« L’état Français n’existe plus », Dr Valérie Bugault
Publié par Aphadolie 20/08/2021
Claire et limpide comme d’habitude, Valérie Bugault éclaire les eaux glauques dans lesquelles s’enfonce notre avenir.
Elle explique comment l’Etat français n’existe plus ; le vide juridique ne pourra pas durer, aussi la dictature s’imposera-t-elle d’elle-même, si la population dans son ensemble ne se réveille pas.
Biographie succincte :
Valérie Bugault est docteur en droit de l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne. A l’occasion de sa thèse portant sur le droit de l’entreprise, elle a élaboré une théorie juridique unifiée, qualifiée « d’iconoclaste », de l’entreprise.
Elle a travaillé comme avocate fiscaliste dans le domaine des prix de transfert ainsi qu’en droit fiscal interne avant de cesser sa carrière d’avocate pour se consacrer à l’analyse des problématiques de géopolitique économique.
Elle a notamment publié, en 2016, sur le site du Saker francophone une série d’études intitulée « décryptage du système économique global », où elle raconte les paradis fiscaux et le système monétaire international. Elle a également co-écrit un livre « Du nouvel esprit des lois et de la monnaie », publié en juin 2017 par Sigest.
Valérie Bugault table sur un assainissement financier et économique de la planète en croyant qu’il est grand temps de sortir de l’état actuel des choses qui favorise les paradis fiscaux.
Observateur Continental a demandé à Valérie Bugault, docteur en droit et analyste de géopolitique juridique de préciser son appel récemment fait à tout le monde mais essentiellement aux forces de l’ordre pour agir et sauver la France et son peuple. Dans cette qualité de docteur en droit, elle a créé une théorie unifiée de l’entreprise, laquelle reprend et réactualise les fondamentaux théoriques de la « participation », jamais mise en œuvre en France à ce jour. Ancienne avocate fiscaliste, en omission depuis 2009, reconvertie, dès cette époque, dans la géopolitique juridique, elle considère que c’est un sujet essentiel et trop longtemps passé sous silence qui va, dans les années qui viennent, reprendre la place fondamentale qui est la sienne dans les analyses de politique et géopolitique.
Part 1 : « De facto, l’Etat Français n’existe plus »
Est-ce que votre appel signifie que nous sommes en Troisième Guerre mondiale ?
Valérie Bugault : On pourrait présenter les choses comme cela mais il faut alors immédiatement préciser qu’il s’agit d’une Guerre d’une nature nouvelle. Cette guerre n’est pas menée militairement par un ou des Etats contre un ou plusieurs autres Etats. Cette guerre est conduite, au sein même de chacun des Etats, par une oligarchie compradore accapareuse – elle-même menée par le modèle défini par les dirigeants globalistes de la City of London (mélange de banques globales, de multinationales à leurs ordres sous anonymat, d’anciennes familles régnantes et de grands industriels ralliés à la banque) – contre les populations desdits Etats. Il faut immédiatement ajouter, à des fins de clarté du débat, que les populations constituent, en elles-mêmes, historiquement le concept d’Etat ; c’est-à-dire que les populations sont intrinsèquement les éléments constitutifs de la notion politique d’Etat. Il en résulte qu’un Etat accaparé par une caste compradore n’est, du point de vue juridique et institutionnel, qu’une coquille vide, un détournement de la notion d’Etat, en d’autres termes, un « abus de droit public international ».
Comment interprétez-vous la déclaration d’Emmanuel Macron : « Nous sommes en guerre, sanitaire, certes » ?
Valérie Bugault : Cette déclaration de Macron, en tant que président de la République, ne saurait être anodine. La suite des évènements a démontré que cette déclaration avait pour objectif de lancer les grandes manœuvres politico-sanitaires de type militaire contre les institutions françaises et contre la population française. Le Comité de Défense sanitaire, qui tient désormais lieu de « pouvoir exécutif », ne repose sur aucune base juridique satisfaisante et ne dispose d’aucune légitimité politique. De facto, l’Etat Français n’existe plus : les institutions officielles, sur lesquelles l’Etat français reposait tant au niveau de sa légitimité politique interne qu’à celui de sa reconnaissance internationale, sont suspendues.
Il doit aujourd’hui être acté au niveau international que l’Etat français n’est plus valide en raison de la modification d’identité (droit public international) qui s’est produite en dehors de tout processus juridique et politique valide. La conclusion logique est que la France est désormais irrémédiablement entrée dans une phase de transition politique et géopolitique.
Selon cette logique, les traités signés par la République française – qui doit désormais être qualifiée d’ancien régime – se trouvent eux-mêmes dans une situation problématique. Les engagements internationaux de la feu République française sont dans une situation de vide juridique.
Stricto sensu, l’État français n’existant désormais plus ; les engagements juridiques internationaux de la République française devront être examinés, au cas par cas, par les nouvelles institutions juridiques qui remplaceront dans un futur indéterminé, la défunte République française. Notons dès à présent que cette reconnaissance des traités internationaux ne pourra valablement être entreprise que lorsque les nouvelles institutions politiques françaises seront validées par une légitimité politique interne indiscutable. On est encore loin de cette nouvelle réalité politique…
A cet égard, les Français devront être très vigilants et trouver les moyens de se prémunir contre toute ingérence (au cours du processus transitionnel) par des individus représentants de façon occulte (services secrets non identifiés, représentants de tout type de groupuscule occulte ou secret), l’ancien régime républicain.
De qui est quoi est constitué ce contrôle globaliste qui commande aujourd’hui la France ?
Valérie Bugault : Il est constitué par la prise de contrôle, au niveau mondial – via le contrôle du système économique global – de :
– La force de travail des individus.
– Des ressources matérielles et financières par les multinationales et les grandes banques globalistes.
– Des systèmes politiques via le « parlementarisme » (prétendument représentatif), lequel repose sur la captation de la vie politique par les partis politiques qui dépendent de leurs fournisseurs de capitaux.
Cette prise de contrôle mondiale opère à partir des armes développées par l’empire britannique que sont le droit anglo-saxon (y compris le concept de soft law) et le système des banques centrales. Anonymat et secret (notamment des affaires, mais aussi d’Etat…) ont été de puissants moyens pour accroître, en toute discrétion et impunité, leur accaparement des richesses et du pouvoir. Au-delà de ces armes de pointes, les globalistes en ont développé de nouvelles : à savoir les institutions internationales dont ils ont, initialement ou au fil du temps, pris le contrôle plus ou moins officiellement : Onu (accompagnée de sa multitude d’agences qui se sont octroyé une compétence sur toutes les thématiques de la vie), OMC, OMS, OCDE, FMI, Banque des règlements internationaux, Banque mondiale, Club de Rome, Davos, Bilderberg, Union Européenne…
Quelle est cette organisation qui est derrière les armées secrètes de l’Otan ?
Valérie Bugault : Les armées secrètes de l’Otan ont été parfaitement renseignées par l’universitaire suisse Daniele Ganser, qui a fait un remarquable et difficile travail d’investigation et de synthèse. Je vous renvoie à ses nombreux travaux sur le sujet : livre réédité, (« Les armées secrètes de l’Otan »), très nombreuses conférences que tout un chacun peut retrouver, écouter et visualiser sur YouTube notamment. Ces armées secrètes ont été organisées dès la Seconde Guerre mondiale afin de lutter contre Staline mais leur mission première était, à l’image de son instigateur Allan Dulles, d’être mise au service exclusif des multinationales et des banques globalistes qui opéraient, à l’époque, à partir de l’empire américain. Cette superstructure opaque s’est développée en toute indépendance vis-à-vis des Etats membres de l’Otan tout en disposant de la capacité de ponctionner, en secret, dans les ressources de l’Otan. Cette organisation occulte s’est, en particulier, spécialisée dans les attentats sous faux drapeaux (False flag / Opérations sous fausse bannière). Encore une fois, je renvoie les lecteurs intéressés à en savoir plus aux formidables travaux de Daniele Ganser.
Part 2 : « La dictature est clairement revendiquée »
De quelles unités sont constituées ces forces armées secrètes de l’Otan ? Comment agit ce fonctionnement secret ?
Valérie Bugault : Je ne saurais vous le dire précisément. Le mieux placé pour en parler est Daniele Ganser.
Il importe toutefois de préciser que cette structure, dénommée « Stay Behind » (Réseau Gladio en Italie, réseau Arc-en-ciel en France…) n’a pu se développer que dans le secret et l’anonymat, ce qui signifie qu’on la détecte davantage à ses effets que par sa cause, qui serait la connaissance précise de son fonctionnement interne.
Loin d’être une spécialiste du « Stay Behind », j’estime tout à fait indispensable d’attirer l’attention des Français sur l’existence de ces forces armées, anciennes et occultes, développées en toute indépendance de la hiérarchie militaire officielle tant au niveau national qu’à celui de l’OTAN.
J’ajoute qu’il est probable que les armées de mercenaires internationaux, retrouvés en Syrie et ailleurs sur la planète, financées par les globalistes et dument entrainées, sont parties prenantes à cette structure opaque regroupée sous le terme des « armées secrètes de l’OTAN ».
Avez-vous des exemples ?
Valérie Bugault : Le juge italien, aujourd’hui décédé, Ferdinando Imposimato a donné de nombreux détails sur les connexions de ce « Réseau Gladio » (dénomination italienne) avec la « Loge P2 », le groupe Bilderberg et de multiples personnalités politiques :
Valérie Bugault : J’ai identifié ces « forces globalistes », via les méthodes qu’ils utilisent et les moyens dont ils disposent dans mon ouvrage « Les raisons cachées du désordre mondial », auquel je renvoie vos lecteurs. Il s’agit d’une petite caste d’individus coalisés (banquiers, grands industriels et représentants de familles régnantes) ayant œuvré à partir de la City of London pour établir un gouvernement mondial uniformisé sur toute la planète. Leur objectif, après avoir réduit drastiquement la population mondiale et renouvelé le principe normatif, est d’établir officiellement un Gouvernement mondial dans le contexte où ils ont déjà, de facto, pris le contrôle officieux de la plupart des pays du monde. Partis d’Europe, ces individus ont travestis tous les fondamentaux de notre civilisation européenne afin d’imposer des normes de nature commerciale, via le droit anglo-saxon tel qu’il s’est développé depuis 1531. Ils envisagent l’établissement d’un contrôle total sur les particuliers, lesquels seront dès lors dépourvus de libre-arbitre. Ce contrôle total est aujourd’hui clairement identifié par « la fusion des identités physiques, biologiques et numériques » revendiquée par Klaus Schwab, lui-même en tant que porte-voix mondial (héraut) de ce mouvement globaliste.
Avez-vous des informations (preuves) précises pour dire : « Ces forces-là sont en phase de prendre bientôt le contrôle officielle et apparent de nos États ? »
Valérie Bugault : Il faut commencer par préciser que la France n’existe officiellement plus depuis que ses institutions officielles ont été mises en suspens par l’arrivée d’un Conseil de Défense sanitaire sans base juridique, a-constitutionnel et a-politique. Cette suspension des institutions étatiques et leur détournement (lequel constitue un « abus de droit international public ») par un Conseil de Défense, dépourvu d’assise juridique sérieuse et politiquement illégitime, est la manifestation éclatante du fait que les forces globalistes sont en train de prendre le contrôle officiel des Etats.
Qu’est-ce qui nous attend quand vous déclarez : « Sous forme d’une dictature terrible ? »
Valérie Bugault : La dictature est clairement revendiquée par les forces occultes globalistes : réduction drastique de la population mondiale assortie d’un contrôle intégral des corps et des esprits des rares âmes qui resteront, certes à l’état de zombies (disparition totale du libre-arbitre), sur cette Terre. Il suffit de lire ce qu’explique Klaus Schwab dans son livre… tout y est expliqué. Ce programme ne faisant que confirmer les multiples prédictions du héraut globaliste Attali, qui clame haut et fort depuis quarante ans le projet d’évolution (il s’agit en réalité d’un projet d’involution) politique, économique et sociale de nos Sociétés. Le programme est également expliqué noir sur blanc sur les Georgia Guidestones. Cette caste utilise et subvertit toutes les préoccupations légitimes des particuliers, telle que la préservation de l’environnement, les inquiétudes sur le climat et la santé (…), afin de les transformer en « faisceaux laser » destinés à servir leurs intérêts, c’est-à-dire leur objectif d’établissement d’un gouvernement mondial dont ils auront le contrôle exclusif.
Depuis quand la 5 ème République est morte ?
Valérie Bugault : La 5ème République est morte, bien qu’encore un temps sous assistance respiratoire, dès l’arrivée du Traité de Maastricht, qui a vu une première scandaleuse salve de réformes de la Constitution ; mais plus encore et de façon radicale avec la mise en œuvre de l’euro et des Traités d’Amsterdam et de Lisbonne. Ces très nombreuses réformes, qui ont eu pour vocation d’intégrer, de force, la France dans l’ordre fédéral européen, lequel est destiné à être partie prenante du futur gouvernement mondial, ont totalement dénaturé la finalité, l’équilibre institutionnel et la vocation de la Constitution de 1958. Depuis lors, il ne faut pas s’y tromper, le gouvernement, identifié et responsable s’est transformé en « gouvernance » informe dénuée de tout pouvoir politique réel et surtout de toute responsabilité.
Toutefois, à bien y réfléchir, la première très grave dénaturation de la Constitution de 1958 a été initiée par Giscard d’Estaing qui a souhaité « rationnaliser le parlementarisme » en modifiant le mode de saisine du Conseil Constitutionnel. Par « rationaliser le parlementarisme », il faut comprendre resserrer la tutelle des « élus du peuple » par un organisme politique chargé de valider, ce qui se conçoit comme un pouvoir de censure, la prétendue « volonté populaire ». A partir de 1974, le peuple n’est de facto plus souverain puisqu’il dépend, il est légalement et administrativement mis sous la tutelle, d’un organisme politique chargé de le contrôler. Cette Réforme a, fondamentalement, opéré un changement de régime politique car désormais la fiction du « peuple souverain » apparaît pour ce qu’elle est réellement depuis le début : une pure imposture politique.
Rappelons que Giscard fut la cheville ouvrière de la subversion du système monétaire français instauré à la fin de la Seconde Guerre mondiale (le circuit du Trésor, autofinancement des dépenses de l’Etat par l’Etat lui-même). Il fut aussi l’un des principaux rédacteurs de la Constitution européenne, bientôt transformée en Traité de Lisbonne. Giscard était un parfait représentant de la synarchie, c’est-à-dire de l’oligarchie française compradore qui a, depuis le 19ème siècle, pris de contrôle des institutions françaises, avec la parenthèse salutaire, la brèche, du CNR. Il faut comprendre que les institutions temporairement imposées par le CNR au sortir de la Seconde Guerre mondiale constituent une rare anomalie de l’Histoire moderne de la France, un sursaut historique de la France millénaire.
Part 3 : Par quel système est, donc, administré la France aujourd’hui ?
Valérie Bugault : Depuis l’intervention du Conseil de Défense sanitaire, la France n’est administrée par aucune institution internationalement reconnue car, je le répète, ce Conseil de Défense n’a aucune assise juridique et aucune légitimité politique. Toutefois, dès avant cette escroquerie politique cachée sous des oripeaux sanitaires, la France était administrée, depuis la disparition du Général De Gaulle et plus encore depuis Maastricht, par les puissances financières qui ont été à l’initiative de la construction des institutions européennes, lesquelles sont – elles aussi – une pure escroquerie politique (une de plus…).
D’escroquerie en imposture, d’accaparement en irresponsabilité, nous nous dirigeons d’un pas ferme vers le néant civilisationnel, en un mot, vers l’enfer terrestre…
Quel est le rôle historique des forces de l’ordre et de l’armée aujourd’hui ?
Valérie Bugault : Les forces de l’ordre qu’elles soient civiles ou militaires doivent, avant toute chose, comprendre la situation de néant institutionnel dans laquelle les forces financières globalistes ont plongé la France. Notre pays a, dès les années 70 du siècle dernier, été économiquement et financièrement « ciblé » par les forces politiques internes totalement compradores mises au service de cette haute mafia globaliste menée de main de maître par les tenanciers de la City of London.
Force de l’ordre ou simples civils, tous les Français sont maintenant mis face à leur destin collectif. Chaque Français doit, individuellement, prendre sa part de responsabilité politique afin de permettre un destin, autre que la mort ou l’esclavage, aux générations à venir. L’heure des choix individuels et collectifs a sonné… l’avenir sera celui que nous en ferons.
Il reste qu’il ne faut surtout pas sous-estimer l’ennemi, qui a plus d’un tour dans son sac. Acculé, il va être capable du pire, y compris en utilisant la vieille méthode des attentats sous faux drapeaux pour imposer une loi martiale qui leur soit dédiée, ou encore l’autre vieille méthode consistant à user de mercenaires (il faut ici comprendre le terme de mercenaires comme réunissant à la fois les pirates et les corsaires puisque les Etats, coquilles vides, ont été captés par des intérêts privés de type mafieux) et d’armes létales contre les populations civiles.
Quelles sont ces grandes puissances qui « mangent sur le dos » de la France ?
Valérie Bugault : Tous les pays qui sont restés (contre vents et marées des attaques menées par les multinationales contrôlées par les banquiers globalistes) des « Etats politiques » dignes de ce nom souhaitent dépecer la France ! Ce malheureux pays, attaqué de longue date par les globalistes, a été donné en pâture par ses forces internes compradores, à tous les prétendants : chacun n’a qu’à se servir, untel achète les aéroports, tel autre se dispute les concessions autoroutières…
Le démantèlement de la France est acquis : non seulement ses actifs industriels (Alstom…), mais aussi les biens personnels de ses ressortissants (disparition de la propriété privée des Français, rappelons-nous le Traité signé avec le Qatar par N. Sarkozy qui permettait aux qataris d’acquérir des biens immobiliers en franchise d’impôts pendant que les impôts fonciers français de tous ordres, tant nationaux que locaux en passant par les successions, ne cessaient eux d’augmenter), la liquidation des services publics et enfin le démembrement du territoire sous l’effet des injonctions fédératrices bruxelloises.
Il est également loisible d’imaginer que la France sera le dindon de la farce financière dans le jeu du paiement des dommages de guerres suite à la violente attaque des mercenaires infligée, des années durant, à la malheureuse Syrie. N’oublions jamais qu’un « sinistre » français des affaires étrangères, à savoir Laurent Fabius (le même qui vient, au titre de sa présidence du Conseil Constitutionnel, de valider l’ignominieuse loi imposant un Pass sanitaire à la population française), avait publiquement exprimé « qu’Al Nosra avait fait du bon boulot » en Syrie. Ce genre de déclamation politique ne saurait en aucune façon rester sans conséquence sur la scène internationale… qu’on se le tienne pour dit ! Par ailleurs, il faut considérer que les véritables protagonistes seront trop heureux de se délester du fardeau du paiement de la dette de guerre sur le dos des Français…
Enfin, n’oublions pas que les globalistes nous font ployer depuis de nombreuses années, mais avec une sensible accélération depuis la crise covidienne, sous le poids d’une dette aussi illégitime qu’elle n’est pas remboursable. L’argent privatisé par la mafia globaliste ne doit, selon eux, aller qu’à la mafia globaliste…
Voici un bref aperçu de l’avenir financier, social et politique qui est promis aux Français…
D’où sortez-vous que la France est certainement menacée d’un démantèlement de son territoire ?
Valérie Bugault : Chacun devrait se souvenir du Traité d’Aix-la-Chapelle ignominieusement signé le 22 janvier 2019 par ce qui sert de Président à la France.
Quoiqu’il en soit, le démantèlement du territoire fut, dès le départ, le but ultime de la décentralisation initiée et confortée par les présidents successifs de la France. Ce démantèlement est écrit, entre les lignes, et découle de la volonté fédéraliste des tenanciers du l’UE. Je m’empresse d’ajouter que le personnel politique français est intégralement partie prenante des tenanciers des institutions européennes ; ce qu’oublient bien souvent de préciser les partisans du Frexit. N’oublions pas non plus qu’un des vœux les plus chers à Macron est de partager avec l’Allemagne (elle-même plus que l’ombre d’un pays digne de ce nom) le siège français au conseil de sécurité de l’Onu.
Valérie Bugault : Nous assistons à une mise en suspension de nos institutions nationales officielles ! Ce qui doit être acté, au plus tôt, au niveau international afin de permettre aux français de mettre eux-mêmes en place leurs institutions de remplacement : il s’agit du donner un sens réel au droit à l’autodétermination des peuples claironné par l’Onu.
Au-delà de la conjoncture actuelle, le coup d’Etat est larvé depuis de nombreuses années, il consiste, pour les globalistes, à liquider les concepts d’Etat et de droit continental afin de les remplacer par ceux d’entreprise et de règlementation sur le modèle, déviant ou subversif (comme vous préférez), anglo-saxon. Ce coup d’Etat a pris, en Europe, la forme des institutions européennes (actuelle UE) ; la première planche visible du cercueil de la France ayant été la signature du Traité de Maastricht, lequel a suivi l’Acte Unique européen, qui lui avait préparé la voie !
Pr Didier Raoult reste à la tête de l'IHU Marseille encore une année supplémentaire, c'est acté, Le nouveau directeur de l’AP-HM François Crémieux voulait son départ cette année, c'est le Pr Raoult qui a eu le dernier mot ✊ @raoult_didier
Les théoriciens du complot avaient raison ; C'EST un "Poison-Death Shot"
Par Mike Whitney La revue Unz 18 septembre 2021
« Je vais faire une autre expérience mentale avec vous : si tout le monde sur la planète attrapait Covid et ne se faisait pas soigner, le taux de mortalité dans le monde serait inférieur à un demi pour cent. Je ne préconise pas cela, car 35 millions de personnes mourraient. Cependant, si nous suivons les conseils de certains des dirigeants mondiaux – comme Bill Gates qui a déclaré l'année dernière que « 7 milliards de personnes doivent être vaccinées » – alors le taux de mortalité dépassera les 2 milliards de personnes ! ALORS, RÉVEILLEZ-VOUS ! C'EST LA 3ème GUERRE MONDIALE ! Nous assistons à un niveau de malveillance que nous n'avons pas vu dans l'histoire de l'humanité ! Dr Vladimir Zelenko, auteur du protocole Zelenko « Early Treatment » qui a sauvé des milliers de patients atteints de Covid-19. (« Zelenko scolarise le tribunal rabbinique », Rumble ; début à 11:45 minutes)
Les régulateurs de la FDA savaient-ils que tous les vaccins précédents contre le coronavirus avaient échoué dans les essais sur les animaux et que les animaux vaccinés étaient soit gravement malades, soit morts ?
Oui, ils ont.
Savaient-ils que les vaccins précédents contre le coronavirus avaient tendance à « améliorer l'infection » et « aggraver la maladie » ?
Oui.
Le Dr Anthony Fauci savait-il que les vaccins contre le coronavirus avaient échoué à plusieurs reprises et augmenté la gravité de l'infection ?
Oui il savait. (Voir ici : Fauci sur ADE)
Les sociétés pharmaceutiques ont-elles mené des essais sur des animaux avant l'approbation de la FDA qui auraient convaincu une personne raisonnable que les vaccins pouvaient être utilisés sans danger sur les humains ?
Non, ils ne l'ont pas fait.
Ont-ils terminé des essais cliniques à long terme pour établir si les vaccins étaient sûrs ?
Non, il n'y a pas eu d'essais cliniques à long terme.
Ont-ils mené des études de biodistribution qui ont montré où la substance de l'injection va dans le corps ?
Ils l'ont fait, mais les données n'ont pas été rendues publiques.
Le contenu du vaccin s'accumule-t-il en grande partie dans divers organes et dans la paroi du système vasculaire ?
Oui, ils le font.
De grandes quantités de la substance s'accumulent-elles dans les ovaires ?
Oui.
Cela affectera-t-il la fertilité féminine et la capacité d'une femme à mener un bébé à terme en toute sécurité ?
Les compagnies pharmaceutiques étudient actuellement cela. Les résultats sont inconnus.
Le vaccin pénètre-t-il dans la circulation sanguine et s'accumule-t-il dans la paroi des vaisseaux sanguins, forçant les cellules à produire la protéine de pointe ?
Oui.
La protéine de pointe est-elle un agent pathogène « biologiquement actif » ?
Il est.
La protéine de pointe provoque-t-elle des caillots sanguins et des fuites de vaisseaux sanguins chez un grand pourcentage des personnes vaccinées ?
C'est le cas, bien que les caillots sanguins soient pour la plupart microscopiques et apparaissent dans les capillaires. Seul un petit pourcentage de personnes vaccinées subit un accident vasculaire cérébral ou un arrêt cardiaque.
Les gens devraient-ils être informés de ces mauvais résultats possibles avant d'accepter de se faire vacciner ? (« consentement éclairé »)
Oui.
La FDA savait-elle que Pfizer avait « identifié la maladie améliorée associée au vaccin, y compris la maladie respiratoire améliorée associée au vaccin, comme un risque potentiel important » ?
Oui, ils l'ont fait, mais ils n'ont pas exigé que Pfizer résolve le problème. Voici plus :
« La FDA a noté que Pfizer, « a identifié la maladie améliorée associée au vaccin, y compris la maladie respiratoire améliorée associée au vaccin, comme un risque potentiel important ». L'EMA a également reconnu que "la maladie respiratoire améliorée associée au vaccin" était "un risque potentiel important… qui peut être spécifique à la vaccination contre le COVID-19".
Pourquoi aucun des régulateurs n'a cherché à exclure de tels dangers avant que l'autorisation d'utilisation d'urgence ne soit ouverte question que tous les médecins et patients sont en droit de se poser. Pourquoi les régulateurs médicaux n'ont pas enquêté sur le découvrir que de grosses particules de vaccin traversent les parois des vaisseaux sanguins, pénètrent dans la circulation sanguine et présentent des risques de coagulation du sang et de fuites de vaisseaux est encore une autre question ouverte. » (« Lettre ouverte à l'EMA et au Parlement européen », Doctors for Covid Ethics)
Les sociétés pharmaceutiques ont-elles vacciné les personnes du groupe placebo après les essais cliniques afin de dissimuler la différence dans les résultats de santé à long terme entre les deux groupes ?
C'est la conclusion qu'une personne rationnelle ferait.
Alors, ils ont détruit les essais ?
Oui.
La FDA a-t-elle largement ignoré ses obligations réglementaires et abandonné ses normes et protocoles normaux parce que
a– Il voulait mettre en service les vaccins Covid le plus rapidement possible ? b– Il savait que le vaccin Covid-19 ne respecterait jamais les normes de sécurité à long terme ?
Nous ne le savons pas encore, mais le rapport sur les événements indésirables suggère fortement que le vaccin Covid-19 est de loin le vaccin le plus dangereux de l'histoire.
La FDA se précipite-t-elle sur les « boosters » sans les tests appropriés ?
Oui c'est le cas. Voici un extrait du dernier article de l'auteur Alex Berenson à Substack :
« Pfizer n'a fondamentalement pas pris la peine de tester le rappel DU TOUT chez les personnes réellement à risque - il a mené un seul essai de « phase 1 » qui a couvert 12 personnes de plus de 65 ans. « phases » de la recherche sur les médicaments à la fois, vous le voulez mal, vous l'obtenez mal) n'incluait personne de plus de 55 ans.
Comme dans AUCUN. (« Vous vous moquez de moi, Pfizer, tome 1 gazillion », Alex Berenson, Substack)
Les boosters ont-ils été modifiés ou améliorés pour répondre aux changements de la variante Delta ?
Non.
Y a-t-il un risque supplémentaire à prendre un rappel après avoir déjà pris deux vaccins expérimentaux à base de gènes en moins d'un an ?
Risque considérable. Voici plus de Doctors for Covid Ethics:
« Étant donné que les injections de rappel stimulent à plusieurs reprises la réponse immunitaire à la protéine de pointe, elles stimuleront progressivement l'attaque immunitaire de soi-même, notamment en augmentant les dommages causés par le complément aux parois des vaisseaux.
D'un point de vue clinique, plus la fuite des vaisseaux et la coagulation qui se produisent par la suite sont importantes, plus il est probable que les organes alimentés par le flux sanguin affecté subiront des dommages. De l'accident vasculaire cérébral à la crise cardiaque en passant par la thrombose des veines cérébrales, les symptômes peuvent aller de la mort à des maux de tête, des nausées et des vomissements, qui alimentent tous fortement les réactions indésirables aux vaccins COVID-19.
En plus des dommages causés uniquement par les fuites et la coagulation, il est également possible que le vaccin lui-même puisse s'infiltrer dans les organes et les tissus environnants. Si cela se produit, les cellules de ces organes commenceront elles-mêmes à produire des protéines de pointe et seront attaquées de la même manière que les parois des vaisseaux. On peut s'attendre à ce que des dommages aux principaux organes tels que les poumons, les ovaires, le placenta et le cœur s'ensuivent, avec une gravité et une fréquence croissantes à mesure que les injections de rappel sont déployées. » (« Lettre ouverte à l'EMA et au Parlement européen », Doctors for Covid Ethics)
Donc, c'est le double coup dur. D'une part, le rappel fonctionnera en grande partie comme le vaccin d'origine, pénétrant les cellules et les forçant à produire une protéine de pointe qui, à son tour, génère des caillots sanguins et des fuites de vaisseaux sanguins. Et, d'autre part, les protéines S nouvellement produites déclenchent une réponse immunitaire dommageable dans laquelle le système du complément attaque et détruit les cellules qui tapissent l'intérieur des vaisseaux sanguins. Chaque rappel supplémentaire intensifiera ce processus, affaiblissant le système vasculaire et augmentant la coagulation. Si les médecins ont raison dans leur analyse, nous pourrions alors assister à une forte augmentation de la mortalité toutes causes confondues dans les pays fortement vaccinés en moins d'un an. Les arrêts cardiaques sont déjà en augmentation.
Voici une autre question qui mérite d'être méditée : y avait-il une raison pour que les régulateurs de la FDA pensent que ces problèmes ne se poseraient pas après le lancement de la campagne vaccinale ?
Non. Ils auraient dû savoir qu'il y aurait des problèmes dès qu'ils ont vu que le vaccin ne restait pas dans l'épaule comme il était censé le faire. Le vaccin n'était pas censé pénétrer dans la circulation sanguine et se propager dans tout le corps, laissant des milliards de protéines de pointe dans son sillage. (La protéine de pointe est une cytotoxine, un tueur de cellules. Ce n'est pas un antigène approprié pour stimuler une réponse immunitaire. C'est un agent pathogène potentiellement mortel qui constitue une menace pour la santé même s'il est séparé du virus.) le vaccin censé déclencher l'amélioration dépendante des anticorps (ADE), ce qui est la condition à laquelle nous avons fait allusion ci-dessus en faisant référence à la « maladie améliorée associée au vaccin ». Voici une brève explication :
« L’ADE s’est avéré être un sérieux défi avec les vaccins contre les coronavirus, et c’est la principale raison pour laquelle beaucoup ont échoué dans les premiers essais in vitro ou sur les animaux. Par exemple, les macaques rhésus qui ont été vaccinés avec la protéine Spike du virus du SRAS-CoV ont présenté de graves lésions pulmonaires aiguës lorsqu'ils ont été confrontés au SRAS-CoV, contrairement aux singes non vaccinés. De même, des souris qui ont été immunisées avec l'un des quatre vaccins différents contre le SRAS-CoV ont montré des changements histopathologiques dans les poumons avec une infiltration d'éosinophiles après avoir été confrontées au virus du SRAS-CoV. Cela ne s'est pas produit chez les témoins qui n'avaient pas été vaccinés. Un problème similaire s’est produit lors du développement d’un vaccin contre le FIPV, qui est un coronavirus félin. » (« Le vaccin contre le coronavirus est-il une bombe à retardement ? », Science avec le Dr Doug)
Est-ce ce que nous voyons en ce moment? Dans tous les pays qui ont lancé précocement des campagnes de vaccination de masse (Israël, Islande, Écosse, Gibraltar et Royaume-Uni), les hospitalisations et les décès augmentent plus rapidement dans la partie vaccinée de la population que chez les non vaccinés. Pourquoi?
Connaissent-ils vraiment une quatrième ou une cinquième vague ou les vaccins ont-ils généré des anticorps « renforçant l'inactivité » qui aggravent la maladie ? Cette vidéo de 2 minutes aide à clarifier ce qui se passe :
« Les vaccins sont fabriqués pour une variante spécifique. Et lorsque cette variante mute, le vaccin ne la reconnaît plus. C'est comme si vous voyiez un virus complètement nouveau. Et, parce que c'est le cas, vous obtenez en fait des symptômes plus graves lorsque vous êtes vacciné contre une variante et qu'elle mute, puis votre corps voit l'autre variante. La science montre que si vous vous faites vacciner dans plusieurs années (contre la grippe), vous êtes plus susceptible de contracter une maladie grave, vous êtes plus susceptible d'avoir une réplication virale et vous êtes plus susceptible d'être hospitalisé…. Nous voyons la même chose dans Covid avec la variante Delta. Nous obligeons donc les gens à se faire vacciner alors qu'ils peuvent devenir plus malades lorsqu'ils sont exposés au virus... En fait, cette semaine, un article est sorti qui montrait que - avec la variante Delta - lorsque vous êtes vacciné votre corps est censé fabriquer des anticorps qui neutralisent le virus, mais ils étaient censés neutraliser l'ancienne variante. Quand ils voient cette nouvelle variante, les anticorps prennent le virus et l'aident à infecter les cellules. » ("Témoignage d'expert sur les vaccinations obligatoires", Dr Christina Parks PhD., Rumble, début à la minute 5:05)
Répétez : « Si vous vous faites vacciner dans plusieurs années, vous êtes plus susceptible de contracter une maladie grave, vous êtes plus susceptible d'avoir une réplication virale et vous êtes plus susceptible d'être hospitalisé…. Avec la variante Delta – lorsque vous êtes vacciné …. les anticorps prennent le virus et l'aident à infecter les cellules.
C'est l'ADE, et c'est probablement pourquoi les hospitalisations et les décès augmentent parmi les vaccinés en Israël, au Royaume-Uni et dans les autres. Certes, la variante Delta est moins mortelle que le virus de Wuhan mais, malheureusement, cette règle ne s'applique pas à ceux qui ont été vaccinés et dont les anticorps favorisent l'absorption du virus dans leurs cellules. Cela augmente la fonction de réplication virale qui augmente la gravité de la maladie. Bref, les gens sont de plus en plus malades parce qu'ils ont été vaccinés. Voici une autre courte vidéo qui aide à expliquer:
« … Les anticorps induits par le vaccin résisteront au virus. et une fois qu'un virus est sous pression ; il change, il devient un variant et le variant ne peut pas être arrêté par des anticorps induits par le vaccin. Anticorps induits par le vaccin. arrêtez également votre système immunitaire inné… afin que les variantes puissent passer directement et infecter ceux qui sont vaccinés. C'est l'évasion immunitaire virale, et cela signifie que les vaccinés sont sans défense contre les variantes. Ce n'est plus une pandémie de Covid-19. C’est une pandémie de variantes…
Et il y a ce qu'on appelle la recombinaison, et la recombinaison signifie qu'un hôte vacciné peut être infecté par plus d'une variante à la fois. … Si un hôte vacciné est co-infecté par plus d'un variant, les variants mélangeront l'ADN, changeront et se camoufleront et produiront un super variant. Et si de super variantes sont produites, rien ne pourra les arrêter. Et déjà, ils disent que la dernière variante à sortir est résistante au vaccin. Et ce n'est que le début. Le Dr Geert Vanden Bosche prévient que si nous n'arrêtons pas immédiatement les campagnes de vaccination de masse dans le monde, le monde connaîtra une catastrophe internationale de mortalité massive. Je n'ai pas dit ça, il l'a fait. Les vaccinés sont une menace pour nous tous. (« Evasion immunitaire virale expliquée », Dr Michael McDowell, Rumble)
Ce n'est pas la variante qui intensifie la maladie, c'est le fait que le vaccin cible un point final étroit, la protéine de pointe, qui s'adapte progressivement pour survivre. Au fur et à mesure que le virus apprend à éviter le vaccin, l'immunité induite par le vaccin diminue. L'immunité naturelle produit une immunité large et robuste contre l'ensemble du virus, pas seulement une partie de celui-ci. C'est fort et endurant.
Alors, comment les vaccinés combattront-ils les nouvelles formes de virus, après tout, le vaccin n'est pas un médicament qui domine un agent pathogène particulier. Il s'agit d'une reprogrammation (génétique) subtile du système immunitaire qui force les cellules à produire une version particulière de la protéine de pointe. Les boosters qui stimulent la production de la même protéine n'auront qu'un impact modeste. Bref, les boosters se livrent toujours la dernière guerre.
De plus, comme nous l'avons mentionné ci-dessus, les vaccins contre les coronavirus ont tendance à créer des anticorps qui « améliorent l'infectiosité » lorsqu'ils rencontrent des formes adaptées du virus. Cela signifie que des millions de personnes vaccinées seront désormais confrontées à des formes de virus contre lesquelles elles n'ont presque aucune protection et pour lesquelles leur système immunitaire affaibli ne peut apporter qu'une aide limitée. Voici plus de l'article ci-dessus:
« À l'heure actuelle, le taux de mortalité du virus est estimé à environ 0,26 %, et ce nombre semble baisser car le virus s'atténue naturellement dans la population. Il serait très dommage de vacciner l'ensemble de la population contre un virus avec un taux de mortalité aussi bas, surtout compte tenu du risque considérable présenté par l'ADE. Je pense que le risque de développer un EIM chez un individu vacciné sera bien supérieur à 0,26 % et, par conséquent, le vaccin risque d'aggraver le problème, pas de l'améliorer. Ce serait la plus grosse erreur du siècle de voir le taux de mortalité de ce virus augmenter dans les années à venir en raison de nos efforts bâclés, aléatoires et précipités pour développer un vaccin avec un seuil de test de sécurité aussi bas et la perspective d'un ADE caché. dans l'ombre." (« Le vaccin contre le coronavirus est-il une bombe à retardement ? », Science avec le Dr Doug)
Ce n'était pas une bévue. C'était délibéré. Le vaccin Covid-19 était censé échouer comme tous les vaccins contre le coronavirus avant lui. C'est le but. C'est pourquoi les sociétés pharmaceutiques ont ignoré les tests sur les animaux et les essais d'innocuité à long terme. C'est pourquoi la FDA l'a précipité à travers le processus réglementaire et a supprimé les autres médicaments salvateurs, et a fait taire tous les critiques de la politique, et a poussé à la vaccination universelle quels que soient les risques de coagulation du sang, d'arrêt cardiaque, d'accident vasculaire cérébral et de décès. Et c'est pourquoi le monde est au seuil d'une "catastrophe internationale de mortalité massive". C’est parce que c’est ainsi que la stratégie a été planifiée dès le début.
Le vaccin n'est pas censé fonctionner, il est censé aggraver les choses. Et c'est le cas ! Il a augmenté la susceptibilité de millions de personnes aux maladies graves et à la mort. C'est ce que c'est fait. C'est une arme furtive dans un tout nouveau type de guerre ; une guerre visant à restructurer l'ordre mondial et à établir un contrôle social absolu. Ce sont les vrais objectifs. Cela n'a rien à voir avec les pandémies ou la contagion virale. C'est une question de pouvoir et de politique. C'est tout.
Notre nouvelle normalité : inflation, pauvreté, famine, effondrement économique, fascisme, marxisme, communisme et meurtre
Par Gary D. Barnett 18 septembre 2021
« Tant que le peuple ne se souciera pas d'exercer sa liberté, ceux qui voudront tyranniser le feront ; car les tyrans sont actifs et ardents, et se consacreront au nom d'un certain nombre de dieux, religieux et autres, à mettre des chaînes aux hommes endormis. ~ Voltaire
La crédulité de l'homme, semble-t-il, n'a pas de limites, car si c'était le cas, comment tant de personnes pourraient-elles être si aveugles ? Alors que je réfléchis aux 18 derniers mois environ, il est assez alarmant de comprendre la portée de cette arnaque appelée « pandémie » et comment tout ce pays (et le monde) ont embrassé les mensonges, la tromperie et la tyrannie d'une telle ampleur. Le meurtre de masse aux mains de l'État a déjà commencé, mais avec le déploiement d'injections mortelles et vénéneuses délibérément étiquetées à tort comme « vaccins », le meurtre d'un grand nombre qui est démocide, sera évident parmi toute cette population pour les années à venir. Les auteurs de cette prise de contrôle génocidaire de la société s'en prennent maintenant à tous les enfants et tenteront d'en empoisonner autant que possible avec leurs « vaccins » au cours de cette année et de l'année prochaine.
Seule une nation d'imbéciles lâches et pathétiques permettrait un tel destin abdominal pour leur propre progéniture sans défense. Ce type de comportement indique un manque total d'intellect et une ignorance massive de la réalité. C'est aussi le signe d'une indifférence généralisée, incarnée d'une société malade et immorale.
Ainsi, il semble que la soi-disant « nouvelle normalité » d'un régime totalitaire sur une société semblable à l'esclavage ne soit pas seulement la faute de ceux qui souhaitent nous gouverner, mais plus encore du peuple en général pour avoir permis que cela se produise sans bonne résistance. Blâmer l'ennemi est facile, mais accepter le blâme de soi est évité à tout prix, et cette attitude est encore pire que celle des tyrans. On s'attend à ce que le mal parmi nous qui sommes la classe dirigeante existe, mais le mal de l'apathie de masse ne peut jamais être accepté ou excusé.
Au cours des derniers mois, les citoyens de ce pays ont pleinement acquiescé à la volonté d'un régime totalitaire et, ce faisant, ont mis à nu leurs faiblesses dues à une peur infondée. Beaucoup pensent que le nombre est sûr, mais ce n'est que l'état d'esprit des animaux de troupeau, pas des humains. En permettant volontairement la mort et la destruction d'une partie du troupeau, le reste survit pour vivre un jour de plus, mais lorsque les gens acceptent cette attitude, ils doivent également accepter la mort et la destruction de leur famille, de leurs amis et de leurs voisins comme normaux pour survie. Si tel est le cas, il semble que l'évolution de l'espèce humaine recule, et c'est exactement ce que le collectivisme est censé accomplir.
Avec cela viennent les conséquences de l'inaction, et dans ces circonstances, ces conséquences sont toujours à la discrétion des tyrans. Ce qui s'est passé à ce jour devrait être suffisant pour que quiconque voie la folie d'avoir confiance en un État ou une nation. Ce qui a commencé par des fermetures et des quarantaines, a entraîné des fermetures d'entreprises, des pertes d'emplois, un stress extrême, des perturbations des lignes d'approvisionnement, des pénuries, des prix plus élevés pour les biens et services, (inflation) et bien sûr le chaos économique. Cela a à son tour conduit à beaucoup plus de pauvreté, de désespoir et de famine, préparant le terrain pour la prochaine phase de cette prise de contrôle. À ce moment-là, les gens auraient dû reconnaître la nature totalitaire de ce qui se passait, mais hélas, ils sont restés obéissants et passifs, et ont vu leur monde être décimé.
Pour voir l'écriture sur le mur, il faut rechercher et accepter la vérité, quel que soit le risque que cela comporte. Éviter la vérité au profit de se cacher de la réalité, en espérant que quelqu'un d'autre "répare" les choses, est exactement ce que tous les dirigeants tyranniques recherchent dans les populations qu'ils tentent de contrôler. J'ai exprimé l'opinion que le moment de ce coup d'État était entièrement basé sur le fait que la classe de maître savait que la population en général était trop effrayée, trop dépendante et trop apathique pour lutter contre cet autoritarisme dictatorial qui avait été planifié pour décennies. Le moment choisi était le génie, car les masses ont agi exactement de la manière souhaitée.
Bien qu'aucune chose telle que "Covid-19" n'existe réellement et n'ait jamais été identifiée, la véritable menace qu'est la véritable pandémie avait été mise de côté juste au bon moment, et au début de cette année, la pandémie de "vaccin" a été libérée. Le « vaccin » est l'arme biologique, et les variantes dites inexistantes d'un virus inexistant sont le résultat des « vaccins » mortels. En d'autres termes, le « vaccin » est la pandémie, et tous ceux qui auront volontairement fait les injections seront les victimes de cette pandémie mise en scène. Une fois que les décès dus à ces jabs atteindront un nombre sans précédent, et ils le feront, le reste de la société qui n'a pas succombé à l'idiotie de prendre une concoction aussi dangereuse, sera blâmé. En effet, tous auront été ciblés par l'État criminel, qu'ils aient reçu l'injection ou non. Le groupe « vacciné » sera malade et mourant, tandis que le groupe non vacciné sera chassé par l'État. C'est pourquoi cette société a déjà été divisée en catimini pour opposer les vaccinés à ceux qui ne le sont pas ; un complot sinistre destiné à solidifier le contrôle des deux groupes.
Il s'agit d'une tentative de prise de contrôle communiste, qui réunit tous les éléments du fascisme, du marxisme et du communisme. C'est la période la plus dangereuse de l'histoire pour les habitants de cette planète, car il s'agit d'une tentative de prise de contrôle globalisée de tout afin de se convertir à un système contrôlé par la technocratie, où il y a quelques « élites » au sommet, leurs exécuteurs et partenaires commerciaux ci-dessous, y compris le gouvernement, le reste étant une classe d'esclaves connue sous le nom de prolétariat.
Bien que l'on pense que cette « pandémie » concerne un virus mystérieux, ce n'est pas le cas, car le récit du virus n'est que l'outil utilisé pour accomplir le véritable programme, qui a ses racines sous l'apparence du « développement durable » commercialisé à travers le l'idiotie du changement climatique provoqué par l'homme. Cela a été entièrement décrit dans l'Agenda 21 et l'Agenda 30 de l'ONU, et dans le programme bien nommé « Great Reset » décrit par Klaus Schwab et le Forum économique mondial. En réalité, il n'a qu'un objectif, et c'est de parvenir à une gouvernance mondiale totale et à un contrôle universel sur tous. Pour réussir dans cette entreprise, plusieurs centaines de millions, ou plus probablement des milliards, devront être assassinés. Les « vaccins » sont les outils du meurtre, il est donc impératif d’éviter ces injections à tout prix.
Ce n'est pas une nouvelle menace, mais elle a été soigneusement manipulée pour se produire à ce moment afin de coïncider avec l'ignorance et l'indifférence du peuple, sa division préparée, sa faiblesse et sa dépendance à l'égard de l'État, et donc sa lâcheté face à l'adversité. . Ce « vaccin » est la clé du succès pour les dirigeants maléfiques et criminels, donc moins d'entre nous prendront ce breuvage de sorcières, plus nous serons en mesure de lutter contre cette tentative odieuse de détruire l'humanité. Notre seul espoir est de rester non conforme, de désobéir à tous les ordres et d'abolir le système de gouvernement actuel qui a assumé des pouvoirs dictatoriaux avec la coopération volontaire des masses.
« Le contraire de l'amour n'est pas la haine, c'est l'indifférence. Le contraire de l'art n'est pas la laideur, c'est l'indifférence. Le contraire de la foi n'est pas l'hérésie, c'est l'indifférence. Et le contraire de la vie n'est pas la mort, c'est l'indifférence.
~ Elie Wiesel
Source and reference links:
The silent weapon that is the mRNA ‘vaccine’
The non-existent ‘virus’ called ‘Covid-19’
Sustainability and super pandemics
Agenda 21
Agenda 2030: Global communism unleashed
‘Covid’ equals murder: the children are next
Covid-19 ‘Vaccine’: A slow-motion genocidal bioweapon
La politisation de l'expertise à l'ère de Covid signifie que nous avons maintenant des médecins qui nous donnent des leçons sur le changement climatique
Par Norman Lewis Actualités RT 18 septembre 2021
Iriez-vous chez un géologue pour un diagnostic de cancer ? Bien sûr que non. Alors pourquoi devrions-nous écouter 200 rédacteurs en chef de revues médicales pontifier sur l'urgence climatique ? Leur intervention dans le débat est malvenue et inutile.
Lorsque 200 rédacteurs en chef de revues médicales publient un éditorial conjoint apocalyptique et trompeur sur les dangers des augmentations de température, que l'équipe éditoriale du Wall Street Journal a correctement noté « aurait pu être écrit par Greta Thunberg », cela révèle que la politisation de l'expertise que nous avons vue au cours de la pandémie de Covid est désormais illimitée.
L'intervention des éditeurs de revues médicales dans le débat sur le climat et son impact sur la santé publique est à saluer. Nous avons certainement besoin d'une discussion plus large. Mais lorsqu'une telle intervention concerne davantage la politique que la science médicale, selon les mots de l'équipage d'Apollo 13 en détresse, "Houston, nous avons un problème."
Le principal problème avec ces journaux qui rejoignent le lobby climatique est qu'ils ne le font pas pour provoquer ou faire avancer la science du changement climatique. Ils se sont montrés loin d'être ouverts au débat pendant la crise du Covid dans leur domaine. Beaucoup se sont rendus coupables d'avoir supprimé les discussions critiques dans leurs pages pendant la pandémie, des origines du virus d'origine, en passant par l'efficacité ou non des masques et de la distanciation sociale, jusqu'au coût des confinements.
Ils ont été les gardiens, les experts médicaux qui ont maintenu un monopole sur ce qu'ils ont choisi d'être la vérité – des vérités auxquelles nous devions simplement nous soumettre.
Maintenant, encouragés par leur nouveau statut élevé – un statut qui est en grande partie le résultat de l'échec des politiciens à exercer leur jugement sur les experts pendant la pandémie – ils estiment qu'il est de leur devoir d'aller au-delà de leur expertise pour attiser la peur avant le changement climatique de l'ONU. conférence COP26 en novembre.
Comme le souligne le WSJ, il y a de nombreuses affirmations douteuses dans l'éditorial conjoint, y compris la suggestion qu'aucune augmentation de température n'est « sûre » et que des températures plus élevées sont liées à des résultats désastreux pour la santé. Pour étayer cela, l'éditorial conjoint cite une récente méta-analyse du British Medical Journal d'études qui examinent les liens entre les conditions météorologiques extrêmes et la santé. Ils omettent de discuter du fait que la plupart de ces résultats n'ont pas été reproduits et de nombreux conflits. Au mieux, il fournit des corrélations qui, comme le savent même les écoliers, ne prouvent pas la causalité. Comme le commente avec ironie le WSJ, «l'obésité a augmenté en même temps que les températures. Cela ne veut pas dire que la chaleur fait grossir les gens.
En réalité, le froid extrême tue plus de personnes chaque année (1,3 million) que la chaleur extrême (356 000), selon une étude publiée dans The Lancet le mois dernier. Les décès dus au froid ont diminué à mesure que les taux de population augmentaient, principalement parce qu'une plus grande partie de la population mondiale a eu davantage accès au chauffage.
Ils ont besoin de plus, ce qui signifie qu'ils ont besoin de plus de développement et d'un accès à une énergie moins chère.
Comme le souligne le WSJ, "environ 10 % de la population mondiale n'a même pas actuellement d'électricité, et un tiers cuisine encore avec des poêles qui utilisent du bois, du charbon, des déchets de récolte ou du fumier, qui "tuent des millions de personnes chaque année". Si les rédacteurs en chef des revues médicales étaient véritablement préoccupés par les résultats pour la santé, ils exigeraient une plus grande utilisation de l'énergie nucléaire, ce qui donnerait aux pays les plus pauvres l'accès à l'énergie bon marché et propre dont ils ont besoin pour lutter contre la pauvreté, qui tue plus de personnes qu'autre chose.
Mais il n'y a aucune mention de l'énergie nucléaire. Pourquoi pas ? Car ce serait un contrepoint puissant à l'alarmisme climatique qui voit dans la limitation de la consommation et la baisse des aspirations au développement la seule solution à ce qu'ils conviennent tous d'une catastrophe climatique d'origine humaine.
Cela souligne simplement que cette intervention de la profession médicale a peu à voir avec la lutte pour une meilleure santé publique. On ne peut que supposer que leur motivation a plus à voir avec la signalisation de la vertu et l'opportunisme. En rejoignant le lobby climatique, ils tentent de s'insérer dans un débat dans lequel ils n'ont le droit de revendiquer aucune autorité.
Et c'est là que réside le vrai danger. En exploitant la politisation de l'expertise, la profession médicale risque aujourd'hui de saper l'autorité de la science et du savoir. Vous n'avez pas besoin d'un doctorat en sociologie pour comprendre pourquoi les théories du complot qui s'enracinent dans la méfiance des soi-disant experts se développent comme elles le sont.
En allant au-delà de leur expertise pour apporter un soutien politique à un débat unilatéral et misanthrope sur le changement climatique, la profession médicale risque de devenir elle-même une menace pour la santé publique.
Par James Howard Kunstler Kunstler.com 18 septembre 2021
Comme la baleine blanche de la légende faisant surface près du continent, l'avocat spécial John Durham est apparu cette semaine avec un Michael Sussman dans ses mâchoires, un petit poisson parmi les monstres squameux et tentaculaires cachés dans les profondeurs de l'État profond sous les mers politiques déchaînées. . Qui il, de toute façon ?
Parmi le casting désormais bien connu de créatures impliquées dans l'épisode panoramique de sédition perfide connu sous le nom de RussiaGate, M. Sussman était un petit joueur, un garçon de courses pour le cabinet d'avocats Perkins Coie qui a fait une grande partie du sale boulot d'Hillary Clinton dans le 2016 campagne et pour le Parti démocrate au-delà. M. Sussman est accusé d'avoir menti au FBI pour avoir transmis de la saleté de campagne payée par Mme Clinton à l'avocat général du FBI, James Baker, l'ancien collègue de M. Sussman à l'époque où il travaillait comme expert en cybersécurité au bureau. . Il a également colporté le même matériel, concocté par la société Fusion GPS de Glenn Simpson et l'homme mystérieux Christopher Steele, au New York Times et à d'autres médias, qui l'ont utilisé comme des enfants avec un cerf-volant.
J'ai une théorie sur l'affaire. Il s'agit d'un tir à travers la proue du navire du procureur général Merrick Garland, testant si le principal DOJ tentera d'interférer avec la mission de M. Durham de découvrir les prédicats de RussiaGate et le vaste réseau d'actes malhonnêtes et illégaux perpétrés par la suite par des personnalités du FBI. , le DOJ et d'autres recoins sombres d'un gouvernement devenu voyou contre ses propres citoyens. M. Baker a longtemps été soupçonné d'avoir agi en tant que témoin coopérant dans l'affaire RussiaGate, réalisant peut-être très tôt qu'il avait été joué par son vieux copain M. Sussman et mis en examen.
Le problème pour Merrick Garland est que les activités de M. Sussman n'étaient qu'une simple préface pour le développement plus grave de l'opération Crossfire Hurricane, qui impliquait un banc de poissons beaucoup plus gros dans plusieurs agences, dont les directeurs John Brennan de la CIA et James Comey de la FBI et bien d'autres. L'acte d'accusation de Sussman ouvre également une fenêtre sur la falsification de la Cour FISA que les forces de l'ordre fédérales utilisaient pour poursuivre les personnes liées au candidat puis au président Donald Trump.
M. Garland devra expliquer pourquoi le DOJ et le FBI n'ont jamais été responsables des actes illégaux de leurs employés, y compris l'équipe d'avocats spéciaux louche de Robert Mueller, qui ressemble maintenant à une opération de dissimulation, sans parler de l'actuelle et des affaires continues telles que le DOJ assis sur l'ordinateur portable du fils du président « Joe Biden », Hunter, et ses ballots de mémorandums incriminés détaillant les paiements à la famille Biden des sociétés dirigées par le PCC. Vraiment, le sort du Parti démocrate est en ligne avec ce qui pourrait potentiellement se développer si les actions de M. Durham vont au-delà de la petite cabriole de Michael Sussman.
L'écrasante majorité de l'opinion depuis plus d'un an est que John Durham est un fantôme qui ne fait presque rien au sujet du plus grand scandale politique de l'histoire des États-Unis. Si ses efforts se terminent avec M. Sussman, il se déshonorera, bien sûr, et c'est une possibilité. Mais j'oserais supposer que cela ne s'arrêtera pas là. L'insulte à la nation de toute la malhonnêteté épique est trop grave, voire potentiellement fatale – car elle a permis par la suite un écheveau dépravé d'activités séditieuses supplémentaires, y compris le subterfuge des élections de 2020, l'anarchie de BLM et Antifa, la course psychotique et- genre « éveillé » de l'esprit foutu infectant l'armée américaine, l'invasion en cours à travers la frontière américano-mexicaine, toute la coercition autour de Covid-19, en particulier les tirs « mandatés » d'un dangereux soi-disant « vaccin » et la destruction de petits affaires de la mer à la mer brillante. Tout cela a laissé le public américain démoralisé, économiquement sauvage et la position du pays dans le monde dangereusement réduite.
J'espère que vous êtes prêt pour un mois de chocs sur le système. La tromperie du CDC et de la FDA dans le jeu et la cuisson de leurs données Covid-19 émerge maintenant du brouillard de l'hystérie pandémique. J'oserai également conjecturer que le nombre de «cas» récents et actuels de Covid-19 s'avère être en réalité et dans une large mesure des réactions indésirables à l'expérience de l'ARNm, et non à la maladie elle-même, et que l'enfer sacré éclatera parmi le public à mesure qu'il deviendra compris que leurs moyens de subsistance - et leur santé - étaient volés dans le cadre de cette fraude. Dans une semaine à partir d'aujourd'hui, les résultats de l'audit des élections en Arizona devraient maintenant être publiés. Attendez-vous à un traumatisme. Demain, une manifestation de soutien au 1/6 des prisonniers politiques est à bord pour Washington, DC. Le potentiel de manipulation de l'événement par l'État profond est élevé, alors restez à l'écart. Il y a suffisamment d'autres forces en mouvement maintenant pour mettre la clé dans le moteur de la méchanceté qu'est devenu notre gouvernement. Laissez Karma faire son travail et tenez-vous bien pour une conduite difficile.
3 000 agents du LAPD cherchent à résister au mandat de vaccination de la ville en demandant des exemptions religieuses et médicales
Vendredi 17 septembre 2021 par : Arsenio Toledo
(Natural News) Près de 3 000 membres du service de police de Los Angeles (LAPD) ont demandé des exemptions au mandat du service de police sur le vaccin contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19).
Plus de 2 600 agents du LAPD ont demandé des exemptions religieuses du mandat de vaccination de la ville. 360 autres ont demandé des exemptions médicales.
Ces près de 3 000 agents du LAPD ont tous soumis leurs demandes d'exemption avant la date limite du 13 septembre fixée par le ministère pour les demandes de dispense de mandat. (Connexe: les flics de Seattle s'organisant contre le mandat du vaccin COVID-19 pourraient entraîner la perte de 200 agents.)
"Nous avons vu un certain nombre de nos membres du personnel qui ont déposé une demande d'exemption, sur la base d'une croyance médicale ou religieuse sincère", a déclaré le chef du LAPD, Michel Moore. "Le département attendra que la ville fournisse des instructions relatives à l'interprétation et à ce qu'il adviendra de ces intentions de déposer."
Moore a ajouté qu'environ 6 573 employés du LAPD – officiers assermentés et membres non assermentés – ont reçu au moins une dose d'un vaccin COVID-19 mardi. Le département compte au total 12 315 employés.
Les autres sont contraints de se faire vacciner sous peine de chômage suite à l'adoption d'une ordonnance du conseil municipal de Los Angeles.
Le 18 août, le conseil municipal a approuvé une ordonnance ordonnant à tous les employés de la ville – y compris le LAPD – d'être complètement vaccinés avant le 5 octobre. Les exemptions seront examinées au cas par cas. Mais même si les employés de la ville obtiennent des exemptions, ils doivent passer des tests COVID-19 deux fois par semaine pour être toujours éligibles à un emploi avec la ville.
Pour aider à la vaccination de ses employés, le LAPD a approuvé la création d'un programme de vaccination mobile. Les responsables du département pensent que la clinique mobile de vaccination peut contacter les employés non vaccinés à leur domicile et les amener à reconsidérer les vaccinations.
Au cours des deux dernières semaines, le programme de vaccination mobile a vacciné 156 employés supplémentaires du LAPD.
Le LAPD n'a pas le taux de vaccination le plus bas parmi les autres départements de la ville. Cette distinction revient au Los Angeles Department of Water and Power (LADWP), au Department of Recreation and Parks (LADRP) et au Los Angeles Fire Department (LAFD), qui ont respectivement des taux de vaccination de 30 %, 38 % et 34 %.
Le maire s'en prend à ceux qui « abusent » des exemptions de vaccins
Le maire de Los Angeles, Eric Garcetti, jette son dévolu sur les milliers d'employés de la ville qui demandent des exemptions religieuses et médicales au mandat de vaccination.
« Chaque employé de la ville est tenu de fournir son statut vaccinal, et la date limite [pour demander des exemptions] est dépassée », a déclaré Garcetti. « Quiconque ne nous a pas donné cette information doit le faire maintenant. »
La date limite initiale de la ville pour demander des exemptions était le 7 septembre. Elle a été prolongée car plus de 10 000 employés de la ville n'avaient pas fourni à la ville de preuve de vaccination. Cela comprenait plus de 7 800 travailleurs du LADWP, près de 4 000 travailleurs du LADRP, plus de 3 800 employés du LAPD et 1 500 du LAFD.
« Cette politique [d'exemption du mandat des vaccins] permet des exemptions médicales et religieuses pour protéger la santé et les droits constitutionnels de certains travailleurs, mais permettez-moi d'être absolument clair : nous ne tolérerons pas l'abus de ces exemptions par ceux qui ne veulent tout simplement pas obtenir vacciné », a déclaré Garcetti.
"À tous ceux qui envisagent de déposer une demande d'exemption fallacieuse, je vous exhorte vivement à reconsidérer votre décision", a-t-il ajouté. "Chaque demande sera soigneusement examinée et notre objectif sera toujours de faire vacciner autant d'Angelenos que possible."
Sur 57 476 employés municipaux, les données montrent que plus de 5 100 ont demandé des exemptions religieuses, plus de la moitié de ces demandes de dérogation provenant du LAPD.
Garcetti est en train de négocier avec les syndicats qui représentent les employés de la ville – y compris le syndicat de la police de Los Angeles – concernant d'éventuelles procédures disciplinaires pour les employés qui refusent de se faire vacciner et n'ont pas de dispense et pour ceux qui ne déclarent pas leur statut vaccinal.
Apprenez-en plus sur les mandats de vaccination aux États-Unis et sur les personnes et les groupes comme les agents du LAPD qui leur résistent sur Vaccines.news.
CDC : Quatrième vague de COVID - malgré les vaccins - pire que la deuxième vague
vendredi 17 septembre 2021 par : Ramon Tomey
(Natural News) Les chiffres des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) montrent que les décès dus au coronavirus de Wuhan (COVID-19) en septembre 2021 étaient plus élevés que l'année précédente. Selon les données de l'agence, les décès dus au COVID-19 au cours des 10 premiers jours de septembre 2021 sont presque deux fois plus élevés que le nombre de décès au cours des 10 premiers jours de septembre 2020. Les décès plus élevés font partie de la quatrième vague de COVID-19. qui accompagne les vaccinations de masse aux États-Unis
Selon l'agence, les décès quotidiens de COVID-19 aux États-Unis ne dépassent jamais 960 du 1er au 10 septembre 2020. Pendant ce temps, les décès quotidiens de COVID-19 du 1er au 10 septembre 2021, atteignent 1860.
Malgré la tendance des décès quotidiens dus au COVID-19 restant inférieurs à 1 000, la Food and Drug Administration (FDA) délivre une autorisation d'utilisation d'urgence pour le vaccin à ARNm Pfizer/BioNTech le 11 décembre 2020. Le régulateur accorde plus tard le vaccin Pfizer - à être appelé Comirnaty - approbation complète le 23 août 2021. L'approbation complète de Comirnaty par la FDA ouvre la voie aux entités privées et publiques pour imposer la vaccination COVID-19.
Environ 179 millions d'Américains achèvent le vaccin Comirnaty à deux doses depuis son autorisation en décembre 2020. Cependant, le vaccin est incapable d'arrêter la propagation de la variante delta B16172 plus contagieuse en provenance d'Inde. La souche comprend désormais presque tous les cas de COVID-19 aux États-Unis et provoque même des infections à percée chez les humains.
Lors d'une récente conférence de presse à la Maison Blanche, le président Joe Biden procède à la dénonciation des Américains non vaccinés. Il a déclaré lors d'un point de presse le 9 septembre : « Il s'agit d'une pandémie de non vaccinés. [C'est] causé par le fait que … nous avons encore près de 80 millions d'Américains qui n'ont pas réussi à se faire vacciner. Biden continue que les Américains non vaccinés qui attrapent COVID-19 « surpeuplent nos hôpitaux » et « [overrun] les salles d'urgence et les unités de soins intensifs ».
Biden lance une menace à peine voilée envers les Américains qui refusent le vaccin COVID-19 lors de la même conférence de presse : « Nous avons été patients, mais notre patience s'épuise. Et votre refus nous a tous coûté.
Les vaccins sont à l'origine de la dernière vague d'infections Cependant, de nombreuses sources affirment que les vaccins pour protéger les personnes contre le COVID-19 sont en fait responsables de l'augmentation des cas et des décès. Un article de Christopher Yates de l'Université de Bath au Royaume-Uni cite un rapport de Public Health England (PHE) sur les décès dus au COVID-19 là-bas. Le rapport PHE indique que sur 274 personnes décédées de la souche delta dans les 28 jours suivant un test positif pour COVID-19, 63,4% – 163 Britanniques – ont au moins une dose du vaccin.
Outre le Royaume-Uni, Israël est un autre pays confronté à une augmentation des cas de COVID-19 malgré la vaccination de sa population. La nation du moyen-orient utilise le vaccin Comirnaty sur sa population, aux côtés de certaines doses du vaccin à ARNm de Moderna. Israël se targue d'être la nation la plus vaccinée en raison de l'injection de ses citoyens en un temps record, dépassant même les États-Unis à un moment donné. (Connexe : 95% des patients sévères dans les hôpitaux israéliens sont vaccinés, prévient le médecin.)
Mais deux études en Israël montrent que le vaccin Comirnaty lui-même contribue à la propagation des infections au COVID-19. Une étude de l'Université de Tel Aviv et de Clalit Healthcare Services montre que le tir de Pfizer augmente la probabilité que les personnes attrapent des variantes préoccupantes du SRAS-CoV-2. En analysant les résultats des tests COVID-19 des Israéliens non vaccinés et vaccinés, les chercheurs cherchent à savoir si les Israéliens vaccinés contractent des variantes préoccupantes que les citoyens non vaccinés.
Selon leurs conclusions d'avril 2021, les Israéliens qui reçoivent deux doses de Comirnaty sont huit fois plus susceptibles de contracter la variante sud-africaine B1351 que les individus non vaccinés. Ils notent également que la variante britannique B117 est plus répandue chez les Israéliens qui reçoivent une dose de Comirnaty. Cependant, les chercheurs précisent que les taux d'infection causés par la souche B117 sont les mêmes chez les Israéliens non vaccinés et complètement vaccinés. (Connexe: Une étude révèle que le vaccin contre le coronavirus de Pfizer expose les gens à un risque PLUS ÉLEVÉ de «variantes» de covid.)
CDC.news a plus d'articles sur les tactiques de l'agence de santé publique pour promouvoir la peur et les vaccins.
L'État australien lance un nouveau système d'enregistrement pour suivre les résidents en quarantaine, ceux qui ne répondent pas reçoivent la visite des flics
vendredi 17 septembre 2021 par : Arsenio Toledo
(Natural News) Le gouvernement de l'État du Queensland, dans le nord-est de l'Australie, a lancé un nouveau système d'enregistrement pour la quarantaine à domicile de ses résidents, les obligeant à répondre à un SMS à heure fixe dans les 10 minutes. S'ils ne le font pas, des policiers se présenteront à leur porte.
Les nouvelles règles sont entrées en vigueur immédiatement après leur élaboration. Ils ont été poussés par le gouvernement de l'État du Parti travailliste de gauche au pouvoir après que les autorités sanitaires ont découvert un seul nouveau cas de COVID-19 transmis localement.
Le gouvernement du Queensland exige de savoir à tout moment où se trouvent les résidents en quarantaine Jeudi, la ministre de la Santé et des Ambulances, Yvette D'Ath, a déclaré aux résidents en quarantaine à domicile qu'ils recevraient un SMS à un moment aléatoire au moins une fois par jour de son département, Queensland Health.
Le message comportera un lien que le destinataire doit ouvrir et répondre dans les 10 minutes.
De plus, les nouvelles règles de Queensland Health exigent que les résidents en quarantaine à domicile gardent leurs services de données mobiles et de géolocalisation sur leurs téléphones mobiles activés à tout moment.
Cela signifie que même si les résidents répondent dans les 10 minutes, ils pourraient toujours obtenir une visite de conformité du service de police du Queensland si leur réponse était en dehors d'une "plage de géolocalisation acceptable".
« Cela signifie que Queensland Health sera en mesure de garantir que les personnes mises en quarantaine à domicile se trouvent à la résidence où elles sont légalement tenues de se trouver », a déclaré D’Ath. "Cela permet spécifiquement aux autorités d'identifier si quelqu'un est absent de sa résidence approuvée."
Les nouvelles restrictions s'appliqueront à tous les contacts étroits de cas confirmés de COVID-19. Les violations potentielles des restrictions seront évaluées par le QPS pour déterminer si des mesures supplémentaires sont nécessaires.
D'Ath a justifié le système en disant qu'il "permettrait une surveillance en temps réel de la conformité".
"Pendant plus de 18 mois, les SMS, les appels téléphoniques et les inspections aléatoires de conformité ont longtemps été les caractéristiques de notre système de quarantaine à domicile, mais à mesure que le virus évolue, notre réponse doit également évoluer", a déclaré D'Ath.
Tout résident du Queensland qui viole sa quarantaine à domicile peut être condamné à une amende pouvant aller jusqu'à 13 785 $ AU (10 082 $), passer jusqu'à six mois en prison et être contraint de quitter son domicile et de se rendre dans des hôtels de quarantaine reconnus par l'État. Ils doivent payer leurs séjours obligatoires dans les hôtels. (Connexe : ÉTAT DE LA POLICE MÉDICALE : un couple australien âgé a été contraint de parcourir 300 miles en voiture jusqu'à l'hôtel de quarantaine après avoir mal rempli le formulaire.)
Nouvelles restrictions adoptées après avoir découvert un seul nouveau cas local de COVID-19 Le gouvernement du Queensland a adopté ces nouvelles restrictions après que les autorités sanitaires de l'État ont signalé un nouveau cas local de COVID-19 dans l'État.
La Première ministre de l'État, Annastacia Palaszczuk, a déclaré jeudi que le seul cas local était lié à un groupe d'écoles du côté sud de Brisbane.
"Cet étudiant est en quarantaine à domicile et n'a pas été contagieux dans la communauté et encore une fois, je tiens à remercier toutes les familles qui sont toujours en quarantaine à domicile, elles assurent la sécurité des Queenslanders", a déclaré Palaszczuk.
L'État a deux autres cas, mais ils ont été acquis à l'étranger et ont été contraints de rester en quarantaine à l'hôtel.
Suite à cela, Palaszczuk a annoncé que des dizaines de milliers d'habitants d'une ville de l'État voisin de Nouvelle-Galles du Sud ne sont plus les bienvenus après que l'État a enregistré un nouveau cas de COVID-19.
La ville de Lismore en Nouvelle-Galles du Sud, qui se trouve à moins de cent kilomètres au sud de la capitale du Queensland, Brisbane, compte environ 40 000 habitants et a été placée en détention en raison du seul cas positif.
La chef de la santé, Jeannette Young, a déclaré que toute personne ayant séjourné dans la zone de gouvernement local qui comprend Lismore au cours des 14 derniers jours n'est pas autorisée dans le Queensland.
"Ceux qui se trouvent actuellement dans le Queensland et qui se sont rendus dans la région de Lismore au cours des 14 derniers jours devraient se manifester, se faire tester et s'isoler jusqu'à ce qu'ils reçoivent un résultat de test négatif", a-t-elle déclaré lors d'une conférence de presse.
Bien que la déclaration de Young ait l'air d'une suggestion, QPS suivra très probablement avec force les visiteurs du Queensland de Lismore si nécessaire.
"Nous savons que la situation peut rapidement dégénérer avec ce virus, c'est pourquoi il est important que nous réagissions de manière appropriée", a ajouté Young. «Je comprends que c'est difficile pour certains, mais c'est nécessaire pour garantir que nous pouvons continuer à protéger les Queenslanders.
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Peter Pry met en garde contre les dangers des armes EMP – Brighteon.TV
vendredi 17 septembre 2021 par : Ramon Tomey
(Natural News) Peter Pry, expert en armes à impulsions électromagnétiques (EMP), met en garde contre les dangers que ces armements représentent pour les États-Unis. Il partage cet avertissement avec l'animateur de Connecting the Dots, Dan Happel, lors de l'édition du 14 septembre de l'émission sur Brighteon.tv. Pry mentionne en outre que les nations ennemies peuvent utiliser des armes EMP pour éteindre indirectement le réseau électrique et l'approvisionnement alimentaire.
Tout d'abord, Pry donne son parcours et explique comment il acquiert des connaissances pertinentes concernant les armes EMP. Malgré ses multiples doctorats, son passage à la Central Intelligence Agency (CIA) s'avère être la source la plus fructueuse de ses connaissances. Pry commente qu'il "a essentiellement passé [sa] vie professionnelle à travailler dans le domaine de la sécurité nationale".
L'expert poursuit que son passage à la CIA lui permet d'apprendre des concepteurs d'armes nucléaires, des physiciens et des ingénieurs électriciens. Cependant, une chose qui le distingue de ses collègues est sa connaissance de la manière dont les nations ennemies utiliseront ces armements nucléaires contre les États-Unis. Pry ajoute également que son expérience de la doctrine militaire et des exercices militaires des pays adversaires lui donne un avantage.
Happel demande ensuite ce que sont les armes EMP et quelles sont les « erreurs de planification » du gouvernement contre ces armes. "Avec une seule arme à impulsions électromagnétiques, [les nations ennemies] pourraient vraiment nuire aux États-Unis", commente l'hôte de Connecting the Dots.
Pry définit les armes EMP comme celles qui génèrent de grandes quantités d'électricité lors de la détonation. « [L'EMP] est si puissant que nous parlons de milliers de volts par mètre », dit-il. Selon Pry, les volts par mètre (VPM) signifient que les cibles recevront 1 000 à 3 000 volts selon leur longueur en mètres. Par exemple, un véhicule mesurant cinq mètres de long et alimenté en 3 000 volts aura 15 000 VPM injectés à la vitesse de la lumière.
Pry poursuit qu'un cordon d'ordinateur mesurant deux mètres de long pourrait avoir 6 000 VPM injectés à la vitesse de la lumière. Il souligne que les ordinateurs et autres appareils électroniques sont conçus pour fonctionner sur 120 volts ou moins. "Si vous dépassez un peu cette tension, cela va faire frire les choses et les court-circuiter."
Les EMP pourraient être utilisés pour cibler le réseau électrique américain L'expert précise que les armes EMP, qu'elles soient nucléaires ou non, peuvent générer de puissants champs électriques. « Même une bombe atomique rudimentaire de première génération… [que] les terroristes pourraient bricoler générera un IEM », dit Pry.
Il ajoute : « Cela suffirait à faire quelque chose comme effondrer le réseau électrique de l'est des États-Unis si vous tirez cette chose d'un cargo [ou] utilisez … un ballon météorologique pour le faire monter à plus de 30 kilomètres. Soit dit en passant, nous parlons d'une rafale à haute altitude pour une attaque nucléaire IEM.
Pry dit à Happel que lorsqu'une arme EMP est larguée d'une altitude de 30 kilomètres, le champ électrique résultant aura un rayon de 600 kilomètres. Des altitudes plus élevées entraînent une plus grande zone d'effet, ajoute-t-il. Pry dit : « Si vous parcourez [jusqu'à] 300 kilomètres, vous pouvez couvrir les 48 pays contigus [des États-Unis. États] plus la majeure partie du Canada et une bonne partie du Mexique avec une seule arme.
L'expert prévient néanmoins qu'une attaque à l'arme IEM entraînera l'effondrement de la société. Malgré l'existence de trois réseaux sur le continent américain – l'interconnexion orientale, l'interconnexion occidentale et l'interconnexion texane – une attaque contre le seul réseau de l'est sonnera le glas du pays. Selon Pry, 75 % de l'électricité à l'échelle nationale provient du réseau de l'Est – la plupart de la population vivant de l'électricité qu'il produit. (Connexes : l'arme russe à « super impulsions électromagnétiques » pourrait détruire le réseau américain, prévient un expert.)
Pry appelle les armes EMP des "armes anti-technologie" qui "peuvent soustraire l'équation de notre civilisation moderne". De nombreux aspects vitaux de la civilisation tels que les télécommunications, les transports et l'industrie tombent après une attaque EMP, ajoute-t-il.
Même l'approvisionnement alimentaire est vulnérable aux attaques EMP
Pry explique également les effets d'une attaque EMP sur l'approvisionnement alimentaire. Selon l'expert, les aliments se détériorent immédiatement après une panne du réseau électrique, car les systèmes de contrôle de la température et les réfrigérateurs ne fonctionnent plus. Les stocks dans les épiceries ne peuvent durer que trois jours environ, tandis que ceux stockés dans les grands entrepôts régionaux ne peuvent nourrir les gens que pendant 30 jours. (Connexe : Conseils pour survivre à une attaque EMP en Amérique.)
Même amener de la nourriture devient un problème en raison de l'interruption du système de transport. « Les épiceries sont réapprovisionnées par le système de transport, qui ne fonctionnera pas car les camions et les voitures… sont paralysés. Nous ne serions pas en mesure d'importer de la nourriture parce que les ports ne fonctionneraient pas. Toutes ces grues lourdes nécessitent de grandes quantités d'électricité », a déclaré Pry à Happel.
L'expert poursuit : « Même si le monde était assez généreux pour envoyer de la nourriture sur nos côtes, ils finiraient par s'entasser [dans] les ports. Vous ne pouvez pas le décharger des navires. Et puis, comment allez-vous [allez] le transporter à l'intérieur du pays… où c'est nécessaire ? »
Pry dit qu'une attaque EMP « reproduirait les conditions d'une famine à l'échelle nationale » comme celle en Somalie. Il cite le pays africain étant incapable de livrer de la nourriture dans différentes régions en raison de l'absence d'un système de transport. « Même si les Nations Unies ont envoyé d'énormes quantités de nourriture… [pour] la population somalienne affamée, [elle] s'accumulait sur les quais car il n'y avait pas de système de transport adéquat pour acheminer la nourriture là où elle était nécessaire », ajoute l'expert.
Là où est l'EMP dans le monde il faut voir sont côté bénéfique. Il y a 20 ans la Chine s'est vantée de posséder la première la 'bombe propre'. Pourquoi l'EMP est appelée 'bombe propre' ? Parce que son explosion à très haute altitude envoie une onde de choc qui fait le tour de la Terre. Cette détonation détruit TOUT ce qui est électrique (pile, accus, batteries, satellites, véhicules terrestres, aériens et maritimes sans dommage pour les êtres humains !
C'est-à-dire que tout-à-coup c'est Le monde du silence !
Seuls les moteurs sans batterie (tondeuses à gazon, tronçonneuses, motobineuses et voitures anciennes au démarrage à manivelle peuvent encore fonctionner ! Fini l'angoisse des missiles, du 'NWO' et de ses criminels ! Enfin c'est le retour à la Terre première !
After the GENOCIDE: Will there be enough VACCINE SURVIVORS to rebuild civilization ?
vendredi 17 septembre 2021 par : Mike Adams
(Natural News) L'holocauste du vaccin commence maintenant à faire des victimes massives dans le monde, avec des décès post-vaccins qui montent en flèche en Amérique et dans de nombreux autres pays. Les données récentes du VAERS révèlent 70 décès par jour parmi les Américains vaccinés, et des projections fiables des rapports du VAERS nous obligent à multiplier cela par environ 40 pour obtenir des chiffres réels. Cela porte le nombre de décès quotidiens dus aux vaccins à 2 800 aux États-Unis seulement.
La population mondiale s'élève actuellement à 7,9 milliards de personnes (Worldometers.info).
Près de 43 % de la population mondiale a reçu au moins une dose d'un vaccin contre le covid-19. (OurWorldInData.org)
Cela signifie que près de 3,4 milliards de personnes ont été vaccinées à ce jour.
Ces vaccins tuent-ils maintenant des millions de personnes dans le monde ? Au-delà d'une simple hypothèse, un flux constant de médecins, d'infirmières et d'experts de la santé signale un grand nombre de décès post-vaccins qui surviennent principalement dans les hôpitaux. Exemples:
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Les hôpitaux sont maintenant qualifiés de « champs de la mort » de la plandémie, avec des médecins, des infirmières et des administrateurs hospitaliers qui conspirent ouvertement pour assassiner en masse ceux qui ne sont pas vaccinés tout en masquant la mort de ceux qui ont reçu le vaccin :
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Les hôpitaux sont désormais largement connus pour couvrir les décès dus aux vaccins afin de cacher le plus longtemps possible le nombre de décès. Cela se déroule parallèlement aux efforts hospitaliers reconnus publiquement pour « effrayer le public » en simulant le nombre de personnes hospitalisées « atteintes de covid ».
Malgré les meilleurs efforts des hôpitaux criminels et du régime traître de Biden pour dissimuler l'holocauste vaccinal en cours, les décès dus aux vaccins montent en flèche :
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Et certains types de cancers chez la femme sont en augmentation de 2000 % chez les vaccinées :
Pendant ce temps, la nation d'Israël - avec un taux de vaccination de plus de 80% - connaît des niveaux si élevés de nouvelles infections, d'hospitalisations et de décès qu'elle constitue désormais un exemple flagrant d'échec vaccinal.
De même, l'État le plus vacciné des États-Unis – le Vermont, avec un taux de vax de 88 % – connaît une augmentation record des cas de covid :
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Partout où les taux de vaccination sont les plus élevés, les « cas » de covid suivent rapidement les hospitalisations et les décès. Il est tout à fait évident que le vaccin est la pandémie, et la protéine de pointe insérée dans les vaccins est la cause des blessures et des décès.
Combien mourront dans le monde avant que ce crime contre l'humanité ne soit stoppé ? Avec 3,4 milliards de personnes déjà vaccinées dans le monde, la question évidente devient : « Combien mourront des effets à long terme des tirs de dépeuplement ?
N'oubliez pas que ces « vaccins » sont conçus pour parvenir à une dépopulation mondiale. Ils le font par le biais de divers mécanismes biologiques :
Tuer des personnes avec des caillots sanguins et des crises cardiaques (effets vasculaires). Tuer des personnes avec des taux accrus de cancer et de maladies auto-immunes. Avorter des bébés et provoquer une infertilité à long terme. L'excrétion de nanoparticules toxiques de protéines de pointe à d'autres, causant la maladie et la mort même parmi ceux qui n'ont pas pris les jabs. Attaquer le système nerveux et causer des troubles cognitifs. Les experts médicaux qui ont étudié ces effets estiment actuellement que le taux de mortalité à long terme parmi ceux qui ont pris les vaccins se situe entre 10 % et 70 %. Cela signifie que, sur la base des données de vaccination actuelles, nous pouvons nous attendre à ce que les décès induits par la vaccination tuent entre 340 millions et 2,38 milliards de personnes.
Et c'est si les vaccins s'arrêtent maintenant. (Mais ils ne s'arrêtent pas.)
Actuellement, près de 30 millions de nouvelles doses de vaccins sont administrées quotidiennement (OurWorldInData.org). Beaucoup d'entre eux sont des deuxièmes doses, donc ce nombre ne représente pas les nouvelles personnes recevant leur première dose, bien que cela fasse partie de ce nombre. Selon la même source de données, environ 90 % des personnes qui ont reçu au moins un vaccin ont également reçu un deuxième vaccin. (En d'autres termes, les personnes qui prennent les jabs ont tendance à utiliser deux doses, pas une seule.)
Des recherches médicales largement publiées – y compris les propres données des fabricants de vaccins – révèlent que les blessures et les décès liés au vaccin augmentent fortement avec la deuxième dose du vaccin. Alors que le premier jab tue certaines personnes, le deuxième jab a tendance à exposer les gens à de graves complications et à un risque de blessure ou de mort.
Ainsi, chaque jour, environ 30 millions de personnes gravissent la « hiérarchie des risques », la plupart d'entre elles passant d'une catégorie à faible risque (simple piqûre) à une catégorie à haut risque (double piqûre).
Si seulement 10 % de ceux qui reçoivent des vaccins meurent finalement des injections de protéines de pointe, cela signifie que chaque jour, l'initiative mondiale de vaccination tue finalement environ 3 millions de nouvelles personnes. Et c'est l'estimation du côté bas. Un taux de mortalité de 50% signifierait que le nombre de meurtres quotidiens est d'environ 15 millions de personnes, soit plus du double du coût humain total de l'Holocauste du Troisième Reich sur toute la période de la Seconde Guerre mondiale.
Encore une fois, il est tout à fait plausible qu'en ce moment même, l'initiative mondiale de vaccination réalise « deux holocaustes » par jour… . Et cela prendra probablement des années pour se développer pleinement…
Des milliards de victimes de la guerre vaccinale contre l'humanité ? Nous estimons que la poussée mondialiste du vaccin réussira finalement à injecter jusqu'à 5 milliards de personnes avec au moins une «dose» de la protéine de pointe des armes biologiques.
Avec des taux de mortalité allant de 10 % à 70 %, nous envisageons théoriquement des décès dans le monde d'un demi-milliard à 3,5 milliards de personnes.
J'espère qu'en exposant la vérité sur les armes biologiques vaccinales, nous pourrons peut-être limiter les décès dans le monde à seulement un milliard de personnes, mais c'est peut-être tout à fait trop optimiste. Il est tout à fait possible que les décès dans le monde dépassent largement 1 milliard de personnes et approchent les 2 voire 3 milliards dans le pire des cas.
Le Dr Paul Cottrell explique que ces décès pourraient prendre dix ans pour être pleinement réalisés, en raison de la nature de l'EIM et du temps nécessaire à l'émergence de nouvelles variantes résistantes aux vaccins qui contournent les systèmes immunitaires endommagés par le vaccin :
En d'autres termes, nous ne verrons peut-être pas un milliard ou plus de décès dans l'immédiat, mais il y aura probablement un autre virus de type sauvage en circulation qui, selon le Dr Cottrell, fera des ravages parmi les vaccinés, tout comme ce que nous avons vu se produire avec la grippe espagnole. épidémie de 1918.
Les décès dus aux vaccins sont distincts des décès causés par l'effondrement économique, la famine artificielle et la guerre L'autre facteur préoccupant dans tout cela est que les vaccins armés ne sont pas le seul vecteur utilisé par les mondialistes pour faire la guerre à la race humaine. D'autres formes activement recherchées incluent :
Terraforming (aspirer le gaz carbonique de l'atmosphère pour effondrer les cultures vivrières mondiales) Famine artificielle (militarisation de l'approvisionnement alimentaire / rareté) Exposition chimique (pesticides, fluorure, perturbateurs hormonaux dans les emballages alimentaires) Effondrement écologique (ruissellement agricole, surpêche, destruction de la forêt tropicale pour la culture du soja, OGM, etc.) Effondrement économique (effondrement de la monnaie, implosions de la bombe de la dette, blocages forcés, taxation punitive, impression de monnaie fiduciaire) Effondrement culturel (atteintes à l'Église, à la famille, à la raison et à l'État de droit) Cyberguerre (attaques sur le réseau électrique, les télécommunications, etc.) Si vous mettez tout cela ensemble, il devient évident que la guerre vaccinale contre l'humanité n'est qu'une partie d'un assaut de dépopulation beaucoup plus vaste qui peut facilement conduire à une famine de masse, à la maladie, à la misère, à la violence et à la guerre.
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Le nombre total de victimes de tels événements est totalement inconnu, mais étant donné que chaque personne vivante a besoin de nourriture, d'eau et d'un abri pour survivre, la militarisation et la rareté de ces fournitures mettent potentiellement toute vie humaine en danger. Tous les 7,9 milliards d'entre nous.
Et au fait, l'acteur traître Joe Biden vient d'annoncer la restriction des anticorps monoclonaux aux États rouges, déclarant effectivement un acte de guerre contre ses ennemis politiques en leur refusant des médicaments salvateurs. Il s'agit d'une guerre ouverte contre l'Amérique conservatrice, et cela clarifie le fait que les mondialistes qui détestent l'humanité (et leurs marionnettes comme Biden) mettront tout en œuvre pour réaliser l'extermination de masse par tous les moyens possibles.
Ainsi, la seule conclusion rationnelle de tout cela est que les 7,9 milliards d'êtres humains vivants sont en grave danger d'être exterminés par divers moyens : armes biologiques, effondrement économique, famine, géo-ingénierie et militarisation météorologique, guerre géopolitique, etc.
Assez de connaissances et de savoir-faire survivront-ils pour reconstruire la civilisation ? Pour répondre à la question principale de cet article, est-ce que suffisamment de gens survivront pour reconstruire la civilisation, je ne peux que répondre honnêtement : je ne suis vraiment pas sûr.
Je ne sais pas si la civilisation humaine survit à cela sans être plongée dans une existence du 18ème siècle et perdre une grande partie de ce que nous avons gagné au cours des 2 derniers siècles.
De plus, il me semble que l'extermination totale de la civilisation humaine est le but des mondialistes.
Ils préparent la Terre à un avenir post-humain. Il n'y a aucun plan pour que les êtres humains existent sous quelque forme durable que ce soit. C'est pourquoi ils ne se soucient pas de risquer la crédibilité de la « science » ou de la « médecine » ou même du gouvernement lui-même. Si leurs propres plans réussissent, il ne restera plus personne en vie pour compter.
Prions pour que nous puissions les arrêter, et rappelez-vous que cela prendra plus que de signer des pétitions ou de partager des liens. En attendant, évitez le coup de caillot si vous souhaitez faire partie de l'avenir de la race humaine.
Le podcast Situation Update d'aujourd'hui aborde ce sujet plus en détail, via Brighteon.com :
Il ne faut pas s'arrêter au nombre de décès actuels dus aux faux vaccins, mais savoir que CHAQUE seringue se compose de 40 mille milliards de nano-particules d'oxyde de graphène !!!
(...) Cela signifie que près de 3,4 milliards de personnes ont été vaccinées à ce jour. (...)
C'est-à-dire que TOUTES les personnes qui se sont faites inoculées décéderont dès la mise-en-route du signal de la 5G !
Penser les fausses nouvelles, au-delà des effets de mode
Manipulation de l’information, diffusion de mensonges et d’erreurs, l’usage des fausses nouvelles n’est pas nouveau. Retour sur ce concept.
19 SEPTEMBRE 2021 Par Jean-Baptiste Delhomme et Damien Liccia. Un Article de Conflits
S’intéresser aux fake news, pour utiliser le terme anglo-saxon qui, des rédactions des journaux et autres pure players américains, a progressivement essaimé jusqu’au débat public hexagonal, revient à s’intéresser à un objet d’étude en apparence fort récent et corrélé à la montée en puissance du web et des réseaux sociaux au cours de ces dernières années. Il n’est, pour s’en convaincre, qu’à analyser la manière dont le terme s’est répandu sur le Twitter francophone depuis le tournant de la dernière décennie.
En 2015, sorte de dernière année zéro du phénomène, ce dernier n’existait pas dans le langage courant ou alors de manière purement résiduelle et périphérique. Comme si avant le succès du concept de fake news en 2016, le réel tel qu’il se manifestait alors sur les réseaux sociaux numériques était parvenu à échapper aux affres de la manipulation d’information.
« Insulte, bénédiction, malédiction, tous les actes de nomination magique sont à proprement parler des prophéties prétendant à produire leur propre vérification : en tant qu’il enferme toujours une prétention plus ou moins fondée socialement à exercer un acte magique d’institution capable de faire advenir une nouvelle réalité, l’énoncé performatif réalise dans le présent des mots un effet futur. »
Cet acte magique dont parle Bourdieu dans son maître-ouvrage Ce que parler veut dire ne manque pas de faire écho à cette problématique, dans la mesure où l’institutionnalisation et la popularisation du vocable ont contribué à modifier le réel. La mise à l’agenda médiatique, politique et surtout institutionnel de la thématique a fait de cette dernière un sujet éthéré et hors-sol.
FAKE NEWS ET FAUSSES NOUVELLES, BLANC BONNET ET BONNET BLANC
La fascination contemporaine pour nos dispositifs de communication, de Twitter à YouTube en passant par TikTok, avec son cortège de superlatifs destinés à donner corps à l’idée de la rupture ontologique et technologique, dès lors qu’elle s’applique à la question équivoque de la manipulation de l’information, brouille les repères, les grilles de lecture et surtout les perspectives. Cette posture donne à penser que la viralité est un phénomène nécessairement contemporain, à cause de Twitter, à cause des algorithmes ou encore à cause des contenus de type clickbait, alors même que l’histoire de la presse, dans ses formes plurielles, est un rappel permanent de l’existence de cette viralité d’avant internet, pour reprendre le titre d’un ouvrage collectif de chercheurs en science de l’information et de la communication paru en juin 2020.
Des mazarinades aux gazetins en passant par le télégraphe Chappe, jusqu’aux formes plus modernes d’outils de communication, pas un dispositif de communication n’a échappé à des tentatives plus ou moins sophistiquées et ambitieuses de manipulation. Après tout, avant la guerre des narratifs sur Twitter, n’y avait-il pas déjà la « guerre des ondes » ? Cette séquence qui, de Radio-Stuttgart de la Propagandastaffel destinée aux « opérations psychologiques » en langues étrangères et sur les ondes de laquelle les équipes francophones de Paul Ferdonnet s’adonnaient à des exercices récurrents de déstabilisation de l’opinion, jusqu’aux passes d’armes entre la Radio-Paris de l’Occupation, qui vit notamment officier des propagandistes comme Jean Hérold-Paquis ou Philippe Henriot, et la mythique Radio-Londres des « Français parlent aux Français » et du génie loufoque Pierre Dac, entremêle à elle seule toutes les problématiques supposément contemporaines de manipulations de l’information et de réponses stratégiques à apporter à ces menées informationnelles.
Surtout, il n’est qu’à compulser les archives numérisées des titres de presse français pour se convaincre que les fausses nouvelles ont eu une existence avant les fake news. Derrière le rouleau compresseur terminologique lancé à toute allure en 2016, des décennies de couches documentaires sédimentées peuvent ainsi renaître à la vie grâce à la numérisation et aux outils modernes de reconnaissance optique de caractères (OCR) qui, malgré les faux positifs assez nombreux, n’en permettent pas moins d’en finir avec nombre de faux semblants conceptuels et intellectuels.
La désinformation est un terme somme toute confidentiel dans la presse française des XVIIIe et XIXe siècles et ne prend réellement son essor qu’à l’orée du second conflit mondial. La tendance se révèle être relativement similaire pour le vocable de fausses informations. Il n’en va pas de même comme l’indique le graphique ci-dessus pour ce qui concerne les fausses nouvelles. L’utilisation du terme y est constante et marquée par des climax correspondant à des séquences majeures dans la vie politique française. Parmi celles-ci, la courbe de volumétrie fait distinctement apparaître la crise politique et institutionnelle de 1877, août 1914 et le début de la Première Guerre mondiale, 1936 et la période du Front populaire ou encore mai 1940 et la bataille de France.
La consultation des dizaines de milliers de brèves et d’articles qui évoquent ces fausses nouvelles est riche d’enseignement, notamment sur le parallèle qui existe avec notre époque. Des fausses nouvelles commerciales, financières et boursières aux fausses nouvelles que les factions, clans et partis s’accusent mutuellement de répandre pour arriver aux plus sensibles, celles que l’ennemi extérieur diffuserait par divers canaux, les préoccupations des Français de la première moitié du siècle dernier sont sensiblement et étrangement les mêmes que les nôtres.
Cela appelle nécessairement de la part des observateurs contemporains à une forme de retenue, de distanciation et de contextualisation, car les évolutions qui affectent le médium n’altèrent finalement que marginalement le fond du message et le cours de l’histoire. Cependant, réinscrire un phénomène dans son historicité et une temporalité donnée ne saurait équivaloir nécessairement à céder à la facilité d’une vision cyclique et répétitive du réel.
Si souligner les similitudes et les parentés d’un phénomène est une approche nécessaire pour se départir des postures faisant de l’effet de mode le seul curseur probant, une telle démarche ne saurait faire l’économie de la mise en évidence des points ouvertement dissonants et contemporains du phénomène décrit qui, par nature, font de ce dernier une nouvelle itération et non une simple réplique.
LES FAKE NEWS ET LA SOUVERAINETÉ
En revanche, ce qui peut apparaître neuf au regard de l’histoire récente c’est le rapport de plus en plus étroit et critique qu’entretiennent les fausses nouvelles avec la question de la souveraineté. Après tout, les dispositifs contemporains d’informations, et c’est un truisme que de le rappeler, se jouent en partie des limites géographiques et l’attrait, entre curiosité, fascination et inquiétude, que suscite la pléthore récente de médias étrangers numériques dits d’influence, est révélateur de cette singulière nouveauté des fausses nouvelles. Si les frontières ont toujours été plus ou moins poreuses, la guerre des ondes que nous évoquions plus haut pâtissait encore des contraintes géographiques et technologiques de ses conditions d’exercice. Dorénavant, rien n’empêche des puissances étatiques plus ou moins démocratiques de prendre pied dans le cœur battant de l’opinion publique de pays cibles, des Qataris d’AJ+ en passant par Sputnik et RT pour la Russie jusqu’aux médias chinois, afin de participer à une co-construction, nécessairement biaisée de par leur statut de state-backed media, des narratifs locaux.
L’intrication entre guerre et propagande et l’apparition de conflits irréguliers dans lesquels la psychologie et l’affrontement idéologique jouent la plus grande part n’ont pas attendu les discours modernes sur la « guerre hybride ». Tromper l’ennemi dans une situation de conflit, semer la panique et la confusion parmi les rangs adverses sont des leviers aussi vieux que l’art de la guerre lui-même. À cet égard, les guerres asymétriques de la seconde moitié du XXe siècle jusqu’aux conflits actuels ont contribué à souligner l’importance stratégique de la bataille de l’information. Du point de vue des guérillas, la bataille de l’information est devenue, comme le souligne le chercheur Nicolas Mazzucchi, une manière « de déplacer le front des opérations du théâtre militaire vers l’opinion publique ».
Pour les États occidentaux, et notamment les États-Unis, le renversement du mouvement de la guerre de l’information dans les années 1990, via notamment un contrôle étroit des canaux de diffusion (notamment la télévision), est devenu une manière de « re-symétriser » des conflits insurrectionnels. L’émergence d’internet et de canaux de communication décentralisés a rebattu les cartes en brisant les barrières établies par les grandes puissances et notamment par les États-Unis à l’entrée du marché de l’information mondiale. Au point de voir en 2015 l’État islamique se saisir des fonctionnalités des réseaux sociaux développés par des firmes américaines à des fins de recrutement et de propagande.
La rupture stratégique induite par le numérique est celle qui donne à des acteurs pluriels, étatiques ou non, la capacité de multiplier les actes conflictuels de faible intensité en brouillant leur origine, tout en étendant à l’infini les limites spatiales du théâtre des opérations. Ces opérations ont vu leur coût d’entrée aller sans cesse décroissant, puisque les opérations de désinformation et de guerre informationnelle sont désormais à la portée de petits groupes dotés seulement d’une connexion internet et, le cas échéant, d’abonnements téléphoniques.
Cette plasticité opérationnelle se prête particulièrement bien à être déployée de champ de bataille en champ de bataille dans un contexte d’explosion des zones de tension à travers le monde. Elle permet, en outre, de faire la guerre sans le dire, c’est-à-dire de continuer la politique par d’autres moyens que les moyens guerriers, devenus trop engageants dans une époque d’équilibre de la terreur nucléaire. Parce que le monde virtuel reste encore pensé comme étant plus ou moins périphérique par rapport au monde physique, il se prête encore aux affrontements à faible risque d’escalade.
RÉSEAUX ET DÉMOCRATIES
Mais les groupes terroristes et d’insurgés ne sont pas les seuls à avoir pris conscience de l’intérêt pour ces « armes du faible », réputées capables de remporter des batailles sans engagement militaire. En la matière, les régimes autoritaires apparaissent avoir développé des capacités opérationnelles et une vision stratégique qui outrepassent de très loin celles des démocraties.
Ce constat suscite l’étonnement à double titre : tout d’abord parce que les démocraties sont généralement parvenues à faire coexister leur raison d’État et leurs impératifs moraux sans que ces derniers ne viennent inhiber leurs capacités opérationnelles (par exemple en matière de renseignement et même de propagande). Ensuite parce que rien ne semblait prédisposer le web, qui s’est originellement construit comme un contre-pouvoir, à devenir un instrument particulièrement efficace au service des régimes autoritaires.
L’émergence des grands géants de la tech, tout en remettant en cause l’utopie libertaire des débuts du web, aura pu paraître mettre les États sur le banc de touche et même accélérer le processus en popularisant à travers le monde de nouveaux moyens de communication et d’échange des idées. Au tournant des années 2010, Facebook a ainsi paru catalyser voire être la cause elle-même des printemps arabes. Progrès des réseaux sociaux et progrès de la cause des démocraties ont ainsi longtemps semblé indissociables.
Plus vulnérables à l’égard du pluralisme, les États autoritaires ont mis en place différentes stratégies pour se prémunir contre les dangers des réseaux sociaux et chevaucher le tigre : création d’un internet en vase clos derrière une grande muraille numérique en Chine, censure, piratage et trolling d’opposants, création de réseaux sociaux alternatifs aux grandes plateformes américaines (comme VK en Russie) ou encore coupure d’internet en cas de situation politique sensible (comme en Iran en novembre 2019, lors de grandes manifestations contre le régime).
Dans ces différents cas de figure, il apparaît que les stratégies mises en place par ces États visaient moins à combattre un ennemi extérieur qu’à renforcer son pouvoir de contrôle intérieur. Le corpus des tweets de l’Internet Research Agency rendu public par Twitter en octobre 2018 et qui montre une surreprésentation des messages publiés en russe par rapport aux autres langues tend lui aussi à confirmer ce constat.
D’un point de vue historique, les actions menées par les régimes autoritaires ont donc originellement cherché à conjurer cette vulnérabilité initiale, en empêchant le web d’être instrumentalisé par leurs propres opposants. Elles apparaissent ainsi comme le produit d’un processus de défiance précoce à l’égard du web qui s’est illustré à des degrés différents à travers la mise en place du grand Firewall chinois à la fin des années 1990, ou encore à travers la création des médias russes d’influence tels que RT et Sputnik dans la période suivant les « révolutions de couleur » dans les pays de l’ex-URSS.
Ce processus touche désormais depuis quelques années les démocraties occidentales, déclenché notamment par la prise de conscience du détournement des plateformes par des groupes terroristes ou extrémistes, par le référendum du Brexit (2016) et par le référendum catalan (2017), par les élections américaines (2016) ou encore par les élections françaises (2017).
La mise à l’agenda de la question des fausses nouvelles, à travers un vocable renouvelé dont l’effet est en grande partie d’accréditer le caractère de nouveauté et de singularité du phénomène, tout comme le changement de doctrine des États occidentaux à l’égard des actions d’influence dans le cyberespace, peut aussi être appréhendé comme le symptôme d’une poussée de « fièvre obsidionale ». Cette grande peur décrite par François-Bernard Huyghe apparaît comme l’écho du même processus à l’œuvre dans les régimes autoritaires lors de l’émergence des réseaux sociaux, à quelques décennies d’écart.
En cherchant à recréer de la centralité et du contrôle via une production législative destinée à garantir l’intégrité des scrutins ou à lutter contre les discours de haine, les États occidentaux cherchent à reprendre la main sur des espaces qui paraissent de moins en moins pacifiés et de plus en plus échapper à leur sphère de contrôle sous l’influence extérieure des Gafam d’une part et des ingérences étrangères d’autre part.
Dans le cadre d’une compétition mondiale redoublée qui passe désormais par un conflit généralisé des narratifs, les États occidentaux ne peuvent pas faire l’économie d’une réflexion sur leur stratégie et les moyens qu’ils se donnent pour faire face à ces nouveaux enjeux et à ces nouvelles menaces. Pour être vraiment opérante, celle-ci gagnerait à dépasser la fascination suscitée par la technologie pour se couler dans le cadre d’une réflexion stratégique globale qui, tout en prenant en compte les spécificités des nouveaux écosystèmes informationnels à l’heure numérique, ne se laisserait pas abuser par des nouveautés sémantiques.
Depuis TOUJOURS la dictature (monarchique, républicaine ou impériale) en place a répandu les mensonges afin que le Peuple ne s'instruise. C'est au travers des journaux, puis des radios, des téléviseurs puis d'internet où le QG des criminels à Bruxelles a voté un budget pour payer des hackers sur Internet afin de répandre de fausses nouvelles, d'intervenir dans des forums et même d'en créer ! Et, aujourd'hui, l'on se rend compte de leur succès au nombre effrayants de cons et de connasses qui vont se faire piquer et qui portent un masque ! Hahahahaha ! Ce sont celles et ceux qui refusent d'écouter les scientifiques, les professeurs et docteurs et préfèrent les mensonges criminels des merdias ou apparaissent leurs assassins préférés qui les inoculent toujours plus profond chaque jour !
"Les combustibles fossiles sont un atout stratégique", disent les gens qui regardent la tempête de gaz parfaite au Royaume-Uni et dans l'UE
September 18th, 2021
Ce n'est même pas encore l'hiver mais tout d'un coup tous les regards se tournent vers le prix de l'essence Les prix néerlandais du gaz TTF en équivalent pétrole brut se négocient désormais à 148 $/baril. Du gaz par le toit…
Grâce à la peur du vaudou du changement climatique, de nombreux pays de l'UE ont effectivement cessé d'explorer du gaz et ont décidé de ne pas fractionner leurs gisements de schiste pour obtenir également du gaz bon marché. (En Australie aussi). Des gouvernements vaniteux visaient à changer le temps au lieu d'avoir de l'électricité bon marché et voilà, des tours à vent ont été construites partout.
Qu'est ce qui pourrait aller mal ? Presque tout.
Même la taille massive du marché européen ne les a pas épargnés d'une hausse des prix si importante que les fournisseurs de détail s'effondrent et que les usines d'engrais ferment.
C'est un excellent moyen de donner le dessus à vos ennemis
La sécheresse due au vent au printemps et en été a entraîné l'échec des parcs éoliens. Ensuite, les Russes ont fait pression sur l'approvisionnement en gaz de l'UE, comme s'ils espéraient faire monter les prix et faire pression sur l'Allemagne pour qu'elle approuve le controversé gazoduc Nordstream 2. Maintenant, le Kremlin suggère qu'une approbation rapide atténuera la pénurie de gaz (ils essaient juste d'aider). Aux dernières nouvelles, une grande interconnexion entre le Royaume-Uni et la France a subi un incendie et est tombée en panne et ne sera rétablie qu'en mars de l'année prochaine.
La GWPF souligne que les prix du gaz en Europe sont trois fois plus élevés qu'aux États-Unis « où la fracturation hydraulique est largement utilisée et le gaz de schiste est bon marché et abondant ».
Les prix de l'électricité montent en flèche après l'incendie d'un câble électrique clé entre le Royaume-Uni et la France Drapeau du Royaume-UniLes prix de l'électricité britannique ont bondi de 19 % à 475 £ par mégawattheure mercredi. Un câble électrique clé entre la Grande-Bretagne et la France a été fermé après un incendie, provoquant une flambée des prix de gros. L'incendie réduira les importations en provenance de France jusqu'à fin mars 2022, a prévenu National Grid.
Les mauvaises nouvelles commencent à se dérouler. Avec la fermeture des usines d'engrais, il peut y avoir des pénuries alimentaires :
Au Royaume-Uni, deux fournisseurs d'énergie se sont effondrés sous la flambée des prix :
8 septembre 2021 : La flambée record du marché de l'énergie a fait ses premières victimes après l'effondrement de deux fournisseurs britanniques, laissant près de 100 000 clients sans fournisseur d'énergie. PfP Energy et MoneyPlus Energy ont tous deux cessé leurs activités, le marché britannique du gaz ayant atteint un nouveau record mardi, tandis que les prix du marché de l'électricité ont grimpé à des niveaux jamais vus depuis 2008.
Les usines d'engrais ont été fermées en raison des prix élevés du gaz :
Les prix record de l'énergie ont forcé deux usines d'engrais dans le nord de l'Angleterre à fermer et à arrêter des usines sidérurgiques, dans certains des signes les plus clairs que la crise énergétique engloutissant l'Europe pourrait porter un coup à la reprise économique du Royaume-Uni.
L'industrie britannique de la viande prévient que la pénurie de gaz carbonique pourrait affecter les approvisionnements alimentaires d'ici deux semaines
LONDRES – L'industrie britannique de la viande a averti vendredi qu'une pénurie imminente de gaz carbonique pourrait perturber massivement l'approvisionnement alimentaire d'ici deux semaines. Le gaz est utilisé pour étourdir les animaux avant l'abattage, dans l'emballage sous vide de produits alimentaires pour prolonger leur durée de conservation et pour mettre le pétillant dans la bière, le cidre et les boissons gazeuses. La chaîne d'approvisionnement alimentaire britannique, déjà en train de craquer à cause d'une pénurie aiguë de chauffeurs de poids lourds et de l'impact du Brexit et du COVID-19, dépend fortement des producteurs d'engrais pour le gaz carbonique, qui est un sous-produit de leur processus de production.
Les factures d'énergie s'envolent :
Les factures d'énergie augmenteront de centaines de livres en quelques semaines après que des dizaines de fournisseurs à court d'argent aient retiré leurs offres les moins chères du marché en raison de la flambée des prix de gros. Les fournisseurs ont retiré leurs offres forfaitaires les moins chères hier… Si peu d'offres bon marché sont disponibles que Compare the Market, spécialisé dans la comparaison d'offres bon marché, a temporairement fermé hier soir son service de comparaison d'énergie.
Soudain, l'autosuffisance énergétique semble attrayante Les prix du gaz augmentent également aux États-Unis, et même les États-Unis y prêtent attention.
La leçon climatique de l'Europe pour l'Amérique UK FlagUS Flag, Flying.Comme les drapeaux de l'énergie éolienne, les prix de l'énergie montent en flèche au milieu des pénuries de carburant.
le journal Wall Street
Les prix de l'électricité au Royaume-Uni cette semaine ont atteint un record de 354 £ (490 $) par mégawattheure, soit une augmentation de 700 % par rapport à la moyenne de 2010 à 2020. L'indice de référence de l'électricité en Allemagne a doublé cette année. L'augmentation de 12,3% du mois dernier était la plus importante depuis 1974 et a contribué à la plus forte hausse de l'inflation depuis 1993.
Les prix spot du gaz naturel en Europe ont quintuplé l'année dernière. Certains fournisseurs d'énergie brûlent du charbon moins cher, mais ses prix ont triplé.
Les États-Unis sont le plus grand producteur de gaz au monde, mais ils ne sont pas à l'abri des turbulences sur les marchés de l'énergie. Les prix au comptant du gaz naturel aux États-Unis ont doublé au cours de la dernière année, en partie parce que les producteurs ont augmenté leurs exportations vers l'Europe et l'Asie. Les exportations ont augmenté de plus de 40 % au cours des six premiers mois de cette année par rapport à l'année dernière.
Devinez à qui profite si les États-Unis adoptent des politiques anti-gaz « à faible émission de carbone » ? la Russie, l'Iran et la Chine,
Cela souligne à quel point les combustibles fossiles sont un atout économique et stratégique des États-Unis. Le plan de l'administration Biden visant à réduire la production de pétrole, de gaz et de charbon par voie réglementaire donnerait du pouvoir aux adversaires, en particulier la Russie, l'Iran et la Chine, qui sont les trois plus grands producteurs de gaz au monde après les États-Unis.
Les Américains ressentent déjà la douleur de la hausse des prix de l'énergie. Les prix de l'électricité et du gaz des services publics ont augmenté de 5,2 % et de 21,1 %, respectivement, au cours des 12 derniers mois en août.
Comme je l'ai dit en juin, l'UE était déjà obligée de recommencer à brûler du charbon parce que personne ne construisait de centrales à gaz parce que les experts ont tous dit qu'il s'agirait d'actifs bloqués :
La blague de Dieu sur les gouvernements qui essaient de contrôler le climat avec leur réseau électrique :
L'Europe se prononce contre la construction d'usines à gaz pour arrêter le réchauffement climatique, puis après un hiver très froid, elle est également à court de gaz, et maintenant elle doit se remettre à brûler du charbon.
Les investisseurs effrayés ne finançaient plus beaucoup de centrales à gaz maintenant que la glorieuse ère des énergies renouvelables était là et que les décideurs politiques portaient tous leurs badges Hydrogène et agitaient leurs baguettes de capture de carbone. L'année dernière, tous les génies de la Banque européenne d'investissement, de l'AIE, de la Commission européenne disaient que « le gaz est fini » et que ce serait un actif échoué.
Nicki Minaj: "Ouvrez vos f ** king eyes" à la censure COVID, l'interdiction de Twitter "me fait penser" qu'il "se passe quelque chose de plus grand"
samedi 18 septembre 2021 par : rédacteurs en chef
(Natural News) (Article de Jack Hadfield republié à partir de NationalFile.com)
Minaj, la pop star née à Trinidad, avait fait l'actualité mondiale ces derniers jours, pour avoir tweeté en faveur de la liberté médicale, expliquant que quelqu'un qu'elle connaissait était devenu « impuissant » après avoir pris l'un des vaccins COVID controversés, puis avait exhorté ses partisans à prier et peser les avantages de se faire vacciner. En réponse, les médias mondialistes sont devenus furieux contre la star, seuls Tucker Carlson et d'autres médias pro-liberté la défendant. Mercredi soir, Minaj a même tweeté un clip de Carlson la défendant, provoquant une réaction encore plus forte des défenseurs pro-vaccins.
Peu de temps après avoir publié le clip de l'émission de Carlson défendant ses tweets sur le vaccin COVID, Minaj a été temporairement suspendue de Twitter. Dans une publication sur Instagram Stories, Minaj a déclaré qu'au moment où elle s'apprêtait à publier un sondage sur le site, elle s'est rendu compte qu'elle avait été mise en "prison de Twitter", car "ils n'aimaient pas ce que je disais là-bas. " Dans un e-mail adressé à National File, Twitter a affirmé qu'aucune "mesure d'exécution" n'avait été prise sur son compte, semant la confusion quant à la raison pour laquelle Minaj n'a pas été en mesure de publier.
Minaj est passé en direct sur Instagram, claquant la censure de Twitter juste pour avoir posé des questions sur le vaccin COVID. "Vous ne pouvez pas parler par peur que la foule vous attaque", a déclaré Minaj, affirmant que cela devrait donner aux gens "des frissons de haut en bas de votre putain de colonne vertébrale", en comparant ce qui est arrivé à l'oppression des chrétiens à travers le monde et d'autres régimes autoritaires :
Vous devriez pouvoir poser des questions sur tout ce que vous mettez dans votre corps. Nous posons un tas de questions sur les choses les plus simples… Mais vous ne pouvez pas simplement poser une question innocemment sur quelque chose qui se passe dans votre corps ? Je me souviens être allé en Chine et ils nous ont dit qu'on ne pouvait pas dénoncer les gens au pouvoir là-bas. Je me souviens que nous pensions tous, oh d'accord, eh bien, nous comprenons et respectons les lois ici, et que c'est tellement différent où nous vivons… Ne voyez-vous pas que nous vivons maintenant à cette époque, où les gens tourneront leur retour sur vous… Les gens vous isoleront si vous parlez et posez simplement une question.
Ce qui n'est peut-être pas une surprise pour certains, Minaj a ajouté que de nombreux autres artistes musicaux ressentent la même chose qu'elle, "mais ils ont peur de parler" de peur que le même contrecoup ne leur arrive. "Je n'utiliserai plus jamais Twitter", a-t-elle ajouté, notant que son interdiction de Twitter lui faisait penser "qu'il se passe quelque chose de plus gros" avec la censure en général autour du vaccin COVID :
J'ai continué à voir tous ces gens avec toutes ces théories du complot, j'étais comme, oh quoi, s'il vous plaît. Mais qu'est-ce qui vous a fait tant peur qui vous a fait désactiver mon putain de Twitter ? Je n'ai rien publié dont j'ai dit qu'il s'agissait d'un fait à propos de quoi que ce soit. J'ai simplement dit que nous devrions pouvoir poser des questions et parler. C'est effrayant quand ils commencent à vous dire que vous ne pouvez pas poser de questions sur quoi que ce soit… Écoutez-moi. S'il te plaît. Ouvrez vos putains d'yeux. Ouvre tes yeux! C'est tout.
« L’état Français n’existe plus », Dr Valérie Bugault
RépondreSupprimerPublié par Aphadolie
20/08/2021
Claire et limpide comme d’habitude, Valérie Bugault éclaire les eaux glauques dans lesquelles s’enfonce notre avenir.
Elle explique comment l’Etat français n’existe plus ; le vide juridique ne pourra pas durer, aussi la dictature s’imposera-t-elle d’elle-même, si la population dans son ensemble ne se réveille pas.
Biographie succincte :
Valérie Bugault est docteur en droit de l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne. A l’occasion de sa thèse portant sur le droit de l’entreprise, elle a élaboré une théorie juridique unifiée, qualifiée « d’iconoclaste », de l’entreprise.
Elle a travaillé comme avocate fiscaliste dans le domaine des prix de transfert ainsi qu’en droit fiscal interne avant de cesser sa carrière d’avocate pour se consacrer à l’analyse des problématiques de géopolitique économique.
Elle a notamment publié, en 2016, sur le site du Saker francophone une série d’études intitulée « décryptage du système économique global », où elle raconte les paradis fiscaux et le système monétaire international. Elle a également co-écrit un livre « Du nouvel esprit des lois et de la monnaie », publié en juin 2017 par Sigest.
Valérie Bugault table sur un assainissement financier et économique de la planète en croyant qu’il est grand temps de sortir de l’état actuel des choses qui favorise les paradis fiscaux.
Observateur Continental a demandé à Valérie Bugault, docteur en droit et analyste de géopolitique juridique de préciser son appel récemment fait à tout le monde mais essentiellement aux forces de l’ordre pour agir et sauver la France et son peuple. Dans cette qualité de docteur en droit, elle a créé une théorie unifiée de l’entreprise, laquelle reprend et réactualise les fondamentaux théoriques de la « participation », jamais mise en œuvre en France à ce jour. Ancienne avocate fiscaliste, en omission depuis 2009, reconvertie, dès cette époque, dans la géopolitique juridique, elle considère que c’est un sujet essentiel et trop longtemps passé sous silence qui va, dans les années qui viennent, reprendre la place fondamentale qui est la sienne dans les analyses de politique et géopolitique.
Part 1 : « De facto, l’Etat Français n’existe plus »
RépondreSupprimerEst-ce que votre appel signifie que nous sommes en Troisième Guerre mondiale ?
Valérie Bugault : On pourrait présenter les choses comme cela mais il faut alors immédiatement préciser qu’il s’agit d’une Guerre d’une nature nouvelle. Cette guerre n’est pas menée militairement par un ou des Etats contre un ou plusieurs autres Etats. Cette guerre est conduite, au sein même de chacun des Etats, par une oligarchie compradore accapareuse – elle-même menée par le modèle défini par les dirigeants globalistes de la City of London (mélange de banques globales, de multinationales à leurs ordres sous anonymat, d’anciennes familles régnantes et de grands industriels ralliés à la banque) – contre les populations desdits Etats. Il faut immédiatement ajouter, à des fins de clarté du débat, que les populations constituent, en elles-mêmes, historiquement le concept d’Etat ; c’est-à-dire que les populations sont intrinsèquement les éléments constitutifs de la notion politique d’Etat. Il en résulte qu’un Etat accaparé par une caste compradore n’est, du point de vue juridique et institutionnel, qu’une coquille vide, un détournement de la notion d’Etat, en d’autres termes, un « abus de droit public international ».
Comment interprétez-vous la déclaration d’Emmanuel Macron : « Nous sommes en guerre, sanitaire, certes » ?
Valérie Bugault : Cette déclaration de Macron, en tant que président de la République, ne saurait être anodine. La suite des évènements a démontré que cette déclaration avait pour objectif de lancer les grandes manœuvres politico-sanitaires de type militaire contre les institutions françaises et contre la population française. Le Comité de Défense sanitaire, qui tient désormais lieu de « pouvoir exécutif », ne repose sur aucune base juridique satisfaisante et ne dispose d’aucune légitimité politique. De facto, l’Etat Français n’existe plus : les institutions officielles, sur lesquelles l’Etat français reposait tant au niveau de sa légitimité politique interne qu’à celui de sa reconnaissance internationale, sont suspendues.
Il doit aujourd’hui être acté au niveau international que l’Etat français n’est plus valide en raison de la modification d’identité (droit public international) qui s’est produite en dehors de tout processus juridique et politique valide. La conclusion logique est que la France est désormais irrémédiablement entrée dans une phase de transition politique et géopolitique.
Selon cette logique, les traités signés par la République française – qui doit désormais être qualifiée d’ancien régime – se trouvent eux-mêmes dans une situation problématique. Les engagements internationaux de la feu République française sont dans une situation de vide juridique.
Stricto sensu, l’État français n’existant désormais plus ; les engagements juridiques internationaux de la République française devront être examinés, au cas par cas, par les nouvelles institutions juridiques qui remplaceront dans un futur indéterminé, la défunte République française. Notons dès à présent que cette reconnaissance des traités internationaux ne pourra valablement être entreprise que lorsque les nouvelles institutions politiques françaises seront validées par une légitimité politique interne indiscutable. On est encore loin de cette nouvelle réalité politique…
A cet égard, les Français devront être très vigilants et trouver les moyens de se prémunir contre toute ingérence (au cours du processus transitionnel) par des individus représentants de façon occulte (services secrets non identifiés, représentants de tout type de groupuscule occulte ou secret), l’ancien régime républicain.
RépondreSupprimerDe qui est quoi est constitué ce contrôle globaliste qui commande aujourd’hui la France ?
Valérie Bugault : Il est constitué par la prise de contrôle, au niveau mondial – via le contrôle du système économique global – de :
– La force de travail des individus.
– Des ressources matérielles et financières par les multinationales et les grandes banques globalistes.
– Des systèmes politiques via le « parlementarisme » (prétendument représentatif), lequel repose sur la captation de la vie politique par les partis politiques qui dépendent de leurs fournisseurs de capitaux.
Cette prise de contrôle mondiale opère à partir des armes développées par l’empire britannique que sont le droit anglo-saxon (y compris le concept de soft law) et le système des banques centrales. Anonymat et secret (notamment des affaires, mais aussi d’Etat…) ont été de puissants moyens pour accroître, en toute discrétion et impunité, leur accaparement des richesses et du pouvoir. Au-delà de ces armes de pointes, les globalistes en ont développé de nouvelles : à savoir les institutions internationales dont ils ont, initialement ou au fil du temps, pris le contrôle plus ou moins officiellement : Onu (accompagnée de sa multitude d’agences qui se sont octroyé une compétence sur toutes les thématiques de la vie), OMC, OMS, OCDE, FMI, Banque des règlements internationaux, Banque mondiale, Club de Rome, Davos, Bilderberg, Union Européenne…
Quelle est cette organisation qui est derrière les armées secrètes de l’Otan ?
Valérie Bugault : Les armées secrètes de l’Otan ont été parfaitement renseignées par l’universitaire suisse Daniele Ganser, qui a fait un remarquable et difficile travail d’investigation et de synthèse. Je vous renvoie à ses nombreux travaux sur le sujet : livre réédité, (« Les armées secrètes de l’Otan »), très nombreuses conférences que tout un chacun peut retrouver, écouter et visualiser sur YouTube notamment. Ces armées secrètes ont été organisées dès la Seconde Guerre mondiale afin de lutter contre Staline mais leur mission première était, à l’image de son instigateur Allan Dulles, d’être mise au service exclusif des multinationales et des banques globalistes qui opéraient, à l’époque, à partir de l’empire américain. Cette superstructure opaque s’est développée en toute indépendance vis-à-vis des Etats membres de l’Otan tout en disposant de la capacité de ponctionner, en secret, dans les ressources de l’Otan. Cette organisation occulte s’est, en particulier, spécialisée dans les attentats sous faux drapeaux (False flag / Opérations sous fausse bannière). Encore une fois, je renvoie les lecteurs intéressés à en savoir plus aux formidables travaux de Daniele Ganser.
Part 2 : « La dictature est clairement revendiquée »
RépondreSupprimerDe quelles unités sont constituées ces forces armées secrètes de l’Otan ? Comment agit ce fonctionnement secret ?
Valérie Bugault : Je ne saurais vous le dire précisément. Le mieux placé pour en parler est Daniele Ganser.
Il importe toutefois de préciser que cette structure, dénommée « Stay Behind » (Réseau Gladio en Italie, réseau Arc-en-ciel en France…) n’a pu se développer que dans le secret et l’anonymat, ce qui signifie qu’on la détecte davantage à ses effets que par sa cause, qui serait la connaissance précise de son fonctionnement interne.
Loin d’être une spécialiste du « Stay Behind », j’estime tout à fait indispensable d’attirer l’attention des Français sur l’existence de ces forces armées, anciennes et occultes, développées en toute indépendance de la hiérarchie militaire officielle tant au niveau national qu’à celui de l’OTAN.
J’ajoute qu’il est probable que les armées de mercenaires internationaux, retrouvés en Syrie et ailleurs sur la planète, financées par les globalistes et dument entrainées, sont parties prenantes à cette structure opaque regroupée sous le terme des « armées secrètes de l’OTAN ».
Avez-vous des exemples ?
Valérie Bugault : Le juge italien, aujourd’hui décédé, Ferdinando Imposimato a donné de nombreux détails sur les connexions de ce « Réseau Gladio » (dénomination italienne) avec la « Loge P2 », le groupe Bilderberg et de multiples personnalités politiques :
https://www.dailymotion.com/video/xx91uw
https://www.rtbf.be/info/monde/detail_attentat-de-bologne-les-documents-secrets-sur-gladio-et-la-loge-maconnique-p2-rendus-accessibles-par-le-gouvernement-italien?id=10817219
https://tempspresents.com/2016/04/05/stay-behind-europeens-tenembaum-origoni/
Qui sont « toutes les forces globalistes » ?
Valérie Bugault : J’ai identifié ces « forces globalistes », via les méthodes qu’ils utilisent et les moyens dont ils disposent dans mon ouvrage « Les raisons cachées du désordre mondial », auquel je renvoie vos lecteurs. Il s’agit d’une petite caste d’individus coalisés (banquiers, grands industriels et représentants de familles régnantes) ayant œuvré à partir de la City of London pour établir un gouvernement mondial uniformisé sur toute la planète. Leur objectif, après avoir réduit drastiquement la population mondiale et renouvelé le principe normatif, est d’établir officiellement un Gouvernement mondial dans le contexte où ils ont déjà, de facto, pris le contrôle officieux de la plupart des pays du monde. Partis d’Europe, ces individus ont travestis tous les fondamentaux de notre civilisation européenne afin d’imposer des normes de nature commerciale, via le droit anglo-saxon tel qu’il s’est développé depuis 1531. Ils envisagent l’établissement d’un contrôle total sur les particuliers, lesquels seront dès lors dépourvus de libre-arbitre. Ce contrôle total est aujourd’hui clairement identifié par « la fusion des identités physiques, biologiques et numériques » revendiquée par Klaus Schwab, lui-même en tant que porte-voix mondial (héraut) de ce mouvement globaliste.
Avez-vous des informations (preuves) précises pour dire : « Ces forces-là sont en phase de prendre bientôt le contrôle officielle et apparent de nos États ? »
RépondreSupprimerValérie Bugault : Il faut commencer par préciser que la France n’existe officiellement plus depuis que ses institutions officielles ont été mises en suspens par l’arrivée d’un Conseil de Défense sanitaire sans base juridique, a-constitutionnel et a-politique. Cette suspension des institutions étatiques et leur détournement (lequel constitue un « abus de droit international public ») par un Conseil de Défense, dépourvu d’assise juridique sérieuse et politiquement illégitime, est la manifestation éclatante du fait que les forces globalistes sont en train de prendre le contrôle officiel des Etats.
Qu’est-ce qui nous attend quand vous déclarez : « Sous forme d’une dictature terrible ? »
Valérie Bugault : La dictature est clairement revendiquée par les forces occultes globalistes : réduction drastique de la population mondiale assortie d’un contrôle intégral des corps et des esprits des rares âmes qui resteront, certes à l’état de zombies (disparition totale du libre-arbitre), sur cette Terre. Il suffit de lire ce qu’explique Klaus Schwab dans son livre… tout y est expliqué. Ce programme ne faisant que confirmer les multiples prédictions du héraut globaliste Attali, qui clame haut et fort depuis quarante ans le projet d’évolution (il s’agit en réalité d’un projet d’involution) politique, économique et sociale de nos Sociétés. Le programme est également expliqué noir sur blanc sur les Georgia Guidestones. Cette caste utilise et subvertit toutes les préoccupations légitimes des particuliers, telle que la préservation de l’environnement, les inquiétudes sur le climat et la santé (…), afin de les transformer en « faisceaux laser » destinés à servir leurs intérêts, c’est-à-dire leur objectif d’établissement d’un gouvernement mondial dont ils auront le contrôle exclusif.
Depuis quand la 5 ème République est morte ?
Valérie Bugault : La 5ème République est morte, bien qu’encore un temps sous assistance respiratoire, dès l’arrivée du Traité de Maastricht, qui a vu une première scandaleuse salve de réformes de la Constitution ; mais plus encore et de façon radicale avec la mise en œuvre de l’euro et des Traités d’Amsterdam et de Lisbonne. Ces très nombreuses réformes, qui ont eu pour vocation d’intégrer, de force, la France dans l’ordre fédéral européen, lequel est destiné à être partie prenante du futur gouvernement mondial, ont totalement dénaturé la finalité, l’équilibre institutionnel et la vocation de la Constitution de 1958. Depuis lors, il ne faut pas s’y tromper, le gouvernement, identifié et responsable s’est transformé en « gouvernance » informe dénuée de tout pouvoir politique réel et surtout de toute responsabilité.
Toutefois, à bien y réfléchir, la première très grave dénaturation de la Constitution de 1958 a été initiée par Giscard d’Estaing qui a souhaité « rationnaliser le parlementarisme » en modifiant le mode de saisine du Conseil Constitutionnel. Par « rationaliser le parlementarisme », il faut comprendre resserrer la tutelle des « élus du peuple » par un organisme politique chargé de valider, ce qui se conçoit comme un pouvoir de censure, la prétendue « volonté populaire ». A partir de 1974, le peuple n’est de facto plus souverain puisqu’il dépend, il est légalement et administrativement mis sous la tutelle, d’un organisme politique chargé de le contrôler. Cette Réforme a, fondamentalement, opéré un changement de régime politique car désormais la fiction du « peuple souverain » apparaît pour ce qu’elle est réellement depuis le début : une pure imposture politique.
RépondreSupprimerRappelons que Giscard fut la cheville ouvrière de la subversion du système monétaire français instauré à la fin de la Seconde Guerre mondiale (le circuit du Trésor, autofinancement des dépenses de l’Etat par l’Etat lui-même). Il fut aussi l’un des principaux rédacteurs de la Constitution européenne, bientôt transformée en Traité de Lisbonne. Giscard était un parfait représentant de la synarchie, c’est-à-dire de l’oligarchie française compradore qui a, depuis le 19ème siècle, pris de contrôle des institutions françaises, avec la parenthèse salutaire, la brèche, du CNR. Il faut comprendre que les institutions temporairement imposées par le CNR au sortir de la Seconde Guerre mondiale constituent une rare anomalie de l’Histoire moderne de la France, un sursaut historique de la France millénaire.
Part 3 : Par quel système est, donc, administré la France aujourd’hui ?
Valérie Bugault : Depuis l’intervention du Conseil de Défense sanitaire, la France n’est administrée par aucune institution internationalement reconnue car, je le répète, ce Conseil de Défense n’a aucune assise juridique et aucune légitimité politique. Toutefois, dès avant cette escroquerie politique cachée sous des oripeaux sanitaires, la France était administrée, depuis la disparition du Général De Gaulle et plus encore depuis Maastricht, par les puissances financières qui ont été à l’initiative de la construction des institutions européennes, lesquelles sont – elles aussi – une pure escroquerie politique (une de plus…).
D’escroquerie en imposture, d’accaparement en irresponsabilité, nous nous dirigeons d’un pas ferme vers le néant civilisationnel, en un mot, vers l’enfer terrestre…
Quel est le rôle historique des forces de l’ordre et de l’armée aujourd’hui ?
Valérie Bugault : Les forces de l’ordre qu’elles soient civiles ou militaires doivent, avant toute chose, comprendre la situation de néant institutionnel dans laquelle les forces financières globalistes ont plongé la France. Notre pays a, dès les années 70 du siècle dernier, été économiquement et financièrement « ciblé » par les forces politiques internes totalement compradores mises au service de cette haute mafia globaliste menée de main de maître par les tenanciers de la City of London.
Force de l’ordre ou simples civils, tous les Français sont maintenant mis face à leur destin collectif. Chaque Français doit, individuellement, prendre sa part de responsabilité politique afin de permettre un destin, autre que la mort ou l’esclavage, aux générations à venir. L’heure des choix individuels et collectifs a sonné… l’avenir sera celui que nous en ferons.
Il reste qu’il ne faut surtout pas sous-estimer l’ennemi, qui a plus d’un tour dans son sac. Acculé, il va être capable du pire, y compris en utilisant la vieille méthode des attentats sous faux drapeaux pour imposer une loi martiale qui leur soit dédiée, ou encore l’autre vieille méthode consistant à user de mercenaires (il faut ici comprendre le terme de mercenaires comme réunissant à la fois les pirates et les corsaires puisque les Etats, coquilles vides, ont été captés par des intérêts privés de type mafieux) et d’armes létales contre les populations civiles.
Quelles sont ces grandes puissances qui « mangent sur le dos » de la France ?
RépondreSupprimerValérie Bugault : Tous les pays qui sont restés (contre vents et marées des attaques menées par les multinationales contrôlées par les banquiers globalistes) des « Etats politiques » dignes de ce nom souhaitent dépecer la France ! Ce malheureux pays, attaqué de longue date par les globalistes, a été donné en pâture par ses forces internes compradores, à tous les prétendants : chacun n’a qu’à se servir, untel achète les aéroports, tel autre se dispute les concessions autoroutières…
Le démantèlement de la France est acquis : non seulement ses actifs industriels (Alstom…), mais aussi les biens personnels de ses ressortissants (disparition de la propriété privée des Français, rappelons-nous le Traité signé avec le Qatar par N. Sarkozy qui permettait aux qataris d’acquérir des biens immobiliers en franchise d’impôts pendant que les impôts fonciers français de tous ordres, tant nationaux que locaux en passant par les successions, ne cessaient eux d’augmenter), la liquidation des services publics et enfin le démembrement du territoire sous l’effet des injonctions fédératrices bruxelloises.
Il est également loisible d’imaginer que la France sera le dindon de la farce financière dans le jeu du paiement des dommages de guerres suite à la violente attaque des mercenaires infligée, des années durant, à la malheureuse Syrie. N’oublions jamais qu’un « sinistre » français des affaires étrangères, à savoir Laurent Fabius (le même qui vient, au titre de sa présidence du Conseil Constitutionnel, de valider l’ignominieuse loi imposant un Pass sanitaire à la population française), avait publiquement exprimé « qu’Al Nosra avait fait du bon boulot » en Syrie. Ce genre de déclamation politique ne saurait en aucune façon rester sans conséquence sur la scène internationale… qu’on se le tienne pour dit ! Par ailleurs, il faut considérer que les véritables protagonistes seront trop heureux de se délester du fardeau du paiement de la dette de guerre sur le dos des Français…
Enfin, n’oublions pas que les globalistes nous font ployer depuis de nombreuses années, mais avec une sensible accélération depuis la crise covidienne, sous le poids d’une dette aussi illégitime qu’elle n’est pas remboursable. L’argent privatisé par la mafia globaliste ne doit, selon eux, aller qu’à la mafia globaliste…
Voici un bref aperçu de l’avenir financier, social et politique qui est promis aux Français…
D’où sortez-vous que la France est certainement menacée d’un démantèlement de son territoire ?
Valérie Bugault : Chacun devrait se souvenir du Traité d’Aix-la-Chapelle ignominieusement signé le 22 janvier 2019 par ce qui sert de Président à la France.
Quoiqu’il en soit, le démantèlement du territoire fut, dès le départ, le but ultime de la décentralisation initiée et confortée par les présidents successifs de la France. Ce démantèlement est écrit, entre les lignes, et découle de la volonté fédéraliste des tenanciers du l’UE. Je m’empresse d’ajouter que le personnel politique français est intégralement partie prenante des tenanciers des institutions européennes ; ce qu’oublient bien souvent de préciser les partisans du Frexit. N’oublions pas non plus qu’un des vœux les plus chers à Macron est de partager avec l’Allemagne (elle-même plus que l’ombre d’un pays digne de ce nom) le siège français au conseil de sécurité de l’Onu.
Assistons-nous à un coup d’Etat ?
RépondreSupprimerValérie Bugault : Nous assistons à une mise en suspension de nos institutions nationales officielles ! Ce qui doit être acté, au plus tôt, au niveau international afin de permettre aux français de mettre eux-mêmes en place leurs institutions de remplacement : il s’agit du donner un sens réel au droit à l’autodétermination des peuples claironné par l’Onu.
Au-delà de la conjoncture actuelle, le coup d’Etat est larvé depuis de nombreuses années, il consiste, pour les globalistes, à liquider les concepts d’Etat et de droit continental afin de les remplacer par ceux d’entreprise et de règlementation sur le modèle, déviant ou subversif (comme vous préférez), anglo-saxon. Ce coup d’Etat a pris, en Europe, la forme des institutions européennes (actuelle UE) ; la première planche visible du cercueil de la France ayant été la signature du Traité de Maastricht, lequel a suivi l’Acte Unique européen, qui lui avait préparé la voie !
Dr Valérie Bugault – Observateur Continental
Source :
https://valeriebugault.fr/
http://www.observateurcontinental.fr/?module=articles&action=view&id=3005
http://www.observateurcontinental.fr/?module=articles&action=view&id=2980
http://www.observateurcontinental.fr/?module=articles&action=view&id=2994
https://aphadolie.com/2021/08/20/letat-francais-nexiste-plus-dr-valerie-bugault/
Pr Didier Raoult reste à la tête de l'IHU Marseille encore une année supplémentaire, c'est acté, Le nouveau directeur de l’AP-HM François Crémieux voulait son départ cette année, c'est le Pr Raoult qui a eu le dernier mot ✊ @raoult_didier
RépondreSupprimerLes théoriciens du complot avaient raison ; C'EST un "Poison-Death Shot"
RépondreSupprimerPar Mike Whitney
La revue Unz
18 septembre 2021
« Je vais faire une autre expérience mentale avec vous : si tout le monde sur la planète attrapait Covid et ne se faisait pas soigner, le taux de mortalité dans le monde serait inférieur à un demi pour cent. Je ne préconise pas cela, car 35 millions de personnes mourraient. Cependant, si nous suivons les conseils de certains des dirigeants mondiaux – comme Bill Gates qui a déclaré l'année dernière que « 7 milliards de personnes doivent être vaccinées » – alors le taux de mortalité dépassera les 2 milliards de personnes ! ALORS, RÉVEILLEZ-VOUS ! C'EST LA 3ème GUERRE MONDIALE ! Nous assistons à un niveau de malveillance que nous n'avons pas vu dans l'histoire de l'humanité ! Dr Vladimir Zelenko, auteur du protocole Zelenko « Early Treatment » qui a sauvé des milliers de patients atteints de Covid-19. (« Zelenko scolarise le tribunal rabbinique », Rumble ; début à 11:45 minutes)
Les régulateurs de la FDA savaient-ils que tous les vaccins précédents contre le coronavirus avaient échoué dans les essais sur les animaux et que les animaux vaccinés étaient soit gravement malades, soit morts ?
Oui, ils ont.
Savaient-ils que les vaccins précédents contre le coronavirus avaient tendance à « améliorer l'infection » et « aggraver la maladie » ?
Oui.
Le Dr Anthony Fauci savait-il que les vaccins contre le coronavirus avaient échoué à plusieurs reprises et augmenté la gravité de l'infection ?
Oui il savait. (Voir ici : Fauci sur ADE)
Les sociétés pharmaceutiques ont-elles mené des essais sur des animaux avant l'approbation de la FDA qui auraient convaincu une personne raisonnable que les vaccins pouvaient être utilisés sans danger sur les humains ?
Non, ils ne l'ont pas fait.
Ont-ils terminé des essais cliniques à long terme pour établir si les vaccins étaient sûrs ?
Non, il n'y a pas eu d'essais cliniques à long terme.
Ont-ils mené des études de biodistribution qui ont montré où la substance de l'injection va dans le corps ?
Ils l'ont fait, mais les données n'ont pas été rendues publiques.
Le contenu du vaccin s'accumule-t-il en grande partie dans divers organes et dans la paroi du système vasculaire ?
Oui, ils le font.
De grandes quantités de la substance s'accumulent-elles dans les ovaires ?
Oui.
Cela affectera-t-il la fertilité féminine et la capacité d'une femme à mener un bébé à terme en toute sécurité ?
Les compagnies pharmaceutiques étudient actuellement cela. Les résultats sont inconnus.
Le vaccin pénètre-t-il dans la circulation sanguine et s'accumule-t-il dans la paroi des vaisseaux sanguins, forçant les cellules à produire la protéine de pointe ?
Oui.
La protéine de pointe est-elle un agent pathogène « biologiquement actif » ?
Il est.
La protéine de pointe provoque-t-elle des caillots sanguins et des fuites de vaisseaux sanguins chez un grand pourcentage des personnes vaccinées ?
C'est le cas, bien que les caillots sanguins soient pour la plupart microscopiques et apparaissent dans les capillaires. Seul un petit pourcentage de personnes vaccinées subit un accident vasculaire cérébral ou un arrêt cardiaque.
Les gens devraient-ils être informés de ces mauvais résultats possibles avant d'accepter de se faire vacciner ? (« consentement éclairé »)
RépondreSupprimerOui.
La FDA savait-elle que Pfizer avait « identifié la maladie améliorée associée au vaccin, y compris la maladie respiratoire améliorée associée au vaccin, comme un risque potentiel important » ?
Oui, ils l'ont fait, mais ils n'ont pas exigé que Pfizer résolve le problème. Voici plus :
« La FDA a noté que Pfizer, « a identifié la maladie améliorée associée au vaccin, y compris la maladie respiratoire améliorée associée au vaccin, comme un risque potentiel important ». L'EMA a également reconnu que "la maladie respiratoire améliorée associée au vaccin" était "un risque potentiel important… qui peut être spécifique à la vaccination contre le COVID-19".
Pourquoi aucun des régulateurs n'a cherché à exclure de tels dangers avant que l'autorisation d'utilisation d'urgence ne soit ouverte
question que tous les médecins et patients sont en droit de se poser. Pourquoi les régulateurs médicaux n'ont pas enquêté sur le
découvrir que de grosses particules de vaccin traversent les parois des vaisseaux sanguins, pénètrent dans la circulation sanguine et présentent des risques de coagulation du sang et de fuites de vaisseaux est encore une autre question ouverte. » (« Lettre ouverte à l'EMA et au Parlement européen », Doctors for Covid Ethics)
Les sociétés pharmaceutiques ont-elles vacciné les personnes du groupe placebo après les essais cliniques afin de dissimuler la différence dans les résultats de santé à long terme entre les deux groupes ?
C'est la conclusion qu'une personne rationnelle ferait.
Alors, ils ont détruit les essais ?
Oui.
La FDA a-t-elle largement ignoré ses obligations réglementaires et abandonné ses normes et protocoles normaux parce que
a– Il voulait mettre en service les vaccins Covid le plus rapidement possible ?
b– Il savait que le vaccin Covid-19 ne respecterait jamais les normes de sécurité à long terme ?
Nous ne le savons pas encore, mais le rapport sur les événements indésirables suggère fortement que le vaccin Covid-19 est de loin le vaccin le plus dangereux de l'histoire.
La FDA se précipite-t-elle sur les « boosters » sans les tests appropriés ?
Oui c'est le cas. Voici un extrait du dernier article de l'auteur Alex Berenson à Substack :
« Pfizer n'a fondamentalement pas pris la peine de tester le rappel DU TOUT chez les personnes réellement à risque - il a mené un seul essai de « phase 1 » qui a couvert 12 personnes de plus de 65 ans. « phases » de la recherche sur les médicaments à la fois, vous le voulez mal, vous l'obtenez mal) n'incluait personne de plus de 55 ans.
Personne.
Comme dans AUCUN. (« Vous vous moquez de moi, Pfizer, tome 1 gazillion », Alex Berenson, Substack)
RépondreSupprimerLes boosters ont-ils été modifiés ou améliorés pour répondre aux changements de la variante Delta ?
Non.
Y a-t-il un risque supplémentaire à prendre un rappel après avoir déjà pris deux vaccins expérimentaux à base de gènes en moins d'un an ?
Risque considérable. Voici plus de Doctors for Covid Ethics:
« Étant donné que les injections de rappel stimulent à plusieurs reprises la réponse immunitaire à la protéine de pointe, elles stimuleront progressivement l'attaque immunitaire de soi-même, notamment en augmentant les dommages causés par le complément aux parois des vaisseaux.
D'un point de vue clinique, plus la fuite des vaisseaux et la coagulation qui se produisent par la suite sont importantes, plus il est probable que les organes alimentés par le flux sanguin affecté subiront des dommages. De l'accident vasculaire cérébral à la crise cardiaque en passant par la thrombose des veines cérébrales, les symptômes peuvent aller de la mort à des maux de tête, des nausées et des vomissements, qui alimentent tous fortement les réactions indésirables aux vaccins COVID-19.
En plus des dommages causés uniquement par les fuites et la coagulation, il est également possible que le vaccin lui-même puisse s'infiltrer dans les organes et les tissus environnants. Si cela se produit, les cellules de ces organes commenceront elles-mêmes à produire des protéines de pointe et seront attaquées de la même manière que les parois des vaisseaux. On peut s'attendre à ce que des dommages aux principaux organes tels que les poumons, les ovaires, le placenta et le cœur s'ensuivent, avec une gravité et une fréquence croissantes à mesure que les injections de rappel sont déployées. » (« Lettre ouverte à l'EMA et au Parlement européen », Doctors for Covid Ethics)
Donc, c'est le double coup dur. D'une part, le rappel fonctionnera en grande partie comme le vaccin d'origine, pénétrant les cellules et les forçant à produire une protéine de pointe qui, à son tour, génère des caillots sanguins et des fuites de vaisseaux sanguins. Et, d'autre part, les protéines S nouvellement produites déclenchent une réponse immunitaire dommageable dans laquelle le système du complément attaque et détruit les cellules qui tapissent l'intérieur des vaisseaux sanguins. Chaque rappel supplémentaire intensifiera ce processus, affaiblissant le système vasculaire et augmentant la coagulation. Si les médecins ont raison dans leur analyse, nous pourrions alors assister à une forte augmentation de la mortalité toutes causes confondues dans les pays fortement vaccinés en moins d'un an. Les arrêts cardiaques sont déjà en augmentation.
Voici une autre question qui mérite d'être méditée : y avait-il une raison pour que les régulateurs de la FDA pensent que ces problèmes ne se poseraient pas après le lancement de la campagne vaccinale ?
Non. Ils auraient dû savoir qu'il y aurait des problèmes dès qu'ils ont vu que le vaccin ne restait pas dans l'épaule comme il était censé le faire. Le vaccin n'était pas censé pénétrer dans la circulation sanguine et se propager dans tout le corps, laissant des milliards de protéines de pointe dans son sillage. (La protéine de pointe est une cytotoxine, un tueur de cellules. Ce n'est pas un antigène approprié pour stimuler une réponse immunitaire. C'est un agent pathogène potentiellement mortel qui constitue une menace pour la santé même s'il est séparé du virus.) le vaccin censé déclencher l'amélioration dépendante des anticorps (ADE), ce qui est la condition à laquelle nous avons fait allusion ci-dessus en faisant référence à la « maladie améliorée associée au vaccin ». Voici une brève explication :
« L’ADE s’est avéré être un sérieux défi avec les vaccins contre les coronavirus, et c’est la principale raison pour laquelle beaucoup ont échoué dans les premiers essais in vitro ou sur les animaux. Par exemple, les macaques rhésus qui ont été vaccinés avec la protéine Spike du virus du SRAS-CoV ont présenté de graves lésions pulmonaires aiguës lorsqu'ils ont été confrontés au SRAS-CoV, contrairement aux singes non vaccinés. De même, des souris qui ont été immunisées avec l'un des quatre vaccins différents contre le SRAS-CoV ont montré des changements histopathologiques dans les poumons avec une infiltration d'éosinophiles après avoir été confrontées au virus du SRAS-CoV. Cela ne s'est pas produit chez les témoins qui n'avaient pas été vaccinés. Un problème similaire s’est produit lors du développement d’un vaccin contre le FIPV, qui est un coronavirus félin. » (« Le vaccin contre le coronavirus est-il une bombe à retardement ? », Science avec le Dr Doug)
RépondreSupprimerEst-ce ce que nous voyons en ce moment? Dans tous les pays qui ont lancé précocement des campagnes de vaccination de masse (Israël, Islande, Écosse, Gibraltar et Royaume-Uni), les hospitalisations et les décès augmentent plus rapidement dans la partie vaccinée de la population que chez les non vaccinés. Pourquoi?
Connaissent-ils vraiment une quatrième ou une cinquième vague ou les vaccins ont-ils généré des anticorps « renforçant l'inactivité » qui aggravent la maladie ? Cette vidéo de 2 minutes aide à clarifier ce qui se passe :
« Les vaccins sont fabriqués pour une variante spécifique. Et lorsque cette variante mute, le vaccin ne la reconnaît plus. C'est comme si vous voyiez un virus complètement nouveau. Et, parce que c'est le cas, vous obtenez en fait des symptômes plus graves lorsque vous êtes vacciné contre une variante et qu'elle mute, puis votre corps voit l'autre variante. La science montre que si vous vous faites vacciner dans plusieurs années (contre la grippe), vous êtes plus susceptible de contracter une maladie grave, vous êtes plus susceptible d'avoir une réplication virale et vous êtes plus susceptible d'être hospitalisé…. Nous voyons la même chose dans Covid avec la variante Delta. Nous obligeons donc les gens à se faire vacciner alors qu'ils peuvent devenir plus malades lorsqu'ils sont exposés au virus... En fait, cette semaine, un article est sorti qui montrait que - avec la variante Delta - lorsque vous êtes vacciné votre corps est censé fabriquer des anticorps qui neutralisent le virus, mais ils étaient censés neutraliser l'ancienne variante. Quand ils voient cette nouvelle variante, les anticorps prennent le virus et l'aident à infecter les cellules. » ("Témoignage d'expert sur les vaccinations obligatoires", Dr Christina Parks PhD., Rumble, début à la minute 5:05)
Répétez : « Si vous vous faites vacciner dans plusieurs années, vous êtes plus susceptible de contracter une maladie grave, vous êtes plus susceptible d'avoir une réplication virale et vous êtes plus susceptible d'être hospitalisé…. Avec la variante Delta – lorsque vous êtes vacciné …. les anticorps prennent le virus et l'aident à infecter les cellules.
C'est l'ADE, et c'est probablement pourquoi les hospitalisations et les décès augmentent parmi les vaccinés en Israël, au Royaume-Uni et dans les autres. Certes, la variante Delta est moins mortelle que le virus de Wuhan mais, malheureusement, cette règle ne s'applique pas à ceux qui ont été vaccinés et dont les anticorps favorisent l'absorption du virus dans leurs cellules. Cela augmente la fonction de réplication virale qui augmente la gravité de la maladie. Bref, les gens sont de plus en plus malades parce qu'ils ont été vaccinés. Voici une autre courte vidéo qui aide à expliquer:
« … Les anticorps induits par le vaccin résisteront au virus. et une fois qu'un virus est sous pression ; il change, il devient un variant et le variant ne peut pas être arrêté par des anticorps induits par le vaccin. Anticorps induits par le vaccin. arrêtez également votre système immunitaire inné… afin que les variantes puissent passer directement et infecter ceux qui sont vaccinés. C'est l'évasion immunitaire virale, et cela signifie que les vaccinés sont sans défense contre les variantes. Ce n'est plus une pandémie de Covid-19. C’est une pandémie de variantes…
RépondreSupprimerEt il y a ce qu'on appelle la recombinaison, et la recombinaison signifie qu'un hôte vacciné peut être infecté par plus d'une variante à la fois. … Si un hôte vacciné est co-infecté par plus d'un variant, les variants mélangeront l'ADN, changeront et se camoufleront et produiront un super variant. Et si de super variantes sont produites, rien ne pourra les arrêter. Et déjà, ils disent que la dernière variante à sortir est résistante au vaccin. Et ce n'est que le début. Le Dr Geert Vanden Bosche prévient que si nous n'arrêtons pas immédiatement les campagnes de vaccination de masse dans le monde, le monde connaîtra une catastrophe internationale de mortalité massive. Je n'ai pas dit ça, il l'a fait. Les vaccinés sont une menace pour nous tous. (« Evasion immunitaire virale expliquée », Dr Michael McDowell, Rumble)
Ce n'est pas la variante qui intensifie la maladie, c'est le fait que le vaccin cible un point final étroit, la protéine de pointe, qui s'adapte progressivement pour survivre. Au fur et à mesure que le virus apprend à éviter le vaccin, l'immunité induite par le vaccin diminue. L'immunité naturelle produit une immunité large et robuste contre l'ensemble du virus, pas seulement une partie de celui-ci. C'est fort et endurant.
Alors, comment les vaccinés combattront-ils les nouvelles formes de virus, après tout, le vaccin n'est pas un médicament qui domine un agent pathogène particulier. Il s'agit d'une reprogrammation (génétique) subtile du système immunitaire qui force les cellules à produire une version particulière de la protéine de pointe. Les boosters qui stimulent la production de la même protéine n'auront qu'un impact modeste. Bref, les boosters se livrent toujours la dernière guerre.
De plus, comme nous l'avons mentionné ci-dessus, les vaccins contre les coronavirus ont tendance à créer des anticorps qui « améliorent l'infectiosité » lorsqu'ils rencontrent des formes adaptées du virus. Cela signifie que des millions de personnes vaccinées seront désormais confrontées à des formes de virus contre lesquelles elles n'ont presque aucune protection et pour lesquelles leur système immunitaire affaibli ne peut apporter qu'une aide limitée. Voici plus de l'article ci-dessus:
« À l'heure actuelle, le taux de mortalité du virus est estimé à environ 0,26 %, et ce nombre semble baisser car le virus s'atténue naturellement dans la population. Il serait très dommage de vacciner l'ensemble de la population contre un virus avec un taux de mortalité aussi bas, surtout compte tenu du risque considérable présenté par l'ADE. Je pense que le risque de développer un EIM chez un individu vacciné sera bien supérieur à 0,26 % et, par conséquent, le vaccin risque d'aggraver le problème, pas de l'améliorer. Ce serait la plus grosse erreur du siècle de voir le taux de mortalité de ce virus augmenter dans les années à venir en raison de nos efforts bâclés, aléatoires et précipités pour développer un vaccin avec un seuil de test de sécurité aussi bas et la perspective d'un ADE caché. dans l'ombre." (« Le vaccin contre le coronavirus est-il une bombe à retardement ? », Science avec le Dr Doug)
« Bavure », dit-il ?
RépondreSupprimerCe n'était pas une bévue. C'était délibéré. Le vaccin Covid-19 était censé échouer comme tous les vaccins contre le coronavirus avant lui. C'est le but. C'est pourquoi les sociétés pharmaceutiques ont ignoré les tests sur les animaux et les essais d'innocuité à long terme. C'est pourquoi la FDA l'a précipité à travers le processus réglementaire et a supprimé les autres médicaments salvateurs, et a fait taire tous les critiques de la politique, et a poussé à la vaccination universelle quels que soient les risques de coagulation du sang, d'arrêt cardiaque, d'accident vasculaire cérébral et de décès. Et c'est pourquoi le monde est au seuil d'une "catastrophe internationale de mortalité massive". C’est parce que c’est ainsi que la stratégie a été planifiée dès le début.
Le vaccin n'est pas censé fonctionner, il est censé aggraver les choses. Et c'est le cas ! Il a augmenté la susceptibilité de millions de personnes aux maladies graves et à la mort. C'est ce que c'est fait. C'est une arme furtive dans un tout nouveau type de guerre ; une guerre visant à restructurer l'ordre mondial et à établir un contrôle social absolu. Ce sont les vrais objectifs. Cela n'a rien à voir avec les pandémies ou la contagion virale. C'est une question de pouvoir et de politique. C'est tout.
Reprinted with permission from The Unz Review.
https://www.lewrockwell.com/2021/09/no_author/the-conspiracy-theorists-were-right-it-is-a-poison-death-shot/
Notre nouvelle normalité : inflation, pauvreté, famine, effondrement économique, fascisme, marxisme, communisme et meurtre
RépondreSupprimerPar Gary D. Barnett
18 septembre 2021
« Tant que le peuple ne se souciera pas d'exercer sa liberté, ceux qui voudront tyranniser le feront ; car les tyrans sont actifs et ardents, et se consacreront au nom d'un certain nombre de dieux, religieux et autres, à mettre des chaînes aux hommes endormis.
~ Voltaire
La crédulité de l'homme, semble-t-il, n'a pas de limites, car si c'était le cas, comment tant de personnes pourraient-elles être si aveugles ? Alors que je réfléchis aux 18 derniers mois environ, il est assez alarmant de comprendre la portée de cette arnaque appelée « pandémie » et comment tout ce pays (et le monde) ont embrassé les mensonges, la tromperie et la tyrannie d'une telle ampleur. Le meurtre de masse aux mains de l'État a déjà commencé, mais avec le déploiement d'injections mortelles et vénéneuses délibérément étiquetées à tort comme « vaccins », le meurtre d'un grand nombre qui est démocide, sera évident parmi toute cette population pour les années à venir. Les auteurs de cette prise de contrôle génocidaire de la société s'en prennent maintenant à tous les enfants et tenteront d'en empoisonner autant que possible avec leurs « vaccins » au cours de cette année et de l'année prochaine.
Seule une nation d'imbéciles lâches et pathétiques permettrait un tel destin abdominal pour leur propre progéniture sans défense. Ce type de comportement indique un manque total d'intellect et une ignorance massive de la réalité. C'est aussi le signe d'une indifférence généralisée, incarnée d'une société malade et immorale.
Ainsi, il semble que la soi-disant « nouvelle normalité » d'un régime totalitaire sur une société semblable à l'esclavage ne soit pas seulement la faute de ceux qui souhaitent nous gouverner, mais plus encore du peuple en général pour avoir permis que cela se produise sans bonne résistance. Blâmer l'ennemi est facile, mais accepter le blâme de soi est évité à tout prix, et cette attitude est encore pire que celle des tyrans. On s'attend à ce que le mal parmi nous qui sommes la classe dirigeante existe, mais le mal de l'apathie de masse ne peut jamais être accepté ou excusé.
Au cours des derniers mois, les citoyens de ce pays ont pleinement acquiescé à la volonté d'un régime totalitaire et, ce faisant, ont mis à nu leurs faiblesses dues à une peur infondée. Beaucoup pensent que le nombre est sûr, mais ce n'est que l'état d'esprit des animaux de troupeau, pas des humains. En permettant volontairement la mort et la destruction d'une partie du troupeau, le reste survit pour vivre un jour de plus, mais lorsque les gens acceptent cette attitude, ils doivent également accepter la mort et la destruction de leur famille, de leurs amis et de leurs voisins comme normaux pour survie. Si tel est le cas, il semble que l'évolution de l'espèce humaine recule, et c'est exactement ce que le collectivisme est censé accomplir.
Avec cela viennent les conséquences de l'inaction, et dans ces circonstances, ces conséquences sont toujours à la discrétion des tyrans. Ce qui s'est passé à ce jour devrait être suffisant pour que quiconque voie la folie d'avoir confiance en un État ou une nation. Ce qui a commencé par des fermetures et des quarantaines, a entraîné des fermetures d'entreprises, des pertes d'emplois, un stress extrême, des perturbations des lignes d'approvisionnement, des pénuries, des prix plus élevés pour les biens et services, (inflation) et bien sûr le chaos économique. Cela a à son tour conduit à beaucoup plus de pauvreté, de désespoir et de famine, préparant le terrain pour la prochaine phase de cette prise de contrôle. À ce moment-là, les gens auraient dû reconnaître la nature totalitaire de ce qui se passait, mais hélas, ils sont restés obéissants et passifs, et ont vu leur monde être décimé.
RépondreSupprimerPour voir l'écriture sur le mur, il faut rechercher et accepter la vérité, quel que soit le risque que cela comporte. Éviter la vérité au profit de se cacher de la réalité, en espérant que quelqu'un d'autre "répare" les choses, est exactement ce que tous les dirigeants tyranniques recherchent dans les populations qu'ils tentent de contrôler. J'ai exprimé l'opinion que le moment de ce coup d'État était entièrement basé sur le fait que la classe de maître savait que la population en général était trop effrayée, trop dépendante et trop apathique pour lutter contre cet autoritarisme dictatorial qui avait été planifié pour décennies. Le moment choisi était le génie, car les masses ont agi exactement de la manière souhaitée.
Bien qu'aucune chose telle que "Covid-19" n'existe réellement et n'ait jamais été identifiée, la véritable menace qu'est la véritable pandémie avait été mise de côté juste au bon moment, et au début de cette année, la pandémie de "vaccin" a été libérée. Le « vaccin » est l'arme biologique, et les variantes dites inexistantes d'un virus inexistant sont le résultat des « vaccins » mortels. En d'autres termes, le « vaccin » est la pandémie, et tous ceux qui auront volontairement fait les injections seront les victimes de cette pandémie mise en scène. Une fois que les décès dus à ces jabs atteindront un nombre sans précédent, et ils le feront, le reste de la société qui n'a pas succombé à l'idiotie de prendre une concoction aussi dangereuse, sera blâmé. En effet, tous auront été ciblés par l'État criminel, qu'ils aient reçu l'injection ou non. Le groupe « vacciné » sera malade et mourant, tandis que le groupe non vacciné sera chassé par l'État. C'est pourquoi cette société a déjà été divisée en catimini pour opposer les vaccinés à ceux qui ne le sont pas ; un complot sinistre destiné à solidifier le contrôle des deux groupes.
Il s'agit d'une tentative de prise de contrôle communiste, qui réunit tous les éléments du fascisme, du marxisme et du communisme. C'est la période la plus dangereuse de l'histoire pour les habitants de cette planète, car il s'agit d'une tentative de prise de contrôle globalisée de tout afin de se convertir à un système contrôlé par la technocratie, où il y a quelques « élites » au sommet, leurs exécuteurs et partenaires commerciaux ci-dessous, y compris le gouvernement, le reste étant une classe d'esclaves connue sous le nom de prolétariat.
Bien que l'on pense que cette « pandémie » concerne un virus mystérieux, ce n'est pas le cas, car le récit du virus n'est que l'outil utilisé pour accomplir le véritable programme, qui a ses racines sous l'apparence du « développement durable » commercialisé à travers le l'idiotie du changement climatique provoqué par l'homme. Cela a été entièrement décrit dans l'Agenda 21 et l'Agenda 30 de l'ONU, et dans le programme bien nommé « Great Reset » décrit par Klaus Schwab et le Forum économique mondial. En réalité, il n'a qu'un objectif, et c'est de parvenir à une gouvernance mondiale totale et à un contrôle universel sur tous. Pour réussir dans cette entreprise, plusieurs centaines de millions, ou plus probablement des milliards, devront être assassinés. Les « vaccins » sont les outils du meurtre, il est donc impératif d’éviter ces injections à tout prix.
RépondreSupprimerCe n'est pas une nouvelle menace, mais elle a été soigneusement manipulée pour se produire à ce moment afin de coïncider avec l'ignorance et l'indifférence du peuple, sa division préparée, sa faiblesse et sa dépendance à l'égard de l'État, et donc sa lâcheté face à l'adversité. . Ce « vaccin » est la clé du succès pour les dirigeants maléfiques et criminels, donc moins d'entre nous prendront ce breuvage de sorcières, plus nous serons en mesure de lutter contre cette tentative odieuse de détruire l'humanité. Notre seul espoir est de rester non conforme, de désobéir à tous les ordres et d'abolir le système de gouvernement actuel qui a assumé des pouvoirs dictatoriaux avec la coopération volontaire des masses.
« Le contraire de l'amour n'est pas la haine, c'est l'indifférence. Le contraire de l'art n'est pas la laideur, c'est l'indifférence. Le contraire de la foi n'est pas l'hérésie, c'est l'indifférence. Et le contraire de la vie n'est pas la mort, c'est l'indifférence.
~ Elie Wiesel
Source and reference links:
The silent weapon that is the mRNA ‘vaccine’
The non-existent ‘virus’ called ‘Covid-19’
Sustainability and super pandemics
Agenda 21
Agenda 2030: Global communism unleashed
‘Covid’ equals murder: the children are next
Covid-19 ‘Vaccine’: A slow-motion genocidal bioweapon
https://www.lewrockwell.com/2021/09/gary-d-barnett/our-new-normal-inflation-poverty-starvation-economic-collapse-fascism-marxism-communism-and-murder/
La politisation de l'expertise à l'ère de Covid signifie que nous avons maintenant des médecins qui nous donnent des leçons sur le changement climatique
RépondreSupprimerPar Norman Lewis
Actualités RT
18 septembre 2021
Iriez-vous chez un géologue pour un diagnostic de cancer ? Bien sûr que non. Alors pourquoi devrions-nous écouter 200 rédacteurs en chef de revues médicales pontifier sur l'urgence climatique ? Leur intervention dans le débat est malvenue et inutile.
Lorsque 200 rédacteurs en chef de revues médicales publient un éditorial conjoint apocalyptique et trompeur sur les dangers des augmentations de température, que l'équipe éditoriale du Wall Street Journal a correctement noté « aurait pu être écrit par Greta Thunberg », cela révèle que la politisation de l'expertise que nous avons vue au cours de la pandémie de Covid est désormais illimitée.
L'intervention des éditeurs de revues médicales dans le débat sur le climat et son impact sur la santé publique est à saluer. Nous avons certainement besoin d'une discussion plus large. Mais lorsqu'une telle intervention concerne davantage la politique que la science médicale, selon les mots de l'équipage d'Apollo 13 en détresse, "Houston, nous avons un problème."
Le principal problème avec ces journaux qui rejoignent le lobby climatique est qu'ils ne le font pas pour provoquer ou faire avancer la science du changement climatique. Ils se sont montrés loin d'être ouverts au débat pendant la crise du Covid dans leur domaine. Beaucoup se sont rendus coupables d'avoir supprimé les discussions critiques dans leurs pages pendant la pandémie, des origines du virus d'origine, en passant par l'efficacité ou non des masques et de la distanciation sociale, jusqu'au coût des confinements.
Ils ont été les gardiens, les experts médicaux qui ont maintenu un monopole sur ce qu'ils ont choisi d'être la vérité – des vérités auxquelles nous devions simplement nous soumettre.
Maintenant, encouragés par leur nouveau statut élevé – un statut qui est en grande partie le résultat de l'échec des politiciens à exercer leur jugement sur les experts pendant la pandémie – ils estiment qu'il est de leur devoir d'aller au-delà de leur expertise pour attiser la peur avant le changement climatique de l'ONU. conférence COP26 en novembre.
Comme le souligne le WSJ, il y a de nombreuses affirmations douteuses dans l'éditorial conjoint, y compris la suggestion qu'aucune augmentation de température n'est « sûre » et que des températures plus élevées sont liées à des résultats désastreux pour la santé. Pour étayer cela, l'éditorial conjoint cite une récente méta-analyse du British Medical Journal d'études qui examinent les liens entre les conditions météorologiques extrêmes et la santé. Ils omettent de discuter du fait que la plupart de ces résultats n'ont pas été reproduits et de nombreux conflits. Au mieux, il fournit des corrélations qui, comme le savent même les écoliers, ne prouvent pas la causalité. Comme le commente avec ironie le WSJ, «l'obésité a augmenté en même temps que les températures. Cela ne veut pas dire que la chaleur fait grossir les gens.
En réalité, le froid extrême tue plus de personnes chaque année (1,3 million) que la chaleur extrême (356 000), selon une étude publiée dans The Lancet le mois dernier. Les décès dus au froid ont diminué à mesure que les taux de population augmentaient, principalement parce qu'une plus grande partie de la population mondiale a eu davantage accès au chauffage.
RépondreSupprimerIls ont besoin de plus, ce qui signifie qu'ils ont besoin de plus de développement et d'un accès à une énergie moins chère.
Comme le souligne le WSJ, "environ 10 % de la population mondiale n'a même pas actuellement d'électricité, et un tiers cuisine encore avec des poêles qui utilisent du bois, du charbon, des déchets de récolte ou du fumier, qui "tuent des millions de personnes chaque année". Si les rédacteurs en chef des revues médicales étaient véritablement préoccupés par les résultats pour la santé, ils exigeraient une plus grande utilisation de l'énergie nucléaire, ce qui donnerait aux pays les plus pauvres l'accès à l'énergie bon marché et propre dont ils ont besoin pour lutter contre la pauvreté, qui tue plus de personnes qu'autre chose.
Mais il n'y a aucune mention de l'énergie nucléaire. Pourquoi pas ? Car ce serait un contrepoint puissant à l'alarmisme climatique qui voit dans la limitation de la consommation et la baisse des aspirations au développement la seule solution à ce qu'ils conviennent tous d'une catastrophe climatique d'origine humaine.
Cela souligne simplement que cette intervention de la profession médicale a peu à voir avec la lutte pour une meilleure santé publique. On ne peut que supposer que leur motivation a plus à voir avec la signalisation de la vertu et l'opportunisme. En rejoignant le lobby climatique, ils tentent de s'insérer dans un débat dans lequel ils n'ont le droit de revendiquer aucune autorité.
Et c'est là que réside le vrai danger. En exploitant la politisation de l'expertise, la profession médicale risque aujourd'hui de saper l'autorité de la science et du savoir. Vous n'avez pas besoin d'un doctorat en sociologie pour comprendre pourquoi les théories du complot qui s'enracinent dans la méfiance des soi-disant experts se développent comme elles le sont.
En allant au-delà de leur expertise pour apporter un soutien politique à un débat unilatéral et misanthrope sur le changement climatique, la profession médicale risque de devenir elle-même une menace pour la santé publique.
https://www.lewrockwell.com/2021/09/no_author/the-covid-eras-politicization-of-expertise-means-we-now-have-medics-lecturing-us-on-climate-change/
Écoutez, camarades de bord, il fait une brèche !
RépondreSupprimerPar James Howard Kunstler
Kunstler.com
18 septembre 2021
Comme la baleine blanche de la légende faisant surface près du continent, l'avocat spécial John Durham est apparu cette semaine avec un Michael Sussman dans ses mâchoires, un petit poisson parmi les monstres squameux et tentaculaires cachés dans les profondeurs de l'État profond sous les mers politiques déchaînées. . Qui il, de toute façon ?
Parmi le casting désormais bien connu de créatures impliquées dans l'épisode panoramique de sédition perfide connu sous le nom de RussiaGate, M. Sussman était un petit joueur, un garçon de courses pour le cabinet d'avocats Perkins Coie qui a fait une grande partie du sale boulot d'Hillary Clinton dans le 2016 campagne et pour le Parti démocrate au-delà. M. Sussman est accusé d'avoir menti au FBI pour avoir transmis de la saleté de campagne payée par Mme Clinton à l'avocat général du FBI, James Baker, l'ancien collègue de M. Sussman à l'époque où il travaillait comme expert en cybersécurité au bureau. . Il a également colporté le même matériel, concocté par la société Fusion GPS de Glenn Simpson et l'homme mystérieux Christopher Steele, au New York Times et à d'autres médias, qui l'ont utilisé comme des enfants avec un cerf-volant.
J'ai une théorie sur l'affaire. Il s'agit d'un tir à travers la proue du navire du procureur général Merrick Garland, testant si le principal DOJ tentera d'interférer avec la mission de M. Durham de découvrir les prédicats de RussiaGate et le vaste réseau d'actes malhonnêtes et illégaux perpétrés par la suite par des personnalités du FBI. , le DOJ et d'autres recoins sombres d'un gouvernement devenu voyou contre ses propres citoyens. M. Baker a longtemps été soupçonné d'avoir agi en tant que témoin coopérant dans l'affaire RussiaGate, réalisant peut-être très tôt qu'il avait été joué par son vieux copain M. Sussman et mis en examen.
Le problème pour Merrick Garland est que les activités de M. Sussman n'étaient qu'une simple préface pour le développement plus grave de l'opération Crossfire Hurricane, qui impliquait un banc de poissons beaucoup plus gros dans plusieurs agences, dont les directeurs John Brennan de la CIA et James Comey de la FBI et bien d'autres. L'acte d'accusation de Sussman ouvre également une fenêtre sur la falsification de la Cour FISA que les forces de l'ordre fédérales utilisaient pour poursuivre les personnes liées au candidat puis au président Donald Trump.
M. Garland devra expliquer pourquoi le DOJ et le FBI n'ont jamais été responsables des actes illégaux de leurs employés, y compris l'équipe d'avocats spéciaux louche de Robert Mueller, qui ressemble maintenant à une opération de dissimulation, sans parler de l'actuelle et des affaires continues telles que le DOJ assis sur l'ordinateur portable du fils du président « Joe Biden », Hunter, et ses ballots de mémorandums incriminés détaillant les paiements à la famille Biden des sociétés dirigées par le PCC. Vraiment, le sort du Parti démocrate est en ligne avec ce qui pourrait potentiellement se développer si les actions de M. Durham vont au-delà de la petite cabriole de Michael Sussman.
L'écrasante majorité de l'opinion depuis plus d'un an est que John Durham est un fantôme qui ne fait presque rien au sujet du plus grand scandale politique de l'histoire des États-Unis. Si ses efforts se terminent avec M. Sussman, il se déshonorera, bien sûr, et c'est une possibilité. Mais j'oserais supposer que cela ne s'arrêtera pas là. L'insulte à la nation de toute la malhonnêteté épique est trop grave, voire potentiellement fatale – car elle a permis par la suite un écheveau dépravé d'activités séditieuses supplémentaires, y compris le subterfuge des élections de 2020, l'anarchie de BLM et Antifa, la course psychotique et- genre « éveillé » de l'esprit foutu infectant l'armée américaine, l'invasion en cours à travers la frontière américano-mexicaine, toute la coercition autour de Covid-19, en particulier les tirs « mandatés » d'un dangereux soi-disant « vaccin » et la destruction de petits affaires de la mer à la mer brillante. Tout cela a laissé le public américain démoralisé, économiquement sauvage et la position du pays dans le monde dangereusement réduite.
RépondreSupprimerJ'espère que vous êtes prêt pour un mois de chocs sur le système. La tromperie du CDC et de la FDA dans le jeu et la cuisson de leurs données Covid-19 émerge maintenant du brouillard de l'hystérie pandémique. J'oserai également conjecturer que le nombre de «cas» récents et actuels de Covid-19 s'avère être en réalité et dans une large mesure des réactions indésirables à l'expérience de l'ARNm, et non à la maladie elle-même, et que l'enfer sacré éclatera parmi le public à mesure qu'il deviendra compris que leurs moyens de subsistance - et leur santé - étaient volés dans le cadre de cette fraude. Dans une semaine à partir d'aujourd'hui, les résultats de l'audit des élections en Arizona devraient maintenant être publiés. Attendez-vous à un traumatisme. Demain, une manifestation de soutien au 1/6 des prisonniers politiques est à bord pour Washington, DC. Le potentiel de manipulation de l'événement par l'État profond est élevé, alors restez à l'écart. Il y a suffisamment d'autres forces en mouvement maintenant pour mettre la clé dans le moteur de la méchanceté qu'est devenu notre gouvernement. Laissez Karma faire son travail et tenez-vous bien pour une conduite difficile.
Réimprimé avec la permission de Kunstler.com.
https://www.lewrockwell.com/2021/09/james-howard-kunstler/look-ye-shipmates-he-breaches/
3 000 agents du LAPD cherchent à résister au mandat de vaccination de la ville en demandant des exemptions religieuses et médicales
RépondreSupprimerVendredi 17 septembre 2021
par : Arsenio Toledo
(Natural News) Près de 3 000 membres du service de police de Los Angeles (LAPD) ont demandé des exemptions au mandat du service de police sur le vaccin contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19).
Plus de 2 600 agents du LAPD ont demandé des exemptions religieuses du mandat de vaccination de la ville. 360 autres ont demandé des exemptions médicales.
Ces près de 3 000 agents du LAPD ont tous soumis leurs demandes d'exemption avant la date limite du 13 septembre fixée par le ministère pour les demandes de dispense de mandat. (Connexe: les flics de Seattle s'organisant contre le mandat du vaccin COVID-19 pourraient entraîner la perte de 200 agents.)
"Nous avons vu un certain nombre de nos membres du personnel qui ont déposé une demande d'exemption, sur la base d'une croyance médicale ou religieuse sincère", a déclaré le chef du LAPD, Michel Moore. "Le département attendra que la ville fournisse des instructions relatives à l'interprétation et à ce qu'il adviendra de ces intentions de déposer."
Moore a ajouté qu'environ 6 573 employés du LAPD – officiers assermentés et membres non assermentés – ont reçu au moins une dose d'un vaccin COVID-19 mardi. Le département compte au total 12 315 employés.
Les autres sont contraints de se faire vacciner sous peine de chômage suite à l'adoption d'une ordonnance du conseil municipal de Los Angeles.
Le 18 août, le conseil municipal a approuvé une ordonnance ordonnant à tous les employés de la ville – y compris le LAPD – d'être complètement vaccinés avant le 5 octobre. Les exemptions seront examinées au cas par cas. Mais même si les employés de la ville obtiennent des exemptions, ils doivent passer des tests COVID-19 deux fois par semaine pour être toujours éligibles à un emploi avec la ville.
Pour aider à la vaccination de ses employés, le LAPD a approuvé la création d'un programme de vaccination mobile. Les responsables du département pensent que la clinique mobile de vaccination peut contacter les employés non vaccinés à leur domicile et les amener à reconsidérer les vaccinations.
Au cours des deux dernières semaines, le programme de vaccination mobile a vacciné 156 employés supplémentaires du LAPD.
Le LAPD n'a pas le taux de vaccination le plus bas parmi les autres départements de la ville. Cette distinction revient au Los Angeles Department of Water and Power (LADWP), au Department of Recreation and Parks (LADRP) et au Los Angeles Fire Department (LAFD), qui ont respectivement des taux de vaccination de 30 %, 38 % et 34 %.
RépondreSupprimerLe maire s'en prend à ceux qui « abusent » des exemptions de vaccins
Le maire de Los Angeles, Eric Garcetti, jette son dévolu sur les milliers d'employés de la ville qui demandent des exemptions religieuses et médicales au mandat de vaccination.
« Chaque employé de la ville est tenu de fournir son statut vaccinal, et la date limite [pour demander des exemptions] est dépassée », a déclaré Garcetti. « Quiconque ne nous a pas donné cette information doit le faire maintenant. »
La date limite initiale de la ville pour demander des exemptions était le 7 septembre. Elle a été prolongée car plus de 10 000 employés de la ville n'avaient pas fourni à la ville de preuve de vaccination. Cela comprenait plus de 7 800 travailleurs du LADWP, près de 4 000 travailleurs du LADRP, plus de 3 800 employés du LAPD et 1 500 du LAFD.
« Cette politique [d'exemption du mandat des vaccins] permet des exemptions médicales et religieuses pour protéger la santé et les droits constitutionnels de certains travailleurs, mais permettez-moi d'être absolument clair : nous ne tolérerons pas l'abus de ces exemptions par ceux qui ne veulent tout simplement pas obtenir vacciné », a déclaré Garcetti.
"À tous ceux qui envisagent de déposer une demande d'exemption fallacieuse, je vous exhorte vivement à reconsidérer votre décision", a-t-il ajouté. "Chaque demande sera soigneusement examinée et notre objectif sera toujours de faire vacciner autant d'Angelenos que possible."
Sur 57 476 employés municipaux, les données montrent que plus de 5 100 ont demandé des exemptions religieuses, plus de la moitié de ces demandes de dérogation provenant du LAPD.
Garcetti est en train de négocier avec les syndicats qui représentent les employés de la ville – y compris le syndicat de la police de Los Angeles – concernant d'éventuelles procédures disciplinaires pour les employés qui refusent de se faire vacciner et n'ont pas de dispense et pour ceux qui ne déclarent pas leur statut vaccinal.
Apprenez-en plus sur les mandats de vaccination aux États-Unis et sur les personnes et les groupes comme les agents du LAPD qui leur résistent sur Vaccines.news.
Les sources comprennent :
NewsPunch.com
FoxLA.com
LosAngeles.CBSLocal.com
NBCLosAngeles.com
https://www.naturalnews.com/2021-09-17-lapd-officers-resist-vaccine-mandate-file-exemptions.html
CDC : Quatrième vague de COVID - malgré les vaccins - pire que la deuxième vague
RépondreSupprimervendredi 17 septembre 2021
par : Ramon Tomey
(Natural News) Les chiffres des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) montrent que les décès dus au coronavirus de Wuhan (COVID-19) en septembre 2021 étaient plus élevés que l'année précédente. Selon les données de l'agence, les décès dus au COVID-19 au cours des 10 premiers jours de septembre 2021 sont presque deux fois plus élevés que le nombre de décès au cours des 10 premiers jours de septembre 2020. Les décès plus élevés font partie de la quatrième vague de COVID-19. qui accompagne les vaccinations de masse aux États-Unis
Selon l'agence, les décès quotidiens de COVID-19 aux États-Unis ne dépassent jamais 960 du 1er au 10 septembre 2020. Pendant ce temps, les décès quotidiens de COVID-19 du 1er au 10 septembre 2021, atteignent 1860.
Malgré la tendance des décès quotidiens dus au COVID-19 restant inférieurs à 1 000, la Food and Drug Administration (FDA) délivre une autorisation d'utilisation d'urgence pour le vaccin à ARNm Pfizer/BioNTech le 11 décembre 2020. Le régulateur accorde plus tard le vaccin Pfizer - à être appelé Comirnaty - approbation complète le 23 août 2021. L'approbation complète de Comirnaty par la FDA ouvre la voie aux entités privées et publiques pour imposer la vaccination COVID-19.
Environ 179 millions d'Américains achèvent le vaccin Comirnaty à deux doses depuis son autorisation en décembre 2020. Cependant, le vaccin est incapable d'arrêter la propagation de la variante delta B16172 plus contagieuse en provenance d'Inde. La souche comprend désormais presque tous les cas de COVID-19 aux États-Unis et provoque même des infections à percée chez les humains.
Lors d'une récente conférence de presse à la Maison Blanche, le président Joe Biden procède à la dénonciation des Américains non vaccinés. Il a déclaré lors d'un point de presse le 9 septembre : « Il s'agit d'une pandémie de non vaccinés. [C'est] causé par le fait que … nous avons encore près de 80 millions d'Américains qui n'ont pas réussi à se faire vacciner. Biden continue que les Américains non vaccinés qui attrapent COVID-19 « surpeuplent nos hôpitaux » et « [overrun] les salles d'urgence et les unités de soins intensifs ».
Biden lance une menace à peine voilée envers les Américains qui refusent le vaccin COVID-19 lors de la même conférence de presse : « Nous avons été patients, mais notre patience s'épuise. Et votre refus nous a tous coûté.
Les vaccins sont à l'origine de la dernière vague d'infections
Cependant, de nombreuses sources affirment que les vaccins pour protéger les personnes contre le COVID-19 sont en fait responsables de l'augmentation des cas et des décès. Un article de Christopher Yates de l'Université de Bath au Royaume-Uni cite un rapport de Public Health England (PHE) sur les décès dus au COVID-19 là-bas. Le rapport PHE indique que sur 274 personnes décédées de la souche delta dans les 28 jours suivant un test positif pour COVID-19, 63,4% – 163 Britanniques – ont au moins une dose du vaccin.
Outre le Royaume-Uni, Israël est un autre pays confronté à une augmentation des cas de COVID-19 malgré la vaccination de sa population. La nation du moyen-orient utilise le vaccin Comirnaty sur sa population, aux côtés de certaines doses du vaccin à ARNm de Moderna. Israël se targue d'être la nation la plus vaccinée en raison de l'injection de ses citoyens en un temps record, dépassant même les États-Unis à un moment donné. (Connexe : 95% des patients sévères dans les hôpitaux israéliens sont vaccinés, prévient le médecin.)
RépondreSupprimerMais deux études en Israël montrent que le vaccin Comirnaty lui-même contribue à la propagation des infections au COVID-19. Une étude de l'Université de Tel Aviv et de Clalit Healthcare Services montre que le tir de Pfizer augmente la probabilité que les personnes attrapent des variantes préoccupantes du SRAS-CoV-2. En analysant les résultats des tests COVID-19 des Israéliens non vaccinés et vaccinés, les chercheurs cherchent à savoir si les Israéliens vaccinés contractent des variantes préoccupantes que les citoyens non vaccinés.
Selon leurs conclusions d'avril 2021, les Israéliens qui reçoivent deux doses de Comirnaty sont huit fois plus susceptibles de contracter la variante sud-africaine B1351 que les individus non vaccinés. Ils notent également que la variante britannique B117 est plus répandue chez les Israéliens qui reçoivent une dose de Comirnaty. Cependant, les chercheurs précisent que les taux d'infection causés par la souche B117 sont les mêmes chez les Israéliens non vaccinés et complètement vaccinés. (Connexe: Une étude révèle que le vaccin contre le coronavirus de Pfizer expose les gens à un risque PLUS ÉLEVÉ de «variantes» de covid.)
CDC.news a plus d'articles sur les tactiques de l'agence de santé publique pour promouvoir la peur et les vaccins.
Sources include:
NationalFile.com
WhiteHouse.gov
TheConversation.com
TheEpochTimes.com
https://www.naturalnews.com/2021-09-17-cdc-claims-fourth-wave-covid-worse-second-wave.html
L'État australien lance un nouveau système d'enregistrement pour suivre les résidents en quarantaine, ceux qui ne répondent pas reçoivent la visite des flics
RépondreSupprimervendredi 17 septembre 2021
par : Arsenio Toledo
(Natural News) Le gouvernement de l'État du Queensland, dans le nord-est de l'Australie, a lancé un nouveau système d'enregistrement pour la quarantaine à domicile de ses résidents, les obligeant à répondre à un SMS à heure fixe dans les 10 minutes. S'ils ne le font pas, des policiers se présenteront à leur porte.
Les nouvelles règles sont entrées en vigueur immédiatement après leur élaboration. Ils ont été poussés par le gouvernement de l'État du Parti travailliste de gauche au pouvoir après que les autorités sanitaires ont découvert un seul nouveau cas de COVID-19 transmis localement.
Le gouvernement du Queensland exige de savoir à tout moment où se trouvent les résidents en quarantaine
Jeudi, la ministre de la Santé et des Ambulances, Yvette D'Ath, a déclaré aux résidents en quarantaine à domicile qu'ils recevraient un SMS à un moment aléatoire au moins une fois par jour de son département, Queensland Health.
Le message comportera un lien que le destinataire doit ouvrir et répondre dans les 10 minutes.
De plus, les nouvelles règles de Queensland Health exigent que les résidents en quarantaine à domicile gardent leurs services de données mobiles et de géolocalisation sur leurs téléphones mobiles activés à tout moment.
Cela signifie que même si les résidents répondent dans les 10 minutes, ils pourraient toujours obtenir une visite de conformité du service de police du Queensland si leur réponse était en dehors d'une "plage de géolocalisation acceptable".
« Cela signifie que Queensland Health sera en mesure de garantir que les personnes mises en quarantaine à domicile se trouvent à la résidence où elles sont légalement tenues de se trouver », a déclaré D’Ath. "Cela permet spécifiquement aux autorités d'identifier si quelqu'un est absent de sa résidence approuvée."
Les nouvelles restrictions s'appliqueront à tous les contacts étroits de cas confirmés de COVID-19. Les violations potentielles des restrictions seront évaluées par le QPS pour déterminer si des mesures supplémentaires sont nécessaires.
D'Ath a justifié le système en disant qu'il "permettrait une surveillance en temps réel de la conformité".
"Pendant plus de 18 mois, les SMS, les appels téléphoniques et les inspections aléatoires de conformité ont longtemps été les caractéristiques de notre système de quarantaine à domicile, mais à mesure que le virus évolue, notre réponse doit également évoluer", a déclaré D'Ath.
Tout résident du Queensland qui viole sa quarantaine à domicile peut être condamné à une amende pouvant aller jusqu'à 13 785 $ AU (10 082 $), passer jusqu'à six mois en prison et être contraint de quitter son domicile et de se rendre dans des hôtels de quarantaine reconnus par l'État. Ils doivent payer leurs séjours obligatoires dans les hôtels. (Connexe : ÉTAT DE LA POLICE MÉDICALE : un couple australien âgé a été contraint de parcourir 300 miles en voiture jusqu'à l'hôtel de quarantaine après avoir mal rempli le formulaire.)
Nouvelles restrictions adoptées après avoir découvert un seul nouveau cas local de COVID-19
RépondreSupprimerLe gouvernement du Queensland a adopté ces nouvelles restrictions après que les autorités sanitaires de l'État ont signalé un nouveau cas local de COVID-19 dans l'État.
La Première ministre de l'État, Annastacia Palaszczuk, a déclaré jeudi que le seul cas local était lié à un groupe d'écoles du côté sud de Brisbane.
"Cet étudiant est en quarantaine à domicile et n'a pas été contagieux dans la communauté et encore une fois, je tiens à remercier toutes les familles qui sont toujours en quarantaine à domicile, elles assurent la sécurité des Queenslanders", a déclaré Palaszczuk.
L'État a deux autres cas, mais ils ont été acquis à l'étranger et ont été contraints de rester en quarantaine à l'hôtel.
Suite à cela, Palaszczuk a annoncé que des dizaines de milliers d'habitants d'une ville de l'État voisin de Nouvelle-Galles du Sud ne sont plus les bienvenus après que l'État a enregistré un nouveau cas de COVID-19.
La ville de Lismore en Nouvelle-Galles du Sud, qui se trouve à moins de cent kilomètres au sud de la capitale du Queensland, Brisbane, compte environ 40 000 habitants et a été placée en détention en raison du seul cas positif.
La chef de la santé, Jeannette Young, a déclaré que toute personne ayant séjourné dans la zone de gouvernement local qui comprend Lismore au cours des 14 derniers jours n'est pas autorisée dans le Queensland.
"Ceux qui se trouvent actuellement dans le Queensland et qui se sont rendus dans la région de Lismore au cours des 14 derniers jours devraient se manifester, se faire tester et s'isoler jusqu'à ce qu'ils reçoivent un résultat de test négatif", a-t-elle déclaré lors d'une conférence de presse.
Bien que la déclaration de Young ait l'air d'une suggestion, QPS suivra très probablement avec force les visiteurs du Queensland de Lismore si nécessaire.
"Nous savons que la situation peut rapidement dégénérer avec ce virus, c'est pourquoi il est important que nous réagissions de manière appropriée", a ajouté Young. «Je comprends que c'est difficile pour certains, mais c'est nécessaire pour garantir que nous pouvons continuer à protéger les Queenslanders.
Learn more about the state of lockdown and quarantine in Australia by reading the latest articles at Pandemic.news.
Sources include:
DailyMail.co.uk
News.com.au
ABC.net.au
BrisbaneTimes.com.au
https://www.naturalnews.com/2021-09-17-australia-state-quarantine-respond-minutes-cops.html
Peter Pry met en garde contre les dangers des armes EMP – Brighteon.TV
RépondreSupprimervendredi 17 septembre 2021
par : Ramon Tomey
(Natural News) Peter Pry, expert en armes à impulsions électromagnétiques (EMP), met en garde contre les dangers que ces armements représentent pour les États-Unis. Il partage cet avertissement avec l'animateur de Connecting the Dots, Dan Happel, lors de l'édition du 14 septembre de l'émission sur Brighteon.tv. Pry mentionne en outre que les nations ennemies peuvent utiliser des armes EMP pour éteindre indirectement le réseau électrique et l'approvisionnement alimentaire.
Tout d'abord, Pry donne son parcours et explique comment il acquiert des connaissances pertinentes concernant les armes EMP. Malgré ses multiples doctorats, son passage à la Central Intelligence Agency (CIA) s'avère être la source la plus fructueuse de ses connaissances. Pry commente qu'il "a essentiellement passé [sa] vie professionnelle à travailler dans le domaine de la sécurité nationale".
L'expert poursuit que son passage à la CIA lui permet d'apprendre des concepteurs d'armes nucléaires, des physiciens et des ingénieurs électriciens. Cependant, une chose qui le distingue de ses collègues est sa connaissance de la manière dont les nations ennemies utiliseront ces armements nucléaires contre les États-Unis. Pry ajoute également que son expérience de la doctrine militaire et des exercices militaires des pays adversaires lui donne un avantage.
Happel demande ensuite ce que sont les armes EMP et quelles sont les « erreurs de planification » du gouvernement contre ces armes. "Avec une seule arme à impulsions électromagnétiques, [les nations ennemies] pourraient vraiment nuire aux États-Unis", commente l'hôte de Connecting the Dots.
Pry définit les armes EMP comme celles qui génèrent de grandes quantités d'électricité lors de la détonation. « [L'EMP] est si puissant que nous parlons de milliers de volts par mètre », dit-il. Selon Pry, les volts par mètre (VPM) signifient que les cibles recevront 1 000 à 3 000 volts selon leur longueur en mètres. Par exemple, un véhicule mesurant cinq mètres de long et alimenté en 3 000 volts aura 15 000 VPM injectés à la vitesse de la lumière.
Pry poursuit qu'un cordon d'ordinateur mesurant deux mètres de long pourrait avoir 6 000 VPM injectés à la vitesse de la lumière. Il souligne que les ordinateurs et autres appareils électroniques sont conçus pour fonctionner sur 120 volts ou moins. "Si vous dépassez un peu cette tension, cela va faire frire les choses et les court-circuiter."
Les EMP pourraient être utilisés pour cibler le réseau électrique américain
L'expert précise que les armes EMP, qu'elles soient nucléaires ou non, peuvent générer de puissants champs électriques. « Même une bombe atomique rudimentaire de première génération… [que] les terroristes pourraient bricoler générera un IEM », dit Pry.
Il ajoute : « Cela suffirait à faire quelque chose comme effondrer le réseau électrique de l'est des États-Unis si vous tirez cette chose d'un cargo [ou] utilisez … un ballon météorologique pour le faire monter à plus de 30 kilomètres. Soit dit en passant, nous parlons d'une rafale à haute altitude pour une attaque nucléaire IEM.
Pry dit à Happel que lorsqu'une arme EMP est larguée d'une altitude de 30 kilomètres, le champ électrique résultant aura un rayon de 600 kilomètres. Des altitudes plus élevées entraînent une plus grande zone d'effet, ajoute-t-il. Pry dit : « Si vous parcourez [jusqu'à] 300 kilomètres, vous pouvez couvrir les 48 pays contigus [des États-Unis. États] plus la majeure partie du Canada et une bonne partie du Mexique avec une seule arme.
RépondreSupprimerL'expert prévient néanmoins qu'une attaque à l'arme IEM entraînera l'effondrement de la société. Malgré l'existence de trois réseaux sur le continent américain – l'interconnexion orientale, l'interconnexion occidentale et l'interconnexion texane – une attaque contre le seul réseau de l'est sonnera le glas du pays. Selon Pry, 75 % de l'électricité à l'échelle nationale provient du réseau de l'Est – la plupart de la population vivant de l'électricité qu'il produit. (Connexes : l'arme russe à « super impulsions électromagnétiques » pourrait détruire le réseau américain, prévient un expert.)
Pry appelle les armes EMP des "armes anti-technologie" qui "peuvent soustraire l'équation de notre civilisation moderne". De nombreux aspects vitaux de la civilisation tels que les télécommunications, les transports et l'industrie tombent après une attaque EMP, ajoute-t-il.
Même l'approvisionnement alimentaire est vulnérable aux attaques EMP
Pry explique également les effets d'une attaque EMP sur l'approvisionnement alimentaire. Selon l'expert, les aliments se détériorent immédiatement après une panne du réseau électrique, car les systèmes de contrôle de la température et les réfrigérateurs ne fonctionnent plus. Les stocks dans les épiceries ne peuvent durer que trois jours environ, tandis que ceux stockés dans les grands entrepôts régionaux ne peuvent nourrir les gens que pendant 30 jours. (Connexe : Conseils pour survivre à une attaque EMP en Amérique.)
Même amener de la nourriture devient un problème en raison de l'interruption du système de transport. « Les épiceries sont réapprovisionnées par le système de transport, qui ne fonctionnera pas car les camions et les voitures… sont paralysés. Nous ne serions pas en mesure d'importer de la nourriture parce que les ports ne fonctionneraient pas. Toutes ces grues lourdes nécessitent de grandes quantités d'électricité », a déclaré Pry à Happel.
L'expert poursuit : « Même si le monde était assez généreux pour envoyer de la nourriture sur nos côtes, ils finiraient par s'entasser [dans] les ports. Vous ne pouvez pas le décharger des navires. Et puis, comment allez-vous [allez] le transporter à l'intérieur du pays… où c'est nécessaire ? »
Pry dit qu'une attaque EMP « reproduirait les conditions d'une famine à l'échelle nationale » comme celle en Somalie. Il cite le pays africain étant incapable de livrer de la nourriture dans différentes régions en raison de l'absence d'un système de transport. « Même si les Nations Unies ont envoyé d'énormes quantités de nourriture… [pour] la population somalienne affamée, [elle] s'accumulait sur les quais car il n'y avait pas de système de transport adéquat pour acheminer la nourriture là où elle était nécessaire », ajoute l'expert.
Cliquez ici pour regarder la première partie complète de Connecting the Dots de Dan Happel sur Brighteon.TV avec Peter Pry en tant qu'invité.
RépondreSupprimerEMP.news has more articles about the dangers of an EMP attack by the U.S.’s enemies.
Sources include:
Brighteon.com
Energy.gov
https://www.naturalnews.com/2021-09-17-peter-pry-warns-of-emp-weapons-dangers.html
Là où est l'EMP dans le monde il faut voir sont côté bénéfique. Il y a 20 ans la Chine s'est vantée de posséder la première la 'bombe propre'. Pourquoi l'EMP est appelée 'bombe propre' ? Parce que son explosion à très haute altitude envoie une onde de choc qui fait le tour de la Terre. Cette détonation détruit TOUT ce qui est électrique (pile, accus, batteries, satellites, véhicules terrestres, aériens et maritimes sans dommage pour les êtres humains !
SupprimerC'est-à-dire que tout-à-coup c'est Le monde du silence !
Seuls les moteurs sans batterie (tondeuses à gazon, tronçonneuses, motobineuses et voitures anciennes au démarrage à manivelle peuvent encore fonctionner !
Fini l'angoisse des missiles, du 'NWO' et de ses criminels !
Enfin c'est le retour à la Terre première !
After the GENOCIDE: Will there be enough VACCINE SURVIVORS to rebuild civilization ?
RépondreSupprimervendredi 17 septembre 2021
par : Mike Adams
(Natural News) L'holocauste du vaccin commence maintenant à faire des victimes massives dans le monde, avec des décès post-vaccins qui montent en flèche en Amérique et dans de nombreux autres pays. Les données récentes du VAERS révèlent 70 décès par jour parmi les Américains vaccinés, et des projections fiables des rapports du VAERS nous obligent à multiplier cela par environ 40 pour obtenir des chiffres réels. Cela porte le nombre de décès quotidiens dus aux vaccins à 2 800 aux États-Unis seulement.
La population mondiale s'élève actuellement à 7,9 milliards de personnes (Worldometers.info).
Près de 43 % de la population mondiale a reçu au moins une dose d'un vaccin contre le covid-19. (OurWorldInData.org)
Cela signifie que près de 3,4 milliards de personnes ont été vaccinées à ce jour.
Ces vaccins tuent-ils maintenant des millions de personnes dans le monde ? Au-delà d'une simple hypothèse, un flux constant de médecins, d'infirmières et d'experts de la santé signale un grand nombre de décès post-vaccins qui surviennent principalement dans les hôpitaux. Exemples:
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Les hôpitaux sont maintenant qualifiés de « champs de la mort » de la plandémie, avec des médecins, des infirmières et des administrateurs hospitaliers qui conspirent ouvertement pour assassiner en masse ceux qui ne sont pas vaccinés tout en masquant la mort de ceux qui ont reçu le vaccin :
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Les hôpitaux sont désormais largement connus pour couvrir les décès dus aux vaccins afin de cacher le plus longtemps possible le nombre de décès. Cela se déroule parallèlement aux efforts hospitaliers reconnus publiquement pour « effrayer le public » en simulant le nombre de personnes hospitalisées « atteintes de covid ».
Malgré les meilleurs efforts des hôpitaux criminels et du régime traître de Biden pour dissimuler l'holocauste vaccinal en cours, les décès dus aux vaccins montent en flèche :
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Et certains types de cancers chez la femme sont en augmentation de 2000 % chez les vaccinées :
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RépondreSupprimerPendant ce temps, la nation d'Israël - avec un taux de vaccination de plus de 80% - connaît des niveaux si élevés de nouvelles infections, d'hospitalisations et de décès qu'elle constitue désormais un exemple flagrant d'échec vaccinal.
De même, l'État le plus vacciné des États-Unis – le Vermont, avec un taux de vax de 88 % – connaît une augmentation record des cas de covid :
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Partout où les taux de vaccination sont les plus élevés, les « cas » de covid suivent rapidement les hospitalisations et les décès. Il est tout à fait évident que le vaccin est la pandémie, et la protéine de pointe insérée dans les vaccins est la cause des blessures et des décès.
Combien mourront dans le monde avant que ce crime contre l'humanité ne soit stoppé ?
Avec 3,4 milliards de personnes déjà vaccinées dans le monde, la question évidente devient : « Combien mourront des effets à long terme des tirs de dépeuplement ?
N'oubliez pas que ces « vaccins » sont conçus pour parvenir à une dépopulation mondiale. Ils le font par le biais de divers mécanismes biologiques :
Tuer des personnes avec des caillots sanguins et des crises cardiaques (effets vasculaires).
Tuer des personnes avec des taux accrus de cancer et de maladies auto-immunes.
Avorter des bébés et provoquer une infertilité à long terme.
L'excrétion de nanoparticules toxiques de protéines de pointe à d'autres, causant la maladie et la mort même parmi ceux qui n'ont pas pris les jabs.
Attaquer le système nerveux et causer des troubles cognitifs.
Les experts médicaux qui ont étudié ces effets estiment actuellement que le taux de mortalité à long terme parmi ceux qui ont pris les vaccins se situe entre 10 % et 70 %. Cela signifie que, sur la base des données de vaccination actuelles, nous pouvons nous attendre à ce que les décès induits par la vaccination tuent entre 340 millions et 2,38 milliards de personnes.
Et c'est si les vaccins s'arrêtent maintenant. (Mais ils ne s'arrêtent pas.)
Actuellement, près de 30 millions de nouvelles doses de vaccins sont administrées quotidiennement (OurWorldInData.org). Beaucoup d'entre eux sont des deuxièmes doses, donc ce nombre ne représente pas les nouvelles personnes recevant leur première dose, bien que cela fasse partie de ce nombre. Selon la même source de données, environ 90 % des personnes qui ont reçu au moins un vaccin ont également reçu un deuxième vaccin. (En d'autres termes, les personnes qui prennent les jabs ont tendance à utiliser deux doses, pas une seule.)
Des recherches médicales largement publiées – y compris les propres données des fabricants de vaccins – révèlent que les blessures et les décès liés au vaccin augmentent fortement avec la deuxième dose du vaccin. Alors que le premier jab tue certaines personnes, le deuxième jab a tendance à exposer les gens à de graves complications et à un risque de blessure ou de mort.
RépondreSupprimerAinsi, chaque jour, environ 30 millions de personnes gravissent la « hiérarchie des risques », la plupart d'entre elles passant d'une catégorie à faible risque (simple piqûre) à une catégorie à haut risque (double piqûre).
Si seulement 10 % de ceux qui reçoivent des vaccins meurent finalement des injections de protéines de pointe, cela signifie que chaque jour, l'initiative mondiale de vaccination tue finalement environ 3 millions de nouvelles personnes. Et c'est l'estimation du côté bas. Un taux de mortalité de 50% signifierait que le nombre de meurtres quotidiens est d'environ 15 millions de personnes, soit plus du double du coût humain total de l'Holocauste du Troisième Reich sur toute la période de la Seconde Guerre mondiale.
Encore une fois, il est tout à fait plausible qu'en ce moment même, l'initiative mondiale de vaccination réalise « deux holocaustes » par jour… . Et cela prendra probablement des années pour se développer pleinement…
Des milliards de victimes de la guerre vaccinale contre l'humanité ?
Nous estimons que la poussée mondialiste du vaccin réussira finalement à injecter jusqu'à 5 milliards de personnes avec au moins une «dose» de la protéine de pointe des armes biologiques.
Avec des taux de mortalité allant de 10 % à 70 %, nous envisageons théoriquement des décès dans le monde d'un demi-milliard à 3,5 milliards de personnes.
J'espère qu'en exposant la vérité sur les armes biologiques vaccinales, nous pourrons peut-être limiter les décès dans le monde à seulement un milliard de personnes, mais c'est peut-être tout à fait trop optimiste. Il est tout à fait possible que les décès dans le monde dépassent largement 1 milliard de personnes et approchent les 2 voire 3 milliards dans le pire des cas.
Le Dr Paul Cottrell explique que ces décès pourraient prendre dix ans pour être pleinement réalisés, en raison de la nature de l'EIM et du temps nécessaire à l'émergence de nouvelles variantes résistantes aux vaccins qui contournent les systèmes immunitaires endommagés par le vaccin :
Brighteon.com/e53f0d21-6c10-48b5-a364-1d455011337f
- voir clip sur site -
En d'autres termes, nous ne verrons peut-être pas un milliard ou plus de décès dans l'immédiat, mais il y aura probablement un autre virus de type sauvage en circulation qui, selon le Dr Cottrell, fera des ravages parmi les vaccinés, tout comme ce que nous avons vu se produire avec la grippe espagnole. épidémie de 1918.
RépondreSupprimerLes décès dus aux vaccins sont distincts des décès causés par l'effondrement économique, la famine artificielle et la guerre
L'autre facteur préoccupant dans tout cela est que les vaccins armés ne sont pas le seul vecteur utilisé par les mondialistes pour faire la guerre à la race humaine. D'autres formes activement recherchées incluent :
Terraforming (aspirer le gaz carbonique de l'atmosphère pour effondrer les cultures vivrières mondiales)
Famine artificielle (militarisation de l'approvisionnement alimentaire / rareté)
Exposition chimique (pesticides, fluorure, perturbateurs hormonaux dans les emballages alimentaires)
Effondrement écologique (ruissellement agricole, surpêche, destruction de la forêt tropicale pour la culture du soja, OGM, etc.)
Effondrement économique (effondrement de la monnaie, implosions de la bombe de la dette, blocages forcés, taxation punitive, impression de monnaie fiduciaire)
Effondrement culturel (atteintes à l'Église, à la famille, à la raison et à l'État de droit)
Cyberguerre (attaques sur le réseau électrique, les télécommunications, etc.)
Si vous mettez tout cela ensemble, il devient évident que la guerre vaccinale contre l'humanité n'est qu'une partie d'un assaut de dépopulation beaucoup plus vaste qui peut facilement conduire à une famine de masse, à la maladie, à la misère, à la violence et à la guerre.
- voir clip sur site -
Le nombre total de victimes de tels événements est totalement inconnu, mais étant donné que chaque personne vivante a besoin de nourriture, d'eau et d'un abri pour survivre, la militarisation et la rareté de ces fournitures mettent potentiellement toute vie humaine en danger. Tous les 7,9 milliards d'entre nous.
Et au fait, l'acteur traître Joe Biden vient d'annoncer la restriction des anticorps monoclonaux aux États rouges, déclarant effectivement un acte de guerre contre ses ennemis politiques en leur refusant des médicaments salvateurs. Il s'agit d'une guerre ouverte contre l'Amérique conservatrice, et cela clarifie le fait que les mondialistes qui détestent l'humanité (et leurs marionnettes comme Biden) mettront tout en œuvre pour réaliser l'extermination de masse par tous les moyens possibles.
Ainsi, la seule conclusion rationnelle de tout cela est que les 7,9 milliards d'êtres humains vivants sont en grave danger d'être exterminés par divers moyens : armes biologiques, effondrement économique, famine, géo-ingénierie et militarisation météorologique, guerre géopolitique, etc.
Assez de connaissances et de savoir-faire survivront-ils pour reconstruire la civilisation ?
RépondreSupprimerPour répondre à la question principale de cet article, est-ce que suffisamment de gens survivront pour reconstruire la civilisation, je ne peux que répondre honnêtement : je ne suis vraiment pas sûr.
Je ne sais pas si la civilisation humaine survit à cela sans être plongée dans une existence du 18ème siècle et perdre une grande partie de ce que nous avons gagné au cours des 2 derniers siècles.
De plus, il me semble que l'extermination totale de la civilisation humaine est le but des mondialistes.
Ils préparent la Terre à un avenir post-humain. Il n'y a aucun plan pour que les êtres humains existent sous quelque forme durable que ce soit. C'est pourquoi ils ne se soucient pas de risquer la crédibilité de la « science » ou de la « médecine » ou même du gouvernement lui-même. Si leurs propres plans réussissent, il ne restera plus personne en vie pour compter.
Prions pour que nous puissions les arrêter, et rappelez-vous que cela prendra plus que de signer des pétitions ou de partager des liens. En attendant, évitez le coup de caillot si vous souhaitez faire partie de l'avenir de la race humaine.
Le podcast Situation Update d'aujourd'hui aborde ce sujet plus en détail, via Brighteon.com :
Brighteon.com/d03ee3ec-7681-442d-8bee-353fece0045f
Find new interviews and podcasts each day at:
https://www.brighteon.com/channels/hrreport
https://www.naturalnews.com/2021-09-17-after-the-genocide-will-there-be-enough-vaccine-survivors-to-rebuild-civilization.html
Il ne faut pas s'arrêter au nombre de décès actuels dus aux faux vaccins, mais savoir que CHAQUE seringue se compose de 40 mille milliards de nano-particules d'oxyde de graphène !!!
Supprimer(...) Cela signifie que près de 3,4 milliards de personnes ont été vaccinées à ce jour. (...)
C'est-à-dire que TOUTES les personnes qui se sont faites inoculées décéderont dès la mise-en-route du signal de la 5G !
Penser les fausses nouvelles, au-delà des effets de mode
RépondreSupprimerManipulation de l’information, diffusion de mensonges et d’erreurs, l’usage des fausses nouvelles n’est pas nouveau. Retour sur ce concept.
19 SEPTEMBRE 2021
Par Jean-Baptiste Delhomme et Damien Liccia.
Un Article de Conflits
S’intéresser aux fake news, pour utiliser le terme anglo-saxon qui, des rédactions des journaux et autres pure players américains, a progressivement essaimé jusqu’au débat public hexagonal, revient à s’intéresser à un objet d’étude en apparence fort récent et corrélé à la montée en puissance du web et des réseaux sociaux au cours de ces dernières années. Il n’est, pour s’en convaincre, qu’à analyser la manière dont le terme s’est répandu sur le Twitter francophone depuis le tournant de la dernière décennie.
En 2015, sorte de dernière année zéro du phénomène, ce dernier n’existait pas dans le langage courant ou alors de manière purement résiduelle et périphérique. Comme si avant le succès du concept de fake news en 2016, le réel tel qu’il se manifestait alors sur les réseaux sociaux numériques était parvenu à échapper aux affres de la manipulation d’information.
« Insulte, bénédiction, malédiction, tous les actes de nomination magique sont à proprement parler des prophéties prétendant à produire leur propre vérification : en tant qu’il enferme toujours une prétention plus ou moins fondée socialement à exercer un acte magique d’institution capable de faire advenir une nouvelle réalité, l’énoncé performatif réalise dans le présent des mots un effet futur. »
Cet acte magique dont parle Bourdieu dans son maître-ouvrage Ce que parler veut dire ne manque pas de faire écho à cette problématique, dans la mesure où l’institutionnalisation et la popularisation du vocable ont contribué à modifier le réel. La mise à l’agenda médiatique, politique et surtout institutionnel de la thématique a fait de cette dernière un sujet éthéré et hors-sol.
FAKE NEWS ET FAUSSES NOUVELLES, BLANC BONNET ET BONNET BLANC
RépondreSupprimerLa fascination contemporaine pour nos dispositifs de communication, de Twitter à YouTube en passant par TikTok, avec son cortège de superlatifs destinés à donner corps à l’idée de la rupture ontologique et technologique, dès lors qu’elle s’applique à la question équivoque de la manipulation de l’information, brouille les repères, les grilles de lecture et surtout les perspectives. Cette posture donne à penser que la viralité est un phénomène nécessairement contemporain, à cause de Twitter, à cause des algorithmes ou encore à cause des contenus de type clickbait, alors même que l’histoire de la presse, dans ses formes plurielles, est un rappel permanent de l’existence de cette viralité d’avant internet, pour reprendre le titre d’un ouvrage collectif de chercheurs en science de l’information et de la communication paru en juin 2020.
Des mazarinades aux gazetins en passant par le télégraphe Chappe, jusqu’aux formes plus modernes d’outils de communication, pas un dispositif de communication n’a échappé à des tentatives plus ou moins sophistiquées et ambitieuses de manipulation. Après tout, avant la guerre des narratifs sur Twitter, n’y avait-il pas déjà la « guerre des ondes » ? Cette séquence qui, de Radio-Stuttgart de la Propagandastaffel destinée aux « opérations psychologiques » en langues étrangères et sur les ondes de laquelle les équipes francophones de Paul Ferdonnet s’adonnaient à des exercices récurrents de déstabilisation de l’opinion, jusqu’aux passes d’armes entre la Radio-Paris de l’Occupation, qui vit notamment officier des propagandistes comme Jean Hérold-Paquis ou Philippe Henriot, et la mythique Radio-Londres des « Français parlent aux Français » et du génie loufoque Pierre Dac, entremêle à elle seule toutes les problématiques supposément contemporaines de manipulations de l’information et de réponses stratégiques à apporter à ces menées informationnelles.
Surtout, il n’est qu’à compulser les archives numérisées des titres de presse français pour se convaincre que les fausses nouvelles ont eu une existence avant les fake news. Derrière le rouleau compresseur terminologique lancé à toute allure en 2016, des décennies de couches documentaires sédimentées peuvent ainsi renaître à la vie grâce à la numérisation et aux outils modernes de reconnaissance optique de caractères (OCR) qui, malgré les faux positifs assez nombreux, n’en permettent pas moins d’en finir avec nombre de faux semblants conceptuels et intellectuels.
La désinformation est un terme somme toute confidentiel dans la presse française des XVIIIe et XIXe siècles et ne prend réellement son essor qu’à l’orée du second conflit mondial. La tendance se révèle être relativement similaire pour le vocable de fausses informations. Il n’en va pas de même comme l’indique le graphique ci-dessus pour ce qui concerne les fausses nouvelles. L’utilisation du terme y est constante et marquée par des climax correspondant à des séquences majeures dans la vie politique française. Parmi celles-ci, la courbe de volumétrie fait distinctement apparaître la crise politique et institutionnelle de 1877, août 1914 et le début de la Première Guerre mondiale, 1936 et la période du Front populaire ou encore mai 1940 et la bataille de France.
La consultation des dizaines de milliers de brèves et d’articles qui évoquent ces fausses nouvelles est riche d’enseignement, notamment sur le parallèle qui existe avec notre époque. Des fausses nouvelles commerciales, financières et boursières aux fausses nouvelles que les factions, clans et partis s’accusent mutuellement de répandre pour arriver aux plus sensibles, celles que l’ennemi extérieur diffuserait par divers canaux, les préoccupations des Français de la première moitié du siècle dernier sont sensiblement et étrangement les mêmes que les nôtres.
RépondreSupprimerCela appelle nécessairement de la part des observateurs contemporains à une forme de retenue, de distanciation et de contextualisation, car les évolutions qui affectent le médium n’altèrent finalement que marginalement le fond du message et le cours de l’histoire. Cependant, réinscrire un phénomène dans son historicité et une temporalité donnée ne saurait équivaloir nécessairement à céder à la facilité d’une vision cyclique et répétitive du réel.
Si souligner les similitudes et les parentés d’un phénomène est une approche nécessaire pour se départir des postures faisant de l’effet de mode le seul curseur probant, une telle démarche ne saurait faire l’économie de la mise en évidence des points ouvertement dissonants et contemporains du phénomène décrit qui, par nature, font de ce dernier une nouvelle itération et non une simple réplique.
LES FAKE NEWS ET LA SOUVERAINETÉ
En revanche, ce qui peut apparaître neuf au regard de l’histoire récente c’est le rapport de plus en plus étroit et critique qu’entretiennent les fausses nouvelles avec la question de la souveraineté. Après tout, les dispositifs contemporains d’informations, et c’est un truisme que de le rappeler, se jouent en partie des limites géographiques et l’attrait, entre curiosité, fascination et inquiétude, que suscite la pléthore récente de médias étrangers numériques dits d’influence, est révélateur de cette singulière nouveauté des fausses nouvelles. Si les frontières ont toujours été plus ou moins poreuses, la guerre des ondes que nous évoquions plus haut pâtissait encore des contraintes géographiques et technologiques de ses conditions d’exercice. Dorénavant, rien n’empêche des puissances étatiques plus ou moins démocratiques de prendre pied dans le cœur battant de l’opinion publique de pays cibles, des Qataris d’AJ+ en passant par Sputnik et RT pour la Russie jusqu’aux médias chinois, afin de participer à une co-construction, nécessairement biaisée de par leur statut de state-backed media, des narratifs locaux.
L’intrication entre guerre et propagande et l’apparition de conflits irréguliers dans lesquels la psychologie et l’affrontement idéologique jouent la plus grande part n’ont pas attendu les discours modernes sur la « guerre hybride ». Tromper l’ennemi dans une situation de conflit, semer la panique et la confusion parmi les rangs adverses sont des leviers aussi vieux que l’art de la guerre lui-même. À cet égard, les guerres asymétriques de la seconde moitié du XXe siècle jusqu’aux conflits actuels ont contribué à souligner l’importance stratégique de la bataille de l’information. Du point de vue des guérillas, la bataille de l’information est devenue, comme le souligne le chercheur Nicolas Mazzucchi, une manière « de déplacer le front des opérations du théâtre militaire vers l’opinion publique ».
Pour les États occidentaux, et notamment les États-Unis, le renversement du mouvement de la guerre de l’information dans les années 1990, via notamment un contrôle étroit des canaux de diffusion (notamment la télévision), est devenu une manière de « re-symétriser » des conflits insurrectionnels. L’émergence d’internet et de canaux de communication décentralisés a rebattu les cartes en brisant les barrières établies par les grandes puissances et notamment par les États-Unis à l’entrée du marché de l’information mondiale. Au point de voir en 2015 l’État islamique se saisir des fonctionnalités des réseaux sociaux développés par des firmes américaines à des fins de recrutement et de propagande.
RépondreSupprimerLa rupture stratégique induite par le numérique est celle qui donne à des acteurs pluriels, étatiques ou non, la capacité de multiplier les actes conflictuels de faible intensité en brouillant leur origine, tout en étendant à l’infini les limites spatiales du théâtre des opérations. Ces opérations ont vu leur coût d’entrée aller sans cesse décroissant, puisque les opérations de désinformation et de guerre informationnelle sont désormais à la portée de petits groupes dotés seulement d’une connexion internet et, le cas échéant, d’abonnements téléphoniques.
Cette plasticité opérationnelle se prête particulièrement bien à être déployée de champ de bataille en champ de bataille dans un contexte d’explosion des zones de tension à travers le monde. Elle permet, en outre, de faire la guerre sans le dire, c’est-à-dire de continuer la politique par d’autres moyens que les moyens guerriers, devenus trop engageants dans une époque d’équilibre de la terreur nucléaire. Parce que le monde virtuel reste encore pensé comme étant plus ou moins périphérique par rapport au monde physique, il se prête encore aux affrontements à faible risque d’escalade.
RÉSEAUX ET DÉMOCRATIES
Mais les groupes terroristes et d’insurgés ne sont pas les seuls à avoir pris conscience de l’intérêt pour ces « armes du faible », réputées capables de remporter des batailles sans engagement militaire. En la matière, les régimes autoritaires apparaissent avoir développé des capacités opérationnelles et une vision stratégique qui outrepassent de très loin celles des démocraties.
Ce constat suscite l’étonnement à double titre : tout d’abord parce que les démocraties sont généralement parvenues à faire coexister leur raison d’État et leurs impératifs moraux sans que ces derniers ne viennent inhiber leurs capacités opérationnelles (par exemple en matière de renseignement et même de propagande). Ensuite parce que rien ne semblait prédisposer le web, qui s’est originellement construit comme un contre-pouvoir, à devenir un instrument particulièrement efficace au service des régimes autoritaires.
L’émergence des grands géants de la tech, tout en remettant en cause l’utopie libertaire des débuts du web, aura pu paraître mettre les États sur le banc de touche et même accélérer le processus en popularisant à travers le monde de nouveaux moyens de communication et d’échange des idées. Au tournant des années 2010, Facebook a ainsi paru catalyser voire être la cause elle-même des printemps arabes. Progrès des réseaux sociaux et progrès de la cause des démocraties ont ainsi longtemps semblé indissociables.
RépondreSupprimerPlus vulnérables à l’égard du pluralisme, les États autoritaires ont mis en place différentes stratégies pour se prémunir contre les dangers des réseaux sociaux et chevaucher le tigre : création d’un internet en vase clos derrière une grande muraille numérique en Chine, censure, piratage et trolling d’opposants, création de réseaux sociaux alternatifs aux grandes plateformes américaines (comme VK en Russie) ou encore coupure d’internet en cas de situation politique sensible (comme en Iran en novembre 2019, lors de grandes manifestations contre le régime).
Dans ces différents cas de figure, il apparaît que les stratégies mises en place par ces États visaient moins à combattre un ennemi extérieur qu’à renforcer son pouvoir de contrôle intérieur. Le corpus des tweets de l’Internet Research Agency rendu public par Twitter en octobre 2018 et qui montre une surreprésentation des messages publiés en russe par rapport aux autres langues tend lui aussi à confirmer ce constat.
D’un point de vue historique, les actions menées par les régimes autoritaires ont donc originellement cherché à conjurer cette vulnérabilité initiale, en empêchant le web d’être instrumentalisé par leurs propres opposants. Elles apparaissent ainsi comme le produit d’un processus de défiance précoce à l’égard du web qui s’est illustré à des degrés différents à travers la mise en place du grand Firewall chinois à la fin des années 1990, ou encore à travers la création des médias russes d’influence tels que RT et Sputnik dans la période suivant les « révolutions de couleur » dans les pays de l’ex-URSS.
Ce processus touche désormais depuis quelques années les démocraties occidentales, déclenché notamment par la prise de conscience du détournement des plateformes par des groupes terroristes ou extrémistes, par le référendum du Brexit (2016) et par le référendum catalan (2017), par les élections américaines (2016) ou encore par les élections françaises (2017).
La mise à l’agenda de la question des fausses nouvelles, à travers un vocable renouvelé dont l’effet est en grande partie d’accréditer le caractère de nouveauté et de singularité du phénomène, tout comme le changement de doctrine des États occidentaux à l’égard des actions d’influence dans le cyberespace, peut aussi être appréhendé comme le symptôme d’une poussée de « fièvre obsidionale ». Cette grande peur décrite par François-Bernard Huyghe apparaît comme l’écho du même processus à l’œuvre dans les régimes autoritaires lors de l’émergence des réseaux sociaux, à quelques décennies d’écart.
En cherchant à recréer de la centralité et du contrôle via une production législative destinée à garantir l’intégrité des scrutins ou à lutter contre les discours de haine, les États occidentaux cherchent à reprendre la main sur des espaces qui paraissent de moins en moins pacifiés et de plus en plus échapper à leur sphère de contrôle sous l’influence extérieure des Gafam d’une part et des ingérences étrangères d’autre part.
RépondreSupprimerDans le cadre d’une compétition mondiale redoublée qui passe désormais par un conflit généralisé des narratifs, les États occidentaux ne peuvent pas faire l’économie d’une réflexion sur leur stratégie et les moyens qu’ils se donnent pour faire face à ces nouveaux enjeux et à ces nouvelles menaces. Pour être vraiment opérante, celle-ci gagnerait à dépasser la fascination suscitée par la technologie pour se couler dans le cadre d’une réflexion stratégique globale qui, tout en prenant en compte les spécificités des nouveaux écosystèmes informationnels à l’heure numérique, ne se laisserait pas abuser par des nouveautés sémantiques.
https://www.contrepoints.org/2021/09/19/406040-penser-les-fausses-nouvelles-au-dela-des-effets-de-mode
Depuis TOUJOURS la dictature (monarchique, républicaine ou impériale) en place a répandu les mensonges afin que le Peuple ne s'instruise. C'est au travers des journaux, puis des radios, des téléviseurs puis d'internet où le QG des criminels à Bruxelles a voté un budget pour payer des hackers sur Internet afin de répandre de fausses nouvelles, d'intervenir dans des forums et même d'en créer !
SupprimerEt, aujourd'hui, l'on se rend compte de leur succès au nombre effrayants de cons et de connasses qui vont se faire piquer et qui portent un masque ! Hahahahaha !
Ce sont celles et ceux qui refusent d'écouter les scientifiques, les professeurs et docteurs et préfèrent les mensonges criminels des merdias ou apparaissent leurs assassins préférés qui les inoculent toujours plus profond chaque jour !
"Les combustibles fossiles sont un atout stratégique", disent les gens qui regardent la tempête de gaz parfaite au Royaume-Uni et dans l'UE
RépondreSupprimerSeptember 18th, 2021
Ce n'est même pas encore l'hiver mais tout d'un coup tous les regards se tournent vers le prix de l'essence
Les prix néerlandais du gaz TTF en équivalent pétrole brut se négocient désormais à 148 $/baril.
Du gaz par le toit…
Grâce à la peur du vaudou du changement climatique, de nombreux pays de l'UE ont effectivement cessé d'explorer du gaz et ont décidé de ne pas fractionner leurs gisements de schiste pour obtenir également du gaz bon marché. (En Australie aussi). Des gouvernements vaniteux visaient à changer le temps au lieu d'avoir de l'électricité bon marché et voilà, des tours à vent ont été construites partout.
Qu'est ce qui pourrait aller mal ? Presque tout.
Même la taille massive du marché européen ne les a pas épargnés d'une hausse des prix si importante que les fournisseurs de détail s'effondrent et que les usines d'engrais ferment.
C'est un excellent moyen de donner le dessus à vos ennemis
La sécheresse due au vent au printemps et en été a entraîné l'échec des parcs éoliens. Ensuite, les Russes ont fait pression sur l'approvisionnement en gaz de l'UE, comme s'ils espéraient faire monter les prix et faire pression sur l'Allemagne pour qu'elle approuve le controversé gazoduc Nordstream 2. Maintenant, le Kremlin suggère qu'une approbation rapide atténuera la pénurie de gaz (ils essaient juste d'aider). Aux dernières nouvelles, une grande interconnexion entre le Royaume-Uni et la France a subi un incendie et est tombée en panne et ne sera rétablie qu'en mars de l'année prochaine.
La GWPF souligne que les prix du gaz en Europe sont trois fois plus élevés qu'aux États-Unis « où la fracturation hydraulique est largement utilisée et le gaz de schiste est bon marché et abondant ».
Les prix de l'électricité montent en flèche après l'incendie d'un câble électrique clé entre le Royaume-Uni et la France
Drapeau du Royaume-UniLes prix de l'électricité britannique ont bondi de 19 % à 475 £ par mégawattheure mercredi. Un câble électrique clé entre la Grande-Bretagne et la France a été fermé après un incendie, provoquant une flambée des prix de gros. L'incendie réduira les importations en provenance de France jusqu'à fin mars 2022, a prévenu National Grid.
Les mauvaises nouvelles commencent à se dérouler. Avec la fermeture des usines d'engrais, il peut y avoir des pénuries alimentaires :
Au Royaume-Uni, deux fournisseurs d'énergie se sont effondrés sous la flambée des prix :
RépondreSupprimer8 septembre 2021 : La flambée record du marché de l'énergie a fait ses premières victimes après l'effondrement de deux fournisseurs britanniques, laissant près de 100 000 clients sans fournisseur d'énergie. PfP Energy et MoneyPlus Energy ont tous deux cessé leurs activités, le marché britannique du gaz ayant atteint un nouveau record mardi, tandis que les prix du marché de l'électricité ont grimpé à des niveaux jamais vus depuis 2008.
Les usines d'engrais ont été fermées en raison des prix élevés du gaz :
Les prix record de l'énergie ont forcé deux usines d'engrais dans le nord de l'Angleterre à fermer et à arrêter des usines sidérurgiques, dans certains des signes les plus clairs que la crise énergétique engloutissant l'Europe pourrait porter un coup à la reprise économique du Royaume-Uni.
L'industrie britannique de la viande prévient que la pénurie de gaz carbonique pourrait affecter les approvisionnements alimentaires d'ici deux semaines
LONDRES – L'industrie britannique de la viande a averti vendredi qu'une pénurie imminente de gaz carbonique pourrait perturber massivement l'approvisionnement alimentaire d'ici deux semaines. Le gaz est utilisé pour étourdir les animaux avant l'abattage, dans l'emballage sous vide de produits alimentaires pour prolonger leur durée de conservation et pour mettre le pétillant dans la bière, le cidre et les boissons gazeuses. La chaîne d'approvisionnement alimentaire britannique, déjà en train de craquer à cause d'une pénurie aiguë de chauffeurs de poids lourds et de l'impact du Brexit et du COVID-19, dépend fortement des producteurs d'engrais pour le gaz carbonique, qui est un sous-produit de leur processus de production.
Les factures d'énergie s'envolent :
Les factures d'énergie augmenteront de centaines de livres en quelques semaines après que des dizaines de fournisseurs à court d'argent aient retiré leurs offres les moins chères du marché en raison de la flambée des prix de gros. Les fournisseurs ont retiré leurs offres forfaitaires les moins chères hier… Si peu d'offres bon marché sont disponibles que Compare the Market, spécialisé dans la comparaison d'offres bon marché, a temporairement fermé hier soir son service de comparaison d'énergie.
Soudain, l'autosuffisance énergétique semble attrayante
RépondreSupprimerLes prix du gaz augmentent également aux États-Unis, et même les États-Unis y prêtent attention.
La leçon climatique de l'Europe pour l'Amérique
UK FlagUS Flag, Flying.Comme les drapeaux de l'énergie éolienne, les prix de l'énergie montent en flèche au milieu des pénuries de carburant.
le journal Wall Street
Les prix de l'électricité au Royaume-Uni cette semaine ont atteint un record de 354 £ (490 $) par mégawattheure, soit une augmentation de 700 % par rapport à la moyenne de 2010 à 2020. L'indice de référence de l'électricité en Allemagne a doublé cette année. L'augmentation de 12,3% du mois dernier était la plus importante depuis 1974 et a contribué à la plus forte hausse de l'inflation depuis 1993.
Les prix spot du gaz naturel en Europe ont quintuplé l'année dernière. Certains fournisseurs d'énergie brûlent du charbon moins cher, mais ses prix ont triplé.
Les États-Unis sont le plus grand producteur de gaz au monde, mais ils ne sont pas à l'abri des turbulences sur les marchés de l'énergie. Les prix au comptant du gaz naturel aux États-Unis ont doublé au cours de la dernière année, en partie parce que les producteurs ont augmenté leurs exportations vers l'Europe et l'Asie. Les exportations ont augmenté de plus de 40 % au cours des six premiers mois de cette année par rapport à l'année dernière.
Devinez à qui profite si les États-Unis adoptent des politiques anti-gaz « à faible émission de carbone » ? la Russie, l'Iran et la Chine,
Cela souligne à quel point les combustibles fossiles sont un atout économique et stratégique des États-Unis. Le plan de l'administration Biden visant à réduire la production de pétrole, de gaz et de charbon par voie réglementaire donnerait du pouvoir aux adversaires, en particulier la Russie, l'Iran et la Chine, qui sont les trois plus grands producteurs de gaz au monde après les États-Unis.
Les Américains ressentent déjà la douleur de la hausse des prix de l'énergie. Les prix de l'électricité et du gaz des services publics ont augmenté de 5,2 % et de 21,1 %, respectivement, au cours des 12 derniers mois en août.
Comme je l'ai dit en juin, l'UE était déjà obligée de recommencer à brûler du charbon parce que personne ne construisait de centrales à gaz parce que les experts ont tous dit qu'il s'agirait d'actifs bloqués :
La blague de Dieu sur les gouvernements qui essaient de contrôler le climat avec leur réseau électrique :
L'Europe se prononce contre la construction d'usines à gaz pour arrêter le réchauffement climatique, puis après un hiver très froid, elle est également à court de gaz, et maintenant elle doit se remettre à brûler du charbon.
RépondreSupprimerLes investisseurs effrayés ne finançaient plus beaucoup de centrales à gaz maintenant que la glorieuse ère des énergies renouvelables était là et que les décideurs politiques portaient tous leurs badges Hydrogène et agitaient leurs baguettes de capture de carbone. L'année dernière, tous les génies de la Banque européenne d'investissement, de l'AIE, de la Commission européenne disaient que « le gaz est fini » et que ce serait un actif échoué.
https://joannenova.com.au/2021/09/fossil-fuels-are-a-strategic-asset-say-people-watching-uk-and-eu-perfect-gas-storm/
Nicki Minaj: "Ouvrez vos f ** king eyes" à la censure COVID, l'interdiction de Twitter "me fait penser" qu'il "se passe quelque chose de plus grand"
RépondreSupprimersamedi 18 septembre 2021
par : rédacteurs en chef
(Natural News) (Article de Jack Hadfield republié à partir de NationalFile.com)
Minaj, la pop star née à Trinidad, avait fait l'actualité mondiale ces derniers jours, pour avoir tweeté en faveur de la liberté médicale, expliquant que quelqu'un qu'elle connaissait était devenu « impuissant » après avoir pris l'un des vaccins COVID controversés, puis avait exhorté ses partisans à prier et peser les avantages de se faire vacciner. En réponse, les médias mondialistes sont devenus furieux contre la star, seuls Tucker Carlson et d'autres médias pro-liberté la défendant. Mercredi soir, Minaj a même tweeté un clip de Carlson la défendant, provoquant une réaction encore plus forte des défenseurs pro-vaccins.
Peu de temps après avoir publié le clip de l'émission de Carlson défendant ses tweets sur le vaccin COVID, Minaj a été temporairement suspendue de Twitter. Dans une publication sur Instagram Stories, Minaj a déclaré qu'au moment où elle s'apprêtait à publier un sondage sur le site, elle s'est rendu compte qu'elle avait été mise en "prison de Twitter", car "ils n'aimaient pas ce que je disais là-bas. " Dans un e-mail adressé à National File, Twitter a affirmé qu'aucune "mesure d'exécution" n'avait été prise sur son compte, semant la confusion quant à la raison pour laquelle Minaj n'a pas été en mesure de publier.
Minaj est passé en direct sur Instagram, claquant la censure de Twitter juste pour avoir posé des questions sur le vaccin COVID. "Vous ne pouvez pas parler par peur que la foule vous attaque", a déclaré Minaj, affirmant que cela devrait donner aux gens "des frissons de haut en bas de votre putain de colonne vertébrale", en comparant ce qui est arrivé à l'oppression des chrétiens à travers le monde et d'autres régimes autoritaires :
Vous devriez pouvoir poser des questions sur tout ce que vous mettez dans votre corps. Nous posons un tas de questions sur les choses les plus simples… Mais vous ne pouvez pas simplement poser une question innocemment sur quelque chose qui se passe dans votre corps ? Je me souviens être allé en Chine et ils nous ont dit qu'on ne pouvait pas dénoncer les gens au pouvoir là-bas. Je me souviens que nous pensions tous, oh d'accord, eh bien, nous comprenons et respectons les lois ici, et que c'est tellement différent où nous vivons… Ne voyez-vous pas que nous vivons maintenant à cette époque, où les gens tourneront leur retour sur vous… Les gens vous isoleront si vous parlez et posez simplement une question.
Ce qui n'est peut-être pas une surprise pour certains, Minaj a ajouté que de nombreux autres artistes musicaux ressentent la même chose qu'elle, "mais ils ont peur de parler" de peur que le même contrecoup ne leur arrive. "Je n'utiliserai plus jamais Twitter", a-t-elle ajouté, notant que son interdiction de Twitter lui faisait penser "qu'il se passe quelque chose de plus gros" avec la censure en général autour du vaccin COVID :
J'ai continué à voir tous ces gens avec toutes ces théories du complot, j'étais comme, oh quoi, s'il vous plaît. Mais qu'est-ce qui vous a fait tant peur qui vous a fait désactiver mon putain de Twitter ? Je n'ai rien publié dont j'ai dit qu'il s'agissait d'un fait à propos de quoi que ce soit. J'ai simplement dit que nous devrions pouvoir poser des questions et parler. C'est effrayant quand ils commencent à vous dire que vous ne pouvez pas poser de questions sur quoi que ce soit… Écoutez-moi. S'il te plaît. Ouvrez vos putains d'yeux. Ouvre tes yeux! C'est tout.
En savoir plus sur : NationalFile.com
https://www.naturalnews.com/2021-09-18-nicki-minaj-open-your-eyes-covid-censorship.html