- ENTREE de SECOURS -



mercredi 22 septembre 2021

Le directeur d’une entreprise funéraire s’exprime

https://rumble.com/embed/vk55kv/?pub=4 

10 commentaires:

  1. Loi climat & résilience : adapter votre immobilier

    La Loi « climat & résilience » est lourde de conséquences pour les propriétaires, et va contraindre à des travaux non prévus.


    Par Simone Wapler.
    22 SEPTEMBRE 2021


    La loi « portant lutte contre le dérèglement climatique et le renforcement de la résilience face à ses effets » est lourde de conséquences pour les propriétaires, notamment les propriétaires bailleurs. En vigueur depuis août 2021, elle va vous contraindre à de multiples travaux que vous n’avez pas forcément prévus.

    Cette loi prétend lutter contre les « passoires thermiques » qui seront désormais considérées comme des logements « indécents ».

    Les logements seront classés selon un bilan énergétique de A (meilleure note) à G (plus mauvaise note).

    Voici les principales échéances prévues par le législateur qui retirera des logements du marché locatif privé :

    2025 : interdiction de location des logements classés G
    2028 : interdiction de location des logements classés F
    2034 : interdiction de location des logements classés E
    TRAVAUX OBLIGATOIRES POUR POUVOIR CONTINUER À DONNER EN LOCATION
    Ne vous y trompez pas, changer de catégorie nécessitera des rénovations lourdes :

    Fenêtres et huisseries
    Isolation des murs
    Isolation des charpentes
    Changement de chaudière
    Les chaudières à fuel ou à charbon sont interdites de remplacement à partir du deuxième semestre 2022 tandis que le chauffage au gaz devient pénalisé par le nouveau DPE (diagnostic de performance énergétique).

    La loi est faite pour vous pousser vers l’électricité ce qui implique changement des radiateurs et dépôt des canalisations de chauffage. La correcte isolation des murs implique aussi souvent une réfection de l’électricité.

    Vous aurez donc à assumer de coûteux et importants travaux qui grèveront votre rentabilité locative. Si vous détenez un bien dans une copropriété, vous devez aussi anticiper un certain nombre de travaux dans les parties communes.

    Dans certains cas (isolation intérieure des murs), vous perdrez de la surface et le métrage loi Carrez s’en ressentira. Ainsi, pour un studio de 20 m², la perte de surface représentera 3 m² selon la FNAIM.

    RépondreSupprimer
  2. UN NOUVEAU DIAGNOSTIC QUASI INÉVITABLE

    Les DPE réalisés avant 2013 sont désormais invalides. Les DPE établis entre 2013 et 2017 seront valides jusqu’en 2022. Les DPE réalisés à partir de 2018 et jusqu’au 30 juin 2021 sont valides jusqu’à fin 2024.

    Le DPE est dit opposable : le locataire (ou l’acheteur de votre bien) pourra se retourner contre vous en cas d’erreur.

    EXISTE-T-IL DES ÉCHAPPATOIRES ?

    Si vous détenez vos biens dans des zones dites tendues, il va être très difficile de rentabiliser vos travaux du fait des mesures d’encadrement strict des loyers qui s’y multiplient.

    Puisque cette loi va retirer des logements du marché, la demande va se tendre et donc de plus en plus de loyers seront bloqués ou encadrés. À ce jour 600 000 logements sont classés G, 1,2 million sont classés F et 2,6 millions sont classés E.

    Si vous détenez vos biens dans des zones rurales où la demande est moins forte, votre nouveau loyer – réévalué pour amortir vos travaux – risque de faire fuir les candidats.

    À vous de faire vos calculs, après diagnostic, et munis de devis.

    Si ça ne passe pas, la solution consiste à vendre avec la perspective d’acquitter les droits de mutation (taxes improprement nommées « frais de notaire ») et éventuellement l’impôt sur les plus-values auquel pourrait s’ajouter un rattrapage à l’IFI si vous y êtes soumis.

    En effet, la masse monétaire a été multipliée par 7 dans l’Eurozone depuis 2008 et l’inflation a frappé de plein fouet l’immobilier. La « plus-value » est en réalité minime, voire inexistante, si vous restez dans la même classe d’actif, c’est-à-dire que vous rachetez de l’immobilier.

    Cette rafale d’impôts est donc une perspective peu réjouissante…

    L’IMMOBILIER COMMERCIAL OU PROFESSIONNEL POUR L’INSTANT PLUS À L’ABRI

    Les DPE sont également obligatoires pour l’immobilier commercial, mais les contraintes locatives sont bien moindres et les baux commerciaux plus souples, y compris pour les charges et travaux incombant au locataire. Vos marges de manœuvre seront moins étroites d’autant plus que ces loyers ne sont pas encadrés.

    Si un locataire vous donne congé d’un local d’habitation, pourquoi ne pas vendre et réemployer votre capital dans de l’immobilier commercial ?

    Autre piste, transformer un logement en local professionnel si l’emplacement s’y prête et si le règlement de copropriété l’autorise. Ceci est possible, moyennant une autorisation administrative. Elle est délivrée par le maire. Vous trouverez des informations ici et là.

    RépondreSupprimer
  3. CHAUDIÈRES ET ENFER FISCAL

    Après avoir poussé les gens vers les chaudières à gaz, le législateur omniscient fait machine arrière. Pourquoi ?

    Le calcul qui prévalait à la DHUP (Direction de l’Habitat, de l’Urbanisme et du Paysage) reposait sur une notion d’« énergie finale » et d’« énergie primaire ». Si une centrale nucléaire produisait 2,58 kWh, il n’arrivait que 1 kWh sur votre palier considérait l’administration, l’écart étant les pertes du réseau. Ce même ratio pour le gaz était de 1.

    Source

    Aujourd’hui, pour que 1 kWh arrive à votre porte, la production électrique primaire nécessaire en amont ne serait plus que de 2,30 kWh. À quoi est dû ce miracle ? Aux intermittentes que sont les éoliennes ou les cellules photovoltaïques ? Ne rêvons pas…

    Théoriquement, les pertes dans le réseau électrique sont inversement proportionnelles aux tensions utilisées or rien n’a fondamentalement changé de ce côté (l’électricité finale des habitations est toujours en 220 V ; les tensions des réseaux de distribution et de répartition fonctionnent depuis des lustres avec les mêmes valeurs qui vont de 400 kV à 63 kV). Malgré ce réajustement, le gaz reste avec un meilleur ratio. Alors pourquoi ce nouveau chiffre ?

    Il faut plutôt voir ici un efficace travail de promotion des lobbys des énergies intermittentes. Cette volte-face rappelle d’ailleurs celle qui a eu lieu dans l’automobile pour les moteurs diesel. Un temps considérés comme propres, les diesels sont maintenant pénalisés…

    On ne peut que prédire un renchérissement de l’électricité sous l’effet des nombreuses taxes pour compenser ce que l’État ne percevra plus sur les carburants et le gaz. Au total, les taxes représentent déjà un tiers de votre facture d’électricité.

    Du coup, quel type de chauffage choisir ?

    Pour le moment, pour les habitations individuelles, les pompes à chaleur seraient compétitives. Mais leur installation est largement subventionnée et n’oubliez jamais que toute subvention est de l’argent pris de force à des contribuables, comme je l’explique dans La rage de l’impôt. Et toute subvention fausse les prix.

    Pour les immeubles d’habitation à chauffage collectif, si vous êtes situé près du réseau de chauffage urbain, le raccordement à ce dernier peut être une solution pour éviter une flambée du coût. Le prix du chauffage urbain est très sérieusement contrôlé par l’État puisqu’il chauffe les logements sociaux, les hôpitaux, les écoles…

    Enfin, vous pouvez envisager en zone rurale le chauffage au bois. Mais il y a deux risques. En premier lieu, il n’a pas la cote auprès des écologistes au motif qu’il émet des particules. En deuxième lieu, le bois de chauffage est susceptible d’échapper au circuit de taxation de l’État. Bercy ignore que vous brûlez un arbre débité qui vous appartenait, ou que votre voisin vous a demandé de dégager, ou encore que votre commune pratique toujours le droit d’affouage qui permet aux administrés de récolter le bois des terrains communaux…

    Vous l’aurez compris, le bois naturel est mauvais, car il échappe à la TVA. D’où des pressions pour que le bois non transformé soit interdit comme mode de chauffage. Évidemment, les sacs de pellets ou granulés, produits par des usines ayant pignon sur rue, n’ont pas cet inconvénient !

    Pour conclure : l’étau se referme sur le propriétaire et le propriétaire bailleur. Ce gouvernement, comme ses prédécesseurs depuis 1948, est responsable de la crise du logement et de son aggravation. Les pouvoirs publics rêvent d’une France divisée en seulement deux catégories :

    Une majorité de bénéficiaires de logements sociaux que l’État contrôle
    Une minorité de propriétaires occupants que l’État matraque fiscalement
    En résumé, la Loi Climat et résilience rétrécit le parc locatif privé, renchérit le coût du logement et c’est voulu.

    https://www.contrepoints.org/2021/09/22/406402-loi-climat-resilience-adapter-votre-immobilier

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Va t-on devoir déconstruire Versailles ? Le château de Versailles est en pierres !! Et, la pierre (même aux murs de 2 m d'épaisseur) c'est : chaud dehors l'été et froid dedans. Froid dehors l'hiver et froid dedans !
      Vous l'aurez compris, y a un putain de chantier de démolition qui se profile à l'horizon d'x châteaux.

      Il a fallut attendre le début du 20 ème siècle pour que naisse la brique creuse en terre cuite puis, quelques décennies plus tard le fameux parpaing alvéolés en ciment.
      Eh oui ! L'air isole. C'est ce qui se fait en serre (serres gigogne ou 'poupées russes') où un espace de 10 cm est créé entre les 2 plastiques. Mais ne comptez pas appliquer cette découverte au 'double-vitrage' pour les fenêtres d'appartement ! HAHAHAHA ! L'isolation est de... zéro ! (sauf l'isolation du bruit. C'est tout !).

      Donc, il s'agit encore là d'un stratagème pondu par des merdes de fonctionnaires destinés à escroquer n'importe qui ! L'espace de quelques millimètres entre 2 vitres ne sert à rien car il n'est pas suffisant. Puis la vitre...on ne peut pas dire qu'elle isole beaucoup du froid ! (rien ne vaut le plastique de serre en 200µ).

      Supprimer
  4. Fessenheim : la centrale la plus vieille de France sacrifiée sur l’autel écolo

    Arrêtons de sacrifier des réacteurs tout neufs, cette logique politique ne va ni dans le sens de l’intérêt de la Nation ni celui des Français et encore moins celui du climat.


    Par Sébastien Richet.
    23 SEPTEMBRE 2021


    Après l’arrêt politique de la centrale de Fessenheim, le gouvernement a ordonné à EDF d’entamer immédiatement le démantèlement de l’installation pour éviter une tentation de retour en arrière…

    Surprise ! Pour la centrale la plus vieille de France, décriée par ceux qu’on appelle écologistes (ce qu’ils ne sont pas au vu des implications de leurs dogmes sur le climat) comme étant vétuste, les composants sont comme neufs !

    Pour le réacteur Superphénix, également sacrifié sur l’autel des dogmes écologistes, ça avait été la même chose, avec des intérieurs non oxydés et des équipements également comme neufs.

    Eh bien oui, ces machines ont été conçues pour durer, au moins 40 ans pour leur amortissement économique et bien au-delà d’un point de vue technique.

    En pratique, les États-Unis allongent leur durée de vie à 60, 80 voire 100 ans avec une vérification intégrale tous les dix ans.

    Pour quelle raison ne ferions-nous pas la même chose et alimenterions ainsi notre pays en énergie peu coûteuse et par là même, réduirions notre déficit commercial ?

    NOUS AVONS BESOIN DES CENTRALES

    À l’heure où les producteurs d’électricité pilotable se font rares (comme le vent absent en Europe ces temps-ci), le MWh atteint des sommets (au-delà de 250 euros pour 60 habituellement), nous aurions besoin de ces centrales pour produire à bas prix et alléger la facture des Français voire même en profiter pour exporter au prix élevé du marché. À la place nous importons du charbon pour Cordemais, faisons brûler du gaz (et même encore plus après la mise en service de la centrale de Landivisiau en décembre), également importé, et envoyons des millions de tonnes de gaz carbonique dans l’atmosphère.

    Arrêtons de sacrifier des réacteurs tout neufs, cette logique politique ne va ni dans le sens de l’intérêt de la Nation ni celui des Français et encore moins celui du climat.

    https://www.contrepoints.org/2021/09/23/406345-fessenheim-la-centrale-la-plus-vieille-de-france-sacrifiee-sur-lautel-ecolo

    RépondreSupprimer
  5. Les non-dits du contrat sous-marinier France-Australie


    le 21 septembre 2021


    Si les Américains sont coutumiers des coups tordus pour faire annuler des contrats entre leurs alliés et d’autres clients il faut rappeler quelques précédents qui ont concerné la France. Par exemple, sous la pression des USA ont dénoncé le contrat de fournitures de porte-hélicoptères à la Russie. La France aurait pu protester mais a adopté un profil bas. La Suisse a acheté des F35 alors que la France était très bien placée dans les négociations pour vendre des Rafale. La Suisse a donc à son tour subi la pression américaine. Et une multitude d’autres contrats concernant l’armement n’ont pas pu être négociés encore une fois sous la pression américaine. Mais le cas des sous-marins à propulsion diesel, si la dénonciation du contrat par Canberra paraît humiliant, ce n’est pas tout a fait le cas.

    Ce contrat était mal ficelé dès le départ. Les Australiens voulaient un « design » extérieur identique à la série Barracuda des sous-marins nucléaires français sans chaudière nucléaire mais avec un moteur diesel. Ce design externe entraînait de nombreuses modifications à l’intérieur de la coque puisque la chaudière nucléaire a un encombrement très inférieur à celui d’un diesel. Problème : les Français ne sont plus propriétaires des turbines vapeur actionnant les groupes électrogènes d’un sous-marin nucléaire puisque la technologie a été vendu avec une désinvolture condamnable par Macron à General Electric. Vendre des sous-marins à propulsion nucléaire à l’Australie n’était donc plus possible pour cette première raison. De plus l’Australie est signataire du traité de non-prolifération nucléaire (comme la France) mais dans le cas de sous-marins à propulsion nucléaire les pays concernés ignorent ce traité. Ce n’est pas du tout un détail puisque l’IAEA vient d’être saisie du dossier AUKUS.

    Dès le départ le contrat France-Australie était mal ficelé, la construction effective des submersibles n’était pas définie clairement, l’Australie mettant en avant une expertise nationale qui malheureusement n’existe pas dans les faits. Le Japon et l’Allemagne étaient en lice pour l’obtention de ce contrat non pas avec des moteurs diesel mais avec des piles à hydrogène, ce qui correspond mieux aux impératifs des critères de détection sonore dans la zone englobant toute l’Asie du sud-est. Les Etats-Unis et la Grande-Bretagne disposant de la technologie des sous-marins nucléaires et ont donc fait le nécessaire pour que Canberra mette fin à ce contrat. Depuis 2016, en effet, les Américains n’ont cessé de reprocher à l’Australie sa légèreté, arguant du fait que la Chine risquait d’envahir Taïwan bien avant la fourniture du premier sous-marin français prévue pour 2030 au plus tôt. Dès la signature de ce contrat l’Allemagne, également, fit pression sur le gouvernement fédéral australien pour qu’il finisse par comprendre qu’il avait fait un mauvais choix, entendez les sous-marins allemands ont une meilleure autonomie que ceux équipés de moteurs diesel. Il s’agit d’un argument de poids plaidant en faveur des sous-marins à pile à hydrogène, allemands ou japonais, mais ne tenant plus dans le cas de sous-marins nucléaires dont l’autonomie n’est limitée que par l’arrêt pour rechargement en uranium légèrement enrichi, de l’ordre de 8 % en isotope 235.

    RépondreSupprimer
  6. - voir carte sur site -

    Si la France n’avait pas vendu Alstom-Energie à General Electric elle aurait pu proposer la vente de sous-marins nucléaires à l’Australie mais ce n’est qu’une hypothèse car elle aurait nécessité l’accord de la Maison-Blanche. De plus pour des raisons de respect de non-prolifération des technologies nucléaires militaires, l’Australie n’aurait pas vu la création du moindre emploi sur son sol, ce qui sera le cas dans le cadre de l’accord AUKUS puisque ces sous-marins à propulsion nucléaire seront fournis clé en main avec contrat de maintenance qui échappera totalement à l’Australie. Donc la France, coutumière des contrats mal ficelés, a évincé l’Allemagne et le Japon. Ce contrat était tellement mal rédigé qu’en réalité seulement une dizaine de milliards d’euros nets seraient revenus dans les caisses françaises et non pas 56 comme la grande presse l’écrit ou le clame. Macron s’est donc retrouvé ridiculisé sur deux tableaux : impossibilité de vendre des sous-marins nucléaires et un contrat aux aboutissants totalement flous. Le cœur des vierges effarouchées, y compris avec la voix de Le Drian, sonne donc vraiment faux. La France est définitivement marginalisée sur la scène internationale avec un Président totalement incompétent et un Ministre des affaires étrangères qui n’a même pas été capable d’obtenir un quelconque renseignement des « services ». Comme a coutume de l’écrire H16 ce pays est définitivement foutu.

    L’illustration ci-dessus (source informationclearinghouse.info) montre la différence d’autonomie entre les sous-marins diesel (SSK) et les sous-marins nucléaires (SSN). Dans le contexte géopolitique actuel il est évident que les sous-marins nucléaires présentent des avantages incontestables, surtout pour les américains …

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/09/21/les-non-dits-du-contrat-sous-marinier-france-australie/

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. https://cms.zerohedge.com/s3/files/inline-images/FRENCH%20SUB.jpg?itok=_bYR-vvN

      Supprimer
  7. 2020 A CRÉÉ 670 MILLIARDAIRES, ON EN COMPTE PLUS DE 3.000 DANS LE MONDE


    par PAOLO GAROSCIO
    22/09/2021


    Les ultra-riches ont vue leur richesse augmenter de 5,7 % en 2020.

    Les inégalités de richesse continuent de croître, et la pandémie de Covid-19 y est pour beaucoup. Pour la première fois depuis qu’un recensement des milliardaires est réalisé de façon complète, le monde compte plus de 3.000 personnes dont la fortune dépasse 1 milliard de dollars. Leur nombre a fortement augmenté en 2020.

    Le monde compte 3.204 milliardaires en 2021

    Le rapport sur les milliardaires publié par Wealth-X le 16 septembre 2021 dévoile un nombre de milliardaires en forte hausse dans le monde en 2020 : on en compte 670 de plus que l’année précédente. ae richesse médiane est de 1,4 milliard de dollars, proche des 1,9 milliards de dollars de richesse médiane de l’ensemble des personnes ayant passé le cap du milliard.

    Désormais, il y a dans le monde 3.204 milliardaires et leur richesse cumulée a augmenté de 5,7% sur un an, atteignant près de 10.000 milliards de dollars, soit quasiment quatre fois le PIB de la France ou près de la moitié du PIB américain.

    D’ailleurs, et sans surprise, c’est aux États-Unis qu’on trouve le plus grand nombre de milliardaires : 927, plus de deux fois plus qu’en Chine (2e pays au classement) avec ses 410 milliardaires. Suivent, dans le Top 5 des pays avec le plus d’ultra-riches, l’Allemagne (174), la Russie (120) et le Royaume-Uni (119) selon Wealth-X.

    Quant à la France, elle compte, selon l’étude, 64 milliardaires, un nombre en hausse de 6,7%.

    Les milliardaires toujours plus riches, les pauvres toujours plus pauvres

    Cette étude sur les milliardaires et leur fortune ne manque pas, une nouvelle fois, d’attirer l’attention sur les inégalités. La Drees (ministère de la Santé), a publié son rapport sur les minima sociaux en France le 21 septembre 2021 dévoilant une forte hausse du nombre de bénéficiaires : 186.000 de plus en 2020. Fin 2020, même si la situation s’est améliorée depuis, plus de 2 millions de personnes en France touchaient le Revenu de Solidarité Active, du jamais vu.

    L’augmentation de 5,7% de la fortune des milliardaires en 2020 est également à comparer à la perte, selon l’Office International du Travail (OIT), de près de 3.700 milliards de dollars de revenus de la part des travailleurs dans le monde, à cause de la fermeture des usines, des confinements et de la pandémie en général.

    http://www.economiematin.fr/news-milliardaire-hausse-richesse-inegalite-monde-2020-covid-pandemie

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. La politique de merde menée par les 'sortis d'écoles' (Hahaha !) fait tout pour empêcher les milliardaires d'investir dans une entreprise. Alors, ils s’assoient sur leur tas d'or et attendent en se demandant s'il ne leur faudrait pas payer quelques mercenaires pour nettoyer toute cette merde qui dirige !

      Supprimer