le 1 décembre 2019
Faisons naturellement abstraction ici des délires eugénistes des mondialistes qui veulent mettre en place un système mondial coercitif de contrôle des naissances pour réduire à terme la population dans le monde sous le prétexte fallacieux qu’il est urgent de sauver le climat. Il suffit de considérer les exemples du Japon, de l’Italie ou encore de l’Allemagne pour se faire une idée de l’évolution de la population en une génération, c’est-à-dire 30 ans, à l’horizon 2050. Cette date a été considérée comme celle de tous les dangers si tous les pays du monde ne s’unissent pas pour sauver le climat car, au delà nous grillerons tous comme des toasts. Il faut raison garder pour deux raisons.
1. Personne ne sait dans quel sens évoluera le climat. Les géophysiciens prévoient un refroidissement généralisé déjà initié depuis quelques années, en dépit de ce qu’affirme la propagande, qui durera jusqu’en l’an 2100 en raison d’un effondrement de l’activité magnétique du Soleil alors que l’IPCC tente de faire admettre à l’opinion qu’au contraire la température moyenne augmentera de 2 à 5 degrés sans toutefois que les modèles utilisés pour une telle prédiction par cette institution soient capables de remonter dans le temps. C’est la raison pour laquelle on peut sérieusement douter de la pertinence de ces modèles. Il n’y a donc aucune raison de se préoccuper de l’évolution de la population mondiale en prétextant que le climat se dégrade parce qu’il y trop de bipèdes sur la planète.
2. Pour les deux pays les plus peuplés du monde la population va s’effondrer et ils vont suivre l’exemple du Japon qui perd actuellement plus de 500000 habitants chaque année. La Chine a profondément modifié l’équilibre démographique naturel en introduisant au cours des années 1970 la politique de l’enfant unique. Cette politique combinée avec un « embourgeoisement » de la population a accéléré le déclin de l’accroissement de la population qui n’est plus aujourd’hui, malgré la réintroduction d’une politique de 2 enfants par famille en 2016, que de 0,3 % par an. La population chinoise va donc commencer à décliner au milieu de la prochaine décennie tout en vieillissant très rapidement. La Chine en est actuellement dans la situation que connut le Japon dans les années 1980.
La situation de l’Inde est différente. Pendant de nombreuses années le gouvernement central de New-Delhi a négligé de prendre des mesures pour réduire l’accroissement de sa population. Les citoyens ont pris eux-mêmes une mesure beaucoup plus efficace justifiée par la tradition des mariages. En Inde le mariage d’une fille représente une dépense tellement élevée que de nombreux couples ne peuvent pas l’assumer. L’arrivée de l’échographie dans les dispensaires a fait le reste : l’avortement sélectif est tellement répandu qu’aujourd’hui il y a en Inde un profond déséquilibre entre le nombre de femmes nubiles et le nombre d’hommes en âge de se marier. Le rapport est en moyenne de 100 femmes pour 120 hommes. Si le taux de fertilité total de l’Inde est toujours de 2,4 les conséquences de ce déséquilibre seront dans un proche avenir tout aussi dramatiques que celles de la politique de l’enfant unique en Chine. L’élévation du niveau de vie moyen des Indiens conduira également aux mêmes conséquences qu’au Japon et en Chine : une baisse de la fécondité et par conséquent une décroissance progressive de la population au tournant des années 2030. Chaque fois que les gouvernements ou les particuliers – dans le cas de l’Inde – tentent de modifier les lois naturelle de la démographie ils favorisent une catastrophe apparaissant lors de la génération suivante et cette catastrophe ne peut plus être jugulée dans le cas de la Chine.
3. Le cas de l’Europe est exemplaire car il n’y a plus de pays où le taux de fécondité soit supérieur à 2,1 enfant par femme féconde. L’Italie, l’Espagne, l’Allemagne, la France (qui n’est plus une exception) et les pays baltes vont assister à un vieillissement de leur population encore plus rapidement que ce que le Japon a connu depuis le début des années 1990. En 2030 la moitié de la population allemande aura plus de 65 ans et ce simple chiffre signifie que le modèle économique allemand s’effondrera, accélérant par voie de conséquence la chute de la natalité. Cette évolution atteindra l’ensemble des pays européens avec quelques années d’écart entre eux. En effet, envisager d’avoir des enfants qui seront confrontés à des conditions de vie difficiles plus tard constituera un argument très dissuasif.
Si on analyse le graphique provenant d’une étude de la CIA (voir aussi le tableau : https://www.cia.gov/library/publications/resources/the-world-factbook/fields/356rank.html ) 100 pays sur 224, incluant de nombreuses dépendances ultra-marines de divers pays, ont un taux de fécondité supérieur à 2,1 et sur le continent africain seul le Maroc présente un taux de natalité inférieur à ce chiffre. L’alphabétisation et l’amélioration des conditions de vie quotidienne ne peuvent être que les seuls instruments pour que progressivement, peut-être en une génération si on reste optimiste, les taux de natalité diminuent et atteignent le seuil de 2,1 enfant par femme. On se retrouve donc vers 2050, décennie de tous les dangers mais beaucoup d’entre nous seront morts depuis longtemps …
La France élargit sa liste noire des paradis fiscaux
RépondreSupprimer06:39 01.12.2019
La France a décidé d'ajouter Anguilla, les îles Vierges, les Bahamas et les Seychelles à sa liste noire des paradis fiscaux, a annoncé le ministre chargé du Budget à la veille de la publication d'un rapport sur la lutte contre la fraude fiscale, relate l’AFP.
«Avant le rapport de la Cour des comptes sur la fraude fiscale, je vous annonce que nous allons inscrire sur la liste noire des paradis fiscaux quatre nouveaux pays: Anguilla, les îles Vierges, les Bahamas et les Seychelles, qui ne sont pas assez coopératifs en matière de transparence financière», a déclaré Gérald Darmanin, ministre de l'Action et des comptes publics, au Journal du Dimanche.
Selon lui, «la liste de la France sera donc plus dure que celle de l'Union européenne».
Sept pays figuraient jusqu'ici sur la liste française: Bruneï, Nauru, Niue, le Panama, les îles Marshall, le Guatemala et le Botswana.
L'UE inclut pour sa part dans sa liste noire les Samoa américaines, les Fidji, Guam, Oman, le Samoa, Trinité-et-Tobago, les Îles Vierges américaines et le Vanuatu.
https://fr.sputniknews.com/france/201912011042513317-la-france-elargit-sa-liste-noire-des-paradis-fiscaux/
Des consommateurs préfèrent déjà les poupées sexuelles intelligentes aux humains, selon un concepteur
RépondreSupprimer18:56 30.11.2019
Le concepteur des poupées sexuelles dotées d’intelligence artificielle, Louie Love, a déclaré au Daily Star que certains consommateurs de ces produits étaient prêts à remplacer les humains par ces dernières.
«C’est en train de se passer» et «il est impossible de faire marche arrière», a lancé le fondateur de l’entreprise Silicone Lovers, Louie Love, expliquant l’intérêt croissant des consommateurs pour les poupées sexuelles intelligentes.
«Chaque poupée permet de vivre une expérience entièrement unique, car elles sont élaborées suivant les exigences du client», a-t-il raconté au Daily Star, précisant que tous les détails, de la tête aux ongles, y compris les taches de rousseur et les tatouages, étaient réalisés en fonction du souhait du client. «Les consommateurs ont la possibilité de créer une poupée unique en son genre».
Les «femmes» conçues par Silicone Lovers sont peu discernables des humains, poursuit-il.
«Du point de vue de leur système robotique automatisé et des mouvements physiques imitant ceux des humains, je ne suis pas sûr que la technologie soit allée aussi loin. Peu importe qu’elles semblent réelles, une fois qu’on observe leur bouche bouger on peut dire qu’elles ne sont que des robots.»
Comme d’autres entreprises en la matière, Realbotix planifie d’élaborer une poupée ayant la capacité de voir et Cloud Climax mise sur les femmes-robots capables de respirer comme les humains.
Selon M.Love, sa société prévoit d'introduire certains modèles de haute technologie en 2020, en mettant l'accent sur l'hyperréalisme, l'intelligence artificielle et le mouvement robotique.
Ces poupées «peuvent également entretenir une conversation élémentaire avec vous et sont équipées de la technologie d'apprentissage de l'intelligence artificielle pour améliorer et mémoriser les conversations», a-t-il souligné, ajoutant que la majorité de ses clients étaient très intéressés par les avancées dans le domaine, mais la plupart attendent que la situation s’améliore réellement. À titre d’exemple, ils s’attendent à ce que la poupée ait sa propre voix plutôt qu’une voix créée avec un accent robotique qui dit ce qui est programmé.
https://fr.sputniknews.com/sci_tech/201911301042512304-des-consommateurs-preferent-deja-les-poupees-sexuelles-intelligentes-aux-humains-selon-un/
Le comté de Los Angeles introduit le système de vote électronique: non marqué à la main, pas sur papier, ni compté à la main en public
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Samedi, 30/11/2019 - 13h30
Écrit par Lambert Strether de Corrente, via NakedCapitalism.com,
Nul doute que le déploiement VSAP («Solutions de vote pour tous») du comté de Los Angeles ne sera pas couvert comme une débâcle. La vraie question est la suivante: s'il y avait une débâcle - comme, par exemple, un cas de fraude électorale - le saurions-nous ? Douteux.
Exactement ce que nous voulons dans un système de vote ! Dans cet article, je donnerai un bref aperçu des problèmes liés au vote électronique. Ensuite, je regarderai le VSAP en tant qu’institution. Ensuite, je montrerai pourquoi le système VSAP n’est pas seulement peu sûr, il est également susceptible de rendre l’argent politique encore pire qu’il ne l’est déjà.
Nous avons déjà couvert le vote électronique - voir ici, ici, et ici - et si vous voulez comprendre pourquoi les bulletins de vote en papier marqués à la main, comptés à la main en public (HMPBCP) sont la norme mondiale, vous pouvez les lire, en particulier le premier. . Dans cet aperçu, je ferai quelques observations de haut niveau sur le vote électronique en général.
Il ne peut jamais être démontré que les systèmes numériques n’ont pas de bugs. Elder God Edgers Dijkstra a écrit: «Les tests de programmes peuvent être utilisés pour montrer la présence de bugs, mais jamais pour montrer leur absence!» De nombreux bugs dans de nombreux programmes importants persistent pendant des années avant d'être découverts. Une liste inclurait Flash dans IE6 (persistant 12 ans), OpenSSL (15 ans), compression de données LZO (18 ans) et bash (25 ans). Aucun de ces exemples ne sont des programmes aberrants ou triviaux; ils sont tous utilisés par des millions de personnes, ce qui est essentiel pour les entreprises, les réseaux, etc. Chacun de ces bugs est une insécurité à venir. Et ceci avant d’atteindre Trojan Horses, qui sont des bogues introduits délibérément par un développeur à des fins personnelles. En fait, j'irais même jusqu'à dire que tout décideur de système de vote qui préconise le vote électronique le fait pour des raisons autres que la sécurité, étant donné que le HMPBCP est disponible, ce qui revient à dire qu'un tel décideur considère un certain nombre de bugs exploités - fraude électorale - comme acceptables.
Maintenant, bien sûr, nous utilisons tous des programmes tout le temps: nous avons des programmes pour allumer nos ampoules, appeler des taxis, télécharger des programmes, etc. J'utilise un programme maintenant pour écrire ce post! Cependant, si nous plaçons le logiciel de la machine à voter sur le même plan que le logiciel commercial, nous affirmons qu'une fonction centrale de la démocratie - le vote - va dans le même sens que la possibilité très pratique de vérifier le contenu de notre document. réfrigérateur de notre téléphone portable. De peur que je ne le pense avec parcimonie, rappelons l'exemple de la Bolivie, où l'une des raisons pour lesquelles le vote a été contesté était l'utilisation d'un serveur non autorisé pour la transmission des données du décompte. Comparez cela au récent vote à Hong Kong, où il y avait de nombreuses images de personnes marquant des bulletins de vote en papier et de personnes les comptant, en public (en fait, de personnes demandant à être laissées à l'observation). Imaginez si des systèmes électroniques avaient été utilisés: premièrement, la partie continentale aurait eu tout intérêt à compromettre le logiciel et aurait pu le faire avec succès; deuxièmement, les systèmes électroniques, parce qu’ils sont toujours buggés, sont toujours ouverts au défi. Les retombées auraient pu être extrêmement laides au niveau géopolitique. Les gens n'auraient pas non plus été respectés.
Sur ce, passons au comté de Los Angeles et à VSAP. Comme pour tout projet logiciel, nous devons comprendre les exigences. Voici ce que je peux trouver sur le site VSAP, extrêmement volumineux et bien budgétisé: «The Design Concepts»:
RépondreSupprimerLe concept final créé pour VSAP intègre des fonctionnalités basées sur les principes du projet, ainsi que des commentaires, des contributions et des tests en personne auprès des groupes de discussion.
Le système comprend une technologie à écran tactile avec une interface utilisateur simple, une sortie audio et visuelle ainsi qu'un scanner, une imprimante et une urne intégrés. Le nouveau système de vote offrira aux électeurs la possibilité de numériser leur bulletin de vote avec code QR, de saisir leur choix de vote en personne au bureau de vote ou de voter par correspondance avec des bulletins de vote imprimés.
(Notez que le concept ne dit pas très explicitement que des bulletins de vote en papier marqués à la main seront disponibles dans les bureaux de vote; vous ne pouvez voter que par correspondance.) Je note avec inquiétude que le document conceptuel ne mentionne pas la sécurité, ni même que le vote des électeurs soit enregistré avec précision et tabulé. Regardons ailleurs pour cela. Parmi les «principes» susmentionnés:
CONFIANCE Le système de vote doit susciter la confiance du public et être en mesure de produire un enregistrement physique et tangible du bulletin de vote d’un électeur afin de vérifier que le bulletin de vote a bien été marqué comme il se doit avant son vote et que le système puisse être audité. Il doit démontrer aux électeurs, aux candidats et au grand public que tous les votes sont comptés comme des suffrages exprimés.
(Mettez un peu trop l'accent sur les relations publiques à mon goût: "instill", "démontrez".) Notez l'équivoque fondamentale, que j'ai soulignée: le papier n'est pas le bulletin de vote; le papier n'est qu'un enregistrement du bulletin de vote, qui est numérique. Plus:
INTÉGRITÉ Le système doit être intègre, rendre des comptes aux électeurs et respecter les réglementations en vigueur. Les fonctionnalités du système doivent protéger contre la fraude et la falsification. Il devrait également être facile de contrôler et de produire des données utiles et accessibles pour vérifier le nombre de votes et surveiller les performances du système.
«Les fonctionnalités du système doivent protéger contre la fraude et la falsification.» Voir les commentaires sur les bogues ci-dessus. Compter les bulletins de vote à la main en public n’est pas en danger. C’est pourquoi vous les comptez en public. Finalement:
TRANSPARENCE Les processus et transactions associés à la configuration, au fonctionnement et au stockage du système devraient être faciles à comprendre et à vérifier par le public. Cela devrait inclure la mise à disposition de composants matériels à des fins d'inspection et de code source dans la mesure où cela ne mettrait pas en péril la sécurité ou la disponibilité du système.
VSAP est commercialisé en tant que source ouverte, mais cette section soulignée est un qualificatif extrêmement volumineux. Nous devrons voir comment cela fonctionnera dans la pratique.
Ainsi, ces concepts et principes de conception sont ce qui me rapproche le plus d'un document d'exigences (et j'ai utilisé plusieurs outils de recherche, ainsi qu'une recherche d'images pour les diagrammes). Ainsi, bien que VSAP utilise des «dispositifs de marquage des bulletins de vote», nous ne savons pas à quelles exigences ils sont censés satisfaire et n’avons donc aucun moyen de juger du succès du système VSAP. Si vous, les lecteurs, pouvez faire mieux, veuillez mettre vos résultats dans des commentaires.
RépondreSupprimerAinsi, le site de VSA se lit comme des relations publiques pour moi. Pour être complet, voici une image du déploiement à l'échelle du comté:
Cher Seigneur. Une "expérience de vote"? Ainsi, la toute petite tête d'alarme a commencé à sonner un peu plus fort et, avec ce communiqué de presse, il a commencé à crier: «Votem Corp sélectionné pour le projet LA VSAP en partenariat avec Smartmatic»:
Un système électoral novateur axé sur les électeurs modernisera la façon dont les citoyens du comté de Los Angeles voteront. En partenariat avec Smartmatic, qui a obtenu un contrat pour aider le comté de LA à concevoir, construire et déployer la nouvelle solution de vote, Votem facilitera le développement du système de vote interactif du nouveau système.
«Nous sommes extrêmement heureux de franchir cette étape importante pour concrétiser notre engagement de moderniser l'expérience de vote dans le comté de Los Angeles et de diriger l'élaboration et la mise en œuvre d'un système de vote public non exclusif, conforme aux Les besoins et le comportement de nos électeurs », a déclaré Dean Logan, registraire des électeurs, à la suite de l'attribution du contrat lors de la réunion du conseil des autorités de surveillance de mardi.
Votem et son équipe seront responsables de l'affichage et de la mise en œuvre du vote interactif, tels que conçus par et pour le comté de Los Angeles, en partenariat avec IDEO, au cours des phases précédentes de l'initiative VSAP, axées sur la sécurité, l'accessibilité et la convivialité. L’écran de sondage interactif permettra aux électeurs de marquer leurs choix sur leur appareil mobile - n’importe où, à tout moment -, puis de scanner leur code QR en personne pour un vote rapide et facile dans un centre de vote.
(Conservez cette pensée sur les codes QR. Comme cela se révélera, le code QR est le bulletin de vote réel.) Votem, hein? Les lecteurs de CN seront familiers avec Votem, car Votem a été impliqué dans le processus électoral corrompu de CalPERS (voir ici, ici et ici). Parmi les nombreux problèmes de la Votem, celle-ci semble être la plus juteuse. Yves analyse un «rapport d'incident de tabulation CalPERS» de Votem et conclut:
Le rapport d'incident commence par cinq Big Lies, ce qui est assez impressionnant dans un espace aussi court:
L'élection 2018 des membres d'agences publiques CalPERS a été organisée par la coentreprise Tout le monde compte / IVS. Tout le monde compte depuis a été acquis par Votem, Corp. L’équipe électorale et la plate-forme de tabulation sont restées les mêmes.
Premièrement, les vendeurs électoraux ont admis en 2017 (tout comme CalPERS a finalement avoué que «CalPERS Direct» n'était pas un investissement direct) - que sa «coentreprise» pour les élections n'existait pas. Il s'agissait d'un contrat d'exploitation entre K & H Printers-Lithographers, Incorporated, dba Integrity Voting Systems et Everyone Counts, Inc. 6 Les deux parties ont toutefois signé le contrat en tant qu'entités distinctes.
Deuxièmement, les parties ont néanmoins tenté de décrire le contrat à plusieurs reprises comme une coentreprise, affirmant même dans l'accord d'exploitation que les services devaient être fournis au nom de la "" coentreprise IVS / Everyone Counts ". Donc, Votem a également donné une fausse représentation du nom en plaçant «Tout le monde compte» en premier, ce qui implique que c'est le joueur le plus important. L'accord est intégré à la fin de notre deuxième message. Il est très clair que K & H Printing, opérant sous le nom d’IVS, était le parti dominant.
RépondreSupprimerTroisièmement, Votem a faussement déclaré que les élections avaient été menées par la prétendue entreprise commune. C’est faux parce que Everyone Counts a manqué à l’accord en vendant ses actifs à Votem avant la fin des élections.
Quatrièmement, Votem dit avoir acquis «Tout le monde compte». Il ne l'a pas fait. Elle n’a acquis que les actifs de chacun, laissant délibérément le passif et la personne morale derrière elle.
Enfin, Votem affirme avoir acquis «Everyone Counts» après les élections. C'est faux, car la vente des actifs a été clôturée avant la fin des élections et quelques jours avant la compilation.
Ainsi, sous toutes les relations publiques brillantes, le déploiement, les parties prenantes et le site Web somptueux, nous avons un entrepreneur principal qui est une entité commerciale extrêmement sombre. Un, de plus, responsable du vote!
Avec toute cette configuration, passons rapidement à la critique du monde HMPBCP. Tout d’abord, de l’essentiel Bradblog, «L.A. Le registraire ne répond pas aux questions sur les nouveaux systèmes de vote non vérifiables à écran tactile du comté. »Voici où le code QR devient important:
Le nouveau système VSAP est un dispositif de marquage des bulletins de vote ou BMD à écran tactile, qui imprime un résumé du bulletin de vote papier imprimé par ordinateur marqué des votes sélectionnés via l'écran tactile, avant d'utiliser un autre ordinateur, un scanner optique, pour lire le code QR non lisible par l'homme. est également imprimé sur le résumé du vote. Les codes QR sont utilisés pour comptabiliser les votes. Bien que l'exactitude du code QR (type de code à barres) ne puisse pas être vérifiée par les électeurs, il est également impossible avec de tels systèmes de savoir si un électeur a même vérifié la partie du résumé du bulletin de vote lisible par l'homme, et encore moins correctement, après une élection. Des études révèlent que la plupart ne vérifient pas du tout les bulletins de vote marqués par ordinateur, et que ceux de la minorité le font ne se souviennent pas des détails ou des sélections figurant sur le bulletin de vote qu'ils ont voté quelques instants auparavant. C’est l’une des nombreuses raisons pour lesquelles la plupart des experts en cybersécurité et systèmes de vote mettent en garde contre l’utilisation de tels systèmes qui prolifèrent - et remplacent parfois les systèmes vérifiables de bulletins de vote en papier marqués à la main - dans de nombreux États et comtés du pays avant 2020. La liste des États où les comtés ou l’ensemble de l’État passe aux systèmes de défense antimissile antimicrobienne comprend un certain nombre d’États clés sur le champ de bataille. NY, NJ, KS, TN, IN, SC, NC et, oui, CA, à moins que le public n’empêche ces plans.)
(Il y en a beaucoup plus; lisez le tout, en particulier les résidents de Los Angeles.) Pour les lecteurs qui pensent ne jamais avoir vu de code QR, c’est comme un code à barres à deux dimensions qui ressemble à ceci:
RépondreSupprimerJe voulais trouver le document d’exigences et, si possible, des organigrammes, mais je prends BradBlog sur parole. Le flux pour un dispositif de marquage des bulletins de vote ressemblerait à quelque chose comme ceci: L'électeur effectue des sélections sur un écran tactile (logiciel, d'où des erreurs et des risques), les sélections sont stockées (idem) et imprimées (idem) sur une page avec un récépissé lisible par l'homme les sélections de l'écran tactile, et le bulletin de vote lui-même, qui est le code QR, qui n'est pas lisible par l'homme. La page est ensuite numérisée (idem) et le code QR est ensuite tabulé (idem). Bien entendu, le tour de passe-passe est le bulletin de vote lui-même. Un humain peut penser que son récepteur, qu'il peut lire pour vérifier qu'il correspond à ce qu'il a sélectionné sur l'écran tactile, correspond également au code QR, ce qu'il ne peut pas. Mais il n’ya aucune raison de penser cela! Et le code QR illisible, puisque c'est ce qui est tabulé, c'est le bulletin de vote! Retirez le problème du monde numérique délirant. Supposons que le vote fonctionne de la manière suivante: vous avez voté à la main en inscrivant un bulletin de vote jaune. Vous avez ensuite remis le bulletin de vote en papier jaune à un fonctionnaire qui, derrière un écran afin que vous ne puissiez pas voir, a ensuite marqué un bulletin de vote bleu que vous auriez pu
Je voulais trouver le document d’exigences et, si possible, des organigrammes, mais je prends BradBlog sur parole. Le flux pour un dispositif de marquage des bulletins de vote ressemblerait à quelque chose comme ceci: L'électeur effectue des sélections sur un écran tactile (logiciel, d'où des erreurs et des risques), les sélections sont stockées (idem) et imprimées (idem) sur une page avec un récépissé lisible par l'homme les sélections de l'écran tactile, et le bulletin de vote lui-même, qui est le code QR, qui n'est pas lisible par l'homme. La page est ensuite numérisée (idem) et le code QR est ensuite tabulé (idem). Bien entendu, le tour de passe-passe est le bulletin de vote lui-même. Un humain peut penser que son récepteur, qu'il peut lire pour vérifier qu'il correspond à ce qu'il a sélectionné sur l'écran tactile, correspond également au code QR, ce qu'il ne peut pas. Mais il n’ya aucune raison de penser cela ! Et le code QR illisible, puisque c'est ce qui est tabulé, c'est le bulletin de vote! Retirez le problème du monde numérique délirant. Supposons que le vote fonctionne de la manière suivante: vous avez voté à la main en inscrivant un bulletin de vote jaune. Vous avez ensuite remis le bulletin de vote en papier jaune à un fonctionnaire qui, derrière un écran afin que vous ne puissiez pas voir, a ensuite marqué un bulletin de vote bleu que vous ne pouviez pas lire, l'a fait siffler pour ne pas pouvoir le lire, puis vous a remis le bulletin de vote bleu. et vous a dit de le mettre dans l'urne, c'est votre vote. Cela a-t-il un sens ? C’est ainsi qu’un «dispositif de marquage des bulletins de vote» fonctionne.
Pire encore, les votes par code QR renforcent le pouvoir de l'argent en politique. Rappelez-vous que «le nouveau système de vote offrira aux électeurs des options leur permettant d’analyser les bulletins de vote avec code QR depuis leur téléphone». De Knock LA, «le problème du financement de la campagne va s'aggraver»:
Les électeurs qui souhaitent remplir leur échantillon de bulletin de vote à l’avance et l’apporter aux urnes seront particulièrement intéressés par la nouvelle fonctionnalité de bulletin de vote interactif. Cela leur permettra de stocker leurs choix dans un «laissez-passer de vote» contenant un code QR, puis de le recharger dans le dispositif d'inscription des bulletins de vote. Il s’agit d’une option qui «contribuera à accélérer le processus de vote» en éliminant la nécessité de marquer individuellement chaque ligne sur le bulletin de vote dans le centre de vote. Cela sera particulièrement utile sur un scrutin qui sera extrêmement long maintenant que les élections locales seront intégrées au scrutin présidentiel. Malheureusement, cette commodité coûtera très cher à notre démocratie.
RépondreSupprimerAu lieu de garantir que le laissez-passer de vote ne pourrait être utilisé que par la personne qui l'a créé, les concepteurs ont laissé le système ouvert afin que les QR puissent être créées par des tiers, puis distribuées pour être utilisées dans les bureaux de vote. Cela augmenterait considérablement l'efficacité des expéditeurs de courrier ardois qui inondent les boîtes aux lettres avant une élection [1].
Bien que l'électeur occasionnel puisse croire que les organisations au nom stratégique qui publient des listes de publipostage ont soigneusement sélectionné les candidats avant de les inclure, la vérité est que la plupart ne sont rien de plus qu'une rémunération pour jouer sous une forme de marketing politique. L'inclusion dans ces annonces a plus à voir avec la capacité de payer que les vues du candidat inclus. La possibilité de pré-remplir le bulletin de vote d’un électeur rendra leur inclusion encore plus utile et mettra les candidats non financés par des groupes d’intérêts particuliers encore plus désavantagés.
Des groupes tels que la California Charter School Association (CCSA), qui ont déjà montré leur volonté de mettre de côté l’éthique pour gagner des élections, trouveront le nouveau système encore plus utile. Leurs documents imprimés pourraient mettre en valeur des candidats populaires sans même mentionner leur candidat préféré, tout en intégrant leur choix dans le code QR. L'électeur sans méfiance qui ne vérifie pas le bulletin de vote jusqu'au bureau de vote voterait pour un candidat pour lequel il n'a pris aucune mesure et peut même s'y opposer. En créant différentes listes pour couvrir plusieurs candidats dans les courses qui attirent le plus l’attention, des groupes comme le CCLAT pourraient amplifier leur effet sur les élections. Ils pourraient même imprimer une ardoise sur leur courrier et inclure un code QR qui place un jeu de noms complètement différent sur le bulletin de vote.
Compte tenu du rôle que les démocrates libéraux estiment que la classe des donateurs devrait jouer en politique, cela ne pose peut-être pas un problème à VSAP.
Conclusion
G-a-a-a-a-h! Tout ce design ! Tous ces principes ! Et au bout du compte, nous avons un système dans lequel l’électeur ne connaît pas le vote qu’il a exprimé, ce qui renforce le pouvoir de beaucoup d’argent. Un avocat habile doit intenter un procès à la Cour Suprême (qui, je suppose, peut choisir de mettre le dernier clou dans le cercueil de la démocratie). Oh, et VSAP espère que beaucoup d’autres administrations adopteront son système. Se gonfler.
https://www.zerohedge.com/political/la-county-intoduces-e-voting-system-not-hand-marked-not-paper-not-hand-counted-public
SupprimerPlus la technologie intelligente se répand (internet) plus de personnes y ont accès. D'où les difficultés d'amener des personnes intelligentes à voter pour l'un ou l'autre !
Rendez-vous compte que même les latinos arrivent à comprendre !
Donc, si l'internet s'ouvre à tous, il n'est pas évident de le contrer avec des machines à la con, sauf... sauf si on dit que ces machines à voter sont sûres ! HAHAHAHA !
Les gauchistes s'en prennent à la fausse université d'ICE ... Un plan Obama-Era
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Samedi, 30/11/2019 - 14h30
Écrit par Kelli Ballard via LibertyNation.com,
Trouver des moyens d'attraper les immigrés clandestins qui veulent rester non détectés aux États-Unis n'est pas une corvée facile. Il n’y a que beaucoup d’agents de patrouille aux frontières et une tonne de territoire à couvrir. L’immigration américaine et l’application des lois des douanes (ICE) ont fait l’objet de nombreuses critiques pour sa détermination à s’attaquer à la crise frontalière, en particulier depuis l’entrée en fonction du président Donald Trump. Et maintenant, l’agence fédérale est à nouveau sous le feu des critiques, cette fois pour avoir utilisé une fausse université pour attraper les recruteurs utilisant le système pour obtenir de l’argent tout en aidant des clandestins et des étudiants étrangers essayant de rester aux États-Unis.
Université de Farmington
Les médias traditionnels relatent à quel point il est horrible que ces étudiants, qui cherchent seulement à améliorer leurs conditions de vie, aient été dupés par le gouvernement. Certes, ils ont dû payer des frais de scolarité pour une école qui n’existait même pas. Mais l’histoire est bien plus que cela.
Premièrement, commençons par le fait que ce n’était pas un programme d’administration de Trump. Oui, tu l'as bien lu.
Le «stratagème» fictif des universités a commencé pendant le règne de Barack Obama, mais nous savons tous que le président sera celui qui sera critiqué. Il suffit de rappeler les installations de détention (mises en place avant Trump) comparées aux camps de concentration et aux cages pour bébés afin de savoir comment se déroulera celle-ci.
Sur les quelque 600 étudiants «inscrits» à la fausse université de Farmington, basée dans le Michigan, environ 250 ont été arrêtés depuis janvier. Environ 80% des personnes arrêtées ont bénéficié d'un départ volontaire du pays et 10% ont reçu un avis d'expulsion. Les 10% restants se battent contre l’arrestation et ont soit contesté les mesures d’expulsion, soit demandé une réparation. Un étudiant s'est même vu attribuer le statut de résident permanent par un juge d'immigration.
Les avocats d’étudiants prétendent que leurs clients ont été «piégés» ou «attaqués» par le gouvernement. Ils ont noté le site Web sur lequel le Département de la sécurité intérieure (DHS) déclarait que Farmington était légitime et constituait un établissement d'enseignement agréé. Mais les fonctionnaires fédéraux disent que les étudiants auraient dû savoir mieux puisqu'il n'y avait même pas de cours physiques à suivre. L’avocat adjoint des États-Unis, Brandon Helms, l’a souligné dans une note de condamnation adressée à l’un des huit recruteurs arrêtés au cours de l’opération. Il y disait:
«Leur véritable intention ne saurait être plus claire. Bien qu’ils soient «inscrits» à l’Université, cent pour cent des étudiants citoyens étrangers n’ont jamais passé une seule seconde dans une salle de classe. S'il s'agissait véritablement d'une éducation, l'Université n'aurait pas été en mesure d'attirer qui que ce soit, car elle ne disposait pas d'enseignants, de classes ou de services éducatifs. ”
Le faux programme universitaire a été conçu pour attirer les recruteurs qui tirent parti des étrangers en leur faisant payer beaucoup et en les recommandant aux écoles. Les procureurs affirment qu'il s'agit d'une forme de fraude sur les visas qui compromet l'intégrité du programme de visas pour étudiants, une initiative qui permet aux immigrants de rester dans le pays s'ils poursuivent des études et sont en règle, tant sur le plan académique que juridique.
RépondreSupprimerCertains des étudiants qui ont été pris au piège ne cherchaient pas à contourner le système et avaient été transférés à l'université parce que l'école qu'ils fréquentaient avait perdu son accréditation, ce qui rendait leurs visas nuls et non avenus. Cependant, comme le notait DHS, dans la plupart des cas, les jeunes universitaires restaient inscrits même s'ils n'avaient jamais assisté à un cours ni rencontré un professeur, ce qu'ils auraient dû réaliser, ce qui n'était pas approprié. Très peu d'entre eux ont été transférés dans un autre établissement après avoir réalisé que quelque chose n'allait pas, cependant.
Néanmoins, la façon dont ICE a mis en place cette opération fait l’objet de nombreuses controverses. Elle utilise DHS pour gérer le faux établissement et accepte les frais de scolarité des étudiants. Jusqu'à présent, aucune charge n'a été retenue contre l'agence fédérale, mais une fois que la gauche a la chance de se dégonfler du dîner de Thanksgiving, nous pouvons être assurés de voir ce dernier numéro entièrement aux mains du président, même s'il s'agissait d'un programme de l'administration Obama. pour commencer.
https://www.zerohedge.com/political/leftists-lambaste-ices-fake-university-obama-era-scheme