé que les lignes d'approvisionnement mondiales continuaient de s'effondrer.
La société de données HIS Markit a publié les résultats d'une nouvelle enquête qui a révélé que les calendriers de production, de livraison et de distribution ont continué d'être perturbés tout au long du mois d'août, le tout en raison des restrictions du gouvernement sur le coronavirus de Wuhan (Covid-19).
Les problèmes logistiques affligent de nombreuses entreprises alors qu'elles luttent pour maintenir leurs stocks, sans parler d'une main-d'œuvre fiable. C'est vraiment devenu un marché de vente pour les produits dont de nombreuses usines ont besoin pour continuer à faire des affaires, ce qui contribue à l'inflation.
Dans la zone euro, l'activité manufacturière reste soutenue. Cependant, la fabrication finale dans l'indice des directeurs d'achat (PMI) aurait chuté à 61,4 en août, une "fraction" en dessous de son estimation "flash" précédente de 61,5. En juillet, le PMI manufacturier était de 62,8.
"Malgré les bons chiffres du PMI, nous pensons que les problèmes persistants du côté de l'offre et les pressions liées aux prix à la production pourraient prendre plus de temps à résoudre que prévu, augmentant le risque de baisse de nos prévisions", a annoncé Mateusz Urban d'Oxford Economics.
Les Pays-Bas enregistrent les plus fortes améliorations dans le secteur manufacturier Selon les données, les Pays-Bas ont surclassé tous les autres pays en termes d'améliorations les plus marquées des conditions des affaires manufacturières, malgré le ralentissement de leur croissance à son plus bas niveau en cinq mois.
L'Allemagne, l'Irlande, l'Autriche et la France ont également fait assez bien, mais pas aussi bien que les Pays-Bas.
La Grèce aurait enregistré la lecture la plus élevée de son PMI manufacturier depuis avril 2000, tandis que l'Espagne et l'Italie ont toutes deux signalé des expansions accélérées de la même manière qui suggèrent des améliorations modestes.
La Grande-Bretagne a également connu une certaine amélioration de la production dans son secteur manufacturier malgré un affaiblissement au cours des six derniers mois.
Aux États-Unis, les données sont sur le point de baisser sur les conditions ici. Il y a de fortes chances qu'ils soient au mieux modestes, sinon pires. C'est la situation en Chine, où l'activité des usines s'est contractée en août en raison de goulots d'étranglement d'approvisionnement, des mesures de confinement du virus chinois et des prix élevés des matières premières.
L'indice PMI manufacturier chinois Caixin / Markit est tombé à 49,2 en août, contre 50,3 en juillet. Il a officiellement franchi la barre des 50, indiquant une contraction plutôt qu'une croissance.
Le Japon, la Corée du Sud et Taïwan ont également vu leur activité manufacturière se développer à un rythme plus lent, ce qui suggère que les pénuries de puces et les fermetures d'usines pourraient retarder une reprise durable après la crise induite par la pandémie.
Le Canada a vu son économie se contracter au dernier trimestre, tandis que l'Australie a enregistré une croissance plus lente au deuxième trimestre. Presque tout le monde dans le monde boitille encore à cause de toute la tyrannie du coronavirus de Wuhan (Covid-19).
"Le problème primordial était encore une fois un manque de composants, cependant, les fournisseurs étant soit incapables de produire suffisamment de pièces, soit confrontés à un manque de capacité d'expédition pour répondre à la demande logistique", a annoncé Chris Williamson, économiste en chef chez HIS Markit, à propos de l'activité économique. dans la zone euro.
"Ces problèmes d'approvisionnement ont été la principale cause d'un déficit de la production manufacturière par rapport à des ordres de grandeur non enregistrés auparavant par l'enquête, dépassant le déficit record de 24 ans enregistré en juillet."
L'approvisionnement alimentaire est également en difficulté, ce qui entraîne des prix alimentaires élevés et des pénuries d'approvisionnement pour certains produits.
Pour aider à augmenter la production, les entreprises embauchent autant de personnes que possible dans leur main-d'œuvre. Cependant, il semble qu'il y ait plus de demande de travailleurs que d'offre, ce qui exerce une pression supplémentaire sur le système.
« C'est ainsi que fonctionne le communisme », a écrit un commentateur d'Epoch Times. "Les choses vont très certainement empirer et c'est par dessein."
Pour suivre les dernières nouvelles sur la crise économique mondiale induite par la plandémie, assurez-vous de consulter Collapse.news.
La montée en puissance de la terreur médicale et des mesures totalitaires « Covid »
RépondreSupprimerPar Gary D. Barnett
4 septembre 2021
« Je ne crois pas au gouvernement. Je déteste la politique. Je suis contre. Et j'espère que cet automne, nous pourrons détruire une partie de notre gouvernement, et l'année prochaine en détruire encore plus. Moins il y a de gouvernement, plus je serai heureux".
~ Ray Bradbury, entretien avec Rachel Goldstein, content.time.com. 23 août 2010.
Sans dirigeants, il n'y aurait pas de régime totalitaire. Il n'y aurait pas de confinement. Il n'y aurait pas de mandats. Il n'y aurait pas de loi martiale médicale forcée. Il n'y aurait pas d'isolement forcé. Il n'y aurait pas de vol par taxation. Il n'y aurait pas d'impression illimitée d'argent pour enrichir le mal et corrompre le prolétariat. Il n'y aurait pas de fausse « pandémie de virus ». Il y aurait beaucoup moins de morts et de destructions. Avec le gouvernement à l'écart, il y aurait de la joie et du bonheur au lieu de la haine et de la tyrannie. Le gouvernement est un culte, et sous toutes ses formes le mal, donc toute diminution du gouvernement ne peut signifier qu'une diminution du mal.
Comme prévu, le calme temporaire de l'été est terminé, et à l'approche de l'automne, il en va de plus de tyrannie sous forme d'oppression, de menaces, de mandats et de propagande alarmiste extrême. Le mensonge « Covid » continue, mais avec une vigueur renouvelée et des mesures de contrôle autoritaires véhémentes planifiées et mises en œuvre à l'échelle nationale.
Cela est particulièrement évident dans le domaine de ce que l'on appelle ridiculement « soins de santé » dans l'un des pays développés les plus obèses et les plus malsains de la planète. Nous vivons dans un système fasciste/socialiste dans lequel la plupart des citoyens « croient » à tort qu'ils ont droit à des soins médicaux « gratuits ». Bien que cette pensée soit absurde, elle est due à plusieurs décennies d'endoctrinement, de législation sur la dépendance à la « santé » et de contrôle par quelques-uns et leurs pions au sein du gouvernement, du système médical, des compagnies d'assurance privées et gouvernementales, y compris les escroqueries communistes Medicare et Medicaid. . La majeure partie de la société dépend entièrement de l'État d'une manière ou d'une autre pour la plupart des services médicaux. Cette dépendance a effectivement fait de ses citoyens des esclaves.
Puis l'année dernière, le complot "Covid" s'est déchaîné sur cette société, et l'enfer est venu avec. Nous vivons maintenant dans une ère de terrorisme ; pas des attaques terroristes à distance, mais de l'intérieur, aux mains de ce qui est considéré à tort par les masses comme « leur » gouvernement. Ce n'est pas une telle chose. Avec autant de pouvoir de l'État sur les décisions en matière de santé, l'hospitalisation, les médicaments, les médicaments sur ordonnance, les « vaccins », et qui doit recevoir des soins et qui ne le sont pas, le public respectueux est exposé à un grand risque. En raison de la « pandémie » faussement prétendue, toutes sortes de restrictions pour les soins sont imminentes, et les soi-disant protocoles d'état d'urgence à travers ce pays seront utilisés pour refuser des soins à bon nombre de ceux qui en ont le plus besoin, en particulier les groupes qui sont considérés comme moins importants par l'Etat. Cela inclut les personnes âgées et infirmes, les malades, les handicapés mentaux, certains groupes ethniques, les enfants vulnérables, les pauvres, tous ceux qui sont considérés comme une ponction sur le système économique, et enfin tous ceux qui refusent d'accepter le courant dominant narratif, et refusent de se conformer aux mandats draconiens « Covid » émis par la classe dirigeante et leurs partenaires.
Les non vaccinés les plus intelligents seront blâmés pour tous les prétendus maux de la société. La pression pour prendre cette injection toxique sera considérablement augmentée et l'application deviendra plus agressive. En ce qui concerne la santé et les soins médicaux, les personnes non vaccinées et ne souhaitant pas obéir aux règles stupides de Covid se verront refuser les soins et les chirurgies nécessaires, les procédures médicales vitales, les médicaments et l'admission dans le système hospitalier. Ce ne sera que le début de la guerre contre les dissidents et les faibles. En fait, cela se produit déjà.
RépondreSupprimerL'Idaho vient d'annoncer qu'il pourrait utiliser "Crisis Care" pour les "patients Covid". Les représentants de l'État à travers le pays « supplient » le public de se faire « vacciner » contre Covid-19, non pas parce que quelqu'un est malade, mais parce que « les cas augmentent à nouveau ». Les menaces du gouverneur de l'Idaho, Brad Little, ont permis au ministère de la Santé et du Bien-être de l'Idaho d'avertir (menacer) que le rationnement des soins de santé pourrait se produire dans moins de deux semaines. Si c'est le cas, il y aurait une liste de priorité pour ceux qui recherchent des soins ; un ordre de soin quant à qui serait le premier et qui serait le dernier. Les enfants jusqu'à 17 ans et les femmes enceintes à terme (plus de 28 semaines) seraient considérés comme prioritaires, et tous les adultes classés par âge seraient les derniers à recevoir des soins. Le plus vieux, bien sûr, serait laissé à mourir.
Ce n'est un secret pour personne que de nombreux patients à travers ce pays ont été refoulés, et n'ont pas reçu de soins ou n'ont pas reçu les chirurgies nécessaires, tout cela sous prétexte que les personnes atteintes de «Covid» ont rempli tous les lits d'hôpitaux. Mais la vérité sur l'affaire raconte une histoire différente, alors que les hôpitaux ont continué à fermer pendant cette panique orchestrée, tandis que les congés de masse et les licenciements chez ceux encore ouverts étaient courants et généralisés. Tout cela a été imputé au mensonge de perdre de l’argent à cause du « Covid » remplissant les hôpitaux, alors qu’en réalité, les centres médicaux ont reçu d’énormes sommes d’argent supplémentaires pour tous les patients « Covid ». Si cela vous semble aussi stupide que moi, félicitations pour avoir la capacité de penser et de voir à travers la tromperie.
L'année dernière sera pâle en comparaison à mon avis à ce qui s'en vient. La maladie et la mort vont considérablement s'intensifier en raison non de quoi que ce soit qui prétend être des variantes « Covid » ou « Covid », mais en raison des dizaines de millions de personnes qui ont volontairement pris ces injections toxiques. Lorsque cela se produira, la capacité d'accéder aux « soins de santé » pour ceux qui en ont vraiment besoin deviendra une tâche difficile. Les mesures de triage tracées deviendront monnaie courante, car la propagande du «virus» fera rage. Le blâme sera imputé à tous ceux qui s'opposent au complot "Covid", et à ceux qui refusent de recevoir l'injection, permettant au système médical criminel d'attribuer le traitement et la chirurgie, ou de refuser catégoriquement les soins sur la base du statut "vaccin".
Cela conduira bien sûr également à davantage de blocages des non vaccinés, à l'élimination ou à l'accès limité aux besoins et aux produits de survie, à des menaces d'amendes et d'incarcération, à la brutalité de l'application et à la loi martiale médicale.
RépondreSupprimerLes choses vont très mal tourner, très bientôt. Je crois que plusieurs événements sous fausse bannière sont prévus et pourraient l'être dans un avenir proche. Je pense également que la montée en puissance des mesures draconiennes devrait être publiée dans les prochaines semaines, peut-être même dès le gâchis de l'anniversaire du 11 septembre. Il y a certainement des indications et des télégraphies de tactiques terroristes contre le peuple non seulement de ce gouvernement, mais d'autres dans le monde. Le calendrier des événements menant à l'anniversaire du 11 septembre et aux saisons de la « grippe » d'automne et d'hiver n'est pas accidentel, y compris le fiasco en Afghanistan. Comme je l'ai dit à maintes reprises, absolument rien de ce que fait le gouvernement n'est accidentel, ce n'est ni naturel ni organique ; c'est toujours prévu à l'avance. Ce qui se passe maintenant et ce qui se passera dans les semaines et les mois à venir est déjà en préparation, et ce depuis toujours.
Ceux d'entre nous qui ne prendront jamais ce poison étiqueté à tort comme un "vaccin", ceux d'entre nous qui ne porteront jamais de masque, et ceux d'entre nous qui continuent d'exposer cette "pandémie" frauduleuse pour ce qu'elle est vraiment, une arnaque, seront fortement ciblé à l'avenir. Nous serons blâmés pour tous les maux de la société, privés de soins médicaux, de services refusés et condamnés par les médias grand public, la classe politique et tous les auteurs de cette fraude mortelle.
Face à une tyrannie extrême, il est impératif de rester défiant, de désobéir, de se dissoudre et de rester solidaires afin de protéger la vie et la liberté. Rien de moins ne conduira qu'au servage.
Liens sources supplémentaires :
L'Idaho menace de « soins de crise » pour « Covid-19 »
Accès réduit aux soins du CDC en raison de la «pandémie de coronavirus»
266 hôpitaux mettant en congé des travailleurs en réponse à «Covid-19»
Alerte rouge : False flag entrant
Ce calme avant la tempête est-il destiné à créer une guerre contre les dissidents et les « non vaccinés ? » Absolument !
Les hôpitaux refusent des patients à cause du « Covid »
Mandats de «vaccin» et de masque de l'Oregon
Les anti-masques comparés aux kamikazes
https://www.lewrockwell.com/2021/09/gary-d-barnett/the-ramping-up-of-medical-terror-and-totalitarian-covid-measures/
« COVID Zéro » La Nouvelle-Zélande a achevé sa transformation en un État policier à part entière
RépondreSupprimerLes Kiwis solidaires sont devenus fous.
Jordan Schachtel
3 sept.
La Nouvelle-Zélande, la dernière des nations dédiées au « COVID Zéro » sur terre, a achevé sa transformation en un régime tyrannique à part entière et, de manière choquante, elle est venue avec le consentement de la grande majorité des Kiwis.
Un sondage mené par Kantar et publié par The New Zealand Herald montre que 85 % des Kiwis soutiennent l'objectif d'élimination, contre 13 % affirmant « vivre avec » le virus.<= Publicerad idag
Les Kiwis soutiennent la stratégie d'élimination de Covid: sondage
Les Néo-Zélandais ont signalé un soutien écrasant à la stratégie d'élimination de Covid-19 de Jacinda Ardern, alors même que le pays subit un autre verrouillage...
Autrefois salués comme la « success story » préférée des médias et des « experts de la santé publique » en matière de gestion de COVID-19, les morceaux de bouffée ont été de plus en plus difficiles à trouver, car Wellington a engendré une concoction dystopique d'édits gouvernementaux despotiques et insensés, revendiqués comme absolument partie nécessaire de leur combat éternel contre une maladie avec un taux de guérison de 99,8 %.
Observez simplement ce qui s'est passé dans le pays partenaire de Five Eyes au cours de cette seule semaine :
1) La quasi-totalité du pays est à nouveau sous verrouillage indéfini, après que quelques cas de COVID-19 ont été signalés dans tout le pays. Un seul cas nécessite un « verrouillage instantané », dans lequel tous les droits de millions de citoyens sont immédiatement restreints et indéfiniment soumis au confinement d'une maladie respiratoire saisonnière. Le verrouillage actuel a été prolongé sur Auckland jusqu'à au moins la mi-septembre, beaucoup prédisant une peine beaucoup plus longue. Selon les précédents, les Kiwis ne récupéreront pas leur liberté jusqu'à ce que – c'est la partie vraiment folle de Zero COVID – il n'y ait aucune propagation communautaire de COVID-19.
Et à la seconde où un autre cas apparaît sur le radar, tout le pays revient à la case départ du protocole Zero COVID.
Éclosion de delta du coronavirus Covid 19: le verrouillage d'Auckland pourrait durer «trois à quatre semaines», selon un expert, via @nzherald
Éclosion de delta du coronavirus Covid 19: le verrouillage d'Auckland pourrait durer «trois à quatre semaines», selon un expert - NZ Herald
Un expert dit qu'il sera difficile pour Auckland de sortir du niveau 4 dans quinze jours.
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RépondreSupprimer2) Un homme est humilié par ses compatriotes pour avoir eu l'audace de « s'échapper » d'un camp d'internement COVID sanctionné par le gouvernement. Les camps ont été décrits sous un jour plus positif, mais faux, par la presse et les responsables gouvernementaux comme des « hôtels de quarantaine », mais il s'agit très certainement d'un centre d'internement, car il n'est pas permis de partir et il est passible d'une amende et d'une longue peine de prison.
The Hill a rapporté : « La personne a été accusée de ne pas s’être conformée à l’ordonnance sanitaire néo-zélandaise sur les coronavirus. En vertu d'une nouvelle loi adoptée l'année dernière, il pourrait encourir une amende ou jusqu'à six mois de prison s'il est reconnu coupable.
3) La police et les services militaires du pays installent des points de contrôle de sécurité dans toute la Nouvelle-Zélande afin de s'assurer que les citoyens ne voyagent pas pendant le verrouillage. Voyager librement pendant le verrouillage entraîne désormais une amende massive et/ou une peine de prison en guise de punition.
La police a mis en place des points de contrôle à travers Auckland pour empêcher les déplacements non essentiels alors que la Nouvelle-Zélande a enregistré 75 nouveaux cas de COVID-19. Auckland restera dans un verrouillage strict de niveau 4 pendant encore deux semaines, mais les restrictions pour le reste du pays ont été assouplies
La Nouvelle-Zélande est désormais le seul pays au monde qui reste dédié à COVID Zéro, la poursuite de l'élimination totale d'un virus de leur nation, qui est sous un auto-siège sanctionné par le gouvernement depuis le début de 2020. les autres nations qui ont tenté de poursuivre la pseudoscience derrière COVID Zéro ont échoué de manière catastrophique. La Nouvelle-Zélande est passée d'une « success story » de COVID très vantée à une maison d'horreurs à part entière, et malheureusement, il n'y a pas de fin en vue à la folie en cours.
https://dossier.substack.com/p/covid-zero-new-zealand-has-completed
Sur le ponton de l'embarcadère est inscrit en pancarte "ENTRÉE INTERDITE AUX MICROBES"
SupprimerNew-Z.: 268 021 km² pour 5 millions d'habitants.(Superficie du Colorado)
Australie: 7 692 000 km² pour 25 millions d'habitants
États-Unis: 9 834 000 km²
Bon, maintenant que vous savez tout, où irait votre ennemi se cacher en cas de ?
Une stratégie pour vaincre le récit de Covid
RépondreSupprimerPar Jon Rappoport
Le blog de Jon Rappoport
4 septembre 2021
— Mémo aux avocats et aux dirigeants politiques qui veulent détruire le récit COVID qui a été utilisé pour justifier les blocages, les masques, la destruction économique, les mandats —
Comme vous le savez bien, le test PCR est au cœur du récit. Un test positif équivaut à un « cas COVID ». De nombreux cas de COVID sont égaux : « nous devons réprimer les citoyens ; il faut les enfermer, fermer les commerces ; déployer un vaccin… »
J'ai passé un an à disséquer le test PCR et ses NOMBREUX défauts et problèmes de terminal. Bref, le test est une fraude totale.
Ici, je veux souligner UN seul scandale majeur.
Celui que j'ai choisi, s'il est poursuivi, fera un cas dévastateur. C'est simple; rigide; surprenant; le public peut le saisir facilement ; et même si un dossier judiciaire ne vole pas, l'exposition des faits peut être intégrée dans un ouragan d'une histoire.
Il existe un secret de polichinelle dans la communauté des tests PCR professionnels : DIFFÉRENTS LABORATOIRES ONT DES RÉSULTATS DE TEST CONFLITS POUR LE MÊME ÉCHANTILLON.
Un écouvillon nasal prélevé sur John Jones, envoyé à six laboratoires différents, reviendra fréquemment POSITIF, NÉGATIF, POSITIF, NÉGATIF, INDÉTERMINÉ, NÉGATIF…
Il n'y a donc pas de résultat fiable. Il n'y a pas de norme. Il n'y a aucun moyen de déterminer si le test doit indiquer « COVID » ou « NON-COVID ».
Cette variable de base est de l'ordre d'un ingénieur qui dit : « J'ai terminé la conception du pont, mes experts sont tous en désaccord sur la viabilité de la conception et nous ne pouvons donc pas construire le pont ».
Alors, comment appliquez-vous cette histoire d'horreur irréparable au test PCR ?
Vous choisissez cinq personnes. En l'espace d'une journée, vous envoyez l'échantillon d'écouvillonnage de chaque personne à six laboratoires différents pour analyse. Vous documentez ce processus, il n'y a donc aucun argument sur la « chaîne de possession ».
Lorsque les résultats reviennent sur les cinq personnes de tous les laboratoires et que vous voyez les résultats contradictoires – COVID, PAS COVID – vous avez le cas. Vous avez la preuve. Vous avez la vérité. Vous avez l'histoire.
Ce n'est pas compliqué. Vous n'avez pas besoin de rédiger un dossier de 500 pages pour le tribunal.
Et comme je l'ai dit, même si un juge à guichets fermés ou stupide comme un rock lance votre cas, vous avez une sacrée révélation.
Si vous êtes un leader politique - je pense à vous, gouverneur DeSantis - vous pouvez lancer votre procès d'en haut. Vous pouvez utiliser votre procureur général de l'État pour porter l'affaire devant les tribunaux et en faire un scandale public montagneux.
En prime, j'ai une autre stratégie.
Comme je l'ai documenté, les experts traditionnels conviennent que le test PCR doit être exécuté à 35 cycles ou moins ; sinon le résultat n'a pas de sens et est inutilisable.
Cependant, les directives de la FDA/CDC recommandent d'effectuer le test à 40 cycles. Par conséquent, les laboratoires se conforment.
C'est en soi un scandale majeur.
Mais il y a plus. Les laboratoires ne sont pas tenus (sauf en Floride [1] [1a]) de déclarer le nombre de cycles qu'ils déploient dans leurs tests PCR. Par conséquent, les laboratoires ne rapportent pas ce facteur essentiel au patient ou à son médecin.
RépondreSupprimerDonc… vous avez un client qui a reçu l'ordre de passer le test qui dit : « Bien sûr, je suis prêt. Mais d'abord, j'aurai besoin que le laboratoire déclare par écrit combien de cycles ils utilisent pour traiter mon échantillon.
Si le représentant du gouvernement ou l'employé de l'entreprise refuse de transmettre la demande au laboratoire, poursuivez-le.
S'il transmet la demande et que le laboratoire refuse d'indiquer le nombre de cycles qu'il utilise, poursuivez le laboratoire.
Si le laboratoire déclare qu'il utilise plus de 35 cycles, poursuivez le laboratoire.
Poursuivez toutes les parties connectées.
Voici le contexte soutenant ces deux stratégies—
UN : RÉSULTATS DE TEST DE LABORATOIRE CONFLITS
Dans un monde à moitié sain d'esprit, le test PCR aurait été validé, il y a des décennies, avant sa sortie initiale pour utilisation.
Je parle d'une grande étude de, disons, cinq mille volontaires. Sur chaque volontaire, prélevez un échantillon de tissu et envoyez cet échantillon à une douzaine de laboratoires différents, avec l'instruction de rechercher un microbe particulier.
Lorsque les résultats reviennent pour les 5000 volontaires, vérifiez leur cohérence.
CE TEST DU TEST, CETTE ÉTUDE N'A JAMAIS ÉTÉ FAIT.
L'uniformité des résultats des tests en laboratoire n'a jamais été établie.
L'étude n'a jamais été réalisée, car les «experts» savaient quels seraient les résultats et la perspective d'être exposés à des fraudes les terrifiait.
La FDA n'a jamais exigé une validation sérieuse du test PCR.
DEUX : LE PROBLÈME DU CYCLE D'ESSAI
RépondreSupprimer16 juillet 2020, podcast, « This Week In Virology » [2] : Tony Fauci tient à dire que le test PCR COVID est inutile et trompeur lorsque le test est exécuté à « 35 cycles ou plus ». Un résultat positif, indiquant une infection, ne peut être accepté ou cru.
Voici, en langage techno, un extrait de la citation clé de Fauci [2] (à partir de la marque 4m01s jusqu'à la marque 5m45s (Fauci commence sa première réponse à la première question à la marque 4m20s et commence sa deuxième réponse à la seconde question à la barre des 5m26s)) :
« ... Si vous obtenez [effectuer le test à] un seuil de cycle de 35 ou plus... les chances qu'il soit compétent pour la réplication [aka précis] sont minimes... vous ne pouvez presque jamais cultiver le virus [détecter un vrai résultat positif] à partir d'un 37 cycle de seuil…même 36…”
Chaque « cycle » du test est un saut quantique dans l'amplification et le grossissement de l'échantillon de test prélevé sur le patient.
Trop de cycles, et le test révélera toutes sortes de documents non pertinents qui seront interprétés à tort comme pertinents.
C'est ce qu'on appelle un faux positif.
Ce que Fauci n'a pas dit sur la vidéo, c'est: la FDA, qui autorise le test à usage public, recommande que le test soit effectué jusqu'à 40 cycles. Pas 35.
Par conséquent, tous les laboratoires aux États-Unis qui suivent les directives de la FDA participent sciemment ou inconsciemment à la fraude. Fraude à un niveau monstrueux, parce que…
Des millions d'Américains se font dire qu'ils sont infectés par le virus sur la base d'un faux résultat positif, et…
Le nombre total de cas de COVID en Amérique – qui est basé sur le test – est une fausseté grossière.
Les blocages et autres mesures de restriction sont basés sur ces numéros de cas frauduleux.
Laisse-moi revenir en arrière et recommencer. Fauci dit que le test est inutile lorsqu'il est exécuté à 35 cycles ou plus. La FDA dit exécuter le test jusqu'à 40 cycles, afin de déterminer si le virus est là. C'est le crime en un mot.
Voici deux éléments de preuve. Tout d'abord, nous avons une citation du CDC sur le site Web de la FDA, dans un document intitulé : "CDC 2019-Novel Coronavirus (2019-nCoV) Real-Time RT-PCR Diagnostic Panel For Emergency Use Only". [3] Voir page 35. Ce document porte la mention « En vigueur : 21/07/21 ». Cela signifie que, même si le virus est désigné par son ancien nom, le document est toujours d'actualité en juillet 2021. « À usage d'urgence uniquement » fait référence au fait que la FDA a certifié le test PCR dans une catégorie traditionnelle appelée « » Autorisation d'utilisation d'urgence.
FDA : « ... un échantillon est considéré comme positif pour le 2019-nCoV [virus] si toutes les courbes de croissance du seuil de cycle du marqueur 2019-nCoV (N1, N2) franchissent la ligne de seuil dans les 40 cycles ([moins de] 40,00 Ct). »
Naturellement, les laboratoires de test lisant cette directive concluraient: «Eh bien, pour voir si le virus est présent chez un patient, nous devrions exécuter le test jusqu'à 40 cycles. C'est le conseil officiel.
Ensuite, nous avons un article du New York Times (29 août / mis à jour le 17 septembre 2020) intitulé : « Votre test de coronavirus est positif. Peut-être que cela ne devrait pas être. [4] Voici des citations d'argent :
« La plupart des tests fixent la limite à 40 [cycles]. Quelques-uns à 37 ans.
Fixer la limite signifierait, nous allons chercher jusqu'à 40 cycles, pour voir si le virus est là.
RépondreSupprimerThe Times : « Ce nombre de cycles d'amplification nécessaires pour trouver le virus, appelé seuil de cycle, n'est jamais inclus dans les résultats envoyés aux médecins et aux patients atteints de coronavirus. » C'est le capper, la grande finale. Les laboratoires ne révèlent pas ou ne révéleront pas leur collusion dans ce crime.
Alors… avocats et dirigeants politiques sensés, voulez-vous faire des gestes dont les avantages sont énormes, en faveur de la liberté ?
SOURCES:
[1] blog.nomorefakenews.com/2020/12/08/florida-forces-labs-to-report-number-of-pcr-test-cycles/
[1a] https://www.flhealthsource.gov/files/Laboratory-Reporting-CT-Values-12032020.pdf
[2] youtu.be/a_Vy6fgaBPE?t=241
[3] https://www.fda.gov/media/134922/download (document page 35 (pdf page 36), “CDC 2019-Novel Coronavirus (2019-nCoV), Real-Time RT-PCR Diagnostic Panel, For Emergency Use Only, Instructions for Use, Catalog # 2019-nCoVEUA-01, 1000 reactions, For In-vitro Diagnostic (IVD) Use, Rx Only”; CDC-006-00019, Revision: 07 CDC/DDID/NCIRD/ Division of Viral Diseases, Effective: 07/21/2021)
[4] nytimes.com/2020/08/29/health/coronavirus-testing.html
FURTHER READING:
https://blog.nomorefakenews.com/?s=desantis
blog.nomorefakenews.com/2020/12/03/lockdowns-are-based-on-fraud-open-letter-to-people-who-want-freedom/
Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.
https://www.lewrockwell.com/2021/09/jon-rappoport/a-strategy-for-defeating-the-covid-narrative/
(...) Un écouvillon nasal prélevé sur John Jones, envoyé à six laboratoires différents, reviendra fréquemment POSITIF, NÉGATIF, POSITIF, NÉGATIF, INDÉTERMINÉ, NÉGATIF… (...)
SupprimerLes bestioles examinées sous lunettes de microscopes électronique ne portent pas des maillots 'ICI MICROBE' ou 'ICI VIRUS'. Donc, le laborantin, bien conscient que nous respirons toutes & tous avec ou sans masque 200 000 microbes ou virus PAR MINUTE et 2 millions en activité physique, soit DES milliards depuis ce matin et DES milliards de trains de milliards depuis votre naissance (et que vous n'êtes pas mort(e) !!), n'en a RIEN A FOUTRE de ce qu'il observe. Il ne dira que les directives du chef. "Faut 2000 positifs avant ce soir !" "OUI chef !"
Vous imaginez un laborantin dire "J'ai poussé le RT-PCR jusqu'à 150 cycles et n'ai rien trouvé, chef !"
Premièrement ne faites pas de mal . . .
RépondreSupprimerPar eric -
3 septembre 2021
Vous vous souvenez de celui-là ?
C'était – autrefois – la principale directive de la médecine, inscrite dans le serment d'Hippocrate. Les médecins étaient enjoints de traiter leurs patients de manière conservatrice, de la manière qui leur présentait le moins de risques. Les personnes qui n'étaient pas malades n'étaient pas obligées de prendre des médicaments dont elles n'avaient pas besoin, surtout lorsqu'il existait des alternatives plus sûres au cas où elles tomberaient malades.
Cela a favorisé la confiance dans la médecine, qui était autrefois une profession honorable.
C'est devenu une profession mercenaire et politique - poussée par le fouet des HMO et la peur de l'American Medical Association, redevable aux chaînes et aux conglomérats McHospital d'entreprise qui sont, à leur tour, financièrement redevable aux mêmes cartels d'entreprise qui poussent les produits de l'industrie pharmaceutique. cartels sur la population, d'abord via le TeeVee – demandez à votre médecin à propos de Zipthoria – et maintenant via le gouvernement et la matrice des employeurs d'entreprise qui est effectivement la même chose que le gouvernement, sauf pire parce que vous ne pouvez pas voter pour un autre.
Tout ce qui précède explique pourquoi tant de médecins - pas tous, mais beaucoup d'entre eux - pratiquent maintenant l'inverse du serment d'Hippocrate et recommandent des « vaccinations » risquées à leurs patients, y compris les enfants - qui courent peu, voire aucun risque de la maladie. maladie qu'il prétend prévenir (et qu'il est maintenant douloureusement clair que ce n'est pas le cas). Ils ne les préviennent pas des risques – et ils nient souvent les résultats – des « vaccinations ». (Voici l'un des derniers tels.)
Ils amenent des « masques » portés par des personnes en bonne santé qui ne peuvent rendre personne malade et quels « masques » qu'ils connaissent parfaitement n'ont jamais été démontrés comme ayant une utilité médicale en dehors du contexte d'un hôpital – en particulier lorsqu'ils sont portés de la manière que la plupart des gens portent. eux – et étant donné que la plupart des gens ne portent pas le type de « masque » qui pourrait au moins théoriquement servir un objectif médicalement légitime.
La seule explication possible à tout cela – compte tenu des faits sur la suppression des faits sur le risque de maladie et des faits sur les risques des « vaccins » – et de l'inutilité des « masques » – est que les médecins qui le prescrivent tous sont sous la même pression économique (leur emploi continu) qui est utilisé comme un gourdin pour contraindre la population à retrousser ses manches et à effacer leurs visages.
Seulement dans le cas des médecins, la pression est plus grande en raison de la perspective d'être défroqué. Un ouvrier ordinaire peut toujours trouver un nouvel emploi, souvent du même type, travaillant pour une autre entreprise. Au diable vos « masques » – et vos jabs !
Mais un médecin défroqué ne peut plus exercer légalement son métier - n'importe où - et cela signifie non seulement ne pas travailler comme médecin, cela signifie probablement ne pas être en mesure de payer ce qui a été engagé pour le devenir.
Le choix est l'emploi – ou la pauvreté.
RépondreSupprimerC'est une forte incitation pour les médecins à suivre la ligne AMA (et le conglomérat hospitalier McCorporate). Les médecins de famille indépendants – comme le grand-père de cet écrivain – qui possédaient leurs cabinets, ont en grande partie disparu, souvent dirigés dans la même maison que celle où vivait la famille. Ils pouvaient pratiquer la médecine plutôt que la politique.
Ou la religion, d'ailleurs – c'est de cela qu'il s'agit et que désormais toute personne non membre de la secte peut clairement voir.
À l'époque avant les McHospitals et les HMO, lorsque les médecins indépendants n'avaient pas la pression écrasante de l'obligation financière et la menace d'excommunication de leur profession planant constamment au-dessus de leur tête, ils étaient beaucoup plus libres de donner des conseils gratuits - comme perdre quelques poids plutôt que de prendre ces pilules (pour toujours). Ils n'ont pas non plus été emmenés pour des dîners coûteux par les représentants des médicaments, qui à leur tour s'attendaient à ce que le médecin prenne la note de ces dîners coûteux en le transmettant à leurs patients – sous forme d'ordonnances.
Mais surtout, ils ont essayé de ne pas faire de mal.
Considérez maintenant où en sont les choses.
Il est incontestable que les «vaccins» ne sont pas seulement nocifs – ce sont les «vaccins» les plus nocifs jamais prescrits au cours des 40 dernières années, au moins. Même si vous supprimez 90 pour cent des décès et des effets secondaires graves signalés au VAERS - le Vaccine Adverse Event Reporting System - les 10 pour cent qui restent constituent plus de dommages à la santé des personnes par ordre de grandeur que le tristement célèbre vaccin contre la grippe porcine du milieu années 1970, qui a été retiré de la circulation après qu'environ 50 personnes soient apparemment décédées à cause de cela.
Des milliers de décès de personnes sont désormais associés à ces « vaccins » qui – insulte empilée sur blessure – offrent désormais clairement au mieux une protection temporaire et sommaire et peuvent n’avoir d’autre but que la suppression des symptômes et peuvent même amplifier la susceptibilité à la maladie.
Pourtant, la poussée vers le jab augmente plutôt que diminue.
Les parents sont harcelés pour amener leurs enfants pour un coup dont ils n'ont pas besoin par aucune norme médicale rationnelle qui est connue pour porter avec elle de nombreux et sérieux qui est connue pour comporter de nombreux et graves risques. Des « vaccins » qui sont maintenant connus pour ne pas être efficaces, en plus de cela. Les parents réticents à Jab sont séparés de leurs enfants. Les ordres du médecin (et maintenant, du tribunal) !
S'il ne s'agit pas d'une faute professionnelle, qu'est-ce qui la constituerait ?
RépondreSupprimerDans le même temps, la poignée de médecins assez courageux pour conseiller des contre-mesures plus conservatrices qui pèchent par excès de prudence sont mises au pilori – ce qui présente une juxtaposition intéressante. Les palliatifs tels que la vitamine D et C, le zinc et l'ivermectine peuvent - l'avocat du diable - ne pas être des traitements efficaces pour cette maladie.
Mais ils ne causent certainement aucun mal, en tant que tels.
Vous n'obtiendrez pas la paralysie de Bell ou la myocardite en prenant des comprimés de vitamine D ou C ou de zinc. L'ivermectine est elle-même sans effets secondaires inquiétants. La soi-disant « douzaine de désinformation » qui a été mise au pilori - et excommuniée - n'a causé ni la mort ni la mutilation d'une seule personne en prescrivant l'un des éléments ci-dessus.
Mais ils sont au centre d'une indignation organisée (par le système McHospital).
Cela devrait dire quelque chose aux gens. Mais pour que cela se produise, il faudrait d'abord qu'ils soient capables de penser. Et c'est, hélas, la vraie maladie à laquelle nous avons affaire.
https://www.ericpetersautos.com/2021/09/03/first-do-no-harm/
Si vous attendez un mandat de vaccination pour vous défendre, vous attendez trop longtemps
RépondreSupprimerPar Allan Stevo
4 septembre 2021
OBJET : Mon fils ne peut pas aller au bal de promo sans se faire vacciner - Que dois-je faire ?
Cher Alain,
Notre lycée n'autorisera pas les élèves à assister aux danses s'ils n'ont pas été vaccinés. Le vaccin n'étant pas obligatoire, c'est illégal. Ils n'ont rien en place pour les exemptions religieuses. Je voulais parler à un avocat afin qu'il puisse écrire une lettre au nom des parents d'élèves non vaxxés. Est-ce que quelqu'un connait un avocat qui pourrait nous aider?
Il y a un procès qui sortira demain où un juge fédéral arrête la politique de vaccination forcée de l'Université Western Michigan après que l'école a refusé aux étudiants une exemption basée sur leurs croyances religieuses.
Merci beaucoup d'avance pour toute piste.
- Maman du lycée
—————
Très malade, cette idée d'un gamin ayant le bras tordu pour se faire vacciner pour pouvoir aller au bal comme tout le monde. Bien que vous ne l'écriviez pas dans votre lettre, toute école qui aurait proposé cette politique est une école qui masque également votre enfant – un mal particulier dans lequel vous avez permis à votre enfant d'être impliqué.
Vous avez attendu beaucoup trop longtemps pour régler ce problème et vous aurez probablement maintenant du rattrapage à faire
Je suis heureux que vous ayez tracé une ligne et que vous ayez dit « Assez, c'est assez ». Votre famille sera mieux lotie grâce à ce leadership et à une communication claire en ces temps déroutants.
J'aurais aussi aimé que vous m'écriviez avant de laisser votre enfant mettre un masque et aller à l'école. Si vous aviez dû faire face à cette même maladie sous-jacente parmi les administrateurs et le personnel de l'école, vous n'auriez pas eu à vous en occuper maintenant. C'est parce que
1.) Vous auriez trouvé quelque chose,
2.) Les administrateurs et le personnel auraient été réprimandés et remis à leur place, ou
3.) Vous et votre famille vous seriez séparés de cette école.
Maintenant, avec cette danse suspendue au-dessus de la tête de votre enfant, et les nombreuses pressions de l'adolescence et l'inévitable myopie et myopie qui surviennent à ce moment de la vie, si vous ne tracez pas une ligne claire, à la fois avec votre enfant et avec l'école, ne ne soyez pas surpris si votre fils rentre à la maison pour signaler « Ils m'ont fait une piqûre aujourd'hui » ou « Je me suis arrêté sur le chemin de l'école à la tente étrange derrière l'épicerie du coin que le service de santé publique a installée dans cette saleté ruelle et j'ai reçu la piqûre » ou « J'appelle de l'hôpital, j'ai reçu la piqûre il y a trois semaines sans vous le dire, et maintenant ils disent que quelque chose ne va pas chez moi, mais je suis trop désorienté et étourdi pour comprendre, alors J'ai besoin que tu viennes ici et que tu m'aides.
Vous jouez avec le feu, comme quiconque prétend que les masques faciaux sont différents des vaccins – ils sont des espaces réservés les uns pour les autres et pour bien pire
Je crains que vous ne jouiez vraiment avec le feu et que vous ne preniez pas au sérieux le danger de cette situation. Le masque facial est très nocif pour vous et pour votre enfant. Ce n'est pas sûr. Ce n'est pas efficace. En porter un est un mensonge total. Le vaccin n'est pas sûr. Ce n'est pas efficace.
RépondreSupprimerCes pas vers la tyrannie, qui sont faussement revendiqués comme des approches vers une meilleure santé publique, ne peuvent plus recevoir votre approbation tacite. De plus, je crains que vous recherchiez une solution rapide et une approche au coup par coup, alors que vous êtes confronté à tout un réseau d'interventions rempli de sangsues démoniaques qui ont hâte de mettre la main sur votre enfant.
Les élus de votre comté veulent vacciner les enfants de cinq ans
Soit dit en passant, les élus de votre comté discutent de la manière de faire vacciner les enfants de 5 ans à l'école, sans tenir compte de la contribution des parents. Il va de soi, dans leur esprit, qu'une personne de l'âge de votre fils sera également convaincue, en milieu scolaire, de se faire vacciner.
Ce ne sont pas des bureaucrates des coulisses dans des pièces enfumées. Ce sont des élus de votre comté qui en parlent lors de réunions publiques.
Les mêmes commentaires sont faits partout au pays par les élus. Heureusement, vous avez plus d'autorité qu'eux sur le bien-être de votre fils, si vous choisissez de l'exercer.
Je n'écris pas ceci juste pour vous, mais pour d'autres parents qui n'ont pas été mis dans cette impasse, confrontés à cette politique de vaccination rampante. Avant que cette politique ne vous soit imposée, une politique que beaucoup envisagent de mettre sur vous et votre famille, vous avez une chance de la devancer en combattant les masques.
Options à considérer lorsque vous recherchez un avocat
Pendant que vous cherchez un avocat (ce qui est une excellente décision), j'aimerais également recommander quelques autres approches.
Tout avocat ayant une capacité de base à rédiger de manière concise et à rédiger une lettre juridique fera probablement ce dont vous avez besoin, à savoir une lettre de mise en demeure légale, ou peut-être une lettre de cessation et d'abstention suffisamment dure pour que les administrateurs de l'école reculent.
Un avocat n'a pas besoin d'être trop expert sur ce sujet pour y parvenir. Vous avez probablement juste besoin que l'école recule assez longtemps pour que quelques administrateurs reprennent leurs esprits et pour qu'un ou deux autres administrateurs ressentent le besoin de s'exprimer. Si vous pouvez obtenir un avocat expert facilement, tant mieux.
Obtenez le PDF de la politique et utilisez-le à votre avantage
Je voudrais également vous recommander de mettre la main sur la politique, un PDF réel de la politique, probablement quelques pages.
Cette pièce que j'ai écrite sur le fait d'assister à une remise de diplôme sans masque est le même processus que d'assister à une danse sans carte de vaccination. Beaucoup l'ont trouvé utile.
C'est un article sur le fait d'être sans masque à l'école. C'est aussi le même processus que d'être non vacciné à l'école.
Il s'agit d'être sans masque dans une école privée – se concentrant davantage sur la civilité et moins sur la coercition, les menaces, l'intimidation et les démonstrations de force qui finissent si souvent par être associées à la fois à l'activité gouvernementale et à l'activisme gouvernemental. Ceci, encore une fois, est le même processus que d'être non vacciné à l'école, ou n'importe où d'ailleurs.
Au cœur de toutes ces tactiques se trouve cette stratégie
RépondreSupprimerTout ce qui précède revient vraiment à identifier la politique exacte, à comprendre la politique, puis à avoir une conversation avec un décideur à propos de la politique d'une manière qui lui permet de dire quelque chose entre « Oui ! J'adore cette idée" et en fredonnant tristement les mots "Je suppose", à la vraie mode Bourriquet qui réside si souvent au cœur de la plupart des administrateurs d'école. Cela ne fonctionne pas tout le temps, mais cela fonctionne la plupart du temps.
De nombreux parents ont trouvé ces pièces utiles alors qu'ils étaient en train de trouver un avocat.
Encore une fois, à l'école ou ailleurs, si vous pouvez
1.) Identifiez la politique et comprenez la politique - qui, encore une fois, doit être un PDF rédigé par un avocat, pas un signe, un e-mail à puces ou un site Web, dont aucun n'est une politique, et
2.) Déterminez l'autorité de la politique - les écoles privées, en particulier les petites écoles privées, peuvent ressentir moins de pression pour avoir une politique formelle, puis
3.) Ayez une conversation raisonnable avec une personne en autorité au sujet de la politique, puis vous êtes à mi-chemin de l'endroit où vous devez être.
Vous pouvez escalader prudemment et impliquer le conseil scolaire
Si vous devez aller plus loin et impliquer le conseil scolaire - une escalade qui doit être effectuée avec prudence, car les subordonnés du conseil scolaire peuvent s'assouplir lorsque vous le faites ou ils peuvent creuser - voici un article sur la façon de communiquer davantage efficacement avec les membres du conseil scolaire. Peu importe à quel point vous êtes un militant chevronné, je parie que vous n'avez pas réfléchi à toutes les approches proposées dans cet article détaillé.
Ou vous pouvez remplacer la commission scolaire
Si le conseil scolaire ne vous aide pas, il est peut-être temps de les remplacer, même si je reconnais que cela pourrait ne pas apaiser vos préoccupations immédiates. Cet article explique comment procéder — comment remplacer un membre d'un conseil scolaire ou tout autre élu.
Si tout le reste échoue…
Si tout le reste échoue, et seulement si tout le reste échoue, voici un article sur le fait de faire un Je vous salue Marie et de prendre d'assaut les portes de l'école, politique ou non.
Conseils pour trouver un avocat
En ce qui concerne votre question, voici un article sur la façon de trouver un avocat. L'article traite en particulier de la façon de poursuivre votre gouverneur, mais les mêmes informations s'appliquent pour poursuivre n'importe quel tyran.
Trouver toutes ces informations en vidéo
RépondreSupprimerBeaucoup de ces pièces sont envoyées sous forme de vidéos à ceux qui s'inscrivent à ma newsletter par e-mail sur RealStevo.com. Afin d'obtenir des informations, j'aime mieux lire les mots écrits. Ce n'est pas la tasse de thé de tout le monde, cependant. Ces vidéos ont été soigneusement conçues pour ceux qui n'aiment pas autant lire que les vidéos.
Pour les personnes qui préfèrent avoir beaucoup de vidéos à portée de main en même temps, les chaînes Radio Remnant suivantes ont toutes mes vidéos.
Rumble, Brighteon, UGETube, Bitchute, LBRY (Odysee), et ce boiteux qui marche assez bien, mais que je déteste supporter : Youtube.
Organisations susceptibles de s'intéresser
En plus des conseils d'avocat dans l'article ci-dessus, America's Frontline Doctors, Informed Consent Action Network et Children's Health Defense voudront probablement tous qu'une personne chargée de l'accueil entende votre histoire (bien que probablement via un formulaire), peut-être avec un intérêt pour vous aider à trouver un avocat. Christina Hildebrand de A Voice for Choice, une défenseure de longue date de la sécurité des vaccins, peut également s'y intéresser, bien qu'elle ne soit pas avocate à ma connaissance. Faites une recherche d’avocat Covid dans votre région ou votre état, ou d’avocats vaccins. Il existe de très nombreux avocats et organisations comme celle-ci. Vous n'aurez peut-être pas besoin d'un spécialiste, même si ce serait bien, et vous n'aurez peut-être pas besoin d'un avocat non plus, même si en avoir un peut vous aider à fléchir vos muscles d'une manière un peu plus intimidante. Fidèle à l'esprit aimable, ingénieux et entrepreneurial de tant de personnes, de nombreuses exploitations de chalets locaux cherchent à aider les autres à surmonter la tyrannie dans des moments comme celui-ci.
C'est une de mes passions
J'espère que cette note vous sera utile ainsi qu'à d'autres dans une situation similaire. J'ai passé une grande partie de mon temps libre depuis le tout premier jour du verrouillage, le 17 mars 2020, à aider les gens, les parents en particulier, à naviguer dans les ordres de santé universels. Si vous pouvez dire « Non ! » au masque, vous pouvez dire « Non ! » au vaccin. Les principes en jeu sont les mêmes.
Le masque facial est la vraie bataille que vous devez avoir
Bien que ce ne soit pas la bataille précise à mener, si vous ne le faites pas déjà à 100 % du temps, je vous encourage à dire avec diligence « Non ! » au masque facial pendant quelques jours et en faire une politique pour vous et votre famille, en jurant de ne plus jamais porter la chose pour quelque raison que ce soit. C'est une approche idéale avant de passer ensuite à la bataille du vaccin. Les deux sont une seule et même chose. Les deux sont des commandes uniformes inefficaces et dangereuses qui ne devraient être imposées à personne.
Toute personne qui n'est pas encore confrontée à un ultimatum comme celui auquel vous êtes maintenant confronté, chère maman du lycée, serait sage de suivre ce conseil avant qu'un ultimatum de vaccin n'apparaisse dans la vie de cette personne. En disant non au masque facial, cette personne sera toute formée au moment où le mandat du vaccin arrivera, le cas échéant. Il est beaucoup plus facile de faire face à cette tyrannie et de développer vos muscles sur le thème du masque facial plus facile à naviguer que de le faire sur le thème du vaccin « il n'y a pas de retour en arrière ».
RépondreSupprimerDire « Non ! » To The Face Mask vous protège d'avoir à prendre le vaccin
Une fois que vous avez cédé au vaccin, il n'y a pas de retour en arrière. L'année et demi écoulée, depuis les Ides de mars 2020, m'ont appris que si vous dites oui au masque facial, vous direz oui au vaccin, vous n'avez tout simplement pas encore reçu la bonne raison, et si vous dites « Non ! » au masque facial, vous disposez de tous les outils nécessaires pour dire « Non ! » au vaccin. Quiconque dit le contraire peut peut-être être l'exception à la règle que je n'ai pas encore rencontrée, mais la réalité est qu'il est beaucoup plus probable qu'il soit simplement dans le déni, une réaction courante face à la rencontre d'informations difficiles à supporter.
Au cas où le mal causé au porteur par le masque facial dangereux et inefficace ne suffirait pas, cette observation ci-dessus est une raison d'une importance vitale pour tracer une limite impénétrable et pour ne plus jamais porter de masque facial. Le vaccin ne prend que dix secondes de faiblesse pour recevoir de manière irréversible.
Dire oui au masque facial vous y prépare. Dire « non » au masque facial vous en empêche. Les responsables de la santé publique passent beaucoup de temps à étudier la psychologie comportementale et d'autres formes de manipulation. Beaucoup d'entre eux réalisent pleinement ce lien entre les deux.
Il y a de bonnes nouvelles : ce n'est qu'une question de temps avant de gagner et le temps est de notre côté !
Le temps est de notre côté. Accessibles au public, les dossiers officiels du gouvernement sur quelques continents indiquent désormais 100 000 rapports de décès dus au vaccin. Ces rapports sont probablement sous-estimés. Le récit selon lequel le tir de Covid est sûr et efficace ne durera pas éternellement, tout comme le récit selon lequel d'autres vaccins sont sûrs et efficaces ne durera pas éternellement.
Une fois que suffisamment de fausses couches tragiques (rien à voir avec le vaccin, nous assure-t-on) se produisent, une fois que suffisamment d'athlètes américains du secondaire se retrouvent tragiquement avec le cœur myocardique marqué en permanence d'un homme de 84 ans qui a eu trois crises cardiaques (rien à voir avec le vaccin, nous dit-on, tout à fait normal), et une fois que suffisamment de vice-présidents d'associations de condos se rendent compte que leur cerveau a irréversiblement vieilli beaucoup plus rapidement en 2021 que la normale (pas non plus rien à voir avec le vaccin, les masques, les blocages ou quoi que ce soit de ce genre ), alors le récit sera terminé. Il y a une limite jusqu'où cette psychose peut aller.
Je souhaite vraiment que cette tragédie n'ait pas à se produire pour que les aveugles puissent voir ce qui est si évident pour tant d'entre nous. L'histoire a toujours répété la même histoire de tragédie qui a précédé la révélation.
Il ne vous reste plus qu'à attendre la fin de cette psychose. Je suis désolé que cette psychose perturbe peut-être certains des plans sociaux mémorables de votre enfant au lycée. C'est une grande honte ce qui arrive aux enfants au milieu de cette psychose. La perte de QI à deux chiffres chez les enfants observée au cours de la dernière année, à elle seule, éclipse de loin les quelques points déjà ignobles des dommages au QI causés par le plomb ou le fluorure dans l'eau potable. Pourtant, tant de personnes restent silencieuses et tant de parents prétendent que tout va bien.
RépondreSupprimerMon dernier plaidoyer pour vous : l'éducation que votre enfant mérite vraiment
Enfin, je sais que ce n'est peut-être pas pour vous, mais je vous prie d'arrêter de laisser les personnes qui ont proposé cette politique de fréquentation de danse tordue, manipulatrice, discriminatoire et statistiquement raciste, avoir une influence sur votre enfant. Veuillez cesser de laisser votre enfant à sa charge. S'il vous plaît, arrêtez de laisser vos enfants seuls avec eux. Cela ne se terminera pas bien.
Ce dernier article est ma demande pour que vous les retiriez de cette école aussi vite que possible, il y a dix minutes, c'était bien trop tard pour l'avoir fait. Aussi difficile que cela puisse être à réaliser, je pense que vous serez tous, en tant que famille, mieux lotis. Tout comme les enfants n’ont pas leur place dans un masque facial pendant cette psychose, ni les enfants vaccinés contre Covid pendant cette psychose, ils n’ont certainement pas leur place à l’école pendant cette psychose.
Tracez une ligne entre vous et le masque. Le livre à succès « » existe pour vous aider à le faire, tout comme ces articles de LewRockwell.com et le bulletin électronique de RealStevo.com regorgeant de vidéos rapides et faciles à regarder sur la façon de faire de cela et d'autres étapes audacieuses une réalité dans votre propre la vie.
https://www.lewrockwell.com/2021/09/allan-stevo/if-youre-waiting-for-a-vaccine-mandate-to-stand-up-for-yourself-youre-waiting-too-long/
Comment des gens qui se disent 'intelligents' peuvent-ils encore porter un masque dit 'anti-microbes ou anti-virus' ?! Faut vraiment être le roi des cons ou la reine des connes pour se foutre une culotte ou une couche Pampers sur la gueule et se dire protégé !!!
SupprimerSi l'air passe = le microbe passe. Ok ? C'est entré dans votre petite tête de moineau ?
Car il n'existe pas et ne peut exister de maillage plus fin que le micron. Et, les microbes ou poussières nanoscopiques ('corona') font de 0,1 à 0,5 micron.
TOUT ce que vous avez entendu jusque là depuis 18 mois c'est du vent ! Des conneries, de l'escroquerie à n'en plus finir, bref, de la télé, de la radio, des journaux, des politiques et de faux scientifiques-professeurs-docteurs !
Primo, le 'covide19' n'est PAS une poussière (virus) mais un microbe (maladie). Ce microbe répliqué en laboratoires en embouteillé en petit flacon 'COVIDE N°5' n'existe qu'en flacons (n'allez donc pas fouiller chez l'épicier pour savoir dans quelle boite il s'est caché !). Vous pouvez respirer sans masque tant que vous voulez il n'est pas là. Par contre, siiiii vous voulez vous suicider, vous exterminer pour expier toutes vos fautes (avoir voter pour des cons, avoir regardé la télé, mangé bio, etc), allez vous faire inoculer ! (profond) parce que c'est là qu'il est ! Dans la seringue ! Et oui, c'est 'La surprise du chef' !
T'es piqué = T'es mort !
Autre question ?
FDA Fast-Tracks RSV ARNm 'Vaccin'
RépondreSupprimerPar Joseph Mercola
Mercola.com
4 septembre 2021
Le virus respiratoire syncytial (VRS) – un virus respiratoire qui provoque des symptômes généralement légers de type rhume – a apparemment été sélectionné comme le prochain boogey man invisible. La plupart des enfants ont été exposés au VRS avant leur deuxième anniversaire.
Le fait que la plupart des enfants survivent après l'âge de 2 ans vous renseigne sur les risques encourus. Cela dit, dans de très rares cas, le VRS peut évoluer vers une pneumonie ou une bronchiolite (inflammation des petites voies respiratoires des poumons).
Le RSV émerge hors saison dans le monde entier
Selon certaines informations, le VRS fait désormais rage dans le monde entier, de la Nouvelle-Zélande1 au Japon2 et aux États-Unis3, où il a frappé si fort en juin 2021 que les Centers for Disease Control and Prevention ont émis une alerte d'urgence4 pour certaines parties du sud des États-Unis.
Le CDC a encouragé le dépistage du VRS chez les patients dont le test de dépistage du COVID-19 était négatif mais qui présentaient des symptômes de « maladie respiratoire aiguë ». Ils ont également conseillé au personnel de santé, aux fournisseurs de services de garde d'enfants et au personnel des établissements de soins de longue durée de rester à la maison s'ils présentaient des symptômes respiratoires, même s'ils étaient négatifs pour COVID, car ils pourraient avoir le VRS.
Comme le coronavirus, les efforts précédents pour développer un vaccin contre le VRS ont échoué car les sujets testés ont tendance à mourir ou à tomber gravement malades lorsqu'ils sont exposés au virus sauvage, grâce à l'amélioration immunitaire paradoxale (PIE), également connue sous le nom d'amélioration dépendante des anticorps (ADE ).
En Nouvelle-Zélande, les responsables de la santé ont déclaré qu'il y avait eu peu de cas de VRS en 2020 pendant la pandémie et, bien qu'il s'agisse normalement d'une maladie hivernale, il fait maintenant un retour hors saison en 2021. Selon Stuff.co.nz,5 l'épidémie " était plus de deux fois supérieure à la moyenne historique de 2014 à 2019 pour cette période de l'année.
Des rapports similaires ont été publiés au Japon où, début juillet 2021, l'Institut national des maladies infectieuses a mis en garde contre les infections à VRS en dehors de la période de pointe normale. Selon le Japan Times :6
« … le nombre de patients atteints de VRS par établissement médical était de 3,87 au cours de la semaine se terminant le 27 juin – le nombre de cas le plus élevé depuis 2019. En 2018, l'année où le système de comptage a été modifié, le nombre d'infections a culminé en septembre à 2,46, et il a atteint 3,45 patients par établissement médical un an plus tard.
Le 3 août 2021, les responsables de la santé américains ont signalé que le VRS avait commencé à diminuer au milieu de l'été, mais une résurgence est maintenant observée, avec "un record de 563 nouveaux cas de VRS" signalés dans la semaine précédant le 3 août.
L'ARNm Fast-Tracks de la FDA contre le VRS
Le même jour, le 3 août 2021, la Food and Drug Administration a accordé une désignation accélérée à Moderna pour une injection à base d'ARNm contre ce virus du rhume. Comme indiqué dans un communiqué de presse de Moderna :8
« … la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a accordé la désignation Fast Track pour l'ARNm-1345, son vaccin expérimental à ARNm à dose unique contre le virus respiratoire syncytial (VRS) chez les adultes de plus de 60 ans.
"Nous recherchons un vaccin contre le VRS à ARNm pour protéger les populations les plus vulnérables - les jeunes enfants et les personnes âgées", a déclaré Stéphane Bancel, PDG de Moderna.
RépondreSupprimer«Nous étudions l'ARNm-1345 dans ces populations dans le cadre d'un essai clinique en cours et nous sommes impatients de partager les données lorsqu'elles seront disponibles… Nous avons accéléré la recherche et le développement de notre domaine thérapeutique contre les maladies infectieuses et nous continuerons à faire progresser nos vaccins à ARNm dans de nouveaux domaines de besoin élevé non satisfait.
Le communiqué de presse de Moderna souligne à juste titre qu'il n'y a pas de vaccin approuvé disponible pour le VRS. Ce qu'ils ne mentionnent pas, c'est pourquoi. La raison pour laquelle il n'y a pas de vaccin contre le VRS sur le marché est la même raison pour laquelle il n'y a jamais eu de vaccin contre le coronavirus, et c'est parce qu'aucun d'entre eux n'a pu passer les essais.
Comme pour le coronavirus, les efforts précédents pour développer un vaccin contre le VRS ont échoué car les sujets testés ont une fâcheuse tendance à mourir ou à tomber gravement malades lorsqu'ils sont exposés au virus sauvage, grâce à l'amélioration immunitaire paradoxale (PIE), également connue sous le nom d'amélioration dépendante des anticorps. (ADE).9
RSV Shot s'appuie sur COVID Jab
Le tir RSV de Moderna utilise la même nanoparticule lipidique que son injection de COVID-19. La principale différence entre les deux injections est le codage de l'ARNm. Dans le tir RSV, l'ARNm code pour une glycoprotéine F de préfusion.
La protéine Prefusion F est une protéine qui médie l'entrée du virus RSV dans vos cellules et est connue pour provoquer une réponse d'anticorps neutralisants.10 Dans des circonstances normales, il est difficile d'imaginer qu'un vaccin RSV construit sur une nouvelle plate-forme d'ARNm soit accéléré, mais nous ne sommes plus en temps normal.
Le déploiement des injections d'ARNm COVID a, comme prévu, ouvert la voie à un certain nombre de nouvelles injections à base d'ARNm allant directement aux essais humains. Donc, si jamais vous avez l'impression que votre corps manque d'ARNm synthétique, n'ayez crainte. Ce n'est que le début. Ceux qui embrassent les passeports vaccinaux se retrouveront sûrement appelés plusieurs fois par an au centre de vaccination le plus proche pour des renouvellements obligatoires.
Sommes-nous en train de créer une catastrophe de santé publique ?
RépondreSupprimerLa décision d'accélérer encore une autre injection d'ARNm ne prend pas en considération la possibilité que nous puissions déjà créer une avalanche de maladies liées à l'ADE à partir du tir COVID. L'ajout d'une autre injection pour un virus respiratoire historiquement associé à l'EIM pourrait être extrêmement risqué.
Comme indiqué dans un article de Nature Microbiology du 9 septembre 2020 intitulé « Antibody-Dependent Enhancement and SARS-CoV-2 Vaccines and Therapies » :11
« Les données de l'étude du SRAS-CoV et d'autres virus respiratoires suggèrent que les anticorps anti-SARS-CoV-2 pourraient exacerber le COVID-19 par le biais d'une amélioration dépendante des anticorps (ADE). Des études antérieures sur le virus respiratoire syncytial et le vaccin contre le virus de la dengue ont révélé des risques de sécurité clinique chez l'homme liés à l'ADE, entraînant l'échec des essais de vaccins…
L'EIM peut augmenter la gravité de plusieurs infections virales, y compris d'autres virus respiratoires tels que le virus respiratoire syncytial (VRS) et la rougeole.
L'ADE dans les infections respiratoires est inclus dans une catégorie plus large appelée maladie respiratoire améliorée (ERD), qui comprend également des mécanismes non basés sur des anticorps tels que les cascades de cytokines et l'immunopathologie à médiation cellulaire…
De plus, l'ADE et l'ERD ont été signalés pour le SRAS-CoV et le MERS-CoV à la fois in vitro et in vivo… Les voies de l'ADE peuvent se produire lorsque des anticorps non neutralisants ou des anticorps à des niveaux sous-neutralisants se lient aux antigènes viraux sans bloquer ou éliminer l'infection…
L'ADE a été observé dans le SRAS, le MERS et d'autres infections à virus respiratoires humains, y compris le VRS et la rougeole, ce qui suggère un risque réel d'ADE pour les vaccins contre le SRAS-CoV-2 et les interventions à base d'anticorps…
À l'avenir, il sera crucial d'évaluer les ensembles de données animales et cliniques pour détecter les signes d'EIM, et d'équilibrer les risques de sécurité liés à l'EIM par rapport à l'efficacité de l'intervention si un EIM clinique est observé. »
Au cas où vous l'auriez manqué, les auteurs soulignent spécifiquement que l'EIM peut aggraver la gravité du VRS. Théoriquement donc, si vous vous faites vacciner contre le COVID et que vous vous retrouvez avec l'ADE, alors contracter le RSV pourrait devenir un problème beaucoup plus grave qu'il ne le serait autrement.
Les politiques COVID ont-elles affaibli les systèmes immunitaires ?
Bien que le vaccin COVID puisse jouer un rôle si nous commençons à voir un VRS sévère chez les adultes, il est peu probable qu'il fasse partie de l'équation en ce qui concerne les enfants, car le vaccin n'est toujours pas autorisé pour les enfants de moins de 12 ans. Plus que probable, l'augmentation hors saison du VRS chez les enfants est liée à l'assouplissement des restrictions après n'avoir pas été exposés à des agents pathogènes normaux pendant de longues périodes.
RépondreSupprimerAu cours des 18 derniers mois, alors que la plupart des pays du monde ont été masqués, enfermés et éloignés les uns des autres, les enfants et les adultes n'ont pas été exposés aux virus et aux bactéries comme ils le feraient normalement.
D'une part, il y a eu une réduction significative du nombre de personnes déclarant des rhumes, des grippes et d'autres maladies infectieuses. D'un autre côté, certains experts de la santé se demandent si ce manque d'exposition peut avoir augmenté le risque pour certains de souffrir davantage de maladies lorsque les enfants retournent à l'école et que les adultes retournent sur le marché du travail.12
Les deux parties principales de votre système immunitaire sont votre système immunitaire inné, avec lequel vous êtes né, et votre système immunitaire adaptatif, qui se développe au fur et à mesure que vous êtes exposé à des agents pathogènes.13 Un système immunitaire sain conserve une trace de chaque agent pathogène auquel il a été exposé afin qu'il puisse le reconnaître rapidement s'il est à nouveau exposé. Votre système immunitaire est activé lorsque vous êtes exposé à une protéine qu'il ne reconnaît pas, appelée antigène.
Étant donné que le système est si complexe, il existe plusieurs façons potentielles dont les choses peuvent mal tourner. Si votre système immunitaire ne fonctionne pas correctement, cela peut entraîner des maladies d'immunodéficience, entraînant une maladie plus longue et plus longue.
Certains experts de la santé craignent que les enfants aient subi plus de dommages à leur système immunitaire que les adultes, car ils ont passé la majeure partie des 18 derniers mois isolés de presque toutes les expositions.14
D'après ce que les chercheurs découvrent maintenant, ce sont les nourrissons et les enfants qui peuvent avoir la réponse la plus néfaste à la distanciation sociale.15 Depuis le début de 2020, les médecins et les hôpitaux ont remarqué une réduction significative du nombre d'infections bactériennes et virales que les enfants contractent. . Cela comprend la bronchiolite, la rougeole, la varicelle, le VRS et la coqueluche.
Un article16 publié en août 2021, du Pediatric Infectious Disease Group a postulé que les interventions non pharmaceutiques imposées en 2020 pourraient entraîner des épidémies plus importantes de maladies infectieuses une fois ces interventions levées.
Augmentation du nombre de nourrissons atteints du VRS lié à la dette immunitaire
Certains experts qualifient un nombre croissant d'infections à VRS chez les bébés de « dette d'immunité » créée parce que les nourrissons nés en 2020 n'avaient pas été exposés à des agents pathogènes normaux.17 Une fois que les nourrissons et les enfants sont introduits en masse à ces agents pathogènes environnementaux, cela peut provoquer une augmentation vertigineuse des cas.
Selon The Guardian18, la Nouvelle-Zélande a signalé une réduction de 99,9 % de la grippe et de 98 % du VRS en 2020. Cela a presque éliminé le pic de décès qui survient pendant les mois d'hiver à cause de la grippe et du VRS. À court terme, cela a peut-être permis d'éviter une surcharge du système de santé pendant que d'autres étaient traités pour COVID-19.
RépondreSupprimerCependant, à long terme, cela peut avoir créé un problème supplémentaire chez les nourrissons et les enfants. Lorsque le système immunitaire n'est pas mis à l'épreuve à un âge précoce, cela peut entraîner des épidémies plus importantes, ce qui pèse à nouveau sur le système de santé. Début juillet 2021, la Nouvelle-Zélande avait signalé près de 1 000 cas de VRS sur cinq semaines. Le nombre habituel rapporté est de 1 743 sur 29 semaines.
Les médecins espèrent que cela ne signifie pas nécessairement qu'il y aura plus de cas de VRS, mais seulement qu'ils se succèdent plus rapidement au début de la saison. L'épidémie actuelle a mis à rude épreuve les ressources en Nouvelle-Zélande et en Australie, qui connaissent également une augmentation du nombre de cas. Le directeur général de la santé de la Nouvelle-Zélande, le Dr Ashley Bloomfield, a déclaré à un journaliste du Guardian qu'il était :19
« … certainement préoccupé par la forte augmentation des cas de VRS … Il y a des spéculations selon lesquelles [l'épidémie actuelle] pourrait être en partie exacerbée par le fait que nous n'en avons pas eu l'année dernière et qu'il y a donc un plus grand bassin d'enfants qui y sont sensibles . "
Au Canada, l'épidémiologiste de Wellington, Michael Baker, prévient que son pays pourrait également connaître une tendance similaire dans les cas de VRS au cours de la prochaine année, avertissant que les bébés nés prématurément sont les plus à risque.20
Cela dit, bien que le Canada puisse voir un rebond des infections à VRS, Baker ne pense pas qu'un manque d'exposition aux agents pathogènes à un âge précoce aura «en aucune façon entravé le développement d'un système immunitaire sain».
Une prise de vue RSV accélérée est-elle la réponse ?
Compte tenu de la multitude de problèmes associés aux injections de COVID basées sur les gènes, je ne suis pas optimiste quant au développement d'un "vaccin" à ARNm accéléré contre le VRS. Les risques sont nombreux. Déjà, nous observons des tendances qui pourraient indiquer que l'ADE est en jeu chez les personnes âgées qui ont reçu le jab (mais pas les plus jeunes).
Au Royaume-Uni, au 15 août 2021, 68% des patients COVID admis à l'hôpital qui avaient plus de 50 ans avaient reçu une ou deux injections de COVID. Les statistiques de mortalité révèlent exactement la même tendance. Dans le groupe des plus de 50 ans, 70 % des décès dus au COVID ont été partiellement ou totalement « vaccinés ».21
RépondreSupprimerCela pourrait-il être dû au fait que les personnes âgées développent un EIM et souffrent donc d'une infection plus grave lorsqu'elles sont exposées au virus SARS-CoV-2 ? Dans la catégorie des moins de 50 ans, les non vaccinés représentent la majorité des hospitalisations et des décès au Royaume-Uni, donc peut-être que le vaccin affecte différemment les différents groupes d'âge.
Les personnes âgées sont également le groupe cible du vaccin contre le VRS, et les nourrissons et les jeunes enfants sont une cible à la fois pour les vaccins COVID et les vaccins contre le VRS. Le temps nous dira quelles pourraient être les ramifications de la programmation des corps des très jeunes et des très vieux pour produire plus d'un antigène. Mais je suppose que ce ne sera pas bon.
Sources and References
1, 5 Stuff.co.nz July 21, 2021
2, 6 The Japan Times July 7, 2021
3 Vanderbilt University Medical Center June 23, 2021
4 CDC Emergency Alert June 10, 2021 HAN00443
7 Clinical Trials Arena August 3, 2021
8 Moderna Press Release August 3, 2021
9, 11 Nature Microbiology September 9, 2020; 5:1185-1191
10 Nature Communications May 8, 2019; 10: 2105
12, 18, 19 The Guardian, July 8, 2021
13 Informed Health, July 30, 2020
14 DW, February 8, 2021
15, 16 Infectious Diseases Now, 2021;51(5)
17 Independent, July 9, 2021
20 Global News, July 13, 2021
21 Evening Standard August 20, 2021
https://www.lewrockwell.com/2021/09/joseph-mercola/fda-fast-tracks-rsv-mrna-vaccine/
La Floride inflige une amende de 5 000 $ aux entreprises pour violation de l'interdiction de passeport pour les vaccins
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 03 SEP 2021 - 19:40
Par Tom Ozimek de The Epoch Times
Le Florida Department of Health a publié un avis indiquant qu'il commencera à imposer des amendes de 5 000 $ aux entreprises, aux écoles et aux agences gouvernementales qui exigent que les Floridiens présentent une preuve de vaccination contre le COVID-19.
La règle du département de la santé, qui entre en vigueur le 16 septembre, détaille les sanctions que les entreprises et autres entités, y compris les organisations à but non lucratif, encourent pour avoir enfreint l'article 381.00316 des statuts de la Floride de 2021, qui leur interdit d'exiger des clients ou des clients qu'ils fournissent tout document certifiant Vaccination COVID-19 ou récupération post-infection afin d'accéder à leurs locaux ou services.
« Chaque violation de la section 381.00316, F.S., entraînera l'imposition d'une amende de 5 000 $ par individu et une violation distincte contre l'entreprise, l'entité gouvernementale ou l'établissement d'enseignement. Les amendes imposées sont dues et payables au ministère dans les 30 jours suivant l'entrée de la commande finale, sauf indication contraire dans la commande finale », lit-on dans l'avis du Florida Department of Health.
Les prestataires de soins de santé sont exonérés de l'amende, qui ne s'applique pas non plus aux exigences en matière de vaccins que les entreprises ou autres entités imposent à leurs propres employés. Le gouverneur républicain Ron DeSantis a signé en avril un décret interdisant les passeports vaccinaux.
"Aucun vaccin COVID-19 n'est requis par la loi", a déclaré l'ordonnance du gouverneur, ajoutant que "les dossiers de vaccination sont des informations de santé privées" qui ne devraient pas être partagées via un mandat. Les passeports, a déclaré DeSantis à l'époque, porteraient atteinte aux libertés personnelles et porteraient atteinte à la vie privée des patients.
"L'obligation de présenter un passeport pour participer à la vie quotidienne comme un événement sportif, aller au restaurant ou aller au cinéma créerait" deux classes de citoyens "", a déclaré DeSantis.
Réagissant à l'annonce du département de la santé de Floride selon laquelle il commencerait à imposer des amendes aux entités exigeant que les clients présentent une preuve de vaccination, la commissaire à l'Agriculture Nikki Fried, la seule démocrate élue de l'État et candidate espérant défier DeSantis au poste de gouverneur l'année prochaine, a été critique.
"Le gouverneur DeSantis exerce des représailles contre les Floridiens qui tentent de se protéger et de protéger leurs communautés contre COVID-19", a déclaré Fried à l'Associated Press dans un communiqué envoyé par courrier électronique. "Cela va non seulement à l'encontre du bon sens, mais c'est aussi une insulte aux principes du marché libre qu'il prétend défendre."
https://www.zerohedge.com/markets/florida-fine-businesses-5000-violations-vaccine-passport-ban
La présentation d'un certificat que la personne s'est bien faite inoculer prouve que l'inoculée va bientôt très bientôt crever. D'où la soucis à se faire de l'employeur délesté subitement si l'inoculée se retire.
SupprimerBUSTED: les vaccins Covid ne sont pas du tout des vaccins, juste des "agents génétiques" mortels qui réduisent la transmission du virus de moins de 1%
RépondreSupprimerFriday, September 03, 2021
by: S.D. Wells
(Natural News) Il n'est pas surprenant pour les fabricants de vaccins Covid-19 que des dommages graves et chroniques pour la santé proviennent de l'injection d'agents pathogènes synthétiques, et de leurs producteurs, qui inondent le sang, les organes et les tissus humains de milliards de protéines de pointe toxiques. Lorsque le corps humain est catapulté dans cet état de choc et de défense gravement compromis, il devient très difficile d'éviter toute maladie, en particulier celles qui sont hautement transmissibles, comme la grippe chinoise.
Aujourd'hui, les vaccins Covid sont le «traitement» le plus mortel que toute personne puisse prendre, car ils renforcent les variantes Covid et ne fournissent que moins d'un pour cent de réduction de la transmission pour les vaccinés. Voilà pour la théorie des troupeaux. Ce temps est passé. En d'autres termes, il n'a PAS été prouvé que les vaccins préviennent l'infection ou la transmission, alors à quoi servent-ils ?
Ce dont tout le monde a besoin – un médecin aguerri et honnête pour expliquer les dangers des vaccins Covid
Le Dr Lee Merritt, auparavant président de l'Association of American Physicians and Surgeons, qui a siégé au Navy Research Advisory Committee (sous-comité du Congrès), est un médecin de formation classique qui explique les dangers des vaccins Covid en termes que tout le monde peut comprendre. Ce n'est pas un profane «anti-vaxxer» ou «anti-science»; elle est une professionnelle qualifiée avec des informations privilégiées sur les vaccins Covid et le monde doit tenir compte des dangers de participer à la plus grande expérience médicale au monde jamais menée.
Le Dr Merritt a dénoncé le « syndrome de la guerre du Golfe » étant en réalité le squalène utilisé dans le vaccin expérimental « usage d'urgence » contre l'anthrax. Le squalène, lorsqu'il est injecté par vaccin, provoque une maladie neurologique permanente. Maintenant, vous trouvez du squalène dans certains vaccins contre la grippe, et l'industrie des vaccins cache son nom néfaste, l'appelant maintenant MF-59. Personne ne le savait alors, mais nous le savons maintenant. Il est temps de se réveiller et de prendre note des ingrédients des vaccins Covid et des dommages chaotiques et chroniques qu'ils causent aux systèmes vasculaire et immunitaire humains.
Maintenant, le Dr Merritt explique à quel point les personnes naïves doivent participer volontairement à cette expérience génétique expérimentale et non approuvée menée sous couvert de vaccination, avec les injections d'ARNm et de charge utile de protéines qui ont tué les animaux dans les études sur les animaux. Laissez cela couler pendant une minute.
Si vous travaillez dans l'industrie médicale, vous ne pouvez pas parler des dangers des vaccins ou vous risquez de perdre vos subventions, votre emploi et toute licence médicale.
RépondreSupprimerTous ceux qui connaissent la fraude aux vaccins et les dommages pour la santé doivent s'exprimer et « sortir » de la canopée de l'industrie insidieuse, même si vous vous sentez piégé. Éloignez-vous. Trouvez un autre emploi ou une autre carrière si vous le devez, car tout est en jeu, pas seulement votre travail, mais votre santé et vos moyens de subsistance, et ceux de tous vos enfants. Il n'y a plus de « zone grise » avec les vaccins. Soit vous les prenez et souffrez de graves conséquences pour la santé, soit vous niez avoir reçu des injections expérimentales de caillots sanguins et restez «humain».
Même de nombreux experts en maladies infectieuses régurgitent maintenant des mensonges écrits par la pharmacie, même s'ils n'ont eux-mêmes fait aucune recherche sur ce qu'ils disent. Cela comprend la promotion des masques, la distanciation sociale, les blocages et les injections de protéines de pointe.
La "pseudo-réalité" a du sens pour les profanes, les patients, comme l'explique le Dr Merritt, et c'est pourquoi tant de millions de personnes succombent à cette expérience médicale de masse mortelle connue sous le nom de "vaccination" Covid (les jabs ne sont même pas vraiment des vaccins, juste des agents génétiques).
Nous vivons tous dans un « bocal à virus » et les masques et les injections de thérapie génique ne nous aident pas à nous défendre contre l'infection ou la transmission virale. Le virus ne se propage pas par des personnes qui toussent ou éternuent les unes sur les autres, mais plutôt par de minuscules particules submicroscopiques répandues partout dans notre environnement, indépendamment des personnes portant leurs masques et des moutons qui ont des milliards de protéines de pointe dans leur sang qui imitent les agents pathogènes viraux. Rien de tout cela n'a d'importance, mais aucun médecin, scientifique ou infirmier en « pratique publique » n'est correctement éduqué à ce sujet, ou n'oserait en parler s'il l'était.
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Les sources de cet article incluent :
Pandémie.nouvelles
NaturalNews.com
WikiVérité.org
NaturalNews.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2021-09-03-covid-vaccines-arent-vaccines-just-deadly-genetic-agents.html
C'est désormais clair : les vaccins Covid sont un abonnement sans fin pour la dépendance pharmaceutique et une durée de vie raccourcie
RépondreSupprimervendredi 03 septembre 2021
par : Lance D Johnson
(Natural News) Il y a plus d'un an, il était considéré comme une «théorie du complot» de suggérer que les vaccins contre le covid étaient un programme d'ARNm sans fin, nécessitant des injections de rappel de routine et des mises à jour périodiques des cellules humaines. Après tout, un vaccin efficace devrait générer des cellules B à mémoire robustes qui durent plus de trois semaines. Mais avec les vaccins à ARNm de Pfizer et Moderna, une deuxième dose était manifestement nécessaire après seulement trois semaines. Si la science des vaccins échouait en moins d'un mois, combien de doses seraient finalement nécessaires pour que les gens se considèrent comme « sûrs » et « entièrement protégés ? »
Ces expériences de protéines de pointe d'ARNm ne sont PAS des vaccins et ne sauvent PAS de vies
Un vaccin efficace devrait augmenter une réponse en anticorps qui ne diminue pas chaque année, et encore moins tous les deux ou trois mois. Pourtant, c'est exactement ce qui a été découvert dans les essais cliniques hâtifs des vaccins contre le covid. Les anticorps ont rapidement chuté après le premier tir, et il n'y a eu aucune mesure de l'immunité des lymphocytes T, qui est l'une des mesures les plus importantes pour évaluer l'immunité contre les coronavirus.
Un vaccin efficace ne nécessiterait certainement pas trois à quatre doses par an, mais c'est exactement vers quoi se dirige la fraude au vaccin contre le covid aujourd'hui. Moderna a même admis que son vaccin est un "système d'exploitation" conçu pour programmer les humains et pirater leurs fonctions biologiques pour des mises à jour perpétuelles de l'ARNm. Israël exige déjà une troisième dose d'ARNm de protéine de pointe pour que les gens se considèrent "complètement vaccinés". Les Israéliens qui ont reçu les deux premières doses ne sont plus autorisés dans les espaces publics, car leur passeport vaccinal Green Pass est maintenant expiré. Le gouvernement des États-Unis fait également pression pour une troisième dose après que le Dr Fauci et le régime Biden ont fait pression sur la FDA pour approuver frauduleusement le vaccin et imposer son utilisation. Les scientifiques de longue date de la FDA qui réglementent les produits biologiques, le Dr Marion Gruber et le Dr Philip Krause, ont démissionné en raison de la pression politique et de la coercition.
Une fois les cendres de la fraude, de la coercition et des abus retombées, ce sera encore plus clair : les vaccins Covid sont un abonnement ARNm sans fin, nécessitant des rappels annuels (ou semestriels) et des mises à jour logicielles pour une population asservie qui est désactivée, hospitalisée et tués à un taux jamais vu auparavant dans l'histoire de la science des vaccins.
Les gens sont subjugués et contraints à un abonnement sans fin de dépendance pharmaceutique
Lorsque les fabricants de vaccins se sont précipités pour développer un "vaccin" contre le covid-19, les gouvernements ont promis à la population qu'elle pourrait retrouver sa liberté, sans la menace de futurs blocages, si tout le monde consentait collectivement à cette expérience. Les gouvernements ont eu recours à la force totalitaire pour contraindre les gens à s'y conformer.
La plupart des personnes qui se sont alignées pour le premier et le deuxième coup n'ont PAS vraiment consenti au programme expérimental, car leur gagne-pain et leurs libertés civiles ont été menacés dès le début. La vraie définition du consentement est une décision personnelle qui est prise sans aucune menace extérieure de coercition, de corruption, de fraude ou de contrainte. Toutes ces tactiques violentes, y compris la discrimination et la ségrégation, ont été illégalement utilisées pour forcer un grand nombre de personnes à participer à cette arnaque vaccinale.
RépondreSupprimerQue les gens le sachent ou non, leur consentement (non informé) pour les vaccins contre le covid est en fait un accord pour un abonnement à vie aux injections d'ARNm. Cet abonnement à vie pourrait inclure deux à six « vaccins » covid par an. Le Dr Fauci, qui est financièrement lié à l'expérience, souhaite commencer une troisième dose pour les personnes cinq mois seulement après leur deuxième dose. Cet abonnement à vie pourrait inclure des injections mensuelles d'ARNm pour conserver une version mise à jour de la protéine de pointe circulant dans le sang de la personne. Cette idée a en fait été proposée pour lutter contre le « long covid ».
Ce programme de dépendance pharmaceutique est une source de revenus constante pour le système médical, car il supervise désormais des milliers de nouveaux cas de caillots sanguins, de péricardite et de myocardite chez les jeunes. La FDA a récemment approuvé un nouveau médicament pour lutter contre les caillots sanguins chez les adolescents. Cette blessure due au vaccin (caillots sanguins) continuera d'augmenter à mesure que les adolescents seront forcés de participer à l'expérience.
Ce programme de dépendance pharmaceutique assurera des visites de routine à l'hôpital pour les personnes qui n'ont plus un système immunitaire fonctionnel
Sources include:
AlexBerenson.com
NaturalNews.com
ChildrensHealthDefense.org
FDA.gov
JournalofInfection.com
SWPRS.org
https://www.naturalnews.com/2021-09-03-covid-vaccines-never-ending-subscription-for-pharmaceutical-dependence-shortened-life.html
LA TYRANNIE NE SE TERMINE JAMAIS : l'Australie prolonge de trois mois les pouvoirs d'urgence du COVID-19
RépondreSupprimervendredi 03 septembre 2021
par : Divina Ramirez
(Natural News) Le gouverneur général de l'Australie, David Hurley, a prolongé jeudi de trois mois la période d'urgence du pays en matière de biosécurité humaine. La période d'urgence, qui est en place depuis le 18 mars 2020 pour protéger les Australiens pendant la pandémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19), se poursuivra jusqu'au 17 décembre.
Cela étend quatre mesures d'urgence existantes, y compris les tests obligatoires avant le départ et le port du masque pour les vols internationaux, les restrictions à l'entrée des navires de croisière dans les eaux australiennes, les restrictions aux voyages internationaux sortants pour les Australiens et les restrictions au commerce des points de vente dans les aéroports internationaux .
L'annonce de jeudi fait suite à l'avis du Comité principal australien de protection de la santé (AHPPC) et du médecin-chef Paul Kelly selon lequel la situation internationale du COVID-19 pose toujours un "risque inacceptable" pour la santé publique, selon le ministre de la Santé Greg Hunt.
Cependant, Hurley a déclaré que le gouvernement fédéral continuerait de consulter les autorités des États, les territoires et l'industrie maritime sur les options de reprise des croisières une fois qu'il sera jugé sûr de le faire. Les mesures d'urgence existantes peuvent également être modifiées ou abrogées à tout moment.
Les politiques draconiennes sont inefficaces
En vertu de la Loi sur la biosécurité de 2015, les pouvoirs d'urgence permettent au gouvernement fédéral de prendre les mesures nécessaires pour contrôler la propagation du COVID-19. Ils devaient initialement expirer le vendredi 17 septembre.
Ces pouvoirs d'urgence sont essentiels au plan national du pays visant à modifier sa réponse à la pandémie de la suppression à la prévention des maladies graves et des décès dus au COVID-19.
Le Premier ministre du pays et les autorités de l'État et du territoire forment le Cabinet national, et ils ont tous accepté le plan. Actuellement, à la phase A, le plan exige que les chefs d'État mettent en œuvre des mesures pour « accélérer les taux de vaccination ».
La phase B est déverrouillée lorsque 70 pour cent de la population est vaccinée. Les autorités peuvent également assouplir les restrictions pour les personnes entièrement vaccinées à cette phase. Pendant ce temps, la phase C est déverrouillée lorsque 80% de la population est vaccinée. Cette phase peut inclure l'ouverture des frontières internationales pour les voyages.
Cependant, il ne semble pas que l'Australie atteindra bientôt ces chiffres. Le pays a récemment enregistré un nombre record de cas malgré les efforts de vaccination, ce qui a incité les autorités à réappliquer les mandats de masque et à prolonger les blocages draconiens.
RépondreSupprimerLe mois dernier, les autorités australiennes ont prolongé le verrouillage de Sydney jusqu'à fin septembre. De plus, ils ont instauré un couvre-feu dans les banlieues les plus touchées de la ville. Pendant ce temps, la première ministre de la Nouvelle-Galles du Sud (NSW), Gladys Berejiklian, a annoncé que les cinq millions d'habitants de Syndey devraient porter un masque lorsqu'ils sortent, sauf lorsqu'ils font de l'exercice, ce qui a également été limité à une heure par jour.
Berejiklian a déclaré que les restrictions strictes étaient dues à l'augmentation des cas de COVID-19 et au mépris des ordonnances de verrouillage. Elle a également donné aux policiers de nouveaux pouvoirs pour assurer le respect des mesures de confinement dans toute la ville, qui sont en place depuis le 26 juin. Selon le commissaire de police de l'État, Mick Fuller, les résidents qui pénètrent dans une zone de préoccupation du gouvernement local sans excuse seront condamnés à une amende. et forcé de s'isoler pendant 14 jours.
Le Queensland n'ouvrira pas les frontières tant que les enfants ne seront pas vaccinés
Dans le Queensland, la première ministre Annastacia Palaszczuk a signalé un changement par rapport au plan national après avoir déclaré qu'elle pourrait ne pas ouvrir la frontière de son État avec la Nouvelle-Galles du Sud voisine tant que tous les enfants du Queensland de moins de 12 ans ne seront pas vaccinés.
« À moins qu'il n'y ait une réponse sur la façon dont ces jeunes vont être vaccinés, vous mettez cette population la plus vulnérable en danger », a déclaré Palaszczuk. Il n'y a pas de vaccin COVID-19 approuvé pour les enfants de moins de 12 ans, qui sont peu susceptibles d'être hospitalisés ou de mourir lorsqu'ils sont infectés.
Le trésorier fédéral Josh Frydenberg a fustigé Palaszczuk pour avoir refusé de s'en tenir au plan initial, notant qu'elle niait désespérément la réalité selon laquelle COVID-19 chez les enfants est moins grave que chez les adultes. "Aucun pays n'a éliminé [COVID-19], et c'est pourquoi il est si important que nous nous en tenions au plan et que nous nous ouvrions en conséquence", a déclaré Frydenberg.
Palaszczuk a été critiqué au début de l'année pour avoir étendu les pouvoirs d'urgence de la chef de la santé publique de l'État, Jeannette Young, qui deviendra gouverneure du Queensland en novembre. Le gouvernement de l'État avait accordé à Young des pouvoirs d'urgence pour lutter contre la pandémie en mars 2020, ce qui a déjà été officiellement examiné par une commission parlementaire.
Young, qui conservera ses pouvoirs pendant huit mois supplémentaires, peut mettre les villes sous verrouillage, imposer la fermeture des frontières, restreindre les rassemblements, diriger les gens vers la quarantaine et collecter des informations confidentielles pour la recherche des contacts. En janvier, les législateurs ont déclaré que les Queenslanders n'avaient pas élu Young pour prendre des décisions d'une telle portée. (Connexe: GOUVERNEMENT ABUS D'ENFANTS: le directeur de la santé du Queensland réfléchit au mandat de masque pour les enfants de moins de 12 ans.)
RépondreSupprimerPour plus d'articles avec des mises à jour sur la pandémie de coronavirus, visitez Pandemic.news.
Les sources comprennent :
TheEpochTimes.com
LiveMint.com
7News.com.au
BrisbaneTimes.com.au
https://www.naturalnews.com/2021-09-03-australia-extends-covid-powers-for-three-months.html
«Risque de rébellion»: Le Canard enchaîné explique l’absence de l’obligation vaccinale pour la police
RépondreSupprimer03.09.2021
À la différence des policiers, les gendarmes au contact du public devront être vaccinés avant le 15 septembre. Le ministre de l'Intérieur a évoqué le chiffre de 70 % de vaccinés parmi les policiers, mais d’où vient-il ? Le Canard enchaîné a tenté d’apporter une réponse.
Obligation dans les casernes, option dans les commissariats? Après les personnels soignants et les pompiers, les gendarmes doivent à leur tour se faire vacciner… à la différence des policiers.
Le Canard enchaîné évoque une cérémonie de commémoration de la Libération de Paris qui a eu lieu dans la cour d’honneur de la préfecture de police le 24 août.
«Pour assister aux solennités, il suffisait de présenter son badge et sa carte professionnelle», écrit le Canard, avant de s’interroger: «Combien de policiers sont réellement vaccinés contre le Covid ?».
D’où viennent les 70 % des policiers vaccinés ?
La question qui tracasse le journal satirique fait écho à une déclaration de Gérald Darmanin qui a affirmé que «plus de 70 % de[s] policiers [sont] vaccinés», soit 10 à 15 points de plus que la population française. Sur Franceinfo le 24 août, le ministre de l'Intérieur a ajouté qu’il pourrait imposer la vaccination si «nous n'obtenons pas un chiffre plus important, 90 % par exemple de taux vaccinal».
Interrogé par le JDD, l'entourage de Gérald Darmanin précise que ce chiffre de 70 % résulte des remontées des chefs de service qui ont fait un point avec leur équipe début août.
Ce pourcentage ne provenant toutefois pas d’une méthodologie totalement fiable, Le Canard enchaîné a interrogé un gradé de la place Beauveau, qui a accepté de répondre sous couvert d’anonymat:
«L’Intérieur n’a jamais procédé à aucun recensement exhaustif. Nous disposons seulement de quelques sondages informels réalisés au doigt levé ici et là, dans certains services, et qui donc n’ont aucune valeur».
Le JDD note que Gérald Darmanin devait refaire un point avec les syndicats de police dans la première quinzaine de septembre.
Vaccination des policiers et des gendarmes
Contrairement aux gendarmes, les policiers ne sont pas tenus d'être vaccinés, souligne le média. Le 17 août, une note impose à tous les gendarmes «affectés sur le terrain ou en contact avec le public d’être complètement vaccinés d’ici au 15 septembre». Se référant aux responsables, le journal note que 80% des gendarmes sont déjà immunisés.
Ainsi, comment expliquer la réticence des forces de l’ordre à faire le pas? D’après le Canard, les syndicats policiers sont rétifs à la vaccination «non parce qu’ils sont antivax, mais par rancune».
«Ils n’ont pas oublié qu’au début de la pandémie, alors qu’ils étaient en première ligne pour contrôler les attestations de sortie, on leur a interdit le port du masque sous peine de sanctions administratives», rappelle un responsable syndical.
Avec 2022 en vue, G.Darmanin ne veut pas «prendre le risque d’une rébellion» en imposant l’obligation vaccinale aux policiers, conclut le journal.
La note de la gendarmerie
RépondreSupprimerLe 18 août, l’AFP a rapporté avoir consulté une note concertant la vaccination des gendarmes qui fait suite à une instruction du Service de santé des armées (SSA), datée du 29 juillet et révélée par Le Monde, rendant la vaccination obligatoire «pour tout militaire servant […] sur le territoire métropolitain au titre d’un engagement opérationnel décidé par l’état-major des armées ou la direction de la gendarmerie nationale».
Les concernés par l’obligation vaccinale sont «les personnels militaires, d’active et de réserve, en missions de sécurité publique, de sécurité routière, de maintien de l’ordre, de police judiciaire et d’accueil ou effectuant des services au contact du public ou de personnes extérieures à la Gendarmerie», détaille dans sa note la Direction générale de la gendarmerie nationale (DGGN).
Cependant, parmi les policiers (qui n’ont pas le statut militaire), les chefs de service sont invités à «poursuivre l’incitation à la vaccination» des agents placés sous leur autorité, selon un courrier envoyé mardi aux préfets par le secrétaire général du ministère de l’Intérieur, Jean-Benoît Albertini.
HAHAHAHA ! La plaisanterie suit son cours ! ILS seront piqués (comme les ministres et chefs d'Etats) avec du sérum physiologique et non du létal de chez labo !
SupprimerCe ne sera certainement «pas un mois de septembre normal» pour l'économie américaine qui implose rapidement
RépondreSupprimer3 SEPTEMBRE 2021
Par Michael Snyder
Les « bons moments » étaient censés se dérouler maintenant, mais au lieu de cela, les roues commencent à se détacher et les perspectives économiques pour le reste de l'année ne sont pas bonnes du tout. Pas plus tard qu'hier, j'ai averti mes lecteurs que les choses étaient sur le point d'empirer, et il n'a fallu qu'une seule journée pour que cela se produise réellement.
Comme vous le verrez ci-dessous, des fermetures d'usines majeures viennent d'être annoncées, et cela va aggraver les pénuries. La peur du COVID restreint la production dans le monde entier, et pendant ce temps, les gouvernements nationaux et les banques centrales inondent absolument leurs systèmes d'argent frais. En conséquence, nous avons maintenant beaucoup trop d'argent pour trop peu de biens et de services, et quiconque a suivi ECON 101 vous dira que cela entraînera inévitablement des prix plus élevés et des pénuries.
Comme je l'ai discuté hier, s'il y a quelque chose que vous devez acheter, sortez et obtenez-le maintenant, car les pénuries ne feront qu'empirer dans les mois à venir.
Jeudi, General Motors a choqué tout le pays en annonçant qu'il allait fermer presque toutes ses installations de fabrication en raison de notre pénurie continue de puces informatiques…
General Motors mettra au ralenti presque toutes ses usines d'assemblage en Amérique du Nord à partir de lundi, car la pandémie de COVID-19 affecte la production de puces semi-conductrices à l'étranger.
GM a déclaré que son Arlington Assembly au Texas, où il fabrique ses VUS pleine grandeur très rentables, produirait régulièrement la semaine prochaine, ainsi que Flint Assembly au Michigan, où il fabrique ses camionnettes robustes, Bowling Green Assembly dans le Kentucky, où il fabrique sa Corvette et une partie de Lansing Grand River Assembly dans le Michigan, où elle fabriquera des voitures Chevrolet Camaro et Cadillac Blackwing.
Je savais que les choses allaient mal, mais je ne savais pas qu'elles étaient devenues aussi mauvaises.
Ford a également annoncé qu'il allait réduire sa production en raison d'un manque de puces...
Ford Motor réduit une fois de plus la production de sa camionnette F-150 et d'autres véhicules très rentables en raison de la pénurie mondiale actuelle de puces semi-conductrices.
Le constructeur automobile a informé mercredi ses employés des réductions, qui ont également un impact sur la production de ses plus gros pick-up Super Duty et de son SUV Expedition.
C'était censé être une période où les ventes de véhicules atteignaient des sommets sans précédent, mais grâce à un manque de puces, le nombre de véhicules Ford neufs vendus le mois dernier a diminué de 33% par rapport à il y a un an…
Le mois dernier, les ventes de véhicules neufs de Ford Motor aux États-Unis ont diminué de 33,1% par rapport à l'année précédente en raison d'une pénurie mondiale persistante de puces semi-conductrices qui fait des ravages dans l'industrie automobile, a annoncé jeudi la société.
Les ventes du constructeur automobile de Détroit ont clôturé un mois lamentable de ventes d'automobiles aux États-Unis en août, qui ont chuté à un taux de vente ajusté de 13,09 millions de véhicules. C'est le pire rythme depuis juin 2020 et en baisse par rapport au sommet de 18,5 millions de cette année en avril, selon la société de données automobiles Motor Intelligence.
La demande n'est pas le problème.
RépondreSupprimerIl n'y a tout simplement pas assez de véhicules Ford pour circuler en ce moment, et cela a poussé les stocks des concessionnaires à des niveaux terriblement bas…
Les concessionnaires n'ont qu'environ 942 000 véhicules en stock pour la vente au détail, contre environ 3 millions avant la pandémie de coronavirus il y a deux ans, selon Thomas King, président de la division des données et de l'analyse chez J.D. Power.
Bien sûr, il n'y a pas que l'industrie automobile qui est confrontée à ce genre de problèmes.
Partout dans le monde, les chaînes d'approvisionnement sont dans un état de chaos total et total, et cela semble ne faire qu'empirer chaque jour qui passe. J'aime beaucoup la façon dont Wolf Richter a décrit la situation actuelle…
Hier, juste à l'extérieur des ports de Los Angeles et de Long Beach, un nombre record de 44 porte-conteneurs étaient ancrés, attendant. Et il y a des centaines de ces navires bloqués quelque part dans le monde, essayant d'entrer dans un port, ou ils sont réacheminés vers différents ports. Et tout cela prend du temps.
Et les conteneurs sont bloqués dans les ports parce que les chemins de fer sont en retard, les entreprises de camionnage sont troublées par les pénuries de chauffeurs, et les conteneurs sont suspendus dans les gares ferroviaires et les obstruent là où certains chemins de fer ont cessé d'acheminer les trains vers ces gares ferroviaires particulières jusqu'à ce que l'arriéré soit éliminé, contribuant à l'empilement des conteneurs dans les ports.
Et chaque jour supplémentaire qu'un conteneur chargé n'arrive pas à destination est un jour où il ne peut pas être déchargé et remis dans le flux de conteneurs, et ne peut pas être envoyé à un fabricant qui a des marchandises prêtes à être expédiées mais ne peut pas les expédier parce qu'elles impossible d'obtenir des conteneurs vides.
Dans mon dernier article, j'ai discuté du fait que les experts préviennent déjà que Noël a été gâché à cause de tout le chaos.
Et maintenant, la peur de Delta et d'autres variantes menace de gommer encore plus les œuvres. La plupart des Américains avaient supposé que nous serions en train de « revenir à la normale », mais au lieu de cela, nous semblons aller à l'envers à bien des égards…
La variante delta du coronavirus empêche un retour à la normale et freine la reprise économique. De grandes entreprises telles qu'Apple, Facebook et Ford ont repoussé leurs dates de retour au pouvoir de septembre à janvier. Les écoles rétablissent les mandats de masque et, dans certains cas, font face à des épidémies de virus, renvoyant les élèves chez eux en quarantaine. Les restaurants et les détaillants réduisent leurs heures, car les travailleurs hésitent toujours à reprendre des emplois de service moins bien rémunérés dans lesquels ils sont également plus exposés au virus. Pendant ce temps, des marques comme Nike et Gap avertissent que les usines au Vietnam et ailleurs ne fonctionnent pas à pleine capacité et que certains articles peuvent ne pas être disponibles alors que le coronavirus augmente dans le monde.
RépondreSupprimerLes autorités pensaient qu'elles seraient désormais en mesure de maîtriser la pandémie, mais elles ont dramatiquement échoué.
Tant que ces variantes balayeront le monde comme une traînée de poudre, il n'y aura certainement pas de retour à la «normale» de si tôt.
La machinerie de notre économie est ébranlée à un niveau très basique, et beaucoup pensent que ce n'est que le début.
Pendant de nombreuses années, il y a eu des signes avant-coureurs, mais nos dirigeants ont réussi à maintenir l'économie américaine ensemble.
Mais maintenant, l'inflation est hors de contrôle, les pénuries deviennent extrêmement douloureuses et la confiance dans nos dirigeants nationaux est tombée à des niveaux extrêmement bas.
Nous n'avons même pas encore atteint la fin officielle de l'été, et les choses commencent déjà à devenir très, très intéressantes.
https://www.activistpost.com/2021/09/this-is-definitely-going-to-be-not-a-normal-september-for-the-rapidly-imploding-u-s-economy.html
Bon, reprenons. Vous aviez cru que divers pays au monde étaient des pays dits 'ennemis'. Or, ces pays sont gérés par des chefs d’États mis au trône par les 'hommes de l'ombre'. La presse n'est là que pour blablater.
SupprimerJetez un œil sur HAARP dans le monde ! 12 stations ! Alaska, Zone 51, Norvège, Chine, Russie, etc, etc !
Alors ? C'est qui qui dirige le monde ?
Hahaha !
7 exemples qui montrent à quel point notre société est devenue complètement folle
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 03 SEP 2021 - 20:20
Rédigé par Michael Snyder via TheMostImportantNews.com,
Lire les nouvelles est devenu comme aller à un freak show. Vous ne savez jamais ce que vous allez voir chaque jour, mais ce sera presque certainement dingue. Certaines des choses que je vais partager avec vous dans cet article sont étranges, d'autres sont exaspérantes, mais elles mènent toutes à la même conclusion. De haut en bas, l'Amérique devient folle. Et je le pense de la pire des manières. Nous sommes vraiment devenus une « idiocratie », et il semble que ceux qui sont les plus incompétents soient souvent récompensés en étant élevés au sommet de la chaîne alimentaire. Pendant ce temps, ceux d'entre nous qui essaient encore d'aborder les choses de manière rationnelle sont de plus en plus poussés en marge de la société.
Si vous ne comprenez pas le point que j'essaie de faire valoir, j'espère que les choses deviendront plus claires au moment où vous aurez terminé cet article.
Voici 7 exemples qui montrent à quel point notre société est devenue complètement folle…
#1 À une époque où les approvisionnements alimentaires mondiaux se resserrent de plus en plus, Joe Biden veut payer les agriculteurs pour qu'ils ne cultivent rien afin de lutter contre le changement climatique…
Le président Joe Biden veut lutter contre le changement climatique en payant plus d'agriculteurs pour qu'ils ne cultivent pas. Mais il trouve déjà qu'il est difficile de faire en sorte que cela fonctionne.
Son ministère de l'Agriculture est loin de son objectif d'inscrire de nouvelles terres dans un programme qui a cet objectif, la participation étant la plus faible depuis plus de trois décennies.
Heureusement, relativement peu d'agriculteurs saisissent l'argent que Biden offre, car les prix des produits agricoles ont grimpé en flèche alors que les approvisionnements mondiaux se sont resserrés.
Ainsi, dans une tentative désespérée d'inciter davantage d'agriculteurs à s'inscrire, l'administration Biden a «plus que doublé les principaux paiements incitatifs»…
Même si l'USDA a plus que doublé cet été les principaux paiements incitatifs pour le programme qui encourage les agriculteurs et les éleveurs à laisser leurs terres inutilisées, les prix élevés des produits de base rendent les cultures plus intéressantes pour les producteurs.
En plus de cela, le plan, connu sous le nom de programme de réserve de conservation, retire les terres de la production pendant seulement 10 à 15 ans – de sorte que ces acres pourraient libérer du carbone dans l'atmosphère si la terre est replantée et ainsi annuler ses avantages pour l'environnement.
Compte tenu de l'orientation des tendances mondiales, payer les agriculteurs pour qu'ils ne produisent pas de nourriture est l'une des choses les plus stupides que notre gouvernement puisse faire en ce moment.
#2 Nous apprenons maintenant que l'évacuation chaotique en Afghanistan aurait pu être menée de manière très, très différente. Selon le Washington Post, les talibans ont en fait proposé un accord à l'administration Biden qui aurait permis aux États-Unis de sécuriser toute la ville de Kaboul…
RépondreSupprimerLors d'une réunion en personne organisée à la hâte, de hauts responsables militaires américains à Doha – dont McKenzie, le commandant du Commandement central américain – se sont entretenus avec Abdul Ghani Baradar, chef de l'aile politique des talibans.
"Nous avons un problème", a déclaré Baradar, selon le responsable américain. « Nous avons deux options pour y faire face : vous [l'armée américaine] assumez la responsabilité de sécuriser Kaboul ou vous devez nous permettre de le faire. »
Pouvez-vous imaginer à quel point l'évacuation des Américains et des Afghans alliés aurait pu être plus ordonnée si les forces américaines avaient effectivement sécurisé tout Kaboul ?
Inutile de dire que les forces de l'Etat islamique ne se seraient probablement jamais approchées suffisamment pour bombarder l'aéroport.
Mais au lieu d'accepter l'opportunité de sécuriser l'ensemble de Kaboul, les responsables américains ont décidé de remettre Kaboul aux talibans et d'entasser tous ceux qui devaient être évacués dans l'aéroport…
Sur place, un accord a été trouvé, selon deux autres responsables américains : les États-Unis pourraient avoir l'aéroport jusqu'au 31 août. Mais les talibans contrôleraient la ville.
Il est difficile de croire que nos fonctionnaires pourraient en fait être aussi incompétents, mais personne ne sera même tenu responsable de cette décision parce que nous vivons vraiment dans une « idiocratie ».
#3 L'une des nouvelles tendances les plus en vogue sur les réseaux sociaux est de montrer que votre corps est habité par de multiples « êtres »…
Plusieurs comptes TikTok et YouTube de ces personnes brisées, qui se définissent comme un «hôte» ou un «système» d'êtres multiples, ont des millions d'adeptes en ligne. Ils exposent leurs diverses personnalités pour la notoriété en ligne sous le couvert d'« éduquer » et de « sensibiliser ».
Un TikToker qui dit qu'elle a DID explique dans un Q&A sur ses personnalités, "Je ne peux forcer personne [à l'intérieur de moi] à sortir mais je peux très bien communiquer au sein du système et demander à quelqu'un de sortir, mais parfois c'est très involontaire . "
Pourquoi diable « des millions de followers en ligne » voudraient-ils voir ces personnes manifester leurs différentes « personnalités » ?
Et la plupart de ces « adeptes » ne peuvent-ils pas réellement comprendre ce qui se passe réellement avec ces personnes ?
# 4 Un homme de 43 ans a poursuivi ses parents en justice après avoir jeté sa collection de porno. Au lieu de rire de l'affaire hors du tribunal, un juge du Michigan lui a accordé plus de 30 000 $ de dommages et intérêts…
RépondreSupprimerUn juge a ordonné à un couple de l'ouest du Michigan de payer 30 441 $ à leur fils pour s'être débarrassé de sa collection de pornographie. La décision du juge de district américain Paul Maloney cette semaine est intervenue huit mois après que David Werking, 43 ans, a remporté un procès contre ses parents.
Selon NBCDFW, il a déclaré qu'ils n'avaient pas le droit de jeter sa collection de films, de magazines et d'autres objets. Werking avait vécu dans leur maison de Grand Haven pendant 10 mois après un divorce avant de déménager à Muncie, dans l'Indiana. Le juge a suivi la valeur fixée par un expert, a rapporté MLive.com.
La valeur de la collection a-t-elle été « fixée par un expert » ?
De quel type de diplômes une personne a-t-elle besoin pour devenir « un expert » dans ce domaine ?
#5 Après avoir refusé à un élève transgenre la possibilité d'utiliser une salle de bain particulière, un conseil scolaire de Virginie a été contraint de payer plus de 1,3 million de dollars…
Un conseil scolaire de Virginie versera plus de 1,3 million de dollars à l'American Civil Liberties Union après avoir perdu une bataille judiciaire impliquant un élève transgenre qui a poursuivi l'école pour sa politique relative aux toilettes.
Selon le Virginian-Pilot, le conseil scolaire du comté de Gloucester a accepté jeudi de payer à l'ACLU le montant total des frais et honoraires associés à sa représentation de l'un de ses anciens élèves, Gavin Grimm, marquant la fin d'une longue période de six ans. lutte.
Au fur et à mesure que la nouvelle de cette affaire se répandra, les écoles de tout le pays auront peur de dire à quiconque quelles salles de bain elles peuvent ou ne peuvent pas utiliser.
Personne ne voudra être la prochaine victime à faire l'objet d'un procès d'un million de dollars, et il ne faudra probablement pas longtemps avant que les panneaux « garçons » et « filles » sur les toilettes des écoles disparaissent complètement.
#6 Quand je grandissais, le drapeau américain était fièrement affiché dans nos salles de classe et nous disions le serment d'allégeance tous les jours.
RépondreSupprimerMais aujourd'hui, le drapeau américain est retiré dans les salles de classe de toute l'Amérique, et une enseignante d'une école publique en Californie exhorte ses élèves à prêter allégeance à un nouveau drapeau…
Une enseignante d'une école publique du sud de la Californie a été surprise en train d'admettre avoir encouragé ses élèves à prêter allégeance au drapeau de la fierté LGBT comme alternative au drapeau américain, se vantant de l'endoctrinement sur son propre compte TikTok.
L'enseignante, identifiée comme étant Kristin Pitzen du district scolaire de Newport Mesa dans le comté d'Orange, raconte avoir retiré le drapeau américain, puis désigné le drapeau LGBT comme alternative.
"Nous avons un drapeau dans la classe auquel vous pouvez prêter allégeance", a déclaré Pitzen lorsqu'un étudiant a posé des questions sur le drapeau américain qu'elle avait retiré de la classe "à cause de COVID".
# 7 Ces derniers jours, Joe Biden a encouragé les autorités de tout le pays à imposer des mandats de vaccination extrêmement stricts. Pendant ce temps, Vladimir Poutine insiste sur le fait que « personne ne devrait être obligé de recevoir une injection »…
« La vaccination est la principale arme contre la propagation du virus. Surtout, personne ne devrait être obligé de recevoir une piqûre. La pression, où les gens peuvent perdre leur emploi, est encore moins acceptable. Les gens doivent être convaincus de la nécessité de se faire inoculer », a-t-il déclaré.
Quand même Vladimir Poutine est nettement moins tyrannique que le gars qui dirige votre pays, vous avez un problème majeur entre les mains.
Quand je grandissais, les gens risquaient tout pour fuir l'Union soviétique afin de pouvoir vivre une véritable liberté dans le monde occidental.
Pourrions-nous bientôt arriver à un point où les Américains fuient réellement vers la Russie afin qu'ils puissent « vivre libres » ?
Cela semble être une question tellement bizarre à poser, mais c'est à quel point les choses ont mal tourné aux États-Unis.
Nous vivons dans une société où le haut est maintenant le bas, le bien est maintenant le mal et les mensonges sont maintenant la vérité.
Notre nation est devenue un cirque géant, et les fous dirigent le spectacle. Ce sera amusant à regarder pendant un petit moment, mais il ne faudra pas longtemps avant que tout s'écroule sur nous tous.
https://www.zerohedge.com/political/7-examples-show-how-completely-and-utterly-insane-our-society-has-become
La Chine repousse Kerry dans les pourparlers sur le climat : "Nous suivrons notre propre feuille de route"
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 03 SEP 2021 - 12:01
mise à jour (12 h 01 HE): La Chine et les États-Unis n'ont pas réussi à parvenir à un accord sur le climat après que l'envoyé de Biden pour le climat, John Kerry, a poussé Pékin à prendre davantage d'engagements publics avant un sommet des Nations Unies sur le climat en novembre.
"La Chine a déjà ses propres plans et feuille de route pour atteindre ses objectifs climatiques", a déclaré un responsable chinois cité dans le South China Morning Post. La source a ajouté que Pékin ne tolérerait pas que Washington lui dise ce qu'il doit faire ou ne pas faire. SCMP a résumé les propositions de Kerry :
Lors des entretiens avec les dirigeants chinois à Tianjin, l'envoyé américain pour le climat John Kerry a présenté une liste de propositions à Pékin pour accélérer ses efforts climatiques. Ils comprenaient un engagement public envers la limite de 1,5 degré Celsius (2,7 degrés Fahrenheit) du réchauffement climatique visée dans l'Accord de Paris de 2015, un délai précis pour que les émissions de carbone atteignent un pic avant 2030 et un moratoire sur le financement de projets de chauffage au charbon à l'étranger.
Il n'y aura donc pas d'« accord sur le climat » entre les États-Unis et la Chine malgré les efforts de Kerry à Tianjin, d'autant plus qu'il apparaît de plus en plus que des tensions plus larges telles que le commerce ou les droits de l'homme sont liées aux négociations sur le climat.
* * *
Bien que les États-Unis souhaitent depuis longtemps que la « diplomatie climatique » reste une question distincte de leurs différends plus larges avec la Chine, tels que le commerce et les droits de l'homme, le ministre chinois des Affaires étrangères Wang Yi avertit maintenant que la détérioration des relations menace les efforts conjoints pour lutter contre le réchauffement climatique et le changement climatique. .
Wang a informé jeudi l'émissaire américain de Biden pour le climat, John Kerry, lors de la visite de ce dernier dans la ville chinoise de Tianjin, que "la coopération climatique ne peut pas être séparée de l'environnement plus large" des relations américano-chinoises.
Le haut diplomate chinois a comparé le potentiel d'une coopération étroite américano-chinoise sur le climat à une "oasis" et a expliqué : "Mais entourer l'oasis est un désert, et l'oasis pourrait être désertifiée très bientôt".
C'est à ce moment-là qu'il a conclu en s'exprimant par liaison vidéo : "La coopération sino-américaine sur le climat ne peut être séparée de l'environnement plus large des relations sino-américaines".
RépondreSupprimer"Tous ceux qui vous ont rencontrés devront passer deux semaines en quarantaine, mais nous sommes prêts à payer ce prix, pour discuter de la coopération avec les États-Unis sur des affaires d'intérêt mutuel", a-t-il ajouté.
Il est largement admis que si un côté ou l'autre associe le climat aux tensions plus larges qui assaillent les relations américano-chinoises, cela ralentirait considérablement toute action climatique de fond.
Via Reuters
Selon Reuters :
Bien que Wang ait averti que le changement climatique pourrait désormais être lié à d'autres problèmes diplomatiques, la Chine a déclaré que ses efforts pour réduire les émissions et adopter des formes d'énergie plus propres sont essentiels à son ambitieux programme national.
"Les dirigeants chinois disent depuis longtemps qu'ils sont engagés dans l'action climatique non pas à cause de pressions extérieures, mais parce que cela profite à la Chine et au monde en général", a déclaré Alex Wang, expert en climat et professeur à l'UCLA.
Et en outre, Yang Jiechi, membre du Bureau politique du Comité central du Parti communiste chinois (PCC) et directeur du Bureau de la Commission des affaires étrangères, a appelé les États-Unis à "corriger leurs méfaits" et à faire des efforts pour "nouer des relations bilatérales". de nouveau sur la bonne voie."
Du côté des États-Unis, Kerry a exhorté la Chine à faire plus tout en promettant sa volonté d'améliorer la communication avec la Chine.
« Le secrétaire Kerry a affirmé que les États-Unis restaient déterminés à coopérer avec le monde pour faire face à la crise climatique, qui doit être traitée avec le sérieux et l'urgence qu'elle exige, et a encouragé la RPC à prendre des mesures supplémentaires pour réduire les émissions », a déclaré un Le porte-parole du département d'État a déclaré dans un communiqué.
https://www.zerohedge.com/political/china-warns-spiraling-ties-us-will-imperil-climate-cooperation
Bien sûr qu'en aparté les discussions et rigolades vont bon train ! Les idées de merde deviennent discutables en dehors de la présence des journalistes. Faut dire que face à la vérité rigide il est difficile d'envisager un autre monde où la Terre tournerait moins vite afin que les gens travaillent 30 heures par jours... tandis que d'autres dormiraient 30 heures !! Houlala y a un problème !!
SupprimerLe gouvernement britannique donne son feu vert à un essai en plein champ de blé génétiquement édité
RépondreSupprimer2 Septembre 2021
Le premier blé édité par CRISPR cultivé en Europe sera semé cet automne
Rothamstead Research*
L'institut de recherche britannique Rothamsted Research, pionnier des essais de cultures génétiquement modifiées depuis les années 1990, a reçu l'autorisation du Defra [département (ministère) de l'environnement, de l'alimentation et des affaires rurales] de mener une série d'essais en plein champ de blé dont le génome a été édité.
Les expériences menées dans le Hertfordshire seront les premiers essais en plein champ de blé modifié par CRISPR au Royaume-Uni et en Europe.
Le blé a été modifié pour réduire les niveaux d'un acide aminé naturel, l'asparagine, qui est converti en un contaminant cancérigène, l'acrylamide, lorsque le pain est cuit ou grillé.
L'objectif ultime du projet est de produire du blé non génétiquement modifié à très faible teneur en asparagine, explique le professeur Nigel Halford, responsable du projet.
« L'acrylamide est un problème très sérieux pour les fabricants de produits alimentaires depuis sa découverte dans les aliments en 2002. Il provoque le cancer chez les rongeurs et est considéré comme "probablement cancérigène" pour l'homme. Il est présent dans le pain et augmente considérablement lorsque le pain est grillé, mais il est également présent dans d'autres produits à base de blé et dans de nombreux aliments d'origine végétale qui sont frits, cuits, rôtis ou grillés, notamment les chips et autres snacks, les frites, les pommes de terre rôties et le café.
« Nous pensons qu'il est possible de réduire considérablement les niveaux d'asparagine dans le blé sans compromettre la qualité du grain. Cela profiterait aux consommateurs en réduisant leur exposition à l'acrylamide dans leur alimentation, et aux entreprises alimentaires en leur permettant de se conformer aux réglementations sur la présence d'acrylamide dans leurs produits.
« Il s'agit toutefois d'un objectif à long terme, et ce projet vise à évaluer les performances des plantes de blé sur le terrain et à mesurer la concentration d'asparagine dans le grain produit dans des conditions de terrain. »
Au cours du développement en laboratoire, les chercheurs ont « assommé** » le gène de l'asparagine synthétase, TaASN2.
Les concentrations d'asparagine dans le grain des plantes modifiées ont été considérablement réduites par rapport aux plantes non modifiées, une lignée présentant une réduction de plus de 90 %, selon le Dr Sarah Raffan, scientifique du projet.
« Ce nouvel essai permettra maintenant de mesurer la quantité d'asparagine dans le grain du même blé lorsqu'il est cultivé en plein champ, et d'évaluer d'autres aspects de la performance du blé, comme le rendement et la teneur en protéines. »
Le projet est prévu pour une durée maximale de cinq ans, se terminant en 2026, les plantes étant semées en septembre/octobre de chaque année et récoltées au mois de septembre suivant. Le financement est en place pour la première année, et un soutien supplémentaire est recherché pour les années suivantes.
RépondreSupprimerLes plantes éditées seront cultivées à côté de blés dans lesquels la synthèse de l'asparagine a été affectée par la méthode « vieux jeu » de la mutation induite chimiquement.
Cette technique est largement utilisée dans l'amélioration des plantes depuis le milieu du XXe siècle, mais elle n'est pas ciblée comme l'est CRISPR et entraîne des mutations aléatoires dans tout le génome.
En revanche, CRISPR apporte de petites modifications à un gène cible, en l'occurrence pour assommer ce gène afin qu'il ne produise plus de protéine fonctionnelle. Le processus implique initialement une modification génétique pour introduire dans la plante les gènes nécessaires au processus CRISPR.
Une fois l'édition effectuée, la partie GM peut être retirée des plantes par des méthodes de sélection végétale conventionnelles sur quelques générations. Selon le professeur Halford, le plus grand nombre de plantes pouvant être cultivées sur le terrain accélérera ce processus.
« Le plus grand nombre de plantes que nous pouvons avoir dans l'essai en plein champ par rapport à une serre permettra d'identifier plus facilement les plantes qui ne sont plus génétiquement modifiées. Cela signifie que la première année de l'essai comprendra des plantes à la fois génétiquement éditées et génétiquement modifiées, mais que d'ici la troisième année de l'essai, elles devraient être uniquement génétiquement éditées. »
Malgré les différences entre l'édition du génome par CRISPR et les OGM, les plantes dont le génome a été édité sont actuellement traitées de la même manière que les OGM en vertu de la réglementation européenne, ce qui bloque essentiellement l'utilisation d'une technologie qui est en train d'obtenir une approbation officielle dans de nombreuses autres parties du monde.
L'espoir est que la consultation actuelle du gouvernement britannique sur cette question débouche sur une nouvelle législation au Royaume-Uni, permettant aux produits alimentaires issus d'une édition du génome, soigneusement réglementés, d'être disponibles pour les consommateurs.
La nouvelle de ce nouvel essai sera probablement bien accueillie par l'industrie alimentaire, l'acrylamide étant classé comme un contaminant de transformation qui nécessite une surveillance étroite en vertu de la législation européenne.
Le professeur Halford a déclaré :
« La réglementation actuelle sur l'acrylamide prévoit des "niveaux de référence" pour sa concentration dans différents types d'aliments et exige des entreprises alimentaires qu'elles contrôlent la présence de l'acrylamide dans leurs produits. Il est probable que ces réglementations seront renforcées, l'UE s'orientant vers l'introduction de niveaux maximums au-dessus desquels il serait illégal de vendre un produit alimentaire. Il est probable que d'autres autorités réglementaires suivront cet exemple. »
RépondreSupprimerOn trouvera de plus amples informations sur les plantes qui seront cultivées dans le cadre de l'essai en plein champ, ainsi qu'une liste de questions et réponses.
La lettre du Defra autorisant l'essai peut être consultée ici.
____________
* Source : Genome Edited Wheat Field Trial Gets Go-Ahead from UK Government | Rothamsted Research
** « Knocked out », que DeepL a donc traduit par « assommé » (ce qui est correct s'agissant d'une personne. Mais c'est tellement plus joli que « neutralisé » ou « inactivé ».
https://seppi.over-blog.com/2021/09/le-gouvernement-britannique-donne-son-feu-vert-a-un-essai-en-plein-champ-de-ble-genetiquement-edite.html
Blé dur : panique autour des nouilles
RépondreSupprimerPar André Heitz.
4 SEPTEMBRE 2021
Alerte ! Alerte !
Le 16 août 2021, le Comité français de la semoule industrielle (CFSI) et le Syndicat des industriels fabricants de pâtes alimentaires de France (SIFPAF) publiaient un communiqué de presse alarmiste.
En résumé :
« Le dérèglement climatique met en danger le marché des pâtes alimentaires : des pluies beaucoup trop abondantes en Europe et une sécheresse sans précédent au Canada conduisent à une pénurie de blé dur, seule matière première des pâtes alimentaires, et à la flambée historique des prix mondiaux. »
Le « dérèglement climatique » a évidemment bon dos.
Mais le fait est que la récolte sera catastrophique au Canada, premier producteur mondial, du fait aussi de la vague de chaleur (quelque -30 % prévus par rapport à la moyenne quinquennale), que la récolte européenne est insuffisante (7,3 Mt pour un besoin de 9,5 Mt selon les deux entités) et qu’une partie de la récolte française ne sera pas utilisable par l’industrie de la semoule et des pâtes du fait d’une qualité fortement affectée par les pluies.
Les deux entités en ont donc appelé au gouvernement pour qu’il mette en place un plan d’urgence permettant aux semouliers et pastiers d’assurer leur approvisionnement en blé français et faire en sorte que les distributeurs répercutent « l’explosion du prix du blé dur dans les prix de vente pour traverser cette crise exceptionnelle ».
Il y a quelque chose de pathétique dans cet appel au secours fait à l’État nounou par une industrie passablement concentrée (par exemple trois semouliers et cinq usines). Mais nous sommes en France…
C’EST DU PAIN BÉNIT POUR DES MÉDIAS ET DÉCROISSANTISTES
Le communiqué a été répercuté par l’AFP… et les médias s’en sont délectés. Libération a ainsi titré : « Dérèglement climatique : l’industrie des pâtes en manque de blé ».
L’écologiste Dominique Bourg s’est particulièrement illustré sur Twitter :
Sauf qu’il s’agissait de blé dur (pour le blé tendre, on peut aussi avoir des inquiétudes s’agissant de la production, mais les stocks sont un peu plus conséquents, quoique historiquement bas).
AURONS-NOUS SUFFISAMMENT DE NOUILLES ?
RépondreSupprimerLa situation sera sans doute tendue dans le monde. Et comme nous l’ont montré les émeutes de la faim de 2008, il y a un sérieux risque d’instabilité politique et géopolitique dans certains pays.
Pour la France, le 19 août 2021, s’exprimant d’une manière générale, Intercéréales déclarait :
« La moisson française de 2021 encore en cours dans le nord du pays saura répondre aux besoins des consommateurs (français en particulier). »
Mais Réussir écrivait le 17 août 2021 pour les produits à base de blé dur, sans nul doute sur la base de l’alerte des industriels :
« Comme en 2007, il serait possible que certains marchés « bagarrés » doivent faire face à des ruptures en Europe. »
Pleinchamp et la Coopération agricole ont donné des indications plus précises les 16 et 27 août 2021, respectivement : les surfaces de blé dur ont été estimées à 288 000 hectares, en progression par rapport à 2020, mais en retrait de près de 11 % par rapport à la moyenne quinquennale 2016-2020. La production atteindrait 1,6 Mt (+22 % par rapport à 2020 mais – 6% par rapport à la moyenne quinquennale). De quoi, a priori, produire les quelque 240 000 tonnes de pâtes/an et 84 000 tonnes de couscous/an de l’industrie française. Reste la question de la qualité, la filière industrielle ayant des exigences précises.
S’agissant des pâtes aux œufs alsaciennes, la matière première céréalière ne sera pas locale…
LA FLAMBÉE DES COURS
Au 31 août 2021, le blé dur rendu La Pallice était coté à 400 euros/t, contre 247 euros/t pour le blé tendre meunier. Au 2 septembre, au moment du bouclage de cet article, il est à 430 euros/t. Au cours de l’année écoulée, jusqu’à début juillet 2021, les cours se situaient entre 260 et 275 euros/t.
Cet indice a été élaboré en collaboration avec le ministère de l’Agriculture et partagé avec la DGCCRF afin d’être le plus représentatif des cours du blé dur mis en œuvre en France (source).
On peut penser que les cours se maintiendront à un niveau élevé. Cela se répercutera sur les prix des produits de consommation, dont l’essentiel est composé par le coût de la matière première (75 % pour les pâtes ordinaires et 50 % pour les pâtes aux œufs).
LA GUERRE DES PRIX EST-ELLE DÉCLARÉE ?
RépondreSupprimerLes pastiers et semouliers s’étaient déjà dits préoccupés en septembre 2012. Ils avaient déjà fait le coup de l’annonce de l’apocalypse en octobre 2014. Et ils avaient déjà demandé un « plan d’urgence ».
Le contexte était similaire, à deux nuances près.
Le réchauffement climatique n’était pas encore devenu l’alpha et l’oméga des programmes politiques et de la gesticulation publique.
Et la récolte française avait baissé de 2,3 Mt en 2012 à 1,5 Mt (dont plus du tiers déclassé) en raison d’une chute de 40 % des surfaces, elle-même due à des prix peu ou pas assez rémunérateurs pour une culture de surcroît très technique et délicate. Ainsi, le 5 novembre 2014, le blé dur cotait 430 euros/t rendu La Pallice contre 200 euros/t en 2013 à la même époque. C’était la séquence « flambée historique des prix mondiaux » en 2021… (Source)
Le communiqué de presse du CFSI et du SIFPAF apparaît en définitive comme un nouvel appel au loup. À l’avant-veille des grandes négociations tarifaires – qui débuteront en octobre et doivent s’inscrire dans le fiasco législatif qu’est la loi « EGALIM » de 2018 – il a toutefois eu l’avantage de préparer le terrain en faveur d’industriels pris entre le marteau de la guerre des prix entre distributeurs et l’enclume des cours des denrées de base.
Sera-ce suffisant ?
Michel-Édouard Leclerc a déjà tonné le 27 août 2021 : « des industriels profitent de la crise » :
« Avant même les négociations commerciales qui seront encadrées cette année avec la loi Egalim 2 [pas encore adoptée…], on nous annonce des hausses sur le sucre raffiné de 10 %, sur les pâtes de 23 %, sur la charcuterie entre 9 et 15 %, sur le vinaigre 15 %, sur l’huile d’olive 11 % ». »
Pour les pâtes, la présidente de la FNSEA Christiane Lambert a voulu se faire rassurante le 23 août 2021 sur BFM Business :
« Il faut relativiser […] Si par exemple le prix du blé dur augmente de 10 %, ça va représenter quatre centimes de plus par kilo de pâtes. On en consomme 9,1 kg […] ça fait 36 centimes par an par personne. »
LE DILEMME NON RÉSOLU
Mais l’année agroclimatique peu favorable à la production dans plusieurs parties du monde laisse entrevoir une hausse des cours, et donc des prix et, partant, de l’inflation.
La tentation sera forte de peser sur les prix à la consommation, surtout dans un pays qui privilégie la défense du pouvoir d’achat par cette méthode plutôt que par la création de richesses. Cela fait longtemps que les gouvernements successifs se sont accommodés de la guerre des prix.
Intercéréales estime que s’ils se maintiennent, les cours mondiaux équivaudront à une « juste rémunération des producteurs d’autant plus indispensable après plusieurs années extrêmement difficiles » Et d’ajouter :
« Reste à faire passer la hausse des cours tout au long de la chaine alimentaire. « Nous ne pouvons plus collectivement accepter que les acteurs de notre filière – production, commercialisation, transformation – soient toujours pris en otage par la guerre des prix ».
LE DÉFI ET L’OPPORTUNITÉ
RépondreSupprimerMais l’enjeu est bien plus vaste. Selon M. Jean-François Loiseau, président d’Intercéréales :
« La France restera en 2021-2022 exportatrice nette de céréales. Toutefois, la tension sur les stocks mondiaux, et son impact sur les prix, rappelle l’importance d’une filière forte, disposant d’innovations dans le domaine de la protection des plantes et de la génétique afin d’augmenter les rendements. »
La filière forte – ou plutôt les filières fortes –, c’est aussi la capacité d’investir et aussi d’assurer le renouvellement des générations dans l’agriculture. Ainsi que d’assurer la pérennité et le développement des outils industriels.
Cet enjeu sera-t-il saisi par le gouvernement à quelques mois d’une échéance électorale dans laquelle il sera indispensable de ne pas irriter les consommateurs-électeurs et plus « payant » de les flatter ?
En tout cas, au niveau de l’Union européenne – dont la France prendra la présidence au 1er janvier 2021 avec l’intention de faire des étincelles – l’avenir de la production dite « agricole » – elle est essentiellement « alimentaire » – est plutôt sinistre. Les stratégies « farm to fork » (de la ferme à la table) et « biodiversité 2030 » sont, selon le titre d’un article de Mme Emmanuelle Ducros dans L‘Opinion, un désastre « annoncé et assumé ».
Pour nos nouilles, plutôt que des méfaits du dérèglement climatique, on ferait mieux de s’inquiéter des méfaits des nouilles qui nous gouvernent.
https://www.contrepoints.org/2021/09/04/404516-ble-dur-panique-autour-des-nouilles
En premier, il n'y a PAS de 'changement climatique' mais (n'ayons pas peur de prononcer le mot:) des SAISONS ! Des saisons comme il y en a toujours eu. Mais dont le cycle n'est pas réchauffant (comme l'avait suggéré l'escroc Al Gore en 1997 à Kyoto) mais REFROIDISSANT !
SupprimerLa nature ne ment pas. Suffit de se promener à travers l'Europe ou les USA pour y découvrir des millions d'hectares de serres. Des serres en verre ou des serres en plastique, bref, aujourd'hui (comme demain) le paysan travaille sous serre.
Mais là, interviennent de puissants phénomènes qui ne sont pas 'naturels' et donc un (sur douze) se trouve à Gakona (Alaska). Çà s'appelle 'HAARP' et çà peut réchauffer (de + 100°C !) comme refroidir (de -100°C !) une région ou tout un pays !
En l'an 2000 la NASA avait dit "Avant l'an 2020-2025 nous serons les maîtres du monde en météorologie". Le climat appartient à HAARP !
Il y a des stations en Russie, Chine, Japon, Angleterre, Australie, Brésil, Norvège, etc).
Donc, demain, s'il n'y a plus de blé (dur ou tendre), plus de riz, de tomates, de pommes ou d’œufs, je vous rassure c'est que c'est voulu ! et ne dépend nullement du rapprochement exceptionnel de la Terre et du soleil ou de leur éloignement tout aussi exceptionnel mais des ondes envoyées vers l'ionosphère où elles se répercutent et se dirigent vers le sol à des milliers de kilomètres de là.
On peut aussi appeler çà des tremblements de terre, des ouragans, des sécheresses ou inondations, bref, on s'amuse comme on peut quand on a les clés du monde (l'affaire du 'covide19' n'étant qu'une parenthèse pour se marrer !).
Pendant ce temps, au Canada, les 'cabanes' rurales se vendent 37 % au-dessus de la demande en quelques jours
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 03 SEP 2021 - 23:20
La crise du logement au Canada s'aggrave à mesure que les guerres d'enchères s'intensifient et que les pénuries persistent. Une combinaison de personnes quittant les villes et cherchant des propriétés rurales combinées à une pénurie de logements a entraîné une flambée des prix qui ne sont pas durables.
Selon The Globe and Mail, les prix des maisons au Canada ont bondi de 22 % au cours de la dernière année, et le prix médian des maisons est à un niveau record. Les prêts bon marché de la Banque du Canada (BdC), les pénuries de logements et les personnes quittant les villes ont entraîné des guerres d'enchères.
Prenez, par exemple, Palgrave, une petite ville à 31 milles au nord-ouest de Toronto. Un éleveur construit dans les années 1970 avait un prix demandé de 998 000 $ en juin et s'est vendu plus tard dans le mois pour 1 365 000 $. Quelques jours seulement sur le marché, une guerre d'enchères féroce a éclaté avec 13 enchérisseurs qui ont finalement augmenté le prix de 37 % au-dessus de la liste.
"Il n'y avait pas beaucoup d'inventaire, et il y avait une autre propriété qui s'était vendue récemment dans plusieurs offres, nous voulions donc profiter de tous les acheteurs restants", a déclaré l'agent basé à Toronto Luisa Piccirilli.
La maison n'a rien de spécial et semble être un éleveur typique avec 3 000 pieds carrés et un garage pour trois voitures. Mais ce qui a attiré les soumissionnaires, c'est la cour arrière, un solide 2,4 acres (8000 m²).
Piccirilli a décrit la guerre d'enchères principalement entre ceux qui voulaient échapper à la vie urbaine et voulaient une arrière-cour.
"Il y a un exode de personnes quittant la ville et voulant plus de propriétés et de terres", a déclaré Piccirilli.
Comme nous l'avons noté au cours de l'été, le boom de l'investissement dans le logement a été l'un des plus importants depuis des années, mais s'est depuis refroidi par rapport à son sommet de mars, car les prix de l'immobilier devraient atteindre des sommets l'année prochaine.
Cela signifie que la Banque du Canada pourrait ne pas être « impatiente d'augmenter les taux d'intérêt » si le ralentissement de l'activité immobilière se poursuit, a déclaré Stephen Brown, économiste canadien principal chez Capital Economics.
Pour la variation d'une année à l'autre des prix des logements neufs, les niveaux actuels sont généralement associés à des périodes d'instabilité. En d'autres termes, le taux de croissance des prix ne peut être maintenu.
Doug Porter de BMO a déclaré à ses clients en juillet que le Canada est l'une des plus grandes bulles immobilières au monde.
Pendant ce temps, le leader libéral canadien Justin Trudeau a promis : « de mettre un terme à la croissance spéculative de l'immobilier ».
Trudeau a déclaré que le marché immobilier canadien avait été victime de "l'instabilité" et de "l'incertitude", qui ont conduit à "une flambée des prix, des guerres d'enchères, une spéculation galopante et un trop grand nombre de propriétés vacantes".
Si Trudeau était vraiment prêt à « réparer » la bulle immobilière de son pays, alors une correction des prix pèserait sur le PIB. Au 2T, la construction résidentielle était d'environ 10 % du PIB.
Ainsi, toute intervention de Trudeau pour maîtriser les prix des logements est peu probable avant les élections fédérales canadiennes plus tard ce mois-ci.
https://www.zerohedge.com/markets/ontario-rancher-gets-13-offers-sells-367000-over-list
La bombe à retardement démographique
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 03 SEP 2021 - 13:50
Rédigé par James Rickards via DailyReckoning.com,
La raison pour laquelle les humains meurent est simple et directe. C'est mieux résumé dans la célèbre phrase du dessin animé Pogo de Walt Kelly en 1970 : "Nous avons rencontré l'ennemi et il est nous."
Les humains sont la raison pour laquelle les humains meurent. Nous n'avons pas assez de bébés. C'est si simple.
Lorsque j'utilise le mot « assez », il est important d'attribuer une valeur mathématique à cela. Ce n'est pas une conjecture. Le numéro de clé est 2.1. Cela fait référence à 2,1 enfants par couple, appelé taux de remplacement. Le taux de remplacement est le nombre d'enfants que chaque couple doit avoir en moyenne pour maintenir la population mondiale à un niveau constant.
Un taux de natalité de 1,8 est inférieur au taux de remplacement de 2,1. Cela signifie que votre population est en déclin. Il se peut aussi qu'elle vieillisse, car la population actuelle vit plus longtemps et les nouvelles naissances ne remplacent pas les mourants et ne diminuent pas l'âge médian.
Un taux de natalité de 4,1 est bien supérieur au taux de remplacement. Cela signifie que votre population augmente et que votre âge médian diminue même si les individus vivent plus longtemps. Le comportement est complexe, mais le calcul est vraiment aussi simple que cela. Le taux de remplacement de 2,1 est la ligne de démarcation entre la croissance et le déclin de la population.
Pourquoi le taux de remplacement n'est-il pas de 2.0 ? Si deux personnes ont deux enfants, cela ne maintient-il pas la population à un niveau constant ? La réponse est non à cause de la mortalité infantile et d'autres décès prématurés.
Si un couple a deux enfants et que l'un meurt avant d'atteindre l'âge adulte, alors un seul enfant peut contribuer à la croissance future de la population à l'âge adulte. Un taux de natalité de 2,1 compense ce facteur et contribue à deux enfants adultes pour deux parents adultes.
Évidemment, personne n'a 2,1 enfants. Le taux de remplacement est une moyenne. Si cinq couples ont trois enfants chacun et que deux autres couples ont un enfant chacun, la moyenne des sept couples est de 2,43 par couple, largement au-dessus du taux de remplacement de 2,1.
De même, il n'est pas nécessaire que chaque couple ait un nombre égal de garçons et de filles. Encore une fois, tout est question de moyennes. Si un couple a trois garçons et un autre couple a trois filles, la répartition globale garçons/filles est de 50/50 et le taux de natalité est de 3,0. Cela fonctionne très bien pour augmenter la population.
Soit dit en passant, dans les grands échantillons de population, il y a un peu plus de garçons que de filles nés. C'est tout à fait normal et est causé par des facteurs génétiques. Ce n'est pas un problème. Tant qu'il y a plus de garçons que de filles, il n'y a pas de limite pratique à la capacité de chaque femelle à se reproduire.
C'est ce qui compte en démographie.
Telle est la réalité : la démographie n'est pas seulement l'un des nombreux facteurs affectant les marchés. La démographie est de loin le facteur dominant.
Je peux tous énumérer les facteurs qui affectent les prix du marché. Ceux-ci incluent les taux d'intérêt, les taux de change, l'inflation, la déflation, les taux directeurs de la banque centrale, les chaînes d'approvisionnement, la géopolitique, les attentes des consommateurs et bien d'autres.
RépondreSupprimerPourtant, aucun de ces éléments n'est aussi important que la démographie, car la démographie concerne les personnes et les économies ne sont rien de plus que la somme totale des actions des individus dans ces économies.
Démographiquement, le Japon est le canari de la mine de charbon. Le Japon a connu de multiples récessions et aucune croissance soutenue depuis plus de trente ans. Cette dépression moderne coïncide avec le fait que le Japon a la société la plus ancienne de toutes les grandes économies.
L'âge médian au Japon aujourd'hui est de 48,6 ans. (L'âge médian d'aujourd'hui aux États-Unis est de 38,5 ans et en Chine, il est de 38,4 ans).
Ces chiffres vont empirer rapidement. En 2050, la médiane japonaise sera de 53 ans. La Chine aura 50 ans et les États-Unis 42 ans. La vieillesse est fortement corrélée avec la maladie d’Alzheimer, la maladie de Parkinson et la démence. Le Japon est déjà une société vieillissante et à croissance lente.
Le reste du monde sera bientôt le Japon. La bombe à retardement démographique a déjà explosé.
Ceux qui s'attendent à ce que l'Afrique subsaharienne compense les faibles taux de natalité dans le monde développé peuvent être déçus de constater que les taux de natalité africains chutent fortement et pourraient bientôt être aussi bas que ceux d'Amérique du Nord et d'Europe occidentale.
Qu'en est-il de la Chine et de l'Inde, avec leurs populations massives ?
Ensemble, ces deux pays ont une population d'environ 2,8 milliards de personnes sur une population mondiale totale d'environ 7,9 milliards de personnes. En d'autres termes, la Chine et l'Inde ont 35% de tous les habitants de la planète. Comme ils vont, ainsi va la population mondiale.
Contrairement à la perception populaire, la population chinoise s'effondre et l'Inde ne connaîtra pas une croissance aussi rapide que beaucoup le pensent et pourrait bientôt amorcer son propre déclin.
Ce phénomène est mondial. Presque toutes les économies développées ont des taux de natalité inférieurs au niveau de remplacement. Les pays avec des taux de natalité plus élevés voient ces taux baisser fortement.
Il existe une convergence mondiale sur des taux de natalité inférieurs à 2,1 même parmi les pays ayant des taux plus élevés aujourd'hui. Qu'est-ce qui motive cette méga-tendance ?
Les trois principaux moteurs sont l'urbanisation, l'éducation et l'émancipation des femmes. Les trois ont un effet amplificateur.
RépondreSupprimerL'effondrement démographique est inévitable; il est déjà intégré aux taux de natalité existants et aux tendances probables. Pourtant, ce n'est pas la fin du monde. Ce ne sera même pas la fin de l'humanité. Mais ce sera la fin d'un paradigme économique de croissance plus élevée, de consommation plus élevée et de production plus élevée qui a prévalu au cours des deux cents dernières années.
Le nouveau paradigme consistera en moins de personnes dans les grandes villes – une forme d'urbanisation sans précédent au-delà de ce que nous savons déjà. Les industries traditionnelles telles que l'automobile seront abandonnées. Les soins de santé en général et les soins aux personnes âgées en particulier vont exploser.
Les opportunités d'investissement ne manqueront pas. Pourtant, les investisseurs devront éviter de nombreux investissements traditionnels qui ont bien performé dans le passé mais qui n'auront que peu ou pas de rôle dans un avenir vieillissant et fortement urbanisé.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/demographic-time-bomb
Nous n'en sommes plus aux siècles derniers ! où chaque personne devait se nourrir. Aujourd'hui, grâce aux machines qui remplacent l'être humain, les productions sont multipliées par 100 ou 1000 ! C'est pourquoi il y a trop de valeurs produites et donc trop d'argent. D'où l'invention quotidienne de nouvelles idées de taxes sur du n'importe quoi ! Après l'eau gratuite qui doit être payée ! et le sol gratuit qui doit être payé pour le fouler voire le travailler !! voici qu'arrive le prix... de l'air et pour après le prix du soleil et du décor que l'on voit gratuitement !!
SupprimerLe réseau électrique devient de plus en plus vulnérable aux pannes catastrophiques
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 03 SEP 2021 - 13:12
Par John Kemp, journaliste et commentateur sur l'énergie de Reuters
Les futurs systèmes électriques doivent être rendus plus résilients
Les coupures de courant prolongées en Louisiane à la suite de l'ouragan Ida rappellent que le réseau électrique doit devenir plus résilient et plus fiable si encore plus de services tels que les véhicules électriques en dépendent à l'avenir.
Le système électrique est déjà directement responsable de la fourniture d'un large éventail de services énergétiques dans les maisons, les bureaux et les usines, y compris le chauffage des locaux, la climatisation, la cuisson, la réfrigération et l'électricité. Le réseau est également au cœur d'un ensemble d'autres systèmes critiques, notamment l'approvisionnement en pétrole et en gaz, l'eau et l'assainissement, les transports, les communications, la sécurité publique et les soins de santé, qui ne peuvent fonctionner correctement sans lui.
À l'avenir, le réseau sera probablement responsable de la fourniture d'encore plus de services énergétiques alors que les décideurs politiques poussent à électrifier de nombreux services restants dans le cadre de la stratégie visant à atteindre des émissions nettes nulles.
Mais dans la précipitation pour électrifier l'ensemble du système énergétique, les décideurs politiques peuvent augmenter par inadvertance la vulnérabilité de l'économie et de la société en cas de panne de courant longue durée.
Plutôt que plusieurs systèmes étroitement liés mais séparés pour l'électricité, le gaz, le pétrole et les transports, il n'y aura à l'avenir de plus en plus qu'un seul système très étroitement intégré, ce qui augmentera sa vulnérabilité aux défaillances catastrophiques.
Le risque créé par la connexion de systèmes autrefois séparés en un système central sujet à un point de défaillance unique est compris depuis des décennies (« Brittle power : energy strategy for national security », Lovins, 1982). En particulier, plus les systèmes sont étroitement couplés, plus grand est le risque qu'un problème imprévu dans une partie puisse se répercuter sur l'ensemble (« Accidents normaux : vivre avec des technologies à haut risque », Perrow, 1999).
À l'heure actuelle, les coupures de courant rendent certains services indisponibles (éclairage, électricité), mais les ménages et les entreprises peuvent être en mesure d'en utiliser d'autres (chauffage au gaz, véhicules à essence). À l'avenir, les pannes pourraient perturber sensiblement tous les services énergétiques.
RÉSILIENCE DU RÉSEAU
Les décideurs devront accorder plus d'attention à la fiabilité du système électrique, en minimisant le risque de pannes, généralement en s'assurant qu'une production suffisante est disponible et que le système peut absorber les chocs. Mais même dans un système bien géré, certaines pannes sont inévitables, de sorte que les décideurs devront également accorder plus d'attention à la résilience, en veillant à ce qu'en cas de défaillance, le système se rétablisse rapidement et que les conséquences néfastes soient minimisées.
« Renforcer la résilience du système électrique du pays » était au centre d'une étude de recherche majeure publiée par les National Academies of Sciences, Engineering and Medicine des États-Unis en 2017.
Les chercheurs ont identifié un éventail de menaces, notamment les cyberattaques, la sécheresse, les tremblements de terre, les inondations, les ouragans, les tempêtes de verglas, les erreurs opérationnelles, les attaques physiques, les tornades, la météo spatiale, les tsunamis, les éruptions volcaniques et les incendies de forêt. La plupart des interruptions de l'électricité sont généralement localisées, ne durent que quelques heures, et les résultats sont généralement gênants plutôt que critiques.
RépondreSupprimerLes utilisateurs d'électricité ayant des besoins critiques, tels que les hôpitaux, les postes de police et les centrales nucléaires, se préparent aux interruptions temporaires en installant des batteries ou des générateurs diesel.
Malgré cela, 1 % des générateurs diesel des centrales nucléaires ne démarrent pas à la demande et 15 % tombent en panne après 24 heures de fonctionnement continu. Les générateurs d'hôpitaux ne démarrent pas 10 % du temps. Les générateurs domestiques sont encore moins fiables.
Mais les interruptions de service électrique de longue durée et de grande envergure se produisent beaucoup plus fréquemment que la plupart des utilisateurs ne le pensent, avec des conséquences beaucoup plus graves.
PANNES MASSIVES
Au cours des 40 dernières années, l'Amérique du Nord a connu une série de pannes importantes qui ont interrompu le service d'au moins 10 000 mégawatts de charge client, l'équivalent de la totalité de la demande d'électricité de pointe de la ville de New York.
Les pannes majeures ont inclus la panne d'électricité du Nord-Est en août 2003 (70 000 MW de perte de charge client), la panne de courant sur la côte ouest en août 1996 (33 000 MW), la tempête géomagnétique du Québec en mars 1989 (20 000 MW), la tempête de verglas États-Unis/Canada en janvier 1998 (19 000 MW) et Superstorm Sandy en octobre 2012 (20 000 MW). À la suite de pannes de courant à grande échelle, de nombreux clients ont été rétablis en quelques heures ou un jour ou deux, mais certains clients sont sans électricité depuis un mois ou plus.
Lors de la tempête de verglas de janvier 1998, trois des quatre principales lignes de transport d'électricité de la région de Montréal sont tombées en panne et une grande partie de la ville a perdu son approvisionnement en eau après que son usine de filtration et ses stations de pompage n'ont été alimentées.
Les autorités ont envisagé d'évacuer la ville ou de déplacer les résidents vers des installations comme le stade olympique. Les perturbations se sont répercutées dans les chaînes d'approvisionnement alimentaire, les transports, les communications et d'autres activités économiques
Les autorités ont envisagé d'évacuer la ville ou de déplacer les résidents vers des installations comme le stade olympique. Les perturbations se sont répercutées sur les chaînes d'approvisionnement alimentaire, les transports, les communications et d'autres activités économiques pendant des semaines.
Dans la région de la rive sud, connue sous le nom de « triangle des ténèbres », le courant est resté coupé pendant deux à trois semaines. Les épiceries étaient incapables d'ouvrir ou manquaient de produits de première nécessité, les stations-service manquaient (ou étaient incapables de pomper) de carburant et les services de transport de base étaient irréguliers.
RépondreSupprimerEn dehors de l'Amérique du Nord, le centre-ville d'Auckland, en Nouvelle-Zélande, a perdu presque tout service de réseau pendant cinq semaines à l'été 1998, lorsque les quatre principaux câbles desservant la région ont rapidement échoué.
Les pannes massives de réseau électrique sont inconfortablement courantes et peuvent laisser des centaines de milliers, voire des millions de clients sans service électrique pendant des semaines. Les conséquences deviendront encore plus graves à l'avenir si de plus en plus de services énergétiques sont transférés d'autres systèmes (tels que l'essence, le diesel et le gaz naturel) vers le réseau électrique.
Les décideurs politiques, les régulateurs et les services publics doivent donc se concentrer sur l'amélioration de la fiabilité et de la résilience en même temps que l'électrification et la décarbonisation afin de minimiser la menace de défaillance catastrophique.
INVESTISSEMENT DANS LE RÉSEAU
La fiabilité et la résilience ne sont pas les mêmes, bien qu'elles soient souvent étroitement associées, et l'étude des National Academies a souligné la nécessité de se concentrer davantage sur les questions de résilience dans la planification des services publics.
Les pannes survenues lors du grand gel au Texas en février 2021 et dans le nord-est des États-Unis en août 2003 étaient principalement des défaillances de fiabilité, causées par une mauvaise gestion de la production. Mais la panne de courant prolongée attendue en Louisiane et la tempête de verglas au Québec étaient principalement des défaillances de résilience.
Les défaillances de fiabilité et de résilience sont toutes deux des événements à faible fréquence et à fort impact, qui nécessitent des investissements coûteux pour réduire les conséquences attendues, ce qui rend difficile la mise en place d'un support.
Le renforcement de la résilience nécessite souvent de renforcer les systèmes de transmission et de distribution en enterrant les câbles, en remplaçant les poteaux en bois par des poteaux en béton, en renforçant les tours, en stockant des transformateurs de remplacement et en élevant les sous-stations au-dessus des niveaux d'inondation potentiels.
Plus généralement, les systèmes électriques doivent intégrer une capacité de réserve et une redondance suffisantes pour les rendre plus fiables et plus résilients en cas de défaillance d'un ou plusieurs composants.
Différents clients peuvent attribuer des valeurs différentes à la fiabilité et à la résilience en fonction de leur situation et de la durée de l'interruption de service, ce qui rend la recherche d'un consensus encore plus difficile.
Par exemple, les hôpitaux et les raffineries de pétrole peuvent accorder une plus grande valeur à un hiver ininterrompu qu'un client résidentiel disposant d'un générateur de secours. Les courtes interruptions peuvent être tolérables tandis que les longues sont inacceptables.
RépondreSupprimerLes fournisseurs d'électricité ont souvent du mal à convaincre les régulateurs et les clients de la nécessité d'augmenter les factures, sauf immédiatement après une panne majeure, alors qu'il peut y avoir une fenêtre étroite pour obtenir le financement des changements.
Mais si davantage de services énergétiques doivent être transférés sur le réseau, il faudra investir beaucoup plus dans sa modernisation afin de réduire la probabilité de défaillance et de garantir un rétablissement rapide du service.
https://www.zerohedge.com/energy/electrical-grid-becoming-increasingly-vulnerable-catastrophic-failure
Alors que le progrès doit apporter une amélioration aux outils du passé, l'on se retrouve bientôt à vivre comme au temps des cavernes et flintstones !
SupprimerLes lignes d'approvisionnement mondiales s'effondrent alors que les usines sont confrontées à des pénuries de main-d'œuvre et de matériaux
RépondreSupprimerVendredi 03 septembre 2021
par : Ethan Huff
(Natural News) Juste un jour après que les données du produit intérieur brut (PIB) aient montré une croissance substantielle de la fabrication au premier trimestre de l'exercice en cours, les usines du monde entier ont signalé que les lignes d'approvisionnement mondiales continuaient de s'effondrer.
La société de données HIS Markit a publié les résultats d'une nouvelle enquête qui a révélé que les calendriers de production, de livraison et de distribution ont continué d'être perturbés tout au long du mois d'août, le tout en raison des restrictions du gouvernement sur le coronavirus de Wuhan (Covid-19).
Les problèmes logistiques affligent de nombreuses entreprises alors qu'elles luttent pour maintenir leurs stocks, sans parler d'une main-d'œuvre fiable. C'est vraiment devenu un marché de vente pour les produits dont de nombreuses usines ont besoin pour continuer à faire des affaires, ce qui contribue à l'inflation.
Dans la zone euro, l'activité manufacturière reste soutenue. Cependant, la fabrication finale dans l'indice des directeurs d'achat (PMI) aurait chuté à 61,4 en août, une "fraction" en dessous de son estimation "flash" précédente de 61,5. En juillet, le PMI manufacturier était de 62,8.
"Malgré les bons chiffres du PMI, nous pensons que les problèmes persistants du côté de l'offre et les pressions liées aux prix à la production pourraient prendre plus de temps à résoudre que prévu, augmentant le risque de baisse de nos prévisions", a annoncé Mateusz Urban d'Oxford Economics.
Les Pays-Bas enregistrent les plus fortes améliorations dans le secteur manufacturier
Selon les données, les Pays-Bas ont surclassé tous les autres pays en termes d'améliorations les plus marquées des conditions des affaires manufacturières, malgré le ralentissement de leur croissance à son plus bas niveau en cinq mois.
L'Allemagne, l'Irlande, l'Autriche et la France ont également fait assez bien, mais pas aussi bien que les Pays-Bas.
La Grèce aurait enregistré la lecture la plus élevée de son PMI manufacturier depuis avril 2000, tandis que l'Espagne et l'Italie ont toutes deux signalé des expansions accélérées de la même manière qui suggèrent des améliorations modestes.
La Grande-Bretagne a également connu une certaine amélioration de la production dans son secteur manufacturier malgré un affaiblissement au cours des six derniers mois.
Aux États-Unis, les données sont sur le point de baisser sur les conditions ici. Il y a de fortes chances qu'ils soient au mieux modestes, sinon pires. C'est la situation en Chine, où l'activité des usines s'est contractée en août en raison de goulots d'étranglement d'approvisionnement, des mesures de confinement du virus chinois et des prix élevés des matières premières.
L'indice PMI manufacturier chinois Caixin / Markit est tombé à 49,2 en août, contre 50,3 en juillet. Il a officiellement franchi la barre des 50, indiquant une contraction plutôt qu'une croissance.
Le Japon, la Corée du Sud et Taïwan ont également vu leur activité manufacturière se développer à un rythme plus lent, ce qui suggère que les pénuries de puces et les fermetures d'usines pourraient retarder une reprise durable après la crise induite par la pandémie.
Le Canada a vu son économie se contracter au dernier trimestre, tandis que l'Australie a enregistré une croissance plus lente au deuxième trimestre. Presque tout le monde dans le monde boitille encore à cause de toute la tyrannie du coronavirus de Wuhan (Covid-19).
RépondreSupprimer"Le problème primordial était encore une fois un manque de composants, cependant, les fournisseurs étant soit incapables de produire suffisamment de pièces, soit confrontés à un manque de capacité d'expédition pour répondre à la demande logistique", a annoncé Chris Williamson, économiste en chef chez HIS Markit, à propos de l'activité économique. dans la zone euro.
"Ces problèmes d'approvisionnement ont été la principale cause d'un déficit de la production manufacturière par rapport à des ordres de grandeur non enregistrés auparavant par l'enquête, dépassant le déficit record de 24 ans enregistré en juillet."
L'approvisionnement alimentaire est également en difficulté, ce qui entraîne des prix alimentaires élevés et des pénuries d'approvisionnement pour certains produits.
Pour aider à augmenter la production, les entreprises embauchent autant de personnes que possible dans leur main-d'œuvre. Cependant, il semble qu'il y ait plus de demande de travailleurs que d'offre, ce qui exerce une pression supplémentaire sur le système.
« C'est ainsi que fonctionne le communisme », a écrit un commentateur d'Epoch Times. "Les choses vont très certainement empirer et c'est par dessein."
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Les sources de cet article incluent :
TheEpochTimes.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2021-09-03-global-supply-lines-collapsing-factory-shortages-materials.html