Soudain, la « science » prétend que les personnes VACCINÉES doivent être protégées des non vaccinés… comment est-ce possible si les vaccins fonctionnent ?
Mardi 14 septembre 2021 par : Ethan Huff
(Natural News) Les « vaccins » contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) sont si « sûrs et efficaces » que les Covidiens de la Branche les poussant maintenant insistent sur le fait que les personnes qui refusent les injections constituent une menace existentielle pour la santé de ceux qui les ont prises.
Vous avez bien lu : à moins que toutes les personnes non vaccinées acceptent également de se faire vacciner, les personnes déjà vaccinées risquent toujours de tomber malades et de mourir, soi-disant à cause des non vaccinés.
"Jamais auparavant dans l'histoire il n'y avait eu besoin de" protéger les vaccinés "", déclare Karl Denninger. "Il n'y en a pas maintenant à moins que les injections ne fonctionnent non seulement, [mais] dans un certain pourcentage de personnes qui les ont pris, ils aggravent l'infection - et ils le savent."
Comme cela a toujours été le cas jusqu'à très récemment, le but de la vaccination est de fournir une protection personnelle contre la maladie. Les personnes qui prennent des vaccins, nous dit-on, obtiennent une « immunité » spéciale que les non vaccinés ne sont censés jamais obtenir parce que leur système immunitaire naturel n’a pas reçu la « mise à niveau » du vaccin.
Ils ne fonctionnent, nous dit-on maintenant, que si tout le monde en prend un. Si même une seule personne saute le vaccin, alors toutes les personnes qui se sont fait vacciner peuvent toujours tomber malades et peut-être même mourir de « covid » même si elles sont considérées comme « complètement vaccinées ».
Cela n'a absolument aucun sens, bien sûr, mais le monde est apparemment tellement abruti à ce stade que ce train de pensée est généralement accepté comme « scientifique » dans la « nouvelle normalité ».
VÉRIFICATION DE LA RÉALITÉ : Les non vaccinés ont besoin d'une protection contre les vaccinés Même si tout le monde acceptait de retrousser ses manches pour un vaccin contre le virus, le mieux qui se passerait, selon les «autorités», est qu'il pourrait y avoir moins d'hospitalisations ou quelque chose du genre.
À aucun moment, le gouvernement ou Big Pharma n'a prétendu que se faire injecter des germes chinois « guérirait » la plandémie, même si tout le monde s'y conformait. Tout au plus, il pourrait, peut-être, dans un univers alternatif, des cas plus «légers» de la maladie par opposition à des cas plus graves.
Même cette maigre affirmation, aussi sans valeur qu'elle soit, a été démystifiée comme rien de plus qu'un vœu pieux par des membres de l'Église de Covid qui souhaitent que ce soit vrai afin qu'ils puissent convaincre plus de gens de se faire vacciner.
La vérité est que les injections ne font rien pour garder les gens en bonne santé et semblent en fait rendre les gens plus malades et plus sujets à la mort. Si ces clichés n'avaient jamais été introduits en premier lieu, le "covid" tel que nous le connaissons actuellement serait déjà dans les livres d'histoire.
Au contraire, la plus grande menace pour la santé publique en ce moment sont les personnes vaccinées qui sont devenues des usines de protéines à pointes ambulantes, infectant potentiellement toutes les personnes avec lesquelles elles entrent en contact. Ce sont les non vaccinés qui ont besoin de protection contre les vaccinés, en d'autres termes.
À moins que le pape Fauci ne dise la vérité à ses serviteurs, ils n'écouteront probablement jamais la science réelle. Tant de ces personnes sont tellement investies dans le culte du Covidisme à ce stade que leur fierté à elle seule les empêchera à jamais d'admettre qu'elles ont été dupées en croyant à un mensonge.
"... ils savent que les vaccins ont non seulement échoué, mais qu'ils potentialisent en fait les infections au lieu de les protéger", a déclaré Denninger à propos de l'établissement.
« Sinon, pourquoi voudriez-vous ‘protéger les vaccinés ?’ », ajoute-t-il, soulignant peut-être le plus gros défaut logique du récit actuel de la plandémie.
Plus d'informations sur le cirque de clowns du coronavirus de Wuhan (Covid-19) peuvent être trouvées sur Pandemic.news.
Comment des 'docteurs' ou 'infirmières' apportant sciemment la piqûre de la mort à des patients peuvent-ils ou elles s'appeler encore 'docteurs' et 'infirmières' ?
Un médecin de l'Idaho signale une "augmentation 20 fois supérieure" du cancer chez les personnes "vaccinées" contre le covid
Mardi 14 septembre 2021 par : Ethan Huff
(Natural News) Le Dr Ryan Cole, pathologiste certifié et propriétaire et opérateur de laboratoire de diagnostic basé dans l'Idaho, a publié de nouvelles informations choquantes sur la façon dont les «vaccins» contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) provoquent une «hausse» massive dans maladies auto-immunes et cancer.
Dans une vidéo produite par le projet "Capitol Clarity" du gouvernement de l'État de l'Idaho, Cole a révélé comment il constate maintenant une augmentation de 2 000 % des maladies chroniques chez les personnes qui ont reçu les injections "Operation Warp Speed" de Donald "père du vaccin" Trump.
"Depuis le 1er janvier, en laboratoire, je constate une augmentation de 20 fois le nombre de cancers de l'endomètre par rapport à ce que je vois chaque année", a déclaré Cole dans la vidéo.
"Je n'exagère pas du tout parce que je regarde mes chiffres d'une année à l'autre, et je me dis 'Mon Dieu, je n'ai jamais vu autant de cancers de l'endomètre auparavant.'"
Cole a révélé ces statistiques et d'autres lors d'un événement du 18 mars, affirmant aux habitants de l'Idaho que les soi-disant «vaccins» contre la grippe Fauci invoquent un type de réponse auto-immune «VIH inversé» dans le corps des gens.
Un système immunitaire normal qui fonctionne bien possède deux types de cellules qui maintiennent le corps en bonne santé : les cellules T « auxiliaires », également appelées CD4, et les cellules T « tueuses », également appelées cellules CD8. Chez les « entièrement vaccinés », il y a une suppression massive des cellules T « assistantes », prévient Cole, ce qui laisse le patient vulnérable à un éventail de maladies.
"Après la vaccination, ce que nous voyons, c'est une baisse de vos cellules T tueuses, de vos cellules CD8", a déclaré Cole. « Et que font les cellules CD8 ? Ils contrôlent tous les autres virus. »
Le gouvernement injecte-t-il des personnes infectées par le VIH et l'appelle-t-il « vaccination contre le covid ? » Les affirmations de Cole résonnent avec les résultats d'une étude publiée dans The Lancet à la fin de l'année dernière qui a révélé que les vaccins contre le virus chinois augmentent considérablement le risque d'une personne de développer une infection par le VIH.
Se pourrait-il que les jabs insèrent en fait le VIH dans le corps des gens sous prétexte de les « vacciner » contre les germes chinois ? Tout le monde se fait-il mentir sur ce que contiennent réellement ces flacons ?
Il semblerait que oui, sur la base des dernières preuves et révélations. Alors que le VIH est connu pour supprimer les lymphocytes T « assistants », les injections de covid suppriment apparemment les lymphocytes T « tueurs », ce qui, selon Cole, a un effet négatif similaire sur l'immunité.
Cette suppression des «cellules T tueuses» induite par le vaccin, poursuit Cole, génère une augmentation importante des cas de cancer de l'endomètre, de mélanomes, d'herpès, de zona, de mono et même de virus du papillome humain (VPH) lorsqu'on « regarde le col de l'utérus ». biopsies de femmes.
D'autres ingrédients dans les jabs, y compris le polyéthylène glycol, causent également des problèmes pour le système immunitaire des gens. Plutôt que de les protéger contre une infection par le virus chinois comme on le prétend, ces additifs pour injection présentent un risque de toxicité grave qui pourrait entraîner encore plus de problèmes de santé en plus de ceux causés par les effets de type VIH des jabs.
"Ce qui est le plus inquiétant, c'est qu'il existe une tendance à ce que ces types de cellules immunitaires dans le corps contrôlent le cancer", prévient Cole sur ce que font ces injections, y compris chez les jeunes qui étaient en parfaite santé avant de se faire piquer.
« Je vois des mélanomes invasifs chez des patients plus jeunes ; normalement, nous les attrapons tôt, et ce sont des mélanomes minces, [but] je vois des mélanomes épais monter en flèche au cours des deux derniers mois. "
Cole a pris la parole lors de plusieurs événements au cours des derniers mois, avertissant les gens des risques sérieux liés au fait de se faire piquer. Certains de ses travaux ont été supprimés de YouTube pour être trop véridiques, alors gardez un œil sur le nouveau contenu sur le Dr Ryan Cole sur Brighteon.com.
« Pouvez-vous imaginer à quoi ressembleront les taux de cancer dans cinq ans ? » a demandé un commentateur à LifeSiteNews. « Cela ne sera pas signalé. Ils ne feront même pas d'étude.
Plus d'articles sur les injections de virus chinois peuvent être trouvés sur ChemicalViolence.com.
Le mandat fédéral de Biden sur les vaccins ne s'applique pas vraiment à tout le monde: les membres du Congrès, le personnel et les postiers sont EXEMPTS
Mardi 14 septembre 2021 par : JD Heyes
(Natural News) Joe Biden a donné mandat aux entreprises de 100 employés ou plus d'exiger que tout le personnel prenne un vaccin COVID-19 ou soit soumis à des tests hebdomadaires, de peur que l'entreprise ne soit condamnée à une amende de 14 000 $ pour chaque violation.
Ceci, après que Biden en tant que «président élu» a juré qu'il n'avait pas le pouvoir de délivrer des mandats de vaccins aux entreprises privées et aux particuliers.
Dans le même temps, le roi Biden a déclaré que tous les employés fédéraux et entrepreneurs fédéraux devraient également obtenir le coup, mais il s'avère qu'il a également menti à ce sujet, et en même temps a donné à chaque entreprise qu'il commandait une sortie légale, comme si ils en avaient besoin, étant donné que l'ordonnance de Biden est inconstitutionnelle à première vue.
Il s'avère que les membres du Congrès et leur personnel sont exemptés, ainsi qu'environ un quart de l'ensemble des effectifs fédéraux, a rapporté Epoch Times :
… Le président Joe Biden a dévoilé deux décrets qui pourraient imposer la vaccination contre le virus du PCC (Parti communiste chinois) pour des millions de travailleurs américains dans les sphères publique et privée. Mais absentes de ces mandats, il y a des exigences similaires pour les membres du Congrès, les juges fédéraux ou leurs employés.
Les décrets de Biden exigeraient unilatéralement la vaccination des employés fédéraux, de l'armée et des sous-traitants du gouvernement. Le président a également demandé à l'Administration de la sécurité et de la santé au travail (OSHA) d'exiger que les entreprises de plus de 100 employés prescrivent la vaccination ou des tests hebdomadaires du virus CCP. Au total, ces mandats pourraient affecter plus de 100 millions de travailleurs américains, ce qui en fait l'un des mandats de vaccination les plus étendus de l'histoire du monde.
"C'est la politique de mon administration d'arrêter la propagation de la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19), y compris la variante B.1.617.2 (Delta), en s'appuyant sur les meilleures données disponibles et des mesures de santé publique fondées sur la science", Biden a écrit dans sa commande.
« Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) du ministère de la Santé et des Services sociaux ont déterminé que le meilleur moyen de ralentir la propagation du COVID-19 et de prévenir l'infection par la variante Delta ou d'autres variantes est de se faire vacciner. la commande a continué.
Lorsqu'il s'est adressé à la nation, Biden a indiqué qu'en plus du secteur privé, des employés fédéraux seraient également mandatés.
«Je signerai un décret qui exigera désormais que tous les employés fédéraux de l'exécutif soient vaccinés – tous. Et j'ai signé un autre décret qui obligera les entrepreneurs fédéraux à faire de même », a déclaré Biden. « Si vous voulez travailler avec le gouvernement fédéral et faire affaire avec nous, faites-vous vacciner. Si vous voulez faire affaire avec le gouvernement fédéral, vaccinez votre main-d'œuvre. »
Cependant, comme l'a noté Epoch Times, "les mandats des membres des employés fédéraux des pouvoirs législatif ou judiciaire, y compris les membres du Congrès, leurs employés, ainsi que les juges fédéraux et autres employés des tribunaux, ne sont pas inclus dans les décrets exécutifs".
Mais les rapports de la semaine dernière ont indiqué que les travailleurs des services postaux américains seraient exemptés. Le Washington Post a rapporté que le syndicat représentant les 644 000 travailleurs de l'USPS avait conclu un accord où ils ne seraient pas tenus d'obtenir le jab, bien que le New York Post affirme que la Maison Blanche a publié une "clarification" indiquant le contraire.
"La Maison Blanche a publié une clarification jeudi soir après que le Washington Post, citant un responsable, a rapporté que les employés de l'USPS n'étaient pas tenus de se faire tirer dessus et n'étaient que" fortement encouragés "à le faire", a rapporté The Post.
« L'USPS n'est pas inclus dans le décret exigeant la vaccination des employés fédéraux. L'USPS a un régime statutaire distinct et est traditionnellement indépendant des actions du personnel fédéral comme celle-ci », a déclaré un responsable de l'administration.
L'administration disant que l'USPS n'est pas réellement exemptée n'a pas de sens ; le Washington Post ne se tromperait pas sur un tel régime à propos d'un régime démocrate. Mais au-delà de cela, il est parfaitement logique que nos élites soient « exemptées » du mandat qu'elles nous imposent.
L'important est d'avoir un STATUT ANTI-VIRUS ! Il s'agit là d'un laisser-passer ou 'valise diplomatique' où tout peut y être fourgué dedans sans qu'aucun virus ne le sache !!
Propriétaire immobilier : cette coûteuse passion française
La crise des subprimes n’a pas refroidi les ardeurs des dirigeants français qui n’ont eu cesse depuis 2008 de soutenir un marché immobilier français.
15 SEPTEMBRE 2021 Par Franky Bee.
Tout commence lors du débat qui s’est tenu le 28 août dernier entre Rafik Smati et Éric Zemmour.
L’économie ? « Ce n’est pas la priorité », affirmait Zemmour. En face, le président d’Objectif France est tout le contraire de son contradicteur sur ce sujet, à savoir l’un des rares hommes politiques français à avoir développé une véritable réflexion économique dans un monde de hauts fonctionnaires et philosophes, où les projets sur l’économie sont construits à la va-vite à la manière d’un grand bingo des choses censées répondre aux besoins des Français.
Et pourtant c’est bien ce même Smati qui a déclaré vers la fin de cet échange vouloir faire émerger une France « où chacun peut devenir propriétaire ». Le mot était lâché !
Voilà plus de quinze ans qu’on nous rabâche les oreilles avec cette idée. Déjà en 2007, Nicolas Sarkozy nous expliquait vouloir « une France de propriétaires ». Un peu comme Clinton et Bush quelques années plus tôt du côté américain, qui avaient au passage créé les conditions de l’une des plus grandes débâcles financières de l’histoire moderne.
Mais la crise des subprimes n’a pas pour autant arrêté les États-Unis, tout comme elle n’a pas refroidi les ardeurs des dirigeants français qui n’ont eu de cesse depuis 2008 de soutenir un marché immobilier français qui ne cesse pourtant de battre des records. Assouplissement des conditions d’emprunt par-ci, plan de défiscalisation par-là, tout a été fait pour permettre au plus grand nombre de ménages de devenir propriétaires, le rêve ultime en France.
IL N’Y A PAS DE REPAS GRATUIT
Bizarrement, il n’y a jamais eu grand-monde pour s’inquiéter de l’impact de cette hyperinflation des prix de la pierre (notamment dans les grandes métropoles) sur la santé financière des ménages des classes moyennes et populaires.
À une époque où économistes et commentateurs de plateau (du plus politiquement correct au plus iconoclaste) sont unanimes pour nous expliquer que les craintes actuelles d’inflation sont exagérées, personne ne semble s’émouvoir de la perte de pouvoir d’achat que subit l’individu moyen depuis deux décennies, du fait de cette hausse excessive et totalement injustifiée de l’immobilier. Le fait de ne pas voir cela comme de l’inflation témoigne du fossé qui sépare les classes supérieures du reste de la population.
Pire, à l’instar de ses homologues étrangers, l’INSEE produit régulièrement un indice des prix à la consommation au sein duquel le poids des dépenses de logement ne dépasse pas 10 % du budget des ménages. Le jeune locataire parisien appréciera cette vision particulièrement peu réaliste. Et cela vaut aussi pour le primo-accédant, contraint désormais de s’endetter sur des durées allant de 20 à 25 ans pour des biens devenus ridiculement chers au regard de leur qualité.
Le fait que la qualité des logements sur le marché se dégrade au fil des années n’est d’ailleurs pas dû au hasard, car l’une des conséquences de prix d’achat anormalement élevés est que la part de budget consacrée aux travaux de rénovation ne cesse mécaniquement de diminuer. Après tout, une maison ou un appartement reste un bien qui se déprécie dans le temps, un peu comme votre voiture…
LE GRAND DÉCLASSEMENT IMMOBILIER
Dans ce contexte, difficile de ne pas comprendre qu’une part croissante des Français a le sentiment d’une grande perte de pouvoir d’achat. Car à part certaines personnes âgées, la situation finit par peser sur le plan grand nombre d’entre eux. Au-delà des ménages, cette bulle est aussi un énorme frein pour l’économie française. En effet, le prix du foncier impacte aussi les entrepreneurs qui doivent s’installer dans des zones touchées par la surchauffe immobilière. Comment faire pour être rentable lorsque vous commencez par payer un loyer astronomique ?
En outre, plus il y a d’épargne immobilisée dans la pierre, moins il y a d’argent disponible pour l’économie réelle. Il est d’ailleurs symptomatique de constater que le verbe investir est dans le langage courant devenu synonyme d’acheter un logement. A contrario, investir dans une entreprise est depuis longtemps l’équivalent de jouer en bourse, ce qui pour autant est peut-être le cas actuellement !
LES PRÉJUGÉS ONT LA VIE DURE
Évidemment, il y aura beaucoup de gens pour vous expliquer que la hausse des prix des logements est tout à fait justifiée, et qu’il n’y a rien d’anormal à ce que les heureux propriétaires puissent avoir le bonheur de s’enrichir en dormant. De toute manière, on nous raconte régulièrement qu’il n’y a pas de problème car l’immobilier n’aurait jamais été aussi attractif du fait des taux bas.
Un argument de poids pour un commercial, mais totalement faux d’un point de vue scientifique puisque le niveau de taux d’intérêt ne compense en rien des prix qui ne cessent de grimper si on les compare au revenu disponible. Ce que font en réalité les banques, c’est de solvabiliser des ménages qui n’ont plus les moyens d’acheter, en allongeant les durées de prêt et en diminuant les mensualités grâce à la magie de la Banque centrale européenne.
On vous dira aussi qu’il n’y a pas assez d’offre et que le marché ne fait que régler ce déséquilibre. Cet argument est des plus fallacieux. Contrairement aux idées reçues, la construction de nouveaux logements dépasse le nombre de nouveaux ménages chaque année – comme le montrent les chiffres du CGEDD – sachant en outre que le marché est en train de passer structurellement vendeur du vieillissement de la population.
Certes, quelques zones demeurent relativement tendues, mais l’idée générale d’une absence d’offre est un schéma circulaire, car c’est bien l’excès de demande sur le marché de l’achat-vente qui crée cette illusion de rareté de l’offre. Pour résumer : tant que les ménages voudront acheter leur logement, les prix ne cesseront de monter, générant une peur de manquer chez les non-propriétaires et poussant encore davantage de monde à l’achat. Et comme le marché deviendra encore moins abordable, les politiques viendront inévitablement prendre des mesures pour aider les Français à concrétiser leur projet d’achat, poussant encore un peu plus les prix à la hausse, et ainsi de suite.
L’IMMOBILIER : UNE OBSESSION FRANÇAISE
Il faut dire que la pierre est bien plus qu’une passion, c’est un véritable objectif de vie pour un grand nombre de Français. Celui qui n’a pas acheté sa maison à cinquante ans a plus ou moins raté sa vie dans l’esprit de bon nombre de nos compatriotes. De manière assez étrange, nos voisins allemands ne partagent pas du tout cette vision des choses.
Le plus inquiétant est l’aveuglement d’une large partie de la classe politique sur ce sujet, tout comme d’un grand nombre d’économistes, d’intellectuels ou de journalistes. Et le constat vaut, quel que soit le bord politique. N’ayez aucun doute sur le sujet : le ou la prochaine présidente de la République proposera un nouveau plan de soutien à l’achat immobilier. C’est dans les gènes.
Il faut rendre à César ce qui est à César, mais Gilles Raveaud – économiste bien plus habitué des colonnes d’Alternatives Économiques que de celles de Contrepoints – est quasiment le seul à surnager dans cet océan de paresse intellectuelle. Lors de son passage chez Thinkerview il y a cinq mois, il expliquait très clairement que les prix de la pierre constituent la matrice des problèmes économiques français. Mais force est de constater que son constat a été peu relayé.
Ne soyons pas trop durs avec Rafik Smati et Objectif France, ils ont au moins le mérite de mettre le doigt sur la problématique du poids de l’État dans les décisions et son impact sur une économie de plus en plus immobile. Mais des réformes de fond en la matière, aussi radicales soient-elles, seront insuffisantes pour recréer la confiance collective appelée de ses vœux en son temps par Alain Peyrefitte, tant que l’on ne s’attaquera pas à cette problématique de la manipulation de la monnaie.
Car fausser la valeur de l’argent c’est favoriser une spéculation ubuesque, avec des évolutions de prix absurdes donnant lieu à de profondes inégalités et à des distorsions qui freinent le potentiel économique de nombreux de pays occidentaux. La richesse doit avant toute chose être le fruit de la production d’un pays, et non pas le résultat d’une politique monétaire visant à porter à bout de bras une bulle qui a cessé depuis fort longtemps d’être amarrée à la réalité économique. Comme l’a dit Charles Gave, la monnaie est une chose trop sérieuse pour ne pas être strictement régulée, car l’instabilité des prix est un coup bas porté aux particuliers et aux entrepreneurs de demain.
Et il faut le dire et le redire, l’histoire est malheureusement remplie d’expériences de planches à billets et autres politiques hasardeuses qui se sont terminées en drame humain.
La Suisse a compris depuis très longtemps que favoriser la stabilité des prix était une nécessité, et notamment dans un domaine aussi critique que le logement. Quoi que l’on pense du régime de Pékin, la Chine de Xi Jinping évolue de plus en plus dans cette direction, le pouvoir ayant manifestement compris que le rôle clé joué par l’hyperinflation immobilière à Hong Kong dans le mouvement de révolte en 2019.
On ne pourra pas répondre à ce sentiment de déclassement qui frappe la France depuis au moins deux décennies – et qui semble être le principal catalyseur de l’émergence des Gilets jaunes – tant que l’on ne s’attaquera pas au problème de la spéculation sur la pierre, et à la question sous-jacente qui est celle de la manipulation de l’argent.
Évidemment, le problème n’est pas simple à résoudre, et tout éclatement de la bulle immobilière fragiliserait un grand nombre de ménages trop endettés ou trop attachés à la valeur virtuelle de leur patrimoine. Mais ne vous faites aucune illusion, ne rien faire consisterait à reculer pour mieux sauter, à savoir continuer d’écraser classes populaires et moyennes tout en créant les conditions d’une crise encore plus violente dans les prochaines années.
En résumé, mieux vaudrait enrayer volontairement la spéculation et tenter de piloter l’atterrissage du marché plus ou moins en douceur, plutôt que de continuer de nourrir la hausse et de subir une chute très violente qui finira tôt ou tard par arriver (ceux qui prétendent le contraire sont au mieux des ignorants au pire des menteurs).
Comme le préconisait Lee Yuan Kew, penseur du modèle singapourien, entre deux décisions, un chef d’État devrait toujours opter pour la plus difficile.
Là où la Chine semble s’orienter dans la première direction, cherchant à provoquer le dégonflement de ses bulles financières et immobilières, la France a clairement choisi la seconde en continuant de faire l’autruche.
Mais notre pays a-t-il seulement conscience de tout cela ?
Quand on est sur Terre c'est pour avoir une idée à soi, sa propre opinion des choses, son instruction personnelle, un corps à soi, des vêtements à soi, une femme à soi, un appartement à soi, une voiture à soi, une maison, un terrain à soi, parce que le kolkhoze soviétique n'intéresse personne, les cons alignés qui défilent en rangs avec leur fanfare et les singes du zoo qui attirent les envieux sont des particularités comme le sont les pygmées.
Faut savoir ce qu'est l'économie. L'économie c'est ce que l'on garde de côté qui est volé par l’État pour construire des routes, des ponts, des bâtiments gigantesques que l'on vient de payer, de faire construire et dont est pas... propriétaire !! Même 50 ans après, c'est comme à la banque, l'argent déposé n'appartient plus au dépositaire mais devient celui du banquier ! S'il fait faillite: vous perdez tout ! Fallait pas mettre l'argent en banque ! Oui mais le chèque de fin de mois, je le dépose où ?
C'est pourquoi AUCUNE et AUCUN candidat aux présidentielles ne vous parlera de la Suisse ! Ils ou elles ne parlent pas de Démocratie mais de dictature ! Demandez donc aux ordures de vous parler de Démocratie !! Non, les 'maillots jaunes' ne sont pas les Révoltés du Bounty !
La Chine a enregistré une croissance économique de 2,3% en 2020
Grande nervosité des marchés autour de la Chine : qu’essaient de faire Xi Jinping et son gouvernement, et quelles sont les conséquences du point de vue d’un investisseur boursier aujourd’hui ? Les investisseurs sont de plus en plus nerveux au sujet de la Chine – et ce ne sont pas les faibles indicateurs économiques du mois d’août qui sont en cause.
La principale source d’inquiétude est la reprise en main par le gouvernement chinois des géants de la tech, de Didi à Alibaba en passant par le secteur de l’edtech (les technologies de l’éducation).
A l’automne 2020, Pékin avait déjà bloqué l’introduction en Bourse d’Ant Group et le groupe de Jack Ma a dû s’acquitter d’une amende record de 18 milliards de yuans (2,3 Mds€) pour abus de position dominante.
Depuis, les annonces sur la régulation du secteur de l’éducation (en février 2021), le CSI 300 (un indice regroupant les 300 plus grandes valeurs cotées à Shanghai et Shenzhen) a perdu près de 20%. Même tarif pour les valeurs du luxe (LVMH, Kering, Hermès), la Chine comptant pour un tiers de leur marché et deux tiers de leur croissance.
Les investisseurs n’ont pas manqué de critiquer l’attitude des autorités en réduisant leur exposition ou quittant purement et simplement le marché chinois.
Georges Soros a déclaré que Xi Jinping ne connaissait rien au fonctionnement du marché, et critiqué la poussée de BlackRock en Chine, en disant que c’était une erreur tragique et que les clients de BlackRock allaient perdre de l’argent. Vraiment ?
Dans la tête de Xi
Pour comprendre ce qui se passe en Chine, il faut se mettre dans la tête de Xi. Le dirigeant chinois a deux problèmes de taille : 1) le ralentissement de la croissance chinoise (passée de 12% par an à 6%) et 2) l’augmentation des inégalités. Il dispose d’un outil : le plan quinquennal 2021-2025, qui cherche à atteindre la « prospérité commune ».
Pour augmenter la « prospérité », il faut augmenter le travail, la productivité et le capital.
Comment ? En augmentant la natalité et en redirigeant les investissements vers l’économie réelle et le capital productif. Enfin, pour que cette prospérité soit « commune », il faut réduire les inégalités (pécuniaires) en passant par la taxation et un système de donation, mais pas seulement.
Les secteurs de l’éducation et de l’immobilier au cœur de la tempête
La réduction des inégalités (non pécuniaires) passe par un meilleur accès à l’éducation. Or le système des cours privés en Chine est une pompe aspirante des économies familiales.
Les parents dépensent en moyenne 18 000 $ par an en cours privés (sachant que le PIB/habitant en Chine est de 10 000 $). Les enfants ruraux qui n’y ont pas accès sont désavantagés et les campagnes marketing agressives de la part des sociétés de cours privés font naître une grande anxiété chez les parents qui cherchent à inscrire leurs enfants à ces programmes (syndrome du FOMO, fear of missing out).
Le secteur de l’edtech génère 100 Mds$ de revenus par an, avec des acteurs comme New Oriental (EDU) et TAL Education (TAL) qui ont connu des croissances de 25-30% et des valorisations records (ratio cours/bénéfices de 60x).
Une bonne opération pour les actionnaires, mais quel bénéfice pour la société chinoise ? Ces sociétés règlent-elles un problème ou bien en créent-elles un plus grand ? Les profits qu’elles réalisent font supporter un coût trop élevé à la société.
Les prix de l’immobilier quant à eux ont augmenté de 8% par an sur les 20 dernières années, en partie en raison du contrôle des capitaux qui ne peuvent s’investir ailleurs, mais aussi à cause du système éducatif, puisque le lieu de domicile détermine l’école où vont les enfants.
Le boom est-il en train de toucher à sa fin ? L’une des sociétés les plus importantes du secteur, Evergrande, est surendettée (305 Mds$ de dettes) et en danger de défaut.
Par conséquent, beaucoup de Chinois préfèrent abandonner une vie urbaine trop compliquée pour privilégier la vie à la campagne, loin des contraintes matérielles. Ils font également moins d’enfants (malgré l’abolition de la politique de l’enfant unique en 2016), ce qui inquiète les autorités au moment où de plus en plus de Chinois vont partir à la retraite.
« Prospérité commune » contre « reflation »
Si les dirigeants chinois pensent que le bien-être de la société sur le long terme passe par un taux de natalité plus élevé, des prix du logement décents et des coûts d’éducation plus bas, alors sacrifier du capital en vaut la peine, surtout lorsque ce capital est mal utilisé (et n’est donc pas productif).
Des coûts d’éducation prohibitifs découragent les naissances et des coûts du logement élevés pénalisent la constitution de familles. De plus, ce n’est pas parce que le gouvernement chinois s’en prend à des « champions nationaux » comme Alibaba et Tencent qu’il est contre l’innovation. Au contraire. Dans le 14ème plan quinquennal (2021-2025), le mot « innovation » apparaît 165 fois, le mot « technologie » 89 fois, le mot « digital » 81 fois.
Le concept de « prospérité commune » n’est pas nouveau puisqu’il date des années 1990, lorsque Deng Xiaoping incitait déjà les Chinois à s’enrichir (« to get rich first ») en espérant des retombées positives pour tout le pays. Cependant, l’objectif n’était pas que certains s’accaparent la majorité des profits.
En effet, les dirigeants chinois considèrent le marché comme un moyen (et non une fin), ce qui constitue une différence majeure avec les économies occidentales. Aussi, le concept de « prospérité commune » est-il une réponse à la politique de « reflation » initiée par les Etats-Unis et qui engendre une hausse continue du prix des actifs et de la dette, créant de l’instabilité financière et des inégalités économiques au sein de la société.
Comment se positionner ?
La visibilité à court terme est désormais plus réduite pour l’investisseur en Chine, avec des interventions de l’Etat qui seront difficiles à prévoir et anticiper. Mais certaines actions ont déjà largement corrigé : Alibaba a perdu la moitié de sa valeur boursière depuis octobre dernier (soit 430 Mds$), Tencent a lâché 40% depuis son plus haut de février.
De plus, la banque centrale chinoise semble en passe d’assouplir sa politique monétaire, ce qui est toujours favorable pour les actions (au moment où la Fed devrait commencer son tapering).
L’incertitude fait toujours naître des opportunités et la Chine reste une belle opportunité de croissance avec 1,2 milliards de Chinois qui appartiendront à la classe moyenne d’ici 2027 (25% des classes moyennes mondiales).
L’objectif de Xi est de grossir le gâteau en supportant la consommation à long terme, ce qui devrait bénéficier aux valeurs du luxe et de la consommation. Le PDG de Pernod Ricard l’a bien compris, déclarant fin août que le pays a l’intention de soutenir l’émergence de la classe moyenne, ce qui est conforme à sa propre orientation stratégique.
La Chine reste un système capitaliste, mais le capital doit être au service des intérêts de la société et non l’inverse. Et prospérité commune ne veut pas dire voler les riches pour donner aux pauvres.
Parions que Xi a médité la pensée de Lao-Tseu : « Quand les gros maigrissent, les maigres meurent. »
Pour plus d'informations et de conseils de ce genre, c'est ici et c'est gratuit
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Les chemins de fer et les pipelines apportent paix et prospérité
Par Brian Cloughley Culture stratégique 15 septembre 2021
Washington devrait faire face aux faits et accepter que les États-Unis doivent coopérer avec la Chine et la Russie plutôt que de maintenir leur position agressive.
Deux développements majeurs dans le transport commercial international ont été signalés en août et en septembre, mais aucun d'eux n'a été vraiment couvert par les grands médias occidentaux. D'abord, l'annonce du succès remarquable de la liaison ferroviaire Chine-Europe, racontée par l'agence de presse Xinhua et l'agence espagnole EFE, et ensuite l'histoire du 6 septembre selon laquelle le gazoduc Nord Stream 2 reliant la Russie et l'Allemagne était sur le point de come on line, qui a été couvert par le site Web Oil Price et dans une certaine mesure par Deutsche Welle qui n'a pas mentionné la déclaration officielle du ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov. Mais le New York Times, par exemple, n'a pas considéré le développement digne d'intérêt, même de manière mineure, et une recherche sur le site Web du journal était entièrement négative, comme pour tous les principaux médias occidentaux.
Il est intriguant que ces deux affaires importantes aient été si largement ignorées plutôt que d'être accueillies dans la plupart des capitales occidentales, et cela explique en partie l'état précaire des relations internationales d'examiner certaines des raisons derrière l'apparente antipathie des gouvernements et des médias occidentaux à l'égard de coopérations fructueuses impliquant la Chine et la Russie.
L'opposition au projet Nord Stream a été généralisée et brutale, la Pologne, par exemple, étant particulièrement critique. En juillet, son vice-ministre des Affaires étrangères a rencontré le conseiller en visite du Département d'État américain, Derek Chollet, et a déclaré que « la Pologne considère que ce projet est préjudiciable à la sécurité non seulement de l'Ukraine, non seulement de l'Europe centrale, mais aussi de la sécurité des l'ensemble de l'Europe, rendant l'UE dépendante du gaz russe, contrairement aux déclarations antérieures concernant la nécessité de diversifier les sources d'énergie. Comme on pouvait s'y attendre, la sous-secrétaire d'État américaine aux Affaires politiques, Victoria Nuland, elle qui a grandement aidé le coup d'État de 2014 en Ukraine, a déclaré qu'il s'agissait d'un "mauvais pipeline" et a parlé avec délectation des sanctions qui seraient imposées "si Moscou utilisait le pipeline comme une arme politique.
L'argument de « l'arme politique » est intéressant, principalement parce que ce gazoduc vise à apporter du gaz naturel à un prix raisonnable à environ 26 millions de foyers en Europe. C'est-à-dire qu'il s'agit de personnes, pas de politique. Bien sûr, il y a un avantage économique pour la Russie, dont le gaz est acheminé sur 1230 kilomètres (764 miles) sous la Baltique, et il serait surprenant qu'il n'y ait pas de gain commercial, car, comme les États-Unis seraient les premiers à l'affirmer, que est l'un des nombreux résultats positifs du commerce international.
Mais de nombreux législateurs américains ont des points de vue différents et ne se soucient pas des avantages pour les citoyens européens ou qui que ce soit d'autre. L'agence américaine Radio Free Europe a rapporté que le sénateur Rob Portman (républicain de l'Ohio) avait tweeté que « Nord Stream 2 renforcerait la Russie, saperait l'intérêt national des États-Unis et menacerait la sécurité de l'Ukraine – un allié clé des États-Unis », tandis que la représentante démocrate Marcy Kaptur a déclaré que « le Congrès doit rejeter tout accord qui ne protège pas la sécurité transatlantique et la souveraineté de l'Ukraine ».
La seule chose qui affecte l'Ukraine dans la success story de Nord Stream est l'incapacité qui en résulte de facturer les 3 milliards de dollars par an qu'elle reçoit pour permettre le transit de gaz à travers son territoire. C'est le capitalisme. Beaucoup de gens peuvent ne pas l'aimer, mais c'est ainsi que fonctionne l'Amérique et il est en effet étrange que les législateurs américains puissent se résoudre à s'opposer aux mouvements de la libre entreprise. D'un autre côté, le LA Times a noté que « Nuland a déclaré que les États-Unis continuaient de s'opposer au pipeline, mais a déclaré que Biden avait levé les sanctions contre la société allemande construisant le pipeline et ses hauts dirigeants parce que les sanctions auraient été contre-productives pour les intérêts américains plus larges. La campagne contre Nord Stream 2 n'avait donc rien à voir avec des personnes ou des principes. Il était entièrement anti-russe et centré sur « les États-Unis. intérêts". Ce qui nous amène à une autre success story que l'Occident n'aime pas.
La Ceinture et la Route de la Chine (BRI) est un projet mondial, décrit par le Council on Foreign Relations comme « l'un des projets d'infrastructure les plus ambitieux jamais conçus. Lancé en 2013 par le président Xi Jinping, le vaste ensemble d'initiatives de développement et d'investissement s'étendrait de l'Asie de l'Est à l'Europe, élargissant considérablement l'influence économique et politique de la Chine. La vision de Xi comprenait la création d'un vaste réseau de chemins de fer, de pipelines énergétiques, d'autoroutes et de postes frontaliers rationalisés. . . "
L'Economist Intelligence Unit note qu'au deuxième trimestre 2021, le niveau des échanges le long de la BRI « continue d'augmenter, malgré les vagues de Covid-19 en cours, les exportations chinoises d'électronique et de meubles bénéficiant de la tendance du travail à domicile. . . Le commerce de marchandises avec les pays le long de la BRI a augmenté de 38 % en glissement annuel au premier semestre 2021, représentant 29,6 % du commerce total de la Chine avec le monde. . . Les importations chinoises en provenance des pays le long de la BRI ont augmenté de 66,6% dans un contexte d'augmentation des prix des matières premières », ce qui est impressionnant et apparemment positif pour la Chine et ses partenaires. Mais les législateurs américains ne voient pas la BRI de cette façon. Il est considéré comme une menace pour le monde, et en particulier pour les États-Unis.
On peut s'attendre à ce que la Loi sur la concurrence stratégique du Sénat américain de 2021 devienne loi sous une forme modifiée, mais avec l'idée inchangée que « la République populaire de Chine tire parti de son pouvoir politique, diplomatique, économique, militaire, technologique et idéologique pour devenir un acteur stratégique, concurrent mondial proche des États-Unis. Les politiques de plus en plus poursuivies par la RPC dans ces domaines sont contraires aux intérêts et aux valeurs des États-Unis, de ses partenaires et d'une grande partie du reste du monde. Les législateurs de Washington ne pourraient pas déclarer plus clairement que, quoi qu'ait pu dire le président Biden lors de son appel téléphonique avec le président Xi le 9 septembre, il n'y aura pas de réduction de la pression américaine sur la Chine.
M. Xi a souligné que « la Chine et les États-Unis peuvent-ils gérer correctement les relations mutuelles est une question pour le siècle qui concerne le sort du monde, et les deux pays doivent y répondre », mais rien ne prouve que le Congrès américain ou Le pouvoir exécutif aborde les relations sino-américaines avec autre chose que le proverbial Big Stick.
L'opinion du Congrès est que « bien qu'elle considère l'Initiative la Ceinture et la Route (BRI) comme une initiative de développement, la République populaire de Chine utilise également la BRI pour faire avancer ses propres intérêts de sécurité, notamment pour étendre ses capacités de projection de puissance et faciliter une plus grande l'accès de l'Armée populaire de libération par le biais d'installations militaires à l'étranger. Et c'est ce genre de déclaration tordue qui met bas pour la conduite des affaires internationales de Washington. Parce que la Chine n'a qu'une seule « installation militaire à l'étranger » (une installation portuaire à Djibouti dans la Corne de l'Afrique), alors que le 10 septembre, il a été signalé que « les États-Unis contrôlent environ 750 bases dans au moins 80 pays dans le monde et dépensent davantage pour leur armée. que les 10 prochains pays réunis.
Il n'est pas surprenant que tant de pays aient du mal à considérer la politique étrangère des États-Unis avec sérénité lorsque les législateurs de Washington se livrent à une telle exagération sans honte. Il peut être désagréable pour ceux au pouvoir à Washington, et, malheureusement, pour de très nombreuses autres personnes aux États-Unis, de devoir se rendre compte que la Russie et la Chine sont des nations importantes qui souhaitent de manière parfaitement légale étendre leur influence économique.
Il semble qu'ils ne puissent pas comprendre que lorsque la Russie dépense dix milliards de dollars pour la pose d'un gazoduc et qu'elle s'apprête à gagner des milliards chaque année grâce à la vente de son gaz transporté, ce serait une folie économique pour le gouvernement de Moscou d'essayer de quelque manière que ce soit d'utiliser le gazoduc pour se livrer à « agression et activités malveillantes ». De même, la Chine serait économiquement imprudente et même stratégiquement stupide de compromettre le succès croissant de la Ceinture et de la Route en étant autre que coopérative et responsable dans ses relations avec ses 138 pays partenaires de la BRI.
Washington devrait faire face aux faits et accepter que les États-Unis doivent coopérer avec la Chine et la Russie plutôt que de maintenir leur position agressive actuelle. La nouvelle guerre froide est entièrement contre-productive et il faut reconnaître qu'il y a des avantages pour toutes les nations à développer et à améliorer les moyens et méthodes de commerce. L'administration américaine pourrait imaginer qu'elle fera preuve de faiblesse si elle décide de travailler avec Pékin et Moscou, mais ce serait faire preuve de bon sens et de clairvoyance d'abandonner la guerre froide et de se concentrer sur la coopération.
Globalisation : l'immigration, nouvel enjeu civilisationnel pour la Russie
mercredi 15 septembre 2021
La question de l'immigration devient un enjeu politique majeur en Russie, divisant ici comme ailleurs, les forces politiques entre "progressistes" appelant à toujours plus d'immigrés, ici aussi présentés comme seule ressource de développement économique, et les forces conservatrices, qui soulignent l'augmentation de la criminalité et les risques civilisationnels. Rappelons que la Russie a soutenu le Pacte global pour la migration dès 2018. Les mêmes causes entraîneraient-elles, Ô surprise, les mêmes effets ?
La Russie est une nation multiethnique. Les termes ici sont importants. Une nation, car la population du pays partage une histoire, les mêmes symboles. Mais le pays comporte environ 160 ethnies différentes, il est multiethnique. Les Russes ethniques constituent, selon le recensement de 2002, 80% de la population et 6 autres ethnies comptent plus d'un million d'habitants : les Tatars (3,8%), les Ukrainiens (2%), les Bashkirs (1,1%), les Tchétchènes (0,9%) et les Arméniens (0,8%). La population totale en Russie est d'environ 146 millions d'habitants.
L'on pourrait penser qu'au regard de la diversité ethnique, la question de l'immigration ne pose aucune difficulté. Ce serait alors nier la dimension culturelle et civilisationnelle des populations. Il est vrai qu'historiquement, la Russie est liée aux populations d'Asie centrale, par exemple, puisqu'ils constituaient un même pays. Et il y aurait même certains enjeux géopolitiques à garder les frontières quasiment ouvertes avec ces pays, dont les peuples cherchent toujours vers Moscou la félicité économique qu'il ne trouve pas chez eux. L'on parle bien de félicité économique - c'est une immigration principalement économique, qui travaille à bas prix et avec très peu de qualification, qui n'a aucune exigence en matière de logement ou de sécurité sociale, souvent qui envoie une partie du salaire "au pays". L'intérêt géopolitique devient très limité dans ce contexte, quant à la question de l'intégration culturelle, l'on est face à des gens qui maîtrisent désormais très peu la culture et la langue russe. Il s'agit d'une autre génération, en grande partie malheureusement, acculturée.
Or, la Russie a soutenu dès 2018 le Pacte global sur les migrations, estimant qu'il s'agit d'un bon "compromis", prenant en compte la dimension humanitaire, tout en permettant le contrôle de l'immigration légale.
Dès 2019, un sursaut dans la masse migratoire a été noté, surtout en provenance des pays de la CEI (+50 %) et de l'Ukraine, sans que bien évidemment les "experts" n'aient pu (voulu ?) l'expliquer : l'augmentation sur le 1er trimestre 2019 dépasse les chiffres des 10 années précédentes, avec un bond de 20 % d'arrivant, sans augmentation de départs. Sachant que l'immigration illégale est importante malgré un renforcement de la coopération avec les pays de la CEI et le ministère de l'Intérieur estime que 700 000 personnes au moins n'ont pas régularisé leur présence en Russie.
L'on trouve sur cette question la division idéologique classique entre progressistes et conservateurs. Les progressistes, comme le vice Premier ministre Marat Khusnulline, appellent d'urgence à faire venir au moins 5 millions d'immigrés d'ici 2024, évidemment pour relancer l'économie et compenser ainsi le déficit démographique, puisqu'il est bien connu que les hommes sont indifférenciés dans le monde global, sans racines ni culture, ils sont donc interchangeables à volonté. Dans la même logique, le maire de Moscou, Segueï Sobianine, espère au moins 200 000 immigrés de plus, car sans rire aucunement, il affirme que c'est le déficit d'immigrés qui a conduit à l'inflation ...
Or, le ministère de l'Intérieur tire la sonnette d'alarme sur l'augmentation des violences quotidiennes commises par les immigrés, sur l'incivilité (pour dire les choses poliment), sur la détérioration de l'équilibre social avec des combats dans les rues, par exemple. Concrètement, le ministère note une augmentation de 5 % de la criminalité avec l'augmentation de la population immigrée. La situation s'est tellement tendue, que le ministère de l'Intérieur demande l'expulsion des étrangers impliqués dans les actes de violence. Ainsi, dès le premier semestre 2021, le ministère a demandé l'expulsion de plus de 860 000 immigrés et 1,2 million de personnes attendent leur expulsion dans des lieux affectés à cet effet. Sans compter que près de 99 000 étrangers se sont vus refuser l'entrée dans le pays pour ce premier semestre.
Dans ce contexte, la popularité de l'immigration massive est très faible en Russie. L'on notera par exemple cette publication dans Tsargrad, média conservateur, qui à l'occasion d'un énième scandale lié à des agressions particulièrement violentes (en l'occurrence le viol et le meurtre d'une femme de 65 ans dans un village de la région de Moscou), revient les aspects sociaux et civilisationnels de ce phénomène. L'intérêt économique est critiqué, puisque les immigrés font baisser le marché du travail en travaillant à coût réduit, ne permettent pas de lutter contre le chômage de la population nationale, donc cette immigration de masse est présentée comme un facteur empêchant le relance économique, puisque le pouvoir d'achat baisse et que la masse de personnes non qualifiées augmente. De plus, les gens condamnent la mise en place d'un climat d'insécurité et demandent de plus en plus, dans les villes de petite et moyenne importance, le déplacement des logements collectifs d'immigrés, sous peine de se faire justice eux-mêmes. Sans oublier que ces cultures sont différentes et le fameux "vivre-ensemble" devient très compliqué dans certains endroits.
Les mêmes causes ne peuvent produire que les mêmes effets, la France le paie aujourd'hui assez cher. Il est important de comprendre que l'immigration de masse est un élément fondamental de la globalisation, car il permet de construire ce "global village", dans lequel les hommes n'ont qu'une individualité, qui n'est plus liée à leur pays, à leur nation. Ils sont donc interchangeables, mobiles, virevoltant en fonction du vent. Les pays et leur population ne peuvent y survivre, ils se noient et tombent dans ce magma informe global, où tout est identique, avec un faux folklore local en guise de "culture propre". A ce niveau, il ne s'agit pas de "compromis", mais de "compromission" - et elle est toujours mauvaise.
La Russie n'est comparable à aucun autre pays sur Terre, ce pays est le plus grand du monde (6600 Km d'Est en Ouest en 3000 km du Nord au Sud) et accueille forcement des caractères différents suivant les latitudes et longitudes. Ce n'est donc pas un problème d'espace, de surface qui se pose mais une adaptation des personnes immigrées !! Et là... il y a plus qu'à redire !! Qui va s'adapter au us et coutumes d'un pays ? Il faudra DES générations ! Alors le choix s'impose: Faire entrer des bébés, des enfants de moins de 10 ans ou faire entrer des adultes idiots, illettrés et qui ne pensent qu'à tuer ? Dans ce type de conjoncture, la Démocratie s'impose afin que chaque province soit respectée et non noyée dans un ensemble mondialiste !
Marat Khusnulline s'embourbe dans son inculture de fonctionnaire. Une voiture japonaise ou chinoise marche aussi bien en Russie qu'au Brésil. A l'éléphant au zoo on ne lui demande pas son avis, mais à l'être humain y a l'adaptation ! Et çà, c'est pas donné à tout le monde parce que le service demandé n'est pas le même !
Regardez le monde des immigrés ! Il y a en villes les quartiers chinois, les quartiers arabes, les quartiers blacks, les quartiers... etc, etc ! Ils refont leur pays qu'ils ont fuient là où ils se trouvent !! C'est-à-dire qu'ils emportent leur merde avec eux !
Le changement arrive en Californie - Rappel des élections ou non
Par Allan Stevo 15 septembre 2021
C'est le jour du rappel, le 14 septembre 2021, et les bulletins de vote sont partout, aussi librement que des seringues dans les rues de San Francisco.
Partout dans l'État, des gens se présentent pour voter et se font dire qu'ils ont déjà voté.
La police californienne a arrêté un type avec un siège arrière rempli de bulletins de rappel vierges et de drogues.
Ce sera l'élection la plus tordue depuis que l'élection a été la dernière à avoir lieu dans une république bananière du tiers-monde.
Il ne reste qu'un an et quelques mois à celui qui remporte le rappel, et cette période en fonction peut être considérablement raccourcie par l'incapacité de déterminer les résultats de si tôt.
L'un des plans du système est d'allonger considérablement le processus de comptage et de laisser Newsom à sa place.
Celui qui gagnera le rappel aura un gouvernement massif travaillant contre lui à traiter. Cela rendra le changement difficile. À moins, bien sûr, que ce soit Newsom ou un démocrate qui gagne, auquel cas le gouvernement travaillera pour eux et aucun changement n'aura lieu.
Néanmoins, Newsom transpire. French Laundry, où il a dîné avec des lobbyistes sans masque, le tire vers le bas. Son fils qui va camper sans masque, l'entraîne vers le bas. Les règles pour toi, mais pas pour moi, l'entraînent vers le bas. Le chef de son parti l'entraîne même vers le bas, même pendant la période de lune de miel de son séjour au Bureau ovale.
Le chef du parti est même plus populaire que Barack Obama, l'actuel chef du parti ayant relancé 81 millions de voix. Le plus grand vainqueur de votes de tous les candidats à la présidentielle, n'a en quelque sorte pas les chiffres des sondages pour soutenir cette théorie. Dans certaines juridictions, il était si populaire parmi la population qu'il a même obtenu plus de voix qu'il n'y a d'électeurs. Le récit s'effondre.
Oui, Newsom transpire. Il supplie sa base de l'aider en affirmant que les candidats qui se présentent contre lui sont des extrémistes d'extrême droite. Ce sont des candidats qui sont à peu près aussi politiquement centrés, flexibles et favorables à l'unipartisme que Marco Rubio ou John Kerry. Extreme n'est tout simplement pas le mot pour les décrire.
Newsom est si désespéré que ses partisans insistent sur le fait que les avortements deviendront illégaux en Californie si un rappel a lieu. Avec le contrôle de la législature, des tribunaux et de la vaste bureaucratie de l'exécutif, c'est une affirmation tout à fait invraisemblable. Seules les personnes effrayées font ces déclarations dans le but de motiver d'autres personnes effrayées.
Newsom et ceux qui le soutiennent savent vraiment que sa base ne va pas tourner pour lui et que cette élection doit être volée. C'est leur devoir à chaque étape du processus.
Pendant ce temps, la majorité silencieuse, qui ne parlera pas aux sondeurs ou ne leur dira pas la vérité, est impossible à mesurer. Ils pourraient juste être assez en colère pour sortir et jeter Newsom du bureau.
Nous nous retrouvons donc avec cette réalité : si les voleurs ne passent pas pour Newsom, alors Newsom est grillé.
Tout ce qui précède est un bruit relatif, même si je serais très heureux de voir un nouveau gouverneur de Californie. D'autres sont appelés à ce combat. Je suis appelé à réveiller les lions.
Il y a un renouveau spirituel et culturel en cours en Californie, et il se répand dans tout le pays. Le véritable travail de ce rappel a été effectué chaque fois que quelqu'un signait une pétition de rappel et se disait : « Vous savez, le gouverneur doit vraiment y aller. »
Le travail de cette élection de rappel a été effectué lorsque Newsom a été contraint de suspendre d'autres plans et de faire face à une élection pour la deuxième fois en trois ans. Les politiciens adorent régner sur vous, mais ils détestent faire campagne. Être contraint de faire campagne à nouveau par une foule non lavée (40% d'électeurs démocrates) était une grande gifle pour Newsom.
Le travail du rappel a été fait quand partout dans ce pays, les gens ont vu ce qui se passait en Californie et s'en sont enhardis, se disant « S'ils peuvent se débarrasser de leur tyran intouchable, peut-être que nous pourrons nous débarrasser du nôtre. Tous les États ne disposent pas d'un processus de rappel, mais chaque État dispose d'une méthode pour éliminer les tyrans intouchables.
Il y a un an, Andrew Cuomo et Gavin Newsom étaient les golden boys du communisme corona. Ils étaient les enfants de l'affiche. Ils étaient destinés à la Maison Blanche. Aujourd'hui, l'un est parti et le second est devenu une honte. Il aurait été difficile d'imaginer cela il y a un an. Ce n'est qu'en raison de l'élan du mouvement de rappel en Californie que Cuomo a été démis de ses fonctions. Le rappel californien a changé la teneur de tout. Bien sûr, ce sont ses mains agrippantes qui, selon eux, lui ont coûté son travail, mais la recherche de la justice pour les dizaines de milliers de personnes âgées et d'autres qu'il a tuées avec sa politique Covid ne s'en allait pas, et pourrait ne pas l'être. Ce n'étaient pas ses mains agrippantes.
Cette nation a une dette de gratitude envers tous ceux qui ont participé aux élections de rappel en Californie.
Pour creuser encore plus profondément, c'est encore, dans une certaine mesure, du bruit, car il est tellement orienté vers l'image globale. Ces choix individuels de se tenir debout dans la vie signifient tellement de concert avec les autres. Il y a encore plus d'histoires pleines d'espoir. Ce sont les histoires individuelles de changement individuel. Les actions les plus importantes sont les actions qui vous changent.
Il y a trois semaines, une centaine de personnes dans la Silicon Valley ont temporairement fermé la réunion du conseil municipal de San Jose au cours de laquelle les conseillers municipaux allaient mettre en œuvre illégalement un mandat de vaccination. Les fonctionnaires se sont enfuis de la réunion et leur personnel a même cessé de répondre à leurs téléphones de bureau, alors qu'ils se cachaient dans leurs bureaux. Ces membres du public ont commis le crime de se rendre dans une réunion publique fermée au public. Même s'il y en avait une centaine, c'est une douzaine qui a vraiment rendu cela possible. Ils ne se connaissaient même pas quelques mois plus tôt. Jour après jour, ils communiquent et grandissent côte à côte, renforçant leurs capacités dans leur propre vie et devenant également une fierté de lions qui peuvent faire des choses étonnantes.
Il y a quatre semaines, quelques centaines de parents ont mis fin à une réunion du conseil scolaire dans le comté de San Luis Obispo. La commission scolaire est habituée à en voir peut-être une douzaine à ses réunions. Puis une nuit, soixante sont venus parler de masques et ont été abattus. Si vous abattez soixante personnes, pensez-vous vraiment qu'elles partiront ? Nan. Ils en ont ramené cinq fois plus avec eux. Des centaines se sont présentés deux semaines plus tard, et ceux qui se sont présentés ne prenaient les bêtises de personne. La réponse du conseil : fermer toutes les futures réunions au public. Ces centaines de parents en colère ne s'en vont pas. Le monde est changé par ces minorités infatigables.
De nombreux collèges se conforment docilement à tous les mandats qui leur sont présentés, peu importe à quel point leur légalité est fragile. Le Palmer College, situé dans le comté très restrictif de Santa Clara, a décidé la semaine dernière d'abandonner son mandat de vaccination après que les étudiants eurent lu la politique du gouvernement et refusé de laisser les autorités la mettre en œuvre. En quelques jours, la politique a été abandonnée sous les conseils et la pression des étudiants. Les individus se sont levés, ont eu des conversations difficiles, ont posé les questions difficiles lors de conversations en face à face.
Les tyrans de tout l'État se cachent sur Zoom, organisant des réunions publiques illégales parce qu'ils ne supportent pas d'affronter le public. J'ai des nouvelles pour eux. Le public les rattrapera. Il vaut mieux faire face à une vague de résistance aussi massive tôt et y faire face, car si vous courez, vous pouvez gagner du temps, mais cela viendra avec une fureur qui semble croître géométriquement avec la quantité de force que vous leur faites exercer. voir leurs griefs rectifiés. Les lois sur les réunions ouvertes sont conçues spécifiquement pour empêcher une telle fureur de se développer.
L'action individuelle alimente un changement massif.
Peu importe ce qui se passe à un niveau massif, cependant. Ce qui se passe au niveau individuel est important.
Les pasteurs courageux n'ont jamais fermé leurs églises.
Les entreprises courageuses n'ont jamais fermé leurs portes.
Les prédicateurs installent des tentes dans toute la Californie et organisent des réunions massives malgré ce que disent les autorités.
Les moutons restent masqués, le nombre de lions démasqués a triplé. Ils vivent leur vie sans masque.
Une femme en Californie m'a récemment raconté comment elle a finalement fait sortir sa mère de sa chambre de retraite sans fenêtre, contre les ordres du personnel, et dehors, au soleil, démasquée, dans les bras aimants de ses petits-enfants qui n'avaient pas vu elle en 18 mois. C'était un moment que personne n'oubliera jamais. La prochaine fois qu'elle est venue rendre visite à maman, le personnel de la maison de retraite l'a mise en lock-out. Elle a demandé à parler au directeur dans son bureau. Elle lui a dit que la prochaine fois qu'elle serait en lock-out, elle ne se tiendrait pas dans ce bureau, son avocat le ferait. Problème résolu.
Je doute que cette femme ait jamais dit une chose pareille à un autre moment de sa vie. Les temps difficiles ne nous brisent pas. Ils ont fait de nous ce que nous sommes.
Un père m'a raconté comment il a refusé de laisser son fils être masqué à l'école, et comment son fils a dit qu'il n'avait aucun intérêt à être masqué à l'école non plus. Le fils a alors vécu par ces mots. L'école n'a pas bien réagi. La famille était préparée. Les histoires de ces deux-là pourraient remplir un livre à part entière. Au cours de la dernière année, j'ai vu du courage comme je n'aurais jamais imaginé pouvoir en voir dans ma vie.
Ce sont des histoires de héros qui se font tout autour de nous. Mais ils ne sont que des héros dans notre contexte actuel. Ce qu'ils font vraiment, c'est vivre la vie telle que l'homme est censé la vivre : libre.
Certaines personnes utilisent l'expression « comme des chats de troupeau » pour décrire les principaux combattants de la liberté. De telles personnes qui utilisent cette expression semblent manquer le but de la liberté. Les moutons ont besoin d'être gardés. Les lions ne seront pas parqués. Celui qui tente de rassembler des lions fait un travail d'idiot et les aborde avec l'état d'esprit d'un collectiviste. C'est contraire au caractère d'un lion d'être en troupeau. Le lion n'est pas aidé par de telles tentatives, pas plus qu'une société. La liberté est acquise dans une société par des hommes libres et des femmes libres étant elles-mêmes libres aussi diligemment qu'elles peuvent l'être.
La troisième révolution américaine a lieu. L'économiste et historien Murray Rothbard a décrit la première révolution américaine comme ayant eu lieu avant 1775. Ce fut un changement dans le cœur et l'esprit des colons au point qu'ils se considéraient comme un peuple libre et non plus comme des sujets. Ils étaient chacun le souverain, pas la couronne. Ce changement de perspective a précédé les jours après 1776, que Rothbard décrit comme une rébellion sanglante, en partie parce que les suzerains ne reconnaissaient pas que la révolution avait déjà eu lieu et que les colonies ne pouvaient plus être gouvernées comme elles l'avaient autrefois.
Cela se produit chaque fois que les suzerains ne se rendent pas compte que les conditions ont changé et insistent sur le fait que leur emprise sur le pouvoir, acquise à un moment différent, est toujours une emprise valable. Finalement, cela les rattrape. Encore une fois, cela se produit avec une fureur qui est géométriquement augmentée en fonction de la quantité de force que les gouvernés doivent exercer pour communiquer ce message. Savoir quand couper et fuir est l'outil le plus important du tyran qui ne veut pas que sa vie se termine par une décapitation. Il n'y a qu'un nombre limité de fois où une élection peut être volée avant qu'un peuple refuse de continuer à jouer à ce jeu. Il n'y a qu'un nombre limité de fois où une « règle pour toi, mais pas pour moi » peut être mise en œuvre avant qu'un peuple refuse de continuer à jouer à ce jeu. Idéalement, nos dirigeants politiques sont suffisamment intelligents pour éviter une rébellion sanglante. Le choix leur appartient.
Bienvenue dans la nouvelle révolution américaine. Un renouveau culturel et spirituel éclate dans toute la Californie, maison par maison, personne par personne. Il ne s'en va pas. Bien au contraire, il va s'étendre de la Californie à travers ce pays.
La Californie ouvre la voie dans de nombreux domaines, dont la plupart ont été mauvais récemment. Ce sera celui qui sera un véritable trésor. Ceux qui quittent prématurément la Californie pour s'enfuir ailleurs, manquent la joie de vivre à la pointe d'un tel changement, la joie de vivre au quotidien en première ligne, de servir d'une manière qui compte vraiment.
Dans des moments comme ceux-ci, comment servez-vous la cause de la liberté d'une manière qui compte vraiment ? Priez et obéissez. Soyez l'homme libre que vous êtes fait pour être. Vivez cette vie libre que vous étiez censé vivre. Vous allez répandre la liberté tout autour de vous.
Les tyrans ne comptent dans votre propre vie que dans la mesure où vous le leur permettez. Ils seront traités. La politique est en aval de la culture. Finalement, ils suivront ou seront supprimés. Si vous êtes appelé à les gérer, il n'y a pas de temps comme le présent. Si vous n'êtes pas appelé à vous en occuper, ne les transpirez pas trop. Vous avez un tel pouvoir de les annuler dans votre propre vie. Continuez simplement à vivre cette vie libre, et les choses s'arrangeront très bien.
Toute l'histoire humaine récompense l'homme libre qui peut faire exactement cela, car chaque jour de liberté vaut mieux qu'une décennie de servitude sous un tyran.
Outre le fait qu'ils ne fonctionnent pas et qu'ils sont nocifs pour vous, la principale raison de ne pas porter de masque est qu'ils ne sont pas quelque chose qu'un homme libre autorise sur son visage. Un homme libre ne se plie pas à la tyrannie. "" existe pour vous aider à le faire, tout comme ces articles de LewRockwell.com et le bulletin électronique de RealStevo.com regorgeant de vidéos rapides et faciles à regarder sur la façon de faire de cela et d'autres étapes audacieuses une réalité dans votre propre vie.
Deux personnes tuées après que Tesla s'est écrasé contre un arbre et s'est retrouvée "engloutie par les flammes" en Floride
PAR TYLER DURDEN MERCREDI 15 SEP 2021 - 11:05
Deux personnes ont été tuées lundi soir cette semaine après qu'une Tesla s'est écrasée contre un arbre à Coral Gables, en Floride.
L'"épave enflammée" a eu lieu à l'intersection d'Alhambra Circle et de Coral Way, selon la section locale 10. La police locale a déclaré que le conducteur avait écrasé la voiture dans un arbre, mais aucun autre détail sur l'accident n'a encore été déterminé.
Une vidéo de l'épave sur un téléphone portable montre le véhicule « englouti par les flammes » et les deux occupants du véhicule ont été tués. "C'est une Tesla", peut-on entendre dire la personne qui a filmé l'épave.
Les autorités ont passé mardi à recueillir des preuves sur les lieux de l'accident et une enquête est en cours. Le conducteur était un homme de 20 ans et la passagère était une femme de 19 ans, selon le rapport.
Rappelons que la NHTSA a récemment déclaré qu'elle avait ouvert une enquête formelle sur la fonction de pilote automatique de l'entreprise. Il a déclaré qu'il ouvrait une sonde sur les modèles X, S et 3 de Tesla pour les années modèles 2014-2021. La large gamme de modèles et d'années modèles signifie que cela pourrait être la vaste enquête que les sceptiques de Tesla demandent depuis des années. Plus précisément, le régulateur enquête sur une litanie d'accidents impliquant des Teslas en pilote automatique s'écrasant sur des véhicules d'intervention d'urgence inanimés sur la route.
La NHTSA a déclaré que l'enquête évaluerait les technologies et les méthodes "utilisées pour surveiller, assister et faire respecter l'engagement du conducteur" pendant le fonctionnement du pilote automatique, selon Bloomberg.
Goldman Sachs semblait tout sauf optimiste quant au fait que l'enquête sur le pilote automatique serait résolue rapidement. "Étant donné que l'enquête actuelle est liée à un système d'aide à la conduite de niveau 2, une solution pourrait être un système amélioré de surveillance des conducteurs pour garantir la conformité des conducteurs avec les conditions d'utilisation de Tesla", a écrit la banque d'investissement le mois dernier.
Vous pouvez regarder la couverture de l'épave par la section locale 10 ici :
Alerte de crue éclair « à haut risque » émise pour le sud-ouest de la Louisiane au milieu de la dépression tropicale Nicholas
PAR TYLER DURDEN MERCREDI 15 SEP 2021 - 09:30 Rédigé par Katabella Roberts via Epoch Times,
Le 15 septembre, le National Weather Service a averti que le sud-ouest de la Louisiane faisait face à un « risque élevé » d'inondations soudaines dues à la dépression tropicale Nicholas.
De tels avertissements à « risque élevé », le type d'avertissement le plus grave et le plus grave, sont rarement émis nulle part aux États-Unis.
La pluie de la tempête se déplacera sur la région jusqu'à mercredi et les averses devraient produire des taux de précipitations élevés et des précipitations totales importantes d'environ 5 à 10 pouces, avec des quantités localement plus élevées possibles, a déclaré mercredi matin le National Hurricane Center (NHC).
Certains des endroits qui devraient subir des crues soudaines comprennent Ville Platte, Marksville, Bunkie, Mamou, Glenmora, Cheneyville, Turkey Creek, Cottonport, Pine Prairie, Mansura, Lecompte, Hessmer, Evergreen, Bayou Chicot, Chicot State Park, Indian Lake , Whiteville, Echo, Reddell et Pologne.
« Faites demi-tour, ne vous noyez pas lorsque vous rencontrez des routes inondées. La plupart des décès dus aux inondations surviennent dans les véhicules. Soyez particulièrement prudent la nuit lorsqu'il est plus difficile de reconnaître les dangers des inondations », a averti l'agence.
Mardi, le NHC a averti que des inondations de rivière mineures à modérées isolées sont attendues dans certaines parties de la partie supérieure de la côte du golfe du Texas et du sud de la Louisiane et du Mississippi.
« Des inondations soudaines mettant la vie en danger, en particulier dans les zones urbaines, sont possibles dans ces régions », a déclaré le NHC.
Des totaux de tempête isolés de 20 pouces étaient possibles du sud de la Louisiane à l'extrême ouest de la Floride, a-t-il ajouté.
Des crues éclair « potentiellement mortelles » sont également attendues dans d'autres parties du Grand Sud, a déclaré le NHC dans le bulletin de mardi.
De grandes parties du sud de la Louisiane sont toujours aux prises avec les conséquences de l'ouragan Ida, tandis que des dizaines de milliers de personnes restent sans électricité. Le nombre de morts en Louisiane à cause de l'ouragan Ida s'élève à 26 après que les autorités sanitaires ont signalé la semaine dernière 11 décès supplémentaires à la Nouvelle-Orléans.
Lundi, le président Joe Biden a approuvé la demande du gouverneur John Bel Edwards d'une déclaration fédérale d'urgence pour la tempête tropicale Nicholas, permettant à la Louisiane de mobiliser les ressources fédérales que l'État a déjà en place ainsi que de demander des ressources supplémentaires si nécessaire.
Une surveillance des crues éclair reste également en place pour la Nouvelle-Orléans, avec Avondale, Marrero, Metairie, Harvey, Timberlane, Belle Chasse, Chalmette, East New Orleans, Hahnville, Jefferson, Gretna, Harahan, Westwego, Bridge City, Elmwood, River Ridge, Waggaman, Estelle et Woodmere devraient tous connaître des crues soudaines.
Nicholas a touché terre en tant qu'ouragan de catégorie 1 lundi au Texas, mais a été rétrogradé en tempête tropicale tôt mardi matin.
Les actions du casino de Macao s'effondrent alors que Pékin lance une répression contre le plus grand centre de jeu au monde
PAR TYLER DURDEN MERCREDI 15 SEP 2021 - 07:33
La répression de Pékin contre divers éléments de la société s'est poursuivie mercredi avec des responsables chinois ciblant Macao, la plaque tournante du jeu quasi-indépendante et le territoire chinois, dans le cadre d'une nouvelle répression contre la surveillance du jeu, qui a envoyé des actions de sociétés de jeux axées sur Macao, comme celles détenues par Wynn Macau , Sands China, MGM China et Galaxy Entertainment, dégringolant jusqu'à 34 %.
La vente a commencé après que Lei Wai Nong, secrétaire à l'économie et aux finances de Macao, a averti mardi d'une "période de consultation" de 45 jours pour l'industrie du jeu, qui commencera le lendemain. L'objectif sera de creuser les lacunes dans la supervision de l'industrie. Les nouvelles enchères sur les licences de casino de Macao devraient commencer l'année prochaine. De plus en plus inquiet de la dépendance de Macao au jeu, Pékin n'a pas dit exactement comment il envisageait de changer les choses. Cependant, plusieurs analystes ont rapidement revu à la baisse leur opinion sur plusieurs maisons de jeu de Macao en raison du fait qu'elles doivent toutes refaire une offre pour leurs licences.
JP Morgan, par exemple, a déclaré qu'il déclasserait toutes les entreprises opérant dans l'industrie du jeu de Macao en raison de la répression imminente.
"Nous admettons que ce n'est qu'un signal" directionnel ", alors que le niveau de réglementation ou d'exécution reste un point discutable", a déclaré l'analyste D.S. Kim, ajoutant que la nouvelle aurait déjà laissé le doute dans l'esprit des investisseurs.
Lors d'un briefing mardi, le secrétaire à l'Économie et aux Finances de Macao, Lei, a énuméré neuf domaines à surveiller, tels que le nombre de licences, une meilleure réglementation et le bien-être des employés, tout en faisant appel à des représentants du gouvernement pour superviser les opérations quotidiennes du casino.
Mais l'objectif n ° 1 de Pékin dans cette répression est de finalement boucher une «voie de sortie» populaire pour les capitaux qui tentent de quitter la Chine. Comme nous l'avons expliqué l'année dernière, comment les citoyens chinois blanchissent jusqu'à 153 milliards de dollars par an à l'aide de jeux d'argent en ligne et d'une crypto-monnaie telle que le tether, dont on dit depuis longtemps qu'elle est un facteur clé de la hausse du bitcoin. Les casinos de Macao offrent de nombreuses couvertures aux riches Chinois qui tentent de transférer de l'argent à l'étranger, qui utilisent les casinos pour accomplir cela depuis des années.
Le gouvernement prévoit davantage d'actions dans les concessionnaires de jeux pour les résidents permanents de Macao ainsi que des règles sur la distribution des transferts de bénéfices aux actionnaires. La grande question est de savoir si les opérateurs de casinos étrangers comme Wynn, qui ont prospéré à Macao, vont bientôt enfin goûter à la botte de la répression à l'échelle de l'économie du président Xi.
Les casinos de la plus grande plaque tournante du jeu au monde ont connu des difficultés considérables l'année dernière alors que les affaires se tarissaient.
Quoi qu'il en soit, Pékin lutte depuis des années pour lutter contre le blanchiment d'argent qui a lieu à Macao. Maintenant, il saisit ce qui pourrait être sa meilleure chance de faire bouger les choses.
Pourquoi le mandat du vaccin Biden COVID-19 est inconstitutionnel
PAR TYLER DURDEN MARDI 14 SEP 2021 - 18:45 Rédigé par l'avocat et journaliste Techno Fog via The Reactionary,
Le 9 septembre, le président Biden a annoncé qu'il contournerait le processus démocratique, ordonnant au secrétaire du ministère du Travail d'exiger des employeurs de plus de 100 travailleurs qu'ils « s'assurent que leurs effectifs sont entièrement vaccinés ou présentent un test négatif au moins une fois par semaine ».
C'était essentiel, comme l'a dit Biden, "pour protéger les travailleurs vaccinés des travailleurs non vaccinés".
Comme nous l'avons expliqué, le secrétaire du Travail publiera ces règlements par l'intermédiaire de l'OSHA au moyen d'une norme temporaire d'urgence (ETS). L'ETS permettrait au ministre du Travail de délivrer le mandat de vaccination sans les exigences réglementaires administratives normales (comme les périodes de préavis et de commentaires publics).
Alors que l'administration Biden dit au public qu'il n'y a pas de temps à perdre pour délivrer le mandat, la vérité est que l'OSHA/Labor n'a pas fait valoir la nécessité d'un mandat de vaccin puisque les vaccins sont disponibles – une période approchant un an. De plus, le ministère du Travail de Biden rencontre secrètement la Chambre de commerce des États-Unis et des lobbyistes d'affaires pour obtenir un soutien en faveur du mandat. Comme le rapporte Bloomberg Law :
L'avocate du travail Seema Nanda a tenu une réunion virtuelle avec Neil Bradley, directeur des politiques de la Chambre, et d'autres lobbyistes d'affaires. La Chambre, le plus grand groupe de lobbying commercial aux États-Unis, n'a pas encore déclaré publiquement sa position sur la future réglementation d'urgence de l'Occupational Safety and Health Administration.
Il s'agissait de l'un des trois briefings que le département a organisés vendredi pour les dirigeants syndicaux et les associations d'employeurs, des circonscriptions avec lesquelles la Maison Blanche espère nouer des partenariats pour augmenter le taux de vaccination à l'échelle nationale. Les informations des appels ont été divulguées à Bloomberg Law par huit sources qui ont participé, qui ont toutes demandé l'anonymat car elles n'avaient pas l'autorisation de parler en public.
Pourquoi le mandat des vaccins est inconstitutionnel
Comme vous pouvez l'imaginer, la constitutionnalité du mandat du vaccin sera contestée dès que l'OSHA publiera les règles. Les médias font de l'ingérence, disant au public que les contestations du mandat ont « peu de chances de réussir ».
La légalité du mandat de vaccination sera évaluée selon ce qu'on appelle la doctrine des règles majeures (également connue sous le nom de doctrine des questions majeures). En vertu de cette doctrine, les tribunaux examinent (1) si l'action de l'agence est une règle majeure; et (2) si le Congrès a clairement autorisé l'action de l'agence.
Comme l'a déclaré le juge Scalia en 2014, « Nous attendons du Congrès qu'il s'exprime clairement s'il souhaite attribuer à une agence des décisions d'une grande « importance économique et politique ». »
De là, nous passons à la première question de la doctrine des règles majeures : il ne fait aucun doute qu'il s'agit d'une règle majeure. Cela affecterait la décision de soins de santé - et impliquerait l'autonomie personnelle - de "quelque 80 millions de travailleurs du secteur privé". Il s'agit d'une action jamais prise auparavant par l'OSHA, le ministère du Travail et tout autre organisme fédéral. Cela affecterait l'ensemble de l'économie américaine.
À l'appui de ma position, nous avons vu des règles d'agence moins invasives être considérées comme des règles majeures. Par exemple, les « réglementations tarifaires » des compagnies de téléphone ont été considérées comme une règle majeure. MCI Telecommunications Corp. c. American Telephone & Telegraph Co., 512 U.S. 218 (1994).
De là, nous arrivons à la deuxième question : si le Congrès a clairement autorisé le ministère du Travail/OSHA à mandater les vaccins. La réponse est non.
Si le Congrès avait clairement autorisé (pas seulement autorisé, mais clairement autorisé) le parti travailliste/OSHA à mandater les vaccins, alors nous aurions vu une telle autorité dans la loi sur la SST de 1970. Regardez par vous-même - le langage n'y est pas. Au lieu de cela, il existe des pouvoirs généraux pour « établir des normes obligatoires de sécurité et de santé au travail ».
En regardant l'histoire de l'OSHA, cette autorité a été comprise comme réglementant les actions des employeurs pour fournir un lieu de travail sûr (limites de benzène) ou les actions des employés au travail (opération d'équipement lourd). Historiquement, la loi sur la SST n'a jamais été comprise comme incluant les vaccinations obligatoires. Ceci est important car la Cour suprême s'est récemment penchée sur l'historique de l'agence pour déterminer que le CDC n'avait pas le pouvoir de délivrer son dernier mandat d'expulsion.
Pour un exemple d'« autorité claire » en matière de santé publique, regardez l'autorité que le Congrès a donné au HHS le pouvoir de prendre des mesures en cas d'« épidémies importantes de maladies infectieuses ». Pour aller plus loin, autoriser le mandat reviendrait à permettre à l'OSHA d'exiger la vaccination comme condition d'emploi. La Loi sur la SST ne contient aucun langage ou autorité de ce genre.
Donc là, nous l'avons. Il s'agit d'une « règle majeure » et le Congrès n'a pas « clairement autorisé » le parti travailliste/OSHA à émettre un mandat sur les vaccins. Attendez-vous à d'autres défis sur la question de savoir si l'ETS lui-même (et le constat de « grave danger ») est légal.
Nous observons également que nous ne concédons en aucun cas l'autorité du Congrès pour imposer des vaccins. (En d'autres termes, le Congrès ne pouvait pas donner cette autorité à l'OSHA / Travail parce que le Congrès n'a pas une telle autorité à donner.) Le recours à l'affaire Jacobsen c. .
Un dernier point - Pourquoi le juge Kavanaugh est important En 2017, lorsque le juge Kavanaugh siégeait sur le circuit DC, il a écrit une dissidence à la suite d'un refus de réaudition en banc, dans laquelle il a résumé en détail la doctrine des règles principales. Il a fait valoir que la règle de neutralité du net de la FCC était illégale, en ce sens qu'il s'agissait d'une "règle majeure" qui n'était pas clairement autorisée par le Congrès.
La dissidence de Kavanaugh en 2017 a été l'une des discussions les plus complètes (ou peut-être les plus) complètes sur la doctrine des règles majeures jamais écrites dans le circuit DC. Kavanaugh a examiné un certain nombre d'affaires de la Cour suprême à l'appui de sa position et a fait valoir la doctrine essentielle pour maintenir la séparation des pouvoirs. À cet auteur, il révèle que Kavanaugh valorise cette doctrine et pense qu'elle doit être appliquée avec vigueur. Nous en voyons un exemple dans l'opinion concordante du juge Kavanaugh dans la demande initiale d'annulation de la suspension du moratoire sur les expulsions du CDC (29 juin 2021), où Kavanaugh a écrit « une autorisation claire et spécifique du Congrès (via une nouvelle législation) serait nécessaire pour le CDC pour prolonger le moratoire.
Que Kavanaugh ait le courage d'appliquer ses convictions est une autre affaire.
(...) comme l'a dit Biden, "pour protéger les travailleurs vaccinés des travailleurs non vaccinés". (...)
Because que les faux vaccins c'est DE LA MEEREEERDE ! et qu'ils ne sont injectés que pour TUER ! 40 mille milliards de nano-particules d'oxyde de graphène... par flacon !! De 95 à 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène... par flacon !!
Oui mais aujourd'hui on est plus au '20 ème siècle' mais à l'heure d'Internet ! Vous vous rendez compte si Internet n'avait pas été là le 11 Septembre 2001 ?!
Je ne sais pas si vous suivez l'actualité mais ils sont en train de vouloir... gérer VOTRE vie !! Du 'comme tu te lèves' au 'comment tu dois pisser, bouffer, travailler, respirer, baiser et dormir' ! avec cette fois en plus le 'comment tu dois crever' !!
La dette mondiale atteint un record de 300 000 milliards de dollars, en hausse de 36 000 milliards de dollars depuis COVID
PAR TYLER DURDEN MARDI 14 SEP 2021 - 18:25
Un autre trimestre, un autre record de dette mondiale (ne vous attendez pas à ce que cela baisse à nouveau dans le cadre monétaire actuel).
Selon l'Institute of International Finance (IIF), la dette mondiale totale - qui comprend la dette des gouvernements, des ménages, des entreprises et des banques, mais exclut les dérivés et divers autres produits exotiques - a atteint un nouveau record de près de 300 000 milliards de dollars au deuxième trimestre, 296 $ billions de dollars pour être précis, et jusqu'à 4,8 billions de dollars au cours du trimestre. Cela signifie qu'au cours des 18 mois qui se sont écoulés depuis Covid, la dette totale a augmenté de 36 000 milliards de dollars !
"Si les emprunts se poursuivent à ce rythme, nous nous attendons à ce que la dette mondiale dépasse 300 000 milliards de dollars", a déclaré Emre Tiftik, directeur de la recherche sur la durabilité à l'IIF. Eh bien, duh. Non seulement il dépassera 300 000 milliards de dollars, mais il dépassera 400 000 milliards de dollars, 500 000 milliards de dollars et éventuellement 1 000 milliards de dollars et ainsi de suite. Il s'agit d'une fonctionnalité, pas d'un bogue du système MMT "Helicopter Money" sous lequel nous vivons maintenant.
L'augmentation des niveaux d'endettement a été la plus forte parmi les marchés émergents - lire la Chine - avec une dette totale en hausse de 3 500 milliards de dollars au deuxième trimestre par rapport aux trois mois précédents pour atteindre près de 92 000 milliards de dollars.
Il y avait une lueur d'espoir : le ratio dette/PIB a diminué pour la première fois depuis le début de la pandémie alors que la croissance économique rebondissait. L'IIF a déclaré que sur les 61 pays qu'elle a surveillés, 51 ont enregistré une baisse du ratio de la dette au PIB, principalement en raison d'un fort rebond de l'activité économique, bien que nous soyons très curieux de savoir quel chiffre du PIB non conforme aux PCGR l'IIF a utilisé pour calculer une croissance du PIB plus rapide que la dette.
En conséquence, la dette en pourcentage du produit intérieur brut est tombée à environ 353 % au deuxième trimestre, contre un record de 362 % au cours des trois premiers mois de cette année.
L'IIF a également déclaré que les ratios total de la dette au PIB hors secteur financier sont inférieurs aux niveaux d'avant la pandémie dans seulement cinq pays : le Mexique, l'Argentine, le Danemark, l'Irlande et le Liban. Bien sûr, ne serait-ce que pour le secteur financier - comme il se doit - cette statistique n'a pas de sens.
Le seul pays qui déborde déjà de dettes, la Chine, a vu son niveau d'endettement augmenter plus fortement que d'autres pays, tandis que la dette des marchés émergents hors Chine a atteint un nouveau record à 36 000 milliards de dollars au deuxième trimestre, sous l'impulsion de par une augmentation des emprunts publics.
Pendant ce temps, après une légère baisse au premier trimestre, la dette des économies développées - en particulier de la zone euro - a de nouveau augmenté au deuxième trimestre (encore une fois, répétez après nous, la dette ne diminuera plus jamais).
Aux États-Unis, l'accumulation de dette d'environ 490 milliards de dollars a été la plus lente depuis le début de la pandémie, bien que la dette des ménages ait augmenté à un rythme record. Attendez-vous à ce que ce nombre explose à la hausse après que Biden aura passé son prochain stimulus fiscal, quel que soit le moment.
À l'échelle mondiale, la dette des ménages a augmenté de 1 500 milliards de dollars au cours des six premiers mois de cette année pour atteindre 55 000 milliards de dollars. L'IIF a relevé que près d'un tiers des pays de son étude ont connu une augmentation de l'endettement des ménages au premier semestre.
"L'augmentation de l'endettement des ménages est conforme à la hausse des prix des logements dans presque toutes les grandes économies du monde", a déclaré Tiftik de l'IIF, faisant tout son possible pour montrer aux banquiers centraux l'ampleur de la bulle immobilière qu'ils ont créée.
Enfin, l'IIF a déclaré que le total des émissions de dette durable - qui, nous supposons, fait référence à l'escroquerie épique qu'est l'ESG - a dépassé les 800 milliards de dollars depuis le début de l'année, a déclaré l'IIF, les émissions mondiales devant atteindre 1 200 milliards de dollars en 2021.
ÔÔÔôôoooh ! ON VA PAS CHIPOTER POUR QUELQUES PELLES DE MILLIARDS NON ?!
Bon allez ! JE REMBOURSE ! 100000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000 de dollars rien que pour vous ! Dites pas merci j'ai l'habitude !
Shérif du comté de Californie : « Je n'appliquerai pas le mandat de vaccination »
PAR TYLER DURDEN MARDI 14 SEPTEMBRE 2021 - 18:06 Rédigé par Katabella Roberts via Epoch Times,
Un shérif de Californie a déclaré lundi qu'il n'obligerait pas les employés du département ou les demandeurs d'emploi à se faire vacciner contre le COVID-19, malgré une ordonnance de santé publique de l'État obligeant les travailleurs dans des « milieux de rassemblement à haut risque » tels que les prisons à se faire vacciner ou à être testés régulièrement.
Dans un podcast vidéo publié sur la page Facebook du département du shérif du comté de Riverside le 10 septembre, le shérif du comté Chad Bianco avait précédemment déclaré qu'il n'obligerait pas les employés nouveaux ou actuels du département du shérif à recevoir le vaccin COVID-19, mais a maintenu que lui-même n'était "pas un anti-vaxxer".
"Je ne suis pas anti-vax, je suis anti-vax pour le Tchad mais cela ne veut pas dire que je suis anti-vax pour quelqu'un d'autre qui pense qu'il peut en avoir besoin, ou qui en a besoin, pour les personnes à haut risque catégories, ou même si cela vous fait vous sentir mieux », a déclaré Bianco.
"Beaucoup de chefs de département, différents organismes chargés de l'application des lois proposent des politiques ou des choses comme ça, et en ce qui me concerne, je n'imposerai pas de vaccin à nos employés, nous ne le rendrons pas obligatoire pour tout nouvel employé être vaccinés ou en cours », a-t-il poursuivi.
"Je crois que c'est un choix très personnel et que vous devez prendre une décision."
À la suite du podcast, Bianco a partagé une déclaration le 13 septembre dans laquelle il affirmait qu'un journal local était sur le point de publier un article sur le podcast et qu'un journaliste anonyme avait «des déclarations triées sur le volet de supposés experts en santé dans le but de me peindre… sous un jour négatif.
Bianco a réitéré sa position concernant les vaccinations et ce qu'il a décrit comme "une portée excessive du gouvernement tyrannique", notant qu'il est de son devoir constitutionnel et de sa responsabilité de protéger le public. Il a ajouté que l'article qui sera bientôt publié n'était "rien d'autre que du sensationnalisme essayant de gagner le lectorat et de nous diviser davantage en tant qu'Américains".
"Au cours des deux dernières semaines, l'idée de la vaccination forcée a suscité beaucoup d'inquiétude dans tout le pays", a déclaré Bianco dans un communiqué de lundi.
"Pour répéter le contexte du podcast, je n'appliquerai pas le mandat de vaccin aux employés du département du shérif."
« Le gouvernement n'a aucune capacité et aucune autorité pour imposer vos choix en matière de santé. En tant que votre shérif, j'ai l'obligation de protéger votre liberté et votre liberté », a-t-il poursuivi.
« Je ne suis certainement pas anti-vaccin. Je suis anti-vaccin pour moi. Cette décision doit être prise en consultation avec votre médecin après avoir discuté des avantages potentiels et des effets secondaires négatifs potentiels.
"Il est temps que notre gouvernement et nos politiciens se rendent compte que la seule raison pour laquelle ils existent est parce que" nous, le peuple ", avons formé notre gouvernement pour garantir les bénédictions de la liberté individuelle et de la liberté", a ajouté Bianco.
L'État de Californie a exigé que ceux qui travaillent dans des « milieux de rassemblement à haut risque » tels que les établissements correctionnels et les centres de détention de l'État et locaux, se fassent vacciner ou se soumettent à des tests COVID-19 deux fois par semaine. Il s'applique également aux travailleurs de la santé et aux employés des maisons de soins infirmiers et l'État a donné aux employés jusqu'au 23 août pour s'y conformer.
Les commentaires de Bianco interviennent peu de temps après que le président Joe Biden a émis de nouvelles exigences fédérales radicales en matière de vaccins qui pourraient affecter jusqu'à 100 millions d'Américains.
Biden a annoncé jeudi dernier qu'il demanderait au ministère du Travail d'élaborer une règle selon laquelle les entreprises de plus de 100 employés exigeront des vaccinations ou des tests une fois par semaine pour leurs travailleurs, affectant potentiellement des dizaines de millions d'employés du secteur privé américain et des soins de santé. ouvriers.
Remplacer une forêt par une centrale solaire : un paradoxe
Pour la construction d’une centrale solaire, les décideurs sont prêt à raser une forêt. Une politique écologique paradoxale.
Par Sebastien Richet. 16 SEPTEMBRE 2021
Pour installer 1000 MW de cellules photovoltaïques, les professionnels de la subvention à tout-va n’hésitent pas à sacrifier 1000 hectares de forêts (oui, vous avez bien lu, soit 10 km2 de forêts) pour la modique somme d’un milliard d’euros par Engie et Neoen.
On compare ce champ de cellules à un réacteur nucléaire de puissance équivalente qui tourne à plein régime 90 % du temps. Sachant que l’efficacité de fonctionnement du solaire dans cette région est en moyenne de 25 %, la production est donc du quart. Dit autrement, le réacteur fait quatre fois mieux, sans compter que la surface consommée par le réacteur est beaucoup plus faible (quelques hectares).
On commence à douter de l’installation et des effets d’annonce (630 000 foyers équivalents – ceux qui se chauffent au gaz ?).
La production potentielle d’hydrogène et ses très généreuses dotations (ne souriez pas, ce sont vos impôts) est adjointe au projet pour en augmenter la rentabilité, sachant que les usines à hydrogène les plus performantes seront associées à des réacteurs nucléaires pour pouvoir produire de manière constante, condition sine qua non d’une bonne productivité.
Au-delà de ces chiffres, on peut à juste titre se poser la question de l’adéquation d’une telle usine avec la notion de protection de l’environnement à deux pas du parc naturel des Landes de Gascogne, en plein dans la trajectoire des oiseaux migrateurs. En effet, d’autres installations de ce type dans le monde sont connues pour l’impact sur les oiseaux en particulier.
De la même manière, le ruissellement dû à la non absorption par les arbres lors des orages violents de cette région ne semble pas être une préoccupation à la hauteur des enjeux.
Enfin, on ne pourra même pas faire paître quelques moutons car la technique actuelle est de poser les panneaux à plat pour gagner sur le cout d’installation, quitte à perdre sur la production. Mais celle-ci ne représente qu’une petite fraction des bénéfices engrangés grâce aux subventions en tout genre.
Bref, on nous dit que le solaire est génial pour l’environnement mais on fait tout le contraire pour le prouver.
Si conformément aux annonces faites le solaire est rentable, alors mettons fin aux subventions et utilisons les là où elles sont utiles, le chauffage par exemple.
Les attardés mentaux se parlent entr'eux et se comprennent. Les écolos domestiqués, apprivoisés par les 'hommes de l'ombre' qui ont le vouloir, le pouvoir mais pas le savoir.
La tyrannie de l’écologie face au mur de la réalité
Une écologie politique dogmatique abuse les Français en voulant leur faire croire qu’ils pourront vivre de vent et de soleil, en dépit des réalités physiques, économiques et humaines.
Par Michel Gay. 16 SEPTEMBRE 2021
Une écologie politique dogmatique abuse les Français en voulant leur faire croire qu’ils pourront vivre de vent et de soleil. Mais sa volonté impérieuse d’imposer rapidement des règles contraignantes et de formater la pensée pour atteindre le nirvana écologique se heurte aux réalités physiques, économiques et humaines.
UN NOUVEL OBSCURANTISME VERT
Une nouvelle forme pernicieuse d’obscurantisme vert s’insinue dans les esprits au nom d’une valeur supérieure qui serait la Nature ou Gaïa.
Dans ce monde idéalisé, les mensonges et la propagande submergent et étouffent méthodiquement les arguments techniques et économiques. Ces méthodes s’inspirent d’idéologies despotiques aux couleurs variées (brune, noire, rouge…) recyclées aujourd’hui dans la couleur verte.
Cette écologie coercitive masque ses intentions à la fois sous des concepts séduisants et lénifiants (le monde vivra d’amour et d’eau fraîche), et en brandissant des épouvantails diabolisant le nucléaire, l’industrie, les insecticides… Le mot pesticide (contre la peste) a été diffusé pour faire peur car le terme exact produit phytosanitaire (pour protéger les plantes), ou même simplement insecticide, était trop doux et rassurant.
En s’appuyant sur des dogmes partisans, des apprentis sorciers dénués de toute compétence légifèrent dans des domaines techniques, industriels et économiques complexes sans seulement entrevoir les graves conséquences sur le niveau de vie, le confort et la sécurité des Français.
Via les grands médias, ces nouveaux « maîtres à penser » bourrent quotidiennement les cerveaux des Français, y compris des enfants, d’arguments séduisants mais faux comme : « la croissance et l’emploi en France vont revenir en développant les énergies renouvelables ».
Mais c’est le contraire qui se produit.
Cette caste d’experts, parfois autoproclamés, justifie doctement cet assassinat de la pensée rationnelle au nom de l’écologie en érigeant leurs certitudes en dogme « irréfutable » et en s’arrogeant le droit de définir le Bien et le Mal.
LE BIEN ET LE MAL
S’il existe une possibilité de détruire le Mal, alors seuls les détenteurs du Bien doivent détenir le pouvoir afin de sauver la planète et de libérer l’humanité.
Il faudrait être fou ou pervers pour s’y opposer. Il faut donc forcer les gens à être libres, ce qui implique la suppression de… la liberté, une fois le pouvoir conquis.
La violence, les procès, les prophètes, et le messianisme sont inhérents à ce type de raisonnement commun entre l’écologie et les religions. Le discours écologiste s’est approprié Le Bien et Le Mal de telle sorte qu’après le marxisme… une nouvelle idéologie apparaît : l’écologisme, détentrice du Bien.
L’émergence de la figure de Greta Thunberg jetant l’anathème sur les adultes qui lui ont « volé son enfance » n’est pas due au hasard, tout comme les dérives sectaires et violentes (véganisme, antispécisme, attaque de centrales nucléaires…).
Quasiment tous les partis politiques tiennent un discours écologiste qui va de pair avec la culpabilisation des citoyens et leur taxation.
Dorénavant, des juges condamnent même des États au nom « du Climat », comme hier au nom de Dieu, du prolétariat ou de la race.
Les écologistes et les religieux extrémistes empruntent pour le moment des chemins parallèles avec les mêmes discours, en utilisant de plus en plus des méthodes violentes pour faire triompher leurs causes.
L’écologie et la spiritualité, porteuses du meilleur et du pire s’occupent respectivement de la protection de la nature et de l’âme.
Les deux sont en charge d’une certaine forme d’immortalité et sont respectables, mais elles s’opposent au choix fait principalement par l’Occident de privilégier la liberté individuelle.
Ces deux forces remettent en cause le marché et la démocratie qui laissent le dernier mot aux Hommes au lieu de privilégier des valeurs naturelles et spirituelles considérées comme supérieures aux lois humaines.
Elles s’uniront en s’appuyant l’une sur l’autre pour faire avancer leurs causes et donner les pleins pouvoirs à ceux qui parlent en leur nom.
Lorsque les écologistes et les religieux se coaliseront, leur idéologie sera d’une force considérable. Cela se fera d’abord par une alliance cynique et utilitaire entre des écologistes radicaux et des extrémistes gauchistes, anarchistes et fascistes, comme il en existe déjà entre des mouvements fondamentalistes et criminels.
Si les démocraties n’y prennent pas garde, elles pourraient être balayées par ces nouvelles forces qui conduiront à de nouveaux totalitarismes après bien des désastres.
Ces rapprochements idéologiques aux relents nauséabonds peuvent se targuer de beaux succès catastrophiques dans l’Histoire du monde.
Les chemises brunes, noires, les foulards rouges, verts, et autres cols Mao sont autant de signes extérieurs de tyrannies ayant réussi brillamment, avant d’imploser devant les réalités économiques et physiques.
UNE DICTATURE VERTE EN GESTATION ?
Les assassins de la liberté ont besoin de formulations creuses, grandiloquentes et effrayantes (« il faut sauver la Planète ») qui émeuvent et rassemblent.
Le pouvoir dictatorial s’impose ensuite par le mensonge, la propagande et l’abêtissement de la population dont les réfractaires « pollueurs » sont désignés à la vindicte médiatique et populaire.
Quelques siècles de pratique de ces méthodes détestables ne permettent pas toujours de discerner ces agissements pernicieux qui contrôlent la pensée. Ils ont l’apparence d’un déroulement logique et rationnel, alors qu’ils ne sont constitués que de syllogismes et de juxtapositions d’idées fausses martelées systématiquement.
Généralement, le peuple berné par la duplicité de ces manœuvres s’en aperçoit trop tard.
Les Européens goberont-ils encore longtemps les mensonges de ces « maîtres en écologie » qui sévissent maintenant au plus haut niveau pour établir les lois ?
L’Europe s’éteindra-t-elle sous les vents mauvais de ces nouveaux gourous verts nostalgiques d’un passé naturel idyllique qui n’a jamais existé ?
Pour le moment, l’écologie politique s’appuie sur des médias serviles pour faire croire à sa légitimité. Mais son inconsistance fondée sur « du vent » et des fadaises dévoilera sa vacuité dans le monde réel.
Sa volonté tyrannique se consumera alors sur le bûcher des réalités. Et ce sera une bonne nouvelle ! Mais quand ?
Lorsque les supercheries se révèleront, il sera bien tard et le mal sera fait, et probablement pour longtemps.
Alors, assis sur un monde en ruine, une jeunesse soucieuse regardera à terre les folles illusions d’un monde merveilleux reposant sur du vent et du soleil en se demandant benoîtement : « comment avons-nous pu en arriver là ? »
Un article publié initialement le 29 novembre 2019
Soudain, la « science » prétend que les personnes VACCINÉES doivent être protégées des non vaccinés… comment est-ce possible si les vaccins fonctionnent ?
RépondreSupprimerMardi 14 septembre 2021
par : Ethan Huff
(Natural News) Les « vaccins » contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) sont si « sûrs et efficaces » que les Covidiens de la Branche les poussant maintenant insistent sur le fait que les personnes qui refusent les injections constituent une menace existentielle pour la santé de ceux qui les ont prises.
Vous avez bien lu : à moins que toutes les personnes non vaccinées acceptent également de se faire vacciner, les personnes déjà vaccinées risquent toujours de tomber malades et de mourir, soi-disant à cause des non vaccinés.
"Jamais auparavant dans l'histoire il n'y avait eu besoin de" protéger les vaccinés "", déclare Karl Denninger. "Il n'y en a pas maintenant à moins que les injections ne fonctionnent non seulement, [mais] dans un certain pourcentage de personnes qui les ont pris, ils aggravent l'infection - et ils le savent."
Comme cela a toujours été le cas jusqu'à très récemment, le but de la vaccination est de fournir une protection personnelle contre la maladie. Les personnes qui prennent des vaccins, nous dit-on, obtiennent une « immunité » spéciale que les non vaccinés ne sont censés jamais obtenir parce que leur système immunitaire naturel n’a pas reçu la « mise à niveau » du vaccin.
Ils ne fonctionnent, nous dit-on maintenant, que si tout le monde en prend un. Si même une seule personne saute le vaccin, alors toutes les personnes qui se sont fait vacciner peuvent toujours tomber malades et peut-être même mourir de « covid » même si elles sont considérées comme « complètement vaccinées ».
Cela n'a absolument aucun sens, bien sûr, mais le monde est apparemment tellement abruti à ce stade que ce train de pensée est généralement accepté comme « scientifique » dans la « nouvelle normalité ».
VÉRIFICATION DE LA RÉALITÉ : Les non vaccinés ont besoin d'une protection contre les vaccinés
Même si tout le monde acceptait de retrousser ses manches pour un vaccin contre le virus, le mieux qui se passerait, selon les «autorités», est qu'il pourrait y avoir moins d'hospitalisations ou quelque chose du genre.
À aucun moment, le gouvernement ou Big Pharma n'a prétendu que se faire injecter des germes chinois « guérirait » la plandémie, même si tout le monde s'y conformait. Tout au plus, il pourrait, peut-être, dans un univers alternatif, des cas plus «légers» de la maladie par opposition à des cas plus graves.
Même cette maigre affirmation, aussi sans valeur qu'elle soit, a été démystifiée comme rien de plus qu'un vœu pieux par des membres de l'Église de Covid qui souhaitent que ce soit vrai afin qu'ils puissent convaincre plus de gens de se faire vacciner.
La vérité est que les injections ne font rien pour garder les gens en bonne santé et semblent en fait rendre les gens plus malades et plus sujets à la mort. Si ces clichés n'avaient jamais été introduits en premier lieu, le "covid" tel que nous le connaissons actuellement serait déjà dans les livres d'histoire.
Au contraire, la plus grande menace pour la santé publique en ce moment sont les personnes vaccinées qui sont devenues des usines de protéines à pointes ambulantes, infectant potentiellement toutes les personnes avec lesquelles elles entrent en contact. Ce sont les non vaccinés qui ont besoin de protection contre les vaccinés, en d'autres termes.
RépondreSupprimerÀ moins que le pape Fauci ne dise la vérité à ses serviteurs, ils n'écouteront probablement jamais la science réelle. Tant de ces personnes sont tellement investies dans le culte du Covidisme à ce stade que leur fierté à elle seule les empêchera à jamais d'admettre qu'elles ont été dupées en croyant à un mensonge.
"... ils savent que les vaccins ont non seulement échoué, mais qu'ils potentialisent en fait les infections au lieu de les protéger", a déclaré Denninger à propos de l'établissement.
« Sinon, pourquoi voudriez-vous ‘protéger les vaccinés ?’ », ajoute-t-il, soulignant peut-être le plus gros défaut logique du récit actuel de la plandémie.
Plus d'informations sur le cirque de clowns du coronavirus de Wuhan (Covid-19) peuvent être trouvées sur Pandemic.news.
Les sources de cet article incluent :
Marché-Ticker.org
Archive.is
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2021-09-14-science-vaccinated-protected-unvaccinated-impossible-vaccines-work.html
Comment des 'docteurs' ou 'infirmières' apportant sciemment la piqûre de la mort à des patients peuvent-ils ou elles s'appeler encore 'docteurs' et 'infirmières' ?
SupprimerUn médecin de l'Idaho signale une "augmentation 20 fois supérieure" du cancer chez les personnes "vaccinées" contre le covid
RépondreSupprimerMardi 14 septembre 2021
par : Ethan Huff
(Natural News) Le Dr Ryan Cole, pathologiste certifié et propriétaire et opérateur de laboratoire de diagnostic basé dans l'Idaho, a publié de nouvelles informations choquantes sur la façon dont les «vaccins» contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) provoquent une «hausse» massive dans maladies auto-immunes et cancer.
Dans une vidéo produite par le projet "Capitol Clarity" du gouvernement de l'État de l'Idaho, Cole a révélé comment il constate maintenant une augmentation de 2 000 % des maladies chroniques chez les personnes qui ont reçu les injections "Operation Warp Speed" de Donald "père du vaccin" Trump.
"Depuis le 1er janvier, en laboratoire, je constate une augmentation de 20 fois le nombre de cancers de l'endomètre par rapport à ce que je vois chaque année", a déclaré Cole dans la vidéo.
"Je n'exagère pas du tout parce que je regarde mes chiffres d'une année à l'autre, et je me dis 'Mon Dieu, je n'ai jamais vu autant de cancers de l'endomètre auparavant.'"
Cole a révélé ces statistiques et d'autres lors d'un événement du 18 mars, affirmant aux habitants de l'Idaho que les soi-disant «vaccins» contre la grippe Fauci invoquent un type de réponse auto-immune «VIH inversé» dans le corps des gens.
Un système immunitaire normal qui fonctionne bien possède deux types de cellules qui maintiennent le corps en bonne santé : les cellules T « auxiliaires », également appelées CD4, et les cellules T « tueuses », également appelées cellules CD8. Chez les « entièrement vaccinés », il y a une suppression massive des cellules T « assistantes », prévient Cole, ce qui laisse le patient vulnérable à un éventail de maladies.
"Après la vaccination, ce que nous voyons, c'est une baisse de vos cellules T tueuses, de vos cellules CD8", a déclaré Cole. « Et que font les cellules CD8 ? Ils contrôlent tous les autres virus. »
Le gouvernement injecte-t-il des personnes infectées par le VIH et l'appelle-t-il « vaccination contre le covid ? »
Les affirmations de Cole résonnent avec les résultats d'une étude publiée dans The Lancet à la fin de l'année dernière qui a révélé que les vaccins contre le virus chinois augmentent considérablement le risque d'une personne de développer une infection par le VIH.
Se pourrait-il que les jabs insèrent en fait le VIH dans le corps des gens sous prétexte de les « vacciner » contre les germes chinois ? Tout le monde se fait-il mentir sur ce que contiennent réellement ces flacons ?
RépondreSupprimerIl semblerait que oui, sur la base des dernières preuves et révélations. Alors que le VIH est connu pour supprimer les lymphocytes T « assistants », les injections de covid suppriment apparemment les lymphocytes T « tueurs », ce qui, selon Cole, a un effet négatif similaire sur l'immunité.
Cette suppression des «cellules T tueuses» induite par le vaccin, poursuit Cole, génère une augmentation importante des cas de cancer de l'endomètre, de mélanomes, d'herpès, de zona, de mono et même de virus du papillome humain (VPH) lorsqu'on « regarde le col de l'utérus ». biopsies de femmes.
D'autres ingrédients dans les jabs, y compris le polyéthylène glycol, causent également des problèmes pour le système immunitaire des gens. Plutôt que de les protéger contre une infection par le virus chinois comme on le prétend, ces additifs pour injection présentent un risque de toxicité grave qui pourrait entraîner encore plus de problèmes de santé en plus de ceux causés par les effets de type VIH des jabs.
"Ce qui est le plus inquiétant, c'est qu'il existe une tendance à ce que ces types de cellules immunitaires dans le corps contrôlent le cancer", prévient Cole sur ce que font ces injections, y compris chez les jeunes qui étaient en parfaite santé avant de se faire piquer.
« Je vois des mélanomes invasifs chez des patients plus jeunes ; normalement, nous les attrapons tôt, et ce sont des mélanomes minces, [but] je vois des mélanomes épais monter en flèche au cours des deux derniers mois. "
Cole a pris la parole lors de plusieurs événements au cours des derniers mois, avertissant les gens des risques sérieux liés au fait de se faire piquer. Certains de ses travaux ont été supprimés de YouTube pour être trop véridiques, alors gardez un œil sur le nouveau contenu sur le Dr Ryan Cole sur Brighteon.com.
« Pouvez-vous imaginer à quoi ressembleront les taux de cancer dans cinq ans ? » a demandé un commentateur à LifeSiteNews. « Cela ne sera pas signalé. Ils ne feront même pas d'étude.
Plus d'articles sur les injections de virus chinois peuvent être trouvés sur ChemicalViolence.com.
Les sources de cet article incluent :
LifeSiteNews.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2021-09-14-idaho-doctor-20times-increase-cancer-vaccinated-covid.html
Le mandat fédéral de Biden sur les vaccins ne s'applique pas vraiment à tout le monde: les membres du Congrès, le personnel et les postiers sont EXEMPTS
RépondreSupprimerMardi 14 septembre 2021
par : JD Heyes
(Natural News) Joe Biden a donné mandat aux entreprises de 100 employés ou plus d'exiger que tout le personnel prenne un vaccin COVID-19 ou soit soumis à des tests hebdomadaires, de peur que l'entreprise ne soit condamnée à une amende de 14 000 $ pour chaque violation.
Ceci, après que Biden en tant que «président élu» a juré qu'il n'avait pas le pouvoir de délivrer des mandats de vaccins aux entreprises privées et aux particuliers.
Dans le même temps, le roi Biden a déclaré que tous les employés fédéraux et entrepreneurs fédéraux devraient également obtenir le coup, mais il s'avère qu'il a également menti à ce sujet, et en même temps a donné à chaque entreprise qu'il commandait une sortie légale, comme si ils en avaient besoin, étant donné que l'ordonnance de Biden est inconstitutionnelle à première vue.
Il s'avère que les membres du Congrès et leur personnel sont exemptés, ainsi qu'environ un quart de l'ensemble des effectifs fédéraux, a rapporté Epoch Times :
… Le président Joe Biden a dévoilé deux décrets qui pourraient imposer la vaccination contre le virus du PCC (Parti communiste chinois) pour des millions de travailleurs américains dans les sphères publique et privée. Mais absentes de ces mandats, il y a des exigences similaires pour les membres du Congrès, les juges fédéraux ou leurs employés.
Les décrets de Biden exigeraient unilatéralement la vaccination des employés fédéraux, de l'armée et des sous-traitants du gouvernement. Le président a également demandé à l'Administration de la sécurité et de la santé au travail (OSHA) d'exiger que les entreprises de plus de 100 employés prescrivent la vaccination ou des tests hebdomadaires du virus CCP. Au total, ces mandats pourraient affecter plus de 100 millions de travailleurs américains, ce qui en fait l'un des mandats de vaccination les plus étendus de l'histoire du monde.
"C'est la politique de mon administration d'arrêter la propagation de la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19), y compris la variante B.1.617.2 (Delta), en s'appuyant sur les meilleures données disponibles et des mesures de santé publique fondées sur la science", Biden a écrit dans sa commande.
« Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) du ministère de la Santé et des Services sociaux ont déterminé que le meilleur moyen de ralentir la propagation du COVID-19 et de prévenir l'infection par la variante Delta ou d'autres variantes est de se faire vacciner. la commande a continué.
Lorsqu'il s'est adressé à la nation, Biden a indiqué qu'en plus du secteur privé, des employés fédéraux seraient également mandatés.
«Je signerai un décret qui exigera désormais que tous les employés fédéraux de l'exécutif soient vaccinés – tous. Et j'ai signé un autre décret qui obligera les entrepreneurs fédéraux à faire de même », a déclaré Biden. « Si vous voulez travailler avec le gouvernement fédéral et faire affaire avec nous, faites-vous vacciner. Si vous voulez faire affaire avec le gouvernement fédéral, vaccinez votre main-d'œuvre. »
RépondreSupprimerCependant, comme l'a noté Epoch Times, "les mandats des membres des employés fédéraux des pouvoirs législatif ou judiciaire, y compris les membres du Congrès, leurs employés, ainsi que les juges fédéraux et autres employés des tribunaux, ne sont pas inclus dans les décrets exécutifs".
Mais les rapports de la semaine dernière ont indiqué que les travailleurs des services postaux américains seraient exemptés. Le Washington Post a rapporté que le syndicat représentant les 644 000 travailleurs de l'USPS avait conclu un accord où ils ne seraient pas tenus d'obtenir le jab, bien que le New York Post affirme que la Maison Blanche a publié une "clarification" indiquant le contraire.
"La Maison Blanche a publié une clarification jeudi soir après que le Washington Post, citant un responsable, a rapporté que les employés de l'USPS n'étaient pas tenus de se faire tirer dessus et n'étaient que" fortement encouragés "à le faire", a rapporté The Post.
« L'USPS n'est pas inclus dans le décret exigeant la vaccination des employés fédéraux. L'USPS a un régime statutaire distinct et est traditionnellement indépendant des actions du personnel fédéral comme celle-ci », a déclaré un responsable de l'administration.
L'administration disant que l'USPS n'est pas réellement exemptée n'a pas de sens ; le Washington Post ne se tromperait pas sur un tel régime à propos d'un régime démocrate. Mais au-delà de cela, il est parfaitement logique que nos élites soient « exemptées » du mandat qu'elles nous imposent.
Les sources comprennent :
NYPost.com
TheEpochTimes.com
Pandémie.nouvelles
https://www.naturalnews.com/2021-09-14-bidens-federal-vaccine-mandate-doesnt-apply-to-everyone.html
L'important est d'avoir un STATUT ANTI-VIRUS !
SupprimerIl s'agit là d'un laisser-passer ou 'valise diplomatique' où tout peut y être fourgué dedans sans qu'aucun virus ne le sache !!
Propriétaire immobilier : cette coûteuse passion française
RépondreSupprimerLa crise des subprimes n’a pas refroidi les ardeurs des dirigeants français qui n’ont eu cesse depuis 2008 de soutenir un marché immobilier français.
15 SEPTEMBRE 2021
Par Franky Bee.
Tout commence lors du débat qui s’est tenu le 28 août dernier entre Rafik Smati et Éric Zemmour.
L’économie ? « Ce n’est pas la priorité », affirmait Zemmour. En face, le président d’Objectif France est tout le contraire de son contradicteur sur ce sujet, à savoir l’un des rares hommes politiques français à avoir développé une véritable réflexion économique dans un monde de hauts fonctionnaires et philosophes, où les projets sur l’économie sont construits à la va-vite à la manière d’un grand bingo des choses censées répondre aux besoins des Français.
Et pourtant c’est bien ce même Smati qui a déclaré vers la fin de cet échange vouloir faire émerger une France « où chacun peut devenir propriétaire ». Le mot était lâché !
Voilà plus de quinze ans qu’on nous rabâche les oreilles avec cette idée. Déjà en 2007, Nicolas Sarkozy nous expliquait vouloir « une France de propriétaires ». Un peu comme Clinton et Bush quelques années plus tôt du côté américain, qui avaient au passage créé les conditions de l’une des plus grandes débâcles financières de l’histoire moderne.
Mais la crise des subprimes n’a pas pour autant arrêté les États-Unis, tout comme elle n’a pas refroidi les ardeurs des dirigeants français qui n’ont eu de cesse depuis 2008 de soutenir un marché immobilier français qui ne cesse pourtant de battre des records. Assouplissement des conditions d’emprunt par-ci, plan de défiscalisation par-là, tout a été fait pour permettre au plus grand nombre de ménages de devenir propriétaires, le rêve ultime en France.
IL N’Y A PAS DE REPAS GRATUIT
Bizarrement, il n’y a jamais eu grand-monde pour s’inquiéter de l’impact de cette hyperinflation des prix de la pierre (notamment dans les grandes métropoles) sur la santé financière des ménages des classes moyennes et populaires.
À une époque où économistes et commentateurs de plateau (du plus politiquement correct au plus iconoclaste) sont unanimes pour nous expliquer que les craintes actuelles d’inflation sont exagérées, personne ne semble s’émouvoir de la perte de pouvoir d’achat que subit l’individu moyen depuis deux décennies, du fait de cette hausse excessive et totalement injustifiée de l’immobilier. Le fait de ne pas voir cela comme de l’inflation témoigne du fossé qui sépare les classes supérieures du reste de la population.
Pire, à l’instar de ses homologues étrangers, l’INSEE produit régulièrement un indice des prix à la consommation au sein duquel le poids des dépenses de logement ne dépasse pas 10 % du budget des ménages. Le jeune locataire parisien appréciera cette vision particulièrement peu réaliste. Et cela vaut aussi pour le primo-accédant, contraint désormais de s’endetter sur des durées allant de 20 à 25 ans pour des biens devenus ridiculement chers au regard de leur qualité.
RépondreSupprimerLe fait que la qualité des logements sur le marché se dégrade au fil des années n’est d’ailleurs pas dû au hasard, car l’une des conséquences de prix d’achat anormalement élevés est que la part de budget consacrée aux travaux de rénovation ne cesse mécaniquement de diminuer. Après tout, une maison ou un appartement reste un bien qui se déprécie dans le temps, un peu comme votre voiture…
LE GRAND DÉCLASSEMENT IMMOBILIER
Dans ce contexte, difficile de ne pas comprendre qu’une part croissante des Français a le sentiment d’une grande perte de pouvoir d’achat. Car à part certaines personnes âgées, la situation finit par peser sur le plan grand nombre d’entre eux.
Au-delà des ménages, cette bulle est aussi un énorme frein pour l’économie française. En effet, le prix du foncier impacte aussi les entrepreneurs qui doivent s’installer dans des zones touchées par la surchauffe immobilière. Comment faire pour être rentable lorsque vous commencez par payer un loyer astronomique ?
En outre, plus il y a d’épargne immobilisée dans la pierre, moins il y a d’argent disponible pour l’économie réelle. Il est d’ailleurs symptomatique de constater que le verbe investir est dans le langage courant devenu synonyme d’acheter un logement. A contrario, investir dans une entreprise est depuis longtemps l’équivalent de jouer en bourse, ce qui pour autant est peut-être le cas actuellement !
LES PRÉJUGÉS ONT LA VIE DURE
Évidemment, il y aura beaucoup de gens pour vous expliquer que la hausse des prix des logements est tout à fait justifiée, et qu’il n’y a rien d’anormal à ce que les heureux propriétaires puissent avoir le bonheur de s’enrichir en dormant.
De toute manière, on nous raconte régulièrement qu’il n’y a pas de problème car l’immobilier n’aurait jamais été aussi attractif du fait des taux bas.
Un argument de poids pour un commercial, mais totalement faux d’un point de vue scientifique puisque le niveau de taux d’intérêt ne compense en rien des prix qui ne cessent de grimper si on les compare au revenu disponible. Ce que font en réalité les banques, c’est de solvabiliser des ménages qui n’ont plus les moyens d’acheter, en allongeant les durées de prêt et en diminuant les mensualités grâce à la magie de la Banque centrale européenne.
RépondreSupprimerOn vous dira aussi qu’il n’y a pas assez d’offre et que le marché ne fait que régler ce déséquilibre. Cet argument est des plus fallacieux. Contrairement aux idées reçues, la construction de nouveaux logements dépasse le nombre de nouveaux ménages chaque année – comme le montrent les chiffres du CGEDD – sachant en outre que le marché est en train de passer structurellement vendeur du vieillissement de la population.
Certes, quelques zones demeurent relativement tendues, mais l’idée générale d’une absence d’offre est un schéma circulaire, car c’est bien l’excès de demande sur le marché de l’achat-vente qui crée cette illusion de rareté de l’offre.
Pour résumer : tant que les ménages voudront acheter leur logement, les prix ne cesseront de monter, générant une peur de manquer chez les non-propriétaires et poussant encore davantage de monde à l’achat. Et comme le marché deviendra encore moins abordable, les politiques viendront inévitablement prendre des mesures pour aider les Français à concrétiser leur projet d’achat, poussant encore un peu plus les prix à la hausse, et ainsi de suite.
L’IMMOBILIER : UNE OBSESSION FRANÇAISE
Il faut dire que la pierre est bien plus qu’une passion, c’est un véritable objectif de vie pour un grand nombre de Français. Celui qui n’a pas acheté sa maison à cinquante ans a plus ou moins raté sa vie dans l’esprit de bon nombre de nos compatriotes. De manière assez étrange, nos voisins allemands ne partagent pas du tout cette vision des choses.
Le plus inquiétant est l’aveuglement d’une large partie de la classe politique sur ce sujet, tout comme d’un grand nombre d’économistes, d’intellectuels ou de journalistes. Et le constat vaut, quel que soit le bord politique. N’ayez aucun doute sur le sujet : le ou la prochaine présidente de la République proposera un nouveau plan de soutien à l’achat immobilier. C’est dans les gènes.
Il faut rendre à César ce qui est à César, mais Gilles Raveaud – économiste bien plus habitué des colonnes d’Alternatives Économiques que de celles de Contrepoints – est quasiment le seul à surnager dans cet océan de paresse intellectuelle. Lors de son passage chez Thinkerview il y a cinq mois, il expliquait très clairement que les prix de la pierre constituent la matrice des problèmes économiques français. Mais force est de constater que son constat a été peu relayé.
LE CONTRÔLE DE LA MONNAIE
RépondreSupprimerNe soyons pas trop durs avec Rafik Smati et Objectif France, ils ont au moins le mérite de mettre le doigt sur la problématique du poids de l’État dans les décisions et son impact sur une économie de plus en plus immobile. Mais des réformes de fond en la matière, aussi radicales soient-elles, seront insuffisantes pour recréer la confiance collective appelée de ses vœux en son temps par Alain Peyrefitte, tant que l’on ne s’attaquera pas à cette problématique de la manipulation de la monnaie.
Car fausser la valeur de l’argent c’est favoriser une spéculation ubuesque, avec des évolutions de prix absurdes donnant lieu à de profondes inégalités et à des distorsions qui freinent le potentiel économique de nombreux de pays occidentaux.
La richesse doit avant toute chose être le fruit de la production d’un pays, et non pas le résultat d’une politique monétaire visant à porter à bout de bras une bulle qui a cessé depuis fort longtemps d’être amarrée à la réalité économique. Comme l’a dit Charles Gave, la monnaie est une chose trop sérieuse pour ne pas être strictement régulée, car l’instabilité des prix est un coup bas porté aux particuliers et aux entrepreneurs de demain.
Et il faut le dire et le redire, l’histoire est malheureusement remplie d’expériences de planches à billets et autres politiques hasardeuses qui se sont terminées en drame humain.
La Suisse a compris depuis très longtemps que favoriser la stabilité des prix était une nécessité, et notamment dans un domaine aussi critique que le logement. Quoi que l’on pense du régime de Pékin, la Chine de Xi Jinping évolue de plus en plus dans cette direction, le pouvoir ayant manifestement compris que le rôle clé joué par l’hyperinflation immobilière à Hong Kong dans le mouvement de révolte en 2019.
On ne pourra pas répondre à ce sentiment de déclassement qui frappe la France depuis au moins deux décennies – et qui semble être le principal catalyseur de l’émergence des Gilets jaunes – tant que l’on ne s’attaquera pas au problème de la spéculation sur la pierre, et à la question sous-jacente qui est celle de la manipulation de l’argent.
CHOIX DU PASSÉ CONTRE CHOIX DE L’AVENIR
RépondreSupprimerÉvidemment, le problème n’est pas simple à résoudre, et tout éclatement de la bulle immobilière fragiliserait un grand nombre de ménages trop endettés ou trop attachés à la valeur virtuelle de leur patrimoine. Mais ne vous faites aucune illusion, ne rien faire consisterait à reculer pour mieux sauter, à savoir continuer d’écraser classes populaires et moyennes tout en créant les conditions d’une crise encore plus violente dans les prochaines années.
En résumé, mieux vaudrait enrayer volontairement la spéculation et tenter de piloter l’atterrissage du marché plus ou moins en douceur, plutôt que de continuer de nourrir la hausse et de subir une chute très violente qui finira tôt ou tard par arriver (ceux qui prétendent le contraire sont au mieux des ignorants au pire des menteurs).
Comme le préconisait Lee Yuan Kew, penseur du modèle singapourien, entre deux décisions, un chef d’État devrait toujours opter pour la plus difficile.
Là où la Chine semble s’orienter dans la première direction, cherchant à provoquer le dégonflement de ses bulles financières et immobilières, la France a clairement choisi la seconde en continuant de faire l’autruche.
Mais notre pays a-t-il seulement conscience de tout cela ?
https://www.contrepoints.org/2021/09/15/405257-proprietaire-immobilier-cette-couteuse-passion-francaise
Quand on est sur Terre c'est pour avoir une idée à soi, sa propre opinion des choses, son instruction personnelle, un corps à soi, des vêtements à soi, une femme à soi, un appartement à soi, une voiture à soi, une maison, un terrain à soi, parce que le kolkhoze soviétique n'intéresse personne, les cons alignés qui défilent en rangs avec leur fanfare et les singes du zoo qui attirent les envieux sont des particularités comme le sont les pygmées.
SupprimerFaut savoir ce qu'est l'économie. L'économie c'est ce que l'on garde de côté qui est volé par l’État pour construire des routes, des ponts, des bâtiments gigantesques que l'on vient de payer, de faire construire et dont est pas... propriétaire !! Même 50 ans après, c'est comme à la banque, l'argent déposé n'appartient plus au dépositaire mais devient celui du banquier ! S'il fait faillite: vous perdez tout ! Fallait pas mettre l'argent en banque ! Oui mais le chèque de fin de mois, je le dépose où ?
C'est pourquoi AUCUNE et AUCUN candidat aux présidentielles ne vous parlera de la Suisse ! Ils ou elles ne parlent pas de Démocratie mais de dictature ! Demandez donc aux ordures de vous parler de Démocratie !!
Non, les 'maillots jaunes' ne sont pas les Révoltés du Bounty !
FAUT-IL INVESTIR EN CHINE ?
RépondreSupprimerpar SÉBASTIEN THIBOUMERY
15/09/2021
La Chine a enregistré une croissance économique de 2,3% en 2020
Grande nervosité des marchés autour de la Chine : qu’essaient de faire Xi Jinping et son gouvernement, et quelles sont les conséquences du point de vue d’un investisseur boursier aujourd’hui ?
Les investisseurs sont de plus en plus nerveux au sujet de la Chine – et ce ne sont pas les faibles indicateurs économiques du mois d’août qui sont en cause.
La principale source d’inquiétude est la reprise en main par le gouvernement chinois des géants de la tech, de Didi à Alibaba en passant par le secteur de l’edtech (les technologies de l’éducation).
A l’automne 2020, Pékin avait déjà bloqué l’introduction en Bourse d’Ant Group et le groupe de Jack Ma a dû s’acquitter d’une amende record de 18 milliards de yuans (2,3 Mds€) pour abus de position dominante.
Depuis, les annonces sur la régulation du secteur de l’éducation (en février 2021), le CSI 300 (un indice regroupant les 300 plus grandes valeurs cotées à Shanghai et Shenzhen) a perdu près de 20%. Même tarif pour les valeurs du luxe (LVMH, Kering, Hermès), la Chine comptant pour un tiers de leur marché et deux tiers de leur croissance.
Les investisseurs n’ont pas manqué de critiquer l’attitude des autorités en réduisant leur exposition ou quittant purement et simplement le marché chinois.
Georges Soros a déclaré que Xi Jinping ne connaissait rien au fonctionnement du marché, et critiqué la poussée de BlackRock en Chine, en disant que c’était une erreur tragique et que les clients de BlackRock allaient perdre de l’argent. Vraiment ?
Dans la tête de Xi
Pour comprendre ce qui se passe en Chine, il faut se mettre dans la tête de Xi. Le dirigeant chinois a deux problèmes de taille : 1) le ralentissement de la croissance chinoise (passée de 12% par an à 6%) et 2) l’augmentation des inégalités. Il dispose d’un outil : le plan quinquennal 2021-2025, qui cherche à atteindre la « prospérité commune ».
Pour augmenter la « prospérité », il faut augmenter le travail, la productivité et le capital.
Comment ? En augmentant la natalité et en redirigeant les investissements vers l’économie réelle et le capital productif. Enfin, pour que cette prospérité soit « commune », il faut réduire les inégalités (pécuniaires) en passant par la taxation et un système de donation, mais pas seulement.
Les secteurs de l’éducation et de l’immobilier au cœur de la tempête
RépondreSupprimerLa réduction des inégalités (non pécuniaires) passe par un meilleur accès à l’éducation. Or le système des cours privés en Chine est une pompe aspirante des économies familiales.
Les parents dépensent en moyenne 18 000 $ par an en cours privés (sachant que le PIB/habitant en Chine est de 10 000 $). Les enfants ruraux qui n’y ont pas accès sont désavantagés et les campagnes marketing agressives de la part des sociétés de cours privés font naître une grande anxiété chez les parents qui cherchent à inscrire leurs enfants à ces programmes (syndrome du FOMO, fear of missing out).
Le secteur de l’edtech génère 100 Mds$ de revenus par an, avec des acteurs comme New Oriental (EDU) et TAL Education (TAL) qui ont connu des croissances de 25-30% et des valorisations records (ratio cours/bénéfices de 60x).
Une bonne opération pour les actionnaires, mais quel bénéfice pour la société chinoise ? Ces sociétés règlent-elles un problème ou bien en créent-elles un plus grand ? Les profits qu’elles réalisent font supporter un coût trop élevé à la société.
Les prix de l’immobilier quant à eux ont augmenté de 8% par an sur les 20 dernières années, en partie en raison du contrôle des capitaux qui ne peuvent s’investir ailleurs, mais aussi à cause du système éducatif, puisque le lieu de domicile détermine l’école où vont les enfants.
Le boom est-il en train de toucher à sa fin ? L’une des sociétés les plus importantes du secteur, Evergrande, est surendettée (305 Mds$ de dettes) et en danger de défaut.
Par conséquent, beaucoup de Chinois préfèrent abandonner une vie urbaine trop compliquée pour privilégier la vie à la campagne, loin des contraintes matérielles. Ils font également moins d’enfants (malgré l’abolition de la politique de l’enfant unique en 2016), ce qui inquiète les autorités au moment où de plus en plus de Chinois vont partir à la retraite.
« Prospérité commune » contre « reflation »
Si les dirigeants chinois pensent que le bien-être de la société sur le long terme passe par un taux de natalité plus élevé, des prix du logement décents et des coûts d’éducation plus bas, alors sacrifier du capital en vaut la peine, surtout lorsque ce capital est mal utilisé (et n’est donc pas productif).
Des coûts d’éducation prohibitifs découragent les naissances et des coûts du logement élevés pénalisent la constitution de familles. De plus, ce n’est pas parce que le gouvernement chinois s’en prend à des « champions nationaux » comme Alibaba et Tencent qu’il est contre l’innovation. Au contraire. Dans le 14ème plan quinquennal (2021-2025), le mot « innovation » apparaît 165 fois, le mot « technologie » 89 fois, le mot « digital » 81 fois.
Le concept de « prospérité commune » n’est pas nouveau puisqu’il date des années 1990, lorsque Deng Xiaoping incitait déjà les Chinois à s’enrichir (« to get rich first ») en espérant des retombées positives pour tout le pays. Cependant, l’objectif n’était pas que certains s’accaparent la majorité des profits.
RépondreSupprimerEn effet, les dirigeants chinois considèrent le marché comme un moyen (et non une fin), ce qui constitue une différence majeure avec les économies occidentales. Aussi, le concept de « prospérité commune » est-il une réponse à la politique de « reflation » initiée par les Etats-Unis et qui engendre une hausse continue du prix des actifs et de la dette, créant de l’instabilité financière et des inégalités économiques au sein de la société.
Comment se positionner ?
La visibilité à court terme est désormais plus réduite pour l’investisseur en Chine, avec des interventions de l’Etat qui seront difficiles à prévoir et anticiper. Mais certaines actions ont déjà largement corrigé : Alibaba a perdu la moitié de sa valeur boursière depuis octobre dernier (soit 430 Mds$), Tencent a lâché 40% depuis son plus haut de février.
De plus, la banque centrale chinoise semble en passe d’assouplir sa politique monétaire, ce qui est toujours favorable pour les actions (au moment où la Fed devrait commencer son tapering).
L’incertitude fait toujours naître des opportunités et la Chine reste une belle opportunité de croissance avec 1,2 milliards de Chinois qui appartiendront à la classe moyenne d’ici 2027 (25% des classes moyennes mondiales).
L’objectif de Xi est de grossir le gâteau en supportant la consommation à long terme, ce qui devrait bénéficier aux valeurs du luxe et de la consommation. Le PDG de Pernod Ricard l’a bien compris, déclarant fin août que le pays a l’intention de soutenir l’émergence de la classe moyenne, ce qui est conforme à sa propre orientation stratégique.
La Chine reste un système capitaliste, mais le capital doit être au service des intérêts de la société et non l’inverse. Et prospérité commune ne veut pas dire voler les riches pour donner aux pauvres.
Parions que Xi a médité la pensée de Lao-Tseu : « Quand les gros maigrissent, les maigres meurent. »
Pour plus d'informations et de conseils de ce genre, c'est ici et c'est gratuit
http://www.economiematin.fr/news-investissement-chine-risque-pouvoir-pays-finance-thiboumery
En Asie, c'est l’État qui est propriétaire ! Propriétaire de tout ! Un étranger ne sera JAMAIS propriétaire en Asie ! JAMAIS ! Alors si vous investissez...
SupprimerLes chemins de fer et les pipelines apportent paix et prospérité
RépondreSupprimerPar Brian Cloughley
Culture stratégique
15 septembre 2021
Washington devrait faire face aux faits et accepter que les États-Unis doivent coopérer avec la Chine et la Russie plutôt que de maintenir leur position agressive.
Deux développements majeurs dans le transport commercial international ont été signalés en août et en septembre, mais aucun d'eux n'a été vraiment couvert par les grands médias occidentaux. D'abord, l'annonce du succès remarquable de la liaison ferroviaire Chine-Europe, racontée par l'agence de presse Xinhua et l'agence espagnole EFE, et ensuite l'histoire du 6 septembre selon laquelle le gazoduc Nord Stream 2 reliant la Russie et l'Allemagne était sur le point de come on line, qui a été couvert par le site Web Oil Price et dans une certaine mesure par Deutsche Welle qui n'a pas mentionné la déclaration officielle du ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov. Mais le New York Times, par exemple, n'a pas considéré le développement digne d'intérêt, même de manière mineure, et une recherche sur le site Web du journal était entièrement négative, comme pour tous les principaux médias occidentaux.
Il est intriguant que ces deux affaires importantes aient été si largement ignorées plutôt que d'être accueillies dans la plupart des capitales occidentales, et cela explique en partie l'état précaire des relations internationales d'examiner certaines des raisons derrière l'apparente antipathie des gouvernements et des médias occidentaux à l'égard de coopérations fructueuses impliquant la Chine et la Russie.
L'opposition au projet Nord Stream a été généralisée et brutale, la Pologne, par exemple, étant particulièrement critique. En juillet, son vice-ministre des Affaires étrangères a rencontré le conseiller en visite du Département d'État américain, Derek Chollet, et a déclaré que « la Pologne considère que ce projet est préjudiciable à la sécurité non seulement de l'Ukraine, non seulement de l'Europe centrale, mais aussi de la sécurité des l'ensemble de l'Europe, rendant l'UE dépendante du gaz russe, contrairement aux déclarations antérieures concernant la nécessité de diversifier les sources d'énergie. Comme on pouvait s'y attendre, la sous-secrétaire d'État américaine aux Affaires politiques, Victoria Nuland, elle qui a grandement aidé le coup d'État de 2014 en Ukraine, a déclaré qu'il s'agissait d'un "mauvais pipeline" et a parlé avec délectation des sanctions qui seraient imposées "si Moscou utilisait le pipeline comme une arme politique.
L'argument de « l'arme politique » est intéressant, principalement parce que ce gazoduc vise à apporter du gaz naturel à un prix raisonnable à environ 26 millions de foyers en Europe. C'est-à-dire qu'il s'agit de personnes, pas de politique. Bien sûr, il y a un avantage économique pour la Russie, dont le gaz est acheminé sur 1230 kilomètres (764 miles) sous la Baltique, et il serait surprenant qu'il n'y ait pas de gain commercial, car, comme les États-Unis seraient les premiers à l'affirmer, que est l'un des nombreux résultats positifs du commerce international.
Mais de nombreux législateurs américains ont des points de vue différents et ne se soucient pas des avantages pour les citoyens européens ou qui que ce soit d'autre. L'agence américaine Radio Free Europe a rapporté que le sénateur Rob Portman (républicain de l'Ohio) avait tweeté que « Nord Stream 2 renforcerait la Russie, saperait l'intérêt national des États-Unis et menacerait la sécurité de l'Ukraine – un allié clé des États-Unis », tandis que la représentante démocrate Marcy Kaptur a déclaré que « le Congrès doit rejeter tout accord qui ne protège pas la sécurité transatlantique et la souveraineté de l'Ukraine ».
RépondreSupprimerLa seule chose qui affecte l'Ukraine dans la success story de Nord Stream est l'incapacité qui en résulte de facturer les 3 milliards de dollars par an qu'elle reçoit pour permettre le transit de gaz à travers son territoire. C'est le capitalisme. Beaucoup de gens peuvent ne pas l'aimer, mais c'est ainsi que fonctionne l'Amérique et il est en effet étrange que les législateurs américains puissent se résoudre à s'opposer aux mouvements de la libre entreprise. D'un autre côté, le LA Times a noté que « Nuland a déclaré que les États-Unis continuaient de s'opposer au pipeline, mais a déclaré que Biden avait levé les sanctions contre la société allemande construisant le pipeline et ses hauts dirigeants parce que les sanctions auraient été contre-productives pour les intérêts américains plus larges. La campagne contre Nord Stream 2 n'avait donc rien à voir avec des personnes ou des principes. Il était entièrement anti-russe et centré sur « les États-Unis. intérêts". Ce qui nous amène à une autre success story que l'Occident n'aime pas.
La Ceinture et la Route de la Chine (BRI) est un projet mondial, décrit par le Council on Foreign Relations comme « l'un des projets d'infrastructure les plus ambitieux jamais conçus. Lancé en 2013 par le président Xi Jinping, le vaste ensemble d'initiatives de développement et d'investissement s'étendrait de l'Asie de l'Est à l'Europe, élargissant considérablement l'influence économique et politique de la Chine. La vision de Xi comprenait la création d'un vaste réseau de chemins de fer, de pipelines énergétiques, d'autoroutes et de postes frontaliers rationalisés. . . "
L'Economist Intelligence Unit note qu'au deuxième trimestre 2021, le niveau des échanges le long de la BRI « continue d'augmenter, malgré les vagues de Covid-19 en cours, les exportations chinoises d'électronique et de meubles bénéficiant de la tendance du travail à domicile. . . Le commerce de marchandises avec les pays le long de la BRI a augmenté de 38 % en glissement annuel au premier semestre 2021, représentant 29,6 % du commerce total de la Chine avec le monde. . . Les importations chinoises en provenance des pays le long de la BRI ont augmenté de 66,6% dans un contexte d'augmentation des prix des matières premières », ce qui est impressionnant et apparemment positif pour la Chine et ses partenaires. Mais les législateurs américains ne voient pas la BRI de cette façon. Il est considéré comme une menace pour le monde, et en particulier pour les États-Unis.
On peut s'attendre à ce que la Loi sur la concurrence stratégique du Sénat américain de 2021 devienne loi sous une forme modifiée, mais avec l'idée inchangée que « la République populaire de Chine tire parti de son pouvoir politique, diplomatique, économique, militaire, technologique et idéologique pour devenir un acteur stratégique, concurrent mondial proche des États-Unis. Les politiques de plus en plus poursuivies par la RPC dans ces domaines sont contraires aux intérêts et aux valeurs des États-Unis, de ses partenaires et d'une grande partie du reste du monde. Les législateurs de Washington ne pourraient pas déclarer plus clairement que, quoi qu'ait pu dire le président Biden lors de son appel téléphonique avec le président Xi le 9 septembre, il n'y aura pas de réduction de la pression américaine sur la Chine.
RépondreSupprimerM. Xi a souligné que « la Chine et les États-Unis peuvent-ils gérer correctement les relations mutuelles est une question pour le siècle qui concerne le sort du monde, et les deux pays doivent y répondre », mais rien ne prouve que le Congrès américain ou Le pouvoir exécutif aborde les relations sino-américaines avec autre chose que le proverbial Big Stick.
L'opinion du Congrès est que « bien qu'elle considère l'Initiative la Ceinture et la Route (BRI) comme une initiative de développement, la République populaire de Chine utilise également la BRI pour faire avancer ses propres intérêts de sécurité, notamment pour étendre ses capacités de projection de puissance et faciliter une plus grande l'accès de l'Armée populaire de libération par le biais d'installations militaires à l'étranger. Et c'est ce genre de déclaration tordue qui met bas pour la conduite des affaires internationales de Washington. Parce que la Chine n'a qu'une seule « installation militaire à l'étranger » (une installation portuaire à Djibouti dans la Corne de l'Afrique), alors que le 10 septembre, il a été signalé que « les États-Unis contrôlent environ 750 bases dans au moins 80 pays dans le monde et dépensent davantage pour leur armée. que les 10 prochains pays réunis.
Il n'est pas surprenant que tant de pays aient du mal à considérer la politique étrangère des États-Unis avec sérénité lorsque les législateurs de Washington se livrent à une telle exagération sans honte. Il peut être désagréable pour ceux au pouvoir à Washington, et, malheureusement, pour de très nombreuses autres personnes aux États-Unis, de devoir se rendre compte que la Russie et la Chine sont des nations importantes qui souhaitent de manière parfaitement légale étendre leur influence économique.
Il semble qu'ils ne puissent pas comprendre que lorsque la Russie dépense dix milliards de dollars pour la pose d'un gazoduc et qu'elle s'apprête à gagner des milliards chaque année grâce à la vente de son gaz transporté, ce serait une folie économique pour le gouvernement de Moscou d'essayer de quelque manière que ce soit d'utiliser le gazoduc pour se livrer à « agression et activités malveillantes ». De même, la Chine serait économiquement imprudente et même stratégiquement stupide de compromettre le succès croissant de la Ceinture et de la Route en étant autre que coopérative et responsable dans ses relations avec ses 138 pays partenaires de la BRI.
RépondreSupprimerWashington devrait faire face aux faits et accepter que les États-Unis doivent coopérer avec la Chine et la Russie plutôt que de maintenir leur position agressive actuelle. La nouvelle guerre froide est entièrement contre-productive et il faut reconnaître qu'il y a des avantages pour toutes les nations à développer et à améliorer les moyens et méthodes de commerce. L'administration américaine pourrait imaginer qu'elle fera preuve de faiblesse si elle décide de travailler avec Pékin et Moscou, mais ce serait faire preuve de bon sens et de clairvoyance d'abandonner la guerre froide et de se concentrer sur la coopération.
https://www.lewrockwell.com/2021/09/no_author/railways-and-pipelines-bring-peace-and-prosperity/
Globalisation : l'immigration, nouvel enjeu civilisationnel pour la Russie
RépondreSupprimermercredi 15 septembre 2021
La question de l'immigration devient un enjeu politique majeur en Russie, divisant ici comme ailleurs, les forces politiques entre "progressistes" appelant à toujours plus d'immigrés, ici aussi présentés comme seule ressource de développement économique, et les forces conservatrices, qui soulignent l'augmentation de la criminalité et les risques civilisationnels. Rappelons que la Russie a soutenu le Pacte global pour la migration dès 2018. Les mêmes causes entraîneraient-elles, Ô surprise, les mêmes effets ?
La Russie est une nation multiethnique. Les termes ici sont importants. Une nation, car la population du pays partage une histoire, les mêmes symboles. Mais le pays comporte environ 160 ethnies différentes, il est multiethnique. Les Russes ethniques constituent, selon le recensement de 2002, 80% de la population et 6 autres ethnies comptent plus d'un million d'habitants : les Tatars (3,8%), les Ukrainiens (2%), les Bashkirs (1,1%), les Tchétchènes (0,9%) et les Arméniens (0,8%). La population totale en Russie est d'environ 146 millions d'habitants.
L'on pourrait penser qu'au regard de la diversité ethnique, la question de l'immigration ne pose aucune difficulté. Ce serait alors nier la dimension culturelle et civilisationnelle des populations. Il est vrai qu'historiquement, la Russie est liée aux populations d'Asie centrale, par exemple, puisqu'ils constituaient un même pays. Et il y aurait même certains enjeux géopolitiques à garder les frontières quasiment ouvertes avec ces pays, dont les peuples cherchent toujours vers Moscou la félicité économique qu'il ne trouve pas chez eux. L'on parle bien de félicité économique - c'est une immigration principalement économique, qui travaille à bas prix et avec très peu de qualification, qui n'a aucune exigence en matière de logement ou de sécurité sociale, souvent qui envoie une partie du salaire "au pays". L'intérêt géopolitique devient très limité dans ce contexte, quant à la question de l'intégration culturelle, l'on est face à des gens qui maîtrisent désormais très peu la culture et la langue russe. Il s'agit d'une autre génération, en grande partie malheureusement, acculturée.
Or, la Russie a soutenu dès 2018 le Pacte global sur les migrations, estimant qu'il s'agit d'un bon "compromis", prenant en compte la dimension humanitaire, tout en permettant le contrôle de l'immigration légale.
Dès 2019, un sursaut dans la masse migratoire a été noté, surtout en provenance des pays de la CEI (+50 %) et de l'Ukraine, sans que bien évidemment les "experts" n'aient pu (voulu ?) l'expliquer : l'augmentation sur le 1er trimestre 2019 dépasse les chiffres des 10 années précédentes, avec un bond de 20 % d'arrivant, sans augmentation de départs. Sachant que l'immigration illégale est importante malgré un renforcement de la coopération avec les pays de la CEI et le ministère de l'Intérieur estime que 700 000 personnes au moins n'ont pas régularisé leur présence en Russie.
RépondreSupprimerL'on trouve sur cette question la division idéologique classique entre progressistes et conservateurs. Les progressistes, comme le vice Premier ministre Marat Khusnulline, appellent d'urgence à faire venir au moins 5 millions d'immigrés d'ici 2024, évidemment pour relancer l'économie et compenser ainsi le déficit démographique, puisqu'il est bien connu que les hommes sont indifférenciés dans le monde global, sans racines ni culture, ils sont donc interchangeables à volonté. Dans la même logique, le maire de Moscou, Segueï Sobianine, espère au moins 200 000 immigrés de plus, car sans rire aucunement, il affirme que c'est le déficit d'immigrés qui a conduit à l'inflation ...
Or, le ministère de l'Intérieur tire la sonnette d'alarme sur l'augmentation des violences quotidiennes commises par les immigrés, sur l'incivilité (pour dire les choses poliment), sur la détérioration de l'équilibre social avec des combats dans les rues, par exemple. Concrètement, le ministère note une augmentation de 5 % de la criminalité avec l'augmentation de la population immigrée. La situation s'est tellement tendue, que le ministère de l'Intérieur demande l'expulsion des étrangers impliqués dans les actes de violence. Ainsi, dès le premier semestre 2021, le ministère a demandé l'expulsion de plus de 860 000 immigrés et 1,2 million de personnes attendent leur expulsion dans des lieux affectés à cet effet. Sans compter que près de 99 000 étrangers se sont vus refuser l'entrée dans le pays pour ce premier semestre.
Dans ce contexte, la popularité de l'immigration massive est très faible en Russie. L'on notera par exemple cette publication dans Tsargrad, média conservateur, qui à l'occasion d'un énième scandale lié à des agressions particulièrement violentes (en l'occurrence le viol et le meurtre d'une femme de 65 ans dans un village de la région de Moscou), revient les aspects sociaux et civilisationnels de ce phénomène. L'intérêt économique est critiqué, puisque les immigrés font baisser le marché du travail en travaillant à coût réduit, ne permettent pas de lutter contre le chômage de la population nationale, donc cette immigration de masse est présentée comme un facteur empêchant le relance économique, puisque le pouvoir d'achat baisse et que la masse de personnes non qualifiées augmente. De plus, les gens condamnent la mise en place d'un climat d'insécurité et demandent de plus en plus, dans les villes de petite et moyenne importance, le déplacement des logements collectifs d'immigrés, sous peine de se faire justice eux-mêmes. Sans oublier que ces cultures sont différentes et le fameux "vivre-ensemble" devient très compliqué dans certains endroits.
Les mêmes causes ne peuvent produire que les mêmes effets, la France le paie aujourd'hui assez cher. Il est important de comprendre que l'immigration de masse est un élément fondamental de la globalisation, car il permet de construire ce "global village", dans lequel les hommes n'ont qu'une individualité, qui n'est plus liée à leur pays, à leur nation. Ils sont donc interchangeables, mobiles, virevoltant en fonction du vent. Les pays et leur population ne peuvent y survivre, ils se noient et tombent dans ce magma informe global, où tout est identique, avec un faux folklore local en guise de "culture propre". A ce niveau, il ne s'agit pas de "compromis", mais de "compromission" - et elle est toujours mauvaise.
RépondreSupprimerhttps://russiepolitics.blogspot.com/2021/09/globalisation-limmigration-nouvel-enjeu.html
La Russie n'est comparable à aucun autre pays sur Terre, ce pays est le plus grand du monde (6600 Km d'Est en Ouest en 3000 km du Nord au Sud) et accueille forcement des caractères différents suivant les latitudes et longitudes. Ce n'est donc pas un problème d'espace, de surface qui se pose mais une adaptation des personnes immigrées !! Et là... il y a plus qu'à redire !!
SupprimerQui va s'adapter au us et coutumes d'un pays ? Il faudra DES générations ! Alors le choix s'impose: Faire entrer des bébés, des enfants de moins de 10 ans ou faire entrer des adultes idiots, illettrés et qui ne pensent qu'à tuer ?
Dans ce type de conjoncture, la Démocratie s'impose afin que chaque province soit respectée et non noyée dans un ensemble mondialiste !
Marat Khusnulline s'embourbe dans son inculture de fonctionnaire. Une voiture japonaise ou chinoise marche aussi bien en Russie qu'au Brésil. A l'éléphant au zoo on ne lui demande pas son avis, mais à l'être humain y a l'adaptation ! Et çà, c'est pas donné à tout le monde parce que le service demandé n'est pas le même !
Regardez le monde des immigrés ! Il y a en villes les quartiers chinois, les quartiers arabes, les quartiers blacks, les quartiers... etc, etc ! Ils refont leur pays qu'ils ont fuient là où ils se trouvent !! C'est-à-dire qu'ils emportent leur merde avec eux !
Le changement arrive en Californie - Rappel des élections ou non
RépondreSupprimerPar Allan Stevo
15 septembre 2021
C'est le jour du rappel, le 14 septembre 2021, et les bulletins de vote sont partout, aussi librement que des seringues dans les rues de San Francisco.
Partout dans l'État, des gens se présentent pour voter et se font dire qu'ils ont déjà voté.
La police californienne a arrêté un type avec un siège arrière rempli de bulletins de rappel vierges et de drogues.
Ce sera l'élection la plus tordue depuis que l'élection a été la dernière à avoir lieu dans une république bananière du tiers-monde.
Il ne reste qu'un an et quelques mois à celui qui remporte le rappel, et cette période en fonction peut être considérablement raccourcie par l'incapacité de déterminer les résultats de si tôt.
L'un des plans du système est d'allonger considérablement le processus de comptage et de laisser Newsom à sa place.
Celui qui gagnera le rappel aura un gouvernement massif travaillant contre lui à traiter. Cela rendra le changement difficile. À moins, bien sûr, que ce soit Newsom ou un démocrate qui gagne, auquel cas le gouvernement travaillera pour eux et aucun changement n'aura lieu.
Néanmoins, Newsom transpire. French Laundry, où il a dîné avec des lobbyistes sans masque, le tire vers le bas. Son fils qui va camper sans masque, l'entraîne vers le bas. Les règles pour toi, mais pas pour moi, l'entraînent vers le bas. Le chef de son parti l'entraîne même vers le bas, même pendant la période de lune de miel de son séjour au Bureau ovale.
Le chef du parti est même plus populaire que Barack Obama, l'actuel chef du parti ayant relancé 81 millions de voix. Le plus grand vainqueur de votes de tous les candidats à la présidentielle, n'a en quelque sorte pas les chiffres des sondages pour soutenir cette théorie. Dans certaines juridictions, il était si populaire parmi la population qu'il a même obtenu plus de voix qu'il n'y a d'électeurs. Le récit s'effondre.
Oui, Newsom transpire. Il supplie sa base de l'aider en affirmant que les candidats qui se présentent contre lui sont des extrémistes d'extrême droite. Ce sont des candidats qui sont à peu près aussi politiquement centrés, flexibles et favorables à l'unipartisme que Marco Rubio ou John Kerry. Extreme n'est tout simplement pas le mot pour les décrire.
Newsom est si désespéré que ses partisans insistent sur le fait que les avortements deviendront illégaux en Californie si un rappel a lieu. Avec le contrôle de la législature, des tribunaux et de la vaste bureaucratie de l'exécutif, c'est une affirmation tout à fait invraisemblable. Seules les personnes effrayées font ces déclarations dans le but de motiver d'autres personnes effrayées.
Newsom et ceux qui le soutiennent savent vraiment que sa base ne va pas tourner pour lui et que cette élection doit être volée. C'est leur devoir à chaque étape du processus.
RépondreSupprimerPendant ce temps, la majorité silencieuse, qui ne parlera pas aux sondeurs ou ne leur dira pas la vérité, est impossible à mesurer. Ils pourraient juste être assez en colère pour sortir et jeter Newsom du bureau.
Nous nous retrouvons donc avec cette réalité : si les voleurs ne passent pas pour Newsom, alors Newsom est grillé.
Tout ce qui précède est un bruit relatif, même si je serais très heureux de voir un nouveau gouverneur de Californie. D'autres sont appelés à ce combat. Je suis appelé à réveiller les lions.
Il y a un renouveau spirituel et culturel en cours en Californie, et il se répand dans tout le pays. Le véritable travail de ce rappel a été effectué chaque fois que quelqu'un signait une pétition de rappel et se disait : « Vous savez, le gouverneur doit vraiment y aller. »
Le travail de cette élection de rappel a été effectué lorsque Newsom a été contraint de suspendre d'autres plans et de faire face à une élection pour la deuxième fois en trois ans. Les politiciens adorent régner sur vous, mais ils détestent faire campagne. Être contraint de faire campagne à nouveau par une foule non lavée (40% d'électeurs démocrates) était une grande gifle pour Newsom.
Le travail du rappel a été fait quand partout dans ce pays, les gens ont vu ce qui se passait en Californie et s'en sont enhardis, se disant « S'ils peuvent se débarrasser de leur tyran intouchable, peut-être que nous pourrons nous débarrasser du nôtre. Tous les États ne disposent pas d'un processus de rappel, mais chaque État dispose d'une méthode pour éliminer les tyrans intouchables.
Il y a un an, Andrew Cuomo et Gavin Newsom étaient les golden boys du communisme corona. Ils étaient les enfants de l'affiche. Ils étaient destinés à la Maison Blanche. Aujourd'hui, l'un est parti et le second est devenu une honte. Il aurait été difficile d'imaginer cela il y a un an. Ce n'est qu'en raison de l'élan du mouvement de rappel en Californie que Cuomo a été démis de ses fonctions. Le rappel californien a changé la teneur de tout. Bien sûr, ce sont ses mains agrippantes qui, selon eux, lui ont coûté son travail, mais la recherche de la justice pour les dizaines de milliers de personnes âgées et d'autres qu'il a tuées avec sa politique Covid ne s'en allait pas, et pourrait ne pas l'être. Ce n'étaient pas ses mains agrippantes.
Cette nation a une dette de gratitude envers tous ceux qui ont participé aux élections de rappel en Californie.
Pour creuser encore plus profondément, c'est encore, dans une certaine mesure, du bruit, car il est tellement orienté vers l'image globale. Ces choix individuels de se tenir debout dans la vie signifient tellement de concert avec les autres. Il y a encore plus d'histoires pleines d'espoir. Ce sont les histoires individuelles de changement individuel. Les actions les plus importantes sont les actions qui vous changent.
Il y a trois semaines, une centaine de personnes dans la Silicon Valley ont temporairement fermé la réunion du conseil municipal de San Jose au cours de laquelle les conseillers municipaux allaient mettre en œuvre illégalement un mandat de vaccination. Les fonctionnaires se sont enfuis de la réunion et leur personnel a même cessé de répondre à leurs téléphones de bureau, alors qu'ils se cachaient dans leurs bureaux. Ces membres du public ont commis le crime de se rendre dans une réunion publique fermée au public. Même s'il y en avait une centaine, c'est une douzaine qui a vraiment rendu cela possible. Ils ne se connaissaient même pas quelques mois plus tôt. Jour après jour, ils communiquent et grandissent côte à côte, renforçant leurs capacités dans leur propre vie et devenant également une fierté de lions qui peuvent faire des choses étonnantes.
RépondreSupprimerIl y a quatre semaines, quelques centaines de parents ont mis fin à une réunion du conseil scolaire dans le comté de San Luis Obispo. La commission scolaire est habituée à en voir peut-être une douzaine à ses réunions. Puis une nuit, soixante sont venus parler de masques et ont été abattus. Si vous abattez soixante personnes, pensez-vous vraiment qu'elles partiront ? Nan. Ils en ont ramené cinq fois plus avec eux. Des centaines se sont présentés deux semaines plus tard, et ceux qui se sont présentés ne prenaient les bêtises de personne. La réponse du conseil : fermer toutes les futures réunions au public. Ces centaines de parents en colère ne s'en vont pas. Le monde est changé par ces minorités infatigables.
De nombreux collèges se conforment docilement à tous les mandats qui leur sont présentés, peu importe à quel point leur légalité est fragile. Le Palmer College, situé dans le comté très restrictif de Santa Clara, a décidé la semaine dernière d'abandonner son mandat de vaccination après que les étudiants eurent lu la politique du gouvernement et refusé de laisser les autorités la mettre en œuvre. En quelques jours, la politique a été abandonnée sous les conseils et la pression des étudiants. Les individus se sont levés, ont eu des conversations difficiles, ont posé les questions difficiles lors de conversations en face à face.
Les tyrans de tout l'État se cachent sur Zoom, organisant des réunions publiques illégales parce qu'ils ne supportent pas d'affronter le public. J'ai des nouvelles pour eux. Le public les rattrapera. Il vaut mieux faire face à une vague de résistance aussi massive tôt et y faire face, car si vous courez, vous pouvez gagner du temps, mais cela viendra avec une fureur qui semble croître géométriquement avec la quantité de force que vous leur faites exercer. voir leurs griefs rectifiés. Les lois sur les réunions ouvertes sont conçues spécifiquement pour empêcher une telle fureur de se développer.
L'action individuelle alimente un changement massif.
RépondreSupprimerPeu importe ce qui se passe à un niveau massif, cependant. Ce qui se passe au niveau individuel est important.
Les pasteurs courageux n'ont jamais fermé leurs églises.
Les entreprises courageuses n'ont jamais fermé leurs portes.
Les prédicateurs installent des tentes dans toute la Californie et organisent des réunions massives malgré ce que disent les autorités.
Les moutons restent masqués, le nombre de lions démasqués a triplé. Ils vivent leur vie sans masque.
Une femme en Californie m'a récemment raconté comment elle a finalement fait sortir sa mère de sa chambre de retraite sans fenêtre, contre les ordres du personnel, et dehors, au soleil, démasquée, dans les bras aimants de ses petits-enfants qui n'avaient pas vu elle en 18 mois. C'était un moment que personne n'oubliera jamais. La prochaine fois qu'elle est venue rendre visite à maman, le personnel de la maison de retraite l'a mise en lock-out. Elle a demandé à parler au directeur dans son bureau. Elle lui a dit que la prochaine fois qu'elle serait en lock-out, elle ne se tiendrait pas dans ce bureau, son avocat le ferait. Problème résolu.
Je doute que cette femme ait jamais dit une chose pareille à un autre moment de sa vie. Les temps difficiles ne nous brisent pas. Ils ont fait de nous ce que nous sommes.
Un père m'a raconté comment il a refusé de laisser son fils être masqué à l'école, et comment son fils a dit qu'il n'avait aucun intérêt à être masqué à l'école non plus. Le fils a alors vécu par ces mots. L'école n'a pas bien réagi. La famille était préparée. Les histoires de ces deux-là pourraient remplir un livre à part entière. Au cours de la dernière année, j'ai vu du courage comme je n'aurais jamais imaginé pouvoir en voir dans ma vie.
Ce sont des histoires de héros qui se font tout autour de nous. Mais ils ne sont que des héros dans notre contexte actuel. Ce qu'ils font vraiment, c'est vivre la vie telle que l'homme est censé la vivre : libre.
Certaines personnes utilisent l'expression « comme des chats de troupeau » pour décrire les principaux combattants de la liberté. De telles personnes qui utilisent cette expression semblent manquer le but de la liberté. Les moutons ont besoin d'être gardés. Les lions ne seront pas parqués. Celui qui tente de rassembler des lions fait un travail d'idiot et les aborde avec l'état d'esprit d'un collectiviste. C'est contraire au caractère d'un lion d'être en troupeau. Le lion n'est pas aidé par de telles tentatives, pas plus qu'une société. La liberté est acquise dans une société par des hommes libres et des femmes libres étant elles-mêmes libres aussi diligemment qu'elles peuvent l'être.
La troisième révolution américaine a lieu. L'économiste et historien Murray Rothbard a décrit la première révolution américaine comme ayant eu lieu avant 1775. Ce fut un changement dans le cœur et l'esprit des colons au point qu'ils se considéraient comme un peuple libre et non plus comme des sujets. Ils étaient chacun le souverain, pas la couronne. Ce changement de perspective a précédé les jours après 1776, que Rothbard décrit comme une rébellion sanglante, en partie parce que les suzerains ne reconnaissaient pas que la révolution avait déjà eu lieu et que les colonies ne pouvaient plus être gouvernées comme elles l'avaient autrefois.
RépondreSupprimerCela se produit chaque fois que les suzerains ne se rendent pas compte que les conditions ont changé et insistent sur le fait que leur emprise sur le pouvoir, acquise à un moment différent, est toujours une emprise valable. Finalement, cela les rattrape. Encore une fois, cela se produit avec une fureur qui est géométriquement augmentée en fonction de la quantité de force que les gouvernés doivent exercer pour communiquer ce message. Savoir quand couper et fuir est l'outil le plus important du tyran qui ne veut pas que sa vie se termine par une décapitation. Il n'y a qu'un nombre limité de fois où une élection peut être volée avant qu'un peuple refuse de continuer à jouer à ce jeu. Il n'y a qu'un nombre limité de fois où une « règle pour toi, mais pas pour moi » peut être mise en œuvre avant qu'un peuple refuse de continuer à jouer à ce jeu. Idéalement, nos dirigeants politiques sont suffisamment intelligents pour éviter une rébellion sanglante. Le choix leur appartient.
Bienvenue dans la nouvelle révolution américaine. Un renouveau culturel et spirituel éclate dans toute la Californie, maison par maison, personne par personne. Il ne s'en va pas. Bien au contraire, il va s'étendre de la Californie à travers ce pays.
La Californie ouvre la voie dans de nombreux domaines, dont la plupart ont été mauvais récemment. Ce sera celui qui sera un véritable trésor. Ceux qui quittent prématurément la Californie pour s'enfuir ailleurs, manquent la joie de vivre à la pointe d'un tel changement, la joie de vivre au quotidien en première ligne, de servir d'une manière qui compte vraiment.
Dans des moments comme ceux-ci, comment servez-vous la cause de la liberté d'une manière qui compte vraiment ? Priez et obéissez. Soyez l'homme libre que vous êtes fait pour être. Vivez cette vie libre que vous étiez censé vivre. Vous allez répandre la liberté tout autour de vous.
Les tyrans ne comptent dans votre propre vie que dans la mesure où vous le leur permettez. Ils seront traités. La politique est en aval de la culture. Finalement, ils suivront ou seront supprimés. Si vous êtes appelé à les gérer, il n'y a pas de temps comme le présent. Si vous n'êtes pas appelé à vous en occuper, ne les transpirez pas trop. Vous avez un tel pouvoir de les annuler dans votre propre vie. Continuez simplement à vivre cette vie libre, et les choses s'arrangeront très bien.
Toute l'histoire humaine récompense l'homme libre qui peut faire exactement cela, car chaque jour de liberté vaut mieux qu'une décennie de servitude sous un tyran.
RépondreSupprimerOutre le fait qu'ils ne fonctionnent pas et qu'ils sont nocifs pour vous, la principale raison de ne pas porter de masque est qu'ils ne sont pas quelque chose qu'un homme libre autorise sur son visage. Un homme libre ne se plie pas à la tyrannie. "" existe pour vous aider à le faire, tout comme ces articles de LewRockwell.com et le bulletin électronique de RealStevo.com regorgeant de vidéos rapides et faciles à regarder sur la façon de faire de cela et d'autres étapes audacieuses une réalité dans votre propre vie.
https://www.lewrockwell.com/2021/09/allan-stevo/change-is-coming-to-california-recall-election-or-not/
Deux personnes tuées après que Tesla s'est écrasé contre un arbre et s'est retrouvée "engloutie par les flammes" en Floride
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 15 SEP 2021 - 11:05
Deux personnes ont été tuées lundi soir cette semaine après qu'une Tesla s'est écrasée contre un arbre à Coral Gables, en Floride.
L'"épave enflammée" a eu lieu à l'intersection d'Alhambra Circle et de Coral Way, selon la section locale 10. La police locale a déclaré que le conducteur avait écrasé la voiture dans un arbre, mais aucun autre détail sur l'accident n'a encore été déterminé.
Une vidéo de l'épave sur un téléphone portable montre le véhicule « englouti par les flammes » et les deux occupants du véhicule ont été tués. "C'est une Tesla", peut-on entendre dire la personne qui a filmé l'épave.
Les autorités ont passé mardi à recueillir des preuves sur les lieux de l'accident et une enquête est en cours. Le conducteur était un homme de 20 ans et la passagère était une femme de 19 ans, selon le rapport.
Rappelons que la NHTSA a récemment déclaré qu'elle avait ouvert une enquête formelle sur la fonction de pilote automatique de l'entreprise. Il a déclaré qu'il ouvrait une sonde sur les modèles X, S et 3 de Tesla pour les années modèles 2014-2021. La large gamme de modèles et d'années modèles signifie que cela pourrait être la vaste enquête que les sceptiques de Tesla demandent depuis des années. Plus précisément, le régulateur enquête sur une litanie d'accidents impliquant des Teslas en pilote automatique s'écrasant sur des véhicules d'intervention d'urgence inanimés sur la route.
La NHTSA a déclaré que l'enquête évaluerait les technologies et les méthodes "utilisées pour surveiller, assister et faire respecter l'engagement du conducteur" pendant le fonctionnement du pilote automatique, selon Bloomberg.
Goldman Sachs semblait tout sauf optimiste quant au fait que l'enquête sur le pilote automatique serait résolue rapidement. "Étant donné que l'enquête actuelle est liée à un système d'aide à la conduite de niveau 2, une solution pourrait être un système amélioré de surveillance des conducteurs pour garantir la conformité des conducteurs avec les conditions d'utilisation de Tesla", a écrit la banque d'investissement le mois dernier.
Vous pouvez regarder la couverture de l'épave par la section locale 10 ici :
https://www.zerohedge.com/markets/two-people-killed-after-tesla-crashes-tree-and-becomes-engulfed-flames-florida
Alerte de crue éclair « à haut risque » émise pour le sud-ouest de la Louisiane au milieu de la dépression tropicale Nicholas
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 15 SEP 2021 - 09:30
Rédigé par Katabella Roberts via Epoch Times,
Le 15 septembre, le National Weather Service a averti que le sud-ouest de la Louisiane faisait face à un « risque élevé » d'inondations soudaines dues à la dépression tropicale Nicholas.
De tels avertissements à « risque élevé », le type d'avertissement le plus grave et le plus grave, sont rarement émis nulle part aux États-Unis.
La pluie de la tempête se déplacera sur la région jusqu'à mercredi et les averses devraient produire des taux de précipitations élevés et des précipitations totales importantes d'environ 5 à 10 pouces, avec des quantités localement plus élevées possibles, a déclaré mercredi matin le National Hurricane Center (NHC).
Certains des endroits qui devraient subir des crues soudaines comprennent Ville Platte, Marksville, Bunkie, Mamou, Glenmora, Cheneyville, Turkey Creek, Cottonport, Pine Prairie, Mansura, Lecompte, Hessmer, Evergreen, Bayou Chicot, Chicot State Park, Indian Lake , Whiteville, Echo, Reddell et Pologne.
« Faites demi-tour, ne vous noyez pas lorsque vous rencontrez des routes inondées. La plupart des décès dus aux inondations surviennent dans les véhicules. Soyez particulièrement prudent la nuit lorsqu'il est plus difficile de reconnaître les dangers des inondations », a averti l'agence.
Mardi, le NHC a averti que des inondations de rivière mineures à modérées isolées sont attendues dans certaines parties de la partie supérieure de la côte du golfe du Texas et du sud de la Louisiane et du Mississippi.
« Des inondations soudaines mettant la vie en danger, en particulier dans les zones urbaines, sont possibles dans ces régions », a déclaré le NHC.
Des totaux de tempête isolés de 20 pouces étaient possibles du sud de la Louisiane à l'extrême ouest de la Floride, a-t-il ajouté.
Des crues éclair « potentiellement mortelles » sont également attendues dans d'autres parties du Grand Sud, a déclaré le NHC dans le bulletin de mardi.
De grandes parties du sud de la Louisiane sont toujours aux prises avec les conséquences de l'ouragan Ida, tandis que des dizaines de milliers de personnes restent sans électricité. Le nombre de morts en Louisiane à cause de l'ouragan Ida s'élève à 26 après que les autorités sanitaires ont signalé la semaine dernière 11 décès supplémentaires à la Nouvelle-Orléans.
Lundi, le président Joe Biden a approuvé la demande du gouverneur John Bel Edwards d'une déclaration fédérale d'urgence pour la tempête tropicale Nicholas, permettant à la Louisiane de mobiliser les ressources fédérales que l'État a déjà en place ainsi que de demander des ressources supplémentaires si nécessaire.
Une surveillance des crues éclair reste également en place pour la Nouvelle-Orléans, avec Avondale, Marrero, Metairie, Harvey, Timberlane, Belle Chasse, Chalmette, East New Orleans, Hahnville, Jefferson, Gretna, Harahan, Westwego, Bridge City, Elmwood, River Ridge, Waggaman, Estelle et Woodmere devraient tous connaître des crues soudaines.
Nicholas a touché terre en tant qu'ouragan de catégorie 1 lundi au Texas, mais a été rétrogradé en tempête tropicale tôt mardi matin.
https://www.zerohedge.com/weather/high-risk-flash-flood-alert-issued-southwest-louisiana-amid-tropical-depression-nicholas
Les actions du casino de Macao s'effondrent alors que Pékin lance une répression contre le plus grand centre de jeu au monde
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 15 SEP 2021 - 07:33
La répression de Pékin contre divers éléments de la société s'est poursuivie mercredi avec des responsables chinois ciblant Macao, la plaque tournante du jeu quasi-indépendante et le territoire chinois, dans le cadre d'une nouvelle répression contre la surveillance du jeu, qui a envoyé des actions de sociétés de jeux axées sur Macao, comme celles détenues par Wynn Macau , Sands China, MGM China et Galaxy Entertainment, dégringolant jusqu'à 34 %.
La vente a commencé après que Lei Wai Nong, secrétaire à l'économie et aux finances de Macao, a averti mardi d'une "période de consultation" de 45 jours pour l'industrie du jeu, qui commencera le lendemain. L'objectif sera de creuser les lacunes dans la supervision de l'industrie. Les nouvelles enchères sur les licences de casino de Macao devraient commencer l'année prochaine. De plus en plus inquiet de la dépendance de Macao au jeu, Pékin n'a pas dit exactement comment il envisageait de changer les choses. Cependant, plusieurs analystes ont rapidement revu à la baisse leur opinion sur plusieurs maisons de jeu de Macao en raison du fait qu'elles doivent toutes refaire une offre pour leurs licences.
JP Morgan, par exemple, a déclaré qu'il déclasserait toutes les entreprises opérant dans l'industrie du jeu de Macao en raison de la répression imminente.
"Nous admettons que ce n'est qu'un signal" directionnel ", alors que le niveau de réglementation ou d'exécution reste un point discutable", a déclaré l'analyste D.S. Kim, ajoutant que la nouvelle aurait déjà laissé le doute dans l'esprit des investisseurs.
Lors d'un briefing mardi, le secrétaire à l'Économie et aux Finances de Macao, Lei, a énuméré neuf domaines à surveiller, tels que le nombre de licences, une meilleure réglementation et le bien-être des employés, tout en faisant appel à des représentants du gouvernement pour superviser les opérations quotidiennes du casino.
Mais l'objectif n ° 1 de Pékin dans cette répression est de finalement boucher une «voie de sortie» populaire pour les capitaux qui tentent de quitter la Chine. Comme nous l'avons expliqué l'année dernière, comment les citoyens chinois blanchissent jusqu'à 153 milliards de dollars par an à l'aide de jeux d'argent en ligne et d'une crypto-monnaie telle que le tether, dont on dit depuis longtemps qu'elle est un facteur clé de la hausse du bitcoin. Les casinos de Macao offrent de nombreuses couvertures aux riches Chinois qui tentent de transférer de l'argent à l'étranger, qui utilisent les casinos pour accomplir cela depuis des années.
Le gouvernement prévoit davantage d'actions dans les concessionnaires de jeux pour les résidents permanents de Macao ainsi que des règles sur la distribution des transferts de bénéfices aux actionnaires. La grande question est de savoir si les opérateurs de casinos étrangers comme Wynn, qui ont prospéré à Macao, vont bientôt enfin goûter à la botte de la répression à l'échelle de l'économie du président Xi.
RépondreSupprimerLes casinos de la plus grande plaque tournante du jeu au monde ont connu des difficultés considérables l'année dernière alors que les affaires se tarissaient.
Quoi qu'il en soit, Pékin lutte depuis des années pour lutter contre le blanchiment d'argent qui a lieu à Macao. Maintenant, il saisit ce qui pourrait être sa meilleure chance de faire bouger les choses.
https://www.zerohedge.com/markets/macau-casino-stocks-tumble-beijing-launches-crackdown-worlds-biggest-gambling-hub
Pourquoi le mandat du vaccin Biden COVID-19 est inconstitutionnel
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 14 SEP 2021 - 18:45
Rédigé par l'avocat et journaliste Techno Fog via The Reactionary,
Le 9 septembre, le président Biden a annoncé qu'il contournerait le processus démocratique, ordonnant au secrétaire du ministère du Travail d'exiger des employeurs de plus de 100 travailleurs qu'ils « s'assurent que leurs effectifs sont entièrement vaccinés ou présentent un test négatif au moins une fois par semaine ».
C'était essentiel, comme l'a dit Biden, "pour protéger les travailleurs vaccinés des travailleurs non vaccinés".
Comme nous l'avons expliqué, le secrétaire du Travail publiera ces règlements par l'intermédiaire de l'OSHA au moyen d'une norme temporaire d'urgence (ETS). L'ETS permettrait au ministre du Travail de délivrer le mandat de vaccination sans les exigences réglementaires administratives normales (comme les périodes de préavis et de commentaires publics).
Alors que l'administration Biden dit au public qu'il n'y a pas de temps à perdre pour délivrer le mandat, la vérité est que l'OSHA/Labor n'a pas fait valoir la nécessité d'un mandat de vaccin puisque les vaccins sont disponibles – une période approchant un an. De plus, le ministère du Travail de Biden rencontre secrètement la Chambre de commerce des États-Unis et des lobbyistes d'affaires pour obtenir un soutien en faveur du mandat. Comme le rapporte Bloomberg Law :
L'avocate du travail Seema Nanda a tenu une réunion virtuelle avec Neil Bradley, directeur des politiques de la Chambre, et d'autres lobbyistes d'affaires. La Chambre, le plus grand groupe de lobbying commercial aux États-Unis, n'a pas encore déclaré publiquement sa position sur la future réglementation d'urgence de l'Occupational Safety and Health Administration.
Il s'agissait de l'un des trois briefings que le département a organisés vendredi pour les dirigeants syndicaux et les associations d'employeurs, des circonscriptions avec lesquelles la Maison Blanche espère nouer des partenariats pour augmenter le taux de vaccination à l'échelle nationale. Les informations des appels ont été divulguées à Bloomberg Law par huit sources qui ont participé, qui ont toutes demandé l'anonymat car elles n'avaient pas l'autorisation de parler en public.
Pourquoi le mandat des vaccins est inconstitutionnel
Comme vous pouvez l'imaginer, la constitutionnalité du mandat du vaccin sera contestée dès que l'OSHA publiera les règles. Les médias font de l'ingérence, disant au public que les contestations du mandat ont « peu de chances de réussir ».
Ne les croyez pas.
La légalité du mandat de vaccination sera évaluée selon ce qu'on appelle la doctrine des règles majeures (également connue sous le nom de doctrine des questions majeures). En vertu de cette doctrine, les tribunaux examinent (1) si l'action de l'agence est une règle majeure; et (2) si le Congrès a clairement autorisé l'action de l'agence.
RépondreSupprimerComme l'a déclaré le juge Scalia en 2014, « Nous attendons du Congrès qu'il s'exprime clairement s'il souhaite attribuer à une agence des décisions d'une grande « importance économique et politique ». »
De là, nous passons à la première question de la doctrine des règles majeures : il ne fait aucun doute qu'il s'agit d'une règle majeure. Cela affecterait la décision de soins de santé - et impliquerait l'autonomie personnelle - de "quelque 80 millions de travailleurs du secteur privé". Il s'agit d'une action jamais prise auparavant par l'OSHA, le ministère du Travail et tout autre organisme fédéral. Cela affecterait l'ensemble de l'économie américaine.
À l'appui de ma position, nous avons vu des règles d'agence moins invasives être considérées comme des règles majeures. Par exemple, les « réglementations tarifaires » des compagnies de téléphone ont été considérées comme une règle majeure. MCI Telecommunications Corp. c. American Telephone & Telegraph Co., 512 U.S. 218 (1994).
De là, nous arrivons à la deuxième question : si le Congrès a clairement autorisé le ministère du Travail/OSHA à mandater les vaccins. La réponse est non.
Si le Congrès avait clairement autorisé (pas seulement autorisé, mais clairement autorisé) le parti travailliste/OSHA à mandater les vaccins, alors nous aurions vu une telle autorité dans la loi sur la SST de 1970. Regardez par vous-même - le langage n'y est pas. Au lieu de cela, il existe des pouvoirs généraux pour « établir des normes obligatoires de sécurité et de santé au travail ».
En regardant l'histoire de l'OSHA, cette autorité a été comprise comme réglementant les actions des employeurs pour fournir un lieu de travail sûr (limites de benzène) ou les actions des employés au travail (opération d'équipement lourd). Historiquement, la loi sur la SST n'a jamais été comprise comme incluant les vaccinations obligatoires. Ceci est important car la Cour suprême s'est récemment penchée sur l'historique de l'agence pour déterminer que le CDC n'avait pas le pouvoir de délivrer son dernier mandat d'expulsion.
Pour un exemple d'« autorité claire » en matière de santé publique, regardez l'autorité que le Congrès a donné au HHS le pouvoir de prendre des mesures en cas d'« épidémies importantes de maladies infectieuses ». Pour aller plus loin, autoriser le mandat reviendrait à permettre à l'OSHA d'exiger la vaccination comme condition d'emploi. La Loi sur la SST ne contient aucun langage ou autorité de ce genre.
Donc là, nous l'avons. Il s'agit d'une « règle majeure » et le Congrès n'a pas « clairement autorisé » le parti travailliste/OSHA à émettre un mandat sur les vaccins. Attendez-vous à d'autres défis sur la question de savoir si l'ETS lui-même (et le constat de « grave danger ») est légal.
Nous observons également que nous ne concédons en aucun cas l'autorité du Congrès pour imposer des vaccins. (En d'autres termes, le Congrès ne pouvait pas donner cette autorité à l'OSHA / Travail parce que le Congrès n'a pas une telle autorité à donner.) Le recours à l'affaire Jacobsen c. .
RépondreSupprimerUn dernier point - Pourquoi le juge Kavanaugh est important
En 2017, lorsque le juge Kavanaugh siégeait sur le circuit DC, il a écrit une dissidence à la suite d'un refus de réaudition en banc, dans laquelle il a résumé en détail la doctrine des règles principales. Il a fait valoir que la règle de neutralité du net de la FCC était illégale, en ce sens qu'il s'agissait d'une "règle majeure" qui n'était pas clairement autorisée par le Congrès.
La dissidence de Kavanaugh en 2017 a été l'une des discussions les plus complètes (ou peut-être les plus) complètes sur la doctrine des règles majeures jamais écrites dans le circuit DC. Kavanaugh a examiné un certain nombre d'affaires de la Cour suprême à l'appui de sa position et a fait valoir la doctrine essentielle pour maintenir la séparation des pouvoirs. À cet auteur, il révèle que Kavanaugh valorise cette doctrine et pense qu'elle doit être appliquée avec vigueur. Nous en voyons un exemple dans l'opinion concordante du juge Kavanaugh dans la demande initiale d'annulation de la suspension du moratoire sur les expulsions du CDC (29 juin 2021), où Kavanaugh a écrit « une autorisation claire et spécifique du Congrès (via une nouvelle législation) serait nécessaire pour le CDC pour prolonger le moratoire.
Que Kavanaugh ait le courage d'appliquer ses convictions est une autre affaire.
https://www.zerohedge.com/political/why-biden-covid-19-vaccine-mandate-unconstitutional
(...) comme l'a dit Biden, "pour protéger les travailleurs vaccinés des travailleurs non vaccinés". (...)
SupprimerBecause que les faux vaccins c'est DE LA MEEREEERDE ! et qu'ils ne sont injectés que pour TUER ! 40 mille milliards de nano-particules d'oxyde de graphène... par flacon !! De 95 à 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène... par flacon !!
Oui mais aujourd'hui on est plus au '20 ème siècle' mais à l'heure d'Internet !
Vous vous rendez compte si Internet n'avait pas été là le 11 Septembre 2001 ?!
Je ne sais pas si vous suivez l'actualité mais ils sont en train de vouloir... gérer VOTRE vie !!
SupprimerDu 'comme tu te lèves' au 'comment tu dois pisser, bouffer, travailler, respirer, baiser et dormir' ! avec cette fois en plus le 'comment tu dois crever' !!
La dette mondiale atteint un record de 300 000 milliards de dollars, en hausse de 36 000 milliards de dollars depuis COVID
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 14 SEP 2021 - 18:25
Un autre trimestre, un autre record de dette mondiale (ne vous attendez pas à ce que cela baisse à nouveau dans le cadre monétaire actuel).
Selon l'Institute of International Finance (IIF), la dette mondiale totale - qui comprend la dette des gouvernements, des ménages, des entreprises et des banques, mais exclut les dérivés et divers autres produits exotiques - a atteint un nouveau record de près de 300 000 milliards de dollars au deuxième trimestre, 296 $ billions de dollars pour être précis, et jusqu'à 4,8 billions de dollars au cours du trimestre. Cela signifie qu'au cours des 18 mois qui se sont écoulés depuis Covid, la dette totale a augmenté de 36 000 milliards de dollars !
"Si les emprunts se poursuivent à ce rythme, nous nous attendons à ce que la dette mondiale dépasse 300 000 milliards de dollars", a déclaré Emre Tiftik, directeur de la recherche sur la durabilité à l'IIF. Eh bien, duh. Non seulement il dépassera 300 000 milliards de dollars, mais il dépassera 400 000 milliards de dollars, 500 000 milliards de dollars et éventuellement 1 000 milliards de dollars et ainsi de suite. Il s'agit d'une fonctionnalité, pas d'un bogue du système MMT "Helicopter Money" sous lequel nous vivons maintenant.
L'augmentation des niveaux d'endettement a été la plus forte parmi les marchés émergents - lire la Chine - avec une dette totale en hausse de 3 500 milliards de dollars au deuxième trimestre par rapport aux trois mois précédents pour atteindre près de 92 000 milliards de dollars.
Il y avait une lueur d'espoir : le ratio dette/PIB a diminué pour la première fois depuis le début de la pandémie alors que la croissance économique rebondissait. L'IIF a déclaré que sur les 61 pays qu'elle a surveillés, 51 ont enregistré une baisse du ratio de la dette au PIB, principalement en raison d'un fort rebond de l'activité économique, bien que nous soyons très curieux de savoir quel chiffre du PIB non conforme aux PCGR l'IIF a utilisé pour calculer une croissance du PIB plus rapide que la dette.
En conséquence, la dette en pourcentage du produit intérieur brut est tombée à environ 353 % au deuxième trimestre, contre un record de 362 % au cours des trois premiers mois de cette année.
L'IIF a également déclaré que les ratios total de la dette au PIB hors secteur financier sont inférieurs aux niveaux d'avant la pandémie dans seulement cinq pays : le Mexique, l'Argentine, le Danemark, l'Irlande et le Liban. Bien sûr, ne serait-ce que pour le secteur financier - comme il se doit - cette statistique n'a pas de sens.
Le seul pays qui déborde déjà de dettes, la Chine, a vu son niveau d'endettement augmenter plus fortement que d'autres pays, tandis que la dette des marchés émergents hors Chine a atteint un nouveau record à 36 000 milliards de dollars au deuxième trimestre, sous l'impulsion de par une augmentation des emprunts publics.
Pendant ce temps, après une légère baisse au premier trimestre, la dette des économies développées - en particulier de la zone euro - a de nouveau augmenté au deuxième trimestre (encore une fois, répétez après nous, la dette ne diminuera plus jamais).
RépondreSupprimerAux États-Unis, l'accumulation de dette d'environ 490 milliards de dollars a été la plus lente depuis le début de la pandémie, bien que la dette des ménages ait augmenté à un rythme record. Attendez-vous à ce que ce nombre explose à la hausse après que Biden aura passé son prochain stimulus fiscal, quel que soit le moment.
À l'échelle mondiale, la dette des ménages a augmenté de 1 500 milliards de dollars au cours des six premiers mois de cette année pour atteindre 55 000 milliards de dollars. L'IIF a relevé que près d'un tiers des pays de son étude ont connu une augmentation de l'endettement des ménages au premier semestre.
"L'augmentation de l'endettement des ménages est conforme à la hausse des prix des logements dans presque toutes les grandes économies du monde", a déclaré Tiftik de l'IIF, faisant tout son possible pour montrer aux banquiers centraux l'ampleur de la bulle immobilière qu'ils ont créée.
Enfin, l'IIF a déclaré que le total des émissions de dette durable - qui, nous supposons, fait référence à l'escroquerie épique qu'est l'ESG - a dépassé les 800 milliards de dollars depuis le début de l'année, a déclaré l'IIF, les émissions mondiales devant atteindre 1 200 milliards de dollars en 2021.
https://www.zerohedge.com/markets/global-debt-hits-record-300-trillion-36-trillion-covid
ÔÔÔôôoooh ! ON VA PAS CHIPOTER POUR QUELQUES PELLES DE MILLIARDS NON ?!
SupprimerBon allez ! JE REMBOURSE !
100000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000 de dollars rien que pour vous !
Dites pas merci j'ai l'habitude !
Shérif du comté de Californie : « Je n'appliquerai pas le mandat de vaccination »
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 14 SEPTEMBRE 2021 - 18:06
Rédigé par Katabella Roberts via Epoch Times,
Un shérif de Californie a déclaré lundi qu'il n'obligerait pas les employés du département ou les demandeurs d'emploi à se faire vacciner contre le COVID-19, malgré une ordonnance de santé publique de l'État obligeant les travailleurs dans des « milieux de rassemblement à haut risque » tels que les prisons à se faire vacciner ou à être testés régulièrement.
Dans un podcast vidéo publié sur la page Facebook du département du shérif du comté de Riverside le 10 septembre, le shérif du comté Chad Bianco avait précédemment déclaré qu'il n'obligerait pas les employés nouveaux ou actuels du département du shérif à recevoir le vaccin COVID-19, mais a maintenu que lui-même n'était "pas un anti-vaxxer".
"Je ne suis pas anti-vax, je suis anti-vax pour le Tchad mais cela ne veut pas dire que je suis anti-vax pour quelqu'un d'autre qui pense qu'il peut en avoir besoin, ou qui en a besoin, pour les personnes à haut risque catégories, ou même si cela vous fait vous sentir mieux », a déclaré Bianco.
"Beaucoup de chefs de département, différents organismes chargés de l'application des lois proposent des politiques ou des choses comme ça, et en ce qui me concerne, je n'imposerai pas de vaccin à nos employés, nous ne le rendrons pas obligatoire pour tout nouvel employé être vaccinés ou en cours », a-t-il poursuivi.
"Je crois que c'est un choix très personnel et que vous devez prendre une décision."
À la suite du podcast, Bianco a partagé une déclaration le 13 septembre dans laquelle il affirmait qu'un journal local était sur le point de publier un article sur le podcast et qu'un journaliste anonyme avait «des déclarations triées sur le volet de supposés experts en santé dans le but de me peindre… sous un jour négatif.
Bianco a réitéré sa position concernant les vaccinations et ce qu'il a décrit comme "une portée excessive du gouvernement tyrannique", notant qu'il est de son devoir constitutionnel et de sa responsabilité de protéger le public. Il a ajouté que l'article qui sera bientôt publié n'était "rien d'autre que du sensationnalisme essayant de gagner le lectorat et de nous diviser davantage en tant qu'Américains".
"Au cours des deux dernières semaines, l'idée de la vaccination forcée a suscité beaucoup d'inquiétude dans tout le pays", a déclaré Bianco dans un communiqué de lundi.
"Pour répéter le contexte du podcast, je n'appliquerai pas le mandat de vaccin aux employés du département du shérif."
« Le gouvernement n'a aucune capacité et aucune autorité pour imposer vos choix en matière de santé. En tant que votre shérif, j'ai l'obligation de protéger votre liberté et votre liberté », a-t-il poursuivi.
« Je ne suis certainement pas anti-vaccin. Je suis anti-vaccin pour moi. Cette décision doit être prise en consultation avec votre médecin après avoir discuté des avantages potentiels et des effets secondaires négatifs potentiels.
"Il est temps que notre gouvernement et nos politiciens se rendent compte que la seule raison pour laquelle ils existent est parce que" nous, le peuple ", avons formé notre gouvernement pour garantir les bénédictions de la liberté individuelle et de la liberté", a ajouté Bianco.
L'État de Californie a exigé que ceux qui travaillent dans des « milieux de rassemblement à haut risque » tels que les établissements correctionnels et les centres de détention de l'État et locaux, se fassent vacciner ou se soumettent à des tests COVID-19 deux fois par semaine. Il s'applique également aux travailleurs de la santé et aux employés des maisons de soins infirmiers et l'État a donné aux employés jusqu'au 23 août pour s'y conformer.
Les commentaires de Bianco interviennent peu de temps après que le président Joe Biden a émis de nouvelles exigences fédérales radicales en matière de vaccins qui pourraient affecter jusqu'à 100 millions d'Américains.
RépondreSupprimerBiden a annoncé jeudi dernier qu'il demanderait au ministère du Travail d'élaborer une règle selon laquelle les entreprises de plus de 100 employés exigeront des vaccinations ou des tests une fois par semaine pour leurs travailleurs, affectant potentiellement des dizaines de millions d'employés du secteur privé américain et des soins de santé. ouvriers.
https://www.zerohedge.com/political/california-county-sheriff-i-will-not-enforce-vaccine-mandate
Remplacer une forêt par une centrale solaire : un paradoxe
RépondreSupprimerPour la construction d’une centrale solaire, les décideurs sont prêt à raser une forêt. Une politique écologique paradoxale.
Par Sebastien Richet.
16 SEPTEMBRE 2021
Pour installer 1000 MW de cellules photovoltaïques, les professionnels de la subvention à tout-va n’hésitent pas à sacrifier 1000 hectares de forêts (oui, vous avez bien lu, soit 10 km2 de forêts) pour la modique somme d’un milliard d’euros par Engie et Neoen.
On compare ce champ de cellules à un réacteur nucléaire de puissance équivalente qui tourne à plein régime 90 % du temps. Sachant que l’efficacité de fonctionnement du solaire dans cette région est en moyenne de 25 %, la production est donc du quart. Dit autrement, le réacteur fait quatre fois mieux, sans compter que la surface consommée par le réacteur est beaucoup plus faible (quelques hectares).
On commence à douter de l’installation et des effets d’annonce (630 000 foyers équivalents – ceux qui se chauffent au gaz ?).
La production potentielle d’hydrogène et ses très généreuses dotations (ne souriez pas, ce sont vos impôts) est adjointe au projet pour en augmenter la rentabilité, sachant que les usines à hydrogène les plus performantes seront associées à des réacteurs nucléaires pour pouvoir produire de manière constante, condition sine qua non d’une bonne productivité.
Au-delà de ces chiffres, on peut à juste titre se poser la question de l’adéquation d’une telle usine avec la notion de protection de l’environnement à deux pas du parc naturel des Landes de Gascogne, en plein dans la trajectoire des oiseaux migrateurs. En effet, d’autres installations de ce type dans le monde sont connues pour l’impact sur les oiseaux en particulier.
De la même manière, le ruissellement dû à la non absorption par les arbres lors des orages violents de cette région ne semble pas être une préoccupation à la hauteur des enjeux.
Enfin, on ne pourra même pas faire paître quelques moutons car la technique actuelle est de poser les panneaux à plat pour gagner sur le cout d’installation, quitte à perdre sur la production. Mais celle-ci ne représente qu’une petite fraction des bénéfices engrangés grâce aux subventions en tout genre.
Bref, on nous dit que le solaire est génial pour l’environnement mais on fait tout le contraire pour le prouver.
Si conformément aux annonces faites le solaire est rentable, alors mettons fin aux subventions et utilisons les là où elles sont utiles, le chauffage par exemple.
https://www.contrepoints.org/2021/09/16/405811-remplacer-une-foret-par-une-centrale-solaire-un-paradoxe
Les attardés mentaux se parlent entr'eux et se comprennent. Les écolos domestiqués, apprivoisés par les 'hommes de l'ombre' qui ont le vouloir, le pouvoir mais pas le savoir.
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RépondreSupprimerLa tyrannie de l’écologie face au mur de la réalité
Une écologie politique dogmatique abuse les Français en voulant leur faire croire qu’ils pourront vivre de vent et de soleil, en dépit des réalités physiques, économiques et humaines.
Par Michel Gay.
16 SEPTEMBRE 2021
Une écologie politique dogmatique abuse les Français en voulant leur faire croire qu’ils pourront vivre de vent et de soleil. Mais sa volonté impérieuse d’imposer rapidement des règles contraignantes et de formater la pensée pour atteindre le nirvana écologique se heurte aux réalités physiques, économiques et humaines.
UN NOUVEL OBSCURANTISME VERT
Une nouvelle forme pernicieuse d’obscurantisme vert s’insinue dans les esprits au nom d’une valeur supérieure qui serait la Nature ou Gaïa.
Dans ce monde idéalisé, les mensonges et la propagande submergent et étouffent méthodiquement les arguments techniques et économiques. Ces méthodes s’inspirent d’idéologies despotiques aux couleurs variées (brune, noire, rouge…) recyclées aujourd’hui dans la couleur verte.
Cette écologie coercitive masque ses intentions à la fois sous des concepts séduisants et lénifiants (le monde vivra d’amour et d’eau fraîche), et en brandissant des épouvantails diabolisant le nucléaire, l’industrie, les insecticides… Le mot pesticide (contre la peste) a été diffusé pour faire peur car le terme exact produit phytosanitaire (pour protéger les plantes), ou même simplement insecticide, était trop doux et rassurant.
En s’appuyant sur des dogmes partisans, des apprentis sorciers dénués de toute compétence légifèrent dans des domaines techniques, industriels et économiques complexes sans seulement entrevoir les graves conséquences sur le niveau de vie, le confort et la sécurité des Français.
Via les grands médias, ces nouveaux « maîtres à penser » bourrent quotidiennement les cerveaux des Français, y compris des enfants, d’arguments séduisants mais faux comme : « la croissance et l’emploi en France vont revenir en développant les énergies renouvelables ».
Mais c’est le contraire qui se produit.
Cette caste d’experts, parfois autoproclamés, justifie doctement cet assassinat de la pensée rationnelle au nom de l’écologie en érigeant leurs certitudes en dogme « irréfutable » et en s’arrogeant le droit de définir le Bien et le Mal.
LE BIEN ET LE MAL
S’il existe une possibilité de détruire le Mal, alors seuls les détenteurs du Bien doivent détenir le pouvoir afin de sauver la planète et de libérer l’humanité.
Il faudrait être fou ou pervers pour s’y opposer. Il faut donc forcer les gens à être libres, ce qui implique la suppression de… la liberté, une fois le pouvoir conquis.
La violence, les procès, les prophètes, et le messianisme sont inhérents à ce type de raisonnement commun entre l’écologie et les religions. Le discours écologiste s’est approprié Le Bien et Le Mal de telle sorte qu’après le marxisme… une nouvelle idéologie apparaît : l’écologisme, détentrice du Bien.
L’émergence de la figure de Greta Thunberg jetant l’anathème sur les adultes qui lui ont « volé son enfance » n’est pas due au hasard, tout comme les dérives sectaires et violentes (véganisme, antispécisme, attaque de centrales nucléaires…).
Quasiment tous les partis politiques tiennent un discours écologiste qui va de pair avec la culpabilisation des citoyens et leur taxation.
Dorénavant, des juges condamnent même des États au nom « du Climat », comme hier au nom de Dieu, du prolétariat ou de la race.
ÉCOLOGIE ET RELIGION
RépondreSupprimerLes écologistes et les religieux extrémistes empruntent pour le moment des chemins parallèles avec les mêmes discours, en utilisant de plus en plus des méthodes violentes pour faire triompher leurs causes.
L’écologie et la spiritualité, porteuses du meilleur et du pire s’occupent respectivement de la protection de la nature et de l’âme.
Les deux sont en charge d’une certaine forme d’immortalité et sont respectables, mais elles s’opposent au choix fait principalement par l’Occident de privilégier la liberté individuelle.
Ces deux forces remettent en cause le marché et la démocratie qui laissent le dernier mot aux Hommes au lieu de privilégier des valeurs naturelles et spirituelles considérées comme supérieures aux lois humaines.
Elles s’uniront en s’appuyant l’une sur l’autre pour faire avancer leurs causes et donner les pleins pouvoirs à ceux qui parlent en leur nom.
Lorsque les écologistes et les religieux se coaliseront, leur idéologie sera d’une force considérable. Cela se fera d’abord par une alliance cynique et utilitaire entre des écologistes radicaux et des extrémistes gauchistes, anarchistes et fascistes, comme il en existe déjà entre des mouvements fondamentalistes et criminels.
Si les démocraties n’y prennent pas garde, elles pourraient être balayées par ces nouvelles forces qui conduiront à de nouveaux totalitarismes après bien des désastres.
Ces rapprochements idéologiques aux relents nauséabonds peuvent se targuer de beaux succès catastrophiques dans l’Histoire du monde.
Les chemises brunes, noires, les foulards rouges, verts, et autres cols Mao sont autant de signes extérieurs de tyrannies ayant réussi brillamment, avant d’imploser devant les réalités économiques et physiques.
UNE DICTATURE VERTE EN GESTATION ?
Les assassins de la liberté ont besoin de formulations creuses, grandiloquentes et effrayantes (« il faut sauver la Planète ») qui émeuvent et rassemblent.
Le pouvoir dictatorial s’impose ensuite par le mensonge, la propagande et l’abêtissement de la population dont les réfractaires « pollueurs » sont désignés à la vindicte médiatique et populaire.
Quelques siècles de pratique de ces méthodes détestables ne permettent pas toujours de discerner ces agissements pernicieux qui contrôlent la pensée. Ils ont l’apparence d’un déroulement logique et rationnel, alors qu’ils ne sont constitués que de syllogismes et de juxtapositions d’idées fausses martelées systématiquement.
Généralement, le peuple berné par la duplicité de ces manœuvres s’en aperçoit trop tard.
Les Européens goberont-ils encore longtemps les mensonges de ces « maîtres en écologie » qui sévissent maintenant au plus haut niveau pour établir les lois ?
L’Europe s’éteindra-t-elle sous les vents mauvais de ces nouveaux gourous verts nostalgiques d’un passé naturel idyllique qui n’a jamais existé ?
Pour le moment, l’écologie politique s’appuie sur des médias serviles pour faire croire à sa légitimité. Mais son inconsistance fondée sur « du vent » et des fadaises dévoilera sa vacuité dans le monde réel.
Sa volonté tyrannique se consumera alors sur le bûcher des réalités. Et ce sera une bonne nouvelle ! Mais quand ?
Lorsque les supercheries se révèleront, il sera bien tard et le mal sera fait, et probablement pour longtemps.
Alors, assis sur un monde en ruine, une jeunesse soucieuse regardera à terre les folles illusions d’un monde merveilleux reposant sur du vent et du soleil en se demandant benoîtement : « comment avons-nous pu en arriver là ? »
Un article publié initialement le 29 novembre 2019
https://www.contrepoints.org/2021/09/16/358757-la-tyrannie-ecologie-sur-le-bucher-des-realites