- ENTREE de SECOURS -



mardi 1 février 2022

L’alarmisme climatique est raciste et néo-colonialiste

 le 1 février 2022

 

Toutes sortes d’articles clament que le changement ou le réchauffement du climat est raciste. Je ne sais pas ce que cela signifie car je n’ai pas lu ces articles. La réalité est différente. L’alarmisme climatique est raciste. En Amérique du Nord et en Europe 100 % de la population a accès à du gaz ou de l’électricité pour cuisiner. Dans les pays d’Afrique centrale seulement 1 % de la population a accès à de telles commodités.

Ne pas disposer d’électricité ou de gaz pour cuisiner provoque la mort prématurée de 4 millions de personnes chaque année (doi : 10.1016/j.tiv.2017.05.021 ). Dans le Deccan le principal combustible pour la cuisine est la bouse de vache séchée. Le ramassage de la bouse, son façonnage sous forme de tuiles et sa vente constituent une source de revenus pour certaines castes inférieures dans les plaines du Gange, du Meghana et du Brahmapoutre. Or elles contiennent de l’arsenic provenant de la pollution des eaux des paddys car elles sont polluées. Ce polluant se retrouve dans les fumées des cuisines et provoque toutes sortes de maladies dont des cancers du poumon.

Les grands journaux occidentaux dont le New-York Times et le Washington Post maintiennent en continu une propagande alarmiste avec Alexandria Ocasio-Cortez comme figure de proue prédisant la fin du monde et la petite Greta qui en rajoute une couche alors qu’elle ne sais pas de quoi elle parle.

Cependant il est opportun de constater que l’utilisation de combustibles fossiles ne cesse d’augmenter comme l’indique ce graphique :



Les énergies renouvelables pour lesquelles les pays occidentaux investissent des dizaines de milliards de dollars représentent une infime partie des combustibles utilisés. La biomasse traditionnelle (bois et bouses de vache séchées par exemple) arrive en quatrième position derrière le gaz naturel, le pétrole et le charbon, plus importante que le nucléaire et l’hydraulique. Les principaux émetteurs globaux de gaz dits à effet de serre dans le monde sont l’Inde, la Chine, l’Europe et les États-Unis. Cette obsession de la protection du climat ne concerne que les pays occidentaux, Europe et Amérique du Nord, c’est donc bien à l’évidence une démarche qui concerne avant tout les « blancs ». La Chine prétend atteindre la fameuse « neutralité carbone » vers 2050. Ce pays ne pourra atteindre cet objectif qu’en développant massivement l’énergie nucléaire alors que certains pays européens ne parient que sur les moulins à vent. Quant à la Russie, plus gros émetteur de gaz carbonique par habitant dans le monde, elle vendra son gaz jusqu’à épuisement des gisements tout en développant également l’énergie nucléaire.

Les pays occidentaux ont donc adopté une attitude de « protection » du climat à l’évidence raciste. Ils se moquent du développement de la plupart des pays d’Afrique et de certains pays d’Asie et d’Amérique du Sud tout en pillant les richesses de leurs sous-sol. Ici c’est le lithium, là le cobalt et ailleurs le cuivre ou encore l’uranium car la nouvelle idéologie est la voiture électrique. On assiste ainsi à un nouveau colonialisme sous le prétexte fallacieux et moral, mais ça se discute, qu’il faut sauver le climat. De qui se moquent les instances multinationales ? La réponse est claire : de tous les pays dits du « tiers monde » qui disposent des ressources nécessaires pour arriver à cette fameuse transition énergétique qui n’est qu’une illusion car la Terre continuera à tourner sur elle-même et à tourner autour du Soleil selon des lois déjà prédites, toute intervention humaine n’y pourra rien du tout, alors il faut que ces ressources soient utiles pour cette transition énergétique mise en place par les pays occidentaux. Les pays « sous-développés » resteront sous-développés pour le plus grand confort moral des pays occidentaux. Où est le racisme climatique ? Il est là.

https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/02/01/lalarmisme-climatique-est-raciste-et-neo-colonialiste/

39 commentaires:

  1. Encore une fois je ne comprends pas cette volonté de na pas oser publier les vrais chiffres correspondant à la population de consommateurs et d'énergie.

    voir:

    🚨 Pollution et pollution


    jeudi 13 novembre 2014


    http://globaleconomicanalysis.blogspot.fr/2014/11/historic-hype-over-global-warming.html

    Pareillement qu'il est facile d'accuser une famille nombreuse de plus consommer qu'un célibataire et donc de taxer le grand nombre de tous les maux de la Terre, dernièrement un économiste a publié un graphique sur les pays les plus gros consommateurs de pétrole (donc: pollueurs). Graphique qui montrait la Chine, les USA, l'Inde et la Russie les quatre premiers d'une liste de 19 pays sélectionnés comme étant les plus pollueurs.

    Oui mais, de la même façon que l'on peut citer Monaco et Macao comme étant les pays les plus peuplés de la Terre (au km²), je répondrais pour les pollueurs que c'est en fait le contraire !

    Compte tenu du nombre d'habitants et de la quantité de pétrole consommée, l'Arabie Saoudite arrive largement en tête des pays les plus pollueurs de la Terre ! Cela vous étonne ? C'est bien d'ailleurs la première fois que vous lisez un tel article face au bassinnage médiatique quotidien que c'est La Chine qui est le plus gros pollueur monstrueux de la Terre !

    1 -- Arabie Saoudite
    2 -- Australie
    3 -- Canada
    4 -- USA
    5 -- Corée du Sud
    6 -- Russie
    7 -- Allemagne
    8 -- Afrique du Sud
    9 -- Japon
    10 - Italie
    11 - Royaume-Uni
    12 - Chine
    13 - Turquie
    14 - Argentine
    15 - Mexique
    16 - Inde
    17 - Indonésie
    18 - France
    19 - Brésil

    C'est bien en divisant la quantité de pollution émise par le nombre d'habitants que l'on peut mieux se rendre compte de la vérité cachée !

    Car, c'est bien au nombre d'habitants qu'il faut regarder (et non à la superficie d'un pays). L'Alaska avec ses 731.000 hab. et 1.717.854 km² consomme plus d'énergie par le fait qu'il y fait froid et que la lumière est manquante dans l'hiver long. Pareillement que le sont d'autres en Europe du Nord (Norvège, Suède, Danemark, Finlande, Islande, etc) mais qui ne sont listés dans les 19 choisis, la consommation de pétrole par habitant doit être plus élevée qu'en Afrique, car je ne pense pas qu'ils aient choisi de brûler du bois des forêts où les arbres poussent lentement, ni qu'ils se contentent de se chauffer avec des arêtes de poissons !

    Et c'est bien pourquoi la Chine et le Brésil (entr'autres) ont toujours refusé de s'acquitter de la taxe aéroportuaire pour les avions en ce qui concerne le gaz carbonique décrit comme étant La pollution !!

    Ce qui est malheureusement désigné comme pollution est le gaz carbonique que nous rejetons continuellement en respirant, d'où chaque habitant de la Terre (animaux y compris) montré comme pollueur !! Pareillement que le fumier est une pollution, c'est bien cette pollution qui fait pousser les plantes !! et NOUS NOURRIT TOUS LES JOURS !

    D'où le merci à la pollution d'être là sans quoi nous n'y serions pas !

    https://huemaurice5.blogspot.com/2014/11/pollution-et-pollution.html

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  2. Est-ce que les voitures électriques sortent du crayon ?


    Eric Peters
    31 janvier 2022


    Une bonne façon de penser à ce qu'ils essaient de nous enlever est de considérer ce que pèsent dix gallons d'essence (37,8).

    Le chiffre est d'environ 63 livres (28,5 kg), chaque gallon pesant un peu plus de six livres (2,7 kg). Ces 63 livres d'énergie liquide propulseront une voiture à moteur à pistons d'une moyenne de 30 miles (48,2 km) par gallon sur environ 300 miles (482 km).

    Un problème standard Tesla Model 3 parcourt environ 263 miles (483,2 km) sur l'énergie à l'état solide contenue dans plus de 1 000 livres (1609 kg) de batterie. Pour mettre cela en équivalent d'énergie liquide, 1 000 livres d'essence équivaudraient à environ 158 gallons de sans plomb ordinaire. Cette quantité de carburant serait suffisante pour propulser la voiture à moteur à pistons de 30 MPG dans notre exemple au-dessus de quelque 4 740 milles (7628,2 km).

    Lequel est le plus "efficace" ?

    Fait intéressant, la voiture à moteur à pistons voyage également plus loin car elle consomme l'énergie liquide qu'elle transporte, car elle transporte moins de poids car elle brûle son approvisionnement en carburant. La voiture électrique, en revanche, est aussi lourde lorsqu'elle est complètement chargée que lorsqu'elle est complètement déchargée.

    Il n'y a pas non plus de « pénalité énergétique » pour le stockage de l'énergie liquide. Tant que le réservoir ne fuit pas, il n'y aura pas moins d'énergie disponible lorsque le propriétaire de la voiture à moteur à pistons voudra conduire quelque part - même s'il a laissé la voiture assise pendant un mois après avoir pompé ces 10 gallons. Ils ne s'évaporent pas et ne deviennent pas moins denses en énergie. Le réservoir ne nécessite aucune énergie pour conserver l'énergie qu'il contient.

    Les batteries des voitures électriques, en revanche, consomment de l'énergie même lorsque leur énergie n'est pas utilisée . . . pour alimenter la voiture. Mais il est nécessaire d'alimenter le réchauffeur qui maintient la température de la batterie, qui doit être maintenue au-dessus d'un certain seuil afin d'éviter de l'endommager et de maintenir sa capacité à recevoir une charge. Ce dont il aura besoin, après s'être assis pendant un mois - à moins qu'il n'ait été branché à un chargeur, utilisant de l'énergie de cette façon.

    Plus encore, s'il fait très froid.

    Qu'en est-il du coût par mile ?

    Il est moins cher de recharger une voiture électrique que de faire le plein d'une voiture à moteur à pistons.

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  3. Une Tesla 3 avec la batterie standard de 50 kilowattheures coûte environ 10 $ pour se recharger complètement ; équipé de la batterie de mise à niveau de 82 kilowattheures et le coût d'une recharge complète s'élève à environ 14 $. C'est encore beaucoup moins que les 32 $ environ qu'il faut (au coût actuel par gallon d'environ 3,20 $) pour acheter dix gallons d'énergie liquide.

    Mais est-ce assez bon marché pour compenser le coût de la voiture électrique elle-même ?

    Une Tesla Model 3 avec la batterie de 263 miles coûte 41 990 $. À l'exception de sa transmission électrique, elle est par ailleurs similaire à d'autres petites berlines telles que l'Audi A3, qui coûte 33 900 $ - une différence «à l'avant» de 8 090 $.

    La Tesla parcourt 262 miles (423 km) avec environ dix dollars d'énergie à l'état solide. L'A3 parcourt plus de 400 milles avec 14,5 gallons d'énergie liquide (plus de 500 milles sur l'autoroute), ce qui coûte à son propriétaire environ 46 $ (à 3,20 $ le gallon).

    Pour parcourir la même distance que l'A3, la Tesla devrait recevoir environ 5 $ supplémentaires d'énergie équivalente au kilowattheure, ce qui ramènerait les économies à environ 31 $ pour parcourir à peu près la même distance par charge dans la Tesla par rapport au tankful ( singulier) dans l'Audi.

    Cela équivaut à environ 124 $ par mois en faveur de Tesla. Mais seulement de manière isolée. On ne peut ignorer l'autre différence de coût - les 8 090 $ supplémentaires que coûte la Tesla par rapport à l'Audi. Il faudra environ six ans de conduite pour « travailler » cette somme (124 $ fois douze mois équivaut à 1 488 $ fois six ans équivaut à 8 928 $).

    Les coûts de recharge varient également - en fonction des besoins en énergie de la batterie de la voiture électrique en question. Comme dans l'exemple ci-dessus du coût de la recharge de la base par rapport à la Tesla à batterie en option.

    Ceci est intéressant car il ne coûte pas plus cher de mettre autant de gallons d'énergie liquide dans le réservoir d'une muscle car ou d'un pick-up V8 que de mettre la même quantité d'énergie liquide dans le réservoir d'un moteur à quatre cylindres, voiture économique telle qu'une Hyundai Accent.

    Une Tesla 3 avec la batterie standard de 50 kilowattheures coûte environ 10 $ pour se recharger ; équipé de la batterie de mise à niveau de 82 kilowattheures et le coût d'une recharge complète s'élève à environ 14 $. Et bien sûr, plus la voiture électrique est puissante, plus elle consomme d'énergie. Cela est bien sûr également vrai pour les voitures à moteur à piston plus puissantes ; cependant, ils coûtent tous exactement le même prix à remplir avec le même volume d'énergie liquide.

    Mais la voiture électrique peut être rechargée à domicile. On dit que cela permet de gagner du temps, ce qui est un moyen d'économiser de l'argent. Le problème ici est le temps qu'il en coûte pour recharger le VE à la maison.

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  4. La perception de ce temps peut être rendue favorable s'il est commode de recharger la voiture pendant que vous dormez, pendant la nuit. Mais si vous avez besoin de la voiture avant qu'elle n'ait eu le temps de se recharger, cela peut être extrêmement gênant.

    Enfin, la voiture électrique nous a dit de sauver la planète. Mais cela suppose, tout d'abord, qu'il faille « sauver » (comme les gens qui ont besoin de « vaccins ») et qu'il peut être « sauvé » en conduisant des voitures qui consomment plus d'énergie que les voitures qu'ils entendent remplacer. Il y a beaucoup d'énergie liée à moins de 1 000 livres d'un bloc-batterie d'une voiture électrique - et il faut une énorme quantité d'énergie pour alimenter ce bloc-batterie. Il faudra une quantité d'énergie presque inconcevable pour alimenter des millions de batteries de véhicules électriques de plus de 1 000 livres.

    Jusqu'à l'arrivée de M. Fusion, les voitures électriques ne "sauvaient" rien - que ce soit en termes de dollars ou de la planète.

    https://www.ericpetersautos.com/2022/01/31/do-electric-cars-pencil-out/

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  5. Soudain, le monde revient au nucléaire

    Alors qu'une crise énergétique frappe l'hémisphère nord et que la Chine avance, une renaissance atomique se prépare.


    February 1st, 2022 |


    Le Royaume-Uni investit davantage dans la nouvelle énergie nucléaire. La France est passée de la réduction des armes nucléaires à leur croissance. Les Pays-Bas avaient changé de ton. L'UE a discrètement rédigé des règles permettant à l'énergie nucléaire de compter comme «verte».

    Il existe 443 centrales nucléaires dans le monde. 54 autres usines sont en construction, dont plus d'un tiers en Chine. À l'heure actuelle, la Chine a environ la moitié de la capacité des États-Unis, mais d'ici cinq ou dix ans, la Chine sera la plus grande puissance nucléaire du monde.

    L'expérience de l'énergie verte ne parvient pas à produire une énergie fiable et bon marché.

    L'Australie possède un tiers de l'uranium connu dans le monde, mais n'a pas d'énergie nucléaire. Pourquoi la Coalition ne ferait-elle pas quelque chose d'un tout petit peu courageux et ne ferait-elle pas ce que 32 autres pays font déjà.

    - voir planisphère sur site -
    Carte du monde des membres WANO

    Il n'y a aucune raison sous le soleil que la nation avec l'uranium du monde et les plaques tectoniques les plus stables de la Terre ne devienne pas nucléaire. Nous obtenons les sous-marins, pourquoi pas le pouvoir ?

    L'interdiction nucléaire doit disparaître
    Adam Creighton, l'Australien

    Il devrait être évident que le nucléaire n'est plus toxique pour les autres démocraties, mais l'Australie, seule parmi les pays du G20, maintient une interdiction pure et simple bien qu'elle soit assise sur l'une des plus grandes réserves d'uranium.

    À la fin de l'année dernière, la France a annulé sa décision de réduire sa dépendance à l'énergie nucléaire de 75 % à 50 %, annonçant 30 milliards d'euros (47,7 milliards de dollars) pour six nouveaux réacteurs. L'UE semble prête à désigner le gaz et l'énergie nucléaire comme « énergie verte ».

    Les Pays-Bas ont alloué 500 millions d'euros pour étendre et moderniser la capacité nucléaire jusqu'en 2025. "L'énergie nucléaire peut compléter l'énergie solaire, éolienne et géothermique dans le mix énergétique et peut être utilisée pour produire de l'hydrogène", a déclaré le gouvernement néerlandais en décembre. "Cela nous rend également moins dépendants des importations de gaz."

    La décision de l'Allemagne d'éliminer progressivement ses réacteurs nucléaires semble de plus en plus insensée, liant ses mains à une confrontation imminente entre l'OTAN et la Russie sur l'avenir de l'Ukraine.

    https://joannenova.com.au/2022/02/suddenly-the-world-shifts-back-to-nuclear/

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  6. CARBURANTS : PLUS DE 1,7 EURO LE LITRE POUR L'ESSENCE SP95-E10 !


    par PAOLO GAROSCIO
    01/02/2022


    Le pétrole, en Bourse, a dépassé les 90 dollars le baril le 28 janvier 2022.

    L’augmentation du prix des carburants à la pompe en France continue de plus belles, selon les données publiées par le ministère de la Transition écologique et solidaire le 31 janvier 2022. De nouvelles augmentations du prix moyen, de plusieurs centimes d’euro le litre, ont été enregistrées, sur fonds de nouveaux records du pétrole en Bourse.

    Carburants : 1,6 euro pour le gazole, 1,7 euro pour l’essence

    Les automobilistes, qui subissent mardi 1er février 2022 une nouvelle hausse des tarifs des péages autoroutiers d’environ 2%, continuent de faire les frais de la hausse des prix des carburants à la pompe. Un véritable problème : le budget des ménages s’en voit réduit, alors que l’inflation est généralisé y compris dans l’alimentation.

    Selon les données du ministère de la Transition énergétique et solidaire du 31 janvier 2022, la semaine du 24 janvier 2022 les carburants ont à nouveau augmenté : en moyenne, en France, il faut désormais compter sur un prix du gazole à 1,6704 euro le litre, en hausse de 1,64 centime d’euro.

    Mais c’est surtout l’essence qui augmente : alors que l’essence SP95 avait déjà franchi la barre symbolique des 1,7 euro le litre, elle a continué de voir son prix augmenter. Sur une semaine, la hausse est de 2,15 centimes, ce qui porte le prix du litre à 1,7464 euro en moyenne.

    Les automobilistes pourront toujours se rabattre sur l’essence la moins chère, la SP95-E10, mais cette dernière franchi elle aussi le seuil symbolique des 1,7 euro le litre. Selon les données du 31 janvier 2022, il faut compter sur un prix de 1,7202 euro le litre d’essence SP95-E10, soit une augmentation de 2,10 centimes le litre.

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  7. Le pétrole en Bourse atteint de nouveaux records

    Outre la relance de l’activité économique et industrielle, et la reprise des déplacements de la part des particuliers, les carburants subissent de plein fouet la hausse du pétrole en Bourse. Le 1er février 2022, le Brent, le pétrole de la Mer du Nord, frôle les 90 dollars à 89,39 dollars le baril. Le prix de 90 dollars a été dépassé temporairement le 28 janvier 2022, atteignant 91,30 dollars. Et le WTI, le pétrole américain, n’est pas en reste, avec un prix de 88,38 dollars.

    Ce niveau de prix, en Bourse, n’a plus été vu depuis le deuxième semestre 2014 lorsqu’un krach boursier avait fait chuter le pétrole d’un niveau de près de 100 dollars le baril en avril à moins de 50 dollars fin décembre. Un krach causé par l’Arabie Saoudite qui avait augmenté leur production pour faire chuter les prix, afin d’empêcher le développement et la rentabilité de l’exploitation du pétrole de schiste par les États-Unis.

    http://www.economiematin.fr/news-prix-carburant-france-janvier-2022-augmentation-essence-gazole

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  8. Le pétrole à 90 $ n'est que le début


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 31 JANVIER 2022 - 15:00
    Par Irina Slav de OilPrice.com


    L'évolution actuelle des prix du pétrole est largement attribuée au risque géopolitique.

    Le prochain mouvement majeur du pétrole pourrait être déclenché si les stocks tombaient à des niveaux critiques.

    Le consensus de Wall Street semble être que le Brent atteindra 100 $ d'ici l'été

    Le brut Brent a brièvement touché 90 dollars le baril cette semaine pour la première fois depuis des années. Ce dernier bond a été attribué aux tensions autour de l'Ukraine, mais c'est la raison la plus transitoire de la hausse des prix du pétrole. Les plus grandes raisons ont toutes à voir avec les fondamentaux. Et 90 $ le baril de Brent n'est peut-être qu'un début. Beaucoup a été écrit récemment sur la capacité inutilisée de l'OPEP et les perspectives pas trop roses pour elle. Cette capacité inutilisée est en déclin pour plusieurs raisons, mais la principale d'entre elles semble être le sous-investissement. En conséquence, JP Morgan a averti plus tôt ce mois-ci que le Brent pourrait atteindre 125 dollars le baril alors que la capacité de production inutilisée de l'OPEP tomberait à 4 % de la capacité totale d'ici le quatrième trimestre 2022.

    L'Agence internationale de l'énergie est allée encore plus loin, avertissant que la capacité inutilisée de l'OPEP pourrait chuter de moitié à seulement 2,6 millions de bpj au second semestre. L'agence a ensuite ajouté que "si la demande continue de croître fortement ou si l'offre déçoit, le faible niveau des stocks et la diminution des capacités de réserve signifient que les marchés pétroliers pourraient connaître une autre année volatile en 2022".

    Cependant, il n'y a pas que l'OPEP. Le plus grand producteur de pétrole hors OPEP - et le plus grand producteur de pétrole au monde - pompe moins qu'il ne le peut. La pression des actionnaires sur les majors pétrolières publiques aux États-Unis a augmenté, tout comme l'insistance pour que les entreprises se concentrent sur l'écologisation de leurs opérations au lieu de chercher plus de pétrole et de gaz à extraire. En conséquence, les États-Unis pompent moins de pétrole qu'ils ne le pourraient et, selon beaucoup, qu'ils ne le devraient.

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  9. En conséquence, le décor semble planté pour une autre année chère pour le pétrole, qui coïncide avec une année globalement chère alors que les banques centrales commencent à resserrer les politiques monétaires en réponse à une inflation persistante qui, comme les prévisions de l'AIE sur la demande de pétrole depuis les premiers jours de la pandémie, s'est avérée loin du pépin transitoire que la Fed a annoncé l'année dernière.

    "Le marché pétrolier se dirige simultanément vers des stocks bas, une faible capacité de réserve et des investissements toujours faibles", ont écrit les analystes de Morgan Stanley dans une note citée par le Wall Street Journal cette semaine, résumant assez bien la situation. Dans cette situation, 90 $ pour un baril de Brent n'est peut-être qu'un début.

    En effet, le consensus de Wall Street semble être que le Brent atteindra 100 dollars d'ici l'été pour toutes les raisons énumérées par Morgan Stanley et aussi parce que les coûts d'équilibre sont également à la hausse, grâce aux tendances de l'inflation et aux pénuries de main-d'œuvre, du moins aux États-Unis. États. Pourtant, le principal moteur des prix restera la demande physique.

    L'Agence internationale de l'énergie a admis que la demande physique de pétrole s'est avérée plus forte que prévu dans son dernier rapport sur le marché pétrolier. Sur la base de cette tournure des événements surprenante, l'AIE a révisé à la hausse ses prévisions de demande de pétrole pour 2022 de 200 000 bpj. Et sur la base de ses antécédents, il se pourrait bien qu'il ait une fois de plus sous-estimé la robustesse de la demande. Même avec cette estimation, la demande de pétrole non seulement reviendra aux niveaux d'avant la pandémie, mais les dépassera, atteignant 99,7 millions de bpj d'ici la fin de l'année.

    Dans une telle situation, la hausse des prix du pétrole est presque certaine, car il n'y a pas grand-chose – à l'exception d'une autre série de blocages qui est hautement improbable – que quiconque puisse y faire. La question est alors de savoir jusqu'où le pétrole peut monter avant qu'il ne commence à baisser ?

    La réponse est délicate. Les compagnies pétrolières publiques américaines sont toujours redevables à leurs actionnaires, qui semblent prendre à cœur les prévisions selon lesquelles le pétrole n'a pas d'avenir à long terme. Ils ont un espace limité pour faire ce qu'ils veulent. Les entreprises privées foreront alors que le WTI continue de grimper. Et l'OPEP forera également, mais elle pourrait choisir de garder le contrôle sur la production plutôt que de passer au "pompage à volonté", principalement parce que seuls quelques membres de l'OPEP ont réellement la capacité de pomper à volonté.

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  10. Des prix excessivement élevés ont tendance à décourager la consommation, quel que soit le produit dont les prix deviennent excessivement élevés. Cependant, il y a une mise en garde, et c'est que le produit doit avoir une alternative viable pour décourager la consommation lorsque les prix augmentent trop haut. À en juger par l'automne et l'hiver cauchemardesques de l'Europe cette année, les alternatives aux combustibles fossiles ne sont pas encore à la hauteur. Cela signifie essentiellement que l'impact des prix élevés du pétrole sur la demande sera lent à se manifester et lent à faire baisser les prix.

    Où cela laisse-t-il le monde ? La réponse courte est "Pas au bon endroit". La hausse des prix du pétrole fera monter les prix de tout le reste, et c'est la dernière chose que vous voulez, si vous êtes un gouvernement, quand vous êtes déjà aux prises avec l'inflation. Il se pourrait bien que la pandémie se termine pour de bon cette année, mais les véritables retombées de celle-ci ne font peut-être que commencer à se faire sentir.

    https://www.zerohedge.com/commodities/90-oil-only-beginning

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  11. Folie du travail : il y a maintenant un nombre record de 4,6 millions d'offres d'emploi de plus que de chômeurs


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 01 FÉVRIER 2022 - 10:29


    Après plusieurs mois de spéculation sur le fait que le marché du travail américain avait finalement atteint son pic absolu avec le nombre d'offres d'emploi dérivant autour de 10 à 11 millions, aujourd'hui le BLS a relancé le débat pour savoir si nous avons vu le pire de la pénurie de main-d'œuvre lorsqu'il a signalé qu'un mois après ce qui a été le mois dernier la plus forte baisse depuis le début de la pandémie (révisé depuis à un nombre plus modeste), en décembre, le nombre d'offres d'emploi a de nouveau bondi, augmentant de 150 000 pour atteindre un record proche de 10,925 millions, brisant les attentes d'un baisse à 10,3 millions et juste en dessous du sommet historique de juillet de 11,1 millions.

    - voir graph sur site -

    En regardant les détails, les offres d'emploi ont augmenté dans plusieurs industries avec les plus fortes augmentations dans les services d'hébergement et de restauration (+133 000), l'information (+40 000), la fabrication de biens non durables et l'éducation des gouvernements d'État et locaux (+31 000 chacun). Les offres d'emploi ont diminué dans la finance et les assurances (-89 000) et dans le commerce de gros (-48 000).

    Ce que nous trouvons beaucoup plus remarquable, cependant, c'est qu'au milieu du resserrement continu du marché du travail, la hausse des offres d'emploi a signifié qu'il y avait un nouveau record, soit 4,6 millions, d'emplois vacants de plus que de chômeurs en décembre, confirmant que les États-Unis le marché du travail reste tristement fissuré, peut-être irrémédiablement.

    - voir graph sur site -

    Et avec beaucoup plus d'offres d'emploi que de chômeurs, cela signifiait qu'en décembre, il y avait encore moins de 1 chômeurs - un record de 0,644 pour être exact - pour chaque offre d'emploi, contre 0,6511 en novembre, 0,6689 en octobre et en baisse par rapport à un record de 4,6 au plus fort de la crise en avril dernier.

    - voir graph sur site -

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  12. Compensant le bond des offres d'emploi en décembre, nous avons constaté une légère baisse des embauches : selon le BLS, les embauches ont diminué de 333 000 à 6,263 millions, le plus grand nombre d'embauches ayant diminué dans les services professionnels et aux entreprises (-159 000).

    - voir graph sur site -

    Une dernière observation vient du taux de démissions de décembre : après que le nombre d'Américains quittant leur emploi ait atteint un niveau record de 4,527 millions (révisé à la baisse à 4,499 millions), il a légèrement chuté en décembre à 4,338 millions, ce qui était néanmoins le troisième chiffre le plus élevé en histoire de la série.

    Le taux de démissions de 2,9 %, a chuté d'un niveau record de 3,0 %, avec les taux les plus élevés dans les loisirs/hôtellerie (5,8 %), le commerce/transport (3,8 %), et les services professionnels/aux entreprises (3,6 %) tandis que parmi les plus bas figurent l'exploitation minière. /exploitation forestière (1,7%), activités financières (1,5%) et gouvernement (1%). Les démissions ont diminué dans les soins de santé et l'assistance sociale (-89 000), l'hébergement et les services de restauration (-64 000) et la construction (-44 000). Les démissions ont augmenté dans la fabrication de biens non durables (+19 000)

    - voir graph sur site -

    Pour rappel, cet indicateur "prenez ce travail et bousculez-le" est généralement considéré comme un proxy en temps réel de la façon dont les employés commercialisables pensent qu'ils sont, car ils ont tendance à quitter leur emploi et à rechercher des professions mieux rémunérées lorsque le marché du travail est brûlant. . Et comme il a tendance à retarder légèrement les pics d'ouvertures d'emplois, la baisse des démissions - qui est cependant restée juste en deçà des sommets historiques - n'était probablement pas si surprenante.

    https://www.zerohedge.com/economics/labor-insanity-there-are-now-record-46-million-more-job-openings-unemployed-workers

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  13. Dr Sherri Tenpenny : Les vaccins COVID-19 ne sont PAS des vaccins mais des technologies de modification génétique


    mardi 01 février 2022
    par: Mary Villareal


    (Natural News) Le Dr Sherri Tenpenny a critiqué le gouvernement et Big Pharma pour avoir poussé les vaccins contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19), qui, selon elle, ne sont pas réellement des vaccins par définition.

    «Quand vous pensez à un vaccin contre la grippe, ou au ROR ou à la varicelle ou quelque chose comme ça, ils sont destinés à arrêter la propagation du virus et de l'infection. Ils visent à réduire le taux d'incidence, ils visent à arrêter les hospitalisations et ils sont certainement destinés à arrêter les décès. Ce sont les vaccins normaux comme nous les appelons. C'est comme ça qu'ils sont censés fonctionner », a-t-elle déclaré lors de l'épisode du 30 janvier de« What is Happening ».

    Ce que le monde injecte maintenant dans les gens, selon Tenpenny, ce sont des technologies de modification génétique. L'ARN messager (ARNm) n'a jamais été utilisé chez l'homme et n'a été délivré que dans le cadre d'une autorisation d'utilisation d'urgence.

    Ils ne font rien que les vaccins soient censés faire, comme empêcher les gens de tomber malades ou réduire les taux d'hospitalisation. D'après les informations du ministère de la Défense, plus de 70 % des hospitalisations dues au COVID concernent des personnes entièrement vaccinées, ou celles qui ont reçu leurs deux injections et un rappel.

    Les injections d'ARNm causent définitivement des dommages, avec plus d'un million d'événements indésirables signalés et plus de 22 000 décès signalés au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS).

    Tenpenny a également parlé des tests COVID-19 et de la façon dont ils ne fonctionnent pas. « Le test n’a pas pu faire la distinction entre les coronavirus et les virus de la grippe. Cela ne dit-il pas simplement au monde que tout cela n'a aucun sens, nous devrions tout jeter sous le bus ? »

    Les tests PCR n'ont jamais été destinés au diagnostic

    Le développeur original du test PCR "gold standard", Kary Mullis, a déclaré au début des années 90 que les tests n'étaient jamais destinés à être utilisés comme outil de diagnostic clinique car ils trouvent de petites particules qui pourraient encore donner un résultat positif. (En relation: les tests RT-PCR du coronavirus sont utilisés pour induire les gens en erreur au milieu de la pandémie, déclare un expert en santé.)

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  14. Il y a des milliers de cas parce que les gouvernements insistent pour tester des personnes en bonne santé et asymptomatiques qui ne propagent pas le virus ou ne sont pas contagieuses. « Une personne asymptomatique qui a des traces de virus est une personne en bonne santé. Nous transportons environ trois billions de virus, de bactéries et de champignons de levure dans et sur notre corps à tout moment. Et c'est la relation symbiotique de ces milliards de virus qui définissent une personne en bonne santé », a déclaré Tenpenny.

    Elle a souligné que tout ce qui a été fait est de créer un nouveau nom pour créer la peur et de faire avancer le programme d'injection pour que les gens subissent des tests absurdes qui ne disent vraiment rien.

    Les Centers for Disease Control and Prevention ont retiré l'autorisation d'utilisation d'urgence du test PCR pour le test COVID-19 à compter du 31 décembre 2021, admettant finalement que le test ne fait pas la différence entre la grippe et le virus COVID.

    Le CDC a recommandé que les laboratoires cliniques et les sites de test commencent leur transition vers l'utilisation d'un autre test COVID-19 autorisé par la FDA, et encourage les laboratoires à envisager l'adoption d'une méthode multiplexée qui pourrait faciliter la détection et la différenciation du SRAS-CoV-2 et des virus de la grippe. .

    Le Dr Pascal Sacre, spécialisé dans les soins intensifs, a également déclaré que le processus de RT-PCR était utilisé à mauvais escient et appliqué comme une stratégie implacable pour créer l'apparence d'une pandémie basée sur « de faux résultats de tests et non sur de vrais patients COVID, afin de violer droits humains et constitutionnels des citoyens.

    Le test PCR a également été exécuté intentionnellement à des cycles élevés connus pour produire des faux positifs. La plupart des cas présumés n'étaient rien d'autre que des fabrications, et les hôpitaux faisaient partie de l'escroquerie parce qu'ils étaient incités par des récompenses financières à signaler les « décès par COVID ».

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  15. Plus d'histoires liées :
    Les tests PCR et la montée de la panique des maladies.

    Fraude pandémique révélée: le CDC admet que les tests PCR ne fonctionnent pas.

    Le CDC admet que les tests PCR sont une fraude… alors qu'en est-il des deux dernières années ?

    La FDA admet que les tests d'antigène covid-19 NE détectent PAS Omicron, mais les laboratoires commettent régulièrement des fraudes pour pousser l'hystérie "casidémique".

    PCR testant une fraude : le gouvernement utilise des tests défectueux pour amplifier le nombre de cas de COVID.

    Regardez l'épisode complet du 30 janvier de "What is Happening" ci-dessous:

    - voir clip sur site -

    Cette vidéo provient de la chaîne What is happening sur Brighteon.com.

    More related stories:
    PCR tests and the rise of disease panic.

    Pandemic fraud exposed: CDC admits PCR tests don’t work.

    CDC admits PCR tests are a fraud… so what about the last two years, then?

    FDA admits that covid-19 antigen tests DO NOT detect Omicron, yet labs routinely commit fraud to push “casedemic” hysteria.

    PCR testing a fraud: Government uses faulty testing to amplify COVID case numbers.

    Watch the full January 30 episode of “What is Happening” below:


    This video is from the What is happening channel on Brighteon.com.

    Follow Pandemic.news for more updates on money and finance.

    Sources include:

    Brighteon.com
    TheGatewayPundit.com
    EuropeReloaded.com

    https://www.naturalnews.com/2022-02-01-sherri-tenpenny-covid-vaccines-are-not-vaccines.html

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  16. Quels risques mondiaux se sont aggravés pendant la pandémie ?


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 01 FÉVRIER 2022 - 05:45


    Chaque année, le Forum économique mondial (WEF) élabore son rapport sur les risques mondiaux, une analyse des principaux risques qui menacent le monde.

    Le rapport comprend des données provenant de près de 1 000 dirigeants interrogés, dans diverses organisations et régions. Dans le rapport de cette année, on a demandé aux répondants quels risques mondiaux se sont aggravés depuis le début de la pandémie.

    Voici ce qu'ils ont dit.

    Menaces sociales
    Carmen Ang de Visual Capitalist détaille ci-dessous que, selon les personnes interrogées, l'érosion de la cohésion sociale est le risque mondial qui s'est le plus intensifié depuis le début de la pandémie mondiale. Le WEF définit cela comme la perte de capital social ou de stabilité sociale.

    - voir graph sur site -

    Les inégalités existaient bien avant la COVID-19, mais la pandémie n'a fait qu'empirer les choses.

    Par exemple, la reprise de l'emploi a été inégale aux États-Unis. Les travailleurs à hauts salaires ont vu les taux d'emploi rebondir assez rapidement après leur chute du printemps 2020, tandis que les travailleurs à bas salaires ne se sont pas rétablis au même rythme.

    En août 2021, les taux d'emploi des personnes gagnant moins de 27 000 $ par an étaient toujours en baisse de 25 % par rapport aux niveaux d'avant la pandémie.

    Menaces environnementales
    Outre les menaces sociétales, quelques risques environnementaux figurent également en tête de liste. L'échec de l'action climatique et les conditions météorologiques extrêmes figuraient dans le top cinq.

    Considérant à quel point il a été difficile pour les gouvernements internationaux de collaborer aux efforts de secours de COVID-19, les personnes interrogées se sentent moins optimistes que nous parviendrons à faire face de manière transparente au chaos qui pourrait provenir des risques environnementaux, qui sont tout aussi complexes.

    Selon vous, quel risque mondial s'est le plus aggravé depuis le début de la pandémie ?

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/which-global-risks-have-worsened-during-pandemic

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  17. Directives sur les masques COVID-19 du CDC pour les enfants contestés par les républicains de la Chambre


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 01 FÉVRIER 2022 - 09:15
    Écrit par Jack Phillips via The Epoch Times,


    Les républicains de la Chambre contestent les directives COVID-19 des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) pour les enfants, y compris les exigences de masque à l'école.

    Dirigés par House Minority Whip Steve Scalise (R-La.), Les législateurs ont écrit une lettre à la directrice du CDC, Rochelle Walensky, l'appelant à annuler les recommandations selon lesquelles les enfants portent des masques, citant les dommages à la santé mentale.

    Leur lettre demande à Walensky de tenir une réunion d'information avec les républicains sur le comité de surveillance de la Chambre d'ici le 7 février pour expliquer pourquoi le CDC continue de recommander le port du masque dans les écoles.

    "Il ne fait aucun doute, alors que nous entrons dans la troisième année de cette pandémie, que les directives et les politiques du CDC n'ont pas pris en compte - et encore moins priorisé - le développement social, émotionnel et éducatif des enfants", ont écrit les législateurs du GOP dans leur lettre. "En fait, CDC sape sa propre crédibilité alors qu'il continue de mettre en péril le développement de toute une génération."

    Ils ont en outre noté que les adolescents et les jeunes enfants "vivent une crise de santé mentale aux proportions historiques" dans un contexte de restrictions pandémiques, citant un récent avertissement du Surgeon General des États-Unis selon lequel "les tentatives de suicide ont fortement augmenté chez les adolescents".

    Les membres de la GOP House ont également ciblé les directives sur les masques pour les enfants âgés de 2 ans et plus en disant qu'elles entravent le développement de l'enfance et ne correspondent pas aux exigences de masque ailleurs.

    La lettre notait en outre que le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies déconseillait aux enfants du primaire de porter des masques en classe, et ils ont ajouté que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) dit que les enfants de moins de 6 ans ne devraient pas non plus être tenus de les porter.

    «De nombreux pays pairs de l'Amérique dans le monde – y compris le Royaume-Uni, l'Irlande, toute la Scandinavie, la France, les Pays-Bas, la Suisse et l'Italie – ont exempté les enfants, avec des seuils d'âge variables, du port de masques dans les salles de classe sans aucune preuve d'une hausse dans les épidémies scolaires dans ces pays par rapport aux écoles aux États-Unis », ont-ils ajouté.

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  18. Tout au long de la pandémie, un certain nombre d'études ont montré que les enfants ont un risque exceptionnellement faible de mourir ou de développer une maladie grave due au COVID-19, la maladie causée par le virus du PCC (Parti communiste chinois), par rapport aux autres groupes d'âge. Les données suggèrent que les personnes âgées et souffrant de maladies préexistantes sont les plus exposées au virus.

    Actuellement, la Californie, le Delaware, Hawaï, l'Illinois, le Nevada, le Nouveau-Mexique, New York, l'Oregon et Washington exigent que la plupart des individus portent des masques dans les lieux publics intérieurs avec quelques mises en garde. Cependant, de nombreux États l'année dernière ont assoupli ou éliminé les commandes de masques, tandis que 11 États n'ont imposé de mandat à aucun moment de la pandémie de COVID-19.

    Epoch Times a contacté le CDC pour un commentaire.

    https://www.zerohedge.com/covid-19/cdcs-covid-19-mask-guidelines-children-challenged-house-republicans

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    1. L'horreur est que les gens se croisent et... personne ne se reconnaît !! Idem pour les enfants qui ne connaissent pas l'enfant assis à côté à l'école ! Ils ne reconnaissent pas leurs parents ! Les parents ne reconnaissent pas leur enfant !!

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  19. Une autre obligation vient d'être supprimé


    Par Tom Woods
    1 février 2022


    Extrait de la lettre de Tom Woods :

    Prenez un moment pour apprécier la gravité de notre situation.

    Pendant deux bonnes années, le monde a été bouleversé par une élite déterminée à supprimer les points de vue alternatifs. Ce que nous appelons en riant les «mesures d'atténuation» qu'ils nous ont imposées n'ont pas fait le moindre bien, et ont plutôt causé la mort et l'appauvrissement partout où elles ont été essayées.

    À quelques exceptions près, toutes les grandes institutions ont été un ennemi de la raison.

    Vous et moi avons été confrontés à tous les canaux d'opinion à la mode.

    Que nous ayons réussi, dans ces conditions impossibles, à remporter la moindre victoire relève du miracle. Mais ils continuent à venir.

    Le plus récent : en Angleterre, le mandat du National Health Service (NHS) pour les travailleurs de la santé et des soins à domicile est supprimé.

    Il y a plusieurs raisons pour lesquelles c'est une nouvelle particulièrement bienvenue et heureuse.

    Tout d'abord, il y a seulement une semaine, le Daily Mail publiait ce titre: "" Aucun plan "pour supprimer le mandat du vaccin Covid pour les médecins de première ligne en Angleterre, dit Downing Street alors qu'il double le plan malgré les avertissements que le NHS pourrait perdre 80 000 travailleurs du jour au lendemain .”

    Nous sommes donc passés de "pas de plans" à "le mandat est abandonné" en une semaine.

    Pourquoi l'ont-ils fait ?

    Certains essaient de dire que c'est à cause de la relative douceur de la variante Omicron, et que dans ces conditions, un mandat vaccinal n'est plus une réponse proportionnée.

    Peut-être. Mais j'en doute.

    Voici une réponse plus plausible.

    Le Daily Mail rapporte que ce qui a motivé la révision était "la crainte que cela ne force le NHS à licencier environ 80 000 employés qui ne sont toujours pas vaccinés".

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  20. Selon Chris Hopson, directeur général de NHS Providers : "Il y avait toujours deux risques à gérer ici : le risque d'infection croisée par Covid dans les établissements de santé et les conséquences de la perte de personnel si un nombre important choisit de ne pas être vacciné".

    Arrêtez-vous et réfléchissez à ce que cela signifie.

    Le non-respect les a forcés à abandonner le mandat.

    Et même pas la non-conformité de la majorité. On parle d'environ 10 à 20 %.

    Je sais qu'il y a encore beaucoup de hideur là-bas. J'entends ça.

    Mais quand nous obtenons une victoire, soyons heureux et continuons à avancer.

    https://www.lewrockwell.com/2022/02/thomas-woods/another-mandate-was-just-scrapped/

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  21. Dès demain, le Danemark admet l'échec de toutes les mesures de lutte contre le Covid (y compris les vaccins)

    Toutes les restrictions seront supprimées - non pas parce qu'elles ont fonctionné, mais parce qu'elles n'ont pas fonctionné.


    Alex Berenson


    En moins de 12 heures, le Danemark se transforme en Floride.

    Pas de masques (sauf éventuellement dans les hôpitaux et Ehpad).

    Pas de passeports vaccins.

    Toute personne piquée avec N'IMPORTE QUEL vaccin Covid peut entrer dans le pays sans test ; les personnes non vaccinées peuvent entrer avec un test PCR négatif.

    "Nous disons adieu aux restrictions et accueillons la vie que nous connaissions auparavant", a déclaré le Premier ministre la semaine dernière.

    Juste à temps, les marionnettes bluecheck sont apparues pour expliquer que les Danois avaient gagné parce qu'ils n'étaient pas une bande de respirateurs démasqués qui aiment Trump.



    Les muppets ont à moitié raison. Le Danemark est vacciné à plus de 90 % des adultes, dont près de 70 % ont reçu un rappel. De plus, les Danois ont cette légendaire « grande confiance dans le gouvernement », alors ils font exactement ce que disent les autorités de santé publique, double-rapide ! Le Danemark est le rêve du Dr Anthony Fauci.

    Mais voici la chose.

    Sars-Cov-2 se fiche de toute cette confiance et de tous ces coups. Le Danemark est maintenant au même niveau qu'Israël en ce qui concerne les taux d'infection les plus élevés de tous les pays - jamais vus.

    Au cours des deux dernières semaines, plus de 10 % de TOUS les Danois - l'équivalent de 35 millions d'Américains - ont été infectés par Covid (le nombre est probablement considérablement plus élevé, car à un moment donné, les tests deviennent impossibles).

    Comme quelqu'un l'a dit un jour, le virus va virus.

    Et bien qu'Omicron soit plus doux que Delta, les décès de Covid au Danemark sont maintenant plus élevés qu'à tout moment, sauf quelques semaines en janvier dernier, et la hausse ne montre aucun signe de ralentissement.

    En fait, même si la vague Omicron se retourne soudainement avec la fin de toutes les restrictions (et ce ne serait pas ironique), les décès continueront presque certainement d'augmenter pendant la majeure partie, sinon la totalité, de février. Les décès sont en retard.

    En réalité, Covid est loin d'en avoir fini avec le Danemark.

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  22. Mais les Danois en ont fini avec Covid. Je pensais qu'ils avaient compris cela en septembre, lorsqu'ils ont traversé leur première série d'assouplissements des restrictions. (J'ai écrit à leur sujet alors.)

    Mais la vague de chute les a effrayés - et les a convaincus d'essayer les boosters.

    Maintenant, ils ont appris. Trompez-moi deux fois, vaccins à ARNm, honte à vous. Même ces Danois légendaires n'allaient guère s'aligner pour un quatrième tir à la hâte.

    Espérons simplement qu'ils n'ont pas déjà trop gâché leur chance d'obtenir une immunité à long terme. Le temps nous le dira. (Ce serait bien si les virologues et les immunologistes n'avaient pas trop peur d'attaquer cette question de front, mais Saint Fauci et les Bright Boys (nom du groupe gratuit !) vont faire tout leur possible pour empêcher quiconque avec un laboratoire de demander .)

    En tout cas, les fanatiques du vaccin - si souvent dans l'erreur - ont raison sur un point. Les petits pays riches, pour la plupart homogènes comme le Danemark, avec des cultures politiques relativement stables, ont un gros avantage en ce moment. Leurs défenseurs de la santé publique et leurs gouvernements auront beaucoup plus de facilité à admettre qu'ils se sont trompés que ceux des États-Unis.

    La raison devrait être évidente.

    Personne ne risque d'être viré - encore moins inculpé - au Danemark pour avoir dit la vérité.

    https://alexberenson.substack.com/p/as-of-tomorrow-denmark-admits-the?token

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    1. 90 % des danois se sont fait inoculer profond. Désormais les robots ne porteront plus de masque ! Hourra ! Juste une prise dans le cul de temps en temps pour la recharge ! Suuuper !

      Pas belle la vie ?

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  23. Tawny Buettner, RN, a observé une augmentation >10X du taux de myocardite après le déploiement des vaccins

    Elle a travaillé dans l'unité de soins intensifs cardiothoraciques (CTICU) d'un grand hôpital pour enfants à San Diego, en Californie, pendant plus de 12 ans. Voici son histoire sur ce qui s'est passé après le déploiement du vax.


    Steve Kirsch
    28 janvier


    Tawny Buettner, RN, a travaillé dans l'unité de soins intensifs cardiothoraciques (CTICU) d'un grand hôpital pour enfants à San Diego, en Californie, pendant plus de 12 ans.

    Avant le déploiement du vaccin, ils voyaient 4 ou 5 cas de myocardite par an au CTICU de l'hôpital où travaille Tawny Buettner dont elle était au courant (voir 2:15 dans la vidéo).

    Au dernier semestre 2021, elle a connaissance de 33 cas (à 4h15 dans la vidéo).

    - voir clip sur site -

    C'est une augmentation de plus de 10 fois du taux de cas de myocardite depuis le déploiement des vaccins.

    Non seulement cela, les niveaux de troponine des enfants étaient extrêmement élevés (commencez à regarder à 3h15), des adolescents aux années 30. Notez qu'après une crise cardiaque, votre taux de troponine peut atteindre 5, puis revenir à la normale après quelques jours. Donc, ces niveaux de troponine ont été élevés par quelque chose de plus extrême qu'une crise cardiaque. Ces niveaux peuvent rester élevés pendant des mois. La troponine est libérée lorsque le cœur est endommagé.

    Une personne qui a commenté la vidéo a écrit :

    J'ai vu des garçons avec des niveaux de troponine supérieurs à 400 fois la normale, 2 à 3 mois après les injections. Les filles n'ont pas de troponine élevée, mais elles ont des D-dimères. Dieu sait ce qui va suivre

    Pourquoi n'entendons-nous pas cela des autres infirmières ?
    Tawny n'est pas le seul CTICU RN témoin de ce cauchemar. Où sont les autres? Ne veut pas être licencié.

    Il faut une infirmière intensiviste dévouée licenciée pour avoir fait son travail pour nous dire ce dont elle a été témoin à son hôpital.

    Résumé

    L'augmentation du taux de cas de myocardite et des niveaux excessifs de troponine ne s'est pas produite par hasard. Cela n'a commencé qu'après le déploiement des vaccins COVID.

    Le CDC affirme qu'il n'y a qu'un risque légèrement élevé de myocardite après le vaccin et ils affirment qu'il est inférieur au taux dû au virus.

    Quelqu'un vous ment.

    Post-scriptum
    Le 28 janvier 2022, j'ai envoyé l'e-mail suivant à Nikki Daniels, directrice de l'école de l'école chrétienne de Monte Vista, et j'ai mis en communication un groupe de parents à l'école. Je vous tiens au courant si elle répond. Pour plus d'informations sur le MVCS, voir Estimation de 1 garçon sur 95 atteint de myocardite et Il y a maintenant quatre cas de myocardite à Monte Vista.

    Que pensez-vous que Nikki devrait faire ? Garder le silence? Ou rendre public ?

    https://stevekirsch.substack.com/p/tawny-buettner-rn-observed-a-10x?token

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  24. Des manifestants se rassemblent devant le Parlement australien en solidarité avec le convoi de camions d'Ottawa


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 31 JANVIER 2022 - 21:00
    Soumis par Daniel Teng d'Epoch Times


    Des centaines de manifestants se sont rassemblés devant le Parlement australien en solidarité avec le convoi massif vers Ottawa qui a convergé vers la capitale canadienne vers le week-end du 29 janvier.

    Des appels à un mouvement similaire ont fait écho à Down Under pendant des jours, et le 31 janvier, une foule organisée dans le cadre d'une campagne "Convoy to Canberra" s'est rassemblée devant la législature nationale, selon des vidéos circulant sur les réseaux sociaux.

    On peut entendre la foule scander : « Que voulez-vous ? Liberté ! Quand est-ce que nous le voulons ? À présent !" Un individu s'est adressé à la foule en disant qu'ils avaient "tout à fait le droit d'être ici en paix".

    "Ils nous ont dit qu'ils avaient fait passer le message selon lequel nous exigeons qu'un représentant de ce Parlement sorte et s'adresse au peuple australien et à nos revendications", a-t-il déclaré dans une vidéo circulant en ligne.

    Les médias sociaux ont été inondés d'images de conducteurs se dirigeant vers la capitale australienne. Le mouvement populaire a commencé à prendre de l'ampleur alors qu'une campagne GoFundMe vieille de quatre jours a déjà recueilli 167 539 dollars australiens en dons, au 31 janvier.

    Selon l'ABC, les fonds ont été gelés par le site Web jusqu'à ce que des détails soient fournis sur la manière dont l'organisateur les répartira.

    Un problème similaire s'est produit avec la manifestation canadienne lorsque GoFundMe a gelé l'accès à 4,5 millions de dollars canadiens de fonds. Ces fonds ont depuis été débloqués.

    Les camionneurs américains planifient maintenant leur propre version de la manifestation de la Californie à Washington D.C.

    Le mouvement, qui a vu des milliers à des dizaines de milliers de camionneurs se mobiliser, répond aux mandats de vaccination en cours et aux restrictions strictes imposées par le gouvernement.

    En Australie, les mandats ont été largement appliqués dans tout le pays avec un soutien largement bipartite politiquement et de la part des milieux d'affaires et médicaux ; il est cependant resté une question controversée.

    Le 22 janvier, des manifestations ont éclaté dans les principales capitales australiennes avec des restrictions imposées par le gouvernement.

    Le développeur de vaccins Nikolai Petrovsky a critiqué les messages mitigés du gouvernement sur les avantages du vaccin, affirmant qu'il ne protège que les individus et n'arrête pas la transmission du virus, sapant le raisonnement des mandats.

    "Chaque individu devrait prendre des décisions concernant sa propre santé, et il est totalement inapproprié de diaboliser ou de suggérer qu'une personne non vaccinée est différente de n'importe qui d'autre", a déclaré le chercheur principal de Spikogen à Epoch Times.

    https://www.zerohedge.com/markets/protestors-gather-front-australian-parliament-solidarity-ottawa-truck-convoy

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  25. Il faut suivre les camionneurs canadiens

    Des milliers de camionneurs canadiens se sont rassemblés à Ottawa pour exiger la fin des obligations vaccinales.


    le 31 janvier 2022


    Tiens, voilà que ça bouge pas mal au Canada ! Pourtant, si l’on se souvient des précédents épisodes de la Guerre Contre Le Virus dans cette partie de la planète, on avait surtout noté l’obéissance très polie de l’ensemble de la population nord-américaine devant l’empilement de restrictions, de contraintes et de lois de plus en plus débiles à mesure que la peste moderne tournait au rhume.

    Ainsi, dans un précédent billet, je constatais que le Canada (comme l’Australie et la Nouvelle-Zélande du reste), pays plutôt libéral auparavant, se rapprochait chaque jour un peu plus d’une dictature sanitaire fascisante, menée par Justin Trudeau, un Lider Wokismo décidé à faire appliquer l’agenda de Davos à sa population qui semblait, jusqu’à présent, suivre le mouvement entre quelques « oups, pardon » et « après vous, je vous en prie ».

    On s’était ainsi arrêtés à la situation déjà préoccupante dans laquelle, comme dans toute bonne dictature communiste, les Canadiens non munis d’un sauf-conduit dûment produit par le pouvoir en place ne pouvaient plus librement quitter leur pays : depuis novembre, seuls les vaccinés sont autorisés à quitter le territoire, avec quelques exceptions très spécifiques qui ne tenaient que jusqu’à présent.

    Depuis le 15 janvier dernier cependant, une profession supplémentaire s’est ajoutée à celles devant absolument être vaccinée pour pouvoir aller et venir au-delà des frontières du Canada : les routiers doivent maintenant être dûment picousés pour pouvoir acheminer des biens de et vers les États-Unis. Il devient impossible de faire leur travail pour ceux qui n’ont pas le précieux sésame obtenu, on le rappelle, après une pardon deux pardon trois oups je voulais dire quatre doses ou… ah je m’y perds mais baste, sans injection, impossible de convoyer librement.

    Quelques petits rigolos, au courant du changement drastique qu’introduirait cette date, avaient déjà senti la difficulté logistique que cette contrainte vaccinale allait faire peser sur les camionneurs, et en profitaient donc pour échafauder des « solutions » de contournement, comme – par exemple parmi d’autres aussi idiots – cantonner les chauffeurs non-vaccinés d’un côté de la frontière, et faire faire le seul déplacement des remorques de fret par un ou plusieurs agents, vaccinés, sur les quelques centaines de mètres d’un côté à l’autre de la frontière.

    Bien évidemment, la quantité même de fret, de remorques et de tracteurs concernés, la place nécessaire pour les opérations de manutention au bord de la frontière, le temps nécessaire et les coûts induits rendent toutes les solutions proposées d’autant plus impraticables qu’on parle en réalité d’un pourcentage élevé de chauffeurs concernés. Et si les estimations varient beaucoup (entre 5 et 25 %, c’est dire), il faut comprendre que même le retrait d’une modeste proportion (5 %) de ceux-là dans le fret entraîne immédiatement de gros soucis logistiques sur l’ensemble des chaînes. En réalité, ce genre d’obligation vaccinale entraîne une contrainte extrêmement forte sur ces chaînes et sur, basiquement, le gagne-pain de ces conducteurs, de ces sociétés d’acheminement, puis, par ricochet, sur les prix des biens et produits distribués.

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  26. Mais dans un pays si policé et si calme, on pouvait s’attendre à ce que cette contrainte soit malgré tout mise en place, conservée et appliquée posément sans plus de remous. La nouvelle couleuvre aurait été avalée avec des grimaces et les choses auraient repris leur cours habituel. Il n’en fut rien et la couleuvre n’est pas passée.

    Excédés de ces obligations, un nombre croissant de camionneurs a décidé d’aller protester à Ottawa pour faire valoir leur point de vue. Très rapidement, les premiers protestataires ont été entendus et rejoints par d’autres. Dans certains cas, ce sont même les agriculteurs qui ont accompagné les camionneurs.

    Des milliers de camions se sont donc rassemblés et dirigés vers la capitale du pays, ce qui, compte tenu de sa taille, a pris plusieurs jours pour certains.

    On compte à présent des dizaines de milliers de camionneurs impliqués et plusieurs fois autant d’individus qui se sont déplacés pour revendiquer l’abandon de l’obligation vaccinale. Le convoi de camions à destination d’Ottawa, de plusieurs dizaines de kilomètres de long, a battu plusieurs records et commencé à faire parler de lui dans la presse locale puis régionale. La presse nationale et internationale n’a réellement abordé le sujet qu’à reculons, très progressivement et en minimisant assez copieusement les chiffres et la situation. Il aura d’ailleurs fallu qu’un tweet d’Elon Musk évoque la question pour qu’enfin, certains titres apparaissent dans la presse étrangère :

    Sans surprise, on appréciera la façon dont les événements sont présentés : minimisation des chiffres et de l’ampleur (on parlera de centaines de camions au lieu de dizaines de milliers), réduction de la participation à une « mince minorité » et ce alors même que des camionneurs vaccinés participent clairement à la démarche. Tout y passe comme on pouvait s’y attendre, jusqu’aux formes subtiles de camouflage d’information : craignant de donner une image un peu trop exacte de l’ampleur du mouvement, les autorités canadiennes ont décidé de couper les flux internet des caméras de surveillance du trafic autoroutier. Après tout, si personne ne voit ni ne parle de ces convois, c’est qu’ils n’existent pas, n’est-ce pas ?

    Quant à la présentation du mouvement comme essentiellement anti-vaccin, tactique maintenant éculée, elle n’a pas permis de modifier sa dynamique : la plupart des Canadiens savent que ces routiers sont bel et bien remontés contre l’obligation vaccinale, c’est-à-dire l’imposition faite à tous de s’injecter un produit expérimental, et non contre le vaccin lui-même qui reste un choix personnel… Et 28 % les soutiennent directement.

    Après avoir clairement fait savoir qu’il n’y aurait aucune tolérance ni marge de manœuvre pour les récalcitrants et sentant que la situation commençait à échapper quelque peu aux plans bien proprets qui avaient été établis selon lesquels la population se laisserait enfermer sans trop couiner dans un contrôle social de plus en plus ferme, le Premier ministre canadien Justin Trudeau a donc rassemblé son courage et, prétextant être cas contact covid, s’est rapidement isolé pour être ensuite vaillamment exfiltré dans un lieu tenu secret, probablement propice à entamer des négociations à distance et sous bonne garde.

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  27. Négociations qui promettent néanmoins d’être complexes et forcément intéressantes à suivre tant les précédents ont montré le pouvoir réel dont disposent les camionneurs. On se rappellera à bon escient que la menace d’une grève en France avait rapidement fait plier le gouvernement en rase campagne avant même toute ouverture de négociation concernant la présence d’un pass sanitaire dans les restaurants routiers qui n’y sont donc pas soumis depuis lors. Trudeau et son courage millimétrique aura donc fort à faire s’il veut continuer sur la trajectoire officielle actuelle et la possibilité d’un volte-face brutal n’est pas à écarter.

    À présent et si les Canadiens sont cohérents, il faudrait que ceux qui soutiennent les camionneurs passent à l’étape suivante de la résistance en arrêtant de porter le masque (parfaitement inutile notamment depuis l’arrivée d’omicron), qu’ils refusent toute obligation vaccinale et toute démarche de commerces et d’autorités visant à vérifier leur statut vaccinal pour quelque activité que ce soit.

    À l’instar des camionneurs, tous les citoyens canadiens, favorables ou non au vaccin, ont un intérêt direct, vital, à refuser en bloc les obligations et les contraintes de plus en plus coercitives qui leur sont imposées et qui ne font que présager d’un avenir abominable où chaque sous-citoyen n’est libre que dans l’étroit périmètre autorisé par l’État et les petits chefaillons autocratiques comme Trudeau. La liberté distribuée au compte-gouttes par décret gouvernemental n’est pas la Liberté, c’est une récompense temporaire de prisonnier.

    Espérons que cette démonstration de force des camionneurs permettra au reste des citoyens, canadiens d’abord et du reste du monde ensuite, de prendre conscience que les restrictions et les ségrégations iniques qui se mettent en place actuellement ne tiennent que parce que chacun d’entre eux acceptent, sinon ouvertement, au moins tacitement, de les mettre en place et de les appliquer.

    Il faut maintenant que, tous et chacun, nous laissions enfin tomber les masques inutiles, les distanciations socialistes ridicules, les gestes barricade absurdes et les passes vaccinaux iniques.

    https://www.contrepoints.org/2022/01/31/420582-il-faut-suivre-les-camionneurs-canadiens

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    1. (...) l’agenda de Davos (...)

      En précisant le lieu, c'est exactement le but recherché car... Davos c'est en Suisse ! D'où le rapprochement vie fait "l’agenda de Suisse" et pourquoi pas de "la dictature faciste suisse" !

      (...) On s’était ainsi arrêtés à la situation déjà préoccupante dans laquelle, comme dans toute bonne dictature communiste, (...)

      A bon ?! et les dictatures de droite, extrême-droite ou d'extrême-centre on en parle pas ? Car, il faut savoir qu'aucun leader d'extrême-droite (ou de droite ou centre) n'a encore depuis 2 ans (deux !) dénoncé la composition des faux vaccins et au contraire ont conseillé aux auditeurs d'aller tous se faire inoculer !

      Bref, un articliste (sans nom, vaut mieux se cacher) qui ne sait rien mais qui parle !

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  28. Les responsables de l'école de Virginie menacent de SUSPENDRE les élèves qui ne portent pas de masques
    Bien qu'il n'y ait pas de mandat de masque légal dans l'État


    le 1 février 2022
    Steve Watson


    Bien qu'il n'y ait pas de loi imposant des masques dans l'État de Virginie, les responsables de l'école du conseil scolaire public du comté de Loudoun se sont engagés à suspendre tous les enfants qui refusent d'attacher un masque à leur visage pendant leur apprentissage.

    Il n'y a pas de loi en Virginie, en effet, le gouverneur Younkin a publié un décret interdisant aux écoles d'imposer des mandats de masque.

    Cependant, certaines écoles refusent d'annuler les mandats, après que les masques soient devenus facultatifs le 24 janvier.

    Le système scolaire public du comté de Loudoun a envoyé un avis aux parents indiquant que « à partir du mercredi 2 février 2022, les élèves qui continuent délibérément de refuser de suivre les mesures d'atténuation du COVID requises par les écoles publiques du comté de Loudoun seront suspendus de l'école par rapport à Violation de la politique du conseil scolaire 8210, Introduction à la discipline des élèves, section F.2. Désobéissance volontaire ou continue aux règles de l'école et à la réglementation du personnel scolaire ; 3. Défi à l'autorité de tout enseignant, directeur ou autre personne ayant autorité sur le conseil scolaire.

    La lettre aux parents a également noté qu '«un élève suspendu en raison du non-respect des mesures d'atténuation du COVID ne peut retourner à l'école que s'il accepte de suivre les mesures d'atténuation du COVID tout au long de la journée scolaire et lors de tous les événements liés à l'école intérieure. .”

    Un parent avec trois enfants dans le district scolaire, dont l'un souffre d'asthme sévère, a parlé à FOX5DC dit qu'elle continuera à respecter le souhait de ses enfants de ne pas porter de masques.

    "Chaque parent devrait prendre la décision qui a le plus de sens pour sa famille", a déclaré Abbie Platt, ajoutant: "Nous étions tellement ravis lorsque le gouverneur a fait cette annonce, c'est parce que notre petit gars souffre d'asthme chronique et qu'il est sous un nébuliseur pendant deux ans.

    "Lorsque vous avez quelque chose de coincé sur votre visage et que vous ne pouvez pas respirer correctement, cela crée un grave problème de santé", a également noté la mère.

    Carrie Lukas, un autre parent avec des enfants dans le district, a révélé que son enfant avait été suspendu de l'école la semaine dernière pour avoir refusé de porter un masqu

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  29. e.

    "Ils semblent vraiment considérer la conformité de la plupart des familles comme un soutien aux règles de masquage alors qu'en fait, lorsque vous avez des lycéens et des enfants plus âgés, ils leur balancent des suspensions, c'est quelque chose qui peut avoir un impact sur leur dossier permanent", Lukas exhorté.

    Comme nous l'avons déjà signalé, les enfants du pays sont désormais non seulement obligés de porter des masques, mais aussi régulièrement obligés de s'asseoir dehors par temps glacial en raison des règles inhumaines du COVID-19.

    https://summit.news/2022/02/01/school-officials-in-virginia-threaten-to-suspend-students-who-dont-wear-masks/

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    1. Pour bien montrer dans quelle MERDE se trouvent les gouverneur et président, ils refusent d'ôter les grillages fins devant les voies respiratoires car: tout le monde (AVEC ou SANS masque je précise) respire 200 000 virus ou microbes PAR MINUTE et donc DES milliards depuis ce matin et DES montagnes de milliards depuis notre naissance et... NOUS NE SOMMES PAS MOOOOOOORT(E)S !! Cà alors !!

      Faut dire que les putains de masques de merde à la con ont un écart de maille de 150 microns alors que les virus ne mesurent que 0,1 à 0,5 micron ! HAHAHAHAHAHA !

      Donc, comme les professeurs, instituteurs sont aussi cons que les autres fonctionnaires et journalistes, ce serait un irrespect que de dire que c'est intelligent !

      😎 LE DANGER DES MASQUES

      vendredi 6 novembre 2020

      https://huemaurice5.blogspot.com/2020/11/blog-post.html

      * * * * *

      😎 Une neurologue allemande met en garde contre le port du masque : « La privation d'oxygène provoque des dommages neurologiques irréversibles »

      vendredi 9 octobre 2020

      https://huemaurice5.blogspot.com/2020/10/une-neurologue-allemande-met-en-garde.html

      * * * * *

      😎 Visualisation de la taille relative des particules (comme COVID-19)

      mardi 20 octobre 2020

      https://huemaurice5.blogspot.com/2020/10/visualisation-de-la-taille-relative-des.html

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  30. Cher docteur


    Par Steve Berger
    2 février 2022


    Merci de m'avoir fourni des conseils sur mon traitement de la prostate et sur mon suivi continu, et je vous enverrai un e-mail une fois que j'aurai fait mon test sanguin en avril. Notre récent rendez-vous de télémédecine a été bref, et j'ai pu sentir, à la fois par notre appel et par votre note de suivi dans le système Open Notes, que vous étiez surpris, voire alarmé, que je n'aie pas encore été vacciné contre le Covid. Puisque vous avez noté que j'étais hésitant face aux vaccins même si dans le passé j'ai eu la poliomyélite, le tétanos et quelques autres vaccins, mais pas les vaccins à ARNm actuels, j'ai pensé qu'il serait logique d'exposer les raisons de ma décision de renoncer aux injections. Encore une fois, vous pouvez être en désaccord avec mon raisonnement, mais je voulais dire que j'avais au moins fait énormément de recherches sur le sujet et que j'avais l'esprit ouvert sur les risques/bénéfices de ces nouvelles thérapies/vaccins à base génétique. Je sais que beaucoup de ceux qui refusent les coups de feu sont fustigés par les médias, la famille et les amis comme des crétins, des ignorants ou des Trumpsters, alors je crois qu'il est logique de clarifier mon raisonnement. Je noterai que je n'ai jamais été un Trumpster, cependant; d'ailleurs, j'accorde très peu de confiance aux politiciens de toute allégeance. J'espère que je ne suis pas un yokel ou un ignorant, bien que je sois certainement suréduqué avec un baccalauréat, un JD et un MBA d'institutions universitaires prestigieuses, mais je n'ai jamais confondu le pedigree académique avec la brillance et j'essaie plutôt de me concentrer sur la qualité des idées et de l'érudition.

    Bien que je n'aie eu aucun préjugé politique ou scientifique particulier contre l'efficacité ou l'innocuité de ces vaccins particuliers, j'ai été dès le départ troublé par trois faits indiscutables qui m'ont rendu prudent, voire sceptique : 1) en vertu de la loi créant l'EUA, les fabricants ( et toutes les autres personnes impliquées dans la distribution et l'administration) bénéficiaient d'une immunité légale générale contre tout préjudice associé aux vaccins. Cela a certainement créé le potentiel d'être moins rigoureux en matière de sécurité ou d'autres problèmes; de même, un constructeur automobile non soumis aux lois sur le citron aurait moins d'incitation économique à se préoccuper de la sécurité de son produit 2) le déploiement du vaccin faisait partie de l'opération Warp Speed, qui, bien que peut-être compréhensible dans le contexte d'une pandémie mondiale, signifiait néanmoins que le délai habituel d'évaluation des problèmes de sécurité à court et à long terme était tronqué. Pfizer a aggravé ce problème en levant l'insu du groupe placebo des années avant la date prévue et 3) par définition dans le cadre de l'EUA, ces produits étaient expérimentaux et soumis aux termes de la loi au droit de consentement ou de refus éclairé.

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  31. J'ai donc choisi de suspendre le déploiement initial car je voulais attendre que des données sur l'efficacité, la durabilité et la sécurité émergent. On peut dire que, compte tenu de mon âge, j'étais dans une catégorie avec un degré de risque de Covid plus élevé. Cependant, sur une piste de recherche simultanée, j'avais développé une grande confiance dans les protocoles de traitement précoce utilisant des médicaments sûrs, approuvés par la FDA et génériques réutilisés en combinaison avec des vitamines D, C et du zinc, etc. De plus, depuis le tout début de la pandémie, j'ai poursuivi mon programme d'exercices rigoureux de bootcamps cardio / musculation intenses et deux fois par semaine des cours de deux heures avec le pro de tennis du YMCA local. Je me suis souvent entraîné et/ou joué avec des athlètes de niveau collégial et secondaire que j'ai aidé à entraîner. Je me suis également assuré d'avoir beaucoup de soleil et d'air frais, avec de fréquentes promenades de 90 minutes dans le parc Wampatuck à proximité. Même au début de la pandémie, je faisais ces promenades et je ne trouvais souvent personne en vue car la plupart étaient enfermés à l'intérieur écouter le nombre quotidien de décès et de cas à la télévision. J'étais déterminé à faire tout mon possible pour maintenir mon système immunitaire fort et j'avais réussi, non sans difficulté, à obtenir certains de ces médicaments réutilisés auprès de la petite poignée de médecins aux États-Unis qui étaient réellement disposés à traiter Covid en ambulatoire. C'est une boîte de Pandore entièrement différente, mais il suffit de dire que la position de résistance précoce au traitement ambulatoire de la plupart des hôpitaux et des institutions médicales aux États-Unis, à mon avis, restera comme l'une des erreurs regrettables de notre politique Covid.

    Au fur et à mesure que de plus en plus de données arrivaient sur les vaccins, mes inquiétudes sur l'efficacité et la sécurité augmentaient. Les décès dus au VAERS s'élèvent désormais à plus de 20 000, et les blessures invalidantes permanentes graves sont des multiples de décès. Bien que ces statistiques puissent être faibles en pourcentage des injections administrées, elles sont des multiples des nombres VAERS combinés de tous les vaccins administrés cumulativement au cours des 30 dernières années. La plupart des décès sont survenus dans les 48 à 72 heures suivant les injections et plus de 80 % des déclarations sont déposées par des médecins et/ou des infirmières. Bien que la corrélation ne soit pas une causalité, ces données sont troublantes dans un sens absolu et surtout compte tenu du fait que les estimations de la sous-déclaration du VAERS varient de 5 à plus de 40 fois.

    J'ai fini par contracter Covid en septembre 2021 et j'ai immédiatement commencé les premiers protocoles de traitement. Je l'ai traversé avec fatigue et légère congestion, mes seuls symptômes (pas de perte de goût ou d'odorat, pas de fièvre, pas de courbatures, etc.). Dans les deux semaines suivant la contraction des symptômes, j'étais de retour à mes séances d'entraînement et à mon tennis normaux. Ai-je été chanceux ou était-ce dû à mon protocole de traitement précoce et à ma condition physique ? Je n'en ai aucune idée car je ne peux pas me diviser en une version traitement et placebo.

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  32. Maintenant que je me suis remis de Covid et que j'ai eu un test de détection des lymphocytes T positif, j'ai conclu que mon immunité naturelle est large, forte et durable et probablement supérieure à l'immunité vaccinée. Je connais votre hôpital et de nombreux médecins conseillent de se faire vacciner en plus de l'immunité naturelle, mais je trouve la recherche et le soutien logique à cela peu convaincants. Cela semble particulièrement le cas avec Omicron car de nombreuses études et données provenant de nombreux pays montrent une efficacité faible, voire négative, des vaccins par rapport à Omicron. De plus, il existe un ensemble de preuves que la vaccination en plus de l'immunité naturelle augmente probablement mon risque d'effet indésirable et/ou peut interférer avec mon immunité naturelle. Bien sûr, j'aimerais avoir un accès complet aux activités qui accompagnent la vaccination, mais, pour l'instant, ma liberté médicale, mon autonomie corporelle et ma décision fondée sur la santé quant à la nécessité, l'efficacité et la sécurité de me faire vacciner me poussent à renoncer à la commodité attachée pour obtenir une carte de vaccination. C'est une question entièrement distincte, mais comme ces vaccins ne sont pas des thérapies stérilisantes empêchant la transmission ou l'infection, je ne comprends PAS DU TOUT la justification des mandats.

    Comme je l'ai mentionné au début, j'ai lu un certain nombre de rapports et d'études, mais trois que j'ai trouvés convaincants sont joints ici : un article du Dr Risch à Yale sur le traitement précoce, des affidavits dans un procès par un épidémiologiste réputé à Stanford École de médecine sur l'immunité naturelle et un récent article de presse du WSJ dirigé par le Dr Makary de Johns Hopkins sur l'immunité naturelle.

    Je suis désolé d'avoir divagué, mais j'ai senti que j'avais besoin d'articuler mon raisonnement. L'un des aspects les plus troublants de la pandémie a été l'absence de débat scientifique ouvert et non censuré. Je suis sûr qu'en tant que l'une des principales autorités mondiales en matière de traitement et de recherche sur le cancer de la prostate, vous avez été témoin d'un débat animé sur les modes de traitement évolutifs et expérimentaux. Dans l'esprit de cette tradition, je serais plus qu'heureux de financer un débat ouvert actif dans un lieu de votre choix sur le traitement Covid, les vaccins Covid et la bioéthique des mandats Covid. Nous pourrions chacun choisir un épidémiologiste, un médecin traitant et un bioéthicien pour débattre de ces questions, avec une couverture, espérons-le, par quelqu'un des médias grand public. Je pourrais même être disposé à me faire vacciner si un tel débat pouvait réellement avoir lieu, car j'ai trouvé la censure et la diffamation dans la communauté médicale très dérangeantes.

    Encore une fois, j'apprécie énormément votre traitement de mon état, mais je voulais remettre les pendules à l'heure sur ma décision concernant les vaccins.

    https://www.lewrockwell.com/2022/02/no_author/dear-doctor/

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    1. Cher doctor, en tant que pas-tout-à-fait-mort et donc encore-un-peu-en-vie j'ai survécu à la guerre de 100 ans ainsi qu'aux croisades parce que je n'étais pas né et aussi à 'Mars Attack' parce que j'étais caché sous le lit, mais là, là c'est un peu fort ! Ils ont fabriqué des poussières intelligentes qui peuvent vous retrouver sous votre lit et même que j'en ai chez moi qui semblent m'attendre !

      Mais, comme j'ai su qu'il s'agissait de poison ('style mort-aux-rats') qui était en vente et proposé en piqûre létale, m'est venue l'idée de vous demander 'Pourquoi ne pas plutôt inoculer les virus' ? Oui je sais que ça ferait un putain grand nombre de seringues et que les administrateurs des pays préfèrent 'rouler à l'économie' en poignardant 7 milliards d'habitants qui ne sont pas tous pour cette bonne méthode, mais quand même faudrait y réfléchir.

      Je voudrais aussi préciser qu'en aucun moment les 'martiens' du film ne disent venir de la planète Mars, ou de Twix ou de Snickers voire de la planète Bounty et donc, qu'il ne faudrait pas accuser toutes les poussières du monde de porter le maillot 'virus' (et casquette 'Ricard' ?) car je ne pense pas qu'elles soient toutes issues de cette agence d'intérim.

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  33. La dette américaine atteint 30 000 milliards de dollars pour la première fois


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 02 FÉVRIER 2022 - 07:00


    Félicitations, Amérique : il a fallu un peu plus de 245 ans, mais au dernier jour de janvier, la dette du pays vient de franchir pour la toute première fois plus de 30 012 386 059 238,29 $.

    - voir graph sur site -

    Bien qu'il ait toujours été garanti que cette étape historique de la grandeur civilisationnelle tomberait à un moment donné, nous pouvons affirmer avec certitude que grâce à la crise financière mondiale, grâce au covid et grâce au MMT, l'âge d'or de la dette américaine est arrivé environ deux fois plus vite que il en aurait été autrement.

    Et juste pour mettre cette réalisation étonnante dans son contexte, voici une prise récente de Visual Capitalist qui a mis en contexte le succès mondial de l'Amérique.

    Visualiser l'état de la dette mondiale, par pays

    Depuis que le COVID-19 a commencé à se propager dans le monde en 2020, l'économie mondiale a été mise à l'épreuve avec des perturbations de la chaîne d'approvisionnement, la volatilité des prix des matières premières, des défis sur le marché du travail et la baisse des revenus du tourisme. La Banque mondiale a estimé que près de 97 millions de personnes ont été plongées dans l'extrême pauvreté à la suite de la pandémie.

    Afin de faire face à cette situation difficile, les gouvernements mondiaux ont dû augmenter leurs dépenses pour faire face à la hausse des coûts des soins de santé, au chômage, à l'insécurité alimentaire et pour aider les entreprises à survivre. Les pays ont contracté de nouvelles dettes pour fournir un soutien financier à ces mesures, ce qui a entraîné les niveaux d'endettement mondiaux les plus élevés depuis un demi-siècle.

    Pour analyser l'ampleur de la dette mondiale, nous avons compilé des données sur le rapport dette/PIB par pays à partir du dernier rapport sur les perspectives de l'économie mondiale du FMI.

    - voir cadre sur site -

    Le ratio dette/PIB est une mesure simple qui compare la dette publique d'un pays à sa production économique. En comparant ce qu'un pays doit et ce qu'il produit en un an, les économistes peuvent mesurer la capacité théorique d'un pays à rembourser sa dette.

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  34. Jetons un coup d'œil aux 10 premiers pays en termes de dette par rapport au PIB :

    - voir liste sur site -

    Le Japon, le Soudan et la Grèce sont en tête de liste avec des ratios dette/PIB bien supérieurs à 200 %, suivis de l'Érythrée (175 %), du Cap-Vert (160 %) et de l'Italie (154 %).

    Le niveau d'endettement du Japon ne sera pas une surprise pour la plupart. En 2010, il est devenu le premier pays à atteindre un ratio dette/PIB de 200 %, et il se situe désormais à 257 %. Afin de financer de nouvelles dettes, le gouvernement japonais émet des obligations qui sont rachetées principalement par la Banque du Japon.

    Fin 2020, la Banque du Japon détenait 45 % de l'encours de la dette publique.

    Quel est le principal risque d'un ratio dette/PIB élevé ?

    Une augmentation rapide de la dette publique est une cause majeure de préoccupation. En règle générale, plus le ratio dette/PIB d'un pays est élevé, plus il y a de chances que ce pays puisse faire défaut sur sa dette, créant ainsi une panique financière sur les marchés.

    La Banque mondiale a publié une étude montrant que les pays qui maintenaient un ratio dette/PIB supérieur à 77 % pendant de longues périodes connaissaient des ralentissements économiques.

    Le COVID-19 a aggravé une crise de la dette qui couvait depuis la récession mondiale de 2008. Un rapport du Fonds monétaire international (FMI) montre qu'au moins 100 pays devront réduire leurs dépenses de santé, d'éducation et de protection sociale. En outre, 30 pays du monde en développement ont des niveaux élevés de surendettement, ce qui signifie qu'ils éprouvent de grandes difficultés à assurer le service de leur dette.

    Cette crise frappe plus durement les pays pauvres et à revenu intermédiaire que les pays riches. Les pays les plus riches empruntent pour lancer des plans de relance budgétaire tandis que les pays à revenu faible et intermédiaire ne peuvent pas se permettre de telles mesures, ce qui peut entraîner une plus grande inégalité mondiale.

    Le FMI met en garde contre les taux d'intérêt

    La dette mondiale a atteint 226 billions de dollars à la fin de 2020, enregistrant la plus forte augmentation sur un an depuis la Seconde Guerre mondiale.

    Les emprunts des gouvernements ont représenté un peu plus de la moitié de l'augmentation de 28 000 milliards de dollars, portant le ratio de la dette publique mondiale à un record de 99 % du PIB. À mesure que les taux d'intérêt augmentent, les responsables du FMI préviennent que des taux d'intérêt plus élevés réduiront l'impact des dépenses budgétaires et intensifieront les inquiétudes quant à la viabilité de la dette. "Les risques seront amplifiés si les taux d'intérêt mondiaux augmentent plus rapidement que prévu et si la croissance faiblit", ont écrit les responsables.

    « Un resserrement significatif des conditions financières augmenterait la pression sur les gouvernements, les ménages et les entreprises les plus endettés. Si les secteurs public et privé sont contraints de se désendetter simultanément, les perspectives de croissance en souffriront.

    https://www.zerohedge.com/markets/us-debt-hits-30-trillion-first-time

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