- ENTREE de SECOURS -



mardi 30 juin 2020

Fermeture de Fessenheim : un sacrifice païen ?

La décision du gouvernement de fermer le 30 juin 2020 le deuxième et dernier réacteur de la centrale de Fessenheim n’est pas favorable à l’environnement.


Par Michel Gay.
 29 JUIN 2020

- republication -

La décision du gouvernement de fermer le 30 juin 2020 le deuxième et dernier réacteur de la centrale de Fessenheim n’est pas favorable à l’environnement.

Ce sacrifice païen d’une centrale nucléaire en parfait état de fonctionnement se fait sur l’autel d’une alliance avec le parti écologiste antinucléaire qui remonte à la campagne électorale de François Hollande en 2012.

Le nucléaire est le moyen de production massif d’électricité le plus respectueux de l’environnement, même si le milieu politico-médiatique a fait croire le contraire avec constance pour plaire à des partis politiques. Il brûle maintenant des réacteurs nucléaires en place publique, comme les sorcières au Moyen-Âge, pour tenter de faire croire que le sort du peuple sera ainsi amélioré.

LE CLIMAT

La réaction nucléaire en elle-même ne rejette pas du tout de  gaz carbonique. Certes il faut des engins pour extraire le minerai, du béton pour construire la centrale, et de l’énergie pour enrichir l’uranium ou traiter les déchets. Mais les émissions de gaz carbonique engendrées (sur toute la chaîne) sont très faibles par kilowattheure (kWh) produit car la fission d’un gramme d’uranium libère une énergie égale à la combustion d’une tonne de pétrole, soit un million de fois plus.

Le nucléaire français émet 4 à 6 grammes de gaz carbonique par kWh électrique (gr gaz carbonique/kWh) selon EDF et la SFEN, et jusqu’à 10 gr gaz carbonique/kWh selon l’ADEME (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie), notoirement antinucléaire.

Cette valeur est de 10 gr gaz carbonique/kWh pour l’éolien, et de 50 ggaz carbonique/kWh pour le photovoltaïque, ce qui correspond à la fabrication et l’installation qui requièrent aussi de la métallurgie, du béton, de la chimie, etc.

Si l’électricité renouvelable fatale doit être stockée sur batterie, cette dernière requiert encore plus de métallurgie et de chimie qui émettent de 50 à 200 grammes de gaz carbonique    par kWh stocké et restitué.

Une centrale électrique à gaz émet 400 gr gaz carbonique/kWh  et une centrale à charbon environ 900 gr gaz carbonique/kWh soit de 70 à 150 fois plus qu’une centrale nucléaire en termes d’émissions de gaz carbonique par kWh.

Et sans tenir compte des fuites de méthane liées à l’extraction et à la distribution du gaz et du charbon.

Pourtant, selon un sondage, 69 % des Français pensent que le nucléaire contribue au réchauffement climatique.

Quant aux tours de refroidissement, elles ne sont pas propres au nucléaire. Toute centrale thermique en bord de rivière, (charbon, gaz, ou nucléaire) en possède pour limiter le réchauffement de l’eau en aval. Et elles n’émettent que… de la vapeur d’eau qui ne contribue en rien aux émissions de gaz à effet de serre d’origine humaine.

Notre planète, couverte aux deux-tiers d’océans, est une énorme machine à évaporer devant laquelle la vapeur des centrales nucléaires est totalement négligeable.

Une centrale thermique en bord de mer (nucléaire ou non) n’a pas de tours de réfrigération, la mer sert en effet de source froide en quantité suffisante.

Le nucléaire est le meilleur moyen de production d’électricité pour lutter contre le réchauffement climatique… si c’est bien l’objectif à atteindre.

BIODIVERSITÉ ET DURABILITÉ DES RESSOURCES

 Une source d’énergie peut être appelée renouvelable, mais le dispositif qui permet de l’exploiter n’est jamais renouvelable ni sans impact sur l’environnement.

Ainsi, les pales des éoliennes éloignent les chauves-souris à plus d’un kilomètre et tuent des oiseaux, notamment les rapaces. Elles provoquent aussi des maladies dues au stress engendré par les infra-sons chez les animaux et les hommes.

Grâce à sa grande concentration énergétique, le nucléaire occupe environ 500 fois moins d’espace au sol pour produire la même quantité d’électricité en moyenne que le solaire. Et pour ce dernier, il faut encore augmenter la surface (de 20 et 40 %) pour produire l’électricité qui sera perdue au moment du stockage et de la restitution.

La production annuelle de la seule centrale de Fessenheim était équivalente à l’ensemble de la production des panneaux photovoltaïques en France (environ 2 % de la production française)… avant son arrêt.

Le critère de l’espace occupé au sol conditionne le respect de la biodiversité qui dépend essentiellement de la préservation des habitats.

Et, de ce point de vue, le nucléaire est aussi l’énergie la plus efficace.

Le nucléaire nécessite une centaine de fois moins de quantités de matériaux (ciment, cuivre, acier, etc) par kWh produit que le solaire et l’éolien.

Un moyen de production qui utilise de dix à cent fois plus d’espace et de matériaux qu’un autre ne peut pas « coûter moins cher » à l’environnement, sauf dans un monde où l’économie est déconnectée de la physique. Mais cela ne peut pas durer !

DÉCHETS NUCLÉAIRES

Les déchets nucléaires sont agités à tort comme un épouvantail pour effrayer la population. Bien que nécessitant d’être manipulés avec des précautions, ils ne posent aucun problème insoluble puisqu’ils sont maitrisés et gérés.

Il n’existe pas de production d’énergie sans déchets. Le nucléaire en produit comme toutes les sources d’énergie, y compris les éoliennes et les panneaux photovoltaïques.

Mais comme le nucléaire utilise peu de matières premières, la quantité de déchets dangereux est minime au regard de la production d’énergie.

La totalité des déchets radioactifs vraiment dangereux produits par le parc nucléaire français depuis le début de son fonctionnement tient dans une piscine à La Hague, alors que ceux des productions fossiles (gaz, charbon, pétrole) sont dispersés dans l’atmosphère.

Et pour les renouvelables (éolien et solaire) les mines et les industries en amont engendrent aussi des déchets dont certains sont enfouis aussi comme pour les pales d’éoliennes aux Etats-Unis.

Après avoir refroidis en surface pendant quelques dizaines d’années, ces déchets nucléaires de haute activité seront parfaitement confinés à 500 mètres sous terre… en imitant la nature.

Le plus vieux stockage géologique de déchets nucléaires s’est créé spontanément il y a deux milliards d’années dans un gisement d’uranium à Oklo, au Gabon, suite à la mise en route d’un réacteur nucléaire naturel qui a « fonctionné » durant un million d’années. Il a produit les mêmes « déchets » que ceux qui apparaissent dans nos réacteurs. Et ils ont bien évidemment été laissés là où ils se sont formés et leurs descendants (qui ne sont plus radioactifs) sont restés au même endroit depuis deux milliards d’années.

Le stockage géologique des déchets nucléaires peut donc durer largement plus longtemps que les 100 000 ans qui effraient certains parce que c’est long comparé à une vie humaine.

Dans la grande collection de nuisances à laquelle doit faire face l’humanité, les déchets nucléaires représentent donc un tout petit problème parfaitement gérable.

L’Académie de médecine dit aussi que l’énergie nucléaire est la plus sûre pour les Hommes, et la plus respectueuse de l’environnement de tous les modes de production électrique : « elle s’avère avoir le plus faible impact sur la santé par kWh produit».

LE RÈGNE DE LA COMMUNICATION ET DE L’ÉMOTION

L’émotion a souvent pris le pas sur la raison, et cela ne date pas d’hier ! À une époque, le peuple effrayé par des prédicateurs brûlait des sorcières pour améliorer son sort misérable, sans aucun résultat positif connu. La dernière sorcière a été brûlée vive en février 2013 en Papouasie Nouvelle-Guinée et en 1782 en Europe.

Les actes de foi exorcisent les peurs et soudent les communautés ignorantes.

La politique écologique essentiellement clientéliste et à courte vue d’Emmanuel Macron se contente de slogans (comme ses prédécesseurs) et de fermetures de réacteurs offerts en victimes expiatoires à ses « amis ». Mais cela ne saurait constituer une politique énergétique ambitieuse pour la France.

Il n’a pas compris non plus, ou n’a pas voulu comprendre…, que l’énergie est le sang de la société moderne.

Une production abondante et bon marché d’énergie est le facteur dimensionnant de l’économie. Beaucoup de responsables politiques pensent à tort qu’il est possible d’augmenter la richesse d’un pays tout en diminuant la consommation d’énergie.

Cela relève soit de l’incompréhension du fonctionnement physique du système économique (et cela peut se corriger), soit d’un manque de courage pour affronter le monde réel (et c’est un piètre homme d’État), soit d’une volonté aveugle de se faire élire et réélire coûte que coûte (et c’est un cynique qui méprise l’intérêt général des Français) !

Le site officiel du gouvernement explique que fermer Fessenheim « vise à faire du Haut-Rhin un territoire de référence à l’échelle européenne en matière d’économie bas carbone. »

Affirmer ainsi que supprimer un réacteur nucléaire contribue à l’économie bas carbone est un mensonge d’État auquel tous les membres du gouvernement sont évidemment tenus d’être solidaires.

Élisabeth Borne, ministre de la Transition énergétique, indiquait même dans le journal Le Monde que fermer Fessenheim était une conséquence logique du souhait de « décarboner l’économie ».

Mais où est la logique ? Ces propos sont révoltants !

FERMETURE DE FESSENHEIM POUR RAISONS IDÉOLOGIQUES

Fermer Fessenheim n’est pas du tout le résultat d’une analyse technique rationnelle. C’est un fait du Prince qui veut créer un rapport de force avec EDF.

Ainsi, Francis Rol-Tanguy, ancien délégué interministériel à la fermeture de Fessenheim, a indiqué à Jean-Marc Jancovici : « La raison pour laquelle on ferme Fessenheim, c’est pour montrer à EDF qui est le chef ». Il s’agit donc d’affirmer ses prérogatives pour montrer par orgueil qui commande.

Et les Français dans tout ça ?

La vérité consisterait à dire que :

— Le nucléaire est un magnifique atout pour la France car il produit une électricité abondante et bon marché sans émissions de gaz carbonique,  ni de gaz à effet de serre.

— Le gouvernement souhaite quand même fermer des installations nucléaires en parfait état de marche (une chasse aux sorcières aux dépens des Français) pour asseoir une autorité mal placée, et pour s’offrir le soutien d’une frange électorale d’activistes idéologiquement antinucléaires…

— Le gouvernement incompétent s’enfonce dans ses propres mensonges.

Et c’est tout !

https://www.contrepoints.org/2020/06/29/373123-fermeture-de-fessenheim-sacrifice-paien

62 commentaires:

  1. La fermeture de Fessenheim n’est ni économique, ni écologique, mais politique

    La France ne doit pas gaspiller ses ressources. Alors pourquoi sacrifier une centrale qui fonctionne très bien, évite un déficit commercial important au pays, et qui plus est permet de rester dans le cadre des accords de Paris au sujet des gaz à effets de serre ?


    Par Sébastien Richet.
    30 JUIN 2020


    Les manipulations électorales et les accords « entre » l’Allemagne et la France sur Fessenheim, conduisent l’un comme l’autre à une décision purement politique de fermeture de cette installation qui fonctionne pourtant parfaitement, c’est-à-dire 24 heures sur 24 et sept jours sur sept comme sa sœur ainée de 8 ans, Beznau, en Suisse.

    L’ARGENT DU CONTRIBUABLE S’ENVOLERA AVEC FESSENHEIM

    Combien cela coûtera-t-il aux Français de se séparer d’une usine qui tourne très bien… On entend parler de 400 millions d’euros de dédommagement pour EDF, est-ce réellement cela ?

    Regardons du côté d’EDF dont certaines « élites » voudraient le démantèlement tant elle est efficace pour les Français qui ont contribué par leurs factures à cette entreprise hors du commun… et tant elle fait saliver par ses rendements potentiels si une privatisation accompagnée d’une hausse de l’électricité venait à poindre.

    Le courant est actuellement estimé à 42 euros par MWh (Mégawattheure, un Mégawattheure est mille fois un kilowattheure, unité qui apparait sur votre facture).

    La production annuelle de Fessenheim est de 12 300 000 MWh, soit 516 millions d’euros annuels ; en considérant que la centrale est disponible 85 % du temps, ce qui est minorant.

    Autrement dit, payer à EDF une somme de 400 millions ne représente même pas un an de fonctionnement… et EDF, donc les Français vont perdre plusieurs décennies de fonctionnement !

    ALLONS PLUS LOIN ENCORE…

    Outre la perte de 2000 emplois de haut niveau directement générés par la centrale, ce qui constitue une perte sèche importante pour les villes et villages alentours, il faudra compenser cette perte d’électricité au niveau national ; alors que notre pays en a besoin.

    Pour cela, on va devoir importer annuellement l’équivalent de 2 100 000 de tonnes de fioul (ou sa valeur en gaz), un chiffre qui donne le tournis quand on estime à 1000 euros par tonne la valeur moyenne sur la période pendant laquelle la centrale ne fonctionnera pas, c’est-à-dire encore 20 ou 40 ans (40 ans comme aux États-Unis pour ce type de réacteurs).

    Ceci se traduira par un déficit commercial de l’ordre de deux milliards annuellement et au total de 40 à 80 milliards… de quoi donner le vertige !

    On lit partout que la France ne doit pas gaspiller ses ressources alors pourquoi sacrifier une centrale qui fonctionne très bien, évite un déficit commercial important au pays, et qui plus est permet de rester dans le cadre des accords de Paris au sujet des gaz à effets de serre ?

    En conclusion, de quel droit un gouvernement censé protéger les intérêts de ses concitoyens et du pays tout entier peut se permettre de réduire à néant un outil de travail hors du commun au détriment du pays, de ses entreprises et de ses habitants et même du climat ?

    https://www.contrepoints.org/2020/06/30/355837-la-fermeture-de-fessenheim-nest-ni-economique-ni-ecologique-mais-politique

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  2. 83 tonnes de faux lingots d'or: le marché de l'or secoué par le scandale massif de la contrefaçon en Chine


    par Tyler Durden
    Lun, 29/06/2020 - 12:15


    Au fil des ans, nous avons régulièrement signalé la présence occasionnelle de lingots d'or découverts comme contrefaits dans le Diamond District de Manhattan qui, au lieu de contenir le métal précieux jaune, seraient remplis de tungstène plaqué or ou, dans certains cas, de cuivre. Les nouvelles déclencheraient une brève vague d'indignation, incitant les détenteurs d'or physiques à effectuer des vérifications par ultrasons de leur inventaire, à quel point l'intérêt diminuerait et pourquoi pas: l'acheteur, après tout, méfiez-vous de l'or comme sur tous les autres marchés, et si quelqu'un dépense des milliers pour acheter du faux or, eh bien c'est le darwinisme en action.

    Pourtant, un marché qui semblait obstinément à l'abri de toute contrefaçon était celui de l'or physique en Chine, ce qui était étrange étant donné qu'au cours de la dernière décennie, la Chine était devenue le plus grand contrefacteur au monde de divers métaux, principalement industriels utilisés pour garantir des prêts bancaires, mieux connu sous le nom de les «sûretés fantômes», et qui ajoutent une insulte au préjudice, seraient fréquemment réhypothéquées, ce qui signifie souvent que plusieurs banques auraient droit au même (faux) actif.

    Tout cela est sur le point de changer avec la découverte de ce qui pourrait être l'un des plus grands scandales de contrefaçon d'or de l'histoire récente. Et oui, non seulement elle implique la Chine, mais elle émerge d'une ville devenue synonyme de tout ce qui est scandaleux en Chine: Wuhan elle-même.

    Avec ce préambule à l'esprit, nous présentons aux lecteurs Wuhan Kingold Jewelry Inc., une entreprise qui, comme son nom l'indique, a été fondée et opère à partir de Wuhan, et qui se décrit sur son site Web comme «une entreprise avec un avenir en or».

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  3. Rétrospectivement, cela signifiait probablement un avenir "cuivre", car, comme l'a révélé un remarquable exposé de Caixin, plus d'une douzaine d'institutions financières chinoises, principalement des sociétés de fiducie (c'est-à-dire des banques fantômes), ont prêté 20 milliards de yuans (2,8 milliards de dollars) au cours des cinq dernières années. ans à Wuhan Kingold Jewelry avec de l'or pur comme garantie et polices d'assurance pour couvrir les pertes. Il n'y avait qu'un seul problème: "l'or" s'est avéré être du cuivre plaqué or.

    Un peu plus de contexte: Kingold - dont le nom a probablement été volé à Kinross Gold, l'un des plus grands mineurs d'or au monde - est le plus grand transformateur d'or privé dans la province du Hubei en Chine centrale. Ses actions sont cotées à la bourse Nasdaq de New York (bien que sa capitalisation boursière actuelle de seulement 10 millions de dollars soit loin de ses plus hauts historiques atteints lorsque la société a été introduite en bourse au Nasdaq vers 2010). La société est dirigée par le président Jia Zhihong, un ex-militaire intimidant qui est l'actionnaire majoritaire.

    Qu'est-ce qui pourrait mal se passer?

    Eh bien, apparemment tout, car au moins quelque 83 tonnes de lingots d'or utilisés comme garantie de prêt se sont avérés être uniquement du cuivre doré. Cela a laissé les prêteurs tenir le sac pour les 16 milliards de yuans restants de prêts en cours contre les barres bidon. Et comme l'a ajouté Caixin, les prêts étaient couverts par 30 milliards de yuans de polices d'assurance des biens émises par l'assureur public PICC Property and Casualty et divers autres petits assureurs.

    Le faux or a été découvert en février lorsque Dongguan Trust (l'une de ces fameuses banques fantômes chinoises) a décidé de liquider les garanties de Kingold pour couvrir les dettes en défaut. Comme le rapporte le rapport, fin 2019, Kingold n'a pas remboursé les investisseurs de plusieurs produits de fiducie. À son grand choc, Dongguan Trust a déclaré avoir découvert que les lingots d'or brillants étaient en fait un alliage de cuivre doré.

    La nouvelle a envoyé des ondes de choc aux créanciers de Kingold. China Minsheng Trust - une autre société bancaire parallèle et l'un des plus grands créanciers de Kingold - a obtenu une ordonnance du tribunal pour tester les garanties avant l'échéance des dettes de Kingold. Le 22 mai, le résultat du test est revenu en disant que les barres scellées dans les coffres du Minsheng Trust étaient également en alliage de cuivre.

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  4. Et alors que les autorités enquêtent sur la façon dont cela s'est produit, le chef de Kingold, Jia, nie catégoriquement que quelque chose ne va pas avec les garanties que sa société a mises en place. Eh bien, que pouvait-il dire d'autre ...

    Comme le note Caxin, l'affaire de contrefaçon Kingold fait écho au plus grand cas de fraude de prêt d'or en Chine, se déroulant depuis 2016 dans la province du Shaanxi au nord-ouest et le Hunan voisin, où les régulateurs ont trouvé des lingots d'or falsifiés dans 19 coffres de prêteurs soutenant 19 milliards de yuans de prêts, soit environ USD 2,5 milliards de dollars. Dans ce cas, un prêteur cherchant à faire fondre des garanties en or a trouvé une plaque de tungstène noir au milieu des barres.

    Dans le cas de Kingold, la société a déclaré avoir contracté des prêts contre de l'or pour compléter ses avoirs en espèces, soutenir les opérations commerciales et augmenter les réserves d'or, selon les documents publics. Il semble alors avoir décidé d'appliquer une couche d'or à des tonnes de cuivre et prétendre qu'il s'agissait d'une garantie en or bon marché. Et encore plus choquant, pendant des années, personne n'a vérifié l'authenticité de la garantie promise!

    En 2018, la société a battu un certain nombre de concurrents en soumissionnant pour acheter une participation majoritaire dans le fabricant de pièces automobiles d'État Tri-Ring Group.

    En 2018, la société a battu un certain nombre de concurrents en soumissionnant pour acheter une participation majoritaire dans le fabricant de pièces automobiles d'État Tri-Ring Group. Kingold a offert 7 milliards de yuans en espèces pour 99,97% de Tri-Ring. Le gouvernement du Hubei a cité l'accord comme un modèle de soi-disant réforme de la propriété mixte, qui vise à inviter des actionnaires privés dans les entreprises publiques. Mais Kingold a eu du mal à reprendre les actifs de Tri-Ring au milieu d'une série de sondages de corruption et de différends impliquant Tri-Ring.

    Après avoir obtenu les résultats des tests, le cadre du Minsheng Trust a déclaré que la société avait demandé à Jia si la société fabriquait les lingots d'or: "Il l'a catégoriquement nié et a déclaré que c'était parce qu'une partie de l'or que la société avait acquise au début avait une faible pureté", a déclaré le directeur. Dans une interview téléphonique avec Caixin début juin, Jia a nié que l'or promis par sa société ait été truqué.

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  5. "Comment pourrait-il être faux si les compagnies d'assurance acceptaient de le couvrir?" il a dit et a refusé de commenter davantage. Eh bien, la réponse est simple: les compagnies d'assurances ont participé à l'arnaque, mais c'est une histoire pour un autre jour.

    Début juin, Minsheng Trust, Dongguan Trust et un petit créancier Chang’An Trust ont intenté des poursuites contre Kingold et ont exigé que PICC P&C couvre leurs pertes. PICC P&C a refusé de commenter Caixin sur la question, mais a déclaré que l'affaire était en procédure judiciaire. Une source de PICC P&C a déclaré à Caixin que la procédure de réclamation devrait être initiée par Kingold en tant qu'assuré plutôt que par les institutions financières en tant que bénéficiaires. Kingold n'a pas fait de réclamation, a déclaré la source Caixin.

    Au total, Kingold promet des dizaines de milliers de kilogrammes d'or à pas moins de 14 créanciers, soit un peu moins de 20 milliards de yuans.

    Caixin a appris que le gouvernement provincial du Hubei avait mis en place un groupe de travail spécial pour superviser l'affaire et que le département de la sécurité publique avait lancé une enquête. Le Shanghai Gold Exchange, une organisation d'autoréglementation de l'industrie de l'or, a disqualifié Kingold en tant que membre la semaine dernière.

    Après Dongguan Trust et Minsheng Trust, deux autres créanciers de Kingold ont également testé des lingots d'or promis et ont constaté qu'ils étaient faux, a appris Caixin. Un employé de Dongguan Trust a déclaré que son entreprise avait signalé le cas à la police le 27 février, le lendemain de la livraison des résultats des tests, et avait demandé 1,3 milliard de yuans de compensation à la succursale de Hubei de PICC P&C.

    Pendant ce temps, Kingold a fait défaut sur 1,8 milliard de yuans de prêts de Dongguan Trust et 1,6 milliard de yuans supplémentaires sont dus en juillet.

    Les 83 tonnes d'or prétendument pur stockées dans les coffres des créanciers par Kingold en juin, soutenant les 16 milliards de yuans de prêts, équivaudraient à 22% de la production annuelle d'or de la Chine et à 4,2% de la réserve d'or de l'État à partir de 2019.

    En bref, plus de 4% des réserves d'or officielles de la Chine peuvent être fausses. Et cela suppose qu'aucun autre producteur d'or et fabricant de bijoux chinois ne se livre à une fraude similaire (alerte de spoiler: ils le sont.)

    * * *

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  6. Fondée en 2002 par Jia, Kingold était auparavant une usine d'or du Hubei affiliée à la Banque populaire de Chine qui a été séparée de la banque centrale lors d'une restructuration. Avec des entreprises allant de la conception, de la fabrication et du commerce de bijoux en or, Kingold est l'un des plus grands fabricants de bijoux en or de Chine, selon le site Web de la société.

    La société a fait ses débuts au Nasdaq en 2010. Le titre se négocie actuellement à environ 1 $ pièce, ce qui donne à Kingold une valeur de marché de 12 millions de dollars, en baisse de 70% par rapport à il y a un an. Un rapport financier de l'entreprise a montré que Kingold avait 3,3 milliards de dollars d'actifs totaux à la fin de septembre 2019, avec un passif de 2,4 milliards de dollars.

    Jia, maintenant âgée de 59 ans, a servi dans l'armée à Wuhan et à Guangzhou et a passé six ans à Hong Kong. Il a déjà dirigé des mines d'or appartenant à l'Armée de libération du peuple, ce qui signifie qu'il a probablement des liens jusqu'au sommet.

    "Jia est grand et fort", a déclaré à Caixin une source de l'industrie financière familière avec Jia. «C'est une figure imposante et parle fort. Il est audacieux, téméraire et éloquent, vous faisant toujours sentir qu'il sait mieux que vous. »

    Plusieurs sources de sociétés de fiducie ont déclaré que Jia était bien connecté au Hubei - l’épicentre de la pandémie de coronavirus - ce qui pourrait expliquer la victoire surprise de Kingold dans l’accord Tri-Ring. Mais une source de l’industrie financière du Hubei a déclaré que les affaires de Jia ne sont pas aussi solides que cela puisse paraître.

    "Nous savions depuis des années qu'il n'avait pas beaucoup d'or - tout ce qu'il a, c'est du cuivre", a déclaré la source, qui a refusé d'être nommée.

    Les institutions financières locales du Hubei ont évité de faire des affaires avec Kingold, mais elles ne veulent pas l'offenser publiquement, a déclaré la source. Pourquoi? En raison de ses liens étroits avec l'armée chinoise.

    "Presque aucune des sociétés de fiducie et des banques locales du Hubei n'a été impliquée dans le financement (de Kingold)", a-t-il déclaré.

    Cela explique pourquoi la plupart des créanciers de Kingold viennent de l'extérieur du Hubei. Caixin a appris de sources réglementaires que Minsheng Trust est le plus grand créancier de Kingold avec près de 4,1 milliards de yuans d'encours de crédit, suivi par 3,9 milliards de yuans de la banque Hengfeng, 3,4 milliards de yuans de Dongguan Trust, 1,9 milliard de yuans d'Anxin Trust & Investment Co. et Sichuan Trust Co.'s 1,8 milliard de yuans.

    Mais attendez, la contrefaçon d'or n'est que la pointe de l'iceberg de la fraude: plusieurs sources de l'industrie ont déclaré à Caixin que les institutions étaient disposées à offrir des prêts à Kingold parce que Jia avait promis de les aider à éliminer les créances douteuses.

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  7. La Hengfeng Bank est la seule banque commerciale impliquée dans l'affaire Kingold. En 2017, la banque a accordé un prêt de 8 milliards de yuans à Kingold, qui en retour a accepté d'aider la banque à annuler 500 millions de yuans de créances douteuses, ont indiqué des sources bancaires. Kingold a remboursé la moitié des dettes en 2018. Mais l'émission du prêt a impliqué de nombreuses irrégularités car l'accès à l'or promis et aux procédures de test a été contrôlé par Kingold, a déclaré un employé de Hengfeng.

    Le prêt a été proposé par Song Hao, ancien directeur de la succursale de Hengfeng à Yantai. Song a été placé sous enquête pour corruption en mars 2018 en lien avec l'ancien président de la banque, Cai Guohua, dont la chute a entraîné une refonte majeure de la gestion de la banque. En 2019, la nouvelle direction de Hengfeng a poursuivi Kingold pour les prêts impayés et a décidé de céder la garantie. Mais un test des lingots d'or a révélé qu'ils sont «tout en cuivre», a déclaré la source de la banque.

    On ne sait toujours pas si la garantie a été falsifiée en premier lieu ou remplacée par la suite. Des sources de Minsheng Trust et Dongguan Trust ont confirmé que la garantie avait été examinée par des institutions de test tierces et strictement contrôlée par des représentants de Kingold, des prêteurs et des assureurs pendant le processus de livraison.

    "Je ne comprends toujours pas quelle partie a mal tourné", a déclaré une source du Minsheng Trust. Les documents bancaires ont montré que le coffre-fort où les garanties étaient stockées n'a jamais été ouvert, a indiqué la source à Caixin.

    Les dominos qui tombent

    Les dossiers publics ont montré que les premiers emprunts garantis par Kingold remontent à 2013, date à laquelle il a conclu un accord pour 200 millions de yuans de prêts de Chang’An Trust, avec 1000 kilogrammes d'or promis. Le prêt de deux ans devait financer un projet immobilier à Wuhan et a été remboursé à temps. Avant cela, le financement de Kingold provenait principalement de prêts bancaires avec des biens immobiliers et du matériel en garantie.

    Il semble que d'une manière ou d'une autre, la société a réalisé qu'elle pouvait fabriquer de l'or et recevoir de l'argent en échange de ce qui était essentiellement des briques de cuivre sans valeur peintes en or; et grâce aux relations militaires de Jia, personne ne poserait d'autres questions.

    En conséquence, à partir de 2015, Kingold a rapidement augmenté sa dépendance à l'égard des emprunts garantis par l'or et a commencé à travailler avec PICC P&C pour couvrir les prêts. En 2016, Kingold a emprunté 11 milliards de yuans, près de 16 fois plus que le chiffre de l'année précédente. Son ratio dette / actif a bondi à 87,5% contre 43,4%, selon un rapport financier de la société. Cette année-là, Kingold a promis 54,7 tonnes d'or pour les prêts, 7,5 fois plus que l'année précédente.

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  8. Il est maintenant sûr de supposer que la majeure partie de cet or n'a jamais existé.

    Une personne proche de Jia a déclaré que la hausse des emprunts était en partie due à la poursuite par Kingold de Tri-Ring. En 2016, le gouvernement provincial du Hubei a annoncé un plan de vente de participations Tri-Ring à des investisseurs privés en tant que refonte majeure du fabricant de pièces automobiles contrôlé par le gouvernement du Hubei.

    En 2018, Kingold a été choisi comme investisseur dans un accord d'une valeur de 7 milliards de yuans. Selon le plan d'investissement, l'achat par Kingold de Tri-Ring faisait partie d'une stratégie visant à se développer dans le secteur des piles à combustible à hydrogène, ce qui est évidemment un choix «logique» pour une entreprise impliquée dans les bijoux en or. Des sources proches de l'accord ont déclaré que Kingold était attiré par Tri-Ring pour sa riche propriété de terrains industriels qui pourraient être convertis à des fins de développement commercial.

    Oui, au fond de la fraude, nous arrivons enfin à la seule vraie bulle d'actifs chinoise: l'immobilier.

    Un document d'investissement du Dongguan Trust a montré que Tri-Ring possède des terrains à Wuhan et Shenzhen d'une valeur de près de 40 milliards de yuans.

    L'accord a suscité une controverse immédiate car certains soumissionnaires rivaux ont remis en question la transparence du processus d'appel d'offres et les qualifications de Kingold.

    Et ici, les choses deviennent encore plus folles: selon les rapports financiers de Kingold, la société n'avait que 100 millions de yuans d'actifs nets en 2016 et 2 milliards de yuans en 2017, suscitant des doutes sur sa capacité à payer l'accord. Malgré l'agitation, Kingold a payé 2,8 milliards de yuans pour le premier versement peu de temps après l'annonce de l'accord. Le deuxième versement de 2,4 milliards de yuans a été payé plusieurs mois plus tard grâce aux fonds recueillis auprès de Dongguan Trust.

    En décembre, Tri-Ring a achevé le changement d’enregistrement de son entreprise, marquant la finalisation du rachat de Kingold. Cependant, le nouveau propriétaire a depuis rencontré des problèmes pour mobiliser les actifs de Tri-Ring en raison d'une série de sondes de corruption entourant le fabricant de pièces automobiles depuis début 2019, qui a fait tomber l'ancien président de Tri-Ring. Comme Caixin le note, une majorité des actifs de Tri-Ring ont été gelés au cours de l'enquête et des différends sur la dette qui ont suivi, limitant l'accès de Jia aux actifs.

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  9. La fraude est enfin dévoilée

    Entravée par l'accord de Tri-Ring, qui a coûté des milliards de yuans mais n'a pas encore fait de retour, la chaîne de capitaux de Jia a finalement été rompue lorsque la banque Hengfeng a demandé le remboursement, déclenchant une série d'événements qui ont mis en lumière le faux or, a déclaré une personne. proche de la question. L’implication des assureurs a été la clé du succès des accords de prêts garantis par Kingold. Les polices d'assurance fournies par les principaux assureurs publics comme PICC P&C ont été un facteur majeur de désamorçage des risques des prêteurs, ont indiqué plusieurs sources de sociétés de fiducie.

    "Sans la couverture d'assurance de PICC P&C, (nous) n'émettrions pas de prêts à Kingold car la garantie ne peut être testée que par le biais d'échantillons choisis au hasard", a déclaré une personne à Caixin.

    La succursale de Hubei de PICC P&C a couvert la plupart des prêts de Kingold, a appris Caixin. Toutes les politiques expireront en octobre. Au 11 juin, 60 polices étaient toujours valides ou impliquées dans des poursuites.

    PICC P&C fait face à de multiples poursuites intentées par les créanciers de Kingold pour demander une compensation. Mais un porte-parole de PICC P&C a déclaré que les politiques ne couvrent que les pertes collatérales causées par des accidents, des catastrophes, des vols et des vols. Pas de fraude, et certainement pas de pertes alors que la garantie n'existait même pas!

    Dont la faute

    Wang Guangming, un avocat des bureaux d'avocats de Dacheng, a déclaré que la question clé était de savoir ce qui était arrivé à l'or promis et quelle partie était au courant de la falsification. Si Kingold a truqué les lingots d'or et que les assureurs et les créanciers n'étaient pas au courant, les assureurs devraient indemniser les prêteurs et poursuivre Kingold pour fraude à l'assurance, a déclaré Wang. Les assureurs sont également responsables de l'indemnisation s'ils connaissaient l'arnaque de Kingold, mais les créanciers ne le savaient pas, a déclaré Wang.

    Si Kingold et les créanciers étaient tous deux au courant de la fausse garantie, les assureurs pourraient résilier les polices et poursuivre les parties pour fraude. Mais si les assureurs étaient également impliqués dans l'arnaque, alors tous les contrats sont invalides et chaque partie devrait assumer ses propres responsabilités juridiques, a déclaré Wang.

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  10. Un responsable de la réglementation financière a déclaré à Caixin que des enquêtes antérieures sur des cas de fraude de prêt impliquant de fausses promesses d'or avaient révélé qu'il y avait souvent une collusion entre les emprunteurs et les institutions financières.

    Plus tôt cette année, PICC P&C a démis de ses fonctions le directeur et directeur général du parti de la branche du Hubei, Liu Fangming. Des sources ont indiqué que des membres du personnel impliqués dans des affaires avec Kingold avaient également été licenciés. PICC P&C a déclaré que le retrait de Liu était dû à des problèmes de gestion interne. Cela n'a pas répondu à la question de Caixin sur la question de savoir si Liu était impliqué dans le scandale Kingold.

    La succursale Hubei de PICC P&C a fourni une assurance pour la plupart des prêts adossés à de l'or de Kingold.

    * * *

    L'histoire ci-dessus est choquante en révélant à quel point la fraude à multiples facettes est en Chine: capitalisant sur le copinage préexistant et les liens avec la puissante armée chinoise, le fondateur de Kingold a été autorisé à faire tout ce qu'il voulait, sans poser de questions, y compris la contrefaçon 83 tonnes de lingots d'or pour obtenir des milliards de fonds pour participer à la bulle immobilière chinoise, uniquement pour une série d'événements inattendus pour dénouer les fraudes les unes après les autres et dénoncer le type de scandale sordide qui est au cœur de la plupart des "entreprises" chinoises et entreprises commerciales.

    Quant à l'or, oui - plusieurs milliards de lingots d'or n'ont jamais existé et ont pourtant entraîné une cascade d'événements de flux de trésorerie ultérieurs permettant à des dizaines de milliards de fonds d'être libérés, "bénéficiant" non seulement du fondateur Jia, mais de l'économie plus large de la Chine. Ce qui est, il va sans dire, terrifiant: car alors qu'immédiatement après la crise financière, la Chine était engagée dans la construction de villes fantômes, tout le monde savait que c'était un symbole de demande qui ne se matérialiserait jamais, même si les villes elles-mêmes existaient. Cependant, il semble maintenant qu'une grande partie du boom économique de la Chine a été fondée sur des dizaines de milliards d'actifs matériels - tels que l'or - qui n'existent tout simplement pas.

    Quant à ce que cela signifie pour le prix de l'or ... eh bien, Kingold n'est certainement pas la seule entreprise chinoise à se livrer à une fraude aussi flagrante, et les conséquences sont claires: une fois que les créanciers ou les compagnies d'assurance chinoises commencent à tester les "garanties" qu'elles ont reçues en échange de dizaines de milliards de prêts et découvrent, à leur "stupéfaction", qu'au lieu d'or ils sont fiers propriétaires de tungstène ou de cuivre, ils ont deux choix: révéler la fraude, risquant d'énormes conséquences négatives et / ou de prison, ou acheter tranquillement tout l'or nécessaire pour combler littéralement le vide des années de contrefaçon d'or.

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  11. Quelque chose nous dit que l'option deux sera beaucoup plus acceptable pour la kleptoculture chinoise où un domino froid déclenche l'effondrement de l'ensemble du système financier. Ce qui se passe ensuite: une course de panique pour se procurer de l'or physique, une bataille que même nos amis du BIS seront impuissants à empêcher d'envoyer le prix du métal précieux à des niveaux record.

    https://www.zerohedge.com/markets/83-tons-fake-gold-bars-gold-market-rocked-massive-china-counterfeiting-scandal

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    1. 1 cm3 de métal =

      PLATINE: 21,4 gr
      OR:19,3 gr
      TUNGSTÈNE: 19,25 gr
      PLOMB: 11,3 gr
      CUIVRE: 8,96 gr

      Il est donc fort peu probable que du cuivre ait été utilisé pour confectionner des lingots d'or !

      Ne prenons pas les experts en bijouteries pour des cons ! Le poids du cuivre pourrait confectionner un lingot 2 fois plus gros ! ou 2 fois plus petit au même format !

      https://www.lingotor.fr/trafic-faux-lingots-or-tungstene-manhattan-new-york/

      ---------------------------

      Plus de 10 Barres d'or remplies de tungstène découvertes à Manhattan

      mercredi 26 septembre 2012

      https://huemaurice5.blogspot.com/2012/09/plus-de-10-barres-dor-remplies-de.html

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  12. Pendant combien de temps les Européens travailleront-ils ?


    par Tyler Durden
    Mar., 30/06/2020 - 02:45


    Eurostat a publié une prévision intéressante sur la durée pendant laquelle une personne peut s'attendre à être active sur le marché du travail européen au cours de sa vie.

    Les données sont mesurées en années et sont basées sur une personne âgée de 15 ans en 2019. En moyenne, Niall McCarthy de Statista note que la durée prévue de la vie professionnelle dans l'Union européenne était de 35,2 ans - 3,6 ans de plus qu'en 2000.

    Dans chaque État membre, il varie de 32 ans en Italie à 42 ans en Suède ...

    - voir sur site -

    Infographie: Combien de temps les Européens travailleront-ils ? | Statista

    https://www.statista.com/chart/15761/the-estimated-duration-of-working-life-for-a-15-year-old/

    Les données incluent également plusieurs pays en dehors de l'UE et leurs chiffres sont variés.

    En Turquie par exemple, un adolescent de 15 ans peut espérer une vie active de 29,3 ans. En Islande, cependant, un jeune de 15 ans peut s'attendre à travailler beaucoup plus longtemps - 45,8 ans au total. Ailleurs, la durée du travail est estimée à 42,6 ans en Suisse et à 39,8 ans en Norvège.

    https://www.zerohedge.com/personal-finance/how-long-will-europeans-work-0

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  13. Brève. La grippe « coronavirale » est-elle la plus dangereuse depuis celle de 1919 ?


    le 30 juin 2020


    Prenons le cas des USA pour établir des comparaisons, certes contestables, qui indiquent que le nouveau virus SARS-Covid-19 n’est pas plus dangereux que le virus Influenza A H2N2 qui sévit en 1957-1958 dans le monde. Il y eut 116000 morts aux Etats-Unis pour une population de 180 millions d’habitants. Ce 29 juin 2020 le nombre de morts « confirmés » Covid-19 positifs, donc à l’exclusion de tout autre virus grippal, s’élevait à 129000 pour une population de 330 millions d’habitants.

    Il suffit d’appliquer une règle de trois, comme j’aime le faire, pour en déduire que l’épidémie de 1957-1958, en tenant compte de l’augmentation de la population, équivaudrait aujourd’hui à 213000 morts. Cette grippe asiatique tua sans discernement autant de personnes de 15 à 45 ans que de « vieux » de plus de 70 ans.

    Sur la base de ce raisonnement un peu spécieux je me permets donc de dire aux Américains qui veulent sans cesse être les premiers du monde dans tous les domaines qu’ils fassent encore quelques progrès pour atteindre 210000 morts avec ce coronavirus …

    Je rappellerai encore ici que la grippe asiatique tua 40000 personnes en France et que le nouveau virus « chinois » n’y a pas provoqué plus de 30000 morts malgré la gestion surréaliste de cette épidémie par le gouvernement français. En corrigeant l’augmentation de la population française on arrive à la figure suivante : 40000 x (66/45) = 58600, une preuve supplémentaire que cette grippe spéciale n’avait vraiment rien d’exceptionnel.

    Il reste cependant une inconnue soigneusement passée sous silence : Qu’en est-il des dégâts sanitaires de la grippe saisonnière autre que coronavirale qui n’a pas pu disparaître comme par magie et laisser la place au virus couronné ? Dix-mille, quinze-mille morts comme chaque année ?

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/06/30/breve-la-grippe-coronavirale-est-elle-la-plus-dangereuse-depuis-celle-de-1919/

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    1. La différence entre hier et aujourd'hui ?

      Aujourd'hui TOUS les morts (vieillesse, accidents de la route, cancer, diabète, etc) sont étiquetés 'coronavirus' !!

      L'étape 'Corona' était un test (nº 1),
      Le port du masque RIGOLO sert à compter le nombre de cons. Bon, çà on en est sûr. Mais, le résultat c'est quoi ? C'est que les gens (masqués) ne se reconnaissent plus dans la rue ! Donc: ne se parlent pas !
      Donc, après l'augmentation du prix de la bière (sous Hollande) destiné à faire fermer les derniers bars qui subsistent, le résultat est que les gens... ne se parlaient plus !
      Par contre, en temps d'emprisonnement sous l'étiquette le virus est dans la rue pas chez vous ! HAHAHAHA !), là, les discussions se font par téléphones (via NSA) et donc......

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  14. Reconnaissance faciale et bavure faciale

    Les retours d’expérience de reconnaissances faciales sont un véritable fiasco : il y a des inquiétudes à avoir sur ces solutions sécuritaires vendues comme miraculeuses.


    Par Yannick Chatelain.
    30 JUIN 2020


    Toutes les études et recherches faites sur le sujet en France à l’instar, par exemple, de « L’évaluation des politiques publiques de sécurité : résultats et enseignements de l’étude d’un programme de vidéosurveillance de la ville de Montpellier1 », comme à l’étranger (Études ayant été synthétisées dans une méta-évaluation) tendent à démontrer les faiblesses de la vidéosurveillance à des fins préventives.

    Dans ses travaux, Guillaume Gormand note que les critiques formulées contre le modèle britannique de déploiement de la vidéosurveillance de masse par Martin GILL2, peuvent s’appliquer au processus français engagé depuis les années 2007 aboutissant à un toujours plus de la même chose « perverse » qui défie la raison :

    « Pendant les années 1990, le gouvernement britannique a présenté la situation ainsi aux collectivités locales : “si vous avez des problèmes d’insécurité, la vidéosurveillance peut vous aider. Vous obtiendrez des fonds pour en installer dans votre ville. Vous êtes libres de choisir un autre dispositif, mais dans ce cas vous n’obtiendrez pas d’aide financière” ».

    UNE DOCTRINE ORWELLIENNE MISE À MAL

    Par-delà la méta-évaluation évoquée, des faits traumatisants comme les attentats du Bataclan feront l’objet d’une déclaration péremptoire de monsieur Estrosi, qui pointera alors une politique de la ville déficiente en matière de caméra de vidéo surveillance, qui aurait pu, selon ses propos d’alors, éviter cette horreur.

    « Avec 999 caméras, et une caméra pour 343 habitants [alors qu’] à Paris, il y en a une pour 1532, je suis à peu près convaincu que si Paris avait été équipée du même réseau que le nôtre, les frères Kouachi n’auraient passé trois carrefours sans être neutralisés et interpellés. »

    Cette déclaration, certes caricaturale, reflétait une « doctrine » 3 d’alors (mot très à la mode actuellement, devenu un #buzzword) loin d’être anodine puisque marginalisant totalement la science en se fondant exclusivement sur des intuitions et des croyances.

    La ville de Nice poursuivra d’ailleurs cette fuite en avant, devenant la ville la plus vidéosurveillée de France. Cette fuite en avant, n’empêchera malheureusement pas l’horreur du 14 juillet.

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  15. Une logique perverse de déploiement, des mises en échec récurrentes de ces solutions attentatoires aux libertés publiques pour prévenir les délits et les crimes, voilà qui ne décourage pas pour autant les promoteurs de l’édification d’une société orwelienne, intégrant une télésurveillance massive.

    La doctrine originelle mise à mal n’a alors fait qu’évoluer. Ceux que je qualifierais d’ Orwelliens se sont appuyés sur un nouvel argument, explicitant une efficience qui n’est pas au rendez-vous : l’absence de couplage des caméras de vidéosurveillance avec la reconnaissance faciale.

    Les motivations d’un tel discours à même de trouver une écoute favorable peuvent être diverses. Trois m’apparaissent prégnantes :

    Faute de savoir, une sincérité dans la croyance en une efficacité préventive de ce type de solution.
    Une réponse et une exploitation politique de cette croyance pour rassurer une population en attente d’une société plus sécurisée dans une période où elle est perçue comme plus violente, un sentiment de violence paradoxalement plus élevé que les statistiques.

    Une motivation mercantile amenant certains acteurs à vanter les mérites sécuritaires de ce marché prometteur (le marché de la reconnaissance faciale au service de la surveillance de masse était estimé à 4,55 milliards d’euros dans le monde en 2019, par le cabinet d’analyse Mordor Intelligence, et devraient dépasser les 9 milliards d’euros en 2025).
    Coupler une approche préventive non fonctionnelle prouvée scientifiquement à une approche dysfonctionnelle avérée est intellectuellement discutable.

    N’est-il pas alors légitime de s’interroger devant cette manne financière annoncée sur la responsabilité sociale des entreprises à défendre une liberté démocratique fondamentale : la liberté de circuler de façon anonyme ?

    POUR RAPPEL

    Les retours d’expérience de reconnaissances faciales sont un véritable fiasco (cf. « Facial Rekognition » d’Amazon peu concluante), s’il ne faut en citer qu’une, parmi tant d’autres, l’expérience menée sur le pont Robert F. Kennedy confirme les inquiétudes à avoir sur ces solutions sécuritaires vendues comme miraculeuses, mais déficientes parce que soumises à des biais algorithmiques non contournables !

    C’est dans un contexte de tensions raciales extrêmes aux États-Unis, sur fond de violence de certains policiers, qu’IBM annonçait se retirer du marché de la reconnaissance faciale, tandis qu’Amazon annonçait que son logiciel de reconnaissance faciale, Rekognition, ne serait plus utilisé par la police américaine pendant une durée d’un an.

    Notons que dans la même période, pour combattre le même fléau et protéger les forces de l’ordre d’accusations infondées et les citoyens de la violence – potentiellement discriminante – de quelques individus, la gouvernance française s’engageait elle sur le terrain de l’usage des caméras piétons pour nos forces de l’ordre, des caméras piétons qui seraient pourtant déjà sujettes à caution…

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  16. On a coutume de dire de façon populaire que la France fait, et ce dans bien des domaines, les mêmes erreurs que les États-Unis avec… dix années de retard.

    Cela doit-il invariablement se répéter ? Tandis que des entreprises américaines de renom font un pas en arrière, était-ce le moment en France de faire un pas en avant vers, à terme, les visiophones (caméras) ring ; et se diriger si promptement vers des risques de suraccidents ?

    LA PREMIÈRE BAVURE FACIALE

    Pour ceux qui verraient dans mon propos un alarmisme fantasmé, la première bavure faciale à déjà eu lieu début janvier, loin du barnum médiatique : « dans la banlieue de Detroit un Afro-Américain a – après avoir été arrêté à tort devant ses enfants – passé 30 heures en détention parce qu’un logiciel de reconnaissance faciale utilisé par la police avait estimé à tort que le visage d’un voleur, capturé par une caméra de surveillance alors qu’il dérobait une bijouterie, était identique à la photo de son permis de conduire. »

    Cette bavure a pu contribuer à faire reculer les géants du Net, momentanément pour certains, définitivement pour d’autres, dans une période de très haute tension raciale aux États-Unis.

    En France, nos forces de l’ordre, de conflit en conflit, apparaissent de plus en plus épuisées, démunies, et désemparées ; et certains citoyens de plus en plus désespérés, se mettent à craindre et redouter les forces de l’ordre !

    Une situation de défiance mutuelle qui n’a pas lieu d’être en démocratie. Une situation bien éloignée de la communion post attentats, une situation qui n’intègre pas dans la réflexion les seuls responsables : les donneurs d’ordres.

    La solution d’apaisement ne sera pas certainement pas technologique : à quoi servira un pansement gadget déficient, si ce n’est à attiser la défiance ? Les mots qui reviennent de façon récurrente sont :

    des moyens réels ;
    de la formation à la hauteur de ce qui est prévu pour les forces de l’ordre ;
    des donneurs d’ordres aguerris aux réalités du terrain.
    Voilà qui permettra à la police de respecter sa devise « Pro patria vigilant » (« Ils veillent pour la Patrie »), et à la gendarmerie de respecter la sienne, « Pour la patrie, l’honneur et le droit. »

    Aux citoyens de respecter inconditionnellement ces deux piliers indispensables à notre démocratie, sans jamais avoir, hors en se mettant hors la loi, ni à les redouter, ni à les craindre.

    « Chacun de nous est responsable de tout devant tous. » Fiodor Dostoïevski

    Guillaume Gormand, L’évaluation des politiques publiques de sécurité : résultats et enseignements de l’étude d’un programme de vidéosurveillance de la Ville de Montpellier. Droit. Université Grenoble Alpes, 2017. Français. NNT : 2017 GREAD014. tel-02439529

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  17. Gill, Martin, « Using technologies for prevention », communication orale tenue le 13 décembre 2012 à Saint Denis, pendant la Conférence 2012 du Forum Européen pour la Sécurité Urbaine « Security, Democracy and Cities : the futur of prevention » des 12-14 décembre 2012. Nous traduisons depuis l’anglais : « During the 90’s, the UK government said to local community ‘if you have crime problems, CCTV can help you. You’ll get some money to install it in your town. You’re free to chose an other tool, but if you do, you won’t get any money’ »

    Ensemble de notions qu’on affirme être vraies et par lesquelles on prétend fournir une interprétation des faits, orienter ou diriger l’action.

    https://www.contrepoints.org/2020/06/30/374822-reconnaissance-faciale-et-bavure-faciale

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    1. Comme à la télé: Aux images on leur fait dire ce que l'on veut ! (voir 'Charlie Hebdo, Nice, etc !)

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  18. Critique de livre: «Apocalypse Never» par Michael Shellenberger


    Par Peter Murphy
    29 juin 2020


    La voie vers une planète plus propre et durable n'est pas d'éliminer les combustibles fossiles et l'énergie nucléaire, mais plutôt d'élargir leur utilisation, en particulier dans les pays en développement pour apporter la croissance économique et la prospérité, comme ces sources l'ont fait pour le monde développé.

    C'est l'un des thèmes principaux du nouveau livre, Apocalypse Never, écrit non par un «climat denier» ou un «shill d'entreprise». Au lieu de cela, l'auteur Michael Shellenberger est un activiste environnemental de 30 ans avec des références dans la rue pour diverses causes. Project, une initiative en matière d'énergies renouvelables qui a longtemps précédé le Green New Deal. Il est également le magazine Time «Hero of the Environment».

    Les antécédents de Shellenberger sont l'une des principales raisons pour lesquelles Apocalypse Never est si dévastateur pour l'environnementalisme extrémiste qui a pris racine dans la politique, les médias, l'éducation de la maternelle à la 12e année et la culture populaire. Ce livre, qui a été publié la semaine dernière, détruit de nombreuses affirmations de l'industrie alarmiste de l'environnement, dirigée par des organisations financées de manière solide, notamment le Sierra Club, 350, Greenpeace, le National Resources Defence Council, le Environmental Defence Fund et des groupes moins connus.

    Shellenberger est actuellement le fondateur et président de Environmental Progress, une organisation de recherche non partisane à Berkeley, en Californie. Il épouse ce qu'il appelle «l'humanisme environnemental», qui est fondé sur «l'objectif moral transcendant de l'épanouissement humain universel et du progrès environnemental, puis sur la rationalité».

    Il est également un fervent partisan de l'énergie nucléaire et démontre de façon convaincante qu'elle est sûre, abondante, sans carbone et d'une importance vitale pour se développer pour un avenir durable.

    Le sous-titre du livre, Why Environmental Alarmism Hurts Us All, décrit en particulier l’impact contre-productif des politiques climatiques sur les populations des pays en développement, notamment au Congo, au Bangladesh, au Brésil et au Rwanda où l’auteur a voyagé. Il reproche à des organisations internationales telles que la Banque mondiale d'avoir tenté d'imposer à ces nations des projets d'énergie renouvelable tels que l'éolien, le solaire et les biocarburants.

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  19. Au lieu de cela, ces nations, qui restent fortement tributaires de la combustion du bois, ont besoin d'investissements dans les barrages hydroélectriques, le développement de combustibles fossiles et les infrastructures pour industrialiser et améliorer les conditions de vie - les choses mêmes qui ont apporté la croissance économique et la prospérité en Europe et aux États-Unis. Les groupes verts s'y opposent vigoureusement et poussent à la place ce que Shellenberger appelle le "saut énergétique" aux énergies renouvelables, qui n'ont ni l'efficacité ni la capacité d'élever le niveau de vie.

    Ces politiques climatiques envers le monde en développement sont une forme de néocolonialisme. "Il est hypocrite et contraire à l'éthique d'exiger que les nations pauvres suivent un chemin plus cher et donc plus lent vers la prospérité que l'Occident a suivi", écrit Shellenberger. J'ajouterais que ces groupes verts demandent effectivement à l'Occident de renverser sa prospérité en paralysant les combustibles fossiles et l'énergie nucléaire.

    Il n'y a presque aucun problème propagé par le camp des alarmistes de l'environnement qui est épargné dans ce livre de près de 300 pages, sans compter 104 autres pages de notes de fin. Je soupçonne qu'en raison du retrait de Shellenber de tant de récits environnementaux et de bricoles, il a méticuleusement documenté ses recherches substantielles.

    Des faussetés environnementales sont révélées concernant l'hydro-fracturation, y compris le faux film Gasland; Ours polaires; contrôle de la population; l'énergie éolienne, qui dévaste les oiseaux et les chauves-souris (pourtant nié par les groupes verts); et les incendies de forêt récents et les événements météorologiques extrêmes, qui ne sont pas historiquement significatifs et font beaucoup moins de victimes aujourd'hui. L'énergie solaire et éolienne, note-t-il, est beaucoup moins efficace et occupe 100 à 1 000 fois l'espace terrestre des centrales à combustibles fossiles. Le livre dénonce également la déforestation nécessaire à l'expansion du vent, du solaire et des biocarburants, qui menacent les habitats fauniques.

    Les politiciens et les élites sont également exposés à l'hypocrisie, y compris l'ancien gouverneur de Californie Jerry Brown, dont la famille et les donateurs politiques ont bénéficié du pétrole brut et du gaz naturel indonésiens rendus plus nécessaires par son entrave à l'énergie nucléaire. Les groupes verts sont soutenus financièrement par des milliardaires de combustibles fossiles, même si ces groupes attaquent les sceptiques du climat pour la même transgression.

    Les scientifiques de l'environnement, les journalistes et les militants sont souvent critiqués dans le livre pour leurs embellissements et leur malhonnêteté, par exemple, dans leurs rapports sur les conclusions du Panel international sur le changement climatique et le parrotage des conséquences catastrophiques infondées du changement climatique.

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  20. Le livre fait peut-être sa discussion la plus passionnante autour de la toile de fond religieuse de l'environnementalisme apocalyptique, qu'il écrit, «donne aux gens un but» et les aide à «trouver un sens à leur vie». L'ennui, c'est qu'il est également devenu destructeur, de sorte qu'il «conduit ses partisans à diaboliser leurs adversaires, souvent de façon hypocrite», alors qu'ils refusent de reconnaître une science et des faits authentiques.

    Shellenberger se qualifie lui-même d '«écologiste rationnel» qui a écrit ce livre parce que «la conversation sur le changement climatique et l'environnement [a] échappé à tout contrôle».

    En effet, le rationalisme fait cruellement défaut dans le discours environnemental actuel. Apocalypse de Michael Shellenberger ne réussit jamais à donner un coup de pouce bienvenu

    https://www.cfact.org/2020/06/29/book-review-apocalypse-never-by-michael-shellenberger/

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    1. Le fait politique et donc non intelligent de fermer des centrales nucléaire n'empêchera JAMAIS les autres pays possesseurs de centrales nucléaire de progresser ! AU CONTRAIRE !

      La Chine est un pays immense, avec près de 1,4 milliard d’habitants. Ses besoins en énergie sont énormes et ne cessent de croître. Pour faire face à cette croissance et respecter ses engagements climatiques, la Chine a lancé de vastes programmes d’investissements tant dans les énergies renouvelables que dans les centrales nucléaires. La Chine a multiplié par 10 le nombre de centrales nucléaires en fonctionnement par rapport à l’an 2000.

      https://www.forumnucleaire.be/theme/dans-le-monde/chine

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  21. Un trifecta gagnant pour la science du climat et la rationalité


    Par Charles Battig
    29 juin 2020


    Il y a d'abord eu Planet of the Humans de Michael Moore, puis False Alarm de Bjorn Lomborg, et maintenant Apocalypse Never de Michael Schellenberger. Les trois auteurs sonnent le thème commun selon lequel les militants écologistes hyper-verts qui ont capturé, politisé et monétisé le souci de l'environnement ont, comme l'explique Lomborg, créé une fausse alarme climatique qui a «coûté des milliards de dollars, fait du mal aux pauvres et ne parvient pas à réparer la planète. " À des degrés divers, les trois auteurs sont issus d'un solide milieu militant écologiste, ce qui rend leurs révélations publiques encore plus remarquables.

    Planet of the Humans, le récent film produit par Michael Moore, a provoqué la consternation et un contrecoup considérable des militants verts et de leurs alliés en soulignant comment les sociétés énergétiques traditionnelles avaient coopté le mouvement environnemental en enfilant un alter ego vert et en embrassant énergie renouvelable. Ce faisant, les sociétés ont eu accès au financement / aux subventions gouvernementales pour les éoliennes et les installations solaires commerciales et ont créé une victoire des relations publiques pour leurs éco-actionnaires bruyants. La révélation de Moore selon laquelle la nécessité de fournir une électricité fiable 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 aux consommateurs garantit que les centrales à combustibles fossiles resteront les principales sources d'énergie en raison de l'échec du vent ou du solaire à fournir de l'énergie en l'absence de vent ou de soleil suffisant. Les énergies renouvelables ne remplacent pas les centrales électriques à combustibles fossiles fiables. Les factures énergétiques des consommateurs ne diminuent pas, mais augmentent lorsque les énergies renouvelables sont imposées.

    Moore a également documenté que les énergies renouvelables nécessitent de grandes quantités de terres rares, de ciment et d'énergie fossile dans leur production. Ils sont tous deux notoirement inefficaces dans l'utilisation des terres et imposent la destruction de vastes zones d'habitats indigènes. Une destruction environnementale supplémentaire est due au fait que le meilleur emplacement éolien ou solaire est souvent éloigné de la base de consommateurs la plus nécessaire, nécessitant ainsi la construction de lignes de transmission électrique massives. "Les usines qui prétendent être allées" au-delà du charbon "se tournent encore et encore vers le gaz naturel."

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  22. Le film note que les centrales électriques à biomasse / copeaux de bois en Angleterre dépendent désormais des forêts américaines. Plutôt que d'utiliser simplement les déchets de bois d'œuvre comme cela avait été proposé au départ, cela s'est transformé en un sous-ensemble majeur de l'industrie forestière. Nos forêts du sud sont nivelées et les arbres transformés en copeaux de bois. L'ensemble du processus d'exploitation forestière, de traitement et de transport transatlantique est entièrement alimenté par des combustibles fossiles. Le principe de base de l'utilisation du bois d'œuvre «renouvelable» comme biocarburant est que le dioxyde de carbone libéré lors de sa combustion deviendra un engrais pour une nouvelle génération d'arbres et donc le cycle est neutre en carbone. L'erreur fondamentale de cela est que l'échelle de temps de la croissance des nouveaux arbres dépasse largement le cycle météorologique quotidien. Peu importe. Imaginez, le bois américain qui garde l'Angleterre éco-verte - un pays qui connaît bien l'abattage de ses propres forêts.

    Avec son récent livre, False Alarm, Bjorn Lomborg continue de chevaucher la barrière du réchauffement climatique, alias le changement climatique. En tant que «environnementaliste sceptique» d'origine, Bjorn a soutenu qu'il existe des moyens plus productifs d'aider l'humanité que de dépenser des milliards en essayant d'influencer le changement climatique. Il a plaidé pour l'amélioration de l'assainissement, de l'approvisionnement en eau potable, de la nutrition de base et de la sortie de la pauvreté des millions de personnes vivant dans les pays sous-développés. Dans ce livre, il continue de faire pression pour un effort concerté pour atténuer ces maux, plutôt que d'accepter les décennies d'appels à la panique pour «fixer le climat».

    Il fournit de nombreuses références pour étayer ses affirmations selon lesquelles le changement climatique est réel mais n'est pas la menace apocalyptique si largement annoncée. «La science», dit-il, «montre que les ouragans qui ont touché terre aux États-Unis ne sont pas plus fréquents que par le passé. Les sécheresses sont devenues en fait plus courtes, moins fréquentes et couvrent une zone plus petite. Dix-sept fois plus de personnes meurent actuellement du froid que de la chaleur, et ces personnes bénéficieront d'un réchauffement modéré. En fait, les décès liés au climat dans le monde sont à leur plus bas niveau. »

    Il prétend:

    … Les projections de la disparition imminente de la Terre reposent sur de mauvaises données scientifiques et sur des aspects économiques encore pires. Dans une panique politisée, les dirigeants mondiaux se sont engagés à des politiques extrêmement coûteuses, mais largement inefficaces, qui entravent la croissance et évincent d'autres investissements urgents dans un monde meilleur, de la vaccination à l'éducation.

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  23. Et pourtant, un état d'esprit schizophrénique cohabite avec cette évaluation rationnelle du changement climatique et des questions connexes. La section 1 du livre est intitulée «Climate of Fear» et évoque des souvenirs de «State of Fear» de Michael Crichton en 2004. Quelques pages après son introduction, Lomborg déclare: «Le changement climatique est réel, il est principalement causé par les émissions de carbone des humains qui brûlent des combustibles fossiles…». Il ne fait aucun doute que le changement climatique est réel; cependant, il ne donne aucune référence à cette allégation non étayée de causalité humaine, qui est la position de base des Nations Unies et le fondement de beaucoup d'éco-activisme vert. Quelques lignes plus tard, il semble critiquer la même ONU:

    Après qu'un rapport de l'ONU sur la climatologie de 2019 ait conduit à des affirmations exagérées de militants, l'un des scientifiques a écrit: «Nous risquons de fermer le public avec des discours extrémistes qui ne sont pas soigneusement soutenus par la science.» Les médias signalent que nous devons agir d'ici 2030 pour résoudre le problème du changement climatique. Les médias définissent-ils ce qu'est la science?

    Lomborg souligne qu'il ne s'agit en effet pas de science, mais de «ce que la politique nous dit». Il ne précise pas quel est le «problème» avec le climat, bien que son chapitre 6 soit intitulé «Vous ne pouvez pas corriger le changement climatique» et le chapitre 11 propose «Taxe sur le carbone: la solution basée sur le marché». Le chapitre 14 «Géoingénierie: un plan de sauvegarde» est reconnu comme «pénétrant en territoire inconnu», mais «pourrait jouer un rôle si nous constations que nous avions besoin d'une action rapide pour éviter une catastrophe imminente». Après avoir appelé à l'examen de ce plan de secours, le chapitre se poursuit par une discussion approfondie sur les avantages et les inconvénients de sa mise en œuvre effective.

    Le lecteur devra évaluer ce livre récent pour obtenir l’importation complète des derniers efforts de Lomborg. Sa prémisse la plus fondamentale demeure qu'il existe de meilleurs moyens d'atténuer la misère humaine que de dépenser les subventions des contribuables pour des solutions politiques et non paniques au changement climatique. Peu de gens contesteraient cet objectif.

    Michael Shellenberger a des références militantes vertes remontant à ses années de lycée. Pourtant, au cours des années qui ont suivi, il a eu une révélation de la réalité environnementale qui s'est maintenant manifestée le plus clairement dans son récent livre «Apocalypse Never» et avec son démarrage du mouvement écomoderniste. Le sous-titre du livre, «Pourquoi l'alarmisme environnemental nous blesse tous», fait écho aux conclusions similaires de Moore et Lomborg.

    Schellenberger a eu quelques bosses sur le chemin de son test de réalité actuel. Son soutien en 2002 au «Nouveau projet Apollo», qui appelait à un important programme de recherche scientifique et économique mondial pour rendre l'électricité de base sans carbone moins coûteuse que l'électricité à partir du charbon d'ici 2025, a coûté 150 milliards de dollars sur une décennie. L'administration Obama a adopté un grand nombre des propositions d'énergies renouvelables, mais Schellenberger documente qu'une grande partie de l'argent est allée à «des entreprises qui ont enrichi les donateurs de la campagne d'Obama» mais n'ont pas réussi à produire les avancées promises en matière d'énergies renouvelables.

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  24. La désillusion a cédé la place à la réalité, et en 2017, Shellenberger a déclaré à The Australian: «Comme la plupart des gens, j'ai commencé plutôt anti-nucléaire. J'ai changé d'avis en réalisant que l'on ne peut pas alimenter une économie moderne en énergie solaire et éolienne…. Tout ce qu'ils font, c'est de rendre le système électrique chaotique et de fournir du greenwash pour les combustibles fossiles. » Il a fait de nombreux efforts pour soutenir l'énergie nucléaire.

    Son livre actuel brouille un grand nombre des affirmations des éco-environnementalistes, notamment des extinctions massives, la sauvegarde des baleines par Greenpeace, des déchets plastiques encrassant l'océan pendant des milliers d'années et une augmentation des événements météorologiques extrêmes.

    Il réfléchit à son dévouement précoce à l'environnementalisme en tant que manifestation d'une «anxiété sous-jacente et du malheur dans ma propre vie qui avait peu à voir avec le changement climatique ou l'état de l'environnement naturel». C'est devenu une quasi-religion offrant un «soulagement émotionnel» et une «satisfaction spirituelle» à ceux, comme lui, qui ont peut-être perdu la direction des religions spirituelles traditionnelles.

    Schellenberger conclut en observant que «le problème avec la nouvelle religion environnementale est qu'elle est devenue de plus en plus apocalyptique, destructrice et autodestructrice».

    Voici donc trois écologistes avec différents degrés d'éco-activisme dans leur passé, mais tous maintenant prêts à dénoncer la propagande climatique incessante de la culpabilité liée à l'homme, les pourvoyeurs d'anxiété et les empoisonneurs de la joie et de l'émerveillement de l'enfance. Le changement climatique est la norme; ce n'est pas le péché originel de l'humanité. Les lecteurs ici sont encouragés à lire les travaux de ces réalistes climatiques.

    https://www.cfact.org/2020/06/29/a-winning-trifecta-for-climate-science-and-rationality/

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  25. Greenpeace au Kenya : l'activisme fait fi de la menace de disette


    30 Juin 2020
    par Seppi
    André Heitz*


    Le Kenya, un peu plus étendu que la France, avec une surface de terres agricoles similaire et 47,5 millions d'habitants, vit dans la précarité alimentaire.

    En ce moment, le pays est confronté à des pertes de récoltes dues à de fortes pluies et des inondations ainsi qu'aux maladies et ravageurs, dont la légionnaire d'automne (Spodoptera frugiperda), un papillon de la famille des noctuelles récemment arrivé sur le continent et dont la chenille est extrêmement vorace. S'y est ajouté une autre plaie dont des médias français se sont fait l'écho : la pire invasion de criquets depuis 70 ans.

    Comble de malheur, le gouvernement a dû détruire quelque 6.200 tonnes de maïs, une denrée de base pour les kényans, de ses stocks stratégiques ; ce maïs a été contaminé par des aflatoxines, des substances (naturelles...) ayant des effets mutagènes, carcinogènes, tératogènes et immunosuppresseurs. En outre, la chaîne alimentaire a été fortement perturbée par les mesures de lutte contre l'épidémie de Covid-19.

    Une grande partie du pays est en phase 2 (« stressed ») de la Classification Intégrée des Phases de la Sécurité Alimentaire.

    Pour parer à une disette dont l'imminence ne fait guère de doute dans les milieux avertis (qui excluent évidemment certains activistes), le gouvernement a décidé d'autoriser des meuniers à importer à tarif douanier réduit et entre le 20 avril et le 30 mai, 2 millions de sacs de maïs blanc (180 mille tonnes) pour la consommation humaine et 2 millions de sacs de maïs jaune pour l'alimentation animale.

    Notons que le maïs ne doit pas être génétiquement modifié selon les normes applicables... dans l'Union Européenne, histoire de rappeler que nous exportons notre hystérie anti-OGM, même en situation de pénurie et de disette annoncées.

    Le diable est dans le détail : l'avis publié dans la Kenya Gazette du 20 avril 2020 précisait que la teneur en aflatoxines ne devait pas dépasser 10 parties par million. La norme est cependant de 10 parties par milliard (en anglais : billion).

    Pour tout esprit normalement constitué, il s'agissait d'une faute de frappe ou d'une « correction » intempestive et malavisée du Trésor National. Le fait a été reconnu par la suite. Pour tout esprit normalement constitué, l'hypothèse que le pays exportateur puisse vendre du maïs contenant des aflatoxines à des doses mille fois supérieures à la limite en vigueur en Afrique orientale, ou préconisée par les institutions internationales comme la FAO et l'OMS dans le cadre du Codex alimentarius, est tout simplement extravagante.

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  26. Les meuniers ont protesté – à juste titre – contre la fenêtre d'importation, irréaliste, qui leur a été concédée : il faut 60 à 70 jours pour faire venir du maïs blanc du Mexique, la seule source d'approvisionnement capable de répondre à la demande et aux exigences. Mais on peut aussi comprendre le souci du gouvernement de ne pas susciter l'ire des producteurs locaux s'ils voyaient accoster les cargos en même temps que leur récolte arrivait sur le marché (la situation s'est apparemment déjà présentée par le passé).

    Un activiste plaideur compulsif, M. Okiya Omtatah, a engagé une action urgente contre la décision le 8 mai 2020, pour le compte du Strategic Food Reserve Trust Fund (qui se serait bien vu en maître d'opération). Sur le fond, il a invoqué le Bill of Rights de la Constitution (les droits fondamentaux), y compris le droit à la vie, la dignité humaine et le droit à un environnement propre et sain. Le maïs serait « vénéneux » ou « empoisonné » (« poisonous maize ») et, cerise sur le gâteau, les requérants ont de bonnes raisons de croire que les autorisations ont été accordées pour servir des intérêts particuliers, qu'il y a donc eu corruption.

    Rappelons qu'il s'agit d'une situation d'urgence, que le vrai droit à la vie est de ne pas mourir de faim, et qu'il s'agit d'une faute de frappe.

    La justice est aveugle, dit-on... La High Court a suspendu l'autorisation en référé le 9 mai et fixé l'audience quant au fond pour le 2 juin 2020.

    Entre-temps, la faute de frappe a été reconnue, l'autorisation corrigée, la fenêtre d'importation reportée, et les trois premiers cargos chargés de 60.000 sont en route depuis le Mexique et devraient arriver à quai à la mi-juin au Kenya. Et la plainte est (apparemment) devenue sans objet.

    Résumé : un gouvernement lent à la détente (la nécessité d'importer a été signalée dans la première moitié de mars) et à la mise en œuvre, des instances étatiques jalouses de leurs prérogatives, un activisme tous azimuts et opportuniste, une justice raide, le tout sur fond de légèreté face à l'urgence alimentaire, voire de mépris pour celle-ci.

    C'est dans ce contexte que se manifeste Greenpeace Africa le 12 mai 2020 avec « Amid COVID-19 Pandemic: Greenpeace Applauds High Court Decision to Halt Maize Imports » (en pleine pandémie de Covid-19 : Greenpeace se félicite de la décision de la Haute Cour de mettre fin aux importations de maïs).

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  27. Faut-il aller plus loin que le titre de ce communiqué ? En des temps difficiles sur le plan de la sécurité alimentaire, Greenpeace se félicite d'une décision qui alimente... l'insécurité !

    Il fallait évidemment que l'organisation étaie son propos. Le militant de Greenpeace Afrique Amos Wemanya a notamment déclaré :

    « Le projet du gouvernement d'importer du maïs à un moment où les agriculteurs locaux luttent pour faire face aux défis posés par les inondations, l'invasion de criquets et le Covid 19 était malavisé. La suspension de la Haute Cour donne au gouvernement une seconde chance de reconsidérer sa décision et de faire les bons choix en faisant passer les petits exploitants agricoles avant les profits. »

    Greenpeace défenseur des petits agriculteurs, auxquels il dénie par ailleurs le droit d'utiliser les technologies agronomiques modernes dans le domaine de la génétique et de l'agrochimie et de sortir de la pauvreté ? En croisade contre les « profits » ? Pur opportunisme à la recherche de ses propres profits, et pur cynisme dans une situation où ce ne sont pas seulement « les agriculteurs locaux » qui font face à des défis, mais le pays tout entier.

    Si vous faites un don (défiscalisé...) à Greenpeace, pour contribuer « à agir contre les pesticides et la pollution, à promouvoir la lutte contre la déforestation, à soutenir la pêche durable et la transition énergétique », vous savez maintenant à quoi sert votre argent. Il y aura peut-être des petits Kényans qui se coucheront le ventre vide et vous remercieront.

    http://seppi.over-blog.com/2020/06/greenpeace-au-kenya-l-activisme-fait-fi-de-la-menace-de-disette.html

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    1. (...) la légionnaire d'automne (Spodoptera frugiperda), un papillon de la famille des noctuelles récemment arrivé sur le continent et dont la chenille est extrêmement vorace.(...)

      Les noctuelles (comme les aleurodes) petites mites blanches ou crème pondent au bouts des petites feuilles qui se développent (bouquets) et, leur minuscules vers blancs s'introduisent aussitôt dans la feuille, les branches et tiges ou fruits !
      Elles ne peuvent donc pas être détruites par traitements extérieurs !

      SEULS les produits systémiques en viennent 'à bout'. Or, existait un produit systémique appelé FERTILIGENE, mais ce produit nécessaire pour lutter contre la famine et la destruction de millions d'hectares de cultures a été interdit en Europe !
      Depuis 10 années environ elles envahissent l'Europe et tuent des plants de tomates (hauts de 2 m) en 3 jours !
      Les œufs peuvent demeurer dans la terre durant des années !

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  28. Le Pacte Vert européen est une mauvaise affaire


    30 Juin 2020
    par Seppi
    Marcus Holtkoetter*



    La Commission Européenne a un plan pour éliminer l'agriculture moderne en Europe.

    Les détails ont été dévoilés le mois dernier, dans le cadre d'un « Pacte Vert Européen » annoncé à la fin de l'année dernière, qui prévoit que le continent deviendra « neutre pour le climat » d'ici 2050.

    La Commission parle de transformer « les défis climatiques et environnementaux en chances à saisir ». Elle parle également de garantir une « transition juste et inclusive pour tous ».

    Elle aurait dû ajouter quatre mots : « sauf pour les agriculteurs ».

    En effet, la Commission Européenne vient de publier sa stratégie « de la ferme à la table », qui constitue la partie agricole du « Pacte Vert » européen. Elle annonce une série d'objectifs irréalistes : au cours de la prochaine décennie, les agriculteurs comme moi sont censés réduire de moitié l'utilisation de produits phytosanitaires, diminuer de 20 % les applications d'engrais et convertir un quart des terres agricoles totales en production biologique.

    Rien de tout cela, bien sûr, n'est censé perturber le dîner de qui que ce soit.

    Les Européens ont la chance de vivre dans une société bien nourrie. Nous avons des gouvernements stables, des infrastructures fiables et des économies avancées. Nous disposons également de certaines des meilleures terres agricoles du monde, avec de bons sols et de bons rendements, année après année. Grâce à l'agriculture intensive, nous obtenons d'excellents résultats et nous ne sommes pas confrontés aux problèmes de la faim et de la malnutrition qui frappent les populations moins fortunées dans d'autres sociétés.

    Ce que la Commission Européenne propose maintenant, c'est essentiellement de réduire les récoltes. Pour les consommateurs, cela se traduira directement par une chose : des prix plus élevés. Les denrées alimentaires coûteront plus cher.

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  29. Il y a aussi un problème plus important. Comment les agriculteurs sont-ils censés gagner leur vie si nous produisons moins et vendons moins de nourriture ? La Commission ne tient pas compte de l'un des résultats les plus probables de son approche mal conçue de l'agriculture : lorsque les agriculteurs ne peuvent pas faire de bénéfices, ils abandonnent l'agriculture.

    Si cela se produit, les récoltes déjà diminuées se réduiront encore davantage.

    Cela va à l'encontre de l'objectif principal de la Commission, qui est de rendre « l'économie de l'UE durable ». Elle doit comprendre qu'il n'y a pas de durabilité économique sans une économie durable.

    Cela soulève également la question de savoir d'où viendra notre nourriture, si elle ne sortira pas de nos propres exploitations agricoles. Nous pourrions toujours importer davantage de nourriture provenant d'autres endroits. Le commerce mondial est déjà une caractéristique essentielle de la production alimentaire. Nous devrions l'encourager.

    Pourtant, le « Pacte Vert » européen conduira à une agriculture de qualité inférieure dans les endroits où les terres agricoles sont moins productives. Elle pourrait néanmoins contribuer à remplir les ventres dans une Europe qui comptera moins d'agriculteurs. Elle pourrait même apaiser les consciences des militants et des bureaucrates à Bruxelles. Elle n'aidera certainement pas le climat.

    Notre objectif devrait être de produire plus de nourriture sur moins de terres. Or, l'approche actuelle de l'Union Européenne, qui repose sur l'idéologie plutôt que sur la science, conduira à produire moins de nourriture sur plus de terres.

    Qu'est-ce qui est « vert » dans tout cela ?

    Tout cela est censé se produire, soit dit en passant, à un moment où la population mondiale augmente. Les démographes prévoient que 2 milliards de personnes supplémentaires vivrons sur notre planète d'ici 2050. Nous devons aussi les nourrir. La solution, si nous en trouvons une, réside dans l'utilisation créative de technologies, de produits et de stratégies innovants, en particulier dans le monde en développement.

    Ce dont nous n'avons pas besoin, c'est d'un fardeau supplémentaire de restrictions qui fera qu'il sera plus difficile pour les Européens de se nourrir.

    Mais le pire dans tout cela, c'est que le « Pacte Vert » européen semble supposer que les agriculteurs sont les ennemis de la conservation. Il nous traite comme un problème à résoudre plutôt que comme des alliés d'une cause commune.

    Nous nous efforçons déjà d'être aussi « verts » que possible. Dans ma ferme, nous produisons une partie de notre électricité avec des panneaux solaires. Nous utilisons le GPS et d'autres technologies pour réduire le gaspillage lorsque nous épandons du fumier et que nous luttons contre les mauvaises herbes. Nous semons des cultures de couverture pour protéger les sols contre l'érosion. Nous cultivons des bandes fleuries pour attirer les insectes pollinisateurs et améliorer la biodiversité.

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  30. Au fur et à mesure que le temps et la technologie le permettront, nous en ferons encore plus. Mais le moyen le plus sûr d'empêcher l'innovation positive est de menacer la capacité des agriculteurs à gagner leur vie.

    Pour les agriculteurs – et pour tout le monde – le « Pacte Vert » européen est un accord pourri.

    http://seppi.over-blog.com/2020/06/le-pacte-vert-europeen-est-une-mauvaise-affaire.html

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    1. La Vermarq veut tuer tout le monde !

      Supprimer l'alimentaire veut dire supprimer le genre humain !

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  31. Les médias mentent à propos de la «deuxième vague»


    Par Dr Ron Paul
    Institut Ron Paul
    30 juin 2020


    Pendant des mois, le Washington Post et le reste des médias grand public ont gardé un «nombre de morts» morbide Covid-19 sur leurs premières pages et en haut de leurs émissions de nouvelles. L'épidémie de coronavirus concernait le nombre de morts. Le récit était destiné à stimuler des gouverneurs comme Cuomo à New York et Whitmer au Michigan, qui ont rendu leurs États autoritaires sous la fausse idée que la destruction des emplois, de la liberté et de la vie des gens empêcherait en quelque sorte un virus de faire ce que les virus font toujours: se propager à travers un population jusqu'à ce qu'elle finisse par perdre des forces et disparaître.

    Le «décompte des décès» a toujours fait la une des journaux.

    Mais tout d'un coup, au début de juin, les médias grand public ont fait un George Orwell et nous ont dit que tout est à propos de «cas» et qu'il a toujours été question de «cas». Les décès, et en particulier le taux de mortalité par infection, n'étaient pas pertinents. Pourquoi? Parce que depuis le pic d'avril, les décès avaient diminué de 90% et continuaient de s'écraser. Ce n'était pas assez terrifiant, alors les médias ont prétendu que cette bonne nouvelle n'existait pas.

    Avec l'augmentation massive des tests, le nombre de «cas» a grimpé. Ce n'est pas sorcier: plus vous testez de personnes, plus vous découvrez de «cas».

    Malheureusement, nos médias grand public ne sont intéressés qu'à pousser la «ligne du parti». Ainsi, la bonne nouvelle que des millions d'autres ont été exposés alors que le taux de mortalité continue de baisser - ce qui signifie que le virus s'affaiblit - est enterrée sous la fausse déclaration hystérique de «nouveaux cas».

    Malheureusement, de nombreux gouverneurs, y compris le nôtre ici au Texas, sont incapables de résister aux mensonges sans fin des médias grand public. Ils plongent à nouveau les Américains dans le cauchemar des fermetures forcées d'entreprises, des masques obligatoires et des restrictions des libertés constitutionnelles fondées sur une fausse propagande.

    Au Texas, la propagande de la "deuxième vague" est devenue si mauvaise que les dirigeants des quatre grands hôpitaux de Houston ont pris la décision extraordinaire la semaine dernière de tenir une conférence de presse conjointe pour clarifier que les histoires effrayantes d'hôpitaux de Houston submergés de cas de Covid sont tout simplement faux. Le Dr Marc Boom de Houston Methodist a déclaré que les rapports sur la capacité hospitalière étaient trompeurs. Il a dit, "très franchement, nous sommes préoccupés par le fait que le niveau d’alarme dans la communauté est injustifié en ce moment."

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  32. En fait, il y a eu beaucoup de rapports que le «pic» dans les cas au Texas n'est pas dû à une résurgence du virus mais aux pratiques hospitalières de test de Covid chaque patient venant pour n'importe quelle procédure. Si c'est positif, ça compte comme une "hospitalisation Covid". Pourquoi les hôpitaux seraient-ils si malhonnêtes dans leurs diagnostics? Des milliards de dollars fédéraux affectés sont acheminés vers les installations en fonction du nombre de «cas Covid» qu'ils peuvent produire. Comme je l’ai toujours dit, si vous subventionnez quelque chose, vous en obtenez davantage. Et c'est pourquoi nous recevons plus de cas Covid.

    Revenons aux mesures originales utilisées pour effrayer les Américains à renoncer à leurs libertés constitutionnelles: les décès quotidiens. Même si nous savons que les hôpitaux ont faussement attribué un nombre incalculable de décès à «Covid-19» qui étaient des décès AVEC au lieu de DU virus, nous constatons que les décès réels diminuent régulièrement au cours du dernier mois et demi. La baisse des décès n'est pas un excellent moyen de pousser la propagande de la "deuxième vague", de sorte que les médias et les politiciens ont déplacé les poteaux de but et décidé que seuls les "cas" sont importants. C’est un autre gros mensonge.

    Résistez à la propagande et défendez votre liberté. C’est la seule façon de surmonter cela.

    https://www.lewrockwell.com/2020/06/ron-paul/the-media-is-lying-about-the-second-wave/

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  33. Votre gouvernement vous veut mort


    Par Vernon Coleman
    30 juin 2020


    L'auteur à succès international, le docteur Vernon Coleman MB ChB DSc FRSA, estime qu'entre 100 000 et 150 000 personnes âgées ont été assassinées lors du canular du coronavirus. Il explique comment et pourquoi. Il explique également comment les gouvernements retirent délibérément les soins de santé afin de tuer les jeunes malades. Pour plus d'informations impartiales sur d'autres questions importantes, veuillez visiter http://www.vernoncoleman.com Les transcriptions de toutes les vidéos (y compris celles que YouTube a interdites) sont également sur le site Web.

    Commentaires ouverts sur YouTube:
    https://www.youtube.com/watch?v=gFeFkmDnU8Y

    Clip censuré pour avoir osé dire la vérité !

    https://www.lewrockwell.com/2020/06/no_author/your-government-wants-you-dead/

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    1. L'auteur à succès Sunday Times Vernon Coleman a écrit plus de 100 livres qui se sont vendus à plus de deux millions d'exemplaires au Royaume-Uni seulement. Ses éditeurs britanniques incluent:

      PAN, Penguin, Corgi, Arrow, Star, Mandarin, Macmillan, Century, Thames and Hudson, et Sidgwick and Jackson. Ses livres ont été traduits en 25 langues et vendus dans plus de 50 pays.

      Ses romans incluent la guerre de chou de Mme Caldicot (qui a été transformé en un film mettant en vedette Pauline Collins, Peter Capaldi et John Alderton), la gloire Knickerbocker de Mme Caldicot, l'homme qui a hérité d'un terrain de golf, le village Cricket Tour, la date limite, Paris dans mon printemps et il n'est jamais trop tard? Ses livres sur les chats incluent Alice's Diary, Alice's Adventures, Cat Fables, Cat Tales et We Love Cats. Ses best-sellers médicaux incluent Bodypower, Mindpower, Food for Thought, How To Stop Your Doctor Killing You, Superbody et Coleman's Laws. Le best-seller mondial Bodypower a été élu l'un des 100 meilleurs livres par les lecteurs britanniques. Ses livres sur la politique incluent England Our England, Living In A Fascist Country, Gordon is a Moron, The OFPIS File, What Happens Next ? Oil Apocalypse, et 2020.

      Il a également écrit The 100 Greatest Englishmen and Englishwomen and the Bilbury series of books. Il a également écrit une série de journaux intimes qui ont commencé avec le journal d'un homme mécontent. Tous sont disponibles sous forme d'ebooks sur Amazon.

      De nombreux livres de Vernon Coleman figurent dans les listes de best-sellers du monde entier. Premiers best-sellers inclus, Bodypower (Sunday Times 3.4.83), (Daily Mail 18.3.83), (Libraire 16.4.83) et Life Without Tranquilisers (Sunday Times 24.3.85).

      Les livres de Vernon Coleman ont été publiés dans des journaux et des magazines du monde entier et beaucoup ont été transformés en séries télévisées et radiophoniques. Il était le docteur de la télévision à la télévision britannique et le premier oncle agonisant de la BBC.

      Le Dr Coleman est médecin généraliste et ancien professeur de sciences médicales holistiques à l'International Open University au Sri Lanka. Il a un DSc honoraire. Il a témoigné devant la Chambre des communes et la Chambre des lords.

      Il existe de nombreux articles en accès libre sur ce site.

      http://www.vernoncoleman.com

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  34. Mortalité infantile en baisse; Nombre de vaccinations en baisse


    Par Jon Rappoport
    Le blog de Jon Rappoport
    30 juin 2020


    La référence ici est une analyse des données sur la mortalité par Mark Blaxill et Amy Becker, «Lessons from the Lockdown», publiée sur Children’s Health Defense le 18 juin:

    «Mais l'expérience de la pandémie a eu un effet surprenant sur ce taux de mortalité attendu chez les enfants. À partir du début mars, les décès attendus ont commencé à décliner, passant d'un niveau prévu d'environ 700 décès par semaine à bien moins de 500 à la mi-avril et tout au long du mois de mai. »

    «Alors que les décès prématurés ont augmenté parmi les personnes âgées dans les maisons de retraite de Manhattan et dans des contextes similaires dans tout le pays, quelque chose de mystérieux a sauvé la vie des enfants. Alors que le printemps en Amérique entraînait des perturbations massives de la vie de famille au milieu des blocages quasi universels, environ 30% d'enfants en moins sont morts. »

    «La quasi-totalité du changement est venue des nourrissons. D'une manière ou d'une autre, le modèle changeant de la vie américaine pendant les fermetures a sauvé la vie de centaines de nourrissons, plus de 200 par semaine. »
    «Un changement très clair qui a reçu de la publicité est que les responsables de la santé publique déplorent la forte baisse des vaccinations infantiles car les parents n'emmènent pas leurs nourrissons dans des cabinets pédiatriques pour leurs contrôles réguliers des bébés en bonne santé. Dans le numéro du 15 mai du CDC Morbidity and Mortality Weekly Report (MMWR), un groupe d'auteurs du CDC et de Kaiser Permanente a signalé une forte baisse des commandes de vaccins par les prestataires ainsi qu'une baisse des doses de vaccins pédiatriques administrées. Ces déclins ont commencé au début de mars, à peu près au moment où la mortalité infantile a commencé à diminuer. »

    Je ne dois pas signaler cela dans les nouvelles du soir. Une fuite de vérité pourrait se transformer en rivière.

    La pensée même que les vaccins sont suffisamment nocifs pour provoquer la mort, et les retenir serait alignée avec le serment d'Hippocrate?

    "Dis Bob, voici un élément intéressant que nous pourrions diffuser ce soir. Les décès d'enfants sont en baisse pendant la pandémie, tout comme les vaccinations. »

    "Je vois. Vous souhaitez donc finir par annoncer des concours de Frisbee lors de pique-niques dans le parc? Et je vais produire des vidéos YouTube gratuites avec des chats qui font des culbutes? Vous buvez à nouveau, non? "

    Pour ceux qui ne peuvent même pas se résoudre à coller un orteil dans les eaux des preuves contre les vaccins, car leur culte de la science l'interdit sous peine de mort… et qui, de même, saluent toutes les directives de santé publique concernant la «pandémie» comme de bons petits garçons et filles, voici un document d'information que j'appelle…

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  35. Aux chefs de pommes de terre «instruits»: la science n'est pas une hiérarchie politique

    Vous vous souvenez des blogueurs scientifiques vivant dans le sous-sol de maman? Nous avons maintenant la nouvelle version COVID.

    "Qui est communiste?" "Je suis communiste." "Qui est communiste?" "Je suis communiste." C'est marrant. C'est un nouveau jouet avec lequel jouer. Le capitalisme est sorti. Démodé.
    "Mao a tué 60 millions de personnes." "Qui est Mao?"

    Jusqu'à présent, j'ai écrit environ 150 articles sur la falsification COVID absurde (archive ici). Dans cette pièce, je vais discuter de la hiérarchie politique.

    C'est ainsi que Tony Fauci est arrivé là où il est. Cela n'a rien à voir avec les connaissances ou les compétences nécessaires pour gérer les prétendues «épidémies». Et si ce n'était pas Fauci, ce serait quelqu'un d'autre. Une autre personne à la télévision à côté du président. Parce que c'est la structure, l'ordre hiérarchique. Il y a des créneaux à remplir. Et il doit y avoir un porte-parole central.

    "Voulait. Porte-parole pour représenter la Parole. "

    Dont le mot?

    Croyez-vous vraiment qu'au début de toute cette opération COVID… Fauci s'enfonce profondément dans des réunions de collaboration avec des scientifiques pour élaborer un plan? Il y a des allers-retours? Les opinions sont contestées? Les données sont examinées? Des objections sont faites? Fauci écoute un représentant de la Suède, où le gouvernement prend une voie différente? Il écoute un pro comme le Dr Scott Atlas? Les conseillers économiques sont dans la salle, effectuant des calculs sur les effets dévastateurs d'un blocage national de trois mois? Les vérificateurs des faits, et non les conneries, se penchent sur les antécédents de cet abject échec, Neil Ferguson, qui prédit sur son ordinateur usé que deux millions de personnes en Amérique vont mourir - quelle est la raison d'être des ordonnances de blocage? Quelqu'un qui est réellement intelligent et honnête, qui travaille pour une agence de renseignement américaine, intervient et remet en question l'événement qui a déclenché toute la fausse hystérie - le régime chinois, un ennemi manifeste des États-Unis, enfermant 50 millions de personnes pendant la nuit pour aucun examen médical raison et envoyer un faux signal à l'OMS et au CDC qu'il s'agit du nouveau modèle de contrôle? Pensez-vous que tout cela se passe dans une pièce?

    Pensez-vous que vos études collégiales et ce que vous pensez savoir ont le moindre lien avec cette situation, parce que vous avez suivi un cours de biologie et un cours de chimie et que vous pouvez vous repérer autour d'un ordinateur?

    Avez-vous une idée de la quantité de contre-informations qui contredisent votre héros gnome, Fauci, qui se sont accumulées au cours des trois derniers mois, et combien proviennent de personnes avec toutes sortes de références que vous auriez autrement admirées? Le faites vous? Savez-vous combien de ces informations ont été supprimées par la presse? Non, non. Tu es une pomme de terre.

    La découverte d'un nouveau virus a été contestée. Les tests de PCR et d'anticorps ont été discrédités comme une voie légitime de diagnostic; avec un diagnostic généralisé du globe oculaire, et le codage des patients comme COVID qui ont vraiment d'autres conditions non liées, et le comptage des décès non-COVID comme COVID, cela signifie que tous les numéros de cas n'ont aucun sens. Le nombre écrasant de personnes qui meurent de la «pandémie» sont des personnes âgées, qui ont des années de graves problèmes de santé, qui ont été traitées avec de nombreux médicaments toxiques, qui sont ensuite terrifiées par un faux diagnostic de COVID, qui sont isolées de la famille et des amis , et meurt. De nombreuses personnes âgées dans ces détroits sont mises sous ventilateur, fortement sous sédation et meurent du traitement.

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  36. Mais aucune de ces informations qui remettent en question l'image officielle n'est poussée devant les responsables de la santé publique, avec une exigence du gouvernement pour qu'ils répondent ouvertement et en détail. Pourquoi? Parce que la hiérarchie politique est destinée à dissiper la dissidence. Cela n'a rien à voir avec la science.

    La science implique des questions et des réfutations et des contre-opinions, et des études qui testent d'autres options et opinions. La science consiste à confirmer ou à nier des positions officielles par l'analyse et l'expérimentation. Il ne s'agit pas de savoir qui s'est frayé un chemin jusqu'au sommet de la chaîne alimentaire. Il ne s'agit pas de savoir qui soutient secrètement l'embout buccal. Aka Bill Gates.

    Certaines têtes de pomme de terre voient les choses de cette façon: tout ce que Trump dit est un mensonge. La personne qui s'oppose à Trump doit avoir raison. Cette personne semble être Fauci. Par conséquent, Fauci déclare la SCIENCE. Fin de l'histoire.

    Très peu de têtes de pomme de terre, voire aucune, sont au courant de la déclaration suivante, d'une femme qui a examiné plus d'études médicales qu'au moins 99,9% des médecins de la planète:

    «Il n'est tout simplement plus possible de croire une grande partie de la recherche clinique publiée ou de se fier au jugement de médecins de confiance ou à des directives médicales faisant autorité. Je ne prends aucun plaisir à cette conclusion, à laquelle je suis parvenu lentement et à contrecœur au cours de mes deux décennies en tant que rédacteur en chef du New England Journal of Medicine. » —Marcia Angell, MD («Drug Companies and Doctors: A story of Corruption». NY Review of Books, 15 janvier 2009.)

    Très peu de têtes de pommes de terre, voire aucune, sont au courant de l'examen publié dans le Journal de l'American Medical Association le 26 juillet 2000 par l'expert en santé publique vénéré de la Johns Hopkins School of Public Health, le Dr Barbara Starfield. Starfield a conclu que, chaque année aux États-Unis, le système médical tue 225 000 personnes. (Examen: «La santé américaine est-elle vraiment la meilleure au monde?»

    Ce sont deux exemples de ce que nous pourrions appeler la contre-science. Ils reprennent le courant dominant. Ils portent des coups à des postes officiels. C'EST à cela que la «Fauci-science» aurait dû être soumise dès le départ. Et c'est à cela que la «science du vaccin» - le saint des saints - devrait être soumise.

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  37. Très peu, voire pas du tout, de pommes de terre connaissent le jeu du nombre de cas, par lequel un lieu qui sort du verrouillage et ouvre l'économie est puni. C'est simple. Développez les tests sans valeur. Les nouveaux numéros de cas augmenteront automatiquement. Les News rapporteront ces chiffres effrayants. Bien sûr, lorsque le nombre de nouveaux cas augmente, le taux de mortalité diminue automatiquement. Donc, les nouvelles omettent ce fait.

    Les têtes de pomme de terre ont tendance à admirer la censure, n'ayant jamais appris à quel point la Déclaration des droits va profondément. La vérité devrait l'emporter sur la dissidence, en ce qui concerne les pommes de terre. Quelle vérité? Le leur, naturellement.

    Ces têtes de pomme de terre qui prétendent favoriser le socialisme (alias communisme) n'ont aucune idée que le gouvernement américain suit le modèle de verrouillage d'un régime chinois qui a assuré son emprise sur le pouvoir, sous Mao, en tuant 40 à 65 millions de ses propres habitants.

    Règle: une hiérarchie politique dépend du soutien des pommes de terre.

    Les agences fédérales qui soutiennent le groupe de travail américain sur les coronavirus SONT un morceau de la hiérarchie politique. Leur programme de base est CONTROL.

    Les pommes de terre ne se soucient pas du contrôle. Ils pensent qu'ils sont au-dessus de tout et conformes. Un mélange étrange, mais ça marche pour eux. "Comment puis-je être en faute si je suis d'accord avec les directives?" Des centaines de millions de Chinois ont passé cette question à l'esprit jusqu'à ce qu'il soit trop tard.

    "Qui est une pomme de terre?" "Je suis une pomme de terre." "Qui est une pomme de terre?" "Je suis une pomme de terre."

    Ce que les principaux médias nous donnent ces jours-ci, c'est la messagerie en temps de guerre; elle se présente toujours sous la forme d'un appel à l'unité. Mais dans ce cas, la guerre est menée par le gouvernement contre la population domestique.

    On nous demande donc de travailler ensemble contre nous-mêmes. Quiconque reconnaît cela est qualifié de valeur aberrante.

    Par les pommes de terre.

    La hiérarchie politique qu'ils adorent, qu'ils appellent science, les a dans le collimateur, comme tout le monde.

    C'est la hiérarchie que nous devons démanteler, abattre et exposer. Les dirigeants, avec leurs bureaucraties indépendantes, sont un mélange putride de fascistes méconnus et méchants.


    En Amérique, les National Institutes of Health et le CDC pourraient disparaître demain et rien ne se passerait. En fait, automatiquement, des améliorations se produiraient. Inconsciemment, la population du pays poussait un soupir de soulagement.

    "Finalement. Bonnes nouvelles. Pas de pommes de terre aujourd'hui. "

    Pour de nombreuses têtes de pomme de terre, la présence du Dr Fauci faisant des déclarations à la nation est une évidence, dans tous les sens du terme. C'est comme s'il y avait un laboratoire où les articles officiels sont produits: des idées, des déclarations, des positions et même des gens. Fauci était l'un de ces articles. Un laboratoire l'a fait, il était et est officiel, et c'est la fin de tout ça.

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  38. Mais ce n'est pas le cas, ce n'est que le début.

    L'officiel est en cours de démontage.

    Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.

    https://www.lewrockwell.com/2020/06/jon-rappoport/infant-mortality-down-number-of-vaccinations-down/

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  39. La Californie voit le deuxième plus gros bond dans les nouveaux cas Amd Record Hospitalisations: Mises à jour en direct


    par Tyler Durden
    Mar., 30/06/2020 - 14:37


    Résumé

    Les cas en Californie progressent
    La FDA publie des normes pour le vaccin COVID-19
    Fauci dit que les États-Unis pourraient voir 100 000 nouveaux cas par jour
    NY Gov ajoute 8 États à sa liste de «quarantaine incontournable»
    Les actions grimpent sur Fla, NY
    Le Texas prend des mesures pour interdire temporairement plus de types de procédures électives; les hospitalisations chutent
    Les propriétaires de bars poursuivent le Texas pour avoir réimposé le verrouillage
    Le Dr Fauci témoigne devant le comité sénatorial HEL & P
    L'UE interdit les voyageurs américains, comme prévu
    Goldman dit que les mandats de masques peuvent réduire la propagation de 25%
    Victoria impose un lock-out d'un mois alors que les cas grimpent
    Les États-Unis voient un total de nouveaux cas inférieur à 40 000 pour hier
    Le comté de LA ferme ses plages pour le week-end du 4 juillet
    Le Premier ministre indien prononce un discours alors que le pays approuve le plan visant à fournir de la nourriture à 800 millions de personnes
    La Corée du Sud et Tokyo voient de nouveaux cas augmenter
    Morgan Stanley indique que le nombre total de cas projetés est désormais de 3,8 millions

    * * *

    Mise à jour (1450ET): Le témoignage du Dr Fauci s'est terminé il y a des heures, et la performance de Mnuchin & Powell était principalement une répétition (la décision de Mnuchin de retirer brièvement son masque semblait générer une part démesurée de commentaires), mais voici un extrait intéressant des AP histoire sur la performance du Dr Fauci que nous avons négligé de mentionner dans notre bref résumé des faits saillants.

    Les législateurs ont également insisté sur ce que la sénatrice Patty Murray de Washington, la meilleure démocrate du comité, a appelé un plan national de vaccination - pour être sûr que la course au vaccin COVID-19 se termine par des tirs vraiment sûrs, vraiment protégés et disponibles pour tous les Américains. qui veulent, un.

    "Nous ne pouvons pas tenir pour acquis que ce processus sera libre de toute influence politique", a déclaré Murray. Elle a expliqué comment le président Donald Trump avait fait la promotion d'un médicament contre le paludisme en tant que traitement au COVID-19, qui s'est finalement révélé risqué et inefficace.

    La Food and Drug Administration a publié mardi des lignes directrices indiquant que tout vaccin qui gagnera l'approbation devra être 50% plus efficace qu'un vaccin factice lors du test final requis. C’est moins efficace que la plupart des vaccins d’aujourd’hui, mais des experts indépendants disent que ce serait un bon début contre le virus.

    Le Dr Fauci a averti que les États-Unis vont dans la mauvaise direction et a averti que nous pourrions voir 100 000 nouveaux cas par jour, le double du taux actuel, si les États ne sont pas plus proactifs.

    * * *

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  40. Mise à jour (1344ET): Les États-Unis étant sur la bonne voie pour signaler moins de cas mardi qu'ils ne l'ont fait lundi (rappelez-vous que tous ces chiffres sont livrés avec un retard de 24 heures), la Californie vient de signaler plus de nouveaux cas mardi, le nombre éclipsant à la fois le la veille et l'augmentation moyenne sur 7 jours.

    LES CAS COVID-19 EN CALIFORNIE AUGMENTENT DE 2,9% VS 2,8% MOYENNE SUR 7 JOURS
    Selon les données du CDC, 35 664 nouveaux cas ont été signalés mardi contre 41 075 il y a un jour.

    En revenant à Cali, les 6 367 nouveaux cas confirmés constituent le deuxième plus grand saut quotidien de l'État à ce jour, portant son total à 222 917. Les décès, quant à eux, ont grimpé de 0,7%, ou 44, à 5 980, tandis que les hospitalisations ont bondi de 6,3% pour atteindre un record de 5 077 patients. Le nombre de patients en soins intensifs a également atteint un nouveau record, grimpant de 4,3% à 1 528. Le taux de tests positifs de l’État au cours des 14 derniers jours a légèrement augmenté, passant de 5,5% à 5,6% il y a un jour.

    * * *

    Mise à jour (1330ET): Contredisant ce "nombre de chuchotements" sur les hospitalisations au Texas plus tôt dans la journée (que nous avons conseillé aux lecteurs de ne pas faire confiance), le plus grand opérateur hospitalier de Houston a rapporté mardi une capacité de 97% en soins intensifs.

    LES SOINS DE L'USIN DE LA RÉGION DE HOUSTON À 97% DE SA CAPACITÉ: TEXAS MEDICAL CENTER
    Ce niveau de 97% est en hausse par rapport à 95% un jour plus tôt, par TMC. Les patients COVID occupaient 460 lits de soins intensifs lundi soir, une augmentation de 3,4% par rapport à dimanche, tandis que les victimes de virus représentaient environ 35% de tous les cas de soins intensifs.

    Voici la déclaration de Gov Abbott du précédent visant à faire plus de place aux patients. Il a également ordonné un ralentissement de la réouverture de l'État, en plus d'autres mesures telles que la fermeture des bars.

    Pendant ce temps, voici un aperçu des chiffres d'hospitalisation de l'Arizona plus tôt.

    Selon WaPo, il y a 7 États où les hospitalisations ont atteint des niveaux record: le Texas est inclus.

    * * *

    Mise à jour (1310ET): La plus grande nouvelle de mardi est peut-être le témoignage du Dr Fauci selon lequel les États-Unis pourraient bientôt signaler "100 000 cas de COVID-19 par jour" si la tendance à la hausse du nombre de cas ne s'inversait pas rapidement. Bien que les décès restent jusqu'à présent faibles, le médecin craint que la mortalité ne bondisse à l'automne si COVID-19 et la grippe saisonnière circulent en même temps.

    Alors que de plus en plus de républicains se joignent à Chris Christie pour exhorter le président Trump à repenser sa stratégie, le chef de la minorité parlementaire Kevin McCarthy a encouragé le président Trump à enfiler un masque, tandis qu'Alex Azar et même Goldman Sachs ont exhorté les gens à porter des masques en public.

    Alors que les hospitalisations continuent de s'accélérer, 7 États, le Texas, l'Arizona, le Nevada, la Caroline du Sud, le Montana, la Géorgie et la Californie, voient des moyennes sur sept jours au moins 25% plus élevées que la semaine dernière, selon WaPo.

    Mardi, la FDA a dévoilé ses critères pour que les candidats vaccins obtiennent l'approbation réglementaire: tout vaccin potentiel doit prévenir la maladie ou diminuer sa gravité chez au moins 50% des personnes qui reçoivent le vaccin, tout en obligeant les sociétés pharmaceutiques à continuer de surveiller le vaccin pour tout "problèmes de performances" après la sortie.

    * * *

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  41. Mise à jour (1130ET): Le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, vient d'ajouter 8 autres États à la liste des États à mettre en quarantaine. Les voyageurs de ces États doivent mettre en quarantaine pendant 2 semaines à leur arrivée à New York.

    Quiconque a été surpris en train de violer la quarantaine pourrait être passible d'amendes massives comprises entre 2 000 $ et 10 000 $. Vraisemblablement, le Connecticut et le New Jersey, qui ont rejoint NY pour adopter la quarantaine plus tôt ce mois-ci, vont également ajouter ces États à leurs listes pour l'ordre de quarantaine de 14 jours.

    Les 8 nouveaux États rejoignent la Caroline du Sud, la Caroline du Nord, la Floride, le Texas, l'Alabama, l'Arkansas, l'Arizona, Washington et l'Utah sur la liste. Pendant ce temps, les critiques ont accusé Cuomo & Co. d'hypocrisie après que le gouverneur de NY eut tristement menacé de poursuivre le Rhode Island pour avoir ciblé les New Yorkais dans l'espoir de s'échapper vers des propriétés dans le Rhode Island et d'y mettre en quarantaine au lieu de l'enfer de New York. Cuomo affirme que la situation est différente car il ne cible pas un seul État, comme le prétendait Rhode Island, selon Cuomo.

    Pendant ce temps, au Texas, l'État a étendu son interdiction temporaire des procédures électives pour libérer plus de ressources pour les patients atteints de coronavirus. Au Texas et dans d'autres États, une résurgence du coronavirus a été constatée, les dirigeants locaux ont exprimé leur frustration que la réouverture inflexible au niveau de l'État et les directives sanitaires aient conduit à des messages mitigés et contribué à la résurgence des cas.

    Plus de 30 propriétaires de bars dans l'État poursuivent pour tenter d'empêcher le gouverneur d'ordonner la fermeture de tous les bars en raison de la pandémie. Nous pensons que la bataille sera intense, car Gov Abbott a admis que la réouverture des bars était une "erreur".

    * * *

    Mise à jour (1100ET): Les stocks se déplacent à la hausse sur une série de nouvelles données en provenance de Floride et de New York. En Floride, les cas ont grimpé de jour en jour mais sont restés en deçà de leurs niveaux de pointe de la semaine dernière.

    Les chiffres de New York ont ​​montré qu'une chaîne de plus de 700 numéros quotidiens rapportés à la fin de la semaine dernière pourrait être juste un coup de chance, car les nombres de tests positifs ont de nouveau baissé.

    Et n'oubliez pas de porter un masque ...

    ... et protéger ces maisons de soins infirmiers.

    * * *

    Mise à jour (1020ET): le Dr Fauci donne le coup d'envoi de son témoignage au Comité sénatorial "HELP" (Santé, éducation, travail et pensions), le Texas vient de signaler une baisse de 20% des hospitalisations avec un avertissement sur les dangers de la grippe et du COVID -19 suralimentant l'épidémie à l'automne. Cependant, alors que le Texas, la Californie, l'Arizona et d'autres annulent certaines mesures de réouverture économique, le nombre de "chuchotements'' pour les hospitalisations au Texas vient de frapper, et il semble qu'il soit en baisse de 20%.

    Le nombre est tombé à 4 739 contre 5 913 cas, un nombre qui, selon certains, pourrait être une faute de frappe.

    * * *

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  42. Mise à jour (0945ET): Comme prévu, l'UE a interdit aux voyageurs des États-Unis car elle étend son interdiction de voyager pour la plupart du monde, à l'exception d'une poignée de pays, dont la Chine.

    Outre la Chine, les résidents des pays suivants devraient être autorisés à voyager en Europe à compter du 1er juillet: Algérie, Australie, Canada, Géorgie, Japon, Monténégro, Maroc, Nouvelle-Zélande, Rwanda, Serbie, Corée du Sud, Thaïlande, Tunisie et Uruguay.

    Dans d'autres nouvelles, les commentaires d'une équipe d'analystes Goldman commencent à attirer beaucoup l'attention: les analystes de la banque ont prévu que les exigences de port obligatoire du masque pourraient réduire les taux d'infection de 25%.

    Alors maintenant, nous avons Goldman Sachs avertissant que le port du masque devrait être obligatoire? Compte tenu de la récente vague d'activisme des entreprises, ce n'est pas très surprenant. Mais cela vaut certainement la peine d'être considéré.

    * * *

    Arizona Gov Doug Ducey a annoncé hier soir son intention de réduire d'un mois la réouverture économique de l'État, de fermer des bars, des restaurants, des cinémas, des parcs aquatiques et d'autres lieux, tout en repoussant le premier jour d'école dans l'État jusqu'au 17 août. Quelques heures plus tard, de l'autre côté du monde, les dirigeants du deuxième État australien, Victoria, ont ordonné à 36 banlieues entourant Melbourne, la deuxième plus grande ville du pays, d'essayer d'arrêter un cluster qui a émergé au cours des deux dernières années. semaines.

    L'Australie n'a jamais eu un énorme problème de COVID-19 (la plus grande épidémie avant cet incident à Victoria a été causée par le "Ruby Princess" et la décision de permettre aux passagers infectés de débarquer sans aucun examen minutieux. Pourtant, des semaines après son voisin, la Nouvelle-Zélande, a déclaré l'épidémie terminée, le pays connaît sa pire épidémie à ce jour.

    À compter de minuit mercredi (heure locale), la première ordonnance de séjour à domicile en banlieue entrera en vigueur pour 320 000 personnes, selon le premier ministre victorien Daniel Andrews, qui a pris la parole mardi lors d'une conférence de presse. Pendant quatre semaines, les résidents des banlieues verront un retour aux conditions d'isolement: ils doivent rester à la maison à moins de voyager pour le travail, l'école, les soins de santé, l'exercice ou la nourriture. Les restaurants sont de retour à emporter quelques semaines seulement après la réouverture. Les dirigeants locaux ont décrit cette décision comme un revers dévastateur pour l'économie locale.

    La majeure partie de l'Australie a signalé des augmentations quotidiennes nulles ou faibles à un chiffre des infections à COVID-19 pendant des semaines, Victoria a connu des augmentations à deux chiffres pour chacun des 14 jours précédents, ramenant les totaux quotidiens nationaux australiens vers leurs sommets. Victoria a signalé 64 nouveaux cas mardi, en baisse par rapport aux 75 nouveaux cas de la veille.

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  43. Plus d'informations sur le verrouillage du jour au lendemain: le gouverneur du Nevada a annoncé que l'État n'hésiterait pas à réimposer des restrictions si les tendances à l'échelle de l'État ne s'amélioraient pas. Le gouverneur de Géorgie Kemp a prolongé l'urgence de santé publique de son état jusqu'au 11 août, tandis que le maire de Los Angeles, Eric Garcetti, a annoncé une `` pause dure '' pour la réouverture des cinémas du plus grand marché de théâtre des États-Unis.

    Alors que le nombre de nouveaux cas signalés s'accélère chaque jour dans le monde, le nombre de cas dans le monde a atteint 10 278 458, selon JHU, tandis que le nombre de morts dans le monde a atteint 504 936. Ailleurs en Asie, le Premier ministre indien Narendra Modi a dévoilé mardi son intention de prolonger un plan visant à fournir gratuitement des céréales à plus de 800 millions d'Indiens jusqu'à la fin novembre, alors que la bataille contre le virus a laissé l'économie indienne en lambeaux. Bien que son nombre quotidien de nouveaux cas soit hors de ses sommets, les chiffres qu'il voit sont toujours bien au-dessus des sommets d'il y a seulement quelques semaines. Mardi, l'Inde a signalé 18 522 nouveaux cas, contre 19 459 enregistrés la veille, ce qui porte le total du pays à 566 840. Le pays a signalé 418 nouveaux décès, portant le total à 16 893 décès.

    Le Premier ministre indien Narendra Modi a déclaré mardi que si le taux de mortalité par COVID-19 du pays est "sous contrôle", l'épidémie du pays a atteint un "moment critique".

    "Les gens deviennent négligents", a-t-il dit, ajoutant "nous devons appeler les violateurs".

    De retour en Asie de l'Est, la Corée du Sud a confirmé 43 nouveaux cas, contre 42 il y a un jour, alors que le nombre total d'infections atteint 12800 avec 282 décès, tandis qu'au Japon, Tokyo a trouvé plus de 50 nouveaux cas pour le cinquième jour consécutif, a rapporté TV Asahi.

    La Chine signale 19 nouveaux cas de coronavirus, contre 12 la veille. Parmi les nouvelles infections, sept se trouvaient à Pékin, qui est aux prises avec une nouvelle flambée. La Chine a également signalé quatre nouveaux patients asymptomatiques, qui se sont révélés positifs pour COVID-19 mais n'ont montré aucun symptôme.

    Hier, les États américains ont enregistré moins de 40 000 nouveaux cas pour la première fois en une semaine.

    Et les décès restent à leur niveau le plus bas ou proche de celui de mars.

    Aux États-Unis, une équipe d'analystes de Morgan Stanley a déterminé, selon une note de recherche publiée mardi, que le nombre de reproducteurs aux États-Unis est resté à 1,17 depuis la semaine dernière, tandis que le délai pour doubler le nombre total de cas a légèrement diminué à 41 jours ( contre 46 jours la semaine dernière), "ce qui suggère que la propagation se poursuit et s'accélère. Notre nombre total d'infections prévues s'élève désormais à 3,8 millions".

    Suite à une décision de faire reculer la réouverture économique de la Californie en fermant des bars et d'autres lieux, LA a rejoint un groupe croissant de villes à travers le pays qui prévoient de fermer leurs plages pour le week-end du 4 juillet.

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  44. Après une poignée de mises à jour sur les essais de vaccins en dehors de la Chine, les médias britanniques ont rapporté qu'un essai mondial conçu pour tester si les médicaments antipaludiques hydroxychloroquine et chloroquine peuvent prévenir l'infection par COVID-19 reprendra bientôt après avoir été approuvé par les régulateurs.

    Enfin, les États-Unis ne figurent pas sur une "liste sûre" de destinations pour les voyages non essentiels qui devraient être publiées mardi par les membres de l'UE alors que le bloc dévoile des directives pour les voyages d'agrément et d'affaires au-delà de ses frontières. Au cours des derniers jours, un flux constant de fuites a prétendu que l'UE exclurait les voyageurs des États-Unis pour le reste de l'été, au moins.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/australias-2nd-largest-state-imposes-1-month-lockdown-covid-19-infections-spike-live

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  45. Maintenant, ils essaient de nous dire que COVID-19 est "10 fois plus infectieux" qu'il ne l'était au début de la pandémie


    par Tyler Durden
    Mar, 30/06/2020 - 12:30
    Écrit par Michael Snyder via TheMostImportantNews.com,


    Si l'élite a vraiment l'intention d'utiliser COVID-19 pour transformer fondamentalement notre société, elle devra continuer à trouver des moyens de la rendre beaucoup plus effrayante qu'elle ne l'est vraiment. Au cours des deux dernières semaines, nous avons été interpellés à l'infini par des articles qui déclarent hardiment que «la deuxième vague» est là, et maintenant on nous dit que ce coronavirus est «10 fois plus infectieux» qu'il ne l'était quand il a commencé. propagation en Chine. Et on nous dit également que COVID-19 «fait germer des cellules humaines infectées chargées de venin viral pour les aider à se propager autour du corps». Tout cela semble définitivement assez effrayant, et au cours des dernières semaines, beaucoup de gens ont vraiment paniqué alors que le nombre de cas confirmés a augmenté.

    Mais il est devenu clair que ce virus ne va pas tuer plus de 50 millions de personnes comme l'a fait la pandémie de grippe espagnole de 1918 à 1920.

    Jusqu'à présent, le nombre de morts de ce virus a dépassé le demi-million, et d'autres continueront de mourir chaque jour. Cependant, nous devons garder à l'esprit que des millions de personnes meurent de diverses maladies chaque année. Selon l'OMS, la grippe tue entre 290 000 et 650 000 personnes chaque année, mais nous ne fermons pas tout à cause de cela.

    Oui, COVID-19 est plus grave que la grippe. Mais il n'y a absolument aucune raison pour que cela paralyse notre société à ce stade.

    Si des millions et des millions de personnes tombaient soudainement dans le monde, éviter ce virus serait une question de survie. Ce n'est pas le scénario auquel nous sommes actuellement confrontés, et nous avons besoin que les gens le comprennent.

    Un jour, une pandémie surviendra, qui sera aussi grave, mais en ce qui concerne COVID-19, la peur du virus a été encore pire que le virus lui-même.

    Malheureusement, les médias grand public continuent de susciter plus de peur à chaque occasion. Par exemple, ce qui suit est tiré d'un article du Washington Post qui a expliqué comment une forme mutante de COVID-19 est devenue la souche dominante ici aux États-Unis et dans le reste du monde…

    Lorsque les premiers cas de coronavirus à Chicago sont apparus en janvier, ils portaient les mêmes signatures génétiques qu'un germe qui avait émergé en Chine des semaines auparavant.

    Mais alors qu'Egon Ozer, spécialiste des maladies infectieuses à la Northwestern University Feinberg School of Medicine, a examiné la structure génétique des échantillons de virus provenant de patients locaux, il a remarqué quelque chose de différent.

    Un changement dans le virus apparaissait encore et encore. Cette mutation, associée à des épidémies en Europe et à New York, a finalement envahi la ville. En mai, il a été trouvé dans 95% de tous les génomes Ozer séquencés.

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  46. Selon le Daily Mail, les scientifiques nous disent qu'à la suite de cette mutation, COVID-19 "semble être environ 10 fois plus contagieux" que lorsqu'il est apparu à l'origine ...

    Une mutation génétique que les scientifiques du monde entier ont détectée pendant des mois semble avoir rendu cette pointe moins susceptible de se casser, et également forcer les coronavirus à en produire plus pour se rendre plus infectieux.

    En conséquence, le virus semble être environ 10 fois plus infectieux qu'il ne l'était lors de son premier passage à l'homme en Chine à la fin de l'année, selon les scientifiques.

    Si je ne savais pas mieux, je serais certainement profondément alarmé de lire quelque chose comme ça.

    Et l'Organisation mondiale de la santé dit maintenant que «le pire reste à venir» pour cette pandémie….

    Cela fait six mois que l’Organisation mondiale de la santé a déclaré que l’épidémie de coronavirus était une urgence sanitaire mondiale, mais lundi, elle a dit au monde de se préparer au «long terme» à venir.

    "Le pire reste à venir", a déclaré le directeur général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, lors d'un appel avec des journalistes de Genève. "Je suis désolé de le dire. Mais avec ce genre d'environnement et de conditions, nous craignons le pire. »

    Nous devrions tous pouvoir convenir que plus de gens vont tomber malades et plus de gens vont mourir.

    Maintenant que ce virus s'est propagé sur toute la planète, il n'y a aucune chance de le contenir. Finalement, presque tout le monde sera exposé à ce virus, et beaucoup de gens ne pourront pas le combattre avec succès.

    Mais bien sûr, la même chose pourrait être dite à propos de la grippe. Une des autres souches de la grippe va balayer le monde cette année et des centaines de milliers de personnes vont mourir.

    Oui, nous serons confrontés à une pandémie vraiment catastrophique à un moment donné, mais ce n'est pas ça.

    Dans un article récemment publié, Ron Paul résume très bien l'hystérie à laquelle nous assistons actuellement…

    Malheureusement, nos médias grand public ne sont intéressés qu'à pousser la «ligne du parti». Ainsi, la bonne nouvelle que des millions d'autres ont été exposés alors que le taux de mortalité continue de baisser - ce qui signifie que le virus s'affaiblit - est enterrée sous la fausse déclaration hystérique de «nouveaux cas».

    Malheureusement, de nombreux gouverneurs, y compris le nôtre ici au Texas, sont incapables de résister aux mensonges sans fin des médias grand public. Ils plongent à nouveau les Américains dans le cauchemar des fermetures forcées d'entreprises, des masques obligatoires et des restrictions des libertés constitutionnelles fondées sur une fausse propagande.

    Au Texas, la propagande de la "deuxième vague" est devenue si mauvaise que les dirigeants des quatre grands hôpitaux de Houston ont pris la décision extraordinaire la semaine dernière de tenir une conférence de presse conjointe pour clarifier que les histoires effrayantes d'hôpitaux de Houston submergés de cas de Covid sont tout simplement faux. Le Dr Marc Boom de Houston Methodist a déclaré que les rapports sur la capacité hospitalière étaient trompeurs. Il a dit, "très franchement, nous sommes préoccupés par le fait que le niveau d’alarme dans la communauté est injustifié en ce moment."

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  47. Plus les médias grand public continuent de répandre une peur injustifiée, plus les gens auront peur de reprendre leurs activités normales.

    Par exemple, une enquête récente a révélé que 64% des Américains sont «mal à l'aise» de retourner à l'église à cause de cette pandémie…

    L'American Enterprise Institute a mené un sondage auprès de 3 504 Américains de la fin mai au début juin, pour les interroger sur leur niveau de confort à leur retour à l'église.

    Parmi les répondants, 64% ont déclaré qu'ils étaient «quelque peu mal à l'aise» ou «très mal à l'aise» de retourner aux services religieux en personne.

    Inutile de dire que cette pandémie continue également de paralyser l'activité économique, et nous continuons de voir plus d'un million d'Américains déposer de nouvelles demandes d'allocations de chômage chaque semaine.

    Si notre société ne peut pas gérer une pandémie qui tue des centaines de milliers de personnes, que va-t-il se passer dans le monde lorsqu'une pandémie survient qui tue des dizaines de millions?

    La bonne nouvelle est que COVID-19 ne s'est pas avéré aussi mauvais que certains experts le projetaient à l'origine, mais ne laissez pas cela vous endormir dans un faux sentiment de sécurité.

    Cette pandémie s'est avérée être principalement de la peur, mais ce n'est qu'une question de temps avant qu'un bug beaucoup plus mortel ne nous frappe.

    https://www.zerohedge.com/political/now-theyre-trying-tell-us-covid-19-10-times-more-infectious-it-was-start-pandemic

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    1. Pour connaître la vérité sur le nombre de morts réels du 'coranavirus' il suffit de parler du contraire de ce que disent les merdias !

      7 794 000 000 habitants aujourd'hui dans le monde
      Il y a environ 59 millions de décès par an dans le monde très bientôt étiquetés 'morts du coranavirus' !!

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  48. Quand la science devient la servante de la politique

    Seule l’application permet de mesurer l’efficacité d’une technologie, d’où l’avantage indépassable de la liberté pour améliorer les choses le plus rapidement et le plus efficacement possible.


    Par Olivier Maurice.
    1 JUILLET 2020


    « Comment peut-on imaginer un système constamment en croissance dans un monde où les ressources sont loin d’être infinies ? »
    « Comment peut-on douter du réchauffement climatique quand on voit les relevés de températures ? »
    « Comment peut-on dire que plus l’échantillon d’un essai clinique est faible, plus c’est significatif ? »

    Ce ne sont que quelques questions rhétoriques rencontrées ces derniers jours dans la presse et les réseaux sociaux, mais en dehors de la similarité de forme, ces infirmations implicites ont toutes le même point commun : l’instrumentalisation de la science dans un discours politique.

    Ces slogans, ces lapidaires et apparemment implacables démonstrations par l‘absurde, sèment le doute et sont effectivement difficiles à contredire. La science n’est-elle pas censée être le garant de la raison face aux passions et à la bêtise ? La logique n’est-elle pas synonyme de vérité ? La preuve par les faits n’est-elle pas le socle sur lequel repose tout l’édifice scientifique qui nous maintient hors du chaos, de la barbarie et de l’ignorance ?

    CONFUSION ET SIMPLIFICATION

    Pour comprendre leur vacuité, il suffit cependant de différencier deux choses qui dans notre monde moderne, par banalité ou par ignorance, forment pour un très grand nombre de personnes une seule et même entité : science et technologie.

    La science tente d’expliquer le monde, la technologie tente de changer le monde. La science manipule des théories, la technologie manipule des techniques. La science s’applique au monde, la technologie s’applique à elle-même. Certes la science permet d’améliorer les technologies, d’où sans doute la conclusion erronée de voir en elle la caution pour changer le monde.

    Mais il s’agit bien de deux domaines totalement disjoints : celui qui cherche à mieux comprendre et celui qui cherche à mieux faire.
    Il est clair que l’application des théories scientifiques augmente considérablement l’efficacité des techniques, mais il n’existe qu’une faible causalité entre l’un et l’autre car les sciences ne s’appliquent qu’à ce qui existe.

    Or l’objet même des technologies est de créer ce qui n’existe pas encore. Ne pas différencier les deux, ou généraliser cette relation pour déduire d’éléments scientifiques des certitudes technologiques (ou pire, pour justifier des choix politiques) est une erreur qui navigue entre l’ignorance, l’idiotie et l’escroquerie.

    La connaissance scientifique, même la plus aboutie et la plus exacte possible, ne permet pas d’établir avec certitude le chemin à suivre pour changer les choses. Non seulement le monde n’est pas aussi simple que cela, mais la science n’a par nature pas réponse à tout : personne ne naît avec la science infuse.

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  49. LE SOPHISME DES VOITURES ROUGES

    « Les voitures rouges ont davantage d’accidents que les autres » : est une simple constatation statistique (une réalité). À ce stade, elle n’a encore aucune explication.
    « Ceux qui aiment le risque préfèrent les voitures rouges, ceci peut expliquer que les voitures rouges ont davantage d’accidents que les autres » : est une théorie scientifique (une vérité), qui vaut sans aucun doute ce qu’elle vaut, mais qui pourra facilement être prouvée comme étant valable en interrogeant les conducteurs.

    Cet exemple fictif (n’ayant aucune idée si dans la réalité du moment, ces constatations sont vraies ou fausses) a pour but de montrer la différence entre la science, qui permet d’établir des théories et de les vérifier par l’expérience, en l’occurrence d’expliquer la dangerosité des voitures rouges, et la technologie, qui est l’application de la science pour en imaginer des techniques, en l’occurrence la réduction des accidents de la route.

    Si nous transposons les trois phrases données en introduction dans le contexte des voitures rouges, nous obtenons les formulations suivantes qui relèvent plus clairement que les précédentes le sophisme consistant à utiliser la méthode scientifique pour qualifier la mise en œuvre de techniques :

    « Comment peut-on imaginer un système constamment en croissance dans un monde où les ressources sont loin d’être infinies ? »
    « Comment peut-on imaginer réduire un jour le nombre d’accidents de la route, si le nombre de voitures rouges ne fait qu’augmenter ? »

    Pas plus que la causalité entre accidents et voitures rouges ne permet de conclure à l’impossibilité de trouver un jour une solution technologique au problème de sécurité routière, la causalité entre ressources et croissance ne permet de conclure que l’une serait naturellement limitée par l’autre. Il existe de toute évidence de nombreuses techniques indépendantes de la couleur des voitures pour diminuer les accidents de la route.

    « Comment peut-on douter du réchauffement climatique quand on voit les relevés de températures ? »
    « Comment peut-on encore douter du danger que représentent les voitures rouges, quand on voit le nombre d’accident les mettant en cause ? »

    Bien sûr que nous ne pouvons en douter, mais on voit bien que tout pourrait facilement changer du jour au lendemain, si un certain nombre de chauffards achetait tout d’un coup des voitures jaunes.

    De la même manière, la constatation des températures ne permet pas de conclure que l’effet de serre des gaz incriminés soit le seul et unique facteur influant les températures de la planète et qu’il n’existe aucun autre facteur qui ne vienne un jour contrebalancer, voire même totalement renverser l’évolution des températures, sous preuve d’ailleurs que celui-ci en soit effectivement la cause principale.

    « Comment peut-on dire que plus l’échantillon d’un essai clinique est faible, plus c’est significatif ? »
    « Comment peut-on dire qu’interroger 10 chauffards et non plusieurs milliers, rend l’étude plus significative ? »

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  50. Hé oui : prendre au hasard 10 chauffards confirmés et leur demander leur couleur préférée permet de valider la théorie s’ils répondent majoritairement rouge, et ce de façon bien plus significative que s’il avait fallu en interroger plusieurs milliers pour voir enfin se dessiner une tendance.
    Une théorie scientifique n’est pas une technique dont il faudrait mesurer l’efficacité et les inconvénients, mais une simple relation entre une cause et un effet qui doit être corroborée par une expérience reproductible : il est totalement inutile de brûler toutes les forêts de la Terre pour établir que le bois est un combustible.

    THÉORIE ET RÉALITÉ

    L’utilisation d’une théorie scientifique pour améliorer les techniques n’est pas une démarche simple et logique comme on voudrait nous le faire croire, à force de raccourcis et d’artifices rhétoriques.

    La confusion des deux procède au mieux de l’ignorance, au pire de la malhonnêteté.
    Non seulement la mise en œuvre technologique n’est jamais magique, mais il y a même très fort à craindre que ceux qui prétendent utiliser la science pour définir le futur nous emmènent de façon quasi-certaine sur une fausse route, puisqu’utiliser une théorie scientifique pour établir des certitudes technologiques n’a absolument aucun sens.

    Seule l’application permet de mesurer l’efficacité d’une technologie, d’où l’avantage indépassable de la liberté pour améliorer les choses le plus rapidement et le plus efficacement possible.

    Quant à la science, il a été démontré (c’est le sens du premier théorème d’incomplétude de Gödel) qu’il est impossible qu’une théorie logique se suffise à elle-même, c’est-à-dire qu’elle soit une vérité absolue. Tout comme il a été rétabli (c’est le sens du premier dogme de l’empirisme de Quine) que croire en l’existence de vérités qui n’existeraient que par elles-mêmes est juste une autre forme de religion.

    https://www.contrepoints.org/2020/07/01/374959-quand-la-science-devient-la-servante-de-la-politique

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    1. N'oublions pas que ces 'idées' viennent des merdias !! (télés, radios & journaux) et qu'elle (tente ?) influent un certain public (cons de naissance), donc, réfléchissez de vous-mêmes, analysez, comparez et ne vous mentez pas ! Si des gros cons (de journalistes ou politichiens) vous disent que bientôt il n'y aura plus d'eau, invitez-les à cracher en l'air pour avoir la réponse ! (inchangée depuis des millions d'années !).

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  51. La véritable pandémie était un problème dans les maisons de soins infirmiers


    par Tyler Durden
    Mar., 30/06/2020 - 18:05
    Rédigé par Peter Earle via l'American Institute for Economic Research,


    Au cours de la semaine dernière, de nombreux gouverneurs ont rétabli la mise en œuvre de la politique sur les coronavirus qui en était à différentes phases de cessation. Pourquoi? Cela est dû à un prétendu «pic» de nouvelles infections à COVID-19. D'autres États ont abrégé leur levée progressive des blocages. Ceci en dépit du fait que les décès américains actuels dus au COVID-19 sont maintenant à 90% de leur pic.

    - voir sur site -

    L'État de Washington envisage de criminaliser le refus de porter un masque. Le gouverneur de l'État de New York, Andrew Cuomo, a imposé de nouvelles interdictions de séjour en dehors de l'État (avec le commentaire qu '«en plus de l'application des lois, [il]… s'attend à ce que des individus tels que des commis d'hôtel… interrogent des voyageurs d'États sélectionnés») . Le candidat présidentiel démocrate, Joe Biden, commente que s’il devait remporter la présidence, un mandat de masque fédéral pourrait suivre. La Présidente de la Chambre a rapidement exprimé son soutien à cette mesure.

    Ces développements et d'autres suggèrent que plutôt que d'approcher la fin de la crise créée par le gouvernement, nous pourrions être au seuil d'un nouveau départ. Que l'augmentation récente des infections soit principalement un artefact de capacités de test massivement étendues ne semble se produire à personne dans le gouvernement ou les médias. Il est tout aussi inaperçu que la propagation apparemment beaucoup plus large des infections à COVID-19, dont beaucoup présentent des symptômes intermédiaires ou sont traités comme des désagréments, devrait entraîner une diminution de l'inquiétude: il semble que plusieurs fois le nombre de personnes estimées au début ait été infecté. par le nouveau coronavirus à peu ou pas de conséquence.

    Et plus encore, qu'une partie du pic est responsable des troubles civils à la suite du meurtre de George Floyd. La prévalence de nouvelles infections à COVID-19 parmi la plupart des générations de la génération Z et de la génération Y (en plus de leur prévalence dans les emplois qui nécessitent des tests COVID, comme dans les fast-food et les services) a sans aucun doute beaucoup à voir avec le manque de sincérité des responsables politiques qui les ont commandés. de rester à la maison, sans travail et loin des occasions sociales, mais a répondu avec un silence assourdissant lorsque des manifestations, des manifestations et des émeutes ont éclaté.

    Notez la tendance récente des données en Californie:

    - voir sur site -

    Ou au Minnesota:

    - voir sur site -

    Alors que d'autres statistiques concernant le bilan de la nouvelle épidémie de coronavirus se raffermissent, certains modèles commencent à se faire jour.

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  52. Avec une certitude croissante, nous pouvons dire que les États verrouillés ont vu quatre fois le nombre de morts de ceux qui ne l'ont pas fait. L'efficacité du masquage est également révélée comme suspecte, tout comme la distanciation sociale en l'absence de tests et de recherche de contacts (dont l'efficacité est également discutable).

    Une révélation plus importante du déluge de données en cours a été ratée (ou ignorée) par la presse. À l'AIER, nous avons noté les taux de mortalité étonnants dans les établissements de soins de longue durée au cours de la troisième semaine de mai.

    Il y a quelques jours à peine, le New York Times a rapporté que 54 000 décès dus au COVID-19 - 43% de tous les décès aux États-Unis - étaient survenus chez des résidents et des travailleurs de maisons de soins infirmiers:

    Dans 24 États, le nombre de résidents et de travailleurs décédés représente la moitié ou plus de la moitié de tous les décès dus au virus. Les personnes infectées liées aux maisons de retraite meurent également à un taux plus élevé que la population générale. Le taux médian de létalité - le nombre ou le nombre de décès divisé par le nombre de cas - dans les établissements disposant de données fiables est de 17%, ce qui est nettement supérieur au taux de létalité de 5% à l'échelle nationale.

    L'État de New York n'était cependant qu'un des nombreux États qui ont promulgué des ordonnances augmentant le nombre de décès dus au virus.

    Les États qui ont rendu des ordonnances similaires à celles de Cuomo ont enregistré des résultats comparables. Le Michigan a perdu 5% des quelque 38 000 résidents des foyers de soins à cause de COVID-19 depuis le début de l'épidémie. Le New Jersey a perdu 12% de ses plus de 43 000 habitants. En Floride, où de tels transferts étaient interdits, seulement 1,6% des 73 000 résidents des maisons de soins infirmiers sont morts du virus. La Californie, après avoir initialement adopté une politique comme celle de New York, l'a rapidement révisée. Jusqu'à présent, elle a perdu 2% de ses 103 000 résidents des foyers de soins.

    Et gardez à l'esprit que cette moyenne de 43% est massivement entraînée vers le bas parce que cinq États n'ont enregistré aucun décès dans les maisons de soins infirmiers tandis que d'autres États ont eu jusqu'à 80% de leurs décès dans les maisons de soins infirmiers.

    Source: NYT

    Cette évolution est amplifiée dans son horreur lors d'une inspection minutieuse du document qui a informé les politiques de verrouillage. L'avant-dernier paragraphe de l'article original de Nature 2006 - le plan pour les fermetures, intitulé «Stratégies pour atténuer une pandémie de grippe» se lit comme suit:

    Le manque de données nous empêche de modéliser de manière fiable la transmission dans le contexte important des institutions résidentielles (par exemple, maisons de soins, prisons) et des établissements de santé; une planification détaillée de l'utilisation des antiviraux, des vaccins et des mesures de contrôle des infections dans de tels contextes est cependant nécessaire. Nous ne présentons pas de projections de l'impact probable des mesures de protection individuelle (par exemple, les masques faciaux) sur la transmission, là encore en raison d'un manque de données sur l'efficacité.

    L'omission apparente de considérations concernant les personnes dans les établissements de soins de longue durée par les épidémiologistes et les décideurs, et le nombre par conséquent disproportionné de décès totaux parmi cette même population, fournit le contexte pour une série d'actions précipitées et clandestines par les politiciens pour esquiver la responsabilité (et récolter plus Puissance).

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  53. Il devient ainsi de plus en plus clair qu'en dépit de conduire l'économie américaine dans une dépression artificielle, de détruire des dizaines de milliers d'entreprises et la vie de millions de citoyens, et d'augmenter les taux de violence domestique, de divorce, de toxicomanie et de suicide, les politiques du gouvernement américain n'ont pas réussi à protéger le segment le plus vulnérable de la population: les personnes dans les maisons de soins infirmiers et autres établissements de soins de longue durée.

    Et en outre, qu'en dépit de 14 ans entre la publication du document «Stratégies» et sa mise en œuvre dans le monde réel, aucune recherche n'a apparemment été menée qui aurait étendu ses conclusions à ces populations particulièrement à risque.

    Ceci, bien sûr, est un problème beaucoup plus fondamental que l'incapacité des méthodes de calcul, même les plus complexes, à intégrer et à rendre compte des phénomènes des sciences sociales. La sensibilité des personnes âgées et institutionnalisées, et en particulier de celles ayant des conditions préexistantes, était une considération omniprésente de pratiquement tous les protocoles médicaux. Pourtant, d'une manière ou d'une autre entre les années 1970 et aujourd'hui, les connaissances humaines concernant la prévention et le contrôle des maladies - un produit des institutions informelles et des mœurs culturelles - ont été perdues ou oubliées; et dans le vide ont balayé les rigidités des édits descendants informés par le scientisme: les technocrates brandissant des modèles basés sur des agents.

    Les Américains s'attendent à ce que les agences gouvernementales mentent et que leurs pronostics et diagnostics échouent. Les échecs politiques sont beaucoup plus courants que les succès, et les succès - où ils peuvent être trouvés - sont toujours et partout une véritable police de conséquences imprévues.

    Loin de produire de meilleures réponses, les modèles et les simulations utilisés comme plans détaillés (plutôt que pour des informations de haut niveau, principalement abstraites) amplifient, plutôt qu'atténuent, les échecs de la planification centrale. La réponse dirigée par le modèle à la pandémie de coronavirus, qui comprend désormais le sacrifice direct du segment le plus vulnérable de la population au virus, n'est que la dernière. Et cela rejoint un tas croissant d'épisodes qui incluent la réponse de la Fed au boom financier de la fin des années 1920 et plus récemment la destruction de l'Irak à cause des ADM qui n'existaient guère et la réponse d'urgence bâclée à l'ouragan Katrina.

    Pourquoi continuons-nous à écouter?

    https://www.zerohedge.com/political/real-pandemic-was-nursing-home-problem

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