Le Texas se prépare à une vague de froid alors que les pipelines de gaz naturel gèlent ; Support de soucis de panne de courant
PAR TYLER DURDEN JEUDI 03 FÉVRIER 2022 - 15:20
L'air arctique est descendu au Texas cette semaine alors que les températures plongent bien en dessous de zéro. Les responsables du Texas ont rassuré le public à plusieurs reprises que le principal opérateur de réseau du Texas, l'Electric Reliability Council of Texas (ERCOT), aura la capacité de fournir de l'énergie aux ménages et aux entreprises à mesure que la demande de chauffage augmente.
"Le réseau est prêt et les lumières resteront allumées pour les Texans", a déclaré Peter Lake, président de la Public Utility Commission du Texas, dans un communiqué mercredi après-midi. Il a déclaré plus tôt dans la journée qu'ERCOT "ne prévoit aucune panne de courant".
Les prévisions météorologiques montrent un gel profond dans le Lone Star State jusqu'à samedi. Les températures moyennes ont plongé de 60 degrés (15,5°) Fahrenheit le 31 janvier à 25 degrés Fahrenheit vendredi. Une tempête de verglas frappe également l'État et se poursuivra jusqu'à la fin de la semaine.
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Brr il fait froid !
ERCOT prévoit que la demande de pointe sera d'environ 72 gigawatts vendredi matin, un niveau observé uniquement pendant les périodes très chaudes de l'été. Le congélateur produit déjà des signes très inquiétants de danger imminent.
Les approvisionnements en gaz dans l'Oklahoma, le Texas Panhandle et l'Arkansas ont plongé de 22% mercredi à partir de mardi, les têtes de puits gelées limitant le flux de natgas, selon de nouvelles données de BloombergNEF.
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Le temps plus froid et la menace d'une diminution des approvisionnements sont en partie responsables de la hausse des prix du gaz naturel atteignant 17 % mercredi, mais reculant de 7 % jeudi matin. Les prix ont culminé à 5,50 $/MMBtu hier, revenant à des niveaux jamais vus depuis près d'une décennie.
"Ce n'est que le début", a déclaré Jade Patterson, analyste à la BNEF. Les pipelines gelés pourraient restreindre l'approvisionnement en gaz du Midcontinent tout au long du week-end. Comme les lecteurs s'en souviendront peut-être, les gazoducs natgas gelés ont été l'une des principales causes de la crise énergétique au Texas l'année dernière. Si les centrales de production d'électricité de natgas ne peuvent pas obtenir de carburant, il y aura de graves problèmes et des risques de pannes d'électricité au Texas.
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"Ce système météorologique s'est vraiment renforcé, en particulier dans le Midwest et dans la région productrice", a déclaré John Kilduff, co-fondateur d'Again Capital LLC. "Il y aura certainement des blocages, il y aura certainement des ratés opérationnels en termes de transmission et de transport par canalisations de molécules de gaz."
"La combinaison de l'augmentation de la demande de chauffage et de la réduction de la production due au gel resserrera le marché au cours des deux prochaines semaines", a déclaré Peter Rosenthal, responsable de l'électricité et du gaz nord-américain chez Energy Aspects.
En raison du risque de complications du réseau, le crypto-mineur Riot Blockchain Inc. a fermé la plupart de ses opérations de fabrication de Bitcoin au Texas cette semaine pour économiser l'électricité. Riot a volontairement commencé à réduire la puissance mardi avant la vague de froid.
"Whinstone a commencé à prendre des mesures proactives pour se préparer à la fermeture de ses opérations minières en réponse à toute augmentation de la demande à Ercot", a déclaré la porte-parole de la société, Trystine Payfer.
Le gel profond fait partie d'une puissante tempête hivernale traversant le centre, l'est et le sud des États-Unis.
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La question que se posent les lecteurs est de savoir si ERCOT peut répondre à la demande tout en empêchant les pipelines de geler. Sinon, un redux de la crise énergétique de 2021 pourrait être imminent.
4 000 vols annulés alors qu'une puissante tempête hivernale s'abat sur 2 000 milles des États-Unis
PAR TYLER DURDEN JEUDI 03 FÉVRIER 2022 - 12:20
Des milliers de vols sont annulés jeudi matin alors qu'une puissante tempête hivernale répand des précipitations hivernales sur un tronçon de 2 000 milles des États-Unis.
La tempête hivernale devrait créer des conditions dangereuses dans l'Arkansas aujourd'hui avec de la neige, du grésil et de la glace. Certaines parties de l'ouest du Tennessee et du Kentucky sont soumises à des avertissements de tempête de verglas. L'Illinois devrait recevoir de fortes chutes de neige. Alors que le système pousse vers l'est plus tard dans la journée, certaines parties du nord de l'État de New York et du Maine pourraient recevoir plus d'un pied de neige d'ici vendredi.
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"Nous sommes maintenant au cœur de l'hiver, et cette nouvelle tempête est sur le point de nous frapper avec tout l'arsenal météorologique - neige abondante, grésil et pluie verglaçante", a averti la gouverneure Kathy Hochul de New York.
La société de suivi des vols FlightAware rapporte que 4 110 vols à l'intérieur, à destination ou en provenance des États-Unis ont été annulés à 09h20 HE. Les retards à l'intérieur, à l'intérieur ou à l'extérieur des États-Unis s'élèvent à environ 320.
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L'aéroport international de Dallas/Fort Worth a enregistré le plus d'annulations, avec 529 vols, soit environ 55 % de tous les vols ce matin. L'aéroport international de Chicago O'Hare a environ 256 vols annulés et l'aéroport international d'Austin-Bergstrom (situé à Austin, Texas) a environ 216 vols annulés. Southwest Airlines et American Airlines ont enregistré le plus d'annulations en termes de transporteurs.
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Jeudi semble être une journée météo très active, créant des cauchemars pour des milliers de passagers. À mesure que la tempête avance vers l'est, elle est susceptible de causer encore plus de perturbations de voyage.
La Russie et la Chine signent un accord de 30 ans sur des livraisons de gaz via un nouveau pipeline
4 févr. 2022, 16:25
Gazprom va vendre 10 milliards de m³ de gaz supplémentaires à la Chine chaque année via un nouveau gazoduc qui devrait entrer en fonction d'ici 2 à 3 ans. Ce nouveau contrat sera réglé en euros. La Russie a conclu un contrat de fourniture de gaz à la Chine pour une durée de 30 ans, renforçant ainsi l'alliance énergétique avec Pékin.
Ces livraisons de gaz seront réglées en euro et seront réalisées grâce à un nouveau gazoduc. Gazprom – l'entreprise qui détient le monopole des exportations de gaz russe par gazoduc – a accepté d'augmenter significativement ses fournitures de gaz à la China National Petroleum Corporation (CNPC), la grande entreprise publique chinoise du secteur de l'énergie, comme l'ont indiqué un responsable de cette dernière et la société basée à Saint-Pétersbourg.
Une augmentation des exportations de gaz de 10 milliards de mètres cubes par an
Le nouveau gazoduc reliera l'Extrême-Orient russe au nord-est de la Chine et devrait entrer en fonction dans deux à trois ans, selon une source pékinoise citée par Reuters. Il devrait permettre la livraison à la Chine de 10 milliards de mètres cubes de gaz en provenance de l'île de Sakhaline. Toujours selon cette source, l'accord serait réglé en euros, en accord avec le souhait des deux pays d'utiliser moins fréquemment le dollar pour leurs échanges commerciaux.
Moscou livre déjà du gaz à Pékin sous forme de GNL (gaz naturel liquéfié) et via le gazoduc Power of Siberia, long de 4000 km et entré en fonction en 2019. En 2021, la Russie a exporté 16,5 milliards de mètres cubes de gaz vers la Chine, une exportation qui devrait plus que doubler d'ici 2025 pour atteindre 38 milliards de mètres cubes livrés par gazoduc.
«La pénurie de charbon en Chine l'année dernière a permis de rappeler que le gaz naturel a une valeur particulière, c'est pourquoi CNPC a décidé de conclure un nouvel accord sur le gazoduc», a déclaré la même source citée par Reuters. LIRE AUSSI La Chine et la Russie se disent «opposés à tout élargissement futur de l'OTAN»
La nouvelle taxonomie énergétique englobe le gaz naturel et le nucléaire
le 4 février 2022
C’est maintenant acquis ce 2 février 2022 après des palabres incessantes depuis plusieurs années au sein de la Commission européenne le gaz naturel et le nucléaire font partie des énergies dites vertes, renouvelables et tout ce que vous voudrez comme qualificatifs. Le « Complementary Delegated Act » (CDA) proposé le 31 décembre 2021 a fait l’objet d’intenses discussions entre les « experts » comme des ONGs, des financiers et des entreprises telles qu’ Iberdrola, entreprise espagnole spécialisée dans l’installation de moulins à vent, et quelques rares spécialistes de l’énergie nucléaire. Puisque le gaz naturel n’est pas une source d’énergie zéro-carbone la poire a été coupée en deux tout en précisant quelques détails ubuesques comme le taux de rejets de gaz carbonique admissible pour les centrales électriques au gaz qui est fixé à 270 g par kWh pour toute installation construite avant 2030. Au delà ce plafond sera réduit à 130 g, ce qui encore inconcevable en l’état des technologies actuelles. Pour le nucléaire les permis de construire ne seront plus accordés après 2045, on ne sait pas trop pourquoi. La gestion des déchets n’a pas été abordée et pour cette raison la taxonomie approuvée ce mercredi dernier pourrait faire l’objet d’amendements dans le futur.
Il est assez surprenant que le principal acteur de la Commission européenne impliqué dans cette négociation soit le DG FISMA, le Directoire général de la stabilité financière de l’Union européenne contrôlant les services financiers et le marché des capitaux. Les investissements dans l’énergie nucléaire répondront donc aux critères dits ESG. En effet une centrale nucléaire n’est amortie qu’après 25 à 30 ans contrairement à un parc éolien immédiatement rentable.
Sans l’inclusion de l’énergie nucléaire il serait très difficile voire impossible d’atteindre les objectifs net-zéro fixés pour 2050. Le texte doit être approuvé par une majorité de 20 pays de l’Union européenne et soumis au Parlement européen. Douze pays sont déjà résolument orientés vers un développement de l’énergie nucléaire. Il s’agit de la Bulgarie, de la Croatie, de la République tchèque, de la Finlande, de la France, de la Hongrie, des Pays-Bas, de la Pologne, de la Roumanie, de la Slovaquie, de la Slovénie et de la Suède. Il paraît clair qu’il y aura rapidement un marché pour les réacteurs modulaires d’une puissance de 300 MW électriques fabriqués en série en usine et assemblés sur site pour réduire le montant des investissements attirant de facto les investisseurs puisque le retour sur investissements sera plus rapide.
Cliquer pour accéder à organisation-chart-dg-fisma_en.pdf
Malgré une bonne idée initiale, Qwant montre aussi les lacunes du système français en matière d’innovation.
le 5 février 2022 Yann-Mael Larher
Les internautes ont tranché depuis longtemps. Qui utilise aujourd’hui Qwant, le moteur de recherche européen qui fonctionne avec des technologies américaines et des partenaires chinois mais surtout grâce à des subventions 100 % françaises ? Comment en sommes-nous arrivés là ?
Des millions d’euros engloutis
À l’origine les fondateurs ont vendu leur projet comme un produit français (puis européen, sans qu’il ne ne devienne) avec son propre moteur respectueux de la vie privée (sur le papier).
Fleuron de la French tech, pour atteindre la souveraineté technologique, le projet a d’abord été financé par l’État français à travers son principal actionnaire la Caisse des dépôts et consignations et le groupe privé de média allemand Axel Springer.
Mis en ligne en 2013, Qwant annonce ainsi depuis son lancement ne pas tracer ses utilisateurs, ni vendre leurs données personnelles afin de garantir leur vie privée, et se veut neutre dans l’affichage des résultats.
L’entreprise est pourtant au cœur de nombreux paradoxes que j’avais déjà dénoncé par exemple en 2019 :
Malgré plusieurs dizaines de millions d’euros de subventions pour lui permettre de concurrencer Google, il affiche un déficit chronique et n’a toujours pas rencontré son public alors qu’il est le moteur de recherche par défaut de toutes les administrations.
Les nombreux paradoxes de Qwant
En réalité, bien que surfant sur la vague des scandales relatifs aux atteintes à la vie privée, Qwant n’a jamais réussi son pari et s’appuie majoritairement sur les services de tiers.
Il dépend par exemple à plus de 60 % de Bing, le moteur de recherche de Microsoft, alors qu’il était censé être une alternative souveraine et respectueuse de la vie privée.
Le comble : à l’occasion d’un contôle en 2015, la CNIL avait signifié à Qwant que ses mesures d’anonymisation n’étaient pas suffisantes. Qwant affirme s’être amélioré depuis, mais aucun régulateur ou tiers certificateur n’est en mesure de l’attester. Plus ironique encore, l’entreprise tricolore a demandé en juin 2021 à ses actionnaires d’approuver un prêt d’environ 8 millions d’euros du géant chinois Huawei.
Des zones d’ombre et des pertes considérables répétées
Le 28 janvier, la Lettre A rapportait que l’exécutif corse était décidé à recouvrer la subvention de près de 500 000 euros accordée à Qwant Music en 2017 dans le cadre du fonds européen Feder après la suppression d’une trentaine de postes sur l’Ile de Beauté. Cette filiale était destinée à « créer un index mondial du catalogue musical, un outil pour détecter les talents ». Qwant illustre les lacunes du système d’innovation en Europe et particulièrement en France. Ce système n’est pas adapté au marché numérique. Les institutions publiques qui soutiennent l’innovation ont trop souvent tendance à sur-estimer les business plan au détriment d’une analyse poussée de l’environnement (technologique utilisées, usages, concurrents, cibles…) et des usages en cours.
On finit trop souvent par privilégier une approche normée de l’innovation, de sorte que l’on passera à côté d’une bonne idée, mais qu’on acceptera tous les dossiers biens ficelés. Certaines entreprises en ont même fait leur métier.
À l’heure de la surenchère souverainiste entre les candidats à la présidentielle, il est urgent de s’intéresser sérieusement aux nouvelles grammaires technologiques qui sous-tendent le fonctionnement du monde d’aujourd’hui. Il ne suffit pas de déclarer l’innovation pour qu’elle se produise.
Vous craignez les armes COVID…Que pensez-vous des cyberarmes de destruction massive ?
2 février 2022 Par Alexandre Lemoine.
L’humanité doit-elle s’attendre à une cyberguerre ? Ce n’est pas exclu. Comment sinon expliquer la conception active par les pays se proclamant leaders technologiques mondiaux d’une arme pour contrôler le corps et la pensée humains ?
Selon les politologues américains préoccupés par ce problème, la Chine fait des progrès dans le développement d’une arme pour « contrôler le cerveau ».
Fin 2021, sous prétexte que les militaires chinois font un travail dangereux dans les recherches en matière de « contrôle du cerveau », le département américain du Commerce a imposé des sanctions d’exportation contre les compagnies technologiques américaines. Les États-Unis sont convaincus que l’Académie chinoise des sciences médicales militaires et plusieurs instituts de recherche utilisent les processus biotechnologiques pour soutenir leurs produits informatiques, notamment à des fins militaires, y compris l’arme pour contrôler le cerveau.
Il est supposé qu’une telle arme ne tue pas un adversaire mais le paralyse ou contrôle son comportement.
Les États-Unis ont plus d’une raison de craindre des percées technologiques de Pékin dans le secteur militaire. En juillet 2021, l’armée chinoise a présenté une arme hypersonique, prouvant que la Chine était capable d’éliminer des cibles partout aux États-Unis avec l’arme nucléaire.
Préoccupés par le leadership technologique de la CIA, les États-Unis créent deux nouveaux grands centres stratégiques, dont un se concentre sur la Chine et l’autre sur les technologies avancées.
La science américaine ne se repose pas non plus sur ses lauriers. En décembre 2021, le centre Belfer de Harvard a publié un rapport sur la Grande rivalité technologique. Le texte est dépourvu de sentiments paniques, mais il conclut que la Chine a obtenu de tels exploits en matière de hautes technologies qu’elle est maintenant un concurrent à part entière des États-Unis: en intelligence artificielle, en semi-conducteurs, en 5G, en informatique quantique, en biotechnologies et en énergie verte la Chine pourrait rapidement devenir leader mondial, voire l’est déjà dans certains secteurs.
Les États-Unis estiment être en tête dans l’aéronautique, la médecine et les nanotechnologies, et pour défendre ce titre, en juin 2021, le Sénat soutenu par les deux partis a adopté la Loi sur les innovations et la concurrence (USICA) autorisant des investissements dans la science et les technologies à hauteur de 250 milliards de dollars dans les cinq années à venir. Cependant, cette loi est restée coincée à la chambre des représentants et son avenir reste incertain dans le cadre du projet de loi annuel sur la défense.
Néanmoins, à l’heure actuelle, il est interdit aux investisseurs américains d’investir dans presque 50 compagnies chinoises inscrites sur la liste noire du Trésor américain.
Mais revenons au contrôle du cerveau. Quelles que soient les frictions politiques entre les États-Unis et la Chine, une chose est sûre: même si cette technologie n’est pas encore en circulation, elle est certainement au seuil de faire son apparition. Son prédécesseur est l’interface cerveau-machine (ICM) conçue pour échanger des informations entre le cerveau et un dispositif électronique. L’interface cerveau-machine est la base du neuronet, le rêve des transhumanistes. Selon ses concepteurs, le neuronet prévoit une interaction entre les gens, les animaux et les objets en transmettant des informations directement du cerveau vers une machine et inversement au cerveau.
Les chercheurs chinois travaillent actuellement sur une interface homme-machine à rétroaction qui consiste à installer de l’électronique flexible sur la peau de l’homme assurant une rétroaction tactile pour contrôler les robots via Bluetooth, Wi-Fi et internet. La technologie englobe la réalité virtuelle auditive, visuelle et tactile en système robotisé intégré. L’information du cerveau de l’utilisateur est transmise sur un ordinateur à distance connecté à internet. Les chercheurs déclarent que leurs élaborations offrent des capacités uniques pour des interventions sans contact dans la médecine, dans l’industrie et dans d’autres domaines.
Hormis les dispositifs qui sont accrochés sur le corps humain, il existe des puces invasives implantées directement dans le liquide céphalo-rachidien du cerveau de manière chirurgicale. Les scientifiques chinois ont simplifié la procédure complexe et douloureuse en inventant une méthode micro-invasive, qui consiste à installer la puce juste derrière le crâne et au-dessus du liquide céphalo-rachidien, ce qui assure un certain niveau de sécurité.
À noter que le développement de l’interface cerveau-machine est l’un des principaux secteurs du China Brain Project, dont le premier plan quinquennal s’est terminé en 2020. Ce projet est axé sur l’étude des fondements neuronaux des fonctions cognitives, le diagnostic et la prévention des maladies du cerveau et la création de technologies de l’information et de l’intelligence artificielle en étudiant le fonctionnement du cerveau.
« Les innovations technologiques sont devenues un champ de bataille dans le champ mondial, et la concurrence pour la domination technologique deviendra d’une intransigeance sans précédent », a déclaré le président chinois Xi Jinping.
La rivalité grandissante entre les États-Unis et la Chine dans le secteur des technologies neuronales deviendra l’un des symboles de l’année 2022. Et plus la confrontation est résolue entre les deux pays, plus mince devient la limite entre l’usage militaire et civil des technologies numériques.
Alexandre Lemoine
Les opinions exprimées par les analystes ne peuvent être considérées comme émanant des éditeurs du portail. Elles n’engagent que la responsabilité des auteurs.
1°) Les entreprises qui travaillent dans ce domaine n'avouent pas de travailler pour envahir l'humain de robotique mais d'envahir les robots de pensées humaines. 2°) Ces armes de destructions massives et contrôles des êtres humains existent déjà et son employées dans pratiquement tous les pays du monde par l'armée, et forces de l'ordre. Ces armes s'appellent 'gaz lacrymogène', 'ondes dirigées', 'micro-ondes', voire 'balles en caoutchouc'. La plus subtile étant la télé, la radio et les journaux qui assurent et domestiquent tous les êtres humains afin qu'ils soient cons, aillent en écoles de cons, et n'écoutent que les cons.
Une fois de plus, l'optimisme exubérant et le double langage créent un faux sentiment d'"espoir"
De Gary D. Barnett 5 février 2022
« Les gens ne s'intéressent pas à la vérité, Dafar. Ils sont intéressés par ce qui les protège. Ils sont intéressés à être pris en charge. Ils sont intéressés par une histoire racontée… Les hommes puissants ont des moments de grand désespoir que les gens ordinaires ne veulent pas connaître. ~ Melina Marchetta, Quintane de Charyn
L'optimisme est un trait merveilleux lorsqu'il est accompagné de connaissances, de faits et de vérité, mais l'optimisme accepté sous prétexte de faux espoir est une proposition très dangereuse, c'est sûr. Dans ce monde « moderne » d'ignorance de masse due à l'obsolescence intellectuelle programmée et à la pensée collectiviste, l'optimisme devient un exercice malhonnête basé uniquement sur la notion de souhaits feints. Mais bien sûr, ceux qui contrôlent le récit comprennent ce phénomène et l'utilisent pour engendrer la faiblesse parmi les gens au point d'éliminer totalement le scepticisme. Lorsque cela se produit, ceux qui souhaitent rechercher la vérité absolue sont dépeints comme des parias, tandis que les auteurs de la fraude sont considérés comme des sauveurs. Cette inversion de la réalité ne peut que conduire à une confusion de masse et aboutir à la destruction, et cette dynamique doit être largement comprise à ce stade avancé de tromperie.
Ces derniers temps, beaucoup de ceux qui ont apparemment résisté aux efforts de l'État pour obtenir un contrôle total sur l'humanité succombent à la notion d'optimisme infondé ; s'accrocher à des pailles et embrasser la victoire là où il n'y en a pas ou peu. Cela s'apparente à marcher sur une corde raide, car toute promesse peut laisser même ceux qui tentent de retrouver la liberté dupés dans un sentiment de calme quand rien n'est justifié. Parce que certains de ceux qui étaient faussement considérés comme des « leaders » dans la pensée, ceux qui dans le passé étaient « pensés » comme des combattants pour la liberté dans un océan de corruption, sont maintenant soudainement devenus trop optimistes, et par conséquent créent et promeuvent un nouveau récit basé uniquement sur l'espoir. Du point de vue des sources alternatives légitimes en quête de vérité, cela a pour effet de lever la garde du peuple ; permettant aux sceptiques dignes de confiance d'être considérés comme des apocalyptiques au lieu de défenseurs contre la tyrannie. Serait-ce un effort intentionnel des forces du mal ?
La terreur qui s'est abattue sur nous tous, et dans le cas de cette fraude "Covid", qui est constante depuis deux ans, ne prendra pas fin en raison d'une manifestation, mineure ou majeure, mais seulement lorsqu'un grand nombre d'individus diront non, absolument, et refuser d'accepter en masse une commande quelle qu'elle soit. Actuellement, il y a beaucoup de reportages sur des événements singuliers, sur la victoire, sur la résistance isolée et l'exubérance optimiste concernant la protestation dans le monde. Avant d'évaluer les étiquettes de cynisme, rappelez-vous que la plupart des protestations contre l'élément dirigeant sont non seulement appréciées mais applaudies par cet écrivain, et à juste titre, mais par toute acceptation de ce comportement comme le remède final à ce totalitarisme qui a été construit au fil des siècles, est non seulement très myope, mais complètement stupide.
Il en va de même pour toute acceptation de critiques très médiatisées par des acteurs grand public, qu'il s'agisse de médecins, de "scientifiques", de personnalités célèbres ou de médias alternatifs à grande échelle, concernant cette arnaque pandémique. Considérant que ces personnages bien connus se sont récemment prononcés contre le récit dominant, contre les injections toxiques appelées illégitimement « vaccins », et gagnent beaucoup de notoriété auprès des personnes soi-disant soucieuses de la liberté pour leurs efforts, il faut prendre une pause pour réfléchir à la réalité.
Ce qui est devenu courant, c'est l'extrême contradiction concernant le canular appelé "Covid". Tant d'éloges aujourd'hui sont des deux côtés de la clôture. Cela ne peut être accepté et l'évaluation critique de ces personnes est obligatoire. Il n'y a rien de tel que le SRAS-CoV-2 ou le "Covid-19", du moins pas dans le domaine d'une maladie naturelle, ou même d'une arme biologique qui a été complètement déchaînée sur la planète entière. De toute évidence, de nombreuses armes biologiques sont produites par les gouvernements, les services de «renseignement» et les militaires de nombreux pays, en particulier aux États-Unis, mais cette arnaque n'est pas une guerre illimitée contre tous les humains, c'est une guerre contre l'homme ordinaire.
Étant donné que le « Covid-19 » n'a jamais été prouvé, il n'a jamais été correctement séparé, isolé ou identifié ; tous ceux qui prétendent être contre la pandémie mais qui acceptent pleinement le récit selon lequel « Covid-19 » est un « virus » légitime, devraient être scrutés à la loupe. La liste de ces personnes est longue, et beaucoup d'entre elles sont grandement respectées et promues par les agences et les sites d'information alternatifs. Pourquoi en est-il ainsi, étant donné qu'il n'y a absolument aucun élément de comptabilité factuelle de quoi que ce soit connu sous le nom de "Covid-19 ?" Aucun échantillon de "Covid" n'a été prélevé sur un seul individu malade, séparé du matériel contaminé l'entourant, ou isolé de quelque manière que ce soit dans un laboratoire ouvert à l'examen. Alors pourquoi tous ces soi-disant «experts» ont-ils carte blanche pour condamner le coup mortel et faux faussement appelé «vaccin», et en même temps les promoteurs du récit selon lequel «Covid» est réel et que des remèdes alternatifs sont disponibles? Disponible dans quel but ? Puisqu'il n'y a aucune preuve de quoi que ce soit appelé "Covid", comment peut-il y avoir un remède, ou pour toute "variante" d'un mystérieux "virus" non prouvé ?
Oui, beaucoup de maladies sont évidentes parmi une grande partie de la population, mais pourquoi cela devrait-il surprendre quiconque a la capacité de penser de manière critique ? Les gens sont de plus en plus malades, tombent malades plus souvent et ont perdu une grande partie de leur réponse immunitaire naturelle aux toxines pendant de nombreuses années. Au lieu d'augmenter la durée de vie dans ce pays, elle diminue considérablement. Au lieu de vivre une vie saine et naturelle, beaucoup, sinon la plupart, dépendent entièrement de médicaments pharmaceutiques dangereux pour chaque inconfort imaginable. Il s'agit d'une société très malsaine, consumée par une croyance en la théorie des germes, alors pourquoi est-il surprenant que ce canular de « virus » ait été avalé crochet, ligne et plomb par la population en général ?
Cet assaut contre l'humanité n'est pas terminé. La censure est endémique. Ne baisse pas ta garde. La guerre psychologique ne fait que commencer et les plans de l'État pour conquérir l'avenir avancent à une vitesse fulgurante dans sa tentative d'injecter encore et encore tous les enfants. 2022 sera l'année contre les enfants. Cette année sera le test pour savoir si ces monstres diaboliques peuvent empoisonner et capturer les plus innocents d'entre nous. C'est une atrocité, et les efforts incessants pour corrompre, empoisonner et contrôler tous les jeunes ne seront pas abandonnés par l'État à cause de quelques protestations, mais ne pourront être arrêtés que par la désobéissance physique, la défense de la famille sans égard au risque, et une éveil par l'individu. Les plans de l'État sont clairs, et jusqu'à ce que les parents agissent comme des parents et protègent leurs enfants jusqu'à la mort, nous sommes tous confrontés à un avenir sombre.
Méfiez-vous des faux prophètes. Attention aux contradictions. Méfiez-vous du soutien populaire. Méfiez-vous de tout événement recevant l'approbation massive d'idéologies concurrentes. Attention au faux optimisme. Méfiez-vous de ces initiés qui prétendent maintenant être les sauveurs de l'humanité, qu'ils soient politiques, médicaux, scientifiques ou populaires. Il y en a beaucoup, mais ils sont facilement identifiables, car toutes les formes d'hypocrisie sont bien vivantes en cette période de conformité scandaleuse.
N'acceptez rien au pied de la lettre ; tout remettre en question. Ne crois pas; connaître !
"Il y a deux types de personnes différentes dans le monde, ceux qui veulent savoir et ceux qui veulent croire." ~ Friedrich Wilhelm Nietzsche
On savait tous que le monde avait un certain pourcentage de cons mais on 'a jamais su combien. Mais, grâce au 'coronacircus' le port du masque inutile à pu enfin montrer combien il y avait de cons ! Et là... HOULALA! de chez HOULALA ! ON EST ENTOURÉ DE COOOOOOONS !
Donc, la pilule de la mort passe mieux. La piqûre létale nous débarrasse de ces cons de traînards sur les routes et qui encombrent aussi les trottoirs et les immeubles.
Parce que le l'ai testé moi-même d'expliquer aux gens... c'est peine perdue ! c'est 'parler au mur' ! c'est perdre son temps à faire comprendre à un idiot qu'il ne peut exister de masque anti virus ou anti microbes car ils seront toujours plus petits que l'écart de maille du masque et passeront TOUJOURS ! Mais, les cons pensent qu'en portant un masque ils vont faire peur aux virus (poussières) et microbes !! HAHAHAHAHAHAHA !
Comment une guerre contre la «désinformation» a conduit à une tragédie du coronavirus
Par Bret Swanson De vrais marchés clairs 5 février 2022
"La science est la croyance en l'ignorance des experts." – Richard Feynman
Des mensonges spectaculaires, des vérités profondes et des camionneurs canadiens percent enfin le scénario longtemps imperméable de Covid.
Lorsqu'un juge de la Cour suprême a affirmé le 7 janvier que 100 000 enfants étaient hospitalisés avec Covid-19 "dans un état grave, et beaucoup sous ventilateurs", cela reflétait la panique mal informée qui a conduit la politique ces deux dernières années. En fait, les données du CDC ont montré qu'environ 3 200 enfants étaient hospitalisés alors qu'ils étaient positifs pour Covid, peu étaient dans un état grave et presque aucun n'était sous respirateur.
L’épisode n’était que la dernière fausse gouttelette dans un flot de discours erronés de Covid. Nous savons depuis le début que les jeunes ne courent pas de risques sérieux ; les confinements n'arrêtent pas la propagation et font bien plus de mal que de bien ; et une gamme de médicaments génériques bon marché, sûrs et approuvés depuis longtemps arrêtent souvent le virus dans son élan lorsqu'ils sont pris tôt. Pourtant, chacun de ces faits centraux a été supprimé par un éventail tentaculaire d'anciens et de nouveaux médias, de plateformes numériques, de revues médicales capturées, de réprimandes à but non lucratif et de porte-parole de la santé publique revendiquant l'omniscience.
Il s'avère que les camionneurs canadiens qui écoutent Joe Rogan en savent plus que de nombreux «experts». Si les camionneurs avaient été aux commandes ces deux dernières années, le monde serait probablement en meilleure santé et plus libre.
La saga Covid a commencé par une mauvaise direction orchestrée. Le 31 janvier 2020, certains des meilleurs virologues du monde ont déclaré au Dr Anthony Fauci qu'ils pensaient que le virus du SRAS-CoV-2 était probablement "conçu" et qu'ils "ne peuvent pas penser à un scénario naturel plausible". En quelques semaines, cependant, ces mêmes scientifiques ont insisté dans le Lancet and Nature Medicine sur le fait que le virus était naturel et que remettre en question son origine répandait de la "désinformation" et des "préjugés". La semaine dernière, nous avons appris que l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) de Fauci avait accordé à ces scientifiques 50 millions de dollars rien qu'en 2020 et 2021.
La bataille suivante dans la guerre contre la désinformation a ciblé les médicaments génériques - d'abord l'hydroxychloroquine (HCQ) puis l'ivermectine (IVM). Les médecins du monde entier ont utilisé ces médicaments extraordinaires avec un succès étonnant. À l'été et à l'automne 2021, l'Uttar Pradesh, le plus grand État de l'Inde, avec 241 millions d'habitants, a presque éradiqué le Covid-19 grâce au déploiement agressif de l'ivermectine. Même pendant la vague hautement contagieuse d'Omicron, l'Uttar Pradesh souffre d'un filet relatif de cas et de décès par rapport aux pays occidentaux riches.
Une nouvelle étude massive du Brésil vient d'être publiée. Les médecins ont suivi presque toute la ville d'Itajaí pendant six mois, où 113 845 habitants ont pris de petites doses d'ivermectine deux fois par mois, et 45 716 ne l'ont pas fait. L'analyse sophistiquée du score de propension appariée (PSM) montre que même l'utilisation prophylactique à faible dose d'ivermectine - sans traitement particulier après l'infection - a entraîné une réduction de 56 % des hospitalisations et une amélioration de la mortalité de 68 %. Les campagnes de réglementation et de propagande contre ces médicaments, et leurs protocoles complémentaires comprenant des choses simples comme le zinc et la vitamine D, ont probablement coûté la vie à des centaines de milliers de personnes dans les pays occidentaux.
Pourtant, vous trouvez toujours des gens intelligents qui rient ou se renfrognent, insistant sur le fait que l'ivermectine n'est qu'un médicament pour le bétail. Lorsque j'ai commencé à mettre en garde contre la censure numérique il y a des années, beaucoup de mes amis ont insisté sur le fait que ce n'était pas réel, ou que ce n'était pas grave si quelques voix marginales étaient réduites au silence. Il était difficile de discuter avec eux à l'époque. Je n'ai certainement pas aimé défendre des personnages peu recommandables ou carrément diaboliques. Mais maintenant, nous avons vu à quelle vitesse les choix de «modération de contenu» sur certains réseaux sociaux peuvent se transformer en pannes totales de médias et en propagande cadencée. Et comment les coupures de courant et la propagande peuvent si totalement tromper une large classe de personnes très instruites.
Lorsque le Dr Scott Atlas a commencé à conseiller le gouvernement américain en août 2020, Facebook a effacé ses vidéos s'opposant aux fermetures généralisées d'entreprises et d'écoles. YouTube a effacé le témoignage du Sénat américain de décembre 2020 des Drs. Peter McCullough et Pierre Kory, experts de classe mondiale en cardiologie et en soins intensifs, respectivement, et le biologiste évolutionniste démonétisé Bret Weinstein, qui ont tous claironné des traitements précoces efficaces. YouTube a également effacé le témoignage des Drs. Jay Battacharya (Stanford), Sunetra Gupta (Oxford) et Martin Kulldorff (Harvard) lors d'un forum dirigé par le gouverneur de Floride Ron DeSantis. Twitter a définitivement banni le Dr Robert Malone, pionnier des technologies de thérapie génique par ARNm et ADN.
Ces actes de censure n'étaient que quelques-uns des plus évidents. Pourtant, ils se sont répercutés au loin. L'effacement et le salissage d'éminents scientifiques ont envoyé un message clair à des milliers d'autres médecins, professeurs, rédacteurs médicaux, journalistes, PDG et dirigeants influents : suivez la ligne du parti, ou nous vous détruirons. Ces couches ondulantes d'annulation ont ensuite privé un cercle encore plus large de personnes de tous horizons de l'information nécessaire pour prendre des décisions médicales, personnelles et politiques judicieuses.
Le jeune médecin intelligent qui a traité avec succès le cas modérément grave de Covid-19 de ma femme il y a deux semaines avait récemment perdu ses privilèges hospitaliers dans un important système de santé. Ils n'aimaient pas le fait qu'elle déployait de manière agressive et réussie l'ivermectine et l'hydroxychloroquine et empêchait ainsi les gens d'aller à l'hôpital. "Je passe toute la journée tous les jours à soigner des patients Covid", nous a-t-elle dit, épuisée. "J'aimerais que mes collègues m'aident." Elle est l'une des nombreuses héroïnes qui luttent contre un autre type de censure contre la pratique efficace et compatissante de la médecine.
La confusion totale des décideurs politiques, des journalistes et, malheureusement, de trop de professionnels de la santé du pays, révèle quelque chose de beaucoup plus systématiquement de travers. La guerre contre la désinformation a atteint exactement le contraire de son objectif déclaré. La répression des voix extérieures non approuvées a exacerbé la pensée de groupe, concentré les risques et amplifié les erreurs dans des proportions épiques.
Nulle part l'isolation de la réalité n'a été plus hermétiquement complète et plus dévastatrice que la non-discussion sur les vaccins. Sur Twitter la semaine dernière, un économiste intelligent et réfléchi a montré à quel point une grande partie de l'intelligentsia est en retard. Jay Battacharya de Stanford s'était opposé aux mandats de vaccination et aux exigences de voyage parce que "le vaccin covid n'arrête pas la propagation de la maladie". "Je ne suis pas votre logique", a répondu l'économiste. « Si le vaccin nous empêche d'être infecté, pourquoi ne réduirait-il pas également la propagation ? Le CDC n'est pas d'accord avec vous : "Les vaccins contre le COVID-19 sont efficaces et peuvent réduire votre risque de contracter et de propager le virus qui cause le COVID-19." au Royaume-Uni, puis partout - la durabilité extrêmement courte des vaccins, en particulier contre l'infection.
En novembre, j'ai écrit que "les premiers résultats de l'expérience de rappel viendront encore une fois d'Israël, qui a intensifié en masse cet été et cet automne". Eh bien, ces dernières semaines, Israël, surpuissant, a dominé le monde en termes de tests positifs par habitant et subit une nouvelle vague record d'hospitalisations et de décès. De même, tout au long de l'automne et de l'hiver, les endroits les plus vaccinés de la planète, presque sans exception, ont également subi des taux d'infection élevés.
L'efficacité du vaccin diminuait déjà gravement contre Delta, comme le montre l'étude suédoise massive portant sur 1,6 million de personnes. Désormais, les vaccins, qui ciblent une variante éteinte, peuvent être négativement efficaces contre Omicron. Au Royaume-Uni, les adultes boostés (3x vaccinés) souffrent de taux d'infection plus élevés que les non vaccinés. L'Organisation mondiale de la santé déclare maintenant qu'"une stratégie de vaccination basée sur des doses de rappel répétées de la composition originale du vaccin a peu de chances d'être appropriée ou durable". L'Agence européenne des médicaments met désormais en garde : "La répétition des injections de rappel risque de surcharger le système immunitaire."
Ce fait élémentaire – que les vaccins ne sont pas stérilisants et manifestent probablement un péché antigénique originel, entre autres dérégulations immunitaires, ce que les meilleurs vaccinologues savaient il y a un an – aurait dû mettre fin aux discussions sur les mandats des vaccins avant qu'une telle discussion ne commence.
En fait, cela aurait dû conduire à une stratégie vaccinale entièrement différente. L'inoculation massive lors d'une épidémie généralisée avec des vaccins «fuyants» peut générer une dynamique évolutive dangereuse. Pourtant, nous n'avons jamais eu de discussion approfondie sur les vaccins. Au lieu de cela, nous avons entendu un mantra, conduisant à l'adoration sacramentelle des tirs. Ceci, malgré le fait que la majeure partie de la population n'était pas exposée à un risque sérieux de Covid. Au lieu de cibler les populations à haut risque pour la vaccination avec les technologies hautement expérimentales d'ARNm et d'ADN, de nombreux dirigeants mondiaux ont fait faillite, insistant sur la vaccination universelle. Et exigeant qu'aucune question ne soit posée.
Il semble maintenant que l'étouffement des questions et des stratégies alternatives ait pu entraîner l'une des plus grandes débâcles de l'histoire de la science et des politiques publiques.
(...) En fait, les données du CDC ont montré qu'environ 3 200 enfants étaient hospitalisés alors qu'ils étaient positifs pour Covid, (...)
Premièrement, le 'covide19' n'A JAMAIS ÉTÉ ISOLÉ ! Donc, dès le départ, c'était 'à la tête du client' pour remplir les quotas, puis sont arrivés (ouf !) les vrais faux tests 'PCR' qui permettaient de voir des virus (poussières) respirées mais pas de sélectionner lesquelles sont fautives voire complotistes à attaquer l'organisme !
Deuxièmement, ont été inscrits comme 'remèdes' des substances qui remédiaient à d'autres pathologies que celle de l'empoisonnement, sans être un antidote contrant la piqûre létale administrée !
Troisièmement, (là je me répète), ON NE VACCINE PAS PENDANT UNE ÉPIDÉMIE OU PANDÉMIE !
Le Texas se prépare à une vague de froid alors que les pipelines de gaz naturel gèlent ; Support de soucis de panne de courant
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 03 FÉVRIER 2022 - 15:20
L'air arctique est descendu au Texas cette semaine alors que les températures plongent bien en dessous de zéro. Les responsables du Texas ont rassuré le public à plusieurs reprises que le principal opérateur de réseau du Texas, l'Electric Reliability Council of Texas (ERCOT), aura la capacité de fournir de l'énergie aux ménages et aux entreprises à mesure que la demande de chauffage augmente.
"Le réseau est prêt et les lumières resteront allumées pour les Texans", a déclaré Peter Lake, président de la Public Utility Commission du Texas, dans un communiqué mercredi après-midi. Il a déclaré plus tôt dans la journée qu'ERCOT "ne prévoit aucune panne de courant".
Les prévisions météorologiques montrent un gel profond dans le Lone Star State jusqu'à samedi. Les températures moyennes ont plongé de 60 degrés (15,5°) Fahrenheit le 31 janvier à 25 degrés Fahrenheit vendredi. Une tempête de verglas frappe également l'État et se poursuivra jusqu'à la fin de la semaine.
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Brr il fait froid !
ERCOT prévoit que la demande de pointe sera d'environ 72 gigawatts vendredi matin, un niveau observé uniquement pendant les périodes très chaudes de l'été. Le congélateur produit déjà des signes très inquiétants de danger imminent.
Les approvisionnements en gaz dans l'Oklahoma, le Texas Panhandle et l'Arkansas ont plongé de 22% mercredi à partir de mardi, les têtes de puits gelées limitant le flux de natgas, selon de nouvelles données de BloombergNEF.
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Le temps plus froid et la menace d'une diminution des approvisionnements sont en partie responsables de la hausse des prix du gaz naturel atteignant 17 % mercredi, mais reculant de 7 % jeudi matin. Les prix ont culminé à 5,50 $/MMBtu hier, revenant à des niveaux jamais vus depuis près d'une décennie.
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RépondreSupprimer"Ce n'est que le début", a déclaré Jade Patterson, analyste à la BNEF. Les pipelines gelés pourraient restreindre l'approvisionnement en gaz du Midcontinent tout au long du week-end. Comme les lecteurs s'en souviendront peut-être, les gazoducs natgas gelés ont été l'une des principales causes de la crise énergétique au Texas l'année dernière. Si les centrales de production d'électricité de natgas ne peuvent pas obtenir de carburant, il y aura de graves problèmes et des risques de pannes d'électricité au Texas.
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"Ce système météorologique s'est vraiment renforcé, en particulier dans le Midwest et dans la région productrice", a déclaré John Kilduff, co-fondateur d'Again Capital LLC. "Il y aura certainement des blocages, il y aura certainement des ratés opérationnels en termes de transmission et de transport par canalisations de molécules de gaz."
"La combinaison de l'augmentation de la demande de chauffage et de la réduction de la production due au gel resserrera le marché au cours des deux prochaines semaines", a déclaré Peter Rosenthal, responsable de l'électricité et du gaz nord-américain chez Energy Aspects.
En raison du risque de complications du réseau, le crypto-mineur Riot Blockchain Inc. a fermé la plupart de ses opérations de fabrication de Bitcoin au Texas cette semaine pour économiser l'électricité. Riot a volontairement commencé à réduire la puissance mardi avant la vague de froid.
"Whinstone a commencé à prendre des mesures proactives pour se préparer à la fermeture de ses opérations minières en réponse à toute augmentation de la demande à Ercot", a déclaré la porte-parole de la société, Trystine Payfer.
Le gel profond fait partie d'une puissante tempête hivernale traversant le centre, l'est et le sud des États-Unis.
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La question que se posent les lecteurs est de savoir si ERCOT peut répondre à la demande tout en empêchant les pipelines de geler. Sinon, un redux de la crise énergétique de 2021 pourrait être imminent.
https://www.zerohedge.com/commodities/texas-braces-cold-snap-natgas-pipelines-freeze-power-blackout-concerns-mount
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4 000 vols annulés alors qu'une puissante tempête hivernale s'abat sur 2 000 milles des États-Unis
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 03 FÉVRIER 2022 - 12:20
Des milliers de vols sont annulés jeudi matin alors qu'une puissante tempête hivernale répand des précipitations hivernales sur un tronçon de 2 000 milles des États-Unis.
La tempête hivernale devrait créer des conditions dangereuses dans l'Arkansas aujourd'hui avec de la neige, du grésil et de la glace. Certaines parties de l'ouest du Tennessee et du Kentucky sont soumises à des avertissements de tempête de verglas. L'Illinois devrait recevoir de fortes chutes de neige. Alors que le système pousse vers l'est plus tard dans la journée, certaines parties du nord de l'État de New York et du Maine pourraient recevoir plus d'un pied de neige d'ici vendredi.
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"Nous sommes maintenant au cœur de l'hiver, et cette nouvelle tempête est sur le point de nous frapper avec tout l'arsenal météorologique - neige abondante, grésil et pluie verglaçante", a averti la gouverneure Kathy Hochul de New York.
La société de suivi des vols FlightAware rapporte que 4 110 vols à l'intérieur, à destination ou en provenance des États-Unis ont été annulés à 09h20 HE. Les retards à l'intérieur, à l'intérieur ou à l'extérieur des États-Unis s'élèvent à environ 320.
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L'aéroport international de Dallas/Fort Worth a enregistré le plus d'annulations, avec 529 vols, soit environ 55 % de tous les vols ce matin. L'aéroport international de Chicago O'Hare a environ 256 vols annulés et l'aéroport international d'Austin-Bergstrom (situé à Austin, Texas) a environ 216 vols annulés. Southwest Airlines et American Airlines ont enregistré le plus d'annulations en termes de transporteurs.
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Jeudi semble être une journée météo très active, créant des cauchemars pour des milliers de passagers. À mesure que la tempête avance vers l'est, elle est susceptible de causer encore plus de perturbations de voyage.
https://www.zerohedge.com/weather/4000-flights-canceled-powerful-winter-storm-wallops-2000-mile-stretch-us
La Russie et la Chine signent un accord de 30 ans sur des livraisons de gaz via un nouveau pipeline
RépondreSupprimer4 févr. 2022, 16:25
Gazprom va vendre 10 milliards de m³ de gaz supplémentaires à la Chine chaque année via un nouveau gazoduc qui devrait entrer en fonction d'ici 2 à 3 ans. Ce nouveau contrat sera réglé en euros. La Russie a conclu un contrat de fourniture de gaz à la Chine pour une durée de 30 ans, renforçant ainsi l'alliance énergétique avec Pékin.
Ces livraisons de gaz seront réglées en euro et seront réalisées grâce à un nouveau gazoduc. Gazprom – l'entreprise qui détient le monopole des exportations de gaz russe par gazoduc – a accepté d'augmenter significativement ses fournitures de gaz à la China National Petroleum Corporation (CNPC), la grande entreprise publique chinoise du secteur de l'énergie, comme l'ont indiqué un responsable de cette dernière et la société basée à Saint-Pétersbourg.
Une augmentation des exportations de gaz de 10 milliards de mètres cubes par an
Le nouveau gazoduc reliera l'Extrême-Orient russe au nord-est de la Chine et devrait entrer en fonction dans deux à trois ans, selon une source pékinoise citée par Reuters. Il devrait permettre la livraison à la Chine de 10 milliards de mètres cubes de gaz en provenance de l'île de Sakhaline. Toujours selon cette source, l'accord serait réglé en euros, en accord avec le souhait des deux pays d'utiliser moins fréquemment le dollar pour leurs échanges commerciaux.
Moscou livre déjà du gaz à Pékin sous forme de GNL (gaz naturel liquéfié) et via le gazoduc Power of Siberia, long de 4000 km et entré en fonction en 2019. En 2021, la Russie a exporté 16,5 milliards de mètres cubes de gaz vers la Chine, une exportation qui devrait plus que doubler d'ici 2025 pour atteindre 38 milliards de mètres cubes livrés par gazoduc.
«La pénurie de charbon en Chine l'année dernière a permis de rappeler que le gaz naturel a une valeur particulière, c'est pourquoi CNPC a décidé de conclure un nouvel accord sur le gazoduc», a déclaré la même source citée par Reuters. LIRE AUSSI La Chine et la Russie se disent «opposés à tout élargissement futur de l'OTAN»
https://francais.rt.com/economie/95441-russie-chine-signent-accord-30-ans-sur-livraisons-gaz-via-nouveau-pipeline
La Chine c'est un marché de 1,4, milliard de personnes tandis que l'Europe ne représente que 330 millions.
SupprimerLa nouvelle taxonomie énergétique englobe le gaz naturel et le nucléaire
RépondreSupprimerle 4 février 2022
C’est maintenant acquis ce 2 février 2022 après des palabres incessantes depuis plusieurs années au sein de la Commission européenne le gaz naturel et le nucléaire font partie des énergies dites vertes, renouvelables et tout ce que vous voudrez comme qualificatifs. Le « Complementary Delegated Act » (CDA) proposé le 31 décembre 2021 a fait l’objet d’intenses discussions entre les « experts » comme des ONGs, des financiers et des entreprises telles qu’ Iberdrola, entreprise espagnole spécialisée dans l’installation de moulins à vent, et quelques rares spécialistes de l’énergie nucléaire. Puisque le gaz naturel n’est pas une source d’énergie zéro-carbone la poire a été coupée en deux tout en précisant quelques détails ubuesques comme le taux de rejets de gaz carbonique admissible pour les centrales électriques au gaz qui est fixé à 270 g par kWh pour toute installation construite avant 2030. Au delà ce plafond sera réduit à 130 g, ce qui encore inconcevable en l’état des technologies actuelles. Pour le nucléaire les permis de construire ne seront plus accordés après 2045, on ne sait pas trop pourquoi. La gestion des déchets n’a pas été abordée et pour cette raison la taxonomie approuvée ce mercredi dernier pourrait faire l’objet d’amendements dans le futur.
Il est assez surprenant que le principal acteur de la Commission européenne impliqué dans cette négociation soit le DG FISMA, le Directoire général de la stabilité financière de l’Union européenne contrôlant les services financiers et le marché des capitaux. Les investissements dans l’énergie nucléaire répondront donc aux critères dits ESG. En effet une centrale nucléaire n’est amortie qu’après 25 à 30 ans contrairement à un parc éolien immédiatement rentable.
Sans l’inclusion de l’énergie nucléaire il serait très difficile voire impossible d’atteindre les objectifs net-zéro fixés pour 2050. Le texte doit être approuvé par une majorité de 20 pays de l’Union européenne et soumis au Parlement européen. Douze pays sont déjà résolument orientés vers un développement de l’énergie nucléaire. Il s’agit de la Bulgarie, de la Croatie, de la République tchèque, de la Finlande, de la France, de la Hongrie, des Pays-Bas, de la Pologne, de la Roumanie, de la Slovaquie, de la Slovénie et de la Suède. Il paraît clair qu’il y aura rapidement un marché pour les réacteurs modulaires d’une puissance de 300 MW électriques fabriqués en série en usine et assemblés sur site pour réduire le montant des investissements attirant de facto les investisseurs puisque le retour sur investissements sera plus rapide.
Cliquer pour accéder à organisation-chart-dg-fisma_en.pdf
https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/02/04/la-nouvelle-taxonomie-energetique-englobe-le-gaz-naturel-et-le-nucleaire/
Qwant : il faut débrancher les subventions
RépondreSupprimerMalgré une bonne idée initiale, Qwant montre aussi les lacunes du système français en matière d’innovation.
le 5 février 2022
Yann-Mael Larher
Les internautes ont tranché depuis longtemps. Qui utilise aujourd’hui Qwant, le moteur de recherche européen qui fonctionne avec des technologies américaines et des partenaires chinois mais surtout grâce à des subventions 100 % françaises ? Comment en sommes-nous arrivés là ?
Des millions d’euros engloutis
À l’origine les fondateurs ont vendu leur projet comme un produit français (puis européen, sans qu’il ne ne devienne) avec son propre moteur respectueux de la vie privée (sur le papier).
Fleuron de la French tech, pour atteindre la souveraineté technologique, le projet a d’abord été financé par l’État français à travers son principal actionnaire la Caisse des dépôts et consignations et le groupe privé de média allemand Axel Springer.
Mis en ligne en 2013, Qwant annonce ainsi depuis son lancement ne pas tracer ses utilisateurs, ni vendre leurs données personnelles afin de garantir leur vie privée, et se veut neutre dans l’affichage des résultats.
L’entreprise est pourtant au cœur de nombreux paradoxes que j’avais déjà dénoncé par exemple en 2019 :
Malgré plusieurs dizaines de millions d’euros de subventions pour lui permettre de concurrencer Google, il affiche un déficit chronique et n’a toujours pas rencontré son public alors qu’il est le moteur de recherche par défaut de toutes les administrations.
Les nombreux paradoxes de Qwant
En réalité, bien que surfant sur la vague des scandales relatifs aux atteintes à la vie privée, Qwant n’a jamais réussi son pari et s’appuie majoritairement sur les services de tiers.
Il dépend par exemple à plus de 60 % de Bing, le moteur de recherche de Microsoft, alors qu’il était censé être une alternative souveraine et respectueuse de la vie privée.
Le comble : à l’occasion d’un contôle en 2015, la CNIL avait signifié à Qwant que ses mesures d’anonymisation n’étaient pas suffisantes. Qwant affirme s’être amélioré depuis, mais aucun régulateur ou tiers certificateur n’est en mesure de l’attester. Plus ironique encore, l’entreprise tricolore a demandé en juin 2021 à ses actionnaires d’approuver un prêt d’environ 8 millions d’euros du géant chinois Huawei.
Des zones d’ombre et des pertes considérables répétées
RépondreSupprimerLe 28 janvier, la Lettre A rapportait que l’exécutif corse était décidé à recouvrer la subvention de près de 500 000 euros accordée à Qwant Music en 2017 dans le cadre du fonds européen Feder après la suppression d’une trentaine de postes sur l’Ile de Beauté. Cette filiale était destinée à « créer un index mondial du catalogue musical, un outil pour détecter les talents ». Qwant illustre les lacunes du système d’innovation en Europe et particulièrement en France. Ce système n’est pas adapté au marché numérique. Les institutions publiques qui soutiennent l’innovation ont trop souvent tendance à sur-estimer les business plan au détriment d’une analyse poussée de l’environnement (technologique utilisées, usages, concurrents, cibles…) et des usages en cours.
On finit trop souvent par privilégier une approche normée de l’innovation, de sorte que l’on passera à côté d’une bonne idée, mais qu’on acceptera tous les dossiers biens ficelés. Certaines entreprises en ont même fait leur métier.
À l’heure de la surenchère souverainiste entre les candidats à la présidentielle, il est urgent de s’intéresser sérieusement aux nouvelles grammaires technologiques qui sous-tendent le fonctionnement du monde d’aujourd’hui. Il ne suffit pas de déclarer l’innovation pour qu’elle se produise.
https://www.contrepoints.org/2022/02/05/420982-qwant-il-faut-debrancher-les-subventions
Vous craignez les armes COVID…Que pensez-vous des cyberarmes de destruction massive ?
RépondreSupprimer2 février 2022
Par Alexandre Lemoine.
L’humanité doit-elle s’attendre à une cyberguerre ? Ce n’est pas exclu. Comment sinon expliquer la conception active par les pays se proclamant leaders technologiques mondiaux d’une arme pour contrôler le corps et la pensée humains ?
Selon les politologues américains préoccupés par ce problème, la Chine fait des progrès dans le développement d’une arme pour « contrôler le cerveau ».
Fin 2021, sous prétexte que les militaires chinois font un travail dangereux dans les recherches en matière de « contrôle du cerveau », le département américain du Commerce a imposé des sanctions d’exportation contre les compagnies technologiques américaines. Les États-Unis sont convaincus que l’Académie chinoise des sciences médicales militaires et plusieurs instituts de recherche utilisent les processus biotechnologiques pour soutenir leurs produits informatiques, notamment à des fins militaires, y compris l’arme pour contrôler le cerveau.
Il est supposé qu’une telle arme ne tue pas un adversaire mais le paralyse ou contrôle son comportement.
Les États-Unis ont plus d’une raison de craindre des percées technologiques de Pékin dans le secteur militaire. En juillet 2021, l’armée chinoise a présenté une arme hypersonique, prouvant que la Chine était capable d’éliminer des cibles partout aux États-Unis avec l’arme nucléaire.
Préoccupés par le leadership technologique de la CIA, les États-Unis créent deux nouveaux grands centres stratégiques, dont un se concentre sur la Chine et l’autre sur les technologies avancées.
La science américaine ne se repose pas non plus sur ses lauriers. En décembre 2021, le centre Belfer de Harvard a publié un rapport sur la Grande rivalité technologique. Le texte est dépourvu de sentiments paniques, mais il conclut que la Chine a obtenu de tels exploits en matière de hautes technologies qu’elle est maintenant un concurrent à part entière des États-Unis: en intelligence artificielle, en semi-conducteurs, en 5G, en informatique quantique, en biotechnologies et en énergie verte la Chine pourrait rapidement devenir leader mondial, voire l’est déjà dans certains secteurs.
Les États-Unis estiment être en tête dans l’aéronautique, la médecine et les nanotechnologies, et pour défendre ce titre, en juin 2021, le Sénat soutenu par les deux partis a adopté la Loi sur les innovations et la concurrence (USICA) autorisant des investissements dans la science et les technologies à hauteur de 250 milliards de dollars dans les cinq années à venir. Cependant, cette loi est restée coincée à la chambre des représentants et son avenir reste incertain dans le cadre du projet de loi annuel sur la défense.
Néanmoins, à l’heure actuelle, il est interdit aux investisseurs américains d’investir dans presque 50 compagnies chinoises inscrites sur la liste noire du Trésor américain.
Mais revenons au contrôle du cerveau. Quelles que soient les frictions politiques entre les États-Unis et la Chine, une chose est sûre: même si cette technologie n’est pas encore en circulation, elle est certainement au seuil de faire son apparition. Son prédécesseur est l’interface cerveau-machine (ICM) conçue pour échanger des informations entre le cerveau et un dispositif électronique. L’interface cerveau-machine est la base du neuronet, le rêve des transhumanistes. Selon ses concepteurs, le neuronet prévoit une interaction entre les gens, les animaux et les objets en transmettant des informations directement du cerveau vers une machine et inversement au cerveau.
RépondreSupprimerLes chercheurs chinois travaillent actuellement sur une interface homme-machine à rétroaction qui consiste à installer de l’électronique flexible sur la peau de l’homme assurant une rétroaction tactile pour contrôler les robots via Bluetooth, Wi-Fi et internet. La technologie englobe la réalité virtuelle auditive, visuelle et tactile en système robotisé intégré. L’information du cerveau de l’utilisateur est transmise sur un ordinateur à distance connecté à internet. Les chercheurs déclarent que leurs élaborations offrent des capacités uniques pour des interventions sans contact dans la médecine, dans l’industrie et dans d’autres domaines.
Hormis les dispositifs qui sont accrochés sur le corps humain, il existe des puces invasives implantées directement dans le liquide céphalo-rachidien du cerveau de manière chirurgicale. Les scientifiques chinois ont simplifié la procédure complexe et douloureuse en inventant une méthode micro-invasive, qui consiste à installer la puce juste derrière le crâne et au-dessus du liquide céphalo-rachidien, ce qui assure un certain niveau de sécurité.
À noter que le développement de l’interface cerveau-machine est l’un des principaux secteurs du China Brain Project, dont le premier plan quinquennal s’est terminé en 2020. Ce projet est axé sur l’étude des fondements neuronaux des fonctions cognitives, le diagnostic et la prévention des maladies du cerveau et la création de technologies de l’information et de l’intelligence artificielle en étudiant le fonctionnement du cerveau.
« Les innovations technologiques sont devenues un champ de bataille dans le champ mondial, et la concurrence pour la domination technologique deviendra d’une intransigeance sans précédent », a déclaré le président chinois Xi Jinping.
La rivalité grandissante entre les États-Unis et la Chine dans le secteur des technologies neuronales deviendra l’un des symboles de l’année 2022. Et plus la confrontation est résolue entre les deux pays, plus mince devient la limite entre l’usage militaire et civil des technologies numériques.
Alexandre Lemoine
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Source: http://www.observateurcontinental.fr/?module=articles&action=view&id=3513
https://les7duquebec.net/archives/269921
1°) Les entreprises qui travaillent dans ce domaine n'avouent pas de travailler pour envahir l'humain de robotique mais d'envahir les robots de pensées humaines.
Supprimer2°) Ces armes de destructions massives et contrôles des êtres humains existent déjà et son employées dans pratiquement tous les pays du monde par l'armée, et forces de l'ordre. Ces armes s'appellent 'gaz lacrymogène', 'ondes dirigées', 'micro-ondes', voire 'balles en caoutchouc'. La plus subtile étant la télé, la radio et les journaux qui assurent et domestiquent tous les êtres humains afin qu'ils soient cons, aillent en écoles de cons, et n'écoutent que les cons.
Une fois de plus, l'optimisme exubérant et le double langage créent un faux sentiment d'"espoir"
RépondreSupprimerDe Gary D. Barnett
5 février 2022
« Les gens ne s'intéressent pas à la vérité, Dafar. Ils sont intéressés par ce qui les protège. Ils sont intéressés à être pris en charge. Ils sont intéressés par une histoire racontée… Les hommes puissants ont des moments de grand désespoir que les gens ordinaires ne veulent pas connaître.
~ Melina Marchetta, Quintane de Charyn
L'optimisme est un trait merveilleux lorsqu'il est accompagné de connaissances, de faits et de vérité, mais l'optimisme accepté sous prétexte de faux espoir est une proposition très dangereuse, c'est sûr. Dans ce monde « moderne » d'ignorance de masse due à l'obsolescence intellectuelle programmée et à la pensée collectiviste, l'optimisme devient un exercice malhonnête basé uniquement sur la notion de souhaits feints. Mais bien sûr, ceux qui contrôlent le récit comprennent ce phénomène et l'utilisent pour engendrer la faiblesse parmi les gens au point d'éliminer totalement le scepticisme. Lorsque cela se produit, ceux qui souhaitent rechercher la vérité absolue sont dépeints comme des parias, tandis que les auteurs de la fraude sont considérés comme des sauveurs. Cette inversion de la réalité ne peut que conduire à une confusion de masse et aboutir à la destruction, et cette dynamique doit être largement comprise à ce stade avancé de tromperie.
Ces derniers temps, beaucoup de ceux qui ont apparemment résisté aux efforts de l'État pour obtenir un contrôle total sur l'humanité succombent à la notion d'optimisme infondé ; s'accrocher à des pailles et embrasser la victoire là où il n'y en a pas ou peu. Cela s'apparente à marcher sur une corde raide, car toute promesse peut laisser même ceux qui tentent de retrouver la liberté dupés dans un sentiment de calme quand rien n'est justifié. Parce que certains de ceux qui étaient faussement considérés comme des « leaders » dans la pensée, ceux qui dans le passé étaient « pensés » comme des combattants pour la liberté dans un océan de corruption, sont maintenant soudainement devenus trop optimistes, et par conséquent créent et promeuvent un nouveau récit basé uniquement sur l'espoir. Du point de vue des sources alternatives légitimes en quête de vérité, cela a pour effet de lever la garde du peuple ; permettant aux sceptiques dignes de confiance d'être considérés comme des apocalyptiques au lieu de défenseurs contre la tyrannie. Serait-ce un effort intentionnel des forces du mal ?
La terreur qui s'est abattue sur nous tous, et dans le cas de cette fraude "Covid", qui est constante depuis deux ans, ne prendra pas fin en raison d'une manifestation, mineure ou majeure, mais seulement lorsqu'un grand nombre d'individus diront non, absolument, et refuser d'accepter en masse une commande quelle qu'elle soit. Actuellement, il y a beaucoup de reportages sur des événements singuliers, sur la victoire, sur la résistance isolée et l'exubérance optimiste concernant la protestation dans le monde. Avant d'évaluer les étiquettes de cynisme, rappelez-vous que la plupart des protestations contre l'élément dirigeant sont non seulement appréciées mais applaudies par cet écrivain, et à juste titre, mais par toute acceptation de ce comportement comme le remède final à ce totalitarisme qui a été construit au fil des siècles, est non seulement très myope, mais complètement stupide.
Il en va de même pour toute acceptation de critiques très médiatisées par des acteurs grand public, qu'il s'agisse de médecins, de "scientifiques", de personnalités célèbres ou de médias alternatifs à grande échelle, concernant cette arnaque pandémique. Considérant que ces personnages bien connus se sont récemment prononcés contre le récit dominant, contre les injections toxiques appelées illégitimement « vaccins », et gagnent beaucoup de notoriété auprès des personnes soi-disant soucieuses de la liberté pour leurs efforts, il faut prendre une pause pour réfléchir à la réalité.
RépondreSupprimerCe qui est devenu courant, c'est l'extrême contradiction concernant le canular appelé "Covid". Tant d'éloges aujourd'hui sont des deux côtés de la clôture. Cela ne peut être accepté et l'évaluation critique de ces personnes est obligatoire. Il n'y a rien de tel que le SRAS-CoV-2 ou le "Covid-19", du moins pas dans le domaine d'une maladie naturelle, ou même d'une arme biologique qui a été complètement déchaînée sur la planète entière. De toute évidence, de nombreuses armes biologiques sont produites par les gouvernements, les services de «renseignement» et les militaires de nombreux pays, en particulier aux États-Unis, mais cette arnaque n'est pas une guerre illimitée contre tous les humains, c'est une guerre contre l'homme ordinaire.
Étant donné que le « Covid-19 » n'a jamais été prouvé, il n'a jamais été correctement séparé, isolé ou identifié ; tous ceux qui prétendent être contre la pandémie mais qui acceptent pleinement le récit selon lequel « Covid-19 » est un « virus » légitime, devraient être scrutés à la loupe. La liste de ces personnes est longue, et beaucoup d'entre elles sont grandement respectées et promues par les agences et les sites d'information alternatifs. Pourquoi en est-il ainsi, étant donné qu'il n'y a absolument aucun élément de comptabilité factuelle de quoi que ce soit connu sous le nom de "Covid-19 ?" Aucun échantillon de "Covid" n'a été prélevé sur un seul individu malade, séparé du matériel contaminé l'entourant, ou isolé de quelque manière que ce soit dans un laboratoire ouvert à l'examen. Alors pourquoi tous ces soi-disant «experts» ont-ils carte blanche pour condamner le coup mortel et faux faussement appelé «vaccin», et en même temps les promoteurs du récit selon lequel «Covid» est réel et que des remèdes alternatifs sont disponibles? Disponible dans quel but ? Puisqu'il n'y a aucune preuve de quoi que ce soit appelé "Covid", comment peut-il y avoir un remède, ou pour toute "variante" d'un mystérieux "virus" non prouvé ?
Oui, beaucoup de maladies sont évidentes parmi une grande partie de la population, mais pourquoi cela devrait-il surprendre quiconque a la capacité de penser de manière critique ? Les gens sont de plus en plus malades, tombent malades plus souvent et ont perdu une grande partie de leur réponse immunitaire naturelle aux toxines pendant de nombreuses années. Au lieu d'augmenter la durée de vie dans ce pays, elle diminue considérablement. Au lieu de vivre une vie saine et naturelle, beaucoup, sinon la plupart, dépendent entièrement de médicaments pharmaceutiques dangereux pour chaque inconfort imaginable. Il s'agit d'une société très malsaine, consumée par une croyance en la théorie des germes, alors pourquoi est-il surprenant que ce canular de « virus » ait été avalé crochet, ligne et plomb par la population en général ?
RépondreSupprimerCet assaut contre l'humanité n'est pas terminé. La censure est endémique. Ne baisse pas ta garde. La guerre psychologique ne fait que commencer et les plans de l'État pour conquérir l'avenir avancent à une vitesse fulgurante dans sa tentative d'injecter encore et encore tous les enfants. 2022 sera l'année contre les enfants. Cette année sera le test pour savoir si ces monstres diaboliques peuvent empoisonner et capturer les plus innocents d'entre nous. C'est une atrocité, et les efforts incessants pour corrompre, empoisonner et contrôler tous les jeunes ne seront pas abandonnés par l'État à cause de quelques protestations, mais ne pourront être arrêtés que par la désobéissance physique, la défense de la famille sans égard au risque, et une éveil par l'individu. Les plans de l'État sont clairs, et jusqu'à ce que les parents agissent comme des parents et protègent leurs enfants jusqu'à la mort, nous sommes tous confrontés à un avenir sombre.
Méfiez-vous des faux prophètes. Attention aux contradictions. Méfiez-vous du soutien populaire. Méfiez-vous de tout événement recevant l'approbation massive d'idéologies concurrentes. Attention au faux optimisme. Méfiez-vous de ces initiés qui prétendent maintenant être les sauveurs de l'humanité, qu'ils soient politiques, médicaux, scientifiques ou populaires. Il y en a beaucoup, mais ils sont facilement identifiables, car toutes les formes d'hypocrisie sont bien vivantes en cette période de conformité scandaleuse.
N'acceptez rien au pied de la lettre ; tout remettre en question. Ne crois pas; connaître !
"Il y a deux types de personnes différentes dans le monde, ceux qui veulent savoir et ceux qui veulent croire."
~ Friedrich Wilhelm Nietzsche
https://www.lewrockwell.com/2022/02/gary-d-barnett/once-again-exuberant-optimism-and-doublespeak-are-creating-a-false-sense-of-hope/
On savait tous que le monde avait un certain pourcentage de cons mais on 'a jamais su combien. Mais, grâce au 'coronacircus' le port du masque inutile à pu enfin montrer combien il y avait de cons ! Et là... HOULALA! de chez HOULALA ! ON EST ENTOURÉ DE COOOOOOONS !
SupprimerDonc, la pilule de la mort passe mieux. La piqûre létale nous débarrasse de ces cons de traînards sur les routes et qui encombrent aussi les trottoirs et les immeubles.
Parce que le l'ai testé moi-même d'expliquer aux gens... c'est peine perdue ! c'est 'parler au mur' ! c'est perdre son temps à faire comprendre à un idiot qu'il ne peut exister de masque anti virus ou anti microbes car ils seront toujours plus petits que l'écart de maille du masque et passeront TOUJOURS ! Mais, les cons pensent qu'en portant un masque ils vont faire peur aux virus (poussières) et microbes !! HAHAHAHAHAHAHA !
Comment une guerre contre la «désinformation» a conduit à une tragédie du coronavirus
RépondreSupprimerPar Bret Swanson
De vrais marchés clairs
5 février 2022
"La science est la croyance en l'ignorance des experts."
– Richard Feynman
Des mensonges spectaculaires, des vérités profondes et des camionneurs canadiens percent enfin le scénario longtemps imperméable de Covid.
Lorsqu'un juge de la Cour suprême a affirmé le 7 janvier que 100 000 enfants étaient hospitalisés avec Covid-19 "dans un état grave, et beaucoup sous ventilateurs", cela reflétait la panique mal informée qui a conduit la politique ces deux dernières années. En fait, les données du CDC ont montré qu'environ 3 200 enfants étaient hospitalisés alors qu'ils étaient positifs pour Covid, peu étaient dans un état grave et presque aucun n'était sous respirateur.
L’épisode n’était que la dernière fausse gouttelette dans un flot de discours erronés de Covid. Nous savons depuis le début que les jeunes ne courent pas de risques sérieux ; les confinements n'arrêtent pas la propagation et font bien plus de mal que de bien ; et une gamme de médicaments génériques bon marché, sûrs et approuvés depuis longtemps arrêtent souvent le virus dans son élan lorsqu'ils sont pris tôt. Pourtant, chacun de ces faits centraux a été supprimé par un éventail tentaculaire d'anciens et de nouveaux médias, de plateformes numériques, de revues médicales capturées, de réprimandes à but non lucratif et de porte-parole de la santé publique revendiquant l'omniscience.
Il s'avère que les camionneurs canadiens qui écoutent Joe Rogan en savent plus que de nombreux «experts». Si les camionneurs avaient été aux commandes ces deux dernières années, le monde serait probablement en meilleure santé et plus libre.
La saga Covid a commencé par une mauvaise direction orchestrée. Le 31 janvier 2020, certains des meilleurs virologues du monde ont déclaré au Dr Anthony Fauci qu'ils pensaient que le virus du SRAS-CoV-2 était probablement "conçu" et qu'ils "ne peuvent pas penser à un scénario naturel plausible". En quelques semaines, cependant, ces mêmes scientifiques ont insisté dans le Lancet and Nature Medicine sur le fait que le virus était naturel et que remettre en question son origine répandait de la "désinformation" et des "préjugés". La semaine dernière, nous avons appris que l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) de Fauci avait accordé à ces scientifiques 50 millions de dollars rien qu'en 2020 et 2021.
La bataille suivante dans la guerre contre la désinformation a ciblé les médicaments génériques - d'abord l'hydroxychloroquine (HCQ) puis l'ivermectine (IVM). Les médecins du monde entier ont utilisé ces médicaments extraordinaires avec un succès étonnant. À l'été et à l'automne 2021, l'Uttar Pradesh, le plus grand État de l'Inde, avec 241 millions d'habitants, a presque éradiqué le Covid-19 grâce au déploiement agressif de l'ivermectine. Même pendant la vague hautement contagieuse d'Omicron, l'Uttar Pradesh souffre d'un filet relatif de cas et de décès par rapport aux pays occidentaux riches.
Une nouvelle étude massive du Brésil vient d'être publiée. Les médecins ont suivi presque toute la ville d'Itajaí pendant six mois, où 113 845 habitants ont pris de petites doses d'ivermectine deux fois par mois, et 45 716 ne l'ont pas fait. L'analyse sophistiquée du score de propension appariée (PSM) montre que même l'utilisation prophylactique à faible dose d'ivermectine - sans traitement particulier après l'infection - a entraîné une réduction de 56 % des hospitalisations et une amélioration de la mortalité de 68 %. Les campagnes de réglementation et de propagande contre ces médicaments, et leurs protocoles complémentaires comprenant des choses simples comme le zinc et la vitamine D, ont probablement coûté la vie à des centaines de milliers de personnes dans les pays occidentaux.
RépondreSupprimerPourtant, vous trouvez toujours des gens intelligents qui rient ou se renfrognent, insistant sur le fait que l'ivermectine n'est qu'un médicament pour le bétail. Lorsque j'ai commencé à mettre en garde contre la censure numérique il y a des années, beaucoup de mes amis ont insisté sur le fait que ce n'était pas réel, ou que ce n'était pas grave si quelques voix marginales étaient réduites au silence. Il était difficile de discuter avec eux à l'époque. Je n'ai certainement pas aimé défendre des personnages peu recommandables ou carrément diaboliques. Mais maintenant, nous avons vu à quelle vitesse les choix de «modération de contenu» sur certains réseaux sociaux peuvent se transformer en pannes totales de médias et en propagande cadencée. Et comment les coupures de courant et la propagande peuvent si totalement tromper une large classe de personnes très instruites.
Lorsque le Dr Scott Atlas a commencé à conseiller le gouvernement américain en août 2020, Facebook a effacé ses vidéos s'opposant aux fermetures généralisées d'entreprises et d'écoles. YouTube a effacé le témoignage du Sénat américain de décembre 2020 des Drs. Peter McCullough et Pierre Kory, experts de classe mondiale en cardiologie et en soins intensifs, respectivement, et le biologiste évolutionniste démonétisé Bret Weinstein, qui ont tous claironné des traitements précoces efficaces. YouTube a également effacé le témoignage des Drs. Jay Battacharya (Stanford), Sunetra Gupta (Oxford) et Martin Kulldorff (Harvard) lors d'un forum dirigé par le gouverneur de Floride Ron DeSantis. Twitter a définitivement banni le Dr Robert Malone, pionnier des technologies de thérapie génique par ARNm et ADN.
Ces actes de censure n'étaient que quelques-uns des plus évidents. Pourtant, ils se sont répercutés au loin. L'effacement et le salissage d'éminents scientifiques ont envoyé un message clair à des milliers d'autres médecins, professeurs, rédacteurs médicaux, journalistes, PDG et dirigeants influents : suivez la ligne du parti, ou nous vous détruirons. Ces couches ondulantes d'annulation ont ensuite privé un cercle encore plus large de personnes de tous horizons de l'information nécessaire pour prendre des décisions médicales, personnelles et politiques judicieuses.
Le jeune médecin intelligent qui a traité avec succès le cas modérément grave de Covid-19 de ma femme il y a deux semaines avait récemment perdu ses privilèges hospitaliers dans un important système de santé. Ils n'aimaient pas le fait qu'elle déployait de manière agressive et réussie l'ivermectine et l'hydroxychloroquine et empêchait ainsi les gens d'aller à l'hôpital. "Je passe toute la journée tous les jours à soigner des patients Covid", nous a-t-elle dit, épuisée. "J'aimerais que mes collègues m'aident." Elle est l'une des nombreuses héroïnes qui luttent contre un autre type de censure contre la pratique efficace et compatissante de la médecine.
RépondreSupprimerLa confusion totale des décideurs politiques, des journalistes et, malheureusement, de trop de professionnels de la santé du pays, révèle quelque chose de beaucoup plus systématiquement de travers. La guerre contre la désinformation a atteint exactement le contraire de son objectif déclaré. La répression des voix extérieures non approuvées a exacerbé la pensée de groupe, concentré les risques et amplifié les erreurs dans des proportions épiques.
Nulle part l'isolation de la réalité n'a été plus hermétiquement complète et plus dévastatrice que la non-discussion sur les vaccins. Sur Twitter la semaine dernière, un économiste intelligent et réfléchi a montré à quel point une grande partie de l'intelligentsia est en retard. Jay Battacharya de Stanford s'était opposé aux mandats de vaccination et aux exigences de voyage parce que "le vaccin covid n'arrête pas la propagation de la maladie". "Je ne suis pas votre logique", a répondu l'économiste. « Si le vaccin nous empêche d'être infecté, pourquoi ne réduirait-il pas également la propagation ? Le CDC n'est pas d'accord avec vous : "Les vaccins contre le COVID-19 sont efficaces et peuvent réduire votre risque de contracter et de propager le virus qui cause le COVID-19." au Royaume-Uni, puis partout - la durabilité extrêmement courte des vaccins, en particulier contre l'infection.
En novembre, j'ai écrit que "les premiers résultats de l'expérience de rappel viendront encore une fois d'Israël, qui a intensifié en masse cet été et cet automne". Eh bien, ces dernières semaines, Israël, surpuissant, a dominé le monde en termes de tests positifs par habitant et subit une nouvelle vague record d'hospitalisations et de décès. De même, tout au long de l'automne et de l'hiver, les endroits les plus vaccinés de la planète, presque sans exception, ont également subi des taux d'infection élevés.
L'efficacité du vaccin diminuait déjà gravement contre Delta, comme le montre l'étude suédoise massive portant sur 1,6 million de personnes. Désormais, les vaccins, qui ciblent une variante éteinte, peuvent être négativement efficaces contre Omicron. Au Royaume-Uni, les adultes boostés (3x vaccinés) souffrent de taux d'infection plus élevés que les non vaccinés. L'Organisation mondiale de la santé déclare maintenant qu'"une stratégie de vaccination basée sur des doses de rappel répétées de la composition originale du vaccin a peu de chances d'être appropriée ou durable". L'Agence européenne des médicaments met désormais en garde : "La répétition des injections de rappel risque de surcharger le système immunitaire."
Ce fait élémentaire – que les vaccins ne sont pas stérilisants et manifestent probablement un péché antigénique originel, entre autres dérégulations immunitaires, ce que les meilleurs vaccinologues savaient il y a un an – aurait dû mettre fin aux discussions sur les mandats des vaccins avant qu'une telle discussion ne commence.
En fait, cela aurait dû conduire à une stratégie vaccinale entièrement différente. L'inoculation massive lors d'une épidémie généralisée avec des vaccins «fuyants» peut générer une dynamique évolutive dangereuse. Pourtant, nous n'avons jamais eu de discussion approfondie sur les vaccins. Au lieu de cela, nous avons entendu un mantra, conduisant à l'adoration sacramentelle des tirs. Ceci, malgré le fait que la majeure partie de la population n'était pas exposée à un risque sérieux de Covid. Au lieu de cibler les populations à haut risque pour la vaccination avec les technologies hautement expérimentales d'ARNm et d'ADN, de nombreux dirigeants mondiaux ont fait faillite, insistant sur la vaccination universelle. Et exigeant qu'aucune question ne soit posée.
RépondreSupprimerIl semble maintenant que l'étouffement des questions et des stratégies alternatives ait pu entraîner l'une des plus grandes débâcles de l'histoire de la science et des politiques publiques.
https://www.lewrockwell.com/2022/02/no_author/how-a-war-on-misinformation-led-to-a-coronavirus-tragedy/
(...) En fait, les données du CDC ont montré qu'environ 3 200 enfants étaient hospitalisés alors qu'ils étaient positifs pour Covid, (...)
SupprimerPremièrement, le 'covide19' n'A JAMAIS ÉTÉ ISOLÉ ! Donc, dès le départ, c'était 'à la tête du client' pour remplir les quotas, puis sont arrivés (ouf !) les vrais faux tests 'PCR' qui permettaient de voir des virus (poussières) respirées mais pas de sélectionner lesquelles sont fautives voire complotistes à attaquer l'organisme !
Deuxièmement, ont été inscrits comme 'remèdes' des substances qui remédiaient à d'autres pathologies que celle de l'empoisonnement, sans être un antidote contrant la piqûre létale administrée !
Troisièmement, (là je me répète), ON NE VACCINE PAS PENDANT UNE ÉPIDÉMIE OU PANDÉMIE !