Les députés ont adopté le 10 décembre 2019 le projet de loi antigaspillage qui prévoit un indice de « durabilité » et de « réparabilité ». Pourquoi ne pas appliquer le même projet aux centrales nucléaires ?
Par Michel Gay
16 DÉCEMBRE 2019.
Les députés ont adopté le 10 décembre 2019 le projet de loi antigaspillage intitulé « Lutte contre le gaspillage et économie circulaire » qui prévoit un indice de « durabilité » et de « réparabilité » qui inclura de nouveaux critères tels que la fiabilité et la robustesse du produit à compter de 2024.
UNE LOI ANTIGASPILLAGE
Dans ce projet de loi, l’article 2 « Indice de réparabilité des équipements électriques et électroniques » indique une
"pondération entre indice de réparabilité et indice de durabilité permettant de prendre en compte les différents aspects de la durée de vie des produits. Établissement par décret de la liste des produits et équipements pour lesquels doit être établi un indice de durabilité avant le 1er janvier 2024".
De plus, l’article 1er AA « Objectif stratégique global de réduction des déchets ménagers et des déchets d’activités économiques » fixe un objectif de
"5 % de réduction de la production de déchets provenant des activités économiques".
Donc, c’est reconnaître une évidence : plus un produit dure longtemps et moins l’économie produit de déchets.
C’est aussi valable pour les déchets d’activité économique des équipements électriques et électroniques que constituent les centrales nucléaires !
ET LA CENTRALE ÉLECTRIQUE DE FESSENHEIM ?
Mais les députés n’ont pas voté pour stopper l’énorme et scandaleux gaspillage que constitue le sacrifice de la centrale électrique de Fessenheim sur l’autel des compromis politiques et des achats d’électeurs.
Pourtant elle a fait la preuve, au cours du temps, d’un bon indice de « réparabilité ».
Les Américains ont déjà prolongé toutes leurs centrales du même type jusqu’à 60 ans et, le 5 décembre 2019, ils viennent de prolonger jusqu’à 80 ans deux réacteurs identiques à ceux de Fessenheim lequel n’a que 40 ans.
Les Américains n’ont peut-être pas adopté de loi antigaspillage, mais ils « luttent contre le gaspillage » de leurs « équipements électriques et électroniques » en les rénovant !
D’ici à 2024, quelqu’un pourrait-peut-être suggérer à nos chers députés d’inclure dans cette « liste des équipements » les centrales nucléaires, et notamment la centrale nucléaire de Fessenheim promise à la destruction anticipée en 2020 par idéologie politique ?
Ce serait un acte vertueux conforme à l’esprit de la loi qu’ils ont eux-mêmes votée, et aux vœux du Président Emmanuel Macron qui, le 12 décembre 2019, a soutenu le nucléaire à Bruxelles.
(...) Donc, c’est reconnaître une évidence : plus un produit dure longtemps et moins l’économie produit de déchets. (...)
RépondreSupprimerC'est aussi le cas pour les voitures qui s'entassent dans les 'casses-autos' et toutes les merdes vendues depuis l'arrivée d'ObamasquéÔhéÔhé et son 'cash clunkers' pour supprimer les belles voitures américaines indestructibles et qui roulent encore dans toute l'Amérique latine et du Sud.
Si des dépenses inutiles n'avaient été faites envers 'la dernière télé' ou 'dernière machine à laver' ou frigo, ordi, téléphone, éoliennes, panneaux solaires, stations dite d''épuration', etc, les gens auraient encore de l'argent pour se nourrir, s'habiller propre et habiter en de belles maisons.
Des gangs chinois infectent des porcs atteints de peste porcine dans un régime de viande criminelle
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dim, 15/12/2019 - 13:30
Des criminels chinois ont volé des drones dans des fermes et infecté des porcs en parfaite santé avec la peste porcine africaine, mis bas l'agriculteur pour leurs porcs malades, puis vendu la viande contaminée comme saine, selon le SCMP, citant China Comment - un magazine affilié à l'agence de presse nationale Xinhua.
Dans certains cas, les gangs ont répandu des rumeurs sur le virus qui n'est pas mortel pour l'homme - mais provoque une fièvre hémorragique chez les porcs qui est presque toujours mortelle.
Parfois, ils répandent des rumeurs sur la propagation de la maladie dans la localité et peuvent même laisser des cochons morts sur le bord d'une route pour faire croire aux agriculteurs que l'infection se propage. -SCMP
Dans des cas plus extrêmes, cependant, les gangs utilisent des drones pour déposer des articles infectés dans les fermes.
"Une de nos succursales a une fois repéré des drones laissant tomber des objets inconnus dans notre porcherie, et une inspection plus tard a trouvé [le] virus dans ces choses", a déclaré un directeur de ferme.
Une fois que les porcs malades ont été acquis par le gang, ils sont ensuite introduits en contrebande dans d'autres régions où les prix du porc sont exorbitants, violant une interdiction de transporter du porc ou du bétail entre les provinces, et vendus pour un bénéfice pouvant atteindre 143 $ par porc.
Dans le Yunnan, une province du sud-ouest, les autorités ont intercepté le transport de plus de 10 000 porcs vivants - dont certains ont été infectés par le virus. Selon le rapport, un gang a passé en contrebande 4 000 porcs d'une province en une journée.
Il a indiqué que des passeurs avaient soudoyé des inspecteurs et falsifié des certificats de quarantaine pour faire passer clandestinement les animaux au-delà des frontières provinciales.
Dans l'un de ces cas à Lichuan, une ville de la province centrale du Hubei, la maladie s'est propagée dans la région après qu'un vétérinaire eut falsifié des certificats pour des animaux infectés.
Les contrebandiers tentent de profiter d'une flambée des prix qui a fait passer le coût de la viande d'environ 20 yuans par kilogramme à un sommet de 52,30 yuans le mois dernier. -SCMP
En octobre, le ministère chinois de l'Agriculture a signalé que le cheptel porcin du pays s'était effondré de 41,1% en glissement annuel. Selon Rabobank, ce chiffre pourrait atteindre 50 à 55% d'ici la fin de l'année.
Comme nous l'avons documenté, le prix du porc chinois a augmenté en conséquence.
https://www.zerohedge.com/political/chinese-gangs-infect-pigs-swine-fever-criminal-meat-scheme
C'est ce qui était arrivé en France avec les lobbyistes-assassins (soutenus par la Vert-Marq au pouvoir) qui ont propagé les vaches folles, grippes aviaires, diarrhées porcines, etc dans les fermes afin de rayer de la carte toute productions agricoles et faire appel aux importations étrangères qui rapportent plus aux transporteurs.
SupprimerTARIFS BANCAIRES : ILS AUGMENTENT EN 2020
RépondreSupprimerpar PAOLO GAROSCIO
16/12/2019
En moyenne, en 2019, les frais bancaires étaient de 215 euros.
Les banques ne gagnent quasiment plus rien sur les crédits immobiliers dont les taux sont très bas : elles doivent trouver d’autres rentrées d’argent. C’est donc sur les tarifs de leurs services que va se jouer leur croissance : gelés en 2019, ils repartent à la hausse en 2020 pour près de la moitié des banques en France selon Cbanque.
Plus de 4% de hausse pour certains services
Lorsque la banque vous envoie une lettre, elle paye La Poste. Lorsque vous n’avez pas prévenu votre banque de votre changement d’adresse ou que le nom sur la boîte aux lettres n’apparaît pas ou qu’il est illisible, la lettre est renvoyée à l’expéditeur… et la banque vous le fait payer. Très cher, bien plus cher que ce que coûte l’envoi d’une ou deux lettres : les frais de retour pour NPAI, sigle signifiant « N’habite plus à l’adresse indiquée » dans le jargon de La Poste, étaient de 24,20 euros en moyenne en 2019. En 2020, ils grimpent de 5% pour atteindre 25,40 euros… par courrier !
Une autre augmentation est à signaler pour l’envoi du chéquier à la maison : le prix grimpe de 4,8% en moyenne en 2020, ce qui coûtera 1,10 euro… ou 7,20 euros si vous optez pour le recommandé.
Mais le tarif qui risque de peser le plus sur les comptes des Français est celui du prix du virement en agence : à l’heure où tout peut être réalisé par Internet, c’est un service facturé au prix fort. Ça vous en coûtera 4 euros en moyenne en 2020, contre 3,80 euros en 2019, soit une augmentation de 4%.
Transférer son PEL coûtera près de 100 euros
C’est un des frais les plus chers car il est lié au changement d’établissement bancaire : faire transférer son PEL d’une banque à une autre va coûter, en 2020, 99 euros en moyenne, un prix en hausse de 3,1%.
Enfin, refaire une carte bancaire va coûter 12 euros (dans le cas où la réédition se fait avant sa date d’expiration), soit une augmentation de 3,9% en moyenne. Aucune exception n’est tolérée : c’est le prix en cas de simple lubie d’avoir une carte neuve mais également en cas de perte, de vol… ou si votre carte se casse.
N’hésitez pas à consulter votre conseiller et à demander le détail des évolutions tarifaires de votre établissement, celles-ci pouvant fortement varier en fonction de la banque mais également de votre situation (et il est toujours possible de négocier).
http://www.economiematin.fr/news-tarif-bancaire-cout-augmentation-2020-service-frais
Avec en plus des frais bancaires il y a les taux négatifs ! D'où l'intérêt de chacun de vider son compte en début de tous les mois.
SupprimerLe grand «remplacement» en Belgique
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun, 16/12/2019 - 03:30
Rédigé par Guillaume Durocher via The Unz Review,
Ce qui suit est une traduction d'un article de l'avocat Paul Tormenen pour le think tank identitaire Polémia. Les nombreuses sources citées sont détaillées dans l'article d'origine. Cet article donne un aperçu solide de la formidable transformation démographique que connaît la Belgique et des différences frappantes entre les migrants européens et islamiques, ces derniers étant nettement conservateurs sur le plan social et sujets au chômage. Des quartiers entiers comme Molenbeek sont devenus méconnaissables et les gitans mendiants sont devenus un spectacle familier au coin des rues.
Dans le même temps, les chiffres montrent qu'à ce jour, une majorité d'immigrants en Belgique sont d'origine européenne et devraient pouvoir s'intégrer sans heurts. Même si nous admettons que les Européens sont probablement moins fertiles que les musulmans et les Africains, c'est une des raisons pour lesquelles je ne pense pas que la «guerre raciale» se produira de si tôt, malgré la réalité de la criminalité afro-islamique et des islamistes meurtriers périodiques. Attaques terroristes.
Si la Belgique a connu des vagues d'immigration au XXe siècle, la vague actuelle est unique par son ampleur et le fait qu'elle est «endurée» par une partie de la population. Les revendications ethnocentriques et la radicalisation d'une fraction de la population immigrée ont provoqué des réactions différentes chez les Wallons [francophones] et les Flamands [néerlandophones]. En Belgique, comme dans d’autres pays européens, les questions migratoires et identitaires sont devenues centrales dans la vie politique du pays.
Du XXe siècle à nos jours
Une première vague d'immigration a été organisée pendant l'entre-deux-guerres, sous la pression des dirigeants belges de l'industrie lourde. La migration de main-d'œuvre a recommencé dans les années 1960. Ces immigrés étaient notamment appelés à travailler dans les mines et étaient essentiellement d'origine européenne (Italie, Espagne, Grèce). Après 1964, des accords bilatéraux ont été conclus avec des pays musulmans (Maroc, Turquie, Algérie) afin de faciliter l'accueil de travailleurs étrangers. Sans tenir compte des facteurs culturels, l’immigration familiale a également été encouragée afin, selon les dirigeants belges, de lutter contre le vieillissement de la population du pays.
Depuis la fin des années 80, la Belgique connaît une nouvelle vague migratoire. Alors que le flux annuel avait été relativement stable entre les années 50 et 80, avec des arrivées annuelles comprises entre 40 000 et 60 000, le regroupement familial et les demandes d'asile ont considérablement augmenté les arrivées d'étrangers. Plus d'un million d'entre eux sont ainsi entrés légalement en Belgique entre 2000 et 2010.
- voir graphique sur site -
Tendances migratoires belges. Ligne pointillée: immigration. Thin line: émigration. Ligne bleu clair continue: migration nette.
Entre 2009 et 2011 seulement, le regroupement familial, qui représente environ la moitié des permis de séjour, a permis à 121 000 étrangers de s'installer légalement en Belgique. Un sénateur belge, Alain Destexhe, parle de «l’effet domino» du regroupement familial en raison des différentes façons dont il permet aux membres de la famille de venir de l’étranger.
Depuis 2007, le nombre annuel d'étrangers arrivant en Belgique a toujours été supérieur à 100 000. En 25 ans, la population immigrée (de nationalité étrangère ou belge) a doublé. La croissance annuelle de la population d'origine étrangère est estimée entre 1% et 5%. Au 1er janvier 2018, sur les 11,3 millions d'habitants de la Belgique, 16,7% étaient nés à l'étranger (1,9 million de personnes). Ces chiffres ne tiennent pas compte des illégaux non identifiés, ni des demandeurs d'asile inscrits sur les listes d'attente.
RépondreSupprimerLa concentration d'étrangers est particulièrement visible dans les grandes villes. Par exemple, à Bruxelles, les étrangers sont presque aussi nombreux que les citoyens belges. La ville d'Anvers compte désormais plus d'immigrants que d'autochtones.
- voir graphique sur site -
Origine de la population née à l'étranger en Belgique.
Bleu clair: EU-15. 40%
Bleu moyen: 13 nouveaux États membres de l'UE (Europe de l'Est). 11%
Bleu foncé: Europe hors UE (y compris la Turquie) 12%. Rouge: Afrique du Nord 16%.
Orange: Afrique subsaharienne 8%.
Vert clair: Asie de l'Ouest 6%.
Vert foncé: Asie de l'Est 3%.
Violet: Amérique latine.
Rose: Amérique du Nord.
Gris: Autre.
Demandeurs d'asile: un flux secondaire
Outre l'immigration clandestine, la Belgique connaît, comme la France, les «flux secondaires» de demandeurs d'asile. De plus en plus de demandeurs d'asile en Belgique ne sont pas de nouveaux arrivants sur le continent européen. Leur demande d'asile a été rejetée dans un autre pays et ils tentent leur chance en Belgique. Ce phénomène, qui montre la faillite du «système d'asile» européen, est dû à des politiques migratoires plus dures dans les pays scandinaves et en Allemagne. On estime qu'un tiers des demandeurs d'asile pratiquent ce type de «desk-hopping». Plus largement, entre 1991 et 2015, quelque 517 000 demandes d'asile ont été déposées dans le pays.
L'origine des immigrants a changé
Si les Européens constituent toujours la majorité de la population étrangère, les Turcs (155 701 personnes au 1er janvier 2016) et les Marocains (309 166) représentent des contingents importants. Parmi les étrangers ayant récemment acquis la nationalité belge, ces deux nationalités sont en tête.
Selon le Pew Research Center, la population musulmane représente 7,6% de la population belge, soit près de 796 000 habitants. En fonction des politiques migratoires choisies dans les prochaines années (qu'il s'agisse de migration zéro ou d'ouverture contrôlée des frontières), le think-tank américain estime que la population musulmane pourrait représenter entre 11% et 18% de la population d'ici 2050.
Le coût de l'immigration
Rien qu'en 2018, 23.400 personnes en Belgique ont demandé une protection internationale [sous asile]. Le coût annuel des demandeurs d'asile en termes de protection sociale de base est passé de 120 millions d'euros en 2014 à 200 millions d'euros en 2018. Il faut ajouter à ces chiffres le coût d'accueil des demandeurs d'asile, qui a plus que doublé entre 2014 et 2016, s'élevant à 524 millions d'euros.
- voir graphique sur site -
RépondreSupprimerTaux d'emploi des natifs belges, des migrants de l'UE et des migrants non-UE (ces derniers viennent majoritairement du moyen-orient et d'Afrique).
Plus généralement, le taux d'emploi des immigrés originaires de pays tiers est inférieur de 20 points à celui des natifs. Que ce soit en raison ou en conséquence de cela, 80% des bénéficiaires de l'aide sociale sont d'origine non belge, selon un universitaire belge, Bea Cantillon.
- voir graphique sur site -
Profils d'emploi d'échantillons représentatifs de natifs belges et de migrants hors UE entre 30 et 64 ans entre 2008 et 2014. Chaque ligne représente un individu.
Vert: travaille.
Orange: au chômage.
Rouge: inactif (ne cherche pas de travail). Source: Eurostat.
«La Belgique deviendra arabe»
Cette prédiction n'est pas venue d'un dangereux théoricien du complot. Elle a été exprimée par une journaliste, Fawzia Zouari, dans les pages du magazine Jeune Afrique pour résumer «l'islamisation des esprits», en particulier chez la jeune génération de musulmans. Bien que la population musulmane reste une minorité, son importance augmente en effet et devient particulièrement visible. L'islamisation est visible de plusieurs manières: dans les croyances, les comportements, la pratique religieuse et la vie politique.
Un parti politique chiite nommé «ISLAM» a été formé en 2012. Il appelle à l'imposition des enseignements les plus stricts de l'islam: pas de serrement de main entre hommes et femmes, interdiction des écoles mixtes et des transports publics, port du foulard dès l'âge 12, etc., ainsi que l’imposition de la charia. Les résultats électoraux [initiaux] de ce parti politique sont pour l'instant «tout sauf ridicules», comme le note un journaliste du magazine Le Vif [franchissant le seuil de 4% dans le célèbre quartier bruxellois de Molenbeek, par exemple] et la conception stricte de l'islam progresse en Belgique.
Selon une étude réalisée en 2017 par une fondation belge, 33% des musulmans belges n'aiment pas «la culture, les coutumes et le mode de vie occidentaux» (autonomie des femmes, alcool, érotisme, etc.), tandis que 29% estiment que «les lois de L'islam est supérieur aux lois belges. »Une étude de 2011 a mis en évidence l'antisémitisme d'environ la moitié des lycéens musulmans de Bruxelles interrogés.
Le Service de sécurité de l’État (l’agence belge de renseignement international) a récemment observé une augmentation des groupes et activités liés au salafisme, la branche la plus radicale de l’islam. Une centaine d'organisations salafistes ont été dénombrées sur le sol belge. Le maire de Bruxelles a pour sa part affirmé en 2017 que «toutes les mosquées [à Bruxelles] sont entre les mains des salafistes».
Un changement de politique migratoire
Contrairement à la France, qui a récemment étendu le droit d'asile et au regroupement familial, la Belgique restreint ces options depuis 2011. Le secrétaire d'État à l'asile et aux migrations entre 2014 et 2018, Theo Francken de la Nouvelle Alliance flamande [N-VA, pseudo -nationalist conservative party], a pris une série de mesures pour réduire les flux migratoires: un renforcement des contrôles aux frontières et l'expulsion des immigrants illégaux, une campagne médiatique décourageant les migrants potentiels d'émigrer, des mesures pour empêcher que les demandes d'asile ne soient utilisées pour s'installer illégalement dans le pays, etc.
Le gouvernement de coalition au pouvoir n'a pas survécu à la signature par les autorités belges du Pacte de Marrakech sur la migration: fin 2018, la N-VA a annoncé qu'il quittait le gouvernement et le pays est entré dans une nouvelle période d'instabilité [politique]. Contrairement aux médias souvent politiquement corrects, de nombreux électeurs ont profité des récentes élections européennes pour voter pour des listes de partis fermement anti-immigration: le Mouvement flamand [VB, un parti nationaliste] a obtenu 18,5% des voix et le N- VA 27,2% [en Flandre].
RépondreSupprimerPerspectives
Alors que le Royaume de Belgique a été secoué par les tendances sécessionnistes au cours des dernières décennies, divisant les Flamands et les Wallons, le pays est désormais confronté à de nouveaux défis: l'immigration de masse et la montée des revendications politico-religieuses d'une partie de la communauté musulmane. La cohésion du pays est plus que jamais mise à l’épreuve.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/great-replacement-belgium