Pourquoi je me suis s'expatrié au Vietnam ? (révélation)
jeudi, 25 juin 2020 02:50 Guillaume Rondan
Suite à la dernière vidéo présentant quelques panoramas et paysages dans le nord du Vietnam, j'ai reçu quelques questions en privé des raisons qui m'ont poussées à m'expatrier au Vietnam. Quand on croise des expatriés de longue date en Asie, il y a souvent des raisons personnelles qui nous lient à notre nouveau pays d'adoption.
(Même si la vidéo est en anglais avec les sous-titres en français, rien que l'arrière plan : ce qui se passe derrière moi vaut le détour si vous n'êtes jamais allé au Vietnam ;))
Dans cette vidéo, je vous partage les raisons qui m'ont poussées à m'expatrier au Vietnam. On parle ensemble : d'entrepreneuriat et création de business sur Internet coût de la vie et facilité d'intégration à la vie au Vietnam opportunités pour travailler et investir (immobilier, création d'entreprises) différence de mentalité entre les français et les vietnamiens climat, nourriture, choses à faire dans le pays ... j'évoque aussi les inconvénients et restrictions qu'on doit affronter en tant qu'étranger Et quelques bouts de la vie vietnamienne se passent derrière moi, des vendeurs ambulants, des conducteurs sans casques et quelques vietnamiens qui effectuent leurs étirements le long de la rivière.
Bref quelques images de l'ambiance "à la vietnamienne" ... En espérant que cela vous motive vous aussi à vous expatrier.
Concevoir sa vie internationale et son financement
mercredi, 24 juin 2020 15:23 Charles Dereeper
Bonjour Charles,
Les problèmes :
- 'Le succès se mesure par la qualité de ces actions et ces habitudes et non de ces paroles', un exemple simple, ce mail je viens de le rédiger aujourd'hui, pourtant il a tramé des jours dans mon cerveau !
J'ai démarré la formation le 06 du mois dernier, et pourtant j'aurais pu la finir en une bonne semaine et passer à la suite, mais en réalité ça à durer 1 mois, à cause de filtres bloquants (estime et confiance en soi, zone de confort, béquilles, gentillesse, procrast...) en partie et aussi les contraintes d'une famille composé de progénitures.
Oui, c'est un travail de fond, de remonter de fil en aiguille la mère de la racine du problème, la source de tous les conflits.
- Grâce à une dizaine d'année de carrière en informatique bancaire (sans diplôme, sans bac, expériences pure) ; j'ai appris 2 choses de la vie en france :
-Que le système se réinitialisera plusieurs fois (petite guerre bacté, terro ...etc) jusqu'au plantage ou réinitialisation bas niveau.
-'Qu'il faut toujours encu. l'encu. avant qu'il vous enc. sinon vous l'avez profond' désoler pour mon côté tragédie romantique mais c'est la stricte vérité, brut.
Révolution, printemps du jasmin à la menthe en 2011, qui dit crise dit tout est possible, je saute sur une opportunité familiale, je fuis Paname et prend en pleine face le tiers monde !
En attendant les beaux jours, je me rends compte de la parfaite incompatibilité de la mentalité du socialisme français avec la mentalité du reste du monde et en particulier des gazelles et des gazouilles.
-Après 2 échecs en business dû à un manque de préparation en amont et la méconnaissance de la population, et quelques années perdus, retour au goulag (Paname), avec toujours comme objectif de quitter la rate race, avec certainement une batterie de précautions,
D'ailleurs quel est l'ordre des étapes : On s'installe puis on lance la boîte dans un pays aux normes 3S, avec le risque d'échec, ou peut-on lancer en restant en France pour vérifier que cela fonctionne avant de partir ? Comment faire Charles ?
Merci pour ces richesses !
Ce client parle au début de la formation MONTER SON BUSINESS SANS SE PLANTER, puis celle des 3 "S" http://formation.objectifeco.com/charles-dereeper-les-3-s-formation/
On ne choisit pas un pays pour y travailler. La vie internationale offre ses joyaux qu'à ceux qui cassent la dépendance dans laquelle les Etats se battent pour nous plonger.
On choisit de trouver des ressources financières, le mieux étant par le business online, en comprenant l'économie et les monnaies pour optimiser et se retrouver à gagner sans trop travailler.
Les critères de choix de pays sont ceux de la vie perso. Tout au plus, ceux de la facturation pour respecter le principe de territorialité et d'établissement permanent si cher aux CRS et FATCA...
Il me paraît dangereux d'associer pays plus boulot. Le monde est peut être différent de la mentalité française mais ce sont les mêmes gars qui gèrent tous les pays selon un mode d'emploi généralisé.
Celui ci consiste à faire croire que nos voisins sont nos frères, notre race et que les autres, ce sont des étrangers. Donc cultiver la séparation. Ce qui entraîne la peur. Et de là nâit l'envie de financer l'armée du pays pour se défendre.
Ce sont des conceptions de la 3D inculquées dès notre plus jeune âge. En réalité, c'est du pipo intégral. Tous les humains sur terre sont identiques. Ils ont tous un coeur et les mêmes besoins émotionnels. Y a que des connards parasites prédateurs pour tenter de nous convaincre du contraire. Le pays, la nation, la patrie, c'est juste bon pous nous faire le cul en collectant des impôts.
Si on décide de s'expatrier, il faut reconcevoir tout ceci et s'en affranchir. Le meilleur moyen, c'est d'acheter des ressources dans un pays, de vendre des biens et services dans un autre et de vivre dans un troisième pays.
Là, tellement peu de gens font ça que ce n'est pas rentable pour les prédateurs de s'occuper à nous faire le fion. Certes, ils y consacrent un petit budget. Mais notre cible est secondaire...
La France est l'un des pires endroits pour tester un business, vu le coût de présence sur son sol qu'elle impose à ses habitants... Si on lance un business, alors la première étape consiste à réfléchir à une planque avec le coût de présence le plus bas histoire d'être confort pour prendre des risques en business. J'ai produit un update avec un tableau qui fait la liste chaque jour des pays dont la vie coute que dalle en comparaison des autres...
Article de Michael Curtis* paru sur le site American Thinker le 22 juin 2020
Dans son discours à Nice le 14 juin 2020, le président français Emmanuel Macron a déclaré: «Je serai très clair ce soir. La République n’effacera aucun nom de son histoire. Elle n’oubliera aucune de ses œuvres d’art, elle ne démontera pas de statues. »
La France, comme d’autres pays, a été touchée par le meurtre de George Floyd à Minneapolis, qui a déclenché des manifestations en France, un pays déjà troublé par le manque d’intégration des immigrants non blancs et musulmans des anciennes colonies. Les manifestations se concentrent non seulement sur la mort de Floyd mais également sur la mort d’un jeune homme de 26 ans d’origine malienne, Adama Traoré, décédé le 19 juillet 2016 des suites d’une asphyxie alors qu’il était en garde à vue. De grandes manifestations ont eu lieu avec des participants tenant des pancartes pour arrêter la violence policière, et certains faisant écho aux États-Unis en «faisant une génuflexion» et en gardant un silence de huit minutes. Des milliers de personnes se sont rassemblées place de la République à Paris et y ont escaladé la statue de Marianne, qui incarne la République.
Les protestations se concentrent sur la conviction que la race ou l’ethnicité sont toujours la base de la discrimination. Le président Macron a affirmé que le racisme est une trahison du républicanisme universel, mais aussi que le «noble combat» est inacceptable lorsqu’il est repris par les séparatistes.
La race est devenue centrale ces dernières années à bien des égards et est un sujet de division. D’une part. il y avait une exposition d’art, adaptée du travail d’une universitaire américaine Denise Murrell, en mars 2019 au Musée d’Orsay, centrée sur l’affirmation selon laquelle l’histoire de l’art avait omis les noms des modèles noirs dans les chefs-d’œuvre français de Géricault à Matisse. La justification est que dans les 300 œuvres artistiques avec des personnes de couleur, les modèles noirs «oubliés», ont été éclipsés par le racisme et les stéréotypes. D’autre part, il y a opposition à l’annulation en France de la projection du film « Autant en emporte le vent » avec l’argument selon lequel la France défendra toujours la liberté de créer et de distribuer des œuvres d’art.
Les protestations françaises ont également imité celles des États-Unis et du Royaume-Uni avec des menaces de renverser les statues de Français vénérés mais maintenant controversés. Trois de ces figures historiques en particulier sont menacés d’actions hostiles : les statues de Jean-Baptiste Colbert, Joseph Gallieni et Charles de Gaulle. Colbert, homme d’état et conseiller de Louis XIV et défenseur du mercantilisme, participa en 1685 à la rédaction du Code Noir, le code juridique qui définit la condition de l’esclavage dans l’empire colonial. Une partie du code stipulait que les esclaves fugitifs devaient avoir les oreilles coupées. L’esclavage a finalement été aboli en 1848. Gallieni était le commandant militaire des colonies qui, entre autres actions, a réprimé les rébellions contre la domination coloniale au Soudan, en Indochine française et à Madagascar en 1896, les réprimant par le travail forcé et des exécutions. Charles de Gaulle est le plus connu des trois. Le buste de de Gaulle à Hautmont dans le nord de la France près de la frontière belge a été défiguré avec le slogan «conducteur d’esclaves».
La France comme la Grande-Bretagne sont actuellement préoccupées par les protestations contre l’injustice raciale et la brutalité policière, ainsi que par les questions de racisme et de colonialisme. Le problème des statues de personnalités controversées inquiète la France comme la Grande-Bretagne. Macron comprend que l’adresse, le nom et la couleur de peau d’un individu peuvent réduire les chances de réussite dans la société française. Pourtant, il soutient que chacun peut trouver sa place quelle que soit son origine ethnique ou sa religion. Il dénonce le racisme, l’antisémitisme et la discrimination. Néanmoins, il est opposé à la suppression de statues de personnalités controversées. La République n’effacera aucune trace ni aucun nom de son histoire, et elle ne démontera aucune statue. Nous devrions regarder toute notre histoire, y compris les relations avec l’Afrique dans le but de «vérité», au lieu de nier qui nous sommes. Il faut s’unir autour du patriotisme républicain.
Cependant, il existe des nuances dans les positions officielles françaises sur la race. La porte-parole du gouvernement, Sibeth Ndiaye, une femme noire d’origine sénégalaise, a affirmé que la France devrait évaluer la représentation des personnes de couleur dans la vie publique, politique, économique et culturelle du pays. Elle a fait allusion à un problème technique. Une loi française de 1978 interdit la collecte de données sur la race, l’ethnie ou les opinions politiques ou religieuses d’une personne. La collecte de données sur la race est illégale. Par conséquent, il n’y a pas de données officielles sur la composition raciale de la population et l’étendue réelle du racisme n’est pas claire. Ndiaye soutient que la révélation de données raciales peut aider à lutter contre le « racisme subtil ». La différence entre son point de vue et celui de Macron demeure. Ndiaye soutient qu’il ne faut pas hésiter à dire que la couleur de peau n’est pas neutre.
Le dilemme français sur l’étendue du racisme existe et le problème est urgent. Mais la position du président français est claire. Le contraste avec les États-Unis est saisissant. L’histoire de la France ne sera pas réécrite et la destruction ou l’élimination des statues et monuments commémoratifs ne sera pas autorisée.
Note. Ne pas confondre avec Michael Curtiz, réalisateur d’immenses films comme « La charge de la brigade légère », « Casablanca » ou encore « Mildred Pierce » parmi les plus célèbres qu’il me plait de revoir souvent. Demain vendredi 26 juin 2020, pas de billet car je vais passer une journée à l’hôpital pour divers examens.
Il n'EXISTE PAS DE 'RACISME' dès lors que les personnes non bronzées et les personnes bronzées sont de la même race;
Il existe des races de chiens (Épagneuls bretons, Fox-terriers, lévriers afghans, bergers allemands ou st Bernard; mais; ON NE PARLE PAS DE RACES DIFFÉRENTES dès lors qu'un chien est noir, blanc, roux, etc !
D'où la distinction à faire entre les racistes qui voient une race et les gens normaux qui savent qu'un chien de race caniche peut être noir ou blanc SANS CHANGER DE RACE !
Il s'agit là d'un 'malentendu' généré par le pouvoir public (y compris les merdias) et entretenu par eux aux fins de condamner les personnes non condamnables.
Il est certain qu'une telle attitude ne date pas d'aujourd'hui et n'a JAMAIS été condamnée par les politiques antérieurs qui soutiennent ce mensonge !
Un comté de l’Oregon autorise les Noirs à ne pas porter de masques
17:00 25.06.2020
Les Afro-Américains et Latino-Américains vivant dans le comté de Lincoln (Oregon) seront autorisés à ne pas porter de masques pour prévenir les comportements discriminatoires, relate CNN.
Bien que le comté de Lincoln exige que ses résidents, majoritairement blancs, portent des masques en public en raison de l’épidémie de Covid-19, les Afro et Latino-Américains pourront ne plus le faire.
Plusieurs personnes de couleur du comté n'étaient pas à l'aise avec le port obligatoire: divers militants ont déclaré à CNN qu'ils étaient perçus comme des criminels à cause des masques. Les autorités ont ainsi décidé de les exempter de cette mesure s'ils craignent le harcèlement, ont-elles annoncé dans un communiqué.
Les actes de racisme «ont créé une vague de peur dans nos communautés de couleur. La politique destinée à les protéger en fait désormais une cible de discriminations et de harcèlements», ont justifié mercredi les responsables du comté de Lincoln.
Sont également exemptés les handicapés, les personnes souffrant de problèmes de santé dont la respiration serait obstruée par un masque et les enfants de moins de 12 ans, bien qu’ils soient toujours encouragés à se couvrir le visage.
Le comté de Lincoln, qui abrite près de 50.000 habitants, dont presque 90% sont des Blancs et moins de 1% des Noirs, selon les données du recensement, abrite en outre la réserve indienne de Siletz et une population croissante de résidents latinos.
Comportements discriminatoires
Lorsque les Centers for Disease Control and Prevention ont recommandé en avril que tous les Américains portent des masques en public, de nombreux Noirs et Latino-Américains ne se sentaient pas à l'aise. Dans leur cas, le port du masque conduisait les autres citoyens à les percevoir comme des criminels, ont déclaré des militants à CNN en avril.
«Cela [porter un masque] semble être une mesure raisonnable jusqu’à ce que la société américaine n’en ressorte», a déclaré à CNN Trevor Logan, professeur afro-américain d'économie à l'Ohio State University. «Vous dites en fait aux gens de paraître dangereux étant donné les stéréotypes raciaux qui existent.»
Les États-Unis, qui ont recensé leur premier décès lié au coronavirus début février, sont le pays le plus touché tant en nombre de morts que de cas, avec 121.979 décès pour 2.381.369 cas. Au moins 656.161 personnes ont été déclarées guéries.
Le gouvernement du Texas suspend la réouverture économique alors que la Floride et l'Arizona signalent le dernier lot d'infections: mises à jour de virus
par Tyler Durden Jeu, 25/06/2020 - 11:36
Résumé:
Arizona, Floride, rapporte les derniers chiffres Texas Gov suspend la réouverture Le gouvernement du Texas ordonne la suspension des chirurgies électives dans certains pays Le maire de New York dit que la phase 3 pourrait commencer dès le 6 juillet Les décès restent à la traîne des nouvelles infections L'Australie enregistre le plus grand bond en nombre de cas depuis avril Le Royaume-Uni a mis en garde contre une deuxième vague Les États-Unis voient un bond de ~ 45 000 nouveaux cas signalés hier Le total mondial approche les 10 millions Le total du virus du golfe Persique dépasse 400 000 L'Inde va mener une «enquête» sur les virus à New Delhi La Russie voit environ 7 000 nouveaux cas et 92 décès Dr Scott Gottlieb: la «complaisance» à l'origine d'une nouvelle épidémie aux États-Unis La Tour Eiffel rouvre jeudi
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Mise à jour (1120ET): Le chef de l'un des plus grands syndicats de travailleurs de l'emballage de viande du pays vient de révéler que 92 travailleurs d'usine sont morts dans la mesure où ces usines se sont révélées des lieux de reproduction fertiles pour l'épidémie (bien que, notamment, Beijing ait testé importé des viandes et des denrées alimentaires pour le virus, et n'a jusqu'à présent rien trouvé).
Alors que le total de cas de jeudi à NY a montré une croissance de 0,2%, conformément à la moyenne sur 7 jours, la Floride et l'Arizona viennent de communiquer leurs chiffres pour jeudi.
La Floride compte désormais 114 018 cas totaux de COVID-19, soit une augmentation de 5 004 en une journée, ainsi que 46 nouveaux décès, selon Fox13.
Le taux de tests positifs a augmenté au cours de cette période. Il est retombé à 10% mercredi après avoir atteint 18% mardi. Le total des nouveaux cas de jeudi représentait le deuxième plus grand saut en une seule journée depuis le début de la pandémie, ainsi que le 23e jour consécutif où plus de 1000 nouveaux cas ont été signalés. Les experts disent que le pic actuel est en partie dû à la multiplication des tests, mais aussi à la réouverture de l'État.
L'âge médian des personnes testées positives est demeuré 34 ans.
Avant ce pic, l'État n'avait en moyenne que ~ 700 nouveaux cas par jour au cours du dernier mois. C'était un niveau que le système de santé pouvait gérer, selon le gouverneur DeSantis. Et tandis que le nombre de nouveaux cas a augmenté au cours des dernières semaines, le nombre de décès semble avoir tendance à baisser, bien que des «retards importants» dans la communication des données, comme le dit l'État, rendent l'interprétation des tendances à court terme à partir de cette statistique moins fiable.
L'Arizona, quant à lui, a signalé un autre bond du DoD dans de nouveaux cas. L'Arizona a signalé 3 056 nouveaux cas et 27 nouveaux décès jeudi, ce qui porte le nombre total de cas confirmés à 63 030 et à 1 490 décès au total.
Pendant ce temps, le Texas Gov Abbott vient d'annoncer qu'il mettra fin au plan de réouverture, renvoyant les actions américaines dans le rouge.
LE GOUVERNEUR DU TEXAS ARRÊTE DE NOUVELLES PHASES DE RÉOUVERTURE DE L'ÉCONOMIE DE L'ÉTAT
Mise à jour (1020ET): le gouverneur du Texas, Greg Abbott, a publié un décret exécutif suspendant toutes les chirurgies électives dans plusieurs des comtés les plus touchés de l'État, y compris le comté de Travis, qui comprend Houston et ses environs.
Alors que les responsables de la santé publique signalaient une nouvelle augmentation inquiétante des hospitalisations - les chiffres à l'échelle de l'État ont vu une augmentation de 8% contre 7,3% hier - alors que les responsables à Austin ont averti jeudi que si rien n'est fait, les hôpitaux pourraient atteindre leur capacité à la mi-juillet.
Déjà, la capacité hospitalière de Houston est étendue, avec une capacité de soins intensifs déjà à 97%, car la ville active une capacité d'urgence qui pourrait elle-même être dépassée en moins de deux semaines.
À New York, quant à lui, le maire de Blasio, qui, pendant les premiers jours de mars, a averti que les New Yorkais devraient "vaquer à leurs occupations" car le coronavirus n'était pas une menace majeure, a indiqué que la deuxième phase de réouverture se déroulait si bien. , que la ville pourrait entrer en phase 3 dès le 6 juillet.
Si l'épidémie du Texas n'est pas maîtrisée dans les deux semaines, les hauts responsables de la santé du comté d'Austin ont déclaré qu'il n'aurait pas d'autre choix que d'ordonner un autre arrêt, ce qui conduirait inévitablement à une crise politique.
Selon le Chronicle, alors que les cas de COVID-19 continuent d'augmenter à Houston et au Texas, les dirigeants du Texas Medical Center devraient mettre à jour une mise à jour sur les niveaux de capacité du système hospitalier lors d'une conférence de presse jeudi.
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Mise à jour (0930ET): Voici quelque chose que nous ne voyons pas assez.
Alors que les médias ont tiré la sonnette d'alarme sur l'épidémie de nouveaux cas dans le sud et l'ouest, les décès n'ont pas augmenté parallèlement aux nouveaux cas et aux hospitalisations, car beaucoup de personnes infectées sont plus jeunes et plus susceptibles de survivre à des infections même graves.
Cependant, selon le Washington Post, les experts de la santé n'en retirent que peu de réconfort, comme le Dr Fauci a déclaré plus tôt cette semaine que les décès étaient "toujours" considérablement en retard par rapport aux cas.
"Les décès traînent toujours considérablement derrière les cas", a-t-il dit. Nous sommes curieux de savoir comment il peut être si certain alors que ce virus n'est avec nous que depuis quelques mois, mais nous nous éloignons ...
Cela suggérerait que la Floride, l'Arizona et le Texas enterreront davantage de morts en juillet ... à moins que les précautions accrues prises dans des établissements comme les maisons de soins infirmiers et les établissements de soins de longue durée continuent de protéger les plus vulnérables. Une maison d'anciens combattants, gérée par l'État de la Virginie et l'État du Massachusetts, a connu la pire épidémie du pays en raison de décisions absolument déraisonnables comme mélanger les services des malades et des patients en quelque sorte suggérant qu'ils essayaient presque d'exposer leurs patients à la virus.
À New York, une politique qui renvoyait les patients malades dans des maisons de repos où ils infectaient leurs pairs était en place jusqu'en mai.
Des États comme le Texas, la Californie, la Floride et l'Arizona ont enregistré des décès stables ou même en baisse ces dernières semaines.
Les hospitalisations pour coronavirus ont triplé à Houston depuis le Memorial Day, a déclaré mercredi le directeur général de l'Hôpital méthodiste de Houston, Marc Boom. Le Texas a signalé 5 551 nouveaux cas, le plus en une seule journée, ainsi que 4 389 hospitalisations, en hausse de près de 300 par rapport au record de mardi. Mais les décès dans la ville n'ont pas connu d'augmentation proportionnelle.
Les nouvelles règles de NY, NJ et Conn s'appliqueront aux États ayant un taux d'infection de 10 pour 100 000 personnes sur une moyenne mobile de sept jours, qui comprend actuellement neuf États appartenant actuellement à ce groupe: Alabama, Arkansas, Arizona, Floride, Floride, Caroline du Nord , Caroline du Sud, Washington, Utah et Texas.
Dans d'autres nouvelles, des experts en santé publique qui ont travaillé dans l'administration Obama insistent sur le fait que les décès rattraperont leur retard car le virus finira par se propager aux populations vulnérables. Mais est-ce vraiment exact? Comme l'a souligné le chef du CDC d'Obama, Tom Frieden, les statistiques du CDC montrent à quel point le virus attaque les personnes âgées. Du 1er février au 13 juin, le virus a été impliqué dans seulement 2 630 décès parmi les personnes de 44 ans ou moins. Mais il a été fatal à 83 426 personnes de 65 ans et plus.
Frieden a ajouté que les maisons de soins infirmiers et autres établissements de soins de longue durée sont beaucoup mieux protégés cette fois-ci qu'ils ne l'étaient lors de la première vague, ce qui suggère que les décès ne se rapprocheront probablement pas lors de la deuxième fois.
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Mise à jour (0910ET): Alors que de plus en plus d'États rejoignent la Louisiane et l'Oregon en `` interrompant '' leurs plans de réouverture, tandis que de plus en plus d'experts en santé publique avertissent que des efforts d'atténuation `` plus rigoureux '' pourraient être nécessaires, Meg Tirrell de CNBC vient de souligner que l'impact des manifestations sur le nombre total de cas de coronavirus a été mitigé.
Dans le Massachusetts, les responsables de la santé publique ont signalé peu d'impact. Mais en Californie, les responsables de la santé constatent ce qui semble être une augmentation du nombre de cas qui suggèrent que les rassemblements ont eu un impact.
Pendant ce temps, la demande de stéroïdes Dexamethasone, qui, selon une étude, a eu un impact substantiellement positif sur les symptômes des patients COVID-19, a monté en flèche. Gardez à l'esprit que le CDC et l'OMS ont initialement découragé l'utilisation de stéroïdes pour ... une raison ... une des nombreuses conclusions auxquelles "les experts" ont apparemment sauté ...
... qui s'est révélée incorrecte depuis.
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Mise à jour (0745ET): La réouverture de l'Australie ne s'est pas déroulée aussi bien que prévu. Jeudi, le pays a confirmé son plus grand nouveau lot de cas de COVID-19 depuis avril. L'État australien de Victoria a signalé 33 cas de coronavirus supplémentaires, contre 20 hier, tandis qu'il a également été annoncé que l'Australie déploierait 1000 soldats dans la capitale de l'État de Victoria, Melbourne, pour aider à contenir le dernier cluster de la région.
Le directeur européen de l'OMS affirme que l'Europe a connu sa première augmentation du nombre de cas hebdomadaires depuis longtemps, avec 11 pays confrontés à une résurgence, alors que les responsables de la santé publique au Royaume-Uni ont averti que le pays risquait une deuxième vague alors que le PM Boris Johnson s'efforçait de rouvrir.
Grâce à la «complaisance» des jeunes (ou des jeunes) dans le sud et l'ouest des États-Unis, le nombre de cas de coronavirus nouvellement confirmés a atteint son pic de fin avril de 36 400 nouveaux cas signalés en une seule journée, avec plus de de 45 000 nouveaux cas signalés hier selon le dernier décompte de NBC News, en hausse par rapport aux 39 000 que nous avons signalés mercredi soir.
Toutes les données sur les coronavirus sont signalées avec un retard de 24 heures, donc le pic record s'est vraiment produit mardi. Mais les chiffres définitifs sont arrivés et l'image est sombre. Sept États, dont la Californie, la Floride, l'Oklahoma et le Texas, ont signalé hier un nombre record de nouveaux cas, l'âge moyen des patients hospitalisés tombant à 35 ans, contre 65 lors du pic d'avril dans le nord-est.
Alors que la Floride et le Texas deviennent les deux plus grands `` points chauds '', Disney a décidé de retarder la réouverture de ses parcs à thème aux États-Unis à la suite d'une augmentation du nombre de cas en Californie et en Floride, qui ont tous deux déclaré un nombre record de nouveaux cas hier. De plus, Disney réfléchit à l'opportunité de repousser la sortie de son blockbuster "Mulan", qui aurait été la première sortie de film majeure avec des salles de cinéma rouvertes.
New York, NJ et Conn. Ont tous déclaré qu'ils appliqueraient des ordonnances de quarantaine ciblant les voyageurs en provenance de l'extérieur de l'État, et la police arrêtera certainement les voitures avec des plaques d'immatriculation hors de l'État pour voir si elles enfreignent les ordonnances de quarantaine: si ils le sont, ils peuvent s'attendre à une lourde amende, après que les États ont apparemment eu un changement d'audition suite à la prétention initiale de Cuomo selon laquelle l'ordonnance ne serait pas exécutée.
Un professionnel de la santé a averti que l'épidémie était probablement le résultat de la «complaisance» des jeunes - se rendant dans les bars et autres lieux publics surpeuplés sans prendre les précautions nécessaires.
"Les gens sont devenus complaisants, et cela revient et nous mord, très franchement", selon le PDG de l'Hôpital méthodiste de Houston, qui a parlé aux journalistes alors que le système de santé de la ville apparaît comme peut-être le plus vulnérable du pays, comme une nouvelle vague de patients COVID-19 inondent l'hôpital de la ville et les lits de soins intensifs, qui sont presque à pleine capacité.
Selon l'Associated Press, les gouvernements de New York à Melbourne prennent des mesures pour empêcher une résurgence ou maîtriser leur épidémie.
En Inde, les autorités lancent une vaste enquête sur les coronavirus, peut-être la plus ambitieuse que le monde ait vue depuis l'aube de la pandémie, alors que le gouvernement tente de maîtriser New Delhi, à la fois la capitale du pays et l'une des zones les plus touchées par le virus. Le gouvernement enquêtera sur la population totale de la ville de 29 millions d'habitants, tout le monde sera testé et devra faire face à une brève enquête d'ici le 6 juillet. C'est assez ambitieux; Pékin a réussi à tester des millions de personnes en une semaine lors de sa dernière épidémie.
Selon Al Jazeera, le nouveau plan a été annoncé mercredi après que la capitale tentaculaire soit devenue la ville la plus touchée par la pandémie en Inde avec 70 390 cas, dépassant la capitale financière de Mumbai, sa seule véritable concurrence. 3 788 nouveaux cas ont été confirmés au cours des dernières 24 heures à Delhi, a annoncé jeudi le gouvernement, contre 1 118 à Mumbai. L'Inde a enregistré jeudi un nouveau record de 16 922 cas, portant le total du pays à 473 105, le plaçant toujours en quatrième position derrière les États-Unis, le Brésil et la Russie.
L'Amérique latine et les États-Unis sont les deux plus grands contributeurs à l'augmentation du nombre mondial de coronavirus, mais deux autres régions - le Moyen-Orient et l'Afrique - apparaissent dans le rétroviseur.
Les cas de COVID-19 dans la région du golfe Persique ont dépassé 400 000, selon les données de Johns Hopkins, alors que le nombre de cas quotidiens signalés grimpe à mesure que les gouvernements commencent à assouplir les restrictions. Les cas africains ont dépassé 336 000 jeudi, après une augmentation de 10 000 infections annoncée mercredi soir.
Les Émirats arabes unis, siège de Dubaï et d'autres villes internationales populaires, ont annoncé qu'ils lèveraient enfin un couvre-feu nocturne depuis la mi-mars, car le nombre de cas qu'il signale chaque jour a diminué de 2/3.
L'épidémie mondiale devrait atteindre 10 millions de personnes la semaine prochaine, a annoncé l'Organisation mondiale de la santé, avertissant que le virus n'avait pas encore atteint son pic en Amérique du Nord et du Sud. Aux États-Unis, jeudi matin, plus de 9,4 millions de personnes dans le monde avaient reçu un diagnostic de COVID-19, avec plus de 4,7 millions de personnes récupérées et près de 483 000 décès par unité JHU.
L'Indonésie, un pays qui a attiré l'attention du monde au tout début lorsque son gouvernement a reconnu qu'il cachait activement des preuves du virus, a finalement vu son cas se classer parmi les 50 000 premiers, bien que le gouvernement insiste sur le fait que l'amélioration des tests est responsable de la récente hausse de nouveaux cas confirmés.
La Russie a confirmé 7 113 nouveaux cas de nouveau coronavirus, ce qui porte son nombre à 613 994.
Jeudi, la Tour Eiffel a accueilli de nouveau les visiteurs après que l'épidémie de coronavirus a forcé le monument de Paris à sa plus longue fermeture depuis la Seconde Guerre mondiale.
Avant de partir, le Dr Scott Gottlieb est apparu sur Squawk Box ce matin pour commenter les derniers chiffres record des États-Unis. Il a déclaré que davantage d'États voient des données troublantes sur de nouveaux cas et hospitalisations, y compris la Géorgie, la Caroline du Sud, la Caroline du Nord, l'Arkansas et d'autres.
"Cela ne se limite plus à une poignée d'États", a déclaré le Dr. "Il va être difficile maintenant de contrôler cela."
Enfin, la Russie a confirmé 7 113 nouveaux cas jeudi, poussant son bilan à 613 994, alors que les chiffres quotidiens diminuent lentement. Seuls 92 décès ont été enregistrés, ce qui porte le nombre de morts à 8 605. Certes, les critiques affirment que le gouvernement de Vladimir Poutine sous-estime délibérément les décès.
par Tyler Durden Mer, 24/06/2020 - 23:45 Écrit par Soeren Kern via The Gatestone Institute,
Ceci est la partie II d'une série sur l'histoire du mouvement mondial Antifa. La première partie a décrit Antifa et a exploré les origines idéologiques du groupe. La partie II examine l'histoire, la tactique et les objectifs du mouvement aux États-Unis.
Le président américain Donald Trump a récemment annoncé que le gouvernement américain désignerait Antifa - un mouvement militant "antifasciste" - comme organisation terroriste en raison de la violence qui a éclaté lors des manifestations de George Floyd à travers les États-Unis.
Le Code des règlements fédéraux (28 CFR, article 0.85) définit le terrorisme comme << l'usage illégal de la force et de la violence contre des personnes ou des biens pour intimider ou contraindre un gouvernement, la population civile ou tout segment de celui-ci, à des fins politiques ou sociales. "
Les médias américains sympathisants à Antifa ont sauté sur sa défense. Ils soutiennent que le groupe ne peut pas être classé comme une organisation terroriste car, selon eux, il s'agit d'un mouvement de protestation vaguement défini qui n'a pas de structure centralisée.
Comme le montre le rapport suivant, Antifa est en fait très en réseau, bien financé et a un programme idéologique clair: renverser, souvent avec une violence extrême, le système politique américain, dans le but ultime de remplacer le capitalisme par le communisme. Aux États-Unis, l'objectif immédiat d'Antifa est de destituer le président Trump de ses fonctions.
Le Gatestone Institute a identifié des groupes Antifa dans les 50 États américains, à l'exception peut-être de la Virginie-Occidentale. Certains États, dont la Californie, le Texas et Washington, semblent avoir des dizaines d'organisations sous-régionales Antifa.
Il est difficile de déterminer précisément la taille du mouvement Antifa aux États-Unis. Les soi-disant «antifascistes de Reddit», la «première communauté antifasciste» sur la plate-forme de médias sociaux Reddit, comptent environ 60 000 membres. Le plus ancien groupe Antifa en Amérique, "Rose City Antifa", basé à Portland, en Oregon, compte plus de 30 000 abonnés Twitter et 20 000 abonnés Facebook, qui ne sont pas tous nécessairement des partisans. «It's Going Down», une plateforme médiatique pour anarchistes, antifascistes et anticapitalistes autonomes, compte 85 000 abonnés Twitter et 30 000 abonnés Facebook.
L'Allemagne, qui compte environ un quart de la population des États-Unis, abrite 33 000 extrémistes de gauche, dont 9 000 seraient extrêmement dangereux, selon l'agence de renseignement nationale (Bundesamt für Verfassungsschutz, BfV). Les violents agitateurs de gauche sont à prédominance masculine, entre 21 et 24 ans, généralement au chômage, et, selon BfV, 92% vivent toujours avec leurs parents. Des preuves anecdotiques suggèrent que la plupart des membres d'Antifa aux États-Unis ont un profil socio-économique similaire.
En Amérique, les groupes nationaux Antifa, dont «Torch Antifa Network», «Refuse Fascism» et «World Can't Wait» sont financés - souvent généreusement, comme indiqué ci-dessous - par des donateurs individuels ainsi que par de grandes organisations philanthropiques, dont la Fondations de l'Open Society fondées par George Soros.
Pour échapper à la détection par les forces de l'ordre, les groupes Antifa aux États-Unis utilisent souvent des plateformes de médias sociaux cryptées, telles que Signal et Telegram Messenger, pour communiquer et coordonner leurs activités, parfois à travers les frontières de l'État. Sans surprise, le ministère américain de la Justice enquête actuellement sur des individus liés à Antifa afin de démasquer l'organisation au sens large.
Origines historiques d'Antifa américain
Aux États-Unis, l'idéologie, les tactiques et les objectifs d'Antifa, loin d'être nouveaux, sont empruntés presque entièrement à des groupes Antifa en Europe, où des groupes dits antifascistes, sous une forme ou une autre, ont été actifs, presque sans interruption, depuis un siècle.
Comme en Europe, les buts et les objectifs du mouvement américain Antifa peuvent être retracés à une seule guerre idéologique globale d'un siècle contre les «idéaux fascistes» du capitalisme et du christianisme, que le mouvement Antifa veut remplacer par un «socialiste révolutionnaire». alternative."
Le premier soi-disant groupe antifasciste aux États-Unis a été la Ligue américaine contre la guerre et le fascisme, créée en 1933 par le Parti communiste américain. La Ligue, qui prétendait s'opposer au fascisme en Europe, était en fait dédiée à renverser et renverser le gouvernement américain.
Dans un témoignage au Congrès américain en 1953, le chef du CPUSA, Manning Johnson, a révélé que le parti américain avait été chargé par l'Internationale communiste dans les années 1930 de créer la Ligue américaine contre la guerre et le fascisme:
"comme couverture pour attaquer notre gouvernement, notre système social, nos dirigeants ... utilisé comme couverture pour attaquer nos forces de l'ordre et pour susciter une haine de masse contre eux ... utilisé comme couverture pour saper la sécurité nationale .. . utilisé comme couverture pour défendre les communistes, les ennemis jurés de notre grand héritage ... utilisé comme couverture pour préparer des millions de personnes idéologiquement et organisationnellement au renversement du gouvernement des États-Unis. "
Les Black Panthers, une organisation politique révolutionnaire créée en octobre 1966 par des étudiants marxistes d'Oakland, en Californie, étaient un précurseur du mouvement moderne Antifa. Le groupe a préconisé le recours à la violence et à des tactiques de guérilla pour renverser le gouvernement américain.
L'historienne Robyn C. Spencer a noté que les dirigeants de la Panthère noire étaient profondément influencés par «Le Front uni de la classe ouvrière contre le fascisme», un rapport de Georgi Dimitroff présenté au septième Congrès mondial de l'Internationale communiste en juillet et août 1935:
"En 1969, les Panthers ont commencé à utiliser le fascisme comme cadre théorique pour critiquer l'économie politique américaine. Ils ont défini le fascisme comme" le pouvoir du capital financier "qui" se manifeste non seulement comme des banques, des trusts et des monopoles mais aussi comme la propriété humaine " de FINANCE CAPITAL - l'homme d'affaires avare, le politicien démagogique et le flic raciste. ""
En juillet 1969, les Black Panthers organisèrent une conférence "antifasciste" intitulée "Front uni contre le fascisme", à laquelle assistèrent près de 5 000 militants:
"Les Panthers espéraient créer une" force nationale "avec une" idéologie révolutionnaire commune et un programme politique qui répondrait aux désirs et aux besoins fondamentaux de tous les peuples de l'Amérique fasciste, capitaliste et raciste. ""
Le dernier jour de la conférence a été consacré à un plan détaillé des Black Panthers pour décentraliser les forces de police à l'échelle nationale. Spencer a écrit:
«Ils ont proposé de modifier les chartes de la ville pour établir des services de police communautaires autonomes pour chaque ville qui seraient responsables devant les conseils de contrôle de police locaux de quartier composés de 15 membres élus de la communauté. Ils ont lancé les Comités nationaux de lutte contre le fascisme (NCCF), un réseau national multiracial , pour organiser le contrôle communautaire de la police. "
En 1970, des membres des Black Panthers ont créé un groupe terroriste appelé Black Liberation Army, dont l'objectif déclaré était «d'affaiblir l'État capitaliste ennemi».
Le membre de BLA, Assata Shakur, a décrit la structure organisationnelle du groupe, qui est similaire à celle utilisée par le mouvement Antifa d'aujourd'hui:
"L'Armée de libération noire n'était pas un groupe centralisé et organisé avec une direction et une chaîne de commandement communes. Au lieu de cela, diverses organisations et collectifs travaillaient ensemble à partir de différentes villes, et dans certaines grandes villes, il y avait souvent plusieurs groupes travaillant indépendamment les uns des autres. . "
Parmi les autres ancres idéologiques du mouvement Antifa moderne aux États-Unis, on compte un groupe terroriste de gauche connu sous le nom de Weather Underground Organisation, l'équivalent américain de la Red Army Faction allemande. Le Weather Underground, responsable des attentats à la bombe et des émeutes tout au long des années 1970, visait à «détruire l’impérialisme américain et à former un monde communiste sans classe».
L'ancien directeur de la lutte contre le terrorisme du FBI, Terry Turchie, a noté les similitudes entre Black Lives Matter aujourd'hui et les groupes Black Panther Party et Weather Underground des années 1960 et 1970:
"Le Black Panther Party était une organisation marxiste maoïste léniniste et cela venait de Huey Newton, l'un des co-fondateurs, qui a dit que nous ne représentons rien de plus que la transformation totale du gouvernement américain.
"Il a poursuivi en expliquant qu'ils voulaient prendre la tension qui existait déjà dans les communautés noires et l'exacerber là où ils le pouvaient. Pour prendre ces situations où il y a un tinderbox et allumer le pays en feu."
"Aujourd'hui, nous assistons à la troisième révolution et ils pensent qu'ils peuvent y arriver. La seule chose qui est différente, ce sont les noms des groupes."
Antifa américain
Les racines du mouvement Antifa moderne aux États-Unis remontent aux années 1980, avec la création d'Anti-Racist Action, un réseau d'aficionados anarchistes du punk rock dédié aux skinheads néo-nazis qui combattent les poings.
Mark Bray, auteur de "The Antifa Handbook", a expliqué:
«Dans de nombreux cas, le mouvement antifa moderne nord-américain a grandi comme un moyen de défendre la scène punk du mouvement néonazi skinhead, et les fondateurs du réseau original Anti-Racist Action en Amérique du Nord étaient des skinheads antiracistes. La lutte fasciste / antifasciste était essentiellement une lutte pour le contrôle de la scène punk dans les années 1980, et cela était vrai dans une grande partie de l'Amérique du Nord et dans certaines parties de l'Europe à cette époque.
"Il y a un énorme chevauchement entre la politique radicale de gauche et la scène punk, et il y a un stéréotype sur les anarchistes et les punks sales, qui est une simplification excessive mais fondée sur une certaine quantité de vérité."
Anti-Racist Action a été inspiré par Anti-Fascist Action (AFA), un groupe militant antifasciste fondé en Grande-Bretagne à la fin des années 1970. Le groupe américain partageait le penchant du groupe britannique pour avoir attaqué violemment des opposants politiques. ARA a finalement été rebaptisé Torch Network, qui rassemble actuellement neuf groupes militants Antifa.
En novembre 1999, des foules d'anarchistes masqués, prédécesseurs du mouvement Antifa d'aujourd'hui, ont ravagé le centre-ville de Seattle, Washington, lors de violentes manifestations qui ont perturbé une conférence ministérielle de l'Organisation mondiale du commerce. Les manifestations de l'OMC à Seattle ont donné naissance au mouvement anti-mondialisation.
En avril 2001, environ 50000 anticapitalistes se sont réunis à Québec pour s'opposer au troisième Sommet des Amériques, une réunion des dirigeants nord-américains et sud-américains qui négociaient une entente pour créer une zone de libre-échange qui engloberait l'hémisphère occidental.
En février 2003, des centaines de milliers de manifestants anti-guerre ont manifesté contre la guerre en Irak. Après la guerre, de toute façon, certaines parties du soi-disant mouvement progressiste se sont radicalisées et ont donné naissance au mouvement Antifa actuel.
Le Rose City Antifa (RCA), fondé à Portland, Oregon, en 2007, est le plus ancien groupe américain à utiliser "Antifa" en son nom. Antifa est dérivée d'un groupe appelé Antifaschistische Aktion, fondé en mai 1932 par des dirigeants staliniens du Parti communiste d'Allemagne. Le logo d'Antifa, avec deux drapeaux représentant l'anarchisme (drapeau noir) et le communisme (drapeau rouge), est dérivé du mouvement allemand Antifa.
Le mouvement américain Antifa a pris de l'ampleur en 2016, après que la sénatrice du Vermont Bernie Sanders, autoproclamée socialiste, a perdu la nomination du Parti démocrate à Hillary Clinton. Les partisans de Sanders de la base ont promis de continuer sa "révolution politique" pour établir le socialisme en Amérique.
Pendant ce temps, l'immigration est devenue un nouveau point d'éclair dans la politique américaine après que Donald Trump ait fait campagne sur l'engagement de réduire la migration illégale. En juin 2016, des manifestants ont violemment attaqué des partisans de Donald Trump à l'extérieur d'un rassemblement à San Jose, en Californie. En janvier 2017, des centaines d'émeutiers d'Antifa ont tenté de perturber la cérémonie d'inauguration du président Trump à Washington, DC.
En février 2017, des émeutiers d'Antifa utilisant des tactiques dites de bloc noir - ils portent des vêtements noirs, des masques ou d'autres éléments dissimulant le visage afin qu'ils ne puissent pas être identifiés par la police - ont fermé un discours de Milos Yiannopoulos, un activiste d'extrême droite qui était devrait prendre la parole à l'Université de Californie à Berkeley, berceau du mouvement pour la liberté d'expression de 1964. Les radicaux antifa ont affirmé que Yiannopoulos prévoyait de "retirer" les étudiants sans papiers à Berkeley dans le but de les faire arrêter. Des vandales masqués d'Antifa armés de cocktails Molotov, de briques et d'une foule d'autres armes de fortune ont combattu la police et causé plus de 100 000 $ de dégâts matériels.
En juin 2018, le représentant républicain Dan Donovan de New York a présenté le projet de loi HR 6054 - «Unmasking Antifa Act of 2018» - qui prévoit des peines de prison allant jusqu'à 15 ans pour quiconque, tout en portant un masque ou un déguisement, «blesse, opprime, menace ou intimide "quelqu'un d'autre qui exerce tout droit ou privilège garanti par la Constitution américaine. Le projet de loi reste bloqué à la Chambre des représentants.
En juillet 2019, le radical Antifa Willem Van Spronsen a tenté de bombarder le centre de détention américain de l'immigration et des douanes à Tacoma, Washington. Il a été tué lors d'une confrontation avec la police.
Le même mois, les sénateurs américains Ted Cruz et Bill Cassidy ont présenté une résolution qui qualifierait Antifa d '"organisation terroriste nationale". La résolution déclarait:
"Considérant que les membres d'Antifa, parce qu'ils croient que la liberté d'expression équivaut à la violence, ont utilisé des menaces de violence dans la poursuite de la répression des idéologies politiques opposées; Attendu que Antifa représente l'opposition aux idéaux démocratiques de réunion pacifique et de liberté d'expression pour tous; Considérant que les membres d'Antifa ont agressé physiquement des journalistes et d'autres personnes lors de manifestations et d'émeutes à Berkeley, en Californie;
"Maintenant, qu'il soit résolu, que le Sénat ... appelle à ce que les groupes et organisations à travers le pays qui agissent sous la bannière d'Antifa soient désignés comme organisations terroristes nationales."
"Antifa sont des terroristes, de violents intimidateurs masqués qui" combattent le fascisme "avec le fascisme réel, protégés par le privilège libéral", a déclaré Cassidy. "Les intimidateurs obtiennent leur chemin jusqu'à ce que quelqu'un dise non. Les élus doivent avoir du courage, pas de la lâcheté, pour empêcher le terrorisme."
Antifa exploite la mort de George Floyd
Les radicaux antifa utilisent de plus en plus des événements incendiaires comme la mort de George Floyd au Minnesota comme tremplins pour atteindre leurs objectifs plus larges, dont l'un consiste à destituer le président Trump de ses fonctions.
Le correspondant vétéran de la sécurité nationale, Bill Gertz, a récemment rapporté que le mouvement Antifa avait commencé à planifier de fomenter une insurrection anti-gouvernementale à l'échelle nationale dès novembre 2019, lorsque la saison de la campagne présidentielle américaine a véritablement débuté. L'ancien membre du personnel du Conseil de sécurité nationale, Rich Higgins, a déclaré:
<< Les actions d'Antifa représentent une rupture avec la longue tradition d'un processus politique pacifique aux États-Unis. Leur idéologie marxiste cherche non seulement à influencer les élections à court terme mais à détruire l'utilisation des élections comme facteur déterminant de la légitimité politique.
"Le but d'Antifa n'est rien de moins que de fomenter la révolution, la guerre civile et de faire taire les anticommunistes américains. Leur étiquetage des partisans et des patriotes de Trump comme des nazis et des racistes est un tarif standard pour les groupes communistes de gauche.
"Antifa fonctionne actuellement comme le commandement et le contrôle des émeutes, qui sont elles-mêmes l'utilisation manifeste de violences ciblées contre des cibles telles que les magasins - le capitalisme; les monuments - l'histoire; et les églises - Dieu."
Joe Myers, ancien fonctionnaire de la Defense Intelligence Agency et expert en contre-insurrection, a ajouté:
"L'élection du président Trump et la revitalisation de l'Amérique constituent une menace pour les objectifs nihilistes d'Antifa. Ils fomentent cette violence pour créer des ravages, du désespoir et pour viser la campagne de Trump pour la défaite en 2020. Elle utilise la violence organisée à des fins politiques: destruction de la Constitution ordre."
Le haut responsable du terrorisme de New York, le sous-commissaire au renseignement et à la lutte contre le terrorisme John Miller, a expliqué pourquoi les manifestations de George Floyd à New York étaient devenues si violentes et destructrices:
"N ° 1, avant le début des manifestations, les organisateurs de certains groupes anarchistes se sont mis à lever des fonds de cautionnement et des personnes qui seraient responsables de collecter des fonds de caution, ils ont entrepris de recruter des médecins et des équipes médicales avec des équipements à déployer en prévision de violentes interactions avec la police.
"Ils se sont préparés à commettre des dommages matériels et ont ordonné aux personnes qui les suivaient que cela soit fait de manière sélective et uniquement dans les zones les plus riches ou dans les magasins haut de gamme gérés par des sociétés.
"Et ils ont développé un réseau complexe de scouts à vélo pour aller de l'avant des manifestants dans différentes directions où se trouvaient la police et où la police n'était pas dans le but de pouvoir diriger des groupes du groupe plus large vers des endroits où ils pourraient commettre des actes de vandalisme, y compris le incendies de véhicules de police et cocktails Molotov où ils pensaient que les officiers ne seraient pas.
"Nous pensons qu'une quantité importante de personnes qui sont venues de l'extérieur de la région, qui sont venues ici ainsi que la préparation préalable, ayant des éclaireurs avancés, l'utilisation d'informations cryptées, ayant des itinéraires de réapprovisionnement pour des choses telles que l'essence et les accélérateurs comme ainsi que des pierres et des bouteilles, la levée de la caution, le placement de médecins. Ensemble, c'est un indicateur fort qu'ils prévoyaient d'agir avec désordre, dommages matériels, violence et rencontres violentes avec la police avant la première manifestation et / ou avant la première arrestation. "
Dans une interview accordée à The Epoch Times, Bernard B. Kerik, ancien commissaire de police du département de police de New York, a déclaré qu'Antifa "exploitait à 100%" les protestations de George Floyd:
"C'est dans 40 états différents et 60 villes; il serait impossible pour quelqu'un en dehors d'Antifa de financer cela. C'est une tentative radicale, de gauche et socialiste de révolution.
«Ils viennent d'autres villes. Cela coûte de l'argent. Ils ne l'ont pas fait par eux-mêmes. Quelqu'un paie pour cela.
"Ce que fait Antifa, c'est qu'ils détournent essentiellement la communauté noire comme leur armée. Ils incitent, ils s'opposent, ils font sortir ces jeunes hommes et femmes noirs et font des choses stupides, puis ils disparaissent au coucher du soleil." "
Après que des photos semblaient montrer des manifestants avec des radios et des écouteurs de communication de qualité militaire, Kerik a noté: "Ils doivent parler à quelqu'un dans un centre de commandement central avec un répéteur. Où ces radios vont-elles?"
Dans tout le pays, à Bellevue, dans l'État de Washington, qui a également été frappé par des pillages et des violences, le chef de la police Steve Mylett a confirmé que les responsables étaient organisés, venant de l'extérieur de la ville et payés:
«Il y a des groupes qui paient de l'argent à ces pillards pour entrer et ils sont payés par la fenêtre cassée. C'est quelque chose de totalement différent avec lequel nous n'avons jamais vu de profession auparavant. Nous avions des officiers qui étaient dans différentes régions qui chassaient ces groupes. Lorsque nous prenons contact, ils se dispersent. "
Financement Antifa
La violence coordonnée soulève des questions sur le financement d'Antifa. L'Alliance for Global Justice (AFGJ) est un groupe organisateur qui sert de parrain fiscal à de nombreuses initiatives radicales de gauche, selon Influence Watch, un groupe de recherche qui recueille des données sur les organisations de défense, les fondations et les donateurs.
L'AFGJ, qui se décrit comme "anticapitaliste" et opposée aux principes de la démocratie libérale, offre un "parrainage fiscal" à des groupes qui défendent de nombreuses causes étrangères et nationales d'extrême gauche et d'extrême gauche, notamment l'élimination de l'État d'Israël.
L'AFGJ basée à Tucson, en Arizona, et les personnes qui y sont associées, ont plaidé pour des régimes autoritaires socialistes et communistes, notamment à Cuba, au Nicaragua et au Venezuela. Dans les années 2000, l'AFGJ a participé à des manifestations anti-mondialisation. Dans les années 2010, l'AFGJ était un sponsor financier du mouvement Occupy Wall Street.
L'AFGJ a reçu un financement substantiel d'organisations prétendant souvent être le courant dominant du centre-gauche. Les fondations Open Society, Tides Foundation, Arca Foundation, Surdna Foundation, Public Welfare Foundation, Ben & Jerry Foundation et Brightwater Fund ont toutes fait des contributions à l'AFGJ, selon Influence Watch.
L'un des groupes financés par l'AFGJ s'appelle Refuse Fascism, une organisation radicale de gauche vouée à la promotion d'une action nationale pour destituer le président Donald Trump, et tous les responsables associés à son administration, au motif qu'ils constituent un "régime fasciste". " Le groupe a été présent à de nombreuses manifestations de gauche radicale à Antifa, également selon Influence Watch. Le groupe est une émanation du Parti communiste radical (RCP).
En juillet 2017, le RCP s'est vanté d'avoir participé à de violentes émeutes contre le sommet du G20 à Hambourg, en Allemagne. Le RCP a fait valoir que le capitalisme est synonyme de fascisme et que l'élection du président Trump conduirait le gouvernement américain à "matraquer et éliminer des groupes entiers de personnes".
En juin 2020, Refuse Fascism a profité de la mort de George Floyd pour collecter des fonds pour une "National Revolution Tour" visant manifestement à renverser le gouvernement américain. Le slogan du groupe stipule: "Ce système ne peut pas être réformé, il doit être renversé!"
"Utopie" d'Antifa
Pendant ce temps, à Seattle, Washington, des radicaux d'Antifa, des manifestants de Black Lives Matter et des membres de l'anticapitaliste John Brown Gun Club ont pris le contrôle du quartier d'East Precinct et ont établi une "zone autonome" de six pâtés de maisons appelée Capitol Hill. Zone autonome, «CHAZ», récemment renommée «CHOP», la manifestation organisée (ou occupée) de Capitol Hill. Un panneau en carton aux barricades déclare: "Vous quittez maintenant les États-Unis." Le groupe a publié une liste de 30 demandes, dont «l'abolition» du département de police de Seattle et du système judiciaire.
"Des viols, des vols et toutes sortes d'actes violents se sont produits dans la région et nous ne sommes pas en mesure de les atteindre", a déclaré Carmen Best, chef de la police de Seattle. Plusieurs personnes ont été blessées ou tuées.
Christopher F. Rufo, rédacteur en chef adjoint du City Journal, a observé:
"La zone autonome de Capitol Hill est une occupation et une prise d'otages: aucun des résidents du quartier n'a voté pour Antifa comme gouvernement représentatif. Plutôt que d'appliquer la loi, la classe politique progressiste de Seattle a capitulé devant la foule et fera probablement des concessions massives au cours des prochains quelques mois. Cela va enhardir la coalition Antifa - et saper davantage l'État de droit dans les villes américaines. "
Les objectifs à long terme du mouvement américain Antifa sont identiques à ceux du mouvement Antifa en Europe: remplacer le capitalisme par une utopie communiste. Mark Bray, l'un des apologistes les plus virulents d'Antifa aux États-Unis et auteur de "Antifa: The Anti-Fascist Handbook", a expliqué:
"La seule solution à long terme à la menace fasciste est de saper ses piliers de force dans la société, non seulement en raison de la suprématie blanche, mais aussi du capacitisme, de l'hétéronormativité, du patriarcat, du nationalisme, de la transphobie, de la règle de classe et de bien d'autres. Ce long terme objectif indique les tensions qui existent dans la définition de l'antifascisme, car à un certain moment, détruire le fascisme, c'est vraiment promouvoir une alternative socialiste révolutionnaire. "
Nikkita Oliver, ancien candidat à la mairie de Seattle, Washington, a ajouté:
"Nous devons nous aligner sur la lutte mondiale qui reconnaît que les États-Unis jouent un rôle dans le capitalisme racialisé. Le capitalisme racialisé est construit sur le patriarcat, la suprématie blanche et le classisme."
Patrisse Cullors, cofondatrice du mouvement Black Lives Matter, a confirmé que l'objectif immédiat est de démettre le président Trump de ses fonctions:
"Trump doit non seulement ne pas être au pouvoir en novembre, mais il doit démissionner maintenant. Trump doit être absent. Il n'est pas apte à exercer ses fonctions. Et donc, ce que nous allons faire, c'est pousser à obtenir Trump Alors que nous allons également continuer à pousser et faire pression sur Joe Biden autour de ses politiques et de sa relation avec la police et la criminalisation. Cela va être important. Mais notre objectif est de faire sortir Trump. "
Rose City Antifa a tweeté:
"En tant qu'antifascistes, nous savons que notre lutte n'est pas seulement contre le fascisme organisé, mais aussi contre l'État capitaliste et la police qui le protège. Un autre monde est possible!"
Les antifascistes de Seattle ont ajouté:
"C'est la révolution, c'est notre temps et nous ne ferons aucune excuse pour la terreur."
Un groupe appelé PNW Youth Liberation Front, l'organisation de jeunesse d'Antifa, a tweeté:
«La seule façon de gagner un monde sans police, prisons, frontières, etc., est de détruire les systèmes oppressifs dans lesquels nous sommes actuellement pris. Nous devons continuer la lutte contre l'État, l'impérialisme, le capitalisme, la suprématie blanche, le patriarcat, etc. si jamais nous voulons être libres. "
Une brochure distribuée dans la "zone autonome" de Seattle déclarait:
"L'idée que la classe ouvrière peut contrôler nos propres vies, sans États, gouvernements ou frontières, est aussi appelée anarchisme. Mais comment pouvons-nous passer de notre société capitaliste actuelle à une future société anarchiste-communiste? ... Afin de détruire l'ordre actuel, il faudra une révolution, une période de grands bouleversements. "
Une affiche dans la "zone autonome" de Seattle a déclaré:
"Oh, tu pensais que je voulais juste financer la police? Tout ce système doit disparaître."
L'un des dirigeants de la "zone autonome" de Seattle a déclaré:
"Chaque jour que je me présente ici, je ne suis pas ici pour protester pacifiquement. Je suis ici pour perturber jusqu'à ce que mes demandes soient satisfaites. Vous ne pouvez pas reconstruire tant que vous ne les avez pas complètement détruites. Répondez aux demandes des gens ou préparer à être rencontré par tous les moyens nécessaires. Par tous les moyens nécessaires. Ce n'est pas un slogan ou même un avertissement. Je fais savoir aux gens ce qui va suivre. "
Un groupe appelé le Mouvement révolutionnaire abolitionniste, qui compte près de 15 000 abonnés sur Twitter, a appelé à une insurrection:
"Salutations révolutionnaires de l'insurrection qui balayent les territoires occupés des soi-disant États-Unis d'Amérique.
"Alors que l'histoire de cette misérable nation se répète une fois de plus, ce qui est clairement devenu évident, c'est que les Noirs ont été et continueront d'être la seule force révolutionnaire capable de renverser le statu quo oppressif.
«Partout où les cochons [un terme péjoratif pour la police] ont perdu leur volonté de se battre. Leurs yeux, qui hier encore étaient des fenêtres pour vider la haine et le mépris, affichent maintenant un doute de soi et une lâcheté sournois. Pour une fois, leur comportement décrit leur faiblesse comme chaque pas qu'ils reprennent est marqué par l'hésitation.
"Ensemble, si nous continuons à pousser, cette terre d'esclavage mobilier, de génocide indigène et d'agression impériale étrangère peut enfin être anéantie de sorte qu'elle ne restera dans les mémoires que l'un des chapitres les plus laids de l'histoire de l'humanité."
Un radical Antifa du Maryland a tweeté:
"Ce n'est pas de la protestation. C'est de la rébellion. Quand la rébellion s'organise, nous obtenons la révolution. Nous voyons les débuts de cela et c'est glorieux."
Un agitateur Antifa de New York commente le drapeau américain:
"Ce sh * t est un putain de tissu avec des couleurs dessus. Il ne vit ni ne respire et n'est rien d'autre qu'une représentation. Tout Noir, Latinx ou Autochtone qui regarde cette chose étant respectée, devrait être offensé par ce drapeau qui représente le génocide, le viol, l'esclavage et la colonisation. "
Une plate-forme médiatique Antifa, "It's Going Down", a écrit:
"Le pillage est un moyen efficace de redistribution des richesses."
Un militant antifa de Caroline du Nord en liberté d'expression:
"L'idée que la liberté d'expression est la chose la plus importante que nous puissions protéger ne peut être détenue que par quelqu'un qui pense que la vie est analogue à une salle de débat. À mon avis, les fascistes" sans plate-forme "violent souvent (sic) leur discours , mais cette infraction est justifiée pour son rôle dans la lutte politique contre le fascisme. "
Torch Antifa Network, en réponse aux plans annoncés par le président Trump de désigner Antifa comme groupe terroriste:
"Antifa désignera les États-Unis d'Amérique comme organisation terroriste."
Un tiers des Américains ont pris du poids en raison du coronavirus, ce qui entraîne des bénéfices pour certains
par Tyler Durden Mer, 24/06/2020 - 22:05
Les États-Unis sont déjà la nation la plus obèse du monde et, grâce à la «Quarantaine 15», ils sont sur le point de grossir encore.
Selon un nouveau rapport publié dans Obesity Research and Clinical Practice, environ 22% des Américains (sur la base d'une extrapolation d'échantillons) ont déclaré avoir gagné entre cinq et dix livres depuis les blocages du coronavirus ("parmi ceux qui ont gagné 5 à 10 livres, il y avait pourcentage plus élevé de l'échantillon total qui a déclaré avoir augmenté leur alimentation en réponse à la vue et à l'odorat, manger en réponse au stress et grignoter après le dîner par rapport à ceux qui ont déclaré qu'ils n'avaient pas changé ces comportements du tout. ") Dans un sondage séparé de plus de 1 000 lecteurs américains de WebMD, 34% des personnes interrogées ont déclaré avoir pris du poids "en raison des restrictions COVID".
Comme le souligne Pimm Fox de Bloomberg, "les raisons de la prise de poids ne sont pas un choc: changements de régime alimentaire, manque d'exercice régulier et mode de vie généralement plus sédentaire".
Les gains de poids signalés sont confirmés par une vérification de ce que les consommateurs achètent. En dollars, du 9 février au 3 mai, les ventes d'aliments surgelés ont bondi de 36%, les collations ont augmenté de 36%, les achats d'alcool ont grimpé de 34%, les produits laitiers ont augmenté de 27% et les aliments emballés ont augmenté de 20%, selon les données du marché de Chicago. cabinet d'études IRI.
Et dans un pays où toutes les tendances peuvent être monétisées, les investisseurs font déjà de l'argent avec ce dernier épisode d'obésité: l'indice Solactive Obesity est en hausse de 26% en 2020 contre une baisse de 4,7% pour le S&P 500. L'indice d'obésité a même surperformé le Nasdaq.
Voici une liste des 20 principaux constituants de l'indice:
- voir sur site -
Il n'était pas clair ce que ces investisseurs prospectifs font avec leurs gains, mais acheter plus de nourriture est certainement une des options logiques, fermant ainsi le cercle sur ce qui pourrait s'avérer l'un des métiers les plus rentables de 2020: parier sur la grosse Amérique.
Données de santé des Français aux mains de Microsoft: «C’est extrêmement grave»
15:40 25.06.2020
La guerre contre le coronavirus pourrait en cacher d’autres. La décision de confier le stockage des données privées sur la santé des Français au Cloud de Microsoft pourrait s’avérer dangereuse. Frédéric Pierucci, une figure majeure de l’affaire Alstom, décrypte les tenants et aboutissants de cette décision pour le Désordre mondial.
La plupart des pays sortent du confinement à leur rythme, une mesure qui aura un impact sur leur santé économique et leur compétitivité. Ils tentent de doper leur économie de toutes les manières possibles, y compris en trahissant leurs principes de libre marché en choisissant des sociétés privées pour des investissements en échange d’une participation gouvernementale.
Les États-Unis, le Canada et la France ont tous évoqué cette idée lors de la crise. Est-ce que les gouvernements vont en profiter pour aller au-delà de ce que leurs citoyens, jusqu’ici, trouvaient acceptable? Entrons-nous, lors de cette période post-Covid-19, dans une ère de guerre économique intense entre les pays, par biais de leurs sociétés privées? Dans ce contexte, certains gouvernements ont-ils déjà pris des mesures à l’encontre de la sécurité ou des droits de leurs citoyens? Frédéric Pierucci est un ancien cadre dirigeant d’Alstom et auteur du livre Le piège américain: L’otage de la plus grande entreprise de déstabilisation économique témoigne (Éd. JC Lattès). Il explique le nouveau projet français de Health Data Hub:
«L’État français avait décidé de collecter toutes les données des Français et de les centraliser sur ce qui s’appelle le Health Data Hub. L’idée était de créer un outil pour permettre de faire des recherches sur les maladies. Le projet est louable en soi-même. La France est l’un des seuls pays qui collectent de manière massive toutes les données de santé.»
Également fondateur et PDG d’Ikarian, un cabinet de conseil en conformité stratégique et opérationnelle, Frédéric Pierucci développe le risque inhérent à ce projet:
«À la base, rien à dire sur le projet. Sauf que ces données, il faut bien les héberger quelque part, donc le gouvernement français a créé une entité pour gérer ce Health Data Hub, qui a sélectionné de manière extrêmement opaque un fournisseur de Cloud pour héberger ces données. L’un des gros soucis dans cette sélection était le fait que les critères d’appel d’offres faisaient en sorte que personne ne pouvait y répondre, sauf Microsoft.»
Frédéric Pierucci revient sur son expérience dans le cadre de l’affaire Alstom, qui l’a vu passer deux ans dans une prison américaine et qui a mené à la vente du fleuron français au géant américain General Electric. Il tire la sonnette d’alarme sur les dangers potentiels pour la souveraineté de la France et de ces citoyens de ce nouveau projet de big data:
«À mon avis, les États-Unis n’ont fait que légaliser l’espionnage massif qu’a révélé Snowden. Des entreprises américaines ont une protection juridique, grâce à ce Cloud Act. Sauf que ce Cloud Act est en complète contradiction avec les lois européennes, notamment la loi sur la protection des données.»
L’ancien cadre dirigeant d’Alstom fait ici référence au «Clarifying Lawful Overseas Use of Data Act», qui donne accès à la justice américaine à toutes les données stockées sur des serveurs américains. Il développe en quoi cette loi et l’hébergement de données sensibles sur des serveurs Microsoft sont dangereux:
«C’est extrêmement grave ce qui est en train de se passer. On le voit dans le Health Data Hub, qui est vraiment un sujet clé, puisque là, on touche aux données personnelles de tous les Français qui vont être hébergées sur ces serveurs de Microsoft. Mais le problème est de même pour les entreprises qui ont beaucoup de données sur le Cloud qui demain pourraient être ponctionnées par les autorités américaines.»
«Étranglement économique et financier», la stratégie de Trump contre le Venezuela
17:40 25.06.2020 Par Jean-Baptiste Mendès
L’alliance irano-vénézuélienne suscite le courroux de Washington, qui a décidé d’instaurer des sanctions contre les capitaines des navires iraniens acheminant du pétrole à Caracas. Selon Jean-Jacques Kourliandsky de l’IRIS, cette politique de Donald Trump est essentiellement liée à l’agenda électoral américain. Explications.
Sanctions américaines, à qui le tour?
C’est Mike Pompeo, le Secrétaire d’État américain, qui a annoncé le 24 juin la mise en place de sanctions à l’encontre des capitaines des cinq pétroliers iraniens important des hydrocarbures au Venezuela. «Les avoirs de ces capitaines seront bloqués. Leurs carrières et leurs perspectives [professionnelles, ndlr] en pâtiront», a-t-il ajouté, annonçant leur placement sur la liste noire du Trésor américain.
Des sanctions en grande partie symboliques, qui s’ajoutent ainsi aux mesures extraterritoriales américaines envers les deux États «parias» que sont l’Iran et le Venezuela, qui subissent par ailleurs de plein fouet la crise sanitaire mondiale. Cinq navires chargés de 1,5 million de barils de carburant et de dérivés sont effectivement arrivés le 25 mai en provenance d’Iran afin de soutenir l’économie vénézuélienne, en pénurie d’hydrocarbures.
Le pays, détenant les plus grandes réserves de pétrole au monde, n’en a jamais produit aussi peu depuis 1943, atteignant 570.000 barils par jour, selon un récent rapport de l’OPEP. Une situation paradoxale, qui s’explique par la localisation au Texas des capacités de raffinage du pétrole vénézuélien, particulièrement lourd. Le 20 juin, le cargo Golsan arrivait également en provenance d’Iran, acheminant de la nourriture.
Comment le Venezuela influe sur la politique intérieure américaine
Interrogé par Sputnik, Jean-Jacques Kourliandsky, spécialiste de l’Amérique latine à l’IRIS et à la Fondation Jean-Jaurès, estime que cette décision du Département d’État compense les déclarations de Donald Trump le 19 juin au sujet de Caracas et d’une éventuelle rencontre avec Nicolas Maduro. Proposition à laquelle ce dernier a répondu qu’il était «prêt à discuter respectueusement».
Trump a changé de position sur le Venezuela après un entretien avec Poutine, selon Bolton Dans un entretien accordé au site d’informations Axios, le Président américain a ainsi ouvert la porte à une rencontre avec son homologue vénézuélien, signalant également ses doutes concernant Juan Guaido, le Président autoproclamé. Des propos qui ont suscité l’émoi chez les Républicains. Ainsi la Maison-Blanche a-t-elle par la suite publié un rectificatif, indiquant que Donald Trump ne rencontrerait Maduro qu’afin d’«étudier les conditions de son départ», des propos qui ont provoqué un nouveau tollé chez les Républicains.
«Contrairement à la gauche radicale, je m’opposerai toujours au socialisme et soutiendrai la population vénézuélienne. Mon Administration s’est toujours positionnée pour la libération et la liberté et contre le régime répressif de Maduro. Je ne rencontrerai Maduro que pour discuter d’une seule chose: un départ pacifique du pouvoir!»
Kourliandsky rappelle notamment l’importance de l’électorat américano-cubain en Floride, État clé à majorité Républicaine pour le scrutin présidentiel de novembre prochain. Alors que le Président sortant n’est pas au mieux dans les sondages, l’annonce des sanctions par Mike Pompeo s’apparente effectivement à une opération de rattrapage «en période électorale». Ces sanctions pourraient avoir un «effet choc du point de vue médiatique», bien qu’elles ne modifient en rien la situation actuelle.
«L’affrontement militaire n’est pas la stratégie de Donald Trump. Sa stratégie est l’étranglement économique et financier. Cela dit, l’argument électoral semble actuellement l’élément principal pour lui. Ce qui concerne le Venezuela sera probablement lié à ce que ça peut lui rapporter en termes de capital électoral. Sinon, Donald Trump est assez imprévisible. On l’a vu condamner le Venezuela, l’Iran, pour des raisons officiellement idéologiques, la liberté, la démocratie, etc. Mais on l’a vu par ailleurs s’entretenir avec le leader de la Corée du Nord, Kim Jong-un, qui ne répond pas exactement à ces critères.»
Sur Twitter, Jorge Arreaza, le chef de la diplomatie vénézuélienne, a affirmé que ces représailles étaient «la preuve de la haine des faucons de (Donald) Trump contre le Venezuela». À Téhéran, le porte-parole de la diplomatie a signalé que «les mesures américaines désespérées contre des citoyens iraniens […] représentent juste l’échec lamentable» de la campagne de «pression maximale», ajoutant que les deux États «parias» aux yeux de Washington «demeureront déterminés à s’opposer aux sanctions américaines illégales».
L’alliance des «parias» Replaçant ces sanctions dans un cadre stratégique plus global, Jean-Jacques Kourliandsky explique l’intérêt de ces mesures:
«Ces capitaines ne sont pas des capitaines de sous-marins nucléaires ou de porte-avions, ce sont des capitaines de pétroliers ordinaires. On est dans le contexte de la stratégie classique de Donald Trump, les sanctions économiques et financières.»
Datant de Hugo Chavez et de Mahmoud Ahmadinejad dans les années 2000, la relation privilégiée irano-vénézuélienne s’est surtout fondée sur leur anti-américanisme. Leurs liens s’étaient relativement distendus en 2015 lorsque l’Iran est rentré dans le concert des nations avec l’accord sur le nucléaire. L’avènement au pouvoir de Donald Trump ayant détruit le «plan d’action conjoint», a paradoxalement renforcé cette relation, comme l’observe Kourliandsky: «les pays qui sont mis à l’index par les États-Unis cherchent à mutualiser leurs efforts en vue de desserrer l’étreinte».
Le pétrole iranien au Venezuela: les dessous d’une manœuvre stratégique «face à un même adversaire» L’impact économique de ces échanges reste toutefois modeste. Ces derniers ne peuvent en effet s’effectuer «que sous forme de compensation, dans la mesure où d’un côté comme de l’autre, les dollars ne peuvent pas être utilisés». Au même titre que Cuba, Caracas n’a ni accès aux marchés internationaux ni au dollar pour les transactions extérieures. Le seul produit d’exportation du pays, le pétrole, ne trouve plus d’acheteur.
Se pose alors la question des réserves d’or du Venezuela: Nicolas Maduro a souhaité retirer les 31 tonnes d’or, soit environ 891 millions d’euros, déposées dans les coffres de la Banque d’Angleterre. Sauf que Juan Guaido, reconnu par Londres, s’y oppose. Cette affaire politico-économique s’est déplacée devant la justice britannique, dont les audiences se terminent ce 25 juin.
Le Venezuela a toujours été montré (par l'opposition étrangère anti-vénézuélienne) comme étant socialiste alors que les vénézuéliens (y compris les présidents) ne se reconnaissent qu'en vénézuéliens.
Mais ce mot 'socialiste' cache en réalité une vérité toute autre: celle d'ôter le président Maduro et de mettre à sa tête un président anti-vénézuélien ! Car, tous les vénézuéliens soutiennent le président Maduro comme ils ont tous soutenu le président Chavez.
C'est là une lutte qui dure depuis des décennies afin de mettre la main sur les plus grandes ressources pétrolières du monde.
Après le président Saddam Hussein d'être désigné coupable d'avoir des ADM, se fut le tour du président Mouammar Kadhafi de subir une FAUSSE révolution dans ce pays de millionnaires où le président se promenait en voiture découverte et acclamé par tous les libyens, est venu à être désigné de terroriste le président Maduro !!
Des milliers de personnes aperçues sur une plage britannique – photo
22:56 25.06.2020
Des milliers de personnes se sont rassemblées sur les plages de Bournemouth, dans le sud de la Grande-Bretagne, sans se soucier des règles de distanciation physique. Le conseil local s’est dit «absolument consterné».
Alors que les températures montent en flèche en Grande-Bretagne, la station balnéaire de Bournemouth était littéralement noire de monde ce 25 juin. En effet, des milliers de personnes s’y sont précipitées pour profiter d’un peu de fraîcheur.
Les vacanciers d’un jour semblent avoir complètement oublié les consignes de distanciation physique, alors que le coronavirus reste présent au Royaume-Uni.
Covid-19 au Brésil: une centaine de tombes symboliques creusées sur la plage de Copacabana - vidéo Le Conseil de Bournemouth, Christchurch et Poole s’est dit «absolument consterné» et a déclaré que ces personnes avaient «défié les consignes de distanciation», les qualifiant d’«irresponsables», a indiqué Sky News.
Cet afflux sur les plages du pays est constaté alors que les thermomètres sont montés à plus de 32°C le 24 juin et plus de 33°C ce 25 juin. Or, le Royaume-Uni a enregistré 149 décès des suites du coronavirus ce jeudi, portant le nombre total des morts à 43.230, selon les chiffres du ministère de la Santé.
Même à 21h, il y avait encore beaucoup de monde sur la plage de Bournemouth, a encore constaté Sky News.
La vie rationnelle: un objectif majeur de l'arnaque au coronavirus
Par Gary D. Barnett 26 juin 2020
«Dès que nous y faisons face franchement, nous sommes conduits à la conclusion que la communauté a le droit de mettre un prix sur le droit d'y vivre… Si les gens sont aptes à vivre, qu'ils vivent dans des conditions humaines décentes. S'ils ne sont pas aptes à vivre, tuez-les d'une manière humaine décente. Faut-il s'étonner que certains d'entre nous soient amenés à prescrire la chambre mortelle comme la solution pour les cas difficiles qui sont actuellement l'excuse pour ramener tous les autres cas à leur niveau, et la seule solution qui créera un sentiment de pleine responsabilité sociale dans les populations modernes?
~ George Bernard Shaw, Prefaces (Londres: Constable and Co., 1934), p. 296.
L'idée de tuer de larges segments de la population n'a rien de nouveau, car l'eugénisme est un désir de l'élite depuis la Grèce antique et Rome, mais le terme d'eugénisme n'a été utilisé pour la première fois qu'en 1883 par Sir Francis Galton. À mesure que le temps passait et que le progrès humain s'accélérait au début du XXe siècle, le terme populaire d'eugénisme a perdu sa popularité antérieure parmi le troupeau et a été relégué aux réunions secrètes des eugénistes de l'époque. Bien que le désir de l’élite de contrôler la vie et la mort n’ait pas diminué, la manière dont elle a été discutée a été forcée de changer. Aujourd'hui, le contrôle de la population est un euphémisme pour l'eugénisme, et c'est un terme qui peut être manipulé pour promouvoir des idées qui ne sont pas facilement acceptées par les masses. Les personnes malfaisantes et trompeuses ont peu changé, mais les façons dont elles promeuvent leurs idées sont devenues beaucoup plus sophistiquées. Les véritables agendas sont pour la plupart cachés et certainement plus sinistres qu'on ne l'imaginait.
George Bernard Shaw pensait que beaucoup de gens devraient être mis hors de vie parce que cela gaspille du temps (et de l’argent) pour s’occuper d’eux. N'est-ce pas le sentiment aujourd'hui de la classe dirigeante concernant les vieux et les faibles lors de cette pandémie frauduleuse créé dans le but de prendre le contrôle total de toutes les populations? Cette pratique d'élimination de certains segments de la population n'est-elle pas bien en place depuis le début de cette fausse escroquerie à coronavirus ? Quelles parties de la population américaine ont été ciblées pour la mort depuis le début de cette fausse crise ? Ce sont les personnes âgées et infirmes, les pauvres, les faibles d'esprit et les minorités, en particulier dans les centres-villes comme New York.
À mon avis, les maisons de soins infirmiers et les établissements de soins de longue durée sont devenus le foyer des meurtres commis par l'État, et de nombreuses personnes forcées de se trouver dans ces types d'établissements ont été délibérément ciblées pour être exterminées, bien que sous couvert de les protéger par un isolement forcé, ce qui a conduit à peu ou pas de soins médicaux. Selon l'état ou le pays, une fois qu'un seul symptôme ou deux de ce qu'on appelle Covid-19 existerait chez un patient, tout l'établissement était considéré comme infecté. En raison de ce mandat, peu, le cas échéant, seraient admis à l'hôpital pour des soins généraux, et aucun pour Covid. Il s'agissait essentiellement d'une condamnation à mort pour tous ceux qui étaient malades de toute maladie dans ces maisons de soins. Dans ces circonstances, les taux de mortalité dans les maisons de soins infirmiers et les centres pour personnes âgées ont considérablement augmenté, et avec toute deuxième phase prévue, même un niveau plus élevé de décès orchestrés dans ces types d'endroits se produira. C'est une parodie.
Cela semble avoir été soigneusement tracé, et peu de temps après la soi-disant épidémie, de nouvelles directives de triage ont été mises en œuvre, l'âge uniquement étant pris en compte. Le rationnement des soins, et donc le rationnement de la vie, est devenu une autre «nouvelle norme». Le recours à l'âge requis pour le triage n'avait jamais été fait par le passé, mais ce changement à lui seul a été efficace pour aider à éliminer une grande partie de la population nécessitant des soins élevés, et donc des besoins de soins coûteux. C'était un résultat conçu pour être sûr, mais aussi basé sur des motifs complètement immoraux. Mais alors, les eugénistes ne sont jamais moraux et l'appareil gouvernemental s'est plié aux ordres de ses maîtres eugénistes. Les avantages de ces nouvelles règles étaient nombreux, car non seulement les personnes nécessitant des soins élevés étaient éliminées, mais presque tous pouvaient être considérés comme morts de Covid, alors que ce n'était pas le cas. Ces atrocités ont été précieuses pour le gouvernement d'un point de vue économique, et ont été utiles pour augmenter faussement le nombre de morts de Covid, ce qui a également contribué à propager plus de peur du virus parmi les masses. Économiquement et psychologiquement, cela a été considéré comme une victoire par la classe dirigeante, qui expose les attitudes dépravées de ceux qui contrôlent ce complot pandémique néfaste.
Méfiez-vous du langage utilisé pour apaiser les inquiétudes des membres du troupeau, car il cache la vraie vérité et les agendas recherchés par les élites et leurs pions dans la classe politique au profit de quelque chose qui semble plus agréable au public. Un tel exemple est celui de l'allocation de ressources limitées à ceux qui sont les plus susceptibles de survivre en tant que nécessité. De toute évidence, les jeunes sont plus susceptibles de survivre, donc selon les protocoles actuels des établissements médicaux, il n'y a pas de ressources disponibles pour les personnes âgées et vraiment malades. Bien que cela puisse sembler logique à première vue à certains, ce n'est qu'un piège destiné à créer l'apparence d'inquiétude du gouvernement sur la base du mensonge selon lequel les ressources sont insuffisantes. Cette notion n'est qu'une ruse en raison de la tromperie qu'une véritable pandémie est évidente quand elle ne l'est pas. Rappelez-vous que pendant cette fausse crise, de nombreux hôpitaux étaient vides ou fermés, des infirmières et des médecins ont été licenciés à travers le pays, et les soins les plus courants et les plus critiques, à l'exception des patients présumés de Covid, ont été délibérément suspendus ou supprimés. Cela signifie qu'aucun de nous n'est jugé important pour le système, jeune ou vieux, et que l'objectif principal n'est pas seulement de réduire ou d'éliminer la population âgée, mais aussi de réduire les soins pour tous.
La «prochaine vague» est maintenant fortement poussée, et cela ne vise qu'à créer plus de panique et moins d'examen des pratiques médicales actuelles et des mandats gouvernementaux. Plus la peur est évidente parmi les gens, plus il sera facile de faire avancer les programmes de contrôle, d'isolement, de masques, d'une économie fermée et dévastée, d'une perte de famille et d'amis, d'un verrouillage et d'une surveillance constants et de la «Solution finale», comme Bill Gates le décrit si en riant, de vaccination obligatoire de masse des toxines toxiques dans le monde entier. C'est là que nous nous dirigeons.
Ce ne sont pas seulement les anciens qui sont visés par ces monstres au pouvoir et leurs complices au gouvernement; c'est nous tous. La division maintenant évidente oppose tous contre tous, chaque groupe contre tous les autres groupes, noir contre blanc, et chaque individu contre chaque autre individu. Les jeunes, les vieux, les malades ou les sains ne concernent pas l'élite, seuls le pouvoir et le contrôle totaux sont importants pour les responsables, et cet agenda est magistralement exécuté en raison de la faiblesse de cette société américaine aujourd'hui ignorante et impuissante. Ce qui était autrefois spécial dans ce pays est maintenant simplement une distorsion perverse de la réalité qui est imprégnée de folie totale.
A savoir que ce ne sont ni les taxes, ni les impôts que le Peuple paie qui font vivre les fonctionnaires; La dictature vit de fausse monnaie DEPUIS TOUJOURS passant de la bonne vieille planche-à-billets au clavier d'ordinateur. Elle n'a donc besoin de personne pour acheter quoi que ce soit et juste quelques paysans ou pêcheurs pour subsister
Et comme il est plus aisé de rétablir l'esclavage pur et dur maintenant surveillé par des robots, des drones et des puces RFID, se défaire des 9/10 ème de la planète n'est pas une chose bien difficile !
Suffit que des cons croient en 'la gauche, la droite, les extrêmes ou le centre', suffit qu'ils croient en leur couleur préférée rouge, bleu, rose, noir, blanc, vert, marron, etc ou en un dieu qui n'existe pas mais qui va... les sauver ! HAHAHAHA !
CONNECTÉ ! Votre iPhone a une carte cachée de PARTOUT où vous allez - comment le trouver
Sean Keach, rédacteur en chef des technologies numériques et des sciences 25 juin 2020, 6:30 ET
VOTRE iPhone garde une trace de vos mouvements réels - que vous pouvez visualiser sur une carte.
La fonctionnalité peu connue est enfouie profondément dans les paramètres de votre iPhone et affiche vos mouvements exacts au cours des derniers mois.
Votre iPhone conserve un journal de vos mouvements réels, mais vous pouvez l'effacer quand vous le souhaitez
Qu'est-ce que les emplacements importants pour l'iPhone ?
Votre iPhone possède une fonctionnalité appelée Services de localisation, qui utilise votre position pour améliorer diverses fonctionnalités de l'appareil.
Cela inclut les emplacements significatifs, un journal continu de vos mouvements réels, qui sont ensuite utilisés pour offrir d'autres services.
Par exemple, si votre iPhone connaît votre trajet quotidien, il peut fournir des informations de chronométrage personnalisées sur votre trajet.
"Permettez à votre iPhone d'apprendre des endroits importants pour vous afin de fournir des informations utiles sur la localisation dans les cartes, le calendrier, les photos et plus", explique Apple.
Il stocke vos mouvements à travers le monde grâce à la fonction Services de localisation
Il stocke vos mouvements à travers le monde grâce à la fonction Location Services. Les emplacements importants pour iPhone sont-ils sûrs ? Vous pourriez paniquer qu'Apple tienne un journal de chacun de vos mouvements, mais ce n'est pas tout à fait le cas.
"Les emplacements importants sont cryptés et ne peuvent pas être lus par Apple", selon Apple.
Cela signifie que les informations de localisation sont stockées sur votre iPhone, et sont cryptées et dissociées de vous si elle doit quitter l'appareil.
Aucun étranger ne peut voir vos emplacements importants et ils ne sont pas non plus accessibles via iCloud.
Et même si un copain utilise votre iPhone, il ne peut pas entrer dans des emplacements importants sans avoir d'abord dépassé un verrouillage Face ID ou Touch ID.
Cependant, si vous craignez vraiment qu'un conjoint ne se faufile sur votre iPhone et vous attrape au pub alors que vous étiez censé être au travail, cela peut valoir la peine de désactiver le système - ou d'effacer au moins votre historique. Nous expliquerons comment procéder ci-dessous.
Pour trouver des emplacements importants, vous devez accéder à la confidentialité, puis trouver les services de localisation
Il convient également de mentionner que les emplacements importants sont opt-in, bien que vous ne l'ayez probablement jamais su.
Il s'allume lorsque vous activez les services de localisation pendant la configuration de l'iPhone, mais il est enfoui sous plusieurs couches de paramètres, de sorte que la plupart des gens ne savent pas qu'il existe.
Les données de localisation remontent à environ un an.
Les emplacements importants peuvent être désactivés à tout moment.
Comment trouver la carte de localisation de votre iPhone
Tout d'abord, lancez l'application Paramètres sur votre iPhone, puis appuyez sur la section Confidentialité.
Cliquez ensuite sur Services de localisation et faites défiler tout en bas de la page, où vous devrez appuyer sur Services système.
Accédez à l'onglet Emplacements significatifs, auquel cas il vous sera demandé de vous connecter avec Face ID, Touch ID ou votre code d'accès.
Vous devriez voir une longue liste de villes, que vous pouvez exploiter pour trouver divers endroits où vous avez été auparavant.
Tous ces emplacements sont horodatés et figurent sur une carte en haut de l'écran.
Il peut même mettre en évidence votre «domicile» et votre «travail», qui devraient être vos destinations les plus visitées.
Comment supprimer les emplacements importants de l'iPhone Il existe plusieurs façons de nettoyer vos emplacements importants sur l'iPhone.
La première consiste à simplement désactiver les emplacements importants lorsque vous êtes dans le bon menu.
Vous pouvez également cliquer sur le bouton Effacer l'historique à l'intérieur des emplacements importants, qui supprime vos emplacements collectés jusqu'à présent.
Alternativement, vous pouvez désactiver complètement les services de localisation, bien que cela signifie que vous perdrez certaines fonctionnalités de cartographie vraiment utiles.
Nous avons demandé à Apple à quelle fréquence le tracker met à jour votre position et comment cela fonctionne où se trouvent vos adresses personnelle et professionnelle.
Il y a un nouvel écran d'accueil iPhone à venir dans iOS 14.
Et votre iPhone peut maintenant vous dire si quelqu'un écoute via votre microphone.
Les demandes de permis d'armes à feu de l'Illinois montent de 500 % alors que les libéraux effrayés adoptent le deuxième amendement
par Tyler Durden Jeu, 25/06/2020 - 18:50
Plus de 40 000 résidents de l'Illinois ont demandé un permis d'armes à feu sur une période de deux semaines ce mois-ci, un bond de plus de 500% par rapport à la même période l'année dernière selon la police de l'État de l'Illinois.
"Prenez un grand verre de coronavirus, secouez-vous dans un plan d'émeutes et une autre de cette notion de police de défense, et tout devient fou", a déclaré le propriétaire de l'armurerie Mark Glavin au Chicago Tribune. "Sans parler de l'arriéré des vérifications des antécédents."
La vérification des antécédents obligatoire de 72 heures de l'État s'est étendue à plus d'une semaine pour certains clients de Glavin, mettant les résidents de l'Illinois dans le même bateau que les Californiens - qui ont une attente de 10 jours avant de pouvoir prendre possession des armes à feu récemment achetées.
Le bureau des services des armes à feu de la police de l'État de l'Illinois prend en moyenne 94 heures ouvrables - sans compter les jours fériés, les week-ends, le jour où l'arme est achetée ou le jour où la vente est approuvée ou refusée - pour traiter les vérifications des antécédents, environ une journée de plus que d'habitude, selon la porte-parole de la police d'État Beth Hundsdorfer.
Le bureau est responsable de la délivrance des cartes d'identité des propriétaires d'armes à feu et des permis de port dissimulé, ainsi que de la vérification des antécédents des marchands d'armes à feu titulaires d'une licence lors de la vente. Son travail a commencé à reprendre en mars et a atteint un sommet en juin, a déclaré Hundsdorfer. -Chicago Tribune
Entre le 1er juin et le 17 juin, il y a eu plus de 42 089 demandes de cartes FOID contre seulement 7 000 au cours de la même période l'an dernier, soit une augmentation de 501%. Dans un contexte plus large, il y a eu 48 194 demandes combinées entre décembre, janvier et février combinés.
"Nous savons que les achats d'armes à feu sont traditionnellement en hausse autour des élections et des grandes tragédies", a déclaré Noam Ostrander, professeur agrégé de travail social à l'Université DePaul.
"Il y a deux grands prédicteurs de la possession d'armes à feu - pas les propriétaires de carabines de type sportif - mais parmi les nouveaux propriétaires d'armes à feu en général, et c'est un risque perçu de victimisation, puis une croyance que le monde est un endroit dangereux", a poursuivi Ostrander. "Et si nous creusons dans ce deuxième, à droite, le monde ressemble à un endroit dangereux en ce moment."
Le magasin d'armes à feu de Des Plaines et propriétaire de la gamme Dan Eldridge dit que la moitié des clients qui se démènent pour s'armer sont de nouveaux acheteurs.
"Les chiffres que j'ai vus de la National Shooting Sports Foundation [...] indiquaient que 40% des répondants aux enquêtes (en magasin) étaient de nouveaux acheteurs pour la première fois. Et parmi eux, 40% sont des femmes - 40% des 40%", a déclaré Eldridge. "Nous suivons 150% d'un mois de mai typique dans la vente d'armes à feu ... et c'est en étant ouvert sur rendez-vous uniquement."
Eldridge a également noté que les ventes de munitions défensives, telles que les balles à pointe creuse, étaient 10 fois plus élevées.
"Ce qui est important, c'est que beaucoup de gens qui ont des armes à feu pour leur maison ou pour se défendre se disent:" Je ferais mieux d'avoir des munitions pour cette chose ou ça ne me fera aucun bien "", a-t-il ajouté.
Alexandra Filindra, professeure agrégée de science politique à l'Université de l'Illinois à Chicago, a déclaré qu'il existe de nombreuses recherches et preuves anecdotiques que de nombreux acheteurs d'armes blanches pour la première fois identifient comme politiquement progressistes.
"Ce n'est pas tant un problème de sécurité, bien qu'ils aient tendance à vouloir l'identifier à tort comme une peur", a déclaré Filindra. "Mais généralement, les gens qui sont très anxieux et effrayés ont tendance à être plus favorables au contrôle des armes à feu."
Un homme de Dixon âgé de 38 ans - qui ne voulait pas que son nom soit utilisé pour des raisons d’emploi - s’est décrit comme «un démocrate très libéral» qui, pendant des décennies, a été «politiquement pour la plupart des formes de contrôle des armes à feu». Mais depuis mars, il attend son premier permis de port d'armes pour qu'il puisse garder sa famille en sécurité, a-t-il déclaré.
"Mon point de vue a récemment changé et j'ai accepté que le deuxième amendement prévoit la propriété personnelle et l'utilisation d'une arme à feu", a-t-il déclaré dans un e-mail. "Les troubles sociaux récents d'un président qui divise, la pandémie et l'augmentation dramatique du chômage, et les troubles sociaux plus récents en raison de la façon dont nous contrôlons la police dans ce pays ont toutes été des raisons qui ont motivé ma récente demande." -Chicago Tribune
David Lombardo, instructeur sur les armes à feu dissimulées et propriétaire de Safer USA, a déclaré qu'il avait eu récemment plusieurs appelants qui avaient révélé leurs convictions politiques tout en lui demandant une formation privée en tête-à-tête car "ils ne veulent pas que quiconque sache qu'ils font la formation, sans parler d'aller acheter une arme à feu. "
"J'ai vu l'émergence d'une nouvelle classe d'étudiants en quête de formation: les libéraux anti-deuxième amendement", a-t-il déclaré.
Carrie Lightfoot, fondatrice du populaire blog de tir The Well Armed Woman, a déclaré qu'il n'y avait rien d'hypocrite à changer votre point de vue lorsque le monde autour de vous change. Et elle n'est pas surprise que les femmes constituent une bonne partie de ces nouveaux acheteurs d'armes à feu.
Les femmes ont toujours compris qu'elles étaient désavantagées en ce qui concerne un agresseur masculin qui sera probablement plus grand, plus lourd et plus fort. Maintenant, nous sommes "tous ébranlés jusqu'à notre cœur" par les événements mondiaux, c'est pourquoi "il est naturel" que les femmes s'arment, a-t-elle déclaré.
«Je vois des femmes devenir propriétaires d'armes à feu qui, il y a à peine quelques semaines ou mois, étaient opposées à ce que les gens possèdent des armes à feu personnellement», a déclaré Lightfoot. "Parfois, c'est dans les moments de besoin personnel et à travers nos préoccupations personnelles que le contexte de notre vie change." -Chicago Tribune
Beaucoup d'armes à feu, pas beaucoup de formation
Ostrander de DePaul souligne ce que peu disent; Les propriétaires d'armes à feu pour la première fois sont huit fois plus susceptibles de se suicider accidentellement que ceux des maisons sans armes à feu, car ils manquent de formation.
"S'ils se sentent plus en sécurité lorsqu'ils ont 5 livres de métal dans leur maison, essayons au moins de suivre quelques instructions de base. Une certaine sécurité standard des armes à feu", a-t-il déclaré.
Le nombre total de cas de coronavirus aux États-Unis est probablement 10 fois plus élevé que le décompte officiel, prévient le CDC
par Tyler Durden Jeu, 25/06/2020 - 17:30
Alors que les responsables de la santé publique se demandent si les États-Unis verront le taux de mortalité par coronavirus revenir à son pic le plus meurtrier fin avril / début mai, le CDC vient de publier un avertissement affirmant que le nombre d'Américains infectés par le coronavirus est probablement 10 fois plus élevé que nous savoir.
Si elle est exacte, cela signifierait que le nombre total de cas aux États-Unis seuls est plus proche de 20 millions. Ces chiffres sont basés sur les résultats de quelques séries de tests de surveillance utilisant des tests de détection d'anticorps. Alors que le CDC s'en tient aux chiffres, certains experts ont soulevé des questions sur les tests d'anticorps et leur sensibilité aux faux positifs. Cependant, certaines séries de tests de surveillance à NY et NYC ont révélé que jusqu'à 1/5 personnes testées (à NYC) étaient positives pour les anticorps.
Voici plus de Reuters:
Les experts gouvernementaux estiment que plus de 20 millions d'Américains auraient pu contracter le coronavirus, 10 fois plus que le nombre officiel, indiquant que de nombreuses personnes sans symptômes ont ou ont eu la maladie, ont déclaré de hauts responsables de l'administration.
L'estimation, des Centers for Disease Control and Prevention, est basée sur des tests sérologiques utilisés pour déterminer la présence d'anticorps qui montrent si une personne a eu la maladie, ont déclaré les responsables.
Les responsables, s'adressant à un petit groupe de journalistes mercredi soir, ont déclaré que l'estimation était basée sur le nombre de cas connus, entre 2,3 millions et 2,4 millions, multiplié par le taux moyen d'anticorps observés lors des tests sérologiques, environ une moyenne de 10 à 1.
"Si vous multipliez les cas par ce ratio, c'est là que vous obtenez ce chiffre de 20 millions", a déclaré un responsable.
Si elle est vraie, l'estimation suggérerait que le pourcentage de décès aux États-Unis de la maladie est inférieur à ce que l'on pensait. Plus de 120 000 Américains sont morts de la maladie depuis le début de la pandémie cette année.
Avec 20 millions de personnes infectées, le taux de mortalité aux États-Unis n'est que de 0,6%. Cela expliquerait également pourquoi les décès ont continué à stagner, voire à diminuer, alors même que de nouvelles infections sont diagnostiquées. Un épidémiologiste de Harvard largement cité, le Dr Eric Feigl-Ding, a déclaré qu'il estimait que les chiffres étaient «raisonnables» compte tenu de son expérience des tests sérologiques.
Pourtant, comme l'a souligné le Dr Feigl-Ding, ces données ne devraient pas être utilisées pour soutenir la notion selon laquelle les États-Unis ont développé des niveaux suffisamment élevés d '«immunité collective» pour aller de l'avant sans vaccin. Comme l'a souligné l'épidémiologiste suédois la semaine dernière, l'immunité collective contre le COVID-19 est quelque chose qui prend un temps étonnamment long à se développer. D'autant plus que nous ne savons pas encore si les mutations du virus rendront ces anticorps ou tout vaccin à venir obsolètes.
La traite négrière transatlantique a déraciné des millions
par Tyler Durden Ven, 26/06/2020 - 02:45
Il y a 400 ans, en août 1619, le premier navire avec des esclaves africains destinés aux États-Unis est arrivé dans ce qui était alors la colonie de Virginie. Mais, comme le fait remarquer Katharina Buchholz de Statista, l'histoire cruelle de la traite transatlantique des esclaves commence beaucoup plus tôt.
En fait, de nombreux esclaves vivaient dans les colonies anglaises d'Amérique du Nord avant cette date. Ils sont arrivés aux États-Unis actuels via des colonies espagnoles et portugaises, où des Africains réduits en esclavage sont arrivés dès 1514, ou ont été transférés en prime à partir de navires espagnols ou portugais.
Les États-Unis sont fortement associés à l'esclavage et à la capture et à la réinstallation forcée des Africains. Environ 300 000 personnes ont débarqué directement aux États-Unis, tandis que beaucoup d'autres sont arrivées via la traite négrière interaméricaine des Caraïbes ou d'Amérique latine. On estime que près de 4,5 millions d'Africains réduits en esclavage sont arrivés dans les Caraïbes et 3,2 millions dans le Brésil actuel.
On estime qu'environ 40% des Africains déracinés en provenance de l'esclavage sont venus d'Angola en Afrique australe, 30% venant de la baie du Bénin en Afrique de l'Ouest.
- voir sur site -
Infographie: le commerce transatlantique des esclaves déraciné des millions | Statista
Les chiffres tirés du projet de base de données SlaveVoyages.org indiquent le nombre d'Africains débarquant. Beaucoup d'autres sont morts en chemin à cause du manque de nourriture et d'eau et des conditions horribles à bord des navires négriers. D'autres ont été déracinés dans la région transsaharienne, la mer Rouge et la traite des esclaves indiens, qui étaient en partie antérieurs à la traite transatlantique des esclaves.
On estime que près de 20 millions de personnes ont été forcées de quitter le continent africain asservies. En 1800, cela avait décimé la population africaine à la moitié de sa taille s'il n'y avait pas eu d'esclavage.
Les sénateurs prennent des mesures pour rendre publiques les données sur les ovnis
par Tyler Durden Jeu, 25/06/2020 - 22:30 Écrit par Benjamin Wilson via SaraACarter.com,
Les législateurs de la commission du renseignement du Sénat vont de l'avant avec une demande qui ordonnerait au ministère de la Défense et aux agences de renseignement américaines de créer une collecte publique et non classée de toutes les informations et données sur le «phénomène aérien non identifié», également connu sous le nom d'objets volants non identifiés, les OVNIS .
Selon le NY Post, les sénateurs ont reconnu l'existence d'un «groupe de travail sur les phénomènes aériens non identifiés» et la nécessité d'une analyse complète des objets volants non identifiés.
«Dans son rapport joint à la loi 2020-2021 sur les autorisations du renseignement du Sénat, le sénateur de Floride Marco Rubio, président par intérim de la commission du renseignement du Sénat, charge le directeur du renseignement national, le secrétaire à la Défense et d'autres chefs d'agence de compiler des données sur les« non identifiés ». phénomène aérien », selon The Post.
Rubio et son comité ont exprimé leur inquiétude de ne pas avoir une analyse concentrée de ces objets - d'autant plus que cela pourrait constituer une menace pour la sécurité nationale. Les législateurs ont convenu que les conclusions devraient être rendues publiques.
«Le Comité comprend que les renseignements pertinents peuvent être sensibles; néanmoins, le Comité constate que le partage et la coordination des informations au sein de la communauté du renseignement sont incohérents et que cette question n'a pas retenu l'attention des hauts responsables », indique le rapport.
Selon Politico, en cas d'adoption, les agences de renseignement auraient 180 jours pour rédiger un rapport pour le directeur des renseignements nationaux et le secrétaire à la défense.
Cette décision fait suite à la publication par le Pentagone de vidéos de ces objets il y a deux mois.
Comme indiqué précédemment sur ce site d'actualités, le Pentagone a publié le 27 avril trois vidéos non classifiées montrant les rencontres de la marine américaine avec des "phénomènes aériens non identifiés".
«L'US Navy a précédemment reconnu que ces vidéos circulant dans le domaine public étaient en effet des vidéos de la Navy. Après un examen approfondi, le ministère a déterminé que la publication autorisée de ces vidéos non classifiées ne révèle aucune capacité ou système sensible et n'empiète sur aucune enquête ultérieure sur les incursions aériennes dans l'espace aérien par des phénomènes aériens non identifiés », a déclaré le DOD dans un communiqué.
La disposition adoptée aujourd'hui ira au Sénat pour un vote et pourrait conduire à une meilleure connaissance du public sur les OVNIS.
HAHAHAHA ! Imaginez-vous que, des 'extraterrestres' (qui ont parcouru des milliards de miles pour venir sur Terre) ne sont même pas descendus de leurs 'soucoupes volantes' HAHAHAHA ! pour discuter, prendre un verre, bref, se renseigner !?
C'est le même type d''ovni' entrant (en avions d'aluminium) dans des tours bardées de poutrelles verticales d'acier à N-Y le 11 Septembre 2001 !).
L'époque des hologrammes bat son plein ! Investissez dans !
En 2016, le montant investi en France en R&D a été de 49,5 milliards d'euros.
La crise de la Covid-19 que nous traversons a modifié notre perception des valeurs, notre relation au temps et à l’immédiateté... Nous a-t-elle permis de retrouver des potentialités oubliées ? Oui, sans aucun doute. Complètement improbable et inimaginable il y a quelques mois encore, le confinement nous a réappris l’attente. Nous avons réalisé que nous pouvions rester deux mois sans bouger de chez nous et vivre simultanément deux formes de temporalité, temps court avec l’instantanéité des réseaux sociaux et temps long, avec ce maintien forcé à la maison. Nous avons pris conscience que nous pouvions faire différemment.
En donnant un joli coup de projecteur aux acteurs de la recherche, cette période a également mis en lumière la nécessaire acceptation de l’attente pour obtenir l’accès à des solutions, face au virus par exemple... Attendre tout en soutenant au quotidien nos soignants.
La référence au temps et la patience se sont ainsi développées sous une contrainte acceptée pour un mieux demain.
Accélération n’est pas précipitation
En tant que découvreurs d’innovations « pépites » issues de la Recherche publique, cette temporalité du temps long est une force. La Recherche s’inscrit dans la durée. Elle n’a pas vocation à produire des solutions immédiates. Comme les racines d’un arbre, elle accroit patiemment, progressivement, profondément, la connaissance du monde. Et de cette connaissance, de cette démarche scientifique mêlant rigueur et créativité, jaillissent des découvertes qui font grandir le monde. C’est notre rôle de médi’acteurs de transformer ces Deep Tech, issues des profondeurs de la science, en solutions, produits ou services, aux côtés de chercheurs et d’entrepreneurs engagés. En un mot, de puiser dans les racines et de faire émerger de ce terreau fertile de belles pousses susceptibles de répondre aux grands enjeux sociétaux de demain.
Il y a une volonté forte des chercheurs d’aller vers la transformation de leurs résultats en solutions pour la société civile. Nous travaillons en ce sens avec eux, et cela demande du temps pour amener ces innovations technologiques jusqu’au marché, vers les patients par exemple. Pour autant, le secteur est capable d’une réactivité inouïe et d’une grande agilité quand la situation demande une réactivité particulière et il vient de le démontrer dans cette crise que nous vivons.
Ne pas opposer chercheurs et trouveurs
Il faut lutter contre une présentation facile visant à opposer recherche fondamentale et recherche appliquée, chercheurs et trouveurs, temps long et temps court... C’est un mauvais procès. Le temps long permet la prise de recul et la réflexion au regard de la découverte. L’effort en recherche fondamentale est crucial. Il faut ouvrir des pans de la connaissance aujourd’hui pour apporter des solutions demain. La recherche fondamentale a besoin de ce temps long, ce n’est pas grave et il faut juste être patient. Car c’est avec cet investissement sur la durée que nous serons en capacité d’avancer, et d’apporter des solutions aux enjeux de demain.
COMMENT VA ÉVOLUER LA MOBILITÉ DES FRANÇAIS APRÈS LE COVID-19 ?
par OTHMAN KTIRI 28/06/2020
20% des ménages non motorisés envisagent d'acheter une voiture dans les 6 prochains mois.
Les premiers signes de reprise dans le secteur automobile après la crise provoquée par la pandémie mondiale du Covid-19 nous montrent que le véhicule à usage privé redevient le grand gagnant de la mobilité citoyenne. Une tendance qui conforte la position de l'automobile comme moyen de transport préféré des Français .
C'est la nouvelle réalité à laquelle nous assistons après la crise sanitaire, où nos routines et nos habitudes de consommation évoluent ; notamment dans le secteur de la mobilité. Cette situation se renforce à un moment où la peur émerge chez les citoyens lors de l'utilisation des transports publics et où le véhicule privé n'est plus uniquement lié à la liberté mais aussi à la santé et à la sécurité.
En témoignent les données, qui montrent que les utilisateurs réguliers des transports publics ont baissé de 10%, alors que, parallèlement, 20% des ménages non motorisés envisagent d'acheter une voiture dans les 6 prochains mois.
En ce sens, une enquête récente publiée par l'institut français OpinionWay montre que la voiture reste le moyen de transport préféré des Français, tant pour les déplacements quotidiens (68%) que pour les trajets jusqu'à 100 km (74%).
Compte tenu de ces données, il est incontestable de confirmer que cette nouvelle tendance à la mobilité, apparue dans l'ère post-Covid-19, est là pour durer; au moins à court et moyen terme.
Tous ces facteurs conduisent le marché automobile à faire face à un grand défi et pour les professionnels du secteur de se demander: l'offre sera-t-elle suffisante pour répondre à la demande?
Ce que nous savons, c'est que la crise sanitaire a provoqué des retards de production considérables. Un déficit qui, d'après ce que nous constatons, ne pourra pas compenser dans les prochains mois; même pas dans un an.
Il est évident que cette carence entraînera nécessairement une augmentation des prix à la consommation, mais sans arrêter la volonté de la population de continuer à miser sur ce moyen de transport; car la sécurité restera un facteur déterminant dans le choix des déplacements.
Pourquoi je me suis s'expatrié au Vietnam ? (révélation)
RépondreSupprimerjeudi, 25 juin 2020 02:50
Guillaume Rondan
Suite à la dernière vidéo présentant quelques panoramas et paysages dans le nord du Vietnam, j'ai reçu quelques questions en privé des raisons qui m'ont poussées à m'expatrier au Vietnam. Quand on croise des expatriés de longue date en Asie, il y a souvent des raisons personnelles qui nous lient à notre nouveau pays d'adoption.
(Même si la vidéo est en anglais avec les sous-titres en français, rien que l'arrière plan : ce qui se passe derrière moi vaut le détour si vous n'êtes jamais allé au Vietnam ;))
Dans cette vidéo, je vous partage les raisons qui m'ont poussées à m'expatrier au Vietnam. On parle ensemble :
d'entrepreneuriat et création de business sur Internet
coût de la vie et facilité d'intégration à la vie au Vietnam
opportunités pour travailler et investir (immobilier, création d'entreprises)
différence de mentalité entre les français et les vietnamiens
climat, nourriture, choses à faire dans le pays ...
j'évoque aussi les inconvénients et restrictions qu'on doit affronter en tant qu'étranger
Et quelques bouts de la vie vietnamienne se passent derrière moi, des vendeurs ambulants, des conducteurs sans casques et quelques vietnamiens qui effectuent leurs étirements le long de la rivière.
Bref quelques images de l'ambiance "à la vietnamienne" ... En espérant que cela vous motive vous aussi à vous expatrier.
http://www.objectifeco.com/riche-rentier/argent/investir/pourquoi-expatriation-vietnam.html
Concevoir sa vie internationale et son financement
RépondreSupprimermercredi, 24 juin 2020 15:23
Charles Dereeper
Bonjour Charles,
Les problèmes :
- 'Le succès se mesure par la qualité de ces actions et ces habitudes et non de ces paroles', un exemple simple, ce mail je viens de le rédiger aujourd'hui, pourtant il a tramé des jours dans mon cerveau !
J'ai démarré la formation le 06 du mois dernier, et pourtant j'aurais pu la finir en une bonne semaine et passer à la suite, mais en réalité ça à durer 1 mois, à cause de filtres bloquants (estime et confiance en soi, zone de confort, béquilles, gentillesse, procrast...) en partie et aussi les contraintes d'une famille composé de progénitures.
Oui, c'est un travail de fond, de remonter de fil en aiguille la mère de la racine du problème, la source de tous les conflits.
- Grâce à une dizaine d'année de carrière en informatique bancaire (sans diplôme, sans bac, expériences pure) ; j'ai appris 2 choses de la vie en france :
-Que le système se réinitialisera plusieurs fois (petite guerre bacté, terro ...etc) jusqu'au plantage ou réinitialisation bas niveau.
-'Qu'il faut toujours encu. l'encu. avant qu'il vous enc. sinon vous l'avez profond' désoler pour mon côté tragédie romantique mais c'est la stricte vérité, brut.
Révolution, printemps du jasmin à la menthe en 2011, qui dit crise dit tout est possible, je saute sur une opportunité familiale, je fuis Paname et prend en pleine face le tiers monde !
En attendant les beaux jours, je me rends compte de la parfaite incompatibilité de la mentalité du socialisme français avec la mentalité du reste du monde et en particulier des gazelles et des gazouilles.
-Après 2 échecs en business dû à un manque de préparation en amont et la méconnaissance de la population, et quelques années perdus, retour au goulag (Paname), avec toujours comme objectif de quitter la rate race, avec certainement une batterie de précautions,
D'ailleurs quel est l'ordre des étapes : On s'installe puis on lance la boîte dans un pays aux normes 3S, avec le risque d'échec, ou peut-on lancer en restant en France pour vérifier que cela fonctionne avant de partir ? Comment faire Charles ?
Merci pour ces richesses !
Ce client parle au début de la formation MONTER SON BUSINESS SANS SE PLANTER, puis celle des 3 "S" http://formation.objectifeco.com/charles-dereeper-les-3-s-formation/
On ne choisit pas un pays pour y travailler. La vie internationale offre ses joyaux qu'à ceux qui cassent la dépendance dans laquelle les Etats se battent pour nous plonger.
RépondreSupprimerOn choisit de trouver des ressources financières, le mieux étant par le business online, en comprenant l'économie et les monnaies pour optimiser et se retrouver à gagner sans trop travailler.
Les critères de choix de pays sont ceux de la vie perso. Tout au plus, ceux de la facturation pour respecter le principe de territorialité et d'établissement permanent si cher aux CRS et FATCA...
Il me paraît dangereux d'associer pays plus boulot. Le monde est peut être différent de la mentalité française mais ce sont les mêmes gars qui gèrent tous les pays selon un mode d'emploi généralisé.
Celui ci consiste à faire croire que nos voisins sont nos frères, notre race et que les autres, ce sont des étrangers. Donc cultiver la séparation. Ce qui entraîne la peur. Et de là nâit l'envie de financer l'armée du pays pour se défendre.
Ce sont des conceptions de la 3D inculquées dès notre plus jeune âge. En réalité, c'est du pipo intégral. Tous les humains sur terre sont identiques. Ils ont tous un coeur et les mêmes besoins émotionnels. Y a que des connards parasites prédateurs pour tenter de nous convaincre du contraire. Le pays, la nation, la patrie, c'est juste bon pous nous faire le cul en collectant des impôts.
Si on décide de s'expatrier, il faut reconcevoir tout ceci et s'en affranchir. Le meilleur moyen, c'est d'acheter des ressources dans un pays, de vendre des biens et services dans un autre et de vivre dans un troisième pays.
Là, tellement peu de gens font ça que ce n'est pas rentable pour les prédateurs de s'occuper à nous faire le fion. Certes, ils y consacrent un petit budget. Mais notre cible est secondaire...
La France est l'un des pires endroits pour tester un business, vu le coût de présence sur son sol qu'elle impose à ses habitants... Si on lance un business, alors la première étape consiste à réfléchir à une planque avec le coût de présence le plus bas histoire d'être confort pour prendre des risques en business. J'ai produit un update avec un tableau qui fait la liste chaque jour des pays dont la vie coute que dalle en comparaison des autres...
Charles
http://www.objectifeco.com/expatriation/mode-demploi/debuter-choisir-son-pays/concevoir-sa-vie-internationale-et-son-financement.html
Le « racialisme » et les statues en France
RépondreSupprimerle 25 juin 2020
Article de Michael Curtis* paru sur le site American Thinker le 22 juin 2020
Dans son discours à Nice le 14 juin 2020, le président français Emmanuel Macron a déclaré: «Je serai très clair ce soir. La République n’effacera aucun nom de son histoire. Elle n’oubliera aucune de ses œuvres d’art, elle ne démontera pas de statues. »
La France, comme d’autres pays, a été touchée par le meurtre de George Floyd à Minneapolis, qui a déclenché des manifestations en France, un pays déjà troublé par le manque d’intégration des immigrants non blancs et musulmans des anciennes colonies. Les manifestations se concentrent non seulement sur la mort de Floyd mais également sur la mort d’un jeune homme de 26 ans d’origine malienne, Adama Traoré, décédé le 19 juillet 2016 des suites d’une asphyxie alors qu’il était en garde à vue. De grandes manifestations ont eu lieu avec des participants tenant des pancartes pour arrêter la violence policière, et certains faisant écho aux États-Unis en «faisant une génuflexion» et en gardant un silence de huit minutes. Des milliers de personnes se sont rassemblées place de la République à Paris et y ont escaladé la statue de Marianne, qui incarne la République.
Les protestations se concentrent sur la conviction que la race ou l’ethnicité sont toujours la base de la discrimination. Le président Macron a affirmé que le racisme est une trahison du républicanisme universel, mais aussi que le «noble combat» est inacceptable lorsqu’il est repris par les séparatistes.
La race est devenue centrale ces dernières années à bien des égards et est un sujet de division. D’une part. il y avait une exposition d’art, adaptée du travail d’une universitaire américaine Denise Murrell, en mars 2019 au Musée d’Orsay, centrée sur l’affirmation selon laquelle l’histoire de l’art avait omis les noms des modèles noirs dans les chefs-d’œuvre français de Géricault à Matisse. La justification est que dans les 300 œuvres artistiques avec des personnes de couleur, les modèles noirs «oubliés», ont été éclipsés par le racisme et les stéréotypes. D’autre part, il y a opposition à l’annulation en France de la projection du film « Autant en emporte le vent » avec l’argument selon lequel la France défendra toujours la liberté de créer et de distribuer des œuvres d’art.
Les protestations françaises ont également imité celles des États-Unis et du Royaume-Uni avec des menaces de renverser les statues de Français vénérés mais maintenant controversés. Trois de ces figures historiques en particulier sont menacés d’actions hostiles : les statues de Jean-Baptiste Colbert, Joseph Gallieni et Charles de Gaulle. Colbert, homme d’état et conseiller de Louis XIV et défenseur du mercantilisme, participa en 1685 à la rédaction du Code Noir, le code juridique qui définit la condition de l’esclavage dans l’empire colonial. Une partie du code stipulait que les esclaves fugitifs devaient avoir les oreilles coupées. L’esclavage a finalement été aboli en 1848. Gallieni était le commandant militaire des colonies qui, entre autres actions, a réprimé les rébellions contre la domination coloniale au Soudan, en Indochine française et à Madagascar en 1896, les réprimant par le travail forcé et des exécutions. Charles de Gaulle est le plus connu des trois. Le buste de de Gaulle à Hautmont dans le nord de la France près de la frontière belge a été défiguré avec le slogan «conducteur d’esclaves».
RépondreSupprimerLa France comme la Grande-Bretagne sont actuellement préoccupées par les protestations contre l’injustice raciale et la brutalité policière, ainsi que par les questions de racisme et de colonialisme. Le problème des statues de personnalités controversées inquiète la France comme la Grande-Bretagne. Macron comprend que l’adresse, le nom et la couleur de peau d’un individu peuvent réduire les chances de réussite dans la société française. Pourtant, il soutient que chacun peut trouver sa place quelle que soit son origine ethnique ou sa religion. Il dénonce le racisme, l’antisémitisme et la discrimination. Néanmoins, il est opposé à la suppression de statues de personnalités controversées. La République n’effacera aucune trace ni aucun nom de son histoire, et elle ne démontera aucune statue. Nous devrions regarder toute notre histoire, y compris les relations avec l’Afrique dans le but de «vérité», au lieu de nier qui nous sommes. Il faut s’unir autour du patriotisme républicain.
Cependant, il existe des nuances dans les positions officielles françaises sur la race. La porte-parole du gouvernement, Sibeth Ndiaye, une femme noire d’origine sénégalaise, a affirmé que la France devrait évaluer la représentation des personnes de couleur dans la vie publique, politique, économique et culturelle du pays. Elle a fait allusion à un problème technique. Une loi française de 1978 interdit la collecte de données sur la race, l’ethnie ou les opinions politiques ou religieuses d’une personne. La collecte de données sur la race est illégale. Par conséquent, il n’y a pas de données officielles sur la composition raciale de la population et l’étendue réelle du racisme n’est pas claire. Ndiaye soutient que la révélation de données raciales peut aider à lutter contre le « racisme subtil ». La différence entre son point de vue et celui de Macron demeure. Ndiaye soutient qu’il ne faut pas hésiter à dire que la couleur de peau n’est pas neutre.
Le dilemme français sur l’étendue du racisme existe et le problème est urgent. Mais la position du président français est claire. Le contraste avec les États-Unis est saisissant. L’histoire de la France ne sera pas réécrite et la destruction ou l’élimination des statues et monuments commémoratifs ne sera pas autorisée.
RépondreSupprimerNote. Ne pas confondre avec Michael Curtiz, réalisateur d’immenses films comme « La charge de la brigade légère », « Casablanca » ou encore « Mildred Pierce » parmi les plus célèbres qu’il me plait de revoir souvent. Demain vendredi 26 juin 2020, pas de billet car je vais passer une journée à l’hôpital pour divers examens.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/06/25/le-racialisme-et-les-statues-en-france/
Il n'EXISTE PAS DE 'RACISME' dès lors que les personnes non bronzées et les personnes bronzées sont de la même race;
SupprimerIl existe des races de chiens (Épagneuls bretons, Fox-terriers, lévriers afghans, bergers allemands ou st Bernard; mais; ON NE PARLE PAS DE RACES DIFFÉRENTES dès lors qu'un chien est noir, blanc, roux, etc !
D'où la distinction à faire entre les racistes qui voient une race et les gens normaux qui savent qu'un chien de race caniche peut être noir ou blanc SANS CHANGER DE RACE !
Il s'agit là d'un 'malentendu' généré par le pouvoir public (y compris les merdias) et entretenu par eux aux fins de condamner les personnes non condamnables.
Il est certain qu'une telle attitude ne date pas d'aujourd'hui et n'a JAMAIS été condamnée par les politiques antérieurs qui soutiennent ce mensonge !
Un comté de l’Oregon autorise les Noirs à ne pas porter de masques
RépondreSupprimer17:00 25.06.2020
Les Afro-Américains et Latino-Américains vivant dans le comté de Lincoln (Oregon) seront autorisés à ne pas porter de masques pour prévenir les comportements discriminatoires, relate CNN.
Bien que le comté de Lincoln exige que ses résidents, majoritairement blancs, portent des masques en public en raison de l’épidémie de Covid-19, les Afro et Latino-Américains pourront ne plus le faire.
Plusieurs personnes de couleur du comté n'étaient pas à l'aise avec le port obligatoire: divers militants ont déclaré à CNN qu'ils étaient perçus comme des criminels à cause des masques. Les autorités ont ainsi décidé de les exempter de cette mesure s'ils craignent le harcèlement, ont-elles annoncé dans un communiqué.
Les actes de racisme «ont créé une vague de peur dans nos communautés de couleur. La politique destinée à les protéger en fait désormais une cible de discriminations et de harcèlements», ont justifié mercredi les responsables du comté de Lincoln.
Sont également exemptés les handicapés, les personnes souffrant de problèmes de santé dont la respiration serait obstruée par un masque et les enfants de moins de 12 ans, bien qu’ils soient toujours encouragés à se couvrir le visage.
Le comté de Lincoln, qui abrite près de 50.000 habitants, dont presque 90% sont des Blancs et moins de 1% des Noirs, selon les données du recensement, abrite en outre la réserve indienne de Siletz et une population croissante de résidents latinos.
Comportements discriminatoires
Lorsque les Centers for Disease Control and Prevention ont recommandé en avril que tous les Américains portent des masques en public, de nombreux Noirs et Latino-Américains ne se sentaient pas à l'aise. Dans leur cas, le port du masque conduisait les autres citoyens à les percevoir comme des criminels, ont déclaré des militants à CNN en avril.
«Cela [porter un masque] semble être une mesure raisonnable jusqu’à ce que la société américaine n’en ressorte», a déclaré à CNN Trevor Logan, professeur afro-américain d'économie à l'Ohio State University. «Vous dites en fait aux gens de paraître dangereux étant donné les stéréotypes raciaux qui existent.»
Les États-Unis, qui ont recensé leur premier décès lié au coronavirus début février, sont le pays le plus touché tant en nombre de morts que de cas, avec 121.979 décès pour 2.381.369 cas. Au moins 656.161 personnes ont été déclarées guéries.
https://fr.sputniknews.com/international/202006251044006806-un-comte-de-loregon-autorise-les-noirs-a-ne-pas-porter-de-masques/
Le gouvernement du Texas suspend la réouverture économique alors que la Floride et l'Arizona signalent le dernier lot d'infections: mises à jour de virus
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 25/06/2020 - 11:36
Résumé:
Arizona, Floride, rapporte les derniers chiffres
Texas Gov suspend la réouverture
Le gouvernement du Texas ordonne la suspension des chirurgies électives dans certains pays
Le maire de New York dit que la phase 3 pourrait commencer dès le 6 juillet
Les décès restent à la traîne des nouvelles infections
L'Australie enregistre le plus grand bond en nombre de cas depuis avril
Le Royaume-Uni a mis en garde contre une deuxième vague
Les États-Unis voient un bond de ~ 45 000 nouveaux cas signalés hier
Le total mondial approche les 10 millions
Le total du virus du golfe Persique dépasse 400 000
L'Inde va mener une «enquête» sur les virus à New Delhi
La Russie voit environ 7 000 nouveaux cas et 92 décès
Dr Scott Gottlieb: la «complaisance» à l'origine d'une nouvelle épidémie aux États-Unis
La Tour Eiffel rouvre jeudi
* * *
Mise à jour (1120ET): Le chef de l'un des plus grands syndicats de travailleurs de l'emballage de viande du pays vient de révéler que 92 travailleurs d'usine sont morts dans la mesure où ces usines se sont révélées des lieux de reproduction fertiles pour l'épidémie (bien que, notamment, Beijing ait testé importé des viandes et des denrées alimentaires pour le virus, et n'a jusqu'à présent rien trouvé).
Alors que le total de cas de jeudi à NY a montré une croissance de 0,2%, conformément à la moyenne sur 7 jours, la Floride et l'Arizona viennent de communiquer leurs chiffres pour jeudi.
La Floride compte désormais 114 018 cas totaux de COVID-19, soit une augmentation de 5 004 en une journée, ainsi que 46 nouveaux décès, selon Fox13.
Le taux de tests positifs a augmenté au cours de cette période. Il est retombé à 10% mercredi après avoir atteint 18% mardi. Le total des nouveaux cas de jeudi représentait le deuxième plus grand saut en une seule journée depuis le début de la pandémie, ainsi que le 23e jour consécutif où plus de 1000 nouveaux cas ont été signalés. Les experts disent que le pic actuel est en partie dû à la multiplication des tests, mais aussi à la réouverture de l'État.
L'âge médian des personnes testées positives est demeuré 34 ans.
Avant ce pic, l'État n'avait en moyenne que ~ 700 nouveaux cas par jour au cours du dernier mois. C'était un niveau que le système de santé pouvait gérer, selon le gouverneur DeSantis. Et tandis que le nombre de nouveaux cas a augmenté au cours des dernières semaines, le nombre de décès semble avoir tendance à baisser, bien que des «retards importants» dans la communication des données, comme le dit l'État, rendent l'interprétation des tendances à court terme à partir de cette statistique moins fiable.
L'Arizona, quant à lui, a signalé un autre bond du DoD dans de nouveaux cas. L'Arizona a signalé 3 056 nouveaux cas et 27 nouveaux décès jeudi, ce qui porte le nombre total de cas confirmés à 63 030 et à 1 490 décès au total.
Pendant ce temps, le Texas Gov Abbott vient d'annoncer qu'il mettra fin au plan de réouverture, renvoyant les actions américaines dans le rouge.
LE GOUVERNEUR DU TEXAS ARRÊTE DE NOUVELLES PHASES DE RÉOUVERTURE DE L'ÉCONOMIE DE L'ÉTAT
* * *
Mise à jour (1020ET): le gouverneur du Texas, Greg Abbott, a publié un décret exécutif suspendant toutes les chirurgies électives dans plusieurs des comtés les plus touchés de l'État, y compris le comté de Travis, qui comprend Houston et ses environs.
RépondreSupprimerAlors que les responsables de la santé publique signalaient une nouvelle augmentation inquiétante des hospitalisations - les chiffres à l'échelle de l'État ont vu une augmentation de 8% contre 7,3% hier - alors que les responsables à Austin ont averti jeudi que si rien n'est fait, les hôpitaux pourraient atteindre leur capacité à la mi-juillet.
Déjà, la capacité hospitalière de Houston est étendue, avec une capacité de soins intensifs déjà à 97%, car la ville active une capacité d'urgence qui pourrait elle-même être dépassée en moins de deux semaines.
À New York, quant à lui, le maire de Blasio, qui, pendant les premiers jours de mars, a averti que les New Yorkais devraient "vaquer à leurs occupations" car le coronavirus n'était pas une menace majeure, a indiqué que la deuxième phase de réouverture se déroulait si bien. , que la ville pourrait entrer en phase 3 dès le 6 juillet.
Si l'épidémie du Texas n'est pas maîtrisée dans les deux semaines, les hauts responsables de la santé du comté d'Austin ont déclaré qu'il n'aurait pas d'autre choix que d'ordonner un autre arrêt, ce qui conduirait inévitablement à une crise politique.
Selon le Chronicle, alors que les cas de COVID-19 continuent d'augmenter à Houston et au Texas, les dirigeants du Texas Medical Center devraient mettre à jour une mise à jour sur les niveaux de capacité du système hospitalier lors d'une conférence de presse jeudi.
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Mise à jour (0930ET): Voici quelque chose que nous ne voyons pas assez.
Alors que les médias ont tiré la sonnette d'alarme sur l'épidémie de nouveaux cas dans le sud et l'ouest, les décès n'ont pas augmenté parallèlement aux nouveaux cas et aux hospitalisations, car beaucoup de personnes infectées sont plus jeunes et plus susceptibles de survivre à des infections même graves.
Cependant, selon le Washington Post, les experts de la santé n'en retirent que peu de réconfort, comme le Dr Fauci a déclaré plus tôt cette semaine que les décès étaient "toujours" considérablement en retard par rapport aux cas.
"Les décès traînent toujours considérablement derrière les cas", a-t-il dit. Nous sommes curieux de savoir comment il peut être si certain alors que ce virus n'est avec nous que depuis quelques mois, mais nous nous éloignons ...
Cela suggérerait que la Floride, l'Arizona et le Texas enterreront davantage de morts en juillet ... à moins que les précautions accrues prises dans des établissements comme les maisons de soins infirmiers et les établissements de soins de longue durée continuent de protéger les plus vulnérables. Une maison d'anciens combattants, gérée par l'État de la Virginie et l'État du Massachusetts, a connu la pire épidémie du pays en raison de décisions absolument déraisonnables comme mélanger les services des malades et des patients en quelque sorte suggérant qu'ils essayaient presque d'exposer leurs patients à la virus.
À New York, une politique qui renvoyait les patients malades dans des maisons de repos où ils infectaient leurs pairs était en place jusqu'en mai.
Des États comme le Texas, la Californie, la Floride et l'Arizona ont enregistré des décès stables ou même en baisse ces dernières semaines.
Les hospitalisations pour coronavirus ont triplé à Houston depuis le Memorial Day, a déclaré mercredi le directeur général de l'Hôpital méthodiste de Houston, Marc Boom. Le Texas a signalé 5 551 nouveaux cas, le plus en une seule journée, ainsi que 4 389 hospitalisations, en hausse de près de 300 par rapport au record de mardi. Mais les décès dans la ville n'ont pas connu d'augmentation proportionnelle.
RépondreSupprimerLes nouvelles règles de NY, NJ et Conn s'appliqueront aux États ayant un taux d'infection de 10 pour 100 000 personnes sur une moyenne mobile de sept jours, qui comprend actuellement neuf États appartenant actuellement à ce groupe: Alabama, Arkansas, Arizona, Floride, Floride, Caroline du Nord , Caroline du Sud, Washington, Utah et Texas.
Dans d'autres nouvelles, des experts en santé publique qui ont travaillé dans l'administration Obama insistent sur le fait que les décès rattraperont leur retard car le virus finira par se propager aux populations vulnérables. Mais est-ce vraiment exact? Comme l'a souligné le chef du CDC d'Obama, Tom Frieden, les statistiques du CDC montrent à quel point le virus attaque les personnes âgées. Du 1er février au 13 juin, le virus a été impliqué dans seulement 2 630 décès parmi les personnes de 44 ans ou moins. Mais il a été fatal à 83 426 personnes de 65 ans et plus.
Frieden a ajouté que les maisons de soins infirmiers et autres établissements de soins de longue durée sont beaucoup mieux protégés cette fois-ci qu'ils ne l'étaient lors de la première vague, ce qui suggère que les décès ne se rapprocheront probablement pas lors de la deuxième fois.
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Mise à jour (0910ET): Alors que de plus en plus d'États rejoignent la Louisiane et l'Oregon en `` interrompant '' leurs plans de réouverture, tandis que de plus en plus d'experts en santé publique avertissent que des efforts d'atténuation `` plus rigoureux '' pourraient être nécessaires, Meg Tirrell de CNBC vient de souligner que l'impact des manifestations sur le nombre total de cas de coronavirus a été mitigé.
Dans le Massachusetts, les responsables de la santé publique ont signalé peu d'impact. Mais en Californie, les responsables de la santé constatent ce qui semble être une augmentation du nombre de cas qui suggèrent que les rassemblements ont eu un impact.
Pendant ce temps, la demande de stéroïdes Dexamethasone, qui, selon une étude, a eu un impact substantiellement positif sur les symptômes des patients COVID-19, a monté en flèche. Gardez à l'esprit que le CDC et l'OMS ont initialement découragé l'utilisation de stéroïdes pour ... une raison ... une des nombreuses conclusions auxquelles "les experts" ont apparemment sauté ...
... qui s'est révélée incorrecte depuis.
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Mise à jour (0745ET): La réouverture de l'Australie ne s'est pas déroulée aussi bien que prévu. Jeudi, le pays a confirmé son plus grand nouveau lot de cas de COVID-19 depuis avril. L'État australien de Victoria a signalé 33 cas de coronavirus supplémentaires, contre 20 hier, tandis qu'il a également été annoncé que l'Australie déploierait 1000 soldats dans la capitale de l'État de Victoria, Melbourne, pour aider à contenir le dernier cluster de la région.
Le directeur européen de l'OMS affirme que l'Europe a connu sa première augmentation du nombre de cas hebdomadaires depuis longtemps, avec 11 pays confrontés à une résurgence, alors que les responsables de la santé publique au Royaume-Uni ont averti que le pays risquait une deuxième vague alors que le PM Boris Johnson s'efforçait de rouvrir.
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RépondreSupprimerGrâce à la «complaisance» des jeunes (ou des jeunes) dans le sud et l'ouest des États-Unis, le nombre de cas de coronavirus nouvellement confirmés a atteint son pic de fin avril de 36 400 nouveaux cas signalés en une seule journée, avec plus de de 45 000 nouveaux cas signalés hier selon le dernier décompte de NBC News, en hausse par rapport aux 39 000 que nous avons signalés mercredi soir.
Toutes les données sur les coronavirus sont signalées avec un retard de 24 heures, donc le pic record s'est vraiment produit mardi. Mais les chiffres définitifs sont arrivés et l'image est sombre. Sept États, dont la Californie, la Floride, l'Oklahoma et le Texas, ont signalé hier un nombre record de nouveaux cas, l'âge moyen des patients hospitalisés tombant à 35 ans, contre 65 lors du pic d'avril dans le nord-est.
Alors que la Floride et le Texas deviennent les deux plus grands `` points chauds '', Disney a décidé de retarder la réouverture de ses parcs à thème aux États-Unis à la suite d'une augmentation du nombre de cas en Californie et en Floride, qui ont tous deux déclaré un nombre record de nouveaux cas hier. De plus, Disney réfléchit à l'opportunité de repousser la sortie de son blockbuster "Mulan", qui aurait été la première sortie de film majeure avec des salles de cinéma rouvertes.
New York, NJ et Conn. Ont tous déclaré qu'ils appliqueraient des ordonnances de quarantaine ciblant les voyageurs en provenance de l'extérieur de l'État, et la police arrêtera certainement les voitures avec des plaques d'immatriculation hors de l'État pour voir si elles enfreignent les ordonnances de quarantaine: si ils le sont, ils peuvent s'attendre à une lourde amende, après que les États ont apparemment eu un changement d'audition suite à la prétention initiale de Cuomo selon laquelle l'ordonnance ne serait pas exécutée.
Un professionnel de la santé a averti que l'épidémie était probablement le résultat de la «complaisance» des jeunes - se rendant dans les bars et autres lieux publics surpeuplés sans prendre les précautions nécessaires.
"Les gens sont devenus complaisants, et cela revient et nous mord, très franchement", selon le PDG de l'Hôpital méthodiste de Houston, qui a parlé aux journalistes alors que le système de santé de la ville apparaît comme peut-être le plus vulnérable du pays, comme une nouvelle vague de patients COVID-19 inondent l'hôpital de la ville et les lits de soins intensifs, qui sont presque à pleine capacité.
Selon l'Associated Press, les gouvernements de New York à Melbourne prennent des mesures pour empêcher une résurgence ou maîtriser leur épidémie.
En Inde, les autorités lancent une vaste enquête sur les coronavirus, peut-être la plus ambitieuse que le monde ait vue depuis l'aube de la pandémie, alors que le gouvernement tente de maîtriser New Delhi, à la fois la capitale du pays et l'une des zones les plus touchées par le virus. Le gouvernement enquêtera sur la population totale de la ville de 29 millions d'habitants, tout le monde sera testé et devra faire face à une brève enquête d'ici le 6 juillet. C'est assez ambitieux; Pékin a réussi à tester des millions de personnes en une semaine lors de sa dernière épidémie.
Selon Al Jazeera, le nouveau plan a été annoncé mercredi après que la capitale tentaculaire soit devenue la ville la plus touchée par la pandémie en Inde avec 70 390 cas, dépassant la capitale financière de Mumbai, sa seule véritable concurrence. 3 788 nouveaux cas ont été confirmés au cours des dernières 24 heures à Delhi, a annoncé jeudi le gouvernement, contre 1 118 à Mumbai. L'Inde a enregistré jeudi un nouveau record de 16 922 cas, portant le total du pays à 473 105, le plaçant toujours en quatrième position derrière les États-Unis, le Brésil et la Russie.
RépondreSupprimerL'Amérique latine et les États-Unis sont les deux plus grands contributeurs à l'augmentation du nombre mondial de coronavirus, mais deux autres régions - le Moyen-Orient et l'Afrique - apparaissent dans le rétroviseur.
Les cas de COVID-19 dans la région du golfe Persique ont dépassé 400 000, selon les données de Johns Hopkins, alors que le nombre de cas quotidiens signalés grimpe à mesure que les gouvernements commencent à assouplir les restrictions. Les cas africains ont dépassé 336 000 jeudi, après une augmentation de 10 000 infections annoncée mercredi soir.
Les Émirats arabes unis, siège de Dubaï et d'autres villes internationales populaires, ont annoncé qu'ils lèveraient enfin un couvre-feu nocturne depuis la mi-mars, car le nombre de cas qu'il signale chaque jour a diminué de 2/3.
L'épidémie mondiale devrait atteindre 10 millions de personnes la semaine prochaine, a annoncé l'Organisation mondiale de la santé, avertissant que le virus n'avait pas encore atteint son pic en Amérique du Nord et du Sud. Aux États-Unis, jeudi matin, plus de 9,4 millions de personnes dans le monde avaient reçu un diagnostic de COVID-19, avec plus de 4,7 millions de personnes récupérées et près de 483 000 décès par unité JHU.
L'Indonésie, un pays qui a attiré l'attention du monde au tout début lorsque son gouvernement a reconnu qu'il cachait activement des preuves du virus, a finalement vu son cas se classer parmi les 50 000 premiers, bien que le gouvernement insiste sur le fait que l'amélioration des tests est responsable de la récente hausse de nouveaux cas confirmés.
La Russie a confirmé 7 113 nouveaux cas de nouveau coronavirus, ce qui porte son nombre à 613 994.
Jeudi, la Tour Eiffel a accueilli de nouveau les visiteurs après que l'épidémie de coronavirus a forcé le monument de Paris à sa plus longue fermeture depuis la Seconde Guerre mondiale.
Avant de partir, le Dr Scott Gottlieb est apparu sur Squawk Box ce matin pour commenter les derniers chiffres record des États-Unis. Il a déclaré que davantage d'États voient des données troublantes sur de nouveaux cas et hospitalisations, y compris la Géorgie, la Caroline du Sud, la Caroline du Nord, l'Arkansas et d'autres.
"Cela ne se limite plus à une poignée d'États", a déclaré le Dr. "Il va être difficile maintenant de contrôler cela."
Enfin, la Russie a confirmé 7 113 nouveaux cas jeudi, poussant son bilan à 613 994, alors que les chiffres quotidiens diminuent lentement. Seuls 92 décès ont été enregistrés, ce qui porte le nombre de morts à 8 605. Certes, les critiques affirment que le gouvernement de Vladimir Poutine sous-estime délibérément les décès.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/us-sees-record-45k-jump-covid-19-infections-global-total-nears-10-million-live-updates
Une brève histoire d'Antifa: Partie II
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer, 24/06/2020 - 23:45
Écrit par Soeren Kern via The Gatestone Institute,
Ceci est la partie II d'une série sur l'histoire du mouvement mondial Antifa. La première partie a décrit Antifa et a exploré les origines idéologiques du groupe. La partie II examine l'histoire, la tactique et les objectifs du mouvement aux États-Unis.
Le président américain Donald Trump a récemment annoncé que le gouvernement américain désignerait Antifa - un mouvement militant "antifasciste" - comme organisation terroriste en raison de la violence qui a éclaté lors des manifestations de George Floyd à travers les États-Unis.
Le Code des règlements fédéraux (28 CFR, article 0.85) définit le terrorisme comme << l'usage illégal de la force et de la violence contre des personnes ou des biens pour intimider ou contraindre un gouvernement, la population civile ou tout segment de celui-ci, à des fins politiques ou sociales. "
Les médias américains sympathisants à Antifa ont sauté sur sa défense. Ils soutiennent que le groupe ne peut pas être classé comme une organisation terroriste car, selon eux, il s'agit d'un mouvement de protestation vaguement défini qui n'a pas de structure centralisée.
Comme le montre le rapport suivant, Antifa est en fait très en réseau, bien financé et a un programme idéologique clair: renverser, souvent avec une violence extrême, le système politique américain, dans le but ultime de remplacer le capitalisme par le communisme. Aux États-Unis, l'objectif immédiat d'Antifa est de destituer le président Trump de ses fonctions.
Le Gatestone Institute a identifié des groupes Antifa dans les 50 États américains, à l'exception peut-être de la Virginie-Occidentale. Certains États, dont la Californie, le Texas et Washington, semblent avoir des dizaines d'organisations sous-régionales Antifa.
Il est difficile de déterminer précisément la taille du mouvement Antifa aux États-Unis. Les soi-disant «antifascistes de Reddit», la «première communauté antifasciste» sur la plate-forme de médias sociaux Reddit, comptent environ 60 000 membres. Le plus ancien groupe Antifa en Amérique, "Rose City Antifa", basé à Portland, en Oregon, compte plus de 30 000 abonnés Twitter et 20 000 abonnés Facebook, qui ne sont pas tous nécessairement des partisans. «It's Going Down», une plateforme médiatique pour anarchistes, antifascistes et anticapitalistes autonomes, compte 85 000 abonnés Twitter et 30 000 abonnés Facebook.
L'Allemagne, qui compte environ un quart de la population des États-Unis, abrite 33 000 extrémistes de gauche, dont 9 000 seraient extrêmement dangereux, selon l'agence de renseignement nationale (Bundesamt für Verfassungsschutz, BfV). Les violents agitateurs de gauche sont à prédominance masculine, entre 21 et 24 ans, généralement au chômage, et, selon BfV, 92% vivent toujours avec leurs parents. Des preuves anecdotiques suggèrent que la plupart des membres d'Antifa aux États-Unis ont un profil socio-économique similaire.
RépondreSupprimerEn Amérique, les groupes nationaux Antifa, dont «Torch Antifa Network», «Refuse Fascism» et «World Can't Wait» sont financés - souvent généreusement, comme indiqué ci-dessous - par des donateurs individuels ainsi que par de grandes organisations philanthropiques, dont la Fondations de l'Open Society fondées par George Soros.
Pour échapper à la détection par les forces de l'ordre, les groupes Antifa aux États-Unis utilisent souvent des plateformes de médias sociaux cryptées, telles que Signal et Telegram Messenger, pour communiquer et coordonner leurs activités, parfois à travers les frontières de l'État. Sans surprise, le ministère américain de la Justice enquête actuellement sur des individus liés à Antifa afin de démasquer l'organisation au sens large.
Origines historiques d'Antifa américain
Aux États-Unis, l'idéologie, les tactiques et les objectifs d'Antifa, loin d'être nouveaux, sont empruntés presque entièrement à des groupes Antifa en Europe, où des groupes dits antifascistes, sous une forme ou une autre, ont été actifs, presque sans interruption, depuis un siècle.
Comme en Europe, les buts et les objectifs du mouvement américain Antifa peuvent être retracés à une seule guerre idéologique globale d'un siècle contre les «idéaux fascistes» du capitalisme et du christianisme, que le mouvement Antifa veut remplacer par un «socialiste révolutionnaire». alternative."
Le premier soi-disant groupe antifasciste aux États-Unis a été la Ligue américaine contre la guerre et le fascisme, créée en 1933 par le Parti communiste américain. La Ligue, qui prétendait s'opposer au fascisme en Europe, était en fait dédiée à renverser et renverser le gouvernement américain.
Dans un témoignage au Congrès américain en 1953, le chef du CPUSA, Manning Johnson, a révélé que le parti américain avait été chargé par l'Internationale communiste dans les années 1930 de créer la Ligue américaine contre la guerre et le fascisme:
"comme couverture pour attaquer notre gouvernement, notre système social, nos dirigeants ... utilisé comme couverture pour attaquer nos forces de l'ordre et pour susciter une haine de masse contre eux ... utilisé comme couverture pour saper la sécurité nationale .. . utilisé comme couverture pour défendre les communistes, les ennemis jurés de notre grand héritage ... utilisé comme couverture pour préparer des millions de personnes idéologiquement et organisationnellement au renversement du gouvernement des États-Unis. "
Les Black Panthers, une organisation politique révolutionnaire créée en octobre 1966 par des étudiants marxistes d'Oakland, en Californie, étaient un précurseur du mouvement moderne Antifa. Le groupe a préconisé le recours à la violence et à des tactiques de guérilla pour renverser le gouvernement américain.
RépondreSupprimerL'historienne Robyn C. Spencer a noté que les dirigeants de la Panthère noire étaient profondément influencés par «Le Front uni de la classe ouvrière contre le fascisme», un rapport de Georgi Dimitroff présenté au septième Congrès mondial de l'Internationale communiste en juillet et août 1935:
"En 1969, les Panthers ont commencé à utiliser le fascisme comme cadre théorique pour critiquer l'économie politique américaine. Ils ont défini le fascisme comme" le pouvoir du capital financier "qui" se manifeste non seulement comme des banques, des trusts et des monopoles mais aussi comme la propriété humaine " de FINANCE CAPITAL - l'homme d'affaires avare, le politicien démagogique et le flic raciste. ""
En juillet 1969, les Black Panthers organisèrent une conférence "antifasciste" intitulée "Front uni contre le fascisme", à laquelle assistèrent près de 5 000 militants:
"Les Panthers espéraient créer une" force nationale "avec une" idéologie révolutionnaire commune et un programme politique qui répondrait aux désirs et aux besoins fondamentaux de tous les peuples de l'Amérique fasciste, capitaliste et raciste. ""
Le dernier jour de la conférence a été consacré à un plan détaillé des Black Panthers pour décentraliser les forces de police à l'échelle nationale. Spencer a écrit:
«Ils ont proposé de modifier les chartes de la ville pour établir des services de police communautaires autonomes pour chaque ville qui seraient responsables devant les conseils de contrôle de police locaux de quartier composés de 15 membres élus de la communauté. Ils ont lancé les Comités nationaux de lutte contre le fascisme (NCCF), un réseau national multiracial , pour organiser le contrôle communautaire de la police. "
En 1970, des membres des Black Panthers ont créé un groupe terroriste appelé Black Liberation Army, dont l'objectif déclaré était «d'affaiblir l'État capitaliste ennemi».
Le membre de BLA, Assata Shakur, a décrit la structure organisationnelle du groupe, qui est similaire à celle utilisée par le mouvement Antifa d'aujourd'hui:
"L'Armée de libération noire n'était pas un groupe centralisé et organisé avec une direction et une chaîne de commandement communes. Au lieu de cela, diverses organisations et collectifs travaillaient ensemble à partir de différentes villes, et dans certaines grandes villes, il y avait souvent plusieurs groupes travaillant indépendamment les uns des autres. . "
Parmi les autres ancres idéologiques du mouvement Antifa moderne aux États-Unis, on compte un groupe terroriste de gauche connu sous le nom de Weather Underground Organisation, l'équivalent américain de la Red Army Faction allemande. Le Weather Underground, responsable des attentats à la bombe et des émeutes tout au long des années 1970, visait à «détruire l’impérialisme américain et à former un monde communiste sans classe».
RépondreSupprimerL'ancien directeur de la lutte contre le terrorisme du FBI, Terry Turchie, a noté les similitudes entre Black Lives Matter aujourd'hui et les groupes Black Panther Party et Weather Underground des années 1960 et 1970:
"Le Black Panther Party était une organisation marxiste maoïste léniniste et cela venait de Huey Newton, l'un des co-fondateurs, qui a dit que nous ne représentons rien de plus que la transformation totale du gouvernement américain.
"Il a poursuivi en expliquant qu'ils voulaient prendre la tension qui existait déjà dans les communautés noires et l'exacerber là où ils le pouvaient. Pour prendre ces situations où il y a un tinderbox et allumer le pays en feu."
"Aujourd'hui, nous assistons à la troisième révolution et ils pensent qu'ils peuvent y arriver. La seule chose qui est différente, ce sont les noms des groupes."
Antifa américain
Les racines du mouvement Antifa moderne aux États-Unis remontent aux années 1980, avec la création d'Anti-Racist Action, un réseau d'aficionados anarchistes du punk rock dédié aux skinheads néo-nazis qui combattent les poings.
Mark Bray, auteur de "The Antifa Handbook", a expliqué:
«Dans de nombreux cas, le mouvement antifa moderne nord-américain a grandi comme un moyen de défendre la scène punk du mouvement néonazi skinhead, et les fondateurs du réseau original Anti-Racist Action en Amérique du Nord étaient des skinheads antiracistes. La lutte fasciste / antifasciste était essentiellement une lutte pour le contrôle de la scène punk dans les années 1980, et cela était vrai dans une grande partie de l'Amérique du Nord et dans certaines parties de l'Europe à cette époque.
"Il y a un énorme chevauchement entre la politique radicale de gauche et la scène punk, et il y a un stéréotype sur les anarchistes et les punks sales, qui est une simplification excessive mais fondée sur une certaine quantité de vérité."
Anti-Racist Action a été inspiré par Anti-Fascist Action (AFA), un groupe militant antifasciste fondé en Grande-Bretagne à la fin des années 1970. Le groupe américain partageait le penchant du groupe britannique pour avoir attaqué violemment des opposants politiques. ARA a finalement été rebaptisé Torch Network, qui rassemble actuellement neuf groupes militants Antifa.
RépondreSupprimerEn novembre 1999, des foules d'anarchistes masqués, prédécesseurs du mouvement Antifa d'aujourd'hui, ont ravagé le centre-ville de Seattle, Washington, lors de violentes manifestations qui ont perturbé une conférence ministérielle de l'Organisation mondiale du commerce. Les manifestations de l'OMC à Seattle ont donné naissance au mouvement anti-mondialisation.
En avril 2001, environ 50000 anticapitalistes se sont réunis à Québec pour s'opposer au troisième Sommet des Amériques, une réunion des dirigeants nord-américains et sud-américains qui négociaient une entente pour créer une zone de libre-échange qui engloberait l'hémisphère occidental.
En février 2003, des centaines de milliers de manifestants anti-guerre ont manifesté contre la guerre en Irak. Après la guerre, de toute façon, certaines parties du soi-disant mouvement progressiste se sont radicalisées et ont donné naissance au mouvement Antifa actuel.
Le Rose City Antifa (RCA), fondé à Portland, Oregon, en 2007, est le plus ancien groupe américain à utiliser "Antifa" en son nom. Antifa est dérivée d'un groupe appelé Antifaschistische Aktion, fondé en mai 1932 par des dirigeants staliniens du Parti communiste d'Allemagne. Le logo d'Antifa, avec deux drapeaux représentant l'anarchisme (drapeau noir) et le communisme (drapeau rouge), est dérivé du mouvement allemand Antifa.
Le mouvement américain Antifa a pris de l'ampleur en 2016, après que la sénatrice du Vermont Bernie Sanders, autoproclamée socialiste, a perdu la nomination du Parti démocrate à Hillary Clinton. Les partisans de Sanders de la base ont promis de continuer sa "révolution politique" pour établir le socialisme en Amérique.
Pendant ce temps, l'immigration est devenue un nouveau point d'éclair dans la politique américaine après que Donald Trump ait fait campagne sur l'engagement de réduire la migration illégale. En juin 2016, des manifestants ont violemment attaqué des partisans de Donald Trump à l'extérieur d'un rassemblement à San Jose, en Californie. En janvier 2017, des centaines d'émeutiers d'Antifa ont tenté de perturber la cérémonie d'inauguration du président Trump à Washington, DC.
En février 2017, des émeutiers d'Antifa utilisant des tactiques dites de bloc noir - ils portent des vêtements noirs, des masques ou d'autres éléments dissimulant le visage afin qu'ils ne puissent pas être identifiés par la police - ont fermé un discours de Milos Yiannopoulos, un activiste d'extrême droite qui était devrait prendre la parole à l'Université de Californie à Berkeley, berceau du mouvement pour la liberté d'expression de 1964. Les radicaux antifa ont affirmé que Yiannopoulos prévoyait de "retirer" les étudiants sans papiers à Berkeley dans le but de les faire arrêter. Des vandales masqués d'Antifa armés de cocktails Molotov, de briques et d'une foule d'autres armes de fortune ont combattu la police et causé plus de 100 000 $ de dégâts matériels.
RépondreSupprimerEn juin 2018, le représentant républicain Dan Donovan de New York a présenté le projet de loi HR 6054 - «Unmasking Antifa Act of 2018» - qui prévoit des peines de prison allant jusqu'à 15 ans pour quiconque, tout en portant un masque ou un déguisement, «blesse, opprime, menace ou intimide "quelqu'un d'autre qui exerce tout droit ou privilège garanti par la Constitution américaine. Le projet de loi reste bloqué à la Chambre des représentants.
En juillet 2019, le radical Antifa Willem Van Spronsen a tenté de bombarder le centre de détention américain de l'immigration et des douanes à Tacoma, Washington. Il a été tué lors d'une confrontation avec la police.
Le même mois, les sénateurs américains Ted Cruz et Bill Cassidy ont présenté une résolution qui qualifierait Antifa d '"organisation terroriste nationale". La résolution déclarait:
"Considérant que les membres d'Antifa, parce qu'ils croient que la liberté d'expression équivaut à la violence, ont utilisé des menaces de violence dans la poursuite de la répression des idéologies politiques opposées; Attendu que Antifa représente l'opposition aux idéaux démocratiques de réunion pacifique et de liberté d'expression pour tous; Considérant que les membres d'Antifa ont agressé physiquement des journalistes et d'autres personnes lors de manifestations et d'émeutes à Berkeley, en Californie;
"Maintenant, qu'il soit résolu, que le Sénat ... appelle à ce que les groupes et organisations à travers le pays qui agissent sous la bannière d'Antifa soient désignés comme organisations terroristes nationales."
"Antifa sont des terroristes, de violents intimidateurs masqués qui" combattent le fascisme "avec le fascisme réel, protégés par le privilège libéral", a déclaré Cassidy. "Les intimidateurs obtiennent leur chemin jusqu'à ce que quelqu'un dise non. Les élus doivent avoir du courage, pas de la lâcheté, pour empêcher le terrorisme."
Antifa exploite la mort de George Floyd
Les radicaux antifa utilisent de plus en plus des événements incendiaires comme la mort de George Floyd au Minnesota comme tremplins pour atteindre leurs objectifs plus larges, dont l'un consiste à destituer le président Trump de ses fonctions.
Le correspondant vétéran de la sécurité nationale, Bill Gertz, a récemment rapporté que le mouvement Antifa avait commencé à planifier de fomenter une insurrection anti-gouvernementale à l'échelle nationale dès novembre 2019, lorsque la saison de la campagne présidentielle américaine a véritablement débuté. L'ancien membre du personnel du Conseil de sécurité nationale, Rich Higgins, a déclaré:
RépondreSupprimer<< Les actions d'Antifa représentent une rupture avec la longue tradition d'un processus politique pacifique aux États-Unis. Leur idéologie marxiste cherche non seulement à influencer les élections à court terme mais à détruire l'utilisation des élections comme facteur déterminant de la légitimité politique.
"Le but d'Antifa n'est rien de moins que de fomenter la révolution, la guerre civile et de faire taire les anticommunistes américains. Leur étiquetage des partisans et des patriotes de Trump comme des nazis et des racistes est un tarif standard pour les groupes communistes de gauche.
"Antifa fonctionne actuellement comme le commandement et le contrôle des émeutes, qui sont elles-mêmes l'utilisation manifeste de violences ciblées contre des cibles telles que les magasins - le capitalisme; les monuments - l'histoire; et les églises - Dieu."
Joe Myers, ancien fonctionnaire de la Defense Intelligence Agency et expert en contre-insurrection, a ajouté:
"L'élection du président Trump et la revitalisation de l'Amérique constituent une menace pour les objectifs nihilistes d'Antifa. Ils fomentent cette violence pour créer des ravages, du désespoir et pour viser la campagne de Trump pour la défaite en 2020. Elle utilise la violence organisée à des fins politiques: destruction de la Constitution ordre."
Le haut responsable du terrorisme de New York, le sous-commissaire au renseignement et à la lutte contre le terrorisme John Miller, a expliqué pourquoi les manifestations de George Floyd à New York étaient devenues si violentes et destructrices:
"N ° 1, avant le début des manifestations, les organisateurs de certains groupes anarchistes se sont mis à lever des fonds de cautionnement et des personnes qui seraient responsables de collecter des fonds de caution, ils ont entrepris de recruter des médecins et des équipes médicales avec des équipements à déployer en prévision de violentes interactions avec la police.
"Ils se sont préparés à commettre des dommages matériels et ont ordonné aux personnes qui les suivaient que cela soit fait de manière sélective et uniquement dans les zones les plus riches ou dans les magasins haut de gamme gérés par des sociétés.
"Et ils ont développé un réseau complexe de scouts à vélo pour aller de l'avant des manifestants dans différentes directions où se trouvaient la police et où la police n'était pas dans le but de pouvoir diriger des groupes du groupe plus large vers des endroits où ils pourraient commettre des actes de vandalisme, y compris le incendies de véhicules de police et cocktails Molotov où ils pensaient que les officiers ne seraient pas.
RépondreSupprimer"Nous pensons qu'une quantité importante de personnes qui sont venues de l'extérieur de la région, qui sont venues ici ainsi que la préparation préalable, ayant des éclaireurs avancés, l'utilisation d'informations cryptées, ayant des itinéraires de réapprovisionnement pour des choses telles que l'essence et les accélérateurs comme ainsi que des pierres et des bouteilles, la levée de la caution, le placement de médecins. Ensemble, c'est un indicateur fort qu'ils prévoyaient d'agir avec désordre, dommages matériels, violence et rencontres violentes avec la police avant la première manifestation et / ou avant la première arrestation. "
Dans une interview accordée à The Epoch Times, Bernard B. Kerik, ancien commissaire de police du département de police de New York, a déclaré qu'Antifa "exploitait à 100%" les protestations de George Floyd:
"C'est dans 40 états différents et 60 villes; il serait impossible pour quelqu'un en dehors d'Antifa de financer cela. C'est une tentative radicale, de gauche et socialiste de révolution.
«Ils viennent d'autres villes. Cela coûte de l'argent. Ils ne l'ont pas fait par eux-mêmes. Quelqu'un paie pour cela.
"Ce que fait Antifa, c'est qu'ils détournent essentiellement la communauté noire comme leur armée. Ils incitent, ils s'opposent, ils font sortir ces jeunes hommes et femmes noirs et font des choses stupides, puis ils disparaissent au coucher du soleil." "
Après que des photos semblaient montrer des manifestants avec des radios et des écouteurs de communication de qualité militaire, Kerik a noté: "Ils doivent parler à quelqu'un dans un centre de commandement central avec un répéteur. Où ces radios vont-elles?"
Dans tout le pays, à Bellevue, dans l'État de Washington, qui a également été frappé par des pillages et des violences, le chef de la police Steve Mylett a confirmé que les responsables étaient organisés, venant de l'extérieur de la ville et payés:
RépondreSupprimer«Il y a des groupes qui paient de l'argent à ces pillards pour entrer et ils sont payés par la fenêtre cassée. C'est quelque chose de totalement différent avec lequel nous n'avons jamais vu de profession auparavant. Nous avions des officiers qui étaient dans différentes régions qui chassaient ces groupes. Lorsque nous prenons contact, ils se dispersent. "
Financement Antifa
La violence coordonnée soulève des questions sur le financement d'Antifa. L'Alliance for Global Justice (AFGJ) est un groupe organisateur qui sert de parrain fiscal à de nombreuses initiatives radicales de gauche, selon Influence Watch, un groupe de recherche qui recueille des données sur les organisations de défense, les fondations et les donateurs.
L'AFGJ, qui se décrit comme "anticapitaliste" et opposée aux principes de la démocratie libérale, offre un "parrainage fiscal" à des groupes qui défendent de nombreuses causes étrangères et nationales d'extrême gauche et d'extrême gauche, notamment l'élimination de l'État d'Israël.
L'AFGJ basée à Tucson, en Arizona, et les personnes qui y sont associées, ont plaidé pour des régimes autoritaires socialistes et communistes, notamment à Cuba, au Nicaragua et au Venezuela. Dans les années 2000, l'AFGJ a participé à des manifestations anti-mondialisation. Dans les années 2010, l'AFGJ était un sponsor financier du mouvement Occupy Wall Street.
L'AFGJ a reçu un financement substantiel d'organisations prétendant souvent être le courant dominant du centre-gauche. Les fondations Open Society, Tides Foundation, Arca Foundation, Surdna Foundation, Public Welfare Foundation, Ben & Jerry Foundation et Brightwater Fund ont toutes fait des contributions à l'AFGJ, selon Influence Watch.
L'un des groupes financés par l'AFGJ s'appelle Refuse Fascism, une organisation radicale de gauche vouée à la promotion d'une action nationale pour destituer le président Donald Trump, et tous les responsables associés à son administration, au motif qu'ils constituent un "régime fasciste". " Le groupe a été présent à de nombreuses manifestations de gauche radicale à Antifa, également selon Influence Watch. Le groupe est une émanation du Parti communiste radical (RCP).
En juillet 2017, le RCP s'est vanté d'avoir participé à de violentes émeutes contre le sommet du G20 à Hambourg, en Allemagne. Le RCP a fait valoir que le capitalisme est synonyme de fascisme et que l'élection du président Trump conduirait le gouvernement américain à "matraquer et éliminer des groupes entiers de personnes".
RépondreSupprimerEn juin 2020, Refuse Fascism a profité de la mort de George Floyd pour collecter des fonds pour une "National Revolution Tour" visant manifestement à renverser le gouvernement américain. Le slogan du groupe stipule: "Ce système ne peut pas être réformé, il doit être renversé!"
"Utopie" d'Antifa
Pendant ce temps, à Seattle, Washington, des radicaux d'Antifa, des manifestants de Black Lives Matter et des membres de l'anticapitaliste John Brown Gun Club ont pris le contrôle du quartier d'East Precinct et ont établi une "zone autonome" de six pâtés de maisons appelée Capitol Hill. Zone autonome, «CHAZ», récemment renommée «CHOP», la manifestation organisée (ou occupée) de Capitol Hill. Un panneau en carton aux barricades déclare: "Vous quittez maintenant les États-Unis." Le groupe a publié une liste de 30 demandes, dont «l'abolition» du département de police de Seattle et du système judiciaire.
"Des viols, des vols et toutes sortes d'actes violents se sont produits dans la région et nous ne sommes pas en mesure de les atteindre", a déclaré Carmen Best, chef de la police de Seattle. Plusieurs personnes ont été blessées ou tuées.
Christopher F. Rufo, rédacteur en chef adjoint du City Journal, a observé:
"La zone autonome de Capitol Hill est une occupation et une prise d'otages: aucun des résidents du quartier n'a voté pour Antifa comme gouvernement représentatif. Plutôt que d'appliquer la loi, la classe politique progressiste de Seattle a capitulé devant la foule et fera probablement des concessions massives au cours des prochains quelques mois. Cela va enhardir la coalition Antifa - et saper davantage l'État de droit dans les villes américaines. "
Antifa dans ses propres mots
RépondreSupprimerLes objectifs à long terme du mouvement américain Antifa sont identiques à ceux du mouvement Antifa en Europe: remplacer le capitalisme par une utopie communiste. Mark Bray, l'un des apologistes les plus virulents d'Antifa aux États-Unis et auteur de "Antifa: The Anti-Fascist Handbook", a expliqué:
"La seule solution à long terme à la menace fasciste est de saper ses piliers de force dans la société, non seulement en raison de la suprématie blanche, mais aussi du capacitisme, de l'hétéronormativité, du patriarcat, du nationalisme, de la transphobie, de la règle de classe et de bien d'autres. Ce long terme objectif indique les tensions qui existent dans la définition de l'antifascisme, car à un certain moment, détruire le fascisme, c'est vraiment promouvoir une alternative socialiste révolutionnaire. "
Nikkita Oliver, ancien candidat à la mairie de Seattle, Washington, a ajouté:
"Nous devons nous aligner sur la lutte mondiale qui reconnaît que les États-Unis jouent un rôle dans le capitalisme racialisé. Le capitalisme racialisé est construit sur le patriarcat, la suprématie blanche et le classisme."
Patrisse Cullors, cofondatrice du mouvement Black Lives Matter, a confirmé que l'objectif immédiat est de démettre le président Trump de ses fonctions:
"Trump doit non seulement ne pas être au pouvoir en novembre, mais il doit démissionner maintenant. Trump doit être absent. Il n'est pas apte à exercer ses fonctions. Et donc, ce que nous allons faire, c'est pousser à obtenir Trump Alors que nous allons également continuer à pousser et faire pression sur Joe Biden autour de ses politiques et de sa relation avec la police et la criminalisation. Cela va être important. Mais notre objectif est de faire sortir Trump. "
Rose City Antifa a tweeté:
"En tant qu'antifascistes, nous savons que notre lutte n'est pas seulement contre le fascisme organisé, mais aussi contre l'État capitaliste et la police qui le protège. Un autre monde est possible!"
Les antifascistes de Seattle ont ajouté:
"C'est la révolution, c'est notre temps et nous ne ferons aucune excuse pour la terreur."
Un groupe appelé PNW Youth Liberation Front, l'organisation de jeunesse d'Antifa, a tweeté:
«La seule façon de gagner un monde sans police, prisons, frontières, etc., est de détruire les systèmes oppressifs dans lesquels nous sommes actuellement pris. Nous devons continuer la lutte contre l'État, l'impérialisme, le capitalisme, la suprématie blanche, le patriarcat, etc. si jamais nous voulons être libres. "
RépondreSupprimerUne brochure distribuée dans la "zone autonome" de Seattle déclarait:
"L'idée que la classe ouvrière peut contrôler nos propres vies, sans États, gouvernements ou frontières, est aussi appelée anarchisme. Mais comment pouvons-nous passer de notre société capitaliste actuelle à une future société anarchiste-communiste? ... Afin de détruire l'ordre actuel, il faudra une révolution, une période de grands bouleversements. "
Une affiche dans la "zone autonome" de Seattle a déclaré:
"Oh, tu pensais que je voulais juste financer la police? Tout ce système doit disparaître."
L'un des dirigeants de la "zone autonome" de Seattle a déclaré:
"Chaque jour que je me présente ici, je ne suis pas ici pour protester pacifiquement. Je suis ici pour perturber jusqu'à ce que mes demandes soient satisfaites. Vous ne pouvez pas reconstruire tant que vous ne les avez pas complètement détruites. Répondez aux demandes des gens ou préparer à être rencontré par tous les moyens nécessaires. Par tous les moyens nécessaires. Ce n'est pas un slogan ou même un avertissement. Je fais savoir aux gens ce qui va suivre. "
Un groupe appelé le Mouvement révolutionnaire abolitionniste, qui compte près de 15 000 abonnés sur Twitter, a appelé à une insurrection:
"Salutations révolutionnaires de l'insurrection qui balayent les territoires occupés des soi-disant États-Unis d'Amérique.
"Alors que l'histoire de cette misérable nation se répète une fois de plus, ce qui est clairement devenu évident, c'est que les Noirs ont été et continueront d'être la seule force révolutionnaire capable de renverser le statu quo oppressif.
«Partout où les cochons [un terme péjoratif pour la police] ont perdu leur volonté de se battre. Leurs yeux, qui hier encore étaient des fenêtres pour vider la haine et le mépris, affichent maintenant un doute de soi et une lâcheté sournois. Pour une fois, leur comportement décrit leur faiblesse comme chaque pas qu'ils reprennent est marqué par l'hésitation.
RépondreSupprimer"Ensemble, si nous continuons à pousser, cette terre d'esclavage mobilier, de génocide indigène et d'agression impériale étrangère peut enfin être anéantie de sorte qu'elle ne restera dans les mémoires que l'un des chapitres les plus laids de l'histoire de l'humanité."
Un radical Antifa du Maryland a tweeté:
"Ce n'est pas de la protestation. C'est de la rébellion. Quand la rébellion s'organise, nous obtenons la révolution. Nous voyons les débuts de cela et c'est glorieux."
Un agitateur Antifa de New York commente le drapeau américain:
"Ce sh * t est un putain de tissu avec des couleurs dessus. Il ne vit ni ne respire et n'est rien d'autre qu'une représentation. Tout Noir, Latinx ou Autochtone qui regarde cette chose étant respectée, devrait être offensé par ce drapeau qui représente le génocide, le viol, l'esclavage et la colonisation. "
Une plate-forme médiatique Antifa, "It's Going Down", a écrit:
"Le pillage est un moyen efficace de redistribution des richesses."
Un militant antifa de Caroline du Nord en liberté d'expression:
"L'idée que la liberté d'expression est la chose la plus importante que nous puissions protéger ne peut être détenue que par quelqu'un qui pense que la vie est analogue à une salle de débat. À mon avis, les fascistes" sans plate-forme "violent souvent (sic) leur discours , mais cette infraction est justifiée pour son rôle dans la lutte politique contre le fascisme. "
Torch Antifa Network, en réponse aux plans annoncés par le président Trump de désigner Antifa comme groupe terroriste:
"Antifa désignera les États-Unis d'Amérique comme organisation terroriste."
https://www.zerohedge.com/political/brief-history-antifa-part-ii
Un tiers des Américains ont pris du poids en raison du coronavirus, ce qui entraîne des bénéfices pour certains
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer, 24/06/2020 - 22:05
Les États-Unis sont déjà la nation la plus obèse du monde et, grâce à la «Quarantaine 15», ils sont sur le point de grossir encore.
Selon un nouveau rapport publié dans Obesity Research and Clinical Practice, environ 22% des Américains (sur la base d'une extrapolation d'échantillons) ont déclaré avoir gagné entre cinq et dix livres depuis les blocages du coronavirus ("parmi ceux qui ont gagné 5 à 10 livres, il y avait pourcentage plus élevé de l'échantillon total qui a déclaré avoir augmenté leur alimentation en réponse à la vue et à l'odorat, manger en réponse au stress et grignoter après le dîner par rapport à ceux qui ont déclaré qu'ils n'avaient pas changé ces comportements du tout. ") Dans un sondage séparé de plus de 1 000 lecteurs américains de WebMD, 34% des personnes interrogées ont déclaré avoir pris du poids "en raison des restrictions COVID".
Comme le souligne Pimm Fox de Bloomberg, "les raisons de la prise de poids ne sont pas un choc: changements de régime alimentaire, manque d'exercice régulier et mode de vie généralement plus sédentaire".
Les gains de poids signalés sont confirmés par une vérification de ce que les consommateurs achètent. En dollars, du 9 février au 3 mai, les ventes d'aliments surgelés ont bondi de 36%, les collations ont augmenté de 36%, les achats d'alcool ont grimpé de 34%, les produits laitiers ont augmenté de 27% et les aliments emballés ont augmenté de 20%, selon les données du marché de Chicago. cabinet d'études IRI.
Et dans un pays où toutes les tendances peuvent être monétisées, les investisseurs font déjà de l'argent avec ce dernier épisode d'obésité: l'indice Solactive Obesity est en hausse de 26% en 2020 contre une baisse de 4,7% pour le S&P 500. L'indice d'obésité a même surperformé le Nasdaq.
Voici une liste des 20 principaux constituants de l'indice:
- voir sur site -
Il n'était pas clair ce que ces investisseurs prospectifs font avec leurs gains, mais acheter plus de nourriture est certainement une des options logiques, fermant ainsi le cercle sur ce qui pourrait s'avérer l'un des métiers les plus rentables de 2020: parier sur la grosse Amérique.
https://www.zerohedge.com/markets/third-americans-have-gained-weight-due-coronavirus-resulting-obese-profits-some
Données de santé des Français aux mains de Microsoft: «C’est extrêmement grave»
RépondreSupprimer15:40 25.06.2020
La guerre contre le coronavirus pourrait en cacher d’autres. La décision de confier le stockage des données privées sur la santé des Français au Cloud de Microsoft pourrait s’avérer dangereuse. Frédéric Pierucci, une figure majeure de l’affaire Alstom, décrypte les tenants et aboutissants de cette décision pour le Désordre mondial.
La plupart des pays sortent du confinement à leur rythme, une mesure qui aura un impact sur leur santé économique et leur compétitivité. Ils tentent de doper leur économie de toutes les manières possibles, y compris en trahissant leurs principes de libre marché en choisissant des sociétés privées pour des investissements en échange d’une participation gouvernementale.
Les États-Unis, le Canada et la France ont tous évoqué cette idée lors de la crise. Est-ce que les gouvernements vont en profiter pour aller au-delà de ce que leurs citoyens, jusqu’ici, trouvaient acceptable? Entrons-nous, lors de cette période post-Covid-19, dans une ère de guerre économique intense entre les pays, par biais de leurs sociétés privées? Dans ce contexte, certains gouvernements ont-ils déjà pris des mesures à l’encontre de la sécurité ou des droits de leurs citoyens?
Frédéric Pierucci est un ancien cadre dirigeant d’Alstom et auteur du livre Le piège américain: L’otage de la plus grande entreprise de déstabilisation économique témoigne (Éd. JC Lattès). Il explique le nouveau projet français de Health Data Hub:
«L’État français avait décidé de collecter toutes les données des Français et de les centraliser sur ce qui s’appelle le Health Data Hub. L’idée était de créer un outil pour permettre de faire des recherches sur les maladies. Le projet est louable en soi-même. La France est l’un des seuls pays qui collectent de manière massive toutes les données de santé.»
Également fondateur et PDG d’Ikarian, un cabinet de conseil en conformité stratégique et opérationnelle, Frédéric Pierucci développe le risque inhérent à ce projet:
«À la base, rien à dire sur le projet. Sauf que ces données, il faut bien les héberger quelque part, donc le gouvernement français a créé une entité pour gérer ce Health Data Hub, qui a sélectionné de manière extrêmement opaque un fournisseur de Cloud pour héberger ces données. L’un des gros soucis dans cette sélection était le fait que les critères d’appel d’offres faisaient en sorte que personne ne pouvait y répondre, sauf Microsoft.»
Frédéric Pierucci revient sur son expérience dans le cadre de l’affaire Alstom, qui l’a vu passer deux ans dans une prison américaine et qui a mené à la vente du fleuron français au géant américain General Electric. Il tire la sonnette d’alarme sur les dangers potentiels pour la souveraineté de la France et de ces citoyens de ce nouveau projet de big data:
«À mon avis, les États-Unis n’ont fait que légaliser l’espionnage massif qu’a révélé Snowden. Des entreprises américaines ont une protection juridique, grâce à ce Cloud Act. Sauf que ce Cloud Act est en complète contradiction avec les lois européennes, notamment la loi sur la protection des données.»
RépondreSupprimerL’ancien cadre dirigeant d’Alstom fait ici référence au «Clarifying Lawful Overseas Use of Data Act», qui donne accès à la justice américaine à toutes les données stockées sur des serveurs américains. Il développe en quoi cette loi et l’hébergement de données sensibles sur des serveurs Microsoft sont dangereux:
«C’est extrêmement grave ce qui est en train de se passer. On le voit dans le Health Data Hub, qui est vraiment un sujet clé, puisque là, on touche aux données personnelles de tous les Français qui vont être hébergées sur ces serveurs de Microsoft. Mais le problème est de même pour les entreprises qui ont beaucoup de données sur le Cloud qui demain pourraient être ponctionnées par les autorités américaines.»
https://fr.sputniknews.com/france/202006251044006219-donnees-de-sante-des-francais-aux-mains-de-microsoft-cest-extremement-grave/
«Étranglement économique et financier», la stratégie de Trump contre le Venezuela
RépondreSupprimer17:40 25.06.2020
Par Jean-Baptiste Mendès
L’alliance irano-vénézuélienne suscite le courroux de Washington, qui a décidé d’instaurer des sanctions contre les capitaines des navires iraniens acheminant du pétrole à Caracas. Selon Jean-Jacques Kourliandsky de l’IRIS, cette politique de Donald Trump est essentiellement liée à l’agenda électoral américain. Explications.
Sanctions américaines, à qui le tour?
C’est Mike Pompeo, le Secrétaire d’État américain, qui a annoncé le 24 juin la mise en place de sanctions à l’encontre des capitaines des cinq pétroliers iraniens important des hydrocarbures au Venezuela. «Les avoirs de ces capitaines seront bloqués. Leurs carrières et leurs perspectives [professionnelles, ndlr] en pâtiront», a-t-il ajouté, annonçant leur placement sur la liste noire du Trésor américain.
Des sanctions en grande partie symboliques, qui s’ajoutent ainsi aux mesures extraterritoriales américaines envers les deux États «parias» que sont l’Iran et le Venezuela, qui subissent par ailleurs de plein fouet la crise sanitaire mondiale. Cinq navires chargés de 1,5 million de barils de carburant et de dérivés sont effectivement arrivés le 25 mai en provenance d’Iran afin de soutenir l’économie vénézuélienne, en pénurie d’hydrocarbures.
Le pays, détenant les plus grandes réserves de pétrole au monde, n’en a jamais produit aussi peu depuis 1943, atteignant 570.000 barils par jour, selon un récent rapport de l’OPEP. Une situation paradoxale, qui s’explique par la localisation au Texas des capacités de raffinage du pétrole vénézuélien, particulièrement lourd. Le 20 juin, le cargo Golsan arrivait également en provenance d’Iran, acheminant de la nourriture.
Comment le Venezuela influe sur la politique intérieure américaine
RépondreSupprimerInterrogé par Sputnik, Jean-Jacques Kourliandsky, spécialiste de l’Amérique latine à l’IRIS et à la Fondation Jean-Jaurès, estime que cette décision du Département d’État compense les déclarations de Donald Trump le 19 juin au sujet de Caracas et d’une éventuelle rencontre avec Nicolas Maduro. Proposition à laquelle ce dernier a répondu qu’il était «prêt à discuter respectueusement».
Trump a changé de position sur le Venezuela après un entretien avec Poutine, selon Bolton
Dans un entretien accordé au site d’informations Axios, le Président américain a ainsi ouvert la porte à une rencontre avec son homologue vénézuélien, signalant également ses doutes concernant Juan Guaido, le Président autoproclamé. Des propos qui ont suscité l’émoi chez les Républicains. Ainsi la Maison-Blanche a-t-elle par la suite publié un rectificatif, indiquant que Donald Trump ne rencontrerait Maduro qu’afin d’«étudier les conditions de son départ», des propos qui ont provoqué un nouveau tollé chez les Républicains.
«Contrairement à la gauche radicale, je m’opposerai toujours au socialisme et soutiendrai la population vénézuélienne. Mon Administration s’est toujours positionnée pour la libération et la liberté et contre le régime répressif de Maduro. Je ne rencontrerai Maduro que pour discuter d’une seule chose: un départ pacifique du pouvoir!»
Kourliandsky rappelle notamment l’importance de l’électorat américano-cubain en Floride, État clé à majorité Républicaine pour le scrutin présidentiel de novembre prochain. Alors que le Président sortant n’est pas au mieux dans les sondages, l’annonce des sanctions par Mike Pompeo s’apparente effectivement à une opération de rattrapage «en période électorale». Ces sanctions pourraient avoir un «effet choc du point de vue médiatique», bien qu’elles ne modifient en rien la situation actuelle.
«L’affrontement militaire n’est pas la stratégie de Donald Trump. Sa stratégie est l’étranglement économique et financier. Cela dit, l’argument électoral semble actuellement l’élément principal pour lui. Ce qui concerne le Venezuela sera probablement lié à ce que ça peut lui rapporter en termes de capital électoral. Sinon, Donald Trump est assez imprévisible. On l’a vu condamner le Venezuela, l’Iran, pour des raisons officiellement idéologiques, la liberté, la démocratie, etc. Mais on l’a vu par ailleurs s’entretenir avec le leader de la Corée du Nord, Kim Jong-un, qui ne répond pas exactement à ces critères.»
Sur Twitter, Jorge Arreaza, le chef de la diplomatie vénézuélienne, a affirmé que ces représailles étaient «la preuve de la haine des faucons de (Donald) Trump contre le Venezuela». À Téhéran, le porte-parole de la diplomatie a signalé que «les mesures américaines désespérées contre des citoyens iraniens […] représentent juste l’échec lamentable» de la campagne de «pression maximale», ajoutant que les deux États «parias» aux yeux de Washington «demeureront déterminés à s’opposer aux sanctions américaines illégales».
RépondreSupprimerL’alliance des «parias»
Replaçant ces sanctions dans un cadre stratégique plus global, Jean-Jacques Kourliandsky explique l’intérêt de ces mesures:
«Ces capitaines ne sont pas des capitaines de sous-marins nucléaires ou de porte-avions, ce sont des capitaines de pétroliers ordinaires. On est dans le contexte de la stratégie classique de Donald Trump, les sanctions économiques et financières.»
Datant de Hugo Chavez et de Mahmoud Ahmadinejad dans les années 2000, la relation privilégiée irano-vénézuélienne s’est surtout fondée sur leur anti-américanisme. Leurs liens s’étaient relativement distendus en 2015 lorsque l’Iran est rentré dans le concert des nations avec l’accord sur le nucléaire. L’avènement au pouvoir de Donald Trump ayant détruit le «plan d’action conjoint», a paradoxalement renforcé cette relation, comme l’observe Kourliandsky: «les pays qui sont mis à l’index par les États-Unis cherchent à mutualiser leurs efforts en vue de desserrer l’étreinte».
Le pétrole iranien au Venezuela: les dessous d’une manœuvre stratégique «face à un même adversaire»
L’impact économique de ces échanges reste toutefois modeste. Ces derniers ne peuvent en effet s’effectuer «que sous forme de compensation, dans la mesure où d’un côté comme de l’autre, les dollars ne peuvent pas être utilisés». Au même titre que Cuba, Caracas n’a ni accès aux marchés internationaux ni au dollar pour les transactions extérieures. Le seul produit d’exportation du pays, le pétrole, ne trouve plus d’acheteur.
Se pose alors la question des réserves d’or du Venezuela: Nicolas Maduro a souhaité retirer les 31 tonnes d’or, soit environ 891 millions d’euros, déposées dans les coffres de la Banque d’Angleterre. Sauf que Juan Guaido, reconnu par Londres, s’y oppose. Cette affaire politico-économique s’est déplacée devant la justice britannique, dont les audiences se terminent ce 25 juin.
https://fr.sputniknews.com/actualite/202006251044006945-etranglement-economique-et-financier-la-strategie-de-trump-contre-le-venezuela-/
Le Venezuela a toujours été montré (par l'opposition étrangère anti-vénézuélienne) comme étant socialiste alors que les vénézuéliens (y compris les présidents) ne se reconnaissent qu'en vénézuéliens.
SupprimerMais ce mot 'socialiste' cache en réalité une vérité toute autre: celle d'ôter le président Maduro et de mettre à sa tête un président anti-vénézuélien ! Car, tous les vénézuéliens soutiennent le président Maduro comme ils ont tous soutenu le président Chavez.
C'est là une lutte qui dure depuis des décennies afin de mettre la main sur les plus grandes ressources pétrolières du monde.
Après le président Saddam Hussein d'être désigné coupable d'avoir des ADM, se fut le tour du président Mouammar Kadhafi de subir une FAUSSE révolution dans ce pays de millionnaires où le président se promenait en voiture découverte et acclamé par tous les libyens, est venu à être désigné de terroriste le président Maduro !!
Des milliers de personnes aperçues sur une plage britannique – photo
RépondreSupprimer22:56 25.06.2020
Des milliers de personnes se sont rassemblées sur les plages de Bournemouth, dans le sud de la Grande-Bretagne, sans se soucier des règles de distanciation physique. Le conseil local s’est dit «absolument consterné».
Alors que les températures montent en flèche en Grande-Bretagne, la station balnéaire de Bournemouth était littéralement noire de monde ce 25 juin. En effet, des milliers de personnes s’y sont précipitées pour profiter d’un peu de fraîcheur.
Les vacanciers d’un jour semblent avoir complètement oublié les consignes de distanciation physique, alors que le coronavirus reste présent au Royaume-Uni.
Covid-19 au Brésil: une centaine de tombes symboliques creusées sur la plage de Copacabana - vidéo
Le Conseil de Bournemouth, Christchurch et Poole s’est dit «absolument consterné» et a déclaré que ces personnes avaient «défié les consignes de distanciation», les qualifiant d’«irresponsables», a indiqué Sky News.
Cet afflux sur les plages du pays est constaté alors que les thermomètres sont montés à plus de 32°C le 24 juin et plus de 33°C ce 25 juin. Or, le Royaume-Uni a enregistré 149 décès des suites du coronavirus ce jeudi, portant le nombre total des morts à 43.230, selon les chiffres du ministère de la Santé.
Même à 21h, il y avait encore beaucoup de monde sur la plage de Bournemouth, a encore constaté Sky News.
https://fr.sputniknews.com/societe/202006251044008435-des-milliers-de-personnes-apercues-sur-une-plage-britannique--photo/
Les irresponsables sont cette pourriture monarchique INCAPABLE de proposer des VRAIS masques FFP2
SupprimerLa vie rationnelle: un objectif majeur de l'arnaque au coronavirus
RépondreSupprimerPar Gary D. Barnett
26 juin 2020
«Dès que nous y faisons face franchement, nous sommes conduits à la conclusion que la communauté a le droit de mettre un prix sur le droit d'y vivre… Si les gens sont aptes à vivre, qu'ils vivent dans des conditions humaines décentes. S'ils ne sont pas aptes à vivre, tuez-les d'une manière humaine décente. Faut-il s'étonner que certains d'entre nous soient amenés à prescrire la chambre mortelle comme la solution pour les cas difficiles qui sont actuellement l'excuse pour ramener tous les autres cas à leur niveau, et la seule solution qui créera un sentiment de pleine responsabilité sociale dans les populations modernes?
~ George Bernard Shaw, Prefaces (Londres: Constable and Co., 1934), p. 296.
L'idée de tuer de larges segments de la population n'a rien de nouveau, car l'eugénisme est un désir de l'élite depuis la Grèce antique et Rome, mais le terme d'eugénisme n'a été utilisé pour la première fois qu'en 1883 par Sir Francis Galton. À mesure que le temps passait et que le progrès humain s'accélérait au début du XXe siècle, le terme populaire d'eugénisme a perdu sa popularité antérieure parmi le troupeau et a été relégué aux réunions secrètes des eugénistes de l'époque. Bien que le désir de l’élite de contrôler la vie et la mort n’ait pas diminué, la manière dont elle a été discutée a été forcée de changer. Aujourd'hui, le contrôle de la population est un euphémisme pour l'eugénisme, et c'est un terme qui peut être manipulé pour promouvoir des idées qui ne sont pas facilement acceptées par les masses. Les personnes malfaisantes et trompeuses ont peu changé, mais les façons dont elles promeuvent leurs idées sont devenues beaucoup plus sophistiquées. Les véritables agendas sont pour la plupart cachés et certainement plus sinistres qu'on ne l'imaginait.
George Bernard Shaw pensait que beaucoup de gens devraient être mis hors de vie parce que cela gaspille du temps (et de l’argent) pour s’occuper d’eux. N'est-ce pas le sentiment aujourd'hui de la classe dirigeante concernant les vieux et les faibles lors de cette pandémie frauduleuse créé dans le but de prendre le contrôle total de toutes les populations? Cette pratique d'élimination de certains segments de la population n'est-elle pas bien en place depuis le début de cette fausse escroquerie à coronavirus ? Quelles parties de la population américaine ont été ciblées pour la mort depuis le début de cette fausse crise ? Ce sont les personnes âgées et infirmes, les pauvres, les faibles d'esprit et les minorités, en particulier dans les centres-villes comme New York.
À mon avis, les maisons de soins infirmiers et les établissements de soins de longue durée sont devenus le foyer des meurtres commis par l'État, et de nombreuses personnes forcées de se trouver dans ces types d'établissements ont été délibérément ciblées pour être exterminées, bien que sous couvert de les protéger par un isolement forcé, ce qui a conduit à peu ou pas de soins médicaux. Selon l'état ou le pays, une fois qu'un seul symptôme ou deux de ce qu'on appelle Covid-19 existerait chez un patient, tout l'établissement était considéré comme infecté. En raison de ce mandat, peu, le cas échéant, seraient admis à l'hôpital pour des soins généraux, et aucun pour Covid. Il s'agissait essentiellement d'une condamnation à mort pour tous ceux qui étaient malades de toute maladie dans ces maisons de soins. Dans ces circonstances, les taux de mortalité dans les maisons de soins infirmiers et les centres pour personnes âgées ont considérablement augmenté, et avec toute deuxième phase prévue, même un niveau plus élevé de décès orchestrés dans ces types d'endroits se produira. C'est une parodie.
RépondreSupprimerCela semble avoir été soigneusement tracé, et peu de temps après la soi-disant épidémie, de nouvelles directives de triage ont été mises en œuvre, l'âge uniquement étant pris en compte. Le rationnement des soins, et donc le rationnement de la vie, est devenu une autre «nouvelle norme». Le recours à l'âge requis pour le triage n'avait jamais été fait par le passé, mais ce changement à lui seul a été efficace pour aider à éliminer une grande partie de la population nécessitant des soins élevés, et donc des besoins de soins coûteux. C'était un résultat conçu pour être sûr, mais aussi basé sur des motifs complètement immoraux. Mais alors, les eugénistes ne sont jamais moraux et l'appareil gouvernemental s'est plié aux ordres de ses maîtres eugénistes. Les avantages de ces nouvelles règles étaient nombreux, car non seulement les personnes nécessitant des soins élevés étaient éliminées, mais presque tous pouvaient être considérés comme morts de Covid, alors que ce n'était pas le cas. Ces atrocités ont été précieuses pour le gouvernement d'un point de vue économique, et ont été utiles pour augmenter faussement le nombre de morts de Covid, ce qui a également contribué à propager plus de peur du virus parmi les masses. Économiquement et psychologiquement, cela a été considéré comme une victoire par la classe dirigeante, qui expose les attitudes dépravées de ceux qui contrôlent ce complot pandémique néfaste.
Méfiez-vous du langage utilisé pour apaiser les inquiétudes des membres du troupeau, car il cache la vraie vérité et les agendas recherchés par les élites et leurs pions dans la classe politique au profit de quelque chose qui semble plus agréable au public. Un tel exemple est celui de l'allocation de ressources limitées à ceux qui sont les plus susceptibles de survivre en tant que nécessité. De toute évidence, les jeunes sont plus susceptibles de survivre, donc selon les protocoles actuels des établissements médicaux, il n'y a pas de ressources disponibles pour les personnes âgées et vraiment malades. Bien que cela puisse sembler logique à première vue à certains, ce n'est qu'un piège destiné à créer l'apparence d'inquiétude du gouvernement sur la base du mensonge selon lequel les ressources sont insuffisantes. Cette notion n'est qu'une ruse en raison de la tromperie qu'une véritable pandémie est évidente quand elle ne l'est pas. Rappelez-vous que pendant cette fausse crise, de nombreux hôpitaux étaient vides ou fermés, des infirmières et des médecins ont été licenciés à travers le pays, et les soins les plus courants et les plus critiques, à l'exception des patients présumés de Covid, ont été délibérément suspendus ou supprimés. Cela signifie qu'aucun de nous n'est jugé important pour le système, jeune ou vieux, et que l'objectif principal n'est pas seulement de réduire ou d'éliminer la population âgée, mais aussi de réduire les soins pour tous.
RépondreSupprimerLa «prochaine vague» est maintenant fortement poussée, et cela ne vise qu'à créer plus de panique et moins d'examen des pratiques médicales actuelles et des mandats gouvernementaux. Plus la peur est évidente parmi les gens, plus il sera facile de faire avancer les programmes de contrôle, d'isolement, de masques, d'une économie fermée et dévastée, d'une perte de famille et d'amis, d'un verrouillage et d'une surveillance constants et de la «Solution finale», comme Bill Gates le décrit si en riant, de vaccination obligatoire de masse des toxines toxiques dans le monde entier. C'est là que nous nous dirigeons.
RépondreSupprimerCe ne sont pas seulement les anciens qui sont visés par ces monstres au pouvoir et leurs complices au gouvernement; c'est nous tous. La division maintenant évidente oppose tous contre tous, chaque groupe contre tous les autres groupes, noir contre blanc, et chaque individu contre chaque autre individu. Les jeunes, les vieux, les malades ou les sains ne concernent pas l'élite, seuls le pouvoir et le contrôle totaux sont importants pour les responsables, et cet agenda est magistralement exécuté en raison de la faiblesse de cette société américaine aujourd'hui ignorante et impuissante. Ce qui était autrefois spécial dans ce pays est maintenant simplement une distorsion perverse de la réalité qui est imprégnée de folie totale.
https://www.lewrockwell.com/2020/06/gary-d-barnett/rationing-life-a-major-objective-of-the-coronavirus-scam/
A savoir que ce ne sont ni les taxes, ni les impôts que le Peuple paie qui font vivre les fonctionnaires; La dictature vit de fausse monnaie DEPUIS TOUJOURS passant de la bonne vieille planche-à-billets au clavier d'ordinateur. Elle n'a donc besoin de personne pour acheter quoi que ce soit et juste quelques paysans ou pêcheurs pour subsister
SupprimerEt comme il est plus aisé de rétablir l'esclavage pur et dur maintenant surveillé par des robots, des drones et des puces RFID, se défaire des 9/10 ème de la planète n'est pas une chose bien difficile !
Suffit que des cons croient en 'la gauche, la droite, les extrêmes ou le centre', suffit qu'ils croient en leur couleur préférée rouge, bleu, rose, noir, blanc, vert, marron, etc ou en un dieu qui n'existe pas mais qui va... les sauver ! HAHAHAHA !
CONNECTÉ ! Votre iPhone a une carte cachée de PARTOUT où vous allez - comment le trouver
RépondreSupprimerSean Keach,
rédacteur en chef des technologies numériques et des sciences
25 juin 2020, 6:30 ET
VOTRE iPhone garde une trace de vos mouvements réels - que vous pouvez visualiser sur une carte.
La fonctionnalité peu connue est enfouie profondément dans les paramètres de votre iPhone et affiche vos mouvements exacts au cours des derniers mois.
Votre iPhone conserve un journal de vos mouvements réels, mais vous pouvez l'effacer quand vous le souhaitez
Qu'est-ce que les emplacements importants pour l'iPhone ?
Votre iPhone possède une fonctionnalité appelée Services de localisation, qui utilise votre position pour améliorer diverses fonctionnalités de l'appareil.
Cela inclut les emplacements significatifs, un journal continu de vos mouvements réels, qui sont ensuite utilisés pour offrir d'autres services.
Par exemple, si votre iPhone connaît votre trajet quotidien, il peut fournir des informations de chronométrage personnalisées sur votre trajet.
"Permettez à votre iPhone d'apprendre des endroits importants pour vous afin de fournir des informations utiles sur la localisation dans les cartes, le calendrier, les photos et plus", explique Apple.
Il stocke vos mouvements à travers le monde grâce à la fonction Services de localisation
Il stocke vos mouvements à travers le monde grâce à la fonction Location Services.
Les emplacements importants pour iPhone sont-ils sûrs ?
Vous pourriez paniquer qu'Apple tienne un journal de chacun de vos mouvements, mais ce n'est pas tout à fait le cas.
"Les emplacements importants sont cryptés et ne peuvent pas être lus par Apple", selon Apple.
RépondreSupprimerCela signifie que les informations de localisation sont stockées sur votre iPhone, et sont cryptées et dissociées de vous si elle doit quitter l'appareil.
Aucun étranger ne peut voir vos emplacements importants et ils ne sont pas non plus accessibles via iCloud.
Et même si un copain utilise votre iPhone, il ne peut pas entrer dans des emplacements importants sans avoir d'abord dépassé un verrouillage Face ID ou Touch ID.
Cependant, si vous craignez vraiment qu'un conjoint ne se faufile sur votre iPhone et vous attrape au pub alors que vous étiez censé être au travail, cela peut valoir la peine de désactiver le système - ou d'effacer au moins votre historique. Nous expliquerons comment procéder ci-dessous.
Pour trouver des emplacements importants, vous devez accéder à la confidentialité, puis trouver les services de localisation
Il convient également de mentionner que les emplacements importants sont opt-in, bien que vous ne l'ayez probablement jamais su.
Il s'allume lorsque vous activez les services de localisation pendant la configuration de l'iPhone, mais il est enfoui sous plusieurs couches de paramètres, de sorte que la plupart des gens ne savent pas qu'il existe.
Les données de localisation remontent à environ un an.
Les emplacements importants peuvent être désactivés à tout moment.
Comment trouver la carte de localisation de votre iPhone
Tout d'abord, lancez l'application Paramètres sur votre iPhone, puis appuyez sur la section Confidentialité.
Cliquez ensuite sur Services de localisation et faites défiler tout en bas de la page, où vous devrez appuyer sur Services système.
Accédez à l'onglet Emplacements significatifs, auquel cas il vous sera demandé de vous connecter avec Face ID, Touch ID ou votre code d'accès.
Vous devriez voir une longue liste de villes, que vous pouvez exploiter pour trouver divers endroits où vous avez été auparavant.
Tous ces emplacements sont horodatés et figurent sur une carte en haut de l'écran.
Il peut même mettre en évidence votre «domicile» et votre «travail», qui devraient être vos destinations les plus visitées.
Comment supprimer les emplacements importants de l'iPhone
Il existe plusieurs façons de nettoyer vos emplacements importants sur l'iPhone.
La première consiste à simplement désactiver les emplacements importants lorsque vous êtes dans le bon menu.
Vous pouvez également cliquer sur le bouton Effacer l'historique à l'intérieur des emplacements importants, qui supprime vos emplacements collectés jusqu'à présent.
Alternativement, vous pouvez désactiver complètement les services de localisation, bien que cela signifie que vous perdrez certaines fonctionnalités de cartographie vraiment utiles.
Nous avons demandé à Apple à quelle fréquence le tracker met à jour votre position et comment cela fonctionne où se trouvent vos adresses personnelle et professionnelle.
Il y a un nouvel écran d'accueil iPhone à venir dans iOS 14.
Et votre iPhone peut maintenant vous dire si quelqu'un écoute via votre microphone.
https://www.the-sun.com/lifestyle/tech/1035842/iphone-map-location-tracking-significant-settings/
Les demandes de permis d'armes à feu de l'Illinois montent de 500 % alors que les libéraux effrayés adoptent le deuxième amendement
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 25/06/2020 - 18:50
Plus de 40 000 résidents de l'Illinois ont demandé un permis d'armes à feu sur une période de deux semaines ce mois-ci, un bond de plus de 500% par rapport à la même période l'année dernière selon la police de l'État de l'Illinois.
"Prenez un grand verre de coronavirus, secouez-vous dans un plan d'émeutes et une autre de cette notion de police de défense, et tout devient fou", a déclaré le propriétaire de l'armurerie Mark Glavin au Chicago Tribune. "Sans parler de l'arriéré des vérifications des antécédents."
La vérification des antécédents obligatoire de 72 heures de l'État s'est étendue à plus d'une semaine pour certains clients de Glavin, mettant les résidents de l'Illinois dans le même bateau que les Californiens - qui ont une attente de 10 jours avant de pouvoir prendre possession des armes à feu récemment achetées.
Le bureau des services des armes à feu de la police de l'État de l'Illinois prend en moyenne 94 heures ouvrables - sans compter les jours fériés, les week-ends, le jour où l'arme est achetée ou le jour où la vente est approuvée ou refusée - pour traiter les vérifications des antécédents, environ une journée de plus que d'habitude, selon la porte-parole de la police d'État Beth Hundsdorfer.
Le bureau est responsable de la délivrance des cartes d'identité des propriétaires d'armes à feu et des permis de port dissimulé, ainsi que de la vérification des antécédents des marchands d'armes à feu titulaires d'une licence lors de la vente. Son travail a commencé à reprendre en mars et a atteint un sommet en juin, a déclaré Hundsdorfer. -Chicago Tribune
Entre le 1er juin et le 17 juin, il y a eu plus de 42 089 demandes de cartes FOID contre seulement 7 000 au cours de la même période l'an dernier, soit une augmentation de 501%. Dans un contexte plus large, il y a eu 48 194 demandes combinées entre décembre, janvier et février combinés.
"Nous savons que les achats d'armes à feu sont traditionnellement en hausse autour des élections et des grandes tragédies", a déclaré Noam Ostrander, professeur agrégé de travail social à l'Université DePaul.
"Il y a deux grands prédicteurs de la possession d'armes à feu - pas les propriétaires de carabines de type sportif - mais parmi les nouveaux propriétaires d'armes à feu en général, et c'est un risque perçu de victimisation, puis une croyance que le monde est un endroit dangereux", a poursuivi Ostrander. "Et si nous creusons dans ce deuxième, à droite, le monde ressemble à un endroit dangereux en ce moment."
Le magasin d'armes à feu de Des Plaines et propriétaire de la gamme Dan Eldridge dit que la moitié des clients qui se démènent pour s'armer sont de nouveaux acheteurs.
"Les chiffres que j'ai vus de la National Shooting Sports Foundation [...] indiquaient que 40% des répondants aux enquêtes (en magasin) étaient de nouveaux acheteurs pour la première fois. Et parmi eux, 40% sont des femmes - 40% des 40%", a déclaré Eldridge. "Nous suivons 150% d'un mois de mai typique dans la vente d'armes à feu ... et c'est en étant ouvert sur rendez-vous uniquement."
Eldridge a également noté que les ventes de munitions défensives, telles que les balles à pointe creuse, étaient 10 fois plus élevées.
"Ce qui est important, c'est que beaucoup de gens qui ont des armes à feu pour leur maison ou pour se défendre se disent:" Je ferais mieux d'avoir des munitions pour cette chose ou ça ne me fera aucun bien "", a-t-il ajouté.
Les libéraux adoptent le 2e amendement
RépondreSupprimerAlexandra Filindra, professeure agrégée de science politique à l'Université de l'Illinois à Chicago, a déclaré qu'il existe de nombreuses recherches et preuves anecdotiques que de nombreux acheteurs d'armes blanches pour la première fois identifient comme politiquement progressistes.
"Ce n'est pas tant un problème de sécurité, bien qu'ils aient tendance à vouloir l'identifier à tort comme une peur", a déclaré Filindra. "Mais généralement, les gens qui sont très anxieux et effrayés ont tendance à être plus favorables au contrôle des armes à feu."
Un homme de Dixon âgé de 38 ans - qui ne voulait pas que son nom soit utilisé pour des raisons d’emploi - s’est décrit comme «un démocrate très libéral» qui, pendant des décennies, a été «politiquement pour la plupart des formes de contrôle des armes à feu». Mais depuis mars, il attend son premier permis de port d'armes pour qu'il puisse garder sa famille en sécurité, a-t-il déclaré.
"Mon point de vue a récemment changé et j'ai accepté que le deuxième amendement prévoit la propriété personnelle et l'utilisation d'une arme à feu", a-t-il déclaré dans un e-mail. "Les troubles sociaux récents d'un président qui divise, la pandémie et l'augmentation dramatique du chômage, et les troubles sociaux plus récents en raison de la façon dont nous contrôlons la police dans ce pays ont toutes été des raisons qui ont motivé ma récente demande." -Chicago Tribune
David Lombardo, instructeur sur les armes à feu dissimulées et propriétaire de Safer USA, a déclaré qu'il avait eu récemment plusieurs appelants qui avaient révélé leurs convictions politiques tout en lui demandant une formation privée en tête-à-tête car "ils ne veulent pas que quiconque sache qu'ils font la formation, sans parler d'aller acheter une arme à feu. "
"J'ai vu l'émergence d'une nouvelle classe d'étudiants en quête de formation: les libéraux anti-deuxième amendement", a-t-il déclaré.
Carrie Lightfoot, fondatrice du populaire blog de tir The Well Armed Woman, a déclaré qu'il n'y avait rien d'hypocrite à changer votre point de vue lorsque le monde autour de vous change. Et elle n'est pas surprise que les femmes constituent une bonne partie de ces nouveaux acheteurs d'armes à feu.
Les femmes ont toujours compris qu'elles étaient désavantagées en ce qui concerne un agresseur masculin qui sera probablement plus grand, plus lourd et plus fort. Maintenant, nous sommes "tous ébranlés jusqu'à notre cœur" par les événements mondiaux, c'est pourquoi "il est naturel" que les femmes s'arment, a-t-elle déclaré.
«Je vois des femmes devenir propriétaires d'armes à feu qui, il y a à peine quelques semaines ou mois, étaient opposées à ce que les gens possèdent des armes à feu personnellement», a déclaré Lightfoot. "Parfois, c'est dans les moments de besoin personnel et à travers nos préoccupations personnelles que le contexte de notre vie change." -Chicago Tribune
Beaucoup d'armes à feu, pas beaucoup de formation
Ostrander de DePaul souligne ce que peu disent; Les propriétaires d'armes à feu pour la première fois sont huit fois plus susceptibles de se suicider accidentellement que ceux des maisons sans armes à feu, car ils manquent de formation.
"S'ils se sentent plus en sécurité lorsqu'ils ont 5 livres de métal dans leur maison, essayons au moins de suivre quelques instructions de base. Une certaine sécurité standard des armes à feu", a-t-il déclaré.
RépondreSupprimerLisez le reste du rapport ici:
https://www.zerohedge.com/political/illinois-gun-permit-applications-soar-500-frightened-liberals-embrace-2nd-amendment
Le nombre total de cas de coronavirus aux États-Unis est probablement 10 fois plus élevé que le décompte officiel, prévient le CDC
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 25/06/2020 - 17:30
Alors que les responsables de la santé publique se demandent si les États-Unis verront le taux de mortalité par coronavirus revenir à son pic le plus meurtrier fin avril / début mai, le CDC vient de publier un avertissement affirmant que le nombre d'Américains infectés par le coronavirus est probablement 10 fois plus élevé que nous savoir.
Si elle est exacte, cela signifierait que le nombre total de cas aux États-Unis seuls est plus proche de 20 millions. Ces chiffres sont basés sur les résultats de quelques séries de tests de surveillance utilisant des tests de détection d'anticorps. Alors que le CDC s'en tient aux chiffres, certains experts ont soulevé des questions sur les tests d'anticorps et leur sensibilité aux faux positifs. Cependant, certaines séries de tests de surveillance à NY et NYC ont révélé que jusqu'à 1/5 personnes testées (à NYC) étaient positives pour les anticorps.
Voici plus de Reuters:
Les experts gouvernementaux estiment que plus de 20 millions d'Américains auraient pu contracter le coronavirus, 10 fois plus que le nombre officiel, indiquant que de nombreuses personnes sans symptômes ont ou ont eu la maladie, ont déclaré de hauts responsables de l'administration.
L'estimation, des Centers for Disease Control and Prevention, est basée sur des tests sérologiques utilisés pour déterminer la présence d'anticorps qui montrent si une personne a eu la maladie, ont déclaré les responsables.
Les responsables, s'adressant à un petit groupe de journalistes mercredi soir, ont déclaré que l'estimation était basée sur le nombre de cas connus, entre 2,3 millions et 2,4 millions, multiplié par le taux moyen d'anticorps observés lors des tests sérologiques, environ une moyenne de 10 à 1.
"Si vous multipliez les cas par ce ratio, c'est là que vous obtenez ce chiffre de 20 millions", a déclaré un responsable.
Si elle est vraie, l'estimation suggérerait que le pourcentage de décès aux États-Unis de la maladie est inférieur à ce que l'on pensait. Plus de 120 000 Américains sont morts de la maladie depuis le début de la pandémie cette année.
Avec 20 millions de personnes infectées, le taux de mortalité aux États-Unis n'est que de 0,6%. Cela expliquerait également pourquoi les décès ont continué à stagner, voire à diminuer, alors même que de nouvelles infections sont diagnostiquées. Un épidémiologiste de Harvard largement cité, le Dr Eric Feigl-Ding, a déclaré qu'il estimait que les chiffres étaient «raisonnables» compte tenu de son expérience des tests sérologiques.
Pourtant, comme l'a souligné le Dr Feigl-Ding, ces données ne devraient pas être utilisées pour soutenir la notion selon laquelle les États-Unis ont développé des niveaux suffisamment élevés d '«immunité collective» pour aller de l'avant sans vaccin. Comme l'a souligné l'épidémiologiste suédois la semaine dernière, l'immunité collective contre le COVID-19 est quelque chose qui prend un temps étonnamment long à se développer. D'autant plus que nous ne savons pas encore si les mutations du virus rendront ces anticorps ou tout vaccin à venir obsolètes.
RépondreSupprimerhttps://www.zerohedge.com/geopolitical/total-us-coronavirus-cases-likely-10x-higher-official-tally-cdc-warns
La traite négrière transatlantique a déraciné des millions
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ven, 26/06/2020 - 02:45
Il y a 400 ans, en août 1619, le premier navire avec des esclaves africains destinés aux États-Unis est arrivé dans ce qui était alors la colonie de Virginie. Mais, comme le fait remarquer Katharina Buchholz de Statista, l'histoire cruelle de la traite transatlantique des esclaves commence beaucoup plus tôt.
En fait, de nombreux esclaves vivaient dans les colonies anglaises d'Amérique du Nord avant cette date. Ils sont arrivés aux États-Unis actuels via des colonies espagnoles et portugaises, où des Africains réduits en esclavage sont arrivés dès 1514, ou ont été transférés en prime à partir de navires espagnols ou portugais.
Les États-Unis sont fortement associés à l'esclavage et à la capture et à la réinstallation forcée des Africains. Environ 300 000 personnes ont débarqué directement aux États-Unis, tandis que beaucoup d'autres sont arrivées via la traite négrière interaméricaine des Caraïbes ou d'Amérique latine. On estime que près de 4,5 millions d'Africains réduits en esclavage sont arrivés dans les Caraïbes et 3,2 millions dans le Brésil actuel.
On estime qu'environ 40% des Africains déracinés en provenance de l'esclavage sont venus d'Angola en Afrique australe, 30% venant de la baie du Bénin en Afrique de l'Ouest.
- voir sur site -
Infographie: le commerce transatlantique des esclaves déraciné des millions | Statista
Les chiffres tirés du projet de base de données SlaveVoyages.org indiquent le nombre d'Africains débarquant. Beaucoup d'autres sont morts en chemin à cause du manque de nourriture et d'eau et des conditions horribles à bord des navires négriers. D'autres ont été déracinés dans la région transsaharienne, la mer Rouge et la traite des esclaves indiens, qui étaient en partie antérieurs à la traite transatlantique des esclaves.
On estime que près de 20 millions de personnes ont été forcées de quitter le continent africain asservies. En 1800, cela avait décimé la population africaine à la moitié de sa taille s'il n'y avait pas eu d'esclavage.
https://www.zerohedge.com/markets/trans-atlantic-slave-trade-uprooted-millions
Bien avant que n'arrivent les esclavagistes 'visages pales' en Afrique existaient les esclavagistes bronzés en Afrique !
SupprimerIdem en Amérique où les esclaves visages pales sont ignorés par les merdias ! Cà alors !
Pourquoi n'en parlent-ils pas ?
Les sénateurs prennent des mesures pour rendre publiques les données sur les ovnis
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 25/06/2020 - 22:30
Écrit par Benjamin Wilson via SaraACarter.com,
Les législateurs de la commission du renseignement du Sénat vont de l'avant avec une demande qui ordonnerait au ministère de la Défense et aux agences de renseignement américaines de créer une collecte publique et non classée de toutes les informations et données sur le «phénomène aérien non identifié», également connu sous le nom d'objets volants non identifiés, les OVNIS .
Selon le NY Post, les sénateurs ont reconnu l'existence d'un «groupe de travail sur les phénomènes aériens non identifiés» et la nécessité d'une analyse complète des objets volants non identifiés.
«Dans son rapport joint à la loi 2020-2021 sur les autorisations du renseignement du Sénat, le sénateur de Floride Marco Rubio, président par intérim de la commission du renseignement du Sénat, charge le directeur du renseignement national, le secrétaire à la Défense et d'autres chefs d'agence de compiler des données sur les« non identifiés ». phénomène aérien », selon The Post.
Rubio et son comité ont exprimé leur inquiétude de ne pas avoir une analyse concentrée de ces objets - d'autant plus que cela pourrait constituer une menace pour la sécurité nationale. Les législateurs ont convenu que les conclusions devraient être rendues publiques.
«Le Comité comprend que les renseignements pertinents peuvent être sensibles; néanmoins, le Comité constate que le partage et la coordination des informations au sein de la communauté du renseignement sont incohérents et que cette question n'a pas retenu l'attention des hauts responsables », indique le rapport.
Selon Politico, en cas d'adoption, les agences de renseignement auraient 180 jours pour rédiger un rapport pour le directeur des renseignements nationaux et le secrétaire à la défense.
Cette décision fait suite à la publication par le Pentagone de vidéos de ces objets il y a deux mois.
Comme indiqué précédemment sur ce site d'actualités, le Pentagone a publié le 27 avril trois vidéos non classifiées montrant les rencontres de la marine américaine avec des "phénomènes aériens non identifiés".
«L'US Navy a précédemment reconnu que ces vidéos circulant dans le domaine public étaient en effet des vidéos de la Navy. Après un examen approfondi, le ministère a déterminé que la publication autorisée de ces vidéos non classifiées ne révèle aucune capacité ou système sensible et n'empiète sur aucune enquête ultérieure sur les incursions aériennes dans l'espace aérien par des phénomènes aériens non identifiés », a déclaré le DOD dans un communiqué.
La disposition adoptée aujourd'hui ira au Sénat pour un vote et pourrait conduire à une meilleure connaissance du public sur les OVNIS.
https://www.zerohedge.com/political/senators-move-make-ufo-data-public
SupprimerHAHAHAHA ! Imaginez-vous que, des 'extraterrestres' (qui ont parcouru des milliards de miles pour venir sur Terre) ne sont même pas descendus de leurs 'soucoupes volantes' HAHAHAHA ! pour discuter, prendre un verre, bref, se renseigner !?
C'est le même type d''ovni' entrant (en avions d'aluminium) dans des tours bardées de poutrelles verticales d'acier à N-Y le 11 Septembre 2001 !).
L'époque des hologrammes bat son plein ! Investissez dans !
RECHERCHE ET INNOVATION : L'ÉLOGE DE LA PATIENCE
RépondreSupprimerpar SOPHIE JULLIAN
29/06/2020
En 2016, le montant investi en France en R&D a été de 49,5 milliards
d'euros.
La crise de la Covid-19 que nous traversons a modifié notre perception des valeurs, notre relation au temps et à l’immédiateté... Nous a-t-elle permis de retrouver des potentialités oubliées ? Oui, sans aucun doute. Complètement improbable et inimaginable il y a quelques mois encore, le confinement nous a réappris l’attente. Nous avons réalisé que nous pouvions rester deux mois sans bouger de chez nous et vivre simultanément deux formes de temporalité, temps court avec l’instantanéité des réseaux sociaux et temps long, avec ce maintien forcé à la maison. Nous avons pris conscience que nous pouvions faire différemment.
En donnant un joli coup de projecteur aux acteurs de la recherche, cette période a également mis en lumière la nécessaire acceptation de l’attente pour obtenir l’accès à des solutions, face au virus par exemple... Attendre tout en soutenant au quotidien nos soignants.
La référence au temps et la patience se sont ainsi développées sous une contrainte acceptée pour un mieux demain.
Accélération n’est pas précipitation
En tant que découvreurs d’innovations « pépites » issues de la Recherche publique, cette temporalité du temps long est une force. La Recherche s’inscrit dans la durée. Elle n’a pas vocation à produire des solutions immédiates. Comme les racines d’un arbre, elle accroit patiemment, progressivement, profondément, la connaissance du monde. Et de cette connaissance, de cette démarche scientifique mêlant rigueur et créativité, jaillissent des découvertes qui font grandir le monde. C’est notre rôle de médi’acteurs de transformer ces Deep Tech, issues des profondeurs de la science, en solutions, produits ou services, aux côtés de chercheurs et d’entrepreneurs engagés. En un mot, de puiser dans les racines et de faire émerger de ce terreau fertile de belles pousses susceptibles de répondre aux grands enjeux sociétaux de demain.
Il y a une volonté forte des chercheurs d’aller vers la transformation de leurs résultats en solutions pour la société civile. Nous travaillons en ce sens avec eux, et cela demande du temps pour amener ces innovations technologiques jusqu’au marché, vers les patients par exemple. Pour autant, le secteur est capable d’une réactivité inouïe et d’une grande agilité quand la situation demande une réactivité particulière et il vient de le démontrer dans cette crise que nous vivons.
RépondreSupprimerNe pas opposer chercheurs et trouveurs
Il faut lutter contre une présentation facile visant à opposer recherche fondamentale et recherche appliquée, chercheurs et trouveurs, temps long et temps court... C’est un mauvais procès. Le temps long permet la prise de recul et la réflexion au regard de la découverte. L’effort en recherche fondamentale est crucial. Il faut ouvrir des pans de la connaissance aujourd’hui pour apporter des solutions demain. La recherche fondamentale a besoin de ce temps long, ce n’est pas grave et il faut juste être patient. Car c’est avec cet investissement sur la durée que nous serons en capacité d’avancer, et d’apporter des solutions aux enjeux de demain.
http://www.economiematin.fr/news-recherche-innovation-entreprise-temps-patience-investissement-jullian
Vous en êtes à votre 150 millionième 'corana' depuis votre naissance mais, celui-ci est 'CoranaTerminator' ! Hahahaha !
SupprimerCOMMENT VA ÉVOLUER LA MOBILITÉ DES FRANÇAIS APRÈS LE COVID-19 ?
RépondreSupprimerpar OTHMAN KTIRI
28/06/2020
20% des ménages non motorisés envisagent d'acheter une voiture dans
les 6 prochains mois.
Les premiers signes de reprise dans le secteur automobile après la crise provoquée par la pandémie mondiale du Covid-19 nous montrent que le véhicule à usage privé redevient le grand gagnant de la mobilité citoyenne. Une tendance qui conforte la position de l'automobile comme moyen de transport préféré des Français .
C'est la nouvelle réalité à laquelle nous assistons après la crise sanitaire, où nos routines et nos habitudes de consommation évoluent ; notamment dans le secteur de la mobilité. Cette situation se renforce à un moment où la peur émerge chez les citoyens lors de l'utilisation des transports publics et où le véhicule privé n'est plus uniquement lié à la liberté mais aussi à la santé et à la sécurité.
En témoignent les données, qui montrent que les utilisateurs réguliers des transports publics ont baissé de 10%, alors que, parallèlement, 20% des ménages non motorisés envisagent d'acheter une voiture dans les 6 prochains mois.
En ce sens, une enquête récente publiée par l'institut français OpinionWay montre que la voiture reste le moyen de transport préféré des Français, tant pour les déplacements quotidiens (68%) que pour les trajets jusqu'à 100 km (74%).
Compte tenu de ces données, il est incontestable de confirmer que cette nouvelle tendance à la mobilité, apparue dans l'ère post-Covid-19, est là pour durer; au moins à court et moyen terme.
Une offre à la hauteur du défi ?
Tous ces facteurs conduisent le marché automobile à faire face à un grand défi et pour les professionnels du secteur de se demander: l'offre sera-t-elle suffisante pour répondre à la demande?
RépondreSupprimerCe que nous savons, c'est que la crise sanitaire a provoqué des retards de production considérables. Un déficit qui, d'après ce que nous constatons, ne pourra pas compenser dans les prochains mois; même pas dans un an.
Il est évident que cette carence entraînera nécessairement une augmentation des prix à la consommation, mais sans arrêter la volonté de la population de continuer à miser sur ce moyen de transport; car la sécurité restera un facteur déterminant dans le choix des déplacements.
http://www.economiematin.fr/news-mobilite-enjeux-france-habitude-covid-futur-ktiri
La réalité est que, le vélo ou la marche à pieds (ou courir) vous fait perdre DES ANNEES de vie !
SupprimerZ'avez déjà vu un sportif centenaire ?