Les fous ne sont que minoritaires et entretiennent un pouvoir débile (NWO) au sein de cette nano-communauté. Leur objectif est de faire des copies de ces trisomiques parfaitement corvéables, manipulables et domestiqués à l'extrême. Le 'premier' pas (après les chemtrails) est l'inoculation de nano-particules qui deviennent mortelles par simple émission d'onde à partir de la 5G. Ces oxydes de graphène (40 mille milliards de nano-particules par flacon à injecter !! Ils représentent entre 95 et 99 % de la composition proposée dans l'expérimentation génique d'essais !) sont très dangereuses car, premièrement, elles suppriment toutes immunités naturelles !! ce qui rend le corps des victimes à être de véritables laboratoires ambulants où déjà des millions de victimes ont succombé.
Un lanceur d'alerte du gouvernement lance une bombe majeure sur le fait que les vaccins contre le covid sont «pleins de merde»
Mardi 21 septembre 2021 par : Ethan Huff
(Natural News) Le projet Veritas l'a encore fait avec un nouvel exposé qui fait exploser le couvercle sur l'arnaque du "vaccin" contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19).
Jodi O'Malley, RN, employée du département américain de la Santé et des Services sociaux (HHS) et infirmière du Phoenix Indian Medical Center en Arizona, s'est récemment présentée comme dénonciatrice pour raconter les horreurs qui se déroulent dans son hôpital. Non seulement les gens tombent malades et meurent des injections de Donald « père du vaccin » de Trump « Opération Warp Speed », mais le gouvernement essaie de tout dissimuler tout en privant les patients de médicaments qui pourraient réellement les aider.
Dans la vidéo ci-dessous de Brighteon.com, O'Malley parle au fondateur de Project Veritas, James O'Keefe, de la situation au Phoenix Indian Medical Center. Les deux discutent des images capturées d'autres médecins de l'établissement géré par le gouvernement, admettant que les vaccins contre la grippe Fauci sont "pleins de merde".
Un médecin, le Dr Maria Gonzales, qui travaille aux urgences du Phoenix Indian Medical Center, est vu exprimer sa colère et son inquiétude face à l'utilisation continue d'injections de virus chinois, qui ne sont étayées par aucune véritable science.
"Le problème ici, c'est qu'ils ne font pas les études", explique le Dr Gonzales. « Les personnes qui avaient [covid] et les personnes qui ont été vaccinées – elles ne font aucun test d’anticorps. »
« Tout le monde est silencieux avec ça. Pourquoi ?"
Dans ce clip particulier, O'Malley avait une conversation avec le Dr Gonzales et était d'accord avec elle. O'Malley s'est ensuite adressé à un patient qui, immédiatement après avoir reçu sa deuxième dose de l'injection, a subi de graves effets indésirables.
« Maintenant, vous avez ce gars dans la salle quatre qui a reçu sa deuxième dose du vaccin [covid] mardi et qui a le souffle court. D'accord ? Maintenant, son BNP est élevé. D dimère, ALT, toutes ses enzymes hépatiques sont élevées. Son PTPTINR est élevé.
Le Dr Gonzales répond ensuite à propos du patient : « Il a probablement une myocardite ! Tout ça, ce sont des taureaux***. Maintenant, probablement une myocardite due au vaccin. Mais maintenant, ils [le gouvernement] ne vont pas blâmer le vaccin. »
O'Malley répond ensuite que le gouvernement a l'obligation légale de signaler les complications, ce à quoi le Dr Gonzales admet que ce signalement n'a pas lieu "parce qu'il veut le mettre sous le tapis".
Un employé de l'hôpital qui ne voulait pas prendre de covid jab mais qui a été menacé meurt après l'injection Le cas dont les deux parlaient concernait un patient « trentenaire » qui a fini par recevoir un diagnostic d'insuffisance cardiaque congestive. Cela n'a pas été signalé, ni aucun des dizaines d'autres cas similaires observés dans l'établissement ces derniers jours.
"Donc, la responsabilité de chacun est de rassembler ces données et d'en faire rapport", a ensuite déclaré O'Malley au Dr Gonzales. « Si nous ne recueillons pas de données [vaccin contre le covid] et ne les rapportons pas, alors comment allons-nous dire que cela est sûr et approuvé pour une utilisation ?
Il s'avère qu'il n'y a eu aucun rapport au cours des deux dernières années, ce que O'Malley et le Dr Gonzales admettent tous deux comme "super louche".
À grand risque pour elle-même, O'Malley a finalement décidé de se manifester après qu'un de ses collègues qui ne voulait pas se faire piquer ait été contraint de le faire, même si cela allait directement à l'encontre de ses croyances religieuses sincères.
Cette personne est tombée gravement malade environ deux semaines après avoir reçu une piqûre et n'était jamais tombée malade une seule fois au cours des 18 mois précédant son travail en tant que personne non vaccinée à l'USI. Ce n'est qu'après que cette personne a reçu l'injection sous la contrainte qu'elle est tombée malade et est finalement décédée.
"Elle ne voulait pas prendre [le vaccin contre le covid] à cause de ses croyances religieuses et elle a été forcée de le prendre", a révélé O'Malley à O'Keefe, fondant en larmes.
«C'est comme personne – personne ne devrait avoir à décider entre son gagne-pain, faire partie de l'équipe à l'hôpital ou prendre le vaccin [covid].
De l'avis d'O'Malley, elle a le devoir de se manifester et de dire la vérité. Devant sa famille et devant Dieu, dit-elle, c'est la bonne chose à faire, et elle a confiance que Dieu prendra soin d'elle malgré toutes les conséquences terrestres qui pourraient survenir.
"C'est le mal au plus haut niveau", dit O'Malley. « Vous avez la FDA, vous avez le CDC, qui sont tous deux censés nous protéger, mais ils sont sous le gouvernement. Et tout ce que nous avons fait jusqu'à présent n'est pas scientifique.
Des employés de l'hôpital menacés de licenciement pour avoir administré de l'ivermectine à des patients O'Malley et d'autres au Phoenix Indian Medical Center reconnaissent que de nombreux patients malades et mourants qu'ils voient chaque jour pourraient être aidés par l'ivermectine. Le problème est qu'ils ont tous été menacés de licenciement pour l'avoir administré.
Une partie de la séquence ci-dessus montre une autre employée se disputant avec O'Malley au sujet de l'ivermectine, expliquant qu'elle ne veut pas risquer son travail en le donnant aux patients même si cela pourrait les aider à vivre.
Et dire que personne ne mourrait si l'ivermectine était administrée de la même manière qu'en Inde, où seul un pourcentage à un chiffre de la population a reçu le vaccin et où l'ivermectine est distribuée gratuitement par le gouvernement.
Viendra-t-il un jour où les Américains se réveilleront enfin face à l'arnaque de la plandémie et demanderont l'accès à l'ivermectine et à d'autres remèdes simples et faciles comme l'hydroxychloroquine (HCQ) et le thé vert (EGCG) ?
"Je ne dirais pas nécessairement que j'ai peur parce que ma foi réside en Dieu et non en l'homme", a déclaré O'Malley à O'Keefe. « Donc, j'ai deux enfants plus âgés qui sont seuls et j'ai un enfant de douze ans à la maison dont je m'occupe seul, mais vous savez, quel genre de personne serais-je si je savais tout cela - c'est le mal.
"En fin de compte, il s'agit de votre santé, et vous ne pourrez jamais la récupérer - et de votre liberté, et de vivre dans une société pacifique, et je me dis:" Non, non, c'est la colline qui Je mourrai.'
Pour suivre les dernières nouvelles sur la tyrannie des injections du coronavirus de Wuhan (Covid-19), visitez Fascism.news.
Bas-Rhin : anti-pass sanitaire, Martine Wonner lance Ensemble pour les libertés, une "force de rassemblement"
Exclue de La REM pour son opposition au plan de déconfinement, puis de son groupe parlementaire pour ses prises de position contre le pass sanitaire, Martine Wonner lance ce 14 septembre Ensemble pour les libertés : une "force de rassemblement" destinée à soutenir ses actions.
le 14/09/2021 à 19h31
La députée du Bas-Rhin Martine Wonner a lancé le 14 septembre Ensemble pour les libertés, une "force de rassemblement"
Ensemble pour les libertés, "ce n'est pas un parti" assure Martine Wonner. C'est en tout cas une nouvelle étape dans la vie politique mouvementée de la parlementaire, habituée des prises de position à contre-courant et des propos polémiques. Lors d'une conférence de presse, ce mardi 14 septembre, la députée de la 4e circonscription du Bas-Rhin a officiellement lancé son association : "une force de rassemblement citoyenne" pour défendre "les valeurs de bienveillance et de respect (…) loin de la politique politicienne."
Pourtant, ce "mouvement" associatif, auquel elle convie tout un chacun, y ressemble fort, à en croire ses statuts présentés sur le site nouvellement créé. L'article 2 stipule : "Cette association a pour objet le soutien, l'accompagnement et la contribution aux actions présentes et futures de Martine Wonner."
Plus que jamais, la députée bas-rhinoise se sent pour mission de fédérer "les citoyens (qui) veulent aujourd'hui se retrouver (…) pour simplement revendiquer le respect des droits fondamentaux", "dans le rejet des partis politiques actuels." Pour cette médecin psychiatre, aller à contre-courant, même de ses amis politiques, ne date pas d'hier. "Cette liberté de parole, cette liberté de pensée, cette liberté d'action que j'ai, n'ont pas commencé avec la crise sanitaire" rappelle-t-elle durant sa conférence. Mais la crise les a mises en lumière. Rebondir politiquement
Début mai 2020, cette fervente défenseuse de l'hydroxychlorochine est exclue de son parti, La REM, pour avoir voté contre le plan de déconfinement du gouvernement. Le 18 juillet dernier, elle l'est également de son groupe parlementaire à l'assemblée Liberté et Territoire, suite à des propos virulents contre le pass sanitaire. Et aujourd'hui, elle poursuit son rôle d'égérie des manifestants "contre le pass, qui est un outil de stigmatisation, un outil de division", et revendique "la liberté contre l'extorsion vaccinale."
Pour appuyer sa position, Martine Wonner cite des principes énoncés dans plusieurs textes fondateurs : les hommes "libres et égaux en droit" de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789, les "droits aliénables" du préambule à la Constitution de 1946, le "principe de non-discrimination" de l'article 225 du Code pénal, ou encore le respect "de toutes les personnes, leur autonomie, leur volonté, sans aucune discrimination" du serment d'Hippocrate qu'elle a elle-même prononcé en 1991.
Elle dénonce avec force ce qu'elle nomme la "dérive liberticide totalement surréaliste" et "les actions fébriles et incohérentes" du gouvernement qui, selon elle, "n'a pas su gérer cette crise depuis le début" et "a entraîné la perte de confiance de tous les citoyens."
Cinq thématiques de réflexion
Elle explique qu'elle lance "cette force de rassemblement" "pour accompagner les projets en toute bienveillance." Toutes les personnes intéressées, "qui veulent agir et faire entendre leur voix" peuvent s'inscrire sur le site d'Ensemble pour les libertés, qui doit "devenir un outil entre les mains des citoyens", opposé à une "ultra-centralisation (…) délétère", à partir de cinq thématiques : gestion de la crise sanitaire, société, territoires et identité numérique.
Car, la députée en est persuadée, "la démocratie, ce n'est pas la pensée unique, le tout sécuritaire (…) Les Français en ont plus qu'assez, et veulent se retrouver dans cette force de rassemblement qu'on leur propose aujourd'hui" assure-t-elle. En donnant d'ores et déjà rendez-vous "dans quelques semaines" pour "une belle conférence de presse", cette fois avec tous ceux qui auront adhéré à ses propositions.
Lors d'une audition en direct réalisée le 17 septembre, le comité consultatif sur les vaccins de la Food and Drug Administration s'est réuni pour débattre et voter sur la demande de Pfizer et BioNTech d'offrir des injections de rappel au grand public. La réunion a duré plus de 8 heures et contient des révélations choquantes.
21 septembre 2021
Steve Kirsch, directeur exécutif du "Covid-19 Early Treatment Fund", a révélé que 👉les vaccins Covid-19 tuent plus de personnes qu'ils n'en sauvent.
"Je vais concentrer mes remarques aujourd'hui sur l'éléphant dans la pièce dont personne n'aime parler, que les vaccins tuent plus qu'ils n'en sauvent.
Nous avons été amenés à croire que les vaccins étaient parfaitement sûrs, mais ce n'est tout simplement pas vrai. 👉Par exemple, les crises cardiaques surviennent 71 fois plus souvent après ces vaccins par rapport à tout autre vaccin".
Steve Kirsch a ensuite poursuivi sa présentation en montrant une diapositive intitulée « Excess Death: Life ratio is UNACCEPTABLE ». La diapositive montre combien d'excès de décès se sont manifestés après la vaccination pour sauver une vie face à la Covid-19.
"Les chiffres du VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System) sont statistiquement significatifs, mais les autres chiffres sont troublants." dit Steve Kirsch. "Même si les vaccins avaient une protection à 100 %, ça signifie toujours que nous tuons 2 personnes pour sauver 1 vie".
Steve Kirsch poursuit en disant:
"Quatre experts ont effectué des analyses en utilisant des sources de données non américaines complètement différentes et tous sont parvenus à environ le même nombre d'excès de décès liés au vaccin, 👉soit environ 411 décès par million de doses. Cela se traduit par 115 000 personnes décédées (à cause des vaccins Covid-19)." Il a ensuite souligné de sérieuses préoccupations concernant les données provenant d’Israël.
👉 "Les vrais chiffres confirment que nous tuons plus que nous n'en sauvons. Et j'adorerais regarder les données du ministère israélien de la Santé sur les 90 ans et plus, 👉où nous sommes passés d'un groupe vacciné de 94,4 % à 82,9 % au cours des 4 derniers mois." 😱
"Dans le plus optimiste, 👉cela signifie que 50 % des personnes vaccinées sont décédées et 0 % des personnes non vaccinées sont décédées. À moins que vous ne puissiez expliquer cela au public, vous ne pouvez pas approuver les boosters".
Peter Marks, le principal responsable de la réglementation des vaccins de la FDA, a ensuite demandé aux membres du comité d'examiner "la totalité des preuves afin de nous faire votre recommandation".
👉À la suite des preuves entendues, ils ont répondu par un vote retentissant de 16–2 CONTRE des injections de rappel à toute personne de plus de 16 ans. Steve Kirsch fait toutes ces affirmations à 4:20 de la vidéo.
Conquis par une fausse pandémie, nous pouvons embrasser l'Amérique au revoir
Par Paul Craig Roberts PaulCraigRoberts.org 21 septembre 2021
À quel point cela doit-il être évident avant que même des Américains insouciants se rendent compte qu'il y a quelque chose qui ne va vraiment pas dans le programme de vaccination contre le Covid ?
On pourrait penser que nous avons déjà dépassé ce point, même pour les handicapés mentaux.
Considérez les nombreuses choses que nous savons maintenant qui montrent clairement que le programme de vaccination est une terrible erreur.
Nous savons que le vaccin ne protège pas. Le Dr Fauci lui-même, l'un des principaux promoteurs du programme de vaccination et chef Shill de Big Pharma, l'admet. C'est pourquoi il dit que les doubles vaccinés devraient porter des masques et devraient avoir des injections de rappel. Si le vaccin protège une personne de Covid, pourquoi les personnes vaccinées doivent-elles porter des masques et avoir plus de vaccins ? En Israël, le ministre de la Santé préconise déjà une deuxième injection de rappel qui fait quatre injections du « vaccin » Pfizer et la prétendue « pandémie » a 3 mois avant d'avoir 2 ans. Pfizer lui-même admet désormais que son vaccin perd de son efficacité avec le temps. Selon Fauci, ce n'est bon que pour 8 mois, et vous pouvez vous attendre à voir cette période diminuer.
D'après les bases de données sous-déclarées aux États-Unis, au Royaume-Uni et dans l'UE sur les réactions indésirables des vaccins aux «vaccins» à ARNm, nous savons qu'il y a eu des dizaines de milliers de décès et des millions de blessures associées au vaccin. Les bases de données sont des données officielles, et le personnel médical est pleinement conscient que les hôpitaux et les médecins signalent rarement, voire jamais, les effets indésirables du vaccin Covid, attribuant plutôt les décès et les maladies du « vaccin » au Covid lui-même. Ce ne sont que certaines personnes qui signalent les effets indésirables. C'est pourquoi les experts ont conclu que seulement entre 1 % et 10 % des effets indésirables des vaccins sont signalés. Pour certains groupes d'âge, en particulier les enfants et les jeunes, le « vaccin » à ARNm s'est avéré plus dangereux que Covid.
Nous savons également que d'éminents scientifiques et médecins ont conclu que le « vaccin » à ARNm interagit avec le virus Covid d'une manière qui lui permet d'échapper à la réponse immunitaire. La conséquence est de nouvelles variantes.
Nous savons également d'après les statistiques officielles des endroits hautement vaccinés, comme Gibraltar (99 %), l'Islande (95%) et Israël (84%) que le « vaccin » à ARNm rend les vaccinés plus susceptibles d'attraper Covid et de devenir sérieusement malades que les non vaccinés. Les hôpitaux de ces lieux regorgent de patients vaccinés. Pourtant, nous continuons d'entendre la propagande diffusée sur la « pandémie des non vaccinés ».
Et les preuves s'accumulent que les vaccinés peuvent infecter les non vaccinés.
Sur ce site Web, j'ai rapporté plus d'une fois ces conclusions et fourni des liens vers les preuves
Ces preuves puissantes provenant de scientifiques de haut niveau sont tenues à l'écart des médias presstitués. Le CDC, le NIH, la FDA, l'AMA, l'OMS, les administrateurs d'hôpitaux et les dirigeants de grandes organisations de soins de santé, les administrateurs d'universités et d'écoles publiques, les politiciens démocrates et les employeurs prétendent tous ne pas connaître les preuves qui accusent le programme de vaccination et condamneraient facilement le programme de meurtre intentionnel si l'affaire pouvait être portée devant les tribunaux.
Au lieu de cela, les hôpitaux perdent une grande partie de leur personnel médical qui démissionne ou est licencié pour avoir refusé le vaccin. Ce sont les infirmières qui ont vu ce que le vaccin fait aux patients. Informés de près, ils préfèrent le chômage à la vaccination. Cela devrait dire quelque chose aux administrateurs de l'hôpital et au public stupide, mais ce n'est pas le cas. Les médias rejettent les infirmières protestataires comme des personnes qui ne feront pas leur devoir de protéger leurs patients et le public en se faisant vacciner. Les libéraux montent particulièrement sur leurs grands chevaux contre les « infirmières réfractaires » qui refusent de protéger leurs patients.
Les scientifiques et les médecins qui sonnent l'alarme sont si connus qu'il est impossible que le CDC, la FDA, le NIH, l'AMA et les administrateurs d'hôpitaux et d'universités ne les connaissent pas. Non contents d'ignorer les preuves, ils nous mentent intentionnellement. Ils mentent que les enfants sont tellement en danger de Covid qu'ils doivent être vaccinés de force. Ils mentent que les personnes non vaccinées et les personnes qui se sont remises de Covid et qui ont une immunité naturelle sont dangereuses pour tout le monde et doivent être exclues de l'école, du travail, des restaurants, des événements sportifs, des concerts, des transports en commun, des voyages vers d'autres pays, le tout devant être appliqué par Passeports Covid. Le passeport lui-même est une idée folle compte tenu de la protection de 8 mois que le Dr Fauci attribue au « vaccin ». Un passeport qui doit être renouvelé tous les 8 mois est un cauchemar bureaucratique.
Ils mentent en disant que les enfants sont tellement en danger qu'ils doivent porter des masques à l'école même s'il est connu que les masques qu'ils portent sont totalement inefficaces pour prévenir la transmission du virus. Le seul masque efficace est le N95, et il est impossible à quiconque, encore moins à un écolier, de porter un masque N95 toute la journée. Dans certaines parties des États-Unis, des lois ont été adoptées qui soumettent les enseignants et les administrateurs des écoles à des peines de prison pour ne pas avoir fait respecter le mandat du masque pour les écoliers. Ces lois draconiennes pourraient également s'appliquer aux parents qui autorisent un enfant à aller à l'école sans masque.
En d'autres termes, la folie contrefactuelle totale est la politique américaine de Covid.
Personne ne peut respecter les institutions publiques qui sont si totalement irresponsables qu'elles ignorent les faits et fondent les politiques de santé sur des mensonges. Aux États-Unis, « agence responsable de la santé publique » est un oxymore.
Dès le premier jour, la « pandémie » de Covid a été totalement orchestrée. La Chine, confrontée à une épidémie d'un virus inconnu de mortalité inconnue et sans remède connu, a eu recours à des mesures draconiennes et verrouillé des villes et des zones entières. Les histoires effrayantes ont proliféré et les presstituées aux États-Unis ont fait grimper l'indice de peur. Des prédictions désastreuses ont été faites sur la base de très peu de cas en dehors de la Chine. Les «agences de santé publique» se sont mises au travail pour que les prédictions se réalisent. Ils y sont parvenus avec le test PCR qu'ils ont intentionnellement exécuté à des cycles si élevés qu'il a produit 97 % de faux positifs. C'est ainsi qu'a été orchestré le nombre effrayant de cas qui ont semé la peur dans la population.
Nous allions tous mourir. Cette peur a permis les fermetures hautement destructrices et les exigences de masque qui ont habitué les gens à penser que la liberté civile était sacrifiable en temps de «crise sanitaire».
La plupart des personnes décédées étaient des personnes présentant des comorbidités. Certains d'entre eux sont morts de leurs comorbidités ; d'autres sont morts parce qu'ils n'ont pas été soignés.
Même aujourd'hui, 19 mois plus tard, les hôpitaux refusent toujours un traitement efficace aux patients de Covid. Il y a eu des traitements efficaces disponibles tout le temps, mais reconnaître le fait aurait exclu le « vaccin » à ARNm.
Normalement, il faut plusieurs années pour qu'un vaccin soit approuvé. Il doit passer par de nombreux tests et étapes. Les « vaccins » à ARNm ont été utilisés d'urgence en vertu de la disposition relative à l'autorisation d'utilisation d'urgence. Cette autorisation exige qu'il n'existe aucun remède connu.
Ainsi, le CDC, le NIH, la FDA et l'OMS, alliés à Big Pharma, ont refusé de reconnaître deux médicaments sûrs et utilisés depuis longtemps qui sont si sûrs qu'ils sont disponibles en vente libre dans la plupart des pays - HCQ et Ivermectine – qui sont à la fois des remèdes Covid et une prévention Covid. L'Association médicale de Tokyo a autorisé tous les médecins japonais à utiliser l'ivermectine comme remède contre le Covid. En Inde, l'ivermectine a été utilisée dans la plupart des provinces pour arrêter Covid dans son élan. Dans les pays africains touchés par le paludisme, l'HCQ est pris chaque semaine à titre préventif, et les cas de Covid sont peu nombreux. Dans les pays africains où la cécité des rivières est un problème, l'ivermectine est prise chaque semaine ou toutes les deux semaines, et il y a peu de cas de Covid. Cette information a été cachée au public américain et occidental par les médias de presse. Les deux remèdes ont été diabolisés par l'establishment médical américain et les voyous presstitués. Même aujourd'hui, les hôpitaux refusent de traiter les patients mourants avec ces remèdes infaillibles. De plus, l'un ou l'autre pris chaque semaine offrirait une protection cent fois plus élevée contre Covid que les «vaccins» à ARNm dangereux et inefficaces et coûterait une petite fraction du montant dépensé pour le Pfizer et d'autres «vaccins».
Il est clair que l'un des objectifs servis par la « pandémie » orchestrée et le récit contrôlé sont sans aucun doute les profits de Big Pharma, en particulier de Pfizer.
Il est clair qu'un autre programme servi par la « pandémie » orchestrée est sans aucun doute le contrôle autoritaire des populations dans les pays démocratiques. Aujourd'hui, les peuples occidentaux ont perdu le droit de demander des comptes au gouvernement et sont plutôt tenus responsables par le gouvernement de ne pas être vaccinés et de ne pas porter de masques. Les libertés civiles acquises au cours des siècles de lutte ont été perdues à cause d'une pandémie orchestrée.
L'agenda du profit et l'agenda du contrôle sont tout à fait évidents. La question qui se pose à nous est la suivante : existe-t-il un programme plus sombre ? Les théories du complot sont-elles réelles ?
Lorsque vous considérez l'orchestration intentionnelle d'une pandémie effrayante, le refus intentionnel de guérir, la vaccination intentionnelle avec une substance qui ne protège pas mais produit des effets secondaires graves et libère de nouvelles variantes, il est raisonnable de soupçonner que quelque chose se prépare au-delà du profit et contrôler.
Bill Gates, dont l'extraordinaire fortune lui permet d'entrer n'importe où, s'occupe depuis des années du contrôle de la population. Les scientifiques de haut niveau soupçonnent fortement que la protéine de pointe du « vaccin » à ARNm s'accumule dans les ovaires et entraîne l'infertilité. Nous avons maintenant plusieurs milliers de cas de femmes enceintes qui ont perdu leur bébé à cause du « vaccin ».
Nous avons le nazi Klaus Schwab, créateur et directeur du Forum économique mondial et auteur de The Great Reset, qui organise, cultive et endoctrine les élites occidentales depuis des décennies pour que le Nouvel Ordre Mondial soit constitué d'un pouvoir d'élite, pas de démocratie et de constitutions qui protéger les individus. J'ai été invité une fois à une réunion à Davos, mais ils ont vu qu'ils ne pouvaient pas me recruter, et je n'ai jamais été invité à nouveau.
Pensez à la facilité avec laquelle la liberté civile, l'une des plus grandes réalisations de l'humanité, peut être effacée en créant un forum prestigieux auquel seules l'élite et leurs serviteurs intellectuels obéissants sont invités où on leur dit qu'ils sont les dirigeants naturels et tout ce dont ils ont besoin pour prendre le pouvoir est une crise mondiale, ou du moins une crise occidentale.
En tant que personne qui, pour le bien de mes lecteurs, surveille de près tout ce que je peux, je peux dire que la gloire du monde occidental, l'idée que le mérite, et non la naissance, ou toute autre qualité accidentelle telle que la couleur de la peau ou le sexe, est à la base de le succès est une idée morte. Aujourd'hui aux États-Unis, et d'après ce que je peux voir dans tout le monde occidental, le mérite est considéré comme un concept raciste blanc qui justifie la « suprématie blanche ».
Aux États-Unis, et je suppose que partout dans le monde occidental, les systèmes de mérite ont été et sont remplacés par d'autres critères de réussite, tels que la couleur de la peau non blanche, les préférences sexuelles non hétérogènes, les nouveaux genres inventés.
Les États-Unis d'Amérique ont maintenant une présidence qui a été volée. Il a une administration choisie sur la base de préférences raciales anti-blanches, sexuelles anti-hétérosexuelles et anti-hommes/femmes. Le régime Biden est un gouvernement qui, à l'époque de mes grands-parents, aurait poussé les Américains à marcher sur Washington, à incendier la ville et à tuer tous ceux qui s'y trouvaient.
En Amérique aujourd'hui, les seuls dirigeants sont au niveau de l'État, et le régime illégitime de Biden les a en ligne de mire.
Le gouverneur républicain DeSantis de Floride a été le premier à se rebeller lors du meurtre par les hôpitaux de patients de Covid. DeSantis a établi des cliniques dans toute la Floride pour donner aux patients des anticorps monoclonaux. L'approche sensée de DeSantis s'est étendue au Texas et en Alabama.
La récompense des gouverneurs républicains pour avoir sauvé des vies était de voir leur approvisionnement en anticorps monoclonaux réduit de 50 % par le régime Biden illégitime, criminel et meurtrier. Le régime démocrate a coupé l'attribution de la cure aux gouverneurs républicains. Le régime totalement corrompu de Biden a justifié la coupe en Floride par l'absence de mandat de vaccination de la Floride. La Maison Blanche affirme que la Floride utilise trop de "approvisionnements limités" d'anticorps monoclonaux car elle n'a pas de mandat de vaccin.
Pourquoi le remède est-il limité mais pas le « vaccin » inefficace et dangereux ?
Le gouverneur DeSantis a fait appel à GlaxoSmithKline pour vendre à l'État le remède Covid afin que la Floride puisse empêcher le vaccin dangereux de détruire la population de Floride et de mettre fin à la liberté civile en Floride, ce qui semble être l'intention du régime corrompu et illégitime de Biden.
Les anticorps monoclonaux ont été utilisés pour traiter le président Trump et ne peuvent pas être interdits par les protocoles hospitaliers. DeSantis peut donner son accord à l'ivermectine et à l'HCQ, mais n'a apparemment pas encore trouvé le moyen d'imposer ce traitement efficace et sûr aux hôpitaux qui fonctionnent selon le protocole de Big Pharma, soutenu par le CDC, le NIH et la FDA.
DeSantis est également attaqué pour ne pas avoir autorisé en Floride les mandats de masque obligatoires dans les États démocrates devenus totalement totalitaires. Pour l'instant, un tribunal fédéral a statué en faveur de DeSantis. Mais les démocrates qui ont porté plainte contre l'interdiction par la Floride des mandats de masque espèrent que Biden annulera les lois de la Floride avec un édit fédéral ou un procès artificiel.
En d'autres termes, le régime Biden est déterminé et utilisera tous les pouvoirs qu'il peut trouver ou inventer pour empêcher les gouverneurs de protéger leurs populations d'État contre Covid, contre le dangereux vaccin à ARNm et contre la tyrannie de l'autoritarisme.
De combien de preuves supplémentaires avez-vous besoin pour comprendre que le régime Biden a l'intention de détruire notre santé et notre liberté ? Les Américains sont-ils capables de comprendre la situation dans laquelle ils se trouvent ?
Au moins en Australie, en Europe et en Angleterre, ils sont dans les rues pour protester. En Amérique, les moutons stupides font la queue pour le Death Shot (Coup de mort).
SRAS-2 - Quand les agences de renseignement ont-elles su qu'il s'agissait presque certainement d'une fuite de laboratoire ?
September 21st, 2021
Quand les dirigeants nationaux ont-ils compris qu'il s'agissait probablement d'une fuite d'un laboratoire chinois d'armes biologiques ?
Virus Ebola, micrographie électronique par BernbaumJG
Cela fait toute la différence. Si nous avions su en janvier 2020, le virus aurait pu être stoppé si facilement. L'arme biologique probable aurait pu être laissée en Chine – simplement en arrêtant les vols et en instaurant une quarantaine rigide de deux semaines.
Pensez à l'effet que cela aurait eu en janvier 2020 si les gens pensaient que Covid était une expérience artificielle. Le public aurait réclamé l'arrêt des avions. Les frontières auraient augmenté du jour au lendemain. Il y aurait eu beaucoup moins d'acceptation fataliste qu'il s'agissait simplement d'une autre pandémie inévitable «comme la grippe» à laquelle les gens devaient faire face. La suppression de la théorie de la « fuite de laboratoire » a servi le PCC et Anthony Fauci and co. Cela a également servi Tedros Adhanom, le chef de l'OMS qui a dit au monde de garder la frontière ouverte le 2 février. Mais jusqu'à présent, cette suppression a coûté la vie à près de cinq millions de personnes, plus le chaos, les dommages économiques, les longues maladies et la débilité.
Hier soir, Sky News a diffusé le documentaire What Really Happened in Wuhan de Sharri Markson. Nous en apprenons plus sur qui savait quoi quand, mais pas assez.
Donald Trump reproche à Anthony Fauci de garder le silence sur le financement du laboratoire de Wuhan Sharri Markson, l'Australienne
En tant que principal conseiller médical de M. Trump sur le coronavirus, le Dr Fauci était dans son sanctuaire intérieur et présent à chaque réunion sur le virus alors qu'il commençait à se propager dans le monde. M. Trump a déclaré que le Dr Fauci ne lui avait jamais dit que l'Institut de virologie de Wuhan manipulait génétiquement les coronavirus.
Donald Trump sur les premiers signes que des problèmes se préparaient :
Alexis Carey, News.com
M. Trump a déclaré que l'un des premiers indices de la catastrophe imminente – et de ses liens avec le laboratoire de Wuhan – était après qu'il "a commencé à entendre des histoires … qu'il y avait beaucoup de sacs mortuaires à l'extérieur du laboratoire". « J'ai entendu ça il y a longtemps et s'ils avaient en fait des sacs mortuaires, c'était une petite indication, n'est-ce pas ? »
Pour John Ratcliffe, ancien directeur du renseignement national de l'administration, le cadeau était la dissimulation du PCC :
« Le parti communiste chinois n'aurait pas fermé Wuhan. Cela n'aurait pas fait taire les médecins, les scientifiques et les journalistes, et en aurait fait disparaître certains », a-t-il déclaré, ajoutant que la communauté du renseignement avait pris conscience du virus pour la première fois fin 2019.
Personnellement, c'est la nouvelle que le laboratoire de Wuhan a reçu l'ordre de détruire tous ses échantillons de laboratoire le 1er janvier 2020, ce que j'ai appris du documentaire d'Epoch Times à la mi-avril 2020. Un mois plus tard est arrivée la nouvelle de l'évolution génétique étrangement improbable de SRAS 2 - qui était une dissimulation "beaucoup trop loin". Cela puait comme une création de laboratoire.
Pourquoi la base de données virale a-t-elle disparu le 1er septembre ? C'était avant la fuite du labo, avant les Jeux Militaires, et trois mois avant le « premier cas officiel » ?
Statues de lion de Chine, Taïwan. Image par AngMoKio
Peu de gens en disent long sur la base de données de 22 000 coronavirus disparus le 12 septembre 2019. Une base de données que le PCC n'a toujours pas partagée.
Hypothétiquement, les Jeux militaires de Wuhan à la mi-octobre auraient ressemblé à un événement de super-propagation pratique si quelqu'un avait, peut-être, des scénarios de jeu de guerre pour propager des germes avant l'hiver nordique. Si la fuite du laboratoire en octobre était un accident bâclé qui a coïncidé avec les Jeux militaires, quelles sont les chances que la base de données se soit écrasée accidentellement le mois précédent ? Peut-être qu'il l'a fait. Les équipes qui sont négligentes avec le code viral peuvent également être négligentes avec le code informatique et le WIV était certainement négligent avec leurs virus. Mais à quelle fréquence les bases de données des agences chinoises disparaissent-elles ?
Bien que tout cela semble assez suspect, pensez au fait que la dissimulation de l'évolution génétique bizarre du SRAS fin janvier 2020 a été post hoc précipitée et aléatoire. S'il y avait un plan pour faire fuir Covid, la femme chauve-souris de Wuhan elle-même n'y était pas. Si elle l'était, elle aurait falsifié l'histoire de l'évolution six mois plus tôt et n'aurait pas gâché le rapport des mutations significatives et aléatoires dans la course effrénée pour inventer RaTG13, le proche parent inexistant du SRAS-2 qu'elle aurait découvert en 2013 mais j'ai oublié de mentionner jusqu'au 27 janvier 2020.
Mais bien sûr, si une autre personne ou entité en Chine avait délibérément divulgué le virus, elle ne l'aurait peut-être pas incluse dans la planification. Ou tout cela aurait pu être un accident d'incompétence.
Demandez-vous si c'était délibéré, l'auraient-ils vraiment publié juste à l'extérieur du laboratoire qui l'a fait ? On pourrait penser que non, mais en supposant qu'ils voulaient que cela ressemble à une fuite de laboratoire et qu'ils n'allaient même pas prendre la peine de le cacher, alors c'est là qu'il devait être publié. Si le même virus artificiel, avec toutes les anomalies génétiques, apparaissait à 500 km du laboratoire, personne ne se demanderait si c'était délibéré. Nous saurions.
La fuite du labo, les scientifiques disparus, la dissimulation Bryant Hevesi, Sky News
Le 12 septembre 2019, la base de données des virus de l'Institut de virologie de Wuhan a été mise hors ligne, et avec elle, 22 000 échantillons de coronavirus ont disparu.
Le même jour, la sécurité a été renforcée dans l'installation et un appel d'offres a été lancé pour remplacer le système de climatisation. Il y a eu plus tard une panne de communication, sans activité de téléphonie cellulaire ou de signaux.
Des informations ont été reçues selon lesquelles trois personnes travaillant à l'Institut de virologie de Wuhan étaient tombées malades en octobre 2019, deux mois avant que le premier cas officiel ne soit signalé.
"Ce que (l'ancien secrétaire d'État) Mike Pompeo et moi avons émis, ce sont des gens qui sont tombés malades au laboratoire en octobre et avec des symptômes qui sont devenus tout à fait cohérents avec ce que la plupart des gens ont vécu dans le monde à cause de COVID-19", a déclaré M. Ratcliffe.
Les Jeux militaires de Wuhan se sont déroulés du 18 octobre 2019 pendant deux semaines et les athlètes ont contracté une étrange grippe :
Miles Yu, ancien conseiller principal pour la Chine au département d'État américain, a déclaré que les athlètes qui sont revenus des Jeux militaires présentaient des symptômes désormais connus sous le nom de symptômes de coronavirus, mais que personne n'a jamais été testé.
"Tout ce que je sais, c'est que les gens sont tombés malades, je crois que les Français sont souvent tombés malades, je crois que ce sont des Allemands, certains Américains sont aussi tombés malades", a-t-il déclaré.
Les agences de renseignement savaient en 2019 que quelque chose n'allait pas aux Jeux militaires de Wuhan James Morrow, Daily Telegraph
Markson a également révélé qu'au second semestre 2019, diverses agences d'espionnage savaient que quelque chose n'allait pas.
"Fin 2019, nous avons des renseignements provenant à la fois de sources de renseignement humain et de sources de renseignement électromagnétique et d'autres sources de renseignement qui nous disaient qu'il y avait une sorte de problème à Wuhan", a déclaré M. Ratcliffe.
C'est alors que se déroulaient les Jeux mondiaux militaires à Wuhan, qui sont peut-être devenus le premier événement super-diffuseur.
Un lanceur d'alerte chinois a tenté d'avertir les États-Unis d'un mystérieux virus en novembre 2019 Un célèbre transfuge chinois aux États-Unis a entendu sur la vigne qu'un virus dangereux arrivait. Il l'a dit à un homme politique américain et à un militant chinois des droits de l'homme appelé Dimon Liu et à un ancien agent de la CIA, mais il n'en est rien sorti. Les services de renseignement américains disposaient d'autres informations fin 2019, mais ils n'ont pas « rejoindre les points ».
Sharri Markson, l'Australienne
Le transfuge le plus célèbre de Chine en Amérique a averti les agences de renseignement américaines qu'un coronavirus se propageait à Wuhan en novembre 2019 – six semaines avant que la Chine n'admette qu'il y avait une épidémie.
Wei Jingsheng, le père du mouvement démocratique chinois, révèle dans le nouveau livre What Really Happened in Wuhan qu'il a entendu parler pour la première fois d'un nouveau virus mystérieux au moment des Jeux militaires mondiaux à Wuhan en octobre 2019.
David Asher, le responsable du département d'État qui a dirigé un groupe de travail sur les origines de Covid-19, a déclaré que l'opportunité offerte par l'avertissement de M. Wei était comme « arrêter le 11 septembre avant qu'il ne se produise ».
M. Asher a déclaré que le gouvernement américain disposait d'autres preuves cruciales d'alerte précoce à la fin de 2019, mais qu'il n'avait pas réussi à relier les points. Il a déclaré que le gouvernement américain avait d'abord eu des renseignements sur les travailleurs de l'Institut de virologie de Wuhan tombant malades avec des symptômes de type Covid fin 2019 – un an avant qu'il ne le découvre lors de son enquête sur les origines du virus pour le département d'État.
Dans le documentaire de Sky News, M. Asher a déclaré qu'il avait été choqué lorsqu'il a découvert « que nous aurions en fait pu avoir une connaissance préalable » du coronavirus. « Nous aurions pu savoir en novembre 2019, qu’une catastrophe s’était produite à l’intérieur de Wuhan – à l’intérieur de leurs installations biologiques les plus importantes liées à la recherche sur les coronavirus », a-t-il déclaré.
"C'était quelque chose d'absolument tragique, traumatisant et dramatique qui se produisait et nous aurions pu y réagir. Le monde entier aurait pu être différent. Cela aurait été comme arrêter le 11 septembre avant qu'il ne se produise.
Si le virus rôdait autour des Jeux militaires en octobre 2019, il est juste de se demander pourquoi la pandémie n'a décollé qu'en janvier 2020. Il est possible que la première variante soit légèrement moins infectieuse et ait encore besoin d'une mutation pour se lancer à pleine vitesse. Mais ce n'est pas indispensable. Covid est une maladie qui se propage en grappes et seulement 1 personne sur 5 ou aussi peu que 1 personne sur 10 sont de véritables superpropagations infectieuses. Par exemple, en Corée du Sud, c'est le patient n° 31 qui a déclenché la première épidémie de masse, infectant des milliers de personnes.
Covid-19 doit généralement «frapper à la porte» plusieurs fois avant d'arriver et de rester. De petites épidémies ont traversé les frontières des États et se sont soldées par un échec à plusieurs reprises. Ainsi, quelques athlètes sont rentrés à la maison mais avaient déjà dépassé leur période contagieuse. L'étrange touriste a visité l'Italie. Mais il a fallu une séquence de «pauses chanceuses» pour que le virus prenne pied et se développe de manière exponentielle.
Était-ce délibéré ou était-ce un accident. Nous ne savons toujours pas.
Verrouillage des portes à Pékin Image de Reinhold Möller.
Le livre What Really Happened in Wuhan de Sharri Markson est disponible dès maintenant sur Booktopia et Amazo
Non c'est faux ! AUCUNE épidémie ne gagne le monde entier de la sorte ! Même si elle prend l'avion ! Faut dire que cette nano-grippette a beaucoup fait de réclames, de tapages et de mensonges qui ont fait le tour de la Terre grâce aux merdias (et aux politichiens-de-merde qui ont interdit les remèdes choisis par les scientifiques au-dessus d'eux !).
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ANALYSE : Les vaccins tuent beaucoup plus de personnes qu'ils n'en sauvent
Mardi 21 septembre 2021 par : rédacteurs en chef
(Natural News) Les politiciens et les soi-disant experts à travers la planète veulent de plus en plus vous obliger à vous faire vacciner avec une substance qui enlève au moins deux fois les vies qu'elle sauve, dans tous les groupes d'âge. Peu importe si c'est intentionnel ou simplement par incompétence, nous n'avons plus le temps d'en discuter. Nous tuons des gens. Des millions de personnes. Nos proches, notre famille, nos amis et nos voisins. Il faut que ça s'arrête. Maintenant. Nous sommes devenus fous. Peut-être que l'accès de Steve Kirsch à la FDA peut aider.
(Article de Raúl Ilargi Meijer republié à partir de TheBurningPlatform.com)
Et quand Steve dit que les vaccins ont déjà tué 200 000 Américains à ce jour et en ont invalidé 300 000 de façon permanente, rappelez-vous que ce n'est que la pointe de l'iceberg : beaucoup sinon la plupart des effets ne se manifesteront que plus tard. Et puis Pfizer affirme aujourd'hui que leurs affaires sont sans danger pour les enfants de 5 ans et plus. Qui sont en sécurité à 99,9996% s'ils sont infectés, en raison de leur système immunitaire, qui est également tué par les vaccins.
Et j'aurais quelques questions sur les personnes « sauvées » par les vaccins. Parce qu'une étude israélienne récente suggère seulement qu'« un rappel peut renforcer la protection pendant quelques semaines chez les personnes âgées ». Quelques semaines? Et on appelle ça un vaccin maintenant ?
Arrête ça. Nous sommes devenus fous.
La Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a peut-être ouvert la boîte de Pandore sur Covid. Je ne sais pas pourquoi, mais pour une raison quelconque, ils ont invité Steve Kirsch à une réunion virtuelle du comité consultatif sur les vaccins de la FDA, alias le comité consultatif sur les vaccins et les produits biologiques connexes, le 17 septembre. Le même comité qui a décidé de ne pas recommander les injections de rappel pour tous les Américains .
Kirsch est un entrepreneur qui a lancé plusieurs entreprises dans le domaine informatique, par exemple Infoseek. Il vaut quelques centaines de millions de dollars. Il a également créé Treatearly.org, qui promeut le traitement précoce du Covid. Personne à la FDA ne savait-il qu'en mars, Kirsch a offert 1 million de dollars à quiconque pourrait prouver que la fluvoxamine n'était pas ce qui a sauvé 77 personnes dans un essai, et identifier ce qui l'a fait ?
Ou qu'il a offert 10 000 $ pour un débat d'une heure sur Covid ? Ou quelqu'un de la FDA a-t-il volontairement ouvert la boîte de Pandore ? Et je sais, officiellement, le comité est indépendant de la FDA, et je ne sais pas quel rôle Kirsch a joué dans la décision 16-2 contre les rappels, mais il y a évidemment des gens là-bas qui se sentent mal à l'aise avec le vaccin actuel. -approche par les coûts. Je n'exclurais pas que cela ait été fait exprès. Mais l'information est maintenant disponible, et YouTube et Twitter ne vont pas interdire ou interdire la FDA.
En avril 2020, il a lancé le COVID-19 Early Treatment Fund (CETF) avec un don personnel de 1 million de dollars afin de financer la recherche sur la réorientation des médicaments COVID-19. En mai 2021, Kirsch a publié un article en ligne affirmant sans fondement que les vaccins COVID-19 affectent la fertilité, tout en minimisant la capacité des vaccins à prévenir la maladie et la mort. Le mois suivant, Kirsch est apparu dans une vidéo YouTube publiée avec Bret Weinstein et Robert W. Malone pour discuter des vaccins COVID-19. Dans la vidéo, Kirsch fait plusieurs fausses affirmations, notamment que les protéines de pointe utilisées dans les vaccins COVID-19 sont « très dangereuses ».
Et il est banni de YouTube et Twitter :
Voici une partie de sa présentation au comité. Les vaccins tuent deux fois plus de personnes qu'ils n'en sauvent.
J'ai résumé une partie de son dernier diaporama ici : Ce que vous devez savoir sur la sécurité des vaccins Covid
Censure requise Le moyen de lutter contre la vérité consiste à utiliser la désinformation, l'intimidation, les mandats et la censure. Notre gouvernement ignore les traitements précoces et dit à tout le monde que les traitements précoces ne fonctionnent pas. Ils diabolisent le traitement clé utilisé par l'Inde pour être sans COVID. Leur programme est de pousser le vaccin, pas de guérir le COVID. Les sociétés de médias sociaux vous censureront, diaboliseront et/ou vous interdiront pour avoir dit la vérité. Si vous êtes médecin, vous pouvez faire révoquer votre permis si vous dites que les vaccins sont dangereux.
Les vaccins COVID tuent plus de personnes qu'ils n'en économisent pour tous les groupes d'âge. En moyenne, aux États-Unis, les vaccins COVID tuent 2 personnes pour chaque personne sauvée sur une période de 6 mois.
À ce jour 200K tués 300K désactivé en permanence
Voici comment nous calculons le rapport 2:1 qui montre que les vaccins sont absurdes.
V:C défini
V:C est le rapport du nombre de décès dus au vaccin (V) par rapport au nombre projeté de décès dus au COVID (C) qui pourraient être évités par le vaccin sur une période de 6 mois. Un nombre comme 2:1 signifie que nous tuons 2 personnes pour chaque décès COVID que nous sauvons. C'est mauvais. Pour qu'un vaccin COVID soit viable, vous recherchez V:C de 1:x où x > 100, c'est-à-dire que vous voulez que le risque soit très faible par rapport au bénéfice. Si vous sauvez la vie de > 100 000 personnes, vous ne voulez pas avoir à tuer > 1 000 personnes pour avoir à le faire. Ce serait totalement inacceptable dans une société civilisée et serait sans précédent dans les temps modernes, en particulier lorsque nous avons des traitements précoces qui fonctionnent avec une réduction des risques de plus de 99% et qui ne présentent aucun problème de sécurité.
V:C varie selon le lieu, le temps, l'âge. V:C dépend du type de vaccin, du taux de décès par COVID dans votre communauté à un moment donné et de votre âge. Pour cette présentation, nous allons calculer cela comme une moyenne nationale pour les États-Unis.
Déterminer V. En général, les trois vaccins aux États-Unis fonctionnent selon un processus très similaire. Les vaccins ont un taux de mortalité estimé à près de 1 décès pour 1 000 personnes vaxées. Ici, nous calculons un nombre de décès par million de doses pour chaque tranche d'âge (à l'aide du VAERS). Pour les évaluations des risques/rendements effectuées par âge, cela donne les indications les plus précises.
Déterminer C. Nous utilisons les données de mortalité COVID du CDC pour déterminer le risque de décès par COVID
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Le vaccin est-il sûr pour certains groupes d'âge? Les vaccins peuvent présenter un risque/bénéfice positif pour les personnes d'un certain groupe démographique. Le CDC et la FDA pensent que les vaccins sont parfaitement sûrs et n'ont tué personne, ils n'ont donc jamais fait cette analyse. Par exemple, le VRBPAC a approuvé à l'unanimité les rappels pour les personnes de plus de 65 ans. Aucun des membres du panel n'a fait le calcul risque-bénéfice. Ils devinaient. Avaient-ils raison ? Non. Ils se sont trompés sur la base de nos calculs et des preuves du monde réel. Voici ce que les calculs détaillés ont montré…
V:C aux États-Unis n'est favorable à aucun âge. Le tableau montre les nombres V:C par âge.
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Vous pouvez lire cet article qui détaille comment tous ces chiffres ont été calculés. Donc, pour les enfants, nous tuons plus de 6 enfants pour sauver 1 enfant d'une mort due au COVID. Rendre obligatoire la vaccination pour tout le monde, en particulier les enfants d'âge scolaire, est la preuve d'une société corrompue. Par conséquent, il est absurde de vacciner n'importe quel groupe d'âge. Le comité FDA VRBPAC a conclu qu'il y a un avantage pour les personnes de 65 ans et plus, mais ils ont refusé de considérer la mortalité causée.
La présentation complète, toutes les 8 heures et plus. Je l'ai réglé pour commencer au point où Kirsch entre, mais assommez-vous.
Voici quelques choses antérieures de Kirsch.
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A partir du 31 août :
Lettre ouverte au CDC
Je suis le fondateur du COVID-19 Early Treatment Fund (www.treatearly.org). Notre travail de financement des traitements précoces pour COVID a été présenté sur 60 Minutes. J'ai été vacciné et toute ma famille a été vaccinée. Cependant, peu de temps après avoir été complètement vacciné, j'ai commencé à entendre des histoires de mes amis qui étaient très troublantes. Par exemple, un ami a fait mourir trois membres de sa famille qui étaient auparavant en bonne santé après avoir reçu le vaccin. Un autre ami a eu une crise cardiaque 2 minutes après l'injection et est maintenant handicapé, apparemment à vie. J'ai réuni une équipe de plus de 19 médecins et scientifiques énumérés à la fin de ce commentaire pour enquêter sur les preuves disponibles. En utilisant la base de données VAERS et d'autres sources de données gouvernementales officielles des États-Unis et du monde entier (couvrant 35% de la population mondiale), nous avons trouvé des preuves qui démontrent clairement que les vaccins actuels sont nettement plus dangereux qu'on ne le croyait auparavant.
Nos découvertes les plus importantes incluent :
1/ Les données de mortalité « du monde réel » du VAERS ne correspondent pas aux données de mortalité des essais de phase 3. Ils ne sont même pas proches. En utilisant plusieurs méthodes indépendantes, nous estimons que plus de 150 000 Américains ont déjà été tués. Il est urgent de résoudre cette divergence dès que possible car nous croyons fermement que les données du monde réel sont exactes et que les vaccins doivent être immédiatement arrêtés.
2/ Aucun des vaccins COVID ne réduit la morbidité toutes causes confondues. C'est le contraire : ils augmentent tous de manière significative la morbidité toutes causes confondues jusqu'à 4,2 fois la valeur initiale (p<=0,00001). Le CDC doit le savoir car cette information se cache à la vue de la littérature publiée. Quel est l'intérêt de proposer une intervention médicale optionnelle qui augmente significativement la morbidité toutes causes alors que des alternatives plus sûres comme un traitement précoce sont disponibles ?
3/ Il y a une erreur dans la formule de détection des événements indésirables utilisée par le CDC qui semble avoir empêché le CDC de voir les signaux de sécurité qui étaient évidents pour nos experts VAERS.
4/ Les protocoles de traitement et de prophylaxie précoces sont une option supérieure aux vaccins actuels, mais ont été inexplicablement ignorés par le NIH : • Réduction du risque relatif plus élevée (plus de 99%) • Plus grande sécurité (effets secondaires temporaires mineurs, profil de sécurité connu) – Ils réduisent à la fois la mortalité toutes causes et la morbidité toutes causes – Ils fonctionnent aussi bien sur toutes les variantes – Ils ne favorisent pas les variantes d'évasion – Ils ne provoquent pas d'infectivité/réplication améliorée par le vaccin – Ils ne provoquent pas de maladies à prions – Ils préviennent le syndrome COVID long-courrier presque 100% du temps – Ils permettent aux gens d'acquérir une immunité récupérée qui est à la fois 13 fois plus forte et plus durable que l'immunité induite par le vaccin
Nous recommandons au comité de prendre les mesures suivantes : • Exiger des autopsies pour tous les décès dans les 4 semaines suivant toute vaccination COVID19 afin que les données soient disponibles pour calculer une estimation de la véritable mortalité toutes causes confondues. • Mettre à disposition du public l'analyse de l'enquête sur les 11 000 décès du VAERS. Il est important que le public comprenne pourquoi le CDC n'a pas pu attribuer un seul décès au vaccin alors que l'un des meilleurs pathologistes au monde a attribué au moins 30% de tous les décès au vaccin. • Expliquez publiquement pourquoi il y a un pic de mortalité le deuxième jour après la vaccination si les vaccinations sont parfaitement sûres et ne causent pas de décès. • Expliquer publiquement pourquoi les effets secondaires indésirables graves dépendent de la dose
[..] • Recommander que les mandats de vaccination ne soient pas délivrés sans preuve d'une diminution statistiquement significative de la morbidité toutes causes confondues (ce qui n'est pas le cas dans ce cas). • Définir une condition d'arrêt du vaccin COVID après laquelle ce vaccin doit être arrêté jusqu'à ce que les problèmes d'arrêt soient résolus. En 1976, le seuil d'arrêt était de 35 décès.
Au moins 6 000 décès dus au vaccin. L'équipe OpenVAERS pense qu'elle est supérieure à 20 000 en raison d'une sous-déclaration. Les données de biodistribution montrent une accumulation massive dans les ovaires du LNP (qui ordonne aux cellules des ovaires de faire germer une protéine de pointe toxique). Oups. Cela n'a jamais été censé être divulgué. Nous l'avons obtenu via la demande FOIA. Le CDC ne vous en a jamais parlé, n'est-ce pas ? Bien sûr que non !
82 % de taux de fausses couches au cours des 20 premières semaines (10 % est le taux normal). Il est déconcertant que le CDC dise que le vaccin est sans danger pour les femmes enceintes alors qu'il est si clair que ce n'est pas le cas. Par exemple, un de nos amis de la famille en est victime. Elle a fait une fausse couche à 25 semaines et avorte le 9/6/21. Elle a eu son premier coup il y a 7 semaines, et son deuxième coup il y a 4 semaines. Le bébé avait des saignements graves du cerveau et d'autres défigurations. Son gynécologue n'avait jamais rien vu de tel de sa vie. Ils ont appelé un spécialiste qui a dit qu'il s'agissait probablement d'un défaut génétique (parce que tout le monde adhère au récit selon lequel le vaccin est sûr, il est toujours exclu comme cause possible). Pas de rapport VAERS. Aucun rapport du CDC. Pourtant, les médecins à qui j'ai parlé disent qu'il est certain à plus de 99% que c'était le vaccin. La famille ne veut pas d'autopsie de peur que leur fille découvre qu'il s'agit du vaccin. Ceci est un exemple parfait de la façon dont ces horribles effets secondaires ne sont jamais signalés nulle part.
25X la possibilité de myocardite pour les adolescents (peut entraîner une insuffisance cardiaque et la mort) Les enfants ont déjà une immunité naturelle (article de Science Magazine), il n'y a donc aucun avantage à la vaccination, seulement un risque. Avez-vous déjà vu l'analyse risque/bénéfice par le CDC ?? Demandez-le avant de consentir.
Inutile de vacciner ceux qui ont eu COVID-19: résultats de l'étude de la Cleveland Clinic. Aucun avantage, seulement un risque.
Les médecins qui attribuent des événements indésirables au vaccin sont punis (comme le Dr Hoffe). Ainsi, la sous-déclaration est incitée.
Le CDC refuse de dire combien de personnes sont décédées et « enquête toujours » sur les lésions cardiaques chez les enfants, même s'il est évident pourquoi (protéine de pointe libre provoquant la coagulation et l'inflammation). Une augmentation de 25X lorsque la seule "nouvelle" chose est le vaccin n'est pas difficile à comprendre. Demandez au CDC leurs 5 principales hypothèses actuelles pour la cause. Ce sera plus qu'amusant de voir ce qu'ils disent. Si ce n'est pas le vaccin, les têtes devraient tomber.
Le CDC induit délibérément le peuple américain en erreur. Consultez la page des effets secondaires. Décès, invalidité, taux de fausses couches excessifs, crises cardiaques, accidents vasculaires cérébraux, incapacité de marcher, de parler ou de voir, paralysie de Bell, douleur persistante, symptômes semblables à ceux de la maladie de Parkinson, réactivation du zona, caillots sanguins, etc. sont tous manquants.
Les vaccins COVID ont généré plus de rapports indésirables au cours des 6 derniers mois que les 70 vaccins au cours des 30 dernières années combinés. Ils ont raté celui-là. Conception de virus défectueuse (s1 n'a jamais été censé être gratuit, l'inclusion de PEG était inutile et permet à LNP d'être largement distribué)
Forte opposition à la vaccination par des voix extrêmement crédibles comme Malone, Geert Vanden Bossche, d'autres
Le NIAID (Cliff Lane) manipule de manière inappropriée les directives de traitement COVID pour faire croire que ces médicaments ne fonctionnent pas, donnant ainsi au monde la fausse impression que le vaccin, même imparfait, est la seule issue. L'ivermectine et la fluvoxamine ont été confirmées dans des essais de phase 3. L'ivermectine a fait l'objet d'une revue systématique de très haute qualité, le niveau le plus élevé possible en médecine factuelle. Les médicaments réutilisés sont plus sûrs et plus efficaces que les vaccins actuels. En général, un traitement précoce avec des protocoles efficaces réduit votre risque de mourir de plus de 100X, donc au lieu de 600 000 décès, nous aurions moins de 6 000 décès. REMARQUE : le vaccin a déjà tué plus de 6 000 personnes et cela ne tient qu'au vaccin (et ne compte pas les décès par percée). Les vaccins ont ignoré les études toxicologiques appropriées afin d'être mis sur le marché plus rapidement. Nous ne savons pas ce que nous ne savons pas.
Les effets secondaires imprévisibles et horribles de ce vaccin sur les enfants en bonne santé, comme la jeune fille de 16 ans qui était incapable de parler et de voir seulement 48 heures après avoir été vaccinée Des effets secondaires débilitants peuvent survenir à tout moment car les victimes du vaccin sont très similaires aux long-courriers COVID (le Dr Bruce Patterson l'a découvert) et nous savons tous que le long-courrier peut commencer à tout moment (même lorsque la maladie est asymptomatique) et pourrait être incurable.
Parce que le vaccin n'est pas parfaitement sûr, le gouvernement est tenu par la loi d'avertir les gens des risques de décès et d'invalidité causés par le vaccin et d'obtenir un consentement éclairé. Assurez-vous toujours de demander quels sont les 50 effets secondaires les plus graves et à quelle fréquence ils surviennent. Et découvrez s'ils vous indemniseront si vous êtes invalide à vie à cause du vaccin. Ceci est important car les caillots sanguins peuvent se former n'importe où avec ce [vaccin] très dangereux. Les vaccins tuent au moins deux fois plus de personnes qu'ils n'en sauvent. Et si vous ne les prenez pas, vous serez un paria. Nous sommes devenus outrageusement fous.
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Un État indien avec 240 millions de personnes a complètement éradiqué le covid avec l'ivermectine
Lundi 20 septembre 2021 par : Ethan Huff
(Natural News) Comment un État indien de plus de 240 millions d'habitants a-t-il vaincu le coronavirus de Wuhan (Covid-19) ? Simple. Ses habitants prenaient de l'ivermectine.
L'Uttar Pradesh, situé dans le nord de l'Inde, a officiellement déclaré que ses 33 districts sont désormais "sans covid" grâce à un effort bienveillant des dirigeants pour fournir à tout le monde un "vermifuge pour chevaux".
Le taux de récupération du virus chinois dans l'Uttar Pradesh est de 98,7%, ce qui peut être directement attribué à l'utilisation prophylactique à grande échelle de l'ivermectine.
Selon les médias occidentaux et l'establishment médical, il n'y a « aucune preuve » que l'ivermectine apporte des avantages dans la lutte contre les germes chinois. Selon des preuves réelles sur le terrain en Inde, cependant, l'ivermectine a vraiment été un miracle.
Il n'y a pas si longtemps, l'ivermectine était présentée par le Journal of Antibiotics comme un «médicament miracle» pour le traitement des parasites intestinaux. Les inventeurs de l'ivermectine ont également reçu un prix Nobel pour la découverte de la substance.
Aujourd'hui, cependant, l'ivermectine est diffamée comme « dangereuse » et « à haut risque » par les médias et le gouvernement. On nous dit constamment que l'ivermectine est réservée aux bovins ou aux chevaux, même si la Food and Drug Administration (FDA) l'a approuvée pour un usage humain en 1996.
Les régions de l'Inde qui ont choisi des "vaccins" au lieu de l'ivermectine connaissent une augmentation massive de nouveaux cas En mai et juin 2020, l'ivermectine était largement administrée à tous les professionnels des soins respiratoires travaillant dans le district de l'Uttar Pradesh à Agra. À l'époque, il s'agissait d'une expérience pour voir comment les bénéficiaires s'en sortaient.
Il a été observé, selon le Dr Anshul Pareek, qu'« aucun d'entre eux n'a développé le Covid-19 bien qu'il soit en contact quotidien avec des patients qui avaient été testés positifs pour le virus ».
À la suite de cet essai réussi, le gouvernement de l'État a décidé de sanctionner officiellement l'utilisation de l'ivermectine comme remède contre le virus chinois, non seulement pour les travailleurs médicaux, mais plus tard pour le grand public.
« Bien que nous soyons l'État avec la plus grande base de population et une densité de population élevée, nous avons maintenu un taux de positivité et de cas par million d'habitants relativement bas », a expliqué Pareek.
En août, des responsables de l'Uttar Pradesh ont publié une notification conseillant aux médecins de prendre des comprimés de 12 mg d'ivermectine "pour contenir l'impact de la pandémie". Cette recommandation s'est avérée être un grand succès.
« Ce médicament est assez efficace pour se protéger du COVID-19 », a admis le gouvernement. « Par conséquent, nous appelons chaque citoyen à avoir cette tablette. »
Pendant ce temps, dans le petit État du Kerala, dans le sud de l'Inde, les nouveaux «cas» de la grippe Fauci ont grimpé en flèche. La raison en est qu'au lieu d'utiliser l'ivermectine, le Kerala a plutôt opté pour des « vaccins », qui propagent davantage de maladies.
« Le Kerala a inclus l’ivermectine dans les directives de traitement COVID de l’État en avril, mais a limité son utilisation aux cas graves ou à ceux avec une maladie associée, ce qui signifie qu’elle était réservée comme traitement tardif, si elle était utilisée du tout », a rapporté WND.
"Le Kerala a complètement abandonné l'utilisation de l'ivermectine le 5 août."
Le Kerala est cependant plus l'exception que la norme. Dans l'ensemble de l'Inde, le taux de vaccination est actuellement d'environ 5,8%, ce qui en fait l'un des pays les moins injectés au monde.
"On prétend que l'ivermectine est également efficace contre la grippe commune et de nombreuses autres infections virales", a écrit un commentateur de WND. "Si c'est vrai, il n'est pas étonnant que les grandes sociétés pharmaceutiques veuillent le maintenir supprimé."
"L'ivermectine est parfaitement sûre, mais le gouvernement ne veut pas que vous le sachiez", a noté un autre. "Le médicament a peu d'effets secondaires, a été prescrit des millions de fois et est connu pour tuer 21 virus différents, dont le SRAS-CoV-2."
L'ivermectine est utilisée en toute sécurité depuis des années et n'est plus brevetée.
Les dernières nouvelles sur la tromperie du coronavirus de Wuhan (Covid-19) et la croisade contre l'ivermectine peuvent être trouvées sur Fascism.news.
Ces ARS qui mettent au pas la médecine par temps de covid
Les ARS vont chercher à affirmer leur rôle d’adjudant-chef des troupes de la santé et la profession sous tutelle étatique connaîtra le déclassement.
Par Denis Dupuy. 22 SEPTEMBRE 2021
Ah les Agences Régionales de Santé… Jusqu’alors risée de la profession, les voilà portées au rang de généraux de bataille par quelques inconscients. Cette confrérie de technocrates s’en est donné à cœur joie au cours de l’épidémie, la huitième depuis 1895. Ont-ils seulement conscience des précédentes ? Chacune d’elle a duré deux années et rien n’interdit de penser qu’il n’en sera pas de même pour celle-ci. Mes confrères n’ont aucunement à rougir : emportés par le flou ambiant en mars 2020, ils ont intubé un poil de trop avant de rapidement corriger le tir. La prise en charge actuelle conduit de nombreux réanimés vers leurs pénates.
À l’heure où l’État alignait les coups de matraque, les réglementations ubuesques et les confinements (3 à 4000 décès supplémentaires par mois), les méchants laboratoires privés ont produit des tests, des anticorps, des vaccins : pas mal du tout pour ne pas dire génial… Dans cette bataille, l’État s’attribuera des succès qui lui sont évidemment étrangers, mais ça n’est là que routine dans ce pays.
Les ARS ont été désignées bras armé et le médecin a dû se soumettre. 150 interventions ont été annulées en moyenne par Covid pris en charge en réanimation. Des ordres tombaient du ciel, sans la moindre réquisition et on annulait à la chaine de malheureux patients terrés à leur domicile.
Toutes les conséquences de ces emportements étatiques ont été passées à la loupe, un soir de webinaire chez un grand assureur. Un intervenant a confié avoir été requis officiellement, un cas bien isolé : il a passé une semaine à tourner en rond dans le service désert d’un hôpital public. N’oublions jamais que les décisions ont systématiquement été fondées sur des prédictions erronées, alarmistes et excessives.
Ainsi, selon le Président, les 400 000 morts en novembre 2020 : la médiane des décès étant de 85 ans parmi une population de vieilles personnes au bout du rouleau, cette hypothèse farfelue aurait sous-entendu une France comptant 100 millions d’habitants.
Exemple plus récent : un Plan blanc, instauré par les ARS voici un mois. Le préfet annonçait plus 300 % dans les Pyrénées-Orientales où, de fait, on passait en quelques heures de un à quatre patients en réanimation.
Selon l’ARS, en combinant rentrée des classes et virus, on obtiendrait le 10 septembre une vague phénoménale. J’ai alors douté et récolté insultes et sarcasmes sur le réseau, mais aujourd’hui, 15 patients sont hospitalisés dans le service de réanimation du CHU d’une cité rose d’un million d’habitants, 150 dans une région riche de six millions d’habitants. Vaguelette et tant mieux. Comment ? Où donc ? Je ne le dirai pas, boudu…
L’ARS, qui ne connait que simulations et tableurs, n’a pas intégré que comme toujours la pathogénie du virus diminue au fil des variants et que le vaccin change la donne. Je me permettrai une remarque : je suis enthousiaste quant aux modélisations et à l’IA, mais gare…
Les modélisations de répartition des épidémies par compartiments n’offrent pas d’aperçu exact de l’épidémie. Gaver des logiciels de données lissées et attendre à la sortie n’est pas crédible.
L’étude du Lancet l’a montré : des amateurs faisant tourner des logiciels commettent des bourdes en raison de leur manque d’expertise. Qu’on l’aime ou non, Didier Raoult maitrise la méthodologie biostatistique : c’est son gagne-pain. Il a tout de suite senti le biais. J’ai été contacté par un jeune entrepreneur désireux de croiser des fichiers afin de faire émerger des thérapeutiques grâce à l’IA : j’ai essayé aimablement de lui faire admettre que les statiques médicales sont régies par des règles garantissant leur fiabilité, la première étant l’homogénéité et la représentativité des échantillons. S’il poursuit, ce jeune homme obtiendra une daube qui n’intéressera personne, sauf peut-être les ARS. Pardon : je provoque, j’attise…
Sous l’égide de celles-ci, 3 à 5 % de morbi-mortalité supplémentaires ont été constatés dans chaque spécialité. La chirurgie, y compris carcinologique, a connu une chute libre (je ne pense pas que l’activité ait pleinement repris). 500 plaintes ont été déposées contre les administrations, pour défaut de soin, non-assistance, etc. Agnès Buzyn n’est que la première.
15 000 infirmières font aujourd’hui défaut, lassées, épuisées. De retour de vacances depuis quinze jours, j’ai subi trois annulations de programmes, enfin, mes patients ont subi. La cause ? Carence en infirmières, accentuée à l’occasion par le refus de certains groupes financiers de leur offrir un salaire décent. Les démissions s’enchainent. Mes confrères, également, ont souffert de la gestion de la crise. Les questionnaires burnout sont en surchauffe.
Les ARS ont, comme l’essentiel des administrations de ce pays, fait preuve de morgue. Leurs hordes de bureaucrates ne se privent jamais de mordre la main du contribuable. Le médecin aura bien compris qui est le chef : il devra se soumettre, tel le lion face à l’âne. Voici de quoi inquiéter le futur malade que je suis…
Il va falloir maintenant occuper ces milliers de fonctionnaires dont on ne manquera pas de faire grossir les rangs, contrairement aux effectifs de réanimation. Restera à leur trouver des occupations : ils vont la regretter, l’épidémie, quand ils tourneront en rond dans leurs bureaux… En attendant, afin de remonter le moral de professionnels au bout du bout, voici maintenant les agences en charge de contrôler le passe chez les soignants…
Une coalition Assurance maladie, Conseil de l’Ordre, ARS est sommée de faire marcher droit la profession. Quand on connait la justification et le rôle historique de ces structures, on est saisi d’une profonde nausée libérale. Oui au vaccin, bien sûr, mais un peu de finesse… 85 % des Français l’ont reçu : bravo à eux. Les autres ne sont-ils pas les réfractaires propres à toute décision politique, en démocratie ? On attendrait tolérance et juste information, on souhaiterait la fin de l’hystérisation et de cette obsession à entretenir une peur mortifère chez les plus craintifs, qui en sont à fuir les établissements de soins, effrayés par un virus en fin de carrière.
Les soignants non vaccinés font exception et je pense que les médecins sont peu concernés, mais ces contrôles vont encore faire du mal. Dans le domaine de la santé, contraindre me choque. Tout d’abord, le vaccin n’est aucunement stérilisant et le vacciné peut contaminer son entourage. Ensuite, avoir peur, y compris pour de mauvaises raisons, c’est avoir peur quand même et subir un traitement supposé dangereux n’est pas plaisant. Je ne suis pas opposé à une vaccination de principe chez les soignants.
Chaque année, nous multiplions les arrêts de travail. La puéricultrice grippée peut contaminer le prématuré comme le brancardier le grand vieillard et 25 % seulement du personnel est vacciné contre la grippe saisonnière. Contractualisons la vaccination des soignants : vous souhaitez travailler dans la santé ? Commencez par y croire et vaccinez-vous ! Mais la contrainte, en fin d’épidémie, quand le moral de chacun est en berne, ajoutée aux contrôles, aux règles, aux intimidations d’administrations aux effectifs démesurés et aux coûts pharaoniques, stop, assez, par pitié.
Nous avons suffisamment souffert. Ces structures nous ruinent, nous harcèlent et nous nuisent depuis trop longtemps et l’épidémie a marqué un point d’orgue dans leur capacité de nuisance… Voilà un programme pour un président : moins de charges, de contraintes, de fonctionnaires, davantage de liberté, d’initiative privée et de responsabilité individuelle. La gouvernance par la technocratie et le monde de l’utile d’Heidegger, philosophe cher à la gauche française, ami des nazis et de leurs cousins illuminés de la deep ecology, deviennent notre quotidien… Oui, l’Homme est seul face à son destin.
Dieu est mort et Nietzsche le pressentait, privé de religion, de sens et de croyances, il s’en invente, des religions de pacotille, des nihilismes, des écologismes, des absurdités. Pire encore. En perdant Dieu, l’Homme a perdu son âme : la chose se nomme aujourd’hui esprit, raison, cerveau. Je vénère la science, mais l’élévation spirituelle vaut quelques secondes d’attention. Cet univers, centré sur la seule réussite matérielle, n’a pas grande saveur. Vive l’argent, vive le bien-être, bien sûr, mais après ? De l’esprit, de la chaleur, de l’humain… Un patient ne se résume pas à un code dans la cellule d’un tableur. Il est identique en souffrance… Comment ? Has been, ringarde, ma vision ? Le patient n’est qu’un détail dans la grande folie gestionnaire ? Bon, d’accord, chef, bien chef…
Alors que le système déploie ses ailes, le ressentiment va croissant. Au fil des gouvernements les ARS vont chercher à affirmer leur rôle d’adjudant-chef des troupes de la santé et la profession sous tutelle étatique connaîtra le déclassement. Un candidat s’opposera-t-il à cet interventionnisme mal emboité ? Il se montre, pour l’instant, bien discret…
Grève de la faim contre la vaccination obligatoire à l’hôpital de Nice
22 SEPTEMBRE 2021
Plusieurs employés du CHU de Nice ont commencé une grève de la faim pour protester contre l’obligation vaccinale. Les suspensions de soignants inquiètent, alors que les hôpitaux français manquent déjà de personnel.
Alors que les suspensions de soignants refusant les vaccins anti-Covid se multiplient, jusqu’à mettre en péril certains territoires, diverses actions de contestation ont vu le jour. En marge des manifestations de professionnels de santé, certains optent pour une approche plus radicale.
À Nice, des employés du Centre hospitalier universitaire (CHU) ont ainsi décidé d’une grève de la faim, rapporte Nice-Matin. Installés sur le parvis d’une église jouxtant l’hôpital, ils crient leur colère contre la vaccination obligatoire. Thierry Paysant, agent de sécurité incendie au CHU, met en cause la gestion de l’établissement, qui mettrait la pression sur les réfractaires.
"La pression est trop forte psychologiquement […] L’hôpital nous appelle jusqu’à la maison pour nous interroger sur notre statut vaccinal. Ce matin, deux infirmières sont reparties en pleurs de leur service après avoir été mises à pied. Pourquoi ne pas leur laisser le choix ? […] Aujourd’hui on nous traite comme des criminels parce qu’on refuse la vaccination", explique-t-il à Nice-Matin.
Celui qui est aussi pompier volontaire précise ne pas être foncièrement anti-vaccin, mais se pose des questions sur le "bénéfice risque" des sérums contre le Covid-19. Même son de cloche du côté de Christophe Nait, aide-soignant de 44 ans qui a aussi décidé de se lancer dans une grève de la faim. Plus encore que l’injection, qu’il pourrait envisager d’accepter à long terme, c’est la logique de sanctions qui le dérange, comme il le confie à Libération.
"C’est du chantage: la peste ou le choléra, le vaccin ou la perte de l’emploi […] Avec le vaccin, c’est l’injection d’un produit expérimental qui me dérange […]C’est trop précipité, trop violent. On n’est pas des robots", explique ainsi l’aide-soignant au quotidien.
Les deux opposants à l’obligation vaccinale ont reçu le soutien du syndicat Force Ouvrière, lequel craint que les suspensions de personnel ne déséquilibrent encore des services tournant déjà au ralenti, précise France Bleu.
Entrée en vigueur le 15 septembre, la vaccination obligatoire pour les soignants a entraîné des vagues de suspensions de personnel. Un jour seulement après l’instauration de la mesure, le ministre de la Santé, Olivier Véran, avait mentionné le chiffre de 3.000 procédures, sans doute parcellaires. Au CHU de Nice, plus de 300 personnes avaient déjà été suspendues le 16 septembre, sur 7.500 membres du personnel, selon France Bleu.
De quoi handicaper lourdement certaines communes, déjà considérées comme des déserts médicaux. Dans l’Oise ou le Morbihan, plusieurs localités se sont ainsi retrouvées privées de leur généraliste, souvent seul à exercer sur leur territoire. Les maires ont parfois été obligés de se tourner vers des médecins vacataires ou d’inciter à la téléconsultation.
Outre la médecine de ville, c’est tout le système hospitalier qui pourrait pâtir de ces vagues de suspensions, alors que les vacances de postes de soignants sont légion.
"Le système hospitalier est déjà mis à mal. Il y a une pénurie de tous les personnels, il y a 30.000 postes de titulaires non pourvus à l’hôpital. On manque de soignants dans tous les domaines, notamment en réanimation", rappelait ainsi le chirurgien Bernard Kron mi-septembre. Mais la France n’est pas le seul pays à voir son système hospitalier fragilisé de la sorte. Au Québec, la suspension d’au moins 30.000 professionnels de santé non vaccinés inquiète également.
Mieux que tout autre le personnel soignant connaît la véritable composition des flacons de la mort étiquetés 'vaccin' !! Depuis Jacques Médecin Nice ne s'est jamais si mal portée.
COVID-19 : 4,7 MILLIONS DE MORTS, 230 MILLIONS DE CAS
par PAOLO GAROSCIO 22/09/2021
Plus de 5% de la population mondiale a contracté le virus de la Covid-19.
Si la situation s’améliore en France et, d’une manière générale, dans les pays riches qui ont pu acheter des doses pour leur population, la pandémie continue de faire des ravages dans le monde. Le nombre de cas augmente de plusieurs centaines de milliers par jour, et des milliers de personnes décèdent des suites de la contamination par le virus Sars-CoV-2.
Le cap des 4,7 millions de morts est franchi
Selon les données de l’Université Johns Hopkins, qui recensent les données officielles concernant la pandémie de Covid-19, le virus a tué 4,707 millions de personnes au 22 septembre 2021. Le cap des 4,7 millions de décès a donc été franchi après que le monde a enregistré 8.158 nouveaux décès le 20 septembre 2021. Les données du 21 septembre 2021 n’étant pas disponibles au 22 septembre 2021 au matin, le nombre de décès est même supérieur.
Et il en va de même pour le nombre de cas : 229,508 millions au 20 septembre 2021 avec une augmentation quotidienne de plus de 500.000 par jour en moyenne. Le nombre de personnes ayant contracté le virus de la Covid-19 devrait donc avoir dépassé la barre des 230 millions le 22 septembre 2021. Soit environ 5% de la population mondiale.
Chaque semaine, dans le monde, plus de 3 millions de personnes contractent le virus et plus de 60.000 décèdent des suites de la maladie. La pandémie est donc loin d’être terminée.
La France se rapproche de la barre des 7 millions de cas
En France, où grâce à la vaccination et au Pass sanitaire le nombre de cas quotidiens est en baisse et la situation pandémique s’améliore, ce sont encore entre 5.000 et 10.000 personnes qui sont contaminées par le virus chaque jour, soit près de 50.000 chaque semaine.
Au 21 septembre 2021, selon Santé Publique France, 6,965 millions de personnes ont été contaminée par le virus depuis le début de la pandémie. La barre des 7 millions de cas pourrait donc être franchie avant la fin du mois de septembre 2021.
En outre, le virus continue de tuer : 116.251 personnes ont perdu la vie depuis le début de la pandémie à cause du Sars-CoV-2.
Grâce aux injections (qui sont les SEULES à contenir le poison de la mort appelé 'covide19'). Le 'nombre de cas' est décelé grâce aux faux tests 'RT-PCR' qui apportent tout près du cerveau les morgelons en bout d'écouvillons ! Çà y est ! Vous l'avez ! Mettez un masque infesté de nano-particules d'oxyde de graphène et c'est tout votre corps qui se meurt dès la mise en route de la 5G.
Alors qu'il semblerait maintenant d'après la propagande des médias grand public et l'assouplissement de certaines des restrictions draconiennes à la liberté, que la guerre contre la pandémie de COVID est en train d'être gagnée, cependant je pense qu'il s'agit d'une ruse, d'un renforcement faisant partie d'un plus grand PSYCOPS à compléter un programme d'eugénisme en cours. Les caractéristiques de la pandémie de COVID-19 sont très préoccupantes comme suit : –
Il a maintenant été prouvé à une écrasante majorité que la maladie COVID-19 n'était qu'un autre rhume / grippe traitable qui a été médicalement mal géré en refusant un traitement précoce qui a causé des décès prématurés chez les personnes très âgées et les personnes souffrant de problèmes de santé sous-jacents, cela a donné l'idée fausse qu'il y avait un excès de décès se produisent et ont créé une hystérie de masse.
La couverture médiatique grand public d'une éventuelle fuite du virus de Wuhan Lab a accru la crainte qu'une augmentation soudaine perçue des décès puisse avoir été le résultat d'une évasion mortelle d'une arme biologique et a provoqué une panique supplémentaire pour développer un vaccin pour arrêter la propagation de COVID, il a été déclaré que cela prendrait au moins 10 ans, ce qui augmenterait les craintes du public. L'utilisation du test PCR en temps réel désormais démystifié pour diagnostiquer le COVID a produit un grand nombre de résultats positifs, appelés « cas » sans aucun symptôme, c'est-à-dire des infections asymptomatiques dont on sait qu'elles n'existent pas, et cela a terrorisé davantage la population. Nous savons maintenant qu'au moins 97 % de ces résultats positifs étaient faux en raison des seuils de cycle excessifs utilisés dans les laboratoires de test. La PCR en temps réel a été développée en tant qu'outil de recherche et n'est pas considérée comme appropriée à des fins de diagnostic.
De nouvelles injections de « vaccins » de thérapie génique à ARNm COVID et à vecteur viral ont été développées à la hâte. Les caillots et les saignements se sont avérés être causés par les protéines de pointe générées par le corps en réponse aux injections, et cela est aggravé par un ingrédient non divulgué, l'oxyde de graphène, dans les injections, qui est également connu pour provoquer des caillots et des saignements.
Les première et deuxième doses des injections de COVID ont maintenant affaibli l'état de santé général de la population, comme le montre la situation actuelle dans les hôpitaux qui sont bien au-dessus de la capacité pendant les mois d'été avec des patients souffrant d'effets indésirables des injections, de nombreux patients présentent des symptômes semblable à la fièvre hémorragique.
Les injections de rappel COVID prévues comme étant nécessaires en raison de la diminution de l'immunité des vaccinations initiales, ainsi que l'injection proposée des enfants, provoqueront sans aucun doute des symptômes de type fièvre hémorragique plus sévères et seront également plus répandues.
Au cours de mes recherches sur les fausses allégations de décès excessifs causés par COVID-19 et les pseudo-sciences qui le soutiennent, je suis tombé sur des développements très inquiétants que je vais résumer en raison de l'urgence que je ressens pour les mettre en évidence auprès du public comme suit : –
Bill Gates GAVI a publié un article le 22 avril-2021 intitulé « La prochaine pandémie : Marburg ? ». Il y a eu de nombreux articles de médias grand public mettant en évidence une menace à venir Marburg et faisant référence à l'OMS ces derniers mois.
Le virus de Marburg est une fièvre hémorragique relativement rare qui a été décrite pour la première fois en 1967, il n'y a eu qu'un total de 376 décès liés, et seulement 16 décès depuis 2005.
Primerdesign a développé un test PCR en temps réel genesig® en 2018 pour la fièvre hémorragique de Marburg. Pourquoi développeraient-ils un test en 2018 pour une maladie qui n'a pas connu d'épidémie majeure depuis 2005 ?
Soligenix, se précipite actuellement pour tester un vaccin riche en ricine RiVax® pour la fièvre hémorragique de Marburg. RiVax a la désignation Fast Track pour la prévention de l'intoxication à la ricine par la FDA américaine. L'approbation du vaccin contre la toxine de la ricine utilisera la FDA Animal Rule pour éliminer les essais de phase 1, 2 et 3. Pourquoi une telle précipitation maintenant, pour tester un vaccin pour lequel il n'y a eu qu'un total de 376 décès depuis 1967 et seulement 16 décès depuis 2005 ? Le composant principal du vaccin Rivax est que la ricine est une lectine et une toxine très puissante produite dans les graines de l'huile de ricin.
Les actionnaires de Soligenix comprennent BlacRrock Fund Advisors, Goldman Sachs & Co. LLC, etc. La ricine est une lectine et une toxine très puissante produite dans les graines de l'huile de ricin. La ricine est très toxique si inhalée, injectée ou ingérée. Il agit comme une toxine en inhibant la synthèse des protéines. Il empêche les cellules d'assembler divers acides aminés en protéines en fonction des messages qu'elles reçoivent de l'ARN messager dans un processus conduit par le ribosome de la cellule (la machinerie de fabrication des protéines) - c'est-à-dire le niveau le plus basique du métabolisme cellulaire, essentiel à tout être vivant. cellules et donc à la vie elle-même.
Un article intitulé Asymptomatique Infection du virus de Marburg a été publié par le NIH en janvier 2021.
La fabrication de la pandémie de COVID-19 et son échec apparent me portent à croire qu'il existe une deuxième phase ou une solution finale à portée de main pour prendre le public au dépourvu. Les symptômes de la fièvre hémorragique peuvent être facilement augmentés et rendus plus visibles en forçant des injections de rappel de COVID sur des patients vulnérables et blessés par injection de COVID, qui sont maintenant prisonniers dans des hôpitaux et des maisons de retraite, ainsi que des enfants par injection.
Les symptômes de la fièvre hémorragique apparaîtraient comme une énorme pandémie de Marburg et pourraient être confirmés par le nouveau test PCR de Marburg provoquant une hystérie de masse comme le monde n'en a jamais vu. RiVax pourrait être rapidement déployé en utilisant l'infrastructure d'injection COVID existante et le public serait facilement convaincu de le prendre en utilisant PSYCOPS sur les médias grand public. La ricine toxique dans le RiVax tuerait des milliards de personnes très rapidement et efficacement avant qu'elles ne réalisent ce qui se passait, car les décès seraient attribués à la fièvre hémorragique de Marburg sur la base des symptômes. Les personnes qui ont refusé le RiVax pourraient être étiquetées comme des épandeurs asymptomatiques et placées dans des camps comme elles le font en Australie, prétendaient être une mesure de protection COVID.
Si vous avez lu mes deux précédents articles COVID, vous aurez vu que j'ai commencé ce voyage début 2020 en tant que personne hésitante à vacciner. À la suite de ma récente étude de la virologie et de l'immunologie dans le but de comprendre le virus du SRAS-CoV-2, mes croyances antérieures dans les théories colportées par la science et la médecine officielles ont été complètement bouleversées.
Je comprends maintenant que Louis Pasture a fabriqué sa théorie des germes de la maladie dans les années 1850 en déclarant que les micro-organismes invisibles appelés agents pathogènes ou « germes » conduisent à la maladie. Les idées de pâturages sur les virus ont été concoctées sur des théories similaires remontant à la Grèce antique et à Rome, plus comme une religion ou un culte en développement plutôt qu'une véritable découverte scientifique.
Je crois maintenant que la théorie développée par Antoine Bechamp (Pasteur rival amer) Théorie du terrain qui stipule que les micro-organismes (germes) se nourrissent de la matière toxique qu'ils trouvent dans l'organisme malade et le préparent à l'excrétion, beaucoup plus similaire à la réponse immunitaire naturelle ce que nous savons être vrai. Cependant, la théorie du terrain a été activement bloquée en raison d'un biais pour la théorie des germes par Big Pharma en raison de son immense rentabilité.
La pratique de la variolisation remonte au XVIe siècle en Chine et est le précurseur du premier vaccin inventé contre la variole en 1796 par le médecin anglais Edward Jenner. J'ai découvert que l'utilisation généralisée des vaccins a tué beaucoup plus de personnes qu'elles n'en ont sauvé.
Un comptable, John D. Rockefeller qui a fait fortune dans le secteur pétrolier a été le premier philanthrope et ses fondations ont été les pionniers des développements de la recherche médicale. L'Institut Rockefeller pour la recherche médicale, fondé en 1901, était à l'avant-garde de la recherche en virologie et le chercheur principal Louis O. Kunkel avait fait des recherches sur la biologie et la pathologie des maladies à virus mosaïque. À partir de 1930, la Fondation Rockefeller a apporté un soutien financier à l'Institut Kaiser Wilhelm d'anthropologie, d'hérédité humaine et d'eugénisme, qui a ensuite inspiré et mené des expériences eugénistes dans le Troisième Reich. L'empire Rockefeller, en tandem avec la Chase Manhattan Bank (maintenant JP Morgan Chase), détient aujourd'hui plus de la moitié des intérêts pharmaceutiques aux États-Unis. Aucune approche alternative à la théorie des germes en virologie, immunologie ou médecine incluant l'utilisation croissante des vaccins, n'a été possible en raison de l'endoctrinement des sciences par l'industrie la plus puissante et la plus riche du monde. Les banques et les grandes sociétés pharmaceutiques qui contrôlent désormais les médias grand public et toutes les institutions médicales et scientifiques.
S'il vous plaît faites vos propres recherches, rapidement, utilisez votre esprit critique et unissons-nous pour arrêter cette folie. Je pense que la solution finale Marburg-RiVax pourrait être déployée soudainement pendant que nous nous détendons après le pire du COVID et distraits par les révélations désormais quotidiennes sur les médias grand public concernant la fraude du gouvernement et la mauvaise gestion de la santé publique qui ont créé l'urgence COVID.
REFERENCES
GAVI https://www.gavi.org/vaccineswork/next-pandemic/marburg Marburg Virus https://www.gavi.org/vaccineswork/next-pandemic/marburg genesig® https://www.genesig.com/assets/files/mbgv_std.pdf RiVax® Animal Rule https://www.fda.gov/drugs/nda-and-bla-approvals/animal-rule-approvals shareholders https://money.cnn.com/quote/shareholders/shareholders.html?symb=SNGX&subView=institutional Asymptomatic Infection of Marburg Virus https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33157026/ Germ Theory of Disease https://en.wikipedia.org/wiki/Germ_theory_of_disease Antoine Bechamp https://en.wikipedia.org/wiki/Antoine_B%C3%A9champ Terrain Theory https://landbyhand.org/terrain-is-everything-dr-antoine-bechamp/ Vaccine https://en.wikipedia.org/wiki/Vaccination John D. Rockefeller https://s3.amazonaws.com/lrc-cdn/assets/2016/08/thomas-lamont_john-d.-rockefeller-jr..jpg The Rockefeller Institute for Medical Research The Rockefeller empire https://en.wikipedia.org/wiki/Rockefeller_University
Les directeurs mondiaux veulent-ils que la pandémie prenne fin ?
Le traitement précoce des symptômes est le dernier ennemi restant du consensus mondial sur le Covid.
Cube-Baytur/Shutterstock 18 SEPTEMBRE 2021|12:01 AM BRIAN JONES
Dans son article du 17 mars 2020 dans Stat, l'épidémiologiste de Stanford, le Dr John Ioannidis, a plaidé pour un vaste réexamen de la réponse sociétale à la pandémie émergente de SRAS-COV-2, communément appelée Covid-19. Pour des raisons inconnues, la tradition scientifique et médicale à la base de la réponse aux pandémies a été rapidement dissoute. Abandonner de telles traditions précédemment établies impliquait de combler le vide avec l'apparition d'un nouveau consensus mondial : la combinaison d'interventions non pharmaceutiques sans fin (masques, distanciation sociale, etc.) et de vaccination universelle était la clé qui mettrait fin à la pandémie.
Le pouvoir totalisateur de ce nouveau consensus mondial sur la pandémie a certainement été efficace au cours de la dernière année et demie. Cependant, le dernier mois et demi a apporté une instabilité acceptable à cet accord apparemment une fois certain.
Comme l'observe un écrivain,
Jusqu'à présent, la politique de Corona dans tous les pays occidentaux s'est déroulée plus ou moins selon le même scénario, conçu par l'Organisation mondiale de la santé fin février 2020. L'acte final était censé être l'éradication à grande échelle de Corona après une vaccination de masse. . Il est maintenant clair que cela n'arrivera jamais. Pour la première fois depuis mars 2020, il n'y a pas de consensus international évident sur la voie à suivre.
Les responsables politiques et sanitaires mondiaux des pays occidentaux et leurs alliés médiatiques semblent de plus en plus incertains quant à l'avenir. Cependant, derrière l'incertitude sur la manière de réagir aux variantes, se cache le dernier consensus restant. Et bien qu'il s'agisse du dernier consensus restant, il s'agit d'une partie peu connue, mais réelle, du script depuis le début. C'est aussi simple que global : utilisez tous les moyens disponibles pour attaquer le traitement précoce du virus.
Considérez l'un des derniers affichages de cette mascarade. Beaucoup ont maintenant vu ou entendu parler de la récente expérience du podcasteur américain Joe Rogan avec Covid-19. Après avoir reconnu certains des symptômes courants de Covid-19, Rogan a décidé de « lui jeter l'évier de la cuisine ». Suite aux idées offertes par le Dr Peter McCullough et son protocole de traitement multi-médicaments, Rogan a poursuivi la perfusion d'anticorps monoclonaux. En plus d'une perfusion d'anticorps, Rogan a pris un cocktail composé d'ivermectine, d'azithromycine, de corticostéroïde Predinsone et de fortes doses de vitamine D (par le goutte-à-goutte). Dans les 72 heures suivant le début du traitement, Rogan a déclaré qu'il se sentait bien et s'était pratiquement remis du virus.
Nous n'aurions pas eu besoin du don de prophétie pour prédire la suite : la machine Covid a été déployée pour attaquer Rogan. L'inspiration pour l'assaut a été aidée par un récent tweet de la FDA, qui disait : « Vous n'êtes pas un cheval. Vous n'êtes pas une vache. Sérieusement, vous tous. Arrête ça." Passant de son attaque initiale contre l'utilisation précoce efficace de l'hydroxychloroquine, le consensus mondial a maintenant massivement déplacé sa colère vers l'ivermectine. Coïncidant avec l'attaque de Rogan, un reportage supposé de Rolling Stone affirmait que l'accès aux soins d'urgence pour les victimes de balles dans un hôpital de l'Oklahoma était menacé en raison du nombre de patients empoisonnés par une surdose d'ivermectine. L'hôpital a offert une clarification qui a nié les réclamations, qui avaient été faites par un ancien employé. Et pourtant, seules des mises à jour ont été ajoutées ; jusqu'à présent, l'histoire n'a pas été rétractée.
Ce rejet généralisé du principe et de l'efficacité du traitement préventif et précoce a été qualifié de « nihilisme thérapeutique ». Près de deux ans après le début de cette pandémie, obtenir un traitement précoce pour Covid-19 qui peut empêcher l'hospitalisation et la mort est toujours extrêmement difficile. Les tentatives continues de saper les protocoles de traitement précoces, ainsi que les campagnes fréquentes contre ceux qui sont sceptiques quant au récit dominant, donnent l'impression que certaines parties intéressées hésitent à mettre fin à la pandémie.
Les responsables mondiaux qui écrivent et exécutent le script Covid l'utilisent pour manipuler la population. Je me souviens du livre du philosophe et homme d'État polonais Ryszard Legutko, publié en 2016, The Demon in Democracy: Totalitarian Temptations in Free Societies. Après l'effondrement des régimes totalitaires en 1989, Legutko a commencé à remarquer quelque chose d'aussi déroutant que troublant. Les partisans du communisme semblaient trouver un chez-soi assez confortable dans les sociétés démocratiques libérales. Dans une tentative d'analyser et de comprendre ce phénomène politique, Legutko a réalisé certaines similitudes partagées entre les principes du communisme et les régimes démocratiques libéraux modernes :
Le communisme et la démocratie libérale se sont avérés être des entités unificatrices obligeant leurs partisans à penser, quoi faire, comment évaluer les événements, quoi rêver et quel langage utiliser. Ils avaient tous les deux leurs orthodoxies et leurs modèles de citoyen idéal. [Je souligne]
Ce que le diagnostic de Legutko révèle, c'est que la réponse mondiale à la pandémie a été utilisée pour accélérer les conditions dans lesquelles une réflexion rigoureuse et indépendante peut être étouffée. La pandémie semble avoir accéléré le projet de transmutation des nations occidentales en grands systèmes mécanistes orientés vers l'uniformité de pensée et de pratique.
Voici Ioannidis de Stanford commentant cette intégration inquiétante de la transparence et du collectivisme en déclin rapide :
La rétractation d'un article sur l'hydroxychloroquine très visible du The Lancet était un exemple surprenant : un manque de partage et d'ouverture a permis à une revue médicale de premier plan de publier un article dans lequel 671 hôpitaux auraient fourni des données qui n'existaient pas, et personne ne l'a remarqué d'emblée. fabrication avant publication. Le New England Journal of Medicine, une autre revue médicale de premier plan, a réussi à publier un article similaire ; de nombreux scientifiques continuent de le citer abondamment longtemps après son retrait.
Une telle situation révèle la vacuité des préoccupations supposées concernant les « preuves ». Des tropes abusés tels que « suivre la science » se révèlent être des prises de pouvoir néfastes cherchant à détruire les nuances. Les « bons » citoyens ne devraient même pas envisager la possibilité de remettre en cause le discours dominant concernant Covid. Plus précisément, il est anathème de même sonder l'idée que le traitement préventif et précoce devrait être un pilier fondamental de la réponse à une pandémie.
Alors que le consensus assimilant la vaccination à l'élimination du virus continue de s'affaiblir, la prédiction originale de Ioannidis continue d'être convaincante : la réponse au SRAS-COV-2 sera finalement considérée comme un "fiasco de preuves une fois par siècle". Mais les citoyens des nations occidentales doivent penser de manière critique par eux-mêmes si les bobines de la machine Covid ont une chance de se desserrer.
Brian Jones est titulaire d'un doctorat. candidat en philosophie au Centre d'études thomistes de l'Université de Saint-Thomas.
Pour en savoir plus sur la série « Enlever le masque », cliquez ici.
Fauci retourne sur les boosters, dit maintenant que ce n'est pas une « erreur » pour la FDA de limiter les recommandations
SHELBY TALCOTT CORRESPONDANT SENIOR DE LA MAISON BLANCHE 19 septembre 2021 10 h 58 HE
Le conseiller médical en chef de la Maison Blanche, le Dr Anthony Fauci, a déclaré dimanche que ce n'était pas une "erreur" de la part de la Food and Drug Administration (FDA) de limiter les recommandations de rappel, mais ses commentaires sur le sujet différaient il y a quelques jours à peine.
Vendredi, le comité consultatif sur les vaccins et les produits biologiques connexes de la FDA a voté contre l'approbation des rappels pour tous les Américains âgés de 16 ans et plus. Le panel a plutôt approuvé le rappel uniquement pour les Américains âgés de 65 ans et plus ainsi que pour ceux à risque de maladie grave due au virus.
La décision a été une perte pour l'administration du président Joe Biden, car les responsables avaient initialement affirmé que le rappel serait disponible pour tous les Américains à la mi-septembre, en attendant l'approbation de la FDA. Fauci poussait l'approbation des injections de rappel pas plus tard que mercredi lorsqu'il a déclaré à KHN qu'"il ne fait aucun doute que les rappels seront bénéfiques". (CONNEXES: De hauts responsables de la santé demandent à la Maison Blanche de suspendre le plan de rappel des vaccins : RAPPORT)
« S'ils disent : « Nous pensons qu'il n'y a pas assez de données pour faire un rappel », alors qu'il en soit ainsi. Je pense que ce serait une erreur, pour être honnête avec vous », a déclaré Fauci à l'époque.
Dimanche, Fauci a semblé faire marche arrière sur CNN – et le présentateur Jake Tapper l'a appelé. Tapper a souligné les récents commentaires de Fauci, notant qu'il avait dit que "ce serait une erreur" et se demandant s'il disait maintenant qu'il ne "pense pas que c'était une erreur".
"Non, je veux dire, je - vous savez, ce que je disais cette erreur, mon propre regard personnel, encore une fois, juste parce que je regarde les données et dis que je le ferais de cette façon, c'est la raison pour laquelle nous nous sommes qualifiés des groupes de personnes qui, ensemble en tant que comité, examinent toutes les données et prennent une décision », a répondu Fauci. "Je n'ai donc aucun problème avec leur décision. Ce que je dis, c'est que les données continueront d'arriver et je pense que vous allez voir une évolution de ce processus au cours des prochaines semaines ou des prochains mois.
Fauci a poursuivi en disant qu'il est "tout à fait concevable" que, afin de se protéger contre COVID-19, "le régime approprié … soit plus que le premier et le coup de pouce suivi de trois à quatre semaines".
"Cela pourrait en fait entraîner un troisième coup de pouce", a-t-il déclaré. "C'est tout à fait concevable parce que, rappelez-vous, Jake, lorsque nous avons fait les études initiales, ce que nous avons fait, c'est que nous devions agir très, très rapidement parce que nous faisions face - et le sommes toujours - à une situation d'urgence."
Fauci a poursuivi en réitérant qu'"un régime optimal peut consister en trois injections pour tout le monde". Dans le même temps, il a noté que les données examinées par le comité consultatif visent à limiter les personnes autorisées à recevoir des injections de rappel et qu'il y aura peut-être à l'avenir "une évolution de cette décision".
Fauci fait partie du groupe éligible au magasin de rappel en raison de son âge et a déclaré à Tapper qu'il n'avait pas encore reçu le rappel mais qu'il prévoyait de le faire.
La mise à jour du monde du coronavirus ment pour les grandes entreprises pharmaceutiques, tout comme NPR, CNN, NYT, WaPo, les médias sociaux, Fauci et Biden, causant la mort de plus de personnes
Par Paul Craig Roberts PaulCraigRoberts.org 22 septembre 2021
Le 21 septembre, le site Web de Big Pharma, Coronavirus World Update, a alimenté l'hystérie de la peur avec un faux rapport selon lequel le nombre de morts aux États-Unis de Covid "dépasse le total de la pandémie de grippe espagnole de 1918".
Presque personne n'est mort du Covid. Des personnes souffrant de comorbidités sont décédées de leurs problèmes de santé graves existants, et il est possible que Covid ait accéléré la journée. La plupart des personnes décédées l'ont fait par manque de traitement. Le protocole consiste à refuser de traiter les personnes infectées avec des remèdes connus et à les laisser à la maison sans traitement jusqu'à ce qu'elles se rétablissent d'elles-mêmes ou deviennent si malades qu'elles doivent se rendre à l'hôpital où, au lieu de recevoir de l'aide, elles sont mises sous respirateur et tuées.
Il est probable que le vaccin et les ventilateurs aient tué plus de personnes que Covid. Et les décès dus au vaccin pourraient commencer à peine à apparaître.
Les grands shills pharmaceutiques mentent dans le but de créer la peur qui pousse les gens à se faire vacciner avec un « vaccin » très dangereux et totalement inefficace, qui n'est pas un vaccin.
Nous ne savons pas si l'ordre du jour se limite au profit et au contrôle. Ce que nous savons, c'est que l'établissement médical américain est déterminé à ce que les patients de Covid meurent en se voyant refuser un traitement efficace.
Le Dr Mark McDonald décrit à Tucker Carlson sur Fox News la campagne visant à empêcher l'accès du public à l'ivermectine en obligeant les pharmaciens à refuser de remplir les ordonnances du médecin pour le traitement Covid sûr et efficace.
Lorsque les infirmières hospitalières, qui ont vu les maladies et les décès causés par l'injection d'ARNm, refusent d'être piquées, préférant plutôt démissionner ou être licenciées, et lorsque le protocole hospitalier américain est que la mort de Covid est préférable au traitement à l'ivermectine ou à l'HCQ, le seul les conclusions possibles sont que l'establishment médical américain est médicalement incompétent au-delà de toute croyance ou que l'establishment médical américain est volontairement complice d'un complot pour assassiner.
De nombreux Américains ont subi un lavage de cerveau et ont été endoctrinés dans le récit mortel. Cela les rend complices de leur propre meurtre. C'est tragique. Mais c'est une preuve supplémentaire du terme "Dumbshit American".
Comme tous les médecins, infirmiers, etc qui ont injecté le poison-de-la-mort, les politiciens savent qu'ils tuent, et, tous cela ne peuvent désormais plus faire marche arrière ! Faut tuer ! Faut tuer ! Faut tuer ! Jusqu'au dernier !
Dr Peter Breggin : Covid-19 et les prédateurs mondiaux
Par Joseph Mercola Mercola.com 22 septembre 2021
Dans cette interview, le Dr Peter Breggin – connu sous le nom de « la conscience de la psychiatrie » pour son rôle déterminant dans la prévention du retour de la lobotomie en tant que traitement psychiatrique au début des années 1970 – discute de son dernier livre, « COVID-19 et les prédateurs mondiaux : Nous sommes la proie », disponible sur wearetheprey.com.
Il ne fait plus aucun doute que nous sommes au milieu de la guerre de propagande la plus grande et la plus efficace de l'histoire du monde. Rien ne vient même près. En conséquence, une psychose de masse s'est développée, où de nombreuses personnes normalement rationnelles ont complètement perdu leur capacité de raisonner. Vous pouvez leur montrer des tonnes d'informations solides et indiscutables et ils refuseront tout simplement d'y croire. Qu'y a-t-il au cœur de cette psychose de masse ? Breggin explique :
« Il est extrêmement important de surmonter cette tentative de nous rendre tous impuissants, obéissants et dociles. Nous devons savoir, qui sont les maîtres qui conduisent cela ? D'un autre côté, nous devons comprendre les mécanismes de cette [manipulation]… C'est un règne subtil de terreur… Nous assistons à une révolution contre nous qui veut nous faire sentir impuissants comme des enfants.
En psychothérapie, nous voyons souvent des personnes qui ont été terriblement maltraitées par leurs parents, mais elles ne peuvent pas y faire face. Ils ne peuvent pas l'identifier comme un mal… Nous ne pouvons pas supporter de penser qu'il y a des gens pour nous faire du mal et nous manipuler. Vous ne pouvez pas supporter de penser qu'il y a des gens différents de nous - des gens qui prennent plaisir à se blesser et à dominer...
Donc, je veux d'abord identifier qui sont ces personnes. Qui nous fait ça ? Il est temps d'y faire face et de se débarrasser de l'idée que c'est le hasard, ou c'est fou, ou c'est bizarre, ou cela n'a aucun sens.
Comment est-il logique qu'ils ignorent absolument le fait qu'en Amérique, nous avons maintenant plus de 14 000 rapports de décès dus au « vaccin » [COVID] et que personne n'enquête ? Personne ne fait rien. Dans les années précédentes, si un vaccin avait plus de 20 ou 30 [décès], et certainement plus de 100, ce serait une catastrophe.
Nous avons maintenant un vaccin qui fait plus de morts que tous les autres vaccins réunis. Comment pouvons-nous ignorer cela ? D'un autre côté, nous obtenons tous ces nombres énormes [faussement gonflés] de décès dus au COVID-19… Donc, nous examinons cette situation et [demander] est-ce fou ?
Eh bien, non, c'est parfaitement logique. Si vous essayez d'intimider et de submerger une population, vous exagérez le danger. Vous prenez une maladie pseudo-grippale qui est plus sûre que la grippe en termes de comment elle épargne les enfants et les jeunes adultes et attaque les gens de mon âge, j'ai 85 ans. [It's] tue des gens qui ont déjà dépassé leur durée de vie prévue. Donc, vous prenez cette épidémie relativement bénigne et en faites un spectacle d'horreur en exagérant tout. »
Quel est le but ?
La question qui doit être posée et répondue est : quel est le but ? Nous pouvons déterminer l'objectif en regardant ce que nous savons. Nous savons:
Que nous disent ces faits pris ensemble ? Que « les pouvoirs en place » en retirent-ils ? Breggin explique :
« La protéine de pointe est le fer de lance d'un assaut contre l'humanité. Cela n'a rien à voir avec COVID-19, mais est prévu à travers COVID-19 afin d'augmenter considérablement la richesse de nombreuses institutions et individus… dont beaucoup sont malheureusement originaires d'Amérique, qui travaillent en collaboration avec le communiste chinois. Parti, pour augmenter cette vaste exploitation du monde…
Les Chinois nous mordent à pleines dents depuis longtemps, parce que nous sommes le siège de la liberté dans ce monde… Alors, tout commence à avoir un sens… Les forces sont le plus enfermées dans ceux d'entre nous qui sont maintenant libres, et ils visent à nous détruire. C'est terrifiant, mais cela ne devrait pas vous rendre… impuissant. Cela devrait vous inciter à regarder avec raison ce qui se passe dans le monde.
La décennie des vaccins
En 2010, Bill Gates a annoncé « la décennie des vaccins ». Un partenaire dans cette déclaration était le Dr Anthony Fauci, directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), ainsi qu'un certain nombre d'autres mondialistes, dont les Nations Unies.
Une décennie plus tard, nous avons COVID-19. Est-ce une coïncidence ? En 2015, un article scientifique3 assurait que les chercheurs en gain de fonction avaient les moyens de créer une pandémie. Cette recherche a été financée par le NIAID et menée par deux chercheurs chinois de premier plan à l'Institut de virologie de Wuhan (WIV) et, selon Breggin, tous les scientifiques en Chine travaillent pour le compte du Parti communiste chinois (PCC).
"Cela s'appelle la fusion civilo-militaire", dit Breggin. « Ils travaillent tous ensemble… C'est la nature de l'État totalitaire. Les gens ne s'en rendent pas compte, mais Fauci devait savoir qu'il finançait un virus pandémique potentiel.
En fait, au cours des derniers jours, il est ressorti de ses e-mails obtenus grâce à une demande du Freedom of Information Act (FOIA) … qu'il leur a en fait donné des instructions sur la façon de combiner … plusieurs systèmes de virus de type SRAS-Cov pour faire un véritable code source."
Selon Breggin, le PCC travaille avec des virus de type SRAS-CoV depuis au moins 2003, et il y a eu quatre fuites différentes de virus du SRAS depuis lors.
"Donc, ici, nous avons la Chine et l'Amérique qui fabriquent ce qui sont essentiellement des armes biologiques, l'excuse étant:" Nous allons fabriquer des vaccins. "Mais … les vaccins ne vont pas fonctionner et ils le savent, car le coronavirus mute tous les temps.
Donc, si vous fabriquez un vaccin contre le virus chinois, cela ne durera pas longtemps parce que cela aidera simplement à forcer ces mutations à sortir parce que si vous supprimez [souche] d'un virus, alors l'un des nombreux autres qui flottent prendra sa place… »
Plan d'affaires en cas de pandémie de Bill Gates
L’échec des injections de COVID a été prédit par de nombreux médecins et scientifiques bien avant le milieu de 2020, et il n’y a pratiquement aucune chance que les fabricants de vaccins ignorent les nombreuses objections soulevées et la justification scientifique qui les sous-tend.
"Donc, Bill Gates sait, en 2015, qu'un virus pandémique peut être créé et [that] les laboratoires en Chine et aux États-Unis collaborent et il connaît Fauci, qui est son homme clé depuis au moins 2010. Donc, Gates, en 2016 , crée un plan d'affaires. Je ne sais pas comment j'ai trouvé celui-ci. Je pense que c'était Dieu qui tirait simplement les ficelles de mes doigts, mais je me suis retiré du plan d'affaires du site Web de [Klaus] Schwab, Bill Gates, pour le monde pour la prochaine pandémie.
Il fait environ 65 pages. Vous pouvez le trouver sur mon site. Accédez au centre de ressources sur les coronavirus sur breggin.com, puis recherchez les documents de référence pour le livre, et vous deviendrez l'une des premières personnes au monde en dehors des prédateurs à voir le plan d'affaires qu'ils ont élaboré en 2016.
Ce plan d'affaires décrit tout ce qui nous arrive maintenant. En particulier, il indique que Bill Gates travaillera avec la CEPI [Coalition for Epidemic Preparedness Innovations], une organisation que Gates a fondée en 2017 - mais qu'il décrit en 2016 - avec Schwab, l'homme qui finira par annoncer la grande réinitialisation en 2020 qu'il a travaillé toute sa vie.
Dans ce document lié ci-dessus, « Plan d'affaires préliminaire du CEPI 2017-2021 », il est indiqué que l'industrie pharmaceutique n'engagera aucune dépense au cours de la prochaine pandémie. Toutes les dépenses, y compris les coûts indirects, seront couvertes. Encore un autre document décrit les énormes profits attendus. Le plan d'affaires de Gates décrit également la création de ce qui est finalement devenu l'opération Warp Speed.
En juillet 2017, le CEPI a créé une présentation PowerPoint pour l'Organisation mondiale de la santé, que vous pouvez également consulter sur le site Web de Breggin. Cette présentation passe en revue le plan de Gates et explique le rôle de l'OMS dans l'établissement des normes pour la science et la médecine pandémiques.
Étonnamment, le PowerPoint comprend une déclaration selon laquelle le CEPI a créé un protocole d'accord sur ce qu'est l'OMS. Selon Breggin, c'est "la prochaine étape d'un contrat absolument contraignant avec l'OMS".
Qui sont les prédateurs ?
Dans son livre, Breggin détaille également les autres partenaires de ce programme, notamment la Food and Drug Administration des États-Unis, les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis, les National Institutes of Health, le NIAID et la Biomedical Advanced Research and Development Authority (BARDA). .
En bref, les preuves indiquent que la pandémie de COVID-19 – avec toutes les décisions insensées et irrationnelles prises en son nom – est un stratagème visant à enrichir certains individus, entreprises et organisations au détriment de tous les autres.
"Rick Bright, [director of] BARDA, était la clé, un homme de point, [in] empêchant tout le monde d'avoir un accès facile à des traitements très efficaces", a déclaré Breggin. « Encore une fois, pourquoi ? Parce que c'était une décennie de vaccins. C'est tout ce dont il s'agissait. Il n'a jamais été question d'autre chose. [Il s'agissait toujours] de trouver un moyen de devenir riche et puissant.
Jusqu'à présent, nous pouvons donc énumérer les prédateurs suivants :
Vers quoi travaillent les prédateurs ?
Alors, vers quoi travaillent-ils exactement ? Dans des vidéos datant de 2017, Gates discute du développement de vaccins à ARN. Avance rapide jusqu'en 2020, et les injections d'ARNm étaient le choix immédiat pour les injections COVID accélérées. Et, comme détaillé dans le plan d'affaires de Gates, Pfizer et Moderna ont tous deux reçu des milliards de dollars du gouvernement fédéral américain par l'intermédiaire de BARDA et du NIH/NIAID.
N'ayez pas peur. Mettez-vous en colère, mais ne vous découragez pas. Ils veulent ça. Vous savez, il y a toute une école de santé publique qui parle de la façon d'intimider et d'engendrer la peur pour amener les gens à faire ce que vous voulez. C'est ce qu'on appelle l'appel à la peur. Donc, c'est systématique, et les gens de la santé publique ont toujours été de nature totalitaire. ~ Dr Peter Breggin
Ceci, malgré le fait qu'aucune injection d'ARNm n'ait jamais été commercialisée avant cela, et le fait qu'aucun vaccin contre le coronavirus n'ait jamais été commercialisé au cours des 20 années où ils y ont travaillé. Pour une raison quelconque, les vaccins contre les coronavirus provoquent régulièrement des maladies graves et une létalité accrue lorsqu'ils sont exposés au virus sauvage, un phénomène connu sous le nom d'amélioration dépendante des anticorps (ADE).
Dans son livre, Breggin cite un article de 2020 de chercheurs indépendants avertissant que tous les vaccins COVID, non seulement l'ARNm et les injections d'ADN, mais aussi ceux utilisant des virus tués, sont trop dangereux pour même essayer sur des humains.
"Donc, ils savent tout cela", dit Breggin. «Il n'y a pas de surprises pour eux. Ils savaient ce qu'ils faisaient… Mais n'ayez pas peur. Mettez-vous en colère, mais ne vous découragez pas. Ils veulent ça. Vous savez, il y a toute une école de santé publique qui parle de la façon d'intimider et d'engendrer la peur pour amener les gens à faire ce que vous voulez. C'est ce qu'on appelle l'appel à la peur.
Donc, c'est systématique, et les gens de la santé publique ont toujours été de nature totalitaire. Il s'agit de personnes de santé publique qui disent aux communautés ce qu'elles doivent faire face à la prochaine menace pour la santé publique. Ils ne disent pas préserver la Déclaration des droits. Ils ne disent pas : « assurez-vous que nous vérifions cela devant les tribunaux ou un organisme qui nous supervise pour notre éthique afin de protéger les gens. »
Reconnaître l'abus, puis s'y opposer
Alors, comment pouvons-nous briser le sortilège de psychose de masse dans lequel tant de gens sont actuellement, qui les rend incapables de voir la réalité et de comprendre que se conformer aux prédateurs mondialistes entraînera leur propre ruine ? Commentaires de Breggin :
« Les êtres humains naissent dans un état d'impuissance… Et la raison en est, je crois, que nous sommes un animal social. Le cerveau double de taille au cours de la première année de vie, ce qui se produit dans un environnement social. Donc, nous avons un cerveau social. Nous sommes très liés les uns aux autres. C'est tout le but de cette socialisation, de cette croissance lente, de cette dépendance au fil des années...
Être social nous a permis en tant que famille élargie de survivre et d'être différent de toutes les autres créatures. Ce sont nos relations sociales qui nous rendent uniques. Ils nous font aussi plaisir.
Dans le chagrin maintenant intégré en chacun de nous se trouve ce potentiel de se sentir très impuissant. Nous pouvons redevenir par moments [comme] de petits enfants. Lorsque nous commençons à ressentir de la culpabilité, de la honte, de l'anxiété ou une peur écrasante, nous pouvons facilement devenir impuissants. Et c'est essentiellement ce qui se passe. Je pense que c'est bien d'appeler ça une psychose, mais je préfère l'appeler une impuissance écrasante qui submerge la nation.
Maintenant, si dans l'enfance vous avez été maltraité, alors cette impuissance reste avec vous jusqu'à l'âge adulte. C'est à quel point ces premières années sont puissantes, et vous devez travailler dur pour le surmonter… Nous devons identifier ce qui nous a été fait. Si vous êtes un adulte, cela aide vraiment à identifier que, oui, vous avez été abusé sexuellement ou, oui, vous avez vraiment été harcelé par votre frère aîné ou votre grande sœur…
Vous regardez en arrière et vous voyez ce qui se passe et ce qui s'est passé. Et cela vous aide… Nous sommes opprimés par des gens malfaisants. Rien n'est dû au hasard. Nous pourrions aussi bien être des enfants tourmentés. Nous devons nous dire : « Pas plus. Plus d'impuissance, plus de lamentations, plus de plaintes, plus de dire Qu'est-ce qui nous arrive ? C'est très clair, ce qui nous arrive.
Ce n'est pas fou. C'est intentionnel et intentionnel et nous devons nous y opposer. Nous devons comprendre et ne pas nous laisser abuser et nous rendre à nouveau. Nous devons nous donner du réconfort, de l'amour et de l'inspiration. Nous devons soutenir d'un point de vue tactique.
Nous devons nous impliquer ensemble. [Ma femme] Ginger et moi avons pris la décision terrifiante d'affronter COVID-19… [et] de rejoindre de nombreuses autres personnes luttant pour la liberté de l'Amérique. C'était un choix effrayant, mais une fois que nous l'avons fait, nous avons commencé à rencontrer des tonnes de gens.
Je n'aurais jamais imaginé connaître Peter McCollough, un grand cardiologue qui a écrit une introduction à [mon livre], qui a risqué sa vie et toute sa réputation pour déclarer qu'il existe un bon traitement… Nous sommes tous des refondateurs de l'Amérique dans un moment critique à l'heure.
Et au lieu de vous apitoyer sur votre sort, pensez à vous-même : « Dieu nous a mis dans une position où nous pouvons faire l'une des plus grandes différences, ou nous pouvons avoir des effets au-delà de tout ce que nous avons imaginé » … Nous devons savoir qu'il y a une guerre contre nous… Ils ont une guerre furtive contre nous… Alors soyez fiers, soyez un Américain, soyez un patriote. Défendez-vous pour la liberté.
Regardez la Déclaration d'indépendance, la Constitution, en particulier la Déclaration des droits. C'est votre héritage. Vous le jetiez. Vous ne faisiez rien pour le protéger, probablement depuis la guerre civile. C'est la plus grande menace pour la liberté en Amérique. Et c'est bien plus grave que la guerre civile. C’est une guerre contre toute la démocratie occidentale.
Plus d'information
Comme indiqué clairement dans le livre de Breggin, « COVID-19 et les prédateurs mondiaux : nous sommes la proie », l'objectif final est un contrôle totalitaire complet de toutes les nations, très similaire au type de contrôle sociétal déjà en place en Chine, et à moins que nous unissons-nous contre la mise en œuvre de ce plan, il n'y aura pas de fin heureuse pour aucun d'entre nous.
Ce ne sera pas facile, car les prédateurs mondialistes ont infiltré le gouvernement, les ONG, les universités, les divertissements, les entreprises et tous les autres aspects majeurs de la vie américaine. La voie à suivre nécessitera de reprendre le contrôle de chaque domaine, un par un.
Dans les jours qui ont suivi cette interview, le président Biden a clairement indiqué son intention de forcer les Américains à vacciner en obligeant les entreprises de 100 employés ou plus à exiger la vaccination contre le COVID sous peine d'amendes. C'est aussi inconstitutionnel que possible, mais il le fait quand même parce que, encore une fois, le but final est le totalitarisme et le moyen est la tyrannie médicale.
Nous pouvons également voir que COVID-19 n'était rien de plus qu'un moyen pour parvenir à une fin car la même élite mondialiste appelle maintenant à des sanctions contre le monde pour lutter contre la menace sanitaire du réchauffement climatique.
Plus de 200 revues, dont The Lancet, The New England Journal of Medicine4 et The BMJ ont simultanément publié le même éditorial appelant à des « changements à l'échelle de la société » au nom de la sauvegarde de l'environnement. Fait intéressant, l'un des auteurs, Richard Smith, préside la Commission Lancet sur la valeur de la mort. Comme le note Breggin :
«C’est assez étonnant et indique que les blocages, les passeports et autres abus se poursuivront et s’intensifieront à mesure que les gens s’apercevront de la fraude derrière COVID-19. Un effort coordonné aussi spectaculaire pour amener les revues médicales et de santé du monde entier à s'engager dans des objectifs progressistes et mondialistes pour l'humanité est étonnant et nécessite l'explication des divulgations de notre livre. »
« COVID-19 et les prédateurs mondiaux » est en cours d'auto-édition et n'est disponible que sur wearetheprey.com pour le moment. Avec 650 pages, c'est un gros livre, et il retrace la chronologie de la façon dont nous en sommes arrivés là, du début à la fin. Il dispose également d'un index détaillé, ce qui vous permet de rechercher des noms et des organisations.
Sources and References
1 CDC June 11, 2021 2 CDC July 21, 2021 3 The BMJ August 12, 2015 4 NEJM September 5, 2021
Selon les dernières informations communiquées par l’OMS, quelques 4,5 milliards de personnes ont été « vaccinées » dans le monde. Il semble que cette statistique globale tient compte des 800 millions de Chinois ayant reçu deux doses de vaccin Sinovac ou Sinopharm, les seuls « vrais » vaccins à ce jour, on ne va pas chipoter. Bref, au bas mot les laboratoires pharmaceutiques occidentaux ont déjà empoché près de 400 milliards de dollars surtout en considérant un nombre croissant de personnes tri-injectées. Gardons cette donnée en mémoire …
Selon les statistiques en date du 11 septembre 2021 provenant de l’Union européenne, de la Suisse, de la Grande-Bretagne et des USA il y a eu officiellement 40666 morts liées à l’injection de « vaccins » à ARN messager et 6,6 millions de personnes souffrant d’effets secondaires sérieux ou bénins. Compte tenu du fait maintenant dénoncé publiquement que les médecins, tenus d’envoyer un rapport pour chaque décès et chaque effet secondaire liés au « vaccin », ne se plient pas à cette obligation car ils subissent les pressions constantes, voire les menaces, des laboratoires pharmaceutiques, il est vraisemblable que moins de 10 % des faits sont répertoriés par les autorités sanitaires de ces pays. Considérons que seulement 8 % des constats remontent jusqu’aux services de statistiques nationales, européennes et américaines. On arrive au nombre réaliste de 508000 morts partagés entre les USA, GB, Suisse et Union européenne.
Qu’est-ce que cela signifie ? Les laboratoires pharmaceutiques occidentaux sont coupables de la mort de 1270 morts pour chaque milliard de dollars empoché avec ces préparations qui ne sont même pas des vaccins mais à l’évidence des produits mortel ou dangereux car pour chaque milliard empoché 167600 personnes ont souffert d’effets secondaires graves, durables mais non létaux. Voilà le prix à payer pour enrichir les laboratoires pharmaceutiques alors que ces pseudo-vaccins ne protègent même pas les personnes qui se sont soumises à ce traitement, qu’elles peuvent devenir contagieuses, mourir à la suite de l’infection par le coronavirus et malgré le fait qu’elles soient alors fières d’arborer leur QR-code être encore soumises à un test PCR (devenu magiquement payant) et se masquer si elles désirent voyager. Cherchez l’erreur !
Il y a deux semaines, le président Joseph R. Biden a annoncé son intention d'ordonner au ministère du Travail d'obliger tous les employeurs de plus de 100 personnes à exiger que tous leurs employés soient vaccinés contre le COVID-19 sous peine d'une amende de 14 000 $ par jour pour chaque employé non vacciné. Le ministère du Travail percevra les amendes.
Les conseillers juridiques de Biden l'ont probablement informé que le gouvernement fédéral n'a pas le pouvoir d'obliger directement les individus à se faire vacciner, et si c'était le cas, la contrainte devrait venir du Congrès – qui rédige les lois – et non du président, qui les applique.
Mais les mêmes conseillers ont sans aucun doute déclaré au président que le gouvernement fédéral avait le pouvoir de dire aux employeurs dont les activités affectent le commerce interétatique comment gérer leurs entreprises. Pour un gouvernement qui ne peut pas payer ses propres factures sans emprunter 2 000 milliards de dollars par an, qui ne peut pas se conformer aux réglementations qu'il nous impose et qui ne peut pas suivre la Constitution que ses agents ont juré de respecter, c'est un blague malade qu'il peut deviner la gestion des entreprises privées.
En utilisant des entreprises privées pour faire respecter ses diktats, le président fait-il indirectement ce que la Constitution interdit au gouvernement fédéral de faire directement ?
Voici la trame de fond.
Le gouvernement fédéral est l'un des pouvoirs limités — limités à ce que la Constitution lui délègue. On pourrait ne pas le savoir si l'on ne s'est pas engagé dans une étude sérieuse de la Constitution et de l'histoire de son traitement tortueux par le Congrès et la Cour suprême, car il apparaît aujourd'hui que presque tout est réglementé par le gouvernement fédéral.
Une fois, j'ai demandé à cinq de mes collègues intelligents à la télévision en direct de faire le tour du studio et de voir s'ils pouvaient trouver quelque chose qui ne soit pas réglementé par le gouvernement fédéral. Des lumières nous éclairant aux vêtements que nous portions en passant par l'équipement qui nous diffusait jusqu'aux meubles sur lesquels nous étions tous assis, aucun de mes collègues n'a pu trouver quoi que ce soit non réglementé par les autorités fédérales.
Tous ces règlements ont été promulgués ou autorisés par le Congrès. Aucun n'était issu d'un diktat du président. Les limites imposées au gouvernement fédéral sont inscrites dans la Constitution et dans ses amendements. Mais, chaque fois qu'il veut le faire, le Congrès a dépassé ces limites, et les tribunaux ont presque toujours confirmé le Congrès.
Ainsi, ce qui a été écrit pour permettre au Congrès de maintenir la régularité du commerce interétatique est maintenant si tordu que le Congrès peut réglementer toute activité utilisant de l'argent, même celle qui n'est pas commerciale, même celle qui n'est pas interétatique, et même celle qui est si infinitésimale qu'elle être économiquement incommensurable.
En d'autres termes, la Cour suprême s'est si obséquieusement renvoyée au Congrès en ce qui concerne le commerce interétatique qu'elle a autorisé le Congrès à faire ce que la Constitution a été écrite pour l'empêcher de faire – réglementer la propriété privée.
Mais dans certains domaines, comme les limites de vitesse sur les autoroutes ou le taux d'alcoolémie des conducteurs suffisant pour justifier une poursuite pour CFA, même le Congrès a reconnu son manque d'autorité. La solution du Congrès : soudoyer les États. Ainsi, le Congrès a offert des centaines de millions de dollars aux États pour repaver les autoroutes fédérales s'ils réduisaient à la fois leurs limites de vitesse et le taux d'alcoolémie maximal de leurs conducteurs avant que des poursuites pour CFA ne soient indiquées. La Cour suprême a confirmé cela en vertu du pouvoir de dépenser du Congrès.
Autrement dit, alors que le Congrès ne peut pas réglementer tous les domaines de l'activité humaine, il peut dépenser des dollars fédéraux dans n'importe quel domaine de l'activité humaine. Et il peut attacher des conditions à ces dépenses. Lorsque le Dakota du Sud a déclaré au Congrès qu'il prendrait son argent pour repaver les autoroutes mais qu'il n'abaisserait pas les limites de vitesse, la Cour suprême s'est rangée du côté du Congrès. Vous voulez de l'argent, vous l'obtenez avec des ficelles. Vous ne voulez pas les ficelles, vous pouvez rejeter l'argent.
Il en va de même en ce qui concerne le pouvoir d'imposition du Congrès. Bien que le Congrès ne puisse pas m'ordonner de manger du brocoli, il peut me taxer si je ne le fais pas.
Maintenant, revenons aux employeurs privés appliquant une règle écrite par le président. Le pouvoir de dépenser et d'imposer ne peut être exercé que par voie législative. Le Congrès, et seul le Congrès, peut faire indirectement ce qu'il ne peut pas faire directement ; et il ne peut le faire qu'en offrant de l'argent pour la conformité ou en imposant des taxes en cas de non-conformité.
Dans le cas des mandats du ministère du Travail de Biden, il n'y a pas d'argent offert ni de menace d'impôt, car seul le Congrès pourrait le faire. Au contraire, une sanction est menacée, que seuls les tribunaux peuvent imposer après un procès. Ainsi, le président - qui ne peut pas rédiger de lois ou imposer des sanctions - ne peut légalement faire indirectement ce qu'il ne peut pas faire directement.
Pourquoi Biden ne demande-t-il pas au Congrès une législation contraignant les vaccins ? Premièrement, cela ne passerait pas le Congrès. Et deuxièmement, le Congrès devrait indemniser les employeurs pour l'administration de cette surveillance orwellienne ou payer les employés fédéraux pour administrer les vaccins. Quoi qu'il en soit, il n'y a aucune volonté politique au Congrès, ni aucune autorité constitutionnelle, pour qu'il dise aux Américains ordinaires qu'ils doivent mettre un médicament expérimental dans leurs bras.
Le président peut-il obliger les employeurs à appliquer un programme fédéral à leurs propres frais ? En un mot : Non. Le 13e amendement interdit la servitude involontaire. Obliger des personnes et des entités à travailler contre leur gré et sans juste compensation est la définition de la servitude involontaire, autrement connue sous son nom plus descriptif — esclavage.
On peut voir le mépris total de l'administration Biden pour les normes constitutionnelles. Il veut que le président, et non le Congrès, rédige des règles de comportement personnel et corporatif. Il veut que le ministère du Travail, et non les tribunaux, soit juge et partie lorsque ces règles ne sont pas respectées. Il veut que des personnes et entités privées travaillent pour le gouvernement fédéral contre leur gré et sans compensation, en violation du 13e amendement.
Tout cela ne peut arriver que si nous le laissons faire. Mais, parce que le 13e amendement n'interdit que la servitude involontaire, les autorités peuvent sûrement nous asservir lorsque nous sommes assez timides pour consentir.
Pourquoi les médecins acceptent-ils les prescriptions COVID Panic Porn et CDC ?
Par Ted Noel, MD 22 septembre 2021
J'ai récemment eu une conversation avec un écrivain raisonnablement bien informé qui a tout simplement raté les vraies raisons pour lesquelles la plupart des médecins praticiens acceptent la fraude Fauci. En tant que service public, je vais tenter de combler quelques lacunes. Mais d'abord, je dois définir la fraude.
Il y a deux jambes de base à la fraude. La première est l'idée que les Centers for Disease Control sont de quelque manière que ce soit concernés par une mission liée à son nom. L'échec du CDC à approuver tout traitement qui n'émanait pas de ses salles exaltées devrait nous donner notre premier éclair de clarté. Il y a littéralement des millions de médecins dans le monde, et la grande majorité d'entre eux souhaitent vraiment bien traiter leurs patients. Parmi ceux-ci se trouvent des milliers de chercheurs, un nombre bien supérieur à ceux du CDC, du NIH et d'autres agences gouvernementales de la soupe à l'alphabet. L'idée même que les chercheurs extérieurs sont incapables de découvrir quoi que ce soit d'utile sans l'aide des bureaucrates de D.C. est de l'orgueil de la plus haute importance. Et cela empêche le CDC, la FDA ou toute autre agence de ce type d'envisager l'idée que peut-être, très probablement, il pourrait y avoir une vie intelligente ici. Le mont Olympe ne peut pas être menacé.
La deuxième étape de la fraude est moins visible à l'œil nu mais beaucoup plus puissante. Si j'écrivais ceci avant de prendre ma retraite, on me convoquerait devant le conseil d'administration de mon groupe et on me dirait sans ambages de me taire. Je pourrais même recevoir une pénalité financière avec plusieurs zéros après un. C'est une grave atteinte à ma quête du bonheur. La raison de l'aversion de mon groupe est plus que le fait que je puisse être un irritant. Ils peuvent en fait être d'accord avec ce que j'ai à dire. Mais ils ne peuvent tout simplement pas me permettre de le dire. C'est vrai : en tant que médecin pratiquant dans un groupe, ma liberté d'expression peut devenir très coûteuse... pour le groupe.
Mon groupe s'occupait de patients de toutes sortes, avec environ la moitié d'entre eux sous Medicare et un autre sous Medicaid. Les deux programmes sont finalement gérés par le gouvernement fédéral, l'un des groupes les plus dépourvus d'humour de la planète. Ils écrivent tout un tas de règles sur la façon dont vous devez documenter tout ce que vous faites. Si vous ne l'avez pas documenté correctement, cela ne s'est pas produit et vous ne serez pas payé. Mais ce n'est pas la moitié.
Supposons que vous ayez un de ces patients amené par l'ambulance sous le pont. Ses seuls vêtements sont ceux qu'il porte, et il n'a pas deux centimes à frotter. Il est plus qu'évident que cette chirurgie pour occlusion intestinale sera une affaire de charité. Avant l'assurance-maladie, vous le disiez simplement comme votre devoir de bon voisin. Maintenant, vous n'avez pas le choix. La GMAO (l'agence administrative actuelle) vous demande d'envoyer une facture. À deux reprises. Ou peut-être trois fois. Tout ce qu'il faut pour transformer la facture en créance irrécouvrable. Ensuite, vous devez l'envoyer à une agence de recouvrement. Votre seule alternative est que votre groupe en parle lors de sa réunion du conseil d'administration et déclare qu'il s'agit d'une radiation qui est notée dans le procès-verbal.
Toute cette arnaque ne sert à rien, et vous le saviez avant d'arriver à cette phrase. Mais la GMAO a un côté sinistre. Si vous faites le cas gratuitement (ce que vous faisiez avant de dépenser cet argent inutile en facturation et en recouvrement), la GMAO définira cela comme votre facture "habituelle et coutumière" pour une laparotomie exploratrice. Étant donné que votre U&C est maintenant nul, vous ne pourrez jamais facturer plus que cela pour un tour ex à l'avenir.
Mais qu'est-ce que cela a à voir avec l'ivermectine ? Je suis content que vous ayez demandé.
Les factures U&C ne sont que l'une des centaines de règles appliquées par la GMAO. Un autre est « Payer pour la performance ». Fondamentalement, P-f-P vous oblige à cocher une multitude de cases lors de la prise en charge des patients. Si vous n'avez pas reçu cet antibiotique IV dans les 20 minutes avant l'incision, vous avez échoué P-f-P et vous pourriez ne pas être payé. L'hôpital ne sera pas payé pour prendre en charge le patient s'il y a une complication.
Supposons donc que vous utilisiez de l'ivermectine pour traiter un patient COVID à son arrivée à l'hôpital. L'ivermectine ne figure pas sur la liste des médicaments approuvés par Medicare/Medicaid pour le COVID. Votre pharmacie hospitalière vous appellera et vous donnera du chagrin. Après avoir perdu beaucoup de temps à les faire enfin vous le donner, vous avez dû annuler la moitié de votre journée de bureau. Le lendemain, vous recevrez la visite d'un codeur, qui vous dira que vous n'avez pas utilisé le protocole de traitement approuvé et que vous avez mis l'hôpital en danger parce que vous avez raté P-f-P. Soit dit en passant, ce "codeur" est la personne qui vous "aide" à utiliser le code ICD (facturation) approprié pour tout ce que le patient a pour que l'hôpital gagne le plus d'argent. Mais ce n'est pas le pire.
Parce que vous avez raté P-f-P, cela agite un drapeau rouge devant les taureaux CMMS, et vous êtes sur le point de vous faire encorner. Ils se demanderont quelles autres mauvaises choses vous avez faites. Dès qu'ils en trouvent un, il est signalé comme « fraude à l'assurance-maladie » et ils vous factureront le double de ce que vous avez payé à titre de pénalité. Pouvez-vous deviner combien d'autres cas de fraude ils trouveront s'ils y prêtent attention ? Faut-il se demander pourquoi mes partenaires se fâcheraient si je publiais alors que j'étais encore en exercice ? Soit dit en passant, la GMAO peut remonter deux ans en arrière pour rechercher vos crimes. Ils peuvent finalement prendre votre maison, votre voiture et le caniche de votre femme pendant qu'ils y sont.
Changeons la scène. Supposons que vous soyez en pratique privée. Vous ne pouvez pas donner d'ivermectine parce que les autorités la saisiront si votre patient est sous Medicare ou Medicaid. Alors vous décidez de vous occuper de lui en dehors des livres. Il vous paie comptant, et tout va bien. Pas ! Vous avez maintenant pris un paiement privé pour un service couvert par Medicare. Cela vous empêchera de voir un autre patient de Medicare pendant deux ans.
Oublions tous les pièges réglementaires. Vous êtes consciencieux et essayez de faire au mieux pour vos patients. Mais vous êtes occupé et vous ne pouvez pas suivre le flot de documents sur tous les différents éléments COVID. Vous portez donc un masque, faites porter des masques à vos patients et faites beaucoup de télémédecine. Vous vous tenez au courant des dernières nouveautés grâce à Medscape et au Reporter hebdomadaire sur la morbidité et la mortalité. Tu devrais être bon ? Pas! Le MMWR est publié par le CDC, et ils ne diront pas le premier bon mot sur l'HCQ ou l'ivermectine. Medscape est un peu mieux, mais pas beaucoup. Et toutes les sociétés spécialisées suivent la ligne. Pouvons-nous deviner pourquoi ?
Tout médecin qui lit réellement les études, ou suit l'un des protocoles publiés par l'Association des médecins et chirurgiens américains, verra beaucoup de pression de ses pairs pour arrêter. Les risques financiers peuvent être extrêmes. Il faut une colonne vertébrale d'acier pour tenir tête à l'orthodoxie autoritaire.
Ted Noel, M.D. est un anesthésiste/intensiviste à la retraite qui publie sur les réseaux sociaux sous le nom de DoctorTed et @vidzette.
Par Jon Rappoport Le blog de Jon Rappoport 23 septembre 2021
« Inscrivez-vous maintenant et inscrivez-vous sur la liste pour un nouvel esprit ! »
La description technique de la chirurgie vous dépasse, mais les bases sont passionnantes.
Deux améliorations post-opératoires solides sont la vitesse et la précision. Vous penserez 20 fois plus vite et votre taux d'erreurs tombera à 0,01%. Votre QI augmentera d'au moins 50 points.
Il y a aussi un signal automatique lorsqu'un problème sur lequel vous travaillez ne sera pas résolu. Le lobe de votre oreille gauche vous brûle. Cela vous informe que, peu importe vos efforts, vous ne pourrez pas arriver à une conclusion utile.
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Il produit une réponse, une solution. Votre solution.
Moyennant des frais supplémentaires, vous pouvez opter pour un programme social qui vous permettra de sortir du mode travail et de communiquer efficacement avec vos collègues, amis et famille.
Le signal de brûlure du lobe de l'oreille gauche sera diffusé chaque fois que les conversations sociales aborderont des questions controversées. C'est votre signal pour reculer et chercher une autre compagnie.
Votre nouvel esprit sera surveillé 24h/24 et 7j/7 à partir d'un nœud NSA-DHS combiné qui garantit un bon fonctionnement. Si des réparations sont nécessaires, un arrêt partiel sera déployé. Les corrections prendront normalement moins de trois heures.
Il y a aussi une fonction d'enclos. Questions persistantes pour lesquelles il n'y a pas de réponse disponible ; réflexions et contemplations personnelles; et tout cas de claustrophobie sociale, politique, financière ou existentielle sera tous canalisé vers un espace mort où ils s'attarderont et s'estomperont progressivement.
Un package Grand Chelem minuscule mais important traduira toutes les pensées autrefois considérées comme créatives en un maillage de boue, où la vitesse de transmission ralentira à un flash synaptique par heure. En d'autres termes, vous obtiendrez un taux d'imagination proche de zéro.
Au périmètre de votre nouvel esprit se trouve la ferme d'élevage. Des tautologies lentes, dénuées de sens et aléatoires y circulent, bloquant efficacement la sortie de l'espace global programmé de la conscience.
Vous êtes centré là où vous en avez le plus besoin, là où vous pouvez travailler utilement et rapidement.
Tout au long de la journée, vous penserez à des pensées qui déclenchent un quotient de plaisir soigneusement préparé et modulé. L'effet global vous incitera à conclure que vous êtes satisfait.
Des formes-pensées appelées Border Collies parcourront continuellement l'espace de votre esprit et organiseront des effets électriques parasites, les amenant dans des ensembles symétriques, simplistes et géométriques. Ces ensembles constitueront automatiquement votre « sens esthétique ».
La nuit, pendant que vous dormez, des régions de l'esprit inaccessibles par la chirurgie dépenseront naturellement des énergies extraordinaires d'indignation, de ressentiment, de résistance et de haine pure. C'est tout à fait normal.
Les drones Scooper siphonneront ces énergies et les feux de forêt émotionnels qui les accompagnent, et les projetteront directement dans l'esprit de nos soldats sur le champ de bataille, pour les aider à semer la destruction sur l'ennemi.
On estime qu'avec votre nouvel esprit en remorque, vous aurez besoin d'une révision complète tous les trois ans. Pendant ces périodes, vous ferez l'expérience d'un arrêt total.
Vos familles, amis et collègues seront informés à l'avance.
Comme note historique d'intérêt, vous vous souvenez, j'en suis sûr, du soi-disant espionnage, du soi-disant État de surveillance, à l'époque. Oui ?
La plupart des gens ne savaient pas que le programme était la première tentative de créer un seul esprit universel.
L'État de surveillance était vraiment la première chirurgie grossière de l'esprit neuf.
Mais maintenant, nous pouvons garantir le résultat. La science a avancé majestueusement. La chirurgie est extrêmement spécifique et complète.
La planification centrale de la planète Terre doit restructurer les cerveaux afin qu'ils fonctionnent, de diverses manières, pour produire ce que nous appelons The Whole X.
Qu'est-ce que le Tout X ? C'est le maillage de toutes les pensées et fonctions humaines qui produira en effet le plus grand bien pour le plus grand nombre.
Tout X est le plan d'en haut.
Il calcule chaque mouvement et chaque schéma de pensée que des milliards d'habitants de la Terre entreprennent, à chaque heure de chaque jour.
Whole X dispense la justice et les biens et services et la durabilité et les réflexions partagées de Nome à Tierra Del Fuego.
Comment ces éléments peuvent-ils être morcelés si, au niveau de l'esprit, les processus rationnels de chaque être humain ne sont pas coordonnés ?
Oui, nous avons parcouru un long chemin depuis le siège de Spy. C'était alors ; c'est maintenant.
Nous avons parcouru le chemin de la Déclaration des droits à la Déclaration de l'esprit.
Utilisez vos cadeaux à bon escient.
À ceux qui déplorent la perte de liberté, d'intimité et d'imagination, considérez que ces qualités nous ont conduits au bord de l'extinction. Nous avons tourné le coin et trouvé une paix durable à notre époque.
Pour plus d'informations, connectez-vous à L'Église de l'Unité Inéluctable Absolue.
Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.
(...) La bibliothèque génère, rassemble et résume automatiquement les meilleures informations disponibles concernant le problème sur lequel vous travaillez, conformément aux généralisations (prémisses) précédemment installées et au programme logique. (...)
Toutes ces encyclopédiethèques ne sont que des ramassis d'erreurs, de mensonges, d'escroqueries et de charlatanisme. Suffit de lire pour se rendre compte que les écrits ne correspondent en rien avec la réalité ! Ce sont ces programmes qui sont présentés comme modèles !!! HAHAHAHA ! Par contre, depuis l'arrivée de l'Internet, c'est un peu de Démocratie que l'on peut entrevoir. Chacun peut y livrer son opinion et en discuter ! C'est ce modèle-là que le NWO ne veut pas ! Surtout pas !
L'Autriche refuse les programmes sociaux aux non-vaccinés
Par Martin Armstrong Économie Armstrong 23 septembre 2021
Le Dr Alexander Van der Bellen, qui a été investi président fédéral de la République d'Autriche le 26 janvier 2017, a adopté une autre position antidémocratique et autoritaire selon laquelle toute personne au chômage en raison des blocages de l'État qui refuse le vaccin perdra TOUS les avantages. C'est une tyrannie absolue et une honte pour tout pays qui prétend être libre. Il a été rapporté:
"Mesure inhabituelle : le ministre autrichien du Travail Martin Kocher (ÖVP) a décidé de bloquer les allocations de chômage pour les demandeurs d'emploi s'ils ne postulent pas pour un poste raisonnable parce qu'une vaccination y est requise ou n'accepte tout simplement pas un poste offert."
Quelque chose ne va vraiment pas. La vaccination était censée vous protéger, mais maintenant les non vaccinés menacent les vaccinés. Cela prouve-t-il alors que les vaccinations ne fonctionnent pas ? Si le taux de mortalité est inférieur à 1 %, alors pourquoi les gouvernements imposent-ils de tels vaccins ?
L'objet semble être de justifier le suivi de toutes les personnes. Si nous ne pouvons rien faire sans passeport COVID, alors nous revenons au même type de contrôle qu'Adolf Hitler. Vous ne pouvez pas monter dans un train en France sans passeport COVID. Le Canada fait la même chose pour les voyages. L'Australie transforme le pays en un camp de concentration où vous ne pouvez pas voyager à plus de 5 km de votre résidence, même si vous êtes vacciné.
En attendant, avec ce vaccin expérimental, nous n'avons aucune idée des effets à long terme. Nous sommes censés faire confiance à des gens comme Bill Gates, un décrocheur universitaire sans aucune formation médicale. Nos politiciens n'essaient pas de tuer des gens, mais ils essaient de transformer la société du pays de la liberté en un camp de concentration entièrement traqué où ils doivent savoir tout ce que nous faisons. Tout cela parce qu'ils ont l'intention d'éliminer la démocratie et d'adopter l'Agenda 2030 de Klaus Schwab, qui, je peux vous le dire, est un maniaque du contrôle notoire.
L'Europe se transforme peu à peu en camp de concentration. Certains pensent que cela reviendra bientôt à la normale s'ils s'y conforment, mais AUCUN VACCINE n'éliminera jamais aucun coronavirus, de même avec la grippe ou le rhume. C'est IMPOSSIBLE, car il réside aussi dans les animaux. Cela a donc été un mensonge géant, et ils nous le racontent petit à petit. Alors ils sont complets, et il est trop tard pour résister.
Alors que nos politiciens recherchent simplement le contrôle, Gates a un programme entièrement différent, prétendant se soucier de la société et, en même temps, organisant des réunions secrètes sur la réduction de la population mondiale. Et c'est le type que nos politiciens embrassent ? Je pense qu'ils sont trop occupés à compter leur argent et à rêver d'un pouvoir absolu. La création de passeports COVID sera la même que l'impôt sur le revenu en 1913 qui était de 1% uniquement sur les riches. Il est désormais criminel de ne pas déclarer d'impôt sur le revenu et si vous mettez de l'argent dans un coffre-fort, lisez les petits caractères - c'est maintenant du blanchiment d'argent défini comme le fait de cacher de l'argent au gouvernement. Les passeports COVID seront permanents - ils ne disparaîtront pas car il n'y aura JAMAIS de retour à la NORMALE. Quiconque croit que le gouvernement est tout simplement un imbécile sublime.
Réimprimé avec la permission d'Armstrong Economics.
Travestie sanglante des vaccins contre Covid : des coups de feu aux caillots
Par le Dr Joel S. Hirschhorn Recherche mondiale 23 septembre 2021
Les gens sont confrontés à une décision difficile de prendre ou non un vaccin COVID expérimental ou même approuvé pour la première fois ou comme vaccin de rappel.
Tant d'informations racontent l'horrible histoire de personnes qui sont tombées malades ou sont décédées parce qu'elles n'ont pas été vaccinées.
Mais il y a aussi de plus en plus d'histoires d'infections à percée malgré la vaccination. Pourquoi ? Parce que ces vaccins ne fonctionnent pas très bien.
Tout aussi important que la baisse de l'efficacité des vaccins au fil du temps est la preuve croissante des dommages directs des vaccins. Leur sécurité n'est pas ce que proclament les agences gouvernementales. Et recevoir des injections de rappel ne fait que soulever des problèmes de méfait des vaccins.
Il est devenu de plus en plus clair que l'immunité naturelle obtenue à partir d'une infection antérieure au COVID est meilleure que l'immunité vaccinale. La solution idéale n'est pas de se faire vacciner, mais de considérer les protocoles de traitement comme des alternatives vaccinales.
Comment les gens peuvent-ils prendre de bonnes décisions en toute connaissance de cause concernant les vaccins ? Surtout ceux qui ont refusé de capituler devant la coercition et la propagande. Cet article fournit de bonnes informations sur les caillots sanguins et les saignements qui ont blessé et tué de nombreuses personnes dans le monde.
Les gens n'obtiendront pas d'informations solides sur les problèmes sanguins induits par les vaccins des grands médias traditionnels.
Si vous ne considérez que les statistiques sur le nombre de personnes bénéficiant de vaccins par rapport à un nombre inférieur subissant des effets secondaires néfastes, vous pourriez rejeter les points négatifs au profit des points positifs. Mais une incertitude importante concerne les impacts négatifs à long terme des vaccins qui pourraient affecter des millions de personnes vaccinées.
Cet article fournit un compte rendu convaincant des dangers du vaccin COVID. Si vous vous faites tirer dessus, vous pariez que vous n'en serez pas victime. Le dilemme est de savoir si ce pari vaut la peine d'être pris.
Ici, vous obtiendrez des résumés bien documentés des principales recherches récemment publiées sur deux types de caillots sanguins observés - microscopiques et de taille relativement grande - qui méritent une attention et une préoccupation sérieuses. En outre, les points de vue d'experts médicaux estimés sont fournis. Une conclusion inévitable est que les agences gouvernementales, avec le soutien des grands médias et de l'establishment médical, ne garantissent pas un consentement vraiment éclairé de ceux qui se font vacciner.
Concernant les vaccins expérimentaux COVID, le Dr Francis Christian a fait cette observation importante : « Je n'ai pas rencontré un seul enfant ou parent vacciné qui a été suffisamment informé et qui comprend alors les risques de ce vaccin ou ses avantages. » Sur la base de toutes les données sur les décès dus au COVID, il est clair que pour presque toutes les personnes de moins de 70 ans environ, les risques l'emportent sur les avantages.
Comprendre les termes médicaux et la recherche
La littérature médicale est difficile à lire et à comprendre, notamment en ce qui concerne les problèmes sanguins associés aux vaccins COVID. Pour acquérir une compréhension utile des risques vaccinaux, il est utile d'apprécier les termes médicaux utilisés.
Un article informatif est du Dr Veronica Hackethal d'avril. Il a noté que :
« L'Agence européenne des médicaments a déclaré qu'au 20 avril, il y avait eu 287 rapports de caillots sanguins rares avec un faible nombre de plaquettes après l'administration du vaccin AstraZeneca, huit avec Johnson & Johnson, 25 avec Pfizer et cinq avec Moderna. Les caillots sont remarquables car certains se sont produits dans des endroits inhabituels et mortels dans les veines qui drainent le cerveau (appelée thrombose du sinus veineux cérébral) et l'abdomen (appelée thrombose de la veine splanchnique). A noter que tous les principaux vaccins ont été cités.
Ce sur quoi il faut se concentrer est le problème des très faibles taux de plaquettes dans le corps qui peuvent provoquer des saignements anormaux, appelés thrombocytopénie, en particulier des saignements cérébraux mortels. Deux processus provoquent cette condition. La clairance plaquettaire est un processus auto-immun ; le système immunitaire du corps est hors de contrôle et mange des plaquettes ; c'est ce qu'on appelle la thrombocytopénie immunitaire (ITP). Deuxièmement, la consommation de plaquettes qui convertit les plaquettes sanguines en caillots dans le corps.
Le terme médical le plus largement utilisé est désormais « thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin » (VITT). Thrombotique fait référence aux caillots. La thrombocytopénie fait référence à un faible taux de plaquettes. Notez l'utilisation de vaccins induits pour classer cette affection médicale avec des caillots inhabituels signalés après des injections de vaccins expérimentaux COVID-19. Le VITT est un processus de consommation similaire à une maladie auto-immune. Certaines personnes essaient d'éviter ce terme car il fait explicitement référence à un problème de vaccin.
Un autre terme parfois utilisé à la place de VITT est la thrombocytopénie avec syndrome de thrombose (STT). Il évite l'utilisation de vaccins induits.
Si vous essayez de suivre la littérature médicale, vous verrez que pour VITT, les scientifiques ont identifié un auto-anticorps appelé anticorps anti-facteur plaquettaire 4 (PF4) qui favorise la coagulation et éventuellement des taux de plaquettes faibles et des saignements ; il peut être mesuré. Cela peut être testé.
Deux autres termes qui peuvent être rencontrés sont la thrombose du sinus veineux cérébral (CVST) et la thrombose de la veine splanchnique [abdominale] (SVT).
Récemment, un autre terme médical est utilisé. Il s'agit d'un purpura thrombotique thrombocytopénique acquis (PTTa). Le TTP est depuis longtemps une maladie génétique auto-immune qui était autrefois très mortelle. Acquis est utilisé pour signifier un résultat de la vaccination COVID.
La National Library of Medicine des États-Unis définit le PTT comme « une maladie rare qui provoque la formation de caillots sanguins (thrombus) dans les petits vaisseaux sanguins dans tout le corps ; petit est très important car la présence de caillots microscopiques sera mise en évidence ci-dessous. Ces caillots peuvent causer de graves problèmes médicaux s'ils bloquent les vaisseaux et restreignent le flux sanguin vers des organes tels que le cerveau, les reins et le cœur. Le PTT peut être fatal ou causer des dommages durables, tels que des lésions cérébrales ou un accident vasculaire cérébral, s'il n'est pas traité immédiatement.
L'éminent Dr V. Zelenko voit le problème
Dans un article récent sur les dangers des vaccins expérimentaux COVID, le médecin expérimenté et pionnier Dr Zelenko a abordé le problème du sang. Il a reconnu que des caillots de sang ont été enregistrés comme effet secondaire des coups de feu. Il a expliqué que lorsqu'une personne est injectée avec les vaccins, le corps se transforme en une usine de pointes de protéines, générant des milliards de pointes qui se rendent à «l'endothélium», qui tapisse les vaisseaux sanguins, endommageant les cellules sanguines et provoquant des caillots sanguins. Plus précisément, il a expliqué que si cela se produit dans le cœur, cela peut entraîner une crise cardiaque, et si cela se produit dans le cerveau, cela peut entraîner un accident vasculaire cérébral. "Donc, nous voyons que la principale cause de décès à court terme est la formation de caillots sanguins, et la plupart se produisent dans les trois ou quatre premiers jours", a-t-il déclaré.
Il a également souligné le point important que
« L’immunité induite naturellement [from a prior COVID infection] est un milliard de fois plus efficace que l’immunité induite artificiellement par les vaccins. Alors pourquoi, pourquoi vacciner quelqu'un avec un vaccin mortel empoisonné qui produit des anticorps inférieurs ou dangereux alors que j'ai déjà des anticorps sains ? » argumenta-t-il.
Donc correct. Des millions de personnes ont une immunité naturelle protectrice que les gouvernements n'accordent pas le même crédit qu'ils accordent à l'immunité vaccinale.
Rapports de cas de sang
Des rapports sont venus d'Israël sur un TTP résultant de tirs expérimentaux de COVID. Un grand centre hospitalier a signalé 4 cas par mois, alors qu'il y a généralement 2 à 3 cas par an. Toutes les nouvelles victimes ont reçu un vaccin COVID dans les 5 à 28 jours. Il a également été signalé qu'il y avait des "cas similaires en Belgique et en Italie". En Israël, le vaccin expérimental de Pfizer a été lié à l'augmentation des cas d'aTTP.
Ce terme aTTP peut être attrayant pour les autorités car contrairement au terme plus largement utilisé VITT, il n'invoque pas explicitement un vaccin COVID, mais la nature d'aTTP est similaire à VITT à l'exception de l'accent mis sur les petits caillots.
Un autre rapport d'Israël a fait ces observations : « Plus de 30 pour cent des patients de Covid-19 souffrent de caillots sanguins, qui créent des blocages mortels dans les poumons, les reins, le cœur et le cerveau. Le Dr Abd Al-Roof Higazi, chef de la division des laboratoires et du département de biochimie clinique du centre médical de l'université Hadassah à Jérusalem, a découvert le mécanisme qui cause les caillots. Higazi et ses collègues ont publié l'année dernière un article dans la revue Blood de l'American Society of Hematology sur le peptide Alpha-défensine.
Ils ont découvert que ce peptide accélère la création de caillots sanguins et empêche leur désintégration. Ce contexte les a aidés à comprendre ce qui arrivait aux patients de Covid-19, car les médicaments anticoagulants existants n'ont pas d'impact sur l'alpha-défensine.
"Nous avons prélevé des échantillons de sang sur 80 patients du service des épidémies d'Hadassah et avons trouvé une concentration élevée d'alpha-défensine", a déclaré Higazi. « Plus la personne est malade, plus la concentration de ce peptide est élevée. »
Un article médical vient d'être publié sur un cas d'aTTP lié au vaccin expérimental Pfizer. Il a été noté que «le patient a reçu une deuxième dose de vaccin à ARNm [Pfizer] une semaine avant l'apparition des symptômes préoccupants.» Aucune autre cause de l'infliction n'a été trouvée. Avec des traitements médicaux avancés, le patient a survécu. Il a été noté que "le déclencheur du PTT était présumé être une vaccination récente".
Un cas a récemment été signalé en Corée du Sud : « Une étudiante de 21 ans est décédée une semaine après avoir reçu le premier vaccin Pfizer fin août. La famille n'a signalé aucun problème de santé sous-jacent. Apparemment, lorsqu'elle a été retrouvée morte dans son appartement, elle avait des taches violettes sur son corps. Il est souvent conclu que ces taches violettes résultent de saignements sanguins dus à une perte de plaquettes.
Deux cas de problèmes induits par le vaccin aux États-Unis ont été récemment signalés :
« Un joueur de basket-ball de 17 ans de l’Utah a souffert de caillots sanguins mortels à l’intérieur et à l’extérieur de son CERVEAU presque immédiatement après avoir reçu une inoculation de Covid, ce que les médecins ont découvert lorsque ses parents l’ont amené à l’hôpital avec une forte enflure du cou et des maux de tête intolérables. Le garçon ne pouvait même pas bouger son cou sans utiliser ses mains. Sa mère a dit qu'il était en parfaite santé avant ce vaccin. Et un homme du Colorado a déclaré que le vaccin Moderna lui avait fait développer deux caillots sanguins dans sa jambe gauche. »
Six décès sur 28 cas de caillots sanguins ont été signalés par l'Université de Yale pour le vaccin J&J aux États-Unis. dans les sinus veineux du cerveau. Il a également été noté qu'il y avait des taux de plaquettes anormalement bas dans leur sang, une situation inhabituelle également trouvée pour les personnes touchées par le vaccin AstraZeneca. Comme indiqué précédemment, les plaquettes sont utilisées pour former des caillots sanguins.
La mort précoce en Floride après la vaccination était une histoire horrible. En février, un cas d'hémorragie grave a tué un jeune médecin en bonne santé et il mérite qu'on s'y attarde car à ce moment-là, le problème du sang avait fait surface. Le médecin de Floride est décédé ; voici les faits saillants d'une actualité majeure.
« À peine trois jours après avoir reçu le vaccin Pfizer, le Dr Gregory Michael, 56 ans, de Miami Beach, a développé des symptômes de thrombocytopénie immunitaire, une maladie sanguine rare qui empêche la création de plaquettes, nécessaires à la coagulation. … il a passé deux semaines à l'hôpital où il est décédé d'une hémorragie cérébrale. Sa femme a révélé qu'il était entré aux urgences avec une numération plaquettaire de zéro et qu'il avait été immédiatement admis à l'unité de soins intensifs avec un diagnostic de « PTI aigu causé par une réaction au vaccin COVID ». Il est mort d'une hémorragie cérébrale raisonnablement imputée à son vaccin.
Cela aussi a été noté dans le reportage :
« D'autres qui ont reçu le vaccin Pfizer ou Moderna semblaient également avoir développé le même trouble. Luz Legaspi, 72 ans, s'est réveillée pour trouver des ecchymoses sur ses bras et ses jambes et des cloques saignantes dans sa bouche juste un jour après avoir reçu sa première dose du vaccin Modern. Lorsqu'elle s'est rendue dans un hôpital de New York, on lui a également diagnostiqué le même trouble sanguin.
Sa vie a été sauvée parce que ses médecins ont utilisé un traitement différent qui a fait passer son nombre de plaquettes de zéro à 6 000, à 40 000 et à 71 000 en bonne santé en quelques jours.
Le fait est qu'il y a eu des preuves très précoces de problèmes sanguins induits par le vaccin peu après le début des injections. L'histoire a noté que "37 personnes ont développé un tel trouble". Maintenant, des preuves considérables révèlent que le problème de faible taux de plaquettes est causé par la coagulation du sang.
Fait important, il y a eu un autre reportage également en février qui a noté :
« Au moins 36 personnes peuvent avoir développé une maladie sanguine rare, connue sous le nom de thrombocytopénie immunitaire (ITP), après avoir pris les vaccins COVID-19 de Pfizer et BioNTech ou Moderna. » Il a également été rapporté que le CDC a déclaré "Aucun cas de thrombocytopénie n'a été signalé au cours des essais des vaccins de Moderna ou de Pfizer". Des procès qui ont été précipités.
En poursuivant votre lecture, gardez à l’esprit que le problème du sang vaccinal est apparu peu de temps après le début de l’utilisation des vaccins expérimentaux COVID. Mais des mois plus tard, le gouvernement et le système de santé publique ont largement ignoré le problème du sang, tout comme les grands médias.
Problèmes sanguins chez les personnes infectées mais asymptomatiques
Un nouvel article a fait de bons points sur les personnes qui ont été infectées mais qui n'ont apparemment subi aucun préjudice, mais qui avaient toujours des problèmes de sang avec des conséquences potentielles à plus long terme.
« Thrombosis Journal et d'autres publications ont décrit plusieurs cas de caillots sanguins dans les reins, les poumons et le cerveau de personnes qui n'avaient présenté aucun symptôme. Lorsque ces amas ressemblant à du gel se coincent dans une veine, ils empêchent un organe d'obtenir le sang dont il a besoin pour fonctionner, ce qui peut entraîner des convulsions, des accidents vasculaires cérébraux, des crises cardiaques et la mort.
Il y a eu relativement peu de ces rapports de cas - et il n'est pas clair si certains patients pourraient avoir eu d'autres problèmes sous-jacents qui auraient pu causer un caillot. Mais les chercheurs de l'État de Washington qui ont signalé un cas de caillot de sang rénal écrivent qu'il "suggère qu'un thrombus inexpliqué chez des patients par ailleurs asymptomatiques peut être le résultat direct d'une infection au COVID-19, et sert d'appel à l'action pour que les cliniciens des services d'urgence traitent événements thrombotiques inexpliqués comme preuve de COVID-19.''
C'est pourquoi il n'y a aucune raison de faire confiance aux tests de vaccins sur une courte période pour démontrer l'innocuité.
Un médecin canadien signale des niveaux élevés de caillots microscopiques
Le Dr Charles Hoffe pratique la médecine depuis 28 ans dans une petite ville rurale de la Colombie-Britannique, au Canada, et a récemment accordé une longue interview. Il a administré environ 900 doses du vaccin expérimental à ARNm Moderna à ses patients. Ainsi, contrairement à certains critiques, il n'est pas un médecin anti-vaccin ; au moins n'était pas à l'origine.
Le problème central qu'il a vu est la formation de caillots microscopiques dans les plus petits capillaires de ses patients. Il a dit
« Caillots sanguins se produisant au niveau capillaire. Cela n'a jamais été vu auparavant. Ce n'est pas une maladie rare. C'est un phénomène absolument nouveau.
Plus important encore, il a souligné que ces micro-caillots sont trop petits pour apparaître sur les tomodensitogrammes, l'IRM et d'autres tests conventionnels, tels que les angiogrammes, et ne peuvent être détectés qu'à l'aide du test sanguin D-dimère. Il s'agit d'un test standard qui indique si des caillots sanguins se forment activement quelque part dans le système vasculaire d'une personne.
En utilisant ce dernier, il a découvert que 62 pour cent de ses patients injectés avec un coup d'ARNm étaient positifs pour la coagulation, pas une petite fraction qui peut être facilement écartée. Il a expliqué ce qui se passe dans les corps. Les protéines de pointe dans le vaccin deviennent « une partie de la paroi cellulaire de votre endothélium vasculaire. Cela signifie que ces cellules qui tapissent vos vaisseaux sanguins, qui sont censés être lisses pour que votre sang circule bien, ont maintenant ces petits morceaux pointus qui dépassent. … lorsque la plaquette traverse le capillaire, elle frappe soudainement tous ces pics de COVID et il devient absolument inévitable que des caillots sanguins se forment pour bloquer ce vaisseau. » Médicalement, ces caillots sont susceptibles d'épuiser les plaquettes.
Il a fait une distinction importante :
« Les caillots sanguins dont nous entendons parler et dont les médias prétendent qu'ils sont très rares sont les gros caillots sanguins qui provoquent les accidents vasculaires cérébraux et apparaissent sur les tomodensitogrammes, les IRM, etc. Les caillots dont je parle sont microscopiques et trop petits pour trouver sur n'importe quel scan. Ils ne peuvent donc être détectés qu'à l'aide du test des D-dimères… Le plus alarmant est qu'il y a certaines parties du corps comme le cerveau, la moelle épinière, le cœur et les poumons qui ne peuvent pas se régénérer. Lorsque ces tissus sont endommagés par des caillots sanguins, ils sont définitivement endommagés.
Voici son point de vue scientifique pessimiste :
« les vaisseaux sanguins de leurs poumons sont maintenant bloqués. À son tour, cela oblige le cœur à travailler plus fort pour essayer de faire face à une résistance beaucoup plus grande en essayant de faire circuler le sang dans vos poumons. C'est ce qu'on appelle l'hypertension artérielle pulmonaire – une pression artérielle élevée dans les poumons parce que le sang ne peut tout simplement pas passer efficacement. Les personnes atteintes de cette maladie meurent généralement d'une insuffisance cardiaque en quelques années à peine.
Toutes ces opinions médicales fortes ont été supprimées par les grands médias, mais elles ont été bien couvertes par un autre site d'information alternatif. Et le médecin a attiré l'attention en soumettant une lettre ouverte au ministère provincial de la Santé. Un point clé était le suivant :
« Il faut souligner que ces personnes n'étaient pas des personnes malades, traitées pour une maladie dévastatrice. Il s'agissait de personnes auparavant en bonne santé, à qui on a proposé une thérapie expérimentale, aux effets secondaires à long terme inconnus, pour les protéger contre une maladie qui a le même taux de mortalité que la grippe. Malheureusement, leur vie est maintenant ruinée.
Le Dr canadien Byram Bridle, immunologiste viral et professeur agrégé à l'Université de Guelph, en Ontario, a fait valoir en juin un point important. À savoir, une fois en circulation, la protéine de pointe peut se fixer à des récepteurs ACE2 spécifiques qui se trouvent sur les plaquettes sanguines et les cellules qui tapissent les vaisseaux sanguins.
"Lorsque cela se produit, cela peut faire l'une des deux choses suivantes : cela peut soit provoquer l'agglutination des plaquettes, soit entraîner une coagulation. C'est exactement pourquoi nous avons vu des troubles de la coagulation associés à ces vaccins. Cela peut aussi entraîner des saignements. Il a proclamé: "la libération des vaccins expérimentaux contre l'ARNm COVID a été une" grosse erreur "- et les conséquences à long terme sur la santé sont" effrayantes "."
Le concept de micro-caillots sanguins a également été invoqué par d'autres pour les graves impacts du COVID lui-même.
L'éminent Dr Peter McCullough a noté
"Donc, il s'agit d'un type de coagulation sanguine très différent que nous verrions avec des caillots sanguins majeurs dans les artères et les veines. Par exemple, les caillots sanguins impliqués dans les accidents vasculaires cérébraux et les crises cardiaques. Caillots sanguins impliqués dans les principaux vaisseaux sanguins des jambes. Il s'agissait d'un type de coagulation différent et en fait, les Italiens ont courageusement pratiqué des autopsies et ont trouvé des micro-caillots sanguins dans les poumons. Et donc, on a compris à la fin, la raison pour laquelle les poumons échouent n'est pas parce que le virus est là. C'est parce que des micro-caillots sanguins sont là. … Lorsque les gens ne peuvent pas respirer, le problème est la coagulation du micro-sang dans les poumons. … Le spicule sur la boule du virus lui-même qui endommage les vaisseaux sanguins et provoque la coagulation du sang.
Il a également déclaré ouvertement qu'aucun des vaccins COVID n'est sans danger pour la plupart des personnes à faible risque de COVID.
Si la protéine de pointe est la cause de micro-caillots sanguins dans COVID, il est également raisonnable de voir le même phénomène chez les personnes vaccinées imprégnées de protéines de pointe qui se déplacent dans tout le corps, comme l'a expliqué le Dr Hoffe.
En ce qui concerne les caillots dans tout le corps, considérez ce que le NIH a dit :
« Les caillots peuvent limiter ou bloquer le flux de sang riche en oxygène vers les organes du corps, tels que le cerveau, les reins et le cœur. En conséquence, de graves problèmes de santé peuvent se développer.
En ce qui concerne la situation au Canada, l'Agence de la santé publique du Canada (ASPC) a estimé en juillet le taux de coagulation sanguine liée au vaccin chez les Canadiens qui ont reçu le vaccin AstraZeneca et a déclaré qu'il y avait eu 27 cas confirmés à ce jour au Canada, avec cinq décès parmi ces cas, un taux de mortalité assez élevé.
Étude sur les hôpitaux de Northwell Health
Cette étude publiée en mai présentait de nombreux faits troublants sur les problèmes sanguins. Voici les faits saillants de cette étude sur des patients COVID hospitalisés de mars à mai 2020.
"Il y a entre trois et cinq fois le risque de caillots sanguins par rapport à l'ère pré-COVID", a déclaré Alex Spyropoulos, professeur aux Feinstein Institutes for Medical Research, qui fait partie du système hospitalier de New York Northwell Health. "Je n'ai jamais vu ce type de risque de caillot sanguin de ma vie."
Spyropoulos a dit
« Cette étude montre pour la première fois qu'un risque accru de caillots sanguins persiste après que les patients quittent l'hôpital… Il faut beaucoup de temps pour que les mécanismes immunitaires se calment… Le système inflammatoire et le système immunitaire et le système de coagulation ne savent pas que le le patient a quitté l'hôpital.
L'étude a suivi près de 5 000 patients après leur sortie de l'hôpital. Environ 13 pour cent des sujets ont été traités avec des anticoagulants à titre préventif.
"Nous avons ciblé des groupes à haut risque", a déclaré Spyropolous. La principale découverte du côté de la solution était que « les anticoagulants post-congé, principalement à des doses prophylactiques, réduisent le risque d'événements thromboemboliques majeurs et de décès de 46%. »
Surtout, le médecin a noté que COVID semble déclencher la formation de ce qu'on appelle des microthrombus pulmonaires, ou de petits caillots qui se forment dans les vaisseaux sanguins des poumons. Exactement le point soulevé par le Dr Hoffe au Canada. En d'autres termes, les protéines de pointe pourraient agir de la même manière chez les victimes de COVID et chez les personnes vaccinées.
« Classiquement, nous serions en mesure de rechercher des signes de caillots sanguins dans les jambes avec une échographie ou dans les poumons avec une tomodensitométrie… Il est beaucoup plus difficile de diagnostiquer les microthrombi sans autopsie – et selon certaines estimations, 60 à 100 % des personnes hospitalisées avec COVID ont une sorte d'événement de coagulation lorsqu'elles meurent », a déclaré Spyropoulos.
Sans surprise, cette importante étude et ses conclusions n'ont reçu aucune couverture médiatique importante. Bien que les patients COVID aient été pris en compte, les résultats ont des implications majeures pour les problèmes sanguins résultant des vaccins, car les protéines de pointe sont les coupables dans les deux cas.
En effet, le Dr Sucharit Bhakdi, professeur à la retraite, microbiologiste et spécialiste des maladies infectieuses et de l'immunologie, a expliqué que les protéines de pointe sont la cause probable de tant de caillots sanguins dans le système vasculaire que votre système de coagulation est épuisé, entraînant des saignements (hémorragies) et thrombocytopénie — faible numération plaquettaire. Son point était que cela a été signalé dans des cas graves de COVID-19 et des individus vaccinés. Il a noté que :
"On sait que ces protéines de pointe, au moment où elles touchent les plaquettes, elles les activent et cela met en marche tout le système de coagulation."
Il existe un besoin majeur d'autopsies chez ceux dont les décès sont liés aux vaccins.
Dr Ryan Cole - Preuve de caillots sanguins d'un expert en pathologie
Il y a une vidéo très importante d'une présentation en août du pathologiste hautement accrédité et expérimenté, le Dr Ryan Cole, sur le sujet « Ce que la protéine de pointe du vaccin fait au corps ». Cette vidéo montre un grand nombre de lames médicales de différents types de tissus chez des victimes du vaccin COVID obtenues généralement à partir d'autopsies. Le Dr Cole montre de nombreux exemples de caillots sanguins microscopiques dans des tissus clés, tels que les poumons.
Son travail détaillé appuie fortement ce que le Dr Hoffe a trouvé et discuté.
Nouvelle recherche britannique très importante sur VITT
Ce mois-ci, la prestigieuse revue médicale The Lancet a publié une longue étude détaillée qui a vérifié que le VITT associé aux vaccins expérimentaux contre la COVD a des impacts médicaux plus graves que les hémorragies cérébrales non causées par les vaccins. Voici quelques faits saillants de cet article.
« Un nouveau syndrome de thrombocytopénie thrombotique immunitaire (VITT) induite par le vaccin est apparu comme un effet secondaire rare de la vaccination contre le COVID-19. »
L'étude a examiné les dossiers médicaux détaillés de "95 patients, 70 avaient VITT et 25 n'en ont pas". Tous avaient des problèmes de sang cérébral.
Voici la conclusion clé :
« Le principal résultat de décès ou de dépendance [personnel hospitalier nécessaire] s'est produit plus fréquemment chez les patients atteints de thrombose veineuse cérébrale associée au VITT (33 [47 %] sur 70 patients) par rapport au groupe témoin non-VITT (quatre [16 %] des 25 patients ; p = 0,0061). … Plus de patients sont décédés lors de l'admission dans le groupe thrombose veineuse cérébrale associée au VITT (20 [29 %] des 70 patients) que dans le groupe non-VITT (un [4 %] des 25 patients ; p = 0,011).
Encore une fois, un résultat significatif - un taux de décès sept fois plus élevé pour le problème sanguin induit par le vaccin.
La grande conclusion : « La thrombose veineuse cérébrale est plus sévère dans le cadre du VITT. » En d'autres termes, les caillots sanguins cérébraux étaient pires chez les patients VITT.
L'intervalle de temps médian entre la vaccination et l'apparition des symptômes de la thrombose veineuse cérébrale était de 9 jours chez les patients avec VITT et de 11 jours chez ceux sans VITT. Les pires résultats sont survenus plus rapidement chez les patients VITT.
Les patients de cette étude ont tous été vaccinés au plus tard le 30 avril 2021, et avant cette date, la plupart des personnes vaccinées au Royaume-Uni étaient âgées de 45 ans ou plus.
La principale conclusion était la suivante : « VITT semble être un effet secondaire très rare de la vaccination avec le vaccin (AstraZeneca), dont le risque est probablement largement compensé par le bénéfice de la vaccination contre COVID-19 pour la plupart des gens. » Cette vision positive des vaccins COVID est ce qui est normalement exprimé par les membres du corps médical. Peut-être craignent-ils les répercussions des bailleurs de fonds de la recherche et, peut-être, le rejet des éditeurs de revues médicales. Vos risques personnels valent-ils vos avantages personnels ?
Plus de nouvelles recherches au Royaume-Uni
Un nouvel article de chercheurs britanniques a identifié 170 cas précis et 50 cas probables de VITT. Tous les patients avaient reçu la première dose du vaccin AstraZeneca et se sont présentés 5 à 48 jours (médiane, 14) après la vaccination. La tranche d'âge était de 18 à 79 ans (médiane, 48), sans prépondérance sexuelle. Il est important de noter qu'il n'y avait aucun facteur de risque médical identifiable, ce qui signifie que la cause était sûrement le résultat du vaccin. De mars à juin 2021, la mortalité globale était de 22%. Mais ce taux de mortalité est passé à 73% chez les patients présentant une numération plaquettaire inférieure à 30 000 par millimètre cube [la numération plaquettaire normale varie de 150 000 à 450 000] et une hémorragie intracrânienne. Une découverte importante était que VITT a été imputé à la production d'anticorps anti-PF4 après exposition aux composants du vaccin.
Voici quelques détails sur les caillots trouvés chez les patients. La moitié avait des caillots dans les veines cérébrales (souvent compliqués par une hémorragie intracrânienne secondaire) [hémorragies cérébrales]. Et plus d'un tiers avaient des caillots dans les veines profondes des jambes et dans les artères pulmonaires.
Les chercheurs ont indiqué des taux de VITT assez élevés chez les vaccinés, avec le produit AstraZeneca, à savoir au moins 1:100 000 chez les adultes, âgés de 50 ans ou plus, et au moins 1:50 000 pour les plus jeunes. Ou, compte tenu du nombre énorme de personnes vaccinées, elles se traduisent respectivement par 1 000 pour 100 millions et 2 000 pour 100 millions. Ce sont des taux élevés de VITT souvent mortels. Mais gardez à l'esprit que de nombreuses personnes peuvent mourir de problèmes sanguins, mais aucun test ou autopsie n'a été effectué pour vérifier la cause d'un vaccin.
[Comparez-les aux chiffres de mai de 400 problèmes sanguins pour 100 millions signalés par l'Autorité de réglementation médicale et sanitaire du Royaume-Uni (MHRA) et de 1 000 cas pour 100 millions de doses signalés par l'Allemagne.]
Commentant cette nouvelle étude, Rajiv Pruthi, de la Mayo Clinic, a exhorté les États-Unis à «rester vigilants» même si le vaccin AstraZeneca n'est pas autorisé à être utilisé par la FDA. "Les cliniciens qui voient des patients avec un faible nombre de plaquettes, des maux de tête, des caillots sanguins, quel que soit le vaccin qu'ils ont reçu, devraient envisager [VITT]", a-t-il déclaré. De très bons conseils que le public devrait connaître.
Un article d'avril « Towards Understanding [AstraZeneca] Vaccine-Induite Thrombotic Thrombotic Thrombocytopenia (VITT)" par le célèbre médecin et chercheur allemand Andreas Greinacher et ses collègues ont détaillé les mécanismes provoquant l'inflammation et les problèmes sanguins. "En résumé, notre étude fournit un mécanisme par lequel un vaccin vecteur adénoviral peut déclencher une réponse immunitaire conduisant à des anticorps anti-PF4 hautement réactifs [causant] des conséquences prothrombotiques." Leurs travaux portent également sur le vaccin J&J. En mai, le CDC a reconnu que 28 personnes âgées de 18 à 59 ans qui avaient reçu ce vaccin avaient développé des caillots sanguins.
Expertise de l'ancien cadre de Pfizer
En juin, l'ancien cadre de Pfizer, le Dr Michael Yeadon, a ajouté sa voix d'expertise approfondie sur les vaccins au problème des caillots sanguins.
"Ces vaccins contre le covid ne sont pas sûrs", a-t-il déclaré. "La conception basée sur les gènes fait que votre corps fabrique des protéines de pointe de virus, et nous savons et nous savons depuis des années que la protéine de pointe de virus déclenche des caillots sanguins", a expliqué Yeadon. "C'est un problème fondamental."
Le Dr Yeadon a révélé que les effets indésirables astronomiquement élevés du seul vaccin auraient dû les arrêter.
« Les jeunes ne sont pas sensibles au covid-19. Ils ne courent aucun risque », a déclaré le Dr Yeadon. "C'est une chose folle alors de les vacciner avec quelque chose qui est en fait 50 fois plus susceptible de les tuer que le virus lui-même."
Le Dr Yeadon a déclaré que le système CDC VAERS avait signalé environ 5 000 décès par vaccin au cours des six premiers mois de 2021.
« Normalement, il y en a 200 par an pour tous les vaccins combinés », a-t-il déclaré.
"Je suis très pro des vaccins", a déclaré Yeadon. « Mon plus gros problème avec les vaccins [COVID] comprend de sérieuses inquiétudes quant à la sécurité. Ils n'ont pas été suffisamment testés », a-t-il expliqué. «Ils ont été approuvés frauduleusement pour une utilisation d'urgence, à mon avis, car ils ne devraient pas le faire s'il existe des médicaments sûrs et efficaces. Et il y a. Ils viennent d'être cachés.
Yeadon a déclaré que l'hydroxychloroquine, l'ivermectine, l'azithromycine et les stéroïdes inhalés sont tous sûrs et efficaces pour traiter le coronavirus.
Chacun a été supprimé par le Dr Fauci, l'establishment scientifique et les médias. C'est exactement la vérité. Vérité supprimée pour promouvoir l'utilisation des vaccins COVID.
Recherche de médecins pour l'éthique COVID
Un article de recherche médicale de juillet rédigé par deux médecins éminents, Michael Palmer et Sucharit Bhakdi, associés au groupe Doctors for COVID Ethics, a examiné la recherche originale effectuée pour le vaccin à ARNm de Pfizer. Voici les faits saillants de cet important document.
« Les dangers de la protéine de pointe du vaccin COVID-19 et ses interactions avec le système immunitaire humain, conférant des risques de coagulation et de fuite des vaisseaux sanguins, sont de plus en plus connus. Mais jusqu'où dans le corps de tels dangers peuvent-ils se propager ? Qu'est-ce que cela signifie pour la sécurité des vaccins ? »
« Nous résumons les résultats d'une étude animale que Pfizer a soumise aux autorités sanitaires japonaises en 2020, et qui portait sur la distribution et l'élimination d'un vaccin modèle à ARNm. Nous montrons que cette étude présageait clairement de graves risques de coagulation sanguine et d'autres effets indésirables. L'incapacité à surveiller et à évaluer ces risques dans les essais cliniques ultérieurs, et le processus d'examen par négligence grave en conjonction avec les autorisations d'utilisation d'urgence, ont entraîné de manière prévisible une catastrophe médicale sans précédent. »
« Les données animales de Pfizer laissaient clairement présager les risques et dangers suivants : coagulation du sang peu de temps après la vaccination, pouvant entraîner des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux et une thrombose veineuse. »
«Nous devons souligner à nouveau que chacun de ces risques pouvait être facilement déduit des données précliniques limitées citées, mais n'a pas été suivi d'enquêtes approfondies appropriées. En particulier, les essais cliniques n'ont surveillé aucun paramètre de laboratoire qui aurait pu fournir des informations sur ces risques, tels que ceux liés à la coagulation sanguine (par exemple, les D-dimères/thrombocytes), les lésions des cellules musculaires (par exemple, la troponine/créatine kinase) ou dommages (par exemple γ-glutamyltransférase). Que les divers organismes de réglementation aient accordé une autorisation d'utilisation d'urgence sur la base de données aussi incomplètes et insuffisantes ne constitue rien de moins qu'une négligence grave. »
« Depuis que les soi-disant essais cliniques ont été menés avec une telle négligence, les vrais essais n'ont lieu que maintenant, à grande échelle et avec des résultats dévastateurs. Ce vaccin, et d'autres, sont souvent appelés «expérimentaux». Il est grand temps d'annuler cette expérience ratée. Continuer ou même imposer l'utilisation de ce vaccin toxique et la délivrance apparemment imminente de son approbation complète sont des crimes contre l'humanité. »
Le langage fort utilisé par ces médecins mérite le respect et ajoute du crédit à l'idée que nous nous lançons dans une dystopie vaccinale.
Recherche européenne sur les victimes de caillots sanguins provoqués par un vaccin
En juin, un article médical rédigé par des médecins et des chercheurs en médecine européens expérimentés a décrit quatre cas de patients souffrant de caillots sanguins induits par le vaccin COVID. Ils présentaient des symptômes variés qui ont posé des défis aux médecins à relever. Voici quelques faits saillants de cet article.
« La thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin (VITT) est une nouvelle entité qui a émergé en mars 2021 à la suite de rapports de thrombose inhabituelle après la vaccination (AstraZeneca). … La présente étude met en évidence les problèmes associés à la reconnaissance du VITT, les limites de l'orientation actuelle et la nécessité d'une vigilance clinique accrue à mesure que notre compréhension de la physiopathologie de cette nouvelle maladie évolue. … Au 4 avril 2021, un total de 169 cas de thrombose du sinus veineux cérébral (CVST) et 53 cas de thrombose de la veine splanchnique (SVT) avaient été signalés à la base de données européenne sur la sécurité des médicaments EudraVigilance.
« Au cours des dernières semaines, le concept de VITT est apparu comme une entité clinique entièrement nouvelle qui peut être associée à une morbidité et une mortalité importantes, même chez les receveurs jeunes et par ailleurs en bonne santé. Les données cliniques limitées concernant cette maladie rare associée à l'utilisation de vaccins adénoviraux contre la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) ont posé des défis cliniques importants. »
« Nous pensons que le spectre clinico-pathologique associé au VITT peut être beaucoup plus large que prévu initialement. Cette hypothèse est étayée par les cas présentés dans la présente étude.
« Avec une meilleure connaissance de cette maladie, il est plus probable que les patients se présentent plus tôt, alors que le trouble est toujours en évolution. »
Ce qui est clair, c'est que l'état des caillots sanguins chez les personnes vaccinées est grave et que la capacité de la communauté médicale à traiter ou à reconnaître pleinement le problème est incertaine. Il y a encore trop d'allégeance aux vaccins.
Wall Street Journal et Nature Journal
A son actif, le Wall Street Journal a publié en juillet un long article sur la question des caillots sanguins du vaccin COVID. Voici les faits saillants de celui-ci.
« Des chercheurs canadiens disent avoir identifié une poignée d’acides aminés ciblés par des anticorps clés dans le sang de certaines personnes qui ont reçu le vaccin AstraZeneca Covid-19, offrant de nouveaux indices sur les causes des caillots sanguins rares associés au vaccin. »
« Les résultats évalués par des pairs, par une équipe de chercheurs de l'Université McMaster en Ontario, ont été publiés… par la revue scientifique Nature. Ils pourraient aider les médecins à tester et à traiter rapidement la coagulation inhabituelle, résultant d'un mélange immunitaire de coagulation et de perte de plaquettes qui arrêtent le saignement.
« La coagulation du sang, que certains scientifiques ont nommée thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin, ou VITT, a également été liée au tir Covid-19 de Johnson & Johnson, bien que des incidents se soient produits moins fréquemment avec ce tir qu’avec AstraZeneca. »
«Bien que rare, la maladie s'est avérée mortelle chez plus de 170 adultes après la vaccination au Royaume-Uni, en Europe et aux États-Unis, selon les décomptes du gouvernement. Beaucoup étaient de jeunes adultes qui semblaient en bonne santé avant la vaccination, selon les chercheurs et les régulateurs des médicaments. »
« Le nombre total de cas après la première ou la deuxième dose au Royaume-Uni était de 395 jusqu'au 23 juin… Sur les 395, 70 personnes sont décédées. Les responsables européens ont déclaré ce mois-ci avoir vu 479 cas potentiels de VITT sur 51,4 millions de vaccinations AstraZeneca… Beaucoup moins de cas potentiels – 21 … ont suivi les vaccinations J&J en Europe. Parmi ces cas, 100 décès sont survenus après la vaccination AstraZeneca et quatre après Johnson & Johnson, ont déclaré les régulateurs européens. » Ce sont des taux de mortalité élevés.
"NOUS. les responsables de la santé ont déclaré fin juin avoir identifié 38 cas confirmés de syndrome de la coagulation sanguine sur plus de 12,3 millions de personnes ayant reçu le vaccin J&J… Les Centers for Disease Control and Prevention ont déclaré en mai que trois cas avaient été mortels et des preuves « suggère une association causale plausible entre la combinaison de faibles taux de plaquettes et de la coagulation et le vaccin. » Encore une fois, cette combinaison peut expliquer des événements hémorragiques graves.
« [Dans] de rares cas, les personnes vaccinées ont subi une réaction auto-immune dans laquelle les anticorps se lient avec une force inhabituelle à un composant sanguin appelé facteur plaquettaire 4, ou PF4, formant des grappes distinctes ressemblant à une grappe de raisin. Ce soi-disant complexe immun, une formation moléculaire dans le sang, active plus de plaquettes, "comme mettre une allumette à l'essence", a déclaré John Kelton, auteur de l'article de Nature et chercheur à l'Université McMaster. Le processus s'accélère, selon lui et d'autres chercheurs, déclenchant simultanément des saignements et des caillots, parfois dans le cerveau, l'estomac et d'autres zones qui peuvent dans de rares cas être mortels. « Nous pensons que ces anticorps sont des amplificateurs incroyables, dans le mauvais sens, du système de coagulation normal », a déclaré le Dr Kelton. »
Fait intéressant, cet article n'a pas mentionné le cas discuté précédemment du médecin canadien et ses découvertes sur la coagulation sanguine microscopique.
New York Times
En avril, la couverture des arrêts de certains vaccins était limitée :
« Au début, c'était AstraZeneca. Maintenant Johnson & Johnson. La semaine dernière, les régulateurs britanniques et l'agence médicale de l'Union européenne ont déclaré avoir établi un lien possible entre le vaccin Covid-19 d'AstraZeneca et des caillots sanguins très rares, bien que parfois mortels. La pause dans l'utilisation du vaccin de Johnson & Johnson en Europe en raison de préoccupations similaires menace de nuire à un déploiement lent qui commençait tout juste à prendre de l'ampleur. »
Il a également été noté que les États ont suspendu l'utilisation du vaccin J&J après un avis américain.
« Les régulateurs ont demandé aux vaccinés et aux médecins de rechercher certains symptômes, notamment des maux de tête sévères et persistants et de minuscules taches de sang sous la peau. »
Journal de médecine de la Nouvelle-Angleterre
En avril, cette revue a publié trois articles de recherche sur la coagulation du sang liés aux vaccins COVID et un long éditorial de deux médecins examinant tous les travaux. Voici les faits saillants de ce dernier.
« Le Journal a maintenant mis en évidence trois descriptions indépendantes de 39 personnes atteintes d'un syndrome nouvellement décrit caractérisé par une thrombose et une thrombocytopénie qui se sont développées 5 à 24 jours après la vaccination initiale avec [le vaccin AstraZeneca]. … Ces personnes étaient en bonne santé ou dans un état médicalement stable, et très peu étaient connues pour avoir déjà eu une thrombose ou un état prothrombotique préexistant. La plupart des patientes incluses dans ces rapports étaient des femmes de moins de 50 ans, dont certaines recevaient un traitement de substitution aux œstrogènes ou des contraceptifs oraux. Un pourcentage remarquablement élevé de patients présentait des thromboses à des sites inhabituels - en particulier, une thrombose du sinus veineux cérébral ou une thrombose dans les veines porte, splanchnique ou hépatique. D'autres patients ont présenté des thrombus veineux profonds, des embolies pulmonaires ou des thromboses artérielles aiguës. … Des taux élevés de d-dimères et de faibles taux de fibrinogène étaient courants et suggèrent une activation systémique de la coagulation. Environ 40 % des patients sont décédés, certains d'une lésion cérébrale ischémique, d'une hémorragie superposée ou des deux affections, souvent après une anticoagulation. »
« Une meilleure compréhension de la façon dont le vaccin induit ces anticorps activant les plaquettes pourrait également donner un aperçu de la durée de l'exposition à l'antigène et du risque de réapparition de la thrombose, ce qui informera la nécessité d'une anticoagulation prolongée et pourrait conduire à des améliorations dans la conception du vaccin. »
"Des cas supplémentaires ont maintenant été signalés à l'Agence européenne des médicaments, dont au moins 169 cas possibles de thrombose du sinus veineux cérébral et 53 cas possibles de thrombose de la veine splanchnique parmi 34 millions de receveurs du vaccin [AstraZeneca], 35 cas possibles de système nerveux central thrombose chez 54 millions de receveurs du vaccin ARNm Pfizer-BioNTech, et 5 cas possibles (mais non vérifiés) de thrombose du sinus veineux cérébral parmi 4 millions de receveurs du vaccin ARNm Moderna. Six cas possibles de thrombose du sinus veineux cérébral (avec ou sans thrombose de la veine splanchnique) ont été signalés parmi les plus de 7 millions de receveurs du vaccin Johnson & Johnson/Janssen.
Voici la conclusion finale : « Les questions de savoir si certaines populations peuvent être identifiées comme des candidats plus appropriés pour l'un ou l'autre vaccin et qui et comment surveiller cette complication potentielle rare nécessiteront une étude supplémentaire. » Mais il n'est pas clair si le CDC et le NIH financent de tels travaux.
Institut Salk
En avril, le Salk Institute a promu la couverture des recherches menées par un certain nombre de personnes qui lui sont associées. La principale conclusion était que la protéine de pointe associée au virus COVID et aux vaccins était liée aux accidents vasculaires cérébraux, aux crises cardiaques et aux caillots sanguins.
« L'article, publié dans Circulation Research, montre également de manière concluante que COVID-19 est une maladie vasculaire, démontrant exactement comment le virus SARS-CoV-2 endommage et attaque le système vasculaire au niveau cellulaire. … l'article fournit une confirmation claire et une explication détaillée du mécanisme par lequel la protéine [spike] endommage les cellules vasculaires.
Un article ultérieur en mai a examiné ces travaux et a fait plusieurs observations importantes. Voici son point de vue, comme pertinent pour les vaccins COVID.
« Le prestigieux Salk Institute… a rédigé et publié l’étude scientifique explosive révélant que la protéine de pointe SARS-CoV-2 utilisée dans les jabs Covid est ce qui cause réellement des dommages vasculaires. De manière critique, les trois vaccins expérimentaux Covid actuellement sous autorisation d'utilisation d'urgence au Royaume-Uni injectent aux patients la protéine de pointe ou, via la technologie de l'ARNm, demandent au corps du patient de fabriquer la protéine de pointe et de la libérer dans le système sanguin.
"L'étude du Salk Institute prouve que l'hypothèse faite par l'industrie des vaccins, selon laquelle la protéine de pointe est inerte et inoffensive, est fausse et dangereusement inexacte."
« La recherche prouve que les vaccins Covid sont capables d’induire des maladies vasculaires et de provoquer directement des blessures et des décès dus à des caillots sanguins et à d’autres réactions vasculaires. Tout cela est causé par la protéine de pointe qui est intégrée dans les vaccins. »
Rapport de 57 experts médicaux
Ce rapport de mai a été préparé par près de cinq douzaines de médecins, scientifiques et experts en politiques publiques hautement respectés du monde entier. Il a été rendu public et a été envoyé d'urgence aux dirigeants mondiaux ainsi qu'à tous ceux qui sont associés à la production et à la distribution des différents vaccins Covid-19 en circulation aujourd'hui. Le rapport a exigé un arrêt immédiat des vaccinations contre le COVID. Le Dr McCullough était l'un des signataires.
« Malgré les appels à la prudence, les risques de vaccination contre le SRAS-CoV-2 ont été minimisés ou ignorés par les organismes de santé et les autorités gouvernementales », ont déclaré les experts.
Sur la question de la coagulation du sang chez les personnes vaccinées, le rapport dit ceci :
« Certains effets indésirables, notamment des troubles de la coagulation sanguine, ont déjà été rapportés chez des sujets sains et jeunes vaccinés. Ces cas ont entraîné la suspension ou l'annulation de l'utilisation des vaccins adénoviraux vectorisés [AstraZeneca] et [J&J] dans certains pays. Il a maintenant été proposé que la vaccination avec [vaccin AstraZeneca] peut entraîner une thrombocytopénie thrombotique immunitaire (VITT) médiée par des anticorps activant les plaquettes contre le facteur plaquettaire-4, qui imite cliniquement la thrombocytopénie auto-immune induite par l'héparine.
Cet article a été initialement publié sur Principia Scientific Intl.
Le Dr Joel S. Hirschhorn, auteur de Pandemic Blunder et de nombreux articles sur la pandémie, a travaillé sur des questions de santé pendant des décennies. En tant que professeur titulaire à l'Université du Wisconsin, Madison, il a dirigé un programme de recherche médicale entre les collèges d'ingénierie et de médecine. En tant que haut fonctionnaire du Congressional Office of Technology Assessment et de la National Governors Association, il a dirigé d'importantes études sur des sujets liés à la santé ; il a témoigné lors de plus de 50 audiences du Sénat et de la Chambre des États-Unis et est l'auteur de centaines d'articles et d'articles d'opinion dans les principaux journaux. Il a servi comme cadre bénévole dans un grand hôpital pendant plus de 10 ans.
Dès lors qu'est injecté une substance empoisonnée (appelée 'Expérimentation génique d'essais'), cette composition criminelle neutralise complètement l'immunité naturelle de toutes les personnes qui se sont laissés inoculer. Il va sans dire que ces victimes ont donc zéro vaccin dans leur organisme ! Et donc, à la moindre grippette qui passe: pchitt !
Comment se contenter d'une explication contrefactuelle d'une « pandémie » orchestrée ? Le récit officiel de Covid est un mensonge total
Par Paul Craig Roberts PaulCraigRoberts.org 23 septembre 2021
Voici une collection d'articles de Global Research documentant la tromperie de Covid qui a été encouragée dans le monde occidental. La tromperie imposée aux gens est si contrefactuelle qu'il est difficile d'éviter la question de savoir si un agenda très sombre est en jeu. Notre insouciance et notre inaction permettent au filet de tromperie de nous enfermer et d'empêcher notre résistance.
Certains de ces articles ci-dessous donnent une partie de la tromperie mais ne sont pas au courant des autres parties de la tromperie et donnent ainsi du terrain au récit officiel. Lorsque vous les lisez, gardez à l'esprit ces points établis : (1) le test PCR est défectueux et les faux positifs de ce test sont à la base de la prétendue « pandémie », (2) les décès et les blessures dus aux vaccins à ARNm sont attribués à Covid. , pas au vaccin et ne sont pas signalés comme des réactions au vaccin, (3) les vaccins à ARNm entraînent en effet le virus à échapper à la réponse immunitaire, créant ainsi des variantes qui ne sont pas contrôlées par les réponses immunitaires. Alternativement, les réactions indésirables au vaccin sont appelées « variantes ».
Clairement, les vaccins à ARNm ne protègent pas. Ils aggravent la situation. L'ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer vous le dit lui-même.
Je vous ai donné suffisamment de faits dans des articles sur mon site Web que si vous ne comprenez pas maintenant que The Covid Deception est une attaque contre votre santé, votre carrière et vos libertés civiles, il n'y a aucun espoir pour vous. Si les informations ci-dessous ne parviennent pas à vous réveiller, vous êtes comme mort.
Vidéo : Blessures et décès liés au vaccin : un dénonciateur dénonce la corruption de VAERS
L'affirmation selon laquelle les COVID Jabs sont sûrs et efficaces s'est effondrée. « Forcer les employés à se faire poignarder par Covid Jabs »
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Point de vue sur la pandémie de Covid. Quelqu'un ment à travers ses dents
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Ce que le mandat de vaccin de Biden signifie pour vous
Par Joseph Mercola Mercola.com 23 septembre 2021
Le 9 septembre 2021, dans un décret exécutif radical1, le président Joe Biden a mandaté toutes les entreprises américaines comptant 100 employés ou plus d'exiger la vaccination COVID ou des tests hebdomadaires, sous peine d'amendes fédérales pouvant aller jusqu'à 14 000 $ par violation. Biden a également ordonné aux entreprises de donner du temps aux employés pour recevoir les injections.
Biden exige également que tous les employés fédéraux et les entrepreneurs fédéraux obtiennent les clichés. Pour des raisons non précisées, les postiers et les membres du Congrès et leur personnel sont exemptés du mandat de vaccination. Biden n'a fait aucune exception pour les personnes qui ont déjà eu COVID et se sont rétablies, et ont donc des anticorps contre le virus.
Joe Biden a déclaré aux Américains lors de son élection qu'il n'imposerait pas de mandats de vaccination. Il a menti. ~ Ronna McDaniel, présidente du GOP Il a également déclaré qu'il utiliserait son «pouvoir de président» contre tout gouverneur ne voulant pas suivre l'ordre «pour les mettre à l'écart». , 2021, 28 États repoussaient déjà les mandats fédéraux sur les vaccins.3
De nombreux États promettent de lutter contre le mandat inconstitutionnel
Le contrecoup a été rapide. Le Comité national républicain a rapidement annoncé qu'il poursuivrait l'administration Biden pour avoir émis un "mandat inconstitutionnel". La présidente du GOP, Ronna McDaniel, a fait une déclaration :4
« Joe Biden a déclaré aux Américains lors de son élection qu'il n'imposerait pas de mandats de vaccination. Il a menti. Désormais, les petites entreprises, les travailleurs et les familles de tout le pays en paieront le prix.
Comme beaucoup d'Américains, je suis pro-vaccin et anti-mandat. De nombreuses petites entreprises et travailleurs n'ont pas l'argent ou les ressources juridiques pour lutter contre les actions inconstitutionnelles et les décrets autoritaires de Biden, mais lorsque son décret entrera en vigueur, le RNC poursuivra l'administration pour protéger les Américains et leurs libertés.
Le sénateur républicain du Nebraska, Ben Sasse, a déclaré au Daily Caller :5
« Le président Biden cherche tellement à détourner l'attention de sa sortie honteuse et incompétente de l'Afghanistan qu'il dit des choses folles et pousse des décrets constitutionnels défectueux.
Il s'agit d'une tentative cynique de se battre et de détourner l'attention de la décision moralement honteuse du président de laisser les Américains derrière les lignes des talibans à l'occasion du 20e anniversaire du 11 septembre. Ce n’est pas ainsi que vous battez COVID, mais c’est ainsi que vous menez une campagne de distraction – c’est dégoûtant et le peuple américain ne devrait pas tomber dans le piège. »
Dans une série de tweets, le gouverneur du Dakota du Sud, Kristi Noem, a déclaré :6,7
"Le Dakota du Sud se lèvera pour défendre la liberté @JoeBiden vous voit au tribunal", et "Mon équipe juridique est prête à déposer notre plainte à la minute où Joe Biden dépose sa règle inconstitutionnelle. Cet exemple flagrant d'intrusion fédérale ne tiendra pas.
Le gouverneur de Géorgie, Brian Kemp, a également publié une déclaration disant qu'il avait l'intention de "poursuivre toutes les options légales disponibles" pour mettre un terme à la "portée excessive manifestement illégale" de Biden, comme l'a fait le gouverneur de l'Arizona Doug Ducey, qui dans un tweet a déclaré:8
«C'est exactement le genre de grande portée gouvernementale que nous avons essayé si fort d'empêcher en Arizona – maintenant, l'administration Biden-Harris s'attaque aux entreprises privées et aux libertés individuelles d'une manière sans précédent et dangereuse. Cela ne tiendra jamais devant les tribunaux.
Cette approche dictatoriale est mauvaise, anti-américaine et fera beaucoup plus de mal que de bien. Combien de travailleurs seront déplacés ? Combien d'enfants ont été exclus des salles de classe ? Combien d'entreprises condamnées à une amende ? Le vaccin est et doit être un choix. Nous devons et allons repousser.
Les gouvernements de Floride risquent des amendes s'ils suivent l'ordonnance de Biden
En Floride, le gouverneur Ron DeSantis a contré l'édit de Biden avec l'un des siens. Tout gouvernement local qui fait de la vaccination COVID une exigence pour l'emploi se verra infliger une amende de 5 000 $ par violation.9 Lors d'une conférence de presse le 13 septembre 2021, DeSantis a déclaré :
«Nous allons défendre les hommes et les femmes qui nous servent. Nous allons protéger les emplois en Floride. Nous n'allons pas laisser les gens être licenciés à cause d'un mandat de vaccination.
Vous ne vous contentez pas de rejeter les personnes qui ont servi fidèlement cette question, ce qui est fondamentalement un choix personnel concernant leur santé individuelle. Nous ne pouvons pas laisser ces gens être mis de côté. Nous ne pouvons pas permettre que leurs emplois soient détruits.
J'allais inclure le discours de DeSantis dans cet article, mais il a depuis été supprimé pour "violation des directives de la communauté YouTube". Imaginez cela, qu'ils supprimeraient en fait l'opinion d'un gouverneur légalement élu sur ce sujet parce que cela viole leur tyrannie autoritaire.
Biden est clairement hors des limites légales
Il est peu probable que le décret de Biden soit maintenu devant les tribunaux, vu comment la loi fédérale interdit l'imposition de produits à usage d'urgence, qui par définition sont expérimentaux. Comme indiqué dans un rapport de mai 2021 de The Defender :10
« L'essentiel est le suivant : imposer des produits autorisés pour le statut d'autorisation d'utilisation d'urgence (EUA) enfreint la loi fédérale, comme indiqué dans les notifications légales suivantes.11
Tous les vaccins COVID, les tests PCR et antigéniques COVID et les masques sont simplement autorisés par l'EUA, non approuvés ou autorisés, par le gouvernement fédéral. L'innocuité et l'efficacité à long terme n'ont pas été prouvées.
Les produits EUA sont par définition expérimentaux, ce qui nécessite que les gens aient le droit de les refuser. En vertu du Code de Nuremberg, fondement de la médecine éthique, nul ne peut être contraint de participer à une expérience médicale. Le consentement de la personne est « absolument essentiel ».
Plus tôt cette année, Mary Holland, présidente et avocate générale de Children’s Health Defense, et l’avocat Greg Glaser ont déclaré que la loi fédérale interdit aux employeurs d’exiger les vaccins EUA COVID (ou les tests ou masques EUA COVID-19). Holland et Glaser ont écrit :12
« Si un vaccin a été délivré par la FDA à l'EUA, il n'est pas entièrement autorisé et doit être volontaire. Une partie privée, comme un employeur, une école ou un hôpital ne peut pas contourner la loi EUA, qui interdit les mandats. En effet, la loi EUA interdisant les mandats est si explicite qu'il n'y a qu'un seul cas précédent concernant une tentative de mandater un vaccin EUA.
Si vous êtes comme la plupart, vous pensez probablement : « Eh bien, le décret de Biden est intervenu après que la Food and Drug Administration des États-Unis a donné son approbation complète au Pfizer/BioNTech COVID shot Comirnaty, donc le vaccin n’est pas sous EUA. » Vous auriez en partie raison. Mais surtout faux.
La différence entre le tir BNT162b2 de Pfizer et le comirnaty
La FDA a en effet donné son approbation complète à Comirnaty, mais ce produit ne devrait pas être disponible avant plus d'un an. Le seul tir Pfizer actuellement disponible, appelé BNT162b2, reste sous EUA. Nous devons remercier la FDA pour cette situation inhabituelle et déroutante, mais l'essentiel est que, bien que l'approbation ait été accordée à Comirnaty, ce produit n'est pas disponible.
La FDA souhaite que le BNT162b2 soit considéré comme interchangeable avec Comirnaty, mais d'un point de vue juridique, ils ne sont clairement pas identiques. BNT162b2, étant sous EUA, est indemnisé contre la responsabilité financière, alors que Comirnaty, une fois disponible, n'aura pas cette protection de responsabilité (à moins que Pfizer/BioNTech ne parvienne à obtenir une protection de responsabilité pour ce produit avant sa sortie).
En d'autres termes, si vous êtes blessé par le BNT162b2, votre seul recours est de demander une indemnisation au titre de la Countermeasures Injury Compensation Act (CICP).13 L'indemnisation du CICP est très limitée et difficile à obtenir. Au cours de ses 15 années d'existence, il n'a réglé que 29 réclamations, soit moins de 1 sur 10.14,15,16
Vous n'êtes admissible que si votre blessure nécessite une hospitalisation et entraîne une invalidité importante et/ou le décès, et même si vous répondez aux critères d'éligibilité, cela vous oblige à utiliser votre assurance maladie privée avant de commencer à payer la différence.
Il n'y a aucun remboursement pour la douleur et la souffrance, seulement les salaires perdus et les factures médicales impayées. Cela signifie qu'une personne retraitée ne peut pas être admissible même si elle meurt ou se retrouve dans un fauteuil roulant. L'indemnisation salariale est d'une durée limitée et plafonnée à 50 000 $ par an, et la décision du CICP est sans appel.
Si des circonstances normales s'appliquent à Comirnaty, si vous étiez blessé par cette injection, vous seriez en mesure d'intenter une action en dommages-intérêts en vertu du plan national d'indemnisation des victimes de vaccins (VICP),17 donc d'un point de vue juridique, il y a une différence assez importante entre ces deux produits.
Notifications légales que vous pouvez utiliser
Si votre employeur ou votre école vous demande de vous faire vacciner contre la COVID, envisagez d’utiliser les notifications légales fournies par l’équipe juridique de Children’s Health Defense. Les avis informent les employeurs et les établissements d'enseignement qu'ils violent la loi fédérale.
Trois avis distincts peuvent être téléchargés à partir de la page Ressources juridiques pour la défense de la santé des enfants18 ; un pour les mandats de masque, un pour les tests PCR et un troisième pour les vaccins. Vous y trouverez également des informations sur la façon de demander une exemption religieuse pour les mandats de vaccin COVID-19 sur le lieu de travail.
Le mandat des vaccins annonce un système de crédit social de style communiste
Dans un épisode du 13 septembre 2021 de Fox News Fox & Friends, la co-animatrice Rachel Campos-Duffy a averti que les mandats de vaccination sont « le début du système de crédit social de style communiste », ajoutant :19
"Dr. Anthony Fauci dit maintenant que si vous n'avez pas le vaccin, vous ne devriez pas pouvoir voyager en avion. Je veux dire, cela se passe en Chine. En Chine… si vous n'êtes pas d'accord avec le gouvernement, vous ne pouvez pas monter dans un train. Ils vous bloquent. Ils ont un moyen de le faire, et c'est le début de ce système où si vous êtes un dissident, si vous n'êtes pas d'accord avec le parti au pouvoir, vous serez puni.
Allons-nous nous précipiter vers un système de crédit social où les comportements sont soit récompensés, soit punis selon les caprices des responsables du système ? Le refus de Biden de faire des exceptions pour ceux qui ont une immunité naturelle, qui n'ont aucun besoin d'imagination ni ne bénéficient d'un vaccin COVID, semble indiquer que nous nous dirigeons définitivement dans cette direction.
Donner aux personnes ayant une immunité naturelle un passeport de santé ne fonctionnera pas pour l'élite technocratique, car les personnes naturellement immunisées ne sont pas abonnées à un vaccin. Tout l'intérêt d'avoir un passeport vaccinal, c'est que vous perdez votre liberté à chaque fois qu'un nouveau rappel sort. Soit vous obtenez le rappel, soit vous perdez votre liberté.
Les personnes ayant une immunité naturelle ne peuvent pas être enfermées dans ce schéma de contrôle. Que vont-ils obliger les naturellement immunisés à faire pour conserver un passeport valide ? Ils ne peuvent pas gagner d'argent avec l'immunité naturelle, et ils ne peuvent pas l'utiliser pour contrôler.
Dans une lettre du 13 septembre 2021 à Biden, le PDG de la Consumer Brands Association, Geoff Freeman, a énuméré 19 des 50 questions reçues de ses sociétés membres20.
Tel que rapporté par Newsweek21, les détails du plan de Biden seront réglés par l'Administration américaine de la sécurité et de la santé au travail (OSHA), mais en attendant, Freeman a appelé l'administration Biden à répondre à certaines des questions les plus urgentes.
L'OSHA permet aux employeurs de se tirer d'affaire pour les blessures causées par les vaccins
En parlant de l'OSHA, en mai 2021, l'agence a discrètement révoqué22 l'exigence23 pour les employeurs qui obligent le vaccin à enregistrer les effets secondaires en tant qu'événement lié au travail. Ce faisant, l'OSHA s'est soulagé, ainsi que les employeurs, d'avoir à payer l'indemnité des travailleurs si un employé est blessé par un tir COVID obligatoire. L'OSHA a tenté de justifier sa décision en déclarant :
« L'OSHA ne souhaite pas avoir l'air de décourager les travailleurs de se faire vacciner contre le COVID-19, et ne souhaite pas non plus décourager les efforts de vaccination des employeurs.
En conséquence, l'OSHA n'appliquera pas les exigences d'enregistrement du 29 CFR 1904 pour obliger tout employeur à enregistrer les effets secondaires des travailleurs de la vaccination COVID-19 jusqu'en mai 2022. Nous réévaluerons la position de l'agence à ce moment-là pour déterminer le meilleur plan d'action pour aller de l'avant. "
Les personnes ayant une immunité naturelle se tournent vers la loi
Dans les jours à venir, notre système judiciaire est voué à s'encombrer de poursuites contre les employeurs, les écoles et les gouvernements. Le professeur de droit Todd Zywicki a récemment poursuivi24 George Mason University en Virginie pour leur mandat de vaccination, car il a une immunité naturelle. Zywicki a discuté de son procès dans un commentaire du Wall Street Journal du 6 août 2021.25
Son procès a souligné que les personnes dotées d'une immunité naturelle ont un risque accru de réactions indésirables au vaccin COVID - selon une étude26 jusqu'à 4,4 fois le risque d'effets secondaires cliniquement significatifs - et que l'exigence viole les droits à une procédure régulière, le droit de refuser traitement médical non désiré et n'est pas conforme à l'autorisation d'utilisation d'urgence.27
Le 17 août 2021, l'Université George Mason a cédé avant que l'affaire ne soit jugée et a accordé à Zywicki une exemption médicale.28 Malheureusement, l'école n'a pas révisé sa politique générale.
Un certain nombre d'autres poursuites ont également été déposées, dont une par plus d'une douzaine d'étudiants et Children's Health Defence contre l'Université Rutgers du New Jersey29 et une par six travailleurs de l'Oregon qui poursuivent l'État au motif qu'ils ont déjà une immunité naturelle. 30 Les plaignants comprennent deux agents pénitentiaires, un EMT, un directeur de cabinet médical, un chauffeur d'autobus scolaire et un agent spécial chargé d'une unité d'enquête du ministère de la Justice de l'Oregon.
Jason Dudash, directeur de la section de l'Oregon de la Freedom Foundation, qui représente les employés de l'État, a accusé le gouverneur de l'Oregon, Kate Brown, d'être «affamé de pouvoir au milieu de la pandémie». « Les tribunaux doivent établir une approche plus logique et fondée sur la science », a-t-il déclaré.31
Des membres du service militaire intentent une action en justice pour un mandat de vaccination
Les membres du service militaire dotés d'une immunité naturelle poursuivent également le ministère de la Défense, la FDA et le ministère de la Santé et des Services sociaux. Tel que rapporté par The Defender :32
«Les principaux plaignants dans le procès, le sergent d'état-major Daniel Robert et le sergent d'état-major Holli Mulvihill, allèguent que la sec. de la Défense Lloyd Austin a ignoré les propres réglementations du DOD et a créé une toute nouvelle définition de «l'immunité totale» comme n'étant réalisable que par la vaccination.
Selon le procès, les lois et règlements militaires existants prévoient sans équivoque l'exemption demandée par les plaignants en vertu du règlement de l'armée 40-562 (« AR 40-562 »), qui accorde aux survivants documentés d'une infection une exemption médicale présumée de la vaccination en raison de la nature immunité acquise du fait d'avoir survécu à l'infection...
Le Dr Amiral Brett Giroir, secrétaire adjoint du HHS, a déclaré dans une interview le 24 août avec Fox News: «Donc, l'immunité naturelle, c'est très important … Il n'y a toujours pas de données suggérant que l'immunité vaccinale est meilleure que l'immunité naturelle. Je pense que les deux sont très protecteurs.
Pourtant, le même jour, Austin a publié une note de service obligeant l'ensemble des forces armées à être vaccinées, dans laquelle il écrivait: "Ceux qui ont déjà été infectés par COVID-19 ne sont pas considérés comme complètement vaccinés."
Dans cette note, les plaignants allèguent qu'Austin a créé un nouveau terme et un nouveau concept, qui contredisent le langage clair des propres réglementations du DOD, la pratique de l'immunologie de longue date, l'éthique médicale et le poids écrasant des preuves scientifiques concernant ce virus spécifique.
Les plaignants affirment qu'Austin, qui n'est pas un médecin, a modifié le propre règlement du DOD sans fournir "une étincelle de preuves pour le soutenir". revoir."
Le procès souligne également que les essais de phase 3 de Pfizer, qui est la phase dans laquelle les effets secondaires à long terme sont détectés, ne seront pas terminés avant 2023. De plus, le procès met en évidence le fait que Pfizer a levé l'aveugle des deux cohortes au milieu de l'essai et éliminé le groupe témoin en offrant le véritable « vaccin » à tous les témoins.
Ce faisant, Pfizer a transformé l'étude d'un essai en aveugle contrôlé par placebo en une étude d'observation ouverte, et la FDA l'a autorisé. Les études observationnelles n'ont pas le même poids que les essais contrôlés par placebo, car vous n'avez rien à comparer avec le groupe de traitement. Il est très facile d'ignorer même les blessures graves lorsque vous n'avez aucun groupe de contrôle.
Fauci prévient qu'il y aura «beaucoup plus de mandats de vaccins»
À l'approche des deux ans de cette pandémie, il est temps que notre système judiciaire se mette en marche et protège le public. Les pouvoirs d'urgence accordés aux gouverneurs ne sont pas censés durer éternellement, et les droits que nous accorde la Constitution américaine n'ont jamais été destinés à être suspendus et mis de côté en temps de crise médicale. Il est temps que cette anarchie rampante soit maîtrisée.
Reste à voir si cela se produira ou non. Ce dont nous pouvons être sûrs, c'est que si notre système juridique manque à son devoir, le phare de la liberté dans ce monde sera perdu. Comme le rapporte CNN33, Fauci avertit que « si davantage de personnes ne sont pas persuadées de se faire vacciner par les messages des responsables de la santé et des » messagers politiques de confiance « , des mandats supplémentaires des écoles et des entreprises peuvent être nécessaires ».
L'élite technocratique ira jusqu'au bout car elle se bat pour la Grande Réinitialisation. Et la grande réinitialisation ne fonctionnera pas si les gens sont libres. Ils ont besoin d'un effet de levier sur la population, ce qui est précisément l'objet des passeports vaccinaux.
Jacobson c. Massachusetts : une décision aux conséquences tragiques
En conclusion, ceux qui soutiennent l'imposition de vaccins expérimentaux au COVID se réfèrent généralement à l'affaire Jacobson c. Massachusetts de 1905, qui est souvent interprétée comme donnant au gouvernement le droit de forcer tout le monde à vacciner pour le bien commun. Cependant, comme l'a noté Alex Berenson dans un récent billet de blog34, nous devons vraiment regarder à quel moment ce verdict a été rendu.
Dans les années qui ont entouré le verdict Jacobson c. Massachusetts en 1905, la Cour suprême des États-Unis a également statué en faveur de la discrimination raciale, du monopole des entreprises, du travail des enfants et a fait de l'interrogatoire du gouvernement une infraction passible de prison. La même année, en 1905, ils ont décidé que les travailleurs n'avaient aucun droit. En 1923, ils ont déclaré que les lois sur le salaire minimum étaient illégales et en 1927, ils ont accepté la stérilisation forcée sur la base de la décision Jacobson.
La plupart de ces décisions ont depuis été annulées, et pour des raisons évidentes. La plupart des gens ne sont plus d'accord avec la discrimination raciale, les monopoles et le travail des enfants. La plupart conviennent que les lois sur le salaire minimum sont une bonne chose et que remettre en question le gouvernement est un droit inattaquable qui est nécessaire au fonctionnement de la démocratie. L'affaire Jacobson c. Massachusetts de 1905 n'est pas différente. Il a été créé à une autre époque, lorsque les droits individuels et humains étaient régulièrement annulés.
Comme l'a noté la présidente du National Vaccine Information Center Barbara Loe Fisher dans « How Fear of a Virus Changed Our World » :35
« En utilisant une mauvaise logique et une mauvaise science tout en s'appuyant fortement sur la pseudo-éthique de l'utilitarisme, les gouvernements des États ont reçu le feu vert pour exiger légalement la vaccination sur la base d'une" croyance commune "que la vaccination est sûre et efficace, plutôt qu'un fait prouvé.
Agitant pieusement le drapeau du plus grand bien pour justifier de jeter les libertés civiles par la porte, la majorité du tribunal a statué que les citoyens n'ont pas le droit légal d'être libres à tout moment car il existe « de multiples contraintes auxquelles chaque personne est nécessairement soumise pour le bien commun '…
Mais les juges ont également averti que les lois sur la vaccination obligatoire ne devraient pas être imposées à une personne dont l'état physique rendrait la vaccination "cruelle et inhumaine au dernier degré". Ils ont déclaré :
«Nous ne devons pas être compris comme estimant que la loi était destinée à être appliquée dans un tel cas ou, si tel était le cas, que le pouvoir judiciaire ne serait pas compétent pour interférer et protéger la santé et la vie de la personne concernée. « Toutes les lois », a déclaré cette Cour, « devraient recevoir une interprétation sensée » …
En cette période de peur et de confusion, l'arrêt Jacobson nous rappelle également que ce sont les représentants démocratiquement élus dans les assemblées législatives des États qui élaborent les lois de santé publique régissant les personnes vivant dans différents États. En effet, ce qui n'est pas défini dans la Constitution des États-Unis comme une activité fédérale est réservé aux États, ce qui constitue un contrôle important du pouvoir du gouvernement fédéral.
Les législateurs élus de votre État peuvent choisir d'imposer quelques ou plusieurs vaccins avec ou sans exemptions, tandis que le gouvernement fédéral a le pouvoir d'imposer des vaccinations pour les personnes entrant aux États-Unis ou traversant les frontières de l'État.
Le sénateur Warren menace Amazon d'interdire « la vérité sur le COVID-19 »
Depuis la publication de mon dernier livre, « The Truth About COVID-19 », qui est devenu un best-seller instantané sur Amazon.com, il y a eu une augmentation significative des appels à la censure et des attaques impitoyables contre moi.
Plus récemment, la sénatrice américaine dite « progressiste » Elizabeth Warren, D-Mass., dans une tentative scandaleuse, calomnieuse et fondamentalement inconstitutionnelle de supprimer la liberté d'expression, a envoyé une lettre à Amazon, exigeant un « examen immédiat » de leurs algorithmes à éliminer les livres colportant la «désinformation COVID».
Warren a spécifiquement désigné « La vérité sur le COVID-19 » comme un excellent exemple de « livres hautement classés et favorablement étiquetés basés sur des mensonges sur les vaccins et les remèdes COVID-19 » qu'elle souhaite voir interdits à la vente.
Deux jours plus tard, le représentant américain Adam Schiff, D-Calif., a suivi les traces de Warren, envoyant des lettres à Facebook et Amazon, appelant à une censure plus prolifique des informations sur les vaccins. Même le président Joe Biden a récemment utilisé un rapport démystifié comme sa seule source pour appeler à ma censure.
Malheureusement, ces attaques sont perpétrées par les personnes mêmes élues pour sauvegarder la démocratie et nos droits constitutionnels. Essentiellement, ce qu'ils réclament, c'est la gravure de livres modernes. C'est une démocratie, pas une monarchie.
Sources and References
1 American Military News September 9, 2021 2, 3, 7 ZeroHedge September 11, 2021 4, 5 Daily Caller September 9, 2021 6 Twitter Kristi Noem September 9, 2021 8 Twitter Doug Ducey September 9, 2021 9 The Hill September 13, 2021 10 The Defender May 18, 2021 11, 18 Children’s Health Defense Legal Resources 12 The Defender January 29, 2021 13 Congressional Research Service Legal Sidebar CICP March 22, 2021 (PDF) 14 Life Site News June 15, 2021 15 Insurance Journal August 14, 2020 16 Insurance Journal December 29, 2020 17 HRSA September 2021 19 Media Matters September 13, 2021 20, 21 Newsweek September 13, 2021 22 Ogletree May 6, 2021 23 Ogletree April 21, 2021 24 Zywicki vs George Mason University Case 1:21-cv-00894 25 WSJ August 6, 2021 26 JAMA Internal Medicine August 16, 2021 [Epub ahead of print] 27, 28 Citizens Journal August 25, 2021 29 Children’s Health Defense vs Rutgers Case 2: 21-cv-15333 30 Oregon Live September 10, 2021 31 Washington Free Beacon September 10, 2021 32 The Defender September 1, 2021 33 CNN September 14, 2021 34 Alex Berenson Substack September 13, 2021 35 NVIC June 1, 2020
Drs. Peter Daszak et Anthony Fauci doivent être ARRÊTÉS, alors que de nouvelles informations émergent documentant l'amélioration et le déploiement prévus du coronavirus
Mercredi 22 septembre 2021 par : Lance D Johnson
(Natural News) Une équipe de scientifiques nommée Drastic a enquêté sur les origines de covid-19, découvrant plusieurs années de recherche sur les coronavirus à gain de fonction. Lorsque la séquence génétique de covid-19 a été identifiée pour la première fois, les scientifiques ont été consternés par l'évolution du virus, par la façon dont il contenait une adaptation améliorée spécifique à l'homme au niveau du site de clivage de la protéine de pointe. Maintenant, il devient clair comment cela est arrivé.
Drastic a dévoilé une série de propositions de subventions controversées soumises par le zoologiste Peter Daszak d'EcoHealth Alliance à New York. Ces subventions visaient non seulement à améliorer l'infectiosité des coronavirus, mais visaient également à libérer des nanoparticules de protéines de pointe hautement pénétrables dans la nature ! Le projet contraire à l'éthique a demandé 14 millions de dollars à la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) et devait être lancé en 2018.
Voir le document DRASTIC complet sur ce lien, archivé sur les serveurs NN.
Le Dr Daszak avait l'intention de libérer des protéines de pointe de coronavirus améliorées dans la nature La DARPA n'a pas approuvé les 14 millions de dollars et a déclaré: "Il est clair que le projet proposé dirigé par Peter Daszak aurait pu mettre les communautés locales en danger." La DARPA a averti que Daszak et son équipe n'avaient pas correctement pris en compte les dangers de l'amélioration du virus et de la diffusion d'un vaccin par voie aérienne. Ni la DARPA ni le NIH n'ont essayé d'empêcher la recherche d'aller de l'avant, cependant.
Ces subventions révèlent l'INTENTION de Daszak de développer et de libérer des virus hautement infectieux et des nanoparticules de protéines de pointe pour faire avancer la recherche sur les vaccins. Daszak est rejoint par le Dr Shi Zhengli, la « femme chauve-souris » de l'Institut de virologie de Wuhan, ainsi que par des chercheurs américains de l'Université de Caroline du Nord et du National Wildlife Health Center de l'United States Geological Survey.
Daszak et ses collaborateurs prévoyaient de développer des virus chimériques génétiquement améliorés qui pourraient facilement infecter les humains. Selon les documents, les chercheurs ont cherché à combiner des « sites de clivage spécifiques à l'homme » aux coronavirus de chauve-souris, permettant aux virus de pénétrer facilement dans les cellules humaines. La proposition visait même à améliorer le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS), une souche de coronavirus à faible transmissibilité mais avec un taux de mortalité de 30 % !
Cette recherche exigeait que les scientifiques de l'Institut chinois de virologie de Wuhan libèrent intentionnellement des coronavirus améliorés en suspension dans l'air dans les populations de chauves-souris en Chine. Ces populations de chauves-souris devaient ensuite être inoculées avec des vaccins expérimentaux contre des maladies susceptibles de se propager aux populations humaines. La recherche aiderait les scientifiques à identifier les agents pathogènes les plus préoccupants afin que des programmes de vaccination lucratifs puissent être développés. Cette recherche controversée a été proposée dix-huit mois seulement avant que le premier cas de covid-19 ne soit identifié à Wuhan en Chine. Daszak a écrit dans la demande de subvention qu'ils « mèneraient des actions de sensibilisation… afin que le public comprenne ce que nous faisons et pourquoi nous le faisons, en particulier en raison de la pratique de la consommation de chauves-souris dans la région ».
Angus Dalgleish, professeur d'oncologie à St Georges, Université de Londres, a déclaré que les recherches de Daszak auraient pu se poursuivre sans les fonds de la DARPA, en particulier avec le temps, l'énergie et l'argent déjà investis dans le projet. "Il s'agit clairement d'un gain de fonction, de la conception du site de clivage et du polissage des nouveaux virus pour améliorer l'infectibilité des cellules humaines dans plus d'une lignée cellulaire", a déclaré Dalgleish – contredisant le Dr Anthony Fauci, qui a nié le fait que le NIAID ait financé ce type de recherche.
Daszak, Fauci et leurs collaborateurs doivent être arrêtés, avec une enquête pénale complète à suivre Selon la publication du document, le Dr Daszak et ses collaborateurs prévoyaient de libérer des nanoparticules qui pourraient pénétrer dans la peau. Ces nanoparticules contenaient de «nouvelles protéines de pointe chimériques» provenant de coronavirus de chauve-souris. Ces protéines de pointe améliorées et pénétrant la peau devaient être libérées dans les chauves-souris des cavernes du Yunnan, en Chine. Les documents révèlent que le covid-19 est plus qu'un virus. C'est une arme biologique qui a été stratégiquement développée et dont le déploiement est prévu en 2018.
Le PCC travaillant en étroite collaboration sur cette recherche, il est plausible que ces nanoparticules de protéines de pointe aient pu être libérées n'importe où dans le monde, furtivement et sans remords. Ces nanoparticules de protéines de pointe peuvent être libérées au-dessus des villes pour paralyser les systèmes médicaux et exploiter les vulnérabilités des hôpitaux et des systèmes immunitaires fragiles. Ils pourraient également être utilisés pour cibler des types spécifiques de personnes dans des lieux d'événements spécifiques. Des documents d'informations supplémentaires révèlent que l'armée chinoise a planifié le développement et le déploiement d'armes biologiques en aérosol pour « provoquer l'effondrement du système médical de l'ennemi ».
Les demandes de subvention de Daszak comprennent des expériences de libération d'animaux et de virus contraires à l'éthique, avec la menace de graves répercussions sur les populations humaines. Le Dr Peter Daszak et le Dr Anthony Fauci sont coupables des origines du covid-19. Il est primordial que ces médecins soient ARRÊTÉS. De nombreux membres de la communauté scientifique demandent une enquête CRIMINELLE complète sur leurs rôles dans l'établissement et la réalisation de ces projets de recherche diaboliques et macabres. Daszak et Fauci doivent être traduits en justice et interrogés, la grande communauté scientifique appelant à un nouveau système d'éthique pour arrêter ces expériences mortelles sur les animaux et les humains et pour arrêter la censure et les abus. Toutes les recherches pertinentes sur le gain de fonction auxquelles ces médecins ont participé, supervisé et menti doivent être présentées et méticuleusement traitées.
Au début de 2020, Daszak a conspiré avec plusieurs autres scientifiques qui ont été investis dans la recherche sur le gain de fonction des coronavirus. Daszak est l'auteur de l'article du Lancet pour mettre fin à tout débat ou enquête scientifique sur les origines de covid-19. Daszak a même remercié Fauci dans des courriels privés pour avoir minimisé la théorie des fuites de laboratoire devant la scène mondiale. Fauci a menti au Congrès américain au sujet de la recherche qu'il a approuvée et financée, niant son rôle bien documenté dans la supervision de ces projets de recherche contraires à l'éthique sur le gain de fonction des coronavirus qui exploitent le système immunitaire humain.
La police de Melbourne OUVRE LE FEU sur des manifestants pacifiques avec des balles en caoutchouc, SNATCH des gens dans les rues lors du dernier spectacle de tyrannie covid en fuite
Mercredi 22 septembre 2021 par : Ethan Huff
(Natural News) Les choses se réchauffent vraiment en Australie, qui est rapidement devenue l'un des endroits les plus médicalement fascistes de la planète grâce au coronavirus de Wuhan (Covid-19).
Des policiers de Melbourne auraient ouvert le feu sur des manifestants, les tirant de balles en caoutchouc pour leur opposition au masque hautement oppressif, au vaccin et aux mandats de distanciation qui ont été rétablis en raison de la «variante delta».
Comme vous vous en souvenez peut-être à l'automne dernier, Melbourne était le point zéro de la tyrannie de la grippe Fauci. Les politiciens appelaient à l'arrestation de toute personne qui osait rompre la quarantaine, et les résidents ont été informés qu'ils devaient porter un masque même à l'extérieur pour pouvoir faire quoi que ce soit en dehors de chez eux.
Juste au moment où il semblait que tout revenait à la normale, est arrivée la variante delta, qui, selon toutes les apparences, est issue des «vaccins».
Maintenant, les Australiens sont agressés par les forces de l'ordre pour avoir tenté de reprendre leurs droits. Certains sont même arrachés à la rue – regardez la vidéo ci-dessous – en guise de punition pour avoir fait entendre leur voix.
Dans une autre vidéo capturée sous un angle différent, vous pouvez voir des policiers de Melbourne tous équipés de mitrailleuses comme s'ils combattaient des terroristes. Dire la vérité sur la plandémie et défendre ses droits est apparemment désormais considéré comme du « terrorisme ».
Tout policier qui tyrannise les manifestants du Covid est un fasciste traître Des passants présents lors de l'incident ont capturé des manifestants fuyant les officiers vêtus du SWAT qui ont continué à leur tirer des balles en caoutchouc alors qu'ils tentaient de fuir les lieux le dos tourné – regardez ci-dessous :
– Nouvelle Grenade (@NewGranada1979) 22 septembre 2021
Dans une autre scène, des manifestants ont été vus en train d'être enlevés par la police et emmenés, peut-être dans l'un des nouveaux camps de concentration australiens pour le coronavirus de Wuhan (Covid-19) – regardez les manifestants se faire matraquer par les fascistes :
Pourquoi ne pas surveiller un compagnon plus dur, il avait l'air si menaçant… pic.twitter.com/xvuz7w4Gd6
– Evelyn Rae (@_evelynrae) 22 septembre 2021
"Pour plus de précision: ce n'est PAS militaire", un utilisateur de Twitter s'est senti obligé d'écrire puisque les policiers de Melbourne ont été vus vêtus d'un équipement militaire à grande échelle.
«Il s'agit d'une unité spécialisée dans la force de police victorienne appelée le SOG - groupe d'opérations spécialisées. Ils sont essentiellement, en termes simples, l'équipe SWAT.
Un individu, un ouvrier du bâtiment, a reçu une balle dans le dos par un homme de main du SOG. Vous pouvez entendre son histoire et voir les dégâts ci-dessous :
- voir clips sur site -
Melbourne 🇦🇺 Tradie abattu dans le dos pour avoir refusé le WAX… Ce n'est pas l'Australie, c'est la Tyrannie 👊 pic.twitter.com/kVt534ZFTp
— 𝙈𝙀𝙇𝘽𝙊𝙐𝙍𝙉𝙀 (@risemelbourne) 22 septembre 2021
Cela vaut également la peine de regarder l'interview ci-dessous car elle contient des révélations révélatrices sur la situation sur le terrain à Melbourne :
Whoa.. cet homme est incroyable 🔥❤️🔥 pic.twitter.com/FkCtApf5WW
– Pelham (@Resist_05) 22 septembre 2021
Même un journaliste des médias a été agressé par le SOG alors qu'il tentait de filmer un segment sur l'affrontement :
Quiconque « soutient toujours le bleu » après avoir vu ce genre de chose devrait probablement réévaluer à qui il prête allégeance. Ce genre de comportement n'est pas acceptable, et si les forces de l'ordre obtiennent un laissez-passer gratuit pour continuer, les choses ne feront qu'empirer.
Il commence dans d'autres pays et finit par arriver aux États-Unis. Nous avons déjà vu ce genre de chose auparavant, c'est pourquoi les patriotes américains doivent rester vigilants dans la lutte contre le fascisme médical, sinon cela ne finira jamais.
« La police ne protège plus les personnes qui paient leurs salaires – elles protègent le gouvernement », a écrit un commentateur de Citizen Free Press.
« Les manifestants doivent précipiter les gestapos et les dépouiller de leur équipement », a écrit un autre. « Il y a la force dans le nombre. »
Un autre commentateur a souligné que ce à quoi nous assistons maintenant à Melbourne n'est rien de moins qu'un véritable fascisme – pas le faux fascisme que les « antifascistes » (Antifa) ont prétendu combattre après la mort mise en scène de George Floyd.
"Ce sera une lutte longue et difficile, mais la liberté en vaut la peine et il ne sert à rien de vivre sous la tyrannie à moins de la combattre", a écrit cette personne. « L'Australie était un endroit formidable : décontracté et les gens profitaient de la vie. Mais ensuite sont arrivés les communistes et les mondialistes qui asservissent maintenant le peuple à une thérapie génique fausse et dangereuse. »
La tyrannie du coronavirus de Wuhan (Covid-19) ne s'arrêtera pas tant que les gens ne la feront pas cesser. Pour en savoir plus, visitez Fascism.news.
Les fous ne sont que minoritaires et entretiennent un pouvoir débile (NWO) au sein de cette nano-communauté. Leur objectif est de faire des copies de ces trisomiques parfaitement corvéables, manipulables et domestiqués à l'extrême. Le 'premier' pas (après les chemtrails) est l'inoculation de nano-particules qui deviennent mortelles par simple émission d'onde à partir de la 5G. Ces oxydes de graphène (40 mille milliards de nano-particules par flacon à injecter !! Ils représentent entre 95 et 99 % de la composition proposée dans l'expérimentation génique d'essais !) sont très dangereuses car, premièrement, elles suppriment toutes immunités naturelles !! ce qui rend le corps des victimes à être de véritables laboratoires ambulants où déjà des millions de victimes ont succombé.
RépondreSupprimerUn lanceur d'alerte du gouvernement lance une bombe majeure sur le fait que les vaccins contre le covid sont «pleins de merde»
RépondreSupprimerMardi 21 septembre 2021
par : Ethan Huff
(Natural News) Le projet Veritas l'a encore fait avec un nouvel exposé qui fait exploser le couvercle sur l'arnaque du "vaccin" contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19).
Jodi O'Malley, RN, employée du département américain de la Santé et des Services sociaux (HHS) et infirmière du Phoenix Indian Medical Center en Arizona, s'est récemment présentée comme dénonciatrice pour raconter les horreurs qui se déroulent dans son hôpital. Non seulement les gens tombent malades et meurent des injections de Donald « père du vaccin » de Trump « Opération Warp Speed », mais le gouvernement essaie de tout dissimuler tout en privant les patients de médicaments qui pourraient réellement les aider.
Dans la vidéo ci-dessous de Brighteon.com, O'Malley parle au fondateur de Project Veritas, James O'Keefe, de la situation au Phoenix Indian Medical Center. Les deux discutent des images capturées d'autres médecins de l'établissement géré par le gouvernement, admettant que les vaccins contre la grippe Fauci sont "pleins de merde".
Un médecin, le Dr Maria Gonzales, qui travaille aux urgences du Phoenix Indian Medical Center, est vu exprimer sa colère et son inquiétude face à l'utilisation continue d'injections de virus chinois, qui ne sont étayées par aucune véritable science.
"Le problème ici, c'est qu'ils ne font pas les études", explique le Dr Gonzales. « Les personnes qui avaient [covid] et les personnes qui ont été vaccinées – elles ne font aucun test d’anticorps. »
« Tout le monde est silencieux avec ça. Pourquoi ?"
https://www.brighteon.com/b6761eab-841c-49c9-85c4-ff75f3559696
Dans ce clip particulier, O'Malley avait une conversation avec le Dr Gonzales et était d'accord avec elle. O'Malley s'est ensuite adressé à un patient qui, immédiatement après avoir reçu sa deuxième dose de l'injection, a subi de graves effets indésirables.
« Maintenant, vous avez ce gars dans la salle quatre qui a reçu sa deuxième dose du vaccin [covid] mardi et qui a le souffle court. D'accord ? Maintenant, son BNP est élevé. D dimère, ALT, toutes ses enzymes hépatiques sont élevées. Son PTPTINR est élevé.
Le Dr Gonzales répond ensuite à propos du patient : « Il a probablement une myocardite ! Tout ça, ce sont des taureaux***. Maintenant, probablement une myocardite due au vaccin. Mais maintenant, ils [le gouvernement] ne vont pas blâmer le vaccin. »
O'Malley répond ensuite que le gouvernement a l'obligation légale de signaler les complications, ce à quoi le Dr Gonzales admet que ce signalement n'a pas lieu "parce qu'il veut le mettre sous le tapis".
Un employé de l'hôpital qui ne voulait pas prendre de covid jab mais qui a été menacé meurt après l'injection
RépondreSupprimerLe cas dont les deux parlaient concernait un patient « trentenaire » qui a fini par recevoir un diagnostic d'insuffisance cardiaque congestive. Cela n'a pas été signalé, ni aucun des dizaines d'autres cas similaires observés dans l'établissement ces derniers jours.
"Donc, la responsabilité de chacun est de rassembler ces données et d'en faire rapport", a ensuite déclaré O'Malley au Dr Gonzales. « Si nous ne recueillons pas de données [vaccin contre le covid] et ne les rapportons pas, alors comment allons-nous dire que cela est sûr et approuvé pour une utilisation ?
Il s'avère qu'il n'y a eu aucun rapport au cours des deux dernières années, ce que O'Malley et le Dr Gonzales admettent tous deux comme "super louche".
À grand risque pour elle-même, O'Malley a finalement décidé de se manifester après qu'un de ses collègues qui ne voulait pas se faire piquer ait été contraint de le faire, même si cela allait directement à l'encontre de ses croyances religieuses sincères.
Cette personne est tombée gravement malade environ deux semaines après avoir reçu une piqûre et n'était jamais tombée malade une seule fois au cours des 18 mois précédant son travail en tant que personne non vaccinée à l'USI. Ce n'est qu'après que cette personne a reçu l'injection sous la contrainte qu'elle est tombée malade et est finalement décédée.
"Elle ne voulait pas prendre [le vaccin contre le covid] à cause de ses croyances religieuses et elle a été forcée de le prendre", a révélé O'Malley à O'Keefe, fondant en larmes.
«C'est comme personne – personne ne devrait avoir à décider entre son gagne-pain, faire partie de l'équipe à l'hôpital ou prendre le vaccin [covid].
De l'avis d'O'Malley, elle a le devoir de se manifester et de dire la vérité. Devant sa famille et devant Dieu, dit-elle, c'est la bonne chose à faire, et elle a confiance que Dieu prendra soin d'elle malgré toutes les conséquences terrestres qui pourraient survenir.
"C'est le mal au plus haut niveau", dit O'Malley. « Vous avez la FDA, vous avez le CDC, qui sont tous deux censés nous protéger, mais ils sont sous le gouvernement. Et tout ce que nous avons fait jusqu'à présent n'est pas scientifique.
Des employés de l'hôpital menacés de licenciement pour avoir administré de l'ivermectine à des patients
O'Malley et d'autres au Phoenix Indian Medical Center reconnaissent que de nombreux patients malades et mourants qu'ils voient chaque jour pourraient être aidés par l'ivermectine. Le problème est qu'ils ont tous été menacés de licenciement pour l'avoir administré.
Une partie de la séquence ci-dessus montre une autre employée se disputant avec O'Malley au sujet de l'ivermectine, expliquant qu'elle ne veut pas risquer son travail en le donnant aux patients même si cela pourrait les aider à vivre.
Et dire que personne ne mourrait si l'ivermectine était administrée de la même manière qu'en Inde, où seul un pourcentage à un chiffre de la population a reçu le vaccin et où l'ivermectine est distribuée gratuitement par le gouvernement.
Viendra-t-il un jour où les Américains se réveilleront enfin face à l'arnaque de la plandémie et demanderont l'accès à l'ivermectine et à d'autres remèdes simples et faciles comme l'hydroxychloroquine (HCQ) et le thé vert (EGCG) ?
"Je ne dirais pas nécessairement que j'ai peur parce que ma foi réside en Dieu et non en l'homme", a déclaré O'Malley à O'Keefe. « Donc, j'ai deux enfants plus âgés qui sont seuls et j'ai un enfant de douze ans à la maison dont je m'occupe seul, mais vous savez, quel genre de personne serais-je si je savais tout cela - c'est le mal.
RépondreSupprimer"En fin de compte, il s'agit de votre santé, et vous ne pourrez jamais la récupérer - et de votre liberté, et de vivre dans une société pacifique, et je me dis:" Non, non, c'est la colline qui Je mourrai.'
Pour suivre les dernières nouvelles sur la tyrannie des injections du coronavirus de Wuhan (Covid-19), visitez Fascism.news.
Sources for this article include:
ProjectVeritas.com
Independent.co.uk
Brighteon.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2021-09-21-government-whistleblower-bombshell-covid-vaccines-full-of-s.html
Bas-Rhin : anti-pass sanitaire, Martine Wonner lance Ensemble pour les libertés, une "force de rassemblement"
RépondreSupprimerExclue de La REM pour son opposition au plan de déconfinement, puis de son groupe parlementaire pour ses prises de position contre le pass sanitaire, Martine Wonner lance ce 14 septembre Ensemble pour les libertés : une "force de rassemblement" destinée à soutenir ses actions.
le 14/09/2021 à 19h31
La députée du Bas-Rhin Martine Wonner a lancé le 14 septembre Ensemble pour les libertés, une "force de rassemblement"
Ensemble pour les libertés, "ce n'est pas un parti" assure Martine Wonner. C'est en tout cas une nouvelle étape dans la vie politique mouvementée de la parlementaire, habituée des prises de position à contre-courant et des propos polémiques. Lors d'une conférence de presse, ce mardi 14 septembre, la députée de la 4e circonscription du Bas-Rhin a officiellement lancé son association : "une force de rassemblement citoyenne" pour défendre "les valeurs de bienveillance et de respect (…) loin de la politique politicienne."
Pourtant, ce "mouvement" associatif, auquel elle convie tout un chacun, y ressemble fort, à en croire ses statuts présentés sur le site nouvellement créé. L'article 2 stipule : "Cette association a pour objet le soutien, l'accompagnement et la contribution aux actions présentes et futures de Martine Wonner."
Plus que jamais, la députée bas-rhinoise se sent pour mission de fédérer "les citoyens (qui) veulent aujourd'hui se retrouver (…) pour simplement revendiquer le respect des droits fondamentaux", "dans le rejet des partis politiques actuels." Pour cette médecin psychiatre, aller à contre-courant, même de ses amis politiques, ne date pas d'hier. "Cette liberté de parole, cette liberté de pensée, cette liberté d'action que j'ai, n'ont pas commencé avec la crise sanitaire" rappelle-t-elle durant sa conférence. Mais la crise les a mises en lumière.
Rebondir politiquement
Début mai 2020, cette fervente défenseuse de l'hydroxychlorochine est exclue de son parti, La REM, pour avoir voté contre le plan de déconfinement du gouvernement. Le 18 juillet dernier, elle l'est également de son groupe parlementaire à l'assemblée Liberté et Territoire, suite à des propos virulents contre le pass sanitaire. Et aujourd'hui, elle poursuit son rôle d'égérie des manifestants "contre le pass, qui est un outil de stigmatisation, un outil de division", et revendique "la liberté contre l'extorsion vaccinale."
Pour appuyer sa position, Martine Wonner cite des principes énoncés dans plusieurs textes fondateurs : les hommes "libres et égaux en droit" de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789, les "droits aliénables" du préambule à la Constitution de 1946, le "principe de non-discrimination" de l'article 225 du Code pénal, ou encore le respect "de toutes les personnes, leur autonomie, leur volonté, sans aucune discrimination" du serment d'Hippocrate qu'elle a elle-même prononcé en 1991.
Elle dénonce avec force ce qu'elle nomme la "dérive liberticide totalement surréaliste" et "les actions fébriles et incohérentes" du gouvernement qui, selon elle, "n'a pas su gérer cette crise depuis le début" et "a entraîné la perte de confiance de tous les citoyens."
RépondreSupprimerCinq thématiques de réflexion
Elle explique qu'elle lance "cette force de rassemblement" "pour accompagner les projets en toute bienveillance." Toutes les personnes intéressées, "qui veulent agir et faire entendre leur voix" peuvent s'inscrire sur le site d'Ensemble pour les libertés, qui doit "devenir un outil entre les mains des citoyens", opposé à une "ultra-centralisation (…) délétère", à partir de cinq thématiques : gestion de la crise sanitaire, société, territoires et identité numérique.
Car, la députée en est persuadée, "la démocratie, ce n'est pas la pensée unique, le tout sécuritaire (…) Les Français en ont plus qu'assez, et veulent se retrouver dans cette force de rassemblement qu'on leur propose aujourd'hui" assure-t-elle. En donnant d'ores et déjà rendez-vous "dans quelques semaines" pour "une belle conférence de presse", cette fois avec tous ceux qui auront adhéré à ses propositions.
https://twitter.com/MartineWonner/status/1439524243092480002?cn=ZmxleGlibGVfcmVjcw%3D%3D&refsrc=email
https://france3-regions.francetvinfo.fr/grand-est/bas-rhin/strasbourg-0/la-deputee-du-bas-rhin-martine-wonner-lance-ensemble-pour-les-libertes-une-force-de-rassemblement-2250751.html
Lors d'une audition en direct réalisée le 17 septembre, le comité consultatif sur les vaccins de la Food and Drug Administration s'est réuni pour débattre et voter sur la demande de Pfizer et BioNTech d'offrir des injections de rappel au grand public. La réunion a duré plus de 8 heures et contient des révélations choquantes.
RépondreSupprimer21 septembre 2021
Steve Kirsch, directeur exécutif du "Covid-19 Early Treatment Fund", a révélé que 👉les vaccins Covid-19 tuent plus de personnes qu'ils n'en sauvent.
"Je vais concentrer mes remarques aujourd'hui sur l'éléphant dans la pièce dont personne n'aime parler, que les vaccins tuent plus qu'ils n'en sauvent.
Nous avons été amenés à croire que les vaccins étaient parfaitement sûrs, mais ce n'est tout simplement pas vrai. 👉Par exemple, les crises cardiaques surviennent 71 fois plus souvent après ces vaccins par rapport à tout autre vaccin".
Steve Kirsch a ensuite poursuivi sa présentation en montrant une diapositive intitulée « Excess Death: Life ratio is UNACCEPTABLE ». La diapositive montre combien d'excès de décès se sont manifestés après la vaccination pour sauver une vie face à la Covid-19.
"Les chiffres du VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System) sont statistiquement significatifs, mais les autres chiffres sont troublants." dit Steve Kirsch.
"Même si les vaccins avaient une protection à 100 %, ça signifie toujours que nous tuons 2 personnes pour sauver 1 vie".
Steve Kirsch poursuit en disant:
"Quatre experts ont effectué des analyses en utilisant des sources de données non américaines complètement différentes et tous sont parvenus à environ le même nombre d'excès de décès liés au vaccin, 👉soit environ 411 décès par million de doses. Cela se traduit par 115 000 personnes décédées (à cause des vaccins Covid-19)."
Il a ensuite souligné de sérieuses préoccupations concernant les données provenant d’Israël.
👉 "Les vrais chiffres confirment que nous tuons plus que nous n'en sauvons.
Et j'adorerais regarder les données du ministère israélien de la Santé sur les 90 ans et plus, 👉où nous sommes passés d'un groupe vacciné de 94,4 % à 82,9 % au cours des 4 derniers mois." 😱
"Dans le plus optimiste, 👉cela signifie que 50 % des personnes vaccinées sont décédées et 0 % des personnes non vaccinées sont décédées. À moins que vous ne puissiez expliquer cela au public, vous ne pouvez pas approuver les boosters".
Peter Marks, le principal responsable de la réglementation des vaccins de la FDA, a ensuite demandé aux membres du comité d'examiner "la totalité des preuves afin de nous faire votre recommandation".
👉À la suite des preuves entendues, ils ont répondu par un vote retentissant de 16–2 CONTRE des injections de rappel à toute personne de plus de 16 ans.
Steve Kirsch fait toutes ces affirmations à 4:20 de la vidéo.
https://youtu.be/WFph7-6t34M
https://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=1096874930742209&id=150603558702689&comment_
id=1097181924044843¬if_id=1606146681454193¬if_t=feed_comment&ref=notif
Conquis par une fausse pandémie, nous pouvons embrasser l'Amérique au revoir
RépondreSupprimerPar Paul Craig Roberts
PaulCraigRoberts.org
21 septembre 2021
À quel point cela doit-il être évident avant que même des Américains insouciants se rendent compte qu'il y a quelque chose qui ne va vraiment pas dans le programme de vaccination contre le Covid ?
On pourrait penser que nous avons déjà dépassé ce point, même pour les handicapés mentaux.
Considérez les nombreuses choses que nous savons maintenant qui montrent clairement que le programme de vaccination est une terrible erreur.
Nous savons que le vaccin ne protège pas. Le Dr Fauci lui-même, l'un des principaux promoteurs du programme de vaccination et chef Shill de Big Pharma, l'admet. C'est pourquoi il dit que les doubles vaccinés devraient porter des masques et devraient avoir des injections de rappel. Si le vaccin protège une personne de Covid, pourquoi les personnes vaccinées doivent-elles porter des masques et avoir plus de vaccins ? En Israël, le ministre de la Santé préconise déjà une deuxième injection de rappel qui fait quatre injections du « vaccin » Pfizer et la prétendue « pandémie » a 3 mois avant d'avoir 2 ans. Pfizer lui-même admet désormais que son vaccin perd de son efficacité avec le temps. Selon Fauci, ce n'est bon que pour 8 mois, et vous pouvez vous attendre à voir cette période diminuer.
D'après les bases de données sous-déclarées aux États-Unis, au Royaume-Uni et dans l'UE sur les réactions indésirables des vaccins aux «vaccins» à ARNm, nous savons qu'il y a eu des dizaines de milliers de décès et des millions de blessures associées au vaccin. Les bases de données sont des données officielles, et le personnel médical est pleinement conscient que les hôpitaux et les médecins signalent rarement, voire jamais, les effets indésirables du vaccin Covid, attribuant plutôt les décès et les maladies du « vaccin » au Covid lui-même. Ce ne sont que certaines personnes qui signalent les effets indésirables. C'est pourquoi les experts ont conclu que seulement entre 1 % et 10 % des effets indésirables des vaccins sont signalés. Pour certains groupes d'âge, en particulier les enfants et les jeunes, le « vaccin » à ARNm s'est avéré plus dangereux que Covid.
Nous savons également que d'éminents scientifiques et médecins ont conclu que le « vaccin » à ARNm interagit avec le virus Covid d'une manière qui lui permet d'échapper à la réponse immunitaire. La conséquence est de nouvelles variantes.
Nous savons également d'après les statistiques officielles des endroits hautement vaccinés, comme Gibraltar (99 %), l'Islande (95%) et Israël (84%) que le « vaccin » à ARNm rend les vaccinés plus susceptibles d'attraper Covid et de devenir sérieusement malades que les non vaccinés. Les hôpitaux de ces lieux regorgent de patients vaccinés. Pourtant, nous continuons d'entendre la propagande diffusée sur la « pandémie des non vaccinés ».
Et les preuves s'accumulent que les vaccinés peuvent infecter les non vaccinés.
Sur ce site Web, j'ai rapporté plus d'une fois ces conclusions et fourni des liens vers les preuves
Ces preuves puissantes provenant de scientifiques de haut niveau sont tenues à l'écart des médias presstitués. Le CDC, le NIH, la FDA, l'AMA, l'OMS, les administrateurs d'hôpitaux et les dirigeants de grandes organisations de soins de santé, les administrateurs d'universités et d'écoles publiques, les politiciens démocrates et les employeurs prétendent tous ne pas connaître les preuves qui accusent le programme de vaccination et condamneraient facilement le programme de meurtre intentionnel si l'affaire pouvait être portée devant les tribunaux.
RépondreSupprimerAu lieu de cela, les hôpitaux perdent une grande partie de leur personnel médical qui démissionne ou est licencié pour avoir refusé le vaccin. Ce sont les infirmières qui ont vu ce que le vaccin fait aux patients. Informés de près, ils préfèrent le chômage à la vaccination. Cela devrait dire quelque chose aux administrateurs de l'hôpital et au public stupide, mais ce n'est pas le cas. Les médias rejettent les infirmières protestataires comme des personnes qui ne feront pas leur devoir de protéger leurs patients et le public en se faisant vacciner. Les libéraux montent particulièrement sur leurs grands chevaux contre les « infirmières réfractaires » qui refusent de protéger leurs patients.
Les scientifiques et les médecins qui sonnent l'alarme sont si connus qu'il est impossible que le CDC, la FDA, le NIH, l'AMA et les administrateurs d'hôpitaux et d'universités ne les connaissent pas. Non contents d'ignorer les preuves, ils nous mentent intentionnellement. Ils mentent que les enfants sont tellement en danger de Covid qu'ils doivent être vaccinés de force. Ils mentent que les personnes non vaccinées et les personnes qui se sont remises de Covid et qui ont une immunité naturelle sont dangereuses pour tout le monde et doivent être exclues de l'école, du travail, des restaurants, des événements sportifs, des concerts, des transports en commun, des voyages vers d'autres pays, le tout devant être appliqué par Passeports Covid. Le passeport lui-même est une idée folle compte tenu de la protection de 8 mois que le Dr Fauci attribue au « vaccin ». Un passeport qui doit être renouvelé tous les 8 mois est un cauchemar bureaucratique.
Ils mentent en disant que les enfants sont tellement en danger qu'ils doivent porter des masques à l'école même s'il est connu que les masques qu'ils portent sont totalement inefficaces pour prévenir la transmission du virus. Le seul masque efficace est le N95, et il est impossible à quiconque, encore moins à un écolier, de porter un masque N95 toute la journée. Dans certaines parties des États-Unis, des lois ont été adoptées qui soumettent les enseignants et les administrateurs des écoles à des peines de prison pour ne pas avoir fait respecter le mandat du masque pour les écoliers. Ces lois draconiennes pourraient également s'appliquer aux parents qui autorisent un enfant à aller à l'école sans masque.
En d'autres termes, la folie contrefactuelle totale est la politique américaine de Covid.
Personne ne peut respecter les institutions publiques qui sont si totalement irresponsables qu'elles ignorent les faits et fondent les politiques de santé sur des mensonges. Aux États-Unis, « agence responsable de la santé publique » est un oxymore.
Dès le premier jour, la « pandémie » de Covid a été totalement orchestrée. La Chine, confrontée à une épidémie d'un virus inconnu de mortalité inconnue et sans remède connu, a eu recours à des mesures draconiennes et verrouillé des villes et des zones entières. Les histoires effrayantes ont proliféré et les presstituées aux États-Unis ont fait grimper l'indice de peur. Des prédictions désastreuses ont été faites sur la base de très peu de cas en dehors de la Chine. Les «agences de santé publique» se sont mises au travail pour que les prédictions se réalisent. Ils y sont parvenus avec le test PCR qu'ils ont intentionnellement exécuté à des cycles si élevés qu'il a produit 97 % de faux positifs. C'est ainsi qu'a été orchestré le nombre effrayant de cas qui ont semé la peur dans la population.
RépondreSupprimerNous allions tous mourir. Cette peur a permis les fermetures hautement destructrices et les exigences de masque qui ont habitué les gens à penser que la liberté civile était sacrifiable en temps de «crise sanitaire».
La plupart des personnes décédées étaient des personnes présentant des comorbidités. Certains d'entre eux sont morts de leurs comorbidités ; d'autres sont morts parce qu'ils n'ont pas été soignés.
Même aujourd'hui, 19 mois plus tard, les hôpitaux refusent toujours un traitement efficace aux patients de Covid. Il y a eu des traitements efficaces disponibles tout le temps, mais reconnaître le fait aurait exclu le « vaccin » à ARNm.
Normalement, il faut plusieurs années pour qu'un vaccin soit approuvé. Il doit passer par de nombreux tests et étapes. Les « vaccins » à ARNm ont été utilisés d'urgence en vertu de la disposition relative à l'autorisation d'utilisation d'urgence. Cette autorisation exige qu'il n'existe aucun remède connu.
Ainsi, le CDC, le NIH, la FDA et l'OMS, alliés à Big Pharma, ont refusé de reconnaître deux médicaments sûrs et utilisés depuis longtemps qui sont si sûrs qu'ils sont disponibles en vente libre dans la plupart des pays - HCQ et Ivermectine – qui sont à la fois des remèdes Covid et une prévention Covid. L'Association médicale de Tokyo a autorisé tous les médecins japonais à utiliser l'ivermectine comme remède contre le Covid. En Inde, l'ivermectine a été utilisée dans la plupart des provinces pour arrêter Covid dans son élan. Dans les pays africains touchés par le paludisme, l'HCQ est pris chaque semaine à titre préventif, et les cas de Covid sont peu nombreux. Dans les pays africains où la cécité des rivières est un problème, l'ivermectine est prise chaque semaine ou toutes les deux semaines, et il y a peu de cas de Covid. Cette information a été cachée au public américain et occidental par les médias de presse. Les deux remèdes ont été diabolisés par l'establishment médical américain et les voyous presstitués. Même aujourd'hui, les hôpitaux refusent de traiter les patients mourants avec ces remèdes infaillibles. De plus, l'un ou l'autre pris chaque semaine offrirait une protection cent fois plus élevée contre Covid que les «vaccins» à ARNm dangereux et inefficaces et coûterait une petite fraction du montant dépensé pour le Pfizer et d'autres «vaccins».
Il est clair que l'un des objectifs servis par la « pandémie » orchestrée et le récit contrôlé sont sans aucun doute les profits de Big Pharma, en particulier de Pfizer.
Il est clair qu'un autre programme servi par la « pandémie » orchestrée est sans aucun doute le contrôle autoritaire des populations dans les pays démocratiques. Aujourd'hui, les peuples occidentaux ont perdu le droit de demander des comptes au gouvernement et sont plutôt tenus responsables par le gouvernement de ne pas être vaccinés et de ne pas porter de masques. Les libertés civiles acquises au cours des siècles de lutte ont été perdues à cause d'une pandémie orchestrée.
RépondreSupprimerL'agenda du profit et l'agenda du contrôle sont tout à fait évidents. La question qui se pose à nous est la suivante : existe-t-il un programme plus sombre ? Les théories du complot sont-elles réelles ?
Lorsque vous considérez l'orchestration intentionnelle d'une pandémie effrayante, le refus intentionnel de guérir, la vaccination intentionnelle avec une substance qui ne protège pas mais produit des effets secondaires graves et libère de nouvelles variantes, il est raisonnable de soupçonner que quelque chose se prépare au-delà du profit et contrôler.
Bill Gates, dont l'extraordinaire fortune lui permet d'entrer n'importe où, s'occupe depuis des années du contrôle de la population. Les scientifiques de haut niveau soupçonnent fortement que la protéine de pointe du « vaccin » à ARNm s'accumule dans les ovaires et entraîne l'infertilité. Nous avons maintenant plusieurs milliers de cas de femmes enceintes qui ont perdu leur bébé à cause du « vaccin ».
Nous avons le nazi Klaus Schwab, créateur et directeur du Forum économique mondial et auteur de The Great Reset, qui organise, cultive et endoctrine les élites occidentales depuis des décennies pour que le Nouvel Ordre Mondial soit constitué d'un pouvoir d'élite, pas de démocratie et de constitutions qui protéger les individus. J'ai été invité une fois à une réunion à Davos, mais ils ont vu qu'ils ne pouvaient pas me recruter, et je n'ai jamais été invité à nouveau.
Pensez à la facilité avec laquelle la liberté civile, l'une des plus grandes réalisations de l'humanité, peut être effacée en créant un forum prestigieux auquel seules l'élite et leurs serviteurs intellectuels obéissants sont invités où on leur dit qu'ils sont les dirigeants naturels et tout ce dont ils ont besoin pour prendre le pouvoir est une crise mondiale, ou du moins une crise occidentale.
En tant que personne qui, pour le bien de mes lecteurs, surveille de près tout ce que je peux, je peux dire que la gloire du monde occidental, l'idée que le mérite, et non la naissance, ou toute autre qualité accidentelle telle que la couleur de la peau ou le sexe, est à la base de le succès est une idée morte. Aujourd'hui aux États-Unis, et d'après ce que je peux voir dans tout le monde occidental, le mérite est considéré comme un concept raciste blanc qui justifie la « suprématie blanche ».
Aux États-Unis, et je suppose que partout dans le monde occidental, les systèmes de mérite ont été et sont remplacés par d'autres critères de réussite, tels que la couleur de la peau non blanche, les préférences sexuelles non hétérogènes, les nouveaux genres inventés.
Les États-Unis d'Amérique ont maintenant une présidence qui a été volée. Il a une administration choisie sur la base de préférences raciales anti-blanches, sexuelles anti-hétérosexuelles et anti-hommes/femmes. Le régime Biden est un gouvernement qui, à l'époque de mes grands-parents, aurait poussé les Américains à marcher sur Washington, à incendier la ville et à tuer tous ceux qui s'y trouvaient.
RépondreSupprimerEn Amérique aujourd'hui, les seuls dirigeants sont au niveau de l'État, et le régime illégitime de Biden les a en ligne de mire.
Le gouverneur républicain DeSantis de Floride a été le premier à se rebeller lors du meurtre par les hôpitaux de patients de Covid. DeSantis a établi des cliniques dans toute la Floride pour donner aux patients des anticorps monoclonaux. L'approche sensée de DeSantis s'est étendue au Texas et en Alabama.
La récompense des gouverneurs républicains pour avoir sauvé des vies était de voir leur approvisionnement en anticorps monoclonaux réduit de 50 % par le régime Biden illégitime, criminel et meurtrier. Le régime démocrate a coupé l'attribution de la cure aux gouverneurs républicains. Le régime totalement corrompu de Biden a justifié la coupe en Floride par l'absence de mandat de vaccination de la Floride. La Maison Blanche affirme que la Floride utilise trop de "approvisionnements limités" d'anticorps monoclonaux car elle n'a pas de mandat de vaccin.
Pourquoi le remède est-il limité mais pas le « vaccin » inefficace et dangereux ?
Le gouverneur DeSantis a fait appel à GlaxoSmithKline pour vendre à l'État le remède Covid afin que la Floride puisse empêcher le vaccin dangereux de détruire la population de Floride et de mettre fin à la liberté civile en Floride, ce qui semble être l'intention du régime corrompu et illégitime de Biden.
Les anticorps monoclonaux ont été utilisés pour traiter le président Trump et ne peuvent pas être interdits par les protocoles hospitaliers. DeSantis peut donner son accord à l'ivermectine et à l'HCQ, mais n'a apparemment pas encore trouvé le moyen d'imposer ce traitement efficace et sûr aux hôpitaux qui fonctionnent selon le protocole de Big Pharma, soutenu par le CDC, le NIH et la FDA.
DeSantis est également attaqué pour ne pas avoir autorisé en Floride les mandats de masque obligatoires dans les États démocrates devenus totalement totalitaires. Pour l'instant, un tribunal fédéral a statué en faveur de DeSantis. Mais les démocrates qui ont porté plainte contre l'interdiction par la Floride des mandats de masque espèrent que Biden annulera les lois de la Floride avec un édit fédéral ou un procès artificiel.
En d'autres termes, le régime Biden est déterminé et utilisera tous les pouvoirs qu'il peut trouver ou inventer pour empêcher les gouverneurs de protéger leurs populations d'État contre Covid, contre le dangereux vaccin à ARNm et contre la tyrannie de l'autoritarisme.
De combien de preuves supplémentaires avez-vous besoin pour comprendre que le régime Biden a l'intention de détruire notre santé et notre liberté ? Les Américains sont-ils capables de comprendre la situation dans laquelle ils se trouvent ?
Au moins en Australie, en Europe et en Angleterre, ils sont dans les rues pour protester. En Amérique, les moutons stupides font la queue pour le Death Shot (Coup de mort).
https://www.lewrockwell.com/2021/09/paul-craig-roberts/conquered-by-a-fake-pandemic-we-can-kiss-america-good-bye/
SRAS-2 - Quand les agences de renseignement ont-elles su qu'il s'agissait presque certainement d'une fuite de laboratoire ?
RépondreSupprimerSeptember 21st, 2021
Quand les dirigeants nationaux ont-ils compris qu'il s'agissait probablement d'une fuite d'un laboratoire chinois d'armes biologiques ?
Virus Ebola, micrographie électronique
par BernbaumJG
Cela fait toute la différence. Si nous avions su en janvier 2020, le virus aurait pu être stoppé si facilement. L'arme biologique probable aurait pu être laissée en Chine – simplement en arrêtant les vols et en instaurant une quarantaine rigide de deux semaines.
Pensez à l'effet que cela aurait eu en janvier 2020 si les gens pensaient que Covid était une expérience artificielle. Le public aurait réclamé l'arrêt des avions. Les frontières auraient augmenté du jour au lendemain. Il y aurait eu beaucoup moins d'acceptation fataliste qu'il s'agissait simplement d'une autre pandémie inévitable «comme la grippe» à laquelle les gens devaient faire face. La suppression de la théorie de la « fuite de laboratoire » a servi le PCC et Anthony Fauci and co. Cela a également servi Tedros Adhanom, le chef de l'OMS qui a dit au monde de garder la frontière ouverte le 2 février. Mais jusqu'à présent, cette suppression a coûté la vie à près de cinq millions de personnes, plus le chaos, les dommages économiques, les longues maladies et la débilité.
Hier soir, Sky News a diffusé le documentaire What Really Happened in Wuhan de Sharri Markson. Nous en apprenons plus sur qui savait quoi quand, mais pas assez.
Donald Trump reproche à Anthony Fauci de garder le silence sur le financement du laboratoire de Wuhan
Sharri Markson, l'Australienne
En tant que principal conseiller médical de M. Trump sur le coronavirus, le Dr Fauci était dans son sanctuaire intérieur et présent à chaque réunion sur le virus alors qu'il commençait à se propager dans le monde. M. Trump a déclaré que le Dr Fauci ne lui avait jamais dit que l'Institut de virologie de Wuhan manipulait génétiquement les coronavirus.
Donald Trump sur les premiers signes que des problèmes se préparaient :
Alexis Carey, News.com
M. Trump a déclaré que l'un des premiers indices de la catastrophe imminente – et de ses liens avec le laboratoire de Wuhan – était après qu'il "a commencé à entendre des histoires … qu'il y avait beaucoup de sacs mortuaires à l'extérieur du laboratoire". « J'ai entendu ça il y a longtemps et s'ils avaient en fait des sacs mortuaires, c'était une petite indication, n'est-ce pas ? »
Pour John Ratcliffe, ancien directeur du renseignement national de l'administration, le cadeau était la dissimulation du PCC :
RépondreSupprimer« Le parti communiste chinois n'aurait pas fermé Wuhan. Cela n'aurait pas fait taire les médecins, les scientifiques et les journalistes, et en aurait fait disparaître certains », a-t-il déclaré, ajoutant que la communauté du renseignement avait pris conscience du virus pour la première fois fin 2019.
Personnellement, c'est la nouvelle que le laboratoire de Wuhan a reçu l'ordre de détruire tous ses échantillons de laboratoire le 1er janvier 2020, ce que j'ai appris du documentaire d'Epoch Times à la mi-avril 2020. Un mois plus tard est arrivée la nouvelle de l'évolution génétique étrangement improbable de SRAS 2 - qui était une dissimulation "beaucoup trop loin". Cela puait comme une création de laboratoire.
Pourquoi la base de données virale a-t-elle disparu le 1er septembre ?
C'était avant la fuite du labo, avant les Jeux Militaires, et trois mois avant le « premier cas officiel » ?
Statues de lion de Chine, Taïwan.
Image par AngMoKio
Peu de gens en disent long sur la base de données de 22 000 coronavirus disparus le 12 septembre 2019. Une base de données que le PCC n'a toujours pas partagée.
Hypothétiquement, les Jeux militaires de Wuhan à la mi-octobre auraient ressemblé à un événement de super-propagation pratique si quelqu'un avait, peut-être, des scénarios de jeu de guerre pour propager des germes avant l'hiver nordique. Si la fuite du laboratoire en octobre était un accident bâclé qui a coïncidé avec les Jeux militaires, quelles sont les chances que la base de données se soit écrasée accidentellement le mois précédent ? Peut-être qu'il l'a fait. Les équipes qui sont négligentes avec le code viral peuvent également être négligentes avec le code informatique et le WIV était certainement négligent avec leurs virus. Mais à quelle fréquence les bases de données des agences chinoises disparaissent-elles ?
Bien que tout cela semble assez suspect, pensez au fait que la dissimulation de l'évolution génétique bizarre du SRAS fin janvier 2020 a été post hoc précipitée et aléatoire. S'il y avait un plan pour faire fuir Covid, la femme chauve-souris de Wuhan elle-même n'y était pas. Si elle l'était, elle aurait falsifié l'histoire de l'évolution six mois plus tôt et n'aurait pas gâché le rapport des mutations significatives et aléatoires dans la course effrénée pour inventer RaTG13, le proche parent inexistant du SRAS-2 qu'elle aurait découvert en 2013 mais j'ai oublié de mentionner jusqu'au 27 janvier 2020.
Mais bien sûr, si une autre personne ou entité en Chine avait délibérément divulgué le virus, elle ne l'aurait peut-être pas incluse dans la planification. Ou tout cela aurait pu être un accident d'incompétence.
Demandez-vous si c'était délibéré, l'auraient-ils vraiment publié juste à l'extérieur du laboratoire qui l'a fait ? On pourrait penser que non, mais en supposant qu'ils voulaient que cela ressemble à une fuite de laboratoire et qu'ils n'allaient même pas prendre la peine de le cacher, alors c'est là qu'il devait être publié. Si le même virus artificiel, avec toutes les anomalies génétiques, apparaissait à 500 km du laboratoire, personne ne se demanderait si c'était délibéré. Nous saurions.
La fuite du labo, les scientifiques disparus, la dissimulation
Bryant Hevesi, Sky News
Le 12 septembre 2019, la base de données des virus de l'Institut de virologie de Wuhan a été mise hors ligne, et avec elle, 22 000 échantillons de coronavirus ont disparu.
Le même jour, la sécurité a été renforcée dans l'installation et un appel d'offres a été lancé pour remplacer le système de climatisation. Il y a eu plus tard une panne de communication, sans activité de téléphonie cellulaire ou de signaux.
Des informations ont été reçues selon lesquelles trois personnes travaillant à l'Institut de virologie de Wuhan étaient tombées malades en octobre 2019, deux mois avant que le premier cas officiel ne soit signalé.
RépondreSupprimer"Ce que (l'ancien secrétaire d'État) Mike Pompeo et moi avons émis, ce sont des gens qui sont tombés malades au laboratoire en octobre et avec des symptômes qui sont devenus tout à fait cohérents avec ce que la plupart des gens ont vécu dans le monde à cause de COVID-19", a déclaré M. Ratcliffe.
Les Jeux militaires de Wuhan se sont déroulés du 18 octobre 2019 pendant deux semaines et les athlètes ont contracté une étrange grippe :
Miles Yu, ancien conseiller principal pour la Chine au département d'État américain, a déclaré que les athlètes qui sont revenus des Jeux militaires présentaient des symptômes désormais connus sous le nom de symptômes de coronavirus, mais que personne n'a jamais été testé.
"Tout ce que je sais, c'est que les gens sont tombés malades, je crois que les Français sont souvent tombés malades, je crois que ce sont des Allemands, certains Américains sont aussi tombés malades", a-t-il déclaré.
Les agences de renseignement savaient en 2019 que quelque chose n'allait pas aux Jeux militaires de Wuhan
James Morrow, Daily Telegraph
Markson a également révélé qu'au second semestre 2019, diverses agences d'espionnage savaient que quelque chose n'allait pas.
"Fin 2019, nous avons des renseignements provenant à la fois de sources de renseignement humain et de sources de renseignement électromagnétique et d'autres sources de renseignement qui nous disaient qu'il y avait une sorte de problème à Wuhan", a déclaré M. Ratcliffe.
C'est alors que se déroulaient les Jeux mondiaux militaires à Wuhan, qui sont peut-être devenus le premier événement super-diffuseur.
Un lanceur d'alerte chinois a tenté d'avertir les États-Unis d'un mystérieux virus en novembre 2019
Un célèbre transfuge chinois aux États-Unis a entendu sur la vigne qu'un virus dangereux arrivait. Il l'a dit à un homme politique américain et à un militant chinois des droits de l'homme appelé Dimon Liu et à un ancien agent de la CIA, mais il n'en est rien sorti. Les services de renseignement américains disposaient d'autres informations fin 2019, mais ils n'ont pas « rejoindre les points ».
Sharri Markson, l'Australienne
Le transfuge le plus célèbre de Chine en Amérique a averti les agences de renseignement américaines qu'un coronavirus se propageait à Wuhan en novembre 2019 – six semaines avant que la Chine n'admette qu'il y avait une épidémie.
Wei Jingsheng, le père du mouvement démocratique chinois, révèle dans le nouveau livre What Really Happened in Wuhan qu'il a entendu parler pour la première fois d'un nouveau virus mystérieux au moment des Jeux militaires mondiaux à Wuhan en octobre 2019.
RépondreSupprimerDavid Asher, le responsable du département d'État qui a dirigé un groupe de travail sur les origines de Covid-19, a déclaré que l'opportunité offerte par l'avertissement de M. Wei était comme « arrêter le 11 septembre avant qu'il ne se produise ».
M. Asher a déclaré que le gouvernement américain disposait d'autres preuves cruciales d'alerte précoce à la fin de 2019, mais qu'il n'avait pas réussi à relier les points. Il a déclaré que le gouvernement américain avait d'abord eu des renseignements sur les travailleurs de l'Institut de virologie de Wuhan tombant malades avec des symptômes de type Covid fin 2019 – un an avant qu'il ne le découvre lors de son enquête sur les origines du virus pour le département d'État.
Dans le documentaire de Sky News, M. Asher a déclaré qu'il avait été choqué lorsqu'il a découvert « que nous aurions en fait pu avoir une connaissance préalable » du coronavirus. « Nous aurions pu savoir en novembre 2019, qu’une catastrophe s’était produite à l’intérieur de Wuhan – à l’intérieur de leurs installations biologiques les plus importantes liées à la recherche sur les coronavirus », a-t-il déclaré.
"C'était quelque chose d'absolument tragique, traumatisant et dramatique qui se produisait et nous aurions pu y réagir. Le monde entier aurait pu être différent. Cela aurait été comme arrêter le 11 septembre avant qu'il ne se produise.
Si le virus rôdait autour des Jeux militaires en octobre 2019, il est juste de se demander pourquoi la pandémie n'a décollé qu'en janvier 2020. Il est possible que la première variante soit légèrement moins infectieuse et ait encore besoin d'une mutation pour se lancer à pleine vitesse. Mais ce n'est pas indispensable. Covid est une maladie qui se propage en grappes et seulement 1 personne sur 5 ou aussi peu que 1 personne sur 10 sont de véritables superpropagations infectieuses. Par exemple, en Corée du Sud, c'est le patient n° 31 qui a déclenché la première épidémie de masse, infectant des milliers de personnes.
Covid-19 doit généralement «frapper à la porte» plusieurs fois avant d'arriver et de rester. De petites épidémies ont traversé les frontières des États et se sont soldées par un échec à plusieurs reprises. Ainsi, quelques athlètes sont rentrés à la maison mais avaient déjà dépassé leur période contagieuse. L'étrange touriste a visité l'Italie. Mais il a fallu une séquence de «pauses chanceuses» pour que le virus prenne pied et se développe de manière exponentielle.
Était-ce délibéré ou était-ce un accident. Nous ne savons toujours pas.
Verrouillage des portes à Pékin
Image de Reinhold Möller.
Le livre What Really Happened in Wuhan de Sharri Markson est disponible dès maintenant sur Booktopia et Amazo
https://joannenova.com.au/2021/09/sars-2-when-did-intelligence-agencies-know-it-was-almost-certainly-a-lab-leak/
Non c'est faux ! AUCUNE épidémie ne gagne le monde entier de la sorte ! Même si elle prend l'avion !
SupprimerFaut dire que cette nano-grippette a beaucoup fait de réclames, de tapages et de mensonges qui ont fait le tour de la Terre grâce aux merdias (et aux politichiens-de-merde qui ont interdit les remèdes choisis par les scientifiques au-dessus d'eux !).
Mais alors... le 'SARSCOV2-covide19-Tango-Charlie-Delta' n'existe pas ??! Si ! Uniquement disponible en seringue ! Courez vite vous la procurer ! Le 'vaccin' de la mort ! Celui qui est composé de 95 à 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène ! Oui ! Vous avez bien lu ! 95 à 99 % de POISON MORTEL grâce à l'arrivée de la fée 5G !
Faite partie de la majorité des gros cons sur Terre ! Les trisomiques de la seringue !
Après, on circulera mieux sur les routes.
ANALYSE : Les vaccins tuent beaucoup plus de personnes qu'ils n'en sauvent
RépondreSupprimerMardi 21 septembre 2021
par : rédacteurs en chef
(Natural News) Les politiciens et les soi-disant experts à travers la planète veulent de plus en plus vous obliger à vous faire vacciner avec une substance qui enlève au moins deux fois les vies qu'elle sauve, dans tous les groupes d'âge. Peu importe si c'est intentionnel ou simplement par incompétence, nous n'avons plus le temps d'en discuter. Nous tuons des gens. Des millions de personnes. Nos proches, notre famille, nos amis et nos voisins. Il faut que ça s'arrête. Maintenant. Nous sommes devenus fous. Peut-être que l'accès de Steve Kirsch à la FDA peut aider.
(Article de Raúl Ilargi Meijer republié à partir de TheBurningPlatform.com)
Et quand Steve dit que les vaccins ont déjà tué 200 000 Américains à ce jour et en ont invalidé 300 000 de façon permanente, rappelez-vous que ce n'est que la pointe de l'iceberg : beaucoup sinon la plupart des effets ne se manifesteront que plus tard. Et puis Pfizer affirme aujourd'hui que leurs affaires sont sans danger pour les enfants de 5 ans et plus. Qui sont en sécurité à 99,9996% s'ils sont infectés, en raison de leur système immunitaire, qui est également tué par les vaccins.
Et j'aurais quelques questions sur les personnes « sauvées » par les vaccins. Parce qu'une étude israélienne récente suggère seulement qu'« un rappel peut renforcer la protection pendant quelques semaines chez les personnes âgées ». Quelques semaines? Et on appelle ça un vaccin maintenant ?
Arrête ça. Nous sommes devenus fous.
La Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a peut-être ouvert la boîte de Pandore sur Covid. Je ne sais pas pourquoi, mais pour une raison quelconque, ils ont invité Steve Kirsch à une réunion virtuelle du comité consultatif sur les vaccins de la FDA, alias le comité consultatif sur les vaccins et les produits biologiques connexes, le 17 septembre. Le même comité qui a décidé de ne pas recommander les injections de rappel pour tous les Américains .
Kirsch est un entrepreneur qui a lancé plusieurs entreprises dans le domaine informatique, par exemple Infoseek. Il vaut quelques centaines de millions de dollars. Il a également créé Treatearly.org, qui promeut le traitement précoce du Covid. Personne à la FDA ne savait-il qu'en mars, Kirsch a offert 1 million de dollars à quiconque pourrait prouver que la fluvoxamine n'était pas ce qui a sauvé 77 personnes dans un essai, et identifier ce qui l'a fait ?
Ou qu'il a offert 10 000 $ pour un débat d'une heure sur Covid ? Ou quelqu'un de la FDA a-t-il volontairement ouvert la boîte de Pandore ? Et je sais, officiellement, le comité est indépendant de la FDA, et je ne sais pas quel rôle Kirsch a joué dans la décision 16-2 contre les rappels, mais il y a évidemment des gens là-bas qui se sentent mal à l'aise avec le vaccin actuel. -approche par les coûts. Je n'exclurais pas que cela ait été fait exprès. Mais l'information est maintenant disponible, et YouTube et Twitter ne vont pas interdire ou interdire la FDA.
Wikipédia sur Kirsch est amusant:
RépondreSupprimerEn avril 2020, il a lancé le COVID-19 Early Treatment Fund (CETF) avec un don personnel de 1 million de dollars afin de financer la recherche sur la réorientation des médicaments COVID-19. En mai 2021, Kirsch a publié un article en ligne affirmant sans fondement que les vaccins COVID-19 affectent la fertilité, tout en minimisant la capacité des vaccins à prévenir la maladie et la mort. Le mois suivant, Kirsch est apparu dans une vidéo YouTube publiée avec Bret Weinstein et Robert W. Malone pour discuter des vaccins COVID-19. Dans la vidéo, Kirsch fait plusieurs fausses affirmations, notamment que les protéines de pointe utilisées dans les vaccins COVID-19 sont « très dangereuses ».
Et il est banni de YouTube et Twitter :
Voici une partie de sa présentation au comité. Les vaccins tuent deux fois plus de personnes qu'ils n'en sauvent.
J'ai résumé une partie de son dernier diaporama ici :
Ce que vous devez savoir sur la sécurité des vaccins Covid
Censure requise Le moyen de lutter contre la vérité consiste à utiliser la désinformation, l'intimidation, les mandats et la censure. Notre gouvernement ignore les traitements précoces et dit à tout le monde que les traitements précoces ne fonctionnent pas. Ils diabolisent le traitement clé utilisé par l'Inde pour être sans COVID. Leur programme est de pousser le vaccin, pas de guérir le COVID. Les sociétés de médias sociaux vous censureront, diaboliseront et/ou vous interdiront pour avoir dit la vérité. Si vous êtes médecin, vous pouvez faire révoquer votre permis si vous dites que les vaccins sont dangereux.
Les vaccins COVID tuent plus de personnes qu'ils n'en économisent pour tous les groupes d'âge. En moyenne, aux États-Unis, les vaccins COVID tuent 2 personnes pour chaque personne sauvée sur une période de 6 mois.
À ce jour
200K tués
300K désactivé en permanence
Voici comment nous calculons le rapport 2:1 qui montre que les vaccins sont absurdes.
V:C défini
V:C est le rapport du nombre de décès dus au vaccin (V) par rapport au nombre projeté de décès dus au COVID (C) qui pourraient être évités par le vaccin sur une période de 6 mois. Un nombre comme 2:1 signifie que nous tuons 2 personnes pour chaque décès COVID que nous sauvons. C'est mauvais. Pour qu'un vaccin COVID soit viable, vous recherchez V:C de 1:x où x > 100, c'est-à-dire que vous voulez que le risque soit très faible par rapport au bénéfice. Si vous sauvez la vie de > 100 000 personnes, vous ne voulez pas avoir à tuer > 1 000 personnes pour avoir à le faire. Ce serait totalement inacceptable dans une société civilisée et serait sans précédent dans les temps modernes, en particulier lorsque nous avons des traitements précoces qui fonctionnent avec une réduction des risques de plus de 99% et qui ne présentent aucun problème de sécurité.
V:C varie selon le lieu, le temps, l'âge. V:C dépend du type de vaccin, du taux de décès par COVID dans votre communauté à un moment donné et de votre âge. Pour cette présentation, nous allons calculer cela comme une moyenne nationale pour les États-Unis.
Déterminer V.
RépondreSupprimerEn général, les trois vaccins aux États-Unis fonctionnent selon un processus très similaire. Les vaccins ont un taux de mortalité estimé à près de 1 décès pour 1 000 personnes vaxées. Ici, nous calculons un nombre de décès par million de doses pour chaque tranche d'âge (à l'aide du VAERS). Pour les évaluations des risques/rendements effectuées par âge, cela donne les indications les plus précises.
Déterminer C.
Nous utilisons les données de mortalité COVID du CDC pour déterminer le risque de décès par COVID
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Le vaccin est-il sûr pour certains groupes d'âge? Les vaccins peuvent présenter un risque/bénéfice positif pour les personnes d'un certain groupe démographique. Le CDC et la FDA pensent que les vaccins sont parfaitement sûrs et n'ont tué personne, ils n'ont donc jamais fait cette analyse. Par exemple, le VRBPAC a approuvé à l'unanimité les rappels pour les personnes de plus de 65 ans. Aucun des membres du panel n'a fait le calcul risque-bénéfice. Ils devinaient. Avaient-ils raison ? Non. Ils se sont trompés sur la base de nos calculs et des preuves du monde réel. Voici ce que les calculs détaillés ont montré…
V:C aux États-Unis n'est favorable à aucun âge. Le tableau montre les nombres V:C par âge.
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Vous pouvez lire cet article qui détaille comment tous ces chiffres ont été calculés. Donc, pour les enfants, nous tuons plus de 6 enfants pour sauver 1 enfant d'une mort due au COVID. Rendre obligatoire la vaccination pour tout le monde, en particulier les enfants d'âge scolaire, est la preuve d'une société corrompue. Par conséquent, il est absurde de vacciner n'importe quel groupe d'âge. Le comité FDA VRBPAC a conclu qu'il y a un avantage pour les personnes de 65 ans et plus, mais ils ont refusé de considérer la mortalité causée.
La présentation complète, toutes les 8 heures et plus. Je l'ai réglé pour commencer au point où Kirsch entre, mais assommez-vous.
Voici quelques choses antérieures de Kirsch.
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A partir du 31 août :
Lettre ouverte au CDC
Je suis le fondateur du COVID-19 Early Treatment Fund (www.treatearly.org). Notre travail de financement des traitements précoces pour COVID a été présenté sur 60 Minutes. J'ai été vacciné et toute ma famille a été vaccinée. Cependant, peu de temps après avoir été complètement vacciné, j'ai commencé à entendre des histoires de mes amis qui étaient très troublantes. Par exemple, un ami a fait mourir trois membres de sa famille qui étaient auparavant en bonne santé après avoir reçu le vaccin. Un autre ami a eu une crise cardiaque 2 minutes après l'injection et est maintenant handicapé, apparemment à vie. J'ai réuni une équipe de plus de 19 médecins et scientifiques énumérés à la fin de ce commentaire pour enquêter sur les preuves disponibles. En utilisant la base de données VAERS et d'autres sources de données gouvernementales officielles des États-Unis et du monde entier (couvrant 35% de la population mondiale), nous avons trouvé des preuves qui démontrent clairement que les vaccins actuels sont nettement plus dangereux qu'on ne le croyait auparavant.
Nos découvertes les plus importantes incluent :
1/ Les données de mortalité « du monde réel » du VAERS ne correspondent pas aux données de mortalité des essais de phase 3. Ils ne sont même pas proches. En utilisant plusieurs méthodes indépendantes, nous estimons que plus de 150 000 Américains ont déjà été tués. Il est urgent de résoudre cette divergence dès que possible car nous croyons fermement que les données du monde réel sont exactes et que les vaccins doivent être immédiatement arrêtés.
2/ Aucun des vaccins COVID ne réduit la morbidité toutes causes confondues. C'est le contraire : ils augmentent tous de manière significative la morbidité toutes causes confondues jusqu'à 4,2 fois la valeur initiale (p<=0,00001). Le CDC doit le savoir car cette information se cache à la vue de la littérature publiée. Quel est l'intérêt de proposer une intervention médicale optionnelle qui augmente significativement la morbidité toutes causes alors que des alternatives plus sûres comme un traitement précoce sont disponibles ?
RépondreSupprimer3/ Il y a une erreur dans la formule de détection des événements indésirables utilisée par le CDC qui semble avoir empêché le CDC de voir les signaux de sécurité qui étaient évidents pour nos experts VAERS.
4/ Les protocoles de traitement et de prophylaxie précoces sont une option supérieure aux vaccins actuels, mais ont été inexplicablement ignorés par le NIH :
• Réduction du risque relatif plus élevée (plus de 99%)
• Plus grande sécurité (effets secondaires temporaires mineurs, profil de sécurité connu)
– Ils réduisent à la fois la mortalité toutes causes et la morbidité toutes causes
– Ils fonctionnent aussi bien sur toutes les variantes
– Ils ne favorisent pas les variantes d'évasion
– Ils ne provoquent pas d'infectivité/réplication améliorée par le vaccin
– Ils ne provoquent pas de maladies à prions
– Ils préviennent le syndrome COVID long-courrier presque 100% du temps
– Ils permettent aux gens d'acquérir une immunité récupérée qui est à la fois 13 fois plus forte et plus durable que l'immunité induite par le vaccin
Nous recommandons au comité de prendre les mesures suivantes :
• Exiger des autopsies pour tous les décès dans les 4 semaines suivant toute vaccination COVID19 afin que les données soient disponibles pour calculer une estimation de la véritable mortalité toutes causes confondues.
• Mettre à disposition du public l'analyse de l'enquête sur les 11 000 décès du VAERS. Il est important que le public comprenne pourquoi le CDC n'a pas pu attribuer un seul décès au vaccin alors que l'un des meilleurs pathologistes au monde a attribué au moins 30% de tous les décès au vaccin.
• Expliquez publiquement pourquoi il y a un pic de mortalité le deuxième jour après la vaccination si les vaccinations sont parfaitement sûres et ne causent pas de décès.
• Expliquer publiquement pourquoi les effets secondaires indésirables graves dépendent de la dose
[..] • Recommander que les mandats de vaccination ne soient pas délivrés sans preuve d'une diminution statistiquement significative de la morbidité toutes causes confondues (ce qui n'est pas le cas dans ce cas).
• Définir une condition d'arrêt du vaccin COVID après laquelle ce vaccin doit être arrêté jusqu'à ce que les problèmes d'arrêt soient résolus. En 1976, le seuil d'arrêt était de 35 décès.
A partir du 12 juin :
RépondreSupprimerFaut-il se faire vacciner ?
Au moins 6 000 décès dus au vaccin. L'équipe OpenVAERS pense qu'elle est supérieure à 20 000 en raison d'une sous-déclaration.
Les données de biodistribution montrent une accumulation massive dans les ovaires du LNP (qui ordonne aux cellules des ovaires de faire germer une protéine de pointe toxique). Oups. Cela n'a jamais été censé être divulgué. Nous l'avons obtenu via la demande FOIA. Le CDC ne vous en a jamais parlé, n'est-ce pas ? Bien sûr que non !
82 % de taux de fausses couches au cours des 20 premières semaines (10 % est le taux normal). Il est déconcertant que le CDC dise que le vaccin est sans danger pour les femmes enceintes alors qu'il est si clair que ce n'est pas le cas. Par exemple, un de nos amis de la famille en est victime. Elle a fait une fausse couche à 25 semaines et avorte le 9/6/21. Elle a eu son premier coup il y a 7 semaines, et son deuxième coup il y a 4 semaines. Le bébé avait des saignements graves du cerveau et d'autres défigurations. Son gynécologue n'avait jamais rien vu de tel de sa vie. Ils ont appelé un spécialiste qui a dit qu'il s'agissait probablement d'un défaut génétique (parce que tout le monde adhère au récit selon lequel le vaccin est sûr, il est toujours exclu comme cause possible). Pas de rapport VAERS. Aucun rapport du CDC. Pourtant, les médecins à qui j'ai parlé disent qu'il est certain à plus de 99% que c'était le vaccin. La famille ne veut pas d'autopsie de peur que leur fille découvre qu'il s'agit du vaccin. Ceci est un exemple parfait de la façon dont ces horribles effets secondaires ne sont jamais signalés nulle part.
25X la possibilité de myocardite pour les adolescents (peut entraîner une insuffisance cardiaque et la mort)
Les enfants ont déjà une immunité naturelle (article de Science Magazine), il n'y a donc aucun avantage à la vaccination, seulement un risque. Avez-vous déjà vu l'analyse risque/bénéfice par le CDC ?? Demandez-le avant de consentir.
Inutile de vacciner ceux qui ont eu COVID-19: résultats de l'étude de la Cleveland Clinic. Aucun avantage, seulement un risque.
Les médecins qui attribuent des événements indésirables au vaccin sont punis (comme le Dr Hoffe). Ainsi, la sous-déclaration est incitée.
Le CDC refuse de dire combien de personnes sont décédées et « enquête toujours » sur les lésions cardiaques chez les enfants, même s'il est évident pourquoi (protéine de pointe libre provoquant la coagulation et l'inflammation). Une augmentation de 25X lorsque la seule "nouvelle" chose est le vaccin n'est pas difficile à comprendre. Demandez au CDC leurs 5 principales hypothèses actuelles pour la cause. Ce sera plus qu'amusant de voir ce qu'ils disent. Si ce n'est pas le vaccin, les têtes devraient tomber.
Le CDC induit délibérément le peuple américain en erreur. Consultez la page des effets secondaires. Décès, invalidité, taux de fausses couches excessifs, crises cardiaques, accidents vasculaires cérébraux, incapacité de marcher, de parler ou de voir, paralysie de Bell, douleur persistante, symptômes semblables à ceux de la maladie de Parkinson, réactivation du zona, caillots sanguins, etc. sont tous manquants.
> 500X plus mortel que le vaccin contre la grippe
RépondreSupprimerLes vaccins COVID ont généré plus de rapports indésirables au cours des 6 derniers mois que les 70 vaccins au cours des 30 dernières années combinés. Ils ont raté celui-là.
Conception de virus défectueuse (s1 n'a jamais été censé être gratuit, l'inclusion de PEG était inutile et permet à LNP d'être largement distribué)
Forte opposition à la vaccination par des voix extrêmement crédibles comme Malone, Geert Vanden Bossche, d'autres
Le NIAID (Cliff Lane) manipule de manière inappropriée les directives de traitement COVID pour faire croire que ces médicaments ne fonctionnent pas, donnant ainsi au monde la fausse impression que le vaccin, même imparfait, est la seule issue. L'ivermectine et la fluvoxamine ont été confirmées dans des essais de phase 3. L'ivermectine a fait l'objet d'une revue systématique de très haute qualité, le niveau le plus élevé possible en médecine factuelle. Les médicaments réutilisés sont plus sûrs et plus efficaces que les vaccins actuels. En général, un traitement précoce avec des protocoles efficaces réduit votre risque de mourir de plus de 100X, donc au lieu de 600 000 décès, nous aurions moins de 6 000 décès. REMARQUE : le vaccin a déjà tué plus de 6 000 personnes et cela ne tient qu'au vaccin (et ne compte pas les décès par percée).
Les vaccins ont ignoré les études toxicologiques appropriées afin d'être mis sur le marché plus rapidement. Nous ne savons pas ce que nous ne savons pas.
Les effets secondaires imprévisibles et horribles de ce vaccin sur les enfants en bonne santé, comme la jeune fille de 16 ans qui était incapable de parler et de voir seulement 48 heures après avoir été vaccinée
Des effets secondaires débilitants peuvent survenir à tout moment car les victimes du vaccin sont très similaires aux long-courriers COVID (le Dr Bruce Patterson l'a découvert) et nous savons tous que le long-courrier peut commencer à tout moment (même lorsque la maladie est asymptomatique) et pourrait être incurable.
Parce que le vaccin n'est pas parfaitement sûr, le gouvernement est tenu par la loi d'avertir les gens des risques de décès et d'invalidité causés par le vaccin et d'obtenir un consentement éclairé. Assurez-vous toujours de demander quels sont les 50 effets secondaires les plus graves et à quelle fréquence ils surviennent. Et découvrez s'ils vous indemniseront si vous êtes invalide à vie à cause du vaccin. Ceci est important car les caillots sanguins peuvent se former n'importe où avec ce [vaccin] très dangereux.
RépondreSupprimerLes vaccins tuent au moins deux fois plus de personnes qu'ils n'en sauvent. Et si vous ne les prenez pas, vous serez un paria. Nous sommes devenus outrageusement fous.
- voir clips sur site -
Read more at: TheBurningPlatform.com and Vaccines.news
https://www.naturalnews.com/2021-09-21-vaccines-kill-more-people-than-they-save.html
Mieux que 'Koh lanta' ! Participez au 'Jeu de la Mort' ! Obligation de se faire inoculer (par une ou plusieurs personnes) avant d'entrer en piste !
SupprimerUn État indien avec 240 millions de personnes a complètement éradiqué le covid avec l'ivermectine
RépondreSupprimerLundi 20 septembre 2021
par : Ethan Huff
(Natural News) Comment un État indien de plus de 240 millions d'habitants a-t-il vaincu le coronavirus de Wuhan (Covid-19) ? Simple. Ses habitants prenaient de l'ivermectine.
L'Uttar Pradesh, situé dans le nord de l'Inde, a officiellement déclaré que ses 33 districts sont désormais "sans covid" grâce à un effort bienveillant des dirigeants pour fournir à tout le monde un "vermifuge pour chevaux".
Le taux de récupération du virus chinois dans l'Uttar Pradesh est de 98,7%, ce qui peut être directement attribué à l'utilisation prophylactique à grande échelle de l'ivermectine.
Selon les médias occidentaux et l'establishment médical, il n'y a « aucune preuve » que l'ivermectine apporte des avantages dans la lutte contre les germes chinois. Selon des preuves réelles sur le terrain en Inde, cependant, l'ivermectine a vraiment été un miracle.
Il n'y a pas si longtemps, l'ivermectine était présentée par le Journal of Antibiotics comme un «médicament miracle» pour le traitement des parasites intestinaux. Les inventeurs de l'ivermectine ont également reçu un prix Nobel pour la découverte de la substance.
Aujourd'hui, cependant, l'ivermectine est diffamée comme « dangereuse » et « à haut risque » par les médias et le gouvernement. On nous dit constamment que l'ivermectine est réservée aux bovins ou aux chevaux, même si la Food and Drug Administration (FDA) l'a approuvée pour un usage humain en 1996.
Les régions de l'Inde qui ont choisi des "vaccins" au lieu de l'ivermectine connaissent une augmentation massive de nouveaux cas
En mai et juin 2020, l'ivermectine était largement administrée à tous les professionnels des soins respiratoires travaillant dans le district de l'Uttar Pradesh à Agra. À l'époque, il s'agissait d'une expérience pour voir comment les bénéficiaires s'en sortaient.
Il a été observé, selon le Dr Anshul Pareek, qu'« aucun d'entre eux n'a développé le Covid-19 bien qu'il soit en contact quotidien avec des patients qui avaient été testés positifs pour le virus ».
À la suite de cet essai réussi, le gouvernement de l'État a décidé de sanctionner officiellement l'utilisation de l'ivermectine comme remède contre le virus chinois, non seulement pour les travailleurs médicaux, mais plus tard pour le grand public.
« Bien que nous soyons l'État avec la plus grande base de population et une densité de population élevée, nous avons maintenu un taux de positivité et de cas par million d'habitants relativement bas », a expliqué Pareek.
En août, des responsables de l'Uttar Pradesh ont publié une notification conseillant aux médecins de prendre des comprimés de 12 mg d'ivermectine "pour contenir l'impact de la pandémie". Cette recommandation s'est avérée être un grand succès.
« Ce médicament est assez efficace pour se protéger du COVID-19 », a admis le gouvernement. « Par conséquent, nous appelons chaque citoyen à avoir cette tablette. »
RépondreSupprimerPendant ce temps, dans le petit État du Kerala, dans le sud de l'Inde, les nouveaux «cas» de la grippe Fauci ont grimpé en flèche. La raison en est qu'au lieu d'utiliser l'ivermectine, le Kerala a plutôt opté pour des « vaccins », qui propagent davantage de maladies.
« Le Kerala a inclus l’ivermectine dans les directives de traitement COVID de l’État en avril, mais a limité son utilisation aux cas graves ou à ceux avec une maladie associée, ce qui signifie qu’elle était réservée comme traitement tardif, si elle était utilisée du tout », a rapporté WND.
"Le Kerala a complètement abandonné l'utilisation de l'ivermectine le 5 août."
Le Kerala est cependant plus l'exception que la norme. Dans l'ensemble de l'Inde, le taux de vaccination est actuellement d'environ 5,8%, ce qui en fait l'un des pays les moins injectés au monde.
"On prétend que l'ivermectine est également efficace contre la grippe commune et de nombreuses autres infections virales", a écrit un commentateur de WND. "Si c'est vrai, il n'est pas étonnant que les grandes sociétés pharmaceutiques veuillent le maintenir supprimé."
"L'ivermectine est parfaitement sûre, mais le gouvernement ne veut pas que vous le sachiez", a noté un autre. "Le médicament a peu d'effets secondaires, a été prescrit des millions de fois et est connu pour tuer 21 virus différents, dont le SRAS-CoV-2."
L'ivermectine est utilisée en toute sécurité depuis des années et n'est plus brevetée.
Les dernières nouvelles sur la tromperie du coronavirus de Wuhan (Covid-19) et la croisade contre l'ivermectine peuvent être trouvées sur Fascism.news.
Les sources de cet article incluent :
WND.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2021-09-20-indian-state-completely-eradicated-covid-ivermectin.html
Ces ARS qui mettent au pas la médecine par temps de covid
RépondreSupprimerLes ARS vont chercher à affirmer leur rôle d’adjudant-chef des troupes de la santé et la profession sous tutelle étatique connaîtra le déclassement.
Par Denis Dupuy.
22 SEPTEMBRE 2021
Ah les Agences Régionales de Santé… Jusqu’alors risée de la profession, les voilà portées au rang de généraux de bataille par quelques inconscients. Cette confrérie de technocrates s’en est donné à cœur joie au cours de l’épidémie, la huitième depuis 1895. Ont-ils seulement conscience des précédentes ? Chacune d’elle a duré deux années et rien n’interdit de penser qu’il n’en sera pas de même pour celle-ci. Mes confrères n’ont aucunement à rougir : emportés par le flou ambiant en mars 2020, ils ont intubé un poil de trop avant de rapidement corriger le tir. La prise en charge actuelle conduit de nombreux réanimés vers leurs pénates.
À l’heure où l’État alignait les coups de matraque, les réglementations ubuesques et les confinements (3 à 4000 décès supplémentaires par mois), les méchants laboratoires privés ont produit des tests, des anticorps, des vaccins : pas mal du tout pour ne pas dire génial… Dans cette bataille, l’État s’attribuera des succès qui lui sont évidemment étrangers, mais ça n’est là que routine dans ce pays.
Les ARS ont été désignées bras armé et le médecin a dû se soumettre. 150 interventions ont été annulées en moyenne par Covid pris en charge en réanimation. Des ordres tombaient du ciel, sans la moindre réquisition et on annulait à la chaine de malheureux patients terrés à leur domicile.
Toutes les conséquences de ces emportements étatiques ont été passées à la loupe, un soir de webinaire chez un grand assureur. Un intervenant a confié avoir été requis officiellement, un cas bien isolé : il a passé une semaine à tourner en rond dans le service désert d’un hôpital public. N’oublions jamais que les décisions ont systématiquement été fondées sur des prédictions erronées, alarmistes et excessives.
Ainsi, selon le Président, les 400 000 morts en novembre 2020 : la médiane des décès étant de 85 ans parmi une population de vieilles personnes au bout du rouleau, cette hypothèse farfelue aurait sous-entendu une France comptant 100 millions d’habitants.
Exemple plus récent : un Plan blanc, instauré par les ARS voici un mois. Le préfet annonçait plus 300 % dans les Pyrénées-Orientales où, de fait, on passait en quelques heures de un à quatre patients en réanimation.
Selon l’ARS, en combinant rentrée des classes et virus, on obtiendrait le 10 septembre une vague phénoménale. J’ai alors douté et récolté insultes et sarcasmes sur le réseau, mais aujourd’hui, 15 patients sont hospitalisés dans le service de réanimation du CHU d’une cité rose d’un million d’habitants, 150 dans une région riche de six millions d’habitants. Vaguelette et tant mieux. Comment ? Où donc ? Je ne le dirai pas, boudu…
L’ARS, qui ne connait que simulations et tableurs, n’a pas intégré que comme toujours la pathogénie du virus diminue au fil des variants et que le vaccin change la donne. Je me permettrai une remarque : je suis enthousiaste quant aux modélisations et à l’IA, mais gare…
RépondreSupprimerLes modélisations de répartition des épidémies par compartiments n’offrent pas d’aperçu exact de l’épidémie. Gaver des logiciels de données lissées et attendre à la sortie n’est pas crédible.
L’étude du Lancet l’a montré : des amateurs faisant tourner des logiciels commettent des bourdes en raison de leur manque d’expertise. Qu’on l’aime ou non, Didier Raoult maitrise la méthodologie biostatistique : c’est son gagne-pain. Il a tout de suite senti le biais. J’ai été contacté par un jeune entrepreneur désireux de croiser des fichiers afin de faire émerger des thérapeutiques grâce à l’IA : j’ai essayé aimablement de lui faire admettre que les statiques médicales sont régies par des règles garantissant leur fiabilité, la première étant l’homogénéité et la représentativité des échantillons. S’il poursuit, ce jeune homme obtiendra une daube qui n’intéressera personne, sauf peut-être les ARS. Pardon : je provoque, j’attise…
Sous l’égide de celles-ci, 3 à 5 % de morbi-mortalité supplémentaires ont été constatés dans chaque spécialité. La chirurgie, y compris carcinologique, a connu une chute libre (je ne pense pas que l’activité ait pleinement repris). 500 plaintes ont été déposées contre les administrations, pour défaut de soin, non-assistance, etc. Agnès Buzyn n’est que la première.
15 000 infirmières font aujourd’hui défaut, lassées, épuisées. De retour de vacances depuis quinze jours, j’ai subi trois annulations de programmes, enfin, mes patients ont subi. La cause ? Carence en infirmières, accentuée à l’occasion par le refus de certains groupes financiers de leur offrir un salaire décent. Les démissions s’enchainent. Mes confrères, également, ont souffert de la gestion de la crise. Les questionnaires burnout sont en surchauffe.
Les ARS ont, comme l’essentiel des administrations de ce pays, fait preuve de morgue. Leurs hordes de bureaucrates ne se privent jamais de mordre la main du contribuable. Le médecin aura bien compris qui est le chef : il devra se soumettre, tel le lion face à l’âne. Voici de quoi inquiéter le futur malade que je suis…
Il va falloir maintenant occuper ces milliers de fonctionnaires dont on ne manquera pas de faire grossir les rangs, contrairement aux effectifs de réanimation. Restera à leur trouver des occupations : ils vont la regretter, l’épidémie, quand ils tourneront en rond dans leurs bureaux… En attendant, afin de remonter le moral de professionnels au bout du bout, voici maintenant les agences en charge de contrôler le passe chez les soignants…
Une coalition Assurance maladie, Conseil de l’Ordre, ARS est sommée de faire marcher droit la profession. Quand on connait la justification et le rôle historique de ces structures, on est saisi d’une profonde nausée libérale. Oui au vaccin, bien sûr, mais un peu de finesse… 85 % des Français l’ont reçu : bravo à eux. Les autres ne sont-ils pas les réfractaires propres à toute décision politique, en démocratie ? On attendrait tolérance et juste information, on souhaiterait la fin de l’hystérisation et de cette obsession à entretenir une peur mortifère chez les plus craintifs, qui en sont à fuir les établissements de soins, effrayés par un virus en fin de carrière.
Les soignants non vaccinés font exception et je pense que les médecins sont peu concernés, mais ces contrôles vont encore faire du mal. Dans le domaine de la santé, contraindre me choque. Tout d’abord, le vaccin n’est aucunement stérilisant et le vacciné peut contaminer son entourage. Ensuite, avoir peur, y compris pour de mauvaises raisons, c’est avoir peur quand même et subir un traitement supposé dangereux n’est pas plaisant. Je ne suis pas opposé à une vaccination de principe chez les soignants.
RépondreSupprimerChaque année, nous multiplions les arrêts de travail. La puéricultrice grippée peut contaminer le prématuré comme le brancardier le grand vieillard et 25 % seulement du personnel est vacciné contre la grippe saisonnière. Contractualisons la vaccination des soignants : vous souhaitez travailler dans la santé ? Commencez par y croire et vaccinez-vous ! Mais la contrainte, en fin d’épidémie, quand le moral de chacun est en berne, ajoutée aux contrôles, aux règles, aux intimidations d’administrations aux effectifs démesurés et aux coûts pharaoniques, stop, assez, par pitié.
Nous avons suffisamment souffert. Ces structures nous ruinent, nous harcèlent et nous nuisent depuis trop longtemps et l’épidémie a marqué un point d’orgue dans leur capacité de nuisance… Voilà un programme pour un président : moins de charges, de contraintes, de fonctionnaires, davantage de liberté, d’initiative privée et de responsabilité individuelle. La gouvernance par la technocratie et le monde de l’utile d’Heidegger, philosophe cher à la gauche française, ami des nazis et de leurs cousins illuminés de la deep ecology, deviennent notre quotidien… Oui, l’Homme est seul face à son destin.
Dieu est mort et Nietzsche le pressentait, privé de religion, de sens et de croyances, il s’en invente, des religions de pacotille, des nihilismes, des écologismes, des absurdités. Pire encore. En perdant Dieu, l’Homme a perdu son âme : la chose se nomme aujourd’hui esprit, raison, cerveau. Je vénère la science, mais l’élévation spirituelle vaut quelques secondes d’attention. Cet univers, centré sur la seule réussite matérielle, n’a pas grande saveur. Vive l’argent, vive le bien-être, bien sûr, mais après ? De l’esprit, de la chaleur, de l’humain… Un patient ne se résume pas à un code dans la cellule d’un tableur. Il est identique en souffrance… Comment ? Has been, ringarde, ma vision ? Le patient n’est qu’un détail dans la grande folie gestionnaire ? Bon, d’accord, chef, bien chef…
Alors que le système déploie ses ailes, le ressentiment va croissant. Au fil des gouvernements les ARS vont chercher à affirmer leur rôle d’adjudant-chef des troupes de la santé et la profession sous tutelle étatique connaîtra le déclassement. Un candidat s’opposera-t-il à cet interventionnisme mal emboité ? Il se montre, pour l’instant, bien discret…
https://www.contrepoints.org/2021/09/22/405873-ces-ars-qui-mettent-au-pas-la-medecine-par-temps-de-covid
Grève de la faim contre la vaccination obligatoire à l’hôpital de Nice
RépondreSupprimer22 SEPTEMBRE 2021
Plusieurs employés du CHU de Nice ont commencé une grève de la faim pour protester contre l’obligation vaccinale. Les suspensions de soignants inquiètent, alors que les hôpitaux français manquent déjà de personnel.
Alors que les suspensions de soignants refusant les vaccins anti-Covid se multiplient, jusqu’à mettre en péril certains territoires, diverses actions de contestation ont vu le jour. En marge des manifestations de professionnels de santé, certains optent pour une approche plus radicale.
À Nice, des employés du Centre hospitalier universitaire (CHU) ont ainsi décidé d’une grève de la faim, rapporte Nice-Matin. Installés sur le parvis d’une église jouxtant l’hôpital, ils crient leur colère contre la vaccination obligatoire. Thierry Paysant, agent de sécurité incendie au CHU, met en cause la gestion de l’établissement, qui mettrait la pression sur les réfractaires.
"La pression est trop forte psychologiquement […] L’hôpital nous appelle jusqu’à la maison pour nous interroger sur notre statut vaccinal. Ce matin, deux infirmières sont reparties en pleurs de leur service après avoir été mises à pied. Pourquoi ne pas leur laisser le choix ? […] Aujourd’hui on nous traite comme des criminels parce qu’on refuse la vaccination", explique-t-il à Nice-Matin.
Celui qui est aussi pompier volontaire précise ne pas être foncièrement anti-vaccin, mais se pose des questions sur le "bénéfice risque" des sérums contre le Covid-19. Même son de cloche du côté de Christophe Nait, aide-soignant de 44 ans qui a aussi décidé de se lancer dans une grève de la faim. Plus encore que l’injection, qu’il pourrait envisager d’accepter à long terme, c’est la logique de sanctions qui le dérange, comme il le confie à Libération.
"C’est du chantage: la peste ou le choléra, le vaccin ou la perte de l’emploi […] Avec le vaccin, c’est l’injection d’un produit expérimental qui me dérange […]C’est trop précipité, trop violent. On n’est pas des robots", explique ainsi l’aide-soignant au quotidien.
Les deux opposants à l’obligation vaccinale ont reçu le soutien du syndicat Force Ouvrière, lequel craint que les suspensions de personnel ne déséquilibrent encore des services tournant déjà au ralenti, précise France Bleu.
Des suspensions problématiques
RépondreSupprimerEntrée en vigueur le 15 septembre, la vaccination obligatoire pour les soignants a entraîné des vagues de suspensions de personnel. Un jour seulement après l’instauration de la mesure, le ministre de la Santé, Olivier Véran, avait mentionné le chiffre de 3.000 procédures, sans doute parcellaires. Au CHU de Nice, plus de 300 personnes avaient déjà été suspendues le 16 septembre, sur 7.500 membres du personnel, selon France Bleu.
De quoi handicaper lourdement certaines communes, déjà considérées comme des déserts médicaux. Dans l’Oise ou le Morbihan, plusieurs localités se sont ainsi retrouvées privées de leur généraliste, souvent seul à exercer sur leur territoire. Les maires ont parfois été obligés de se tourner vers des médecins vacataires ou d’inciter à la téléconsultation.
Outre la médecine de ville, c’est tout le système hospitalier qui pourrait pâtir de ces vagues de suspensions, alors que les vacances de postes de soignants sont légion.
"Le système hospitalier est déjà mis à mal. Il y a une pénurie de tous les personnels, il y a 30.000 postes de titulaires non pourvus à l’hôpital. On manque de soignants dans tous les domaines, notamment en réanimation", rappelait ainsi le chirurgien Bernard Kron mi-septembre.
Mais la France n’est pas le seul pays à voir son système hospitalier fragilisé de la sorte. Au Québec, la suspension d’au moins 30.000 professionnels de santé non vaccinés inquiète également.
Mieux que tout autre le personnel soignant connaît la véritable composition des flacons de la mort étiquetés 'vaccin' !!
SupprimerDepuis Jacques Médecin Nice ne s'est jamais si mal portée.
COVID-19 : 4,7 MILLIONS DE MORTS, 230 MILLIONS DE CAS
RépondreSupprimerpar PAOLO GAROSCIO
22/09/2021
Plus de 5% de la population mondiale a contracté le virus de la Covid-19.
Si la situation s’améliore en France et, d’une manière générale, dans les pays riches qui ont pu acheter des doses pour leur population, la pandémie continue de faire des ravages dans le monde. Le nombre de cas augmente de plusieurs centaines de milliers par jour, et des milliers de personnes décèdent des suites de la contamination par le virus Sars-CoV-2.
Le cap des 4,7 millions de morts est franchi
Selon les données de l’Université Johns Hopkins, qui recensent les données officielles concernant la pandémie de Covid-19, le virus a tué 4,707 millions de personnes au 22 septembre 2021. Le cap des 4,7 millions de décès a donc été franchi après que le monde a enregistré 8.158 nouveaux décès le 20 septembre 2021. Les données du 21 septembre 2021 n’étant pas disponibles au 22 septembre 2021 au matin, le nombre de décès est même supérieur.
Et il en va de même pour le nombre de cas : 229,508 millions au 20 septembre 2021 avec une augmentation quotidienne de plus de 500.000 par jour en moyenne. Le nombre de personnes ayant contracté le virus de la Covid-19 devrait donc avoir dépassé la barre des 230 millions le 22 septembre 2021. Soit environ 5% de la population mondiale.
Chaque semaine, dans le monde, plus de 3 millions de personnes contractent le virus et plus de 60.000 décèdent des suites de la maladie. La pandémie est donc loin d’être terminée.
La France se rapproche de la barre des 7 millions de cas
En France, où grâce à la vaccination et au Pass sanitaire le nombre de cas quotidiens est en baisse et la situation pandémique s’améliore, ce sont encore entre 5.000 et 10.000 personnes qui sont contaminées par le virus chaque jour, soit près de 50.000 chaque semaine.
Au 21 septembre 2021, selon Santé Publique France, 6,965 millions de personnes ont été contaminée par le virus depuis le début de la pandémie. La barre des 7 millions de cas pourrait donc être franchie avant la fin du mois de septembre 2021.
En outre, le virus continue de tuer : 116.251 personnes ont perdu la vie depuis le début de la pandémie à cause du Sars-CoV-2.
http://www.economiematin.fr/news-covid-monde-cap-cas-morts-france-situation-pandemie
Grâce aux injections (qui sont les SEULES à contenir le poison de la mort appelé 'covide19'). Le 'nombre de cas' est décelé grâce aux faux tests 'RT-PCR' qui apportent tout près du cerveau les morgelons en bout d'écouvillons !
SupprimerÇà y est ! Vous l'avez !
Mettez un masque infesté de nano-particules d'oxyde de graphène et c'est tout votre corps qui se meurt dès la mise en route de la 5G.
Une possible solution finale Marburg-RiVax
RépondreSupprimerPar Kieran Morrissey
22 septembre 2021
Alors qu'il semblerait maintenant d'après la propagande des médias grand public et l'assouplissement de certaines des restrictions draconiennes à la liberté, que la guerre contre la pandémie de COVID est en train d'être gagnée, cependant je pense qu'il s'agit d'une ruse, d'un renforcement faisant partie d'un plus grand PSYCOPS à compléter un programme d'eugénisme en cours. Les caractéristiques de la pandémie de COVID-19 sont très préoccupantes comme suit : –
Il a maintenant été prouvé à une écrasante majorité que la maladie COVID-19 n'était qu'un autre rhume / grippe traitable qui a été médicalement mal géré en refusant un traitement précoce qui a causé des décès prématurés chez les personnes très âgées et les personnes souffrant de problèmes de santé sous-jacents, cela a donné l'idée fausse qu'il y avait un excès de décès se produisent et ont créé une hystérie de masse.
La couverture médiatique grand public d'une éventuelle fuite du virus de Wuhan Lab a accru la crainte qu'une augmentation soudaine perçue des décès puisse avoir été le résultat d'une évasion mortelle d'une arme biologique et a provoqué une panique supplémentaire pour développer un vaccin pour arrêter la propagation de COVID, il a été déclaré que cela prendrait au moins 10 ans, ce qui augmenterait les craintes du public.
L'utilisation du test PCR en temps réel désormais démystifié pour diagnostiquer le COVID a produit un grand nombre de résultats positifs, appelés « cas » sans aucun symptôme, c'est-à-dire des infections asymptomatiques dont on sait qu'elles n'existent pas, et cela a terrorisé davantage la population. Nous savons maintenant qu'au moins 97 % de ces résultats positifs étaient faux en raison des seuils de cycle excessifs utilisés dans les laboratoires de test. La PCR en temps réel a été développée en tant qu'outil de recherche et n'est pas considérée comme appropriée à des fins de diagnostic.
De nouvelles injections de « vaccins » de thérapie génique à ARNm COVID et à vecteur viral ont été développées à la hâte. Les caillots et les saignements se sont avérés être causés par les protéines de pointe générées par le corps en réponse aux injections, et cela est aggravé par un ingrédient non divulgué, l'oxyde de graphène, dans les injections, qui est également connu pour provoquer des caillots et des saignements.
Les première et deuxième doses des injections de COVID ont maintenant affaibli l'état de santé général de la population, comme le montre la situation actuelle dans les hôpitaux qui sont bien au-dessus de la capacité pendant les mois d'été avec des patients souffrant d'effets indésirables des injections, de nombreux patients présentent des symptômes semblable à la fièvre hémorragique.
Les injections de rappel COVID prévues comme étant nécessaires en raison de la diminution de l'immunité des vaccinations initiales, ainsi que l'injection proposée des enfants, provoqueront sans aucun doute des symptômes de type fièvre hémorragique plus sévères et seront également plus répandues.
Au cours de mes recherches sur les fausses allégations de décès excessifs causés par COVID-19 et les pseudo-sciences qui le soutiennent, je suis tombé sur des développements très inquiétants que je vais résumer en raison de l'urgence que je ressens pour les mettre en évidence auprès du public comme suit : –
RépondreSupprimerBill Gates GAVI a publié un article le 22 avril-2021 intitulé « La prochaine pandémie : Marburg ? ». Il y a eu de nombreux articles de médias grand public mettant en évidence une menace à venir Marburg et faisant référence à l'OMS ces derniers mois.
Le virus de Marburg est une fièvre hémorragique relativement rare qui a été décrite pour la première fois en 1967, il n'y a eu qu'un total de 376 décès liés, et seulement 16 décès depuis 2005.
Primerdesign a développé un test PCR en temps réel genesig® en 2018 pour la fièvre hémorragique de Marburg. Pourquoi développeraient-ils un test en 2018 pour une maladie qui n'a pas connu d'épidémie majeure depuis 2005 ?
Soligenix, se précipite actuellement pour tester un vaccin riche en ricine RiVax® pour la fièvre hémorragique de Marburg. RiVax a la désignation Fast Track pour la prévention de l'intoxication à la ricine par la FDA américaine. L'approbation du vaccin contre la toxine de la ricine utilisera la FDA Animal Rule pour éliminer les essais de phase 1, 2 et 3. Pourquoi une telle précipitation maintenant, pour tester un vaccin pour lequel il n'y a eu qu'un total de 376 décès depuis 1967 et seulement 16 décès depuis 2005 ? Le composant principal du vaccin Rivax est que la ricine est une lectine et une toxine très puissante produite dans les graines de l'huile de ricin.
Les actionnaires de Soligenix comprennent BlacRrock Fund Advisors, Goldman Sachs & Co. LLC, etc.
La ricine est une lectine et une toxine très puissante produite dans les graines de l'huile de ricin. La ricine est très toxique si inhalée, injectée ou ingérée. Il agit comme une toxine en inhibant la synthèse des protéines. Il empêche les cellules d'assembler divers acides aminés en protéines en fonction des messages qu'elles reçoivent de l'ARN messager dans un processus conduit par le ribosome de la cellule (la machinerie de fabrication des protéines) - c'est-à-dire le niveau le plus basique du métabolisme cellulaire, essentiel à tout être vivant. cellules et donc à la vie elle-même.
Un article intitulé Asymptomatique Infection du virus de Marburg a été publié par le NIH en janvier 2021.
La fabrication de la pandémie de COVID-19 et son échec apparent me portent à croire qu'il existe une deuxième phase ou une solution finale à portée de main pour prendre le public au dépourvu. Les symptômes de la fièvre hémorragique peuvent être facilement augmentés et rendus plus visibles en forçant des injections de rappel de COVID sur des patients vulnérables et blessés par injection de COVID, qui sont maintenant prisonniers dans des hôpitaux et des maisons de retraite, ainsi que des enfants par injection.
Les symptômes de la fièvre hémorragique apparaîtraient comme une énorme pandémie de Marburg et pourraient être confirmés par le nouveau test PCR de Marburg provoquant une hystérie de masse comme le monde n'en a jamais vu. RiVax pourrait être rapidement déployé en utilisant l'infrastructure d'injection COVID existante et le public serait facilement convaincu de le prendre en utilisant PSYCOPS sur les médias grand public. La ricine toxique dans le RiVax tuerait des milliards de personnes très rapidement et efficacement avant qu'elles ne réalisent ce qui se passait, car les décès seraient attribués à la fièvre hémorragique de Marburg sur la base des symptômes. Les personnes qui ont refusé le RiVax pourraient être étiquetées comme des épandeurs asymptomatiques et placées dans des camps comme elles le font en Australie, prétendaient être une mesure de protection COVID.
RépondreSupprimerSi vous avez lu mes deux précédents articles COVID, vous aurez vu que j'ai commencé ce voyage début 2020 en tant que personne hésitante à vacciner. À la suite de ma récente étude de la virologie et de l'immunologie dans le but de comprendre le virus du SRAS-CoV-2, mes croyances antérieures dans les théories colportées par la science et la médecine officielles ont été complètement bouleversées.
Je comprends maintenant que Louis Pasture a fabriqué sa théorie des germes de la maladie dans les années 1850 en déclarant que les micro-organismes invisibles appelés agents pathogènes ou « germes » conduisent à la maladie. Les idées de pâturages sur les virus ont été concoctées sur des théories similaires remontant à la Grèce antique et à Rome, plus comme une religion ou un culte en développement plutôt qu'une véritable découverte scientifique.
Je crois maintenant que la théorie développée par Antoine Bechamp (Pasteur rival amer) Théorie du terrain qui stipule que les micro-organismes (germes) se nourrissent de la matière toxique qu'ils trouvent dans l'organisme malade et le préparent à l'excrétion, beaucoup plus similaire à la réponse immunitaire naturelle ce que nous savons être vrai. Cependant, la théorie du terrain a été activement bloquée en raison d'un biais pour la théorie des germes par Big Pharma en raison de son immense rentabilité.
La pratique de la variolisation remonte au XVIe siècle en Chine et est le précurseur du premier vaccin inventé contre la variole en 1796 par le médecin anglais Edward Jenner. J'ai découvert que l'utilisation généralisée des vaccins a tué beaucoup plus de personnes qu'elles n'en ont sauvé.
Un comptable, John D. Rockefeller qui a fait fortune dans le secteur pétrolier a été le premier philanthrope et ses fondations ont été les pionniers des développements de la recherche médicale. L'Institut Rockefeller pour la recherche médicale, fondé en 1901, était à l'avant-garde de la recherche en virologie et le chercheur principal Louis O. Kunkel avait fait des recherches sur la biologie et la pathologie des maladies à virus mosaïque. À partir de 1930, la Fondation Rockefeller a apporté un soutien financier à l'Institut Kaiser Wilhelm d'anthropologie, d'hérédité humaine et d'eugénisme, qui a ensuite inspiré et mené des expériences eugénistes dans le Troisième Reich. L'empire Rockefeller, en tandem avec la Chase Manhattan Bank (maintenant JP Morgan Chase), détient aujourd'hui plus de la moitié des intérêts pharmaceutiques aux États-Unis. Aucune approche alternative à la théorie des germes en virologie, immunologie ou médecine incluant l'utilisation croissante des vaccins, n'a été possible en raison de l'endoctrinement des sciences par l'industrie la plus puissante et la plus riche du monde. Les banques et les grandes sociétés pharmaceutiques qui contrôlent désormais les médias grand public et toutes les institutions médicales et scientifiques.
S'il vous plaît faites vos propres recherches, rapidement, utilisez votre esprit critique et unissons-nous pour arrêter cette folie. Je pense que la solution finale Marburg-RiVax pourrait être déployée soudainement pendant que nous nous détendons après le pire du COVID et distraits par les révélations désormais quotidiennes sur les médias grand public concernant la fraude du gouvernement et la mauvaise gestion de la santé publique qui ont créé l'urgence COVID.
RépondreSupprimerREFERENCES
GAVI https://www.gavi.org/vaccineswork/next-pandemic/marburg
Marburg Virus https://www.gavi.org/vaccineswork/next-pandemic/marburg
genesig® https://www.genesig.com/assets/files/mbgv_std.pdf
RiVax® Animal Rule https://www.fda.gov/drugs/nda-and-bla-approvals/animal-rule-approvals
shareholders https://money.cnn.com/quote/shareholders/shareholders.html?symb=SNGX&subView=institutional
Asymptomatic Infection of Marburg Virus https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33157026/
Germ Theory of Disease https://en.wikipedia.org/wiki/Germ_theory_of_disease
Antoine Bechamp https://en.wikipedia.org/wiki/Antoine_B%C3%A9champ
Terrain Theory https://landbyhand.org/terrain-is-everything-dr-antoine-bechamp/
Vaccine https://en.wikipedia.org/wiki/Vaccination
John D. Rockefeller https://s3.amazonaws.com/lrc-cdn/assets/2016/08/thomas-lamont_john-d.-rockefeller-jr..jpg
The Rockefeller Institute for Medical Research The Rockefeller empire https://en.wikipedia.org/wiki/Rockefeller_University
https://www.lewrockwell.com/2021/09/no_author/a-possible-marburg-rivax-final-solution/
Les directeurs mondiaux veulent-ils que la pandémie prenne fin ?
RépondreSupprimerLe traitement précoce des symptômes est le dernier ennemi restant du consensus mondial sur le Covid.
Cube-Baytur/Shutterstock
18 SEPTEMBRE 2021|12:01 AM
BRIAN JONES
Dans son article du 17 mars 2020 dans Stat, l'épidémiologiste de Stanford, le Dr John Ioannidis, a plaidé pour un vaste réexamen de la réponse sociétale à la pandémie émergente de SRAS-COV-2, communément appelée Covid-19. Pour des raisons inconnues, la tradition scientifique et médicale à la base de la réponse aux pandémies a été rapidement dissoute. Abandonner de telles traditions précédemment établies impliquait de combler le vide avec l'apparition d'un nouveau consensus mondial : la combinaison d'interventions non pharmaceutiques sans fin (masques, distanciation sociale, etc.) et de vaccination universelle était la clé qui mettrait fin à la pandémie.
Le pouvoir totalisateur de ce nouveau consensus mondial sur la pandémie a certainement été efficace au cours de la dernière année et demie. Cependant, le dernier mois et demi a apporté une instabilité acceptable à cet accord apparemment une fois certain.
Comme l'observe un écrivain,
Jusqu'à présent, la politique de Corona dans tous les pays occidentaux s'est déroulée plus ou moins selon le même scénario, conçu par l'Organisation mondiale de la santé fin février 2020. L'acte final était censé être l'éradication à grande échelle de Corona après une vaccination de masse. . Il est maintenant clair que cela n'arrivera jamais. Pour la première fois depuis mars 2020, il n'y a pas de consensus international évident sur la voie à suivre.
Les responsables politiques et sanitaires mondiaux des pays occidentaux et leurs alliés médiatiques semblent de plus en plus incertains quant à l'avenir. Cependant, derrière l'incertitude sur la manière de réagir aux variantes, se cache le dernier consensus restant. Et bien qu'il s'agisse du dernier consensus restant, il s'agit d'une partie peu connue, mais réelle, du script depuis le début. C'est aussi simple que global : utilisez tous les moyens disponibles pour attaquer le traitement précoce du virus.
Considérez l'un des derniers affichages de cette mascarade. Beaucoup ont maintenant vu ou entendu parler de la récente expérience du podcasteur américain Joe Rogan avec Covid-19. Après avoir reconnu certains des symptômes courants de Covid-19, Rogan a décidé de « lui jeter l'évier de la cuisine ». Suite aux idées offertes par le Dr Peter McCullough et son protocole de traitement multi-médicaments, Rogan a poursuivi la perfusion d'anticorps monoclonaux. En plus d'une perfusion d'anticorps, Rogan a pris un cocktail composé d'ivermectine, d'azithromycine, de corticostéroïde Predinsone et de fortes doses de vitamine D (par le goutte-à-goutte). Dans les 72 heures suivant le début du traitement, Rogan a déclaré qu'il se sentait bien et s'était pratiquement remis du virus.
Nous n'aurions pas eu besoin du don de prophétie pour prédire la suite : la machine Covid a été déployée pour attaquer Rogan. L'inspiration pour l'assaut a été aidée par un récent tweet de la FDA, qui disait : « Vous n'êtes pas un cheval. Vous n'êtes pas une vache. Sérieusement, vous tous. Arrête ça." Passant de son attaque initiale contre l'utilisation précoce efficace de l'hydroxychloroquine, le consensus mondial a maintenant massivement déplacé sa colère vers l'ivermectine. Coïncidant avec l'attaque de Rogan, un reportage supposé de Rolling Stone affirmait que l'accès aux soins d'urgence pour les victimes de balles dans un hôpital de l'Oklahoma était menacé en raison du nombre de patients empoisonnés par une surdose d'ivermectine. L'hôpital a offert une clarification qui a nié les réclamations, qui avaient été faites par un ancien employé. Et pourtant, seules des mises à jour ont été ajoutées ; jusqu'à présent, l'histoire n'a pas été rétractée.
RépondreSupprimerCe rejet généralisé du principe et de l'efficacité du traitement préventif et précoce a été qualifié de « nihilisme thérapeutique ». Près de deux ans après le début de cette pandémie, obtenir un traitement précoce pour Covid-19 qui peut empêcher l'hospitalisation et la mort est toujours extrêmement difficile. Les tentatives continues de saper les protocoles de traitement précoces, ainsi que les campagnes fréquentes contre ceux qui sont sceptiques quant au récit dominant, donnent l'impression que certaines parties intéressées hésitent à mettre fin à la pandémie.
Les responsables mondiaux qui écrivent et exécutent le script Covid l'utilisent pour manipuler la population. Je me souviens du livre du philosophe et homme d'État polonais Ryszard Legutko, publié en 2016, The Demon in Democracy: Totalitarian Temptations in Free Societies. Après l'effondrement des régimes totalitaires en 1989, Legutko a commencé à remarquer quelque chose d'aussi déroutant que troublant. Les partisans du communisme semblaient trouver un chez-soi assez confortable dans les sociétés démocratiques libérales. Dans une tentative d'analyser et de comprendre ce phénomène politique, Legutko a réalisé certaines similitudes partagées entre les principes du communisme et les régimes démocratiques libéraux modernes :
Le communisme et la démocratie libérale se sont avérés être des entités unificatrices obligeant leurs partisans à penser, quoi faire, comment évaluer les événements, quoi rêver et quel langage utiliser. Ils avaient tous les deux leurs orthodoxies et leurs modèles de citoyen idéal. [Je souligne]
Ce que le diagnostic de Legutko révèle, c'est que la réponse mondiale à la pandémie a été utilisée pour accélérer les conditions dans lesquelles une réflexion rigoureuse et indépendante peut être étouffée. La pandémie semble avoir accéléré le projet de transmutation des nations occidentales en grands systèmes mécanistes orientés vers l'uniformité de pensée et de pratique.
Voici Ioannidis de Stanford commentant cette intégration inquiétante de la transparence et du collectivisme en déclin rapide :
La rétractation d'un article sur l'hydroxychloroquine très visible du The Lancet était un exemple surprenant : un manque de partage et d'ouverture a permis à une revue médicale de premier plan de publier un article dans lequel 671 hôpitaux auraient fourni des données qui n'existaient pas, et personne ne l'a remarqué d'emblée. fabrication avant publication. Le New England Journal of Medicine, une autre revue médicale de premier plan, a réussi à publier un article similaire ; de nombreux scientifiques continuent de le citer abondamment longtemps après son retrait.
RépondreSupprimerUne telle situation révèle la vacuité des préoccupations supposées concernant les « preuves ». Des tropes abusés tels que « suivre la science » se révèlent être des prises de pouvoir néfastes cherchant à détruire les nuances. Les « bons » citoyens ne devraient même pas envisager la possibilité de remettre en cause le discours dominant concernant Covid. Plus précisément, il est anathème de même sonder l'idée que le traitement préventif et précoce devrait être un pilier fondamental de la réponse à une pandémie.
Alors que le consensus assimilant la vaccination à l'élimination du virus continue de s'affaiblir, la prédiction originale de Ioannidis continue d'être convaincante : la réponse au SRAS-COV-2 sera finalement considérée comme un "fiasco de preuves une fois par siècle". Mais les citoyens des nations occidentales doivent penser de manière critique par eux-mêmes si les bobines de la machine Covid ont une chance de se desserrer.
Brian Jones est titulaire d'un doctorat. candidat en philosophie au Centre d'études thomistes de l'Université de Saint-Thomas.
Pour en savoir plus sur la série « Enlever le masque », cliquez ici.
https://www.theamericanconservative.com/articles/do-the-global-managers-want-the-pandemic-to-end/
Fauci retourne sur les boosters, dit maintenant que ce n'est pas une « erreur » pour la FDA de limiter les recommandations
RépondreSupprimerSHELBY TALCOTT
CORRESPONDANT SENIOR DE LA MAISON BLANCHE
19 septembre 2021
10 h 58 HE
Le conseiller médical en chef de la Maison Blanche, le Dr Anthony Fauci, a déclaré dimanche que ce n'était pas une "erreur" de la part de la Food and Drug Administration (FDA) de limiter les recommandations de rappel, mais ses commentaires sur le sujet différaient il y a quelques jours à peine.
Vendredi, le comité consultatif sur les vaccins et les produits biologiques connexes de la FDA a voté contre l'approbation des rappels pour tous les Américains âgés de 16 ans et plus. Le panel a plutôt approuvé le rappel uniquement pour les Américains âgés de 65 ans et plus ainsi que pour ceux à risque de maladie grave due au virus.
La décision a été une perte pour l'administration du président Joe Biden, car les responsables avaient initialement affirmé que le rappel serait disponible pour tous les Américains à la mi-septembre, en attendant l'approbation de la FDA. Fauci poussait l'approbation des injections de rappel pas plus tard que mercredi lorsqu'il a déclaré à KHN qu'"il ne fait aucun doute que les rappels seront bénéfiques". (CONNEXES: De hauts responsables de la santé demandent à la Maison Blanche de suspendre le plan de rappel des vaccins : RAPPORT)
« S'ils disent : « Nous pensons qu'il n'y a pas assez de données pour faire un rappel », alors qu'il en soit ainsi. Je pense que ce serait une erreur, pour être honnête avec vous », a déclaré Fauci à l'époque.
Dimanche, Fauci a semblé faire marche arrière sur CNN – et le présentateur Jake Tapper l'a appelé. Tapper a souligné les récents commentaires de Fauci, notant qu'il avait dit que "ce serait une erreur" et se demandant s'il disait maintenant qu'il ne "pense pas que c'était une erreur".
"Non, je veux dire, je - vous savez, ce que je disais cette erreur, mon propre regard personnel, encore une fois, juste parce que je regarde les données et dis que je le ferais de cette façon, c'est la raison pour laquelle nous nous sommes qualifiés des groupes de personnes qui, ensemble en tant que comité, examinent toutes les données et prennent une décision », a répondu Fauci. "Je n'ai donc aucun problème avec leur décision. Ce que je dis, c'est que les données continueront d'arriver et je pense que vous allez voir une évolution de ce processus au cours des prochaines semaines ou des prochains mois.
REGARDEZ:
- voir clip sur site -
Fauci a poursuivi en disant qu'il est "tout à fait concevable" que, afin de se protéger contre COVID-19, "le régime approprié … soit plus que le premier et le coup de pouce suivi de trois à quatre semaines".
RépondreSupprimer"Cela pourrait en fait entraîner un troisième coup de pouce", a-t-il déclaré. "C'est tout à fait concevable parce que, rappelez-vous, Jake, lorsque nous avons fait les études initiales, ce que nous avons fait, c'est que nous devions agir très, très rapidement parce que nous faisions face - et le sommes toujours - à une situation d'urgence."
Fauci a poursuivi en réitérant qu'"un régime optimal peut consister en trois injections pour tout le monde". Dans le même temps, il a noté que les données examinées par le comité consultatif visent à limiter les personnes autorisées à recevoir des injections de rappel et qu'il y aura peut-être à l'avenir "une évolution de cette décision".
Fauci fait partie du groupe éligible au magasin de rappel en raison de son âge et a déclaré à Tapper qu'il n'avait pas encore reçu le rappel mais qu'il prévoyait de le faire.
https://dailycaller.com/2021/09/19/fauci-boosters-fda-limit-recommendations/
La mise à jour du monde du coronavirus ment pour les grandes entreprises pharmaceutiques, tout comme NPR, CNN, NYT, WaPo, les médias sociaux, Fauci et Biden, causant la mort de plus de personnes
RépondreSupprimerPar Paul Craig Roberts
PaulCraigRoberts.org
22 septembre 2021
Le 21 septembre, le site Web de Big Pharma, Coronavirus World Update, a alimenté l'hystérie de la peur avec un faux rapport selon lequel le nombre de morts aux États-Unis de Covid "dépasse le total de la pandémie de grippe espagnole de 1918".
Presque personne n'est mort du Covid. Des personnes souffrant de comorbidités sont décédées de leurs problèmes de santé graves existants, et il est possible que Covid ait accéléré la journée. La plupart des personnes décédées l'ont fait par manque de traitement. Le protocole consiste à refuser de traiter les personnes infectées avec des remèdes connus et à les laisser à la maison sans traitement jusqu'à ce qu'elles se rétablissent d'elles-mêmes ou deviennent si malades qu'elles doivent se rendre à l'hôpital où, au lieu de recevoir de l'aide, elles sont mises sous respirateur et tuées.
Il est probable que le vaccin et les ventilateurs aient tué plus de personnes que Covid. Et les décès dus au vaccin pourraient commencer à peine à apparaître.
Les grands shills pharmaceutiques mentent dans le but de créer la peur qui pousse les gens à se faire vacciner avec un « vaccin » très dangereux et totalement inefficace, qui n'est pas un vaccin.
Nous ne savons pas si l'ordre du jour se limite au profit et au contrôle. Ce que nous savons, c'est que l'établissement médical américain est déterminé à ce que les patients de Covid meurent en se voyant refuser un traitement efficace.
Le Dr Mark McDonald décrit à Tucker Carlson sur Fox News la campagne visant à empêcher l'accès du public à l'ivermectine en obligeant les pharmaciens à refuser de remplir les ordonnances du médecin pour le traitement Covid sûr et efficace.
Lorsque les infirmières hospitalières, qui ont vu les maladies et les décès causés par l'injection d'ARNm, refusent d'être piquées, préférant plutôt démissionner ou être licenciées, et lorsque le protocole hospitalier américain est que la mort de Covid est préférable au traitement à l'ivermectine ou à l'HCQ, le seul les conclusions possibles sont que l'establishment médical américain est médicalement incompétent au-delà de toute croyance ou que l'establishment médical américain est volontairement complice d'un complot pour assassiner.
De nombreux Américains ont subi un lavage de cerveau et ont été endoctrinés dans le récit mortel. Cela les rend complices de leur propre meurtre. C'est tragique. Mais c'est une preuve supplémentaire du terme "Dumbshit American".
https://www.lewrockwell.com/2021/09/paul-craig-roberts/coronavirus-world-update-lies-for-big-pharma-as-does-npr-cnn-nyt-wapo-social-media-fauci-and-biden-causing-more-people-to-die/
Comme tous les médecins, infirmiers, etc qui ont injecté le poison-de-la-mort, les politiciens savent qu'ils tuent, et, tous cela ne peuvent désormais plus faire marche arrière ! Faut tuer ! Faut tuer ! Faut tuer ! Jusqu'au dernier !
SupprimerDr Peter Breggin : Covid-19 et les prédateurs mondiaux
RépondreSupprimerPar Joseph Mercola
Mercola.com
22 septembre 2021
Dans cette interview, le Dr Peter Breggin – connu sous le nom de « la conscience de la psychiatrie » pour son rôle déterminant dans la prévention du retour de la lobotomie en tant que traitement psychiatrique au début des années 1970 – discute de son dernier livre, « COVID-19 et les prédateurs mondiaux : Nous sommes la proie », disponible sur wearetheprey.com.
Il ne fait plus aucun doute que nous sommes au milieu de la guerre de propagande la plus grande et la plus efficace de l'histoire du monde. Rien ne vient même près. En conséquence, une psychose de masse s'est développée, où de nombreuses personnes normalement rationnelles ont complètement perdu leur capacité de raisonner. Vous pouvez leur montrer des tonnes d'informations solides et indiscutables et ils refuseront tout simplement d'y croire. Qu'y a-t-il au cœur de cette psychose de masse ? Breggin explique :
« Il est extrêmement important de surmonter cette tentative de nous rendre tous impuissants, obéissants et dociles. Nous devons savoir, qui sont les maîtres qui conduisent cela ? D'un autre côté, nous devons comprendre les mécanismes de cette [manipulation]… C'est un règne subtil de terreur… Nous assistons à une révolution contre nous qui veut nous faire sentir impuissants comme des enfants.
En psychothérapie, nous voyons souvent des personnes qui ont été terriblement maltraitées par leurs parents, mais elles ne peuvent pas y faire face. Ils ne peuvent pas l'identifier comme un mal… Nous ne pouvons pas supporter de penser qu'il y a des gens pour nous faire du mal et nous manipuler. Vous ne pouvez pas supporter de penser qu'il y a des gens différents de nous - des gens qui prennent plaisir à se blesser et à dominer...
Donc, je veux d'abord identifier qui sont ces personnes. Qui nous fait ça ? Il est temps d'y faire face et de se débarrasser de l'idée que c'est le hasard, ou c'est fou, ou c'est bizarre, ou cela n'a aucun sens.
Comment est-il logique qu'ils ignorent absolument le fait qu'en Amérique, nous avons maintenant plus de 14 000 rapports de décès dus au « vaccin » [COVID] et que personne n'enquête ? Personne ne fait rien. Dans les années précédentes, si un vaccin avait plus de 20 ou 30 [décès], et certainement plus de 100, ce serait une catastrophe.
Nous avons maintenant un vaccin qui fait plus de morts que tous les autres vaccins réunis. Comment pouvons-nous ignorer cela ? D'un autre côté, nous obtenons tous ces nombres énormes [faussement gonflés] de décès dus au COVID-19… Donc, nous examinons cette situation et [demander] est-ce fou ?
Eh bien, non, c'est parfaitement logique. Si vous essayez d'intimider et de submerger une population, vous exagérez le danger. Vous prenez une maladie pseudo-grippale qui est plus sûre que la grippe en termes de comment elle épargne les enfants et les jeunes adultes et attaque les gens de mon âge, j'ai 85 ans. [It's] tue des gens qui ont déjà dépassé leur durée de vie prévue. Donc, vous prenez cette épidémie relativement bénigne et en faites un spectacle d'horreur en exagérant tout. »
RépondreSupprimerQuel est le but ?
La question qui doit être posée et répondue est : quel est le but ? Nous pouvons déterminer l'objectif en regardant ce que nous savons. Nous savons:
Que nous disent ces faits pris ensemble ? Que « les pouvoirs en place » en retirent-ils ? Breggin explique :
« La protéine de pointe est le fer de lance d'un assaut contre l'humanité. Cela n'a rien à voir avec COVID-19, mais est prévu à travers COVID-19 afin d'augmenter considérablement la richesse de nombreuses institutions et individus… dont beaucoup sont malheureusement originaires d'Amérique, qui travaillent en collaboration avec le communiste chinois. Parti, pour augmenter cette vaste exploitation du monde…
Les Chinois nous mordent à pleines dents depuis longtemps, parce que nous sommes le siège de la liberté dans ce monde… Alors, tout commence à avoir un sens… Les forces sont le plus enfermées dans ceux d'entre nous qui sont maintenant libres, et ils visent à nous détruire. C'est terrifiant, mais cela ne devrait pas vous rendre… impuissant. Cela devrait vous inciter à regarder avec raison ce qui se passe dans le monde.
La décennie des vaccins
En 2010, Bill Gates a annoncé « la décennie des vaccins ». Un partenaire dans cette déclaration était le Dr Anthony Fauci, directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), ainsi qu'un certain nombre d'autres mondialistes, dont les Nations Unies.
Une décennie plus tard, nous avons COVID-19. Est-ce une coïncidence ? En 2015, un article scientifique3 assurait que les chercheurs en gain de fonction avaient les moyens de créer une pandémie. Cette recherche a été financée par le NIAID et menée par deux chercheurs chinois de premier plan à l'Institut de virologie de Wuhan (WIV) et, selon Breggin, tous les scientifiques en Chine travaillent pour le compte du Parti communiste chinois (PCC).
"Cela s'appelle la fusion civilo-militaire", dit Breggin. « Ils travaillent tous ensemble… C'est la nature de l'État totalitaire. Les gens ne s'en rendent pas compte, mais Fauci devait savoir qu'il finançait un virus pandémique potentiel.
En fait, au cours des derniers jours, il est ressorti de ses e-mails obtenus grâce à une demande du Freedom of Information Act (FOIA) … qu'il leur a en fait donné des instructions sur la façon de combiner … plusieurs systèmes de virus de type SRAS-Cov pour faire un véritable code source."
L'échec du tir COVID était entièrement prévisible
RépondreSupprimerSelon Breggin, le PCC travaille avec des virus de type SRAS-CoV depuis au moins 2003, et il y a eu quatre fuites différentes de virus du SRAS depuis lors.
"Donc, ici, nous avons la Chine et l'Amérique qui fabriquent ce qui sont essentiellement des armes biologiques, l'excuse étant:" Nous allons fabriquer des vaccins. "Mais … les vaccins ne vont pas fonctionner et ils le savent, car le coronavirus mute tous les temps.
Donc, si vous fabriquez un vaccin contre le virus chinois, cela ne durera pas longtemps parce que cela aidera simplement à forcer ces mutations à sortir parce que si vous supprimez [souche] d'un virus, alors l'un des nombreux autres qui flottent prendra sa place… »
Plan d'affaires en cas de pandémie de Bill Gates
L’échec des injections de COVID a été prédit par de nombreux médecins et scientifiques bien avant le milieu de 2020, et il n’y a pratiquement aucune chance que les fabricants de vaccins ignorent les nombreuses objections soulevées et la justification scientifique qui les sous-tend.
"Donc, Bill Gates sait, en 2015, qu'un virus pandémique peut être créé et [that] les laboratoires en Chine et aux États-Unis collaborent et il connaît Fauci, qui est son homme clé depuis au moins 2010. Donc, Gates, en 2016 , crée un plan d'affaires. Je ne sais pas comment j'ai trouvé celui-ci. Je pense que c'était Dieu qui tirait simplement les ficelles de mes doigts, mais je me suis retiré du plan d'affaires du site Web de [Klaus] Schwab, Bill Gates, pour le monde pour la prochaine pandémie.
Il fait environ 65 pages. Vous pouvez le trouver sur mon site. Accédez au centre de ressources sur les coronavirus sur breggin.com, puis recherchez les documents de référence pour le livre, et vous deviendrez l'une des premières personnes au monde en dehors des prédateurs à voir le plan d'affaires qu'ils ont élaboré en 2016.
Ce plan d'affaires décrit tout ce qui nous arrive maintenant. En particulier, il indique que Bill Gates travaillera avec la CEPI [Coalition for Epidemic Preparedness Innovations], une organisation que Gates a fondée en 2017 - mais qu'il décrit en 2016 - avec Schwab, l'homme qui finira par annoncer la grande réinitialisation en 2020 qu'il a travaillé toute sa vie.
Dans ce document lié ci-dessus, « Plan d'affaires préliminaire du CEPI 2017-2021 », il est indiqué que l'industrie pharmaceutique n'engagera aucune dépense au cours de la prochaine pandémie. Toutes les dépenses, y compris les coûts indirects, seront couvertes. Encore un autre document décrit les énormes profits attendus. Le plan d'affaires de Gates décrit également la création de ce qui est finalement devenu l'opération Warp Speed.
En juillet 2017, le CEPI a créé une présentation PowerPoint pour l'Organisation mondiale de la santé, que vous pouvez également consulter sur le site Web de Breggin. Cette présentation passe en revue le plan de Gates et explique le rôle de l'OMS dans l'établissement des normes pour la science et la médecine pandémiques.
Étonnamment, le PowerPoint comprend une déclaration selon laquelle le CEPI a créé un protocole d'accord sur ce qu'est l'OMS. Selon Breggin, c'est "la prochaine étape d'un contrat absolument contraignant avec l'OMS".
RépondreSupprimerQui sont les prédateurs ?
Dans son livre, Breggin détaille également les autres partenaires de ce programme, notamment la Food and Drug Administration des États-Unis, les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis, les National Institutes of Health, le NIAID et la Biomedical Advanced Research and Development Authority (BARDA). .
En bref, les preuves indiquent que la pandémie de COVID-19 – avec toutes les décisions insensées et irrationnelles prises en son nom – est un stratagème visant à enrichir certains individus, entreprises et organisations au détriment de tous les autres.
"Rick Bright, [director of] BARDA, était la clé, un homme de point, [in] empêchant tout le monde d'avoir un accès facile à des traitements très efficaces", a déclaré Breggin. « Encore une fois, pourquoi ? Parce que c'était une décennie de vaccins. C'est tout ce dont il s'agissait. Il n'a jamais été question d'autre chose. [Il s'agissait toujours] de trouver un moyen de devenir riche et puissant.
Jusqu'à présent, nous pouvons donc énumérer les prédateurs suivants :
Vers quoi travaillent les prédateurs ?
Alors, vers quoi travaillent-ils exactement ? Dans des vidéos datant de 2017, Gates discute du développement de vaccins à ARN. Avance rapide jusqu'en 2020, et les injections d'ARNm étaient le choix immédiat pour les injections COVID accélérées. Et, comme détaillé dans le plan d'affaires de Gates, Pfizer et Moderna ont tous deux reçu des milliards de dollars du gouvernement fédéral américain par l'intermédiaire de BARDA et du NIH/NIAID.
N'ayez pas peur. Mettez-vous en colère, mais ne vous découragez pas. Ils veulent ça. Vous savez, il y a toute une école de santé publique qui parle de la façon d'intimider et d'engendrer la peur pour amener les gens à faire ce que vous voulez. C'est ce qu'on appelle l'appel à la peur. Donc, c'est systématique, et les gens de la santé publique ont toujours été de nature totalitaire. ~ Dr Peter Breggin
Ceci, malgré le fait qu'aucune injection d'ARNm n'ait jamais été commercialisée avant cela, et le fait qu'aucun vaccin contre le coronavirus n'ait jamais été commercialisé au cours des 20 années où ils y ont travaillé. Pour une raison quelconque, les vaccins contre les coronavirus provoquent régulièrement des maladies graves et une létalité accrue lorsqu'ils sont exposés au virus sauvage, un phénomène connu sous le nom d'amélioration dépendante des anticorps (ADE).
Dans son livre, Breggin cite un article de 2020 de chercheurs indépendants avertissant que tous les vaccins COVID, non seulement l'ARNm et les injections d'ADN, mais aussi ceux utilisant des virus tués, sont trop dangereux pour même essayer sur des humains.
"Donc, ils savent tout cela", dit Breggin. «Il n'y a pas de surprises pour eux. Ils savaient ce qu'ils faisaient… Mais n'ayez pas peur. Mettez-vous en colère, mais ne vous découragez pas. Ils veulent ça. Vous savez, il y a toute une école de santé publique qui parle de la façon d'intimider et d'engendrer la peur pour amener les gens à faire ce que vous voulez. C'est ce qu'on appelle l'appel à la peur.
RépondreSupprimerDonc, c'est systématique, et les gens de la santé publique ont toujours été de nature totalitaire. Il s'agit de personnes de santé publique qui disent aux communautés ce qu'elles doivent faire face à la prochaine menace pour la santé publique. Ils ne disent pas préserver la Déclaration des droits. Ils ne disent pas : « assurez-vous que nous vérifions cela devant les tribunaux ou un organisme qui nous supervise pour notre éthique afin de protéger les gens. »
Reconnaître l'abus, puis s'y opposer
Alors, comment pouvons-nous briser le sortilège de psychose de masse dans lequel tant de gens sont actuellement, qui les rend incapables de voir la réalité et de comprendre que se conformer aux prédateurs mondialistes entraînera leur propre ruine ? Commentaires de Breggin :
« Les êtres humains naissent dans un état d'impuissance… Et la raison en est, je crois, que nous sommes un animal social. Le cerveau double de taille au cours de la première année de vie, ce qui se produit dans un environnement social. Donc, nous avons un cerveau social. Nous sommes très liés les uns aux autres. C'est tout le but de cette socialisation, de cette croissance lente, de cette dépendance au fil des années...
Être social nous a permis en tant que famille élargie de survivre et d'être différent de toutes les autres créatures. Ce sont nos relations sociales qui nous rendent uniques. Ils nous font aussi plaisir.
Dans le chagrin maintenant intégré en chacun de nous se trouve ce potentiel de se sentir très impuissant. Nous pouvons redevenir par moments [comme] de petits enfants. Lorsque nous commençons à ressentir de la culpabilité, de la honte, de l'anxiété ou une peur écrasante, nous pouvons facilement devenir impuissants. Et c'est essentiellement ce qui se passe. Je pense que c'est bien d'appeler ça une psychose, mais je préfère l'appeler une impuissance écrasante qui submerge la nation.
Maintenant, si dans l'enfance vous avez été maltraité, alors cette impuissance reste avec vous jusqu'à l'âge adulte. C'est à quel point ces premières années sont puissantes, et vous devez travailler dur pour le surmonter… Nous devons identifier ce qui nous a été fait. Si vous êtes un adulte, cela aide vraiment à identifier que, oui, vous avez été abusé sexuellement ou, oui, vous avez vraiment été harcelé par votre frère aîné ou votre grande sœur…
Vous regardez en arrière et vous voyez ce qui se passe et ce qui s'est passé. Et cela vous aide… Nous sommes opprimés par des gens malfaisants. Rien n'est dû au hasard. Nous pourrions aussi bien être des enfants tourmentés. Nous devons nous dire : « Pas plus. Plus d'impuissance, plus de lamentations, plus de plaintes, plus de dire Qu'est-ce qui nous arrive ? C'est très clair, ce qui nous arrive.
Ce n'est pas fou. C'est intentionnel et intentionnel et nous devons nous y opposer. Nous devons comprendre et ne pas nous laisser abuser et nous rendre à nouveau. Nous devons nous donner du réconfort, de l'amour et de l'inspiration. Nous devons soutenir d'un point de vue tactique.
RépondreSupprimerNous devons nous impliquer ensemble. [Ma femme] Ginger et moi avons pris la décision terrifiante d'affronter COVID-19… [et] de rejoindre de nombreuses autres personnes luttant pour la liberté de l'Amérique. C'était un choix effrayant, mais une fois que nous l'avons fait, nous avons commencé à rencontrer des tonnes de gens.
Je n'aurais jamais imaginé connaître Peter McCollough, un grand cardiologue qui a écrit une introduction à [mon livre], qui a risqué sa vie et toute sa réputation pour déclarer qu'il existe un bon traitement… Nous sommes tous des refondateurs de l'Amérique dans un moment critique à l'heure.
Et au lieu de vous apitoyer sur votre sort, pensez à vous-même : « Dieu nous a mis dans une position où nous pouvons faire l'une des plus grandes différences, ou nous pouvons avoir des effets au-delà de tout ce que nous avons imaginé » … Nous devons savoir qu'il y a une guerre contre nous… Ils ont une guerre furtive contre nous… Alors soyez fiers, soyez un Américain, soyez un patriote. Défendez-vous pour la liberté.
Regardez la Déclaration d'indépendance, la Constitution, en particulier la Déclaration des droits. C'est votre héritage. Vous le jetiez. Vous ne faisiez rien pour le protéger, probablement depuis la guerre civile. C'est la plus grande menace pour la liberté en Amérique. Et c'est bien plus grave que la guerre civile. C’est une guerre contre toute la démocratie occidentale.
Plus d'information
Comme indiqué clairement dans le livre de Breggin, « COVID-19 et les prédateurs mondiaux : nous sommes la proie », l'objectif final est un contrôle totalitaire complet de toutes les nations, très similaire au type de contrôle sociétal déjà en place en Chine, et à moins que nous unissons-nous contre la mise en œuvre de ce plan, il n'y aura pas de fin heureuse pour aucun d'entre nous.
Ce ne sera pas facile, car les prédateurs mondialistes ont infiltré le gouvernement, les ONG, les universités, les divertissements, les entreprises et tous les autres aspects majeurs de la vie américaine. La voie à suivre nécessitera de reprendre le contrôle de chaque domaine, un par un.
Dans les jours qui ont suivi cette interview, le président Biden a clairement indiqué son intention de forcer les Américains à vacciner en obligeant les entreprises de 100 employés ou plus à exiger la vaccination contre le COVID sous peine d'amendes. C'est aussi inconstitutionnel que possible, mais il le fait quand même parce que, encore une fois, le but final est le totalitarisme et le moyen est la tyrannie médicale.
Nous pouvons également voir que COVID-19 n'était rien de plus qu'un moyen pour parvenir à une fin car la même élite mondialiste appelle maintenant à des sanctions contre le monde pour lutter contre la menace sanitaire du réchauffement climatique.
Plus de 200 revues, dont The Lancet, The New England Journal of Medicine4 et The BMJ ont simultanément publié le même éditorial appelant à des « changements à l'échelle de la société » au nom de la sauvegarde de l'environnement. Fait intéressant, l'un des auteurs, Richard Smith, préside la Commission Lancet sur la valeur de la mort. Comme le note Breggin :
RépondreSupprimer«C’est assez étonnant et indique que les blocages, les passeports et autres abus se poursuivront et s’intensifieront à mesure que les gens s’apercevront de la fraude derrière COVID-19. Un effort coordonné aussi spectaculaire pour amener les revues médicales et de santé du monde entier à s'engager dans des objectifs progressistes et mondialistes pour l'humanité est étonnant et nécessite l'explication des divulgations de notre livre. »
« COVID-19 et les prédateurs mondiaux » est en cours d'auto-édition et n'est disponible que sur wearetheprey.com pour le moment. Avec 650 pages, c'est un gros livre, et il retrace la chronologie de la façon dont nous en sommes arrivés là, du début à la fin. Il dispose également d'un index détaillé, ce qui vous permet de rechercher des noms et des organisations.
Sources and References
1 CDC June 11, 2021
2 CDC July 21, 2021
3 The BMJ August 12, 2015
4 NEJM September 5, 2021
https://www.lewrockwell.com/2021/09/joseph-mercola/covid-19-and-the-global-predators/
Brève. « Vaccins » : cherchez l’erreur
RépondreSupprimerle 22 septembre 2021
Selon les dernières informations communiquées par l’OMS, quelques 4,5 milliards de personnes ont été « vaccinées » dans le monde. Il semble que cette statistique globale tient compte des 800 millions de Chinois ayant reçu deux doses de vaccin Sinovac ou Sinopharm, les seuls « vrais » vaccins à ce jour, on ne va pas chipoter. Bref, au bas mot les laboratoires pharmaceutiques occidentaux ont déjà empoché près de 400 milliards de dollars surtout en considérant un nombre croissant de personnes tri-injectées. Gardons cette donnée en mémoire …
Selon les statistiques en date du 11 septembre 2021 provenant de l’Union européenne, de la Suisse, de la Grande-Bretagne et des USA il y a eu officiellement 40666 morts liées à l’injection de « vaccins » à ARN messager et 6,6 millions de personnes souffrant d’effets secondaires sérieux ou bénins. Compte tenu du fait maintenant dénoncé publiquement que les médecins, tenus d’envoyer un rapport pour chaque décès et chaque effet secondaire liés au « vaccin », ne se plient pas à cette obligation car ils subissent les pressions constantes, voire les menaces, des laboratoires pharmaceutiques, il est vraisemblable que moins de 10 % des faits sont répertoriés par les autorités sanitaires de ces pays. Considérons que seulement 8 % des constats remontent jusqu’aux services de statistiques nationales, européennes et américaines. On arrive au nombre réaliste de 508000 morts partagés entre les USA, GB, Suisse et Union européenne.
Qu’est-ce que cela signifie ? Les laboratoires pharmaceutiques occidentaux sont coupables de la mort de 1270 morts pour chaque milliard de dollars empoché avec ces préparations qui ne sont même pas des vaccins mais à l’évidence des produits mortel ou dangereux car pour chaque milliard empoché 167600 personnes ont souffert d’effets secondaires graves, durables mais non létaux. Voilà le prix à payer pour enrichir les laboratoires pharmaceutiques alors que ces pseudo-vaccins ne protègent même pas les personnes qui se sont soumises à ce traitement, qu’elles peuvent devenir contagieuses, mourir à la suite de l’infection par le coronavirus et malgré le fait qu’elles soient alors fières d’arborer leur QR-code être encore soumises à un test PCR (devenu magiquement payant) et se masquer si elles désirent voyager. Cherchez l’erreur !
https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/09/22/breve-vaccins-cherchez-lerreur/
Servitude volontaire
RépondreSupprimerPar Andrew P. Napolitano
23 septembre 2021
Il y a deux semaines, le président Joseph R. Biden a annoncé son intention d'ordonner au ministère du Travail d'obliger tous les employeurs de plus de 100 personnes à exiger que tous leurs employés soient vaccinés contre le COVID-19 sous peine d'une amende de 14 000 $ par jour pour chaque employé non vacciné. Le ministère du Travail percevra les amendes.
Les conseillers juridiques de Biden l'ont probablement informé que le gouvernement fédéral n'a pas le pouvoir d'obliger directement les individus à se faire vacciner, et si c'était le cas, la contrainte devrait venir du Congrès – qui rédige les lois – et non du président, qui les applique.
Mais les mêmes conseillers ont sans aucun doute déclaré au président que le gouvernement fédéral avait le pouvoir de dire aux employeurs dont les activités affectent le commerce interétatique comment gérer leurs entreprises. Pour un gouvernement qui ne peut pas payer ses propres factures sans emprunter 2 000 milliards de dollars par an, qui ne peut pas se conformer aux réglementations qu'il nous impose et qui ne peut pas suivre la Constitution que ses agents ont juré de respecter, c'est un blague malade qu'il peut deviner la gestion des entreprises privées.
En utilisant des entreprises privées pour faire respecter ses diktats, le président fait-il indirectement ce que la Constitution interdit au gouvernement fédéral de faire directement ?
Voici la trame de fond.
Le gouvernement fédéral est l'un des pouvoirs limités — limités à ce que la Constitution lui délègue. On pourrait ne pas le savoir si l'on ne s'est pas engagé dans une étude sérieuse de la Constitution et de l'histoire de son traitement tortueux par le Congrès et la Cour suprême, car il apparaît aujourd'hui que presque tout est réglementé par le gouvernement fédéral.
Une fois, j'ai demandé à cinq de mes collègues intelligents à la télévision en direct de faire le tour du studio et de voir s'ils pouvaient trouver quelque chose qui ne soit pas réglementé par le gouvernement fédéral. Des lumières nous éclairant aux vêtements que nous portions en passant par l'équipement qui nous diffusait jusqu'aux meubles sur lesquels nous étions tous assis, aucun de mes collègues n'a pu trouver quoi que ce soit non réglementé par les autorités fédérales.
Tous ces règlements ont été promulgués ou autorisés par le Congrès. Aucun n'était issu d'un diktat du président. Les limites imposées au gouvernement fédéral sont inscrites dans la Constitution et dans ses amendements. Mais, chaque fois qu'il veut le faire, le Congrès a dépassé ces limites, et les tribunaux ont presque toujours confirmé le Congrès.
Ainsi, ce qui a été écrit pour permettre au Congrès de maintenir la régularité du commerce interétatique est maintenant si tordu que le Congrès peut réglementer toute activité utilisant de l'argent, même celle qui n'est pas commerciale, même celle qui n'est pas interétatique, et même celle qui est si infinitésimale qu'elle être économiquement incommensurable.
En d'autres termes, la Cour suprême s'est si obséquieusement renvoyée au Congrès en ce qui concerne le commerce interétatique qu'elle a autorisé le Congrès à faire ce que la Constitution a été écrite pour l'empêcher de faire – réglementer la propriété privée.
RépondreSupprimerMais dans certains domaines, comme les limites de vitesse sur les autoroutes ou le taux d'alcoolémie des conducteurs suffisant pour justifier une poursuite pour CFA, même le Congrès a reconnu son manque d'autorité. La solution du Congrès : soudoyer les États. Ainsi, le Congrès a offert des centaines de millions de dollars aux États pour repaver les autoroutes fédérales s'ils réduisaient à la fois leurs limites de vitesse et le taux d'alcoolémie maximal de leurs conducteurs avant que des poursuites pour CFA ne soient indiquées. La Cour suprême a confirmé cela en vertu du pouvoir de dépenser du Congrès.
Autrement dit, alors que le Congrès ne peut pas réglementer tous les domaines de l'activité humaine, il peut dépenser des dollars fédéraux dans n'importe quel domaine de l'activité humaine. Et il peut attacher des conditions à ces dépenses. Lorsque le Dakota du Sud a déclaré au Congrès qu'il prendrait son argent pour repaver les autoroutes mais qu'il n'abaisserait pas les limites de vitesse, la Cour suprême s'est rangée du côté du Congrès. Vous voulez de l'argent, vous l'obtenez avec des ficelles. Vous ne voulez pas les ficelles, vous pouvez rejeter l'argent.
Il en va de même en ce qui concerne le pouvoir d'imposition du Congrès. Bien que le Congrès ne puisse pas m'ordonner de manger du brocoli, il peut me taxer si je ne le fais pas.
Maintenant, revenons aux employeurs privés appliquant une règle écrite par le président. Le pouvoir de dépenser et d'imposer ne peut être exercé que par voie législative. Le Congrès, et seul le Congrès, peut faire indirectement ce qu'il ne peut pas faire directement ; et il ne peut le faire qu'en offrant de l'argent pour la conformité ou en imposant des taxes en cas de non-conformité.
Dans le cas des mandats du ministère du Travail de Biden, il n'y a pas d'argent offert ni de menace d'impôt, car seul le Congrès pourrait le faire. Au contraire, une sanction est menacée, que seuls les tribunaux peuvent imposer après un procès. Ainsi, le président - qui ne peut pas rédiger de lois ou imposer des sanctions - ne peut légalement faire indirectement ce qu'il ne peut pas faire directement.
Pourquoi Biden ne demande-t-il pas au Congrès une législation contraignant les vaccins ? Premièrement, cela ne passerait pas le Congrès. Et deuxièmement, le Congrès devrait indemniser les employeurs pour l'administration de cette surveillance orwellienne ou payer les employés fédéraux pour administrer les vaccins. Quoi qu'il en soit, il n'y a aucune volonté politique au Congrès, ni aucune autorité constitutionnelle, pour qu'il dise aux Américains ordinaires qu'ils doivent mettre un médicament expérimental dans leurs bras.
Le président peut-il obliger les employeurs à appliquer un programme fédéral à leurs propres frais ? En un mot : Non. Le 13e amendement interdit la servitude involontaire. Obliger des personnes et des entités à travailler contre leur gré et sans juste compensation est la définition de la servitude involontaire, autrement connue sous son nom plus descriptif — esclavage.
On peut voir le mépris total de l'administration Biden pour les normes constitutionnelles. Il veut que le président, et non le Congrès, rédige des règles de comportement personnel et corporatif. Il veut que le ministère du Travail, et non les tribunaux, soit juge et partie lorsque ces règles ne sont pas respectées. Il veut que des personnes et entités privées travaillent pour le gouvernement fédéral contre leur gré et sans compensation, en violation du 13e amendement.
RépondreSupprimerTout cela ne peut arriver que si nous le laissons faire. Mais, parce que le 13e amendement n'interdit que la servitude involontaire, les autorités peuvent sûrement nous asservir lorsque nous sommes assez timides pour consentir.
Reprinted with the author’s permission.
https://www.lewrockwell.com/2021/09/andrew-p-napolitano/voluntary-servitude/
Pourquoi les médecins acceptent-ils les prescriptions COVID Panic Porn et CDC ?
RépondreSupprimerPar Ted Noel, MD
22 septembre 2021
J'ai récemment eu une conversation avec un écrivain raisonnablement bien informé qui a tout simplement raté les vraies raisons pour lesquelles la plupart des médecins praticiens acceptent la fraude Fauci. En tant que service public, je vais tenter de combler quelques lacunes. Mais d'abord, je dois définir la fraude.
Il y a deux jambes de base à la fraude. La première est l'idée que les Centers for Disease Control sont de quelque manière que ce soit concernés par une mission liée à son nom. L'échec du CDC à approuver tout traitement qui n'émanait pas de ses salles exaltées devrait nous donner notre premier éclair de clarté. Il y a littéralement des millions de médecins dans le monde, et la grande majorité d'entre eux souhaitent vraiment bien traiter leurs patients. Parmi ceux-ci se trouvent des milliers de chercheurs, un nombre bien supérieur à ceux du CDC, du NIH et d'autres agences gouvernementales de la soupe à l'alphabet. L'idée même que les chercheurs extérieurs sont incapables de découvrir quoi que ce soit d'utile sans l'aide des bureaucrates de D.C. est de l'orgueil de la plus haute importance. Et cela empêche le CDC, la FDA ou toute autre agence de ce type d'envisager l'idée que peut-être, très probablement, il pourrait y avoir une vie intelligente ici. Le mont Olympe ne peut pas être menacé.
La deuxième étape de la fraude est moins visible à l'œil nu mais beaucoup plus puissante. Si j'écrivais ceci avant de prendre ma retraite, on me convoquerait devant le conseil d'administration de mon groupe et on me dirait sans ambages de me taire. Je pourrais même recevoir une pénalité financière avec plusieurs zéros après un. C'est une grave atteinte à ma quête du bonheur. La raison de l'aversion de mon groupe est plus que le fait que je puisse être un irritant. Ils peuvent en fait être d'accord avec ce que j'ai à dire. Mais ils ne peuvent tout simplement pas me permettre de le dire. C'est vrai : en tant que médecin pratiquant dans un groupe, ma liberté d'expression peut devenir très coûteuse... pour le groupe.
Mon groupe s'occupait de patients de toutes sortes, avec environ la moitié d'entre eux sous Medicare et un autre sous Medicaid. Les deux programmes sont finalement gérés par le gouvernement fédéral, l'un des groupes les plus dépourvus d'humour de la planète. Ils écrivent tout un tas de règles sur la façon dont vous devez documenter tout ce que vous faites. Si vous ne l'avez pas documenté correctement, cela ne s'est pas produit et vous ne serez pas payé. Mais ce n'est pas la moitié.
Supposons que vous ayez un de ces patients amené par l'ambulance sous le pont. Ses seuls vêtements sont ceux qu'il porte, et il n'a pas deux centimes à frotter. Il est plus qu'évident que cette chirurgie pour occlusion intestinale sera une affaire de charité. Avant l'assurance-maladie, vous le disiez simplement comme votre devoir de bon voisin. Maintenant, vous n'avez pas le choix. La GMAO (l'agence administrative actuelle) vous demande d'envoyer une facture. À deux reprises. Ou peut-être trois fois. Tout ce qu'il faut pour transformer la facture en créance irrécouvrable. Ensuite, vous devez l'envoyer à une agence de recouvrement. Votre seule alternative est que votre groupe en parle lors de sa réunion du conseil d'administration et déclare qu'il s'agit d'une radiation qui est notée dans le procès-verbal.
RépondreSupprimerToute cette arnaque ne sert à rien, et vous le saviez avant d'arriver à cette phrase. Mais la GMAO a un côté sinistre. Si vous faites le cas gratuitement (ce que vous faisiez avant de dépenser cet argent inutile en facturation et en recouvrement), la GMAO définira cela comme votre facture "habituelle et coutumière" pour une laparotomie exploratrice. Étant donné que votre U&C est maintenant nul, vous ne pourrez jamais facturer plus que cela pour un tour ex à l'avenir.
Mais qu'est-ce que cela a à voir avec l'ivermectine ? Je suis content que vous ayez demandé.
Les factures U&C ne sont que l'une des centaines de règles appliquées par la GMAO. Un autre est « Payer pour la performance ». Fondamentalement, P-f-P vous oblige à cocher une multitude de cases lors de la prise en charge des patients. Si vous n'avez pas reçu cet antibiotique IV dans les 20 minutes avant l'incision, vous avez échoué P-f-P et vous pourriez ne pas être payé. L'hôpital ne sera pas payé pour prendre en charge le patient s'il y a une complication.
Supposons donc que vous utilisiez de l'ivermectine pour traiter un patient COVID à son arrivée à l'hôpital. L'ivermectine ne figure pas sur la liste des médicaments approuvés par Medicare/Medicaid pour le COVID. Votre pharmacie hospitalière vous appellera et vous donnera du chagrin. Après avoir perdu beaucoup de temps à les faire enfin vous le donner, vous avez dû annuler la moitié de votre journée de bureau. Le lendemain, vous recevrez la visite d'un codeur, qui vous dira que vous n'avez pas utilisé le protocole de traitement approuvé et que vous avez mis l'hôpital en danger parce que vous avez raté P-f-P. Soit dit en passant, ce "codeur" est la personne qui vous "aide" à utiliser le code ICD (facturation) approprié pour tout ce que le patient a pour que l'hôpital gagne le plus d'argent. Mais ce n'est pas le pire.
Parce que vous avez raté P-f-P, cela agite un drapeau rouge devant les taureaux CMMS, et vous êtes sur le point de vous faire encorner. Ils se demanderont quelles autres mauvaises choses vous avez faites. Dès qu'ils en trouvent un, il est signalé comme « fraude à l'assurance-maladie » et ils vous factureront le double de ce que vous avez payé à titre de pénalité. Pouvez-vous deviner combien d'autres cas de fraude ils trouveront s'ils y prêtent attention ? Faut-il se demander pourquoi mes partenaires se fâcheraient si je publiais alors que j'étais encore en exercice ? Soit dit en passant, la GMAO peut remonter deux ans en arrière pour rechercher vos crimes. Ils peuvent finalement prendre votre maison, votre voiture et le caniche de votre femme pendant qu'ils y sont.
RépondreSupprimerChangeons la scène. Supposons que vous soyez en pratique privée. Vous ne pouvez pas donner d'ivermectine parce que les autorités la saisiront si votre patient est sous Medicare ou Medicaid. Alors vous décidez de vous occuper de lui en dehors des livres. Il vous paie comptant, et tout va bien. Pas ! Vous avez maintenant pris un paiement privé pour un service couvert par Medicare. Cela vous empêchera de voir un autre patient de Medicare pendant deux ans.
Oublions tous les pièges réglementaires. Vous êtes consciencieux et essayez de faire au mieux pour vos patients. Mais vous êtes occupé et vous ne pouvez pas suivre le flot de documents sur tous les différents éléments COVID. Vous portez donc un masque, faites porter des masques à vos patients et faites beaucoup de télémédecine. Vous vous tenez au courant des dernières nouveautés grâce à Medscape et au Reporter hebdomadaire sur la morbidité et la mortalité. Tu devrais être bon ? Pas! Le MMWR est publié par le CDC, et ils ne diront pas le premier bon mot sur l'HCQ ou l'ivermectine. Medscape est un peu mieux, mais pas beaucoup. Et toutes les sociétés spécialisées suivent la ligne. Pouvons-nous deviner pourquoi ?
Tout médecin qui lit réellement les études, ou suit l'un des protocoles publiés par l'Association des médecins et chirurgiens américains, verra beaucoup de pression de ses pairs pour arrêter. Les risques financiers peuvent être extrêmes. Il faut une colonne vertébrale d'acier pour tenir tête à l'orthodoxie autoritaire.
Ted Noel, M.D. est un anesthésiste/intensiviste à la retraite qui publie sur les réseaux sociaux sous le nom de DoctorTed et @vidzette.
https://www.americanthinker.com/articles/2021/09/why_do_doctors_go_along_with_covid_panic_porn_and_cdc_prescriptions.html
Acheter un nouvel esprit
RépondreSupprimerPar Jon Rappoport
Le blog de Jon Rappoport
23 septembre 2021
« Inscrivez-vous maintenant et inscrivez-vous sur la liste pour un nouvel esprit ! »
La description technique de la chirurgie vous dépasse, mais les bases sont passionnantes.
Deux améliorations post-opératoires solides sont la vitesse et la précision. Vous penserez 20 fois plus vite et votre taux d'erreurs tombera à 0,01%. Votre QI augmentera d'au moins 50 points.
Il y a aussi un signal automatique lorsqu'un problème sur lequel vous travaillez ne sera pas résolu. Le lobe de votre oreille gauche vous brûle. Cela vous informe que, peu importe vos efforts, vous ne pourrez pas arriver à une conclusion utile.
Vous gagnerez beaucoup de temps.
Le nouvel esprit que vous obtenez contient plusieurs éléments de base :
157 893 généralisations (ou prémisses) inconscientes jugées véridiques ;
un programme logique déductif subconscient ;
une bibliothèque technique accessible instantanément et adaptée à votre métier.
La bibliothèque génère, rassemble et résume automatiquement les meilleures informations disponibles concernant le problème sur lequel vous travaillez, conformément aux généralisations (prémisses) précédemment installées et au programme logique.
Il produit une réponse, une solution. Votre solution.
Moyennant des frais supplémentaires, vous pouvez opter pour un programme social qui vous permettra de sortir du mode travail et de communiquer efficacement avec vos collègues, amis et famille.
Le signal de brûlure du lobe de l'oreille gauche sera diffusé chaque fois que les conversations sociales aborderont des questions controversées. C'est votre signal pour reculer et chercher une autre compagnie.
Votre nouvel esprit sera surveillé 24h/24 et 7j/7 à partir d'un nœud NSA-DHS combiné qui garantit un bon fonctionnement. Si des réparations sont nécessaires, un arrêt partiel sera déployé. Les corrections prendront normalement moins de trois heures.
Il y a aussi une fonction d'enclos. Questions persistantes pour lesquelles il n'y a pas de réponse disponible ; réflexions et contemplations personnelles; et tout cas de claustrophobie sociale, politique, financière ou existentielle sera tous canalisé vers un espace mort où ils s'attarderont et s'estomperont progressivement.
Un package Grand Chelem minuscule mais important traduira toutes les pensées autrefois considérées comme créatives en un maillage de boue, où la vitesse de transmission ralentira à un flash synaptique par heure. En d'autres termes, vous obtiendrez un taux d'imagination proche de zéro.
Au périmètre de votre nouvel esprit se trouve la ferme d'élevage. Des tautologies lentes, dénuées de sens et aléatoires y circulent, bloquant efficacement la sortie de l'espace global programmé de la conscience.
Vous êtes centré là où vous en avez le plus besoin, là où vous pouvez travailler utilement et rapidement.
Tout au long de la journée, vous penserez à des pensées qui déclenchent un quotient de plaisir soigneusement préparé et modulé. L'effet global vous incitera à conclure que vous êtes satisfait.
Des formes-pensées appelées Border Collies parcourront continuellement l'espace de votre esprit et organiseront des effets électriques parasites, les amenant dans des ensembles symétriques, simplistes et géométriques. Ces ensembles constitueront automatiquement votre « sens esthétique ».
La nuit, pendant que vous dormez, des régions de l'esprit inaccessibles par la chirurgie dépenseront naturellement des énergies extraordinaires d'indignation, de ressentiment, de résistance et de haine pure. C'est tout à fait normal.
Les drones Scooper siphonneront ces énergies et les feux de forêt émotionnels qui les accompagnent, et les projetteront directement dans l'esprit de nos soldats sur le champ de bataille, pour les aider à semer la destruction sur l'ennemi.
On estime qu'avec votre nouvel esprit en remorque, vous aurez besoin d'une révision complète tous les trois ans. Pendant ces périodes, vous ferez l'expérience d'un arrêt total.
RépondreSupprimerVos familles, amis et collègues seront informés à l'avance.
Comme note historique d'intérêt, vous vous souvenez, j'en suis sûr, du soi-disant espionnage, du soi-disant État de surveillance, à l'époque. Oui ?
La plupart des gens ne savaient pas que le programme était la première tentative de créer un seul esprit universel.
L'État de surveillance était vraiment la première chirurgie grossière de l'esprit neuf.
Mais maintenant, nous pouvons garantir le résultat. La science a avancé majestueusement. La chirurgie est extrêmement spécifique et complète.
La planification centrale de la planète Terre doit restructurer les cerveaux afin qu'ils fonctionnent, de diverses manières, pour produire ce que nous appelons The Whole X.
Qu'est-ce que le Tout X ? C'est le maillage de toutes les pensées et fonctions humaines qui produira en effet le plus grand bien pour le plus grand nombre.
Tout X est le plan d'en haut.
Il calcule chaque mouvement et chaque schéma de pensée que des milliards d'habitants de la Terre entreprennent, à chaque heure de chaque jour.
Whole X dispense la justice et les biens et services et la durabilité et les réflexions partagées de Nome à Tierra Del Fuego.
Comment ces éléments peuvent-ils être morcelés si, au niveau de l'esprit, les processus rationnels de chaque être humain ne sont pas coordonnés ?
Oui, nous avons parcouru un long chemin depuis le siège de Spy. C'était alors ; c'est maintenant.
Nous avons parcouru le chemin de la Déclaration des droits à la Déclaration de l'esprit.
Utilisez vos cadeaux à bon escient.
À ceux qui déplorent la perte de liberté, d'intimité et d'imagination, considérez que ces qualités nous ont conduits au bord de l'extinction. Nous avons tourné le coin et trouvé une paix durable à notre époque.
Pour plus d'informations, connectez-vous à L'Église de l'Unité Inéluctable Absolue.
Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.
https://www.lewrockwell.com/2021/09/jon-rappoport/buying-a-new-mind/
(...) La bibliothèque génère, rassemble et résume automatiquement les meilleures informations disponibles concernant le problème sur lequel vous travaillez, conformément aux généralisations (prémisses) précédemment installées et au programme logique. (...)
SupprimerToutes ces encyclopédiethèques ne sont que des ramassis d'erreurs, de mensonges, d'escroqueries et de charlatanisme.
Suffit de lire pour se rendre compte que les écrits ne correspondent en rien avec la réalité ! Ce sont ces programmes qui sont présentés comme modèles !!! HAHAHAHA !
Par contre, depuis l'arrivée de l'Internet, c'est un peu de Démocratie que l'on peut entrevoir. Chacun peut y livrer son opinion et en discuter !
C'est ce modèle-là que le NWO ne veut pas ! Surtout pas !
L'Autriche refuse les programmes sociaux aux non-vaccinés
RépondreSupprimerPar Martin Armstrong
Économie Armstrong
23 septembre 2021
Le Dr Alexander Van der Bellen, qui a été investi président fédéral de la République d'Autriche le 26 janvier 2017, a adopté une autre position antidémocratique et autoritaire selon laquelle toute personne au chômage en raison des blocages de l'État qui refuse le vaccin perdra TOUS les avantages. C'est une tyrannie absolue et une honte pour tout pays qui prétend être libre. Il a été rapporté:
"Mesure inhabituelle : le ministre autrichien du Travail Martin Kocher (ÖVP) a décidé de bloquer les allocations de chômage pour les demandeurs d'emploi s'ils ne postulent pas pour un poste raisonnable parce qu'une vaccination y est requise ou n'accepte tout simplement pas un poste offert."
Quelque chose ne va vraiment pas. La vaccination était censée vous protéger, mais maintenant les non vaccinés menacent les vaccinés. Cela prouve-t-il alors que les vaccinations ne fonctionnent pas ? Si le taux de mortalité est inférieur à 1 %, alors pourquoi les gouvernements imposent-ils de tels vaccins ?
L'objet semble être de justifier le suivi de toutes les personnes. Si nous ne pouvons rien faire sans passeport COVID, alors nous revenons au même type de contrôle qu'Adolf Hitler. Vous ne pouvez pas monter dans un train en France sans passeport COVID. Le Canada fait la même chose pour les voyages. L'Australie transforme le pays en un camp de concentration où vous ne pouvez pas voyager à plus de 5 km de votre résidence, même si vous êtes vacciné.
En attendant, avec ce vaccin expérimental, nous n'avons aucune idée des effets à long terme. Nous sommes censés faire confiance à des gens comme Bill Gates, un décrocheur universitaire sans aucune formation médicale. Nos politiciens n'essaient pas de tuer des gens, mais ils essaient de transformer la société du pays de la liberté en un camp de concentration entièrement traqué où ils doivent savoir tout ce que nous faisons. Tout cela parce qu'ils ont l'intention d'éliminer la démocratie et d'adopter l'Agenda 2030 de Klaus Schwab, qui, je peux vous le dire, est un maniaque du contrôle notoire.
L'Europe se transforme peu à peu en camp de concentration. Certains pensent que cela reviendra bientôt à la normale s'ils s'y conforment, mais AUCUN VACCINE n'éliminera jamais aucun coronavirus, de même avec la grippe ou le rhume. C'est IMPOSSIBLE, car il réside aussi dans les animaux. Cela a donc été un mensonge géant, et ils nous le racontent petit à petit. Alors ils sont complets, et il est trop tard pour résister.
Alors que nos politiciens recherchent simplement le contrôle, Gates a un programme entièrement différent, prétendant se soucier de la société et, en même temps, organisant des réunions secrètes sur la réduction de la population mondiale. Et c'est le type que nos politiciens embrassent ? Je pense qu'ils sont trop occupés à compter leur argent et à rêver d'un pouvoir absolu. La création de passeports COVID sera la même que l'impôt sur le revenu en 1913 qui était de 1% uniquement sur les riches. Il est désormais criminel de ne pas déclarer d'impôt sur le revenu et si vous mettez de l'argent dans un coffre-fort, lisez les petits caractères - c'est maintenant du blanchiment d'argent défini comme le fait de cacher de l'argent au gouvernement. Les passeports COVID seront permanents - ils ne disparaîtront pas car il n'y aura JAMAIS de retour à la NORMALE. Quiconque croit que le gouvernement est tout simplement un imbécile sublime.
RépondreSupprimerRéimprimé avec la permission d'Armstrong Economics.
https://www.lewrockwell.com/2021/09/martin-armstrong/austria-denies-social-programs-to-non-vaccinated/
Travestie sanglante des vaccins contre Covid : des coups de feu aux caillots
RépondreSupprimerPar le Dr Joel S. Hirschhorn
Recherche mondiale
23 septembre 2021
Les gens sont confrontés à une décision difficile de prendre ou non un vaccin COVID expérimental ou même approuvé pour la première fois ou comme vaccin de rappel.
Tant d'informations racontent l'horrible histoire de personnes qui sont tombées malades ou sont décédées parce qu'elles n'ont pas été vaccinées.
Mais il y a aussi de plus en plus d'histoires d'infections à percée malgré la vaccination. Pourquoi ? Parce que ces vaccins ne fonctionnent pas très bien.
Tout aussi important que la baisse de l'efficacité des vaccins au fil du temps est la preuve croissante des dommages directs des vaccins. Leur sécurité n'est pas ce que proclament les agences gouvernementales. Et recevoir des injections de rappel ne fait que soulever des problèmes de méfait des vaccins.
Il est devenu de plus en plus clair que l'immunité naturelle obtenue à partir d'une infection antérieure au COVID est meilleure que l'immunité vaccinale. La solution idéale n'est pas de se faire vacciner, mais de considérer les protocoles de traitement comme des alternatives vaccinales.
Comment les gens peuvent-ils prendre de bonnes décisions en toute connaissance de cause concernant les vaccins ? Surtout ceux qui ont refusé de capituler devant la coercition et la propagande. Cet article fournit de bonnes informations sur les caillots sanguins et les saignements qui ont blessé et tué de nombreuses personnes dans le monde.
Les gens n'obtiendront pas d'informations solides sur les problèmes sanguins induits par les vaccins des grands médias traditionnels.
Si vous ne considérez que les statistiques sur le nombre de personnes bénéficiant de vaccins par rapport à un nombre inférieur subissant des effets secondaires néfastes, vous pourriez rejeter les points négatifs au profit des points positifs. Mais une incertitude importante concerne les impacts négatifs à long terme des vaccins qui pourraient affecter des millions de personnes vaccinées.
Cet article fournit un compte rendu convaincant des dangers du vaccin COVID. Si vous vous faites tirer dessus, vous pariez que vous n'en serez pas victime. Le dilemme est de savoir si ce pari vaut la peine d'être pris.
Ici, vous obtiendrez des résumés bien documentés des principales recherches récemment publiées sur deux types de caillots sanguins observés - microscopiques et de taille relativement grande - qui méritent une attention et une préoccupation sérieuses. En outre, les points de vue d'experts médicaux estimés sont fournis. Une conclusion inévitable est que les agences gouvernementales, avec le soutien des grands médias et de l'establishment médical, ne garantissent pas un consentement vraiment éclairé de ceux qui se font vacciner.
Concernant les vaccins expérimentaux COVID, le Dr Francis Christian a fait cette observation importante : « Je n'ai pas rencontré un seul enfant ou parent vacciné qui a été suffisamment informé et qui comprend alors les risques de ce vaccin ou ses avantages. » Sur la base de toutes les données sur les décès dus au COVID, il est clair que pour presque toutes les personnes de moins de 70 ans environ, les risques l'emportent sur les avantages.
RépondreSupprimerComprendre les termes médicaux et la recherche
La littérature médicale est difficile à lire et à comprendre, notamment en ce qui concerne les problèmes sanguins associés aux vaccins COVID. Pour acquérir une compréhension utile des risques vaccinaux, il est utile d'apprécier les termes médicaux utilisés.
Un article informatif est du Dr Veronica Hackethal d'avril. Il a noté que :
« L'Agence européenne des médicaments a déclaré qu'au 20 avril, il y avait eu 287 rapports de caillots sanguins rares avec un faible nombre de plaquettes après l'administration du vaccin AstraZeneca, huit avec Johnson & Johnson, 25 avec Pfizer et cinq avec Moderna. Les caillots sont remarquables car certains se sont produits dans des endroits inhabituels et mortels dans les veines qui drainent le cerveau (appelée thrombose du sinus veineux cérébral) et l'abdomen (appelée thrombose de la veine splanchnique). A noter que tous les principaux vaccins ont été cités.
Ce sur quoi il faut se concentrer est le problème des très faibles taux de plaquettes dans le corps qui peuvent provoquer des saignements anormaux, appelés thrombocytopénie, en particulier des saignements cérébraux mortels. Deux processus provoquent cette condition. La clairance plaquettaire est un processus auto-immun ; le système immunitaire du corps est hors de contrôle et mange des plaquettes ; c'est ce qu'on appelle la thrombocytopénie immunitaire (ITP). Deuxièmement, la consommation de plaquettes qui convertit les plaquettes sanguines en caillots dans le corps.
Le terme médical le plus largement utilisé est désormais « thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin » (VITT). Thrombotique fait référence aux caillots. La thrombocytopénie fait référence à un faible taux de plaquettes. Notez l'utilisation de vaccins induits pour classer cette affection médicale avec des caillots inhabituels signalés après des injections de vaccins expérimentaux COVID-19. Le VITT est un processus de consommation similaire à une maladie auto-immune. Certaines personnes essaient d'éviter ce terme car il fait explicitement référence à un problème de vaccin.
Un autre terme parfois utilisé à la place de VITT est la thrombocytopénie avec syndrome de thrombose (STT). Il évite l'utilisation de vaccins induits.
Si vous essayez de suivre la littérature médicale, vous verrez que pour VITT, les scientifiques ont identifié un auto-anticorps appelé anticorps anti-facteur plaquettaire 4 (PF4) qui favorise la coagulation et éventuellement des taux de plaquettes faibles et des saignements ; il peut être mesuré. Cela peut être testé.
RépondreSupprimerDeux autres termes qui peuvent être rencontrés sont la thrombose du sinus veineux cérébral (CVST) et la thrombose de la veine splanchnique [abdominale] (SVT).
Récemment, un autre terme médical est utilisé. Il s'agit d'un purpura thrombotique thrombocytopénique acquis (PTTa). Le TTP est depuis longtemps une maladie génétique auto-immune qui était autrefois très mortelle. Acquis est utilisé pour signifier un résultat de la vaccination COVID.
La National Library of Medicine des États-Unis définit le PTT comme « une maladie rare qui provoque la formation de caillots sanguins (thrombus) dans les petits vaisseaux sanguins dans tout le corps ; petit est très important car la présence de caillots microscopiques sera mise en évidence ci-dessous. Ces caillots peuvent causer de graves problèmes médicaux s'ils bloquent les vaisseaux et restreignent le flux sanguin vers des organes tels que le cerveau, les reins et le cœur. Le PTT peut être fatal ou causer des dommages durables, tels que des lésions cérébrales ou un accident vasculaire cérébral, s'il n'est pas traité immédiatement.
L'éminent Dr V. Zelenko voit le problème
Dans un article récent sur les dangers des vaccins expérimentaux COVID, le médecin expérimenté et pionnier Dr Zelenko a abordé le problème du sang. Il a reconnu que des caillots de sang ont été enregistrés comme effet secondaire des coups de feu. Il a expliqué que lorsqu'une personne est injectée avec les vaccins, le corps se transforme en une usine de pointes de protéines, générant des milliards de pointes qui se rendent à «l'endothélium», qui tapisse les vaisseaux sanguins, endommageant les cellules sanguines et provoquant des caillots sanguins. Plus précisément, il a expliqué que si cela se produit dans le cœur, cela peut entraîner une crise cardiaque, et si cela se produit dans le cerveau, cela peut entraîner un accident vasculaire cérébral. "Donc, nous voyons que la principale cause de décès à court terme est la formation de caillots sanguins, et la plupart se produisent dans les trois ou quatre premiers jours", a-t-il déclaré.
Il a également souligné le point important que
« L’immunité induite naturellement [from a prior COVID infection] est un milliard de fois plus efficace que l’immunité induite artificiellement par les vaccins. Alors pourquoi, pourquoi vacciner quelqu'un avec un vaccin mortel empoisonné qui produit des anticorps inférieurs ou dangereux alors que j'ai déjà des anticorps sains ? » argumenta-t-il.
Donc correct. Des millions de personnes ont une immunité naturelle protectrice que les gouvernements n'accordent pas le même crédit qu'ils accordent à l'immunité vaccinale.
RépondreSupprimerRapports de cas de sang
Des rapports sont venus d'Israël sur un TTP résultant de tirs expérimentaux de COVID. Un grand centre hospitalier a signalé 4 cas par mois, alors qu'il y a généralement 2 à 3 cas par an. Toutes les nouvelles victimes ont reçu un vaccin COVID dans les 5 à 28 jours. Il a également été signalé qu'il y avait des "cas similaires en Belgique et en Italie". En Israël, le vaccin expérimental de Pfizer a été lié à l'augmentation des cas d'aTTP.
Ce terme aTTP peut être attrayant pour les autorités car contrairement au terme plus largement utilisé VITT, il n'invoque pas explicitement un vaccin COVID, mais la nature d'aTTP est similaire à VITT à l'exception de l'accent mis sur les petits caillots.
Un autre rapport d'Israël a fait ces observations : « Plus de 30 pour cent des patients de Covid-19 souffrent de caillots sanguins, qui créent des blocages mortels dans les poumons, les reins, le cœur et le cerveau. Le Dr Abd Al-Roof Higazi, chef de la division des laboratoires et du département de biochimie clinique du centre médical de l'université Hadassah à Jérusalem, a découvert le mécanisme qui cause les caillots. Higazi et ses collègues ont publié l'année dernière un article dans la revue Blood de l'American Society of Hematology sur le peptide Alpha-défensine.
Ils ont découvert que ce peptide accélère la création de caillots sanguins et empêche leur désintégration. Ce contexte les a aidés à comprendre ce qui arrivait aux patients de Covid-19, car les médicaments anticoagulants existants n'ont pas d'impact sur l'alpha-défensine.
"Nous avons prélevé des échantillons de sang sur 80 patients du service des épidémies d'Hadassah et avons trouvé une concentration élevée d'alpha-défensine", a déclaré Higazi. « Plus la personne est malade, plus la concentration de ce peptide est élevée. »
Un article médical vient d'être publié sur un cas d'aTTP lié au vaccin expérimental Pfizer. Il a été noté que «le patient a reçu une deuxième dose de vaccin à ARNm [Pfizer] une semaine avant l'apparition des symptômes préoccupants.» Aucune autre cause de l'infliction n'a été trouvée. Avec des traitements médicaux avancés, le patient a survécu. Il a été noté que "le déclencheur du PTT était présumé être une vaccination récente".
Un cas a récemment été signalé en Corée du Sud : « Une étudiante de 21 ans est décédée une semaine après avoir reçu le premier vaccin Pfizer fin août. La famille n'a signalé aucun problème de santé sous-jacent. Apparemment, lorsqu'elle a été retrouvée morte dans son appartement, elle avait des taches violettes sur son corps. Il est souvent conclu que ces taches violettes résultent de saignements sanguins dus à une perte de plaquettes.
Deux cas de problèmes induits par le vaccin aux États-Unis ont été récemment signalés :
« Un joueur de basket-ball de 17 ans de l’Utah a souffert de caillots sanguins mortels à l’intérieur et à l’extérieur de son CERVEAU presque immédiatement après avoir reçu une inoculation de Covid, ce que les médecins ont découvert lorsque ses parents l’ont amené à l’hôpital avec une forte enflure du cou et des maux de tête intolérables. Le garçon ne pouvait même pas bouger son cou sans utiliser ses mains. Sa mère a dit qu'il était en parfaite santé avant ce vaccin. Et un homme du Colorado a déclaré que le vaccin Moderna lui avait fait développer deux caillots sanguins dans sa jambe gauche. »
Six décès sur 28 cas de caillots sanguins ont été signalés par l'Université de Yale pour le vaccin J&J aux États-Unis. dans les sinus veineux du cerveau. Il a également été noté qu'il y avait des taux de plaquettes anormalement bas dans leur sang, une situation inhabituelle également trouvée pour les personnes touchées par le vaccin AstraZeneca. Comme indiqué précédemment, les plaquettes sont utilisées pour former des caillots sanguins.
RépondreSupprimerLa mort précoce en Floride après la vaccination était une histoire horrible. En février, un cas d'hémorragie grave a tué un jeune médecin en bonne santé et il mérite qu'on s'y attarde car à ce moment-là, le problème du sang avait fait surface. Le médecin de Floride est décédé ; voici les faits saillants d'une actualité majeure.
« À peine trois jours après avoir reçu le vaccin Pfizer, le Dr Gregory Michael, 56 ans, de Miami Beach, a développé des symptômes de thrombocytopénie immunitaire, une maladie sanguine rare qui empêche la création de plaquettes, nécessaires à la coagulation. … il a passé deux semaines à l'hôpital où il est décédé d'une hémorragie cérébrale. Sa femme a révélé qu'il était entré aux urgences avec une numération plaquettaire de zéro et qu'il avait été immédiatement admis à l'unité de soins intensifs avec un diagnostic de « PTI aigu causé par une réaction au vaccin COVID ». Il est mort d'une hémorragie cérébrale raisonnablement imputée à son vaccin.
Cela aussi a été noté dans le reportage :
« D'autres qui ont reçu le vaccin Pfizer ou Moderna semblaient également avoir développé le même trouble. Luz Legaspi, 72 ans, s'est réveillée pour trouver des ecchymoses sur ses bras et ses jambes et des cloques saignantes dans sa bouche juste un jour après avoir reçu sa première dose du vaccin Modern. Lorsqu'elle s'est rendue dans un hôpital de New York, on lui a également diagnostiqué le même trouble sanguin.
Sa vie a été sauvée parce que ses médecins ont utilisé un traitement différent qui a fait passer son nombre de plaquettes de zéro à 6 000, à 40 000 et à 71 000 en bonne santé en quelques jours.
Le fait est qu'il y a eu des preuves très précoces de problèmes sanguins induits par le vaccin peu après le début des injections. L'histoire a noté que "37 personnes ont développé un tel trouble". Maintenant, des preuves considérables révèlent que le problème de faible taux de plaquettes est causé par la coagulation du sang.
Fait important, il y a eu un autre reportage également en février qui a noté :
« Au moins 36 personnes peuvent avoir développé une maladie sanguine rare, connue sous le nom de thrombocytopénie immunitaire (ITP), après avoir pris les vaccins COVID-19 de Pfizer et BioNTech ou Moderna. » Il a également été rapporté que le CDC a déclaré "Aucun cas de thrombocytopénie n'a été signalé au cours des essais des vaccins de Moderna ou de Pfizer". Des procès qui ont été précipités.
En poursuivant votre lecture, gardez à l’esprit que le problème du sang vaccinal est apparu peu de temps après le début de l’utilisation des vaccins expérimentaux COVID. Mais des mois plus tard, le gouvernement et le système de santé publique ont largement ignoré le problème du sang, tout comme les grands médias.
RépondreSupprimerProblèmes sanguins chez les personnes infectées mais asymptomatiques
Un nouvel article a fait de bons points sur les personnes qui ont été infectées mais qui n'ont apparemment subi aucun préjudice, mais qui avaient toujours des problèmes de sang avec des conséquences potentielles à plus long terme.
« Thrombosis Journal et d'autres publications ont décrit plusieurs cas de caillots sanguins dans les reins, les poumons et le cerveau de personnes qui n'avaient présenté aucun symptôme. Lorsque ces amas ressemblant à du gel se coincent dans une veine, ils empêchent un organe d'obtenir le sang dont il a besoin pour fonctionner, ce qui peut entraîner des convulsions, des accidents vasculaires cérébraux, des crises cardiaques et la mort.
Il y a eu relativement peu de ces rapports de cas - et il n'est pas clair si certains patients pourraient avoir eu d'autres problèmes sous-jacents qui auraient pu causer un caillot. Mais les chercheurs de l'État de Washington qui ont signalé un cas de caillot de sang rénal écrivent qu'il "suggère qu'un thrombus inexpliqué chez des patients par ailleurs asymptomatiques peut être le résultat direct d'une infection au COVID-19, et sert d'appel à l'action pour que les cliniciens des services d'urgence traitent événements thrombotiques inexpliqués comme preuve de COVID-19.''
C'est pourquoi il n'y a aucune raison de faire confiance aux tests de vaccins sur une courte période pour démontrer l'innocuité.
Un médecin canadien signale des niveaux élevés de caillots microscopiques
Le Dr Charles Hoffe pratique la médecine depuis 28 ans dans une petite ville rurale de la Colombie-Britannique, au Canada, et a récemment accordé une longue interview. Il a administré environ 900 doses du vaccin expérimental à ARNm Moderna à ses patients. Ainsi, contrairement à certains critiques, il n'est pas un médecin anti-vaccin ; au moins n'était pas à l'origine.
Le problème central qu'il a vu est la formation de caillots microscopiques dans les plus petits capillaires de ses patients. Il a dit
« Caillots sanguins se produisant au niveau capillaire. Cela n'a jamais été vu auparavant. Ce n'est pas une maladie rare. C'est un phénomène absolument nouveau.
Plus important encore, il a souligné que ces micro-caillots sont trop petits pour apparaître sur les tomodensitogrammes, l'IRM et d'autres tests conventionnels, tels que les angiogrammes, et ne peuvent être détectés qu'à l'aide du test sanguin D-dimère. Il s'agit d'un test standard qui indique si des caillots sanguins se forment activement quelque part dans le système vasculaire d'une personne.
RépondreSupprimerEn utilisant ce dernier, il a découvert que 62 pour cent de ses patients injectés avec un coup d'ARNm étaient positifs pour la coagulation, pas une petite fraction qui peut être facilement écartée. Il a expliqué ce qui se passe dans les corps. Les protéines de pointe dans le vaccin deviennent « une partie de la paroi cellulaire de votre endothélium vasculaire. Cela signifie que ces cellules qui tapissent vos vaisseaux sanguins, qui sont censés être lisses pour que votre sang circule bien, ont maintenant ces petits morceaux pointus qui dépassent. … lorsque la plaquette traverse le capillaire, elle frappe soudainement tous ces pics de COVID et il devient absolument inévitable que des caillots sanguins se forment pour bloquer ce vaisseau. » Médicalement, ces caillots sont susceptibles d'épuiser les plaquettes.
Il a fait une distinction importante :
« Les caillots sanguins dont nous entendons parler et dont les médias prétendent qu'ils sont très rares sont les gros caillots sanguins qui provoquent les accidents vasculaires cérébraux et apparaissent sur les tomodensitogrammes, les IRM, etc. Les caillots dont je parle sont microscopiques et trop petits pour trouver sur n'importe quel scan. Ils ne peuvent donc être détectés qu'à l'aide du test des D-dimères… Le plus alarmant est qu'il y a certaines parties du corps comme le cerveau, la moelle épinière, le cœur et les poumons qui ne peuvent pas se régénérer. Lorsque ces tissus sont endommagés par des caillots sanguins, ils sont définitivement endommagés.
Voici son point de vue scientifique pessimiste :
« les vaisseaux sanguins de leurs poumons sont maintenant bloqués. À son tour, cela oblige le cœur à travailler plus fort pour essayer de faire face à une résistance beaucoup plus grande en essayant de faire circuler le sang dans vos poumons. C'est ce qu'on appelle l'hypertension artérielle pulmonaire – une pression artérielle élevée dans les poumons parce que le sang ne peut tout simplement pas passer efficacement. Les personnes atteintes de cette maladie meurent généralement d'une insuffisance cardiaque en quelques années à peine.
Toutes ces opinions médicales fortes ont été supprimées par les grands médias, mais elles ont été bien couvertes par un autre site d'information alternatif. Et le médecin a attiré l'attention en soumettant une lettre ouverte au ministère provincial de la Santé. Un point clé était le suivant :
« Il faut souligner que ces personnes n'étaient pas des personnes malades, traitées pour une maladie dévastatrice. Il s'agissait de personnes auparavant en bonne santé, à qui on a proposé une thérapie expérimentale, aux effets secondaires à long terme inconnus, pour les protéger contre une maladie qui a le même taux de mortalité que la grippe. Malheureusement, leur vie est maintenant ruinée.
Le Dr canadien Byram Bridle, immunologiste viral et professeur agrégé à l'Université de Guelph, en Ontario, a fait valoir en juin un point important. À savoir, une fois en circulation, la protéine de pointe peut se fixer à des récepteurs ACE2 spécifiques qui se trouvent sur les plaquettes sanguines et les cellules qui tapissent les vaisseaux sanguins.
RépondreSupprimer"Lorsque cela se produit, cela peut faire l'une des deux choses suivantes : cela peut soit provoquer l'agglutination des plaquettes, soit entraîner une coagulation. C'est exactement pourquoi nous avons vu des troubles de la coagulation associés à ces vaccins. Cela peut aussi entraîner des saignements. Il a proclamé: "la libération des vaccins expérimentaux contre l'ARNm COVID a été une" grosse erreur "- et les conséquences à long terme sur la santé sont" effrayantes "."
Le concept de micro-caillots sanguins a également été invoqué par d'autres pour les graves impacts du COVID lui-même.
L'éminent Dr Peter McCullough a noté
"Donc, il s'agit d'un type de coagulation sanguine très différent que nous verrions avec des caillots sanguins majeurs dans les artères et les veines. Par exemple, les caillots sanguins impliqués dans les accidents vasculaires cérébraux et les crises cardiaques. Caillots sanguins impliqués dans les principaux vaisseaux sanguins des jambes. Il s'agissait d'un type de coagulation différent et en fait, les Italiens ont courageusement pratiqué des autopsies et ont trouvé des micro-caillots sanguins dans les poumons. Et donc, on a compris à la fin, la raison pour laquelle les poumons échouent n'est pas parce que le virus est là. C'est parce que des micro-caillots sanguins sont là. … Lorsque les gens ne peuvent pas respirer, le problème est la coagulation du micro-sang dans les poumons. … Le spicule sur la boule du virus lui-même qui endommage les vaisseaux sanguins et provoque la coagulation du sang.
Il a également déclaré ouvertement qu'aucun des vaccins COVID n'est sans danger pour la plupart des personnes à faible risque de COVID.
Si la protéine de pointe est la cause de micro-caillots sanguins dans COVID, il est également raisonnable de voir le même phénomène chez les personnes vaccinées imprégnées de protéines de pointe qui se déplacent dans tout le corps, comme l'a expliqué le Dr Hoffe.
En ce qui concerne les caillots dans tout le corps, considérez ce que le NIH a dit :
« Les caillots peuvent limiter ou bloquer le flux de sang riche en oxygène vers les organes du corps, tels que le cerveau, les reins et le cœur. En conséquence, de graves problèmes de santé peuvent se développer.
En ce qui concerne la situation au Canada, l'Agence de la santé publique du Canada (ASPC) a estimé en juillet le taux de coagulation sanguine liée au vaccin chez les Canadiens qui ont reçu le vaccin AstraZeneca et a déclaré qu'il y avait eu 27 cas confirmés à ce jour au Canada, avec cinq décès parmi ces cas, un taux de mortalité assez élevé.
Étude sur les hôpitaux de Northwell Health
Cette étude publiée en mai présentait de nombreux faits troublants sur les problèmes sanguins. Voici les faits saillants de cette étude sur des patients COVID hospitalisés de mars à mai 2020.
"Il y a entre trois et cinq fois le risque de caillots sanguins par rapport à l'ère pré-COVID", a déclaré Alex Spyropoulos, professeur aux Feinstein Institutes for Medical Research, qui fait partie du système hospitalier de New York Northwell Health. "Je n'ai jamais vu ce type de risque de caillot sanguin de ma vie."
Spyropoulos a dit
« Cette étude montre pour la première fois qu'un risque accru de caillots sanguins persiste après que les patients quittent l'hôpital… Il faut beaucoup de temps pour que les mécanismes immunitaires se calment… Le système inflammatoire et le système immunitaire et le système de coagulation ne savent pas que le le patient a quitté l'hôpital.
L'étude a suivi près de 5 000 patients après leur sortie de l'hôpital. Environ 13 pour cent des sujets ont été traités avec des anticoagulants à titre préventif.
RépondreSupprimer"Nous avons ciblé des groupes à haut risque", a déclaré Spyropolous. La principale découverte du côté de la solution était que « les anticoagulants post-congé, principalement à des doses prophylactiques, réduisent le risque d'événements thromboemboliques majeurs et de décès de 46%. »
Surtout, le médecin a noté que COVID semble déclencher la formation de ce qu'on appelle des microthrombus pulmonaires, ou de petits caillots qui se forment dans les vaisseaux sanguins des poumons. Exactement le point soulevé par le Dr Hoffe au Canada. En d'autres termes, les protéines de pointe pourraient agir de la même manière chez les victimes de COVID et chez les personnes vaccinées.
« Classiquement, nous serions en mesure de rechercher des signes de caillots sanguins dans les jambes avec une échographie ou dans les poumons avec une tomodensitométrie… Il est beaucoup plus difficile de diagnostiquer les microthrombi sans autopsie – et selon certaines estimations, 60 à 100 % des personnes hospitalisées avec COVID ont une sorte d'événement de coagulation lorsqu'elles meurent », a déclaré Spyropoulos.
Sans surprise, cette importante étude et ses conclusions n'ont reçu aucune couverture médiatique importante. Bien que les patients COVID aient été pris en compte, les résultats ont des implications majeures pour les problèmes sanguins résultant des vaccins, car les protéines de pointe sont les coupables dans les deux cas.
En effet, le Dr Sucharit Bhakdi, professeur à la retraite, microbiologiste et spécialiste des maladies infectieuses et de l'immunologie, a expliqué que les protéines de pointe sont la cause probable de tant de caillots sanguins dans le système vasculaire que votre système de coagulation est épuisé, entraînant des saignements (hémorragies) et thrombocytopénie — faible numération plaquettaire. Son point était que cela a été signalé dans des cas graves de COVID-19 et des individus vaccinés. Il a noté que :
"On sait que ces protéines de pointe, au moment où elles touchent les plaquettes, elles les activent et cela met en marche tout le système de coagulation."
Il existe un besoin majeur d'autopsies chez ceux dont les décès sont liés aux vaccins.
Dr Ryan Cole - Preuve de caillots sanguins d'un expert en pathologie
Il y a une vidéo très importante d'une présentation en août du pathologiste hautement accrédité et expérimenté, le Dr Ryan Cole, sur le sujet « Ce que la protéine de pointe du vaccin fait au corps ». Cette vidéo montre un grand nombre de lames médicales de différents types de tissus chez des victimes du vaccin COVID obtenues généralement à partir d'autopsies. Le Dr Cole montre de nombreux exemples de caillots sanguins microscopiques dans des tissus clés, tels que les poumons.
Son travail détaillé appuie fortement ce que le Dr Hoffe a trouvé et discuté.
RépondreSupprimerNouvelle recherche britannique très importante sur VITT
Ce mois-ci, la prestigieuse revue médicale The Lancet a publié une longue étude détaillée qui a vérifié que le VITT associé aux vaccins expérimentaux contre la COVD a des impacts médicaux plus graves que les hémorragies cérébrales non causées par les vaccins. Voici quelques faits saillants de cet article.
« Un nouveau syndrome de thrombocytopénie thrombotique immunitaire (VITT) induite par le vaccin est apparu comme un effet secondaire rare de la vaccination contre le COVID-19. »
L'étude a examiné les dossiers médicaux détaillés de "95 patients, 70 avaient VITT et 25 n'en ont pas". Tous avaient des problèmes de sang cérébral.
Voici la conclusion clé :
« Le principal résultat de décès ou de dépendance [personnel hospitalier nécessaire] s'est produit plus fréquemment chez les patients atteints de thrombose veineuse cérébrale associée au VITT (33 [47 %] sur 70 patients) par rapport au groupe témoin non-VITT (quatre [16 %] des 25 patients ; p = 0,0061). … Plus de patients sont décédés lors de l'admission dans le groupe thrombose veineuse cérébrale associée au VITT (20 [29 %] des 70 patients) que dans le groupe non-VITT (un [4 %] des 25 patients ; p = 0,011).
Encore une fois, un résultat significatif - un taux de décès sept fois plus élevé pour le problème sanguin induit par le vaccin.
La grande conclusion : « La thrombose veineuse cérébrale est plus sévère dans le cadre du VITT. » En d'autres termes, les caillots sanguins cérébraux étaient pires chez les patients VITT.
L'intervalle de temps médian entre la vaccination et l'apparition des symptômes de la thrombose veineuse cérébrale était de 9 jours chez les patients avec VITT et de 11 jours chez ceux sans VITT. Les pires résultats sont survenus plus rapidement chez les patients VITT.
Les patients de cette étude ont tous été vaccinés au plus tard le 30 avril 2021, et avant cette date, la plupart des personnes vaccinées au Royaume-Uni étaient âgées de 45 ans ou plus.
La principale conclusion était la suivante : « VITT semble être un effet secondaire très rare de la vaccination avec le vaccin (AstraZeneca), dont le risque est probablement largement compensé par le bénéfice de la vaccination contre COVID-19 pour la plupart des gens. » Cette vision positive des vaccins COVID est ce qui est normalement exprimé par les membres du corps médical. Peut-être craignent-ils les répercussions des bailleurs de fonds de la recherche et, peut-être, le rejet des éditeurs de revues médicales. Vos risques personnels valent-ils vos avantages personnels ?
Plus de nouvelles recherches au Royaume-Uni
Un nouvel article de chercheurs britanniques a identifié 170 cas précis et 50 cas probables de VITT. Tous les patients avaient reçu la première dose du vaccin AstraZeneca et se sont présentés 5 à 48 jours (médiane, 14) après la vaccination. La tranche d'âge était de 18 à 79 ans (médiane, 48), sans prépondérance sexuelle. Il est important de noter qu'il n'y avait aucun facteur de risque médical identifiable, ce qui signifie que la cause était sûrement le résultat du vaccin. De mars à juin 2021, la mortalité globale était de 22%. Mais ce taux de mortalité est passé à 73% chez les patients présentant une numération plaquettaire inférieure à 30 000 par millimètre cube [la numération plaquettaire normale varie de 150 000 à 450 000] et une hémorragie intracrânienne. Une découverte importante était que VITT a été imputé à la production d'anticorps anti-PF4 après exposition aux composants du vaccin.
Voici quelques détails sur les caillots trouvés chez les patients. La moitié avait des caillots dans les veines cérébrales (souvent compliqués par une hémorragie intracrânienne secondaire) [hémorragies cérébrales]. Et plus d'un tiers avaient des caillots dans les veines profondes des jambes et dans les artères pulmonaires.
RépondreSupprimerLes chercheurs ont indiqué des taux de VITT assez élevés chez les vaccinés, avec le produit AstraZeneca, à savoir au moins 1:100 000 chez les adultes, âgés de 50 ans ou plus, et au moins 1:50 000 pour les plus jeunes. Ou, compte tenu du nombre énorme de personnes vaccinées, elles se traduisent respectivement par 1 000 pour 100 millions et 2 000 pour 100 millions. Ce sont des taux élevés de VITT souvent mortels. Mais gardez à l'esprit que de nombreuses personnes peuvent mourir de problèmes sanguins, mais aucun test ou autopsie n'a été effectué pour vérifier la cause d'un vaccin.
[Comparez-les aux chiffres de mai de 400 problèmes sanguins pour 100 millions signalés par l'Autorité de réglementation médicale et sanitaire du Royaume-Uni (MHRA) et de 1 000 cas pour 100 millions de doses signalés par l'Allemagne.]
Commentant cette nouvelle étude, Rajiv Pruthi, de la Mayo Clinic, a exhorté les États-Unis à «rester vigilants» même si le vaccin AstraZeneca n'est pas autorisé à être utilisé par la FDA. "Les cliniciens qui voient des patients avec un faible nombre de plaquettes, des maux de tête, des caillots sanguins, quel que soit le vaccin qu'ils ont reçu, devraient envisager [VITT]", a-t-il déclaré. De très bons conseils que le public devrait connaître.
Un article d'avril « Towards Understanding [AstraZeneca] Vaccine-Induite Thrombotic Thrombotic Thrombocytopenia (VITT)" par le célèbre médecin et chercheur allemand Andreas Greinacher et ses collègues ont détaillé les mécanismes provoquant l'inflammation et les problèmes sanguins. "En résumé, notre étude fournit un mécanisme par lequel un vaccin vecteur adénoviral peut déclencher une réponse immunitaire conduisant à des anticorps anti-PF4 hautement réactifs [causant] des conséquences prothrombotiques." Leurs travaux portent également sur le vaccin J&J. En mai, le CDC a reconnu que 28 personnes âgées de 18 à 59 ans qui avaient reçu ce vaccin avaient développé des caillots sanguins.
Expertise de l'ancien cadre de Pfizer
En juin, l'ancien cadre de Pfizer, le Dr Michael Yeadon, a ajouté sa voix d'expertise approfondie sur les vaccins au problème des caillots sanguins.
"Ces vaccins contre le covid ne sont pas sûrs", a-t-il déclaré. "La conception basée sur les gènes fait que votre corps fabrique des protéines de pointe de virus, et nous savons et nous savons depuis des années que la protéine de pointe de virus déclenche des caillots sanguins", a expliqué Yeadon. "C'est un problème fondamental."
Le Dr Yeadon a révélé que les effets indésirables astronomiquement élevés du seul vaccin auraient dû les arrêter.
« Les jeunes ne sont pas sensibles au covid-19. Ils ne courent aucun risque », a déclaré le Dr Yeadon. "C'est une chose folle alors de les vacciner avec quelque chose qui est en fait 50 fois plus susceptible de les tuer que le virus lui-même."
RépondreSupprimerLe Dr Yeadon a déclaré que le système CDC VAERS avait signalé environ 5 000 décès par vaccin au cours des six premiers mois de 2021.
« Normalement, il y en a 200 par an pour tous les vaccins combinés », a-t-il déclaré.
"Je suis très pro des vaccins", a déclaré Yeadon. « Mon plus gros problème avec les vaccins [COVID] comprend de sérieuses inquiétudes quant à la sécurité. Ils n'ont pas été suffisamment testés », a-t-il expliqué. «Ils ont été approuvés frauduleusement pour une utilisation d'urgence, à mon avis, car ils ne devraient pas le faire s'il existe des médicaments sûrs et efficaces. Et il y a. Ils viennent d'être cachés.
Yeadon a déclaré que l'hydroxychloroquine, l'ivermectine, l'azithromycine et les stéroïdes inhalés sont tous sûrs et efficaces pour traiter le coronavirus.
Chacun a été supprimé par le Dr Fauci, l'establishment scientifique et les médias. C'est exactement la vérité. Vérité supprimée pour promouvoir l'utilisation des vaccins COVID.
Recherche de médecins pour l'éthique COVID
Un article de recherche médicale de juillet rédigé par deux médecins éminents, Michael Palmer et Sucharit Bhakdi, associés au groupe Doctors for COVID Ethics, a examiné la recherche originale effectuée pour le vaccin à ARNm de Pfizer. Voici les faits saillants de cet important document.
« Les dangers de la protéine de pointe du vaccin COVID-19 et ses interactions avec le système immunitaire humain, conférant des risques de coagulation et de fuite des vaisseaux sanguins, sont de plus en plus connus. Mais jusqu'où dans le corps de tels dangers peuvent-ils se propager ? Qu'est-ce que cela signifie pour la sécurité des vaccins ? »
« Nous résumons les résultats d'une étude animale que Pfizer a soumise aux autorités sanitaires japonaises en 2020, et qui portait sur la distribution et l'élimination d'un vaccin modèle à ARNm. Nous montrons que cette étude présageait clairement de graves risques de coagulation sanguine et d'autres effets indésirables. L'incapacité à surveiller et à évaluer ces risques dans les essais cliniques ultérieurs, et le processus d'examen par négligence grave en conjonction avec les autorisations d'utilisation d'urgence, ont entraîné de manière prévisible une catastrophe médicale sans précédent. »
« Les données animales de Pfizer laissaient clairement présager les risques et dangers suivants : coagulation du sang peu de temps après la vaccination, pouvant entraîner des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux et une thrombose veineuse. »
«Nous devons souligner à nouveau que chacun de ces risques pouvait être facilement déduit des données précliniques limitées citées, mais n'a pas été suivi d'enquêtes approfondies appropriées. En particulier, les essais cliniques n'ont surveillé aucun paramètre de laboratoire qui aurait pu fournir des informations sur ces risques, tels que ceux liés à la coagulation sanguine (par exemple, les D-dimères/thrombocytes), les lésions des cellules musculaires (par exemple, la troponine/créatine kinase) ou dommages (par exemple γ-glutamyltransférase). Que les divers organismes de réglementation aient accordé une autorisation d'utilisation d'urgence sur la base de données aussi incomplètes et insuffisantes ne constitue rien de moins qu'une négligence grave. »
RépondreSupprimer« Depuis que les soi-disant essais cliniques ont été menés avec une telle négligence, les vrais essais n'ont lieu que maintenant, à grande échelle et avec des résultats dévastateurs. Ce vaccin, et d'autres, sont souvent appelés «expérimentaux». Il est grand temps d'annuler cette expérience ratée. Continuer ou même imposer l'utilisation de ce vaccin toxique et la délivrance apparemment imminente de son approbation complète sont des crimes contre l'humanité. »
Le langage fort utilisé par ces médecins mérite le respect et ajoute du crédit à l'idée que nous nous lançons dans une dystopie vaccinale.
Recherche européenne sur les victimes de caillots sanguins provoqués par un vaccin
En juin, un article médical rédigé par des médecins et des chercheurs en médecine européens expérimentés a décrit quatre cas de patients souffrant de caillots sanguins induits par le vaccin COVID. Ils présentaient des symptômes variés qui ont posé des défis aux médecins à relever. Voici quelques faits saillants de cet article.
« La thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin (VITT) est une nouvelle entité qui a émergé en mars 2021 à la suite de rapports de thrombose inhabituelle après la vaccination (AstraZeneca). … La présente étude met en évidence les problèmes associés à la reconnaissance du VITT, les limites de l'orientation actuelle et la nécessité d'une vigilance clinique accrue à mesure que notre compréhension de la physiopathologie de cette nouvelle maladie évolue. … Au 4 avril 2021, un total de 169 cas de thrombose du sinus veineux cérébral (CVST) et 53 cas de thrombose de la veine splanchnique (SVT) avaient été signalés à la base de données européenne sur la sécurité des médicaments EudraVigilance.
« Au cours des dernières semaines, le concept de VITT est apparu comme une entité clinique entièrement nouvelle qui peut être associée à une morbidité et une mortalité importantes, même chez les receveurs jeunes et par ailleurs en bonne santé. Les données cliniques limitées concernant cette maladie rare associée à l'utilisation de vaccins adénoviraux contre la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) ont posé des défis cliniques importants. »
« Nous pensons que le spectre clinico-pathologique associé au VITT peut être beaucoup plus large que prévu initialement. Cette hypothèse est étayée par les cas présentés dans la présente étude.
RépondreSupprimer« Avec une meilleure connaissance de cette maladie, il est plus probable que les patients se présentent plus tôt, alors que le trouble est toujours en évolution. »
Ce qui est clair, c'est que l'état des caillots sanguins chez les personnes vaccinées est grave et que la capacité de la communauté médicale à traiter ou à reconnaître pleinement le problème est incertaine. Il y a encore trop d'allégeance aux vaccins.
Wall Street Journal et Nature Journal
A son actif, le Wall Street Journal a publié en juillet un long article sur la question des caillots sanguins du vaccin COVID. Voici les faits saillants de celui-ci.
« Des chercheurs canadiens disent avoir identifié une poignée d’acides aminés ciblés par des anticorps clés dans le sang de certaines personnes qui ont reçu le vaccin AstraZeneca Covid-19, offrant de nouveaux indices sur les causes des caillots sanguins rares associés au vaccin. »
« Les résultats évalués par des pairs, par une équipe de chercheurs de l'Université McMaster en Ontario, ont été publiés… par la revue scientifique Nature. Ils pourraient aider les médecins à tester et à traiter rapidement la coagulation inhabituelle, résultant d'un mélange immunitaire de coagulation et de perte de plaquettes qui arrêtent le saignement.
« La coagulation du sang, que certains scientifiques ont nommée thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin, ou VITT, a également été liée au tir Covid-19 de Johnson & Johnson, bien que des incidents se soient produits moins fréquemment avec ce tir qu’avec AstraZeneca. »
«Bien que rare, la maladie s'est avérée mortelle chez plus de 170 adultes après la vaccination au Royaume-Uni, en Europe et aux États-Unis, selon les décomptes du gouvernement. Beaucoup étaient de jeunes adultes qui semblaient en bonne santé avant la vaccination, selon les chercheurs et les régulateurs des médicaments. »
« Le nombre total de cas après la première ou la deuxième dose au Royaume-Uni était de 395 jusqu'au 23 juin… Sur les 395, 70 personnes sont décédées. Les responsables européens ont déclaré ce mois-ci avoir vu 479 cas potentiels de VITT sur 51,4 millions de vaccinations AstraZeneca… Beaucoup moins de cas potentiels – 21 … ont suivi les vaccinations J&J en Europe. Parmi ces cas, 100 décès sont survenus après la vaccination AstraZeneca et quatre après Johnson & Johnson, ont déclaré les régulateurs européens. » Ce sont des taux de mortalité élevés.
"NOUS. les responsables de la santé ont déclaré fin juin avoir identifié 38 cas confirmés de syndrome de la coagulation sanguine sur plus de 12,3 millions de personnes ayant reçu le vaccin J&J… Les Centers for Disease Control and Prevention ont déclaré en mai que trois cas avaient été mortels et des preuves « suggère une association causale plausible entre la combinaison de faibles taux de plaquettes et de la coagulation et le vaccin. » Encore une fois, cette combinaison peut expliquer des événements hémorragiques graves.
Quant à ce qui se passe à l'intérieur du corps :
RépondreSupprimer« [Dans] de rares cas, les personnes vaccinées ont subi une réaction auto-immune dans laquelle les anticorps se lient avec une force inhabituelle à un composant sanguin appelé facteur plaquettaire 4, ou PF4, formant des grappes distinctes ressemblant à une grappe de raisin. Ce soi-disant complexe immun, une formation moléculaire dans le sang, active plus de plaquettes, "comme mettre une allumette à l'essence", a déclaré John Kelton, auteur de l'article de Nature et chercheur à l'Université McMaster. Le processus s'accélère, selon lui et d'autres chercheurs, déclenchant simultanément des saignements et des caillots, parfois dans le cerveau, l'estomac et d'autres zones qui peuvent dans de rares cas être mortels. « Nous pensons que ces anticorps sont des amplificateurs incroyables, dans le mauvais sens, du système de coagulation normal », a déclaré le Dr Kelton. »
Fait intéressant, cet article n'a pas mentionné le cas discuté précédemment du médecin canadien et ses découvertes sur la coagulation sanguine microscopique.
New York Times
En avril, la couverture des arrêts de certains vaccins était limitée :
« Au début, c'était AstraZeneca. Maintenant Johnson & Johnson. La semaine dernière, les régulateurs britanniques et l'agence médicale de l'Union européenne ont déclaré avoir établi un lien possible entre le vaccin Covid-19 d'AstraZeneca et des caillots sanguins très rares, bien que parfois mortels. La pause dans l'utilisation du vaccin de Johnson & Johnson en Europe en raison de préoccupations similaires menace de nuire à un déploiement lent qui commençait tout juste à prendre de l'ampleur. »
Il a également été noté que les États ont suspendu l'utilisation du vaccin J&J après un avis américain.
« Les régulateurs ont demandé aux vaccinés et aux médecins de rechercher certains symptômes, notamment des maux de tête sévères et persistants et de minuscules taches de sang sous la peau. »
Journal de médecine de la Nouvelle-Angleterre
En avril, cette revue a publié trois articles de recherche sur la coagulation du sang liés aux vaccins COVID et un long éditorial de deux médecins examinant tous les travaux. Voici les faits saillants de ce dernier.
« Le Journal a maintenant mis en évidence trois descriptions indépendantes de 39 personnes atteintes d'un syndrome nouvellement décrit caractérisé par une thrombose et une thrombocytopénie qui se sont développées 5 à 24 jours après la vaccination initiale avec [le vaccin AstraZeneca]. … Ces personnes étaient en bonne santé ou dans un état médicalement stable, et très peu étaient connues pour avoir déjà eu une thrombose ou un état prothrombotique préexistant. La plupart des patientes incluses dans ces rapports étaient des femmes de moins de 50 ans, dont certaines recevaient un traitement de substitution aux œstrogènes ou des contraceptifs oraux. Un pourcentage remarquablement élevé de patients présentait des thromboses à des sites inhabituels - en particulier, une thrombose du sinus veineux cérébral ou une thrombose dans les veines porte, splanchnique ou hépatique. D'autres patients ont présenté des thrombus veineux profonds, des embolies pulmonaires ou des thromboses artérielles aiguës. … Des taux élevés de d-dimères et de faibles taux de fibrinogène étaient courants et suggèrent une activation systémique de la coagulation. Environ 40 % des patients sont décédés, certains d'une lésion cérébrale ischémique, d'une hémorragie superposée ou des deux affections, souvent après une anticoagulation. »
« Une meilleure compréhension de la façon dont le vaccin induit ces anticorps activant les plaquettes pourrait également donner un aperçu de la durée de l'exposition à l'antigène et du risque de réapparition de la thrombose, ce qui informera la nécessité d'une anticoagulation prolongée et pourrait conduire à des améliorations dans la conception du vaccin. »
RépondreSupprimer"Des cas supplémentaires ont maintenant été signalés à l'Agence européenne des médicaments, dont au moins 169 cas possibles de thrombose du sinus veineux cérébral et 53 cas possibles de thrombose de la veine splanchnique parmi 34 millions de receveurs du vaccin [AstraZeneca], 35 cas possibles de système nerveux central thrombose chez 54 millions de receveurs du vaccin ARNm Pfizer-BioNTech, et 5 cas possibles (mais non vérifiés) de thrombose du sinus veineux cérébral parmi 4 millions de receveurs du vaccin ARNm Moderna. Six cas possibles de thrombose du sinus veineux cérébral (avec ou sans thrombose de la veine splanchnique) ont été signalés parmi les plus de 7 millions de receveurs du vaccin Johnson & Johnson/Janssen.
Voici la conclusion finale : « Les questions de savoir si certaines populations peuvent être identifiées comme des candidats plus appropriés pour l'un ou l'autre vaccin et qui et comment surveiller cette complication potentielle rare nécessiteront une étude supplémentaire. » Mais il n'est pas clair si le CDC et le NIH financent de tels travaux.
Institut Salk
En avril, le Salk Institute a promu la couverture des recherches menées par un certain nombre de personnes qui lui sont associées. La principale conclusion était que la protéine de pointe associée au virus COVID et aux vaccins était liée aux accidents vasculaires cérébraux, aux crises cardiaques et aux caillots sanguins.
« L'article, publié dans Circulation Research, montre également de manière concluante que COVID-19 est une maladie vasculaire, démontrant exactement comment le virus SARS-CoV-2 endommage et attaque le système vasculaire au niveau cellulaire. … l'article fournit une confirmation claire et une explication détaillée du mécanisme par lequel la protéine [spike] endommage les cellules vasculaires.
Un article ultérieur en mai a examiné ces travaux et a fait plusieurs observations importantes. Voici son point de vue, comme pertinent pour les vaccins COVID.
« Le prestigieux Salk Institute… a rédigé et publié l’étude scientifique explosive révélant que la protéine de pointe SARS-CoV-2 utilisée dans les jabs Covid est ce qui cause réellement des dommages vasculaires. De manière critique, les trois vaccins expérimentaux Covid actuellement sous autorisation d'utilisation d'urgence au Royaume-Uni injectent aux patients la protéine de pointe ou, via la technologie de l'ARNm, demandent au corps du patient de fabriquer la protéine de pointe et de la libérer dans le système sanguin.
"L'étude du Salk Institute prouve que l'hypothèse faite par l'industrie des vaccins, selon laquelle la protéine de pointe est inerte et inoffensive, est fausse et dangereusement inexacte."
RépondreSupprimer« La recherche prouve que les vaccins Covid sont capables d’induire des maladies vasculaires et de provoquer directement des blessures et des décès dus à des caillots sanguins et à d’autres réactions vasculaires. Tout cela est causé par la protéine de pointe qui est intégrée dans les vaccins. »
Rapport de 57 experts médicaux
Ce rapport de mai a été préparé par près de cinq douzaines de médecins, scientifiques et experts en politiques publiques hautement respectés du monde entier. Il a été rendu public et a été envoyé d'urgence aux dirigeants mondiaux ainsi qu'à tous ceux qui sont associés à la production et à la distribution des différents vaccins Covid-19 en circulation aujourd'hui. Le rapport a exigé un arrêt immédiat des vaccinations contre le COVID. Le Dr McCullough était l'un des signataires.
« Malgré les appels à la prudence, les risques de vaccination contre le SRAS-CoV-2 ont été minimisés ou ignorés par les organismes de santé et les autorités gouvernementales », ont déclaré les experts.
Sur la question de la coagulation du sang chez les personnes vaccinées, le rapport dit ceci :
« Certains effets indésirables, notamment des troubles de la coagulation sanguine, ont déjà été rapportés chez des sujets sains et jeunes vaccinés. Ces cas ont entraîné la suspension ou l'annulation de l'utilisation des vaccins adénoviraux vectorisés [AstraZeneca] et [J&J] dans certains pays. Il a maintenant été proposé que la vaccination avec [vaccin AstraZeneca] peut entraîner une thrombocytopénie thrombotique immunitaire (VITT) médiée par des anticorps activant les plaquettes contre le facteur plaquettaire-4, qui imite cliniquement la thrombocytopénie auto-immune induite par l'héparine.
Cet article a été initialement publié sur Principia Scientific Intl.
Le Dr Joel S. Hirschhorn, auteur de Pandemic Blunder et de nombreux articles sur la pandémie, a travaillé sur des questions de santé pendant des décennies. En tant que professeur titulaire à l'Université du Wisconsin, Madison, il a dirigé un programme de recherche médicale entre les collèges d'ingénierie et de médecine. En tant que haut fonctionnaire du Congressional Office of Technology Assessment et de la National Governors Association, il a dirigé d'importantes études sur des sujets liés à la santé ; il a témoigné lors de plus de 50 audiences du Sénat et de la Chambre des États-Unis et est l'auteur de centaines d'articles et d'articles d'opinion dans les principaux journaux. Il a servi comme cadre bénévole dans un grand hôpital pendant plus de 10 ans.
Copyright © Joel S. Hirschhorn, Global Research, 2021
https://www.lewrockwell.com/2021/09/no_author/covid-vaccines-bloody-travesty-from-shots-to-clots/
Dès lors qu'est injecté une substance empoisonnée (appelée 'Expérimentation génique d'essais'), cette composition criminelle neutralise complètement l'immunité naturelle de toutes les personnes qui se sont laissés inoculer. Il va sans dire que ces victimes ont donc zéro vaccin dans leur organisme ! Et donc, à la moindre grippette qui passe: pchitt !
SupprimerComment se contenter d'une explication contrefactuelle d'une « pandémie » orchestrée ?
RépondreSupprimerLe récit officiel de Covid est un mensonge total
Par Paul Craig Roberts
PaulCraigRoberts.org
23 septembre 2021
Voici une collection d'articles de Global Research documentant la tromperie de Covid qui a été encouragée dans le monde occidental. La tromperie imposée aux gens est si contrefactuelle qu'il est difficile d'éviter la question de savoir si un agenda très sombre est en jeu. Notre insouciance et notre inaction permettent au filet de tromperie de nous enfermer et d'empêcher notre résistance.
Certains de ces articles ci-dessous donnent une partie de la tromperie mais ne sont pas au courant des autres parties de la tromperie et donnent ainsi du terrain au récit officiel. Lorsque vous les lisez, gardez à l'esprit ces points établis : (1) le test PCR est défectueux et les faux positifs de ce test sont à la base de la prétendue « pandémie », (2) les décès et les blessures dus aux vaccins à ARNm sont attribués à Covid. , pas au vaccin et ne sont pas signalés comme des réactions au vaccin, (3) les vaccins à ARNm entraînent en effet le virus à échapper à la réponse immunitaire, créant ainsi des variantes qui ne sont pas contrôlées par les réponses immunitaires. Alternativement, les réactions indésirables au vaccin sont appelées « variantes ».
Clairement, les vaccins à ARNm ne protègent pas. Ils aggravent la situation. L'ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer vous le dit lui-même.
Je vous ai donné suffisamment de faits dans des articles sur mon site Web que si vous ne comprenez pas maintenant que The Covid Deception est une attaque contre votre santé, votre carrière et vos libertés civiles, il n'y a aucun espoir pour vous. Si les informations ci-dessous ne parviennent pas à vous réveiller, vous êtes comme mort.
Vidéo : Blessures et décès liés au vaccin : un dénonciateur dénonce la corruption de VAERS
L'affirmation selon laquelle les COVID Jabs sont sûrs et efficaces s'est effondrée. « Forcer les employés à se faire poignarder par Covid Jabs »
Pfizer admet qu'Israël est la grande expérience du vaccin COVID-19
L'importance des démissions des fonctionnaires de la FDA responsables de la sécurité des vaccins
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Un pathologiste certifié par un laboratoire de diagnostic signale une augmentation de 20 fois du cancer chez les patients vaccinés
Enfants, vaccins contre la COVID et « consentement parental éclairé » : une lettre ouverte au premier ministre de l'Ontario, Doug Ford
Plus de preuves qu'ils savent que le vaccin COVID tue et mutile des gens et pourtant ils poursuivent leur programme de mort
RépondreSupprimerPoint de vue sur la pandémie de Covid. Quelqu'un ment à travers ses dents
Les experts disent que les vaccins de la FDA « nuisent à plus de personnes qu'ils n'en économisent », mais le directeur du NIH pense que les boosters seront approuvés dans les semaines à venir
Maintenant ils vont tuer les enfants
https://www.lewrockwell.com/2021/09/paul-craig-roberts/how-can-you-be-content-with-a-counterfactual-explanation-of-an-orchestrated-pandemic/
Ce que le mandat de vaccin de Biden signifie pour vous
RépondreSupprimerPar Joseph Mercola
Mercola.com
23 septembre 2021
Le 9 septembre 2021, dans un décret exécutif radical1, le président Joe Biden a mandaté toutes les entreprises américaines comptant 100 employés ou plus d'exiger la vaccination COVID ou des tests hebdomadaires, sous peine d'amendes fédérales pouvant aller jusqu'à 14 000 $ par violation. Biden a également ordonné aux entreprises de donner du temps aux employés pour recevoir les injections.
Biden exige également que tous les employés fédéraux et les entrepreneurs fédéraux obtiennent les clichés. Pour des raisons non précisées, les postiers et les membres du Congrès et leur personnel sont exemptés du mandat de vaccination. Biden n'a fait aucune exception pour les personnes qui ont déjà eu COVID et se sont rétablies, et ont donc des anticorps contre le virus.
Joe Biden a déclaré aux Américains lors de son élection qu'il n'imposerait pas de mandats de vaccination. Il a menti. ~ Ronna McDaniel, présidente du GOP
Il a également déclaré qu'il utiliserait son «pouvoir de président» contre tout gouverneur ne voulant pas suivre l'ordre «pour les mettre à l'écart». , 2021, 28 États repoussaient déjà les mandats fédéraux sur les vaccins.3
De nombreux États promettent de lutter contre le mandat inconstitutionnel
Le contrecoup a été rapide. Le Comité national républicain a rapidement annoncé qu'il poursuivrait l'administration Biden pour avoir émis un "mandat inconstitutionnel". La présidente du GOP, Ronna McDaniel, a fait une déclaration :4
« Joe Biden a déclaré aux Américains lors de son élection qu'il n'imposerait pas de mandats de vaccination. Il a menti. Désormais, les petites entreprises, les travailleurs et les familles de tout le pays en paieront le prix.
Comme beaucoup d'Américains, je suis pro-vaccin et anti-mandat. De nombreuses petites entreprises et travailleurs n'ont pas l'argent ou les ressources juridiques pour lutter contre les actions inconstitutionnelles et les décrets autoritaires de Biden, mais lorsque son décret entrera en vigueur, le RNC poursuivra l'administration pour protéger les Américains et leurs libertés.
Le sénateur républicain du Nebraska, Ben Sasse, a déclaré au Daily Caller :5
« Le président Biden cherche tellement à détourner l'attention de sa sortie honteuse et incompétente de l'Afghanistan qu'il dit des choses folles et pousse des décrets constitutionnels défectueux.
Il s'agit d'une tentative cynique de se battre et de détourner l'attention de la décision moralement honteuse du président de laisser les Américains derrière les lignes des talibans à l'occasion du 20e anniversaire du 11 septembre. Ce n’est pas ainsi que vous battez COVID, mais c’est ainsi que vous menez une campagne de distraction – c’est dégoûtant et le peuple américain ne devrait pas tomber dans le piège. »
Dans une série de tweets, le gouverneur du Dakota du Sud, Kristi Noem, a déclaré :6,7
RépondreSupprimer"Le Dakota du Sud se lèvera pour défendre la liberté @JoeBiden vous voit au tribunal", et "Mon équipe juridique est prête à déposer notre plainte à la minute où Joe Biden dépose sa règle inconstitutionnelle. Cet exemple flagrant d'intrusion fédérale ne tiendra pas.
Le gouverneur de Géorgie, Brian Kemp, a également publié une déclaration disant qu'il avait l'intention de "poursuivre toutes les options légales disponibles" pour mettre un terme à la "portée excessive manifestement illégale" de Biden, comme l'a fait le gouverneur de l'Arizona Doug Ducey, qui dans un tweet a déclaré:8
«C'est exactement le genre de grande portée gouvernementale que nous avons essayé si fort d'empêcher en Arizona – maintenant, l'administration Biden-Harris s'attaque aux entreprises privées et aux libertés individuelles d'une manière sans précédent et dangereuse. Cela ne tiendra jamais devant les tribunaux.
Cette approche dictatoriale est mauvaise, anti-américaine et fera beaucoup plus de mal que de bien. Combien de travailleurs seront déplacés ? Combien d'enfants ont été exclus des salles de classe ? Combien d'entreprises condamnées à une amende ? Le vaccin est et doit être un choix. Nous devons et allons repousser.
Les gouvernements de Floride risquent des amendes s'ils suivent l'ordonnance de Biden
En Floride, le gouverneur Ron DeSantis a contré l'édit de Biden avec l'un des siens. Tout gouvernement local qui fait de la vaccination COVID une exigence pour l'emploi se verra infliger une amende de 5 000 $ par violation.9 Lors d'une conférence de presse le 13 septembre 2021, DeSantis a déclaré :
«Nous allons défendre les hommes et les femmes qui nous servent. Nous allons protéger les emplois en Floride. Nous n'allons pas laisser les gens être licenciés à cause d'un mandat de vaccination.
Vous ne vous contentez pas de rejeter les personnes qui ont servi fidèlement cette question, ce qui est fondamentalement un choix personnel concernant leur santé individuelle. Nous ne pouvons pas laisser ces gens être mis de côté. Nous ne pouvons pas permettre que leurs emplois soient détruits.
J'allais inclure le discours de DeSantis dans cet article, mais il a depuis été supprimé pour "violation des directives de la communauté YouTube". Imaginez cela, qu'ils supprimeraient en fait l'opinion d'un gouverneur légalement élu sur ce sujet parce que cela viole leur tyrannie autoritaire.
Biden est clairement hors des limites légales
Il est peu probable que le décret de Biden soit maintenu devant les tribunaux, vu comment la loi fédérale interdit l'imposition de produits à usage d'urgence, qui par définition sont expérimentaux. Comme indiqué dans un rapport de mai 2021 de The Defender :10
« L'essentiel est le suivant : imposer des produits autorisés pour le statut d'autorisation d'utilisation d'urgence (EUA) enfreint la loi fédérale, comme indiqué dans les notifications légales suivantes.11
Tous les vaccins COVID, les tests PCR et antigéniques COVID et les masques sont simplement autorisés par l'EUA, non approuvés ou autorisés, par le gouvernement fédéral. L'innocuité et l'efficacité à long terme n'ont pas été prouvées.
RépondreSupprimerLes produits EUA sont par définition expérimentaux, ce qui nécessite que les gens aient le droit de les refuser. En vertu du Code de Nuremberg, fondement de la médecine éthique, nul ne peut être contraint de participer à une expérience médicale. Le consentement de la personne est « absolument essentiel ».
Plus tôt cette année, Mary Holland, présidente et avocate générale de Children’s Health Defense, et l’avocat Greg Glaser ont déclaré que la loi fédérale interdit aux employeurs d’exiger les vaccins EUA COVID (ou les tests ou masques EUA COVID-19). Holland et Glaser ont écrit :12
« Si un vaccin a été délivré par la FDA à l'EUA, il n'est pas entièrement autorisé et doit être volontaire. Une partie privée, comme un employeur, une école ou un hôpital ne peut pas contourner la loi EUA, qui interdit les mandats. En effet, la loi EUA interdisant les mandats est si explicite qu'il n'y a qu'un seul cas précédent concernant une tentative de mandater un vaccin EUA.
Si vous êtes comme la plupart, vous pensez probablement : « Eh bien, le décret de Biden est intervenu après que la Food and Drug Administration des États-Unis a donné son approbation complète au Pfizer/BioNTech COVID shot Comirnaty, donc le vaccin n’est pas sous EUA. » Vous auriez en partie raison. Mais surtout faux.
La différence entre le tir BNT162b2 de Pfizer et le comirnaty
La FDA a en effet donné son approbation complète à Comirnaty, mais ce produit ne devrait pas être disponible avant plus d'un an. Le seul tir Pfizer actuellement disponible, appelé BNT162b2, reste sous EUA. Nous devons remercier la FDA pour cette situation inhabituelle et déroutante, mais l'essentiel est que, bien que l'approbation ait été accordée à Comirnaty, ce produit n'est pas disponible.
La FDA souhaite que le BNT162b2 soit considéré comme interchangeable avec Comirnaty, mais d'un point de vue juridique, ils ne sont clairement pas identiques. BNT162b2, étant sous EUA, est indemnisé contre la responsabilité financière, alors que Comirnaty, une fois disponible, n'aura pas cette protection de responsabilité (à moins que Pfizer/BioNTech ne parvienne à obtenir une protection de responsabilité pour ce produit avant sa sortie).
En d'autres termes, si vous êtes blessé par le BNT162b2, votre seul recours est de demander une indemnisation au titre de la Countermeasures Injury Compensation Act (CICP).13 L'indemnisation du CICP est très limitée et difficile à obtenir. Au cours de ses 15 années d'existence, il n'a réglé que 29 réclamations, soit moins de 1 sur 10.14,15,16
Vous n'êtes admissible que si votre blessure nécessite une hospitalisation et entraîne une invalidité importante et/ou le décès, et même si vous répondez aux critères d'éligibilité, cela vous oblige à utiliser votre assurance maladie privée avant de commencer à payer la différence.
Il n'y a aucun remboursement pour la douleur et la souffrance, seulement les salaires perdus et les factures médicales impayées. Cela signifie qu'une personne retraitée ne peut pas être admissible même si elle meurt ou se retrouve dans un fauteuil roulant. L'indemnisation salariale est d'une durée limitée et plafonnée à 50 000 $ par an, et la décision du CICP est sans appel.
RépondreSupprimerSi des circonstances normales s'appliquent à Comirnaty, si vous étiez blessé par cette injection, vous seriez en mesure d'intenter une action en dommages-intérêts en vertu du plan national d'indemnisation des victimes de vaccins (VICP),17 donc d'un point de vue juridique, il y a une différence assez importante entre ces deux produits.
Notifications légales que vous pouvez utiliser
Si votre employeur ou votre école vous demande de vous faire vacciner contre la COVID, envisagez d’utiliser les notifications légales fournies par l’équipe juridique de Children’s Health Defense. Les avis informent les employeurs et les établissements d'enseignement qu'ils violent la loi fédérale.
Trois avis distincts peuvent être téléchargés à partir de la page Ressources juridiques pour la défense de la santé des enfants18 ; un pour les mandats de masque, un pour les tests PCR et un troisième pour les vaccins. Vous y trouverez également des informations sur la façon de demander une exemption religieuse pour les mandats de vaccin COVID-19 sur le lieu de travail.
Le mandat des vaccins annonce un système de crédit social de style communiste
Dans un épisode du 13 septembre 2021 de Fox News Fox & Friends, la co-animatrice Rachel Campos-Duffy a averti que les mandats de vaccination sont « le début du système de crédit social de style communiste », ajoutant :19
"Dr. Anthony Fauci dit maintenant que si vous n'avez pas le vaccin, vous ne devriez pas pouvoir voyager en avion. Je veux dire, cela se passe en Chine. En Chine… si vous n'êtes pas d'accord avec le gouvernement, vous ne pouvez pas monter dans un train. Ils vous bloquent. Ils ont un moyen de le faire, et c'est le début de ce système où si vous êtes un dissident, si vous n'êtes pas d'accord avec le parti au pouvoir, vous serez puni.
Allons-nous nous précipiter vers un système de crédit social où les comportements sont soit récompensés, soit punis selon les caprices des responsables du système ? Le refus de Biden de faire des exceptions pour ceux qui ont une immunité naturelle, qui n'ont aucun besoin d'imagination ni ne bénéficient d'un vaccin COVID, semble indiquer que nous nous dirigeons définitivement dans cette direction.
Donner aux personnes ayant une immunité naturelle un passeport de santé ne fonctionnera pas pour l'élite technocratique, car les personnes naturellement immunisées ne sont pas abonnées à un vaccin. Tout l'intérêt d'avoir un passeport vaccinal, c'est que vous perdez votre liberté à chaque fois qu'un nouveau rappel sort. Soit vous obtenez le rappel, soit vous perdez votre liberté.
Les personnes ayant une immunité naturelle ne peuvent pas être enfermées dans ce schéma de contrôle. Que vont-ils obliger les naturellement immunisés à faire pour conserver un passeport valide ? Ils ne peuvent pas gagner d'argent avec l'immunité naturelle, et ils ne peuvent pas l'utiliser pour contrôler.
Dans une lettre du 13 septembre 2021 à Biden, le PDG de la Consumer Brands Association, Geoff Freeman, a énuméré 19 des 50 questions reçues de ses sociétés membres20.
RépondreSupprimerTel que rapporté par Newsweek21, les détails du plan de Biden seront réglés par l'Administration américaine de la sécurité et de la santé au travail (OSHA), mais en attendant, Freeman a appelé l'administration Biden à répondre à certaines des questions les plus urgentes.
L'OSHA permet aux employeurs de se tirer d'affaire pour les blessures causées par les vaccins
En parlant de l'OSHA, en mai 2021, l'agence a discrètement révoqué22 l'exigence23 pour les employeurs qui obligent le vaccin à enregistrer les effets secondaires en tant qu'événement lié au travail. Ce faisant, l'OSHA s'est soulagé, ainsi que les employeurs, d'avoir à payer l'indemnité des travailleurs si un employé est blessé par un tir COVID obligatoire. L'OSHA a tenté de justifier sa décision en déclarant :
« L'OSHA ne souhaite pas avoir l'air de décourager les travailleurs de se faire vacciner contre le COVID-19, et ne souhaite pas non plus décourager les efforts de vaccination des employeurs.
En conséquence, l'OSHA n'appliquera pas les exigences d'enregistrement du 29 CFR 1904 pour obliger tout employeur à enregistrer les effets secondaires des travailleurs de la vaccination COVID-19 jusqu'en mai 2022. Nous réévaluerons la position de l'agence à ce moment-là pour déterminer le meilleur plan d'action pour aller de l'avant. "
Les personnes ayant une immunité naturelle se tournent vers la loi
Dans les jours à venir, notre système judiciaire est voué à s'encombrer de poursuites contre les employeurs, les écoles et les gouvernements. Le professeur de droit Todd Zywicki a récemment poursuivi24 George Mason University en Virginie pour leur mandat de vaccination, car il a une immunité naturelle. Zywicki a discuté de son procès dans un commentaire du Wall Street Journal du 6 août 2021.25
Son procès a souligné que les personnes dotées d'une immunité naturelle ont un risque accru de réactions indésirables au vaccin COVID - selon une étude26 jusqu'à 4,4 fois le risque d'effets secondaires cliniquement significatifs - et que l'exigence viole les droits à une procédure régulière, le droit de refuser traitement médical non désiré et n'est pas conforme à l'autorisation d'utilisation d'urgence.27
Le 17 août 2021, l'Université George Mason a cédé avant que l'affaire ne soit jugée et a accordé à Zywicki une exemption médicale.28 Malheureusement, l'école n'a pas révisé sa politique générale.
Un certain nombre d'autres poursuites ont également été déposées, dont une par plus d'une douzaine d'étudiants et Children's Health Defence contre l'Université Rutgers du New Jersey29 et une par six travailleurs de l'Oregon qui poursuivent l'État au motif qu'ils ont déjà une immunité naturelle. 30 Les plaignants comprennent deux agents pénitentiaires, un EMT, un directeur de cabinet médical, un chauffeur d'autobus scolaire et un agent spécial chargé d'une unité d'enquête du ministère de la Justice de l'Oregon.
RépondreSupprimerJason Dudash, directeur de la section de l'Oregon de la Freedom Foundation, qui représente les employés de l'État, a accusé le gouverneur de l'Oregon, Kate Brown, d'être «affamé de pouvoir au milieu de la pandémie». « Les tribunaux doivent établir une approche plus logique et fondée sur la science », a-t-il déclaré.31
Des membres du service militaire intentent une action en justice pour un mandat de vaccination
Les membres du service militaire dotés d'une immunité naturelle poursuivent également le ministère de la Défense, la FDA et le ministère de la Santé et des Services sociaux. Tel que rapporté par The Defender :32
«Les principaux plaignants dans le procès, le sergent d'état-major Daniel Robert et le sergent d'état-major Holli Mulvihill, allèguent que la sec. de la Défense Lloyd Austin a ignoré les propres réglementations du DOD et a créé une toute nouvelle définition de «l'immunité totale» comme n'étant réalisable que par la vaccination.
Selon le procès, les lois et règlements militaires existants prévoient sans équivoque l'exemption demandée par les plaignants en vertu du règlement de l'armée 40-562 (« AR 40-562 »), qui accorde aux survivants documentés d'une infection une exemption médicale présumée de la vaccination en raison de la nature immunité acquise du fait d'avoir survécu à l'infection...
Le Dr Amiral Brett Giroir, secrétaire adjoint du HHS, a déclaré dans une interview le 24 août avec Fox News: «Donc, l'immunité naturelle, c'est très important … Il n'y a toujours pas de données suggérant que l'immunité vaccinale est meilleure que l'immunité naturelle. Je pense que les deux sont très protecteurs.
Pourtant, le même jour, Austin a publié une note de service obligeant l'ensemble des forces armées à être vaccinées, dans laquelle il écrivait: "Ceux qui ont déjà été infectés par COVID-19 ne sont pas considérés comme complètement vaccinés."
Dans cette note, les plaignants allèguent qu'Austin a créé un nouveau terme et un nouveau concept, qui contredisent le langage clair des propres réglementations du DOD, la pratique de l'immunologie de longue date, l'éthique médicale et le poids écrasant des preuves scientifiques concernant ce virus spécifique.
Les plaignants affirment qu'Austin, qui n'est pas un médecin, a modifié le propre règlement du DOD sans fournir "une étincelle de preuves pour le soutenir". revoir."
Le procès souligne également que les essais de phase 3 de Pfizer, qui est la phase dans laquelle les effets secondaires à long terme sont détectés, ne seront pas terminés avant 2023. De plus, le procès met en évidence le fait que Pfizer a levé l'aveugle des deux cohortes au milieu de l'essai et éliminé le groupe témoin en offrant le véritable « vaccin » à tous les témoins.
Ce faisant, Pfizer a transformé l'étude d'un essai en aveugle contrôlé par placebo en une étude d'observation ouverte, et la FDA l'a autorisé. Les études observationnelles n'ont pas le même poids que les essais contrôlés par placebo, car vous n'avez rien à comparer avec le groupe de traitement. Il est très facile d'ignorer même les blessures graves lorsque vous n'avez aucun groupe de contrôle.
RépondreSupprimerFauci prévient qu'il y aura «beaucoup plus de mandats de vaccins»
À l'approche des deux ans de cette pandémie, il est temps que notre système judiciaire se mette en marche et protège le public. Les pouvoirs d'urgence accordés aux gouverneurs ne sont pas censés durer éternellement, et les droits que nous accorde la Constitution américaine n'ont jamais été destinés à être suspendus et mis de côté en temps de crise médicale. Il est temps que cette anarchie rampante soit maîtrisée.
Reste à voir si cela se produira ou non. Ce dont nous pouvons être sûrs, c'est que si notre système juridique manque à son devoir, le phare de la liberté dans ce monde sera perdu. Comme le rapporte CNN33, Fauci avertit que « si davantage de personnes ne sont pas persuadées de se faire vacciner par les messages des responsables de la santé et des » messagers politiques de confiance « , des mandats supplémentaires des écoles et des entreprises peuvent être nécessaires ».
L'élite technocratique ira jusqu'au bout car elle se bat pour la Grande Réinitialisation. Et la grande réinitialisation ne fonctionnera pas si les gens sont libres. Ils ont besoin d'un effet de levier sur la population, ce qui est précisément l'objet des passeports vaccinaux.
Jacobson c. Massachusetts : une décision aux conséquences tragiques
En conclusion, ceux qui soutiennent l'imposition de vaccins expérimentaux au COVID se réfèrent généralement à l'affaire Jacobson c. Massachusetts de 1905, qui est souvent interprétée comme donnant au gouvernement le droit de forcer tout le monde à vacciner pour le bien commun. Cependant, comme l'a noté Alex Berenson dans un récent billet de blog34, nous devons vraiment regarder à quel moment ce verdict a été rendu.
Dans les années qui ont entouré le verdict Jacobson c. Massachusetts en 1905, la Cour suprême des États-Unis a également statué en faveur de la discrimination raciale, du monopole des entreprises, du travail des enfants et a fait de l'interrogatoire du gouvernement une infraction passible de prison. La même année, en 1905, ils ont décidé que les travailleurs n'avaient aucun droit. En 1923, ils ont déclaré que les lois sur le salaire minimum étaient illégales et en 1927, ils ont accepté la stérilisation forcée sur la base de la décision Jacobson.
La plupart de ces décisions ont depuis été annulées, et pour des raisons évidentes. La plupart des gens ne sont plus d'accord avec la discrimination raciale, les monopoles et le travail des enfants. La plupart conviennent que les lois sur le salaire minimum sont une bonne chose et que remettre en question le gouvernement est un droit inattaquable qui est nécessaire au fonctionnement de la démocratie. L'affaire Jacobson c. Massachusetts de 1905 n'est pas différente. Il a été créé à une autre époque, lorsque les droits individuels et humains étaient régulièrement annulés.
Comme l'a noté la présidente du National Vaccine Information Center Barbara Loe Fisher dans « How Fear of a Virus Changed Our World » :35
RépondreSupprimer« En utilisant une mauvaise logique et une mauvaise science tout en s'appuyant fortement sur la pseudo-éthique de l'utilitarisme, les gouvernements des États ont reçu le feu vert pour exiger légalement la vaccination sur la base d'une" croyance commune "que la vaccination est sûre et efficace, plutôt qu'un fait prouvé.
Agitant pieusement le drapeau du plus grand bien pour justifier de jeter les libertés civiles par la porte, la majorité du tribunal a statué que les citoyens n'ont pas le droit légal d'être libres à tout moment car il existe « de multiples contraintes auxquelles chaque personne est nécessairement soumise pour le bien commun '…
Mais les juges ont également averti que les lois sur la vaccination obligatoire ne devraient pas être imposées à une personne dont l'état physique rendrait la vaccination "cruelle et inhumaine au dernier degré". Ils ont déclaré :
«Nous ne devons pas être compris comme estimant que la loi était destinée à être appliquée dans un tel cas ou, si tel était le cas, que le pouvoir judiciaire ne serait pas compétent pour interférer et protéger la santé et la vie de la personne concernée. « Toutes les lois », a déclaré cette Cour, « devraient recevoir une interprétation sensée » …
En cette période de peur et de confusion, l'arrêt Jacobson nous rappelle également que ce sont les représentants démocratiquement élus dans les assemblées législatives des États qui élaborent les lois de santé publique régissant les personnes vivant dans différents États. En effet, ce qui n'est pas défini dans la Constitution des États-Unis comme une activité fédérale est réservé aux États, ce qui constitue un contrôle important du pouvoir du gouvernement fédéral.
Les législateurs élus de votre État peuvent choisir d'imposer quelques ou plusieurs vaccins avec ou sans exemptions, tandis que le gouvernement fédéral a le pouvoir d'imposer des vaccinations pour les personnes entrant aux États-Unis ou traversant les frontières de l'État.
Le sénateur Warren menace Amazon d'interdire « la vérité sur le COVID-19 »
Depuis la publication de mon dernier livre, « The Truth About COVID-19 », qui est devenu un best-seller instantané sur Amazon.com, il y a eu une augmentation significative des appels à la censure et des attaques impitoyables contre moi.
Plus récemment, la sénatrice américaine dite « progressiste » Elizabeth Warren, D-Mass., dans une tentative scandaleuse, calomnieuse et fondamentalement inconstitutionnelle de supprimer la liberté d'expression, a envoyé une lettre à Amazon, exigeant un « examen immédiat » de leurs algorithmes à éliminer les livres colportant la «désinformation COVID».
RépondreSupprimerWarren a spécifiquement désigné « La vérité sur le COVID-19 » comme un excellent exemple de « livres hautement classés et favorablement étiquetés basés sur des mensonges sur les vaccins et les remèdes COVID-19 » qu'elle souhaite voir interdits à la vente.
Deux jours plus tard, le représentant américain Adam Schiff, D-Calif., a suivi les traces de Warren, envoyant des lettres à Facebook et Amazon, appelant à une censure plus prolifique des informations sur les vaccins. Même le président Joe Biden a récemment utilisé un rapport démystifié comme sa seule source pour appeler à ma censure.
Malheureusement, ces attaques sont perpétrées par les personnes mêmes élues pour sauvegarder la démocratie et nos droits constitutionnels. Essentiellement, ce qu'ils réclament, c'est la gravure de livres modernes. C'est une démocratie, pas une monarchie.
Sources and References
1 American Military News September 9, 2021
2, 3, 7 ZeroHedge September 11, 2021
4, 5 Daily Caller September 9, 2021
6 Twitter Kristi Noem September 9, 2021
8 Twitter Doug Ducey September 9, 2021
9 The Hill September 13, 2021
10 The Defender May 18, 2021
11, 18 Children’s Health Defense Legal Resources
12 The Defender January 29, 2021
13 Congressional Research Service Legal Sidebar CICP March 22, 2021 (PDF)
14 Life Site News June 15, 2021
15 Insurance Journal August 14, 2020
16 Insurance Journal December 29, 2020
17 HRSA September 2021
19 Media Matters September 13, 2021
20, 21 Newsweek September 13, 2021
22 Ogletree May 6, 2021
23 Ogletree April 21, 2021
24 Zywicki vs George Mason University Case 1:21-cv-00894
25 WSJ August 6, 2021
26 JAMA Internal Medicine August 16, 2021 [Epub ahead of print]
27, 28 Citizens Journal August 25, 2021
29 Children’s Health Defense vs Rutgers Case 2: 21-cv-15333
30 Oregon Live September 10, 2021
31 Washington Free Beacon September 10, 2021
32 The Defender September 1, 2021
33 CNN September 14, 2021
34 Alex Berenson Substack September 13, 2021
35 NVIC June 1, 2020
https://www.lewrockwell.com/2021/09/joseph-mercola/what-bidens-vaccine-mandate-means-for-you/
Drs. Peter Daszak et Anthony Fauci doivent être ARRÊTÉS, alors que de nouvelles informations émergent documentant l'amélioration et le déploiement prévus du coronavirus
RépondreSupprimerMercredi 22 septembre 2021
par : Lance D Johnson
(Natural News) Une équipe de scientifiques nommée Drastic a enquêté sur les origines de covid-19, découvrant plusieurs années de recherche sur les coronavirus à gain de fonction. Lorsque la séquence génétique de covid-19 a été identifiée pour la première fois, les scientifiques ont été consternés par l'évolution du virus, par la façon dont il contenait une adaptation améliorée spécifique à l'homme au niveau du site de clivage de la protéine de pointe. Maintenant, il devient clair comment cela est arrivé.
Drastic a dévoilé une série de propositions de subventions controversées soumises par le zoologiste Peter Daszak d'EcoHealth Alliance à New York. Ces subventions visaient non seulement à améliorer l'infectiosité des coronavirus, mais visaient également à libérer des nanoparticules de protéines de pointe hautement pénétrables dans la nature ! Le projet contraire à l'éthique a demandé 14 millions de dollars à la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) et devait être lancé en 2018.
Voir le document DRASTIC complet sur ce lien, archivé sur les serveurs NN.
Le Dr Daszak avait l'intention de libérer des protéines de pointe de coronavirus améliorées dans la nature
La DARPA n'a pas approuvé les 14 millions de dollars et a déclaré: "Il est clair que le projet proposé dirigé par Peter Daszak aurait pu mettre les communautés locales en danger." La DARPA a averti que Daszak et son équipe n'avaient pas correctement pris en compte les dangers de l'amélioration du virus et de la diffusion d'un vaccin par voie aérienne. Ni la DARPA ni le NIH n'ont essayé d'empêcher la recherche d'aller de l'avant, cependant.
Ces subventions révèlent l'INTENTION de Daszak de développer et de libérer des virus hautement infectieux et des nanoparticules de protéines de pointe pour faire avancer la recherche sur les vaccins. Daszak est rejoint par le Dr Shi Zhengli, la « femme chauve-souris » de l'Institut de virologie de Wuhan, ainsi que par des chercheurs américains de l'Université de Caroline du Nord et du National Wildlife Health Center de l'United States Geological Survey.
Daszak et ses collaborateurs prévoyaient de développer des virus chimériques génétiquement améliorés qui pourraient facilement infecter les humains. Selon les documents, les chercheurs ont cherché à combiner des « sites de clivage spécifiques à l'homme » aux coronavirus de chauve-souris, permettant aux virus de pénétrer facilement dans les cellules humaines. La proposition visait même à améliorer le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS), une souche de coronavirus à faible transmissibilité mais avec un taux de mortalité de 30 % !
Cette recherche exigeait que les scientifiques de l'Institut chinois de virologie de Wuhan libèrent intentionnellement des coronavirus améliorés en suspension dans l'air dans les populations de chauves-souris en Chine. Ces populations de chauves-souris devaient ensuite être inoculées avec des vaccins expérimentaux contre des maladies susceptibles de se propager aux populations humaines. La recherche aiderait les scientifiques à identifier les agents pathogènes les plus préoccupants afin que des programmes de vaccination lucratifs puissent être développés. Cette recherche controversée a été proposée dix-huit mois seulement avant que le premier cas de covid-19 ne soit identifié à Wuhan en Chine. Daszak a écrit dans la demande de subvention qu'ils « mèneraient des actions de sensibilisation… afin que le public comprenne ce que nous faisons et pourquoi nous le faisons, en particulier en raison de la pratique de la consommation de chauves-souris dans la région ».
RépondreSupprimerAngus Dalgleish, professeur d'oncologie à St Georges, Université de Londres, a déclaré que les recherches de Daszak auraient pu se poursuivre sans les fonds de la DARPA, en particulier avec le temps, l'énergie et l'argent déjà investis dans le projet. "Il s'agit clairement d'un gain de fonction, de la conception du site de clivage et du polissage des nouveaux virus pour améliorer l'infectibilité des cellules humaines dans plus d'une lignée cellulaire", a déclaré Dalgleish – contredisant le Dr Anthony Fauci, qui a nié le fait que le NIAID ait financé ce type de recherche.
Daszak, Fauci et leurs collaborateurs doivent être arrêtés, avec une enquête pénale complète à suivre
Selon la publication du document, le Dr Daszak et ses collaborateurs prévoyaient de libérer des nanoparticules qui pourraient pénétrer dans la peau. Ces nanoparticules contenaient de «nouvelles protéines de pointe chimériques» provenant de coronavirus de chauve-souris. Ces protéines de pointe améliorées et pénétrant la peau devaient être libérées dans les chauves-souris des cavernes du Yunnan, en Chine. Les documents révèlent que le covid-19 est plus qu'un virus. C'est une arme biologique qui a été stratégiquement développée et dont le déploiement est prévu en 2018.
Le PCC travaillant en étroite collaboration sur cette recherche, il est plausible que ces nanoparticules de protéines de pointe aient pu être libérées n'importe où dans le monde, furtivement et sans remords. Ces nanoparticules de protéines de pointe peuvent être libérées au-dessus des villes pour paralyser les systèmes médicaux et exploiter les vulnérabilités des hôpitaux et des systèmes immunitaires fragiles. Ils pourraient également être utilisés pour cibler des types spécifiques de personnes dans des lieux d'événements spécifiques. Des documents d'informations supplémentaires révèlent que l'armée chinoise a planifié le développement et le déploiement d'armes biologiques en aérosol pour « provoquer l'effondrement du système médical de l'ennemi ».
Les demandes de subvention de Daszak comprennent des expériences de libération d'animaux et de virus contraires à l'éthique, avec la menace de graves répercussions sur les populations humaines. Le Dr Peter Daszak et le Dr Anthony Fauci sont coupables des origines du covid-19. Il est primordial que ces médecins soient ARRÊTÉS. De nombreux membres de la communauté scientifique demandent une enquête CRIMINELLE complète sur leurs rôles dans l'établissement et la réalisation de ces projets de recherche diaboliques et macabres. Daszak et Fauci doivent être traduits en justice et interrogés, la grande communauté scientifique appelant à un nouveau système d'éthique pour arrêter ces expériences mortelles sur les animaux et les humains et pour arrêter la censure et les abus. Toutes les recherches pertinentes sur le gain de fonction auxquelles ces médecins ont participé, supervisé et menti doivent être présentées et méticuleusement traitées.
RépondreSupprimerAu début de 2020, Daszak a conspiré avec plusieurs autres scientifiques qui ont été investis dans la recherche sur le gain de fonction des coronavirus. Daszak est l'auteur de l'article du Lancet pour mettre fin à tout débat ou enquête scientifique sur les origines de covid-19. Daszak a même remercié Fauci dans des courriels privés pour avoir minimisé la théorie des fuites de laboratoire devant la scène mondiale. Fauci a menti au Congrès américain au sujet de la recherche qu'il a approuvée et financée, niant son rôle bien documenté dans la supervision de ces projets de recherche contraires à l'éthique sur le gain de fonction des coronavirus qui exploitent le système immunitaire humain.
Sources include:
Telegraph.co.uk
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2021-09-22-peter-daszak-anthony-fauci-should-be-arrested.html
La police de Melbourne OUVRE LE FEU sur des manifestants pacifiques avec des balles en caoutchouc, SNATCH des gens dans les rues lors du dernier spectacle de tyrannie covid en fuite
RépondreSupprimerMercredi 22 septembre 2021
par : Ethan Huff
(Natural News) Les choses se réchauffent vraiment en Australie, qui est rapidement devenue l'un des endroits les plus médicalement fascistes de la planète grâce au coronavirus de Wuhan (Covid-19).
Des policiers de Melbourne auraient ouvert le feu sur des manifestants, les tirant de balles en caoutchouc pour leur opposition au masque hautement oppressif, au vaccin et aux mandats de distanciation qui ont été rétablis en raison de la «variante delta».
Comme vous vous en souvenez peut-être à l'automne dernier, Melbourne était le point zéro de la tyrannie de la grippe Fauci. Les politiciens appelaient à l'arrestation de toute personne qui osait rompre la quarantaine, et les résidents ont été informés qu'ils devaient porter un masque même à l'extérieur pour pouvoir faire quoi que ce soit en dehors de chez eux.
Juste au moment où il semblait que tout revenait à la normale, est arrivée la variante delta, qui, selon toutes les apparences, est issue des «vaccins».
Maintenant, les Australiens sont agressés par les forces de l'ordre pour avoir tenté de reprendre leurs droits. Certains sont même arrachés à la rue – regardez la vidéo ci-dessous – en guise de punition pour avoir fait entendre leur voix.
Dans une autre vidéo capturée sous un angle différent, vous pouvez voir des policiers de Melbourne tous équipés de mitrailleuses comme s'ils combattaient des terroristes. Dire la vérité sur la plandémie et défendre ses droits est apparemment désormais considéré comme du « terrorisme ».
Tout policier qui tyrannise les manifestants du Covid est un fasciste traître
Des passants présents lors de l'incident ont capturé des manifestants fuyant les officiers vêtus du SWAT qui ont continué à leur tirer des balles en caoutchouc alors qu'ils tentaient de fuir les lieux le dos tourné – regardez ci-dessous :
(2) pic.twitter.com/UqVTAe8QTs
RépondreSupprimer– Nouvelle Grenade (@NewGranada1979) 22 septembre 2021
Dans une autre scène, des manifestants ont été vus en train d'être enlevés par la police et emmenés, peut-être dans l'un des nouveaux camps de concentration australiens pour le coronavirus de Wuhan (Covid-19) – regardez les manifestants se faire matraquer par les fascistes :
Pourquoi ne pas surveiller un compagnon plus dur, il avait l'air si menaçant… pic.twitter.com/xvuz7w4Gd6
– Evelyn Rae (@_evelynrae) 22 septembre 2021
"Pour plus de précision: ce n'est PAS militaire", un utilisateur de Twitter s'est senti obligé d'écrire puisque les policiers de Melbourne ont été vus vêtus d'un équipement militaire à grande échelle.
«Il s'agit d'une unité spécialisée dans la force de police victorienne appelée le SOG - groupe d'opérations spécialisées. Ils sont essentiellement, en termes simples, l'équipe SWAT.
Un individu, un ouvrier du bâtiment, a reçu une balle dans le dos par un homme de main du SOG. Vous pouvez entendre son histoire et voir les dégâts ci-dessous :
- voir clips sur site -
Melbourne 🇦🇺 Tradie abattu dans le dos pour avoir refusé le WAX… Ce n'est pas l'Australie, c'est la Tyrannie 👊 pic.twitter.com/kVt534ZFTp
— 𝙈𝙀𝙇𝘽𝙊𝙐𝙍𝙉𝙀 (@risemelbourne) 22 septembre 2021
Cela vaut également la peine de regarder l'interview ci-dessous car elle contient des révélations révélatrices sur la situation sur le terrain à Melbourne :
Whoa.. cet homme est incroyable 🔥❤️🔥 pic.twitter.com/FkCtApf5WW
– Pelham (@Resist_05) 22 septembre 2021
Même un journaliste des médias a été agressé par le SOG alors qu'il tentait de filmer un segment sur l'affrontement :
pic.twitter.com/83trCI4Ldp
RépondreSupprimer– Kukicat (@Kukicat7) 22 septembre 2021
Quiconque « soutient toujours le bleu » après avoir vu ce genre de chose devrait probablement réévaluer à qui il prête allégeance. Ce genre de comportement n'est pas acceptable, et si les forces de l'ordre obtiennent un laissez-passer gratuit pour continuer, les choses ne feront qu'empirer.
Il commence dans d'autres pays et finit par arriver aux États-Unis. Nous avons déjà vu ce genre de chose auparavant, c'est pourquoi les patriotes américains doivent rester vigilants dans la lutte contre le fascisme médical, sinon cela ne finira jamais.
« La police ne protège plus les personnes qui paient leurs salaires – elles protègent le gouvernement », a écrit un commentateur de Citizen Free Press.
« Les manifestants doivent précipiter les gestapos et les dépouiller de leur équipement », a écrit un autre. « Il y a la force dans le nombre. »
Un autre commentateur a souligné que ce à quoi nous assistons maintenant à Melbourne n'est rien de moins qu'un véritable fascisme – pas le faux fascisme que les « antifascistes » (Antifa) ont prétendu combattre après la mort mise en scène de George Floyd.
"Ce sera une lutte longue et difficile, mais la liberté en vaut la peine et il ne sert à rien de vivre sous la tyrannie à moins de la combattre", a écrit cette personne. « L'Australie était un endroit formidable : décontracté et les gens profitaient de la vie. Mais ensuite sont arrivés les communistes et les mondialistes qui asservissent maintenant le peuple à une thérapie génique fausse et dangereuse. »
La tyrannie du coronavirus de Wuhan (Covid-19) ne s'arrêtera pas tant que les gens ne la feront pas cesser. Pour en savoir plus, visitez Fascism.news.
Sources for this article include:
CitizenFreePress.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2021-09-22-melbourne-police-open-fire-on-peaceful-protesters.html