- ENTREE de SECOURS -



lundi 15 juin 2020

La folle politique énergétique du gouvernement

Une politique contradictoire veut « en même temps » diminuer les émissions de gaz carbonique en supprimant les moyens qui n’en émettent pas et en développant ceux qui en émettront indirectement.


Par Michel Gay.
15 JUIN 2020


Depuis 20 ans, en France et en Europe, une folle politique de l’énergie conduit à un insupportable gaspillage financier dans les énergies dites « renouvelables ».

UNE POLITIQUE SCHIZOPHRÈNE

Cette politique contradictoire veut « en même temps » diminuer les émissions de gaz carbonique en supprimant les moyens qui n’en émettent pas (le nucléaire) et en développant ceux qui en émettront indirectement (éoliennes et panneaux solaires) par l’intermédiaire des centrales à gaz et à charbon (comme en Allemagne).

Elle veut augmenter le pouvoir d’achat en diminuant la compétitivité de l’économie.

Elle veut améliorer la biodiversité en recouvrant la France d’éoliennes et de panneaux solaires alors que le nucléaire encombre 100 ou 500 fois moins de surface et consomme dix moins de matériaux (cuivre, béton, ferraille…) pour une même production d’électricité.

Pourtant, les éoliennes et les panneaux solaires promus depuis plus de 20 ans appartiennent à une époque révolue où des imposteurs ont pu faire croire que des technologies nouvelles pourraient remplacer les énergies issues du pétrole et du nucléaire, et que la promotion du « développement durable » permettrait une croissance harmonieuse.

Plus dur sera le réveil… après l’engourdissement du confinement. Entre ceux qui veulent changer le monde et ceux qui veulent en profiter pour s’enrichir indûment, les thuriféraires des énergies renouvelables promettent aux uns un monde plus propre et local, aux autres des bénéfices renouvelables et exportables.

Leurs promoteurs et le gouvernement font croire qu’elles produisent une électricité sans émissions de gaz à effet de serre, suffisante, bon marché grâce aux subventions, et sans impact sur les écosystèmes.

Tout se passe dorénavant comme si le développement des énergies « renouvelables » intermittentes et fatales reposant sur le vent et le soleil était devenu un devoir moral qui s’impose…« quoi qu’il en coûte » !

QUELLE STRATÉGIE ?


La Stratégie nationale bas-carbone (SNBC) du gouvernement veut diviser par deux d’ici 2050 la consommation d’énergie, sans même en avoir mesuré les graves implications économiques et humaines.

Prévoir une forte diminution de l’industrie sans avoir pris conscience des conséquences stratégiques de cet affaiblissement est criminel.

Et qui sera d’accord avec la SNBC pour habiter dans des logements collectifs toujours plus petits dans une concentration urbaine toujours plus poussée, et en supprimant les maisons individuelles ?

Selon la SNBC, le développement de l’éolien et du photovoltaïque pour la production d’électricité doit continuer coûte que coûte, alors que ces sources de productions intermittentes coûtent déjà aux Français chaque année sept milliards d’euros ! Et en plus, elles ne diminuent aucunement les émissions de gaz carbonique, notamment lorsqu’elles remplacent du nucléaire obligé par la loi de diminuer sa production !

Et cette gabegie durera au minimum encore pendant une vingtaine d’années pour satisfaire les décisions de subventions qui ont déjà été prises pour aider indûment ces deux modes de production d’énergie.

MAIS CE N’EST PAS ASSEZ !

La Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE), que la ministre de l’Écologie Elisabeth Borne vient de signer en catimini le 21 avril 2020 après une consultation publique de façade, prévoit non seulement de doubler ou tripler la capacité éolienne et photovoltaïque, mais aussi d’arrêter des réacteurs nucléaires en parfait état de fonctionnement.

Cela coûtera aux Français de 7 à 10 milliards d’euros de plus par an.

L’objectif de réduire les émissions de gaz carbonique sans se ruiner serait pourtant simplement atteint en développant le potentiel nucléaire de la France et en supprimant l’éolien et le photovoltaïque.

Mais le puissant lobby financier des énergies éoliennes et solaires, qui à l’oreille du gouvernement, ne l’entend pas du tout ainsi…

Grenelle de l’environnement, débat public, conférence citoyenne, etc., tout est fait apparemment pour faire vivre la démocratie. Mais c’est une démocratie de façade.

En effet, tout cela est vain tant que la population est mal informée (69 % croient que le nucléaire émet du gaz carbonique), et tant que l’État n’aura pas chiffré (et publié) les dépenses de plusieurs dizaines de milliards d’euros par an causées par les délirants objectifs fixés.

Ce gaspillage est encore plus criminel dans la période difficile qui s’annonce.

De plus, un mode de production non pilotable, aléatoire, et fatal (comme l’éolien et le solaire) ne rend pas le même service aux consommateurs qu’un mode pilotable. Un ascenseur et un ordinateur ne peuvent pas fonctionner uniquement quand il y a assez de vent ou de soleil.

Le service rendu n’étant pas le même, comparer les coûts en sortie de dispositif de production revient à comparer des choux et des carottes. Il faudrait ajouter tous les coûts du système de production (réseau, stockage, ajustement de la fréquence) pour les modes non pilotables, ce qui change beaucoup les coûts globaux !

Les antinucléaires mettent souvent en avant des arguments techniques qui ne sont pas fondés, ou mal mis en perspective, et ils sont pourtant écoutés !

POURQUOI UN TEL HIATUS ENTRE LES FAITS ET LEUR PERCEPTION PAR L’OPINION ?

La réponse inclut pour une large part le manque de pédagogie du milieu médiatico-politique qui préfère jouer sur les émotions plutôt que sur les explications rationnelles et techniques. C’est beaucoup plus facile, racoleur et vendeur, y compris pour se faire élire ou réélire…

Ainsi, selon des déclarations malveillantes, la centrale de Fessenheim serait dangereuse car située en zone sismique, vulnérable aux inondations, aux actes de malveillance aérienne, fragilisée par des microfissures dans la cuve…

Il y a en France une entité qui s’appelle l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) chargée de déterminer si ces risques sont correctement appréciés et gérés, puis de délivrer, ou non, des autorisations de fonctionnement.

En l’occurrence, l’ASN a dit que Fessenheim était une centrale sûre qui n’avait pas de raison technique d’être retirée du service « L’installation se situe favorablement par rapport à la moyenne nationale dans les domaines de la sûreté et de l’environnement ».

Donc, quand madame Wargon, Secrétaire d’État auprès de la ministre de la Transition écologique et solidaire, invoque des arguments techniques pour fermer Fessenheim, elle se considère plus compétente que l’ASN !

Soit Fessenheim est réellement dangereuse et il faut alors dissoudre l’ASN pour incompétence.

Soit l’ASN fait correctement son métier, et alors les personnes qui présentent des arguments techniques non retenus par l’ASN sont des imposteurs.

Aux États-Unis, la quasi-totalité des réacteurs en fonctionnement (qui sont du même type que nos réacteurs français) ont été autorisés à fonctionner durant 60 ans, et certains exploitants ont commencé à constituer des dossiers pour poursuivre jusqu’à 80 ans.

Quand des militants d’ONG ou des politiques invoquent l’âge comme argument pour fermer une centrale nucléaire, c’est une imposture. Un président, ministre ou secrétaire d’État peut être un imposteur. Madame Wargon n’est pas la seule.

RÉDUIRE À 50 % LA PART DU NUCLÉAIRE ?


Ce chiffre rond et arbitraire est sorti du chapeau de François Hollande pendant la campagne de 2012 car il avait besoin de séduire les partis Verts, dont la colonne vertébrale est constituée par l’opposition au nucléaire. Hollande a donc promis une sucette qui était de diminuer la part du nucléaire.

La bonne question est de savoir si baisser ou augmenter la place du nucléaire dans la production électrique améliore l’avenir des Français ou non.

Une baisse délibérée du nucléaire par mise à l’arrêt de réacteurs en parfait état de marche, ou en ne les renouvelant pas, augmente les risques pour l’avenir car diversifier n’est pas une fin en soi si le résultat est mauvais.

Couper l’une des deux jambes de chaque Français pour la remplacer par une prothèse aura incontestablement diversifié leurs appuis.

Pour autant, une diversification n’est bénéfique qu’en remplaçant la partie supprimée par quelque chose de mieux. Cela renvoie aux avantages et inconvénients respectifs du nucléaire et des autres modes de production de l’électricité.

Si le nucléaire est le meilleur mode de production de l’électricité disponible, il n’y a aucun intérêt à faire baisser sa part.

NUCLÉAIRE ET ENVIRONNEMENT

Si « agir pour l’environnement » consiste à minimiser l’impact humain sur la nature, alors le nucléaire est une option à favoriser au détriment de ses concurrents dits « renouvelables » ou fossiles.

Le nucléaire constitue un matelas amortisseur de choc. Il n’évitera pas les efforts qui devront être faits dans de nombreux domaines (mobilité, alimentation, consommation,…) si les combustibles fossiles venaient à diminuer ou à devenir très onéreux, mais il permettra de garder plus de « confort moderne ».

En effet, baisser les émissions de gaz carbonique consiste essentiellement à perdre du pouvoir d’achat. Et le nucléaire permettra d’atténuer cette baisse.

Si, pour un  investissement donné, l’éolien et le solaire (avec stockage et réseau adapté) produisent moins d’électricité que le nucléaire, alors la production économique baisse, et le pouvoir d’achat aussi. Avec l’énergie nucléaire, la chute sera moins rapide et le choc moins sévère.

LE CONTRE-EXEMPLE DE L’ALLEMAGNE

L’Allemagne a une politique énergétique résolument antinucléaire et, par intérêts, pousse la France à aller dans le même sens. Mais l’Allemagne veut conserver son industrie lourde (très émettrice de gaz carbonique), et elle donne la priorité au charbon national et au gaz russe pour son électricité (ce qui ne permet pas de la décarboner…).

Si les Français préfèrent conserver davantage d’usines et de confort (capacités et liberté de déplacement, chauffage, nourriture, divertissements,…) sans gaz russe, ni charbon allemand et américain, alors le nucléaire est inévitable.

La fermeture de Fessenheim pour les mêmes raisons farfelues fondées sur l’obscurantisme et la peur qui conduisaient à brûler des sorcières au Moyen-Âge, va probablement obliger la France à garder plus longtemps des centrales à charbon et à gaz, et à en ouvrir de nouvelles, exactement sur le modèle allemand. La démagogie politique y gagne peut-être, mais surement pas les Français.

Les politiques et les médias devront faire preuve de beaucoup de pédagogie pour que la population commence à changer d’avis sur le sujet. Mais ce n’est pas pour demain car la volonté manque, et c’est probablement un vœu pieux.

À force de rappeler les faits, et lorsque la contrainte des dures réalités « mordra aux chevilles » (mais comment en sommes-nous arrivés là ?…), les opinions changeront sur le nucléaire.

En démocratie, il n’y a pas d’autres manières intellectuellement honnêtes de procéder, même si le mensonge et le rêve ont encore de beaux jours devant eux.

33 commentaires:

  1. Le gaz carbonique (fait partie des gaz rare à 0,04 % de l'atmosphère) et est émis par le magma sous les bassins maritimes & océanique. Ces derniers, couvrant 78 % de la surface de notre planète relâchent dans l'atmosphère des millions de fois plus de gaz que tous les humains, animaux et industries réunis. Sans l'oxygène émis par le magma il n'y aurait pas de vie marine et océanique. Tous les gaz se dissipent dans l'air et se recyclent depuis des milliards d'années (sans quoi l'humain ne serait même pas apparu sur Terre). Le gaz carbonique est absorbé par le plancton qui le traduit en nano-particules de carbone (charbon). Donc, il y a toujours autant de charbon sur Terre.

    D'où l'imbécilité des Administrations de vouloir 'boucher les volcans' !! HAHAHAHA ! C'est là un retard culturel qui touche aussi celles et ceux qui les écoutent sans avoir fait d'études et de les comprendre.

    RépondreSupprimer
  2. Un aperçu de la façon dont les globalistes pensent, gracieuseté de la Commission trilatérale


    par Tyler Durden
    Lun, 15/06/2020 - 02h00
    Écrit par Steven Guinness,


    Lorsque le terme «mondialiste» est utilisé par des analystes alternatifs, il encourage généralement la presse grand public à le dénoncer comme un trope antisémite qui se concentre sur la croyance qu'un groupe restreint de la presuasion juive - surnommé «l'élite» - contrôle la monde de l'ombre. A défaut, les médias le classeront comme une expression abstraite qui n'a pas de définition définie.

    La vérité est que la raison pour laquelle les médias ne veulent pas s'engager avec le concept de globalisme est précisément parce qu'il peut être défini à la fois pour les institutions et les individus qui les habitent.

    Pour illustrer cela, utilisons la Commission trilatérale comme exemple spécifique.

    La dernière fois que j'ai écrit sur la Commission trilatérale, en février, j'ai expliqué comment l'organisation était en train de se réformer. À l'été 2019, ils ont publié une brochure intitulée «Les démocraties sous pression: recréer la Commission trilatérale pour revitaliser nos démocraties afin de maintenir l'ordre international fondé sur des règles». Dans la brochure, ils ont parlé de «redécouvrir leurs racines», «d'affiner» leur mission et de la nécessité de «rajeunir» leurs membres. Tout cela était fondé sur un objectif de maintenir «l’ordre mondial fondé sur des règles» et de relever les «défis» du XXIe siècle.

    C'est à cette époque que la Commission trilatérale a tenu sa réunion plénière 2019 à Paris à la mi-juin. Au cours de cet événement, la présidente nord-américaine de la Commission, Meghan O’Sullivan (qui fait également partie du conseil d'administration du Council on Foreign Relations), a passé quelques minutes à parler de l'institution et du rôle qu'elle entend jouer à partir de maintenant.

    Voici une citation directe du monologue d'O’Sullivan, qui peut être visionnée sur la chaîne Youtube de la Commission trilatérale:

    Nous sommes une organisation de personnes qui ont des liens étroits avec les gouvernements nationaux, et souvent les idées que nous débattons en privé éclairent nos propres perspectives et éclairent nos discussions et nos délibérations et nos conversations avec des personnes en position de pouvoir. Ce sera toujours vrai, mais aujourd'hui, nous devons penser à avoir un impact sur le débat plus large. Nous ne vivons plus dans un monde où les gouvernements sont les seuls à pouvoir influencer l'avenir. En fait, de plus en plus, nous devons considérer les autres entités comme les véritables moteurs du changement, et être des sociétés ou des universités ou même des individus. Nous devons réfléchir à la manière de façonner la conversation, de faire participer ces groupes, d'investir et de s'engager dans des solutions.

    O’Sullivan a conclu en disant:

    Et nous devons aller de l’avant, que nous puissions ou non amener nos gouvernements à accepter nos prescriptions et recommandations.

    Ceci est en accord avec ce que le Secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres, a déclaré lors du Forum économique mondial en janvier 2020. En parlant de sa conviction que les problèmes mondiaux doivent être résolus avec des solutions mondiales, Guterres a commenté:

    RépondreSupprimer
  3. Parfois nous réussissons, parfois nous échouons, mais une chose dont vous pouvez être absolument sûr - nous ne nous asseoirons pas tranquillement à attendre un consensus de la communauté internationale pour résoudre les problèmes dont nous avons discuté.

    L’implication des paroles d’O’Sullivan et de Guterres suggère principalement une chose, à savoir que les organisations qu’elles représentent n’attendront pas indéfiniment que les législatures nationales mettent en œuvre des solutions aux crises mondiales. Ce qu'ils semblent dire, c'est que si le gouvernement ne peut pas être incité à agir en ratifiant dans la loi des initiatives comme les objectifs de développement durable des Nations Unies (également connus sous le nom de "Green New Deal ''), alors la seule autre option est de se mettre à faire nous-mêmes.

    O’Sullivan pense que les gouvernements ne sont plus les seuls organes qui peuvent «influencer l’avenir», et c’est maintenant le moment où il faut considérer «d’autres entités comme étant les véritables moteurs du changement». Selon elle, cela pourrait être un mélange de sociétés, d'universités et de particuliers.

    Pour commencer, les sociétés et les universités ne sont pas responsables devant l'électorat. Mais des institutions comme la Commission trilatérale sont fortement peuplées de figures de proue des multinationales et du secteur de l'éducation.

    Dans les coulisses, ils aident à formuler des politiques dans le but de les transmettre aux administrations nationales pour leur mise en œuvre. Pour un aperçu du fonctionnement de la Commission, je recommanderais de lire un exemplaire de «Trilaterals Over Washington», un livre en deux volumes écrit à la fin des années 1970 par les chercheurs Antony Sutton et Patrick Wood. Ici, les auteurs décrivent la composition de la commission et décomposent la structure du pouvoir en trois parties: les opérateurs, les propagandistes et techniciens et les détenteurs de pouvoir. J'ai brièvement décrit chaque processus dans un article publié en 2018 (Order Out of Chaos: A Look at the Trilateral Commission).

    O’Sullivan déclare clairement que la Commission trilatérale a des «liens étroits» avec les gouvernements nationaux et que le débat privé au sein de la Commission éclaire leurs propres perspectives ainsi que «nos discussions et délibérations et conversations avec des personnes en position de pouvoir». Cela va continuer, mais ce n'est plus suffisant. Maintenant, ils veulent commencer à avoir un impact plus important sur le «débat plus large».

    Par «débat plus large», je dirais que O’Sullivan signifie vous et moi. La prochaine étape logique si vous êtes la Commission trilatérale est d’essayer d’obtenir le consentement de la majorité sur les réformes qu’elles souhaitent voir mises en œuvre.

    Comment peuvent-ils commencer à faire cela ? Soyons clairs, l’adhésion à la Commission n’est pas autorisée pour les politiciens au gouvernement. Lorsque le cofondateur de l'institution Zbigniew Brzezinski est entré dans l'administration de Jimmy Carter en 1977, il a renoncé à son affiliation directe avec la Commission. Mais cela ne signifiait pas que Brzezinski n'était plus en accord avec les objectifs du groupe. En effet, après que Brzezinski a quitté ses fonctions officielles, il est retourné dans les rangs de la Commission.

    RépondreSupprimer
  4. Comme je l'ai déjà souligné, l'actuel chef du parti travailliste d'opposition au Royaume-Uni, Keir Starmer, est un membre actif selon la liste des membres de juin 2020. C’est un fait qui n’est pas mentionné sur le site Web de Starmer, sa page Web officielle du Parlement ou dans les médias nationaux.

    Lorsqu'il faisait campagne pour être le chef du parti travailliste en février 2020, le lien de Starmer avec la Commission a été supprimé. La preuve en est arrivée à la mi-février lorsque son équipe de campagne a été forcée de nier avoir accédé illégalement aux données sur l'adhésion au parti travailliste. La question a été soulevée lors d'un débat en direct sur la direction de la BBC organisé par Victoria Derbyshire, où un membre du public du studio a suggéré que la raison pour laquelle Starmer ne faisait pas l'objet d'une enquête officielle était en raison de son appartenance à la Commission trilatérale. Starmer a très rapidement rejeté la demande, et Derbyshire est tout aussi rapidement passé à un autre membre du public.

    C'était une occasion idéale pour interroger Starmer sur son implication au sein de la Commission - pour lui demander de quoi il s'agit et comment cela peut ou non influencer ses convictions et motivations politiques. Au lieu de cela, la BBC a choisi d'ignorer le problème.

    Starmer est peut-être dans l'opposition, mais sa composition est pertinente car la Commission alimente le débat et cherche à influencer les administrations nationales à adopter des initiatives conçues à l'échelle mondiale. Starmer fait partie de ce processus.

    Et il convient de le souligner à nouveau - sur 650 membres du Parlement, Starmer est le seul à avoir été invité à la Commission (l'adhésion se fait sur invitation uniquement). C'est peut-être en raison de ses prouesses juridiques, car de 2008 à 2013, il a été directeur des poursuites pénales, le troisième plus haut procureur d'Angleterre et du pays de Galles.

    Si Starmer parvient un jour au poste de Premier ministre, il quittera son poste à la Commission trilatérale. Ce qu’il n’abandonnera probablement pas, c’est sa fidélité à la cause trilatérale.

    À ce stade, une bonne question à se poser est de savoir quelle autorité la Commission trilatérale possède qui lui permet de croire qu'elle pourrait contourner les gouvernements nationaux dans la poursuite des objectifs mondiaux? Après tout, il s'agit d'une commission qui n'est pas élue mais qui compte dans ses rangs des hommes et des femmes élus au niveau national. Il s'agit d'une commission dominée par les intérêts des entreprises et financée par des fonds privés. Lors d'un événement spécial en 1998 pour marquer les 25 ans de la Commission trilatérale, une liste de soutiens financiers de 1973 à 1998 a été publiée pour montrer des noms tels que Exxon Corporation, AT&T Foundation, The Coca-Cola Company, The First National Bank of Chicago, Morgan Stanley & Co et Goldman Sachs. Une liste pour aujourd'hui n'est pas facilement disponible.

    Après avoir analysé les communications de la Commission, je crains que le libellé ne soit désormais axé sur les administrations nationales pour mettre en œuvre des réformes et que les institutions mondiales cherchent à le faire elles-mêmes. Il s'agit de la gouvernance mondiale, sauf nom.

    Avec le début de Covid-19, la rhétorique s'est considérablement intensifiée sur la nécessité pour les gouvernements de se rallier à des initiatives telles que les objectifs de développement durable et de les appliquer dans la législation nationale. Et s'ils ne le font pas ? Eh bien, nous chercherons à le faire sans vous, c'est le message. Comme l’admet Meghan O’Sullivan, «nous devons aller de l’avant, que nous puissions ou non amener nos gouvernements à approuver nos prescriptions et nos recommandations».

    https://www.zerohedge.com/markets/insight-how-globalists-think-courtesy-trilateral-commission

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. (...) Nous ne vivons plus dans un monde où les gouvernements sont les seuls à pouvoir influencer l'avenir. En fait, de plus en plus, nous devons considérer les autres entités comme les véritables moteurs du changement, et être des sociétés ou des universités ou même des individus. (...)

      Tiens-tiens-tiens ! Voilà que les 'Hommes de l'ombre' se rendent compte de l'endogamie qui les frappe ! L'inceste ou pluralité montre bien que ces familles (qui dirigent le monde depuis 2000 ans) n'obtiennent pas toujours de bons résultats de leurs progénitures masquées ! (Hahaha !) et, qu'elles se tournent vers des 'moteurs de changement'. Ouaïe-aïe !
      Parfum de Démocratie ?

      (...) L’implication des paroles d’O’Sullivan et de Guterres suggère principalement une chose, à savoir que les organisations qu’elles représentent n’attendront pas indéfiniment que les législatures nationales mettent en œuvre des solutions aux crises mondiales.(...)

      - Mme Meghan L. O'Sullivan (née le 13 septembre 1969) est une ancienne conseillère adjointe à la sécurité nationale en Irak et en Afghanistan. Elle est professeure Jeane Kirkpatrick de pratique des affaires internationales à la Harvard Kennedy School et membre du conseil d'administration du Belfer Center for Science and International Affairs de la Kennedy School. Elle est membre du conseil d'administration du Council on Foreign Relations, où elle était auparavant attachée de recherche adjointe et présidente nord-américaine de la Commission trilatérale.

      Elle a obtenu son baccalauréat à l'Université de Georgetown en 1991. O'Sullivan a ensuite reçu sa maîtrise en économie et son D.Phil. en politique de l'Université d'Oxford. Sa thèse de doctorat portait sur la guerre civile au Sri Lanka.

      O'Sullivan était un assistant du sénateur Daniel Patrick Moynihan, et un camarade à la Brookings Institution sous Richard N. Haass.

      O'Sullivan a également travaillé au Bureau de la planification des politiques du Département d'État, où elle a aidé Colin Powell à élaborer la proposition de politique de sanctions intelligentes.

      Après l'invasion de l'Irak en 2003, elle s'est portée volontaire pour le Bureau de la reconstruction et de l'aide humanitaire dirigé par Jay Garner. Le secrétaire à la Défense, Donald Rumsfeld, a déclaré à Jay Garner qu'il ne pouvait pas la garder (ou Tom Warrick) en Irak, bien que Rumsfeld ait cédé plus tard. Elle était assistante de Paul Bremer au sein de la Coalition Provisional Authority. Elle était directrice principale pour l'Iraq au Conseil de sécurité nationale des États-Unis. La dernière position d'O'Sullivan à la Maison Blanche était celle d'assistante spéciale du président et conseiller adjoint à la sécurité nationale pour l'Irak et l'Afghanistan, où elle communiquait fréquemment par téléphone avec le général David Petraeus de Fort Leavenworth sur une nouvelle stratégie militaire pour l'Irak.

      Pendant son séjour en Irak, O'Sullivan a participé à de nombreuses décisions clés sur le front politique, notamment en aidant à négocier le transfert rapide de la souveraineté aux Irakiens et en aidant les Irakiens à rédiger leur constitution provisoire. On se souvient d'elle pour s'être conduite autour de Bagdad pour rencontrer des Irakiens, et a enduré des expériences pénibles en Irak, notamment pour échapper à une attaque terroriste en escaladant le rebord d'un immeuble de dix étages.

      Supprimer
    2. Le 31 mai 2007, le président Bush a annoncé le retour d'O'Sullivan à Bagdad:
      pour servir avec l'ambassadeur Crocker, pour aider les Irakiens - et pour aider l'ambassade à aider les Irakiens - à atteindre les critères que le Congrès et le président s'attendent à obtenir.

      Avec Stephen Hadley, elle est également considérée comme l'un des premiers défenseurs à la Maison Blanche de la stratégie de "montée subite" de 2007. Le 15 septembre 2007, elle a quitté la Maison Blanche et a commencé à enseigner à Harvard.

      Elle a également agi en tant que conseillère de Mitt Romney. En 2013, O'Sullivan était signataire d'un mémoire d'amicus curiae soumis à la Cour suprême à l'appui du mariage homosexuel dans l'affaire Hollingsworth c. Perry. En 2013, elle a agi à titre de vice-présidente de Richard Haass lors de pourparlers entre les partis politiques d'Irlande du Nord.

      O'Sullivan est également conseillère One Young World, parlant de "Peace & Conflict Resolution à un groupe de 1 300 jeunes à Dublin, en Irlande en 2013. O'Sullivan est actuellement présidente de la branche nord-américaine de Rockefeller. Commission trilatérale.

      - Guterres Secrétaire général de l'ONU

      (...) Avec le début de Covid-19, la rhétorique s'est considérablement intensifiée sur la nécessité pour les gouvernements de se rallier à des initiatives telles que les objectifs de développement durable et de les appliquer dans la législation nationale. Et s'ils ne le font pas ? Eh bien, nous chercherons à le faire sans vous, c'est le message. Comme l’admet Meghan O’Sullivan, «nous devons aller de l’avant, que nous puissions ou non amener nos gouvernements à approuver nos prescriptions et nos recommandations». (...)

      "la nécessité pour les gouvernements de se rallier à des initiatives telles que les objectifs de développement durable et de les appliquer dans la législation nationale" ! ?

      Multiplier par 1000 le nombre d'éolienne et panneaux solaires ne feront pas qu'il y ait plus de vent ou de soleil (donc: zéro électricité because que les éoliennes consomment plus qu'elles ne produisent).

      "Et s'ils ne le font pas ? Eh bien, nous chercherons à le faire sans vous, c'est le message" !

      Supprimer
  5. En 15 minutes Hervé Juvin, député européen, et Charles Gave ont répondu à ma question.


    le 14 juin 2020


    Pourquoi la grippe coronavirale a-t-elle abouti à un effondrement catastrophique des économies occidentales et par qui a-t-elle été organisée ? La réponse est simple : par les banques centrales pour instituer un pouvoir discrétionnaire sur l’ensemble des pays occidentaux. Et c’est d’autant plus évident que l’argent fraichement imprimé par la BCE sera obligatoirement distribué aux pays demandeurs si et seulement si ces derniers s’engagent à réaliser des investissements « verts ». Écoutez et faites circuler cette vidéo qui éclaire d’une lumière nouvelle la gestion soigneusement préméditée de cette crise sanitaire.

    Verbatim des propos d’Hervé Juvin :

    « En ce début du mois de juin 2020 l’un des grands sujets mondiaux, un des grands sujets aux lourdes conséquences pour la France et pour ce qu’il est convenu d’appeler l’ordre international, c’est évidemment l’élection américaine. Cette élection américaine et présidentielle est largement dominé par le débat autour de l’Etat Profond, le « Deep State ». C’est quoi l’Etat Profond ? Je pense que nous en avons une version en France, je pense que c’est assez intéressant de regarder en France comment le pays a fonctionné, comment l’Etat a fonctionné dans des périodes où toutes les semaines ou tous les 15 jours, dans des périodes où personne ne savait qui était le premier ministre, ou quel était le ministre en charge des affaires du pays, bref, dans ces moments où c’était la haute administration qui assurait la continuité de la vie nationale, une partie de la troisième République et évidemment la quatrième République qui, contrairement à ce que l’on dit trop souvent, n’a pas été si difficile que cela à vivre pour beaucoup des Français, c’est la reconstruction, c’est la résolution des problèmes de décolonisation, et pendant ces années la quatrième république n’a pas si mal géré que cela la vie publique. C’était le début des 30 glorieuses, parce que la haute administration parce que les « moines-soldats » de la République assuraient la continuité de l’Etat : le politique passe, le fonctionnaire reste.

    L’archétype c’était Guillaumat, on pourrait penser à Delouvrier, on pourrait penser à tous les grands commis du gaullisme, à ceux qui ont fait la force nucléaire, à ceux qui ont fait les cités nouvelles, à ceux qui ont fait la construction des infrastructures de la France. J’ose espérer, j’en connait quelques-uns, que ce soit à Bercy, au ministère de l’environnement, des affaires sociales, je crois que le temps des moines-soldats de la République n’a pas complètement disparu. On est forcé de constater cependant que pour de jeunes fonctionnaires l’ENA, l’inspection des finances, c’est d’abord la constitution d’un carnet d’adresses et ensuite c’est la valorisation de ce carnet d’adresses auprès du privé. En gros on aurait aussi en France un phénomène, surement plus discret qu’aux Etats-Unis, d’un état profond qui ne tient pas tellement compte de ce que les ministres ou les gouvernements disent mais qui tient d’abord compte de son intérêt personnel, en gros être haut-fonctionnaire ce serait moins servir l’Etat que de se servir ou de se servir de l’Etat. Je serai très prudent en ce qui concerne la France parce je dois vous avouer que je suis moins inquiet de cet Etat profond que de la contractualisation des missions de service public ce qui fait qu’on est en train de rogner sur ce qui fait le statut de la fonction publique, on est en train de rogner sur les missions confiées à des fonctionnaires pour les confier à des contractuels qui sont naturellement dévoués aux politiques qui les nomment. Ce qui fait qu’on est en train d’instaurer ne France un « spoiling-system » qui ne dit pas son nom. C’est exactement ce qu’on a vu dans les hôpitaux, une domination d’une administration de pseudo-management calquée sur ce que fait l’entreprise privée avec les résultats qu’on connait qui sont absolument catastrophiques ».

    RépondreSupprimer
  6. Écoutez la suite car écrire un verbatim complet m’aurait demandé trop d’énergie …

    https://www.youtube.com/watch?v=BOBws1fIDVI

    Note. H. Juvin est député européen avec l’étiquette RN (Rassemblement national) et ce n’est pas pour cette raison qu’il faut ignorer ses propos.

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/06/14/en-15-minutes-herve-juvin-depute-europeen-et-charles-gave-ont-repondu-a-ma-question/

    RépondreSupprimer
  7. L’étonnante propagande climatique de la BBC


    le 15 juin 2020


    Tous les ans à la même période les régions arctiques situées au nord du cercle polaire ne connaissent pas la nuit et l’ensoleillement y est le plus élevé au monde. Apparemment les services météorologiques de la BBC ignorent ce détail et chaque année ils y vont d’un grand coup de propagande pour dénoncer le réchauffement du climat puisque la température a atteint l’étonnante valeur de 30 degrés à la station météo de l’aéroport de Nizhnyaya Pesha en Nénètsie, province peuplée de nomades éleveurs de rennes. Il n’y a pourtant rien d’inquiétant !

    Toujours en Nénètsie, au bord de la Mer de Barentz, la station météo de Ust Tzilma située à 65,43 °N présente les plus longues séquences de données de température de cette région arctique et comme il est évident de le remarquer la température oscille entre + 30 et – 30 degrés avec une régularité étonnante :

    - voir graphique sur site -

    La BBC a perdu une bonne occasion de se taire quand elle ajoute une couche en prétendant que les Nénètses redoutent des incendies de forêt …

    Source : blog de Paul Homewood.

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/06/15/letonnante-propagande-climatique-de-la-bbc/

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Ajoutons que les pays polaires sont les pays au sol le plus près du magma (d'où la présence de geysers). Et, comme les millions (milliards ?) de sources chaudes qui tapissent le fond des bassins maritimes et océaniques sont aussi présentes sous l'Arctique et l'Antarctique...

      Supprimer
  8. La Californie continue d'augmenter ses coûts énergétiques


    Par Ronald Stein
    14 juin 2020


    La 9ème Circuit Court of Appeals a décidé le 28 mai que les poursuites en matière climatique intentées par le comté de San Mateo et les villes de San Francisco et d'Oakland pouvaient être intentées devant un tribunal d'État. Ceci après avoir fait valoir une plainte de nuisance publique en Californie contre cinq sociétés énergétiques découlant du rôle des produits fossiles dans le réchauffement climatique. Les poursuites utilisent un domaine obscur de la loi appelé «nuisance publique» pour imputer le changement climatique mondial à quelques sociétés énergétiques qui développent et vendent l'énergie utilisée par les consommateurs et les entreprises.

    Ce que San Francisco, Oakland et le gouverneur Newsom ne comprennent pas, c'est que l'industrie du pétrole et du gaz n'est pas seulement une entreprise californienne avec ses quelques raffineries, mais une industrie internationale avec plus de 700 raffineries dans le monde. Ils fabriquent les dérivés du pétrole qui sont nécessaires pour fabriquer plus de 6000 produits, ainsi que les différents carburants dans le monde pour faire fonctionner des avions, des camions, du matériel de construction, des navires marchands, des navires de croisière et des automobiles.

    Sans les fournisseurs d'énergie californiens opérant dans la 5e plus grande économie du monde, l'État deviendrait un risque de sécurité nationale pour l'ensemble du pays dépendant de pays étrangers pour notre existence.

    Si le GND est complètement implémenté en Californie, nous n’aurons pas de raffineries fabriquant en interne. Nous achèterions tous ces milliers de produits des dérivés du pétrole et nos carburants des raffineries étrangères via des navires à nos ports. Newsom pourrait avoir du mal à poursuivre les raffineries offshore pour leur nuisance à la société !

    Placée dans le contexte d'une réglementation plus contraignante lors d'une pandémie mondiale ravageant l'économie américaine et californienne, cette croisade environnementale est particulièrement préoccupante. Malgré ce fait, certaines voix du mouvement environnemental ont continué de tirer parti de la pandémie pour attaquer les fournisseurs qui n'existent que pour répondre aux exigences de la société.

    La Californie a méthodiquement chassé la plupart des industries manufacturières de l'État, car il était plus rentable d'importer une grande partie des demandes de notre société à partir d'endroits en dehors de l'État qui peuvent fabriquer nos besoins et les transporter vers l'État.

    Ce concept «d'externalisation» n'a pas encore été réaliste pour les demandes quotidiennes de carburéacteur, de diesel, d'essence et de tous les dérivés du pétrole brut dont ont besoin des milliers de produits dans notre vie quotidienne. S'il était plus rentable d'importer ces besoins énergétiques de l'étranger, il serait déjà en place.

    Les impacts induits par le COVID-19 sur nos modes de vie sociaux ont été un arrêt virtuel des aéroports, des navires de croisière, de la plupart des modes de transport, des restaurants et de l'industrie des loisirs et du divertissement. La réduction de la demande qui en a résulté a eu un impact considérable sur la chaîne d'approvisionnement pour toute l'énergie nécessaire pour répondre aux besoins sociaux de la société.

    RépondreSupprimer
  9. La pandémie nous a donné un aperçu de ce qu'est le sevrage de nos économies de la dépendance aux combustibles fossiles que sont devenus nos modes de vie sociaux, alors que nous essayons d'accélérer la transition vers des alternatives plus vertes d'électricité intermittente éolienne et solaire.

    Pendant la quarantaine, c'était presque comme vivre dans les années 1800 avec pratiquement aucun système de transport, mais c'est un GRAND MAIS, nous avons pu survivre à la quarantaine car nous avons profité de tous ces produits dérivés des dérivés du pétrole qui ont produit tous les éléments critiques des équipements médicaux tels que des échographes, des ventilateurs, des systèmes de tomodensitométrie et des radiographies, des médicaments, des masques, des gants, du savon et des désinfectants pour les mains pour les hôpitaux, et des équipements de protection pour les médecins et les infirmières, et tous les équipements électroniques et de communication qui nous ont permis de travailler virtuellement.

    Oui, nous utilisons peut-être trop les combustibles fossiles pour les loisirs, les divertissements et les voyages, mais le monde développé est où il est aujourd'hui, plus sain et plus riche, à cause de tous les produits que nous obtenons de ces dérivés du pétrole. Alors que nous nous débarrassons du pétrole, nous devrons réduire nos demandes en infrastructures de loisirs, de divertissement et de transport que COVID-19 nous a montré la voie.

    Les mêmes politiciens qui s'attaquent aux fournisseurs d'énergie dans l'État et cherchent leur disparition sont les mêmes qui récoltent les avantages des médicaments, de l'équipement médical, des réseaux de communication et des milliers d'autres produits de cette industrie qui ont contribué à leur mode de vie et leur capacité à vivre au-delà de 80 ans.

    Toutes les poursuites et lois et réglementations bizarres contre les fournisseurs d'énergie locaux entraîneront très probablement un méli-mélo de poursuites à travers le pays qui accablent notre système judiciaire, créent de l'incertitude et ne parviennent pas à créer de vraies solutions. Ils continueront à invoquer davantage de coûts auto-infligés aux fournisseurs à la charge des utilisateurs. Dans l'intervalle, ces 700 fournisseurs étrangers restent prêts à répondre aux exigences de la société.

    Les coûts d'importation d'énergie en Californie de ces fournisseurs étrangers pour répondre à la demande locale sont actuellement plus chers que ce que nous payons actuellement, ce qui est déjà le plus cher du pays. Les émissions de ces raffineries étrangères seront supérieures à celles de la Californie, car les réglementations environnementales étrangères sont beaucoup moins strictes que celles locales.

    Jusqu'à ce que les électeurs en disent assez, c'est assez, l'infliction de coûts supplémentaires par nos élus et écologistes aux fournisseurs, qui sont payés par les utilisateurs, se poursuivra à perpétuité.

    https://www.cfact.org/2020/06/14/california-keeps-raising-energy-costs/

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. (...) Oui, nous utilisons peut-être trop les combustibles fossiles (...)

      ?? Cela rappelle la phrase "Nous utilisons trop d'eau" !! HAHAHAHA !

      Depuis des millions d'années il y a des milliards de km³ d'eaux douces (venus des pluies, des fleuves & des rivières) qui se sont déversés dans les mers & océans... SANS QU'ELLES OU ILS NE MONTENT !!! Çà alors ! Tout simplement parce que l'eau s'infiltre continuellement dans les planchers océaniques et maritimes vers le magma où cette soupe toxique (les poissons chient dans la mer !) y est chauffée/bouillie et remonte donc (comme dans une cafetière électrique) vers les sources (chaudes ou froides suivant l'altitude) et vers les nappes phréatique qu'elle remplit.

      Idem pour le pétrole qui est ABIOTIQUE !

      Notre planète ne pèse pas 1 gramme de plus ou de moins depuis DES milliards d'années !

      Supprimer
  10. APRÈS LE CONFINEMENT, 66% DES LOCATAIRES SOUHAITENT DÉMÉNAGER


    par ANTON KUNIN
    15/06/2020


    54% des locataires souhaitent déménager cette année.

    Les huit semaines de confinement ont visiblement excédé les Français, au point que leur logement actuel leur rappelle trop cette période passée entre quatre murs. Selon un sondage, 66% des locataires souhaitent désormais déménager.

    Dur, dur d’être locataire d’un appartement sans terrasse ni balcon

    Décidément, les locataires n'en peuvent plus de leur logement ! Selon un sondage réalisé par l'agence immobilière en ligne Blue, seul 1 locataire sur 5 se sent bien dans son logement actuel, et 1 sur 2 affirme qu’il n’en peut plus du tout. Ce sentiment est particulièrement fort chez les personnes dont l’habitation ne dispose pas d’espace extérieur (63%). Plus surprenant, il s’avère aussi répandu chez les personnes dont l’habitation comporte une terrasse ou un balcon (53%) et celles dont l’habitation est pourvue uniquement d’un jardin (41%).

    Dans ce contexte, 66% des locataires ont envie de déménager, dont 54% cette année. Et chez les locataires dont l’habitation ne comporte pas d’espace extérieur, le pourcentage monte même à 71% (et 62% cette année) !

    6 locataires sur 10 paieraient plus cher pour une habitation avec espace extérieur

    À en croire ce même sondage, les habitations qui proposent un espace extérieur privé vont devenir de plus en plus prisées par les Français. En effet, plus de 53% des répondants déclarent que la surface extérieure est aussi importante que la surface intérieure. 42% vont même jusqu'à la déclarer plus importante. Par ailleurs, 61% des locataires se disent prêts à payer plus cher pour une habitation avec espace extérieur. Enfin, entre la ville et la campagne, les Français sont désormais très nombreux à choisir la campagne : 45% des locataires actuels envisagent de « se mettre au vert » pour leur prochaine location.

    L’enquête a été réalisée auprès de 6.304 locataires répartis sur l'ensemble du territoire français, selon la méthode des quotas, durant la période du 29 mai au 4 juin 2020. Sondage effectué en ligne, sur le panel propriétaire BuzzPress France regroupant plus de 21.255 personnes.

    http://www.economiematin.fr/news-projets-demenagement-francais-confinement

    RépondreSupprimer
  11. Un scientifique chinois, escorté hors du Biolab canadien, a envoyé des virus mortels à Wuhan


    par Tyler Durden
    Lun, 15/06/2020 - 08:42


    «Nous avons une chercheuse qui a été renvoyée par la GRC du laboratoire de sécurité le plus élevé que le Canada possède pour des raisons que le gouvernement ne veut pas divulguer. Les renseignements restent secrets. Mais ce que nous savons, c'est qu'avant son renvoi, elle a envoyé l'un des plus meurtriers virus sur Terre, et de multiples variétés de celui-ci pour maximiser la diversité génétique et maximiser ce que les expérimentateurs en Chine pourraient en faire, à un laboratoire en Chine qui fait des expériences dangereuses de gain de fonction. Et qui a des liens avec l'armée chinoise. " -Amir Attaran

    Un scientifique chinois qui a été escorté hors du seul biolab de niveau 4 du Canada pour une possible "violation de politique" a expédié des virus Ebola et Henipah à l'institut de virologie de Wuhan, selon la CBC, citant des documents récemment publiés. L'envoi n'est pas lié au COVID-19 ou à la pandémie.

    La Dre Xiangguo Qiu, son mari Keding Cheng et ses étudiants chinois ont été retirés du laboratoire canadien après que l'Agence de la santé publique du Canada (ASPC) ait demandé à la GRC d'enquêter plusieurs mois plus tôt. Selon l'ASPC, l'expulsion de Qiu du laboratoire n'est pas liée à l'envoi.

    Le Dr Xiangguo Qiu a accepté un prix aux Prix du Gouverneur Général pour l'Innovation lors d'une cérémonie à Rideau Hall en 2018. Qiu est un virologue éminent qui a aidé à développer ZMapp, un traitement contre le virus mortel Ebola qui a tué plus de 11 000 personnes en Afrique de l'Ouest entre 2014 -2016. (CBC)

    «L'enquête administrative n'est pas liée à l'envoi d'échantillons de virus en Chine, a déclaré le chef des relations avec les médias de l'ASPC, Eric Morrissette.»

    "En réponse à une demande de l'Institut de virologie de Wuhan pour des échantillons viraux de virus Ebola et Henipah, l'Agence de la santé publique du Canada (ASPC) a envoyé des échantillons à des fins de recherche scientifique en 2019."

    Pour récapituler, une scientifique chinoise, son mari et ses étudiants chinois ont été escortés hors du seul laboratoire de niveau 4 du Canada pour des raisons inconnues et qui ne sont pas liées à son expédition de virus mortels à l'Institut de virologie de Wuhan.

    «C'est suspect. C'est alarmant. C'est potentiellement mortel», a déclaré Amir Attaran, professeur de droit et épidémiologiste à l'Université d'Ottawa.

    Amir Attaran, professeur à la Faculté de droit et à l'École d'épidémiologie et de santé publique de l'Université d'Ottawa, est préoccupé par l'envoi de virus dangereux envoyés du seul laboratoire canadien de niveau 4 en Chine. (CBC)

    Bien que le Canada ne fasse pas d'expériences de «gain de fonction» - qui sont des agents pathogènes naturels qui sont mutés dans un laboratoire et évalués pour voir s'il est devenu plus mortel ou infectieux, «Le laboratoire de Wuhan les fait et nous les avons maintenant fournis avec les virus Ebola et Nipah. Il ne faut pas un génie pour comprendre que c'est une décision imprudente ", a déclaré Attaran.

    «Je suis extrêmement mécontent de voir que le gouvernement canadien a partagé ce matériel génétique.»

    RépondreSupprimer
  12. Attaran a souligné une étude sur Ebola publiée pour la première fois en décembre 2018, trois mois après que Qiu a commencé le processus d'exportation des virus en Chine. L'étude a impliqué des chercheurs du LNM et de l'Université du Manitoba.

    L'auteur principal, Hualei Wang, est impliqué dans l'Académie des sciences médicales militaires, un institut chinois de recherche médicale militaire à Pékin.

    Tout cela a conduit à des théories du complot reliant le nouveau coronavirus responsable de COVID-19, le laboratoire de microbiologie du Canada et le laboratoire de Wuhan. -CBC

    Selon le rapport, la GRC et l'ASPC ont à plusieurs reprises nié tout lien entre les expéditions de virus et le COVID-19.

    Selon les documents récemment publiés, les souches de virus suivantes ont été expédiées au WIV (environ 15 ml):

    Ebola Makona (three different varieties)
    Mayinga.
    Kikwit.
    Ivory Coast.
    Bundibugyo.
    Sudan Boniface.
    Sudan Gulu.
    MA-Ebov.
    GP-Ebov.
    GP-Sudan.
    Hendra.
    Nipah Malaysia.
    Nipah Bangladesh.

    Les documents ont également mis en lumière les communications des mois précédant l'envoi - y compris la confusion sur la façon d'emballer les virus, ainsi qu'un manque de décontamination du colis avant son expédition, ainsi que les préoccupations exprimées par le directeur général du LNM, Matthew Gilmour à ses supérieurs à Ottawa - en particulier sur la destination du colis, son contenu et la régularité de la paperasse.

    CBC News a reçu des centaines de pages de documents dans le cadre d'une demande d'accès à l'information, détaillant un envoi de virus Ebola et Henipah envoyés du Laboratoire national de microbiologie de Winnipeg au laboratoire de virologie de Wuhan en Chine. (Karen Pauls / CBC News)
    Dans un e-mail, Gilmour a déclaré que des accords de transfert de matériel seraient nécessaires, "et non des" garanties "génériques sur le stockage et l'utilisation."

    Il a également demandé à David Safronetz, chef des agents pathogènes spéciaux: "C'est bon de savoir que vous faites confiance à ce groupe. Comment avons-nous établi des liens avec eux?"

    Safronetz a répondu: "Ils nous demandent du matériel en raison de la collaboration avec le Dr Qiu." -CBC

    Selon le rapport, l'expéditeur des virus avait initialement prévu d'utiliser un emballage inapproprié et n'a corrigé l'erreur que lorsque le WIV a signalé le problème.

    "La seule raison pour laquelle le bon emballage a été utilisé est que les Chinois leur ont écrit et leur ont dit:" Ne faites-vous pas une erreur ici ? " Si cela ne s'était pas produit, les scientifiques auraient placé sur un vol d'Air Canada, plusieurs d'entre eux en fait, un virus mortel mal emballé. C'est presque arrivé ", a déclaré Attaran.

    Lisez le reste du rapport ici:

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/chinese-scientist-escorted-out-canadian-biolab-sent-deadlhy-viruses-wuhan

    RépondreSupprimer
  13. Manipuler les masses: Edward Bernays et pourquoi le système a besoin de votre conformité


    Par Mac Slavo
    SHTFplan.com
    16 juin 2020


    Vous êtes contrôlé. Vous êtes manipulé. Vous subissez un lavage de cerveau. Si vous croyez toujours que votre vote compte et que choisir votre camp est «moral» dans un système mis en place contre vous dès le premier jour, la propagande a fonctionné.

    Dans cette vidéo, nous regardons les idées d'Edward Bernays, neveu de Sigmund Freud, et un esprit pionnier derrière le domaine des relations publiques et de la propagande moderne - en particulier ses idées sur la façon dont la psychologie de groupe et l'illusion du choix peuvent être utilisées pour manipuler les masses.

    Il s'agit de diviser et de conquérir. Alors que nous discutons de la marionnette politique qui est moins mauvaise que l'autre, ils nous font des ravages et détruisent tout sur leur chemin pour le pouvoir, la renommée et la richesse.

    Si vous voulez faire le meilleur changement, rejetez le système, tout le système et refusez de voter. Par conséquent, la tâche de tout système de contrôle est de maintenir la façade du choix politique et au centre de cela "le droit de vote du peuple", écrit Ben O’Hanlon pour Medium.

    Le moyen le plus simple de diviser les gens est le théâtre politique. Ce sera une pilule rouge difficile à avaler…

    Peu importe pour qui vous votez. Si votre vote avait réellement compté, il aurait déjà été rendu illégal.

    «Laissez-nous contrôler l'argent d'une nation, et peu nous importe qui fait ses lois.» - Une «maxime» de la maison des Rothschild.

    Ce n'est pas une déclaration étonnante ou révolutionnaire. À un certain niveau viscéral, nous comprenons tous cela. Alors pourquoi, est-il si facile de diviser les gens en groupes politiques afin qu'une petite poignée d'autres personnes puissent régner sur eux? Fondamentalement, la propagande - l'illusion du choix empêche les gens de croire qu'ils sont libres de décider quand cela n'a pas vraiment d'importance de toute façon. Vous n’avez pas le droit de voter pour les personnes en coulisses qui prennent toutes les décisions de toute façon, seulement la marionnette dont le visage sera attaché à ces décisions.

    Le vote fournit un système corrompu avec légitimité, peu importe pour qui vous votez. Cela implique que vous consentiez au résultat parce que vous avez participé même si vous vouliez que l'autre gars gagne. L'utilisation de la division des gens en partis politiques n'est pas nouvelle, mais le désir de se libérer d'eux et de la classe dirigeante. en général, est.

    Il y a quelque chose qui est concocté dans les tanières du pouvoir, bien au-delà des yeux du public, et cela n'augure rien de bon pour l'avenir de ce pays.

    Chaque fois que vous avez une nation entière si fascinée par le théâtre politique et le spectacle public qu’elle est inconsciente de tout le reste, vous feriez mieux de vous méfier. –John W. Whitehead

    RépondreSupprimer
  14. Le vote n'est rien d'autre qu'une illusion de choix. C'est comme si l'esclave mettait un morceau de papier dans une boîte qui demande au maître d'être libre. Cela ne fonctionne pas de cette façon. Comprendre la différence entre le bien et le mal, et l'une des premières choses qui se produisent est un refus de voter pour le moindre de deux maux… qui est toujours mauvais, soit dit en passant. Parce que tout maître qui pense posséder quelqu'un d'autre est mauvais et tous les politiciens pensent qu'ils vous possèdent dans une certaine mesure.

    D'ailleurs, comment savez-vous qui a gagné? Les médias grand public vous le disent, non? Et ils sont si honnêtes, justes et dignes de confiance, et ne feraient JAMAIS ce qu'on leur dit… oh, attendez. Ouais, c'est si fou.

    Les Américains sont trop «idiots pour voir à quel point ils sont réduits en esclavage» alors même que les portes de l'enfer s'ouvrent

    Trump s'est immédiatement plié à la volonté de l'État profond. Comme une brindille dans le vent.

    Il est temps d’être honnête à ce sujet. Le peuple n'a jamais eu de champion dans le ring.

    Ne parlons plus de «démocratie» ou de «vote». Bien sûr, c'est difficile à accepter et à reconnaître, car c'est si dévastateur pour les délires qui maintiennent les individus ensemble au jour le jour.

    Beaucoup de gens peuvent même ne pas être capables de soutenir la pensée ou l'idée qu'ils pourraient s'y opposer ou l'arrêter. La plupart des Américains sont maintenant littéralement engourdis par les actions de son propre gouvernement, les vies qu'il détruit et les mensonges pour lesquels il travaille.

    Les candidats et les créatures de l'État qui ont volontairement menti et trompé les gens en les regardant dans les yeux (et en faisant semblant d'avoir de bonnes raisons) mettent en danger de manière imprudente et gratuite le monde d'une manière qui n'a pas été vue depuis le froid guerre. –SHTFPlan, 13 avril 2017

    "Aucun n'est plus désespérément asservi que ceux qui croient à tort qu'ils sont libres." - Johann Wolfgang von Goethe

    Si vous êtes honnête avec vous-même, vous savez sûrement maintenant que vous n'avez pas besoin d'un dirigeant, d'un maître ou d'un autoritaire pour prendre des décisions pour vous. Il est temps que nous commencions à nous approprier et à rejeter la volonté des politiciens avides de pouvoir de régner sur nous tous. Les gens semblent de plus en plus en colère contre ceux qui essaient de les réveiller et de les libérer des chaînes mentales qu’ils se sont imposées. Je vois cela comme un signe que la propagande du système a fonctionné, mais seulement sur ceux faciles à contrôler dès le départ.

    Reprinted with permission from SHTFplan.com.

    https://www.lewrockwell.com/2020/06/mac-slavo/manipulating-the-masses-edward-bernays-why-the-system-needs-your-compliance/

    RépondreSupprimer
  15. La Covid-19 était-il aussi dangereux qu’on le croyait ?

    Les experts se seraient-ils à trompés en ce qui concerne la Covid-19 ? S’agirait-il de la plus grave erreur commise depuis la guerre d’Irak ?


    16 JUIN 2020
    Par Jon Miltmore.
    Un article de la Foundation for economic education


    Les experts se seraient-ils encore trompés ? S’agirait-il de la plus grave erreur commise depuis la guerre d’Irak ?

    LE PRÉCÉDENT IRAKIEN

    En avril 2005, Charles Duelfer, le principal inspecteur en désarmement de la CIA en Irak, admettait, dans le rapport final de la CIA, après des recherches approfondies, qu’aucune arme de destruction massive n’avait pu être trouvée.

    « Après plus de 18 mois d’enquête sur les armes de destruction massive (ADM) et d’interrogatoires des détenus liés aux ADM », comme l’écrivait Duelfer, le chef du Groupe d’enquête sur l’Irak, « en l’état actuel des choses, l’enquête sur les ADM est allée aussi loin que possible ».

    Aujourd’hui, il est généralement admis que la présence d’armes de destruction massive a été la cause principale de la guerre en Irak. Naturellement, l’absence de telles armes a ébranlé le monde. Les médias ont blâmé les politiciens, les politiciens ont blâmé les services de renseignement américains, et les acteurs du renseignement impliqués ont surtout défendu leur travail.

    Selon la conclusion officielle, consigné dans le rapport Robb-Silberman, « la communauté du renseignement n’avait pas pris en compte la faiblesse des renseignements de qualité dont elle disposait – ni à quel point ses évaluations étaient fondées sur des hypothèses et des déductions plutôt que sur des preuves concrètes ».

    La débâcle des armes de destruction massive de la guerre en Irak est sans doute le plus grand échec d’experts depuis des générations. La sainte Trinité politique- administration-médias n’a pas su repérer la vérité. Si l’un d’entre eux l’avait fait, une guerre qui a coûté des milliards de dollars et qui a coûté la vie de 100 000 à 200 000 personnes aurait pobablement pu être évitée.

    LA COVID-19, UN CORONAVIRUS BANAL ?

    Il sera difficile de surpasser la bévue irakienne, mais les preuves émergentes sur la Covid-19 suggèrent que les experts, et une fois de plus les politiciens, bureaucrates et journalistes, nous ont imposés une erreur de proportions tout aussi désastreuses.

    Un nouveau rapport du NPR suggère que la réponse mondiale à la Covid-19 s’est basée sur des données erronées.

    « De plus en plus d’éléments indiquent que le coronavirus est plus courant et moins mortel qu’il n’y paraissait au départ.

    Ces éléments sont fournis par des tests qui détectent les anticorps du coronavirus dans le sang d’une personne plutôt que le virus lui-même.

    Ces tests ont permis de découvrir qu’un grand nombre de personnes aux États-Unis ont été contaminées mais sans tomber gravement malades. Et lorsque ces contaminations bénignes sont incluses dans les statistiques sur la Covid, le virus apparaît moins dangereux.

    RépondreSupprimer
  16. « Les estimations actuelles du risque de décès dû à l’infection se situent entre 0,5 et 1 % », déclare Caitlin Rivers, épidémiologiste au Johns Hopkins Center for Health Security.

    Cela est bien plus faible que les taux de mortalité de 5 % ou plus basés sur des calculs qui n’incluaient que les personnes qui étaient suffisamment malades pour être identifiées par des tests qui détectent la présence du virus dans le corps d’une personne. »

    VICTIMES DE LA PEUR PLUS QUE DU VIRUS ?

    Beaucoup se souviendront du débat sur le risque de décès qui a eu lieu avant et au début des confinements. Il y a eu de nombreuses discussions sur le caractère mortel du virus et sur la réponse collective à y apporter.

    Certaines voix appelaient à la prudence.

    Jeremy Samuel Faust, médecin urgentiste et instructeur à la Harvard Medical School, écrivait dans Slate :

    « Le public se comporte comme si cette épidémie était la prochaine grippe espagnole, ce qui est franchement compréhensible étant donné que les premiers rapports ont évalué la mortalité due au COVID-19 à environ 2 à 3 %, ce qui est assez similaire à la pandémie de 1918 qui a tué des dizaines de millions de personnes […] Permettez-moi d’être le porteur de bonnes nouvelles. Ces chiffres effrayants ont peu de chances de se maintenir. »

    De même, le 5 mars, l’expert en vaccins Paul A. Offit, titulaire de la chaire Maurice R. Hilleman de vaccinologie à l’université de Pennsylvanie, déclarait à Factcheck.org qu’il pensait que le taux de mortalité de 3,4 % de l’Organisation mondiale de la santé était trop élevé, suggérant un taux inférieur à 1 %. Selon lui « nous sommes plus victimes de la peur que du virus », s’inquiétant d’une « réaction excessive » à la maladie.

    UNE QUARANTAINE CATASTROPHIQUE SUR LE PLAN ÉCONOMIQUE

    Des voix comme celles de Faust et Offit ont cependant été rapidement étouffées. Le cycle d’information de 24 heures a alimenté la peur et l’indignation collectives face à l’absence de mesures supplémentaires. Ce fut la course au papier toilette et au masque. Neil Ferguson, professeur de biologie mathématique à l’Imperial College de Londres, prédisait que des millions de personnes allaient mourir dans le « meilleur des cas ».

    À l’instar de la Chine, l’un des régimes les plus autoritaires du monde, la plupart des pays développés ont été mis en quarantaine pour une durée indéterminée par leurs propres gouvernements.

    Les coûts sociaux et économiques de ce confinement se sont révélés catastrophiques. Rien qu’aux États-Unis, 40 millions d’emplois ont été perdus, dont beaucoup à jamais. La récession est imminente. Des centaines de milliers d’entreprises ont déjà disparu. La dette fédérale a grimpé à 26 000 milliards de dollars.

    UN SCHÉMA FAMILIER

    Malheureusement, le désastre de la Covid et la guerre en Irak mentionnée ci-dessus correspondent à un schéma familier. Comme l’a fait remarquer l’historien Paul Johnson, la plupart des catastrophes du XXe siècle ont été provoquées par des experts qui ont utilisé le pouvoir collectif pour orienter les événements mondiaux dans la direction qu’ils jugeaient bénéfique.

    RépondreSupprimer
  17. Dans The Intellectuals, Johnson écrit :

    « L’une des principales leçons de notre siècle tragique, qui a vu tant de millions de vies innocentes sacrifiées dans des projets visant à améliorer le sort de l’humanité, est de se méfier des intellectuels […] Non seulement ils doivent être tenus à l’écart des leviers du pouvoir, mais ils doivent aussi faire l’objet d’une suspicion particulière lorsqu’ils cherchent à offrir des conseils collectifs ».

    DES BÉNÉFICES ALÉATOIRES

    Personne ne nie le coût immense des confinements mais leur bénéfice éventuel reste un sujet de discorde.

    Un rapport de mai de JP Morgan, ainsi que d’autres éléments, laissent entendre que les mesures de confinement n’ont eu que peu ou pas d’impact sur la propagation de la Covid-19.

    Marko Kolanovic, physicien et stratège pour JP Morgan, a souligné qu’une majorité de pays ont vu leur taux de contamination baisser après la levée des mesures de confinement :

    « Contrairement aux tests rigoureux des nouveaux médicaments, les mesures de confinement ont été administrées en tenant peu compte du fait qu’elles pourraient non seulement provoquer un désastre économique mais aussi potentiellement plus de décès que la Covid-19 elle-même. »

    De même, une analyse de Bloomberg en mai a trouvé « peu de corrélation entre la sévérité des restrictions d’une nation et le fait qu’elle parvienne ou non à réduire le nombre excessif de décès ». Et le principal responsable de la santé en Norvège déclarait récemment que le confinement n’était pas nécessaire pour triompher du virus.

    DES EXPERTS À LA CHICKEN LITTLE

    D’un autre côté, le Washington Post citait, cette semaine, des études affirmant que les mesures de confinement ont permis d’éviter des centaines de millions d’infections et de sauver des millions de vies.

    Ces conclusions sont toutefois assorties de réserves. Tout d’abord, l’une des études a été présentée le 22 mars, bien avant que la grande majorité des cas ne se soit produite. L’autre étude a été menée par des chercheurs de l’Imperial College of London, cette école dont Ferguson faisait l’éloge. Il a depuis démissionné après qu’on ait découvert qu’il n’avait pas respecté les mesures de confinement qu’il avait inspiré en permettant à son amant marié de venir chez lui.

    Ferguson, le même qui en 2005, déclarait que la grippe aviaire pourrait provoquer la mort de 200 millions de personnes (une centaine en réalité), s’est vu demander par le New York Times en mars quel était le scénario le plus optimiste pour les États-Unis pendant la pandémie de Covid. « Environ 1,1 million de décès », a-t-il répondu.

    Au 10 juin, le chiffre de Ferguson doit être divisé par dix. Pourquoi continuons-nous à écouter les prophètes de malheur qui ne cessent de se tromper ? L’histoire de « Chicken Little » me vient à l’esprit.

    EN TIRERONS-NOUS DES LEÇONS ?

    En 2003, des acteurs étatiques nous ont entrainé dans un conflit sanglant de plusieurs années en Irak pour protéger le monde d’armes nucléaires qui n’existaient pas, pour finalement découvrir l’ignorance des experts américains du renseignement sur les capacités nucléaires de l’Irak.

    RépondreSupprimer
  18. En 2020, les planificateurs centraux du monde entier ont décidé de bloquer l’économie mondiale pour protéger les gens d’un virus invisible et très contagieux qui n’entraîne aucun symptôme ou des symptômes légers pour 90 % de ses porteurs.

    Certaines leçons sont, semble-t-il, difficiles à tirer.

    Traduction Contrepoints

    https://www.contrepoints-site-aux-publicites-de-merde

    RépondreSupprimer
  19. La «deuxième vague» est-elle un autre canular de coronavirus ?


    Par le Dr Ron Paul
    Institut Ron Paul
    16 juin 2020


    Il y a à peine une semaine, les médias grand public et des milliers de représentants de la «communauté médicale» nous ont dit que nous devions rejeter les ordres de «rester à la maison» et aller dans les rues pour protester contre la mort de George Floyd aux mains de la police. Le virus Covid-19 ne dérangera pas les gens qui protestent contre cette injustice, ont-ils déclaré. Le virus n'attaque que les personnes quittant leur domicile pour protester contre les ordres de séjour à domicile.

    Maintenant, après que des milliers d'entreprises - dont beaucoup appartiennent à des Noirs - ont été réduites en ruines et que les innocents des centres-villes n'aient plus nulle part où acheter pour les nécessités de base de la vie, les médias grand public ont abandonné leur non-stop couverture des manifestations. Soudain, la semaine dernière, ils ont tous embrassé simultanément une nouvelle histoire de peur pour effrayer les masses: une «deuxième vague» de coronavirus était parmi nous. Il visait les États qui avaient osé «ouvrir» leur économie et commencer un retour à une vie relativement normale.

    Le Texas, la Floride et la Californie ont été choisis pour effrayer le reste du pays en pensant que si vous osez quitter vos maisons, vous attraperiez un coronavirus et vous mourriez. Il y avait un «pic» dans les «cas» de coronavirus selon eux. Drôle, il y a à peine un mois, ils exigeaient que nous augmentions massivement les tests, ce qui produirait exactement ce «pic» dans les cas de coronavirus qu'ils utilisent maintenant pour effrayer les autorités à rétablir les ordonnances de séjour à la maison incroyablement destructrices.

    Dans le comté ici au Texas qui comprend Houston, la jeune juge qui a en quelque sorte saisi le pouvoir de fermer la troisième plus grande ville des États-Unis nous avertit qu'elle pourrait de nouveau fermer le comté de Fort Bend pour lutter contre cette "deuxième vague" de cas. Elle a même menacé de verser à nouveau des millions de dollars dans un «hôpital de campagne» dans un stade de football de Houston qui n'a vu aucun patient dans la «première vague» de coronavirus. Il est difficile de ne pas se demander quelles entreprises politiquement connectées récoltent des millions de contrats pour un hôpital manifestement inutile. Des milliers de lits d'hôpital à Houston sont vacants, tandis que les patients cancéreux se sont vu refuser leurs dépistages et les traitements dont ils avaient désespérément besoin.

    Comme le souligne l'ancien membre du Congrès David Stockman, le nombre réel de coronavirus ne confirme en aucune façon l'affirmation des médias selon laquelle une «deuxième vague» d'infection est en train de sévir au Texas. Stockman nous informe qu'au Texas, le «taux de cas d'infection déclarés de 256 pour 100 000 habitants n'est que de 10% du taux réel de« points chauds »de 2 477 pour 100 000 habitants dans les cinq arrondissements de New York; et son taux de mortalité de 6,2 pour 100 000 habitants ne représente que 3% des 196 pour 100 000 habitants de New York. »

    RépondreSupprimer
  20. Il n'y a pas de «points chauds» au Texas. C'est juste plus de battage médiatique.

    C'est drôle qu'ils n'osent pas mentionner la Géorgie, qui a également ouvert son économie et n'a vu aucun "pic" du tout.

    Les mêmes personnes qui exigeaient plus de tests crient maintenant que nous devons à nouveau fermer l'économie parce que ces tests - qui sont notoirement peu fiables - montrent plus de cas de coronavirus. C'est une maladie qui survit à 99,9% des personnes infectées! Mais 40 millions de personnes sans emploi et les milliers de vies qui finiront par la fermeture ne sont jamais mentionnées.

    Il se passe autre chose ici et cela n'a aucun rapport avec la santé publique.

    https://www.lewrockwell.com/2020/06/ron-paul/is-the-second-wave-another-coronavirus-hoax/

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Par qui est venu le racisme ? Par les merdias internationaux qui dirigent les Peuples et le ce qu'ils doivent penser. Les politichiens (payés une fortune pour ruiner et exterminer les Peuples) y sont allés de leurs discours hitlériens pour expliquer que le bronzage était mal, qu'il donnait le cancer, qu'il était transmissible et qu'il fallait trucider tout ce qui était nègre !

      Supprimer
  21. Amérique blanche, Amérique noire, la configuration et la con


    Par Jon Rappoport
    Le blog de Jon Rappoport
    16 juin 2020


    Que vous croyiez en Dieu le Créateur ou à l'évolution ou à quelque chose d'autre comme explication de la race humaine, le progrès devait impliquer l'individu sortant du groupe et jalonnant sa revendication d'une vie de sa propre fabrication, selon sa meilleure vision de ses plus grandes pensées et valeurs.

    C'ÉTAIT une lutte de sang, de courage et d'intelligence pendant plusieurs siècles. C'ÉTAIT le voyage hors des cavernes et des clans et des chefs brutaux et du contrôle mental imposé du haut. C'ÉTAIT d'où chacun de nous «est venu», cette lutte.

    Et maintenant, par tous les moyens disponibles, les contrôleurs d'élite veulent revenir en arrière et ramener chacun de nous dans le passé.

    "IL Y A DU RACISME EN AMÉRIQUE."

    Oui, et il y a un poison répandu par les pesticides et les OGM, il y a un autisme répandu et dévastateur par le vaccin, il y a des dommages aux poumons par la pollution des entreprises, il y a des décès généralisés causés par le système médical et il y a une fraude à l'assurance et à la protection sociale et une fraude électorale et fraude à la création d'argent, et il y a des juges corrompus et il y a des flics corrompus et des gouverneurs fous qui exécutent des blocages… .il y a beaucoup de crimes majeurs en cours en Amérique. Tout cela affecte le noir et le blanc.

    Les émeutes actuelles sont une opération conçue pour produire plus de contrôle descendant en Amérique.

    L'opération est également conçue, à travers des émeutes, pour faire plus de ravages sur l'économie américaine, en empilant les blocages COVID, qui font eux-mêmes partie de l'opération globale: détruire l'Amérique.

    Ce qui commence comme juste et juste pour les Noirs n'a rien à voir avec cela, plus vous montez sur l'échelle du pouvoir.

    Beaucoup de gens ne comprennent pas que, lorsque les forces d'élite mondialistes mettent en scène un op, ILS NE VONT PAS CHOISIR DEUX CÔTÉS POUR S'OPPOSER CONTRE LES AUTRES QUI N'ONT AUCUNE RÉALITÉ ÉMOTIONNELLE OU FACTUELLE. Ils ne choisiront pas les marguerites plutôt que les tulipes. Ils ne vont pas choisir le porc en conserve plutôt que le spam en conserve. Ils ne choisiront pas l’assurance maladie à payeur unique par rapport à Obamacare.

    Ils vont choisir le noir contre le blanc, car cela a une force électrique à l'intérieur des gens.

    Ils vont choisir le noir contre le blanc, parce qu'il y a de l'histoire, et parce que les deux parties ont des positions et des arguments et des accusations et des revendications de préjugés et de préjugés inversés.

    Mais le but est d'amener les blancs et les noirs à se regarder à travers des lentilles différentes et inaltérables.

    Et d'ignorer toutes les situations dans lesquelles les Noirs et les Blancs s'entendent. Je le répète, POUR IGNORER TOUTES LES SITUATIONS DANS LESQUELLES LES PERSONNES NOIRES ET BLANCHES S'ALLONGENT.

    La montée du mouvement syndical en Amérique a produit une grande quantité de coopération et d'amitié et de loyauté mutuelle en noir et blanc - jusqu'à ce que les syndicats eux-mêmes deviennent de grandes entreprises, des blanchisseries mafieuses et des monopoles potentiels.

    RépondreSupprimer
  22. "Mais il y a du racisme en Amérique."

    Comme je l'ai dit, les planificateurs d'une opération vont choisir une situation qui a une réalité.

    Il y a aussi cette réalité: "Vous êtes blanc, et donc vous ne pouvez pas comprendre ce qui se passe, parce que vous avez un privilège inhérent, il est construit en vous, et vous ne pouvez pas y échapper. Par conséquent, tout ce que vous dites est entaché. "

    C'est un argument très fort et très diviseur et très fou. Les individus, peu importe qui ils sont, voient clairement ou voient mal, et la capacité de savoir quelque chose n'est pas déterminée par la couleur de la peau ou le contexte culturel. Le privilège est un con. C'est un con comme argument. Il a été injecté dans le monde universitaire pour laver le cerveau des jeunes, pour produire de la haine de classe et de race, des deux côtés. Et ça a marché.

    "Je te deteste."
    "Je te déteste aussi."
    Parfait.
    "Vous devez mettre un genou au sol."
    "Comme l'enfer que je fais."
    Parfait.
    «Les Noirs doivent gravir les échelons sur la seule base du mérite.»
    «Comme l'enfer, nous le faisons. Nous ne pouvons pas, car il y a des préjugés institutionnels et du racisme. "
    Parfait.

    Alimenté le feu de l'opposition. Tuez la coopération. Tuez l'amitié. Faites taire les millions de personnes qui échappent à tout type de racisme. Noyez leurs voix. Noyer leur chaleur les uns pour les autres, la transformer en glace, la transformer en idéologie qui se substitue aux connexions humaines. Déchirez ces liens humains hors d'Amérique.

    Les personnes à peau noire et les personnes à peau blanche ont trouvé des moyens de s'entendre. C'est une réalité beaucoup plus vaste que la «guerre raciale». BEAUCOUP PLUS GROS.

    L'INDIVIDU UNIQUE est une réalité beaucoup plus vaste que la guerre raciale. Les idées contenues dans la Constitution s'avèrent avoir beaucoup à voir avec le fait que l'individu unique développe sa propre vision, son pouvoir et sa force créatrice - s'il s'en rend compte.

    Je n'ai pas passé les 40 dernières années à écrire pour les blancs ou les noirs ou les jaunes ou les bronzés ou les rouges. Si tel avait été mon objectif, je me serais épuisé depuis longtemps.

    À la sortie de la Seconde Guerre mondiale, les propagandistes, les planificateurs gouvernementaux, les spécialistes du marketing et les agences de renseignement, les groupes de réflexion et les conseillers d'entreprise et les experts en communication de masse ont commencé à réaliser qu'ils pouvaient renforcer leur position en: convaincant les individus de se considérer comme des GROUPES.

    Les groupes sont plus faciles à contrôler.

    Former un groupe, le définir, exhorter les membres à se concevoir en termes limités, profiler le groupe, vendre des produits au groupe, montrer au groupe qu'ils ont des aspirations politiques qui peuvent être satisfaites par un grand gouvernement ... et que la société tout entière change.

    RépondreSupprimer
  23. Avouons-le, ces commerçants et propagandistes sont, à bien des égards, l'écume de la terre. Ils voient une lueur de promesse dans la pensée de groupe, et leur objectif devient: créer des groupes. Par nom, par ordre du jour, par classe, par race, par religion, par âge, par préférences, par contexte économique, par tous les marqueurs possibles.

    Croyez-le ou non, les commerçants ont compris ce qui se passait dans le mouvement des droits civiques des années 50 et 60; ils ont regardé Martin Luther King, et ils ont dit: "NOUS AVONS UNE OPPORTUNITÉ ICI." Oui. Et c'était une opportunité qui allait bien au-delà de la justice des droits de vote et de l'éducation intégrée.

    Les spécialistes du marketing ont déclaré: «Nous pouvons créer un nouveau groupe. Pas seulement les Noirs américains. Noirs américains bénéficiant d'avantages gouvernementaux. Nous pouvons imputer tout le mouvement des droits civiques dans un État-providence de vastes proportions. Nous pouvons créer une dépendance totale vis-à-vis du gouvernement - et en même temps, nous allons étendre la taille et le pouvoir du gouvernement sur la population. C'est un double gagnant. "

    Du point de vue des commerçants, l'équité, la justice et le droit des Noirs américains à recevoir des prestations sociales étaient tout à fait hors de propos. Ce n'était pas du tout le problème. Le problème était la pacification des Noirs américains. Une façon d'utiliser l'argent et les avantages pour garder le contrôle des Noirs américains. Le cynisme était à couper le souffle.

    Les spécialistes du marketing se sont rendu compte, bien sûr, qu'ils auraient besoin que les dirigeants noirs disent, encore et encore, que le bien-être était un droit, et qu'il était juste et juste et raisonnable, basé sur l'histoire de l'esclavage. Basé sur le racisme. Et certains dirigeants noirs qui ont émergé ont été cooptés dans cette cause et cette OPÉRATION.

    "Mais les Noirs méritent le bien-être."

    Encore une fois - les spécialistes du marketing vont choisir un problème qui peut être discuté, qui peut être justifié. Mais le véritable motif est caché.

    Tout commence par la formation d'un groupe. «Les Noirs doivent apprendre à se considérer comme des Noirs et rien d'autre. En tant que victimes noires. Certainement pas en tant qu'individus uniques. »

    Certains membres des Black Panthers et Malcolm X ont reconnu le con fondamental. Ils ont vu certains libéraux blancs qui étaient «de leur côté» comme l'ennemi. Ils ont vu que ces libéraux adorés espéraient et travaillaient en fait pour trouver un moyen de PACIFIER et de marginaliser l'indépendance des Noirs.

    Et bien sûr, de l'autre côté, les commerçants devraient créer un groupe de libéraux blancs, un très grand groupe, qui soutiendrait les «droits des Noirs», croyant naïvement qu'il s'agissait uniquement d'équité et de justice et RIEN D'AUTRE.

    TOUTE LA CHOSE EST DEVENUE SYNTHÉTIQUE.

    Encore une fois, la réalité beaucoup plus grande des Américains noirs et blancs qui s'entendent est réduite au silence et noyée. Par des voix plus fortes. Par la violence.

    Le tout est synthétique car L'INDIVIDU UNIQUE est submergé. Sans l'individu, vous avez un contrôle mental de masse. L'idéologie occupe une place centrale. Vous avez des solutions infinies, chacune plus absurde que la précédente. Et pour quoi faire ? Pour l'élévation du GROUPE.

    RépondreSupprimer
  24. Oui, il existe des groupes composés d'individus uniques qui se réunissent pour une cause commune, mais «noir contre blanc» n'est pas construit de cette façon.

    Et oui, ces émeutes actuelles en Amérique ont formé des infiltrés de la droite et de la gauche politiques, qui sont là pour faire monter la violence et les revendications. Mais la structure de l'opération est plus profonde que cette infiltration. C'est, comme je l'ai dit, politiquement neutre, parce que les mondialistes qui veulent niveler et détruire tous les lambeaux d'indépendance, de liberté et de prospérité en Amérique sont neutres. Ils se cachent derrière et utilisent l'idéologie comme une arme en constante évolution pour atteindre le CONTRÔLE.

    Créez des groupes pour remplacer les individus.

    La grande histoire non écrite de l'Amérique et d'autres pays est le record caché d'INVENTING SYNTHETIC GROUP. Un groupe peut commencer comme réel et vrai, mais quand il est repris et déformé et remodelé et donné un agenda programmatique et injecté avec une image de soi extrêmement limitée ... alors vous avez une construction, et le contrôle de l'esprit a priorité.

    Ensuite, sur les écrans des nouvelles, vous voyez des dessins animés vicieux… sauf que de vraies personnes sont diffamées, blessées, dispensées, éliminées.

    «Mais les mouvements de masse contre le racisme ont remporté des victoires.»

    Oui ils ont. Parmi eux, le droit de vote et la lutte contre la brutalité raciste, en particulier dans le Sud. Mais alors qu'est-il arrivé ?

    Ce qui s'est passé était une impasse planifiée.

    Marketers: «Nous devons faire tout ce qui est en notre pouvoir pour arrêter toute discussion sur la PERSONNE UNIQUE parmi les causes et les objectifs du groupe noir. Il faut que ce soit le groupe. Pour toujours. Avantages. Aide sociale. Cela doit se noyer TOUT le reste. La promesse d'individus sortant de groupes doit être annulée. Verboten. Et les mêmes principes doivent être appliqués aux groupes blancs qui soutiennent les droits des Noirs. Les groupes blancs doivent également être des masses et non des individus. Et ces groupes blancs qui s'opposent aux droits des Noirs doivent être infiltrés et cultivés. Eux aussi doivent être des masses. Dans chaque groupe, connectez les esprits et les cerveaux en collectifs. C’est ce que nous vendons. Collectivisme. Prenez le vrai et le vrai et tordez-le. »

    Les spécialistes du marketing ont découvert que ce n'était pas difficile à faire, en particulier lorsque les principaux médias étaient intégrés et contrôlés. Les nouvelles concerneraient tous les GROUPES. Groupes d'aide du gouvernement. Le gouvernement refuse l'aide aux groupes. Stimuler les gens à se considérer comme le groupe américain lorsque l'occasion l'exigeait. "Nous sommes tous dans le même bateau." "Restez enfermé et réalisez que vous n'êtes pas seul." "Nous réussirons tous ensemble." «Il est temps de mener une guerre contre l'Irak. Nous sommes dans le même bateau. " En tant que groupe. Un groupe synthétique.

    Réfléchissez bien. Si les médias le voulaient, en ce moment, ils pourraient mettre en évidence, mur à mur, les Américains, en noir et blanc, qui s'entendent bien. Cela pourrait être élevé par un réseau de nouvelles, à une grande importance. C'est certainement factuel. Mais ça n'arrivera jamais. Ce n'est pas l'ordre du jour. Ce n'est pas ce qui est vendu.

    RépondreSupprimer
  25. La vérité maladroite et austère et fantastique est, au-delà de la couleur de la peau et du contexte culturel, il n'y a pas de personnes noires ou blanches. Il y a des individus uniques. C’est là que la SYNTHETIQUE s’arrête et que la réalité profonde commence. C’est là que la libération a lieu. Si cela ne se produit pas là-bas, cela ne se produit pas de la manière prévue.

    Que vous croyiez en Dieu le Créateur ou à l'évolution ou à quelque chose d'autre comme explication de la race humaine, le progrès devait impliquer l'individu sortant du groupe et jalonnant sa revendication d'une vie de sa propre fabrication, selon sa meilleure vision de ses plus grandes pensées et valeurs.

    C'ÉTAIT une lutte de sang, de courage et d'intelligence pendant plusieurs siècles. C'ÉTAIT le voyage hors des grottes et des clans et des chefs brutaux et du contrôle mental imposé de haut en bas. C'ÉTAIT d'où chacun de nous est venu, cette lutte.

    Et maintenant, par tous les moyens disponibles, les contrôleurs d'élite veulent revenir en arrière et ramener chacun de nous dans le passé.

    Chacun de nous ne doit pas laisser cela se produire.

    Si cette déclaration vous fait tourbillonner et vous demande: COMMENT, COMMENT POUVONS-NOUS ARRÊTER CELA DE HAPPENING, vous pensez toujours de l'intérieur d'un groupe. Vous êtes toujours enveloppé dans une sorte de pensée de groupe.

    Sois un leader. Formez un VRAI groupe, si telle est votre réponse. Sortez et faites-vous connaître. Contrez la rhétorique fétide de ces temps actuels.

    Abandonnez SMALL.

    "Mais je ne suis qu'un ..." Non, vous ne l'êtes pas. "Je ne suis qu'un ..." est une proposition synthétique, un mensonge, un mensonge fabuleux.

    Quand tout est dit et fait, voulez-vous être connu comme une personne qu'ils ont amenée dans la pièce pour souffler sur l'encre et la sécher, après que les hommes ont signé la Déclaration d'indépendance?

    Est-ce la plus grande distance que vous pouvez parcourir, l'exploit le plus important que vous puissiez accomplir ?

    RépondreSupprimer
  26. Oui, je me rends compte que lorsque je dis «individu unique», je prends, pour ainsi dire, un instantané d’une réalité plus complexe. L'individu entre et sort de la famille, des groupes informels et formels, etc. Mais au fond, il est là. Par choix, la liberté rayonne de lui, ou non. Par choix, un pouvoir authentique rayonne de lui, ou non. L'amour et la compassion rayonnent vers l'extérieur, ou ils ne le font pas. Il invente sa meilleure vision d'un avenir et agit sur cette vision ou il ne le fait pas. Il jette le sens synthétique ou non. Il salue la propagande ou non. Il occupe le devant de la scène à sa manière, ou il ne le fait pas. Il réinvente la liberté et le pouvoir pour son temps et son lieu, ou il ne le fait pas. Il tombe pour le con de conflit synthétique ou il ne le fait pas. Il s'imagine être une victime ou il ne le fait pas. Il accepte un rôle qui lui est remis ou il ne l’accepte pas. Il achète des descriptions physiques de lui-même ou non. Il succombe à des haines programmées, ou il ne le fait pas. Il choisit de rester naïf et impuissant ou il ne le fait pas. Il dit que rien ne peut changer ou pas. Il perruque ce qu'on lui a enseigné ou non. Il blâme les pouvoirs en place d'une manière qui le paralyse ou non. Il tend la main pour aider les autres ou il ne le fait pas. Il dépasse le contrôle mental populaire du moment, ou il ne le fait pas. Il reste synthétiquement et exaspérément poli face à la guerre contre la race humaine ou il ne le fait pas. Quand il tombe, il trébuche et avance ou non. Il fait semblant d’être le moins du monde, ou il ne le fait pas. Il garde la bouche fermée, ou il ne le fait pas. Il regarde une guerre et choisit le camp le plus facile à rejoindre, ou il ne le fait pas. Il sent la lutte des siècles pour établir la liberté individuelle, ou non. Il parvient en quelque sorte à se tenir à la porte de l'esclavage et il le bloque, ou il ne le fait pas. Il teste son point de rupture et essaie de le prolonger, ou il ne le fait pas. Il peut entrer doucement dans cette bonne nuit, mais seulement après avoir mené sa plus haute bataille pour la liberté, la liberté de toutes les constructions synthétiques de l'individu, la liberté de l'oppression et du contrôle, et POUR l'individu éternel au-delà de l'artifice de l'hypnotisé groupe. Ou pas.

    Une fois que vous avez des individus uniques, les groupes peuvent commencer à avoir un sens DURABLE. Sans ces individus, ils ne le font pas. Ils ne peuvent pas. Même si leur objectif et leur rhétorique sont conçus pour atteindre une sorte de justice héroïque et juste, ce groupe finira par être englouti dans une mauvaise intention. Il disparaîtra dans la gueule d'un conflit construit contre un autre groupe. Il tombera sous le charme d'un chef impitoyable. Cela retournera dans le passé.

    Je ne suis pas seul. Tu n'es pas seul. Nous sommes liés par quelque chose de plus profond que le cliché: la reconnaissance du fait que nous sommes des individus qui peuvent se rejoindre. Qui atteint à travers. Les différences entre nous sont à prévoir. Sinon, nous ne serions pas uniques. Mais ces différences ne peuvent pas se transformer en guerres, si nous sommes fermes et éveillés.

    RépondreSupprimer
  27. CODA: Je pourrais facilement continuer pour dix mille autres mots. Mais je vais terminer avec ça. Nos ennemis ont leurs propres problèmes. Ils ne sont pas simples, peu importe ce qu'ils essaient. Mis à part la soif inextinguible de liberté, qui est leur principal problème, ils souffrent de trop de mains et d'une tarte trop petite. Leurs méga-corporations, qui ont été la principale proue du mondialisme dans le monde, commencent à voir que leurs jours de gloire se réduisent. L'opération visant à niveler et à détruire les économies, afin d'instaurer un État policier plus sévère, assèche la clientèle de personnes qui peuvent se permettre d'acheter des produits d'entreprise. Les chefs d'entreprise et les gros plans voient une trahison. Ils sont la cible d'un gros con de leurs propres collègues criminels. Comment cela a-t-il pu arriver? C'est arrivé parce qu'ils étaient aveuglés par leur propre avidité. Si seulement la moitié des personnes dans le monde peuvent acheter un pesticide toxique de renom, alors quoi? Même avec une réinitialisation spectaculaire de la monnaie, même avec l'invention accélérée d'un nouveau système monétaire, même avec plus d'argent produit à partir de rien, de nombreux produits vont disparaître. Cela fait partie intégrante du plan d'élite. Tant pis. Je ne perds pas de sommeil là-dessus… Peut-être que Bill Gates rêve d'élever une armée d'esclaves contrôlés par des micropuces pour faire de Microsoft et de sa Fondation le nouveau gouvernement officiel des États-Unis. Bonne chance avec celui-là, Bill…

    Peut-être qu'un PDG de méga-entreprise se dit ceci: "Lorsque la grande réinitialisation de la monnaie se produira, les patrons des patrons, les banquiers, placeront automatiquement cinq cent mille milliards de nouveaux dollars numériques dans chaque compte bancaire des deux mille plus grandes sociétés du monde, et je serai l'un des chanceux. " Continuer à croire cela, mon pote. Bonne chance…

    Je parie que vous ou vos enfants serez occupés à balayer la poussière et le sable à Death Valley. Sur un chèque de bien-être.

    Et si ce jour ne vient jamais, tu sais quoi? Ce sera parce que les individus qui croient en la liberté jusqu'aux derniers atomes immatériels de leurs âmes immatérielles se sont tenus à la porte de l'esclavage et l'ont bloqué et ont annulé toute l'opération.

    Parce que nous, les individus, ne sommes pas des chiens qui bavent au son de la cloche et à la perspective d'être nourris.

    Parce que nous, les individus, ne nous nourrissons pas dans les salles arrières du collectivisme.

    Parce que nous, les individus, n'achetons pas l'illusion d'anarchie dirigée par des hommes accessoires pathologiques.

    Parce que nous, les individus, n'achetons pas une fausse inclusion dans un faux univers.

    Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.

    https://www.lewrockwell.com/2020/06/jon-rappoport/white-america-black-america-the-set-up-and-the-con/

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Rassurez-vous, le Q.I. d'un black ne vous rapportera pas plus qu'un panneau solaire !

      Supprimer