- ENTREE de SECOURS -



dimanche 22 décembre 2019

STAR - Igor Petrenko, Iekaterina Voulitchenko, Artiom Semakine, Alexeï Panine

https://www.youtube.com/watch?v=vcGC2JDh-pc

13 commentaires:

  1. Les critiques d’Hollywood Reporter ont choisi les pires films de 2019


    21:43 21.12.2019


    Les critiques d’Hollywood Reporter ont sélectionné les dix pires films de 2019, annonce l’édition sur son site Web.

    La liste des dix pires films de 2019, choisis par les critiques d’Hollywood Reporter, comprend deux réalisations avec la participation de John Travolta, l'adaptation cinématographique de Cats et le dernier travail de Stallone, précise le site de l’édition.

    Les experts ont d’ailleurs conseillé à tous ceux qui souhaitaient devenir critiques de cinéma de les regarder tous les dix pour s’entraîner. En effet, la concurrence dans le métier est très élevée et il faut visionner beaucoup de mauvais films.

    Le podium est formé par le dessin animé Guardians of the Arctic, suivi d’une adaptation cinématographique de la comédie musicale Cats - qui a reçu des commentaires négatifs dès sa première bande-annonce. Sur la troisième marche, Dark Phoenix, un nouveau volet de la franchise des X-Men.

    Un triste palmarès

    À la quatrième place, Domino, thriller «ennuyeux» de Brian De Palma avec Nikolai Coster-Waldau dans le rôle-titre, et à la cinquième, le Fan «très peu convaincant» avec John Travolta.

    Pour clore ce triste palmarès 2019, restent Ghosts of Sharon Tate; Million Small Shards; Rambo: Last Blood; Calm et, enfin Side by Side, avec de nouveau John Travolta.

    https://fr.sputniknews.com/culture/201912211042641180-les-critiques-dhollywood-reporter-ont-choisi-les-pires-films-de-2019/

    RépondreSupprimer
    Réponses

    1. Lorsqu'un film est mauvais ce n'est ni la faute du scénariste, ni celle du Producteur qui a acheté les droits, ni la faute des artistes sur le plateau, c'est LA faute au metteur-en-scène qui dit "Coupez, on la garde !"

      Suivez tel ou telle interprète durant sa carrière et vous verrez que la façon de jouer est différente et parfois trop moche, nulle, zéro. C'est LA faute du metteur-en-scène qui a fait recommencé la scène 50 fois pour garder la scène la plus 'noire', 'claire', 'rose', 'bleue', 'violette' et j'en passe !

      Sur un plateau c'est LE metteur-en-scène qui dirige l'éclairage, les artistes et il n'y a QUE lui qui parle.

      Il peut avoir un très bon scénario et pas savoir ce qu'il veut des artistes ! Le plus souvent il n'appelle même pas le scénariste pour qu'il lui décrive la scène qu'il a vue lors de l'écriture !!

      Ou parfois (exactement c'est 99 % des cas !!) le scénario doit être dépouiillé de toutes remarques sur les décors, les costumes, l'éclairage ou les angles ! Et donc, le Producteur se fait une idée à lui du scénario, le metteur-en-scène se fait une idée à lui du scénario, les artistes qui le lisent se font encore une idée à eux du scénario et, finalement, le film qui sort ne correspond en rien avec le scénario du scénariste !

      Supprimer
  2. Électricité : noir c’est noir !

    Les règles de prudence pour équilibrer le réseau électrique français sont bafouées par des responsables politiques et, plus grave encore, par le Réseau de transport d’électricité


    Par Michel Gay1.
    22 DÉCEMBRE 2019


    Les règles de prudence pour équilibrer le réseau électrique français sont bafouées par des responsables politiques et, plus grave encore, par le Réseau de transport d’électricité (RTE).

    De la cécité volontaire au blackout accidentel, le résultat sera le même, il fera noir.

    VERS UN AVENIR ÉLECTRIQUE INTERMITTENT ?

    La France s’achemine vers une période d’incertitude électrique. Sa capacité à pouvoir accorder la demande d’électricité et l’offre diminue au fur et à mesure que le développement des énergies renouvelables (EnR) progresse, sans aucun bénéfice tangible pour le climat.

    La possibilité d’une absence de vent et de soleil en Europe limitera de plus en plus la puissance électrique disponible en France et dans les différents pays qui lui sont connectés. Cette situation conduira à des délestages tournants à distance grâce aux possibilités du nouveau compteur Linky, voire à un blackout. Et cette situation se produira d’autant plus rapidement que le mix électrique de nos voisins sera riche en moyens éoliens et photovoltaïques dont l’objectif semble être de consommer beaucoup moins d’énergie…

    Peut-on exposer ainsi volontairement à un tel risque nos sociétés devenues totalement électro-dépendantes ?

    Même si l’efficacité énergétique progresse, l’incitation à transférer des usages carbonés vers l’électricité (mobilité électrique…) devrait avoir quelques conséquences fâcheuses.

    MAINTENIR LA TENSION…. EN LA FAISANT BAISSER !

    La règle d’or de l’alpinisme est de ne lâcher une prise qu’après en avoir assuré une autre. Ce principe semble pourtant ne pas valoir pour le réseau national d’électricité.

    Alors que la situation du système électrique s’annonce tendue voire critique dans les années à venir, RTE n’incite pas les pouvoirs publics à reconsidérer certaines de leurs injonctions loufoques issues de la loi de transition énergétique votée en août 2015.

    Ainsi, les dernières centrales à charbon utilisées seulement quelques centaines d’heures par an dans des situations difficiles, restent encore capables d’offrir une puissance de 3 gigawatts « à la demande » en soutien au réseau électrique, ce qui est considérable.

    Ces centrales sont pourtant vouées à la destruction. Elles sont l’otage de la volonté politique de montrer à nos voisins, et à la planète tout entière, que la France est un bon élève climatique, et qu’elle fait le ménage en chassant implacablement les gaz à effet de serre.

    Leur contribution en gaz carbonique est pourtant marginale dans un système électrique qui, globalement, n’en produit quasiment pas. C’est pourtant cet argument qui est brandi par les plus radicaux pour leur élimination.

    RépondreSupprimer
  3. MORDRE LA MAIN QUI NOURRIT

    L’arrêt des deux réacteurs de la centrale de Fessenheim programmé en 2020 n’a aucun rapport avec une quelconque préoccupation climatique. Cet argument est un mensonge admis par la députée Marjolaine Meynier Millefert.

    Cette décision politique sert à calmer les ennemis viscéraux du nucléaire qui ont réussi à mettre un pied dans la porte, et qui ne vont pas s’arrêter en si bon chemin. La Planification Pluriannuelle de l’Energie (PPE) constitue même leur feuille de route.

    Pourquoi maintenir coûte que coûte le découplage entre l’arrêt de Fessenheim et l’entrée en production de l’EPR qui respecte pourtant la disposition de puissance nucléaire maximale installée prévue dans la loi de 2015 ?

    Le nucléaire ne gêne pas le développement des EnR car ces dernières sont prioritaires sur le réseau qui doit s’adapter à leurs productions « erratiques ».

    Le nucléaire français est pilotable et souple. Mais cette qualité remarquable se retourne contre lui. Moins utilisé et moins bien rémunéré à cause du déversement prioritaire des productions EnR sur le réseau, il s’éloigne de plus en plus de l’optimum technico-économique pour lequel il a été pensé car ses coûts fixes (les plus importants) sont incompressibles.

    Le nucléaire est pourtant reconnu par le Président de la République française et par l'IPCC (dépendant de l’ONU) comme un élément déterminant de la souveraineté nationale et de la décarbonation mondiale.

    L’épanouissement des EnR permet encore de faire illusion puisque, pour le moment, ces dernières progressent sans conséquences dommageables visibles sur la continuité de la fourniture.

    Le consommateur, ignorant les arcanes de la production d’électricité, ne fait pas la corrélation entre le développement des EnR et l’augmentation des prix du courant (évidemment imputée au nucléaire dont les coûts sont stables depuis des années). Il ne fait pas le lien non plus avec l’envol des taxes sur les carburants, désormais source du soutien financier au développement des EnR électriques.

    LE COUPABLE EST DÉJÀ CONNU

    Si un blackout devait advenir ou si des coupures tournantes de courant s’imposaient, un coupable est déjà tout désigné à la vindicte : le nucléaire !

    Élément dominant du mix électrique, les regards inquisiteurs se tourneraient vers lui, arguant d’une moindre disponibilité constatée de l’ensemble des réacteurs. L’argument ne serait pas sans fondement car depuis plusieurs années la disponibilité globale du nucléaire chute sous l’empilement des contraintes règlementaires de plus en plus lourdes à respecter, ce dont se réjouissent les antinucléaires.

    De plus, la famille des réacteurs les plus anciens atteint progressivement la séquence des quatrièmes révisions décennales, ce qui implique des arrêts prolongés pour mener les contrôles et les travaux.

    Mais RTE connait ces contraintes industrielles quantifiées et planifiées depuis longtemps. Elles font partie des éléments à prendre en compte pour équilibrer la demande et l’offre électrique, sa mission prioritaire.

    RépondreSupprimer
  4. FUNAMBULES SUR UN FIL ÉLECTRIQUE

    L’opinion, à qui les médias présentent avec constance l’inverse de la réalité, s’est accoutumée à marcher sur la tête.

    Voir pousser partout des mâts éoliens et des champs photovoltaïques n’étonne donc presque plus personne. Pas plus que demander de faire des efforts ruineux pour décarboner à prix d’or un système électrique qui l’est déjà. Tout paraît… logique (comme de vouloir tondre un chauve), alors que tant reste à faire par ailleurs (transport, habitations,…).

    Cette même opinion plébiscite cette évolution « écologique » sans réaliser que la France (et surtout RTE…) ne pourra à la fois satisfaire aux injonctions vertes et laxistes du politique et à celles, immuables et implacables, de la physique.

    Imposer aux Français de marcher la tête à l’envers, sur un fil, et dans le noir devrait éveiller quelques suspicions sur l’avenir dangereux et peu « durable » d’une telle situation.

    Quand il fera noir, il sera trop tard.

    Et chacun pourra alors chanter la chanson de Johnny Halliday « Noir, c’est noir, il n’y a plus d’espoir… ».

    1 - Une libre reprise, avec son accord, d’un article publié par Gérard Petit sur « Le monde de l’Énergie ». ?

    https://www.contrepoints.org/2019/12/22/360896-electricite-noir-cest-noir

    RépondreSupprimer
  5. Escroquerie des « glyphotests » : s'il n'y en a plus qu'un, de média national, c'est le Point


    22 Décembre 2019
    par Seppi
    Glané sur la toile 450


    Fiers d'avoir été escroqués...

    Nous avions titré le 19 décembre 2019 : « Les "glyphotests" du laboratoire BioCheck taxés de malhonnêteté ». Le même jour, sous la signature de Mme Géraldine Woessner, le Point a produit une analyse allant dans le même sens sous le titre : « Preuve à l'appui : les glyphotests sont bidon ! »

    En chapô :

    « VIDÉO. Une analyse sous contrôle d'huissier s'est intéressée aux "pisseurs de glyphosate". Sa conclusion : c'est une vaste opération de manipulation de l'opinion. »

    C'est une excellente analyse reprenant les points essentiels. La conclusion :

    « Pour Jean-Alain Divanac'h, président de la FDSEA du Finistère, "la non-fiabilité du laboratoire allemand est aujourd'hui avérée : étant les plus exposés en tant qu'agriculteurs, nous n'avons pourtant pas dans nos urines de traces quantifiables de l'herbicide. Pour nous, ces associations sont malhonnêtes. Qu'elles soient contre Monsanto ou anticapitalistes, c'est très bien. Mais elles n'ont pas à polluer le débat public et médiatique en utilisant des tests biaisés pour servir leurs causes", regrette-t-il. "En pleine campagne électorale, de nombreux politiques sont tentés, on le voit, d'utiliser cette propagande populiste. Ils doivent conserver leur esprit critique !" Plusieurs maires, en effet, ont justifié par ces glyphotests la prise d'arrêtés interdisant l'épandage de pesticides à moins de 150 mètres des habitations. Des décisions "irrationnelles", qui coûtent cher à la collectivité : "Il faut arrêter de déborder les tribunaux avec ces procédures. La justice ne doit pas être instrumentalisée." On ignore encore, aujourd'hui, ce que vont devenir les 2 960 plaintes d'ores et déjà déposées. »

    Cela mérite peut-être une brève analyse.

    On peut raisonnablement mettre au bénéfice des initiateurs de l'opération des dosages de glyphosate une méconnaissance des limites et insuffisances des tests de BioCheck. Mais la question suivante prend alors une plus grande importance : quid quand les doutes, de plus en plus sérieux, ont commencé à poindre, quand des objections de taille comme la non-accréditation du laboratoire BioCheck pour des analyses médicales humaines ont été soulevées, et que les opérations de dosages se sont nénamoins poursuivies ?

    Y aura-t-il des « pisseurs » volontaires pour porter plainte pour escroquerie ?

    Nous apprenons par ailleurs que la FDSEA d'Ille-et-Villaine introduit une action contre les « pisseurs involontaires » :

    « Nous y dénonçons les procédés de communication mensongers de ce collectif ainsi que l’incitation au harcèlement et à la violence contre les agricultrices et les agriculteurs français. Il n’est plus acceptable ni supportable que de tels agissements et de telles manipulations de nos concitoyens restent impunis. »

    (Source)

    S'agissant de la pollution du débat public et médiatique, les « pisseurs involontaires » ont sans nul doute actionné les bons leviers. Mais ne faut-il pas incriminer essentiellement les acteurs et influenceurs du débat public que sont les médias ?

    RépondreSupprimer
  6. M. Jean-Alain Divanac'h a raison d'évoquer les politiques utilisant une propagande populiste. Mais le problème est plus sérieux. Il peut s'illustrer par un article du Parisien, « Hauts-de-Seine : le tribunal donne encore raison aux maires anti-glyphosate » : il y a une instrumentalisation en boucle des pouvoirs politiques, judiciaires et médiatiques. Le Parisien écrit :

    « Et trois victoires de plus. Le tribunal administratif (TA) de Cergy-Pontoise (Val-d'Oise) a validé trois arrêtés municipaux anti-pesticides supplémentaires, ce jeudi.

    Une semaine après l'audience, les magistrats ont rejeté les référés-suspension du préfet des Hauts-de-Seine l'opposant aux maires de Bagneux, Nanterre et Malakoff. Le tribunal a en revanche suspendu l'arrêté pris par la ville de Garches. »

    Non, rejeter une demande de suspension ne revient pas à « valider ». Et tant les politiques que les juges des référés savent très bien que les arrêtés ne résisteront pas à un examen quant au fond.

    Mme Géraldine Woessner s'interroge au bout du compte sur les plaintes d'ores et déjà déposées. On peut aussi se demander pourquoi les premières demandes n'ont pas encore été examinées. Ne devrait-on pas pouvoir attendre de la justice qu'elle accélère son cours quand elle sait qu'elle est instrumentalisée ? Quand elle sait que tant que les affaires qui sont portées devant elle pèsent sur les débats politiques et médiatiques tant qu'elle ne sont pas jugées ?

    Un commentateur a écrit :

    « […]

    Les articles de Géraldine Woessner sont toujours frappés d'une grande rigueur, ce qui n'est pas le cas de l'ineffable Elise Lucet, qui bénéficie scandaleusement du porte-voix d'une chaîne de service publique. Malheureusement, il faut craindre que Mme Michu ait plus de faciliter à activer la télécommande qu'à lire le Point. Il est regrettable que les articles de Géraldine Woessner ne connaissent pas une plus large diffusion. Lire sont bouquin sur le nucléaire. »

    Post scriptum

    Dans un autre article, Mme Géraldine Woessner s'est faite didactique : « Tout comprendre aux résultats d'un glyphotest ».

    Une page locale d'Ouest France – un journal qui nous a paru particulièrement assidu dans la promotion des « pisseries » – s'interroge : « Deux-Sèvres. Pisseurs de glyphosate : les analyses étaient-elles fiables ? » C'est derrière un péage... nous n'aurons donc pas la réponse à la question.

    20 Minutes a répercuté l'information sur la plainte de la FDSEA d'Ille-et-Villaine... en l'assortissant d'une vidéo nauséabonde anti-Monsanto. Ou comment ridiculiser l'information principale par une diversion... et entretenir la glyphophobie...

    http://plateforme-de-merde-aux-spams-dangereux-moins-de-500-personnes-vont-sur-overblog- par-jour

    RépondreSupprimer
    Réponses

    1. La France est vendue, sans le sou, dette de plus de 100 % du PIB. Ports, aéroports, stades et communications sont vendus tous les jours à des étrangers. Tout est entre les mains de privés extérieurs. Ils ferment les industries, la paysannerie qui ose encore nourrir les français et installent un nouvelle dictature à eux.

      Supprimer
  7. Tentative de racket (allégué) du « super-avocat » tombeur de Monsanto : l'empire de l'activisme et de la désinformation contre-attaque


    21 Décembre 2019
    par Seppi


    Elle est bien « embêtante » (euphémisme...), cette affaire de racket de M. Timothy Litzenburg, l'avocat prédateur anciennement de The Miller Firm (TMF) et maintenant associé dans Kincheloe, Litzenburg & Pendleton. Il avait joué un rôle important dans l'affaire Dewayne « Lee » Johnson c. Monsanto, largement médiatisée en France puisque – c'est la bonne conjonction... – elle se termina par un verdict de 289 millions de dollars ensuite ramenés à 78,5 millions de dollars. FOXBusiness l'avait présenté en son temps comme le « tombeur de Monsanto ».

    L'inculpation de M. Timothy Litzenburg vient entacher la crédibilité et la réputation de ces avocats que les militants et activistes – ici anti-glyphosate et monsantophobes – se plaisent à décrire comme des défenseurs de la veuve et de l'orphelin – de la santé publique et de l'environnement – luttant hardiment contre les méchantes multinationales avides de profits.

    Si M. Timothy Litzenberg est présumé innocent jusqu'à ce que sa culpabilité soit établie par un tribunal, les faits, portés à l'attention du public par nul autre que le Département de la Justice états-unien, sont indiscutables : il a tenté d'obtenir un « contrat de consultance » selon toutes les apparences bidon au prix de 200 millions de dollars, faute de quoi l'entreprise ainsi « démarchée » (qui n'est pas Bayer/Monsanto subirait des dommages financiers et de réputation substantiels par le fait d'une campagne de plaintes en justice, une sorte de « "Roundup 2" interminable et public ».

    C'est bien « embêtant »...

    Mme Carey Gillam, de US Right to Know – dont on rappellera que c'est une officine qui roule pour le biobusiness et les charlataneries du « bien-être » et suit de près diverses sagas judiciaires – a trouvé une parade :

    (Source)

    « L'avocat dans le litige du cancer et du Roundup qui a été arrêté pour avoir tenté d'extorquer de l'argent avait trouvé en 2012 des courriels montrant que Monsanto était préoccupé par les avertissements de cancer liés à un surfactant. Voir les détails sur https://usrtk.org/monsanto-roundup-trial-tacker/attorney-for-roundup-cancer-plaintiffs-arrested-on-criminal-charges/…

    Ah, le beau sophisme de la diversion...

    Ah, l'escroquerie... Ce n'est pas « des courriels », mais « un courriel ».

    Et, sur le fond de l'affaire, il s'agit de quelqu'un qui pose une question à propos des « avertissements de cancer » requis par une législation californienne complètement délirante – la proposition 65 (voir par exemple ici). De plus, la question porte sur les conséquences – insistons : au regard de la proposition 65 – de la présence possible et en quantité très faible, « résiduelle » de deux substances, la dioxane et l'EO/PO.

    S'assurer qu'on est dans les clous par rapport à cette législation ne dit strictement rien sur le caractère cancérogène ou non et préoccupant aux doses pertinentes des substances en cause. Mais, bien sûr, dans le climat actuel, cela sonne comme la découverte d'une « nouvelle » malversation de Monsanto.

    Mais ça marche ! Le courriel commence à être répercuté en France...

    (Source)

    RépondreSupprimer
  8. Des « mails compromettants » ? Quel aveuglement et manque de discernement ! Et on ne peut qu'adorer le conditionnel : « ...il aurait tenté de monnayer son silence 200millions $ ». Quel aurait été (conditionnel de rigueur ici) le mode employé si cela vait concerné une action de Bayer/Monsanto ?

    (Source)

    Là, on change de braquet ! Un « composant » – selon la phrase suivante un surfactant – est cancérogène, et l'étiquetage californien aurait été inévitable.

    Nous attendons maintenant un article de notre journal préféré...

    Et aussi un très spécial Envoyé Spécial...

    Rêvons...

    http://plateforme-de-merde-aux-spams-dangereux-moins-de-500-personnes-vont-sur-overblog- par-jour

    RépondreSupprimer
  9. Les incendies de forêt de 2019 brûlent 20 fois plus de terres que la réduction de carburant gérée en Nouvelle-Galles du Sud (jusqu'à présent)


    December 22nd, 2019


    La conversation dont l'Australie a besoin: faut-il éviter les incendies avec brûlures dirigées ou panneaux solaires ?
    Jusqu'à présent, les incendies de forêt en Nouvelle-Galles du Sud ont brûlé 2 700 000 ha ou une superficie de 164 km² et détruit au moins 720 maisons (c'était le 11 décembre).

    Le dilemme: sera-t-il des incendies gérés ou des incendies de forêt non gérés pour réduire le carburant ? Ou si vous êtes Tim Flannery qui dit que c'est "immoral de ne pas relier les points", la question est "combien de panneaux solaires faudra-t-il pour arrêter ces maisons de brûler ?" Ou peut-être "comment arrêter la foudre" ?

    Il s'agit de la taille approximative de la zone cible de réduction des risques contrôlée, telle qu'elle a été réalisée pour la Nouvelle-Galles du Sud par rapport à la zone de «réduction des risques» de Dame Nature. La zone de réduction officielle des risques par le National Parks and Wildlife Service (NPWS) est de 135 000 ha, soit un carré d'environ 36 km². Il y aurait une autre réduction de carburant privée. Quelqu'un peut-il trouver des chiffres pour cela ?

    - voir sur site -

    Australian Wildfires Area, 2019, NSW, décembre. Carte.


    Pour protéger les maisons, nous avons besoin d'une marge de 100 m (au moins) et de brûler 20% du paysage chaque année.

    L'écologiste des incendies du NPWS en Nouvelle-Galles du Sud, Ross Bradstock, a déclaré que pour protéger le logement de Sydney:

    Nous avons déterminé que vous devez brûler 20% du paysage par an pour réduire considérablement la taille des incendies de forêt, des incendies par mauvais temps. (50)
    - Enquête parlementaire australienne 2002-03

    Source d'information:
    Les zones sont approximatives et ont été générées avec l'outil de zone de carte Google.

    Objectif de réduction de carburant pour la foresterie NSW = 135 000 ha (Daily Telegraph, nov.2019)
    Incendies de forêt (jusqu'à présent) = 2 700 000 ha (NSW Rural Fires Service - résumé du clic pour afficher le «Tableau» 22-12-2019)
    Superficie totale de forêt en Nouvelle-Galles du Sud = 27 000 000 ha
    Superficie de NSW = 80 000 000 ha. (Géoscience Australie)
    Les plus grands feux de brousse de l'histoire australienne:
    1851 Jeudi noir - Victoria 5 000 000 ha

    1984/84 NSW 3 500 000 ha
    NSW 2019 2700000 ha et toujours en feu.

    Dans d'autres informations utiles, parfois les responsables de la Nouvelle-Galles du Sud n'atteignent même pas leurs objectifs, et la foudre provoque 30% des incendies:

    En 2018, NSW a brûlé 95830 ha de réduction de carburant (seulement 71% de l'objectif annuel de 135000 ha) (NSW State of the Environment Report 2018, NSW EPA). «Au cours des 10 dernières années, un tiers des incendies dans les réserves ont été causés par la foudre, qui a brûlé 59% de la superficie totale» (NSW State of the Environment Report 2018, EPA)

    RépondreSupprimer
  10. ARTICLES SIMILAIRES

    Trop de carburant provoque des feux de brousse extrêmes, pas le changement climatique
    Les incendies d'août 1951 dans le Queensland ont été décrits comme «catastrophiques» lorsque le gaz carbonique était de 311 ppm
    Le réchauffement climatique signifie une chute mondiale des incendies de forêt
    Californie: peut-être que les brûlures prescrites tous les 500 ans ne suffisent pas ?
    Hystérie mondiale sur les incendies d'Amazon basée sur rien que des photos de Twitter
    Oiseaux utilisant des bombardements aériens avec des bâtons pour allumer des feux et débusquer des proies
    L'histoire se répète - en 1961, un brasier de 41 jours a détruit 160 bâtiments et brûlé une plus grande zone dans le sud-ouest de WA
    Chaleur et incendies de l'époque où le gaz carbonique était «idéal»: jeudi noir, 1851
    Les charges de carburant et non le changement climatique aggravent les feux de brousse
    ABC prévoit d'arrêter les feux de brousse avec des moulins à vent et des seaux de votre argent

    Été en Australie depuis le 21 Décembre.

    http://joannenova.com.au/2019/12/2019-wildfires-burn-20-times-as-much-land-as-managed-fuel-reduction-in-nsw/#more-68274

    RépondreSupprimer
  11. Quelles sont les chances pour la Chine de créer un «soleil artificiel» ?


    14:14 22.12.2019


    Selon Newsweek, la construction d’un «soleil artificiel», lancée par des scientifiques chinois en 2006, devrait porter ses fruits en 2020. Un spécialiste russe a commenté dans une interview pour la télévision nationale les perspectives de ce projet de la Chine.

    En 2020, les scientifiques chinois devraient mettre en exploitation un nouveau réacteur expérimental de fusion nucléaire HL-2M dans le cadre du projet EAST, rapportait Newsweek le 17 décembre, indiquant que ses processus sont similaires à ceux qui se déroulent au cœur du Soleil. Selon le directeur du Southwestern Institute of Physics, Duan Xuzhu, ce réacteur pourra chauffer le plasma à des températures supérieures à 200 millions de degrés Celsius, soit 13 fois plus que la chaleur du véritable Soleil.

    L'installation chinoise HL-2M dépassera en quelque sorte les installations déjà existantes, mais il ne s’agit toutefois là d’aucune percée dans ce domaine, a estimé le professeur Gueorgui Tikhomirov, directeur adjoint de l'Institut de physique nucléaire et de technologies de l'Université nationale de recherche nucléaire MEPhI (Institut d'ingénierie physique de Moscou), docteur ès sciences mathématiques et physiques.

    «Très probablement, ils [les Chinois, ndlr] créeront une sorte de petite installation compacte, où ils pourront atteindre de bons paramètres sur le plasma. Néanmoins, cela ne marquera aucune percée dans le secteur de l'énergie», a déclaré le spécialiste.

    S’agit-il d’une percée dans le secteur de l’énergie ?

    Et d’ajouter que le plus grand réacteur thermonucléaire au monde, connu sous le nom d'ITER, était en cours de construction en France, et que la Russie participait également à sa création.

    Selon M.Tikhomirov, le réacteur que développe la Chine ne pourra guère dépasser le réacteur thermonucléaire expérimental international (ITER), projet dont l'aboutissement est prévu pour 2025.

    Par ailleurs, l'expert a rappelé qu'aujourd'hui, en Russie, la recherche sur la fusion évoluait tous azimuts.

    Selon la Chine, son programme HL-2M vise à se servir de la fusion nucléaire comme d’une nouvelle énergie propre et illimitée.

    https://fr.sputniknews.com/sci_tech/201912221042642700-quelles-sont-les-chances-pour-la-chine-de-creer-un-soleil-artificiel/

    RépondreSupprimer