- ENTREE de SECOURS -



vendredi 26 juin 2020

Glyphosate : la vérité finit toujours par triompher

Vouloir continuer à interdire le glyphosate, utilisé depuis 45 ans est une ineptie incommensurable. 


Par Armand Paquereau.
 25 JUIN 2020


Des écologistes, comme Nous Voulons des Coquelicots, ont mené une campagne médiatique intense en initiant un mouvement d’analyses d’urine pour tenter de prouver que nous étions tous contaminés par le glyphosate. Il a été prouvé par la suite, par des analyses contradictoires, que le laboratoire qui trouvait 100 % de résultats positifs n’était ni impartial ni techniquement optimal pour ce type d’analyses.

D’autres écologistes, dont Générations Futures se sont acharnés à bannir le glyphosate avec des arguments massue : il serait cancérogène. Malgré des avis contraires des agences sanitaires européennes, françaises, allemandes, américaines ils s’accrochaient à la position du CIRC pour accréditer leurs assertions.

GÉNÉRATIONS FUTURES CHANGE D’AVIS

Et puis, pour prouver que Générations Futures ne sont pas des imbéciles, ils ont changé d’avis dans un rapport de juin 2020 signé François Veillerette et Nadine Lauvergeat :

le glyphosate n’est ni cancérigène, mutagène, reprotoxique (CMR), ni perturbateur endocrinien (PE). (dixit le tableau page 6).

Dans ce rapport, qui ne recherchait que les pesticides dans les échantillons d’eau potable, il est précisé :

« Certaines molécules ont également été exclues de l’analyse puisqu’elles n’apparaissaient pas comme produits phytosanitaires sur la base de données de la commission européenne » (Annexe 1)

Autrement dit ne sont visées que les molécules utilisées en agriculture…

Pourquoi Générations Futures n’a-t-elle pas recherché les résidus médicamenteux dont certains sont présents comme le témoigne l’extrait ci-dessous (RdM = Résidus de Médicaments) :

« En France, une seule campagne d’ampleur nationale d’analyse des RdM dans les EDCH (Eaux Destinées à la Consommation Humaine) a été conduite par l’Anses en 2010 (Anses, 2011) sur 280 échantillons. Deux-tiers provenaient d’eaux souterraines et un tiers d’eaux superficielles. 75 % des échantillons ne contenaient aucune molécule quantifiable. Pour les 25 % d’échantillons positifs, les analyses ont révélé généralement la présence de une à quatre molécules dont les plus fréquemment détectées (hors caféine) sont l’époxycarbamazépine, la carbamazépine, l’oxazépam et l’hydroxyibuprofène. L’oxazépam, fréquemment retrouvé, constitue à la fois une molécule mère et un métabolite de la famille des benzodiazépines. »

L’oxazépam est suspecté tératogène, c’est-à-dire générateur possible de malformations fœtales. La présence de résidus de médicaments génère des effets délétères dans les eaux, mais les écologistes s’acharnent à ne combattre que l’usage des phytos agricoles. La nécessité de protéger les cultures et les animaux est aussi importante que celle de protéger la santé humaine. Il en va de la sécurité de notre approvisionnement alimentaire.

PAS DE PREUVE DE TOXICITÉ

Pour revenir au rapport de Générations Futures qui annonce des quantifications de 38,5 % à 78,5 % de résidus de pesticides CMR ou PE dans les échantillons d’eau potable, il convient de reprendre ses chiffres publiés : sur les 273 447 prélèvements effectués, seules 8835 analyses, soit 3,23 %, ont révélé la présence d’au moins un résidu de pesticide au-delà des limites de quantification.

Notons bien qu’il s’agit de la limite minimum de quantification et non de la limite maximum résiduelle légale ! 

Vouloir continuer à interdire le glyphosate, utilisé depuis 45 ans, dont personne n’a pu prouver durant une aussi longue expérience une dangerosité, où la majorité s’accorde maintenant à reconnaître qu’il n’est ni CMR ni PE est une ineptie incommensurable. 

Il est temps de reconnaître ses avantages indéniables et l’aide irremplaçable qu’il apporte aux agriculteurs et autres utilisateurs (particuliers, SNCF, communautés territoriales) pour lutter contre les adventices envahissantes, voire dangereuses (ambroisie, datura, chardons, etc.)

https://www.contrepoints.org/2020/06/25/374347-glyphosate-la-verite-finit-toujours-par-triompher

30 commentaires:

  1. La Convention climat pénalisera les plus pauvres

    Les propositions des 150 membres de la Convention climat présentent des incohérences, voire des impossibilités matérielles ou de financement.


    Par Armand Paquereau.
    26 JUIN 2020


    Les critères de sélection des 150 membres de la Convention Citoyenne par tirage au sort, parité hommes-femmes, origines sociales, catégories socio-professionnelles ne semblent pas avoir pris en compte la formation ou la capacité de chacun en matière de gestion économique ou écologique.

    Il n’est donc pas étonnant que les propositions qui en ressortent, formatées par des encadrants ou des intervenants dont la neutralité n’a pas été garantie, présentent des incohérences, voire des impossibilités matérielles ou de financement.

    SE TROMPER DE PROBLÈME

    Cependant, il faut bien constater que le véritable problème de notre société n’est pas l’émission de CO2, puisque ce gaz est indispensable à la vie car à la source même de notre alimentation. C’est une source d’énergie renouvelable inépuisable tant qu’il y aura des plantes à chlorophylle dont la photosynthèse le transformera en hydrates de carbone grâce à l’eau, les minéraux du sol et l’énergie gratuite du Soleil.

    Le vrai problème est l’utilisation des énergies fossiles qui ont mis des millénaires à se constituer et que l’on est en train d’épuiser en deux siècles. En cela, la Convention citoyenne a raison de se pencher sur tout ce qui tend à économiser cette précieuse énergie. Le problème est que chaque aspect de notre vie est inféodé à ces énergies fossiles : les transports, la chimie, l’agriculture, l’industrie, etc. ont appréhendé tout ce qui pouvait être inventé pour améliorer notre confort de vie sans jamais s’inquiéter de la pérennité de ces énergies.

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  2. Comme le secteur du bâtiment représente 44 % de l’énergie consommée en France, les 150 « sages » de la Convention ont bien entendu focalisé leur objectif sur la rénovation et l’isolation des logements : « Notre ambition est de passer d’une rénovation par petits gestes et à petits pas, à une rénovation globale, en multipliant par trois le rythme des rénovations. »

    Ces bonnes intentions se heurtent bien évidemment à la capacité financière des citoyens à réaliser les travaux de modernisation et d’isolation. Le décret du mardi 31 mai 2016 assurait un garde-fou : pas d’obligation de travaux d’isolation si « le temps de retour sur investissement du surcoût induit par l’ajout d’une isolation, déduction faite des aides financières publiques, est supérieur à dix ans ».

    Or il est évident que le retour sur investissement peut être beaucoup plus long : la loi permet à un bailleur d’augmenter le loyer de la moitié de l’économie de la facture d’énergie procurée par l’isolation du logement d’un locataire. Le calcul suivant donne une idée du retour sur investissement :

    -voir rapport sur site -

    Les propositions de la Convention citoyenne semblent ne pas tenir compte du décret précité, puisque la mise en conformité doit intervenir avant 2030 pour les logements les plus énergivores.

    Mais cette isolation pose d’autres problèmes : dans la majorité des cas elle n’est possible que de l’intérieur, par doublage des murs. Ce qui induit l’obligation de refaire toute l’installation électrique, voire également le chauffage par effacement et recouvrement des interrupteurs, des prises électriques et des tuyauteries. Dans ce cas, il devient plus opportun de démolir et de reconstruire… Quel propriétaire peut envisager cela ?

    L’ART DE DÉCLASSER UN LOGEMENT

    En affichant la consommation en énergie primaire en lieu et place de l’énergie finale consommée, on multiplie la consommation réelle par 2,58 (coefficient de l’énergie électrique).

    Ainsi, un logement isolé selon les normes RT 2012, qui serait classé C selon la consommation en énergie consommée devient un logement énergivore classé F selon la consommation en énergie primaire, et pourra être considéré comme indécent suite à la loi du 17 août 2015 qui a ajouté la performance énergétique au décret du 31 janvier 2002 :

    « Les logements privés dont les étiquettes appartiennent aux classes F ou G devront avoir fait l’objet d’une rénovation énergétique avant 2025. Cette obligation vise indifféremment les logements loués et ceux occupés à titre de résidence principale ou secondaire par leurs propriétaires »

    Cependant, le décret no 2006-1147 du 14 septembre 2006 prévoit dans son Article R. 134-2 :

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  3. « Le diagnostic de performance énergétique comprend :

    L’indication, pour chaque catégorie d’équipements, de la quantité annuelle d’énergie consommée ou estimée selon une méthode de calcul conventionnel ainsi qu’une évaluation des dépenses annuelles résultant de ces consommations […] »

    Il n’est pas ici question d’énergie primaire !

    -voir rapport sur site -

    On voit ici qu’un simple mot change totalement et injustement le classement d’un appartement. Ainsi tout logement chauffé à l’électricité, (mais l’application d’un coefficient pour les autres énergies peut être décidé dans la même discrétion) peut aujourd’hui être considéré énergivore, même si son isolation est au summum de la technique connue.

    Cette spécificité doit faire réfléchir tous les propriétaires, qu’ils soient bailleurs ou propriétaires occupants : les propositions de la convention citoyenne pour le climat d’instaurer un bonus-malus sur la taxe foncière sont de nature à effrayer, de même que l’interdiction proposée de louer des logements classés F ou G à partir de 2028. D’ici là, la Convention citoyenne propose de bloquer les loyers pour cette classe de logements.

    Dans un contexte où la vacance locative des logements approche des 10 %, il est bien évident que ces mesures coercitives seront de nature à l’aggraver. Cela s’ajoute aux problèmes que j’ai déjà évoqués relatifs aux difficultés rencontrées avec des locataires indélicats surprotégés par une réglementation sociale à courte vue et contribuera à une crise du logement exacerbée.

    Par ces mesures, le gouvernement espère sans doute faire baisser le prix du foncier, mais cette baisse risque d’engendrer une diminution de l’impôt foncier supérieure au malus énergétique ainsi qu’une baisse des droits de cession et de succession. Pour les propriétaires soumis à l’IFI, leur nombre sera réduit, et leurs charges risquent fort de dépasser leurs revenus.

    La Convention citoyenne n’a pas mis l’accent sur l’étalement de l’habitat : pour un nombre d’occupants identique, la consommation d’énergie est largement supérieure pour des logements séparés par rapport aux logements collectifs qui présentent une surface extérieure moindre. Le transport énergivore pour accéder à ces logements étalés est à prendre en compte dans le calcul des consommations énergétiques.

    Le grand problème en France est que pour résoudre un problème, on envisage des mesures sans faire de prospective sur les conséquences diverses qui vont en découler.

    Le bien faire se situe entre le vouloir faire et le pouvoir faire !

    https://www.contrepoints.org/2020/06/26/374497-la-convention-climat-penalisera-les-plus-pauvres

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  4. Fraude et imposture — Les tests Covid ou l'outil de contrôle indispensable « pour sauver le monde » transformé en Virusocratie


    Sott.net
    jeu., 18 juin 2020 17:56 UTC


    Maintenant que de nombreux États et nations ont partiellement ou totalement levé leurs restrictions de confinement, les tests d'anticorps contre le Covid vont devenir un enjeu majeur. Alors que nous entrons dans un nouveau chapitre du long livre de l'Opération Coronavirus, les autorités tentent de mettre en place des tests généralisés basés sur la détection des anticorps — ainsi que sur la recherche des contacts ou la surveillance. Le moment est venu de vous informer sur ce que sont les tests de détection des anticorps contre le Covid et sur leur fonctionnement, parce que les enjeux sont importants. Les autorités prévoient de défendre ou de violer vos droits et libertés en fonction des résultats — et surtout de l'interprétation des résultats — de ces tests.

    Les tests d'anticorps Covid sont sujets à des faux positifs et à toutes sortes d'interprétations, ce qui ouvre la porte à leur utilisation comme outils de contrôle.

    En vérité, nous possédons tous le droit à l'autonomie corporelle personnelle et à la souveraineté médicale, et être contraint de subir un tel test est en soi une violation de nos droits souverains fondamentaux. Cependant, quel que soit le choix que vous faites personnellement à cet égard, il est crucial de comprendre comment ces tests fonctionnent et ce que les résultats signifient, parce que — soyez-en assuré — les résultats seront utilisés contre vous si l'histoire passée est un indicateur quelconque de l'intention des conspirateurs du Nouvel Ordre Mondial.

    Théorie des anticorps

    Avant de passer au test Covid, commençons par quelques définitions. Un anticorps est une protéine sanguine que votre corps produit pour contrecarrer un antigène spécifique. Un antigène est une toxine ou une autre substance étrangère que l'organisme reconnaît comme un envahisseur. Les anticorps se combinent chimiquement avec des substances que l'organisme reconnaît comme étrangères dans le cadre d'une réponse immunitaire saine.

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  5. De manière typique, l'industrie médicale — rappelons que la médecine occidentale est la médecine Rockefeller — a confondu anticorps et immunité, en affirmant que des titres (ou niveaux) élevés d'anticorps montrent une forte immunité. Cependant, il s'agit d'une erreur d'un point de vue matérialiste, dans lequel tout doit être mesuré, combinée à un but lucratif — les vaccins produisent des anticorps, donc si l'établissement médical peut vous convaincre que anticorps = immunité, alors les vaccins confèrent une immunité, sans poser de questions.


    Commentaire :
    La Fondation Rockefeller et le programme international pour la santé ou l'ancêtre des fondements de l'OMS
    Comment Rockefeller a fondé la médecine moderne et tué les remèdes naturels
    Le psychopathe Rockefeller est-il à l'origine de la pandémie de « grippe espagnole » de 1918 ?



    La vérité, c'est que l'immunité est bien plus mystérieuse qu'une simple mesure de certaines substances dans le sang. L'immunité a une forte composante bio-énergétique qui ne peut pas être mesurée ! Voici quelques citations tirées du site web whale.to :
    « Un test titre ne mesure pas et ne peut pas mesurer l'immunité, car l'immunité à des virus spécifiques ne repose pas sur des anticorps, mais sur des cellules mémoires, que nous n'avons aucun moyen de mesurer. Les cellules mémoire sont ce qui incite le système immunitaire à créer des anticorps et à les envoyer pour lutter contre une infection causée par le virus dont il « se souvient ». Les cellules mémoire n'ont pas besoin de « rappels » sous forme de revaccination pour continuer à produire des anticorps. » ~ Science, 1999 ; « La mémoire du système immunitaire n'a pas besoin de rappels [de vaccins - NdT ] »

    « Le sophisme de cette [théorie des anticorps] a été exposé il y a près de 50 ans, ce qui n'est guère récent. Un rapport publié par le Medical Research Council intitulé « A study of diphtheria in two areas of Great Britain, Special report series 272, HMSO 1950 » [ « Une étude de la diphtérie dans deux régions de Grande-Bretagne » - NdT] a démontré que de nombreux patients atteints de diphtérie avaient des taux élevés d'anticorps circulants, alors que de nombreux contacts qui sont restés parfaitement sains avaient des taux d'anticorps faibles. » ~ Magda Taylor, Parent informé

    « Ce n'est pas parce que vous donnez un vaccin à quelqu'un, et que vous obtenez peut-être une réaction aux anticorps, que cela signifie quoi que ce soit. Les seuls vrais anticorps, bien sûr, sont ceux que vous obtenez naturellement. Lorsque nous injectons des vaccins, nous interférons avec un mécanisme très délicat qui agit selon son propre mécanisme [qui] fonctionne très bien avec une nutrition adéquate. Si en tentant de déclencher un processus dont la nature s'occupe très bien toute seule le corps d'une personne est ainsi endommagée, on lui cause en fait toutes sortes de problèmes et nous ne pensons pas que cela fonctionne. » ~ Glen Dettman Ph.D., interviewé par Jay Patrick, et cité dans The Great American Deception, Let's Live, 1976, p. 57 [« La grande supercherie américaine, Il est temps de vivre », ouvrage non traduit en français - NdT]

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  6. « De nombreuses études sur l'efficacité du vaccin anti-rougeole portent sur leur capacité à stimuler une réponse des anticorps — séroconversion ou séro-réponse. Une réponse d'anticorps n'équivaut pas nécessairement à une immunité... le niveau d'anticorps nécessaire pour une immunité efficace est différent chez chaque individu... l'immunité peut être démontrée chez des individus ayant un niveau d'anticorps faible ou non détectable. De même, chez d'autres individus ayant des niveaux d'anticorps plus élevés, il peut ne pas y avoir d'immunité. » ~ Trevor Gunn BSc

    Ensuite, découvrons une citation du Dr Stefan Lanka, dont j'ai souligné les points de vue dans « Deep Down the Virus Rabbit Hole - Question everything » [Dans les profondeurs du virus - Remettez tout en question - NdT] :
    « Je suis absolument sûr qu'en médecine, aucun test d'anticorps n'a de signification absolue. En particulier dans le cas du test de dépistage des anticorps du VIH, il est clair que les anticorps qui sont détectés dans le test sont présents chez tout le monde. Certaines personnes en ont des concentrations plus élevées, d'autres des concentrations plus faibles, mais ce n'est que lorsque vous atteignez un niveau d'anticorps très élevé — beaucoup plus élevé que dans tout autre test d'anticorps — que vous êtes considéré comme « positif ». C'est une contradiction dans les termes car dans les autres tests d'anticorps, plus votre niveau d'anticorps est faible, plus votre risque d'infection symptomatique est élevé. Mais dans le cas du VIH, on dit que vous n'êtes « positif » que lorsque vous avez atteint un niveau d'anticorps très élevé. En dessous de ce niveau, on dit que vous êtes négatif. »

    ~ Interview de Stephan Lanka, 1995
    D'anciens échantillons de sang contiennent des anticorps contre le Covid

    Sachant cela, voyons maintenant comment ils appliquent au Covid la théorie des anticorps. Tout au long de cet article, je citerai le récent article de David Crowe intitulé « Antibody Testing for Covid-19 » [Test d'anticorps contre le Covid-19 - NdT]. Crowe souligne de nombreuses hypothèses majeures concernant les tests d'anticorps contre le Covid. Il faut commencer par les tests qui donnent des résultats positifs. La question est la suivante : comment savoir si ces anticorps ont été acquis récemment ou s'ils existent depuis des années ? Il n'y a aucun moyen de le savoir. S'ils les ont depuis des années, que prouve le test d'anticorps ? Rien. Crowe écrit :

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  7. « Dans une étude néerlandaise, près de 14 % du sang conservé provenant d'anciens dons a été testé positif, et dans la validation des tests Cellex et Chembio, 4,4 % et 3,6 % — respectivement — des anciens échantillons étaient positifs. Le modèle d'anticorps idéalisé est basé sur la date de l'infection comme point de départ, mais cette date n'est jamais connue avec certitude. Quand bien même une personne a pu entrer en contact avec une autre teste positive à l'ARN Covid-19 à une date donnée, cela ne garantit en aucune façon que cette date était celle de l'infection, étant donné qu'avant le confinement, des personnes ont apparemment pu être infectées en jouant dans le parc, en mangeant au restaurant, en marchant dans la rue, en assistant à un concert ou en participant à toute autre activité désormais interdite. Lorsque des enquêtes sur les anticorps sont effectuées, la grande majorité des personnes dont le test est positif ignoraient totalement avoir été précédemment contaminées, et il leur est impossible de préciser à quelle date cette contamination a eu lieu.

    Mais un problème bien plus important est que le chiffre obtenu est impossible à valider. Lorsque 1,5 % des volontaires de Santa Clara ont été testés positifs, on a supposé que c'était vrai. Cette « véracité » affirme que toutes ces personnes ont été positives à l'ARN à un moment donné dans un passé récent. Mais il n'existe absolument aucune preuve de cela. La « vérité » suppose que toutes les personnes étaient négatives aux anticorps contre le Covid-19 avant la période présumée de séropositivité de l'ARN. Mais aucune preuve n'existe pour étayer cette hypothèse. »
    Les faux positifs des tests anticorps du Covid

    Un deuxième problème avec le test du Covid est celui des faux positifs. Tout comme le test PCR a conduit à un taux de faux positifs de 80 % dans le diagnostic réel du Covid, les tests d'anticorps contre le Covid peuvent également conduire à des faux positifs, ce qui signifie que le test découvre que vous avez des anticorps contre le Covid dans votre système lorsque vous y testé êtes négatif. Manifestement, quelque chose ne va pas avec un test censé ne détecter que les anticorps d'une maladie particulière, et qui détecte ensuite ces anticorps chez les personnes qui n'ont pas cette maladie ! écrit Crowe :

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  8. « D'autres problèmes liés aux tests d'anticorps incluent un nombre important d'échantillons testant des anticorps positifs provenant de personnes testées négatives à l'ARN Covid-19 (bien que certaines aient eu des symptômes similaires au Covid), sans aucune preuve qu'elles aient jamais été infectées. Dans une étude chinoise, le taux de positivité sur des personnes qui n'ont probablement jamais été infectées était de 25 %. »
    Les anticorps ne sont pas précis

    Le fait que les tests anticorps contre le Covid recherchent des anticorps qui ne sont peut-être même pas spécifiques au Covid représente encore un autre problème ! Crowe écrit :

    « [...] différents fabricants ont trouvé un pourcentage significatif d'échantillons positifs aux anticorps contre le Covid-19, lesquels échantillons ne contenaient notoirement aucun Covid-19 ; on y trouvait par contre d'autres virus, bactéries ou mycoplasmes, et ces échantillons provenaient dans certains cas de personnes atteintes de maladies auto-immunes, ce qui indique que les anticorps ne sont pas spécifiques. Par exemple, les échantillons suivants étaient positifs à 10 % pour l'hépatite B, 33 % pour le virus respiratoire syncytial (VRS), 10 % pour des auto-anticorps, et 17 % pour des streptocoques. »
    J'encourage les lecteurs à lire l'article de Crowe dans son intégralité car il constitue un excellent résumé des problèmes liés aux tests d'anticorps contre le Covid. En attendant, revenons sur le sujet des anticorps, du système immunitaire inné, du système immunitaire adaptatif, etc.

    Les anticorps ne sont développés par votre système immunitaire que si sa première ligne de défense est défaillante

    Rappelez-vous : l'immunité innée (non spécifique) vient en premier. L'immunité humorale, adaptative, à médiation par anticorps (spécifique) vient en second lieu, et est également appelée « immunité acquise ». Jon Rappoport a écrit un article sur l'étude de Crowe : « COVID: David Crowe's brilliant new paper takes apart antibody testing » [COVID : Le remarquable nouvel article de David Crowe démonte les tests d'anticorps - NdT]. J'ai été impressionné par les nombreux commentaires qui suivent l'article, et j'en ai reproduit plusieurs ici.

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  9. Le commentaire qui suit est de Tim Lundeen :
    « L'un des principaux problèmes (mentionné de manière périphérique dans cet article) est que vous ne développez des anticorps que lorsque votre système immunitaire inné ne peut pas éliminer une infection. Ainsi, 60 à 85 % des personnes sont capables d'éliminer les coronavirus en utilisant leur système immunitaire inné et ne développeront JAMAIS d'anticorps. Le système immunitaire inné est votre générique, il fonctionne contre n'importe quelle infection. C'est la première ligne de défense. S'il ne peut pas éliminer totalement une infection, alors le système immunitaire adaptatif entre en jeu, fabrique des anticorps, puis les anticorps éliminent l'infection. Il existe un certain nombre d'endroits où un grand nombre de personnes ont été exposées au coronavirus dans un espace confiné : les navires de croisière, les navires militaires et les centres pour sans-abri. Dans tous ces endroits, 60 à 85 % des personnes massivement exposées n'ont montré AUCUN ARN de coronavirus, c'est-à-dire que leur système immunitaire inné a éliminé le coronavirus, elles étaient immunisées contre lui. Ils n'ont donc pas développé et ne développeront jamais d'anticorps. »
    Le suivant est de PFT :

    « Une chose que les gens ne comprennent pas. Tout le monde n'a pas besoin d'anticorps ou n'en produit pas lorsqu'il est infecté. Les anticorps sont produits par le système immunitaire adaptatif, qui constitue en fait votre dernière ligne de défense contre les agents pathogènes et elle prend une à deux semaines pour se mobiliser. La première défense immunitaire est le système inné composé de nombreuses cellules et molécules qui inhibent la réplication virale et détruit ses composantes. Elles se coordonnent également avec le système immunitaire adaptatif qui envoie des signaux pour mobiliser et fournir des informations sur l'emplacement et la nature de l'agent pathogène. Si le système inné élimine rapidement l'infection, les signaux de danger ne sont plus émis et le système immunitaire adaptatif est désactivé et ne répond plus, de sorte qu'aucun anticorps ou très peu d'entre eux sont produits —
    en dessous des limites de détection. Ainsi, alors que les taux d'anticorps peuvent au sein de la population se situer entre 20 et 40 %, un nombre inconnu de cette même population est également immunisé de fait et parce qu'elle dispose d'un système immunitaire inné plus efficace.

    Le système immunitaire adaptatif a deux composantes. Les réponses humorales et cellulaires. La première produit des anticorps produits par les cellules B. La seconde utilise les cellules T. Les cellules T auxiliaires sont en fait importantes pour activer les cellules B afin qu'elles produisent des anticorps et des cellules T cytotoxiques. Les lymphocytes T régulateurs [Tregs - NdT] empêchent une réponse immunitaire excessive, et les cellules T cytotoxiques qui sont activées constituent de véritables mécanismes de défense. L'immunité cellulaire est importante pour réellement détruire les cellules infectées. Les anticorps ne tuent pas mais marquent seulement l'appel à la destruction d'une cellule infectée ou l'empêchent d'infecter une cellule non infectée. Bien que les deux soient importants lorsque le système immunitaire inné a besoin de leur aide, beaucoup pensent que l'immunité cellulaire est la plus importante et qu'elle a aussi une mémoire qui n'est pas si bien comprise. »

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  10. Les factotums du Nouvel ordre mondial pourraient utiliser les tests Covid à des fins malveillantes

    Les tests d'anticorps sont clairement et à de nombreux égards défectueux, ce qui au — « nom de la science » — ouvre la voie à leur utilisation — comme tant d'autres choses — dans le but de réaliser des programmes hautement destructeurs. Il s'agit d'une question d'interprétation, qui est une forme de perception. J'ai déclaré avec insistance à de nombreuses reprises que nous sommes en pleine guerre des perceptions. L'Opération Coronavirus vise à gérer la perception, en commençant par contrôler la perception qu'ont les gens de la véritable nature des virus et des maladies. La perception est très importante dans l'interprétation des résultats.

    Par exemple, les autorités pourraient prétendre que les personnes positives aux anticorps doivent être isolées, mises en quarantaine et soumises à des règles absurdes et non scientifiques — distanciation sociale, port de masque, etc. — parce que les anticorps sont la preuve qu'elles sont à ce moment-là infectées ou malades. D'un autre côté, les autorités pourraient prétendre que les personnes positives aux anticorps sont maintenant immunisées et en bonne santé, puisque les anticorps montrent qu'elles ont déjà eu le Covid et l'ont vaincu avec succès ; mais aussi que les personnes négatives aux anticorps doivent elles être surveillées et craintes, car sans les anticorps, elles ne sont pas immunisées et pourraient être contaminées et transmettre le virus à d'autres personnes — et qu'elles constituent donc « une menace pour tout le monde » et autres absurdités de ce genre. Un troisième exemple est que les autorités pourraient prétendre que si le nombre de personnes positives aux anticorps reste inférieur au niveau de « l'immunité collective » — environ 90 % — alors nous devons imposer la vaccination obligatoire — un programme à l'ordre du jour de l'Organisation mondiale de la santé depuis longtemps — pour « protéger la santé publique » — et autres absurdités de ce genre. La capacité à manipuler la signification des résultats est infinie.


    Commentaire :
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    Jon Rappoport lui-même a écrit pendant des décennies sur le manque de logique lorsqu'il s'agit de l'interprétation des tests d'anticorps. Cette citation fait référence aux tests de détection des anticorps contre le VIH :
    « Jusqu'à ce que les tests de dépistage du sida prennent réellement leur essor au milieu des années 80, on supposait généralement que la présence d'anticorps chez un patient signifiait une bonne santé. Le patient avait été en contact avec un germe, avait développé une réponse immunitaire et le germe avait été neutralisé.

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  11. Il n'existait certainement pas de consensus sur le fait que des anticorps signifiaient systématiquement une maladie présente ou future. En d'autres termes, si des millions de personnes en Chine avaient rencontré des virus H5N1 (grippe aviaire) et présentaient des anticorps contre ces virus, on pourrait s'attendre à ce qu'elles restent en bonne santé. Sauf qu'avec le début de la recherche sur le sida, tout a été chamboulé.

    Les personnes testées et déclarées séropositives — ce qui signifie qu'elles avaient des anticorps contre le virus — étaient, disait-on, malades ou en passe de l'être. Nous voici donc face à un autre niveau de canular en matière de dépistage du sida. Pourquoi les gens subissaient-ils un test de dépistage des anticorps contre le VIH ? Pourquoi cette méthode fut-elle supposée comme significative ? Pourquoi la présence d'anticorps contre le VIH n'était-elle pas considérée comme un signe de santé ?

    Des millions de personnes dans le monde entier ont été soumises aux tests Elisa et Western Blot HIV — qui ont tous deux pour seul objectif de trouver des anticorps contre le VIH. Pourquoi ces tests ont-ils été élevés au rang de détecteurs de maladies actuels ou futurs ?

    Alors que j'écrivais AIDS Inc.: Scandal of the Century en 1988, j'ai eu une conversation très intéressante avec un médecin des National Institutes of Health américains [institutions gouvernementales des États-Unis en charge de la recherche médicale et biomédicale - NdT]. Il m'a confié que lorsqu'un vaccin contre le VIH serait soumis à des tests pour être ensuite mis à la disposition du public, chaque personne ayant reçu le vaccin recevrait une lettre spéciale qui indiquerait qu'elle avait reçu le vaccin. La lettre préciserait aussi que si, à un moment quelconque, la personne était testée pour le VIH et qu'elle s'avérait être positive — ce qui signifiait qu'elle avait des anticorps contre le VIH — cela ne devait PAS être considéré comme un signe de maladie présente ou future. Dans ce cas, la personne était en fait immunisée contre le VIH, parce qu'elle aurait « reçu » ses anticorps du vaccin.

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  12. J'ai failli tomber de ma chaise. J'ai dit : « Laissez-moi comprendre. Si une personne développe naturellement des anticorps contre le VIH, on lui dit qu'elle est malade maintenant ou qu'elle va tomber malade. Mais si ses anticorps — les mêmes anticorps — contre le VIH proviennent d'un vaccin, on lui dit qu'elle est immunisée contre le virus. » Le médecin ne m'a pas donné de réponse claire. Cette contradiction explosive a été soigneusement ignorée par la presse grand public et par l'ensemble du réseau des établissements de lutte contre le sida. Selon les normes conventionnelles (pas les miennes), le but d'un vaccin est de conférer une immunité à un germe en produisant dans le corps des anticorps contre ce germe. C'est l'essence et la norme d'un « bon vaccin ». Et pourtant, dans le cas de la recherche sur le sida, tout cela a été mis sens dessus dessous. Soudain, être séropositif signifiait : le patient a des anticorps contre le VIH et c'est un signe qu'il va devenir très malade et très probablement mourir. Pour résumer : non seulement les deux tests de détection des anticorps contre le VIH (Elisa et Western Blot) ne sont pas fiables pour trouver les vrais positifs, par opposition aux faux positifs, mais l'IDÉE ENTIÈRE d'utiliser la présence d'anticorps comme un signe indubitable de maladie présente ou future est sans fondement. »

    [1988/2006] La fraude massive derrière les tests du VIH par Jon Rappoport
    Il a également écrit dans un article plus récent sur les tests d'anticorps du Covid :

    Chicago Tribune, 3 avril : « Un nouveau type différent de test pour les coronavirus est en train d'être mis au point, qui aidera de manière significative dans la lutte pour endiguer la pandémie de Covid-19, selon les médecins et les scientifiques. Le premier test dit sérologique, qui détecte les anticorps contre le virus plutôt que le virus lui-même, a reçu l'approbation d'urgence jeudi de la Food and Drug Administration américaine. Le test sérologique consiste à prélever un échantillon de sang et à déterminer s'il contient les anticorps qui combattent le virus. Un résultat positif indique que la personne a eu le virus dans le passé et qu'elle est actuellement immunisée. »

    ...

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  13. Vous avez bien tout compris ? Un test positif signifie que le patient est maintenant immunisé contre le virus et peut sortir et retourner au travail. NBC News le 4 avril a une vision quelque peu différente : « David Kroll, professeur de pharmacologie à l'université du Colorado qui a travaillé sur les tests d'anticorps, a expliqué que les anticorps [un test positif] signifient que « votre système immunitaire [s'est] souvenu du virus au point de fabriquer ces anticorps qui pourraient inactiver toute infection virale future. Ce que le test ne peut pas faire, c'est vous dire si vous êtes actuellement atteint d'un coronavirus, si vous êtes contagieux, si vous êtes totalement immunisé — et si vous pouvez reprendre vos activités sociales en toute sécurité. Parce que le test ne peut pas être utilisé comme un test de diagnostic, il devrait être combiné avec d'autres informations pour déterminer si une personne est malade du Covid-19. » Non, ce n'est vraiment pas un test de diagnostic, il ne dit pas si le patient est immunisé et peut retourner au travail. Excusez-moi, quoi ?

    ...

    Et voilà, nous y sommes. Le commentaire officiel à propos du test Covid issu de sources formelles. C'est oui, c'est non, et c'est peut-être. Les responsables de la santé publique peuvent dire ce qu'ils veulent sur les tests d'anticorps : un résultat positif signifie que vous êtes immunisé, que vous avez une infection, que vous marchez sur la Lune en mangeant un hot-dog.

    En général, avant 1984, un test d'anticorps positif signifiait que le patient avait acquis une immunité contre un germe. Après 1984, la science a été complètement inversée ; un résultat positif signifiait que le patient « avait le germe » et n'était pas immunisé. Aujourd'hui, avec le Covid-19, si vous ne faites que lire les gros titres, un test positif signifie que le patient est immunisé ; mais si vous lisez quelques paragraphes, un test positif signifie que le patient est peut-être... peut-être pas... immunisé. Peut-être infecté, peut-être pas. Peut-être malade, peut-être pas. Et, en plus de tout cela, les tests d'anticorps sont connus pour être faussement positifs, en raison de facteurs qui n'ont rien à voir avec le virus testé.
    Conclusion

    Ainsi, alors que le monde se précipite sur les tests d'anticorps contre le Covid et la recherche des contacts, il est toujours utile d'examiner les bases du récit officiel, car il s'avère sans aucun doute qu'il est construit sur des mensonges et de la propagande. Un taux d'anticorps élevé n'est pas synonyme d'immunité, et peut signifier n'importe quoi selon l'interprétation qu'on en fait. Nous savons que le plan prévoit des certificats numériques et des passeports d'immunité. Ces passeports d'immunité seront-ils basés sur des tests d'anticorps — peu fiables — avant le lancement d'un vaccin Covid ? Restez vigilants et remettez en question tous les aspects de cette stratégie planifiée.

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  14. Commentaire :
    Le Covid-19 sert de prétexte pour établir une surveillance de masse et un traçage numérique de tous impossibles sans la 5G
    Covid-19 — Le fer de lance pour la mise en place d'une « nouvelle ère » de VACCINS à haut risque, génétiquement MODIFIÉS
    À quoi ressemble le « plan vaccination » du Covid-19 ?
    Critique en 16 points majeurs de la raison « impure » du confinement — Comment en sommes-nous arrivés là ?

    https://fr.sott.net/article/35831-Fraude-et-imposture-Les-tests-Covid-ou-l-outil-de-controle-indispensable-pour-sauver-le-monde-transforme-en-Virusocratie

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  15. Brève politique : Houellebecq avait raison


    le 26 juin 2020


    La campagne pour les élections municipales en France, un véritable théâtre d’ombres avec le coronavirus en toile de fond, a autorisé tous les excès de la part des apprentis-sorciers de la politique avides de pouvoir. C’est déplorable mais également inquiétant.

    Dans la ville de Toulouse, quatrième ville de France, l’écologiste Antoine Maurice, arrivé en deuxième position au premier tour de ces élections, a ratissé tous azimuths pour conforter son score et remporter la course au pognon. Il faut en effet appeler les choses par leur nom. Cet écolo s’est allié aux socialistes et on ne peut pas lui en vouloir puisque les écolos sont tous des néo-trotskystes d’ultra-gauche. Mais il y a pire encore ! Cet individu a passé une alliance avec le parti appelé Union Démocratique des Musulmans Français, un parti notoirement affilié au mouvement des Frères Musulmans.

    Antoine Maurice est un proche de Cécile Duflot, ancienne ministre du logement et maintenant directrice d’Oxfam-France, une ONG britannique connue pour ses liens avec le MI6. Ce même MI6 avait facilité l’obtention de l’asile politique en France et en Allemagne pour des membres de cette confrérie secrète dont le projet est de prendre le pouvoir et d’imposer la charia dans les démocraties européennes. On peut dire que les manigances d’Antoine Maurice ressemblent à un accouplement entre une carpe et un lapin. Décidément, pour accéder au pouvoir, les écolos n’ont même plus le moindre soupçon de pudeur

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/06/26/breve-politique-houellebecq-avait-raison/

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  16. Un nuage de poussière de Godzilla de 3 500 milles atteindra le sud-est des États-Unis d'ici quelques heures



    par Tyler Durden
    Ven, 26/06/2020 - 17:25


    Un nuage de poussière géant qui a parcouru 5000 miles en provenance d'Afrique du Nord atterrit dans le sud-est des États-Unis ce week-end, et provoquera une brume brune et soulèvera des problèmes de santé respiratoire au milieu de la pandémie de coronavirus, selon Reuters.

    La tempête de poussière en Afrique du Nord est un événement annuel - mais cette année, il est le plus dense depuis plus de 50 ans selon les météorologues, que certains ont surnommé le «nuage de poussière de Godzilla».

    Ce week-end, il descendra sur la Floride, se déplaçant vers l'ouest au Texas et en Caroline du Nord via l'Arkansas, selon le National Weather Service (NWS).

    "C'est une couche d'air vraiment sèche qui contient ces particules de poussière très fines. Elle se produit chaque été", selon le météorologue du NWS, Patrick Blood. "Certains de ces panaches contiennent plus de particules, et nous nous attendons actuellement à un très grand panache de poussière sur la côte du Golfe."

    Cette année, la poussière est la plus dense qu'elle ait été depuis un demi-siècle, ont déclaré plusieurs météorologues à Reuters plus tôt cette semaine alors qu'elle traversait les Caraïbes.

    Le panache de poussière saharien pèsera sur la région jusqu'au milieu de la semaine prochaine, détériorant la qualité de l'air au Texas, en Floride et dans d'autres États où le nombre de cas de COVID-19 a récemment augmenté. -Reuters

    "Il existe de nouvelles preuves d'interactions potentielles entre la pollution de l'air et le risque de COVID, donc à ce stade, nous sommes préoccupés", a déclaré Gregory Wellenius, professeur de santé environnementale à la Boston University School of Public Health.

    Dans les États touchés, le ciel devrait être trouble avec une visibilité réduite et une couverture de poussière. Selon les météorologues, la masse d'air sec qui transporte la poussière peut supprimer la formation d'ouragans et de tempêtes tropicales, et peut produire des levers et couchers de soleil améliorés.

    https://www.zerohedge.com/technology/3500-mile-long-godzilla-dust-cloud-will-hit-us-southeast-within-hours

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  17. Quinze faits rapides sur l'or


    par Tyler Durden
    Ven, 26/06/2020 - 16:45


    Bank of America a publié aujourd'hui sa huitième introduction annuelle à l'industrie de l'or et de l'or, et un rapport extrêmement utile rempli d'informations, notamment des sections sur les moteurs économiques, les tendances de l'offre et de la demande d'or, les fondamentaux de l'industrie et les évaluations sectorielles. Mais la principale raison pour laquelle l'édition de cette année est remarquable, c'est que, avec un commerce de l'or à 1770 $, il n'est qu'à 100 $ de son record de septembre 2011, un prix record que même les sceptiques disent être dans le rétroviseur dans un bref délai en raison de la folie qui a lieu avec les imprimantes de banque centrale.

    - voir graphique sur site -

    C'est pourquoi nous aurons plusieurs articles étendus couvrant certaines des découvertes les plus fascinantes de BofA, mais d'ici là - avec la permission de Jason Fairclough et de l'équipe de BofA - sont quinze faits rapides sur l'or:

    L'or ne s'oxyde jamais, ne rouille jamais et est brillant pour toujours;
    L'or est extrait depuis plus de 5 000 ans;
    Le cercueil de Toutankhamon contenait environ 1,5 tonne d'or;
    Le WGC estime que le total des stocks d'or au-dessus du sol s'élève à 197 576 t, suffisant pour satisfaire la demande mondiale d'or depuis plus de 40 ans;
    L'or est pratiquement indestructible. Pourtant, si chaque once de cet or était placée côte à côte, le cube d'or pur résultant ne mesurerait qu'environ 21 mètres de chaque côté;
    Illustrant à quel point l'or est ductile, une seule once d'or peut être étirée en un fil d'or de 5 miles de long;
    Les premières pièces d'or sont apparues vers 700 avant JC;
    Si tout l'or du monde était tiré dans un fil de 5 microns, il pourrait s'enrouler autour de la terre 11,2 millions de fois;
    Le mot "or" vient du vieil anglais "geolu", qui signifie jaune;
    Dans chaque mille cube d'eau de mer, il y a 25 tonnes d'or, soit environ 10 milliards de tonnes d'or dans les océans;
    Trois films de James Bond ont de l'or dans le titre: GoldenEye, Goldfinger et The Man With The Golden Gun;
    Les derniers Jeux olympiques qui ont décerné des médailles en or massif ont eu lieu pendant l'été 1912 à Stockholm;
    Les médailles d'or olympiques des temps modernes contiennent un minimum de six grammes d'or et avec le reste environ 92,5% d'argent;
    Il y a plus de 400 références à l'or dans la Bible; et
    L'or se raréfie. Le WGC estime les réserves d'or souterraines à 54 000 t, ce qui signifie que le «pic d'or» a été dépassé il y a de nombreuses années.

    https://www.zerohedge.com/markets/fifteen-fast-facts-about-gold

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    Réponses
    1. Ce métal est apparu comme étant une valeur 'fixe' pour le commerce, mais ce troc vint à s'échouer lorsqu'il arriva la pénurie ! D'où l'apparition cette fois de monnaies d'argent. Puis, arriva la première escroquerie avec les billets de banques qui 'représentaient' une valeur-or !!
      Puis, l'or-dinateur lui succéda avec la possibilité infinie et à moindre coûts d'imaginer des valeurs: 10000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000 $
      L'or n'était donc plus une Référence ! Et, sa conservation en soutes ne représente RIEN !
      Rien que de la merde tant son prix la vaut !
      Car, à la pénurie devrait répondre un prix élevé, mais, comme son prix est fixé par un bureau 'à la tête du client' et non calqué sur les transactions réelles, sa rareté n'a aucun sens.
      Son prix bas est maintenu pour empêcher les pays qui en ont de s'acquitter facilement de la 'dette' qu'ils auraient contracté par ordinateur ! vous savez... la ligne du dessus avec xxxxxx zéros ! Non-remboursable par ordinateur ! Hahahaha !

      C'est pourquoi l'or n'a AUCUNE valeur, car, chaque fois qu'un enfant naît il lui faut de l'argent. De l'argent parce qu'il va travailler en grandissant et, comme les billets ou lignes de zéros sur ordinateur peuvent se multiplier à l'infini, et que le métal-or lui ne l'est pas !... (cube de 21 m d'arête), l'extensibilité métallique n'existe pas ! SA représentativité C'EST DE LA MERDE ! C'est bien pourquoi L'OR NE VAUT RIEN !

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  18. Climat et virus : la pseudoscience institutionnelle

    Certains scientifiques finissent par développer une pseudoscience, qui a la terminologie et l’apparence d’une démarche rigoureuse, mais qui s’éloigne de plus en plus du monde réel.


    Par Michel Negynas.
    27 JUIN 2020


    Certains activistes de la décroissance n’ont pas manqué de saisir l’opportunité de la pandémie pour défendre leurs agendas. C’est l’antienne à la mode du « monde d’après », du « plus rien ne sera comme avant », de « la pandémie nous a montré ce qu’il faut faire ».

    Ce sont aussi des études qui commencent à poindre : comment le réchauffement climatique sera la cause de pandémies qui seront de plus en plus nombreuses. Il faut bien faire feu de tout bois.

    SCIENCE ET POLITIQUE, SCIENCE ET FINANCE

    Mais en réalité, il y a une vraie convergence qui saute aux yeux dans ces deux histoires : ce sont les relations entre sciences et politique, et sciences et finance (ce qui revient souvent à la même chose, tant les institutions politiques sont ficelées par les entités financières).

    Ces relations sont au cœur de presque tous les sujets fondamentaux auxquels nos sociétés sont confrontées. Un homme avait perçu cette importance bien avant tout le monde : Dwight Eisenhower. Il faisait ici allusion au complexe militaro-industriel, mais on peut l’étendre de nos jours à l’ensemble des institutions, y compris financières.

    « Aujourd’hui, l’inventeur solitaire, bricolant au fond de sa boutique, a été dépassé par des troupes de choc formées de scientifiques dans les laboratoires et des centres d’essai. De la même manière, l’université libre, historiquement source d’idées et de découvertes scientifiques nées dans la liberté, a vécu une révolution dans la conduite de la recherche. En bonne partie à cause des coûts énormes impliqués, obtenir un contrat avec le gouvernement devient quasiment un substitut à la curiosité intellectuelle. Pour chaque vieux tableau noir il y a maintenant des centaines d’ordinateurs. La perspective d’une domination des spécialistes de notre nation par les emplois fédéraux, les budgets attribués aux projets et le pouvoir de l’argent, [cette perspective] est bien présente et doit être considérée avec gravité.

    Cependant, tout en apportant à la recherche et au scientifique le respect que nous leur devons, nous devons également être attentifs à un danger à la fois aussi grave et opposé, à savoir que l’ordre public puisse devenir captif d’une élite scientifique et technologique. C’est la tâche de l’homme d’État que de mouler, équilibrer, intégrer toutes ces forces, anciennes et nouvelles, aux principes de notre système démocratique – en visant toujours à atteindre les buts suprêmes de notre société libre. »

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  19. UNE SCIENCE COUPÉE EN DEUX : SCIENCE ET PSEUDOSCIENCE

    Il y a d’abord la fracture entre les scientifiques de terrain, ceux qui appliquent à la fois l’intuition, le pragmatisme et la méthode héritée du siècle des Lumières (observations, hypothèses et vérification), et les « nouveaux » scientifiques, ceux qui, dans leurs bureaux, triturent des données existantes et modélisent à tour de bras.

    Les premiers sont en général discrets et passent mal la rampe car ce qu’ils ont à dire est complexe, donc peu sexy à la télé ou sur youtube. Ils sont également modestes, et sujet au doute, en bons scientifiques.

    Les autres ont le temps de passer sur les plateaux, d’investir les administrations et les ministères pour vendre leur daube et récolter des crédits. Ils finissent par représenter un consensus, ou du moins le faire croire. Ils sont sûrs de leur fait, et expliquent au public en quoi leur problème peut se résumer à un langage clair et compréhensible par tous.

    Ils finissent par développer une pseudoscience, c’est-à-dire une science qui a la terminologie et l’apparence d’une démarche rigoureuse, mais qui s’éloigne de plus en plus du monde réel.

    Ainsi, les épisodes récents de la pandémie rappellent souvent, aux observateurs de la question climatique, des évènements marquants de la saga du réchauffement.

    LE CHOIX DES INDICATEURS

    Comme l’a rappelé le Dr John Ioannidis sur ses vidéos, pour agir il faut des données représentatives et utiles. John Ioannidis est un des scientifiques qui a le plus alerté sur les dérives de la science et des publications scientifiques.

    Dans le cas du climat, l’indicateur « grand public » qui a été choisi est la moyenne mondiale des écarts de température par rapport à une période de référence. Il n’a aucune signification physique (car des températures ne se moyennent pas, cela devrait être un indicateur de chaleur qu’on moyenne) et aucune utilité pratique : c’est à l’échelon local qu’il faut s’adapter.

    Dans le cas du virus, on suit les infections avérées par tests, qui dépendent en fait du nombre de tests, ou les hospitalisations, qui dépendent surtout des stratégies hospitalières locales, ou le nombre de décès, qui dépendent de l’efficacité administrative locale et des règles d’imputation, puisque dans la plupart des cas il y a des comorbidités.

    Ces hétérogénéités rendent ces indicateurs non pertinents et inaptes à l’aide à la prise de décision et à la comparaison de l’efficacité des stratégies possibles. Le seul indicateur vraiment parlant est le taux de séropositivité d’une population donnée, et son évolution.

    On pouvait le mesurer très tôt, à l’aide d’échantillons représentatifs de population. On ne l’a pas fait, ou trop tardivement. C’était trop simple, mieux valait « modéliser »…

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  20. LES MODÉLISATIONS GUIDENT LES DÉCIDEURS

    La modélisation en sciences est, au départ, un outil de recherche qui sert à tester des hypothèses et ainsi à éviter de coûteuses expérimentations dans le monde réel. Elle est devenue une sorte de boule de cristal prédisant l’avenir. Or, le résultat d’un modèle est toujours valable « toutes choses égales par ailleurs ». Mais rien n’est jamais égal par ailleurs dans le monde réel !

    Les modèles climatiques prédisent un monde toujours plus chaud, alors qu’en réalité, le réchauffement est modéré. Les prédictions d’il y a 20 ans se sont toutes révélées exagérées. Mais cela ne semble gêner personne dans les institutions.

    De même, les modèles épidémiologiques, comme ceux de l’Imperial College de Londres, ont toujours été tout faux, de la vache folle aux coronavirus. Mais on continue à les utiliser… surtout, d’ailleurs, pour expliquer, après coup, pourquoi on a eu tout faux !

    Indépendamment de l’impossibilité de mettre en équation la complexité du monde réel, tout cela n’est pas étonnant, puisque les données de base qu’on entre dans les modèles sont soit fausses, soit trop imprécises, soit inexistantes et qu’on ne connaît pas tout des phénomènes en cause.

    UNE UTILISATION IMPROPRE DES LOIS STATISTIQUES ET DE LA THÉORIE DES PROBABILITÉS

    La science moderne a fait de la théorie des probabilités un outil essentiel. Malheureusement, celui-ci est d’un maniement complexe, et même souvent contre- intuitif. Beaucoup d’études ne suivent pas les règles élémentaires nécessaires à son application. C’est ce qu’explique, entre autres, John Ioannidis dans son papier cité plus haut.

    Nous sommes en effet abreuvés d’études de corrélations qui présentent leurs résultats comme avérés. Or une corrélation n’est au mieux qu’une première étape pour aller fouiller dans une éventuelle relation de cause à effet. Si on ne dispose pas d’un mécanisme pour expliquer cette relation, la corrélation citée a une valeur scientifique égale à zéro.

    La plupart des études sur le climat sont basées sur la mise en évidence de corrélations, la première étant celle de la température et du gaz carbonique. Mais à y regarder de plus près, c’est loin d’être évident : il y a des « pauses » inexpliquées dans le réchauffement, pas dans la croissance des émissions de gaz carbonique.

    Et la recherche d’un médicament pour le coronavirus n’est en fait que la recherche d’une corrélation entre un indicateur médical et une dose de médicament. Les caractéristiques de la maladie du Covid-19 rendent particulièrement difficiles les preuves de succès si on veut rester statistiquement honnête. La charge virale diminue très vite, la létalité est très faible (bien entendu objectivement parlant, car elle cause de nombreuses souffrances qu’on ne saurait nier) et très hétérogène selon la population.

    Plus généralement, la médecine et l’environnement sont des secteurs particulièrement touchés par cette « corrélation mania », souvent via des études utilisant les probabilités en dépit du bon sens.

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  21. DES ORGANES DE PUBLICATION DE PLUS EN PLUS LAXISTES

    La science est de plus en plus morcelée en spécialités de plus en plus pointues. Ce qui pollue bien évidemment le système de « relecture par les pairs ». Comment voulez- vous que des personnes en tout petit comité, qui se connaissent toutes, se sabrent mutuellement leurs articles ? Que ce soit sur le climat ou sur le virus, on assiste à un véritable festival d’études foireuses, même pour des non spécialistes.

    Et pour des raisons souvent financières (nous y reviendrons) les labos doivent impérativement publier le plus possible. La qualité s’en ressent.

    LA SCIENCE EST ENTRÉE DANS LE CHAMP RÉGLEMENTAIRE ET POLITIQUE

    Une des causes en est le principe de précaution. Devant l’inconnu, les politiques ressentent le besoin de se sécuriser vis-à-vis du principe : ils se tournent donc vers la science. La science est ainsi institutionnalisée.

    En France, c’est la naissance des « Hauts conseils » (Climat, Santé…) et des « Conseils scientifiques » de toute nature. Mais la politique, comme la justice, ignore le doute, l’incertitude, les probabilités et les écarts types… Les « Conseils » sont poussés dans leurs retranchements, et eux aussi finissent par affirmer péremptoirement ce qu’en bons scientifiques ils devraient nuancer.

    Et pour leur propre sécurité juridique, eux aussi, ils choisissent de prédire le pire. D’ailleurs, c’est le plus sûr moyen d’obtenir des crédits pour leurs labos.

    On assiste ainsi à la création d’une « élite scientifique institutionnelle », qui vit de moins en moins dans la science, et de plus en plus dans la communication et l’action politique.

    Pour le climat, les archétypes sont les Jouzel, Masson-Delmotte. Pour la santé le professeur Delfraissy, quelles que soient ses qualités, est depuis quinze ans davantage un gestionnaire et un coordonnateur qu’un médecin et c’est le cas de beaucoup de membres des hauts conseils en tout genre. Ces liaisons toxiques ont été relevées justement par le professeur Raoult lors de son audition au Sénat.

    Cette élite, nommée par les institutions, ne peut évidemment pas aller contre les objectifs de celles ci, par nature politiques.

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  22. UN EMBALLEMENT PROVOQUÉ PAR UN NOUVEL ENVIRONNEMENT MÉDIATIQUE

    Les réseaux sociaux, les chaînes en continu n’ont pas le recul nécessaire à un tri de l’information. Ils transforment l’information en événements émotionnels qui se succèdent les uns aux autres.

    Les media traditionnels, se sentant menacés, sont obligés de suivre. Avides de sensations fortes, ils radicalisent les débats. La violence envers les « dissidents » (ceux qui montent au créneau pour essayer de mettre un peu de rationnel) est inouïe : contre Claude Allègre, contre Didier Raoult.

    Le summum de convergence est atteint lorsque l’argument d’attaque contre Didier Raoult est son climato-scepticisme…

    Cette radicalisation des débats a des effets pervers : la « dissidence » est souvent reprise par des médias recherchant le sensationnel, et voulant se démarquer de la presse « institutionnelle ».

    De ce fait, elle est vue par le « consensus », politiquement correct, comme complotiste, démagogique, populiste… ce qui la décrédibilise encore plus auprès du plus grand nombre en dépit parfois de la pertinence des analyses.

    Être de gauche et pro Raoult ou climatosceptique semble être incompatible. A contrario, si on est climatosceptique, on est trumpisé, raoultisé, ou frontnationalisé automatiquement.

    LE SCANDALE N’A PLUS D’EFFETS

    Chacune des deux histoires se distingue par un ou des scandales scientifiques, avec la particularité suivante : cela ne change rien aux thèses officielles.

    Pour le climat, c’est la courbe en « crosse de hockey » de Michael Mann. Ce scientifique a présenté une évolution terrifiante des températures sur 1000 ans : la stabilité jusqu’en 1960, un pic vertigineux après. C’est ce qui a vraiment déclenché la peur du changement climatique, en particulier chez les politiques.

    Le fait que cette courbe ait été complètement invalidée par la suite n’a rien changé sur le battage médiatique et le consensus des élites institutionnelles sur le sujet.

    Pour le coronavirus, l’étude du Lancet est sur la même trajectoire : refus de communiquer les données, mystère sur leur provenance, traitement statistique opaque… Elle a été très vite invalidée, comme la courbe de Mann. Est-ce que cela change quelque chose aux positions des uns et des autres ? Lorsque c’est diffusé ad nauseam par les médias, même ensuite complètement discrédité, il en reste toujours quelque chose.

    On notera d’ailleurs que autant parmi les climatosceptiques que chez les anti-pharmas, les quelques leaders médiatiques qui émergent ne sont pas forcément ceux qui utilisent les bons arguments. Ils ont tendance à se placer au même niveau que leurs contradicteurs.

    Contre toute évidence, beaucoup de climatosceptiques médiatisés racontent encore que nos émissions de CO2 ne sont pas responsables de l’accroissement de la concentration dans l’atmosphère, car c’est un message simple, mais faux. Claude Allègre, de son coté, avait bâclé son livre sur le climat, il est passé pour un ignare, bien que bardé des plus hautes distinctions scientifiques mondiales.

    Didier Raoult fait du mal à sa cause avec sa mégalomanie, et il a raconté de grosses bêtises au milieu d’un discours souvent convaincant. Cela rend les attaques contre les « dissidents » plus faciles pour les institutionnels.

    Notons également au passage, que dans les deux cas, le consensus n’est que chez les élites institutionnelles. Les vrais sondages indiquent que les citoyens sont très partagés sur la question climatique, aussi bien que sur l’appréciation du protocole Raoult.

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  23. LE CARRÉ MAGIQUE

    Sur tous ces sujets où la science est le point de départ, la dérive provient d’une conjonction d’intérêt entre certains scientifiques, des groupes de pression relayés par les media, les institutions politiques et des intérêts économiques.

    Ce carré magique est particulièrement apparent par exemple sur les énergies renouvelables. Cela explique qu’en France, contre toute logique, on veut décarboner une électricité qui l’est déjà. Il n’est pas moins flagrant sur la question des produits pharmaceutiques.

    Et en sciences, la dérive est aggravée par les enjeux financiers attachés aux grands labos et grandes universités, qui doivent constamment trouver des nouveaux fonds, publics et privés. Le publish or perish renvoie de fait aux grandes revues scientifiques, qui deviennent elles aussi des entités où la finance domine les comportements. La boucle est ainsi bouclée.

    Le carré devient magique lorsque, à la suite de manipulations de l’opinion et d’entrisme dans les médias et le monde politique, (Al Gore pour le climat, Sapan Desai pour le coronavirus…) le milieu des affaires voit dans l’histoire une source de profit.

    Cette alliance de fait (parfois contre nature, si l’on peut dire) devient si solide qu’aucun événement, ni aucun contre argument même convaincant, ne peut l’atteindre. Il y a inter instrumentalisation des acteurs.

    La similitude des deux affaires est évidente, et illustre l’énorme problème de société qui nous attend. Dans chacune des deux histoires, on peut trouver des pendants : modèles climatiques versus modèles épidémiologiques, Allègre (ou Lindzen à l’international) versus Raoult, GIEC versus OMS, Hauts Conseils divers, consensus des élites mais foules partagées sur le sujet, géophysiciens de terrain versus médecins, électriciens verts versus firmes pharmaceutiques…

    Raoult dit que dans son domaine il voit l’émergence d’un monde virtuel en parallèle du monde réel. Sur les problématiques environnementales et sanitaires, c’est général : on observe la construction d’un monde éco-fantasmé.

    https://www.contrepoints.org/2020/06/27/374620-climat-et-virus-science-pseudoscience-institutionnelle

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    1. Dès lors qu'en 1997 à Kyoto un escroc de merde a lancé le 'Global Warming', tous les scientifiques du monde se sont rebellés et ont signé une pétition:


      Le processus de vérification a été clarifié comme ceci:

      Afin de limiter la fraude, les pétitionnaires ne pouvaient pas soumettre leurs réponses par courrier électronique mais uniquement par lettre physique. Les signatures plus anciennes soumises via internet n'ont pas été supprimées. La vérification des scientifiques était indiquée être de 95% mais les moyens utilisés pour cette vérification n'étaient pas précisés.
      Les signataires de la pétition ont été invités à mentionner un diplôme universitaire11. Les auteurs de la pétition ont déclaré qu'environ deux tiers étaient titulaires d'un diplôme du supérieur. En 2013, le site de la pétition indiquait: "La liste actuelle de 31 487 signataires de la pétition comprend 9 029 doctorants; 7 157 masters; 2 586 docteurs en médecine; et 12 715 bacheliers universitaires en sciences ou ayant des diplômes universitaires équivalents. La plupart des docteurs en médecine ont également des diplômes sous-jacents en sciences fondamentales.
      Les pétitionnaires ont également été invités à indiquer leur discipline académique. En 2007, environ 2 400 personnes, en plus des 17 100 signataires d'origine, avaient été « formées dans des domaines autres que la science ou dont le domaine de spécialisation n'était pas précisé dans la pétition ». Les auteurs de la pétition indiquent le nombre d'individus en fonction des disciplines représentées :
      Ingénieurs et sciences générales: 10 102
      Sciences physiques et aérospatiales: 5 812
      Sciences de l'atmosphère, de l'environnement et de la terre: 3 805 (climatologie: 39)
      Biochimie, biologie et agriculture: 2 965
      Chimie: 4 822
      Médecine: 3 046
      Sciences informatiques et mathématiques: 935

      a été le 'commencement' du rejet par les merdias et les politichiens de toutes sciences ! Et, comme il faut bien parler science dans les merdias, ils ont inventé de FAUX scientifiques (appelés 'climatologues' ! Hahahaha ! pourquoi pas pluitologues ou nuageologues ?) et, ont pu tromper le public sur les plateaux de télés, station de radios et colonnes de journaux;
      Mais arriva Internet et son expansion aux '4 coins du monde' où pouvaient enfin s'exprimer les scientifiques du monde entier !

      Comparez les merdias où tous les jours ils disent que "La mer va monter" ! HAHAHAHA ! et les scientifiques sur Internet qui répondent: "Depuis des millions d'années il y a des milliards de km3 d'eaux (venue des pluies, des fleuves et des rivières) qui sont allés sur les mers et les océans (et continuent à le faire tous les jours !) SANS QUE LE NIVEAU NE MONTE !!!! Çà alors !

      Pourquoi les gros cons de ministres refusent-ils de dire la vérité ?
      Devinez !

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  24. Alimentation : prêts à payer plus cher vos repas ?

    Relocaliser une part importante de la production alimentaire, est-ce vraiment réaliste et souhaitable ?


    27 JUIN 2020
    Par Quentin Molinié.


    Les fruits et les légumes ont connu des hausses de prix fulgurantes lors du confinement, sur fond de fermeture des frontières. Aujourd’hui il est question de relocaliser une part importante de la production alimentaire, ce que désireraient les Français selon plusieurs sondages. Mais est-ce vraiment réaliste et souhaitable ?

    ALIMENTATION : LES PRIX DES FRUITS ET LÉGUMES S’ENVOLENT

    Pas besoin d’être analyste économique pour s’en étonner : les prix des produits de première nécessité ont augmenté dès le début du confinement.

    Dès les premiers jours, dans la foulée de la ruée vers les denrées périssables, les pâtes ont vu leur prix grimper de 5 % le premier mois, selon une enquête UFC-Que choisir. La farine, disparue des rayons, s’est envolée de 14 %. Si de manière générale les produits d’épicerie ont moins subi les effets du confinement, les fruits et légumes ont en revanche été touchés de plein fouet.

    La hausse des prix n’est « que » de 6 % pour les produits conventionnels, elle atteint 12 % pour les fruits et légumes bio. Les bananes bio ont ainsi grimpé de 1,98 euro à 2,22 euros le kilo (+ 12 %), et les tomates grappes bio ont explosé de 4,25 euros à 5,32 euros le kilo (+ 25 %).

    Les raisons de cette augmentation sont logiques. Les frontières fermées ont coupé les principales lignes d’approvisionnements en fruits et légumes (Espagne, Maroc, Italie, Pologne…). Les coûts de production ont largement augmenté, avec notamment la main-d’œuvre, à défaut de travailleurs saisonniers, et le prix des emballages pour sécuriser les produits.

    En parallèle, faute de restaurants ouverts, la demande n’a cessé d’augmenter. Enfin, les produits les plus abordables ayant été rapidement dévalisés, un effet de montée en gamme s’est vite développé, contraignant les Français à acheter des produits de plus en plus chers, issus d’une production française plus coûteuse.

    PAYER LE PRIX POUR TOUT RELOCALISER APRÈS LA CRISE ?

    Les Français veulent consommer de plus en plus local, c’est un fait. Mais sont-ils prêts à en payer le prix ? La tendance de ces cinquante dernières années ne semble a priori guère plaider en ce sens.

    Selon l’Insee, la part du budget alimentaire dans la consommation des ménages n’a cessé de baisser depuis les années 1960, passant de 35 % à 20 % au début des années 2010. Une légère tendance à la hausse semble toutefois s’opérer ces dernières années, en particulier en faveur des produits bio et d’origine locale. Le confinement a brutalement amplifié ce constat – en bonne partie par défaut, faute d’importations concurrentielles pour les produits français.

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  25. Selon un sondage réalisé pour Les Échos, neuf Français sur dix souhaiteraient voir les relocalisations apparaître parmi les priorités de l’après-pandémie, et 35 % souhaitent manger plus local selon un sondage IFOP sur l’alimentation des Français. Pour l’alimentation et en particulier les fruits et les légumes, cette ambition ne poserait en théorie guère de problèmes.

    À condition d’y mettre le prix. « Le concombre français est deux à trois fois plus cher que le concombre hollandais », déclarait le ministre de l’Économie Bruno Le Maire. « Idem pour la tomate. C’est le prix de la qualité française. » Pour d’autres secteurs en revanche, tel le textile, l’affaire sera ardue, sinon impossible : les compétences sont depuis longtemps exilées en Asie.

    UNE QUESTION PLUS RICHE ET PLUS COMPLEXE QUE LE MADE IN FRANCE

    Avec le retour progressif à la normale, les Français voudront-ils continuer à faire abstraction de la concurrence étrangère ?

    Selon un sondage BVA datant de 2018, les trois-quarts des Français envisageaient de payer plus cher des produits alimentaires uniquement d’origine française. Les deux-tiers des agriculteurs et des distributeurs étaient de même prêts à suivre cette logique. L’argument d’un « produit français » semblait déjà décisif dans le choix des Français. 82 % des consommateurs et 90 % des distributeurs percevaient une tendance de fond susceptible de fortement s’amplifier au fil des années.

    Comme les sondages ne font part que d’une intention, seul l’avenir proche nous dira si les Français peuvent se permettre d’augmenter dans ces proportions leur budget consacré à l’alimentation. Il ne faut pas oublier que le poids de ce budget a baissé depuis 50 ans au profit d’autres dépenses : les vacances par exemple, ou le divertissement en général.

    Les questions des sondeurs devraient donc ressembler plutôt à « Souhaitez-vous consacrer plus d’argent à votre alimentation, et moins partir en vacances ? ». Quelque chose me dit que les instituts n’auraient pas obtenu les mêmes résultats. Payer ses fruits et légumes deux ou trois fois plus cher est indolore pour un cadre, mais est déterminant pour le confort de vie d’un ouvrier – et ce dernier décidera mécaniquement d’en consommer moins, en agrandissant d’autant plus l’écart d’espérance de vie entre CSP+ et CSP-.

    Comme dans de nombreux domaines, l’alimentation du futur doit être européenne, et la vision plus large. Ici il est surtout question des moyens de transport utilisés, du cahier des charges des différents labels de qualité tels que le bio et des innovations dans le domaine de la distribution qui permettent de limiter le nombre d’intermédiaires (voir la Ruche Qui Dit Oui par exemple, et les magasins bio en ligne nouvelle génération qui vendent à prix coûtant).

    Ainsi si la question de la qualité de notre alimentation est bien évidemment centrale, il s’agit de ne pas tout mélanger en ayant un raisonnement binaire « Français et bon » / « importé et mauvais ». Manger des avocats non-bio du Mexique n’a pas la même empreinte carbone que manger des tomates bio de saison importées par train d’Espagne, notre proche voisin. Et ces tomates seront moins énergivores que des tomates cultivées sous serre en hiver à Paris, et acheminées par camion à Marseille…

    Enfin n’oublions pas que l’Union européenne s’est d’abord construite sur les échanges de denrées alimentaires ; la PAC est d’ailleurs l’un de ses plus gros budgets. La collaboration en matière d’alimentation est centrale pour solidariser des cultures et renforcer les liens, et doit continuer de participer à la construction européenne. C’est tout le sens de la standardisation des critères de qualité et des labels dans le secteur de l’alimentation, et c’est à ce niveau-là qu’il semble préférable d’agir.

    https://www.contrepoints.org/2020/06/27/374543-alimentation-prets-a-payer-plus-cher-vos-repas

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    1. Le bio est le contraire de la santé. Çà, nous l'avons tous compris depuis des siècles où TOUT était bio (ni traitement contre les maladies, ni engrais chimique) et tout le monde crevait à 40 ans ! (quand ce n'était pas avant !).

      'Aujourd'hui' l'on sait guérir une plante malade en lui administrant des produits de traitements;
      en mangeriez-vous de la viande de vaches folles ? Non ? C'est pourtant 100 pour cent bio !

      Après les interdictions par la dictature de soigner les plantes et les animaux, attendez vous à manger du lapin qui a la myxomatose, du poulet grippe aviaire, des tomates ou raisin avec du mildiou et mille et une maladies environnantes et non traitées !

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  26. Mise à jour concernant le relâchement de hordes de moustiques génétiquement modifiés en Floride [et au Texas]


    jeudi 25 juin 2020


    L'approbation unanime a été donnée à la société Oxitec de déployer, à partir de cet été, plus de 👉1,2 milliard de moustiques génétiquement modifiés à Key Haven, dans le comté de Monroe, en Floride, sur une période de deux ans.

    https://www.centerforfoodsafety.org/files/2020-06-12-esa-60-day-noi-letter-final_08955.pdf

    Le feu vert arrive suite à une décision favorable de la Environmental Protection Agency américaine.

    https://globalnews.ca/news/7080776/genetically-modified-mosquitoes-florida/

    Un forum public tenu sur cette question a rendu un verdict incontestable de 31.174 commentaires opposés à la libération de ces moustiques frankensteins contre seulement 56.

    https://theconversation.com/genetically-modified-mosquitoes-could-be-released-in-florida-and-texas-beginning-this-summer-silver-bullet-or-jumping-the-gun-139710

    En 2018, la Fondation Gates a octroyé à Oxitec une subvention de 4,1 millions de dollars (portée ensuite à 5,8 millions de dollars) pour fabriquer des moustiques transgéniques dans le but de «réduire considérablement» la population de moustiques sauvages responsables du paludisme.

    https://www.gatesfoundation.org/How-We-Work/Quick-Links/Grants-Database/Grants/2018/06/OPP1181812

    👉La DARPA a également investi dans l'utilisation d'insectes génétiquement modifiés pour la «défense» des cultures grâce à son programme controversé «Insect Allies». La Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) est une agence du département de la Défense des États-Unis chargée de la recherche et développement des nouvelles technologies destinées à un usage militaire.

    👉Ce programme, annoncé en 2016, utilise des techniques controversées d'édition de gènes comme CRISPR pour modifier génétiquement les insectes afin qu'ils soient porteurs d'un virus contagieux qui infecte ensuite les plantes (ou tout organisme dont elles se nourrissent). L'insertion du virus dans l'organisme cible, par exemple une culture particulière, 👉 impose alors des changements génétiques à cet organisme, un processus appelé «altération génétique horizontale».

    https://gizmodo.com/scathing-report-accuses-the-pentagon-of-developing-an-a-1829525862

    Bien que la DARPA ait longtemps prétendu que le programme était simplement de nature «défensive», des scientifiques indépendants ont allégué dans la prestigieuse revue Science que le programme était en fait un programme d'armes biologiques. 👉Il convient également de mentionner que le programme DARPA Insect Allies a été annoncé la même année qu'Oxitec a demandé pour la première fois que ses moustiques génétiquement modifiés soient libérés en Floride.

    https://www.newsweek.com/darpa-biological-weapons-insects-scientists-warn-1152834

    👉Ce qui est alarmant est le fait que bon nombre des principaux bailleurs de fonds et promoteurs des technologies génétiques des insectes, dont la DARPA et Bill Gates, sont également les plus ardents défenseurs des candidats vaccins à ARN et à ADN pour le coronavirus. 👉Ils sont aussi impliqués dans les contre-mesures antivirales utilisant le séquençage génétique et la technologie CRISPR pourraient aider à freiner le nouveau coronavirus et d'autres épidémies futures.

    https://www.nextgov.com/emerging-tech/2020/05/national-lab-scientists-work-reprogram-genes-fight-covid-19/165240/

    Inquiétant de penser que le propriétaire d'Oxitec, Precigen (Intrexon), se spécialise dans les technologies d'édition de gènes destinées aux humains...

    http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2020/06/mise-jour-concernant-le-relachement-de.html

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  27. Mise au point: nous sommes en deuil...


    jeudi 25 juin 2020


    Je suis évidemment consciente que les articles que je publie dépeignent un portrait plutôt sombre de l'avenir. Ça fait plus de 20 ans que j'administre un blog qui annonce précisément ce à quoi on assiste présentement: la mise en place d'une gouvernance mondiale et d'une société de surveillance globale. Mais je vous assure que ce n'est pas moins déstabilisant de voir la rapidité avec laquelle tout cela s'installe!

    Je prépare une émission au cours des prochains jours afin de présenter mes constats et pour offrir une perspective lucide de ce qui se prépare à l'horizon. Nous avons traversé, en trois mois, un changement de paradigme d'existence et nos habituelles quiétudes risquent d'être sérieusement ébranlées prochainement.

    Nous sommes, pour la plupart, dans un état de choc: une peur très intense s'est installée à l'annonce de la pandémie, les ordres de confinement ont exacerbé nos craintes, les incessantes incohérences dans la gestion de la crise ont créé la confusion, laquelle s'est transformée en déception et ensuite en colère. Cette même cadence émotive s'opère quand on constate à quel point cette crise sert divers chantiers: mise en place de l'identité numérique, de la 5G, d'applications de traçage, d'un programme de vaccination à l'échelle mondiale, etc.

    Je crois que l'indignation et une "crainte prudente" sont les sentiments qui dominent chez de très nombreuses personnes. Nous avons l'impression d'avoir été trompés, manipulés, mais en même temps nous restons humbles et prudents face au virus puisqu'il pourrait se réactiver de façon plus sévère, nous obligeant à un reconfinement. J'estime que cette impression est tout à fait justifiée et légitime.

    Je comprends aussi la réation des personnes qui affirment que la pandémie n'existe pas et que le virus est disparu, que tout cela est derrière nous, mais je ne cautionne pas cette position parce qu'elle est à mon sens une forme de déni de la réalité.

    Est-ce normal de ressentir l'angoisse, un vertige existentiel dans lequel on a l'impression de perdre un certain contrôle ?

    Absolument.

    Quoique très désagréable, je crois que cette reconnaissance du "choc" est la première étape d'un processus d'acceptation. Cette crise pandémique agit comme un choc post-traumatique dans nos vies: tout a basculé en quelques jours, quelques semaines, et notre regard sur l'existence a forcément changé. Nous sommes en processus de deuil et je crois qu'il nous faut accepter de passer par certaines émotions vertigineuses pour, à un moment donné, passer à une étape d'acceptation et de mise en action. Je considère cette mise en action comme l'expression de la résilience face à ce que l'on traverse: je constate, je me garde informée et j'agis de façon préventive et intelligente.

    Je tenais à vous faire cette mise au point en prenant mon deuxième café ! Je vous tiens informés de ma prochaine émission sur le web.

    Bonne journée !
    Isabelle

    http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2020/06/mise-au-point-nous-sommes-en-deuil.html

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