- ENTREE de SECOURS -



lundi 14 février 2022

Vaccins à ARN messager : L’énorme bombe qui vient d’éclater aux USA

le 14 février 2022


L’armée américaine compte 1,4 million de personnels et l’état de santé de ces derniers est méticuleusement suivi. Les dossiers sont centralisés dans le DMED (Defense Medical Epidemiology Database) et il est apparu au cours du mois de janvier 2022 que les données de la DMED avaient été modifiées pour une raison inconnue alors que 94 % des personnels militaires ont été « vaccinés ». Trois lanceurs l’alerte internes à l’armée ont divulgué l’ensemble des données de la DMED avant que celles-ci aient été modifiées ( https://renz-law.com/dmed-data/ ) et le Sénateur Ron Johnson a mandaté des spécialistes pour analyser ces données avec la plus stricte objectivité. D’une manière générale l’état de santé générale des personnels de l’armée américaine est très correct et d’un niveau plus élevé que l’ensemble de la population américaine. Pourtant cette analyse constitue une véritable bombe en ce qui concerne la toxicité du « vaccin » auquel a été soumis le personnel militaire.

Les résultats qu’ont voulu à tout prix dissimuler au public les autorités militaires sont sans appel. Ceux-ci sont exprimés en pourcentage. Il faut bien comprendre qu’une augmentation de 200 % d’une pathologie signifie qu’au lieu d’avoir un cas il y en a maintenant trois, 100 % étant un doublement du nombre de cas et 200 % un triplement. Bien que l’état de santé des militaires soit très satisfaisant voici ce qui ressort de cette analyse, l’année de référence étant l’année 2019, par ordre décroissant du nombre de pathologies : 

hypertension plus 2081 %, 

maladies du système nerveux +948 %,

 tumeurs malignes de l’oesophage +794 %, 

 sclérose multiple +580 %, 

 autres tumeurs malignes du système digestif +524 %, 

 maladie de Guillain-Barré +451 %, 

 cancers du sein + 387 %, 

 démyélination +387 %, 

 tumeurs de la thyroïde +374 %,

  infertilité féminine (fausse-couche) +372 %, 

  embolies pulmonaires +368 %, 

  migraines persistantes +352 %, 

  malfonctions ovariennes +337 %, 

  cancers des testicules +269 %, 

  tachycardie +202 %.

Ce n’est pas une énumération à la Prévert mais une description détaillée terrifiante des effets secondaires du « vaccin » sur un échantillon de 1,4 millions de personnes dans un état de santé général très satisfaisant. S’il fallait trouver d’autres preuves de la toxicité de ce « vaccin » ce serait superflu. Comme on pouvait s’y attendre tous les haut-gradés nient l’évidence, circulez il n’y a rien à voir, et pourtant … l’armée américaine a enregistré au cours de l’année 2021 vingt-deux millions de déclarations d’effets secondaires de la « vaccination » alors qu’en 2019 seulement les services de santé de l’armée avaient recensé seulement 1,7 million de déclarations de maladies soit 13 fois plus. Treize fois plus de déclarations de maladies n’est-ce pas une preuve du crime mon Cher Watson ? Enfin ces statistiques qui ont « fuité » malencontreusement de la DMED ne mentionnent aucun décès, « qu’en pensez-vous Docteur Watson ? » aurait dit Sherlock Holmes.

https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/02/14/vaccins-a-arn-messager-lenorme-bombe-qui-vient-declater-aux-usa/

30 commentaires:

  1. Au moment où des centaines d'oiseaux tombent soudainement du ciel au Mexique, laissant des cadavres éparpillés sur le trottoir

    Des centaines de merles à tête jaune migrateurs tombent du ciel au Mexique
    Des images prises le matin du 7 février montrent les oiseaux sans vie sur le trottoir
    La police a reçu des rapports sur les oiseaux vers 8 h 20 à Cuauthemoc, au Mexique
    Les oiseaux volaient vers le sud au Mexique depuis le Canada pour le reste de l'hiver


    Par KAYA TERRY
    POUR MAILONLINE
    11h57 GMT, 14 février 2022


    C'est le moment où des centaines d'oiseaux migrateurs sont mystérieusement tombés du ciel alors qu'ils étaient en plein vol au Mexique.

    - voir clip épouvantable sur site -

    La police a été appelée vers 8 h 30 le 7 février après que des habitants ont signalé des oiseaux morts éparpillés sur le trottoir dans le quartier d'Alvaro Obregon à Cuauhtemoc, une ville de l'État de Chihuahua.

    Des images choquantes, devenues virales sur les réseaux sociaux, montrent le nuage de merles à tête jaune tombant soudainement au sol.

    Beaucoup de troupeaux sont vus s'envoler, mais plusieurs dizaines ont été laissés morts dans la rue.

    La police a été appelée sur les lieux vers 8 h 30 le 7 février après que des résidents locaux ont signalé des oiseaux morts éparpillés sur le trottoir dans le quartier d'Alvaro Obregon à Cuauhtemoc, une ville de l'État de Chihuahua.

    Des images, qui sont depuis devenues virales sur les réseaux sociaux, montrent que les oiseaux tombent soudainement au sol en plein vol

    https://www.dailymail.co.uk/news/article-10510163/Hundreds-birds-suddenly-drop-sky-Mexico-leaving-dead-bodies-sidewalk-Video.html

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Nouvelle hécatombe dans le monde animalier, toutes les centaines d'oiseaux (de même espèce), toutes les centaines de poissons (de même espèce) sont retrouvés morts. Les analyses post-mortem n'ont pas diagnostiqué d'empoisonnement ou de gaz toxique dans l'air ou dans l'eau. L'autopsie est formelle depuis des années. L'affaire est liée au phénomène d'ondes diffusé par HAARP. Ce sont là des essais portés sur divers types spécifiques d'animaux.

      On ne peut s'empêcher de penser à la composition des expérimentations géniques d'essais (frauduleusement appelée 'vaccin') qui comprend entre 95 à 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène. L'oxyde de graphène joue un rôle primordial dans sa liaison entre l'émetteur (extérieur/téléphone) et récepteur-réémetteur vers le cerveau.

      Supprimer
  2. La production de cacao – l'agriculture au service des douceurs chocolatées


    14 Février 2022
    Markie Hageman, AGDAILY*


    La Saint-Valentin, c'est aujourd'hui et les boîtes de chocolats en forme de cœur qui seront offertes aux proches ne manquent pas dans tout le pays. Cette fête est l'une des plus importantes pour les ventes de chocolat, bien que cette denrée soit sujette à des controverses concernant le travail et son impact sur l'environnement – les Américains en consomment environ 1,27 milliard de kilos chaque année. C'est un produit très demandé, mais dont l'origine est peu connue.

    Les fèves de cacao, principal ingrédient du chocolat, sont produites dans trois grandes régions : l'Amérique latine, l'Afrique occidentale et l'Asie du Sud-Est. En fait, 70 % des fèves de cacao du monde sont produites au Ghana et en Côte d'Ivoire. Cette culture fournit un revenu à plus de 5 millions de familles dans le monde.

    La production du cacao est le fruit du travail acharné et du dévouement de millions de petites exploitations familiales.

    La fève de cacao n'est pas une denrée très rentable, la plupart des producteurs vivant dans la pauvreté. Cela est dû à la sensibilité du cacaoyer. Selon le site cocoalife.org, « il a besoin de précipitations et de températures élevées pour pousser, ainsi que d'arbres de la forêt tropicale pour offrir de l'ombre et une protection contre l'excès de lumière et les dommages causés par le vent. Les plantations de cacao étant sensibles à ce type de climat, elles ne peuvent s'épanouir que dans une étroite bande de pays entre 20 degrés au nord et au sud de l'équateur."

    La culture du cacaoyer est donc protégée du vent et du soleil, et les producteurs gèrent les arbres pour éviter les maladies et le stress. Les arbres commencent à produire vers l'âge de quatre ou cinq ans, et peuvent produire pendant environ 30 ans.

    Ne gagnant qu'environ 80 cents par jour, les producteurs de cacao cultivent et récoltent à la main. Chaque cabosse de fèves de cacao sur un arbre donne environ 50 fèves (il en faut 400 pour produire une livre de cacao). Les cabosses sont coupées à l'aide d'une lame aiguisée et les fèves sont retirées à l'aide d'une massue en bois, entre sept et dix jours après la récolte. Ces fèves sont humides au moment de la récolte et sont mises en tas pour fermenter avant de sécher.

    Les fèves doivent être mises en tas ou en boîte pour permettre la fermentation. Les tas sont généralement recouverts de feuilles de bananier. Le processus de fermentation peut durer de deux à cinq jours, et la durée dépend du type de fève.

    Le processus de fermentation est complexe, mais l'Organisation Internationale du Cacao l'explique :

    RépondreSupprimer
  3. « [Elle] commence par la croissance de micro-organismes. En particulier, des levures se développent sur la pulpe qui entoure les fèves. Des insectes, comme la Drosophila melanogaster ou mouche du vinaigre, sont probablement responsables du transfert des micro-organismes vers les tas de fèves. Les levures transforment les sucres de la pulpe entourant les fèves en éthanol. Les bactéries commencent alors à oxyder l'éthanol en acide acétique, puis en dioxyde de carbone et en eau, ce qui produit davantage de chaleur et augmente la température. La pulpe commence à se décomposer et à s'écouler au cours du deuxième jour. Dans des conditions anaérobies, l'alcool se transforme en acide lactique mais, comme l'alcool s'oxyde plus activement en acide acétique, les conditions deviennent plus aérobies et stoppent l'activité de l'acide lactique. La température est portée à 40ºC - 45ºC pendant les 48 premières heures de fermentation. Pendant les jours restants, l'activité bactérienne se poursuit dans des conditions d'aération croissante, à mesure que la pulpe s'écoule et que la température est maintenue. Le fait de retourner ou de mélanger les fèves augmente l'aération et par conséquent l'activité bactérienne. L'acide acétique et les températures élevées tuent la fève de cacao dès le deuxième jour. La mort de la fève provoque la rupture des parois cellulaires et le mélange de substances auparavant séparées. Cela permet à des changements chimiques complexes de se produire dans la fève, comme l'activité enzymatique, l'oxydation et la décomposition des protéines en acides aminés. Ces réactions chimiques sont à l'origine du développement de l'arôme et de la couleur du chocolat. »

    Après la fermentation, les fèves sont lentement séchées pour passer d'un taux d'humidité de 60 % à 7,5 %. Cela se fait par séchage au soleil, ou à l'aide de séchoirs à bois ou à combustible. Ce processus doit être réalisé avec soin, afin de ne pas gâcher les bonnes saveurs. Si le séchage est effectué trop rapidement, le goût de la fève devient trop amer ; d'autre part, si le séchage est trop lent, des moisissures peuvent se développer.

    Lorsque les fèves ont terminé le processus de séchage, elles sont placées dans des sacs, mélangées aux récoltes d'autres exploitations, et vendues à de nombreux acheteurs différents, qui les expédient à travers le monde vers différents ports. Elles sont ensuite transformées en produits chocolatés !

    Bien que la technologie s'efforce de rattraper son retard afin d'améliorer la culture du cacaoyer et la récolte du cacao, cette industrie doit encore relever de nombreux défis. Même les pratiques agricoles les plus élémentaires des autres pays, comme l'irrigation au goutte-à-goutte, ne sont pas toujours utilisées pour cette culture. Cependant, de nombreuses entreprises s'intéressent aux technologies modernes, telles que la technologie de séchage des fèves et l'analyse des données, afin d'améliorer l'efficacité.

    Lorsque les consommateurs achètent des produits chocolatés, ils n'achètent pas seulement un cadeau sucré pour l'être aimé, ils soutiennent également les petits agriculteurs !
    ____________

    * Markie Hageman a étudié l'agrobusiness à l'Université d'État de Fort Hays (Kansas). Elle participe activement à l'association des éleveurs de son État, au chapitre des jeunes agriculteurs et à la National Cattlemen's Beef Association. Ses articles sur AGDAILY.com sont disponibles ici.

    Source : Growing cocoa beans — farming for sweet chocolates (agdaily.com)

    https://seppi.over-blog.com/2022/02/la-production-de-cacao-l-agriculture-au-service-des-douceurs-chocolatees.html

    RépondreSupprimer
  4. La crise énergétique européenne était inévitable


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 13 FÉVRIER 2022 - 14:10
    Par Haley Zaremba de OilPrice.com


    L'Europe est au milieu d'une crise énergétique qui est sur le point de s'aggraver si la guerre éclate entre la Russie et l'Ukraine. La Russie est le plus grand fournisseur de gaz naturel liquéfié du continent, tandis que l'Ukraine est un élément essentiel de la route maritime pour transporter tout ce carburant de la Russie vers l'Union européenne. Un conflit entre ces deux maillons essentiels de la chaîne d'approvisionnement énergétique européenne constituerait une menace sérieuse pour la sécurité énergétique déjà chancelante de l'Europe.

    Alors que le déficit énergétique de l'Europe est devenu de plus en plus désespéré, il en va de même pour la dépendance du continent vis-à-vis du Kremlin pour maintenir ouvertes les lignes d'approvisionnement et augmenter les expéditions de gaz naturel. Au cours de l'année dernière seulement, les problèmes de la chaîne d'approvisionnement et les pénuries de carburant ont entraîné une augmentation vertigineuse de 330 % des prix du gaz dans toute l'Europe, frappant les consommateurs au moment même où l'économie mondiale tente de se remettre et de s'adapter à la pandémie actuelle de Covid-19. Les gouvernements européens ont dû imposer des mesures palliatives coûteuses pour atténuer les retombées économiques de la crise de l'approvisionnement énergétique et ont jusqu'à présent "dépensé des dizaines de milliards d'euros pour essayer de protéger les consommateurs des prix record de l'énergie et eux-mêmes de la colère des électeurs". selon de récents rapports et analyses de Reuters.

    De plus, malgré les meilleurs efforts de l'Union européenne, le Kremlin a non seulement refusé d'ouvrir suffisamment ses robinets pour apaiser la crise énergétique de l'Europe, mais il a en fait diminué les exportations vers l'Europe au moment même où le continent en a le plus besoin. La dépendance récemment révélée de l'UE vis-à-vis de la Russie a donné à Poutine un nouveau levier pour tenter de faire passer certains de ses propres intérêts, notamment le gazoduc Nord Stream 2, qui permettrait à la Russie de pomper du gaz naturel liquéfié directement vers l'Allemagne (qui reçoit 50 % de ses gaz naturel de Russie) via la mer Baltique, en contournant entièrement l'Ukraine. Ce pipeline, bien que déjà construit, n'a pas été en mesure d'obtenir le feu vert final pour être mis en ligne en raison d'une opposition farouche en Occident, des dirigeants tels que Joe Biden faisant valoir que cette décision donnerait beaucoup trop de pouvoir de négociation au Kremlin, réduisant ainsi davantage la sécurité énergétique et la stabilité géopolitique du continent.

    Alors qu'un nombre incalculable d'éléments de réflexion ont rapidement pointé du doigt Poutine pour avoir exacerbé la crise énergétique de l'Europe, le bouc émissaire de la Russie détourne l'attention des politiques énergétiques européennes qui ont mis le continent dans une position si précaire en premier lieu. Au cours des 20 dernières années, l'Europe a régulièrement déréglementé son secteur du gaz et investi massivement dans l'expansion des gazoducs et des installations de GNL dans le but de permettre une approche plus libérale. Ce faisant, ils ont abandonné le système précédent consistant à lier les prix du gaz à long terme aux prix du pétrole et à laisser le prix du gaz être régi par l'offre et la demande. Il est devenu clair en 2021 que si ce système permettait de faire baisser les prix du gaz à court terme, l'Europe était sur le point de subir un choc autocollant majeur alors que les stocks de gaz commençaient à diminuer pendant la pandémie.

    RépondreSupprimer
  5. « Ne blâmez pas Poutine pour la crise énergétique de l'Europe », proclame une analyse récente de Foreign Policy. "Peu importe ce qui se passe en Ukraine, cet hiver n'est pas une aberration", écrit Jason Bordoff, cofondateur de la Columbia Climate School. "Même si le gaz russe continue d'affluer, l'Europe sera de plus en plus exposée à la volatilité des prix du gaz importé dans les années à venir, à moins que ses dirigeants ne prennent des mesures pour réduire le risque de flambée des prix de l'énergie et se préparent à des fluctuations inévitables et imprévisibles de l'approvisionnement énergétique et utiliser."

    Ces fluctuations de prix ont conduit à des troubles politiques importants en Europe et ont poussé les dirigeants à appliquer un pansement sur la question en supprimant les taxes de TVA sur les factures d'énergie domestique et en envoyant des secours directement aux ménages pauvres, entre autres mesures d'urgence. Cependant, ces efforts seront bien en deçà de ce qui est nécessaire pour protéger les consommateurs européens, et le problème ne fera que s'aggraver. "Les analystes de BofA estiment que les ménages moyens d'Europe occidentale ont dépensé environ 1 200 euros (1 370 $) par an en gaz et en électricité en 2020", a écrit Reuters le mois dernier. "Sur la base des prix de gros actuels, ils estiment que cela augmentera de 54% à 1 850 euros."

    Il est certain que les actions récentes de Poutine n'ont rien fait pour apaiser la crise énergétique de l'Europe, et le conflit qui couve à la frontière ukrainienne risque d'aggraver les choses. Ce n'est pas la faute du Kremlin, cependant, si le paysage énergétique européen est aussi vulnérable qu'il l'est à ces dernières pailles sur le dos du chameau. Pour résoudre la crise énergétique, les dirigeants européens devront cesser de rejeter la faute et procéder à une évaluation sérieuse de leurs propres politiques énergétiques. La création de la stabilité des prix et de la sécurité énergétique ne fera que devenir plus essentielle dans les décennies à venir alors que le monde commence à se décarboner sérieusement, une réforme énergétique radicale et une expérience économique qui ne manquera pas d'avoir beaucoup plus de hauts et de bas en réserve pour les marchés de l'énergie.

    https://www.zerohedge.com/markets/european-energy-crisis-was-inevitable

    RépondreSupprimer
  6. LES PRIX DU CAFÉ VONT FORTEMENT AUGMENTER


    par OLIVIER SANCERRE
    12/02/2022


    Jacobs Douwe Egberts veut vendre son café 25 % plus cher à Intermarché.

    Les amateurs de café doivent s'attendre à une augmentation sensible des prix dans les prochaines semaines. Le groupe Jacobs Douwe Egberts (L'Or, Maxwell, Tassimo…) réclame une hausse des tarifs de 25 % au groupe Intermarché, qui a décidé de ne plus vendre les marques de son fournisseur.

    Tension sur le café à Intermarché. L'enseigne ne vend plus les marques du groupe Jacobs Douwe Egberts (JDE), parmi lesquelles L'Or, Maxwell, Tassimo ou encore Grand-Mère. L'enseigne veut faire pression sur son fournisseur, avec qui elle est en pleine négociation sur le prix du café. JDE réclame une hausse de 25 %, et bien sûr Intermarché s'y oppose. En attendant que les deux entreprises trouvent un terrain d'entente, les consommateurs devront se tourner vers d'autres marques (ou une autre enseigne) pour assouvir leur soif de café !

    Baisse des exportations de café

    Cette hausse ne tombe pas par hasard. Les cours du café (arabica, robusta) ont explosé de 100 % en un an. Les pays producteurs font face à des difficultés très différentes : des troubles politiques en Colombie réduisent les exportations. Et puis les conditions météorologiques très difficiles au Brésil ont provoqué une baisse des exportations de plus de 24 %. Les plantations du Minas Gerais, qui produit 70% de l'arabica brésilien, ont subi une vague de gel en juillet et en août, enchérissant mécaniquement le prix de la matière première.

    Pas d'augmentation depuis 2015

    À cela s'ajoutent la hausse des coûts de transport (un container entre l'Asie et l'Europe revient six fois plus cher !), ainsi que celle du carton et du plastique (+40 %), indispensables pour les emballages des paquets de café. Enfin, il y a la progression soutenue de la consommation du café ces dernières années : Starbucks estime qu'elle augmente de 9 % par an. Par ailleurs, l'Insee a indiqué que les prix du café en France n'avaient pas augmenté depuis 2015 : les fournisseurs ont donc toutes les raisons de demander des hausses des prix…

    http://www.economiematin.fr/news-les-prix-du-cafe-vont-fortement-augmenter

    RépondreSupprimer
  7. 150.000 MARIAGES EN 2020 : AU PLUS BAS DEPUIS 1945


    par PAOLO GAROSCIO
    14/02/2022


    Entre 2019 et 2020, le nombre de mariages en France a chuté de 31,2%.

    Les amoureux du monde entier, ou tout du moins du monde occidental, se préparent à fêter la Saint-Valentin ce 14 février 2022. Hasard du calendrier ou véritable volonté de l’Insee concernant cette date, l’institut de statistiques a publié, quelques jours avant, les données sur le nombre de mariages en 2020. Un nombre qui n’a jamais été aussi bas depuis… la fin de la Seconde Guerre mondiale.

    Moins de 160.000 mariages en France en 2020

    Selon les données de l’Insee publiées le 11 février 2022, le nombre de mariages en France en 2020 a été on ne peut plus bas. Sur l’ensemble de l’année, seulement 154.600 mariages ont été célébrés dans l’Hexagone : 150.000 couples de sexe différent et 4.600 couples de même sexe se sont dit « oui ». Or, comme le souligne l’institut de statistiques, il s’agit là du nombre « le plus faible depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale ».

    Entre 2019 et 2020, la chute a été considérable : près d’un tiers des mariages de moins (-31,2 %). De quoi accélérer la baisse continue du nombre de mariages en France depuis les années 2000, bien que cette baisse historique soit, bien évidemment, liée à la pandémie de Covid-19.

    La baisse du nombre de mariages varie selon l’âge...

    L’Insee explique bien évidemment la baisse du nombre de mariages en France par les divers confinements qui ont frappé le pays en 2020, le gouvernement ayant interdit les célébrations (sauf exceptions) puis les ayant autorisées avec d’importantes restrictions en termes de nombre d’invités. Pour certains couples, impossible de se marier dans ses conditions : une partie de la famille ou des amis n’auraient pas pu rejoindre la cérémonie.

    Mais l’Insee souligne aussi une variation conséquente dans la baisse du nombre de mariages en France… en fonction de l’âge des mariés. Par rapport à la moyenne annuelle, soit une baisse de 31,2 %, ce sont les 35-44 ans qui ont le plus renoncé : entre 2019 et 2020, le nombre de mariages célébrés dans cette tranche d’âge a chuté de 33,8 %.

    Inversement, chez les 55 ans et plus, la baisse est quasiment de moitié inférieure, s’établissant à -18,2 %.

    … et selon la région
    Autre enseignement de l’étude de l’Insee sur les mariages en 2020 : toutes les régions de France n’ont pas été touchées de la même manière par le renoncement au mariage. Avec une baisse du nombre de mariages de 27,7 %, l’Occitanie est la région métropolitaine la moins touchée (derrière la Guadeloupe avec -27,5 %).

    Au contraire, en Métropole, c’est en Corse que le nombre de mariages a le plus baissé (-38,8 %), mais ce sont surtout Mayotte et la Guyane qui ont vu le nombre de mariages chuter le plus, de plus de 40 %.

    http://www.economiematin.fr/news-nombre-mariages-france-baisse-2020-chiffres-insee-covid

    RépondreSupprimer
  8. INNOCUITÉ DES MÉDICAMENTS : LA RESPONSABILITÉ DES PHARMACIES ET FABRICANTS DE MÉDICAMENTS ?


    par JOHN WIRTHLIN
    15/02/2022


    70% des patients se disent inquiets de recevoir des médicaments volés.

    Malgré une surveillance stricte des chaînes d'approvisionnement pharmaceutiques, il existe certaines failles impactant considérablement la confiance qu’ont les patients envers les médicaments mais aussi envers les personnes qui les produisent, les recommandent et les distribuent.

    7 patients sur 10 qui ont participé à l’étude Zebra sur la Vision de la Chaîne d'Approvisionnement Pharmaceutique se disent inquiets de recevoir des médicaments volés, contaminés, avariés, périmés ou contrefaits. Sans amélioration de la chaîne d'approvisionnement, 43 % craignent que le nombre de maladies et/ou de décès augmentent. Ainsi plus de 80 % des patients attendent des fabricants plus de transparence sur la manière dont leurs médicaments sont produits, manipulés, transportés et stockés. Ils veulent être sûrs que les médicaments ne présentent aucun risque.

    Pourtant, les pratiques des fabricants ne sont pas les seules à être scrutées. Les pharmacies sont également sous le feu des critiques.

    69 % des patients s’inquiètent de recevoir une dose incorrecte de médicaments en raison d'erreurs d'étiquetage et du préjudice que cela pourrait leur causer. Il n'est donc pas surprenant que plus de la moitié des patients considèrent que les pharmacies sont responsables de l’innocuité et de la qualité des médicaments.

    S'approprier l'expérience du patient

    Bien que tous les acteurs de l'industrie pharmaceutique soient tenus responsables de l’innocuité, de l'efficacité et de l'accessibilité des médicaments, les pharmaciens sont souvent le "visage" de cette industrie. Ce sont eux, ainsi que les médecins prescripteurs, que les patients contactent pour leur poser des questions et leur faire part de leurs préoccupations. Ce sont aussi eux que les cliniciens et les patients ont tendance à appeler en premier lorsqu'ils rencontrent un problème ou entendent parler de problèmes de sécurité potentiels.

    Par conséquent, le personnel pharmaceutique doit faire preuve d'une attention particulière pour :

    Identifier correctement le patient, vérifier l'ordonnance et contrôler les étiquettes pour s'assurer de la validité du médicament avant remise à un clinicien ou à un patient.

    Fournir des instructions détaillées sur la façon de prendre le médicament et être prêt à répondre à toutes les questions.

    RépondreSupprimer
  9. La mise à jour des dossiers médicaux électroniques afin que les futurs médecins et les autres pharmaciens aient accès à l'historique complet du patient en cas de questions ou de modifications de traitement.

    Enregistrer correctement le traitement d’une commande dans le système de gestion des stocks afin que les équipes d'approvisionnement puissent surveiller les taux de vente et voir quand les niveaux de stock atteignent le seuil de réapprovisionnement obligatoire.

    Assurer une rotation correcte des médicaments pour éviter de distribuer des lots périmés.

    Protéger les produits pharmaceutiques contre la falsification.

    Contrôler la qualité des médicaments sensibles à la température.

    En plus de la capacité de vérifier qu'un médicament est authentique, qu'il n'est pas périmé et qu'il ne fait pas l'objet d'un rappel ou d'une enquête, tous ces éléments influencent la confiance des patients à court et à long terme. Dans l'ensemble, les patients sont plutôt très satisfaits de la communication de ce type d'information par l'industrie pharmaceutique ; du moins pour l'instant. Toutefois, un taux de satisfaction de 70 à 80 % ne signifie pas 100 %. Il y a encore une marge d’amélioration possible. Perdre du terrain n’est donc pas envisageable quand on sait à quel point la confiance et la loyauté des patients est fragile.

    Instaurer la confiance par la technologie et la transparence

    L'une des meilleures choses que les pharmaciens puissent faire à l'heure actuelle est de tirer parti des technologies d'identification par radiofréquence (RFID) pour assurer le suivi et la traçabilité des niveaux et des mouvements des stocks, de la même manière que les hôpitaux utilisent la RFID pour surveiller et gérer les équipements, les fournitures et autres actifs. Bien sûr, il faut pour cela étiqueter chaque bouteille et chaque emballage, ce qui ne se fait pas à la source à grande échelle... ou du moins pas encore. Donc, si votre pharmacie n'est pas tout à fait prête à passer à la RFID, il faut s’assurer d'avoir au moins des scanners de codes-barres fiables à la disposition du personnel pour pouvoir scanner rapidement et précisément tout ; des emballages de médicaments aux cartes d'identité des clients et aux reçus de commande. De nombreuses commandes sont réalisées mais ne sont jamais récupérées. Le fait de pouvoir enregistrer facilement les commandes annulées et les stocks remis en rayon peut aider à maintenir plus facilement les niveaux de stock. Les technologies RFID et de code-barres sont également utiles pour vérifier l'utilisation des médicaments selon le principe du "premier entré, premier sorti", afin de minimiser l'administration de médicaments périmés et de réduire le gaspillage global. Et si un rappel se produit, vous devez être en mesure de savoir quels médicaments retirer et d'informer les cliniciens de votre cabinet sur la manière de traiter les demandes des patients et d'adapter les traitements.

    Les technologies RFID et de code-barres présentent également d'autres avantages, comme la possibilité d'approfondir les informations que vous détenez sur les médicaments remis . Environ 80 % des patients sont aujourd'hui curieux de connaître les sources et les pays d'origine des ingrédients des médicaments, ainsi que les normes locales en matière de médicaments et les normes de durabilité et d'éthique des fabricants. Toutes ces données pourraient être récupérées au point de vente grâce à des étiquettes RFID ou à des codes-barres, à condition que les dispositifs soient correctement synchronisés avec les systèmes d'information essentiels sur les médicaments, tels que ceux gérés par les fabricants et les organismes de réglementation.

    RépondreSupprimer
  10. Lorsque vous achetez des étiquettes pour vos stocks, n'oubliez pas de vous demander si une étiquette sensible à la température pourrait être utile. Vous comptez probablement sur les capteurs de température des chambres froides pour garantir la stabilité des médicaments, mais ils peuvent se briser, tandis que les médicaments et les vaccins peuvent être laissés sur le comptoir en cas d'affluence. Pouvoir confirmer qu'un changement de température s'est produite afin de ne pas gaspiller inutilement des doses ou au contraire administrer des doses qui auraient dû être jetées est donc fondamental.

    Ne vous fiez pas uniquement aux règlements

    Près des deux tiers des patients estiment qu'une réglementation accrue de la chaîne d'approvisionnement pharmaceutique est nécessaire et 56 % des décideurs du secteur sont du même avis (même si un tiers d'entre eux classent déjà la conformité réglementaire parmi les cinq principaux défis auxquels leurs entreprises sont confrontées aujourd'hui). Une réglementation accrue contribuera-t-elle à garantir que les médicaments que vous délivrez sont sûrs, efficaces et accessibles ? C'est possible. Mais pourquoi attendre la réglementation pour mettre en œuvre les outils technologiques qui seront finalement obligatoires pour protéger les patients et restaurer la confiance dans les produits pharmaceutiques ?

    Plus vous en saurez sur l'état des stocks historiques, actuels et entrants, plus vous serez en mesure de collaborer efficacement avec les organismes de réglementation, les partenaires de la chaîne d'approvisionnement et les patients pour trouver des solutions aux problèmes et rétablir la confiance dans l’innocuité et l'efficacité des médicaments.

    http://www.economiematin.fr/news-meicaments-responsabilite-industrie-pharmacie-risque-wirthlin

    RépondreSupprimer
  11. HYPOCRITES !


    par THIERRY CALVAT
    15/02/2022


    2004 EUROS
    Une chambre en Ehpad en France a un prix médian de 2.004 euros par mois en France.

    Alors que les grands groupes d’Ehpad défraient désormais la chronique, nous devons légitimement nous interroger sur les raisons profondes de la piètre prise en charge des personnes âgées dans notre pays. L’hypocrisie qui se dégage du concert des réactions outragées témoigne ainsi d’un rapport biaisé entre les générations, les mieux portantes souhaitant par-dessus tout ne pas se voir entravées dans leur liberté.
    Les débats engagés sur la question – la légitimité ? – des Ehpad ont clairement pris pour cible les grands groupes en les accusant au mieux de négligence et au pire de malhonnêteté. On notera au passage que l’argument qui consiste à les accuser de vivre de la vulnérabilité de leurs résidents ne tient pas une seconde puisque l’économie – et avec elle toute activité humaine – se nourrit précisément de la vulnérabilité d’un tiers, de son manque, de ses besoins. Il ne viendrait ainsi à l’idée de personne de blâmer les fabricants d’automobiles de nous faire payer notre incapacité ontologique à ne pouvoir nous déplacer rapidement, ou bien encore les opérateurs de télécommunications de facturer un moyen d’échange avec des proches vivant au bout du monde alors que les lois élémentaires de la physique nous empêchent de les voir au rythme que nous voudrions.

    Sur le front du vieillissement, la riposte désormais s’organise, laissant le camp du bien se livrer à son activité favorite : livrer ça et là à la vindicte quelques noms judicieusement choisis, opposer logique privée et logique publique, ou mieux encore réclamer davantage de contrôle et de transparence, en parfait arbitre des élégances. Et cela sans jamais reconnaître la vanité foncière de ce tumulte fracassant et dont hypocrisie est l’autre nom.

    L’hypocrisie, c’est celle de centaines de soignants se réveillant subitement pour pointer des pratiques dont ils sont témoins depuis des mois ou des années, révélant à l’occasion une vocation tardive de lanceur d’alerte flirtant dangereusement avec celle des ouvriers de la onzième heure.

    L’hypocrisie, c’est aussi celle de milliers de familles dont les appels affluent au rythme de leurs plaintes et qui dénoncent l’inqualifiable comportement de structures dont elles n’ont pourtant pas été si pressées de retirer leurs proches âgés.

    L’hypocrisie, c’est enfin celle de pouvoirs publics – et bien plus largement de la société tout entière – s’émouvant en différé d’une situation dramatique, sans que les nombreux signes avant-coureurs n’aient jamais produit le moindre changement salutaire dans leur approche.

    Peut-on pour autant les et nous blâmer ? Si L'hypocrisie est l'art de cacher ses intentions, ou de tricher sur ses sentiments ou ses pensées, sans doute peut-on la considérer comme le cache sexe d’une tendance plus profondément, pour ne pas dire insidieusement, à l’œuvre au sein de nos sociétés industrielles, gavées d’un progrès qui se conjugue toujours avec l’acquisition de droits nouveaux : droit à toujours plus se déplacer, vivre plus longtemps, être mieux reconnu ou accompagné ….

    C’est bien cette dynamique illimitiste que le vieillissement vient fracasser. Sa prise en charge oblige à poser des choix, faire des arbitrages ou, pour le dire autrement, accepter une certaine forme de contrainte à laquelle la course à l’individuation nous prépare de moins en moins.

    RépondreSupprimer
  12. L’échec de l’Ehpad rejoint donc avant tout notre incapacité au sacrifice, que ce soit au plan individuel ou au plan collectif, au profit d’une cause venant possiblement menacer à des degrés divers ce qu’il faut bien appeler notre rente personnelle. Ce faisant, nous nous comportons comme un boutiquier qui, désireux de maximiser ses marges, n’hésite pas à faire appel à des fournisseurs certes douteux mais aux tarifs irrésistiblement attractifs… tout en déplorant évidemment leur impardonnable absence d’éthique.

    Ce qui n’est pas éthique, c’est pour la plupart d’entre-nous de nier la réalité de notre refus de sacrifier notre vie personnelle, sociale, professionnelle pour nous occuper de nos aînés et de déléguer cette tâche à un tiers parfois « d’inconfiance ».

    Ce qui n’est pas éthique, c’est de privilégier dans nos investissements publics les promesses d’un avenir dont on ne sait rien plutôt que d’en consacrer une part pour reconnaître les vertus du passé que porte en elle la personne âgée.

    Ce qui n’est pas éthique, c’est aussi de ne pas trancher dans nos conflits de valeurs et d’accepter un entre-deux rassurant, même s’il est inconfortable en certaines occasions.

    La séquence qui s’ouvre à propos des lieux futurs du vieillissement est loin d’être close. Espérons qu’au-delà des mesures techniques qu’elle fera émerger, elle puisse être l’occasion d’interroger de façon plus large l’état du lien intergénérationnel dans notre pays. Pour l’heure, il est hélas en état de mort clinique.

    http://www.economiematin.fr/news-ehpad-reaction-hypocrisie-violence-maltraitance-seniors-calvat

    RépondreSupprimer
  13. Trudeau lancera une «loi sur les pouvoirs d'urgence» jamais utilisée auparavant pour contrer les manifestations lors de la réouverture du pont américano-canadien


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 14 FÉVRIER 2022 - 16:12


    La Société Radio-Canada a appris que le premier ministre Trudeau "informera les provinces qu'il invoquera la Loi sur les mesures d'urgence pour donner au gouvernement des pouvoirs supplémentaires pour faire face aux manifestations à travers le pays". Mais lors d'une réunion avec le caucus libéral, le Premier ministre a déclaré qu'il n'y avait pas prévoit de déployer l'armée.

    Cette décision fait suite à une réunion dimanche du cabinet fédéral et de son groupe de réponse aux incidents (IRG).

    Trudeau a tweeté dimanche soir que l'IRG a discuté "d'autres mesures que le gouvernement peut prendre pour aider à mettre fin aux blocus et aux occupations".

    Plus tôt dans la journée, le ministre de la Protection civile, Bill Blair, a déclaré à Rosemary Barton Live de CBC que le gouvernement fédéral avait envisagé d'invoquer des pouvoirs d'urgence spéciaux pour faire face aux manifestations en cours à Ottawa.

    Blair a décrit l'attitude entourant l'invocation de la Loi sur les mesures d'urgence comme une « prudence appropriée » plutôt qu'une « réticence ».

    Comme le conclut CBC, la loi donne carte blanche au gouvernement fédéral pour faire face à une crise, y compris la capacité de décréter des pouvoirs d'urgence qui lui permettent d'interdire les déplacements dans une zone spécifiée ou de retirer des biens personnels, tout en imposant des amendes ou des peines d'emprisonnement aux personnes qui contreviennent à de nouvelles ordres.

    Il s'agit essentiellement de la capacité de déchaîner la loi martiale « sélective » sur les Canadiens.

    - voir carte sur site -

    Cela survient après des informations dimanche selon lesquelles des responsables canadiens ont dégagé la chaussée et arrêté des manifestants du "Freedom Convoy" qui ont tenu la ligne et bloqué le passage frontalier le plus achalandé entre les États-Unis et le Canada pendant près d'une semaine. Les responsables canadiens ont confirmé la réouverture du pont plus tôt lundi matin alors que le Premier ministre Justin Trudeau devrait invoquer des pouvoirs d'urgence pour écraser les manifestants à travers le pays.

    Les caméras de circulation sur le pont Ambassador, qui relie Windsor et les usines automobiles canadiennes à Détroit, montrent une augmentation des flux de trafic vers 09 h 30 HE dans les deux sens, aux États-Unis et au Canada.

    "Aujourd'hui, notre crise économique nationale au pont Ambassador a pris fin", a déclaré le maire de Windsor, Drew Dilkens.

    RépondreSupprimer
  14. Bridge Camera (aux États-Unis)

    Bridge Camera (au Canada)

    Alors que la réouverture du pont a été qualifiée de succès par le gouvernement, les manifestants contre la tyrannie médicale ont perturbé des centaines de millions de commerce entre les deux pays. Bloomberg rapporte que le prix de la fermeture de six jours a coûté 13,5 millions de dollars de l'heure en biens échangés et a forcé les constructeurs automobiles à fermer ou à limiter la production dans les usines de l'Ontario et de Detroit.

    À environ 500 milles au nord-est de Windsor, CBS News rapporte que des manifestants à Ottawa, la capitale du Canada, continuent de « paralyser le centre-ville ». L'occupation d'Ottawa a incité un mouvement à travers le pays de personnes épris de liberté créant des embouteillages sur les autoroutes, les zones métropolitaines et les passages frontaliers – tout cela parce qu'ils en ont assez des mandats et des restrictions de Trudeau en matière de vaccins.

    Le gouvernement a du mal à réprimer l'assemblée de personnes épris de liberté de partout au pays alors que le gouvernement Trudeau joue Whac-A-Mole "pour écraser les manifestants là où ils se présentent.

    Le dernier en date est à Surrey, en Colombie-Britannique, où des manifestants ont fermé un passage frontalier. La liberté ne dort jamais car un tronçon de l'autoroute 15 reste fermé, empêchant le trafic d'entrer aux États-Unis. Les données de la société de technologie de géolocalisation TomTom montrent qu'une partie de l'autoroute est fermée.

    Diverses caméras de circulation routière (données provenant du gouvernement de la Colombie-Britannique) confirment la fermeture.

    Twitter regorge de photos et de vidéos du week-end de personnes se rassemblant sur et autour de l'autoroute pour exprimer leur opinion contre les mandats et les restrictions du gouvernement en matière de vaccins dystopiques.

    Alors même que le pont Ambassador rouvre, les manifestants continuent de bloquer les mouvements à travers le pays à des goulots d'étranglement critiques qui pourraient déclencher des difficultés économiques pour l'économie canadienne, ce que la Banque du Canada a qualifié de "très pénible".

    Les révoltes n'ont pas encore été écrasées car il semble que Trudeau ne se soumettra pas aux demandes des manifestants.

    https://www.zerohedge.com/political/trudeau-unleash-never-used-emergency-powers-act-counter-protests-us-canada-bridge-reopens

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. L'inquiétude se voit, les dictateurs veulent laisser pourrir le blocage jusqu'à ce que les magasins soient vides et... les camions aussi !

      Supprimer
  15. Covid-19 : pourquoi le Danemark s'apprête à renoncer à la vaccination


    Hugues Maillot
    lun., 14 fév. 2022 19:20 UTC


    C'est une étape de plus dans la volonté de « vivre avec le virus ». Depuis le 1er février, le Danemark a fait le choix, comme le Royaume-Uni, de tenter le pari d'un retour « à la vie d'avant », en tirant un trait sur les masques et le passe sanitaire, en rouvrant les boîtes de nuit, bars et restaurants sans restriction, malgré un nombre de cas record. S'il reste « recommandé » de s'isoler pendant quatre jours en cas de test positif, les cas contacts ne sont plus contraints à aucune quarantaine.

    La première ministre danoise Mette Frederiksen recevait sa première dose de vaccin en juin dernier.
    Mais depuis vendredi 11 février, le pays scandinave est allé encore plus loin. Dans un communiqué passé relativement inaperçu chez nous, il a esquissé ce qui ressemble à un abandon pur et simple de la vaccination à court terme. Une première mondiale depuis le début de la pandémie de Covid-19.

    Ainsi, le gouvernement danois a annoncé dans un premier temps ne plus proposer de doses supplémentaires de vaccins à sa population. Les personnes âgées ou à risque ne recevront pas la quatrième et les moins de 18 ans se passeront de troisième. Mais surtout, le programme de vaccination pourrait être totalement suspendu « au plus tard au printemps ». « Le Conseil national de la santé suivra de près l'évolution de l'épidémie dans les semaines à venir, et nous espérons pouvoir annoncer fin février les dates de clôture du programme de vaccination », indique ainsi le communiqué.

    Une immunité jugée suffisante

    Les autorités danoises justifient cette décision en fonction de plusieurs critères. D'abord, un taux de vaccination qu'ils estiment suffisant. D'après les chiffres du Statens Serum Institut, un institut de recherche sur les maladies infectieuses, cités par le journal Politiken , 80,9% des 5,8 millions de Danois étaient vaccinés au 11 février, dont 61,4 % avec une dose de rappel. Un des meilleurs taux d'Europe, selon les données d'Our World in Data, seulement devancé par le Portugal. À titre de comparaison, 79 % de la population française est actuellement vaccinée, dont 55 % avec la troisième dose, selon les chiffres du ministère de la Santé. « Au Danemark, nous avons un niveau très élevé de vaccination », se félicite ainsi le gouvernement dans son communiqué, qui évoque une « très grande immunité protectrice » de la population.

    RépondreSupprimer
  16. Pourtant, de l'aveu même du gouvernement, le Danemark possède une proportion très élevée, et toujours en hausse, de cas quotidiens. Avec près de 8000 cas par million d'habitants, en moyenne sur sept jours au 13 février, le pays devance, par exemple, largement la France en la matière (à peine plus de 2000 cas par million d'habitants). Mais « nous pouvons apercevoir les premiers signes que l'épidémie est en train de s'inverser », souligne le gouvernement. De plus, les hôpitaux danois ne sont pas en alerte. Selon les données d'Our World in Data, le pays accueillait 4 patients en soins critiques par million d'habitants au 13 février.

    Les admissions à l'hôpital sont, en revanche, en hausse continue depuis le début du mois d'octobre. Pas de quoi s'inquiéter cependant pour les autorités danoises, qui mettent en avant la faible dangerosité d'Omicron, mais également le printemps qui arrive. « Nous savons par expérience que le nombre d'infections diminue avec le changement de saison », justifie le communiqué.

    « Effet moindre » de la vaccination avec Omicron

    Le gouvernement revient sur l'inutilité, selon lui, de la troisième dose pour les plus jeunes et de la quatrième pour les plus âgés. « Le Conseil national de la santé a précédemment évalué que les résidents de maisons de retraite et les personnes de plus de 85 ans sont bien protégés par une troisième dose », précise le communiqué. « Comme on voit l'épidémie s'éteindre, et parce que la saison va bientôt changer, il n'est pas utile de proposer une quatrième dose », abonde la médecin en chef du Danemark, Bolette Søborg.

    Pour les Danois de moins de 18 ans, le Conseil national de la santé estime que ce groupe d'âge « a déjà une immunité élevée et présente peu de risque de contracter une forme grave du Covid-19 avec Omicron ». Si les autorités reconnaissent l'efficacité de la vaccination avec le variant Delta pour les 5-11 ans, et se félicitent de son succès (la moitié de cette catégorie d'âge a été vaccinée), elles estiment désormais qu'elle a désormais « un effet moindre avec Omicron ».

    En se basant sur tous ces éléments, le gouvernement danois pourrait donc être le premier à clore son programme de vaccination, et ce, dès le printemps. Un calendrier devrait être annoncé en ce sens à la fin du mois de février. Mais le pays scandinave reste néanmoins prudent. « Nous suivrons bien sûr assidûment l'épidémie, et nous tenons prêt à revenir sur cette décision si, contrairement à nos attentes, une quatrième vague printanière ou de nouveaux variants préoccupants frappent notre pays », a résumé Bolette Søborg.

    https://www.lefigaro.fr/sciences/covid-19-pourquoi-le-danemark-s-apprete-a-renoncer-a-la-vaccination-20220214

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. NON il n'y a PAS d'immunité face au poison caché (injecté par piqûres successives). Les seringues contiennent de 95 à 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène. Ces dites nano-particules peuvent d'une part créer des caillots ou créer des antennes pour recevoir et transmettre des messages en basses fréquences, mais aussi elles peuvent s'ouvrir et libérer le poison mortel qui est l'oxyde de graphène.
      Donc: toutes les personnes qui se sont faites inoculer sont réellement dans le couloir de la mort. Il n'y a AUCUNE immunité au poison et ne sont jamais proposées d'antidotes !

      Supprimer
  17. Inflation ou déflation à venir ?


    lundi, 14 février 2022 17:27


    Cet article est une mise en perspective de mon article d'il y a un an.

    Je laisse au lecteur le soin de relire le cadre théorique de l'inflation expliqué dans cet article, qui est toujours valable.

    J'écrivais en conclusion que:

    "Structurellement, mon scénario principal est que l’on n’aura pas une envolée des prix."

    J'ai eu juste ou bien ?

    Mais tout de même:

    "Pour que le contraire arrive, il faudrait que la masse monétaire continue d’augmenter (sans plus de raison) et que cela soit injecté dans l’économie réelle.
    Jeu très dangereux, alors que la reprise économique sera là et que tout cela sera très difficile, voire impossible, à piloter en macro-économie par les banques centrales.

    Conjoncturellement, ce sera hautement volatile.
    Il ne faudrait pas qu’une situation conjoncturelle élague l‘arbre des possibles encore plus et mène, de facto, à une situation structurelle non souhaitable.
    Par exemple: une grande inconnue sera le prix de l’énergie."

    Et donc un an après:
    Les masses monétaires ont continué d'exploser dans les grandes économies, au prétexte de la COVID. (J’ai été naïf sur les turpitudes et la prétention des banquiers centraux.)
    Les prix de l'énergie ont aussi explosé.
    Nous avons une crise ukrainienne qui, à mon avis, n'en est qu'à son début.
    En conséquence, les taux d'inflation sont bien au-delà des objectifs à 2% et très différents suivant les zones économiques. (Voir la vidéo de Charles Dereeper.)

    Personne ne sait si le diable pourra être remis dans sa boîte.
    Ou plutôt, il est devenu évident que les banquiers centraux et la haute finance ne s’en préoccupent pas vraiment au-delà du discours.

    Et la suite ?

    Au niveau macro:

    Les banques centrales se sont laissées dépasser par l'inflation.
    Mais il ne faut pas se tromper, ce n'est pas de l'incompétence.
    Pas quand tant de banques centrales agissent de concert.
    C'est une politique volontaire des meneurs, sans besoin de concertation. (Situation de type: Le premier qui courre le moins vite est celui bouffé par le lion.)

    Va-t-on vers une réduction de la masse monétaire par les banques centrales?

    On n’en prend clairement pas le chemin, du moins pas de manière directe. Le scénario qui semble se faire jour est celui de laisser l'inflation agir pour rembourser la dette en monnaie de singe.

    RépondreSupprimer
  18. Par ailleurs, la FED utilise les inverse-repos pour supporter les banques, sans avoir à augmenter les taux directeurs. C’est un jeu très dangereux, car on utilise des outils qui n’ont absolument pas été faits pour cela et pour lesquels il n’existe pas de modèles ni d’historique.

    L’énorme avantage de la FED est qu’elle est la banque centrale qui imprime le dollar. Les USA peuvent exporter leurs problèmes en cas de perte de contrôle. Les USA ne peuvent laisser longtemps l’inflation européenne à 3-5 % et la leur à 7-9 %.

    C’est peut-être ce qu’ils sont en train de faire avec l’Ukraine. Le discours est trop monolithiquement alarmiste. Les ukrainiens n’ont plus leur avenir en main.
    Plomber l’Europe, c’est remettre en avant le dollar refuge.

    Ainsi, au niveau macro, on a donc toujours une tendance structurelle inflationniste forte.

    La question à laquelle il faut plutôt tenter de trouver une réponse est :

    Les banques centrales vont-elles laisser les banques privées diffuser ces masses monétaires dans l’économie réelle, ou bien les stériliser en les bloquant dans les réserves au bilan, quitte à mieux rémunérer les dépôts ?

    Les actifs financiers :

    Mon avis est que les banques centrales vont vouloir éviter « quoi qu’il en coûte » un krach boursier ou immobilier.
    L'alternative signifierait que les banques centrales n'aient plus la situation en main.

    Ces actifs vont continuer de performer, mais avec des disparités et volatilités importantes entre zones et secteurs.

    A fortiori, si volatilité aussi sur les changes.

    Dans ce contexte, il faut donc continuer de trader sur les marchés boursiers, mais sur le court terme et en étant très réactif.

    Pour moi, le buy & hold est actuellement suicidaire.

    Les biens financés par l’emprunt:

    Quelles politiques des banques centrales vis-à-vis de la création monétaire par le crédit?

    Les banques centrales ne peuvent finir de tuer la rentabilité des banques commerciales en les empêchant de placer leurs liquidités à des taux corrects.
    Elles ne peuvent pas non plus laisser les bulles financières enfler, en situation d’inflation au quotidien.

    Le jeu sera fin entre lâcher du lest sur les conditions de création de crédit ou impulser une baisse de la masse monétaire; dans le dernier cas, au risque de provoquer une nouvelle crise de l'immobilier.

    Par ailleurs, les ménages et entreprises auront-elles encore simplement assez de pouvoir d'achat pour de l’immobilier ou une automobile, alors que l'augmentation des prix des biens du quotidien impacte leur budget ?

    Dans ce contexte inflationniste, a-t-on intérêt à s’endetter par emprunt, pour rembourser en monnaie de singe sur 10 ou 20 ans ?

    RépondreSupprimer
  19. La réponse est oui MAIS à condition:

    1. de ne financer que des biens dont la valeur ne risque pas de s’effondrer sous le capital restant dû
    2. de conserver des liquidités pour faire face à des demandes de remboursement anticipé du capital
    3. d’être capable de continuer à financer ces biens, même s’ils ne génèrent plus de revenus.

    Le premier point devrait être une évidence. La valeur de revente doit couvrir le capital restant dû !
    Et pourtant, on entend tant de « conseillers » financiers avancer l’argument des années 60-70 pour justifier un emprunt aujourd’hui; sauf que dans les années 60, on était dans les trente glorieuses.

    Le second point est aussi important.
    En cas de crise bancaire, les banques devront faire rentrer de l’argent. Avec l’accord plus ou moins tacite des gouvernements, qui n’auront pas le choix, les banques pourront exiger remboursement au moins partiel du capital. (Vérifiez vos contrats de prêt.)
    Il est donc sage de conserver des liquidités pour y faire face.
    Bien sûr pas dans la même banque, voire la même zone économique que celle de votre emprunt !

    S’endetter dans un pays d’Europe du Sud pour financer des actifs en Europe du Nord n’est peut-être pas stupide.
    Si l’Euro explose : remboursements en devise faible et rentrées en devise forte.
    Si l’Euro n’explose pas, pas d’exposition au risque de change. Investissement dans une zone à économie forte.

    Dans ce contexte, cela signifie que les gagnants seront ceux qui auront des réserves et accès à des financements internationaux: encore les acteurs aux patrimoines nets les plus élevés.

    Les biens et services du quotidien (B2C ou B2B)

    Fondamentalement, la tendance structurelle est inflationniste pour les biens et services du quotidien.

    Plusieurs milliards de personnes aspirent au niveau de vie occidental de base. (800 millions de chinois, autant d'indiens, les indonésiens, brésiliens...)
    C'est 6 ou 8 fois, le nombre de personnes en Europe.
    Les tensions et concurrences sur les approvisionnements sont inévitables.

    A cela s'ajoutent les pénuries liées à la désorganisation de la logistique mondiale.

    Pour ces biens du quotidien, l'inflation a peu de chance de diminuer dans les semestres à venir.

    Mais mon scénario principal est celui d'une grande disparité suivant les biens et services, ainsi que les zones géographiques.

    Pour moi, c’est impossible à prévoir de manière structurelle (autrement utile qu’à stocker 10 kilos de pâtes).
    Il n'y aura que des niches à découvrir et exploiter.

    RépondreSupprimer
  20. L'énergie:
    Les prix de l'énergie sont autant politiques que de marché.
    Pour moi, strictement impossible à prévoir, même un ou deux trimestres à l'avance. C'est un jeu qui résulte de trop de forces invisibles pour le quidam.

    La seule approche viable est le trading de court terme.

    Les devises : Idem

    That’s all folks !

    Pour ceux que cela intéresse et qui souhaitent apporter leur contribution, ces sujets sont débattus et étudiés en détail dans le cadre de notre club ENC.
    N’hésitez pas à me contacter. karl.descombes@sfr.fr

    https://www.objectifeco.com/economie/inflation-deflation/inflation/inflation-ou-deflation-a-venir.html

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. L'or ne représente rien, et n'a jamais eu la valeur affiché (car son prix est fixé par un 'bureau' qui ne tient pas compte des transactions !!). Mais, le travail de chacun, lui, il a une valeur. Chaque être humain représente une valeur de base augmentée de son QI personnel. Mais, sont arrivées les machines ! Des machines-outils couplées à des ordinateurs qui raflent presque tous les travaux effectués par l'être humain sans être payées.

      L'avenir est-il réservé au futur ?

      Demain est presque totalement aujourd'hui car les choses ne vont pas changer plus tard. Puisque les machines travaillent elles fournissent donc des biens à tout le monde et, si elles travaillent 'gratuit', leurs productions seront donc gratuites. D'où la disparition de l'argent (?).

      Supprimer
  21. CARBURANTS : LE DIESEL À 1,7 EURO, LA HAUSSE SE POURSUIT


    par PAOLO GAROSCIO
    15/02/2022


    Le baril de pétrole s'échange, le 15 février 2022, à plus de 95 dollars.

    Sur fond de tensions en Ukraine, pénuries massives dans le monde, relance économique, pandémie de Covid-19 et production de pétrole basse, les prix du brut en Bourse continuent d’augmenter : plus de 95,5 dollars le baril de Brent, plus de 94,5 dollars le baril de WTI. Le prix au litre des carburants suit, en toute logique, la même tendance.

    Le litre de diesel atteint 1,700 euro en France

    Emblématique de la hausse des prix du carburant car il est toujours le carburant le moins cher de France (hors GPL et bioéthanol E85), le prix du diesel a de nouveau franchi un seuil symbolique. Selon les données du ministères de la Transition écologique et solidaire, la semaine du 14 février 2022 il faut compter en moyenne 1,700 euro le litre pour du diesel, en hausse de 2 centimes d’euro. Un niveau de prix rarement atteint, et un seuil psychologique pour les automobilistes dont le budget est de plus en plus serré.

    Une hausse de 2 centimes d’euro est également à souligner pour le carburant le moins cher, l’essence SP95-E10 qui frôle les 1,75 euro le litre à 1,749 euro le litre en moyenne en France. Quant à l’essence SP98, le carburant le plus cher de France, il faudra compter sur un prix de 1,837 euro le litre en moyenne.

    Le pétrole va-t-il atteindre les 100 dollars le baril ?

    La hausse des prix des carburants se cumule avec celle de l’énergie en général, malgré le bouclier tarifaire mis en place par le gouvernement pour limiter la hausse des factures des ménages. Mais si au niveau du gaz et de l’électricité, les niveaux élevés ne devraient pas durer tout le long de l’année 2022 et commencer à baisser au deuxième semestre, selon les spécialistes, ce ne sera pas le cas pour le pétrole.

    Les tensions en Ukraine, notamment, mais aussi la politique de production basse de l’Opep continuent de faire grimper le prix du brut en Bourse : +15% depuis le début de l’année 2022. La tendance haussière pourrait rapidement conduire le prix du baril à dépasser un seuil psychologique important : celui des 100 dollars.

    http://www.economiematin.fr/news-hausse-carburant-prix-petrole-bourse-france-2022

    RépondreSupprimer
  22. La situation énergétique de janvier 2022 et son futur

    La situation et la production énergétiques actuelles ne sont pas suffisante pour les projets en 2050.


    le 15 février 2022
    Michel Negynas


    En janvier 2002, nous avons subi un anticyclone de trois semaines sur toute la France. Comment, dans l’optique d’un scenario à 2050 tout énergies renouvelables, aurions-nous passé ce cap ? Regardons les diagrammes du site egaz carbonique mix de Réseau de Transport de l’Electricité (RTE)

    Quelle situation énergétique actuelle ?
    Diagramme général de production

    - voir graph sur site -

    Consommation

    - voir graph sur site -

    En première estimation, la consommation a été en moyenne de 75 GW pendant 3 semaines soit 37 800 GWh. C’est loin des records. Il a fait un froid modéré, et l’activité est loin des années d’avant covid.

    En première approximation et selon les prévisions, la consommation en 2050 serait le double, avec une pointe à 130 GW. Prenons 75 600 GWh

    Solaire

    - voir graph sur site -

    Le solaire a donné en moyenne 4,5 GW à la pointe. Le « triangle » de production pendant 10 heures donne 22,5 GWh par jour soit 472,5 GWh.

    Nous avons 12GW de solaire actuellement, RTE prévoit 214 GW en 2050. Nous aurions eu donc 80 GW en pointe et une production totale sur les trois semaines de 8426 GWh.

    Éolien

    - voir graph sur site -

    Les 18 GW d’éolien ont produit en moyenne 3GW sur la période, soit 1512 GWh. RTE en prévoit 104 GW en 2050 ; la production serait de 17 GW en moyenne, et de 8736 GWh en énergie.

    Remarquons qu’une situation venteuse en été, par exemple 80 GW d’éolien sur les 104 et 100 GW de solaire sur les 204, conduit à une production de 204 GW de capacité, pour une demande qui ne dépasse pas 50 GW. RTE ne nous éclaire pas sur les solutions.

    Hydraulique

    - voir graph sur site -

    L’hydraulique régule à la fois les variations de consommation et les variations du solaire. Estimons qu’elle a produit 6 GW en moyenne sur la période. Les 25 GW installés donnent au maximum, d’après les historiques, 17 GW. Mais le rôle d’amortisseur des à coups ne permet pas de les fournir en moyenne.

    Si on retient 6 GW, la production totale est de 3024 GWh.

    Biomasse

    - voir graph sur site -

    RépondreSupprimer
  23. RTE prévoit doubler la biomasse à 2GW, en base cela fait 1008 GWh.

    Récapitulatif
    Consommation 2050…………………………..75600 GWh
    Solaire 2050 avec météo janvier 2022….. 8426 GWh
    Éolien………………………………………………..8736
    Hydraulique………………………………………..3024
    Biomasse……………………………………………1008

    Pour assurer la sécurité d’alimentation, il faudrait déstocker 54 406 GWh.

    Que représente un stockage de 54 000 GWh soit 54 Twh ?

    Batteries
    En batteries Powerwall Tesla pour particuliers, à 10 kg par kWh pour l’installation complète, cela fait 540 000 000 000 soit 540 millions de tonnes.

    Les espoirs les meilleurs (en industriel) sont actuellement de 1 kg par kWh, soit 54 millions de tonnes.

    Notons que le nombre de cycles d’une batterie est limité, et qu’il faudra vraisemblablement les renouveler tous les 20 ans (comme les éoliennes et les panneaux solaires ?)

    STEP
    Les STEP françaises sont capables de produire 6 à 7 TWh par an, mais dans des cycles de pompages turbinages multiples. On voit qu’on est loin du compte.

    L’énergie en joules stockée entre deux lacs de barrage est mgh : h hauteur de chute d’eau en mètres, m masse d’eau stockée en kg, g à 9,81.

    Il faut stocker 3,6 x10 12 x 54 406 joules soit 196 x 10 15 Joules.

    Le volume du lac de Genève est de 89 km3 soit un poids de 89×1012 kg.

    Pour assurer la sécurité d’alimentation, il aurait fallu pomper entièrement et monter le lac de Genève de 224 mètres.

    Hydrogène
    Le rendement de la chaîne Électrolyse/Stockage/Transport/Pile à combustible est au mieux de 30 %. Il faut donc retenir qu’au départ, les 54 TWh auront nécessité 162 TWh !

    En considérant que le rendement de la pile est de 20kWh pour 1 KG de H2, il faudrait donc stocker 54 x10 12 /20 000 kg, soit 2,7 millions de tonnes. Un beau volume, même à 700 bars.

    Interrogations

    Certes, le mix de RTE pris comme exemple ici conserve 16 GW de nucléaire, mais on voit bien que ce n’est pas suffisant.

    Les éléments donnés par RTE ne permettent pas de comprendre comment on bouclerait une situation analogue à celle que nous venons de connaître.

    Mais les nouveaux discours de Mme Pompili, M Le Maire et même du Président ne nous éclairent pas non plus. Ils disent tous : « seul le développement rapide des énergies renouvelables permettra d’attendre le renouveau du nucléaire. » À Belfort, le Président a même dit : « C’est le seul moyen de répondre à nos besoins dans l’immédiat »

    Même dans la situation des trois dernières semaines de janvier 2022 ?

    Décidément, dans la tête de nos dirigeants, les notions de puissance et d’énergie sont encore à approfondir.

    https://www.contrepoints.org/2022/02/15/421597-la-situation-energetique-de-janvier-2022-et-son-futur

    RépondreSupprimer
  24. N'écartez pas la possibilité d'une confiscation d'or


    Par Jeff Thomas
    Homme international
    15 février 2022


    Si vous détenez des métaux précieux dans votre portefeuille, il y a de fortes chances que vous craigniez l'hyperinflation et le krach des monnaies fiduciaires.

    Vous vous méfiez probablement des gouvernements en général et pensez qu'ils sont intéressés et n'ont aucun intérêt pour votre bien-être économique. Il est probable que vos avoirs en or soient votre bouée de sauvetage – votre espoir de traverser ces moments tout en conservant votre patrimoine.

    Mais avez-vous déjà pensé à la possibilité de vous faire confisquer cette bouée de sauvetage par les autorités ?

    Dans mes conversations avec des amis et associés, j'ai souvent soulevé cette question. Les réponses types :

    "Ils ne feraient jamais ça."

    "Je m'en occuperai si et quand cela arrivera."

    "Je ne le leur donnerais tout simplement pas."

    Je considère ces réponses de «vœu pieux».

    Il est intéressant de penser que la plus grande menace pour l'investissement dans l'or et l'argent n'est peut-être pas la possibilité de perdre sur la spéculation, mais que le gouvernement vous la retire. C'est une pensée à laquelle j'ai trouvé que peu de gens veulent même penser, et encore moins discuter.

    Si vous tombez dans ce camp, vous êtes en bonne compagnie. Certains des prévisionnistes que je respecte le plus le considèrent également comme improbable ou, au mieux, comme "quelque chose que nous devrons peut-être examiner à l'avenir". À ce jour, lors de conversations avec les meilleurs conseillers du monde entier, les deux principales raisons pour lesquelles ils pensent que l'or ne sera pas confisqué sont :

    "La confiscation signifierait que le gouvernement reconnaît la réalité de la valeur de l'or."
    Oui, c'est tout à fait ça. Ils changeraient leur point de vue officiel… ce qu'ils font, bien sûr, tout le temps. Mais je soutiens que tout ce qu'ils doivent faire, c'est donner la bonne tournure à cela.

    "Ils rencontreraient une plus grande résistance qu'ils ne l'ont fait en 1933."
    Je m'attends à ce que cela soit également vrai, mais qu'un plan soit mis en place pour faire face à cette résistance.

    Nous aborderons ces deux affirmations plus en détail sous peu, mais d'abord, un peu d'histoire.

    En 1933, Franklin Roosevelt est entré en fonction et a immédiatement créé la loi sur les banques d'urgence, qui exigeait que tous ceux qui détenaient de l'or (autre que des bijoux personnels) le remettent à des banques agréées. Les titulaires disposaient de moins d'un mois pour le faire. Le gouvernement leur a ensuite versé 20,67 $ l'once – le taux en vigueur à l'époque. Suite à la confiscation, le gouvernement a déclaré que la nouvelle valeur de l'or était de 35,00 $. Essentiellement, ils ont arbitrairement augmenté la valeur de leur actif nouvellement acheté de 69 %. (Ceci est une raison suffisante pour confisquer.)

    Aujourd'hui, le gouvernement américain est dans un bien pire état qu'il ne l'était en 1933, et il a bien plus à perdre. Le dollar américain est la monnaie par défaut du monde, mais il est dans les cordes, ce qui signifie que le pouvoir économique des États-Unis sur le reste du monde est dans les cordes.

    Je pense que les lecteurs conviendront qu'ils feront tout pour ne pas perdre ce pouvoir si important.

    RépondreSupprimer
  25. Le gouvernement américain n'a pratiquement plus d'options. À un moment donné, les monnaies fiduciaires du Premier Monde s'effondreront et une autre forme de paiement sera nécessaire. Oui, le FMI espère créer une nouvelle monnaie par défaut, mais cela aussi doit être une monnaie fiduciaire. Si un pays devait produire une monnaie adossée à l'or en quantité suffisante, cette monnaie deviendrait probablement la monnaie souhaitée dans le monde entier. Un support fractionné serait attendu.

    Comme la plupart des lecteurs le savent, les Chinois, les Indiens, les Russes et d'autres voient l'opportunité et accumulent rapidement et substantiellement leurs réserves d'or. Si ces pays acceptaient d'introduire une nouvelle monnaie adossée à l'or, il ne fait guère de doute qu'ils réussiraient à modifier l'équilibre du commerce mondial.

    Cela dit, le gouvernement américain surveille ces pays tout comme nous, et il est conscient de la menace que représente l'or pour eux.

    Le gouvernement américain possède ostensiblement environ 8 200 tonnes d'or à Fort Knox, bien que cela puisse très bien manquer partiellement ou complètement. De plus, il détient ostensiblement 5 000 tonnes d'or supplémentaires dans la cave du bâtiment de la Réserve fédérale de New York. Encore une fois, il n'y a aucune certitude qu'il soit là. En général, les autorités ne semblent pas apprécier les audits indépendants.

    En fait, il y a des rumeurs selon lesquelles les coffres ci-dessus sont presque ou complètement vides et que les chiffres cités ci-dessus n'existent que sur papier plutôt que sous forme physique. Bien qu'il n'y ait aucun moyen de le savoir avec certitude, ce n'est pas hors de question.

    Quoi qu'il en soit, si les États-Unis et l'UE pouvaient trouver rapidement un gros volume d'or, ils pourraient émettre eux-mêmes une monnaie adossée à l'or. C'est une équation simple : plus ils ont d'or = plus ils peuvent produire de notes accompagnées = plus ils continuent à détenir de puissance. En s'emparant de l'approvisionnement privé de leurs citoyens, ils augmenteraient considérablement leurs avoirs en peu de temps.

    Soit cela, soit ils pourraient simplement abandonner leur domination du commerce mondial et du pouvoir… Quel serait, selon vous, leur choix ?

    Il est tout à fait possible que ce scénario n'ait pas lieu, tout comme il est possible que la confiscation n'ait pas lieu. Le but de cet article est de susciter une discussion sérieuse - à la fois pour et contre cette possibilité.

    Les investisseurs sont, de par leur nature même, des planificateurs. Il faudra peut-être qu'une communauté d'investisseurs élabore un plan juridique pour faire face à l'éventualité ci-dessus. Il est temps de commencer.

    Le gouvernement ne peut pas facilement confisquer ce qui se trouve en dehors de ses propres frontières, c'est pourquoi il travaille nuit et jour pour rendre aussi difficile que possible la protection de vos actifs à l'étranger. Cette triste réalité signifie que vous devez agir avant qu'il ne soit trop tard. Votre premier pas ? Découvrez comment commencer à diversifier votre patrimoine à l'international – et votre vie. De l'investissement sur les marchés internationaux à l'ouverture de comptes bancaires offshore en passant par la création d'une LLC ou d'une rente offshore.

    Reprinted with permission from International Man.

    https://www.lewrockwell.com/2022/02/no_author/dont-dismiss-the-possibility-of-gold-confiscation/

    RépondreSupprimer
  26. Les 1 % les plus riches possèdent 32,1 % de la richesse totale, les 50 % les plus pauvres en possèdent 2,5 %


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 15 FÉVRIER 2022 - 03:30
    Écrit par Mike Shedlock via MishTalk.com,


    Le pourcentage de richesse détenue par les 1 % les plus riches ne cesse d'augmenter au fil du temps. Qui est à créditer ou à blâmer ?

    - voir graph sur site -

    Source des données : Conseil des gouverneurs du Système de réserve fédérale (Fed), graphique de Mish

    Cette série de données compilées par la Fed a commencé au troisième trimestre de 1989. Les données les plus récentes datent du troisième trimestre de 2021.

    Si vous n'avez jamais vu les graphiques de cette série auparavant, les chiffres peuvent sembler choquants.

    1989 Q3 vs 2021 Q3 Pourcentages
    Top 1% Puis 23,6%, Maintenant 32,1%

    90e au 99e centile Alors 37,3 %, maintenant 37,5 %

    50e au 90e centile Puis 35,6 %, maintenant 27,9 %

    50 % inférieurs, puis 3,7 %, maintenant 2,5 %

    Gains ou pertes depuis 1989
    Top 1 % : +8,5 points de pourcentage

    90e au 99e centile : +0,2 point de pourcentage

    50e au 90e centile : -7,7 points de pourcentage

    50 % inférieurs : -1,2 point de pourcentage

    Points clés
    Les derniers n'ont jamais eu grand-chose à perdre mais ils ont quand même réussi à en perdre un peu.

    Les plus riches continuent d'augmenter leur richesse mais restent les plus touchés par les récessions.

    La classe moyenne se réduit.

    Crédit et blâme
    Beaucoup de gens blâmeront les riches. Mais le véritable coupable est la Fed.

    Les 50 % inférieurs ne profitent certainement pas des bulles.

    Ceux qui ont des actifs sont les bénéficiaires. Et lorsque la Fed appuie sur l'accélérateur, regardez à l'extrême droite du graphique pour voir ce qui se passe.

    Bénéficiaire de l'inflation
    L'inflation profite à ceux qui ont le premier accès à l'argent, c'est-à-dire aux banques et aux personnes déjà riches.

    Les pauvres qui dépensent chaque centime et les autres pour se nourrir et se loger sont martelés par l'inflation.

    Pendant ce temps, la classe moyenne ne cesse de se réduire.

    L'IPC a le plus bondi en 40 ans
    La Fed a essayé pendant une décennie d'augmenter l'inflation. La Fed a même voulu "compenser" le manque d'inflation antérieur.

    Mais l'IPC a encore augmenté de 0,6 % en janvier, à un rythme annuel de 7,5 %. L'IPC est au rythme le plus élevé depuis 40 ans.

    Pour en savoir plus, veuillez consulter l'IPC qui a le plus augmenté depuis février 1982, en hausse d'au moins 0,5 % 9 mois sur onze.

    La Fed a finalement réussi, et plus encore, à produire de l'inflation. Maintenant ne sait pas quoi faire à ce sujet.

    Mais si les banques ont à nouveau des problèmes, la Fed sera à nouveau là pour les renflouer, comme elle l'a fait en 2000 lors de l'effondrement des dotcoms et à nouveau lors du krach immobilier de 2007-2009.

    https://www.zerohedge.com/personal-finance/top-1-own-321-total-wealth-bottom-50-own-25

    RépondreSupprimer