- ENTREE de SECOURS -



lundi 7 février 2022

La Suite de la Chute de la Cabale Part 5



La Suite de la Chute de la Cabale Part 6


La Suite de la Chute de la Cabale Part 7

30 commentaires:

  1. Les vaccins à ARN messager ne protègent pas, ils tuent ! (suite)


    le 7 février 2022


    De l’Afrique du Sud au Canada en passant par l’Europe les compagnies d’assurances réalisent lentement la vérité au sujet des vaccins anti-covid malgré le fait que les médias et les pouvoirs politiques tentent de dissimuler ce état de fait. L’information a été dévoilée par Reuters il y a quelques jours sans qu’elle ait été reprise par un quelconque média européen ou nord-américain. Voici le texte de cette courte dépêche traduite par mes soins : « L’assureur hollandais Aegon qui réalise les deux tiers de son chiffre d’affaires aux États-Unis, a déclaré que les prestations versées à ses clients américains (comprenez les prises en charge des décès, les plus simples à évaluer rapidement) au cours du troisième trimestre de 2021 ont atteint le montant de 111 millions de dollars, alors qu’au cours du troisième trimestre de 2020 celles-ci avaient atteint 31 millions. Les compagnies d’assurance américaines MetLife et Prudential Financial ont fait également des déclarations dans le même sens. La compagnie sud-africaine Old Mutual a été obligée d’épuiser ses provisions « pandémiques » pour couvrir ce même type de frais, et le réassureur MunichRe a relevé ses estimations actuariales pour l’année 2021 de frais de maladie et de décès de 400 à 600 millions d’euros » (13 janvier 2022). Aucun média n’a repris cette information et pour cause : elle révèle le vrai problème que personne, ni ces médias, ni les décideurs politiques obsédés par la politique du tout vaccinal, ni les médecins de plateau télé complices de ces derniers ne veulent commenter.

    Prenons donc l’exemple des États-Unis. Au cours d’une journée normale environ 7700 Américains meurent. Si ce nombre de morts augmente de 100 %, c’est-à-dire que 7700 personnes de plus meurent chaque jour, sur une année on arrive à 2,8 millions de morts supplémentaires. Je rappelle que l’épidémie de coronavirus a provoqué officiellement la mort de 925000 personnes depuis le début de l’année 2020. Aegon vient de déclarer une augmentation du nombre des prestations versées aux clients de 258 % pour le troisième trimestre de 2021 par rapport au troisième trimestre de l’année 2020. Ceci signifie en généralisant, puisque Aegon n’est pas la seule compagnie ayant fait le même constat, qu’on assiste à un excès de mortalité de plus de 15000 personnes chaque jour, presque 5,5 millions par an, c’est beaucoup plus que tous les morts estampillés coronavirus à ce jour dans le monde ! Cette extrapolation peut être contestée mais elle est adossée à des faits réels décelés par les analystes des compagnies d’assurance.

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  2. On assiste donc au début d’un véritable holocauste vaccinal en temps réel. La vérité doit être dite clairement, nous nous trouvons tous, en particulier les pays occidentaux, aujourd’hui en 2022, dans cette situation, en particulier les pays de l’OCDE et pas seulement aux USA. Par exemple les effets de la vaccination à ARN messager a conduit à un doublement du nombre de cancers depuis le début de la campagne vaccinale. Toutes sortes d’autres pathologies mortelles deviennent de plus en plus fréquentes dans des tranches d’âge où elles étaient totalement absentes auparavant. Tous les complices de cet holocauste, Big Pharma, BigTech, Big Media contrôlés par la Big finance (BlackRock, Vanguard et bien d’autres) et les gouvernements également contrôlés par la Big finance dissimulent cette situation. Ce sont des meurtriers de masse et ils continueront à encourager la « vaccination suicide » jusqu’au jour où il ne sera plus possible de dissimuler cette situation. Plus révoltant encore cette vaccination suicide est supposée être justifiée par la science. Mais où est la science, la vraie science, quand elle est contrôlée par le pouvoir politique et galvaudée par les grands groupes de la pharmacie ? Prenez le cas d’Israël. La population est triplement vaccinée, voire plus, à hauteur de 96,2 %. Pourtant ce pays fait face au pire pourcentage de « cas » par million d’habitants dans le monde et enregistre un nombre de décès quotidiens jamais atteint dans son ampleur depuis le début de la pandémie. La pandémie a donc changé de nom : ce n’est plus une pandémie virale mais une pandémie vaccinale. Les autorités sanitaires commencent à classer les morts « par vaccin » en morts « par covid » pour dissimuler autant que faire se peut le scandale, le comble de la malhonnêteté. La prime pour une fausse déclaration « Covid » mais pas « vaccin » est aux USA de 35000 dollars pour l’hôpital ! Et les personnels médicaux sont payés pour limiter ce genre de déclaration à l’agence VAERS. La vaccination va donc atteindre son but : tuer beaucoup plus de personnes que ne l’a fait le virus lui-même, l’objectif malthusien du Club de Rome repris par le Forum Économique Mondial et on n’est aujourd’hui qu’au début de l’hécatombe …

    Source : https://www.naturalnews.com/2022-02-01-die-off-is-here-life-insurance-payouts-skyrocket-258-as-post-vaccine-deaths-accelerate.html et pour les anglophones l’entrevue par Joe Rogan du Docteur Robert Malone, l’inventeur de la thérapie génique à l’aide d’ARN messager pour traiter en particulier des maladies orphelines puis imaginer des vaccins dans l’urgence pour l’armée afin de se protéger contre des armes bactériologiques. Malone n’a jamais été impliqué directement ni indirectement dans la production de ce que l’on appelle des vaccins à ARN messager. Malone convient que 500000 personnes auraient pu être sauvées aux USA si les traitements précoces, Ivermectine et hydroxychloroquine, avaient été autorisées mais le grand dessein d’extermination par les pseudo-vaccins était déjà dans l’agenda du World Economic Forum. Lien non censuré : https://www.brighteon.com/a2517dcf-cdcb-45f5-a9a1-c9ab2ab20ce9 Écoutez l’exposé du Docteur Robert Malone, c’est un trésor d’informations !

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/02/07/les-vaccins-a-arn-messager-ne-protegent-pas-ils-tuent-suite/

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  3. Lancement d’une commission d’enquête Covid-19: il est temps de se rappeler l’arnaque H1N1


    Par Pierre Lécot et Florence Pisani
    Mondialisation.ca, 06 février 2022


    Le Sénat vient de lancer une commission d’enquête [1] sur la gestion de la Covid-19. L’objectif annoncé est d’examiner « l’adéquation du pass vaccinal à l’évolution de l’épidémie de covid-19 ». Espérons que l’enquête se penchera plus profondément sur l’importance réelle de la crise et les impacts de toutes les décisions prises depuis 2 ans. Le Sénat avait déjà permis il y a 10 ans de faire la lumière sur le plus gros scandale sanitaire jusqu’à aujourd’hui : la pseudo pandémie H1N1. En effet, en 2009 a eu lieu la « première pandémie » du XXIe siècle. Cet épisode a finalement laissé peu de traces dans les mémoires. Pourtant, tous les ingrédients de ce qui s’est révélé être une arnaque monumentale devraient résonner aujourd’hui dans nos mémoires pour mieux nous faire comprendre ce que nous vivons. Après cet épisode, en 2010, le Sénat avait réalisé un rapport d’enquête parlementaire [2] permettant d’expliquer les mauvaises décisions qui avaient été prises. Nous y retrouvons la critique des modèles mathématiques utilisés, farfelus et alarmistes, les conflits d’intérêts entre les scientifiques des plateaux de télévision, l’OMS et les laboratoires pharmaceutiques, le tout ayant abouti à une campagne vaccinale aussi chère qu’inefficace.

    “ Le désir de pandémie”

    Le premier élément frappant du rapport du Sénat est le choix de ses titres. Ils dénoncent franchement la supercherie de la « pandémie » H1N1. La deuxième partie du premier chapitre s’intitule « LA PANDÉMIE ANNONCÉE EST-ELLE DEVENUE UNE PANDÉMIE ATTENDUE ? ». On y montre que certains scientifiques sont en fait, en attente d’une pandémie. Il s’agit d’être le premier à prévenir de l’arrivée de la catastrophe de façon à en tirer de la notoriété.

    1.Les prédictions scientifiques sont-elles devenues inconsciemment des espérances ?

    […] Beaucoup d’interlocuteurs de la commission d’enquête ont insisté sur les mécanismes ayant abouti à la préparation collective des esprits, et notamment de la communauté scientifique, à l’émergence d’un risque pandémique de type H5N1, tendant à transformer inconsciemment ce qui ne sont que des prédictions scientifiques en une sorte de « désir de pandémie » et qui a incité les experts à considérer ce qui n’apparaît aujourd’hui que comme le réassortiment d’un virus ancien, comme le facteur déclenchant de cette pandémie attendue.

    Ces mécanismes, assez difficilement saisissables, semblent étroitement liés aux spécificités du domaine de la recherche. D’une certaine manière, en effet, plus on est capable, techniquement, de chercher des anomalies, plus on en cherche et plus on en trouve sans qu’elles soient pour autant pertinentes. C’est ce qu’indiquait M. Yves Charpak aux membres de la commission d’enquête22(*) :

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  4. « On prédit l’épidémie et sa dangerosité avant qu’elle ne se manifeste cliniquement et ne se confirme avec la détection d’un nouveau variant. Il y a un nouveau variant, il va se mettre à circuler, on va le suivre. Autrement dit, malheureusement, plus on a de laboratoires de recherche, de surveillance en réseaux dans le monde, ce qui est une bonne chose (parce que l’on est capable d’alerter plus précocement et de se protéger mieux), plus on aura des alertes, éventuellement peu significatives. ». C’est ce que M. Peter Doshi qualifie de « vigilance partisane » via laquelle vigilance et anxiété peuvent précipiter les événements plus que la maladie elle-même23(*).

    Aujourd’hui, la situation est la même. Tous les laboratoires sont focalisés sur la recherche du « nouveau variant » permettant de passer de l’ombre à la lumière. Evidemment, si tous les laboratoires concentrent leurs efforts sur ce sujet, il y aura toujours un laboratoire pour en trouver un nouveau quelque part et remettre une pièce dans la machine. Le dernier en date, le variant Omicron séquencé en Afrique du Sud [3] aura fait couler beaucoup d’encre, d’autres ont précédé et d’autres suivront : cela apporte-t-il quelque chose à la prise en charge des patients ? [4]

    Le rapport du Sénat va plus loin. Il critique le fonctionnement des publications scientifiques, où les chercheurs sont poussés à écrire des articles qui vont « dans le sens du vent ». Dès lors, la recherche scientifique est orientée par un effet boule de neige :

    […] cette préparation collective, notamment de la communauté scientifique, à l’émergence d’une pandémie s’est auto-alimentée, comme le soulignait M. Jérôme Sclafer27(*), avec l’accroissement de l’activité éditoriale autour de ce sujet : selon la base de données américaine Medline qui répertorie les principales revues médicales, si deux publications seulement en moyenne par an, dans les années 1980, portaient un titre contenant l’expression « grippe pandémique », en 1997, dix-huit publications avec un tel titre ont accompagné l’alerte sur la grippe de Hong Kong. L’intérêt pour ce concept a encore augmenté à partir de 2003 puisque cinquante et une publications ont titré sur la grippe pandémique en 2004, cent vingt-quatre en 2005, puis plus de deux cents par an à partir de 2006.

    Il résulte de ces différents mécanismes qu’il ne s’agit finalement plus de savoir SI la pandémie va se produire, mais QUAND, faisant de la pandémie de grippe à venir un événement à la fois très probable et lourd de conséquences. C’est la logique qui ressort de l’avis du HCSP du 5 septembre 200828(*) qui indique : « aujourd’hui, la probabilité de survenue d’une pandémie est élevée sans qu’il soit possible d’en prédire la date de survenue et son intensité ». L’arrivée d’une pandémie est perçue comme quasi inévitable.

    La littérature scientifique ainsi auto-alimentée peut générer une prophétie autoréalisatrice. A force de produire des discours alarmistes, le moindre signal peut être identifié comme le début de la catastrophe prédite par les intervenants de ces publications renommées.

    Le rapport du Sénat montre enfin que les laboratoires de l’industrie pharmaceutique “espéraient bien” une pandémie, puisqu’ils avaient lourdement investi préventivement pour y faire face :

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  5. Au total, les représentants des laboratoires entendus par votre commission d’enquête29(*) ont fait état d’investissements compris entre 1,5 et 2,5 milliards d’euros, par laboratoire, ces dernières années au titre de leur préparation à une éventuelle pandémie. Les représentants du laboratoire Roche30(*) ont indiqué, quant à eux, que la capacité de production mondiale de Tamiflu a été multipliée par vingt ces dernières années.

    Ce fort investissement à tous les niveaux, aussi bien politique que scientifique, explique sans doute en partie que tous les acteurs intervenant dans la gestion des crises sanitaires attendaient cette menace et que dès l’annonce de l’apparition des premiers cas de grippe A (H1N1)v, il était difficile d’imaginer autre chose que l’émergence d’une pandémie.

    L’industrie pharmaceutique vise la rentabilité. Il ne s’agit pas d’organisations philanthropiques, mais d’établissements financiers. Il est évident que ses investissements n’ont pas lieu sans de sérieuses garanties de rentabilité future. Le point de vue de ces mastodontes économiques sur les enjeux de santé peut donc logiquement peser lourd dans les analyses des Etats, dont ils sont les partenaires réguliers de discussion et d’action en matière de santé publique.

    L’abandon de la notion de gravité : première mise en cause de l’OMS
    Cela a été dit de nombreuses fois concernant ce que nous vivons depuis 2 ans : toutes les mesures sont prises en fonction d’un nombre supposé de personnes exposées à un risque de décès (cas covid via test PCR), indépendamment du risque réel de décès. Il y a une vraie différence entre être porteur d’un virus et être malade. Il y a aussi une vraie différence entre être faiblement malade et être à l’article de la mort, ou mort.

    Le rapport du Sénat de 2010 dénonce l’absence du facteur de gravité dans les vues de l’OMS.

    La définition de la pandémie retenue par l’OMS a également joué un rôle central dans le déclenchement des plans nationaux de préparation au risque pandémique. En ne retenant pas de critère de gravité, elle n’a pas joué son rôle de « filtre ».

    [..] Les orientations de l’OMS de 2009 définissent clairement la pandémie du seul point de vue de sa diffusion géographique, sans retenir de critère de gravité :

    – en phase 5, le virus provoque des « flambées soutenues à l’échelon communautaire dans au moins deux pays d’une même région OMS » ;

    – en phase 6, le virus provoque « des flambées soutenues à l’échelon communautaire dans au moins un pays d’une autre région de l’OMS ».

    Cette absence de référence à la notion de gravité a ainsi conduit l’OMS, le 11 juin 2009, à déclarer le passage en phase 6 du plan de lutte contre la pandémie grippale, tout en reconnaissant que celle-ci était « de gravité modérée ».

    C’est ainsi que l’OMS a déclenché une panique mondiale sans jamais vérifier si les gens infectés ou malades, souffraient d’une situation grave ou mourraient.

    Le rapport dénonce précisément le changement de définition de pandémie de l’OMS : c’est cela qui a pu créer de toutes pièces une « fausse pandémie »

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  6. Les critiques sur la fausse alerte pandémique ont été renforcées par le changement de définition de la pandémie grippale auquel aurait procédé l’OMS, dans les mois ayant précédé la déclaration du passage en phase 6 le 11 juin 2009. […]

    Pour sa part, l’OMS affirme que la définition de base de la pandémie n’a jamais changé.

    Mais le rapport montre plus bas le changement de définition ayant fait disparaître les critères de gravité qui a permis de déclencher la panique sans le moindre mort. L’OMS est donc prise en flagrant délit de mensonge.

    En 1999

    Dans le plan mondial de l’OMS de 1999 de préparation à une pandémie de grippe, une pandémie apparaît lorsque sont réunis des critères géographiques et de gravité :

    « La pandémie sera déclarée quand il aura été montré qu’un nouveau sous-type de virus a causé des flambées sérieuses dans au moins un pays et s’est étendu à d’autres pays, avec des types de maladies indiquant qu’une grave morbidité et mortalité sont probables dans au moins un segment de la population » (« The Pandemic will be declared when the new virus sub-type has been shown to cause several outbreaks in at least one country, and to have spread to other countries, with consistent disease patterns indicating that serious morbidity and mortality is likely in at least one segment of the population »)51(*).

    En 2005

    Dans le plan mondial de l’OMS de 2005 de préparation à une pandémie de grippe52(*), la pandémie correspond à une « transmission accrue et durable dans la population générale ». Si la « gravité de la maladie » figure explicitement (note p. 9) parmi les critères permettant de distinguer les phases 3, 4 et 5, les exemples donnés en phase 5 prévoient, en revanche, la possibilité de cas isolés et en nombre limité, avant le déclenchement de la phase 6.

    Mais dans la « Liste de contrôle OMS pour la planification préalable à une pandémie de grippe » diffusée par l’OMS en avril 200553(*), la pandémie est définie explicitement par un grand nombre de cas et de décès :

    « Une pandémie de grippe survient lorsqu’apparaît un virus nouveau contre lequel le système immunitaire humain est sans défense, donnant lieu à une épidémie mondiale provoquant un nombre considérable de cas et de décès. Le nouveau virus grippal est d’autant plus susceptible de se propager rapidement dans le monde que les transports internationaux ainsi que l’urbanisation et les conditions de surpeuplement s’intensifient. »

    En 2009

    Le plan mondial 2009 de l’OMS de préparation à une pandémie de grippe définit clairement la pandémie du seul point de vue de sa diffusion géographique :

    – en phase 5 : des « flambées soutenues à l’échelon communautaire dans au moins deux pays d’une même région OMS » ;

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  7. – en phase 6, le virus provoque « des flambées soutenues à l’échelon communautaire dans au moins un pays d’une autre région de l’OMS »54(*).

    Le rapport sénatorial ne manque pas de souligner la disproportion des mesures que la surestimation de la gravité de l’épidémie a entraînée, en 2009 :

    […] C’est dans un contexte où les certitudes scientifiques étaient faibles que les décisions d’activation des plans de préparation à une pandémie ont été prises pour faire face au risque pandémique. Des mesures lourdes ont parfois été mises en œuvre : certains pays ont émis des conseils aux voyageurs concernant les voyages non obligatoires dans les zones touchées, d’autres ont fermé leurs écoles et certaines entreprises. Ce que démontrent ces mesures, c’est que les décisions en matière de gestion des risques sanitaires sont assez lourdement influencées par les hypothèses relatives à la nature des pandémies et aux « scénarios du pire » retenus a priori.

    Il y a 10 ans déjà, des projections alarmistes liées à la terreur d’un virus ont servi de justification à des mesures drastiques sans qu’elles soient basées sur une mesure effective du risque encouru par les populations.

    Les liaisons dangereuses : seconde mise en cause de l’OMS

    En plus de l’abandon de la notion de gravité, l’OMS est lourdement mise en cause dans le rapport du Sénat. Déjà à l’époque les conflits d’intérêts étaient pointés du doigt, faisant porter le soupçon d’une recherche de profit par certains financeurs de l’OMS plutôt que d’une recherche d’une amélioration de la Santé.

    La déclaration, le 11 juin 2009, par la directrice générale de l’OMS d’une pandémie de grippe A (H1N1)v – d’emblée considérée comme « de gravité modérée », « du moins dans ses premiers jours »38(*) – a rapidement suscité des critiques à l’égard de l’OMS, soupçonnée au mieux d’avoir surestimé le risque et recommandé aux Etats membres des mesures disproportionnées et d’un coût démesuré, au pire d’avoir « inventé » une pandémie sous l’influence des industries pharmaceutiques, désireuses de rentabiliser leurs investissements grâce à l’application des plans nationaux.

    […]

    Après avoir d’abord réfuté en bloc ces critiques, considérées comme relevant de « théories du complot », l’OMS semble avoir pris conscience de la nécessité d’en tenir compte, mais les premiers indices de cette prise de conscience sont encore insuffisants.

    On notera au passage que la « théorie du complot » était déjà utilisée, à l’époque, pour décrédibiliser toute personne critique à l’égard des instances officielles.

    Mais surtout, le rapport du Sénat met en cause les nombreux conflits d’intérêt touchant l’OMS. Tous ces conflits vont dans le même sens : les financeurs de l’OMS ont intérêt à ce que la pandémie soit déclarée, et à ce qu’une vaccination de masse soit enclenchée.

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  8. 3. L’opacité de l’OMS et son incapacité à gérer les conflits d’intérêts

    a) Des experts de l’OMS en situation de conflits d’intérêts

    Les critiques adressées à l’OMS sur son incapacité à gérer les conflits d’intérêts et son opacité, largement partagées et détaillées par le rapport de la commission de l’APCE, ont donné lieu à une enquête approfondie des journalistes Deborah Cohen et Philip Carter, publiée le 3 juin 2010 dans le British Medical Journal (BMJ).

    On notera que 10 ans plus tard, les plus gros donateurs privés de l’OMS [5] sont la Fondation Bill & Melinda Gates pour 455M$ et l’Alliance du Vaccin Gavi (détenu majoritairement aussi par le couple Gates) pour 389M$. Ainsi la plus grosse influence sur l’OMS vient d’une seule personne. Il s’agit d’un milliardaire connu pour être un promoteur de toutes les vaccinations possibles et imaginables, et investissant massivement à cette fin. La fortune de Bill Gates s’était effondrée [6] avec l’éclatement de la bulle financière internet au début des années 2000, mais elle a de nouveau atteint des sommets ensuite : Bill Gates n’a jamais été aussi riche que depuis qu’il organise des opérations proclamées « caritatives » à l’aide de sa fondation. Il est visiblement plus rentable de « convaincre » des dirigeants de dépenser l’argent de leur pays pour acheter des traitements médicaux et des vaccins, plutôt que de vendre des logiciels aux consommateurs individuels. Donc en 10 ans, la situation ne s’est pas améliorée concernant les conflits d’intérêt de l’OMS, elle a empiré.

    Les modèles mathématiques

    Déjà en 2009, les modèles mathématiques les plus alarmistes possibles avaient été publiés. Ils se sont tous révélés fantaisistes. Publier un modèle catastrophiste ne peut que profiter à son auteur. En prévoyant le pire, si jamais le pire n’arrive pas, l’auteur pourra toujours dire que c’est grâce à son modèle que les bonnes décisions ont été prises. Si jamais le pire arrive, il pourra toujours dire qu’il l’avait prévu. A l’inverse l’auteur d’un modèle rassurant prend le risque qu’on lui impute des responsabilités si la réalité est pire que prévue.

    Au cours de la pandémie de 2009, deux modèles ont été utilisés en France : celui conçu par l’InVS et l’INSERM à la demande du CLCG [ Comité de Lutte Contre la Grippe, NDLR ] en septembre 2008, dans le cadre de ses réflexions sur l’intérêt d’une vaccination prépandémique, et celui développé par l’équipe de M. Antoine Flahault, directeur de l’Ecole des hautes études en santé publique (EHESP). Si seul le premier a servi à formuler des avis officiels, tous deux ont systématiquement surestimé les effets du virus, incitant les pouvoirs publics à persévérer dans l’idée que la vaccination de l’ensemble de la population était nécessaire. Dans son avis du 28 septembre 2009, l’InVS estimait ainsi sur la base de son modèle que le nombre de décès varierait « entre 6 400 et 96 000 soit 2 à 30 fois plus que la grippe saisonnière ». M. Flahault, pour sa part, estimait en mai 2009 que le virus pourrait tuer 30 000 personnes en France 95(*). Or, les données cliniques recueillies à ce jour dénombrent 312 morts.

    Avant d’essayer de déterminer les causes de cette surestimation, il convient d’insister sur le fait que les hypothèses formulées sur la base des modèles n’ont pas de valeur prédictive. Elles présentent simplement des conséquences possibles à partir des paramètres initiaux du modèle, notamment la contagiosité du virus et ses caractéristiques. M. Flahault lui-même regrette d’ailleurs que « lorsque nous présentons des «scénarios possibles», nous apparaissons comme des prévisionnistes », alors que, comme il l’a souligné lors de son audition, on ne peut pas fonder une politique sur un modèle purement théorique.

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  9. Au-delà même de ce problème de compréhension par les autorités de ce qu’est un modèle, l’absence de corrélation entre les estimations modélisées et la réalité constatée est frappante : l’estimation la plus optimiste du modèle InVS-INSERM s’est révélée près de vingt fois supérieure à la mortalité réelle.

    On découvre dans ce passage qu’Antoine Flahault a été directement impliqué dans la très large surestimation de l’impact de la grippe H1 N1. 10 ans plus tard, il a encore fait partie des plus alarmistes [7] sur la situation sanitaire, et les médias français publient volontiers ses opinions sur la situation Covid, défendant des mesures liberticides, le passe sanitaire [8) ou la vaccination massive [9]. Aucune leçon du passé n’a été tirée. Lui-même comme les journalistes semblent avoir oublié la faillite de ses prédictions en 2009. Prédictions qui ont conduit à un scandale financier et sanitaire dont la collectivité porte encore les traces.

    Ces modèles mathématiques ont également été l’un des prétextes pour lancer la vaccination de masse. En effet, ces modèles considèrent a priori la vaccination comme efficace contre la transmission d’un virus. Ainsi, en 2009, dès que le Comité Consultatif National d’Ethique (CCNE) indiqua que selon lui, par souci d’équité, la vaccination devait être ouverte à tous les Français, les autorités purent considérer que priver certains Français de la vaccination serait scandaleux …

    Il semble donc que les experts chargés de décider de la meilleure stratégie vaccinale aient considéré la nécessité de vacciner l’ensemble de la population comme une évidence a priori, fondée notamment sur des critères éthiques validés par le CCNE, alors que ce n’était pas le cas. […]

    Les autorités publiques, convaincues a priori de la nécessité d’une vaccination universelle, ont interprété en ce sens la réponse d’experts qui l’auraient peut-être recommandée, mais n’ont pas réellement été consultés sur ce sujet essentiel. Au-delà des améliorations à apporter à l’organisation du système d’expertise lui-même, cela doit inciter les autorités publiques à être plus vigilantes à l’usage qu’elles en font.

    La maximisation du risque pandémique

    Le rapport de 2009 est très clair sur le fait que les prévisions les plus alarmistes ont toujours été privilégiées. A la fois, le rapport dénonce les a priori des « experts » interrogés sur le risque pandémique, mais également le faux consensus scientifique qui a paralysé à l’époque toute analyse différente et moins catastrophique.

    a) L’importance des a priori des experts

    Tout d’abord, plusieurs biais ou a priori ont nui à la prise en compte des données qui devenaient au fur et à mesure disponibles concernant les caractéristiques propres à la pandémie A (H1N1)v.

    […]

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  10. b) Un consensus paralysant

    Investis de la mission d’intégrer l’ensemble des données qui devenaient progressivement disponibles, mais aussi de répondre dans des délais très brefs – parfois 48 heures – aux saisines constantes de la DGS, les membres du CLCG se sont rendus extrêmement disponibles. […]

    Mais cela a eu pour conséquence involontaire d’écarter les procédures par lesquelles un débat critique peut plus facilement s’instaurer, et a renforcé une dynamique de consensus qui n’était pas propice à l’examen critique systématique des données. […]

    Les rivalités entre scientifiques ont pu accentuer la tendance à privilégier les hypothèses maximalistes.

    10 ans plus tard, on peut constater que seuls les articles les plus alarmistes sont diffusés par les grands médias et les revues scientifiques. Des articles médiocres méthodologiquement, mais prévoyant des hécatombes et défendant les politiques de confinement sont publiés[10], pendant que les articles relativisant les impacts de la mortalité ou discutant du lien entre les actions publiques menées et les bénéfices constatés sont écartés[11]. Le conformisme et la censure n’ont certes pas reculé depuis 2009.

    Il y a 10 ans, nous dit le rapport du sénat, ceux qui ne s’étaient pas trompés sur la maladie, c’étaient les non-spécialistes, et particulièrement les médecins qui exerçaient le soin.

    2. La perception plus juste des non-spécialistes

    Dans l’ensemble, on doit constater que ceux qui ont pris la mesure exacte du virus étaient des scientifiques qui n’étaient pas spécialistes de la grippe. […]

    Les acteurs de terrain, eux, ne se sont pas trompés, et ont mis en place spontanément une réponse plus adaptée à la réalité de la maladie. […]

    Dans l’ensemble, les médecins généralistes, alors qu’ils n’avaient pas été chargés de conduire la vaccination antigrippale, ont fait face à la pandémie en assurant l’essentiel des soins. 900 000 consultations liées à la grippe A (H1N1)v ont eu lieu pendant la période pandémique : il est remarquable que, comme l’a reconnu la ministre de la santé, cela n’ait pas entraîné de surcharge du système hospitalier, alors qu’on estime en général qu’une épidémie génère des désordres dans le système hospitalier à partir de 700 000 consultations supplémentaires en médecine de ville. Les médecins généralistes ont donc particulièrement bien géré la réponse à apporter à la pandémie, et ils ont su rassurer leurs patients, évitant un engorgement du système de soins.

    Chacun a pu constater que 10 ans plus tard, les décisions prises ont été exactement l’inverse de celles préconisées par ce rapport. En interdisant aux médecins de ville de soigner les malades, le ministère de la Santé a désorganisé l’accès aux soins. Les hôpitaux ont été vidés de leurs patients, devant annuler nombre d’opérations prévues pour faire place aux patients covid. Nous savons aujourd’hui grâce aux rapports de l’ATIH que l’année 2020 est l’année record de sous-utilisation de nos capacité hospitalières[12]. C’est l’année où les français ont le moins été soignés. Mais les hôpitaux ont dans le même temps vu affluer des patients covid qu’ils n’auraient jamais dû avoir à prendre en charge, si leurs médecins traitants les avaient soignés et accompagnés. Le Conseil Scientifique lui-même a montré que beaucoup de morts Covid-19 sont des patients arrivés trop tard, faute d’avoir vu un médecin avant[13]. Et tout cela continue depuis deux ans et plus, et risque de continuer encore, malgré les préconisations faites il y a dix ans déjà.

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  11. Les conflits d’intérêt : Vacciner pour guérir ou parce qu’il faut vacciner ?
    Les conflits d’intérêt dénoncés par le rapport de 2009 couvrent deux champs : les liens entre les experts publics et l’industrie pharmaceutique sont dénoncés, mais également les liens obscurs ayant conduit à privilégier la vaccination de masse, en dépit de toute logique sanitaire.

    C. LA QUESTION INCONTOURNABLE DE LA GESTION DES CONFLITS D’INTÉRÊTS

    Bien qu’aucun élément dont elle dispose ne permette à la commission d’enquête de conclure que des préconisations aient été faites en raison des liens d’intérêt de certains experts, elle ne peut que constater que la pandémie de grippe liée au virus A (H1N1)v a été l’occasion d’une remise en cause sévère de l’expertise publique dans l’opinion en raison des liens d’intérêt de la majorité des experts avec l’industrie pharmaceutique.

    II. LA CAMPAGNE DE VACCINATION

    La vaccination ne figurait qu’en quatrième position dans la stratégie sanitaire de réponse à la pandémie définie par le plan national « Pandémie grippale », après l’organisation générale du système de soins, les mesures d’hygiène et de protection individuelle, le recours aux antiviraux et autres médicaments – et cette place était logique puisqu’elle ne pouvait être mise en oeuvre immédiatement.

    Elle a cependant monopolisé l’attention et pris d’emblée une place prépondérante dans le débat sur la politique de lutte contre la pandémie et sur la perception publique de l’action gouvernementale.

    En France – comme dans tous les pays concernés de l’hémisphère Nord, la stratégie de réponse vaccinale a été préparée « sur la base du scénario le plus défavorable118(*) », dans l’urgence et sous la pression de l’événement.

    Ainsi, en 2009, la vaccination est passée du statut d’outil potentiel à celui d’objectif unique et incontournable. Ce schéma résonne singulièrement à nos oreilles aujourd’hui, évidemment …

    B. UNE STRATÉGIE VACCINALE FIGÉE PAR LES CONTRATS PASSÉS AVEC LES FOURNISSEURS DE VACCINS

    En 2009, le Sénat constatait qu’une fois commandées des millions de doses de vaccins, les Etats n’avaient plus logiquement qu’à tenter de les écouler et de justifier leur commande, quel que soit le décalage avec les nécessités constatées a posteriori, voire le décalage qualitatif entre la promesse du produit acheté et celle du produit reçu et testé.

    Là encore, voilà qui peut résonner à nos oreilles aujourd”hui … En 2021 déjà, mais encore plus en 2022, quand face à un variant omicron très éloigné de la souche originelle du virus Sars-Cov2, les autorités promeuvent l’écoulement des stocks disponibles commandés, version virus 2019.

    Par ailleurs, on soulignera qu’en lieu de transparence améliorée depuis 2009, les contrats qui lient les Etats et les laboratoires sont désormais secrets. La seule nouveauté est que les négociations ont dorénavant lieu directement depuis le portable de la Présidente de la Commission Européenne[14]…

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  12. Une vaccination massive, cela rapporte énormément à certains, cela coûte d’autant à tous les autres – les contribuables. On aurait pu l’oublier en 2020- 2022, car personne ne semble trop enclin à se pencher sur ce sujet, mais c’était un peu le nerf déclencheur du rapport sénatorial de 2010 :

    1. Le coût de la vaccination pandémique
    Le chiffrage du coût de la campagne de vaccination que fait apparaître le tableau ci-après – 602 millions d’euros – ne peut donc être considéré que comme un ordre de grandeur. Il suffit cependant à indiquer le coût important d’une telle opération162(*), qui doit notamment inciter, si l’on était amené à la renouveler, à s’interroger sur les moyens de mieux ajuster aux besoins l’importance des achats de vaccins et d’optimiser, en termes d’organisation mais aussi de coût, le dispositif de vaccination.

    602 millions … Que nous ont coûté, en 2021 et encore à l’avenir, avec les achats supplémentaires et les promesses d’achat pour 2022 – 2023, les contrats avec les labos fournisseurs de vaccins ? On est tout à fait hors mesure, désormais. Nécessaires pour toute la population, ces injections, véritablement ?

    Pourquoi on peut s’interroger sur l’opportunité d’une politique vaccinale de masse, le rapport du Sénat de 2010 nous l’explique amplement, hors de tout aspect financier.

    La place de la vaccination dans la lutte contre la pandémie

    Cette première expérience permet cependant de s’interroger sur la possibilité de disposer à temps de vaccins, sur l’utilité de la vaccination – notamment dans un cas comme celui du virus A (H1N1)v, globalement peu pathogène mais pouvant cependant provoquer des cas graves de surinfection virale – d’envisager des pistes de réflexions sur les moyens de définir un usage plus efficace de la vaccination pandémique.

    a) Les limites de l’efficacité des campagnes de vaccination

    Les délais de mise à disposition des vaccins

    En France, la vaccination a débuté trop tard pour que les premiers vaccinés soient immunisés avant le début de la vague épidémique […]

    Comme le rappellent à plusieurs reprises tant les avis du CLCG que ceux du HCSP, une vaccination de masse ne présente d’intérêt collectif que si elle est achevée avant l’arrivée du virus, afin d’obtenir un effet « barrière » qui empêche sa circulation au sein de la population. Une fois le virus circulant, la vaccination présente un intérêt pour la protection individuelle des personnes. Faire prévaloir l’argument éthique aboutissait à écarter cette donnée fondamentale. Ce mélange des domaines, éthique et technique, est donc source de confusions, et ne peut que nuire à l’élaboration de la décision politique, qui doit avoir une perception claire des différentes données pour juger de leur importance relative.

    Le rapport concluait il y a 10 ans, après l’audition des meilleurs experts disponibles en France, qu’il n’y a pas le moindre intérêt collectif à vacciner une population une fois un virus installé sur son territoire. Cela n’a pas empêché les autorités d’initier ce schéma pour la Covid-19, alors que son échec était d’avance connu.

    Quelle que soit la capacité spécifique des injections anticovid à ralentir les contagions – le rapport de 2009 prévoyait déjà que celle-ci serait nulle – aucun vaccin n’aurait de toutes façons pu se prévaloir d’une telle efficience.

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  13. On ne vaccine qu’à titre préventif, au niveau collectif (voire au niveau individuel) : comment une donnée médicale aussi classique a-t-elle pu être ignorée, sauf à ce que des préconisations “exceptionnelles” aient été promues ? Les mêmes qui faisaient valoir l’urgence de la vaccination massive contre la grippe H1N1 ?

    Mener des recherches sur l’efficacité des vaccins antigrippaux
    L’efficacité clinique des vaccins antigrippaux est, au mieux, considérée comme incertaine.

    Il conviendrait donc de lancer des recherches sur l’efficacité des vaccins antigrippaux, notamment en suivant des cohortes de personnes vaccinées. Il semble en effet inutile de lancer des campagnes de vaccination qui n’apporteraient pas de protection réelle contre la maladie, et pourraient de surcroît inciter à négliger les mesures d’hygiène qui demeurent nécessaires.

    Il y a 10 ans il n’était pas tabou de dire que les vaccins antigrippaux n’ont pas apporté une preuve définitive de leur intérêt sanitaire. Aujourd’hui, la moindre remise en cause de l’efficacité d’une injection vaccinale est considérée comme relevant du négationnisme.

    Conclusion

    En conclusion, la pandémie H1N1 est née d’un désir catastrophiste, qui aurait pu accoucher de millions de morts statistiques et d’une vaccination massive sans l’intervention (innocente) des professionnels de santé : on leur a dit que c’était un virus de grippe, ils l’ont soigné ! Tss … Personne ne leur avait dit qu’il fallait laisser leurs patients à risque s’aggraver à domicile !

    Ce désir a été nourri par des politiques assujettis à leurs cabinets de conseil, par des laboratoires pharmaceutiques voulant rentabiliser leurs investissements, par des scientifiques désirant voir leurs compétences promues, par des médias arrimés aux agences de presse et aux communiqués de presse des personnes influentes.

    Tout ce petit monde fonctionnait en 2009, il carbure plein pot depuis 2020.

    A l’époque du H1N1, La vaccination de masse avait été présentée comme le seul outil à disposition, et cela s’était soldé par un démenti magistral.

    10 ans plus tard, nous avons les mêmes ingrédients, les mêmes protagonistes, qui reproduisent le même schéma. Ils ont été plus violents, en jouant sur la sidération, en imposant le confinement strict de mars-avril et la désorganisation du système de soins, en terrorisant les gens grâce à l’obligation du port du masque – qui fait croire que l’autre est dangereux et risque de nous tuer en respirant. On ne peut qu’imaginer l’impact à long terme d’une telle croyance, en particulier pour les enfants. Ils ont enfin organisé un contrôle permanent des individus sous le prétexte de les protéger.

    Ecrire un nouveau rapport parlementaire ? Le plus simple serait de reprendre celui concernant le H1N1, en changeant le nom de la maladie.

    En revanche, cette fois-ci il serait bon que le rapport devienne opérationnel, pour éviter aux Français une troisième dose de totalitarisme sous prétexte sanitaire.

    Pierre Lécot

    Florence Pisani

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  14. Image en vedette : Virus H1N1. Source Wikimedia Commons

    Notes :

    1 https://www.publicsenat.fr/article/parlementaire/passe-vaccinal-le-senat-lance-officiellement-une-commission-d-enquete-191977

    2 https://www.senat.fr/rap/r09-685-1/r09-685-1.html

    3 https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/decouverte-de-l-omicron-on-s-est-dit-que-c-etait-une-erreur-7fcee2f6-544a-11ec-a757-a812cb0c2b29#:~:text=Jinal%20Bhiman%2C%20chercheuse%20%C3%A0%20l,le%20g%C3%A9nome%20du%20nouveau%20variant.

    4 https://www.france24.com/fr/afrique/20211231-covid-19-pas-de-pic-de-d%C3%A9c%C3%A8s-d%C3%A9cel%C3%A9-apr%C3%A8s-la-vague-omicron-en-afrique-du-sud

    5 https://www.who.int/fr/about/funding/contributors

    6 https://www.celebritynetworth.com/richest-businessmen/richest-billionaires/bill-gates-net-worth/

    7 https://www.liberation.fr/societe/sante/antoine-flahaut-loptimisme-actuel-retarde-la-mise-en-oeuvre-de-mesures-visant-a-reduire-les-transmissions-20220201_25QS3XI5T5GOFPP3WWWU2SM47U/

    8 https://www.lefigaro.fr/international/antoine-flahault-le-passe-sanitaire-generalise-est-aussi-efficace-qu-un-confinement-20210716

    9 https://www.illustre.ch/magazine/antoine-flahaut-on-ne-sen-sortira-pas-sans-vacciner-les-enfants-et-les-ados

    10 https://youtu.be/-g0v7_e2t6k

    11 https://blogs.mediapart.fr/laurent-mucchielli/blog/260321/l-epidemie-de-covid-19-eu-un-impact-relativement-faible-sur-la-mortalite-en-france

    12 https://youtu.be/Ghb3mykWyvA

    13 https://youtu.be/79E-bureKo8

    14 https://www.lexpress.fr/actualite/monde/europe/textos-echanges-avec-le-pdg-de-pfizer-les-petits-secrets-d-ursula-von-der-leyen_2167051.html

    https://www.mondialisation.ca/lancement-dune-commission-denquete-covid-19-il-est-temps-de-se-rappeler-larnaque-h1n1/5664973

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  15. Qu'est-ce qu'une maladie sans cause ?


    Par Jon Rappoport
    Le blog de Jon Rappoport
    7 février 2022


    Une maladie sans cause est un modèle économique.

    Vous faites une liste de symptômes. Vous dites que de nombreuses personnes éprouvent ce groupe de symptômes.

    Vous donnez une étiquette à cette liste de symptômes. Un nom. Le nom d'une maladie ou d'un trouble ou d'un syndrome.

    Au fil du temps, grâce à la promotion, le nom reste.

    Vous financez des recherches pour trouver la cause de la maladie. Cette recherche peut s'étendre sur une longue période. Peut-être pour toujours.

    Pendant ce temps, vous développez et vendez des médicaments pour traiter la maladie. De l'argent.

    Vous continuez à signaler des « progrès » dans la recherche de la cause. « Au début, nous avons cherché des facteurs environnementaux. Mais maintenant, nous savons que la base est presque certainement génétique. Nous nous concentrons sur le dysfonctionnement génétique spécifique… »

    Avec le temps, on oublie ceci : existe-t-il vraiment une seule maladie avec une seule cause ?

    Et réfléchissez-y; si vous ne pouvez pas vérifier une seule cause, vous n'avez pas de maladie. Vous avez juste la liste originale des symptômes.

    Alzheimer serait un exemple. La microcéphalie (bébés nés avec une petite tête et des lésions cérébrales) en serait une autre. Les noms de maladies semblent l'emporter. "Eh bien, s'il y a un nom, une étiquette, il doit y avoir une maladie unique."

    Tort.

    S'il y a un nom, une étiquette, il y a de l'argent.

    De l'argent pour la recherche, pour le développement de médicaments, de l'argent provenant de la vente de médicaments et de vaccins.

    Les chercheurs sont chargés de rendre la liste des symptômes convaincante. « Nous avons fait des études sur le cerveau. Il existe des similitudes remarquables entre les patients atteints de la maladie X. Comme vous pouvez le voir sur ces scans, dans la figure A… »

    Toujours pas de dés. Aucune cause vérifiée. Par conséquent, rien ne justifie l'utilisation de l'étiquette de la maladie ou l'affirmation que vous avez trouvé une maladie unique.

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  16. Mais peu importe, car le modèle économique fonctionne bien.

    Voici un autre exemple. TDAH. Une cause unique a-t-elle été trouvée pour cette liste de symptômes ? Non. Par conséquent, il n'existe aucun test de laboratoire pour le TDAH. Aucun test pour confirmer le diagnostic de TDAH. Parce qu'un test détecterait que la cause est présente chez le patient et qu'il n'y a aucune cause à rechercher.

    En fait, si vous examinez le catalogue complet de tous les soi-disant troubles mentaux - environ 300 d'entre eux - il n'y a aucun test de laboratoire déterminant pour AUCUN d'entre eux. Pas un. Chaque soi-disant trouble est simplement une liste de comportements qui ont été regroupés par des comités de psychiatres et auxquels on a donné un nom. TDAH. Bipolaire. Dépression clinique. Etc.

    Mais peu importe. Parce que le modèle économique fonctionne. L'argent afflue. La drogue se vend.

    Allons encore plus loin. Cent ans de médecine Rockefeller ont «établi» qu'il existe des milliers de maladies, de troubles et de syndromes séparés, distincts et uniques. Et chacun a une cause. Pour de nombreuses maladies, la cause "n'a pas encore été découverte". Signification : « Nous écrivons de la fiction. Nous n'avons aucune justification pour appeler ces maladies, des maladies.

    Pour de nombreuses autres maladies, affirment les chercheurs, les causes ont été trouvées. Le type de cause le plus populaire? Un virus.

    Un virus qui n'avait jamais été vu auparavant. Un virus qui a été "découvert" dans un laboratoire.

    Un laboratoire – comme j'en ai discuté en profondeur – qui ne laisse entrer aucun étranger, aucun observateur véritablement indépendant, pour voir, en détail, ce qui se passe réellement.

    Pour cette raison, et plusieurs autres, il n'y a aucune raison solide de croire que ces virus, ces causes sont en fait découvertes. Sont réellement réels.

    Ce qui nous laisse avec des milliers de listes de symptômes.

    Mais il y a toujours un modèle économique. Le modèle Rockefeller complet vaut des billions de dollars. Plus de dollars chaque jour.

    Les médicaments et les vaccins sont la récompense $$$.

    J'ai passé des décennies à démontrer leur toxicité.

    Voici une astuce médicale très intéressante. Une ruse criminelle. Les chercheurs disent qu'un trouble cérébral appelé ABC existe mais ils n'ont pas encore trouvé la cause. Un parent a un enfant avec de graves problèmes et l'emmène chez le médecin. Le médecin prononce un diagnostic : "Oui, votre garçon a l'ABC."

    Le parent s'en va et fait des recherches. La liste des symptômes de l'ABC pourrait être le résultat d'un vaccin. En fait, le garçon a développé ses graves problèmes assez peu de temps après la vaccination.

    Elle retourne chez le médecin et dit : « Je pense que mon fils a été endommagé par le vaccin.

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  17. Le médecin dit : « C'est impossible. Votre garçon souffre d'ABC. Et vous voyez, nous avons fait des études sur des garçons atteints d'ABC, et beaucoup d'entre eux n'ont jamais été vaccinés. Donc, quand vous dites que la cause de l'ABC de votre garçon était un vaccin, nous avons exclu cela.

    Le parent ne sait pas quoi faire.

    Bien sûr, l'astuce est qu'il n'a jamais été prouvé que l'ABC était un trouble unique en premier lieu. C'est vraiment le NOM d'un trouble non prouvé. Les études auxquelles le médecin fait référence ne sont absolument pas pertinentes.

    ABC est un trouble sans cause prouvée. Par conséquent, ce n'est pas du tout un désordre. C'est juste une liste de symptômes.

    Le garçon des parents présente bon nombre de ces symptômes. Il les a acquis - et les dommages qu'il a subis - grâce à un vaccin. Si vous vouliez mettre un nom sur ce que le garçon a, appelez-le comme il est : les dommages causés par le vaccin.

    Pas ABC.

    Une partie du modèle commercial d'ABC est la suivante : "Nous utilisons cette étiquette de maladie afin d'éviter d'avoir à payer d'énormes dollars d'indemnisation pour les dommages causés par un vaccin."

    Si l'impact de cette astuce ne vous parvient pas, laissez-moi vous donner une analogie grossièrement exagérée.

    Les ingénieurs affirment qu'il existe un phénomène appelé River Floundering. C'est unique mais la cause n'a pas encore été trouvée. Le symptôme de base est le suivant : les bateaux sur les rivières développent la propension à couler.

    Joe emmène son bateau sur une rivière. Au-dessus de sa tête, un pont s'effondre et détruit son bateau. Joe s'échappe à peine de sa vie. Au bout de six mois, il sort de l'hôpital et poursuit plusieurs parties.

    Mais il perd son procès. Au tribunal, des experts témoignent que son bateau souffrait de River Floundering. C'est pourquoi il a coulé. De nombreuses études sur Floundering montrent que l'effondrement des ponts ne s'est pas produit lorsque "le naufrage s'est produit". Par conséquent, l'effondrement du pont n'était pas la cause du désordre du bateau de Joe, River Floundering.

    Qu'est-ce qu'une maladie sans cause ?

    Un modèle économique.

    Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.

    https://www.lewrockwell.com/2022/02/jon-rappoport/what-is-a-disease-without-a-cause/

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    Réponses
    1. Il fut un temps où existaient les apothicaires. C'était des commerces où se vendait de l'herbe et de la poudre blanche venue de pays lointains (Katmandou, Colombie, etc), puis sont arrivées les femmes assis. Mais là, au lieu de rester planté devant elles on été invité à entrer ! Entrée gratos !! On ne s'est pas fait dire 2 fois ! Mais à l'intérieur, les shoots étaient présentés sous forme de... sirops ! de pilules ! ou de suppositoires ! (voire la bonne vieille piquouze). Mais là très vite on s'est aperçu de la volerie ! On s'était fait avoir ! L'escroquerie ! Les clients criaient tous 'Remboursez ! Remboursez !' Et donc, tellement que le produit était mauvais de chez nul ils ont remboursé, même à 100 % en prenant le produit. C'était pour la 'sécurité sociale' !!

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  18. Le scooter électrique explose


    February 8th, 2022


    Nous enseignerons bientôt à nos enfants différentes leçons de sécurité incendie - en commençant par "n'essayez pas ça DANS votre maison?".

    Tous les kilojoules sont sortis en même temps.

    - voir clip sur site -

    Commentaire envoyé avec la vidéo :

    La batterie d'un scooter explose pendant sa charge. La personne avait encore la présence d'esprit de retirer l'emboîture, mais il était trop tard car la réaction chimique était déjà en cours. C'est ce que craignent les pompiers face aux voitures électriques.

    Ainsi que la batterie de votre ebike ! Recharger dans un boitier ignifugé ou à l'extérieur n'est pas un luxe.

    h/t Alistair P et Helen D.

    https://joannenova.com.au/2022/02/electric-scooter-explodes/

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  19. "Il s'agit d'une insurrection à l'échelle nationale" - Le maire d'Ottawa déclare "l'état d'urgence" au milieu de l'"occupation" d'un convoi de camionneurs


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 06 FÉVRIER 2022 - 18:52


    Les manifestants ont continué à se rassembler et à manifester contre les mandats et les restrictions du vaccin COVID-19 dans la capitale du Canada le 6 février, marquant le premier anniversaire de la soi-disant «occupation».

    « Nous sommes au huitième jour de cette occupation. Notre ville est assiégée. Ce que nous voyons est plus important qu'un simple problème de la Ville d'Ottawa. C'est une insurrection nationale. C'est de la folie. Nous avons besoin d'un plan concret pour mettre fin à cela », a déclaré la présidente du conseil d'administration, Diane Deans, membre du conseil municipal d'Ottawa, au début de la discussion virtuelle de près de deux heures.

    Le chef de la police d'Ottawa, Peter Sloly, était d'accord avec sa description de la situation, affirmant que les forces de l'ordre locales n'avaient «jamais eu l'intention de traiter avec une ville assiégée», et a dénoncé le manque de ressources – et d'autorité légale – pour disperser la manifestation.

    À un moment donné, Deans s'est demandé si la ville avait des motifs juridiques pour déclarer un rassemblement illégal puis une émeute, afin de procéder à des arrestations massives, au lieu de poursuivre « une accusation criminelle à la fois ».

    "Il y a tellement de gens là-bas engagés dans un acte plus large de… chaos, que nous devons être en mesure de tout maîtriser", a-t-elle déclaré.

    "Nous ne pouvons pas permettre à ce type de terrorisme dans notre communauté de continuer de cette façon."

    Oui, conformément au récit établi sur le fil Twitter de Trudeau, l'establishment appelle maintenant les camionneurs qui manifestent - des terroristes !

    Et à la suite de toute cette hystérie, The Epoch Times rapporte que le maire d'Ottawa, Jim Watson, a déclaré l'état d'urgence en raison de la manifestation des camionneurs qui se poursuit dans le centre-ville de la ville.

    Dans un bref communiqué, la ville a déclaré que la décision reflétait «le grave danger et la menace pour la sûreté et la sécurité des résidents posés par les manifestations en cours et souligne la nécessité du soutien d'autres juridictions et niveaux de gouvernement. ”

    «Il offre également une plus grande flexibilité au sein de l'administration municipale pour permettre à la Ville d'Ottawa de gérer la continuité des activités des services essentiels pour ses résidents et permet un processus d'approvisionnement plus flexible, ce qui pourrait aider à acheter l'équipement requis par les travailleurs de première ligne et les premiers intervenants», a déclaré la Ville. dit dans sa déclaration.

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  20. Les organisateurs de la manifestation disent que leur manifestation est pacifique... à part cette attaque terroriste terrible, horrible, horrible contre un bon citoyen local honnête qui essayait juste de traverser la route...

    La manifestation a commencé comme une manifestation de camionneurs contre l'exigence du gouvernement fédéral selon laquelle les camionneurs transfrontaliers doivent être vaccinés, mais s'est depuis transformée en un vaste mouvement rejoint par des personnes de partout au Canada pour s'opposer aux différents mandats et restrictions de la COVID-19. Des convois de véhicules sont arrivés à Ottawa le 29 janvier, et beaucoup sont restés dans la ville, avec des camions et d'autres véhicules garés près de la Colline du Parlement. De nombreux manifestants disent qu'ils resteront jusqu'à ce que les mandats soient levés.

    Des klaxons peuvent être entendus tout au long de la journée dans le secteur de la Colline du Parlement, ce dont les résidents se plaignent.

    L'organisateur de la manifestation Benjamin Dichter a déclaré que les personnes mécontentes du klaxon devraient contacter le premier ministre Justin Trudeau et lui demander de lever les mandats COVID-19.

    « À tous ceux qui sont ennuyés, nous nous excusons. Veuillez appeler Justin Trudeau, son bureau, et faire lever ces mandats, et nous nous en sortirons », a déclaré Dichter lors d'une conférence de presse à Ottawa le 6 février.

    Trudeau a refusé de rencontrer les manifestants.

    Tom Quiggin, qui aide les organisateurs avec des «renseignements protecteurs», a déclaré que de nombreuses personnes à travers le Canada ont perdu leur emploi, leur maison et leur entreprise à la suite des mandats et des restrictions de COVID-19, et qu'elles ont aussi des griefs, c'est pourquoi ils sont protester dans la capitale nationale.

    «Rappelons-nous que la majeure partie d'Ottawa est le gouvernement, un grand nombre de fonctionnaires ici. Ils n'ont pas raté un chèque de paie. Ils ont des augmentations de salaire, certains d'entre eux ont récupéré leur salaire, la plupart d'entre eux travaillent à domicile. Certains d'entre eux qui ne peuvent pas travailler à domicile ne font tout simplement rien et sont toujours payés », a déclaré Quiggin lors de la conférence de presse.

    "Alors oui, c'est dommage qu'ils se sentent mal à cause des klaxons, oui, c'est dommage qu'ils se sentent mal à propos de la perturbation, mais le reste du pays souffre."

    Daniel Bulford, un ancien officier de la GRC qui a quitté la force en raison de son mandat de vaccination et aide maintenant les organisateurs de la manifestation, a déclaré que ses enfants ne veulent plus jouer au hockey en raison de la position que sa famille a prise sur les questions de vaccins, comme ils se sentent "isolé et aliéné".

    "Les personnes qui s'occupent des coups de klaxon ne sont pas les seules à faire face à l'impact de tous ces mandats", a déclaré Bulford lors de la conférence de presse.

    https://www.zerohedge.com/political/nationwide-insurrection-ottawa-mayor-declares-state-emergency-amid-trucker-convoy

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  21. Les marionnettistes et leurs âmes damnées


    5 février 2022
    Philippe Huysmans


    Voilà 690 jours que le coup d'État planétaire organisé par les élites mondialistes est en cours, au titre d'une soi-disant pandémie qui dans les faits n'a pas tué plus qu'une grippe. Partout, les droits individuels ont été bafoués et des lois iniques ont été publiées, en dehors de tout contrôle constitutionnel. C'est la politique du fait accompli qui prévaut, on prend des arrêtés liberticides, on les fait appliquer, et lorsque quelqu'un s'avise de les contester par voie de recours, la plupart du temps, ceux-ci sont rejetés par une justice à la botte de l'exécutif. Non seulement il est grand temps de se lever contre la tyrannie, mais il convient aussi de comprendre comment tout ceci a pu arriver.

    Au-delà de la juste indignation que nous ressentons tous, peut-être est-il temps de commencer à cerner les véritables objectifs de ce qui est bel et bien une contre-révolution, que dis-je, une guerre menée par les élites contre les peuples. Il ne s'agit de rien moins que de nous ramener à l'époque féodale, dans laquelle les serfs, taillables et corvéables à merci étaient la propriété de leur seigneur.

    Dans ce modèle les droits seront supplantés par les devoirs vis-à-vis de la société, et vos rares libertés seront toujours conditionnées à votre obéissance aveugle à l'autorité, et donc à leurs marionnettistes. Et ne nous berçons pas d'illusions, quand on parle de devoirs vis-à-vis de la société, il ne s'agit que revêtir la tyrannie des oripeaux de la solidarité.

    Ce modèle, c'est le communisme pour les masses (le servage), et l'ultralibéralisme pour les élites ainsi que leurs meilleurs serviteurs.

    Comment a-t-on pu en arriver là ?

    Je crois que ceci est finalement la question centrale, et je me propose de vous livrer ici une théorie, qui, si elle n'est pas entièrement prouvée, a le mérite de tenir rudement bien la route sous tous les aspects.

    En préambule, je rappelle que le vieux rêve des élites financières d'instituer leur pouvoir absolu ne date pas d'hier, c'est juste que les tentatives précédentes ont échoué parce que leurs pions étaient imparfaitement contrôlés. Les hommes de pouvoir, passé un certain point, n'en faisaient qu'à leur tête, et sauf à les faire assassiner, ce qui fait toujours désordre, les projets de domination mondiale des marionnettistes restaient plus ou moins lettre morte.

    Ces petits cercles d'élites, principalement basées aux USA et au Royaume-Uni ont donc conçu un système de cooptation des hommes de pouvoir en s'assurant de leur totale soumission. Comment ? En usant d'un moyen vieux comme le monde, le chantage. Et si vous voyez Bill Gates comme un des marionnettistes, détrompez-vous, ce n'est qu'un pion à leur service, et il est tenu par le chantage (cfr. affaire Epstein). Pourquoi croyez-vous que la Reine d'Angleterre a pris la décision inouïe de retirer tous ses titres, honneurs et privilèges à son fils favori, Andrew ? Tout simplement parce que la révélation du contenu du dossier aurait pu faire tomber la monarchie.

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  22. On pourrait continuer avec Justin Trudeau, qui avait pu échapper à des poursuites pour viol sur mineur au moment où il exerçait encore la profession d'enseignant. Tout ceci ne constitue qu'une toute petite partie de ce que je crois être un système mis en place patiemment au fil des années par les marionnettistes. Petit à petit, ils ont placé des pions à eux, des gens sur qui ils ont barre, recrutés via des officines comme le Forum Économique Mondial et les Young Leaders. Leur dépravation n'est pas la conséquence de leur pouvoir, mais bien la condition sine qua non pour y être élevé.

    Ainsi vous comprenez l'obéissance aveugle de ces exécutants, qui pour la plupart d'entre eux, ont pris des décisions politiques qui ont causé la mort de plusieurs dizaines de milliers de personnes (cfr. arrêt « Rivotril »). Vous pouvez être bien sûr qu'ils ont agi à contrecœur, et sous la menace ; ceci transparaissait notamment dans certaines interventions d'Emmanuel Macron. Personne avec tous ses boulons n'irait prendre officiellement des décisions ayant pour conséquence la mort d'un certain nombre de citoyens, et pourtant, tous l'ont fait ! Enfin, pas tous, certains dirigeants notamment africains n'ont pas suivi, ils ont été assassinés dès le début du coup d'État (Tanzanie, Haïti, Burundi), ou ont échappé de justesse, comme le président malgache à une tentative d'assassinat. Paradoxalement, les deux hommes soupçonnés d'avoir fomenté cet attentat étaient d'anciennes barbouzes françaises.

    La mort n'a pas frappé que des présidents rétifs au discours des marionnettistes, elle a aussi fait des ravages parmi des chercheurs ayant travaillé sur le Sars-Cov2 et ceux qui vendaient des remèdes bon marché comme l'hydroxychloroquine. Je ne vais pas faire ici la recension de tous les morts, de toutes les explosions et incendies inexpliqués, pour cela je vous conseille la lecture du livre de Philippe Aimar, Enquête sur un virus COVID-19.

    Arrivé à ce point, vous devriez avoir compris que ces pions, accros au pouvoir et tenus par des crimes sordides ne reculeront devant rien, sauf en cas de péril mortel pour leur petite personne.

    Comment en sortir ?

    Eh bien je crois qu'il est important de comprendre que de faire reculer le pouvoir ici où là ne changera strictement rien, les marionnettistes peaufineront leurs plans, et après avoir été virés par la porte, ils reviendront par la cheminée. Les marionnettistes ne sont pas le plus grand péril, ce sont leurs créatures qui représentent un danger : elles sont leurs bras armés et sont en position de pouvoir. Tant que le ver n'aura pas été retiré du fruit, il n'y aura aucune issue durable.

    D'un autre côté, on ne peut que constater un certain amateurisme, et aussi une précipitation dans le chef des marionnettistes qui tend à montrer qu'ils savent que leur entreprise est fragile. Pourquoi n'ont-ils pas pris la peine de bétonner correctement leur stratégie ? Tout simplement parce qu'ils sont dans l'urgence absolue, l'économie mondiale est au bord de l'effondrement complet.

    Il y avait donc urgence à installer un contrôle social fort, puisque le but, c'est de faire subir toutes les conséquences de l'effondrement au peuple, tout en gardant fermement sa position de domination absolue.

    Un autre élément qui pourrait bien être le grain de sable fatal à leur projet mégalomaniaque est que dans les faits, c'est presque 20 % de la population qui ne marche plus, soit qu'ils étaient éveillés de longue date, soit qu'ils commencent à réaliser qu'on les a manipulés. Et si l'on voit assez fréquemment des gens s'éveiller, ceux qui décident de leur propre chef de revenir dans la caverne de Platon sont plus rares que le merle blanc.

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  23. Si nous n'étions pas si nombreux, il y a longtemps que nous serions déjà enfermés dans les camps de concentration que nos bons maîtres avaient fait construire à cette fin.

    Je ne suis pas optimiste, mais disons qu'on commence à voir des failles un peu partout dans ce projet dystopique, c'est à nous, le peuple, qu'il reviendra de remettre la démocratie sur la bonne voie, et puis d'imaginer une société plus respectueuse des gens, plus économe, aussi, basée sur l'entente et la solidarité, parce que les débuts promettent d'être compliqués, attendu que l'effondrement, lui, est inéluctable. Cela passera probablement par un moratoire sur la dette, toute la dette. Mais me direz-vous, comment financerez-vous les pensions et les services publics ? Eh bien déjà, il n'y aura plus de dette, donc plus d'intérêts sur la dette. C'est bien ce modèle qui flanque la jaunisse aux marionnettistes, parce que c'est via la dette que l'on tient les peuples en esclavage.

    https://www.levilainpetitcanard.be/les-marionnettistes-et-leurs-ames-damnees/

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  24. ALEXANDRA HENRION-CAUDE NOUVELLE CHAÎNE YOUTUBE

    Un an déjà! Une nouvelle chaîne à suivre...

    Alexandra Henrion

    https://www.youtube.com/watch?v=oHsk3M_Dqwo&t=0s

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  25. Les enfants ont 52 fois plus de risques de mourir après avoir été vaccinés que les enfants non vaccinés


    Par Mohamed Tahiri
    Mondialisation.ca, 07 février 2022


    L’Office for National Statistics a révélé sans s’en rendre compte que les enfants sont jusqu’à 52 fois plus susceptibles de mourir après la vaccination contre le Covid-19 que les enfants qui n’ont pas reçu le vaccin contre le Covid-19. Le 20 décembre dernier, l’Office for National Statistics (ONS) a publié un ensemble de données contenant des détails sur les « décès par statut vaccinal en Angleterre » entre le 1er janvier et le 31 octobre 21.

    L’Office for National Statistics a révélé sans s’en rendre compte que les enfants sont jusqu’à 52 fois plus susceptibles de mourir après la vaccination contre le Covid-19 que les enfants qui n’ont pas reçu le vaccin contre le Covid-19.

    Le 20 décembre dernier, l’Office for National Statistics (ONS) a publié un ensemble de données contenant des détails sur les « décès par statut vaccinal en Angleterre » entre le 1er janvier et le 31 octobre 21. L’ensemble de données contient divers tableaux montrant des détails tels que « Taux mensuels de mortalité standardisés selon l’âge par statut vaccinal pour les décès impliquant la COVID-19 » et « Taux mensuels de mortalité standardisés selon l’âge par statut vaccinal pour les décès non liés à la COVID-19 ».

    L’ensemble de données comprend également des « taux de mortalité standardisés selon l’âge par groupe d’âge et statut vaccinal pour tous les décès », mais ils ont commodément omis les données pour les enfants et n’ont inclus que des données sur les groupes d’âge de plus de 18 ans.

    Ce qu’ils ont également fait dans les données qu’ils ont incluses, c’est regrouper tous les jeunes adultes, ce qui signifie que les taux de mortalité sont calculés pour les 18-39 ans, soit un total de 22 ans. Mais pour tous les autres groupes d’âge, les taux de mortalité sont calculés pour un total de 10 ans, avec 40-49, 50-59, etc.

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    Cependant, sur le tableau 9 de l’ensemble de données « Décès selon le statut vaccinal », l’ONS a fourni par inadvertance suffisamment de détails sur les décès chez les enfants et les adolescents par statut vaccinal pour que nous puissions calculer nous-mêmes les taux de mortalité, et pour le dire franchement, ils sont horribles et montrent clairement pourquoi l’ONS a choisi d’exclure les enfants de l’ensemble de données sur les taux de mortalité.

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  26. Ce que l’ONS a fait, comme on peut le voir dans le tableau ci-dessus, c’est fournir un taux de mortalité standardisé par âge pour 100 000 années-personnes, plutôt que pour 100 000 habitants.

    La raison en est que la taille de chaque population vaccinale change tout le temps, en raison du passage des non-vaccinés dans la catégorie des doses uniques et des vaccinés à une dose dans la catégorie des vaccinés à deux doses tout au long de l’année.

    Donc, en le faisant de cette façon, il fournit une image beaucoup plus précise des taux de mortalité, car il tient compte à la fois du nombre de personnes et du temps qu’une personne a passé dans chaque statut vaccinal.

    Et sur le tableau 9, l’ONS nous a fourni le nombre de décès par statut vaccinal chez les enfants et les adolescents, et nous a également gentiment fourni les années-personnes, ce qui signifie que nous pouvons calculer le taux de mortalité par 100 000 années-personnes pour les 10-14 ans, et les 15-19 ans par statut vaccinal.

    Selon l’ONS, entre le 2 janvier et le 31 octobre 2021, 96 décès ont été enregistrés chez les 10-14 ans qui n’avaient pas été vaccinés, et 160 décès enregistrés chez les 15-19 ans qui n’avaient pas été vaccinés.

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    L’ONS a calculé que les années-personnes chez les 10-14 ans non vaccinés au cours de cette période étaient de 2 094 711, tandis qu’ils ont calculé que les années-personnes chez les 15-19 ans non vaccinés au cours de cette période étaient de 1 587 072.

    Pour calculer le taux de mortalité pour 100 000 années-personnes, tout ce que nous avons à faire maintenant est de diviser les années-personnes par 100 000, puis de diviser le nombre de décès par la réponse à cette équation. Donc, pour les 10-14 ans, nous effectuons le calcul suivant – 2 094 711 (années-personnes) / 100 000 = 20,94711. 96 (décès) / 20,94711 = 4,58.

    Par conséquent, le taux de mortalité pour 100 000 années-personnes chez les 10-14 ans non vaccinés est de 4,58 décès pour 100 000 années-personnes entre le 1er janvier et le 31 octobre 21.

    En utilisant la même formule, nous constatons que le taux de mortalité chez les 15-19 ans non vaccinés est de 10,08 décès pour 100 000 années-personnes.

    Maintenant, tout ce que nous avons à faire est d’utiliser la même formule pour calculer le taux de mortalité chez les 10-14-14 à deux doses vaccinés et les 15-19 ans, en utilisant les années-personnes et le nombre de décès fournis par l’ONS dans le tableau 9 de leur rapport « Décès par statut vaccinal », qui sont les suivants:

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    Données sources

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    Données sources

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  27. Voici les taux de mortalité calculés par statut vaccinal chez les 15-19 ans sur la base des années-personnes calculées par l’ONS.

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    Données sources

    Et voici les taux de mortalité calculés par statut vaccinal chez les 10-14 ans sur la base des années-personnes calculées par l’ONS –

    - voir cadre sur site -

    Données sources

    Ces chiffres sont horribles. Les données de l’ONS montrent qu’entre le 1er janvier et le 31 octobre, les enfants âgés de 10 à 14 ans étaient statistiquement 10 fois plus susceptibles de mourir que les enfants non vaccinés, et les adolescents âgés de 15 à 19 ans étaient statistiquement 2 fois plus susceptibles de mourir que les adolescents non vaccinés.

    Mais ce sont les chiffres de la double vaccination qui sont vraiment effrayants. Les données de l’ONS montrent qu’entre le 1er janvier et le 31 octobre, les adolescents âgés de 15 à 19 ans étaient statistiquement 3 fois plus susceptibles de mourir que les adolescents non vaccinés, mais les enfants âgés de 10 à 14 ans étaient statistiquement 52 fois plus susceptibles de mourir que les enfants non vaccinés, enregistrant un taux de mortalité de 238,37 pour 100 000 années-personnes.

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    Données sources

    Mais ces chiffres sont en fait encore pires qu’ils n’y paraissent au premier abord, comme s’ils n’étaient pas déjà assez mauvais. En effet, le taux de mortalité non vaccinée chez les 10-14 ans comprend les enfants âgés de 10 et 11 ans qui ne sont pas admissibles à la vaccination.

    Alors que les taux de mortalité vaccinés n’incluent pas les 10 et 11 ans parce qu’ils n’étaient pas éligibles à la vaccination à l’époque, le JCVI n’a recommandé que récemment le 22 décembre que les enfants de 5 à 11 ans jugés à haut risque devraient se voir proposer un vaccin Covid-19.

    Par conséquent, si les injections de Covid-19 ne causaient pas les décès prématurés d’enfants, nous nous attendrions en fait à voir un taux de mortalité inférieur parmi la population vaccinée que le taux de mortalité parmi la population non vaccinée, pas un taux de mortalité similaire, et certainement pas un taux de mortalité 52 fois plus élevé.

    Ces données époustouflantes et horribles devraient faire la une des journaux nationaux, et nous craignons de penser à ce que seront les chiffres dans la prochaine mise à jour de l’ONS qui comprendra des données sur des millions d’autres enfants qui ont reçu leur 1ère et 2ème dose d’un vaccin Covid-19 après le 31 octobre 2021.

    https://www.mondialisation.ca/les-enfants-ont-52-fois-plus-de-risques-de-mourir-apres-avoir-ete-vaccines-que-les-enfants-non-vaccines/5664998

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  28. Internet : l’incroyable autoritarisme de la Commission européenne

    Dans un entretien aux Échos, le directeur général de l’ICANN révèle que la Commission européenne travaille à réguler les serveurs informatiques à la base du réseau. Un projet jamais entrepris même par les États les plus autoritaires.


    le 8 février 2022
    Par Ludovic Greiling.


    L’internet repose sur une infrastructure physique – câbles, antennes, commutateurs, serveurs informatiques. Pour fonctionner, les différentes machines du réseau doivent communiquer entre elles via des protocoles informatiques identiques. Envoyer et recevoir un message électronique entre deux ordinateurs suppose en effet un standard de communication commun entre eux. C’est pourquoi l’internet s’est longtemps développé de manière centralisée, sous l’étroit contrôle des États-Unis, qui avaient créé en 1998 une structure – l’Internet corporation for assigned names and numbers (ICANN) – afin de distribuer les adresses uniques de chaque utilisateur (adresses IP) ainsi que les noms de domaine (sites internet).

    Devenue une ONG internationale à part entière, basée en Californie, l’ICANN continue de gérer l’internet que les Européens utilisent au quotidien. Il n’est cependant pas à l’abri de la concurrence, la Chine et la Russie ayant développé des réseaux parallèles avec leurs propres protocoles IP. Mais la structure la plus utilisée dans le monde demeure de loin celle régie par l’ICANN, et le bon fonctionnement du réseau dépend notamment des serveurs informatiques que l’organisation a installés au fil des ans.

    Dans un entretien accordé aux Échos le 9 décembre dernier, passé quelque peu inaperçu, le président de l’ICANN Göran Marby révélait que la directive NIS2 en cours de montage à Bruxelles faisait courir un risque inédit au réseau internet :

    La Commission propose de réguler les serveurs racines, l’épine dorsale d’internet. Elle veut nous imposer des obligations de reporting, de standardisation… et remettre en cause un modèle multipartite qui implique des milliers de personnes provenant de centaines de pays différents – dont les gouvernements – et qui fonctionne sans problème depuis trente-cinq ans.

    L’étau se resserre sur l’échange d’information

    Officiellement destinée à renforcer la sécurité en ligne, les initiatives de la Commission européenne ont surtout pour objectif de réguler davantage de secteurs en ciblant notamment celui de l’Information. Ce projet de loi programmatique inquiète Göran Marby, car « les serveurs racines [qui permettent le bon fonctionnement des noms de domaine et des adresses IP] ne sont pas une infrastructure critique pour l’Europe mais pour le monde entier ». C’est pourquoi aucun gouvernement – même les plus autoritaires – n’avait jamais proposé de réguler l’activité de l’ICANN, souligne son président.

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  29. Si le Parlement de Strasbourg et le Conseil des chefs d’État pourraient faire évoluer la proposition de l’exécutif européen, ces velléités révèlent au grand jour les ambitions inédites de la Commission. Depuis deux ans, cette dernière multiplie les initiatives visant à contrôler le secteur de l’Information.

    Par le « Digital Services Act » en cours de discussions, elle souhaite notamment donner tout pouvoir aux plateformes d’hébergement pour déplacer, supprimer ou modérer des contenus jugés illégitimes, quel que soit leur provenance. Une telle loi pourrait, à terme, considérablement centraliser la censure en concentrant le risque juridique sur ces entreprises spécialisées.

    Par le « Media Freedom Act », que le commissaire Thierry Breton souhaite présenter à l’été, la Commission entend s’attaquer à la composition et aux nominations dans les directions des médias publics, ciblant ce qu’elle nomme les « interférences » des gouvernements souverainistes, en particulier en Pologne, en République Tchèque et en Hongrie. Elle prétend aussi régenter les médias privés en établissant des règles contraignantes concernant « l’indépendance éditoriale » ou « la transparence sur les propriétaires ».

    https://www.contrepoints.org/2022/02/08/421192-internet-lincroyable-autoritarisme-de-la-commission-europeenne

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