- ENTREE de SECOURS -



mardi 5 janvier 2021

Voir avant censure : Catherine Austin Fitts

 https://www.youtube.com/watch?app=desktop&v=Gb9UtHXyXZ0&feature=youtu.be

80 commentaires:

  1. Cameramans de merde !

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    Catherine Austin Fitts (born 24 December 1950) is an American investment banker and former public official who served as managing director of Dillon, Read & Co. and as United States Assistant Secretary of Housing and Urban Development for Housing during the Presidency of George H.W. Bush.

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    La fin de la monnaie-papier (qui n'est adossé A RIEN !) dirige le monde vers de l'argent électrique qui peut disparaître des comptes à la vitesse de l'éclair (ils diront que ce sont des pirates) qui rendra 7 milliards de pauvres qui chercheront à manger avec un petit jardin-chez-soi ou petit élevage afin de vivre grâce au troc. Or, si les villageois veulent donc se nourrir: pensez aux frais gigantesques dans le transport (essence à prix plafond) .

    La SEULE sauveuse: l'EMP (Impulsion ElectroMagnétique) qui élimine totalement le pouvoir électrique sur la planète entière (satellites, avions, bateaux, véhicules terrestres et appareils qui utilisent piles, batteries, accus).

    Additionnez les faux vaccins (avec puces RFID ou équivalent en micro-émetteurs)

    C'est la mort à petit feu.

    Mais, n'oublions pas aussi, que l''Intelligence Artificielle' n'existera JAMAIS ! (Aujourd'hui une simple calculette a une IA !! Hahaha !). Pensons bien que les ordures de dictateurs qui dirigent (les chefs d'Etats) sont des humains 'comme les autres' ou plutôt sous-développés (car ce nano-groupuscule ne représente pratiquement rien face à 7 milliards d'intelligences !), et, qu'ils ont et auront TOUJOURS besoin de gens qui peuvent penser, aimer, inventer à leurs côtés !

    Notez aussi que ce ne sont pas tous les chefs d'Etats qui sont les complices des 'hommes de l'ombre' ! (et qu'ils ont peut-être créé leurs forces secrètes !).

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  2. Vers un (autre) confinement total


    Le Dr Horacio Arruda, directeur national de santé publique, et François Legault, premier ministre du Québec, en conférence de presse, le 15 décembre dernier

    (Québec) La pandémie de COVID-19 est désormais hors de contrôle au Québec et, confronté à une augmentation inquiétante des hospitalisations, le premier ministre François Legault annoncera mercredi l’imposition d’un nouveau confinement total, à compter de samedi, pour une durée de trois à quatre semaines, a appris La Presse. La direction de la Santé publique préconise aussi la mise en place d’un couvre-feu dont les modalités doivent être discutées avec la Sécurité publique ce mardi. Une question sensible que tranchera aussi M. Legault mercredi.


    le 5 janvier 2021 à 5h00
    Denis LessardDENIS LESSARD
    LA PRESSE


    Signe de l’importance de l’annonce, M. Legault aura rencontré plus tôt les chefs des partis de l’opposition à l’Assemblée nationale. Ces annonces devaient tomber mardi à l’origine, mais ont été repoussées à cause de la complexité de leur application. On veut circonscrire ce mardi les groupes visés et établir la liste des exceptions d’une façon plus ordonnée qu’au printemps dernier.

    Comme au printemps, on prévoit que ce confinement « total » inclura les écoles, les bureaux, la construction et le secteur manufacturier. Seuls les commerces de première nécessité, épiceries et pharmacies, pourront rester ouverts. Le Québec avait déjà été ainsi mis sur pause en mars dernier, et beaucoup d’activités avaient été, avant les Fêtes, mises en suspens jusqu’au 11 janvier.

    Ce nouveau confinement s’appliquera rapidement, dès samedi, indiquent des sources informées des discussions entre la Santé et le cabinet Legault. Les écoles primaires et secondaires seraient fermées, mais on ne désespère pas de faire rentrer les élèves du primaire avant les trois ou quatre semaines envisagées.

    Selon les sources de La Presse, la direction de la Santé publique a aussi proposé qu’un couvre-feu soit imposé. Reste à préciser sa durée : on parle de 20 h ou de 21 h jusqu’au lendemain matin.

    Il reste à voir ce que fera François Legault de cette proposition très lourde de conséquences. L’applicabilité de cette mesure demeure une question sans réponse ; la Sécurité publique sera consultée ce mardi pour poser des balises.

    L’état-major du premier ministre parle ici de « scénario extrême », mais dans le passé, François Legault a eu le réflexe d’aller souvent même plus loin que ne le préconisaient les épidémiologistes de la Santé publique. Il a ainsi devancé la fermeture des écoles au printemps, et fermé complètement les restaurants que la Santé publique voulaient maintenir ouverts pour les convives d’une même famille.

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  3. Hors de contrôle

    Déjà lundi, publiquement, des experts consultés par les médias préconisaient un retour rapide au confinement. Or, le verdict est maintenant sans appel au ministère de la Santé ; la pandémie est désormais hors de contrôle.

    Des patients qui se présentent aux tests avec des symptômes grippaux, plus de 50 % s’avèrent frappés par la COVID-19. Un tel niveau de propagation rend bien aléatoire toute tentative de « traçage » des sources, explique-t-on.

    La communication d’une telle déroute n’est pas évidente. On insistera sur le fait que le nouveau confinement permettra d’accélérer le programme de vaccination auprès du personnel de la santé, alors que l’absentéisme pour maladie est de plus en plus problématique dans le réseau. Encore là, des spécialistes ont critiqué la lenteur constatée dans la vaccination sur le territoire du Québec.

    Les décisions récentes au Royaume-Uni et en France ont, semble-t-il, puissamment contribué à convaincre Québec de presser le pas. Lundi, le premier ministre britannique Boris Johnson imposait à son pays un nouveau confinement. En France, on devançait en fin de semaine de 20 h à 18 h le couvre-feu dans certains départements de l’Est durement frappés par la pandémie.

    Soins intensifs

    Une conférence téléphonique du ministère de la Santé avec l’ensemble des PDG d’établissements, en après-midi lundi, a de toute évidence augmenté la pression sur le réseau, et l’inquiétude devant l’éventualité d’avoir à « trier » les patients parce que les équipements pour les soigner sont insuffisants.

    Le Ministère a demandé aux établissements d’augmenter à 150 % le nombre de leurs lits en soins intensifs. Un hôpital qui, par exemple, avait 20 de ces lits devrait trouver de la place pour 10 patients supplémentaires. Selon le Ministère, cette nouvelle balise ne posait pas problème.

    Chez les directeurs d’établissement, toutefois, on indiquait qu’il faudrait en rediscuter ce mardi. Avec ces nouvelles demandes, l’habituel bras de fer entre les régions est apparu manifestement, d’autant plus que la Santé se gardait bien de trancher entre les établissements. Déjà, le délestage du printemps s’était fait dans l’acrimonie, des régions qui n’étaient guère frappées par la COVID-19 avaient tout de même dû reporter des cas électifs.

    https://www.lapresse.ca/covid-19/2021-01-05/vers-un-autre-confinement-total.php

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    1. Soin, mutants, vaccin

      Bulletin d'information scientifique de l'IHU - Nous avons le droit d'être intelligents !
      Pr Didier Raoult, Directeur de l'IHU Méditerranée Infection

      https://www.youtube.com/watch?v=U7CmzEW8k3M

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      Le 'masque' !

      Le plus fin est le N95 (ou FFP2 Europe) en 'bec de canard' a un maillage de 3 microns tandis que le corona ne mesure que 0,1 à 0,5 µ !

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      Visualisation de la taille relative des particules (comme COVID-19)

      mardi 20 octobre 2020

      https://huemaurice5.blogspot.com/2020/10/visualisation-de-la-taille-relative-des.html

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      Le COVID-19 est une 'arme biologique sans restriction': un lanceur d'alerte publie un deuxième article alléguant 'une fraude scientifique organisée à grande échelle'

      Li-Meng Yan, virologue

      jeudi 8 octobre 2020

      https://huemaurice5.blogspot.com/2020/10/le-covid-19-est-une-arme-biologique.html

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      La grande loi saisonnière sur la disparition de la grippe / grippe saisonnière 2020

      jeudi 31 décembre 2020

      https://huemaurice5.blogspot.com/2020/12/la-grande-loi-saisonniere-sur-la.html

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      Une neurologue allemande met en garde contre le port du masque : « La privation d'oxygène provoque des dommages neurologiques irréversibles »

      Dr Griesz-Brisson

      vendredi 9 octobre 2020

      https://huemaurice5.blogspot.com/2020/10/une-neurologue-allemande-met-en-garde.html

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      Le génome du coronavirus est-il son talon d'Achille ? | La parole à la science #PodcastCNRS

      #PodcastCNRS 🎙️ | Parmi les virus à ARN, les coronavirus se distinguent notamment par la longueur de leur génome. En connaître tous les secrets permettrait la mise au point de traitements par inhibiteurs qui ont déjà fait leurs preuves lors d’autres épidémies. Dans ce podcast, Isabelle Imbert décrypte pour nous la mécanique du virus, et ouvre des perspectives sur les moyens de l’enrayer.

      🎙 Isabelle Imbert est biologiste, enseignante-chercheuse à Aix-Marseille Université, membre du laboratoire Architecture et fonction des macromolécules biologiques (AFMB - CNRS/Aix-Marseille Université).

      https://www.youtube.com/watch?v=Kw9R4mqL198

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  4. Taux d'effets indésirables des vaccins COVID déjà 50 fois plus élevé que le vaccin antigrippal


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 05 JAN 2021-14: 55


    Avec les rapports ce matin d'une autre patiente autrement en bonne santé décédant soudainement après avoir reçu sa première dose d'un vaccin COVID-19, de nombreux sceptiques en Europe et aux États-Unis ont encore de sérieuses réserves sur les jabs, même si les grandes sociétés pharmaceutiques et leurs alliés aux États-Unis et les gouvernements britanniques insistent sur le fait qu'ils sont sûrs à 100%. Quiconque prétend le contraire est non seulement mal avisé, mais agit de manière délibérément malveillante.

    C'est pourquoi des commentaires comme une vidéo publiée par Jeffrey Gundlach de DoubleLine où il remet en question les chiffres d'efficacité vertigineux publiés après les essais Moderna et Pfizer-BioNTech ont suscité une telle répudiation véhémente.

    Cependant, alors que de nouvelles questions sur l'efficacité et le timing se posent, le journaliste indépendant Alex Berenson, l'un des sceptiques les plus éminents des verrouillages et des masques aux États-Unis, a noté dans un fil Twitter plus tôt mardi que le pourcentage de patients souffrant de graves problèmes ou potentiellement mortels. les réactions aux vaccins COVID-19 pourraient être beaucoup plus élevées que ne le laissent les données collectées par les CDC.

    Le système de notification VAERS du CDC a été mis en place pour suivre les blessures liées au vaccin.La plupart des patients peuvent s'attendre à ressentir une sorte de réaction indésirable, mais pour la grande majorité des patients, les symptômes seront relativement légers et disparaîtront en quelques jours. Mais au milieu d'une vague de rapports sur les décès de patients, Berenson souligne que le nombre de patients présentant des complications graves par rapport au nombre de doses distribuées est environ 50 fois plus élevé que le taux de réactions `` indésirables '' causées par le vaccin contre la grippe.

    Berenson a également émis l'hypothèse que ce nombre pourrait être encore plus élevé en raison de retards possibles dans la mise à jour des ensembles de données du CDC. Cela confirmerait apparemment les taux d'effets indésirables observés au cours des essais cliniques. De plus, les essais cliniques, d'une manière générale, ont tendance à «sous-estimer» les effets secondaires désagréables ou indésirables, alors qu'ils «surestiment» l'efficacité du médicament.

    Pour les lecteurs si enclins, Berenson a partagé un lien vers les données du CDC, ce qui n'est pas vraiment facile à trouver sur le site Web de l'agence.

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  5. Pendant ce temps, les États-Unis, le Royaume-Uni et l'Europe sont tous à la traîne par rapport aux objectifs de vaccination, tandis que le président russe Vladimir Poutine a récemment suggéré que la Russie pourrait sauter dans le train en marche du «passeport d'immunité».

    Berenson s'est récemment assis pour une interview avec Joe Rogan sur le podcast populaire de Rogan, où le journaliste de longue date (qui travaillait autrefois pour le NYT) a discuté d'autres idées fausses sur la "science" derrière COVID-19, y compris la remise en question du nombre de morts aux États-Unis.

    https://www.zerohedge.com/covid-19/rate-adverse-reactions-covid-vaccines-already-50x-higher-flu-shot

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    1. Après l'invention des 'vaches folles' et de la 'grippe aviaire' afin de priver des millions d'éleveurs de leur vente de viande et donc de les appauvrir, voici qu'arrive le corona avec ses 3300 modèles différents (qui ne sont nullement des 'mutants' ou des 'issus de' mais bien de nouveaux virus indéfendables avec des vaccins adaptés aux autres modèles) et ses obligations de vaccinations létales pour 7 milliards d'habitants.

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  6. Robert F. Kennedy Jr — Vous devez à tout prix évitez le « vaccin » soi-disant prometteur contre le Covid-19 !


    Robert F. Kennedy Jr — Theo Von
    Sott.net
    mar., 05 jan. 2021 09:06 UTC


    Ceci est un message urgent de Robert F. Kennedy Jr, fils de Robert F. Kennedy et neveu de l'ancien président John F. Kennedy, à tous les peuples du monde.

    En résumé : le « vaccin » Covid doit être évité à tout prix. Découvrez pourquoi ci-dessous !
    « Je voudrais attirer d'urgence votre attention sur des questions importantes liées à la prochaine vaccination contre le Covid-19.

    « Pour la première fois dans l'histoire de la vaccination, les vaccins dits à ARNm de la dernière génération interviennent directement dans le matériel génétique du patient et modifient donc son propre matériel génétique, ce qui équivaut à une manipulation génétique, déjà interdite et considérée jusqu'à présent comme criminelle.

    « Cette intervention peut être comparée aux aliments génétiquement modifiés, qui sont également très controversés.

    « Bien que les médias et les hommes politiques banalisent actuellement le problème et réclament même déraisonnablement un nouveau type de vaccin pour un retour à la vie normale, cette vaccination reste problématique en termes de santé, de morale et d'éthique, mais aussi en termes de dommages génétiques qui, contrairement aux dommages causés par les vaccins précédents, seront irréversibles et irréparables.
    « Chers patients, après un vaccin à ARNm sans précédent, vous ne serez plus en mesure de traiter les symptômes du vaccin de manière complémentaire.

    « Vous devrez vivre avec les conséquences car vous ne pourrez plus être soignés simplement en éliminant les toxines du corps humain — tout comme une personne avec une anomalie génétique comme le syndrome de Down, le syndrome de Klinefelter, le syndrome de Turner ; pas plus que d'être guéri des maladies cardiaques génétiques, de l'hémophilie, la mucoviscidose, le syndrome de Rett, etc. — parce que le dommage génétique est irréversible !

    « Cela signifie clairement que si un symptôme vaccinal se développe après une vaccination à l'ARNm, ni moi ni aucun autre thérapeute ne pourrons vous aider, car les dommages causés par cette vaccination seront génétiquement irréversibles.

    « À mon avis, ces nouveaux vaccins sont un crime contre l'humanité, un crime qui n'a jamais été commis de façon aussi flagrante dans l'histoire.

    « Comme l'a dit le Dr Wolfgang Wodarg, médecin expérimenté : En fait, ce « vaccin prometteur » aux yeux de la grande majorité des gens devrait être INTERDIT parce qu'il s'agit d'ingénierie génétique ! »
    Alors, voulez-vous devenir un zombie génétiquement modifié ? Ou un robot vivant ? C'est votre choix, mais moi, je ne le veux pas.

    - voir clip sur site -

    Source de l'article publié le 7 décembre : strange sounds et Theo Von pour l'interview YouTube
    Traduit le 24 décembre par Le Média en 4-4-2

    https://fr.sott.net/article/36453-Robert-F-Kennedy-Jr-Vous-devez-a-tout-prix-evitez-le-vaccin-soi-disant-prometteur-contre-le-Covid-19

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  7. Le communisme 2.0 prend forme dans la tête des analystes - pour ceux qui n'ont toujours pas pigé le game - voici le rapport Solari avant qu'il soit censuré (version FRA)


    Charles Dereeper
    mardi, 05 janvier 2021 18:24


    J'ai vu arriver tout ce qu'elle raconte dans mes visions il y a 10 ans.

    Le point le plus important, c'est comme je l'ai déjà écrit et modélisé sur Objectif Eco, la construction de notre infertilité. Le but premier est de nous retirer notre aptitude à nous reproduire. Elle est garantie à horizon 2050 quand notre sperme passera sous le seuil.

    Il faut s'armer et s'éduquer et se déplugger de la matrice étatique.

    Payer 0 impôt est capital

    Enfin, 0 vaccin...

    Je sais que parmi vous chers lecteurs, la moitié vote à gauche, pour Hollande, Macron et le reste des députés.... le souci, c'est que vous n'avez absolument aucune idée de pour quoi vous votez. Le but premier du socialisme est l'esclavagisme et la dépopulation. Voter pour la gauche, c'est rentrer la balle dans le flingue qui va tirer sur vous...

    Comme je l'ai dit, les banquiers londoniens ont financé des recherches de modélisation sur le systeme mondial. Cela a fait de moi un complotiste... dans la vidéo ci dessous, 34 des 37 sites bancaires ont des émeutes... chasser l'argent et la vérité surgit...

    Notez bien ses mots vers la fin de la vidéo car ce sont les idées que j'ai utilisé pour choisir Panama il y a 3 ans. Qui contrôle l'espace (Elon Musk qui cote 6ème capi mondiale en vendant 500.000 voitures par an... 1200 fois les bénéfices... gloups) et les voies maritimes... donc Suez et Panama... ainsi que l'armée et la puissance militaire, CIA et NSA en tête... est Mister Global invisible... suis désolé, mais nous connaissons tous le nom des gens derrière ces variables. C'est d'ailleurs si visible à Panama. C'est pour cela que je fais rire tous mes potes qui s'extasient devant les ukrainiennes tandis que je réponds invariablement qu'elles ont pondu la race des prédateurs d'humains et que je refuse d'y foutre ma bite dedans quand bien même le packaging extérieur est superbe... Je ne dis pas qu'il n'y a qu'eux... mais ils sont une pièce maîtresse associée aux autres milliardaires.

    Notre responsabilité est totale dans chacune de nos actions, de nos transactions. Chacune. C'est une réflexion que je mène à titre perso depuis 2 ans. Chacun de mes gestes. Quand je me trahis, ce qui arrive assez souvent encore...

    C'est aussi pour cela que j'ai flingué Gabrielle ISIS sur youtube avec son titre LA LUMIERE A DEJA GAGNE. En fait il faut savoir que les spirituels ont reçu comme info qu'un reboot énergétique allait avoir lieu et que les âmes basses fréquences incarnées dans MISTER GLOBAL ne pourraient pas se réincarner. Le souci, c'est le timing dans cette théorie. Perso, j'ai une autre théorie que j'ai déjà exposé sur les vidéos youtube pour les 3S. Les humains qui ont construit leur propre enfer (en votant Macron au lieu de LE PEN, alors qu'on voit à quel point Trump fait chier MISTER GLOBAL, donc à quel point un politicien peut bloquer la grande roue car MISTER GLOBAL est divisé) comprendront trop tard le nouveau monde et se suicideront en masse VIA un virus... Notre futur face à ce monde qui se construit sous nos yeux, c'est le suicide ou la tribu techno unplugged... Il est temps de choisir son camp !

    http://www.objectifeco.com/economie/politiques-economiques/capitalisme/le-communisme-2-0-prend-forme-dans-la-tete-des-analystes-pour-ceux-qui-n-ont-toujours-pas-pige-le-game-voici-le-rapport-solari-avant-qu-il-soit-censure-vers.html

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    1. Çà y est c'est fait le clip de Catherine Austin Fitts a été publié tout-à-l'heure.

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  8. "Vaccin" Pfizer/BioNTech : Ils n'ont pas terminé les essais de phase trois


    L'échelle de Jacob
    lun., 04 jan. 2021 23:28 UTC


    Les essais des vaccins COVID 19 semblent avoir causé une certaine confusion. Espérons que cet article pourrait aider à clarifier un peu les choses. Les gens semblent vraiment croire que les vaccins COVID 19 ont fait l'objet d'essais cliniques et se sont avérés à la fois sûrs et efficaces. Cette croyance est tout simplement fausse.

    Le point principal est le suivant. Si vous décidez d'avoir le vaccin BNT162b2 (BNT) à base d'ARNm expérimental de Pfizer et BioNTech , ou tout autre vaccin COVID 19 revendiqué d'ailleurs, vous êtes un sujet de test dans un essai de médicament.

    L'ARNm du vaccin BNT a été séquencé à partir de la 3ème itération du génome SARS-CoV-2 publié par WUHAN original (MN908947.3). Cependant, les protocoles de l'OMS utilisés par Pfizer pour produire l'ARNm ne semblent pas identifier de séquences nucléotidiques uniques au virus SARS-CoV-2. Lorsque l' enquêteur Fran Leader a interrogé Pfizer, ils ont confirmé : "Le modèle d'ADN ne provient pas directement d'un virus isolé d'une personne infectée."

    Il n'y a pas non plus d'essais cliniques terminés pour ces vaccins. Les essais sont en cours. Si vous en avez un, vous êtes le cobaye. Cela peut vous convenir, mais ce n'est pas un acte de foi que moi ou mes proches souhaitent entreprendre. Cependant, tout le monde est différent.

    Le 8 décembre, la BBC a rapporté une étude dans le Lancet et a déclaré catégoriquement:
    "Le vaccin Oxford/AstraZeneca Covid est sûr et efficace, offrant une bonne protection, ont confirmé les chercheurs"
    La BBC n'avait aucune justification pour faire cette affirmation. L' étude du Lancet n'a rien confirmé de tel. Les chercheurs ont écrit:

    "ChAdOx1 nCoV-19 a un profil d'innocuité acceptable et s'est avéré efficace contre le COVID-19 symptomatique dans cette analyse intermédiaire des essais cliniques en cours."
    Il s'agissait d'une analyse intermédiaire financée, entre autres, par le CEPI et la Fondation Bill et Melinda Gates. L'analyse était basée sur des essais qui sont des années à compter de la fin et n'ont rien rapporté. Les chercheurs ont également déclaré :

    "Aucune publication évaluée par des pairs n'était disponible sur l'efficacité des vaccins contre le coronavirus 2 (SRAS-CoV-2) contre le syndrome respiratoire aigu sévère..."
    Il n'existe aucune preuve scientifique claire établissant l'innocuité ou l'efficacité des vaccins COVID 19 proposés. Les affirmations de la BBC et d'autres médias que ces preuves existent sont fausses.

    Nous allons nous concentrer sur le vaccin BNT de Pfizer et BioNTech mais tous les fabricants ont essentiellement exploité la même astuce. Les régulateurs et les gouvernements ont travaillé avec les sociétés pharmaceutiques pour associer les données limitées des essais initiaux, ou de phase un, avec la collecte de données incomplète et continue des essais de phase deux et trois beaucoup plus importants. Les HARSAH ont alors faussement prétendu que les essais de phase 1,2,3 étaient terminés et ont insinué que les données non testées démontraient l'efficacité et l'innocuité du vaccin.

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  9. En réalité, non seulement la communication des données existantes a été manipulée pour montrer une efficacité qui n'est pas évidente dans les données brutes elles-mêmes, mais les phases les plus importantes et significatives des essais ont à peine commencé, et sont encore moins achevées.

    Récemment, le Financial Times du Royaume - Uni a rapporté que les régulateurs britanniques (la MHRA) devaient approuver le vaccin Astrazeneca / Oxfords AZD1222 [ChAdOx1] COVID 19. Le FT a révélé une déclaration anonyme du ministère britannique de la Santé:

    "Le régulateur des médicaments examine les données finales des essais cliniques de phase 3 de l'Université d'Oxford/AstraZeneca pour déterminer si le vaccin répond à leurs normes strictes de qualité, de sécurité et d'efficacité."
    Donnant ainsi au public l'impression que les essais sont terminés et que les régulateurs ont des normes de sécurité strictes. L'essai de phase 1,2,3 pour AZD1222 a été enregistré auprès du US Center for Disease Control en tant qu'essai clinique NCT04516746 [Archivé le 29 décembre 2020]. Il est incomplet et la date de fin estimée est le 21 février 2023. Le CDC déclare:

    "Aucun résultat d'étude n'est publié"
    Astrazeneca est à des années de la communication des «données finales». Il est impossible pour le ministère britannique de la Santé de l'examiner , car il n'existe pas.

    NCT04516746 est l'un des quatre essais d'AZD1222. Une autre branche russe de l'essai AZD1222 a été suspendue après un événement de réaction indésirable grave inattendue suspectée (SUSAR). Le SUSAR aurait eu lieu au Royaume-Uni après qu'une femme de 37 ans ait développé une inflammation de la moelle épinière. Il semble que le ministère russe de la Santé n'ait pas encore repris l'essai Astrazeneca/Oxford, alors qu'il a repris au Royaume-Uni et ailleurs.

    Essai clinique NCT04516746: [Archivé le 29.12.2020], [Lien contemporain]

    QUELS ESSAIS POUR LES VACCINS ?

    Le 18 novembre, Pfizer et BioNTech ont annoncé avoir conclu leur essai de phase trois du BNT. Ils avaient démontré une efficacité de 95% et le jalon des données de sécurité de l'autorisation d'utilisation d'urgence (EUA) de la Food and Drug Administration des États-Unis (FDA) avait été atteint.

    La seule partie de cette affirmation qui était vraie était le respect des jalons des données de sécurité d'urgence de la FDA. Ils n'ont pas terminé leurs essais de phase trois. Ils n'ont même pas complètement terminé la première phase.

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  10. En vertu de l'article 564 de la loi fédérale sur les aliments, les médicaments et les cosmétiques (FD&C Act ), les médicaments dits «non approuvés» sont autorisés sur le marché en cas d'urgence . De même, au Royaume-Uni, l'autorisation en vertu du règlement 174 du Règlement sur la médecine humaine de 2012 (tel que modifié) le permet.

    Ayant également été approuvé au Royaume-Uni, c'est pourquoi l'Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA) déclare:

    "Ce médicament n'a pas d'autorisation de mise sur le marché au Royaume-Uni"
    Le fait qu'il n'y ait pas d'essais cliniques terminés pour le vaccin Pfizer et BioNTech BNT explique également pourquoi la FDA déclare :

    "Des effets indésirables supplémentaires, dont certains peuvent être graves, peuvent devenir apparents avec une utilisation plus répandue du vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19."
    La FDA a également noté :

    "[Il y a]... actuellement des données insuffisantes pour tirer des conclusions sur l'innocuité du vaccin dans des sous-populations telles que les enfants de moins de 16 ans, les femmes enceintes et allaitantes et les personnes immunodéprimées... .. [le] risque que la vaccination renforce la maladie au fil du temps, potentiellement associée à une immunité décroissante, reste inconnue."
    Pourtant, les premières personnes à recevoir ce vaccin sont les plus vulnérables de la société, dont beaucoup sont immunodéprimées. Le principe de précaution semble avoir été abandonné. L'idée que le but du déploiement du vaccin BNT est de sauver des vies semble intenable.

    L'annonce de Pfizer a permis aux politiciens de faire semblant de pleurer à la télévision nationale alors que d'autres étaient vraiment excités. Le Premier ministre britannique Boris Johnson a déclaré que c'était « une nouvelle fantastique », et la BBC a déclaré que c'était «une bonne nouvelle» et « vraiment encourageante ». Tout le monde a été très impressionné par l'allégation efficace à 95%.

    Cependant, cela était basé sur la réduction du risque relatif. C'est la différence en pourcentage déclarée entre la chance de 8/18.310 du groupe vacciné (0,044%) de développer COVID 19 contre une chance de 162/18.319 (0,88%) de développer des symptômes de COVID 19 sans le vaccin. Comme ce groupe plus large de 43.000 personnes n'a pas encore été testé, il n'y a aucune base pour que ce résultat soit revendiqué. Mais c'est ce qui est fait, et nous pouvons utiliser les chiffres rapportés ici.

    Il convient de noter que cela ne fait référence qu'à une prétendue réduction des symptômes du COVID 19 chez les personnes atteintes du virus. Les paramètres testés ne démontrent pas que le vaccin réduira la propagation de l'infection ou sauvera des vies. Il convient également de noter que ces chiffres suggèrent que la menace du COVID 19 est extrêmement faible.

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  11. En utilisant les chiffres de Pfizer, la réduction du risque relatif est de 100 (1 - (0,044 / 0,88)). Ce qui est de 95%. Voila !

    Cela semble fantastique et constitue une bien meilleure stratégie marketing que de signaler la réduction absolue du risque. Le risque absolu de développer les symptômes du COVID 19 sans le vaccin est supposé de 0,88% et avec le vaccin de 0,044%. En termes absolus, l'efficacité du vaccin est de (0,88-0,044)%.

    Une réduction du risque est de 0,84%. Une « efficacité » à peine perceptible.

    En utilisant la réduction du risque relatif au lieu de l'absolu, les médias grand public étaient libres de commercialiser le vaccin ARNm pour Pfizer et BioNTech (et d'autres parties intéressées) avec des affirmations impressionnantes . Celles-ci n'étaient pas véridiques, non seulement parce qu'elles reposaient sur une manipulation statistique, mais parce que personne n'avait la moindre idée de l'innocuité ou de l'efficacité du BNT. À ce jour, il n'y a pas de résultats d'essais cliniques.

    DES ESSAIS CLINIQUES QUI N'EXISTENT PAS

    Une analyse des tests RT-PCR positifs disponibles et des résultats de mortalité a conduit l'Oxford Center for Evidence Based Medicine à estimé un taux de létalité des cas COVID 19 (CFR) très provisoire d'environ 1,4%. Sur la base des chiffres rapportés à la FDA par Pfizer et BioNTech, cela indique un risque de mortalité largement basé sur la population du COVID 19 de 1,4(0,88/100), qui est de 0,012%.

    Veuillez garder ce risque incroyablement éloigné à l'esprit lorsque nous discutons de l'indication précoce de la menace apparente pour la santé publique présentée par le vaccin à ARNm.

    Il est raisonnable de travailler en termes de risque de population car, alors que le risque de mortalité par COVID 19 augmente apparemment avec l'âge, l'âge moyen de décès étant de 82 ans et une distribution de la mortalité indiscernable de la mortalité standard, l'intention est de donner le vaccin à tout le monde. .

    Si nous regardons la « Surveillance active V-Safe pour les vaccins COVID 19 » rapportée par le Center for Disease Control (CDC) des États-Unis, les premières indications des « événements d'impact sur la santé » enregistrés révèlent un niveau inquiétant de réactions indésirables du Vaccin à ARNm. Le CDC définit un « événements d'impact sur la santé » comme :

    "Incapable d'accomplir ses activités quotidiennes normales, incapable de travailler, soins requis par un médecin ou un professionnel de la santé"
    Le 18 décembre, 112.807 personnes ont reçu une injection du vaccin Pfizer / BioNTech aux États-Unis. Parmi celles-ci, 3.150 ont été par la suite incapables d'accomplir leurs activités quotidiennes normales, incapables de travailler, nécessitant des soins d'un médecin ou d'un professionnel de la santé . Il s'agit d'un taux « événements d'impact sur la santé » de 2,8%.

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  12. Cela suggère que parmi les 10 premiers millions de personnes qui recevront le vaccin au Royaume-Uni, environ 280.000 peuvent se trouver incapables d'accomplir leurs activités quotidiennes normales, incapables de travailler et nécessitent des soins médicaux en conséquence. Comme ce sont les plus vulnérables qui sont les premiers à recevoir ce vaccin, étant donné le faible risque de mortalité dû à la maladie COVID 19, il n'est en aucun cas clair qu'il s'agit d'un risque à prendre.

    Présentation du CDC: [Archivé le 19.12.2020] , [Original]

    Non pas qu'aucun des autres vaccins semble meilleur. Jusqu'à présent, les CDC ont noté plus de 5.000 «événements d'impact sur la santé» pour tous les vaccins testés sur la population. De toute évidence, il est possible que les vaccins contribuent à plus de décès que la maladie contre laquelle ils prétendument protéger les personnes vulnérables.

    L'essai Pfizer/BioNTech a été enregistré sous le numéro d'essai clinique NCT04368728 auprès du CDC. Ayant récemment discuté de ce que je suis sur le point de partager avec vous avec des personnes qui ont simplement refusé de croire aux preuves de leurs propres yeux, je pense qu'il est important de souligner qu'il s'agit de l'essai clinique de phase 3 que Pfizer a affirmé avoir conclu dans son communiqué de presse. Il n'y en a pas d'autre. Ici.

    L'état au CDC:
    "Lorsqu'elles sont disponibles, les informations sur les résultats de l'étude sont incluses dans le dossier de l'étude sous l'onglet Résultats de l'étude ....... Une fois que les informations sur les résultats de l'étude ont été soumises à ClinicalTrials.gov, mais avant d'être publiées, l'onglet des résultats dans le dossier de l'étude est intitulé «Résultats soumis"
    Au moment de la rédaction de cet article (21 décembre 2020), comme l'indique la date de la page Web archivée ClinicalTrials.gov , l'onglet Résultats de l'étude indique « Aucun résultat publié ». C'est parce qu'il n'y a pas de résultats publiés ou soumis de l'essai Pfizer BioNTech du vaccin BNT162b2:

    "Aucun résultat d'étude publié sur ClinicalTrials.gov pour cette étude"
    Les rapports des grands médias, donnant l'impression que ces vaccins se sont avérés efficaces et sûrs, ne sont pas des preuves et ils ne sont pas basés sur la science. Ils sont basés sur la politique et rapportent de dangereux bavardages pseudo-scientifiques, déguisés en journalisme scientifique .

    Il y aura bien sûr des anti-rationalistes irréfléchis qui qualifieront de dangereux antivax ceux qui doutent. Insistant tout le temps sur le fait qu'il est parfaitement sûr de donner un vaccin avec un profil d'innocuité discutable, pour lequel il n'y a pas d'essais cliniques terminés, aux personnes les plus vulnérables de notre société.

    Je manque de patience avec ces gens.

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  13. SÉCURITÉ DES VACCINS ?

    La date de début de NCT04368728 était le 29 avril et la date estimée d'achèvement de l'essai est le 27 janvier 2023. La date de fin estimée de l'essai primaire ou de la première phase d'un essai en trois phases est le 13 juin 2021.

    Selon les « mesures actuelles du critère de jugement principal», le délai minimum pour que Pfizer évalue les événements indésirables graves est de « 6 mois après la dernière dose ». Il s'agit de la durée minimale pour évaluer les événements indésirables graves dans la première phase de l'essai.

    La phase un est la seule partie de l'essai NCT04368728 à avoir été achevée et publiée . Il a été publié le 14 octobre, 5 mois et 2 semaines après la date de début. La majeure partie de cette période a été consacrée au recrutement et à l'allocation. La durée minimale pour évaluer les événements indésirables graves n'a pas été respectée pendant la phase un.

    Au cours de la première phase, 195 participants ont été répartis en 13 groupes de 15 personnes. Dans chaque groupe, 12 ont reçu l'un des deux candidats vaccinaux ARNm potentiels (soit BNT162b1 ou BNT162b2) et 3 un placebo.

    39 personnes âgées de 18 à 55 ans et 39 autres personnes âgées de 65 à 85 ans ont reçu le vaccin BNT, désormais approuvé pour une distribution mondiale. La menace du COVID 19, bien que minime dans l'ensemble, est statistiquement nulle pour les 18 à 55 ans. Ceux qui présentaient un risque mesurable de COVID 19 appartenaient au groupe plus âgé.

    Sur les 39 personnes âgées qui ont reçu 2 doses de BNT, environ la moitié ont éprouvé de la « fatigue », environ 15% avaient des « frissons » et 3 avaient de la fièvre. Les effets secondaires courants de la BNT comprenaient des nausées, des maux de tête (un trouble du système nerveux induit par la BNT très fréquent), une arthralgie et une myalgie (très fréquents), de la fatigue, des frissons et de la fièvre (encore une fois très fréquents). Hormis la fatigue, personne dans le groupe placebo n'a souffert ces problèmes.

    Innocuité et immunogénicité de deux candidats vaccins Covid-19 à base d'ARN: Figure 3, « Participants de 65 à 85 ans » [Archivé le 29.10.2020] , [Original]

    L'étude déclare:
    "Pfizer était responsable de la conception de l'essai; pour la collecte, l'analyse et l'interprétation des données; et pour la rédaction du rapport."
    Par conséquent, il est raisonnable de conclure que si Pfizer considère les effets secondaires de son vaccin comme de la fatigue, des frissons et de la fièvre, les CDC les désignent comme des personnes qui ne peuvent pas travailler et qui ont besoin de soins médicaux.

    L'Agence britannique de réglementation des produits médicaux et de santé (MHRA) a approuvé le vaccin BNT, à administrer aux Britanniques vulnérables, sur la base d'une étude portant sur 39 personnes âgées. Cette étude a rapporté un taux de réactions indésirables assez élevé. Il a été produit exclusivement à partir de la R&D du fabricant du vaccin. Le MHRA n'a rien remis en question.

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  14. Ils ont « approuvé » le BNT, sachant qu'il n'y avait pas d'essais cliniques terminés pour ce vaccin. Dans leur rapport public d'évaluation, ils déclarent:

    "Au moment de la rédaction de cet article, la principale étude clinique est toujours en cours... .Il a été conclu que BNT162b2 s'est avéré efficace dans la prévention du COVID-19. De plus, les effets secondaires observés avec l'utilisation de ce vaccin sont considérés comme similaires à ceux observés avec d'autres vaccins. Par conséquent, la MHRA a conclu que les avantages sont supérieurs aux risques."
    Cette conclusion et cette approbation manquent non seulement de preuves à l'appui, mais sont totalement en contradiction avec le fait que l'on sait peu de choses sur la BNT. Alors que Pfizer et BioNTech n'ont terminé les essais du vaccin que sur 39 sujets de test pertinents, les résultats, même de cet effort pratiquement insignifiant, suggèrent que le risque du vaccin est supérieur au risque présenté par COVID 19. Dans une marge considérable.

    Cela explique sans aucun doute pourquoi la MHRA a commandé des logiciels à des fournisseurs européens pour faire face aux multiples réactions indésirables aux vaccins qu'ils anticipent vraisemblablement. Ils ont déclaré:
    "La MHRA recherche de toute urgence un outil logiciel d'intelligence artificielle (IA) pour traiter le volume élevé attendu de réactions indésirables au médicament (EI) du vaccin Covid-19.... généré par un vaccin Covid-19."
    De la façon dont les fabricants, les politiciens, les régulateurs et les médias grand public ont abordé la sécurité des vaccins, il est clair qu'ils ont collectivement un mépris total pour le bien-être des personnes vulnérables. Nous devons vraiment mettre de côté cette notion infantile selon laquelle « les autorités » se soucient de nous ou de nos proches. Nous ne signifions rien pour eux.

    Le COVID 19 n'est qu'un risque appréciable pour les plus vulnérables de la société. C'est un risque pour les personnes âgées infirmes et les personnes souffrant de maladies potentiellement mortelles.

    Si nous regardons les critères d'exclusion de la phase un, ces personnes ne faisaient pas partie de la cohorte testée. Toute personne souffrant d'hypertension artérielle, d'asthme, de diabète ou d'un IMC élevé a été exclue de l'essai d'innocuité présumé. Mais le vaccin est d'abord administré aux plus vulnérables.

    Sur les 39 personnes âgées les plus à risque dans l'étude de phase un, aucune d'entre elles n'avait les comorbidités graves que possède l'écrasante majorité de ceux qui meurent « avec » le COVID 19. Les personnes réellement à risque du COVID 19 ont nominalement participé aux essais BNT aux phases 2 et 3. Cependant, il semble que tous les efforts ont été faits pour limiter, voire supprimer complètement, leur nombre. « Les personnes immunodéprimées ou présentant un déficit immunitaire connu ou suspecté » ont été exclues.

    L'immunodéficience est causée par un large éventail de problèmes de santé . Des conditions telles que la dénutrition, le polytraumatisme, le stress après une chirurgie, le diabète et le cancer entraînent une immunodéficience. Les personnes présentant les comorbidités associées aux décès dits COVID 19 ont été pratiquement exclues des essais de vaccin BNT.

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  15. NCT04368728 a été conçu comme un essai 1,2,3 avec toutes les phases exécutées simultanément. En ce qui concerne l'évaluation de la sécurité, Pfizer a décrit les événements systémiques comme:

    "Fièvre, fatigue, maux de tête, frissons, vomissements, diarrhée, douleurs musculaires nouvelles ou aggravées et douleurs articulaires nouvelles ou aggravées, telles qu'auto-déclarées dans les journaux électroniques."
    Les 360 premiers sujets randomisés dans les essais de phase 2 et 3 ont fait l'objet d'une surveillance des événements systémiques pendant moins d'une semaine, après chaque dose:

    "Dans les 360 premiers participants randomisés en Phase 2/3, pourcentage de participants signalant des événements systémiques [Période: pendant 7 jours après la dose 1 et la dose 2]"
    La même cohorte de 360 ​​sujets testés a également été surveillée pour les événements indésirables graves pendant jusqu'à 6 mois dans les phases 2 et 3:

    "Dans les 360 premiers participants randomisés en Phase 2/3, pourcentage de participants signalant des événements indésirables graves [Période: De la dose 1 à 6 mois après la dernière dose]"
    Pfizer a également l'intention de rapporter le pourcentage de tous les sujets testés qui souffrent d'événements indésirables graves:

    "Pourcentage de participants à la phase 2/3 signalant des événements indésirables [Période: de la dose 1 à 6 mois après la dernière dose]"

    Mais il n'y a pas de résultats rapportés de la phase 2 ou 3. Personne n'a la moindre idée des risques pour la santé du BNT, en particulier pour ceux qu'il est censé protéger, et personne en autorité ne s'en soucie. Les essais cliniques de phase 2/3 sont de toute façon discutables.

    Les agences de réglementation ont déjà approuvé le vaccin et les services de santé ont commencé à injecter du BNT aux personnes. Ils le font après que les fabricants n'aient pas réussi à tester correctement sa sécurité sur 39 personnes qui faisaient partie du groupe à risque mais qui n'avaient pas da comorbidités qui conduisent à des décès par COVID 19.

    Le degré auquel les gens ont été induits en erreur en leur faisant croire que ces vaccins sont connus pour être sûrs ou efficaces, dépasse presque toute imagination.

    Malheureusement, nous n'avons pas besoin d'imagination. La preuve est évidente

    https://fr.sott.net/article/36456-Vaccin-Pfizer-BioNTech-Ils-n-ont-pas-termine-les-essais-de-phase-trois

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    1. Après 'Les nouveaux sauvages' voici qu'arrivent (et là c'est pas du cinéma !): Les nouveaux monstres ! Des sortes de zombies qui ont accepté d'être piqués pour être les cobayes du Dr Frankenstein et qui se voient ordonner d'assassiner leurs voisins allant jusqu'à se jeter par la fenêtre à la fin.

      C'est exactement ce qui va se passer ! Les vacciné sont suivis et peuvent détecter les non vaccinés et - sur ordre reçu - assassiner tel ou tel !

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  16. Le comté de Los Angeles est la zone la plus risquée des États-Unis: FEMA


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 05 JAN 2021-23: 25
    Rédigé par Isabel van Brugen via The Epoch Times,


    Le comté de Los Angeles a été désigné comme le comté le plus risqué des États-Unis, selon un nouvel index de l'Agence fédérale de gestion des urgences (FEMA) qui examine 18 types de catastrophes naturelles, y compris les tremblements de terre, les ouragans et les tornades, les inondations, les volcans et les tsunamis.

    Parmi les plus de 3000 comtés américains étudiés, le comté de Los Angeles s'est classé au premier rang de l'indice national de risque de la FEMA, qui examine la fréquence des catastrophes naturelles, le nombre de personnes et la quantité de biens en danger, la vulnérabilité sociale de la population et la manière dont eh bien, la région est en mesure de récupérer.

    L'indice répertorie également trois comtés de la région de New York - Bronx, New York County (Manhattan) et Kings County (Brooklyn) - dans les 10 comtés américains les plus risqués, ainsi que Miami, Philadelphie, Dallas, St. Louis, et les comtés de Riverside et San Bernardino en Californie.

    En revanche, la FEMA a désigné le comté de Loudoun, une banlieue extérieure de Washington, D.C., comme présentant le risque le plus faible de tous les pays. Trois autres comtés de banlieue de Washington se classent parmi les plus faibles risques pour les grands comtés, avec la banlieue de Boston, Long Island, la banlieue de Detroit et Pittsburgh.

    Mike Grimm de la FEMA a déclaré que bien que le classement puisse sembler «contre-intuitif», le degré de risque n'est pas uniquement basé sur la fréquence des catastrophes naturelles, mais il considère également à quel point le bilan serait dévastateur pour une région.

    Par conséquent, deux comtés de New York, Philadelphie, St Louis et Hudson dans le New Jersey, ont été nommés parmi les cinq comtés les plus dangereux de la FEMA pour les tornades. Pendant ce temps, le comté d'Oklahoma dans l'Oklahoma, qui a été frappé par plus de 120 tornades au cours des sept dernières décennies, a été placé à la 120e place sur la liste.

    Une tornade dans le top cinq serait «un événement de basse fréquence, potentiellement à conséquences élevées, car il y a beaucoup d'exposition à la propriété dans cette zone», a déclaré Susan Cutter, directrice de l'Institut de recherche sur les risques et la vulnérabilité de l'Université de Caroline du Sud, à l'Associated Press.

    «Par conséquent, une petite tornade peut créer une perte importante en dollars.»

    Alors que l'Oklahoma est deux fois plus susceptible d'être frappé par des tornades que New York, New York a un potentiel de dommages plus élevé en raison de la population et de la valeur des propriétés plus élevées.

    "C’est cette perception du risque que cela ne m’arrivera pas", a déclaré Grimm.

    "Ce n'est pas parce que je ne l'ai pas vu de ma vie que cela n'arrivera pas."

    Une liste de conseils publiés sur le site Web de la FEMA exhorte les Américains à prendre des mesures pour se préparer à d'éventuelles catastrophes naturelles.

    Cela comprend la création d'un plan d'urgence, d'une trousse d'urgence, de garder les garde-manger bien approvisionnés, d'en savoir plus sur la planification des catastrophes au sein de la communauté, de s'inscrire aux alertes d'urgence, de vérifier les polices d'assurance, de faire des inventaires personnels, de protéger les objets de valeur, de planifier les animaux de compagnie et d'augmenter les fonds d'urgence au budget. pour d'éventuelles catastrophes naturelles.

    https://www.zerohedge.com/political/los-angeles-county-riskiest-area-us-fema

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  17. Voici comment le FBI a retrouvé Ghislaine Maxwell


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 05 JAN 2021 - 19:15


    L'ancienne "madame'' de Jeffrey Epstein, Ghislaine Maxwell, a été arrêtée le 2 juillet, à la suite d'un raid dans son manoir isolé du New Hampshire - bien qu'elle se soit donné beaucoup de mal pour cacher ses allées et venues.

    Selon un nouveau document judiciaire révélé par le Daily Beast, cependant, le FBI a pu retrouver la jeune trafiquante sexuelle accusée en utilisant un appareil «stingray» pour retrouver son téléphone portable.

    Avant que le gouvernement fédéral n'éclate Ghislaine Maxwell, ils l'ont suivie dans un refuge du New Hampshire en utilisant les données de son téléphone portable, selon un dossier judiciaire nouvellement non scellé.

    La mondaine britannique et complice accusé du trafiquant sexuel Jeffrey Epstein avait ouvert un compte mobile sous le nom de «G Max» et l'avait utilisé pour communiquer avec des téléphones appartenant à son mari présumé Scott Borgerson, sa sœur Isabel et l'un de ses avocats, Laura Menninger, indique le document. -Bête quotidienne

    Le dépôt - un affidavit à l'appui d'une demande de mandat de perquisition, a été déposé par le FBI le 1er juillet 2020, la veille de l'arrestation de Maxwell dans son manoir de Bradford. Elle est accusée d'avoir soigné trois filles aussi jeunes que 14 ans pour Epstein au milieu des années 1990 dans le cadre d'une opération internationale de trafic sexuel qui a duré des années. Maxwell fait face à un procès cet été.

    L'affidavit révèle également une tentative antérieure de localiser Maxwell sur la base d'un mandat de perquisition à New York pour récupérer les données historiques du site cellulaire du compte de téléphone portable de la mondaine en disgrâce à moins d'un mile de son emplacement, mais dans leur demande de nouveau mandat, le DOJ dit qu'ils n'ont pas pu Je ne la trouve pas dans le New Hampshire.

    "Le FBI ne connaît pas la localisation actuelle de Maxwell et exige en conséquence les informations recherchées dans cette demande afin de localiser et d'arrêter Maxwell", lit-on dans le dossier.

    Le mandat du New Hampshire autorisait le FBI à «utiliser un ou plusieurs appareils d'enquête capables de diffuser des signaux qui seront reçus par« le téléphone de Maxwell »ou de recevoir des signaux d'appareils cellulaires à proximité,« y compris l'appareil de Maxwell ».

    «Un tel appareil peut fonctionner à certains égards comme une tour cellulaire, sauf qu'il ne sera pas connecté au réseau cellulaire et ne peut pas être utilisé par un téléphone cellulaire pour communiquer avec d'autres», déclare l'affidavit, ajoutant que l'appareil n'intercepterait pas les appels, SMS et autres communications et données électroniques de son téléphone.

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  18. Ces détails semblent indiquer que le FBI a utilisé un appareil «stingray», également connu sous le nom de «receveur IMSI», pour attraper Maxwell. L'équipement portable, qui peut tenir dans une mallette, simule une tour de téléphonie cellulaire et oblige les téléphones portables à proximité immédiate à s'y connecter au lieu de la tour réelle. Une fois qu'il se connecte, le stingray capture l'emplacement exact du téléphone et les informations d'identification de l'utilisateur enregistré. -Bête quotidienne

    Selon l'affidavit, Maxwell partage un compte bancaire commun avec son mari, le PDG de la technologie Scott Borgerson, et que son compte Amazon lui a envoyé "plusieurs colis au cours de l'année dernière environ".

    Étant donné qu'il est de notoriété publique que le téléphone portable de n'importe qui peut être suivi si un gouvernement est suffisamment motivé, nous soupçonnons que Maxwell pensait simplement qu'elle était intouchable.

    En demandant sa mise en liberté sous caution - qui a depuis été refusée -, Maxwell a indiqué qu'elle avait une valeur nette d'environ 22,5 millions de dollars, ce qu'elle était prête à promettre pour sa libération.

    https://www.zerohedge.com/political/heres-how-fbi-tracked-down-ghislaine-maxwell

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  19. Assange "Libre de rentrer chez lui" s'il est libéré par le Royaume-Uni, déclare le Premier ministre australien


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 05 JAN 2021 - 23:45


    L'Australie reste un pays clé parmi les soi-disant "Five Eyes" alliance de partage de renseignements comprenant également le Canada, la Nouvelle-Zélande, le Royaume-Uni et les États-Unis - c'est pourquoi la déclaration de mardi du Premier ministre Scott Morrison sur Julian Assange de WikiLeaks est si important.

    Morrison a déclaré qu'Assange était "libre de rentrer chez lui" en Australie une fois que les contestations judiciaires contre lui seraient résolues. Cela est arrivé un jour après qu'un juge britannique ait bloqué la demande d'extradition américaine, invoquant le risque extrême pour la santé auquel il serait confronté dans le système carcéral fédéral américain supermax.

    Les États-Unis sont prêts à faire appel de la décision. La prochaine étape immédiate est l'audience de mise en liberté sous caution d'Assange où son équipe juridique demandera sa libération temporaire de la prison de Belmarsh à Londres, prévue pour mercredi.

    "Les avocats d'Assange demanderont à ce qu'il soit temporairement libéré de la prison de haute sécurité de Belmarsh, dans le sud-est de Londres, lors d'une audience au Westminster Magistrates Court dans la capitale qui débutera à 10h00 GMT", écrit Al Jazeera.

    Morrison a déclaré mardi à un radiodiffuseur local australien: "Eh bien, le système judiciaire fait son chemin et nous ne sommes pas partie à cela. Et comme tout Australien, on leur offre un soutien consulaire et devrait, vous savez, que l'appel échoue, évidemment il pourrait retourner en Australie comme n'importe quel autre Australien."

    "Donc, oui, c'est juste un processus simple du système juridique au Royaume-Uni qui se fraye un chemin", a-t-il ajouté. Mais dans le cas d'Assange, il y a de fortes chances que Washington prépare de nouvelles accusations qui pourraient être utilisées pour pousser l'Australie à l'extrader en supposant qu'il ait jamais risqué de retourner en Australie, où il est citoyen. Il est extrêmement improbable qu'il se rende un jour dans un autre pays «Five Eyes» indépendamment de ces «assurances», à moins que toutes les accusations américaines soient abandonnées.

    Auparavant, Morrison avait déclaré publiquement qu'il n'interviendrait de toute façon pas pour aider Assange pendant que les États-Unis le poursuivaient pour des accusations d'espionnage. "Assange doit affronter la musique comme n'importe quel autre Australien dans l'eau chaude à l'étranger", a-t-il dit un jour.

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  20. Actuellement, les politiciens de l'opposition australienne poussent Canberra à faire pression sur l'administration Trump pour qu'elle abandonne toutes les charges, comme le détaille The Guardian:

    Le gouvernement australien fait face aux appels de sa propre coalition d'arrière-ban de la Coalition et du parti travailliste d'opposition pour faire pression sur l'administration Trump pour qu'elle mette fin à la poursuite de Julian Assange après qu'un tribunal britannique a exclu l'extradition du cofondateur de WikiLeaks vers les États-Unis.

    Alors que le gouvernement américain a annoncé son intention de faire appel de la décision de la Cour, le député d'arrière-ban de la Coalition George Christensen et le sénateur indépendant d'Australie du Sud Rex Patrick figuraient parmi les partisans d'Assange qui considéraient la grâce présidentielle de Donald Trump comme le meilleur moyen de mettre fin à la saga.

    Il y a également eu des appels nationaux américains parmi la propre base de Trump pour obtenir une grâce. Mais avec la décision du tribunal de Londres de ne pas extrader, la pression a peut-être été un peu levée sur Trump pour qu'il poursuive ce qui dans son esprit pourrait être une décision politiquement coûteuse, malgré le pardon pour les dénonciateurs comme Assange et Snowden qui restent populaires parmi le public américain.

    https://www.zerohedge.com/political/assange-free-return-home-if-he-walks-free-says-australian-pm

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    1. Attention à la piqûre avant de sortir ! Les faux-vaccins contiennent des nano-technologies propres à prendre le contrôle de n'importe qui pour lui faire dire n'importe quoi, assassiner n'importe qui n'importe où n'importe quand !

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  21. Ron Paul: La "grande réinitialisation'' consiste à étendre le pouvoir du gouvernement et à supprimer la liberté


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 05 JAN 2021 - 16:25
    Rédigé par Ron Paul via le Ron Paul Institute for Peace & Prosperity,


    Le fondateur et président exécutif du Forum économique mondial, Klaus Schwab, a proposé d'utiliser la réaction excessive au coronavirus pour lancer une «grande réinitialisation» mondiale. Cette grande réinitialisation vise à étendre le pouvoir du gouvernement et à supprimer la liberté dans le monde entier.

    Schwab envisage un système autoritaire où les grandes entreprises agissent en tant que partenaire du gouvernement. Les grandes entreprises exerceront leurs pouvoirs de monopole accordés par le gouvernement pour maximiser la valeur pour les «parties prenantes» plutôt que pour les actionnaires. Les parties prenantes comprennent le gouvernement, les organisations internationales, l'entreprise elle-même et la «société civile».

    Bien entendu, les bureaucrates et les politiciens du gouvernement, ainsi que des intérêts spéciaux puissants, décideront qui sont et ne sont pas des parties prenantes, ce qui est dans l’intérêt des parties prenantes et quelles mesures les entreprises doivent prendre pour maximiser la valeur des parties prenantes. Les souhaits des gens ne sont pas la priorité.

    La grande réinitialisation augmentera considérablement l'état de la surveillance via un suivi en temps réel. Il exigera également que les gens reçoivent des certificats numériques pour voyager et même une technologie implantée dans leur corps pour les surveiller.

    La proposition de surveillance de Schwab comprend son idée d’utiliser des scintigraphies cérébrales et des nanotechnologies pour prédire et, si nécessaire, prévenir le comportement futur des individus. Cela signifie que toute personne dont le cerveau est «scanné» pourrait voir son deuxième amendement et d'autres droits violés parce qu'un bureaucrate du gouvernement détermine que l'individu va commettre un crime. Le système de suivi et de surveillance pourrait être utilisé pour faire taire ceux qui expriment des opinions politiques «dangereuses», telles que le fait que la Grande Réinitialisation viole nos droits que Dieu a donnés à la vie, à la liberté et à la poursuite du bonheur.

    La grande réinitialisation implique une énorme expansion de l'État providence via un programme de revenu de base universel. Cela peut aider à garantir le respect des mesures autoritaires de la Grande Réinitialisation. Ce sera également très cher. L'augmentation de la dette publique qui en résulte ne sera pas considérée comme un problème par les gens qui croient en la théorie monétaire moderne. Il s’agit de la dernière version du conte de fées selon lequel les déficits n’ont pas d’importance tant que la Réserve fédérale monétise la dette.

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  22. La grande réinitialisation échouera finalement pour la même raison que toutes les autres tentatives du gouvernement pour contrôler le marché échouent. Comme l'a montré Ludwig von Mises, l'ingérence du gouvernement sur le marché fausse le système de prix. Les prix sont la manière dont les informations sur la valeur des biens et services liés à d'autres biens et services sont transmises aux acteurs du marché. L'ingérence du gouvernement sur le marché perturbe les signaux envoyés par les prix, entraînant une offre excédentaire de certains biens et services et une sous-offre pour d'autres.

    Les verrouillages montrent les dangers du contrôle gouvernemental sur l'économie et nos vies personnelles. Les verrouillages ont augmenté le chômage, entraîné la fermeture de nombreuses petites entreprises et conduit à davantage de toxicomanie, de violence domestique et de suicide. On nous dit que les lock-out sont ordonnés à cause d'un virus qui ne représente pas un grand danger pour un très grand pourcentage du public américain. Pourtant, au lieu d'adopter une approche différente, les politiciens doublent les politiques ratées de masques et de verrouillage. Pendant ce temps, les grandes entreprises technologiques, qui agissent déjà souvent en tant que partenaires du gouvernement, font taire quiconque remet en question la ligne officielle concernant la menace du coronavirus ou l'efficacité des verrouillages, des masques et des vaccins.

    La réponse désastreuse à Covid n'est que le dernier exemple de la façon dont ceux qui renoncent à la liberté pour la sécurité ou la santé finiront par devenir non libres, dangereux et malsains. Au lieu d'une grande réinitialisation de l'autoritarisme, nous avons besoin d'une grande renaissance de la liberté !

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/ron-paul-great-reset-about-expanding-government-power-and-suppressing-liberty

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  23. Résultats avant la fermeture du décompte final pour savoir quel parti contrôlera le Sénat, la reprise est prévue pour demain 8h


    mardi 5 janvier 2021


    La stabilité politique et sociale est extrêmement fragile considérant que demain auront lieu deux dénouements extrêmement importants et décisifs pour des millions d'Américains.

    Si Biden est confirmé, les patriotes pro-Trump vont se sentir trahis à cause de la fraude électorale et si la victoire de Biden est ultimement contestée par le vice-président, ce sont les pro-Biden qui vont réagir.

    Dans les 2 cas, on peut s'attendre à des affrontements puisque les Américains sont déjà chargés émotivement par les effets de la pandémie, et chargés de munitions, et ce résultat final de l'élection a une signification très lourde sur la suite des choses selon des millions de personnes.

    Espérons que peu importe l'issue, les Américains ne se livront pas bataille entre eux.

    - voir doc sur site:

    http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2021/01/resultats-avant-la-fermeture-du.html

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  24. Et maintenant pour Plandemic # 2 (Dark Winter)


    Par Bill Sardi
    6 janvier 2021


    Le 27 août 2020, j'ai publié un rapport intitulé «La partie vraiment effrayante». C'était un reportage sur le film documentaire épique PLANDEMIC sur les efforts secrets pour créer et propager un virus respiratoire muté à travers le monde. Il est fait référence à un rapport des Nations Unies (Organisation mondiale de la santé) intitulé WORLD AT RISK qui prétend qu'il n'y aurait pas une pandémie, mais deux. Le premier devait être un exercice simulé d'une «pandémie à propagation rapide due à un pathogène respiratoire mortel». Et le deuxième ?

    Les politiciens font écho aux rapports inquiétants d'un coronavirus COVID-19 muté mortellement. Il est désigné comme «Dark Winter».

    Les efforts de vaccination ont ralenti. Selon un rapport de Global Research, des responsables affirment qu'une catastrophe totale est sur le point de se produire. Joe Biden et une foule d'autres politiciens ont commencé à orchestrer une référence à un «hiver sombre» mortel.

    L'épidémie de COVID-19 est une copie de l'épidémie d'anthrax en 2001

    Le rapport Global Research rappelle la menace d’une épidémie d’anthrax après le 11 septembre 2001 qui imite l’accumulation de l’hiver sombre d’aujourd’hui. Le livre de Graham Macqueen THE 2001 ANTHRAX DECEPTION est référencé.

    Le Dr Heiko Schöning, en Allemagne, explique à quel point les tromperies liées à l'anthrax, âgées de 20 ans, sont un modèle pour la pandémie de coronavirus aujourd'hui. Les mêmes mots de code sont utilisés, explique le Dr Schöning. Finalement, l'anthrax est sorti d'un laboratoire de l'armée américaine.

    Comme pour l'épidémie de COVID-19, il y a eu un exercice simulé trois mois avant les attaques d'anthrax, note le Dr Schöning. Les agents de la CIA étaient aux tables de planification à la fois pour les épidémies d'anthrax et de COVID-19.

    Ralentissement de la vaccination

    La population américaine peut être coincée économiquement par un virus muté encore plus médiatisé. Sans suffisamment de vaccins pour circuler (selon les autorités), la population doit être mise en quarantaine. Bien qu'il existe un précédent pour mettre en quarantaine les personnes infectées comme celles atteintes de tuberculose, il n'y a pas de précédent pour enfermer des personnes en bonne santé avec plus de décès résultant des restrictions que la maladie infectieuse.

    Le Dr Schöning dit que les personnes qui refusent de se conformer aux masques faciaux et à la distanciation sociale seront imputées à Dark Winter. Dieu seul sait à quelles conséquences les objecteurs devront maintenant faire face.

    Les mutations provoquent généralement des flambées virales. Pas celui-ci.

    La plupart du temps, les épidémies virales disparaissent à mesure que les virus mutent. Cette fois, on dit au public qu'il s'agit d'une mutation plus meurtrière. Mais toutes les variantes génétiques ne sont pas plus mortelles. Un examen des «mutations les plus plausibles» n'a «pas identifié une seule mutation récurrente dans cet ensemble associée de manière convaincante à une transmission virale accrue».

    Quoi, pas de sélénium?

    Au lieu de mesures de verrouillage encore plus strictes sur une forme mutée de coronavirus, les autorités de santé publique devraient conseiller au public de compléter son alimentation avec du sélénium, un oligo-élément très efficace pour minimiser la virulence des coronavirus. Une carence en sélénium peut entraîner une souche particulière de coronavirus 270 fois plus virulente.

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  25. Jouer la population

    La reclassification des décès normaux (~ 8000 / jour aux États-Unis) en COVID-19 est rendue possible par un test de réaction en chaîne par polymérase (PCR) qui produit 99% de faux positifs et détecte toute infection à coronavirus présente ou passée. Le test PCR a engendré d'autres pseudo-épidémies. Plus l'intensité des tests est élevée pour prétendre à tort que le COVID-19 est de plus en plus répandu. La seule façon de connaître la prévalence est de tester tout le monde dans une population donnée.

    L'objectif de ces restrictions excessives semble être destiné à anéantir les petites entreprises et à enterrer financièrement les Américains en vue d'une réinitialisation globale de l'économie qui changerait le contrat social des Américains avec leur gouvernement, à savoir l'abolition de la sécurité sociale pour un revenu garanti. et Medicare pour un autre plan de soins de santé non spécifié qui peut limiter les soins aux Américains d'un âge avancé.

    Les spores d'anthrax armées émanaient du gouvernement

    Spores d'anthrax «armés» retracés dans un laboratoire de test de l'armée américaine à Ft. Detrick, Maryland, ont été initialement attribués à un seul microbiologiste, mais cette théorie a été remise en question plus récemment.

    Après avoir réalisé que le stock national d’antibiotiques n’était pas suffisant pour protéger les millions d’américains susceptibles d’être exposés à cette bactérie du charbon sporulée, ce journaliste rappelle sa recherche d’alternatives moins chères et plus disponibles aux antibiotiques sur ordonnance.

    J'ai découvert que l'ail est utilisé avec succès par les agriculteurs pour tuer l'anthrax. J'ai ensuite trouvé la référence suivante dans l'Indian Journal of Experimental Biology, 1977. Notez que l'ail a produit une zone de destruction plus large dans une boîte de laboratoire que d'autres antibiotiques.

    Le principal ingrédient actif de l’ail (l’allicine) tue le charbon ainsi que les virus. L'ail alcalinisé empêche l'acide gastrique de bloquer la synthèse de l'allicine à partir d'un comprimé d'ail écrasé.

    L’industrie des compléments alimentaires a rapidement réagi, niant qu’aucun de ses produits ne guérissait, prévenait ou traitait toute maladie infectieuse, ce qui exposerait des millions d’américains à un massacre de bioterroriste si des spores d’anthrax devaient être larguées des avions, ce qui était un scénario délibéré en 2001.

    L'ail est également un remède naturel puissant contre tous les virus connus et en particulier contre le coronavirus COVID-19. L'ail inhibe la réplication virale.

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  26. Avec un retard dans la livraison des vaccins et la prise de conscience qu'aucune vaccination ne peut être jugée sûre et efficace contre le coronavirus COVID-19, les remèdes naturels ont une science adéquate et sont en grande partie exempts d'effets secondaires. Il est peu probable qu'un vaccin anti-COVID-19 contre le coronavirus obtienne une homologation étant donné qu'une décennie de recherche n'a produit aucun vaccin approuvé pour aucun coronavirus.

    https://www.lewrockwell.com/2021/01/no_author/and-now-for-plandemic-2-dark-winter/

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    1. Contrairement aux personnes décédés de vieillesse, cancer, diabète, etc étiquetées 'corona', les décès dus aux 'vaccins' létaux ne seront pas comptabilisés et les croque-morts n'auront ni primes ni alloc ! Na !

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  27. Assange gagne. Le coût: la liberté de la presse est écrasée et la dissidence qualifiée de maladie mentale


    Par Jonathan Cook
    4 janvier 2020
    "Information Clearing House" -


    La décision inattendue de la juge Vanessa Baraitser de refuser une demande américaine d'extradition de Julian Assange, déjouant les efforts pour l'envoyer dans une prison américaine super-max pour le reste de sa vie, est un bienvenu juridique victoire, mais submergée par des leçons plus importantes qui devraient nous déranger profondément.

    Ceux qui ont fait campagne si vigoureusement pour garder le cas d’Assange sous les feux de la rampe, alors même que les médias d’entreprise américains et britanniques ont travaillé si durement pour le maintenir dans l’obscurité, sont les héros du jour. Ils ont rendu le prix trop élevé pour Baraitser ou l'establishment britannique pour qu'ils acceptent d'enfermer Assange indéfiniment aux États-Unis pour avoir dénoncé ses crimes de guerre et ses crimes contre l'humanité en Irak et en Afghanistan.

    Mais nous ne devons pas minimiser le prix qui nous est demandé pour cette victoire.

    Un moment de fête

    Nous avons contribué collectivement à nos diverses petites façons de reconquérir à Assange un certain degré de liberté et, espérons-le, un sursis de ce qui pourrait être une condamnation à mort alors que sa santé continue de se détériorer dans une prison de haute sécurité surpeuplée de Belmarsh à Londres qui est devenue un terrain fertile pour Covid-19.

    Pas de publicité - Pas de subventions gouvernementales - Pas d'algorithme - Il s'agit d'un média indépendant

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    Vous ne pouvez pas acheter votre chemin sur ces pages
    Pour cela, nous devons nous accorder un moment de fête. Mais Assange n'est pas encore sorti du bois. Les États-Unis ont déclaré qu'ils feraient appel de la décision. Et il n'est pas encore clair si Assange restera emprisonné au Royaume-Uni - peut-être à Belmarsh - alors que de nombreux mois de débats juridiques supplémentaires sur son avenir ont lieu.

    Les établissements américains et britanniques ne se soucient pas de l'endroit où Assange est emprisonné - que ce soit en Suède, au Royaume-Uni ou aux États-Unis. Ce qui a été le plus important pour eux, c'est qu'il continue d'être enfermé hors de vue dans une cellule quelque part, où son courage physique et mental peut être détruit et où il est effectivement réduit au silence, encourageant les autres à tirer la leçon qu'il y a un prix à payer pour la dissidence.

    La bataille personnelle pour Assange ne sera pas terminée tant qu'il ne sera pas correctement libre. Et même alors, il aura de la chance si la dernière décennie de diverses formes d'incarcération et de torture auxquelles il a été soumis ne le laisse pas traumatisé de façon permanente, émotionnellement et mentalement endommagé, une ombre pâle du champion de la transparence sans excuse et vigoureux qu'il était avant son épreuve. a commencé.

    Cela seul sera une victoire pour les établissements britanniques et américains qui étaient tellement embarrassés et craintifs par les révélations de Wikileaks sur leurs crimes.

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  28. Rejeté sur une technicité

    Mais mis à part ce qui est une victoire personnelle potentielle pour Assange, à supposer qu'il ne perde pas en appel, nous devrions être profondément préoccupés par les arguments juridiques avancés par Baraitser pour refuser l'extradition.

    La demande d'extradition des États-Unis a été rejetée sur ce qui était en fait une technicité. Le système d'incarcération de masse américain est si manifestement barbare et dépravé que, comme l'ont démontré les experts lors des auditions de septembre, Assange courrait un risque grave de se suicider s'il devenait une autre victime de ses prisons super-max.

    Il ne faut pas non plus écarter une autre des considérations probables de l’establishment britannique: que dans quelques jours, Donald Trump sera parti de la Maison Blanche et qu’une nouvelle administration américaine prendra sa place.

    Il n'y a aucune raison d'être sentimental à propos du président élu Joe Biden. Il est aussi un grand fan de l'incarcération de masse, et il ne sera plus un ami des médias dissidents, des lanceurs d'alerte et du journalisme qui défient l'État de sécurité nationale que ne l'était son prédécesseur démocrate, Barack Obama. Ce n'est pas du tout un ami.

    Mais Biden n'a probablement pas besoin que l'affaire Assange pende au-dessus de sa tête, devenant un cri de ralliement contre lui, un résidu inconfortable des instincts autoritaires de l'administration Trump que ses propres fonctionnaires seraient obligés de défendre.

    Il serait bon d'imaginer que les institutions juridiques, judiciaires et politiques britanniques ont développé une colonne vertébrale dans la décision contre l'extradition. La vérité beaucoup plus probable est qu'ils ont sondé l'équipe entrante de Biden et ont reçu la permission de renoncer à une décision immédiate en faveur de l'extradition - pour un détail technique.

    Gardez un œil sur si la nouvelle administration Biden décide d'abandonner le dossier d'appel. Il est plus probable que ses responsables la laisseront gronder, largement sous le radar des médias, pendant encore plusieurs mois.

    Le journalisme comme espionnage

    De manière significative, le juge Baraitser a soutenu tous les principaux arguments juridiques de l'administration Trump en faveur de l'extradition, même s'ils ont été complètement démolis par les avocats d'Assange.

    Baraitser a accepté la nouvelle définition dangereuse du gouvernement américain du journalisme d'investigation comme «espionnage», et a laissé entendre qu'Assange avait également enfreint la draconienne Official Secrets Act britannique en dénonçant les crimes de guerre du gouvernement.

    Elle a convenu que le traité d’extradition de 2007 s’applique dans le cas d’Assange, ignorant les véritables mots du traité qui exempte la politique

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  29. Elle a convenu que le traité d’extradition de 2007 s’appliquait dans le cas d’Assange, ignorant les termes réels du traité qui exonéraient les cas politiques comme le sien. Elle a ainsi ouvert la porte à d'autres journalistes qui peuvent être saisis dans leur pays d'origine et rendus aux États-Unis pour avoir embarrassé Washington.

    Baraitser a admis que la protection des sources à l'ère numérique - comme Assange l'a fait pour le lanceur d'alerte Chelsea Manning, une obligation essentielle pour les journalistes dans une société libre - équivaut désormais à un «piratage» criminel. Elle a saccagé les droits de la liberté d'expression et de la liberté de la presse, affirmant qu'ils ne laissaient pas «une discrétion absolue à M. Assange pour décider de ce qu'il allait publier».

    Elle a semblé approuver les nombreuses preuves montrant que les États-Unis ont espionné Assange à l'intérieur de l'ambassade équatorienne, à la fois en violation du droit international et de son privilège client-avocat - une violation de ses droits juridiques les plus fondamentaux qui à elle seule aurait dû interrompre la procédure.

    Baraitser a fait valoir qu'Assange bénéficierait d'un procès équitable aux États-Unis, même s'il était presque certain qu'il se déroulerait dans le district oriental de Virginie, où les principaux services de sécurité et de renseignement américains ont leur siège. Tout jury serait dominé par le personnel de sécurité américain et leurs familles, qui n'auraient aucune sympathie pour Assange.

    Alors que nous célébrons cette décision pour Assange, nous devons également la dénoncer bruyamment comme une attaque contre la liberté de la presse, comme une attaque contre nos libertés collectives durement acquises, et comme une attaque contre nos efforts pour tenir les établissements américains et britanniques responsables de l'équitation. méconnaître les valeurs, les principes et les lois qu’ils prétendent défendre eux-mêmes.

    Même si on nous offre d’une part un petit prix dans la victoire juridique actuelle d’Assange, l’establishment nous saisit beaucoup plus.

    La vilification continue

    Il y a une dernière leçon à tirer de l'arrêt Assange. La dernière décennie a été consacrée à discréditer, déshonorer et diaboliser Assange. Cette décision doit être considérée comme une continuation de ce processus.

    Baraitser n’a refusé l’extradition qu’en raison de la santé mentale d’Assange et de son autisme, et du fait qu’il présente un risque de suicide. En d'autres termes, les arguments de principe pour libérer Assange ont été rejetés de manière décisive.

    S'il retrouve sa liberté, ce sera uniquement parce qu'il a été qualifié de malade mental. Cela sera utilisé pour discréditer non seulement Assange, mais aussi la cause pour laquelle il s'est battu, l'organisation Wikileaks qu'il a aidé à fonder, et toute dissidence plus large avec les récits de l'establishment. Cette idée s'installera dans le discours public populaire à moins que nous ne remettions en question une telle présentation à chaque tournant.

    https://www.youtube.com/watch?v=zYTxuW2vmzk

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  30. La bataille d’Assange pour défendre nos libertés, pour défendre ceux des pays lointains que nous bombardons à volonté dans la promotion des intérêts égoïstes d’une élite occidentale, n’était pas autiste ni preuve de maladie mentale. Son combat pour rendre nos sociétés plus justes, pour demander aux puissants de rendre compte de leurs actes, n'était pas la preuve d'un dysfonctionnement. C'est un devoir que nous partageons tous de rendre notre politique moins corrompue, nos systèmes juridiques plus transparents, nos médias moins malhonnêtes.

    À moins que nous ne combattions beaucoup plus pour ces valeurs - pour une vraie santé mentale, et non pour les intérêts pervers, insoutenables et suicidaires de nos dirigeants - nous sommes condamnés. Assange nous a montré comment nous pouvons nous libérer et libérer nos sociétés. Il nous incombe à nous autres de poursuivre son combat.

    http://www.informationclearinghouse.info/56130.htm

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  31. COVID-19: l'émergence du complexe industriel pandémique


    4 JANVIER 2021
    Par Brian Berletic


    Si l'on en croit les chiffres officiels, les États-Unis sont l'un des pays les plus touchés en termes d'infections et de décès au COVID-19. Selon le Centre américain de contrôle et de prévention des maladies (CDC), au moment de la rédaction de cet article, il y aurait 19 millions de cas de COVID-19 avec plus de 300 000 décès présumés suggérant entre 1 et 2 % de chances de mourir du COVID-19 si infecté par elle.

    Cependant, ces chiffres posent problème - avant même de remettre en question la validité des statistiques elles-mêmes qui y conduisent.

    Par exemple, les cas asymptomatiques ne seront probablement ni testés ni signalés, ce qui signifie que beaucoup plus de personnes sont en fait infectées par le COVID-19, ne présentent aucun symptôme, ne reçoivent aucun traitement et ne font certainement pas partie des statistiques des «cas» du CDC.

    Cela signifie que vos chances d'être infecté par le COVID-19 et de mourir sont en fait beaucoup, bien inférieures à l'affirmation souvent vantée de 1 à 2 %. Seuls ceux qui présentent des symptômes suffisamment graves pour être testés et / ou traités figureront dans les statistiques des «cas».

    En termes de cadrage de toute pandémie, une exagération de la létalité du virus devient un problème fondamental. Si cette information en elle-même est présentée au public de manière imprudente ou malhonnête sans mentionner les nombreuses autres personnes susceptibles d'être infectées et de ne présenter aucun symptôme, la panique peut, et s'est manifestement propagée à travers la société et le monde, permettant aux politiques extrêmes de passer à travers. approbation, amorçant le processus de défiguration de la société souffre aujourd'hui.

    C'est un fait mis en évidence par le travail du Dr John Ioannidis qui, même au début du COVID-19, a tenté de sonner l'alarme sur le fait d'attiser inutilement l'hystérie publique, la folie de conduire une politique de santé publique sans données appropriées et l'impact catastrophique il aurait - et il a maintenant clairement - sur la société si cette tendance n'est pas inversée.

    Une interview vidéo menée par Journeyman Pictures à partir d'avril 2020 a noté la ventilation des données du Dr Ioannidis et les résultats de ses propres études menées pour illustrer exactement cela. Son étude comprenait des tests sérologiques (anticorps) généralisés dans le comté de Santa Clara, en Californie, pour voir combien de personnes pouvaient avoir été infectées par le COVID-19 mais n'ont tout simplement jamais présenté de symptômes ou de symptômes suffisamment graves pour consulter un médecin et être testés pour le COVID-19.

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  32. Le Dr Ioannidis notera:

    Si vous comparez les chiffres que nous estimons avoir été infectés, qui varient de 48000 à 81000, par rapport au nombre de cas documentés qui correspondraient au même horizon temporel autour du 1er avril, alors que nous avions 956 cas documentés dans le comté de Santa Clara, nous se rendre compte que le nombre de personnes infectées est entre 50 et 85 fois supérieur à ce que nous pensions, par rapport à ce qui avait été documenté. Immédiatement, cela signifie que le taux de mortalité par infection, le risque de mourir, la probabilité de mourir, si vous êtes infecté, diminuent de 50 à 85 fois, car le dénominateur dans le calcul devient 50 à 85 fois plus grand. Si vous tenez compte de ces chiffres, ils suggèrent que le taux de mortalité par infection pour ce nouveau coronavirus est susceptible d'être dans le même sens que la grippe saisonnière.

    Le Dr Ioannidis a également noté qu'il y avait un large gradient concernant les taux de mortalité en fonction de l'âge et des conditions médicales sous-jacentes, le risque de décès pour les personnes de moins de 65 ans sans conditions médicales sous-jacentes étant pratiquement négligeable.

    Le besoin de tests plus larges pour établir pleinement des ensembles de données matures - comme l'ont illustré le Dr Ioannidis et son équipe à Stanford - et les efforts pour communiquer au public la différence entre le taux de mortalité par infection (IFR) et le taux de létalité des cas (CFR), ont été négligée par les gouvernements occidentaux et plus encore par les médias institutionnels occidentaux. Dans certains cas, des efforts semblent être faits pour obscurcir ou confondre délibérément ces informations cruciales afin de continuer à attiser la panique et l'hystérie.

    Mais en plus de cela, il y a le fait que les gouvernements - en particulier en Occident - ont été surpris en utilisant des méthodes douteuses ou désorganisées pour compter les décès COVID-19 - ce qui signifie que les chiffres IFR et CFR pourraient être facilement biaisés.

    Par exemple, un média financé par l'État britannique, la BBC, dans un article d'août 2020 intitulé «Coronavirus: la revue du nombre de décès en Angleterre réduit le nombre de morts au Royaume-Uni de 5000», admettrait:

    Un examen de la façon dont les décès dus aux coronavirus sont comptés en Angleterre a réduit le nombre de morts au Royaume-Uni de plus de 5000, à 41329, a annoncé le gouvernement.

    L'article notait également que:

    Devenez un militant post-parrain pour seulement 1 $ par mois chez Patreon.
    La nouvelle méthodologie de comptage des décès signifie que le nombre total de personnes au Royaume-Uni qui sont décédées de Covid-19 passe de 46 706 à 41 329, soit une réduction de 12 %.

    L'article a révélé que Public Health England avait «inclus toutes les personnes qui avaient été testées positives [pour le COVID-19], même si elles sont décédées des mois après et que leur décès peut avoir eu une autre cause».

    Une gymnastique statistique similaire est pratiquée aux États-Unis. Même le New York Times a soulevé la question assez tôt dans l'article, «Le décompte des décès par coronavirus est-il gonflé? Voici pourquoi les experts disent non », en déduisant clairement qu'il peut y avoir un problème avec la méthodologie officielle, et a poursuivi en expliquant tout au long de l'article comment il est impossible de le savoir car des dénombrements précis - ou même des systèmes précis à utiliser pour le comptage - peuvent ne pas existent actuellement aux États-Unis.

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  33. En d'autres termes: les systèmes actuels sont loin d'être parfaits et vulnérables aux distorsions systémiques dans la présentation des données. Encore une fois, il s'agit d'un problème fondamental lorsque la politique de santé publique est basée sur la gravité perçue de l'épidémie.

    Le véritable impact du COVID-19

    Sur la base de statistiques clairement mal utilisées et incomplètes, les États-Unis, le Royaume-Uni et une grande partie de l'Europe occidentale ont conduit le monde à attiser une hystérie sans précédent, à faire respecter les restrictions de voyage et les verrouillages, y compris la fermeture d'entreprises et d'écoles, et de broyer les économies de la le monde à un arrêt direct ou indirect - d'une manière similaire mais avec un impact beaucoup plus important que la «guerre contre le terrorisme» mondiale menée par les États-Unis à partir de 2001.

    CONNEXES: Selon un microbiologiste américain de premier plan, les «craintes des variantes» du Royaume-Uni sont exagérées

    La pression des «organisations internationales» comme l'Organisation mondiale de la santé (OMS) utilisant sa plate-forme affiliée à l'ONU pour déclarer une «pandémie mondiale», ainsi que les gouvernements occidentaux et les entreprises qui dominent la politique étrangère et intérieure, a créé une crise mondiale - pas en en termes de santé humaine, mais en termes de socio-économie.

    Les entreprises sont fermées - non pas parce que ceux qui les dirigent ou les fréquentent régulièrement sont dans des lits d'hôpitaux ou sont morts - mais sur ordre des gouvernements et avec le soutien politique officiel d'organisations comme l'OMS.

    Les médias grand public ont joué un rôle clé à cet égard - non seulement en répétant sans critique les récits fournis par les gouvernements et les établissements de santé, mais en refusant de remplir leur rôle de chiens de garde et d'enquêteurs recherchant des irrégularités.

    C'est un état d'hystérie qui paralyse les petites et moyennes entreprises (PME), mais une aubaine pour les grandes entreprises.

    Les gros titres de journaux comme le Wall Street Journal admettent que «les grandes entreprises technologiques récoltent des gains alors que Covid-19 alimente la demande» ou, comme le rapporte le Guardian, «les bénéfices d'Amazon au troisième trimestre montent en flèche alors que les ventes pandémiques triplent les bénéfices», indiquent clairement que certaines grandes entreprises profitent de l'hystérie.

    De plus, le rapport du Guardian, «Le mystère de savoir quelles entreprises américaines profitent du sauvetage du coronavirus», révèle comment les grandes entreprises en difficulté sont renflouées par l'argent du gouvernement - alors que le secteur des PME, le véritable pouls de toute économie et société dynamiques - est laissé pour compte.

    Mais il y a une industrie qui se distingue par-dessus toutes les autres, une industrie connue pour sa corruption profondément enracinée, et une industrie qui a déjà été surprise à utiliser ses liens avec des organisations internationales comme l'OMS pour déclarer des pandémies, attiser l'hystérie et faire des profits généreux. du chaos résultant.

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  34. C’est l’industrie pharmaceutique occidentale.

    À aucun moment de l’histoire de l’humanité, il n’a été plus puissant et influent qu’aujourd’hui. Et à aucun autre moment de l'histoire humaine cela n'a été aussi dangereux.

    Big-Pharma: le partenaire pandémique le moins digne de confiance
    Les profits et la corruption des grandes sociétés pharmaceutiques occidentales dans des circonstances ordinaires sont déjà choquants. Le climat actuel de confusion publique, de panique et de désespoir socio-économique croissant ne fait qu’inviter les irrégularités de l’industrie à de nouveaux niveaux.

    Des sociétés pharmaceutiques comme Pfizer, Johnson & Johnson, AstraZeneca et Moderna - ayant reçu des milliards de dollars directement ou indirectement de la part des contribuables pour développer des vaccins COVID-19 - ont une longue histoire documentée de corruption, y compris la corruption des régulateurs, des médecins et des gouvernements.

    Ils ont également été surpris en train de falsifier les données d'innocuité et d'efficacité. Ils ont encouragé l'utilisation de leurs produits pour les patients dans les cas non approuvés par les régulateurs, y compris sur les enfants.

    Ils ont même été surpris en train de vendre sciemment des produits qu'ils savaient dangereux, voire mortels, en dissimulant des informations critiques à la fois aux régulateurs et au public.

    Pfizer seul - alors que son vaccin COVID-19 a commencé à être déployé publiquement - faisait l'objet d'une enquête cette année, selon son propre dépôt de la Commission d'échange de sécurité (SEC), pour son activité de génériques Greenstone au sujet de préoccupations antitrust, pour des problèmes de fabrication concernant Quillivant XR, en ce qui concerne la qualité problèmes liés à la fabrication d'auto-injecteurs, aux enquêtes sur la corruption concernant ses opérations russes et chinoises, et en ce qui concerne les poursuites judiciaires au Mexique concernant la fabrication de Zantac et d'un produit chimique cancérigène appelé N-Nitrosodiméthylamine (NDMA) trouvé dans le produit.

    L'enquête concernant Zantac a finalement incité la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis - qui avait initialement approuvé le médicament - à demander qu'il soit retiré du marché après avoir constaté qu'il était effectivement lié à une probabilité accrue de provoquer un cancer.

    Le Wall Street Journal, dans un article de 2020 intitulé «Pfizer reçoit une enquête de la SEC Bribery Unit», notait les scandales passés de Pfizer qui:

    Pfizer a déjà eu des démêlés avec les autorités américaines au sujet d'allégations de corruption dans le cadre de ses opérations à l'étranger. En 2012, la société a accepté de payer 60,2 millions de dollars pour régler les enquêtes de la SEC et du ministère de la Justice sur des violations présumées du FCPA dans plusieurs pays d'Europe et d'Asie, dont la Chine et la Russie.

    Le département américain de la Justice, dans sa propre déclaration concernant une partie du versement de 2012 par Pfizer, notera:

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  35. Selon des documents judiciaires, Pfizer H.C.P. a effectué un large éventail de paiements irréguliers à de nombreux fonctionnaires en Bulgarie, en Croatie, au Kazakhstan et en Russie - y compris des administrateurs d'hôpitaux, des membres de comités de réglementation et d'achat et d'autres professionnels de la santé - et a cherché à influencer indûment les décisions du gouvernement dans ces pays concernant l'approbation et l'enregistrement des produits Pfizer Inc., l'attribution d'appels d'offres pharmaceutiques et le niveau des ventes des produits Pfizer Inc. Selon des documents judiciaires, Pfizer H.C.P. utilisé de nombreux mécanismes pour influencer indûment les représentants du gouvernement, y compris des contrats de consultation fictifs, une concession exclusive et des voyages et des paiements en espèces inappropriés.

    Une telle corruption pourrait aider à expliquer pourquoi Pfizer et d'autres sociétés pharmaceutiques sont en mesure de vendre des produits dangereux comme le Zantac cancérigène ou - dans le cas de son collègue producteur de vaccin COVID-19 Johnson and Johnson - de la poudre pour bébé cancérigène - pendant des années avant de monter des poursuites et l'indignation publique incite les régulateurs à enfin faire leur travail correctement.

    Dans le cas de Johnson & Johnson, une enquête de Reuters noterait (italiques ajoutés):

    Face à des milliers de procès alléguant que son talc a causé le cancer, J&J insiste sur la sécurité et la pureté de son produit emblématique. Mais des documents internes examinés par Reuters montrent que la poudre de l’entreprise était parfois contaminée par de l’amiante cancérigène et que J&J a gardé cette information auprès des régulateurs et du public.

    Ce que cela illustre est un modèle constant de corruption qui s'étend du processus de fabrication de Pfizer (et de Johnson & Johnson) à leurs pratiques commerciales et s'étalant sur des années. C'est toute une industrie qui se livre à plusieurs reprises à des irrégularités dangereuses, fait l'objet d'enquêtes répétées et d'une amende, mais est autorisée non seulement à continuer à mener des affaires - mais se voit toujours confier des questions critiques pour la santé publique.

    Les implications qu'il a pour le processus de développement, d'approbation, de production et de distribution de vaccins contre le COVID-19 devraient être évidentes.

    Le «Heist» H1N1 2009
    Malgré l'immense quantité de corruption publiquement connue engagée par l'industrie pharmaceutique occidentale et les implications manifestement troublantes qu'elle a pour le déploiement actuel du vaccin COVID-19 - ce n'est qu'une dimension d'un problème beaucoup plus large.

    Il y a aussi l’histoire connue de l’industrie pharmaceutique occidentale de créer des alertes publiques pour attirer des contrats gouvernementaux massifs et exercer son pouvoir et son influence sur le discours public concernant les problèmes de santé humaine.

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  36. Les mêmes grands médias d'entreprise qui contribuent aujourd'hui à alimenter l'hystérie publique concernant le COVID-19 et à promouvoir le déploiement des vaccins des grandes entreprises pharmaceutiques avaient déjà fait état d'exemples passés de «pandémie» criant par les grandes des contrats gouvernementaux d'une valeur de plusieurs milliards de dollars pour des médicaments et des vaccins inutiles et inefficaces.

    Pensez à 2009 et à la peur de la grippe porcine H1N1. À la suite de la déclaration dramatique de l’OMS sur une «pandémie mondiale», les titres et les articles des principaux médias occidentaux sont presque identiques à ceux qui sont diffusés aujourd’hui concernant le COVID-19.

    NPR dans un article de 2009 affirmerait:

    Sept mois après le début de la pandémie de grippe de 2009, l'Amérique du Nord est en tête du monde dans les cas, selon l'OMS.

    Contrairement à ailleurs, le nouveau H1N1 n'est jamais sorti de scène après sa première apparition fin avril. En fait, il fait plus de bruit que jamais. Le Mexique a connu plus de cas de grippe pandémique depuis septembre qu'au cours des quatre premiers mois de la pandémie ce printemps.

    L’augmentation de l’hystérie s’est poursuivie à la fois de la part de l’OMS et des médias occidentaux, accompagnée de campagnes de financement du développement de vaccins et de stocks de médicaments comme le Tamiflu de Roche.

    Le Daily Mail britannique, dans un article de 2009 intitulé «Tamiflu: ce que vous DEVEZ savoir que la grippe porcine menace de frapper», affirmait:

    Le Gouvernement a annoncé que des stocks de médicaments - appelés antiviraux - destinés à lutter contre la menace imminente d’une pandémie de grippe porcine sont en train d’être constitués pour couvrir plus de 50 millions de personnes - soit 80% de la population du pays.

    Mais alors que l'hystérie s'est estompée, la vérité est apparue. Des articles ont commencé à apparaître comme celui-ci de Reuters en 2014, intitulé «Les stocks de médicament Roche Tamiflu sont un gaspillage d'argent, selon une revue», qui a noté:

    Des chercheurs qui se sont battus pendant des années pour obtenir des données complètes sur le médicament antigrippal de Roche Tamiflu ont déclaré jeudi que les gouvernements qui le stockent gaspillent des milliards de dollars pour un médicament dont l’efficacité est mise en doute.

    L'article soulignait également:

    Les ventes de Tamiflu ont atteint près de 3 milliards de dollars en 2009 - principalement en raison de son utilisation dans la pandémie de grippe H1N1 - mais elles ont depuis diminué.

    Il existait également des liens financiers entre Roche et des experts de l’OMS qui ont qualifié l’apparition du H1N1 de «pandémie», contribuant ainsi à ouvrir la voie à l’hystérie publique nécessaire pour alimenter les profits de Roche en vendant ce qui était essentiellement un médicament inutile aux stocks du gouvernement.

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    The BBC in their 2010 article, “WHO swine flu experts ‘linked’ with drug companies,” would report:


    Une enquête a révélé que les principaux scientifiques à l'origine des conseils de l'Organisation mondiale de la santé sur le stockage des médicaments contre la grippe pandémique avaient des liens financiers avec des entreprises rentables.

    Roche a été mentionnée par son nom par la BBC (italiques ajoutés):

    Ces conseils ont incité de nombreux pays à travers le monde à acheter d'importants stocks de Tamiflu, fabriqué par Roche, et de Relenza fabriqué par GlaxoSmithKline.

    Malgré ces révélations post-H1N1 après 2009, les mêmes acteurs sont montés sur scène pour une représentation répétée en 2020 - avec peu ou pas d'alarme de la part des mêmes organisations médiatiques qui ont ignoré le «braquage» H1N1 en 2009 et en ont rapporté à contrecœur seulement longtemps après que le dommage ait été fait.

    Complexe industriel pandémique de Big-Pharma

    Au cours des dix dernières années, le contrôle des grandes sociétés pharmaceutiques sur l’OMS et son influence sur les médias et les gouvernements occidentaux n’ont fait qu’augmenter.

    Des organisations puissantes comme le Wellcome Trust - qui prétend être une «fondation indépendante» financée par un portefeuille d'investissement - compte plusieurs grandes sociétés pharmaceutiques - Novartis, Roche, Johnson & Johnson et Abbott Labs - sur leur liste «d'importantes actions publiques directement détenues holdings. »

    Sa gouvernance comprend des représentants de l'industrie pharmaceutique, de divers gouvernements occidentaux, du monde universitaire, des médias et bien sûr de l'OMS elle-même.

    C'est une institutionnalisation des intérêts conflictuels qui ont toléré, accommodé, voire contribué à étendre le pouvoir, la richesse, l'influence et la corruption injustifiés des grandes sociétés pharmaceutiques.

    Et tandis que Wellcome Trust prétend être «indépendant» des liens entre les entreprises et le gouvernement, aux côtés de la Fondation Bill et Melinda Gates - il a aidé à créer une autre organisation de façade appelée The Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI) - à travers laquelle il accepte et disperse d'énormes quantités de l'argent des contribuables occidentaux.

    Le travail du CEPI a un impact direct sur les perspectives commerciales de nombreuses sociétés dans lesquelles Wellcome Trust détient des actions - ses investissements rapportant au-dessus de la moyenne au milieu de cette dernière vague d'hystérie publique et de dépenses gouvernementales pour cette dernière pandémie déclarée.

    International Publishers Limited, dans un article intitulé «Wellcome Trust« prospère »sous les retombées du COVID-19 avec un rendement de 12,3%», rapporterait:

    Le portefeuille de Wellcome Trust n'a pas seulement survécu, mais prospéré, dans l'environnement très volatil après l'épidémie de COVID-19, selon Eliza Manningham-Buller, la présidente de l'organisme de bienfaisance, présentant son rapport annuel qui a dévoilé un rendement de 12,3% pour l'année au 30 septembre. 2020, en hausse par rapport aux 6,9% de l'année précédente.

    La fiducie, qui soutient la recherche médicale dans le monde, est la plus grande organisation caritative du Royaume-Uni, avec un portefeuille de 29,1 milliards de livres sterling (31,9 milliards d'euros) à fin septembre 2020. Les investissements de Wellcome ont rapporté en moyenne 12,1% par an au cours de la dernière décennie.

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  38. Il convient de noter qu'en mars, Wellcome et la Fondation Bill & Melinda Gates ont fourni 125 millions de dollars de «financement de démarrage» pour accélérer certains produits pharmaceutiques prétendant traiter le COVID-19, y compris l'antiviral Remdesivir de Gilead Science. Malgré des échecs répétés dans les essais cliniques, et après que l'Institut national de la santé (NIH) ait été exposé, tentant de réécrire les règles dans leur tentative de sauver la réputation du médicament en tant que thérapeutique viable pour le COVID-19 - Le remdesivir a été continuellement médiatisé par Bill Gates et le directeur des NIH Anthony Fauci, et est toujours défendu par l'OMS à ce jour.

    Il est également important de noter qu'en 2020, le bailleur de fonds numéro un de l'Organisation mondiale de la Santé est la Fondation Bill et Melinda Gates, qui a fourni à l'OMS environ 531 millions de dollars dans son budget biennal 2018-2019, soit environ 12% du budget total de l'OMS. .

    Contrairement à la peur du H1N1 et aux multiples scandales qui ont émergé de derrière l'écran de fumée de l'hystérie publique délibérément créée autour d'elle, la crise du COVID-19 est soutenue depuis près d'un an avec des régiments durables mis en place pour conditionner et contrôler le public - et contrôler le flux d'informations via les canaux traditionnels ainsi qu'en ligne et en particulier sur les plateformes de médias sociaux basées aux États-Unis, et diriger le financement public vers les caisses de l'industrie de la santé et de l'industrie pharmaceutique.

    Dans le même temps, d'autres grandes industries sont soit épargnées par les mêmes réglementations et restrictions qui étranglent les petites entreprises, soit renflouées par des fonds publics.

    Il est passé du «H1N1 Heist» de 2009 à ce qui semble être un «complexe industriel pandémique» qui prend forme aujourd'hui.

    Jusqu'où cela va-t-il contribuer à façonner - ou plus précisément - à défigurer la société, c'est à ceux qui peuvent clairement voir les secteurs public et privé conspirer ensemble et se composer des partenaires les moins fiables pour s'attaquer réellement à une véritable pandémie et en protéger le public - si c'est vraiment ce à quoi nous sommes confrontés.

    D'une part, même si nous pensons que les statistiques et les affirmations faites quotidiennement par les médias grand public et les représentants du gouvernement, nous pouvons voir par nous-mêmes que les entreprises élues par le gouvernement pour créer les solutions revendiquées sont nécessaires pour mettre fin à la crise, sont coupable d'abus en série, y compris la production et la distribution de produits totalement dangereux - des produits développés et «approuvés» par les régulateurs gouvernementaux dans des conditions normales qui allaient rendre les gens malades ou même les tuer.

    Mais les vaccins COVID-19 en cours de déploiement ne passent même pas par ce processus. Au lieu de cela, ils ont été précipités par l'approbation et des résultats imprévisibles et des effets négatifs se font déjà sentir.

    Il revient à un autre chapitre impliquant un nouveau virus - la grippe porcine de 1976 - où les vaccins ont été précipités dans la production et ont entraîné des effets indésirables croissants, en particulier paralysant le syndrome de Guillain-Barré chez plus de 400 personnes. Et ce ne sont que les cas qui ont été signalés, car le vrai total de ceux qui ont souffert de divers degrés de complications ne sera jamais entièrement connu.

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  39. En 1976, le programme de vaccination a été abandonné et la réponse du gouvernement a été considérée comme un échec aux proportions historiques. Mais apparemment, les leçons apprises à l'époque, ou en 2009, ont été entièrement perdues aujourd'hui - et dans certains cas - délibérément enterrées par un média complice.

    Si le COVID-19 est la crise, on nous dit qu'elle est - pourquoi n'y a-t-il pas une plus grande demande de partenaires plus fiables et transparents avec lesquels travailler pour y faire face ? Ce seraient des partenaires capables de reconnaître les erreurs du passé et d'expliquer en quoi leur plan actuel diffère de ceux du passé.

    Mais, malheureusement, l'histoire nous a déjà appris que les pandémies peuvent être déclarées - non pas parce qu'elles existent réellement et / ou représentent une menace aussi grave que le prétendent les parties prenantes du gouvernement, des médias et des entreprises - mais parce que les bénéfices doivent être réalisés par les grandes sociétés pharmaceutiques, en lien avec ceux d'organisations comme l'OMS qui ont le pouvoir unique de déclarer des pandémies et de les perpétuer indépendamment de la vérité.

    Pendant deux décennies, nous avons vu l’Occident orchestrer une «guerre contre le terrorisme» entièrement fausse dans le monde entier, justifiant des actions aussi extrêmes que des invasions, des guerres et des occupations illégales d’autres pays et la dépense de milliers de milliards de dollars d’argent des contribuables.

    Est-ce vraiment difficile à imaginer que possible, cette formule étant retravaillée au sommet des scandales H1N1 de 2009 et poussée de manière agressive ?

    ***

    L'auteur Brian Berletic, anciennement connu sous son pseudonyme Tony Cartalucci, est un chercheur géopolitique basé à Bangkok, un écrivain et un collaborateur spécial de 21st Century Wire. Voir plus de son travail dans les archives de Tony. Au cours de la dernière décennie, ses travaux ont été publiés sur un certain nombre de sites Web d'information et d'analyse populaires, ainsi que sur le magazine en ligne «New Eastern Outlook». Vous pouvez également le suivre sur VK ici.

    Article References:

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  40. Libertarian Clothing for Men and Women
    CDC – United States COVID-19 Cases and Deaths by State:
    https://covid.cdc.gov/covid-data-tracker/#cases_casesper100klast7days

    Journeyman Pictures – Perspectives on the Pandemic | Dr. John Ioannidis:
    https://youtu.be/cwPqmLoZA4s

    MedRxiv – COVID-19 Antibody Seroprevalence in Santa Clara County, California:
    https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.14.20062463v2

    WHO – Infection fatality rate of COVID-19 inferred from seroprevalence data:
    https://www.who.int/bulletin/online_first/BLT.20.265892.pdf

    BBC – Coronavirus: England death count review reduces UK toll by 5,000:
    https://www.bbc.com/news/health-53722711

    NYT – Is the Coronavirus Death Tally Inflated? Here’s Why Experts Say No:
    https://www.nytimes.com/interactive/2020/06/19/us/us-coronavirus-covid-death-toll.html

    Coronavirus outbreak declared a pandemic: what does it mean, and does it change anything?
    https://www.telegraph.co.uk/global-health/science-and-disease/pandemic-coronavirus-who-what-impact-uk/

    WSJ – Big Tech Companies Reap Gains as Covid-19 Fuels Shift in Demand:
    https://www.wsj.com/articles/amazon-sales-surge-amid-pandemic-driven-online-shopping-11604003107

    Guardian – Amazon third-quarter earnings soar as pandemic sales triple profits:
    https://www.theguardian.com/technology/2020/oct/29/amazon-profits-latest-earnings-report-third-quarter-pandemic

    Guardian – The mystery of which US businesses are profiting from the coronavirus bailout:
    https://www.theguardian.com/us-news/2020/jun/09/us-congress-billions-coronavirus-aid-relief-package

    Pfizer SEC Filing For the quarterly period ended September 27, 2020:
    https://d18rn0p25nwr6d.cloudfront.net/CIK-0000078003/5164adeb-657b-446f-820d-6934e6484165.pdf

    FDA – FDA Requests Removal of All Ranitidine Products (Zantac) from the Market:
    https://www.fda.gov/news-events/press-announcements/fda-requests-removal-all-ranitidine-products-zantac-market

    WSJ – Pfizer Receives Inquiry From SEC Bribery Unit:
    https://www.wsj.com/articles/pfizer-receives-inquiry-from-sec-bribery-unit-11604674900

    Reuters – Johnson & Johnson knew for decades that asbestos lurked in its Baby Powder:
    https://www.reuters.com/investigates/special-report/johnsonandjohnson-cancer/

    NPR – North America Leads Swine Flu Pack:
    https://www.npr.org/sections/health-shots/2009/11/north_america_leads_the_pack_o.html

    Daily Mail – Tamiflu: What you MUST know as swine flu threatens to strike:
    https://www.dailymail.co.uk/health/article-1176661/Tamiflu-What-MUST-know-swine-flu-threatens-strike.html

    Reuters – Stockpiles of Roche Tamiflu drug are waste of money, review finds:
    https://www.reuters.com/article/us-roche-hldg-novartis-search/stockpiles-of-roche-tamiflu-drug-are-waste-of-money-review-finds-idUSBREA390EJ20140410

    BBC – WHO swine flu experts ‘linked’ with drug companies:
    https://www.bbc.com/news/10235558

    Wellcome Trust – Directly held public equity holdings:
    https://wellcome.org/about-us/investments/direct-public-equity-holdings

    Wellcome Trust – Board of Governors:
    https://wellcome.org/about-us/governance/board-governors

    CEPI – Who We Are:
    https://cepi.net/about/whoweare/

    IPE – Wellcome Trust ‘prospers’ under COVID-19 fallout with 12.3% return:
    https://www.ipe.com/news/wellcome-trust-prospers-under-covid-19-fallout-with-123-return/10049623.article

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  41. Gates Foundation and Wellcome set up $125m coronavirus drug fund:
    https://www.ft.com/content/566acfb0-6216-11ea-b3f3-fe4680ea68b5

    New data on Gilead’s remdesivir, released by accident, show no benefit for coronavirus patients. Company still sees reason for hope:
    https://www.statnews.com/2020/04/23/data-on-gileads-remdesivir-released-by-accident-show-no-benefit-for-coronavirus-patients/

    Inside the NIH’s controversial decision to stop its big remdesivir study:
    https://www.statnews.com/2020/05/11/inside-the-nihs-controversial-decision-to-stop-its-big-remdesivir-study/

    Remdesivir Fails to Prevent Covid-19 Deaths in Huge Trial:
    https://www.nytimes.com/2020/10/15/health/coronavirus-remdesivir-who.html

    ‘Big concerns’ over Gates foundation’s potential to become largest WHO donor:
    https://www.devex.com/news/big-concerns-over-gates-foundation-s-potential-to-become-largest-who-donor-97377

    Discover – The Public Health Legacy of the 1976 Swine Flu Outbreak:
    https://www.discovermagazine.com/health/the-public-health-legacy-of-the-1976-swine-flu-outbreak

    Sourced from 21st Century Wire

    https://www.activistpost.com/2021/01/covid-19-the-emergence-of-the-pandemic-industrial-complex.html

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    1. Après DES décennies de chemtrails visant à contrôler le monde, ils se sont aperçu que les nano-particules aéroportées respirées par les humains et les animaux comme les plantes n'étaient pas en mesure à faire 'crever le monde' ! Bêh çà alors ! D'où le lancement de la phase II de l'opération 'Tous morts' avec un Great Reset défendu par Corona.

      Ne manquez pas immédiatement de vous inscrire pour recevoir très vite votre invitation à vous rendre à l’échafaud le plus proche ! (Marque d'un 'H' comme hitler).

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  42. À quoi s'attendre en 2021: folie, chaos, manipulation et plus de tyrannie


    Par John W. Whitehead
    L'Institut Rutherford
    6 janvier 2021



    «Douze voix criaient de colère, et elles se ressemblaient toutes. Pas question, maintenant, de ce qui était arrivé aux visages des porcs. Les créatures du dehors regardaient de porc à homme, d'homme à porc, et de porc à homme encore; mais déjà il était impossible de dire lequel était lequel. »- George Orwell, Animal Farm

    À quoi faut-il s'attendre en 2021 ?

    Jusqu'à présent, il semble que cette année va être en proie à plus de la même marque de folie, de chaos, de manipulation et de tyrannie qui a dominé 2020.

    Franchement, j'en ai marre: l'hypocrisie, les deux poids deux mesures, la croyance délirante des Américains à chaque point du spectre politique que la politique et les politiciens sont la réponse à ce qui afflige le pays, alors que pendant la majeure partie de l'histoire de notre nation, la politique et les politiciens ont été la cause de nos malheurs.

    Considérez ceci: depuis des années maintenant, les Américains, avec une placidité pure et simple, ont toléré toutes sortes d'injustices et d'abus infligés à eux par le gouvernement (fusillades policières d'individus non armés, brutalité, corruption, greffe, vol pur et simple, occupations et invasions de leurs maisons par police militarisée, fouilles à nu en bordure de route, incarcérations à but lucratif, guerres à but lucratif, surveillance flagrante, fiscalité sans réelle représentation, état nounou qui dicte tous les aspects de leur vie, lock-out, surcriminalisation, etc.) sans jamais dire «assez c'est assez."

    Ce n'est que maintenant que les Américains semblent assez indignés pour se mobiliser et devenir actifs, et dans quel but ? Politique. Ils sont prêts à se rendre sur le tapis sur lequel la marionnette d’entreprise aura l’honneur de servir de visage souriant au cochon pendant les quatre prochaines années.

    Parlez d'illusion.

    C’est tellement ridicule d’être kafkaïen.

    Un exemple parfait de la façon dont la vie ridicule, sens dessus dessous et carrément perverse est devenue en Amérique: alors que le président Trump distribue des médailles de louange et des pardons présidentiels à des copains politiques qui ont fait peu ou rien pour faire avancer la cause de la liberté, Julian Assange pourrit en prison pour avoir osé dénoncer les crimes de guerre du gouvernement américain

    Vous pensez que les Américains seraient indignés par une telle complaisance abjecte dans le marais même que Trump s'est engagé à assécher, mais ce n'est pas ce qui a tellement agité la droite et la gauche. Non, ils se disputent toujours pour savoir si les hommes morts ont voté lors de la dernière élection présidentielle.

    Quoi qu'il en soit, quel que soit le candidat perdu contre l'autre, ce serait toujours l'État profond qui l'emporterait.

    Et donc vous l'avez: réduits aux détails techniques, distraits par les jeux d'arnaque des magiciens, et pris dans le concours fabriqué et hautement scénarisé sur lequel la candidate de beauté porte la couronne, nous n'avons rien fait pour que le monde s'effondre autour de nous.

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  43. Au sens propre.

    Notre économie - du moins car elle affecte la grande majorité des Américains par opposition à l'élite économique - est en ruine. Notre infrastructure s'effondre. Notre gouvernement a été dépassé par des prédateurs et des parasites avides de pouvoir. Et notre capacité - et notre droit fondamental - de gouverner nos propres vies est usurpée par des agents gouvernementaux avides qui ne se soucient pas de nos vies ou de nos libertés.

    Notre navire d'État est en train de se transformer en navire d'imbéciles.

    Nous sommes totalement sans défense face à une révolution technologique provoquée par l'intelligence artificielle et la surveillance mur à mur qui réoriente le monde tel que nous le connaissons. Malgré les empiétements croissants de la haute technologie sur nos droits, nous avons bénéficié d'une quantité dérisoire de protections législatives et judiciaires. En effet, Corporate America a plus de droits que nous.

    Nous sommes totalement impuissants face aux bureaucrates du gouvernement et aux élus qui dansent sur l'air des suzerains des entreprises et font ce qu'ils veulent, quand ils le veulent, avec qui ils veulent aux frais des contribuables, sans penser ni se soucier du sort de ceux qu'ils sont censés représenter. Pour cette élite au pouvoir, «nous le peuple» ne sommes bons que pour deux choses: nos impôts et nos votes. En d'autres termes, ils veulent juste notre argent.

    Nous sommes absolument impuissants face à la violence gouvernementale qui est infligée, tant au pays qu'à l'étranger. En effet, la violence systémique perpétrée par des agents du gouvernement - infligée à des individus non armés par des équipes SWAT formées sur le champ de bataille, des policiers militarisés et des agents bureaucratiques du gouvernement formés pour tirer en premier et poser des questions plus tard - a fait plus de tort collectif au peuple américain et leurs libertés que tout acte de terreur ou de fusillade de masse.

    Nous restons totalement réduits au silence face aux censeurs du gouvernement et des entreprises et à une culture d'annulation qui, dans leur quête de ne pas offenser certains points de vue, sont trop disposés à éradiquer les opinions qui ne sont pas conformes. De cette manière, le politiquement correct a cédé la place à une forme plus insidieuse de réflexion de groupe et de domination de la foule.

    Nous sommes totalement enfermés face aux mandats, restrictions, interdictions de voyager et sanctions COVID-19 qui acclimatent la population à adhérer sans conteste aux diktats du gouvernement, quels qu'ils soient (à condition qu'ils soient émis au nom de la sécurité nationale ), peu importe à quel point il est extrême ou déraisonnable.

    Nous sommes totalement intimidés face aux lois sur les signaux d'alerte, aux listes de surveillance du terrorisme, aux programmes de recherche des contacts, aux politiques de tolérance zéro et à toutes les autres tactiques d'État policier qui visent à nous garder craintifs et conformes.

    Nous sommes totalement endoctrinés dans la croyance collective que le gouvernement - malgré son modèle et sa pratique de longue date de corruption, de collusion, de dysfonctionnement, d'immoralité et d'incompétence - représente en quelque sorte «nous le peuple».

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  44. Malgré tout cela, malgré la façon dont il est évident que nous ne sommes que de simples outils à utiliser, à abuser et à manipuler pour les objectifs diaboliques de l'élite au pouvoir, nous ne voyons pas leurs machinations pour ce qu'elles sont vraiment: des tentatives à peine voilées de renverser notre république. et asservir les citoyens afin d'étendre leur pouvoir et leur richesse.

    C'est une sombre perspective pour une nouvelle année, mais ce n'est pas complètement désespéré.

    Si l'espoir doit être trouvé, il se trouvera avec ceux d'entre nous qui ne comptent pas sur les politiciens qui promettent de réparer ce qui ne va pas mais qui font plutôt leur part, à leur niveau local, pour corriger les torts et réparer ce qui est cassé. Je fais référence aux constructeurs, aux penseurs, aux aides, aux guérisseurs, aux éducateurs, aux créateurs, aux artistes, aux militants, aux techniciens, aux cueilleurs et distributeurs de nourriture, et à toute autre personne qui fait sa part pour construire plutôt que détruire.

    Comme je le dis clairement dans mon livre Battlefield America: The War on the American People, «nous le peuple» sommes l'espoir d'une année meilleure. Pas Trump. Pas Biden. Et pas les architectes et les facilitateurs de l'État policier américain.

    Jusqu'à ce que nous puissions reconnaître cette vérité, jusqu'à ce que nous puissions tracer notre propre chemin vers un monde dans lequel la liberté signifie encore quelque chose, nous serons coincés dans ce trou de ver de colère populiste, de politique mesquine et de destruction qui nous oppose autre.

    Dans ce scénario, personne ne gagne.

    Il y a un mème qui circule sur les réseaux sociaux qui ressemble à ceci:

    Si vous attrapez 100 fourmis de feu rouges ainsi que 100 grosses fourmis noires et les mettez dans un bocal, au début, rien ne se passera. Cependant, si vous secouez violemment le pot et que vous le jetez sur le sol, les fourmis se battront jusqu'à ce qu'elles finissent par s'entre-tuer. Le fait est que les fourmis rouges pensent que les fourmis noires sont l'ennemi et vice versa, alors qu'en réalité, le véritable ennemi est la personne qui a secoué le pot. C’est exactement ce qui se passe dans la société d’aujourd’hui. Libéral vs conservateur. Noir vs blanc. Masque Pro contre Anti Masque. La vraie question que nous devons nous poser est de savoir qui secoue le pot… et pourquoi ?

    La question de savoir si les fourmis rouges vont vraiment combattre les fourmis noires à mort est une question pour les biologistes, mais c'est une analogie appropriée de ce qui se passe devant nous sur la scène politique et une leçon effrayante d'ingénierie sociale. Donc, avant de vous laisser emporter par la politique du cirque et les spectacles bien chronométrés qui nous empêchent de nous concentrer de trop près sur les prises de pouvoir du gouvernement, demandez-vous d'abord: qui secoue vraiment le pot ?

    https://www.lewrockwell.com/2021/01/john-w-whitehead/what-to-expect-in-2021-madness-mayhem-manipulation-and-more-tyranny/

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    Réponses
    1. N'oublions pas que la Chine possède la 'bombe propre' et que cet EMP peut griller tous les satellites comme tout véhicules qui utilise l'énergie électrique. N'oublions pas non-plus qu'il y a des chinois dans tous les pays du monde et que la Chine défendra ses citoyens chinois menacés d'être piqués comme des animaux !
      D'où l'attente de ce 'Père noel' a Impulsion ElectroMagnétique !

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  45. Covid est une orchestration au service d'un agenda: la destruction de la liberté


    Par Paul Craig Roberts
    PaulCraigRoberts.org
    6 janvier 2021


    Les preuves accumulées sont accablantes que Covid est une orchestration dont le but est d'éliminer l'autonomie humaine et de faire du concept de liberté un mot sale qui vous apportera la maladie et la mort de Covid.

    La monnaie physique étant une nécessité pour l'autonomie humaine, les mondialistes travaillent à son remplacement par de la monnaie numérique. Le papier-monnaie, les pièces de monnaie, les mandats et les chèques passent main à main et sont supposés être porteurs d'une infection possible par Covid. En revanche, la monnaie numérique est virtuelle. Personne n'y touche. Plus important encore pour les mondialistes, cela ne peut pas être tiré d'un compte sous forme physique et encombré ou caché. Vous ne pouvez pas effectuer de paiements anonymes avec de l'argent numérique. La confidentialité quitte votre vie. Vous devenez totalement transparent.

    Certains espèrent que les gens auront leur propre argent numérique privé sous la forme de crypto-monnaies. Cependant, les transferts peuvent être évités entre un système monétaire numérique officiel et des crypto-monnaies privées. De plus, le paiement privé par crypto-monnaie des loyers, des hypothèques, des prêts automobiles, des factures d'épicerie, etc. peut être interdit et appliqué. Une économie de crypto-monnaie privée devrait fonctionner en dehors de l'économie officielle de la monnaie numérique. Le but de la monnaie numérique étant d'éliminer l'autonomie humaine, une telle économie parallèle serait supprimée.

    Il en va de même pour les paiements avec des pièces d'or et d'argent. Vous pourriez payer pour un service privé ou pour des aliments cultivés en privé dans des jardins si les jardins sont autorisés dans un monde d'aliments artificiels fabriqués dans les usines, ce que comprend la «Grande réinitialisation» du Forum économique mondial. Mais vous ne pouvez pas acheter une maison, une voiture ou un billet d’avion avec de l’or ou de l’argent.

    Les gens ont salué la révolution numérique sans en reconnaître les conséquences totalitaires. Ils adorent leurs téléphones intelligents, Internet, les jeux vidéo, les réseaux sociaux, les paiements en ligne, la possibilité de travailler à domicile. Peut-être que beaucoup sont d'accord pour renoncer à l'indépendance et à l'autonomie pour ces commodités. Même s'ils ne le sont pas, ils risquent de se retrouver piégés à l'intérieur d'un tel système avant de prendre conscience de ses conséquences.

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  46. Non pas que les avertissements ne soient pas partout. Gideon Lichfield du MIT nous dit qu'il n'y a pas de retour à la normale de Covid. Les contrôles sur notre comportement sont la nouvelle norme. La liberté, la liberté, les droits civils ne sont pas compatibles avec un monde Covid et la grande réinitialisation que le monde Covid est utilisé pour mettre en place. Le Forum économique mondial n’est pas timide en décrivant ce qui est mis en place pour nous.

    Le changement que les élites nous apportent est si radical que les gens le rejettent. Mais leurs appareils intelligents les ont déjà piégés dans le changement.

    L'avenir qui se déroule est une restauration des temps anciens où les gens étaient régimentés sous le contrôle de prêtres ou de druides. Toute personne montrant un signe d'indépendance était un candidat de choix au sacrifice pour apaiser les dieux. Partout dans le monde occidental, cela arrive déjà aux diseurs de vérité. Manning, Assange, Snowden.

    Si les gens veulent être libres, ils vont devoir éliminer les mondialistes et déposséder les milliardaires. Chaque dernier. Il est inutile de protester pacifiquement, car comme l’élection présidentielle américaine volée l’indique clairement, les élites n’ont aucun respect pour la démocratie et la voix du peuple. Ils détestent le concept de gouvernement responsable devant le peuple.

    Le gouvernement préféré est responsable devant les élites, tout comme les anciens gouvernements étaient responsables devant les prêtres, les druides et les pharaons. Il semble assez clair que c'est la direction dans laquelle se dirige le monde occidental. Le 13 mai 2019, le fondateur du Forum économique mondial, Klaus Schwab, a expliqué au Chicago Council on Global Affairs que l'ère de la liberté était révolue.

    Notez que la nouvelle ère d’absence de liberté «est à nos portes».

    Pourquoi est sur nous ? Comment se fait-il qu'il soit indépendant de «nous». Dieu a-t-il déclenché la nouvelle ère ? Non, c'est sur nous parce que c'est ce que les élites nous font. Les élites mondiales nous font penser qu'elle est ordonnée et ne peut être résistée. Si nous tombons pour cela et le permettons, nous serons responsables de détruire notre propre liberté. Pourquoi ne pas au contraire détruire ceux qui cherchent à nous détruire ?

    Ils peuvent être résistés. Il suffit de rassembler une poignée de globalistes totalitaires. Rien de tel que les victimes de la révolution bolchevique, de la révolution américaine, de la révolution française ne sont nécessaires. La liberté ne se heurte pas à une multitude établie qui doit être éliminée. Seuls quelques mondialistes prennent le pouvoir alors que les gens sont assis recroquevillés en train de sucer leurs pouces.

    Si les globalistes ne sont pas éliminés, ils nous élimineront dans le sens de notre autonomie, de notre indépendance, de notre capacité à exprimer un point de vue contraire à celui de l’élite, notre humanité.

    Ces dernières lignes vont produire des demandes pour savoir si je prône la violence. Je ne préconise rien. Je décris une situation et pose une question. Nous perdons notre liberté. Allons-nous faire quelque chose à ce sujet ?

    Peut-être que je me trompe. Mais sur la base des informations disponibles, il est évident que les gouvernements du monde occidental commettent des violences contre les peuples qu'ils prétendument représenter. La violence contre les personnes va bien au-delà des arrestations pour ne pas porter de masque et des amendes pour ne pas maintenir la distance sociale. Les lockdowns dépossèdent les gens de leurs entreprises, interdisent les rassemblements familiaux et la liberté d'association. Ce sont des ingérences massives dans les droits qui ont nécessité des siècles de lutte. Et tout cela pour rien car le taux de mortalité de Covid est minuscule.

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  47. Le monde occidental figé dans la peur par les mensonges et la propagande a abandonné la liberté.

    Les peuples du monde occidental vont-ils accepter la violence qui leur est infligée et l'annulation de leurs droits?

    Si les peuples du monde occidental ne défendent pas leur liberté, ils ne l’auront pas.

    Vois ici.

    https://www.lewrockwell.com/2021/01/paul-craig-roberts/covid-is-an-orchestration-for-serving-an-agenda-the-destruction-of-freedom/

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  48. Le New York Times refuse ma réfutation de la publication d'opinion diffamatoire sur les vaccins COVID

    Le 30 décembre 2020, le New York Times a publié un article d'opinion de ma nièce, le Dr Kerry Meltzer. Bien que l'article contienne des erreurs factuelles et des accusations diffamatoires, le Times a refusé de publier ma lettre à l'éditeur corrigeant ces fausses allégations.


    Par Robert F. Kennedy Jr.
    Défense de la santé des enfants
    6 janvier 2021


    Le «droit de réponse» - l'occasion de se défendre contre les critiques publiques dans le même lieu où ces critiques ont été publiées - est un droit constitutionnel dans certains pays européens et au Brésil. Les directives éditoriales de la BBC stipulent:

    «Lorsque notre production fait des allégations d'actes répréhensibles, d'iniquité ou d'incompétence ou formule une critique forte et préjudiciable à un individu ou à une institution, la présomption est que les personnes critiquées devraient avoir un« droit de réponse », c'est-à-dire une opportunité équitable de répondre aux allégations. »

    Même là où il n'y a pas de droit légal, des médias respectables, y compris le New York Times, ont traditionnellement considéré comme leur obligation morale, éthique et professionnelle de publier les réponses des personnes critiquées dans leurs pages.

    Le Times, qui prétend encourager l'expression d'une «diversité de vues» sur sa page de lettres, a jadis étendu cette courtoisie automatiquement aux personnalités publiques qui ont été critiquées dans ses pages. Mais le papier trace la ligne à toute personne qui remet en question les orthodoxies promues par le cartel médical ascendant. La pratique de ne rapporter que des faits et des opinions conformes aux récits officiels est depuis longtemps de rigueur dans les médias électroniques dépendants des revenus publicitaires de la Pharma.

    Samedi, ma nièce a publié un article rempli d'erreurs et diffamatoire à mon sujet sur la page éditoriale du Times. J'ai immédiatement soumis la lettre détaillée ci-dessous.

    Hier, le Times m'a fait savoir qu'il refuserait d'imprimer ma réponse.

    La censure orwellienne et le gaspillage de la dissidence au service des intérêts de Big Pharma sont plus récemment devenus universels dans la presse libérale et les sites d'information en ligne autrefois présumés être l'antidote à la subversion de la démocratie par les entreprises.

    En mai 2019, trois autres membres de ma famille m'ont également diffamé dans un long article de Politico. Politico a également refusé d'imprimer ma réponse minutieusement fournie.

    Aucune de ces longues critiques des membres de ma famille ne cite un seul exemple d'erreur factuelle de ma part. Leur plainte est que je remets en question les déclarations officielles sur la sécurité des vaccins.

    C’est un mauvais présage pour la démocratie lorsque les citoyens ne peuvent plus mener des débats civils et éclairés sur des politiques critiques qui ont un impact sur la vitalité de notre économie, la santé publique, les libertés personnelles et les droits constitutionnels. La censure est la violence et ce musellement systématique du débat que les partisans justifient comme une mesure visant à réduire la polarisation dangereuse alimente en fait ces divisions.

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  49. Il est très ironique pour moi que ce soient les libéraux auto-identifiés et les journaux libéraux - autrefois les champions les plus énergiques du premier amendement - qui appellent le plus farouchement à la censure. Ce sont des défenseurs des droits de l'homme qui se sont auto-identifiés qui soutiennent les politiques gouvernementales qui bafouent nos droits constitutionnels. Nous pourrions nous rappeler, à cette étrange période de notre histoire, l’avertissement de l’ami de mon père, Edward R. Murrow: «Le droit à la dissidence… est certainement fondamental pour l’existence d’une société démocratique. C'est le droit qui est allé en premier dans chaque nation qui a trébuché sur la voie du totalitarisme. "

    Comme l'a prédit Murrow, l'imposition de la censure a masqué la démolition systématique de notre constitution, y compris les atteintes à la liberté de culte (y compris l'abolition des exemptions religieuses et la fermeture des églises), la liberté de réunion, la propriété privée (le droit d'exploiter une entreprise), la régularité de la procédure (y compris l'imposition de restrictions de grande portée à la liberté de mouvement, à l'éducation, à l'association avec la rédaction de règles de notification et de commentaire) et le 7e amendement au droit à des procès devant jury (dans les cas de blessures causées par des vaccins causés par la négligence de l'entreprise).

    Ces politiques anéantissent la classe moyenne, transfèrent des milliards de dollars aux milliardaires, démantèlent tous les programmes sociaux créés par les démocrates depuis le New Deal et balaient les obstacles contre le sombre glissement de notre pays vers l'anathème de la ploutocratie autoritaire à toutes les valeurs de démocratie, de libéralisme et d'humanité. .

    Voici ma lettre - que le New York Times a refusé de publier - en réponse à l'éditorial de ma nièce, le Dr Kerry Meltzer:

    Sans donner d'exemples d'erreurs factuelles, ma nièce, le Dr Kerry Meltzer, m'accuse de répandre une «désinformation sur les vaccins», un terme actuellement appliqué à toute déclaration qui s'écarte des déclarations officielles, quelle que soit sa vérité.

    La définition traditionnelle du terme pourrait englober l’affirmation de Kerry selon laquelle le vaccin Pfizer-BioNTech est sûr parce qu’il a provoqué une anaphylaxie mettant la vie en danger chez seulement 11 des 2,1 millions de receveurs (1/200 000). Le taux d'événements indésirables, selon les Centers for Disease Control and Prevention, est de 1 sur 42 - sur la base de la distribution de la première semaine de plus de 200000 vaccins, avec plus de 5000 rapports d'individus incapables au point qu'ils ont manqué leur travail ou ont dû consulter un médecin. Ce résultat est susceptible d’augmenter, car les essais cliniques sur les vaccins Pfizer et Moderna suggèrent que la deuxième injection de la série de vaccins entraîne des taux de blessures beaucoup plus élevés.

    Les vaccins à ARNm de Pfizer utilisent une nouvelle technologie vaccinale jamais utilisée auparavant sur des sujets humains. Le 25 septembre, j'ai écrit une lettre au Dr Fauci - que Kerry cite comme son autorité fiable pour la sécurité des vaccins - avertissant que les nanoparticules enrobées de polyéthylèneglycol (PEG) dans les vaccins à ARNm étaient susceptibles de provoquer une anaphylaxie chez les receveurs vulnérables. Le Dr Fauci a ignoré cet avertissement.

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  50. La FDA reconnaît maintenant que le PEG est le coupable probable des réactions anaphylactiques. La pandémie COVID est la troisième fois depuis que le Dr Fauci est arrivé aux National Institutes of Health que le gouvernement fédéral a précipité des vaccins pour une pandémie potentielle.

    En 1976, 45 millions d’américains ont reçu un vaccin contre une maladie qui n’existait pas, avant que des centaines de cas de syndrome de Guillain Barré paralysant n’en résultent, mettant fin au programme.

    En 2009, des vaccins précipités contre la grippe porcine ont provoqué des crises chez 1/100 d'enfants australiens et 1 300 cas de narcolepsie débilitante chez les enfants européens avant que le programme ne soit interrompu. Un mois plus tôt, le Dr Fauci est apparu à la télévision pour assurer au monde entier que les vaccins étaient sans danger.

    Les vaccins à ARNm sont des médicaments expérimentaux susceptibles de nuire à long terme. Il n’est que prudent d’exiger - comme je l’ai fait - des tests appropriés et de traiter les déclarations des représentants du gouvernement et de l’industrie intéressés avec le scepticisme approprié.

    Inscrivez-vous gratuitement aux nouvelles et mises à jour de Robert F. Kennedy, Jr. et de la défense de la santé des enfants. CHD planifie de nombreuses stratégies, y compris juridiques, dans le but de défendre la santé de nos enfants et d'obtenir justice pour ceux qui sont déjà blessés. Votre soutien est essentiel à la réussite de la mission de CHD.

    https://www.lewrockwell.com/2021/01/no_author/new-york-times-declines-my-rebuttal-to-defamatory-op-ed-on-covid-vaccines/

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  51. Armes médicales de destruction massive


    Par Jon Rappoport
    Le blog de Jon Rappoport
    6 janvier 2021


    Après cent ans de propagande intense promouvant l'idée que les maladies sont partout, et que chaque maladie est causée par un seul germe, qui doit être tué par un médicament ...

    Les retombées ont été extrêmes, c'est le moins qu'on puisse dire.

    Commençons ici:

    Quand les défenseurs hystériques de la «science» feront-ils face à la destruction causée par le système médical américain ?

    Des millions de personnes masquées, qui frôlent l'hystérie, croient connaître la science COVID.

    En y regardant de plus près, ces personnes croient ce que leur dit leur téléviseur. Ils croient Fauci parce qu'il est à la télévision, et il parle de la Maison Blanche, et il n'est pas d'accord avec Trump.

    Parmi les millions de personnes qui croient en la science de la télévision Fauci, nombreux sont ceux qui diront que la science, ce sont des «études». Ils sont tout à fait sûrs que ces études confirment ce que Fauci et Redfield disent, et toute étude contradictoire serait des artefacts imaginés par des sbires secrets de Trump.

    J'ai récemment analysé COVID-19 du point de vue de fausses données.

    Le nombre de cas COVID et le nombre de décès sont gonflés frauduleusement vers le ciel. C’est un crime énorme, car les verrouillages et la dévastation économique ont été fondés sur ces données.

    Maintenant, je veux appliquer cette même analyse directe à l'ensemble du système médical américain. Dans ce cas…

    Les vraies données sont enterrées, cachées et ignorées.

    Quelles données ? Nombre réel de décès et de mutilations CAUSÉS par un traitement médical.

    Lorsque vous voyez les dimensions de ce crime et de cette tragédie humaine de masse, vous verrez également d’autres implications - fraude à l’assurance titanesque, fraude fiscale et, en fait, des millions et des millions d’heures de travail irrémédiablement perdues pour l’économie nationale.

    Les compagnies d'assurance versent des milliards de dollars pour des traitements médicaux destructeurs et inutiles.

    Les compagnies d'assurance versent également des milliards de dollars en prestations de décès en raison du fait que des médecins, et non des maladies, tuent des gens.

    Et toute cette destruction médicale est subventionnée par le contribuable.

    Personne n'a calculé le coût $$. Personne ne peut calculer le coût humain tragique.

    Voici maintenant l'analyse. Comprenez que les données vitales de ces rapports grand public ont été brièvement révélées, puis cachées.

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  52. UN: «L'épidémie de maladie et de décès dus aux médicaments sur ordonnance.» L’auteur est Donald Light, qui enseigne à l’université Rowan, et a reçu en 2013 le Prix de carrière distinguée de l’ASA [American Sociological Association] pour la pratique de la sociologie. Light est membre fondateur du Center for Bioethics de l'Université de Pennsylvanie. En 2013, il était membre du Edmond J. Safra Center for Ethics à Harvard. Il est professeur invité Lokey à l'Université de Stanford.

    Donald Light: «Sur le plan épidémiologique, correctement prescrits, les médicaments sur ordonnance sont la quatrième cause de décès, à égalité avec les accidents vasculaires cérébraux avec environ 2 460 décès chaque semaine aux États-Unis. Environ 330 000 patients meurent chaque année de médicaments sur ordonnance aux États-Unis et en Europe. Ils [les médicaments] provoquent une épidémie d'environ 20 fois plus d'hospitalisations [6,6 millions par an], ainsi que des chutes, des accidents de la route et [chaque année] environ 80 millions de problèmes médicalement mineurs tels que douleurs, inconforts et dysfonctionnements qui entravent la productivité ou la capacité de prendre soin des autres. Les décès et les effets indésirables de la surmédication, des erreurs et de l'automédication augmenteraient ces chiffres. » (Publication ASA, «Footnotes», novembre 2014)

    DEUX: Journal de l'American Medical Association, 15 avril 1998: «Incidence of Adverse Drug Reactions in Hospitalized Patients».

    Les auteurs, dirigés par Jason Lazarou, ont sélectionné 39 études antérieures sur des patients hospitalisés. Ces patients, qui ont reçu des médicaments dans les hôpitaux, ou ont été hospitalisés parce qu'ils souffraient des médicaments que les médecins leur avaient administrés, ont connu le sort suivant:

    Chaque année, aux États-Unis, entre 76 000 et 137 000 patients hospitalisés meurent des suites directes des médicaments.

    Au-delà de cela, 2,2 millions de patients hospitalisés subissent chaque année des réactions indésirables graves aux médicaments.

    Les auteurs écrivent: «… Notre étude sur les effets indésirables [effets indésirables des médicaments], qui exclut les erreurs de médication, avait un objectif différent: montrer qu'il existe un grand nombre d'EIM même lorsque les médicaments sont correctement prescrits et administrés.»

    Cette étude n'avait donc rien à voir avec des erreurs de médecin, des erreurs d'infirmière ou une mauvaise combinaison de médicaments. Et il ne comptait que les personnes tuées ou mutilées qui étaient admises à l'hôpital. Il n’a pas commencé à compter toutes les personnes qui prenaient des produits pharmaceutiques qui sont décédées des suites de ces médicaments, à la maison.

    TROIS: 26 juillet 2000, Journal of the American Medical Association; l'auteure, le Dr Barbara Starfield, vénérée experte en santé publique à la Johns Hopkins School of Public Health; «La santé aux États-Unis est-elle vraiment la meilleure au monde ?»

    Starfield a rapporté que le système médical américain tue 225 000 Américains par an. 106 000 à la suite de médicaments approuvés par la FDA et 119 000 à la suite de mauvais traitements et d'erreurs dans les hôpitaux. Extrapolez les chiffres à une décennie: cela fait 2,25 millions de morts. Vous voudrez peut-être relire ce dernier numéro.

    J'ai interviewé Starfield en 2009. Je lui ai demandé si elle était au courant d'un effort global du gouvernement américain pour éliminer cet holocauste. Elle a répondu un NON retentissant. Elle a également déclaré que son estimation des décès causés par des raisons médicales en Amérique était du côté conservateur.

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  53. QUATRE: BMJ 7 juin 2012 (BMJ 2012: 344: e3989). Auteur, Jeanne Lenzer. Lenzer se réfère à un rapport de l'Institute for Safe Medication Practices: «Il [l'Institut] a calculé qu'en 2011, les médicaments sur ordonnance étaient associés à deux à quatre millions de personnes aux États-Unis subissant des« blessures graves, invalidantes ou mortelles », dont 128 000 décès. ""

    Le rapport a qualifié cela de «l'un des dangers les plus importants pour les humains résultant de l'activité humaine».

    Le rapport a été compilé par des chercheurs externes qui sont allés dans la propre base de données de la FDA sur les «événements indésirables [médicaux] graves».

    Par conséquent, dire que la FDA n’est pas au courant de cette découverte serait absurde. La FDA le sait. La FDA est au courant et ne dit rien à ce sujet, car la FDA certifie, comme sûrs et efficaces, tous les médicaments qui mutilent et tuent régulièrement les Américains. Chaque agence de santé publique connaît la vérité.

    CINQ: Aucun des rapports ci-dessus ne tient compte du décès ou des blessures causés par le vaccin.

    Le système américain de notification des effets indésirables graves des vaccins est rompu.

    Barbara Loe Fisher, du National Vaccine Information Center privé, a élaboré une analyse raisonnable:

    «Mais combien d'enfants ont des réactions [indésirables] vaccinales chaque année ? Est-ce vraiment seulement un sur 110 000 ou un sur un million qui reste définitivement invalide après la vaccination ? L'ancien commissaire de la FDA, David Kessler, a observé en 1993 que moins de 1% des médecins signalent des événements indésirables suite à l'utilisation de médicaments sur ordonnance. [Voir DA Kessler, «Introducing MEDWatch», JAMA, 2 juin 1993: 2765-2768] »

    «Selon certaines estimations, moins de 5 ou 10 % des médecins signalent des hospitalisations, des blessures, des décès ou d'autres problèmes de santé graves après la vaccination. La loi de 1986 sur les blessures causées par les vaccins ne contenait aucune sanction légale pour non-déclaration; les médecins peuvent refuser de signaler et ne subir aucune conséquence. »

    «Même ainsi, chaque année, environ 12 000 déclarations sont faites au système de notification des événements indésirables liés aux vaccins [VAERS]; les parents ainsi que les médecins peuvent faire ces rapports. [Voir RT Chen, B. Hibbs, ‘Vaccine safety,’ Pediatric Annals, juillet 1998: 445-458] »

    «Cependant, si ce nombre ne représente que 10 pour cent de ce qui se passe réellement, alors le nombre réel peut être de 120 000 événements indésirables liés au vaccin [par an]. Si les médecins signalent les réactions aux vaccins aussi rarement que le Dr Kessler a déclaré qu'ils rapportent des réactions aux médicaments d'ordonnance, et que le nombre de 12 000 ne représente que 1% du total réel, alors le nombre réel pourrait être de 1,2 million d'événements indésirables liés au vaccin par an.

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  54. Crimes médicaux.

    La mort médicalement causée d'amis, de membres de la famille, d'êtres chers, qui sont enterrés avec la vérité.

    Aucune enquête criminelle, aucune poursuite, aucun verdict de culpabilité, aucune peine de prison.

    Mais bien sûr, vous pouvez croire que tout ce que les principaux dirigeants du système médical américain vous disent sur COVID.

    Vous pouvez croire tout ce que la presse - qui enterre la vérité sur cet holocauste médical - vous dit sur COVID.

    Compte tenu des rapports sur les décès et les mutilations causés par des raisons médicales que je viens de citer et de décrire dans cet article, il est évident que…

    Les principales revues médicales du monde entier, qui publient régulièrement des comptes rendus élogieux d'essais cliniques sur des médicaments ...

    Débordent de fraude de classement, page après page.

    En effet, voici une citation étonnante d'une femme qui a très probablement lu et analysé plus d'études médicales sur les médicaments que n'importe quel médecin dans le monde:

    «Il n'est tout simplement plus possible de croire en grande partie la recherche clinique publiée ou de se fier au jugement de médecins de confiance ou à des directives médicales faisant autorité. Je ne prends pas plaisir à cette conclusion, à laquelle j'ai abouti lentement et à contrecœur au cours de mes deux décennies en tant que rédacteur en chef du New England Journal of Medicine. (Dr. Marcia Angell, NY Review of Books, 15 janvier 2009, «Drug Companies & Doctors: A Story of Corruption)

    Comparez cette citation avec celle du «père de la science COVID», Tony Fauci. Dans une interview avec le National Geographic, Fauci a déclaré: «N'importe qui peut prétendre être un expert même s'il n'a aucune idée de ce dont il parle… Si quelque chose est publié dans des endroits comme New England Journal of Medicine, Science, Nature, Cell , ou JAMA - vous savez, en général, c'est assez bien évalué par les pairs parce que les rédacteurs et la rédaction de ces revues prennent vraiment les choses très au sérieux.

    Ils prennent les choses tellement au sérieux qu'ils publient régulièrement des études élogieuses sur les médicaments qui tuent les gens en grand nombre.

    Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.

    https://www.lewrockwell.com/2021/01/jon-rappoport/medical-weapons-of-mass-destruction/

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  55. Les expériences humaines continuent


    Par Martin Armstrong
    Économie Armstrong
    6 janvier 2021


    Il y a un problème très grave et des avocats déposent des poursuites en Europe contre le développement du test PCR, qui est gravement imparfait et n'a jamais été créé avec même un échantillon de COVID. Les conflits d'intérêts dans la création de ce test sont bien connus, mais bien sûr, les médias grand public ne publieront jamais un mot sur cette question.

    L'inventeur du test PCR, Kary Mullis, remonte à 1985 pour lequel il a reçu le prix Nobel de chimie en 1993. En 1996, John Lauritsen a écrit sur le VIH et le SIDA. Lauritsen a alors déclaré que le test PCR identifiait les substances qualitativement et non quantitativement, en détectant les séquences génétiques des virus plutôt que les virus eux-mêmes:

    «La PCR vise à identifier les substances de manière qualitative, mais de par sa nature même, elle ne convient pas pour estimer les nombres. Bien qu'il existe une fausse impression commune que les tests de charge virale comptent réellement le nombre de virus dans le sang, ces tests ne peuvent pas détecter du tout les virus libres et infectieux; ils ne peuvent détecter que des protéines dont on pense, dans certains cas à tort, qu'elles sont uniques au VIH. Les tests peuvent détecter les séquences génétiques des virus, mais pas les virus eux-mêmes. »

    Le test PCR a été utilisé pour COVID-19 mais il détecte la présence du virus en amplifiant le matériel génétique du virus à un point où il peut être détecté par les scientifiques. Même le NHS en Grande-Bretagne déclare que ce test est une «indication assez précise du fait que vous êtes ou non infecté par un coronavirus actuellement.» J'ai moi-même été testé cinq fois, et quand je l'ai dit à l'expert pulmonaire, on m'a dit que cela ne voulait rien dire parce que le test n'était pas valide. Il y a eu un cas de décès suite à la vaccination. Il y a des gens qui auront des réactions graves aux vaccins et il devrait y avoir plus de recherche pour identifier qui est sensible à de telles réactions. Au lieu de cela, nous avons des politiciens qui essaient d'éliminer même les objections religieuses. C'est la tyrannie.

    Voici une lettre du professeur Dr. Thomas Aigner sur la crise de la médecine entourant ce virus devenu si politique. Il fait référence à un rapport ignoré qui souligne les conflits d'intérêts et les politiciens ont détruit l'économie mondiale pour quelque chose qui n'est manifestement pas fondé. (voir le rapport si le lien disparaît: rapport de revue Corman-Drosten et al.Eurosurveillance 2020 - RAPPORT DE REVUE CORMAN-DROSTEN)

    Réimprimé avec la permission d'Armstrong Economics.

    https://www.lewrockwell.com/2021/01/martin-armstrong/human-experiments-continue/

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  56. Virus COVID muté commercialisé pour justifier de nouveaux verrouillages


    Par Joseph Mercola
    Mercola.com
    6 janvier 2021


    Les données croissantes sur la mortalité montrent que le COVID-19 n'est pas la pandémie mortelle qu'il a été prétendu être. Mais juste au moment où les gens commençaient à se réveiller à ce fait, la technocratie britannique a proposé un nouveau récit pour maintenir la peur.

    Quelques jours avant Noël, le Premier ministre britannique Boris Johnson a annoncé qu'il y avait une nouvelle souche mutée et beaucoup plus contagieuse de SRAS-CoV-2 en liberté.1,2 La réponse ? Une autre série d'ordonnances de séjour à la maison encore plus strictes, de fermetures d'entreprises et d'interdictions de voyager, juste à temps pour les vacances.

    Selon le New York Times, les restrictions du Royaume-Uni peuvent rester en vigueur pendant des mois. Étant donné que ces stratégies non scientifiques n'ont pas fonctionné la première ou la deuxième fois, il est difficile de croire qu'elles fonctionneront maintenant.

    En effet, quiconque sait quelque chose sur l'agenda de la Grande Réinitialisation peut maintenant voir que les verrouillages, qui détruisent les économies locales et les petites entreprises, n'ont rien à voir avec la santé publique. Ce ne sont que des écrans de fumée pour le plus grand transfert (sinon le vol) de richesse que le monde ait jamais vu.

    Les plus grands perdants sont les revenus faibles et moyens, en particulier les propriétaires d'entreprises privées, qui ont été complètement décimés tandis que les grandes surfaces et les multinationales rapportent des bénéfices records.

    Malgré l'évidence du schéma, les pays réagissent avec ferveur à la nouvelle de la mutation. Les Pays-Bas, l'Italie, la Belgique, la France, l'Allemagne, la Pologne, l'Autriche, le Danemark, la Bulgarie et l'Irlande ont tous émis des restrictions de voyage depuis le Royaume-Uni.3,4

    Quoi de neuf à propos de cette souche mutée de SRAS-CoV-2?

    La souche mutée, appelée à certains endroits B1175 et dans d'autres sous le nom de VUI-202012 / 01,6, aurait commencé à apparaître dans des échantillons de patients collectés en septembre 2020 dans le sud de l'Angleterre. En tout, le virus aurait 23 nouvelles mutations, dont plusieurs affectent la manière dont le virus se fixe et infecte les cellules humaines, ce qui le rend potentiellement plus virulent.

    Des chercheurs britanniques affirment que la mutation a rapidement remplacé les variantes précédentes du virus. À la mi-novembre 2020, 28 % des cas de COVID-19 à Londres étaient attribués au B117. Le 9 décembre 2020, ce chiffre était passé à 62 %, selon le Daily Mail.7 Le graphique suivant du gouvernement britannique illustre la propagation du virus de septembre à la mi-décembre à Londres et au Royaume-Uni dans son ensemble.8

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  57. Selon l'épidémiologiste absolument indigne de confiance et déshonoré Neil Ferguson, dont les modèles ont été largement incorrects jusqu'à présent, le B117 pourrait être de 50 à 70% plus contagieux que les variantes précédentes circulant au Royaume-Uni.9

    B117 semble également infecter les enfants et les adolescents dans une plus grande mesure que les variantes précédentes. Selon Wendy Barclay, conseillère gouvernementale et virologue à l'Imperial College de Londres, les enfants peuvent être «tout aussi sensibles que les adultes» à cette nouvelle souche.10 Cependant, bien que censé se transmettre plus facilement, le B117 ne semble pas causer une maladie plus grave.

    Un variant muté du SRAS-CoV-2 qui possède l'une des mutations trouvées dans B117 a également été identifié en Afrique du Sud. Ce virus se retrouve désormais dans 90% des échantillons analysés.11

    Alors que les médias grand public font la promotion de ces nouvelles variantes pour toute leur valeur, le New York Times rapporte que «les chercheurs ont enregistré des milliers de minuscules modifications dans le matériel génétique du coronavirus alors qu'il s'est répandu à travers le monde.»

    En d'autres termes, les mutations ne sont pas nouvelles. En fait, le virus aurait détecté une ou deux mutations par mois depuis le début de la pandémie.12 Ce qui est surprenant à propos de B117, c'est le nombre inhabituellement élevé de mutations apparemment apparues en même temps.

    Une possibilité qui pourrait expliquer cela est qu'elle a évolué à l'intérieur d'une personne immunodéprimée et a donc fini par lutter contre l'infection pendant une longue période de temps.13

    Selon le Covid-19 Genomics Consortium UK, des taux élevés de mutations sont également survenus chez des patients immunodéprimés COVID-19 qui ont reçu du plasma en convalescence. Comme expliqué dans un éditorial du Telegraph par Matt Ridley: 14

    «Chez une personne dont le système immunitaire est déficient, une grande population de virus peut proliférer, muter et se diversifier, puis le traitement sélectionne une nouvelle souche parmi cette diversité. Essentiellement, le virus a une évolution accélérée. »

    Pourtant, cela ne veut pas dire qu’il y a une cause d’hystérie. Comme l'a noté le Dr Deepti Gurdasani, épidémiologiste clinique à l'Université Queen Mary de Londres, à mesure que les programmes de vaccination de masse démarrent, la «pression de sélection» sur le virus augmentera encore, ce qui, selon elle, déclenchera encore plus de mutations, 15 qui son tour pourrait réduire l'efficacité des vaccins COVID-19. Selon un article du 20 décembre 2020 dans le New York Times: 16

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  58. «Plusieurs articles récents17,18,19,20 ont montré que le coronavirus peut évoluer pour éviter d'être reconnu par un seul anticorps monoclonal, un cocktail de deux anticorps ou même du sérum convalescent…»

    Montrez-nous les preuves

    Alors que Londres et le sud-est de l'Angleterre étaient confrontés à de nouveaux verrouillages stricts dans les jours précédant Noël, les scientifiques britanniques exigeaient qu'on leur montre des preuves que le B117 est en fait de 50% à 70% plus contagieux.

    Carl Heneghan, professeur de médecine factuelle au département de soins primaires de Nuffield de l'Université d'Oxford, a déclaré au Daily Mail 21: «Je fais ce travail depuis 25 ans et je peux dire que vous ne pouvez pas établir un nombre quantifiable en si peu de temps. Plage de temps. Tous les experts disent qu’il est trop tôt pour tirer une telle conclusion. »

    Il a également déclaré que le manque de transparence «sapait la confiance du public» dans le gouvernement et ses mesures de riposte. Les données sur la nouvelle souche proviennent d'une analyse du Groupe consultatif sur les menaces respiratoires nouvelles et émergentes (NERVTAG), mais aucune des données n'a été communiquée à la communauté scientifique.

    «Cela a des implications massives, cela provoque la peur et la panique, mais nous ne devrions pas être dans cette situation lorsque le gouvernement publie des données qui ne sont pas quantifiables. Ils adaptent les données aux preuves. Ils voient des cas augmenter et ils recherchent des preuves pour l'expliquer », a déclaré Heneghan22.

    Les députés conservateurs ont également demandé que les preuves scientifiques relatives à la souche mutante soient rendues publiques.23 L'ancien ministre Sir Desmond Swayne a déclaré que les nouvelles règles de verrouillage de Noël avaient «toutes les caractéristiques d'un gouvernement rebondi par la science, car il était juste à le début… lorsque nous nous sommes arrêtés pour la première fois en mars dernier. »24

    Les nouvelles restrictions ont été annoncées après que le Parlement eut déjà discuté et voté sur un ensemble de règles de Noël moins restrictives avant de faire la pause. Dans une interview avec BBC Radio 4 Today, Swayne a déclaré: 25

    «Les arrangements pour Noël ont été explicitement votés par le Parlement. S'ils doivent être modifiés, à mon avis, le Parlement devrait voter à nouveau… indépendamment du fait que le gouvernement agisse en cas d'urgence.

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  59. Néanmoins, il est tout à fait approprié de rappeler au Parlement… d’au moins ratifier ces changements. Expliquez-nous - nous sommes après tout une démocratie - expliquez aux élus les preuves dont ils disposent et pourquoi ils ont pris cette décision.

    Ils la regardent [la nouvelle variante] depuis septembre. Comme c'est commode lorsque le Parlement est entré en suspension… tout à coup, ils ont pu produire cette révélation. Voyons donc les preuves. Rendons le Parlement, montrons-nous et convainquons-nous, soyons francs. Je veux que le Parlement soit rappelé afin que nous puissions examiner correctement, dans une démocratie, les décisions qui sont prises qui affectent radicalement notre économie et notre liberté.

    L’ancien dirigeant conservateur Iain Duncan Smith a rejeté l’essentiel du blâme sur les conseillers scientifiques du gouvernement et a accusé le médecin en chef, le professeur Chris Whitty, et le conseiller scientifique en chef Sir Patrick Vallance de «revenir dans l’ombre quand cela leur convenait». 26

    «Pourquoi n'ont-ils pas alerté les ministres des dangers plus tôt? Surtout quand, comme nous le savons maintenant, les scientifiques ont appris l'existence de cette mutation en septembre », a écrit Smith dans un éditorial du Telegraph.27

    Est-ce une fausse alerte?

    En effet, si la nouvelle souche extrêmement différente a été découverte le 20 septembre, pourquoi est-ce soudainement une urgence trois mois plus tard - surtout compte tenu du fait que la recherche n'a toujours pas été effectuée pour confirmer si cette variante en est réellement une. pire que les souches précédentes? Tel que rapporté par MIT Technology Review, 21 décembre 2020: 28

    «La situation pourrait s'avérer être une fausse alerte. Parfois, les variantes de virus semblent se propager plus facilement, mais elles sont en fait propulsées par la chance, comme un événement à grande diffusion.

    Les équipes britanniques, et certaines à l'étranger, se précipitent maintenant pour mener les expériences de laboratoire nécessaires pour démontrer si la nouvelle variante infecte vraiment plus facilement les cellules humaines et si les vaccins vont l'arrêter; ces études impliqueront d'exposer la nouvelle souche au plasma sanguin de survivants du COVID-19 ou de personnes vaccinées, pour voir si leurs anticorps peuvent le bloquer…

    Les mutations observées dans la nouvelle variante ont toutes été repérées précédemment, selon les commentaires publiés en ligne par François Balloux, un biologiste informatique à l'Université de College London, mais apparemment pas dans cette combinaison.

    Ils incluent un qui amène la protéine de pointe à se lier plus efficacement aux cellules humaines, un autre lié pour échapper aux réponses immunitaires humaines et un troisième adjacent à un composant biologiquement critique du pathogène.

    Les verrouillages peuvent empêcher l'affaiblissement naturel du virus

    Revenant à notre point de départ, avec l'inutilité des verrouillages, dans son éditorial du Telegraph, Ridley29 souligne que les virus s'affaiblissent naturellement avec le temps à mesure que de plus en plus de personnes sont exposées, et qu'en mettant en œuvre des verrouillages plus stricts, le virus se propage principalement parmi les plus malades, ce qui permet aux souches les plus mortelles de dominer.

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  60. Il est inquiétant que des verrouillages puissent empêcher cette atténuation naturelle du virus. Ils empêchent le virus de se propager principalement dans les hôpitaux et les maisons de soins parmi les très malades, empêchant ainsi l'éclipse de souches mortelles aux mains des plus bénins. Si tel est le cas… non seulement les verrouillages ne parviennent pas à éliminer la maladie, mais ils peuvent prolonger notre agonie. ~ Matt Ridley
    En d'autres termes, en fermant tout, l'affaiblissement naturel du COVID-19 est évité, ce qui est exactement le contraire de ce que nous voulons. Ridley écrit: 30

    «Les virus évolueront toujours pour être plus contagieux s'ils le peuvent, mais les virus respiratoires évoluent aussi souvent pour devenir moins virulents. Chaque virus s'efforce de conquérir des parts de marché pour ses descendants.

    Le meilleur moyen d'y parvenir est d'imprimer autant de copies que possible de lui-même dans un corps humain, sans toutefois rendre cette personne si malade qu'elle rencontre moins de personnes. Là où les sceptiques du [verrouillage] ont raison, c'est qu'il est une possibilité inquiétante que les verrouillages puissent empêcher cette atténuation naturelle du virus.

    Ils empêchent le virus de se propager principalement dans les hôpitaux et les maisons de soins parmi les très malades, empêchant ainsi l'éclipse de souches mortelles aux mains des plus bénins. Si c'est le cas, et ce n'est qu'une possibilité, non seulement les verrouillages ne parviennent pas à éliminer la maladie, mais ils prolongent peut-être notre agonie. »

    Les verrouillages ne sont pas la solution

    Fermer le monde à cause d'un virus respiratoire restera peut-être dans l'histoire comme la décision la plus destructrice et irrationnelle jamais prise par les «experts» de la santé publique, l'Organisation mondiale de la santé et ses alliés technocratiques.

    J'ai écrit d'autres articles sur ses effets - qui, mis à part le transfert de richesse de la classe ouvrière aux élites mondiales, incluent une augmentation de l'insécurité alimentaire, des problèmes de santé mentale, des décès excessifs non liés au COVID-19, la violence domestique, la maltraitance des enfants , les abus sexuels et le suicide - donc je ne vais pas insister là-dessus. Ce qui est devenu clair, c'est que les lock-out sont un remède bien pire que la maladie.

    Il est temps de riposter et de résister à tous les édits inconstitutionnels et tyranniques. Pour ce faire, nous devons surmonter la peur, car c'est un public craintif qui permet à l'élite technocratique de déchirer nos libertés. C’est la peur qui permet à la tyrannie de s’épanouir. Je vous exhorte à vraiment regarder les données, afin que vous puissiez voir par vous-même que la panique est injustifiée et que les prétendues «solutions» à la pandémie sont en fait une voie de destruction totale.

    Cette destruction - à la fois morale et économique - est nécessaire pour que la grande réinitialisation se produise. L'élite technocratique a besoin que tout et tout le monde se disloque pour justifier la mise en place de leur nouveau système. Sans ce désespoir, personne n'accepterait ce qu'ils ont prévu.

    Pour des stratégies pratiques sur la façon dont vous pouvez réagir à la lumière de toutes les interventions tyranniques qui nous ont été imposées, consultez l'interview de James Corbett avec Howard Lichtman ci-dessous. Je recommande également de lire «Les shérifs constitutionnels sont la différence entre la liberté et la tyrannie».

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  61. Sources and References

    1, 5, 9, 10 The New York Times December 21, 2020
    2, 3, 11, 15, 16 The New York Times December 20, 2020
    4, 23, 24, 25, 26 Daily Mail December 21, 2020
    6, 7, 21, 22 Daily Mail December 21, 2020, New Covid-19 variant strain
    8, 14, 29, 30 The Telegraph December 22, 2020 (Archived)
    12, 13, 28 MIT Technology Review December 21, 2020
    17 eLife October 28, 2020 DOI: 10.7554/eLife.61312
    18 bioRxiv December 1, 2020 DOI: 10.1101/2020.11.30.405472
    19 Cell Host Microbe 2020 Nov 19;S1931-3128(20)30624-7
    20 bioRxiv November 5, 2020 DOI: 10.1101/2020.11.04.355842
    27 The Telegraph December 20, 2020

    https://www.lewrockwell.com/2021/01/joseph-mercola/mutated-covid-virus-marketed-to-justify-new-lockdowns/

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  62. Comédien Rowan Atkinson: Annuler la culture "Comme une foule médiévale"


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 6 JANV 2021 - 17H00
    Rédigé par Steve Watson via Summit News,


    Rowan Atkinson, célèbre pour avoir incarné les personnages Mr Bean et Blackadder, a une fois de plus fait la une des journaux pour avoir critiqué la montée d'une culture d'annulation destructrice.

    Dans une interview accordée au Radio Times britannique, Atkinson a décrit les trolls en ligne essayant de tout interdire comme «l'équivalent numérique de la foule médiévale».

    «Le problème que nous avons en ligne est qu'un algorithme décide de ce que nous voulons voir, ce qui finit par créer une vision simpliste et binaire de la société», a-t-il déclaré.

    «Cela devient une affaire de soit vous êtes avec nous, soit contre nous. Et si vous êtes contre nous, vous méritez d’être «annulé» », a souligné le comédien britannique.

    Le créateur de Mr Bean craint pour l'avenir à long terme de la libre expression https://t.co/PlJV5tr9dY
    - The Telegraph (@Telegraph) 5 janvier 2021

    Atkinson a également fustigé les médias sociaux, affirmant que cela le remplissait de «peur de l'avenir», car ils continuaient de réduire la tolérance aux opinions divergentes, ce qui élargit les divisions dans la société.

    «Ce que nous avons maintenant, c'est l'équivalent numérique de la foule médiévale errant dans les rues à la recherche de quelqu'un à brûler», a exhorté Atkinson.

    Il a noté qu'il était à la fin de la foule haineuse, non seulement en raison de certains des sketches de M. Bean, dont beaucoup ont été écrits il y a 30 ans, mais aussi en raison de sa longue histoire de défense de la liberté d'expression.

    «C'est effrayant pour quiconque est victime de cette foule et cela me fait craindre pour l'avenir», a déclaré Atkinson.

    Atkinson s’est opposé à l’introduction de soi-disant lois sur le «discours de haine» en 2005, décrivant la législation comme un «coup de massue pour casser une noix».

    Atkinson s’est également opposé à l’introduction de clauses de «discours de haine» homophobes dans la législation britannique en 2009.

    À l'époque en 2009, Atkinson a souligné où se dirigeaient de telles mesures pour réprimer le discours, prophétisant «une culture de censure, une attitude de questionnement, négative et plombée qui est encouragée par une législation de cette nature.

    Le comédien a averti que cela ne serait que «considérablement et significativement atténué par [une] clause de liberté d'expression».

    En 2012, Atkinson s'est en outre insulté contre le fait qu'un comportement «insultant» soit qualifié d'infraction pénale.

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  63. «Le problème clair de l'interdiction de l'insulte est que trop de choses peuvent être interprétées comme telles. La critique, le ridicule, le sarcasme, affirmant simplement un point de vue alternatif à l'orthodoxie, peuvent être interprétés comme une insulte », a déclaré Atkinson à l'époque lors d'une défense passionnée de la liberté d'expression:

    En 2020, Atkinson a de nouveau été pris pour cible par la foule dont il parle en s’opposant publiquement au projet de loi écossais sur les «crimes haineux», affirmant qu’il «risquait d’étouffer la liberté d’expression et la capacité d’articuler ou de critiquer les croyances religieuses et autres».

    J'ai regardé pour voir pourquoi Rowan Atkinson est à la mode et c'est habituel. Un comédien se prononce en faveur de la liberté d’expression et est qualifié de «problématique». Oubliez le fait que sa carrière a été passée à ridiculiser les racistes et le fascisme, c’est un fait incommode. Il est toxique maintenant. Va te faire foutre, Twitter.
    - Jonathan Pie (@JonathanPieNews) 11 août 2020

    Plusieurs autres comédiens se sont élevés contre la montée de la culture de l'annulation, notamment la star de Monty Python John Cleese, le créateur de The Office Ricky Gervais, les `` podfathers '' Joe Rogan et Adam Carolla, ainsi que Bill Burr et la star `` politiquement incorrecte '' Dave Chapelle, à n'en citer que quelques-uns.

    Cancel culture a vu certains comédiens s'autocensurer afin d'apaiser la foule:

    Très bien par @awilliamscomedy sur la façon dont les comédiens jouent en toute sécurité pour protéger leur carrière de la foule indignée.

    COMPLET: https://t.co/71OKHn6RB1 pic.twitter.com/oGk9TbdzdM
    - Paul Joseph Watson (@PrisonPlanet) 26 avril 2019

    Cependant, la comédie est le canari dans la mine de charbon pour annuler la culture. Il y a des signes que ses tentacules pénètrent profondément dans tous les aspects de la société.

    Une étude récente menée par Civitas, un groupe de réflexion de premier plan axé sur l’éducation, a révélé que la liberté d’expression dans les principales universités du monde s’érodait à un rythme alarmant.

    L'étude a révélé qu'au cours des trois dernières années, plus de 68% des universités britanniques ont vu la liberté d'expression sévèrement restreinte, les universitaires étant incapables de discuter de manière significative des nuances de questions telles que la race et le sexe.

    Le rapport note que des universités telles qu’Oxford, Cambridge et St Andrews, trois des plus grandes institutions au monde, font partie de celles qui sont tombées dans une catégorie «rouge» pour la liberté d’expression suite à des cas de «pas de plate-forme» des orateurs programmés.

    L’année dernière, 150 des plus grands intellectuels, auteurs et militants du monde ont signé une lettre ouverte décriant la culture d’annulation de gauche, la censure et la marche totalitaire du «conformisme idéologique».

    La lettre a averti que l'annulation de la culture crée un climat d'aversion au risque qui empêche quiconque de s'opposer au consensus monolithique de la rhétorique de la justice sociale, créant une "atmosphère étouffante qui finira par nuire aux causes les plus vitales de notre temps."

    Aux États-Unis, le secrétaire adjoint du Department of Homeland Security a également récemment averti que les actions des entreprises technologiques en adoptant la culture d'annulation et en censurant les opinions avec lesquelles elles ne sont pas d'accord constituaient une «grave menace pour la sécurité nationale».

    https://www.zerohedge.com/political/comedian-rowan-atkinson-cancel-culture-medieval-mob

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  64. Fichage des opinions: le Conseil d’État a-t-ils laissé les mains libres au gouvernement ?


    16:43 06.01.2021


    La plus haute institution administrative a donné son feu vert au pouvoir exécutif. Trois décrets lui permettent désormais d’inclure dans ses bases de données d’individus jugés dangereux des critères très personnels. Associations et syndicats crient à l’avènement de «Big Brother». Mais est-ce vraiment le cas ?

    Trois décrets et une polémique sur les libertés publiques.

    Lundi 4 janvier, le Conseil d’État autorisait l’élargissement par le gouvernement des fichiers de renseignement au nom de la «sûreté de l’État». Opinions politiques, appartenance syndicale et données de santé: autant de mentions qui seront désormais accessibles aux renseignements, à la police ou à la gendarmerie. La CGT, FO, la FSU ou La Voie du peuple, de même que le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, avaient saisi en référé le Conseil d’État, craignant une dérive sécuritaire. Le caractère dangereux et opaque de cette modification du Code de la sécurité intérieure pointé par les requérants n’aura donc pas tenu devant la haute institution.

    ​Le Conseil d’État justifie le rejet des requêtes par l’inexistence d’atteinte «grave et manifestement illégale» à la fois «au respect de la vie privée» et à «la liberté d’opinion». La plus haute institution administrative avait déjà donné un avis consultatif favorable avant publication des trois décrets le 4 décembre 2020. Il en a été de même pour la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL).

    Trois fichiers sont concernés par cette modification. Celui qui suscite le plus d’inquiétudes est le fichier des enquêtes administratives (EASP), utilisé dans le recrutement des fonctionnaires et qui répertorie 221.711 personnes. Le fichier Prévention des atteintes à la sécurité publique (PASP), dans les mains de la police, est aussi concerné et comptabilisait en fin d’année 2020 près de 60.700 personnes. Le fichier Gestion de l’information et prévention des atteintes à la sécurité publique (GIPASP), géré par la gendarmerie, comptait, lui, 67.000 identifications.

    Un fichage limité aux individus suspects ?

    À l’avenir, de nouvelles informations sur les opinions politiques, les convictions philosophiques et religieuses ou encore l’adhésion à un syndicat viendront donc enrichir ces fichiers.

    Le fichage politique et religieux renforcé par le ministère de l’Intérieur: «un principe de nécessité» ?

    Les policiers et les gendarmes auront également accès aux identifiants, photos et commentaires sur les réseaux sociaux des individus concernés. Les données de santé seront aussi accessibles, notamment les troubles psychologiques et psychiatriques «révélant une dangerosité particulière».

    De quoi générer bien des craintes de dérive sécuritaire. Une crainte qu’Anne-Marie Le Pourhiet, professeur de droit public, ne partage pourtant pas. Interrogée par Sputnik, celle-ci nuance en effet ces accusations: cet ajout de nouvelles mentions ne concerne selon elle que des individus «susceptibles de porter atteinte» à la «sécurité publique» ou à «la sûreté de l’État».

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  65. «Les requérants ont visiblement mal compris le lien entre l’inscription de ces données et la finalité, à savoir, le risque d’atteinte à la sécurité, estime Anne-Marie Le Pourhiet. Les opinions politiques et l’appartenance syndicale, par exemple, seront inscrites dans un fichier pour les seules personnes menant des activités suspectes.»
    Même son de cloche du côté du ministère de l’Intérieur. Pour Gérald Darmanin, il s’agit d’un outil de plus à l’usage du pouvoir exécutif pour s’adapter à la lutte contre le terrorisme. Un argumentaire évidemment contesté par les opposants à ces décrets, qui voient dans ce pouvoir réglementaire un retour masqué du fichier Edvige.

    Créé en juin 2008, ce fichier de renseignement se voulait une simple «reprise» de celui des renseignements généraux (RG), en tout cas selon le ministère de l’Intérieur de l’époque. Le collectif Non à Edvige avait alors dénoncé le fichage «systématique et généralisé» des «délinquants hypothétiques», et «des militants syndicaux, politiques, associatifs et religieux.» Devant la pression associative, Brice Hortefeux, alors ministre de l’Intérieur, avait fini par le retirer. L’interrogation demeure à peu près la même aujourd’hui: qui définira les critères amenant à considérer un individu comme pouvant menacer la «sécurité publique» ou «la sûreté de l’État»?

    De l’abus des procédures pour «tout et n’importe quoi»

    Pour Anne-Marie Le Pourhiet, le cas qui fait polémique aujourd’hui n’est, à dire vrai, qu’une mise en conformité d’un décret à la loi informatique et libertés de 1978. Celle-ci mentionne effectivement deux exceptions à l’élargissement des fichiers: la sécurité publique et la sûreté de l’État. Selon elle, «le décret en vigueur jusqu’à présent n’avait prévu que la sécurité publique et non la sûreté de l’État.» Et notre juriste d’ajouter que cette procédure en référé (une procédure d’urgence), impose au Conseil d’État de n’évaluer que les violations manifestes d’une liberté fondamentale.

    «Il ne s’agit pas d’un contrôle au fond avec des arrêts à six mois ou un an! Le juge administratif est amené à vérifier qu’il n’y a pas d’atteintes graves et manifestement illégales. En termes non juridiques, il faut que ce soit grossier et évident.»

    Marche des libertés contre la loi Sécurité globale à Paris: charges musclées de la police et canons à eau - vidéos
    Un examen somme toute superficiel, qui ne préjuge pas d’une éventuelle décision sur le fond que pourrait prendre par la suite le Conseil d’État, souligne la juriste. En attendant, l’esprit du texte pourra-t-il passer outre le contexte actuel? Quelle que soit l’intention de l’exécutif, ces décrets risquent fort d’ajouter au climat de défiance à son encontre. Le projet de loi (depuis retiré) d’une pérennisation de l’état d’urgence sanitaire, comme le polémique article 24 de la Loi sécurité globale, n’y sont certainement pas étrangers.

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  66. Ce jour dans l'histoire - Tous les yeux sur Washington DC et la marche Save America


    January 7th, 2021


    Le vice-président Pence rejettera-t-il les votes du collège électoral (peut-il même le faire ?)
    Renverra-t-il les bombes à double électeur aux États qui étaient censés choisir l'ensemble pour lequel leurs électeurs ont voté ?

    Rudy Guiliani 1: 06 minutes

    Les démocrates ne nous ont pas permis de voir un bulletin de vote papier ou une machine. Il est parfaitement raisonnable et juste pour nous de demander 10 jours. Qui cache des preuves? Les criminels cachent des preuves. Ainsi, au cours des dix prochains jours, nous pouvons voir les machines. Si nous nous trompons, nous ressemblons à des imbéciles. Si nous avons raison, beaucoup d’entre eux vont en prison.

    - voir clip sur site -

    Donald J. Trump
    @realDonaldTrump

    Si le vice-président @Mike_Pence se présente pour nous, nous gagnerons la présidence. De nombreux États veulent décertifier l'erreur qu'ils ont commise en certifiant des numéros incorrects et même frauduleux dans un processus NON approuvé par leurs législatures d'État (ce qui doit être). Mike peut le renvoyer!

    Trump demande à Pence de renvoyer les listes du double collège électoral aux États et de les forcer à choisir.

    «Les États veulent corriger leurs votes, qu'ils savent maintenant fondés sur des irrégularités et des fraudes, et un processus corrompu n'a jamais reçu l'approbation législative», a écrit Trump sur Twitter. «Tout ce que Mike Pence a à faire est de les renvoyer aux États-Unis, ET NOUS GAGNONS. Faites-le Mike, c'est le moment du courage extrême !

    Les sénateurs de deux États demandent la révocation de la certification
    C’est bien, mais cela aurait dû se produire il y a 6 semaines. L'escouade de capitulation républicaine aura-t-elle enfin le courage d'empêcher le vol des élections? Auront-ils la chance ? Ni PA ni WI n'ont en fait décertifié quoi que ce soit. Juste qu'il y a des mouvements dans cette direction. Il est tard, mais le jeu n’est pas encore terminé.

    h / t Kat H.

    Les sénateurs de Pennsylvanie demandent un délai et remettent en question la certification du collège électoral

    «Les demandes des législateurs pour des enquêtes indépendantes ont été ignorées par l'administration.

    «En raison de ces incohérences et de ces activités douteuses, nous pensons que les résultats des élections de l'AP n'auraient pas dû être certifiés par notre secrétaire d'État.

    «Mesdames et messieurs, nous demandons plus de temps étant donné que la Cour suprême des États-Unis entendra Trump contre Boockvar dans les prochains jours. Nous vous demandons de retarder la certification du Collège électoral pour permettre une procédure régulière alors que nous poursuivons l'intégrité électorale dans notre Commonwealth.

    La législature du Wisconsin votera sur la révocation des électeurs

    Selon un document juridique officiel de l'Assemblée législative de l'État du Wisconsin, il semble qu'ils vont adopter une résolution jeudi pour décertifier leurs résultats électoraux et accorder une victoire à Trump. La résolution précise également qu’elle n’exige pas la signature du gouverneur, une étape de moins pour la révocation de la certification.

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  67. Comme on pouvait s'y attendre, Associated Press (AP) a déjà publié un article d'opinion indiquant qu'il ne peut pas fonctionner, ce qui se classe plus haut dans les recherches Google que dans toute information indiquant que cette résolution existe.

    ÉVALUATION DU PA: Faux. La résolution n’inclut aucun libellé relatif à la révocation des résultats des élections de l’État et ne ferait aucune différence si elle le faisait. En tant que résolution unique et non contraignante, elle n'a aucun poids juridique. Les 10 voix électorales du Wisconsin ont été exprimées pour le président élu Joe Biden.

    - voir clip sur site -

    Les manifestants à Melbourne en Australie se rassemblent pour Trump

    Dirigé par la communauté australienne asiatique, car ils connaissent mieux le Parti communiste chinois.

    https://joannenova.com.au/2021/01/this-say-in-history-all-eyes-on-washington-dc/

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  68. RIGGED: l'imprimerie du Michigan a créé de faux bulletins de vote pour la Pennsylvanie et d'autres États du swing


    Mercredi 06 janvier 2021
    par: Ethan Huff


    (Natural News) Le PDG et activiste constitutionnel d'Overstock.com, Patrick Byrne, a tweeté lundi une mine de nouvelles informations sur les élections frauduleuses qui suggèrent qu'une imprimerie du Michigan aurait pu être responsable de la production de bulletins de vote frauduleux pour de nombreux États clés de ce cycle électoral .

    En plus des bulletins de vote frauduleux qui auraient été imprimés en Chine et envoyés aux États-Unis avant l'élection, une imprimerie du Michigan, selon Byrne, a produit de faux bulletins de vote pour le comté de Delaware, en Pennsylvanie, dont certains ont été détournés vers Bethpage, NY

    Le sous-traitant du service postal des États-Unis (USPS), Ethan Pease, a récemment avoué qu'il avait reçu pour instruction de remettre ces bulletins de vote frauduleux, et nous savons maintenant, d'après le témoignage de Byrne, qu'il y avait, en fait, des fraudes aux bulletins de vote dans d'autres États clés.

    «Là-bas, une chaufferie remplie de« Biden »(souvent sans même voter à la baisse)», dit Byrne à propos de l’impression au Michigan. «Les bulletins de vote (qui sont légitimes sur le plan juridique, étant donné qu'ils proviennent de la même imprimerie que les bons bulletins de vote) sont ensuite acheminés par camion en Pennsylvanie et envoyés par la poste. Des centaines de milliers."

    Tout cela est entièrement documenté, dit Byrne, y compris des textes, des déclarations, des affidavits, «tout». Il existe de nombreuses preuves pour dénoncer l'opération, en d'autres termes - si seulement ceux qui occupent des positions de pouvoir appropriées écoutaient et agissaient au nom du peuple américain.

    D'ailleurs, vous trouverez plus d'informations sur la fraude électorale sur Trump.news.

    ATTENDU: de faux bulletins chinois trouvés coincés sur le côté du bac de déchiquetage
    Byrne dit que cette même imprimerie a également produit de faux bulletins de vote pour le Michigan, ainsi que pour le Wisconsin, l'Arizona et la Géorgie. Tous ces États, comme vous le savez probablement maintenant, ont contesté les résultats des élections en raison de preuves croissantes de fraude.

    En ce qui concerne les faux bulletins de vote chinois, Byrne dit qu'un certain nombre d'entre eux ont été livrés au comté de Fulton, en Géorgie, où une fausse «rupture de la conduite d'eau» a entraîné le retrait de toutes les personnes sauf quatre de l'opération de dépouillement. Cette «rupture de la conduite d'eau» s'est avérée être «une toilette débordée», et elle a été rapidement corrigée bien avant que l'opération de comptage ne soit interrompue en raison d'une «urgence» présumée.

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  69. En fin de soirée le 30 décembre, grâce au témoignage de Jovan Pulitzer sur la facilité avec laquelle il est possible de pirater les machines de Dominion Voting Systems via leurs modems illégaux, le Comité judiciaire du Sénat de Géorgie a voté en faveur d'une inspection des opérations - bien que cela aussi a été contrecarré par les voleurs électoraux.

    «Des heures plus tard (comme je l'ai déjà noté), une camionnette Enterprise s'est arrêtée et s'est remplie de matériel de vote», note Byrne.

    Alors que les voleurs électoraux ont en outre tenté de déchiqueter les bulletins de vote frauduleux avant qu'ils ne puissent être découverts, certains d'entre eux ont été retrouvés coincés sur le côté du bac de déchiquetage. Après une inspection plus poussée, il a été découvert que ces bulletins provenaient de la Chine communiste.

    «Ils comprennent certains bulletins de vote non déchiquetés (que 2 examinateurs légaux certifiés par le gouvernement fédéral ont affiliés ne correspondent pas aux bulletins de vote légitimes)», explique Byrne. “AUSSI, UN REÇU D'EXPÉDITION DE LA SOCIÉTÉ CHINOISE QUI A IMPRIMÉ LES BULLETINS! EN CHINOIS!"

    Byrne affirme que le ministère de la Justice (DoJ) et le ministère de la Sécurité intérieure (DHS) ont été invités à se retirer après avoir été mis au courant de la fraude. Le président Donald Trump, affirme en outre Byrne, «a dû appeler des agents sur le terrain pour leur demander de continuer».

    En d'autres termes, le correctif est en place et tout le système travaille contre Trump pour empêcher que la vérité ne soit révélée. C'est pourquoi Byrne encourage les patriotes américains à retweeter ses messages à @TheJusticeDept pour leur faire «connaître vos sentiments».

    «Qui a« ordonné »aux agents du DOJ et du DHS de se retirer?» a demandé un commentateur de Populist.press. «Nous en avons assez du manque de responsabilité à D.C.»

    Les sources de cet article incluent:

    Populist.press
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2021-01-06-michigan-print-shop-fake-ballots-pennsylvania.html

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  70. Les armes à feu et la conservation vont de pair


    Par Gabriella Hoffman
    5 janvier 2021
    District of Conservation


    Dans l'épisode 133 du District of Conservation, Gabriella s'entretient avec Roy Hill, spécialiste des relations publiques de Brownells, pour une interview de grande envergure.

    - voir clip sur site -

    Sérieux sur les armes à feu Depuis 1939 ™, Brownells est la première source mondiale de pièces et d’accessoires d’armes à feu, de munitions, d’outils d’armurerie, d’équipement de survie et de produits de tir à l’arc. L'entreprise familiale sert fièrement les armuriers, les propriétaires d'armes à feu, les forces de l'ordre et les organisations militaires. En tant qu'entreprise toujours connectée au plein air et engagée à jamais dans son industrie, Brownells favorise une fière culture d'honnêteté, d'intégrité et de respect pour ses clients et ses employés.

    https://www.cfact.org/2021/01/05/firearms-and-conservation-go-hand-in-hand/

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