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lundi 20 septembre 2021

« Il ne s'agit pas de guérison. » Le point de vue d'une ancienne représentante pharmaceutique

80 commentaires:

  1. « Il ne s'agit pas de guérison. » Le point de vue d'une ancienne représentante pharmaceutique

    Elisabeth Linder a travaillé pendant 28 ans pour l'une des plus grandes entreprises pharmaceutiques. Dans le cadre de son travail de représentante pharmaceutique, elle a commencé à se demander s'il s'agissait vraiment de guérir les gens. Aujourd'hui, elle parle de ses expériences ... [lire la suite]


    16.09.2021
    www.kla.tv/19893


    Intro : Comparée à l'industrie pharmaceutique, la Mafia est un « club philanthropique ». Et là j'ai vu clairement qu'il ne s'agit pas du tout du bien-être des personnes, ni de les protéger, ni de faire quelque chose de bien. Je suis comme une enfant. Encore aujourd'hui. Je crois toujours au bien et je pense toujours : Oui, quand on fait quelque chose, c'est vraiment parce qu’on veut faire du bien à l'autre. C’est pour ça qu’au début, j’ai même pensé que les vaccins étaient ou produisaient vraiment quelque chose de bon. Aujourd’hui, bien sûr, je suis beaucoup mieux informée de ce qui se passe à l’Institut Robert Koch (RKI) et de ce qu’ils ont fait comme expériences depuis 100 ans. C'est juste cruel, ce qui s'est passé là…

    L'histoire du cinéma en interview - 1ère partie avec Elisabeth Linder, ancienne représentante pharmaceutique

    Elisabeth Linder : Je m'appelle Elisabeth Linder. J'ai travaillé en pharmacie pendant de nombreuses années, dans le domaine des vaccins. J'y suis venue parce que j'étais mère célibataire et que je devais simplement gagner de l'argent, et c'est grâce à une de mes amies qui travaillait en pharmacie, que je suis arrivée là. En 1980 j'ai suivi une formation de représentant pharmaceutique, puis j'ai commencé à travailler pour une grande entreprise, la première société de vaccins sur le marché mondial. Au début déjà je n'étais pas d'accord avec ce qui se passait. Mais comme je devais nourrir mon enfant et que nous devions aussi nous loger, je me suis dit, - Ok, c'est l'opportunité où je peux le mieux gérer mon temps, où je peux gagner assez d'argent pour subvenir à nos besoins à tous les deux.

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  2. Et oui, au début, il n'y avait que quelques vaccins, je pouvais vivre avec ça. L'hépatite B et le tétanos, la diphtérie, la polio et ainsi de suite, et puis au fil des années, il y en a eu de plus en plus. J'ai toujours cru ce qu'on nous disait, que les vaccins sont si important et que nous en avons besoin, et c'est ainsi que les maladies infectieuses déclineront. Je croyais tout ça à l'époque, j'étais complètement nouvelle. Et au fil des années et des cours de formation, et de ce que nous avons entendu, j’ai eu peu à peu le sentiment que ce que je faisais n'était peut-être pas aussi bien après tout. Que ce n'est pas quelque chose qui aide vraiment l'humanité. La première fois que la polio a été injectée, ce sentiment s'est cristallisé de plus en plus lorsque le vaccin a été disponible. Ce n'était pas parce que tant de personnes mouraient lorsqu'il était administré par voie orale, mais parce qu'il était plus cher, dans les 45 marks de l'époque. Puis quand le vaccin suivant est arrivée, ça m'a fait beaucoup réfléchir. C'était à l'époque où il y avait le vaccin contre la varicelle. Et lors d'un événement, il a été dit littéralement : « Nous créons des marchés. » Il ne s'agit pas des enfants, c'est ce qui m'a immédiatement traversé l'esprit. Il ne s'agit pas de protéger les enfants. Je l’ai calculé très vite. Il s'agissait du fait que c'était un problème économique et cela m'a choquée. Déjà à l'époque toute la Commission permanente des vaccinations (en abrégé STIKO) était là, avec leur slogan « Nous créons des marchés. »- : Nous créons des marchés signifie qu'il n'y a en fait aucun marché pour cela. Aussi brutal que cela puisse paraître. J'ai eu une boule dans l'estomac parce que j'ai pensé : « Qu'est-ce que vous voulez dire, par - Nous créons des marchés ? » Et puis nous avons dû aller voir les médecins et leur vendre le vaccin….; et ensuite beaucoup d'enfants sont morts à cause de cela. Aucun pédiatre n'a eu d'enfants qui sont morts de la varicelle.
    Finalement, c'est une question d'argent, oui !

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  3. Filmgeschichten.com : Et ensuite, comment ça s’est passé pour toi ?

    Elisabeth Linder : Ça, c'était l'histoire du vaccin contre la varicelle. Qu'est-ce qui s'est passé ensuite ? Ah oui, ensuite il y a eu le tétanos, puis le vaccin quadruple : tétanos, diphtérie, polio et coqueluche ; puis le quintuple et enfin le vaccin sextuple avec l'hépatite B ; avec l'argument que les mères n'emmèneraient plus leurs enfants se faire vacciner par la suite, car aucun bébé ne contracte l'hépatite B s'il n'a pas une mère infectée. Bien sûr, cela se transmet ensuite au bébé, mais les bébés n'ont aucun, comment dire, aucun risque de tomber malade d’une hépatite B. Oui, et puis il s’est avéré que quand je l’ai présenté aux pédiatres, alors que je n’étais plus du tout d’accord, il y a eu les premiers effets secondaires graves. Et bien sûr, je l'ai signalé. Puisque c’est obligatoire. Ça n'a jamais abouti à rien. Il y a eu les premiers décès à l'époque déjà. Et alors, après que cela ne pouvait plus être balayé sous le tapis, ils ont dit : « Une étude doit donc être faite », à Munich à l’époque. « Tous les enfants qui décèdent d’une mort subite du nourrisson doivent être autopsiés. Et il faut voir quelle en était la cause ». Cette étude n'a jamais été publiée. Oui, avec les connaissances que j'ai aujourd'hui, tout est clair pour moi. Et c'était un point important pour moi, j'avais le moins de ventes avec ça, mais je m'en fichais. Et quand un pédiatre me demandait ce que je ressentais à ce sujet ou ce que je pensais, je disais toujours que je ne le ferais pas.Et bien sûr, quand mon premier petit-enfant est venu au monde et que ma belle-fille m’a demandé, j’ai juste dit : « Pour l’amour de Dieu, surtout pas de vaccin sextuple. » Donc mes inquiétudes, mes doutes, mon intuition… m’ont de plus en plus montré que ce n’est pas un travail en accord avec mon opinion. Ça devenait de plus en plus évident.

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  4. Filmgeschichten.com :Et combien d’années as-tu travaillé là-bas ?

    Elisabeth Linder :28 ans. Quand j’ai réalisé tout ca, je pense que j’y étais déjà depuis 8 ou 9 ans. Et tu peux calculer toi-même, les années restantes ont été dures pour moi, mais j’avais besoin de cet argent.C’est comme être dépendant de drogues. On était bien payé, et avec ça j'avais une bonne qualité de vie. Oui, et avec mon enfant… c’est ce cercle vicieux. Avec le recul, je ne referais plus jamais ça. C’est ce cercle vicieux ! Puis mon enfant a dû aller à l’école, où il était pris en charge toute la journée, et cette école était très chère. Oui, j’aurais pu tout avoir autrement. Mais c'est passé. Actuellement, je l'ai fait, je suis allée jusqu'au bout jusqu'à ma retraite, parce que j'ai pensé que je ne m'arrêterais pas quatre ou cinq ans avant. C'était vraiment très difficile pour moi. Puis il y a eu le vaccin contre le cancer du col de l'utérus. Et il y a eu une année, je ne sais pas si tu t'en souviens. Un an auparavant, le sujet du cancer du col de l'utérus était omniprésent dans toutes les émissions de radio et de télévision. C'était affreux pour les femmes… et elles ont été interviewées. Et ça a vraiment duré une année, et ça s'appelle le pré-marketing. Et puis j'ai dit à mes collègues de l'époque : « Dites-moi, ne remarquez-vous pas ce qui se passe ici ? » Nous recevons le vaccin dans un an et maintenant toutes les émissions ne parle que du cancer du col de l'utérus. Ça me rappelle..., et je ne sais pas pourquoi j'ai fais cette association d'idée, cela m'a rappelé la Thalidomide.Et c’est ce que j’ai dit : « Ça me fait penser à la Thalidomide. Il se passe quelque chose, personne ne dit rien, personne ne l’arrête. » Et ensuite j'ai principalement rendu visite à des pédiatres et des gynécologues, un gynécologue ne m'a pas reçue à Starnberg.

    Ça, je n'oublierai jamais - je n'ai pas compris pourquoi il disait qu’il ne reçoit personne de mon entreprise. Mais moi aussi je suis têtue et j'ai dit que je voulais simplement qu'il me reçoive, parce qu'il ne savait pas quelle était mon opinion. Oui, c’est ce que j’ai dit à sa secrétaire, et ensuite il m'a en effet proposé une conversation, et c'était très intéressant, parce qu'il m'a raconté comment les études étaient faites dans les pays dits du tiers monde. Et à l'époque ça m'a vraiment coupé l'herbe sous les pieds. Parce que je me suis dit : « Qu’est ce qui se passe ici ? Qu’est-ce que je fais, où est-ce que je travaille ? Et je dois vendre ça aux médecins comme si c’était une bonne chose. »

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  5. Dans les pays dits « du tiers monde », comme on le dit toujours, je trouve cela tellement méprisant d'ailleurs, les vierges, c'est-à-dire des enfants qui n'avaient pas encore leurs règles, des jeunes filles qui n'avaient pas encore eu leurs règles, étaient vaccinées avec ce vaccin, alors que nous savons, ce que fait ce vaccin et que ça n'a absolument aucun sens et c'est ça qui est pervers.
    Sur 47 souches de vaccin, il y en avait trois qui pouvaient éventuellement offrir une protection. Les gynécologues m’ont aussi informée que grâce à l‘amélioration des examens et la sensibilisation des femmes pour le test Papillomavirus, il n'y a presque plus de cancer du col de l'utérus, ou plus dans la même mesure. Et ce n’est pas du tout prouvé que ce vaccin soit efficace.
    Mais ils ont accepté, la probabilité de mourir, qui existait déjà à l’époque, et qui est bien sûr beaucoup, beaucoup, beaucoup plus probable aujourd’hui. Et puis on a fait des projections : combien d'enfants sont vierges, combien de petites filles avons-nous ? Et puis ils ont fait des calculs. La triple vaccination coûtait déjà alors 500 € au total ; et ensuite vous pouvez calculer vous-même l'ampleur de ce marché.
    Et puis les filles ne leur ont pas suffi. Ils ont voulu aussi les garçons, parce que ceux –ci pouvaient être transmetteurs. Et je suis arrivée au point où j’ai dit : « ça, je ne peux plus le faire. »
    Si j’imaginais que j’aurais pu le faire – c’est-à-dire avec conviction - cela aurait été un tel mensonge, et tout en moi a crié : « Ce n'est pas bien, ce qui se passe. » Cela ne va absolument pas. » Et pour couronner le tout, ils ont également embarqué les garçons. Avec ce vaccin la ligne rouge a été franchie.
    Et quand j'ai eu plus d'informations par des médecins critiques, j'ai dit... Alors j’ai souvent dit à mes collègues : « Vous ne vous rendez pas compte de ce qui se passe ici ? » Non, ils ne s’en sont pas rendu compte.

    Filmgeschichten.com : Tu étais donc la seule ?

    Elisabeth Linder : oui ! J'étais en fait la seule dans un groupe de dix personnes.

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  6. Filmgeschichten.com : Es-tu toujours en contact avec certains d'entre eux ?

    Elisabeth Linder : Oui, même avec ma chef de l'époque, mais plus maintenant. Ils savaient également que je consultais des médecins homéopathes en privé depuis de très nombreuses années et que je pensais différemment.
    . Mais je dirais qu'il y a certaines choses que je pouvais encore vendre, parce que - encore une fois - je n'avais pas les connaissances d'aujourd'hui non plus. Mais cela n'incluait pas le vaccin à 6 doses, ni le vaccin contre la varicelle, ni enfin le vaccin contre le VPH [papillomavirus humain]. C’est là que j’ai arrêté.
    C'est un crime. C'est un crime contre les jeunes. Comparée à l'industrie pharmaceutique, la Mafia est un « club philanthropique ». Et là j'ai vu clairement qu'il ne s'agit pas du tout du bien-être des personnes, ni de les protéger, ni de faire quelque chose de bien. Je suis comme une enfant. Encore aujourd'hui. Je crois toujours au bien et je pense toujours : Oui, quand on fait quelque chose, c'est vraiment parce qu’on veut faire du bien à l'autre. C’est pour ça qu’au début, j’ai même pensé que les vaccins étaient ou produisaient vraiment quelque chose de bon. Aujourd’hui, bien sûr, je suis beaucoup mieux informée de ce qui se passe à l’Institut Robert Koch (RKI) et de ce qu’ils ont fait comme expériences depuis 100 ans. C'est juste cruel, ce qui s'est passé là.
    Je n'étais pas au courant. Je ne me suis pas - comment dire - informée davantage à l'époque. Juste ce que j'ai entendu par bribes - et c'était une telle catastrophe pour moi d'y être impliquée. Et quand j'ai entendu un enfant crier, et que le médecin a dit : « Regardez, c'est votre vaccin. » C'était comme si on m'arrachait le cœur.
    Je me suis dit : « Comment vais-je traverser les prochaines années ? »

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  7. Filmgeschichten.com : On peut dire que les trois dernières années de ta carrière ont été particulièrement difficiles.

    Elisabeth Linder : Oui, c'était le cas lorsqu’il y a eu le vaccin contre le cancer du col de l'utérus. C'est à ce moment là, que la ligne rouge a été franchie pour moi. Je ne pouvais pas faire ça.
    Je n'ai tout simplement pas parlé de ce vaccin dans les cabinets. J'ai pris cette liberté d’agir ainsi et quand ma chef m’accompagnait, - car elle est souvent venue avec moi - j'ai dit que j'aimerais qu‘elle fasse l’entretien afin de voir comment elle amenait ces choses auprès du médecin
    Je n'ai pas fait ça. Je ne pouvais donc plus faire semblant. Et c'était pour moi les trois dernières années, - j'ai prié tous les jours :
    Mon Dieu, fais que je traverse ce temps maintenant, que j’en arrive à la fin car cette chose me tue - c’est à la limite d’un meurtre - rien qu’en pensant à ces jeunes filles
    C'était mon lot : je ne pouvais pas le faire. Oui, nous avons été formés par l'entreprise. Nous avons eu des entretiens de vente. C'était lors des conférences et toutes les 2 semaines, c’était de nouveau répété. Il y avait toujours des études présentées, qui étaient bien sûr farfelues, comme je le sais aujourd'hui. Et en fait - nous recevions constamment de nouveaux documents – c'était là où je disais souvent : Qu'est-ce que je dois faire avec ça ? Ce n'est pas juste du tout. Et ce qui me frappe, c'est que les médecins le croyaient. En fait oui, je peux faire le lien par rapport à aujourd’hui…En fait c'est vraiment ce que nous avons aujourd'hui : les médecins le croient.
    Et ça me choque. ; parce que je suis une simple représentante médicale, et parce que je suis de la Firme Untel, et parce que je lui montre des études, ils le croient. Rien n'est remis en question.
    Il y a très peu de médecins qui ont un avis critique en ce qui concerne les cadeaux publicitaires, il y en a très peu qui disent qu’ils ne veulent pas de cela, qu'ils ne se font pas acheter -. Donc un très petit pourcentage.
    J‘ai donc démontré ces choses en espérant que le médecin commanderait mon vaccin à la pharmacie. Il ne pouvait pas commander un vaccin chez moi, il devait le commander à la pharmacie. Et la pharmacie a ensuite transmis les commandes à la société. Et donc on pouvait calculer si j'avais un bon chiffre d'affaires ou pas.

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  8. Filmgeschichten.com : ça veut dire que tu l'as découvert par...

    Elisabeth Linder : ... par les pharmacies.

    Filmgeschichten.com : OK.

    Elisabeth Linder : Exactement. La seule exception, et là on en vient à parler de la situation actuelle. La seule exception était le vaccin contre la grippe. Nous avons dû les vendre à l'avance. Donc, j'avais un bloc-notes et j'ai dit : Quels patients avez-vous eu l'année dernière qui ont pris le vaccin ? Et puis oui, vous ne voulez pas en commander d'autres cette année ? – C'était horrible pour moi. Et puis il a commandé directement. Et alors je suis allée à la pharmacie avec la commande. Ils l'ont signée. Et là, j'ai su avec certitude qu'il avait commandé tant et tant de vaccins contre la grippe, chez moi. Mais c'était la seule exception.

    Les souches ont été cultivées sur des œufs de poule, pour ainsi dire. Et ensuite, le vaccin a été fabriqué à partir de cela. Mais je ne connais plus le processus exact. C'était l'argument, car il change encore et encore. C'est pourquoi il fallait le commander à l'avance.

    Ces dernières années, les conversations ne portaient plus sur les vaccins, sauf si quelqu'un me le demandait. Mais je connaissais chaque médecin, je connaissais le nom de chaque secrétaire. Je connaissais les dates d'anniversaires. Pour moi, c'était - c'était le bon côté de mon métier. Je dis toujours que j'étais en fait une psychothérapeute. Combien de choses m'ont été racontées - par les médecins aussi. Ils ont utilisé le temps et m'ont parlé de leur vie. Et c'était mon point fort. C'est mon point fort en général, je peux écouter parce que je suis vraiment intéressée. Et parce que je suis honnête. Quand ils m'ont demandé ce que j'en pensais, j'ai honnêtement donné mon avis. Avec ce que je leur disait, ils auraient pu téléphoner l'entreprise et dire, « Mais qu'est ce qu'elle raconte, Mme Linder ? Elle travaille bien pour vous ? »
    Je m'en fichais.

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  9. Filmgeschichten.com : À quoi ressemblait ta journée de travail normale en tant que représentant pharmaceutique ?

    Elisabeth Linder : Je ne suis jamais partie avant 9 heures. Je préparais ma tournée le soir, je savais où je voulais aller. Je n'ai pas pris de rendez-vous. J'ai refusé. Puis je me suis rendue aux cabinets et j'ai été relativement bien accueillie, car je travaillais dans la région depuis de nombreuses années, et je faisais mes entretiens. Puis je rentrais chez moi l'après-midi. Je travaillais aussi parfois le vendredi après-midi. Je devais me rendre chaque jour chez neuf médecins - entre neuf et dix médecins - et encore dans des pharmacies.

    Et quand je rentrais chez moi, je dînais le soir et puis mon travail continuait. Parce que nous devions noter qui je visitais, de quoi nous avions parlé et ce que j'avais laissé comme échantillons ; à l'époque il y avait déjà l'ordinateur portable, nous avons eu un ordinateur portable très tôt, Ensuite, les commandes. A l'époque, il y avait encore beaucoup, beaucoup de cadeaux promotionnels. Je recevais parfois vingt ou trente paquets d'articles promotionnels. Et comme je l'ai dit, j'ai dû organiser moi-même de nombreuses formations avec des intervenants. J'ai commencé à chercher des conférenciers, en fonction du sujet, qu'il s'agisse de vaccins pour enfants ou pour adultes. Ou dans le cabinet du pédiatre, nous avons également organisé des séminaires d'urgence. C'était donc intéressant. Même s'il y avait des formations continues, « des formations continues... » - dans ces beaux hôtels, avec les conjoints, avec tout. Nous avons dû tout organiser.

    J'ai donc vu beaucoup de choses du monde entier. C'était beaucoup. J'étais en plus, en quelque sorte une agence de voyage. Tout cela était encore possible à l'époque. Et en fait, je ne quittais pas mon bureau avant neuf heures, neuf heures et demie du soir. La journée était donc longue. Même si tout le monde disait : « Oh, les représentants pharmaceutiques, ont la belle vie. Ils visitent quelques médecins et puis c'est fini. » Eh bien, ce n'était pas comme ça pour moi. J'ai vraiment eu beaucoup de temps de préparation et je travaillais aussi avec des fiches, ça les faisait tous rire. J'écrivais tout : Les anniversaires, les enfants, - parce que pour moi c'est du respect que je porte pour mon vis à vis, - parce que je voulais m'adresser à eux par leur nom. Et c'était ma force, bien sûr.

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  10. Oui, la journée était longue. Ce qui était bien, c'est que j'étais indépendante.
    Personne, du moins dans ce domaine, ne m'a dit ce qu'il fallait faire, quand le faire et ce qu'il fallait faire ou ne pas faire. ...Et je gagnais 4 500 € et des primes en plus. Et en plus une voiture de fonction !
    La voiture plus l'essence, c'était déjà lucratif. J'ai toujours dit quand quelqu'un me disait « Oui, c'est génial ce que vous faites. Vous avez de la chance avec ce que vous faites. » Je répondais : « Allez-y, faites-le. Je paie un prix élevé pour ça. » C'est vrai, c'est beaucoup d'argent, la voiture était gratuite. L'essence était gratuite, en plus les primes et beaucoup de voyages. Les voyages j'aurais aussi pu m'en passer. Mais d'un point de vue financier, vous êtes dans une bonne position. Oui, ils le savent, ils le savent très bien. C'est comme ça qu'ils vous tiennent. Et c'est pourquoi il y a cette pression pour vendre. Je n'ai pas fait mes ventes parce que j'ai parlé des vaccins, mais simplement d'un point de vue humain, les médecins ont commandé mes vaccins, même si j'ai parfois dit : « Au fait je ne veux pas tout ça , car je ne suis pas d'accord avec tout ça. »

    Filmgeschichten.com : Quelles conséquences physiques et émotionnelles ce dilemme a produites sur toi?

    Elisabeth Linder : Une douleur totale. D'un point de vue actuel et de ce que j'ai vécu dans les dernières années, au fond cela n'a pas arrêté, c'était de devoir s'ajuster constamment.

    C'était une tension constante. J'étais tout le temps comme une patate chaude, et je me demandais aussi pourquoi je n'avais pas arrêté plus tôt. Entre temps, j'ai essayé de trouver un autre emploi, mais... j'ai essayé ça à 48 ans, je crois. Ils m'ont dit que j'étais trop vieille. J'ai trouvé ça drôle à l'époque. Mais oui, mon père nous disait toujours : « Les enfants, si vous n'êtes plus heureux dans votre travail, alors vous devez chercher autre chose ». Malheureusement, il est mort beaucoup trop tôt. J'étais encore très jeune à l'époque, 13 ans. Mais j'ai toujours eu mauvaise conscience. Tu n'y es pas arrivée. Tu n'as pas lutté et cherché un autre emploi. C'était grave. En rétrospective, les deux choses : premièrement , en vendant un produit que je n'approuvais pas. C'est-à-dire que je ne l'ai pas vraiment vendu à l'époque.
    Mais j'ai aussi dû me rendre à l'évidence que je n'ai pas arrêté, que j'ai continué à le faire. Juste par amour de l'argent. Sans aucun doute.

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  11. Filmgeschichten.com : Vous connaissez le secteur, vous y avez travaillé pendant longtemps. Comment décririez-vous l'industrie pharmaceutique ? Est-ce une industrie qui veut vraiment guérir ?

    Elisabeth Linder : Ils sont si loin de la guérison - je ne sais pas, quel est le plus loin, quel corps céleste est le plus loin ? C'est la distance qui les sépare. Il ne s'agit pas du tout de guérison. Zéro, zéro, zéro. Et cela, - quand vous avez compris, - alors c'est en fait aussi clair que n'importe quoi d'autre, vous ne vaccinez certainement plus un seul enfant, un seul être vivant. Cette histoire de vaccination... parce que je ne savais pas tout ça non plus. Cela remonte - si ce n'est pas à des centaines d'années, - mais au moins à partir de 1800 – Cela a déjà commencé avec la grippe espagnole – c’était quand, la grippe espagnole ?
    C'est incroyable. Ils ne sont pas morts de la grippe. Ils sont morts à cause du vaccin. Et c'est ce que j'ai encore entendu au cours de l'année ou de l'année et demie qui vient de s'écouler..... Tu sais. Le pire, c'est que je fais immédiatement le rapprochement et que je ne me demande même pas une seconde si c'est vrai ou non, je sais que c'est la vérité. Toutes les cruautés, les crimes sont vrais. Mais je dois me prendre par la peau du cou, je ne me suis pas posé de questions non plus. J'ai posé des questions, mais bien trop peu, bien trop tard. D'accord, je le fais maintenant. Mais ce que nous, les humains, faisons avec les vaccins, ou les animaux d'ailleurs, c‘est la même chose. Les crimes qui sont commis sont fondamentalement insupportables. Mes animaux n'ont pas été vaccinés depuis que je les ai eus. Quand les gens disent : « Oui, tu veux partir en voyage. » Eh bien, je ne voyage pas. Mais je n'envisagerais pas de vacciner un chien, un chat ou autre. C'est là que ça commence. Les chevaux sont vaccinés jusqu'à la mort. Ensuite, ils disent que s'ils vont à une course... Ce qu'on nous dit toujours, c'est le pire. Pourquoi cela devrait se produire ? Ce n'est pas vrai du tout. Et les animaux ne peuvent pas se défendre, tout comme les enfants ne peuvent pas se défendre.

    Et c'est une torture de voir des enfants - pour moi, c'était un viol - quand des enfants sont assis là, criant, et qui se font piquer et qu'on leurs injecte quelque chose qui n'est pas du tout bon pour eux.

    Toutes les maladies qui ont suivi, c'était il y a longtemps, c'était au tout début, c'était il y a 38 ans maintenant, ou même il y a plus longtemps, quand lorsqu'on a dit qu'il existe un lien entre l'hépatite B et l'autisme, bien sûr nous, les représentants pharmaceutiques, nous avons dit « quelle absurdité ! »,
    Non. C'était la vérité. De nos jours ça a été prouvé. Et toutes ces choses ont simplement été passées sous silence. Mais je répète il y a le côté de ceux qui diffusent quelque chose qui en fait partie, et le médecin qui ne se pose pas de questions en fait également partie.
    Car le commerce des vaccins rapporte beaucoup d'argent !

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  12. Filmgeschichten.com: Et les clients, ils en font également partie.

    Elisabeth Linder: Ils en font également partie. Oui, en fait, ce sont les moins bien lotis, voire les plus pauvres, car ils font confiance aux médecins. Les médecins font peur aux jeunes mères: Vous savez, si vous ne faites pas cela, votre enfant ne sera pas protégé". C'est ainsi que l'on procède encore aujourd'hui , toujours par la peur. Et ce sont en fait les intermédiaires qui sont aussi les moins informés. Mais après l'industrie pharmaceutique, les pires sont le corps médical qui ne se lève pas pour dire : "Mais qu'est-ce qui se passe?“ Mhmh.

    Filmgeschichten.com: Quand t’en es-tu rendu compte ? Est-ce que tu le savais déjà avant, lorsque tout a commencé et que ce virus est soudain apparu ?

    Elisabeth Linder: Eh bien pour moi le réveil s’est fait assez tôt. En fait, dès les trois ou quatre premières semaines j’ai pensé que quelque chose n'allait pas. Leur narratif ne collait pas. Pourquoi ce danger soudain, alors qu’on ne parlait pas encore de pandémie ? Et s’il est une chose sur laquelle je peux vraiment compter, quand tout à coup quelque chose me perturbe, c’est bien ma voix intérieure. .
    Alors j’ai pensé que quelque chose n’allait pas. Ensuite c’est allé très vite. Je ne sais plus comment ça s’est produit, ni par quelles voies je suis parvenue jusqu’à ces médias.
    Mais c’est vraiment arrivé, j’ai été guidée jusque là et j’en remercie le bon Dieu.

    Filmgeschichten.com: Tu veux dire que pendant toutes ces années tu t’es informée en consultant des médias classiques, dits de qualité ?

    Elisabeth Linder: Je sais, c’est affreux.
    Je ne connaissais pas Rubikon, (ndlr. Magazine pour lecteurs ayant conservé leur sens critique) je ne savais pas qui était KenFM (ndlr. chaine internet de tv alternative), je ne savais pas qui était Reitschuster.
    (ndlr. Journaliste indépendant spécialiste de la Russie).

    Tous les médias libres m'étaient inconnus. Aujourd'hui, je pourrais remettre à chacun d’eux un prix Nobel de la paix. J’ignorais tout ça .

    Et c'est ce qui me choque encore chaque jour , enfin plus maintenant, : avoir cru en tout cela. ARD, ZDF - bon, Bayern 3 n'a jamais été ma chaîne préférée - mais ARD, - j’adorais leurs « Questions d’actualité » et je les regardais tous les soirs.

    Je n'aimais pas certains d'entre eux, comme Slomka, qui était toujours très subjective. On pouvait deviner quelle était son opinion, mais je la croyais. Que quelqu'un puisse être si perfide, si fourbe, si cruel, mentir comme ça et manipuler les gens, les masses de cette façon, c'était pour moi... je ne pouvais tout simplement pas l'imaginer. Je ne peux toujours pas aujourd'hui, mais maintenant nous sommes au courant..

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  13. Filmgeschichten.com: Peux-tu imaginer... ?
    ...encore cette question, car j'ai également travaillé pendant de nombreuses années pour une station ARD, que ces journalistes sont aussi dans leur bulle ou penses-tu qu’en réalité ils en savent plus?

    Elisabeth Linder: Eh bien je pense, c’est un chiffre qui me vient spontanément, qu’ils sont peut-être 30 % à en savoir plus.
    Et il y en a peut-être trente autres pour cent qui se doutent de quelque chose, et le reste ne savent vraiment pas grand-chose, étant aussi ingénus que moi à l'époque: ils ne se posent pas de questions, ne font pas de recherches, ne regardent pas dans les coins. Voilà ce qu’il en est, ce que je peux en dire spontanément. Et ceux qui savent sont, pour moi, les prochains criminels après Drosten (ndlr. Inventeur du test pcr allemand à 45 cycles) , Spahn (homme politique accusé de mauvaise gestion de la pandémie et de conflits d’intérets dans un marché d’achat de masques FFP2), peu importe leurs noms.. Parce que s’ils n’agissaient pas ainsi, les gens seraient informés. Je l'entends dire encore et encore, que ce soit par des voisins ou des connaissances: „Oui, mais ils l’ont dit aux infos et c'est clair, c'est exact.“
    Alors je me dis toujours, oui, c’est vrai, vous l’avez entendu. Et cela me rend un peu plus douce envers les gens, parce que je me dis à moi-même "Elisabeth, arrête. Avant tu y croyais aussi , toi non plus tu ne te remettais pas en question."

    Et pour moi ce que ces journalistes font, ce n’est pas criminel, c’est pire que criminel.
    Encore une fois, il y a certainement des gens, comme moi, qui ont des familles, qui essaient juste de s'en sortir, mais qui se sentent mal à l’aise à cause de ça. Il serait temps pour eux de se lever.

    Filmgeschichten.com : La normalité ne sera possible, selon notre chancelière, que lorsque tout le monde aura été vacciné.

    Elisabeth Linder : Exactement, et j'ai ri très fort, mais tellement fort que j’ai failli m’étrangler. Parce que j'ai pensé, c'est exactement ça.

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  14. Filmgeschichten.com : Qu'est-ce qui t'est passé par la tête ? Je dirai, c'était...

    Elisabeth Linder : Oui, j'aurais pu crier. Tout est passé par moi, toutes les années de l'industrie pharmaceutique me sont passées comme un film dans ma tête, où je... C'est aussi cette impuissance. J’étais plantée là et j’ai pensé : Et les gens croient ça. A quel point faut-il être stupide ? C’était tellement évident. C'est ce qui m'a le plus rappelé la vaccination du col de l'utérus, parce qu'à l'époque aussi ils ont extrapolé. Et puis, ce qui est encore pire dans ce cas actuel, ils veulent vraiment décimer la population. Mais l'autre vaccin n'est pas mieux. Les jeunes filles ou les garçons sont décimés de la même manière... Seulement, ce n'est pas aussi grave que maintenant avec ce vaccin. Mais j'ai vraiment ri très fort devant la télé. J'ai pensé… ça je n’y crois pas. J’étais désespérée. Ça m'est passé comme un film, j’aurais vraiment pu crier. Puis j'ai toujours pensé : « Les gens, réveillez-vous ! ». Vous devez réaliser que ça ne peut pas être vrai. Mais, bon… et puis c'est arrivé très vite : les manifestations, le fait d’être exclue. J'ai perdu la plupart de mes amis. Mais en fait, je n'ai pas vraiment perdu d'amis. Si je suis honnête, ce n'étaient pas mes amis proches avant, car sinon ils m'auraient au moins demandée comment j’en arrive à penser telle chose.

    de nm.
    Sources / Liens :
    https://vimeo.com/582624672

    https://www.filmgeschichten.com/#start

    https://www.kla.tv/19893

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  15. Citer les données et les faits de Covid n'est pas une propagande


    Par Vasko Kohlmayer
    20 septembre 2021


    REMARQUE : Le texte ci-dessous est une réponse à un e-mail qu'un lecteur m'a envoyé en réponse à mon article intitulé « Reconnaître l'évidence : les données concrètes d'Israël révèlent l'échec d'un vaccin ». Dans sa note, le lecteur a écrit « vous vous trompez lourdement en croyant à votre propagande ». Peu importe, a-t-il dit, combien de personnes sont infectées après avoir été vaccinées. Ce qui compte, a-t-il soutenu, c'est que les vaccins protègent des graves Covid. J'apprécie les sentiments de mon lecteur : je sais qu'il était sincère et bien intentionné. Sa position est typique d'innombrables autres personnes qui se sont vu refuser des faits et des informations vitaux sur les vaccins, qui sont délibérément retenus et censurés par l'establishment de Covid. Ma réponse suit.

    Bonjour,

    Merci pour votre message. Cependant, ce que vous dites est incorrect.

    Il n’est tout simplement pas vrai que les vaccins protégeront les gens contre un Covid grave ou la mort.

    Veuillez lire l'article que j'ai écrit récemment intitulé "Les vaccins n'arrêtent pas le Covid ou la mort sévère". L'article présente des données du monde réel pour montrer que c'est le cas.

    De plus, considérez également cette analyse de données que j'ai rencontrée après la publication de l'article. Cela montre que les décès de Covid en Angleterre sont en augmentation et que plus de 75 % d'entre eux font partie des vaccinés.

    Comme vous le verrez, la plupart des personnes gravement malades ou mourantes dans les hôpitaux des pays fortement vaccinés comme Israël et la Grande-Bretagne ont été entièrement vaccinées.

    Si les vaccins protégeaient leurs receveurs d'un Covid sévère, le tableau serait complètement différent.

    Présenter des faits n'est pas de la propagande. La propagande, c'est dire des choses qui vont à l'encontre de la réalité.

    Vous souvenez-vous encore quand ils nous ont dit que les vaccins mettraient fin à la pandémie ? C'était de la propagande. Regardez ce qui se passe aujourd'hui. Les infections révolutionnaires sont généralisées et certains des pays les plus vaccinés au monde connaissent également les pires épidémies de Covid. Et la plupart des personnes gravement malades et mourantes dans ces pays ont été vaccinées. C'est un fait.

    Dire que les vaccins garantissent une protection contre la mort ou une maladie grave relève de la propagande. Les chiffres ne mentent pas.

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  16. Laissez-moi vous raconter une histoire réelle sur la propagande vaccinale. Nous avons une bonne amie des Philippines qui a perdu trois parents à cause de Covid le mois dernier dans son pays d'origine.

    C'étaient tous des mâles. Leurs âges étaient de 48, 52 et 70 ans.

    Les deux plus jeunes n'avaient aucun problème médical et étaient en bonne condition physique. Ils étaient également tous les deux complètement vaccinés (avec Sinovac).

    L'homme de 70 ans souffrait de diabète et d'hypertension artérielle. Il n'a pas été vacciné. Sa mort – bien que très triste – n'était pas totalement inattendue. En raison de son âge et de ses problèmes de santé, il était en danger.

    La mort des hommes plus jeunes, en revanche, a été un choc. Mais voici la chose la plus surprenante : ils sont tous les deux morts très rapidement. Ils sont morts dans les deux jours suivant l'apparition de leurs premiers symptômes.

    Les hommes de 50 ans en bonne santé ne meurent généralement pas du Covid. Et quand ils le font, cela prend généralement un certain temps. Tout d'abord, ils développent des symptômes pseudo-grippaux qui durent environ une semaine, puis des difficultés respiratoires commencent. Après cela, il faut encore plusieurs jours pour que la maladie fasse des ravages.

    Lorsque les familles de ces deux hommes ont demandé aux médecins pourquoi leur mort était si rapide, les médecins leur ont répondu que c'était dû à la force de la variante. Mais ce n'était évidemment pas vrai, car d'autres membres de leurs familles ont également été infectés en même temps et aucun d'entre eux n'a eu de difficultés particulières. Tous ont surmonté leur infection au Covid en dix jours en se traitant avec du paracétamol et du thé au gingembre.

    Personne dans ces familles n'est mort à l'exception des deux hommes vaccinés. Il y a donc tout lieu de croire que le problème n'était pas la virulence du virus mais le vaccin lui-même.

    Cela semble également indiqué par le cours que la maladie a pris chez l'homme de 70 ans. Sa progression était similaire à celle observée chez la plupart des autres victimes de Covid. Tout d'abord, il a été malade pendant un certain temps à la maison, puis il a développé des difficultés respiratoires. Il a ensuite été transporté à l'hôpital où il est décédé une semaine plus tard.

    Une chose est claire : le système immunitaire de ces deux quinquagénaires en bonne santé n'a pratiquement pas lutté contre le virus.

    Comment cela pourrait-il être ? Ce n'est pas normal.

    Leur situation ressemble à un cas d'amélioration dépendante des anticorps (ADE). L'ADE se produit lorsque les vaccins rendent leurs receveurs plus sujets aux maladies plutôt que de les protéger (en voici une explication). L'ADE était la principale raison pour laquelle les tentatives précédentes de formulation de vaccins contre le type de virus qui cause Covid-19 avaient échoué lors des essais dans le passé.

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  17. Cette fois, ils ont précipité les vaccins sans les tester correctement, et maintenant nous pouvons avoir un problème très grave.

    Certains des meilleurs scientifiques du monde ont mis en garde contre cela. L'un d'eux est Luc Montagnier, un virologue qui a remporté le prix Nobel en 2008 pour ses travaux sur le VIH. Il est ainsi l'une des autorités les plus distinguées en la matière dans le monde.

    Ceci est tiré d'un article qui décrit ce que Montagnier a dit :

    «Montagnier détaille que la mutation et le renforcement du virus se produisent en raison du phénomène connu sous le nom d'amélioration dépendante des anticorps (ADE). L'ADE est un mécanisme qui augmente la capacité d'un virus à pénétrer dans les cellules et à provoquer une aggravation de la maladie. L'ADE se produit lorsque les anticorps générés lors d'une réponse immunitaire reconnaissent et se lient à un agent pathogène, mais ils sont incapables de prévenir l'infection. Au lieu de cela, ces anticorps agissent comme un « cheval de Troie, permettant à l'agent pathogène de pénétrer dans les cellules et d'exacerber la réponse immunitaire. "

    Montagnier soutient que les programmes de vaccination massive qui sont mis en œuvre dans de nombreux pays à travers le monde sont une « erreur inacceptable » et qu'ils sont une « erreur scientifique ainsi qu'une erreur médicale ».

    Le professeur Montagnier pense également que ce sont les vaccins qui encouragent plus de variantes et exhorte les gens à ne pas se faire vacciner.

    S'il vous plaît rappelez-vous que le professeur Montagnier n'est pas un idiot ou un anti-vaxxer ou un théoricien du complot fou. Il est l'un des virologues les plus distingués et les plus éminents de la planète.

    Le prix Nobel Luc Montagnier n'est cependant pas le seul scientifique de classe mondiale à le dire. Un autre est le Dr Robert Malone qui a inventé la technologie de livraison d'ARNm qui est utilisée dans Pfizer et Moderna. Veuillez vérifier les informations d'identification de Malone ici.

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  18. Malone met en garde contre le même phénomène dont Montagnier parle. Vous pouvez le voir en parler ici. Il demande instamment l'arrêt immédiat de la campagne de vaccination jusqu'à ce que les vaccins et les données puissent être correctement étudiés.

    Ceci est tiré d'un article qui rapporte une interview que Malone a donnée :

    « Ceux qui prennent les « vaccins » Covid-19 sont PLUS sensibles à la variante Delta et ont un risque PLUS ÉLEVÉ de maladie grave ou même de décès. Ces informations proviennent du Dr Robert Malone, l'inventeur de la technologie d'ARNm utilisée pour transmettre à la fois les injections Pfizer et Moderna.

    Voici l'essentiel : lorsque vous regardez les données des pays les plus vaccinés, elles semblent montrer que ce que disent Montagnier et Malone (et un certain nombre d'autres scientifiques) est correct.

    Vous n'avez probablement rien entendu de tout cela. Vous vous demandez pourquoi ? A cause de la propagande et de la censure. Ce type d'information est activement supprimé par les scientifiques des sociétés pharmaceutiques en collaboration avec les scientifiques « officiels » du gouvernement et les médias grand public.

    Veuillez vous renseigner sur l'ADE ainsi que sur les effets secondaires de ces vaccins. Les effets secondaires graves et mortels sont beaucoup plus fréquents que ce qui est rapporté.

    Selon les données publiées par le Center for Disease Control (CDC), entre le 14 décembre 2020 et le 20 août 2021, plus de six cent mille rapports ont été déposés auprès du VAERS d'effets indésirables suite aux vaccins. Il s'agit notamment de 13 627 décès et de 84 466 blessés graves. Les chiffres réels sont probablement beaucoup plus élevés car les chiffres rapportés dans la base de données VAERS sont généralement sous-estimés d'un facteur cinq.

    L'une des indications évidentes d'un échec vaccinal est le besoin de rappels. Pourquoi avons-nous besoin de boosters ? La raison évidente est que les injections originales ne fonctionnent pas. S'ils fonctionnaient et offraient une protection adéquate contre cette maladie, nous n'aurions pas vraiment besoin de rappels. En Israël, ils les distribuent déjà à grande échelle. Et devine quoi? Ils prévoient le prochain tour de rappel en décembre. Certaines personnes en Israël recevront ainsi 4 injections de Covid en moins d'un an.

    D'après ce que je peux déterminer sur la base des données disponibles, ces vaccins ne sont ni efficaces ni sûrs.

    Plus important encore, certains des experts les plus éminents au monde sur le sujet disent la même chose et exhortent les gens à ne pas prendre ces injections. Je crois bien plus ces experts que je ne crois Joe Biden ou les scientifiques qui sont à la solde de Pfizer et Moderna.

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  19. J'ai présenté les faits de la meilleure façon que je connaisse. Faites-en ce que vous voulez.

    Tout le meilleur et portez-vous bien.

    https://www.lewrockwell.com/2021/09/vasko-kohlmayer/citing-covid-data-and-facts-is-no-propaganda/

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    1. Ces FAUX vaccins ne sont pas là pour défendre ou soigner mais POUR TUER ! Ce sont des expérimentations génique d'essais. La nano-grippette inventée (appelée 'covide19') est un conte de fées !

      Rappelez-vous bien que l'ON NE VACCINE PERSONNE DURANT UNE ÉPIDÉMIE OU PANDÉMIE !

      L'Ordre est donné: "VOUS DEVEZ MOURIR !"

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  20. Comment Big Pharma, le CDC et Big Medicine nous ont trompés par l'utilisation astucieuse des statistiques - et de la propagande


    Par Gary G. Kohls, MD
    20 septembre 2021


    18 octobre 2019 (la même date que l'événement artificiel 201, parrainé par le Forum économique mondial, la Fondation Bill & Melinda Gates et l'Université John Hopkins, qui a prédit la pandémie de Covid-19.

    Une version plus longue de cet article 2019 peut être trouvée ici.

    Le CDC (Centers for Disease Control and Prevention) est né, tout comme la FDA (Food and Drug Administration), en tant qu'important organisme de réglementation du gouvernement des États-Unis. L'intention de la législation qui autorisait les deux groupes de surveillance était de réglementer diverses industries corrompues et monopolistiques liées à la santé à but lucratif qui pourraient nuire à la santé de la population qui est autrement impuissante à se protéger des pratiques dangereuses de puissants les industries.

    Tragiquement, au cours des dernières générations (à commencer par la présidence des pro-Big Business, pro-Big Pharma Ronald Reagan), le CDC et la FDA ont été sérieusement cooptés par les Big Pharma Corporations, leur Big Bank les prêteurs et les investisseurs et les groupes de pression omniprésents des entreprises qui font la propagande de nos législateurs à DC.

    Simultanément, le CDC et la FDA ont abandonné leur mission initiale de protéger la population des conséquences néfastes inévitables de la cupidité pharmaceutique et des produits toxiques et souvent addictifs qu'ils fabriquent et commercialisent de manière rentable, ce qui entraîne la production de sous-produits encore plus polluants qui puis rendre malade en plus les victimes qui ont pris les médicaments ou les vaccins en premier lieu.

    Les propriétaires multimillionnaires, les investisseurs, les groupes de pression et les groupes de réflexion des entreprises américaines sont devenus grotesquement riches - et puissants - en raison de leurs investissements dans la multitude d'entités antidémocratiques (non élues) très rentables qui font payer trop cher les médicaments et les vaccins. . Les effets secondaires indésirables toxiques comprennent les interactions médicamenteuses indésirables et vaccin-vaccin, qui sont en fait des troubles iatrogènes (= d'origine médicale ou médicamenteuse).

    Le contrôle que ces entités corporatives ont acquis est facilement visible dans les activités quotidiennes de la Maison Blanche, du Congrès et de la Cour suprême infiltrés par les entreprises américaines, dont chacun fait les enchères de toutes les entités qui profitent actuellement de Wall Street et de la guerre. Les agendas souvent secrets de Street.

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  21. Il ne devrait pas y avoir de surprise quant à la raison pour laquelle de nombreuses entités gouvernementales, bon nombre de nos agences de réglementation, Big Pharma, Big Vaccine, Wall Street, etc. ont perdu leur crédibilité auprès des citoyens éveillés. Mais dans cette chronique, je me suis concentré sur le CDC, qui achète et vend chaque année pour 4 milliards de dollars de vaccins à leurs amis des grandes sociétés de vaccins. Le CDC également, il faut le souligner, possède 56 brevets liés aux vaccins qui devraient rapporter beaucoup d'argent aux élites du CDC à l'avenir, dont une grande partie sera utilisée pour les bonus somptueux pour les supérieurs. Et la FDA n'est pas beaucoup plus propre. Les conflits d'intérêts sont partout.

    Le CDC n'est plus une entité impartiale qui protège les citoyens des sociétés sociopathes. En fait, la CCL agit comme une société. Un bon exemple est la poussée annuelle du CDC pour que tout le monde aux États-Unis se fasse vacciner contre la grippe malgré les preuves puissantes (et censurées) que les vaccins contre la grippe peuvent être gravement nocifs tout en offrant peu ou pas d'avantages.

    Ce qui suit est une critique de ce qui est devenu une institution dans l'Amérique contrôlée par les entreprises : l'acceptation inconsciente des vaccins antigrippaux annuels.

    * * * * * * * * * * *

    Définitions :

    L'efficacité du vaccin (EV) est le pourcentage de réduction des résultats de la maladie dans un groupe de personnes vaccinées par rapport à un groupe non vacciné, en utilisant les conditions les plus favorables. Il est mieux mesuré à l'aide d'essais en double aveugle, randomisés et contrôlés par placebo, qui sont rarement effectués. Un EV de 60 % signifie qu'un groupe de personnes vaccinées a une réduction du risque relatif de 60 % (voir la définition immédiatement ci-dessous) d'un résultat donné par rapport à un groupe non vacciné.

    La réduction du risque relatif (RRR) est une statistique trompeuse qui est couramment utilisée par Big Pharma et le CDC pour surestimer la réduction du risque ou des résultats pour un groupe de traitement par rapport à un groupe témoin non traité (idéalement un groupe contrôlé par placebo) . La RRR est généralement une exagération grossière de l'efficacité réelle d'un médicament ou d'un vaccin et est donc favorisée par les entités qui souhaitent promouvoir un médicament ou un vaccin en exagérant son efficacité. La statistique de réduction du risque absolu plus utile (voir ci-dessous) n'est pratiquement jamais utilisée dans les rapports de revues médicales, peut-être parce qu'elle décrit plus précisément les faiblesses, les effets indésirables, les risques et les échecs de toute modalité de traitement.

    La réduction du risque absolu (ARR) signifie la différence absolue ou réelle dans la réduction du risque entre un groupe non traité et un groupe d'individus traités. L'importance de pouvoir comprendre la différence entre RRR et ARR est bien illustrée dans le cas de fraude Merck Fosamax décrit plus loin.

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  22. Le nombre nécessaire pour vacciner (NNV) est le nombre d'individus qui doivent être vaccinés pour qu'un bénéfice attendu soit atteint chez un individu.

    (Quelques exemples de NNV sont énumérés ci-dessous.

    Le nombre nécessaire à traiter (NNT) est le nombre d'individus qui doivent être traités avec un médicament, un vaccin ou une intervention chirurgicale qui entraîne un bénéfice mesurable pour un individu. C'est l'inverse de l'ARR. Plus le NNV (ou NNT) est grand, plus le traitement est inutile.

    Exemples de statistiques NNV et NNT

    Une publication de la revue Cochrane de 2018, déclare : 71 adultes en bonne santé devraient être vaccinés contre la grippe pour éviter un cas de grippe. (VNN = 71)

    Un autre exemple de NNV provient d'un article de revue Pediatrics de 2007 : « Entre 4 255 et 6 897 enfants âgés de 24 à 59 mois devraient être vaccinés contre la grippe pour éviter une hospitalisation. » (NNV = Un nombre entre 4255 et 6807)

    « 6 000 à 32 000 employés hospitaliers devraient être vaccinés contre la grippe avant qu'un seul décès de patient ne soit évité. » (NNV = Un nombre entre 6 000 et 32 ​​000 pour les travailleurs de la santé des hôpitaux pour éviter qu'un patient ne meure à cause de la contagion de la grippe d'un travailleur non vacciné).

    « 33 784 à 38 610 nourrissons devraient être vaccinés avec le vaccin antiméningococcique du groupe B afin de prévenir un cas de méningococcie invasive du groupe B. » (NNV pour le vaccin contre le méningocoque du groupe B = > 33 000) – Tiré de BMC Infect Dis, 12 (1) (2012), p. 202

    Et d'après une publication de l'UCLA de 2007 : 231 adultes de 70 ans ou plus devraient être vaccinés contre le zona pour prévenir 1 cas de zona. » (VNN = 231)

    "Le NNV pour Prevnar-13 pour prévenir un cas de pneumonie invasive chez les adultes asthmatiques à faible risque est estimé à 1059." (NNV = 1059 pour Prevnar-13 pour prévenir un cas de pneumonie invasive).

    « En supposant que Gardasil procure une protection à vie et que l'efficacité de son vaccin est de 95 % (deux hypothèses irrationnellement trop optimistes !) passerait à 9 080. En d'autres termes, il faudrait vacciner et donner des injections de rappel de Gardasil régulièrement à 9 080 filles pour prévenir un cas de cancer du col de l'utérus). – L'une des conclusions d'un article du Journal de l'Association médicale canadienne (3 des auteurs avaient en fait des conflits d'intérêts financiers avec le fabricant de Gardasil, Merck & Co. D'ici.

    L'expérience commune comprendra que "le NNT pour le traitement de la pharyngite streptococcique sensible à la pénicilline avec la pénicilline est de 1, et le NNT pour tout traitement qui ne guérit que la moitié des patients est de 2".

    Une revue Cochrane de 2011 déclare : « 104 patients devraient prendre une statine pendant 5 ans pour éviter une crise cardiaque. » (NNT = 104)

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  23. "Pour épargner une crise cardiaque à une personne, 100 personnes ont dû prendre Lipitor pendant plus de trois ans, et pour 10 patients prenant une statine pendant 5 ans, l'un d'entre eux développera une myonécrose induite par les statines." (NNT = 100 pour Lipitor pour prévenir une crise cardiaque après avoir pris le médicament en continu pendant > 3 ans. (Nombre nécessaire pour nuire [NNH] = 10, pour les patients qui prennent une statine pendant 5 ans.) - à partir de là.

    « Il n'y a que 30 à 40 cas de cancer du col de l'utérus par an pour un million de femmes âgées de 9 à 26 ans. Par conséquent, il faudrait vacciner (avec Gardasil) un million de filles pour prévenir le cancer du col de l'utérus chez 4 à 5 filles ; et puisque seulement 1/3 des femmes qui développent un cancer du col de l'utérus meurent réellement de la maladie, il faudrait vacciner un million de filles pour éviter 1 à 2 décès par an – au « prix d'aubaine » de 360 ​​millions de dollars par an. – Docteur Joseph Mercola

    "Je prédis que le Gardasil de Merck deviendra le plus grand scandale médical de tous les temps car à un moment donné, les preuves s'additionneront pour prouver que ce vaccin, prouesse technique et scientifique qu'il soit, n'a absolument aucun effet sur le cancer du col de l'utérus et que tous les très nombreux effets néfastes qui détruisent des vies et même tuent, n'ont d'autre but que de générer des profits pour les fabricants. Gardasil est inutile et dangereux, et ça coûte une fortune ! — Dr Bernard Dalbergue (ancien employé de Merck)

    Pour en savoir plus sur la façon dont Big Pharma et Big Medicine utilisent la tromperie dans la communication de statistiques, cliquez ici.

    Utilisation abusive des statistiques médicales par des chercheurs qui ont également des conflits d'intérêts financiers

    En 2009, la notice de GlaxoSmithKline pour son vaccin contre la grippe Flulaval disait (en petits caractères) : « pas suffisamment démontré pour réduire la grippe ».

    Dans une notice d'emballage Flulaval plus récente, cette phrase a été supprimée. La déclaration se lit désormais comme suit : « La vaccination avec FLULAVAL QUADRIVALENT peut ne pas protéger toutes les personnes sensibles. »

    Le 22 juin 2017, un article du New England Journal of Medicine a été publié. L'article portait sur un nouveau vaccin contre la grippe (Flublok) qui a été développé et fabriqué par une société privée de vaccins appelée Protein Sciences. Le nouveau vaccin a été comparé uniquement aux vaccins antigrippaux standard et non à un groupe non vacciné.

    L'article affirmait que le nouveau vaccin antigrippal présentait une amélioration de 40 % de « l'efficacité du vaccin » par rapport aux vaccins antigrippaux standard. Cependant, cachés dans l'abstrait trompeur - et délibérément NON soulignés - se trouvaient ces chiffres :

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  24. 96 des 4303 participants à l'étude (2,2 %) qui ont reçu le nouveau vaccin ont encore contracté la grippe tandis que 138 des 4301 (3,2 %) participants à l'étude qui ont reçu l'ancien vaccin ont encore contracté la grippe, ce qui a révélé une minuscule réduction du risque absolu de 1 % ( 3,2% – 2,2% = 1%).

    Mais ce qui a été rapporté dans l'article était une réduction du risque relatif de 40 %, qui a été calculée en divisant 2,2 % par 3,2 % (60 %). Selon la formule de calcul du RRR, soustraire les 60 % de 100 % a donné un RRR de 40 %, ce qui sonnait bien mieux pour un vaccin dont le RRA était de 1 %. Cette manipulation semblait être une tentative de surestimer les avantages du nouveau vaccin.

    De manière significative, tous les auteurs de l'article - énumérés immédiatement ci-dessous - ont également eu de graves conflits d'intérêts financiers avec l'industrie des vaccins à but lucratif. En effet, les trois auteurs principaux étaient d'importants actionnaires et employés de Protein Sciences.

    Voici les conflits d'intérêts financiers des auteurs de l'article : « Drs. Dunkle, Izikson et Cox déclarent être employés et détenir des actions dans les sciences des protéines ; Dr Patriarca, recevant des honoraires de consultation d'Altimmune, FluGen, Georgia Institute of Technology, Medicago, VaxInnate, Vaxart, Vivaldi Biosciences, Moderna Therapeutics, Novavax, Seqirus et Visterra ; et le Dr Goldenthal, recevant des honoraires de consultation de Pfizer, Johnson & Johnson, Novartis et de la Fondation Bill et Melinda Gates.

    Il est intéressant de noter que Protein Sciences était en train d'être racheté par le géant multinational Big Vaccine Sanofi pour 750 millions de dollars au moment de la publication de l'article du NEJM.

    Les maladies pseudo-grippales (SG) et la grippe ne sont PAS les mêmes

    L'évaluation de l'efficacité, de l'inefficacité ou même des effets nocifs du vaccin antigrippal est compliquée par le fait que « plus de 200 virus peuvent provoquer des syndromes grippaux (SG) pouvant produire les mêmes symptômes (fièvre, maux de tête, courbatures, douleurs, toux et écoulement nasal). ) comme la grippe. Les médecins ne peuvent pas les distinguer sans tests de laboratoire, car les deux persistent pendant des jours et provoquent rarement une maladie grave ou la mort.

    Les SG représentent 80 % de ce que la plupart des gens considèrent comme une grippe évitable par la vaccination. Ce que les CDC, Big Medicine et les médias grand public appellent « la grippe » n'est la grippe que 20 % du temps.

    Il est important de noter que les SG ne sont PAS non plus évitables par la vaccination (bien qu'ils puissent être causés par des vaccins).

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  25. Chaque fois que des mini-épidémies (alias « épidémies ») de toute maladie virale contagieuse se produisent, le CDC, les grandes sociétés pharmaceutiques, les politiciens soudoyés et les médias grand public suscitent constamment une peur irrationnelle du public afin de promouvoir davantage de programmes de vaccination excessive pour eux-mêmes et les classes d'investisseurs milliardaires qui utilisent leur richesse et leur pouvoir pour générer encore plus d'opportunités d'investissement.

    Les tests de diagnostic viraux spécifiques ne sont pas fiables ou ne sont généralement pas effectués par les autorités avant qu'elles ne fassent les proclamations instinctives qui profiteront aux sociétés pharmaceutiques et à leurs riches investisseurs. Et les médias compromis par les entreprises accompagnent la mascarade en sur-reportant la vérité non encore établie et impartiale sur ce qui se passe.

    Il serait négligent de ma part de ne pas rendre compte des nombreuses maladies iatrogènes (d'origine médicale, médicamenteuse ou vaccinale) qui peuvent résulter de tout vaccin, en particulier lorsqu'ils sont utilisés dans des cocktails de vaccins non testés pour la sécurité ou l'efficacité à long terme. injecté à l'aveugle à des nourrissons, des enfants ou des adultes immunodéficients.

    Il existe de nombreux ingrédients potentiellement toxiques dans tous les vaccins humains et vétérinaires qui sont connus pour provoquer des symptômes pseudo-grippaux et être faussement étiquetés comme la « grippe ». Les toxines contenues dans ces vaccins comprennent le mercure, l'aluminium, les virus vivants, le formaldéhyde, le polysorbate 80 (essentiellement l'antigel des moteurs automobiles), les impuretés, etc.

    Voici une liste de certains des effets indésirables publiés des vaccins antigrippaux typiques approuvés par la FDA et le CDC :

    Maux de tête, fièvre, nausées, douleurs musculaires, faiblesse, syndrome de Guillain-Barré, étourdissements, enrouement, toux, essoufflement, respiration sifflante, urticaire et douleur, rougeur et/ou gonflement au site d'injection.

    Comment les virus sont-ils choisis pour être inclus dans les vaccins antigrippaux de l'automne prochain ?

    L'une des histoires les plus importantes qui nous a été cachée, nous les consommateurs naïfs de vaccins, est la façon dont les ingrédients du vaccin annuel contre la grippe américain sont choisis. Le processus implique des conjectures considérables.

    Un comité du CDC en Amérique (et de l'OMS en Europe) se réunit chaque début de printemps, peu importe ce qui s'est passé dans l'hémisphère sud au cours des 6 mois précédents. Les comités se réunissent pour examiner les souches de grippe qui ont été le plus souvent identifiées au cours de la «saison grippale» de cet hémisphère l'année précédente (la saison grippale australienne se produit pendant la saison estivale de l'hémisphère nord).

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  26. La théorie souvent totalement fausse est que les virus de la grippe qui ont infecté certains Australiens ou Indiens d'Asie 6 mois plus tôt seront les mêmes que ceux auxquels les Américains pourraient théoriquement être confrontés pendant les mois d'automne et d'hiver.

    Ensuite, des échantillons des 3 ou 4 virus grippaux vivants les plus susceptibles d'être courants (sur la centaine de virus grippaux connus chez l'homme, les porcs ou les oiseaux) seront isolés et produits en masse dans les laboratoires d'œufs de poule de Big Vaccine jusqu'à ce que suffisamment les virus sont obtenus pour être transformés en vaccins et livrés aux régions du monde qui peuvent se permettre de payer pour les injections.

    Chaque lot de particules virales est ensuite tué avec du formaldéhyde, certaines sont mélangées à des adjuvants, toutes sont mélangées à des conservateurs dans les flacons multidoses puis – en croisant les doigts – réfrigérées et distribuées aux clients payants du monde entier. Bien sûr, il n'y a jamais aucune assurance pour les receveurs potentiels du vaccin que les trois ou quatre virus choisis correspondront à ce qui se produira dans l'hémisphère nord. En effet, les chances sont contre n'importe quel match d'une année donnée.

    Donc, je suppose que la leçon à tirer pour tout patient, femme enceinte ou parent d'un nourrisson ou d'un enfant vulnérable est de s'éduquer/s'informer sur les risques potentiels et les avantages réels de tout vaccin en étudiant minutieusement les informations contenues dans la notice du produit ci-dessus. avant

    aller à la clinique (ou à la pharmacie !!) et consentir à l'inoculation « inévitablement dangereuse ».

    Citations pertinentes sur les vaccins contre la grippe saisonnière

    Voici des citations plus importantes qui pourraient aider les gens à comprendre le pouvoir de propagande régulièrement exercé par Big Pharma et Big Medicine :

    "Il est difficile de faire comprendre quelque chose à un homme, quand son salaire dépend du fait qu'il ne le comprend pas!" — Upton Sinclair

    « Si nous avons été embobinés assez longtemps, nous avons tendance à rejeter toute preuve de l'embobinage. Nous ne sommes plus intéressés à découvrir la vérité. L'embobinage nous a capturés. C'est tout simplement trop douloureux de reconnaître, même pour nous-mêmes, que nous avons été "pris". Une fois que vous donnez à un charlatan un pouvoir sur vous, vous ne le récupérez presque jamais. - Carl Sagan

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  27. « [Selon les statistiques du CDC], « la grippe et la pneumonie » ont fait 62 034 morts en 2001 – dont 61 777 étaient attribuables à la pneumonie et 257 à la grippe, et dans seulement 18 cas le virus de la grippe a été identifié positivement. » – Le Dr Peter Doshi, extrait de son rapport BMJ de 2005, intitulé « Les chiffres des décès dus à la grippe aux États-Unis sont-ils plus des relations publiques que de la science ? (BMJ 2005; 331:1412)

    « Une étude menée par le Dr H. Hugh Fudenberg, immunologiste clinicien de renommée mondiale, a révélé que les adultes vaccinés chaque année pendant cinq années consécutives avec le vaccin contre la grippe avaient un risque 10 fois plus élevé de développer la maladie d'Alzheimer. Il a attribué cela au mercure dans le vaccin. Fait intéressant, il a été démontré que le mercure et l'aluminium activent la microglie et augmentent l'excitotoxicité dans le cerveau. — Russell Blaylock, MD

    « Nous savons déjà que la teneur en aluminium du tissu cérébral dans la maladie d'Alzheimer à début tardif ou sporadique est significativement plus élevée que celle trouvée chez les témoins du même âge. Ainsi, les personnes qui développent la maladie d'Alzheimer à la fin de la soixantaine et plus accumulent également plus d'aluminium dans leur tissu cérébral que les personnes du même âge sans la maladie.

    Des niveaux encore plus élevés d'aluminium ont été trouvés dans le cerveau d'individus diagnostiqués avec une forme précoce de la maladie d'Alzheimer sporadique, qui ont subi une exposition inhabituellement élevée à l'aluminium dans l'environnement (par exemple, Camelford) ou sur leur lieu de travail. Cela signifie que la maladie d'Alzheimer a un âge d'apparition beaucoup plus précoce, par exemple, la cinquantaine ou le début de la soixantaine, chez les personnes qui ont été exposées à des niveaux anormalement élevés d'aluminium dans leur vie quotidienne. – Christopher Exley, PhD

    « Dans le domaine de la toxicologie chimique, il est universellement reconnu que les combinaisons de toxines peuvent entraîner des augmentations exponentielles de la toxicité ; c'est-à-dire qu'une combinaison de deux produits chimiques peut entraîner une augmentation de 10 fois de la toxicité, trois produits chimiques peuvent être multipliés par 100. Ce même principe s'applique presque certainement aux effets immunosuppresseurs des vaccins viraux lorsqu'ils sont administrés en association, comme avec le vaccin ROR, parmi lesquels le vaccin contre la rougeole est (connu pour être) exceptionnellement immunosuppresseur. – Harold Buttram, docteur en médecine

    « Les domaines de la médecine les plus lucratifs sont les plus corrompus par les conflits d'intérêts financiers (et académiques). Les sources d’informations médicales dites « faisant autorité » sont complètement corrompues non seulement par la manipulation de l’industrie pharmaceutique, mais aussi par des représentants du gouvernement et des gardiens universitaires de la science médicale en conflit financier, des groupes « d’experts », des éditeurs de revues médicales et la base d’informations sur les vaccins largement corrompue. » – Vera Sharav, MD

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  28. « Pendant longtemps, personne n'a considéré l'effet des vaccinations répétées sur le cerveau. Ceci était basé sur une conclusion erronée selon laquelle le cerveau était protégé de l'activation immunitaire par sa passerelle protectrice spéciale appelée barrière hémato-encéphalique. Des études plus récentes ont montré que les cellules immunitaires peuvent entrer directement dans le cerveau, et plus important encore, le propre système immunitaire spécial du cerveau peut être activé par la vaccination. – Russell Blaylock, MD

    https://www.lewrockwell.com/2021/09/gary-g-kohls/how-big-pharma-the-cdc-and-big-medicine-have-deceived-us-by-the-cunning-use-of-statistics-and-propaganda/

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  29. Pourquoi les USA ont payé le plus gros tribut au SARS-CoV-2 ?


    le 19 septembre 2021


    L’explication se trouve dans cette présentation (en anglais) :

    - voir clip sur site -

    Deux captures d’écran de cette présentation suffisent à expliquer l’extraordinaire complot organisé par les plus hautes instances sanitaires américaines sous la pression constante des grands laboratoires pharmaceutiques nord-américains. Malgré la controverse relative au Remdesivir, inactif contre le SARS-CoV-2 et provoquant de graves lésions rénales irréversibles, ce produit a été massivement prescrit aux USA au cours de l’année 2020 sous la pression du laboratoire Gilead si vanté par Karine Lacombe en France. L’hydroxychloroquine et plus récemment l’ivermectine restent toujours d’un usage anecdotique (sauf pour l’armée américaine) en raison également de la pression du lobby BigPharma.

    - voir cadre sur site -

    La longue liste des effets secondaires de l’injection d’ARN messager, effets secondaires toujours très largement sous-estimés tant en Amérique du nord qu’en Europe n’est pas une énumération à la Prévert mais la stricte réalité …

    « La FDA, le CDC et le Docteur Fauci ordonnent des traitements connus pour provoquer un génocide de masse sur des centaines de milliers de personnes (regardez mon exposé puis sauvez ceux que vous aimez) Toutes les informations figurent dans la vidéo ».

    Note. Je ne suis pas un « anti-vaxx » bien au contraire. Si j’avais reçu le Bcg je n’aurais pas été malade de la tuberculose à l’âge de 14 ans pendant 8 mois. Comme tous les enfants de cette époque j’ai reçu le DTP (diphtérie-tétanos-polio) ainsi que le vaccin contre la variole. Tous mes enfants ont été vaccinés ainsi que tous les petits-enfants mais je suis fondamentalement et pour des raisons scientifiques contre le traitement à ARN messager qu’on appelle abusivement un vaccin. Si pour des raisons x ou y je devais me plier à une vaccination contre le SARS-CoV-2, en tant qu’ancien biologiste je choisirais le vaccin chinois Sinovac.

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/09/19/pourquoi-les-usa-ont-paye-le-plus-gros-tribut-au-sars-cov-2/

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  30. La Guadeloupe en vérité : le témoignage de Soumiaa Sayah, du collectif Gwada Idel


    le 19/09/2021 à 22:10


    Au cours des derniers mois, les départements et territoires d’outre-mer ont beaucoup fait parler d’eux, avec notamment la recrudescence de cas à la Guadeloupe et la Martinique. Depuis la mise en place de l’obligation vaccinale, des soignants de nombreuses manifestations ont pris place et les soignants de la Guadeloupe ne sont pas en reste.

    Soumiaa, du collectif Gwada IDEL, également membre de ReinfoCovid, témoigne dans ce debriefing de la situation sanitaire à la Guadeloupe. Elle est infirmière indépendante et explique qu’à l’hôpital, le directeur a repoussé l’obligation de fournir une attestation de schéma vaccinal d’un mois afin de ne pas se retrouver dans une situation impossible.

    Elle parle aussi des traitements précoces (ivermectine, azithromycine et hydroxychloroquine) qui, selon elle, fonctionnent, mais ont eu du mal à être délivrés en pharmacie – un problème supplémentaire à traiter.

    De nombreuses actions sont prévues : manifestations, actions juridiques, en lien étroit avec la métropole. Pour elle, il est inacceptable de se voir imposer un traitement vaccinal.

    - voir clip sur site -

    Un debriefing proposé en partenariat avec BonSens.org

    https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/guadeloupe-soumiaa-sayah-gwada-idel

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  31. Comment la CIA a caché son programme de contrôle mental MKULTRA
    Et oui, cela a une punchline sur le vaccin COVID


    Par Jon Rappoport
    Le blog de Jon Rappoport
    20 septembre 2021


    Au début des années 1990, j'ai parlé avec John Marks, auteur de Search for the Manchurian Candidate. C'est le livre (1979) qui a aidé à exposer l'existence et la portée du tristement célèbre programme CIA MKULTRA.

    Marks m'a rapporté les faits suivants. Il avait initialement déposé de nombreuses demandes d'accès à l'information (FOIA) pour des documents liés au programme de contrôle mental de la CIA. Il n'a rien récupéré.

    Enfin, comme pour lui faire une blague, quelqu'un à la CIA a envoyé à Marks 10 boîtes de documents financiers et comptables. L'attitude était : « Tiens, vois ce que tu peux faire avec ça. »

    J'ai vu certains de ces enregistrements. Ce sont des lectures très ennuyeuses.

    Mais Marks les a parcourus et voilà qu'il a découvert qu'il pouvait reconstituer des projets MKULTRA, sur la base des données de financement.

    Finalement, il a rassemblé suffisamment d'informations pour commencer à nommer des noms. Il a mené des entretiens. La forme de MKULTRA a nagé en vue. Et c'est ainsi qu'il a écrit son livre, À la recherche du candidat mandchou.

    Il m'a dit que trois livres importants avaient été écrits sur MKULTRA, et qu'ils provenaient tous de ces 10 boîtes de dossiers financiers de la CIA. Il y avait son propre livre ; Opération Mind Control par Walter Bowart; et The Mind Manipulators par Alan Scheflin et Edward Opton.

    Après avoir publié son livre, Marks a continué à faire pression sur la CIA pour obtenir plus d'informations sur MKULTRA. Il m'a expliqué ce qui s'était alors passé. Un responsable de la CIA lui a dit ce qui suit : en 1962, après dix ans d'expériences de contrôle mental, l'ensemble du programme avait été transféré à un autre département interne de la CIA, l'Office of Research and Development (ORD).

    L'ORD avait une centaine de boîtes d'informations sur leur travail MKULTRA, et il n'y avait aucun moyen sous le soleil, a-t-on dit à Marks, qu'il mettrait jamais la main sur tout cela. C'était fini. Peu importe le nombre de demandes FOIA déposées par Marks. Il avait fini. La porte était fermée. Au revoir.

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  32. La CIA est devenue plus sombre que jamais. Aucune fuite de quelque nature que ce soit ne serait autorisée.

    Au cas où il y aurait le moindre doute à ce sujet, l'idée de compter sur la CIA pour admettre ce qu'elle a fait dans le domaine du contrôle mental, ce qu'elle fait et ce qu'elle fera devrait être écartée par les déclarations de John Mark. La CIA a toujours été et continuera d'être une agence malhonnête.

    Pour vous donner une idée de jusqu'où la CIA, l'armée américaine et ses universitaires alliés iront dans la « recherche » MKULTRA, voici ce que j'ai écrit en 1995 à propos de plusieurs expériences humaines. Mes informations étaient basées sur les trois livres clés que j'ai mentionnés ci-dessus, ainsi que sur le classique de Martin Lee, Acid Dreams :

    "Dr. Dès 1955, Robert Heath de l'Université de Tulane, travaillant pour l'armée, a donné du LSD à des patients alors qu'il avait des électrodes implantées profondément dans leur cerveau.

    « Au milieu des années 1950, Paul Hoch, M.D., un homme qui allait devenir commissaire à l'hygiène mentale de l'État de New York, puis ouvrier sur le terrain pour la CIA, a donné de la mescaline à un patient « pseudonévrotique schizophrène ». Le patient a fait un voyage paradisiaque dans l'enceinte. Mais Hoch a suivi cela avec une leucotomie transorbitale [alias lobotomie]… Hoch a également administré du LSD à un patient et un anesthésique local, puis a procédé à l'ablation de morceaux de son cortex cérébral, demandant à différents moments si les perceptions du patient changeaient.

    Les gens doivent comprendre comment l'histoire du contrôle mental et de la psychiatrie sont entrelacées, et comment les fous et les meurtriers au sein de ces « professions » se contentent d'utiliser la torture « au nom de la science ».

    À partir d'un article de naturalnews.com du dénonciateur héroïque, le psychiatre Dr Peter Breggin (« Plus jamais ça ! La vraie histoire de la psychiatrie »), nous avons un aperçu d'un aspect de cette histoire.

    Breggin : « [Avant la Seconde Guerre mondiale, en Amérique], la psychiatrie organisée avait stérilisé des dizaines de milliers d'Américains. Pendant un certain temps en Californie, vous ne pouviez pas sortir d'un hôpital public à moins d'être stérilisé. En Virginie, les attardés ont été ciblés. Les partisans américains de la stérilisation se sont rendus à Berlin pour aider les nazis à planifier leur programme de stérilisation. Ces Américains ont rassuré les Allemands qu'ils ne rencontreraient aucune opposition de la part des États-Unis en stérilisant leurs citoyens mentalement et physiquement « inaptes ».

    « Alors que le meurtre de malades mentaux battait son plein en Allemagne, des psychiatres et neurologues américains bien informés ne voulaient pas être laissés pour compte. En 1942, l'American Psychiatric Association a tenu un débat sur la question de savoir s'il fallait stériliser ou assassiner les enfants « retardés » à faible QI lorsqu'ils atteignaient l'âge de cinq ans. C'étaient les deux seules alternatives dans le débat : la stérilisation ou la mort.

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  33. « Après le débat, le journal officiel de l'American Psychiatric Association a publié un éditorial dans lequel il a pris parti en faveur du meurtre (« Euthanasia » dans l'American Journal of Psychiatry, 1942, volume 99, pp. 141-143). Il a déclaré que les psychiatres devraient rassembler leurs compétences psychologiques pour empêcher les parents de se sentir coupables d'avoir accepté de faire tuer leurs enfants.

    Les psychiatres qui sont ensuite allés travailler pour la CIA, dans le programme MKULTRA, étaient dépourvus de conscience. Toute expérience était une bonne expérience. Les êtres humains étaient des « sujets utiles ».

    Voici un sous-projet MKULTRA dont vous n'avez peut-être pas entendu parler. J'ai écrit à ce sujet il y a plusieurs années—

    Certains diraient que les années 40 et 50 ont été la période la plus dynamique et la plus innovante de l'histoire du jazz américain.

    Au cours de ces années, il était de notoriété publique que les musiciens arrêtés pour consommation de drogue étaient expédiés ou se portaient volontaires pour aller à Lexington, dans le Kentucky. Lex a été le premier hôpital de traitement de la toxicomanie de la ferme de stupéfiants et du département de la santé des États-Unis aux États-Unis.

    Selon diverses sources, voici une liste partielle des « centaines » de musiciens de jazz qui sont allés à Lex : Red Rodney, Sonny Rollins, Chet Baker, Sonny Stitt, Howard McGhee, Elvin Jones, Zoot Sims, Lee Morgan, Tadd Dameron, Stan Levey, Jackie McLean.

    Il est également rapporté que Ray Charles était là, et William Burroughs, Peter Lorre et Sammy Davis, Jr.

    C'était censé être un centre de rééducation. Un endroit pour se sécher.

    Mais c'était aussi autre chose. Lex a été utilisé par la CIA comme l'un de ses centres MKULTRA pour l'expérimentation sur les détenus.

    Le médecin en charge de ce programme de contrôle mental était Harris Isbell. Étonnamment, Isbell était, en même temps, membre du comité consultatif de la FDA sur l'abus de médicaments dépresseurs et stimulants.

    Isbell a donné du LSD et d'autres psychédéliques aux détenus de Lex.

    Dans les laboratoires Sandoz en Suisse, le Dr Albert Hofmann, le découvreur du LSD, a également synthétisé de la psilocybine à partir de champignons magiques. La CIA a obtenu une partie de ce nouveau synthétique de Hofmann et l'a donné à Isbell pour qu'il puisse l'essayer sur des détenus de Lex.

    Isbell a travaillé à Lex des années 1940 à 1963. Il est rapporté que dans une expérience, Isbell a donné du LSD à 7 détenus pendant 77 jours consécutifs. A 4 fois la dose normale. C'est un marteau chimique aux proportions incroyables.

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  34. Pour inciter les détenus à se joindre à ces expériences de drogue MKULTRA, on leur a offert la drogue de leur choix, qui dans de nombreux cas était l'héroïne. Ainsi, dans un établissement dédié au séchage et à la rééducation des toxicomanes, les toxicomanes ont été soumis à des expériences MKULTRA et PUIS à un rétablissement de leur ancienne habitude.

    Apparemment, pas moins de 800 médicaments différents ont été envoyés à Isbell par la CIA ou ses alliés pour être utilisés sur les patients de Lex. Deux des alliés ? La marine américaine et le National Institute of Mental Health des États-Unis, preuve que MKULTRA s'étendait au-delà de la CIA.

    Dans une autre expérience MKULTRA à Lex, neuf hommes étaient attachés sur des tables. Ils ont reçu une injection de psilocybine. Des lumières vives étaient projetées dans leurs yeux, un élément typique du contrôle mental.

    Pendant le mandat d'Isbell, personne ne sait combien d'expériences distinctes il a menées sur les détenus.

    Comme je l'ai dit, Lex était la principale étape de séchage pour les musiciens de jazz new-yorkais. Combien d'entre eux ont été intégrés à ces programmes MKULTRA ?

    Comme Martin Lee l'explique dans son livre Acid Dreams, "C'est devenu un secret de polichinelle... que si l'approvisionnement [d'héroïne] se raréfiait [dans la rue], vous pouviez toujours vous engager à Lexington, où l'héroïne et la morphine étaient distribuées en guise de paiement. si vous vous êtes porté volontaire pour les expériences de drogue farfelues d'Isbell. (Petite merveille, Lexington avait un taux de retour de 90 %.) »

    Un article de Counterpunch du 15 juin 1999 d’Alexander Cockburn et Jeffrey St. Clair, « CIA’s Sidney Gottlieb : Pusher, Assassin & Pimp—US Official Poisoner Dies », contient ces citations sur le Dr Isbell :

    « Gottlieb a également financé les expériences du Dr Harris Isbell. Isbell dirigeait le Center for Addiction Research à Lexington, Kentucky. En passant par le centre d'Isbell se trouvait un groupe captif de cobayes humains sous la forme d'un flux constant d'héroïnomanes noirs. Plus de 800 composés chimiques différents ont été expédiés de Gottlieb à Lexington pour être testés sur les patients d'Isbell.

    « L'expérience la plus tristement célèbre est peut-être celle où Isbell a donné du LSD à sept hommes noirs pendant soixante-dix-sept jours consécutifs. Les notes de recherche d'Isbell indiquent qu'il a donné aux hommes « quadrupler » les doses « normales ». Le médecin s'émerveilla de la tolérance apparente des hommes à ces quantités remarquables de LSD. Isbell a écrit dans ses notes que « ce type de comportement est à prévoir chez les patients de ce type ».

    « Dans une autre expérience financée par Gottlieb au Centre, Isbell avait neuf hommes noirs attachés à des tables, leur avait injecté de la psylocybine, inséré des thermomètres rectaux, avait montré des lumières dans leurs yeux pour mesurer la dilatation des pupilles et s'était fait frapper les articulations pour tester les réactions neuronales.

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  35. Si vous pensez que ces expériences étaient si extrêmes qu'elles ne ressemblent en rien à la psychiatrie moderne, détrompez-vous. La thorazine, le premier médicament dit antipsychotique, a fait l'objet de recherches sur la base de sa capacité à rendre les humains profondément calmes et passifs. L'électrochoc et la lobotomie sont des techniques de torture pures et simples qui détruisent également des parties du cerveau. Les antidépresseurs ISRS augmentent les comportements violents, y compris les homicides. Parmi ses nombreux effets documentés, le Ritalin peut provoquer des hallucinations et de la paranoïa.

    Eh bien, tous ces effets font partie intégrante du MKULTRA original (et actuel).

    Mais désormais, toute la population, via la psychiatrie, est incluse dans l'expérience.

    C'est l'une des raisons pour lesquelles LE DROIT DE REFUSER DES MÉDICAMENTS doit être protégé et étendu.

    Y compris, bien sûr, le droit de refuser les VACCINS.

    Par exemple, les vaccins COVID.

    Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.

    https://www.lewrockwell.com/2021/09/jon-rappoport/how-the-cia-hid-their-mkultra-mind-control-program/

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    Réponses
    1. Voir aussi :

      https://spiritphings.com/wp-content/uploads/2020/03/La-guerre-secrete-contre-les-peuple-Claire-Severac.pdf

      https://educate-yourself.org/mc/

      https://rudy2.wordpress.com/smart-dustla-polvere-intelligenteitalianoenglish/

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  36. Que signifie vraiment la protection vaccinale ?


    Par Dom Armentano
    20 septembre 2021


    Quel niveau de protection contre la maladie le vaccin Covid 19 offre-t-il réellement ? Cela semble être une question relativement simple ; ce n'est pas.

    Lorsque Pfizer-BioNTech a effectué ses essais cliniques d'innocuité et d'efficacité pour son vaccin Covid 19, puis a demandé une « autorisation d'utilisation d'urgence » et une récente approbation de la FDA, ils ont soumis des données démontrant que leur vaccin était « efficace à 95 % » contre (relativement léger ) Symptômes d'infection Covid et 100% efficace pour prévenir les symptômes Covid sévères qui nécessiteraient une hospitalisation. Ces résultats d'essais cliniques de Pfizer (avec des résultats d'essais similaires de plusieurs autres sociétés pharmaceutiques) étaient extrêmement solides et le vaccin a ensuite été approuvé pour une utilisation par des groupes d'âge spécifiques aux États-Unis.

    Mais que signifie réellement « 95 % efficace » ? Les médias imprimés et visuels – et même la plupart des professionnels de la santé – continuent de soutenir (par ignorance ou simplement par effort de bonne foi pour faire vacciner tout le monde) que 95 % d'efficacité signifie que dans une cohorte de, disons, 100 participants, tous qui ont été vaccinés, (5%) obtiendraient des symptômes de Covid19 tandis que 95 (95%) n'en auraient pas. Alors faites-vous vacciner !

    Mais, en réalité, un vaccin « efficace » à 95 % ne signifie PAS du tout cela.

    Pour comprendre pourquoi il en est ainsi, nous devons comprendre que lorsque Pfizer a effectué ses essais cliniques, il a dû COMPARER les résultats de son groupe de cohorte entièrement vacciné avec un groupe placebo raisonnablement similaire qui n'avait PAS du tout été vacciné. Et c'est CETTE comparaison qui révèle en fait le degré de protection procuré par la vaccination.

    Dans les essais cliniques de Pfizer, il y avait 21 830 participants dans le groupe vaccin et 8 ont développé des symptômes associés à une infection à Covid. Il y avait 21 830 participants dans le groupe placebo et 162 ont développé des symptômes associés à une infection à Covid. Ainsi, le « risque d'infection » réel dans le groupe vacciné était de 0,04 % alors que le risque d'infection dans le groupe placebo était de 0,74 %. La question est alors : quel niveau de protection (réduction du risque) est réellement apporté par la vaccination par rapport à la cohorte placebo non vaccinée ?

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  37. Pour comprendre la réponse à cette question, il faut comparer les taux d'infection AVEC vaccination (dans le premier groupe) aux taux d'infection SANS vaccination (dans le groupe placebo). Cela nous fournira la
    ce qu'on appelle la « réduction absolue du risque » (ARR) associée à la vaccination. Donc dans notre exemple, il faut soustraire le taux d'infection SANS vaccins, qui est de 0,74 %, du taux d'infection AVEC vaccins, qui est de 0,04 %. Cela nous laisse avec 0,7 % ou le taux de réduction du risque absolu (ARR) associé à la vaccination.

    Maintenant, 0,7% de réduction du risque absolu d'infection est certainement un pourcentage important et dans une population où des millions de personnes sont vaccinées, cela prédit (toutes autres choses restant les mêmes) qu'il y aurait moins de cas de maladie Covid. Néanmoins, le nombre réel de personnes « protégées » contre l'infection par la vaccination en termes de pourcentage (0,7 %) est bien inférieur au nombre, disons, (95 %) qui est presque universellement – ​​et à tort – rapporté dans les médias comme le plus important. appelée « protection » efficace associée au vaccin Pfizer.

    Eh bien, d'où vient le nombre 95% et que signifie IT ? Nous avons déjà expliqué que dans les essais cliniques, le vaccin réduisait le « risque d'infection » du Covid de 0,7%. Il s'agit de la « réduction absolue des risques (ARR) » évoquée ci-dessus. D'autre part, « l'efficacité » d'un vaccin est la réduction du risque RELATIVE (RRR) qu'il offre vis-à-vis d'un groupe de cohorte non vacciné.

    On peut déterminer «l'efficacité» ou la réduction du risque relatif (RRR) du vaccin Pfizer en divisant la réduction du risque absolu de son vaccin, qui était de 0,7%, par le risque d'infection dans le groupe placebo, qui était de 0,74%. Ce calcul nous laisse avec le pourcentage « d'efficacité » de 95 %, le chiffre même qui apparaît dans presque tous les reportages médiatiques concernant Covid et l'utilisation des vaccins. Soit dit en passant, ce degré d'efficacité est similaire à l'efficacité d'autres médicaments que la FDA a approuvés dans le passé, par exemple pour les oreillons et la rougeole.

    Alors qu'est-ce que tout cela signifie concrètement ? Premièrement, bien que l'efficacité du vaccin Pfizer soit très élevée dans la prévention des symptômes de Covid, la réduction du risque absolu associée à la vaccination, comme nous l'avons montré, est très faible (0,7 %), inférieure à un pour cent. Deuxièmement, l'efficacité du vaccin dans les essais cliniques a été estimée à environ 6 mois. Les données du monde réel suggèrent maintenant que la réduction des risques absolus et relatifs associés au vaccin pourrait diminuer plus tôt que prévu. Troisièmement, le vaccin de Pfizer était étroitement axé sur la lutte contre Covid 19. On ne sait pas quel niveau de protection est fourni dans un monde où plusieurs nouvelles « variantes » dominent les nouvelles infections/cas.

    Enfin, en termes de politique publique, on peut affirmer que les « bénéfices » de la protection vaccinale pour diverses cohortes (âge, antécédents médicaux, etc.) devraient toujours être mis en balance avec les « coûts » observés des vaccins (tels que effets secondaires médicaux graves) et d'autres préoccupations non médicales (conséquences économiques imprévues, restrictions des choix individuels, etc.) avant que des décisions individuelles ou de santé publique concernant la vaccination puissent être prises.

    https://www.lewrockwell.com/2021/09/dom-armentano/what-does-vaccine-protection-really-mean/

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  38. Dr Peter McCullough: L'état du traitement COVID


    Par Joseph Mercola
    Mercola.com
    20 septembre 2021


    La vidéo ci-dessous1, mettant en vedette le cardiologue, interniste et épidémiologiste Peter McCullough, regorge d'une logique solide, de données et d'étapes d'action qui ont le potentiel de renverser la pandémie – si seulement plus de gens écoutaient.

    Enregistrée à l'église Andrews University Village à Berrien Springs, Michigan, le 20 août 2021, cette présentation mérite d'être entendue, et je vous invite à l'écouter dans son intégralité. Cela vous fera vous demander pourquoi un aspect clé des soins – le traitement précoce – a été absent de la pandémie.

    McCullough, rédacteur en chef de deux revues médicales qui a publié 650 articles évalués par des pairs, a déclaré que c'était la première fois de sa carrière qu'il voyait des prestataires de soins médicaux ne pas proposer de traitement précoce pour une maladie.

    - voir clip sur site -

    Un traitement COVID précoce sauve des vies

    La norme de soins pour COVID-19 a été de suspendre le traitement jusqu'à ce qu'une personne soit suffisamment malade pour être hospitalisée. Il faut généralement deux à trois semaines pour qu'une personne atteinte de COVID-19 tombe suffisamment malade pour être hospitalisée, et pendant ce temps, un traitement précoce peut sauver des vies.

    La justification était qu'il n'y avait pas eu d'essais randomisés de grande envergure menés pour savoir quels traitements sont sûrs et efficaces, mais comme l'a dit McCullough, « nous ne pouvons pas attendre les grands essais randomisés… Quelque chose est venu à l'esprit des médecins et des infirmières et de tout le monde pour ne pas traiter le COVID-19. Je ne pouvais pas le supporter. Lui et ses collègues ont travaillé fébrilement pour trouver un traitement – ​​pourquoi les organisations nationales de santé ne l'ont-elles pas fait aussi ?

    "Notre gouvernement et d'autres gouvernements, et le monde entier, n'ont levé le petit doigt pour réduire le risque d'hospitalisation et de décès nulle part", a déclaré McCullough, soulignant l'ironie: "S'il y avait un enfant asthmatique, le laisserions-nous respiration sifflante et étouffement pendant deux semaines avant que l'enfant doive aller à l'hôpital ? Non, nous donnons des médicaments à l'enfant. Nous n'avons pas d'essais randomisés pour chaque chose que nous faisons. »2

    McCullough et ses collègues ont réalisé qu'il y a trois phases principales à COVID-19. Cela commence par la réplication du virus, qui déclenche ensuite une inflammation ou une tempête de cytokines. Ceci, à son tour, conduit à la coagulation du sang. Si suffisamment de micro-caillots sanguins se forment dans les poumons, une personne ne peut pas obtenir suffisamment d'oxygène et meurt. C'est un processus complexe, et aucun médicament ne fonctionnera pour le traiter, c'est pourquoi McCullough utilise une combinaison de médicaments, comme cela se fait pour traiter le VIH, le staphylocoque et d'autres infections.

    Seulement 6 % environ des décisions des médecins en cardiologie sont fondées sur des essais randomisés. « La médecine est un art et une science, il faut du jugement. Ce qui se passait, je pense que par peur mondiale, aucun jugement ne se produisait », a déclaré McCullough,3 faisant référence au refus des médecins de traiter les patients COVID-19 au début du processus de la maladie.

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  39. Des médecins menacés de traitement du COVID-19

    Partout dans le monde, l'impensable se produit : des médecins sont menacés de perdre leur licence ou même de prison pour avoir tenté d'aider leurs patients. Le médecin français Didier Raoult a suggéré très tôt de monter une tente pour tenter de soigner les patients du covid-19. Il a été assigné à résidence. Il a promu l'utilisation de l'hydroxychloroquine (HCQ), qui était initialement disponible en vente libre – jusqu'à ce que la France ne la prescrive que sur ordonnance.4

    En Australie, si un médecin tente de traiter un patient COVID-19 avec HCQ, il pourrait être mis en prison. « Depuis quand un médecin est-il mis en prison pour essayer d'aider un patient avec un simple médicament générique ? a dit McCullough. En Afrique du Sud, a-t-il ajouté, un médecin a été emprisonné pour avoir prescrit de l'ivermectine.

    En août 2020, l'article phare de McCullough « Bases pathophysiologiques et justification du traitement ambulatoire précoce de l'infection par le SRAS-CoV-2 » a été publié en ligne dans l'American Journal of Medicine.5

    Le document de suivi est intitulé « Traitement multidrogue séquentiel hautement ciblé à multiples facettes de l'infection ambulatoire précoce à haut risque par le SRAS-CoV-2 (COVID-19) » et a été publié dans Reviews in Cardiovascular Medicine en décembre 2020.6 Il est devenu la base de la maison guide de traitement.

    Alors que certaines organisations de médecins se sont intensifiées et traitent les patients COVID-19, « La tour d'ivoire aujourd'hui ne traite toujours pas les patients. La ligne de parti dans mon système de santé est de ne pas traiter un patient COVID-19 en ambulatoire. Attendez qu'ils soient suffisamment malades pour être admis. Parce que mon système de santé… suit les National Institutes of Health ou les Centers for Disease Control, point final. »

    Conditionné à attendre une injection

    Sans espoir de traitement précoce, McCullough pense que la plupart des gens sont devenus conditionnés à attendre une injection. «Nous sommes devenus conditionnés, après environ mai, à porter un masque, à attendre isolément et à être sauvés par le vaccin. Et attendez le vaccin. Et tout ce dont nous pouvions entendre parler, c'est du vaccin. »

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  40. Les injections ont été développées, mais elles sont différentes de tous les vaccins antérieurs et ont perdu de leur efficacité tout en causant un nombre inacceptable de blessures graves et de décès. À titre de comparaison, en 1976, un programme d'injection accélérée contre la grippe porcine a été interrompu après environ 25 à 32 décès.7

    Selon McCullough dans la vidéo, si un nouveau médicament arrive sur le marché et que cinq décès surviennent, la norme consiste à émettre un avertissement en forme de boîte noire indiquant que le médicament peut causer la mort. Avec 50 décès, le produit est retiré du marché, dit-il. Considérez maintenant ceci : la base de données du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) a montré que – pour tous les vaccins combinés avant 2020 – il y avait environ 158 décès au total signalés par an.

    Au 22 janvier 2021, il y avait déjà 182 décès signalés pour les injections de COVID-19, avec seulement 27,1 millions de personnes vaccinées. C'était plus que suffisant pour atteindre le signal de mortalité préoccupant pour arrêter le programme, a déclaré McCullough.

    « Nous avons déjà dépassé la limite des préoccupations le 22 janvier. Et s'il y avait eu un comité de surveillance de la sécurité des données - je sais, parce que je fais ce travail - nous aurions eu une réunion d'urgence et nous aurions dit, attendez une minute, les gens meurent après le vaccin. Nous devons comprendre pourquoi. »8

    Il est normal d'avoir un comité externe des événements critiques, un comité externe de surveillance de la sécurité des données et un comité d'éthique humaine pour les grands essais cliniques - tels que le programme d'injection massive de COVID-19, mais ceux-ci n'ont pas été mis en place.

    "C'est quelque chose que nous n'avons jamais vu en médecine humaine – un nouveau produit introduit et qui va de l'avant à toute vapeur sans vérifier pourquoi les gens meurent après le vaccin", a déclaré McCullough. À deux reprises, le CDC et la FDA – en mars et en juin – ont examiné les données et déclaré qu'aucun des décès n'était lié aux vaccins. « Je pense que c'est de la malversation », a-t-il déclaré.

    Avance rapide jusqu'au 30 juillet 2021, et les données du VAERS ont montré que 12 366 Américains sont décédés après une injection de COVID0-19.9 Dans une analyse des rapports de décès par vaccin COVID-19 du VAERS, les chercheurs ont découvert que 86 % du temps, rien d'autre ne pouvait ont causé le décès, et il semble que le vaccin en soit la cause.10

    La protéine de pointe est dangereuse

    Votre corps reconnaît la protéine de pointe dans les jabs COVID-19 comme étrangère, il commence donc à fabriquer des anticorps pour vous protéger contre COVID-19, du moins c'est ce que dit la théorie. Mais il y a un problème. La protéine de pointe elle-même est dangereuse et connue pour circuler dans votre corps au moins pendant des semaines et plus probablement des mois11 – peut-être beaucoup plus longtemps – après le jab COVID.

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  41. Dans vos cellules, la protéine de pointe endommage les vaisseaux sanguins et peut entraîner le développement de caillots sanguins.12 Elle peut pénétrer dans le cerveau, les glandes surrénales, les ovaires, le cœur, les muscles squelettiques et les nerfs, provoquant une inflammation, des cicatrices et des dommages aux organes au fil du temps. . McCullough pense également que la protéine de pointe est présente dans le sang donné, et ils ont informé la Croix-Rouge et l'Association américaine des banques de sang.

    Les plateformes d'ARN messager (ARNm) sont à l'étude depuis des années, dans la plupart des cas conçues pour remplacer un gène défectueux, qui pourrait potentiellement être utilisé pour le traitement du cancer ou de l'insuffisance cardiaque, par exemple.

    En novembre 2020, cependant, Pfizer, dans une joint-venture avec l'entreprise allemande BioNTech, a annoncé que leur injection à base d'ARNm était « efficace à plus de 90 % » dans un essai de phase 3.13 Cela ne signifie pas que 90 % des personnes qui se faire injecter sera protégé contre COVID-19, car il est basé sur la réduction du risque relatif (RRR).

    La réduction du risque absolu (ARR) pour le jab est inférieure à 1%. «Bien que le RRR ne considère que les participants qui pourraient bénéficier du jab, la réduction du risque absolu (ARR), qui est la différence entre les taux d'attaque avec et sans jab, prend en compte l'ensemble de la population. Les ARR ont tendance à être ignorés car ils donnent une taille d'effet beaucoup moins impressionnante que les RRR », ont écrit des chercheurs dans The Lancet Microbe en avril 2021.14

    McCullough pense que la campagne d'injection de masse est une violation incroyable de l'éthique humaine, en partie parce que personne ne devrait être contraint, contraint ou menacé d'utiliser un produit expérimental.

    Aucune tentative n'a été faite pour présenter ou atténuer les risques pour le public, comme le donner uniquement aux personnes qui en ont vraiment besoin - pas aux groupes à faible risque comme les enfants et les jeunes et ceux qui sont naturellement immunisés contre le COVID-19 en raison d'une infection antérieure. . "Je pense que c'est la chose la plus inquiétante", a-t-il déclaré.

    Les injections n'arrêtent pas COVID-19, peuvent être mortelles

    Le rapport hebdomadaire du CDC sur la morbidité et la mortalité (MMWR) publié en ligne le 30 juillet 2021, détaille une épidémie de COVID-19 qui s'est produite dans le comté de Barnstable, Massachusetts - 74% des cas se sont produits chez des personnes entièrement vaccinées.15

    La vaccination aveugle entraîne des mutations, car le virus mute sauvagement pour échapper aux injections. Leur efficacité, elle aussi, décline rapidement. Une étude publiée dans medRxiv, utilisant les données du Mayo Clinic Health System, a révélé que pendant les périodes de prévalence des variantes Alpha et Delta, l'injection de Moderna était efficace à 76% alors que l'efficacité de Pfizer n'était que de 42%.16

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  42. Un fait peu connu est que le jab de Moderna a trois fois la dose de Pfizer, mais, curieusement, les responsables de la santé n'en discutent même pas ou ne donnent pas au public de mises à jour sur laquelle des trois injections fonctionne "le mieux". Le récit est simple et direct - obtenez une injection, n'importe quelle injection.

    Pourtant, comme l'a noté McCullough, le virus a muté et les vaccins ne fonctionnent pas comme l'avaient espéré les responsables de la santé : « Les vaccins n'arrêtent pas le COVID-19, du moins pas complètement, et ils ne sont pas un bouclier contre la mortalité. .”17

    Semblable au VAERS, le Royaume-Uni gère un site de signalement « Carton jaune » pour signaler les effets indésirables des vaccins et des médicaments.18

    Tess Lawrie, dont la société The Evidence-Based Medicine Consultancy a travaillé avec l'Organisation mondiale de la santé, a analysé les données de la carte jaune du Royaume-Uni et a conclu qu'il y avait plus qu'assez de preuves pour retirer les injections du marché car elles ne sont pas sans danger pour l'homme. Le rapport indiquait :19

    « Il est maintenant évident que ces produits dans le sang sont toxiques pour l'homme. Un arrêt immédiat du programme de vaccination est nécessaire pendant qu'une analyse de sécurité complète et indépendante est entreprise pour enquêter sur l'étendue complète des dommages, qui, selon les données de la carte jaune du Royaume-Uni, incluent la thromboembolie, les maladies inflammatoires multisystémiques, la suppression immunitaire, l'auto-immunité et l'anaphylaxie, ainsi que comme l'amélioration dépendante des anticorps (ADE).

    Un traitement précoce est crucial

    McCullough essaie de faire connaître l'importance d'un traitement précoce du COVID-19. Le traitement ambulatoire précoce avec un schéma thérapeutique séquencé de plusieurs médicaments est soutenu par les sources de preuves disponibles et présente un profil bénéfice-risque positif pour réduire le risque d'hospitalisation et de décès.

    À 53:40 dans la vidéo, vous pouvez voir le schéma de traitement précoce de McCullough, qui comprend initialement un paquet nutraceutique. Pendant que vous récupérez à la maison, ouvrez vos fenêtres et obtenez beaucoup d'air frais et de ventilation dans votre maison.

    Si les symptômes persistent ou s'aggravent, il recommande d'appeler votre médecin et d'exiger un traitement par anticorps monoclonaux. Le traitement progresse pour inclure des anti-infectieux comme l'HCQ ou l'ivermectine, des antibiotiques, des stéroïdes et des anticoagulants.

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  43. Si votre médecin refuse de traiter le COVID-19 à un stade précoce, trouvez-en un nouveau et/ou visitez une clinique de télémédecine qui vous aidera, car « la phase préhospitalière est le moment de l'opportunité thérapeutique ».

    McCullough fait partie d'un nombre croissant d'experts qui pensent que les injections de COVID-19 aggravent la pandémie. Ils "ont un profil d'innocuité défavorable et ne sont pas cliniquement efficaces, ils ne peuvent donc pas être généralement pris en charge dans la pratique clinique pour le moment".

    Logiquement, c'est clair, mais McCullough pense que nous avons affaire à une psychose de masse qui empêche les gens de voir la lumière. « Le monde entier est en transe », a-t-il déclaré, ajoutant :20

    « Les choses deviennent incontrôlables de manière inquiétante et c’est dans le contexte du virus. C'est clair… nous sommes dans une période très particulière de l'histoire de l'humanité. Quoi qu'il se passe, c'est le monde entier… chaque être humain dans le monde. Il semble avoir un programme.

    Le programme… arrive à favoriser au maximum la peur, l'isolement, la souffrance, l'hospitalisation et la mort afin de se mettre une aiguille dans chaque bras, à tout prix. C'est ce qui se passe, et personne dans cette salle ne peut être en désaccord.

    Sources and References

    1, 2, 3, 4, 8, 9, 17, 20 Rumble August 26, 2021
    5 American Journal of Medicine January 2021; 134(1): 16-22
    6 Reviews in Cardiovascular Medicine 2020; 21(4): 517-530
    7 CNN April 30, 2009
    10 ResearchGate Preprint June 2021
    11 Clinical Infectious Diseases, ciab465, doi: 10.1093/cid/ciab465
    12 Bitchute July 22, 2021
    13 Pfizer November 9, 2020
    14 The Lancet Microbe April 20, 2021
    15 MMWR Weekly August 6, 2021 / 70(31);1059-1062
    16 medRxiv. 2021 Aug 9;2021.08.06.21261707. doi: 10.1101/2021.08.06.21261707
    18 Yellow Card
    19 The Evidence-Based Medicine Consultancy June 9, 2021

    https://www.lewrockwell.com/2021/09/joseph-mercola/dr-peter-mccullough-the-state-of-covid-treatment/

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  44. Le CDC met en garde contre la prise de la pilule rouge


    September 20th, 2021


    ATLANTA, GA—Le CDC a mis en garde les Américains contre la prise de la pilule rouge, car elle peut entraîner de graves effets secondaires tels que "réaliser la vérité sur la façon dont notre société est manipulée par les élites" et "passer tout votre temps sur YouTube à regarder la Jordanie vidéos Peterson.

    "Nous avons vu beaucoup de gens recommander de prendre la pilule rouge", a déclaré la directrice du CDC, Rochelle Walensky. "Et nous devons simplement rappeler à tout le monde que la pilule n'est pas approuvée par la FDA ou tout autre organe directeur. Cela pourrait diffuser des idées telles que la liberté est une bonne chose et que penser par soi-même est une valeur américaine saine. Les gens pourraient commencer à se faire une mauvaise idée.

    Pendant ce temps, la FDA lance un processus d'approbation d'urgence sur une nouvelle pilule bleue plus puissante pour contrer la crise de la pilule rouge.

    Jo dit de lire le reste au BabylonBee. Voir la BluePill dans la version proto-bêta sur le site TGA, où l'Australian Therapeutic Goods Administration avertit que les médecins ne sont plus autorisés à prescrire la pilule rouge parce que les gens sur les réseaux sociaux se trompent de doses.

    Le consentement éclairé signifie qu'on vous dit que si vous ne prenez pas la pilule bleue, vous pouvez être licencié.

    h/t OldOzzie

    https://joannenova.com.au/2021/09/cdc-cautions-against-taking-the-red-pill/

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  45. PRIVILÈGES SPÉCIAUX: les stars du basket-ball de la NBA ne seront pas obligées de prendre des vaccins contre le covid, tout comme les membres du Congrès et leurs employés


    dimanche 19 septembre 2021
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Il existe une classe privilégiée d'« élites » dans ce pays qui se sont déclarées exemptes de tous les mandats de « vaccin » contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19). L'un d'eux est le Congrès et un autre est la NBA.

    Selon les rapports, les joueurs de basket-ball professionnels ne seront pas obligés de subir une injection « Operation Warp Speed » car ils sont plus spéciaux que tout le monde. Eh bien, cela et ils ont beaucoup plus d'argent dans leurs coffres pour lutter contre le fascisme médical.

    ESPN dit que la NBA refuse de bouger sur sa demande que les joueurs ne soient pas obligés de se faire vacciner contre la grippe Fauci. Dans ses négociations budgétaires, la ligue a déclaré que toute tentative de mandat est un « non-starter » et ne sera pas acceptée.

    Alors que la plupart des arbitres et du personnel de la NBA se font dire qu'ils doivent retrousser leurs manches pour la modification génétique, les joueurs eux-mêmes sont au-dessus de tout cela et refusent de se conformer.

    Un porte-parole de la ligue a affirmé que 85 % des joueurs de la NBA sont déjà vaccinés, mais que les 15 % restants ne souhaitent pas s'y conformer. Ces 15 % non vaccinés ne sont pas autorisés à manger avec ou à voler dans les mêmes avions que les vaccinés, indiquent les rapports.

    Certaines équipes, dont les New York Knicks, les Brooklyn Nets et les Golden State Warriors, sont toutes originaires de régions où le gouvernement local a décidé que tout le monde devait se faire piquer, à moins qu'ils ne présentent une exemption médicale ou religieuse valide.

    Pour ces équipes, la NBA dit que les membres de l'équipe seront obligés de se faire piquer. Pour tous les autres, les coéquipiers disent ne pas vouloir se faire piquer sous la contrainte et se battent contre le fascisme.

    Congrès : déjà exempté d'Obamacare, désormais exempt de jabs forcés de covid
    Quant aux serpents du Congrès américain, ils se sont assurés de s'exempter totalement de l'ordre de jab de Biden.

    Tous les membres du Congrès, y compris leurs employés, ainsi que les juges des tribunaux fédéraux et leurs employés, ont un ensemble spécial de règles «d'élite» qui ne s'appliquent qu'à eux-mêmes, et pas à vous les péons qui essaient simplement de vivre votre vie en paix.

    Selon la criminelle de carrière Nancy Pelosi, la raison pour laquelle le Congrès doit être exempté des mandats de vaccination contre le covid alors que les non-politiciens ne le sont pas est parce que les législateurs méritent une « vie privée » spéciale que personne d'autre n'a accès.

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  46. Un groupe de démocrates de la Chambre, cependant, conteste cette exemption spéciale en appelant le Dr Brian Monahan, médecin traitant du Congrès, à forcer toutes les créatures du Congrès à prendre les injections comme tout le monde ou à se soumettre à des tests bihebdomadaires pour le chinois. Germes.

    Biden, quant à lui, menace de soumettre les Américains que le Congrès est censé représenter sous le fascisme médical totalitaire en forçant toutes les entreprises de 100 employés ou plus à exiger que leurs employés se fassent vacciner sous peine de sanctions.

    Les entreprises qui refusent l'ordonnance de Dementia Joe s'exposent à des amendes pouvant aller jusqu'à 14 000 $ en cas de non-conformité. Les républicains, au moins, qualifient l'ordre d'inconstitutionnel, ce qu'il est, mais il reste à voir si quelque chose est fait législativement pour essayer de l'arrêter.

    « Les membres de la classe dirigeante contrôlent tout ce qui est fait par les citoyens, mais aucune de leurs règles ne s'applique à eux-mêmes. Pas de surprise ici », a écrit un commentateur de Fox News.

    « Le Congrès a été exempté de l'Obama-care ; ils seront exonérés de hausses d'impôts pour financer le paiement de leurs amis et donateurs.

    Un autre a écrit quelque chose de similaire, soulignant le fait que lorsqu'il s'agit du Congrès, des stars du sport et d'autres « élitistes », c'est toujours un système de « règles pour toi, mais pas pour moi ».

    « Si le Congrès obtient la vie privée, chaque citoyen américain mérite la même vie privée et la même liberté de choisir. »

    Les dernières nouvelles sur le fascisme par injection du coronavirus de Wuhan (Covid-19) peuvent être trouvées sur Fascism.news.

    Les sources de cet article incluent :

    ESPN.com
    FoxNews.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2021-09-19-nba-exempt-vaccine-congress-staffers-privileged.html

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  47. PREUVE : Les hôpitaux mentent sur le fait d'être envahis par les patients covid… de nombreux établissements sont VIDES


    Dimanche 19 septembre 2021
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Un autre dénonciateur du domaine médical s'est présenté pour faire taire les mensonges des médias concernant les soins intensifs hospitaliers «débordés» de patients atteints du coronavirus de Wuhan (Covid-19).

    Josh Snider, qui travaillait dans la gestion des installations au Missouri Baptist Medical Center (MBMC), a personnellement confirmé que son hôpital était en grande partie vide, malgré les affirmations de la haute direction selon lesquelles il «déborde de patients covid».

    "J'ai vu nos administrateurs hospitaliers dire dans les médias que nos unités de soins intensifs débordaient de patients covid à 98% de leur capacité, sachant que c'était un mensonge complet et absolu", a déclaré Snider.

    MBMC fait partie d'un réseau annuel beaucoup plus important de 5,5 milliards de dollars au sein du système de l'hôpital juif Barnes à St. Louis, qui aurait fermé trois de ses quatre étages de soins intensifs parce qu'ils étaient tous vides.

    « Et même après avoir fermé les trois quarts de notre capacité de soins intensifs, ils n'étaient toujours jamais remplis à plus de 50 % avec cette capacité globale considérablement réduite. Ces systèmes médicaux qui disent qu'ils sont envahis par les patients COVID MENTENT probablement AU PUBLIC », a ajouté Snider.

    Malgré les demandes répétées de commentaires, MBMC a refusé de publier une déclaration expliquant pourquoi il a menti au sujet d'une vague de covid qui ne se produit pas et ne s'est jamais produite, même dans le passé. (EN RELATION : les hôpitaux « débordés » en Floride sont également vides.)

    Snider a présenté une preuve documentaire montrant que le nombre de cas de covid à MBMC a été minime. Souvent, il ne s'agissait que d'un seul patient en soins intensifs, ce que l'hôpital a faussement décrit comme « écrasant ».

    "Je devrais ajuster le flux d'air dans certaines des chambres des personnes en soins intensifs avec COVID, elles allaient bien", a indiqué Snider.

    « J'ai… personnellement vu des gens qui allaient bien, ils avaient un dernier cas d'ennui. J'ai parlé avec ces gens et ils n'étaient pas du tout malades, ils se sentaient bien mais on leur a dit qu'ils devaient rester là-bas. Beaucoup ont apporté leur PlayStation avec eux pour passer leurs journées à la place avec des jeux vidéo. »

    On n'appelle pas ça une plandémie pour rien
    Les graphiques de données que Snider a publiés contredisent publiquement les chiffres publiés par MBMC, dont ces derniers semblent avoir été complètement inventés pour promouvoir un programme plandémique.

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  48. Selon Snider, à peu près tous les « cas » de covid de MBMC étaient extrêmement mineurs. Peut-être même que la plupart d'entre eux étaient asymptomatiques. Et pourtant, ils ont tous été enregistrés comme étant «sérieux» et les chiffres ont été ajoutés à cela.

    "Ces graphiques, fournis par Snider, montrent qu'il y avait une trajectoire relativement normale pour les infections à COVID au MBMC Center, un établissement de soins de courte durée à St. Louis", a rapporté The Gateway Pundit.

    «Même pendant les périodes de pics d'infection dans la population nationale, ces pics ne se trouvent pas dans les données hospitalières. De plus, le résultat net montrant les cas graves de COVID nécessitant des soins intensifs reste considérablement faible et réduit tout au long des mois de la pandémie. »

    Snider a ajouté qu'avant la covid, MBMC était beaucoup plus rempli de patients pendant la saison normale de la grippe qu'il ne l'a jamais été depuis covid. Rien n'a jamais été dit à la télévision à ce sujet, cependant.

    "La vraie saison de la grippe à l'hôpital a toujours été plus grave que COVID ne l'a été", soutient Snider.

    «La saison de la grippe dans un hôpital est très difficile, et même la saison de la grippe la plus douce des années passées était encore pire que COVID ne l'a été jusqu'à présent. Les personnes qui ont souffert et qui sont malheureusement décédées sont clairement des personnes en surpoids de centaines de livres et des personnes souffrant de multiples autres comorbidités comme le cancer de stade 4. Je ne suis pas médecin, mais la réponse et la panique face à ce virus sont clairement disproportionnées par rapport à la réalité. »

    D'autres reportages sur le cirque sans fin des mensonges et de la tromperie du coronavirus de Wuhan (Covid-19) provenant de la branche Covidians peuvent être trouvés sur Pandemic.news.

    Les sources de cet article incluent :

    TheGatewayPundit.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2021-09-19-hospitals-lying-overrun-covid-patients-facilities-empty.html

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  49. Fauci dit que si vous êtes préoccupé par les caillots sanguins du vaccin Covid, les crises cardiaques et les décès, vous êtes très probablement un insurrectionnel qui déteste l'autorité


    Sunday, September 19, 2021
    by: S.D. Wells


    (Natural News) Récalcitrant signifie avoir une attitude obstinément peu coopérative envers la discipline ou l'autorité. Anthony Fauci affirme que la seule raison pour laquelle 70 millions d'Américains ne se font PAS vacciner contre Covid est que nous sommes tous une bande de dissidents politiques récalcitrants qui ne respectent pas l'autorité. Ce qu'il oublie de mentionner, ce sont les effets secondaires désormais courants des vaccins Covid, à savoir des caillots sanguins mortels, une perte de fonctions motrices spécifiques et une myocardite. Presque tout le monde connaît déjà quelqu'un qui souffre actuellement du SPS - Spike Protein Syndrome.

    Vous ne pouvez plus marcher correctement depuis ce deuxième coup de Covid ? Vous avez le syndrome de la protéine de pointe. Vous avez soudainement d'horribles douleurs lancinantes dans la colonne vertébrale ou dans les jambes, quelques jours seulement après avoir reçu le vaccin contre la grippe chinoise ? Vous avez le syndrome de la protéine de pointe. Tout votre système vasculaire, votre système immunitaire et votre système nerveux central sont tous en état de choc, se demandant quoi faire avec ces milliards de protéines de pointe toxiques. Alors voilà, Anthony « Frauduleux » Fauci a quelques conseils pour les personnes en bonne santé : se faire vacciner ou se classer comme ennemi d'État.

    Anthony Fauci fait quotidiennement de la propagande en faveur de la transformation de l'Amérique en un État de police médicale communiste pour toujours
    Alors maintenant, «l'ennemi de l'État» est toute personne qui ne prend pas régulièrement des injections de caillots censés éviter un mauvais cas de grippe chinoise qui a été conçu à l'aide d'un financement dirigé par Fauci. Alors maintenant, les défenseurs de la santé naturelle, certaines des personnes les plus saines de la planète Terre, sont appelés extrémistes et rebelles récalcitrants parce que nous savons comment prendre soin de notre système immunitaire avec des aliments sains et des médicaments propres ? Les gens meurent par milliers des coups de Covid. D'autres questions ?

    Écoutez le roi de la propagande inventer des trucs, sans aucun soutien scientifique, statistiques, recherche, études cliniques – rien. Parlez, comme un mauvais animateur de talk-show qui aime tellement ses vaccins sales qu'il ne peut s'empêcher d'appeler tout le monde des terroristes épris de Trump qui ne les accepteront pas. Ce n'est pas de la médecine. C'est de la politique. Question : Si Fauci libère MERS ensuite, ira-t-il en prison pour trahison ou meurtre de masse ? Restez à l'écoute pour le découvrir.

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  50. Fauci: "Nous avons une situation vraiment malheureuse, nous avons un noyau dur de personnes qui, nous essayons de les persuader, ou de les mandater s'ils ne sont pas persuadés." (comme il rit comme les petits scientifiques maléfiques du film "The Burbs" avec Tom Hanks). Quoi? On dirait qu’il est à un pas de « persuader » et de « rendre obligatoire » les camps de concentration de Covid en Amérique. Rassemblez tous les insurgés, n'est-ce pas ?

    - voir clip sur site -

    Voici les clones Fauci, petits docteurs psychotiques maléfiques (comme lui) nommés les Klopeks, expérimentant sur des humains dans leur sous-sol dans le film « The Burbs »…

    - voir clip sur site -

    Êtes-vous inquiet des caillots sanguins et des accidents vasculaires cérébraux dus aux vaccins Covid? Ensuite, vous ne respectez pas l'autorité et vous exigez un mandat après l'échec de la persuasion. Il ne fait qu'inventer des choses. Il a affirmé que les vaccins Covid fonctionnent parfaitement bien contre Delta. Vraiment. Ils ont donc isolé Delta, testé tous ceux qui ont reçu les injections de caillots qui ont encore attrapé Covid et ont distingué cette variante. S'il te plaît, Tony, montre-nous ces études.

    Selon Fauci, chaque Américain sera MANDAT pour prendre les coups mortels de Covid après l'échec de toutes les tentatives de « persuasion »
    Préparez-vous à être maintenu au sol devant votre maison ou votre appartement et vacciné de force, sous la menace d'une arme (les «gardes» de la FEMA Covid SS), avec tous les enfants que vous pourriez avoir, si Fauci réussit avec des vaccins «mandants» après avoir échoué à persuader les 70 derniers millions d'Américains qui disent non aux coups de couteau de Big Pharma. N'oubliez pas que la non-conformité est considérée comme « récalcitrante », ce qui sera bientôt classé dans Wikipédia et Google comme quelqu'un qui manque de respect à l'autorité et qui est « terroriste par nature ». « Nous avons les outils pour mettre fin à cela ! » le charlatan scientifique à la télévision déclare à propos de ses coups de caillot.

    Soudain, en Amérique, si vous ne vous faites pas vacciner contre la grippe, vous êtes un terroriste, un ennemi politique du pays, qui met tout le monde en danger à tout moment. Aucune personne non vaccinée n'est plus humaine en Amérique, selon Fauci, car nous sommes des lépreux et des menaces domestiques. Il pense que nous ne devrions plus être autorisés à voyager en avion, en train ou en bus. Plus besoin de dîner au restaurant. Fini l'éducation à l'école pour vos enfants. La grippe ne part jamais. Pas la grippe chinoise. C'est permanent, selon Fauci, même si les Américains en bonne santé n'en meurent pas (ou même en attrapent vraiment un mauvais cas, d'ailleurs).

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  51. L'immunité naturelle est beaucoup plus forte que n'importe quelle injection de protéine de pointe sur le marché. Ne prenez pas de risques avec votre vie car un «expert» des vaccins à la télévision dit que la grippe est éternelle, tout en poussant les vaccins trimestriels pour elle.

    Réglez votre numéro de la vérité sur Pandemic.news pour des mises à jour sur la guerre contre les vaccins sales et le communisme, et comment garder votre famille heureuse, en bonne santé et en sécurité.

    Sources for this article include:

    Pandemic.news
    NaturalNews.com
    TruthWiki.org
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2021-09-19-fauci-says-those-concerned-covid-vaccine-risks-insurrectionists.html

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  52. Explosif ! Données de santé publique : 80 % des décès dus au COVID-19 en août étaient des personnes vaccinées


    dimanche 19 septembre 2021
    par : rédacteurs en chef


    (Natural News) D'autres preuves prouvant que le programme de vaccination contre le Covid-19 est un énorme échec ont été publiées, ce qui confirme que pendant tout le mois d'août, 80 % des personnes qui seraient décédées du Covid-19 avaient été vaccinées contre la maladie.

    (Article republié de TheExpose.uk)

    Nous vivons une époque étrange, et si vous pensez que le programme de vaccination Covid-19 fonctionne parce que les autorités à la télévision vous le disent, alors vous devez sûrement trouver extrêmement étrange que le Royaume-Uni soit au milieu d'un tiers vague en plein été ? Surtout si l'on considère qu'à l'été 2020, les décès de Covid-19 ont atteint zéro même si une injection de Covid-19 n'était pas disponible.

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    Mais l'étrangeté ne s'arrête pas là, il suffit de jeter un œil au dernier rapport statistique Covid-19 publié par Public Health Scotland (PHS) le 8 septembre 2021.

    Le rapport fournit un tableau de données sur les tests, la mise en quarantaine, les vaccinations, les cas, les hospitalisations et les décès, mais cela ne devient pas très intéressant jusqu'à ce que vous lisiez le tableau 15 qui couvre le nombre de cas positifs au Covid-19 par semaine et le statut vaccinal.

    Intéressant car il montre que la majorité des cas confirmés font désormais partie de la population vaccinée. Au cours de la semaine la plus récente du 28 août au 3 septembre 2021, le rapport montre qu'il y avait 20 744 cas confirmés parmi la population non vaccinée, qui sont plus susceptibles d'être testés pour la simple raison qu'ils n'ont pas été vaccinés.

    Mais il montre également qu'il y a eu 5 508 cas confirmés parmi la population partiellement vaccinée et 16 810 cas parmi la population entièrement vaccinée – deux populations qui sont les moins susceptibles d'être testées en raison d'être vaccinées.

    Cela signifie qu'entre le 28 août et le 3 septembre, il y a eu 22 318 cas parmi la population vaccinée – près de 2 000 de plus que la population non vaccinée.

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    Il en va de même pour la semaine du 21 août au 27 août qui a vu 15 647 cas parmi la population non vaccinée et 22 234 cas parmi la population vaccinée, et il en va de même pour les deux semaines précédentes.

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  53. Les données montrent en effet qu'entre le 7 août 2021 et le 3 septembre 2021, il y a eu 47 580 cas parmi la population non vaccinée, 21 020 cas parmi la population partiellement vaccinée et 41 748 cas parmi la population entièrement vaccinée. Cela signifie qu'il y a eu 15 188 cas supplémentaires parmi la population vaccinée.

    Alors maintenant que nous avons clarifié que les injections expérimentales de Covid-19 n'empêchent clairement pas l'infection ou la propagation de Covid-19, voyons si elles empêchent les hospitalisations comme le prétendent les autorités.

    Selon le tableau 16 du rapport entre le 28 août 2021 et le 3 septembre 2021, il y a eu 36 admissions à l'hôpital liées au Covid-19 parmi la population de plus de 60 ans non vaccinée, tandis qu'il y a eu 7 admissions sur la population partiellement vaccinée.

    Cependant, il y a eu un énorme 299 admissions parmi la population de plus de 60 ans entièrement vaccinée, et le même schéma peut être observé pour les semaines précédentes jusqu'au 7 août 2021.

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    Au total pour la semaine du 28 août au 3 septembre 2021, il y a eu 271 hospitalisations parmi l'ensemble de la population non vaccinée mais 423 hospitalisations parmi la population entièrement vaccinée. Si nous basons ces hospitalisations survenant après les semaines précédentes des cas confirmés alors nous pouvons calculer le taux de cas-hospitalisation.

    Au cours de la semaine commençant le 21 août, il y a eu 15 647 cas confirmés parmi la population non vaccinée. Par conséquent, sur la base des chiffres d'hospitalisation non vaccinés de 271 dans la semaine commençant le 28 août, le taux d'hospitalisation est de 1,7 %. Cependant, lorsque nous effectuons le même calcul pour les hospitalisations de la population entièrement vaccinée (423) et les cas (14 519), nous pouvons constater que le taux d'hospitalisation des cas est de 2,9 %.

    Par conséquent, cela montre que les injections de Covid-19 augmentent le risque d'hospitalisation en cas d'exposition au Covid-19 de 70 % plutôt que de réduire le risque de 95% revendiqué par les fabricants de vaccins et les autorités.

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  54. Alors maintenant que nous avons éclairci les injections de Covid-19 augmentent le risque d'hospitalisation plutôt que de le réduire, voyons si elles préviennent des décès comme le prétendent les autorités.

    Le tableau 17 du rapport de Public Health Scotland montre le nombre de décès survenus suite au statut vaccinal. Cependant, les PHS ont été très intelligents dans la façon dont ils ont présenté le nombre de décès. Parce que plutôt que de les présenter semaine par semaine comme ils l'ont fait avec le nombre de cas et d'hospitalisations, ils ont plutôt inclus les décès jusqu'au 29 décembre.

    Cela signifie qu'ils incluent les décès du plus fort de la deuxième vague présumée de Covid-19, où seulement 9% de la population avait reçu une seule dose, et seulement 0,1% de l'ensemble de la population était complètement vaccinée. Par conséquent, les PHS sont très sournoisement capables de donner l'impression que la majorité des décès de Covid-19 se produisent parmi la population non vaccinée.

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    Le tableau ci-dessus est tiré du rapport publié par Public Health Scotland le 18 août 2021 et montre les décès dus à Covid-19 par statut vaccinal entre le 29 décembre 2020 et le 5 août 2021. Comme vous pouvez le voir, toute personne lisant le rapport serait donné l'impression que les vaccins font un travail fantastique pour prévenir les décès dus à Covid-19.

    Mais avancez rapidement vers le rapport le plus récent et vous trouverez sur le tableau 17 qu'il y a eu 3 102 décès parmi la population non vaccinée, 279 décès parmi la population partiellement vaccinée et 298 décès parmi la population entièrement vaccinée entre le 29 décembre et le 26 août 2021. .

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    Par conséquent, le nombre réel de décès par statut vaccinal entre le 5 août 2021 et le 26 août 2021 est le suivant :

    Population non vaccinée – 25 décès
    Population partiellement vaccinée – 6 décès
    Population entièrement vaccinée – 92 décès

    Cela signifie que la population non vaccinée n'a représenté que 20 % des décès présumés de Covid-19 tout au long du mois d'août, tandis que les personnes entièrement vaccinées en représentaient 75 %. Mais associez les décès partiellement vaccinés aux décès entièrement vaccinés et vous pouvez constater que tout au long du mois d'août, 80% des décès sont survenus parmi la population vaccinée.

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  55. Cependant, cela rend difficile le calcul du taux de létalité. Pour ce faire, nous devons examiner le nombre de décès survenus dans le rapport des semaines précédentes. Jusqu'au 19 août, il y avait eu 3 096 décès parmi les non vaccinés, 277 décès parmi les partiellement vaccinés et 264 décès parmi les complètement vaccinés.

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    Par conséquent, le nombre réel de décès par statut vaccinal entre le 19 août 2021 et le 26 août 2021 est le suivant :

    Population non vaccinée – 6 décès
    Population partiellement vaccinée – 2 décès
    Population entièrement vaccinée – 34 décès

    Si nous basons ces décès sur le fait qu'ils surviennent deux semaines après le nombre de cas confirmés, nous pouvons alors calculer le taux de létalité.

    Au cours de la semaine commençant le 7 août, il y avait 3 788 cas confirmés parmi la population non vaccinée. Par conséquent, sur la base des chiffres de décès non vaccinés de 6 dans la semaine commençant le 19 août, le taux de létalité est de 0,15 %. Cependant, lorsque l'on fait le même calcul pour les hospitalisations de la population totalement vaccinée (34) et les cas (3 490) on constate que le taux de cas-hospitalisation est de 1 %.

    Par conséquent, cela montre que les injections de Covid-19 augmentent le risque de décès lorsqu'elles sont exposées à Covid-19 d'un énorme 566 % plutôt que de réduire le risque de 95% revendiqué par les fabricants de vaccins et les autorités.

    Ce qui est encore plus préoccupant à ce sujet, c'est que le nombre de cas confirmés parmi la population entièrement vaccinée a considérablement augmenté au cours de la semaine la plus récente par rapport à quatre semaines auparavant. Par conséquent, le nombre d'hospitalisations et de décès qui pourraient survenir dans les prochaines semaines pourrait éventuellement suffire aux autorités pour justifier un nouveau confinement.

    Les données montrent clairement que les vaccins n'empêchent pas l'infection ou la transmission, et cela montre clairement qu'ils augmentent le risque d'hospitalisation et de décès plutôt que de réduire le risque.

    Read more at: TheExpose.uk

    https://www.naturalnews.com/2021-09-19-80-of-covid-19-deaths-vaccinated-people.html

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  56. Les supernovae : quelques objets célestes observés depuis 1000 ans


    le 20 septembre 2021


    L’homme a toujours été fasciné par le spectacle du ciel nocturne étoilé. Les grands spectacles tels que les comètes étaient à l’origine d’effrois inexpliqués qui disparaissaient quand la comète disparaissait. Les éclipses de la Lune permirent aux mathématiciens grecs de conclure que la Terre était sphérique de même que la Lune elle-même en étudiant l’arc de cercle de l’ombre portée par la Terre lors d’une éclipse. D’autres objets lumineux mobiles comme les planètes ont longtemps obsédé les astronomes et il fallut un mathématicien comme Kepler pour commencer à comprendre le mouvement héliocentrique des planètes. C’est ainsi que la théorie soutenue par l’Eglise de Rome affirmant que la Terre était au centre du système solaire fut démantelée. Un autre phénomène très spectaculaire fut l’observation des explosions de supernovae. Il y eut celle de l’an 1006 et largement décrite par les astronomes égyptiens. Ce fut l’évènement le plus brillant que connut l’humanité au cours de ce dernier millénaire. L’objet atteignit probablement la taille de la pleine Lune et il était possible de lire un manuscrit au milieu de la nuit sans l’aide d’une lampe à huile. Celle qui fut observée le 4 juillet 1054 reste encore aujourd’hui l’évènement céleste le plus largement décrit depuis que les hommes tiennent des registres de leurs observations célestes. Contrairement à l’explosion de 1006 dans la constellation du Loup elle eut lieu dans la constellation du Taureau et facilement observable en Europe occidentale et en Chine. À nouveau l’objet était tellement brillant que pendant quelques mois les nuits furent si claires qu’il était possible de lire et de se déplacer sans lanterne.

    Il fallut attendre le mois de novembre 1572 pour observer dans la constellation de Cassiopée une nouvelle supernova et celle-ci combla de bonheur le très grand astronome Tycho Brahe. Kepler, mentionné plus haut devint son assistant puis astronome à son tour et eut aussi le privilège d’observer en 1604 une autre supernova qui porta longtemps son nom. Comme les précédentes supernovae elle était aussi visible en plein jour. Depuis c’est la nuit complète puisqu’aucune supernova n’a pu être observée à l’oeil nu. Les restes de ces explosions ont tous été identifiés sans ambiguïté à l’ exception de celle qui fut observée en 1181 et également localisée dans la constellation de Cassiopée. Malgré des descriptions très précises des astronomes chinois et également japonais ce n’est que très récemment que le « reste » de cette explosion a été confirmé. Il s’agit de l’objet PA 30 d’un diamètre de cent mille fois la distance Terre-Soleil. Les études spectroscopiques détaillées de cet objet situé à 7000 années-lumière du système solaire indiquent que la supernova visible en 1181 serait le résultat de la collision de deux étoiles en cours de dégénérescence, ce qui expliquerait la faible vitesse d’expansion du nuage d’hydrogène, seulement 1100 km/s et la faible teneur en hydrogène et hélium du centre de l’objet pourtant un très puissant émetteur de rayons X. Cet événement observé en 1181 avait donc eu lieu en réalité 7000 ans plus tôt.

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  57. À ce propos il existe à 570 années-lumière du système solaire un candidat à une explosion. Il s’agit de l’étoile Betelgeuse, une géante rouge dont l’instabilité intrigue les astrophysiciens. Comme on observe aujourd’hui ce qui se déroulait il y a 570 ans cette étoile a peut-être déjà explosé ! Si tel est le cas lorsque la Terre recevra de plein fouet les radiations 100 plus puissantes que celles reçues lors de l’explosion de 1054 qui a laissé des traces dans les carottes glaciaires de l’Antarctique, en particulier la présence d’isotopes apparus par spallation cosmique. Pendant plusieurs mois la Terre bénéficiera (?) de nuits ensoleillées ! Puis bien plus tard, environ 60 années, le bombardement de particules accélérées à des vitesses de l’ordre du dixième de la vitesse de la lumière arriveront dans l’environnement de la Terre et cet événement pourrait provoquer des ravages pour la faune terrestre. Une nouvelle extinction ? Personne ne le sait mais ce qui ressort de cette réflexion est que l’univers n’est pas aussi paisible qu’on pourrait le croire naïvement. Mais revenons sur le plancher des vaches, il pourrait bien y avoir une guerre nucléaire dans les prochaines années …

    Source : https://doi.org/10.3847/2041-8213/ac2253

    Illustration. Nébuleuse du Crabe, reste de l’explosion de la supernova de l’année 1054

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/09/20/les-supernovae-quelques-objets-celestes-observes-depuis-1000-ans/

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  58. Peut-on réduire l'utilisation des engrais sans sacrifier la production alimentaire ?


    18 Septembre 2021
    Hannah Ritchie, Our World in Data*


    Our World in Data présente les données et les recherches qui permettent de progresser contre les plus grands problèmes du monde.

    Ce billet de blog s'appuie sur les données et les recherches abordées dans nos entrées sur les engrais et les rendements des cultures.

    Nous remercions David Wuepper, Paul West et Luis Lassaletta d'avoir fourni des données pour cet article. Merci à Max Roser pour ses commentaires sur ce travail.

    Résumé

    Les engrais peuvent augmenter le rendement des cultures. Cela présente non seulement des avantages importants pour les revenus des agriculteurs et la sécurité alimentaire, mais aussi des avantages environnementaux en réduisant nos besoins en terres agricoles. De nombreux pays gagneraient à utiliser davantage d'engrais.

    Lorsqu'ils sont appliqués de manière excessive, ils peuvent également devenir un polluant environnemental. Nous pourrions penser qu'il n'y a rien à faire : que pour obtenir des rendements plus élevés, il faut davantage d'intrants et donc nécessairement plus de pollution. Mais la recherche montre que ce n'est pas forcément vrai. Les agriculteurs de nombreux pays peuvent réduire leur utilisation d'engrais sans sacrifier la production alimentaire.

    L'une des études les plus importantes et les plus impressionnantes au monde nous montre que des interventions simples peuvent donner de grands résultats. Dans le cadre d'un essai de dix ans, des chercheurs ont travaillé avec 21 millions de petits exploitants agricoles en Chine pour voir s'ils pouvaient augmenter le rendement des cultures tout en réduisant l'impact de l'agriculture sur l'environnement.1 Ils ont réussi.

    Au cours de la décennie 2005-2015, les rendements moyens du maïs, du riz et du blé ont augmenté d'environ 11 %. Dans le même temps, l'utilisation d'engrais azotés a diminué d'environ un sixième. En produisant davantage et en ayant besoin de moins d'engrais, cette expérience a généré un rendement économique de 12,2 milliards de dollars. Ce résultat n'a pas été obtenu grâce à des innovations technologiques majeures ou à des changements de politique : il a fallu éduquer et former les agriculteurs aux bonnes pratiques de gestion.

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  59. On part souvent du principe que l'utilisation d'engrais – ainsi que la pollution qu'elle engendre – et le rendement des cultures constituent un compromis inévitable. Pour augmenter les rendements, il faut de plus en plus d'engrais. Cette étude à grande échelle suggère que ce compromis n'est pas toujours aussi extrême qu'on pourrait le croire.

    Soyons clairs : les engrais sont essentiels à la production alimentaire mondiale. Il y a peu d'innovations qui ont autant transformé le monde que l'azote de synthèse.

    Pendant la majeure partie de l'histoire de l'humanité, la production alimentaire était limitée par la quantité de nutriments réactifs disponibles pour les cultures. Tout a changé avec Fritz Haber et Carl Bosch. Plutôt que de dépendre de l'azote rare qui existe naturellement dans les sols de la planète, nous pouvions produire le nôtre. Leur innovation (le procédé Haber-Bosch), au début du 20e siècle, a permis de sauver des milliards de vies.2 On estime qu'une personne sur deux qui lit ces lignes doit les remercier d'être en vie aujourd'hui.

    Les engrais nous permettent d'obtenir de meilleurs rendements agricoles. Il s'agit d'un avantage net évident pour l'homme : les agriculteurs peuvent produire et gagner plus, et le monde a plus de nourriture. Ce qui est moins évident, c'est que cela présente un avantage important pour l'environnement. L'augmentation du rendement des cultures signifie que nous devons utiliser moins de terres pour l'agriculture3, ce qui nous permet de protéger les forêts et de préserver les habitats naturels.

    Mais il est vrai qu'à côté de ces avantages environnementaux, il y a aussi des inconvénients. L'azote que nous utilisons n'est pas entièrement utilisé par les cultures. Le reste s'écoule des sols vers l'environnement naturel : il fertilise les rivières et les lacs, ce qui perturbe l'équilibre des écosystèmes et entraîne une perte de biodiversité.

    Nous pourrions penser qu'il n'y a rien à faire : pour obtenir des rendements plus élevés, nous avons besoin de plus d'intrants et donc nécessairement de plus de pollution. Dans cet article, je montre que les agriculteurs de nombreux pays peuvent réduire l'utilisation des engrais sans sacrifier la production alimentaire.

    Il y a de grandes différences dans l'utilisation des engrais à travers le monde

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  60. Les cultures, comme tout organisme, ont besoin de nutriments pour se développer. Lorsque des nutriments particuliers font défaut, elles échouent ou se développent à un rythme beaucoup plus lent. Ces nutriments sont appelés « nutriments limitants ». Le nutriment le plus limitant varie selon les régions du monde : certains sols manquent d'azote, d'autres de phosphore ou de potassium.

    Si un sol manque naturellement de nutriments, nous pouvons y ajouter les nôtres. Cela peut se faire sous la forme d'engrais de synthèse ou d'apports organiques tels que le fumier. Il y a de très grandes différences dans la quantité d'engrais appliquée dans le monde. C'est ce que montrent les graphiques ci-dessous : d'abord la carte de l'utilisation moyenne d'engrais par hectare de terre cultivée, puis la ventilation par élément nutritif dans le diagramme à barres.

    Les différences entre les pays sont d'un facteur cent. Dans de nombreux pays parmi les plus pauvres du monde, notamment en Afrique subsaharienne, les agriculteurs n'appliquent que quelques kilogrammes d'engrais par hectare. À titre d'exemple, un hectare correspond à une fois et demie la taille d'un terrain de football.4 En comparaison, dans des pays comme la Chine, le Brésil, le Royaume-Uni ou l'Égypte, les agriculteurs appliquent des centaines de kilogrammes par an. Ils appliquent autant en quelques jours que certains agriculteurs le font en une année entière.

    Cela a conduit à un monde divisé :

    Dans de nombreux pays pauvres, nous avons besoin de plus d'engrais. Les améliorations des rendements agricoles ont été lentes, et les grands écarts de rendement pourraient être comblés par une gestion plus importante et plus efficace des intrants.5 Ce n'est pas seulement bon pour les agriculteurs, mais aussi pour l'environnement : pour les raisons évoquées ci-dessus, combler les écarts de rendement est l'un des meilleurs moyens de prévenir la perte d'habitat dans les tropiques.

    C'est pourquoi il est dommageable que des agences telles que le Programme des Nations Unies pour le Développement promeuvent continuellement le message selon lequel moins il y a d'engrais, mieux c'est. Ce n'est pas bon pour les humains, ni pour l'environnement.

    Mais, comme nous allons le voir, de nombreux pays appliquent trop d'azote. Ils pourraient réduire leur consommation sans nuire au rendement de leurs cultures.

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  61. - voir cadre sur site -

    Fertilizer use per hectare of cropland

    Fertilizer products cover nitrogenous, potash, and phosphate fertilizers (including ground rock phosphate). Animal and plant manures are not included. Application rates are measured in kilograms per

    https://ourworldindata.org/grapher/fertilizer-use-in-kg-per-hectare-of-arable-land

    Utilisation d'engrais par hectare de terre cultivée, 2018 Les produits fertilisants recouvrent les engrais azotés, potassiques et phosphatés (y compris le phosphate naturel). Les fumiers animaux et végétaux ne sont pas inclus. Les taux d'application sont mesurés en kilogrammes par hectare.

    - voir cadre sur site -

    Fertilizer use per hectare of cropland

    An interactive visualization from Our World in Data.

    https://ourworldindata.org/grapher/fertilizer-per-hectare

    Efficacité de l'utilisation de l'azote : équilibrer les rendements et le besoin d'apports nutritifs

    Nitrogen use efficiency

    Nitrogen use efficiency (NUE) is the ratio between nitrogen inputs and output. A NUE of 40% means that only 40% of nitrogen inputs are converted into nitrogen in the form of crops.

    https://ourworldindata.org/grapher/nitrogen-use-efficiency

    L'utilisation de grandes quantités d'engrais ne serait pas nécessairement une mauvaise chose si la totalité de ces engrais était utilisée par les cultures. Malheureusement, ce n'est pas le cas pour la plupart d'entre eux.

    Pour comprendre ce phénomène, nous pouvons examiner le rapport entre l'azote présent dans les produits récoltés (nos cultures) et nos intrants (engrais ou fumier) ; ce rapport est appelé « efficacité d'utilisation de l'azote » (NUE – nitrogen use efficiency). Un NUE de 60 % signifie que la quantité d'azote présente dans nos cultures correspond à 60 % de l'azote qui leur a été ajouté en tant qu'intrants. Les 40 % d'azote restants n'ont pas été utilisés par les cultures.

    Un NUE faible est mauvais. Cela signifie qu'une très faible partie de l'azote que nous ajoutons est absorbée par les cultures. Un NUE de 20 % signifie que 80 % de l'azote appliqué devient un polluant.

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  62. Nous verrons bientôt que certains pays ont un NUE très élevé, supérieur à 100 %. Vous pourriez penser qu'il s'agit d'une bonne nouvelle. En fait, c'est souvent le contraire. Cela signifie qu'ils ont un apport insuffisant en azote, mais qu'ils continuent à essayer de faire pousser de plus en plus de cultures. Au lieu d'utiliser les nutriments facilement disponibles, les cultures doivent prélever de l'azote dans le sol – un processus appelé « extraction d'azote ». Au fil du temps, cela épuise les sols de leurs éléments nutritifs, ce qui est mauvais pour la production agricole à long terme.

    À l'échelle mondiale, le NUE reste obstinément bas, entre 40 et 50 % depuis 1980.6 Ce chiffre est étonnamment bas. Cela signifie que moins de la moitié de l'azote que nous appliquons à nos cultures est effectivement absorbée par celles-ci. Le reste est un excédent qui s'échappe dans l'environnement naturel.

    Mais il y a de très grandes différences dans le NUE à travers le monde, comme le montre la carte. Certains pays atteignent un faible NUE – moins de 40 %. L'Inde et la Chine, par exemple, ont un rendement de seulement un tiers. D'autres pays, en revanche, font beaucoup mieux. La France, l'Irlande, le Royaume-Uni et les États-Unis ont un rendement supérieur à deux tiers.

    Comment l'efficacité de l'utilisation de l'azote a évolué au fil du temps

    - voir cadre sur site -

    Nitrogen output vs. Nitrogen input to agriculture

    An interactive visualization from Our World in Data.

    https://ourworldindata.org/grapher/nitrogen-output-vs-nitrogen-input-to-agriculture

    Nous pouvons également examiner l'évolution du NUE au fil du temps, ce qui nous montre des différences intéressantes entre les pays.

    Dans le graphique, nous voyons le rapport entre les entrées et les sorties d'azote sous la forme d'un diagramme de dispersion connecté. Sur l'axe des y, nous avons les sorties d'azote : la quantité d'azote qui est récoltée dans les cultures. Sur l'axe des x, nous avons les entrées d'azote : ajoutées sous forme d'engrais, de fumier ou d'absorption naturelle par le sol.

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  63. La ligne grise indique où l'efficacité de l'utilisation de l'azote serait de 100 %, ce qui signifie que la totalité de l'azote ajouté a été absorbée par la culture. En réalité, il s'agit probablement d'une mauvaise nouvelle. Comme nous l'avons vu précédemment, l'apport d'azote est probablement insuffisant. Au lieu d'utiliser des intrants de synthèse, les cultures doivent prendre l'azote du sol, ce qui peut épuiser leurs sols au fil du temps.

    Idéalement, nous voulons une valeur qui augmente sur l'axe des y : un rendement plus élevé de nos cultures, mais qui ne se déplace pas de plus en plus vers la droite (ce qui indiquerait que de plus en plus d'intrants sont nécessaires pour y parvenir). Si un pays s'éloigne de la ligne grise, il devient de plus en plus inefficace. Nous voulons que les pays s'en rapprochent.

    J'ai mis en évidence certains modèles de pays intéressants. Nous constatons que des pays comme l'Inde, la Chine et l'Égypte deviennent moins efficaces. Les rendements augmentent, mais ils ont besoin de quantités croissantes d'azote pour y parvenir. C'est une courbe de rendement décroissant. Ils s'éloignent de la ligne grise centrale. La France nous offre un contre-exemple intéressant. Ces dernières années, elle a commencé à revenir sur l'axe des x pour réduire les apports d'azote. Dans le même temps, elle a lentement augmenté les rendements. Elle augmente les rendements tout en réduisant la quantité d'engrais utilisée. Le NUE s'améliore.

    Dans le coin inférieur gauche, nous voyons le Nigeria. De nombreux pays d'Afrique sub-saharienne se regroupent près de l'origine. Ils obtiennent de faibles rendements et n'appliquent que de faibles quantités d'azote à leurs cultures. Pour assurer leur sécurité alimentaire, ils doivent rapidement remonter sur l'axe des ordonnées (y).

    Nous pouvons réduire la pollution par l'azote sans baisse des rendements.

    Ainsi, l'efficacité de l'utilisation de l'azote, plutôt que la simple utilisation d'engrais, semble être un meilleur indicateur de durabilité pour nous.

    Nous pourrions supposer que tous les pays pourraient atteindre le même NUE élevé. Mais il est peut-être encore injuste de comparer les pays du monde entier de cette manière. Les différences de climat, de végétation et de types de sol font que nous ne pouvons pas obtenir partout les mêmes rendements avec les mêmes intrants. Certains pays peuvent avoir des conditions environnementales plus favorables que d'autres.

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  64. Comment pouvons-nous mieux comprendre quels sont les pays qui obtiennent de bons résultats dans ces compromis rendement-engrais ?

    Une façon intéressante d'aborder cette question est d'examiner les discontinuités des rendements et de la pollution par l'azote aux frontières internationales. C'est l'approche adoptée par David Wuepper et ses collègues dans une étude récente, publiée dans Nature.7 En examinant les discontinuités des rendements, des bilans d'azote et des intrants à travers les frontières, les chercheurs ont étudié le rôle que jouent les politiques agricoles de chaque pays. En effet, les conditions environnementales, le climat et les qualités du sol devraient être très similaires de part et d'autre de la frontière. Techniquement, ils devraient être en mesure d'atteindre un niveau similaire de NUE et des rendements similaires. S'il y a de grandes différences de rendement ou de pollution entre un pays et son voisin, nous supposerons donc que d'importants effets spécifiques au pays jouent un rôle. Il s'agit d'une « expérience naturelle » où les conditions environnementales sont constantes et où les décisions politiques sont la variable.

    Le contraste à la frontière entre le Kazakhstan et la Chine, et entre la Turquie et la Syrie en est un bon exemple. Nous pouvons le voir sur les photos aériennes. Les conditions de culture de part et d'autre devraient être similaires. Mais la Chine et la Turquie ont beaucoup plus de végétation que leurs voisins, en raison des apports de nutriments et de la façon dont ils gèrent l'agriculture.

    - voir cadre sur site -

    Grâce à l'imagerie satellitaire et aux ensembles de données géospatiales, ces chercheurs ont pu mesurer quatre paramètres clés à haute résolution sur des centaines de milliers de frontières entre pays : les bilans azotés des terres cultivées, la pollution par l'azote, les déficits de rendement (la quantité de rendement qui pourrait être augmentée avec une meilleure gestion des nutriments) et le potentiel de végétation naturelle. Ils ont trouvé des différences transfrontalières dans les trois premiers paramètres, mais pas dans le potentiel de végétation naturelle. Ce résultat est important car il signifie que notre hypothèse selon laquelle les conditions environnementales de part et d'autre des frontières sont similaires, est valide.9

    Dans ce vaste ensemble de données mondiales, les chercheurs ont constaté que la discontinuité de la pollution par l'azote à travers les frontières était beaucoup plus importante que la discontinuité des écarts de rendement. Leurs résultats suggèrent qu'il existe, à l'échelle mondiale, un potentiel considérable de réduction de la pollution par l'azote sans incidence sur les rendements des cultures.

    Ils concluent que la pollution par l'azote pourrait être réduite d'environ 35 % si les pays pollueurs devenaient aussi efficaces que leurs voisins. Cela n'aurait que peu d'impact sur les rendements agricoles, les écarts de rendement n'augmentant que de 1 %.

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  65. - voir cadre sur site -

    Which countries are overapplying nitrogen without gains in crop yields ?

    Shown is how much nitrogen pollution countries are causing compared with how much they reduce their yield gaps relative to directly neighbouring countries. Positive values (yellow to red) indicate a

    https://ourworldindata.org/grapher/yield-gap-vs-nitrogen-pollution

    Quels sont les pays qui appliquent des quantités excessives d'azote sans que le rendement des cultures s'améliore ? L'illustration montre la quantité de pollution par l'azote causée par les pays par rapport à la réduction des écarts de rendement par rapport aux pays directement voisins. Des valeurs positives (jaune à rouge) indiquent qu'un pays applique trop d'azote sans gain de rendement.

    Leurs résultats nous permettent également de comprendre quels pays utilisent l'azote de manière inefficace. La carte ci-dessus montre la comparaison entre les niveaux de pollution par l'azote des pays et leurs gains de rendement par rapport à leurs voisins. Les valeurs positives – indiquées en orange et en rouge – signifient qu'un pays pollue plus que nécessaire pour les rendements qu'il obtient. Les valeurs négatives – indiquées en bleu – signifient qu'un pays pollue moins.

    Il y a quelques points importants à garder à l'esprit. Toutes ces valeurs sont mesurées par rapport aux voisins d'un pays. Un pays peut avoir un bon score parce que son voisin obtient des rendements très faibles : la Corée du Sud en est un bon exemple. Ou un pays obtient un bon score parce que son voisin utilise l'azote de manière inefficace : la Mongolie en est un bon exemple.

    La Chine a le score le plus élevé, soit 170 %. Cela signifie qu'elle pollue par l'azote 170 % de plus que ce qui est nécessaire pour atteindre son niveau de rendement des cultures. Le Brésil, le Mexique, la Colombie et la Thaïlande sont également très pollueurs. Ce sont les pays qui appliquent le plus d'azote en excès : ils pourraient probablement réduire considérablement l'utilisation d'engrais sans affecter le rendement de leurs cultures.

    Nous partons souvent du principe que l'augmentation de la pollution est un coût inévitable si l'on tente de combler les écarts de rendement. Mais ce compromis n'existe pas toujours.

    Comment pouvons-nous utiliser l'azote plus efficacement ?

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  66. Vous remarquerez peut-être que la plupart des plus gros pollueurs sont des pays à revenu intermédiaire. Dans les années 1960 et 1970, de nombreux pays à revenu intermédiaire ont lancé leur « révolution verte » et ont considérablement augmenté leur production alimentaire. Les gouvernements ont offert des subventions aux agriculteurs pour qu'ils utilisent des engrais et d'autres intrants. Cela a rendu les engrais bon marché et a réduit les incitations pour les agriculteurs à les utiliser efficacement.10 Ces engrais bon marché sont l'une des raisons pour lesquelles ces pays apportent massivement de l'azote aujourd'hui.

    L'une des façons dont les gouvernements peuvent donc réduire la pollution par l'azote est d'ajuster le rapport entre le prix des engrais et le rendement des produits agricoles. Ils peuvent ajuster les subventions pour qu'il soit coûteux pour les agriculteurs de surutiliser les engrais. Ils pourraient aussi réaffecter ces ressources financières vers des pratiques qui ont des impacts environnementaux positifs.

    Une autre option consiste à inverser les incitations financières : au lieu de subventionner les engrais, on pourrait les taxer.

    Nous pourrions vouloir rendre les engrais plus chers pour les pays qui en font un usage excessif. Mais nous voulons en fait faire l'inverse pour les pays qui présentent de grands déficits de rendement. Comme nous l'avons vu précédemment, de nombreux pays d'Afrique subsaharienne n'utilisent pratiquement pas d'engrais. Ils obtiennent donc des rendements très faibles. L'octroi de subventions pour les engrais et autres intrants serait extrêmement bénéfique.

    L'un des défis de l'application d'engrais sur vos cultures est qu'il peut être difficile de savoir où il est nécessaire. Certaines parties de votre champ peuvent manquer d'azote alors que d'autres en ont plus qu'assez. Souvent, la solution la plus simple et la plus rapide consiste à en appliquer partout, surtout si les engrais sont largement subventionnés et bon marché. Mais avec les technologies émergentes, nous pouvons faire mieux. Grâce aux informations fournies par les drones ou les images satellites, nous pouvons mettre en place une « agriculture de précision », qui nous permet de voir exactement où les engrais sont le plus nécessaires.11 Les technologies d'amélioration des plantes pourraient également offrir de nouvelles opportunités.12 Nous pouvons essayer d'améliorer notre efficacité à utiliser l'azote, mais il est possible d'améliorer l'efficacité avec laquelle les plantes l'utilisent également.

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  67. N'oublions pas que l'une des solutions les plus prometteuses – et que nous négligeons souvent – est la plus simple et la plus ancienne de toutes. Les légumineuses – des cultures telles que les haricots, les pois et les lentilles – accomplissent leur propre magie en ce qui concerne l'azote. Elles ont la capacité de capter l'azote présent dans l'atmosphère et de le transformer elles-mêmes en azote réactif. C'est ce qu'on appelle la « fixation biologique ». Contrairement à la plupart des autres cultures pour lesquelles nous devons ajouter de l'azote, elles le créent elles-mêmes. Cultiver davantage de légumineuses – seules ou avec d'autres cultures – est l'un des moyens les plus simples d'apporter de l'azote dans le sol.

    Enfin, nous pouvons faire beaucoup en formant les agriculteurs à adopter des pratiques de gestion durable. L'étude portant sur 21 millions d'agriculteurs en Chine le montre clairement. De grands changements politiques et des avancées technologiques sont souvent nécessaires pour faire une grande différence, mais nous ne devons pas sous-estimer l'impact que peut avoir l'éducation.

    Beaucoup considèrent le rendement des cultures et la pollution de l'environnement comme un compromis inévitable. Ce n'est pas forcément le cas. Nous pouvons réduire considérablement la pollution sans réduire les rendements agricoles. Moins de pollution, plus de nourriture, des rendements plus élevés pour les agriculteurs et moins de terres agricoles, voilà un problème qui présente de multiples avantages si nous parvenons à mettre en œuvre les bonnes solutions.

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  68. Notes

    1
    Cui, Z., Zhang, H., Chen, X., Zhang, C., Ma, W., Huang, C., … & Dou, Z. (2018). Pursuing sustainable productivity with millions of smallholder farmers. Nature, 555(7696), 363-366.
    2
    Erisman, J. W., Sutton, M. A., Galloway, J., Klimont, Z., & Winiwarter, W. (2008). How a century of ammonia synthesis changed the world. Nature Geoscience, 1(10), 636-639.
    Smil, V. (2004). Enriching the Earth: Fritz Haber, Carl Bosch, and the Transformation of World Food Production. MIT Press.
    3
    Si les rendements agricoles étaient restés à leur niveau de 1961, nous aurions besoin de près de trois fois plus de terres agricoles aujourd'hui (pour assurer la production alimentaire en 2019). Les gains de rendement des cultures ont permis de « sauver » 1,7 milliard d'hectares de terres. C'est l'équivalent d'une superficie égale à celle des États-Unis et du Brésil réunis.
    4
    Le vrai « football » pas le football américain.
    5
    Mueller, N. D., Gerber, J. S., Johnston, M., Ray, D. K., Ramankutty, N., & Foley, J. A. (2012). Closing yield gaps through nutrient and water management. Nature, 490(7419), 254-257.
    6
    Lassaletta, L., Billen, G., Grizzetti, B., Anglade, J., & Garnier, J. (2014). 50 year trends in nitrogen use efficiency of world cropping systems: the relationship between yield and nitrogen input to cropland. Environmental Research Letters, 9(10), 105011.
    7
    Wuepper, D., Le Clech, S., Zilberman, D., Mueller, N., & Finger, R. (2020). Countries influence the trade-off between crop yields and nitrogen pollution. Nature Food, 1(11), 713-719.
    8
    Wuepper, D., Le Clech, S., Zilberman, D., Mueller, N., & Finger, R. (2020). Countries influence the trade-off between crop yields and nitrogen pollution. Nature Food, 1(11), 713-719.
    9
    Dans les quelques cas où le potentiel de végétation naturelle variait d'un pays à l'autre, les résultats ont été corrigés en conséquence.
    10
    Kurdi, Sikandra; Mahmoud, Mai; Abay, Kibrom A.; and Breisinger, Clemens. 2020. Too much of a good thing? Evidence that fertilizer subsidies lead to overapplication in Egypt. MENA RP Working Paper 27.
    11
    Finger, R., Swinton, S. M., El Benni, N., & Walter, A. (2019). Precision farming at the nexus of agricultural production and the environment. Annual Review of Resource Economics, 11, 313-335.
    12
    Walter, A., Finger, R., Huber, R., & Buchmann, N. (2017). Opinion: Smart farming is key to developing sustainable agriculture. Proceedings of the National Academy of Sciences, 114(24), 6148-6150.
    _____________

    * Source : Can we reduce fertilizer use without sacrificing food production? - Our World in Data

    https://seppi.over-blog.com/2021/09/peut-on-reduire-l-utilisation-des-engrais-sans-sacrifier-la-production-alimentaire.html

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    1. Il faut garder e tête que les graphiques parlent de pays ! Or 'un pays' a des sols divers !
      Les sols peuvent être sablonneux, argileux, calcaire, etc. Les sols (cultures) demandent parfois peu ou beaucoup d'eau. C'est à dire l'indice de pénétration, et suivant les cultures !
      Le melon, pastèque, concombre, par exemple demandent beaucoup d'arrosages. Donc, il y a parfois selon les sols la perte des engrais qui s'en vont trop profondément !
      L'on doit donc tenir compte de la plante, de la fréquence des pluies ou d'arrosage par canaux et de l'ensoleillement, ainsi que des besoins de la plante. Le NPK est différent pour chaque plante.

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  69. Non, le gouvernement états-unien ne paie pas les agriculteurs pour détruire leurs récoltes


    19 Septembre 2021
    Amanda Zaluckyj, AGDAILY*


    Les mythes sur l'alimentation et l'agriculture semblent ressembler de près à la légendaire Hydre de Lerne. Dans la mythologie grecque, Hercule a héroïquement affronté le serpent d'eau à plusieurs têtes. Chaque fois qu'Hercule coupait une de ses têtes, l'Hydre en régénérair deux autres. Il semble donc que chaque fois que nous réfutons des informations erronées sur l'agriculture moderne, deux autres poussent à sa place.

    Malheureusement, il semble que les agriculteurs soient les coupables cette fois-ci. De nombreux agriculteurs ont posté des vidéos sur TikTok affirmant avoir reçu leur « avis de destruction de cultures » de la part du Département américain de l'Agriculture. Certains ont même posté des vidéos d'eux-mêmes en train de faucher du soja ou de détruire des tiges de maïs. Il n'a pas fallu longtemps pour que les vidéos deviennent virales et perdent le contexte « juste pour rire ».

    C'est catégoriquement faux. L'USDA a déclaré à Snopes qu'aucun agriculteur n'est payé pour détruire ses cultures. L'USDA ne ferait jamais une telle demande. Il n'a probablement pas l'autorité pour le faire de toute façon, à moins que la nourriture ne soit contaminée ou empoisonnée.

    - voir clip sur site -

    Au contraire, l'USDA achète souvent des produits et d'autres aliments pour ses programmes nutritionnels. Cette semaine encore, l'USDA a annoncé un achat important de raisins destinés à être distribués dans le cadre de programmes d'aide alimentaire. Plus tôt dans l'année, le département a révélé qu'il achèterait pour 159,4 millions de dollars de produits de la mer, de légumineuses, de fruits et de noix pour lutter contre l'insécurité alimentaire causée par la pandémie de Covid-19.

    Et c'est logique : l'USDA ne détruit pas les cultures, il achète les aliments pour les donner à ceux qui en ont besoin.

    Alors pourquoi une telle chose est-elle si crédible ? Croyez-le ou non, il existe un moyen de tirer une conclusion logique. Au début de la pandémie, les chaînes d'approvisionnement alimentaire ont été perturbées, les fermes perdant soudainement leur clientèle – écoles, restaurants et centres d'événements. Et certaines fermes ont été obligées de jeter et de se débarrasser de leurs produits.

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  70. Mais l'USDA n'avait rien à voir là-dedans ; c'était une question de marché.

    Il y a une autre raison : cela s'est réellement produit il y a longtemps. La Grande Dépression avait également perturbé les chaînes d'approvisionnement, et les agriculteurs se sont retrouvés avec un excédent de marchandises qu'ils ne pouvaient pas vendre. Les prix ont chuté avec des marchés inondés par l'offre. Avec d'autres pays, les États-Unis ont tenté de résoudre le problème en promulguant l'Agricultural Adjustment Act de 1933. En vertu de cette loi, le gouvernement fédéral a payé les agriculteurs pour qu'ils ne sèment et ne plantent pas, et a même acheté des produits agricoles uniquement pour les détruire.

    Mais ces mesures n'ont pas fonctionné. Le marché ne s'est pas redressé. Et il est rapidement apparu qu'un tel programme était mal adapté. Les chômeurs américains mouraient de faim ou de malnutrition tandis que le gouvernement forçait le gaspillage de bons aliments. À l'automne 1933, le président Franklin Delano Roosevelt débloqua 75 millions de dollars pour acheter de la nourriture et la redistribuer aux masses affamées. Bien que l'approche de l'AAA n'ait pas duré longtemps, le problème qu'elle posait s'est ancré dans la conscience de l'Amérique. Ainsi, aujourd'hui encore, les gens pensent que l'USDA détruirait de la nourriture au lieu de la donner à ceux qui en ont besoin.

    À l'ère moderne, le seul programme gouvernemental qui permet aux agriculteurs d'être payés sans cultiver est le Conservation Reserve Program (CRP). Le président Ronald Reagan a signé la loi sur le CRP en 1985. Il incite les agriculteurs à laisser certains champs intacts à des fins environnementales. Le président Joe Biden a encouragé les agriculteurs à en tirer parti dans le cadre de la recherche de moyens de lutte contre le changement climatique. Mais il ne s'agit pas d'une voie facile, et elle est probablement sous-utilisée. Et un programme de conservation est bien différent d'un décret exigeant des agriculteurs qu'ils détruisent leurs cultures.

    Donc, pour mémoire : non, l'USDA ne paie pas les agriculteurs pour détruire leurs cultures. J'espère juste que ces garçons sur TikTok seront plus prudents la prochaine fois qu'ils voudront faire une farce « inoffensive » à tout le monde. Parce que cette blague s'est transformée en une nouvelle tête d'Hydre que nous devrons couper pendant les années à venir.
    _____________

    * Amanda Zaluckyj tient un blog sous le nom The Farmer's Daughter USA. Son objectif est de promouvoir les agriculteurs et de lutter contre la désinformation qui tourbillonne autour de l'industrie agroalimentaire américaine.

    Source : Government isn’t paying farmers to destroy their crops | AGDAILY

    https://seppi.over-blog.com/2021/09/non-le-gouvernement-etats-unien-ne-paie-pas-les-agriculteurs-pour-detruire-leurs-recoltes.html

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  71. L'effet d'entraînement de la Révolution Verte sur les autres cultures


    20 Septembre 2021
    Jack DeWitt, AGDAILY*


    J'ai déjà écrit sur les débuts de la Révolution Verte et sur certaines de ses réalisations. Les variétés de blé développées par Norman Borlaug et son équipe mexicaine ont envahi l'Asie dans les années 1960, rendant le Pakistan et l'Inde autosuffisants en blé à la fin de la décennie. Norman Borlaug était un héros pour les agriculteurs de ces pays et d'autres, et ses réalisations ont attiré l'attention du monde entier. Le comité Nobel d'Oslo lui a décerné le prix Nobel de la paix en 1970, estimant que son travail avait permis d'éviter non seulement la famine, mais aussi les troubles politiques qu'une famine généralisée peut entraîner.

    Les travaux de Borlaug ont incité d'autres personnes à reproduire ses résultats sur d'autres cultures. En 1962, l'Institut International de Recherche sur le Riz (IRRI) a été construit et inauguré sur un terrain donné par l'Université des Philippines.

    Les chercheurs se sont mis au travail pour appliquer les méthodes de Borlaug au riz. Grâce à quelques coups de chance, les chercheurs Peter Jennings et Te-Tzu Chang parviennent, après seulement trois générations de croisements, à créer un riz nain au rendement exceptionnel et résistant aux maladies. Baptisée IR8, cette plante a été multipliée et testée dans des exploitations agricoles d'Asie du Sud et de l'Est, avec des résultats spectaculaires. Dans certaines parcelles, son rendement était dix fois supérieur à celui des variétés conventionnelles du début des années 1960.

    L'IR8 a été mis à la disposition du public en 1966. Grâce au blé de Borlaug et au riz de Jennings-Chang, la famine fut éradiquée en Asie, y compris en Chine. La population a augmenté comme prévu au cours des décennies suivantes, mais les Asiatiques avaient en moyenne 30 % de calories en plus dans leur alimentation.

    Il y a cependant eu des conséquences inattendues, et les critiques se sont empressés de les instrumentaliser. Selon Charles Mann, l'auteur de « The Wizard and the Prophet » (le magicien et le prophète), « entre 1970 et 1989, plus de trois cents études académiques sur la Révolution Verte ont été publiées. Quatre sur cinq étaient négatives. »

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  72. Il y avait des coûts sociaux et des coûts environnementaux. Mann les énumère : « La fertilisation intensive imposée par la Révolution Verte a fortement contribué aux problèmes d'azote sur la terre et dans l'eau. Les pesticides ont fait des ravages dans les écosystèmes agricoles et ont parfois empoisonné les sources d'eau potable. Des systèmes d'irrigation mal construits et mal gérés ont drainé les aquifères. Les sols se sont gorgés d'eau ou, pire, se sont chargés de sels lorsque l'eau s'est évaporée. »

    Ces problèmes ne sont pas des problèmes de la Révolution Verte, en soi. Ce sont des problèmes de gestion des sols et de l'eau. Les agriculteurs doivent être instruits sur la manière de faire correspondre les besoins en engrais et en eau avec les rendements attendus.

    Les problèmes sociaux étaient surtout d'origine politique. En Inde, de nombreux petits exploitants pratiquant une agriculture de subsistance n'ont pas pu ou voulu financer les intrants nécessaires pour obtenir les rendements élevés dont les nouvelles variétés étaient capables. Des milliers d'entre eux ont perdu leurs fermes et ont déménagé dans les villes. Certains grands propriétaires terriens qui avaient de nombreux locataires ont renvoyés ces derniers et ont repris leurs exploitations afin de s'approprier une plus grande partie des bénéfices.

    Ces résultats sont malheureux, mais, encore une fois, ils ne sont pas directement imputables à la Révolution Verte.

    C'était un échec du soutien et de la réglementation des gouvernements. Dans les endroits où les intrants étaient administrés de manière plus raisonnable, ces effets négatifs ont été évités. Mann relate les résultats constatés par lui-même et par quelques journalistes qui ont rendu visite à des petits agriculteurs des années après l'introduction des variétés de Borlaug.

    Des agriculteurs du Pendjab ont déclaré au journaliste Joel Bourne : « Il n'y a jamais rien eu de tel de leur vivant. La première saison, ils ont produit tellement de blé qu'ils n'avaient pas de place pour le stocker. Ils ont fermé les écoles et les ont remplies de céréales. »

    Le journaliste Harish Damodaran a interviewé de vieux agriculteurs près de Delhi en 2016 : ils lui ont raconté que leurs récoltes avaient triplé. « C'était un miracle. [...] Cela a totalement changé nos vies. »

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  73. Mann a rendu visite dans l'État du Maharashtra à des agriculteurs en 1980 qui n'étaient pas riches, mais un agriculteur lui a dit « avec une fierté tranquille que lui et tous ses frères avaient maintenant des bicyclettes. »

    Une critique valable de la Révolution Verte est que l'introduction de variétés de blé à haut rendement a poussé la production de légumineuses vers les terres marginales, et les légumineuses sont une source importante de protéines. Cependant, l'Inde reste le plus grand producteur de légumineuses au monde (25 %) et aussi le plus grand consommateur (27 %), de sorte que les importations sont une nécessité.

    Les écologistes citent ces faits et appellent à un retour à une agriculture à faibles intrants pour employer les paysans et « sauver » les sols. (Avant la Révolution Verte, les paysans indiens cultivaient souvent des légumineuses en association avec du blé comme apport d'azote). Ces critiques sont des personnes qui n'ont jamais eu faim (sauf volontairement) et qui n'ont jamais fait personnellement l'expérience de la pénibilité et de l'absence de perspectives de l'agriculture de subsistance, ni appris la base réelle des sols productifs. (Nous reviendrons sur ce sujet dans de futurs articles.) Pour qu'une société prospère, les agriculteurs doivent produire un excédent pour nourrir les non-agriculteurs. Un agriculteur américain produit pour 166 personnes.

    Un article de recherche paru dans le Journal of Political Economy, intitulé Two blades of Grass : The Impact of the Green Revolution (deux brins d'herbe : l'impact de la Révolution Verte – voir ici sur ce blog et ici pour une version antérieure de l'article scientifique), indique : « Nous constatons que les VHR (variétés à haut rendement) ont permis d'augmenter les rendements de 44 % entre 1965 et 2010, les gains supplémentaires provenant de la réaffectation des intrants. Les rendements plus élevés ont augmenté les revenus et réduit la croissance démographique. Un retard de 10 ans de la Révolution Verte aurait coûté, en 2010, 17 % du PIB (produit intérieur brut) par habitant et ajouté 223 millions de personnes à la population du monde en développement. »

    Pour conclure, je cite à nouveau Charles Mann : « Même si la population du continent a explosé, les Asiatiques avaient en moyenne 30 % de calories en plus dans leur alimentation. Des millions et des millions de familles avaient plus de nourriture, de meilleurs vêtements, de l'argent pour l'école. Séoul et Shanghai, Jaipur et Jakarta : des gratte-ciel étincelants, des hôtels coûteux, des rues encombrées de néons – le tout construit sur une base de riz (et de blé) créé en laboratoire. »
    _____________

    * Jack DeWitt est un agriculteur-agronome dont l'expérience agricole s'étend sur plusieurs décennies, depuis la fin de l'élevage de chevaux jusqu'à l'âge du GPS et de l'agriculture de précision. Dans son livre « World Food Unlimited », il raconte tout et prédit comment nous pouvons avoir un monde futur avec une nourriture abondante. Une version de cet article a été republiée par Agdaily à partir de Agri-Times Northwest avec l'autorisation de l'auteur.

    Source : The Green Revolution's ripple effect on other crops | AGDAILY

    https://seppi.over-blog.com/2021/09/l-effet-d-entrainement-de-la-revolution-verte-sur-les-autres-cultures.html

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  74. Les factures d’électricité pourraient exploser au début de l’année prochaine


    22:20 20.09.2021


    Les prix des énergies ne cessent de grimper ces derniers temps et risquent de poursuivre leur mouvement ascendant au début de 2022, estime l’Union fédérale des consommateurs-Que Choisir. Elle rappelle toutefois que les pouvoirs publics disposent de moyens de l’éviter et appelle les consommateurs à agir.

    Selon les calculs de l’UFC-Que choisir, le prix de l’électricité pourrait de nouveau s'envoler de 10% au début de l’année prochaine.

    La société a procédé à une estimation de l’évolution des tarifs ainsi qu’aux raisons de cette nouvelle augmentation pour conclure que c’était dû en premier lieu à la flambée des prix de l’électricité sur les marchés de gros. En effet, le 15 septembre, les prix spots pour la France ont atteint dans la soirée sur les deux principales bourses européennes (EPEX et Nord Pool) 196,58 euros le mégawattheure (MWh), d’après le site RTE-France, le gestionnaire du réseau de transport d'électricité. Et il n’a pas vraiment reculé depuis puisque le chiffre est de 185,8 euros/MWh ce 20 septembre. À titre de comparaison, le MWh valait environ 178 euros en 2019, selon le ministère de la Transition écologique. Un MWh d'électricité, c'est la consommation approximative d'un ménage français sur un mois.

    L’autre raison est le volume d’électricité d’origine nucléaire que le géant EDF doit céder au prix fixe de 42 euros le mégawattheure afin d'éviter qu’il soit seul à profiter de la rente de l'atome. Le dispositif de l'ARENH (Accès régulé à l'électricité nucléaire historique) oblige EDF à partager avec les fournisseurs alternatifs jusqu'à 100 térawattheures (TWh) d'électricité au coût de production. Un chiffre jugé insuffisant par l’UFC-Que choisir.

    «Tout porte à croire que la demande totale d’ARENH atteindra un volume record. En partant du postulat prudent qu’elle sera de 170 TWh, le plafond légal de 100 TWh sera largement dépassé, et les fournisseurs devront en conséquence davantage s’approvisionner sur les marchés de gros», constate l’union.
    Or, les prix y sont actuellement très élevés, rappelle-t-elle. En faisant l’hypothèse que d’ici à la fin de l’année, ils s’établiront en moyenne à 100 euros le MWh, la hausse pourrait atteindre près de 10% TTC.

    «Concrètement, cela représentera une augmentation moyenne de 150 euros sur la facture annuelle d’électricité d’un ménage l’utilisant pour le chauffage […] Au global, l’augmentation de la facture d’électricité depuis le 1er janvier 2019 sera alors de 25 %.»

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  75. Le gaz et le carburant aussi

    Une hausse qui sera d’autant plus sensible que d’autres ont déjà plombé le budget des Français récemment. Ainsi, le SP95 a grimpé de 20 % en un an pour avoisiner désormais les deux euros le litre. Le gaz lui a emboîté le pas, avec +7,9 % TTC au 1er septembre. Cette majoration avait été annoncée le 27 août dernier par la Commission de régulation de l'énergie (CRE) qui l’avait expliquée par la reprise économique mondiale et la forte augmentation du prix de l'or bleu sur le marché international.

    Dans ce contexte, le gouvernement français promet de verser une aide «exceptionnelle» de 100 euros aux 5,8 millions de Français bénéficiaires du «chèque énergie» afin de préserver leur pouvoir d'achat face à la hausse des prix, a fait savoir Matignon le 15 septembre.

    Toutefois, la majoration risque d’être «bien au-delà du coup de pouce de 100 euros du chèque énergie», indique l’union, rappelant que «80% des ménages» en sont d’ailleurs privés.

    Une pétition

    L’UFC-Que choisir explique encore que le tiers de la facture d’électricité est constitué de différentes taxes et contributions. Ces dernières rapportent un milliard d’euros à l’État, mais coûtent 57 euros par an à un ménage se chauffant à l’électricité, 48 euros pour un logement équipé pour le gaz et 79 euros à qui utilise du fioul. Dans ce contexte, l’UFC souligne que la fin de la TVA sur les taxes énergétiques permettrait de faire baisser la facture concernant les carburants, le gaz et le fioul domestique.

    Dans ce but, elle appelle à signer une pétition, intitulée TVA sur les taxes énergétiques: halte à l’escalade fiscale.

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  76. Le gaz et le carburant aussi

    Une hausse qui sera d’autant plus sensible que d’autres ont déjà plombé le budget des Français récemment. Ainsi, le SP95 a grimpé de 20 % en un an pour avoisiner désormais les deux euros le litre. Le gaz lui a emboîté le pas, avec +7,9 % TTC au 1er septembre. Cette majoration avait été annoncée le 27 août dernier par la Commission de régulation de l'énergie (CRE) qui l’avait expliquée par la reprise économique mondiale et la forte augmentation du prix de l'or bleu sur le marché international.

    Dans ce contexte, le gouvernement français promet de verser une aide «exceptionnelle» de 100 euros aux 5,8 millions de Français bénéficiaires du «chèque énergie» afin de préserver leur pouvoir d'achat face à la hausse des prix, a fait savoir Matignon le 15 septembre.

    Toutefois, la majoration risque d’être «bien au-delà du coup de pouce de 100 euros du chèque énergie», indique l’union, rappelant que «80% des ménages» en sont d’ailleurs privés.

    Une pétition

    L’UFC-Que choisir explique encore que le tiers de la facture d’électricité est constitué de différentes taxes et contributions. Ces dernières rapportent un milliard d’euros à l’État, mais coûtent 57 euros par an à un ménage se chauffant à l’électricité, 48 euros pour un logement équipé pour le gaz et 79 euros à qui utilise du fioul. Dans ce contexte, l’UFC souligne que la fin de la TVA sur les taxes énergétiques permettrait de faire baisser la facture concernant les carburants, le gaz et le fioul domestique.

    Dans ce but, elle appelle à signer une pétition, intitulée TVA sur les taxes énergétiques: halte à l’escalade fiscale.

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  77. Les Antilles sont loin de la métropole. Ces cris de détresse parviennent, de façon individuelle, étouffés par la peur. N'oublions pas qu'il s'agit de tester ce qui va bientôt débarquer en métropole. Une proposition de loi instaurant la vaccination universelle obligatoire contre le covid-19 sera débattue en séance publique au sénat mercredi 13 octobre, annonce le sénateur Bernard Jomier, en remerciant ses collègues du groupe socialiste, écologiste et républicains pour leur engagement courageux en faveur de la vaccination. Il faut du courage pour prendre le parti du gouvernement et de BigPharma ? Ah bon.

    https://lemediaen442.fr/euthanasie-aux-antilles-des-collegues-en-burn-out-mont-appelee-pour-me-dire-sonia-jai-tue-des-gens/

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