ÇA NE FINIT JAMAIS: le macabre «chef de la santé» australien déclare que le covid sera avec nous «pour toujours» … ce qui signifie que la tyrannie n'a pas de limite
Jeudi 09 septembre 2021 par : Ethan Huff
(Natural News) Un autre bureaucrate du gouvernement se faisant passer pour un « responsable de la santé » a déclaré que la plandémie du coronavirus de Wuhan (Covid-19) ne disparaîtra jamais et sera avec nous « pour toujours ».
Kerry Chant, le "chef de la santé" de l'Australie, dit que les Australiens, et vraiment tout le monde, doivent "s'habituer" à prendre des "coups de rappel" sans fin pour le virus chinois. La seule façon de continuer à vivre, dit-elle, est de se conformer.
« Nous devons nous habituer à être vaccinés avec des vaccins COVID pour l'avenir », a annoncé Chant lors d'une récente conférence de presse. « Je ne peux pas voir que COVID ne sera pas avec nous pour toujours. »
Dans la vidéo suivante, vous pouvez entendre Chant l'annoncer par vous-même :
Dr Chant « Nous devons nous habituer à être vaccinés avec des vaccins contre le covid pour le futur » pic.twitter.com/WKkvfvDOE9 – Razorback1111 (@razorback11111) 30 août 2021
"En tant que médecin de santé publique, nous voulons toujours que les maladies disparaissent, qu'elles soient totalement éliminées, mais ce n'est pas à l'horizon dans un avenir proche", a poursuivi Chant.
"Les doses de rappel et les doses répétées en feront partie."
Chant a en outre expliqué que le gouvernement australien, utilisant l'argent des contribuables australiens, a déjà acheté de « grandes quantités » d'injections « Opération Warp Speed » de Donald « père du vaccin » de Trump pour une administration en 2022 et au-delà.
"Ce sera un cycle régulier de vaccination et de revaccination au fur et à mesure que nous en apprendrons davantage sur le moment où l'immunité diminue", a admis Chant.
Chant: Les gens se feront vacciner «régulièrement» contre la grippe Fauci Dans une réponse séparée à un journaliste, Chant a réitéré que de nombreux autres vaccins contre la grippe de Wuhan sont à venir et que les gens «seront vaccinés régulièrement» pour cela, qu'ils le veuillent ou non.
S'ils refusent les jabs, les gens ne seront pas autorisés à acheter, vendre, voyager ou vivre. C'est ainsi que le système de la bête finira par transformer cette abomination en la "marque de la bête" complète, comme l'avertit la Bible.
Étant donné que les Australiens ont largement accepté le programme de test en porte-à-porte du gouvernement australien, Chant pense que les vaccinations en porte-à-porte sont la prochaine étape logique pour enfermer les « hésitants » dans le giron « entièrement vacciné ».
"Bien qu'il soit dans la nature humaine d'engager une conversation avec les autres, d'être amical, ce n'est malheureusement pas le moment de le faire", a déclaré Chant sur la façon dont les Australiens devraient éviter d'être sociables et rester entre eux de peur d'attraper des germes chinois.
"Alors même si vous rencontrez votre voisin d'à côté dans le centre commercial... n'entame pas une conversation, c'est le moment de minimiser vos interactions avec les autres, même si vous avez un masque, ne pensez pas que cela se permet." protection totale », a-t-elle ajouté.
L'Australie continue de souffrir de ce qu'on appelle une politique « zéro covid » qui impose des mesures extrêmes même pour un ou deux « cas » de la maladie.
Le pays est confronté à un barrage sans fin de blocages qui ont caractérisé le pays comme une sorte d'« île de la prison » où il n'y a pas d'échappatoire à tout le fascisme médical.
Si un Australien tente de protester contre ces mesures draconiennes, il ou elle pourrait encourir des amendes pouvant aller jusqu'à 11 000 $ ainsi qu'un harcèlement constant de la part des policiers qui sont chargés de rendre visite à des « résistants » à leur domicile comme une forme d'intimidation.
« Un médecin employé par le gouvernement est une violation du serment d'Hippocrate », a écrit un commentateur de Summit.news à propos de personnes comme Chant, Tony Fauci et Rochelle Walensky, qui sont tous de faux « médecins » utilisant leur autorité autoproclamée pour pousser la tyrannie médicale.
"Les vaccins ARNm/ADN SONT à l'origine de nouvelles mutations car les vaccins NE TUENT PAS le virus, le laissant ainsi s'infecter et se développer dans la gorge et le nez des personnes déjà vaccinées", a écrit un autre. « Les déjà vaccinés SONT les vecteurs ! Toutes les injections de rappel dans le monde, même une par mois, ne changeront pas cette réalité.
Pour suivre les dernières nouvelles sur la tromperie d'injection de virus chinois, visitez ChemicalViolence.com.
Ce qui laisserait entendre que les inoculés (de nano-particules d'oxyde de graphène) élimineraient ces substances étrangères au transhumanisme et au devoir de recommencer périodiquement.
SARS-CoV-2 en France : « nous sommes en guerre » !
le 10 septembre 2021
Quand Macron a clamé « on est en guerre » au début de l’épidémie de coronavirus il a pris le soin machiavélique de constituer un comité de défense sanitaire. Ce comité prend toutes les décisions susceptibles de maîtriser l’épidémie en étant aidé par des « experts » choisis par les membres, mais pas tous, du gouvernement. Ce comité n’est pas censé rendre les compte-rendu de ses réunions publiques. Personne, hormis les quelques ministres qui font partie de ce comité et le Président, ne sait ce qui est discuté et sous prétexte que la France est en guerre (contre le virus), le monde parlementaire n’a plus aucun droit de regard sur les décrets publiés au Journal Officiel presque chaque jour. Tous les organes législatifs, Parlement, Sénat et de contrôle, Conseil Constitutionnel et Conseil d’Etat, sont ainsi court-circuités.
Nous sommes en guerre ! Ce conseil de guerre, comme en 1914, prend des décisions collectivement, mais quelle en est la signification ? Aucun compte-rendu n’est disponible : secret défense oblige, les décisions sont prises collectivement et aucun des membres de ce conseil, y compris le Président de la République, n’est personnellement responsable. La finalité de ce stratagème est évidente : aucun des membres du gouvernement français ne pourra être poursuivi pour avoir pris des décisions liberticides ou aggravant la situation sanitaire conduisant à un accroissement du nombre de morts. Il ne se passera rien, ils seront tous responsables mais aucun d’entre eux ne pourra être reconnu comme coupable. Toutes les actions pour déférer devant la justice l’un ou l’autre des membres de ce conseil de guerre contre le SARS-CoV-2 sont donc vouées à l’échec car il faudra attendre 50 ans pour que le compte-rendu de ces réunions soit rendu public.
Il existe cependant une faille dans cette cuirasse qu’a si admirablement mis en place le Président Macron en déclarant : « nous sommes en guerre ». Il faut arriver à démontrer, preuves incontestables à l’appui, que tout ce petit monde de dictateurs en puissance a été dès le début de l’affaire SARS-CoV-2 corrompu par les laboratoires pharmaceutiques. La première évidence de cette corruption fut de déclarer que l’HCQ était un produit toxique (voir note) et dangereux, la deuxième évidence fut d’interdire simultanément d’interdire aux médecins généralistes de prescrire ce médicament. La troisième évidence fut la politique du « tout vaccin et rien que vaccin ». Aujourd’hui rien n’a changé dans cette politique sanitaire imposée par les laboratoires pharmaceutiques. L’Ivermectine est interdite et il sera bientôt obligatoire aux population de se plier à une troisième injection puis à une quatrième … selon le bon-vouloir de ces mêmes laboratoires pharmaceutiques.
C’est sur ces divers points que ce conseil de défense non responsable mais « irresponsable » peut être attaqué : la corruption généralisée depuis le Président jusqu’au plus insignifiant « conseiller expert ». Il est donc urgent que des journalistes courageux arrivent à mettre au grand jour ce système de corruption qui a commencé avec le choix du cabinet McKinsey pour gérer cette crise sanitaire, de qui se moque le gouvernement ? Il semblerait que la pléthore de hauts fonctionnaires de l’Etat soit incompétente au point de faire appel à un cabinet américain. Mais c’était calculé par le Président français pour d’une certaine manière se couvrir vis-à-vis des Américains. McKinsey par ci, BlackRock par là (pour les retraites) : de quoi faire bonne figure. Paradoxalement la solution pourrait parvenir des Etats-Unis puisque ce pays sait tout, dans le moindre détail, de ce qui se trame sous les ors des palais de la République française et ses services chassent partout la corruption. Un jour ou l’autre il y aura une enquête du FBI relative aux malversations des laboratoires pharmaceutiques et les pays européens seront dans le collimateur des limiers de cet organisme qui, on le sait, collabore avec les quelques 14 autres agences de renseignement américaines. Tous les pays européens plongeront ! J’ajouterai que les services américains connaissent tous les détails de la cession d’Alstom-Energie à GE supervisée par Macron alors qu’ils officiait au Ministère des finances sous l’administration Hollande. Rien à signaler ? Non, pas vraiment. Juste un peu de patience…
Note. Le journal The Lancet a été corrompu par les laboratoires pharmaceutiques en publiant un article rétracté ensuite sur la toxicité de l’HCQ mais le contenu de cet article a permis aux gouvernants d’interdire l’HCQ et les médias tout aussi corrompus et aux ordres du gouvernement n’ont eu de cesse de clamer que les traitements précoces avec HCQ étaient inutiles voire dangereux. Le « conseil de guerre » n’a jamais remis en cause sa décision.
Il est bien évident qu'il n'y a pas de vaccin susceptible de rivaliser envers l'Hydroxychloroquine ou l'ivermectine et que la prétendue maladie (appelée 'covide19') n'est là qu'une fabrication pour entretenir la peur, l'angoisse, la mort d'une partie importante de la population (dont les 'chefs d’États' s'en foutent). L'important pour eux est que tous les bestiaux soient piqués pour être suivis et contrôlés à distance.
Un scientifique de l'OMS pourrait être condamné à la PEINE DE MORT pour avoir attaqué l'ivermectine et refusé un traitement efficace aux patients
Jeudi 09 septembre 2021 par : Ethan Huff
(Natural News) En Inde, le procès de l'Association du barreau indien (IBA) contre la scientifique en chef indienne de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) Soumya Swaminathan continue d'aller de l'avant, l'accusant de meurtre et d'autres crimes pouvant entraîner la réclusion à perpétuité ou même la mort peine.
Si vous l'avez manqué, Swaminathan a fait l'objet d'un procès en mai pour ses contributions à la dissuasion de l'utilisation de l'ivermectine dans le traitement du coronavirus de Wuhan (Covid-19).
Swaminathan est accusé d'avoir menti au sujet de l'ivermectine dans le but de la garder hors de portée des personnes malades. L'IBA a déclaré que les propos et le comportement de Swaminathan concernant l'ivermectine étaient "extrêmement déraisonnables", les décrivant comme "ayant un autre objectif" en plus d'essayer d'aider les gens.
L'IBA demande l'invocation des articles 302, 304 (paragraphe 2) et 88 du Code pénal indien contre Swaminathan. Si elle était condamnée, Swaminathan pourrait être mise à mort pour ses crimes présumés.
Le 25 mai, l'IBA a publié une déclaration accusant Swaminathan d'avoir « lancé une fausse campagne de propagande contre l'ivermectine » et d'avoir « incité le public à refuser d'utiliser l'ivermectine » pour traiter le virus chinois.
Environ deux semaines avant la poursuite, le ministère indien de la Santé a approuvé un régime de traitement de la grippe Fauci à base d'ivermectine qui recommandait à tous les résidents de 18 ans et plus de prendre cinq comprimés d'ivermectine par jour. Le but déclaré était d'empêcher les gens de développer de fortes fièvres potentiellement mortelles.
Après que le ministère de la Santé a présenté la nouvelle politique, Swaminathan a paniqué et a publié une déclaration au nom de l'OMS affirmant que la branche « santé publique » des Nations Unies ne recommande pas l'utilisation d'ivermectine dans le traitement des germes chinois.
La liste des "médicaments essentiels" de l'OMS comprend l'ivermectine Il s'avère que l'affirmation de Swaminathan est fausse. L'OMS recommande en fait l'utilisation de l'ivermectine dans sa liste de « médicaments essentiels ». Les inventeurs de l'ivermectine ont également reçu le prix Nobel de médecine en 2015 pour le développement du médicament.
"Votre tweet trompeur contre l'utilisation de l'ivermectine le 10 mai de cette année a conduit à l'exclusion de l'ivermectine du régime de traitement des coronavirus au Tamil Nadu le 11 mai, malgré le fait que ce médicament était auparavant un traitement sur la liste des médicaments", l'IBA a écrit dans sa déclaration légale contre Swaminathan.
« Le monde s’est progressivement rendu compte que vous utilisez la ‘méthode scientifique’ pour décrire des faits fabriqués. Cette méthode est absurde, arbitraire et ridicule. L'OMS prétend être « omnisciente », mais c'est comme un empereur vaniteux portant ses nouveaux vêtements, et le monde entier sait seulement maintenant que l'empereur ne porte aucun vêtement. »
Dans une déclaration distincte, le chef de l'équipe juridique d'IBA, Dipala Ojha, a promis que la déclaration juridique contre Swaminathan n'est « que la première étape ». Plus est à venir qui vise à la mettre à l'écart à vie, a-t-il menacé.
"L'action de supprimer le tweet vient de prouver sa malveillance", a écrit l'IBA sur son site Web à propos de la tentative de dissimulation de ses actions par Swaminathan. « Supprimer ce tweet ne la sauvera pas, elle et ses collègues. Nous soutiendrons les citoyens à engager des poursuites pour ses actions criminelles. »
Dans sa propre déclaration, l'OMS a répondu que ses membres "regrettent" cette prétendue attaque non provoquée contre Swaminathan, qui est considéré comme un haut responsable de l'OMS. Swaminathan fait partie de l'OMS depuis mars 2019.
Il est exceptionnellement rare que des responsables gouvernementaux de haut niveau soient jamais punis pour quelque chose, alors Swaminathan a dû faire quelque chose d'assez menaçant pour être désormais ciblé comme ça.
« Les responsables non élus et indignes de confiance qui déconseillent l'ivermectine sont en « capture réglementaire » », a écrit un commentateur de Natural News. "Cela se produit lorsque le régulateur (FDA / NIH / NHS, etc.) est compromis par les sociétés qu'il est censé réglementer."
Plus d'articles sur le drame du virus chinois peuvent être trouvés sur Pandemic.news.
Vidéo troublante: la police australienne du camp de covid menace de "gazer" un prisonnier de covid au lieu de le libérer après 14 jours
Jeudi 09 septembre 2021 par : Mike Adams
(Natural News) L'holocauste du vaccin est bien avancé en Australie, où une nouvelle vidéo inquiétante montre la police australienne du camp d'internement covid menaçant de «gazer» un occupant (prisonnier) qui a déjà passé 14 jours en quarantaine forcée et veut être libéré. Un extrait de la vidéo est présenté dans le podcast Situation Update d'aujourd'hui (ci-dessous), vers 10 minutes.
Ce que la vidéo semble confirmer, c'est que les autorités australiennes tyranniques sont :
1) Ne pas libérer les gens après qu'ils ont « servi » une quarantaine forcée de 14 jours. (Vous pouvez vous enregistrer mais vous ne quittez jamais.)
2) Menacer de « gazer » les prisonniers s'ils n'obéissent pas. Il n'est pas clair d'après la vidéo si ce "gaz" consiste à gazer quelqu'un avec du gaz lacrymogène ou un gaz mortel de type Zyklon B, mais dans les deux cas, il s'agit d'une violation flagrante des droits humains fondamentaux.
Les organisations mondiales des droits de l'homme sont mystérieusement silencieuses sur tout cela, et en Amérique, la soi-disant Union américaine des libertés civiles (ACLU) a complètement abandonné les libertés civiles et approuve maintenant les vaccins et les masques pour tout le monde.
La vidéo d'Australie révèle les horribles conséquences sur la santé mentale d'être interné dans ce qui est essentiellement un camp de la mort de covid, où l'un des occupants de cette vidéo explique: "vous ne pouvez pas avoir d'air" dans les pièces fermées et scellées. Son codétenu crie : « Emmenez-moi quelque part où les murs ne s'effondrent pas », révélant les conséquences sur la santé mentale d'un confinement involontaire sous un état de police médicale autoritaire.
Des personnes innocentes en parfaite santé sont considérées comme une menace pour la santé publique simplement parce qu'elles sont « testées positives » via un test PCR frauduleux Ce qui est encore plus troublant avec tout cela, c'est la façon dont le gouvernement australien tyrannique détermine quelles personnes kidnapper médicalement et jeter dans ces camps de la mort de covid. Il vous suffit de tester « positif » via un test PCR frauduleux pour être signalé et incarcéré, même si vous ne présentez aucun symptôme de maladie et êtes en parfaite santé.
Sur la base d'un test PCR frauduleux, en d'autres termes, vous pouvez vous voir refuser votre droit à la liberté et être jeté dans un camp d'internement pour covid tout en étant soumis à la torture mentale et physique par les autorités cruelles qui gèrent les camps de prisonniers.
Cela se produit déjà en Australie, et cette pratique sera bientôt bien avancée en Amérique car le CDC a déjà annoncé ses plans pour des camps de la mort de covid «zone verte» où personne ne sort vivant.
Nous assistons à l'accélération de l'holocauste du vaccin de jour en jour alors que les gouvernements deviennent des terroristes génocidaires Sous l'influence séduisante d'un pouvoir illimité, les gouvernements du monde ont abandonné tous les piliers de la procédure régulière, de l'état de droit ou des libertés individuelles et fonctionnent désormais comme des organisations terroristes génocidaires menant des opérations d'extermination de masse qui ressemblent ouvertement à l'Holocauste nazi de la Seconde Guerre mondiale. Pourtant, les êtres humains obéissants et crédules continuent de croire d'une manière ou d'une autre que s'ils se conforment juste assez, les choses reviendront à la normale.
"Normal" est un lointain souvenir, disparu depuis longtemps dans le rétroviseur. Aucun gouvernement n'abandonnera volontairement le pouvoir, c'est pourquoi les autorités sanitaires australiennes citent maintenant ouvertement le «nouvel ordre mondial» et prétendent que la pandémie de covid ne prendra jamais fin. (Ce qui signifie que leur tyrannie ne finira jamais.)
Voici le ministre australien de la Santé, le Dr Chant – qui prétend en quelque sorte être humain – déclarant que le « Nouvel Ordre Mondial » est désormais sous contrôle :
- voir clip sur site -
Il ne fait aucun doute que le Dr Chant soutient pleinement le gazage de masse des prisonniers des camps de la mort de Covid en Australie, car le véritable objectif du Nouvel Ordre Mondial est, bien sûr, l'extermination massive de milliards d'humains suivie de l'asservissement complet des survivants restants.
Il est maintenant tellement évident pour quiconque y prête attention qu'il est choquant que quiconque puisse être assez inconscient pour ne pas voir cela pour ce que c'est. Pourtant, les gauchistes, les démocrates et les éveillés ne voient rien de mal aux camps de la mort de covid, car tout se déroule sous « leur » président sénile, Joe Biden.
Le podcast Situation Update d'aujourd'hui se penche sur les horreurs de l'holocauste du vaccin et sur la façon dont les gouvernements terroristes mènent désormais ouvertement une guerre biologique contre la race humaine.
ÉTUDE : L'ivermectine est un « antiviral à large spectre d'intérêt » pour les humains
Jeudi 09 septembre 2021 par : Ethan Huff
(Natural News) En mai 2020, des chercheurs australiens ont publié une étude peu connue dans la revue Antiviral Research qui présente l'ivermectine, un médicament approuvé par la FDA pour les humains, comme un "antiviral à large spectre d'intérêt".
Les virus à ARN tels que le virus de l'immunodéficience humaine (VIH)-1, la grippe et la dengue, suggère l'article, pourraient être atténués grâce à l'utilisation d'ivermectine, qui empêche les composants viraux de s'installer à l'intérieur du corps.
« Bien que les virus à ARN se répliquent dans le cytoplasme de la cellule hôte infectée, le noyau est au cœur des étapes clés du cycle infectieux du VIH-1 et de la grippe, et une cible importante de la protéine non structurale 5 DENV (NS5) pour limiter la réponse antivirale de l'hôte. » le papier explique.
"Nous avons précédemment identifié la petite molécule d'ivermectine comme un inhibiteur de l'entrée nucléaire de l'intégrase du VIH-1, montrant par la suite que l'ivermectine pouvait inhiber l'importation nucléaire de DENV NS5, ainsi que limiter l'infection par des virus tels que le VIH-1 et le DENV."
La fonctionnalité à large spectre de l'ivermectine comprend sa capacité à cibler les protéines de transport nucléaire importine (IMP) ?/?1 qui sont responsables de l'entrée nucléaire de cargaisons telles que l'intégrase et la NS5, révèle le document.
« Nous établissons pour la première fois que l'ivermectine peut dissocier l'hétérodimère IMP?/?1 préformé, ainsi qu'empêcher sa formation, en se liant à l'IMP ? domaine de répétition de tatou (ARM) pour avoir un impact sur IMP? stabilité thermique et -hélicité.
C'est un peu compliqué à comprendre pour le profane, mais il suffit de dire que l'ivermectine, qui a été développée au Japon à partir d'un organisme naturel du sol, inhibe la fixation des composants viraux aux cellules humaines, bloquant efficacement l'infection sans avoir besoin de masques ou " vaccins."
« Étant donné qu'elle est approuvée par la FDA pour les indications parasitaires, l'ivermectine mérite une considération plus approfondie en tant qu'antiviral à large spectre d'intérêt », conclut le document.
Si le gouvernement se souciait vraiment de sauver des vies, il mettrait l'ivermectine entre les mains de tous les Américains. Il s'agit d'informations essentielles qui doivent être diffusées, d'autant plus que les médias grand public continuent de mentir sur l'ivermectine en la qualifiant de « vermifuge pour chevaux ». Bien que l'ivermectine soit, en fait, également utilisée chez les animaux, elle a également été approuvée par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis pour une utilisation chez l'homme.
Le médicament est très prometteur dans la lutte contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) et est largement utilisé en Inde, par exemple, pour traiter la maladie. Là-bas, les citoyens sont guéris de leurs infections sans avoir besoin de nouvelles thérapies Big Pharma et d'injections mystérieuses.
Cela explique pourquoi l'ivermectine est si agressivement combattue ici aux États-Unis qu'elle est maintenant presque impossible à obtenir, à l'exception de la variété animale qui est facilement accessible en ligne et dans les magasins d'alimentation, bien que ces variétés deviennent beaucoup plus chères.
Les grands médias menteurs veulent que tout le monde croie que l'ivermectine n'est rien de plus qu'une « pâte de cheval » qui ne devrait jamais être consommée par les humains. De fausses informations continuent de circuler sur des personnes faisant une « surdose » d'ivermectine, bien que plusieurs d'entre elles aient été démystifiées comme des absurdités inventées.
Bien qu'il ne s'agisse peut-être pas d'une panacée absolue contre la grippe de Wuhan, l'ivermectine mérite une plus grande attention qu'elle n'en reçoit actuellement. À tout le moins, il doit cesser d'être vilipendé par les fascistes médicaux qui refusent de regarder la science montrant son innocuité et son efficacité.
« Reconnaître que toute alternative est efficace de quelque manière que ce soit contre covid signifierait automatiquement que tous les EUA pour les » vaccins « sont illégaux et en violation directe des propres règles de la FDA », a écrit un commentateur de Natural News.
« Les ‘vaccins’ n’étaient que l’un des nombreux objectifs de la plandémie, et il n’y a aucune chance qu’ils ne les aient pas le plus tôt possible, quel que soit le nombre de dizaines de milliers de personnes qui ont dû mourir. C'est aussi à cela que ressemblent les crimes contre l'humanité.
Vous trouverez plus d'informations sur la tromperie du virus chinois et la chasse aux sorcières contre l'ivermectine sur Pandemic.news.
Encore une fois il est parfaitement inapproprié d'employer le nom de virus comme étant (ou pouvant être) porteur de maladie ! En effet, un 'virus' est le nom donné à une nano-particule émise par le magma. Or, cette masse ferrique incandescente affiche une température de 1200°C ce qui l'écarterait de toute susceptibilité d'émettre une quelconque maladie !!
Poursuivons la route avec la montée des nano-particules ferrique chargée d'électricité vers la surface des mers & océans grâce aux émissions de gaz fabriquées par le magma. Ces 'virus' sont consommés par des milliards de poissons sans qu'il y ait une quelconque hécatombe dans les eaux ! Et, nous-mêmes, consommons du poisson frais porteur de ces nano-particules encore chargées (durant 3 semaines) sans éprouver la moindre gêne.
Et là, je pose la question: ces 'virus' ne seraient pas conséquenciellement à l'origine même de la vie sur Terre ? Car, ne l'oublions pas: tout ce qui vit est électrique ! (et nous respirons 200 000 virus ou microbes par minute !).
Cela démontre aussi que les 'gens qui dirigent' (y compris les 'hommes de l'ombre' du NWO) sont loin d'être des scientifiques à confondre les mots de 'virus' (non-vivant) et microbe (vivant), car, une maladie ne peut être apportée QUE par des microbes et non des virus. Il ne peut donc exister de vaccin contre ces nano-poussières mais uniquement des remèdes contre les microbes.
L'évaluation de la communauté du renseignement sur les origines de COVID-19 ignore les informations facilement disponibles
PAR TYLER DURDEN JEUDI 09 SEP 2021 - 20:40 Rédigé par Jeff Carlson et Hans Mahncke via Epoch Times,
En mai 2021, le président Joe Biden a donné 90 jours à la communauté du renseignement pour rédiger un rapport sur les origines du COVID-19. La version déclassifiée de cette évaluation a maintenant été publiée.
Le rapport ne compte que 493 mots et ignore curieusement les informations facilement disponibles, choisissant plutôt de se concentrer et de renforcer des questions qui sont, pour la plupart, inconnaissables.
Plus précisément, l'Intelligence Community (IC) a affirmé que pour parvenir à une évaluation concluante, il fallait "des échantillons cliniques ou une compréhension complète des données épidémiologiques des premiers cas".
Cette approche dépendante de la Chine s'aligne sur une réponse récente du Dr Anthony Fauci, directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID). Lorsqu'il a finalement admis en juin de cette année que le virus pouvait provenir d'un laboratoire de Wuhan, Fauci a également déclaré que des échantillons cliniques des premiers cas étaient nécessaires.
Dans le même temps, alors que le CI affirme que la coopération de la Chine est nécessaire pour déterminer les origines du COVID-19, il reconnaît que la Chine a refusé de coopérer à toute véritable enquête.
Fauci et IC comprennent tous les deux que s'il y avait des informations utiles au Parti communiste chinois (PCC), ces informations auraient été publiées immédiatement.
Le rapport, non signé mais publié sous un en-tête du directeur du renseignement national, semble être structuré de manière à éviter de contrarier la Chine. Plus important encore, le rapport protège efficacement la Chine, donnant à plusieurs reprises du poids au manque de connaissance préalable de l'épidémie de la part des responsables chinois. Le rapport ignore que si la pandémie résultait d'un accident de laboratoire, aucun responsable n'en aurait eu connaissance à l'avance.
Le CI semble également confondre cause et effet en affirmant que le refus de la Chine de coopérer à une enquête est motivé par la « frustration » que la communauté internationale « utilise la question pour exercer des pressions politiques sur la Chine ».
Notamment, l'IC a montré un manque d'intérêt marqué pour la quantité abondante de données qui sont déjà disponibles et ne nécessitent pas l'assistance du PCC.
Le fait peut-être le plus évident indiquant une fuite de laboratoire est simplement que Wuhan se trouve à au moins 1 000 miles (1609 km) des habitats naturels des chauves-souris - un point même pas mentionné dans le rapport de l'IC.
De plus, Wuhan était le seul endroit en Chine où des expériences sur le virus des chauves-souris avaient lieu. En fait, Wuhan disposait d'au moins trois laboratoires réalisant de tels travaux : le Wuhan Institute of Virology (WIV), le Wuhan CDC Lab et le Wuhan University Center for Animal Experiment.
La directrice du WIV, Shi Zhengli, a elle-même admis qu'elle ne s'était jamais attendue à ce que ce genre de virus émerge à Wuhan. Lorsque les virus sont apparus naturellement dans le passé, ils sont apparus dans le sud de la Chine.
Le rapport IC a également ignoré le type de recherche menée à WIV depuis au moins 2007, qui a été bien documentée. Les articles de recherche fournissent des preuves directes d'expériences de gain de fonction de plus en plus sophistiquées - un processus par lequel les virus sont délibérément rendus plus virulents afin de prédire les maladies émergentes - menées par le laboratoire WIV dans les années qui ont précédé la pandémie, y compris un certain nombre de des expériences spécifiquement conçues pour rendre les coronavirus plus transmissibles à l'homme.
Certaines de ces expériences de gain de fonction ont également été détaillées dans un article du 9 novembre 2015 de la revue Nature sur les expériences menées au laboratoire de Wuhan utilisant des « virus chimériques » chez la souris.
Notamment, en 2014, le NIAID de Fauci a accordé une subvention de 3,7 millions de dollars à l'Alliance EcoHealth basée à New York, dirigée par Peter Daszak. Selon Francis Collins, directeur des National Institutes of Health (NIH), une partie des fonds de la subvention « est allée à Wuhan » dans le cadre d'un « contrat de sous-traitance d'EcoHealth ». En août 2020, après que le président Donald Trump a annulé la première subvention, Fauci a accordé à Daszak's EcoHealth une nouvelle subvention de 7,5 millions de dollars.
Une seule section du rapport fait référence à la manipulation et à l'échantillonnage des animaux par le WIV. Cette section fait référence à une agence de renseignement qui a conclu qu'elle était modérément confiante que le virus pourrait avoir fui d'un laboratoire de Wuhan. Notamment, toutes les autres agences se sont penchées sur les origines naturelles de l'épidémie du virus.
Le rapport ignore que des chauves-souris vivantes étaient conservées au WIV, apparemment le seul endroit à Wuhan où des chauves-souris pouvaient réellement être trouvées. Le rapport omet également de noter que des milliers d'échantillons de chauves-souris ont été apportés du sud de la Chine à Wuhan par des scientifiques de laboratoire.
L'énorme dépôt d'échantillons de chauves-souris à Wuhan a été confirmé par Daszak en juillet 2020, lorsqu'il a discuté de la découverte précoce d'une correspondance génétique étroite avec COVID-19, notant que «Ce n'était qu'une des 16 000 chauves-souris que nous avons échantillonnées. C'était un échantillon fécal, on l'a mis dans un tube, on l'a mis dans de l'azote liquide, on l'a ramené au labo. Nous avons séquencé un court fragment.
Daszak, la personne par l'intermédiaire de laquelle Fauci finançait le WIV, a nié que des chauves-souris vivantes aient été conservées dans le laboratoire de Wuhan, affirmant que ce n'était pas ainsi que fonctionnait la science. Daszak a ensuite supprimé son refus de tweet sans explication. Des images de l'intérieur du WIV Lab sont depuis apparues, confirmant que des chauves-souris vivantes étaient bien détenues par le personnel du laboratoire.
Le rapport ne traite pas non plus du fait que la directrice du WIV, Shi Zhengli, a tenté de dissimuler le fait qu'elle avait maintenu la possession du parent connu le plus proche de COVID-19 pendant plus de sept ans. Shi a soudainement renommé le virus au début de 2020 au début de la pandémie, masquant ainsi que son laboratoire avait détenu un virus étroitement lié.
Shi a également obscurci l'origine du virus. L'endroit où Shi a initialement trouvé le virus de type COVID a été découvert plus tard comme étant la mine de Mojiang où trois mineurs sont morts avec des symptômes de type COVID en 2012. Shi admettra plus tard que la mine de Mojiang était bien la source de son virus.
Les recherches de Shi sur les coronavirus des chauves-souris avaient auparavant attiré l'attention des diplomates de l'ambassade des États-Unis en Chine. En 2018, après avoir visité le WIV, ils ont envoyé un certain nombre de câbles au département d'État avertissant des conditions de sécurité inadéquates au laboratoire.
La propre représentante officielle de Fauci en Chine, Chen Ping, avait elle-même envoyé plusieurs messages au bureau de Fauci, qui auraient tous dû déclencher des signaux d'alarme. Chen a noté que des articles de recherche détaillant les expériences de gain de fonction au WIV étaient publiés en tant que travaux financés par les NIH.
Ses demandes de renseignements auprès du bureau de Fauci semblent être restées sans réponse. Chen s'est également plainte de s'être vu refuser l'accès au WIV. Quand, après deux ans, Chen a finalement été autorisée à visiter l'établissement, il lui a été interdit de prendre des photos à l'intérieur du laboratoire.
Depuis le début de la pandémie, des séquences vidéo déterrées prises par des équipes de télévision chinoises à l'intérieur du laboratoire ont été utilisées pour identifier un certain nombre de lacunes en matière de biosécurité, ainsi que le fait que le laboratoire gardait des chauves-souris vivantes.
En 2015, un article de Nature a spécifiquement mis en garde contre le potentiel pandémique des expériences WIV. Richard Ebright, biologiste moléculaire et expert en biodéfense à l'Université Rutgers, a déclaré avec prévoyance : « Le seul impact de ce travail est la création, en laboratoire, d'un nouveau risque non naturel.
Il n'y a aucune mention de ces avertissements pré-pandémiques dans le rapport de l'IC. Aucune mention non plus des avertissements du gouvernement français, qui avait initialement aidé à la construction du laboratoire BSL-4 (biosécurité niveau 4) du WIV dans le cadre d'une joint-venture avec le régime chinois.
Cependant, le gouvernement français a par la suite refusé de certifier le laboratoire du WIV en raison des préoccupations des responsables militaires concernant les armes biologiques. La France a également refusé à la Chine l'accès aux équipements de sécurité et aux virus en raison de préoccupations similaires selon lesquelles ceux-ci pourraient être utilisés pour la recherche sur les armes biologiques.
De plus, en 2009, la secrétaire d'État de l'époque, Hillary Clinton, a été avertie dans un câble diplomatique de la construction du laboratoire WIV BSL-4 et du potentiel de prolifération des armes biologiques.
Le rapport d'IC a également omis de noter que le WIV et le CDC de Wuhan menaient des expériences sur les coronavirus de chauve-souris dans les laboratoires BSL-2, un environnement à faible biosécurité qui tombe en dessous du seuil de sécurité accepté pour les niveaux de recherche sur les coronavirus. Un minimum de BSL-3 est requis pour travailler avec des coronavirus, y compris l'isolement, la culture et l'amplification.
Lorsque Shi Zhengli a finalement admis avoir mené des expériences sur les coronavirus au BSL-2, un éminent partisan des origines naturelles, Ian Lipkin, a changé son point de vue sur l'origine de la pandémie. Lipkin pense maintenant que le virus est sorti d'un laboratoire de Wuhan, affirmant que « cela n'aurait pas dû arriver. Les gens ne devraient pas examiner les virus des chauves-souris dans les laboratoires BSL-2. Ma vision a changé.
Un développement plus récent également ignoré dans le rapport de l'IC est que l'enquêteur principal de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), Peter Ben Embarek, a maintenant affirmé dans un documentaire danois qu'une fuite de laboratoire est probable et « pourrait bien avoir été déclenchée par un employé. dans l'un des laboratoires de la ville.
Embarek, qui dirigeait l'équipe de l'OMS qui s'est rendue à Wuhan en février de cette année, avait précédemment affirmé qu'une fuite de laboratoire était extrêmement improbable. Mais il admet maintenant que cette affirmation était le résultat de pressions du régime chinois. Embarek a déclaré à l'équipe documentaire danoise qu'après deux jours de négociations, un accord a été conclu entre l'équipe d'Embarek et leurs homologues chinois.
En vertu de l'accord conclu avec le PCC, Embarek serait autorisé à mentionner la théorie des fuites de laboratoire, mais uniquement à condition qu'il soit déterminé qu'elle est « extrêmement improbable » et qu'il n'y aurait pas d'autres études sur la question.
Le rapport d'IC ne traite pas non plus d'une téléconférence du 1er février 2020 organisée à la hâte par Fauci et le Dr Jeremy Farrar, directeur du British Wellcome Trust. La téléconférence a eu lieu après le reportage public de la nuit précédente d'un lien potentiel entre COVID-19 et le WIV.
Fauci et Farrar étaient préoccupés par l'implication précédente des États-Unis dans le laboratoire et qu'ils avaient connaissance des déclarations publiques faites par le directeur du laboratoire de Wuhan au sujet du financement américain utilisé pour des recherches controversées sur le gain de fonction menées là-bas.
À la suite de la téléconférence, la discussion publique sur la source pouvant être une fuite de laboratoire a été activement supprimée par les plateformes de médias sociaux, les responsables de la santé et l'OMS.
Les participants à la téléconférence ont également joué un rôle déterminant dans la publication de deux articles influents qui ont été largement utilisés par les organisations médiatiques pour faire avancer la théorie des origines naturelles. Simultanément, des théories alternatives, y compris celle d'une éventuelle fuite de laboratoire, ont été largement discréditées en tant que théories du complot.
Un autre domaine d'intérêt connexe que le rapport d'IC n'a pas abordé était le financement du WIV à partir de sources nationales du gouvernement américain et la manière dont ces fonds étaient utilisés. Les agences de financement, y compris le NIAID et le NIH de Fauci, ont en leur possession des dossiers et des documents réactifs, tout comme l'Alliance EcoHealth de Daszak, par l'intermédiaire de laquelle le financement du WIV a été organisé.
En effet, des documents d'EcoHealth récemment publiés en vertu de la Freedom of Information Act ont confirmé que le NIAID de Fauci finançait des expériences de gain de fonction, y compris la construction de nouveaux coronavirus chimériques liés au SRAS au WIV. Ces virus modifiés ont été testés sur des souris humanisées, montrant que les virus pouvaient infecter les humains et étaient plus pathogènes que le virus d'origine.
Des éditeurs tels que Springer-Nature et Lancet, qui ont tous deux avancé de manière agressive le récit des origines naturelles, ont des archives des premières ébauches, des données et des rapports d'examen des nombreux articles soumis par le personnel de WIV. Le Wellcome Trust, avec l'aide duquel Fauci a orchestré sa téléconférence secrète, a des dossiers concernant à la fois son rôle dans la téléconférence ainsi que dans le financement du WIV.
Le laboratoire qui a formé le personnel du WIV, le Galveston National Laboratory au Texas, dispose d'informations détaillées sur la formation et le personnel. Le gouvernement français a des dossiers sur la construction du laboratoire et sur les différends qui ont finalement conduit la France à se retirer du WIV. L'UE a également financé le WIV et dispose de dossiers pertinents.
Il y a aussi des lanceurs d'alerte des pays occidentaux. Bien qu'il ne soit pas réaliste d'avoir un accès direct aux lanceurs d'alerte chinois tels que Xiao Botao, un scientifique de Wuhan, qui a été le premier à blâmer publiquement une fuite de laboratoire pour la pandémie le 6 février 2020, il y en a beaucoup d'autres, y compris certains scientifiques qui peuvent avoir été initialement induits en erreur par leurs pairs.
Andrew Huff travaillait auparavant comme vice-président associé chez Daszak's EcoHealth. Il a depuis publié un certain nombre de déclarations sur LinkedIn blâmant une fuite de laboratoire pour la pandémie et blâmant également des scientifiques internationaux pour avoir collaboré à la dissimulation des fuites de laboratoire.
En réponse à l'affirmation selon laquelle l'origine du virus n'a pas pu être déterminée, Huff a déclaré que « vous pouvez lire les études évaluées par des pairs, les dépôts de brevets, les demandes de subvention et les e-mails de Fauci, et il est très clair quel était le rôle de Fauci ».
Il y a aussi un certain nombre de scientifiques impliqués dans les efforts initiaux pour pousser la théorie des origines naturelles qui ont depuis changé d'avis. Stanley Perlman dit maintenant que la théorie des fuites de laboratoire est «de retour sur la table». Et le signataire Charles Calisher affirme qu'il était « exagéré » d'appeler la fuite du laboratoire une théorie du complot.
Un autre signataire, Peter Palese, réclame désormais une enquête en bonne et due forme. Plus particulièrement, le professeur de l'Université de Chicago, Bernard Roizman, a déclaré que le virus provenait du laboratoire en raison de « la négligence », affirmant que le personnel du laboratoire de Wuhan « ne peut pas admettre qu'il a fait quelque chose d'aussi stupide ».
Le rapport de la communauté du renseignement a déclaré que « la coopération de la Chine serait très probablement nécessaire pour parvenir à une évaluation concluante des origines du COVID-19 ».
Mais il existe une mine d'informations dans le domaine public qui sont facilement disponibles et ne nécessitent pas les vastes ressources des communautés de renseignement de notre pays ou la coopération du PCC.
Si l'intention de l'IC était de fournir au public une réponse à l'origine du virus, cette réponse pourrait facilement être trouvée.
(...) L'énorme dépôt d'échantillons de chauves-souris à Wuhan a été confirmé par Daszak en juillet 2020, lorsqu'il a discuté de la découverte précoce d'une correspondance génétique étroite avec COVID-19, notant que «Ce n'était qu'une des 16 000 chauves-souris que nous avons échantillonnées. C'était un échantillon fécal, on l'a mis dans un tube, on l'a mis dans de l'azote liquide, on l'a ramené au labo. Nous avons séquencé un court fragment. (...)
Échantillon provenant d'une chauve-souris morte (de çà) ou vivante ?
A se rappeler qu'il existe (pour chaque animal dont l'être humain) une immunité naturelle. Chacun a un organisme qui sait se défendre ou qui consomme telle ou telle plante en cas de.
PAR TYLER DURDEN JEUDI 09 SEP 2021 - 16:44 Rédigé par Joanna Miller via le blog Organic Prepper,
Daisy a récemment écrit un article sur « l'altérité » des non vaccinés. Elle a expliqué en détail comment les individus blâment les non vaccinés pour absolument tout ce qui ne va pas ces jours-ci. Je partage son inquiétude. Il existe une longue histoire détaillée de l'« altérité » d'une population menant à toutes sortes d'horreurs. Cependant, c'est également faux à un niveau plus mondain.
Le discours public entourant la pandémie semble se concentrer uniquement sur la vaccination comme moyen d'obtenir une immunité collective. Ceux qui se sont remis de la maladie et qui ont une immunité naturelle sont complètement ignorés.
Mais pourquoi ?
Immunité naturelle.
La chose la plus frustrante pour moi, depuis un an et demi, a été le récit en constante évolution et le rejet de vérités scientifiques autrefois bien comprises. L'immunité naturelle est l'un de ces concepts de la biologie de première année que beaucoup semblent ignorer complètement de nos jours.
Je pense que c'est un effet naturel du « culte de l'expertise » que nous avons aux États-Unis. Apparemment, toute personne possédant des informations d'identification spécifiques est automatiquement renvoyée, quelle que soit sa compétence… ou plus insidieusement, où résident ses intérêts financiers.
Si plus d'entre nous étaient disposés à réfléchir de manière critique à la «science» dans les nouvelles ces jours-ci, nous pourrions être plus confiants dans la gestion de notre santé. Une population en bonne santé et confiante, prête à argumenter et à traîner les pieds pour accepter des traitements médicaux avec lesquels elle n'est pas à l'aise, est difficile à bousculer.
Une population prête à tout pour « revenir à la normale » ne l'est pas.
Nous n'allons pas « revenir à la normale ». Dès avril 2020, Daisy a écrit que nous ne reviendrions jamais « à la normale ». Et je suis d'accord.
J'ai entamé des discussions avec des professionnels de la santé pour savoir si les personnes qui se sont rétablies de la maladie doivent être vaccinées. Ces conversations auraient été considérées comme tout à fait ridicules il y a trois ans. Cependant, maintenant, il semble que nous ayons tous besoin de réapprendre la biologie de première année. J'aimerais donc revoir le concept d'immunité naturelle pour aider à organiser mes pensées et peut-être aider les autres qui ont l'impression que leur tête est dans un tourbillon.
J'ai mon ancien manuel de biologie universitaire - Life: The Science of Biology, de Purves, Sadava, Orians et Heller. J'ai la sixième édition, publiée en 2001, elle a donc environ 20 ans. J'ai aussi un manuel de biologie universitaire plus récent parce que je suis un grand nerd. C'est Campbell Biology, de Reece, Urry, Cain, Wasserman, Minorsky et Jackson, publié en 2014. Les deux manuels expliquent en détail le fonctionnement de notre système immunitaire et disent à peu près la même chose.
Notre corps a deux moyens principaux de se défendre contre la maladie.
Nos défenses innées sont des choses comme notre peau et notre mucus. Nous sommes nés avec ceux-ci, et ils rendent difficile l'entrée de divers agents pathogènes tels que les bactéries, les virus et les parasites multicellulaires dans notre corps. Notre corps possède également un système immunitaire qui reconnaît et attaque tous les agents infectieux qui dépassent nos défenses innées.
Notre système immunitaire est vraiment sophistiqué, et chez les individus en bonne santé, il fonctionne plutôt bien. Supposons qu'une sorte d'agent pathogène dépasse les défenses innées du corps et commence à infecter les cellules de l'hôte. Dans ce cas, le corps de l'hôte commencera à son tour à produire des anticorps qui attaqueront spécifiquement l'agent pathogène envahissant. Le corps hôte continuera à produire des anticorps jusqu'à ce que l'hôte meure ou que les cellules envahissantes meurent, et que le corps du patient puisse revenir à la normale.
La meilleure partie est que même après la fin de l'infection active, le corps de l'hôte conservera la mémoire des anticorps qu'il a produits pendant l'infection. Donc, si la personne anciennement infectée rencontre à nouveau l'agent pathogène, le corps aura immédiatement les anticorps pour tuer l'agent pathogène. Ils tombent rarement malades à nouveau, et s'ils le font, c'est généralement très doux.
Même le Wall Street Journal, incroyablement pro-vaccin, a récemment publié un article à ce sujet. Habituellement, le WSJ laisse ses articles sur la page Opinion pendant environ une semaine. Cependant, dans les vingt-quatre heures, le WSJ a enterré cet article sur l'immunité naturelle. Jeff a publié l'autre jour un excellent article sur les médias alternatifs. Cela alimente définitivement son récit sur la quantité de bonnes informations qui sont enfouies en ce moment.
Quoi qu'il en soit, l'article du WSJ discute de l'immunité muqueuse par rapport à l'immunité interne. L'auteur (un neurologue) déclare que si les vaccins stimulent l'immunité interne, ils ne font rien pour lutter contre l'immunité des muqueuses. Les virus ne pénètrent pas dans les organes de l'hôte, c'est pourquoi la plupart des personnes vaccinées ne tombent pas vraiment malades. Mais, les virus vivent et se reproduisent toujours dans les bouches et les voies nasales tapissées de mucus. C’est pourquoi des personnes vaccinées sans symptômes propagent toujours le Covid comme des folles. Cependant, ceux d'entre nous qui se sont rétablis ont à la fois une immunité muqueuse et interne.
Au cas où vous auriez besoin d'une preuve supplémentaire de l'efficacité de l'immunité naturelle. Une étude israélienne a montré récemment que les personnes vaccinées étaient 13 fois plus susceptibles d'être infectées et 27 fois plus susceptibles d'avoir des infections symptomatiques que les personnes ayant une immunité naturelle.
Alex Berenson a posté cette information sur Twitter le 25 août, et la plateforme l'a définitivement banni le 28 août. Pourtant, des professionnels de la santé commencent à en faire du bruit, comme Martin Kulldorff, épidémiologiste à Harvard. Espérons que plus de gens commencent à écouter.
Les avantages de l'immunité naturelle ne devraient pas être aussi choquants qu'ils semblent l'être. Après tout, nous l'observons depuis longtemps avec d'autres maladies. Un exemple : quand j'étais enfant, tout le monde avait encore la varicelle. Nous avons tous dû manquer l'école et rester à la maison pendant environ une semaine. Je suis l'aînée de huit enfants et je pense que le vaccin est sorti quand mes plus jeunes frères et sœurs étaient enfants. Mais je sais que les quatre plus âgés d'entre nous ont attrapé la varicelle.
Un de mes frères l'a attrapé deux fois. La première fois, il l'a attrapé quand je l'ai fait. Nous avons été assez malades pendant quelques jours et avons eu une éruption cutanée qui a couvert notre corps pendant environ une semaine. Je n'ai plus jamais eu la varicelle. Cependant, mon frère l'a ramassé une deuxième fois à l'école. Il n'a eu qu'une très légère fièvre pendant un jour et quatre ou cinq ampoules la deuxième fois. C'était ça.
Rien de ce que j'ai dit ci-dessus n'est même un peu controversé.
En fait, si vous regardez l'histoire de la variole, les dossiers remontent à plus de 2000 ans que les survivants de la variole ont soigné les malades. Même alors, il était de notoriété publique que les survivants ne tomberaient plus malades.
Maintenant, la variole est-elle exactement la même chose que Covid ? Non, pas exactement. L'histoire de l'éradication de la variole est incroyable. Depuis lors, nous semblons continuer à espérer pouvoir détruire toutes les maladies avec des vaccins. Mais ce n'est pas forcément réaliste. Pour commencer, la variole n'a pas d'hôtes animaux enregistrés. Cela signifie qu'une fois que vous l'avez éliminé chez l'homme, il est parti. Covid, qu'il provienne d'animaux ou d'un laboratoire, est connu pour vivre dans de nombreuses espèces animales différentes. Cela ne partira jamais vraiment. Les humains peuvent parfois prendre le dessus. Mais, il vivra et évoluera toujours au sein d'une variété d'hôtes animaux.
Alors, devrions-nous tous baisser les bras avec désespoir devant le fait qu'il existe une nouvelle maladie, peu susceptible d'être éradiquée, parmi nous ? Non. Nous vivons avec les virus du rhume et de la grippe depuis des millénaires. Ils ne seront pas éradiqués non plus car ils mutent rapidement et ont une variété d'hôtes.
Je n'essaie pas d'être insensible aux personnes qui ont souffert du Covid. Et, comme il semble maintenant généralement admis que Covid est originaire d'un laboratoire, je n'essaie pas non plus de minimiser les esprits absolument pervers impliqués dans la fabrication de cette maladie. Mais nous vivons avec des maladies depuis des millénaires. Nous pouvons apprendre à vivre avec celui-ci aussi.
Certaines personnes se sentent totalement à l'aise avec les nouveaux vaccins à ARNm. Personnellement, je ne suis pas à l'aise avec l'ARNm. Mais je n'essaierai de faire changer personne d'avis. J'ai eu Covid et j'ai une immunité naturelle. J'étais extrêmement à faible risque de complications de Covid. (À la fin de la trentaine, proche de mon poids idéal, et aucune carence en vitamines exceptionnelle.) Et bien sûr, je ne me suis senti malade que pendant environ une journée.
Je n'ai jamais eu de fièvre ni de symptômes respiratoires. J'étais endolori pendant environ vingt-quatre heures et fatigué le lendemain. Mon sens du goût et de l'odorat ont disparu, c'est pourquoi j'ai été testé. Ils ne sont pas revenus, ce qui est déprimant car j'aime la bonne bouffe, mais je peux m'en passer. Aucun enfant sur cette planète ne devrait manquer une course ou une rencontre avec des amis parce que je ne peux plus vraiment apprécier le café.
D'autres ont connu bien pire. Vous pouvez lire l'expérience de Daisy avec Covid ICI. Elle a également partagé avec ses lecteurs de newsletter qu'elle avait perdu un membre de sa famille proche à cause de Covid – un homme en bonne santé dans la mi-quarantaine qui n'avait aucune comorbidité. Bernie Carr, le fondateur d'ApartmentPrepper.com, a mené une longue bataille qui comprenait une hospitalisation et une dépendance à long terme à l'oxygène, et Greg Ellifritz, d'ActiveResponseTraining.com, a failli mourir lui-même mais est en voie de guérison.
Pour toute autre personne hésitante à se faire vacciner mais toujours préoccupée par la maladie elle-même, il existe de nombreuses autres options de traitement. Encore une fois, l'humanité a traité la maladie pendant longtemps avant que les vaccins n'entrent en scène. Certains des premiers médecins à traiter les patients de Covid ont formé Front Line Covid-19 Critical Care Alliance pour développer et partager des options de traitement à faible coût. Cet article parle de la gestion des symptômes du Covid à domicile pour ceux qui ne sont pas assez malades pour nécessiter une hospitalisation.
Ce n'est pas un argument pour ou contre les vaccins.
Si personne n'était prêt à essayer quelque chose de nouveau, nous ne progresserions jamais. Mais les essais doivent être effectués par des individus pleinement informés et consentants. Ce n'est pas ce que nous avons actuellement. Ce que nous avons maintenant, c'est la coercition.
J'essaie d'argumenter contre la peur et l'hystérie. Je veux encourager toute personne, comme moi, qui est même modérément instruite scientifiquement, à revisiter vos vieux manuels. Construisez votre confiance pour prendre vos propres décisions. Il y a trop de peur autour de cette maladie. Nous sommes distraits par une maladie à laquelle 99,5 % des personnes infectées de moins de 55 ans survivront alors que nos droits sont retirés, et notre réputation internationale d'être même un peu compétente et fiable s'effondre.
Ne vous laissez pas engloutir par la peur. Les mêmes choses qui nous ont surtout gardés en bonne santé dans le passé nous garderont surtout en bonne santé maintenant. Mangez des aliments nutritifs, faites de l'exercice régulièrement et profitez du soleil.
Cela signifie-t-il que si vous êtes en bonne santé, rien de terrible ne vous arrivera jamais ? Bien sûr que non, tout comme obéir à toutes les règles de circulation n'empêchera pas forcément un ivrogne de vous claquer dessus. Nous ne pouvons pas éliminer les risques dans nos vies. Tout ce que nous pouvons faire, c'est essayer de mettre toutes les chances de notre côté.
Comment allez-vous développer votre résilience et votre force mentale ?
La résilience et la force mentale font partie intégrante de la préparation. Pour en revenir aux premiers principes, vous éduquer vous aidera à prendre confiance en vos décisions pour vous et votre famille. La confiance vous aidera à résister à la marée montante de folie que nous voyons dans le monde. Êtes-vous confiant dans vos préparatifs ? Vous êtes-vous rééduqué en cours de route ? Parlons-en dans la section commentaires.
Ce n'est pas le moment de céder à la peur. Il est maintenant temps de devenir fort.
D'abord, que des inoculés blâment les personnes qui ont refusé de se faire injecter la solution létale, on en a rien à foutre ! Que ces trisomiques s'en soient aperçu ou non de la gravité de leur consentement: On en a rien à foutre !
Le puissant argument contre le vaccin à ARNm de Covid
Par Paul Craig Roberts PaulCraigRoberts.org 10 septembre 2021
LES FAITS:
- voir carte sur site -
Gibraltar a un taux de vaccination de 99% depuis le 1er juin. La conséquence a été une augmentation quotidienne de 2 500 % des cas de Covid. Le vaccin étant inutile, pourquoi pousser à la vaccination obligatoire et aux passeports Covid ? Cela n'a aucun sens pour la santé publique.
- voir graphique sur site -
La source
LES BIG PHARMA SHILLS
Fauci : « une pandémie de non vaccinés »
Walensky : « une pandémie de non vaccinés »
Ministre allemand de la Santé : « une pandémie de non vaccinés »
Remarquez comment les shills prononcent des mots identiques chaque jour.
Il y a deux raisons aux infections au Covid. L'un est le vaccin à ARNm qui propage Covid.
L'autre est le refus de l'établissement médical occidental de prévenir et de traiter le Covid avec de l'HCQ ou de l'ivermectine.
L'épidémie massive de nouveaux cas de Covid dans les pays les plus vaccinés – Gibraltar 99%, Islande 95%, Israël 84% – a clairement montré que le vaccin à ARNm ne protège pas contre l'infection à Covid. Fauci, un shill de longue date pour Big Pharma, est ravi. Sa solution à l'échec du « vaccin » (ce n'est pas un vaccin) est plus vaccin. Des injections de rappel sont nécessaires, dit-il, tous les 5 à 8 mois pour tenir Covid à distance. En d'autres termes, des bénéfices à jamais pour Big Pharma.
Mais l'échec du vaccin à ARNm est bien plus grave que l'échec de la protection. Le vaccin lui-même (1) provoque des maladies et des décès identiques aux maladies et aux décès de Covid, comme l'indique le nombre massif de décès et d'atteintes à la santé dans les bases de données sur les effets indésirables des vaccins, (2) le « vaccin » crée des variantes capables d'échapper à la réponse immunitaire, et ( 3) les vaccinés sont contagieux et dangereux pour les non vaccinés.
En d'autres termes, les cas dits de « percée » qui accablent désormais les pays les plus vaccinés sont dus à la vaccination. Continuer à piquer les gens risque de provoquer des morts et des blessés et des politiques totalitaires contre-productives au point de conduire à l'effondrement de la société.
C'est la conclusion d'un certain nombre de scientifiques et d'autorités médicales de haut niveau qui sont de loin supérieurs dans leurs connaissances aux shills des Big Pharma comme Fauci et Walensky et aux médias américains complètement stupides qui continuent de répéter "une pandémie de non vaccinés" lorsque les épidémies sont centrées sur les vaccinés dans les pays les plus vaccinés.
Nous devons nous demander s'il est possible même pour les journalistes américains d'être aussi stupides qu'ils se présentent, ou sont-ils payés pour mentir ? Nous savons que Fauci et Walensky bénéficient des bénéfices des vaccins. D'une manière ou d'une autre, ce conflit d'intérêts n'entre pas dans le débat public. Où sont les inculpations pour Fauci et Walensky ?
En effet, tous les faits sont censurés, supprimés et tenus hors du débat public. C'est la fonction des « médias sociaux », CNN, NPR, New York Times, Washington Post et le reste des presstitués.
La « crise Covid » est de bout en bout une crise fabriquée. Le but du vaccin à ARNm est d'aggraver la crise, ce qui conduira à des mesures plus contre-productives qui menacent non seulement la liberté mais la vie elle-même.
Il a été prouvé en Inde et en Afrique que l'ivermectine utilisée à titre préventif prévient les épidémies de Covid, et l'ivermectine a été prouvée comme remède par le succès de nombreux médecins qui ont utilisé l'ivermectine pour guérir leurs patients de Covid. L'ivermectine est un remède sûr et efficace.
Si vous avez besoin de plus de preuves de l'efficacité de l'ivermectine au-delà du tableau par lequel commence cet article, voici le président de la Tokyo Medical Association annonçant lors d'une conférence de presse que l'ivermectine est un traitement sûr et efficace pour l'infection à Covid et recommandant à tous les médecins au Japon immédiatement commencer à utiliser l'ivermectine pour traiter les patients atteints de Covid.
Voir aussi ceci.
Pourtant, les autorités médicales publiques occidentales – non japonaises, indiennes et africaines – et les presstituées continuent de mentir à travers leurs dents que l'ivermectine est dangereuse. Racontent-ils ce mensonge juste pour le profit, ou un agenda plus sombre se prépare-t-il ?
HCQ est un autre préventif et remède éprouvé et il est également diabolisé comme dangereux. HCQ doit être pris tôt lorsque les symptômes apparaissent pour la première fois. L'ivermectine est également efficace aux stades ultérieurs du virus.
Si vous attrapez le Covid et avez des comorbidités ou un système immunitaire affaibli, n'allez pas à l'hôpital. Ils vous mettront sous ventilateur et vous tueront. Vous n'obtiendrez pas de traitement avec des remèdes sûrs et efficaces connus. Allez plutôt au Japon, en Inde ou dans l'un des pays africains marqués en bleu dans le tableau d'ouverture, ou traversez la frontière mexicaine et achetez de l'ivermectine formulée pour les humains en vente libre dans une pharmacie. Aux États-Unis, essayez d'entrer en contact avec des médecins de première ligne qui sont submergés par les appels à l'aide d'Américains totalement abandonnés par l'établissement médical américain.
Ce n'est que dans les pays anglophones, aux États-Unis, en Europe occidentale et en Israël que la population n'est pas en mesure d'obtenir un traitement efficace et sûr pour l'infection à Covid. Ce sont les personnes trahies qui sont infectées encore et encore avec un « vaccin » mortel à ARNm. Le fou « Covid Tzar » israélien préconise un 4e rappel du vaccin identique qui a causé des dizaines de milliers de décès et des centaines de milliers de problèmes de santé, le même vaccin qui a rempli les hôpitaux israéliens de patients entièrement vaccinés. Aux États-Unis, le shill de Big Pharma Fauci dit qu'il y aura des injections de rappel tous les 8 mois. Cela signifie des réactions indésirables sans fin au « vaccin » et l'apparition sans fin de nouvelles « variantes ». Mais cela signifie des profits sans fin pour Big Pharma, et c'est tout ce qui compte.
La politique Covid mise en œuvre en Occident n'a aucune logique et aucun fondement sur des faits connus. Que se passe-t-il ?
Les médecins et les scientifiques ont rapporté l'efficacité de l'HCQ et de l'ivermectine, dont l'utilisation est si sûre depuis des décennies que dans les pays non contrôlés par les sociétés pharmaceutiques, ils sont disponibles en vente libre, tout comme l'aspirine. Pourtant, l'establishment médical américain corrompu déclare que les préventifs et les remèdes éprouvés sont « dangereux » et le vaccin à ARNm qui propage Covid est déclaré être la réponse.
Quel est l'ordre du jour ? De toute évidence, ce n'est pas la santé du public. De toute évidence, ils veulent plus de variantes, plus de cas de Covid, plus de décès et de blessures pour effrayer les moutons, vendre plus de vaccins et imposer plus de violations des libertés civiles.
Comment se fait-il que dans « l'Amérique libre et démocratique », la vérité et les faits soient exclus de la discussion et n'aient aucun impact sur la politique de Covid ? Comment se fait-il que les principaux scientifiques et médecins qui mettent en garde contre la catastrophe vaccinale croissante soient censurés et menacés de perdre leur licence médicale et leur emploi ? Ce qui se passe en Amérique est pire que ce qui est arrivé aux généticiens soviétiques sous Lyssenko.
En effet, l'idéologue Fauci est l'Américain Lyssenko. Sous le règne de Lyssenko, l'agriculture soviétique a été détruite et des millions de personnes sont mortes de faim. Les vrais scientifiques qui ont compris que Lyssenko était un cinglé payé de leur vie et de leur carrière. 3 000 biologistes traditionnels ont été licenciés ou emprisonnés. Dans la campagne pour réprimer les opposants scientifiques, d'autres scientifiques ont été exécutés. Le président de l'Académie d'agriculture a été envoyé en prison où il est mort, tandis que la recherche génétique soviétique a été détruite. La recherche et l'enseignement dans le domaine d'autres disciplines biologiques, telles que la biologie cellulaire et la neurophysiologie, jugés incompatibles avec le récit de Lyssenko ont été interdits.
C'est ce qui se passe aujourd'hui en Amérique, au Canada, en Europe occidentale, en Australie et en Nouvelle-Zélande. Les vrais experts sont discrédités, et à leur place nous avons CNN et d'autres shills de Big Pharma.
Comment se fait-il qu'au milieu de l'infection à Covid, la désinformation soit intentionnellement diffusée en ligne par des sites tels que Coronavirus World Updates ? À mon avis, Coronavirus World Updates est une feuille de mensonges sur Internet parrainée par Big Pharma, motivée par la cupidité, dans le but de diffuser de la désinformation afin de décourager les gens de rechercher et d'obtenir un traitement efficace contre l'infection à Covid.
Le 4 septembre, le battage médiatique du site de désinformation était une fausse histoire reprise par le magazine Rolling Stone sur le danger de l'ivermectine, l'un des médicaments les plus sûrs connus pris chaque semaine dans la plupart des pays africains en tant que prévention et traitement de la cécité des rivières. L'article malhonnête, qui a dû être rétracté, citait un médecin qui reprochait à l'ivermectine les personnes se surdosant en prenant des dosages formulés pour les gros animaux comme les chevaux. Il s'avère que le médecin a inventé toute l'histoire.
Les gens ne peuvent pas obtenir un traitement sûr et efficace pour Covid, car un système médical incompétent et corrompu ne fera que vacciner, refusera de traiter l'infection Covid avec des doses appropriées d'HCQ ou d'ivermectine, répandra de fausses histoires pour effrayer les gens d'un traitement réussi, et cherche à emporter les licences médicales des médecins qui sauvent réellement des vies.
On se demande combien le médecin a été payé par Big Pharma pour sa fausse histoire.
Ce ne sont pas seulement Rolling Stone et Coronavirus World Updates qui ont rapporté la fausse histoire. L'ensemble des médias prostitués était impliqué.
Pourquoi les presstitués travaillent-ils avec Big Pharma, Fauci et Walensky pour tromper les gens, les empêcher de recevoir un traitement sûr et causer la mort et des blessures à un grand nombre de personnes ? Voici un shill Big Pharma qui vous prépare pour des injections de rappel.
Est-ce l'odeur de l'incompétence ou l'odeur du mal qui émane de la profession médicale américaine et de ses imposteurs ?
Si « nos autorités médicales » ne parviennent pas à éradiquer nos vies avec le vaccin à ARNm, elles ont évidemment autre chose à débloquer pour faire le travail.
Il s'avère que le directeur de l'Organisation mondiale de la santé, Tedros Adhanom Ghebreyesus, n'est pas un médecin, mais c'est un ami et un protégé de Klaus Schwab, fondateur et président exécutif du Forum économique mondial, qui entend imposer au monde, en utilisant la peur orchestrée de Covid, la «Grande réinitialisation», qui signifie la fin de la vie telle que l'humanité l'a connue. Ici, les deux sont ensemble.
Terminons cette chronique avec des informations factuelles de Doctors for Covid Ethics.
Si vous voulez ruiner votre santé et peut-être mettre fin à votre vie, prenez le coup de mort.
Sinon, organisez-vous. Exigez des comptes pour Biden, Fauci, Walensky, Big Pharma et les médias presstitués. Ces criminels sordides ont un nombre massif de morts et de blessures permanentes sur leurs mains avides. Ce sont les personnes qui devraient être inculpées, jugées, condamnées et exécutées pour meurtre et blessures de masse.
Mais il y a peu de chances que cela se produise. Au lieu de cela, les gens seront assassinés et blessés pour le profit. C'est toujours le sort des moutons qui dans leur bêtise font confiance aux « autorités ».
Malgré toutes les preuves que les vaccins à ARNm ne protègent pas contre les infections à Covid, provoquent des effets néfastes massifs sur la santé et créent des variantes qui échappent à la réponse immunitaire, un grand nombre de prestataires de soins de santé et d'employeurs exigent l'inoculation comme condition d'emploi.
L'examen de l'hôpital Becker fournit une liste des prestataires de soins de santé qui imposent l'inoculation du vaccin dangereux comme condition d'emploi et comme exigence pour les patients qui cherchent un traitement pour toute maladie.
Ces employeurs stupides n'ont pas le QI nécessaire pour pouvoir fonctionner dans le monde. Ils sont tellement stupides qu'ils ne réalisent pas que ce sont seulement les fabricants de vaccins, pas eux, qui sont à l'abri de toute responsabilité pour les dommages causés par le vaccin autorisé à utiliser en cas d'urgence. Si ces employeurs imposent la vaccination, ou si les universités le font pour leurs étudiants, ils sont responsables des blessures et des décès causés par le « vaccin » obligatoire.
Les hôpitaux sont doublement stupides. Il y a déjà une pénurie d'infirmières expérimentées. Maintenant, un grand nombre d'entre eux démissionnent ou sont licenciés pour avoir trop de sens pour prendre le jab après avoir vu les conséquences néfastes de la vaccination contre Covid. Ce problème ne se limite pas aux États-Unis. Par exemple, les travailleurs de la santé britanniques quittent en masse l'industrie après avoir reçu l'ordre de se faire vaxer ou de démissionner.
Les personnes en bonne santé sont confrontées à une minuscule menace de mort ou de blessure grave due à Covid. Les personnes vulnérables présentant des comorbidités peuvent recevoir en toute sécurité des doses préventives d'ivermectine ou d'HCQ. Il n'y a aucune raison, autre que la pure négligence du corps médical, pour que des personnes vulnérables attrapent même Covid. Il n'y a certainement aucune raison pour qu'ils meurent parce que la profession médicale retient les traitements avec des remèdes connus.
Il est étonnant que les personnes en Afrique sujettes à la cécité des rivières et au paludisme soient cent fois plus à l'abri du Covid que les Américains et les Européens de l'Ouest.
Quelle blague le monde occidental est. Pas étonnant qu'il soit dans un état d'effondrement.
Fauci sera-t-il tenu responsable d'avoir menti au Congrès ?
Par Joseph Mercola Mercola.com 10 septembre 2021
Dans un article du 31 août 2021, sous-stack1, Paul Thacker, journaliste d'investigation et ancien enquêteur du Sénat américain, examine les preuves qui, selon lui, montrent que le Dr Anthony Fauci a menti au Congrès, une infraction passible d'une peine pouvant aller jusqu'à cinq ans de prison, à condition les fausses déclarations sont matériellement pertinentes et sciemment fausses.
« Un nouveau documentaire d'enquête de la chaîne britannique Channel 42 a détaillé certaines des preuves les plus solides à ce jour que la pandémie de COVID19 pourrait avoir commencé à partir d'une fuite de laboratoire à Wuhan, en Chine », écrit Thacker.3
« À tout le moins, les entretiens du documentaire avec des experts et l'examen des documents ont expliqué comment la Chine a induit le monde en erreur au sujet de ses recherches sur des agents pathogènes dangereux…
Le documentaire a clarifié un autre point : Anthony Fauci a menti devant le Congrès et le public américain lorsqu'il a affirmé lors d'une audition au Congrès qu'il n'avait pas financé la recherche sur le gain de fonction menée par l'Institut de virologie de Wuhan…
Le président Biden a fait campagne pour l'honnêteté et la décence. La question qui se pose maintenant au président Biden est la suivante : « Que ferez-vous de Fauci maintenant qu'il a enfreint la loi et violé la confiance du public en mentant devant le Congrès ? » »
Fauci redéfinit les termes scientifiques à la volée
Dans ce qui semble être une tentative de se dégager du blâme pour la pandémie de COVID, Fauci – directeur du National Institute for Allergy and Infectious Diseases (NIAID), une branche des National Institutes for Health (NIH), depuis 1986 – a nié jamais avoir financé des recherches sur le gain de fonction au WIV ou ailleurs lorsqu'elles ont été interrogées par des membres de la commission sénatoriale de la santé, de l'éducation, du travail et des retraites en mai 2021.4
Le terme « gain de fonction » est généralement utilisé pour désigner des changements entraînant l'acquisition de nouveaux phénotypes biologiques ou une amélioration de ceux-ci. ~ Conseil consultatif scientifique national pour la biosécurité Selon Thacker, les preuves réfutent clairement cela. Un « fusil fumant » est un article de recherche écrit par des scientifiques du WIV intitulé « La découverte d'un riche pool de gènes de coronavirus liés au SRAS de chauve-souris fournit de nouvelles informations sur l'origine du coronavirus du SRAS ».5 Cette recherche a été financée par le NIH et rencontre le Département de la définition de la recherche sur le gain de fonction de la santé et des services sociaux.6,7
Le documentaire de Channel 4 s'est penché sur ce papier. Lorsqu'on lui a demandé si le NIH avait déjà financé des recherches sur le gain de fonction au WIV, David Relman, médecin-chercheur à l'Université de Stanford, a répondu : « Oui. Indirectement, mais oui. Comment savons nous ? Le journal dit, juste en première page, « Supported by NIAID, NIH. » » Le clip mettant en vedette Relman est inclus ci-dessous.
Comme indiqué précédemment par la National Review8, nous savons que le WIV a reçu un financement du NIAID/NIH pour créer de nouveaux coronavirus chimériques liés au SRAS capables d'infecter à la fois les cellules humaines et les animaux de laboratoire. Les « virus chimériques » font référence à des virus artificiels créés par l'homme, des organismes hybrides créés par l'union de deux ou plusieurs organismes différents.
C'est précisément l'objet de la recherche sur le gain de fonction. Selon un rapport de 20169 du Conseil consultatif scientifique national pour la biosécurité, « le terme « gain de fonction » est généralement utilisé pour désigner des changements entraînant l'acquisition de nouveaux phénotypes biologiques ou une amélioration de ceux-ci. »
Fauci veut maintenant adopter une définition beaucoup plus étroite de la recherche sur le gain de fonction qui prend en compte l'intention supposée derrière la recherche, mais cela n'a vraiment pas de sens. Ce n'est pas parce que vous n'avez pas l'intention de nuire que votre création ne peut pas nuire ou pourrait causer du tort par inadvertance.
Le financement américain de la recherche sur le gain de fonction était bien établi
Selon Thacker, « Fauci savait certainement que le WIV qu'il aidait à financer menait des études de gain de fonction, car cela était de notoriété publique. »10 Par exemple, un an avant que Fauci ne soit interrogé par le Congrès, Newsweek a rapporté que :11
«En 2019, avec le soutien du NIAID, les National Institutes of Health ont engagé 3,7 millions de dollars sur six ans pour des recherches comprenant des travaux de gain de fonction. Le programme faisait suite à un autre projet de 3,7 millions de dollars sur 5 ans pour la collecte et l'étude des coronavirus de chauves-souris, qui s'est terminé en 2019, portant le total à 7,4 millions de dollars…
La recherche du NIH comportait deux parties. La première partie12 a commencé en 2014 et impliquait la surveillance des coronavirus de chauve-souris… Le programme a financé Shi Zheng-Li, virologue au laboratoire de Wuhan… pour enquêter et cataloguer les coronavirus de chauve-souris dans la nature. Cette partie du projet a été achevée en 2019.
Une deuxième phase13 du projet, commençant cette année-là, comprenait… une recherche sur le gain de fonction dans le but de comprendre comment les coronavirus de chauve-souris pourraient muter pour attaquer les humains. Le projet était dirigé par EcoHealth Alliance… sous la direction du président Peter Daszak… Le NIH a annulé le projet… le 24 avril [2020]…
De nombreux scientifiques ont critiqué la recherche sur le gain de fonction, qui consiste à manipuler des virus en laboratoire pour explorer leur potentiel d'infection des humains, car elle crée un risque de déclenchement d'une pandémie à partir d'une libération accidentelle.
À peu près à la même époque, l'ancien directeur par intérim de la CIA, Michael Morell, a déclaré à Politico14 que "si le virus s'échappait d'un laboratoire de Wuhan, les États-Unis assumeraient une partie du blâme car ils ont financé la recherche dans ce laboratoire grâce à des subventions gouvernementales de 2014 à 2019".
Mi-janvier 2021, le département d'État américain a publié une fiche d'information accusant le gouvernement chinois d'être obsessionnellement secret sur la recherche sur le gain de fonction au WIV, et qu'il collaborait avec l'armée chinoise sur des projets secrets.
La fiche d'information a depuis été supprimée du site Web du département d'État, mais a été signalée par un certain nombre de points de vente à l'époque. Parmi eux, Life Site News, qui a écrit :15
"Dans une" fiche d'information " publiée en ligne … le Département d'État (DOS) a présenté trois éléments distincts sur l'origine du virus, qui " méritent un examen plus approfondi " … Le premier des trois problèmes nécessitant une enquête plus approfondie était l'épidémie de maladie à l'intérieur de l'Institut de virologie de Wuhan (WIV).
Le DOS a révélé qu’il avait « des raisons de croire » que « plusieurs chercheurs au sein du WIV sont tombés malades à l’automne 2019, avant le premier cas identifié de l’épidémie, avec des symptômes compatibles à la fois avec le COVID-19 et les maladies saisonnières courantes »…
De plus, le DOS a noté que les chercheurs du WIV avaient effectué des expériences sur « RaTG13, le coronavirus de chauve-souris identifié par le WIV en janvier 2020 comme son échantillon le plus proche du SARS-CoV-2 (96,2% similaire) » depuis au moins « 2016. '
Le laboratoire a également "un dossier publié de recherche sur le "gain de fonction" pour concevoir des virus chimériques.» Une telle recherche, la recherche sur le gain de fonction, est un type qui «améliore la capacité d'un agent pathogène à provoquer une maladie». "
Rapports supplémentaires citant la recherche sur le gain de fonction
Le 6 mars 2021, le comité de rédaction du Washington Post a publié un article16 appelant à une enquête indépendante sur l'origine du SARS-CoV-2. Dans cet article, la chambre a souligné que :
"... un chercheur principal à l'Institut de virologie de Wuhan, Shi Zhengli, travaillait sur des expériences de" gain de fonction ", qui impliquent de modifier les génomes viraux pour leur donner de nouvelles propriétés, y compris la capacité d'infecter les cellules pulmonaires de souris de laboratoire qui avaient été génétiquement modifié pour réagir comme le feraient les cellules respiratoires humaines.
Le conseil d'administration a également noté que Shi "travaillait avec des coronavirus de chauve-souris qui étaient génétiquement très similaires à celui qui a causé la pandémie". Quelques mois plus tard, dans un essai du 22 juin 202117, le professeur Jeffrey Sachs, chef de la commission du Lancet chargée d'enquêter sur l'origine de COVID, a également décrit comment le NIAID a financé la recherche sur le gain de fonction au WIV :
« Il est en fait de notoriété publique dans la communauté scientifique américaine que le NIH a en effet soutenu la recherche génétique recombinante sur les virus de type SRAS que de nombreux scientifiques décrivent comme GOFROC [gain-of-function research of concern].
La littérature scientifique évaluée par des pairs rapporte les résultats d'une telle recherche génétique recombinante soutenue par les NIH sur les virus de type SRAS. Plus précisément, il est clair que le NIH a cofinancé une recherche au WIV qui mérite un examen minutieux dans l'hypothèse d'une libération du virus en laboratoire. »
« La trahison du COVID-19 de Fauci »
Le Dr Peter Breggin, psychiatre formé à Harvard et ancien consultant pour le National Institute of Mental Health, est particulièrement intéressé par le rôle potentiel de Fauci dans cette pandémie. En octobre 2020, il publie le rapport18 « Dr. La trahison du COVID-19 de Fauci », détaillant les liens de Fauci avec le Parti communiste chinois (PCC) et son armée.
Breggin est convaincu que Fauci « a été la force majeure » derrière les activités de recherche qui ont permis au PCC de fabriquer des coronavirus mortels du SRAS, ce qui à son tour a conduit à la libération – accidentelle ou non – du SRAS-CoV-2 du WIV.
Il affirme que Fauci a aidé le PCC à obtenir de "précieux brevets américains" et qu'il, en collaboration avec le PCC et l'OMS, a initialement supprimé la vérité sur les origines et les dangers de la pandémie, permettant ainsi la propagation du virus de la Chine à le reste du monde.
Fauci a protégé et continue de protéger le PCC et lui-même, dit Breggin, en «niant l'origine du SRAS-CoV-2» et en «retardant et contrecarrant les tentatives mondiales de faire face de manière rationnelle à la pandémie».
Dans le résumé du rapport, Breggin documente 15 activités douteuses dans lesquelles Fauci s'est engagé, à commencer par le fait qu'il a financé des recherches dangereuses de gain de fonction sur les coronavirus de chauve-souris, à la fois par des chercheurs chinois individuels et le WIV en collaboration avec l'américain des chercheurs. Cette recherche, dit Breggin, a permis au PCC et à son armée de créer leurs propres armes biologiques, y compris le SARS-CoV-2.
Fauci sera-t-il tenu responsable?
Selon Thacker, « il est évident que » Fauci « a enfreint la loi et a induit le Congrès en erreur ». Il ajoute :19
« Ce n'est pas mon opinion personnelle ; J'ai dû connaître et appliquer les dispositions pertinentes de la loi pendant les trois années où j'ai mené des enquêtes au Sénat. À deux reprises, j'ai dû consulter le conseiller juridique du Sénat, puis avertir les gens de mentir au Congrès…
Fauci a menti lors de son témoignage devant le Congrès. Fauci a menti au peuple américain. Plusieurs éléments de preuve le montrent clairement. Mais attraper Fauci en train de mentir et d'enfreindre la loi ne sert à rien, car le ministère de la Justice poursuit les personnes pour avoir menti au Congrès, et le ministère de la Justice est dirigé… par l'administration Biden. Alors, que va faire le président Biden à ce sujet ? »
Lors d'une apparition au Hannity Show, le 20 juillet 2021, le sénateur américain Rand Paul – qui a grillé Fauci au sujet de son financement de la recherche lors de deux audiences distinctes cette année – a annoncé qu'il demanderait effectivement au DOJ un renvoi criminel.20
Paul a spécifiquement demandé au DOJ d'enquêter pour savoir si Fauci a violé le 18 US Code § 100121 – ce qui en fait un crime fédéral de faire « toute déclaration ou représentation matériellement fausse, fictive ou frauduleuse » dans le cadre de « toute enquête ou examen » mené par le Congrès – ou tout autre statut. Le temps nous dira si cela équivaut à quelque chose.
La recherche de gain de fonction est la vraie menace
Indépendamment de ce qui arrive à Fauci, en fin de compte, la question clé qui doit être résolue est de savoir si nous devrions autoriser la recherche qui implique de rendre les agents pathogènes plus dangereux pour les humains, quelle que soit l'intention derrière cela, ou la technologie spécifique utilisée.
Des fuites de laboratoire se sont produites à plusieurs reprises, ce n'est donc qu'une question de temps avant que quelque chose de bien plus dévastateur que le SARS-CoV-2 ne sorte. Les dirigeants mondiaux doivent se rendre compte que le financement de la recherche sur le gain de fonction est la véritable menace ici et prendre des mesures en conséquence pour prévenir une autre pandémie. Tant que les chercheurs sont autorisés à muter et à créer des agents pathogènes synthétiques, ils créent le risque même qu'ils prétendent essayer de prévenir.
Sources and References
1, 3, 10, 19 Disinformation Chronicle August 31, 2021 2 Channel 4, Did Covid Leak from a Lab in China? August 22, 2021 4 National Review May 11, 2021 5 PLOS Pathogens November 30, 2017 DOI: 10.1371/journal.ppat.1006698 6 PHE.gov US Government Gain of Function Deliberative Process and Research Funding Pause October 17, 2014 7 US DHHS Framework for Guiding Funding Decisions about Proposed Research Involving Enhanced Potential Pandemic Pathogens 2017 8 National Review May 13, 2021 9 National Science Advisory Board for Biosecurity May 2016 11 Newsweek April 28, 2020 12 NIH Project Information 1R01AI110964-0 13 NIH Project Information 2R01AI110964-06 14 Politico April 30, 2021 15 Life Site News January 18, 2021 16 Washington Post March 6, 2021 (Archived) 17 Project Syndicate June 22, 2021 18 Dr. Fauci’s COVID-19 Treachery October 19, 2020 (PDF) 20 Wave3.com July 21, 2021 21 18 US Code § 1001 – Statements or entries generally
Le prisonnier politique médical Mark Grenon révèle la vérité derrière le dioxyde de chlore et COVID-19 – Brighteon.TV
Jeudi 09 septembre 2021 par : Franz Walker
(Natural News) Mark Grenon se trouve actuellement dans une cellule de la prison de La Picota à Bogota, en Colombie. La Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a fait arrêter Grenon, le chef de l'église Genesis II basée en Floride, pour avoir fait la promotion du dioxyde de chlore comme traitement salvateur et abordable pour le coronavirus de Wuhan (COVID-19) et d'autres maladies.
Heureusement, Grenon a pu maintenir le contact avec le monde extérieur, lui permettant de parler de son sort.
Dans ce nouvel épisode du rapport Health Ranger sur Brighteon.TV, Mike Adams le Health Ranger est en mesure de parler à Grenon, via le téléphone de la prison, des raisons pour lesquelles il est devenu un prisonnier médico-politique ainsi que de la façon dont la FDA et d'autres autorités tentent pour faire taire la vérité sur COVID-19 et les traitements pour le combattre.
Regardez l'épisode complet ci-dessous ou sur Brighteon.TV.
En discutant avec Grenon, Adams demande au prédicateur devenu prisonnier médico-politique d'expliquer comment et pourquoi il a été arrêté en premier lieu. Grenon explique comment, lorsque la pandémie de COVID-19 a commencé, il a commencé à recevoir de multiples témoignages sur l'efficacité du dioxyde de chlore comme traitement contre des maladies, dont le COVID-19.
Adams explique qu'il utilise également du dioxyde de chlore, le prenant pour des choses telles que "mal de gorge ou fatigue".
"Mais ce n'est que ma propre expérience personnelle", ajoute Adams. "Je ne le vends pas évidemment et je ne fais pas de réclamations."
Ce sont les affirmations sur le dioxyde de chlore que Grenon a faites qui lui ont causé des ennuis avec la FDA. (Connexe : dioxyde de chlore pour traiter le COVID ? OUI, dit le Dr Manuel Aparicio.)
"La FDA dirait que vous avez fait des affirmations non prouvées à ce sujet selon lesquelles il pourrait guérir le COVID ou pourrait guérir le cancer, etc., et que vous n'avez pas les données solides pour le confirmer", souligne Adams. "Vous pouvez avoir, vous savez, des preuves anecdotiques, des témoignages, disons, mais vous n'avez pas les preuves solides pour les étayer."
À cela, Grenon souligne qu'il existe des milliers de brevets pour le dioxyde de chlore, dont certains sont à usage médical, ainsi que dans la transformation des aliments.
"Eh bien, tout d'abord, [il y a] plus de 30 000 brevets pour le dioxyde de chlore, et certains d'entre eux sont à usage médical, certains d'entre eux, le cancer, le paludisme, ils sont utilisés dans la transformation des aliments", explique Grenon. « Il a été prouvé dans des études cliniques que physiologiquement, il ne cause aucun dommage. Il n'est pas toxique pour le corps humain, en particulier aux PPM (parties par million) que nous utilisons.
Grenon poursuit en soulignant que le dioxyde de chlore n'est pas le seul traitement potentiel pour COVID-19 que la FDA et l'établissement médical ont tenté d'écraser. Il évoque l'ivermectine, l'antiparasitaire qui s'est révélé prometteur pour le traitement de la maladie.
"L'establishment médical essaie également d'écraser l'ivermectine, qui est un médicament d'ordonnance approuvé par la FDA pour les humains, et ils essaient d'écraser cela parce qu'il n'est pas breveté."
Plaidoyer pour le dioxyde de chlore Pour en revenir au dioxyde de chlore, Grenon explique que de nombreux médecins en dehors des États-Unis l'ont en fait utilisé pour traiter le COVID-19.
"Il y a 5 000 médecins dans 25 pays qui se sont manifestés qui l'utilisent exclusivement pour COVID", souligne-t-il. « La Bolivie a rendu légal le COVID. D'accord, donc tout ce que nous avons dit est prouvé dans des études cliniques. Ils n'ont rien. » (Connexe : Prévention des infections : les policiers au Pérou utilisent du dioxyde de chlore pour désinfecter et protéger contre le coronavirus.)
"Ils n'ont aucune preuve contre nous que cela cause des dommages au corps humain, que cela ne fonctionne pas."
Grenon mentionne également que des études cliniques récentes ont prouvé que le dioxyde de chlore guérissait les maladies. Cela comprenait une étude que lui et son église ont menée en Ouganda, où il a été démontré qu'il agissait contre le paludisme, en éliminant toute trace du parasite qui cause la maladie du sang d'un patient dans les quatre heures.
L'étude a même été réalisée avec des personnes de la Croix-Rouge locale. Cependant, la Croix-Rouge internationale a nié leurs affirmations, malgré le fait que Grenon ait des preuves vidéo de leur travail.
Malgré ce revers, Grenon a continué à se battre pour le dioxyde de chlore. Ce combat continu a finalement conduit la FDA à le poursuivre. En avril, Grenon et trois de ses fils ont été inculpés par un grand jury à Miami, ce qui a conduit à son incarcération à Bogota, où il attend son extradition aux côtés de ses fils Joseph. Les deux autres fils, Jordan et Jonathan sont en prison à Miami.
Si l'établissement médical a sa place, le grenon et ses fils font face à de longues peines de prison, toutes pour tenter de promouvoir un traitement alternatif possible pour une maladie meurtrière.
Pour plus sur Mark Grenon et la vérité sur Covid-19, observez le rapport sur la santé Rangers en direct, le lundi au vendredi à 15h00. à 15h30 p.m. sur brighteon.tv.
PANIQUE EN AUSTRALIE. LES RAYONS SONT VIDES, PÉNURIE DE TOUT !!
par CHARLES SANNAT 10/09/2021
La pénurie de semi-conducteurs a coûté, à l'Allemagne au premier trimestre 2021, 0,5% de son PIB.
Comme vous le savez sans doute je me méfie toujours la toute puissance de l’Etat, ici comme ailleurs, car c’est toujours le même résultat à l’arrivée. Les États ne savent pas nous enrichir, mais avec une constance étonnante partout à travers le monde, ils s’évertuent avec une efficacité remarquable à appauvrir leurs populations.
C’est une constante historique.
Pour que quelque chose ne fonctionne pas, souvent le confier à l’Etat est une bonne chose.
Pourtant je suis un grand pragmatique et je sais très bien que nombreuses choses ne peuvent et ne doivent d’ailleurs relever que du public.
La privatisation n’est jamais l’alpha et l’oméga, bien évidemment tout est beaucoup plus nuancé que cela, mais ces derniers temps, avec la « gestion » du coronavirus, qui est un SARS-CoV-2 (un petit rappel salutaire à faire de temps à autres pour ne pas oublier ce que l’on veut nous faire oublier lorsque l’on nous change les mots) les Etats nous donnent quelques exemples truculents d’incompétences et de résultats délétères.
Souvenez-vous en France au tout début de l’épidémie, quand les masques (que nous n’avions pas) ne servaient à rien (puisque l’Etat n’en avait pas) sont devenus obligatoires (quand on en a eu)… Beaucoup savaient s’en procurer, pour la simple et bonne raison que tout le monde ou presque arrivait à en faire venir de l’étranger. Les pays du Maghreb par exemple n’ont pas interdit la vente de masques, donc il y en avait là-bas comme dans les pays de l’Est. Mais pour l’Etat français il fallait interdire l’importation de masques. Du coup en voulant contrôler l’approvisionnement en masques, notre Etat bienveillant, mais stupide, a créé de toutes pièces une pénurie sans même s’en rendre compte. Nullité crasse à tous les étages. C’était un problème de marché et d’offre et de demande. Tout le monde voulait des masques mais la sécu voulait les payer à bas prix comme d’habitude. La France n’était pas livrée et les Américains payaient le double ou le triple en dollars pour les avoir avant les autres.
Cette fois-ci c’est en Australie que la bêtise étatique se déchaîne au point de provoquer une pénurie de tout digne de l’ancienne URSS, l’Union Soviétique que les plus jeunes n’ont jamais connu… Cela ne nous rajeunit décidément pas… Il n’y avait rien à manger en URSS, et l’Australie en est exactement au même point.
Voilà à quoi ressemblent certains supermarchés chez nos amis Australiens…
Je vous traduis ici un article de la presse australienne qui se demande quand même pourquoi il n’y a plus rien à manger et pourquoi les gamelles se vident… C’est une bonne question à se poser alors que le monde entier n’est pas (encore) complètement effondré et que même le docteur Kouchner, grand livreur de riz en sacs aux plus démunis pourrait dépanner l’Australie en cas de besoin ! (Source News.com.au ici)
Pourquoi les étagères Woolworths, Coles et Aldi à travers Sydney semblent vides ? « Les acheteurs frustrés se sont tournés vers les médias sociaux pour se plaindre de toutes les étagères vides de leur supermarché local – mais les achats de panique ne sont pas à blâmer. (NDLR comprendre qu’ici le sur-stockage, ici n’est qpas la cause des pénuries)
Les étagères vides des supermarchés accueillent les clients dans les magasins de NSW dans ce qui est un effet continu du verrouillage en cours du coronavirus de l’État.
Au cours du week-end, alors que l’État entrait dans sa 11e semaine de fermeture, les acheteurs frustrés des magasins Woolworths, Coles et Aldi du Grand Sydney se sont tournés vers les médias sociaux pour partager des photos d’allées commerçantes sérieusement épuisées. (NDLR rayons vides)
Les photos montrent les sections des fruits et légumes frais, de la viande, des produits laitiers et de la boulangerie qui semblent toutes un peu nues.
Cependant, les allées tristes ne sont pas le résultat d’achats de panique.
Au lieu de cela, avec Covid-19 répandu dans la communauté, un nombre croissant d’employés de supermarchés ont été contraints à l’isolement, perturbant gravement les chaînes d’approvisionnement.
Woolworths compte actuellement plus de 3 300 membres du personnel en auto-isolement tandis que Coles a un peu moins de 1 800 personnes en quarantaine.
Aldi a également admis que les ordonnances d’auto-isolement du personnel causaient des perturbations dans la chaîne d’approvisionnement.
Les membres du personnel qui n’ont pas été mis en quarantaine sont épuisés, ce qui cause des problèmes dans la chaîne d’approvisionnement et la capacité de stocker des étagères. (NDLR remplir les rayons est impossible, il n’y a plus assez de personnel).
Cependant, les détaillants ont assuré aux clients que la nourriture restait abondante – le problème est simplement de la faire entrer dans le magasin. (NDLR, il y a à manger, mais vous ne le voyez pas ! C’était exactement ce que disait la Pravda en URSS !!!!)
La semaine dernière, Brad Banducci, PDG de Woolworths, a déclaré dans un e-mail aux clients que les instructions de santé publique affectaient la capacité de son entreprise à stocker des étagères.
« Contrairement à il y a 18 mois, cela a moins à voir avec les augmentations de la demande des clients (alias » les guerres du papier toilette « ) et plus en raison de la pression supplémentaire sur nos centres de distribution, avec plus de 500 de ces membres de l’équipe devant s’auto-isoler comme contacts étroits ou occasionnels », a-t-il expliqué.
Il a déclaré que le personnel de Woolworths « ressent très directement les impacts de Delta ».
Dans une déclaration à news.com.au lundi, un porte-parole de Woolworths a ajouté: « En raison de la pression exercée sur notre chaîne d’approvisionnement en Nouvelle-Galles du Sud, nous avons subi des perturbations dans nos livraisons programmées en magasin dans le Grand Sydney. »
Ils s’attendent à ce que les niveaux de stock « s’améliorent dans les prochains jours » alors que les membres du personnel commencent sortir de l’isolement.
Woolworths donne également la priorité à près d’un million de clients en ligne enregistrés pour une assistance prioritaire, qui sont soit en isolement obligatoire, soit considérés comme vulnérables.
Coles a également envoyé un e-mail similaire aux clients la semaine dernière pour expliquer et a déclaré que c’était toujours un problème lundi.
« En jouant notre rôle pour aider à protéger la communauté, un certain nombre de membres de notre équipe sont actuellement isolés pour réduire la propagation de COVID-19 », a déclaré un porte-parole à news.com.au.
« En conséquence, nous constatons une disponibilité réduite des produits dans les magasins et en ligne. Nous voulons assurer à nos clients que nous avons suffisamment de stock disponible dans notre réseau, et nous travaillons dur pour acheminer ces produits dans les magasins aussi rapidement et en toute sécurité que possible.
« Nous nous excusons pour tout inconvénient que cela pourrait causer et demandons à nos clients de faire preuve de patience alors que nous travaillons sans relâche pour réapprovisionner nos étagères. Nous apprécions nos clients pour leur compréhension et pour avoir traité les membres de notre équipe avec respect alors que nous traversons ensemble cette période difficile. » (NDLR, on s’excuse mais t’as quand même rien à bouffer !!!)
Un porte-parole d’Aldi a également confirmé que leurs travailleurs rencontraient les mêmes difficultés.
« Certains employés du réseau Aldi, à la fois en magasin et dans les centres de distribution, ont été obligés de s’isoler en raison d’un contact étroit ou occasionnel avec des cas positifs de Covid-19 », a déclaré le porte-parole à news.com.au.
Cette exigence d’isolement exerce une pression supplémentaire sur notre chaîne d’approvisionnement interne et rend parfois difficile le fonctionnement à pleine capacité. Nous continuerons de faire de notre mieux pour minimiser les perturbations pour nos clients. »
Cela survient alors que la poste australienne connaît également des pénuries et des retards, au milieu d’une demande record et d’un personnel limité ».
Cela fait deux ans que dure ce merdier ! A un moment il va falloir se poser quand même quelques questions sur la manière dont les gouvernements gèrent cette crise, car ils transforment une crise pénible en merdier total.
En Australie ce sont bien les décisions gouvernementales, les confinements à répétition, la stratégie 0 covid qui conduit à tout cela.
Quant à la vaccination, ne m’en parlez pas.
Le virus continue à circuler chez les vaccinés et à provoquer des formes graves et le remplissage des hôpitaux comme le montre cruellement l’exemple d’Israël.
Alors que fait-on ?
On continue à faire encore plus de ce qui ne marche pas ?
Encore plus de confinements et de restriction ?
Encore plus de vaccination ? 1, 2, 3 puis 10 doses ? C’est pas grave, cela n’a pas marché les 10 premières fois, la onzième sera la bonne.
C’était exactement ce que disaient les membres du Politburo soviétique.
Ce n’est pas le communisme qui a échoué, c’est parce que nous ne sommes pas allés assez loin dans le communisme que cela ne marche pas. Les gouvernements nous font tourner en rond jusqu’à devenir tous fous.
Tout cela va mal finir, et c’est le moment pour reconstituer vos stocks de papiers-cul à moins que vous n’aimiez faire la queue avec la foule.
La crise n’est pas terminée, loin de là, elle est même amplifiée par la gestion calamiteuse des Etats.
Primo, contrairement aux cas de grippes, le 'covide19' n'est PAS aérien mais UNIQUEMENT sur réservation et livrable en seringues ! (Si t'es piqué tu l'as ! HAHAHAHA !). - Mais c'est après piqûre qu'il devient transmissible. D'où le danger mortel de s'approcher d'un inoculé.
Puis, secundo, le non-scientifique, parle des masques. Mais, même 18 mois après il ne sait toujours pas que les masques NE SERVENT A RIEN ! Nous respirons toutes et tous avec ou sans masque 200 000 virus ou microbes chaque minute (et 2 millions en activité physique*). Un virus (poussière inoffensive émise par le magma) ne mesure que 0,1 à 0,5 micron. D'où l'IMPOSSIBILITÉ de fabriquer un masque plus fin que çà !
Puis: Emprisonnement à domicile ! HAHAHA ! LA boite de Pétri ! Étudier comment une personne infectée peut transmettre le microbe à toute sa famille !
enfin tertio, l'oxyde de graphène. Il est présent dans les masques, les écouvillons (pour 'tests' RT-PCR), les protections féminines, et, bien sûr TOUS les faux vaccins proposés (présent jusqu'à 99,90 % !). Il est là POUR TUER. TUER ! Dès qu'arrive le '5G' les morts se compteront par millions tous les jours !
* et il y a même des cons qui courent avec un masque ! HAHAHAHA !
Clint Eastwood revient dans "Cry Macho", poursuivant une carrière légendaire qui a commencé avec un film qui n'aurait pas dû fonctionner du tout
PAR BRYAN PRESTON 08 SEP 2021 17:16 HE
Clint Eastwood joue et réalise Cry Macho (Warner). Toujours de la remorque. Un vagabond solitaire avec des compétences de combat durement acquises dérive dans une ville. Là, il trouve deux factions en lice pour le pouvoir et conçoit un moyen de jouer l'une contre l'autre tout en gardant sa propre peau intacte grâce à son esprit et ses prouesses d'un autre monde avec des armes, mais peu de mots. Beaucoup de regards et de strabismes, plus que quelques balles qui volent, mais très peu de mots.
Si cette intrigue simple vous semble familière, c'est parce qu'elle alimente trois piliers titanesques de la culture pop couvrant les 60 dernières années, jusqu'à nos jours, et a lancé l'une des carrières les plus emblématiques du cinéma. Il est apparu pour la première fois dans Yojimbo d'Akira Kurosawa (1961). Sergio Leone l'a fondu de Kurosawa et a transformé le samouraï solitaire en L'homme sans nom, qui n'est ni un cow-boy vintage ni un homme de loi occidental classique, joué par une jeune star de la télévision nommée Clint Eastwood.
Une poignée de dollars (1964) n'aurait pas dû fonctionner, pas avec ce budget (environ 200 000 $), pas avec un acteur de télévision dont Hollywood ne voulait pas (Eastwood), et pas en déplaçant l'épopée occidentale popularisée par Roy Rogers et John Wayne des États-Unis. Le film a été déplacé en Italie et en Espagne pour la production, où les équipes locales se sont disputées pour savoir qui payait pour quoi et les acteurs locaux ont joué des citadins et des méchants sans parler un mot d'anglais. Les deux acteurs que le public américain aurait les plus reconnus, le jeune Eastwood et l'acteur vétéran Lee Van Cleef, ont peut-être prononcé le moins de répliques de tous les grands duos de cinéma. Pour couronner le tout, Ennio Morricone a proposé un thème de rechange, scintillant et nasillard qui ressemblait très peu à la musique qui avait alimenté le genre occidental à ce jour. Cela sonnait plus japonais médiéval avec des notes espagnoles et italiennes que n'importe lequel des grands thèmes épiques que John Ford ou John Wayne utilisaient.
Le troisième moteur majeur de la culture pop alimenté par l'histoire du vagabond solitaire est The Mandalorian, qui prend sciemment plus que cette histoire de Kurosawa, Leone et Eastwood. Il emprunte des notes sonores à Morricone et le héros à la voix libre de Fistful et de ses suites, Pour quelques dollars de plus (1965), et le chef-d'œuvre du trio, Le Bon, la Brute et le Truand (1966). Le surnom de Mando ressemble même un peu à Manco, le nom déclaré de l'homme sans nom dans Pour quelques dollars de plus. L'homme sans nom avait en fait trois noms : Joe (Fistful), Manco (More) et Blondie (Ugly). Ce dernier nom n'a aucun sens, étant donné qu'Eastwood a les cheveux bruns.
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Comme indiqué, rien de tout cela ne devrait fonctionner. Il n'y a pas de formule magique de film qui le dise. Eastwood n'était pas un talent bancable avéré. Le budget des films était si petit qu'il a apporté sa propre garde-robe de l'émission télévisée dans laquelle il jouait, Rawhide. C'est de là que viennent ses bottes. Il a acheté le jean et le chapeau. La couverture qu'il portait, il semble l'avoir ramassée en Espagne. Eastwood avait un chapeau sur le tournage de Fistful, qu'il a acheté et apporté lui-même. « Si je perdais ce chapeau », a-t-il déclaré à un intervieweur des années plus tard, « j'étais perdu. »
Le réalisateur n'avait pas d'antécédents et avait été licencié après seulement un jour sur un film précédent en 1962. La bande originale de Morricone est obsédante mais était aussi un risque majeur à l'époque. Qui utilise un siffleur comme motif clé pour la bande originale d'un western sombre et violent ? Et ils ont tourné les films en Europe bien que le western soit le genre de film américain le plus emblématique de l'époque, car les équipes et les acteurs européens étaient moins chers que leurs homologues américains. Les intrigues sans héros de la trilogie Eastwood/Leone ont bouleversé l'épopée occidentale. Eastwood ne parlait pas italien et Leone ne parlait pas anglais. Le public avait de nombreuses raisons de rejeter les films. Ils avaient également de grands westerns à succès encore frais dans leur esprit : John Wayne avait dépensé des millions pour tourner son épopée Alamo au Texas quelques années plus tôt. Leone a passé beaucoup moins de temps à filmer ses trois films, y compris la scène de bataille épique de la guerre civile dans Le bon, la brute et le truand.
Mais parfois, l'alchimie produit de l'or. Fistful était un succès et un classique instantané. La performance discrète, sombre et louche d'Eastwood l'a transformé en une star internationale. Il pouvait en dire plus d'un regard, d'un mouvement de la main sur son arme de poing et d'une morsure sur son cigare que la plupart des acteurs ne pourraient dire avec une page de dialogue. Il semble toujours sur le qui-vive, réfléchissant, déterminant l'ordre dans lequel il tirera sur les adversaires qu'il affronte. Ce n'est pas un héros. Au contraire, c'est un intrigant solitaire qui essaie de survivre, qui fait ce qu'il faut quand il le faut. Leone a gardé le dialogue si épargné non pas parce qu'il connaissait le talent qu'il avait à Eastwood ou comment il construirait nécessairement une scène au montage, mais pour réduire les coûts. Quand il parle, Eastwood a le moyen de transformer le dialogue parfois idiot en menaces mortelles.
Eastwood était probablement le seul acteur qui aurait pu le faire fonctionner, et il a été aidé par l'utilisation par Leone de coupes, d'angles et de champs de vision pour décrire les tensions croissantes ou faire bouger l'histoire sans que personne ne prononce un seul mot. Et puis il y avait le score obsédant, presque extraterrestre de Morricone.
La trilogie Spaghetti Western a fait d'Eastwood une icône en devenir et a changé le cinéma. Les intrigues lâches des films, les situations serrées, les fusillades violentes, le manque de figures héroïques archétypales et les décors battus par les intempéries, les seconds acteurs et les figurants ont donné au monde construit par Leone un aspect réel et vécu. Rien dans la trilogie Man With No Name n'a l'air faux (bien que le dialogue doublé demande de s'y habituer). Chaque planche et piste, chaque saloon et bordel, chaque arme et chaque visage semblent avoir une histoire profonde. D'autres cinéastes s'inspireraient du mélange évoqué par Leone.
Eastwood a déclaré plus tard que c'était l'aspect Kurosawa qui l'avait d'abord attiré vers la production de Leone, cela et un voyage gratuit; il était déjà fan de Yojimbo. "Cette chose fonctionnera très bien ou ne fera rien", a déclaré Eastwood à propos de ses attentes à l'époque. "Probablement le dernier." Il pensait que cela pourrait "exploser", mais il en obtiendrait un voyage en Italie et en Espagne, alors il a signé pour jouer, fournir sa propre garde-robe et garder une trace de ses propres accessoires. "Vous pouvez tous aller en enfer", aurait aussi bien pu dire Eastwood à Hollywood, "Je vais tourner un western étrange à petit budget avec un réalisateur italien en Espagne."
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Le travail imposant de Kurosawa sur The Hidden Fortress (1958) influencera deux films hollywoodiens devenus des monstres à part entière : The Guns of Navarone (1961) puis Star Wars Episode IV : A New Hope (1977), deux images de guerre différentes qui concentrez-vous sur le besoin d'un côté de retirer la plus grosse arme de l'autre. Star Wars: Rogue One est revenu à cette intrigue de base des décennies plus tard et cela fonctionne toujours. Harrison Ford a joué dans la suite de Navarone en 1978 un an après avoir joué dans Star Wars IV en tant que cow-boy de l'espace et contrebandier Han Solo, créant son propre personnage emblématique.
L'une des nombreuses raisons pour lesquelles Star Wars IV fonctionne à partir de la première image est que George Lucas a construit une galaxie qui semblait habitée, avec des navires usés, des villes poussiéreuses sur des planètes reculées et des acteurs de second violon qui ont l'air d'avoir vécu la vie le film dit qu'ils l'ont fait même si la plupart d'entre eux apparaissent brièvement et ne sont pas humains. Lucas doit beaucoup à Leone et Eastwood. Ford pourrait admettre qu'il doit certains de ses autres personnages emblématiques, Indiana Jones, à Man With No Name d'Eastwood.
Eastwood a porté les facettes qui ont fait de lui une icône à travers les films Dirty Harry des années 1970 et son retour aux westerns avec Pale Rider (1985) et Unforgiven (1992) à une époque où le western était dépassé. Les deux étaient des hits de toute façon. Ce dernier a surtout l'impression que l'Homme sans nom est revenu pour le jugement final de son âme immortelle. Un an plus tard, il incarne un héros incontesté dans In the Line of Fire. Le catalogue de films d'Eastwood traverse maintenant sept décennies et comprend des westerns, des comédies, des flics, des géants du jazz, des trafiquants de drogue, des romances, des thrillers politiques et à peu près tout ce que l'on peut imaginer.
Il est de retour à 91 ans, ayant tout vu et tout fait, de la réalisation de films primés aux Oscars à la conversation avec une chaise vide devant le monde entier (j'étais dans la salle pour cette performance, d'ailleurs, et cela a très bien fonctionné en personne ). Son dernier film est Cry Macho, dans lequel il joue et réalise. Il ne représente pas l'Homme sans nom, mais son personnage de 2021 pourrait être le petit-fils moderne de Manco.
"J'étais beaucoup de choses", dit le personnage de Macho d'Eastwood, "mais je ne le suis plus maintenant."
Clint Eastwood a été tout ce qu'il y a à être dans le cinéma, et tout a commencé lorsqu'il a pris le risque de travailler pour un réalisateur italien avec un petit budget en Espagne en réalisant un petit western dans lequel il parlait très peu tout en parlant avec son strabisme. et son arme de poing.
Une chose que Clint Eastwood est et sera toujours est un maître du cinéma et un talent gigantesque – une légende américaine. C'est bien de le revoir sur grand écran.
ÇA NE FINIT JAMAIS: le macabre «chef de la santé» australien déclare que le covid sera avec nous «pour toujours» … ce qui signifie que la tyrannie n'a pas de limite
RépondreSupprimerJeudi 09 septembre 2021
par : Ethan Huff
(Natural News) Un autre bureaucrate du gouvernement se faisant passer pour un « responsable de la santé » a déclaré que la plandémie du coronavirus de Wuhan (Covid-19) ne disparaîtra jamais et sera avec nous « pour toujours ».
Kerry Chant, le "chef de la santé" de l'Australie, dit que les Australiens, et vraiment tout le monde, doivent "s'habituer" à prendre des "coups de rappel" sans fin pour le virus chinois. La seule façon de continuer à vivre, dit-elle, est de se conformer.
« Nous devons nous habituer à être vaccinés avec des vaccins COVID pour l'avenir », a annoncé Chant lors d'une récente conférence de presse. « Je ne peux pas voir que COVID ne sera pas avec nous pour toujours. »
Dans la vidéo suivante, vous pouvez entendre Chant l'annoncer par vous-même :
Dr Chant
« Nous devons nous habituer à être vaccinés avec des vaccins contre le covid pour le futur » pic.twitter.com/WKkvfvDOE9
– Razorback1111 (@razorback11111) 30 août 2021
"En tant que médecin de santé publique, nous voulons toujours que les maladies disparaissent, qu'elles soient totalement éliminées, mais ce n'est pas à l'horizon dans un avenir proche", a poursuivi Chant.
"Les doses de rappel et les doses répétées en feront partie."
Chant a en outre expliqué que le gouvernement australien, utilisant l'argent des contribuables australiens, a déjà acheté de « grandes quantités » d'injections « Opération Warp Speed » de Donald « père du vaccin » de Trump pour une administration en 2022 et au-delà.
"Ce sera un cycle régulier de vaccination et de revaccination au fur et à mesure que nous en apprendrons davantage sur le moment où l'immunité diminue", a admis Chant.
Chant: Les gens se feront vacciner «régulièrement» contre la grippe Fauci
Dans une réponse séparée à un journaliste, Chant a réitéré que de nombreux autres vaccins contre la grippe de Wuhan sont à venir et que les gens «seront vaccinés régulièrement» pour cela, qu'ils le veuillent ou non.
S'ils refusent les jabs, les gens ne seront pas autorisés à acheter, vendre, voyager ou vivre. C'est ainsi que le système de la bête finira par transformer cette abomination en la "marque de la bête" complète, comme l'avertit la Bible.
Étant donné que les Australiens ont largement accepté le programme de test en porte-à-porte du gouvernement australien, Chant pense que les vaccinations en porte-à-porte sont la prochaine étape logique pour enfermer les « hésitants » dans le giron « entièrement vacciné ».
"Bien qu'il soit dans la nature humaine d'engager une conversation avec les autres, d'être amical, ce n'est malheureusement pas le moment de le faire", a déclaré Chant sur la façon dont les Australiens devraient éviter d'être sociables et rester entre eux de peur d'attraper des germes chinois.
"Alors même si vous rencontrez votre voisin d'à côté dans le centre commercial... n'entame pas une conversation, c'est le moment de minimiser vos interactions avec les autres, même si vous avez un masque, ne pensez pas que cela se permet." protection totale », a-t-elle ajouté.
RépondreSupprimerL'Australie continue de souffrir de ce qu'on appelle une politique « zéro covid » qui impose des mesures extrêmes même pour un ou deux « cas » de la maladie.
Le pays est confronté à un barrage sans fin de blocages qui ont caractérisé le pays comme une sorte d'« île de la prison » où il n'y a pas d'échappatoire à tout le fascisme médical.
Si un Australien tente de protester contre ces mesures draconiennes, il ou elle pourrait encourir des amendes pouvant aller jusqu'à 11 000 $ ainsi qu'un harcèlement constant de la part des policiers qui sont chargés de rendre visite à des « résistants » à leur domicile comme une forme d'intimidation.
« Un médecin employé par le gouvernement est une violation du serment d'Hippocrate », a écrit un commentateur de Summit.news à propos de personnes comme Chant, Tony Fauci et Rochelle Walensky, qui sont tous de faux « médecins » utilisant leur autorité autoproclamée pour pousser la tyrannie médicale.
"Les vaccins ARNm/ADN SONT à l'origine de nouvelles mutations car les vaccins NE TUENT PAS le virus, le laissant ainsi s'infecter et se développer dans la gorge et le nez des personnes déjà vaccinées", a écrit un autre. « Les déjà vaccinés SONT les vecteurs ! Toutes les injections de rappel dans le monde, même une par mois, ne changeront pas cette réalité.
Pour suivre les dernières nouvelles sur la tromperie d'injection de virus chinois, visitez ChemicalViolence.com.
Les sources de cet article incluent :
Summit.news
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2021-09-09-australia-health-chief-covid-with-us-forever.html
Ce qui laisserait entendre que les inoculés (de nano-particules d'oxyde de graphène) élimineraient ces substances étrangères au transhumanisme et au devoir de recommencer périodiquement.
SupprimerSARS-CoV-2 en France : « nous sommes en guerre » !
RépondreSupprimerle 10 septembre 2021
Quand Macron a clamé « on est en guerre » au début de l’épidémie de coronavirus il a pris le soin machiavélique de constituer un comité de défense sanitaire. Ce comité prend toutes les décisions susceptibles de maîtriser l’épidémie en étant aidé par des « experts » choisis par les membres, mais pas tous, du gouvernement. Ce comité n’est pas censé rendre les compte-rendu de ses réunions publiques. Personne, hormis les quelques ministres qui font partie de ce comité et le Président, ne sait ce qui est discuté et sous prétexte que la France est en guerre (contre le virus), le monde parlementaire n’a plus aucun droit de regard sur les décrets publiés au Journal Officiel presque chaque jour. Tous les organes législatifs, Parlement, Sénat et de contrôle, Conseil Constitutionnel et Conseil d’Etat, sont ainsi court-circuités.
Nous sommes en guerre ! Ce conseil de guerre, comme en 1914, prend des décisions collectivement, mais quelle en est la signification ? Aucun compte-rendu n’est disponible : secret défense oblige, les décisions sont prises collectivement et aucun des membres de ce conseil, y compris le Président de la République, n’est personnellement responsable. La finalité de ce stratagème est évidente : aucun des membres du gouvernement français ne pourra être poursuivi pour avoir pris des décisions liberticides ou aggravant la situation sanitaire conduisant à un accroissement du nombre de morts. Il ne se passera rien, ils seront tous responsables mais aucun d’entre eux ne pourra être reconnu comme coupable. Toutes les actions pour déférer devant la justice l’un ou l’autre des membres de ce conseil de guerre contre le SARS-CoV-2 sont donc vouées à l’échec car il faudra attendre 50 ans pour que le compte-rendu de ces réunions soit rendu public.
Il existe cependant une faille dans cette cuirasse qu’a si admirablement mis en place le Président Macron en déclarant : « nous sommes en guerre ». Il faut arriver à démontrer, preuves incontestables à l’appui, que tout ce petit monde de dictateurs en puissance a été dès le début de l’affaire SARS-CoV-2 corrompu par les laboratoires pharmaceutiques. La première évidence de cette corruption fut de déclarer que l’HCQ était un produit toxique (voir note) et dangereux, la deuxième évidence fut d’interdire simultanément d’interdire aux médecins généralistes de prescrire ce médicament. La troisième évidence fut la politique du « tout vaccin et rien que vaccin ». Aujourd’hui rien n’a changé dans cette politique sanitaire imposée par les laboratoires pharmaceutiques. L’Ivermectine est interdite et il sera bientôt obligatoire aux population de se plier à une troisième injection puis à une quatrième … selon le bon-vouloir de ces mêmes laboratoires pharmaceutiques.
C’est sur ces divers points que ce conseil de défense non responsable mais « irresponsable » peut être attaqué : la corruption généralisée depuis le Président jusqu’au plus insignifiant « conseiller expert ». Il est donc urgent que des journalistes courageux arrivent à mettre au grand jour ce système de corruption qui a commencé avec le choix du cabinet McKinsey pour gérer cette crise sanitaire, de qui se moque le gouvernement ? Il semblerait que la pléthore de hauts fonctionnaires de l’Etat soit incompétente au point de faire appel à un cabinet américain. Mais c’était calculé par le Président français pour d’une certaine manière se couvrir vis-à-vis des Américains. McKinsey par ci, BlackRock par là (pour les retraites) : de quoi faire bonne figure. Paradoxalement la solution pourrait parvenir des Etats-Unis puisque ce pays sait tout, dans le moindre détail, de ce qui se trame sous les ors des palais de la République française et ses services chassent partout la corruption. Un jour ou l’autre il y aura une enquête du FBI relative aux malversations des laboratoires pharmaceutiques et les pays européens seront dans le collimateur des limiers de cet organisme qui, on le sait, collabore avec les quelques 14 autres agences de renseignement américaines. Tous les pays européens plongeront ! J’ajouterai que les services américains connaissent tous les détails de la cession d’Alstom-Energie à GE supervisée par Macron alors qu’ils officiait au Ministère des finances sous l’administration Hollande. Rien à signaler ? Non, pas vraiment. Juste un peu de patience…
RépondreSupprimerNote. Le journal The Lancet a été corrompu par les laboratoires pharmaceutiques en publiant un article rétracté ensuite sur la toxicité de l’HCQ mais le contenu de cet article a permis aux gouvernants d’interdire l’HCQ et les médias tout aussi corrompus et aux ordres du gouvernement n’ont eu de cesse de clamer que les traitements précoces avec HCQ étaient inutiles voire dangereux. Le « conseil de guerre » n’a jamais remis en cause sa décision.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/09/10/sars-cov-2-en-france-nous-sommes-en-guerre/
Il est bien évident qu'il n'y a pas de vaccin susceptible de rivaliser envers l'Hydroxychloroquine ou l'ivermectine et que la prétendue maladie (appelée 'covide19') n'est là qu'une fabrication pour entretenir la peur, l'angoisse, la mort d'une partie importante de la population (dont les 'chefs d’États' s'en foutent). L'important pour eux est que tous les bestiaux soient piqués pour être suivis et contrôlés à distance.
SupprimerUn scientifique de l'OMS pourrait être condamné à la PEINE DE MORT pour avoir attaqué l'ivermectine et refusé un traitement efficace aux patients
RépondreSupprimerJeudi 09 septembre 2021
par : Ethan Huff
(Natural News) En Inde, le procès de l'Association du barreau indien (IBA) contre la scientifique en chef indienne de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) Soumya Swaminathan continue d'aller de l'avant, l'accusant de meurtre et d'autres crimes pouvant entraîner la réclusion à perpétuité ou même la mort peine.
Si vous l'avez manqué, Swaminathan a fait l'objet d'un procès en mai pour ses contributions à la dissuasion de l'utilisation de l'ivermectine dans le traitement du coronavirus de Wuhan (Covid-19).
Swaminathan est accusé d'avoir menti au sujet de l'ivermectine dans le but de la garder hors de portée des personnes malades. L'IBA a déclaré que les propos et le comportement de Swaminathan concernant l'ivermectine étaient "extrêmement déraisonnables", les décrivant comme "ayant un autre objectif" en plus d'essayer d'aider les gens.
L'IBA demande l'invocation des articles 302, 304 (paragraphe 2) et 88 du Code pénal indien contre Swaminathan. Si elle était condamnée, Swaminathan pourrait être mise à mort pour ses crimes présumés.
Le 25 mai, l'IBA a publié une déclaration accusant Swaminathan d'avoir « lancé une fausse campagne de propagande contre l'ivermectine » et d'avoir « incité le public à refuser d'utiliser l'ivermectine » pour traiter le virus chinois.
Environ deux semaines avant la poursuite, le ministère indien de la Santé a approuvé un régime de traitement de la grippe Fauci à base d'ivermectine qui recommandait à tous les résidents de 18 ans et plus de prendre cinq comprimés d'ivermectine par jour. Le but déclaré était d'empêcher les gens de développer de fortes fièvres potentiellement mortelles.
Après que le ministère de la Santé a présenté la nouvelle politique, Swaminathan a paniqué et a publié une déclaration au nom de l'OMS affirmant que la branche « santé publique » des Nations Unies ne recommande pas l'utilisation d'ivermectine dans le traitement des germes chinois.
La liste des "médicaments essentiels" de l'OMS comprend l'ivermectine
Il s'avère que l'affirmation de Swaminathan est fausse. L'OMS recommande en fait l'utilisation de l'ivermectine dans sa liste de « médicaments essentiels ». Les inventeurs de l'ivermectine ont également reçu le prix Nobel de médecine en 2015 pour le développement du médicament.
"Votre tweet trompeur contre l'utilisation de l'ivermectine le 10 mai de cette année a conduit à l'exclusion de l'ivermectine du régime de traitement des coronavirus au Tamil Nadu le 11 mai, malgré le fait que ce médicament était auparavant un traitement sur la liste des médicaments", l'IBA a écrit dans sa déclaration légale contre Swaminathan.
« Le monde s’est progressivement rendu compte que vous utilisez la ‘méthode scientifique’ pour décrire des faits fabriqués. Cette méthode est absurde, arbitraire et ridicule. L'OMS prétend être « omnisciente », mais c'est comme un empereur vaniteux portant ses nouveaux vêtements, et le monde entier sait seulement maintenant que l'empereur ne porte aucun vêtement. »
RépondreSupprimerDans une déclaration distincte, le chef de l'équipe juridique d'IBA, Dipala Ojha, a promis que la déclaration juridique contre Swaminathan n'est « que la première étape ». Plus est à venir qui vise à la mettre à l'écart à vie, a-t-il menacé.
"L'action de supprimer le tweet vient de prouver sa malveillance", a écrit l'IBA sur son site Web à propos de la tentative de dissimulation de ses actions par Swaminathan. « Supprimer ce tweet ne la sauvera pas, elle et ses collègues. Nous soutiendrons les citoyens à engager des poursuites pour ses actions criminelles. »
Dans sa propre déclaration, l'OMS a répondu que ses membres "regrettent" cette prétendue attaque non provoquée contre Swaminathan, qui est considéré comme un haut responsable de l'OMS. Swaminathan fait partie de l'OMS depuis mars 2019.
Il est exceptionnellement rare que des responsables gouvernementaux de haut niveau soient jamais punis pour quelque chose, alors Swaminathan a dû faire quelque chose d'assez menaçant pour être désormais ciblé comme ça.
« Les responsables non élus et indignes de confiance qui déconseillent l'ivermectine sont en « capture réglementaire » », a écrit un commentateur de Natural News. "Cela se produit lorsque le régulateur (FDA / NIH / NHS, etc.) est compromis par les sociétés qu'il est censé réglementer."
Plus d'articles sur le drame du virus chinois peuvent être trouvés sur Pandemic.news.
Les sources de cet article incluent :
AmériquesFrontlineDoctors.org
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2021-09-09-who-scientist-death-penalty-attacking-ivermectin.html
Vidéo troublante: la police australienne du camp de covid menace de "gazer" un prisonnier de covid au lieu de le libérer après 14 jours
RépondreSupprimerJeudi 09 septembre 2021
par : Mike Adams
(Natural News) L'holocauste du vaccin est bien avancé en Australie, où une nouvelle vidéo inquiétante montre la police australienne du camp d'internement covid menaçant de «gazer» un occupant (prisonnier) qui a déjà passé 14 jours en quarantaine forcée et veut être libéré. Un extrait de la vidéo est présenté dans le podcast Situation Update d'aujourd'hui (ci-dessous), vers 10 minutes.
Ce que la vidéo semble confirmer, c'est que les autorités australiennes tyranniques sont :
1) Ne pas libérer les gens après qu'ils ont « servi » une quarantaine forcée de 14 jours. (Vous pouvez vous enregistrer mais vous ne quittez jamais.)
2) Menacer de « gazer » les prisonniers s'ils n'obéissent pas. Il n'est pas clair d'après la vidéo si ce "gaz" consiste à gazer quelqu'un avec du gaz lacrymogène ou un gaz mortel de type Zyklon B, mais dans les deux cas, il s'agit d'une violation flagrante des droits humains fondamentaux.
Les organisations mondiales des droits de l'homme sont mystérieusement silencieuses sur tout cela, et en Amérique, la soi-disant Union américaine des libertés civiles (ACLU) a complètement abandonné les libertés civiles et approuve maintenant les vaccins et les masques pour tout le monde.
La vidéo d'Australie révèle les horribles conséquences sur la santé mentale d'être interné dans ce qui est essentiellement un camp de la mort de covid, où l'un des occupants de cette vidéo explique: "vous ne pouvez pas avoir d'air" dans les pièces fermées et scellées. Son codétenu crie : « Emmenez-moi quelque part où les murs ne s'effondrent pas », révélant les conséquences sur la santé mentale d'un confinement involontaire sous un état de police médicale autoritaire.
Des personnes innocentes en parfaite santé sont considérées comme une menace pour la santé publique simplement parce qu'elles sont « testées positives » via un test PCR frauduleux
Ce qui est encore plus troublant avec tout cela, c'est la façon dont le gouvernement australien tyrannique détermine quelles personnes kidnapper médicalement et jeter dans ces camps de la mort de covid. Il vous suffit de tester « positif » via un test PCR frauduleux pour être signalé et incarcéré, même si vous ne présentez aucun symptôme de maladie et êtes en parfaite santé.
Sur la base d'un test PCR frauduleux, en d'autres termes, vous pouvez vous voir refuser votre droit à la liberté et être jeté dans un camp d'internement pour covid tout en étant soumis à la torture mentale et physique par les autorités cruelles qui gèrent les camps de prisonniers.
RépondreSupprimerCela se produit déjà en Australie, et cette pratique sera bientôt bien avancée en Amérique car le CDC a déjà annoncé ses plans pour des camps de la mort de covid «zone verte» où personne ne sort vivant.
Nous assistons à l'accélération de l'holocauste du vaccin de jour en jour alors que les gouvernements deviennent des terroristes génocidaires
Sous l'influence séduisante d'un pouvoir illimité, les gouvernements du monde ont abandonné tous les piliers de la procédure régulière, de l'état de droit ou des libertés individuelles et fonctionnent désormais comme des organisations terroristes génocidaires menant des opérations d'extermination de masse qui ressemblent ouvertement à l'Holocauste nazi de la Seconde Guerre mondiale. Pourtant, les êtres humains obéissants et crédules continuent de croire d'une manière ou d'une autre que s'ils se conforment juste assez, les choses reviendront à la normale.
"Normal" est un lointain souvenir, disparu depuis longtemps dans le rétroviseur. Aucun gouvernement n'abandonnera volontairement le pouvoir, c'est pourquoi les autorités sanitaires australiennes citent maintenant ouvertement le «nouvel ordre mondial» et prétendent que la pandémie de covid ne prendra jamais fin. (Ce qui signifie que leur tyrannie ne finira jamais.)
Voici le ministre australien de la Santé, le Dr Chant – qui prétend en quelque sorte être humain – déclarant que le « Nouvel Ordre Mondial » est désormais sous contrôle :
- voir clip sur site -
Il ne fait aucun doute que le Dr Chant soutient pleinement le gazage de masse des prisonniers des camps de la mort de Covid en Australie, car le véritable objectif du Nouvel Ordre Mondial est, bien sûr, l'extermination massive de milliards d'humains suivie de l'asservissement complet des survivants restants.
Il est maintenant tellement évident pour quiconque y prête attention qu'il est choquant que quiconque puisse être assez inconscient pour ne pas voir cela pour ce que c'est. Pourtant, les gauchistes, les démocrates et les éveillés ne voient rien de mal aux camps de la mort de covid, car tout se déroule sous « leur » président sénile, Joe Biden.
Le podcast Situation Update d'aujourd'hui se penche sur les horreurs de l'holocauste du vaccin et sur la façon dont les gouvernements terroristes mènent désormais ouvertement une guerre biologique contre la race humaine.
RépondreSupprimerBrighteon.com/150d5257-277c-4557-a29b-9c683c30962e
Retrouvez chaque jour de nouveaux podcasts et interviews sur :
https://www.brighteon.com/channels/hrreport
https://www.naturalnews.com/2021-09-09-disturbing-video-australian-covid-camp-police-threaten-to-gas-covid-prisoner.html
ÉTUDE : L'ivermectine est un « antiviral à large spectre d'intérêt » pour les humains
RépondreSupprimerJeudi 09 septembre 2021
par : Ethan Huff
(Natural News) En mai 2020, des chercheurs australiens ont publié une étude peu connue dans la revue Antiviral Research qui présente l'ivermectine, un médicament approuvé par la FDA pour les humains, comme un "antiviral à large spectre d'intérêt".
Les virus à ARN tels que le virus de l'immunodéficience humaine (VIH)-1, la grippe et la dengue, suggère l'article, pourraient être atténués grâce à l'utilisation d'ivermectine, qui empêche les composants viraux de s'installer à l'intérieur du corps.
« Bien que les virus à ARN se répliquent dans le cytoplasme de la cellule hôte infectée, le noyau est au cœur des étapes clés du cycle infectieux du VIH-1 et de la grippe, et une cible importante de la protéine non structurale 5 DENV (NS5) pour limiter la réponse antivirale de l'hôte. » le papier explique.
"Nous avons précédemment identifié la petite molécule d'ivermectine comme un inhibiteur de l'entrée nucléaire de l'intégrase du VIH-1, montrant par la suite que l'ivermectine pouvait inhiber l'importation nucléaire de DENV NS5, ainsi que limiter l'infection par des virus tels que le VIH-1 et le DENV."
La fonctionnalité à large spectre de l'ivermectine comprend sa capacité à cibler les protéines de transport nucléaire importine (IMP) ?/?1 qui sont responsables de l'entrée nucléaire de cargaisons telles que l'intégrase et la NS5, révèle le document.
« Nous établissons pour la première fois que l'ivermectine peut dissocier l'hétérodimère IMP?/?1 préformé, ainsi qu'empêcher sa formation, en se liant à l'IMP ? domaine de répétition de tatou (ARM) pour avoir un impact sur IMP? stabilité thermique et -hélicité.
C'est un peu compliqué à comprendre pour le profane, mais il suffit de dire que l'ivermectine, qui a été développée au Japon à partir d'un organisme naturel du sol, inhibe la fixation des composants viraux aux cellules humaines, bloquant efficacement l'infection sans avoir besoin de masques ou " vaccins."
« Étant donné qu'elle est approuvée par la FDA pour les indications parasitaires, l'ivermectine mérite une considération plus approfondie en tant qu'antiviral à large spectre d'intérêt », conclut le document.
Si le gouvernement se souciait vraiment de sauver des vies, il mettrait l'ivermectine entre les mains de tous les Américains.
Il s'agit d'informations essentielles qui doivent être diffusées, d'autant plus que les médias grand public continuent de mentir sur l'ivermectine en la qualifiant de « vermifuge pour chevaux ». Bien que l'ivermectine soit, en fait, également utilisée chez les animaux, elle a également été approuvée par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis pour une utilisation chez l'homme.
Le médicament est très prometteur dans la lutte contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) et est largement utilisé en Inde, par exemple, pour traiter la maladie. Là-bas, les citoyens sont guéris de leurs infections sans avoir besoin de nouvelles thérapies Big Pharma et d'injections mystérieuses.
RépondreSupprimerCela explique pourquoi l'ivermectine est si agressivement combattue ici aux États-Unis qu'elle est maintenant presque impossible à obtenir, à l'exception de la variété animale qui est facilement accessible en ligne et dans les magasins d'alimentation, bien que ces variétés deviennent beaucoup plus chères.
Les grands médias menteurs veulent que tout le monde croie que l'ivermectine n'est rien de plus qu'une « pâte de cheval » qui ne devrait jamais être consommée par les humains. De fausses informations continuent de circuler sur des personnes faisant une « surdose » d'ivermectine, bien que plusieurs d'entre elles aient été démystifiées comme des absurdités inventées.
Bien qu'il ne s'agisse peut-être pas d'une panacée absolue contre la grippe de Wuhan, l'ivermectine mérite une plus grande attention qu'elle n'en reçoit actuellement. À tout le moins, il doit cesser d'être vilipendé par les fascistes médicaux qui refusent de regarder la science montrant son innocuité et son efficacité.
« Reconnaître que toute alternative est efficace de quelque manière que ce soit contre covid signifierait automatiquement que tous les EUA pour les » vaccins « sont illégaux et en violation directe des propres règles de la FDA », a écrit un commentateur de Natural News.
« Les ‘vaccins’ n’étaient que l’un des nombreux objectifs de la plandémie, et il n’y a aucune chance qu’ils ne les aient pas le plus tôt possible, quel que soit le nombre de dizaines de milliers de personnes qui ont dû mourir. C'est aussi à cela que ressemblent les crimes contre l'humanité.
Vous trouverez plus d'informations sur la tromperie du virus chinois et la chasse aux sorcières contre l'ivermectine sur Pandemic.news.
Les sources de cet article incluent :
PubMed.ncbi.nlm.nih.gov
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2021-09-09-ivermectin-broad-spectrum-antiviral-of-interest-humans.html
Encore une fois il est parfaitement inapproprié d'employer le nom de virus comme étant (ou pouvant être) porteur de maladie ! En effet, un 'virus' est le nom donné à une nano-particule émise par le magma. Or, cette masse ferrique incandescente affiche une température de 1200°C ce qui l'écarterait de toute susceptibilité d'émettre une quelconque maladie !!
SupprimerPoursuivons la route avec la montée des nano-particules ferrique chargée d'électricité vers la surface des mers & océans grâce aux émissions de gaz fabriquées par le magma. Ces 'virus' sont consommés par des milliards de poissons sans qu'il y ait une quelconque hécatombe dans les eaux !
Et, nous-mêmes, consommons du poisson frais porteur de ces nano-particules encore chargées (durant 3 semaines) sans éprouver la moindre gêne.
Et là, je pose la question: ces 'virus' ne seraient pas conséquenciellement à l'origine même de la vie sur Terre ? Car, ne l'oublions pas: tout ce qui vit est électrique ! (et nous respirons 200 000 virus ou microbes par minute !).
Cela démontre aussi que les 'gens qui dirigent' (y compris les 'hommes de l'ombre' du NWO) sont loin d'être des scientifiques à confondre les mots de 'virus' (non-vivant) et microbe (vivant), car, une maladie ne peut être apportée QUE par des microbes et non des virus.
Il ne peut donc exister de vaccin contre ces nano-poussières mais uniquement des remèdes contre les microbes.
L'évaluation de la communauté du renseignement sur les origines de COVID-19 ignore les informations facilement disponibles
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 09 SEP 2021 - 20:40
Rédigé par Jeff Carlson et Hans Mahncke via Epoch Times,
En mai 2021, le président Joe Biden a donné 90 jours à la communauté du renseignement pour rédiger un rapport sur les origines du COVID-19. La version déclassifiée de cette évaluation a maintenant été publiée.
Le rapport ne compte que 493 mots et ignore curieusement les informations facilement disponibles, choisissant plutôt de se concentrer et de renforcer des questions qui sont, pour la plupart, inconnaissables.
Plus précisément, l'Intelligence Community (IC) a affirmé que pour parvenir à une évaluation concluante, il fallait "des échantillons cliniques ou une compréhension complète des données épidémiologiques des premiers cas".
Cette approche dépendante de la Chine s'aligne sur une réponse récente du Dr Anthony Fauci, directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID). Lorsqu'il a finalement admis en juin de cette année que le virus pouvait provenir d'un laboratoire de Wuhan, Fauci a également déclaré que des échantillons cliniques des premiers cas étaient nécessaires.
Dans le même temps, alors que le CI affirme que la coopération de la Chine est nécessaire pour déterminer les origines du COVID-19, il reconnaît que la Chine a refusé de coopérer à toute véritable enquête.
Fauci et IC comprennent tous les deux que s'il y avait des informations utiles au Parti communiste chinois (PCC), ces informations auraient été publiées immédiatement.
Le rapport, non signé mais publié sous un en-tête du directeur du renseignement national, semble être structuré de manière à éviter de contrarier la Chine. Plus important encore, le rapport protège efficacement la Chine, donnant à plusieurs reprises du poids au manque de connaissance préalable de l'épidémie de la part des responsables chinois. Le rapport ignore que si la pandémie résultait d'un accident de laboratoire, aucun responsable n'en aurait eu connaissance à l'avance.
Le CI semble également confondre cause et effet en affirmant que le refus de la Chine de coopérer à une enquête est motivé par la « frustration » que la communauté internationale « utilise la question pour exercer des pressions politiques sur la Chine ».
Notamment, l'IC a montré un manque d'intérêt marqué pour la quantité abondante de données qui sont déjà disponibles et ne nécessitent pas l'assistance du PCC.
Le fait peut-être le plus évident indiquant une fuite de laboratoire est simplement que Wuhan se trouve à au moins 1 000 miles (1609 km) des habitats naturels des chauves-souris - un point même pas mentionné dans le rapport de l'IC.
De plus, Wuhan était le seul endroit en Chine où des expériences sur le virus des chauves-souris avaient lieu. En fait, Wuhan disposait d'au moins trois laboratoires réalisant de tels travaux : le Wuhan Institute of Virology (WIV), le Wuhan CDC Lab et le Wuhan University Center for Animal Experiment.
RépondreSupprimerLa directrice du WIV, Shi Zhengli, a elle-même admis qu'elle ne s'était jamais attendue à ce que ce genre de virus émerge à Wuhan. Lorsque les virus sont apparus naturellement dans le passé, ils sont apparus dans le sud de la Chine.
Le rapport IC a également ignoré le type de recherche menée à WIV depuis au moins 2007, qui a été bien documentée. Les articles de recherche fournissent des preuves directes d'expériences de gain de fonction de plus en plus sophistiquées - un processus par lequel les virus sont délibérément rendus plus virulents afin de prédire les maladies émergentes - menées par le laboratoire WIV dans les années qui ont précédé la pandémie, y compris un certain nombre de des expériences spécifiquement conçues pour rendre les coronavirus plus transmissibles à l'homme.
Certaines de ces expériences de gain de fonction ont également été détaillées dans un article du 9 novembre 2015 de la revue Nature sur les expériences menées au laboratoire de Wuhan utilisant des « virus chimériques » chez la souris.
Notamment, en 2014, le NIAID de Fauci a accordé une subvention de 3,7 millions de dollars à l'Alliance EcoHealth basée à New York, dirigée par Peter Daszak. Selon Francis Collins, directeur des National Institutes of Health (NIH), une partie des fonds de la subvention « est allée à Wuhan » dans le cadre d'un « contrat de sous-traitance d'EcoHealth ». En août 2020, après que le président Donald Trump a annulé la première subvention, Fauci a accordé à Daszak's EcoHealth une nouvelle subvention de 7,5 millions de dollars.
Une seule section du rapport fait référence à la manipulation et à l'échantillonnage des animaux par le WIV. Cette section fait référence à une agence de renseignement qui a conclu qu'elle était modérément confiante que le virus pourrait avoir fui d'un laboratoire de Wuhan. Notamment, toutes les autres agences se sont penchées sur les origines naturelles de l'épidémie du virus.
Le rapport ignore que des chauves-souris vivantes étaient conservées au WIV, apparemment le seul endroit à Wuhan où des chauves-souris pouvaient réellement être trouvées. Le rapport omet également de noter que des milliers d'échantillons de chauves-souris ont été apportés du sud de la Chine à Wuhan par des scientifiques de laboratoire.
L'énorme dépôt d'échantillons de chauves-souris à Wuhan a été confirmé par Daszak en juillet 2020, lorsqu'il a discuté de la découverte précoce d'une correspondance génétique étroite avec COVID-19, notant que «Ce n'était qu'une des 16 000 chauves-souris que nous avons échantillonnées. C'était un échantillon fécal, on l'a mis dans un tube, on l'a mis dans de l'azote liquide, on l'a ramené au labo. Nous avons séquencé un court fragment.
Daszak, la personne par l'intermédiaire de laquelle Fauci finançait le WIV, a nié que des chauves-souris vivantes aient été conservées dans le laboratoire de Wuhan, affirmant que ce n'était pas ainsi que fonctionnait la science. Daszak a ensuite supprimé son refus de tweet sans explication. Des images de l'intérieur du WIV Lab sont depuis apparues, confirmant que des chauves-souris vivantes étaient bien détenues par le personnel du laboratoire.
RépondreSupprimerLe rapport ne traite pas non plus du fait que la directrice du WIV, Shi Zhengli, a tenté de dissimuler le fait qu'elle avait maintenu la possession du parent connu le plus proche de COVID-19 pendant plus de sept ans. Shi a soudainement renommé le virus au début de 2020 au début de la pandémie, masquant ainsi que son laboratoire avait détenu un virus étroitement lié.
Shi a également obscurci l'origine du virus. L'endroit où Shi a initialement trouvé le virus de type COVID a été découvert plus tard comme étant la mine de Mojiang où trois mineurs sont morts avec des symptômes de type COVID en 2012. Shi admettra plus tard que la mine de Mojiang était bien la source de son virus.
Les recherches de Shi sur les coronavirus des chauves-souris avaient auparavant attiré l'attention des diplomates de l'ambassade des États-Unis en Chine. En 2018, après avoir visité le WIV, ils ont envoyé un certain nombre de câbles au département d'État avertissant des conditions de sécurité inadéquates au laboratoire.
La propre représentante officielle de Fauci en Chine, Chen Ping, avait elle-même envoyé plusieurs messages au bureau de Fauci, qui auraient tous dû déclencher des signaux d'alarme. Chen a noté que des articles de recherche détaillant les expériences de gain de fonction au WIV étaient publiés en tant que travaux financés par les NIH.
Ses demandes de renseignements auprès du bureau de Fauci semblent être restées sans réponse. Chen s'est également plainte de s'être vu refuser l'accès au WIV. Quand, après deux ans, Chen a finalement été autorisée à visiter l'établissement, il lui a été interdit de prendre des photos à l'intérieur du laboratoire.
Depuis le début de la pandémie, des séquences vidéo déterrées prises par des équipes de télévision chinoises à l'intérieur du laboratoire ont été utilisées pour identifier un certain nombre de lacunes en matière de biosécurité, ainsi que le fait que le laboratoire gardait des chauves-souris vivantes.
En 2015, un article de Nature a spécifiquement mis en garde contre le potentiel pandémique des expériences WIV. Richard Ebright, biologiste moléculaire et expert en biodéfense à l'Université Rutgers, a déclaré avec prévoyance : « Le seul impact de ce travail est la création, en laboratoire, d'un nouveau risque non naturel.
Il n'y a aucune mention de ces avertissements pré-pandémiques dans le rapport de l'IC. Aucune mention non plus des avertissements du gouvernement français, qui avait initialement aidé à la construction du laboratoire BSL-4 (biosécurité niveau 4) du WIV dans le cadre d'une joint-venture avec le régime chinois.
Cependant, le gouvernement français a par la suite refusé de certifier le laboratoire du WIV en raison des préoccupations des responsables militaires concernant les armes biologiques. La France a également refusé à la Chine l'accès aux équipements de sécurité et aux virus en raison de préoccupations similaires selon lesquelles ceux-ci pourraient être utilisés pour la recherche sur les armes biologiques.
RépondreSupprimerDe plus, en 2009, la secrétaire d'État de l'époque, Hillary Clinton, a été avertie dans un câble diplomatique de la construction du laboratoire WIV BSL-4 et du potentiel de prolifération des armes biologiques.
Le rapport d'IC a également omis de noter que le WIV et le CDC de Wuhan menaient des expériences sur les coronavirus de chauve-souris dans les laboratoires BSL-2, un environnement à faible biosécurité qui tombe en dessous du seuil de sécurité accepté pour les niveaux de recherche sur les coronavirus. Un minimum de BSL-3 est requis pour travailler avec des coronavirus, y compris l'isolement, la culture et l'amplification.
Lorsque Shi Zhengli a finalement admis avoir mené des expériences sur les coronavirus au BSL-2, un éminent partisan des origines naturelles, Ian Lipkin, a changé son point de vue sur l'origine de la pandémie. Lipkin pense maintenant que le virus est sorti d'un laboratoire de Wuhan, affirmant que « cela n'aurait pas dû arriver. Les gens ne devraient pas examiner les virus des chauves-souris dans les laboratoires BSL-2. Ma vision a changé.
Un développement plus récent également ignoré dans le rapport de l'IC est que l'enquêteur principal de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), Peter Ben Embarek, a maintenant affirmé dans un documentaire danois qu'une fuite de laboratoire est probable et « pourrait bien avoir été déclenchée par un employé. dans l'un des laboratoires de la ville.
Embarek, qui dirigeait l'équipe de l'OMS qui s'est rendue à Wuhan en février de cette année, avait précédemment affirmé qu'une fuite de laboratoire était extrêmement improbable. Mais il admet maintenant que cette affirmation était le résultat de pressions du régime chinois. Embarek a déclaré à l'équipe documentaire danoise qu'après deux jours de négociations, un accord a été conclu entre l'équipe d'Embarek et leurs homologues chinois.
En vertu de l'accord conclu avec le PCC, Embarek serait autorisé à mentionner la théorie des fuites de laboratoire, mais uniquement à condition qu'il soit déterminé qu'elle est « extrêmement improbable » et qu'il n'y aurait pas d'autres études sur la question.
Le rapport d'IC ne traite pas non plus d'une téléconférence du 1er février 2020 organisée à la hâte par Fauci et le Dr Jeremy Farrar, directeur du British Wellcome Trust. La téléconférence a eu lieu après le reportage public de la nuit précédente d'un lien potentiel entre COVID-19 et le WIV.
Fauci et Farrar étaient préoccupés par l'implication précédente des États-Unis dans le laboratoire et qu'ils avaient connaissance des déclarations publiques faites par le directeur du laboratoire de Wuhan au sujet du financement américain utilisé pour des recherches controversées sur le gain de fonction menées là-bas.
RépondreSupprimerÀ la suite de la téléconférence, la discussion publique sur la source pouvant être une fuite de laboratoire a été activement supprimée par les plateformes de médias sociaux, les responsables de la santé et l'OMS.
Les participants à la téléconférence ont également joué un rôle déterminant dans la publication de deux articles influents qui ont été largement utilisés par les organisations médiatiques pour faire avancer la théorie des origines naturelles. Simultanément, des théories alternatives, y compris celle d'une éventuelle fuite de laboratoire, ont été largement discréditées en tant que théories du complot.
Un autre domaine d'intérêt connexe que le rapport d'IC n'a pas abordé était le financement du WIV à partir de sources nationales du gouvernement américain et la manière dont ces fonds étaient utilisés. Les agences de financement, y compris le NIAID et le NIH de Fauci, ont en leur possession des dossiers et des documents réactifs, tout comme l'Alliance EcoHealth de Daszak, par l'intermédiaire de laquelle le financement du WIV a été organisé.
En effet, des documents d'EcoHealth récemment publiés en vertu de la Freedom of Information Act ont confirmé que le NIAID de Fauci finançait des expériences de gain de fonction, y compris la construction de nouveaux coronavirus chimériques liés au SRAS au WIV. Ces virus modifiés ont été testés sur des souris humanisées, montrant que les virus pouvaient infecter les humains et étaient plus pathogènes que le virus d'origine.
Des éditeurs tels que Springer-Nature et Lancet, qui ont tous deux avancé de manière agressive le récit des origines naturelles, ont des archives des premières ébauches, des données et des rapports d'examen des nombreux articles soumis par le personnel de WIV. Le Wellcome Trust, avec l'aide duquel Fauci a orchestré sa téléconférence secrète, a des dossiers concernant à la fois son rôle dans la téléconférence ainsi que dans le financement du WIV.
Le laboratoire qui a formé le personnel du WIV, le Galveston National Laboratory au Texas, dispose d'informations détaillées sur la formation et le personnel. Le gouvernement français a des dossiers sur la construction du laboratoire et sur les différends qui ont finalement conduit la France à se retirer du WIV. L'UE a également financé le WIV et dispose de dossiers pertinents.
Il y a aussi des lanceurs d'alerte des pays occidentaux. Bien qu'il ne soit pas réaliste d'avoir un accès direct aux lanceurs d'alerte chinois tels que Xiao Botao, un scientifique de Wuhan, qui a été le premier à blâmer publiquement une fuite de laboratoire pour la pandémie le 6 février 2020, il y en a beaucoup d'autres, y compris certains scientifiques qui peuvent avoir été initialement induits en erreur par leurs pairs.
Andrew Huff travaillait auparavant comme vice-président associé chez Daszak's EcoHealth. Il a depuis publié un certain nombre de déclarations sur LinkedIn blâmant une fuite de laboratoire pour la pandémie et blâmant également des scientifiques internationaux pour avoir collaboré à la dissimulation des fuites de laboratoire.
RépondreSupprimerEn réponse à l'affirmation selon laquelle l'origine du virus n'a pas pu être déterminée, Huff a déclaré que « vous pouvez lire les études évaluées par des pairs, les dépôts de brevets, les demandes de subvention et les e-mails de Fauci, et il est très clair quel était le rôle de Fauci ».
Il y a aussi un certain nombre de scientifiques impliqués dans les efforts initiaux pour pousser la théorie des origines naturelles qui ont depuis changé d'avis. Stanley Perlman dit maintenant que la théorie des fuites de laboratoire est «de retour sur la table». Et le signataire Charles Calisher affirme qu'il était « exagéré » d'appeler la fuite du laboratoire une théorie du complot.
Un autre signataire, Peter Palese, réclame désormais une enquête en bonne et due forme. Plus particulièrement, le professeur de l'Université de Chicago, Bernard Roizman, a déclaré que le virus provenait du laboratoire en raison de « la négligence », affirmant que le personnel du laboratoire de Wuhan « ne peut pas admettre qu'il a fait quelque chose d'aussi stupide ».
Le rapport de la communauté du renseignement a déclaré que « la coopération de la Chine serait très probablement nécessaire pour parvenir à une évaluation concluante des origines du COVID-19 ».
Mais il existe une mine d'informations dans le domaine public qui sont facilement disponibles et ne nécessitent pas les vastes ressources des communautés de renseignement de notre pays ou la coopération du PCC.
Si l'intention de l'IC était de fournir au public une réponse à l'origine du virus, cette réponse pourrait facilement être trouvée.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/intelligence-community-assessment-covid-19-origins-ignores-readily-available
(...) L'énorme dépôt d'échantillons de chauves-souris à Wuhan a été confirmé par Daszak en juillet 2020, lorsqu'il a discuté de la découverte précoce d'une correspondance génétique étroite avec COVID-19, notant que «Ce n'était qu'une des 16 000 chauves-souris que nous avons échantillonnées. C'était un échantillon fécal, on l'a mis dans un tube, on l'a mis dans de l'azote liquide, on l'a ramené au labo. Nous avons séquencé un court fragment. (...)
SupprimerÉchantillon provenant d'une chauve-souris morte (de çà) ou vivante ?
A se rappeler qu'il existe (pour chaque animal dont l'être humain) une immunité naturelle. Chacun a un organisme qui sait se défendre ou qui consomme telle ou telle plante en cas de.
Pourquoi personne ne parle d'immunité naturelle ?
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 09 SEP 2021 - 16:44
Rédigé par Joanna Miller via le blog Organic Prepper,
Daisy a récemment écrit un article sur « l'altérité » des non vaccinés. Elle a expliqué en détail comment les individus blâment les non vaccinés pour absolument tout ce qui ne va pas ces jours-ci. Je partage son inquiétude. Il existe une longue histoire détaillée de l'« altérité » d'une population menant à toutes sortes d'horreurs. Cependant, c'est également faux à un niveau plus mondain.
Le discours public entourant la pandémie semble se concentrer uniquement sur la vaccination comme moyen d'obtenir une immunité collective. Ceux qui se sont remis de la maladie et qui ont une immunité naturelle sont complètement ignorés.
Mais pourquoi ?
Immunité naturelle.
La chose la plus frustrante pour moi, depuis un an et demi, a été le récit en constante évolution et le rejet de vérités scientifiques autrefois bien comprises. L'immunité naturelle est l'un de ces concepts de la biologie de première année que beaucoup semblent ignorer complètement de nos jours.
Je pense que c'est un effet naturel du « culte de l'expertise » que nous avons aux États-Unis. Apparemment, toute personne possédant des informations d'identification spécifiques est automatiquement renvoyée, quelle que soit sa compétence… ou plus insidieusement, où résident ses intérêts financiers.
Si plus d'entre nous étaient disposés à réfléchir de manière critique à la «science» dans les nouvelles ces jours-ci, nous pourrions être plus confiants dans la gestion de notre santé. Une population en bonne santé et confiante, prête à argumenter et à traîner les pieds pour accepter des traitements médicaux avec lesquels elle n'est pas à l'aise, est difficile à bousculer.
Une population prête à tout pour « revenir à la normale » ne l'est pas.
Nous n'allons pas « revenir à la normale ».
Dès avril 2020, Daisy a écrit que nous ne reviendrions jamais « à la normale ». Et je suis d'accord.
Mais on peut avancer un peu plus informés.
J'ai entamé des discussions avec des professionnels de la santé pour savoir si les personnes qui se sont rétablies de la maladie doivent être vaccinées. Ces conversations auraient été considérées comme tout à fait ridicules il y a trois ans. Cependant, maintenant, il semble que nous ayons tous besoin de réapprendre la biologie de première année. J'aimerais donc revoir le concept d'immunité naturelle pour aider à organiser mes pensées et peut-être aider les autres qui ont l'impression que leur tête est dans un tourbillon.
RépondreSupprimerJ'ai mon ancien manuel de biologie universitaire - Life: The Science of Biology, de Purves, Sadava, Orians et Heller. J'ai la sixième édition, publiée en 2001, elle a donc environ 20 ans. J'ai aussi un manuel de biologie universitaire plus récent parce que je suis un grand nerd. C'est Campbell Biology, de Reece, Urry, Cain, Wasserman, Minorsky et Jackson, publié en 2014. Les deux manuels expliquent en détail le fonctionnement de notre système immunitaire et disent à peu près la même chose.
Notre corps a deux moyens principaux de se défendre contre la maladie.
Nos défenses innées sont des choses comme notre peau et notre mucus. Nous sommes nés avec ceux-ci, et ils rendent difficile l'entrée de divers agents pathogènes tels que les bactéries, les virus et les parasites multicellulaires dans notre corps. Notre corps possède également un système immunitaire qui reconnaît et attaque tous les agents infectieux qui dépassent nos défenses innées.
Notre système immunitaire est vraiment sophistiqué, et chez les individus en bonne santé, il fonctionne plutôt bien. Supposons qu'une sorte d'agent pathogène dépasse les défenses innées du corps et commence à infecter les cellules de l'hôte. Dans ce cas, le corps de l'hôte commencera à son tour à produire des anticorps qui attaqueront spécifiquement l'agent pathogène envahissant. Le corps hôte continuera à produire des anticorps jusqu'à ce que l'hôte meure ou que les cellules envahissantes meurent, et que le corps du patient puisse revenir à la normale.
La meilleure partie est que même après la fin de l'infection active, le corps de l'hôte conservera la mémoire des anticorps qu'il a produits pendant l'infection. Donc, si la personne anciennement infectée rencontre à nouveau l'agent pathogène, le corps aura immédiatement les anticorps pour tuer l'agent pathogène. Ils tombent rarement malades à nouveau, et s'ils le font, c'est généralement très doux.
Même le Wall Street Journal, incroyablement pro-vaccin, a récemment publié un article à ce sujet.
Habituellement, le WSJ laisse ses articles sur la page Opinion pendant environ une semaine. Cependant, dans les vingt-quatre heures, le WSJ a enterré cet article sur l'immunité naturelle. Jeff a publié l'autre jour un excellent article sur les médias alternatifs. Cela alimente définitivement son récit sur la quantité de bonnes informations qui sont enfouies en ce moment.
Quoi qu'il en soit, l'article du WSJ discute de l'immunité muqueuse par rapport à l'immunité interne. L'auteur (un neurologue) déclare que si les vaccins stimulent l'immunité interne, ils ne font rien pour lutter contre l'immunité des muqueuses. Les virus ne pénètrent pas dans les organes de l'hôte, c'est pourquoi la plupart des personnes vaccinées ne tombent pas vraiment malades. Mais, les virus vivent et se reproduisent toujours dans les bouches et les voies nasales tapissées de mucus. C’est pourquoi des personnes vaccinées sans symptômes propagent toujours le Covid comme des folles. Cependant, ceux d'entre nous qui se sont rétablis ont à la fois une immunité muqueuse et interne.
RépondreSupprimerAu cas où vous auriez besoin d'une preuve supplémentaire de l'efficacité de l'immunité naturelle.
Une étude israélienne a montré récemment que les personnes vaccinées étaient 13 fois plus susceptibles d'être infectées et 27 fois plus susceptibles d'avoir des infections symptomatiques que les personnes ayant une immunité naturelle.
Alex Berenson a posté cette information sur Twitter le 25 août, et la plateforme l'a définitivement banni le 28 août. Pourtant, des professionnels de la santé commencent à en faire du bruit, comme Martin Kulldorff, épidémiologiste à Harvard. Espérons que plus de gens commencent à écouter.
Les avantages de l'immunité naturelle ne devraient pas être aussi choquants qu'ils semblent l'être.
Après tout, nous l'observons depuis longtemps avec d'autres maladies. Un exemple : quand j'étais enfant, tout le monde avait encore la varicelle. Nous avons tous dû manquer l'école et rester à la maison pendant environ une semaine. Je suis l'aînée de huit enfants et je pense que le vaccin est sorti quand mes plus jeunes frères et sœurs étaient enfants. Mais je sais que les quatre plus âgés d'entre nous ont attrapé la varicelle.
Un de mes frères l'a attrapé deux fois. La première fois, il l'a attrapé quand je l'ai fait. Nous avons été assez malades pendant quelques jours et avons eu une éruption cutanée qui a couvert notre corps pendant environ une semaine. Je n'ai plus jamais eu la varicelle. Cependant, mon frère l'a ramassé une deuxième fois à l'école. Il n'a eu qu'une très légère fièvre pendant un jour et quatre ou cinq ampoules la deuxième fois. C'était ça.
Rien de ce que j'ai dit ci-dessus n'est même un peu controversé.
En fait, si vous regardez l'histoire de la variole, les dossiers remontent à plus de 2000 ans que les survivants de la variole ont soigné les malades. Même alors, il était de notoriété publique que les survivants ne tomberaient plus malades.
Maintenant, la variole est-elle exactement la même chose que Covid ? Non, pas exactement. L'histoire de l'éradication de la variole est incroyable. Depuis lors, nous semblons continuer à espérer pouvoir détruire toutes les maladies avec des vaccins. Mais ce n'est pas forcément réaliste. Pour commencer, la variole n'a pas d'hôtes animaux enregistrés. Cela signifie qu'une fois que vous l'avez éliminé chez l'homme, il est parti. Covid, qu'il provienne d'animaux ou d'un laboratoire, est connu pour vivre dans de nombreuses espèces animales différentes. Cela ne partira jamais vraiment. Les humains peuvent parfois prendre le dessus. Mais, il vivra et évoluera toujours au sein d'une variété d'hôtes animaux.
Ce n'est pas le moment de désespérer.
RépondreSupprimerAlors, devrions-nous tous baisser les bras avec désespoir devant le fait qu'il existe une nouvelle maladie, peu susceptible d'être éradiquée, parmi nous ? Non. Nous vivons avec les virus du rhume et de la grippe depuis des millénaires. Ils ne seront pas éradiqués non plus car ils mutent rapidement et ont une variété d'hôtes.
Je n'essaie pas d'être insensible aux personnes qui ont souffert du Covid. Et, comme il semble maintenant généralement admis que Covid est originaire d'un laboratoire, je n'essaie pas non plus de minimiser les esprits absolument pervers impliqués dans la fabrication de cette maladie. Mais nous vivons avec des maladies depuis des millénaires. Nous pouvons apprendre à vivre avec celui-ci aussi.
Certaines personnes se sentent totalement à l'aise avec les nouveaux vaccins à ARNm.
Personnellement, je ne suis pas à l'aise avec l'ARNm. Mais je n'essaierai de faire changer personne d'avis. J'ai eu Covid et j'ai une immunité naturelle. J'étais extrêmement à faible risque de complications de Covid. (À la fin de la trentaine, proche de mon poids idéal, et aucune carence en vitamines exceptionnelle.) Et bien sûr, je ne me suis senti malade que pendant environ une journée.
Je n'ai jamais eu de fièvre ni de symptômes respiratoires. J'étais endolori pendant environ vingt-quatre heures et fatigué le lendemain. Mon sens du goût et de l'odorat ont disparu, c'est pourquoi j'ai été testé. Ils ne sont pas revenus, ce qui est déprimant car j'aime la bonne bouffe, mais je peux m'en passer. Aucun enfant sur cette planète ne devrait manquer une course ou une rencontre avec des amis parce que je ne peux plus vraiment apprécier le café.
D'autres ont connu bien pire. Vous pouvez lire l'expérience de Daisy avec Covid ICI. Elle a également partagé avec ses lecteurs de newsletter qu'elle avait perdu un membre de sa famille proche à cause de Covid – un homme en bonne santé dans la mi-quarantaine qui n'avait aucune comorbidité. Bernie Carr, le fondateur d'ApartmentPrepper.com, a mené une longue bataille qui comprenait une hospitalisation et une dépendance à long terme à l'oxygène, et Greg Ellifritz, d'ActiveResponseTraining.com, a failli mourir lui-même mais est en voie de guérison.
Pour toute autre personne hésitante à se faire vacciner mais toujours préoccupée par la maladie elle-même, il existe de nombreuses autres options de traitement. Encore une fois, l'humanité a traité la maladie pendant longtemps avant que les vaccins n'entrent en scène. Certains des premiers médecins à traiter les patients de Covid ont formé Front Line Covid-19 Critical Care Alliance pour développer et partager des options de traitement à faible coût. Cet article parle de la gestion des symptômes du Covid à domicile pour ceux qui ne sont pas assez malades pour nécessiter une hospitalisation.
Ce n'est pas un argument pour ou contre les vaccins.
RépondreSupprimerSi personne n'était prêt à essayer quelque chose de nouveau, nous ne progresserions jamais. Mais les essais doivent être effectués par des individus pleinement informés et consentants. Ce n'est pas ce que nous avons actuellement. Ce que nous avons maintenant, c'est la coercition.
J'essaie d'argumenter contre la peur et l'hystérie. Je veux encourager toute personne, comme moi, qui est même modérément instruite scientifiquement, à revisiter vos vieux manuels. Construisez votre confiance pour prendre vos propres décisions. Il y a trop de peur autour de cette maladie. Nous sommes distraits par une maladie à laquelle 99,5 % des personnes infectées de moins de 55 ans survivront alors que nos droits sont retirés, et notre réputation internationale d'être même un peu compétente et fiable s'effondre.
Ne vous laissez pas engloutir par la peur. Les mêmes choses qui nous ont surtout gardés en bonne santé dans le passé nous garderont surtout en bonne santé maintenant. Mangez des aliments nutritifs, faites de l'exercice régulièrement et profitez du soleil.
Cela signifie-t-il que si vous êtes en bonne santé, rien de terrible ne vous arrivera jamais ? Bien sûr que non, tout comme obéir à toutes les règles de circulation n'empêchera pas forcément un ivrogne de vous claquer dessus. Nous ne pouvons pas éliminer les risques dans nos vies. Tout ce que nous pouvons faire, c'est essayer de mettre toutes les chances de notre côté.
Comment allez-vous développer votre résilience et votre force mentale ?
La résilience et la force mentale font partie intégrante de la préparation. Pour en revenir aux premiers principes, vous éduquer vous aidera à prendre confiance en vos décisions pour vous et votre famille. La confiance vous aidera à résister à la marée montante de folie que nous voyons dans le monde. Êtes-vous confiant dans vos préparatifs ? Vous êtes-vous rééduqué en cours de route ? Parlons-en dans la section commentaires.
Ce n'est pas le moment de céder à la peur. Il est maintenant temps de devenir fort.
https://www.zerohedge.com/covid-19/why-isnt-anyone-talking-about-natural-immunity
D'abord, que des inoculés blâment les personnes qui ont refusé de se faire injecter la solution létale, on en a rien à foutre !
SupprimerQue ces trisomiques s'en soient aperçu ou non de la gravité de leur consentement: On en a rien à foutre !
Le puissant argument contre le vaccin à ARNm de Covid
RépondreSupprimerPar Paul Craig Roberts
PaulCraigRoberts.org
10 septembre 2021
LES FAITS:
- voir carte sur site -
Gibraltar a un taux de vaccination de 99% depuis le 1er juin. La conséquence a été une augmentation quotidienne de 2 500 % des cas de Covid. Le vaccin étant inutile, pourquoi pousser à la vaccination obligatoire et aux passeports Covid ? Cela n'a aucun sens pour la santé publique.
- voir graphique sur site -
La source
LES BIG PHARMA SHILLS
Fauci : « une pandémie de non vaccinés »
Walensky : « une pandémie de non vaccinés »
Ministre allemand de la Santé : « une pandémie de non vaccinés »
Remarquez comment les shills prononcent des mots identiques chaque jour.
Il y a deux raisons aux infections au Covid. L'un est le vaccin à ARNm qui propage Covid.
L'autre est le refus de l'établissement médical occidental de prévenir et de traiter le Covid avec de l'HCQ ou de l'ivermectine.
L'épidémie massive de nouveaux cas de Covid dans les pays les plus vaccinés – Gibraltar 99%, Islande 95%, Israël 84% – a clairement montré que le vaccin à ARNm ne protège pas contre l'infection à Covid. Fauci, un shill de longue date pour Big Pharma, est ravi. Sa solution à l'échec du « vaccin » (ce n'est pas un vaccin) est plus vaccin. Des injections de rappel sont nécessaires, dit-il, tous les 5 à 8 mois pour tenir Covid à distance. En d'autres termes, des bénéfices à jamais pour Big Pharma.
Mais l'échec du vaccin à ARNm est bien plus grave que l'échec de la protection. Le vaccin lui-même (1) provoque des maladies et des décès identiques aux maladies et aux décès de Covid, comme l'indique le nombre massif de décès et d'atteintes à la santé dans les bases de données sur les effets indésirables des vaccins, (2) le « vaccin » crée des variantes capables d'échapper à la réponse immunitaire, et ( 3) les vaccinés sont contagieux et dangereux pour les non vaccinés.
En d'autres termes, les cas dits de « percée » qui accablent désormais les pays les plus vaccinés sont dus à la vaccination. Continuer à piquer les gens risque de provoquer des morts et des blessés et des politiques totalitaires contre-productives au point de conduire à l'effondrement de la société.
C'est la conclusion d'un certain nombre de scientifiques et d'autorités médicales de haut niveau qui sont de loin supérieurs dans leurs connaissances aux shills des Big Pharma comme Fauci et Walensky et aux médias américains complètement stupides qui continuent de répéter "une pandémie de non vaccinés" lorsque les épidémies sont centrées sur les vaccinés dans les pays les plus vaccinés.
Nous devons nous demander s'il est possible même pour les journalistes américains d'être aussi stupides qu'ils se présentent, ou sont-ils payés pour mentir ? Nous savons que Fauci et Walensky bénéficient des bénéfices des vaccins. D'une manière ou d'une autre, ce conflit d'intérêts n'entre pas dans le débat public. Où sont les inculpations pour Fauci et Walensky ?
En effet, tous les faits sont censurés, supprimés et tenus hors du débat public. C'est la fonction des « médias sociaux », CNN, NPR, New York Times, Washington Post et le reste des presstitués.
RépondreSupprimerLa « crise Covid » est de bout en bout une crise fabriquée. Le but du vaccin à ARNm est d'aggraver la crise, ce qui conduira à des mesures plus contre-productives qui menacent non seulement la liberté mais la vie elle-même.
Il a été prouvé en Inde et en Afrique que l'ivermectine utilisée à titre préventif prévient les épidémies de Covid, et l'ivermectine a été prouvée comme remède par le succès de nombreux médecins qui ont utilisé l'ivermectine pour guérir leurs patients de Covid. L'ivermectine est un remède sûr et efficace.
Si vous avez besoin de plus de preuves de l'efficacité de l'ivermectine au-delà du tableau par lequel commence cet article, voici le président de la Tokyo Medical Association annonçant lors d'une conférence de presse que l'ivermectine est un traitement sûr et efficace pour l'infection à Covid et recommandant à tous les médecins au Japon immédiatement commencer à utiliser l'ivermectine pour traiter les patients atteints de Covid.
Voir aussi ceci.
Pourtant, les autorités médicales publiques occidentales – non japonaises, indiennes et africaines – et les presstituées continuent de mentir à travers leurs dents que l'ivermectine est dangereuse. Racontent-ils ce mensonge juste pour le profit, ou un agenda plus sombre se prépare-t-il ?
HCQ est un autre préventif et remède éprouvé et il est également diabolisé comme dangereux. HCQ doit être pris tôt lorsque les symptômes apparaissent pour la première fois. L'ivermectine est également efficace aux stades ultérieurs du virus.
Si vous attrapez le Covid et avez des comorbidités ou un système immunitaire affaibli, n'allez pas à l'hôpital. Ils vous mettront sous ventilateur et vous tueront. Vous n'obtiendrez pas de traitement avec des remèdes sûrs et efficaces connus. Allez plutôt au Japon, en Inde ou dans l'un des pays africains marqués en bleu dans le tableau d'ouverture, ou traversez la frontière mexicaine et achetez de l'ivermectine formulée pour les humains en vente libre dans une pharmacie. Aux États-Unis, essayez d'entrer en contact avec des médecins de première ligne qui sont submergés par les appels à l'aide d'Américains totalement abandonnés par l'établissement médical américain.
Ce n'est que dans les pays anglophones, aux États-Unis, en Europe occidentale et en Israël que la population n'est pas en mesure d'obtenir un traitement efficace et sûr pour l'infection à Covid. Ce sont les personnes trahies qui sont infectées encore et encore avec un « vaccin » mortel à ARNm. Le fou « Covid Tzar » israélien préconise un 4e rappel du vaccin identique qui a causé des dizaines de milliers de décès et des centaines de milliers de problèmes de santé, le même vaccin qui a rempli les hôpitaux israéliens de patients entièrement vaccinés. Aux États-Unis, le shill de Big Pharma Fauci dit qu'il y aura des injections de rappel tous les 8 mois. Cela signifie des réactions indésirables sans fin au « vaccin » et l'apparition sans fin de nouvelles « variantes ». Mais cela signifie des profits sans fin pour Big Pharma, et c'est tout ce qui compte.
RépondreSupprimerLa politique Covid mise en œuvre en Occident n'a aucune logique et aucun fondement sur des faits connus. Que se passe-t-il ?
Les médecins et les scientifiques ont rapporté l'efficacité de l'HCQ et de l'ivermectine, dont l'utilisation est si sûre depuis des décennies que dans les pays non contrôlés par les sociétés pharmaceutiques, ils sont disponibles en vente libre, tout comme l'aspirine. Pourtant, l'establishment médical américain corrompu déclare que les préventifs et les remèdes éprouvés sont « dangereux » et le vaccin à ARNm qui propage Covid est déclaré être la réponse.
Quel est l'ordre du jour ? De toute évidence, ce n'est pas la santé du public. De toute évidence, ils veulent plus de variantes, plus de cas de Covid, plus de décès et de blessures pour effrayer les moutons, vendre plus de vaccins et imposer plus de violations des libertés civiles.
Comment se fait-il que dans « l'Amérique libre et démocratique », la vérité et les faits soient exclus de la discussion et n'aient aucun impact sur la politique de Covid ? Comment se fait-il que les principaux scientifiques et médecins qui mettent en garde contre la catastrophe vaccinale croissante soient censurés et menacés de perdre leur licence médicale et leur emploi ? Ce qui se passe en Amérique est pire que ce qui est arrivé aux généticiens soviétiques sous Lyssenko.
En effet, l'idéologue Fauci est l'Américain Lyssenko. Sous le règne de Lyssenko, l'agriculture soviétique a été détruite et des millions de personnes sont mortes de faim. Les vrais scientifiques qui ont compris que Lyssenko était un cinglé payé de leur vie et de leur carrière. 3 000 biologistes traditionnels ont été licenciés ou emprisonnés. Dans la campagne pour réprimer les opposants scientifiques, d'autres scientifiques ont été exécutés. Le président de l'Académie d'agriculture a été envoyé en prison où il est mort, tandis que la recherche génétique soviétique a été détruite. La recherche et l'enseignement dans le domaine d'autres disciplines biologiques, telles que la biologie cellulaire et la neurophysiologie, jugés incompatibles avec le récit de Lyssenko ont été interdits.
C'est ce qui se passe aujourd'hui en Amérique, au Canada, en Europe occidentale, en Australie et en Nouvelle-Zélande. Les vrais experts sont discrédités, et à leur place nous avons CNN et d'autres shills de Big Pharma.
RépondreSupprimerComment se fait-il qu'au milieu de l'infection à Covid, la désinformation soit intentionnellement diffusée en ligne par des sites tels que Coronavirus World Updates ? À mon avis, Coronavirus World Updates est une feuille de mensonges sur Internet parrainée par Big Pharma, motivée par la cupidité, dans le but de diffuser de la désinformation afin de décourager les gens de rechercher et d'obtenir un traitement efficace contre l'infection à Covid.
Le 4 septembre, le battage médiatique du site de désinformation était une fausse histoire reprise par le magazine Rolling Stone sur le danger de l'ivermectine, l'un des médicaments les plus sûrs connus pris chaque semaine dans la plupart des pays africains en tant que prévention et traitement de la cécité des rivières. L'article malhonnête, qui a dû être rétracté, citait un médecin qui reprochait à l'ivermectine les personnes se surdosant en prenant des dosages formulés pour les gros animaux comme les chevaux. Il s'avère que le médecin a inventé toute l'histoire.
Les gens ne peuvent pas obtenir un traitement sûr et efficace pour Covid, car un système médical incompétent et corrompu ne fera que vacciner, refusera de traiter l'infection Covid avec des doses appropriées d'HCQ ou d'ivermectine, répandra de fausses histoires pour effrayer les gens d'un traitement réussi, et cherche à emporter les licences médicales des médecins qui sauvent réellement des vies.
On se demande combien le médecin a été payé par Big Pharma pour sa fausse histoire.
Ce ne sont pas seulement Rolling Stone et Coronavirus World Updates qui ont rapporté la fausse histoire. L'ensemble des médias prostitués était impliqué.
Pourquoi les presstitués travaillent-ils avec Big Pharma, Fauci et Walensky pour tromper les gens, les empêcher de recevoir un traitement sûr et causer la mort et des blessures à un grand nombre de personnes ? Voici un shill Big Pharma qui vous prépare pour des injections de rappel.
Est-ce l'odeur de l'incompétence ou l'odeur du mal qui émane de la profession médicale américaine et de ses imposteurs ?
Si « nos autorités médicales » ne parviennent pas à éradiquer nos vies avec le vaccin à ARNm, elles ont évidemment autre chose à débloquer pour faire le travail.
Il s'avère que le directeur de l'Organisation mondiale de la santé, Tedros Adhanom Ghebreyesus, n'est pas un médecin, mais c'est un ami et un protégé de Klaus Schwab, fondateur et président exécutif du Forum économique mondial, qui entend imposer au monde, en utilisant la peur orchestrée de Covid, la «Grande réinitialisation», qui signifie la fin de la vie telle que l'humanité l'a connue. Ici, les deux sont ensemble.
RépondreSupprimerTerminons cette chronique avec des informations factuelles de Doctors for Covid Ethics.
Si vous voulez ruiner votre santé et peut-être mettre fin à votre vie, prenez le coup de mort.
Sinon, organisez-vous. Exigez des comptes pour Biden, Fauci, Walensky, Big Pharma et les médias presstitués. Ces criminels sordides ont un nombre massif de morts et de blessures permanentes sur leurs mains avides. Ce sont les personnes qui devraient être inculpées, jugées, condamnées et exécutées pour meurtre et blessures de masse.
Mais il y a peu de chances que cela se produise. Au lieu de cela, les gens seront assassinés et blessés pour le profit. C'est toujours le sort des moutons qui dans leur bêtise font confiance aux « autorités ».
Malgré toutes les preuves que les vaccins à ARNm ne protègent pas contre les infections à Covid, provoquent des effets néfastes massifs sur la santé et créent des variantes qui échappent à la réponse immunitaire, un grand nombre de prestataires de soins de santé et d'employeurs exigent l'inoculation comme condition d'emploi.
L'examen de l'hôpital Becker fournit une liste des prestataires de soins de santé qui imposent l'inoculation du vaccin dangereux comme condition d'emploi et comme exigence pour les patients qui cherchent un traitement pour toute maladie.
Ces employeurs stupides n'ont pas le QI nécessaire pour pouvoir fonctionner dans le monde. Ils sont tellement stupides qu'ils ne réalisent pas que ce sont seulement les fabricants de vaccins, pas eux, qui sont à l'abri de toute responsabilité pour les dommages causés par le vaccin autorisé à utiliser en cas d'urgence. Si ces employeurs imposent la vaccination, ou si les universités le font pour leurs étudiants, ils sont responsables des blessures et des décès causés par le « vaccin » obligatoire.
Les hôpitaux sont doublement stupides. Il y a déjà une pénurie d'infirmières expérimentées. Maintenant, un grand nombre d'entre eux démissionnent ou sont licenciés pour avoir trop de sens pour prendre le jab après avoir vu les conséquences néfastes de la vaccination contre Covid. Ce problème ne se limite pas aux États-Unis. Par exemple, les travailleurs de la santé britanniques quittent en masse l'industrie après avoir reçu l'ordre de se faire vaxer ou de démissionner.
Les personnes en bonne santé sont confrontées à une minuscule menace de mort ou de blessure grave due à Covid. Les personnes vulnérables présentant des comorbidités peuvent recevoir en toute sécurité des doses préventives d'ivermectine ou d'HCQ. Il n'y a aucune raison, autre que la pure négligence du corps médical, pour que des personnes vulnérables attrapent même Covid. Il n'y a certainement aucune raison pour qu'ils meurent parce que la profession médicale retient les traitements avec des remèdes connus.
RépondreSupprimerIl est étonnant que les personnes en Afrique sujettes à la cécité des rivières et au paludisme soient cent fois plus à l'abri du Covid que les Américains et les Européens de l'Ouest.
Quelle blague le monde occidental est. Pas étonnant qu'il soit dans un état d'effondrement.
https://www.lewrockwell.com/2021/09/paul-craig-roberts/the-powerful-case-against-covid-mrna-vaccine/
Fauci sera-t-il tenu responsable d'avoir menti au Congrès ?
RépondreSupprimerPar Joseph Mercola
Mercola.com
10 septembre 2021
Dans un article du 31 août 2021, sous-stack1, Paul Thacker, journaliste d'investigation et ancien enquêteur du Sénat américain, examine les preuves qui, selon lui, montrent que le Dr Anthony Fauci a menti au Congrès, une infraction passible d'une peine pouvant aller jusqu'à cinq ans de prison, à condition les fausses déclarations sont matériellement pertinentes et sciemment fausses.
« Un nouveau documentaire d'enquête de la chaîne britannique Channel 42 a détaillé certaines des preuves les plus solides à ce jour que la pandémie de COVID19 pourrait avoir commencé à partir d'une fuite de laboratoire à Wuhan, en Chine », écrit Thacker.3
« À tout le moins, les entretiens du documentaire avec des experts et l'examen des documents ont expliqué comment la Chine a induit le monde en erreur au sujet de ses recherches sur des agents pathogènes dangereux…
Le documentaire a clarifié un autre point : Anthony Fauci a menti devant le Congrès et le public américain lorsqu'il a affirmé lors d'une audition au Congrès qu'il n'avait pas financé la recherche sur le gain de fonction menée par l'Institut de virologie de Wuhan…
Le président Biden a fait campagne pour l'honnêteté et la décence. La question qui se pose maintenant au président Biden est la suivante : « Que ferez-vous de Fauci maintenant qu'il a enfreint la loi et violé la confiance du public en mentant devant le Congrès ? » »
Fauci redéfinit les termes scientifiques à la volée
Dans ce qui semble être une tentative de se dégager du blâme pour la pandémie de COVID, Fauci – directeur du National Institute for Allergy and Infectious Diseases (NIAID), une branche des National Institutes for Health (NIH), depuis 1986 – a nié jamais avoir financé des recherches sur le gain de fonction au WIV ou ailleurs lorsqu'elles ont été interrogées par des membres de la commission sénatoriale de la santé, de l'éducation, du travail et des retraites en mai 2021.4
Le terme « gain de fonction » est généralement utilisé pour désigner des changements entraînant l'acquisition de nouveaux phénotypes biologiques ou une amélioration de ceux-ci. ~ Conseil consultatif scientifique national pour la biosécurité
Selon Thacker, les preuves réfutent clairement cela. Un « fusil fumant » est un article de recherche écrit par des scientifiques du WIV intitulé « La découverte d'un riche pool de gènes de coronavirus liés au SRAS de chauve-souris fournit de nouvelles informations sur l'origine du coronavirus du SRAS ».5 Cette recherche a été financée par le NIH et rencontre le Département de la définition de la recherche sur le gain de fonction de la santé et des services sociaux.6,7
Le documentaire de Channel 4 s'est penché sur ce papier. Lorsqu'on lui a demandé si le NIH avait déjà financé des recherches sur le gain de fonction au WIV, David Relman, médecin-chercheur à l'Université de Stanford, a répondu : « Oui. Indirectement, mais oui. Comment savons nous ? Le journal dit, juste en première page, « Supported by NIAID, NIH. » » Le clip mettant en vedette Relman est inclus ci-dessous.
RépondreSupprimerComme indiqué précédemment par la National Review8, nous savons que le WIV a reçu un financement du NIAID/NIH pour créer de nouveaux coronavirus chimériques liés au SRAS capables d'infecter à la fois les cellules humaines et les animaux de laboratoire. Les « virus chimériques » font référence à des virus artificiels créés par l'homme, des organismes hybrides créés par l'union de deux ou plusieurs organismes différents.
C'est précisément l'objet de la recherche sur le gain de fonction. Selon un rapport de 20169 du Conseil consultatif scientifique national pour la biosécurité, « le terme « gain de fonction » est généralement utilisé pour désigner des changements entraînant l'acquisition de nouveaux phénotypes biologiques ou une amélioration de ceux-ci. »
Fauci veut maintenant adopter une définition beaucoup plus étroite de la recherche sur le gain de fonction qui prend en compte l'intention supposée derrière la recherche, mais cela n'a vraiment pas de sens. Ce n'est pas parce que vous n'avez pas l'intention de nuire que votre création ne peut pas nuire ou pourrait causer du tort par inadvertance.
Le financement américain de la recherche sur le gain de fonction était bien établi
Selon Thacker, « Fauci savait certainement que le WIV qu'il aidait à financer menait des études de gain de fonction, car cela était de notoriété publique. »10 Par exemple, un an avant que Fauci ne soit interrogé par le Congrès, Newsweek a rapporté que :11
«En 2019, avec le soutien du NIAID, les National Institutes of Health ont engagé 3,7 millions de dollars sur six ans pour des recherches comprenant des travaux de gain de fonction. Le programme faisait suite à un autre projet de 3,7 millions de dollars sur 5 ans pour la collecte et l'étude des coronavirus de chauves-souris, qui s'est terminé en 2019, portant le total à 7,4 millions de dollars…
La recherche du NIH comportait deux parties. La première partie12 a commencé en 2014 et impliquait la surveillance des coronavirus de chauve-souris… Le programme a financé Shi Zheng-Li, virologue au laboratoire de Wuhan… pour enquêter et cataloguer les coronavirus de chauve-souris dans la nature. Cette partie du projet a été achevée en 2019.
Une deuxième phase13 du projet, commençant cette année-là, comprenait… une recherche sur le gain de fonction dans le but de comprendre comment les coronavirus de chauve-souris pourraient muter pour attaquer les humains. Le projet était dirigé par EcoHealth Alliance… sous la direction du président Peter Daszak… Le NIH a annulé le projet… le 24 avril [2020]…
RépondreSupprimerDe nombreux scientifiques ont critiqué la recherche sur le gain de fonction, qui consiste à manipuler des virus en laboratoire pour explorer leur potentiel d'infection des humains, car elle crée un risque de déclenchement d'une pandémie à partir d'une libération accidentelle.
À peu près à la même époque, l'ancien directeur par intérim de la CIA, Michael Morell, a déclaré à Politico14 que "si le virus s'échappait d'un laboratoire de Wuhan, les États-Unis assumeraient une partie du blâme car ils ont financé la recherche dans ce laboratoire grâce à des subventions gouvernementales de 2014 à 2019".
Mi-janvier 2021, le département d'État américain a publié une fiche d'information accusant le gouvernement chinois d'être obsessionnellement secret sur la recherche sur le gain de fonction au WIV, et qu'il collaborait avec l'armée chinoise sur des projets secrets.
La fiche d'information a depuis été supprimée du site Web du département d'État, mais a été signalée par un certain nombre de points de vente à l'époque. Parmi eux, Life Site News, qui a écrit :15
"Dans une" fiche d'information " publiée en ligne … le Département d'État (DOS) a présenté trois éléments distincts sur l'origine du virus, qui " méritent un examen plus approfondi " … Le premier des trois problèmes nécessitant une enquête plus approfondie était l'épidémie de maladie à l'intérieur de l'Institut de virologie de Wuhan (WIV).
Le DOS a révélé qu’il avait « des raisons de croire » que « plusieurs chercheurs au sein du WIV sont tombés malades à l’automne 2019, avant le premier cas identifié de l’épidémie, avec des symptômes compatibles à la fois avec le COVID-19 et les maladies saisonnières courantes »…
De plus, le DOS a noté que les chercheurs du WIV avaient effectué des expériences sur « RaTG13, le coronavirus de chauve-souris identifié par le WIV en janvier 2020 comme son échantillon le plus proche du SARS-CoV-2 (96,2% similaire) » depuis au moins « 2016. '
Le laboratoire a également "un dossier publié de recherche sur le "gain de fonction" pour concevoir des virus chimériques.» Une telle recherche, la recherche sur le gain de fonction, est un type qui «améliore la capacité d'un agent pathogène à provoquer une maladie». "
Rapports supplémentaires citant la recherche sur le gain de fonction
RépondreSupprimerLe 6 mars 2021, le comité de rédaction du Washington Post a publié un article16 appelant à une enquête indépendante sur l'origine du SARS-CoV-2. Dans cet article, la chambre a souligné que :
"... un chercheur principal à l'Institut de virologie de Wuhan, Shi Zhengli, travaillait sur des expériences de" gain de fonction ", qui impliquent de modifier les génomes viraux pour leur donner de nouvelles propriétés, y compris la capacité d'infecter les cellules pulmonaires de souris de laboratoire qui avaient été génétiquement modifié pour réagir comme le feraient les cellules respiratoires humaines.
Le conseil d'administration a également noté que Shi "travaillait avec des coronavirus de chauve-souris qui étaient génétiquement très similaires à celui qui a causé la pandémie". Quelques mois plus tard, dans un essai du 22 juin 202117, le professeur Jeffrey Sachs, chef de la commission du Lancet chargée d'enquêter sur l'origine de COVID, a également décrit comment le NIAID a financé la recherche sur le gain de fonction au WIV :
« Il est en fait de notoriété publique dans la communauté scientifique américaine que le NIH a en effet soutenu la recherche génétique recombinante sur les virus de type SRAS que de nombreux scientifiques décrivent comme GOFROC [gain-of-function research of concern].
La littérature scientifique évaluée par des pairs rapporte les résultats d'une telle recherche génétique recombinante soutenue par les NIH sur les virus de type SRAS. Plus précisément, il est clair que le NIH a cofinancé une recherche au WIV qui mérite un examen minutieux dans l'hypothèse d'une libération du virus en laboratoire. »
« La trahison du COVID-19 de Fauci »
Le Dr Peter Breggin, psychiatre formé à Harvard et ancien consultant pour le National Institute of Mental Health, est particulièrement intéressé par le rôle potentiel de Fauci dans cette pandémie. En octobre 2020, il publie le rapport18 « Dr. La trahison du COVID-19 de Fauci », détaillant les liens de Fauci avec le Parti communiste chinois (PCC) et son armée.
Breggin est convaincu que Fauci « a été la force majeure » derrière les activités de recherche qui ont permis au PCC de fabriquer des coronavirus mortels du SRAS, ce qui à son tour a conduit à la libération – accidentelle ou non – du SRAS-CoV-2 du WIV.
Il affirme que Fauci a aidé le PCC à obtenir de "précieux brevets américains" et qu'il, en collaboration avec le PCC et l'OMS, a initialement supprimé la vérité sur les origines et les dangers de la pandémie, permettant ainsi la propagation du virus de la Chine à le reste du monde.
RépondreSupprimerFauci a protégé et continue de protéger le PCC et lui-même, dit Breggin, en «niant l'origine du SRAS-CoV-2» et en «retardant et contrecarrant les tentatives mondiales de faire face de manière rationnelle à la pandémie».
Dans le résumé du rapport, Breggin documente 15 activités douteuses dans lesquelles Fauci s'est engagé, à commencer par le fait qu'il a financé des recherches dangereuses de gain de fonction sur les coronavirus de chauve-souris, à la fois par des chercheurs chinois individuels et le WIV en collaboration avec l'américain des chercheurs. Cette recherche, dit Breggin, a permis au PCC et à son armée de créer leurs propres armes biologiques, y compris le SARS-CoV-2.
Fauci sera-t-il tenu responsable?
Selon Thacker, « il est évident que » Fauci « a enfreint la loi et a induit le Congrès en erreur ». Il ajoute :19
« Ce n'est pas mon opinion personnelle ; J'ai dû connaître et appliquer les dispositions pertinentes de la loi pendant les trois années où j'ai mené des enquêtes au Sénat. À deux reprises, j'ai dû consulter le conseiller juridique du Sénat, puis avertir les gens de mentir au Congrès…
Fauci a menti lors de son témoignage devant le Congrès. Fauci a menti au peuple américain. Plusieurs éléments de preuve le montrent clairement. Mais attraper Fauci en train de mentir et d'enfreindre la loi ne sert à rien, car le ministère de la Justice poursuit les personnes pour avoir menti au Congrès, et le ministère de la Justice est dirigé… par l'administration Biden. Alors, que va faire le président Biden à ce sujet ? »
Lors d'une apparition au Hannity Show, le 20 juillet 2021, le sénateur américain Rand Paul – qui a grillé Fauci au sujet de son financement de la recherche lors de deux audiences distinctes cette année – a annoncé qu'il demanderait effectivement au DOJ un renvoi criminel.20
Paul a spécifiquement demandé au DOJ d'enquêter pour savoir si Fauci a violé le 18 US Code § 100121 – ce qui en fait un crime fédéral de faire « toute déclaration ou représentation matériellement fausse, fictive ou frauduleuse » dans le cadre de « toute enquête ou examen » mené par le Congrès – ou tout autre statut. Le temps nous dira si cela équivaut à quelque chose.
La recherche de gain de fonction est la vraie menace
RépondreSupprimerIndépendamment de ce qui arrive à Fauci, en fin de compte, la question clé qui doit être résolue est de savoir si nous devrions autoriser la recherche qui implique de rendre les agents pathogènes plus dangereux pour les humains, quelle que soit l'intention derrière cela, ou la technologie spécifique utilisée.
Des fuites de laboratoire se sont produites à plusieurs reprises, ce n'est donc qu'une question de temps avant que quelque chose de bien plus dévastateur que le SARS-CoV-2 ne sorte. Les dirigeants mondiaux doivent se rendre compte que le financement de la recherche sur le gain de fonction est la véritable menace ici et prendre des mesures en conséquence pour prévenir une autre pandémie. Tant que les chercheurs sont autorisés à muter et à créer des agents pathogènes synthétiques, ils créent le risque même qu'ils prétendent essayer de prévenir.
Sources and References
1, 3, 10, 19 Disinformation Chronicle August 31, 2021
2 Channel 4, Did Covid Leak from a Lab in China? August 22, 2021
4 National Review May 11, 2021
5 PLOS Pathogens November 30, 2017 DOI: 10.1371/journal.ppat.1006698
6 PHE.gov US Government Gain of Function Deliberative Process and Research Funding Pause October 17, 2014
7 US DHHS Framework for Guiding Funding Decisions about Proposed Research Involving Enhanced Potential Pandemic Pathogens 2017
8 National Review May 13, 2021
9 National Science Advisory Board for Biosecurity May 2016
11 Newsweek April 28, 2020
12 NIH Project Information 1R01AI110964-0
13 NIH Project Information 2R01AI110964-06
14 Politico April 30, 2021
15 Life Site News January 18, 2021
16 Washington Post March 6, 2021 (Archived)
17 Project Syndicate June 22, 2021
18 Dr. Fauci’s COVID-19 Treachery October 19, 2020 (PDF)
20 Wave3.com July 21, 2021
21 18 US Code § 1001 – Statements or entries generally
https://www.lewrockwell.com/2021/09/joseph-mercola/will-fauci-be-held-accountable-for-lying-to-congress/
Le prisonnier politique médical Mark Grenon révèle la vérité derrière le dioxyde de chlore et COVID-19 – Brighteon.TV
RépondreSupprimerJeudi 09 septembre 2021
par : Franz Walker
(Natural News) Mark Grenon se trouve actuellement dans une cellule de la prison de La Picota à Bogota, en Colombie. La Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a fait arrêter Grenon, le chef de l'église Genesis II basée en Floride, pour avoir fait la promotion du dioxyde de chlore comme traitement salvateur et abordable pour le coronavirus de Wuhan (COVID-19) et d'autres maladies.
Heureusement, Grenon a pu maintenir le contact avec le monde extérieur, lui permettant de parler de son sort.
Dans ce nouvel épisode du rapport Health Ranger sur Brighteon.TV, Mike Adams le Health Ranger est en mesure de parler à Grenon, via le téléphone de la prison, des raisons pour lesquelles il est devenu un prisonnier médico-politique ainsi que de la façon dont la FDA et d'autres autorités tentent pour faire taire la vérité sur COVID-19 et les traitements pour le combattre.
Regardez l'épisode complet ci-dessous ou sur Brighteon.TV.
En discutant avec Grenon, Adams demande au prédicateur devenu prisonnier médico-politique d'expliquer comment et pourquoi il a été arrêté en premier lieu. Grenon explique comment, lorsque la pandémie de COVID-19 a commencé, il a commencé à recevoir de multiples témoignages sur l'efficacité du dioxyde de chlore comme traitement contre des maladies, dont le COVID-19.
Adams explique qu'il utilise également du dioxyde de chlore, le prenant pour des choses telles que "mal de gorge ou fatigue".
"Mais ce n'est que ma propre expérience personnelle", ajoute Adams. "Je ne le vends pas évidemment et je ne fais pas de réclamations."
Ce sont les affirmations sur le dioxyde de chlore que Grenon a faites qui lui ont causé des ennuis avec la FDA. (Connexe : dioxyde de chlore pour traiter le COVID ? OUI, dit le Dr Manuel Aparicio.)
"La FDA dirait que vous avez fait des affirmations non prouvées à ce sujet selon lesquelles il pourrait guérir le COVID ou pourrait guérir le cancer, etc., et que vous n'avez pas les données solides pour le confirmer", souligne Adams. "Vous pouvez avoir, vous savez, des preuves anecdotiques, des témoignages, disons, mais vous n'avez pas les preuves solides pour les étayer."
À cela, Grenon souligne qu'il existe des milliers de brevets pour le dioxyde de chlore, dont certains sont à usage médical, ainsi que dans la transformation des aliments.
"Eh bien, tout d'abord, [il y a] plus de 30 000 brevets pour le dioxyde de chlore, et certains d'entre eux sont à usage médical, certains d'entre eux, le cancer, le paludisme, ils sont utilisés dans la transformation des aliments", explique Grenon. « Il a été prouvé dans des études cliniques que physiologiquement, il ne cause aucun dommage. Il n'est pas toxique pour le corps humain, en particulier aux PPM (parties par million) que nous utilisons.
RépondreSupprimerGrenon poursuit en soulignant que le dioxyde de chlore n'est pas le seul traitement potentiel pour COVID-19 que la FDA et l'établissement médical ont tenté d'écraser. Il évoque l'ivermectine, l'antiparasitaire qui s'est révélé prometteur pour le traitement de la maladie.
"L'establishment médical essaie également d'écraser l'ivermectine, qui est un médicament d'ordonnance approuvé par la FDA pour les humains, et ils essaient d'écraser cela parce qu'il n'est pas breveté."
Plaidoyer pour le dioxyde de chlore
Pour en revenir au dioxyde de chlore, Grenon explique que de nombreux médecins en dehors des États-Unis l'ont en fait utilisé pour traiter le COVID-19.
"Il y a 5 000 médecins dans 25 pays qui se sont manifestés qui l'utilisent exclusivement pour COVID", souligne-t-il. « La Bolivie a rendu légal le COVID. D'accord, donc tout ce que nous avons dit est prouvé dans des études cliniques. Ils n'ont rien. » (Connexe : Prévention des infections : les policiers au Pérou utilisent du dioxyde de chlore pour désinfecter et protéger contre le coronavirus.)
"Ils n'ont aucune preuve contre nous que cela cause des dommages au corps humain, que cela ne fonctionne pas."
Grenon mentionne également que des études cliniques récentes ont prouvé que le dioxyde de chlore guérissait les maladies. Cela comprenait une étude que lui et son église ont menée en Ouganda, où il a été démontré qu'il agissait contre le paludisme, en éliminant toute trace du parasite qui cause la maladie du sang d'un patient dans les quatre heures.
L'étude a même été réalisée avec des personnes de la Croix-Rouge locale. Cependant, la Croix-Rouge internationale a nié leurs affirmations, malgré le fait que Grenon ait des preuves vidéo de leur travail.
Malgré ce revers, Grenon a continué à se battre pour le dioxyde de chlore. Ce combat continu a finalement conduit la FDA à le poursuivre. En avril, Grenon et trois de ses fils ont été inculpés par un grand jury à Miami, ce qui a conduit à son incarcération à Bogota, où il attend son extradition aux côtés de ses fils Joseph. Les deux autres fils, Jordan et Jonathan sont en prison à Miami.
Si l'établissement médical a sa place, le grenon et ses fils font face à de longues peines de prison, toutes pour tenter de promouvoir un traitement alternatif possible pour une maladie meurtrière.
Pour plus sur Mark Grenon et la vérité sur Covid-19, observez le rapport sur la santé Rangers en direct, le lundi au vendredi à 15h00. à 15h30 p.m. sur brighteon.tv.
Sources include:
Brighteon.com
APNews.com
https://www.naturalnews.com/2021-09-09-medical-political-prisoner-mark-grenon-brighteon.html
PANIQUE EN AUSTRALIE. LES RAYONS SONT VIDES, PÉNURIE DE TOUT !!
RépondreSupprimerpar CHARLES SANNAT
10/09/2021
La pénurie de semi-conducteurs a coûté, à l'Allemagne au premier trimestre 2021, 0,5% de son PIB.
Comme vous le savez sans doute je me méfie toujours la toute puissance de l’Etat, ici comme ailleurs, car c’est toujours le même résultat à l’arrivée.
Les États ne savent pas nous enrichir, mais avec une constance étonnante partout à travers le monde, ils s’évertuent avec une efficacité remarquable à appauvrir leurs populations.
C’est une constante historique.
Pour que quelque chose ne fonctionne pas, souvent le confier à l’Etat est une bonne chose.
Pourtant je suis un grand pragmatique et je sais très bien que nombreuses choses ne peuvent et ne doivent d’ailleurs relever que du public.
La privatisation n’est jamais l’alpha et l’oméga, bien évidemment tout est beaucoup plus nuancé que cela, mais ces derniers temps, avec la « gestion » du coronavirus, qui est un SARS-CoV-2 (un petit rappel salutaire à faire de temps à autres pour ne pas oublier ce que l’on veut nous faire oublier lorsque l’on nous change les mots) les Etats nous donnent quelques exemples truculents d’incompétences et de résultats délétères.
Souvenez-vous en France au tout début de l’épidémie, quand les masques (que nous n’avions pas) ne servaient à rien (puisque l’Etat n’en avait pas) sont devenus obligatoires (quand on en a eu)… Beaucoup savaient s’en procurer, pour la simple et bonne raison que tout le monde ou presque arrivait à en faire venir de l’étranger. Les pays du Maghreb par exemple n’ont pas interdit la vente de masques, donc il y en avait là-bas comme dans les pays de l’Est. Mais pour l’Etat français il fallait interdire l’importation de masques. Du coup en voulant contrôler l’approvisionnement en masques, notre Etat bienveillant, mais stupide, a créé de toutes pièces une pénurie sans même s’en rendre compte. Nullité crasse à tous les étages. C’était un problème de marché et d’offre et de demande. Tout le monde voulait des masques mais la sécu voulait les payer à bas prix comme d’habitude. La France n’était pas livrée et les Américains payaient le double ou le triple en dollars pour les avoir avant les autres.
Cette fois-ci c’est en Australie que la bêtise étatique se déchaîne au point de provoquer une pénurie de tout digne de l’ancienne URSS, l’Union Soviétique que les plus jeunes n’ont jamais connu… Cela ne nous rajeunit décidément pas… Il n’y avait rien à manger en URSS, et l’Australie en est exactement au même point.
Voilà à quoi ressemblent certains supermarchés chez nos amis Australiens…
- voir photos sur site -
Je vous traduis ici un article de la presse australienne qui se demande quand même pourquoi il n’y a plus rien à manger et pourquoi les gamelles se vident… C’est une bonne question à se poser alors que le monde entier n’est pas (encore) complètement effondré et que même le docteur Kouchner, grand livreur de riz en sacs aux plus démunis pourrait dépanner l’Australie en cas de besoin ! (Source News.com.au ici)
RépondreSupprimerPourquoi les étagères Woolworths, Coles et Aldi à travers Sydney semblent vides ?
« Les acheteurs frustrés se sont tournés vers les médias sociaux pour se plaindre de toutes les étagères vides de leur supermarché local – mais les achats de panique ne sont pas à blâmer. (NDLR comprendre qu’ici le sur-stockage, ici n’est qpas la cause des pénuries)
Les étagères vides des supermarchés accueillent les clients dans les magasins de NSW dans ce qui est un effet continu du verrouillage en cours du coronavirus de l’État.
Au cours du week-end, alors que l’État entrait dans sa 11e semaine de fermeture, les acheteurs frustrés des magasins Woolworths, Coles et Aldi du Grand Sydney se sont tournés vers les médias sociaux pour partager des photos d’allées commerçantes sérieusement épuisées. (NDLR rayons vides)
Les photos montrent les sections des fruits et légumes frais, de la viande, des produits laitiers et de la boulangerie qui semblent toutes un peu nues.
Cependant, les allées tristes ne sont pas le résultat d’achats de panique.
Au lieu de cela, avec Covid-19 répandu dans la communauté, un nombre croissant d’employés de supermarchés ont été contraints à l’isolement, perturbant gravement les chaînes d’approvisionnement.
Woolworths compte actuellement plus de 3 300 membres du personnel en auto-isolement tandis que Coles a un peu moins de 1 800 personnes en quarantaine.
Aldi a également admis que les ordonnances d’auto-isolement du personnel causaient des perturbations dans la chaîne d’approvisionnement.
Les membres du personnel qui n’ont pas été mis en quarantaine sont épuisés, ce qui cause des problèmes dans la chaîne d’approvisionnement et la capacité de stocker des étagères. (NDLR remplir les rayons est impossible, il n’y a plus assez de personnel).
Cependant, les détaillants ont assuré aux clients que la nourriture restait abondante – le problème est simplement de la faire entrer dans le magasin. (NDLR, il y a à manger, mais vous ne le voyez pas ! C’était exactement ce que disait la Pravda en URSS !!!!)
La semaine dernière, Brad Banducci, PDG de Woolworths, a déclaré dans un e-mail aux clients que les instructions de santé publique affectaient la capacité de son entreprise à stocker des étagères.
RépondreSupprimer« Contrairement à il y a 18 mois, cela a moins à voir avec les augmentations de la demande des clients (alias » les guerres du papier toilette « ) et plus en raison de la pression supplémentaire sur nos centres de distribution, avec plus de 500 de ces membres de l’équipe devant s’auto-isoler comme contacts étroits ou occasionnels », a-t-il expliqué.
Il a déclaré que le personnel de Woolworths « ressent très directement les impacts de Delta ».
Dans une déclaration à news.com.au lundi, un porte-parole de Woolworths a ajouté: « En raison de la pression exercée sur notre chaîne d’approvisionnement en Nouvelle-Galles du Sud, nous avons subi des perturbations dans nos livraisons programmées en magasin dans le Grand Sydney. »
Ils s’attendent à ce que les niveaux de stock « s’améliorent dans les prochains jours » alors que les membres du personnel commencent sortir de l’isolement.
Woolworths donne également la priorité à près d’un million de clients en ligne enregistrés pour une assistance prioritaire, qui sont soit en isolement obligatoire, soit considérés comme vulnérables.
Coles a également envoyé un e-mail similaire aux clients la semaine dernière pour expliquer et a déclaré que c’était toujours un problème lundi.
« En jouant notre rôle pour aider à protéger la communauté, un certain nombre de membres de notre équipe sont actuellement isolés pour réduire la propagation de COVID-19 », a déclaré un porte-parole à news.com.au.
« En conséquence, nous constatons une disponibilité réduite des produits dans les magasins et en ligne. Nous voulons assurer à nos clients que nous avons suffisamment de stock disponible dans notre réseau, et nous travaillons dur pour acheminer ces produits dans les magasins aussi rapidement et en toute sécurité que possible.
« Nous nous excusons pour tout inconvénient que cela pourrait causer et demandons à nos clients de faire preuve de patience alors que nous travaillons sans relâche pour réapprovisionner nos étagères. Nous apprécions nos clients pour leur compréhension et pour avoir traité les membres de notre équipe avec respect alors que nous traversons ensemble cette période difficile. » (NDLR, on s’excuse mais t’as quand même rien à bouffer !!!)
Un porte-parole d’Aldi a également confirmé que leurs travailleurs rencontraient les mêmes difficultés.
« Certains employés du réseau Aldi, à la fois en magasin et dans les centres de distribution, ont été obligés de s’isoler en raison d’un contact étroit ou occasionnel avec des cas positifs de Covid-19 », a déclaré le porte-parole à news.com.au.
RépondreSupprimerCette exigence d’isolement exerce une pression supplémentaire sur notre chaîne d’approvisionnement interne et rend parfois difficile le fonctionnement à pleine capacité. Nous continuerons de faire de notre mieux pour minimiser les perturbations pour nos clients. »
Cela survient alors que la poste australienne connaît également des pénuries et des retards, au milieu d’une demande record et d’un personnel limité ».
Cela fait deux ans que dure ce merdier !
A un moment il va falloir se poser quand même quelques questions sur la manière dont les gouvernements gèrent cette crise, car ils transforment une crise pénible en merdier total.
En Australie ce sont bien les décisions gouvernementales, les confinements à répétition, la stratégie 0 covid qui conduit à tout cela.
Quant à la vaccination, ne m’en parlez pas.
Le virus continue à circuler chez les vaccinés et à provoquer des formes graves et le remplissage des hôpitaux comme le montre cruellement l’exemple d’Israël.
Alors que fait-on ?
On continue à faire encore plus de ce qui ne marche pas ?
Encore plus de confinements et de restriction ?
Encore plus de vaccination ? 1, 2, 3 puis 10 doses ? C’est pas grave, cela n’a pas marché les 10 premières fois, la onzième sera la bonne.
C’était exactement ce que disaient les membres du Politburo soviétique.
Ce n’est pas le communisme qui a échoué, c’est parce que nous ne sommes pas allés assez loin dans le communisme que cela ne marche pas. Les gouvernements nous font tourner en rond jusqu’à devenir tous fous.
Tout cela va mal finir, et c’est le moment pour reconstituer vos stocks de papiers-cul à moins que vous n’aimiez faire la queue avec la foule.
La crise n’est pas terminée, loin de là, elle est même amplifiée par la gestion calamiteuse des Etats.
- voir clips sur site -
Cela va durer. Encore et encore.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
http://www.economiematin.fr/news-penurie-produit-magasins-australie-covid-sannat
Primo, contrairement aux cas de grippes, le 'covide19' n'est PAS aérien mais UNIQUEMENT sur réservation et livrable en seringues ! (Si t'es piqué tu l'as ! HAHAHAHA !).
Supprimer- Mais c'est après piqûre qu'il devient transmissible. D'où le danger mortel de s'approcher d'un inoculé.
Puis, secundo, le non-scientifique, parle des masques. Mais, même 18 mois après il ne sait toujours pas que les masques NE SERVENT A RIEN ! Nous respirons toutes et tous avec ou sans masque 200 000 virus ou microbes chaque minute (et 2 millions en activité physique*).
Un virus (poussière inoffensive émise par le magma) ne mesure que 0,1 à 0,5 micron. D'où l'IMPOSSIBILITÉ de fabriquer un masque plus fin que çà !
Puis: Emprisonnement à domicile ! HAHAHA ! LA boite de Pétri ! Étudier comment une personne infectée peut transmettre le microbe à toute sa famille !
enfin tertio, l'oxyde de graphène. Il est présent dans les masques, les écouvillons (pour 'tests' RT-PCR), les protections féminines, et, bien sûr TOUS les faux vaccins proposés (présent jusqu'à 99,90 % !). Il est là POUR TUER. TUER ! Dès qu'arrive le '5G' les morts se compteront par millions tous les jours !
* et il y a même des cons qui courent avec un masque ! HAHAHAHA !
Clint Eastwood revient dans "Cry Macho", poursuivant une carrière légendaire qui a commencé avec un film qui n'aurait pas dû fonctionner du tout
RépondreSupprimerPAR BRYAN PRESTON
08 SEP 2021 17:16 HE
Clint Eastwood joue et réalise Cry Macho (Warner). Toujours de la remorque.
Un vagabond solitaire avec des compétences de combat durement acquises dérive dans une ville. Là, il trouve deux factions en lice pour le pouvoir et conçoit un moyen de jouer l'une contre l'autre tout en gardant sa propre peau intacte grâce à son esprit et ses prouesses d'un autre monde avec des armes, mais peu de mots. Beaucoup de regards et de strabismes, plus que quelques balles qui volent, mais très peu de mots.
Si cette intrigue simple vous semble familière, c'est parce qu'elle alimente trois piliers titanesques de la culture pop couvrant les 60 dernières années, jusqu'à nos jours, et a lancé l'une des carrières les plus emblématiques du cinéma. Il est apparu pour la première fois dans Yojimbo d'Akira Kurosawa (1961). Sergio Leone l'a fondu de Kurosawa et a transformé le samouraï solitaire en L'homme sans nom, qui n'est ni un cow-boy vintage ni un homme de loi occidental classique, joué par une jeune star de la télévision nommée Clint Eastwood.
Une poignée de dollars (1964) n'aurait pas dû fonctionner, pas avec ce budget (environ 200 000 $), pas avec un acteur de télévision dont Hollywood ne voulait pas (Eastwood), et pas en déplaçant l'épopée occidentale popularisée par Roy Rogers et John Wayne des États-Unis. Le film a été déplacé en Italie et en Espagne pour la production, où les équipes locales se sont disputées pour savoir qui payait pour quoi et les acteurs locaux ont joué des citadins et des méchants sans parler un mot d'anglais. Les deux acteurs que le public américain aurait les plus reconnus, le jeune Eastwood et l'acteur vétéran Lee Van Cleef, ont peut-être prononcé le moins de répliques de tous les grands duos de cinéma. Pour couronner le tout, Ennio Morricone a proposé un thème de rechange, scintillant et nasillard qui ressemblait très peu à la musique qui avait alimenté le genre occidental à ce jour. Cela sonnait plus japonais médiéval avec des notes espagnoles et italiennes que n'importe lequel des grands thèmes épiques que John Ford ou John Wayne utilisaient.
Le troisième moteur majeur de la culture pop alimenté par l'histoire du vagabond solitaire est The Mandalorian, qui prend sciemment plus que cette histoire de Kurosawa, Leone et Eastwood. Il emprunte des notes sonores à Morricone et le héros à la voix libre de Fistful et de ses suites, Pour quelques dollars de plus (1965), et le chef-d'œuvre du trio, Le Bon, la Brute et le Truand (1966). Le surnom de Mando ressemble même un peu à Manco, le nom déclaré de l'homme sans nom dans Pour quelques dollars de plus. L'homme sans nom avait en fait trois noms : Joe (Fistful), Manco (More) et Blondie (Ugly). Ce dernier nom n'a aucun sens, étant donné qu'Eastwood a les cheveux bruns.
En relation: Le Mandalorian est en passe d'être le meilleur Star Wars depuis des lustres
RépondreSupprimerComme indiqué, rien de tout cela ne devrait fonctionner. Il n'y a pas de formule magique de film qui le dise. Eastwood n'était pas un talent bancable avéré. Le budget des films était si petit qu'il a apporté sa propre garde-robe de l'émission télévisée dans laquelle il jouait, Rawhide. C'est de là que viennent ses bottes. Il a acheté le jean et le chapeau. La couverture qu'il portait, il semble l'avoir ramassée en Espagne. Eastwood avait un chapeau sur le tournage de Fistful, qu'il a acheté et apporté lui-même. « Si je perdais ce chapeau », a-t-il déclaré à un intervieweur des années plus tard, « j'étais perdu. »
Le réalisateur n'avait pas d'antécédents et avait été licencié après seulement un jour sur un film précédent en 1962. La bande originale de Morricone est obsédante mais était aussi un risque majeur à l'époque. Qui utilise un siffleur comme motif clé pour la bande originale d'un western sombre et violent ? Et ils ont tourné les films en Europe bien que le western soit le genre de film américain le plus emblématique de l'époque, car les équipes et les acteurs européens étaient moins chers que leurs homologues américains. Les intrigues sans héros de la trilogie Eastwood/Leone ont bouleversé l'épopée occidentale. Eastwood ne parlait pas italien et Leone ne parlait pas anglais. Le public avait de nombreuses raisons de rejeter les films. Ils avaient également de grands westerns à succès encore frais dans leur esprit : John Wayne avait dépensé des millions pour tourner son épopée Alamo au Texas quelques années plus tôt. Leone a passé beaucoup moins de temps à filmer ses trois films, y compris la scène de bataille épique de la guerre civile dans Le bon, la brute et le truand.
Mais parfois, l'alchimie produit de l'or. Fistful était un succès et un classique instantané. La performance discrète, sombre et louche d'Eastwood l'a transformé en une star internationale. Il pouvait en dire plus d'un regard, d'un mouvement de la main sur son arme de poing et d'une morsure sur son cigare que la plupart des acteurs ne pourraient dire avec une page de dialogue. Il semble toujours sur le qui-vive, réfléchissant, déterminant l'ordre dans lequel il tirera sur les adversaires qu'il affronte. Ce n'est pas un héros. Au contraire, c'est un intrigant solitaire qui essaie de survivre, qui fait ce qu'il faut quand il le faut. Leone a gardé le dialogue si épargné non pas parce qu'il connaissait le talent qu'il avait à Eastwood ou comment il construirait nécessairement une scène au montage, mais pour réduire les coûts. Quand il parle, Eastwood a le moyen de transformer le dialogue parfois idiot en menaces mortelles.
Eastwood était probablement le seul acteur qui aurait pu le faire fonctionner, et il a été aidé par l'utilisation par Leone de coupes, d'angles et de champs de vision pour décrire les tensions croissantes ou faire bouger l'histoire sans que personne ne prononce un seul mot. Et puis il y avait le score obsédant, presque extraterrestre de Morricone.
La trilogie Spaghetti Western a fait d'Eastwood une icône en devenir et a changé le cinéma. Les intrigues lâches des films, les situations serrées, les fusillades violentes, le manque de figures héroïques archétypales et les décors battus par les intempéries, les seconds acteurs et les figurants ont donné au monde construit par Leone un aspect réel et vécu. Rien dans la trilogie Man With No Name n'a l'air faux (bien que le dialogue doublé demande de s'y habituer). Chaque planche et piste, chaque saloon et bordel, chaque arme et chaque visage semblent avoir une histoire profonde. D'autres cinéastes s'inspireraient du mélange évoqué par Leone.
RépondreSupprimerEastwood a déclaré plus tard que c'était l'aspect Kurosawa qui l'avait d'abord attiré vers la production de Leone, cela et un voyage gratuit; il était déjà fan de Yojimbo. "Cette chose fonctionnera très bien ou ne fera rien", a déclaré Eastwood à propos de ses attentes à l'époque. "Probablement le dernier." Il pensait que cela pourrait "exploser", mais il en obtiendrait un voyage en Italie et en Espagne, alors il a signé pour jouer, fournir sa propre garde-robe et garder une trace de ses propres accessoires. "Vous pouvez tous aller en enfer", aurait aussi bien pu dire Eastwood à Hollywood, "Je vais tourner un western étrange à petit budget avec un réalisateur italien en Espagne."
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Le travail imposant de Kurosawa sur The Hidden Fortress (1958) influencera deux films hollywoodiens devenus des monstres à part entière : The Guns of Navarone (1961) puis Star Wars Episode IV : A New Hope (1977), deux images de guerre différentes qui concentrez-vous sur le besoin d'un côté de retirer la plus grosse arme de l'autre. Star Wars: Rogue One est revenu à cette intrigue de base des décennies plus tard et cela fonctionne toujours. Harrison Ford a joué dans la suite de Navarone en 1978 un an après avoir joué dans Star Wars IV en tant que cow-boy de l'espace et contrebandier Han Solo, créant son propre personnage emblématique.
L'une des nombreuses raisons pour lesquelles Star Wars IV fonctionne à partir de la première image est que George Lucas a construit une galaxie qui semblait habitée, avec des navires usés, des villes poussiéreuses sur des planètes reculées et des acteurs de second violon qui ont l'air d'avoir vécu la vie le film dit qu'ils l'ont fait même si la plupart d'entre eux apparaissent brièvement et ne sont pas humains. Lucas doit beaucoup à Leone et Eastwood. Ford pourrait admettre qu'il doit certains de ses autres personnages emblématiques, Indiana Jones, à Man With No Name d'Eastwood.
Eastwood a porté les facettes qui ont fait de lui une icône à travers les films Dirty Harry des années 1970 et son retour aux westerns avec Pale Rider (1985) et Unforgiven (1992) à une époque où le western était dépassé. Les deux étaient des hits de toute façon. Ce dernier a surtout l'impression que l'Homme sans nom est revenu pour le jugement final de son âme immortelle. Un an plus tard, il incarne un héros incontesté dans In the Line of Fire. Le catalogue de films d'Eastwood traverse maintenant sept décennies et comprend des westerns, des comédies, des flics, des géants du jazz, des trafiquants de drogue, des romances, des thrillers politiques et à peu près tout ce que l'on peut imaginer.
Il est de retour à 91 ans, ayant tout vu et tout fait, de la réalisation de films primés aux Oscars à la conversation avec une chaise vide devant le monde entier (j'étais dans la salle pour cette performance, d'ailleurs, et cela a très bien fonctionné en personne ). Son dernier film est Cry Macho, dans lequel il joue et réalise. Il ne représente pas l'Homme sans nom, mais son personnage de 2021 pourrait être le petit-fils moderne de Manco.
RépondreSupprimer"J'étais beaucoup de choses", dit le personnage de Macho d'Eastwood, "mais je ne le suis plus maintenant."
Clint Eastwood a été tout ce qu'il y a à être dans le cinéma, et tout a commencé lorsqu'il a pris le risque de travailler pour un réalisateur italien avec un petit budget en Espagne en réalisant un petit western dans lequel il parlait très peu tout en parlant avec son strabisme. et son arme de poing.
Une chose que Clint Eastwood est et sera toujours est un maître du cinéma et un talent gigantesque – une légende américaine. C'est bien de le revoir sur grand écran.
https://pjmedia.com/culture/bryan-preston/2021/09/08/clint-eastwood-returns-in-cry-macho-continuing-a-legendary-career-starting-with-a-film-that-shouldnt-have-worked-at-all-n1477009