- ENTREE de SECOURS -



jeudi 18 juin 2020

La revolution digitale est bien là : faut foncer sur le business online


Charles Dereeper 
mercredi, 17 juin 2020 14:30

63 commentaires:

  1. Attention à 'la courbe' ! Quelqu'un qui va acheter sur le net va forcément économiser les frais de magasins, de marge, de chauffage, éclairage, assurance, personnel, etc et, que va t-il faire de cet argent économisé en achetant direct au producteur ? Va t-il le jeter par la fenêtre ? Le mettre au feu ? Non ! Il va le dépenser ! Le dépenser ailleurs. Donc, perte zéro.

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  2. Experts d'Oxford: "Il n'y a aucune preuve scientifique pour la règle des deux mètres COVID"


    par Tyler Durden
    Jeu, 18/06/2020 - 05:00
    Via 21stCenturyWire.com,


    Alors que d'autres pays et sociétés reprennent vie comme d'habitude, en Grande-Bretagne, la folie de l'éloignement social se poursuit. Pour une raison quelconque, les responsables du gouvernement britannique semblent désespérés de s'accrocher à la crise et d'imposer chaque semaine de nouvelles restrictions qui ne sont vraiment efficaces que pour une chose: entraver les affaires et le commerce.

    Le Premier ministre Boris Johnson reste confus sur la question et, pour une raison ou une autre, ne semble pas complètement abandonner la "règle des deux mètres" sacrée.

    C'est devenu une farce aux proportions historiques. En règle générale, le gouvernement a résisté à toute demande des entreprises de réduire la limite arbitraire du gouvernement de 2 mètres à 1 mètre. Cela aurait grandement aidé les entreprises à éviter la conformité coûteuse en matière de santé et de sécurité et à rouvrir cet été.

    Alors que le gouvernement et son équipe scientifique oscillent, l'économie continue de cratérer et le chômage grimpe en flèche.

    Pendant ce temps, les scientifiques du comité d'experts renommé connu sous le nom de `` SAGE '' (Groupe consultatif scientifique pour les urgences), sont occupés à avertir les ministres que le public devra porter des masques et également `` minimiser leur temps ensemble '' s'ils s'assoient à moins de 2 heures. mètres.

    Il est déjà bien connu selon les données réelles et l'expérience des pays européens - que le virus était saisonnier et a déjà `` quitté le bâtiment '', et que les seules personnes démographiques à avoir été exposées à un risque grave étaient les personnes âgées atteintes de comorbidités chroniques , et plus précisément, ceux qui résident dans des maisons de soins.

    Pourquoi les responsables du gouvernement britannique résistent-ils toujours à l'assouplissement des mesures d'éloignement social? Est-ce devenu une sorte d'exercice politique d'économie de visage élaboré maintenant, ou y a-t-il un programme d'ingénierie sociale plus vaste en mouvement?

    Le UK Telegraph rapporte ...

    La règle des deux mètres n'a aucun fondement scientifique, selon des scientifiques de premier plan, le gouvernement étant soumis à une pression croissante pour l'abandon de la mesure.

    Écrivant pour The Telegraph, les professeurs Carl Heneghan et Tom Jefferson, de l'Université d'Oxford, ont déclaré qu'il y avait peu de preuves pour soutenir la restriction et ont appelé à la fin des "règles formalisées".

    L'Université de Dundee a également déclaré qu'il n'y avait aucune indication que la distance à deux mètres soit plus sûre qu'un mètre.

    L'intervention intervient alors que deux ministres du gouvernement ont suggéré lundi que la règle devrait être assouplie à la suite d'un examen commandé par Boris Johnson, le Premier ministre.

    Mardi, les magasins ont connu une baisse quotidienne de 41% par rapport au même jour de l'année dernière, tandis que d'énormes files d'attente se sont accumulées à l'extérieur en raison d'exigences de distanciation sociale.

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  3. En examinant les preuves actuelles de la règle des deux mètres, le professeur Heneghan et le professeur Jefferson ont examiné 172 études citées dans une revue récente dans The Lancet et ont découvert que seulement cinq avaient traité explicitement de l'infection à coronavirus en fonction de la distance. Un seul a mentionné se trouver à moins de six pieds d'un patient, et ce papier montrait que la proximité n'avait aucun impact.

    "Faire la queue à l'extérieur des magasins, s'esquiver une fois à l'intérieur et ne pas trop s'approcher des autres: la distanciation sociale est devenue la norme", ont-ils écrit.

    «La règle des deux mètres, cependant, a également un impact sérieux sur les écoles, les pubs, les restaurants et notre capacité à vaquer à nos occupations quotidiennes.

    «Une grande partie des preuves de cette politique d'information actuelle sur les flambées est de mauvaise qualité. Nous avons besoin d'encouragement et de lavage des mains, pas de règles formalisées. »

    Une étude de l'Université de Dundee a suggéré que 78% du risque d'infection se produit en dessous d'un mètre et qu'il n'y a que 11% de chances qu'une distance accrue fasse une différence.

    Le Dr Mike Lonergan, statisticien principal et épidémiologiste qui a examiné 25 articles compilés pour l'Organisation mondiale de la santé (OMS), a déclaré:

    «Notre conclusion est qu'il est très important d'éviter le contact et qu'une distance d'un mètre pourrait être légèrement meilleure que de simplement éviter le contact, mais la différence est peu probable. Ces données ne donnent aucune indication que deux mètres valent mieux qu'un mètre. »

    Continuez cette histoire au Telegraph ...

    L'espoir demeure que davantage de science réelle et d'analyse sobre continueront à émerger, ce qui, espérons-le, pourra influencer le gouvernement à revenir à la réalité et mettre l'incroyable débâcle du verrouillage COVID derrière lui. Mais le peuvent-ils ?

    https://www.zerohedge.com/political/oxford-experts-there-no-scientific-evidence-covid-two-meter-rule

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  4. Des chercheurs mettent au point un moyen de suivre la propagation mondiale d'une importante maladies des plantes


    16 Juin 2020
    AGDAILY Reporters*


    Une équipe dirigée par des scientifiques de l'université de l'État de l'Oregon a mis au point un moyen de contrecarrer potentiellement la propagation d'une bactérie pathogène qui affecte plus de cent espèces de plantes dans le monde, une avancée qui pourrait faire économiser des milliards de dollars par an au secteur des pépinières.

    Cette recherche a des implications importantes pour les producteurs de plantes car elle pourrait contribuer à stopper la propagation d'Agrobacterium. La bactérie est à l'origine de la galle du collet [crown gall], qui touche plus de 100 espèces végétales, dont les arbres fruitiers, les rosiers, la vigne, les plantes de pépinière et les arbres d'ombrage. Ces espèces ont une valeur combinée de plus de 16 milliards de dollars par an rien qu'aux États-Unis, selon l'USDA.

    Les méthodes développées pour l'étude sont aussi potentiellement applicables pour suivre les maladies chez les humains et les animaux et même les épidémies de maladies d'origine alimentaire. Par exemple, les plasmides propagent des gènes de résistance à des antibiotiques, un problème urgent pour la santé humaine et animale.

    Les scientifiques de l'État de l'Oregon ont travaillé avec des chercheurs du Service de Recherche Agricole de l'USDA sur cette étude. Les résultats ont été publiés dans la revue Science.

    « Comprendre la base génétique de l'émergence et de la diversification des agents pathogènes dans les écosystèmes agricoles est fondamental pour déterminer leur propagation et évaluer les risques », a déclaré Jeff Chang, professeur au College of Agricultural Sciences de l'État d'Oregon et l'un des auteurs de l'étude. « Ces éléments sont essentiels pour éclairer les politiques d'amélioration de la santé des plantes et de préparation contre les épiphyties afin d'accroître la sécurité alimentaire mondiale. »

    L'article se concentre sur les plasmides, des molécules d'ADN auto-répliquées que l'on trouve dans Agrobacterium. Leur propagation amplifie la propagation des maladies. Les plasmides d'Agrobacterium possèdent des gènes qui donnent à Agrobacterium la capacité unique de transférer une partie du plasmide dans les cellules végétales et de reprogrammer génétiquement l'hôte pour provoquer la galle du collet ou la hairy root disease [racines chevelues].

    Ces plasmides possèdent également des gènes qui permettent à Agrobacterium de transférer l'intégralité du plasmide horizontalement d'une bactérie à une autre plutôt que par transmission verticale, ou de parent à descendant. En acquérant un plasmide nocif, une souche d'Agrobacterium auparavant bénigne peut devenir une nouvelle lignée pathogène. Cette capacité rend difficile le contrôle de l'agent pathogène et le suivi d'une épiphytie. Ainsi, pour développer leur système de traçage, les chercheurs ont d'abord dû comprendre l'évolution et la classification des plasmides.

    Avant cette recherche, le point de vue scientifique accepté était que le transfert fréquent d'informations génétiques entre les plasmides et la grande quantité de variation génétique au sein des espèces d'Agrobacterium rendaient pratiquement impossible l'établissement de relations évolutives entre les deux. Sans cette information, il n'est pas possible de suivre avec précision les épiphyties.

    Les chercheurs se sont concentrés sur deux classes de plasmides, les plasmides tumoraux et les plasmides racinaires, qui donnent à Agrobacterium la capacité de transférer une partie du plasmide dans les plantes et de provoquer les maladies.

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  5. Melodie Putnam, directrice de l'Oregon State Plant Clinic, et d'autres personnes de l'OSU et de l'USDA-ARS ont fourni des centaines de souches avec des plasmides provenant de leur collection bien conservée et ont aidé à analyser les grands ensembles de données.

    Alexandra Weisberg, auteur principal et chercheuse post-doctorale, co-encadrée par Chang et Niklaus Grünwald, de l'Unité de Recherche sur les Cultures Horticoles de l'USDA-ARS à Corvallis, a séquencé 140 souches avec des plasmides et, étonnamment, a trouvé que les plasmides descendaient tous de neuf lignées seulement.

    « Avec cette grande quantité d'informations issues du séquençage génétique sur la façon de classer les plasmides et les Agrobacterium, nous avons pu déduire à la fois comment les bactéries se déplacent entre les pépinières et comment les plasmides se déplacent entre les bactéries », a déclaré M. Weisberg.

    Le fait de disposer de séquences entières du génome d'Agrobacterium a permis aux chercheurs de relier les pépinières entre elles sur la base de la présence de souches ayant le même génome et les mêmes séquences de plasmides, la même séquence du génome mais des séquences de plasmides différentes, ou des séquences du génome différentes mais les mêmes séquences de plasmides, a déclaré M. Weisberg.

    Ils ont pu identifier au moins sept cas dans lesquels la distribution mondiale des plantes a contribué à la transmission généralisée d'une combinaison particulière souche-plasmide d'Agrobacterium. L'un de ces cas comprenait une pépinière qui produit des plantes pour les grossistes et a pu servir en quelque sorte de source du patient zéro pour de nombreux foyers. Des souches de la même combinaison génotype-plasmide ont ensuite été identifiées dans deux autres pépinières dans une autre partie du monde.

    Grâce à la possibilité d'analyser séparément la bactérie et le plasmide, les chercheurs ont trouvé de nombreux cas où la transmission du plasmide perpétuait la propagation de la maladie. Par exemple, ils ont trouvé une combinaison souche-plasmide qui a été collectée en 1964. Des plasmides ayant les mêmes séquences ont été identifiés dans des souches collectées 30 à 40 ans plus tard dans différentes parties du monde.

    Quelques souches d'Agrobacterium, et certains plasmides, ont été modifiés et sont utilisés dans des outils pour étudier les fonctions des plantes, et pour introduire de nouveaux traits dans les plantes. En caractérisant la variation et les relations entre les plasmides, les résultats de cette étude ont également des applications potentielles pour optimiser ces outils biotechnologiques ou en développer de nouveaux pour faire avancer la recherche.

    https://www.agdaily.com/crops/researchers-develop-new-way-trace-global-spread-major-plant-disease/

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  6. 1.800 EUROS POUR UNE PASTÈQUE... ET C'EST VRAIMENT UNE AFFAIRE !


    par PAOLO GAROSCIO
    18/06/2020


    En 2018, deux melons Yubari ont été vendus pour 25.000 euros.

    Vous l’aurez remarqué : dans les supermarchés et autres magasins alimentaires, c’est le retour des pastèques, fruit emblématique de l’été. Au Japon, ces fruits sont de véritables stars, notamment la très célèbre pastèque Densuke qui coûte extrêmement cher. Si vous ne l’avez jamais goûtée, c’est le moment… elles sont bradées.

    Plus de 1.800 euros pour une pastèque

    Chaque année, la pastèque Densuke fait sensation… du fait de son prix. Mais cette année, à cause du coronavirus et de l’impact sur l’économie, le prix a chuté. Lors des enchères réalisées à Hokkaido au Japon lundi 15 juin 2020, la plus chère d’entre elles s’est adjugée à 220.000 yens, soit à peu près 1.818 euros. C’est sûr, ce n’est pas donné, mais c’est plus de trois fois moins que l’an passé.

    Le prix record de 2019 pour une pastèque de Densuke avait été de 750.000 yens, soit 6.243 euros. On vous le disait : cette année, il est possible de faire des bonnes affaires pour acheter celle qui est la pastèque la plus chère du monde. Une occasion unique de la goûter, si jamais vous avez l’envie et, surtout, l’argent.

    Les melons Yubari souffrent moins de la crise

    Lors de ces enchères d’exception, les cuisiniers et les amateurs s’arrachent également les célèbres melons Yubari, vendus par deux. En mai 2020, les enchères de melons et de pastèques ne se tenant pas à la même période, les plus chers ont atteint la somme de 120.000 yens, soit 1.000 euros. Si le prix est en baisse, il n’aura chuté que de 2,4% par rapport à 2019.

    Et, surtout, il reste loin du record absolu pour ces melons japonais : en 2018, deux melons Yubari avaient été vendus pour 3,2 millions de yens, soit 25.000 euros. Un prix jamais atteint jusque-là.

    http://www.economiematin.fr/news-enchere-densuke-pasteque-prix-melon-yubari-2020

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  7. La course à la fusion


    Par Duggan Flanakin
    17 juin 2020


    La course mondiale pour parvenir à une fusion nucléaire fonctionnelle et abordable se poursuit, de nouveaux joueurs surgissant sur toute la carte à la recherche d'une part de ce qui promet d'être un gâteau énergétique illimité qui pourrait ouvrir la voie aux voyages interplanétaires (entre autres).

    Alors que l'ingénierie humaine, aidée par l'intelligence artificielle (machines intelligentes), continue de révéler des secrets cachés à l'humanité pour tous les âges, la seule question qui semble pertinente n'est pas de savoir si l'humanité peut exploiter l'énergie de fusion, mais si la société humaine s'effondrera en premier. Allons-nous vers l'immortalité virtuelle ou Armageddon ? L’installation du réacteur thermonucléaire expérimental international (ITER) en France est-elle le prototype du triomphe de l’humanité sur les éléments ou une tour de Babel du 21e siècle ?

    L'ITER est le rêve de 35 ans concocté en 1985 par les présidents Ronald Reagan et Mikhail Gorbachev et d'autres qui ont senti qu'aucun pays à l'époque n'avait la volonté ou les ressources nécessaires pour résoudre seul le puzzle le plus compliqué du monde. Pendant un demi-siècle auparavant, à la suite de la révélation de l'astrophysicien britannique Arthur Eddington que l'énergie des étoiles pourrait être exploitée pour le bien de l'humanité, les scientifiques avaient cherché en vain les clés pour débloquer cette ressource inépuisable.

    Le projet ITER a donc débuté en 1988, et depuis lors, 35 pays ont dépensé 24 milliards de dollars pour construire ses 10 millions de pièces. Alors que la construction finale est en cours, nous espérons que le réacteur de 25 000 tonnes sera fonctionnel d'ici 2025.

    La contribution américaine à l'effort comprend 12 systèmes matériels essentiels fournis par UT ITER, qui est géré par le Oak Ridge National Laboratory. Ces systèmes comprennent des supraconducteurs pour le système d'aimant à champ toroïdal et la technologie d'injection de pastilles développée par ORNL pour le remplissage et les performances du plasma. La directrice du projet ITER aux États-Unis, Kathy McCarthy, est en ébullition sur le projet, notant que «le début de l'assemblage des tokamaks OTER est une étape importante pour le projet et rend la communauté de la fusion… excitée pour l'avenir.»

    Pourtant, beaucoup se souviennent de l'histoire du supercollider supraconducteur, le projet massif centré autour de Waxahachie, Texas, que le Congrès a lancé en 1988 et terminé cinq ans plus tard après avoir dépensé 2 milliards de dollars pour le projet. Michael Riordan, écrivant dans Physics Today, a déploré que la décision politique d'annuler le projet ait mis fin à plus de quatre décennies de leadership américain en physique des hautes énergies et à mettre l'Europe aux commandes (une des principales raisons peut-être pour lesquelles l'ITER est hébergé en France).

    Après beaucoup de réflexion, Riordan a conclu que l'annulation était simplement une admission par le Congrès que (comme l'ITER) la SSC était un projet trop grand et trop cher pour avoir été poursuivi par une seule nation. Son point de vue a été soutenu par Wolfgang Panofsky, directeur fondateur du Stanford Linear Accelerator Center, comme étant «un pont trop loin» pour la physique américaine des hautes énergies. [Rappelez-vous, c'était de retour quand un milliard de dollars était considéré comme beaucoup d'argent.]

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  8. Contrairement à ces jours de salade, la ruée vers la fusion fonctionnelle est maintenant rejointe par un chœur croissant d'aventuriers privés et d'un seul pays - y compris le gouvernement chinois. Beaucoup voient déjà l'ITER comme une catastrophe bureaucratique dont le budget est passé d'un prix promis de 5 milliards de dollars à 40 milliards de dollars par son achèvement.

    Maddie Stone, écrivant dans Gizmodo en 2016, a fait valoir que ITER "semble destiné à enfler comme une tumeur jusqu'à ce qu'il manque de ressources et tue l'hôte", tandis qu'un effort dépouillé et partiellement financé par le Massachusetts Institute of Technology (MIT) ) "Montre ce qui peut être fait avec un budget."

    Commonwealth Fuel Systems, s'appuyant sur un projet conjoint avec l'équipe du MIT, a construit un système alimenté par des aimants supraconducteurs à haute température (HTS) qui sont essentiels pour faire avancer un système commercial d'énergie de fusion au début des années 2030 - des années plus tôt que ce qu'ITER espère réaliser. Le réacteur CFS a l'intention de devenir le premier réacteur à fusion à afficher un «gain énergétique net» en produisant plus d'énergie qu'il n'en consomme dès 2025 - en ajoutant 50 à 100 mégawatts thermiques pour produire de l'énergie dans un cycle de vapeur conventionnel.

    Thomas Overton, écrivant dans Powermag, rapporte que la plupart des questions de physique entourant la fusion ont déjà été répondues et qu'au moins une douzaine de startups privées ont commencé à étudier des approches alternatives à l'énergie de fusion qui seront plus simples et moins coûteuses que la voie empruntée par ITER . En tout état de cause, la technologie du projet ITER lui-même devrait permettre la production d'électricité à partir de la fusion et d'autres sociétés (la phase DEMO, selon la coalition ITER) cherchent à capitaliser sur ces avancées.

    Le lancement en mai de la navette SpaceX vers la Station spatiale internationale a été qualifié de «jalon historique… [qui] marque une avancée importante et attendue depuis longtemps dans le partenariat entre le gouvernement et le secteur commercial pour accroître l'accès à l'espace et réduire les coûts». La collaboration historique entre la société d'Elon Musk et la National Aeronautics and Space Administration (NASA) a au moins potentiellement ravivé l'engagement de l'Amérique à «la frontière finale».

    Bien qu'ITER puisse ou non livrer les marchandises lui-même, il aurait déjà pu devenir le catalyseur d'une énergie de fusion abordable pour alimenter le monde à l'avenir simplement en gardant l'espoir (et l'expérimentation scientifique et technique et les essais et erreurs) en vie malgré la société effondrements qui pèsent sur les économies américaine et mondiale en plus de la pandémie de COVID.

    Bien sûr, si les Luddites gagnent, nous pourrions tous bientôt porter des pagnes et chercher des baies.

    https://www.cfact.org/2020/06/17/the-fusion-race/

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  9. FACTURES D'ÉNERGIE : DE PLUS EN PLUS D'ERREURS


    par JEAN-BAPTISTE GIRAUD
    17/06/2020


    Les litiges liés aux fournisseurs d'énergie ont augmenté de 35% en 2019.

    Si vous avez reçu une facture de gaz ou d'électricité anormalement élevée, n’hésitez pas à la contester.

    Le médiateur de l'énergie saisi de plus en plus pour des factures erronées

    D’exceptionnelles, les erreurs de facturation ou de décompte semblent se multiplier depuis quelques temps. Surtout, on découvre de plus en plus souvent que les compteurs, anciens comme nouveaux d’ailleurs, peuvent se détraquer.

    Résultat, le médiateur de l’énergie croule sous les réclamations. Leur nombre a augmenté de plus de 30% l’an dernier.

    Rappelons que le médiateur de l’énergie peut être saisi par tout client français d’un fournisseur d’énergie, quel qu’il soit. Il intervient en cas de litige, et son avis s’impose aux parties.

    Éni : le fournisseur d'énergie le plus mauvais élève

    À noter que tout le monde n’est pas logé à la même enseigne : le fournisseur d'électricité historique EDF a globalement moins de clients mécontents à déplorer que ses concurrents privés. Le plus mauvais élève de la classe, c’est l’italien Eni, qui comptabilise dix fois plus de clients mécontents que chez EDF, et trois fois plus que chez Engie ou Total Direct Energie.

    À savoir : avant de saisir le médiateur de l’énergie, il faut d’abord avoir contesté sa facture ou signalé son problème à son fournisseur, et être mécontent de la réponse ou de la solution proposée.

    Et si cela ne suffit pas, il reste, la Justice. Récemment, une octogénaire a gagné un procès contre son fournisseur parce que ses factures d'électricité avaient quasiment doublé sans raison.

    http://www.economiematin.fr/news-fort-augmentation-facture-energie-erronees

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  10. Covid et l'ouragan doivent réfléchir


    Par Joe Bastardi
    17 juin 2020


    En ce qui concerne COVID sans le pourcentage de statistiques positives à correspondre, vous obtenez une image incomplète.

    Si personne n'a été testé hier, il y aurait alors 0 nouveau cas. Si un million était testé à 4%, ce serait 40k, ce qui constituerait un énorme pic dans le nombre absolu. Mais comme le taux global positif est de 8%, cela signifie que si nous pouvions voir cette tendance en% positif, nous verrions une diminution. Certains jours, il y en a plus, d'autres jours moins (tests) et les nouveaux positifs répondent en conséquence à environ 4%. BTW au début, il était près de 20% positif. Les décès sont en baisse d'environ 120 par semaine par rapport à la semaine précédente. Il est intéressant de voir comment cela est lié à la météo, c'est pourquoi je suis obsédé par cela.

    Prenons les ouragans. Il y a plus de tempêtes tropicales classées aujourd'hui qu'il y a 70 ans. Pourtant, il y a 70 ans était le milieu des 3 plus grandes décennies de grands ouragans sur la côte américaine. Plus de tempêtes sont nommées au milieu de nulle part parce que nous les voyons maintenant. C'est comme si vous en voyez plus, vous en êtes conscient. Mais les grands succès augmentent-ils? Non. Dans COVID, SI VOUS TESTEZ PLUS, ALORS PLUS DE SHOW UP SI SON PRÉSENT, ce qui est le cas. Cependant, en regardant les ouragans majeurs qui ont touché terre, il y en a eu près de 30 1931-1960. Mais depuis 1991 (même intervalle de temps, on nous dit - ça empire), il est de 16. Maintenant, en supposant que 1 ou 2 gros ont frappé cette année, c'est encore beaucoup moins que la pire période de 30 ans.

    Pour affirmer que les choses sont pires aujourd'hui, ils nient hier.

    Dans le cas de COVID, si vous n'obtenez pas le graphique crucial du pourcentage de positifs, vous allez naturellement penser que la situation ne s'améliore pas. Il s'améliore, mais par incréments plus lents, à mesure que les infections diminuent, mais nous ne voyons pas toutes les données. Le pourcentage de positifs est crucial.

    Retour aux ouragans. Dans les années 1950, l'ACE / tempête moyenne était supérieure à 10. Malgré les Katrinas, Rita ect, les 30 dernières années n'ont pas pu concurrencer l'indice ACE / décennie avec les années 1950. Pourquoi ? Parce que tant de tempêtes qui n'ont peut-être pas été vues dans les années 1930-1950 sont observées maintenant, avec plus de membres plus faibles au milieu de nulle part, cela ajoute au pool total et abaisse la moyenne ACE / Storm.

    Donc, en utilisant à nouveau le parallèle avec COVID, si vous testez plus, vous devez en voir plus. Si vous avez des satellites formés à chaque tourbillon de cumulus, vous en voyez plus. Donc, si nous avions le type de couverture alors comme maintenant, certaines de ces tempêtes auraient pu être plus fortes au-dessus de l'eau. Quelle est la justification derrière cela? Regardez comment plus de tempêtes ont frappé près de leur intensité maximale en 1931-1950 par rapport aux tempêtes actuelles, qui, à l'exception de Harvey et Michael cette décennie, ont frappé OFF THEIR PEAK. Katrina et Rita ont été des succès majeurs, mais pas à leur apogée. Donc, en termes de résultat, qui est l'impact, nous voyons l'hystérie et la catastrophe et les ténèbres des cyclones tropicaux sans l'image complète, on peut adhérer à l'idée que c'est pire que jamais. Les tornades sont la même chose, les fortes à sévères diminuent.

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  11. Les zones à haut risque de COVID sont plus sujettes aux épidémies, tout comme il y a des zones où les ouragans et les tornades sont plus probables. Mais cela signifie-t-il que les personnes qui ne sont pas dans ces régions doivent prendre les mêmes précautions que celles qui ne le sont pas ? Nous devons arrêter ces épidémies régionales de COVID, mais nous savions que c'était un risque auquel nous devions faire face. Pourtant, lorsqu'un gros ouragan frappe Miami, cela ne signifie pas que les habitants de Des Moines devraient se préparer à se faire frapper. Une épidémie de tornade dans les plaines ne signifie pas non plus que les tornades seront tout aussi graves dans d'autres endroits.

    Le dénominateur commun pour moi est de devoir creuser et regarder dans les coulisses, pour contrer certaines missives qui visent à armer politiquement un problème. En tant que personne impliquée dans le débat sur le climat, je ne pouvais m'empêcher de proposer ces idées à votre attention.

    https://www.cfact.org/2020/06/17/covid-and-hurricane-points-to-ponder/

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    Réponses

    1. Pourquoi nul ne peut prédire l'arrivée d'un ouragan ou d'un tremblement de terre ? Parce que personne ne sait ou ne peut savoir ce que le magma va exprimer !

      Continuellement de la masse ferrique incandescente au centre de la Terre, sortent des chaleurs de milliers de degrés. Ces éruptions chauffent les courants marins et, cette hausse de température s'évacue dans notre atmosphère.
      Mais, les tremblements de terre sont là et quotidiens ! C'est ainsi que ces sources chaudes aux planchers maritimes & océaniques modifient leurs évacuations.
      Ce sont ces changements qui établissent de nouveaux climats aériens.
      D'où - entr'autres - la naissance d'ouragans.

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  12. L’ « après coronavirus », une opportunité pour relever le défi climatique


    le 18 juin 2020



    Avant-propos. L’article ci-dessous paru dans The Telegraph le 5 Juin 2020 est révélateur de la main-mise du monde financier sur l’Occident et en particulier l’Europe à l’occasion de la grippe coronavirale. Les banques centrales ont outrepassé la mission qui leur avait été fixée par les pouvoirs politiques en monétisant non plus seulement les dettes souveraines mais également les dettes des entreprises quelle que soit la qualité de ces dernières. Un dernier verrou a récemment sauté : les banques de détail n’ont plus de facto l’obligation de préserver dans leurs bilans le collatéral fiduciaire au moins égal à 10 % des prêts accordés à des entreprises ou des particuliers que ce soit en Amérique du Nord ou en Europe. Il s’agit d’un événement sans précédent renforçant le pouvoir des banques centrales et leur contrôle sur les banques de détail mais également sur toutes les institutions financières. Dès lors la décision des gouverneurs relative à l’orientation générale des économies nationales échappera à tout contrôle démocratique au sein des Etats. Ces derniers perdront ainsi toute souveraineté au profit des banques centrales. Progressivement un gouvernement supra-national dénué de toute légitimité imposera ses objectifs et son agenda sur ces démocraties qui ne deviendront plus que l’ombre d’elles-mêmes, chaque citoyen étant relégué au statut d’esclave du pouvoir financier et de son agenda de domination du monde occidental. Il est déjà trop tard pour réagir.

    Les auteurs : Andrew Bailey, Mark Carney, François Villeroy de Galhau, Frank Elderson.

    En tant que banquiers centraux actuels et anciens, nous pensons que la pandémie offre une chance unique d’ « écologiser » l’économie mondiale.

    Nous sommes actuellement au milieu du choc macroéconomique le plus grave depuis la seconde guerre mondiale. La perturbation de notre vie quotidienne et l’impact sur nos économies ont été énormes. Nous constatons de première main qu’une réponse collective est nécessaire pour vaincre un ennemi commun, alors que les autorités du monde entier mobilisent courageusement toutes les ressources disponibles pour lutter contre la pandémie de Covid-19.

    Cette crise nous offre une occasion unique de reconstruire notre économie afin de résister au prochain choc qui s’annonce : la dégradation du climat. Si nous n’agissons pas maintenant, la crise climatique sera le scénario central de demain et, contrairement au Covid-19, personne ne pourra s’en isoler.

    En réponse immédiate à la pandémie, les gouvernements ont pris des mesures d’une ampleur sans précédent pour maintenir les systèmes économiques et financiers à flot. Le FMI estime qu’environ 9000 milliards de dollars de soutien budgétaire ont été fournis dans le monde. Cela est nécessaire pour limiter les dommages aigus et permanents. Mais alors que nous envisageons la prochaine étape de la reprise, nous devons regarder au-delà de la crise immédiate et réfléchir de manière plus stratégique à la façon de procéder.

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  13. Collectivement, les pays du monde entier sont encore loin d’atteindre les objectifs de la crise climatique, notamment l’accord de Paris pour limiter l’augmentation de la température mondiale à bien en dessous de 2 °C et poursuivre les efforts pour limiter l’augmentation à 1,5 °C. Au cours de la dernière année, nous avons enregistré des températures record en Europe, des précipitations extrêmes aux États-Unis et des incendies de forêt dans l’Arctique. Les effets de la crise climatique sont irréversibles, de sorte que la gravité et la fréquence de ces événements météorologiques extrêmes ne feront qu’augmenter – dans la mesure où cela dépend de notre succès dans la transition vers un monde à émissions nettes nulles. Conscient de ce risque, le Réseau pour l’écologisation du système financier (NGFS, Network for Greening the Financial System) – une coalition de 66 banques centrales et superviseurs – a travaillé à «verdir» le système financier afin de réduire les risques financiers coûteux que ces développements créent.

    Agir tôt aidera à faciliter la transition et à éviter un ajustement brusque et désordonné. Pour atteindre les objectifs de l’accord de Paris, il faut toute une transition économique : chaque entreprise, banque et institution financière devra s’adapter. La pandémie a montré que nous pouvons changer nos façons de travailler, de vivre et de voyager, mais elle a également montré que faire ces ajustements au plus fort d’une crise entraîne des coûts énormes. Pour lutter contre la dégradation du climat, nous pouvons désormais prendre des décisions qui réduisent les émissions de manière moins perturbatrice. Cela nous oblige à être stratégiques. Pour mieux reconstruire.

    Cela ne se produira que si les décisions financières, y compris celles prises par les entreprises, les investisseurs, les banques et les gouvernements, tiennent compte de la crise climatique. Les plans de relance économique élaborés aujourd’hui offrent la possibilité de bâtir une nouvelle économie durable et compétitive.

    Après la crise financière mondiale, seule une fraction des dépenses budgétaires a amélioré la « soutenabilité ». Cette fois, les plans de relance des gouvernements doivent être plus ambitieux. Par exemple, certains accélèrent déjà la transition vers une énergie propre, modernisent les maisons et les bâtiments et associent le soutien financier aux conditions climatiques définies par le Groupe de travail sur les divulgations financières liées au climat (TCFD, Task Force on Climate-related Financial Disclosures). Les investissements dans les infrastructures d’énergie renouvelable pourraient également servir un double objectif, nous orientant vers une transition ordonnée et créant des emplois pour soutenir la reprise.

    Reconnaissant l’importance continue des risques climatiques pour le secteur financier, le NGFS a poursuivi son travail tandis que ceux en première ligne luttent contre la pandémie. En tant que banques centrales et autorités de surveillance, nous devons utiliser nos mandats et notre expertise en matière de stabilité financière pour garantir une gestion efficace des risques climatiques dans le système financier.

    Le défi est mondial et bénéficiera d’une action précoce, nous travaillons donc ensemble pour partager les meilleures pratiques et renforcer nos capacités. La semaine dernière, le NGFS a publié un ensemble de rapports sur les risques climatiques et environnementaux( https://www.ngfs.net/en/liste-chronologique/ngfs-publications ), y compris un aperçu des pratiques de l’industrie et des orientations pour les autorités de contrôle, et dans les semaines à venir, il publiera un ensemble de scénarios de référence climatiques. Ces travaux soutiendront une transition ordonnée et relèveront la barre du secteur financier dans le monde.

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  14. Au lendemain de la crise financière, la communauté internationale s’est mobilisée pour réformer le système financier. Ces réformes ont permis au système financier de faire partie de la solution plutôt que du problème. Une fois de plus, nous avons atteint un tournant. Nous avons le choix : reconstruire l’ancienne économie, verrouiller les augmentations de température de 4 °C avec une perturbation climatique extrême, ou reconstruire mieux, en préservant notre planète pour les générations à venir.

    Pour relever le défi de la crise climatique, nous devons tirer des enseignements de la pandémie de Covid-19. Faisons en sorte qu’une reprise verte constitue la première étape dans cette voie.

    Andrew Bailey est gouverneur de la Banque d’Angleterre, François Villeroy de Galhau est gouverneur de la Banque de France, Frank Elderson est président du Network for Greening the Financial System et membre du comité exécutif de la Nederlandsche Bank, Mark Carney, ancien gouverneur de la Banque d’Angleterre, est l’envoyé spécial aux Nations-Unies pour l’action pour le climat et les finances

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/06/18/l-apres-coronavirus-une-opportunite-pour-relever-le-defi-climatique/

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  15. FORTE HAUSSE DES RÉSIDUS CANCÉROGÈNES DANS L'EAU DU ROBINET


    par QUITTERIE DESJOBERT
    17/06/2020


    56,8% des 15.990 quantifications individuelles de pesticides sont des perturbateurs endocriniens.

    Un rapport de l’association Générations futures rendu public mercredi 17 juin 2020, constate la présence de résidus toxiques dans l’eau du robinet.

    « L’aliment le plus contrôlé »

    Définie comme « l’aliment le plus contrôlé » par le gouvernement, l’eau du robinet bien que largement surveillée serait contaminée par des résidus de substances cancérogènes. C’est en tout cas ce que démontre le rapport de l’association Générations futures.

    Face à l’augmentation des quantités de substances phytosanitaires déversées dans l’environnement, les contrôles se sont amplifiés. Le flot de données étudié dans le rapport : « Des pesticides perturbateurs endocriniens cancérigènes, mutagènes et reprotoxiques, dans l’eau du robinet en France en 2019 ». Il a été rendu public par le gouvernement avant d’être décrypté par l’étude de Générations futures.

    Une forte présence de perturbateurs endocriniens

    Avec l’aide d’un ingénieur spécialiste du traitement des données, Générations futures a examiné les 12 millions d’analyses menées en 2019 et issues des 273.000 prélèvements effectués par les autorités en charge du contrôle sanitaire. Le rapport décèle « 15.990 quantifications individuelles de pesticides » dont 56,8% sont des perturbateurs endocriniens.

    Ce rapport met en lumière la surreprésentation des herbicides. Parmi l’ensemble des échantillons et analyses, 185 substances phytosanitaires ont été décelées au moins une fois et 9,3% comportent la présence d’au moins un pesticide. Le champion de la surreprésentation est le métolachlore, un perturbateur endocrinien repéré 4.250 fois et qui est censé être interdit en France depuis 2003. Pour pouvoir mieux classer les toxines retrouvées dans l’eau du robinet, l’association a eu recours aux listes sur les pesticides de l’Union européenne mais aussi à la base de données TEDX qui concentre plus de 1.700 substances soupçonnées d’être des perturbateurs endocriniens.

    Outre les risques cancérogènes provoqués par la présence de pesticides, le risque de maladies endocriniennes augmente considérablement. En France, le nombre de personnes souffrant de ce type de maladies qui provoquent un dysfonctionnement des glandes libérant les hormones, augmente continuellement. Une situation inquiétante puisque la part de décès relatifs aux maladies endocriniennes a fortement augmenté, atteignant 16,1% pour les femmes et 9,5% pour les hommes.

    http://www.economiematin.fr/news-pesticide-perturbateurs-endocriniens-eau-robinet

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    1. S'il y a des saleté dans l'eau d'une nappe phréatique c'est celui qui en parle qui les y a mise !

      Car, les nappes phréatique ne sont remplies QUE par les infiltrations sous-marines d'eaux brûlée, purifiée comme à celles qui sortent aux sources.

      Une nappe phréatique n'est pas remplie par les pluies ou les écoulements de wc !

      Donc, il ne faut pas confondre les nappes ! Il y a nappes profondes et nappes de surfaces. Ces dernières sont effectivement remplies d'eau de pluies mais ne sont bien sûr pas pompées pour boire. C'est comme si vous disiez que vous allez boire l'eau des ruisseaux ou l'eau de mer !

      Idem pour les eaux qui sortent de stations dites 'd'épuration' !! Les eaux qui passent aux mains des FAUX contrôleurs sont ajoutées de javel, de fluor et de ce qu'ils appellent maintenant les 'perturbateurs endocriniens'.

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  16. LA PRESSION ÉTRANGÈRE SUR L'ÉOLIEN INDUSTRIEL EN FRANCE


    par JEAN-LOUIS BUTRÉ
    18/06/2020


    En 2019, l'éolien a produit 7,2% de l'électricité consommée.

    Article coécrit avec André Posokhow, expert financier membre du Conseil d’Administration de la Fédération Environnement Durable

    Le 21 avril dernier, en pleine épidémie du Covid, le gouvernement a fait paraitre en catimini un décret relatif à la Programmation Pluriannuelle de l’Energie (PPE) qui annonce ce que doit être l’avenir énergétique de la France.

    Pour la PPE l’avenir de notre énergie est très éolien

    La PPE annonce un objectif de doublement de la puissance éolienne industrielle en France (35 GW contre environ 16 GW à fin 2019) en neuf ans. Cela pourrait représenter un quasi doublement du nombre d’éoliennes qui est aujourd’hui de 8000. Ce seront des machines de plus en plus monstrueuses dont la taille, plus de 200 mètres aujourd’hui, se rapproche de celle de la tour Eiffel.

    Disette et appétit des promoteurs allemands.

    En Allemagne la transition énergétique, décidée il y a près de 10 ans, se trouve en crise.

    Senvion, important fabricant de turbines en Allemagne et 3ème constructeur de parcs éoliens en France, a déposé son bilan et sera vendu à la découpe. La cause en est l’effondrement du marché de l’éolien terrestre en Allemagne.

    Le marché français, déjà largement maîtrisé par l’étranger, apparait ainsi aux acteurs, extérieurs et surtout allemands, de l’éolien comme un grand marché de remplacement.

    Les armes multiples de l’offensive éolienne.
    La connivence des pouvoirs publics.

    Depuis la Loi de la transition énergétique les pouvoirs publics ont fait le choix des Energies renouvelables (ENR) et en priorité de l’éolien industriel.

    Le Ministère de l’Ecologie et les administrations responsables sont influencées et pénétrées au plus haut niveau par des partisans de l’éolien.

    Les obstacles juridiques à la propagation de ces machines industrielles sur tout notre territoire ont été abaissés puis souvent abattus par des lois et décrets d’oppression.

    Les campagnes de propagande et d’endoctrinement des ONG.

    Fabien Bouglé a dénoncé dans son livre : « Eoliennes, la face noire de la transition énergétique », la caisse de résonnance intarissable de la propagande en faveur de la dislocation de notre système énergétique et du démembrement d’EDF que représentent les grandes ONG internationales et autres associations écologistes.

    Il cible en particulier WWF, et surtout Greenpeace.

    Le chevalier blanc Greenpeace, désigné par Thibault Kerlirzin comme un« un mercenaire vert », dans son ouvrage « Greenpeace, une ONG à double fond(s) », est partenaire de Vestas société danoise, leader mondial de fabrication des éoliennes via sa filiale Greenpeace Energy, propriétaire de centrales éoliennes.

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  17. Le terme de conflit d’intérêts apparait comme un timide euphémisme.

    La financiarisation.

    C’est notre propre système bancaire qui finance la colonisation et la pollution de nos territoires par des machines industrielles inutiles, peu productives, mais tellement rentables pour les prédateurs éoliens.

    C’est le cas d’OSEO qui, en 2013, sur l’ensemble de la France, finançait une éolienne sur trois. Concernant les partenaires, Oseo travaillait avec les constructeurs Gamesa, Siemens, Repower, Enercon.

    Le mécénat.

    Le mécénat est de plus en plus pratiqué par les développeurs éoliens.

    Certes, il n’est pas question, en l’occurrence, d’évoquer une forme de corruption même s’il a été établi, notamment par le SCPC (service central de prévention de la corruption), que l’éolien est un vecteur de corruption.

    Cependant Il s’agit bien de s’attirer les bonnes grâces des collectivités locales et de les soudoyer par des contributions qui peuvent prendre différentes formes. Actuellement il semble que les opérateurs éoliens allemands comme le groupe Ostwind fassent un effort sensible dans ce sens.

    En Haute Vienne, une opération de restauration de l’église d’Oradour saint Genest est portée par la Fondation du patrimoine et la commune en partenariat avec les établissements Leclerc et Ostwind.

    Il en va de même au Dorat, en Haute Vienne, où la commune a entrepris de restaurer la Collégiale Saint Pierre.

    Nul doute que nous verrons fleurir les projets éoliens en Haute-Vienne grâce aux actions de mécénat de ce groupe allemand.

    L’influence prégnante de groupements d’intérêt puissants : l’exemple de l’Office franco-allemand pour la transition énergétique (OFATE).

    Officiellement l’OFATE un Office franco-allemand de coopération et d’échange

    Il s’agit d’un groupement d’intérêt et d’influence composé de syndicats professionnels comme le Syndicat des Energies Renouvelables (SER) et France Energie Eoliennes et leurs semblables allemands et d’entreprises de l’éolien industriel. D’une manière surprenante ce réseau d’influence compte aussi le ministère de l’Ecologie français et le ministère de l’Economie et de l’Energie allemand dans son comité de pilotage.

    Deux bureaux, l’un à Berlin, l’autre à la Défense dans les bureaux du Ministère de l’Ecologie hébergent cet Office qui est ainsi financé par la puissance publique elle-même.

    En réalité l’OFATE est un organisme qui se trouve largement entre les mains de l’industrie éolienne allemande et œuvre dans l’intérêt de ses entreprises.

    Il s’agit d’une association de droit allemand. Son siège est à Berlin. Le directeur s’appelle Sven Rösner et est visiblement allemand. Au sein du comité de pilotage 2017-2018, on dénombre 14 entreprises dont 9 appartiennent à un groupe allemand et 3 seulement sont françaises.

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  18. Economiquement ce sont les entreprises allemandes qui retirent un profit de l’action d’influence de ce que l’on peut appeler une entente ou un cartel éolien. La France, quant à elle, n’en retire guère un avantage économique et sa balance commerciale en souffre énormément.

    Un constat de la domination étrangère et d’Outre-Rhin.
    L’éolien industriel terrestre. L’occupation et le saccage de notre territoire.

    En matière d’éolien terrestre, il n’existe pas de constructeur français significatif. Les constructeurs étrangers détiennent une quasi-exclusivité : en 2019, six entreprises, toutes étrangères, ont capté le marché de la construction et de l’installation.

    Si la plus importante est la danoise Vestas, la part du lion revient à l’ensemble constitué par 4 constructeurs allemands qui ont édifié environ les deux tiers du parc éolien français :

    La capacité des parcs éoliens terrestres exploités en France s’est élevée en 2019 à 15 820 MW et connait une progression qui s’est nettement accélérée en 5 ans

    Les sociétés étrangères (hors allemandes) exploitent environ 24% de cette capacité. Les exploitants allemands représentent 21% avec VSB et Volkswind. soit au total près de la moitié de la puissance de l’éolien terrestre exploité en France.

    L’éolien marin : un nouveau mur de l’Atlantique ?

    Il existe sept projets éoliens en cours de montage. Leur puissance prévisionnelle totale et d’environ 3GW .

    Les tours de table des consortiums sont majoritairement étrangers. La construction des turbines et l’installation des parcs se trouvent quasi-entièrement aux mains de sociétés étrangères et plus particulièrement du constructeur allemand Siemens.

    En conclusion.

    Le secteur économique de l’éolien industriel se trouve très largement maîtrisé par les constructeurs (à près de 100%) et des opérateurs étrangers malgré l’exploitation de parcs par EDF et ENGIE.

    Les entreprises éoliennes allemandes jouent déjà un rôle important dans ce secteur économique en France. Appuyées par les ONG du type Greenpeace, elles bénéficient du soutien institutionnalisé que les pouvoirs publics français accordent à l’éolien industriel grâce à la PPE.

    Ce soutien est concrétisé par l’existence de l’OFATE, office qui se veut au service de la transition énergétique franco-allemande. Celle-ci n’existerait que si les intérêts étaient communs et équitables. Or les intérêts français, même s’ils sont bafoués par ceux qui sont payés pour les défendre, sont différents de ceux de nos voisins.

    La collaboration qu’implique une telle ambition ne peut que rappeler celle du cheval et de son cavalier. Les entreprises allemandes plantent leurs mats et en tirent chiffre d’affaire et profits et les Français bradent leurs terroirs et creusent encore plus leur déficit commercial.

    http://www.economiematin.fr/news-pression-eolien-france-etranger-decret-ppe-butre

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    1. L'escroquerie des énergies gratuites qui présente facture !

      Une éolienne consomme plus d'électricité qu'elle ne peut en produire. Les pales se doivent de tourner même s'il n'y a pas de vent. Ainsi, pour éviter qu'elles ne se grippent, le rotor fait tourner les pales de 60 tonnes chacune soit 180 tonnes !
      Et, pour faire tourner 180 tonnes... faut pas s'appeler Moulinex !

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  19. FRAUDE, IDIOTIES ET TOMBEREAUX


    par BILL BONNER
    18/06/2020


    Le chômage, aux Etats-Unis, a dépassé les 20%

    Jamais encore on ne nous avait demandé de croire à autant d’idées idiotes – fraudes et mensonges se succèdent : peut-on s’enrichir dans un tel contexte ?

    Quel bonheur d’être Américain ! Quel magnifique spectacle !

    Aussi stupide, méchant, ignorant ou maléfique que vous soyez… il y a toujours quelqu’un – un membre du Congrès, un Prix Nobel d’économie, ou le président lui-même – qui est encore plus crétin que vous.

    Et aussi idiotes que soient vos idées… il y a toujours une grande partie du public qui vous croira.

    Des idées idiotes

    L’histoire de l’humanité est un récit principalement constitué de mythes, de mensonges et d’illusions. Ils ont rendu possibles certaines de nos plus belles réussites… et de nos plus gros désastres.

    Les pyramides égyptiennes n’existeraient pas, par exemple, si de grands groupes de gens n’avaient pas cru en quelque chose qui n’était pas vrai. Ils pensaient que le pharaon était divin… et qu’ils devaient lui construire des monuments.

    En l’occurrence, ils ont consacré la quasi-totalité de l’excédent économique du riche delta du Nil à ériger d’énormes piles de cailloux en son honneur.

    La civilisation aurait-elle atteint des sommets aussi vertigineux qu’à la veille de la Révolution française… si les masses n’avaient pas accepté les privilèges des aristocrates comme étant simplement un fait de l’existence ?

    D’un autre côté, la Deuxième guerre mondiale ne se serait pas produite sans la folie d’Adolf Hitler au sujet des Übermensch (Surhomme). Elle donne du grain à moudre aux chaînes historiques sur le câble… mais elle a aussi provoqué une guerre mondiale qui a fait 60 millions de morts. L’Allemagne elle-même a été réduite en cendres.

    On nous demande toujours de croire ce qui n’est pas vrai – mais rarement nous a-t-on demandé de croire autant d’idées idiotes en même temps.

    Mais à la Chronique, notre sujet, c’est l’argent… alors concentrons-nous sur cela.

    Les autorités à la rescousse

    En réaction à l’hystérie qui entoure le coronavirus, les autorités américaines ont arrêté net l’économie. Elles affirment à présent qu’elles peuvent « actionner l’interrupteur » et la rallumer… et que les choses reviendront à la « normale » en quelques semaines.

    Les actions étaient déjà à des sommets record en janvier 2020, lorsque le Covid-19 est entré en scène. Lors de la panique qui s’est ensuivie alors que le virus se répandait dans le monde, elles se sont effondrées – et pour une bonne raison : les entreprises ne valent plus autant lorsque les revenus cessent de rentrer dans les caisses.

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  20. Mais les autorités sont venues en renfort… avec un plan de renflouage de 2 200 Mds$… près de 3 000 Mds$ de nouvelle impression monétaire… une augmentation de la dette nationale de 4 000 Mds$… et, bientôt, 1 000 Mds$ supplémentaires de dépenses pour la « relance ».

    Les marchés boursiers ont grimpé en flèche, reprenant 45% par rapport à leur plancher de mars. Les investisseurs ont annoncé qu’ils « passaient outre » l’actualité épouvantable – chômage à 20%… déficit fédéral de 20% du PIB… 20 000 faillites d’entreprises… loyers impayés… défauts de paiement – pour se concentrer sur l’avenir radieux qui nous attend ensuite.

    Une reprise en « V » est au programme, disent-ils. Ce sera « une vraie fusée », annonce le président des Etats-Unis.

    En d’autres termes, ils ont acheté durant le creux en se basant sur l’idée – frauduleuse, bien entendu – que les gouverneurs de la Réserve fédérale peuvent adroitement guider l’économie vers une reprise pleine et rapide… et que l’argent de la planche à billets rendra les actifs encore plus précieux.

    Le truc, évidemment, est de garder la tête froide. Certains mythes sont utiles. D’autres sont sinistres, voire mortels.

    D’autres encore, aussi absurdes soient-ils, peuvent être transformés en profits. Des gens ont dû prospérer grâce à la construction des pyramides, par exemple, même si elle signifiait une vie de travaux forcés pour l’homme du commun.

    Pareillement, beaucoup de gens ont gagné de l’argent durant la Deuxième guerre mondiale, alors même que des millions de soldats ordinaires étaient réduits en bouille lorsqu’ils montaient au front.

    Une bonne stratégie

    Aujourd’hui, un spéculateur rusé pourrait penser qu’il a eu de la chance. Il pourrait anticiper le flot d’argent arrivant sur les marchés boursiers de la part des banques centrales. Il pourrait se dire qu’il n’a qu’à se positionner quand la marée monte.

    Prudence, cependant. En ce début de semaine, le niveau de l’eau a chuté d’un seul coup. Hier, la baisse s’est inversée. Demain… qui sait ?

    Certaines choses sont plus prévisibles que d’autres, toutefois. A mesure que la situation empire dans l’économie réelle (les mises en faillites deviennent plus fréquentes que les nouveaux cas de Covid-19), la Réserve fédérale redoublera sans doute d’efforts et d’hallucinations.

    Un parieur peut s’attendre avec une relative confiance à ce que la Fed ouvre une fois encore les vannes – avec encore plus de milliards de fausse monnaie. Reuters :

    « Mercredi [dernier], la Réserve fédérale a signalé qu’elle prévoit des années de soutien extraordinaire à une économie confrontée à un chemin lent et tortueux pour se remettre de la pandémie de coronavirus, les autorités prévoyant que l’économie se réduise de 6,5% en 2020 et que le chômage atteigne les 9,3% d’ici la fin de l’année. »

    Les actions chutent ; la Fed imprime de l’argent. C’est plutôt simple.

    « Acheter pendant les creux » pourrait se révéler être une bonne stratégie.

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  21. Une gigantesque fraude

    Mais… notre hypothèse est que le mythe de l’impression monétaire est en train de ruiner l’économie des Etats-Unis, de saper leur stabilité sociale et de corrompre leur gouvernement. Aujourd’hui, les gens de l’industrie financière peuvent remercier la Réserve fédérale pour une bonne partie de leur richesse. Comme des aristocrates français avant la Révolution, le système à deux systèmes leur convient très bien.

    Et si des spéculateurs à l’esprit vif pourraient faire des gains en jouant le système et en anticipant la Fed, nous les incitons à la prudence.

    Au final, si nous avons raison… tout cela se paiera très cher. Il n’y aura pas de monuments – comme la pyramide de Khéops ou le Sphinx – admirés par les touristes dans 1 000 ans.

    Il n’y aura que la triste histoire sordide d’une fraude gigantesque…

    … le chaos, la destruction et la pauvreté…

    … Et les tristes récits des spéculateurs qui ont oublié de quitter la ville avant que les tombereaux ne s’ébranlent.

    Pour plus d'informations et de conseils de ce genre, c'est ici et c'est gratuit

    http://www.economiematin.fr/news-mensonge-etats-unis-mythe-dette-covid--bonner

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    1. Pour ce qui est des pyramide, là, j'ai un très gros doute car, leurs constructions auraient dû utiliser des engins de chantier colossaux. Les pyramides ne sont que de vulgaires montagnes taillées en pointe ! C'est-tout !

      La IIème guerre mondiale était une guerre juivo-juive déclarée par le juif adolf hitler qui est parti en guerre contre les exciseurs qui empêchaient les humains de jouir comme les autres.

      Et, pour le 'mythe de l'impression monétaire', là, oui c'est une escroquerie de plus de fabriquer des images de Mickeys ou d'imaginer des sommes sur ordinateurs et de parler ensuite... de dettes !!!

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  22. Félicitations ! Les États-Unis, la Suède et l'Australie ont plus de «deniers» climatiques que partout ailleurs


    June 17th, 2020


    Il y a plus de sceptiques aux États-Unis que partout ailleurs, suivis par la Suède, l'Australie, la Norvège, les Pays-Bas, le Canada, la Finlande et l'Allemagne. Et dans le même grand rapport, nous constatons que la «confiance» australienne dans les médias est de nouveau tombée de 44% l'an dernier à 38% cette année.

    En plus de ceux qui sont considérés comme des «négationnistes» (voir le graphique ci-dessous), 10% disent que le changement climatique n'est «pas très grave». Donc, environ 1 personne sur 5 sont des sceptiques francs - ce qui ne correspond pas aux «quatre consommateurs de nouvelles sur cinq disent qu'ils considèrent le changement climatique comme quelque peu, très ou extrêmement grave (79%)». Ils ont dû exclure ceux qui ne sont pas des "consommateurs de nouvelles" pour obtenir le chiffre jusqu'à 79%. Cela ne correspond pas non plus à de nombreuses enquêtes antérieures qui montrent que la moitié des gens en Australie, au Royaume-Uni et aux États-Unis sont sceptiques. (Voir «Sondages»)

    Ils ne disent pas combien de personnes ne sont ni concernées ni insouciantes. Où sont ces données ?

    Sceptiques, pays par pays. Les États-Unis, la Suède et l'Australie sont en tête de liste des "deniers". Graphique.

    - voir graphique sur site -

    Sceptiques, pays par pays. Les États-Unis, la Suède et l'Australie en tête de liste des «négationnistes»

    À partir de ce rapport, nous pouvons voir pourquoi la censure est le principal outil des adeptes du climat. Les personnes exposées aux deux côtés de l'histoire (même partiellement, comme The Australian le fait) suffisent à permettre à plus de se déplacer vers des positions sensibles. Seuls les pauvres gazons qui regardent l'ABC ou lisent The Guardian et les journaux de Fairfax n'ont aucune idée et peu de courage pour se forger leur propre opinion.

    Résumé: L'enquête de cette année montre que les consommateurs australiens de nouvelles sont deux fois plus susceptibles que leurs homologues d'autres pays de penser que le changement climatique n'est «pas du tout» grave. Les données révèlent que les perceptions des rapports sur les changements climatiques sont fortement divisées selon les lignes générationnelles et politiques.

    Il est divisé sur des lignes prévisibles. La gauche croit au changement climatique et pense également que les médias disent la vérité:

    Ceux de gauche du spectre politique sont plus préoccupés par la question et pensent que la couverture est plus précise et informative, tandis que ceux de droite sont moins préoccupés par cette question et considèrent les reportages sur le changement climatique moins favorablement. Les générations plus âgées sont également moins concernées, accordent moins d'attention à la couverture et sont moins susceptibles de considérer positivement les informations à ce sujet. Bien que la distinction soit plus visible chez les personnes âgées de 74 ans et plus, les baby-boomers sont également moins préoccupés par le changement climatique et accordent moins d'attention aux nouvelles à ce sujet.

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  23. Cette enquête a été réalisée fin janvier dans les braises incandescentes de la chaleur estivale et des incendies. Cela aurait été Peak Believer Time en panne:

    Le nombre de deniers climatiques en Australie est plus du double de la moyenne mondiale, selon une nouvelle enquête
    … De nouvelles recherches… ont interrogé 2 131 Australiens sur leur consommation de nouvelles en relation avec le changement climatique. Le Digital News Report: Australia 2020 a été réalisé par l'Université de Canberra à la fin de la grave saison des feux de brousse les 17 janvier et 8 février 2020.

    Du bon côté, plus de la moitié disent vouloir des informations impartiales et 62% pensent que le journalisme indépendant est important pour le bon fonctionnement de la société. Effrayant - cela signifie que 38% ne pensent pas que le journalisme indépendant est important.

    Ceux qui accèdent aux informations via la radio AM commerciale (c'est-à-dire 2 Go, 2UE, 3AW) (35%), Sky News (35%) et Fox News (32%) sont moins susceptibles de penser que le changement climatique est grave.

    Donc, un tiers des gens pensent que les nouvelles leur donnent toute l'histoire, un tiers ne sait pas et un tiers sont sûrs que les nouvelles sont fausses:

    Les consommateurs de nouvelles sont également divisés sur leur opinion quant à l'exactitude des rapports sur le problème, un tiers (36%) affirmant qu'elle est exacte et un tiers (33%) affirmant qu'elle ne l'est pas.

    Au moins 1 sur 5 a admis vouloir simplement que les nouvelles renforcent sa vision du monde. Au moins, ils sont honnêtes.

    plus de la moitié (54%) des consommateurs de nouvelles disent préférer des informations impartiales, mais 19% veulent des nouvelles qui confirment leur vision du monde
    les deux tiers (62%) des consommateurs de nouvelles affirment que le journalisme indépendant est important pour le bon fonctionnement de la société
    environ la moitié (54%) pensent que les journalistes devraient signaler les fausses déclarations des politiciens et environ le quart ne le font pas
    la consommation et le partage des nouvelles ont augmenté depuis 2019, mais l'intérêt pour les nouvelles a diminué
    seulement 14% continuent de payer pour les nouvelles en ligne, mais davantage s'abonnent plutôt que de faire des dons ponctuels
    La confiance dans les médias diminue
    Ce sont des statistiques australiennes, pas mondiales. La confiance est en déclin rapide.

    La confiance dans les informations baisse généralement sur toutes les plateformes, selon les participants, comme leur principale source d'informations. La confiance parmi ceux qui utilisent principalement les journaux et les magazines imprimés a chuté le plus, chutant de près de 20% depuis 2018 à un creux de 39% dans l'enquête de cette année (voir figure 6.3).

    - voir graphique sur site -

    La confiance dans les nouvelles diminue. Graphique. 2020

    Qui blâment-ils ?

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  24. Naturellement, les croyants considèrent tout sauf la possibilité que les sceptiques aient raison. Le rapport met en évidence un journaliste qui se trouve également être un universitaire. Pas si indépendant, hein?

    Greg Jericho, journaliste, Guardian Australia / conférencier, Université de Canberra, pense que c'est un complot de «grands groupes médiatiques»:

    À LA RECHERCHE D'UN ÉQUILIBRE, LES MÉDIAS NE COMMUNIQUENT PAS LA GRAVITÉ DU CHANGEMENT CLIMATIQUE

    "Une grande partie du travail d'un journaliste dans le reportage sur le changement climatique est consacrée à la correction des mensonges."

    «… Le gros problème du changement climatique est que les principaux groupes de médias sont également à l'origine de l'obscurcissement de la vérité. Il est déjà assez difficile de transmettre des connaissances scientifiques au profane sans avoir à rivaliser avec les organes de presse qui consacrent beaucoup d'espace et de temps à ceux qui soutiennent que le changement climatique est une conspiration. Il est si facile de simuler des rapports sur le changement climatique - pour suggérer que les scientifiques des années 1970 pensaient que nous étions sur le point d'avoir une période glaciaire (ils ne l'ont pas fait), que les scientifiques ignorent une multitude de facteurs tels que les taches solaires et l'activité volcanique (ils pas), ou pour affirmer que le monde ne s'est pas réchauffé depuis 1997, 2001, 2010 (il a), ou qu'il l'a fait mais pas de manière significative (il l'a) et ensuite faire référence aux courriels piratés et «cacher le déclin» ". Et ces colonnes peuvent être régurgitées, et une fois de plus, les lecteurs demandent que vous les corrigiez ou y répondiez. »

    Jericho ne considérera même pas que ses réponses ne parviennent à convaincre personne parce qu'elles sont faibles, fausses, mal recherchées ou ignorent simplement les positions sceptiques les plus sérieuses. Et malgré ses affirmations, les archives des journaux montrent que les scientifiques ont affirmé que nous nous dirigions vers une période glaciaire. Les modèles du GIEC n’incluent rien sur les cycles magnétiques solaires, les changements de vent solaire ou les cycles spectraux solaires. Et aucun adulte sensé ne croit que les scientifiques honnêtes «utiliseraient des astuces» pour «cacher les déclins». Étant donné que le Guardian n'a jamais reconnu cela ou tenté d'exposer des scientifiques corrompus et incompétents, tous ceux qui savent «cacher le déclin» savent également que Greg Jericho ne se soucie pas du climat ou de la «science».

    Seuls 37% des consommateurs de droite pensent que le changement climatique est très grave.
    La question intéressante à laquelle Jéricho ne pense même pas: quand les électeurs de droite ne se soucient pas du changement climatique, pourquoi les partis de droite penchent-ils autant pour les électeurs de gauche?

    Le public s'attend à ce qu'il y ait un débat politique entre les médias sur des aspects tels que l'efficacité d'une réduction d'impôt - en un sens, un équilibre peut être trouvé lors de la couverture de ces questions. Mais le débat sur le changement climatique, malgré plus de 30 ans de couverture étendue (Time Magazine nommé "The Endangered Earth" sa "Personne" de l'année en 1988), reste largement bloqué. La conclusion de ce rapport montrant que 82% des consommateurs de nouvelles de gauche considèrent le changement climatique comme très ou extrêmement grave par rapport à seulement 37% des consommateurs de droite est assez mauvaise. Mais le fait que seulement un peu plus de la moitié de ceux qui se considèrent comme politiquement «centraux» soient très ou extrêmement préoccupés suggère que les journalistes qui tentent de rechercher un chemin équilibré le font principalement en sous-estimant le problème.

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  25. La réponse est que les partis de droite se recroquevillent de peur que les journalistes de gauche soient mesquins et méchants et les ciblent malicieusement. La peur et l'intimidation peuvent contrôler les politiciens jusqu'à un certain point, mais dans l'intimité d'une urne, les électeurs continuent de choisir autre chose que la propagande climatique. Aurons-nous une autre «élection sur le changement climatique»?

    Beaucoup d'audience n'écoute pas
    Jéricho est déconcerté que même les croyants ne puissent pas être dérangés par les nouvelles climatiques.

    Et bien que vous puissiez vous attendre à ce que 36% de ceux qui ne considèrent pas du tout le changement climatique comme un problème grave disent ne pas prêter attention aux nouvelles sur la question, plus inquiétant est que 27% de ceux qui le considèrent comme «quelque peu sérieux "ne prêtent pas non plus attention à ces nouvelles. Cela suggère un échec majeur des médias - en particulier étant donné la probabilité plus élevée pour ces personnes de vivre dans des zones rurales qui sont à la pointe de l'impact du changement climatique.

    Bien qu'il puisse être juste de rejeter la majorité sur les partis politiques et les sociétés de médias qui cherchent à semer le doute sur le changement climatique, ces résultats suggèrent également que d'autres organisations de médias devraient peut-être reconsidérer la façon dont elles racontent les histoires et réfléchir davantage à la façon dont pour atteindre ceux qui n'écoutent pas actuellement.

    Ma réponse:

    Cher Greg Jericho,

    Les gens des deux côtés ont cessé d'écouter parce que les nouvelles répétitives unilatérales sans débat sont une propagande ennuyeuse. Si vous voulez apprendre à atteindre ceux qui n'écoutent pas, vous pouvez commencer par les écouter, au lieu de leur prêcher. (Appelez ça "interview et recherche", hein?)

    Vous pourriez essayer de traiter les lecteurs avec civilité. Les appeler de petits noms comme "denier" vous marque comme un écrivain ignorant et non professionnel, qui n'a pas fait ses devoirs et ne sait pas ce que les sceptiques pensent. Les gens que vous appelez «négationnistes» sont des ingénieurs, des médecins, des géologues, des météorologues et certains ont même des Nobels, et d'autres ont marché sur la Lune.

    Les personnes âgées «sous-éduquées» que vous mentionnez sont les agriculteurs de rue, les propriétaires d'entreprise, les camionneurs et les chauffeurs de taxi. Ils connaissent un con quand ils en voient un. Seuls les flocons de neige babyface sont faciles à tromper.

    Si vous racontiez les deux côtés de l'histoire, les gens ne liraient pas les blogs.

    Merci d'avoir envoyé du trafic à ma façon.

    Jo Nova

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  26. Détails des méthodes: L'enquête a inclus 2 131 Australiens sur près de 90 000 dans un panel. Il se peut que ce soit très auto-sélection. C'est uniquement en ligne, et bizarrement 7% ont été exclus car ils n'avaient pas "consommé" de nouvelles au cours du dernier mois. (Pourquoi ne comptent-ils pas ?) Les personnes qui n'utilisent pas Internet ont été exclues à 100% par définition.

    L'enquête a été menée par YouGov à l'aide d'un questionnaire en ligne entre le 17 janvier et le 8 février 2020. L'échantillon est tiré d'un panel en ligne de 89 850 Australiens. L'échantillon final reflète la population qui a accès à Internet. Pour être inclus, les répondants doivent avoir consommé des nouvelles au cours du dernier mois. Par conséquent, 7% des répondants au sondage initial ont été exclus.

    REFERENCE

    PArk et al, Digital News Report (2020) Canberra University. PDF

    http://joannenova.com.au/2020/06/congrats-us-sweden-australia-have-more-climate-deniers-than-anywhere/

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  27. LOI AVIA : LE CONSEIL CONSTITUTIONNEL CENSURE LA DISPOSITION PHARE


    par QUITTERIE DESJOBERT
    18/06/2020


    Le salaire brut d'un député français est de 7 239,91 euros par mois.

    Le Conseil constitutionnel a censuré jeudi 18 juin 2020, la disposition phare de la loi Avia contre la haine en ligne.

    Une purge du texte

    Portée par la controversée député LREM Laetitia Avia et soutenue par le gouvernement, la proposition de loi contre la haine en ligne s’est vue censurer par le gardien de la constitution. Parmi les articles considérés comme inconstitutionnel, on retrouve la star de la proposition de loi : l’obligation faite aux réseaux sociaux de supprimer les contenues « haineux » dans les 24 heures sous peine de sanctions pénales. Une obligation qui pour les opposants au texte ouvrait la porte à une trop forte censure et qui a été jugée incompatible avec liberté fondamentale qu’est la liberté d’expression.

    La disposition était très controversée et constituait selon la député de Paris « le coeur du texte ». Alors sans coeur, la proposition de loi va-t-elle pouvoir survivre ? Et bien après l’examen poussé du Conseil constitutionnel, ne reste plus que le volet préventif de la loi, l’ensemble du volet répressif est passé à la trappe.

    Le volet préventif seul survivant

    Un volet qui impose aux plateformes la mise en place de moyens : mécanisme de signalement de contenus, transparence quant à l’activité de modération, statistiques sur le nombre de contenus retirés les motifs, les délais mais aussi le nombre d’erreurs commises. Les plateformes devront également mettre en place un système de contestation pour permettre aux mis-en cause de se défendre mais également d’accentuer la coopération avec la justice.

    C’est donc une approche de « régulation souple » que la loi Avia représentera en l’absence de son volet répressif. C’est d’ailleurs cette approche qui est soutenue par les plateformes mais également le CSA. Le texte présenté en 2019, représenté un tournant dans l’approche française.

    http://www.economiematin.fr/news-loi-avia-censure-conseil-constitutionnel

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  28. QUELLES DÉMARCHES POUR IMMATRICULER SON VÉHICULE ?

    par PARTENAIRE
    18/06/2020


    En 2020, le tarif moyen de la carte grise en France est de plus de 42€ le cheval fiscal.

    Tout véhicule terrestre à moteur (VTM) se doit d’être immatriculé dès lors qu’il circule sur la voie publique. Pour cela, le propriétaire doit effectuer plusieurs démarches afin d’immatriculer son véhicule. Cependant, elles diffèrent selon que le véhicule soit neuf ou d’occasion. Voici les démarches à accomplir.

    Les démarches pour un véhicule neuf

    Après l’achat d’une voiture neuve, le propriétaire doit détenir un certificat d’immatriculation le mois suivant son achat. Cette demande d’immatriculation, communément appelée carte grise en France, est généralement réalisée par le professionnel vendant le véhicule. Le propriétaire doit simplement lui donner une pièce d’identité et un justificatif de domicile.

    Il est également possible de faire la demande directement en ligne via le site sécurisé de l’Agence Nationale des Titres de Sécurité (ANTS). Il suffit de suivre les démarches avec l'Agence Nationale des Titres Sécurisés. Vous devrez vous enregistrer préalablement sur France Connect. Les différentes étapes consistent à s’authentifier, envoyer les documents justificatifs et payer les éventuelles taxes. Les documents nécessaires seront différents selon que ce soit un véhicule neuf ou d’occasion. Pour un véhicule neuf acquis en France, vous devrez entre autres fournir un formulaire CERFA pour la carte grise n°13750, un justificatif de vente et de domicile et un certificat d’acquisition du véhicule fourni par les services fiscaux. Vous devrez également indiquer que vous disposez bien d’une attestation d’assurance du véhicule mais aussi d’un permis de conduire. Enfin, vous devrez payer le montant du certificat d’immatriculation par carte bancaire.

    Les démarches pour un véhicule d’occasion

    Les démarches sont légèrement différentes pour les véhicules d’occasion. Vous pouvez également la réaliser en ligne grâce au site de l’ANTS ou la demander à un professionnel habilité qui facturera un coût supplémentaire pour ce service en plus de la carte grise. Pour un véhicule d’occasion, vous devrez fournir un justificatif de domicile de moins de 6 mois, barrer la carte grise du véhicule d’un trait oblique avec la mention « vendu le xx/xx/xxxx) » suivie de la date et de l’heure de la vente. L’ancien propriétaire devra aussi apposer sa signature.

    Vous devrez également donner un contrôle technique en cours de validité si le véhicule a plus de 4 ans. Enfin, vous devrez certifier sur l’honneur que le titulaire de la carte grise détient une attestation d’assurance du véhicule et d’un permis de conduire. Après avoir payé le certificat d’immatriculation, vous pourrez recevoir un CPI afin que vous puissiez rouler un mois durant. Puis, vous recevrez la carte grise dans un délai de 7 jours.

    http://www.economiematin.fr/news-quelles-demarches-pour-immatriculer-vehicule

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  29. L'INCOMPÉTENCE ORGANISÉE, LA PREUVE PAR LE PLAT DE NOUILLES !!


    par CHARLES SANNAT
    18/06/2020


    Les opérateurs ont investi 10 milliards d'euros dans le déploiement de la fibre optique en 2019.

    Cet article du Parisien ici nous explique que le régulateur des télécoms veut mettre un terme aux « plats de nouilles » !

    Les plats de nouilles, c’est une expression très bien imagée pour décrire les branchements mal faits dans les points de mutualisation (généralement des armoires physiques) en bas des immeubles ou pour desservir les quartiers résidentiels…

    C’est dans ces armoires où « tout arrive » et d’où tout repart pour aller délivrer le service fibre optique directement dans la maison ou l’appartement du client que chaque opérateur vient réaliser physiquement le branchement et la création de la « ligne » et donc matérialise le service acheté en le rendant fonctionnel.

    Sauf que vous l’aurez compris, l’ambition est grande.

    Les autorités veulent « fibrer » toute la France, mais fibrer la France demande d’énormes moyens à court terme et pendant quelques années, le temps du déploiement. Puis après plus rien pendant de longues années.

    Il faut beaucoup de monde sur un temps court.

    Comment faire ?

    Prendre des sous-traitants qui vont embaucher et feront leurs affaires plus tard des licenciements nécessaires ou mieux qui sauront, par la pression, organiser le « turn-over » sans se faire accuser d’harcèlement moral.

    Cela évitera à tous les donneurs d’ordres le syndrome des suicides de France Telecom. Evidemment il faut former et former coûte cher et prend du temps. Alors on ne forme pas, juste sur le tas, et cela donne n’importe quoi. N’importe quoi dans la pose des fibres, comme dans la construction des centrales nucléaires… Partout tout baisse, tout diminue, y compris… la compétence, le savoir-faire, les connaissances.

    « Des opérateurs n’ont « pas assez surveillé leurs sous-traitants et ont laissé des pratiques de cochons se mettre en place », selon l’Arcep, qui dénonce des dérives dans les branchements du réseau Internet.
    Les « plats de nouilles », ce sont les branchements désordonnés des fibres optiques dans les armoires de mutualisation du réseau. L’autorité de régulation des télécoms (Arcep) les pointe du doigt et a l’intention d’y mettre fin, « extrêmement préoccupée » par la question ».

    Et l’ARCEP de rajouter…

    « Nous notons qu’il y a eu des dérives » sur le partage des responsabilités concernant le branchement de la fibre et que « certains opérateurs n’ont sans doute pas assez surveillé leurs sous-traitants et ont laissé des pratiques de cochons se mettre en place », estime le président de l’Arcep, Sébastien Soriano ».

    On ne partage jamais une « responsabilité » !
    Quand on partage une responsabilité, on crée de facto une chaîne d’irresponsabilité, et bien souvent c’est une création volontaire pour justement dissoudre la responsabilité.

    Le système est passé maître dans la création de ces chaînes d’irresponsabilités.

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  30. C’est pas ma faute ! Le comité a décidé que !

    Ce n’est pas moi… le groupe a dit que !

    Prenez la crise du coronavirus. Les politiques se cachaient derrière le comité scientifique… rendant un avis collégial.

    La responsabilité est toujours individuelle.

    Pourquoi vous parler de cela aujourd’hui ?

    Pour attirer nos réflexions sur la nécessité de repenser l’idée même de responsabilité car sur la fibre, comme sur le coronavirus, comme avec les banques centrales ou commerciales, comme avec les mairies ou les interco, les régions ou les départements sans oublier les ministères ou les entreprises, ce ne sont que commissions, comités, groupes de travail ou encore GIE, groupements ou regroupement, filiales, françaises ou étrangères, sous-traitants de premier, second, troisième, quatrième et même de 5ème rang !

    Pourquoi ?

    Pour organiser la flexibilité et l’irresponsabilité généralisée d’un système qui devient totalement fou, qui n’arrive plus à rien, ou a si peu lorsque l’on voit l’énergie et les montants financiers qu’il faut dépenser pour déboucher sur des résultats biens maigres.

    Le système devient fou et les gens, les individus qui le composent deviennent également fous.

    « Ce n’est pas un signe de bonne santé que d’être bien adapté à une société profondément malade. »

    Alors à vous tous, qui vous sentez si inadapté dans ce monde de fous, j’ai une bonne nouvelle à vous annoncer.

    Vous allez très bien, vous êtes sain d’esprit ! Prenez bien soin de vous.

    Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !

    http://www.economiematin.fr/news-incompetence-sous-traitant-plat-nouilles-fibre-arcep-sannat

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  31. DES MYTHES CONTRADICTOIRES


    par BILL BONNER
    19/06/2020


    En 2025, la dette des Etats-Unis atteindra 30.000 milliards de dollars.

    Certains mythes sont utiles… d’autres sont faux… et d’autres encore sont tout simplement dangereux. Aujourd’hui, deux d’entre eux entrent en collision.

    Nous nous lançons aujourd’hui dans de longues divagations. De nombreux lecteurs nous abandonneront sans doute en chemin. Mais les autres – s’il en reste – seront sans doute d’accord avec nous.

    Un avertissement avant de nous lancer, cependant…

    Certains lecteurs – quelle que soit leur orientation politique – pourraient être choqués. Ils vont trouver dans les lignes qui suivent des idées qui pourraient les mettre mal à l’aise… voire en colère.

    Nombre de nos lecteurs s’agacent par exemple de nous voir critiquer Donald Trump. Ils disent que nous devrions nous en tenir à l’économie, comme si les deux – politique et économie – étaient séparées. Alors qu’elles sont plus étroitement mêlées que jamais…

    Ces 90 derniers jours, le gouvernement de M. Trump a engendré deux des pires désastres économiques de l’Histoire. Lui et ses employés ont déclaré l’état d’urgence le 13 mars, menant au verrouillage de l’économie américaine.

    Ensuite, réalisant qu’ils avaient ainsi privé les gens de toute possibilité de gagner leur pain quotidien (de quoi se nourrir, payer son crédit immobilier, les impôts…), ils ont proposé de le remplacer avec l’équivalent monétaire de la sciure – du pain factice, en d’autres termes… par milliers de milliards.

    Si nous ne parlions pas des gaffes de M. Trump, cela reviendrait à ne pas indiquer à des parents que leur enfant est en train de mettre le feu à la maison.

    Mais les gens n’aiment pas qu’on remette en question leurs dieux, leurs héros ou leurs mythes. Et beaucoup n’aimeront pas que nous disions que M. Trump n’est pas le seul crétin du pays.

    Une dangereuse vanité

    Comme nous l’avons mentionné hier, nous vivons de mythes. « Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droit » est un mythe. Quiconque a des yeux et des oreilles sait que ce n’est pas vrai à la lettre. C’est pourtant un mythe très utile : il fournit un principe fondamental d’« équité », selon lequel les gens s’attendent à être traités de manière égale selon la loi.

    Que les êtres humains aient « certains droits inaliénables » est également plus un mythe qu’un fait… mais là encore, ce n’est pas un mauvais mythe. Lui aussi semble imposer une limite à ce que les riches et les puissants peuvent faire impunément. Même s’ils portent un insigne de policier, par exemple, ils ne sont pas censés vous étouffer jusqu’à ce que mort s’ensuive.

    Les gouvernements sont fondés sur des mythes. Généralement, plus le gouvernement est grand et ambitieux, plus le mythe nécessaire pour le faire tenir est énorme. Les empires, notamment, sont nourris par des mythes gigantesques.

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  32. Mais les mythes – étant des mythes plutôt que des faits prouvés – ont tendance à faire des bêtises. Nous avons parlé du mythe de Hitler. En lieu et place de « tous les hommes sont créés libres et égaux », il a trouvé une « race supérieure », conçue (apparemment par Dieu lui-même) pour régner sur les races « inférieures ».

    Une fois mis à l’épreuve, ce mythe s’est révélé être une vanité dangereuse. Il a mené Hitler à penser qu’il pouvait battre les races inférieures lors d’une guerre et s’emparer de leurs terres : nous savons comment cela s’est terminé.

    Un péché social

    Aujourd’hui, nos mythes se rentrent dedans comme deux trains hors de contrôle. On nous demande d’en croire plusieurs à la fois, alors qu’ils sont contradictoires. Pris ensemble, ils sapent le « contrat social » – la collection de mythes qui soutiennent l’empire.

    Pour vous donner un petit exemple, il y a à peine deux mois, les autorités US insistaient pour que nous nous protégions, nous et les autres, en nous terrant à la maison… sans jamais s’aventurer dehors sinon pour des courses essentielles (définies par les autorités) – comme par exemple acheter un billet de loto… et uniquement en portant un masque et des gants en caoutchouc.

    Dans notre Etat du Maryland, par exemple, le gouverneur Larry Hogan a décrété :

    « Désormais nous ne sommes plus à demander ou suggérer aux habitants du Maryland de rester chez eux ; nous le leur ordonnons. »

    Ceux qui défiaient cet ordre risquaient des peines allant jusqu’à un an de prison et/ou une amende de 5 000 $.

    Ce message a été répété dans tous les Etats-Unis. On a dit à toutes les personnes saines d’esprit – encouragées par les médias, leurs voisins et la science ! – qu’il était non seulement malavisé de sortir… mais que c’était un péché social. Le seul fait d’aller à la plage… ou au cimetière… pouvait vous attirer une amende ou une mise au pilori social.

    Comme l’a dit Andrew Cuomo, gouverneur de l’Etat de New York, même si ces mesures extrêmes ne permettaient de sauver « qu’une seule vie », elles en valaient la peine.

    Les quelques personnes qui ont osé tenter de s’y opposer ont été qualifiées de sociopathes dignes des jeunesses hitlériennes.

    Par ailleurs, selon la presse, le coronavirus ne tue pas de manière équitable. Les personnes âgées et les Noirs en sont plus souvent victimes.

    Nouveau mythe
    Et puis, alors que le nombre de cas de Covid-19 commençait à décliner dans certaines régions des Etats-Unis… et augmentait dans d’autres… soudain…

    Oubliez le coronavirus !

    L’heure était venue de descendre en masse dans les rues pour « protéger les vies noires ». Les chercheurs venaient tout juste d’annoncer que les rassemblements augmentaient le nombre de morts dues au virus… et que ces morts compteraient une quantité disproportionnée de Noirs…

    … Mais cela n’avait plus d’importance. On tenait là une cause pour laquelle sacrifier des vies – de préférence celle des autres !

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  33. Que se passait-il ? La réponse demain…

    Pour plus d'informations et de conseils de ce genre, c'est ici et c'est gratuit

    http://www.economiematin.fr/news-mythes-contradiction-trump-idees-politique-economie-bonner

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  34. LA MAJORITÉ DES JEUX POUR ENFANTS ACHETÉS EN LIGNE SERAIENT « DANGEREUX »


    par QUITTERIE DESJOBERT
    18/06/2020


    Sur 200 jouets achetés en ligne, 97% ne sont pas conformes aux directives européennes.

    Que cela soit sur Amazon, eBay, AliExpress ou encore Wish, acheter les jouets pour enfants en ligne est peut-être synonyme d’économies mais pas de sécurité.

    De nombreux risques

    La Fédération française des industries Jouet Puériculture (FJP) et Toy industries of Europe (TIE) tirent la sonnette d’alarme. En s’appuyant sur une étude menée par Bureau Veritas, un groupe français d’inspection et de certification, ces deux organisations mettent en garde les consommateurs sur la dangerosité des jouets pour enfants achetés en ligne. Sur 200 jouets : « 97% ne sont pas conformes à la Directive européenne relative à la sécurité des jouets » et « 76% des jouets testés présentent des défauts qui les rendent dangereux pour les enfants dès l'âge de 6 mois ». Une situation critique.

    Le communiqué fait état de nombreux risques : « un risque d’étouffement dû à de petites pièces qui se détachent facilement » mais également : « des niveaux de concentration de phtalates plusieurs centaines de fois supérieurs à la limite autorisée par l’UE ». Nombre de risques qui se retrouvent dans la ligne de mire du secteur.

    Une volonté de législation accrue

    En 2019, la vente de jouets par le biais du commerce en ligne représentait 28% des ventes en France, un taux qui n’a pas faibli, au contraire. Durant le confinement, les ventes en lignes ont bondi et les jouets non pas fait exception. Frédérique Tutt, experte du secteur pour le cabinet NPD déclarait à l’AFP : « Avec le Covid-19, nous avons vu une augmentation très forte » de la vente en ligne.

    Une situation à laquelle les acteurs européens du secteur du jouet veulent remédier. Mercredi 17 juin 2020, ils ont demandé à l’Union européenne de prendre des mesures et de sévir face aux dérives du marché sur Internet. FJP et TIE demandent que les plateformes en ligne contrôlent : « si le fabricant a mené la procédure d'évaluation de la conformité appropriée et a établi une documentation technique conforme aux exigences imposées par l’UE ».

    http://www.economiematin.fr/news-jeux-enfants-achat-ligne-danger

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  35. Les scientifiques résolvent un problème épineux


    18 JUIN 2020
    par l'Université de Yale


    "Pourquoi les plantes ont-elles des épines ?" est une question facile: les épines aident à protéger contre les animaux affamés qui aiment grignoter les plantes. "D'où viennent les épines ?" est une question plus compliquée, mais les scientifiques de Yale ont trouvé une réponse.

    Leur perspicacité, rapportée dans le numéro du 18 juin de Current Biology, pourrait aider à changer la façon dont les oranges et d'autres cultures sont cultivées.

    Tout d'abord, un apprêt pour les non-botanistes: de nombreuses plantes ont une armure pointue et épineuse qui peut être classée comme épines, épines ou épines.

    Les rosiers n'ont pas d'épines; ils ont des piquants, tout comme les buissons de framboises et de mûres. Les épines sont comme des poils épais sur votre bras, et dans les roses et autres plantes épineuses, les épines se développent à partir de leur épiderme, ou "peau", a déclaré Vivian Irish, présidente et professeur Eaton de biologie moléculaire, cellulaire et du développement et auteur principal du étude.

    D'autres plantes, y compris les cactus, ont des épines, un autre type d'armes pointues et pointues qui se forment à la place des feuilles. Les épines proviennent des pousses de plantes telles que les bougainvilliers, l'aubépine et les agrumes.

    Irish, qui est également professeur d'écologie et de biologie évolutive, était fasciné par les épines qui poussent sur les vieux criquets pèlerins, que l'on trouve couramment dans les rues de New Haven et d'autres zones urbaines. Alors que la plupart des criquets pèlerins ont été élevés de manière à ne plus avoir d'épines, certains arbres plus âgés avec des épines dangereuses d'une longueur d'un pied existent toujours. En tant que spécialiste des plantes, elle a été intriguée par la façon dont ces structures sont apparues, mais elle a repoussé la question pendant des décennies.

    En l'occurrence, elle est également experte en cellules souches. Et il s'avère que les cellules souches peuvent expliquer les épines.

    Irish et son équipe de recherche ont d'abord montré que, chez les agrumes, les épines proviennent des populations de cellules souches des plantes. Contrairement aux cellules souches typiques des animaux ou des plantes, qui continuent de se diviser, les cellules souches épineuses subissent un arrêt programmé. Les scientifiques ont découvert que deux régulateurs de la production de cellules souches, TI1 et TI2, arrêtent progressivement l'activité des cellules souches dans l'épine en développement, de sorte qu'elle diminue jusqu'à ce qu'il ne reste plus que l'extrémité pointue pointue.

    Lorsque les chercheurs ont génétiquement éliminé les deux régulateurs, l'activité des cellules souches s'est poursuivie et, au lieu des épines, les agrumes ont produit de nouvelles branches.

    La perspicacité pourrait conduire à des vergers d'orangers avec plus de branches porteuses de fruits - ceux qui présentent moins de danger pour les travailleurs qui cueillent les fruits, a déclaré Irish.

    https://phys.org/news/2020-06-scientists-thorny-problem.html

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    1. Les 'scientifiques de Yale' font rigoler !

      Les orangers ont des épines mais n'empêchent personne de les cueillir ! Les insectes et les maladies ne sont pas rebutés par les épines !
      Les épines ne sont là que pour boire. Les cactus en pleine zone désertique capturent l'humidité de la nuit grâce à leurs épines.
      Les plantes ou arbres ne sont pas des hérissons ou porc-épic !

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  36. Enquête sur une ristourne fiscale à la Société Générale: 2,2 milliards qui «seraient payés par les citoyens»


    18:58 18.06.2020
    Par Fabien Buzzanca


    Des juges ont été chargés d’enquêter sur le volet fiscal de l’affaire Kerviel. La Société Générale s'est-elle injustement vu accorder une ristourne d’un montant de 2,2 milliards d’euros pour faire face aux pertes qu’elle a subies? Éric Alt, magistrat et vice-président d’Anticor, partie civile dans cette affaire, a confié son analyse à Sputnik.

    Mais quand finira l’affaire Jérôme Kerviel ? Douze ans après la découverte des transactions opérées entre 2005 et 2008 par l’ex-trader de la Société Générale, qui avaient provoqué une perte de 4,9 milliards d’euros pour la banque, nouveau rebondissement!

    L’Agence France-Presse a confirmé le 17 juin une information du journal Le Monde: des juges ont été chargés d’enquêter un volet bien précis de l’affaire, une ristourne fiscale accordée à la banque, pour un montant de 2,2 milliards d’euros.

    Une information judiciaire a donc été ouverte en octobre 2019 pour «concussion», information qui n’a donc filtré que ces derniers jours. Elle fait suite à un dépôt de plainte avec constitution de partie civile déposée le 6 février 2019 par Julien Bayou, désormais secrétaire national d’EELV.

    «La concussion est un délit pénal qui consiste, pour une personne dépositaire de l’autorité publique, à percevoir des droits, contributions, impôts ou taxes publics indues, ou –et c’est ce qui est ici recherché– à accorder une exonération ou une franchise de droits, contributions, impôts ou taxes contraire à la loi.

    La procédure judiciaire, confiée à la juge d’instruction Aude Buresi, doit donc dire si des hauts fonctionnaires ou ministres ont pu enfreindre la loi en octroyant cet avantage fiscal à la banque ou le maintenant ensuite», explique le journal Le Monde.

    Preuve de l’importance de l’affaire, Anticor, association de lutte contre la corruption, s’est également constituée partie civile dans la procédure. Son avocat sera David Koubbi, le conseil d’un certain… Jérôme Kerviel. Pourquoi une telle décision? Éric Alt, magistrat et vice-président d’Anticor, s’est confié au micro Sputnik:

    «Nous l’avons fait, car le parquet, qui a pourtant l’information, n’a pour le moment pas souhaité se constituer [partie civile, ndlr]. D’autre part, Julien Bayou pourrait se retrouver face à un problème d’intérêt à agir. Cette notion s’apprécie strictement au pénal.

    Un citoyen, même investi dans la politique, n’a pas forcément un intérêt suffisant à agir pour mettre en œuvre l’action publique. Anticor, au regard des enjeux et de son habilitation à agir dans un tel cas, notamment en matière de concussion, a décidé de se constituer [partie civile, ndlr].»

    Lorsque cette colossale ristourne fiscale a été accordée, le paysage politique était bien différent de celui d’aujourd’hui. Christine Lagarde n’était pas à la tête du Fonds monétaire international (FMI), mais ministre de l’Économie du gouvernement dirigé par François Fillon, sous la présidence de Nicolas Sarkozy. Quant à Éric Woerth, il officiait en tant que ministre du Budget. À noter que le crédit d’impôt octroyé à la Société Générale l’a été en vertu du Code général des impôts.

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  37. «Des graves manquements» de la part de la Société Générale ?

    Comme le rappelle Le Monde, ce dernier «permet aux entreprises déficitaires victimes d’une fraude de déduire les pertes occasionnées de leurs résultats imposables –avec un plafond, qui est fonction du volume d’impôts payés en France au cours des trois ans précédents». Mais la mesure est très encadrée. L’entreprise bénéficiaire ne doit en aucun cas porter de responsabilité dans la fraude, notamment de par un manque de contrôle ou de rigueur.

    Si la responsabilité de Jérôme Kerviel ne fait plus de doute pour la justice depuis sa condamnation au pénal en 2014, la Société Générale pourrait également porter une part de culpabilité dans cette affaire. Le trader a toujours affirmé que sa direction était également fautive et plusieurs enquêtes ont pointé la responsabilité de la banque aux plusieurs millions de clients.

    «Dès 2008, plusieurs rapports d’enquête ont pointé de “graves manquements” de son contrôle interne de l’établissement, et le gendarme des banques (l’ex-Commission bancaire) l’a condamné à ce sujet à un blâme et une amende de 4 millions d’euros, pour “carences graves”», souligne le journal Le Monde.

    C’est surtout un jugement de la cour d’appel de Versailles daté du 23 septembre 2016 qui a changé la donne. Cette dernière a estimé que la Société Générale portait une part de responsabilité dans les pertes causées, de par son manque de contrôle. «Les carences […] ont concouru à la production du dommage, limitant le droit à l’indemnisation», avait notamment jugé la cour.

    «Depuis l’arrêt de la cour d’appel de Versailles, il est devenu évident que l’ensemble des 4,9 milliards d’euros de perte ne sont pas imputables au seul Jérôme Kerviel. Dans ce contexte, la Société Générale ne peut pas bénéficier d’une ristourne fiscale d’un montant de 2,2 milliards, calculé par rapport à la somme de ces mêmes pertes.

    Il y a eu mauvaise gestion et les citoyens n’ont pas à en assumer les conséquences. Car ces 2,2 milliards seraient payés par les citoyens, que ce soit par l’impôt ou par une dégradation des services publics», explique Éric Alt.

    Cet événement judiciaire avait poussé l’administration fiscale à agir. Elle avait notamment informé la banque qu’elle pourrait revenir sur la déductibilité de la perte occasionnée. À la suite de l’arrêt de la cour d’appel de Versailles, Michel Sapin, qui occupait à l’époque le poste de ministre de l’Économie, souhaitait le réexamen de la situation de la banque par l’administration fiscale, et ce «dans l’intérêt du Trésor et des contribuables».

    L’information avait notamment été révélée par Le Monde, qui notait que «le fisc avait conclu que la banque n’avait plus le droit à sa “déduction Kerviel” et une proposition de rectification fiscale lui avait été adressée, en 2017.»

    «La question ne se pose pas au niveau de la Société Générale dans cette affaire, mais bien de celui de l’autorité de l’État. Il reste au juge d’instruction de faire la lumière», souligne Éric Alt.

    Les avocats de la Société Générale restent pourtant confiants. D’après eux, il n’y a eu aucune concussion et la banque avait bien droit à cette ristourne fiscale. Se basant notamment sur un avis du Conseil d’État datant de 2011, les avocats de la Société Générale estiment, écrit Le Monde, que «les opérations liées à la fraude Kerviel ne relèvent pas d’un acte anormal de gestion –qui ne serait pas déductible de l’impôt– mais d’un accident d’exploitation». «Et une carence du contrôle interne ne saurait fonder un refus de déduction des pertes engendrées par les opérations d’un salarié, montrant un risque excessif», ajoute le quotidien vespéral, rapportant toujours l’avis des avocats de la Société Générale.

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  38. La Société Générale ne veut rien lâcher

    Pas de quoi, pour le moment, convaincre Éric Alt: «Quoi qu’il en soit, la jurisprudence du Conseil d’État ne conditionne pas l’infraction pénale, même si la justice peut s’en s’inspirer avec respect, de même qu’elle ne conditionne pas la décision de l’autorité fiscale.»

    Et de poursuivre:

    «Cette affaire représente un réel sujet juridique. Il devra être tranché le cas échéant par une juridiction correctionnelle, voire la Cour de cassation. Est-ce que la manière dont la Société Générale a géré le service de trading où officiait Jérôme Kerviel relève d’un acte anormal de gestion? Même chose concernant la qualité du contrôle interne. Il faut répondre à ces questions avant de savoir s’il y a eu concussion.»

    Dans son dernier rapport annuel, la Société Générale affirme qu’elle n’a toujours pas reçu de notification de redressement fiscal. Apparemment prudent, le groupe n’a toutefois toujours pas utilisé la ristourne fiscale.

    «Une telle situation ne se produira pas avant plusieurs années, selon les prévisions de la banque. Dans l’hypothèse où l’administration déciderait le moment venu de confirmer sa position actuelle, le groupe Société Générale ne manquerait pas de faire valoir ses droits devant les juridictions compétentes», précise la banque.

    Quoi qu’il en soit, plus de dix ans après l’éclatement de l’affaire Kerviel, cette dernière n’a pas fini de faire des remous. C’est l’avis de Julien Bayou, cité par le journal Le Monde:

    «C’est officiellement le début d’une nouvelle affaire. Je suis heureux qu’une juge d’instruction ait été désignée et pas n’importe laquelle, la juge de l’affaire Fillon et des financements libyens de Nicolas Sarkozy.»
    Le mot de la fin pour Éric Alt:

    «Chez Anticor, nous ne souhaitons pas que ce débat juridique soit tranché par des rapports de force ou de connivence entre certaines autorités de l’État et la Société Générale. Il faut que ce débat soit tranché devant un juge. Nous ne disons pas que la décision est acquise d’avance, mais soulignons que les avocats de la Société Générale jouent leur rôle et que leur axe de défense peut être critiqué et mérite d’être questionné.»

    https://fr.sputniknews.com/france/202006181043972708-enquete-sur-une-ristourne-fiscale-a-la-societe-generale-22-milliards-qui-seraient-payes-par-les/

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  39. Fausse science et hystérie publique - la nouvelle force motrice de la politique


    par Tyler Durden
    Jeu, 18/06/2020 - 21:00
    Via InternationalMan.com,


    International Man: The Lancet a récemment rétracté une étude anti-hydroxychloroquine, que les médias avaient utilisée pour attaquer Trump.

    Trump avait admis avoir pris de l'hydroxychloroquine à titre préventif contre le coronavirus. Les médias sont alors entrés dans une frénésie. Les têtes parlantes ont souvent cité l'étude The Lancet comme preuve que l'hydroxychloroquine était dangereuse.

    L'essentiel, c'est que la recherche bidon a fait son chemin - probablement délibérément - dans l'une des revues médicales les plus prestigieuses à comité de lecture au monde. Les gens ont ensuite utilisé cette «science» comme une arme politique.

    Quelle est votre opinion à ce sujet ?

    Doug Casey: Je dirais que toute la mascarade est tragique, sauf que «tragique» est devenu le mot le plus utilisé dans la langue aujourd'hui. Il mérite une brève discussion.

    Regardez la mort récente d'un petit criminel de carrière, George Floyd. C'est comme si «tragique» faisait partie de son nom. C'est comme si les gens ne comprenaient plus le sens du mot. Une tragédie signifiait qu'un protagoniste héroïque succombait à une force cosmique. Il n'y a pas de héros dans le mélodrame dégradé, juste des méchants, où un voyou costumé a assassiné un voyou de la rue sous la couleur de la loi.

    Désolé de partir sur une tangente. Mais c'est un exemple opportun d'un autre mot dont le sens a été tordu. C'est orwellien, comme tant d'autres choses dans notre société en évolution.

    Parlons de quelque chose de vraiment tragique: la corruption de la science au cours des deux dernières générations.

    Je suis abonné à Scientific American, Discover et New Scientist depuis de nombreuses années. Pendant ce temps, j'ai remarqué un changement distinct dans leurs politiques éditoriales respectives. Ils ont tous été politisés, capturés par le PC de gauche. Ces magazines populaires sont loin de la qualité qu'ils étaient autrefois. Mais cela n'est que symptomatique d'un problème plus important.

    Vous vous souvenez peut-être du canular de 2018 où trois universitaires, dégoûtés de l'incompétence généralisée et de la malhonnêteté dans la recherche, ont soumis des articles absurdes de «parodie» à vingt revues de premier plan. Ils ont été écrits dans un charabia, plein de faits inventés et de raisonnement erroné. Mais la plupart, si je me souviens bien, ont été révisés par des pairs et publiés.

    Si vous recherchez un peu le sujet, vous arrivez à la conclusion que la moitié des articles évalués par les pairs - absolument dans des domaines «mous» comme la psychologie, la sociologie, les sciences politiques, les études raciales et de genre, etc. - sont illisibles, malhonnêtes, inutiles et inutile.

    Pourquoi est-ce possible? Si un universitaire veut progresser dans le système universitaire actuel, il doit publier ses recherches. C’est la loi de Pareto en action, la règle des 80-20. C'est assez fiable, 80% de ce genre de chose est de la merde parce qu'il est écrit principalement pour fabriquer des informations d'identification, pas pour faire avancer les connaissances.

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  40. C'est une mauvaise chose.

    Cela fait que le gars moyen, qui peut ne rien savoir de la science mais qui a encore du respect pour elle, perd ce respect. C’est parce que la science est devenue politisée.

    Vous pouvez le voir avec les informations contradictoires sur COVID-19. Est-ce mortel ou juste une autre grippe saisonnière? Cela affecte-t-il tout le monde, comme la mort noire, ou principalement les personnes âgées et les malades? Est-ce que presque tous ceux qui contractent le virus tombent très malades ou meurent ou seulement un petit pourcentage? Devez-vous mettre en quarantaine ou vivre normalement?

    Pour autant que je sache, la grande hystérie virale est passée de la prochaine peste noire à un gros rien. Ce n'est pas aussi mauvais que la grippe asiatique des années 50 ou la grippe de Hong Kong des années 60. Oubliez la grippe espagnole - il n'y a aucune comparaison. Le principal effet de COVID n'est pas médical; c'est l'hystérie qui a détruit l'économie. Et les actions politiques sont encore plus folles que celles après le 11 septembre.

    La politique se nourrit de l'hystérie. La politisation de tout est le vrai problème. Et ce n'est pas seulement une perturbation totale de la société et des déficits de plusieurs milliards de dollars. Par exemple, je joue au poker avec un groupe de gars à Aspen tous les lundis soirs depuis des années. Maintenant, même si le verrouillage en ville est en train de se relâcher, le groupe se sépare car la plupart d'entre eux insistent pour que tout le monde porte un masque. Je ne le ferai pas, pas plus que quelques autres gars. Donc, entre ça et quelques gars qui ont maintenant peur de socialiser quoi qu'il arrive… game over. Cela peut également signifier la fin d'un plus grand groupe de déjeuners d'affaires du vendredi auquel j'appartiens depuis des décennies.

    Il y a maintenant des millions de petites déchirures similaires dans le tissu social. Et ils sont largement justifiés par «la science».

    Le vrai problème est que les effets d'entraînement du virus dureront beaucoup, beaucoup plus longtemps que le virus trivial lui-même - qui s'éteindra bientôt et sera oublié. Les changements politiques, économiques et sociaux, cependant, perdureront pendant des années, tout comme les attitudes envers la «science».

    International Man: Quelles sont les implications de la corruption du processus scientifique par les gens pour blanchir leur propagande politique afin de façonner les opinions dominantes ?

    Doug Casey: Vous pourriez penser que c'est quelque chose de nouveau, mais la gauche en particulier - qui a toujours défendu l'ingénierie sociale - aime utiliser la «science» pour faire avancer son programme politique.

    Karl Marx et sa notion de «socialisme scientifique» - une idée totalement fausse en sont le premier exemple important.

    Depuis qu'il l'a promu pour la première fois il y a plus de 150 ans, le concept est enraciné dans la culture, en particulier dans le milieu universitaire. On a appris aux gens à croire que le «socialisme scientifique» existe et qu’il n’est pas seulement inévitable, mais souhaitable. En fait, c'est de la pseudoscience. Mais ce n'est que le premier exemple de corruption de la science dans les temps modernes.

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  41. Le keynésianisme en est un autre exemple. Les keynésiens croient qu'ils peuvent manipuler l'économie comme s'il s'agissait d'une machine.

    Une machine est cependant une horrible analogie pour l'économie. Ce n'est pas une machine ou une usine où vous pouvez actionner des leviers pour que la magie opère - c'est précisément ce que les keynésiens (qui dirigent le monde économique aujourd'hui) pensent pouvoir faire.

    L'économie ressemble plus à une forêt tropicale, qui est très complexe. Il ne peut pas être manipulé de l'extérieur par des apparatchiks appliquant des règles. Et si vous essayez de manipuler une forêt tropicale de l'extérieur, vous risquez de la détruire.

    Le keynésianisme est un parfait exemple de scientisme (c'est l'utilisation du vocabulaire et des signes extérieurs de la science pour des sujets inappropriés). Vous pouvez voir le scientisme utilisé partout dans les sciences humaines et les sciences "douces". Il s'agit généralement de légitimer un certain type d'intervention de l'État.

    La sociologie et la psychologie concernent essentiellement l'ingénierie sociale. Ils ne sont généralement pas autant scientifiques que scientifiques. Ils essaient souvent de mettre une patine scientifique pour forcer les gens à interagir les uns avec les autres de manière prescrite.

    Mais cela va bien au-delà de la simple sociologie et psychologie. Les départements d'anglais sont connus pour utiliser des œuvres littéraires de gauche pour insinuer certaines idées chez les étudiants. Les départements d'économie utilisent des formules mathématiques obscures pour décrire l'action humaine - le scientisme pur, avec beaucoup de bagages idéologiques. Marx lui-même était avant tout un historien. De nombreux diplômes universitaires sont aujourd'hui complètement faux et sans valeur. Un exemple? Il existe des diplômes en études de genre.

    La tendance est hors de contrôle. Les concepts scientifiques ridicules qui ont commencé avec Marx sont partout.

    Les mêmes personnes - j'entends par là celles qui ont des perspectives marxistes, socialistes et keynésiennes - sont à l'origine de la frénésie du réchauffement climatique, qui regorge de pseudosciences, de chiffres trompeurs et de fausses statistiques.

    La dernière manifestation de tout cela, bien sûr, est l'hystérie COVID.

    Mais derrière tout cela, il y a le financement public de la science - Big Science. Cela a commencé sérieusement après la Seconde Guerre mondiale.

    Le financement gouvernemental est autorisé par les politiciens. Ils prennent des décisions pour des raisons politiques. Pour être admissible, vous devez obtenir des résultats politiquement acceptables, ce qui est en soi la meilleure raison de ne pas avoir de financement gouvernemental.

    Mais certains pourraient se demander: sans le gouvernement, où la Big Science obtiendrait-elle les milliards nécessaires pour des projets géants ?

    En fait, la majeure partie du capital consacré à la recherche scientifique par l'État irait encore à la science; la connaissance a de la valeur. Mais l'argent serait alloué économiquement, et non politiquement, créant ainsi plus de richesse - beaucoup plus qu'aujourd'hui, quand beaucoup est gaspillé sur des gâchis politiques. La plupart des dépenses scientifiques du gouvernement sont nécessairement mal affectées.

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  42. La nature de plus en plus politique du financement de la science a servi à discréditer l'idée de la science elle-même.

    International Man: Les démocrates se comparent au soi-disant «Parti de la science». Qu'est-ce que tu penses?

    Doug Casey: C'est absurde, mais c'est un marketing très intelligent de leur part.

    Ils s'en tirent parce que les républicains sont fondamentalement le parti des affaires. Et plus important encore, les gens qui votent républicain ont tendance à être traditionalistes et orientés vers la religion.

    C'est un problème parce que les penseurs scientifiques ont tendance à considérer la religion comme hors de propos, dangereuse, voire risible - au mieux, comme une façon inexacte ou bidon de décrire le monde.

    Les démocrates, en revanche, sont notoirement laïques et non religieux. Par coïncidence, la plupart des scientifiques le sont aussi. Cela a provoqué une confusion malheureuse. Les démocrates semblent illogiquement croire que ce n'est pas parce qu'ils sont laïcs qu'ils doivent être scientifiques.

    Le fait est cependant que les démocrates ne sont pas le parti de la science.

    En fait, ils sont le parti de la pseudoscience, de la science factice et du scientisme. La science ne se mélange pas bien avec la politique ou la religion.

    Mais les démocrates sont des spécialistes du marketing intelligents qui se lient à la science pour se différencier des républicains, le parti de la tradition et de la religion.

    Lorsque vous pensez à la tradition et à la religion, cela peut vous faire penser aux théories de la terre plate, à l'astronomie géocentrique, à Torquemada, à la persécution de Galilée et aux épreuves des sorcières. Les démocrates aiment se peindre en penseurs avancés rationnels et les républicains en atavistes superstitieux.

    Bien sûr, la religion et la science se sont mutuellement mises à la gorge. Une autre raison pour laquelle j’ai toujours dit que les Dems étaient plus le parti pervers et les représentants plus le parti stupide. Mais une variole sur leurs deux maisons…

    International Man: Des événements comme celui-ci semblent être la principale raison pour laquelle un nombre croissant de personnes perdent confiance dans les institutions auparavant crédibles et les «experts» auto-oints.

    Qu'est-ce que ça veut dire ?

    Doug Casey: Des dizaines de millions de personnes ont maintenant des diplômes universitaires qui, selon eux, signifient quelque chose. En fait, ils valent moins qu’un diplôme d’études secondaires avant la Seconde Guerre mondiale. Les gens obtiennent des doctorats qui, comme on l’a toujours dit, signifient «empilés plus haut et plus profondément».

    Surtout depuis la Seconde Guerre mondiale, le gouvernement est devenu beaucoup plus gros et impliqué dans tout. Grosse erreur…

    Le rôle du gouvernement est simple: protéger les gens de la coercition: protection contre la coercition domestique, ce qui implique la police; la protection contre la coercition transnationale, ce qui implique une armée; et assurer la justice dans le pays, ce qui implique un système judiciaire.

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  43. Le gouvernement ne devrait rien faire d'autre.

    Mais comme il est désormais impliqué dans absolument tout, vous avez besoin d '«experts» pour décider de ce qui doit être fait.

    Nous voyons cela aujourd'hui avec des gens comme le Dr Anthony Fauci, qui n'est rien de plus qu'un bureaucrate à vie. Il a vécu dans le marais toute sa vie, et c'est un technocrate typique. Il croit savoir ce qui vous convient le mieux.

    Des gens comme Fauci ont assumé un pouvoir énorme sur les autres et sur le fonctionnement de la société. Il est un politicien intelligent et a été efficace dans les reculs et les coups de poing. Et se frayant un chemin dans une position bureaucratique élevée. Le gouvernement est plein de gens comme lui.

    Une autre chose importante à propos de COVID est qu'ils appellent cela une «crise sanitaire».

    C'est faux pour plusieurs raisons. Premièrement, la santé est quelque chose que vous prenez soin de vous. C'est personnel, pas public. Aussi merveilleux et aussi avancé que la médecine soit devenue, il est peu utile pour maintenir votre santé.

    Vous maintenez votre santé grâce à une bonne alimentation, à l'exercice et à de bonnes habitudes. La médecine consiste à réparer les dommages si vous avez une blessure ou une maladie grave. Il se chevauche, évidemment, mais est essentiellement très différent des soins de santé.

    Quoi qu'il en soit, COVID a été déguisé en prétexte pour non seulement détruire l'économie, mais aussi, à bien des égards, détruire la société elle-même. Semblable au réchauffement climatique, au keynésianisme, au marxisme et à d'autres formes de scientisme.

    C’est l’un des nombreux signes de la dégradation accélérée de la société.

    Je ne sais pas ce que sera le prochain gâchis massif après que ce sera fini. Vous vous souvenez peut-être que l'État policier illustré dans l'excellent film "V pour Vendetta" a été créé en raison d'une fausse épidémie de virus. Parlez de la vie en imitant l'art! Si les choses continuent dans cette direction, les États-Unis commenceront à ressembler à l'ancienne URSS.

    International Man: La société se dégrade à un rythme accéléré. Que peuvent faire les gens pour se protéger ?

    Doug Casey: Malheureusement, le monde entier semble adorer la démocratie. La démocratie, cependant, n'est vraiment qu'une règle de la populace vêtue d'un manteau et d'une cravate. Pire, cette tendance est non seulement toujours en mouvement, mais elle s'accélère.

    Que pouvez-vous faire pour vous protéger? Cela devient une situation de sauve qui peut - chacun pour soi. C’est là que l’or entre en jeu.

    J'ai toujours été fan d'or - toujours pour faire des économies et souvent à titre de spéculation. C’était super, et les bugs d’or se sont très bien débrouillés. Il est passé de 35 $ à plus de 1 700 $. Et ça va beaucoup plus haut.

    C’est un excellent moyen d’économiser de l’argent et de se constituer un capital au fil du temps. En ce moment, je spécule sur les actions des mines d'or, qui sont extrêmement bon marché. Je m'attends à ce que la prochaine manie soit en eux.

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  44. Mais je n'ai pas de solutions politiques pour les gens, sauf pour arrêter de considérer la politique comme la solution aux problèmes. Et arrêtez d'agir comme un groupe de chimpanzés à la recherche d'un leader.

    La politique est le problème, la cause de la plupart des problèmes d'aujourd'hui. Ce n’est pas la solution.

    * * *

    Sur le plan économique, politique et social, les États-Unis semblent emprunter une voie non seulement incompatible avec les principes fondateurs du pays, mais qui accélère rapidement vers une décadence sans bornes. Cela contribue à une vague croissante d’idées socialistes erronées. C'est précisément pourquoi l'auteur à succès du NY Times, Doug Casey vient de publier cette nouvelle vidéo urgente intitulée L'événement le plus dangereux du 21e siècle qui décrit ce qui va suivre et ce que vous devez faire pour être prêt.

    https://www.zerohedge.com/political/fake-science-and-public-hysteria-new-driving-force-politics

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  45. La « science », le mot magique des politiciens

    « Suivre la science » : une incantation magique constamment invoquée par les politiciens pendant la crise du Covid-19.


    19 JUIN 2020
    Par Michel Kelly-Gagnon et Alexandre Massaux.
    Un article de l’Institut économique de Montréal


    Au cours des derniers mois, nous avons entendu à de très nombreuses reprises les décideurs publics de tout acabit, un peu partout à travers le monde, justifier leurs actions sur la base du fait qu’ils ne faisaient que « suivre la science ».

    Bien que cela ait été par ailleurs vrai dans certains cas, force est de constater que la science a eu le dos large dans toute cette crise.

    En fait, comme l’explique Raymond J. de Souza dans le quotidien canadien The National Post : les décideurs ne suivent pas la science, mais ils prennent plutôt connaissance de divers résultats scientifiques – lesquels peuvent ultimement se révéler valides ou non – pour prendre ensuite des décisions politiques.

    Il s’agit là d’un processus normal que nous ne critiquons pas en soi, mais qui permet de relativiser la force probante de cet argument. De par leur nature, les résultats scientifiques décrivent ce qui se passe et ne prescrivent pas les actions qui doivent être posées en réaction à ceux-ci.

    Dès lors, lorsqu’un politicien tente de justifier son action en laissant entendre qu’il ne fait que « suivre la science », c’est un non-sens car la science n’est assurément pas une religion avec des préceptes gravés dans le marbre, auxquels il faut obéir aveuglement ou docilement.

    Comme le fait remarquer le président de la Royal Society Venki Ramakrishnan, la science est toujours en mouvement et la recherche évolue en fonction des résultats. Une théorie scientifique qui peut sembler juste ou largement consensuelle à un moment donné précis dans le temps peut se révéler fausse peu de temps après quand des démonstrations contraires apparaissent.

    De plus, comme le mentionne le Dr. Didier Raoult, la méthode scientifique est impactée par la culture. À titre d’exemple, la méthodologie utilisée en Chine n’est pas identique à celle de l’Amérique du nord, pas plus que ne l’est la façon de communiquer les résultats des recherches ainsi effectuées.

    Le Covid-19 a d’ailleurs bien montré qu’il n’existait pas de consensus scientifique sur les traitements pour lutter contre le virus mais aussi sur sa dangerosité. Et le peu de consensus qui pouvait exister a fluctué et continuer de fluctuer à travers le temps.

    Dès lors, « suivre la science » revient, pour un politique, à se ranger derrière certains experts qui pourront être contredits par une autre partie de la communauté scientifique. La politique repose sur des débats entre des points de vue issus de valeurs opposées.

    L’utilisation de la science par le personnel politique revient à camoufler, consciemment ou non, les valeurs et les choix politiques pour ensuite les imposer comme une vérité scientifique afin de faire l’économie des débats qui devraient normalement avoir cours.

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  46. LE DANGER DE LA POLITISATION DE LA SCIENCE

    Une dérive de la politisation de la science est de manipuler les données pour les relier à des problématiques peu scientifiques. Le fait que plus de 1000 experts scientifiques soutiennent les manifestations BlackLiveMatter malgré le risque prétendu de propagation du Covid-19 démontre cette tendance à faire passer l’actualité politique avant la recherche.

    Cette position est d’autant plus surprenante que cette même élite politico-médiatico-sanitaire a par ailleurs été extrêmement critique envers les relativement petites manifestations anti-confinement aux États-Unis. On peut comprendre que la population puisse être confuse face à tout cela.

    De plus, cette politisation de la science suscite ultimement une méfiance envers le monde scientifique au sens large. Une situation qui favorise malheureusement le développement des théories du complot et de l’extrémisme et qui perturbe encore davantage le bon déroulement du débat public et de la recherche.

    La science est essentielle pour trouver des solutions médicales au Covid-19 comme, par exemple, des traitements et un vaccin. L’instrumentalisation de la recherche par le politique peut, elle, avoir au contraire l’effet inverse. Il devient dès lors urgent que les politiques et les commentateurs médiatiques arrêtent d’invoquer la science, comme s’il s’agissait d’une incantation magique, pour justifier leurs choix politiques ou leurs préférences idéologiques.

    https://www.contrepoints.org/2020/06/19/373960-la-science-le-mot-magique-des-politiciens

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  47. MSM SILENCE: les élitistes se réunissent dans une ville suisse pour finaliser notre asservissement, "The Great Reset", & NWO


    Par Mac Slavo
    SHTFplan.com
    19 juin 2020


    Ne vous y trompez pas, ce sera une tyrannie absolue à l'échelle mondiale. Les médias grand public sont silencieux tandis que les élitistes qui veulent avoir le pouvoir sur tous les humains sur la Terre prévoient de se réunir dans une ville suisse pour discuter de «la grande réinitialisation», une poussée vers une monnaie mondiale - une monnaie dans laquelle ils ont le contrôle ultime.

    Le plan est de s'assurer qu'un monde «post-COVID» est construit comme il le souhaite. Esclavage et contrôle totalitaire. Si vous ne savez pas maintenant que le système a été mis en place pour les protéger, pas vous, faites la queue pour le vaccin parrainé par Bill Gates. Les choses vont devenir beaucoup plus laides et rapides. L’objectif de cette réunion est la «reconstruction» du système économique et social mondial afin de le rendre plus «durable».

    Ça sonne bien, non ? Mais, par plus durable, ils signifient plus asservissable.

    "Rien ne sera plus jamais pareil." C'est le mantra que nous avons entendu dans de nombreux pays au plus fort de la pandémie de COVID-19. Il est venu avec un avertissement qu'une «nouvelle norme» remplacerait la commande existante. Les déplacements faciles, les relations interpersonnelles, les grands rassemblements, même des choses comme la poignée de main devraient céder la place à une distanciation sociale à long terme, des règles drastiques et une surveillance. Mais ces changements au niveau personnel ne sont qu'une partie de l'image. Le Forum économique mondial, en collaboration avec le prince Charles d'Angleterre et le Fonds monétaire international (FMI), a lancé une initiative baptisée de manière révélatrice «The Great Reset», dans le but de «reconstruire» le système économique et social mondial afin de le rendre plus «durable». –Life Site News

    La grande réinitialisation est là: préparez-vous pour le NWO et l'asservissement

    Si vous ne pouvez pas vous soucier de comprendre que la meilleure façon de vous protéger est de vous retirer du système d'esclavage déjà mis en place, qu'ils essaient désespérément de vous garder, alors vous allez probablement vous retrouver pris dans ce gâchis.

    L'idée d'une «grande remise à zéro» a reçu le plein soutien du secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, ancien président de l'Internationale Socialiste de 1999 à 2005. Quelqu'un est-il surpris ? La réinitialisation est prévue depuis longtemps:

    Le jeu final est arrivé: «Tous les signes et les preuves indiquent la grande réinitialisation économique mondiale»

    On en parlait déjà avant que le coronavirus chinois ne quitte Wuhan. Le 30 décembre 2019, par exemple, le Financial Times a publié une présentation sur YouTube sous le titre «Pourquoi le capitalisme doit être réinitialisé en 2020». (Comme si n'importe quel pays avait plus de capitalisme. La plupart, et même les États-Unis, sont maintenant à tout le moins des corporatocraties - la fusion de gouvernements et de sociétés, déguisées en corporatisme de copinage.) Mais les mondialistes poussent un thème que le capitalisme (ce qui signifie aucune interférence dans le marché / l'économie) est le problème, même si tout est littéralement centralisé. Le thème récurrent est le «capitalisme des parties prenantes», selon lequel «l'approche d'une entreprise à l'égard des personnes, de la planète et de l'innovation - y compris la façon dont elle protège et applique la valeur ajoutée de ses données - doit occuper une place plus importante dans les décisions d'allocation de capital» (comme explique le site WEForum).

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  48. Préparez-vous en refusant d'accepter leur nouvelle monnaie mondiale. Faites le plein de métaux précieux, d'or, d'argent et de plomb.

    Reprinted with permission from SHTFplan.com.

    https://www.lewrockwell.com/2020/06/mac-slavo/msm-silence-elitists-gather-in-swiss-town-to-finalize-our-enslavement-the-great-reset-nwo/

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    1. (...) Préparez-vous en refusant d'accepter leur nouvelle monnaie mondiale. Faites le plein de métaux précieux, d'or, d'argent et de plomb. (...)

      TOUTES les MP ont un marché truqué ! TOUTES ! Le prix de l'or ? Il devrait être 10 ou 20 fois plus haut et est maintenu à bas prix pour éviter qu'un pays au monde puisse se libérer de sa dette avec seulement qq kg d'or !

      La Bourse EST une escroquerie depuis toujours. Les banquiers (+ NSA maintenant) connaissent TOUT de vos transactions et eux, avec leurs ordinateurs super-ultra-rapide vous coupent l'herbe sous les pieds.

      Il n'y a QUE EUX qui gagnent, jamais vous ! Çà a toujours été ainsi et ne changera pas !

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  49. Technologie Gene Drive: quelles espèces devrions-nous éteindre aujourd'hui ?
    Pourquoi Bill Gates et l'armée américaine sont-ils impliqués ?


    Par Jon Rappoport
    Le blog de Jon Rappoport
    19 juin 2020


    —La liberté comprend le droit naturel de résister et de rejeter toute technologie qui met la vie en danger.

    Un scientifique passionné et dévoué déclare: «J'ai un plan. En manipulant les gènes, nous pouvons faire disparaître les rongeurs envahissants, sur une île où vivent les humains. »

    Dans la fraction de seconde suivante, une rafale de questions surgit et saute.

    La question primordiale est:

    Est-ce à dire que la manipulation génétique peut faire disparaître TOUTES les espèces ?

    Bienvenue dans le monde de la technologie d'entraînement des gènes.

    Voici un passage de Gene Drive Files, un site vital avec une énorme quantité d'informations référencées sur le sujet:

    «Les commandes de gènes sont une application d'édition de gènes qui permet aux ingénieurs génétiques de conduire un seul caractère artificiel à travers une population entière en s'assurant que tous les descendants d'un organisme portent ce caractère. Par exemple, des expériences récentes équipent des souris avec des commandes de gènes «sans fille» qui se répercuteront à travers les populations de souris afin que seuls les chiots mâles naissent, garantissant que la population disparaîtra après quelques générations. »

    «Les promoteurs ont conçu les campagnes de détection des gènes comme un outil révolutionnaire pour éradiquer les ravageurs ou les espèces envahissantes. Cependant, les fichiers Gene Drive révèlent que ces efforts de «conservation» sont principalement soutenus par des fonds militaires. »

    Il semble donc que la réponse soit oui. La technologie d'entraînement des gènes pourrait être déployée pour éliminer les parasites des plantes, les mauvaises herbes, les cultures, les ravageurs, les animaux et… les humains gênants. Réfléchissez avec votre café du matin.

    Il y a plusieurs années, l'ONU envisageait une recommandation pour appeler à un moratoire sur l'utilisation des lecteurs de gènes. Voici ce que rapporte Gene Drive Files à propos de cette bagarre et de l'apparition de Bill Gates sur la scène:

    «Les documents reçus dans le cadre des demandes d'accès à l'information révèlent que la Fondation Bill et Melinda Gates a payé 1,6 million de dollars à une entreprise privée d'agriculture et de biotechnologie pour des activités sur Gene Drives. Cela incluait la gestion d'une «coalition de plaidoyer» secrète qui semble avoir eu l'intention de fausser le seul processus d'experts des Nations Unies traitant des moteurs de gènes… »

    «Suite aux appels mondiaux en décembre 2016 des pays du Sud et de plus de 170 organisations pour un moratoire des Nations Unies sur les levées génétiques, des courriels adressés à des défenseurs des levées génétiques reçus dans le cadre d'une demande d'accès à l'information de Prickly Research révèlent qu'une entreprise privée d'affaires publiques« Emerging Ag »a reçu des fonds de la Fondation Bill et Melinda Gates pour coordonner la «lutte contre les partisans du moratoire sur les génétiques». »

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  50. Il y a plus de Gene Drive Files. Cela implique les militaires:

    «Une mine d'e-mails (The Gene Drive Files) de la part de chercheurs américains de recherche sur les gènes révèle que l'armée américaine prend les devants pour faire avancer le développement de la génétique.»

    «Les courriels obtenus grâce à une demande d'accès à l'information de la société américaine Prickly Research révèlent que la US Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) a donné environ 100 millions de dollars pour la recherche sur les gènes, 35 millions de plus que ce qui avait été annoncé précédemment, ce qui en fait probablement le plus important bailleur de fonds de la recherche sur les gènes sur la planète. Les courriels révèlent également que la DARPA finance ou coordonne avec presque tous les principaux acteurs travaillant sur le développement des gènes ainsi que les principaux détenteurs de brevets sur la technologie d'édition de gènes CRISPR. »

    «Ces fonds vont au-delà des États-Unis; La DARPA finance désormais également directement des chercheurs en recherche de gènes en Australie (y compris des sommes versées à une agence gouvernementale australienne, le CSIRO) et des chercheurs au Royaume-Uni. Les dossiers révèlent également un niveau extrêmement élevé d'intérêt et d'activité de la part d'autres sections de l'armée et du renseignement américains. »

    Les gens diront que l'intervention militaire est de nature «défensive». Le Pentagone doit savoir ce que font nos ennemis dans leurs laboratoires de recherche sur les gènes, afin que nous puissions, espérons-le, combattre ces efforts.

    Comme nous l'avons vu dans le passé, de telles affirmations sur la recherche militaire américaine sur les armes nucléaires et la guerre bio / chimique se sont avérées fausses. La recherche «défensive» comprenait des efforts pour développer une capacité offensive.

    Connaissant la façon dont les planificateurs militaires pensent (et pas seulement aux États-Unis), je suis sûr que leurs chercheurs tentent de comprendre comment utiliser les entraînements génétiques pour éliminer «juste une partie sélectionnée» de la population humaine. Signifiant l'ennemi. Ce qui nous amène au point suivant:

    La question de ce qui pourrait éventuellement mal tourner. Comme je l'ai montré dans des articles précédents, les outils d'édition de gènes les plus récents et les plus performants (par exemple, CRISPR), qui sont utilisés pour les génétiques, sont loin d'être précis, malgré les assurances officielles.

    Par exemple, Nature Communications, 31 mai 2017, «Les événements de ciblage CRISPR / Cas9 provoquent des suppressions et des insertions complexes sur 17 sites dans le génome de la souris». «Suppressions et insertions» génétiques involontaires.

    Et que diriez-vous de cette étude ? Il a été publié dans Genome Biology le 14 juin 2017 et s'intitule «La modification du génome médiée par CRISPR / Cas9 induit le saut d'exon par épissage alternatif ou suppression d'exon». Un exon est «un segment d'une molécule d'ADN ou d'ARN contenant des informations codant pour une séquence protéique ou peptidique». Vous pouvez donc voir que le saut ou la suppression d'exon est une très mauvaise idée.

    En d'autres termes, TOUTE édition de gène effectuée sur N'IMPORTE QUELLE espèce ouvre la porte à toutes sortes d'erreurs et de conséquences imprévues. La guerre génétique du jour du Jugement dernier et la destruction mutuellement assurée sont la rive lointaine de la folie… mais plus près, où les expériences très limitées ont lieu, il n'y a pas non plus de zone de sécurité. La folie y règne également.

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  51. «Je suis allé à Monsanto, et j'ai passé beaucoup de temps avec les scientifiques là-bas, et j'ai révisé mes perspectives, et je suis très heureux de le dire au monde. Quand tu es amoureux, tu veux le dire au monde. " (Bill Nye, le gars de la science)

    "Je sais que c'est loin et les gens diraient que c'est" trop absurde "... mais je le fais avec l'espoir de faire un Mickey Mouse un jour." (Arikuni Uchimura, cité dans «Les bio-scientifiques japonais produisent une« souris chantante »», The Independent, 21 décembre 2010.)

    "Le génie génétique est au croisement traditionnel ce que la bombe nucléaire était à l'épée." (Andrew Kimbrell, directeur exécutif du Center for Food Safety)

    Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.

    https://www.lewrockwell.com/2020/06/jon-rappoport/gene-drive-technology-what-species-should-we-make-extinct-today/

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    1. Il n'existe plus aujourd'hui de vaccins antitétaniques, la dose d'aujourd'hui comprend à elle seule 8 vaccins ! Huit ! De quoi tuer n'importe qui !

      (...) Connaissant la façon dont les planificateurs militaires pensent (et pas seulement aux États-Unis), je suis sûr que leurs chercheurs tentent de comprendre comment utiliser les entraînements génétiques pour éliminer «juste une partie sélectionnée» de la population humaine. (...)

      Rappelez vous la mort de merles ou de passereaux, des centaines retrouvés morts au sol, et dans tout çà zéro pigeons ! zéro hirondelles ! zéro grives, bref zéro autres espèces d'oiseaux ! Çà alors !

      Rappelez vous la mort de harengs retrouvés sur plage ! Zéro maquereau ! zéro sardine ! zéro anchois ! bref, zéro autres espèce de poissons ! Çà alors !

      Chaque espèce a un rythme cardiaque différent et, avec la technologie scalaire peut être éliminée n'importe quelle espèce !

      Or, s'il y a eu un succès pour le virus-ethnique dernièrement proposé, la différence entre blancs et noirs (par exemple) n'est pas encore bien au point. Seuls pour l'instant sont repérables les hommes ou les femmes.

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  52. 3 FOIS PLUS DE MILLIONNAIRES EN 20 ANS, QUI DÉTIENNENT 50% DES RICHESSES


    par PAOLO GAROSCIO
    19/06/2020



    Pour être riche en France il faut avoir un patrimoine de plus de 490.000 euros.

    Les millionnaires sont toujours plus nombreux… et détiennent toujours autant de richesse. C’est ce qui ressort du dernier rapport du cabinet Boston Consulting Group, publié le 18 juin 2020. Si la crise du Covid-19 va avoir un impact majeur sur la richesse, même plus que la crise de 2008, les riches ne devraient pas avoir de soucis à se faire.

    Trois fois plus de millionnaires en 2019 qu’en 1999

    Il y a toujours plus de riches dans le monde : c’est la première donnée issue du rapport de BCG. En 1999 on comptait en effet 8,9 millions de personnes dont la fortune pouvait être estimée à plus d’un million de dollars. En vingt ans, ce nombre a quasiment triplé : 24 millions de personnes avaient, fin 2019, une fortune supérieure à 1 million de dollars (891.000 euros).

    Sans surprise, les sommes qu’ils détiennent ont augmenté en conséquence : la richesse personnelle de la population était estimée à 80.000 milliards de dollars en 1999 ; elle était, fin 2019, de 226.000 milliards. Une somme dont les millionnaires détiennent 50%, soit un peu plus de 110.000 milliards.

    BCG confirme donc à son tour ce que de nombreux rapports, en particulier de la part de l’ONG Oxfam, mettent en évidence chaque année : les plus riches détiennent 50% des richesses du globe.

    La crise économique va être dure, mais la richesse est résiliente

    Concernant la crise économique liée à la pandémie de Covid-19, BCG annonce qu’elle devrait coûter 16.000 milliards de dollars de richesse à la planète… et il faudra plusieurs années avant d’effacer les pertes. Pire encore : l’impact du Covid est pire que celui de la crise économique de 2008-2009, liée aux subprimes, qui n’avait effacé « que » 10.000 milliards de richesses.

    Néanmoins, les ultra-riches ne devraient pas trop s’inquiéter : BCG prévoit trois scénarii pour la reprise économique et l’augmentation de la richesse globale. Le premier, le plus optimiste, prévoit que la richesse mondiale grimpe à 282.000 milliards à l’horizon de 2024, soit de près de 60.000 milliards en 4 ans. Le pire, lui, estime cette croissance sur 4 ans à 33.0000 milliards, après une baisse de 16.000 milliards en 2020. De quoi permettre au monde entier de cumuler, au total fin 2024, 243.000 milliards de dollars.

    Et, à moins de politiques de redistribution des richesses, on peut supposer que 50% de cette somme, si ce n’est plus, sera encore détenue par les ultra-riches. Soit plus de 120.000 milliards de dollars dans le pire des scénarii : 10.000 milliards de plus que fin 2019.

    http://www.economiematin.fr/news-richesse-millionnaire-argent-croissance-finance-inegalites

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    1. Âh si au moins ils pouvaient investir n'importe où dans n'importe quoi ! Mais ils y sont empêchés ! Les patrons (en France) sont rejetés ! mal vus ! et escroqués par des taxes et impôts qui en fait partir en courant le premier gagnant d'un loto ! Hahaha !

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  53. LA PARTICIPATION AUX BÉNÉFICES OBLIGATOIRE DANS TOUTES LES ENTREPRISES ?


    par PAOLO GAROSCIO
    19/06/2020


    Seulement 1,2% des TPE ont mis en place la participation aux bénéfices.

    La participation aux bénéfices, instaurée dans certaines entreprises, permet aux salariés de profiter de la bonne santé économique et de la croissance. Elle est, en France, obligatoire chez certaines entreprises, en fonction de leur taille. Mais une proposition de loi pourrait bien la rendre obligatoire pour toutes les entreprises françaises.

    TPE et PME exclues de la participation aux bénéfices

    Le système de la participation aux bénéfices est un des nombreux systèmes d’épargne salariale disponibles en France. À la fin de l’année, si tout va bien et que la croissance est au rendez-vous, une partie des bénéfices est reversée aux employés. Nombreux sont ceux qui en profitent : depuis 1969, la participation est obligatoire dans les entreprises de plus de 100 salariés, et depuis 1990 dans celles de plus de 50 salariés. Mais les autres sont peu nombreuses à l’avoir mise en place : 4% des PME de 10 à 49 salariés et 1,2% des TPE de moins de 10 salariés.

    Selon Le Parisien, deux députés LREM, Olivia Grégoire et Cendra Motin, ont l’intention de déposer, la semaine du 22 juin 2020, une proposition de loi qui pourrait résoudre le problème. Elle vise à rendre obligatoire la participation aux bénéfices pour toutes les entreprises en France.

    Une bonne idée… à un moment particulier

    Si le principe est positif, la participation aux bénéfices est une manière d’inciter les employés à travailler en leur permettant de récupérer une partie du fruit de leur travail, malheureusement la période risque d’être mal choisie. Comme le souligne François Asselin, président de la CPME, dans les colonnes du Parisien, « une telle mesure risque de créer beaucoup de désillusions parmi les salariés, vu l'état dans lequel les TPE-PME vont sortir de la crise sanitaire ». Il est en effet certain que la croissance ne sera pas au rendez-vous en 2020, Bercy tablant sur une récession de 11% en France. Difficile de croire que les bénéfices seront légion.

    Néanmoins, si la participation aux bénéfices n’a peut-être pas d’intérêt en 2020, la crise économique ne sera pas éternelle. Certains penchent même pour une « reprise en V », soit un retour très rapide de la croissance dans le monde, ce qui permettrait à la crise du Covid-19 d’être effacée en quelques années, contre près d’une décennie pour la crise de 2008 liée aux subprimes. Une hypothèse optimiste qui, toutefois, est loin de faire l’unanimité.

    http://www.economiematin.fr/news-participation-benefices-entreprise-obligatoire-salaries-argent-bonus

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    1. Les 'primes d'ancienneté' nuisent à l'entreprise.

      Faire participer les employés aux bénéfices de l'entreprise ?! Pour quoi faire ? Les employés ne vont PAS créer d'emploi ni monter une usine !

      Et si l'entreprise à son CA qui baisse... les salaires aussi ?
      En cas de faillite, les huissiers chez les employés ?

      Ne prenons pas les gens pour des cons ! Chacun doit conserver sa place ! Si l'employé n'est pas content il dégage ! Il va créer sa 'Manufrance' un peu où il veut ! Hahahaha !

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