Les ordonnances de Biden condamnent des millions de travailleurs et d'entrepreneurs fédéraux à mourir via des "vaccins" covid qui ne sont toujours même pas approuvés par la FDA
Dimanche 12 septembre 2021 par : Ethan Huff
(Natural News) Juste deux jours avant le 20e anniversaire des attentats terroristes du 11 septembre à New York, le faux « président » Joe Biden a publié un décret ordonnant à tous les contractuels fédéraux, sous-traitants et employés de grandes entreprises privées de se faire « vacciner » pour le coronavirus de Wuhan (Covid-19) immédiatement.
Le patient atteint de démence décrépit a trébuché à travers un discours par téléprompteur qui lui a demandé de menacer tous les Américains «non vaccinés» de se faire piquer immédiatement, sinon.
"Qu'est-ce qu'il y a de plus à attendre ?" Biden gémit de son ton par excellence confus. « Qu'est-ce que tu as besoin de voir de plus ? Nous avons été patients, mais notre patience s'épuise et votre refus nous a tous coûté.
Selon China Joe, quelque 80 millions d'Américains refusent de recevoir l'une des injections « Opération Warp Speed » de Donald « père du vaccin » de Trump, même si Tony Fauci et Rochelle Walensky leur ont dit à plusieurs reprises que se faire piquer est nécessaire pour « » aplatir la courbe.
"Beaucoup d'entre nous sont frustrés par les près de 80 millions d'Américains qui ne sont toujours pas vaccinés, même si le vaccin est sûr, efficace et gratuit", s'est plaint Pedo Joe. "Vous pourriez être confus", a-t-il ajouté, projetant à tort son propre état mental sur la nation.
Biden: les gouverneurs qui refusent de forcer les citoyens à se faire piquer ne se soucient pas des enfants Beijing Biden reçoit déjà une réaction considérable d'au moins la moitié du pays, y compris de nombreux gouverneurs d'État qui résistent à ses efforts pour imposer des coups de virus chinois à la population.
Après avoir entendu parler de la résistance, le père de Hunter s'est lancé dans une tirade et a commencé à dire à quel point tout gouverneur qui refuse son édit ne se soucie pas des enfants.
"Je suis tellement déçu que, en particulier certains gouverneurs républicains, aient été si cavaliers avec la santé de ces enfants", a gémi Pedo Joe dans un communiqué. « Nous jouons pour de vrai ici. Ce n'est pas un jeu."
Ce n'est certainement pas le cas, monsieur le faux président. Ce que vous essayez de faire, c'est de la tyrannie, pure et simple, et les vrais Américains n'en veulent pas. Vous avez franchi une ligne rouge sérieuse et vous devez résister à tout prix.
De nombreux gouverneurs d'État semblent être d'accord avec cette compréhension et ont déclaré qu'ils étaient prêts à "les combattre jusqu'aux portes de l'enfer" pour arrêter cet empiétement étrange sur les libertés civiles et l'autonomie corporelle des Américains.
"Le rêve américain s'est transformé en cauchemar sous le président [sic] Biden et les démocrates radicaux", a tweeté le gouverneur de Caroline du Sud, Henry McMaster. « Ils ont déclaré la guerre au capitalisme, fait un pied de nez à la Constitution et renforcé nos ennemis à l'étranger. »
Le message de McMaster était peut-être le tweet le plus agressif à cette fin, mais une poignée d'autres ont exprimé des sentiments similaires. Les vrais Américains ne se plieront pas à ce fascisme médical, quelles que soient les menaces de la Maison Blanche.
Ailleurs sur Twitter, un utilisateur a souligné que l'année dernière encore, Biden, Kamala Harris et d'autres démocrates d'extrême gauche promettaient de ne jamais recevoir le "vaccin Trump" car il pourrait être dangereux. Maintenant, ils menacent l'Amérique de ne pas l'avoir.
Hilarante, la fausse "vice-présidente" Harris a proposé son propre festival de pleurnicherie l'autre jour sur le fait que le Texas a tort de limiter les avortements après six semaines de gestation, car cela viole le "droit des femmes à prendre des décisions concernant leur propre corps".
"Elle a raison", a tweeté quelqu'un en réponse, en plaisantant à moitié – voir ci-dessous. « Les femmes peuvent prendre des décisions concernant leur propre corps. Je m'identifie maintenant en tant que femme et je prendrai la décision de ne pas me faire vacciner. »
Les Américains doivent résister au fascisme médical de Biden ou ce pays est fini. Pour vous tenir au courant des dernières nouvelles, visitez Fascism.news.
Comme l'avait très intellectuellement discussionné en public l'illustre Claire Sèverac dans les explications des poussières intelligentes (SMART DUST) 🏛 'La guerre secrète contre les peuples',
elles se rapportent à des longueurs d'ondes de façon à en contrôler les modules. Chacune de ces nano-poussières (appelées 'virus' sortis du magma) est donc orientable et maîtrisable dans la définition programmée. Elles servent d’éléments pour les constructions 3D dans les imprimantes comme elles s'autorisent en des relais de réception/émission.
Finis les ensemencements chemtraillés de nano-particules respirées par tous les êtres vivants (dont les dictateurs !!), le monde passe à la phase finale des inoculés (sous prétention de 'virus étrangers et singulièrement méchants'). Les injectés (depuis les faux vaccins 'anti-grippe' qui en contenaient) sont maintenant des êtres vivants en instance de mort.
MALADES ET TORSADÉS: Jimmy Kimmel veut que toutes les personnes non vaccinées MEURENT, mais espère que le vaccin contre le caillot de Covid n'obstruera pas le sang de son fils et n'épuisera pas son cœur qui a déjà une anomalie congénitale privant d'oxygène
Sunday, September 12, 2021 by: S.D. Wells
(Natural News) Avez-vous entendu parler de la nouvelle comédie basée sur la mort d'enfants ? Oui, il est hébergé par Jimmy Kimmel, qui dirige un « article à succès » sur la façon dont les hôpitaux devraient refuser tout soin à toute personne qui ne prendra pas les injections de thérapie génique contre la grippe chinoise. Envoyez-les à la maison pour mourir, c'est le message, la ligne de frappe. Dites-leur de reposer en paix. Pas de piqûre, pas de soins hospitaliers, même pas pour les urgences. Rentrez chez vous et mourez ! (la piste de rire sonne ici).
Dans sa première performance « aucun coup n'est trop faible », après avoir pris une pause estivale, Kimmel a organisé une présentation pharmaceutique complète faisant la promotion des vaccins et de la faciologie, avec des tableaux de canulars alarmistes et des statistiques falsifiées à partir de tests PCR défectueux. Le sketch de la "comédie" s'est déroulé aussi bien qu'à cette époque, il y a quelques années, lorsqu'il s'est moqué des enfants qui ont des dommages permanents au cerveau et au corps à cause des vaccins.
Hollywood est en train de mourir de mauvaises blagues et de vaccins sales De nombreux Américains n'ont aucune idée qu'Hollywood est une grande opération psychologique (psyop) pour vendre de la mauvaise nourriture aux « consommateurs » et de la mauvaise médecine aux « patients ». C'est pourquoi les enfants boivent toujours du lait dans les émissions et dans les films, et c'est pourquoi ils poussent toujours les vaccins qui causent des dommages au cerveau des enfants.
Les ventes sont à près de 100 % psychologiques, et c'est pourquoi Jimmy Kimmel fait de son mieux pour s'en prendre à Joe Rogan et en particulier à l'ivermectine, car l'ivermectine est "l'ennemi juré" de la coagulation du sang, des vaccins Covid causant l'ADE, du Remdesivir et de ceux qui étouffent - des ventilateurs mortels. Joe Rogan a battu Covid assez facilement avec de l'ivermectine, des nutriments et certaines vitamines clés, tout en évitant complètement les vaccins.
La blague de Kimmel sur Rogan en tant que "gars non vacciné qui a englouti du cheval ?" n'a pas si bien résonné, avec sa ligne de frappe pour Rogan (qui a battu Covid en 3 jours) étant "Repose en paix, wheezy". Ne vous y trompez pas, Hollywood vend des vaccins sales. Hollywood est prêt à assassiner des Américains en enterrant les remèdes sûrs pour Covid. Ce n'est pas nouveau. Kimmel est la seule blague qui se passe dans son émission.
La santé du fils de Kimmel n'a jamais été un sujet de plaisanterie
Jimmy Kimmel veut que tout le monde meure maintenant qui ne prendra pas les coups de Covid, et il ne plaisante pas quand il le dit. Pourtant, il n'y a pas si longtemps, à peine 4 ans, le fils nouveau-né de Kimmel, William, a été diagnostiqué avec une anomalie congénitale dans son cœur, appelée tétralogie de Fallot, où il y a un trou dans le mur entre les cavités cardiaques. Jimmy avait un monologue émouvant pour cette histoire déchirante d'hôpital, et il a réussi à faire jaillir quelques fausses larmes pour que les caméras les partagent avec l'Amérique (ou au moins le public de studio payé de gauche).
En raison de la malformation cardiaque du fils de Kimmel, son sang n'est pas complètement oxygéné car il circule dans tout son corps. Ceci est étonnamment similaire à ce que les vaccins Covid font aux gens, avec des milliards de protéines de pointe toxiques circulant dans tous les vaisseaux sanguins, obstruant le cœur et limitant le flux d'oxygène et de nutriments. Sonne familier ?
N'oublions pas que Kimmel adore raconter des blagues sur les enfants déformés par les vaccins Il y a à peine six ans, Kimmel a popularisé le sectarisme haineux visant les enfants endommagés par les vaccins et leurs familles, et tout comme ces derniers temps, ce n'était pas une simple ligne, mais tout un morceau scénarisé enseignant à l'Amérique comment rire de la tragédie quand ce sont les enfants de quelqu'un d'autre qui ont des lésions cérébrales ou cardiaques causées par les vaccins. En quoi les malformations congénitales sont-elles si différentes ? De nombreux enfants souffrent de malformations congénitales dues à la vaccination contre la grippe lorsque leur mère enceinte reçoit de fortes doses de mercure (dans les flacons multidoses), grâce aux conseils du CDC.
Kimmel encourage la violence contre les défenseurs de la santé naturelle et contre les enfants paralysés «anti-vaccins». Est-ce important que les enfants soient noirs ou juifs ? Et si ses enfants étaient gravement endommagés par les vaccins Covid, seront-ils le prochain « hit » du Kimmel Vax-Shill Show ? Seul le temps nous le dira, eh bien, cela et quelques coups de caillots mortels « de rappel ». Il s'avère que les vaccins sont une forme de violence médicale contre les enfants et tous les êtres humains, et ce n'est pas une question de rire.
Réglez votre numéro de vérité sur Pandemic.news pour des mises à jour sur la guerre contre les vaccins sales et le socialisme, et comment garder votre famille heureuse, en bonne santé et en sécurité.
Les factures d'hôpital ajoutent aux problèmes des patients atteints de coronavirus
samedi 11 septembre 2021 par : Ramon Tomey
(Natural News) Un certain nombre de personnes qui survivent à une infection au coronavirus de Wuhan (COVID-19) présentent des symptômes qui les affectent à long terme. Cependant, les factures d'hôpital exorbitantes pour les traitements COVID-19 ne font qu'empirer les choses pour eux. Alors que certaines compagnies d'assurance maladie couvrent le coût des traitements de la maladie, certains hôpitaux n'ont pas suivi ces politiques. En conséquence, les patients COVID-19 doivent payer la facture.
Le New York Times (NYT) s'est entretenu avec un certain nombre de patients qui se sont rétablis médicalement du COVID-19 mais qui souffrent toujours financièrement. Ces trois patients ne sont que quelques-uns des nombreux autres qui ont vu leur santé et leurs finances affectées négativement par le coronavirus de Wuhan.
Shubham Chandra a quitté son poste bien rémunéré dans une startup de la ville de New York après le décès de son père cardiologue de COVID-19 l'automne dernier. Il a suivi les plus de 450 factures accumulées pendant les sept mois d'hospitalisation de son père à l'aide d'une feuille de calcul Excel. L'ensemble de ces factures d'hôpital s'élevait à plus d'un million de dollars. Pendant des mois, il a passé de 10 à 20 heures par semaine à régler les frais – en lisant les nouvelles factures le matin et en appelant les assureurs et les hôpitaux l'après-midi.
La feuille de calcul de Chandra a récemment montré 97 factures s'élevant potentiellement à plus de 400 000 $ que les fournisseurs d'assurance maladie ont rejetées. Il a déclaré au NYT : « Une grande partie de ma vie est de penser à ces factures. Cela peut devenir un obstacle à ma vie quotidienne. Il est difficile de dormir quand vous avez des centaines de milliers de dollars de dettes en souffrance.
Rebecca Gale a perdu Michael, son mari depuis 25 ans, à cause de COVID-19 l'été dernier. Alors que leur assurance couvrait la plupart des factures médicales de son mari, elle ne payait qu'une petite fraction de la facture d'ambulance aérienne qu'il avait encourue. Michael avait besoin d'une ambulance aérienne pour le transporter dans différents hôpitaux – le service coûtant 50 000 $. Le régime d'assurance maladie de la famille a établi une limite de 10 000 $ pour la couverture de l'ambulance aérienne, ce qui a laissé le fournisseur d'ambulance aérienne PHI Medical poursuivre le montant restant de sa succession.
Rebecca a pris sa retraite l'année dernière de son travail d'emboutissage de pièces automobiles dans une usine automobile de l'Ohio. Mais après la mort de son mari et l'arrivée des factures d'hôpital, elle a envisagé de chercher un emploi à temps partiel pour payer les frais. « Je pleure tous les jours. [Ceci] est juste une autre chose qui me brise le cœur. [En plus] de perdre mon mari, je dois faire face à cela », a-t-elle déclaré.
La biologiste à la retraite Irena Schulz est tombée malade du COVID-19 l'été dernier, mais s'est finalement rétablie. La résidente de Caroline du Sud souffre toujours de multiples effets secondaires – tels que des douleurs rénales et des problèmes auditifs – même si son combat contre la maladie était terminé. Schulz a utilisé des appareils auditifs pour aider à la perte auditive résultante, s'attendant à ce que l'assurance maladie les couvre. Cependant, elle a récemment reçu une facture de 5 400 $ pour les appareils auditifs.
En raison des coûts potentiels, elle a évité de se rendre aux urgences au premier signe de maladie. Elle gère elle-même ses douleurs aux reins avec des analgésiques, du jus d'ananas et de l'eau – jusqu'à ce qu'elle sente qu'elle peut se payer un spécialiste. Schulz a déclaré : « Si la douleur dépasse un certain seuil, je consulterai un médecin. Nous sommes à la retraite… [et] avec un revenu fixe, et il n'y a qu'un nombre limité de choses que vous pouvez accumuler sur la carte de crédit.
Le manque de couverture fédérale, les assureurs retirant les dispenses de traitement aggravent les choses Au cours des premiers mois de la pandémie, certaines compagnies d'assurance maladie ont proposé de renoncer à un certain nombre de frais pour les patients COVID-19. Mais un rapport de Kaiser Health News a déclaré que ces grands assureurs-maladie ont discrètement abandonné ces dérogations à mesure que la pandémie progressait.
Anthem a cessé de renoncer aux frais liés au COVID-19 fin janvier 2021, tandis qu'Aetna a mis fin au traitement hospitalier sans franchise pour la maladie fin février. UnitedHealth a quant à lui commencé à annuler les dispenses de traitement COVID-19 à l'automne de l'année dernière. Il a complètement abandonné les dérogations à la fin du mois de mars. (Connexe : les assureurs affirment que le décès dû à la vaccination contre le coronavirus n'aura pas d'impact sur les paiements d'assurance-vie.)
De plus, le gouvernement fédéral ne couvre pas les coûts du traitement COVID-19 de la même manière que les tests et les vaccins. Pour résoudre ce problème, la sénatrice américaine Tina Smith (D-MN) a parrainé un projet de loi visant à rendre les traitements COVID-19 gratuits. Selon sa proposition de législation, les traitements COVID-19 pour tous les Américains seraient supprimés quelle que soit leur situation en matière d'assurance maladie.
Smith a déclaré au NYT: «J'ai entendu tellement d'histoires de personnes complètement bloquées à remplir des formulaires de remboursement et à essayer d'obtenir une assurance pour les couvrir. C'est presque comme si le système [d'assurance-maladie] était conçu pour rendre difficile le remboursement. »
Selon le législateur, le Congrès a mandaté les assureurs pour rendre les tests de coronavirus gratuits au printemps dernier. Cependant, ce mandat ne s'étendait pas à la couverture des traitements, en partie parce que les assureurs étaient disposés à renoncer aux coûts des patients. (Connexe: l'administration Trump publie un plan pour permettre à Medicare de couvrir le coût de la vaccination contre les coronavirus.)
Visitez Pandemic.news pour lire plus d'histoires sur les effets à long terme de COVID-19 sur la santé et les finances des gens.
Il n'y a pas de "variante Delta" - aucun test clinique ne peut vous diagnostiquer avec "Delta" et tout le récit est une arnaque fabriquée par les médias
Samedi 11 septembre 2021 par : Ethan Huff
(Natural News) Peu importe ce que les médias essaient de vous faire penser, il n'en demeure pas moins qu'il n'existe pas de « variante Delta », du moins pas en ce qui concerne les « tests » actuellement disponibles.
Outre le fait que les tests PCR sont complètement frauduleux au départ, les hôpitaux refusent désormais de montrer aux patients qui sont censés être « positifs » pour la dernière variante Delta leurs résultats de test réels, ce qui signifie qu'il n'y a aucun moyen de prouver que quelqu'un l'a réellement.
La raison, bien sûr, est que la variante Delta n'existe pas et n'est qu'un fruit de l'imagination des gens. Et il n'y a certainement pas de test pour quelque chose qui n'existe pas car comment pourrait-il y en avoir ?
Au contraire, ce qu'ils appellent la variante Delta ou même «covid» en général n'est que des dommages causés par le vaccin et/ou un empoisonnement à la 5G sous un nom différent. La vraie maladie dans tout ça, c'est le médicament, en d'autres termes – et plus les gens prennent ce médicament, plus il y aura de maladie.
Les médecins ne font que "deviner" la variante Delta Patty McMurray de 100percentfedup.com a approfondi la question en contactant son médecin de soins primaires pour savoir comment le personnel médical est censé tester la variante Delta. Voici ce que dit le médecin :
"Nous devinons juste que c'est ce que c'est parce que la variante Delta est si contagieuse."
Les médias grand public admettent ouvertement que les patients américains ne sont même pas autorisés à savoir quelle variante ils sont censés avoir. Les travailleurs de la santé inventent simplement des choses et remplissent les fiches de données en conséquence.
"C'est parce que les tests de séquençage doivent être approuvés par le gouvernement fédéral pour que les résultats soient divulgués aux médecins ou aux patients, et la plupart ne le sont pas encore", explique McMurray.
"Les scientifiques du laboratoire disent que le processus de validation des tests pour approbation est trop coûteux et prend trop de temps."
Un musicien de San Francisco du nom de Sam Reider qui est "complètement vacciné" l'a appris à ses dépens au début de l'été lorsque le département californien de la santé publique l'a informé qu'il avait été testé positif pour les germes chinois.
Reider a été invité à passer un deuxième test dans une installation locale de Kaiser Permanente et a ensuite été déclaré avoir la variante Delta. Cependant, lorsque Reider a demandé à voir la preuve, les médecins lui ont dit qu'ils ne pouvaient pas fournir cette information.
"Quand j'ai reçu le suivi de Kaiser, ils ont dit que c'était positif, mais ils n'avaient aucune information sur le séquençage", a déclaré Reider à Business Insider. Cela « me semblait étrange », a-t-il ajouté.
Un homme du New Jersey nommé Ryan Forrest, également "complètement vacciné", dit qu'il a vécu à peu près la même chose après avoir été testé positif à la suite de sa participation à un mariage.
"Cela aurait été bien de savoir juste par curiosité plus qu'autre chose", a déclaré Forrest aux médias après s'être vu refuser la preuve qu'il avait vraiment contracté la variante Delta.
Beaucoup d'autres ont eu des expériences similaires après avoir été soi-disant testés positifs pour Delta. Lorsqu'elles ont demandé des preuves, les installations de test n'ont pas pu, ou n'ont pas voulu, fournir les informations demandées.
Le fait que si peu de gens posent des questions à ce sujet est préoccupant mais attendu, vu que la plupart des gens semblent simplement accepter toutes les absurdités plandémiques, aussi folles soient-elles.
« Les patients vaccinés se voient-ils refuser les informations des tests effectués sur leur corps parce que les « experts médicaux » ne veulent pas qu’ils sachent qu’ils ont le même type de COVID contre lequel ils ont été vaccinés ? » demande McMurray.
« Ou est-ce parce que cela ferait exploser le récit de la machine de propagande selon lequel chaque Américain doit être vacciné pour éviter d'être infecté par les dernières variantes du virus du PCC (Parti communiste chinois) ? »
Pour suivre les dernières nouvelles sur la tromperie du virus chinois, visitez Pandemic.news.
Ils créent la plus grande chasse aux sorcières de l'histoire américaine
10 septembre 2021 par Michael Snyder
Avant cette pandémie, si vous vouliez éliminer tous les « fauteurs de troubles », « penseurs indépendants » et « non-conformistes » de notre société, comment auriez-vous fait ? Je suppose qu'envoyer à chacun un questionnaire leur demandant ce qu'ils pensent serait une façon de le faire, mais bien sûr beaucoup de gens donneraient de fausses réponses et beaucoup d'autres ignoreraient tout simplement le questionnaire. Les profils de réseaux sociaux contiennent une mine d'informations, mais de nombreux « non-conformistes » ne sont même pas sur les réseaux sociaux et fouiller dans toutes ces données prendrait énormément de temps, d'argent et d'énergie. Jusqu'à tout récemment, il n'y avait tout simplement pas de moyen simple et efficace d'identifier ceux qui ne sont pas des serviteurs enthousiastes du système.
Mais maintenant, les vaccins COVID ont tout changé. Ces injections sont le test décisif parfait, car les « fauteurs de troubles », les « penseurs indépendants » et les « non-conformistes » sont à peu près les seuls à refuser les injections à ce stade. Cela rend exceptionnellement facile de diviser les citoyens américains en deux catégories, et cela donne également aux autorités une excuse parfaite pour pousser tous ces « fauteurs de troubles », « penseurs indépendants » et « non-conformistes » en marge de la société.
Comme je l'ai discuté hier, j'étais littéralement malade à l'estomac alors que je réfléchissais aux implications des nouveaux décrets tyranniques de Biden. À l'origine, Biden et d'autres dirigeants démocrates étaient contre toute sorte de mandats vaccinaux, mais maintenant je pense qu'ils ont réalisé que les mandats sont un outil qu'ils peuvent utiliser pour remodeler fondamentalement notre société.
Si vous ne comprenez pas où je veux en venir, continuez à lire, car cela deviendra extrêmement clair à la fin de cet article.
Les nouveaux décrets de Biden couvrent presque toutes les grandes institutions de notre société. Pensez-y. Toute « grande institution » emploiera presque certainement plus de 100 personnes, et toutes ces organisations sont couvertes par les mandats de Biden.
En plus des entreprises de différentes tailles, nous parlons également des collèges, des écoles, des églises, des organismes à but non lucratif, des entités politiques, des équipes sportives et des organisations caritatives.
Des millions d'Américains employés par de telles institutions pourraient être contraints de quitter leur poste s'ils refusent de se conformer à ce que Biden exige.
Et les règles que l'administration Biden propose exigeront des institutions qu'elles soient les exécutrices de ces nouvelles mesures draconiennes.
Vos patrons seront obligés de s'assurer que vous vous soumettez aux nouvelles règles, sinon ils pourraient être frappés d'amendes massives.
Dans mon dernier article, j'ai utilisé le mot «écoeurant» pour décrire ce que Biden essaie de nous faire tous, mais la vérité est que ce mot n'est pas assez fort.
Ce à quoi nous sommes confrontés est un cauchemar national complet et total, et il ne va pas se terminer de si tôt.
Les nouveaux mandats de Biden sont encore plus stricts pour les employés du gouvernement fédéral. Auparavant, les employés du gouvernement fédéral avaient au moins la possibilité de subir des tests réguliers s'ils ne voulaient pas être vaccinés, mais maintenant cette option est supprimée.
Alors maintenant, des millions d'employés fédéraux devront choisir entre leurs principes et leur carrière.
Et compte tenu du fait que tant de ces personnes subviennent à peine aux besoins de leur famille en ce moment, de nombreux choix vraiment déchirants vont devoir être faits.
Plus tôt dans la journée, j'ai posté une vidéo d'une femme qui travaille pour le département du Trésor américain. Après toutes ces années, elle a annoncé publiquement sur les réseaux sociaux qu'elle allait quitter son emploi en raison des nouveaux mandats de Biden.
Et d'innombrables autres la suivront à la porte.
Les nouveaux décrets de Biden obligeront également presque tout le monde dans l'ensemble du secteur de la santé à se faire vacciner ou à abandonner leur carrière.
Quelle chose horriblement cruelle à faire.
Biden met essentiellement une arme sur la tête de ces personnes. Beaucoup d'entre eux ont dépensé énormément de temps, d'énergie et d'argent pour faire leurs études, et maintenant Biden leur dit qu'ils doivent sacrifier tout ce pour quoi ils ont travaillé s'ils ne se conforment pas à ses exigences.
Comme je l'ai souligné hier, les travailleurs de la santé ne seront pas simplement forcés de quitter leur emploi actuel. Étant donné que pratiquement tous les fournisseurs de soins de santé dans tout le pays accepte Medicaid et Medicare, ceux qui refusent de se conformer seront essentiellement bannis de l'ensemble de l'industrie.
À une époque où une pénurie de travailleurs qualifiés provoque le chaos dans toute notre économie, les ordres tyranniques de Biden pourraient forcer des millions d'Américains à perdre soudainement leur emploi. C'est une chose incroyablement stupide à faire, et cela pourrait avoir des ramifications très graves dans les années à venir.
Malheureusement, il ne s'agira pas que de quelques personnes quittant leur emploi. Un sondage qui vient d'être mené a découvert que 72 % des Américains non vaccinés ont déclaré qu'ils quitteraient leur emploi actuel plutôt que de se faire vacciner…
Beaucoup de personnes qui avancent cet argument ont cité un sondage Washington Post-ABC News publié ce week-end. Il a montré que seulement 18 % des personnes non vaccinées dont les employeurs n'ont actuellement pas de mandat ont déclaré qu'elles se feraient probablement vacciner si leur employeur l'exigeait. Environ 7 sur 10 (72 %) ont déclaré que s'ils ne pouvaient pas obtenir une exemption médicale ou religieuse, ils arrêteraient probablement plutôt que de se soumettre à l'exigence.
Je ne sais pas ce qui se passe dans les coulisses, mais je pense que Kamala Harris a eu beaucoup d'influence dans les récentes décisions que Biden a prises.
Elle a toujours eu des tendances autoritaires, et si jamais elle devient présidente, ce sera vraiment un scénario catastrophique.
Inutile de dire que les nouveaux mandats de Biden vont causer une grande anxiété à des millions et des millions de personnes, et un récent sondage CNN a révélé que l'humeur du pays allait déjà dans une direction très négative…
Le nouveau sondage révèle que 69 % des Américains disent que les choses dans le pays vont mal aujourd'hui, en dessous du sommet de l'ère pandémique de 77 % atteint en janvier juste avant l'entrée en fonction du président Joe Biden mais bien au-dessus des 60 % qui ont ressenti cela en mars Sondage CNN.
Et 62 % déclarent que les conditions économiques aux États-Unis sont mauvaises, contre 45 % en avril et presque aussi élevées que le pic de 65% atteint en mai 2020.
J'espère que les gouverneurs républicains combattront les nouveaux décrets de Biden avec tout ce qu'ils ont.
Parce que la vérité est que c'est l'un des moments les plus critiques de l'histoire des États-Unis.
Nos libertés et libertés les plus élémentaires sont attaquées de plein fouet, et nous sommes vraiment en train de sombrer dans une tyrannie à part entière.
Si les nouveaux mandats de Biden ne sont pas annulés par les tribunaux, des millions d'Américains qui aiment la liberté pourraient être contraints de quitter leur emploi.
Ce serait vraiment une chasse aux sorcières d'une ampleur et d'une ampleur sans précédent, et cela représenterait la plus grande purge de « fauteurs de troubles », de « penseurs indépendants » et de « non-conformistes » dont aucun d'entre nous n'ait jamais été témoin.
Notons que les employeurs mis au pied du mur de fermer leurs entreprises, connaissent et reconnaissent que leurs familles sont dans le même cas. La question n'est plus de payer pour avoir osé prendre untel qui mourra demain mais de sauver l'humanité terrestre en mettant la clé sous la porte. Nous l'avons tous compris, c'est un choix décisif: La vie ou la mort.
Les inoculé(e)s devront prendre remède pour en éliminer les nano-particules d'oxyde de graphène ou crever en quelques semaines !
Bien-sûr que les jours prochains seront occupés par des sabotages d’antennes-relais qui mettront la 5G en joue, bien-sûr que les gens finiront par comprendre la différence qu'il peut y avoir entre la vie ou la mort. Bien-sûr que l'intelligence du nombre surpassera le génocide trisomique planifié. Et qu'il ne peut y avoir de vie sans Démocratie. Mais, des directives invisibles peuvent aussi en renverser les rôles !
Fin de l'empire américain : Orwell 1984 'Newspeak' & Dirt Cheap Gold
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 12 SEP 2021 - 09:20 Rédigé par Egon von Greyerz via GoldSwitzerland.com,
La phase finale d'Empires se termine normalement par les mêmes signaux, que ce soit il y a 2000 ans à Rome ou aujourd'hui aux États-Unis.
L'un des premiers signes est la perte de guerres accompagnée de dettes excessives, de déficits, de dévaluations et de décadence. Les États-Unis étant vaincus et fuyant précipitamment l'Afghanistan dans quelques jours signifie clairement la fin de l'empire américain.
La puissante armée américaine a mené au cours des dernières décennies des guerres désastreuses contre de très petits pays sans grandes armées ni armements. Je pense au Vietnam, à l'Irak, à la Libye et à l'Afghanistan, mais il y en a bien d'autres comme nous le montrons ci-dessous.
L'Université Brown vient de réaliser une étude sur le coût américain des guerres depuis le 11 septembre. Ils arrivent à un montant stupéfiant de 8 000 milliards de dollars et la perte de 900 000 vies.
Ainsi, au cours des 20 dernières années, les États-Unis ont dépensé 8 000 milliards de dollars ou 40 % du PIB annuel pour mener des guerres totalement infructueuses. Le rapport indique également que même après l'exode d'Afghanistan, les États-Unis sont toujours impliqués dans des guerres dans plus de 80 pays.
- voir carte sur site -
ACTIVITÉ DE GUERRE ACTUELLE DES ÉTATS-UNIS
Le coût d'être impliqué dans une sorte d'activité de guerre dans 85 pays continuera à coûter cher à l'empire américain mourant pour les décennies à venir.
1984 EST ENCORE ICI
Les années 2020 seront-elles un retour au 1984 d'Orwell avec Big Brother nous regardant partout ?
Eh bien, il semble que de nombreux gouvernements et l'élite nous mènent dans cette direction.
Covid a été une superbe excuse pour contrôler les gens dans un certain nombre de pays. La liberté d'expression a été interdite dans les médias et une censure inacceptable est désormais la règle sur les réseaux sociaux, qu'il s'agisse de vaccins, de climat ou de race.
« Ne voyez-vous pas que tout le but de la novlangue est de réduire le champ de la pensée ? En fin de compte, nous rendrons le crime de pensée littéralement impossible, car il n'y aura pas de mots pour l'exprimer. George Orwell, 1984
Mais cela empire alors que nous assistons à de sévères restrictions à la libre circulation. Il existe des blocages, des quarantaines, des restrictions ou des interdictions de voyager à la fois au niveau national et international, des interdictions de faire du shopping, des restaurants, des théâtres, des cinémas, des stades avec des bureaux et des écoles fermés. Et puis nous n'avons pas le droit de voir des amis, des parents, ou même d'aller travailler. La liste des restrictions est interminable et elles semblent être délibérément et régulièrement activées et désactivées afin de contrôler la confusion des gens.
« La double pensée signifie le pouvoir de maintenir simultanément deux croyances contradictoires dans son esprit et de les accepter toutes les deux. » George Orwell, 1984
Il y a eu de grandes variations de ces restrictions. Des pays comme l'Australie et la Nouvelle-Zélande ont enfermé des gens. Ensuite, nous avons, par exemple, la Suède qui n'a pratiquement aucune restriction, aucune fermeture d'écoles, de magasins ou de bureaux. Aucun masque n'a jamais été obligatoire.
J'ai passé une partie de l'été en Suède et cela a été rafraîchissant de voir les gens mener leur vie normalement. Vous ne voyez presque jamais personne porter un masque nulle part. Le gouvernement suédois ne s'en mêle pas et ce sont plutôt les responsables de la santé qui décident. L'épidémiologiste en chef Tegnell en Suède a mené une politique de non-intervention, disant aux gens de prendre leurs propres précautions. Il ne considère pas non plus que les masques remplissent une fonction, mais plutôt qu'ils ont un effet négatif. Tout un contraste avec l'Australie. En ce qui concerne les infections et les décès, la Suède s'en sort mieux que de nombreux pays.
En ce qui concerne le traitement du Covid, la médecine conventionnelle a eu un succès très limité. Mais malheureusement, les traitements alternatifs sont totalement supprimés. Ceci malgré que de grandes parties de l'Inde et de l'Afrique centrale aient utilisé l'ivermectine avec près de 100% de succès et pratiquement éliminé Covid. Certains médecins hospitaliers aux États-Unis ont également utilisé l'ivermectine avec d'excellents résultats.
La carte ci-dessous montre en bleu la zone d'Afrique où l'ivermectine a été utilisée avec succès. La ligne bleue en bas montre les décès pour 100 000 dans cette région. Une énorme différence par rapport aux décès (ligne jaune) dans les zones jaunes.
- voir carte sur site -
L'ivermectine a été inventée il y a 50 ans contre les infestations parasitaires. Plus de 4,5 milliards de doses ont été administrées et le créateur a reçu le prix Nobel. Pourtant, l'OMS, les grandes sociétés pharmaceutiques et les gouvernements occidentaux refusent même de tester l'ivermectine contre Covid. Il est trop bon marché pour produire et concurrencer les vaccins.
HISTOIRE RÉÉCRIT
Aux États-Unis et au Royaume-Uni, l'histoire est maintenant réécrite, en particulier sur les campus universitaires. Des statues, des peintures et des livres liés à l'esclavage sont retirés même si la personne historique était un bienfaiteur majeur de l'université en question.
«Chaque enregistrement a été détruit ou falsifié, chaque livre réécrit, chaque image a été repeinte, chaque statue et bâtiment de rue a été renommé, chaque date a été modifiée. Et le processus se poursuit jour après jour et minute par minute. L'histoire s'est arrêtée. Rien n'existe qu'un présent sans fin dans lequel le Parti a toujours raison. George Orwell, 1984
Le problème avec la réécriture de l'histoire, c'est où s'arrêter ? Tout au long de l'histoire, il y a eu des guerres et des invasions qui étaient toutes injustes. Mais on ne peut pas inverser l'histoire. Prenons l'exemple de l'Amérique. L'Amérique du Nord et l'Amérique du Sud ont été envahies et conquises par les pays européens au cours des cent dernières années, qu'ils soient anglais, français, espagnols ou portugais.
En Amérique du Nord, une grande partie de la population d'origine a été tuée et le reste a été transféré dans des réserves. Si nous réécrivons l'histoire, les Européens doivent évidemment se retirer et rendre la terre aux Indiens.
Imaginez un stade de football rempli d'eau. Chaque minute, une goutte est ajoutée. Le nombre de gouttes double chaque minute. Donc ça passe de 1 à 2, 4, 8 16 etc. Alors combien de temps faudrait-il pour remplir tout le stade ? Un jour, un mois ou un an ? Non, ce serait beaucoup plus rapide et ne prendrait que 50 minutes ! C'est en soi difficile à comprendre, mais plus intéressant encore, à quel point le stade est-il plein après 45 minutes ? La plupart des gens devineraient 75 à 90 %. Totalement faux. Au bout de 45 minutes, le stade n'est rempli qu'à 7 % ! Au cours des 5 dernières minutes, le stade passe de 7% plein à 100%.
Il est bien sûr impossible de prédire où nous en sommes dans cette explosion de la dette. Si nous sommes dans les 5 dernières minutes, la dette peut encore augmenter de près de 15 fois. Et si nous obtenons une hyperinflation, ce qui est très probable, l'augmentation pourrait être considérablement plus élevée.
Comme la dette aura été multipliée par 50 depuis 1981 d'ici 2025, les recettes fiscales resteront probablement à un maigre 3,5 milliards de dollars alors que l'économie ralentit ou même s'effondre. Les conséquences sont évidentes. Lorsque les taux d'intérêt augmentent, ce qui est garanti lorsque la Fed perd le contrôle, l'empire américain ne peut même pas se permettre de payer les intérêts et fera défaut.
C'est ainsi que tous les empires se terminent, ils perdent non seulement les guerres mais aussi le contrôle total de l'argent.
Quel gâchis sanglant !
Le seul problème est qu'une fois que les fortunes ont tourné, il y a un très, très long chemin vers la prospérité. C'est ce que l'histoire et les lois de la nature nous enseignent bien que la plupart des dirigeants politiques soient trop arrogants pour apprendre de l'histoire.
LE RICHE DEVENANT RICHE
Au fur et à mesure que les empires atteignent la fin du jeu, l'impression d'argent et la dette s'accélèrent, comme je le montre ci-dessus. Cela conduit à une dépréciation totale de la monnaie. Par exemple, la pièce d'argent romaine, le denier, a perdu presque 100% de sa teneur en argent entre 180 et 280 après JC.
Le dollar américain de l'empire américain mourant n'a pas beaucoup mieux résisté et a perdu 98% en termes réels depuis 1971. Alors que la monnaie s'effondre, de plus en plus de fausse monnaie doit être produite pour maintenir l'illusion. Par définition, l'argent qui est créé sans aucun service ou bien offert en retour est toujours faux et n'a aucune valeur réelle.
Pendant les périodes d'expansion rapide du crédit avec de la fausse monnaie, ceux qui se trouvent le plus près de l'imprimerie en bénéficient toujours grandement car ils ont accès à l'argent avant qu'il ne perde totalement sa valeur. Cela s'est produit par exemple lors de l'hyperinflation au Zimbabwe ou au Venezuela et cela se produit maintenant aux États-Unis.
Le graphique ci-dessous montre clairement comment les riches Américains obtiennent l'argent en premier et augmentent rapidement leur richesse par rapport au PIB. En 1982, les 400 Américains les plus riches avaient une richesse égale à 2% du PIB et aujourd'hui leur part a été multipliée par 9 pour atteindre 18% du PIB. L'inégalité des richesses est endémique, devenant un néo-féodalisme.
Alors que les dettes, les déficits et la dépréciation de la monnaie s'accélèrent, les conséquences sont claires et inévitables.
La bulle épique des actions touche à sa fin et pourrait imploser à tout moment. Qu'il s'étende davantage en raison de l'expansion massive de la masse monétaire n'a pas d'importance. Ni une entreprise ni un pays ne peuvent afficher une croissance réelle basée sur de la fausse monnaie. Lorsque la bulle éclatera, le monde apprendra qu'elle était principalement composée d'air qui s'évaporera tout simplement.
Alors que les marchés implosent, toute la dette et les actifs de la bulle tels que les actions, les obligations et l'immobilier feront de même. Ces valeurs d'actifs étaient toutes illusoires, basées sur l'espoir et la fausse monnaie. Une fois que les marchés commenceront à s'effondrer, nous verrons le même processus que le stade au-dessus se remplir d'eau. Mais cette fois, ce sera à l'envers et les valeurs baisseront de pourcentages impensables dans les « 5 premières minutes ». N'oubliez pas qu'au cours des 5 dernières minutes, le stade est passé de 7% plein à 100%.
Pour nos investisseurs et nous-mêmes, nous possédons de l'or physique et de l'argent physique en Suisse (évidemment en dehors du système financier) depuis 2002, lorsque l'or coûtait 300 $ et l'argent 4 $.
Nous étions alors convaincus que les risques que nous voyions nécessitaient un pourcentage élevé de nos actifs financiers en or à des fins de préservation de la richesse. Ce qui s'est passé depuis confirme complètement notre position.
- voir graphique sur site -
Mais le monde n'a toujours pas compris à quel point l'or est sous-évalué par rapport à l'expansion massive de la masse monétaire. Par conséquent, je continuerai à montrer le graphique ci-dessous qui nous dit que l'or est aussi bon marché à acheter aujourd'hui qu'il l'était en 1971 lorsque l'or était de 35 $ ou en 2000 lorsque l'or était de 288 $. Face à l'empire américain mourant, il n'y a pas de meilleur atout à posséder.
"Une décision qu'ils regretteront" - Le régulateur australien interdit l'utilisation de l'ivermectine comme traitement au COVID-19
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 11 SEPTEMBRE 2021 - 17:30 Rédigé par Mimi Nguyen Ly via Epoch Times,
L'autorité australienne de réglementation des médicaments et des produits thérapeutiques, la Therapeutic Goods Administration (TGA), a introduit de nouvelles restrictions sur la prescription d'ivermectine pour le COVID-19 et d'autres utilisations hors AMM.
La TGA, une agence du ministère australien de la Santé, a annoncé que les changements avaient été introduits «en raison de préoccupations concernant la prescription d'ivermectine orale pour la prévention ou le traitement allégué du COVID-19».
Les nouvelles restrictions signifient que les médecins généralistes ne peuvent prescrire le médicament que pour des conditions approuvées par la TGA et non à d'autres fins non approuvées, également appelées utilisation « hors AMM ». Aucune pénalité n'a été spécifiée dans l'annonce de la TGA en cas de GP contournant les règles.
Epoch Times a contacté la TGA pour plus d'informations.
Seuls certains spécialistes peuvent continuer à prescrire de l'ivermectine par voie orale pour une utilisation hors AMM. Ils comprennent des médecins spécialistes des maladies infectieuses, des dermatologues, des gastro-entérologues et des hépatologues, a annoncé la TGA.
Stromectol ivermectine 3 mg est le seul produit à base d'ivermectine par voie orale approuvé par la TGA. Les indications approuvées sont la cécité des rivières, le ver filiforme des intestins et la gale.
L'ivermectine n'est pas approuvée par la TGA pour traiter le COVID-19 en Australie. La TGA a déclaré que son utilisation pour COVID-19 dans le grand public est « actuellement fortement déconseillée » par trois entités – le National COVID Clinical Evidence Taskforce (pdf), l’Organisation mondiale de la santé et la Food and Drug Administration des États-Unis.
TGA expose ses préoccupations
Dans son annonce, la TGA a affirmé qu'il existe «un certain nombre de risques importants pour la santé publique associés à la prise d'ivermectine dans le but de prévenir l'infection au COVID-19 plutôt que de se faire vacciner».
L'agence a ajouté que les personnes qui pensent être protégées contre COVID-19 en prenant de l'ivermectine "peuvent choisir de ne pas se faire tester ou de consulter un médecin si elles présentent des symptômes", et ont affirmé que cela "a le potentiel de propager le risque de COVID-19 -19 infection dans toute la communauté.
La TGA a déclaré qu'une deuxième préoccupation concerne "des publications sur les réseaux sociaux et d'autres sources non fiables" qui auraient préconisé l'utilisation de l'ivermectine à des doses "significativement plus élevées" par rapport à ce qui est approuvé et jugé sans danger pour le traitement de la gale ou des parasites.
"Ces doses plus élevées peuvent être associées à des effets indésirables graves, notamment des nausées sévères, des vomissements, des étourdissements, des effets neurologiques tels que des étourdissements, des convulsions et le coma."
Le régulateur a également déclaré qu'il y avait eu une multiplication par trois à quatre du nombre de prescriptions d'ivermectine au cours des derniers mois, ce qui a entraîné "des pénuries nationales et locales pour ceux qui ont besoin de médicaments contre la gale et les infections parasitaires".
« On pense que cela est dû à la prescription et à la délivrance récentes pour des utilisations non approuvées, telles que COVID-19 », lit-on dans sa déclaration.
« De telles pénuries peuvent avoir un impact disproportionné sur les personnes vulnérables, y compris celles des communautés aborigènes et insulaires du détroit de Torres. »
Contrecoup immédiat des députés Deux politiciens australiens ont immédiatement publié des annonces à la fin du 10 septembre critiquant les restrictions de la TGA.
Le député fédéral George Christensen, membre du Parti libéral de l'État du Queensland, a publié sur Telegram une photo de ses médicaments, écrivant : « Mon pack de traitement à l'ivermectine. Prescrit par un médecin généraliste. Maintenant, la TGA a interdit aux médecins généralistes de prescrire le médicament hors AMM. C'est une décision qu'ils regretteront.
Christensen a également partagé une longue liste d'études, écrivant, "voici de VRAIS INFORMATIONS sur l'IVERMECTINE".
Le député fédéral Craig Kelly, ancien membre du Parti libéral et maintenant chef du Parti Australie unie, dans une déclaration publiée sur Telegram, a qualifié la décision de la TGA de « OUTRAGEOUS » et a accusé l'agence d'avoir « interféré avec le caractère sacré de la relation médecin-patient en Australie , en ignorant les preuves de plus de 50 études publiées et en ignorant également les conseils médicaux d'experts de médecins qui ont traité avec succès des milliers de patients avec de l'ivermectine, en interdisant aux médecins de prescrire ce médicament aux Australiens malades.
"Le PARTI UNIS D'AUSTRALIE appelle ce soir à [une] commission royale urgente dans cette TGA sur cette décision", a-t-il écrit, affirmant que la décision "pourrait faire l'objet d'une enquête pour une éventuelle corruption".
"C'est un jour triste pour la nation, car les preuves médicales d'experts étrangers indiquent que cette décision scandaleuse de la TGA entraînera la mort d'Australiens", a ajouté Kelly.
Sur l'ivermectine
L'ivermectine est un médicament générique qui peut être produit à moindre coût dans de nombreux endroits du monde et qui a été largement utilisé chez l'homme contre certains vers parasites et pour lutter contre la gale, les poux et la rosacée. Il est également utilisé comme médicament anti-parisite chez le bétail, y compris les chevaux et les vaches.
William Campbell et Satoshi Omura ont remporté en 2015 le prix Nobel de physiologie ou médecine pour la découverte et les applications de l'ivermectine. L'Organisation mondiale de la santé a inscrit l'ivermectine sur sa liste des médicaments essentiels. C'est également un agent antiparasitaire approuvé par la FDA.
Les médecins et les professionnels de la santé ont considéré l'ivermectine comme un médicament réutilisé dans la lutte contre le COVID-19, en particulier lorsqu'il est utilisé en début de traitement. Beaucoup ont félicité l'ivermectine pour avoir aidé avec succès des milliers de leurs patients à survivre aux premières vagues de COVID-19.
Au 9 septembre, il y avait au moins 63 études, dont 45 évaluées par des pairs, sur le traitement du COVID-19 par l'ivermectine.
Deux groupes, la Front Line COVID-19 Critical Care Alliance et le British Ivermectin Recommendation Development Group, ont fait campagne pour l'utilisation hors indication du médicament pour lutter contre la maladie au milieu de la pandémie.
L'Université Monash, basée dans l'État australien de Victoria, a annoncé en avril 2020 qu'une étude qu'elle dirigeait montrait qu'"une seule dose du médicament, l'ivermectine, pourrait arrêter la croissance du virus SARS-CoV-2 en culture cellulaire".
Mais il a averti que l'ivermectine "ne peut pas être utilisée chez l'homme pour COVID-19 jusqu'à ce que d'autres tests et essais cliniques soient terminés pour confirmer l'efficacité du médicament à des niveaux sans danger pour le dosage humain".
"L'utilisation potentielle de l'ivermectine pour lutter contre le COVID-19 n'a pas encore été prouvée et dépend du financement pour faire avancer les travaux dans les prochaines étapes", a déclaré l'université à l'époque.
Le premier porte-conteneurs entièrement autonome du Japon est sur le point de s'attaquer à une course d'essai de 236 milles (379 km)
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 11 SEPTEMBRE 2021 - 20h00
Le premier cargo autonome au monde, basé au Japon, fait face à son premier véritable test alors qu'il s'apprête à entreprendre un voyage de 236 milles. C'est la première étape d'un voyage littéral de mille milles qui, espère le Japon, permettra à la moitié de tous les navires nationaux de se piloter.
La Nippon Foundation du Japon, une organisation d'intérêt public, soutient l'effort dans l'espoir de voir les navires sans équipage représenter 50 % de la flotte locale du Japon d'ici 2040, selon Bloomberg.
Le premier essai de ce type appartiendra à Nippon Yusen KK, qui met en place un porte-conteneurs pour se piloter de la baie de Tokyo à Ise en février 2022. Le voyage de 236 milles sera le premier du genre par un navire autonome dans un trafic maritime intense. .
Le marché mondial autonome du transport maritime pourrait valoir jusqu'à 166 milliards de dollars d'ici 2030, note le rapport.
Satoru Kuwahara, directeur général de la filiale de Nippon Yusen, Japan Marine Science Inc., a déclaré à Bloomberg : « En ce qui concerne l'automatisation des navires, notre mission est de faire en sorte que le Japon domine le reste du monde.
Il a poursuivi, déclarant qu'il pensait qu'il y avait un "vrai besoin" d'autonomie dans le transport maritime car la main-d'œuvre du pays diminue et vieillit. 40 % des membres d'équipage du pays ont 55 ans ou plus, note le rapport.
La Nippon Foundation estime que 9 milliards de dollars d'économies peuvent être réalisés grâce à la navigation autonome et qu'elle peut éliminer de nombreux accidents maritimes. "Avec le problème de la diminution de la main-d'œuvre au Japon, ces technologies sont de plus en plus nécessaires pour garantir la sécurité", a déclaré Kuwahara.
Les données seront collectées à partir du test de février et le navire sera contrôlé à distance, si nécessaire.
Kuwahara prédit une "utilisation pratique" de la technologie d'ici 2025.
Il a conclu : « Nous avons besoin que cette technologie soit reconnue, sinon la mise en œuvre réelle dans la société n'avancera pas. Comme première démonstration, nous ne pouvons pas échouer.
Visualiser les villes européennes à la croissance la plus rapide
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 12 SEP 2021 - 08:45
Si vous deviez sélectionner une personne au hasard en Europe, il y a 75 % de chances que cette personne vive dans une zone urbaine plutôt que rurale.
Au cours des prochaines décennies, le chiffre de la population urbaine de cette région devrait encore augmenter, passant de 75 % à 84 % d'ici 2050.
Sur la base des taux de croissance démographique annuels moyens prévus entre 2020 et 2025, Iman Ghosh de Visual Capitalist détaille ci-dessous quelles sont les villes à la croissance la plus rapide en Europe ?
- voir carte sur site -
Puissance russe
La Russie est bien connue pour sa vaste masse continentale, mais le pays est plus que son vaste territoire. En fait, la Russie contient six des 20 villes les plus dynamiques d'Europe.
- voir liste sur site -
Fait intéressant, Balashikha, la ville européenne à la croissance la plus rapide, est située à seulement 25 km (15 mi) de Moscou. L'expansion rapide à la périphérie de capitales comme celle-ci est généralement attribuée à un phénomène appelé étalement urbain.
Bien que Balashikha devrait connaître le taux de croissance annuel le plus rapide (2,01 %) de la région au cours des prochaines années, face à d'autres sur la scène mondiale, il ne se classe qu'à la 768e place.
Europe vs. Mondial
Il est important de noter que les taux de croissance urbaine de l'Europe sont relativement lents par rapport à de nombreuses autres régions du monde, comme l'Asie et l'Afrique.
- voir liste sur site -
De 2020 à 2025, la ville à la croissance la plus rapide au monde, Gwagwalada, au Nigeria, devrait croître plus de 3 fois plus vite que la ville à la croissance la plus rapide d'Europe, Balashikha.
Le fait est que le développement de l'agriculture est phénoménal aujourd'hui. On passe à des machines de plus en plus grosses aux technologies de plus en plus pointues. Puis arrivent les serres ! qui permettent de travailler toute l'année sous protection du vent, de la pluie de la neige.
Des journalistes pourraient être condamnés à 14 ans de prison pour avoir « embarrassé » des représentants du gouvernement britannique
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 12 SEP 2021 - 07:35
Les personnes qui pensent que le président Obama a abusé de ses pouvoirs en s'en prenant aux journalistes sont sur le point d'être encore plus choquées par les nouvelles règles mises en œuvre au Royaume-Uni. Selon le Daily Mail, les journalistes pourraient encourir des peines de prison allant jusqu'à 14 ans pour des articles qui embarrassent le gouvernement dans le cadre des projets de réforme de la loi sur les secrets officiels.
Selon les modifications apportées à l'interprétation de l'Official Secrets Act du Royaume-Uni, qui est en cours de mise à jour pour "l'ère Internet" (qui a commencé il y a plus de 20 ans) et le fait que les données peuvent être transportées instantanément par le Home Office de Priti Patel. Patel s'oppose apparemment à une "exemption d'intérêt public" qui exclurait les journalistes de toute responsabilité en vertu de la loi.
En vertu de ces nouvelles dispositions, les journalistes pourraient encourir jusqu'à 14 ans de prison pour avoir publié des informations « non autorisées » dans l'ouest soi-disant « libre » et « ouvert ».
Mais dans un document publié lors de la consultation sur les révisions, le ministère de l'Intérieur a fait valoir qu'une telle décision « saperait nos efforts pour empêcher les divulgations non autorisées préjudiciables, ce qui ne serait pas dans l'intérêt public ».
Les critiques des changements, qui incluent des organisations de défense des droits de l'homme et la Commission du droit, soutiennent que s'ils avaient été en vigueur à l'époque, ils auraient pu conduire à des poursuites contre les journalistes qui ont révélé ce mois-ci que le secrétaire à la Santé de l'époque, Matt Hancock, était enfreindre les règles COVID en ayant une liaison avec son assistant marié, car le scoop s'appuyait sur des images de vidéosurveillance divulguées.
Le gouvernement fait déjà face à des réactions négatives pour sa réponse à la fuite. Le bureau du commissaire a été critiqué pour avoir fait perquisitionner deux maisons dans le cadre d'une enquête sur la fuite des informations sur Hancock.
Un porte-parole du ministère de l'Intérieur a nié que les changements réduiraient les libertés de la presse.
"La liberté de la presse fait partie intégrante des processus démocratiques du Royaume-Uni et le gouvernement s'engage à protéger les droits et les valeurs qui nous sont si chers."
"Il est faux de prétendre que les propositions exposeront les journalistes au risque d'être traités comme des espions et qu'ils resteront, à juste titre, libres de demander des comptes au gouvernement."
« Nous allons introduire une nouvelle législation afin que les services de sécurité et les forces de l'ordre puissent faire face aux menaces étatiques en constante évolution et protéger les données sensibles. »
"Cependant, cela sera équilibré pour protéger la liberté de la presse et la capacité des lanceurs d'alerte à demander des comptes aux organisations en cas d'allégations graves d'actes répréhensibles."
Dans un document expliquant les changements, le ministère de l'Intérieur a fait valoir que les fuites de presse non autorisées "les plus graves" peuvent parfois être encore plus dommageables que lorsque des informations sont volées à des fins d'espionnage.
"En conséquence, nous ne considérons pas qu'il y ait nécessairement une distinction de gravité entre l'espionnage et les divulgations non autorisées les plus graves, de la même manière qu'il y en avait en 1989."
"Bien qu'il existe des différences dans les mécanismes et les motivations des infractions d'espionnage et de divulgation non autorisée, il existe des cas où une divulgation non autorisée peut être aussi grave ou plus grave, en termes d'intention et/ou de dommage."
Cela laisse une certaine marge de manœuvre aux procureurs pour poursuivre les journalistes en remettant en question les motifs obscurs derrière les fuites de presse.
Ce n'est que la dernière menace à émerger contre les journalistes européens. Il y a quelques jours à peine, l'ONU a commenté l'utilisation croissante de la surveillance numérique à l'aide de logiciels comme Pegasus, le logiciel de surveillance développé par le groupe israélien NSO, pour espionner les journalistes et les dignitaires.
Il y a certainement une chose sur laquelle les deux parties peuvent s'entendre : la nature de l'espionnage et de la collecte d'informations a considérablement changé depuis 1989, la dernière fois que ces lois ont été mises à jour.
Là encore il y a exemple de la différence intellectuelle entre le journaliste et le Rédacteur en chef. Ces derniers dépassés depuis 20 ans par l'arrivée des internautes qui sont là où se trouve l'actualité. Et, même si chacun voit midi à sa porte, la vérité remporte toujours sur les mensonges même répétés des milliers de fois.
Énergie nucléaire : la Chine définitivement en avance !
le 12 septembre 2021
Avec quelques jours d’intervalle le monde entier a appris que la Chine était devenue l’incontestable leader mondial de l’énergie nucléaire du futur : le chargement en combustible du premier réacteur nucléaire à très haute température et la mise en fonctionnement d’un réacteur à sels de thorium fondu. Ces deux programmes de démonstration ont été planifiés il y a plus de dix ans et ont chacun nécessité le travail de milliers d’ingénieurs souvent formés dans des universités occidentales et de techniciens hautement qualifiés ainsi que le savoir-faire d’une multitude de petites entreprises de haute technologie. La Chine s’oriente donc résolument vers un avenir énergétique fiable et peu onéreux.
Le réacteur à très haute température refroidi avec de l’hélium est situé à Shidaowan dans la province du Shandong. Il s’agit de deux unités qui fourniront de la vapeur de très haute qualité pour alimenter une turbine de 210 MW électriques. La première unité est déjà opérationnelle et le complexe sera raccordé au réseau électrique avant la fin de cette année. La construction de cette usine a débuté en décembre 2012. La température de l’hélium en sortie de réacteur est de 750°C et après passage dans un générateur de vapeur cet hélium refroidi à 250°C retourne dans le réacteur. Le réacteur lui-même se trouve dans une cuve de 11 mètres de haut et de 3 mètres de diamètre comprenant des déflecteurs en graphite et des barres de contrôle entourant un dispositif innovant constitué d’un lit fluidisé de billes de combustible de 60 millimètres de diamètre. À pleine charge le combustible comprend 420000 billes de céramique contenant chacune 7 grammes d’uranium enrichi à 8,5 % d’isotope 235. Il faut un mois pour que le chargement soit complet.
L’intérêt d’un tel dispositif est que le réacteur peut fonctionner sans arrêt de rechargement puisque celui-ci peut être effectué en continu et en cas d’incident les billes peuvent être stockées dans des cuves ayant un volume tel que le processus de fission s’arrête en raison du déficit de quantité critique d’uranium. Il s’agit pour l’instant d’un prototype néanmoins producteur d’électricité qui permettra aux ingénieurs de se former pour l’étude d’unités de puissance plus importante ainsi que pour développer toutes les technologies afférentes dont en particulier la production d’hydrogène.
L’autre innovation chinoise se trouve implanté à WuWei dans la province du Gansu. Il s’agit du premier réacteur à sels fondus de thorium. Bien que cette technologie ait été explorée au début des années 1960 aux USA elle n’a jamais fait depuis l’objet de nouvelles recherches car le fonctionnement de ce réacteur est beaucoup plus problématique. Le fonctionnement en continu d’une telle installation requiert absolument une unité de retraitement chimique en ligne afin de séparer les produits de fission qui empoisonnent le fonctionnement normal de la fission en raison de leur très grande section de capture des neutrons. L’isotope naturel du thorium est le thorium-232 qui n’est pas « fissile » comme l’uranium-235 ou le plutonium-239. Il faut donc une source de neutrons pour initier la réaction nucléaire. Celle-ci est constituée d’uranium-235. Le thorium-232 capte un neutron et se transforme alors en uranium-233. Mais la situation se complique avec l’apparition de protactinium-233. Tous ces métaux se trouvent sous forme de fluorures mixtes fondus à partir d’une température d’environ 290°C. Le prototype de 3 MW thermiques permettra surtout d’étudier le cycle du combustible, le flux de neutrons étant particulièrement délicat à contrôler. Depuis 1969 aucun pays dans le monde n’a envisagé la construction d’un tel prototype.
Pourquoi s’intéresser au thorium ? D’abord parce que le thorium est beaucoup plus abondant que l’uranium et ensuite parce que la Chine accumule des quantités impressionnantes de « stériles » provenant de la purification des terres rares, stériles très riches en thorium. Pour clore ce deuxième chapitre il n’existe aucune information disponible quant au choix technologique des ingénieurs chinois : simple flux ou double flux. S’il s’agit de la technologie double flux la Chine est alors très novatrice en ce qu’un tel dispositif peut fonctionner indéfiniment car il ne comporte pas de réflecteur en graphite mais il est beaucoup plus complexe à mettre en œuvre (voir le lien wikipedia ci-dessous). Si les ingénieurs chinois réussissent ils auront fait franchir un grand pas à l’humanité qui n’aura alors dans l’avenir plus aucun problème d’énergie.
Sources : World Nuclear News, https://www.nature.com/articles/d41586-021-02459-w et
La congestion des porte-conteneurs dans les ports de LA atteint un niveau record alors que de plus en plus de navires se joignent à la file d'attente
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 11 SEPTEMBRE 2021 - 14:00
Le jeu d'attente s'allonge pour les porte-conteneurs entrant dans les plus grands ports américains pour le transport transpacifique, à savoir les ports de Los Angeles et de Long Beach, en Californie.
Les navires au mouillage et le temps d'attente pour accoster ont fortement augmenté dans les ports jumeaux. Bloomberg cite de nouvelles données des deux ports, compilées par la plate-forme de chaîne d'approvisionnement Port Optimizer de Wabtec, qui montrent que 55 navires étaient amarrés ou dérivaient au large en attendant de décharger leur cargaison vendredi. Il y a à peine deux semaines, les lecteurs se souviendront peut-être que la congestion en dehors de la passerelle américaine la plus fréquentée pour le commerce avec l'Asie était de 40. L'attente moyenne a bondi de près d'un jour, passant de 7,6 fin août à 8,5.
- voir graphique sur site -
La congestion des ports s'aggrave alors que la haute saison de navigation est en cours. Cette semaine, les responsables de Los Angeles et de Long Beach ont été contraints de déplacer les navires vers un espace de débordement car les principales zones d'attente étaient à pleine capacité. Il y a 17 porte-conteneurs dans les zones de débordement.
L'énorme arriéré portuaire signifie que 375 000 conteneurs de 20 pieds attendent au large et ne peut que signifier davantage de perturbations de la chaîne d'approvisionnement pour les importateurs américains.
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Les récentes épidémies de Covid ont exacerbé les retards le long des principales voies maritimes transpacifiques dans les ports asiatiques, comme la récente fermeture du terminal à conteneurs de Ningbo Meishan (le troisième plus grand port à conteneurs au monde après Shanghai et Singapour), également appelé terminal de Meishan, en Chine, en raison des résultats positifs du test Covid. Le terminal a depuis rouvert, mais a aggravé la congestion du réseau maritime transpacifique.
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Le problème principal des voies navigables encombrées, des temps d'attente élevés et des coûts de transport qui montent en flèche est qu'ils alimentent une flambée de l'inflation qui pousse les prix à la production et les prix à la consommation à la hausse, discréditant le récit d'inflation « transitoire » de la Réserve fédérale.
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Les membres de la Fed ne semblent pas trop inquiets de l'inflation qui fait rage, car elle ronge les gains salariaux de la moyenne des Joe et Jane. Ces fonctionnaires sont trop occupés à négocier des actions à la journée plutôt que de s'inquiéter de ce qui se passe dans la rue principale.
Un camion renversé transportant des batteries Tesla prend feu et bloque l'I-80 en Californie
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 11 SEPTEMBRE 2021 - 12:00
Un camion transportant une charge de batteries Tesla dans le comté de Placer, en Californie, s'est écrasé et s'est renversé, provoquant l'incendie des batteries et bloquant une grande partie de l'I-80 vendredi soir.
L'accident de renversement s'est produit sur l'autoroute juste à l'est de Drum Forebay, selon CBS Sacramento.
CBS a qualifié l'incendie qui a suivi de "petit" et a noté qu'il "a depuis été maîtrisé". La California Highway Patrol a confirmé que le camion transportait des batteries Tesla.
Les transcriptions de la California Highway Patrol publiées par Mark Spiegel de Stanphyl Capital vendredi ont documenté l'incident tel qu'il s'est produit.
- voir sur site -
Un "semi renversé" a été signalé pour la première fois avant qu'il ne soit signalé que le véhicule était en feu.
Après avoir « demandé à quel point le camion était englouti », la California Highway Patrol a été informée que le chargement était constitué de batteries Tesla.
Comme Spiegel l'a noté sur Twitter, l'incendie était petit - mais l'excuse pour manquer le prochain trimestre pourrait être énorme !
La loi passe par le Droit, représenté par un chemin direct. L'Amour passe par le cercle représenté par des bras qui enlacent et la sphère qui englobe.
N'est-ce pas à un tel passage que nous sommes invités actuellement par la vie dans nos existences quotidiennes ?
Voulons-nous rester sur la ligne droite représentée par un masque, un test et une inoculation dite vaccinale ? Ou alors former une chaîne humanitaire embrassant un espace commun ?
Sommes-nous à l'aise de respirer de l'air stagnant derrière le plan d'un masque ou voulons-nous nous ouvrir à l'air de l'espace multidimensionnel qui nous entoure ?
Notre liberté d'aller et venir doit-elle dépendre d'un passe sanitaire uniquement ? Et en plus, selon des mesures le renouvelant régulièrement : Ceux qui refuseront la 3ème dose auront leur pass ANNULÉ
La mesure du confinement suit aussi une directive en ligne droite et a réduit l'espace des êtres humains sur différents plans qui ont coûté cher au propre comme au figuré, à la santé tant physique que psychique :
- l'esprit s'est dissous, perdu dans l'espace : Confinement et déclin cognitif… il y a un lien
- l'élan pour travailler s'est réduit : Effets pervers du « quoi qu’il en coûte » : ils ne veulent plus retourner bosser ! Déjà, ce lundi 21 juin, le trafic était perturbé en Île-de-France. Un rodage, en somme, après tous ces mois d’activité réduite.
- Le corps affectif s'est aussi restreint, lui qui est destiné à l'expansion de la joie : Stress, peur et dépression. Il ne vous a pas échappé que le confinement a entraîné une forte hausse des consultations en France pour symptômes dépressifs, et provoqué une augmentation alarmante des tentatives de suicide, en particulier chez les jeunes.
- Une autre façon de limiter ou étouffer son élan de vie : Le confinement a créé 1 million de nouveaux alcooliques en Angleterre
- Les soins médicaux ont dû en grande partie suivre la ligne imposée par les gouvernements : À cause du prolongement du confinement, les conséquences de la paralysie des soins non-Covid ont été graves pour les autres malades : infarctus, embolies, péritonite,…
Autrement dit : Le confinement a tué deux personnes pour trois morts du coronavirus
En résumé : comme l'exprime un médecin riche de son expérience pratique : Non, le confinement ne sauve pas, il aggrave la mortalité du Covid19, l’économie et la santé des Français.
L'aiguille, la seringue et le produit à injecter : voici encore une belle ligne droite ! Elle entretient un concept - représentation abstraite d'un objet - mais qui élude tout l'espace - la peau, les organes, les fonctions physiologiques, les conséquences à court et long terme ... - dans lequel on l'impose, apparemment de gré mais en réalité de force puisque l'aiguille pénètre la peau offensivement. De la sorte, une fois dans un milieu vivant, la protéine spike reprend une partie de sa liberté et utilise un espace que le concept d'origine n'avait pas prévu : Le Dr Ryan Cole dénonce les vaccinations expérimentales qu’il qualifié comme « un viol par l’aiguille » dû à la toxicité de la protéine SPIKE
Viser une cible nécessite aussi un tracé rectiligne. Ainsi : Pfizer vise 26 milliards de dollars avec le vaccin anti-Covid en 2021. L'ensemble humain concerné par cette somme colossale est réduit à une masse instrumentalisée suivant un axe unique qui convoite de différentes façons la vaccination obligatoire.
La science, pour sa part, présente de la peine à se réduire à une décision unique: Le rappel vaccinal, décision politique qui divise les scientifiques
Le balancier du rapport bénéfice-risque consiste en une ligne droite si on limite la population à la résultante de diverses statistiques. En réalité chaque être humain présente sa propre balance individuelle entre les risques relevant de son état de santé, de son âge, de son lieu de vie, de ses facteurs de risques, du type de vaccin. L'ensemble de ces balances correspond bien à un univers multidimensionnel. Une conséquence tragique du calcul officiel : avec l'application de la loi absolue, glaciale, "tous vaccinés", on en arrive à atteindre nos jeunes en plein dans le coeur, source de la chaleur humaine.
Le corps médical n'est en fait plus un corps unifié animé par la conscience de l'art médical. Il est divisé entre la technoscience qui impose ses lignes droites, ses moyens d'analyses et ses protocoles. La politique s'appuie dessus et en crée son assurance. Les médecins sont réduits à être des exécutants des ordres supérieurs. Gare à ceux qui respectent leur conscience humaine : Des médecins romands sanctionnés pour avoir découragé leurs patients de se faire vacciner. Il est invoqué l’un des droits du patient d’avoir accès à une information claire, notamment sur la vaccination. Qu'est-ce au juste une information claire quand il s'agit d'un produit expérimental et qu'on ne sait pas comment chacun peut réagir aux divers ingrédients qu'il contient ? Voilà de nouveau une façon de réduire en un concept simple un acte médical ô combien complexe.
L'âme des médecins n'est pas endormie pour autant et animent les résistants dans l'âme à une doxa qui parait facile à imposer mentalement selon des lois d'ingénierie sociale mais qui s'éloigne de la richesse des contacts humains dans leurs dimensions affectives et créatives.
Il en va de même du lien social qui s'est figé entre deux pôles : vax ou non vax ? Alors que l'on sait depuis la nuit des temps que l'équilibre se crée à chaque instant entre les différents axes cosmiques. Il nous reste les réseaux sociaux par internet mais il s'agit de leur donner corps, ce que font les divers collectifs qui se créent de plus en plus, en manifestant la chaleur humaine que ne peuvent pas rendre nos écrans plats.
(...) Il est invoqué l’un des droits du patient d’avoir accès à une information claire, notamment sur la vaccination. Qu'est-ce au juste une information claire quand il s'agit d'un produit expérimental et qu'on ne sait pas comment chacun peut réagir aux divers ingrédients qu'il contient ? Voilà de nouveau une façon de réduire en un concept simple un acte médical ô combien complexe. (...)
L'explication dernièrement a été donnée par le docteur Fleming qui a fait monter sur l'estrade des personnes à qui il a demandé de prendre et de déplier le papier accompagnant le dit 'vaccin'. Le papier de la posologie s'est révélé être tout blanc recto/verso !! Seule, au milieu de la grande page de 60 cm sur 1 mètre de haut, figurée la mention "INTENTIONNELLEMENT VIDE" !!
'Intentionnellement vide' car, le poison contenu dans les flacons destinés aux inoculés était breveté !! Et donc: interdit de savoir ce qu'ils contenaient !!
Or, des scientifiques ont néanmoins examinés au microscope à balayage électronique est relevé que 95 à 99 % de la composition était faite de nano-particules d'oxyde de graphène !! qui n'ont RIEN A FAIRE dans une solution vaccinale !! Les nano-particules d'oxyde de graphène étant un poison violent destiné à être libéré par fréquence acoustique depuis la 5G !! Il faut donc s'attendre à une razzia mondiale de millions de morts dans les 24 ou 48 heures qui suivent le signal d'émission.
Les garçons plus à risque d'effet secondaire du jab Pfizer que Covid, suggère une étude Des chercheurs américains affirment que les adolescents sont plus susceptibles de contracter une myocardite liée au vaccin que de se retrouver à l'hôpital avec Covid
Ian Sample Science rédacteur en chef @iansample ven. 10 sept. 2021 18.00 BST
Les garçons en bonne santé peuvent être plus susceptibles d'être admis à l'hôpital avec un effet secondaire rare du vaccin Pfizer/BioNTech Covid qui provoque une inflammation du cœur qu'avec Covid lui-même, affirment des chercheurs américains.
Leur analyse des données médicales suggère que les garçons âgés de 12 à 15 ans, sans condition médicale sous-jacente, sont quatre à six fois plus susceptibles de recevoir un diagnostic de myocardite liée au vaccin que de se retrouver à l'hôpital avec Covid sur une période de quatre mois.
La plupart des enfants qui ont ressenti l'effet secondaire rare ont présenté des symptômes dans les jours suivant la deuxième injection de vaccin Pfizer/BioNTech, bien qu'un effet secondaire similaire soit observé avec le vaccin Moderna. Environ 86% des garçons touchés ont nécessité des soins hospitaliers, ont déclaré les auteurs.
Saul Faust, professeur d'immunologie pédiatrique et de maladies infectieuses à l'Université de Southampton, qui n'était pas impliqué dans les travaux, a déclaré que les résultats semblaient justifier l'approche prudente adoptée par le comité mixte britannique sur les vaccins et la vaccination pour les vaccins chez les adolescents.
Le JCVI n'a pas recommandé de vacciner les enfants de 12 à 15 ans en bonne santé, mais a renvoyé l'affaire aux médecins-chefs du Royaume-Uni qui devraient prendre une décision finale la semaine prochaine. Les enfants de 12 à 15 ans particulièrement vulnérables au Covid, ou vivant avec une personne à risque, sont éligibles aux vaccins.
Dans la dernière étude, qui n'a pas encore été évaluée par des pairs, le Dr Tracy Høeg de l'Université de Californie et ses collègues ont analysé les effets indésirables des vaccins Covid chez des enfants américains âgés de 12 à 17 ans au cours des six premiers mois de 2021. Ils estiment le taux de myocardite après deux injections de vaccin Pfizer/BioNTech à 162,2 cas par million pour les garçons en bonne santé âgés de 12 à 15 ans et 94 cas par million pour les garçons en bonne santé âgés de 16 à 17 ans. Les taux équivalents pour les filles étaient respectivement de 13,4 et 13 cas par million. Aux taux d'infection actuels aux États-Unis, le risque qu'un adolescent en bonne santé soit emmené à l'hôpital avec Covid dans les 120 prochains jours est d'environ 44 par million, ont-ils déclaré.
La fiabilité des données et la question de savoir si des chiffres similaires pourraient être observés au Royaume-Uni si des jeunes de 12 à 15 ans en bonne santé sont vaccinés ne sont pas claires : les réactions au vaccin sont enregistrées différemment aux États-Unis et les injections sont administrées à des intervalles de temps plus longs au Royaume-Uni. Selon le régulateur britannique des médicaments, le taux de myocardite après la vaccination contre Covid n'est que de six par million de coups de Pfizer/BioNTech.
Jusqu'à présent, les enfants britanniques n'ont pas été admis en grand nombre à l'hôpital pour Covid et ne courent peut-être pas un grand risque de long Covid. Alors que la récente étude Clock a révélé que jusqu'à 14% des enfants qui ont attrapé Covid peuvent encore présenter des symptômes 15 semaines plus tard, les niveaux de fatigue semblent similaires à ceux des enfants qui n'ont pas attrapé le virus. Cela suggère que les enfants peuvent être épargnés par certains des problèmes les plus débilitants observés chez les adultes à long Covid.
Pourquoi les enfants ne sont-ils pas vaccinés au Royaume-Uni ? - Podcast L'écrasante majorité des myocardites apparaît après la deuxième dose de vaccin, donc offrir des injections uniques pourrait protéger les enfants tout en réduisant encore plus le risque d'effet secondaire.
"Bien que la myocardite après la vaccination soit exceptionnellement rare, nous pourrons peut-être modifier la première ou la deuxième dose ou combiner les vaccins différemment pour éviter le risque, une fois que nous comprendrons mieux la physiologie", a déclaré le professeur Faust. « Dans l'ensemble, il n'y a pas d'urgence à vacciner les enfants d'un point de vue médical, bien que si les écoles ne sont pas en mesure de maintenir l'éducation de la grande majorité à tout moment, l'équilibre global pourrait changer. Si mes deux enfants adolescents se voient proposer le vaccin par le NHS, ma femme GP et moi n'hésiterons pas à leur permettre de recevoir le vaccin. »
Le professeur Adam Finn, membre du JCVI à l'Université de Bristol, a déclaré: «Je maintiens le conseil du JCVI, qui est de ne pas aller de l'avant pour le moment avec la vaccination des enfants de 12 à 15 ans en bonne santé pour des raisons de risque et de bénéfice pour la santé. étant donné l'incertitude actuelle, car il existe un risque faible mais plausible que des dommages rares s'avèrent l'emporter sur les avantages modestes. »
La MHRA a déclaré qu'elle surveillait de près toutes les données disponibles sur le risque potentiel de myocardite et de péricardite après la vaccination contre le Covid-19. « Nous avons conclu que les vaccins Covid-19 fabriqués par Pfizer/BioNTech et Moderna peuvent être liés à une légère augmentation du risque de ces conditions très rares. Les cas avaient tendance à être bénins et la grande majorité se sont rétablis avec un simple traitement et du repos », ont-ils ajouté.
Le porte-parole a déclaré que la dernière étude avait été examinée par l'organe consultatif indépendant du gouvernement, le groupe de travail d'experts sur les risques des vaccins Covid-19, qui a constaté que l'interprétation des résultats était limitée par le fait que l'étude ne tenait pas compte des différences de pratiques de traitement lors de la comparaison des taux d'hospitalisation entre les infections à Covid-19 et les myocardites et péricardites se présentant après la vaccination, et il n'y avait pas d'évaluation de la gravité et de la durée de la maladie après l'admission.
« Des stratégies de surveillance de la sécurité sont en place pour les personnes de moins de 18 ans, y compris la surveillance de la myocardite et de la péricardite survenant après la vaccination et les résultats à long terme de ces événements. La MHRA continue de surveiller de près et en permanence la sécurité des vaccins contre le Covid-19 », a ajouté le porte-parole.
La population du Québec possède toute la légitimité pour traduire en justice les auteurs du génocide en cours depuis janvier 2020 sous prétexte de pandémie.
Pour prendre connaissance des rapports d'enquêtes effectuées, rendez-vous sur le site de la Garde nationale du Québec.
Vous pouvez aussi consulter notre rapport d'enquête (partie 1 et partie 2).
Le gouvernement britannique renonce au passeport vaccinal
19:47 12.09.2021
Le gouvernement britannique a annoncé dimanche qu'il renonçait à son projet de mettre en place un passeport vaccinal en Angleterre pour permettre à la population de se rendre dans des endroits très fréquentés, Londres travaillant en outre sur un nouveau plan de lutte contre le COVID-19.
Le Premier ministre britannique Boris Johnson présentera mardi ce plan pour affronter la pandémie pendant la prochaine période hivernale, a précisé le ministre de la Santé Sajid Javid.
"Maintenant que nous entrons dans l'automne et l'hiver (...), le Premier ministre exposera cette semaine nos plans pour gérer le COVID au cours des prochains mois et en cela nous indiquerons clairement que notre programme de vaccination fonctionne", a-t-il déclaré à Sky News. Sajid Javid a également indiqué à la BBC qu'il n'anticipait plus de confinements, même s'il ne souhaite pas exclure des mesures de ce type des options gouvernementales.
Evoquant l'idée d'un passeport vaccinal, il a déclaré : "Nous l'avons examiné correctement et bien que nous devions le garder en réserve en tant qu'option potentielle, je suis heureux de dire que nous n'irons pas de l'avant (...)"
Le ministre a également jugé efficaces les programmes de vaccination, de dépistage et de surveillance du gouvernement britannique, de même que les nouveaux traitements contre le COVID-19.
La Grande-Bretagne affiche l'un des taux de décès dus au virus les plus élevés au monde et a connu un rebond du nombre de contaminations ces derniers mois après avoir assoupli certaines restrictions en juillet.
Alors que Londres s'est arrogé en mars 2020 une série de pouvoirs d'urgence incluant des mesures pour fermer les entreprises, Boris Johnson a clairement indiqué qu'il mettrait un terme à certains d'entre eux.
"Ces temps extraordinaires ont nécessité des mesures nécessaires mais intrusives. Mais je suis déterminé à nous débarrasser de tous les pouvoirs dont nous n'avons plus besoin en raison de nos défenses vaccinales", a-t-il dit dans un communiqué.
Pénurie de médicaments en France : causes et solutions (2)
Les ruptures de stock de médicaments sont de plus en plus nombreuses et concernent de multiples pathologies. Deuxième partie de cette série : les spécificités françaises expliquant la pénurie de médicaments.
Par Patrick de Casanove. 13 SEPTEMBRE 2021
La première partie de cet article détaille les causes identifiées de la pénurie de médicaments en France. https://www.contrepoints.org/2021/09/12/347490-penurie-de-medicaments-en-france-causes-et-solutions-1
SPÉCIFICITÉS FRANÇAISES INDUISANT UNE PÉNURIE DE MÉDICAMENTS
La pénurie ne touche pas que la France.
Pour rester dans des pays économiquement comparables, d’autres pays d’Europe sont touchés, les États-Unis le sont aussi. Dans ce pays » la raison principale de cette pénurie reste des problèmes de matières premières ou des soucis liés à la qualité « . C’est tout.
En France les raisons sont plus nombreuses et la situation est plus préoccupante que dans les autres pays développés. Un Français sur quatre a déjà été concerné par le manque d’un médicament.
Parce que si la pénurie n’atteint pas que la France notre pays a des spécificités. La pénurie de médicaments est au carrefour de plusieurs problèmes français.
LA SÉCURITÉ SOCIALE, MONOPOLE D’ÉTAT SANS CONCURRENT
Il n’est pas possible de commencer un chapitre sur les spécificités françaises sans parler de notre modèle social et son pilier la Sécu.
La seule entrée légale possible pour un médicament sur le marché français est d’obtenir une AMM (Autorisation de Mise sur le Marché). Une fois celle-ci obtenue, si l’industriel veut un remboursement, qui n’est possible que par la Sécu, il doit discuter un prix avec l’État, représenté par le CEPS.
Le Comité économique des produits de santé (CEPS), « organisme interministériel placé sous l’autorité conjointe des ministres chargés de la Santé, de la Sécurité sociale et de l’Économie, est principalement chargé par la loi de fixer les prix des médicaments et les tarifs des dispositifs médicaux à usage individuel pris en charge par l’assurance maladie obligatoire ». Le problème est que le seul rembourseur est la Sécu, et le seul négociateur est l’État. L’inexistence de concurrence dans le marché du remboursement de soins prive les Français d’opportunités thérapeutiques.
Pour compléter ce paragraphe il faut préciser qu’il existe l’exception de l’ATU (Autorisation Temporaire d’Utilisation) pour l’utilisation exceptionnelle de spécialités pharmaceutiques ne bénéficiant pas d’une autorisation de mise sur le marché (AMM) et ne faisant pas l’objet d’un essai clinique.
Comme si le manque matériel d’un produit ne suffisait pas, notre système de santé crée des manques administratifs. Dans ce cas le produit existe quelque part dans le monde et il est disponible.
Cependant notre pays n’a pas les moyens de l’acheter au prix du marché. Donc il négocie à la baisse pour obtenir le produit, le mettre sur le marché et le rembourser à un tarif administratif. Comme expliqué précédemment, tant que ce tarif administratif n’est pas fixé, le médicament n’est pas remboursé, donc pas disponible pour les malades français.
L’ABSENCE TOTALE DE PRIX LIBRES POUR LES MÉDICAMENTS
Les paragraphes précédents ont expliqué que les prix des médicaments en France ne sont pas libres ; comme tous les tarifs des actes dits opposables, par exemple la consultation d’un médecin en secteur 1.
La conclusion qu’il faut en tirer est que les dits prix des médicaments ne sont pas des prix, mais des marqueurs administratifs de la politique suivie par l’État. Or, les prix sont des informations. Avec son système la France se prive d’informations précoces sur le marché du médicament. Sans informations fiables, complètes et instantanées il est impossible pour l’État de gérer le système de soin, et l’approvisionnement en médicaments en particulier.
LA MAUVAISE SANTÉ ÉCONOMIQUE
Notre pays n’a pas une économie qui se porte au mieux. Il existe un déclin de la compétitivité économique. En 2018 la France est au 17ème rang mondial en ce domaine.
Notre système de soins étatique est incapable d’assurer les approvisionnements en médicaments parce qu’il n’en a pas les moyens financiers, parce que la France a une prospérité qui ne permet plus à un État qui se mêle de tout, de tout financer correctement. Si tant est que cela lui fût possible un jour. En pratique l’État rationne et répartit la pénurie entre les différents secteurs de la vie du pays, en fonction de ses intérêts politiques… et de celui qui crie le plus !
Depuis des décennies il promeut les économies pour sauver la Sécu. En clair il rationne les soins. Cette pénurie de médicaments met en lumière que la Sécu n’est pas sauvée et que les Français, malgré (à cause de ?) la Sécu, peuvent ne pas être soignés, même pour des maladies graves.
Les pays dont la prospérité leur permet de payer correctement les médicaments passent d’abord.
« La France est en compétition au sein de l’Europe. De l’aveu même de l’ANSM, dans le rapport MATRIX, c’est surtout la mondialisation des chaînes de production du médicament qui pose problème : ‘Sans remettre en cause ces origines connues d’indisponibilité de médicaments sur certains territoires européens, la France souhaite souligner qu’en amont ces décisions des laboratoires pharmaceutiques se fondent sur la rentabilité d’une éventuelle commercialisation au regard du niveau de prix et des contingences industrielles […] Il faut comprendre que la France est en compétition avec les autres pays pour être servie en cas de rupture de stock. Or l’attractivité des prix des médicaments en France est clairement moindre par rapport à d’autres pays et il n’est donc pas exclu que la France ne soit pas privilégiée, voire soit servie en dernier’. »
À cette moindre prospérité globale, s’ajoute en France un déclin industriel. Cette désindustrialisation touche aussi l’industrie pharmaceutique :
« 170 sites de production de médicaments étaient recensés sur le territoire national en 2015, contre 224 en 2013, soit une baisse de 24 %. Seuls 22 % des principaux médicaments remboursés en ville sont produits en France. »
Elle est le témoignage de la persistance sur plusieurs décennies d’un climat économique malveillant envers les entreprises et délétère pour l’innovation.
Il est possible de déduire de cette situation qu’en matière des soins à la personne, la performance d’un système de couverture santé n’est pas liée au remboursement des frais, pouvant aller jusqu’à une prétendue gratuité, mais à la prospérité économique. La gratuité n’existe pas, les soins sont prépayés et la dispense d’avance de frais n’est pas la gratuité.
LA RECHERCHE ET L’INNOVATION MAL EN POINT
En 2018 la France se situe au 32ème rang mondial en matière d’innovation. La recherche médicale est en perte de vitesse. Déjà en 2014 :
« Sur les 5000 médicaments en développement en ce moment dans le monde, 3400 le sont aux États-Unis. Dans les 10 dernières années, 300 nouveaux médicaments ont été autorisés par la Food and Drug Administration (FDA). »
LA HAINE DE L’ENTREPRISE QUI RÉUSSIT
Haine particulièrement exacerbée dans le milieu du soin. Tout est critiqué négativement que ce soit les cliniques privées, les dépassements d’honoraires ou les laboratoires pharmaceutiques pour le cas qui nous concerne ici.
Les bénéfices de l’industrie pharmaceutique sont régulièrement dénoncés, ce qui n’est pas sans rappeler les délires que suscite la publication des bénéfices de Total dans le secteur pétrolier.
LA MÉCONNAISSANCE ÉCONOMIQUE
En particulier l’ignorance totale de ce qu’est un prix. L’erreur d’analyse commence souvent car pour raisonner les personnes partent de la somme qui leur est demandée pour acquérir un médicament. C’est ce qu’on voit. Ils oublient qu’en France ce n’est pas un prix mais un marqueur politique. Ils oublient le contexte industriel. C’est ce qu’on ne voit pas.
Penchons-nous sur le contexte industriel du médicament. Sur des centaines de molécules découvertes par la recherche, 10 seront prometteuses. Sur 10 molécules prometteuses 9 iront au panier.
« Selon des chercheurs du Bureau du budget du Congrès américain, seulement 8 % des nouvelles molécules étudiées qui atteignent l’étape des essais cliniques finissent par être approuvées pour la mise en marché. »
Sur 10 molécules commercialisées deux couvriront leurs frais de recherche et développement.
« Il s’agit également d’un processus risqué car seulement deux médicaments commercialisés sur dix génèrent des recettes de vente suffisantes pour couvrir les coûts moyens de R&D. En conséquence, 20 % des médicaments mis en marché doivent générer des profits suffisamment élevés pour couvrir le manque à gagner en termes de revenus des autres 80 % qui sont déficitaires. »
En 2015 par exemple, pour le traitement du cancer :
« À ce jour, 6484 traitements, dont les deux tiers en sont encore aux premiers stades de la recherche, sont en développement, constate le cabinet d’études GBI Research. »
Nul ne sait combien sortiront. Le peu qui sortira devra supporter le frais de R&D des milliers qui ne seront pas sortis.
Nous avons vu précédemment que l’absence d’un prix correct offert aux laboratoires était un handicap pour la France par rapport à d’autres pays développés. Nous avons vu que cela est dû à l’absence de prix libres et à la moindre prospérité économique de notre pays.
Même les meilleurs cancérologues français, tout à leur souci d’apporter les meilleurs traitements à leurs patients, se fourvoient dans le diagnostic :
« Les auteurs de l’appel des 110 contestent, à travers le Glivec, l’argument souvent avancé par l’industrie pharmaceutique du nécessaire retour sur investissement. Comment expliquer que le coût du Glivec soit passé, selon des calculs effectués par le New York Times en dollars constants de 2014, de 4500 dollars par mois en 2001 à 8400 dollars en 2015, alors que le retour sur investissement de ce produit est fait, largement, depuis longtemps ? »
Le retour sur investissement de ce produit est peut-être fait, mais il doit supporter tous ceux qui n’ont pas atteint le seuil de rentabilité, voire n’ont jamais vu le jour.
Pour prendre un exemple ailleurs, en 1983 la 205 a sauvé Peugeot, parce qu’elle a engendré suffisamment de bénéfices pour remettre le groupe à flot, et lui donner une nouvelle dynamique. Le prix de la 205 n’a pas été baissé au prétexte que « le retour sur investissement de ce produit est fait, largement, depuis longtemps ». Cela n’a choqué personne. Si ce raisonnement avait été suivi Peugeot aurait disparu.
Les mieux placés pour prendre les bonnes décisions pour gérer une entreprise sont les entreprises elles-mêmes. Elles peuvent certes se tromper, mais moins que tous les modes de calculs abracadabrantesques déconnectés de l’entreprise et obéissant à d’autres objectifs que sa bonne santé.
Ces spécificités françaises tiennent au fait que notre pays est un pays socialiste où l’économie est largement dirigée.
L’article suivant détaillera les fausses bonnes solutions et les solutions envisageables.
(16) Psyché : l’astéroide à 10 trillions de dollars
L’exploitation de tous les minéraux présumés de (16) Psyché, évalué à10 trillions de dollars, un astéroide provoquerait une crise économique.
Par Gérald Autier. 13 SEPTEMBRE 2021
En décembre 2020, le Planetary Science Journal publiait les résultats du traitement de clichés que le téléscope Hubble avait pris de (16) Psyché, un astéroïde de la ceinture principale d’une masse précédemment estimée à (2.72 ± 0.75) × 1019 kg. Les auteurs de cette étude émettent l’hypothèse que Psyché est essentiellement composé de fer et de nickel.
La mission Psyché que la NASA prévoit de lancer en août 2022 permettra certainement d’en apprendre plus encore sur ce corps céleste.
D’aucuns se sont d’ores et déjà amusés à calculer la valeur marchande de cet astéroïde. Elle avoisine, selon eux, les 10 trillions de dollars (10 000 000 000 000 000 000), soit 70 000 fois le PIB mondial en 2019 ou encore 200 milliards de fois la fortune de Jeff Bezos, l’homme actuellement le plus riche du monde.
Ce chiffre astronomique a fait tourner la tête à certains commentateurs qui imaginent déjà que la vente des métaux composant cet astéroïde assurerait à tout être humain un matelas financier très confortable.
CETTE HYPOTHÈSE DE SCIENCE-FICTION N’EST-ELLE PAS FANTAISISTE ?
Supposons que nous puissions ramener sur Terre les métaux qui entrent dans la composition de (16) Psyché. En premier lieu, convenons que le prix de ces métaux s’écroulerait pour avoisiner zéro. En effet, la valeur d’un objet ou d’une ressource est fonction de sa rareté et de son utilité. Une ressource en surabondance n’a aucune valeur marchande. En second lieu, la profusion de ces métaux aboutirait à un grand nombre d’utilisations nouvelles, dont l’exploitation n’est aujourd’hui financièrement pas rentable. Dans le même temps, gageons que le coût de production de biens et services utilisant ces matières premières serait fortement réduit, ce qui engendrerait un gain notable pour le consommateur.
Imaginons un instant que le prix des métaux présents dans la composition de (16) Psyché ne s’effondre pas et que nous puissions, par exemple, les vendre au prix du marché terrestre à une civilisation extraterrestre dont les besoins en matières premières seraient immenses et non satisfaits. Une distribution équitable du produit de cette vente octroierait à chaque Terrien un joli pactole de 14 milliards de dollars.
Serions-nous pour autant tous riches ?
Dans une économie de marché, où les prix sont librement fixés, celui d’un bien ou d’un service reflète la valeur qu’il a aux yeux, à la fois, de l’acquéreur et du vendeur. Les prix dépendent de nos préférences subjectives et non d’une valeur intrinsèque.
Lorsque la quantité d’un bien augmente, son prix diminue. Les monnaies, comme tous les autres biens et services, ne font pas exception aux lois de l’offre et de la demande. Puisque la monnaie est également unité de mesure, l’érosion de son pouvoir d’achat se manifeste par la diminution du nombre de biens et de services que cette unité monétaire permet d’acquérir.
En d’autres termes, cette manne galactique qui augmenterait spectaculairement la masse monétaire reviendrait à avoir plus d’argent pour acheter une quantité de biens et de services inchangée, ce qui impacterait le prix de tous les biens et services. Représentons-nous une vente aux enchères où chaque acheteur disposerait de 14 milliards de dollars de liquidité, les prix de vente attendraient alors des sommets.
Si cet événement isolé de la vente à des extraterrestres des métaux de (16) Psyché se produisait, les prix sur Terre traverseraient une période d’ajustement tumultueuse : il y aurait alors pénurie de certains biens et services et surabondance monétaire. Certains agents économiques, leurrés par l’illusion de richesse, seraient conduits à faire des mauvais choix d’allocation de leur épargne. Il est probable que la richesse relative des uns et des autres retomberait peu ou prou à son niveau actuel.
Dans de nombreux pays, la notation de l’unité monétaire connaîtrait une extension du nombre de zéro. Un plombier proposerait ses prestations pour plusieurs milliards de dollars mais il achèterait sa baguette de pain à plusieurs centaines de millions de dollars. La rareté relative des biens et des services ne serait pas affectée. Autrement dit, les prix s’ajusteraient pour retrouver un niveau correspondant à la valeur relative que chacune propose sur le marché.
UN IMPACT SUR LES ÉPARGNANTS
Comment les épargnants agiraient-ils dans cette nouvelle situation ? À l’annonce de cette répartition du produit de la vente des métaux de l’astéroïde, ceux faisant preuve de sagacité s’empresseraient d’échanger leurs liquidités contre des actifs tangibles : œuvres d’art, biens immobiliers, parts de sociétés… Ceux d’entre eux qui ne convertiraient pas leurs encaisses devraient se résoudre à une dilution considérable de leurs économies. Imaginez un épargnant disposant d’un million de dollars avant la distribution de sa « prime Psyché », il se retrouverait au même niveau financier que son voisin qui disposerait de 14 milliards comme lui après le versement. Avec son épargne qui aurait pu lui permettre d’acquérir un bien immobilier, il ne pourrait même plus s’acheter une demi-baguette. Le coût de l’ignorance des épargnants sous-estimant les effets de cette inflation serait vraisemblablement très élevé.
Dès lors, la distribution à chaque Terrien de 14 milliards de dollars enrichirait ceux qui auraient eu la clairvoyance de convertir leur épargne en actifs tangibles et appauvrirait les autres.
Cette fiction peut sembler à première vue farfelue mais elle n’est pas si éloignée de la réalité. La politique monétaire interventionniste (modification du taux directeur des Banques Centrales, opérations d’Open Market) a été accentuée depuis la crise des subprimes. Pire encore, aux États-Unis et au Royaume-Uni, de nombreux dirigeants prônent une impression monétaire illimitée. Cette politique monétaire suscite deux inquiétudes majeures que l’exemple de la vente des métaux de (16) Psyché n’a pas mis en lumière : d’une part, le point d’entrée de l’argent créé et d’autre part, la durée de cette politique.
Cette monnaie nouvellement imprimée entre dans l’économie sous la forme de subventions arbitrairement distribuées et d’expansion forcée du crédit bancaire. Ce canal favorise certaines catégories sociales par rapport à d’autres. Les premiers à recevoir de l’argent dépensent selon leurs préférences – ce qui augmente le prix de ces biens ou actifs au détriment de ceux qui ne reçoivent pas d’argent.
Par ailleurs, cette expansion monétaire s’étale sur une période beaucoup plus longue qu’une prime exceptionnelle versée en une seule fois, ce qui incite les agents économiques à faire de mauvais choix d’investissement dans le temps. Ces erreurs accumulées – destructrices de richesse – sont désastreuses pour l’économie. Ce flux continu d’expansion monétaire alimente des distorsions dans la structure des prix qui finiront inévitablement par devenir insoutenables : ce sera la crise.
Dans la mythologie grecque, Psyché, rivale malgré elle d’Aphrodite, perd ce qu’elle possède de plus précieux à cause de l’envie et de la jalousie de ses sœurs. Espérons que l’illusion d’une richesse infinie – la politique monétaire actuelle – ne nous fasse pas perdre à nos économies ce qu’elles ont de plus précieux : la stabilité.
Les ordonnances de Biden condamnent des millions de travailleurs et d'entrepreneurs fédéraux à mourir via des "vaccins" covid qui ne sont toujours même pas approuvés par la FDA
RépondreSupprimerDimanche 12 septembre 2021
par : Ethan Huff
(Natural News) Juste deux jours avant le 20e anniversaire des attentats terroristes du 11 septembre à New York, le faux « président » Joe Biden a publié un décret ordonnant à tous les contractuels fédéraux, sous-traitants et employés de grandes entreprises privées de se faire « vacciner » pour le coronavirus de Wuhan (Covid-19) immédiatement.
Le patient atteint de démence décrépit a trébuché à travers un discours par téléprompteur qui lui a demandé de menacer tous les Américains «non vaccinés» de se faire piquer immédiatement, sinon.
"Qu'est-ce qu'il y a de plus à attendre ?" Biden gémit de son ton par excellence confus. « Qu'est-ce que tu as besoin de voir de plus ? Nous avons été patients, mais notre patience s'épuise et votre refus nous a tous coûté.
Selon China Joe, quelque 80 millions d'Américains refusent de recevoir l'une des injections « Opération Warp Speed » de Donald « père du vaccin » de Trump, même si Tony Fauci et Rochelle Walensky leur ont dit à plusieurs reprises que se faire piquer est nécessaire pour « » aplatir la courbe.
"Beaucoup d'entre nous sont frustrés par les près de 80 millions d'Américains qui ne sont toujours pas vaccinés, même si le vaccin est sûr, efficace et gratuit", s'est plaint Pedo Joe. "Vous pourriez être confus", a-t-il ajouté, projetant à tort son propre état mental sur la nation.
Biden: les gouverneurs qui refusent de forcer les citoyens à se faire piquer ne se soucient pas des enfants
Beijing Biden reçoit déjà une réaction considérable d'au moins la moitié du pays, y compris de nombreux gouverneurs d'État qui résistent à ses efforts pour imposer des coups de virus chinois à la population.
Après avoir entendu parler de la résistance, le père de Hunter s'est lancé dans une tirade et a commencé à dire à quel point tout gouverneur qui refuse son édit ne se soucie pas des enfants.
"Je suis tellement déçu que, en particulier certains gouverneurs républicains, aient été si cavaliers avec la santé de ces enfants", a gémi Pedo Joe dans un communiqué. « Nous jouons pour de vrai ici. Ce n'est pas un jeu."
Ce n'est certainement pas le cas, monsieur le faux président. Ce que vous essayez de faire, c'est de la tyrannie, pure et simple, et les vrais Américains n'en veulent pas. Vous avez franchi une ligne rouge sérieuse et vous devez résister à tout prix.
De nombreux gouverneurs d'État semblent être d'accord avec cette compréhension et ont déclaré qu'ils étaient prêts à "les combattre jusqu'aux portes de l'enfer" pour arrêter cet empiétement étrange sur les libertés civiles et l'autonomie corporelle des Américains.
"Le rêve américain s'est transformé en cauchemar sous le président [sic] Biden et les démocrates radicaux", a tweeté le gouverneur de Caroline du Sud, Henry McMaster. « Ils ont déclaré la guerre au capitalisme, fait un pied de nez à la Constitution et renforcé nos ennemis à l'étranger. »
RépondreSupprimerLe message de McMaster était peut-être le tweet le plus agressif à cette fin, mais une poignée d'autres ont exprimé des sentiments similaires. Les vrais Américains ne se plieront pas à ce fascisme médical, quelles que soient les menaces de la Maison Blanche.
Ailleurs sur Twitter, un utilisateur a souligné que l'année dernière encore, Biden, Kamala Harris et d'autres démocrates d'extrême gauche promettaient de ne jamais recevoir le "vaccin Trump" car il pourrait être dangereux. Maintenant, ils menacent l'Amérique de ne pas l'avoir.
Hilarante, la fausse "vice-présidente" Harris a proposé son propre festival de pleurnicherie l'autre jour sur le fait que le Texas a tort de limiter les avortements après six semaines de gestation, car cela viole le "droit des femmes à prendre des décisions concernant leur propre corps".
"Elle a raison", a tweeté quelqu'un en réponse, en plaisantant à moitié – voir ci-dessous. « Les femmes peuvent prendre des décisions concernant leur propre corps. Je m'identifie maintenant en tant que femme et je prendrai la décision de ne pas me faire vacciner. »
Les Américains doivent résister au fascisme médical de Biden ou ce pays est fini. Pour vous tenir au courant des dernières nouvelles, visitez Fascism.news.
Les sources de cet article incluent :
ZeroHedge.com
NaturalNews.com
Breitbart.com
Live5News.com
https://www.naturalnews.com/2021-09-12-biden-condemns-federal-workers-to-die-covid-vaccines.html
Comme l'avait très intellectuellement discussionné en public l'illustre Claire Sèverac dans les explications des poussières intelligentes (SMART DUST) 🏛 'La guerre secrète contre les peuples',
Supprimerhttps://educate-yourself.org/mc/
https://rudy2.wordpress.com/smart-dustla-polvere-intelligenteitalianoenglish/
elles se rapportent à des longueurs d'ondes de façon à en contrôler les modules. Chacune de ces nano-poussières (appelées 'virus' sortis du magma) est donc orientable et maîtrisable dans la définition programmée. Elles servent d’éléments pour les constructions 3D dans les imprimantes comme elles s'autorisent en des relais de réception/émission.
Finis les ensemencements chemtraillés de nano-particules respirées par tous les êtres vivants (dont les dictateurs !!), le monde passe à la phase finale des inoculés (sous prétention de 'virus étrangers et singulièrement méchants'). Les injectés (depuis les faux vaccins 'anti-grippe' qui en contenaient) sont maintenant des êtres vivants en instance de mort.
MALADES ET TORSADÉS: Jimmy Kimmel veut que toutes les personnes non vaccinées MEURENT, mais espère que le vaccin contre le caillot de Covid n'obstruera pas le sang de son fils et n'épuisera pas son cœur qui a déjà une anomalie congénitale privant d'oxygène
RépondreSupprimerSunday, September 12, 2021
by: S.D. Wells
(Natural News) Avez-vous entendu parler de la nouvelle comédie basée sur la mort d'enfants ? Oui, il est hébergé par Jimmy Kimmel, qui dirige un « article à succès » sur la façon dont les hôpitaux devraient refuser tout soin à toute personne qui ne prendra pas les injections de thérapie génique contre la grippe chinoise. Envoyez-les à la maison pour mourir, c'est le message, la ligne de frappe. Dites-leur de reposer en paix. Pas de piqûre, pas de soins hospitaliers, même pas pour les urgences. Rentrez chez vous et mourez ! (la piste de rire sonne ici).
Dans sa première performance « aucun coup n'est trop faible », après avoir pris une pause estivale, Kimmel a organisé une présentation pharmaceutique complète faisant la promotion des vaccins et de la faciologie, avec des tableaux de canulars alarmistes et des statistiques falsifiées à partir de tests PCR défectueux. Le sketch de la "comédie" s'est déroulé aussi bien qu'à cette époque, il y a quelques années, lorsqu'il s'est moqué des enfants qui ont des dommages permanents au cerveau et au corps à cause des vaccins.
Hollywood est en train de mourir de mauvaises blagues et de vaccins sales
De nombreux Américains n'ont aucune idée qu'Hollywood est une grande opération psychologique (psyop) pour vendre de la mauvaise nourriture aux « consommateurs » et de la mauvaise médecine aux « patients ». C'est pourquoi les enfants boivent toujours du lait dans les émissions et dans les films, et c'est pourquoi ils poussent toujours les vaccins qui causent des dommages au cerveau des enfants.
Les ventes sont à près de 100 % psychologiques, et c'est pourquoi Jimmy Kimmel fait de son mieux pour s'en prendre à Joe Rogan et en particulier à l'ivermectine, car l'ivermectine est "l'ennemi juré" de la coagulation du sang, des vaccins Covid causant l'ADE, du Remdesivir et de ceux qui étouffent - des ventilateurs mortels. Joe Rogan a battu Covid assez facilement avec de l'ivermectine, des nutriments et certaines vitamines clés, tout en évitant complètement les vaccins.
La blague de Kimmel sur Rogan en tant que "gars non vacciné qui a englouti du cheval ?" n'a pas si bien résonné, avec sa ligne de frappe pour Rogan (qui a battu Covid en 3 jours) étant "Repose en paix, wheezy". Ne vous y trompez pas, Hollywood vend des vaccins sales. Hollywood est prêt à assassiner des Américains en enterrant les remèdes sûrs pour Covid. Ce n'est pas nouveau. Kimmel est la seule blague qui se passe dans son émission.
La santé du fils de Kimmel n'a jamais été un sujet de plaisanterie
RépondreSupprimerJimmy Kimmel veut que tout le monde meure maintenant qui ne prendra pas les coups de Covid, et il ne plaisante pas quand il le dit. Pourtant, il n'y a pas si longtemps, à peine 4 ans, le fils nouveau-né de Kimmel, William, a été diagnostiqué avec une anomalie congénitale dans son cœur, appelée tétralogie de Fallot, où il y a un trou dans le mur entre les cavités cardiaques. Jimmy avait un monologue émouvant pour cette histoire déchirante d'hôpital, et il a réussi à faire jaillir quelques fausses larmes pour que les caméras les partagent avec l'Amérique (ou au moins le public de studio payé de gauche).
En raison de la malformation cardiaque du fils de Kimmel, son sang n'est pas complètement oxygéné car il circule dans tout son corps. Ceci est étonnamment similaire à ce que les vaccins Covid font aux gens, avec des milliards de protéines de pointe toxiques circulant dans tous les vaisseaux sanguins, obstruant le cœur et limitant le flux d'oxygène et de nutriments. Sonne familier ?
N'oublions pas que Kimmel adore raconter des blagues sur les enfants déformés par les vaccins
Il y a à peine six ans, Kimmel a popularisé le sectarisme haineux visant les enfants endommagés par les vaccins et leurs familles, et tout comme ces derniers temps, ce n'était pas une simple ligne, mais tout un morceau scénarisé enseignant à l'Amérique comment rire de la tragédie quand ce sont les enfants de quelqu'un d'autre qui ont des lésions cérébrales ou cardiaques causées par les vaccins. En quoi les malformations congénitales sont-elles si différentes ? De nombreux enfants souffrent de malformations congénitales dues à la vaccination contre la grippe lorsque leur mère enceinte reçoit de fortes doses de mercure (dans les flacons multidoses), grâce aux conseils du CDC.
Kimmel encourage la violence contre les défenseurs de la santé naturelle et contre les enfants paralysés «anti-vaccins». Est-ce important que les enfants soient noirs ou juifs ? Et si ses enfants étaient gravement endommagés par les vaccins Covid, seront-ils le prochain « hit » du Kimmel Vax-Shill Show ? Seul le temps nous le dira, eh bien, cela et quelques coups de caillots mortels « de rappel ». Il s'avère que les vaccins sont une forme de violence médicale contre les enfants et tous les êtres humains, et ce n'est pas une question de rire.
Réglez votre numéro de vérité sur Pandemic.news pour des mises à jour sur la guerre contre les vaccins sales et le socialisme, et comment garder votre famille heureuse, en bonne santé et en sécurité.
Sources for this article include:
Pandemic.news
NaturalNews.com
TruthWiki.org
WesternJournal.com
https://www.naturalnews.com/2021-09-12-jimmy-kimmel-wants-all-unvaccinated-people-to-die.html
Rendez-vous compte que l'Afrique a prouvé que l'ivermectine et hydroxichloroquine marchaient !
SupprimerLes factures d'hôpital ajoutent aux problèmes des patients atteints de coronavirus
RépondreSupprimersamedi 11 septembre 2021
par : Ramon Tomey
(Natural News) Un certain nombre de personnes qui survivent à une infection au coronavirus de Wuhan (COVID-19) présentent des symptômes qui les affectent à long terme. Cependant, les factures d'hôpital exorbitantes pour les traitements COVID-19 ne font qu'empirer les choses pour eux. Alors que certaines compagnies d'assurance maladie couvrent le coût des traitements de la maladie, certains hôpitaux n'ont pas suivi ces politiques. En conséquence, les patients COVID-19 doivent payer la facture.
Le New York Times (NYT) s'est entretenu avec un certain nombre de patients qui se sont rétablis médicalement du COVID-19 mais qui souffrent toujours financièrement. Ces trois patients ne sont que quelques-uns des nombreux autres qui ont vu leur santé et leurs finances affectées négativement par le coronavirus de Wuhan.
Shubham Chandra a quitté son poste bien rémunéré dans une startup de la ville de New York après le décès de son père cardiologue de COVID-19 l'automne dernier. Il a suivi les plus de 450 factures accumulées pendant les sept mois d'hospitalisation de son père à l'aide d'une feuille de calcul Excel. L'ensemble de ces factures d'hôpital s'élevait à plus d'un million de dollars. Pendant des mois, il a passé de 10 à 20 heures par semaine à régler les frais – en lisant les nouvelles factures le matin et en appelant les assureurs et les hôpitaux l'après-midi.
La feuille de calcul de Chandra a récemment montré 97 factures s'élevant potentiellement à plus de 400 000 $ que les fournisseurs d'assurance maladie ont rejetées. Il a déclaré au NYT : « Une grande partie de ma vie est de penser à ces factures. Cela peut devenir un obstacle à ma vie quotidienne. Il est difficile de dormir quand vous avez des centaines de milliers de dollars de dettes en souffrance.
Rebecca Gale a perdu Michael, son mari depuis 25 ans, à cause de COVID-19 l'été dernier. Alors que leur assurance couvrait la plupart des factures médicales de son mari, elle ne payait qu'une petite fraction de la facture d'ambulance aérienne qu'il avait encourue. Michael avait besoin d'une ambulance aérienne pour le transporter dans différents hôpitaux – le service coûtant 50 000 $. Le régime d'assurance maladie de la famille a établi une limite de 10 000 $ pour la couverture de l'ambulance aérienne, ce qui a laissé le fournisseur d'ambulance aérienne PHI Medical poursuivre le montant restant de sa succession.
Rebecca a pris sa retraite l'année dernière de son travail d'emboutissage de pièces automobiles dans une usine automobile de l'Ohio. Mais après la mort de son mari et l'arrivée des factures d'hôpital, elle a envisagé de chercher un emploi à temps partiel pour payer les frais. « Je pleure tous les jours. [Ceci] est juste une autre chose qui me brise le cœur. [En plus] de perdre mon mari, je dois faire face à cela », a-t-elle déclaré.
La biologiste à la retraite Irena Schulz est tombée malade du COVID-19 l'été dernier, mais s'est finalement rétablie. La résidente de Caroline du Sud souffre toujours de multiples effets secondaires – tels que des douleurs rénales et des problèmes auditifs – même si son combat contre la maladie était terminé. Schulz a utilisé des appareils auditifs pour aider à la perte auditive résultante, s'attendant à ce que l'assurance maladie les couvre. Cependant, elle a récemment reçu une facture de 5 400 $ pour les appareils auditifs.
En raison des coûts potentiels, elle a évité de se rendre aux urgences au premier signe de maladie. Elle gère elle-même ses douleurs aux reins avec des analgésiques, du jus d'ananas et de l'eau – jusqu'à ce qu'elle sente qu'elle peut se payer un spécialiste. Schulz a déclaré : « Si la douleur dépasse un certain seuil, je consulterai un médecin. Nous sommes à la retraite… [et] avec un revenu fixe, et il n'y a qu'un nombre limité de choses que vous pouvez accumuler sur la carte de crédit.
RépondreSupprimerLe manque de couverture fédérale, les assureurs retirant les dispenses de traitement aggravent les choses
Au cours des premiers mois de la pandémie, certaines compagnies d'assurance maladie ont proposé de renoncer à un certain nombre de frais pour les patients COVID-19. Mais un rapport de Kaiser Health News a déclaré que ces grands assureurs-maladie ont discrètement abandonné ces dérogations à mesure que la pandémie progressait.
Anthem a cessé de renoncer aux frais liés au COVID-19 fin janvier 2021, tandis qu'Aetna a mis fin au traitement hospitalier sans franchise pour la maladie fin février. UnitedHealth a quant à lui commencé à annuler les dispenses de traitement COVID-19 à l'automne de l'année dernière. Il a complètement abandonné les dérogations à la fin du mois de mars. (Connexe : les assureurs affirment que le décès dû à la vaccination contre le coronavirus n'aura pas d'impact sur les paiements d'assurance-vie.)
De plus, le gouvernement fédéral ne couvre pas les coûts du traitement COVID-19 de la même manière que les tests et les vaccins. Pour résoudre ce problème, la sénatrice américaine Tina Smith (D-MN) a parrainé un projet de loi visant à rendre les traitements COVID-19 gratuits. Selon sa proposition de législation, les traitements COVID-19 pour tous les Américains seraient supprimés quelle que soit leur situation en matière d'assurance maladie.
Smith a déclaré au NYT: «J'ai entendu tellement d'histoires de personnes complètement bloquées à remplir des formulaires de remboursement et à essayer d'obtenir une assurance pour les couvrir. C'est presque comme si le système [d'assurance-maladie] était conçu pour rendre difficile le remboursement. »
Selon le législateur, le Congrès a mandaté les assureurs pour rendre les tests de coronavirus gratuits au printemps dernier. Cependant, ce mandat ne s'étendait pas à la couverture des traitements, en partie parce que les assureurs étaient disposés à renoncer aux coûts des patients. (Connexe: l'administration Trump publie un plan pour permettre à Medicare de couvrir le coût de la vaccination contre les coronavirus.)
Visitez Pandemic.news pour lire plus d'histoires sur les effets à long terme de COVID-19 sur la santé et les finances des gens.
Sources include:
DailyMail.co.uk
NYTimes.com
KHN.org
https://www.naturalnews.com/2021-09-11-large-hospital-bills-add-coronavirus-patient-woes.html
Le mec sort vivant de l'hôpital et découvre chez lui la facture mortelle !
SupprimerIl n'y a pas de "variante Delta" - aucun test clinique ne peut vous diagnostiquer avec "Delta" et tout le récit est une arnaque fabriquée par les médias
RépondreSupprimerSamedi 11 septembre 2021
par : Ethan Huff
(Natural News) Peu importe ce que les médias essaient de vous faire penser, il n'en demeure pas moins qu'il n'existe pas de « variante Delta », du moins pas en ce qui concerne les « tests » actuellement disponibles.
Outre le fait que les tests PCR sont complètement frauduleux au départ, les hôpitaux refusent désormais de montrer aux patients qui sont censés être « positifs » pour la dernière variante Delta leurs résultats de test réels, ce qui signifie qu'il n'y a aucun moyen de prouver que quelqu'un l'a réellement.
La raison, bien sûr, est que la variante Delta n'existe pas et n'est qu'un fruit de l'imagination des gens. Et il n'y a certainement pas de test pour quelque chose qui n'existe pas car comment pourrait-il y en avoir ?
Au contraire, ce qu'ils appellent la variante Delta ou même «covid» en général n'est que des dommages causés par le vaccin et/ou un empoisonnement à la 5G sous un nom différent. La vraie maladie dans tout ça, c'est le médicament, en d'autres termes – et plus les gens prennent ce médicament, plus il y aura de maladie.
Les médecins ne font que "deviner" la variante Delta
Patty McMurray de 100percentfedup.com a approfondi la question en contactant son médecin de soins primaires pour savoir comment le personnel médical est censé tester la variante Delta. Voici ce que dit le médecin :
"Nous devinons juste que c'est ce que c'est parce que la variante Delta est si contagieuse."
Les médias grand public admettent ouvertement que les patients américains ne sont même pas autorisés à savoir quelle variante ils sont censés avoir. Les travailleurs de la santé inventent simplement des choses et remplissent les fiches de données en conséquence.
"C'est parce que les tests de séquençage doivent être approuvés par le gouvernement fédéral pour que les résultats soient divulgués aux médecins ou aux patients, et la plupart ne le sont pas encore", explique McMurray.
"Les scientifiques du laboratoire disent que le processus de validation des tests pour approbation est trop coûteux et prend trop de temps."
Un musicien de San Francisco du nom de Sam Reider qui est "complètement vacciné" l'a appris à ses dépens au début de l'été lorsque le département californien de la santé publique l'a informé qu'il avait été testé positif pour les germes chinois.
Reider a été invité à passer un deuxième test dans une installation locale de Kaiser Permanente et a ensuite été déclaré avoir la variante Delta. Cependant, lorsque Reider a demandé à voir la preuve, les médecins lui ont dit qu'ils ne pouvaient pas fournir cette information.
"Quand j'ai reçu le suivi de Kaiser, ils ont dit que c'était positif, mais ils n'avaient aucune information sur le séquençage", a déclaré Reider à Business Insider. Cela « me semblait étrange », a-t-il ajouté.
Un homme du New Jersey nommé Ryan Forrest, également "complètement vacciné", dit qu'il a vécu à peu près la même chose après avoir été testé positif à la suite de sa participation à un mariage.
RépondreSupprimer"Cela aurait été bien de savoir juste par curiosité plus qu'autre chose", a déclaré Forrest aux médias après s'être vu refuser la preuve qu'il avait vraiment contracté la variante Delta.
Beaucoup d'autres ont eu des expériences similaires après avoir été soi-disant testés positifs pour Delta. Lorsqu'elles ont demandé des preuves, les installations de test n'ont pas pu, ou n'ont pas voulu, fournir les informations demandées.
Le fait que si peu de gens posent des questions à ce sujet est préoccupant mais attendu, vu que la plupart des gens semblent simplement accepter toutes les absurdités plandémiques, aussi folles soient-elles.
« Les patients vaccinés se voient-ils refuser les informations des tests effectués sur leur corps parce que les « experts médicaux » ne veulent pas qu’ils sachent qu’ils ont le même type de COVID contre lequel ils ont été vaccinés ? » demande McMurray.
« Ou est-ce parce que cela ferait exploser le récit de la machine de propagande selon lequel chaque Américain doit être vacciné pour éviter d'être infecté par les dernières variantes du virus du PCC (Parti communiste chinois) ? »
Pour suivre les dernières nouvelles sur la tromperie du virus chinois, visitez Pandemic.news.
Les sources de cet article incluent :
100percentfedup.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2021-09-11-there-is-no-delta-variant-narrative-scam.html
Ils créent la plus grande chasse aux sorcières de l'histoire américaine
RépondreSupprimer10 septembre 2021
par Michael Snyder
Avant cette pandémie, si vous vouliez éliminer tous les « fauteurs de troubles », « penseurs indépendants » et « non-conformistes » de notre société, comment auriez-vous fait ? Je suppose qu'envoyer à chacun un questionnaire leur demandant ce qu'ils pensent serait une façon de le faire, mais bien sûr beaucoup de gens donneraient de fausses réponses et beaucoup d'autres ignoreraient tout simplement le questionnaire. Les profils de réseaux sociaux contiennent une mine d'informations, mais de nombreux « non-conformistes » ne sont même pas sur les réseaux sociaux et fouiller dans toutes ces données prendrait énormément de temps, d'argent et d'énergie. Jusqu'à tout récemment, il n'y avait tout simplement pas de moyen simple et efficace d'identifier ceux qui ne sont pas des serviteurs enthousiastes du système.
Mais maintenant, les vaccins COVID ont tout changé. Ces injections sont le test décisif parfait, car les « fauteurs de troubles », les « penseurs indépendants » et les « non-conformistes » sont à peu près les seuls à refuser les injections à ce stade. Cela rend exceptionnellement facile de diviser les citoyens américains en deux catégories, et cela donne également aux autorités une excuse parfaite pour pousser tous ces « fauteurs de troubles », « penseurs indépendants » et « non-conformistes » en marge de la société.
Comme je l'ai discuté hier, j'étais littéralement malade à l'estomac alors que je réfléchissais aux implications des nouveaux décrets tyranniques de Biden. À l'origine, Biden et d'autres dirigeants démocrates étaient contre toute sorte de mandats vaccinaux, mais maintenant je pense qu'ils ont réalisé que les mandats sont un outil qu'ils peuvent utiliser pour remodeler fondamentalement notre société.
Si vous ne comprenez pas où je veux en venir, continuez à lire, car cela deviendra extrêmement clair à la fin de cet article.
Les nouveaux décrets de Biden couvrent presque toutes les grandes institutions de notre société. Pensez-y. Toute « grande institution » emploiera presque certainement plus de 100 personnes, et toutes ces organisations sont couvertes par les mandats de Biden.
En plus des entreprises de différentes tailles, nous parlons également des collèges, des écoles, des églises, des organismes à but non lucratif, des entités politiques, des équipes sportives et des organisations caritatives.
Des millions d'Américains employés par de telles institutions pourraient être contraints de quitter leur poste s'ils refusent de se conformer à ce que Biden exige.
Et les règles que l'administration Biden propose exigeront des institutions qu'elles soient les exécutrices de ces nouvelles mesures draconiennes.
Vos patrons seront obligés de s'assurer que vous vous soumettez aux nouvelles règles, sinon ils pourraient être frappés d'amendes massives.
Dans mon dernier article, j'ai utilisé le mot «écoeurant» pour décrire ce que Biden essaie de nous faire tous, mais la vérité est que ce mot n'est pas assez fort.
RépondreSupprimerCe à quoi nous sommes confrontés est un cauchemar national complet et total, et il ne va pas se terminer de si tôt.
Les nouveaux mandats de Biden sont encore plus stricts pour les employés du gouvernement fédéral. Auparavant, les employés du gouvernement fédéral avaient au moins la possibilité de subir des tests réguliers s'ils ne voulaient pas être vaccinés, mais maintenant cette option est supprimée.
Alors maintenant, des millions d'employés fédéraux devront choisir entre leurs principes et leur carrière.
Et compte tenu du fait que tant de ces personnes subviennent à peine aux besoins de leur famille en ce moment, de nombreux choix vraiment déchirants vont devoir être faits.
Plus tôt dans la journée, j'ai posté une vidéo d'une femme qui travaille pour le département du Trésor américain. Après toutes ces années, elle a annoncé publiquement sur les réseaux sociaux qu'elle allait quitter son emploi en raison des nouveaux mandats de Biden.
Et d'innombrables autres la suivront à la porte.
Les nouveaux décrets de Biden obligeront également presque tout le monde dans l'ensemble du secteur de la santé à se faire vacciner ou à abandonner leur carrière.
Quelle chose horriblement cruelle à faire.
Biden met essentiellement une arme sur la tête de ces personnes. Beaucoup d'entre eux ont dépensé énormément de temps, d'énergie et d'argent pour faire leurs études, et maintenant Biden leur dit qu'ils doivent sacrifier tout ce pour quoi ils ont travaillé s'ils ne se conforment pas à ses exigences.
Comme je l'ai souligné hier, les travailleurs de la santé ne seront pas simplement forcés de quitter leur emploi actuel. Étant donné que pratiquement tous les fournisseurs de soins de santé dans tout le pays accepte Medicaid et Medicare, ceux qui refusent de se conformer seront essentiellement bannis de l'ensemble de l'industrie.
À une époque où une pénurie de travailleurs qualifiés provoque le chaos dans toute notre économie, les ordres tyranniques de Biden pourraient forcer des millions d'Américains à perdre soudainement leur emploi. C'est une chose incroyablement stupide à faire, et cela pourrait avoir des ramifications très graves dans les années à venir.
Malheureusement, il ne s'agira pas que de quelques personnes quittant leur emploi. Un sondage qui vient d'être mené a découvert que 72 % des Américains non vaccinés ont déclaré qu'ils quitteraient leur emploi actuel plutôt que de se faire vacciner…
Beaucoup de personnes qui avancent cet argument ont cité un sondage Washington Post-ABC News publié ce week-end. Il a montré que seulement 18 % des personnes non vaccinées dont les employeurs n'ont actuellement pas de mandat ont déclaré qu'elles se feraient probablement vacciner si leur employeur l'exigeait. Environ 7 sur 10 (72 %) ont déclaré que s'ils ne pouvaient pas obtenir une exemption médicale ou religieuse, ils arrêteraient probablement plutôt que de se soumettre à l'exigence.
RépondreSupprimerJe ne sais pas ce qui se passe dans les coulisses, mais je pense que Kamala Harris a eu beaucoup d'influence dans les récentes décisions que Biden a prises.
Elle a toujours eu des tendances autoritaires, et si jamais elle devient présidente, ce sera vraiment un scénario catastrophique.
Inutile de dire que les nouveaux mandats de Biden vont causer une grande anxiété à des millions et des millions de personnes, et un récent sondage CNN a révélé que l'humeur du pays allait déjà dans une direction très négative…
Le nouveau sondage révèle que 69 % des Américains disent que les choses dans le pays vont mal aujourd'hui, en dessous du sommet de l'ère pandémique de 77 % atteint en janvier juste avant l'entrée en fonction du président Joe Biden mais bien au-dessus des 60 % qui ont ressenti cela en mars Sondage CNN.
Et 62 % déclarent que les conditions économiques aux États-Unis sont mauvaises, contre 45 % en avril et presque aussi élevées que le pic de 65% atteint en mai 2020.
J'espère que les gouverneurs républicains combattront les nouveaux décrets de Biden avec tout ce qu'ils ont.
Parce que la vérité est que c'est l'un des moments les plus critiques de l'histoire des États-Unis.
Nos libertés et libertés les plus élémentaires sont attaquées de plein fouet, et nous sommes vraiment en train de sombrer dans une tyrannie à part entière.
Si les nouveaux mandats de Biden ne sont pas annulés par les tribunaux, des millions d'Américains qui aiment la liberté pourraient être contraints de quitter leur emploi.
Ce serait vraiment une chasse aux sorcières d'une ampleur et d'une ampleur sans précédent, et cela représenterait la plus grande purge de « fauteurs de troubles », de « penseurs indépendants » et de « non-conformistes » dont aucun d'entre nous n'ait jamais été témoin.
http://endoftheamericandream.com/they-are-creating-the-biggest-witch-hunt-in-american-history/
Notons que les employeurs mis au pied du mur de fermer leurs entreprises, connaissent et reconnaissent que leurs familles sont dans le même cas. La question n'est plus de payer pour avoir osé prendre untel qui mourra demain mais de sauver l'humanité terrestre en mettant la clé sous la porte.
SupprimerNous l'avons tous compris, c'est un choix décisif: La vie ou la mort.
Les inoculé(e)s devront prendre remède pour en éliminer les nano-particules d'oxyde de graphène ou crever en quelques semaines !
Bien-sûr que les jours prochains seront occupés par des sabotages d’antennes-relais qui mettront la 5G en joue, bien-sûr que les gens finiront par comprendre la différence qu'il peut y avoir entre la vie ou la mort. Bien-sûr que l'intelligence du nombre surpassera le génocide trisomique planifié. Et qu'il ne peut y avoir de vie sans Démocratie. Mais, des directives invisibles peuvent aussi en renverser les rôles !
Fin de l'empire américain : Orwell 1984 'Newspeak' & Dirt Cheap Gold
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 12 SEP 2021 - 09:20
Rédigé par Egon von Greyerz via GoldSwitzerland.com,
La phase finale d'Empires se termine normalement par les mêmes signaux, que ce soit il y a 2000 ans à Rome ou aujourd'hui aux États-Unis.
L'un des premiers signes est la perte de guerres accompagnée de dettes excessives, de déficits, de dévaluations et de décadence. Les États-Unis étant vaincus et fuyant précipitamment l'Afghanistan dans quelques jours signifie clairement la fin de l'empire américain.
La puissante armée américaine a mené au cours des dernières décennies des guerres désastreuses contre de très petits pays sans grandes armées ni armements. Je pense au Vietnam, à l'Irak, à la Libye et à l'Afghanistan, mais il y en a bien d'autres comme nous le montrons ci-dessous.
L'Université Brown vient de réaliser une étude sur le coût américain des guerres depuis le 11 septembre. Ils arrivent à un montant stupéfiant de 8 000 milliards de dollars et la perte de 900 000 vies.
Ainsi, au cours des 20 dernières années, les États-Unis ont dépensé 8 000 milliards de dollars ou 40 % du PIB annuel pour mener des guerres totalement infructueuses. Le rapport indique également que même après l'exode d'Afghanistan, les États-Unis sont toujours impliqués dans des guerres dans plus de 80 pays.
- voir carte sur site -
ACTIVITÉ DE GUERRE ACTUELLE DES ÉTATS-UNIS
Le coût d'être impliqué dans une sorte d'activité de guerre dans 85 pays continuera à coûter cher à l'empire américain mourant pour les décennies à venir.
1984 EST ENCORE ICI
Les années 2020 seront-elles un retour au 1984 d'Orwell avec Big Brother nous regardant partout ?
Eh bien, il semble que de nombreux gouvernements et l'élite nous mènent dans cette direction.
Covid a été une superbe excuse pour contrôler les gens dans un certain nombre de pays. La liberté d'expression a été interdite dans les médias et une censure inacceptable est désormais la règle sur les réseaux sociaux, qu'il s'agisse de vaccins, de climat ou de race.
« Ne voyez-vous pas que tout le but de la novlangue est de réduire le champ de la pensée ? En fin de compte, nous rendrons le crime de pensée littéralement impossible, car il n'y aura pas de mots pour l'exprimer.
George Orwell, 1984
Mais cela empire alors que nous assistons à de sévères restrictions à la libre circulation. Il existe des blocages, des quarantaines, des restrictions ou des interdictions de voyager à la fois au niveau national et international, des interdictions de faire du shopping, des restaurants, des théâtres, des cinémas, des stades avec des bureaux et des écoles fermés. Et puis nous n'avons pas le droit de voir des amis, des parents, ou même d'aller travailler. La liste des restrictions est interminable et elles semblent être délibérément et régulièrement activées et désactivées afin de contrôler la confusion des gens.
« La double pensée signifie le pouvoir de maintenir simultanément deux croyances contradictoires dans son esprit et de les accepter toutes les deux. »
George Orwell, 1984
Il y a eu de grandes variations de ces restrictions. Des pays comme l'Australie et la Nouvelle-Zélande ont enfermé des gens. Ensuite, nous avons, par exemple, la Suède qui n'a pratiquement aucune restriction, aucune fermeture d'écoles, de magasins ou de bureaux. Aucun masque n'a jamais été obligatoire.
RépondreSupprimerJ'ai passé une partie de l'été en Suède et cela a été rafraîchissant de voir les gens mener leur vie normalement. Vous ne voyez presque jamais personne porter un masque nulle part. Le gouvernement suédois ne s'en mêle pas et ce sont plutôt les responsables de la santé qui décident. L'épidémiologiste en chef Tegnell en Suède a mené une politique de non-intervention, disant aux gens de prendre leurs propres précautions. Il ne considère pas non plus que les masques remplissent une fonction, mais plutôt qu'ils ont un effet négatif. Tout un contraste avec l'Australie. En ce qui concerne les infections et les décès, la Suède s'en sort mieux que de nombreux pays.
En ce qui concerne le traitement du Covid, la médecine conventionnelle a eu un succès très limité. Mais malheureusement, les traitements alternatifs sont totalement supprimés. Ceci malgré que de grandes parties de l'Inde et de l'Afrique centrale aient utilisé l'ivermectine avec près de 100% de succès et pratiquement éliminé Covid. Certains médecins hospitaliers aux États-Unis ont également utilisé l'ivermectine avec d'excellents résultats.
La carte ci-dessous montre en bleu la zone d'Afrique où l'ivermectine a été utilisée avec succès. La ligne bleue en bas montre les décès pour 100 000 dans cette région. Une énorme différence par rapport aux décès (ligne jaune) dans les zones jaunes.
- voir carte sur site -
L'ivermectine a été inventée il y a 50 ans contre les infestations parasitaires. Plus de 4,5 milliards de doses ont été administrées et le créateur a reçu le prix Nobel. Pourtant, l'OMS, les grandes sociétés pharmaceutiques et les gouvernements occidentaux refusent même de tester l'ivermectine contre Covid. Il est trop bon marché pour produire et concurrencer les vaccins.
HISTOIRE RÉÉCRIT
Aux États-Unis et au Royaume-Uni, l'histoire est maintenant réécrite, en particulier sur les campus universitaires. Des statues, des peintures et des livres liés à l'esclavage sont retirés même si la personne historique était un bienfaiteur majeur de l'université en question.
«Chaque enregistrement a été détruit ou falsifié, chaque livre réécrit, chaque image a été repeinte, chaque statue et bâtiment de rue a été renommé, chaque date a été modifiée. Et le processus se poursuit jour après jour et minute par minute. L'histoire s'est arrêtée. Rien n'existe qu'un présent sans fin dans lequel le Parti a toujours raison.
George Orwell, 1984
Le problème avec la réécriture de l'histoire, c'est où s'arrêter ? Tout au long de l'histoire, il y a eu des guerres et des invasions qui étaient toutes injustes. Mais on ne peut pas inverser l'histoire. Prenons l'exemple de l'Amérique. L'Amérique du Nord et l'Amérique du Sud ont été envahies et conquises par les pays européens au cours des cent dernières années, qu'ils soient anglais, français, espagnols ou portugais.
En Amérique du Nord, une grande partie de la population d'origine a été tuée et le reste a été transféré dans des réserves. Si nous réécrivons l'histoire, les Européens doivent évidemment se retirer et rendre la terre aux Indiens.
Imaginez un stade de football rempli d'eau. Chaque minute, une goutte est ajoutée. Le nombre de gouttes double chaque minute. Donc ça passe de 1 à 2, 4, 8 16 etc. Alors combien de temps faudrait-il pour remplir tout le stade ? Un jour, un mois ou un an ? Non, ce serait beaucoup plus rapide et ne prendrait que 50 minutes ! C'est en soi difficile à comprendre, mais plus intéressant encore, à quel point le stade est-il plein après 45 minutes ? La plupart des gens devineraient 75 à 90 %. Totalement faux. Au bout de 45 minutes, le stade n'est rempli qu'à 7 % ! Au cours des 5 dernières minutes, le stade passe de 7% plein à 100%.
RépondreSupprimerIl est bien sûr impossible de prédire où nous en sommes dans cette explosion de la dette. Si nous sommes dans les 5 dernières minutes, la dette peut encore augmenter de près de 15 fois. Et si nous obtenons une hyperinflation, ce qui est très probable, l'augmentation pourrait être considérablement plus élevée.
Comme la dette aura été multipliée par 50 depuis 1981 d'ici 2025, les recettes fiscales resteront probablement à un maigre 3,5 milliards de dollars alors que l'économie ralentit ou même s'effondre. Les conséquences sont évidentes. Lorsque les taux d'intérêt augmentent, ce qui est garanti lorsque la Fed perd le contrôle, l'empire américain ne peut même pas se permettre de payer les intérêts et fera défaut.
C'est ainsi que tous les empires se terminent, ils perdent non seulement les guerres mais aussi le contrôle total de l'argent.
Quel gâchis sanglant !
Le seul problème est qu'une fois que les fortunes ont tourné, il y a un très, très long chemin vers la prospérité. C'est ce que l'histoire et les lois de la nature nous enseignent bien que la plupart des dirigeants politiques soient trop arrogants pour apprendre de l'histoire.
LE RICHE DEVENANT RICHE
Au fur et à mesure que les empires atteignent la fin du jeu, l'impression d'argent et la dette s'accélèrent, comme je le montre ci-dessus. Cela conduit à une dépréciation totale de la monnaie. Par exemple, la pièce d'argent romaine, le denier, a perdu presque 100% de sa teneur en argent entre 180 et 280 après JC.
Le dollar américain de l'empire américain mourant n'a pas beaucoup mieux résisté et a perdu 98% en termes réels depuis 1971. Alors que la monnaie s'effondre, de plus en plus de fausse monnaie doit être produite pour maintenir l'illusion. Par définition, l'argent qui est créé sans aucun service ou bien offert en retour est toujours faux et n'a aucune valeur réelle.
Pendant les périodes d'expansion rapide du crédit avec de la fausse monnaie, ceux qui se trouvent le plus près de l'imprimerie en bénéficient toujours grandement car ils ont accès à l'argent avant qu'il ne perde totalement sa valeur. Cela s'est produit par exemple lors de l'hyperinflation au Zimbabwe ou au Venezuela et cela se produit maintenant aux États-Unis.
Le graphique ci-dessous montre clairement comment les riches Américains obtiennent l'argent en premier et augmentent rapidement leur richesse par rapport au PIB. En 1982, les 400 Américains les plus riches avaient une richesse égale à 2% du PIB et aujourd'hui leur part a été multipliée par 9 pour atteindre 18% du PIB. L'inégalité des richesses est endémique, devenant un néo-féodalisme.
- voir graphique sur site -
CONSÉQUENCES – MÉTAUX PRÉCIEUX ET STOCKS
RépondreSupprimerAlors que les dettes, les déficits et la dépréciation de la monnaie s'accélèrent, les conséquences sont claires et inévitables.
La bulle épique des actions touche à sa fin et pourrait imploser à tout moment. Qu'il s'étende davantage en raison de l'expansion massive de la masse monétaire n'a pas d'importance. Ni une entreprise ni un pays ne peuvent afficher une croissance réelle basée sur de la fausse monnaie. Lorsque la bulle éclatera, le monde apprendra qu'elle était principalement composée d'air qui s'évaporera tout simplement.
Alors que les marchés implosent, toute la dette et les actifs de la bulle tels que les actions, les obligations et l'immobilier feront de même. Ces valeurs d'actifs étaient toutes illusoires, basées sur l'espoir et la fausse monnaie. Une fois que les marchés commenceront à s'effondrer, nous verrons le même processus que le stade au-dessus se remplir d'eau. Mais cette fois, ce sera à l'envers et les valeurs baisseront de pourcentages impensables dans les « 5 premières minutes ». N'oubliez pas qu'au cours des 5 dernières minutes, le stade est passé de 7% plein à 100%.
Pour nos investisseurs et nous-mêmes, nous possédons de l'or physique et de l'argent physique en Suisse (évidemment en dehors du système financier) depuis 2002, lorsque l'or coûtait 300 $ et l'argent 4 $.
Nous étions alors convaincus que les risques que nous voyions nécessitaient un pourcentage élevé de nos actifs financiers en or à des fins de préservation de la richesse. Ce qui s'est passé depuis confirme complètement notre position.
- voir graphique sur site -
Mais le monde n'a toujours pas compris à quel point l'or est sous-évalué par rapport à l'expansion massive de la masse monétaire. Par conséquent, je continuerai à montrer le graphique ci-dessous qui nous dit que l'or est aussi bon marché à acheter aujourd'hui qu'il l'était en 1971 lorsque l'or était de 35 $ ou en 2000 lorsque l'or était de 288 $. Face à l'empire américain mourant, il n'y a pas de meilleur atout à posséder.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/end-us-empire-orwells-1984-newspeak-dirt-cheap-gold
"Une décision qu'ils regretteront" - Le régulateur australien interdit l'utilisation de l'ivermectine comme traitement au COVID-19
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 11 SEPTEMBRE 2021 - 17:30
Rédigé par Mimi Nguyen Ly via Epoch Times,
L'autorité australienne de réglementation des médicaments et des produits thérapeutiques, la Therapeutic Goods Administration (TGA), a introduit de nouvelles restrictions sur la prescription d'ivermectine pour le COVID-19 et d'autres utilisations hors AMM.
La TGA, une agence du ministère australien de la Santé, a annoncé que les changements avaient été introduits «en raison de préoccupations concernant la prescription d'ivermectine orale pour la prévention ou le traitement allégué du COVID-19».
Les nouvelles restrictions signifient que les médecins généralistes ne peuvent prescrire le médicament que pour des conditions approuvées par la TGA et non à d'autres fins non approuvées, également appelées utilisation « hors AMM ». Aucune pénalité n'a été spécifiée dans l'annonce de la TGA en cas de GP contournant les règles.
Epoch Times a contacté la TGA pour plus d'informations.
Seuls certains spécialistes peuvent continuer à prescrire de l'ivermectine par voie orale pour une utilisation hors AMM. Ils comprennent des médecins spécialistes des maladies infectieuses, des dermatologues, des gastro-entérologues et des hépatologues, a annoncé la TGA.
Stromectol ivermectine 3 mg est le seul produit à base d'ivermectine par voie orale approuvé par la TGA. Les indications approuvées sont la cécité des rivières, le ver filiforme des intestins et la gale.
L'ivermectine n'est pas approuvée par la TGA pour traiter le COVID-19 en Australie. La TGA a déclaré que son utilisation pour COVID-19 dans le grand public est « actuellement fortement déconseillée » par trois entités – le National COVID Clinical Evidence Taskforce (pdf), l’Organisation mondiale de la santé et la Food and Drug Administration des États-Unis.
TGA expose ses préoccupations
Dans son annonce, la TGA a affirmé qu'il existe «un certain nombre de risques importants pour la santé publique associés à la prise d'ivermectine dans le but de prévenir l'infection au COVID-19 plutôt que de se faire vacciner».
L'agence a ajouté que les personnes qui pensent être protégées contre COVID-19 en prenant de l'ivermectine "peuvent choisir de ne pas se faire tester ou de consulter un médecin si elles présentent des symptômes", et ont affirmé que cela "a le potentiel de propager le risque de COVID-19 -19 infection dans toute la communauté.
La TGA a déclaré qu'une deuxième préoccupation concerne "des publications sur les réseaux sociaux et d'autres sources non fiables" qui auraient préconisé l'utilisation de l'ivermectine à des doses "significativement plus élevées" par rapport à ce qui est approuvé et jugé sans danger pour le traitement de la gale ou des parasites.
RépondreSupprimer"Ces doses plus élevées peuvent être associées à des effets indésirables graves, notamment des nausées sévères, des vomissements, des étourdissements, des effets neurologiques tels que des étourdissements, des convulsions et le coma."
Le régulateur a également déclaré qu'il y avait eu une multiplication par trois à quatre du nombre de prescriptions d'ivermectine au cours des derniers mois, ce qui a entraîné "des pénuries nationales et locales pour ceux qui ont besoin de médicaments contre la gale et les infections parasitaires".
« On pense que cela est dû à la prescription et à la délivrance récentes pour des utilisations non approuvées, telles que COVID-19 », lit-on dans sa déclaration.
« De telles pénuries peuvent avoir un impact disproportionné sur les personnes vulnérables, y compris celles des communautés aborigènes et insulaires du détroit de Torres. »
Contrecoup immédiat des députés
Deux politiciens australiens ont immédiatement publié des annonces à la fin du 10 septembre critiquant les restrictions de la TGA.
Le député fédéral George Christensen, membre du Parti libéral de l'État du Queensland, a publié sur Telegram une photo de ses médicaments, écrivant : « Mon pack de traitement à l'ivermectine. Prescrit par un médecin généraliste. Maintenant, la TGA a interdit aux médecins généralistes de prescrire le médicament hors AMM. C'est une décision qu'ils regretteront.
Christensen a également partagé une longue liste d'études, écrivant, "voici de VRAIS INFORMATIONS sur l'IVERMECTINE".
Le député fédéral Craig Kelly, ancien membre du Parti libéral et maintenant chef du Parti Australie unie, dans une déclaration publiée sur Telegram, a qualifié la décision de la TGA de « OUTRAGEOUS » et a accusé l'agence d'avoir « interféré avec le caractère sacré de la relation médecin-patient en Australie , en ignorant les preuves de plus de 50 études publiées et en ignorant également les conseils médicaux d'experts de médecins qui ont traité avec succès des milliers de patients avec de l'ivermectine, en interdisant aux médecins de prescrire ce médicament aux Australiens malades.
"Le PARTI UNIS D'AUSTRALIE appelle ce soir à [une] commission royale urgente dans cette TGA sur cette décision", a-t-il écrit, affirmant que la décision "pourrait faire l'objet d'une enquête pour une éventuelle corruption".
"C'est un jour triste pour la nation, car les preuves médicales d'experts étrangers indiquent que cette décision scandaleuse de la TGA entraînera la mort d'Australiens", a ajouté Kelly.
Sur l'ivermectine
L'ivermectine est un médicament générique qui peut être produit à moindre coût dans de nombreux endroits du monde et qui a été largement utilisé chez l'homme contre certains vers parasites et pour lutter contre la gale, les poux et la rosacée. Il est également utilisé comme médicament anti-parisite chez le bétail, y compris les chevaux et les vaches.
William Campbell et Satoshi Omura ont remporté en 2015 le prix Nobel de physiologie ou médecine pour la découverte et les applications de l'ivermectine. L'Organisation mondiale de la santé a inscrit l'ivermectine sur sa liste des médicaments essentiels. C'est également un agent antiparasitaire approuvé par la FDA.
RépondreSupprimerLes médecins et les professionnels de la santé ont considéré l'ivermectine comme un médicament réutilisé dans la lutte contre le COVID-19, en particulier lorsqu'il est utilisé en début de traitement. Beaucoup ont félicité l'ivermectine pour avoir aidé avec succès des milliers de leurs patients à survivre aux premières vagues de COVID-19.
Au 9 septembre, il y avait au moins 63 études, dont 45 évaluées par des pairs, sur le traitement du COVID-19 par l'ivermectine.
Deux groupes, la Front Line COVID-19 Critical Care Alliance et le British Ivermectin Recommendation Development Group, ont fait campagne pour l'utilisation hors indication du médicament pour lutter contre la maladie au milieu de la pandémie.
L'Université Monash, basée dans l'État australien de Victoria, a annoncé en avril 2020 qu'une étude qu'elle dirigeait montrait qu'"une seule dose du médicament, l'ivermectine, pourrait arrêter la croissance du virus SARS-CoV-2 en culture cellulaire".
Mais il a averti que l'ivermectine "ne peut pas être utilisée chez l'homme pour COVID-19 jusqu'à ce que d'autres tests et essais cliniques soient terminés pour confirmer l'efficacité du médicament à des niveaux sans danger pour le dosage humain".
"L'utilisation potentielle de l'ivermectine pour lutter contre le COVID-19 n'a pas encore été prouvée et dépend du financement pour faire avancer les travaux dans les prochaines étapes", a déclaré l'université à l'époque.
https://www.zerohedge.com/covid-19/decision-theyll-regret-australia-regulator-bans-ivermectin-use-covid-19-treatment
Le premier porte-conteneurs entièrement autonome du Japon est sur le point de s'attaquer à une course d'essai de 236 milles (379 km)
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 11 SEPTEMBRE 2021 - 20h00
Le premier cargo autonome au monde, basé au Japon, fait face à son premier véritable test alors qu'il s'apprête à entreprendre un voyage de 236 milles. C'est la première étape d'un voyage littéral de mille milles qui, espère le Japon, permettra à la moitié de tous les navires nationaux de se piloter.
La Nippon Foundation du Japon, une organisation d'intérêt public, soutient l'effort dans l'espoir de voir les navires sans équipage représenter 50 % de la flotte locale du Japon d'ici 2040, selon Bloomberg.
Le premier essai de ce type appartiendra à Nippon Yusen KK, qui met en place un porte-conteneurs pour se piloter de la baie de Tokyo à Ise en février 2022. Le voyage de 236 milles sera le premier du genre par un navire autonome dans un trafic maritime intense. .
Le marché mondial autonome du transport maritime pourrait valoir jusqu'à 166 milliards de dollars d'ici 2030, note le rapport.
Satoru Kuwahara, directeur général de la filiale de Nippon Yusen, Japan Marine Science Inc., a déclaré à Bloomberg : « En ce qui concerne l'automatisation des navires, notre mission est de faire en sorte que le Japon domine le reste du monde.
Il a poursuivi, déclarant qu'il pensait qu'il y avait un "vrai besoin" d'autonomie dans le transport maritime car la main-d'œuvre du pays diminue et vieillit. 40 % des membres d'équipage du pays ont 55 ans ou plus, note le rapport.
La Nippon Foundation estime que 9 milliards de dollars d'économies peuvent être réalisés grâce à la navigation autonome et qu'elle peut éliminer de nombreux accidents maritimes. "Avec le problème de la diminution de la main-d'œuvre au Japon, ces technologies sont de plus en plus nécessaires pour garantir la sécurité", a déclaré Kuwahara.
Les données seront collectées à partir du test de février et le navire sera contrôlé à distance, si nécessaire.
Kuwahara prédit une "utilisation pratique" de la technologie d'ici 2025.
Il a conclu : « Nous avons besoin que cette technologie soit reconnue, sinon la mise en œuvre réelle dans la société n'avancera pas. Comme première démonstration, nous ne pouvons pas échouer.
https://www.zerohedge.com/markets/japans-first-fully-autonomous-container-ship-about-tackle-236-mile-trial-run
Visualiser les villes européennes à la croissance la plus rapide
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 12 SEP 2021 - 08:45
Si vous deviez sélectionner une personne au hasard en Europe, il y a 75 % de chances que cette personne vive dans une zone urbaine plutôt que rurale.
Au cours des prochaines décennies, le chiffre de la population urbaine de cette région devrait encore augmenter, passant de 75 % à 84 % d'ici 2050.
Sur la base des taux de croissance démographique annuels moyens prévus entre 2020 et 2025, Iman Ghosh de Visual Capitalist détaille ci-dessous quelles sont les villes à la croissance la plus rapide en Europe ?
- voir carte sur site -
Puissance russe
La Russie est bien connue pour sa vaste masse continentale, mais le pays est plus que son vaste territoire. En fait, la Russie contient six des 20 villes les plus dynamiques d'Europe.
- voir liste sur site -
Fait intéressant, Balashikha, la ville européenne à la croissance la plus rapide, est située à seulement 25 km (15 mi) de Moscou. L'expansion rapide à la périphérie de capitales comme celle-ci est généralement attribuée à un phénomène appelé étalement urbain.
Bien que Balashikha devrait connaître le taux de croissance annuel le plus rapide (2,01 %) de la région au cours des prochaines années, face à d'autres sur la scène mondiale, il ne se classe qu'à la 768e place.
Europe vs. Mondial
Il est important de noter que les taux de croissance urbaine de l'Europe sont relativement lents par rapport à de nombreuses autres régions du monde, comme l'Asie et l'Afrique.
- voir liste sur site -
De 2020 à 2025, la ville à la croissance la plus rapide au monde, Gwagwalada, au Nigeria, devrait croître plus de 3 fois plus vite que la ville à la croissance la plus rapide d'Europe, Balashikha.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/visualizing-europes-fastest-growing-cities
Le fait est que le développement de l'agriculture est phénoménal aujourd'hui. On passe à des machines de plus en plus grosses aux technologies de plus en plus pointues. Puis arrivent les serres ! qui permettent de travailler toute l'année sous protection du vent, de la pluie de la neige.
SupprimerDes journalistes pourraient être condamnés à 14 ans de prison pour avoir « embarrassé » des représentants du gouvernement britannique
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 12 SEP 2021 - 07:35
Les personnes qui pensent que le président Obama a abusé de ses pouvoirs en s'en prenant aux journalistes sont sur le point d'être encore plus choquées par les nouvelles règles mises en œuvre au Royaume-Uni. Selon le Daily Mail, les journalistes pourraient encourir des peines de prison allant jusqu'à 14 ans pour des articles qui embarrassent le gouvernement dans le cadre des projets de réforme de la loi sur les secrets officiels.
Selon les modifications apportées à l'interprétation de l'Official Secrets Act du Royaume-Uni, qui est en cours de mise à jour pour "l'ère Internet" (qui a commencé il y a plus de 20 ans) et le fait que les données peuvent être transportées instantanément par le Home Office de Priti Patel. Patel s'oppose apparemment à une "exemption d'intérêt public" qui exclurait les journalistes de toute responsabilité en vertu de la loi.
En vertu de ces nouvelles dispositions, les journalistes pourraient encourir jusqu'à 14 ans de prison pour avoir publié des informations « non autorisées » dans l'ouest soi-disant « libre » et « ouvert ».
Mais dans un document publié lors de la consultation sur les révisions, le ministère de l'Intérieur a fait valoir qu'une telle décision « saperait nos efforts pour empêcher les divulgations non autorisées préjudiciables, ce qui ne serait pas dans l'intérêt public ».
Les critiques des changements, qui incluent des organisations de défense des droits de l'homme et la Commission du droit, soutiennent que s'ils avaient été en vigueur à l'époque, ils auraient pu conduire à des poursuites contre les journalistes qui ont révélé ce mois-ci que le secrétaire à la Santé de l'époque, Matt Hancock, était enfreindre les règles COVID en ayant une liaison avec son assistant marié, car le scoop s'appuyait sur des images de vidéosurveillance divulguées.
Le gouvernement fait déjà face à des réactions négatives pour sa réponse à la fuite. Le bureau du commissaire a été critiqué pour avoir fait perquisitionner deux maisons dans le cadre d'une enquête sur la fuite des informations sur Hancock.
Un porte-parole du ministère de l'Intérieur a nié que les changements réduiraient les libertés de la presse.
"La liberté de la presse fait partie intégrante des processus démocratiques du Royaume-Uni et le gouvernement s'engage à protéger les droits et les valeurs qui nous sont si chers."
"Il est faux de prétendre que les propositions exposeront les journalistes au risque d'être traités comme des espions et qu'ils resteront, à juste titre, libres de demander des comptes au gouvernement."
« Nous allons introduire une nouvelle législation afin que les services de sécurité et les forces de l'ordre puissent faire face aux menaces étatiques en constante évolution et protéger les données sensibles. »
"Cependant, cela sera équilibré pour protéger la liberté de la presse et la capacité des lanceurs d'alerte à demander des comptes aux organisations en cas d'allégations graves d'actes répréhensibles."
Dans un document expliquant les changements, le ministère de l'Intérieur a fait valoir que les fuites de presse non autorisées "les plus graves" peuvent parfois être encore plus dommageables que lorsque des informations sont volées à des fins d'espionnage.
"En conséquence, nous ne considérons pas qu'il y ait nécessairement une distinction de gravité entre l'espionnage et les divulgations non autorisées les plus graves, de la même manière qu'il y en avait en 1989."
RépondreSupprimer"Bien qu'il existe des différences dans les mécanismes et les motivations des infractions d'espionnage et de divulgation non autorisée, il existe des cas où une divulgation non autorisée peut être aussi grave ou plus grave, en termes d'intention et/ou de dommage."
Cela laisse une certaine marge de manœuvre aux procureurs pour poursuivre les journalistes en remettant en question les motifs obscurs derrière les fuites de presse.
Ce n'est que la dernière menace à émerger contre les journalistes européens. Il y a quelques jours à peine, l'ONU a commenté l'utilisation croissante de la surveillance numérique à l'aide de logiciels comme Pegasus, le logiciel de surveillance développé par le groupe israélien NSO, pour espionner les journalistes et les dignitaires.
Il y a certainement une chose sur laquelle les deux parties peuvent s'entendre : la nature de l'espionnage et de la collecte d'informations a considérablement changé depuis 1989, la dernière fois que ces lois ont été mises à jour.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/reporters-may-face-14-years-prison-damaging-scoops-updates-official-secrets-act
Là encore il y a exemple de la différence intellectuelle entre le journaliste et le Rédacteur en chef. Ces derniers dépassés depuis 20 ans par l'arrivée des internautes qui sont là où se trouve l'actualité. Et, même si chacun voit midi à sa porte, la vérité remporte toujours sur les mensonges même répétés des milliers de fois.
SupprimerÉnergie nucléaire : la Chine définitivement en avance !
RépondreSupprimerle 12 septembre 2021
Avec quelques jours d’intervalle le monde entier a appris que la Chine était devenue l’incontestable leader mondial de l’énergie nucléaire du futur : le chargement en combustible du premier réacteur nucléaire à très haute température et la mise en fonctionnement d’un réacteur à sels de thorium fondu. Ces deux programmes de démonstration ont été planifiés il y a plus de dix ans et ont chacun nécessité le travail de milliers d’ingénieurs souvent formés dans des universités occidentales et de techniciens hautement qualifiés ainsi que le savoir-faire d’une multitude de petites entreprises de haute technologie. La Chine s’oriente donc résolument vers un avenir énergétique fiable et peu onéreux.
Le réacteur à très haute température refroidi avec de l’hélium est situé à Shidaowan dans la province du Shandong. Il s’agit de deux unités qui fourniront de la vapeur de très haute qualité pour alimenter une turbine de 210 MW électriques. La première unité est déjà opérationnelle et le complexe sera raccordé au réseau électrique avant la fin de cette année. La construction de cette usine a débuté en décembre 2012. La température de l’hélium en sortie de réacteur est de 750°C et après passage dans un générateur de vapeur cet hélium refroidi à 250°C retourne dans le réacteur. Le réacteur lui-même se trouve dans une cuve de 11 mètres de haut et de 3 mètres de diamètre comprenant des déflecteurs en graphite et des barres de contrôle entourant un dispositif innovant constitué d’un lit fluidisé de billes de combustible de 60 millimètres de diamètre. À pleine charge le combustible comprend 420000 billes de céramique contenant chacune 7 grammes d’uranium enrichi à 8,5 % d’isotope 235. Il faut un mois pour que le chargement soit complet.
L’intérêt d’un tel dispositif est que le réacteur peut fonctionner sans arrêt de rechargement puisque celui-ci peut être effectué en continu et en cas d’incident les billes peuvent être stockées dans des cuves ayant un volume tel que le processus de fission s’arrête en raison du déficit de quantité critique d’uranium. Il s’agit pour l’instant d’un prototype néanmoins producteur d’électricité qui permettra aux ingénieurs de se former pour l’étude d’unités de puissance plus importante ainsi que pour développer toutes les technologies afférentes dont en particulier la production d’hydrogène.
L’autre innovation chinoise se trouve implanté à WuWei dans la province du Gansu. Il s’agit du premier réacteur à sels fondus de thorium. Bien que cette technologie ait été explorée au début des années 1960 aux USA elle n’a jamais fait depuis l’objet de nouvelles recherches car le fonctionnement de ce réacteur est beaucoup plus problématique. Le fonctionnement en continu d’une telle installation requiert absolument une unité de retraitement chimique en ligne afin de séparer les produits de fission qui empoisonnent le fonctionnement normal de la fission en raison de leur très grande section de capture des neutrons. L’isotope naturel du thorium est le thorium-232 qui n’est pas « fissile » comme l’uranium-235 ou le plutonium-239. Il faut donc une source de neutrons pour initier la réaction nucléaire. Celle-ci est constituée d’uranium-235. Le thorium-232 capte un neutron et se transforme alors en uranium-233. Mais la situation se complique avec l’apparition de protactinium-233. Tous ces métaux se trouvent sous forme de fluorures mixtes fondus à partir d’une température d’environ 290°C. Le prototype de 3 MW thermiques permettra surtout d’étudier le cycle du combustible, le flux de neutrons étant particulièrement délicat à contrôler. Depuis 1969 aucun pays dans le monde n’a envisagé la construction d’un tel prototype.
Pourquoi s’intéresser au thorium ? D’abord parce que le thorium est beaucoup plus abondant que l’uranium et ensuite parce que la Chine accumule des quantités impressionnantes de « stériles » provenant de la purification des terres rares, stériles très riches en thorium. Pour clore ce deuxième chapitre il n’existe aucune information disponible quant au choix technologique des ingénieurs chinois : simple flux ou double flux. S’il s’agit de la technologie double flux la Chine est alors très novatrice en ce qu’un tel dispositif peut fonctionner indéfiniment car il ne comporte pas de réflecteur en graphite mais il est beaucoup plus complexe à mettre en œuvre (voir le lien wikipedia ci-dessous). Si les ingénieurs chinois réussissent ils auront fait franchir un grand pas à l’humanité qui n’aura alors dans l’avenir plus aucun problème d’énergie.
RépondreSupprimerSources : World Nuclear News, https://www.nature.com/articles/d41586-021-02459-w et
https://en.wikipedia.org/wiki/Liquid_fluoride_thorium_reactor#Removal_of_fission_products
https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/09/12/energie-nucleaire-la-chine-definitivement-en-avance/
La congestion des porte-conteneurs dans les ports de LA atteint un niveau record alors que de plus en plus de navires se joignent à la file d'attente
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 11 SEPTEMBRE 2021 - 14:00
Le jeu d'attente s'allonge pour les porte-conteneurs entrant dans les plus grands ports américains pour le transport transpacifique, à savoir les ports de Los Angeles et de Long Beach, en Californie.
Les navires au mouillage et le temps d'attente pour accoster ont fortement augmenté dans les ports jumeaux. Bloomberg cite de nouvelles données des deux ports, compilées par la plate-forme de chaîne d'approvisionnement Port Optimizer de Wabtec, qui montrent que 55 navires étaient amarrés ou dérivaient au large en attendant de décharger leur cargaison vendredi. Il y a à peine deux semaines, les lecteurs se souviendront peut-être que la congestion en dehors de la passerelle américaine la plus fréquentée pour le commerce avec l'Asie était de 40. L'attente moyenne a bondi de près d'un jour, passant de 7,6 fin août à 8,5.
- voir graphique sur site -
La congestion des ports s'aggrave alors que la haute saison de navigation est en cours. Cette semaine, les responsables de Los Angeles et de Long Beach ont été contraints de déplacer les navires vers un espace de débordement car les principales zones d'attente étaient à pleine capacité. Il y a 17 porte-conteneurs dans les zones de débordement.
L'énorme arriéré portuaire signifie que 375 000 conteneurs de 20 pieds attendent au large et ne peut que signifier davantage de perturbations de la chaîne d'approvisionnement pour les importateurs américains.
- voir carte sur site -
Les récentes épidémies de Covid ont exacerbé les retards le long des principales voies maritimes transpacifiques dans les ports asiatiques, comme la récente fermeture du terminal à conteneurs de Ningbo Meishan (le troisième plus grand port à conteneurs au monde après Shanghai et Singapour), également appelé terminal de Meishan, en Chine, en raison des résultats positifs du test Covid. Le terminal a depuis rouvert, mais a aggravé la congestion du réseau maritime transpacifique.
- voir graphique sur site -
Le problème principal des voies navigables encombrées, des temps d'attente élevés et des coûts de transport qui montent en flèche est qu'ils alimentent une flambée de l'inflation qui pousse les prix à la production et les prix à la consommation à la hausse, discréditant le récit d'inflation « transitoire » de la Réserve fédérale.
- voir graphique sur site -
Les membres de la Fed ne semblent pas trop inquiets de l'inflation qui fait rage, car elle ronge les gains salariaux de la moyenne des Joe et Jane. Ces fonctionnaires sont trop occupés à négocier des actions à la journée plutôt que de s'inquiéter de ce qui se passe dans la rue principale.
https://www.zerohedge.com/markets/container-ship-congestion-la-ports-hits-record-high-more-ships-join-queue
Un camion renversé transportant des batteries Tesla prend feu et bloque l'I-80 en Californie
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 11 SEPTEMBRE 2021 - 12:00
Un camion transportant une charge de batteries Tesla dans le comté de Placer, en Californie, s'est écrasé et s'est renversé, provoquant l'incendie des batteries et bloquant une grande partie de l'I-80 vendredi soir.
L'accident de renversement s'est produit sur l'autoroute juste à l'est de Drum Forebay, selon CBS Sacramento.
CBS a qualifié l'incendie qui a suivi de "petit" et a noté qu'il "a depuis été maîtrisé". La California Highway Patrol a confirmé que le camion transportait des batteries Tesla.
Les transcriptions de la California Highway Patrol publiées par Mark Spiegel de Stanphyl Capital vendredi ont documenté l'incident tel qu'il s'est produit.
- voir sur site -
Un "semi renversé" a été signalé pour la première fois avant qu'il ne soit signalé que le véhicule était en feu.
Après avoir « demandé à quel point le camion était englouti », la California Highway Patrol a été informée que le chargement était constitué de batteries Tesla.
Comme Spiegel l'a noté sur Twitter, l'incendie était petit - mais l'excuse pour manquer le prochain trimestre pourrait être énorme !
Aucun blessé n'a été signalé.
https://www.zerohedge.com/markets/overturned-truck-carrying-tesla-batteries-catches-fire-and-blocks-i-80-california
Passer de la loi à l'amour
RépondreSupprimer12h03 07 sept. 2021
La loi passe par le Droit, représenté par un chemin direct. L'Amour passe par le cercle représenté par des bras qui enlacent et la sphère qui englobe.
N'est-ce pas à un tel passage que nous sommes invités actuellement par la vie dans nos existences quotidiennes ?
Voulons-nous rester sur la ligne droite représentée par un masque, un test et une inoculation dite vaccinale ? Ou alors former une chaîne humanitaire embrassant un espace commun ?
Sommes-nous à l'aise de respirer de l'air stagnant derrière le plan d'un masque ou voulons-nous nous ouvrir à l'air de l'espace multidimensionnel qui nous entoure ?
Notre liberté d'aller et venir doit-elle dépendre d'un passe sanitaire uniquement ? Et en plus, selon des mesures le renouvelant régulièrement : Ceux qui refuseront la 3ème dose auront leur pass ANNULÉ
La mesure du confinement suit aussi une directive en ligne droite et a réduit l'espace des êtres humains sur différents plans qui ont coûté cher au propre comme au figuré, à la santé tant physique que psychique :
- l'esprit s'est dissous, perdu dans l'espace : Confinement et déclin cognitif… il y a un lien
- l'élan pour travailler s'est réduit : Effets pervers du « quoi qu’il en coûte » : ils ne veulent plus retourner bosser ! Déjà, ce lundi 21 juin, le trafic était perturbé en Île-de-France. Un rodage, en somme, après tous ces mois d’activité réduite.
- Le corps affectif s'est aussi restreint, lui qui est destiné à l'expansion de la joie : Stress, peur et dépression. Il ne vous a pas échappé que le confinement a entraîné une forte hausse des consultations en France pour symptômes dépressifs, et provoqué une augmentation alarmante des tentatives de suicide, en particulier chez les jeunes.
- Une autre façon de limiter ou étouffer son élan de vie : Le confinement a créé 1 million de nouveaux alcooliques en Angleterre
- Les soins médicaux ont dû en grande partie suivre la ligne imposée par les gouvernements : À cause du prolongement du confinement, les conséquences de la paralysie des soins non-Covid ont été graves pour les autres malades : infarctus, embolies, péritonite,…
Autrement dit : Le confinement a tué deux personnes pour trois morts du coronavirus
En résumé : comme l'exprime un médecin riche de son expérience pratique : Non, le confinement ne sauve pas, il aggrave la mortalité du Covid19, l’économie et la santé des Français.
RépondreSupprimerL'aiguille, la seringue et le produit à injecter : voici encore une belle ligne droite ! Elle entretient un concept - représentation abstraite d'un objet - mais qui élude tout l'espace - la peau, les organes, les fonctions physiologiques, les conséquences à court et long terme ... - dans lequel on l'impose, apparemment de gré mais en réalité de force puisque l'aiguille pénètre la peau offensivement. De la sorte, une fois dans un milieu vivant, la protéine spike reprend une partie de sa liberté et utilise un espace que le concept d'origine n'avait pas prévu : Le Dr Ryan Cole dénonce les vaccinations expérimentales qu’il qualifié comme « un viol par l’aiguille » dû à la toxicité de la protéine SPIKE
Viser une cible nécessite aussi un tracé rectiligne. Ainsi : Pfizer vise 26 milliards de dollars avec le vaccin anti-Covid en 2021. L'ensemble humain concerné par cette somme colossale est réduit à une masse instrumentalisée suivant un axe unique qui convoite de différentes façons la vaccination obligatoire.
La science, pour sa part, présente de la peine à se réduire à une décision unique: Le rappel vaccinal, décision politique qui divise les scientifiques
Le balancier du rapport bénéfice-risque consiste en une ligne droite si on limite la population à la résultante de diverses statistiques. En réalité chaque être humain présente sa propre balance individuelle entre les risques relevant de son état de santé, de son âge, de son lieu de vie, de ses facteurs de risques, du type de vaccin. L'ensemble de ces balances correspond bien à un univers multidimensionnel. Une conséquence tragique du calcul officiel : avec l'application de la loi absolue, glaciale, "tous vaccinés", on en arrive à atteindre nos jeunes en plein dans le coeur, source de la chaleur humaine.
Le corps médical n'est en fait plus un corps unifié animé par la conscience de l'art médical. Il est divisé entre la technoscience qui impose ses lignes droites, ses moyens d'analyses et ses protocoles. La politique s'appuie dessus et en crée son assurance. Les médecins sont réduits à être des exécutants des ordres supérieurs. Gare à ceux qui respectent leur conscience humaine : Des médecins romands sanctionnés pour avoir découragé leurs patients de se faire vacciner. Il est invoqué l’un des droits du patient d’avoir accès à une information claire, notamment sur la vaccination. Qu'est-ce au juste une information claire quand il s'agit d'un produit expérimental et qu'on ne sait pas comment chacun peut réagir aux divers ingrédients qu'il contient ? Voilà de nouveau une façon de réduire en un concept simple un acte médical ô combien complexe.
L'âme des médecins n'est pas endormie pour autant et animent les résistants dans l'âme à une doxa qui parait facile à imposer mentalement selon des lois d'ingénierie sociale mais qui s'éloigne de la richesse des contacts humains dans leurs dimensions affectives et créatives.
RépondreSupprimerIl en va de même du lien social qui s'est figé entre deux pôles : vax ou non vax ? Alors que l'on sait depuis la nuit des temps que l'équilibre se crée à chaque instant entre les différents axes cosmiques. Il nous reste les réseaux sociaux par internet mais il s'agit de leur donner corps, ce que font les divers collectifs qui se créent de plus en plus, en manifestant la chaleur humaine que ne peuvent pas rendre nos écrans plats.
https://mfmeuron.blog.tdg.ch/archive/2021/09/06/passer-de-la-loi-a-l-amour-317224.html#more
(...) Il est invoqué l’un des droits du patient d’avoir accès à une information claire, notamment sur la vaccination. Qu'est-ce au juste une information claire quand il s'agit d'un produit expérimental et qu'on ne sait pas comment chacun peut réagir aux divers ingrédients qu'il contient ? Voilà de nouveau une façon de réduire en un concept simple un acte médical ô combien complexe. (...)
SupprimerL'explication dernièrement a été donnée par le docteur Fleming qui a fait monter sur l'estrade des personnes à qui il a demandé de prendre et de déplier le papier accompagnant le dit 'vaccin'.
Le papier de la posologie s'est révélé être tout blanc recto/verso !! Seule, au milieu de la grande page de 60 cm sur 1 mètre de haut, figurée la mention "INTENTIONNELLEMENT VIDE" !!
'Intentionnellement vide' car, le poison contenu dans les flacons destinés aux inoculés était breveté !! Et donc: interdit de savoir ce qu'ils contenaient !!
Or, des scientifiques ont néanmoins examinés au microscope à balayage électronique est relevé que 95 à 99 % de la composition était faite de nano-particules d'oxyde de graphène !! qui n'ont RIEN A FAIRE dans une solution vaccinale !!
Les nano-particules d'oxyde de graphène étant un poison violent destiné à être libéré par fréquence acoustique depuis la 5G !!
Il faut donc s'attendre à une razzia mondiale de millions de morts dans les 24 ou 48 heures qui suivent le signal d'émission.
Les garçons plus à risque d'effet secondaire du jab Pfizer que Covid, suggère une étude
RépondreSupprimerDes chercheurs américains affirment que les adolescents sont plus susceptibles de contracter une myocardite liée au vaccin que de se retrouver à l'hôpital avec Covid
Ian Sample Science rédacteur en chef
@iansample
ven. 10 sept. 2021 18.00 BST
Les garçons en bonne santé peuvent être plus susceptibles d'être admis à l'hôpital avec un effet secondaire rare du vaccin Pfizer/BioNTech Covid qui provoque une inflammation du cœur qu'avec Covid lui-même, affirment des chercheurs américains.
Leur analyse des données médicales suggère que les garçons âgés de 12 à 15 ans, sans condition médicale sous-jacente, sont quatre à six fois plus susceptibles de recevoir un diagnostic de myocardite liée au vaccin que de se retrouver à l'hôpital avec Covid sur une période de quatre mois.
La plupart des enfants qui ont ressenti l'effet secondaire rare ont présenté des symptômes dans les jours suivant la deuxième injection de vaccin Pfizer/BioNTech, bien qu'un effet secondaire similaire soit observé avec le vaccin Moderna. Environ 86% des garçons touchés ont nécessité des soins hospitaliers, ont déclaré les auteurs.
Saul Faust, professeur d'immunologie pédiatrique et de maladies infectieuses à l'Université de Southampton, qui n'était pas impliqué dans les travaux, a déclaré que les résultats semblaient justifier l'approche prudente adoptée par le comité mixte britannique sur les vaccins et la vaccination pour les vaccins chez les adolescents.
Le JCVI n'a pas recommandé de vacciner les enfants de 12 à 15 ans en bonne santé, mais a renvoyé l'affaire aux médecins-chefs du Royaume-Uni qui devraient prendre une décision finale la semaine prochaine. Les enfants de 12 à 15 ans particulièrement vulnérables au Covid, ou vivant avec une personne à risque, sont éligibles aux vaccins.
Dans la dernière étude, qui n'a pas encore été évaluée par des pairs, le Dr Tracy Høeg de l'Université de Californie et ses collègues ont analysé les effets indésirables des vaccins Covid chez des enfants américains âgés de 12 à 17 ans au cours des six premiers mois de 2021. Ils estiment le taux de myocardite après deux injections de vaccin Pfizer/BioNTech à 162,2 cas par million pour les garçons en bonne santé âgés de 12 à 15 ans et 94 cas par million pour les garçons en bonne santé âgés de 16 à 17 ans. Les taux équivalents pour les filles étaient respectivement de 13,4 et 13 cas par million. Aux taux d'infection actuels aux États-Unis, le risque qu'un adolescent en bonne santé soit emmené à l'hôpital avec Covid dans les 120 prochains jours est d'environ 44 par million, ont-ils déclaré.
La fiabilité des données et la question de savoir si des chiffres similaires pourraient être observés au Royaume-Uni si des jeunes de 12 à 15 ans en bonne santé sont vaccinés ne sont pas claires : les réactions au vaccin sont enregistrées différemment aux États-Unis et les injections sont administrées à des intervalles de temps plus longs au Royaume-Uni. Selon le régulateur britannique des médicaments, le taux de myocardite après la vaccination contre Covid n'est que de six par million de coups de Pfizer/BioNTech.
RépondreSupprimerJusqu'à présent, les enfants britanniques n'ont pas été admis en grand nombre à l'hôpital pour Covid et ne courent peut-être pas un grand risque de long Covid. Alors que la récente étude Clock a révélé que jusqu'à 14% des enfants qui ont attrapé Covid peuvent encore présenter des symptômes 15 semaines plus tard, les niveaux de fatigue semblent similaires à ceux des enfants qui n'ont pas attrapé le virus. Cela suggère que les enfants peuvent être épargnés par certains des problèmes les plus débilitants observés chez les adultes à long Covid.
Pourquoi les enfants ne sont-ils pas vaccinés au Royaume-Uni ? - Podcast
L'écrasante majorité des myocardites apparaît après la deuxième dose de vaccin, donc offrir des injections uniques pourrait protéger les enfants tout en réduisant encore plus le risque d'effet secondaire.
"Bien que la myocardite après la vaccination soit exceptionnellement rare, nous pourrons peut-être modifier la première ou la deuxième dose ou combiner les vaccins différemment pour éviter le risque, une fois que nous comprendrons mieux la physiologie", a déclaré le professeur Faust. « Dans l'ensemble, il n'y a pas d'urgence à vacciner les enfants d'un point de vue médical, bien que si les écoles ne sont pas en mesure de maintenir l'éducation de la grande majorité à tout moment, l'équilibre global pourrait changer. Si mes deux enfants adolescents se voient proposer le vaccin par le NHS, ma femme GP et moi n'hésiterons pas à leur permettre de recevoir le vaccin. »
Le professeur Adam Finn, membre du JCVI à l'Université de Bristol, a déclaré: «Je maintiens le conseil du JCVI, qui est de ne pas aller de l'avant pour le moment avec la vaccination des enfants de 12 à 15 ans en bonne santé pour des raisons de risque et de bénéfice pour la santé. étant donné l'incertitude actuelle, car il existe un risque faible mais plausible que des dommages rares s'avèrent l'emporter sur les avantages modestes. »
La MHRA a déclaré qu'elle surveillait de près toutes les données disponibles sur le risque potentiel de myocardite et de péricardite après la vaccination contre le Covid-19. « Nous avons conclu que les vaccins Covid-19 fabriqués par Pfizer/BioNTech et Moderna peuvent être liés à une légère augmentation du risque de ces conditions très rares. Les cas avaient tendance à être bénins et la grande majorité se sont rétablis avec un simple traitement et du repos », ont-ils ajouté.
Le porte-parole a déclaré que la dernière étude avait été examinée par l'organe consultatif indépendant du gouvernement, le groupe de travail d'experts sur les risques des vaccins Covid-19, qui a constaté que l'interprétation des résultats était limitée par le fait que l'étude ne tenait pas compte des différences de pratiques de traitement lors de la comparaison des taux d'hospitalisation entre les infections à Covid-19 et les myocardites et péricardites se présentant après la vaccination, et il n'y avait pas d'évaluation de la gravité et de la durée de la maladie après l'admission.
RépondreSupprimer« Des stratégies de surveillance de la sécurité sont en place pour les personnes de moins de 18 ans, y compris la surveillance de la myocardite et de la péricardite survenant après la vaccination et les résultats à long terme de ces événements. La MHRA continue de surveiller de près et en permanence la sécurité des vaccins contre le Covid-19 », a ajouté le porte-parole.
https://amp.theguardian.com/world/2021/sep/10/boys-more-at-risk-from-pfizer-jab-side-effect-than-covid-suggests-study
PROCÈS COVID-19
RépondreSupprimerLa population du Québec possède toute la légitimité pour traduire en justice les auteurs du génocide en cours depuis janvier 2020 sous prétexte de pandémie.
Pour prendre connaissance des rapports d'enquêtes effectuées, rendez-vous sur le site de la Garde nationale du Québec.
Vous pouvez aussi consulter notre rapport d'enquête (partie 1 et partie 2).
https://www.tribunalmilitaire.quebec/?fbclid=IwAR3Auqg0Y4CTOmvjFBJR2PLGp-CSJWFpH_3aeCeb2oWmALSmt77qitqlU50
Le gouvernement britannique renonce au passeport vaccinal
RépondreSupprimer19:47 12.09.2021
Le gouvernement britannique a annoncé dimanche qu'il renonçait à son projet de mettre en place un passeport vaccinal en Angleterre pour permettre à la population de se rendre dans des endroits très fréquentés, Londres travaillant en outre sur un nouveau plan de lutte contre le COVID-19.
Le Premier ministre britannique Boris Johnson présentera mardi ce plan pour affronter la pandémie pendant la prochaine période hivernale, a précisé le ministre de la Santé Sajid Javid.
"Maintenant que nous entrons dans l'automne et l'hiver (...), le Premier ministre exposera cette semaine nos plans pour gérer le COVID au cours des prochains mois et en cela nous indiquerons clairement que notre programme de vaccination fonctionne", a-t-il déclaré à Sky News.
Sajid Javid a également indiqué à la BBC qu'il n'anticipait plus de confinements, même s'il ne souhaite pas exclure des mesures de ce type des options gouvernementales.
Evoquant l'idée d'un passeport vaccinal, il a déclaré : "Nous l'avons examiné correctement et bien que nous devions le garder en réserve en tant qu'option potentielle, je suis heureux de dire que nous n'irons pas de l'avant (...)"
Le ministre a également jugé efficaces les programmes de vaccination, de dépistage et de surveillance du gouvernement britannique, de même que les nouveaux traitements contre le COVID-19.
La Grande-Bretagne affiche l'un des taux de décès dus au virus les plus élevés au monde et a connu un rebond du nombre de contaminations ces derniers mois après avoir assoupli certaines restrictions en juillet.
Alors que Londres s'est arrogé en mars 2020 une série de pouvoirs d'urgence incluant des mesures pour fermer les entreprises, Boris Johnson a clairement indiqué qu'il mettrait un terme à certains d'entre eux.
"Ces temps extraordinaires ont nécessité des mesures nécessaires mais intrusives. Mais je suis déterminé à nous débarrasser de tous les pouvoirs dont nous n'avons plus besoin en raison de nos défenses vaccinales", a-t-il dit dans un communiqué.
SupprimerCe qui laisse à penser que le génocide final est pour bientôt.
Pénurie de médicaments en France : causes et solutions (2)
RépondreSupprimerLes ruptures de stock de médicaments sont de plus en plus nombreuses et concernent de multiples pathologies.
Deuxième partie de cette série : les spécificités françaises expliquant la pénurie de médicaments.
Par Patrick de Casanove.
13 SEPTEMBRE 2021
La première partie de cet article détaille les causes identifiées de la pénurie de médicaments en France. https://www.contrepoints.org/2021/09/12/347490-penurie-de-medicaments-en-france-causes-et-solutions-1
SPÉCIFICITÉS FRANÇAISES INDUISANT UNE PÉNURIE DE MÉDICAMENTS
La pénurie ne touche pas que la France.
Pour rester dans des pays économiquement comparables, d’autres pays d’Europe sont touchés, les États-Unis le sont aussi. Dans ce pays » la raison principale de cette pénurie reste des problèmes de matières premières ou des soucis liés à la qualité « . C’est tout.
En France les raisons sont plus nombreuses et la situation est plus préoccupante que dans les autres pays développés. Un Français sur quatre a déjà été concerné par le manque d’un médicament.
Parce que si la pénurie n’atteint pas que la France notre pays a des spécificités. La pénurie de médicaments est au carrefour de plusieurs problèmes français.
LA SÉCURITÉ SOCIALE, MONOPOLE D’ÉTAT SANS CONCURRENT
Il n’est pas possible de commencer un chapitre sur les spécificités françaises sans parler de notre modèle social et son pilier la Sécu.
La seule entrée légale possible pour un médicament sur le marché français est d’obtenir une AMM (Autorisation de Mise sur le Marché). Une fois celle-ci obtenue, si l’industriel veut un remboursement, qui n’est possible que par la Sécu, il doit discuter un prix avec l’État, représenté par le CEPS.
Le Comité économique des produits de santé (CEPS), « organisme interministériel placé sous l’autorité conjointe des ministres chargés de la Santé, de la Sécurité sociale et de l’Économie, est principalement chargé par la loi de fixer les prix des médicaments et les tarifs des dispositifs médicaux à usage individuel pris en charge par l’assurance maladie obligatoire ». Le problème est que le seul rembourseur est la Sécu, et le seul négociateur est l’État. L’inexistence de concurrence dans le marché du remboursement de soins prive les Français d’opportunités thérapeutiques.
Pour compléter ce paragraphe il faut préciser qu’il existe l’exception de l’ATU (Autorisation Temporaire d’Utilisation) pour l’utilisation exceptionnelle de spécialités pharmaceutiques ne bénéficiant pas d’une autorisation de mise sur le marché (AMM) et ne faisant pas l’objet d’un essai clinique.
LES PÉNURIES ADMINISTRATIVES
RépondreSupprimerComme si le manque matériel d’un produit ne suffisait pas, notre système de santé crée des manques administratifs. Dans ce cas le produit existe quelque part dans le monde et il est disponible.
Cependant notre pays n’a pas les moyens de l’acheter au prix du marché. Donc il négocie à la baisse pour obtenir le produit, le mettre sur le marché et le rembourser à un tarif administratif. Comme expliqué précédemment, tant que ce tarif administratif n’est pas fixé, le médicament n’est pas remboursé, donc pas disponible pour les malades français.
L’ABSENCE TOTALE DE PRIX LIBRES POUR LES MÉDICAMENTS
Les paragraphes précédents ont expliqué que les prix des médicaments en France ne sont pas libres ; comme tous les tarifs des actes dits opposables, par exemple la consultation d’un médecin en secteur 1.
La conclusion qu’il faut en tirer est que les dits prix des médicaments ne sont pas des prix, mais des marqueurs administratifs de la politique suivie par l’État. Or, les prix sont des informations. Avec son système la France se prive d’informations précoces sur le marché du médicament. Sans informations fiables, complètes et instantanées il est impossible pour l’État de gérer le système de soin, et l’approvisionnement en médicaments en particulier.
LA MAUVAISE SANTÉ ÉCONOMIQUE
Notre pays n’a pas une économie qui se porte au mieux. Il existe un déclin de la compétitivité économique. En 2018 la France est au 17ème rang mondial en ce domaine.
Notre système de soins étatique est incapable d’assurer les approvisionnements en médicaments parce qu’il n’en a pas les moyens financiers, parce que la France a une prospérité qui ne permet plus à un État qui se mêle de tout, de tout financer correctement. Si tant est que cela lui fût possible un jour. En pratique l’État rationne et répartit la pénurie entre les différents secteurs de la vie du pays, en fonction de ses intérêts politiques… et de celui qui crie le plus !
Depuis des décennies il promeut les économies pour sauver la Sécu. En clair il rationne les soins. Cette pénurie de médicaments met en lumière que la Sécu n’est pas sauvée et que les Français, malgré (à cause de ?) la Sécu, peuvent ne pas être soignés, même pour des maladies graves.
Les pays dont la prospérité leur permet de payer correctement les médicaments passent d’abord.
« La France est en compétition au sein de l’Europe. De l’aveu même de l’ANSM, dans le rapport MATRIX, c’est surtout la mondialisation des chaînes de production du médicament qui pose problème : ‘Sans remettre en cause ces origines connues d’indisponibilité de médicaments sur certains territoires européens, la France souhaite souligner qu’en amont ces décisions des laboratoires pharmaceutiques se fondent sur la rentabilité d’une éventuelle commercialisation au regard du niveau de prix et des contingences industrielles […] Il faut comprendre que la France est en compétition avec les autres pays pour être servie en cas de rupture de stock. Or l’attractivité des prix des médicaments en France est clairement moindre par rapport à d’autres pays et il n’est donc pas exclu que la France ne soit pas privilégiée, voire soit servie en dernier’. »
À cette moindre prospérité globale, s’ajoute en France un déclin industriel. Cette désindustrialisation touche aussi l’industrie pharmaceutique :
« 170 sites de production de médicaments étaient recensés sur le territoire national en 2015, contre 224 en 2013, soit une baisse de 24 %. Seuls 22 % des principaux médicaments remboursés en ville sont produits en France. »
RépondreSupprimerElle est le témoignage de la persistance sur plusieurs décennies d’un climat économique malveillant envers les entreprises et délétère pour l’innovation.
Il est possible de déduire de cette situation qu’en matière des soins à la personne, la performance d’un système de couverture santé n’est pas liée au remboursement des frais, pouvant aller jusqu’à une prétendue gratuité, mais à la prospérité économique. La gratuité n’existe pas, les soins sont prépayés et la dispense d’avance de frais n’est pas la gratuité.
LA RECHERCHE ET L’INNOVATION MAL EN POINT
En 2018 la France se situe au 32ème rang mondial en matière d’innovation. La recherche médicale est en perte de vitesse. Déjà en 2014 :
« Sur les 5000 médicaments en développement en ce moment dans le monde, 3400 le sont aux États-Unis. Dans les 10 dernières années, 300 nouveaux médicaments ont été autorisés par la Food and Drug Administration (FDA). »
LA HAINE DE L’ENTREPRISE QUI RÉUSSIT
Haine particulièrement exacerbée dans le milieu du soin. Tout est critiqué négativement que ce soit les cliniques privées, les dépassements d’honoraires ou les laboratoires pharmaceutiques pour le cas qui nous concerne ici.
Les bénéfices de l’industrie pharmaceutique sont régulièrement dénoncés, ce qui n’est pas sans rappeler les délires que suscite la publication des bénéfices de Total dans le secteur pétrolier.
LA MÉCONNAISSANCE ÉCONOMIQUE
En particulier l’ignorance totale de ce qu’est un prix. L’erreur d’analyse commence souvent car pour raisonner les personnes partent de la somme qui leur est demandée pour acquérir un médicament. C’est ce qu’on voit. Ils oublient qu’en France ce n’est pas un prix mais un marqueur politique. Ils oublient le contexte industriel. C’est ce qu’on ne voit pas.
Penchons-nous sur le contexte industriel du médicament. Sur des centaines de molécules découvertes par la recherche, 10 seront prometteuses. Sur 10 molécules prometteuses 9 iront au panier.
« Selon des chercheurs du Bureau du budget du Congrès américain, seulement 8 % des nouvelles molécules étudiées qui atteignent l’étape des essais cliniques finissent par être approuvées pour la mise en marché. »
Sur 10 molécules commercialisées deux couvriront leurs frais de recherche et développement.
« Il s’agit également d’un processus risqué car seulement deux médicaments commercialisés sur dix génèrent des recettes de vente suffisantes pour couvrir les coûts moyens de R&D. En conséquence, 20 % des médicaments mis en marché doivent générer des profits suffisamment élevés pour couvrir le manque à gagner en termes de revenus des autres 80 % qui sont déficitaires. »
En 2015 par exemple, pour le traitement du cancer :
RépondreSupprimer« À ce jour, 6484 traitements, dont les deux tiers en sont encore aux premiers stades de la recherche, sont en développement, constate le cabinet d’études GBI Research. »
Nul ne sait combien sortiront. Le peu qui sortira devra supporter le frais de R&D des milliers qui ne seront pas sortis.
Nous avons vu précédemment que l’absence d’un prix correct offert aux laboratoires était un handicap pour la France par rapport à d’autres pays développés. Nous avons vu que cela est dû à l’absence de prix libres et à la moindre prospérité économique de notre pays.
Même les meilleurs cancérologues français, tout à leur souci d’apporter les meilleurs traitements à leurs patients, se fourvoient dans le diagnostic :
« Les auteurs de l’appel des 110 contestent, à travers le Glivec, l’argument souvent avancé par l’industrie pharmaceutique du nécessaire retour sur investissement. Comment expliquer que le coût du Glivec soit passé, selon des calculs effectués par le New York Times en dollars constants de 2014, de 4500 dollars par mois en 2001 à 8400 dollars en 2015, alors que le retour sur investissement de ce produit est fait, largement, depuis longtemps ? »
Le retour sur investissement de ce produit est peut-être fait, mais il doit supporter tous ceux qui n’ont pas atteint le seuil de rentabilité, voire n’ont jamais vu le jour.
Pour prendre un exemple ailleurs, en 1983 la 205 a sauvé Peugeot, parce qu’elle a engendré suffisamment de bénéfices pour remettre le groupe à flot, et lui donner une nouvelle dynamique. Le prix de la 205 n’a pas été baissé au prétexte que « le retour sur investissement de ce produit est fait, largement, depuis longtemps ». Cela n’a choqué personne. Si ce raisonnement avait été suivi Peugeot aurait disparu.
Les mieux placés pour prendre les bonnes décisions pour gérer une entreprise sont les entreprises elles-mêmes. Elles peuvent certes se tromper, mais moins que tous les modes de calculs abracadabrantesques déconnectés de l’entreprise et obéissant à d’autres objectifs que sa bonne santé.
Ces spécificités françaises tiennent au fait que notre pays est un pays socialiste où l’économie est largement dirigée.
L’article suivant détaillera les fausses bonnes solutions et les solutions envisageables.
https://www.contrepoints.org/2021/09/13/347496-penurie-de-medicaments-en-france-causes-et-solutions-2
(16) Psyché : l’astéroide à 10 trillions de dollars
RépondreSupprimerL’exploitation de tous les minéraux présumés de (16) Psyché, évalué à10 trillions de dollars, un astéroide provoquerait une crise économique.
Par Gérald Autier.
13 SEPTEMBRE 2021
En décembre 2020, le Planetary Science Journal publiait les résultats du traitement de clichés que le téléscope Hubble avait pris de (16) Psyché, un astéroïde de la ceinture principale d’une masse précédemment estimée à (2.72 ± 0.75) × 1019 kg. Les auteurs de cette étude émettent l’hypothèse que Psyché est essentiellement composé de fer et de nickel.
La mission Psyché que la NASA prévoit de lancer en août 2022 permettra certainement d’en apprendre plus encore sur ce corps céleste.
D’aucuns se sont d’ores et déjà amusés à calculer la valeur marchande de cet astéroïde. Elle avoisine, selon eux, les 10 trillions de dollars (10 000 000 000 000 000 000), soit 70 000 fois le PIB mondial en 2019 ou encore 200 milliards de fois la fortune de Jeff Bezos, l’homme actuellement le plus riche du monde.
Ce chiffre astronomique a fait tourner la tête à certains commentateurs qui imaginent déjà que la vente des métaux composant cet astéroïde assurerait à tout être humain un matelas financier très confortable.
CETTE HYPOTHÈSE DE SCIENCE-FICTION N’EST-ELLE PAS FANTAISISTE ?
Supposons que nous puissions ramener sur Terre les métaux qui entrent dans la composition de (16) Psyché. En premier lieu, convenons que le prix de ces métaux s’écroulerait pour avoisiner zéro. En effet, la valeur d’un objet ou d’une ressource est fonction de sa rareté et de son utilité. Une ressource en surabondance n’a aucune valeur marchande. En second lieu, la profusion de ces métaux aboutirait à un grand nombre d’utilisations nouvelles, dont l’exploitation n’est aujourd’hui financièrement pas rentable. Dans le même temps, gageons que le coût de production de biens et services utilisant ces matières premières serait fortement réduit, ce qui engendrerait un gain notable pour le consommateur.
Imaginons un instant que le prix des métaux présents dans la composition de (16) Psyché ne s’effondre pas et que nous puissions, par exemple, les vendre au prix du marché terrestre à une civilisation extraterrestre dont les besoins en matières premières seraient immenses et non satisfaits. Une distribution équitable du produit de cette vente octroierait à chaque Terrien un joli pactole de 14 milliards de dollars.
Serions-nous pour autant tous riches ?
Dans une économie de marché, où les prix sont librement fixés, celui d’un bien ou d’un service reflète la valeur qu’il a aux yeux, à la fois, de l’acquéreur et du vendeur. Les prix dépendent de nos préférences subjectives et non d’une valeur intrinsèque.
Lorsque la quantité d’un bien augmente, son prix diminue. Les monnaies, comme tous les autres biens et services, ne font pas exception aux lois de l’offre et de la demande. Puisque la monnaie est également unité de mesure, l’érosion de son pouvoir d’achat se manifeste par la diminution du nombre de biens et de services que cette unité monétaire permet d’acquérir.
RépondreSupprimerEn d’autres termes, cette manne galactique qui augmenterait spectaculairement la masse monétaire reviendrait à avoir plus d’argent pour acheter une quantité de biens et de services inchangée, ce qui impacterait le prix de tous les biens et services. Représentons-nous une vente aux enchères où chaque acheteur disposerait de 14 milliards de dollars de liquidité, les prix de vente attendraient alors des sommets.
Si cet événement isolé de la vente à des extraterrestres des métaux de (16) Psyché se produisait, les prix sur Terre traverseraient une période d’ajustement tumultueuse : il y aurait alors pénurie de certains biens et services et surabondance monétaire. Certains agents économiques, leurrés par l’illusion de richesse, seraient conduits à faire des mauvais choix d’allocation de leur épargne. Il est probable que la richesse relative des uns et des autres retomberait peu ou prou à son niveau actuel.
Dans de nombreux pays, la notation de l’unité monétaire connaîtrait une extension du nombre de zéro. Un plombier proposerait ses prestations pour plusieurs milliards de dollars mais il achèterait sa baguette de pain à plusieurs centaines de millions de dollars. La rareté relative des biens et des services ne serait pas affectée. Autrement dit, les prix s’ajusteraient pour retrouver un niveau correspondant à la valeur relative que chacune propose sur le marché.
UN IMPACT SUR LES ÉPARGNANTS
Comment les épargnants agiraient-ils dans cette nouvelle situation ? À l’annonce de cette répartition du produit de la vente des métaux de l’astéroïde, ceux faisant preuve de sagacité s’empresseraient d’échanger leurs liquidités contre des actifs tangibles : œuvres d’art, biens immobiliers, parts de sociétés… Ceux d’entre eux qui ne convertiraient pas leurs encaisses devraient se résoudre à une dilution considérable de leurs économies. Imaginez un épargnant disposant d’un million de dollars avant la distribution de sa « prime Psyché », il se retrouverait au même niveau financier que son voisin qui disposerait de 14 milliards comme lui après le versement. Avec son épargne qui aurait pu lui permettre d’acquérir un bien immobilier, il ne pourrait même plus s’acheter une demi-baguette. Le coût de l’ignorance des épargnants sous-estimant les effets de cette inflation serait vraisemblablement très élevé.
Dès lors, la distribution à chaque Terrien de 14 milliards de dollars enrichirait ceux qui auraient eu la clairvoyance de convertir leur épargne en actifs tangibles et appauvrirait les autres.
Cette fiction peut sembler à première vue farfelue mais elle n’est pas si éloignée de la réalité. La politique monétaire interventionniste (modification du taux directeur des Banques Centrales, opérations d’Open Market) a été accentuée depuis la crise des subprimes. Pire encore, aux États-Unis et au Royaume-Uni, de nombreux dirigeants prônent une impression monétaire illimitée. Cette politique monétaire suscite deux inquiétudes majeures que l’exemple de la vente des métaux de (16) Psyché n’a pas mis en lumière : d’une part, le point d’entrée de l’argent créé et d’autre part, la durée de cette politique.
RépondreSupprimerCette monnaie nouvellement imprimée entre dans l’économie sous la forme de subventions arbitrairement distribuées et d’expansion forcée du crédit bancaire. Ce canal favorise certaines catégories sociales par rapport à d’autres. Les premiers à recevoir de l’argent dépensent selon leurs préférences – ce qui augmente le prix de ces biens ou actifs au détriment de ceux qui ne reçoivent pas d’argent.
Par ailleurs, cette expansion monétaire s’étale sur une période beaucoup plus longue qu’une prime exceptionnelle versée en une seule fois, ce qui incite les agents économiques à faire de mauvais choix d’investissement dans le temps. Ces erreurs accumulées – destructrices de richesse – sont désastreuses pour l’économie. Ce flux continu d’expansion monétaire alimente des distorsions dans la structure des prix qui finiront inévitablement par devenir insoutenables : ce sera la crise.
Dans la mythologie grecque, Psyché, rivale malgré elle d’Aphrodite, perd ce qu’elle possède de plus précieux à cause de l’envie et de la jalousie de ses sœurs. Espérons que l’illusion d’une richesse infinie – la politique monétaire actuelle – ne nous fasse pas perdre à nos économies ce qu’elles ont de plus précieux : la stabilité.
https://www.contrepoints.org/2021/09/13/404931-16-psyche-lasteroide-a-10-trillions-de-dollars