- ENTREE de SECOURS -



lundi 22 juin 2020

QUEL AVENIR POUR LA TRANSITION ÉNERGÉTIQUE AUJOURD'HUI ?

 par JACQUES MARTINEAU
 17/06/2020


46% de l'énergie consommée en France est issue du pétrole.

En ce qui concerne les moyens de production d’énergie, générateurs de gaz carbonique, ils font partie des nuisances réelles et potentielles en rapport avec le réchauffement climatique, la protection de la biodiversité et la lutte contre la pollution sous toutes ses formes maritime, terrestre ou atmosphérique et des déchets de toute nature. Comme « suiveurs », les dirigeants ont tous mis une dose de « vert » dans leurs discours électoraux, entrainant d’importants bouleversements industriels en matière de production d’énergie.

De la transition énergétique aux « énergies renouvelables »

Désormais on ne parle plus d’énergie, mais de transition énergétique avec des « énergies renouvelables ». Qu’il s’agisse de la « voiture électrique », de l’« éolien » et du « solaire », ce seront déjà des dizaines de milliards d’euros qui risquent d’être gaspillés ne serait-ce qu’en France pour des résultats médiocres et sans issue.

La voiture électrique n’est qu’une parenthèse temporelle

La « prime de reconversion » et le « bonus écologique » pour l’achat d’un véhicule électrique ne suffiront pas à mobiliser les particuliers pour franchir le pas. Pour 1,5% du parc automobile français, le coût du « tout » électrique nécessite à terme la mise en place de centaines de milliers de bornes d’alimentation. Pour l’État, donc pour le contribuable, ce montant dépassera largement la dizaine de milliards d’euros pour assurer moins de 10% du parc, essentiellement en urbain. De son côté, l’Allemagne joue placée. Pour le « roulez électrique », elle est en pleine reconversion mais vers l’« hybride » pour poursuivre sa politique vitale d’exportation (60% dans l’Union, 40% dans le monde). Quant à l’hydrogène, personne n’en parle concrètement, hormis les Allemands et les Suédois…

L’« éolien » est un leurre


Cette autre option d’« énergie renouvelable », est déjà développée et mise en service dans l’UE, pour tenter à la fois de satisfaire la demande en énergie et répondre au souci de réduire les émissions de carbone. Pourquoi, après des années d’expérimentation, ce processus est-il déjà fortement contesté ? C’est un échec confirmé pour l’Allemagne. La France, très en retard, voudrait mettre les « bouchées double » et envisage de développer son implantation avec une préférence pour les parcs en « mer ».

Pour le solaire, rien n’est évident

Parler du « solaire » dans l’Union européenne n’est pas facile, compte tenu de l’engagement de certains pays. C’est une autre option qui a été envisagée.  Notre absence dans ce domaine est notoire. Des coûts inutiles, avec 2% de l’énergie fournie par le « solaire », la France se situe aujourd’hui au 18ème rang européen !

Chercher à imaginer que leur développement est une solution pour relancer l’industrie en France est une erreur fondamentale. Notre pays le regrettera très vite et aura du mal à s’en remettre.

Les besoins énergétiques dans l’Union

Pour satisfaire la demande, l'Union européenne importe 54 % de son énergie : environ 40 % de son charbon, 60 % de son gaz et 80 % de son pétrole, sachant qu’elle ne dispose que de faibles ressources en hydrocarbures et ne produit que peu d'énergie. Sa dépendance est forte, principalement vis-à-vis de la Russie et du moyen-orient. Se situent en dehors de l’ensemble le Royaume-Uni (pétrole et gaz) et la France (nucléaire).

La France a l’avantage d’être en retrait par rapport à ses principaux concurrents européens. Le pétrole représente 46% de l’énergie totale consommée dans le pays contre 20% pour le gaz naturel, 19% pour le nucléaire, 12% pour l’hydraulique et enfin 3% pour le charbon.

Il n’est pas inutile de rappeler que l’énergie fournie par le nucléaire représente 78% de la consommation électrique du pays. La filière nucléaire, avec la France en tête, concerne 14 pays dans l’UE.  Le recul dans ce secteur, souvent résultant de décisions politiques, est de mauvais augure. Une véritable relance de cette filière est indispensable surtout en France.

L’attitude de l’Allemagne sur le plan énergétique n’est pas rassurante alors que ses besoins sont considérables. Nul n’est dupe de sa situation. Ses résultats éoliens et la prochaine fermeture de ses dernières centrales nucléaires en 2022 sont là pour satisfaire ses engagements politiques. En relançant l’option carbone avec l’ouverture prochaine de nouvelles centrales, elle confirme, son échec !

Des voies sans issue à contester sans équivoque

Les scientifiques, les écologistes et les politiques ignorent ou font mine d’ignorer avec cynisme, le désastre environnemental que représente le développement du « tout » électrique pour la planète et l’environnement. Il accentue l’utilisation de métaux rares entrainant des dégâts considérables dans les pays producteurs avec une forte dépendance de la Chine.

Ces approches sont tout à fait contestables. Les coûts des recherches et des investissements seront considérables, chiffrés dans l’UE à plusieurs centaines de milliards d’euros pour des performances discutables. La France avec son retard n’est pas dans la course. C’est peut-être un bien et là sa chance !

35 commentaires:

  1. LE MODÈLE D'UNE ÉCONOMIE AU FORCEPS RESTE MALHEUREUSEMENT DE MISE « DEMAIN » COMME « HIER »


    par CÉDRIC D'AJACCIO
    23/06/2020


    Une baisse de 9% du PIB de la zone euro est attendue en 2020.

    Un consensus vague s’est formé dans le discours politique médiatique et dans l’opinion publique « éclairée » selon lequel il devrait y avoir un avant et un après « crise sanitaire » et « crise économique » entrainée par le blocage économique autoritairement décidé à des fins prophylactiques.

    Il devrait y avoir un avant et un après crise sanitaire puisque celle-ci résulte au fond d’un envahissement humain de l’habitat naturel des espèces animales, qui se vengeraient de cette intrusion en propageant à l’espèce humaine des microbes inconnus d’elle et contre lesquels seules certaines espèces animales étaient immunisées jusque-là. L’écologie, perçue comme vitale à moyen terme pour préserver un climat planétaire supportable et éviter la multiplication des méfaits climatiques (fonte des glaciers, montée des eaux, multiplication des raz de marée et des ouragans dévastateurs, accélération de la disparition des espèces animales et atteinte grave à la biodiversité) serait devenue une urgence sanitaire. De ce fait, la transition écologique deviendrait la priorité des priorités dans l’agenda politique mondial, y compris par rapport à la priorité de croissance d’un modèle productiviste qui reste consensuellement dominant dans les faits, ne serait-ce qu’en raison de la réponse qu’il apporte à une demande sociale importante, dans le quart-monde des pays trop vite dits « riches » et dans un tiers monde diversifié dont le niveau et la qualité de vie restent très insuffisants et expliquent l’augmentation des courants migratoires vers un Nord plus riche, climatiquement mieux doté et démographiquement moins dense. La pause imposée de la production, la vitesse de la dépollution qu’elle a entraînée, ayant rendu immédiatement tangibles les bénéfices de la remise en cause du modèle de croissance à tout crin qui était depuis la fin de la seconde guerre mondiale l’alpha et l’oméga d’une politique économique moderne occidentale mondialisée, ont fait miroiter l’idée d’un après crise sanitaire différent de l’avant – tout en en prévenant l’avènement.

    Ainsi il a pu sembler, durant un instant de raison, ou le temps d’un rêve, que le modèle économique d’une croissance au forceps (stakhanoviste à l’Est et keynésien à l’Ouest) dominant depuis les années 50, arc-bouté sur le refus du retour de la récession des années trente et du cycle économique par la relance de la dépense publique et des politiques monétaires accommodantes, le déficit et l’endettement publics croissants, pourrait connaître une remise en cause radicale, alors même que les stabilisateurs sociaux faisaient exploser les déficits publics et jouaient à court terme le rôle de panacée dans le domaine sanitaire et social, puisqu’en France du moins, la promesse était faite que chacun serait « indemnisé » et « compensé » quoi qu’il en coûte (on ne précisera pas à qui finalement).

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  2. Dès ce moment-là au fond les jeux étaient faits, et le rêve médiatique compromis : demain ressemblerait en fait à hier plus que jamais, car au fur et à mesure que l’horizon sanitaire s’éclaircit, l’ampleur de la crise économique auto-infligée apparaît, replaçant inévitablement la relance de l’économie et les recettes habituelles d’une économie au forceps au rang de priorité « numéro 1 », même matinée au goût du jour, à juste titre, d’une transition écologique accélérée.

    On aurait pu imaginer qu’après un confinement généralisé et indifférencié, la priorité des jours d’après soit simplement de « revivre » ou de « laisser vivre » enfin les citoyens et les entreprises enfermés et entravés durant deux mois, et d’attendre que ce retour à une vie normale produise ses effets macroéconomiques de reprise amplifiés par un effet normal de rattrapage. Que l’on ne s’étonnerait pas outre mesure des chiffres reflétant logiquement l’effet des décisions politiques confinant une très large partie de la population à domicile et leur impact sur la production : telle la baisse attendue du PIB de 9% en 2020 dans la zone euro.

    Mais non, l’agenda volontariste et le refoulé économique ont immédiatement repris le dessus : sans attendre le résultat statistique d’une dépense privée redevenue capable de s’exprimer dans toutes ses dimensions par la réouverture de l’ensemble des commerce et une ingéniosité commerciale aussitôt déployée par les secteurs les plus affectés « par la crise » (dira-t-on par facilité), comme le secteur automobile ou aéronautique, la priorité politique est allée immédiatement à la relance et aux plans de relance sectoriels les uns derrière les autres.

    Demain est plutôt devenue la caricature d’hier. Avec des niveaux de dépense publique et des rythmes de dérapage des déficits publics et de la dette publique qui dépassent désormais toute mesure au point de rendre explicite dans la discussion et l’agenda politique la recherche des formes les plus acceptables de répudiation des dettes, dont l’emprunt des Etats à taux négatif représente un exemple devenue depuis plusieurs années une réalité courante.

    En fait ce retour à la case départ d’une réaction publique tropique à toute baisse de la croissance par relance de la dépense publique « what ever it takes » et quel que soit le palier d’hétérodoxie financière préalablement atteint était inévitable. On ne peut pas changer de modèle politique et économique par un coup de baguette magique, laquelle ne s’agite librement que dans le vide de l’espace médiatique imaginaire du « wishful thinking ».

    Les dommages pourtant prévisibles mais en réalité incalculables infligés aux sociétés civiles par le volontarisme de puissances publiques occidentales panurgiques s’alignant du jour au lendemain sur un modèle chinois autoritaire et brutal ne pouvaient en fait déboucher après coup que sur un renforcement du volontarisme politique et économique compensatoire, même si l’éternelle répétition du même interventionnisme conduit tout droit l’ensemble des pays à une sorte de faillite générale inévitable.

    Changer de modèle politique ne s’improvise pas. Ce changement relève de la même logique de temps long à l’égard des puissances publiques que l’ exigence sociale à l’égard des entreprises exprimée par la prégnance croissante des critères « ESG » dans les choix d’investissement réalisés par les gestionnaires de fonds d’investissement. Malheureusement les citoyens sont moins bien armés, statistiquement moins engagés, et ont moins de choix que les investisseurs, pour faire avancer les solutions vertueuses et patientes où efficience et justice, respect du court et du moyen terme ne sont pas forcément ennemis les uns des autres. Leur engagement reste cependant la seule voie crédible et porteuse d’avenir dans cette entropie générale.

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  3. 1. ESG pour Environnement, Social et Gouvernance. Les investisseurs financiers prennent de plus en plus en compte les bonnes pratiques respectueuses de l’environnement, du personnel et de gouvernance dans l’allocation de leurs investissements avec la pensée intéressée de retrouver à la longue des performances financières supérieures dans ce type de sociétés, mieux gérées dans ces domaines fondamentaux.

    http://www.economiematin.fr/news-modele-economie-forceps-demain-hier

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  4. LES MYSTÈRES DES BANQUES CENTRALES


    par JACQUES BICHOT
    23/06/2020


    La BCE a proposé d'acquérir pour plus de 1.000 milliards d'euros de créances à taux négatifs sur les banques de la zone euro.

    Les Echos du 18 juin ont consacré presque toute une page à la politique de la BCE, la Banque Centrale Européenne, qui agit en quelque sorte pour le compte des banques centrales nationales de la zone euro, dont la Banque de France. Le titre, en énormes caractères, nous apprenait que « La BCE va offrir plus de 1 000 milliards à taux négatifs aux banques ». Le lendemain, la somme est passé à 1300 Md€, mais cette fois il s’agit des demandes des banques « ordinaires », dites « de second rang » pour les différencier des banques centrales. De quoi s’agit-il ?

    La formule « milliards à taux négatifs » est un raccourci qui peut induire en erreur : la BCE ne dispose pas de milliards d’euros qu’elle pourrait prêter ; elle n’est pas comme un loueur de voiture qui, pour vous en prêter une, a besoin de l’avoir en stock. La monnaie n’est pas une chose, mais un nombre sur des registres, qu’une simple écriture fait apparaître en deux exemplaires, l’un sur un registre « créances » et l’autre sur un registre « dettes ». Les billets sont des registres portables ; le porteur est le créancier, et le débiteur est une banque centrale. Si X donne en paiement à Y un billet de 50 €, sa créance sur la BCE diminue de 50 €, et celle de Y augmente d’autant.

    Les crédits font les dépôts

    Insistons : aucune banque, qu’elle soit « centrale » ou « de second rang », ne fonctionne comme les agences de location de véhicules : une banque ne prête pas « quelque chose » qu’elle aurait en sa possession, elle fait apparaître ex nihilo une somme d’argent au crédit du compte de l’emprunteur sur ses livres. A partir de rien mais en faisant attention à la situation et à la réputation de cette personne physique ou morale, comme l’indique le dicton « on ne prête qu’aux riches » - ou à ceux qui ont une chance sérieuse de le devenir, fut-ce un tout petit peu. En contrepartie, l’emprunteur s’engage à « rembourser », c’est-à-dire qu’il autorise la banque à débiter son compte, en une ou plusieurs fois, à des échéances convenues d’avance ou décidées au fur et à mesure, jusqu’à ce que soit atteint le montant dont il a initialement été crédité par de simples écritures.

    Le paradoxe des taux d’intérêt négatifs

    Un prêt est généralement assorti de clauses relatives à des intérêts. Classiquement, c’est l’emprunteur qui paye des intérêts, débités (comme les échéances de remboursement) de son compte créditeur. Mais récemment sont apparus les intérêts négatifs : l’emprunteur est payé pour avoir eu la gentillesse d’emprunter. Ce phénomène existe dans d’autres circonstances : si vous êtes inquiet de laisser votre maison inoccupée pendant que vous partez en vacances, et que des amis ont la gentillesse de venir y habiter à votre place, c’est vous qui leur offrez quelque chose en revenant. De plus, être créancier peut coûter : votre banque peut prélever des « frais de tenue de compte ». La nature et l’importance de ces frais varient selon les circonstances : à l’époque des monnaies métalliques et des billets, il n’était pas incongru de louer un coffre dans une banque, pour les savoir un peu plus en sécurité, et il fallait naturellement payer le coût de cette location.

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  5. La pratique des prêts à taux négatifs, qui prend actuellement de l’ampleur, s’explique par le besoin que des agents ont de reporter du revenu d’aujourd’hui vers le futur. Cela paraît très simple tant que l’on n’y réfléchit pas sérieusement : ne suffit-il pas de conserver des billets ? Mais en réalité, cette conservation de pouvoir d’achat, si elle a un caractère massif, peut rendre acceptable de payer pour que l’on vous rende ce service. Les personnes (physiques ou morales) qui veulent mettre en réserve du pouvoir d’achat cherchent des emprunteurs : s’il y en a pléthore, les taux sont généralement positifs ; mais si la demande est modeste en comparaison de l’offre les « bons » emprunteurs, utilisant une unité monétaire réputée solide (pas ou peu de hausse des prix), sont en position de dicter leurs conditions.

    C’est ce qui arrive actuellement dans la zone euro : des Etats réputés sérieux peuvent émettre des obligations à taux négatifs du fait que des fonds de pension, des banques centrales, et d’autres agents économiques le cas échéant, sont disposés à les acheter. Une caisse de retraite par capitalisation ne lèse pas ses adhérents en payant 0,5 % d’intérêt à des prêteurs d’excellente réputation, si les prix sont stables, et a fortiori s’ils ont une tendance baissière. Lesdits clients seraient plus mal lotis avec 10 % d’intérêt mais 15 % d’inflation. Reporter du pouvoir d’achat du présent vers le futur peut rapporter dans certaines circonstances, mais peut coûter si les circonstances sont différentes.

    Mais pourquoi, direz-vous, ne pas garder tout simplement un compte de dépôt très créditeur ? Parce que les banques ne sont pas très « partantes » pour avoir un énorme passif constitué de sommes immédiatement exigibles, finançant des prêts à long ou très long terme. Les obligations, elles, ne sont pas remboursables ad libitum mais, par fractions, selon un calendrier fixé lors de l’émission. Les organismes qui veulent emprunter à long terme sécurisent donc la situation des prêteurs, qui en contrepartie peuvent aller jusqu’à payer, puisqu’ils ne trouvent pas de solution gratuite, et encore moins rémunératrice, pour reporter du revenu vers un avenir éloigné.

    Le rôle des banques centrales en matière de taux d’intérêt
    Qu’elles chassent individuellement, comme la Bank of England, ou en meute, comme les banques centrales des pays européens ayant adopté l’euro, avec à leur tête la BCE, les banques centrales sont bien placées pour prêter et emprunter, en partie, à des taux négatifs. Elles peuvent en effet obliger les banques dites « de second rang », ou « commerciales », à leur prêter elles aussi à des taux négatifs. Si vous, banque centrale, gagnez 1% par an sur vos dettes envers les banques de second rang, vous pouvez investir en souscrivant ou en achetant des obligations qui vous coûtent chaque année 0,5 % de leur valeur nominale.

    Or les banques centrales possèdent le pouvoir de se faire prêter par les banques de second rang les sommes qu’elles veulent aux conditions qui leur conviennent. Les législateurs leur ont accordé ce pouvoir presque incroyable parce que les gouvernements sont, pour la plupart, terriblement dépensiers, prompts à emprunter en se disant que ce sera au suivant de rembourser … le cas échéant grâce à de nouveaux emprunts. Incapables, le plus souvent, d’avoir par eux-mêmes une réelle discipline budgétaire, les pouvoirs publics (parlements et gouvernements) ont accordé aux banques centrale un pouvoir fantastique. Celui-ci a été renforcé dans les années 1990, en ce qui concerne l’Europe, par le traité de Maastricht.

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  6. En économie de marché, les taux d’intérêt se négocient. Mais la Banque Centrale, elle, ne négocie pas : elle dispose de l’autorité suffisante pour fixer à la fois le montant des réserves obligatoires, c’est-à-dire des prêts que les banques de second rang sont tenues de lui consentir, en fonction de leur activité, et le taux d’intérêt auquel elle leur emprunte. Rien ne lui interdit de fixer un taux d’intérêt négatif. Elle est également maîtresse du montant des « réserves » à constituer sur ses livres. Fin 2019, le bilan de la BCE comportait 234 Md€ au titre des « autres engagements vis-à-vis de l’Eurosystème », dettes lui permettant de posséder en contrepartie des « titres détenus à des fins de politique monétaire », pour un montant de 250 Md€. Autrement dit, la banque centrale emprunte aux banques de second rang, contraintes de lui prêter, des sommes grâce auxquelles elle acquiert des créances, souvent des obligations. Classiquement, ces opérations comportaient des intérêts positifs ; mais la mode des intérêts négatifs peut en décider autrement.

    C’est ce qui est en train de se produire, à une échelle époustouflante : la BCE a proposé d’acquérir pour plus de 1 000 Md€ de créances à taux négatifs sur les banques de la zone euro, et celles-ci ont répondu avec enthousiasme, manifestant le désir d’en vendre (c’est-à-dire d’emprunter) à hauteur de 1 300 Md€ (selon Les Echos du 19 juin). Cela leur permettra de prêter des sommes fantastiques aux Etats qui, en réponse au problèmes posés par l’épidémie Covid-19, ouvrent toutes grandes les vannes du déficit budgétaire. Elles feront évidemment attention à prêter dans des conditions un peu plus favorables qu’elles n’empruntent : par exemple – 0,5 % pour leurs prêts (sous forme d’obligations émises par des Etats) et – 1% pour leurs emprunts (les réserves obligatoires imposées aux banques de second rang).

    Une marge de 0,5 % sur 1000 Md€ rapporte 5 Md€ par an. Sauf, bien sûr, si les débiteurs font faillite. Mais comme il s’agit d’Etats, l’habitude a été prise de les considérer juridiquement comme solvables, alors même qu’ils ne le sont pas économiquement. Ce choix de placer la fiction juridique au-dessus de la réalité économique est le pilier actuel sur lequel repose le fonctionnement de la monnaie, du crédit et des pouvoirs publics. Quand ce pilier s’effondrera, ce sera l’apocalypse.

    Nous n’avons pas d’indications très précises relatives aux taux qui seront pratiqués pour ces opérations entre la BCE, les banques de second rang de la zone euro, et les Etats ayant l’euro pour unité monétaire, mais il semble qu’il s’agira principalement de taux négatifs ; ils sont à la mode, et il serait naïf de croire que celle-ci ne gouverne que la longueur des jupes. Les Etats membres de la zone euro, pour la plupart en déficit budgétaire, pourront donc gagner un peu d’argent en empruntant à taux négatifs pour financer ces déficits. Une façon de lever l’impôt originale, mais dangereuse à long terme.

    Certes, dans les circonstances actuelles, personne ne voit le moyen de s’en sortir autrement qu’en faisant fonctionner la « pompe à phynances » du Père Ubu. Néanmoins, ne nous faisons pas d’illusion : il n’y a pas de remède miracle. Le seul conseil qui vaille est celui que Jean de La Fontaine nous donne par l’intermédiaire du message que le laboureur mourant confiait à ses enfants :

    « Travaillez, prenez de la peine,
    C’est le fonds qui manque le moins. »

    Le fonds, c’est-à-dire la terre à retourner, à semer, à arroser ; le blé et les légumes à récolter ; les usines, les écoles, les hôpitaux, à faire tourner : bref, l’économie réelle. Taux négatifs ou positifs, c’est « l’huile de coude » qui apporte la solution. L’audace de Christine Lagarde ne portera ses fruits que si le monde se remet au travail.

    1. L’une qui rend son compte courant créditeur, l’autre sur son compte de prêt, indiquant le montant de sa dette.

    http://www.economiematin.fr/news-mysteres-banques-centrales

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  7. CONFIDENTIALITÉ SUR INTERNET : COMMENT LES FRANÇAIS SONT-ILS PROTÉGÉS ?


    par PARTENAIRE
    22/06/2020



    En 2016, la France s'est classée au deuxième rang des pays les plus touchés par le vol de données personnelles sur Internet.

    La protection des données a toujours été un engagement implicite venant des entreprises plus qu'une obligatation. Les entreprises qui ont accès aux informations de leurs clients les gardent généralement dans un endroit sûr afin de protéger leur vie privée. Cependant, ces dernières années, les français ne se sentent plus en sécurité du fait de ne pas disposer d'une législation appropriée pour protéger leur vie privée en ligne.

    Les réseaux sociaux et les plateformes en ligne sont de plus en plus contrôlées. Il y a peu de temps, une nouvelle législation a été adoptée afin de lutter contre la pornographie juvénile, le terrorisme, la discrimination, la haine, la violence et tout ce qui nie le crime contre l'humanité ou les contenus déshumanisants. Étant donné que certains de ces contenus sont plus sensibles que d'autres tels que ceux associés à la pornographie impliquant des enfants et au terrorisme - la nouvelle loi en France n'accorde aux sociétés et entreprises affiliées que la suppression du matériel incriminé dans l'heure ou des amendes pouvant aller jusqu'à 1,25 million d'euros.

    La fin de la liberté d'expression en France ?

    Bien que cette loi vise à protéger les victimes ciblées, les défenseurs des droits à la vie privée numériques craignent que cette nouvelle loi offre une possibilité d'abus. Selon La Quadrature du Net, cela signifie que les partis politiques pourraient utiliser ces nouvelles mesures à leur avantage et « censurer Internet » d’une certaine manière.

    À juste titre, les français pourraient avoir à s'inquiéter de cette loi. Bien qu'elle serve avant tout à protéger des abus et à nettoyer Internet des contenus malveillants, elle pourrait également être utilisée à des fins différentes par les autorités par exemple contre des individus ou organisations qui publient des propos hostiles.

    Les discours haineux et nuisibles doivent être réglementés

    Malgré cette crainte, l'Assemblée nationale a recueilli 355 voix en faveur de la loi, avec seulement 150 voix contre et 47 membres s'abstenant de voter. Des statistiques qui montrent que les députés se positionnent en faveur d'une surveillance étroite d'Internet. Le propriétaire de Facebook a également pesé dans la balance. Il est admis que nous disposons de trop de liberté d'expression et que les plateformes doivent exercer leur contrôle sur les accès afin de s'assurer que la communauté en ligne reste transparente et honnête.

    Un droit à l'oubli

    En 2019, la France a mené une bataille contre Google concernant le droit à l'oubli. L'Hexagone en faveur d'une meilleure confidentialité et d'un plus grand contrôle des données, souhaitait que les informations non pertinentes contenant des informations personnelles soient supprimées des résultats de recherche du géant américain et de sa base de données internationale. Toutefois, cela ne convenait pas à l'équipe de Google, qui de fait, devait également supprimer des informations de ses autres moteurs de recherche à l'échelle mondiale. De son côté, Google cherchait à limiter la portée géographique du droit à l'oubli.

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  8. Le plus haut tribunal d'Europe a donc limité la portée de la loi historique sur la confidentialité en ligne en restreignant la capacité des personnes à contrôler les informations disponibles à leur sujet sur Internet. La Cour de justice des Communautés européennes a jugé que la règle de confidentialité ne pouvait pas être appliquée en dehors de l'Union européenne. Dans une autre décision, la cour a déclaré que le droit à la liberté d'expression et d'information doit être soigneusement pesé avant de supprimer les liens liés à certaines catégories de données personnelles. Ce type de censure peut toutefois être contourné en utilisant Meilleur VPN ou tout autre service VPN pour contourner l'interdiction. Le VPN permet de protèger le trafic web privé des interférences, de l'espionnage et de la censure. De plus, les citoyens peuvent facilement accéder aux informations interdites au moment où ils quittent le pays.

    http://www.economiematin.fr/news-confidentialite-internet-comment-francais-sont-ils-proteges

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    1. Censure et comptes en banques vidés, pour cause de 'faillite bancaire' et de retard culturel des 'dirigeants'.

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  9. Vague de violences urbaines en France et en Allemagne: «Les bandits savent qu’ils ne risquent presque plus rien»


    17:47 22.06.2020
    Par Fabien Buzzanca


    Une vague de violences urbaines frappe la France depuis le début du déconfinement, mais l’Hexagone n’est pas seul à être touché en Europe. L’Allemagne a également vécu un week-end agité. Le criminologue Xavier Raufer décrypte pour Sputnik France cette dangereuse escalade.

    «Ces scènes incroyables m’ont laissé sans voix.» «Je n’avais jamais rien vu de tel, en 46 ans de carrière dans la police.»
    Frank Lutz, chef de la police de Stuttgart n’en croyais pas ses yeux. Dans la nuit du 20 au 21 juin, la capitale du Bade-Wurtemberg a été le théâtre d’un véritable déchaînement de violence. «Scènes de guerre civile», «violence sans précédent», les réactions politiques ont été à la mesure de l’intensité des échauffourées.

    Vers minuit, des policiers ont entrepris un contrôle pour une affaire de stupéfiants. La situation a très vite dégénéré et environ 500 «jeunes» se sont dirigés vers le centre-ville afin d’y semer le chaos. Nombre d’entre eux portaient des cagoules, se sont battus avec la police et ont endommagé des véhicules à coups de barres de fer et de poteaux. Durant cette nuit de violences urbaines, les auteurs ont également pillé neuf commerces et 14 ont été endommagés.

    Pour le criminologue Xavier Raufer, la situation en Allemagne a des racines sensiblement similaires à ce qu’il peut se passer en France:

    «La criminologie a un fondement très simple: les criminels cessent quand ont les arrête. On ne les arrête pas, aussi bien en France qu’en Allemagne. Quand ces derniers sont issus des minorités, ils sont même parfois considérés comme des victimes. Ils s’en donnent donc à cœur joie.»

    Plus d’une dizaine de policiers ont été blessés et une vingtaine d’individus interpellés. Douze d’entre eux n’étaient pas Allemands. Selon le chef de la police, ils venaient de pays comme la Croatie, le Portugal, mais aussi la Somalie, l’Afghanistan, l’Irak ou encore la Bosnie. Il a fallu la mobilisation d’environ 280 membres des forces de l’ordre pour réussir à ramener le calme vers 3 h du matin.

    Tensions dans le centre de l'Allemagne

    La police a écarté une quelconque motivation politique à ces exactions et d’après l’AFP, penche plutôt «pour des fêtards, réunis dans le centre-ville par une nuit chaude, parce que les clubs et les discothèques sont toujours fermés».

    Le 21 juin, c’est à Göttingen, dans le centre de l’Allemagne, que plusieurs policiers ont été blessés à la suite d’affrontements avec les habitants d’un immeuble placé en quarantaine après la découverte de nombreux cas de coronavirus chez les résidants. Des habitants ont tenté de forcer une barrière métallique et ont lancé des projectiles sur les forces de l’ordre.

    Les réactions politiques ont été aussi indignées en Allemagne qu’en France en pareille circonstance. Sascha Binder, responsable local du parti social-démocrate à Stuttgart, a évoqué des «scènes dignes d’une guerre civile», des «combats de rue» et la «nuit horrible qu’a connue Stuttgart».

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  10. Pour Xavier Raufer, de telles réactions prouvent surtout la méconnaissance du mode de fonctionnement des délinquants: «C’est simple comme bonjour. Il existe le monde des gens honnêtes, celui de l’immense majorité des citoyens. Et il existe celui des malfaiteurs et des bandits. Ils ne vivent pas sous cloche et profitent des intelligences de notre société. Ils ont ce que l’on appelle “les grands frères”, qui sont en réalité pour beaucoup des caïds, leurs chefs. Ces derniers ont à leur service des avocats qu’ils paient cher, car ils en ont les moyens. Il se trouve que les avocats sont au cœur de la société.» et de poursuivre:

    «Dans le cas de la France, ils constatent que la seule véritable répression qui s’exerce se fait contre les Gilets jaunes et autre “Gaulois réfractaires”, comme les désigne à la vindicte populaire Emmanuel Macron. Les délinquants sont, eux, globalement laissés tranquilles. Les bandits savent qu’ils ne risquent presque plus rien et peuvent se déchaîner.»

    Règlement de comptes à Agen

    Si ce type d’événement est plutôt rare en Allemagne, ce n’est en effet pas le cas en France. Pas plus tard que le 21 juin, un nouvel épisode de tensions a gâché la fête de la musique à Paris. Le quartier des Invalides a été dans la soirée le théâtre d’affrontements entre jeunes et forces de l’ordre, qui ont notamment été la cible de jets de bouteille en verre.

    «On est venus passer une soirée tranquille, normalement. On a commencé à tirer des feux d’artifice pour fêter ça et les policiers ont commencé à nous encercler. On n’a pas aimé, alors on a commencé à les caillasser avec des bouteilles et tout ce qui nous passait sous la main», a notamment raconté à RMC un fêtard, qui était sur place.
    Depuis le début du déconfinement, les affaires de violences urbaines se multiplient en France et pas seulement dans les grandes métropoles. Alors que la situation dérapait à Stuttgart, la ville d’Agen a également connu une nuit très agitée.

    D’après Actu17, une centaine d’individus ont été impliqués dans une rixe entre bandes rivales. Ce sont les riverains qui ont alerté les forces de l’ordre, après avoir constaté des affrontements à proximité du cours Gambetta. Une dizaine de fonctionnaires de police se sont rendus sur place vers 3 h du matin et se retrouvés totalement débordés face à des belligérants beaucoup plus nombreux.

    Castaner coupable ?

    Les gardiens de la paix ont alors été la cible de jets de projectiles et ont dû battre en retraite avant de revenir accompagné accompagnés de renforts issus de la brigade anticriminalité (BAC), des brigades de police-secours (PS) de jour et de nuit et de la police municipale. De nouveaux affrontements ont alors éclaté entre membres des forces de l’ordre et jeunes qui n’étaient alors plus qu’une cinquantaine.

    Deux policiers ont été blessés dont un s’est vu prescrire 10 jours d’incapacité totale de travail (ITT), selon les informations du journal Le Républicain. Deux jeunes hommes, de 21 et 23 ans, ont été interpellés. Le premier, arrêté pour «outrage à personne dépositaire de l’autorité publique», a été placé en garde à vue avant d’être libéré le 21 juin. Quant au second, interpellé pour «outrage, rébellion, violences volontaires à personne dépositaire de l’autorité publique et dégradation de bien public», il devrait faire l’objet d’une comparution immédiate ce 22 juin.

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  11. «Les cités dites “sensibles” en France sont quasi quotidiennement le théâtre d’émeutes. Où sont les arrestations ? Un Gilet jaune lance un cocktail Molotov sur la police –et c’est mal, évidemment– et prend cinq ans de prison ferme. Quasi quotidiennement, les forces de l’ordre sont la cible de cocktail Molotov et autres engins incendiaires dans les cités. Quand ce n’est pas les pompiers. Où sont les sanctions ? Ce type d’acte est pourtant lourdement condamné par le Code pénal», s’insurge Xavier Raufer.

    L’auteur de «Le crime mondialisé» (Éd. du Cerf) pense que l’attitude de Christophe Castaner, ministre de l’Intérieur, contribue à compliquer le travail de la police. Récemment, l’hebdomadaire Valeurs actuelles révélait que «pour apaiser les tensions après les manifestations en mémoire de George Floyd et Adama Traoré, le ministre de l’Intérieur a suggéré que des policiers et gendarmes mettent un genou en terre à l’occasion d’une cérémonie dans la cour de l’hôtel Beauvau».

    «Quelle honte que Castaner puisse envisager de faire s’agenouiller des policiers français dans la cour de la place Beauvau afin de demander pardon pour de soi-disant bavures policières envers les minorités», tempête Xavier Raufer.

    Bientôt l’embrasement ?

    Les affrontements qui ont eu lieu à Agen interviennent seulement quelques jours après les actions de représailles de bandes d’origines tchétchènes sur celles des quartiers sensibles des Grésilles, qui ont secoué Dijon du 12 au 15 juin. Les combats avaient été terriblement violents et de nombreuses vidéos montrant des protagonistes se pavaner armes à la main ont circulé sur les réseaux sociaux.

    Pourquoi des villes moyennes de province comme Agen ou Dijon sont-elles le théâtre de pareilles violences urbaines? Xavier Raufer y voit la responsabilité du politique: «Cela fait 40 ans que nous avons en France un dispositif qui est censé faire en sorte que ni les grandes, ni les moyennes, ni les petites villes ne soient touchées par de tels phénomènes: la politique de la ville. Malheureusement, du Président Mitterrand jusqu’à Emmanuel Macron, en passant par tous les autres, la politique de la ville n’a été qu’une longue pantalonnade.»

    «C’est une pitrerie qui, à coups de milliards, n’a rien réussi du tout. Elle était censée mettre fin aux violences urbaines et rétablir l’harmonie sociale. Vous avez dans quel état est l’harmonie sociale ? En tout cas, elle n’est pas à Dijon, ni à Nîmes, ni à Nice ou dans toutes les villes qui ont été le théâtre de graves exactions ces derniers jours. Exactions qui n’ont pas ou peu été réprimées», développe-t-il.

    Le 22 juin, une nouvelle opération de recherche d’armes a eu lieu, notamment dans le quartier des Grésilles de Dijon et neuf interpellations ont été réalisées. L’opération a également vu la saisie de trois carabines démontées et des sacs contenant entre 2 et 3 kg de cartouches, dont des cartouches à blanc et des cartouches de calibre 9 mm. Des tubes servant à réaliser des tirs de mortier ont également été découverts.

    Côté stupéfiants, les policiers ont mis la main sur du cannabis, de la cocaïne, de l’héroïne et 2.153 kg de produits de coupe ont également été saisis, de même que de 3.150 euros. Le 19 juin, une initiative du genre avait permis aux policiers de mettre la main sur 80 g de résine de cannabis, un couteau, 25 cocktails Molotov, ainsi que des plaques minéralogiques belges, une motocross, des gants et des cagoules, selon la préfecture.

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  12. La situation fait-elle craindre un embrasement d’ampleur dans les quartiers sensibles qui pourrait déboucher sur une guerre civile, à l’image du scénario imaginé par l’écrivain Laurent Obertone dans son livre «Guerrilla» (Éd. Ring)?

    Pas pour Xavier Raufer, «chaque camp politique à ses pensées approximatives. Je pense que l’erreur d’une partie de la droite est de penser que ces émeutes et ces violences prennent place dans le cadre d’un mouvement de libération nationale. Comme si ces derniers voulaient embraser la France un peu sous le modèle du Front de libération nationale (FLN) lors de la guerre d’Algérie.» Et d’ajouter:

    «Ces bandes sont moins en guerre contre l’appareil d’État qu’elles ne le sont les unes contre les autres. Que ce soit des conflits à motif ethnique, comme nous l’avons vu à Dijon, ou des guerres entre gangs pour le contrôle des trafics, je ne pense pas du tout que nous ayons affaire à une insurrection généralisée.»

    Le criminologue point également la responsabilité des médias dans les tensions actuelles:

    «L’idée générale en France est d’empêcher le communautarisme de se développer afin qu’il ne pousse pas à générer plus de violence. Les médias ne rendent pas service à cette cause en utilisant sans cesse le terme de “communauté” comme “communauté maghrébine” ou “communauté tchétchène”, etc. Comment lutter contre le communautarisme dans un tel contexte? L’invocation sans répit du concept de communauté finit par en créer là où il n’y en avait sans doute pas.»

    https://fr.sputniknews.com/france/202006221043990148-vague-de-violences-urbaines-en-france-et-en-allemagne-les-bandits-savent-quils-ne-risquent-presque/

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    1. (...) Vers minuit, des policiers ont entrepris un contrôle pour une affaire de stupéfiants. La situation a très vite dégénéré et environ 500 «jeunes» se sont dirigés vers le centre-ville afin d’y semer le chaos.(...)

      MANIPULATION ! Comment regrouper 500 personnes en quelques minutes (pour une affaire de drogue ?) ? Appelez les black-blocs !

      Pourquoi cette nécessité d'embrasement ? Pour justifier l'emploi futur de tir d'armes à balles réelles sur les manifestants (?) !

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  13. Covid-19: «La chose intelligente à faire serait de se servir de l’expérience de nos concitoyens suédois»


    19:39 22.06.2020
    Par Rachel Marsden


    Les statistiques de mortalité attribuée au Covid-19 sont-elles comparables entre les pays ? Les chiffres permettent-ils de tirer un bilan de la stratégie anti-confinement de la Suède? Anne Sénéquier, médecin et chercheuse, co-directrice de l’Observatoire de la santé mondiale à l’IRIS, analyse les enjeux du coronavirus pour le Désordre mondial.

    Pendant la crise du coronavirus, la Suède s’est démarquée par son opposition au type de confinement adopté par d’autres pays européens, dont la France. Elle est vite devenue une ligne de front idéologique entre partisans et opposants au confinement dans le monde entier.

    Maintenant, elle risque de se voir imposer une autre sorte de confinement… de la part de ses voisins nordiques, alors qu’ils rouvrent leurs frontières les uns aux autres et pourraient exclure ce voisin anticonformiste. Au vu des derniers bilans du Covid-19 dans ce pays et chez ses voisins, quel bilan peut-on tirer de la stratégie de la Suède ?

    Anne Sénéquier, médecin et chercheuse, co-directrice de l’Observatoire de la santé mondiale à l’Institut de Relations Internationales et Stratégiques (IRIS), analyse le bilan non-conformiste de la Suède:

    «Tous les pays vont devoir regarder ce qui s’est passé là-bas… Aujourd’hui, tous les pays européens arrivent plus ou moins en fin de confinement, et on vit tous la même chose. Donc aujourd’hui, la chose intelligente à faire serait de se servir de l’expérience de nos concitoyens suédois pour voir comment ils ont fait et améliorer les choses qui n’ont pas fonctionné.»

    Il y a actuellement une tendance dans certains médias occidentaux à se focaliser sur des pics de «cas», alors que l’on constate par ailleurs une décrue générale de la mortalité. Comment interpréter un tel phénomène ? La co-directrice de l’Observatoire de la santé mondiale explique:

    «L’augmentation des cas peut se voir parce qu’on augmente la quantité de tests… Le nombre de décès n’augmentera pas forcément, parce qu’on peut être sur une dynamique descendante de l’épidémie et on a un nombre de cas beaucoup moins important, mais on va en détecter beaucoup plus. L’image de l’iceberg est bien représentative, je pense.»
    Anne Sénéquier analyse également les différences de méthode de comptabilisation des décès dus au Covid-19 dans différents pays. Aux États-Unis, par exemple, on attribuera un décès au Covid-19 même s’il y a des comorbidités importantes, tandis qu’en Russie, une mort pourrait être attribuée à la comorbidité et non pas au Covid-19:

    «C’est une grande problématique de comparaison des données. La façon de déclarer les causes de décès pourrait être très différente entre les États, mais aussi en fonction des centres de santé. Donc au sein d’un même pays, on peut avoir ce genre de problématique.

    C’est pour cela qu’il est très important de faire attention à la manière dont on compare les données brutes, parce qu’on peut partir dans des interprétations complètement fausses, simplement parce que le protocole de déclaration de décès n’est pas le même d’un endroit à un autre.»

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  14. Et finalement, est-ce que des pays comme la France pourraient sortir plus résilients que ceux qui n’ont pas subi une crise aussi grave ? L’experte répond:

    «La résilience est assujettie à l’expérience. Dans les pays européens qui ont été durement touchés, on a dû s’habituer au pire. C’est-à-dire à avoir plusieurs milliers de cas par jour, des décès aussi de manière très importante, donc du coup, on est dans une dynamique descendante et de fait, c’est rassurant, puisqu’on va dans la bonne direction.»

    https://fr.sputniknews.com/radio_desordre_mondial/202006221043991250-covid-19-la-chose-intelligente-a-faire-serait-de-se-servir-de-lexperience-de-nos-concitoyens/

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  15. Pourquoi les USA n’ont pas pu se passer de Huawei pour développer la 5G


    19:34 22.06.2020


    Désormais, les États-Unis permettent à leurs entreprises de coopérer avec Huawei, le département du Commerce ayant validé cette nouvelle règle pour établir les normes des réseaux 5G. Un spécialise chinois commente pour Sputnik cette volte-face dans la politique américaine envers le géant chinois des télécommunications.

    L’année dernière, le département américain du Commerce a imposé des sanctions contre Huawei sous prétexte de protéger la sécurité nationale des États-Unis. Cette mesure a limité les ventes de technologies et de produits américains à l’entreprise chinoise, tout en réduisant la marge de manœuvre des États-Unis eux-mêmes dans l’élaboration des standards mondiaux.

    Pourquoi les USA reviennent-ils sur leurs sanctions contre Huawei ?

    Le fait que les États-Unis permettent maintenant à leurs entreprises de coopérer avec Huawei dans la mise au point de normes signifie tout simplement qu’il est déjà impossible de développer les télécommunications mondiales 5G sans la participation de la Chine, a indiqué au micro de Sputnik Xu Canhao, de l’Institut d'informatique et de technologie de l’université de Suzhou.

    «À l’heure actuelle, Huawei possède une grosse part de brevets mondiaux en matière de 5G, et de plus il s’agit de brevets clés. Qui plus est, somme toute, les normes de 5G sont déjà établies. Les États-Unis peuvent évidemment "inventer la poudre", mais ils auront alors besoin de nouvelles normes 5G. Il s’agirait d’un travail immense, voire irréalisable», a poursuivi l’interlocuteur de l’agence.

    Une coopération internationale s’impose

    Et d’ajouter que la mise en place de réseaux 5G impliquait un travail gigantesque et qu’aucun pays du monde n’était à même de s’en acquitter seul. Tout porte à croire que les États-Unis ont enfin commencé à s’en rendre compte.

    «Quoi qu’il en soit, Huawei n’est pas la seule entreprise à maîtriser les compétences clés dans ce domaine. Il y a aussi ZTE, Samsung, Nokia et Ericsson qui détiennent pas mal de brevets incontournables. À mon avis, la coopération internationale compte énormément, car aucune entreprise au monde ne pourra s’attribuer le monopole sur le marché de la mise en place des réseaux 5G», a résumé l’universitaire.

    Sous sanctions américaines depuis 2019, Huawei est toutefois aujourd’hui au cœur des discussions sur les normes 5G, compte tenu de sa position dominante dans ce secteur. En même temps, les États-Unis formulent une nouvelle règle de coopération avec le géant chinois des télécommunications par crainte de voir leur secteur des télécoms se faire damer le pion, justement, dans la définition des normes internationales concernant la prochaine génération des communications mobiles.

    https://fr.sputniknews.com/international/202006221043991232-pourquoi-les-usa-nont-pas-pu-se-passer-de-huawei-pour-developper-la-5g/

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  16. Le ministre centrafricain des Mines s’exprime sur un nouvel investisseur russe et la prospection pétrolière chinoise


    20:17 22.06.2020
    Par Ksénia Emelyanova


    Dans un entretien exclusif à Sputnik, Léopold Mboli-Fatran, ministre centrafricain des Mines et de la Géologie, évoque un nouvel investisseur russe dans le secteur du diamant, sur la Chine qui part à la recherche de gisements pétroliers et sur le partenariat de la mine Ndassima avec une société d’origine malgache.

    Juste avant que la pandémie de Covid-19 n’arrive sur le sol centrafricain, à Bangui s’est tenu fin février le premier Salon international des mines, des carrières et du pétrole, qui a apporté beaucoup de belles promesses pour l’exploitation du sous-sol de la RCA. Les investisseurs potentiels sont venus de tous les coins du monde, et maintenant Bangui attend la reprise des activités minières pour renforcer ces partenariats. «Le secteur minier centrafricain est encore jeune, ça promet», explique Léopold Mboli-Fatran, ministre centrafricain des Mines et de la Géologie.

    Les rapports entre l’État et les investisseurs

    La richesse du sous-sol centrafricain nécessite des investissements sérieux et des recherches profondes pour être exploité à la hauteur des attentes. C’est pour cette raison que le secteur minier vit des changements pour s’adapter à une nouvelle réalité qui pourrait donner une vraie dynamique de développement à l’ensemble du pays, relate le ministre centrafricain des Mines et de la Géologie qui dresse une liste des réformes.

    «Depuis 2016, nous avons employé certaines réformes, comme le partenariat public–privé, le développement des structures de base. Nous avons entamé la révision du code minier qui doit devenir plus attractif pour les investisseurs et tout l’environnement qui concerne l’installation. Le cadre légal qui permet de travailler sans avoir de problèmes dans le rapport entre l’État et les investisseurs, nous avons aussi le projet d’assainir notre cadastre minier.»
    Diamville, une nouvelle société russe

    Plusieurs pays ont investi en Centrafrique, mais les leaders en prospection recherche minière demeurent l’Afrique du Sud et la Chine. La Russie est à la pointe dans ce domaine, notamment avec la société Lobaye Invest qui a eu son permis en 2018. Un nouvel acteur russe est entré sur la scène minière en RCA, d’après Léopold Mboli-Fatran.

    «Nous avons encore un investisseur russe qui a sollicité un permis dans le cadre de l’achat du diamant, pour l’import et l’export du diamant. La société s’appelle Diamville.»

    L’activité de la Chine dans le secteur minier en RCA a été plusieurs fois sanctionnée par le gouvernement, notamment avec une amende se montant à plus de 15.000 euros et la suspension provisoire des chantiers, comme pour la société chinoise HW-Lepo. Désormais, la Chine se lance dans la recherche de gisements de pétrole centrafricain, confie le ministre des Mines.

    «La Chine est dans la recherche pétrolière au nord du pays, l’Afrique du Sud dans l’ouest du pays. Pour les Français, nous avons un permis qui est encore en valeur c’est la société Areva qui exportait de l’uranium de Bakouma.»

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  17. La levée de l’embargo

    Cette année, le processus de Kimberley est présidé par la Russie, qui veut «faire revenir dans la légalité» les diamants centrafricains. Depuis 2013, la RCA est en effet interdite d’exportation de diamants, et par la suite le pays a été suspendu par le processus de Kimberley. En 2016, Bangui a entamé une négociation avec le cadre global et réussi une levée partielle de l’embargo pour l’ouest du pays.

    «Nous sommes en train de discuter de la levée sur l’ensemble du territoire. Nous travaillons très sincèrement sur la question de la sécurité soutenue dans tout le pays.»
    Les femmes dans le secteur minier

    L’année dernière, l’Association des Femmes du Secteur Minier de Centrafrique a été créé pour appuyer le rôle des femmes et leur participation dans la prise de décisions. Elles dénoncent le nombre insuffisant des femmes dans ce domaine et le ministre Mboli-Fatran se montre touché par le problème, voulant placer «cette question au cœur de la politique».

    «Depuis septembre 2019, j’ai pu porter à la tête de la direction régionale 2 femmes sur 6, ce qui a été déjà un clin d’œil pour favoriser les femmes au niveau de mon département, et [concernant] l’AFESMICA nous suivons de très près l’activité de cette organisation.»

    Un nouveau partenariat avec la mine Ndassima

    Le secteur minier, comme tous les autres secteurs de l’économie, subit les effets négatifs du Covid-19, selon Léopold Mboli-Fatran. Le pays a été paralysé et même aujourd’hui, l’exploitation du diamant est complètement à la baisse. Le pays mise énormément sur la fameuse mine Ndassima pour la reprise de l’activité.

    «Nous sommes en train de travailler sur "l’après Covid-19" à ce que les chantiers reprennent, à ce que les partenaires avec qui nous avons commencé les discussions reprennent aussi. Comme avec le Botswana pour mettre en place une structure pour l’exploitation du diamant. Et surtout notre mine Ndassima, qui a eu un nouveau partenariat avec une société d’origine malgache, MIDAS.»

    https://fr.sputniknews.com/afrique/202006221043991009-le-ministre-centrafricain-des-mines-sexprime-sur-un-nouvel-investisseur-russe-et-la-prospection/

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  18. CARREFOUR : PLUS DE CHOIX AVEC SA MARKETPLACE ALIMENTAIRE


    par QUITTERIE DESJOBERT
    22/06/2020


    Au dernier trimestre 2019, Carrefour a vu son chiffre d'affaires augmenter de 3,1%.

    L’enseigne Carrefour lance sa place de marché en ligne aussi connue comme marketplace. Carrefour se lance comme objectif de regrouper une centaine de marchands et 100.000 références sur celle-ci d’ici la fin de l’année 2020.

    Une marketplace développée par les Mirakl

    Lundi 22 juin 2020, l’enseigne de distribution française, Carrefour, a annoncé le lancement de sa nouvelle marketplace. Cette dernière disponible sur le site de l’enseigne carrefour.fr, devrait rassembler d’ici la fin de l’année 2020, une centaine de marchands et 100.000 références qui complèteront les offres déjà présentes sur le site. Selon Carrefour, les vendeurs tiers pourront bénéficier de 15 millions de visiteurs uniques mensuels.

    La start-up française Mirakl, spécialiste des marketplaces et qui a notamment développé celle de la Poste, était en charge de celle de Carrefour. Encore assez peu popularisée parmi les distributeurs français, la place de marché de Carrefour rejoint celle de Monoprix notamment.

    Une large offre

    Bien que l’annonce ait été faite le 22 juin, la plateforme est disponible depuis le début de mois de juin 2020. Elle propose de très nombreux produits disponibles parmi de nombreux rayons : épicerie, boissons, hygiène, animalerie ou encore puériculture. La ligne de vente est tournée vers les produits bio et naturels issus d’un commerce plus local.

    Pour le consommateur, cette nouvelle marketplace offre l’avantage de la livraison à domicile, mais aussi l’accès à un plus large catalogue. Pour l’enseigne Carrefour, c’est une manière de capter de plus en plus de fournisseurs, qui peuvent s’avérer en difficulté après le long confinement. Carrefour n’a cependant pas encore précisé les conditions tarifaires de ses accords avec les fournisseurs.

    Carrefour avait décidé de lancer en 2018 un plan de transformation digitale. Un plan qui aboutit avec ce lancement et un partenariat avec Uber Eats.

    http://www.economiematin.fr/news-carrefour-lancement-marketplace-alimentaire

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  19. ARNAQUE : ATTENTION AU MAIL DARTY POUR ANNULER SA COMMANDE


    par PAOLO GAROSCIO
    23/06/2020


    Le groupe Fnac-Darty a réalisé un chiffre d'affaires de 7,3 milliards

    L’enseigne Darty, qui a fusionné avec la Fnac, a prévenu ses clients le 22 juin 2020 : une campagne de mails frauduleux est en cours à leurs dépens. Une campagne qui dure depuis longtemps, malheureusement, et dont le groupe ne réussit pas à se débarrasser.

    Des mails frauduleux reprenant la charte graphique Darty

    Les clients du groupe Darty ont reçu, le 22 juin 2020, un mail de la part de l’enseigne. Cette dernière les prévient que « Darty fait actuellement l’objet d’une usurpation d’identité à des fins frauduleuses ». Une campagne de phishing qui vise, comme toujours, à récupérer des données personnelles et des données de carte bancaire.

    « Ces e-mails font état de confirmation de commandes fictives en reprenant la charte graphique et le logo de notre enseigne. Ils tentent de bénéficier de la notoriété de Darty pour récupérer vos informations confidentielles et notamment vos données de cartes bancaires », signale Darty qui se veut rassurante : aucune fuite de données n’a été repérée par le groupe au niveau de ses banques de données. En fait, les arnaqueurs utilisent le recoupement d’informations déjà piratées pour cibler les clients du groupe.

    Un mail vous proposant d’annuler la commande

    Darty est même plus précis, concernant cette campagne de phishing : il s’agirait d’un mail demandant de confirmer ou annuler une commande. Darty est catégorique : « Darty ne vous demandera jamais la communication d’identifiant, mot de passe ou numéro de carte bancaire pour annuler une commande ». En cas de doutes, un appel au service après-vente de l’enseigne suffira à confirmer ou infirmer la véracité d’un mail.

    Si Darty prévient le 22 juin 2020 ses clients par mail, c’est que l’activité de cette campagne de phishing devient inquiétante. Comme le signale Numerama, sur Twitter des internautes ont posté des captures d’écran des mails frauduleux dès avril 2020 : ça fait donc plusieurs mois que les hackers ciblent les clients Darty.

    http://www.economiematin.fr/news-arnaque-darty-annulation-commande-phishing-danger-internet-piratage

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  20. L’ex-patron de Google met en garde contre le futur leadership technologique chinois


    22:45 22.06.2020


    Huawei représente un défi pour la suprématie américaine dans le domaine de la recherche et du développement, a fait savoir Eric Schmidt, ancien PDG de Google dans une interview à BBC Radio 4. Pour lui, la Chine qui, au rebours de nombreux préjugés, sait «innover», est déjà meilleure que l’Occident dans certains domaines technologiques clés.

    Eric Schmidt, PDG de Google de 2001 à 2011 a réaffirmé que Huawei, sous sanctions américaines depuis plus d’un an, s'est engagé «dans des pratiques inacceptables», dans une interview récemment accordée à BBC Radio 4. Le président du Defense Innovation Advisory Board sous la tutelle du Pentagone, a tout de même avoué que le vrai problème dans les relations entre les États-Unis et le géant chinois, était le défi que ce dernier représente pour le leadership technologique américain.

    «La réponse à Huawei… est d’avoir un produit et une ligne de produits aussi bonne [que Huawei, ndlr]», a-t-il déclaré au journaliste de la BBC sans remettre en question les soupçons d’espionnage à l’égard de l’entreprise.

    «Il ne fait aucun doute que les informations ayant transité sur des routeurs de Huawei sont finalement tombées entre les mains de ce qui semblerait être l'État [chinois, ndlr]», a affirmé M.Schmidt au média. Victor Zhang, directeur de Huawei au Royaume-Uni a pour sa part réfuté ces accusations au micro de la radio britannique.

    Combattre les idées reçues

    Eric Schmidt affirme avoir pendant des années sous-estimé la capacité des Chinois d’innover. Selon lui, peindre la Chine comme une nation qui sait «copier», «organiser», «voler» mais qui n’est pas capable de produire de nouveaux produits est erroné. Il a appelé à se débarrasser de ces idées reçues concernant le potentiel d’innovation de l’Empire du milieu.

    «Les Chinois sont tout aussi bons, et peut-être meilleurs que l'Occident dans les domaines clés de la recherche et de l'innovation», a expliqué l’ex-patron de Google dans la même interview.
    La Chine, future championne du monde technologique?

    Il a par ailleurs fait part de ses préoccupations quant à la perspective de l’ordre technologique mondial. D’après lui, si les deux secteurs technologiques existants –américain et chinois – continuent de se développer séparément, cela entraînera la création de deux systèmes distincts, ce qui est indésirable pour l’Occident. Le futur leadership de la Chine est d’ailleurs incontestable.

    «La Chine va dominer, que l’on fusionne ou sépare [ces deux secteurs technoloqies, ndlr]. Ils [les Chinois, ndlr] ont les ressources, ils ont de l’argent, ils ont les technologies», a-t-il ainsi commenté la montée en puissance chinoise à la BBC.
    Le gouvernement américain vs Huawei

    L'année dernière, le département américain du Commerce a imposé des sanctions contre Huawei sous prétexte de protéger la sécurité nationale. Cette mesure a limité les ventes de matériels ou de logiciels américains à l'entreprise chinoise. Récemment le gouvernement américain a annoncé un changement des règles de coopération avec le géant chinois. Ainsi, les entreprises américaines pourraient bientôt travailler avec Huawei afin d’établir les standards des réseaux 5G de prochaine génération, selon Reuters.

    https://fr.sputniknews.com/international/202006221043991950-lex-patron-de-google-met-en-garde-contre-le-futur-leadership-technologique-chinois/

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    1. Bien sûr que vous avez 1 milliard de personnes de plus que tout autre pays (sauf l'Inde) et que vous avec un chef d'État intelligent et qui ne porte pas de masque en toile de jeans pour faire croire que la fabrication-maison c'est antivirus ! (Plus con que çà, y a pas ! Tout ce qu'il touche c'est de la merde ! a dit Trump), il est certain que l'avance technologique est irrattrapable ! (car chez eux il n'y a pas de 'réfugiés climatique' et d'excisés !).

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  21. Ce nouveau laser militaire russe présenté par Poutine permet d’aveugler les satellites en orbite


    22:47 22.06.2020


    L’armée russe se dote en permanence de nouveaux armements, dont le laser de combat Peresvet qui sert entre autres à neutraliser le matériel de surveillance de satellites ennemis. Un spécialiste a expliqué ses possibilités.

    À l’heure actuelle, le tout nouveau laser de combat russe Peresvet a pour fonction principale de mettre hors service, soit d’aveugler temporairement, le matériel de surveillance, soit les appareils optiques et de navigation d’un satellite ennemi. À l’avenir, il pourrait infliger un détriment irréparable à ses équipements de bord, a déclaré devant les journalistes Viktor Mourakhovski, membre du Conseil d’experts près la direction collégiale du complexe militaro-industriel de Russie.

    «Le système laser Peresvet a pour objectif en effet de mettre hors service les satellites d’un ennemi potentiel. Sa puissance lui permet de provoquer une "cécité" temporaire des appareils de navigation des satellites, et il n’est pas à exclure qu’une fois modernisé, ce canon laser pourra mettre définitivement hors service des satellites [ennemis, ndlr]», a précisé l’expert.

    Le canon laser Peresvet a été présenté pour la première fois au public par le Président russe Vladimir Poutine lors de son allocution devant l'Assemblée fédérale en mars 2018. Plus tard, le ministre de la Défense Sergueï Choïgou a fait savoir que l’armée russe était d’ores et déjà dotée de systèmes laser Peresvet.

    Selon le chef de l’état-major russe Valeri Guerassimov, ce laser militaire était utilisé depuis décembre 2019 pour couvrir les systèmes de missiles mobiles russes.

    https://fr.sputniknews.com/defense/202006221043992096-ce-nouveau-laser-militaire-russe-presente-par-poutine-permet-daveugler-les-satellites-en-orbite/

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  22. Masques dans une société libre


    Par Laurence M. Vance
    23 juin 2020



    Je pense que l'idée de personnes en bonne santé portant des masques lorsqu'ils sont en public est ridicule, stupide, idiot, ridicule, comique, malsain et nuisible, mais je propose ici une défense qualifiée des masques dans le contexte d'une société libre et privée droits de propriété.

    Non content de jouer au dictateur et de promulguer des décrets pour que leurs sujets restent à la maison, ferment leurs commerces inutiles, cessent d'aller dans les parcs et les terrains de jeux et pratiquent la distanciation antisociale, les gouverneurs et les maires de tout le pays commencent maintenant à exiger que tous leurs sujets portent un masque facial lorsqu'ils sortent en public (à moins qu'ils ne protestent, n'émeuvent ou ne pillent).

    Le 18 juin, le gouverneur de Californie Gavin Newsom a ordonné aux résidents de la Californie de porter un masque lorsqu'ils étaient en public. "En termes simples, nous voyons trop de personnes dont le visage est découvert - ce qui met en péril les progrès réels que nous avons accomplis dans la lutte contre la maladie", a déclaré Newsom. "La stratégie de la Californie pour relancer l'économie et ramener les gens au travail ne réussira que si les gens agissent en toute sécurité et suivent les recommandations de santé. Cela signifie porter un couvre-visage, se laver les mains et pratiquer la distance physique. »

    Dans mon comté — le comté d'Orange, en Floride — le maire fasciste Jerry Demings a publié un décret le 18 juin exigeant le port du masque à partir du 20 juin: “Toute personne travaillant, vivant, visitant ou faisant des affaires dans le comté d'Orange doit porter un visage Couverture conforme aux lignes directrices actuelles du CDC dans tout lieu public. »

    Concernant les entreprises, l'ordonnance précise:

    Toutes les entreprises sont fortement encouragées à suivre les directives du CDC ou les normes de l'industrie (le cas échéant) sur les couvertures faciales et la distanciation sociale. On rappelle aux entreprises que le décret exécutif 2020-12 exige que les employés et les clients des entreprises qui exigent que les employés et les clients se trouvent à moins de six (6) pieds doivent porter un masque ou une couverture, à moins que le port du masque ou de la couverture du client n'entrave le service du client, auquel cas seul le prestataire de services doit porter un masque facial ou une couverture.

    Toutes les entreprises sont encouragées à interdire l'entrée de chaque personne qui ne porte pas de couvre-visage à l'exception des personnes énumérées ci-dessous.

    Les couvre-visages ne sont pas requis pour les éléments suivants:

    i.) Les personnes de moins de deux ans; ou
    ii.) Les personnes pour lesquelles un couvre-visage causerait une déficience en raison d'un état de santé existant; ou
    iii.) Les personnes exerçant une profession qui n'ont pas d'interaction directe avec le public; ou
    iv.) Les personnes exerçant une profession où l'utilisation d'un couvre-visage ne sera pas compatible avec les devoirs de la profession; ou
    v.) Les personnes exerçant tout en observant la distanciation sociale conformément aux directives du CDC.

    Mais notez également qui est exempté de l'ordonnance du maire: «Cette ordonnance ne s'applique pas aux employés et aux clients de première intervention, au gouvernement, aux soins de santé ou aux soins médicaux, au vétérinaire, à l'abri ou à la réadaptation, à la garde d'enfants, aux fournisseurs de services publics, à la construction ou aux agences de transport en commun.»

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  23. En ce qui concerne les sanctions pour violation de son ordre, le maire dit qu'il n'y a pas encore de sanctions pénales et que "notre objectif est d'obtenir le respect volontaire".

    Depuis que cette commande est entrée en vigueur, j'ai visité plusieurs entreprises locales. Tous ont affiché de nouveaux panneaux indiquant qu'il est nécessaire de porter un masque pour entrer dans leur établissement. Je suis entré dans plusieurs d'entre eux sans masque pour tester les eaux et aucun employé de l'une des entreprises ne m'a rien dit. Cependant, je crois que le maire a acquis une conformité volontaire presque universelle - du moins en ce qui concerne les personnes qui se rendent dans les magasins. Dans les magasins où je suis entré, je n'ai vu presque personne sans masque.

    Pendant ce temps, à New York, le gouverneur Andrew Cuomo a publié un décret donnant aux propriétaires de magasins le droit de refuser l'entrée à ceux qui ne portent pas de masques.

    Mais dans le Wisconsin, après que la Cour suprême de l'État a annulé l'ordonnance de verrouillage du gouverneur et ordonné que toutes les futures restrictions à l'échelle de l'État pour lutter contre le coronavirus soient approuvées par le législateur, le propriétaire d'un terrain de camping a interdit aux gens de porter des masques dans son établissement:

    Les masques ne sont PAS autorisés dans les bâtiments pour des raisons de sécurité. Ils sont considérés comme un vol en cours et seront traités de cette façon.

    Je n'ai ajouté aucun masque en entrant dans mon bâtiment principal, car c'est le moment idéal pour les méchants de profiter de toute petite entreprise et de les voler car il est désormais «normal» de porter un masque.

    Maintenant, je comprends qu'il y a des gens qui portent un masque à cause de leur situation sanitaire délicate, comme le cancer ou une chirurgie récente. Je connais ces personnes et leur stature est très différente de celle d’un homme de 6’2 ? entrant agressivement dans un établissement avec l’intention de lui faire du mal.

    Et au Texas, un propriétaire de bar interdit aux clients de porter des masques pour tenter de «repousser» les «mouchards» et les «traceurs de contact» pendant la pandémie de coronavirus. Le bar a affiché un avis comme suit: «En raison de notre inquiétude pour nos concitoyens, s’ils ressentent le besoin de porter un masque, ils devraient probablement rester chez eux jusqu’à ce qu’il soit en sécurité.»

    Je soutiens les propriétaires d'entreprises en Floride et à New York. Mais je soutiens également les propriétaires d'entreprises du Wisconsin et du Texas.

    Même si je pense que l'idée de personnes en bonne santé portant des masques lorsqu'ils sont en public est ridicule, stupide, idiote, ridicule, comique, malsaine et nuisible, je soutiens le droit des entreprises d'exiger ou d'interdire des masques à leurs clients, même si leur les décisions sont non scientifiques, motivées par des considérations politiques ou fondées sur la propagande ou la désinformation du gouvernement.

    Pourquoi ? Parce que je soutiens le droit des entreprises d'exiger ou d'interdire les chemises rouges, les chemises vertes, les chemises bleues, les chemises jaunes, les chemises roses, les chemises noires ou pas de chemises du tout. Tout comme je soutiens le droit des entreprises de discriminer n'importe qui sur la base de la race, de la couleur, de la religion, de l'origine nationale, du sexe, de l'orientation sexuelle, de l'identité de genre, de la coiffure, de la couleur des cheveux, des poils du visage, des tatouages, des cicatrices, de la taille, du poids, de l'âge , teint, couvre-chef, idéologie politique ou handicap.

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  24. Cela est vrai peu importe à quel point la discrimination est irrationnelle, illogique, déraisonnable ou absurde. Et même si elle est fondée sur des stéréotypes, des préjugés, de la haine, du fanatisme, du racisme, de l'intolérance, du sexisme, de la zénophobie, de l'homophobie, ou rien du tout. Et même si cela semble arbitraire, capricieux, subjectif, injuste ou injustifié.

    Je soutiens ces choses parce que je crois en une société libre et en droits de propriété privée.

    Dans une société libre, les droits de propriété sont primordiaux. Celui qui possède la propriété établit les règles d'entrée, d'emploi et d'activité. Cela est vrai que la propriété soit une résidence privée ou un lieu d'affaires. Dans une société libre, les propriétaires auraient le droit absolu de refuser l'entrée, le service ou l'emploi à quiconque pour quelque raison que ce soit.

    Si une entreprise exige que je porte un masque pour pénétrer dans les locaux (en supposant que cela sera appliqué), j'emmènerai mon entreprise ailleurs. Je n’aime peut-être pas la décision de l’entreprise. Je peux m'en plaindre. J'essaierai peut-être d'amener les autres à boycotter l'entreprise. Mais l'entreprise devrait avoir le droit d'exiger des masques tout comme elle devrait également avoir le droit de les interdire. La cohérence exige que l'on accepte les deux prémisses.

    Dans une société libre, c'est exactement ainsi que les choses devraient fonctionner pour tout.

    Si une entreprise souhaite vendre ou servir uniquement des clients d'une race, couleur, religion, origine nationale, sexe, orientation sexuelle, idéologie politique, âge ou QI, ou exclure uniquement les clients d'une race, couleur, religion, nationalité origine, sexe, orientation sexuelle, idéologie politique, âge ou QI, alors il devrait avoir le droit de le faire. Et dans une société libre, il aurait le droit de le faire. Le problème est que nous ne vivons pas dans une société libre, comme je l’ai écrit à maintes reprises et je continuerai de le faire.

    Mais pour être clair, un mandat du gouvernement aux entreprises qui doivent obliger leurs clients à porter des masques est l'antithèse d'une société libre.

    https://www.lewrockwell.com/2020/06/laurence-m-vance/masks-in-a-free-society/

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  25. COVID: Derrière la catastrophe mondiale des maisons de soins infirmiers et l'arnaque par numéro de cas
    Qui se soucie de tous les vieillards qui meurent?


    Par Jon Rappoport
    Le blog de Jon Rappoport
    25 juin 2020


    Scandale. La tragédie. Crime en cours.

    Dans les maisons de soins infirmiers, les personnes âgées sont déjà au bord de la falaise, souffrant de maladies de longue durée et d'années de traitements médicaux toxiques… mais maintenant vous les terrifiez avec la propagande COVID… vous les étiquetez en fait «COVID», SANS JUSTIFICATION… puis vous les isolez complètement… ils sont tous seuls… aucun contact avec la famille et les amis… que pensez-vous qu'il adviendra de ces personnes fragiles et fortement droguées?

    Au 22 mai, Forbes rapporte que «… dans les 43 États qui communiquent actuellement de tels chiffres, un étonnant 42% de tous les décès dus au COVID-19 ont eu lieu dans des maisons de soins infirmiers et des résidences-services.»

    Washington Post, 18 mai: «L’Organisation mondiale de la santé a déclaré que la moitié des décès liés à la convoitise en Europe survenaient dans ces installations.»

    Titre du même article: «Crise des maisons de soins infirmiers au Canada: 81% des décès par coronavirus [dans le pays] se produisent dans des établissements de soins de longue durée.»

    The Guardian, 16 mai: «Environ 90% des 3 700 personnes décédées des coronavirus en Suède avaient plus de 70 ans, et la moitié vivaient dans des maisons de soins, selon une étude du National Board of Health and Welfare de la Suède fin avril. . "

    «Espagne - Le pays a été choqué fin mars lorsque le ministre de la Défense a révélé que des soldats dépêchés pour désinfecter les maisons avaient trouvé des personnes âgées abandonnées et mortes dans leurs lits.»

    «… Les gouvernements régionaux de Madrid et de Catalogne ont publié leurs propres chiffres sur les personnes décédées des foyers de soins à cause du virus ou en présentant des symptômes compatibles avec celui-ci.» [AKA, diagnostic absurde du globe oculaire]

    «À Madrid, le total des décès de Covid, ou soupçonnés de Covid, depuis le 8 mars s'élevait à 5 886 jeudi. En Catalogne, elle était de 3375. Entre eux, les décès dans les foyers de soins dans les deux régions représentent plus d'un tiers de tous les décès par coronavirus dans le pays. »

    Et il y avait beaucoup d'alerte précoce sur le sujet, si quelqu'un des agences de santé publique voulait faire attention - The Guardian, 13 avril: «Environ la moitié de tous les décès de Covid-19 semblent se produire dans des maisons de soins dans certains pays européens [...] Des données instantanées provenant de diverses sources officielles montrent qu'en Italie, en Espagne, en France, en Irlande et en Belgique, entre 42% et 57% des décès dus au virus se sont produits à domicile, selon le rapport d'universitaires de la London School of Economics ( LSE). "

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  26. Il y a deux contre-emplois ici, car un grand nombre de ces patients âgés sont décédés et meurent.

    Le premier est le diagnostic COVID-19, qui est soit fait sur la base absurde de simplement regarder le patient et de voir des signes généraux de maladie, tels que l'essoufflement et des symptômes pseudo-grippaux; ou par test, dont j'ai expliqué qu'il est totalement peu fiable, car il enregistre positif sur toutes sortes de germes dans le corps qui ne sont pas pertinents.

    Mais une fois le diagnostic COVID établi, les autorités médicales affirment que de nombreux patients sont décédés dans les maisons de retraite, car le virus COVID a naturellement plus d'impact sur les personnes âgées et les infirmes.

    Absurdité. Il n'est pas nécessaire d'invoquer le coronavirus pour expliquer pourquoi ces personnes en maison de repos meurent.

    Partout dans le monde, des personnes âgées, qui souffrent de maladies traditionnelles comme la grippe et la pneumonie, sont reconditionnées en tant que cas COVID. Surtout les gens dans les maisons de retraite, qui sont terrifiés par la propagande COVID et qui sont intentionnellement isolés de leurs amis et de leur famille…

    Et en fait, ils meurent de leurs multiples conditions médicales à long terme, ainsi que des années de traitement avec des médicaments toxiques…

    Plus la terreur du COVID, plus l'isolement complet, plus les conditions sales dans certaines installations, plus l'inattention et la brutalité pure et simple de la part du personnel des maisons de soins infirmiers, ainsi que des respirateurs respiratoires et de la sédation dans certains cas -

    Pas un virus.

    Pas besoin d'invoquer un virus comme explication.

    Pas besoin du tout.

    De toute évidence, si vous soustrayiez tous ces décès des statistiques officielles COVID, vous auriez une image complètement différente de la soi-disant pandémie.

    VOUS AUREZ UNE CATASTROPHE MONDIALE DE SOINS INFIRMIERS.

    Et la première chose à faire serait d'aller dans ces endroits et de les nettoyer et de les redresser et, dans de nombreux cas, d'arrêter le personnel.

    Comme l'ont souligné un certain nombre de groupes de défense des patients dans les maisons de soins infirmiers, le principal moniteur de ce qui se passe dans ces maisons et la principale source de protection des patients est la visite des familles et des amis, qui surveillent attentivement les choses.

    Mais parce que le faux diagnostic COVID conduit immédiatement à la fermeture des installations, les amis et les familles ne peuvent pas entrer. Ils sont exclus.

    Pour les planificateurs de cette fausse pandémie, tout fonctionne. Le nombre de décès COVID augmente, le nombre de cas augmente. Des nombres bidons au cœur.

    Mais des morts réelles et tragiques.

    Des gens poussés à mort par l'IDÉE concoctée d'un virus, par une HISTOIRE sur un virus.

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  27. SOURCES:

    * https://www.forbes.com/sites/theapothecary/2020/05/26/nursing-homes-assisted-living-facilities-0-6-of-the-u-s-population-43-of-u-s-covid-19-deaths/#12d6083874cd

    * https://www.washingtonpost.com/news/powerpost/paloma/the-health-202/2020/05/19/the-health-202-the-hopeful-news-about-moderna-s-coronavirus-vaccine-is-extremely-preliminary/5ec2e480602ff11bb118504f/

    * https://www.washingtonpost.com/world/the_americas/coronavirus-canada-long-term-care-nursing-homes/2020/05/18/01494ad4-947f-11ea-87a3-22d324235636_story.html

    * https://www.theguardian.com/world/2020/may/16/across-the-world-figures-reveal-horrific-covid-19-toll-of-care-home-deaths

    * https://www.theguardian.com/world/2020/apr/13/half-of-coronavirus-deaths-happen-in-care-homes-data-from-eu-suggests

    Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.

    https://www.lewrockwell.com/2020/06/jon-rappoport/covid-behind-the-global-nursing-home-disaster-and-the-case-number-scam/

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    1. La plupart des gens qui meurent dans le monde ne le sont d'un cancer, diabète, virus, etc mais FAUTE DE SOINS !
      Son identité révèle son rang ! Un riche ne doit pas mourir; Un pauvre crève.

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  28. Insultes à l'histoire des Noirs


    Par Walter E. Williams
    25 juin 2020


    De nombreux Blancs ont honte, sont attristés et se sentent coupables de notre histoire d'esclavage, de Jim Crow et de discrimination raciale flagrante. De nombreux Noirs restent en colère contre les injustices du passé et ce qu'ils considèrent comme des injustices du présent. Les Noirs comme les Blancs peuvent bénéficier d'une meilleure appréciation de l'histoire des Noirs.

    Souvent ignoré ou ignoré est le fait que, en tant que groupe, les Noirs américains ont réalisé les gains les plus importants, sur certains des obstacles les plus élevés, et dans un laps de temps plus court que tout autre groupe racial de l'histoire.

    Par exemple, si l'on additionnait les revenus et les dépenses des Noirs américains et que nous nous considérions comme une nation distincte avec notre propre produit intérieur brut, nous nous classerions bien parmi les 20 pays les plus riches. Un Américain noir, le général Colin Powell, dirigeait jadis l'armée la plus puissante du monde. Les Noirs américains sont parmi les personnalités les plus célèbres du monde, et quelques Noirs américains sont parmi les personnes les plus riches du monde comme l'investisseur Robert F. Smith, le fournisseur de services informatiques David Steward, Oprah Winfrey et la star du basket-ball Michael Jordan. De plus, il y avait un président noir américain.

    L'importance de ces réalisations ne peut être surestimée. À la fin de la guerre civile, ni un esclave ni un propriétaire d'esclaves n'auraient cru qu'un tel progrès serait possible en moins d'un siècle et demi, voire jamais. En tant que tel, il parle de la force intestinale d'un peuple. Tout aussi important, il témoigne de la grandeur d'une nation dans laquelle de tels gains étaient possibles. Nulle part ailleurs sur terre de tels progrès n'auraient pu être réalisés, sauf aux États-Unis d'Amérique.

    La question à laquelle nous sommes confrontés est de savoir comment ces gains peuvent être étendus à environ un quart de la population noire pour laquelle ils se sont révélés insaisissables. La première étape consiste à reconnaître que la lutte pour les droits civiques est terminée et gagnée. À une époque, les Noirs américains ne jouissaient pas des garanties constitutionnelles comme tout le monde. Maintenant nous le faisons. Bien que personne ne puisse nier l'existence d'une discrimination raciale résiduelle, la discrimination raciale n'est pas le problème majeur auquel est confrontée une grande partie de la communauté noire.

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  29. Un problème majeur est que certaines politiques publiques et privées récompensent la dépendance et l'irresponsabilité. La principale de ces politiques est l'État providence qui a favorisé un taux de 75% de naissances hors mariage et décimé la famille noire qui avait survécu à Jim Crow et au racisme. N'oubliez pas qu'en 1940, le taux d'illégitimité des Noirs était de 11% et que la plupart des enfants noirs étaient élevés dans des familles biparentales. La plus grande partie de la pauvreté, environ 25%, se trouve dans les ménages dirigés par des femmes. Le taux de pauvreté parmi les familles noires de mari et femme est à un seul chiffre depuis plus de deux décennies.

    Les Noirs peuvent être reconnaissants que les doubles standards et les politiques publiques et privées récompensant l'infériorité et l'irresponsabilité ne faisaient pas partie des années 20, 30, 40 et 50. S'il y en avait, alors il n'y aurait pas eu le genre d'excellence intellectuelle et de courage spirituel qui a créé le mouvement des droits civiques le plus prospère du monde. De la fin des années 1800 à 1950, certaines écoles noires étaient des modèles de réussite scolaire. Les étudiants noirs du Dunbar High School de Washington surpassaient souvent les étudiants blancs dès 1899. Des écoles telles que Frederick Douglass (Baltimore), Booker T. Washington (Atlanta), P.S. 91 (Brooklyn), McDonogh 35 (La Nouvelle-Orléans) et d'autres opéraient à un niveau d'excellence similaire.

    Un comportement autodestructeur devenu acceptable, en particulier dans les écoles à prédominance noire, n'est rien de moins qu'une trahison flagrante d'une lutte, payée avec le sang, la sueur et les larmes des générations précédentes, pour rendre possible les opportunités éducatives d'aujourd'hui qui sont régulièrement gaspillées. Je garantis que les Noirs qui ont vécu cette lutte et ne sont plus avec nous n'auraient pas cru qu'une telle trahison soit possible.

    Le gouvernement devrait faire son travail de protection des droits constitutionnels. Après cela, les Noirs devraient simplement être laissés seuls au lieu d'être étouffés par le paternalisme inspiré par la culpabilité blanche. Sur cette note, je ne peux tout simplement pas résister à la tentation de renvoyer les lecteurs à ma «Proclamation d'amnistie et de pardon», qui accorde aux Américains d'origine européenne l'amnistie et le pardon pour leurs propres griefs et ceux de leurs ancêtres contre mon peuple afin qu'ils cessent de se sentir coupables. et cesser d'agir comme des idiots dans leur relation avec les Américains d'origine africaine.

    https://www.lewrockwell.com/2020/06/walter-e-williams/insults-to-black-history/

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    1. Primo, les clairs de peau ou visages pales n'ont PAS inventé l'esclavage mais existait déjà en Afrique chez les bronzés.

      Secundo, de partout dans le monde existait l'esclavage. L'Europe avait ses centaines de millions d'esclaves depuis toujours !
      Que ce soit aux temps des rois, empereurs ou présidents, ce nano-groupuscule de dictateurs avait ses esclaves (qui composaient 99 pour cent de la population;

      Changez de race grâce au soleil ! HAHAHAHA !

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