- ENTREE de SECOURS -



mardi 28 septembre 2021

EN OCTOBRE 2021, LE GAZ VA COÛTER 31,9% PLUS CHER QU'EN JANVIER 2019

 par PAOLO GAROSCIO

  28/09/2021 


Les tarifs réglementés du gaz vont augmenter de 13,9% en octobre 2021.

Les prix du pétrole s’emballent en Bourse : le 27 septembre 2021, le Brent a dépassé les 80 dollars, le WTI les 75 dollars… du jamais vu depuis 2018 voire 2014 pour le WTI. Et le prix du gaz suit cette tendance : la Commission de Régulation de l’Énergie, le 27 septembre 2021, a annoncé une énième hausse faisant atteindre au gaz des prix record. Les ménages vont devoir se serrer la ceinture cet hiver 2021-2022…

Le gaz augmente de 13,9% en France

C’est l’énième hausse : depuis l’été 2021, le prix du gaz (les tarifs réglementés d’Engie) sont en augmentation constante. Octobre 2021 ne dérogera pas à la règle avec la confirmation, par la Commission de Régulation de l’Énergie (CRE) d’une nouvelle hausse de 13,9% du prix du gaz en moyenne pour les ménages français. La tendance haussière se poursuit donc et ce alors que les mois hivernaux approchent à grands pas et que, dans certaines régions, les foyers ont rallumé leur chaudière.

Or, ce sont bien les ménages qui se chauffent avec le gaz qui voient les prix augmenter le plus : 14,3% en octobre 2021 pour ceux n’utilisant le gaz que pour le chauffage et l’eau chaude, 9,1% pour les ménages à qui le gaz sert également à la cuisson. Les foyers qui n’utilisent le gaz que pour la cuisson s’en sortent plutôt bien, avec une hausse du prix de l’énergie de 4,5% en octobre 2021.

Le gaz est 33% plus cher que début 2015… et ce n’est pas la seule hausse


Selon les données de la CRE communiquées le 27 septembre 2021, désormais les tarifs réglementés sont 33% plus élevés que leur niveau de référence, janvier 2015. Mais cette augmentation est d’autant plus marquante que les tarifs d’Engie sont 31,9% supérieurs à ceux d’avant-crise de la Covid-19, soit janvier 2019.

Les ménages vont également devoir composer avec une potentielle forte hausse des tarifs de l’électricité attendue en février 2022, estimée à 10% selon l’UFC-Que Choisir, mais aussi avec la hausse du prix du pétrole en Bourse qui fait flamber les prix du carburant à la pompe. Le gazole frôlerait ainsi 1,50 euro le litre fin septembre 2021 tandis que l’essence a dépassé les 2 euros le litre dans certaines stations de France.

http://www.economiematin.fr/news-hausse-prix-gaz-octobre-2021-facture-menages-energie 

80 commentaires:

  1. Le pétrole va manquer ? Il n'y en a jamais eu autant ! Et le gaz sort avec ! et est brûlé aux torchères car les frais de mise-en-bouteille ne rapportent pas assez !
    Mais alors, si le pétrole abiotique se recycle indéfiniment pourquoi cette hausse des tarifs ?
    Ce sont les criminels au pouvoir qui font tout pour paupériser le peuple encerclé, envahi par les machines qui travaillent gratis !
    Regarder aux States sous ObamasquéÔhéÔhé l'explosion du gaz de shiste qui coûte plus cher à extraire que le gaz butane et propane sorti gratos des derricks. Why ? Because qu'il y a subventions !! comme pour la merde des éoliennes (il n'y en a plus une qui tourne !) et des panneaux solaires. La dictature au pouvoir, le retour de la nazional socialiste (avec le drapeau vert de l'islam en bout de perche).

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  2. Les Verts, la Russie et l'industrie des énergies renouvelables obligent le gouvernement britannique à « passer au nucléaire »


    September 27th, 2021


    L'ironie - la propagande sur les énergies renouvelables était tellement exagérée que l'UE et le Royaume-Uni se sont retrouvés coincés sans suffisamment d'électricité stable alimentée par des combustibles fossiles. Les investisseurs européens craignaient tellement que le gaz et le charbon ne soient des actifs bloqués qu'ils ont cessé de construire des générateurs d'électricité fiables. La Russie a soutenu le mouvement « anti-fracturation » en Occident afin de saboter la concurrence, et veut maintenant conclure un accord chaud sur son Big New Pipeline, elle a donc réduit l'approvisionnement en gaz, de sorte que les prix du gaz se dirigent vers des sommets records et les entreprises s'effondrent, des pénuries alimentaires sont prévues. À court terme, le charbon est rétabli – Drax envisage de maintenir les centrales au charbon en marche. Mais le seul moyen à long terme de sortir des sables mouvants de l'énergie verte sans briser le sort sacré « anti-dioxyde de carbone » est l'énergie nucléaire.

    Ainsi, la prise de pouvoir avide et les profiteurs de l'industrie des énergies renouvelables, des mondialistes, des Chinois, des Russes et des Verts peuvent évincer le charbon bon marché à long terme, mais accélérer l'aube d'une nouvelle ère de l'énergie nucléaire.

    Soudain, le gouvernement aime le nucléaire
    Voici les petits réacteurs modulaires :

    L'aube de la « nouvelle ère nucléaire » britannique : la crise du gaz incite les ministres à « changer d'orientation » avec Kwasi Kwarteng sur le point d'approuver 16 mini-réacteurs
    Courrier quotidien

    Rolls Royce, Énergie nucléaire, Royaume-Uni.
    ….

    Selon le Sunday Times, un consortium dirigé par la société d'ingénierie a obtenu les 210 millions de livres sterling nécessaires pour obtenir un financement de contrepartie du contribuable.

    Une nouvelle génération prévue de mini réacteurs nucléaires pourrait protéger la Grande-Bretagne des futures crises énergétiques.

    Le secrétaire aux affaires, Kwasi Kwarteng, est sur le point d'approuver le financement du géant britannique de l'ingénierie Rolls-Royce pour créer une flotte de mini-réacteurs.

    Les ministres auraient adopté un «changement d'orientation» vers l'énergie nucléaire au milieu de la crise actuelle causée par la flambée des prix de gros mondiaux du gaz.

    Cela survient alors que les investissements chinois dans la prochaine génération de centrales nucléaires britanniques devraient être interdits pour des raisons de sécurité.

    Les mini réacteurs, connus sous le nom de petits réacteurs modulaires (SMR), génèrent environ 450 mégawatts d'électricité, soit environ un septième de ce qu'une centrale électrique conventionnelle telle que Hinkley Point produit.

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  3. ADDENDUM : Peut-être que la Russie n'a pas le gaz à revendre ?

    Au moins un commentateur pense qu'il y a plus que cela :

    Bloomberg

    [Ben] Luckock a déclaré qu'il était sceptique quant au fait que la Russie, le plus grand fournisseur de gaz d'Europe, resserre intentionnellement le marché à des fins politiques, suggérant que Moscou pompait déjà autant de gaz qu'elle le pouvait en ce moment. "Il est facile de dire que c'est politiquement motivé, mais je pense que c'est plus simple que cela : la Russie est confrontée à la maintenance de nombreux gisements de gaz, à des stocks nationaux très bas, à des flux considérablement accrus vers la Turquie et Gazprom a du mal à augmenter sa production", a-t-il déclaré.

    Luckock est à la tête du négoce pétrolier chez Trafigura Group.

    Prix ​​du gaz. Sept 2021

    - voir graphique sur site -

    h/t Jim Simpson

    https://joannenova.com.au/2021/09/greens-russia-renewables-industry-forces-uk-government-to-go-nuclear/

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  4. L’immense orgueil des êtres humains


    le 28 septembre 2021


    Depuis plusieurs jours j’avoue que je suis fasciné par la force extrême et indomptable de la nature devant les soubresauts du volcan de l’île de la Palma dans l’archipel des Canaries. Des habitants de cette île ont émis l’hypothèse de tout faire pour détourner le flux inexorable des coulées de lave pour sauvegarder quelques habitations. Quelle futilité ! La seule tentative couronnée de succès dans ce genre d’initiative eut lieu en Islande. Il fallut deux bateaux-pompes avec d’énormes lances à incendie d’un diamètre de 25 centimètres arrosant la coulée de lave dans le but de stopper sa progression vers les quelques maisons d’un petit port de pêche dans le sud de l’île. Il faut avouer que les Islandais sont des spécialistes uniques au monde dans la maîtrise du volcanisme mais parfois ils ont provoqué des catastrophes. En Islande la totalité de l’électricité est produite par géothermie. Le chauffage des habitations est assuré par des circuits d’eau chaude d’origine également volcanique. Pourtant il y eut une catastrophe lors de l’exploitation d’un site géothermique également dans le sud de l’Islande. Un forage d’à peine une centaine de mètres de profondeur dans le but d’injecter de l’eau et de récupérer de la vapeur provoqua une petite éruption volcanique. Tout le matériel fut abandonné sur place et les techniciens s’enfuirent le plus vite possible.

    La puissance et l’imprévisibilité du volcanisme interdisent toute tentative par l’homme d’une maîtrise de cette manifestation naturelle. Le Japon, pays à la plus forte concentration de volcans actifs dans le monde, 6 volcans en forte activité à ce jour, n’a jamais osé plus que d’exploiter l’eau chaude dont chacun peut profiter dans ces bains particuliers que l’on trouve en particulier dans les petites villes montagneuses, les onsen. L’eau y est un peu chargée d’odeurs lourdes et soufrées et parfois carrément brûlante. Il n’existe aucune installation géothermique d’une taille suffisante pour produire de l’électricité économiquement rentable mais avec les quelques milliers de tremblements de terre qui traversent le Japon chaque année il faut faire la part des choses. Pour en terminer avec le Japon, inonder les paysages sacrés du pays avec des moulins à vent géants serait un double défi à la nature : les tremblements de terre et les typhons interdisent de tels projets. Encore une fois la nature ne peut pas être maîtrisée par l’homme. Et les Japonais, pour qui la nature est sacrée en sont parfaitement conscients.

    Aujourd’hui, à quelques jours de la réunion mondiale des activistes anti-réchauffement climatique qui doit avoir lieu à Glasgow en Ecosse, tout ce petit monde de rêveurs croit être capable de maîtrise le climat, qui avec des panneaux solaires mais il n’y a pas de Soleil la nuit, qui avec des moulins à vent mais quand il n’y a pas (ou trop) de vent, rien, et encore une fois l’homme ne maîtrisera jamais le vent et ses caprices et il ne peut strictement rien faire contre la rotation de la Terre. Et tout ça pour diminuer les émissions de gaz carbonique alors que jamais la théorie de l’effet de serre n’a pu être scientifiquement et incontestablement prouvée. Le seul fait de prétendre que des traces de ce gaz situé à quelques 2000 mètres d’altitude serait capable de chauffer les couches d’air à une altitude inférieure est un véritable défi aux lois fondamentales de la thermodynamique. Et pourtant des millions de personnes qui, comme autrefois, croyaient au géocentrisme de l’univers se plongent à nouveau dans le même obscurantisme : on peut maîtriser la nature, il n’y a pas à discuter, c’est ainsi.

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  5. - voir photo sur site -

    Un autre phénomène naturel que l’homme ne pourra jamais maîtriser est l’ouragan d’origine tropicale, cyclone ou typhon selon les régions du globe terrestre. La fréquence et l’intensité de ces évènements météorologiques extrêmes n’est toujours pas clairement expliquée. Prenons l’exemple de l’actuel typhon Mindulle (illustration datée du 28 septembre). Son diamètre est supérieur à 1100 kilomètres, il a atteint pendant quelques heures la catégorie 5 dans l’échelle de Saffir-Simpson, c’est-à-dire des vents de plus de 250 km/h et il atteindra peut-être l’agglomération de Tokyo dans quelques jours en catégorie 3 (vents de plus de 180 km/h). Il est impossible d’arrêter un tel déchainement de la nature y compris avec l’outil le plus puissant que le génie humain ait pu créer, une bombe thermonucléaire de très forte puissance.

    J’avoue que je suis saisi par l’ampleur de l’outrecuidance, appelez cela orgueil, des être humains. Le pire dans cette histoire de projets de maîtrise des cycles et autres évènements naturels qui ne sont pas, par nature, maîtrisables, est que les « décideurs » tels que l’entend l’IPCC sont parfaitement conscients qu’ils se battent contre des moulins à vent comme Don Quichotte. Mais néanmoins ils insistent car il s’agit d’un prétexte pour asservir l’humanité et rançonner les pauvres gens. Un autre événement naturel (si on n’est pas trop naïf) est le coronavirus. Une épidémie est un phénomène naturel. De tous les pays occidentaux seule la Suède a décidé de « laisser faire » et elle a réussi, plus aucun mort ni de « cas » aujourd’hui et s’il y a des morts déclarés « positifs » après un test PCR contestable leur nombre est négligeable par rapport au nombre habituel de morts toutes causes confondues. Jamais le monde n’a pu échapper à diverses épidémies par le passé, il s’agit aussi d’un événement naturel et tout faire pour le maîtriser est voué à l’échec. Encore une fois les décideurs politiques occidentaux ont fait preuve d’un excès de pouvoir devant la nature … Les peurs millénaristes continueront à hanter les esprits. Finalement la nature humaine n’a pas changé en 50000 ans !

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/09/28/limmense-orgueil-des-etres-humains/

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  6. Youpi, dans quelques mois, votre voiture sera interdite !

    Grâce aux écolos, 80 % du parc automobile français va se retrouver frappé d’obsolescence programmée d’ici 2025.


    27 SEPTEMBRE 2021


    Au détour d’une récente émission de SudRadio (dont la vidéo est disponible sur Youtube) qui m’a été signalée par un lecteur que je remercie au passage, on apprend, atterré, que d’ici quelques mois à deux ans tout au plus, plus de la moitié des véhicules français ne pourront plus du tout circuler en France. Parions que ceci va mettre un peu d’animation dans ce calme pays !

    En effet, dans les prochains mois, plusieurs législations vont entrer en force pour aboutir, d’ici 2025, à la mise en place des ZFE, ces Zones à Faible Émission, dans lesquelles la circulation sera drastiquement contrôlée, restreinte voire carrément interdite.

    Cette information n’est pas nouvelle. Elle circule un peu, ici ou là, à la faveur d’un petit articulet dans l’une ou l’autre presse paresseuse, mais il faut se rendre à l’évidence : comparée à une bonne empoignade Zemmour-Mélenchon, elle n’intéresse personne et n’a donc que la place d’un petit entrefilet. Il faut aussi ajouter que les lois correspondantes ont été votées pendant la période de crise sanitaire, en catimini et sans l’indispensable relai médiatique qui aurait dû accompagner ce genre de mesure dont l’impact sur tous les Français promet d’être cataclysmique. Que voulez-vous, les journalistes avaient une autre propagan information à faire passer.

    C’est une erreur puisqu’en pratique, la plupart des Français (48 % dans un premier temps, puis 80 % très vite ensuite) vont être directement concernés.

    D’une part, géographiquement, toutes les villes de plus de 150 000 habitants seront rapidement impliquées dans cette nouvelle régression de nos libertés. Et mine de rien, cela en fait, du territoire couvert par ces interdictons ! Se déplacer dans le pays, traditionnellement d’une agglomération à une autre, va devenir proprement impossible.

    D’autre part, concrètement, ces ZFE consistent à interdire certains types de véhicules en fonction de leur âge et de leur motorisation. Et lorsqu’on analyse l’ampleur des mesures qui seront inéluctablement appliquées (c’est voté mes enfants, c’est dans la boîte, plus de recul possible, youpi !), on se dit qu’il pourrait y avoir quelques tensions de surface dans la société française.

    Jugez plutôt : déjà appliquées dans certaines métropoles comme Lyon, Grenoble ou Paris (ici, on parle bien de métropole, donc pas seulement la ville mais toute la région environnante), ces règles interdiront très prochainement (fin 2022, donc dans quelques mois) la circulation des véhicules Crit’air 3, 4 et 5, soit 48 % du parc automobile français actuellement. Fin 2024, ce sont les véhicules Crit’air 2 qui seront à leur tour concernés, soit 80 % du parc actuel.

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  7. Bordeaux, Reims, Lyon, et finalement toutes les agglomérations françaises seront emberlificotées dans cette nouvelle hystérie écologiste.

    Vous avez aimé la ségrégation sociale à base de pass sanitaire ? Alors vous allez adorer la ségrégation sociale à base de Crit’air !

    En tout cas, ségrégation ou non, c’est une magnifique avancée vers la production de lois et de contraintes idiotes : les écologistes qui prétendent ne pas aimer l’obsolescence programmée montrent ici toute leur hypocrisie en l’imposant à une énorme quantité de véhicules que la plupart des Français n’avaient pas envisagé de renouveler dans l’immédiat. Question écologie, on repassera. Tout ça pour ajouter un nouveau boulet à ceux déjà nombreux que le pays traîne déjà, et qui permettra rien moins que sa mise en arrêt complet assez brutale.

    Le but officiel affiché est bien évidemment de pousser à se dispenser de voiture et à (au pire) posséder une voiture électrique (alors que les tensions sur le réseau s’accumulent à mesure que les mêmes écolos hystériques ferment des centrales nucléaires) ou (au mieux) à basculer vers les transports en commun encore plus polluants comme le bus ou régulièrement en panne comme le train ou encore… de plus en plus lents.

    La France des années 1980 filait à la vitesse d’un TGV. Quarante ans plus tard, nous serons heureux de rouler, entre deux pannes, à la vitesse d’un petit TER.

    Ce but posé est idiot, car collectiviste. On décide d’une panoplie de solutions pour tous alors que les cas individuels sont innombrables et ne peuvent pas tous s’adapter à la solution imposée. Celle-ci viole le bon sens de façon flagrante en accroissant la demande électrique alors que les capacités de productions sont limitées. Les capacités des voitures électriques sont moindres que les thermiques, la pollution qu’elles engendrent à cause de leurs batteries est très supérieure à celle des thermiques. Les transports en commun couvrent mal ou très mal le dernier kilomètre qui est finalement le plus important pour la vie quotidienne.

    Et surtout, les effets indésirables de ces ZFE seront douloureux.

    Les pauvres seront une fois de plus stigmatisés, ainsi que les campagnards et logiquement les campagnards pauvres.

    Il sera artificiellement plus compliqué de se rendre dans les centres-villes, et le commerce y sera donc plus difficile, plus coûteux, ce qui renchérira la vie de tout le monde. Pire : les aides distribuées à tire-larigot pour les voitures électriques et ces frictions énormes d’adaptation des commerces et des centres-villes vont se traduire par une baisse de pouvoir d’achat des Français tout en poussant l’inflation. Bien joué.

    Enfin, les contraintes de production pour les constructeurs automobiles ne pourront pas toutes être respectées. L’industrie automobile en Europe est appelée à subir un choc sans précédent qui se traduira par des pertes de compétitivité, d’emplois et de savoir-faire. Un monde de chômeurs qui roulent parfois à vélo pour ne pas aller dans des centres-villes inabordables, voilà qui vend du rêve. Belle écologie politique !

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  8. Dans un pays où jamais le besoin de dynamisation n’a été aussi fort, c’est vraiment malin : on calcifie complètement les déplacements en France en les rendant complexes et prohibitifs.

    Et le pompon est que même si, concrètement, aucun écologiste rabique à la Sardine Ruisseau n’a jamais été élu au pouvoir, ni désigné chef de gouvernement, la tendance, que dis-je, l’élan général de ces vingt dernières années ne laisse aucun doute : tout a absolument été fait pour instaurer la décroissance et le repli sur lui-même du pays, l’abandon rapide de tout ce qui a fait la puissance industrielle et technologique de l’Occident en général et de la France en particulier. Ne relâchons pas les efforts : le succès, fait de pénuries énergétiques, de misère et de faim, est à portée de main !

    Ce pays est foutu.

    https://www.contrepoints.org/2021/09/27/406794-youpi-dans-quelques-mois-votre-voiture-sera-interdite

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    1. Nota qu'en cas d'attaque EMP seules les vieilles voitures serviront et pourront rouler ! (because qu'elles démarrent à la manivelle !).

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  9. Sandrine Rousseau veut augmenter les taxes sur les carburants

    Est-il nécessaire de revenir davantage sur la stupidité de cette proposition alors que la France fait déjà partie des champions du monde de la fiscalité sur les carburants ?


    Par Pierre Chasseray.
    28 SEPTEMBRE 2021


    Les Verts sont-ils vraiment sérieux ? Je me souviendrai longtemps de ce matin du 24 septembre et de la proposition de Sandrine Rousseau d’augmenter entre 30 et 50 centimes la TICPE (Taxe intérieure sur la consommation des produits énergétiques) sur les carburants, c’est-à-dire de 36 à 60 centimes le prix du litre de carburant après application de la TVA…

    Est-il nécessaire de revenir davantage sur la stupidité de cette proposition alors que la France fait déjà partie des champions du monde de la fiscalité sur les carburants ? Est-il nécessaire de rappeler à madame Rousseau que le pays s’est soulevé pour une taxe hypothétique de 3 centimes, pour s’embraser ensuite sur des sujets bien plus larges ?

    En revanche, cette proposition met réellement en lumière la question de la légitimité des Verts et des verdâtres à assumer la responsabilité de fonctions politiques…

    Enfermés dans leurs certitudes de fin du monde, obsédés par la collapsologie et la fin de l’Humanité recouverte par les eaux en 2050, ils finissent par perdre toute raison. Confinés dans des micro-centres urbains, ils en viennent à assimiler toute la France à leur environnement gris béton.

    Sans aucune notion de la réalité du pays, de ses spécificités rurales, ses traditions, ils écrivent un avenir à coups de taxes, convaincus d’une popularité qu’ils n’ont pas.

    Malheureusement, leur discours marginal et destructeur trouve une caisse de résonance médiatique démesurée comparativement à leur aura. Leurs déclarations fracassantes créent le débat et se trouvent en tête de gondole dans les médias les plus populaires, entretenant alors une impression factice de popularité.

    Leurs propositions hygiénistes dictées par le monde du Bien dont ils seraient les défenseurs se voient portées sur le devant de la scène. Ils vivent en Utopie et balayent tous les arguments réalistes par un discours malsain et malhonnête intellectuellement.

    Si vous leur expliquez que la voiture est nécessaire, ils vous répondent la main sur le cœur que la pollution tue… avant de remonter dans leur taxi. Si vous leur parlez du numérique, ils vous répondent que l’extraction des métaux rares tue… avant de partager sur Twitter et Facebook les extraits de leurs interventions dans les médias.

    Avec les Verts politiques, tout est sombre, aigris et gris… Leur mécanique d’existence médiatique se limite à proposer des imbécilités tellement évidentes qu’ils en viennent à créer un débat et ainsi, exister…

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  10. Leur programme politique ? La disparition des SUV !

    Leur vision de l’avenir de la France ? Augmenter les taxes sur les carburants !

    Leur vision de la crise sanitaire ? Interdire les 205 GTI diesel !

    Vous saisirez évidemment l’ironie à peine caricaturale de ma plume, mais comme on dit à l’école : « ce n’est pas moi qui ai commencé ! » Une manière simple de répondre à leurs propositions du niveau bac à sable.

    https://www.contrepoints.org/2021/09/28/406863-sandrine-rousseau-veut-augmenter-les-taxes-sur-les-carburants

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  11. Wokisme américain : les Européens réagissent

    OPINION : les Européens sont en train de réaliser que le wokisme est une maladie destructrice qui sape la force des grandes nations.


    28 SEPTEMBRE 2021
    Par Douglas Blair.


    Une maladie provenant de l’Amérique cherche à contaminer toute la civilisation occidentale.

    Selon les mots du président Emmanuel Macron, « certaines théories en sciences sociales, totalement importées des États-Unis d’Amérique » sont responsables d’une vague de sentiments critiques envers la République.

    Il est néanmoins incontestable que certaines de ces théories des sciences sociales, dont Macron a fait référence, ont été incubées par des universitaires français comme Jacques Derrida et Michel Foucault. Des penseurs américains ont ensuite repris ces idées toxiques et les ont développées sous la forme de nouvelles souches malignes, prêtes à être réintroduites en Europe.

    LE WOKISME SE PROPAGE EN FRANCE ET AU ROYAUME-UNI

    Un exemple récent de ces sciences sociales à l’œuvre s’est produit en France en avril. Selon BFM TV, l’Union nationale des étudiants de France (UNEF), un syndicat étudiant financé par l’État, a été critiquée après la découverte que le groupe interdisait explicitement à ses membres blancs de participer à certaines de ses réunions.

    La Grande-Bretagne a également ses groupes de radicaux déterminés à déchirer le pays. En écho à la diffamation des personnalités américaines, le Winston Churchill Memorial Trust s’est rebaptisé The Churchill Fellowship et a publié une déclaration expliquant que ce changement était dû aux opinions de Churchill sur la race, comme rapporté par la BBC.

    Les efforts récents de décolonisation de l’Université d’Édimbourg détaillés par The Telegraph sont aussi perturbants.

    L’université a demandé à son personnel informatique « d’éviter d’utiliser des noms à prédominance occidentale comme Alice et Bob » car l’école « doit remettre en question et retravailler la pédagogie actuelle, qui était enracinée dans les idées impériales et coloniales sur la connaissance et l’apprentissage. »

    Tandis que les États-Unis luttent contre leur propre peste de gauche radicale qui infecte le corps politique, le fléau de l’anti-occidentalisme incarné dans des valeurs comme la théorie critique de la race et le postcolonialisme, se propage des côtes américaines vers nos alliés d’outre-Atlantique.

    Nile Gardiner, directeur du Margaret Thatcher Center du Heritage Foundation, un think tank américain, déclare :

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  12. C’est une idéologie empoisonnée basée sur la division […] C’est aussi fondamentalement raciste.

    Heureusement, les gouvernements français et britannique semblent avoir repoussé la vague virulente de l’antilibéralisme.

    RÉACTION DES ANGLAIS ET DES FRANÇAIS

    Au contraire de l’assentiment commun américain aux groupes d’étudiants enragés, la réponse française au racisme flagrant de l’UNEF a été de les critiquer pour son comportement antilibéral.

    Lors d’une interview à BFM, le ministre de l’Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, a déclaré :

    Ceux qui se prétendent progressistes et qui distinguent les gens en fonction de la couleur de leur peau nous mènent vers des choses qui ressemblent au fascisme.

    Mais c’est au Royaume-Uni que le gouvernement brille par ses actions coordonnées pour protéger le patrimoine du pays. Les officiels publics britanniques ont condamné sans équivoque l’iconoclasme et la diffamation de l’Occident qui caractérisent la gauche radicale.

    Après que des militants de Black Lives Matter ont démoli et jeté une statue du marchand et commerçant Edward Colston dans une rivière, l’ancien secrétaire britannique aux communautés, Robert Jenrick, a écrit un éditorial pour le Telegraph dans lequel il affirme que la destruction des statues controversées par « des foules vociférantes » était inacceptable :

    Il y a eu tentative d’imposer un récit unique, souvent négatif, qui ne rappelle pas notre histoire nationale, mais qui cherche à en effacer une partie […] Ce qui existe depuis des générations doit être considéré d’une manière réfléchie, et ne pas être supprimé sur un coup de tête ou à la demande d’une foule vociférante.

    L’éditorial a également permis de proposer une nouvelle législation qui exige un permis pour retirer les statues, plutôt que permettre aux militants wokes de détruire celles qu’ils n’aiment pas. De plus, le secrétaire des communautés aurait un droit de veto final.

    Selon Gardiner :

    Ce que font les Britanniques est un modèle pour un futur gouvernement conservateur américain.

    Il sert surtout de modèle mondial.

    De l’autre côté de l’Atlantique les amis et alliés de l’Amérique ont réalisé que le wokisme est une maladie qui sape la force des grandes nations et peut les réduire en ruines si elle n’est pas éradiquée. Ils voient le sombre avenir prophétisé par des personnes viles et haineuses et le rejettent de tout cœur.

    Avec un traitement approprié, les maladies peuvent être combattues et guéries.

    La France et la Grande-Bretagne ont offert une panacée à une Amérique malade. Il est l’heure de prendre nos médicaments.



    Sur le web
    Article original en anglais paru dans le Daily Signal

    https://www.contrepoints.org/2021/09/28/406718-wokisme-americain-les-europeens-reagissent

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  13. Les Australiens ruinés par la politique gouvernementale

    Aguelid

    Vidéo d’une extrême violence qui montre les résultats catastrophiques de la gestion dictatoriale de la crise sanitaire en Australie. Une queue interminable devant une banque alimentaire, voici le résultat du covidisme. Tout ça pour 1245 dc au total depuis mars 2020, pour une population de 25 millions d’habitants ! Si on comprend bien, ils ne vont pas mourir du covid-19 mais de famine.

    - voir clip sur site :

    https://www.lelibrepenseur.org/les-australiens-ruines-par-la-politique-gouvernementale/

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  14. Plus d’un million d’effets secondaires du vaccin en Europe reconnus par l’OMS


    Éric Verhaeghe
    27 septembre 2021


    Le plus grand flou règne sur l'ampleur exacte des effets secondaires du vaccin. On doit à l'OMS et à sa base partagée par le centre d'Uppsala, la base VigiAccess, de donner quelques éléments d'informations un peu plus fiables que les éléments transmis par l'ANSM en France, et par quelques autres. On retiendra que cette base recense plus d'un million de cas d'effets secondaires pour la seule Europe, et pour la seule année 2021, du fait de la vaccination contre le COVID. Un chiffre qui sème le trouble sur la sincérité des chiffres en France.

    - voir cadre sur site -

    Les effets secondaires du vaccin (ou des vaccins) contre le COVID constituent le grand tabou de la communication gouvernementale partout en Europe. Officiellement, le vaccin nous délivre de la maladie et se révèle parfaitement sûr. Sauf que les chiffres officiels, les quelques chiffres qui percent, ne disent pas exactement cela.

    Les effets secondaires selon l’OMS

    On en veut pour preuve les chiffres globaux donnés par cette très dangereuse institution complotiste appelée l’OMS, sur la base VigiAccess opérée par l’Uppsala Monitoring Centre, tout ce qu’il y a de plus officiel donc. Nous reproduisons ci-dessus le nombre d’effets secondaires du vaccin comptabilisés par continent, tous vaccins confondus.

    On s’aperçoit que l’Europe est championne de l’effet secondaire, alors qu’elle compte environ 280 millions d’habitants vaccinés (on en compterait 380 millions aux Etats-Unis). Pour être exact, 1.074.200 effets secondaires étaient comptabilisés sur notre continent, soit un cas toutes les 560 millions d’injections environ, ou 1 cas pour 280 vaccinés. Ce n’est quand même pas rien.

    Assez étonnamment, la proportion aux Etats-Unis est beaucoup moins importante.

    L’OMS contredit l’ANSM
    En France, l’ANSM vient péniblement de reconnaître 90.000 cas d’effets secondaires (mais les autorités françaises sont avares sur les chiffres).

    - voir cadre sur site -

    On sait que la France a pratiqué environ 90 millions d’injections (nous nous contentons ici de cottes mal taillées, car tout recensement au jour le jour est impossible), soit un effet secondaire pour 1.000 injections. Autrement dit deux fois moins en France qu’en Europe. Mais c’est quand même bizarre.

    Une fois de plus, ces incohérences dans les données officielles posent la question de la transparence sur les effets du vaccin. Et sur ce point, le débat est ouvert : la démocratie gagnerait à informer le public de façon transparente sur la réalité vaccinale.

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  15. Quels effets secondaires des vaccins ?

    Si les chiffres de l’OMS présentent l’inconvénient de ne pas décomposer plus précisément (notamment par vaccins) les effets secondaires, ils ont l’avantage de faire une synthèse chiffrées des différents types d’effets secondaires.

    - voir cadre sur site -

    Certains chiffres alertent. On constate ainsi plus de 100.000 problèmes cardiaques, plus de 115.000 problèmes vasculaires, 225.000 problèmes respiratoires, près de 300.000 problèmes dermatologiques, près de 650.000 problèmes musculosquelettiques… sans compter les 100.000 problèmes psychiatriques.

    On aimerait disposer en France d’un tableau clinique aussi précis. Cela aiderait au consentement libre et éclairé.

    https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/09/27/plus-dun-million-deffets-secondaires-du-vaccin-en-europe-reconnus-par-loms/

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  16. Le plaidoyer urgent de l'humanité pour arrêter le nouvel holocauste


    Par Gary G. Kohls, MD
    27 septembre 2021



    Nous sommes une association internationale d'avocats, de médecins, de scientifiques, de journalistes ainsi que de représentants d'autres professions.

    Nous représentons les intérêts de toutes les personnes dans le monde qui aspirent à vivre dans la liberté, l'autodétermination, la dignité et la véracité.

    Cette déclaration a été envoyée aux bureaucraties nationales suivantes qui sont chargées de réglementer les médicaments et les vaccins :

    EMA (UE)

    MHRA (Royaume-Uni)

    TGA (Australie)

    Medsafe (Nouvelle-Zélande)

    FMRAC (Canada)

    Arrêtez l'Holocauste !

    Nous, les survivants des atrocités commises contre l'humanité pendant la Seconde Guerre mondiale, nous sentons tenus de suivre notre conscience et d'écrire cette lettre. Il est évident pour nous qu'un autre holocauste de plus grande ampleur se déroule sous nos yeux. La majorité de la population mondiale ne réalise pas encore ce qui se passe, car l'ampleur d'un crime organisé comme celui-ci dépasse leur champ d'expérience.

    Nous savons pourtant. On se souvient du nom de Josef Mengele. Certains d'entre nous ont des souvenirs personnels. Nous vivons un déjà-vu si horrible que nous nous levons pour protéger nos pauvres frères humains. Les innocents menacés comprennent désormais des enfants, et même des nourrissons.

    En seulement quatre mois, les vaccins COVID-19 ont tué plus de personnes que tous les vaccins disponibles combinés de la mi-1997 à la fin de 2013, soit une période de 15,5 ans. Et les personnes les plus touchées ont entre 18 et 64 ans – le groupe qui ne figurait pas dans les statistiques Covid. Nous vous demandons d'arrêter immédiatement cette expérience médicale impie sur l'humanité.

    Ce que vous appelez « vaccination » contre le SRAS-Cov-2 est en réalité un empiètement blasphématoire sur la nature. Jamais auparavant la vaccination de la planète entière n'avait été réalisée en délivrant un ARNm synthétique dans le corps humain.

    C'est une expérience médicale à laquelle le Code de Nuremberg doit être appliqué. Les 10 principes éthiques de ce document représentent un code d'éthique médicale fondamental qui a été formulé lors du procès des médecins de Nuremberg pour garantir que les êtres humains ne seront plus jamais soumis à des expérimentations et procédures médicales involontaires.

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  17. Principe 1 du Codex de Nuremberg :

    (a) « Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela signifie que la personne concernée doit avoir la capacité juridique de donner son consentement ; doit être situé de manière à pouvoir exercer le libre choix, sans l'intervention d'aucun élément de force, de fraude, de tromperie, de contrainte, d'excès ou de toute autre forme ultérieure de contrainte ou de coercition ; et devrait avoir une connaissance et une compréhension suffisantes des éléments du sujet en cause pour lui permettre de prendre une décision éclairée et éclairée.

    (b) Ce dernier élément exige qu'avant l'acceptation d'une décision affirmative par le sujet expérimental, il lui soit fait connaître la nature, la durée et le but de l'expérience ; la méthode et les moyens par lesquels elle doit être menée ; tous les inconvénients et dangers raisonnablement prévisibles ; et les effets sur sa santé ou sa personne qui peuvent éventuellement provenir de sa participation à l'expérience.

    (c) Le devoir et la responsabilité de vérifier la qualité du consentement incombent à chaque individu qui initie, dirige ou s'engage dans l'expérience. C'est un devoir et une responsabilité personnels qui ne peuvent être délégués à autrui en toute impunité.

    Ré. (a) : Il n'est pas question d'une décision libre. Les médias de masse répandent la peur et la panique et utilisent la règle de la propagande de Goebbels en répétant des contrevérités jusqu'à ce qu'on les croie. Depuis des semaines, ils appellent à l'ostracisme des non vaccinés.

    S'il y a 80 ans c'étaient les juifs qui étaient diabolisés comme des propagateurs de maladies infectieuses, aujourd'hui ce sont les non vaccinés qui sont accusés de propager le virus. Intégrité physique, liberté de voyager, liberté de travailler, toute coexistence a été enlevée aux gens pour leur imposer la vaccination. Les enfants sont incités à se faire vacciner contre le jugement de leurs parents.

    Re (b): Les 22 effets secondaires terribles déjà énumérés dans l'autorisation d'utilisation d'urgence de la FDA n'ont pas été divulgués aux sujets de l'essai expérimental. Nous les énumérons ci-dessous au profit du public mondial.

    Par définition, il n'y a jamais eu de consentement éclairé. En attendant, des milliers d'effets secondaires enregistrés dans de nombreuses bases de données sont enregistrés. Alors que les soi-disant numéros de cas sont bipés à des intervalles de 30 minutes par tous les médias, il n'y a aucune mention des effets secondaires indésirables graves ni comment et où les effets secondaires doivent être signalés. Pour autant que nous le sachions, même les dommages enregistrés ont été supprimés à grande échelle dans chaque base de données.

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  18. Le Principe 6 du Code de Nuremberg exige : « Le degré de risque à prendre ne doit jamais dépasser celui déterminé par l'importance humanitaire du problème à résoudre par l'expérimentation ».

    La "vaccination" contre le Covid s'est avérée plus dangereuse que le Covid pour environ 99% de tous les humains. Comme l'a documenté Johns Hopkins, dans une étude portant sur 48 000 enfants, les enfants ne courent aucun risque de contracter le virus. Vos propres données montrent que les enfants qui ne sont pas exposés au virus ont eu des crises cardiaques après la vaccination ; plus de 15 000 ont subi des événements indésirables, dont plus de 900 événements graves.

    Au moins 16 adolescents sont décédés suite à la vaccination aux États-Unis. Comme vous le savez, à peine 1% environ sont signalés. Et les chiffres augmentent rapidement au moment où nous écrivons. Avec vos connaissances.

    Principe 10 du Code : « Au cours de l'expérience, le scientifique responsable doit être prêt à mettre fin à l'expérience à tout moment, s'il a des raisons probables de croire, dans l'exercice de la bonne foi, d'une compétence supérieure et d'un jugement prudent exigé de lui, que la poursuite de l'expérience est susceptible d'entraîner des blessures, une invalidité ou la mort du sujet expérimental. Environ 52 % de la population mondiale aurait reçu au moins une injection.

    La divulgation honnête du nombre réel de « vaccins » blessés, en phase terminale et décédés dans le monde se fait attendre depuis longtemps. Ce sont des millions en attendant. Fournissez-nous maintenant le nombre réel de victimes du vaccin Covid. Combien suffiront à éveiller votre conscience ?

    Liste des effets indésirables connus de la FDA avant l'approbation d'urgence

    1. Guillain-Barré syndrome

    2. Acute disseminated encephalomyelitis

    3. Transverse myelitis

    4. Encephalitis/encephalomyelitis/meningoencephalitis/meningitis/encepholapathy

    5. Convulsions/seizures

    6. Stroke

    7. Narcolepsy and cataplexy

    8. Anaphylaxis

    9. Acute myocardial infraction

    10. Myocarditis/pericarditis

    11. Autoimmune disease

    12. Death

    13. Pregnancy and birth outcomes

    14. Other acute demyelinating diseases

    15. Non-anaphylactic allergic reactions

    16. Thrombocytopenia

    17. Disseminated Intravascular Coagulation (DIC)

    18. Venous thromboembolism

    19. Arthritis and arthralgia/joint pain

    20. Kawasaki disease

    21. Multisystem inflammatory syndrome in CHILDREN (MIS-C)

    22. Vaccine enhanced disease

    https://www.lewrockwell.com/2021/09/gary-g-kohls/we-for-humanitys-urgent-plea-to-stop-the-new-holocaust/

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  19. Cour des comptes : le Covid a simplement révélé l'état chronique de délabrement du système de santé français


    lundi 27 septembre 2021
    par Karine Bechet-Golovko



    Puisque le porte-parole du Gouvernement annonce sans vergogne qu'il est tout à fait possible de prolonger peut-être jusqu'à l'été 2022 le pass sanitaire, c'est-à-dire les mesures de surveillance électronique de la population française, il est intéressant de se pencher sur le rapport publié en septembre 2021 par la Cour des comptes sur l'état de notre système de santé et la réponse systémique qui a été, ou plutôt qui n'a pas été apportée par le Gouvernement, à la dimension sanitaire de la crise : la crise a été surmontée grâce à une baisse de la qualité de la réponse médicale apportée. Tout en pointant la désorganisation croissante du système de santé français, le rapport s'interroge aussi sur le flou des données, qui servent de base à l'adoption de tout cet arsenal liberticide. Parce qu'avec tout ce bruit politico-médiatique mettant la population en état de choc, on en oublierait presque qu'il s'agit banalement d'un virus ...

    La prolongation de l'obligation du pass sanitaire au-delà de la mi-octobre est déjà acquise, la question se pose de savoir après la mi-novembre si l'on en sortira ... Toujours sur le mode du chantage, je cite Gabriel Attal sur France Inter :

    "«Je préfère qu'on réactive le pass sanitaire plutôt qu'on referme les restaurants, les bars, les théâtres, les cinémas», a déclaré Gabriel Attal, expliquant qu'un calendrier allait être présenté et qu'il n'était pas en mesure d'annoncer une date de fin de prolongation. «Vous savez que les députés arrêtent de siéger le 28 février, donc ça veut dire que si vous le prolongez, c'est jusqu'à l'été 2022, après les législatives ?», lui fait alors remarquer le journaliste. «C'est évidemment une dimension qu'on intègre», a immédiatement rétorqué le porte-parole. «Je ne peux pas vous donner le calendrier aujourd'hui, mais je reviendrai volontiers quand on présentera le texte dans quelques semaines», a-t-il conclu."

    Dans ce contexte particulièrement délirant, mettant les Français dans une prison numérique dont on ouvre ou ferme la porte à loisir, il est intéressant de se pencher sur le rapport de la Cour des comptes (disponible ici), qui épingle la destruction systématique du système de santé français. Quelques extraits.

    En ce qui concerne la prise en charge des soins critiques, c'est-à-dire la réanimation, les soins intensifs et la surveillance continue. Le nombre de lits s'est stabilisé en 2013, alors que les besoins n'ont cessé d'augmenter. Pour y faire face, la qualité de la réponse médicale a été revue à la baisse. Je cite p. 8 :

    "Cependant, le nombre de lits de réanimation s’est globalement stabilisé autour de 5 000 depuis 2013 alors même que l’activité n’a cessé de progresser. En effet, face au vieillissement de la population et à l’augmentation de la prévalence des maladies chroniques, l’activité de soins critiques a augmenté dans des proportions comparables à l’évolution de la proportion des personnes âgées de plus de 60 ans. Ceci n’a rien d’étonnant puisque cette population constitue les deux tiers des patients pris en charge par ces services. Cette dégradation du taux d’équipement au regard des évolutions démographiques s’est faite à bas bruit, avec une diminution marquée de la durée de séjour en réanimation entrainant mécaniquement une hausse de la durée de séjour dans les principales unités d’aval de la réanimation : les unités de surveillance continue (USC). Ainsi s’est installée une inadéquation progressive de l’offre de soins, face à laquelle les professionnels se sont adaptés en agissant sur le taux de recours aux soins critiques et sur la durée moyenne de séjour."

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  20. De plus, ce domaine est mal financé et donc peu attractif, ce qui conduit à sa déstructuration totale et à son morcellement, lire p. 8-9 :

    "Cette inadéquation s’explique par le caractère mal financé de l’activité de soins critiques, qui n’incite aucunement les gestionnaires hospitaliers à ouvrir de nouveaux lits alors même qu’il n’existe, par essence, pas d’alternative aux soins critiques. Une démographie médicale défavorable qui n’a pas été corrigée par une progression du nombre de postes d’internes ouverts aux épreuves nationales classantes (ECN), l’absence de formation spécifique des infirmiers à la réanimation, l’absence aussi de reconnaissance des qualifications paramédicales et les conditions de travail difficiles dans des unités qui voient décéder près d’un patient sur cinq, agissent également comme des facteurs expliquant la stagnation des capacités d’accueil en réanimation. De plus, le secteur des soins critiques, marqué par une asymétrie entre des exigences règlementaires fortes pour la réanimation et une quasi-inexistence pour les USC, s’est peu à peu morcelé : les USC isolées de tout secteur de réanimation sont majoritaires et le secteur privé s’est concentré sur des soins critiques indispensables au développement de l’activité chirurgicale, qui sont d’ailleurs les mieux financés. Ce morcellement a conduit à une forme de désorganisation des soins critiques dans les territoires."

    En ce qui concerne la gestion et la prévention des maladies de type grippal (dont la covid fait partie). Jusqu'en 2014, le système en place, comme nous avons pu le voir, fonctionnait plutôt bien, en tout cas ne nous a jamais conduits en dystopie. A partir de 2014, le schéma a changé, confirmé en 2016, la réaction a été régionalisée et le pouvoir décisionnel transféré aux ARS. P. 21 :

    "Si, sur le papier, l’ensemble du dispositif est cohérent et présente à la fois les avantages d’une stratégie globale et une déclinaison opérationnelle pour chaque grande catégorie de situations exceptionnelles, et si le dispositif Orsan prévoit bien l’hypothèse de situations de pandémie, les outils mis à la disposition des autorités sanitaires régionales comme des établissements de santé sont bien moins spécifiques que les « plans pandémie grippale » depuis la moitié des années 2000 et préparent moins ces institutions à affronter une crise du type de la pandémie de covid 19."

    Très beau sur le papier, mais moins efficace, c'est le problème fondamental de l'approche manageriale. Et tout ces mécanismes ont été inefficaces dans la gestion sanitaire de la poussée covidienne, car moins adaptés aux questions de prise en charge des soins que les cahiers antérieurs :

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  21. "Certes, des éléments des volets Orsan Amavi24 et REB ont pu être utiles aux ARS durant la pandémie. Mais le « Guide d’aide à la préparation et à la gestion des tensions hospitalières et des situations sanitaires exceptionnelles », publié en 2019 par le Ministère des Solidarités et de la Santé, s’il se révèle bien adapté pour la gestion de crises se déroulant largement en extrahospitalier, réduit quasiment l’implication des établissements de santé à la contribution des SAMU et des services d’urgence. Ce document est quasi muet sur une organisation hospitalière mobilisant les soins critiques. De fait, à la différence des plans et cahiers des charges spécifiques à une pandémie grippale entre 2004 et 2011, les documents officiels en vigueur au moment de la pandémie ne comportaient ni consignes ni orientations particulières pour parer au risque de la saturation des réanimations autorisées."

    Ce qui est particulièrement pointé du doigt, est l'absence de prévoyance d'un afflux de patients dans ces nouveaux plans, seule la déprogrammation des actes médicaux non-urgents est citée. Donc, on gère encore une fois par une baisse de la qualité de la réponse médicale. Voir p. 23 :

    "En une seule phrase, ce guide de 37 pages évoque certes l’éventualité d’une déprogrammation d’activité qui pourrait être un levier pour permettre le redéploiement des capacités hospitalières et du personnel pour prendre en charge des patients covid 19 notamment en unité de soins intensifs (USI) et en réanimation. Mais en aucun cas ce guide ne prévoit, en cas de pandémie virulente, un afflux massif vers les soins critiques et a fortiori une montée en puissance des capacités de ces derniers : l’idée d’un doublement progressif des capacités en réanimation, qui constituait l’ossature des plans pandémie grippale, est absente. Toute la stratégie se concentre sur la sélection d’hôpitaux de référence, la gestion des entrées à l’hôpital, les urgences, les capacités d’isolement et de diagnostic des malades."

    Et c'est bien la réponse qui a été apportée, la déprogrammation massive, sans connaître les effets à long terme sur la santé publique, comme le souligne le rapport. Et les chiffres publiés p. 27 font réfléchir à ce qu'est une non-urgence ...

    "Les besoins programmés en réanimation, notamment ceux liés à une intervention chirurgicale lourde, ont largement diminué. La baisse de ces chirurgies majeures est apparue significative en avril (- 50,3 %) et mai 2020 (- 35,3 %), en comparaison des mêmes mois de 2019. De même, les séjours chirurgicaux, qui étaient en légère progression (+ 1,5 %) au cours des mois de janvier et février 2020 au regard de 2019, ont connu une baisse de - 36,5 % en mars, - 73,2 % en avril et - 47,1 % en mai, sans qu’aucun effet de rattrapage ne puisse être documenté au cours des mois suivants. Sur un échantillon de quatre interventions identifiées comme de bons marqueurs de la chirurgie programmée, moins de 2 % de l’activité de l’année 2019 a été réalisée aux mêmes dates entre le 17 mars et le 10 mai 2020 et 35 % entre le 17 mars et le 30 juin 2020."

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  22. Combien de morts sont dûs à cette politique ? Je cite, p. 30 :

    "L’impact à long terme en termes de santé publique des déprogrammations intervenues durant la première vague de l’épidémie de covid 19 reste aujourd’hui inconnu et potentiellement considérable : son étude est indispensable et devra être engagée. Les premières études réalisées à l’étranger sont en effet inquiétantes. À titre d’illustration, une étude italienne publiée en février 2021 met d’ores et déjà en évidence durant la première vague épidémique, une forte baisse des séjours hospitaliers pour infarctus du myocarde en région Émilie-Romagne (- 42 %) et, de façon concomitante, une hausse de la mortalité extrahospitalière pour cette même cause (+ 62 % de février à avril 2020)."

    L'augmentation des capacités d'accueil a principalement été réalisée non pas par l'ouverture de nouveaux lits, mais par leur transfert (p.30). Le manque de personnel s'est également fait sentir, puisqu'il existait déjà antérieurement. Des formations accélérées, des transferts de fonctions, du volontariat etc. ont servi à cacher l'état de délabrement du service hospitalier français (p.32). En plus de la question de la qualification professionnelle de certains de ces "volontaires" ou élèves proclamés infirmiers, une désorganisation en a résultée :

    "Ces initiatives spontanées, indispensables dans l’urgence, ont parfois pu parfois conduire en raison de leur multiplicité à un « brouillage » de la communication en direction des mêmes publics."

    Pour compléter le tableau, le problème de tension des équipements médicaux, d'approvisionnement en médicaments étant chronique, donc non lié au covid, la réponse ici encore a été une baisse de la qualité de la réponse médicale, comme le rapport le souligne à la p. 38 :

    "Selon le CNP-Armpo, il existe un état de tension chronique sur l’ensemble des équipements de réanimation (ventilateurs, pousse-seringue, échographes, système de dialyse). Cette tension s’est massivement aggravée lors de la crise sanitaire. Comme pour les ressources humaines, la disponibilité des dispositifs médicaux et médicaments pendant la crise a pu être résolue par une réduction drastique des activités chirurgicales et interventionnelles."

    Et sans que cela ne surprenne plus, aucune réponse structurelle, ni stratégique n'a été apportée (p.39 s) et les solutions d'urgence ne fonctionnent pas dans la durée (p. 60s). Evidemment, cela permet au Gouvernement d'invoquer la prolongation du pass sanitaire, d'autant plus que l'efficacité à long terme de la spécialisation d'une partie de la réanimation autour du covid, s'appuyant justement sur le refus d'une vision nationale à long terme au profit d'une action ciblée, montre plus que ses limites depuis:

    "Il est difficile d’apprécier l’impact de cette innovation, introduite en novembre 2020, dans la structuration de l’offre en soins critiques et plus encore sur les parcours des patients au cours des deuxième et troisième vagues. Et cela d’autant plus que, selon le CNP Armpo, si la notion d’USI covid a été très utile en deuxième vague pour assurer le séjour du patient dans un secteur de soins adapté au plus près, la sévérité et l’instabilité de l’atteinte respiratoire liées au variant « anglais » dominant au cours de la troisième vague de l’épidémie rendent moins évident le recours aux USI covid, au moins à la phase initiale."

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  23. Sans aller dans le détail de tout ce rapport, il est important de noter que la Cour des comptes pointe à la page 57 le flou des données servant pourtant de base à l'adoption de toutes ces mesures liberticides sous excuse sanitaire :

    "Alors même que les prévisions d’activité des réanimations ont contribué à l’évolution des mesures plus ou moins restrictives pour l’activité sociale et économique des Français, il est frappant de constater le faible degré de transparence et en tout cas de rigueur dans la présentation des données des autorités sanitaires."

    Et plus concrètement, p. 58 :

    "Enfin, le « taux d’occupation des réanimations » présenté par des autorités publiques ou par des sites internet publics à partir des données de Santé publique France sur data.gouv.fr est opaque à trois égards : - il ne s’agit pas de réanimations mais de l’ensemble des soins critiques - il s’agit des lits occupés par des patients « covid », à l’exclusion des autres patients - surtout, la référence est celle des capacités en soins critiques (ou en réanimation ?) d’avant crise. Le nombre de lits de réanimation effectivement autorisés et armés n’est jamais publié."

    Toutes ces remarques nous permettent de comprendre que l'incapacité de gestion des aspects sanitaires est principalement le résultat d'une politique de longue haleine, ayant conduit à la déstructuration du service de santé français. Mais le manque de volonté des autorités publiques de réagir suite à la première vague de manière systémique pour redonner les moyens techniques, financiers et personnels à l'hôpital public, cela couplé avec l'étrange imprécision des données servant de base à l'adoption de toutes ces mesures politico-sociales surréalistes mettent en exergue la dimension politique, voire civilisationnelle, révélée par cette crise.

    https://russiepolitics.blogspot.com/2021/09/cour-des-comptes-le-covid-simplement.html

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    1. Camembert Electrique27


      septembre 2021 à 14:17


      Dire que la France avait un des meilleurs systèmes de santé du monde avant de signer le traité de Maastricht ! Le billet du jour nous indique que c’est en effet la Bérézina. Comparons-nous avec nos voisins Teutons. L’Allemagne réunifiée compte 83 millions d’habitants, et la France en compte 67. On a un facteur de proportionnalité d’environ 1,25. La France posséderait 5000 lits de réanimation (j’en avais compté 3500 à 4000 mais on va supposer que le chiffre de la Cour des Comptes est le bon…), ce qui fait à périmètre comparable avec l’Allemagne 5000 x 1,25 = 6250 lits de réa. Or l’Allemagne en compte 30,000 soit 5 fois plus que le nombre de lits de réa en France (je dirais 6 à 7 fois plus, mais on n’est plus à ça près). On peut rajouter que le nombre de lits supprimés dans les hôpitaux publics français depuis la mise-en-place de l’Euro est d’environ 100,000. C’est énorme et honteux à la fois : l’idée de supprimer un maximum de lits a démarré dans le cerveau azimuté d’un haut fonctionnaire (un certain Jean Castex) au début des années 2000, afin d’empêcher les gens de rester plus d’une journée en soins et de transformer le plus de patients possible en « cas ambulatoires »...charge aux infirmières libérales de se démerder comme elles peuvent avec tout ce qui est pansements et injections réalisés à la maison avec tous les problèmes qui vont avec : plaies qui ont du mal à se refermer car le patient est obligé de bouger chez lui quand il est seul, problèmes de réinfections des plaies opératoires, etc... ). Ce sont des économies de bouts de chandelles car ce qu’on gagne à fermant les lits, on le dépense avec le suivi post-hospitalier qui nécessite médecins et infirmiers avec des complications qui font que les patients doivent souvent retourner là où ils ont été opérés, surtout les personnes âgées qui guérissent moins vite et moins bien.

      Le passeport sanitaire (qui est illégal puisque les vaccins n’ont plus d’AMM depuis début juillet 2021) a commencé à exclure d’un système de santé qui a été massacré environ 350,000 soignants qui refusent la vaccination avec des produits anti-Covid expérimentaux. Espérer faire fonctionner un système de soins avec de pareils moyens est juste une folie furieuse issue du cerveau allumé de quelques technocrates tailleurs de bonzaïs en mal de reconnaissance par la Commission de Bruxelles qui dicte ses ordres de sape du système public de soins pour mieux le libéraliser. J’espère que ces derniers auront des gens dans leur famille qui crèveront dans d’atroces souffrances à l’hôpital public à cause du manque de moyens et de soins appropriés.

      ON va arriver à ce qui existait au Royaume-Uni quand j’y vivais dans les années 90 : un système de queue médicale pour classer chaque opération en fonction d’un degré d’urgence déterminé à l’avance : c’est de la médecin de pays du tiers-monde, et Tony Blair a réformé à grand frais ce système qui était voué à l’échec et on voudrait recommencer les mêmes erreurs dans l’hexagone ?
      Un conseil : ne tombez surtout pas malades en France ou alors expatriez-vous dans un pays comme l’Allemagne ou la Russie qui se sont donnés les moyens de soigner leur population sans que cela coûte un bras aux patients comme aux USA.

      https://russiepolitics.blogspot.com/2021/09/cour-des-comptes-le-covid-simplement.html

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  24. Moscou : Souriez, vous êtes scannés !


    mardi 28 septembre 2021
    par Karine Bechet-Golovko


    Le progressisme est une religion incontestable, notamment à Moscou, en tout cas dans sa dimension numérique. Nouvelle annonce dans la veine orwellienne : d'ici à deux ou trois ans, tous les types de transports seront couverts par des systèmes de reconnaissance faciale. Quelle chance, nous dit-on, ce sera tellement plus pratique, tellement plus sûr ... Quand la liberté est bradée contre un vieux fantasme de contrôle total au nom d'une étrange conception du progrès, que reste-t-il de l'homme ?

    Il est surprenant aujourd'hui d'enfermer la notion de progrès dans une dimension anti-humaine, anti-civilisationnelle. Ce "progrès" n'est pas appliqué à la nécessité d'efforts dans l'apprentissage et la construction de la personne, non le progrès est désormais de ne plus faire d'efforts ; il n'est pas utilisé pour le développement des qualités morales, le progrès aujourd'hui c'est Tik Tok.

    La dégradation morale et intellectuelle de nos "élites", ainsi que d'une part de nos concitoyens, nous conduit tout droit dans l'impasse d'une nouvelle dystopie. Moscou est un élève de marque dans cette marche forcée vers le "progrès", comme elle a pu le montrer lors du confinement et des tentatives de contrôle total des déplacements de la population locale.

    Le confinement n'est plus en vigueur depuis longtemps, mais le fantasme n'en est que plus fort. Une fois que l'on a goûté à un pouvoir malsain, il semble difficile de s'en passer. La biométrie est alors saluée comme une technique (rien qu'une technique, ce n'est pas grave), qui doit faciliter la vie des Moscovites. Et puis, il faut être moderne, vivre avec son temps - comme si l'évolution était naturelle et objective, comme s'il n'y avait qu'une seule voie.

    Ainsi, il est possible dans certaines stations de métro depuis l'automne 2019 (la pandémie a beaucoup aidé), puis dans toutes les stations à compter du 15 octobre, de passer les portes automatiques grâce à la reconnaissance faciale. Cette technique doit être expérimentée dans les autres types de transports urbains (bus, tramway, trolley) et généralisée d'ici 2024. Même les aéroports doivent être délivrés du contrôle des passeports, des enregistrements... Puisque l'on vous dit que c'est pour votre bien.

    Souriez, vous êtes scannés ! L'homme progressisé - scanné, identifié, trié, dirigé ... Un bagage un peu encombrant du monde post-moderne.

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  25. Du fantasme à la réalité, il y a un pas, que justement les Moscovites ne sont pas pressés de faire. Alors qu'aucune discussion n'est sérieusement menée sur le point de non-retour à partir duquel le "progrès" devient néfaste, il semblerait qu'un instinct de survie reste dans la population. Cette fonctionnalité existe notamment dans certains supermarchés qui proposent le scan de l'oeil pour le paiement. Y allant tous les jours, je n'ai jamais vu personne l'utiliser ...

    Sobianine, le Maire de Moscou, est évidemment surpris du "succès" de cette option, dans les stations où elle est disponible - 15 000 passagers se sont inscrits pour cette option, quelle belle victoire soi-disant. Rappelons qu'en 2019, il y avait dans le métro jusqu'à plus de 9 millions de passagers par jour.

    Le progrès est bien devenu une religion, il s'instaure dans un rapport de croyance. Il a ses prêtres et ses adeptes. Il promet un monde meilleur. Or, l'on ne discute pas une religion, l'on y croit - ou pas.

    PS : A l'occasion de l'Exposition universelle de 1855, Baudelaire s'insurge contre l'imposture du culte du Progrès qui accompagne la modernité, conception du "progrès" qu'il qualifie ainsi : "cette idée grotesque qui a fleuri sur le terrain pourri de la fatuité moderne".

    Mais Baudelaire était un optimiste, la fatuité n'est pas simplement moderne, elle est manifestement humaine - et intemporelle.

    https://russiepolitics.blogspot.com/2021/09/moscou-souriez-vous-etes-scannes.html

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  26. Le plus grand scandale de la Réserve fédérale


    Par Ron Paul, MD
    Institut Ron-Paul
    28 septembre 2021


    À la suite de révélations selon lesquelles des responsables de la Réserve fédérale ont effectué des transactions sur des actifs financiers alors que la Fed déployait des efforts extraordinaires pour « stimuler » l'économie, le président de la Réserve fédérale, Jerome Powell, a ordonné une révision des règles d'éthique de la Fed. Bien que ces transactions semblent problématiques, elles pâlissent en comparaison du plus grand scandale de la Fed – l'appauvrissement par la Fed des Américains ordinaires, l'enrichissement des élites et la facilitation de la dette et des déficits publics.

    La dépression induite par le coronavirus, bien que réellement causée par les soi-disant mesures de santé publique prises en réponse par le gouvernement, était la raison officielle de l'augmentation des achats d'actifs par la Fed l'année dernière. Cependant, la Fed a en fait commencé à intensifier ses activités de création monétaire en septembre 2019, lorsqu'elle a commencé à verser des milliards par jour sur les marchés des pensions, que les banques utilisent pour s'accorder des prêts à court terme, afin de maintenir les taux d'intérêt du marché des pensions. meugler.

    Le coronavirus n'était qu'une excuse commode pour que la Fed fasse plus de ce qu'elle faisait déjà. Maintenant, la Fed utilise la réouverture limitée comme bouc émissaire pour la hausse des prix. Bien sûr, quiconque comprend l'économie autrichienne comprend que la hausse des prix est un symptôme, et non une cause, de l'inflation. L'inflation est l'acte même de la création monétaire par la Fed.

    La hausse des prix qui diminue le niveau de vie de l'Américain moyen n'est pas le seul résultat de la manipulation de la masse monétaire par la Fed. La manipulation déforme les signaux économiques, produisant des résultats tels que des booms, des bulles et des bustes.

    L'inflation a toujours profité aux élites bien connectées qui reçoivent l'argent nouvellement créé de la Fed avant que l'argent neuf ne provoque des augmentations de prix généralisées. La véritable motivation des politiques de la Fed a été révélée par l'ancien responsable de la Fed Andrew Huszar en 2013. Huszar, écrivant pour le Wall Street Journal, a confirmé que l'assouplissement quantitatif maintenait les cours des actions à un niveau élevé, au lieu d'aider les Américains aux prises avec les séquelles de l'effondrement de 2008.

    Les autres bénéficiaires de la Fed sont les politiciens dépensiers. L'achat d'instruments de dette fédéraux par la Réserve fédérale permet de maintenir les coûts du service de la dette du gouvernement fédéral gérables. C'est pourquoi, malgré la récente suggestion du président Powell selon laquelle la Fed commencera bientôt à "réduire" ses achats de bons du Trésor, il est peu probable que la Fed réduise considérablement ses achats de bons du Trésor ou autorise une augmentation significative des taux d'intérêt.

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  27. Powell est également peu susceptible de bouleverser le président Biden et les alliés du Congrès de Biden tant que les progressistes exhortent Biden à ne pas reconduire Powell. Les progressistes veulent remplacer Powell par quelqu'un de plus engagé dans la lutte contre le changement climatique et le racisme systémique, deux croque-mitaines régulièrement rachetées comme excuses pour de vastes expansions des dépenses et du pouvoir du gouvernement.

    Un autre scandale majeur impliquant la Fed est le refus du Congrès d'adopter le projet de loi Audit the Fed et de faire connaître au peuple américain la vérité sur les opérations de la Fed. Audit La Fed autorise un audit du Government Accountability Office (GAO) des relations de la Fed avec les gouvernements étrangers et les banques centrales, les opérations de guichet d'escompte de la Fed, les réserves des banques membres, le crédit de titres, les intérêts sur les dépôts et les transactions d'open market. Auditer la Fed révélerait enfin la vérité sur les opérations de la Fed.

    Un audit limité autorisé par la loi Dodd-Frank a révélé qu'entre 2007 et 2010, la Réserve fédérale a engagé plus de 16 000 milliards de dollars auprès de banques centrales étrangères et d'entreprises privées politiquement influentes. Imaginez ce qu'un audit complet trouverait. Il est temps de mettre fin au scandale de permettre à une banque centrale secrète d'avoir autant de pouvoir sur l'économie et notre liberté. Il est temps d'auditer et de mettre fin à la Fed.

    https://www.lewrockwell.com/2021/09/ron-paul/the-biggest-federal-reserve-scandal/

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  28. Spartacus


    Par Raul Ilargi Meijer
    La Terre Automatique
    28 septembre 2021


    Il s'agit d'un document posté anonymement par quelqu'un qui se fait appeler Spartacus. Parce que c'est anonyme, je ne peux pas les contacter pour demander l'autorisation de publier. J'ai donc hésité un moment, mais c'est tout simplement le meilleur document que j'ai vu sur le Covid, les vaccins, etc. Qui que soit Spartacus, ils ont une connaissance très poussée du "terrain". Si vous voulez en savoir plus sur le non. 1 numéro dans le monde aujourd'hui, lisez-le. Et ne vous inquiétez pas si vous ne comprenez pas chaque mot, moi non plus. Mais j'ai beaucoup appris.

    Le document PDF original est ici : Covid19 – La lettre de Spartacus

    Bonjour,
    Je m'appelle Spartacus et j'en ai assez.

    Nous avons été forcés de regarder l'Amérique et le monde libre sombrer dans un déclin inexorable en raison d'une attaque de guerre biologique. Nous, ainsi que d'innombrables autres, avons été victimes de la propagande et des opérations de guerre psychologique menées par une élite non élue et irresponsable contre le peuple américain et nos alliés.

    Notre santé mentale et physique a énormément souffert au cours de la dernière année et demie. Nous avons ressenti l'aiguillon de l'isolement, du verrouillage, du masquage, des quarantaines et d'autres actes complètement absurdes du théâtre de soins de santé qui n'ont absolument rien fait pour protéger la santé ou le bien-être du public de la pandémie de COVID-19 en cours.

    Maintenant, nous regardons l'establishment médical injecter du poison à des millions de nos compatriotes américains sans même se battre.

    On nous a dit que nous serions licenciés et privés de nos moyens de subsistance si nous refusions de vacciner. Ce fut la goutte d'eau.

    Nous avons passé des milliers d'heures à analyser des images divulguées de Wuhan, des articles scientifiques provenant de sources primaires, ainsi que les traces de papier laissées par l'établissement médical.

    Ce que nous avons découvert choquerait n'importe qui au plus profond de lui-même.

    Dans un premier temps, nous résumerons nos résultats, puis nous les expliquerons en détail. Les références seront placées à la fin.

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  29. Sommaire:

    • COVID-19 est une maladie du sang et des vaisseaux sanguins. Le SRAS-CoV-2 infecte la paroi des vaisseaux sanguins humains, les faisant fuir dans les poumons.

    • Les protocoles de traitement actuels (par exemple la ventilation invasive) sont activement nocifs pour les patients, accélérant le stress oxydatif et provoquant de graves VILI (lésions pulmonaires induites par la ventilation). L'utilisation continue de ventilateurs en l'absence de tout bénéfice médical prouvé constitue un meurtre de masse.

    • Les contre-mesures existantes sont inadéquates pour ralentir la propagation de ce qui est un virus en aérosol et potentiellement transmis par les eaux usées, et constituent une forme de théâtre médical.

    • Diverses interventions non liées aux vaccins ont été supprimées à la fois par les médias et par l'establishment médical au profit de vaccins et de médicaments brevetés coûteux.

    • Les autorités ont nié l'utilité de l'immunité naturelle contre le COVID-19, malgré le fait que l'immunité naturelle confère une protection contre toutes les protéines du virus, et pas une seule.

    • Les vaccins feront plus de mal que de bien. L'antigène sur lequel ces vaccins sont basés, le SARS-CoV-2 Spike, est une protéine toxique. Le SRAS-CoV-2 peut avoir un ADE ou une amélioration dépendante des anticorps ; les anticorps actuels peuvent ne pas neutraliser les futures souches, mais les aider à infecter les cellules immunitaires. De plus, vacciner pendant une pandémie avec un vaccin qui fuit supprime la pression évolutive pour qu'un virus devienne moins mortel.

    • Il existe une vaste et épouvantable conspiration criminelle qui lie directement Anthony Fauci et Moderna à l'Institut de virologie de Wuhan.

    • Les chercheurs sur le vaccin COVID-19 sont directement liés aux scientifiques impliqués dans la technologie de l'interface cerveau-ordinateur (« dentelle neuronale »), dont l'un a été inculpé pour avoir reçu des subventions de la Chine.

    • Des chercheurs indépendants ont découvert de mystérieuses nanoparticules à l'intérieur des vaccins qui ne sont pas censées être présentes.

    • Toute la pandémie est utilisée comme excuse pour une vaste transformation politique et économique de la société occidentale qui enrichira les déjà riches et transformera le reste d'entre nous en serfs et intouchables.

    Pathophysiologie et traitements COVID-19 :

    Le COVID-19 n'est pas une pneumonie virale. Il s'agit d'une endothéliite vasculaire virale qui attaque la paroi des vaisseaux sanguins, en particulier les petits capillaires alvéolaires pulmonaires, entraînant une activation et une desquamation des cellules endothéliales, une coagulopathie, une septicémie, un œdème pulmonaire et des symptômes de type SDRA. C'est une maladie du sang et des vaisseaux sanguins. Le système circulatoire. Toute pneumonie qu'il provoque est secondaire à cela.

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  30. Dans les cas graves, cela entraîne une septicémie, des caillots sanguins et une défaillance de plusieurs organes, y compris des lésions hypoxiques et inflammatoires de divers organes vitaux, tels que le cerveau, le cœur, le foie, le pancréas, les reins et les intestins.

    Certains des résultats de laboratoire les plus courants dans COVID-19 sont des D-dimères élevés, un temps de Quick élevé, une protéine C réactive élevée, une neutrophilie, une lymphopénie, une hypocalcémie et une hyperferritinémie, correspondant essentiellement à un profil de coagulopathie et d'hyperactivation du système immunitaire/épuisement des cellules immunitaires .

    COVID-19 peut se présenter comme presque n’importe quoi, en raison du large tropisme du SRAS-CoV-2 pour divers tissus des organes vitaux du corps. Bien que sa présentation initiale la plus courante soit une maladie respiratoire et des symptômes pseudo-grippaux, elle peut se présenter sous la forme d'une inflammation cérébrale, d'une maladie gastro-intestinale ou même d'une crise cardiaque ou d'une embolie pulmonaire.

    Le COVID-19 est plus grave chez les personnes présentant des comorbidités spécifiques, telles que l'obésité, le diabète et l'hypertension. En effet, ces conditions impliquent un dysfonctionnement endothélial, ce qui rend le système circulatoire plus sensible aux infections et aux blessures par ce virus particulier.

    La grande majorité des cas de COVID-19 sont bénins et ne provoquent pas de maladie significative. Dans les cas connus, il existe une règle connue sous le nom de règle des 80/20, où 80 % des cas sont légers et 20 % sont graves ou critiques. Cependant, ce rapport n'est correct que pour les cas connus, pas toutes les infections. Le nombre d'infections réelles est beaucoup, beaucoup plus élevé. Par conséquent, le taux de mortalité et de morbidité est plus faible. Cependant, COVID-19 se propage très rapidement, ce qui signifie qu'un nombre important de patients gravement malades et gravement malades apparaissent dans un court laps de temps.

    Chez ceux qui souffrent de sepsis, d'hypoxie, de coagulopathie et de SDRA induits par le COVID-19, les traitements les plus courants sont l'intubation, les corticostéroïdes injectés et les anticoagulants. Ce n'est pas le bon traitement pour le COVID-19. En cas d'hypoxie sévère, les changements métaboliques cellulaires provoquent la décomposition de l'ATP en hypoxanthine, qui, lors de la réintroduction de l'oxygène, provoque la production par la xanthine oxydase de tonnes de radicaux très dommageables qui attaquent les tissus. C'est ce qu'on appelle une lésion d'ischémie-reperfusion, et c'est pourquoi la majorité des personnes qui utilisent un ventilateur meurent. Dans les mitochondries, l'accumulation de succinate due à la septicémie fait exactement la même chose ; lorsque l'oxygène est réintroduit, il produit des radicaux superoxydes. Ne vous y trompez pas, l'intubation tuera les personnes atteintes de COVID-19.

    Le stade final de COVID-19 est une peroxydation lipidique sévère, où les graisses dans le corps commencent à «rouiller» en raison des dommages causés par le stress oxydatif. Cela entraîne l'auto-immunité. Les lipides oxydés apparaissent comme des objets étrangers pour le système immunitaire, qui reconnaît et forme des anticorps contre les OSE, ou des épitopes spécifiques à l'oxydation. De plus, les lipides oxydés alimentent directement les récepteurs de reconnaissance de formes, déclenchant encore plus d'inflammation et invoquant encore plus de cellules du système immunitaire inné qui libèrent des enzymes encore plus destructrices. Ceci est similaire à la physiopathologie du lupus.

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  31. La pathologie de COVID-19 est dominée par un stress oxydatif extrême et une explosion respiratoire des neutrophiles, au point où l'hémoglobine devient incapable de transporter l'oxygène en raison du fer hémique extrait de l'hème par l'acide hypochloreux. Aucune quantité d'oxygène supplémentaire ne peut oxygéner le sang qui refuse chimiquement de se lier à l'O2.

    La répartition de la pathologie est la suivante :

    SARS-CoV-2 Spike se lie à ACE2. L'enzyme de conversion de l'angiotensine 2 est une enzyme qui fait partie du système rénine-angiotensine-aldostérone, ou RAAS. Le RAAS est un système de contrôle hormonal qui modère le volume de liquide dans le corps et dans la circulation sanguine (c'est-à-dire l'osmolarité) en contrôlant la rétention et l'excrétion de sel. Cette protéine, l'ACE2, est omniprésente dans toutes les parties du corps qui s'interfacent avec le système circulatoire, en particulier dans les cellules endothéliales vasculaires et les péricytes, les astrocytes cérébraux, les tubules rénaux et les podocytes, les cellules des îlots pancréatiques, les cellules épithéliales des voies biliaires et intestinales, et les cellules séminifères. conduits des testicules, tous que le SARS-CoV-2 peut infecter, pas seulement les poumons.

    Le SARS-CoV-2 infecte une cellule comme suit : SARS-CoV-2 Spike subit un changement de conformation où les trimères S1 se retournent et s'étendent, se verrouillant sur ACE2 lié à la surface d'une cellule. TMPRSS2, ou transmembrane protease serine 2, arrive et coupe les têtes du Spike, exposant la sous-unité en forme de tige S2 à l'intérieur. Le reste du Spike subit un changement de conformation qui le fait se déployer comme une échelle à coulisse, s'encastrant dans la membrane cellulaire. Ensuite, il se replie sur lui-même, rapprochant la membrane virale et la membrane cellulaire. Les deux membranes fusionnent et les protéines du virus migrent à la surface de la cellule. La nucléocapside du SRAS-CoV-2 pénètre dans la cellule, dégorgeant son matériel génétique et commençant le processus de réplication virale, détournant les propres structures de la cellule pour produire plus de virus.

    Les protéines de pointe du SRAS-CoV-2 intégrées dans une cellule peuvent en fait provoquer la fusion de cellules humaines, formant des syncytia/MGC (cellules géantes multinucléaires). Ils ont également d'autres effets pathogènes et nocifs. Les viroporines du SRAS-CoV-2, telles que sa protéine d'enveloppe, agissent comme des canaux ioniques calciques, introduisant du calcium dans les cellules infectées. Le virus supprime la réponse naturelle de l'interféron, entraînant une inflammation retardée. La protéine SARS-CoV-2 N peut également activer directement l'inflammasome NLRP3. En outre, il supprime la voie antioxydante Nrf2. La suppression de l'ACE2 par liaison avec Spike provoque une accumulation de bradykinine qui serait autrement décomposée par l'ACE2.

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  32. Cet afflux constant de calcium dans les cellules entraîne (ou s'accompagne d') une hypocalcémie notable, ou un faible taux de calcium dans le sang, en particulier chez les personnes présentant des carences en vitamine D et un dysfonctionnement endothélial préexistant. La bradykinine régule positivement l'activité de l'AMPc, du GMPc, de la COX et de la phospholipase C. Cela se traduit par une libération de prostaglandines et une signalisation calcique intracellulaire considérablement accrue, ce qui favorise une libération de ROS très agressive et une déplétion en ATP. La NADPH oxydase libère du superoxyde dans l'espace extracellulaire. Les radicaux superoxyde réagissent avec l'oxyde nitrique pour former du peroxynitrite. Le peroxynitrite réagit avec le cofacteur tétrahydrobioptérine nécessaire à l'oxyde nitrique synthase endothéliale, le détruisant et "découplant" les enzymes, provoquant la synthèse de l'oxyde nitrique synthase à la place. Cela se déroule dans une boucle de rétroaction positive jusqu'à ce que la biodisponibilité de l'oxyde nitrique dans le système circulatoire soit épuisée.

    Le gaz d'oxyde nitrique dissous produit en permanence par eNOS remplit de nombreuses fonctions importantes, mais il est également antiviral contre les coronavirus de type SRAS, empêchant la palmitoylation de la protéine virale Spike et rendant plus difficile sa liaison aux récepteurs de l'hôte. La perte de NO permet au virus de commencer à se répliquer en toute impunité dans le corps. Les personnes atteintes de dysfonctionnement endothélial (c'est-à-dire l'hypertension, le diabète, l'obésité, la vieillesse, la race afro-américaine) ont des problèmes d'équilibre redox pour commencer, ce qui donne un avantage au virus.

    En raison de la libération extrême de cytokines déclenchée par ces processus, le corps attire une grande quantité de neutrophiles et de macrophages alvéolaires dérivés des monocytes vers les poumons. Les cellules du système immunitaire inné sont les défenseurs de première ligne contre les agents pathogènes. Ils agissent en engloutissant les envahisseurs et en essayant de les attaquer avec des enzymes qui produisent de puissants oxydants, comme la SOD et la MPO. La superoxyde dismutase prend du superoxyde et fabrique du peroxyde d'hydrogène, et la myéloperoxydase prend du peroxyde d'hydrogène et des ions chlore et produit de l'acide hypochloreux, qui est beaucoup, beaucoup plus réactif que l'eau de Javel à l'hypochlorite de sodium.

    Les neutrophiles ont une vilaine astuce. Ils peuvent également éjecter ces enzymes dans l'espace extracellulaire, où ils cracheront continuellement du peroxyde et de l'eau de Javel dans la circulation sanguine. C'est ce qu'on appelle la formation de pièges extracellulaires neutrophiles, ou, lorsqu'elle devient pathogène et contre-productive, la NETose. Dans le COVID-19 sévère et critique, il existe en réalité une NETose assez sévère.

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  33. L'accumulation d'acide hypochloreux dans la circulation sanguine commence à blanchir le fer de l'hème et à entrer en compétition pour les sites de liaison à l'O2. Les globules rouges perdent la capacité de transporter l'oxygène, ce qui fait que le visage devient bleu. Le fer non lié, le peroxyde d'hydrogène et le superoxyde dans la circulation sanguine subissent les réactions de Haber-Weiss et de Fenton, produisant des radicaux hydroxyle extrêmement réactifs qui dépouillent violemment les électrons des graisses et de l'ADN environnants, les oxydant sévèrement.

    Cette condition n'est pas inconnue de la science médicale. Le nom réel de tout cela est sepsis aigu.

    Nous savons que cela se produit dans COVID-19 parce que les personnes décédées de la maladie ont des signatures de ferroptose notables dans leurs tissus, ainsi que divers autres marqueurs de stress oxydatif tels que la nitrotyrosine, le 4-HNE et le malondialdéhyde.

    Lorsque vous intubez une personne atteinte de cette maladie, vous déclenchez une bombe à radicaux libres en fournissant aux cellules de l'O2. C'est un piège, car nous avons besoin d'oxygène pour fabriquer de l'adénosine triphosphate (c'est-à-dire pour vivre), mais l'O2 est également le précurseur de tous ces radicaux nocifs qui conduisent au pero lipidique.

    Les scientifiques qui savent quelque chose sur la neutrophilie pulmonaire, le SDRA et la biologie redox en savent ou en ont beaucoup supposé depuis mars 2020. En avril 2020, des scientifiques suisses ont confirmé que COVID-19 était une endothéliite vasculaire. Fin 2020, les experts avaient déjà conclu que le COVID-19 provoquait une forme de sepsis viral. Ils savent également que la septicémie peut être traitée efficacement avec des antioxydants. Aucune de ces informations n'est particulièrement nouvelle, et pourtant, pour la plupart, elle n'a pas été suivie d'effet. Les médecins continuent d'utiliser des techniques d'intubation dommageables avec des paramètres de PEP élevés malgré une compliance pulmonaire élevée et une mauvaise oxygénation, tuant un nombre incalculable de patients gravement malades pour faute professionnelle médicale.

    En raison de la façon dont ils sont construits, les essais contrôlés randomisés ne montreront aucun avantage pour un antiviral contre le COVID-19. Ni Remdesivir, ni Kaletra, ni HCQ, ni Ivermectine. La raison en est simple ; pour les patients qu'ils ont recrutés pour ces études, comme la ridicule étude RECOVERY d'Oxford, l'intervention est trop tardive pour avoir un effet positif.

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  34. L'évolution clinique de COVID-19 est telle qu'au moment où la plupart des gens consultent un médecin pour une hypoxie, leur charge virale a déjà diminué à presque rien. Si quelqu'un est environ 10 jours après l'exposition et présente déjà des symptômes depuis cinq jours, il ne reste pratiquement plus de virus dans son corps, seulement des dommages cellulaires et des dérangements qui ont déclenché une réponse hyperinflammatoire. C'est dans ce groupe que les essais cliniques d'antiviraux ont recruté, à peu près exclusivement.

    Dans ces essais, ils donnent des antiviraux à des patients gravement malades qui n'ont aucun virus dans leur corps, seulement une réponse hyperinflammatoire retardée, puis prétendent absurdement que les antiviraux n'ont aucune utilité dans le traitement ou la prévention du COVID-19. Ces essais cliniques ne recrutent pas de personnes pré-symptomatiques. Ils ne testent pas la prophylaxie pré-exposition ou post-exposition.

    C'est comme utiliser un défibrillateur pour choquer uniquement la ligne plate, puis prétendre absurdement que les défibrillateurs n'ont aucune utilité médicale lorsque les patients refusent de ressusciter d'entre les morts. L'intervention est trop tardive. Ces essais sur les antiviraux montrent un biais de sélection systématique et flagrant. Ils fournissent un traitement qui est futile pour la cohorte spécifique à laquelle ils s'inscrivent.

    L'Inde est allée à l'encontre des instructions de l'OMS et a mandaté l'utilisation prophylactique de l'ivermectine. Ils ont presque complètement éradiqué le COVID-19. L'Association du barreau indien de Mumbai a porté des accusations criminelles contre le scientifique en chef de l'OMS, le Dr Soumya Swaminathan, pour avoir recommandé de ne pas utiliser l'ivermectine.

    L'ivermectine n'est pas un « vermifuge pour chevaux ». Oui, il est vendu sous forme de pâte vétérinaire comme vermifuge pour animaux. Il est également disponible sous forme de pilule pour les humains depuis des décennies, en tant que médicament antiparasitaire.

    Les médias ont prétendu de manière fallacieuse que l'ivermectine étant un médicament antiparasitaire, elle n'a aucune utilité en tant qu'antivirus. Ceci est une erreur. L'ivermectine a une utilité comme antiviral. Il bloque l'importine, empêchant l'import nucléaire, inhibant efficacement l'accès viral aux noyaux cellulaires. De nombreux médicaments actuellement sur le marché ont de multiples modes d'action. L'ivermectine est l'un de ces médicaments. Il est à la fois antiparasitaire et antiviral.

    Au Bangladesh, l'ivermectine coûte 1,80 $ pour un cours complet de 5 jours. Le remdesivir, qui est toxique pour le foie, coûte 3 120 $ pour un traitement de 5 jours. Des milliards de dollars de Remdesivir totalement inutile ont été vendus à nos gouvernements sur le sou du contribuable, et il a fini par être totalement inutile pour traiter le COVID-19 hyperinflammatoire. Les médias ont à peine couvert cela du tout.

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  35. L'opposition à l'utilisation de l'ivermectine générique n'est pas fondée sur la science. C'est purement financier et politiquement motivé. Une intervention non vaccinale efficace mettrait en péril l'approbation précipitée de la FDA de vaccins et de médicaments brevetés pour lesquels l'industrie pharmaceutique devrait engranger des milliards et des milliards de dollars de ventes sur une base continue.

    La majorité du public est scientifiquement analphabète et ne peut même pas comprendre ce que tout cela signifie, grâce à un système éducatif pathétique qui les a mal éduqués. Vous seriez chanceux de trouver 1 personne sur 100 qui a la moindre idée de ce que tout cela signifie réellement.

    Transmission du covid19:

    Le COVID-19 est aéroporté. L'OMS a transporté de l'eau pour la Chine en affirmant que le virus n'était transmis que par des gouttelettes. Notre propre CDC a prétendu de manière absurde qu'il était principalement transmis par contact direct, ce qui, compte tenu de sa propagation rapide de Wuhan au reste du monde, aurait été physiquement impossible.

    La croyance ridicule selon laquelle le fomite-à-face est un mode de transmission principal a conduit à l'utilisation de protocoles de désinfection de surface qui ont fait perdre du temps, de l'énergie, de la productivité et du désinfectant.

    Les lignes directrices de 6 pieds sont absolument inutiles. La distance de sécurité minimale pour se protéger d'un virus en aérosol est d'être à plus de 15 pieds d'une personne infectée, pas plus près. En réalité, aucun transport en commun n'est sûr.

    Les masques chirurgicaux ne vous protègent pas des aérosols. Le virus est trop petit et le média filtrant a trop de lacunes pour le filtrer. Ils peuvent attraper des gouttelettes respiratoires et empêcher le virus d'être expulsé par une personne malade, mais ils ne filtrent pas un nuage d'aérosols infectieux si quelqu'un devait entrer dans ledit nuage.

    Le niveau minimum de protection contre ce virus est littéralement un respirateur P100, un PAPR/CAPR ou un respirateur CBRN OTAN de 40 mm, idéalement associé à une combinaison tyvek ou tychem intégrale, des gants et des chaussons, avec tous les trous et lacunes scotché.

    Le SRAS-CoV-2 vivant peut potentiellement être détecté dans les écoulements d'eaux usées, et il peut y avoir une transmission orale-fécale. Lors de l'épidémie de SRAS en 2003, lors de l'incident d'Amoy Gardens, des centaines de personnes ont été infectées par des aérosols de matières fécales provenant des drains de sol de leurs appartements.

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  36. Dangers du vaccin COVID-19 :

    Les vaccins contre le COVID-19 ne sont pas stérilisants et n'empêchent pas l'infection ou la transmission. Ce sont des vaccins « fuyants ». Cela signifie qu'ils suppriment la pression évolutive sur le virus pour qu'il devienne moins mortel. Cela signifie aussi que les vaccinés sont de parfaits porteurs. En d'autres termes, ceux qui sont vaccinés sont une menace pour les non vaccinés, et non l'inverse.

    Tous les vaccins COVID-19 actuellement utilisés ont subi des tests minimes, avec des essais cliniques très accélérés. Bien qu'ils semblent limiter les maladies graves, le profil d'innocuité à long terme de ces vaccins reste inconnu.

    Certains de ces soi-disant « vaccins » utilisent une nouvelle technologie non testée qui n'a jamais été utilisée dans les vaccins auparavant. Les vaccins traditionnels utilisent un virus affaibli ou tué pour stimuler une réponse immunitaire. Les vaccins Moderna et Pfizer-BioNTech ne le font pas. Ils sont censés consister en une injection intramusculaire contenant une suspension de nanoparticules lipidiques remplies d'ARN messager. La façon dont ils génèrent une réponse immunitaire consiste à fusionner avec les cellules de l'épaule d'un receveur de vaccin, à subir une endocytose, à libérer leur cargaison d'ARNm dans ces cellules, puis à utiliser les ribosomes de ces cellules pour synthétiser des protéines de pointe SARS-CoV-2 modifiées in situ .

    Ces protéines Spike modifiées migrent ensuite vers la surface de la cellule, où elles sont ancrées en place par un domaine transmembranaire. Le système immunitaire adaptatif détecte la protéine virale non humaine exprimée par ces cellules, puis forme des anticorps contre cette protéine. Ceci est censé conférer une protection contre le virus, en entraînant le système immunitaire adaptatif à reconnaître et à produire des anticorps contre le Spike sur le virus réel. Les vaccins J&J et AstraZeneca font quelque chose de similaire, mais utilisent un vecteur adénovirus pour la livraison de matériel génétique au lieu d'une nanoparticule lipidique. Ces vaccins ont été produits ou validés à l'aide des lignées cellulaires fœtales HEK-293 et ​​PER.C6, contre lesquelles les personnes ayant certaines convictions religieuses peuvent s'opposer fortement.

    SARS-CoV-2 Spike est une protéine hautement pathogène en soi. Il est impossible d'exagérer le danger présenté par l'introduction de cette protéine dans le corps humain.

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  37. Les fabricants de vaccins prétendent que le vaccin reste dans les cellules de l'épaule et que le SARS-CoV-2 Spike produit et exprimé par ces cellules à partir du matériel génétique du vaccin est inoffensif et inerte, grâce à l'insertion de prolines dans la séquence Spike. pour le stabiliser dans la conformation de préfusion, empêchant le Spike de devenir actif et de fusionner avec d'autres cellules. Cependant, une étude pharmacocinétique du Japon a montré que les nanoparticules lipidiques et l'ARNm du vaccin Pfizer ne restaient pas dans l'épaule et étaient en fait bioaccumulés dans de nombreux organes différents, y compris les organes reproducteurs et les glandes surrénales, ce qui signifie que le Spike modifié s'exprime assez littéralement partout. Ces nanoparticules lipidiques peuvent déclencher l'anaphylaxie chez quelques malchanceux, mais l'expression non régulée de Spike dans diverses lignées cellulaires somatiques loin du site d'injection et les conséquences inconnues de celle-ci sont bien plus préoccupantes.

    L'ARN messager est normalement consommé juste après sa production dans le corps, étant traduit en une protéine par un ribosome. L'ARNm du vaccin COVID-19 est produit à l'extérieur du corps, bien avant qu'un ribosome ne le traduise. En attendant, il pourrait accumuler des dommages s'il est mal conservé. Lorsqu'un ribosome tente de traduire un brin endommagé d'ARNm, il peut se bloquer. Lorsque cela se produit, le ribosome devient inutile pour la traduction des protéines car il contient maintenant un morceau d'ARNm, comme une carte à lacets dans un ancien lecteur de cartes perforées. Le tout doit être nettoyé et de nouveaux ribosomes synthétisés pour le remplacer. Dans les cellules à faible renouvellement des ribosomes, comme les cellules nerveuses, cela peut entraîner une réduction de la synthèse des protéines, des effets cytopathiques et des neuropathies.

    Certaines protéines, y compris le SARS-CoV-2 Spike, ont des sites de clivage protéolytiques qui ressemblent essentiellement à de petites lignes pointillées qui disent «couper ici», qui attirent les propres protéases d'un organisme vivant (essentiellement des ciseaux moléculaires) pour les couper. Il est possible que S1 soit clivé de manière protéolytique à partir de S2, provoquant le flottement de S1 actif dans la circulation sanguine tout en laissant la « tige » S2 incrustée dans la membrane de la cellule qui a exprimé la protéine.

    Le SARS-CoV-2 Spike a une région superantigénique (SAg), qui peut favoriser une inflammation extrême.

    Des anticorps anti-Spike ont été trouvés dans une étude pour fonctionner comme des auto-anticorps et attaquer les propres cellules du corps. Ceux qui ont été immunisés avec des vaccins COVID-19 ont développé des caillots sanguins, une myocardite, le syndrome de Guillain-Barre, la paralysie de Bell et des poussées de sclérose en plaques, indiquant que le vaccin favorise des réactions auto-immunes contre les tissus sains.

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  38. SARS-CoV-2 Spike ne se lie pas seulement à ACE2. On soupçonnait qu'il avait des régions qui se lient à la basigine, aux intégrines, à la neuropiline-1 et aux lipopolysaccharides bactériens. Le SRAS-CoV-2 Spike, à lui seul, peut potentiellement lier n'importe laquelle de ces choses et agir comme un ligand pour elles, déclenchant une activité cellulaire non spécifiée et probablement hautement inflammatoire.

    Le SARS-CoV-2 Spike contient un insert PRRA inhabituel qui forme un site de clivage de la furine. La furine est une protéase humaine omniprésente, ce qui en fait une propriété idéale pour le Spike, lui conférant un degré élevé de tropisme cellulaire. Aucun coronavirus de type sauvage de type SRAS lié au SRAS-CoV-2 ne possède cette caractéristique, ce qui la rend très suspecte et peut-être un signe de falsification humaine.

    SARS-CoV-2 Spike a un domaine de type prion qui améliore son infectiosité.

    Le Spike S1 RBD peut se lier aux protéines de liaison à l'héparine et favoriser l'agrégation amyloïde. Chez l'homme, cela pourrait conduire à la maladie de Parkinson, à la démence à corps de Lewy, à la maladie d'Alzheimer prématurée ou à diverses autres maladies neurodégénératives. C'est très préoccupant car le SARS-CoV-2 S1 est capable de blesser et de pénétrer la barrière hémato-encéphalique et de pénétrer dans le cerveau. Il est également capable d'augmenter la perméabilité de la barrière hémato-encéphalique à d'autres molécules.

    Le SRAS-CoV-2, comme d'autres bêtacoronavirus, peut présenter un ADE de type Dengue ou une amélioration de la maladie dépendante des anticorps. Pour ceux qui ne le savent pas, certains virus, y compris les bêtacoronavirus, ont une fonctionnalité appelée ADE. Il y a aussi quelque chose appelé Original Antigenic Sin, qui est l'observation que le corps préfère produire des anticorps basés sur des souches de virus déjà rencontrées plutôt que sur des souches nouvellement rencontrées.

    Dans l'ADE, les anticorps d'une infection précédente deviennent non neutralisants en raison de mutations dans les protéines du virus. Ces anticorps non neutralisants agissent alors comme des chevaux de Troie, permettant au virus vivant et actif d'être attiré dans les macrophages par leurs voies de récepteur Fc, permettant au virus d'infecter des cellules immunitaires qu'il n'aurait pas pu infecter auparavant. Cela a été connu pour se produire avec la fièvre dengue ; quand quelqu'un tombe malade de la dengue, récupère, puis contracte une souche différente, il peut tomber très, très malade.

    Si quelqu'un est vacciné avec un ARNm basé sur le Spike de la souche Wuhan initiale du SRAS-CoV-2, puis qu'il est infecté par une future souche mutée du virus, il peut tomber gravement malade. En d'autres termes, il est possible que les vaccins sensibilisent quelqu'un à la maladie.

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  39. Il existe un précédent dans l'histoire récente. Le vaccin Dengvaxia de Sanofi contre la dengue a échoué car il a provoqué une sensibilisation immunitaire chez les personnes dont le système immunitaire était naïf de la dengue.

    Chez les souris immunisées contre le SRAS-CoV et confrontées au virus, un proche parent du SRAS-CoV-2, elles ont développé une sensibilisation immunitaire, une immunopathologie Th2 et une infiltration d'éosinophiles dans leurs poumons.

    On nous a dit que les vaccins à ARNm du SRAS-CoV-2 ne peuvent pas être intégrés dans le génome humain, car l'ARN messager ne peut pas être retransformé en ADN. C'est faux. Il existe dans les cellules humaines des éléments appelés rétrotransposons LINE-1, qui peuvent en effet intégrer l'ARNm dans un génome humain par transcription inverse endogène. Étant donné que l'ARNm utilisé dans les vaccins est stabilisé, il reste plus longtemps dans les cellules, ce qui augmente les chances que cela se produise. Si le gène du SARS-CoV-2 Spike est intégré dans une partie du génome qui n'est pas silencieuse et exprime réellement une protéine, il est possible que les personnes qui prennent ce vaccin expriment en continu le SARS-CoV-2 Spike à partir de leurs cellules somatiques. Pour le reste de leur vie.

    En inoculant aux gens un vaccin qui provoque la production de Spike dans leur corps in situ, on leur inocule une protéine pathogène. Une toxine qui peut provoquer une inflammation à long terme, des problèmes cardiaques et un risque accru de cancer. À long terme, elle peut également potentiellement conduire à une maladie neurodégénérative prématurée.

    Absolument personne ne devrait être contraint de prendre ce vaccin en aucune circonstance, et en fait, la campagne de vaccination doit être arrêtée immédiatement.

    Complot criminel COVID-19 :

    Le vaccin et le virus ont été fabriqués par les mêmes personnes.

    En 2014, il y a eu un moratoire sur la recherche sur le gain de fonction du SRAS qui a duré jusqu'en 2017. Cette recherche n'a pas été interrompue. Au lieu de cela, il a été externalisé, les subventions fédérales étant blanchies par le biais d'ONG.

    Ralph Baric est virologue et expert du SRAS à l'UNC Chapel Hill en Caroline du Nord. C'est à cela qu'Anthony Fauci faisait référence lorsqu'il a insisté, devant le Congrès, sur le fait que si des recherches sur le gain de fonction étaient menées, elles étaient menées en Caroline du Nord.

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  40. C'était un mensonge. Anthony Fauci a menti devant le Congrès. Un crime.

    Ralph Baric et Shi Zhengli sont collègues et ont co-écrit des articles ensemble. Ralph Baric a encadré Shi Zhengli dans ses techniques de manipulation de gain de fonction, en particulier le passage en série, ce qui entraîne un virus qui semble provenir de la nature. En d'autres termes, des armes biologiques niables. Le passage en série chez des souris hACE2 humanisées peut avoir produit quelque chose comme le SARS-CoV-2.

    Le financement de la recherche sur le gain de fonction menée à l'Institut de virologie de Wuhan est venu de Peter Daszak. Peter Daszak dirige une ONG appelée EcoHealth Alliance. EcoHealth Alliance a reçu des millions de dollars de subventions des National Institutes of Health/National Institute of Allergy and Infectious Diseases (c'est-à-dire Anthony Fauci), de la Defense Threat Reduction Agency (qui fait partie du département américain de la Défense) et des États-Unis. Agence pour le développement international. Le NIH/NIAID a contribué quelques millions de dollars, et le DTRA et l'USAID ont chacun contribué des dizaines de millions de dollars à cette recherche. Au total, c'était plus de cent millions de dollars.

    EcoHealth Alliance a sous-traité ces subventions à l'Institut de virologie de Wuhan, un laboratoire en Chine avec un dossier de sécurité très discutable et un personnel mal formé, afin qu'ils puissent mener des recherches de gain de fonction, non pas dans leur laboratoire sophistiqué P4, mais à un niveau -2 laboratoire où les techniciens ne portaient rien de plus sophistiqué que peut-être un filet à cheveux, des gants en latex et un masque chirurgical, au lieu des combinaisons à bulles utilisées pour travailler avec des virus dangereux. Des scientifiques chinois à Wuhan ont déclaré avoir été régulièrement mordus et urinés par des animaux de laboratoire. Pourquoi quelqu'un confierait-il ce travail dangereux et délicat à la République populaire de Chine, un pays tristement célèbre pour les accidents industriels et les explosions massives qui ont fait des centaines de morts, me dépasse complètement, à moins que l'objectif ne soit de déclencher volontairement une pandémie.

    En novembre 2019, trois techniciens de l'Institut de virologie de Wuhan ont développé des symptômes compatibles avec une maladie pseudo-grippale. Anthony Fauci, Peter Daszak et Ralph Baric ont tout de suite su ce qui s'était passé, car des canaux de retour existent entre ce laboratoire et nos scientifiques et fonctionnaires.

    Le 12 décembre 2019, Ralph Baric a signé un accord de transfert de matériel (essentiellement un NDA) pour recevoir du matériel lié au vaccin à ARNm contre le coronavirus co-détenu par Moderna et le NIH. Ce n'est qu'un mois plus tard, le 11 janvier 2020, que la Chine nous aurait envoyé la séquence de ce qui allait devenir le SARS-CoV-2. Moderna prétend, de manière assez absurde, qu'ils ont développé un vaccin fonctionnel à partir de cette séquence en moins de 48 heures.

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  41. Stéphane Bancel, l'actuel PDG de Moderna, était auparavant le PDG de bioMérieux, une multinationale française spécialisée dans les technologies de diagnostic médical, fondée par un certain Alain Mérieux. Alain Mérieux était l'une des personnes qui ont joué un rôle déterminant dans la construction du laboratoire P4 de l'Institut de virologie de Wuhan.

    La séquence donnée comme la plus proche parente du SARS-CoV-2, RaTG13, n'est pas un vrai virus. C'est un faux. Il a été créé en entrant manuellement une séquence de gènes dans une base de données, pour créer une histoire de couverture pour l'existence du SRAS-CoV-2, qui est très probablement une chimère à gain de fonction produite à l'Institut de virologie de Wuhan et était soit fuite accidentellement ou libérée intentionnellement.

    Le réservoir animal du SARS-CoV-2 n'a jamais été trouvé.

    Ce n'est pas une "théorie" du complot. Il s'agit d'un véritable complot criminel, dans lequel les personnes liées au développement de l'ARNm-1273 de Moderna sont directement connectées à l'Institut de virologie de Wuhan et à leur recherche sur le gain de fonction par très peu de degrés de séparation, voire aucun. La piste papier est bien établie.

    La théorie des fuites de laboratoire a été supprimée car tirer ce fil conduit inévitablement à conclure qu'il existe suffisamment de preuves circonstancielles pour relier Moderna, le NIH, le WIV et à la fois le vaccin et la création du virus. Dans un pays sain d'esprit, cela aurait immédiatement conduit au plus grand cas de RICO et de meurtre de masse au monde. Anthony Fauci, Peter Daszak, Ralph Baric, Shi Zhengli et Stéphane Bancel, et leurs complices, auraient été inculpés et poursuivis avec toute la rigueur de la loi. Au lieu de cela, des milliards de dollars de nos impôts ont été attribués aux coupables.

    Le FBI a perquisitionné Allure Medical dans le canton de Shelby, au nord de Détroit, pour avoir facturé une assurance pour « traitements COVID-19 frauduleux ». Le traitement qu'ils utilisaient ? Vitamine C intraveineuse. Un antioxydant. Ce qui, comme décrit ci-dessus, est un traitement tout à fait valable pour la septicémie induite par COVID-19 et fait désormais partie du protocole MATH+ avancé par le Dr Paul E. Marik.

    La FDA a interdit la ranitidine (Zantac) en raison d'une supposée contamination par la NDMA (N-nitrosodiméthylamine). La ranitidine n'est pas seulement un bloqueur de H2 utilisé comme antiacide, mais a également un puissant effet antioxydant, en éliminant les radicaux hydroxyles. Cela lui donne une utilité dans le traitement du COVID-19.

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  42. La FDA a également tenté de retirer la N-acétylcystéine, un supplément d'acides aminés et antioxydant inoffensif, des étagères, obligeant Amazon à la retirer de sa vitrine en ligne.

    Cela nous laisse avec une question effrayante : la FDA a-t-elle sciemment supprimé les antioxydants utiles pour traiter la septicémie au COVID-19 dans le cadre d'un complot criminel contre le public américain ?

    L’establishment coopère et facilite les pires criminels de l’histoire de l’humanité et supprime activement les traitements et thérapies non vaccinaux afin de nous obliger à injecter les produits de ces criminels dans notre corps. C'est absolument inacceptable.

    Développement d'un vaccin COVID-19 et liens avec le transhumanisme :

    Cette section traite de certains aspects plus spéculatifs de la pandémie et de la réaction de l'establishment médical et scientifique à celle-ci, ainsi que des liens inquiétants entre les scientifiques impliqués dans la recherche sur les vaccins et les scientifiques dont le travail consistait à fusionner la nanotechnologie avec des cellules vivantes.

    Le 9 juin 2020, Charles Lieber, un chercheur en nanotechnologie de Harvard avec des décennies d'expérience, a été inculpé par le DOJ pour fraude. Charles Lieber a reçu des millions de dollars de subventions du département américain de la Défense, en particulier des groupes de réflexion militaires DARPA, AFOSR et ONR, ainsi que des NIH et MITRE. Sa spécialité est l'utilisation de nanofils de silicium au lieu d'électrodes patch-clamp pour surveiller et moduler l'activité intracellulaire, ce sur quoi il travaille à Harvard depuis vingt ans. Il a prétendu avoir travaillé sur des batteries à nanofils de silicium en Chine, mais aucun de ses collègues ne peut se souvenir qu'il ait jamais travaillé sur la technologie des batteries dans sa vie ; toutes ses recherches portent sur la bionanotechnologie, ou le mélange de la nanotechnologie avec des cellules vivantes.

    L'acte d'accusation portait sur sa collaboration avec l'Université de technologie de Wuhan. Il avait doublé, contre les conditions de ses subventions du DOD, et pris de l'argent du plan Mille talents de la RPC, un programme que le gouvernement chinois utilise pour soudoyer les scientifiques occidentaux afin qu'ils partagent des informations exclusives sur la R&D qui peuvent être exploitées par l'APL pour un avantage stratégique. .

    Les propres articles de Charles Lieber décrivent l'utilisation de nanofils de silicium pour les interfaces cerveau-ordinateur, ou technologie de « dentelle neuronale ». Ses articles décrivent comment les neurones peuvent endocytoser des nanofils de silicium entiers ou des parties de ceux-ci, surveillant et même modulant l'activité neuronale.

    Charles Lieber était un collègue de Robert Langer. Ensemble, avec Daniel S. Kohane, ils ont travaillé sur un article décrivant des échafaudages de tissus artificiels qui pourraient être implantés dans un cœur humain pour surveiller son activité à distance.

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  43. Robert Langer, ancien élève du MIT et expert en délivrance de médicaments nanotechnologiques, est l'un des co-fondateurs de Moderna. Sa valeur nette est maintenant de 5,1 milliards de dollars grâce aux ventes de vaccins à ARNm-1273 de Moderna.

    Les bibliographies de Charles Lieber et de Robert Langer décrivent essentiellement des techniques d'amélioration humaine, c'est-à-dire le transhumanisme. Klaus Schwab, le fondateur du Forum économique mondial et l'architecte de la soi-disant « Grande réinitialisation », a longtemps parlé du « mélange de la biologie et des machines » dans ses livres.

    Depuis ces révélations, il a été porté à l'attention de chercheurs indépendants que les vaccins COVID-19 pourraient contenir des nanoparticules d'oxyde de graphène réduites. Des chercheurs japonais ont également trouvé des contaminants inexpliqués dans les vaccins COVID-19.

    L'oxyde de graphène est un anxiolytique. Il a été démontré qu'il réduisait l'anxiété des souris de laboratoire lorsqu'il était injecté dans leur cerveau. En effet, étant donné la propension du SARS-CoV-2 Spike à compromettre la barrière hémato-encéphalique et à augmenter sa perméabilité, c'est la protéine parfaite pour préparer le tissu cérébral à l'extravasation de nanoparticules de la circulation sanguine et dans le cerveau. Le graphène est également très conducteur et, dans certaines circonstances, paramagnétique.

    En 2013, sous l'administration Obama, la DARPA a lancé l'initiative BRAIN ; BRAIN est un acronyme pour Brain Research Through Advancing Innovative Neurotechnologies®. Ce programme implique le développement de technologies d'interface cerveau-ordinateur pour les militaires, en particulier des systèmes injectables non invasifs qui causent des dommages minimes aux tissus cérébraux lorsqu'ils sont retirés. Soi-disant, cette technologie serait utilisée pour soigner les soldats blessés souffrant de lésions cérébrales traumatiques, le contrôle cérébral direct des membres prothétiques et même de nouvelles capacités telles que le contrôle des drones avec son esprit.

    Diverses méthodes ont été proposées pour y parvenir, notamment l'optogénétique, la magnétogénétique, les ultrasons, les électrodes implantées et la stimulation électromagnétique transcrânienne. Dans tous les cas, le but est d'obtenir une capacité de lecture ou de lecture-écriture sur les neurones, soit en les stimulant et en les sondant, soit en les rendant particulièrement sensibles à la stimulation et au sondage.

    Cependant, la notion d'utilisation généralisée de la technologie BCI, telle que l'appareil Neuralink d'Elon Musk, soulève de nombreuses inquiétudes quant à la confidentialité et à l'autonomie personnelle. La lecture à partir des neurones est déjà assez problématique en elle-même. Les interfaces cerveau-ordinateur sans fil peuvent interagir avec l'infrastructure GSM sans fil actuelle ou future, créant des problèmes de sécurité des données neurologiques. Un pirate informatique ou un autre acteur malveillant peut compromettre ces réseaux pour obtenir les données cérébrales des personnes, puis les exploiter à des fins malveillantes.

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  44. Cependant, un appareil capable d'écrire sur les neurones humains, et pas seulement de lire à partir d'eux, présente un autre ensemble de problèmes éthiques encore plus sérieux. Un BCI capable de modifier le contenu de son esprit à des fins inoffensives, telles que projeter un affichage tête haute sur le centre visuel de son cerveau ou envoyer du son dans son cortex auditif, serait également théoriquement capable de modifier l'humeur et la personnalité, ou peut-être même subjuguer la volonté même de quelqu'un, le rendant totalement obéissant à l'autorité. Cette technologie serait le rêve humide d'un tyran. Imaginez des soldats qui tireraient sur leurs propres compatriotes sans hésitation, ou des serfs impuissants qui se contenteraient de vivre dans des chenils littéraux.

    Les BCI pourraient être utilisés pour modifier sans scrupules les perceptions de choses fondamentales telles que les émotions et les valeurs, en changeant les seuils de satiété, de bonheur, de colère, de dégoût, etc. Ce n'est pas sans conséquence. L'ensemble du régime de comportements de quelqu'un pourrait être modifié par un BCI, y compris des choses telles que la suppression de son appétit ou son désir de pratiquement n'importe quoi sur la hiérarchie des besoins de Maslow.

    Tout est possible lorsque vous avez un accès direct au cerveau de quelqu'un et à son contenu. Une personne obèse peut ressentir du dégoût à la vue de la nourriture. Quelqu'un qui est involontairement célibataire pourrait avoir sa libido désactivée afin qu'elle ne désire même pas de sexe pour commencer. Quelqu'un qui est raciste pourrait être forcé de se réjouir de cohabiter avec des personnes d'autres races. Quelqu'un qui est violent pourrait être forcé d'être doux et soumis. Ces choses peuvent vous sembler bonnes si vous êtes un tyran, mais pour les gens normaux, l'idée que l'autonomie personnelle soit ignorée à un tel degré est épouvantable.

    Pour les riches, les lacets neuronaux seraient une aubaine inégalée, leur donnant la possibilité d'améliorer leur intelligence avec des neuroprothèses (c'est-à-dire un «exocortex»), et de délivrer des commandes irrésistibles directement dans l'esprit de leurs serviteurs augmentés de BCI, même physiquement ou sexuellement. commandes abusives qu'ils refuseraient normalement.

    Si le vaccin est une méthode pour introduire subrepticement un BCI injectable chez des millions de personnes à leur insu ou sans leur consentement, alors ce à quoi nous assistons est la montée d'un régime tyrannique comme jamais vu auparavant sur cette planète, un régime qui a pleinement l'intention de dépouiller chaque homme, femme et enfant de notre libre arbitre.

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  45. Nos défauts sont ce qui nous rend humains. Une utopie obtenue en supprimant le libre arbitre des gens n'est pas du tout une utopie. C'est un cauchemar monomaniaque. De plus, les personnes qui nous gouvernent sont des types de la Triade noire à qui on ne peut pas faire confiance avec un tel pouvoir. Imaginez être battu et agressé sexuellement par un psychopathe riche et puissant et être obligé de sourire et de rire parce que votre dentelle neurale ne vous laisse pas d'autre choix que d'obéir à votre maître.

    Les élites vont de l'avant avec cette technologie sans laisser aux gens la possibilité de remettre en question les ramifications sociales ou éthiques, ou d'établir des cadres réglementaires qui garantissent que notre agence personnelle et notre autonomie ne seront pas outrepassées par ces dispositifs. Ils le font parce qu'ils rêvent secrètement d'un avenir où ils peuvent vous traiter pire qu'un animal et où vous ne pouvez même pas riposter. Si ce plan diabolique est autorisé à se poursuivre, il sonnera le glas de l'humanité telle que nous la connaissons.

    Conclusion :

    La pandémie actuelle a été produite et perpétuée par l'establishment, grâce à l'utilisation d'un virus conçu dans un laboratoire chinois de guerre biologique connecté à l'APL, avec l'aide de l'argent des contribuables américains et de l'expertise française.

    Cette recherche a été menée sous l'euphémisme absolument ridicule de recherche de « gain de fonction », qui est censée être effectuée afin de déterminer quels virus ont le plus grand potentiel de propagation zoonotique et de les vacciner ou de se prémunir de manière préventive.

    La recherche sur le gain de fonction/gain de menace, alias « recherche à double usage préoccupant », ou DURC, est une recherche sur les armes biologiques sous un autre nom, plus convivial, simplement pour éviter le tabou de l'appeler ce qu'elle est réellement. Cela a toujours été la recherche sur les armes biologiques. Les personnes qui mènent cette recherche comprennent parfaitement qu'elles prennent des agents pathogènes sauvages qui ne sont pas infectieux chez l'homme et les rendent plus infectieux, recevant souvent des subventions de groupes de réflexion militaires les encourageant à le faire.

    Ces virologues qui mènent ce type de recherches sont des ennemis de leurs semblables, à la manière des pompiers pyromanes. La recherche du GOF n'a jamais protégé personne d'une pandémie. En fait, il en a maintenant commencé un, ce qui signifie que son utilité pour la prévention des pandémies est en fait négative. Il aurait dû être interdit à l'échelle mondiale, et les fous qui l'exécutent auraient dû être mis dans des camisoles de force depuis longtemps.

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  46. Soit par une fuite soit par une libération intentionnelle de l'Institut de virologie de Wuhan, une souche mortelle du SRAS est désormais endémique dans le monde entier, après que l'OMS, le CDC et les responsables publics ont d'abord minimisé les risques, puis ont intentionnellement incité à la panique et aux blocages qui ont mis en péril la vie des gens. santé et leurs moyens de subsistance.

    Cela a ensuite été utilisé par la classe aristocratique complètement dépravée et psychopathe qui règne sur nous comme une excuse pour contraindre les gens à accepter un poison injecté qui peut être un agent de dépopulation, un agent de contrôle/pacification de l'esprit sous forme de « poussière intelligente » injectable. ou les deux en un. Ils croient qu'ils peuvent s'en sortir en armant la stigmatisation sociale du refus du vaccin. Ils sont incorrects.

    Leurs motivations sont claires et évidentes pour quiconque y a prêté attention. Ces mégalomanes ont pillé les fonds de pension du monde libre. Wall Street est insolvable et connaît une crise de liquidité continue depuis la fin de 2019. L'objectif est maintenant d'exercer un contrôle physique, mental et financier total et complet sur l'humanité avant de réaliser à quel point nous avons été extorqués par ces maniaques.

    La pandémie et sa réponse ont servi à plusieurs fins pour l'élite :

    • Cacher une dépression provoquée par le pillage usuraire de nos économies mené par des rentiers-capitalistes et des propriétaires absentéistes qui ne produisent absolument rien de quelque valeur que ce soit pour la société. Au lieu que nous ayons une Occupy Wall Street Part II très prévisible, les Elites et leurs comparses ont dû se lever à la télévision et se présenter comme des sauveurs sages et tout-puissants au lieu de la cabale en maraude de pirates terrestres méprisables qu'ils sont.
    • Détruire les petites entreprises et éroder la classe moyenne.
    • Transférer des milliards de dollars de richesse du public américain dans les poches de milliardaires et d'intérêts particuliers.
    • Se livrer à des délits d'initiés, acheter des actions dans des sociétés de biotechnologie et court-circuiter des entreprises physiques et des agences de voyages, dans le but de faire s'effondrer le commerce et le tourisme face à face et de les remplacer par le commerce électronique et la servitisation.

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  47. • Créer un casus belli pour la guerre avec la Chine, nous encourager à les attaquer, gaspiller des vies et des trésors américains et nous conduire au bord de l'armageddon nucléaire.
    • Établir des cadres technologiques et de biosécurité pour le contrôle de la population et des « villes intelligentes » technocratiques-socialistes où les mouvements de chacun sont suivis de manière despotique, le tout en prévision d'une automatisation généralisée, du chômage et des pénuries alimentaires, en utilisant le faux prétexte d'un vaccin pour forcer la coopération.

    N'importe laquelle de ces choses constituerait un viol vicieux de la société occidentale. Pris ensemble, ils mendient la croyance; ils sont une inversion complète de nos valeurs les plus chères.

    Quel est le but de tout cela ? On ne peut que spéculer sur les motivations des auteurs, cependant, nous avons quelques théories.

    Les élites tentent de gravir les échelons, d'effacer la mobilité ascendante pour de larges segments de la population, d'éliminer les opposants politiques et autres « indésirables », et de tenir le reste de l'humanité en laisse, en rationnant notre accès à certains biens et services qu'ils ont jugé « à fort impact », comme l'utilisation de l'automobile, le tourisme, la consommation de viande, etc. Naturellement, ils continueront à avoir leur propre luxe, dans le cadre d'un système de castes strict semblable à la féodalité.

    Pourquoi font-ils ça ? Simple. Les élites sont néo-malthusiennes et croient que nous sommes surpeuplés et que l'épuisement des ressources fera s'effondrer la civilisation en quelques décennies. Ils ne sont pas nécessairement incorrects dans cette croyance. Nous sommes surpeuplés et nous consommons trop de ressources. Cependant, orchestrer une prise de pouvoir aussi horrible et meurtrière en réponse à une crise imminente démontre qu'ils n'ont que le plus grand mépris pour leur prochain.

    À ceux qui participent à cette farce dégoûtante sans aucune compréhension de ce qu'ils font, nous avons un mot pour vous. Arrêter. Vous causez un tort irréparable à votre pays et à vos concitoyens.

    À ceux qui lisent peut-être cet avertissement et qui ont une connaissance et une compréhension complètes de ce qu'ils font et de la façon dont cela nuira injustement à des millions de personnes innocentes, nous avons quelques mots de plus.

    Au diable l'enfer. Vous ne détruirez pas l'Amérique et le monde libre, et vous n'aurez pas votre nouvel ordre mondial. Nous allons nous en assurer.

    https://www.lewrockwell.com/2021/09/no_author/spartacus/

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    Réponses
    1. (...) Pourquoi font-ils ça ? Simple. Les élites sont néo-malthusiennes et croient que nous sommes surpeuplés et que l'épuisement des ressources fera s'effondrer la civilisation en quelques décennies. Ils ne sont pas nécessairement incorrects dans cette croyance. Nous sommes surpeuplés et nous consommons trop de ressources. Cependant, orchestrer une prise de pouvoir aussi horrible et meurtrière en réponse à une crise imminente démontre qu'ils n'ont que le plus grand mépris pour leur prochain. (...)

      Le monde n'est nullement surpeuplé ! Il pourrait nourrir 10 fois plus qu'aujourd'hui !
      Il n'y a pas de manque de Matières Premières. Même le pétrole qui est abiotique se recycle à 100 % (Idem pour l'eau et les gaz).

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  48. Plus de 3 000 médecins et scientifiques signent une déclaration accusant les décideurs de COVID de «crimes contre l'humanité»


    Par Debra Heine
    24 septembre 2021


    Une « déclaration des médecins » produite par une alliance internationale de médecins et de scientifiques médicaux condamne fermement la stratégie mondiale de traitement du COVID, accusant les décideurs politiques de « crimes contre l'humanité » potentiels pour avoir empêché les médecins de fournir des traitements vitaux à leurs patients et réprimé discussion scientifique ouverte.

    Le document indique que les recommandations de traitement « taille unique » ont entraîné des maladies et des décès inutiles.

    Vendredi à 13h00, la déclaration avait recueilli plus de 3 100 signatures de médecins et de scientifiques du monde entier. (Voir ci-dessous pour le numéro mis à jour).

    Un groupe de médecins et de scientifiques s'est réuni à Rome, en Italie, plus tôt ce mois-ci pour un sommet mondial de trois jours sur Covid afin de parler «de la vérité au pouvoir sur la recherche et le traitement de la pandémie de Covid».

    Le sommet, qui s'est tenu du 12 au 14 septembre, a permis aux professionnels de la santé de comparer les études et d'évaluer l'efficacité des différents traitements développés dans les hôpitaux, les cabinets médicaux et les laboratoires de recherche du monde entier.

    Le document, reproduit ci-dessous dans son intégralité, est issu de cette conférence.

    La déclaration des médecins a été lue pour la première fois lors du sommet Covid de Rome, catalysant une explosion de soutien actif de scientifiques médicaux et de médecins du monde entier. Ces professionnels ne s'attendaient pas à des menaces de carrière, à des atteintes à leur personnalité, à des articles et à des recherches censurés, à des comptes sociaux bloqués, à des résultats de recherche manipulés, à des essais cliniques et à des observations de patients interdits, et à des antécédents professionnels et à des réalisations modifiés ou omis dans les médias universitaires et grand public.

    Le Dr Robert Malone, architecte de la plateforme de vaccins à ARNm, a lu la Déclaration de Rome lors du sommet.

    Des milliers de personnes sont mortes de Covid à la suite d'un refus de traitement précoce salvateur. La Déclaration est un cri de guerre des médecins qui se battent quotidiennement pour le droit de traiter leurs patients et le droit des patients de recevoir ces traitements - sans crainte d'ingérence, de représailles ou de censure de la part du gouvernement, des pharmacies, des sociétés pharmaceutiques et des grandes technologies. Nous exigeons que ces groupes se retirent et honorent le caractère sacré et l'intégrité de la relation patient-médecin, la maxime fondamentale « D'abord ne pas nuire » et la liberté des patients et des médecins de prendre des décisions médicales éclairées. Des vies en dépendent.

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  49. Nous, médecins du monde, unis et fidèles au serment d'Hippocrate, reconnaissant la profession de la médecine telle que nous la connaissons à la croisée des chemins, sommes obligés de déclarer ce qui suit ;

    ATTENDU QU'il est de notre responsabilité et de notre devoir de défendre et de restaurer la dignité, l'intégrité, l'art et la science de la médecine ;

    ATTENDU QU'il y a un assaut sans précédent sur notre capacité à prendre soin de nos patients;

    ATTENDU QUE les décideurs publics ont choisi d'imposer une stratégie de traitement « taille unique », entraînant des maladies et des décès inutiles, plutôt que de maintenir les concepts fondamentaux de l'approche individualisée et personnalisée des soins aux patients qui s'est avérée sûre et plus efficace ;

    ATTENDU QUE les médecins et autres fournisseurs de soins de santé travaillant en première ligne, utilisant leurs connaissances en épidémiologie, physiopathologie et pharmacologie, sont souvent les premiers à identifier de nouveaux traitements potentiellement salvateurs ;

    ATTENDU QUE les médecins sont de plus en plus découragés de s'engager dans un discours professionnel ouvert et l'échange d'idées sur les maladies nouvelles et émergentes, mettant non seulement en danger l'essence de la profession médicale, mais surtout, plus tragiquement, la vie de nos patients ;

    ATTENDU QUE des milliers de médecins sont empêchés de soigner leurs patients en raison des barrières érigées par les pharmacies, les hôpitaux et les agences de santé publique, rendant la grande majorité des prestataires de soins de santé impuissants à protéger leurs patients face à la maladie. Les médecins conseillent désormais à leurs patients de simplement rentrer chez eux (permettant au virus de se répliquer) et de revenir lorsque leur maladie s'aggrave, entraînant des centaines de milliers de décès de patients inutiles, en raison d'un défaut de traitement ;

    ATTENDU QUE ce n'est pas de la médecine. Ce n'est pas un souci. Ces politiques peuvent en fait constituer des crimes contre l'humanité.

    C'EST DONC MAINTENANT :

    RÉSOLU que la relation médecin-patient doit être rétablie. Le cœur même de la médecine est cette relation, qui permet aux médecins de mieux comprendre leurs patients et leurs maladies, de formuler des traitements qui donnent les meilleures chances de succès, tandis que le patient participe activement à sa prise en charge.

    RÉSOLU, que l'intrusion politique dans la pratique de la médecine et la relation médecin/patient doit cesser. Les médecins et tous les prestataires de soins de santé doivent être libres de pratiquer l'art et la science de la médecine sans crainte de représailles, de censure, de calomnie ou de mesures disciplinaires, y compris la perte possible du permis d'exercice et des privilèges hospitaliers, la perte de contrats d'assurance et l'ingérence d'entités gouvernementales et les organisations – qui nous empêchent encore plus de soigner les patients dans le besoin. Plus que jamais, le droit et la capacité d'échanger des découvertes scientifiques objectives, qui améliorent notre compréhension de la maladie, doivent être protégés.

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  50. RÉSOLU que les médecins doivent défendre leur droit de prescrire un traitement, en respectant le principe PREMIER, NE PAS NOMMAGER. Les médecins ne doivent pas être empêchés de prescrire des traitements sûrs et efficaces. Ces restrictions continuent de causer des maladies et des décès inutiles. Les droits des patients, après avoir été pleinement informés des risques et des avantages de chaque option, doivent être rétablis pour recevoir ces traitements.

    RÉSOLU, que nous invitons les médecins du monde et tous les fournisseurs de soins de santé à se joindre à nous dans cette noble cause alors que nous nous efforçons de restaurer la confiance, l'intégrité et le professionnalisme dans la pratique de la médecine.

    RÉSOLU, que nous invitons les scientifiques du monde entier, compétents en recherche biomédicale et respectant les normes éthiques et morales les plus élevées, à insister sur leur capacité à mener et à publier des recherches empiriques objectives sans crainte de représailles sur leur carrière, leur réputation et leurs moyens de subsistance. .

    RÉSOLU, que nous invitons les patients, qui croient en l'importance de la relation médecin-patient et en la capacité de participer activement à leurs soins, à exiger l'accès à des soins médicaux fondés sur la science.

    Mettre à jour:

    Lundi après-midi, plus de 4 600 médecins et scientifiques du monde entier avaient signé la « Déclaration de Rome ».

    https://amgreatness.com/2021/09/24/over-3000-doctors-and-scientists-sign-declaration-accusing-covid-policy-makers-of-crimes-against-humanity/

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  51. Dérivant en mer sur un bateau de fous


    Par Arno Develay
    28 septembre 2021



    Alors que les médias impériaux commémorent le 20e anniversaire des attentats du World Trade Center (un événement qui s'apparente à ce que la foule des néoconservateurs attendait autrefois comme un « nouveau Pearl Harbor »), il convient de noter qu'il existe, plus que jamais dans la mémoire récente, un contraste saisissant entre une vision partagée par les États encore accrochés au système international d'après-guerre incarné par la Charte des Nations Unies et ceux (pour la plupart partisans d'un ethos post-national) qui tenteraient de convaincre l'opinion publique que ladite Charte a désormais remplacé par ce qu'Anthony J. BLINKEN a qualifié d'« ordre international fondé sur des règles ».

    La faction « post-nationale » semble avoir totalement aboli la vertu structurante de la Charte pour la remplacer par des notions vagues de « justice internationale », de « parité hommes-femmes » tout en tenant plus généralement compte de la chimère de « l'inclusivité » et « diversité ». Ce faisant, ces « ersatz de sociétés » post-nationales ont apparemment éviscéré le corpus de normes de longue date, durables et éprouvées en cas de crise de respect de la souveraineté nationale, de résolution pacifique des différends, d'analyse factuelle et plus généralement de recherche de consensus.

    Pour ainsi dire, la sémantique même de l'art ancien de la diplomatie a subi une profonde transformation, après quoi une rhétorique émotionnelle (certains pourraient dire hystérique) en est venue à caractériser tout le spectre des discussions sur une question telle que la lutte contre le terrorisme.

    Des experts occidentaux ont accusé les États prônant le respect de la souveraineté nationale de se livrer à un « révisionnisme autocratique ». À savoir, le terme chargé de «pouvoir révisionniste» comporte des nuances inquiétantes car il fait allusion à la négation de certains des chapitres les plus crapuleux du 20e siècle.

    À la lumière d'une telle rhétorique, il devient évident que la recherche d'un commun accord et d'un discours raisonnable dans les cercles diplomatiques peut rapidement dégénérer en un pointage du doigt acrimonieux et une obstruction inutile sur les questions les plus banales avec lesquelles TOUS les membres de la communauté internationale des nations doivent se débattre.

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  52. Cela nous amène au dilemme sur la question de l'avancement normatif de la justice internationale, certains diraient « universelle ».

    L'héritage de Nuremberg et la philosophie des droits de l'homme

    À la fin de la Seconde Guerre mondiale, les Alliés victorieux ont cherché pour la première fois dans l'Histoire à tenir pour responsables les hauts dirigeants d'un État vaincu, l'Allemagne national-socialiste, en organisant une série de procès dans la ville de Nuremberg.

    Ce faisant, les Alliés ont radicalement modifié le corpus dominant en adoptant des notions telles que la responsabilité du commandement, les crimes de guerre et les crimes contre l'humanité. Plus particulièrement, les tribunaux de Nuremberg ont introduit le concept de « crimes contre la paix », ouvrant ainsi la voie à un dilemme apparemment inconciliable entre la « recherche de la paix » normative et les moyens nécessaires pour y parvenir. Dans sa déclaration liminaire au Tribunal en novembre 1945, le juge Robert Jackson a notamment déclaré : « Nous ne devons jamais oublier que le dossier sur lequel nous jugeons ces accusés aujourd'hui est le dossier sur lequel l'histoire nous jugera demain. Donner à ces accusés un calice empoisonné, c'est aussi le porter à nos propres lèvres… »[1]

    De plus, Jackson a souligné sans ambiguïté que le traitement peut en effet se révéler pire que la maladie qu'il prétend guérir : « Si certains actes de violation des traités sont des crimes, ce sont des crimes, que les États-Unis les fassent ou que l'Allemagne les fasse, et nous ne sommes pas disposés à imposer à autrui une règle de conduite criminelle que nous ne serions pas disposés à invoquer contre nous.

    L'héritage de ces procès reste controversé à ce jour car les États-Unis et leurs alliés ont, depuis la fin de la guerre froide, eu recours à l'agression précisément pour imposer la « démocratie » dans des régions du monde où, sans surprise, le traité de l'Atlantique Nord L'organisation semblait avoir déterminé qu'elle servirait ses intérêts géopolitiques.

    La religion des droits de l'homme

    Dans la poursuite de sa croisade en faveur de « la démocratie et des droits de l'homme », l'Occident s'est livré à une forme de narcissisme malin frisant parfois l'orgueil pur et simple : en effet, qui peut oublier la désormais tristement célèbre boutade de l'ancienne secrétaire d'État Madeleine Albright sur les États-Unis comme « la nation indispensable » ?

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  53. Le juriste français Jean-Louis HAROUEL a exposé le caractère insidieux de l'approche normative en ce qui concerne les droits de l'homme. Écrivant dans son livre fondateur publié en 2016, « Les Droits de l'homme contre le peuple », « Les droits de l'homme contre le peuple », HAROUEL dénonce l'application hypocrite et sélective de la « Religion des droits de l'homme » dans laquelle il voit l'après- État national s'engageant dans une forme distincte de millénarisme désincarné souvent contre les intérêts de ses propres citoyens :

    « Pour pouvoir réagir, il faudra donner un petit coup de pouce à la « règle de droit », telle qu'elle est actuellement imposée aux Européens de cette manière positivement suicidaire par la religion laïque des droits de l'homme.

    En effet, ce sont les néoconservateurs eux-mêmes qui ont fait de l'imposition de la démocratie l'une de leurs justifications pour l'invasion illégale de l'Irak en 2003. Malgré l'absence totale de preuves liant Saddam Hussein aux attaques contre le World Trade Center, il est devenu impératif « de les combattre (qui exactement ?) là-bas afin que nous n'ayons pas à les combattre ici ».

    L'invasion de l'Afghanistan a elle-même été vendue à l'opinion publique occidentale comme une tentative de garantir que les filles afghanes puissent aller à l'école et poursuivre leurs études.

    Comme le député républicain Lindsey Graham l'a répété à plusieurs reprises :

    « Les talibans ont été renversés en Afghanistan, la musique n'est plus interdite, les voitures sont revenues dans les rues et les citoyens participent à la grande expérience qu'est la démocratie.

    Des millions de jeunes – y compris des filles et des femmes – fréquentent les écoles et les universités avec l'espoir pour leur avenir et le désir de faire avancer l'Afghanistan, pas de reculer. Ils sont nos meilleurs partenaires dans le temps et leur succès est notre succès… »

    Le projet Rojava, le MEK et Masoud : outils de l'ingérence occidentale ou phares des Lumières progressistes combattant l'obscurantisme ?

    De nombreuses tendances à la mode consistant à adorer les personnages exotiques à la hollywoodienne ont inondé les médias occidentaux et les salons parisiens au fil des ans.

    Il y a vingt ans, le philosophe autoproclamé Bernard-Henry LEVY était déjà à pied d'œuvre pour agiter le feu du commandant MASSOUD. Le leader afghan de l'Alliance du Nord a été présenté comme le CHE GUEVARA de la vallée du Panjshir. Aucun effort n'a été épargné pour vendre le chef de guerre à l'opinion publique comme l'incarnation de la bravoure et du courage. Ses compétences en tant que commandant militaire ont été décrites comme légendaires. L'avenir s'annonçait radieux pour le Lion du Panjshir. C'est jusqu'à ce que sa vie se termine brutalement dans des circonstances mystérieuses deux jours avant le 11 septembre 2001.

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  54. À la suite de l'attaque contre le World Trade Center, aucune quantité d'éloges et de tristesse à peine dissimulée n'a été étendue pour pleurer MASOUD en tant que fervent défenseur des droits des femmes afghanes.

    Dans les trois semaines qui ont suivi l'attaque du 7 octobre, les États-Unis se sont précipités en Afghanistan pour « se venger » des talibans, dont on nous a dit qu'ils avaient non seulement porté secours à Oussama Ben LADEN, mais refusaient désormais de le livrer pour « faire face à la justice ». ”

    20 ans plus tard et après que les États-Unis aient dépensé 2 000 milliards de dollars pour « la construction de la démocratie », la soif du philosophe autoproclamé français pour plus de déstabilisations n'a apparemment pas été étanchée.

    « Je viens de parler à Ahmad Masoud au téléphone. Il a dit : « Je suis le fils d'Ahmad Shah Masoud ; la reddition ne fait pas partie de mon vocabulaire. C'est le début. La résistance vient de commencer.

    Levy a, au cours des 40 dernières années, plaidé contre tous les pays perçus de loin comme refusant l'ingérence étrangère dans leurs propres affaires ; un concept qui semble échapper au Français résolument pro-israélien.

    S'adressant au Guardian dans une interview en 2012 avant une projection spéciale de son autopromotion « Le serment de Tobrouk » devant des membres éminents de l'opposition syrienne, Levy s'est vanté :

    « Je veux que ce qui s'est passé en Libye soit perçu comme la preuve qu'une intervention étrangère est possible en Syrie. Homs aujourd'hui est Benghazi hier.

    Sans surprise, ayant longtemps appelé au renversement du gouvernement syrien (conformément à la politique officielle du département d'État consistant à occuper illégalement le nord-est de la Syrie riche en pétrole (afin de) « garder un œil sur l'Iran »), « BHL » s'est lancé dans une campagne de plaidoyer en faveur des Kurdes syriens.

    S'adressant à Vanity Fair en 2017 tout en faisant la promotion de « Peshmerga » (une tentative à peine voilée de dissimuler un appel à une intervention directe de l'OTAN dans un documentaire), BHL a déploré l'échec du projet de changement de régime de l'OTAN en Syrie :

    « Vous, nous, aurions pu créer une zone d'exclusion aérienne. Vous, nous, aurions pu créer une zone de non-entraînement pour les armes lourdes. Vous, nous, aurions pu créer des zones de protection des personnes. Etc. Il y avait tellement de solutions intermédiaires entre ne rien faire et lancer une guerre à grande échelle. Entre « Irak » et « rien », nous aurions pu essayer beaucoup de choses. »

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  55. Dans l'état actuel des choses, l'occupation par l'OTAN du nord-est syrien semble viser une alternative fondée sur le soutien militaire et financier à l'Administration autonome kurde autoproclamée ; ce que le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï LAVROV a déclaré équivaut à des tentatives de l'Occident de créer un "quasi-État". S'exprimant lors du deuxième Forum de Paris sur la paix en 2019, Lavrov a décrit la situation comme suit :

    « Sur la rive orientale de l'Euphrate, ils [les États-Unis] ont construit des structures quasi-étatiques et ont demandé aux pays du Golfe d'investir massivement afin qu'ils puissent créer une administration locale basée sur les Forces démocratiques syriennes [SDF], le PYD kurde et d'autres avec l'intention très brutale de séparer cette partie de la Syrie et d'y contrôler les gisements de pétrole.

    Cette approche de la « réalité de terrain » (qui rappelle les colonies israéliennes en Palestine occupée) révèle pourtant de profondes contradictions au cœur même de la vision du monde des États post-nationaux ; à savoir l'impossibilité de promouvoir la « justice internationale » et un « ordre fondé sur des règles » lorsque des idéaux aussi nobles sont confrontés à des intérêts détenus par des États toujours attachés aux principes fondamentaux de souveraineté nationale et d'indépendance politique de la Charte des Nations Unies.

    Cette contradiction inhérente a été mise en évidence dans un article de février 2021 publié par Defence One dans lequel l'auteur fait allusion à la question de traduire en justice les détenus de l'EIIS comme une course folle malgré d'énormes dépenses financières versées dans les zones contrôlées par les Kurdes.

    « La coalition anti-EI dirigée par les États-Unis finance une expansion spectaculaire d'un grand centre de détention dans le nord-est de la Syrie, une décision qui pourrait réduire les risques d'évasions, mais qui signale qu'aucune meilleure façon n'est en vue de traiter les militants étrangers et locaux capturés. … L'organe qui les détient – ​​le SDF – n'est pas un gouvernement internationalement reconnu, ce qui rend impossible un système judiciaire valide. »

    L'« impossibilité » légale n'a cependant pas empêché l'Autorité provisoire de la coalition en Irak de procéder à la mise en place d'un tribunal pour juger l'ancien président de ce pays. Il faut alors arriver à la conclusion que les temps ont bien changé et qu'un réalignement géopolitique a réussi à faire basculer l'équilibre du droit international du côté d'une interprétation stricte de la Charte des Nations Unies.

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  56. Cette évolution des plus bienvenues ne semble hélas pas s'être étendue à la réhabilitation des organisations terroristes malgré des preuves bien documentées que ces entités n'ont en aucun cas abandonné leur idéologie.

    C'est le cas du mouvement dit des Moudjahidine du peuple.

    Réputé responsable de la mort de plus de 10 000 Iraniens, dont l'attentat à la bombe en 1981 des bureaux occupés par le Premier ministre de la République islamique d'Iran, Mohammad Javad BAHONAR qui a entraîné la mort de ce dernier ainsi que celle du président Mohammad Ali RAJAI et six d'autres responsables iraniens.

    Le MEK, comme l'organisation est connue, a été répertorié comme une organisation terroriste jusqu'à ce qu'à la suite de l'invasion illégale de l'Irak par les États-Unis en 2003, une trêve a été signée avec les Américains qui prévoyait que le MEK établisse sa base à Achraf.

    Cela a ouvert la voie à un processus qui a abouti à la radiation de l'organisation par les Américains en 2012 ; une décision qui a suivi le blanchiment de l'organisation par l'UE en 2009.

    A partir de ce moment, le MEK a bénéficié du soutien politique de sommités telles que les néoconservateurs purs et durs tels que John BOLTON et John Mc CAIN, l'ancien directeur de la CIA et responsable de l'administration TRUMP Mike POMPEO, l'ancien président de la Chambre républicaine Newt GINGRICH ainsi que l'ancien Rudolph GULIANI, maire de New-York et proche collaborateur de TRUMP.

    En juin 2018, le MEK a tenu sa réunion annuelle à VILLEPINTE, une ville de banlieue près de PARIS où John BOLTON, alors conseiller à la sécurité nationale, a promis à une foule enthousiaste de plus de 25 000 participants qu'ils gouverneraient l'Iran « avant 2019 ».

    Non seulement BOLTON n'a pas tenu sa promesse, mais il a fini par être limogé par Donald TRUMP 18 mois plus tard à cause de ce que le New-York Times a décrit comme le malaise de TRUMP envers « M. L'approche militante de BOLTON, au point qu'il a fait des blagues acérées lors de réunions sur le désir de son conseiller d'entraîner les États-Unis dans plus de guerres.

    Allumer une allumette au-dessus d'un baril de pétrole

    Certes, John BOLTON et ses semblables sont toujours convaincus que l'utilisation de la force militaire pour imposer la démocratie à l'étranger reste plus que jamais d'actualité et que ce que George W. BUSH a un jour proclamé comme « l'appel de notre temps » devrait continuer à guider l'étranger américain. politique.

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  57. Fidèles aux racines du mouvement qui remontent au concept de « révolution permanente » de Léon TROTSKY, les néoconservateurs ne souffrent aucune contradiction et aucun d'entre eux n'a jamais subi de conséquences négatives pour leur campagne délibérée visant à induire le public en erreur dans une guerre illégale.

    En raison du fait que Washington a fait étalage des normes les plus élémentaires du droit international, la guerre en Irak a fini par annoncer le déclin lent mais constant de l'Amérique en tant que superpuissance militaire.

    Pour ne pas se laisser décourager, John BOLTON a un nouveau projet favori.

    Le Middle East Monitor a rapporté en juin dernier que l'ancien ambassadeur de BUSH auprès de l'ONU avait rejoint le conseil consultatif d'une nouvelle organisation appelée Projet de démocratie turque.

    De toute évidence, les néoconservateurs veulent punir le turc Recep ERDOGAN pour le mépris résolument insolent de ce dernier pour les règles car celles-ci se rapportent à être un vassal loyal de Washington.

    On peut parier que, un peu comme le traitement du dossier vénézuélien par son compagnon de voyage Elliott ABRAMS, BOLTON cherchera à soutenir un « pilier démocratique » encore inconnu derrière lequel Washington apportera son soutien.

    Les temps ont cependant changé et les États-Unis sont confrontés à d'énormes problèmes sur le front intérieur.

    L'économie est au point mort, l'inflation galope et les libertés civiles sont en déclin.

    Dans deux livres fondateurs intitulés « Blowback : The Costs and Consequences of the American Empire » et « Sorrows of Empire », le politologue américain Chalmer Johnson a mis en garde contre les pièges d'une portée impériale excessive, avertissant que de telles politiques conduisaient généralement à un retour de flamme à la maison.[2 ][3]

    20 ans se sont écoulés depuis ce matin fatidique à New-York. Le monde a été témoin d'un déchaînement de violence qui a depuis assisté à la résurgence de la Russie en tant que force à laquelle il faut compter et à l'ascension de la Chine en tant que superpuissance économique prédominante a fait fulminer Washington à l'idée de perdre son statut de superpuissance unique.

    Le budget militaire américain est monté en flèche à des niveaux sans précédent alors que les infrastructures du pays s'effondrent. Les inégalités économiques se sont creusées, des millions de personnes vivant sous le seuil de pauvreté. La crise des soins de santé a laissé d'innombrables citoyens américains dans l'incapacité de se payer les soins les plus élémentaires et les campus universitaires sont devenus des foyers de « wokisme ».

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  58. Insensibles à cette descente implacable dans l'inutilité internationale, les hauts responsables de l'administration BIDEN continuent de sermonner leurs homologues sur les « droits de l'homme » et « l'ordre international fondé sur des règles », sans se rendre compte que les États-Unis devraient commencer par mettre de l'ordre dans leur propre maison.

    Des réalités artificiellement concoctées et présentées au public par les médias d'entreprise tout au long des années TRUMP ont en outre réussi à augmenter l'hystérie de masse à des niveaux dangereux qui à leur tour ont imprégné les institutions et entravé la conduite de la politique étrangère de manière rationnelle et digne.

    Dans « The Guns of August », Barbara Tuchman résume sobrement la période précédant le déclenchement de la Première Guerre mondiale.

    « L'Europe était un tas d'épées empilées aussi délicatement que des pailles ; on ne pouvait pas en sortir sans déplacer les autres.

    La Charte des Nations Unies n'est peut-être pas parfaite, mais elle a réussi à servir de boussole nécessaire pour garder le monde à l'écart du fléau de l'anéantissement nucléaire. Notre époque exige qu'elle soit restaurée en tant qu'arbitre ultime des différends, de peur que ceux qui voudraient s'engager dans l'aventurisme politique ne nous entraînent tous dans l'abîme.


    [1] Speeches – sp_05-16-03 – Supreme Court of the United States

    [2] Blowback: the costs and consequences of American empire, New York: Henry Holt, [2000]

    [3] The Sorrows of Empire: Militarism, Secrecy, and the End of the Republic. New York: Metropolitan Books, 2004

    https://www.lewrockwell.com/2021/09/no_author/drifting-at-sea-on-a-ship-of-fools/

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    Réponses
    1. (...) La religion des droits de l'homme (...)

      A vrai dire il n'y a JAMAIS eu de 'Déclaration des droits de l'homme' car cette déclaration ne comporte nullement le terme de Démocratie ! (Par le Peuple Pour le Peuple).

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  59. Un nouveau documentaire révèle à quel point les énergies vertes sont corrompues et destructrices : « Ceci est un système brisé »


    Par P Gosselin
    AucuneTricksZone
    28 septembre 2021


    L'avenir de l'énergie verte n'est pas du tout vert, un nouveau documentaire époustouflant montre à quel point il est corrompu et destructeur pour notre environnement.

    Un ancien employé de KPMG à Londres se rend compte que le mouvement de l'énergie verte est corrompu partout.

    « Pendant tout ce temps, les choses ont commencé à être drôles. C'était comme un bug. C'est comme si ça ne se sent pas bien. Ces gens font ces grands projets et gagnent beaucoup d'argent. Mais ils ne sont pas durables. Vous savez, ce sont quelques-uns des monstres les plus égocentriques. Il y a beaucoup de choses sombres dans les chaînes d'approvisionnement de ces entreprises. Tout est une question d'argent, et ils utilisent le programme de développement durable comme un autre outil, un autre bâton pour battre leurs fournisseurs. » – Alexander Pohl, ancien employé, KPMG Londres. « Ces gens sont partout. c'est une corruption systémique.

    Le Mouvement Vert est basé sur des mensonges : l'Homme n'est pas devenu le plus grand moteur climatique, et les énergies vertes ne sauvent pas l'environnement. C'est le contraire qui est réel.

    Le dernier film de Marijn Poels, Headwind, nous montre qu'une grande partie des énergies vertes actuellement installées ravagent de manière irréversible l'environnement et que les entreprises gagnent des tonnes d'argent.

    - voir clip sur site -

    On nous dit que les solutions d'aujourd'hui seront les catastrophes environnementales de demain.

    Greta est sur le point de se réveiller brutalement.

    Voir aussi ceci.

    Cela est apparu à l'origine sur NoTricksZone.

    https://www.lewrockwell.com/2021/09/no_author/new-documentary-reveals-how-corrupt-and-destructive-green-energies-are-this-is-a-broken-system/

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  60. Le Grand Tell


    Par James Howard Kunstler
    Kunstler.com
    28 septembre 2021


    L'audit des élections en Arizona a culminé vendredi dans le nouveau mode de l'histoire en cours : le dépôt direct dans le trou de mémoire‚ prouvant seulement (et de manière concluante) que c'est l'âge de tout va et rien n'a d'importance. Les médias d'entreprise ont joué l'histoire comme un pet dans une tempête de vent pour son public de crédules avides. Rien à voir, les amis, avancez….

    Un examen plus approfondi des résultats de l'audit révèle au moins 57 000 bulletins de vote dans le désordre d'une manière ou d'une autre et des preuves que les responsables du comté ont falsifié les dossiers électoraux numériques avant l'audit. Ces questions sont maintenant renvoyées par le Sénat de l'AZ au procureur général de l'AZ, Mark Brnovich, connu dans le passé pour ses problèmes difficiles. Cependant, Brnovich est candidat au Sénat américain en 2022 et a envoyé des signaux indiquant qu'il prendrait au sérieux les plaintes pénales.

    Dans tous les cas, la foule de MAGA n'a pas obtenu la victoire écrasante espérée sur le mal manifeste qu'elle souhaitait et les élections janky de 2020 seront probablement noyées par la prochaine vague de développements dans ce qui ressemble beaucoup au torpillage délibéré. de l'Ouest Civ. L'élection de 2020, après tout, était une question de procédure (si elle s'est déroulée au plus haut niveau de la procédure nationale), mais ce qui nous attend, ce sont bien plus des questions de vie ou de mort : gagnerez-vous votre vie ? Resterez-vous en bonne santé ? Aurez-vous assez à manger ? Aurez-vous un toit au-dessus de votre tête ? Resterez-vous en dehors de la prison ? Des trucs comme ça.

    Tout cela est difficile à démêler sous l'assaut de la tyrannie officielle et de la propagande implacable. L'effort pour vax-up la moitié récalcitrante vax-non-merci de l'Amérique a été repoussé vendredi lorsqu'une cour d'appel fédérale a émis une injonction temporaire contre l'ordre du maire de New York, Bill DeBlasio, d'obliger la vaccination de tous les enseignants des écoles publiques. Cette querelle passe rapidement à un panel de trois juges pour une autre décision prévue mercredi. Si l'ordre est ramené à max vax, cela accélérera la mort d'un système scolaire souffrant de maladies chroniques qui, pendant des décennies, n'a fait semblant d'éduquer les enfants.

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  61. Pendant ce temps, le mandat de vax de l'État de New York pour tous les travailleurs de la santé entre en vigueur aujourd'hui. L'ordonnance paralysera à coup sûr les soins de santé dans un État souffrant déjà d'un manque de personnel au niveau de la crise dans les hôpitaux – en grande partie en raison des efforts déployés depuis des années par les hôpitaux à but lucratif pour licencier des employés, en particulier des infirmières, tout en comblant les millions de personnes. les salaires en dollars des cadres qui dirigent des conglomérats hospitaliers. Le remplaçant d'Andrew Cuomo, le désastreux nouveau gouverneur Kathy Hochul, a déclaré la semaine dernière de manière hilarante que les agents de santé licenciés pour refus de vax peuvent être remplacés par des travailleurs de pays étrangers.

    Bien sûr, l'établissement de santé américain implosait déjà sous le poids du racket intégré, et les coups de feu imposés aux travailleurs vont désormais porter le coup de grâce. Cela s'ajoute au fait que la confiance et le respect du public envers les médecins commencent à l'emporter même sur sa faible estime pour les politiciens qui assistent ces opérations de racket. La profession médicale qui a pris pour devise d'abord ne pas nuire ressemble de plus en plus à un complice du meurtre de masse – en supprimant les premiers traitements efficaces de Covid, en promouvant les fiascos iatrogènes connus de l'intubation et du Remdesivir, en continuant à utiliser les tests PCR discrédités et en utilisant un VAERS système avec un site Web tellement défectueux que les médecins ne peuvent même pas se donner la peine de signaler des réactions nocives aux vaccins pendant que les bureaucrates médicaux cachent et jouent à toutes les données qui fuient à travers leurs puissants filtres. Sans parler du développement de l'arme biologique Covid-19 en premier lieu, puis d'un vaccin toxique pour terminer proprement le travail.

    Dans un autre développement pandémique, Leana Wen, médecin de prédilection de CNN et pousseuse de vaccins, de l'Université George Washington, a déclaré de manière surprenante que les personnes vaccinées sont désormais une menace pour les non vaccinés, car les vaccinés portent des charges virales élevées, ce qui en fait des épandeurs efficaces de Covid-19. Est-ce que c'est ce qu'un « vaccin » est censé faire ? Améliorer la transmission des maladies ? Si le public n'est pas déjà assez embobiné, celui-là scellera probablement l'affaire.

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  62. Ce qui amène les non-bamboozled à soupçonner que nous sommes au milieu d'une monumentale opération psychologique de deux ans par des forces politiques malveillantes acharnées à la domination totaliste de la vie quotidienne afin de la changer de haut en bas, principalement contre les peuples vœux. Il existe de nombreuses théories pour expliquer pourquoi. Le plus populaire est que l'élite économique veut réduire considérablement la population mondiale pour le bien de la planète. Ce serait un projet assez sévère si c'était vrai. Il est difficile de concevoir une telle mégalomanie en dehors d'un film de James Bond. Mais sinon, vous vous retrouvez avec la conclusion quelque peu insatisfaisante que, comme le dit la vieille phrase politique de la fouine, des erreurs ont été commises. Oui, bien sûr, mais après avoir commis la première demi-douzaine d'erreurs, on pourrait penser que des personnes honorables se contenteraient de corriger leurs erreurs et de changer de cap. Que cela ne se soit pas produit est le Big Tell.

    Reprinted with permission from Kunstler.com.

    https://www.lewrockwell.com/2021/09/james-howard-kunstler/the-big-tell/

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  63. Les Covid Jabs tuent deux personnes pour chaque personne sauvée


    Par Joseph Mercola
    Mercola.com
    28 septembre 2021


    Dans la vidéo ci-dessous, Russel Brand discute des conflits d'intérêts qui surviennent lorsqu'un organisme de réglementation est financé par l'industrie qu'il est chargé de réglementer. Prenez la Food and Drug Administration des États-Unis, par exemple. Au cours des années passées, la FDA était entièrement financée par les contribuables américains.

    Aujourd'hui, près de 45 % de son budget annuel provient des frais d'utilisation payés par les sociétés pharmaceutiques qui demandent l'approbation d'un produit donné, dit Brand. Cette transition d'un financement public à un financement corporatif a eu un impact significatif sur le fonctionnement de l'agence, et ce n'est clairement pas dans le meilleur intérêt du public.

    La marque cite des données montrant que la FDA est passée d'un taux d'approbation de médicaments de 38 % en 2005 à 61 % en 2018. Dans les situations où un médicament est destiné à une maladie pour laquelle peu d'options médicamenteuses existent déjà, 89 % des demandes de nouveaux médicaments sont approuvées le le premier essai.

    Le développement de médicaments s'est-il simplement amélioré ? Probablement pas. Le fait est que les sociétés pharmaceutiques considèrent les frais d'utilisation de la FDA comme un paiement pour le service rendu, et ce service comprend l'approbation. Ils ne paient pas pour que la FDA les refuse.

    - voir clips sr site -

    Pourquoi la FDA et Big Pharma ont un problème de confiance

    En réponse à la pandémie de COVID-19, la FDA a délivré en quelques semaines des autorisations d'utilisation d'urgence pour des types complètement nouveaux de « vaccins ». Alors que certains applaudissent cette rapidité, il convient de rappeler que, comme les approbations rapides ont augmenté avec d'autres médicaments, le nombre s'est révélé nocif après coup.

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  64. Les données citées par Brand montrent que 21% des médicaments approuvés par la FDA ont finalement dû être retirés du marché ou recevoir un avertissement de type boîte noire. Essentiellement, si vous prenez un médicament nouvellement approuvé, les chances que ce médicament s'avère extrêmement dangereux sont de 1 sur 5, ce qui n'est guère encourageant !

    Une étude de Yale en 20171 a révélé que la situation est encore plus grave que cela, montrant que près d'un médicament approuvé par la FDA sur trois finit par avoir de nouveaux problèmes de sécurité détectés dans les années suivant l'approbation.

    La FDA permet également aux fabricants de médicaments de faire des profits au détriment de la santé publique en leur permettant de « revendiquer le succès des essais basés sur des mesures indirectes au lieu de résultats cliniques tels que les taux de survie ou les guérisons, qui prennent plus de temps à évaluer », note Caroline Chen dans un article de ProPublica de juin 2018.2

    Les conseillers de la FDA reçoivent des paiements pour approuver des médicaments

    En plus de cela, les « conflits d'intérêts de paiement plus tardif » sont répandus, selon une enquête de la revue Science.3 C'est à ce moment-là que les médecins qui conseillent la FDA ou siègent aux panels de médicaments chargés de l'approbation des médicaments sont payés par médicament. décideurs APRÈS l'approbation est une affaire conclue.

    La science a examiné 107 médecins conseillers de la FDA qui ont voté sur les approbations de médicaments. Parmi ceux-ci, 40 ont fini par recevoir plus de 10 000 $ de revenus post hoc de la société pharmaceutique dont ils ont voté pour approuver le médicament ; 26 d'entre eux ont reçu plus de 100 000 $ et six ont été payés plus d'un million de dollars. Les conseillers de la FDA qui aident les fabricants de médicaments à obtenir l'approbation récoltent également des récompenses d'autres manières. Comme l'a noté Science :4

    «La FDA dit que ses règles, ainsi que les lois fédérales, empêchent les employés d'encaisser indûment leurs services gouvernementaux. Mais Science a découvert que les employés de l'agence récoltent souvent des récompenses ultérieures – des emplois ou du travail de conseil – des fabricants de médicaments…

    Une étude de 2016 a révélé que 15 des 26 employés qui ont quitté l'agence ont ensuite travaillé ou consulté pour l'industrie biopharmaceutique. Sur les plus de 24 millions de dollars de paiements personnels ou de soutien à la recherche de l'industrie aux 16 conseillers les mieux rémunérés, 93% provenaient des fabricants de médicaments que ces conseillers avaient précédemment examinés.

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  65. La FDA a déjà perdu la majeure partie de sa crédibilité

    Comme le soutient Brand, les données sont plutôt sans équivoque. Il nous dit que la corruption est endémique et que la FDA a complètement abandonné sa charte pour assurer la santé et la sécurité publiques. C'est juste là pour donner l'impression que quelqu'un s'occupe de la santé publique, alors qu'en réalité c'est un lieu à travers lequel les fabricants de médicaments peuvent tirer profit de médicaments dangereux et non prouvés.

    La triste réalité est que si l'approbation de la FDA avait un sens, aujourd'hui, elle a pratiquement perdu tout sens. Ce n'est pas parce qu'un médicament est approuvé par la FDA qu'il a été prouvé qu'il est sûr et efficace.

    Encore et encore, les médicaments présentent de graves problèmes de sécurité dans les années qui suivent leur approbation. En conséquence, les sociétés pharmaceutiques sont autorisées à en bénéficier tandis que la santé publique est sacrifiée, ce qui est précisément la situation que la FDA a été créée pour empêcher.

    La FDA approuve les boosters COVID pour les seniors

    Le 17 septembre 2021, la FDA a approuvé le vaccin Pfizer-BioNTech COVID shot Comirnaty en tant que troisième dose de rappel pour les personnes de plus de 65 ans et d'autres personnes à haut risque. Tel que rapporté par The Vaccine Reaction le 19 septembre 2021 : 5

    « Bien que le Comité consultatif sur les vaccins et les produits biologiques connexes (VRBPAC) n'ait pas convoqué le mois dernier pour voter sur l'efficacité et la sécurité du vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19 (sous le nom de COMIRNATY), la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis s'est réunie. le comité consultatif le vendredi 17 septembre 2021 pour voter sur les doses de rappel du vaccin.

    La FDA a demandé au VRBPAC de voter « oui » ou « non » sur la question suivante : les données d'innocuité et d'efficacité de l'essai clinique C4591001 soutiennent-elles l'approbation d'une dose de rappel de COMIRNATY administrée au moins six mois après la fin de la série primaire pour une utilisation dans personne de 16 ans et plus ?

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  66. L'étude de dose de rappel C4591001 n'a inclus aucun sujet de moins de 18 ans et seulement 12 sujets de 65 à 85 ans dans la phase 1 de l'essai et aucun dans la phase 2/3.

    En fin de compte, 16 des 18 membres du VRBPAC ont voté « non » à l'approbation d'une dose de rappel Comirnaty pour les personnes de plus de 16 ans. booster pour les personnes âgées et les «personnes à haut risque de COVID-19 sévère», que la FDA définit comme les travailleurs de la santé et les personnes à risque accru d'exposition en raison de leur profession.

    Ce deuxième vote non prévu a été adopté à l'unanimité. Cependant, comme le rapporte The Vaccine Reaction :6

    « Il est important de noter que les données que le VRBPAC a été invité à prendre en compte pour le vote 2 sont différentes de celles du vote 1. Pour le vote n° 2, ils ont été chargés de prendre en compte la «totalité des preuves scientifiques disponibles» - pas seulement l'essai clinique de dose de rappel de Pfizer.

    Si le VRBPAC avait été tenu de considérer uniquement les preuves fournies par Pfizer, il aurait dû fonder sa décision sur les données de seulement 12 sujets de 65 ans et plus dans la phase 1 de l'essai car ils n'étaient pas inclus dans la phase 2/3. La base de preuves particulière pour l'approbation par le VRBPAC d'une dose de rappel pour ce groupe n'a pas été spécifiée. »

    De plus, la FDA est soudainement passée des « personnes à haut risque d'infection grave au COVID-19 » à son application aux « agents de santé ou autres personnes à haut risque d'exposition professionnelle ».

    "Cela a effectivement déplacé l'attention de ceux qui étaient à haut risque de tomber gravement malades du COVID-19 à ceux qui sont simplement à haut risque d'être exposés, ce qui élargira considérablement la portée des personnes recommandées pour une dose de rappel", États de réaction au vaccin.7

    Dans une apparition sur CBS News le 19 septembre 2021, le directeur des National Institutes of Health, le Dr Francis Collins a déclaré qu'il s'attend à ce que la FDA étende les rappels au-delà des personnes âgées de 65 ans et plus, des travailleurs de la santé et d'autres personnes à haut risque d'accident du travail. exposition.

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  67. 1 injection d'ARNm sur 1 000 entraîne une inflammation cardiaque

    Ainsi, la FDA affirme que le vaccin Pfizer est suffisamment sûr et efficace pour justifier un troisième rappel pour certains groupes. Mais est-ce? Selon une étude rétrospective9,10 de l'Institut de cardiologie de l'Université d'Ottawa, 1 injection d'ARNm sur 1 000 (Pfizer et Moderna) a entraîné une myopéricardite, c'est-à-dire une inflammation du cœur ou du sac cardiaque, dans le mois suivant l'injection, bien que les symptômes se produisait généralement en quelques jours.

    L'étude a été publiée sur le serveur de préimpression medRxiv le 16 septembre 2021, la veille du vote de la FDA sur les boosters pour les personnes âgées et certains groupes à haut risque. Comme l'expliquent les auteurs :11

    «Cette étude est une collection prospective et un examen de tous les cas avec un diagnostic de myocardite/péricardite sur une période de 2 mois dans un centre médical universitaire… Les patients ont été identifiés par des diagnostics d'admission et de sortie qui incluaient la myocardite ou la péricardite. Critères d'inclusion : réception du vaccin à ARNm dans le mois précédant la présentation…

    Le diagnostic était basé sur la présentation clinique, les résultats d'ECG/écho et les troponines en série et a été confirmé dans chaque cas par CMR. L'incidence a été estimée à partir des doses totales de vaccin à ARNm administrées dans la région d'Ottawa pour la période correspondante. Ces données ont été obtenues de l'Agence de la santé publique d'Ottawa…

    Résultats : 32 patients ont été identifiés sur la période d'intérêt. Dix-huit patients ont reçu un diagnostic de myocardite; 12 avec myopéricardite ; et 2 avec péricardite seule. L'âge médian était de 33 ans (18-65 ans). Le sex-ratio était de 2 femmes pour 29 hommes.

    Dans 5 cas, les symptômes se sont développés après une seule dose de vaccin à ARNm. Chez 27 patients, les symptômes se sont développés après leur deuxième dose de. Le délai médian entre la dose de vaccin et les symptômes était de 1,5 jour…

    La douleur thoracique était le symptôme le plus fréquent, mais de nombreux autres ont été rapportés. Une tachycardie ventriculaire non-syncopale non soutenue n'a été observée que dans un seul cas. La fraction d'éjection médiane du VG (FE) était de 57 % (44-66 %). Neuf patients avaient une FEVG inférieure au seuil normal de 55 %.

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  68. L'incidence globale de la myopéricardite était d'environ 10 cas pour 10 000 inoculations. Il s'agit de la plus grande série de la littérature à établir clairement la relation temporelle entre la vaccination par l'ARNm COVID, les symptômes et les résultats de la CMR. »

    Les tirs de COVID peuvent tuer deux personnes pour chaque vie sauvée

    Selon un témoignage d'expert donné lors de la réunion du 17 septembre 2021 du Comité consultatif sur les vaccins de la FDA (voir la vidéo ci-dessus)12, les coups de feu pourraient en fait tuer beaucoup plus de personnes qu'ils n'en sauvent.

    Même si les vaccins ont une protection à 100%, cela signifie toujours que nous tuons deux personnes pour sauver une vie. ~Steve Kirsch
    Selon le Dr Joseph Fraiman, médecin urgentiste à la Nouvelle-Orléans, il n'y a aucune preuve clinique prouvant que les injections de COVID sauvent plus de personnes qu'elles n'en blessent. Il a dit au comité qu'ils devraient :

    « Exiger que les essais de rappel soient suffisamment importants pour trouver une réduction des hospitalisations. Sans ces données, nous, l'establishment médical, ne pouvons pas appeler avec confiance les militants anti-COVID-vaccins qui prétendent publiquement que les vaccins nuisent plus qu'ils n'épargnent, en particulier chez les jeunes et en bonne santé. Le fait que nous n'ayons pas les preuves cliniques pour dire que ces militants ont tort devrait nous terrifier tous. »

    Steve Kirsch, directeur exécutif du COVID-19 Early Treatment Fund, a ensuite montré ce que Fraiman craignait le plus, à savoir que le tir de Pfizer tue deux personnes pour chaque personne qu'il sauve.

    « Nous avons été amenés à croire que les vaccins étaient parfaitement sûrs, mais ce n'est tout simplement pas vrai. Par exemple, il y a quatre fois plus de crises cardiaques dans le groupe de traitement dans le rapport d'essai de 6 mois de Pfizer. Ce n'était pas que de la malchance.

    Le VAERS montre que les crises cardiaques surviennent 71 fois plus souvent après ces vaccins par rapport à tout autre vaccin », a déclaré Kirsch, ajoutant: « Si la mortalité nette toutes causes confondues des vaccins est négative, alors les vaccins, les rappels et les mandats sont tous absurdes. »

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  69. Voici une capture d'écran du diaporama de Kirsch, montrant le nombre de personnes tuées par les tirs de COVID, par rapport au nombre de vies sauvées par celles-ci.

    Kirsch a poursuivi en déclarant que bien que les données du VAERS soient les seules données statistiquement significatives, les deux autres sources de données sont toujours « troublantes » :

    « Même si les vaccins ont une protection à 100 %, cela signifie toujours que nous tuons deux personnes pour sauver une vie… Quatre experts ont effectué des analyses en utilisant des sources de données non américaines complètement différentes et tous ont trouvé à peu près le même nombre d'excès liés au vaccin. décès - environ 411 décès par million de doses.

    Cela se traduit par 115 000 personnes décédées (à cause des vaccins Covid-19)… Les vrais chiffres confirment que nous tuons plus que nous n'en économisons. Et j'aimerais que tout le monde regarde les données du ministère israélien de la Santé sur les 90 ans et plus, où nous sommes passés d'un groupe vacciné de 94,4% à 82,9% au cours des quatre derniers mois.

    Dans le scénario le plus optimiste, cela signifie que 50 % des personnes vaccinées sont décédées et 0 % des personnes non vaccinées sont décédées. À moins que vous ne puissiez expliquer cela au public américain, vous ne pouvez pas approuver les boosters. »

    Kirsch a également montré des données suggérant qu'un garçon sur 317 âgé de 16 à 17 ans souffrirait d'une myocardite à la suite des injections, et après un troisième rappel, ce nombre peut atteindre 1 sur 25. Il souligne également que les essais de phase 3 de Pfizer doivent clairement être " gamed », car « il est statistiquement impossible que les violations du protocole soient cinq fois plus élevées dans le groupe de traitement ». « Pourquoi cela n'a-t-il pas fait l'objet d'une enquête ? » Il a demandé.

    Que nous disent les données VAERS ?

    Dans une interview du 18 septembre 2021 avec le podcast The Covexit, Jessica Rose, Ph.D., qui détient des diplômes en mathématiques appliquées, immunologie, biologie computationnelle, biologie moléculaire et biochimie, a discuté de ce que le système américain de déclaration des événements indésirables des vaccins (VAERS) les données nous renseignent sur la sécurité des injections COVID.

    Rose couvre des questions telles que l'ampleur des effets secondaires par rapport à d'autres programmes de vaccination, le problème de la sous-déclaration et la manière dont la causalité peut être évaluée à l'aide des critères de Bradford Hill. Vous pouvez trouver un PDF du diaporama que Rose présente ici.13 Voici un résumé de certains des points clés soulevés dans cette interview :

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  70. Les enfants sont désormais la prochaine cible

    Alors que la FDA a voté contre la recommandation d'un troisième rappel aux jeunes adultes de 16 ans et plus, il ne fait aucun doute que la recommandation sera bientôt étendue aux personnes de moins de 65 ans, et éventuellement même aux jeunes enfants.14 Je dis cela parce qu'il semble y avoir pas de plafond au-delà duquel le bilan décès et invalidité est jugé trop important. Pourquoi? Nous n'avons pas reçu de réponse directe, nous laissant spéculer sur les intentions de la FDA.

    Pourquoi ne sont-ils pas préoccupés par la sécurité alors que plus d'un demi-million de rapports d'effets secondaires ont été déposés ? Comment se fait-il que près de 15 000 décès signalés15 n'ont pas déclenché d'alarmes d'urgence et d'enquêtes approfondies ? Comme l'a noté Rose, 50 décès ont historiquement été le point de coupure auquel un vaccin est tiré. Nous sommes tellement au-delà de cela maintenant, il semble qu'il n'y ait plus de seuil.

    À l'heure actuelle, on se demande si la réticence de la FDA à approuver un rappel pour les personnes plus jeunes n'est qu'un spectacle. Peut-être qu'ils essaient de récupérer une certaine autorité scientifique, qui a été sapée par le gouvernement américain et Pfizer annonçant la sortie de boosters avant même que la FDA n'ait pris sa décision.

    Quoi qu'il en soit, je vous exhorte à examiner autant de données que possible avant de vous lancer dans le train des boosters. D'après tout ce que j'ai vu, je pense que le risque d'effets secondaires va probablement augmenter de façon exponentielle avec chaque dose.

    Si vous avez besoin d'un rappel sur les mécanismes potentiels de préjudice, téléchargez et lisez l'excellent article de Stephanie Seneff,16 « Pire que la maladie : examen de certaines conséquences inattendues possibles des vaccins à ARNm contre le COVID-19 », publié dans l'International Journal of Vaccine Theory, Pratique et recherche en collaboration avec le Dr Greg Nigh.

    Aidez à soutenir la Semaine de sensibilisation aux vaccins

    La douzième Semaine annuelle de sensibilisation aux vaccins, du 26 septembre au 2 octobre 2021, présentera des informations importantes sur la science, les politiques et les lois relatives aux vaccins que vous pourrez partager avec votre famille et vos amis.

    Avec chaque don que vous faites pendant la Semaine de sensibilisation aux vaccins, vous pouvez contribuer à soutenir le droit légal de prendre une décision éclairée et volontaire concernant les vaccinations. Au cours de cette semaine, je doublerai vos dons jusqu'à 100 000 $ au National Vaccine Information Center (NVIC), un organisme de bienfaisance à but non lucratif qui défend la sécurité des vaccins et les droits de consentement éclairé depuis 1982.

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  71. Avec les efforts agressifs du gouvernement travaillant avec les sociétés pharmaceutiques et les groupes commerciaux médicaux pour mandater les vaccins COVID-19 et en partenariat avec la Silicon Valley et les médias d'entreprise pour censurer les conversations publiques sur la vaccination et la santé, il est essentiel que vous agissiez maintenant pour protéger votre droit légal à faire des choix de vaccins volontaires et éclairés.

    Heureusement, le National Vaccine Information Center (NVIC) à but non lucratif fournit au public des informations indépendantes et bien référencées sur les vaccins et plaide pour l'inclusion de la sécurité des vaccins et des protections de consentement éclairé dans le système de santé publique.

    L'année dernière, le NVIC a parrainé la cinquième conférence publique internationale sur la vaccination : protéger la santé et l'autonomie au 21e siècle.

    La conférence a réuni 51 orateurs du monde entier parlant de la pandémie de coronavirus et de la défense de la liberté fin 2020, juste avant que le gouvernement n'accorde aux fabricants de vaccins une autorisation d'utilisation d'urgence (EUA) pour distribuer des vaccins expérimentaux COVID-19 aux États-Unis. Vous pouvez regarder ou écouter à la conférence gratuitement ici.

    Resources Where You Can Learn More

    Sources and References

    1 Yale News May 9, 2017
    2 ProPublica June 26, 2018
    3, 4 Science.org July 5, 2018
    5, 6, 7 The Vaccine Reaction September 19, 2021
    8 CBS News September 19, 2021
    9, 11 medRxiv September 16, 2021 DOI: 10.1101/2021.09.13.21262182
    10 Trial Site News September 19, 2021
    12 The Expose September 18, 2021
    13 Vaccine Adverse Events Reporting in VAERS September 2021 Update by Jessica Rose Ph.D. (PDF)
    14 CNBC September 20, 2021
    15 openvaers.com
    16 International Journal of Vaccine Theory, Practice and Research May 10, 2021; 2(1): 38-79

    https://www.lewrockwell.com/2021/09/joseph-mercola/covid-jabs-are-killing-two-people-for-every-person-saved/

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  72. Un initié de l'industrie vient de révéler la vérité sur ce qui se cache vraiment derrière les pénuries dans nos supermarchés locaux


    27 SEPTEMBRE 2021
    Par Michael Snyder


    La crise de la chaîne d'approvisionnement à laquelle nos supermarchés sont confrontés est bien pire que ce que les médias grand public nous ont dit. Les médias grand public continuent d'essayer de mettre un visage heureux sur les pénuries «temporaires», mais un initié de l'industrie m'a fait savoir ce qui se passe réellement dans les coulisses. Cet initié particulier dirige une épicerie dans le Maine, et il dit que les choses vont aussi mal qu'il ne l'a jamais vu. En fait, il dit qu'il n'a "jamais rien vu de proche de ce qui se passe actuellement". L'e-mail qu'il m'a envoyé l'autre jour m'a beaucoup alarmé et je lui ai demandé si je pouvais le partager avec vous tous. Il m'a donné la permission de le faire, tant que je n'ai pas utilisé son nom. Je n'ai pas reçu d'e-mail aussi surprenant depuis longtemps. En lisant ce mail, je pense que vous comprendrez vite pourquoi je dis ça…

    Je suis travailleur autonome depuis 25 ans, maintenant, épicerie indépendante affiliée à IGA sur la côte du Maine.

    Les problèmes d'approvisionnement sont réels ! Mon fournisseur nous limite les commandes depuis environ un mois maintenant (limité le nombre physique de caisses que nous pouvons commander)

    Leur problème est/était principalement la crise d'aide dans leur entrepôt… les préparateurs de commandes et les chauffeurs de camion. La même histoire partout, je sais. La plupart des éléments sur lesquels votre lecteur a commenté dans cet article sont les mêmes ici… une quantité d'eau très limitée et le gallon d'eau est au mieux sommaire. Parfois nous comprenons, parfois non. Je n'ai pas vu beaucoup de problèmes d'approvisionnement dans les produits, plutôt des problèmes de mauvaise qualité là-bas. Bien plus que d'habitude. Charcuterie/boulangerie… oui, beaucoup de ruptures de stock et « longue durée indisponible » comme aime à le dire mon fournisseur sur la facture.

    Dans le magasin du centre – épicerie sèche… comme d'autres le disent, des tonnes de ruptures de stock.

    L'approvisionnement en viande est « juste » mais les prix sont extrêmement élevés. Étonnamment élevé pour moi. La classe moyenne est lentement détruite avec ces hausses de prix… la mort par 1000 coupures en quelque sorte, je suppose.

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  73. Mon livreur Frito Lay me dit qu'il reçoit 55 à 60 % de ce qu'il commande. Ma dernière commande Nabisco avait 30 % de rupture de stock. Au fil des ans, nous obtenons toujours 99 à 100 % de ce qui a été commandé. Pepperidge Farm Cookies… il me dit quelques semaines qu'il n'obtient que LA MOITIÉ de ce qu'il commande. Ces gens travaillent tous à la commission…. s'ils ne me le vendent pas (ou ne peuvent pas) le vendre... ils ne sont pas payés. Ou être payé moins. Lorsque nous passons notre commande d'alcool (deux fois par semaine) en rupture de stock, 30% de la plupart des commandes sont en cours. Cette marchandise était TOUJOURS un taux de remplissage de 99,5 à 100 % au fil des ans…. toujours.

    C'est frustrant. Comme je l'ai dit… travailleur indépendant depuis 25 ans, et a travaillé pour Kroger pendant 25 ans avant cela… donc 50-51 ans dans cette entreprise.

    Jamais rien vu de proche de ce qui se passe maintenant. Ajoutez à cela – un gouverneur d'extrême gauche, et les deux maisons ici dans le Maine sont contrôlées par un démocrate…. Je sais juste que nous sommes sur le point d'un autre mandat de masque, et une sorte de verrouillage ne me surprendrait pas à nouveau alors que nous entrons dans les mois les plus froids. Comme vous l'avez vu, j'en suis sûr, le Maine fait l'actualité avec des augmentations de cas de COVID (d'après ce qu'ils disent)

    Je viens travailler tous les jours en retenant mon souffle pour la suite… pour notre entreprise et les 35 personnes que j'emploie ici dans le Maine.

    Cet initié de l'industrie essaie de commander des quantités normales, mais ses fournisseurs sont souvent incapables de les satisfaire complètement.

    Comme vous pouvez le voir dans l'e-mail, les pénuries sont généralisées, et c'est la pire qu'elles aient été jusqu'à présent pendant toute la pandémie.

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    S'il y a quelque chose dont vous avez besoin de vous approvisionner, je le saisirais s'il est toujours sur les étagères, car il sera peut-être bientôt complètement parti.

    Vendredi, je suis allé à l'épicerie et il n'y avait plus de plusieurs choses que je voulais acheter. Malheureusement, nous continuons à recevoir plus de confirmations que cela va devenir la « nouvelle normalité ».

    Par exemple, selon Bloomberg, les réserves de viande de ce pays ont plongé à des niveaux dangereusement bas…

    Un rapport américain publié mercredi a montré que les réserves de bœuf avaient baissé de 7,7% par rapport à il y a un an en août. Les approvisionnements en volaille ont chuté de 20 % et les poitrines de porc, qui sont coupées en tranches de bacon, ont chuté de 44 % pour atteindre leurs niveaux les plus bas depuis 2017.

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  74. Dans la plupart des cas, les supermarchés ont encore de la viande dans les rayons, mais elle est certainement beaucoup plus chère qu'auparavant, et on nous dit de nous préparer à de nouvelles hausses de prix dans les mois à venir.

    Bien entendu, d'autres types de détaillants sont également confrontés à de graves chocs d'approvisionnement. Il y a quelques jours, un autre lecteur m'a envoyé un e-mail dans lequel il décrivait ce qu'il voyait dans sa pharmacie locale…

    Le gros problème, cependant, est à la pharmacie locale; Aide Rite. L'endroit est au mieux mince et dépouillé dans certaines régions (la semaine dernière, il n'y avait pas de zinc disponible). Les caisses de bière sont particulièrement rares. Le principal problème, cependant, est à la pharmacie. Il y a six ou huit mois, vous pouviez vous présenter et faire remplir votre ordonnance en 20 minutes. Si vous avez appelé l'ordonnance la veille, elle vous attendait. Ce n'est plus le cas. Hier, je suis allé chercher un RX pour ma femme qui avait été appelé la semaine dernière. Non seulement il n'était pas prêt mais j'ai dû attendre une heure avant qu'il ne soit rempli. Il y avait neuf voitures dans la file d'attente. J'ai choisi d'entrer et c'était presque aussi mauvais. La jeune femme qui m'a aidé n'était clairement pas locale avec des cheveux bicolores et un grand symbole Baphomet, flagrant, sur votre visage autour du cou.

    J'ai eu une conversation avec le directeur en sortant et lui ai demandé ce qui se passait avec le personnel de la pharmacie. Je n'avais pas vu le pharmacien habituel depuis quelques mois. Il a blâmé la ville pour ne pas avoir de logement abordable (boiteux) et a mentionné que la pharmacie d'Albertson, Albertson et Ridley manquaient d'aide (vrai).

    À l'heure actuelle, des dizaines et des dizaines de médicaments manquent.

    En fait, la liste officielle des pénuries de médicaments de la FDA compte actuellement 149 entrées.

    C'est le plus que j'ai jamais vu.

    Alors que les pénuries persistent, les détaillants vont commencer à mettre en place plus de limites. La semaine dernière, on apprenait que Costco avait déjà commencé à appuyer sur la gâchette…

    Costco a annoncé jeudi qu'il rétablissait les limites d'achat de papier toilette, d'essuie-tout et d'eau en bouteille.

    Ils n'appellent pas cela du « rationnement », mais c'est essentiellement ce que c'est.

    Et on nous dit également de s'attendre à des augmentations de prix importantes, car les problèmes de chaîne d'approvisionnement font grimper les coûts en flèche…

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  75. Costco a rejoint cette semaine la longue liste de détaillants tirant la sonnette d'alarme concernant l'escalade des prix d'expédition et les problèmes de chaîne d'approvisionnement qui l'accompagnent. Le détaillant en entrepôt, qui a eu un ton d'avertissement similaire en mai, a été rejoint par le géant des vêtements de sport Nike et les barons économiques FedEx et General Mills pour discuter de préoccupations similaires.

    Le coût d'expédition des conteneurs à l'étranger a grimpé en flèche ces derniers mois. Faire passer un conteneur de 40 pieds de Shanghai à New York coûtait environ 2 000 dollars il y a un an et demi, juste avant la pandémie de Covid. Maintenant, il gère quelque 16 000 $, selon Bank of America.

    Je préviens depuis longtemps que l'inflation galopante et les pénuries arrivent depuis longtemps, mais beaucoup de gens ne voulaient pas me croire au début.

    Si vous étiez l'un de ces sceptiques, me croyez-vous maintenant ?

    Au cours du premier semestre de cette année, de nombreux optimistes économiques nous ont assuré que l'économie américaine serait « en plein essor » à ce stade.

    Mais au lieu de cela, notre infrastructure économique est ébranlée à un niveau très basique, et nous sommes confrontés à d'énormes hausses de prix et à des pénuries très douloureuses pendant le reste de cette année et l'année prochaine.

    Les événements ont commencé à devenir incontrôlables et il n'en faudrait certainement pas trop pour nous pousser dans une avalanche à part entière.

    https://www.activistpost.com/2021/09/an-industry-insider-just-revealed-the-truth-about-what-is-really-behind-the-shortages-at-our-local-supermarkets.html

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