Vaccin Pfizer contre le covid : Castex, Véran et les autorités ont-ils mis en danger la vie d’autrui ?
Christine Cotton : son rapport d'expertise pose de graves questions sur le non-respect des bonnes pratiques cliniques et l'aval des autorités...
le 01/02/2022 à 11:02 Christine Cotton et Xavier Azalbert, pour FranceSoir
Un rapport de Christine Cotton, bio-statisticienne, ancienne PDG d’une société de recherche sous contrat (CRO) pour l’industrie pharmaceutique pendant 23 ans, soulève de graves interrogations sur la responsabilité du Premier ministre, du ministre de la Santé, des responsables des autorités sanitaires ainsi que des médecins qui se sont faits leur relais médiatiques, dans la politique vaccinale mise en place en 2021.
En effet, par négligence ou incompétence, la vie d’autrui a pu être mise en danger par Jean Castex (Premier Ministre), Olivier Véran (ministre de la Santé et des solidarités), Christelle Ratignier-Carboneil (directrice de l’Agence nationale de sécurité du médicament), Dominique Le Guludec (présidente de la Haute autorité de santé), ainsi que par des médecins comme Karine Lacombe, Gilbert Deray, ou Jérôme Marty, qui sont venus parler de l’efficacité vaccinale contre la transmission et la contagion.
Le rapport de l’expert montre que :
« les résultats fournis dans les différents rapports de Pfizer, examinés dans l'urgence par les différentes autorités sanitaires ne peuvent pas être considérés comme intègres et fiables du point de vue des bonnes pratiques cliniques, biaisant ainsi l'évaluation du rapport bénéfice/risque supposé favorable du vaccin Comirnaty. De nombreux risques identifiés et des informations manquantes entraine que la poursuite de l’utilisation du vaccin Comirnaty en vie réelle présente un risque important pour la vie des personnes.
Il est nécessaire de suspendre en urgence tout vaccination Comirnaty, non seulement pour les populations pour lesquelles nous sommes dénués d'informations à ce jour, mais aussi pour l’ensemble des populations. Les personnes citées plus haut ont procédé par affirmations péremptoires sur des éléments qui n’ont jamais été prouvés à partir des documents soumis par le laboratoire Pfizer aux autorités, à aucun moment – ni avant leurs affirmations, ni après. Il existe un adage juridique qui dit que « la fraude corrompt tout ». De ce fait, ces personnes ont trompé la population française et l’ont ainsi mise en danger.
Le principe de précaution aurait voulu que les autorités de santé posent des questions, notamment sur la méthodologie de détermination du critère d’évaluation principal dans les essais cliniques sur lequel est basé les calculs de l’efficacité vaccinale annoncée, comme il en est l’usage en général avant toute mise sur le marché de médicament. Dans le cas présent, avec une maladie considérée comme contagieuse et mortelle dans le monde entier et ayant engendré des mesures d’accélération d’essais cliniques sans précédent, il eut été conforme aux bonnes pratiques de vérifier doublement les résultats avant d’engager une campagne de vaccination de masse.
De plus, il y a donc une totale incohérence entre les messages délivrés par les ministres, les représentants des agences sanitaires et les médecins dépêchés sur les plateaux de télévision (sans déclaration préalable de liens d’intérêts), et les résultats des études présents dans les rapports, et pourtant disponibles en accès libres. Un scandale sanitaire sans précédent se profile.
L’ANSM aurait pu émettre un avis contraire aux recommandations de l’Agence européenne
Sur la base du rapport d’expertise de Christine Cotton, la responsabilité des personnes citées ci-dessus est engagée. L’ANSM (agence nationale de sécurité et du médicament) aurait pu émettre un avis inverse aux recommandations de l’Agence européenne du médicament (EMA).
Dans son dernier debriefing, dédié à la mémoire de Maxime Beltra, décédé à l’été 2021 quelques heures après l’administration de sa deuxième dose de vaccin Pfizer, Christine Cotton, plus que rodée à la rédaction des méthodologies des essais (rédaction des protocoles, plans d’analyses statistiques …), au suivi des essais (recueil et nettoyage des données) et analyses statistiques, revient sur le rapport d’expertise qui a formé la base d’une procédure judiciaire visant à demander la suspension immédiate du vaccin Pfizer au Canada.
Cette procédure a fait l’objet d’une audience en cours d’appel au Québec avec Me Gloriane Blais, ce 31 janvier 2022. Christine Cotton a conclu, au terme d’un rapport argumenté que « les rapports de Pfizer ne permettent de conclure ou de porter les messages » sur l’efficacité des vaccins, sur la contagion et la transmission de la maladie, comme annoncé par les politiques, décideurs des agences réglementaires et médecins des plateaux télévision. Elle a fait l’analyse de tous les documents disponibles publiquement et s’interroge : pourquoi et comment ce travail n’a-t-il pas été effectué par nos autorités, comme cela est le cas en temps normal ? Elle rappelle aussi que chaque intervenant d’un essai clinique doit suivre un nombre conséquent de recommandations regroupées sous le nom de « bonnes pratiques cliniques » visant à contrôler et minimiser le risque d’erreur de mettre sur le marché un produit inefficace, voir potentiellement dangereux (biais méthodologiques)
Retrouvez dans son debriefing ci-dessous le détail de son rapport :
Dans la conclusion de son rapport d’expertise, Christine Cotton explique que : « Les résultats fournis dans les différents rapports cliniques de Pfizer, ayant été examinés dans l'urgence par les différentes autorités sanitaires, tant en termes d'efficacité (cas symptomatiques, cas graves...), d'immunogénicité, que de sécurité ne peuvent pas être considérés comme intègres et fiables du point de vue des Bonnes Pratiques Cliniques, biaisant ainsi l'évaluation du rapport bénéfice/risque supposé favorable du vaccin Comirnaty. »
Elle conclut sur le fait que les nombreux risques identifiés et les informations manquantes, ont pour conséquence que « la poursuite de l’utilisation du vaccin Comirnaty en vie réelle présente un risque important pour la vie des personnes ». En tant qu’experte, elle juge « qu’il est nécessaire de suspendre en urgence tout vaccination Comirnaty, non seulement pour les populations pour lesquelles nous manquons d'informations à ce jour, mais aussi pour l’ensemble des populations ».
Les messages des autorités ne sont pas confirmés par les rapports de Pfizer
Les documents de Pfizer ne permettent pas de conclure sur l’efficacité vaccinale contre la contagion, la transmission et les formes graves (rapport du 10 décembre 2020).
En repartant sur le communique de presse de Pfizer du 14 décembre 2020, et page 73 du plan de gestion des risques rédigé par Pfizer ; les informations sur les risques et données manquantes sont les suivantes : utilisation chez les femmes enceintes, chez les immunodéprimés, chez les patients fragiles présentant des comorbidités (diabète), chez les patients souffrants de maladies auto-immunes ou inflammatoires, l’interaction avec d’autres vaccins et la tolérance à long terme.
En décembre 2020, ces informations étaient disponibles (page 73 du Plan de Gestion des Risques du 30 décembre 2020).
- voir cadre sur site -
Elles sont toujours présentes à l’identique dans le Plan de Gestion des Risques mis à jour le 25 novembre 2021 (Page 111) – la seule différence est l’ajout du risque important de péricardite et myocardite.
- voir cadre sur site -
Ceci montre bien l’incohérence entre les données factuelles des rapports et le message délivré aux Français par les pouvoirs publics, entre autres confirmé par le message que l’on peut voir ce jour sur le site de l’EMA : l’impact de la vaccination avec Comirnaty n’est pas encore connu pour la transmission.
- voir cadre sur site -
Pour finir, le laboratoire Pfizer énumère le 9 avril 2021 dans la section Bénéfices inconnus et données manquantes, page 47 :
Les bénéfices inconnus et les lacunes dans les données associées au vaccin COVID-19 de Pfizer-BioNTech lorsqu'il est utilisé chez les adolescents âgés de 12 à 15 ans; ils sont les mêmes que ceux détaillés dans le mémorandum autorisant le vaccin pour une utilisation d'urgence chez les personnes âgées de 16 ans et plus. Ils sont relatifs à :
Durée de la protection Efficacité dans certaines populations à haut risque de COVID-19 sévère Efficacité chez les personnes déjà infectées par le SARS-CoV-2 Efficacité future du vaccin, influencée par les caractéristiques de la pandémie L'évolution du virus et/ou les effets potentiels des co-infections. Efficacité du vaccin contre l'infection asymptomatique Efficacité du vaccin contre les effets à long terme de la maladie COVID-19 Efficacité du vaccin contre la mortalité Efficacité du vaccin contre la transmission du SARS-CoV-2. » La longue liste ci-dessus concernant la non-connaissance d’un produit utilisé depuis près de six mois en vie réelle sur des millions de personnes apparaît plus qu’inquiétante. Pfizer reconnait ici, bien que de manière détournée, l’impuissance de son vaccin à agir contre les infections asymptomatiques, et donc de fait à freiner la transmission du virus, comme démontré dans le rapport d’expertise, le critère principal choisi ne pouvant prétendre à une quelconque efficacité en la matière. En dépit de ces incertitudes, la FDA autorisait l’utilisation d’urgence pour les 12-15 ans le 10 mai 2021.
La représentation nationale a pu être flouée
En juillet 2021, la représentation nationale (Assemblée nationale et Sénat) a voté l’obligation vaccinale des soignants et d’autres corps sur une interprétation erronée des informations mises à disposition par les laboratoires. La responsabilité des décideurs nationaux est ainsi engagée, du fait que ces derniers n’ont pas fait le travail de revue habituel. Les membres de la commission mixte paritaire ont d’ailleurs fait l’objet d’une plainte pénale à ce sujet.
De plus, l’association BonSens.org avait aussi délivré un courrier aux députés et sénateurs dès juillet 2021 avertissant « vous ne pouvez voter sur des informations déloyales ». Le docteur en biochimie Jean-Francois Lesgards avait rédigé une lettre d’information à cet égard aux sénateurs ainsi qu’un document sur la toxicité de la protéine Spike – il a aussi rappelé dans une tribune ne pas être « antivax » mais « antispike », afin d’éviter le débat binaire que l’on retrouve dans les médias mainstream, qui réduisent les personnes opposées à la vaccination covid à des antivax non éduqués – une caractérisation désobligeante pour les nombreux chercheurs émettant des réserves pourtant argumentées sur ces pseudo-vaccins à ARN messager.
Des millions de Français « trompés »
En conséquence, c’est la vie de plus de 50 millions de Français qui ont été se faire vacciner sur la base des annonces du gouvernement qui pourrait être affectée.
L’avocat Eric Lazzarone a d’ailleurs porté plainte contre le laboratoire Pfizer sur la base des contrats, de type marchés publics, qui sont unilatéralement en faveur des laboratoires alors que ces derniers ne contribuent pas au fond d’assurance de l’ONIAM – (Office National d'Indemnisation des Accidents Médicaux, des Affections Iatrogènes et des Infections Nosocomiales).
Voir aussi : L'Etat doit engager pleinement sa responsabilité d'une vaccination obligatoire "de facto", pour Alain Houpert et Philippe Gosselin
Le Dr Devilleger, cardiologue, ainsi que l’association BonSens.org, demandent la création d’une commission d’enquête sénatoriale sur les effets secondaires des injections anti-covid-19 de même que l'arrêt immédiat des injections, et ont lancé une pétition officielle (la pétition se trouve sur le lien suivant petitions.senat.fr/initiatives/i-917) sur le site du Sénat à cet effet. Étant donné l’aspect officiel de cette pétition, les signataires doivent s’identifier au travers du site franceconnect. Cette pétition a déjà recueilli près de 30 000 signataires. Un des administrateurs de l’association BonSens.org déclare « il est essentiel que l’on atteigne 100 000 signatures rapidement ».
Un scandale majeur se profile qui pourrait dépasser les plus grands scandales sanitaires de tous les temps.
Documents mis à disposition 1. Le rapport d’expertise préparé par Christine Cotton – téléchargeable, tous droits réservés (copyright) 2. Les diapositives de la présentation utilisées lors du debriefing de Christine Cotton 3. Le plan de gestion des risques Pfizer 2020
Voir aussi : Debriefing Essais Pfizer sur le vaccin anti-covid : Christine Cotton analyse et dénonce
Auteur(s): Christine Cotton et Xavier Azalbert, pour FranceSoir
Là où je ne suis pas d'accord avec Christine Cotton c'est dans la contamination. On ne peut se contaminer QUE lorsqu'il s'agit de microbes pas lorsqu'il s'agit de poussières ! (appelées 'virus') Car, ces nouvelles poussières (dites 'intelligentes') NE SONT PAS DANS L'AIR mais uniquement disponibles en flacons et seringues ! Pour être contaminé il faut respirer du vivant (microbes).
Maintenant, il est tout-à-fait possible que des personnes qui se sont faites inoculer transmettent sexuellement des milliers (millions ?) de nano-particules d'oxyde de graphène.
Rappel que quelqu'un qui est empoisonné (c'est le cas avec ces expérimentations géniques d'essais) ne peut transmettre son poison en expirant.
Le maire allemand publie un décret autorisant les manifestants antivaxx à être abattus à vue
mardi 01 février 2022 par : Ramon Tomey
(Natural News) Le maire d'une ville du sud de l'Allemagne a publié un décret autorisant l'utilisation d'armes pour réprimer les manifestants anti-vaccins et anti-lockdown. Il a fait valoir qu'une telle méthode constituait une réponse "proportionnée et nécessaire" contre les manifestants.
Le maire d'Ostfildern, Christof Bolay, a publié le "décret général" interdisant les rassemblements anti-vaccins et anti-confinement le 26 janvier. Il est entré en vigueur le 28 janvier. Le décret de Bolay a autorisé le recours à la "contrainte directe" - y compris la violence physique et l'utilisation d'armes – contre ceux qui protestent contre les vaccins et les restrictions contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19).
On ne sait pas si le conseil municipal a été impliqué dans la question. Le décret stipule que le recours aux armes et à la violence physique est « proportionné et nécessaire » car il n'existe aucun autre moyen de décourager les marcheurs potentiels anti-vaccin et anti-confinement.
« Afin de garantir le respect de l'interdiction de réunion, le recours à la coercition directe, c'est-à-dire l'influence exercée sur les personnes par la simple violence physique, les outils de violence physique ou l'utilisation d'armes est … proportionné après avoir pesé les intérêts en conflit [et] nécessaire », a déclaré l'édit du 26 janvier.
Fait intéressant, la ville du sud de l'Allemagne n'a pas encore organisé de soi-disant «marches anti-vaccins». La dernière « marche » enregistrée qui s'est déroulée dans la ville comptait moins de 150 participants.
Néanmoins, plusieurs politiciens du Bundestag – le parlement allemand – ont dénoncé le décret de Bolay.
Le membre du Bundestag, Jan Korte, du Parti de gauche, a qualifié l'ordre de "simplement inconstitutionnel, complètement disproportionné et caractérisé par une compréhension autoritaire de l'État". Il a ajouté : "La liberté de réunion et de manifestation fait partie intégrante de l'État de droit démocratique".
Alice Weidel, qui dirige le parti de droite Alternative pour l'Allemagne, a déclaré que des dirigeants tels que Bolay "empruntent une voie dangereuse [et] erronée qui menace l'État de droit et la démocratie". Elle a réitéré que "les interdictions générales et les menaces de violence sont une attaque disproportionnée et illégale contre un droit central à la liberté". (Connexe: Josh Sigurdson parle des manifestations mondiales contre les mandats de vaccin Covid.)
Les responsables allemands expriment leur inquiétude et leur dédain face aux manifestations Malgré l'opposition de certains politiciens, d'autres responsables ont approuvé le décret de Bolay. La ministre fédérale de l'Intérieur, Nancy Faeser, a déclaré à propos des manifestations : « Les manifestations se multiplient, [mais] ce qui augmente surtout, c'est la participation accrue des extrémistes de droite. Faeser, qui est membre du Parti social-démocrate d'Allemagne, a comparé les marches à une forme de "rébellion contre l'État".
Thomas Strobl, le ministre de l'Intérieur de l'État du Bade-Wurtemberg où se trouve Ostfildern, a partagé les sentiments de son homologue fédéral. « Les honnêtes citoyens ne participent pas aux manifestations interdites. Ils suivent également les demandes de la police et respectent les règles », a-t-il déclaré.
D'autre part, le ministre bavarois de l'Intérieur, Joachim Herrmann, a mis en garde contre l'amalgame entre les manifestations et les manifestants. "Cela fait partie de la liberté d'expression et de réunion que les opposants aux mesures [coronavirus] et les critiques de la vaccination obligatoire [COVID-19] peuvent démontrer", a-t-il déclaré.
L'édit de Bolay et les commentaires d'autres politiciens allemands à ce sujet sont intervenus alors que le gouvernement fédéral a exprimé sa «sérieuse inquiétude» concernant les manifestations anti-verrouillage et anti-vaccins ces dernières semaines. Les nombreuses protestations contre les mandats de vaccination contre le COVID-19 et d'autres restrictions sont les plus répandues de l'histoire du pays.
Un rapport du journal allemand Die Welt a déclaré que des manifestations contre les verrouillages et les vaccins ont eu lieu dans plus de 1 000 endroits à travers le pays en une seule journée. "Le gouvernement est préoccupé par les actions décentralisées", a déclaré le journal, citant une source qui a qualifié "l'immensité" des manifestations de "déprimante".
Die Welt a cité des chiffres du gouvernement qui ont déclaré que 1 046 manifestations distinctes à travers l'Allemagne, avec environ 188 000 participants, ont été signalées. "Jamais auparavant dans l'histoire de la République fédérale [d'Allemagne] il n'y a eu de manifestations aussi généralisées que ces dernières semaines."
Plus d'histoires liées : L'Allemagne désespérée annonce un confinement national pour les non-vaccinés.
Le mandat du vaccin COVID de l'Allemagne pourrait être retardé en raison d'"obstacles bureaucratiques".
Un survivant de l'Holocauste met en garde contre des mesures COVID-19 similaires aux politiques d'assujettissement de l'Allemagne nazie.
Regardez la vidéo ci-dessous de Josh Sigurdson parlant des manifestations anti-vaccins et anti-lockdown en Allemagne et dans d'autres parties du monde.
- voir sur site -
Cette vidéo provient de la chaîne World Alternative Media sur Brighteon.com.
Fascism.news a plus d'histoires sur des responsables gouvernementaux réprimant les manifestations contre les mandats draconiens de COVID-19.
Une nouvelle étude sur l'ivermectine "devrait convaincre tout opposant" : Dr Pierre Kory
Mardi 01 février 2022 par : Rédacteurs en chef
(Natural News) Une étude récemment publiée indiquant que l'ivermectine antiparasitaire fonctionnait bien comme prophylactique contre le virus qui cause le COVID-19 devrait aider à influencer les critiques du médicament, selon le Dr Pierre Kory, président de Front Line COVID-19 Alliance des soins intensifs (FLCCC).
(Article de Zachary Stieber et Jan Jekielek republié de TheEpochTimes.com)
« Cela devrait convaincre tout opposant », a déclaré Kory aux « leaders d’opinion américains » d’Epoch Times. "Ce qu'ils ont trouvé était stupéfiant."
La ville brésilienne d'Itajaí a lancé un programme qui a donné de l'ivermectine à tous les résidents qui en voulaient. La période qui a été étudiée était du 7 juillet 2020 au 2 décembre 2020.
Les chercheurs ont découvert que le programme, auquel participaient plus de 100 000 résidents, était lié à une baisse de 44% des cas de COVID-19.
Environ 3,7% des utilisateurs d'ivermectine ont contracté la maladie pendant la période d'essai, contre 6,6% des résidents qui n'ont pas pris le médicament.
Le programme a également été associé à une diminution statistiquement significative des hospitalisations et de la mortalité.
L'étude évaluée par des pairs a été publiée dans Cureus le 15 janvier.
« L'ivermectine DOIT être considérée comme une option, en particulier pendant les épidémies », a déclaré le Dr Flavio Cadegiani, l'un des auteurs de l'étude et membre fondateur du FLCCC, à Epoch Times dans un e-mail.
Le FLCCC se concentre sur le traitement précoce du COVID-19, la maladie causée par le virus du PCC (Parti communiste chinois). Le groupe recommande l'ivermectine depuis début 2020.
Kory a déclaré que l'absence de rapports sur l'étude malgré son examen par les pairs souligne à quel point certains développements scientifiques sont ignorés par de nombreux médias et scientifiques.
«On pourrait penser que cela ferait la une des journaux partout. Et pourtant, rien. Et ce n'est pas nouveau, cette censure de cette science et de ces preuves très efficaces autour des médicaments réutilisés. La censure, ce n'est pas nouveau, ça devient juste de plus en plus absurde. Et il faut que ça s'arrête », a-t-il dit.
Les études sur l'ivermectine contre le COVID-19 ont montré des résultats mitigés, certaines étant associées à peu ou pas d'avantages et d'autres suggérant un avantage important. Il a été largement utilisé en Inde et dans d'autres pays à titre préventif, mais aux États-Unis et dans une grande partie de l'Europe, de nombreux organismes officiels de santé déconseillent son utilisation ou ne l'approuvent pas.
L'ivermectine a été approuvée pour certaines utilisations par la Food and Drug Administration, mais pas pour une utilisation contre le COVID-19. Cela signifie que les médecins peuvent le prescrire hors AMM.
Le comité des directives de traitement COVID-19 des National Institutes of Health indique actuellement qu'il n'y a pas suffisamment de preuves pour déconseiller ou non l'utilisation de l'ivermectine pour traiter le COVID-19. Il n'aborde pas son utilisation potentielle comme prophylactique.
Alors que la nouvelle étude a été célébrée par certains, d'autres ont remis en question les résultats et ont souligné que les divulgations de conflits d'intérêts montrent que Cadegiani et un autre auteur ont reçu un financement ou contracté avec Vitamedic, une société qui fabrique de l'ivermectine.
Gideon Meyerowitz-Katz, un épidémiologiste australien, par exemple, l'a appelé "un exemple assez simple de recherche observationnelle que vous feriez sur des données médicales de routine", mais a allégué que les contrôles des facteurs de confusion tels que la profession et les facteurs de risque étaient "assez inadéquats étant donné le but."
Cadegiani a déclaré que la critique n'était pas fondée, affirmant qu'il n'était pas convaincu avant l'étude que l'ivermectine fonctionnerait comme médicament préventif et que les chercheurs contrôlaient "tous les facteurs pertinents", y compris les comorbidités, l'âge, le sexe et la race.
"Leur incapacité à se concentrer sur les données fournies par l'étude elle-même est … la preuve de l'extrême qualité de l'étude", a déclaré le médecin, ajoutant plus tard que "Pour nous, c'est la meilleure étude observationnelle sur COVID-19 à ce jour, avec une puissance presque équivalente à un énorme essai clinique randomisé.
Les chercheurs prévoient de publier plusieurs articles supplémentaires concernant le programme, y compris des articles sur les effets biochimiques de l'ivermectine et l'efficacité du médicament pour prévenir l'hospitalisation.
COUPS DE MORT: près d'un demi-million d'avortements spontanés ont été causés par des «vaccins» covid
Mardi 01 février 2022 par : Ethan Huff
(Natural News) Le Dr Jessica Rose a compilé une nouvelle analyse montrant que les femmes enceintes du monde entier subissent des avortements spontanés après avoir été « vaccinées » contre le coronavirus de Wuhan.
Son enquête a révélé qu'à ce jour, plus de 416 186 bébés à naître sont morts à cause des injections. Elle en a informé les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis, mais n'attend aucune réponse.
En utilisant les données publiées par le Département de la Défense (DoD), le Dr Rose a calculé un facteur de sous-déclaration (URF) pour les avortements spontanés dans le VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System) de 118.
«Puisqu'il y a 3 527 rapports d'AS aux États-Unis en 2021, cela représente 416 186 événements réels», explique Steve Kirsch, notant qu'environ 99% d'entre eux étaient, en fait, causés par les piqûres. (En relation: les piqûres de Covid nuisent également aux enfants qui sortent de l'utérus.)
"En utilisant les données DMED, la moyenne sur cinq ans était de 1 499 codes pour les fausses couches par an. Au cours des 10 premiers mois de 2021, il était de 4 182. C'est donc 3,4 fois le taux de base (lorsqu'il est étendu à un taux annuel). "
Gardez à l'esprit que les femmes enceintes n'ont même jamais été incluses dans les essais de vaccins, même si le CDC continue de les exhorter à se faire injecter afin «d'aplatir la courbe».
"C'est une faute médicale de recommander les vaccins aux femmes enceintes", déclare le Dr Rose. "Le CDC les a déclarés à plusieurs reprises sans danger pour les femmes enceintes sans données complètes."
Les données du VAERS montrent que les piqûres de covid endommagent les organes reproducteurs des femmes Les données de biodistribution antérieures du Dr Rose, qui portaient spécifiquement sur les ovaires des femmes, prédisaient exactement cela. Il indiquait que les femmes enceintes qui se faisaient piquer souffraient de graves problèmes de reproduction, ce que nous voyons maintenant.
Kirsch a écrit un article d'analyse VAERS en novembre qui contient plus d'informations à ce sujet.
"Le taux de fond des avortements spontanés selon le Dr Nathan T. Thomas (Board Certified in Obstetrics and Gynecology) est de 1/5 femmes avec une grossesse reconnue", explique le Dr Rose sur son blog, ajoutant que 15 à 20% des femmes reconnues les grossesses se terminent par un avortement spontané.
C'est un nombre énorme, juste pour être clair. Jamais auparavant dans l'histoire un soi-disant "vaccin" n'a jamais été aussi profondément mortel, et aucun n'a jamais été poussé aussi fort que les vaccins contre la grippe Fauci au cours de la dernière année.
D'autres recherches publiées dans le New England Journal of Medicine (NEJM) suggèrent des résultats encore pires pour les femmes enceintes qui se font piquer par le covid.
Jusqu'à 8 femmes sur 10, soit 80%, qui se font injecter Fauci Flu avant le troisième trimestre, selon cette étude, finissent par souffrir d'une grossesse ratée, qu'il s'agisse d'une fausse couche, d'une mortinatalité, d'une naissance vivante ou d'une autre anomalie.
L'étude a suivi près de 4 000 femmes qui ont reçu l'injection d'ARNm Pfizer-BioNTech ou Moderna avant et pendant la grossesse. Parmi eux, 92 participants (2,3 %) ont reçu les piqûres avant la conception, tandis que 1 132 (28,6 %) ont reçu les piqûres au cours du premier trimestre.
Au total, 1 714 (43,4 %) ont reçu une injection au deuxième trimestre et 1 019 (25,7 %) au troisième trimestre.
"Parmi 827 participantes qui ont eu une grossesse terminée, la grossesse s'est soldée par une naissance vivante chez 712 (86,1 %), un avortement spontané chez 104 (12,6 %), une mortinatalité chez 1 (0,1 %), et d'autres issues (provoquées). avortement et grossesse extra-utérine) sur 10 (1,2%). Au total, 96 des 104 avortements spontanés (92,3 %) sont survenus avant 13 semaines de gestation (tableau 4) et 700 des 712 grossesses ayant abouti à une naissance vivante (98,3 %) concernaient des personnes ayant reçu leur première dose de vaccin admissible dans la troisième trimestre », a révélé l'étude.
Un premier regard sur ces données suggère que seule une femme sur huit, soit 12,5%, subit une fausse couche à cause des injections. Cependant, l'étude s'est concentrée spécifiquement sur l'impact du covid jab sur la grossesse, y compris par trimestre.
"Donc, pour calculer plus précisément le taux de fausses couches, nous devons nous rappeler que les fausses couches, par définition, se produisent avant la 20e semaine de gestation", a rapporté le magazine Evie.
«Cela signifie que les 700 femmes qui ont reçu le vaccin au troisième trimestre doivent être exclues du calcul car elles avaient déjà dépassé le stade de la possibilité de faire une fausse couche technique. Donc vraiment, 104 femmes sur 127 ont fait une fausse couche.
Les dernières nouvelles sur le vaccin contre la grippe Fauci sont disponibles sur ChemicalViolence.com.
The latest Fauci Flu shot news can be found at ChemicalViolence.com.
Justin Trudeau est un maladroit et une menace pour sa nation
Par Vasko Kohlmayer 3 février 2022
Début janvier, Justin Trudeau, le premier ministre du Canada, a publié un message sur Twitter dans lequel il annonçait qu'il venait de recevoir son rappel du vaccin Covid et exhortait les autres à faire de même.
Fin janvier, Justin Trudeau a posté un message sur Twitter dans lequel il annonçait avoir été testé positif au Covid-19.
Étonnamment, à la fin de son message, Trudeau a exhorté tout le monde à se faire vacciner même s'ils n'ont pas réussi à le protéger de la maladie. "Tout le monde, s'il vous plaît, faites-vous vacciner et faites-vous booster", a-t-il insisté.
Le message de Trudeau montre la profondeur de l'irrationalité - à la limite de la folie - dont beaucoup ont été victimes. Nous proposons d'appeler ce phénomène le syndrome de folie vaccinale (VIS). Ceux qui souffrent de VIS ont largement perdu le contact avec la réalité et des choses comme le bon sens, les preuves et la logique ne gagnent plus de terrain dans leur réflexion.
Juste pour résumer l'absurdité de toute la situation : ayant déjà été vacciné, Trudeau reçoit un rappel supplémentaire et trois semaines plus tard contracte le Covid-19.
Pour le dire autrement, peu de temps après avoir reçu sa troisième injection, le premier ministre du Canada tombe malade de la maladie même contre laquelle ces injections « efficaces » étaient censées le protéger.
Mais plutôt que de se repentir de son erreur, il va sur Twitter et conseille aux Canadiens de faire de même.
Où est la logique là-dedans ? Covid a-t-il affecté le cerveau de Trudeau ? Ou était-ce les injections qui ont en quelque sorte diminué sa capacité de pensée et de réflexion ?
Au contraire, Trudeau devrait être la « pièce à conviction 1 » pour expliquer pourquoi les gens ne devraient pas se faire vacciner et faire un rappel, puisqu'il est maintenant l'affiche du Canada pour l'échec des vaccins.
Pourquoi, alors, dit-il aux Canadiens de faire ce qu'il a fait ?
Ce ne peut pas être parce que les vaccins et les rappels les protégeront contre l'infection. Le contraire est, en fait, le cas.
Les données provenant du monde entier montrent que les vaccinés sont plus susceptibles d'être infectés que les non vaccinés. Selon Steve Kirsch, "Les chiffres de l'étude danoise décrite ci-dessous sont maintenant confirmés par les données gouvernementales allemandes montrant que les personnes vaccinées sont 8 fois plus susceptibles de développer Omicron que les personnes non vaccinées. Ce n'est pas surprenant puisqu'un article allemand a montré la même chose : plus vous vaccinez, plus ça s'aggrave.
Justin Trudeau, cependant, n'a pas besoin d'aller à l'étranger pour apprendre l'échec d'un vaccin. Vous trouverez ci-dessous un tableau de l'Ontario qui donne le nombre de cas en fonction du statut vaccinal. Vous remarquerez que le nombre de personnes entièrement vaccinées est plus de trois fois supérieur à celui des personnes non vaccinées.
Vous pensez peut-être que Trudeau exhorte peut-être ses compatriotes à se soumettre aux vaccins, car cela les immunisera contre le Covid sévère. Mais ce n'est pas non plus le cas. En Angleterre, en Écosse, en Israël et au Danemark, par exemple, les personnes ayant reçu un rappel et vaccinées représentent l'essentiel des hospitalisations et des décès liés au Covid. En Écosse, au cours de la deuxième semaine de janvier, 87 % des décès liés à Covid sont survenus parmi les vaccinés.
Dans la province canadienne de l'Alberta, tant de personnes contractaient et mouraient de Covid après avoir reçu leur vaccin que le gouvernement a décidé de supprimer les données d'Internet afin que les gens ne puissent pas voir la vérité.
Il y a quelques semaines, une étude israélienne a révélé que les vaccins ne sont «pas assez bons» contre Omicron, qui est la souche prédominante au Canada ainsi que dans le reste du monde.
Non seulement ces coups ne sont «pas assez bons», mais ils se révèlent également dangereux. Pour le voir, il suffit de regarder l'explosion des rapports de décès et autres effets indésirables dans la base de données VAERS qui a coïncidé avec l'introduction des vaccins Covid fin 2020. Cela n'a pas échappé aux chercheurs du monde entier et à ce jour, plus d'un millier d'articles et d'études ont été publiés dans des revues scientifiques et des magazines à comité de lecture traitant des effets secondaires graves des vaccins Covid.
Tout cela n'a cependant pas empêché Justin Trudeau de faire des messages vidéo dans lesquels il exhorte personnellement des enfants de cinq ans à se faire vacciner dangereusement. Ce qui rend l'incitation de Trudeau particulièrement ridicule, c'est le fait que les enfants en bonne santé ne courent pratiquement aucun risque de Covid. Ils sont en effet plus susceptibles d'être frappés par la foudre que de mourir de cette maladie. Nonobstant les faits, voici ce que Trudeau a dit aux enfants canadiens de cinq ans dans une récente missive vidéo :
« Vous allez pouvoir vous faire vacciner dès que vous aurez cinq ans. Et je sais que vous êtes excité et je sais que vous êtes impatient. Dans certains endroits du pays, vous pouvez même commencer à prendre rendez-vous maintenant peu de temps après votre [cinquième] anniversaire.
Il est instructif de le regarder dire cela afin que l'on puisse voir directement à quel point cet homme est vraiment égaré et dangereux.
Comme l'a noté avec justesse un commentateur : « Vivons-nous dans le film The body snatchers ? Je veux dire, c'est comme si je me suis couché un soir et que je me suis réveillé avec la moitié du monde devenu fou.
Pendant deux ans, Trudeau a tourmenté les Canadiens avec des confinements et des restrictions au nom du virus dont le taux de survie moyen est supérieur à 99,8 % pour les personnes en bonne santé en âge de produire.
En mai de l'année dernière, Trudeau a promis aux Canadiens que les vaccins «sûrs» et «efficaces» mettraient fin à la pandémie et que si suffisamment de personnes les tuaient, la vie reviendrait à la normale.
Avec un taux de vaccination de 80 %, le Canada est infesté de Covid-19 et la vie est loin d'être normale.
Étant positif pour Covid même s'il a été renforcé, Trudeau exhorte maintenant les hommes, les femmes et les enfants canadiens à se soumettre à des vaccins dangereux qui ne fonctionnent pas contre la variante actuellement en vigueur du coronavirus.
Alors même que les Canadiens se lèvent dans une manifestation pacifique de masse pour exprimer leur désapprobation des politiques erronées et ratées de Trudeau, il laisse entendre qu'ils sont fascistes et racistes.
Démagogue déconnecté de la réalité, Justin Trudeau est un maladroit et une menace pour son pays et son peuple.
(...) Trudeau a exhorté tout le monde à se faire vacciner même s'ils n'ont pas réussi à le protéger de la maladie. "Tout le monde, s'il vous plaît, faites-vous vacciner et faites-vous booster", a-t-il insisté. (...)
Il est STRICTEMENT INTERDIT de vacciner durant une épidémie ou pandémie.
(...) risque de Covid. Ils sont en effet plus susceptibles d'être frappés par la foudre que de mourir de cette maladie. (...)
Il ne s'agit PAS d'une maladie (microbes) mais d'un EMPOISONNEMENT !
Depuis la dissimulation initiale de la transmission interhumaine du SRAS-CoV-2, il y a eu une dissimulation après l'autre. Il y en a tellement, je ne peux passer en revue que certains des plus évidents et des plus persistants ici.
Bien que l'un des derniers sur la scène, il y a des indications claires que la contre-mesure « ultime » contre la pandémie, les soi-disant « vaccins » COVID, ne sont pas ce qu'ils ont été conçus, et la redéfinition du « vaccin » n'est que la pointe de l'iceberg.
Le plan secret pour forcer les vaccins à ARNm sur un public réticent
- voir sur site -
La vidéo ci-dessus présente le directeur du NIAID, le Dr Anthony Fauci, des responsables de la santé et des services sociaux et d'autres experts de la santé, dont le Dr Rick Bright, ancien directeur de la US Biomedical Advanced Research and Development Authority (BARDA), maintenant vice-président principal de la prévention des pandémies. et réponse à la Fondation Rockefeller.
Tous ont participé à un panel organisé par le Milken Institute, du 28 au 30 octobre 2019, pour discuter de la manière dont ils pourraient réaliser la transition du développement de vaccins conventionnels vers une nouvelle technologie d'ARNm.1
Ici, la discussion a tourné spécifiquement autour de l'introduction d'un vaccin universel contre la grippe à base d'ARNm. Le fait que le public pourrait être réticent est noté, tout comme les obstacles réglementaires qu'un tel produit entraînerait. Bright a déclaré :
"Il peut y avoir un besoin, voire un appel urgent, pour une entité d'excitation là-bas qui est complètement perturbatrice, non redevable aux chaînes et aux processus bureaucratiques …
Il n'est pas trop fou de penser qu'une épidémie d'un nouveau virus aviaire pourrait se produire quelque part en Chine. Nous pourrions obtenir la séquence d'ARN à partir de cela et la transmettre à un certain nombre de centres régionaux, sinon locaux, sinon même chez vous à un moment donné, et imprimer ces vaccins sur un patch pour qu'ils soient auto-administrés.
Fauci, pour sa part, a souligné que le processus de preuve d'un ARNm sûr et efficace prendrait une décennie ou plus. Il a également noté qu'il serait très difficile de changer la perception qu'ont les gens de la grippe et du vaccin antigrippal — "à moins que vous ne le fassiez de l'intérieur et que vous disiez : 'Je me fiche de votre perception, nous allons nous attaquer au problème... '”
En lisant entre les lignes, il semble que Bright et Fauci aient laissé entendre qu'une pandémie serait l'occasion idéale de déployer cette technologie d'ARNm et de l'appeler simplement un vaccin. Si la situation devait être suffisamment grave, il pourrait y avoir suffisamment « d'excitation » capable de perturber le statu quo et de justifier une expérimentation sauvage avec quelque chose de tout nouveau – tout en contournant « les chaînes et les processus bureaucratiques ».
Eh bien, à première vue, Bright et Fauci ont réalisé leur souhait, et la population mondiale paie le prix de leur décision de jeter les chaînes et les processus bureaucratiques au vent, avec prudence.
De nombreux médecins et scientifiques ont averti que ces injections basées sur les gènes étaient une idée incroyablement mauvaise, sur le point de causer toutes sortes de problèmes de santé et de décès. Mais plutôt que d'avoir une discussion sur la science, Fauci et les autres ont fait exactement ce qu'il a proposé dans cette vidéo. Ils ont ignoré les perceptions et les préoccupations de chacun et sont allés de l'avant, modifiant les définitions en cours de route pour que leur récit fonctionne. À l'heure actuelle, il semble qu'entre 64 600 et 407 400 Américains aient été tués par ces injections (en utilisant un facteur de sous-déclaration de 6,5, comme suggéré par le CDC,2 ou 41, comme calculé par Steve Kirsch, directeur exécutif du COVID-19 Early Fonds de traitement), et cela en une seule année.
De nombreux médecins et scientifiques ont averti que ces injections basées sur les gènes étaient une idée incroyablement mauvaise, sur le point de causer toutes sortes de problèmes de santé et de décès. Mais plutôt que d'avoir une discussion sur la science, Fauci et les autres ont fait exactement ce qu'il a proposé dans cette vidéo.
Ils ont ignoré les perceptions et les préoccupations de chacun et sont allés de l'avant, modifiant les définitions en cours de route pour que leur récit fonctionne. À ce jour, nombreux sont ceux qui ne comprennent pas que les injections COVID ne ressemblent à aucun autre vaccin. Ils ne comprennent pas comment ils fonctionnent et ont donc du mal à croire que les gens ont des effets secondaires aussi dévastateurs ou que des gens en meurent par dizaines chaque jour.
La dissimulation du jab COVID est sans aucun doute quelque chose qui sera de plus en plus exposé au fil du temps. Finalement, les effets deviendront trop flagrants et répandus pour être ignorés, même pour ceux qui ferment intentionnellement les yeux.
Malheureusement, d'ici là, il sera trop tard pour des dizaines de millions de personnes qui ont été amenées à participer à une expérience médicale qui, selon Fauci lui-même, en 2019, prendrait une décennie ou plus à faire correctement. Aujourd'hui, il se tient devant les caméras de télévision en affirmant qu'ils ont réussi du premier coup, après avoir sauté les essais sur les animaux, les tests de toxicologie et les conseils de surveillance.
L'origine du SRAS-CoV-2 - qui a commodément permis à Fauci et Bright de réaliser leur vision d'inaugurer des vaccins à ARNm sans avoir à franchir trop d'obstacles - est une autre dissimulation majeure qui doit être démantelée.
Dans un article du 14 janvier 2022 du Japan Times3, Brahma Chellaney, professeur d'études stratégiques au Center for Policy Research de Delhi, souligne la nécessité d'identifier les faux pas qui ont abouti à la pandémie de COVID, et pour ce faire, nous doit enquêter sur ce qui s'est passé en Chine.
"Si nous voulons prévenir une autre pandémie de coronavirus au 21e siècle, il est impératif de comprendre les causes de la pandémie actuelle", écrit Chellaney.
« Déjà, le COVID-19 a causé plus de 5,4 millions de décès. Mais ce n'est que le début : le bilan de la pandémie comprend des taux accrus d'obésité, de chômage, de pauvreté, de dépression, d'alcoolisme, d'homicide, de violence domestique, de divorce et de suicide.
Et, alors que la variante omicron alimente des taux d'infection record et perturbe les économies dans de nombreuses régions du monde, la fatigue pandémique se transforme en épuisement pandémique.
Nos chances d'éliminer le COVID-19 semblent désormais de plus en plus faibles. Mais, alors que nous essayons de comprendre comment vivre avec le virus, nous devons également identifier les faux pas - accidentels et autres - qui nous ont conduits ici. Et cela signifie, avant tout, porter un regard critique sur la Chine. »
Pourquoi les faits sur la transmission interhumaine ont-ils été censurés ?
Dans les premiers jours de l'épidémie initiale à Wuhan, en Chine, le régime chinois a nié toute preuve de transmission interhumaine, une erreur qui a ensuite été reprise par l'Organisation mondiale de la santé dans un tweet du 14 janvier 2020.4 Moins de deux mois plus tard, l'OMS a déclaré COVID-19 une pandémie mondiale.
Selon le South China Morning Post5, le gouvernement chinois savait très bien que le virus se propageait entre les personnes. Les archives gouvernementales consultées par le South China Morning Post ont retracé le premier cas de COVID connu jusqu'à la mi-novembre 2019, avec un à cinq cas par jour signalés par la suite. De toute évidence, la transmission avait lieu.
En niant la probabilité d'une transmission interhumaine, le gouvernement chinois et l'OMS ont permis au virus de se propager à travers les frontières internationales pendant plusieurs semaines. La Chine a également expulsé tous les journalistes américains, provoquant ce 18 mars 2020 un tweet du journaliste d'Axios Jonathan Swan :6
"Terrible. Nous avons désespérément besoin de rapports précis de la Chine. La pandémie est née à Wuhan et a été initialement dissimulée par les autorités chinoises. Une étude de l'Université de Southampton a révélé qu'il y aurait eu une RÉDUCTION de 95% des cas et moins de propagation si Pékin était intervenu 3 semaines plus tôt.
Très tôt, les autorités chinoises ont également été accusées de supprimer la voix des médecins qui sonnaient l'alarme et de censurer les informations de santé publique partagées en ligne. Les choses n'ont fait qu'empirer à partir de là. Au cours des deux dernières années, nous avons assisté à une censure médicale, scientifique et politique vraiment sans précédent dans le monde entier.
Il aurait été facile de supposer que le régime chinois dirigeait le récit médiatique à l'échelle mondiale. Mais, bien sûr, nous avons appris depuis que la véritable source derrière cette campagne coordonnée est le travail d'un système beaucoup plus caché, un « État profond » dirigé par des technocrates non élus avec un réseau de connexions dans les agences gouvernementales, les médias, Big Pharma , Big Tech et finance dans le monde entier.
Fauci aurait peut-être voulu qu'une pandémie inaugure une technologie d'ARNm non testée, mais ce réseau d'État profond a un programme beaucoup plus vaste, qui comprend l'asservissement de la population mondiale grâce à la technologie et à la surveillance numérique, et nous prive de notre richesse personnelle dans le processus.
Les vaccins COVID ont joué leur rôle dans ce programme de prise de contrôle plus large, en ce sens qu'ils pouvaient insister pour suivre le statut vaccinal des personnes à l'aide de passeports de santé qui pourraient ensuite être étendus à des identifiants numériques et à des outils de suivi financier contrôlés de manière centralisée.
La couverture des fuites du laboratoire
Deux des plus grandes dissimulations ont sans aucun doute été les dénégations persistantes selon lesquelles le SRAS-CoV-2 est le résultat d'une recherche sur le gain de fonction, et la pandémie le résultat d'une fuite de laboratoire (qu'elle soit accidentelle ou intentionnelle). Chellaney écrit :7
"Ici aussi, la Chine a adopté l'obscurcissement plutôt que la transparence. Le régime de Xi a bloqué une enquête médico-légale indépendante sur les origines de COVID-19, arguant que toute enquête de ce type équivaut à un « terrorisme de traçage des origines ».
Après que l'Australie a appelé à une enquête sur la gestion de l'épidémie par la Chine, le gouvernement de Xi l'a puni avec une série de sanctions informelles.
La Chine a reçu de l'aide pour dissimuler son mauvais comportement. Au début de la pandémie, le directeur général de l'Organisation mondiale de la santé, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a reproduit les points de discussion du gouvernement chinois et a salué sa gestion de l'épidémie. Au lieu de vérifier les affirmations de la Chine, l'OMS les a diffusées au monde...
L'Occident a également aidé la Chine à détourner l'attention de l'hypothèse d'une fuite de laboratoire. Non seulement plusieurs laboratoires occidentaux sont engagés dans des recherches pour concevoir des super-virus ; Les gouvernements occidentaux ont des liens avec le WIV [Wuhan Institute of Virology]…
Les National Institutes of Health et l'USAID ont accordé des subventions à EcoHealth Alliance, un groupe étudiant les coronavirus de chauve-souris en collaboration avec des chercheurs du WIV.
Le gouvernement américain n'a pas divulgué l'intégralité de son financement aux projets WIV, et encore moins expliqué pourquoi ses agences financeraient la recherche dans une institution liée à l'armée chinoise.
Les Américains ont protégé la Chine du blâme
En effet, les autorités américaines ont beaucoup fait pour protéger la Chine des retombées. Par exemple, en février 2020, des scientifiques américains associés aux National Institutes of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) du Dr Anthony Fauci et aux National Institutes of Health ont publié une « déclaration de consensus » dans The Lancet, dans laquelle ils « condamnaient fermement » le « théorie du complot » selon laquelle le virus a été créé par l'homme et/ou s'est échappé d'un laboratoire.8
Il a été découvert plus tard que la lettre avait été rédigée par le président de l'EcoHealth Alliance, Peter Daszak, qui avait sous-traité au WIV des recherches sur le gain de fonction sur les coronavirus, payées par le NIAID.
Dans la foulée, Richard Horton, rédacteur en chef de The Lancet, a été publiquement critiqué pour sa défense et son soutien au régime chinois, et a été accusé d'utiliser The Lancet pour défendre des causes politiques et étouffer le débat scientifique9. immanquable dans ce cas.
En janvier 2021, 14 experts mondiaux avaient soumis une lettre à The Lancet dans laquelle ils soutenaient que "l'origine naturelle n'est pas étayée par des arguments concluants et qu'une origine de laboratoire ne peut pas être formellement écartée". Horton a rejeté la soumission, déclarant que ce n'était « pas une priorité » pour la revue.10
Dans ce qui semble avoir été un acte de réciprocité bienfaisante envers ses alliés américains, le WIV a discrètement supprimé les mentions de sa collaboration avec le NIAID / NIH et d'autres partenaires de recherche américains de son site Web en mars 2021, après que les membres du Sénat ont commencé à griller Fauci sur son financement. de la recherche sur le gain de fonction au WIV.11 Ils ont également supprimé un article scientifique traitant de la recherche génétique sur le virus du SRAS.12
Les médias ont confirmé la dissimulation, permettant à la Chine de profiter
J'ai mentionné pour la première fois que l'épidémie avait les caractéristiques d'une évasion de laboratoire dans un article du 4 février 2020. Un rapport d'évaluation du 27 mars 2020 de la Defense Intelligence Agency des États-Unis a noté que le SRAS-CoV-2 était probablement une libération accidentelle d'un laboratoire de maladies infectieuses,13 mais il a fallu un an avant que les médias grand public cessent de rejeter les preuves du revers de la main.14,15
La commission de l'OMS chargée de l'enquête sur l'origine du SRAS-CoV-2 a également rejeté la théorie de l'origine du laboratoire sans faire une véritable enquête.16,17 Cependant, le contrecoup et l'incrédulité étaient si grands,18 que le directeur général de l'OMS, Tedros Ghebreyesus, a dû rapidement revenir en arrière et promettre qu'il serait examiné plus avant.
Chellaney poursuit en notant que si le président chinois Xi Jinping a promis de placer les laboratoires manipulant des agents pathogènes mortels sous un examen plus approfondi, « il continue de dénoncer toute insinuation selon laquelle le coronavirus aurait pu être divulgué ».
« Pendant ce temps, la Chine profite de la pandémie », écrit Chellaney.19 « Ses exportations augmentent. Le pays a capitalisé sur la crise pour faire avancer ses intérêts géopolitiques, notamment en intensifiant son agression territoriale, de l'Asie de l'Est à l'Himalaya.
Mais un jugement peut encore venir. Près des trois quarts des Américains pensent désormais qu'il est "probable" que le COVID-19 ait été divulgué par le WIV. De plus, alors que les ambitions néo-impérialistes de la Chine sont devenues claires, les opinions défavorables sur la Chine ont atteint des niveaux record dans de nombreuses économies avancées.
Si les dirigeants mondiaux voulaient un mandat pour poursuivre les enquêtes sur les origines de la pandémie, il est sûr de dire qu'ils l'ont. Ce n'est pas la première pandémie fabriquée en Chine - le pays a également produit le SRAS en 2003, la grippe asiatique en 1957, la grippe de Hong Kong en 1968 et la grippe russe en 1977. Si le monde continue de laisser la Chine s'en tirer, il ne sera pas le dernier."
Les mensonges de COVID abondent
En mars 2021, j'ai publié un article20 présentant le travail du Dr Malcolm Kendrick, un médecin généraliste du Cheshire, en Angleterre, qui s'est donné pour mission d'apporter un certain équilibre à la campagne de peur généralisée qui se produit aux mains du lobby des soins de santé et médias — surtout au cours des deux dernières années. Vous pouvez le lire ici.
Dans ce document, j'ai résumé les huit principaux mensonges COVID que Kendrick a mis en évidence, y compris l'idée que l'immunité naturelle du troupeau n'existe pas et doit être obtenue par la vaccination de masse, que les vaccins induisent une immunité plus forte et plus durable que l'immunité contre l'infection naturelle, et que l'universalité le port du masque prévient la transmission virale.
L'article a également examiné comment les statistiques de décès par COVID ont été gonflées à l'aide d'un test PCR défectueux, pourquoi la réponse suédoise au COVID-19 n'était pas du tout "un désastre" comme le prétendaient les médias, le mythe selon lequel les blocages entraînaient des taux de cas inférieurs et l'erreur selon laquelle la propagation asymptomatique était à l'origine de la pandémie.
Tous ces mythes ont été semés par les autorités gouvernementales avec une arrière-pensée pour fabriquer une pandémie à des fins géopolitiques, et soigneusement entretenus par une presse malhonnête qui a refusé de poser même les questions les plus évidentes.
Le manque d'honnêteté a entraîné des croyances ridicules
Jamais de ma vie je n'aurais pensé voir des gens accepter le genre d'absurdités que nous avons vues au cours des deux dernières années, et l'une des raisons de cette irrationalité est, je crois, parce que les autorités sanitaires, les dirigeants politiques et les médias ont tous menti sur les faits, les données et la science. En élaborant un récit irrationnel et en le poussant à l'exclusion de tout le reste, ils ont lavé le cerveau des gens pour qu'ils renoncent à tout sens et sensibilité.
Par exemple, fin novembre 2020, les communautés de retraités installaient des «murs de câlins» où les visiteurs pouvaient étreindre leurs proches à travers d'épaisses feuilles de plastique. L'AARP a rapporté21 cela comme une invention ingénieuse pour aider les êtres chers à se connecter, mais en réalité, ce n'est qu'un pas vers la folie. Personne ne pensait qu'un virus aéroporté pourrait voyager au-dessus ou en dessous du rideau en plastique ?
Et ne me lancez même pas sur les règles de marche unidirectionnelle imposées par les magasins, où de grandes flèches au sol incitaient les gens à marcher dans une seule direction dans les allées. Heureusement, c'était apparemment tellement idiot que cela n'a pas duré très longtemps.
Malheureusement, on ne peut pas en dire autant de toutes ces barrières en plastique érigées sur les bureaux et les caisses. Des sommes incalculables ont été dépensées pour ces engins inutiles qui diminuent les interactions humaines bien plus efficacement qu'ils ne bloquent les virus.
Il a fallu bien plus d'un an et demi avant que les médias ne commencent à remettre en question l'utilité de ces barrières qui aspirent les âmes. Dans un article du 19 août 2021 du New York Times22, Tara Parker-Pope a souligné des recherches suggérant que les barrières « peuvent interférer avec la ventilation normale » et le flux d'air23, ce qui peut rendre la propagation virale plus probable. Une étude - du CDC, pas moins - a révélé que les barrières n'avaient aucun impact sur le risque d'infection,24 et une autre a constaté qu'elles l'aggravaient.25
"Dans des conditions normales dans les magasins, les salles de classe et les bureaux, les particules d'haleine expirées se dispersent, transportées par les courants d'air et, selon le système de ventilation, sont remplacées par de l'air frais environ toutes les 15 à 30 minutes", a écrit Parker-Pope.
«Mais l'érection de barrières en plastique peut modifier le flux d'air dans une pièce, perturber la ventilation normale et créer des« zones mortes », où les particules d'aérosols viraux peuvent s'accumuler et devenir très concentrées.
"Si vous avez une forêt de barrières dans une salle de classe, cela va interférer avec une bonne ventilation de cette pièce", a déclaré Linsey Marr, professeur de génie civil et environnemental à Virginia Tech et l'un des plus grands experts mondiaux de la transmission virale. "Les aérosols de tout le monde vont être piégés et coincés là et s'accumuler, et ils finiront par se répandre au-delà de votre propre bureau."
Les masques ne fonctionnent toujours pas
L'une des croyances irrationnelles les plus persistantes engendrées pendant cette pandémie est que les masques empêchent la propagation du virus. Avant 2020, vous auriez eu du mal à trouver un professionnel de la santé qui pensait qu'un masque chirurgical pouvait bloquer un virus en suspension dans l'air. Eh bien, je n'ai pas besoin de vous dire ce qui s'est passé. Vous l'avez tous vécu.
En plus des nombreuses études qui ont démontré au cours des années passées que les masques ne fonctionnent pas contre les virus, nous pouvons maintenant citer un rapport du ministère britannique de l'Éducation,26,27 qui n'a trouvé aucune preuve que le port universel de masques dans les écoles réduisait les absences dues à maladie. Sarah Lewis, professeur d'épidémiologie moléculaire à l'Université de Bristol, a déclaré à Bloomberg :28
«Les mandats de masque peuvent nuire à la qualité de l'enseignement et exclure les élèves malentendants des discussions. Lorsqu'il n'y a pas suffisamment de preuves d'un avantage d'une politique et de preuves de préjudices, la valeur par défaut devrait être de ne pas intervenir.
Même ainsi, les chercheurs qui veulent apparemment que les masques soient la règle plutôt que l'exception continuent de poursuivre des «études» qui prétendent prouver que tout le monde est mieux avec le visage couvert. Par exemple, une étude soutenant l'utilisation du masque29 est sortie en janvier 2022 dans le cadre d'une initiative de la National Science Foundation visant à étudier la transmission des maladies dans les salles de classe. L'étude ne comprenait que 14 personnes.
La folie du masque est peut-être mieux illustrée par les fanfares scolaires obligées de porter des masques avec un trou géant à la bouche, à travers lequel ils peuvent jouer de leurs instruments à vent.
La seule bonne chose à propos de cette triste histoire est que la vente de ces bloqueurs de traits du visage inutiles – qui auraient été récupérés par des universités et des lycées à travers les États-Unis – avait, fin août 2020, permis de récolter 12 000 $ pour le fonds de bourses d'études musicales de l'Université d'État du Nouveau-Mexique.30
Sources and References
1 Rights and Freedoms October 7, 2021 2 Steve Kirsch Substack January 6, 2022 3, 7, 19 The Japan Times January 14, 2022 4, 6 Fox News March 18, 2020 5 South China Morning Post March 13, 2020 8 The Lancet February 19, 2020 DOI: 10.1016/S0140-6736(20)30418-9 9, 10 Daily Mail June 26, 2021, Updated June 27, 2021 11 MSNBC March 19, 2021 12 Web Archive WIV Will SARS Come Back? December 4, 2015 13 Newsweek April 27, 2020 14 Politico March 8, 2021 15 New York Times March 4, 2021 (Archived) 16 The Washington Post February 9, 2021 17 The Washington Post February 9, 2021 (Archived) 18 WSJ Open Letter, Call for Full and Unrestricted International Forensic Investigation Into the Origins of COVID-19, March 4, 2021 (PDF) 20 Covid-unmasked.net March 22, 2021 21 AARP November 30, 2020 22 New York Times August 19, 2021 23 MedRxiv March 20, 2021 DOI: 10.1101/2021.03.20.21253976 24 CDC MMWR May 28, 2021; 70(21): 779-784 25 Science June 4, 2021; 372(6546): 1092-1097 26 Department of Education UK Evidence Summary January 2022 27, 28 Bloomberg January 7, 2022 29 Science Daily January 12, 2022 30 KRQE August 6, 2020
Les origines du dit 'Sarscov2covide19CharlieBraviMicron' sont que 2 MOIS AVANT LA CHINE il été repéré à MILAN en ITALIE et, 6 MOIS AVANT (Janvier) dans les eaux usées en ESPAGNE !!!
Relire les blogs d'informations que j'ai publié (2019/2020).
Les agriculteurs franchissent le barrage de la police, rapprochant le convoi de camionneurs de la frontière canado-américaine
PAR TYLER DURDEN MERCREDI 02 FÉVRIER 2022 - 14:05
Les camionneurs du "Freedom Convoy" ont été accueillis par des agriculteurs qui ont utilisé leurs tracteurs pour pénétrer les barrages routiers de la Gendarmerie royale du Canada (GRC) à la frontière canado-américaine à Coutts, en Alberta, alors que les pourparlers échouaient.
True North et Rebel News ont rapporté que des agriculteurs se sont joints pour renforcer le convoi alors que les négociations à Coutts entre les camionneurs et la GRC se sont effondrées mardi après-midi.
La GRC a tenté d'établir une barricade, mais cela a échoué lorsque des agriculteurs ont fait irruption et ont conduit un convoi de camionneurs plus près de la frontière avec le Montana.
Les agriculteurs et les camionneurs sont sortis des tracteurs et des camions respectifs et ont chanté à l'unisson l'hymne national du Canada, « Ô Canada ». Apparemment, le premier ministre Justin Trudeau (qui, soit dit en passant, se cache toujours et a reçu trois coups après avoir été testé positif au COVID-19), a qualifié ces gens de "marginaux" et de "racistes".
Peut-être que Trudeau est le « raciste » ?
Voici une vidéo drone du convoi à la frontière d'hier soir.
Le rassemblement pour la liberté du Canada est regardé dans le monde entier alors que des citoyens ordinaires se rassemblent et protestent contre la tyrannie médicale du gouvernement.
Elon Musk, l'homme le plus riche de la planète, a récemment tweeté que les camionneurs canadiens "règlent". Joe Rogan a déclaré que "le pays est en révolte".
Le Canada est en révolte et le président se cache; les gens défendent leur liberté médicale - c'est quelque chose que les gouvernements n'ont pas encore traité au cours des deux dernières années de la pandémie. Le monde regarde le Canada, et ces manifestations se répandent dans le monde entier.
Bruxelles accorde quand même un label vert au gaz et au nucléaire
2 février 2022, 14:26
Ce mercredi, la Commission européenne a accordé un label de finance durable au gaz et au nucléaire. Il reconnaît sous certaines conditions leur contribution à la lutte contre le changement climatique. Les écologistes dénonçaient l’inclusion des centrales nucléaires, en raison des déchets radioactifs et du risque d’accident.
Les écologistes dénonçaient l’inclusion des centrales nucléaires, en raison des déchets radioactifs et du risque d’accident.
La Commission européenne a annoncé, mercredi, la création d’un label vert controversé pour les centrales nucléaires et au gaz, reconnaissant, sous certaines conditions, leur contribution à la lutte contre le changement climatique. Le projet, qui divise les 27 États membres de l’Union européenne, a déjà provoqué la colère de nombreuses ONG environnementales et suscité les doutes du monde de la finance.
Dans la matinée, les commissaires européens ont approuvé une liste de critères permettant de classer comme «durables» les investissements dans des centrales nucléaires ou au gaz pour la production d’électricité. Un privilège jusqu’ici réservé aux énergies renouvelables. Le texte doit aider à mobiliser des fonds privés vers des activités réduisant les émissions de gaz à effet de serre. Il s’inscrit dans l’objectif de neutralité carbone de l’UE en 2050.
«Aujourd’hui, nous franchissons une nouvelle étape importante dans la transition» vers cet objectif. «Nous devons utiliser tous les outils à notre disposition, car nous avons moins de 30 ans pour y parvenir», a déclaré la commissaire européenne aux Services financiers, Mairead McGuinness.
Réduire les coûts
La France, qui veut relancer sa filière nucléaire – source d’électricité décarbonée – et des pays d’Europe centrale, comme la Pologne ou la République tchèque, qui doivent remplacer leurs très polluantes centrales à charbon, ont soutenu l’initiative. Faire partie de cette classification permet une réduction des coûts de financement, un point crucial pour les projets concernés et pour les États voulant les soutenir.
Mais les écologistes dénoncent l’inclusion des centrales à gaz, émettrices de CO2, et du nucléaire, en raison de ses déchets radioactifs et du risque d’accident. Mené par l’Allemagne, un petit groupe de pays, dont l’Autriche et le Luxembourg, a bataillé pour exclure l’atome. Berlin, qui opère toujours des centrales à charbon, mise sur l’essor des éoliennes et du solaire, ainsi que sur de nouvelles centrales au gaz pour assurer son approvisionnement, en dépit des critiques sur sa dépendance à la Russie. L’Autriche, le Danemark, les Pays-Bas et la Suède ont contesté le label vert pour le gaz dans une lettre commune.
Bruxelles répond que les énergies renouvelables, déjà labellisées par la Commission et qui restent une priorité de la politique européenne, ne pourront pas, à elles seules, répondre à la demande croissante d’électricité, en raison de leur production intermittente. D’où le besoin, à titre transitoire, de favoriser aussi l’investissement dans des moyens stables et pilotables.
Durant une période de quatre mois (qui pourra être prolongée de deux mois), à partir de mercredi, le Parlement européen pourra rejeter le texte par un vote à la majorité simple. Le Conseil européen pourrait aussi théoriquement s’y opposer, à condition de réunir 20 États membres, ce qui paraît hors de portée.
L’Autriche va porter plainte
Le gouvernement autrichien a annoncé son intention d’engager une action en justice contre la création de ce label vert controversé pour les centrales nucléaires, annoncée par la Commission européenne. «Nous allons préparer le terrain juridique dans les prochaines semaines et si cette taxonomie prend effet, nous lancerons une procédure devant la Cour de justice de l’UE», a déclaré la ministre autrichienne de l’Environnement, Leonore Gewessler.
Strictes conditions
Le document avait été envoyé aux 27 États de l’Union européenne le 31 décembre au soir. Il a peu évolué depuis, malgré les critiques. Il impose des conditions strictes à la labellisation du nucléaire et du gaz, notamment une limitation dans le temps et l’obligation de recours aux meilleures technologies disponibles.
Pour la construction de nouvelles centrales atomiques, les projets devront avoir obtenu un permis de construire avant 2045. Les travaux permettant de prolonger la durée de vie des centrales existantes devront avoir été autorisés avant 2040. Concernant le gaz, la Commission impose un plafond d’émissions de CO2: moins de 100g par kWh, un seuil inatteignable avec les technologies actuelles, selon des experts. Mais, une période de transition est prévue, et les centrales obtenant leur permis de construire avant le 31 décembre 2030 verront ce seuil relevé à 270g, à condition qu’elles remplacent des infrastructures beaucoup plus polluantes.
50 000 camionneurs jurent de rester à Ottawa jusqu'à ce que le gouvernement lève les mandats de vaccination
mercredi 02 février 2022 par : Ramon Tomey
(Natural News) Le Freedom Convoy du Canada a promis de rester dans la capitale Ottawa jusqu'à ce que le gouvernement lève son mandat de vaccination pour les camionneurs.
Le convoi est parti de la province de la Colombie-Britannique le 23 janvier. Il s'est dirigé vers l'est et est arrivé à Ottawa six jours plus tard, le 29 janvier. Selon un rapport, les organisateurs ont initialement estimé que 1 600 camions participeraient. Ce nombre est ensuite passé à 36 000 et a finalement touché près de 50 000 camions.
Pendant ce temps, le Service de police d'Ottawa (SPO) a déclaré qu'il n'avait signalé aucune arrestation lors du rassemblement du Freedom Convoy sur la Colline du Parlement la fin de semaine des 29 et 30 janvier.
Un communiqué du SPO publié le matin du 30 janvier indiquait: «De grandes foules sont restées dans le centre-ville toute la nuit et ont été activement gérées par la police. Les agents ont rencontré plusieurs difficultés avec les manifestants, notamment des blocages de routes spécifiques par des camions, que les agents ont travaillé à éliminer. Ces situations à haut risque ont été désamorcées et résolues sans arrestation. »
Une déclaration ultérieure de l'OPS publiée dans la soirée du 30 janvier mentionnait des policiers confrontés à "un comportement perturbateur, inapproprié et menaçant de la part des manifestants". Malgré cela, la déclaration ultérieure ne fait aucune mention d'arrestations. « Tout au long du week-end, le SPO et ses partenaires ont géré activement et patiemment une manifestation majeure bien financée au centre-ville », indique le communiqué du 30 janvier. (Connexe: 50 000 camionneurs prennent d'assaut Ottawa pour exiger la fin des mandats de «vaccins» covid.)
Selon un reportage de CTV News du 31 janvier, le chef du SPO, Peter Sloly, a affirmé que «toutes les options sont sur la table» pour mettre fin au convoi de la liberté et que les forces de l'ordre négocient avec les organisateurs de la manifestation. "Toutes les options sont sur la table, de la négociation à l'application", a-t-il déclaré.
Sloly a également félicité les membres du SPO pour leur réponse aux manifestations dans la capitale. "Pas d'émeutes, pas de blessés, pas de morts. Rien de tout cela ne s'est produit au cours des quatre derniers jours. C'est une mesure de succès pour n'importe quelle juridiction au Canada, et franchement n'importe où dans le monde.
Trudeau et MSM refusent de reconnaître les manifestants
Les manifestations du Freedom Convoy ont provoqué des embouteillages et des fermetures de routes dans la capitale canadienne. Cela a également causé des maux de tête aux propriétaires d'entreprises et aux résidents du centre-ville de la ville.
Malgré cela, le premier ministre Justin Trudeau est resté inflexible sur sa position. Il a déclaré le 31 janvier qu'il ne rencontrerait pas le Freedom Convoy car il ne croit pas en ses objectifs.
«J'ai également choisi de ne pas m'approcher des manifestations qui ont exprimé une rhétorique haineuse, de la violence envers les concitoyens et un manque de respect non seulement pour la science, mais aussi pour les travailleurs de la santé de première ligne et 90% des camionneurs qui ont fait ce qu'il fallait pour assurer la sécurité des Canadiens. et mettre de la nourriture sur notre table », a déclaré Trudeau.
Le Premier ministre a réitéré sa position lors d'une conférence de presse. «Nous ne sommes pas intimidés par ceux qui injurient les travailleurs des petites entreprises et volent de la nourriture aux sans-abri. Nous ne céderons pas à ceux qui se livrent au vandalisme. Il n'y a pas de place dans notre pays pour les menaces, la violence ou la haine.
Certains journalistes canadiens ont affirmé que le Freedom Convoy était une invasion et ont laissé entendre que les manifestants pourraient tenter de pénétrer dans l'édifice du Parlement. Cependant, les rapports des participants réels ont brossé un tableau radicalement différent.
Le camionneur Gord Magill, qui s'est joint aux manifestations, a dénoncé la couverture médiatique (MSM) de la manifestation. Il a affirmé que les rapports de MSM se concentraient sur quelques manifestants qui ne représentent pas ce que représente le convoi. "Le [MSM] s'accroche à des pailles pour nous salir - qui sont rares", a écrit Magill dans un éditorial.
Travis Smith, professeur de sciences politiques à l'Université Concordia, qui a également assisté aux manifestations, a brossé un tableau optimiste du rassemblement. Il a écrit que des personnes d'horizons, de langues et d'affiliations politiques différents "se sont réunies pour donner de leur temps et des fruits de leurs talents culinaires" pour offrir de la nourriture aux camionneurs et aux autres participants du Freedom Convoy.
Smith a ajouté: "Ils ont livré des articles supplémentaires donnés par des personnes qui ne pouvaient pas se rendre en personne, ont aidé à transporter les gens et ont offert toute autre aide possible."
Plus d'histoires liées : La pénurie de conducteurs au Canada s'aggrave à mesure que les mandats fédéraux de vaccination se poursuivent.
"Lockdown" Le Premier ministre canadien Justin Trudeau a déménagé hors de la capitale "pour sa sécurité" alors que des milliers de camionneurs protestent contre le mandat du vaccin COVID.
Le Premier ministre canadien Justin Trudeau appelle les citoyens et les camionneurs qui protestent contre le mandat du vaccin une « minorité marginale » qui ne partage pas les « opinions » acceptées par le gouvernement.
Regardez la vidéo ci-dessous de Tucker Carlson parlant du Freedom Convoy.
- voir sur site -
Cette vidéo provient de la chaîne Son of the Republic sur Brighteon.com.
Resist.news en a plus sur la lutte du Freedom Convoy contre les mandats de vaccination contre le COVID-19.
La firme japonaise Kowa Co.Ltd en collaboration avec l’Université Kitasato à Tokyo a confirmé que l’Ivermectine était un antiviral actif contre les mutants alpha, delta et omicron en inhibant l’invasion et la réplication du virus. Les masques sont sur le point de tomber. La Food and Drug Administration américaine, l’analogue de l’Agence Européenne du Médicament (EMA) a toujours refusé de fournir des détails ayant motivé l’interdiction de l’Ivermectine pour traiter les malades atteints de SARS-CoV-2, étrange … Les autorités japonaises de santé n’ont toujours pas autorisé l’utilisation de l’Ivermectine alors que 22 pays dans le monde en ont autorisé l’usage dans ce cas précis d’infection coronavirale alors que l’Ivermectine est un anti-parasitaire utilisé dans le monde entier depuis plus de 30 ans par des milliards de patients sans qu’un quelconque effet secondaire ait été répertorié.
Comme pour l’HCQ il y a donc bien un complot pour l’interdiction de ces médicaments. Le Japon n’est pas impliqué dans la production de « vaccins » à ARN messager et les autorités ont encouragé cette « vaccination ». Ce pays connait aujourd’hui la plus forte augmentation du nombre de « cas-covid » depuis le début de l’épidémie avec plus de 85000 cas par jour et un nombre de décès en augmentation, décès qui pourraient être évités par la simple prescription d’Ivermectine dès l’apparition des premiers symptômes. Mais comme chacun sait les autorités japonaises se plient aux desiderata de Washington. Pas d’essais cliniques randomisés en double-aveugle, pas d’autorisation de mise sur le marché de l’Ivermectine en dépit du fait que 148 études ont été réalisées dans le monde au sujet de l’efficacité de ce produit pour traiter l’infection par le SARS-CoV-2, 78 études comparatives en regard d’un groupe contrôle ont été réalisées prouvant que l’Ivermectine est efficace dans plus de 80 % des cas. Le site http://c19ivermectin.com centralise en temps réel toutes ces données. Les études réalisées par la firme Kowa ont été réalisées in vitro.
Néanmoins, avec l’apparition du variant BA.2 de la souche omicron du coronavirus il semble urgent que les autorités sanitaires européennes, américaines et … japonaises reconsidèrent l’interdiction de l’Ivermectine. Et ceci d’autant plus que la « vaccination » n’est absolument pas efficace comme l’a encore rappelé le Professeur Raoult il y a quelques jours :https://www.youtube.com/watch?v=eiwiH40AAjE&ab_channel=IHUMéditerranée-Infection
Des milliers de personnes descendent dans la rue pour protester contre les passeports de vaccination COVID-19 en France
mercredi 02 février 2022 par : Arsenio Toledo
(Natural News) La résistance contre les restrictions du coronavirus de Wuhan (COVID-19) et le système de passeport vaccinal en France se développe, alors que des milliers de personnes sont descendues dans les rues de Paris et des centaines d'élus ont construit un mouvement contre les restrictions.
Alors que de nombreux voisins de la France, comme la Suisse et le Royaume-Uni, se débarrassent de leurs systèmes de passeport vaccinal et de leurs réglementations de verrouillage du COVID-19, la France renforce ses restrictions et son contrôle sur les endroits où les non vaccinés peuvent aller. (Connexe: analyse: le laissez-passer vaccinal de la France transforme les non-vaxxés en citoyens de seconde classe.)
Selon la loi française sur le passeport vaccinal récemment adoptée, ses porteurs seront autorisés à accéder aux transports en commun et à entrer dans les restaurants, cafés et autres lieux de loisirs, ainsi que dans les lieux culturels et sportifs.
Le ministre des Solidarités et de la Santé, le Dr Olivier Veran, a également annoncé que les nouveaux décrets gouvernementaux rendent plus difficile l'obtention d'un passeport vaccinal. Selon la nouvelle réglementation, les personnes entièrement vaccinées doivent recevoir une injection de rappel du vaccin dans les quatre mois suivant le deuxième vaccin ou présenter une preuve de guérison du COVID-19 au cours des six mois précédents pour obtenir le passeport.
En outre, Veran a souligné que les personnes non vaccinées qui ont une immunité naturelle contre le coronavirus d'une infection antérieure ne seront éligibles à un passeport vaccinal que pendant quatre mois avant de devoir se faire vacciner.
Des manifestations se produisent dans toute la France chaque semaine contre les restrictions et les mandats Le samedi 29 janvier, des milliers de Parisiens sont descendus dans la rue pour exprimer leur colère contre la loi sur le passeport vaccinal COVID-19, la qualifiant d'excessive et de discriminatoire à l'égard des non vaccinés.
Cette manifestation était organisée par Florian Philippot, ancien membre du Parlement européen et président et fondateur du parti politique français Les Patriotes. Cette manifestation est la dernière des près de 100 organisées chaque samedi par le parti de Philippot depuis 2020 contre le confinement et le mandat vaccinal.
"Le laissez-passer pour les vaccins, c'est la ségrégation à la vue de tous, et le pire, c'est que beaucoup de gens soutiennent cette ségrégation", a déclaré samedi un manifestant.
De nombreux manifestants ont brandi des pancartes prônant la liberté de la santé et dénonçant le mandat des vaccins et les systèmes de passeport comme tyranniques et discriminatoires. Ils ont également agité les drapeaux de divers pays, notamment le Canada, où un mouvement de protestation dirigé par des camionneurs non vaccinés contre un mandat de vaccination est en cours.
Il y a eu plusieurs petites manifestations organisées dans toute la région métropolitaine de Paris. La principale « manifestation pour la liberté », comme on l'appelle, s'est terminée devant le bâtiment principal du ministère des Solidarités et de la Santé. Les manifestants ont dansé, joué des chansons, scandé des slogans pro-santé et organisé une fête impromptue.
La résistance aux restrictions grandit partout en France
Dans le département de la Haute-Savoie, une région administrative de l'est de la France juste à côté de la frontière du pays avec la Suisse, la résistance aux restrictions liées au COVID-19 augmente. Plusieurs sénateurs du pays ont exprimé leur soutien à la résistance que les maires tentent de construire.
« Chaque jour, dans nos communes de Haute-Savoie, qu'elles soient grandes ou petites, rurales ou urbaines, on voit peu à peu comment la division s'installe. Nous voyons les couples que nous avons unis se déchirer. On assiste à l'éclatement d'associations centenaires », écrit le collectif de plus de 280 élus de Haute-Savoie dans une lettre réclamant la fin du passeport vaccinal.
"Nous faisons tout ce qui est en notre pouvoir pour faire savoir à quel point ces passeports vaccinaux sont mauvais et comment ils divisent réellement la population, et nous continuerons", a déclaré le maire Luc Patois de la petite ville de Marcellaz lors d'une interview à la radio.
« On nous demande de mettre en place des protocoles, et de mettre en place des mesures », a ajouté la mairesse Sabrina Ancel de Saint-Jean-de-Tholome. "On voit l'incohérence de tous ces protocoles, et on ne peut rien dire. Alors maintenant, nous avons décidé de ne plus nous taire parce que trop c'est trop.
Plus d'histoires liées :
La France est sur le point d'exploser après que le Parlement a adopté une loi rendant obligatoire les passeports COVID malgré les manifestations de masse.
Des dirigeants mondiaux comme Biden et Macron continuent de faire campagne pour harceler et discriminer les non vaccinés.
Les Américains ont conseillé d'éviter les pays HAUTEMENT VACCINÉS en raison du nombre élevé de cas de COVID.
L’autorité de santé publique française conseille aux hommes de 30 ans et moins d’éviter le vaccin COVID-19 de Moderna.
Regardez cette vidéo et voyez un groupe de manifestants rassemblés devant le siège parisien de Pfizer manifester contre le vaccin COVID-19.
Cette vidéo peut être trouvée sur la chaîne Take Down CCP sur Brighteon.com.
En savoir plus sur les manifestations contre les restrictions et les blocages des vaccins COVID-19 sur Pandemic.news.
Comme dans les autres pays, les dits 'dirigeants' s'interdisent la rencontre avec des scientifiques afin de ne pas être retardés dans l'hégémonie. Rappelez-vous que depuis DES années les africains et asiatiques ont été mis en garde contre le réchauffement climatique dans leurs pays qui allait tout brûler !! HAHAHAHA ! Et de courir vers l'Europe qui leur promet des allocations à vie pour toute leurs familles ! C'est ainsi que des dizaines de millions d'immigrés sont apparus de partout en Europe qu'ils envahissaient afin de remplacer les prochains morts autochtones 'du covide19' !!! Idem aux USA où ce sont des millions du sud-américains qui envahissent les États du Sud (Californie, Nouveau-Mexique, Arizona et Texas). Petite précision: Les immigrés (dans leurs 'zones de non-droit') n'ont pas droit à la piqûre létale !
Victoire majeure: le gouvernement britannique renonce aux coups obligatoires pour les coups des travailleurs de la santé
February 3rd, 2022
Ne sous-estimez pas l'importance de cette nouvelle britannique. Les manifestants ont gagné. Les gens qui tenaient la ligne ont sauvé la mise. Ils étaient tout simplement trop nombreux pour tous les virer.
La grande retraite est une excellente nouvelle - sauf bien sûr pour tous les agents de santé qui ont déjà arrêté de fumer, ou ont été forcés de prendre une injection qu'ils ne voulaient pas, ou qui ont souffert pendant des mois avec le stress de ne pas savoir s'ils seraient limogé. Tout cela a été si cruel et laissera un sillage… une perte de confiance qui durera des années.
Les programmes de passeports Covid se terminent également en Irlande, en Bolivie, en République tchèque et au Danemark et maintenant la Suisse, la Saskatchewan et l'Alberta Canada promettent que les passeports vaccinaux prendront fin ce mois-ci.
Parlez-en au monde : c'est du carburant pour les manifestants et une douche froide pour les politiciens. Les journaux ne feront probablement pas la une du modèle de liberté qui commence à se répandre. Il y aura des gens dans le monde qui se demanderont en ce moment s'ils doivent tenir la ligne.
Les politiciens se sentiront isolés si d'autres pays abandonnent leurs « laissez-passer santé ».
Le secrétaire à la Santé, Sajid Javid, annonce un revirement qui empêchera l'exode de milliers d'agents de santé Cette décision est intervenue trois jours avant la date limite du 3 février, à laquelle les travailleurs non vaccinés du NHS qui avaient eu un contact direct avec des patients avaient reçu leur première dose ou étaient renvoyés.
Les chiffres publiés la semaine dernière par le NHS England montrent que 127 515 membres du personnel du NHS et des soins à domicile travaillant dans des établissements enregistrés n'avaient pas reçu de première dose d'un vaccin Covid-19 au 23 janvier.
Javid prévoit également de supprimer la vaccination comme condition de travail dans les maisons de soins, une approche qui a déjà entraîné la perte d'environ 40 000 employés dans ce secteur.
Il a déclaré aux députés: "Bien que la vaccination reste notre meilleure ligne de défense, je pense qu'il n'est plus proportionné d'exiger la vaccination comme condition de déploiement par la loi.
Les organisations du NHS ont déclaré qu'environ 60 000 employés auraient été licenciés si Javid n'avait pas cédé.
Omicron a tout changé, mais les gouvernements n'auraient pas dû imposer cela en premier lieu. La perte de confiance dans les institutions peut ne jamais être récupérée. Après avoir qualifié les agents de santé de héros, ils les ont traités comme de la saleté. La prochaine fois qu'il y aura une crise sanitaire majeure, les soignants croiront-ils au théâtre des casseroles ?
Plus de pays supprimant les restrictions et les passeports :
La Suisse mettra fin aux passeports vaccinaux plus tard ce mois-ci. L'Alberta Canada pourrait lever les passeports pour les vaccins COVID-19 d'ici la fin février. L'Italie, la Suisse et la Finlande assouplissent les restrictions, et plus rapidement qu'elles ne l'avaient prévu il y a encore deux semaines. La Norvège a également assoupli la plupart des règles. Les voyages vaccinés peuvent arriver directement sans test. Les voyageurs non vaccinés sont les bienvenus mais ont besoin d'un test avant de voler. Il n'y a plus de quarantaines. La plupart des gens peuvent voler vers et depuis la plupart des pays européens, en quelque sorte. Mumbai assouplit les restrictions Le gouvernement britannique ne peut même pas se permettre les demandes d'indemnisation pour toutes les douleurs et souffrances de ses inoculés !
h/t John R Smith et cette vidéo. Old Ozzie, Peter S.
Matt Le Tissier : "Je n'ai jamais rien vu de tel... C'est incroyable le nombre de sportifs qui s'effondrent"
Mercredi 02 février 2022 par : Rédacteurs en chef
(Natural News) L'ex-star du football Matt Le Tissier a participé à une interview pour Oracle Films dans laquelle il exprime son inquiétude face au nombre incroyable d'athlètes professionnels qui se sont effondrés en raison de problèmes cardiaques au cours de l'année écoulée depuis l'introduction du Covid -19 vaccin à la population générale.
(Article republié de DailyExpose.uk)
Les commentaires de Le Tissier font suite à une enquête exclusive menée par The Expose qui a révélé que les décès de footballeurs professionnels dus à des problèmes cardiovasculaires doublent tous les trois mois, le nombre de décès survenus en décembre 2021 équivalant à la moyenne annuelle des 12 derniers. ans.
Au total, les décès parmi les footballeurs/footballeurs professionnels en 2021 étaient 4 fois supérieurs au taux moyen enregistré entre 2009 et 2020.
L'ex-Southampton F.C. star, a déclaré que son scepticisme quant à la réponse de Covid-19 avait commencé « très tôt en 2020 lorsque les rapports ont commencé à sortir de Chine » et il a vu des vidéos de personnes s’effondrer dans la rue qui « n’étaient clairement en aucune façon authentiques, forme ou forme ».
Le Tissier a dit qu'il avait regardé ces matériaux et s'était dit « c'est un peu bizarre, pourquoi font-ils ça ? Ce n'est pas réel. Il ne faut pas être un génie pour regarder ces vidéos et partir - est-ce que les gens tombent même comme ça ?".
Depuis lors, Le Tissier est un opposant virulent aux confinements, au port de masques et aux injections expérimentales sur ses réseaux sociaux.
Plus tard dans l'interview, Matt a déclaré que dans sa carrière, il ne "se souvenait pas qu'un seul match ait été interrompu pour une urgence médicale dans la foule", car il a commenté le fait que cela se produisait maintenant semaine après semaine depuis que les foules étaient autorisées. de retour dans les stades de football.
Le Tissier appelle à une enquête urgente sur l'augmentation de 300% des décès dans le football de la FIFA en 2021 par rapport à la moyenne des 12 années précédentes, et l'augmentation des urgences médicales survenant dans les foules afin que le vaccin Covid-19 puisse être absolument exclu comme un facteur contributif.
Vous pouvez regarder l'intégralité de l'interview entre Matt Le Tissier et Oracle Films ci-dessous -
Freedom Convoy 2022 : « Convoi de la liberté », Trudeau prend la fuite face au soulèvement populaire contre la tyrannie sanitaire
par Aphadolie 02/02/2022
Le « Convoi de la Liberté » commence à faire grand bruit. Une impressionnante foule de manifestants et des milliers de camionneurs ont pris place, depuis samedi 29 janvier 2022, devant le Parlement Canadien à Ottawa. Et ce pour une durée encore indéterminée. De son côté, le Premier ministre canadien Justin Trudeau minimise l’ampleur du phénomène mais a pris la fuite avant l’arrivée du convoi. L’ampleur de ce mouvement, même si elle est étouffée par la plupart des médias politisés, semble faire écho à l’international. Des personnalités comme E.Musk et D.Trump ont publiquement manifesté leur soutien au convoi.
Une manifestation qui en dit long
Depuis le 15 janvier, tous les camionneurs canadiens non vaccinés doivent passer un test COVID-19 et se mettre en quarantaine lorsqu’ils reviennent des États-Unis.
Ils ne sont pas autorisés à entrer aux États-Unis à moins d’être vaccinés, et les conducteurs américains ne sont pas autorisés à entrer au Canada à moins de présenter leur certificat.
Tout a donc commencé il y a une semaine. Le principal convoi de camions est parti de l’État de l’Alberta, à l’ouest du Canada, et a fait route vers la capitale fédérale Ottawa, à l’extrême est, soit à environ 4.000 kilomètres de route.
- voir clip sur site -
C’est énorme et c’est inédit. Des milliers de camionneurs canadiens refusant la vaccination obligatoire et les restrictions sanitaires qu’ils jugent liberticides sont donc arrivés près de la colline du Parlement à Ottawa, ce samedi 29 janvier 2022.
« Il fait 70 km de long », a déclaré Benjamin Dichter, porte- parole du Freedom Convoy 2022, au Toronto Sun. « J’ai vu des images d’un avion. C’est impressionnant. »
Aux États-Unis, les téléspectateurs du réseau Fox News ont pu entendre, mercredi 27 janvier, l’ex-joueur de hockey canadien Theo Fleury annoncer 1,4 million de manifestants à Ottawa. « En ce moment, au Canada, il y a l’une des plus grandes révolutions. [Les camionneurs] vont rester jusqu’à ce que [Justin] Trudeau démissionne ou qu’il nous redonne nos droits et libertés », a-t-il dit.
Des milliers de manifestants sont, aujourd’hui, rassemblés dans la capitale canadienne pour protester contre les mandats de vaccination , les masques et les restrictions de liberté. Ils viennent des quatre coins du pays et ont levé plus de six millions de dollars en moins de deux semaines à travers la plateforme de dons GoFundMe.
Les derniers chiffres de la police donnent 2,3 millions de personnes et 120.000 camions !
Le convoi a bloqué la circulation dans toute la région, obstruant les artères qui mènent au centre-ville et en sortent. Les forces de l’ordre ont exhorté tout le monde à éviter de se rendre au centre-ville car il fait face à l’afflux de personnes.
Le convoi a pris de l’ampleur et des partisans alors qu’il voyageait le long de la route transcanadienne enneigée. Cette manifestation, qui était initialement prévue pour exhorter le gouvernement fédéral à abandonner son mandat de vaccination obligatoire pour les camionneurs, s’est transformée en un mouvement plus large contre toutes les mesures de santé publique.
- voir clip sur site -
Olivier De Senailhac, résident au Québec, est au micro d’André Bercoff pour aborder les restrictions liées au Covid au Québec et aux Etats-Unis.
Un certain nombre de personnes rassemblées, dont beaucoup ne sont pas des camionneurs, ont déclaré qu’elles étaient sur place pour faire pression sur le gouvernement afin qu’il mette fin aux restrictions liées à la pandémie et revienne à la « normale ».
La manifestation des camionneurs à Ottawa a mis en lumière que de nombreux Canadiens en ont assez du clivage entre vaccinés et non-vaccinés. Parmi les manifestants se retrouvaient d’ailleurs plusieurs personnes qui ont reçu deux ou trois injections et qui ont respecté les mesures sanitaires depuis le début de la pandémie.
Au Canada, un des pays les plus touchés par la « tyrannie covidiste », le rapport de force est-il en train de s’inverser ?
Tout semble l’annoncer, néanmoins, à l’instar de l’épisode du 6 janvier 2021 au Capitole américain, les manifestants devront résister à la doxa journalistique « main Stream » qui s’empresse déjà de dépeindre les centaines de milliers de camionneurs et leurs partisans comme des racistes et des extrémistes.
Trudeau minimise mais prend la fuite
De son côté, le Premier ministre canadien minimise l’ampleur du phénomène. Le « clone canadien » de Macron utilise le même narratif que celui du Président français lorsqu’il discréditait le mouvement des gilets jaunes, via les médias perfusés à coup d’argent public.
Mercredi 26 janvier, en conférence de presse, Trudeau déclarait aux journalistes :
« La petite minorité marginale de personnes qui se dirigent vers Ottawa a des opinions inacceptables qu’elle exprime et qui ne représentent pas les opinions des Canadiens qui ont été là les uns pour les autres et qui savent que suivre la science et se protéger mutuellement est la meilleure façon de continuer à garantir nos libertés, nos droits et nos valeurs en tant que pays ».
Il a également utilisé un langage similaire dans le passé. Dans une interview récemment réapparue dans un talk-show québécois en septembre, le premier ministre a qualifié de « racistes et misogynes » des millions de Canadiens non vaccinés.
On connaît la chanson. Reste que les abords du Parlement ont été placés sous haute surveillance par les forces de l’ordre qui laissaient toutefois circuler la foule. Les autorités avaient indiqué craindre des débordements pendant cette manifestation décrite comme « unique, à risque et conséquente » par le chef de la police, Peter Sloly.
Notons que pour le moment, les relations police/manifestants sont pour l’heure cordiales.
La grande partie de la colère des manifestants vise personnellement le Premier ministre canadien et de nombreux manifestants arborent des pancartes anti-Trudeau.
Ironie calculée sans doute, jeudi 27 janvier, Justin Trudeau annonçait, sur Twitter, être cas contact d’une personne positive au Covid-19. Le Premier ministre est donc isolé pour cinq jours. Et hasard ou coïncidence, Trudeau et sa famille ont quitté leur domicile à Ottawa pour un lieu secret, rapporte la CBC. Ils auraient été déplacés de leur maison vers un endroit non divulgué dans la capitale nationale, ont indiqué des sources.
Le cabinet du premier ministre a déclaré qu’il ne pouvait pas commenter l’endroit où se trouvait Trudeau pour des raisons de sécurité. Son itinéraire, qui énumère normalement la ville où il séjourne, indiquait seulement qu’il se trouvait dans la « région de la capitale nationale ».
Pendant ce temps, les médias « main Stream » canadiens volent au secours de leur « maitre » en commençant à suggérer que la Russie serait derrière la manifestation, comme une forme de récompense pour le soutien du Canada à l’Ukraine dans l’impasse militaire croissante à leur frontière.
« Étant donné le soutien du Canada à l’Ukraine dans cette crise actuelle avec la Russie, je ne sais pas si c’est exagéré de demander, mais on craint que des acteurs russes continuent d’alimenter les choses alors que cette protestation grandit dès le début », a récemment déclaré un journaliste de la CBC lors d’une émission en ondes.
Trudeau fuit, se cache et lance ses « chiens de garde » médiatiques pour tenter de décrédibiliser le mouvement. Ce manque de sérénité et cette agressivité montrent bien qu’il craint le réveil de son peuple.
Preuve en est, le premier ministre de la province de Saskatchewan, qui défend la vaccination mais reconnaît qu’elle ne protège pas de l’infection, juge illégitimes les obligations vaccinales, apporte son soutien aux routiers et annonce la fin du passeport vaccinal dans sa province.
Malgré le silence médiatique, « le convoi de la liberté » se répand et s’internationalise
Ce besoin de liberté, confisquée depuis deux ans, n’est pas propre au Canada. De l’autre côté de la frontière, aux États-Unis, des camionneurs suivent l’exemple de leurs collègues. L’éditeur du Canadian Trucking Magazine, Dave Mackenzie, qui est un camionneur long-courrier, a déclaré à West Standard Online que certains camionneurs américains conduisaient du Dakota du Nord à Portal Saskatchewan, où ils avaient l’intention de traverser la frontière et de rejoindre le groupe.
De nombreuses personnalités nord-américaines ont exprimé leur solidarité avec le convoi des camionneurs. Parmi elle, Le milliardaire Elon Musk, qui a exprimé son soutien sur Twitter.
« La liberté est dépouillée pan par pan jusqu’à ce qu’elle ne soit plus », a-t-il notamment écrit. « Il semblerait que la soi-disant ‘minorité marginale’ soit en fait le gouvernement. Protester dans un hiver canadien montre un réel engagement ! » a, également, tweeté Musk dimanche 30 janvier.
« Les camionneurs canadiens – vous avez lu à ce sujet – qui résistent courageusement à ces mandats anarchiques font de loin plus pour défendre la liberté américaine que nos propres dirigeants », a déclaré samedi soir l’ancien président américain Donald Trump, lors d’un rassemblement américain à Conroe, Texas. « Et nous voulons que ces grands camionneurs canadiens sachent que nous sommes avec eux tout au long du chemin. »
L’ampleur du mouvement, si elle est étouffée par la plupart des médias, semble avoir, aussi, insufflé un vent de révolte de l’autre côté de l’Atlantique.
Idriss Aberkane s’est fait le relai d’un appel européen, qui voudrait voir un convoi se former de la même façon qu’au Canada pour rouler jusqu’à Bruxelles. On ignore aussi quelle sera son ampleur. Mais le rendez-vous est fixé à Bruxelles, le 14 février prochain.
Dans l’UE, le secteur des transports est épargné des restrictions, car il est évident que l’Union européenne ne souhaite pas provoquer le secteur du transport et voir une situation canadienne se produire sur notre sol.
Néanmoins, le convoi de la liberté canadien fait des émules et un convoi pour la liberté européen commence à émerger.
Un convoi de camionneurs à débuter, dimanche 30 janvier, à Leeuwarden dans le nord des Pays-Bas contre les mesures de restrictions et le Pass sanitaire. En Israël, pourtant pays pionnier du Pass-vaccinal, on soutient également la démarche canadienne.
En France, aucun « gros » média ne parle de cette situation incroyable. Pourtant, des routiers français préparent « le convoi de la liberté » via les réseaux sociaux. Mais on ne sait pas grand-chose, pour l’heure, de leur degré d’organisation, même si de nombreux groupes prennent vie, notamment via le réseau Telegram.
Autre information importante qui n’a pas été reprise par les grands médias, le Syndicat des navigants du groupe Air France (SNGAF) a déposé un préavis de grève illimitée contre le Pass vaccinal, avec prise d’effet au lundi 24 janvier. Ce sont les conséquences du changement du Pass sanitaire, devenu Pass vaccinal ce lundi, qui ont provoqué l’ire du syndicat. Le SNGAF dénonce donc « la rupture d’équité » entre tous les salariés de la compagnie et exige « le maintien d’une liberté de choix ».
Quelque chose est très clairement en train de se passer, même si les « journalistes » font la sourde oreille. Les citoyens, attachés à la liberté, se sont associés au « Freedom Convoy », un mouvement qui a pris de l’ampleur pour inclure des protestations générales contre les restrictions liées à la pandémie.
- voir clip sur site -
Canada : foule massive au Parlement vue par un drone lors de l’événement principal du convoi de la liberté 29 janvier 2022.
Des dizaines de milliers de tonnes de déchets médicaux produits pendant la pandémie de COVID-19 menacent la santé : OMS
PAR TYLER DURDEN MERCREDI 02 FÉVRIER 2022 - 21:10 Écrit par Katabella Roberts via The Epoch Times
Les dizaines de milliers de tonnes de déchets médicaux produits à la suite de la pandémie de COVID-19 constituent une menace pour la santé humaine et environnementale, a averti mardi l'Organisation mondiale de la santé (OMS) dans un rapport.
Les déchets supplémentaires "menacent la santé humaine et environnementale et révèlent un besoin urgent d'améliorer les pratiques de gestion des déchets", a déclaré l'agence de santé des Nations Unies.
Selon le rapport de l'agence, environ 87 000 tonnes d'équipements de protection individuelle (EPI) ont été commandées entre mars 2020 et novembre 2021 dans le cadre d'une initiative d'urgence conjointe des Nations Unies et expédiées vers des pays, dont la majorité a fini comme déchet.
Les auteurs notent que plus de 140 millions de kits de test ont été expédiés, avec le potentiel de générer 2 600 tonnes de déchets principalement plastiques et non infectieux et 731 000 litres de déchets chimiques, ce qui équivaut à un tiers d'une piscine olympique.
De plus, plus de 8 milliards de doses de vaccin ont été administrées dans le monde, ce qui a créé 144 000 tonnes de déchets supplémentaires sous forme de seringues, d'aiguilles et de boîtes de sécurité.
Le rapport ne prend en compte que les produits COVID-19 achetés dans le cadre de l'initiative d'urgence conjointe des Nations Unies et non les déchets générés par le public ou via d'autres initiatives.
L'OMS a noté qu'alors que l'ONU et les pays du monde entier se précipitaient pour sécuriser les approvisionnements en EPI au milieu de la pandémie, les responsables étaient moins concentrés sur la gestion sûre et durable des déchets résultant des soins de santé liés au COVID-19.
L'agence demande la mise en œuvre de «systèmes de gestion efficaces», qui comprennent des conseils aux agents de santé sur la façon d'éliminer en toute sécurité et de manière durable les EPI et autres produits de santé après leur utilisation, notant que 30 % des établissements de soins de santé ne sont pas équipés pour traiter les charges de déchets existantes.
Ce chiffre était d'environ 60 % dans les pays moins développés, a indiqué l'agence.
« Il est absolument vital de fournir aux agents de santé le bon EPI. Mais il est également essentiel de s'assurer qu'il peut être utilisé en toute sécurité sans impact sur l'environnement », a déclaré le directeur des urgences de l'OMS, le Dr Michael Ryan.
Les risques associés à une manipulation insuffisante de ces déchets peuvent entraîner des blessures par piqûre d'aiguille, des brûlures et des micro-organismes pathogènes chez les agents de santé, et également avoir un impact sur les communautés vivant dans des zones proches de sites d'élimination des déchets mal gérés, augmentant le risque d'une mauvaise qualité de l'eau et l'air contaminé lorsque les déchets sont brûlés.
« Un changement significatif à tous les niveaux, du niveau mondial à celui des hôpitaux, dans la manière dont nous gérons le flux de déchets médicaux est une exigence fondamentale des systèmes de soins de santé intelligents face au climat, à laquelle de nombreux pays se sont engagés lors de la récente Conférence des Nations Unies sur le changement climatique, et , bien sûr, un rétablissement sain du COVID-19 et une préparation à d'autres urgences sanitaires à l'avenir », a déclaré le Dr Maria Neira, directrice de l'environnement, du changement climatique et de la santé à l'OMS.
Les auteurs du rapport ont formulé une série de recommandations pour aider à endiguer la menace pour la santé humaine et environnementale, notamment en utilisant des emballages et des expéditions respectueux de l'environnement, des EPI sûrs et réutilisables et des matériaux recyclables ou biodégradables.
Ils ont également appelé à davantage d'investissements dans les moyens de se débarrasser des déchets sans avoir besoin de les brûler, tels que les autoclaves, une machine utilisée pour chauffer et détruire le matériel médical, ainsi que des investissements dans le secteur du recyclage afin que certains matériaux puissent être réutilisé.
Le rapport de l'OMS intervient au milieu des efforts pangouvernementaux de l'administration Biden pour lutter contre la crise climatique via l'initiative Build Back Better (BBB), un programme qui verrait Washington investir environ 550 milliards de dollars dans des initiatives d'énergie renouvelable et de changement climatique.
(...) De plus, plus de 8 milliards de doses de vaccin ont été administrées dans le monde, (...)
!!!!!! De plus, plus de 8 milliards de doses de vaccin ont été administrées dans le monde, sur 7,900 milliards de personnes soit x piqûres létales ! Mise à part les placebos et les personnes intelligentes qui ont refusé l'extermination... combien reste t-il de personnes au monde !?
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Les pénuries d'engrais et de puces informatiques pourraient mettre en péril l'économie mondiale
mercredi 02 février 2022 par : Cassie B.
(Natural News) Alors que les Américains continuent de faire face à des pénuries d'épicerie généralisées et que les problèmes de chaîne d'approvisionnement continuent d'avoir un impact sur le monde, les espoirs d'un redressement économique cette année dépendent en grande partie de deux pénuries mondiales majeures, selon Michael Snyder de The Economic Collapse.
La première pénurie à surveiller est celle des engrais. Le Wall Street Journal a récemment averti que les prix élevés des engrais affectaient les agriculteurs du monde en développement. Des exploitations d'avocats, de café et de maïs d'Amérique du Sud aux exploitations de palmiers à huile et de noix de coco en Asie du Sud-Est, les prix élevés des engrais ont entraîné des réductions de production et des dépenses de culture plus importantes.
En conséquence, les factures d'épicerie pourraient encore augmenter cette année. L'année dernière, les prix des denrées alimentaires dans le monde ont atteint des sommets en dix ans et de nouvelles hausses pourraient aggraver encore la faim aiguë déjà observée dans certaines parties du monde en raison des pertes d'emplois liées à la pandémie et mettre un frein aux efforts des banquiers centraux et des politiciens. pour maîtriser l'inflation.
Pour comprendre à quel point le problème est grave, le Centre international de développement des engrais a déclaré que les prix élevés des engrais pourraient réduire la production agricole rien qu'en Afrique à un montant équivalant aux besoins alimentaires de 100 millions de personnes. Pendant ce temps, en Corée du Nord, le gouvernement a demandé aux gens de commencer à fabriquer des engrais maison en utilisant leurs propres déchets.
Cependant, ce ne sont pas seulement l'Afrique et la Corée du Nord qui souffriront ; les États-Unis sont également touchés. Les agriculteurs du Kansas paient désormais le double pour les engrais à base de potassium et de phosphore et le quadruple pour les engrais à base d'azote. Ils n'ont d'autre choix que de payer ou d'arrêter complètement l'agriculture car les rendements agricoles seront compromis sans cela. Les consommateurs verront probablement ces prix plus élevés des engrais se refléter dans les prix des aliments dans leurs épiceries. De nombreux agriculteurs aux États-Unis devraient avoir du mal à planter leurs cultures de manière rentable cette année, et beaucoup moins de nourriture pourrait être cultivée en conséquence.
La pénurie de puces informatiques pourrait être exacerbée par les tensions taiwano-chinoises L'autre pénurie majeure à surveiller concerne les puces informatiques. Un rapport récemment publié par le ministère du Commerce montre que les stocks de puces dans tout le pays sont de plus en plus minces. La demande d'information sur les risques dans la chaîne d'approvisionnement des semi-conducteurs a indiqué que l'inventaire médian détenu par les consommateurs de puces, tels que les fabricants de dispositifs médicaux et les constructeurs automobiles, est passé de 40 jours en 2019 à moins de cinq jours en 2021.
Une catastrophe naturelle, une instabilité politique ou une autre épidémie de virus perturbant une usine étrangère de semi-conducteurs pendant même quelques semaines peut empêcher les installations de fabrication aux États-Unis de fonctionner, mettant en danger les travailleurs américains et les familles qu'ils soutiennent.
La secrétaire au Commerce, Gina Raimondo, a déclaré que le manque de puces avait entraîné une perte de revenus de 210 milliards de dollars pour les constructeurs automobiles l'année dernière. Dans un article de blog, elle a expliqué que les prix des automobiles étaient à l'origine d'un tiers de toute l'inflation en raison du manque de puces. Les experts disent que si la production de puces continue d'être perturbée cette année, la situation ne fera qu'empirer.
Ce n'est pas un problème avec une solution simple étant donné le temps et l'argent nécessaires à la construction d'usines de puces. Le financement fédéral pourrait être en mesure d'aider à l'approvisionnement à long terme en puces, mais n'aidera pas à court terme. À l'heure actuelle, la plupart des usines de puces sont basées en Asie, en particulier à Taïwan. Avec la montée des tensions entre Taïwan et la Chine, on craint qu'une invasion chinoise de Taïwan ne laisse l'industrie américaine sans accès aux puces informatiques.
Alors que beaucoup d'entre nous espéraient que 2022 serait une année où les choses commenceraient à revenir à la normale, il semble que cela pourrait en fait empirer, avec l'économie mondiale en danger et l'inflation peu susceptible de baisser.
Geology Insider explique pourquoi la crise énergétique mondiale va empirer
PAR TYLER DURDEN JEUDI 03 FÉVRIER 2022 - 06:30 Écrit par Michael Snyder via le blog The Economic Collapse,
Il devient clair que nous avons bien plus de problèmes qu'on ne nous le dit. Ces derniers mois, toutes les formes d'énergie traditionnelle sont devenues nettement plus chères, ce qui alimente les augmentations de prix sur toute la planète. Cette nouvelle crise mondiale de l'énergie est directement responsable de l'augmentation stupéfiante des prix des engrais, elle a entraîné une quantité énorme de douleur à la pompe pour des millions d'Américains moyens, et puisque pratiquement tout ce que nous achetons doit être transporté, c'est une contribution majeure facteur du « boom de l'inflation » auquel nous assistons actuellement. Malheureusement, ce n'est que le début.
J'ai récemment été contacté par un géologue qui a travaillé dans l'industrie pétrolière pendant plus d'une décennie.
Il m'a patiemment expliqué pourquoi les choses n'allaient pas s'améliorer.
Je lui ai demandé si je pouvais partager une partie de ce qu'il m'a envoyé avec vous tous, et il a accepté. Après avoir lu ceci, je pense que vous conviendrez qu'il s'agit d'une évaluation assez peu réjouissante de l'état actuel des choses…
Je suis un géologue qui travaille dans l'industrie pétrolière depuis plus de dix ans. Je venais juste de sortir de l'école à temps pour la révolution du schiste et j'ai travaillé à Denver sur la pièce de Bakken dans le Dakota du Nord, puis j'ai travaillé sur le Permien à partir de Midland. Il s'agissait des deux principales zones de schiste, j'ai donc une connaissance de première main. J'enseigne maintenant les sciences de l'environnement à des lycéens à Amman, en Jordanie.
Quoi qu'il en soit, en 2015, je commençais à voir des rapports provenant d'analystes selon lesquels l'industrie du schiste manquerait de nouveaux endroits pour forer des puits de pétrole de schiste dans le Permien en 2021. Ces rapports ne me disaient rien de nouveau, me donnant juste un date probable. Vous voyez, le forage de schiste fore dans une roche de mauvaise qualité. Avant le schiste, nous n'avions pas besoin de fracturer les puits parce que la qualité de la roche était excellente, mais nous avons foré toute cette bonne roche. Donc, c'est vraiment en train de gratter le fond du baril maintenant et à l'époque, il y avait une reconnaissance que cela ne durerait pas éternellement. Le pétrole est une ressource limitée. Pendant un certain temps, il était à peine économique de forer des puits de schiste parce que les marges de forage dans une roche aussi pauvre étaient légèrement meilleures que ce que vous pouviez gagner sur les intérêts en raison de la politique d'assouplissement quantitatif. Cependant, la plupart des entreprises de schiste n'étaient que des schémas de Ponzi et l'industrie du schiste a perdu des milliards dans son ensemble. Mais le résultat de cette perte de capital a été une production record. Inutile de dire que Wall Street a fini par comprendre qu'ils ne gagnaient pas d'argent et que l'industrie a donc manqué de capitaux. C'est un problème, l'autre est qu'il n'y a vraiment pas beaucoup plus d'emplacements de forage. Tous les bons endroits ont été forés, c'est pourquoi vous ne voyez pas une ruée des entreprises de schiste revenir au forage même si les prix du pétrole augmentent rapidement. Ce manque d'investissement continuera de pousser les prix du pétrole à la hausse.
Une grande partie de la production pétrolière américaine provient désormais de puits de schiste. Le problème avec les puits de schiste est que la production de pétrole décline beaucoup plus rapidement que les puits forés dans ce que nous appelons la roche « conventionnelle ». La production de pétrole conventionnel est en baisse depuis longtemps et le schiste a contribué à compenser la production. Le problème est que, maintenant que le forage de nouveaux puits ralentit, le taux de déclin de la production de pétrole sera beaucoup plus rapide. Partout dans le monde, de nombreux pays qui n'ont pas investi dans le schiste (parce qu'il est sous-économique) ont vu leurs ressources conventionnelles continuer à décliner. Le Venezuela était un important exportateur de pétrole, tout comme la Colombie et le Mexique. Attendez-vous à ce que l'Arabie saoudite ne soit pas loin derrière. Ils mentent depuis des années sur la quantité de pétrole qu'il leur reste réellement.
Comme vous ne cessez de le souligner, ajoutez à cela des guerres ou des catastrophes naturelles et nous aurons de très gros problèmes. Le pétrole est la ressource numéro un sur laquelle repose toute l'économie mondiale. Les prix élevés du pétrole conduisent directement à des émeutes du pain et à l'effondrement des gouvernements (pensez au printemps arabe). Les politiciens ont besoin de pétrole bon marché, mais nous ne le reverrons plus. Certaines personnes dans l'industrie continuent de penser que les nouvelles technologies nous sauveront et nous aideront à développer de nouvelles zones pétrolières. Ils ne pourraient pas avoir plus tort. La technologie de fracturation a été développée pour la première fois dans les années 60. Je peux vous dire qu'aucune nouvelle technologie en cours de développement dans l'industrie pétrolière ne nous sauvera. La physique et la géologie sont contre nous sur ce coup-là, même si nous pourrions développer une technologie. L'éolien et le solaire ne nous sauveront pas non plus, cela nécessiterait un investissement en matériaux et en énergie plus important que celui que nous avons.
Il n'y a aucun moyen de nous en sortir.
Cela signifie que vous allez payer beaucoup plus pour chauffer vos maisons.
Et cela signifie que vous allez également payer beaucoup plus pour faire le plein de votre véhicule à la station-service.
Inutile de dire que vous paierez également beaucoup plus pour la nourriture.
En fait, les prix des denrées alimentaires commencent déjà à exploser. La semaine dernière, Kraft Heinz a annoncé qu'il allait bientôt augmenter les prix de bon nombre de ses produits les plus populaires jusqu'à 30 %…
Kraft Heinz (KHC) a déclaré dans une récente lettre à ses clients qu'il augmenterait les prix en mars sur des dizaines de produits, dont la charcuterie Oscar Mayer, les hot-dogs, les saucisses, le bacon, le fromage Velveeta, le café Maxwell House, les ailes de poulet surgelées TGIF, Boissons Kool-Aid et Capri Sun.
Les augmentations vont de 6,6 % sur les packs frais Velveeta de 12 oz à 30 % sur un pack de trois de bacon de dinde Oscar Mayer. La plupart des charcuteries et des hot-dogs au bœuf augmenteront d'environ 10 % et le café d'environ 5 %. Certains packs de boissons Kool-Aid et Capri Sun augmenteront d'environ 20 %.
Bien sûr, Kraft Heinz n'est certainement pas le seul.
Comme nos collègues de Zero Hedge l'ont justement souligné, d'autres grandes entreprises alimentaires vont bientôt augmenter leurs prix également…
Kraft Heinz n'est que le dernier fabricant grand public à annoncer son intention d'augmenter les prix au début de l'année. La semaine dernière, P&G a annoncé qu'elle augmenterait les prix des détergents à lessive Tide and Gain, de l'assouplissant textile Downy et des feuilles assouplissantes Bounce d'environ 8 % en moyenne en février. Conagra, qui fabrique des marques telles que Slim Jim, Marie Callender's et Birds Eye, a annoncé son intention d'augmenter les prix plus tard cette année.
Pendant longtemps, j'ai spécifiquement averti que les prix des denrées alimentaires deviendraient complètement fous, et maintenant cela commence à se produire sous nos yeux.
Et selon une nouvelle enquête Gallup qui vient d'être publiée, 79% de tous les Américains s'attendent à encore plus d'inflation dans les mois à venir...
Gallup a souligné que les 79 % interrogés dans leur sondage du 3 au 16 janvier, qui ont déclaré s'attendre à une hausse de l'inflation, étaient les plus élevés qu'ils aient mesurés au cours des deux décennies où ils ont posé la question.
"Dans le passé, les Américains ont toujours été plus susceptibles de dire que l'inflation augmentera plutôt que de diminuer, mais l'attente actuelle est plus élevée que d'habitude - en fait, c'est la plus élevée que Gallup ait mesurée dans sa tendance", a écrit l'institut de sondage dans son rapport. Libération.
Les "experts" de la Réserve fédérale pensaient qu'ils pouvaient absolument inonder notre système financier d'argent sans conséquences graves.
De même, nos politiciens à Washington pensaient qu'ils pouvaient emprunter et dépenser des billions et des billions de dollars sans détruire notre monnaie.
Ils avaient tous les deux tort, et maintenant le peuple américain va être absolument choqué par le niveau de souffrance économique que nous allons bientôt endurer.
FAUX et archi-faux ! Le pétrole est comme l'eau, il n'y a pas une goutte de plus ou de moins sur notre planète depuis DES milliards d'années. Le pétrole est abiotique. Cela signifie qu'il se reconstitue 100 % à partir des gaz transformés suite à la combustion.
Alors que le destin de l'Amérique est en jeu, le niveau du mal dans ce pays est hors des charts
1 février 2022 de Michael Snyder
Un déclin de la moralité a précédé l'effondrement de presque toutes les grandes sociétés à travers l'histoire. La décadence morale est souvent citée comme l'une des principales raisons du déclin et de la chute de l'Empire romain, le niveau de méchanceté dans la Grèce antique a atteint un crescendo effrayant avant de finalement tomber, et la dépravation des aristocrates français était si nauséabonde que les citoyens ordinaires ont pris dans les rues et les a décapités pendant la Révolution française. Malheureusement, nous n'avons pas tiré les leçons du passé, et nous semblons donc condamnés à les répéter.
Comme tant d'autres grandes sociétés, nous avons atteint un point où le sort de notre nation est en jeu.
Mais au lieu de se détourner de nos mauvaises voies et de revenir aux valeurs et aux principes sur lesquels ce pays a été fondé, à peu près toutes les formes de mal que vous pouvez imaginer explosent tout autour de nous.
Permettez-moi de vous donner un exemple de ce dont je parle. Si vous pouvez le croire, le fondateur du temple satanique de Detroit vient de prendre une pilule abortive à la télévision en direct.
L'intervieweur lui a demandé si elle était enceinte et elle a répondu par l'affirmative.
En fait, elle a fièrement déclaré que ce sera son troisième avortement.
Certains d'entre vous qui lisent cet article peuvent être tentés de rejeter cet exemple parce que vous pensez que le Temple satanique est un "groupe marginal", mais ces dernières années, ils ont en fait été l'une des organisations religieuses à la croissance la plus rapide en Amérique.
Permettez-moi de changer de vitesse et de partager un autre exemple qui n'implique certainement pas un "groupe marginal". A Boston, un homme de 31 ans se voit refuser une greffe cardiaque simplement parce qu'il n'est pas vacciné...
Un homme qui se bat pour sa vie ne serait pas éligible à une transplantation cardiaque car il refuse de se faire vacciner contre le COVID-19.
DJ Ferguson, 31 ans, a été le premier sur la liste à recevoir un nouveau cœur au Brigham and Women's Hospital (BWH) de Boston, mais n'est plus éligible à la greffe en raison de son statut vaccinal, rapporte CBS Boston.
Malheureusement, ce genre de choses se produit dans tout le pays.
Les personnes gravement malades se voient refuser des greffes et d'autres procédures vitales en raison de leur statut vaccinal.
Je n'aurais jamais pensé que je verrais une telle chose se produire aux États-Unis d'Amérique.
Des gens meurent littéralement à cause des « politiques » que certains hôpitaux ont mises en place.
Ceux qui prennent ces décisions sont très bien payés et sont des membres profondément respectés de leurs communautés.
Mais ils sont aussi incroyablement mauvais, et honnêtement, je ne sais pas comment ils peuvent même dormir la nuit.
Malheureusement, ils sont soutenus par certaines des voix les plus en vue dans les médias grand public. Des célébrités telles que Howard Stern et Whoopi Goldberg se sont exposées comme des autoritaires extrêmes pendant cette pandémie, et il est effrayant de voir combien d'Américains sont réellement d'accord avec eux.
Pendant ce temps, d'innombrables drogues légales et illégales extrêmement dangereuses continuent d'être imposées à nos jeunes. Selon une étude récente, les Américains âgés de 10 à 24 ans ont collectivement perdu 1,2 million d'années de vie à cause d'une surdose accidentelle de drogue entre les années 2015 et 2019...
Des chercheurs de l'Ohio State University, à Columbus, ont recueilli des données auprès des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) pour déterminer le nombre d'années de vie perdues chez les enfants et les adolescents âgés de 10 à 19 ans décédés d'une surdose accidentelle de drogue.
En comparant l'âge du décès à l'espérance de vie moyenne, ils ont découvert que le groupe d'âge avait perdu 200 000 années de vie. Lorsque l'âge de l'étude a été étendu à 24 ans, ils ont trouvé un total de 1,2 million d'années de vie perdues.
Malheureusement, le nombre de décès par surdose de drogue a considérablement augmenté en 2020, et les chiffres définitifs pour 2021 devraient être les plus élevés que nous ayons jamais vus de loin.
Et plus de drogues continuent d'affluer dans nos rues chaque jour qui passe.
Bien sûr, ceux qui sont impliqués dans la distribution des médicaments sont également souvent impliqués dans d'autres activités incroyablement écœurantes.
À ce stade, notre pays ne ressemble en rien à la nation dont les Américains étaient si fiers il y a 50, 60 ou 70 ans. Du sommet à la base de notre société, nos normes morales se sont tellement détériorées qu'il semble presque qu'il ne nous en reste plus.
Tout le monde fait à peu près ce qui est juste à ses propres yeux, ce qui entraîne un chaos complet et absolu.
À ce stade, nulle part n'est vraiment sûr. Vendredi soir, un conflit autour d'un steak a entraîné une bagarre massive dans un restaurant Golden Corral en Pennsylvanie…
Un vendredi soir s'est transformé en mêlée à Bensalem dans un restaurant Golden Corral. Maintenant, la police essaie de comprendre comment cela a commencé.
Un ancien employé du restaurant a déclaré qu'on lui avait dit que la bagarre avait peut-être eu lieu après qu'un client soit devenu furieux lorsque le buffet a manqué de steak.
Une vidéo partagée avec Eyewitness News montre des coups de poing lancés et des chaises hautes volant alors qu'une bagarre éclate à l'intérieur du Golden Corral à Bensalem vendredi soir.
Il est rapporté qu'au moins 40 personnes ont été impliquées dans la bagarre.
Si les gens sont prêts à devenir aussi fous maintenant, qu'est-ce qu'ils seront prêts à faire une fois que les choses commenceront à devenir vraiment folles dans ce pays ?
Les cœurs se refroidissent tellement, et des millions et des millions de nos concitoyens semblent vraiment ne se soucier que d'eux-mêmes.
Dans toute l'histoire du monde, aucune société sans fondement moral solide n'a jamais duré longtemps.
Et nous ne ferons pas exception.
Le temps presse et, malheureusement, le niveau du mal aux États-Unis continue d'augmenter chaque jour qui passe.
L'infrastructure américaine s'effondre sous nos pieds
31 janvier 2022 de Michael Snyder
Vous avez peut-être remarqué que notre nation s'effondre. Dans ce cas, je ne parle pas vraiment de la décadence morale qui ronge les fondements de notre société comme le cancer. Dans cet article, je vais me concentrer spécifiquement sur l'infrastructure physique qui s'effondre littéralement sous nos pieds. À une certaine époque, l'infrastructure aux États-Unis était inégalée dans le monde. Les générations précédentes d'Américains ont construit ce pays à partir de zéro, et je suis très reconnaissant pour le travail acharné qu'ils ont mis dans la construction de notre infrastructure, mais maintenant, il pourrit et se décompose tout autour de nous.
Nos politiciens à Washington ont finalement décidé d'agir en adoptant la loi de 1,2 billion de dollars sur l'investissement et l'emploi dans les infrastructures.
Malheureusement, la majeure partie de cet argent ne sera pas réellement dépensée pour les infrastructures. Selon Newsweek, seulement 44 % de l'argent du projet de loi sera consacré à l'infrastructure, même si vous utilisez la définition la plus large possible de « l'infrastructure ».
Nous avons donc été bluffés.
Encore.
Mais au moins une partie de l'argent va être dépensée pour les infrastructures, et c'est une bonne chose car les routes et les ponts s'effondrent littéralement tout autour de nous.
En fait, le pont Forbes Avenue à Pittsburgh s'est effondré vendredi quelques heures seulement avant que Joe Biden ne visite la ville…
Immédiatement après son atterrissage à Pittsburgh, en Pennsylvanie, vendredi, le président Joe Biden a visité le pont de Forbes Avenue au-dessus de Fern Hollow Creek. Le pont s'est effondré vers 6 h 50 vendredi, quelques heures seulement avant sa visite prévue pour souligner la nécessité d'améliorer l'infrastructure en ruine du pays.
"Nous allons tous les réparer", a déclaré Biden au personnel d'urgence et aux responsables locaux sur le site, faisant référence aux plus de 40 000 ponts à travers le pays qui sont considérés comme en mauvais état. "Cela va être un changement gigantesque."
Biden prétend que nous « allons tous les réparer », mais il ne nous dit pas la vérité.
On rapporte qu'il y a 27,5 milliards de dollars dans la facture d'infrastructure qui sont alloués à la construction et à la réparation des ponts…
La loi sur les infrastructures que le président Biden a adoptée l'année dernière contient 27,5 milliards de dollars spécifiquement pour la construction et la réparation de ponts. La loi distribue les fonds proportionnellement en fonction de l'ampleur des besoins, de sorte que la Pennsylvanie obtiendra le troisième plus grand nombre de tous les États, bien qu'elle soit le cinquième en termes de population. Les premiers 327 millions de dollars ont été distribués à l'État il y a à peine deux semaines.
Malheureusement, la Federal Highway Administration nous dit qu'il faudrait environ 125 milliards de dollars pour réparer ou remplacer les ponts déficients de l'Amérique…
L'American Society for Civil Engineers (ASCE) rend régulièrement compte de la solidité des ponts américains, tandis que la Federal Highway Administration estime le coût de leur réparation ou de leur remplacement à environ 125 milliards de dollars. Ce ne sont pas des lacunes cachées. Ils se cachent à la vue de tous. Il n'y a aucune excuse pour craindre que la prochaine fois que nous traverserons nos ponts, ce soit la dernière.
Alors pourquoi si peu d'argent a-t-il été alloué à nos ponts dans le projet de loi sur les infrastructures?
Quelqu'un devrait poser cette question à Joe Biden, Nancy Pelosi et Chuck Schumer.
Parce que si nous allons dépenser 1,2 billion de dollars que nous n'avons pas, nous devrions au moins pouvoir réparer nos routes et nos ponts.
Selon le Département américain des transports, il y a près de 44 000 ponts aux États-Unis qui sont actuellement en « mauvais état »…
Il y a plus de 3 300 ponts en mauvais état à travers la Pennsylvanie et, par conséquent, l'État reçoit 1,6 milliard de dollars. Le Pittsburgh Post-Gazette a rapporté que le comté d'Allegheny compte le plus grand nombre de ponts en mauvais état dans l'État et que 20% des ponts contrôlés localement - comme la structure de Forbes Avenue - sont en mauvais état.
À l'échelle nationale, le pays compte près de 44 000 ponts en mauvais état, selon le département américain des Transports.
Nos routes sont également dans un état épouvantable. À ce stade, des centaines de milliers de kilomètres de routes dans notre pays sont en mauvais état. Le Texas et la Californie sont les deux États en tête du peloton…
GlassBYTEs.com a rendu compte l'année dernière d'une ventilation état par état des meilleures et des pires routes du pays. La Pennsylvanie a reçu un C- dans le rapport avec 7 540 miles de mauvaises routes qui ont coûté aux automobilistes 620 $ supplémentaires en frais de réparation. Le coût le plus élevé a été signalé à Washington DC avec 1 000 $. La capitale nationale a également reçu la note C-. Le plus grand nombre de kilomètres de mauvaises routes est de 19 400 au Texas, suivi de 14 200 en Californie.
Jusqu'à présent dans cet article, je n'ai parlé que des routes et des ponts, mais nous sommes également confrontés à de nombreux autres défis.
Notre réseau électrique n'a jamais été conçu pour accueillir autant de personnes, et nous avons tous vu la catastrophe épique qui s'est déroulée au Texas l'hiver dernier.
Le manque d'investissement dans nos ports est l'un des facteurs qui a précipité la plus grave crise de la chaîne d'approvisionnement que les États-Unis aient jamais connue.
En matière de transports en commun, nous sommes loin derrière la Chine et les autres grands pays industrialisés.
Nos conduites de gaz naturel sont en si mauvais état que les « accidents » explosifs sont devenus monnaie courante.
Nos systèmes d'approvisionnement en eau et nos réseaux d'égouts ont désespérément besoin d'attention. À Sacramento, en Californie, l'eau qui sort des robinets a souvent un goût de saleté à ce stade.
Inutile de dire que nos chemins de fer sont très obsolètes et pourraient également nécessiter des investissements.
Et s'il vous plaît, ne me lancez pas dans nos aéroports. Comparés aux aéroports d'Asie, d'Europe et du Moyen-Orient, beaucoup de nos aéroports sont une mauvaise blague.
Si tout l'argent du « projet de loi sur les infrastructures » devait être dépensé pour répondre à ces besoins, beaucoup de bien pourrait être fait.
Mais au lieu de cela, des centaines de milliards de dollars iront à des causes sociales favorisées par Nancy Pelosi, Chuck Schumer et Joe Biden.
Donc, nos infrastructures vont continuer à s'effondrer, et c'est extrêmement malheureux.
"Tout le monde a tout volé" - Un autre exemple de l'anarchie totale et totale envahissant les rues d'Amérique
30 janvier 2022 de Michael Snyder
Des hordes de pharmacies locales ferment dans les grandes villes du pays, et ce n'est pas à cause de l'économie. Malheureusement, parce que le vol à l'étalage est devenu si répandu dans des endroits comme New York, Chicago, San Francisco et Los Angeles, les grandes chaînes déterminent qu'il n'est plus rentable de faire des affaires dans de nombreuses communautés. Si j'étais à leur place, je ferais la même chose. Grâce à des politiciens extrêmement indulgents avec le crime, les pillards professionnels se déchaînent et, dans de nombreux cas, les agents de sécurité ont pour instruction de simplement se tenir à l'écart et de les laisser prendre ce qu'ils veulent.
L'autre jour, l'acteur Michael Rapaport a littéralement vu un pilleur professionnel remplir ses sacs alors qu'il parcourait une pharmacie.
Rapaport était absolument furieux, car il dépend de cette pharmacie Rite Aid locale pour ses stabilisateurs d'humeur.
Et je ne pense pas qu'on veuille voir Michael Rapaport sans ses stabilisateurs d'humeur.
Une fois que le pillard a terminé de remplir ses sacs, Rapaport l'a filmé alors qu'il passait devant un agent de sécurité et sortait du magasin.
Mais ce n'est pas là que l'histoire s'est terminée.
Dimanche, Rapaport est retourné à son Rite Aid local, et il a découvert qu'il allait bientôt fermer "parce que tout le monde a tout volé"...
L'acteur Michael Rapaport est retourné dans son quartier Rite Aid dimanche pour trouver des étagères vides quelques jours seulement après avoir vu un voleur effronté sortir calmement du magasin avec deux sacs remplis de biens volés.
"De retour dans mon Rite Aid", a-t-il déclaré dans une vidéo publiée sur son Instagram dimanche. «Et il n'y a rien à voler parce que ce Rite Aid, comme tant d'autres Rite Aids, ferme ses portes parce que tout le monde a tout volé. Et les travailleurs ici ne savent pas s'ils obtiennent des emplois.
Lors de sa visite de retour, un agent de sécurité a déclaré à Rapaport que le magasin était touché par des vols similaires à celui que Rapaport a filmé "de manière quasi quotidienne".
La plupart des détaillants opèrent avec des marges très minces, et donc très peu seraient capables de survivre longtemps dans un tel environnement.
À mesure que les magasins fermeront, les communautés sombres du centre-ville deviendront encore plus sombres.
Ce qui est vraiment triste, c'est que ces escrocs n'ont pas vraiment besoin de piller. Il y a quelques mois, il y avait plus de 10 millions d'offres d'emploi aux États-Unis, et à ce stade, les grands employeurs sont si désespérés pour les gens qu'ils embauchent littéralement n'importe qui avec un pouls.
Au cours de l'année écoulée, des millions de travailleurs ont «disparu» du système, ce qui a créé une pénurie de main-d'œuvre épique.
Ainsi, personne en Amérique n'a besoin de se tourner vers une vie de crime pour survivre.
Mais d'innombrables jeunes le font quand même.
À New York, le taux de criminalité global a augmenté de près de 39 % jusqu'à présent en 2022. Bien sûr, la criminalité n'est pas seulement hors de contrôle dans nos plus grandes villes. L'autre jour, j'ai été profondément attristé d'apprendre un meurtre extrêmement tragique en Alabama…
Le mari assassiné d'un ancien candidat à Miss America a été tragiquement abattu devant sa femme et son fils de deux ans dans un quartier difficile de l'Alabama alors qu'il éduquait des étrangers pauvres sur les pouvoirs de Dieu, disent ses amis et sa famille – quelques jours seulement après le couple a fêté son sixième anniversaire de mariage.
Thomas Hand Jr., 37 ans, qui se considérait comme un chrétien né de nouveau, partageait samedi des informations sur le christianisme à Montgomery avec sa femme et son enfant lorsqu'un homme – marmonnant – s'est approché et lui a tiré dessus, ont déclaré ses amis à DailyMail.com.
Thomas Hand Jr. essayait juste de partager Christ avec un monde perdu et mourant.
Et maintenant, il est passé de l'autre côté.
Je suppose que son meurtrier était probablement drogué. À l'heure actuelle, le problème de la drogue aux États-Unis est le pire qu'il n'ait jamais été, et cela est particulièrement vrai dans les villes de la côte ouest comme San Francisco…
Un nouveau «centre de liaison» visant à connecter les toxicomanes sans-abri avec des centres de désintoxication a ouvert ses portes à San Francisco la semaine dernière – mais des images affligeantes montrent un site de consommation de drogues illicites en plein air qui est maintenant jonché d'aiguilles et bondé de toxicomanes qui tirent en plein jour.
Des images prises par DailyMail.com montrent une femme affalée dans un fauteuil roulant, son pantalon baissé autour de ses chevilles, se préparant à injecter une aiguille dans sa cuisse. La femme assise par terre à côté d'elle a une aiguille dans le cou.
Beaucoup d'autres sont assis par terre parmi les ordures, les contenants de nourriture vides et les couvertures sales, alors qu'ils tâtonnent avec des accessoires de consommation de drogue par temps froid.
Il y a très peu de communautés aux États-Unis qui ne sont pas confrontées à un problème majeur de drogue, et les victimes sont de plus en plus jeunes.
Par exemple, je suis récemment tombé sur l'histoire d'un garçon de 13 ans qui est décédé subitement après une overdose de fentanyl…
Un garçon de 13 ans du Connecticut décédé après une surdose de fentanyl à l'école avait environ 100 sacs du puissant opioïde synthétique dans sa chambre, a indiqué la police.
Les flics de Hartford ont trouvé la drogue puissante lors de l'exécution d'un mandat de perquisition au domicile de l'élève de septième année le 13 janvier après avoir fait une overdose plus tôt dans la journée, ont déclaré mardi des responsables du département dans un communiqué.
Comment diable un garçon de 13 ans peut-il mettre la main sur 100 sachets de fentanyl ?
C'est fou.
Bien sûr, de plus en plus de fentanyl arrive quotidiennement de Chine et du Mexique, mais l'administration Biden semble penser que la sécurité des frontières ne s'applique qu'à l'Ukraine.
Nous sommes au milieu d'un effondrement sociétal complet et total, et nos dirigeants nationaux ne semblent rien vouloir faire pour l'arrêter.
La drogue va donc continuer à circuler.
Et la criminalité va continuer à s'aggraver.
Nous avons vraiment atteint un tournant critique en tant que nation, et le chemin à parcourir semble très, très troublé.
« Nous pouvons ouvrir la société » : la Suède lève presque toutes les restrictions liées au Covid-19
PAR TYLER DURDEN JEUDI 03 FÉVRIER 2022 - 11:00
Lors d'une conférence de presse jeudi matin, le gouvernement suédois a annoncé son intention de supprimer la majorité des restrictions contre le Covid-19 le 9 février, a rapporté Local.se.
La Première ministre Magdalena Andersson, la ministre de la Santé Lena Hallengren et la directrice générale de l'Agence de santé publique, Karin Tegmark Wisell, ont annoncé que presque toutes les restrictions seront supprimées le 9 février et que les personnes travaillant à domicile devraient se préparer à retourner au travail.
"La pandémie n'est pas terminée, mais entre dans une toute nouvelle phase", a déclaré Andersson. "Nous approchons du point de réouverture de la Suède."
Le gouvernement a expliqué que la décision d'ouvrir était basée sur un certain nombre de facteurs, en partie parce qu'Omicron semble être une variante plus bénigne du virus, et en partie que le pourcentage de la population suédoise qui est complètement vaccinée ou qui a pris une dose de rappel continue de augmenter.
"Il existe plusieurs études internationales sur une maladie plus bénigne, et les données que nous avons de la Suède brossent le même tableau", a expliqué Andersson. "Le taux de vaccination en Suède a été élevé ces dernières semaines", a-t-elle poursuivi, précisant que cela signifie que "nous pouvons ouvrir la société, au moins pour tous ceux qui ont été vaccinés".
Près de 50 % des plus de 18 ans en Suède ont reçu leur troisième dose de vaccin et plus de 86 % des plus de 12 ans ont reçu leur première dose. La Suède ne recommande pas les vaccins Covid aux enfants de moins de 12 ans, sauf s'ils sont particulièrement à risque.
La ministre de la Santé, Lena Hallengren, a également déclaré que "le gouvernement envisage de supprimer les restrictions de voyage introduites le 21 décembre pour les pays nordiques", précisant qu'il fournirait plus d'informations dès que possible.
Elle n'a rien dit sur les restrictions de voyage pour les autres pays. Les règles d'entrée actuelles de la Suède pour les arrivées dans l'UE / EEE sont actuellement en vigueur jusqu'au 28 février et au 31 mars pour les personnes venant d'autres pays.
En termes de retour au travail et aux études supérieures, Hallengren a déclaré que "pour éviter une nouvelle vague, le retour au travail et à l'école doit se produire successivement".
Quelles restrictions seront supprimées ?
Les restrictions suivantes seront supprimées la semaine prochaine :
Les événements en salle de 20 à 50 personnes doivent être assis, avec un maximum de 8 par groupe et un mètre entre les groupes
Carte de vaccination nécessaire pour les événements en salle avec plus de 50 participants
Les salons et marchés à l'intérieur doivent exiger un laissez-passer pour les vaccins s'ils ont plus de 50 invités, et le nombre d'invités est plafonné à 500, avec 10 mètres carrés par personne
Les restaurants doivent fermer à 23h, le service d'alcool se terminant à 22h30
Les groupes dans les restaurants peuvent être composés d'un maximum de huit personnes, avec un minimum d'un mètre entre les groupes
Les restaurants proposant des concerts ou d'autres divertissements ne peuvent avoir que des invités assis
Maximum de 20 personnes lors de soirées privées dans des lieux loués
Les magasins doivent avoir un nombre maximum d'invités autorisés, calculé sur une superficie de 10 mètres carrés par personne - cela s'applique également aux gymnases, musées, galeries d'art, parcs à thème et piscines
Transports publics longue distance : tous les voyageurs doivent avoir un siège, si possible
En plus de cela, des recommandations spéciales pour ceux qui n'ont pas encore été vaccinés resteront, ainsi que des recommandations pour rester à la maison en cas de maladie ou si vous pensez avoir le Covid-19.
Covid-19 "n'est plus un danger pour la société"
L'Agence de santé publique estime également que le Covid-19 ne doit plus être classé parmi les maladies présentant un danger pour la société. Par conséquent, l'agence a envoyé une demande au gouvernement afin de reclasser la maladie.
"Le gouvernement traitera cette demande rapidement et présentera également une proposition de loi pour reclasser le Covid-19", a déclaré Hallengren, indiquant que cela pourrait se produire d'ici la fin mars. Une fois que le gouvernement a soumis ces propositions, le parlement prendra la décision finale de les approuver ou non.
La Suède a confirmé son plus grand nombre de nouveaux cas quotidiens de Covid-19 la semaine dernière, le niveau le plus élevé jamais enregistré pendant la pandémie. Il y a également eu une nette augmentation du nombre de décès liés à Covid et d'admissions en soins intensifs le mois dernier, mais pas autant que lors des vagues précédentes.
Avec plus de 16 000 morts à ce jour, le nombre de morts en Suède est conforme à la moyenne européenne, mais est bien plus élevé que ceux de la Norvège, de la Finlande et du Danemark voisins.
Le Danemark est devenu mardi le premier pays de l'Union européenne à lever la plupart de ses restrictions nationales sur le Covid-19, suivi plus tard dans la journée par la Norvège.
Vaccin Pfizer contre le covid : Castex, Véran et les autorités ont-ils mis en danger la vie d’autrui ?
RépondreSupprimerChristine Cotton : son rapport d'expertise pose de graves questions sur le non-respect des bonnes pratiques cliniques et l'aval des autorités...
le 01/02/2022 à 11:02
Christine Cotton et Xavier Azalbert,
pour FranceSoir
Un rapport de Christine Cotton, bio-statisticienne, ancienne PDG d’une société de recherche sous contrat (CRO) pour l’industrie pharmaceutique pendant 23 ans, soulève de graves interrogations sur la responsabilité du Premier ministre, du ministre de la Santé, des responsables des autorités sanitaires ainsi que des médecins qui se sont faits leur relais médiatiques, dans la politique vaccinale mise en place en 2021.
En effet, par négligence ou incompétence, la vie d’autrui a pu être mise en danger par Jean Castex (Premier Ministre), Olivier Véran (ministre de la Santé et des solidarités), Christelle Ratignier-Carboneil (directrice de l’Agence nationale de sécurité du médicament), Dominique Le Guludec (présidente de la Haute autorité de santé), ainsi que par des médecins comme Karine Lacombe, Gilbert Deray, ou Jérôme Marty, qui sont venus parler de l’efficacité vaccinale contre la transmission et la contagion.
Le rapport de l’expert montre que :
« les résultats fournis dans les différents rapports de Pfizer, examinés dans l'urgence par les différentes autorités sanitaires ne peuvent pas être considérés comme intègres et fiables du point de vue des bonnes pratiques cliniques, biaisant ainsi l'évaluation du rapport bénéfice/risque supposé favorable du vaccin Comirnaty.
De nombreux risques identifiés et des informations manquantes entraine que la poursuite de l’utilisation du vaccin Comirnaty en vie réelle présente un risque important pour la vie des personnes.
Il est nécessaire de suspendre en urgence tout vaccination Comirnaty, non seulement pour les populations pour lesquelles nous sommes dénués d'informations à ce jour, mais aussi pour l’ensemble des populations.
Les personnes citées plus haut ont procédé par affirmations péremptoires sur des éléments qui n’ont jamais été prouvés à partir des documents soumis par le laboratoire Pfizer aux autorités, à aucun moment – ni avant leurs affirmations, ni après. Il existe un adage juridique qui dit que « la fraude corrompt tout ». De ce fait, ces personnes ont trompé la population française et l’ont ainsi mise en danger.
Le principe de précaution aurait voulu que les autorités de santé posent des questions, notamment sur la méthodologie de détermination du critère d’évaluation principal dans les essais cliniques sur lequel est basé les calculs de l’efficacité vaccinale annoncée, comme il en est l’usage en général avant toute mise sur le marché de médicament. Dans le cas présent, avec une maladie considérée comme contagieuse et mortelle dans le monde entier et ayant engendré des mesures d’accélération d’essais cliniques sans précédent, il eut été conforme aux bonnes pratiques de vérifier doublement les résultats avant d’engager une campagne de vaccination de masse.
RépondreSupprimerDe plus, il y a donc une totale incohérence entre les messages délivrés par les ministres, les représentants des agences sanitaires et les médecins dépêchés sur les plateaux de télévision (sans déclaration préalable de liens d’intérêts), et les résultats des études présents dans les rapports, et pourtant disponibles en accès libres. Un scandale sanitaire sans précédent se profile.
L’ANSM aurait pu émettre un avis contraire aux recommandations de l’Agence européenne
Sur la base du rapport d’expertise de Christine Cotton, la responsabilité des personnes citées ci-dessus est engagée. L’ANSM (agence nationale de sécurité et du médicament) aurait pu émettre un avis inverse aux recommandations de l’Agence européenne du médicament (EMA).
Dans son dernier debriefing, dédié à la mémoire de Maxime Beltra, décédé à l’été 2021 quelques heures après l’administration de sa deuxième dose de vaccin Pfizer, Christine Cotton, plus que rodée à la rédaction des méthodologies des essais (rédaction des protocoles, plans d’analyses statistiques …), au suivi des essais (recueil et nettoyage des données) et analyses statistiques, revient sur le rapport d’expertise qui a formé la base d’une procédure judiciaire visant à demander la suspension immédiate du vaccin Pfizer au Canada.
Cette procédure a fait l’objet d’une audience en cours d’appel au Québec avec Me Gloriane Blais, ce 31 janvier 2022. Christine Cotton a conclu, au terme d’un rapport argumenté que « les rapports de Pfizer ne permettent de conclure ou de porter les messages » sur l’efficacité des vaccins, sur la contagion et la transmission de la maladie, comme annoncé par les politiques, décideurs des agences réglementaires et médecins des plateaux télévision. Elle a fait l’analyse de tous les documents disponibles publiquement et s’interroge : pourquoi et comment ce travail n’a-t-il pas été effectué par nos autorités, comme cela est le cas en temps normal ? Elle rappelle aussi que chaque intervenant d’un essai clinique doit suivre un nombre conséquent de recommandations regroupées sous le nom de « bonnes pratiques cliniques » visant à contrôler et minimiser le risque d’erreur de mettre sur le marché un produit inefficace, voir potentiellement dangereux (biais méthodologiques)
Retrouvez dans son debriefing ci-dessous le détail de son rapport :
Dans la conclusion de son rapport d’expertise, Christine Cotton explique que : « Les résultats fournis dans les différents rapports cliniques de Pfizer, ayant été examinés dans l'urgence par les différentes autorités sanitaires, tant en termes d'efficacité (cas symptomatiques, cas graves...), d'immunogénicité, que de sécurité ne peuvent pas être considérés comme intègres et fiables du point de vue des Bonnes Pratiques Cliniques, biaisant ainsi l'évaluation du rapport bénéfice/risque supposé favorable du vaccin Comirnaty. »
RépondreSupprimerElle conclut sur le fait que les nombreux risques identifiés et les informations manquantes, ont pour conséquence que « la poursuite de l’utilisation du vaccin Comirnaty en vie réelle présente un risque important pour la vie des personnes ». En tant qu’experte, elle juge « qu’il est nécessaire de suspendre en urgence tout vaccination Comirnaty, non seulement pour les populations pour lesquelles nous manquons d'informations à ce jour, mais aussi pour l’ensemble des populations ».
Les messages des autorités ne sont pas confirmés par les rapports de Pfizer
Les documents de Pfizer ne permettent pas de conclure sur l’efficacité vaccinale contre la contagion, la transmission et les formes graves (rapport du 10 décembre 2020).
En repartant sur le communique de presse de Pfizer du 14 décembre 2020, et page 73 du plan de gestion des risques rédigé par Pfizer ; les informations sur les risques et données manquantes sont les suivantes : utilisation chez les femmes enceintes, chez les immunodéprimés, chez les patients fragiles présentant des comorbidités (diabète), chez les patients souffrants de maladies auto-immunes ou inflammatoires, l’interaction avec d’autres vaccins et la tolérance à long terme.
En décembre 2020, ces informations étaient disponibles (page 73 du Plan de Gestion des Risques du 30 décembre 2020).
- voir cadre sur site -
Elles sont toujours présentes à l’identique dans le Plan de Gestion des Risques mis à jour le 25 novembre 2021 (Page 111) – la seule différence est l’ajout du risque important de péricardite et myocardite.
- voir cadre sur site -
Ceci montre bien l’incohérence entre les données factuelles des rapports et le message délivré aux Français par les pouvoirs publics, entre autres confirmé par le message que l’on peut voir ce jour sur le site de l’EMA : l’impact de la vaccination avec Comirnaty n’est pas encore connu pour la transmission.
- voir cadre sur site -
Pour finir, le laboratoire Pfizer énumère le 9 avril 2021 dans la section Bénéfices inconnus et données manquantes, page 47 :
Les bénéfices inconnus et les lacunes dans les données associées au vaccin COVID-19 de Pfizer-BioNTech lorsqu'il est utilisé chez les adolescents âgés de 12 à 15 ans; ils sont les mêmes que ceux détaillés dans le mémorandum autorisant le vaccin pour une utilisation d'urgence chez les personnes âgées de 16 ans et plus. Ils sont relatifs à :
RépondreSupprimerDurée de la protection
Efficacité dans certaines populations à haut risque de COVID-19 sévère
Efficacité chez les personnes déjà infectées par le SARS-CoV-2
Efficacité future du vaccin, influencée par les caractéristiques de la pandémie
L'évolution du virus et/ou les effets potentiels des co-infections.
Efficacité du vaccin contre l'infection asymptomatique
Efficacité du vaccin contre les effets à long terme de la maladie COVID-19
Efficacité du vaccin contre la mortalité
Efficacité du vaccin contre la transmission du SARS-CoV-2. »
La longue liste ci-dessus concernant la non-connaissance d’un produit utilisé depuis près de six mois en vie réelle sur des millions de personnes apparaît plus qu’inquiétante. Pfizer reconnait ici, bien que de manière détournée, l’impuissance de son vaccin à agir contre les infections asymptomatiques, et donc de fait à freiner la transmission du virus, comme démontré dans le rapport d’expertise, le critère principal choisi ne pouvant prétendre à une quelconque efficacité en la matière. En dépit de ces incertitudes, la FDA autorisait l’utilisation d’urgence pour les 12-15 ans le 10 mai 2021.
La représentation nationale a pu être flouée
En juillet 2021, la représentation nationale (Assemblée nationale et Sénat) a voté l’obligation vaccinale des soignants et d’autres corps sur une interprétation erronée des informations mises à disposition par les laboratoires. La responsabilité des décideurs nationaux est ainsi engagée, du fait que ces derniers n’ont pas fait le travail de revue habituel. Les membres de la commission mixte paritaire ont d’ailleurs fait l’objet d’une plainte pénale à ce sujet.
De plus, l’association BonSens.org avait aussi délivré un courrier aux députés et sénateurs dès juillet 2021 avertissant « vous ne pouvez voter sur des informations déloyales ». Le docteur en biochimie Jean-Francois Lesgards avait rédigé une lettre d’information à cet égard aux sénateurs ainsi qu’un document sur la toxicité de la protéine Spike – il a aussi rappelé dans une tribune ne pas être « antivax » mais « antispike », afin d’éviter le débat binaire que l’on retrouve dans les médias mainstream, qui réduisent les personnes opposées à la vaccination covid à des antivax non éduqués – une caractérisation désobligeante pour les nombreux chercheurs émettant des réserves pourtant argumentées sur ces pseudo-vaccins à ARN messager.
Des millions de Français « trompés »
En conséquence, c’est la vie de plus de 50 millions de Français qui ont été se faire vacciner sur la base des annonces du gouvernement qui pourrait être affectée.
L’avocat Eric Lazzarone a d’ailleurs porté plainte contre le laboratoire Pfizer sur la base des contrats, de type marchés publics, qui sont unilatéralement en faveur des laboratoires alors que ces derniers ne contribuent pas au fond d’assurance de l’ONIAM – (Office National d'Indemnisation des Accidents Médicaux, des Affections Iatrogènes et des Infections Nosocomiales).
RépondreSupprimerVoir aussi : L'Etat doit engager pleinement sa responsabilité d'une vaccination obligatoire "de facto", pour Alain Houpert et Philippe Gosselin
Le Dr Devilleger, cardiologue, ainsi que l’association BonSens.org, demandent la création d’une commission d’enquête sénatoriale sur les effets secondaires des injections anti-covid-19 de même que l'arrêt immédiat des injections, et ont lancé une pétition officielle (la pétition se trouve sur le lien suivant petitions.senat.fr/initiatives/i-917) sur le site du Sénat à cet effet. Étant donné l’aspect officiel de cette pétition, les signataires doivent s’identifier au travers du site franceconnect. Cette pétition a déjà recueilli près de 30 000 signataires. Un des administrateurs de l’association BonSens.org déclare « il est essentiel que l’on atteigne 100 000 signatures rapidement ».
Un scandale majeur se profile qui pourrait dépasser les plus grands scandales sanitaires de tous les temps.
Documents mis à disposition
1. Le rapport d’expertise préparé par Christine Cotton – téléchargeable, tous droits réservés (copyright)
2. Les diapositives de la présentation utilisées lors du debriefing de Christine Cotton
3. Le plan de gestion des risques Pfizer 2020
Voir aussi : Debriefing Essais Pfizer sur le vaccin anti-covid : Christine Cotton analyse et dénonce
Auteur(s): Christine Cotton et Xavier Azalbert, pour FranceSoir
https://www.francesoir.fr/societe-sante/vaccin-covid-castex-veran-ont-ils-mis-en-danger-la-vie-dautrui
Là où je ne suis pas d'accord avec Christine Cotton c'est dans la contamination.
SupprimerOn ne peut se contaminer QUE lorsqu'il s'agit de microbes pas lorsqu'il s'agit de poussières ! (appelées 'virus')
Car, ces nouvelles poussières (dites 'intelligentes') NE SONT PAS DANS L'AIR mais uniquement disponibles en flacons et seringues !
Pour être contaminé il faut respirer du vivant (microbes).
Maintenant, il est tout-à-fait possible que des personnes qui se sont faites inoculer transmettent sexuellement des milliers (millions ?) de nano-particules d'oxyde de graphène.
Rappel que quelqu'un qui est empoisonné (c'est le cas avec ces expérimentations géniques d'essais) ne peut transmettre son poison en expirant.
Le maire allemand publie un décret autorisant les manifestants antivaxx à être abattus à vue
RépondreSupprimermardi 01 février 2022
par : Ramon Tomey
(Natural News) Le maire d'une ville du sud de l'Allemagne a publié un décret autorisant l'utilisation d'armes pour réprimer les manifestants anti-vaccins et anti-lockdown. Il a fait valoir qu'une telle méthode constituait une réponse "proportionnée et nécessaire" contre les manifestants.
Le maire d'Ostfildern, Christof Bolay, a publié le "décret général" interdisant les rassemblements anti-vaccins et anti-confinement le 26 janvier. Il est entré en vigueur le 28 janvier. Le décret de Bolay a autorisé le recours à la "contrainte directe" - y compris la violence physique et l'utilisation d'armes – contre ceux qui protestent contre les vaccins et les restrictions contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19).
On ne sait pas si le conseil municipal a été impliqué dans la question. Le décret stipule que le recours aux armes et à la violence physique est « proportionné et nécessaire » car il n'existe aucun autre moyen de décourager les marcheurs potentiels anti-vaccin et anti-confinement.
« Afin de garantir le respect de l'interdiction de réunion, le recours à la coercition directe, c'est-à-dire l'influence exercée sur les personnes par la simple violence physique, les outils de violence physique ou l'utilisation d'armes est … proportionné après avoir pesé les intérêts en conflit [et] nécessaire », a déclaré l'édit du 26 janvier.
Fait intéressant, la ville du sud de l'Allemagne n'a pas encore organisé de soi-disant «marches anti-vaccins». La dernière « marche » enregistrée qui s'est déroulée dans la ville comptait moins de 150 participants.
Néanmoins, plusieurs politiciens du Bundestag – le parlement allemand – ont dénoncé le décret de Bolay.
Le membre du Bundestag, Jan Korte, du Parti de gauche, a qualifié l'ordre de "simplement inconstitutionnel, complètement disproportionné et caractérisé par une compréhension autoritaire de l'État". Il a ajouté : "La liberté de réunion et de manifestation fait partie intégrante de l'État de droit démocratique".
Alice Weidel, qui dirige le parti de droite Alternative pour l'Allemagne, a déclaré que des dirigeants tels que Bolay "empruntent une voie dangereuse [et] erronée qui menace l'État de droit et la démocratie". Elle a réitéré que "les interdictions générales et les menaces de violence sont une attaque disproportionnée et illégale contre un droit central à la liberté". (Connexe: Josh Sigurdson parle des manifestations mondiales contre les mandats de vaccin Covid.)
Les responsables allemands expriment leur inquiétude et leur dédain face aux manifestations
RépondreSupprimerMalgré l'opposition de certains politiciens, d'autres responsables ont approuvé le décret de Bolay. La ministre fédérale de l'Intérieur, Nancy Faeser, a déclaré à propos des manifestations : « Les manifestations se multiplient, [mais] ce qui augmente surtout, c'est la participation accrue des extrémistes de droite. Faeser, qui est membre du Parti social-démocrate d'Allemagne, a comparé les marches à une forme de "rébellion contre l'État".
Thomas Strobl, le ministre de l'Intérieur de l'État du Bade-Wurtemberg où se trouve Ostfildern, a partagé les sentiments de son homologue fédéral. « Les honnêtes citoyens ne participent pas aux manifestations interdites. Ils suivent également les demandes de la police et respectent les règles », a-t-il déclaré.
D'autre part, le ministre bavarois de l'Intérieur, Joachim Herrmann, a mis en garde contre l'amalgame entre les manifestations et les manifestants. "Cela fait partie de la liberté d'expression et de réunion que les opposants aux mesures [coronavirus] et les critiques de la vaccination obligatoire [COVID-19] peuvent démontrer", a-t-il déclaré.
L'édit de Bolay et les commentaires d'autres politiciens allemands à ce sujet sont intervenus alors que le gouvernement fédéral a exprimé sa «sérieuse inquiétude» concernant les manifestations anti-verrouillage et anti-vaccins ces dernières semaines. Les nombreuses protestations contre les mandats de vaccination contre le COVID-19 et d'autres restrictions sont les plus répandues de l'histoire du pays.
Un rapport du journal allemand Die Welt a déclaré que des manifestations contre les verrouillages et les vaccins ont eu lieu dans plus de 1 000 endroits à travers le pays en une seule journée. "Le gouvernement est préoccupé par les actions décentralisées", a déclaré le journal, citant une source qui a qualifié "l'immensité" des manifestations de "déprimante".
Die Welt a cité des chiffres du gouvernement qui ont déclaré que 1 046 manifestations distinctes à travers l'Allemagne, avec environ 188 000 participants, ont été signalées. "Jamais auparavant dans l'histoire de la République fédérale [d'Allemagne] il n'y a eu de manifestations aussi généralisées que ces dernières semaines."
Plus d'histoires liées :
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Un survivant de l'Holocauste met en garde contre des mesures COVID-19 similaires aux politiques d'assujettissement de l'Allemagne nazie.
Regardez la vidéo ci-dessous de Josh Sigurdson parlant des manifestations anti-vaccins et anti-lockdown en Allemagne et dans d'autres parties du monde.
- voir sur site -
Cette vidéo provient de la chaîne World Alternative Media sur Brighteon.com.
Fascism.news a plus d'histoires sur des responsables gouvernementaux réprimant les manifestations contre les mandats draconiens de COVID-19.
https://www.naturalnews.com/2022-02-01-german-mayor-decree-allows-shooting-antivaxx-protesters.html
Une nouvelle étude sur l'ivermectine "devrait convaincre tout opposant" : Dr Pierre Kory
RépondreSupprimerMardi 01 février 2022
par : Rédacteurs en chef
(Natural News) Une étude récemment publiée indiquant que l'ivermectine antiparasitaire fonctionnait bien comme prophylactique contre le virus qui cause le COVID-19 devrait aider à influencer les critiques du médicament, selon le Dr Pierre Kory, président de Front Line COVID-19 Alliance des soins intensifs (FLCCC).
(Article de Zachary Stieber et Jan Jekielek republié de TheEpochTimes.com)
« Cela devrait convaincre tout opposant », a déclaré Kory aux « leaders d’opinion américains » d’Epoch Times. "Ce qu'ils ont trouvé était stupéfiant."
La ville brésilienne d'Itajaí a lancé un programme qui a donné de l'ivermectine à tous les résidents qui en voulaient. La période qui a été étudiée était du 7 juillet 2020 au 2 décembre 2020.
Les chercheurs ont découvert que le programme, auquel participaient plus de 100 000 résidents, était lié à une baisse de 44% des cas de COVID-19.
Environ 3,7% des utilisateurs d'ivermectine ont contracté la maladie pendant la période d'essai, contre 6,6% des résidents qui n'ont pas pris le médicament.
Le programme a également été associé à une diminution statistiquement significative des hospitalisations et de la mortalité.
L'étude évaluée par des pairs a été publiée dans Cureus le 15 janvier.
« L'ivermectine DOIT être considérée comme une option, en particulier pendant les épidémies », a déclaré le Dr Flavio Cadegiani, l'un des auteurs de l'étude et membre fondateur du FLCCC, à Epoch Times dans un e-mail.
Le FLCCC se concentre sur le traitement précoce du COVID-19, la maladie causée par le virus du PCC (Parti communiste chinois). Le groupe recommande l'ivermectine depuis début 2020.
Kory a déclaré que l'absence de rapports sur l'étude malgré son examen par les pairs souligne à quel point certains développements scientifiques sont ignorés par de nombreux médias et scientifiques.
«On pourrait penser que cela ferait la une des journaux partout. Et pourtant, rien. Et ce n'est pas nouveau, cette censure de cette science et de ces preuves très efficaces autour des médicaments réutilisés. La censure, ce n'est pas nouveau, ça devient juste de plus en plus absurde. Et il faut que ça s'arrête », a-t-il dit.
Les études sur l'ivermectine contre le COVID-19 ont montré des résultats mitigés, certaines étant associées à peu ou pas d'avantages et d'autres suggérant un avantage important. Il a été largement utilisé en Inde et dans d'autres pays à titre préventif, mais aux États-Unis et dans une grande partie de l'Europe, de nombreux organismes officiels de santé déconseillent son utilisation ou ne l'approuvent pas.
L'ivermectine a été approuvée pour certaines utilisations par la Food and Drug Administration, mais pas pour une utilisation contre le COVID-19. Cela signifie que les médecins peuvent le prescrire hors AMM.
Le comité des directives de traitement COVID-19 des National Institutes of Health indique actuellement qu'il n'y a pas suffisamment de preuves pour déconseiller ou non l'utilisation de l'ivermectine pour traiter le COVID-19. Il n'aborde pas son utilisation potentielle comme prophylactique.
RépondreSupprimerAlors que la nouvelle étude a été célébrée par certains, d'autres ont remis en question les résultats et ont souligné que les divulgations de conflits d'intérêts montrent que Cadegiani et un autre auteur ont reçu un financement ou contracté avec Vitamedic, une société qui fabrique de l'ivermectine.
Gideon Meyerowitz-Katz, un épidémiologiste australien, par exemple, l'a appelé "un exemple assez simple de recherche observationnelle que vous feriez sur des données médicales de routine", mais a allégué que les contrôles des facteurs de confusion tels que la profession et les facteurs de risque étaient "assez inadéquats étant donné le but."
Cadegiani a déclaré que la critique n'était pas fondée, affirmant qu'il n'était pas convaincu avant l'étude que l'ivermectine fonctionnerait comme médicament préventif et que les chercheurs contrôlaient "tous les facteurs pertinents", y compris les comorbidités, l'âge, le sexe et la race.
"Leur incapacité à se concentrer sur les données fournies par l'étude elle-même est … la preuve de l'extrême qualité de l'étude", a déclaré le médecin, ajoutant plus tard que "Pour nous, c'est la meilleure étude observationnelle sur COVID-19 à ce jour, avec une puissance presque équivalente à un énorme essai clinique randomisé.
Les chercheurs prévoient de publier plusieurs articles supplémentaires concernant le programme, y compris des articles sur les effets biochimiques de l'ivermectine et l'efficacité du médicament pour prévenir l'hospitalisation.
En savoir plus sur : TheEpochTimes.com
https://www.naturalnews.com/2022-02-01-study-on-ivermectin-should-convince-any-naysayer.html
COUPS DE MORT: près d'un demi-million d'avortements spontanés ont été causés par des «vaccins» covid
RépondreSupprimerMardi 01 février 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) Le Dr Jessica Rose a compilé une nouvelle analyse montrant que les femmes enceintes du monde entier subissent des avortements spontanés après avoir été « vaccinées » contre le coronavirus de Wuhan.
Son enquête a révélé qu'à ce jour, plus de 416 186 bébés à naître sont morts à cause des injections. Elle en a informé les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis, mais n'attend aucune réponse.
En utilisant les données publiées par le Département de la Défense (DoD), le Dr Rose a calculé un facteur de sous-déclaration (URF) pour les avortements spontanés dans le VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System) de 118.
«Puisqu'il y a 3 527 rapports d'AS aux États-Unis en 2021, cela représente 416 186 événements réels», explique Steve Kirsch, notant qu'environ 99% d'entre eux étaient, en fait, causés par les piqûres. (En relation: les piqûres de Covid nuisent également aux enfants qui sortent de l'utérus.)
"En utilisant les données DMED, la moyenne sur cinq ans était de 1 499 codes pour les fausses couches par an. Au cours des 10 premiers mois de 2021, il était de 4 182. C'est donc 3,4 fois le taux de base (lorsqu'il est étendu à un taux annuel). "
Gardez à l'esprit que les femmes enceintes n'ont même jamais été incluses dans les essais de vaccins, même si le CDC continue de les exhorter à se faire injecter afin «d'aplatir la courbe».
"C'est une faute médicale de recommander les vaccins aux femmes enceintes", déclare le Dr Rose. "Le CDC les a déclarés à plusieurs reprises sans danger pour les femmes enceintes sans données complètes."
Les données du VAERS montrent que les piqûres de covid endommagent les organes reproducteurs des femmes
Les données de biodistribution antérieures du Dr Rose, qui portaient spécifiquement sur les ovaires des femmes, prédisaient exactement cela. Il indiquait que les femmes enceintes qui se faisaient piquer souffraient de graves problèmes de reproduction, ce que nous voyons maintenant.
Kirsch a écrit un article d'analyse VAERS en novembre qui contient plus d'informations à ce sujet.
"Le taux de fond des avortements spontanés selon le Dr Nathan T. Thomas (Board Certified in Obstetrics and Gynecology) est de 1/5 femmes avec une grossesse reconnue", explique le Dr Rose sur son blog, ajoutant que 15 à 20% des femmes reconnues les grossesses se terminent par un avortement spontané.
C'est un nombre énorme, juste pour être clair. Jamais auparavant dans l'histoire un soi-disant "vaccin" n'a jamais été aussi profondément mortel, et aucun n'a jamais été poussé aussi fort que les vaccins contre la grippe Fauci au cours de la dernière année.
D'autres recherches publiées dans le New England Journal of Medicine (NEJM) suggèrent des résultats encore pires pour les femmes enceintes qui se font piquer par le covid.
Jusqu'à 8 femmes sur 10, soit 80%, qui se font injecter Fauci Flu avant le troisième trimestre, selon cette étude, finissent par souffrir d'une grossesse ratée, qu'il s'agisse d'une fausse couche, d'une mortinatalité, d'une naissance vivante ou d'une autre anomalie.
L'étude a suivi près de 4 000 femmes qui ont reçu l'injection d'ARNm Pfizer-BioNTech ou Moderna avant et pendant la grossesse. Parmi eux, 92 participants (2,3 %) ont reçu les piqûres avant la conception, tandis que 1 132 (28,6 %) ont reçu les piqûres au cours du premier trimestre.
RépondreSupprimerAu total, 1 714 (43,4 %) ont reçu une injection au deuxième trimestre et 1 019 (25,7 %) au troisième trimestre.
"Parmi 827 participantes qui ont eu une grossesse terminée, la grossesse s'est soldée par une naissance vivante chez 712 (86,1 %), un avortement spontané chez 104 (12,6 %), une mortinatalité chez 1 (0,1 %), et d'autres issues (provoquées). avortement et grossesse extra-utérine) sur 10 (1,2%). Au total, 96 des 104 avortements spontanés (92,3 %) sont survenus avant 13 semaines de gestation (tableau 4) et 700 des 712 grossesses ayant abouti à une naissance vivante (98,3 %) concernaient des personnes ayant reçu leur première dose de vaccin admissible dans la troisième trimestre », a révélé l'étude.
Un premier regard sur ces données suggère que seule une femme sur huit, soit 12,5%, subit une fausse couche à cause des injections. Cependant, l'étude s'est concentrée spécifiquement sur l'impact du covid jab sur la grossesse, y compris par trimestre.
"Donc, pour calculer plus précisément le taux de fausses couches, nous devons nous rappeler que les fausses couches, par définition, se produisent avant la 20e semaine de gestation", a rapporté le magazine Evie.
«Cela signifie que les 700 femmes qui ont reçu le vaccin au troisième trimestre doivent être exclues du calcul car elles avaient déjà dépassé le stade de la possibilité de faire une fausse couche technique. Donc vraiment, 104 femmes sur 127 ont fait une fausse couche.
Les dernières nouvelles sur le vaccin contre la grippe Fauci sont disponibles sur ChemicalViolence.com.
The latest Fauci Flu shot news can be found at ChemicalViolence.com.
Sources for this article include:
SteveKirsch.substack.com
NaturalNews.com
SteveKirsch.substack.com
EvieMagazine.com
https://www.naturalnews.com/2022-02-01-half-million-spontaneous-abortions-caused-covid-vaccines.html
Justin Trudeau est un maladroit et une menace pour sa nation
RépondreSupprimerPar Vasko Kohlmayer
3 février 2022
Début janvier, Justin Trudeau, le premier ministre du Canada, a publié un message sur Twitter dans lequel il annonçait qu'il venait de recevoir son rappel du vaccin Covid et exhortait les autres à faire de même.
Fin janvier, Justin Trudeau a posté un message sur Twitter dans lequel il annonçait avoir été testé positif au Covid-19.
Étonnamment, à la fin de son message, Trudeau a exhorté tout le monde à se faire vacciner même s'ils n'ont pas réussi à le protéger de la maladie. "Tout le monde, s'il vous plaît, faites-vous vacciner et faites-vous booster", a-t-il insisté.
Le message de Trudeau montre la profondeur de l'irrationalité - à la limite de la folie - dont beaucoup ont été victimes. Nous proposons d'appeler ce phénomène le syndrome de folie vaccinale (VIS). Ceux qui souffrent de VIS ont largement perdu le contact avec la réalité et des choses comme le bon sens, les preuves et la logique ne gagnent plus de terrain dans leur réflexion.
Juste pour résumer l'absurdité de toute la situation : ayant déjà été vacciné, Trudeau reçoit un rappel supplémentaire et trois semaines plus tard contracte le Covid-19.
Pour le dire autrement, peu de temps après avoir reçu sa troisième injection, le premier ministre du Canada tombe malade de la maladie même contre laquelle ces injections « efficaces » étaient censées le protéger.
Mais plutôt que de se repentir de son erreur, il va sur Twitter et conseille aux Canadiens de faire de même.
Où est la logique là-dedans ? Covid a-t-il affecté le cerveau de Trudeau ? Ou était-ce les injections qui ont en quelque sorte diminué sa capacité de pensée et de réflexion ?
Au contraire, Trudeau devrait être la « pièce à conviction 1 » pour expliquer pourquoi les gens ne devraient pas se faire vacciner et faire un rappel, puisqu'il est maintenant l'affiche du Canada pour l'échec des vaccins.
Pourquoi, alors, dit-il aux Canadiens de faire ce qu'il a fait ?
Ce ne peut pas être parce que les vaccins et les rappels les protégeront contre l'infection. Le contraire est, en fait, le cas.
Les données provenant du monde entier montrent que les vaccinés sont plus susceptibles d'être infectés que les non vaccinés. Selon Steve Kirsch, "Les chiffres de l'étude danoise décrite ci-dessous sont maintenant confirmés par les données gouvernementales allemandes montrant que les personnes vaccinées sont 8 fois plus susceptibles de développer Omicron que les personnes non vaccinées. Ce n'est pas surprenant puisqu'un article allemand a montré la même chose : plus vous vaccinez, plus ça s'aggrave.
Justin Trudeau, cependant, n'a pas besoin d'aller à l'étranger pour apprendre l'échec d'un vaccin. Vous trouverez ci-dessous un tableau de l'Ontario qui donne le nombre de cas en fonction du statut vaccinal. Vous remarquerez que le nombre de personnes entièrement vaccinées est plus de trois fois supérieur à celui des personnes non vaccinées.
Vous pensez peut-être que Trudeau exhorte peut-être ses compatriotes à se soumettre aux vaccins, car cela les immunisera contre le Covid sévère. Mais ce n'est pas non plus le cas. En Angleterre, en Écosse, en Israël et au Danemark, par exemple, les personnes ayant reçu un rappel et vaccinées représentent l'essentiel des hospitalisations et des décès liés au Covid. En Écosse, au cours de la deuxième semaine de janvier, 87 % des décès liés à Covid sont survenus parmi les vaccinés.
Dans la province canadienne de l'Alberta, tant de personnes contractaient et mouraient de Covid après avoir reçu leur vaccin que le gouvernement a décidé de supprimer les données d'Internet afin que les gens ne puissent pas voir la vérité.
RépondreSupprimerIl y a quelques semaines, une étude israélienne a révélé que les vaccins ne sont «pas assez bons» contre Omicron, qui est la souche prédominante au Canada ainsi que dans le reste du monde.
Non seulement ces coups ne sont «pas assez bons», mais ils se révèlent également dangereux. Pour le voir, il suffit de regarder l'explosion des rapports de décès et autres effets indésirables dans la base de données VAERS qui a coïncidé avec l'introduction des vaccins Covid fin 2020. Cela n'a pas échappé aux chercheurs du monde entier et à ce jour, plus d'un millier d'articles et d'études ont été publiés dans des revues scientifiques et des magazines à comité de lecture traitant des effets secondaires graves des vaccins Covid.
Tout cela n'a cependant pas empêché Justin Trudeau de faire des messages vidéo dans lesquels il exhorte personnellement des enfants de cinq ans à se faire vacciner dangereusement. Ce qui rend l'incitation de Trudeau particulièrement ridicule, c'est le fait que les enfants en bonne santé ne courent pratiquement aucun risque de Covid. Ils sont en effet plus susceptibles d'être frappés par la foudre que de mourir de cette maladie. Nonobstant les faits, voici ce que Trudeau a dit aux enfants canadiens de cinq ans dans une récente missive vidéo :
« Vous allez pouvoir vous faire vacciner dès que vous aurez cinq ans. Et je sais que vous êtes excité et je sais que vous êtes impatient. Dans certains endroits du pays, vous pouvez même commencer à prendre rendez-vous maintenant peu de temps après votre [cinquième] anniversaire.
Il est instructif de le regarder dire cela afin que l'on puisse voir directement à quel point cet homme est vraiment égaré et dangereux.
Comme l'a noté avec justesse un commentateur : « Vivons-nous dans le film The body snatchers ? Je veux dire, c'est comme si je me suis couché un soir et que je me suis réveillé avec la moitié du monde devenu fou.
Pendant deux ans, Trudeau a tourmenté les Canadiens avec des confinements et des restrictions au nom du virus dont le taux de survie moyen est supérieur à 99,8 % pour les personnes en bonne santé en âge de produire.
En mai de l'année dernière, Trudeau a promis aux Canadiens que les vaccins «sûrs» et «efficaces» mettraient fin à la pandémie et que si suffisamment de personnes les tuaient, la vie reviendrait à la normale.
Avec un taux de vaccination de 80 %, le Canada est infesté de Covid-19 et la vie est loin d'être normale.
Étant positif pour Covid même s'il a été renforcé, Trudeau exhorte maintenant les hommes, les femmes et les enfants canadiens à se soumettre à des vaccins dangereux qui ne fonctionnent pas contre la variante actuellement en vigueur du coronavirus.
Alors même que les Canadiens se lèvent dans une manifestation pacifique de masse pour exprimer leur désapprobation des politiques erronées et ratées de Trudeau, il laisse entendre qu'ils sont fascistes et racistes.
Démagogue déconnecté de la réalité, Justin Trudeau est un maladroit et une menace pour son pays et son peuple.
https://www.lewrockwell.com/2022/02/vasko-kohlmayer/justin-trudeau-is-a-bungler-and-menace-to-his-nation/
(...) Trudeau a exhorté tout le monde à se faire vacciner même s'ils n'ont pas réussi à le protéger de la maladie. "Tout le monde, s'il vous plaît, faites-vous vacciner et faites-vous booster", a-t-il insisté. (...)
SupprimerIl est STRICTEMENT INTERDIT de vacciner durant une épidémie ou pandémie.
(...) risque de Covid. Ils sont en effet plus susceptibles d'être frappés par la foudre que de mourir de cette maladie. (...)
Il ne s'agit PAS d'une maladie (microbes) mais d'un EMPOISONNEMENT !
Les grandes dissimulations de COVID
RépondreSupprimerPar Joseph Mercola
Mercola.com
3 février 2022
Depuis la dissimulation initiale de la transmission interhumaine du SRAS-CoV-2, il y a eu une dissimulation après l'autre. Il y en a tellement, je ne peux passer en revue que certains des plus évidents et des plus persistants ici.
Bien que l'un des derniers sur la scène, il y a des indications claires que la contre-mesure « ultime » contre la pandémie, les soi-disant « vaccins » COVID, ne sont pas ce qu'ils ont été conçus, et la redéfinition du « vaccin » n'est que la pointe de l'iceberg.
Le plan secret pour forcer les vaccins à ARNm sur un public réticent
- voir sur site -
La vidéo ci-dessus présente le directeur du NIAID, le Dr Anthony Fauci, des responsables de la santé et des services sociaux et d'autres experts de la santé, dont le Dr Rick Bright, ancien directeur de la US Biomedical Advanced Research and Development Authority (BARDA), maintenant vice-président principal de la prévention des pandémies. et réponse à la Fondation Rockefeller.
Tous ont participé à un panel organisé par le Milken Institute, du 28 au 30 octobre 2019, pour discuter de la manière dont ils pourraient réaliser la transition du développement de vaccins conventionnels vers une nouvelle technologie d'ARNm.1
Ici, la discussion a tourné spécifiquement autour de l'introduction d'un vaccin universel contre la grippe à base d'ARNm. Le fait que le public pourrait être réticent est noté, tout comme les obstacles réglementaires qu'un tel produit entraînerait. Bright a déclaré :
"Il peut y avoir un besoin, voire un appel urgent, pour une entité d'excitation là-bas qui est complètement perturbatrice, non redevable aux chaînes et aux processus bureaucratiques …
Il n'est pas trop fou de penser qu'une épidémie d'un nouveau virus aviaire pourrait se produire quelque part en Chine. Nous pourrions obtenir la séquence d'ARN à partir de cela et la transmettre à un certain nombre de centres régionaux, sinon locaux, sinon même chez vous à un moment donné, et imprimer ces vaccins sur un patch pour qu'ils soient auto-administrés.
Fauci, pour sa part, a souligné que le processus de preuve d'un ARNm sûr et efficace prendrait une décennie ou plus. Il a également noté qu'il serait très difficile de changer la perception qu'ont les gens de la grippe et du vaccin antigrippal — "à moins que vous ne le fassiez de l'intérieur et que vous disiez : 'Je me fiche de votre perception, nous allons nous attaquer au problème... '”
Lire entre les lignes
RépondreSupprimerEn lisant entre les lignes, il semble que Bright et Fauci aient laissé entendre qu'une pandémie serait l'occasion idéale de déployer cette technologie d'ARNm et de l'appeler simplement un vaccin. Si la situation devait être suffisamment grave, il pourrait y avoir suffisamment « d'excitation » capable de perturber le statu quo et de justifier une expérimentation sauvage avec quelque chose de tout nouveau – tout en contournant « les chaînes et les processus bureaucratiques ».
Eh bien, à première vue, Bright et Fauci ont réalisé leur souhait, et la population mondiale paie le prix de leur décision de jeter les chaînes et les processus bureaucratiques au vent, avec prudence.
De nombreux médecins et scientifiques ont averti que ces injections basées sur les gènes étaient une idée incroyablement mauvaise, sur le point de causer toutes sortes de problèmes de santé et de décès. Mais plutôt que d'avoir une discussion sur la science, Fauci et les autres ont fait exactement ce qu'il a proposé dans cette vidéo. Ils ont ignoré les perceptions et les préoccupations de chacun et sont allés de l'avant, modifiant les définitions en cours de route pour que leur récit fonctionne.
À l'heure actuelle, il semble qu'entre 64 600 et 407 400 Américains aient été tués par ces injections (en utilisant un facteur de sous-déclaration de 6,5, comme suggéré par le CDC,2 ou 41, comme calculé par Steve Kirsch, directeur exécutif du COVID-19 Early Fonds de traitement), et cela en une seule année.
De nombreux médecins et scientifiques ont averti que ces injections basées sur les gènes étaient une idée incroyablement mauvaise, sur le point de causer toutes sortes de problèmes de santé et de décès. Mais plutôt que d'avoir une discussion sur la science, Fauci et les autres ont fait exactement ce qu'il a proposé dans cette vidéo.
Ils ont ignoré les perceptions et les préoccupations de chacun et sont allés de l'avant, modifiant les définitions en cours de route pour que leur récit fonctionne. À ce jour, nombreux sont ceux qui ne comprennent pas que les injections COVID ne ressemblent à aucun autre vaccin. Ils ne comprennent pas comment ils fonctionnent et ont donc du mal à croire que les gens ont des effets secondaires aussi dévastateurs ou que des gens en meurent par dizaines chaque jour.
La dissimulation du jab COVID est sans aucun doute quelque chose qui sera de plus en plus exposé au fil du temps. Finalement, les effets deviendront trop flagrants et répandus pour être ignorés, même pour ceux qui ferment intentionnellement les yeux.
Malheureusement, d'ici là, il sera trop tard pour des dizaines de millions de personnes qui ont été amenées à participer à une expérience médicale qui, selon Fauci lui-même, en 2019, prendrait une décennie ou plus à faire correctement. Aujourd'hui, il se tient devant les caméras de télévision en affirmant qu'ils ont réussi du premier coup, après avoir sauté les essais sur les animaux, les tests de toxicologie et les conseils de surveillance.
La dissimulation de l'origine du SARS-CoV-2
RépondreSupprimerL'origine du SRAS-CoV-2 - qui a commodément permis à Fauci et Bright de réaliser leur vision d'inaugurer des vaccins à ARNm sans avoir à franchir trop d'obstacles - est une autre dissimulation majeure qui doit être démantelée.
Dans un article du 14 janvier 2022 du Japan Times3, Brahma Chellaney, professeur d'études stratégiques au Center for Policy Research de Delhi, souligne la nécessité d'identifier les faux pas qui ont abouti à la pandémie de COVID, et pour ce faire, nous doit enquêter sur ce qui s'est passé en Chine.
"Si nous voulons prévenir une autre pandémie de coronavirus au 21e siècle, il est impératif de comprendre les causes de la pandémie actuelle", écrit Chellaney.
« Déjà, le COVID-19 a causé plus de 5,4 millions de décès. Mais ce n'est que le début : le bilan de la pandémie comprend des taux accrus d'obésité, de chômage, de pauvreté, de dépression, d'alcoolisme, d'homicide, de violence domestique, de divorce et de suicide.
Et, alors que la variante omicron alimente des taux d'infection record et perturbe les économies dans de nombreuses régions du monde, la fatigue pandémique se transforme en épuisement pandémique.
Nos chances d'éliminer le COVID-19 semblent désormais de plus en plus faibles. Mais, alors que nous essayons de comprendre comment vivre avec le virus, nous devons également identifier les faux pas - accidentels et autres - qui nous ont conduits ici. Et cela signifie, avant tout, porter un regard critique sur la Chine. »
Pourquoi les faits sur la transmission interhumaine ont-ils été censurés ?
Dans les premiers jours de l'épidémie initiale à Wuhan, en Chine, le régime chinois a nié toute preuve de transmission interhumaine, une erreur qui a ensuite été reprise par l'Organisation mondiale de la santé dans un tweet du 14 janvier 2020.4 Moins de deux mois plus tard, l'OMS a déclaré COVID-19 une pandémie mondiale.
Selon le South China Morning Post5, le gouvernement chinois savait très bien que le virus se propageait entre les personnes. Les archives gouvernementales consultées par le South China Morning Post ont retracé le premier cas de COVID connu jusqu'à la mi-novembre 2019, avec un à cinq cas par jour signalés par la suite. De toute évidence, la transmission avait lieu.
En niant la probabilité d'une transmission interhumaine, le gouvernement chinois et l'OMS ont permis au virus de se propager à travers les frontières internationales pendant plusieurs semaines. La Chine a également expulsé tous les journalistes américains, provoquant ce 18 mars 2020 un tweet du journaliste d'Axios Jonathan Swan :6
"Terrible. Nous avons désespérément besoin de rapports précis de la Chine. La pandémie est née à Wuhan et a été initialement dissimulée par les autorités chinoises. Une étude de l'Université de Southampton a révélé qu'il y aurait eu une RÉDUCTION de 95% des cas et moins de propagation si Pékin était intervenu 3 semaines plus tôt.
RépondreSupprimerTrès tôt, les autorités chinoises ont également été accusées de supprimer la voix des médecins qui sonnaient l'alarme et de censurer les informations de santé publique partagées en ligne. Les choses n'ont fait qu'empirer à partir de là. Au cours des deux dernières années, nous avons assisté à une censure médicale, scientifique et politique vraiment sans précédent dans le monde entier.
Il aurait été facile de supposer que le régime chinois dirigeait le récit médiatique à l'échelle mondiale. Mais, bien sûr, nous avons appris depuis que la véritable source derrière cette campagne coordonnée est le travail d'un système beaucoup plus caché, un « État profond » dirigé par des technocrates non élus avec un réseau de connexions dans les agences gouvernementales, les médias, Big Pharma , Big Tech et finance dans le monde entier.
Fauci aurait peut-être voulu qu'une pandémie inaugure une technologie d'ARNm non testée, mais ce réseau d'État profond a un programme beaucoup plus vaste, qui comprend l'asservissement de la population mondiale grâce à la technologie et à la surveillance numérique, et nous prive de notre richesse personnelle dans le processus.
Les vaccins COVID ont joué leur rôle dans ce programme de prise de contrôle plus large, en ce sens qu'ils pouvaient insister pour suivre le statut vaccinal des personnes à l'aide de passeports de santé qui pourraient ensuite être étendus à des identifiants numériques et à des outils de suivi financier contrôlés de manière centralisée.
La couverture des fuites du laboratoire
Deux des plus grandes dissimulations ont sans aucun doute été les dénégations persistantes selon lesquelles le SRAS-CoV-2 est le résultat d'une recherche sur le gain de fonction, et la pandémie le résultat d'une fuite de laboratoire (qu'elle soit accidentelle ou intentionnelle). Chellaney écrit :7
"Ici aussi, la Chine a adopté l'obscurcissement plutôt que la transparence. Le régime de Xi a bloqué une enquête médico-légale indépendante sur les origines de COVID-19, arguant que toute enquête de ce type équivaut à un « terrorisme de traçage des origines ».
Après que l'Australie a appelé à une enquête sur la gestion de l'épidémie par la Chine, le gouvernement de Xi l'a puni avec une série de sanctions informelles.
La Chine a reçu de l'aide pour dissimuler son mauvais comportement. Au début de la pandémie, le directeur général de l'Organisation mondiale de la santé, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a reproduit les points de discussion du gouvernement chinois et a salué sa gestion de l'épidémie. Au lieu de vérifier les affirmations de la Chine, l'OMS les a diffusées au monde...
L'Occident a également aidé la Chine à détourner l'attention de l'hypothèse d'une fuite de laboratoire. Non seulement plusieurs laboratoires occidentaux sont engagés dans des recherches pour concevoir des super-virus ; Les gouvernements occidentaux ont des liens avec le WIV [Wuhan Institute of Virology]…
RépondreSupprimerLes National Institutes of Health et l'USAID ont accordé des subventions à EcoHealth Alliance, un groupe étudiant les coronavirus de chauve-souris en collaboration avec des chercheurs du WIV.
Le gouvernement américain n'a pas divulgué l'intégralité de son financement aux projets WIV, et encore moins expliqué pourquoi ses agences financeraient la recherche dans une institution liée à l'armée chinoise.
Les Américains ont protégé la Chine du blâme
En effet, les autorités américaines ont beaucoup fait pour protéger la Chine des retombées. Par exemple, en février 2020, des scientifiques américains associés aux National Institutes of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) du Dr Anthony Fauci et aux National Institutes of Health ont publié une « déclaration de consensus » dans The Lancet, dans laquelle ils « condamnaient fermement » le « théorie du complot » selon laquelle le virus a été créé par l'homme et/ou s'est échappé d'un laboratoire.8
Il a été découvert plus tard que la lettre avait été rédigée par le président de l'EcoHealth Alliance, Peter Daszak, qui avait sous-traité au WIV des recherches sur le gain de fonction sur les coronavirus, payées par le NIAID.
Dans la foulée, Richard Horton, rédacteur en chef de The Lancet, a été publiquement critiqué pour sa défense et son soutien au régime chinois, et a été accusé d'utiliser The Lancet pour défendre des causes politiques et étouffer le débat scientifique9. immanquable dans ce cas.
En janvier 2021, 14 experts mondiaux avaient soumis une lettre à The Lancet dans laquelle ils soutenaient que "l'origine naturelle n'est pas étayée par des arguments concluants et qu'une origine de laboratoire ne peut pas être formellement écartée". Horton a rejeté la soumission, déclarant que ce n'était « pas une priorité » pour la revue.10
Dans ce qui semble avoir été un acte de réciprocité bienfaisante envers ses alliés américains, le WIV a discrètement supprimé les mentions de sa collaboration avec le NIAID / NIH et d'autres partenaires de recherche américains de son site Web en mars 2021, après que les membres du Sénat ont commencé à griller Fauci sur son financement. de la recherche sur le gain de fonction au WIV.11 Ils ont également supprimé un article scientifique traitant de la recherche génétique sur le virus du SRAS.12
Les médias ont confirmé la dissimulation, permettant à la Chine de profiter
J'ai mentionné pour la première fois que l'épidémie avait les caractéristiques d'une évasion de laboratoire dans un article du 4 février 2020. Un rapport d'évaluation du 27 mars 2020 de la Defense Intelligence Agency des États-Unis a noté que le SRAS-CoV-2 était probablement une libération accidentelle d'un laboratoire de maladies infectieuses,13 mais il a fallu un an avant que les médias grand public cessent de rejeter les preuves du revers de la main.14,15
La commission de l'OMS chargée de l'enquête sur l'origine du SRAS-CoV-2 a également rejeté la théorie de l'origine du laboratoire sans faire une véritable enquête.16,17 Cependant, le contrecoup et l'incrédulité étaient si grands,18 que le directeur général de l'OMS, Tedros Ghebreyesus, a dû rapidement revenir en arrière et promettre qu'il serait examiné plus avant.
Chellaney poursuit en notant que si le président chinois Xi Jinping a promis de placer les laboratoires manipulant des agents pathogènes mortels sous un examen plus approfondi, « il continue de dénoncer toute insinuation selon laquelle le coronavirus aurait pu être divulgué ».
« Pendant ce temps, la Chine profite de la pandémie », écrit Chellaney.19 « Ses exportations augmentent. Le pays a capitalisé sur la crise pour faire avancer ses intérêts géopolitiques, notamment en intensifiant son agression territoriale, de l'Asie de l'Est à l'Himalaya.
RépondreSupprimerMais un jugement peut encore venir. Près des trois quarts des Américains pensent désormais qu'il est "probable" que le COVID-19 ait été divulgué par le WIV. De plus, alors que les ambitions néo-impérialistes de la Chine sont devenues claires, les opinions défavorables sur la Chine ont atteint des niveaux record dans de nombreuses économies avancées.
Si les dirigeants mondiaux voulaient un mandat pour poursuivre les enquêtes sur les origines de la pandémie, il est sûr de dire qu'ils l'ont. Ce n'est pas la première pandémie fabriquée en Chine - le pays a également produit le SRAS en 2003, la grippe asiatique en 1957, la grippe de Hong Kong en 1968 et la grippe russe en 1977. Si le monde continue de laisser la Chine s'en tirer, il ne sera pas le dernier."
Les mensonges de COVID abondent
En mars 2021, j'ai publié un article20 présentant le travail du Dr Malcolm Kendrick, un médecin généraliste du Cheshire, en Angleterre, qui s'est donné pour mission d'apporter un certain équilibre à la campagne de peur généralisée qui se produit aux mains du lobby des soins de santé et médias — surtout au cours des deux dernières années. Vous pouvez le lire ici.
Dans ce document, j'ai résumé les huit principaux mensonges COVID que Kendrick a mis en évidence, y compris l'idée que l'immunité naturelle du troupeau n'existe pas et doit être obtenue par la vaccination de masse, que les vaccins induisent une immunité plus forte et plus durable que l'immunité contre l'infection naturelle, et que l'universalité le port du masque prévient la transmission virale.
L'article a également examiné comment les statistiques de décès par COVID ont été gonflées à l'aide d'un test PCR défectueux, pourquoi la réponse suédoise au COVID-19 n'était pas du tout "un désastre" comme le prétendaient les médias, le mythe selon lequel les blocages entraînaient des taux de cas inférieurs et l'erreur selon laquelle la propagation asymptomatique était à l'origine de la pandémie.
Tous ces mythes ont été semés par les autorités gouvernementales avec une arrière-pensée pour fabriquer une pandémie à des fins géopolitiques, et soigneusement entretenus par une presse malhonnête qui a refusé de poser même les questions les plus évidentes.
Le manque d'honnêteté a entraîné des croyances ridicules
Jamais de ma vie je n'aurais pensé voir des gens accepter le genre d'absurdités que nous avons vues au cours des deux dernières années, et l'une des raisons de cette irrationalité est, je crois, parce que les autorités sanitaires, les dirigeants politiques et les médias ont tous menti sur les faits, les données et la science. En élaborant un récit irrationnel et en le poussant à l'exclusion de tout le reste, ils ont lavé le cerveau des gens pour qu'ils renoncent à tout sens et sensibilité.
Par exemple, fin novembre 2020, les communautés de retraités installaient des «murs de câlins» où les visiteurs pouvaient étreindre leurs proches à travers d'épaisses feuilles de plastique. L'AARP a rapporté21 cela comme une invention ingénieuse pour aider les êtres chers à se connecter, mais en réalité, ce n'est qu'un pas vers la folie. Personne ne pensait qu'un virus aéroporté pourrait voyager au-dessus ou en dessous du rideau en plastique ?
Et ne me lancez même pas sur les règles de marche unidirectionnelle imposées par les magasins, où de grandes flèches au sol incitaient les gens à marcher dans une seule direction dans les allées. Heureusement, c'était apparemment tellement idiot que cela n'a pas duré très longtemps.
RépondreSupprimerMalheureusement, on ne peut pas en dire autant de toutes ces barrières en plastique érigées sur les bureaux et les caisses. Des sommes incalculables ont été dépensées pour ces engins inutiles qui diminuent les interactions humaines bien plus efficacement qu'ils ne bloquent les virus.
Il a fallu bien plus d'un an et demi avant que les médias ne commencent à remettre en question l'utilité de ces barrières qui aspirent les âmes. Dans un article du 19 août 2021 du New York Times22, Tara Parker-Pope a souligné des recherches suggérant que les barrières « peuvent interférer avec la ventilation normale » et le flux d'air23, ce qui peut rendre la propagation virale plus probable. Une étude - du CDC, pas moins - a révélé que les barrières n'avaient aucun impact sur le risque d'infection,24 et une autre a constaté qu'elles l'aggravaient.25
"Dans des conditions normales dans les magasins, les salles de classe et les bureaux, les particules d'haleine expirées se dispersent, transportées par les courants d'air et, selon le système de ventilation, sont remplacées par de l'air frais environ toutes les 15 à 30 minutes", a écrit Parker-Pope.
«Mais l'érection de barrières en plastique peut modifier le flux d'air dans une pièce, perturber la ventilation normale et créer des« zones mortes », où les particules d'aérosols viraux peuvent s'accumuler et devenir très concentrées.
"Si vous avez une forêt de barrières dans une salle de classe, cela va interférer avec une bonne ventilation de cette pièce", a déclaré Linsey Marr, professeur de génie civil et environnemental à Virginia Tech et l'un des plus grands experts mondiaux de la transmission virale. "Les aérosols de tout le monde vont être piégés et coincés là et s'accumuler, et ils finiront par se répandre au-delà de votre propre bureau."
Les masques ne fonctionnent toujours pas
L'une des croyances irrationnelles les plus persistantes engendrées pendant cette pandémie est que les masques empêchent la propagation du virus. Avant 2020, vous auriez eu du mal à trouver un professionnel de la santé qui pensait qu'un masque chirurgical pouvait bloquer un virus en suspension dans l'air. Eh bien, je n'ai pas besoin de vous dire ce qui s'est passé. Vous l'avez tous vécu.
En plus des nombreuses études qui ont démontré au cours des années passées que les masques ne fonctionnent pas contre les virus, nous pouvons maintenant citer un rapport du ministère britannique de l'Éducation,26,27 qui n'a trouvé aucune preuve que le port universel de masques dans les écoles réduisait les absences dues à maladie. Sarah Lewis, professeur d'épidémiologie moléculaire à l'Université de Bristol, a déclaré à Bloomberg :28
«Les mandats de masque peuvent nuire à la qualité de l'enseignement et exclure les élèves malentendants des discussions. Lorsqu'il n'y a pas suffisamment de preuves d'un avantage d'une politique et de preuves de préjudices, la valeur par défaut devrait être de ne pas intervenir.
Même ainsi, les chercheurs qui veulent apparemment que les masques soient la règle plutôt que l'exception continuent de poursuivre des «études» qui prétendent prouver que tout le monde est mieux avec le visage couvert. Par exemple, une étude soutenant l'utilisation du masque29 est sortie en janvier 2022 dans le cadre d'une initiative de la National Science Foundation visant à étudier la transmission des maladies dans les salles de classe. L'étude ne comprenait que 14 personnes.
La folie du masque est peut-être mieux illustrée par les fanfares scolaires obligées de porter des masques avec un trou géant à la bouche, à travers lequel ils peuvent jouer de leurs instruments à vent.
RépondreSupprimerLa seule bonne chose à propos de cette triste histoire est que la vente de ces bloqueurs de traits du visage inutiles – qui auraient été récupérés par des universités et des lycées à travers les États-Unis – avait, fin août 2020, permis de récolter 12 000 $ pour le fonds de bourses d'études musicales de l'Université d'État du Nouveau-Mexique.30
Sources and References
1 Rights and Freedoms October 7, 2021
2 Steve Kirsch Substack January 6, 2022
3, 7, 19 The Japan Times January 14, 2022
4, 6 Fox News March 18, 2020
5 South China Morning Post March 13, 2020
8 The Lancet February 19, 2020 DOI: 10.1016/S0140-6736(20)30418-9
9, 10 Daily Mail June 26, 2021, Updated June 27, 2021
11 MSNBC March 19, 2021
12 Web Archive WIV Will SARS Come Back? December 4, 2015
13 Newsweek April 27, 2020
14 Politico March 8, 2021
15 New York Times March 4, 2021 (Archived)
16 The Washington Post February 9, 2021
17 The Washington Post February 9, 2021 (Archived)
18 WSJ Open Letter, Call for Full and Unrestricted International Forensic Investigation Into the Origins of COVID-19, March 4, 2021 (PDF)
20 Covid-unmasked.net March 22, 2021
21 AARP November 30, 2020
22 New York Times August 19, 2021
23 MedRxiv March 20, 2021 DOI: 10.1101/2021.03.20.21253976
24 CDC MMWR May 28, 2021; 70(21): 779-784
25 Science June 4, 2021; 372(6546): 1092-1097
26 Department of Education UK Evidence Summary January 2022
27, 28 Bloomberg January 7, 2022
29 Science Daily January 12, 2022
30 KRQE August 6, 2020
https://www.lewrockwell.com/2022/02/joseph-mercola/the-great-covid-cover-ups/
Les origines du dit 'Sarscov2covide19CharlieBraviMicron' sont que 2 MOIS AVANT LA CHINE il été repéré à MILAN en ITALIE et, 6 MOIS AVANT (Janvier) dans les eaux usées en ESPAGNE !!!
SupprimerRelire les blogs d'informations que j'ai publié (2019/2020).
Les agriculteurs franchissent le barrage de la police, rapprochant le convoi de camionneurs de la frontière canado-américaine
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 02 FÉVRIER 2022 - 14:05
Les camionneurs du "Freedom Convoy" ont été accueillis par des agriculteurs qui ont utilisé leurs tracteurs pour pénétrer les barrages routiers de la Gendarmerie royale du Canada (GRC) à la frontière canado-américaine à Coutts, en Alberta, alors que les pourparlers échouaient.
True North et Rebel News ont rapporté que des agriculteurs se sont joints pour renforcer le convoi alors que les négociations à Coutts entre les camionneurs et la GRC se sont effondrées mardi après-midi.
La GRC a tenté d'établir une barricade, mais cela a échoué lorsque des agriculteurs ont fait irruption et ont conduit un convoi de camionneurs plus près de la frontière avec le Montana.
Les agriculteurs et les camionneurs sont sortis des tracteurs et des camions respectifs et ont chanté à l'unisson l'hymne national du Canada, « Ô Canada ». Apparemment, le premier ministre Justin Trudeau (qui, soit dit en passant, se cache toujours et a reçu trois coups après avoir été testé positif au COVID-19), a qualifié ces gens de "marginaux" et de "racistes".
Peut-être que Trudeau est le « raciste » ?
Voici une vidéo drone du convoi à la frontière d'hier soir.
Le rassemblement pour la liberté du Canada est regardé dans le monde entier alors que des citoyens ordinaires se rassemblent et protestent contre la tyrannie médicale du gouvernement.
Elon Musk, l'homme le plus riche de la planète, a récemment tweeté que les camionneurs canadiens "règlent". Joe Rogan a déclaré que "le pays est en révolte".
Le Canada est en révolte et le président se cache; les gens défendent leur liberté médicale - c'est quelque chose que les gouvernements n'ont pas encore traité au cours des deux dernières années de la pandémie. Le monde regarde le Canada, et ces manifestations se répandent dans le monde entier.
https://www.zerohedge.com/political/farmers-breakthrough-police-blockade-leading-trucker-convoy-closer-us-canada-border
Bruxelles accorde quand même un label vert au gaz et au nucléaire
RépondreSupprimer2 février 2022, 14:26
Ce mercredi, la Commission européenne a accordé un label de finance durable au gaz et au nucléaire. Il reconnaît sous certaines conditions leur contribution à la lutte contre le changement climatique.
Les écologistes dénonçaient l’inclusion des centrales nucléaires, en raison des déchets radioactifs et du risque d’accident.
Les écologistes dénonçaient l’inclusion des centrales nucléaires, en raison des déchets radioactifs et du risque d’accident.
La Commission européenne a annoncé, mercredi, la création d’un label vert controversé pour les centrales nucléaires et au gaz, reconnaissant, sous certaines conditions, leur contribution à la lutte contre le changement climatique. Le projet, qui divise les 27 États membres de l’Union européenne, a déjà provoqué la colère de nombreuses ONG environnementales et suscité les doutes du monde de la finance.
Dans la matinée, les commissaires européens ont approuvé une liste de critères permettant de classer comme «durables» les investissements dans des centrales nucléaires ou au gaz pour la production d’électricité. Un privilège jusqu’ici réservé aux énergies renouvelables. Le texte doit aider à mobiliser des fonds privés vers des activités réduisant les émissions de gaz à effet de serre. Il s’inscrit dans l’objectif de neutralité carbone de l’UE en 2050.
«Aujourd’hui, nous franchissons une nouvelle étape importante dans la transition» vers cet objectif. «Nous devons utiliser tous les outils à notre disposition, car nous avons moins de 30 ans pour y parvenir», a déclaré la commissaire européenne aux Services financiers, Mairead McGuinness.
Réduire les coûts
La France, qui veut relancer sa filière nucléaire – source d’électricité décarbonée – et des pays d’Europe centrale, comme la Pologne ou la République tchèque, qui doivent remplacer leurs très polluantes centrales à charbon, ont soutenu l’initiative. Faire partie de cette classification permet une réduction des coûts de financement, un point crucial pour les projets concernés et pour les États voulant les soutenir.
Mais les écologistes dénoncent l’inclusion des centrales à gaz, émettrices de CO2, et du nucléaire, en raison de ses déchets radioactifs et du risque d’accident. Mené par l’Allemagne, un petit groupe de pays, dont l’Autriche et le Luxembourg, a bataillé pour exclure l’atome. Berlin, qui opère toujours des centrales à charbon, mise sur l’essor des éoliennes et du solaire, ainsi que sur de nouvelles centrales au gaz pour assurer son approvisionnement, en dépit des critiques sur sa dépendance à la Russie. L’Autriche, le Danemark, les Pays-Bas et la Suède ont contesté le label vert pour le gaz dans une lettre commune.
Les renouvelables ne suffisent pas
RépondreSupprimerBruxelles répond que les énergies renouvelables, déjà labellisées par la Commission et qui restent une priorité de la politique européenne, ne pourront pas, à elles seules, répondre à la demande croissante d’électricité, en raison de leur production intermittente. D’où le besoin, à titre transitoire, de favoriser aussi l’investissement dans des moyens stables et pilotables.
Durant une période de quatre mois (qui pourra être prolongée de deux mois), à partir de mercredi, le Parlement européen pourra rejeter le texte par un vote à la majorité simple. Le Conseil européen pourrait aussi théoriquement s’y opposer, à condition de réunir 20 États membres, ce qui paraît hors de portée.
L’Autriche va porter plainte
Le gouvernement autrichien a annoncé son intention d’engager une action en justice contre la création de ce label vert controversé pour les centrales nucléaires, annoncée par la Commission européenne. «Nous allons préparer le terrain juridique dans les prochaines semaines et si cette taxonomie prend effet, nous lancerons une procédure devant la Cour de justice de l’UE», a déclaré la ministre autrichienne de l’Environnement, Leonore Gewessler.
Strictes conditions
Le document avait été envoyé aux 27 États de l’Union européenne le 31 décembre au soir. Il a peu évolué depuis, malgré les critiques. Il impose des conditions strictes à la labellisation du nucléaire et du gaz, notamment une limitation dans le temps et l’obligation de recours aux meilleures technologies disponibles.
Pour la construction de nouvelles centrales atomiques, les projets devront avoir obtenu un permis de construire avant 2045. Les travaux permettant de prolonger la durée de vie des centrales existantes devront avoir été autorisés avant 2040. Concernant le gaz, la Commission impose un plafond d’émissions de CO2: moins de 100g par kWh, un seuil inatteignable avec les technologies actuelles, selon des experts. Mais, une période de transition est prévue, et les centrales obtenant leur permis de construire avant le 31 décembre 2030 verront ce seuil relevé à 270g, à condition qu’elles remplacent des infrastructures beaucoup plus polluantes.
https://www.lematin.ch/story/bruxelles-accorde-quand-meme-un-label-vert-au-gaz-et-au-nucleaire-605245865297
50 000 camionneurs jurent de rester à Ottawa jusqu'à ce que le gouvernement lève les mandats de vaccination
RépondreSupprimermercredi 02 février 2022
par : Ramon Tomey
(Natural News) Le Freedom Convoy du Canada a promis de rester dans la capitale Ottawa jusqu'à ce que le gouvernement lève son mandat de vaccination pour les camionneurs.
Le convoi est parti de la province de la Colombie-Britannique le 23 janvier. Il s'est dirigé vers l'est et est arrivé à Ottawa six jours plus tard, le 29 janvier. Selon un rapport, les organisateurs ont initialement estimé que 1 600 camions participeraient. Ce nombre est ensuite passé à 36 000 et a finalement touché près de 50 000 camions.
Pendant ce temps, le Service de police d'Ottawa (SPO) a déclaré qu'il n'avait signalé aucune arrestation lors du rassemblement du Freedom Convoy sur la Colline du Parlement la fin de semaine des 29 et 30 janvier.
Un communiqué du SPO publié le matin du 30 janvier indiquait: «De grandes foules sont restées dans le centre-ville toute la nuit et ont été activement gérées par la police. Les agents ont rencontré plusieurs difficultés avec les manifestants, notamment des blocages de routes spécifiques par des camions, que les agents ont travaillé à éliminer. Ces situations à haut risque ont été désamorcées et résolues sans arrestation. »
Une déclaration ultérieure de l'OPS publiée dans la soirée du 30 janvier mentionnait des policiers confrontés à "un comportement perturbateur, inapproprié et menaçant de la part des manifestants". Malgré cela, la déclaration ultérieure ne fait aucune mention d'arrestations. « Tout au long du week-end, le SPO et ses partenaires ont géré activement et patiemment une manifestation majeure bien financée au centre-ville », indique le communiqué du 30 janvier. (Connexe: 50 000 camionneurs prennent d'assaut Ottawa pour exiger la fin des mandats de «vaccins» covid.)
Selon un reportage de CTV News du 31 janvier, le chef du SPO, Peter Sloly, a affirmé que «toutes les options sont sur la table» pour mettre fin au convoi de la liberté et que les forces de l'ordre négocient avec les organisateurs de la manifestation. "Toutes les options sont sur la table, de la négociation à l'application", a-t-il déclaré.
Sloly a également félicité les membres du SPO pour leur réponse aux manifestations dans la capitale. "Pas d'émeutes, pas de blessés, pas de morts. Rien de tout cela ne s'est produit au cours des quatre derniers jours. C'est une mesure de succès pour n'importe quelle juridiction au Canada, et franchement n'importe où dans le monde.
Trudeau et MSM refusent de reconnaître les manifestants
RépondreSupprimerLes manifestations du Freedom Convoy ont provoqué des embouteillages et des fermetures de routes dans la capitale canadienne. Cela a également causé des maux de tête aux propriétaires d'entreprises et aux résidents du centre-ville de la ville.
Malgré cela, le premier ministre Justin Trudeau est resté inflexible sur sa position. Il a déclaré le 31 janvier qu'il ne rencontrerait pas le Freedom Convoy car il ne croit pas en ses objectifs.
«J'ai également choisi de ne pas m'approcher des manifestations qui ont exprimé une rhétorique haineuse, de la violence envers les concitoyens et un manque de respect non seulement pour la science, mais aussi pour les travailleurs de la santé de première ligne et 90% des camionneurs qui ont fait ce qu'il fallait pour assurer la sécurité des Canadiens. et mettre de la nourriture sur notre table », a déclaré Trudeau.
Le Premier ministre a réitéré sa position lors d'une conférence de presse. «Nous ne sommes pas intimidés par ceux qui injurient les travailleurs des petites entreprises et volent de la nourriture aux sans-abri. Nous ne céderons pas à ceux qui se livrent au vandalisme. Il n'y a pas de place dans notre pays pour les menaces, la violence ou la haine.
Certains journalistes canadiens ont affirmé que le Freedom Convoy était une invasion et ont laissé entendre que les manifestants pourraient tenter de pénétrer dans l'édifice du Parlement. Cependant, les rapports des participants réels ont brossé un tableau radicalement différent.
Le camionneur Gord Magill, qui s'est joint aux manifestations, a dénoncé la couverture médiatique (MSM) de la manifestation. Il a affirmé que les rapports de MSM se concentraient sur quelques manifestants qui ne représentent pas ce que représente le convoi. "Le [MSM] s'accroche à des pailles pour nous salir - qui sont rares", a écrit Magill dans un éditorial.
Travis Smith, professeur de sciences politiques à l'Université Concordia, qui a également assisté aux manifestations, a brossé un tableau optimiste du rassemblement. Il a écrit que des personnes d'horizons, de langues et d'affiliations politiques différents "se sont réunies pour donner de leur temps et des fruits de leurs talents culinaires" pour offrir de la nourriture aux camionneurs et aux autres participants du Freedom Convoy.
Smith a ajouté: "Ils ont livré des articles supplémentaires donnés par des personnes qui ne pouvaient pas se rendre en personne, ont aidé à transporter les gens et ont offert toute autre aide possible."
Plus d'histoires liées :
La pénurie de conducteurs au Canada s'aggrave à mesure que les mandats fédéraux de vaccination se poursuivent.
"Lockdown" Le Premier ministre canadien Justin Trudeau a déménagé hors de la capitale "pour sa sécurité" alors que des milliers de camionneurs protestent contre le mandat du vaccin COVID.
Le Premier ministre canadien Justin Trudeau appelle les citoyens et les camionneurs qui protestent contre le mandat du vaccin une « minorité marginale » qui ne partage pas les « opinions » acceptées par le gouvernement.
Regardez la vidéo ci-dessous de Tucker Carlson parlant du Freedom Convoy.
- voir sur site -
Cette vidéo provient de la chaîne Son of the Republic sur Brighteon.com.
Resist.news en a plus sur la lutte du Freedom Convoy contre les mandats de vaccination contre le COVID-19.
Sources include:
ChildrensHealthDefense.org
TNC.news
Ottawa.CTVNews.ca
Reuters.com
Brownstone.org
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-02-02-truckers-demand-government-to-lift-vaccine-mandates.html
Nouvelles du Japon : Ivermectine etc …
RépondreSupprimerle 3 février 2022
La firme japonaise Kowa Co.Ltd en collaboration avec l’Université Kitasato à Tokyo a confirmé que l’Ivermectine était un antiviral actif contre les mutants alpha, delta et omicron en inhibant l’invasion et la réplication du virus. Les masques sont sur le point de tomber. La Food and Drug Administration américaine, l’analogue de l’Agence Européenne du Médicament (EMA) a toujours refusé de fournir des détails ayant motivé l’interdiction de l’Ivermectine pour traiter les malades atteints de SARS-CoV-2, étrange … Les autorités japonaises de santé n’ont toujours pas autorisé l’utilisation de l’Ivermectine alors que 22 pays dans le monde en ont autorisé l’usage dans ce cas précis d’infection coronavirale alors que l’Ivermectine est un anti-parasitaire utilisé dans le monde entier depuis plus de 30 ans par des milliards de patients sans qu’un quelconque effet secondaire ait été répertorié.
Comme pour l’HCQ il y a donc bien un complot pour l’interdiction de ces médicaments. Le Japon n’est pas impliqué dans la production de « vaccins » à ARN messager et les autorités ont encouragé cette « vaccination ». Ce pays connait aujourd’hui la plus forte augmentation du nombre de « cas-covid » depuis le début de l’épidémie avec plus de 85000 cas par jour et un nombre de décès en augmentation, décès qui pourraient être évités par la simple prescription d’Ivermectine dès l’apparition des premiers symptômes. Mais comme chacun sait les autorités japonaises se plient aux desiderata de Washington. Pas d’essais cliniques randomisés en double-aveugle, pas d’autorisation de mise sur le marché de l’Ivermectine en dépit du fait que 148 études ont été réalisées dans le monde au sujet de l’efficacité de ce produit pour traiter l’infection par le SARS-CoV-2, 78 études comparatives en regard d’un groupe contrôle ont été réalisées prouvant que l’Ivermectine est efficace dans plus de 80 % des cas. Le site http://c19ivermectin.com centralise en temps réel toutes ces données. Les études réalisées par la firme Kowa ont été réalisées in vitro.
Néanmoins, avec l’apparition du variant BA.2 de la souche omicron du coronavirus il semble urgent que les autorités sanitaires européennes, américaines et … japonaises reconsidèrent l’interdiction de l’Ivermectine. Et ceci d’autant plus que la « vaccination » n’est absolument pas efficace comme l’a encore rappelé le Professeur Raoult il y a quelques jours :https://www.youtube.com/watch?v=eiwiH40AAjE&ab_channel=IHUMéditerranée-Infection
https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/02/03/nouvelles-du-japon-ivermectine-etc/
Des milliers de personnes descendent dans la rue pour protester contre les passeports de vaccination COVID-19 en France
RépondreSupprimermercredi 02 février 2022
par : Arsenio Toledo
(Natural News) La résistance contre les restrictions du coronavirus de Wuhan (COVID-19) et le système de passeport vaccinal en France se développe, alors que des milliers de personnes sont descendues dans les rues de Paris et des centaines d'élus ont construit un mouvement contre les restrictions.
Alors que de nombreux voisins de la France, comme la Suisse et le Royaume-Uni, se débarrassent de leurs systèmes de passeport vaccinal et de leurs réglementations de verrouillage du COVID-19, la France renforce ses restrictions et son contrôle sur les endroits où les non vaccinés peuvent aller. (Connexe: analyse: le laissez-passer vaccinal de la France transforme les non-vaxxés en citoyens de seconde classe.)
Selon la loi française sur le passeport vaccinal récemment adoptée, ses porteurs seront autorisés à accéder aux transports en commun et à entrer dans les restaurants, cafés et autres lieux de loisirs, ainsi que dans les lieux culturels et sportifs.
Le ministre des Solidarités et de la Santé, le Dr Olivier Veran, a également annoncé que les nouveaux décrets gouvernementaux rendent plus difficile l'obtention d'un passeport vaccinal. Selon la nouvelle réglementation, les personnes entièrement vaccinées doivent recevoir une injection de rappel du vaccin dans les quatre mois suivant le deuxième vaccin ou présenter une preuve de guérison du COVID-19 au cours des six mois précédents pour obtenir le passeport.
En outre, Veran a souligné que les personnes non vaccinées qui ont une immunité naturelle contre le coronavirus d'une infection antérieure ne seront éligibles à un passeport vaccinal que pendant quatre mois avant de devoir se faire vacciner.
Des manifestations se produisent dans toute la France chaque semaine contre les restrictions et les mandats
Le samedi 29 janvier, des milliers de Parisiens sont descendus dans la rue pour exprimer leur colère contre la loi sur le passeport vaccinal COVID-19, la qualifiant d'excessive et de discriminatoire à l'égard des non vaccinés.
Cette manifestation était organisée par Florian Philippot, ancien membre du Parlement européen et président et fondateur du parti politique français Les Patriotes. Cette manifestation est la dernière des près de 100 organisées chaque samedi par le parti de Philippot depuis 2020 contre le confinement et le mandat vaccinal.
"Le laissez-passer pour les vaccins, c'est la ségrégation à la vue de tous, et le pire, c'est que beaucoup de gens soutiennent cette ségrégation", a déclaré samedi un manifestant.
De nombreux manifestants ont brandi des pancartes prônant la liberté de la santé et dénonçant le mandat des vaccins et les systèmes de passeport comme tyranniques et discriminatoires. Ils ont également agité les drapeaux de divers pays, notamment le Canada, où un mouvement de protestation dirigé par des camionneurs non vaccinés contre un mandat de vaccination est en cours.
RépondreSupprimerIl y a eu plusieurs petites manifestations organisées dans toute la région métropolitaine de Paris. La principale « manifestation pour la liberté », comme on l'appelle, s'est terminée devant le bâtiment principal du ministère des Solidarités et de la Santé. Les manifestants ont dansé, joué des chansons, scandé des slogans pro-santé et organisé une fête impromptue.
La résistance aux restrictions grandit partout en France
Dans le département de la Haute-Savoie, une région administrative de l'est de la France juste à côté de la frontière du pays avec la Suisse, la résistance aux restrictions liées au COVID-19 augmente. Plusieurs sénateurs du pays ont exprimé leur soutien à la résistance que les maires tentent de construire.
« Chaque jour, dans nos communes de Haute-Savoie, qu'elles soient grandes ou petites, rurales ou urbaines, on voit peu à peu comment la division s'installe. Nous voyons les couples que nous avons unis se déchirer. On assiste à l'éclatement d'associations centenaires », écrit le collectif de plus de 280 élus de Haute-Savoie dans une lettre réclamant la fin du passeport vaccinal.
"Nous faisons tout ce qui est en notre pouvoir pour faire savoir à quel point ces passeports vaccinaux sont mauvais et comment ils divisent réellement la population, et nous continuerons", a déclaré le maire Luc Patois de la petite ville de Marcellaz lors d'une interview à la radio.
« On nous demande de mettre en place des protocoles, et de mettre en place des mesures », a ajouté la mairesse Sabrina Ancel de Saint-Jean-de-Tholome. "On voit l'incohérence de tous ces protocoles, et on ne peut rien dire. Alors maintenant, nous avons décidé de ne plus nous taire parce que trop c'est trop.
Plus d'histoires liées :
La France est sur le point d'exploser après que le Parlement a adopté une loi rendant obligatoire les passeports COVID malgré les manifestations de masse.
Des dirigeants mondiaux comme Biden et Macron continuent de faire campagne pour harceler et discriminer les non vaccinés.
Les Américains ont conseillé d'éviter les pays HAUTEMENT VACCINÉS en raison du nombre élevé de cas de COVID.
L’autorité de santé publique française conseille aux hommes de 30 ans et moins d’éviter le vaccin COVID-19 de Moderna.
Regardez cette vidéo et voyez un groupe de manifestants rassemblés devant le siège parisien de Pfizer manifester contre le vaccin COVID-19.
Cette vidéo peut être trouvée sur la chaîne Take Down CCP sur Brighteon.com.
En savoir plus sur les manifestations contre les restrictions et les blocages des vaccins COVID-19 sur Pandemic.news.
Sources include:
LifeSiteNews.com
WIONews.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-02-02-protest-resistance-covid-vaccine-passport-france.html
Comme dans les autres pays, les dits 'dirigeants' s'interdisent la rencontre avec des scientifiques afin de ne pas être retardés dans l'hégémonie. Rappelez-vous que depuis DES années les africains et asiatiques ont été mis en garde contre le réchauffement climatique dans leurs pays qui allait tout brûler !! HAHAHAHA ! Et de courir vers l'Europe qui leur promet des allocations à vie pour toute leurs familles !
SupprimerC'est ainsi que des dizaines de millions d'immigrés sont apparus de partout en Europe qu'ils envahissaient afin de remplacer les prochains morts autochtones 'du covide19' !!!
Idem aux USA où ce sont des millions du sud-américains qui envahissent les États du Sud (Californie, Nouveau-Mexique, Arizona et Texas).
Petite précision: Les immigrés (dans leurs 'zones de non-droit') n'ont pas droit à la piqûre létale !
Victoire majeure: le gouvernement britannique renonce aux coups obligatoires pour les coups des travailleurs de la santé
RépondreSupprimerFebruary 3rd, 2022
Ne sous-estimez pas l'importance de cette nouvelle britannique. Les manifestants ont gagné. Les gens qui tenaient la ligne ont sauvé la mise. Ils étaient tout simplement trop nombreux pour tous les virer.
La grande retraite est une excellente nouvelle - sauf bien sûr pour tous les agents de santé qui ont déjà arrêté de fumer, ou ont été forcés de prendre une injection qu'ils ne voulaient pas, ou qui ont souffert pendant des mois avec le stress de ne pas savoir s'ils seraient limogé. Tout cela a été si cruel et laissera un sillage… une perte de confiance qui durera des années.
Les programmes de passeports Covid se terminent également en Irlande, en Bolivie, en République tchèque et au Danemark et maintenant la Suisse, la Saskatchewan et l'Alberta Canada promettent que les passeports vaccinaux prendront fin ce mois-ci.
Parlez-en au monde : c'est du carburant pour les manifestants et une douche froide pour les politiciens. Les journaux ne feront probablement pas la une du modèle de liberté qui commence à se répandre. Il y aura des gens dans le monde qui se demanderont en ce moment s'ils doivent tenir la ligne.
Les politiciens se sentiront isolés si d'autres pays abandonnent leurs « laissez-passer santé ».
Le secrétaire à la Santé, Sajid Javid, annonce un revirement qui empêchera l'exode de milliers d'agents de santé
Cette décision est intervenue trois jours avant la date limite du 3 février, à laquelle les travailleurs non vaccinés du NHS qui avaient eu un contact direct avec des patients avaient reçu leur première dose ou étaient renvoyés.
Les chiffres publiés la semaine dernière par le NHS England montrent que 127 515 membres du personnel du NHS et des soins à domicile travaillant dans des établissements enregistrés n'avaient pas reçu de première dose d'un vaccin Covid-19 au 23 janvier.
Javid prévoit également de supprimer la vaccination comme condition de travail dans les maisons de soins, une approche qui a déjà entraîné la perte d'environ 40 000 employés dans ce secteur.
Il a déclaré aux députés: "Bien que la vaccination reste notre meilleure ligne de défense, je pense qu'il n'est plus proportionné d'exiger la vaccination comme condition de déploiement par la loi.
Les organisations du NHS ont déclaré qu'environ 60 000 employés auraient été licenciés si Javid n'avait pas cédé.
RépondreSupprimerOmicron a tout changé, mais les gouvernements n'auraient pas dû imposer cela en premier lieu. La perte de confiance dans les institutions peut ne jamais être récupérée. Après avoir qualifié les agents de santé de héros, ils les ont traités comme de la saleté. La prochaine fois qu'il y aura une crise sanitaire majeure, les soignants croiront-ils au théâtre des casseroles ?
Plus de pays supprimant les restrictions et les passeports :
La Suisse mettra fin aux passeports vaccinaux plus tard ce mois-ci.
L'Alberta Canada pourrait lever les passeports pour les vaccins COVID-19 d'ici la fin février.
L'Italie, la Suisse et la Finlande assouplissent les restrictions, et plus rapidement qu'elles ne l'avaient prévu il y a encore deux semaines. La Norvège a également assoupli la plupart des règles. Les voyages vaccinés peuvent arriver directement sans test. Les voyageurs non vaccinés sont les bienvenus mais ont besoin d'un test avant de voler. Il n'y a plus de quarantaines.
La plupart des gens peuvent voler vers et depuis la plupart des pays européens, en quelque sorte.
Mumbai assouplit les restrictions
Le gouvernement britannique ne peut même pas se permettre les demandes d'indemnisation pour toutes les douleurs et souffrances de ses inoculés !
h/t John R Smith et cette vidéo. Old Ozzie, Peter S.
https://joannenova.com.au/2022/02/major-win-uk-govt-backs-down-on-mandatory-jabs-for-healthworker-jabs/#more-81899
Matt Le Tissier : "Je n'ai jamais rien vu de tel... C'est incroyable le nombre de sportifs qui s'effondrent"
RépondreSupprimerMercredi 02 février 2022
par : Rédacteurs en chef
(Natural News) L'ex-star du football Matt Le Tissier a participé à une interview pour Oracle Films dans laquelle il exprime son inquiétude face au nombre incroyable d'athlètes professionnels qui se sont effondrés en raison de problèmes cardiaques au cours de l'année écoulée depuis l'introduction du Covid -19 vaccin à la population générale.
(Article republié de DailyExpose.uk)
Les commentaires de Le Tissier font suite à une enquête exclusive menée par The Expose qui a révélé que les décès de footballeurs professionnels dus à des problèmes cardiovasculaires doublent tous les trois mois, le nombre de décès survenus en décembre 2021 équivalant à la moyenne annuelle des 12 derniers. ans.
Au total, les décès parmi les footballeurs/footballeurs professionnels en 2021 étaient 4 fois supérieurs au taux moyen enregistré entre 2009 et 2020.
L'ex-Southampton F.C. star, a déclaré que son scepticisme quant à la réponse de Covid-19 avait commencé « très tôt en 2020 lorsque les rapports ont commencé à sortir de Chine » et il a vu des vidéos de personnes s’effondrer dans la rue qui « n’étaient clairement en aucune façon authentiques, forme ou forme ».
Le Tissier a dit qu'il avait regardé ces matériaux et s'était dit « c'est un peu bizarre, pourquoi font-ils ça ? Ce n'est pas réel. Il ne faut pas être un génie pour regarder ces vidéos et partir - est-ce que les gens tombent même comme ça ?".
Depuis lors, Le Tissier est un opposant virulent aux confinements, au port de masques et aux injections expérimentales sur ses réseaux sociaux.
Plus tard dans l'interview, Matt a déclaré que dans sa carrière, il ne "se souvenait pas qu'un seul match ait été interrompu pour une urgence médicale dans la foule", car il a commenté le fait que cela se produisait maintenant semaine après semaine depuis que les foules étaient autorisées. de retour dans les stades de football.
Le Tissier appelle à une enquête urgente sur l'augmentation de 300% des décès dans le football de la FIFA en 2021 par rapport à la moyenne des 12 années précédentes, et l'augmentation des urgences médicales survenant dans les foules afin que le vaccin Covid-19 puisse être absolument exclu comme un facteur contributif.
Vous pouvez regarder l'intégralité de l'interview entre Matt Le Tissier et Oracle Films ci-dessous -
En savoir plus sur : DailyExpose.uk
https://www.naturalnews.com/2022-02-02-unbelievable-many-sports-players-are-keeling-over.html
Freedom Convoy 2022 : « Convoi de la liberté », Trudeau prend la fuite face au soulèvement populaire contre la tyrannie sanitaire
RépondreSupprimerpar Aphadolie
02/02/2022
Le « Convoi de la Liberté » commence à faire grand bruit. Une impressionnante foule de manifestants et des milliers de camionneurs ont pris place, depuis samedi 29 janvier 2022, devant le Parlement Canadien à Ottawa. Et ce pour une durée encore indéterminée. De son côté, le Premier ministre canadien Justin Trudeau minimise l’ampleur du phénomène mais a pris la fuite avant l’arrivée du convoi. L’ampleur de ce mouvement, même si elle est étouffée par la plupart des médias politisés, semble faire écho à l’international. Des personnalités comme E.Musk et D.Trump ont publiquement manifesté leur soutien au convoi.
Une manifestation qui en dit long
Depuis le 15 janvier, tous les camionneurs canadiens non vaccinés doivent passer un test COVID-19 et se mettre en quarantaine lorsqu’ils reviennent des États-Unis.
Ils ne sont pas autorisés à entrer aux États-Unis à moins d’être vaccinés, et les conducteurs américains ne sont pas autorisés à entrer au Canada à moins de présenter leur certificat.
Tout a donc commencé il y a une semaine. Le principal convoi de camions est parti de l’État de l’Alberta, à l’ouest du Canada, et a fait route vers la capitale fédérale Ottawa, à l’extrême est, soit à environ 4.000 kilomètres de route.
- voir clip sur site -
C’est énorme et c’est inédit. Des milliers de camionneurs canadiens refusant la vaccination obligatoire et les restrictions sanitaires qu’ils jugent liberticides sont donc arrivés près de la colline du Parlement à Ottawa, ce samedi 29 janvier 2022.
« Il fait 70 km de long », a déclaré Benjamin Dichter, porte- parole du Freedom Convoy 2022, au Toronto Sun. « J’ai vu des images d’un avion. C’est impressionnant. »
Aux États-Unis, les téléspectateurs du réseau Fox News ont pu entendre, mercredi 27 janvier, l’ex-joueur de hockey canadien Theo Fleury annoncer 1,4 million de manifestants à Ottawa. « En ce moment, au Canada, il y a l’une des plus grandes révolutions. [Les camionneurs] vont rester jusqu’à ce que [Justin] Trudeau démissionne ou qu’il nous redonne nos droits et libertés », a-t-il dit.
Des milliers de manifestants sont, aujourd’hui, rassemblés dans la capitale canadienne pour protester contre les mandats de vaccination , les masques et les restrictions de liberté. Ils viennent des quatre coins du pays et ont levé plus de six millions de dollars en moins de deux semaines à travers la plateforme de dons GoFundMe.
Les derniers chiffres de la police donnent 2,3 millions de personnes et 120.000 camions !
Le convoi a bloqué la circulation dans toute la région, obstruant les artères qui mènent au centre-ville et en sortent. Les forces de l’ordre ont exhorté tout le monde à éviter de se rendre au centre-ville car il fait face à l’afflux de personnes.
RépondreSupprimerLe convoi a pris de l’ampleur et des partisans alors qu’il voyageait le long de la route transcanadienne enneigée. Cette manifestation, qui était initialement prévue pour exhorter le gouvernement fédéral à abandonner son mandat de vaccination obligatoire pour les camionneurs, s’est transformée en un mouvement plus large contre toutes les mesures de santé publique.
- voir clip sur site -
Olivier De Senailhac, résident au Québec, est au micro d’André Bercoff pour aborder les restrictions liées au Covid au Québec et aux Etats-Unis.
Un certain nombre de personnes rassemblées, dont beaucoup ne sont pas des camionneurs, ont déclaré qu’elles étaient sur place pour faire pression sur le gouvernement afin qu’il mette fin aux restrictions liées à la pandémie et revienne à la « normale ».
La manifestation des camionneurs à Ottawa a mis en lumière que de nombreux Canadiens en ont assez du clivage entre vaccinés et non-vaccinés. Parmi les manifestants se retrouvaient d’ailleurs plusieurs personnes qui ont reçu deux ou trois injections et qui ont respecté les mesures sanitaires depuis le début de la pandémie.
Au Canada, un des pays les plus touchés par la « tyrannie covidiste », le rapport de force est-il en train de s’inverser ?
Tout semble l’annoncer, néanmoins, à l’instar de l’épisode du 6 janvier 2021 au Capitole américain, les manifestants devront résister à la doxa journalistique « main Stream » qui s’empresse déjà de dépeindre les centaines de milliers de camionneurs et leurs partisans comme des racistes et des extrémistes.
Trudeau minimise mais prend la fuite
De son côté, le Premier ministre canadien minimise l’ampleur du phénomène. Le « clone canadien » de Macron utilise le même narratif que celui du Président français lorsqu’il discréditait le mouvement des gilets jaunes, via les médias perfusés à coup d’argent public.
Mercredi 26 janvier, en conférence de presse, Trudeau déclarait aux journalistes :
« La petite minorité marginale de personnes qui se dirigent vers Ottawa a des opinions inacceptables qu’elle exprime et qui ne représentent pas les opinions des Canadiens qui ont été là les uns pour les autres et qui savent que suivre la science et se protéger mutuellement est la meilleure façon de continuer à garantir nos libertés, nos droits et nos valeurs en tant que pays ».
Il a également utilisé un langage similaire dans le passé. Dans une interview récemment réapparue dans un talk-show québécois en septembre, le premier ministre a qualifié de « racistes et misogynes » des millions de Canadiens non vaccinés.
On connaît la chanson. Reste que les abords du Parlement ont été placés sous haute surveillance par les forces de l’ordre qui laissaient toutefois circuler la foule. Les autorités avaient indiqué craindre des débordements pendant cette manifestation décrite comme « unique, à risque et conséquente » par le chef de la police, Peter Sloly.
RépondreSupprimerNotons que pour le moment, les relations police/manifestants sont pour l’heure cordiales.
La grande partie de la colère des manifestants vise personnellement le Premier ministre canadien et de nombreux manifestants arborent des pancartes anti-Trudeau.
Ironie calculée sans doute, jeudi 27 janvier, Justin Trudeau annonçait, sur Twitter, être cas contact d’une personne positive au Covid-19. Le Premier ministre est donc isolé pour cinq jours. Et hasard ou coïncidence, Trudeau et sa famille ont quitté leur domicile à Ottawa pour un lieu secret, rapporte la CBC. Ils auraient été déplacés de leur maison vers un endroit non divulgué dans la capitale nationale, ont indiqué des sources.
Le cabinet du premier ministre a déclaré qu’il ne pouvait pas commenter l’endroit où se trouvait Trudeau pour des raisons de sécurité. Son itinéraire, qui énumère normalement la ville où il séjourne, indiquait seulement qu’il se trouvait dans la « région de la capitale nationale ».
Pendant ce temps, les médias « main Stream » canadiens volent au secours de leur « maitre » en commençant à suggérer que la Russie serait derrière la manifestation, comme une forme de récompense pour le soutien du Canada à l’Ukraine dans l’impasse militaire croissante à leur frontière.
« Étant donné le soutien du Canada à l’Ukraine dans cette crise actuelle avec la Russie, je ne sais pas si c’est exagéré de demander, mais on craint que des acteurs russes continuent d’alimenter les choses alors que cette protestation grandit dès le début », a récemment déclaré un journaliste de la CBC lors d’une émission en ondes.
Trudeau fuit, se cache et lance ses « chiens de garde » médiatiques pour tenter de décrédibiliser le mouvement. Ce manque de sérénité et cette agressivité montrent bien qu’il craint le réveil de son peuple.
Preuve en est, le premier ministre de la province de Saskatchewan, qui défend la vaccination mais reconnaît qu’elle ne protège pas de l’infection, juge illégitimes les obligations vaccinales, apporte son soutien aux routiers et annonce la fin du passeport vaccinal dans sa province.
Malgré le silence médiatique, « le convoi de la liberté » se répand et s’internationalise
Ce besoin de liberté, confisquée depuis deux ans, n’est pas propre au Canada. De l’autre côté de la frontière, aux États-Unis, des camionneurs suivent l’exemple de leurs collègues. L’éditeur du Canadian Trucking Magazine, Dave Mackenzie, qui est un camionneur long-courrier, a déclaré à West Standard Online que certains camionneurs américains conduisaient du Dakota du Nord à Portal Saskatchewan, où ils avaient l’intention de traverser la frontière et de rejoindre le groupe.
De nombreuses personnalités nord-américaines ont exprimé leur solidarité avec le convoi des camionneurs. Parmi elle, Le milliardaire Elon Musk, qui a exprimé son soutien sur Twitter.
« La liberté est dépouillée pan par pan jusqu’à ce qu’elle ne soit plus », a-t-il notamment écrit. « Il semblerait que la soi-disant ‘minorité marginale’ soit en fait le gouvernement. Protester dans un hiver canadien montre un réel engagement ! » a, également, tweeté Musk dimanche 30 janvier.
RépondreSupprimer« Les camionneurs canadiens – vous avez lu à ce sujet – qui résistent courageusement à ces mandats anarchiques font de loin plus pour défendre la liberté américaine que nos propres dirigeants », a déclaré samedi soir l’ancien président américain Donald Trump, lors d’un rassemblement américain à Conroe, Texas. « Et nous voulons que ces grands camionneurs canadiens sachent que nous sommes avec eux tout au long du chemin. »
L’ampleur du mouvement, si elle est étouffée par la plupart des médias, semble avoir, aussi, insufflé un vent de révolte de l’autre côté de l’Atlantique.
Idriss Aberkane s’est fait le relai d’un appel européen, qui voudrait voir un convoi se former de la même façon qu’au Canada pour rouler jusqu’à Bruxelles. On ignore aussi quelle sera son ampleur. Mais le rendez-vous est fixé à Bruxelles, le 14 février prochain.
Dans l’UE, le secteur des transports est épargné des restrictions, car il est évident que l’Union européenne ne souhaite pas provoquer le secteur du transport et voir une situation canadienne se produire sur notre sol.
Néanmoins, le convoi de la liberté canadien fait des émules et un convoi pour la liberté européen commence à émerger.
Un convoi de camionneurs à débuter, dimanche 30 janvier, à Leeuwarden dans le nord des Pays-Bas contre les mesures de restrictions et le Pass sanitaire.
En Israël, pourtant pays pionnier du Pass-vaccinal, on soutient également la démarche canadienne.
En France, aucun « gros » média ne parle de cette situation incroyable. Pourtant, des routiers français préparent « le convoi de la liberté » via les réseaux sociaux. Mais on ne sait pas grand-chose, pour l’heure, de leur degré d’organisation, même si de nombreux groupes prennent vie, notamment via le réseau Telegram.
Autre information importante qui n’a pas été reprise par les grands médias, le Syndicat des navigants du groupe Air France (SNGAF) a déposé un préavis de grève illimitée contre le Pass vaccinal, avec prise d’effet au lundi 24 janvier. Ce sont les conséquences du changement du Pass sanitaire, devenu Pass vaccinal ce lundi, qui ont provoqué l’ire du syndicat. Le SNGAF dénonce donc « la rupture d’équité » entre tous les salariés de la compagnie et exige « le maintien d’une liberté de choix ».
Quelque chose est très clairement en train de se passer, même si les « journalistes » font la sourde oreille. Les citoyens, attachés à la liberté, se sont associés au « Freedom Convoy », un mouvement qui a pris de l’ampleur pour inclure des protestations générales contre les restrictions liées à la pandémie.
- voir clip sur site -
Canada : foule massive au Parlement vue par un drone lors de l’événement principal du convoi de la liberté 29 janvier 2022.
Source :
https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/02/01/convoi-de-la-liberte-trudeau-prend-la-fuite-face-au-soulevement-populaire-contre-la-tyrannie-sanitaire/
Article :
Julien G. / Le Courrier des Stratèges
Vidéo :
[1] Le «Convoi de la liberté» passe par la région de Québec – Le Soleil, le quotidien de Québec / YouTube
[2] Québec, USA : déni médiatique autour de la levée des restrictions liées au Covid – Sud Radio / YouTube
[3] Canada: Massive crowd at Parliament viewed by drone at freedom convoy main event 1-29-2022 – The 4K Guy – Fire & Police / YouTube
https://aphadolie.com/2022/02/02/freedom-convoy-2022-convoi-de-la-liberte-trudeau-prend-la-fuite-face-au-soulevement-populaire-contre-la-tyrannie-sanitaire/
Des dizaines de milliers de tonnes de déchets médicaux produits pendant la pandémie de COVID-19 menacent la santé : OMS
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 02 FÉVRIER 2022 - 21:10
Écrit par Katabella Roberts via The Epoch Times
Les dizaines de milliers de tonnes de déchets médicaux produits à la suite de la pandémie de COVID-19 constituent une menace pour la santé humaine et environnementale, a averti mardi l'Organisation mondiale de la santé (OMS) dans un rapport.
Les déchets supplémentaires "menacent la santé humaine et environnementale et révèlent un besoin urgent d'améliorer les pratiques de gestion des déchets", a déclaré l'agence de santé des Nations Unies.
Selon le rapport de l'agence, environ 87 000 tonnes d'équipements de protection individuelle (EPI) ont été commandées entre mars 2020 et novembre 2021 dans le cadre d'une initiative d'urgence conjointe des Nations Unies et expédiées vers des pays, dont la majorité a fini comme déchet.
Les auteurs notent que plus de 140 millions de kits de test ont été expédiés, avec le potentiel de générer 2 600 tonnes de déchets principalement plastiques et non infectieux et 731 000 litres de déchets chimiques, ce qui équivaut à un tiers d'une piscine olympique.
De plus, plus de 8 milliards de doses de vaccin ont été administrées dans le monde, ce qui a créé 144 000 tonnes de déchets supplémentaires sous forme de seringues, d'aiguilles et de boîtes de sécurité.
Le rapport ne prend en compte que les produits COVID-19 achetés dans le cadre de l'initiative d'urgence conjointe des Nations Unies et non les déchets générés par le public ou via d'autres initiatives.
L'OMS a noté qu'alors que l'ONU et les pays du monde entier se précipitaient pour sécuriser les approvisionnements en EPI au milieu de la pandémie, les responsables étaient moins concentrés sur la gestion sûre et durable des déchets résultant des soins de santé liés au COVID-19.
L'agence demande la mise en œuvre de «systèmes de gestion efficaces», qui comprennent des conseils aux agents de santé sur la façon d'éliminer en toute sécurité et de manière durable les EPI et autres produits de santé après leur utilisation, notant que 30 % des établissements de soins de santé ne sont pas équipés pour traiter les charges de déchets existantes.
Ce chiffre était d'environ 60 % dans les pays moins développés, a indiqué l'agence.
« Il est absolument vital de fournir aux agents de santé le bon EPI. Mais il est également essentiel de s'assurer qu'il peut être utilisé en toute sécurité sans impact sur l'environnement », a déclaré le directeur des urgences de l'OMS, le Dr Michael Ryan.
Les risques associés à une manipulation insuffisante de ces déchets peuvent entraîner des blessures par piqûre d'aiguille, des brûlures et des micro-organismes pathogènes chez les agents de santé, et également avoir un impact sur les communautés vivant dans des zones proches de sites d'élimination des déchets mal gérés, augmentant le risque d'une mauvaise qualité de l'eau et l'air contaminé lorsque les déchets sont brûlés.
« Un changement significatif à tous les niveaux, du niveau mondial à celui des hôpitaux, dans la manière dont nous gérons le flux de déchets médicaux est une exigence fondamentale des systèmes de soins de santé intelligents face au climat, à laquelle de nombreux pays se sont engagés lors de la récente Conférence des Nations Unies sur le changement climatique, et , bien sûr, un rétablissement sain du COVID-19 et une préparation à d'autres urgences sanitaires à l'avenir », a déclaré le Dr Maria Neira, directrice de l'environnement, du changement climatique et de la santé à l'OMS.
RépondreSupprimerLes auteurs du rapport ont formulé une série de recommandations pour aider à endiguer la menace pour la santé humaine et environnementale, notamment en utilisant des emballages et des expéditions respectueux de l'environnement, des EPI sûrs et réutilisables et des matériaux recyclables ou biodégradables.
Ils ont également appelé à davantage d'investissements dans les moyens de se débarrasser des déchets sans avoir besoin de les brûler, tels que les autoclaves, une machine utilisée pour chauffer et détruire le matériel médical, ainsi que des investissements dans le secteur du recyclage afin que certains matériaux puissent être réutilisé.
Le rapport de l'OMS intervient au milieu des efforts pangouvernementaux de l'administration Biden pour lutter contre la crise climatique via l'initiative Build Back Better (BBB), un programme qui verrait Washington investir environ 550 milliards de dollars dans des initiatives d'énergie renouvelable et de changement climatique.
https://www.zerohedge.com/covid-19/tens-thousands-tons-medical-waste-produced-during-covid-19-pandemic-threatens-health-who
(...) De plus, plus de 8 milliards de doses de vaccin ont été administrées dans le monde, (...)
Supprimer!!!!!! De plus, plus de 8 milliards de doses de vaccin ont été administrées dans le monde, sur 7,900 milliards de personnes soit x piqûres létales !
Mise à part les placebos et les personnes intelligentes qui ont refusé l'extermination... combien reste t-il de personnes au monde !?
'Plan Dépopulation21' en marche !
* * * * *
Une femme EXTRAORDINAIRE ! Un être humain complet qui réalise des prouesses les plus évoluées dans notre monde !
Elle construit toute seule des cabanes dans les arbres (avec baignoire !) à 5 m de haut ou 10 m !. Elle tresse des cloisons, des tapis de sol et de toits. Et fait des enduits parfaits.
Elle ramasse des fruits des légumes, des poissons qu'elle cuisine.
L'attention est portée sur les troncs d'arbres pleins de 4 m de long sans branches (sortes de bambous pleins) qu'elle assemble avec des liens). Fait des échelles, des portes et fenêtres, etc !
C'est à voir, à retenir, à admirer. Merci merci merci !
https://fb.watch/aUWu-pkzWK/
https://fb.watch/aVWiKdLeGg/
Fabrication d'une roue à 8 aubes (cochon grillé sur tourne-broche)
https://fb.watch/aWaZ3CRQEE/
3 jours de camp de brousse en solo, creuser un poêle pour faire bouillir de l'eau chaude pour le bain en plein air,
https://fb.watch/aWtRSb9tkV/
Construire un petit jardin avec un étang à poissons, une fille célibataire vivant hors réseau
https://fb.watch/aWv_h98iFK/
Détecter le sanglier - fabriquer des pièges primitifs
https://fb.watch/aWyC6IoTI1/
Construisez la plus belle maison des Highlands Utilisez des compétences anciennes
https://fb.watch/aXA58UYf5W/
Compétences d'un guerrier de la forêt - Fabriquer une arbalète en bambou, plan à long terme
https://fb.watch/aXDwaet9Um/
Building Life - Camping Survival In The Forest - faire une salle de bain
https://fb.watch/aXF7G2l1mj/
Construire un camp de Bushcraft à partir de bois, Instinct de survie
https://fb.watch/aXF-b00OXZ/
Vivre avec la nature - Une fille utilise beaucoup de cages en bambou pour élever des poissons
https://fb.watch/aXH0kPC9Q5/
Construire un abri de survie complet ! Cabane en terre de brousse, toit en paille
https://fb.watch/aXI9_IxFN_/
Construire un abri chaleureux à partir de bambou et d'argile
https://fb.watch/aXJ_QL0yde/
Les pénuries d'engrais et de puces informatiques pourraient mettre en péril l'économie mondiale
RépondreSupprimermercredi 02 février 2022
par : Cassie B.
(Natural News) Alors que les Américains continuent de faire face à des pénuries d'épicerie généralisées et que les problèmes de chaîne d'approvisionnement continuent d'avoir un impact sur le monde, les espoirs d'un redressement économique cette année dépendent en grande partie de deux pénuries mondiales majeures, selon Michael Snyder de The Economic Collapse.
La première pénurie à surveiller est celle des engrais. Le Wall Street Journal a récemment averti que les prix élevés des engrais affectaient les agriculteurs du monde en développement. Des exploitations d'avocats, de café et de maïs d'Amérique du Sud aux exploitations de palmiers à huile et de noix de coco en Asie du Sud-Est, les prix élevés des engrais ont entraîné des réductions de production et des dépenses de culture plus importantes.
En conséquence, les factures d'épicerie pourraient encore augmenter cette année. L'année dernière, les prix des denrées alimentaires dans le monde ont atteint des sommets en dix ans et de nouvelles hausses pourraient aggraver encore la faim aiguë déjà observée dans certaines parties du monde en raison des pertes d'emplois liées à la pandémie et mettre un frein aux efforts des banquiers centraux et des politiciens. pour maîtriser l'inflation.
Pour comprendre à quel point le problème est grave, le Centre international de développement des engrais a déclaré que les prix élevés des engrais pourraient réduire la production agricole rien qu'en Afrique à un montant équivalant aux besoins alimentaires de 100 millions de personnes. Pendant ce temps, en Corée du Nord, le gouvernement a demandé aux gens de commencer à fabriquer des engrais maison en utilisant leurs propres déchets.
Cependant, ce ne sont pas seulement l'Afrique et la Corée du Nord qui souffriront ; les États-Unis sont également touchés. Les agriculteurs du Kansas paient désormais le double pour les engrais à base de potassium et de phosphore et le quadruple pour les engrais à base d'azote. Ils n'ont d'autre choix que de payer ou d'arrêter complètement l'agriculture car les rendements agricoles seront compromis sans cela. Les consommateurs verront probablement ces prix plus élevés des engrais se refléter dans les prix des aliments dans leurs épiceries. De nombreux agriculteurs aux États-Unis devraient avoir du mal à planter leurs cultures de manière rentable cette année, et beaucoup moins de nourriture pourrait être cultivée en conséquence.
La pénurie de puces informatiques pourrait être exacerbée par les tensions taiwano-chinoises
L'autre pénurie majeure à surveiller concerne les puces informatiques. Un rapport récemment publié par le ministère du Commerce montre que les stocks de puces dans tout le pays sont de plus en plus minces. La demande d'information sur les risques dans la chaîne d'approvisionnement des semi-conducteurs a indiqué que l'inventaire médian détenu par les consommateurs de puces, tels que les fabricants de dispositifs médicaux et les constructeurs automobiles, est passé de 40 jours en 2019 à moins de cinq jours en 2021.
Une catastrophe naturelle, une instabilité politique ou une autre épidémie de virus perturbant une usine étrangère de semi-conducteurs pendant même quelques semaines peut empêcher les installations de fabrication aux États-Unis de fonctionner, mettant en danger les travailleurs américains et les familles qu'ils soutiennent.
La secrétaire au Commerce, Gina Raimondo, a déclaré que le manque de puces avait entraîné une perte de revenus de 210 milliards de dollars pour les constructeurs automobiles l'année dernière. Dans un article de blog, elle a expliqué que les prix des automobiles étaient à l'origine d'un tiers de toute l'inflation en raison du manque de puces. Les experts disent que si la production de puces continue d'être perturbée cette année, la situation ne fera qu'empirer.
RépondreSupprimerCe n'est pas un problème avec une solution simple étant donné le temps et l'argent nécessaires à la construction d'usines de puces. Le financement fédéral pourrait être en mesure d'aider à l'approvisionnement à long terme en puces, mais n'aidera pas à court terme. À l'heure actuelle, la plupart des usines de puces sont basées en Asie, en particulier à Taïwan. Avec la montée des tensions entre Taïwan et la Chine, on craint qu'une invasion chinoise de Taïwan ne laisse l'industrie américaine sans accès aux puces informatiques.
Alors que beaucoup d'entre nous espéraient que 2022 serait une année où les choses commenceraient à revenir à la normale, il semble que cela pourrait en fait empirer, avec l'économie mondiale en danger et l'inflation peu susceptible de baisser.
Les sources de cet article incluent :
ZeroHedge.com
WSJ.com
https://www.naturalnews.com/2022-02-02-shortages-fertilizer-computer-chips-jeopardize-global-economy.html
Geology Insider explique pourquoi la crise énergétique mondiale va empirer
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 03 FÉVRIER 2022 - 06:30
Écrit par Michael Snyder via le blog The Economic Collapse,
Il devient clair que nous avons bien plus de problèmes qu'on ne nous le dit. Ces derniers mois, toutes les formes d'énergie traditionnelle sont devenues nettement plus chères, ce qui alimente les augmentations de prix sur toute la planète. Cette nouvelle crise mondiale de l'énergie est directement responsable de l'augmentation stupéfiante des prix des engrais, elle a entraîné une quantité énorme de douleur à la pompe pour des millions d'Américains moyens, et puisque pratiquement tout ce que nous achetons doit être transporté, c'est une contribution majeure facteur du « boom de l'inflation » auquel nous assistons actuellement. Malheureusement, ce n'est que le début.
J'ai récemment été contacté par un géologue qui a travaillé dans l'industrie pétrolière pendant plus d'une décennie.
Il m'a patiemment expliqué pourquoi les choses n'allaient pas s'améliorer.
Je lui ai demandé si je pouvais partager une partie de ce qu'il m'a envoyé avec vous tous, et il a accepté. Après avoir lu ceci, je pense que vous conviendrez qu'il s'agit d'une évaluation assez peu réjouissante de l'état actuel des choses…
Je suis un géologue qui travaille dans l'industrie pétrolière depuis plus de dix ans. Je venais juste de sortir de l'école à temps pour la révolution du schiste et j'ai travaillé à Denver sur la pièce de Bakken dans le Dakota du Nord, puis j'ai travaillé sur le Permien à partir de Midland. Il s'agissait des deux principales zones de schiste, j'ai donc une connaissance de première main. J'enseigne maintenant les sciences de l'environnement à des lycéens à Amman, en Jordanie.
Quoi qu'il en soit, en 2015, je commençais à voir des rapports provenant d'analystes selon lesquels l'industrie du schiste manquerait de nouveaux endroits pour forer des puits de pétrole de schiste dans le Permien en 2021. Ces rapports ne me disaient rien de nouveau, me donnant juste un date probable. Vous voyez, le forage de schiste fore dans une roche de mauvaise qualité. Avant le schiste, nous n'avions pas besoin de fracturer les puits parce que la qualité de la roche était excellente, mais nous avons foré toute cette bonne roche. Donc, c'est vraiment en train de gratter le fond du baril maintenant et à l'époque, il y avait une reconnaissance que cela ne durerait pas éternellement. Le pétrole est une ressource limitée. Pendant un certain temps, il était à peine économique de forer des puits de schiste parce que les marges de forage dans une roche aussi pauvre étaient légèrement meilleures que ce que vous pouviez gagner sur les intérêts en raison de la politique d'assouplissement quantitatif. Cependant, la plupart des entreprises de schiste n'étaient que des schémas de Ponzi et l'industrie du schiste a perdu des milliards dans son ensemble. Mais le résultat de cette perte de capital a été une production record. Inutile de dire que Wall Street a fini par comprendre qu'ils ne gagnaient pas d'argent et que l'industrie a donc manqué de capitaux. C'est un problème, l'autre est qu'il n'y a vraiment pas beaucoup plus d'emplacements de forage. Tous les bons endroits ont été forés, c'est pourquoi vous ne voyez pas une ruée des entreprises de schiste revenir au forage même si les prix du pétrole augmentent rapidement. Ce manque d'investissement continuera de pousser les prix du pétrole à la hausse.
Une grande partie de la production pétrolière américaine provient désormais de puits de schiste. Le problème avec les puits de schiste est que la production de pétrole décline beaucoup plus rapidement que les puits forés dans ce que nous appelons la roche « conventionnelle ». La production de pétrole conventionnel est en baisse depuis longtemps et le schiste a contribué à compenser la production. Le problème est que, maintenant que le forage de nouveaux puits ralentit, le taux de déclin de la production de pétrole sera beaucoup plus rapide. Partout dans le monde, de nombreux pays qui n'ont pas investi dans le schiste (parce qu'il est sous-économique) ont vu leurs ressources conventionnelles continuer à décliner. Le Venezuela était un important exportateur de pétrole, tout comme la Colombie et le Mexique. Attendez-vous à ce que l'Arabie saoudite ne soit pas loin derrière. Ils mentent depuis des années sur la quantité de pétrole qu'il leur reste réellement.
RépondreSupprimerComme vous ne cessez de le souligner, ajoutez à cela des guerres ou des catastrophes naturelles et nous aurons de très gros problèmes. Le pétrole est la ressource numéro un sur laquelle repose toute l'économie mondiale. Les prix élevés du pétrole conduisent directement à des émeutes du pain et à l'effondrement des gouvernements (pensez au printemps arabe). Les politiciens ont besoin de pétrole bon marché, mais nous ne le reverrons plus. Certaines personnes dans l'industrie continuent de penser que les nouvelles technologies nous sauveront et nous aideront à développer de nouvelles zones pétrolières. Ils ne pourraient pas avoir plus tort. La technologie de fracturation a été développée pour la première fois dans les années 60. Je peux vous dire qu'aucune nouvelle technologie en cours de développement dans l'industrie pétrolière ne nous sauvera. La physique et la géologie sont contre nous sur ce coup-là, même si nous pourrions développer une technologie. L'éolien et le solaire ne nous sauveront pas non plus, cela nécessiterait un investissement en matériaux et en énergie plus important que celui que nous avons.
Il n'y a aucun moyen de nous en sortir.
Cela signifie que vous allez payer beaucoup plus pour chauffer vos maisons.
Et cela signifie que vous allez également payer beaucoup plus pour faire le plein de votre véhicule à la station-service.
Inutile de dire que vous paierez également beaucoup plus pour la nourriture.
En fait, les prix des denrées alimentaires commencent déjà à exploser. La semaine dernière, Kraft Heinz a annoncé qu'il allait bientôt augmenter les prix de bon nombre de ses produits les plus populaires jusqu'à 30 %…
Kraft Heinz (KHC) a déclaré dans une récente lettre à ses clients qu'il augmenterait les prix en mars sur des dizaines de produits, dont la charcuterie Oscar Mayer, les hot-dogs, les saucisses, le bacon, le fromage Velveeta, le café Maxwell House, les ailes de poulet surgelées TGIF, Boissons Kool-Aid et Capri Sun.
Les augmentations vont de 6,6 % sur les packs frais Velveeta de 12 oz à 30 % sur un pack de trois de bacon de dinde Oscar Mayer. La plupart des charcuteries et des hot-dogs au bœuf augmenteront d'environ 10 % et le café d'environ 5 %. Certains packs de boissons Kool-Aid et Capri Sun augmenteront d'environ 20 %.
Bien sûr, Kraft Heinz n'est certainement pas le seul.
Comme nos collègues de Zero Hedge l'ont justement souligné, d'autres grandes entreprises alimentaires vont bientôt augmenter leurs prix également…
Kraft Heinz n'est que le dernier fabricant grand public à annoncer son intention d'augmenter les prix au début de l'année. La semaine dernière, P&G a annoncé qu'elle augmenterait les prix des détergents à lessive Tide and Gain, de l'assouplissant textile Downy et des feuilles assouplissantes Bounce d'environ 8 % en moyenne en février. Conagra, qui fabrique des marques telles que Slim Jim, Marie Callender's et Birds Eye, a annoncé son intention d'augmenter les prix plus tard cette année.
RépondreSupprimerPendant longtemps, j'ai spécifiquement averti que les prix des denrées alimentaires deviendraient complètement fous, et maintenant cela commence à se produire sous nos yeux.
Et selon une nouvelle enquête Gallup qui vient d'être publiée, 79% de tous les Américains s'attendent à encore plus d'inflation dans les mois à venir...
Gallup a souligné que les 79 % interrogés dans leur sondage du 3 au 16 janvier, qui ont déclaré s'attendre à une hausse de l'inflation, étaient les plus élevés qu'ils aient mesurés au cours des deux décennies où ils ont posé la question.
"Dans le passé, les Américains ont toujours été plus susceptibles de dire que l'inflation augmentera plutôt que de diminuer, mais l'attente actuelle est plus élevée que d'habitude - en fait, c'est la plus élevée que Gallup ait mesurée dans sa tendance", a écrit l'institut de sondage dans son rapport. Libération.
Les "experts" de la Réserve fédérale pensaient qu'ils pouvaient absolument inonder notre système financier d'argent sans conséquences graves.
De même, nos politiciens à Washington pensaient qu'ils pouvaient emprunter et dépenser des billions et des billions de dollars sans détruire notre monnaie.
Ils avaient tous les deux tort, et maintenant le peuple américain va être absolument choqué par le niveau de souffrance économique que nous allons bientôt endurer.
https://www.zerohedge.com/markets/geology-insider-explains-why-global-energy-crisis-going-get-much-much-worse
(...) Le pétrole est une ressource limitée. (...)
SupprimerFAUX et archi-faux ! Le pétrole est comme l'eau, il n'y a pas une goutte de plus ou de moins sur notre planète depuis DES milliards d'années. Le pétrole est abiotique. Cela signifie qu'il se reconstitue 100 % à partir des gaz transformés suite à la combustion.
Alors que le destin de l'Amérique est en jeu, le niveau du mal dans ce pays est hors des charts
RépondreSupprimer1 février 2022
de Michael Snyder
Un déclin de la moralité a précédé l'effondrement de presque toutes les grandes sociétés à travers l'histoire. La décadence morale est souvent citée comme l'une des principales raisons du déclin et de la chute de l'Empire romain, le niveau de méchanceté dans la Grèce antique a atteint un crescendo effrayant avant de finalement tomber, et la dépravation des aristocrates français était si nauséabonde que les citoyens ordinaires ont pris dans les rues et les a décapités pendant la Révolution française. Malheureusement, nous n'avons pas tiré les leçons du passé, et nous semblons donc condamnés à les répéter.
Comme tant d'autres grandes sociétés, nous avons atteint un point où le sort de notre nation est en jeu.
Mais au lieu de se détourner de nos mauvaises voies et de revenir aux valeurs et aux principes sur lesquels ce pays a été fondé, à peu près toutes les formes de mal que vous pouvez imaginer explosent tout autour de nous.
Permettez-moi de vous donner un exemple de ce dont je parle. Si vous pouvez le croire, le fondateur du temple satanique de Detroit vient de prendre une pilule abortive à la télévision en direct.
L'intervieweur lui a demandé si elle était enceinte et elle a répondu par l'affirmative.
En fait, elle a fièrement déclaré que ce sera son troisième avortement.
Certains d'entre vous qui lisent cet article peuvent être tentés de rejeter cet exemple parce que vous pensez que le Temple satanique est un "groupe marginal", mais ces dernières années, ils ont en fait été l'une des organisations religieuses à la croissance la plus rapide en Amérique.
Permettez-moi de changer de vitesse et de partager un autre exemple qui n'implique certainement pas un "groupe marginal". A Boston, un homme de 31 ans se voit refuser une greffe cardiaque simplement parce qu'il n'est pas vacciné...
Un homme qui se bat pour sa vie ne serait pas éligible à une transplantation cardiaque car il refuse de se faire vacciner contre le COVID-19.
DJ Ferguson, 31 ans, a été le premier sur la liste à recevoir un nouveau cœur au Brigham and Women's Hospital (BWH) de Boston, mais n'est plus éligible à la greffe en raison de son statut vaccinal, rapporte CBS Boston.
Malheureusement, ce genre de choses se produit dans tout le pays.
Les personnes gravement malades se voient refuser des greffes et d'autres procédures vitales en raison de leur statut vaccinal.
Je n'aurais jamais pensé que je verrais une telle chose se produire aux États-Unis d'Amérique.
Des gens meurent littéralement à cause des « politiques » que certains hôpitaux ont mises en place.
Ceux qui prennent ces décisions sont très bien payés et sont des membres profondément respectés de leurs communautés.
Mais ils sont aussi incroyablement mauvais, et honnêtement, je ne sais pas comment ils peuvent même dormir la nuit.
Malheureusement, ils sont soutenus par certaines des voix les plus en vue dans les médias grand public. Des célébrités telles que Howard Stern et Whoopi Goldberg se sont exposées comme des autoritaires extrêmes pendant cette pandémie, et il est effrayant de voir combien d'Américains sont réellement d'accord avec eux.
RépondreSupprimerPendant ce temps, d'innombrables drogues légales et illégales extrêmement dangereuses continuent d'être imposées à nos jeunes. Selon une étude récente, les Américains âgés de 10 à 24 ans ont collectivement perdu 1,2 million d'années de vie à cause d'une surdose accidentelle de drogue entre les années 2015 et 2019...
Des chercheurs de l'Ohio State University, à Columbus, ont recueilli des données auprès des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) pour déterminer le nombre d'années de vie perdues chez les enfants et les adolescents âgés de 10 à 19 ans décédés d'une surdose accidentelle de drogue.
En comparant l'âge du décès à l'espérance de vie moyenne, ils ont découvert que le groupe d'âge avait perdu 200 000 années de vie. Lorsque l'âge de l'étude a été étendu à 24 ans, ils ont trouvé un total de 1,2 million d'années de vie perdues.
Malheureusement, le nombre de décès par surdose de drogue a considérablement augmenté en 2020, et les chiffres définitifs pour 2021 devraient être les plus élevés que nous ayons jamais vus de loin.
Et plus de drogues continuent d'affluer dans nos rues chaque jour qui passe.
Bien sûr, ceux qui sont impliqués dans la distribution des médicaments sont également souvent impliqués dans d'autres activités incroyablement écœurantes.
À ce stade, notre pays ne ressemble en rien à la nation dont les Américains étaient si fiers il y a 50, 60 ou 70 ans.
Du sommet à la base de notre société, nos normes morales se sont tellement détériorées qu'il semble presque qu'il ne nous en reste plus.
Tout le monde fait à peu près ce qui est juste à ses propres yeux, ce qui entraîne un chaos complet et absolu.
À ce stade, nulle part n'est vraiment sûr. Vendredi soir, un conflit autour d'un steak a entraîné une bagarre massive dans un restaurant Golden Corral en Pennsylvanie…
Un vendredi soir s'est transformé en mêlée à Bensalem dans un restaurant Golden Corral. Maintenant, la police essaie de comprendre comment cela a commencé.
Un ancien employé du restaurant a déclaré qu'on lui avait dit que la bagarre avait peut-être eu lieu après qu'un client soit devenu furieux lorsque le buffet a manqué de steak.
Une vidéo partagée avec Eyewitness News montre des coups de poing lancés et des chaises hautes volant alors qu'une bagarre éclate à l'intérieur du Golden Corral à Bensalem vendredi soir.
Il est rapporté qu'au moins 40 personnes ont été impliquées dans la bagarre.
RépondreSupprimerSi les gens sont prêts à devenir aussi fous maintenant, qu'est-ce qu'ils seront prêts à faire une fois que les choses commenceront à devenir vraiment folles dans ce pays ?
Les cœurs se refroidissent tellement, et des millions et des millions de nos concitoyens semblent vraiment ne se soucier que d'eux-mêmes.
Dans toute l'histoire du monde, aucune société sans fondement moral solide n'a jamais duré longtemps.
Et nous ne ferons pas exception.
Le temps presse et, malheureusement, le niveau du mal aux États-Unis continue d'augmenter chaque jour qui passe.
http://endoftheamericandream.com/as-the-fate-of-america-hangs-in-the-balance-the-level-of-evil-in-this-country-is-off-the-charts/
L'infrastructure américaine s'effondre sous nos pieds
RépondreSupprimer31 janvier 2022
de Michael Snyder
Vous avez peut-être remarqué que notre nation s'effondre. Dans ce cas, je ne parle pas vraiment de la décadence morale qui ronge les fondements de notre société comme le cancer. Dans cet article, je vais me concentrer spécifiquement sur l'infrastructure physique qui s'effondre littéralement sous nos pieds. À une certaine époque, l'infrastructure aux États-Unis était inégalée dans le monde. Les générations précédentes d'Américains ont construit ce pays à partir de zéro, et je suis très reconnaissant pour le travail acharné qu'ils ont mis dans la construction de notre infrastructure, mais maintenant, il pourrit et se décompose tout autour de nous.
Nos politiciens à Washington ont finalement décidé d'agir en adoptant la loi de 1,2 billion de dollars sur l'investissement et l'emploi dans les infrastructures.
Malheureusement, la majeure partie de cet argent ne sera pas réellement dépensée pour les infrastructures. Selon Newsweek, seulement 44 % de l'argent du projet de loi sera consacré à l'infrastructure, même si vous utilisez la définition la plus large possible de « l'infrastructure ».
Nous avons donc été bluffés.
Encore.
Mais au moins une partie de l'argent va être dépensée pour les infrastructures, et c'est une bonne chose car les routes et les ponts s'effondrent littéralement tout autour de nous.
En fait, le pont Forbes Avenue à Pittsburgh s'est effondré vendredi quelques heures seulement avant que Joe Biden ne visite la ville…
Immédiatement après son atterrissage à Pittsburgh, en Pennsylvanie, vendredi, le président Joe Biden a visité le pont de Forbes Avenue au-dessus de Fern Hollow Creek. Le pont s'est effondré vers 6 h 50 vendredi, quelques heures seulement avant sa visite prévue pour souligner la nécessité d'améliorer l'infrastructure en ruine du pays.
"Nous allons tous les réparer", a déclaré Biden au personnel d'urgence et aux responsables locaux sur le site, faisant référence aux plus de 40 000 ponts à travers le pays qui sont considérés comme en mauvais état. "Cela va être un changement gigantesque."
Biden prétend que nous « allons tous les réparer », mais il ne nous dit pas la vérité.
On rapporte qu'il y a 27,5 milliards de dollars dans la facture d'infrastructure qui sont alloués à la construction et à la réparation des ponts…
La loi sur les infrastructures que le président Biden a adoptée l'année dernière contient 27,5 milliards de dollars spécifiquement pour la construction et la réparation de ponts. La loi distribue les fonds proportionnellement en fonction de l'ampleur des besoins, de sorte que la Pennsylvanie obtiendra le troisième plus grand nombre de tous les États, bien qu'elle soit le cinquième en termes de population. Les premiers 327 millions de dollars ont été distribués à l'État il y a à peine deux semaines.
Malheureusement, la Federal Highway Administration nous dit qu'il faudrait environ 125 milliards de dollars pour réparer ou remplacer les ponts déficients de l'Amérique…
RépondreSupprimerL'American Society for Civil Engineers (ASCE) rend régulièrement compte de la solidité des ponts américains, tandis que la Federal Highway Administration estime le coût de leur réparation ou de leur remplacement à environ 125 milliards de dollars. Ce ne sont pas des lacunes cachées. Ils se cachent à la vue de tous. Il n'y a aucune excuse pour craindre que la prochaine fois que nous traverserons nos ponts, ce soit la dernière.
Alors pourquoi si peu d'argent a-t-il été alloué à nos ponts dans le projet de loi sur les infrastructures?
Quelqu'un devrait poser cette question à Joe Biden, Nancy Pelosi et Chuck Schumer.
Parce que si nous allons dépenser 1,2 billion de dollars que nous n'avons pas, nous devrions au moins pouvoir réparer nos routes et nos ponts.
Selon le Département américain des transports, il y a près de 44 000 ponts aux États-Unis qui sont actuellement en « mauvais état »…
Il y a plus de 3 300 ponts en mauvais état à travers la Pennsylvanie et, par conséquent, l'État reçoit 1,6 milliard de dollars. Le Pittsburgh Post-Gazette a rapporté que le comté d'Allegheny compte le plus grand nombre de ponts en mauvais état dans l'État et que 20% des ponts contrôlés localement - comme la structure de Forbes Avenue - sont en mauvais état.
À l'échelle nationale, le pays compte près de 44 000 ponts en mauvais état, selon le département américain des Transports.
Nos routes sont également dans un état épouvantable. À ce stade, des centaines de milliers de kilomètres de routes dans notre pays sont en mauvais état. Le Texas et la Californie sont les deux États en tête du peloton…
GlassBYTEs.com a rendu compte l'année dernière d'une ventilation état par état des meilleures et des pires routes du pays. La Pennsylvanie a reçu un C- dans le rapport avec 7 540 miles de mauvaises routes qui ont coûté aux automobilistes 620 $ supplémentaires en frais de réparation. Le coût le plus élevé a été signalé à Washington DC avec 1 000 $. La capitale nationale a également reçu la note C-. Le plus grand nombre de kilomètres de mauvaises routes est de 19 400 au Texas, suivi de 14 200 en Californie.
Jusqu'à présent dans cet article, je n'ai parlé que des routes et des ponts, mais nous sommes également confrontés à de nombreux autres défis.
Notre réseau électrique n'a jamais été conçu pour accueillir autant de personnes, et nous avons tous vu la catastrophe épique qui s'est déroulée au Texas l'hiver dernier.
Le manque d'investissement dans nos ports est l'un des facteurs qui a précipité la plus grave crise de la chaîne d'approvisionnement que les États-Unis aient jamais connue.
RépondreSupprimerEn matière de transports en commun, nous sommes loin derrière la Chine et les autres grands pays industrialisés.
Nos conduites de gaz naturel sont en si mauvais état que les « accidents » explosifs sont devenus monnaie courante.
Nos systèmes d'approvisionnement en eau et nos réseaux d'égouts ont désespérément besoin d'attention. À Sacramento, en Californie, l'eau qui sort des robinets a souvent un goût de saleté à ce stade.
Inutile de dire que nos chemins de fer sont très obsolètes et pourraient également nécessiter des investissements.
Et s'il vous plaît, ne me lancez pas dans nos aéroports. Comparés aux aéroports d'Asie, d'Europe et du Moyen-Orient, beaucoup de nos aéroports sont une mauvaise blague.
Si tout l'argent du « projet de loi sur les infrastructures » devait être dépensé pour répondre à ces besoins, beaucoup de bien pourrait être fait.
Mais au lieu de cela, des centaines de milliards de dollars iront à des causes sociales favorisées par Nancy Pelosi, Chuck Schumer et Joe Biden.
Donc, nos infrastructures vont continuer à s'effondrer, et c'est extrêmement malheureux.
http://endoftheamericandream.com/americas-infrastructure-is-crumbling-right-under-our-feet/
"Tout le monde a tout volé" - Un autre exemple de l'anarchie totale et totale envahissant les rues d'Amérique
RépondreSupprimer30 janvier 2022
de Michael Snyder
Des hordes de pharmacies locales ferment dans les grandes villes du pays, et ce n'est pas à cause de l'économie. Malheureusement, parce que le vol à l'étalage est devenu si répandu dans des endroits comme New York, Chicago, San Francisco et Los Angeles, les grandes chaînes déterminent qu'il n'est plus rentable de faire des affaires dans de nombreuses communautés. Si j'étais à leur place, je ferais la même chose. Grâce à des politiciens extrêmement indulgents avec le crime, les pillards professionnels se déchaînent et, dans de nombreux cas, les agents de sécurité ont pour instruction de simplement se tenir à l'écart et de les laisser prendre ce qu'ils veulent.
L'autre jour, l'acteur Michael Rapaport a littéralement vu un pilleur professionnel remplir ses sacs alors qu'il parcourait une pharmacie.
Rapaport était absolument furieux, car il dépend de cette pharmacie Rite Aid locale pour ses stabilisateurs d'humeur.
Et je ne pense pas qu'on veuille voir Michael Rapaport sans ses stabilisateurs d'humeur.
Une fois que le pillard a terminé de remplir ses sacs, Rapaport l'a filmé alors qu'il passait devant un agent de sécurité et sortait du magasin.
Mais ce n'est pas là que l'histoire s'est terminée.
Dimanche, Rapaport est retourné à son Rite Aid local, et il a découvert qu'il allait bientôt fermer "parce que tout le monde a tout volé"...
L'acteur Michael Rapaport est retourné dans son quartier Rite Aid dimanche pour trouver des étagères vides quelques jours seulement après avoir vu un voleur effronté sortir calmement du magasin avec deux sacs remplis de biens volés.
"De retour dans mon Rite Aid", a-t-il déclaré dans une vidéo publiée sur son Instagram dimanche. «Et il n'y a rien à voler parce que ce Rite Aid, comme tant d'autres Rite Aids, ferme ses portes parce que tout le monde a tout volé. Et les travailleurs ici ne savent pas s'ils obtiennent des emplois.
Lors de sa visite de retour, un agent de sécurité a déclaré à Rapaport que le magasin était touché par des vols similaires à celui que Rapaport a filmé "de manière quasi quotidienne".
La plupart des détaillants opèrent avec des marges très minces, et donc très peu seraient capables de survivre longtemps dans un tel environnement.
À mesure que les magasins fermeront, les communautés sombres du centre-ville deviendront encore plus sombres.
Ce qui est vraiment triste, c'est que ces escrocs n'ont pas vraiment besoin de piller. Il y a quelques mois, il y avait plus de 10 millions d'offres d'emploi aux États-Unis, et à ce stade, les grands employeurs sont si désespérés pour les gens qu'ils embauchent littéralement n'importe qui avec un pouls.
RépondreSupprimerAu cours de l'année écoulée, des millions de travailleurs ont «disparu» du système, ce qui a créé une pénurie de main-d'œuvre épique.
Ainsi, personne en Amérique n'a besoin de se tourner vers une vie de crime pour survivre.
Mais d'innombrables jeunes le font quand même.
À New York, le taux de criminalité global a augmenté de près de 39 % jusqu'à présent en 2022. Bien sûr, la criminalité n'est pas seulement hors de contrôle dans nos plus grandes villes. L'autre jour, j'ai été profondément attristé d'apprendre un meurtre extrêmement tragique en Alabama…
Le mari assassiné d'un ancien candidat à Miss America a été tragiquement abattu devant sa femme et son fils de deux ans dans un quartier difficile de l'Alabama alors qu'il éduquait des étrangers pauvres sur les pouvoirs de Dieu, disent ses amis et sa famille – quelques jours seulement après le couple a fêté son sixième anniversaire de mariage.
Thomas Hand Jr., 37 ans, qui se considérait comme un chrétien né de nouveau, partageait samedi des informations sur le christianisme à Montgomery avec sa femme et son enfant lorsqu'un homme – marmonnant – s'est approché et lui a tiré dessus, ont déclaré ses amis à DailyMail.com.
Thomas Hand Jr. essayait juste de partager Christ avec un monde perdu et mourant.
Et maintenant, il est passé de l'autre côté.
Je suppose que son meurtrier était probablement drogué. À l'heure actuelle, le problème de la drogue aux États-Unis est le pire qu'il n'ait jamais été, et cela est particulièrement vrai dans les villes de la côte ouest comme San Francisco…
Un nouveau «centre de liaison» visant à connecter les toxicomanes sans-abri avec des centres de désintoxication a ouvert ses portes à San Francisco la semaine dernière – mais des images affligeantes montrent un site de consommation de drogues illicites en plein air qui est maintenant jonché d'aiguilles et bondé de toxicomanes qui tirent en plein jour.
Des images prises par DailyMail.com montrent une femme affalée dans un fauteuil roulant, son pantalon baissé autour de ses chevilles, se préparant à injecter une aiguille dans sa cuisse. La femme assise par terre à côté d'elle a une aiguille dans le cou.
Beaucoup d'autres sont assis par terre parmi les ordures, les contenants de nourriture vides et les couvertures sales, alors qu'ils tâtonnent avec des accessoires de consommation de drogue par temps froid.
RépondreSupprimerIl y a très peu de communautés aux États-Unis qui ne sont pas confrontées à un problème majeur de drogue, et les victimes sont de plus en plus jeunes.
Par exemple, je suis récemment tombé sur l'histoire d'un garçon de 13 ans qui est décédé subitement après une overdose de fentanyl…
Un garçon de 13 ans du Connecticut décédé après une surdose de fentanyl à l'école avait environ 100 sacs du puissant opioïde synthétique dans sa chambre, a indiqué la police.
Les flics de Hartford ont trouvé la drogue puissante lors de l'exécution d'un mandat de perquisition au domicile de l'élève de septième année le 13 janvier après avoir fait une overdose plus tôt dans la journée, ont déclaré mardi des responsables du département dans un communiqué.
Comment diable un garçon de 13 ans peut-il mettre la main sur 100 sachets de fentanyl ?
C'est fou.
Bien sûr, de plus en plus de fentanyl arrive quotidiennement de Chine et du Mexique, mais l'administration Biden semble penser que la sécurité des frontières ne s'applique qu'à l'Ukraine.
Nous sommes au milieu d'un effondrement sociétal complet et total, et nos dirigeants nationaux ne semblent rien vouloir faire pour l'arrêter.
La drogue va donc continuer à circuler.
Et la criminalité va continuer à s'aggraver.
Nous avons vraiment atteint un tournant critique en tant que nation, et le chemin à parcourir semble très, très troublé.
http://endoftheamericandream.com/everybody-stole-everything-another-example-of-the-complete-and-utter-lawlessness-taking-over-the-streets-of-america/
« Nous pouvons ouvrir la société » : la Suède lève presque toutes les restrictions liées au Covid-19
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 03 FÉVRIER 2022 - 11:00
Lors d'une conférence de presse jeudi matin, le gouvernement suédois a annoncé son intention de supprimer la majorité des restrictions contre le Covid-19 le 9 février, a rapporté Local.se.
La Première ministre Magdalena Andersson, la ministre de la Santé Lena Hallengren et la directrice générale de l'Agence de santé publique, Karin Tegmark Wisell, ont annoncé que presque toutes les restrictions seront supprimées le 9 février et que les personnes travaillant à domicile devraient se préparer à retourner au travail.
"La pandémie n'est pas terminée, mais entre dans une toute nouvelle phase", a déclaré Andersson. "Nous approchons du point de réouverture de la Suède."
Le gouvernement a expliqué que la décision d'ouvrir était basée sur un certain nombre de facteurs, en partie parce qu'Omicron semble être une variante plus bénigne du virus, et en partie que le pourcentage de la population suédoise qui est complètement vaccinée ou qui a pris une dose de rappel continue de augmenter.
"Il existe plusieurs études internationales sur une maladie plus bénigne, et les données que nous avons de la Suède brossent le même tableau", a expliqué Andersson. "Le taux de vaccination en Suède a été élevé ces dernières semaines", a-t-elle poursuivi, précisant que cela signifie que "nous pouvons ouvrir la société, au moins pour tous ceux qui ont été vaccinés".
Près de 50 % des plus de 18 ans en Suède ont reçu leur troisième dose de vaccin et plus de 86 % des plus de 12 ans ont reçu leur première dose. La Suède ne recommande pas les vaccins Covid aux enfants de moins de 12 ans, sauf s'ils sont particulièrement à risque.
La ministre de la Santé, Lena Hallengren, a également déclaré que "le gouvernement envisage de supprimer les restrictions de voyage introduites le 21 décembre pour les pays nordiques", précisant qu'il fournirait plus d'informations dès que possible.
Elle n'a rien dit sur les restrictions de voyage pour les autres pays. Les règles d'entrée actuelles de la Suède pour les arrivées dans l'UE / EEE sont actuellement en vigueur jusqu'au 28 février et au 31 mars pour les personnes venant d'autres pays.
En termes de retour au travail et aux études supérieures, Hallengren a déclaré que "pour éviter une nouvelle vague, le retour au travail et à l'école doit se produire successivement".
Quelles restrictions seront supprimées ?
Les restrictions suivantes seront supprimées la semaine prochaine :
Les événements en salle de 20 à 50 personnes doivent être assis, avec un maximum de 8 par groupe et un mètre entre les groupes
Carte de vaccination nécessaire pour les événements en salle avec plus de 50 participants
RépondreSupprimerLes salons et marchés à l'intérieur doivent exiger un laissez-passer pour les vaccins s'ils ont plus de 50 invités, et le nombre d'invités est plafonné à 500, avec 10 mètres carrés par personne
Les restaurants doivent fermer à 23h, le service d'alcool se terminant à 22h30
Les groupes dans les restaurants peuvent être composés d'un maximum de huit personnes, avec un minimum d'un mètre entre les groupes
Les restaurants proposant des concerts ou d'autres divertissements ne peuvent avoir que des invités assis
Maximum de 20 personnes lors de soirées privées dans des lieux loués
Les magasins doivent avoir un nombre maximum d'invités autorisés, calculé sur une superficie de 10 mètres carrés par personne - cela s'applique également aux gymnases, musées, galeries d'art, parcs à thème et piscines
Transports publics longue distance : tous les voyageurs doivent avoir un siège, si possible
En plus de cela, des recommandations spéciales pour ceux qui n'ont pas encore été vaccinés resteront, ainsi que des recommandations pour rester à la maison en cas de maladie ou si vous pensez avoir le Covid-19.
Covid-19 "n'est plus un danger pour la société"
L'Agence de santé publique estime également que le Covid-19 ne doit plus être classé parmi les maladies présentant un danger pour la société. Par conséquent, l'agence a envoyé une demande au gouvernement afin de reclasser la maladie.
"Le gouvernement traitera cette demande rapidement et présentera également une proposition de loi pour reclasser le Covid-19", a déclaré Hallengren, indiquant que cela pourrait se produire d'ici la fin mars. Une fois que le gouvernement a soumis ces propositions, le parlement prendra la décision finale de les approuver ou non.
La Suède a confirmé son plus grand nombre de nouveaux cas quotidiens de Covid-19 la semaine dernière, le niveau le plus élevé jamais enregistré pendant la pandémie. Il y a également eu une nette augmentation du nombre de décès liés à Covid et d'admissions en soins intensifs le mois dernier, mais pas autant que lors des vagues précédentes.
Avec plus de 16 000 morts à ce jour, le nombre de morts en Suède est conforme à la moyenne européenne, mais est bien plus élevé que ceux de la Norvège, de la Finlande et du Danemark voisins.
Le Danemark est devenu mardi le premier pays de l'Union européenne à lever la plupart de ses restrictions nationales sur le Covid-19, suivi plus tard dans la journée par la Norvège.
https://www.zerohedge.com/markets/we-can-open-society-sweden-lifts-nearly-all-covid-19-restrictions