« À nouveau les médecins praticiens sont les détenteurs de la connaissance médicale »
Traduction de l’éditorial du dernier numéro (23 décembre 2020) de la Revue Bioethics. Lien en fin de billet.
Le regretté Robert Veatch, l’un des fondateurs de la bioéthique aux États-Unis, ne s’est jamais lassé de nous rappeler que la contribution au changement de paradigme que la bioéthique apportait aux soins des patients était de libérer les patients des mains des médecins, qui étaient traditionnellement considérés comme ayant les meilleures connaissance, même quand ils ne savaient décidément pas mieux. Il nous semble qu’avec l’avènement du COVID-19, la politique de santé a bouclé la boucle à ce sujet. Le COVID-19 a donné lieu à un grand nombre de documents d’orientation prétendument « éthiques » visant à aider les prestataires de soins de santé et les praticiens à répondre aux défis éthiques qui pourraient survenir dans leur réponse à la pandémie. L’éthique a deux fonctions principales : fournir des conseils d’action clairs et fournir une justification claire des actions. Les documents en question reflètent sans doute le triomphe politique ultime du « principlisme » bioéthique et, peut-être surprenant, comme corollaire, le triomphe ultime du « médecin-qui-sait-mieux ». Les personnes impliquées dans la rédaction de ces documents ont exploité le manque de connaissance des défauts conceptuels entachant les approches fondées sur les principes de la politique de la santé et des principes bioéthiques en général : vous prenez une liste remplie de « principes éthiques » en apparence satisfaisants mais contradictoires et disparates, puis dites aux gens de ne pas les respecter mais seulement d’appliquer ce qu’ils ont présent à l’esprit face à un problème éthique particulier, et de cocher les principes qu’ils ont utilisé et figurant sur leur liste. Nous ne pouvons pas entrer ici dans une analyse détaillée de chacun des nombreux documents d’orientation éthique COVID-19, mais nous suggérons qu’ils partagent un certain nombre de caractéristiques qui expliquent probablement pourquoi le « principlisme » (anglicisme que je n’ai pas pu traduire) est déployé en tant que composant d’éthique pratique. À chaque fois, un certain nombre de principes qui sonnent bien, que la plupart des gens raisonnables auraient beaucoup de mal à critiquer, sont ajoutés – en guise de préface – à ce qui serait autrement des documents de politique très controversés. Ces principes sont généralement en conflit (pensez à l’autonomie et à la bienfaisance, ou à l’utilité et à l’équité). On ne sait pas comment ces principes sont dépendants les uns des autres. Et, dans les cas où deux principes ou plus aboutissent à des orientations d’action contradictoires, nous ne savons pas plus clairement lequel d’entre eux doit être priorisé. Plus important encore, ces principes, lorsqu’ils sont spécifiés dans la mesure où ils ont tendance à figurer dans des directives éthiques, ne fournissent pas une réponse claire et concluante à la question de savoir à qui, ici et maintenant, devrait se voir offrir un traitement ou un vaccin lorsqu’il n’est pas possible de traiter ou de vacciner tous ceux qui pourraient en bénéficier.
Bien que de nombreux documents d’orientation éthique élaborés en réponse à la pandémie de COVID-19 soient raisonnables, leur étiquetage « éthique » est généralement trompeur, car ils échouent sur le critère d’orientation d’action, le critère de justification d’action, ou les deux. Jetons un coup d’œil à la première proposition : les « Lignes directrices préliminaires sur les populations clés pour la vaccination précoce contre le COVID-19 » publiées par le Comité consultatif national de la santé sur l’immunisation (CCNI) du gouvernement du Canada2. La question que ce document soulève est préoccupante étant donné la disponibilité initialement limitée des vaccins COVID-19 : qui devrait les recevoir en premier ? Ce à quoi nous sommes confrontés ici est une question typique de justice dans le processus décisionnel d’allocation des ressources. Le CCNI a produit ce qu’il appelle – de façon quelque peu optimiste – un « algorithme » décrivant le processus d’application de son cadre d’éthique, d’équité, de faisabilité et d’acceptabilité (EEFA) à cette question. En ce qui concerne chacun des nombreux principes éthiques énumérés, les lignes directrices fournissent une série de questions que le CCNI a examiné et, par la suite, détaillé la manière dont ces considérations ont été traitées (annexe B des lignes directrices). Par exemple, en ce qui concerne les principes de bienfaisance et de non-malfaisance, le CCNI demande : « Les recommandations ont-elles pris en compte les risques et les avantages, et les avantages l’emportent-ils sur les risques ? Le principe de réciprocité a-t-il été envisagé pour minimiser les dommages, en particulier dans les contextes épidémiques ? ». En réponse, le CCNI déclare que « les risques et les avantages ont été pris en compte dans les directives et résumés dans la justification de chaque recommandation. Les principes éthiques de proportionnalité, d’efficacité, de précaution et de réciprocité ont été appliqués aux orientations et explicitement discutés ».
Un problème clé avec les lignes directrices du CCNI, qui est typique des nombreuses lignes directrices « éthiques » élaborées en réponse à la pandémie de COVID-19, est qu’il ne détaille pas la manière dont les obligations morales concurrentes de ses principes éthiques disparates ont été équilibrées ni comment les conflits potentiels entre les divers principes éthiques ont été résolus. Par exemple, on ne sait pas comment le CCNI a équilibré le principe dit de « réciprocité » selon lequel le « fardeau disproportionné auquel sont confrontés ceux qui prennent des risques supplémentaires pour protéger le public » devrait être minimisé selon les principes de la justice affirmant que « traiter des personnes et des groupes avec le même souci et le même respect implique de fixer et d’appliquer équitablement des critères de priorisation ». Sans surprise, les orientations ne satisfont pas à la norme de justification. Il n’est nulle part explicitement détaillé comment, de quelles manières et par quels moyens les « principes éthiques de proportionnalité, d’efficacité, de précaution et de réciprocité ont été appliqués aux orientations ». Les recommandations réelles peuvent bien résulter de l’application de « l’algorithme » susmentionné, mais il est impossible d’évaluer cela, car le CCNI n’entreprend pas – et encore moins explicite – le travail nécessaire pour fournir cette justification cruciale. À titre d’exemple, « l’efficacité » n’est pas un principe qui va de soi car il est associé à un certain but recherché. Il n’y a pas de propriété unique qui soit « l’efficacité », et différentes conceptions de l’efficacité impliquent différents engagements normatifs.
Ce document d’orientation du gouvernement canadien pour la distribution du vaccin COVID-19 est, en réalité, un document de politique qui cache les normes méta-éthiques non divulguées (s’il y en a) par lesquelles son « algorithme » a été appliqué. On peut dire quelque chose de similaire à propos de nombreux documents d’orientation de ce type. Examinons – très brièvement – l’annexe B encore du Canada, cette fois de la province de la Colombie-Britannique. La question qu’elle vise à aborder est de savoir si les professionnels de la santé ont le devoir de prodiguer des soins aux patients atteints du COVID-19. Sa conclusion surprenante est que les professionnels de la santé ont une telle obligation à moins qu’ils ne subissent « un préjudice certain et important ». Il s’agit d’une norme conçue pour maximiser le nombre de professionnels de la santé tenus de se présenter au travail. Étant donné l’absence de certitude en ce qui concerne à la fois le risque d’infection et l’absence de certitude quant au développement réel d’une maladie grave, il serait difficile pour la plupart des professionnels de la santé d’être exemptés. Parmi les principes d’éthique de la santé publique « de base » qui « justifient » cette conclusion figurent les nouveaux venus dans les principes éthiques comme la « flexibilité » et le « travail en commun », à côté de principes tarifaires plus standards comme la maximisation de l’utilité et le respect de l’autonomie. Les deux derniers sont des idées non controversées. Comment devraient-ils être résolus (en gardant à l’esprit que ce n’est pas moins que la vie des travailleurs de la santé est en jeu) ? Eh bien, le décideur, probablement un gestionnaire d’établissement de soins de santé, identifiera les principes applicables – probablement contradictoires – et établira les priorités (d’une manière ou d’une autre). Comme toujours avec les approches de principe de la politique de la santé, la stratégie d’établissement des priorités et la justification de la décision sont aussi arbitraires que de lancer une pièce de monnaie en l’air.
Ces problèmes ont été aggravés dans le cas des directives COVID-19 au Royaume-Uni. En l’absence de directives faisant autorité du gouvernement britannique, le vide a été comblé par des documents séparés produits par les gouvernements décentralisés en Écosse et en Irlande du Nord, ainsi que par des documents d’orientation éthique publiés par des organisations professionnelles, telles que le Collège Royal des Médecins (soutenus par 15 autres organismes professionnels) et la British Medical Association. Bien qu’il y ait un certain chevauchement dans les principes éthiques employés dans ces directives respectives, certains principes sont mentionnés dans l’un mais pas dans d’autres, et les spécifications des principes varient selon des modalités qui peuvent avoir des implications normatives importantes. Prenons, par exemple, le principe d ‘ »équité », qui est spécifié de différentes manières. 1. « Toute personne doit être traitée avec justice comme un individu afin que les décisions soient rationnelles, justes, pratiques et fondées sur des processus appropriés, avec des preuves et une justification claires. Tout le monde compte de la même manière, de sorte que les personnes ayant une chance égale de bénéficier des ressources de santé et de protection sociale devraient avoir une chance égale de les recevoir.Toute évaluation des avantages et des inconvénients potentiels d’une intervention sanitaire ou sociale ou de son calendrier doit respecter les droits individuels » (ministère de la Santé d’Irlande du Nord). 2. « Les patients doivent être traités comme des individus, dans le respect de leur autonomie, et non discriminés » (gouvernement écossais).
3. « Le personnel de première ligne, les décideurs, la direction et le gouvernement ont la responsabilité envers les patients de s’assurer que tout système utilisé pour évaluer les patients car l’augmentation ou la diminution des soins ne doit désavantager aucune personne ou groupe de personnes de manière disproportionnée. Les traitements doivent être disponibles et administrés, indépendamment des antécédents médicaux de la personne, par exemple une incapacité, lorsqu’il est considéré qu’il aidera le patient à survivre et à ne pas nuire à sa santé ni à son bien-être à long terme »(Collège royal des médecins). 4. «Tout le monde compte de manière égale. Les personnes qui ont une chance égale de bénéficier d’un soin devraient avoir une chance égale de le recevoir – bien qu’il ne soit pas injuste de demander aux gens d’attendre s’ils pourraient obtenir le même avantage plus tard »(British Medical Association).
Même dans le cas d’un principe unique comme l’équité, les différentes spécifications rendent extrêmement difficile pour les prestataires de soins et les praticiens de naviguer entre les différentes lignes directrices, ce qui conduit à des obligations contradictoires : traiter les patients comme des individus dans le respect de leur autonomie et de leur prodiguer des soins avecune chance égale d’en profiter comme n’importe quelle autre personne. Il y a, bien sûr, d’autres considérations normativement pertinentes qui ne sont pas abordées : quels types de caractéristiques définissent « l’égalité » et comment les praticiens peuvent-ils faire cette évaluation dans la pratique ?Comment traiter des patients individuels de manière «égale» dans des situations de prise de décision isolées garantissant que le système dans lequel ces décisions sont prises est « équitable» ? Lorsque nous prenons en compte l’ensemble des principes éthiques employés dans ces documents de politique et leurs différences, la prolifération des principes éthiques – des principes provenant de différentes sources peuvent générer des conflits et de la confusion, et augmenter le risque d’incohérence. Une critique de longue date parmi les philosophes-bioéthiciens des approches principlistes de la prise de décision en matière de politique de santé a été que si l’on conçoit un document d’orientation éthique qui consiste en des règles ou des principes normatifs conflictuels (notez le processus apparemment arbitraire d’identification / de sélection de ces principes), il faut fournir ce document avec des indications claires sur la manière de résoudre ces conflits. En l’absence de critères explicites pour peser et équilibrer les exigences éthiques concurrentes, on se retrouve avec un document d’orientation qui est incapable de fournir une orientation éthique explicitement justifiable pour commencer.
Le résultat est que les prestataires de soins de santé et les praticiens doivent faire eux-mêmes des arbitrages et des compromis. Cela signifie que les décideurs, bien qu’ils prétendent « savoir mieux » dans la mesure où ils ont identifié, sélectionné et spécifié les principes éthiques qui, à leur avis, devraient guider les prestataires de soins de santé et les praticiens, ne peuvent se targuer que d’un crédit minimal pour guider, et aucun crédit pour justifier les décisions qui sont prises dans le feu de l’action hospitalière. Dans la pratique donc, le principe de la bioéthique et les documents d’orientation de la politique de santé COVID-19 basés sur celui-ci, nous ont ramenés à la politique du « médecin-sait-le-mieux » en matière de soins aux patients, et les prestataires de soins de santé locaux savent le mieux quand il s’agit de décider qui sera le premier à recevoir la vaccination contre le COVID-19, qui doit se présenter au travail dans des environnements à haut risque, si les services et interventions non liés au COVID seront dé-priorisés et qui les recevra et ne les recevra pas, etc. ». La seule différence avec les « mauvais » jours du passé est qu’aujourd’hui les politiques sont mieux camouflées par des principes éthiques de « haut vol », des préambules, des préfaces, des cadres de travail, avec la permission du NACI et de ses « algorithmes ». Bien que l’effet de ces principes sur la politique de santé du COVID-19 soit de faire incomber carrément aux hôpitaux locaux, aux équipes médicales et aux médecins de fournir des réponses aux dilemmes éthiques auxquels ils sont confrontés, la politique du « médecin-qui-sait-mieux » que ces documents de politique qui ont été promus implique également que « les décideurs sont les mieux informés ». Ceux qui ont rédigé ces lignes directrices sont pleinement conscients que le succès des documents en termes d’aide à la résolution des dilemmes éthiques dépend de l’adhésion des fournisseurs de soins de santé et des praticiens et de la coopération des patients et du public. Par exemple, comme le reconnaît la British Medical Association, « les citoyens acceptent l’équité et la légitimité des décisions » en fonction du fait qu’ils sont « informés à l’avance de la réponse attendue » et « des décisions transparentes et responsables du processus d’élaboration, y compris une discussion explicite des principes éthiques et du raisonnement sur lequel les décisions sont prises ». Dans la mesure où des décideurs comme la British Medical Association fournissent ces informations, ils considèrent peut-être qu’il est probable que ces directives conduiront à leur plus grande acceptation. Cependant, les décideurs politiques ne peuvent pas présumer a priori que ces lignes directrices seront acceptées par les patients et le grand public ni qu’ils les approuvent. Si les décideurs n’ont pas de bonnes raisons de croire que le public sera d’accord avec ou si les membres du public ne peuvent pas déterminer, au vu des documents, comment les principes éthiques seront appliqués par ceux qui sont chargés de leurs soins, alors ces directives nécessiteront une consultation et une contribution publiques substantielles avant que les décideurs politiques puissent en tirer des conclusions raisonnables concernant l’acceptation du public. Dans le cas contraire, il est clair que les décideurs politiques sont les plus aptes à connaître la médecine …
Auteurs. Jonathan Lewis, Institut d’éthique, Université de Dublin et Udo Schuklenk, Département de philosophie, Queen’s University, Kingston, Ontario, http://doi.org/10.1111/bioe.12840
Note de votre serviteur. Pourquoi la gestion de l’épidémie de coronavirus a été aussi déplorablement appréhendée en Europe, et en Amérique du Nord ? Parce que les décideurs politiques pensent mieux connaître la médecine que les médecins praticiens puisqu’ils se sont tous entouré d’un aréopages de médecins qui n’ont pas approché un malade depuis de nombreuses années. Les fameux (et parfois fumeux) principes éthiques ont bon dos. Ils sont devenus la panacée de la bonne gouvernance et les pouvoirs politiques se réfugient derrière ces principes auxquels il faut ajouter le détestable principe de précaution, une définition du « principlisme » … Ceci explique cela.
L'université du Texas dit aux étudiants de porter des masques pendant la masturbation !
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 29 JAN 2021 - 20:40 Rédigé par Steve Watson via Summit News,
Une université du Texas a suggéré dans une série de tweets que les étudiants devraient porter des masques faciaux pendant la masturbation, en plaisantant même qu’ils devraient «masquer-courtiser».
Le centre de santé et de bien-être étudiant de l'Université du nord du Texas a renvoyé les tweets, qui ont depuis été supprimés parce qu'ils offraient des conseils contraires à ceux des directives de l'école sur le coronavirus, selon Campus Reform.
L'un des tweets a déclaré «Mask-urbate ?! Lisez ci-dessous pour en savoir plus », avec une image d'accompagnement suggérant que tous les élèves présentant des symptômes de COVID devraient« éviter les rapports sexuels et rester à l'intérieur ».
Une infographie arborant le logo de l'université disait «Mask-urbate! Utilisez des couvertures faciales lors de la masturbation mutuelle pour réduire vos risques », tout en suggérant aux élèves de« faire preuve de créativité avec les barrières physiques et les positions sexuelles pour éviter les contacts rapprochés face à face ».
Un autre tweet déclarait que les étudiants devraient porter des masques pendant les rapports sexuels, «choisir un grand espace bien aéré» pour l'enfiler, «éviter de s'embrasser» et «se laver les mains avant et après».
Les tweets auraient été supprimés car l’université ne souhaite même pas que les étudiants se rapprochent.
«Les couvertures faciales ne remplacent pas une distanciation sociale appropriée», déclarent les directives de l'école.
Comme nous l'avons indiqué précédemment, l'Université de Géorgie a publié un guide similaire sur son site Web sur la santé qui conseillait aux étudiants d'envisager de «porter un masque facial pendant les rapports sexuels».
Cette folie n'est pas seulement vantée dans les universités, la BBC au Royaume-Uni conseillant au public de porter des masques s'ils veulent avoir des relations sexuelles entre eux.
«Votre meilleur partenaire sexuel pendant la pandémie de Covid-19, c'est vous-même», note en outre l'article, encourageant les gens à se livrer à «la masturbation, des jouets sexuels ou avoir des relations sexuelles au téléphone ou en ligne» plutôt que dans la réalité.
Plusieurs universités américaines ont menacé de couper complètement les services de base, y compris l'accès à Internet pour les étudiants si elles ne se conformaient pas pleinement à toutes les restrictions COVID sur le campus.
Comme nous l'avons déjà signalé, les collèges sont utilisés comme terrain d'essai pour la technologie afin d'appliquer des mesures draconiennes de distanciation, de masquage et de verrouillage:
Les universités menacent également de suspendre les étudiants qui osent quitter des zones de «bulle» prédéterminées autour des campus, ou se rendre dans des «entreprises non agréées» sans autorisation.
Bolsonaro prévient que le COVID pourrait durer éternellement, l'isolement "ne mène nulle part"
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 29 JAN 2021 - 19:00
Le président Jair Bolsonaro a averti cette semaine que le COVID-19 n'allait nulle part et a exhorté les dirigeants locaux à abandonner les mesures strictes de distanciation sociale et les verrouillages, affirmant que le peuple brésilien doit commencer à apprendre à vivre avec le virus, selon Bloomberg.
"Ce numéro de Covid continuera à vie", a déclaré Bolsonaro lors d'une webémission hebdomadaire sur les réseaux sociaux, ajoutant que les mesures de distanciation sociale "ne mèneront nulle part".
Bolsonaro, 65 ans, a déjà été infecté par le virus et a adopté une position assez dure contre la distanciation sociale.
En ce qui concerne les vaccins, le président brésilien, sceptique de longue date de la Chine, a remercié Pékin plus tôt cette semaine d'avoir approuvé le vaccin COVID-19 de Sinovac Biotech pour l'exportation. Bolsonaro a déclaré qu'il ne prendrait aucun coup de COVID-19.
Les critiques ont déclaré que l'approche de laisser-faire de Bolsonaro pour gérer la crise avait entraîné un nombre considérable de morts, après les États-Unis. Les hôpitaux sont envahis de patients infectés par le virus, ce qui a fait pression sur la popularité du président ces derniers mois.
Un déploiement lent a également fait pression sur la popularité de Bolsonaro, le pays ne recevant que deux millions de doses de vaccins Oxford / AstraZeneca.
Pendant ce temps, la relance budgétaire massive du Brésil pour soutenir encore plus l'économie de la cratère a atteint ses limites, d'où la raison pour laquelle Bolsonaro appelle à un certain sens de la normalité. En même temps, les gens apprennent à vivre avec le virus.
À ce stade, qui sait combien de temps le virus restera, mais pour la défense de Bolsonaro, il y a de plus en plus de preuves montrant que les ordonnances obligatoires de rester à la maison émises par le gouvernement ne fonctionnent pas.
Cependant, peut-être que Bolsonaro a raison de dire à ses compatriotes de sortir et de vivre leur vie. Après tout, une implosion totale du. L'économie brésilienne ne serait pas vraiment excellente pour la santé des gens.
Le virus est dans l'air depuis 10 000 ans, et, si l'organisme ne pouvait se défendre nous n'aurions même pas avoir eut d'ancêtres ! Si une personne malade est enfermée avec des personnes saines, les personnes saines seront FORCÉMENT malades !
UN TIERS DES 18-24 ANS AURAIENT UN TROUBLE DE SANTÉ MENTALE
par ANTON KUNIN 29/01/2021
40 % des jeunes de moins de 25 ans estiment souffrir d'un trouble anxieux généralisé.
32 % des Français âgés entre 18 et 24 ans estiment souffrir d’un trouble de santé mentale. C’est 11 points de plus par rapport à l’ensemble de la population, apprend-on d’une enquête Ipsos pour la Fondation FondaMental. 2 jeunes sur 3 redoutent l’impact de la crise sur leur santé mentale
L’isolement actuellement imposé à notre société a de lourdes conséquences pour la santé mentale, en particulier celle des jeunes. Selon une enquête Ipsos pour la Fondation FondaMental, 61 % (soit 11 points de plus par rapport à l’ensemble des Français) estiment que la crise actuelle liée à la Covid-19 va avoir des conséquences négatives sur leur propre santé mentale. Et ils sont encore plus pessimistes en ce qui concerne celle de leurs proches (74 % estiment qu’elle va être impactée) et celle des Français en général (91 %).
Deux tiers des 18-24 ans avouent que les émotions ressenties au cours des deux dernières semaines ont rendu difficile leur travail, la vie à la maison ou l’entente avec d’autres personnes (soit 13 points de plus par rapport à l’ensemble des Français). Par ailleurs, 40 % des jeunes de moins de 25 ans estiment souffrir d’un trouble anxieux généralisé (soit 9 points de plus par rapport à l’ensemble des Français).
Les cas de dépression, eux aussi, sont légion. Un peu plus d’1 jeune sur 5 de moins de 25 ans rapporte des symptômes de troubles dépressifs modérément sévères ou sévères (21 %). La tranche des 22-24 ans semble là encore plus touchée que les autres (24 %, contre 16 % pour les 18-21 ans). Enfin, presque 3 jeunes sur 10 ont pensé qu’il vaudrait mieux qu’ils soient morts ou ont songé à se blesser.
Un tiers des adultes concernés par an état anxieux ou un état dépressif
Autre enseignement inquiétant de cette enquête : les jeunes sont globalement mal informés des solutions disponibles face aux problèmes de santé mentale. Seuls 46 % déclarent connaître les structures susceptibles de les aider en cas de problème de santé mentale et seuls 40 % s’estiment bien informés sur les facteurs de risque. Par ailleurs, seuls 40 % estiment connaître la bonne conduite à tenir en cas de problème rencontré par un proche, 36 % se disent informés sur la prévention et 32 % sur les traitements existants.
Ces résultats font écho à ceux publiés par Santé Publique France le 28 janvier 2020 concernant la population générale. Ces données indiquent la prévalence des états anxieux à un niveau élevé, supérieur à 19 % (contre 13,5 % en 2017). Au cours de la semaine écoulée, 29 % des personnes interrogées présentaient un état anxieux ou un état dépressif (10 % un état anxieux seulement, 10 % un état dépressif seulement et 9 % un état à la fois dépressif et anxieux). Les problèmes de sommeil ont globalement augmenté depuis le début du premier confinement, 67 % des personnes rapportant un problème de sommeil au cours de la semaine écoulée. La prévalence des états dépressifs s’est stabilisée à un niveau élevé : environ 20 % de la population concernée, contre 10 % en 2017.
L'INFO SANTÉ DU JOUR : SEXUALITÉ : LE COVID-19 CAUSE DE STÉRILITÉ ?
par AURÉLIE GIRAUD 29/01/2021
Près de 100 millions de cas confirmés de Covid-19 dans le Monde depuis le 31 décembre 2019.
Le Covid-19 peut-il diminuer les chances d’avoir des enfants ? D’après une récente étude allemande, le virus pourrait altérer la qualité du sperme des hommes ayant contracté la maladie… ou pas !
Covid-19 : une mobilité moindre des spermatozoïdes
Plus les mois passent, plus la liste des séquelles du Covid-19 s’allonge. Persistance de la perte de goût et de l’odorat, de la fatigue, des courbatures ; complications cardio-vasculaires ou encore atteintes neurologiques, c’est aujourd’hui un risque d’altération de la qualité du sperme qui est avancé par une équipe de chercheurs allemands dans une étude publiée le 28 janvier dans la revue Reproduction.
« Des niveaux anormaux d'hormones sexuelles et une baisse de la qualité du sperme ont été observés chez les patients pendant et après la guérison du COVID-19 » affirment les scientifiques. Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs de l’université de Justus-Liebig à Giessen en Allemagne ont analysé pendant deux mois le sperme de 84 hommes (âgés de moins de 40 ans) infectés par le Covid-19, et majoritairement atteints d’une forme grave de la maladie, et l’ont comparé avec celui de 105 individus n’ayant pas contracté la maladie.
Pour les chercheurs, qui précisent que des effets néfastes sur la fertilité masculine ont déjà été observés en cas de contamination aux virus Zika, des oreillons et sur SRAS-CoV-1, les résultats de leur étude « constituent la première preuve expérimentale directe que le système reproductif masculin peut être ciblé et affecté par le Covid-19 ».
Altération de la fertilité masculine : l’enquête doit être approfondie
Mais est-ce l’infection elle-même ou bien les traitements pris pour la combattre qui seraient la cause d’une altération de la fertilité masculine chez les hommes positifs au Covid-19 ? Les chercheurs n’écartent pas cette possibilité, puisqu’ils précisent que « le système reproducteur masculin peut également être affecté par les médicaments utilisés pour traiter une infection virale ». Pour l’étude, 44 % des participants du groupe Covid avaient été traités avec des corticostéroïdes et 69 % avec des antiviraux.
Les scientifiques tiennent toutefois à souligner que ce nouvel effet indésirable du Covid-19 « attend des preuves cliniques » et « mérite une enquête plus approfondie ». « La durée et la gravité de ces anomalies et leur impact potentiel sur la descendance ne sont pas connus » rassurent-ils.
Avant d’envisager le recours aux techniques de Procréation Médicalement Assistée après une infection au Covid-19, n’oublions pas que si le délai moyen des couples pour démarrer une grossesse est de 7 mois à un an, nous ne sommes pas ici dans le domaine des mathématiques appliquées…
Des virus, il y en a toujours eu depuis des millions d'années. Ces poussières radioactives (durant 3 semaines) émises par les éruptions magmatiques sous-marines et sous-océaniques remontent à la surface des eaux et se diluent dans l'atmosphère grâce aux vents. Donc, c'est 365 j par an et 24/24 h que notre planète est impactée.
Mais, il y a une 'saison' des virus causée par l'humidité de l'air qui les rabat au sol plutôt que de circuler à x mètres d'altitudes. Et, comme l'eau s'évapore: demeurent les virus désencapsulés des micro-gouttelettes d'eau. (comme le fait l'eau de mer qui s'évapore au soleil et ne reste que le sel qui lui ne s'évapore pas). D'où, la fréquence de l'arrivée des virus en hivers plutôt qu'en étés quand l'air est plus sec.
Mais, étonnement de la surprise nouvelle, cet été... un virus est apparu !
Comment cela se peut-il ?
S'il est apparu en été sec c'est FORCÉMENT qu'il a été amené par un autre moyen que les micro gouttelettes ! Quel est cet 'autre moyen' ?
Cet autre moyen s'appelle le drone qui largue des fioles ici ou là de virus DIFFÉRENTS afin qu'aucun vaccin (fabricable en moins de 3 semaines) ne puissent l'empêcher d'attaquer !
Supprimons les discriminations sexuelles de notre législation
L’individu est un être humain unique quelles que soient ses caractéristiques physiques et doit être considéré selon ses qualités propres.
Par Alexis Métais. 30 JANVIER 2021
Alors que le gouvernement fait voter la loi « confortant le respect des principes de la République », dite contre le séparatisme il pourrait sembler étonnant que des associations évoquent le racisme d’État, qu’un dessinateur démissionne après avoir publié un dessin dénoncé comme transphobe par certains et que France Télévisions, qui s’est récemment offert une campagne publicitaire d’auto-félicitation aux frais du contribuable, ait pour fil rouge une diversité de façade c’est-à-dire basée sur des caractéristiques physiques.
Mais malheureusement cela n’étonne pas car nous sommes depuis longtemps habitués aux belles paroles et au en même temps.
Les trois principes de la République sont, comme chacun sait, la liberté, l’égalité et la fraternité.
Or existe-t-il aujourd’hui des contraintes légales empêchant potentiellement un citoyen d’accéder à un poste du fait de son sexe, de sa couleur de peau ou de sa religion ? Et si cela était le cas ne faudrait-il pas y remédier au nom du principe d’égalité entre citoyens, et non celui d’égalité entre communautés ?
LES DIFFÉRENTES LOIS
en 2011 : la loi Copé-Zimmermann impose que les conseils d’administration des grandes et moyennes entreprises soient constitués d’au moins 40 % d’hommes et 40 % de femmes. en 2012 : la loi Sauvadet impose aux administrations de l’État, collectivités territoriales de plus de 80 000 habitants et aux établissements hospitaliers et de santé que la part de chaque sexe dans les primo-nominations aux emplois de direction et à la décision du gouvernement soit de 40 % à partir de 2018. en 2014 : la « loi sur l’égalité réelle entre les femmes et les hommes » aborde le sujet de l’égalité homme/femme dans toutes ses dimensions. en 2000 : la « loi tendant à favoriser l’égal accès des femmes et des hommes aux mandats électoraux et fonctions électives », oblige les partis politiques à présenter des candidats à 50 % de sexe masculin et à 50 % de sexe féminin.
On a ainsi vu par exemple ces dernières années plusieurs communautés d’agglomération et ministères être condamnés à des amendes pour ne pas avoir embauché assez de femmes ou parfois d’hommes.
Pour une raison encore non clairement expliquée par les médias, il semblerait que la mairie de Paris soit en 2021 au-dessus des lois et se voit dispensée d’une amende de 90 000 euros pour avoir embauché plus de 60 % de femmes aux postes de direction en 2020.
L’État est encore mis à l’amende puisque en 2020 ce sont six ministères qui furent épinglés dont le ministère des Finances et celui des Armées.
Aujourd’hui le Haut Conseil à l’Égalité appelle à étendre les quotas de la loi Copé-Zimmermann aux comités exécutifs et de direction du secteur privé.
Comme toujours il est plus facile à l’État d’exiger des autres ce qu’il ne s’applique pas à lui-même.
SEULES DEVRAIENT COMPTER LES QUALITÉS INDIVIDUELLES
Mais n’est-il pas temps de mettre fin à cette folie consistant à considérer les individus selon leur sexe en attendant d’y ajouter d’autres discriminations souhaitées par certains groupes de pression ? Poursuivre dans cette démarche n’amène-t-il pas à légitimer les demandes de patients voulant être soignés par des personnes de leur sexe ? Si plus de 60 % des nouveaux diplômés magistrats et médecins sont des femmes, faut-il interdire à certaines d’entre elles l’exercice de ces professions pour laisser la place à des hommes moins compétents ?
L’individu est un être humain unique quelles que soient ses caractéristiques physiques et doit être considéré selon ses qualités propres. Dans la sphère intime, la loi Taubira de 2013 permet heureusement d’exclure toute considération de parité dans les mariages.
C’est la voie à suivre pour supprimer les discriminations et augmenter la liberté et la responsabilité de chacun : supprimons les discriminations sexuelles de notre législation.
(...) les conseils d’administration des grandes et moyennes entreprises soient constitués d’au moins 40 % d’hommes et 40 % de femmes. (...)
Or, si dans une entreprise de 100 personnes il est impossible de trouver 40 femmes pour faire le travail: l'entreprise sera donc forcée de mettre la clé sous la porte ! (mais rassurez-vous çà c'est 'arrangé', ils ont trouvé un '3è sexe' !! Il suffit qu'un homme se dise être une femme et c'est accepté !! Même son âge peut être vieilli ou rajeuni - pour toucher les allocs jusqu'à 80 ans ?)
Notez bien la déficience intellectuelle des propositeurs et applicationneurs de lois qui dit que l'on ne doit pas regarder un CV avec photo et prénom de la personne mais qu'il faut quand même pouvoir dire qu'il y a 40 % de femmes !!! (le chef d'entreprise doit avoir du doigté !)
(...) oblige les partis politiques à présenter des candidats à 50 % de sexe masculin et à 50 % de sexe féminin. (...)
Par contre là, les personnes doivent être doigté et non apparenté à '3è sexe' ! HAHAHAHA !
(...) Les trois principes de la République sont, comme chacun sait, la liberté, l’égalité et la fraternité. (...)
Rappelons en soulignant que 'la liberté, l’égalité et la fraternité' ne sont que des OBJECTIFS (à atteindre ?) et non des réalités ! (Liberté de rester emprisonné chez soi, Egalité des salaires avec ceux des ministres et députés et, Fraternité (et non 'soeurité') combien de meurtres sont commis en famille).
(...) L’État est encore mis à l’amende puisque en 2020 ce sont six ministères qui furent épinglés dont le ministère des Finances et celui des Armées. (...)
Débilité administrative des fonctionnaires où le flic se met une amende pour ébriété, voie de faits sur la voie publique, etc !
Donc, après dépouillement des cv, s'il y a 100 % d'hommes retenus, 40 % seront désignés pour faire les femmes ! HAHAHA ! ("Tiens, va me chercher du café et bouge-toi le cul !").
Seriez-vous considéré comme un terroriste domestique en vertu de ce nouveau projet de loi ?
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 29 JAN 2021-22: 40 Rédigé par Robert Wheeler via le blog The Organic Prepper,
Après le 11 septembre, le pays tout entier a collectivement perdu la raison dans les affres de la peur. Pendant ce temps, tous les droits civils et constitutionnels ont été déchiquetés et remplacés par les pages du USA PATRIOT Act.
Près de 20 ans plus tard, les États-Unis ont de nouveau perdu leur esprit collectif, cette fois dans la peur d'un «virus» et de «super mutations» et d'une «émeute» à la capitale. Beaucoup de gens ont appelé cela et à la surprise de très peu, un peu comme après le 11 septembre, les Américains regardent ce qui reste de leurs libertés civiles être remplacé par un nouveau projet de loi.
La loi de 2021 sur la prévention du terrorisme domestique
Le DTPA est essentiellement la criminalisation de la parole, de l'expression et de la pensée. Cela prend la culture d'annulation un peu plus loin et proscrit pratiquement les opinions impopulaires. Cet acte habilitera les services de renseignement, les forces de l'ordre et même les ailes militaires de la classe dirigeante américaine à réprimer les individus adhérant à certains systèmes de croyances et idéologies.
Selon le membre du Congrès du MI Fred Upton:
«L'attaque contre le Capitole des États-Unis au début du mois était le dernier exemple de terrorisme intérieur, mais la menace de terrorisme intérieur reste bien réelle. Nous ne pouvons pas fermer les yeux sur cela », a déclaré Upton. «La loi sur la prévention du terrorisme domestique dotera nos responsables de l'application de la loi des outils nécessaires pour assurer la sécurité de nos maisons, familles et communautés partout au pays.
Le site Web du membre du Congrès Upton fournit les informations suivantes sur le DTPA:
La loi de 2021 sur la prévention du terrorisme domestique renforcerait les efforts du gouvernement fédéral pour prévenir, signaler, réagir et enquêter sur les actes de terrorisme interne en autorisant des bureaux dédiés à la lutte contre cette menace; exiger de ces bureaux qu'ils évaluent régulièrement cette menace; et en fournissant une formation et des ressources pour aider les forces de l'ordre étatiques, locales et tribales à y faire face.
Le DTPA autoriserait trois bureaux, un chacun au sein du Département de la sécurité intérieure (DHS), du Département de la justice (DOJ) et du Bureau fédéral d'enquête (FBI), à surveiller, enquêter et poursuivre les cas de terrorisme national. Le projet de loi oblige également ces bureaux à fournir au Congrès des rapports biannuels conjoints évaluant l'état des menaces terroristes nationales, avec un accent particulier sur les suprémacistes blancs. Sur la base des données collectées, le DTPA demande à ces bureaux de concentrer leurs ressources sur les menaces les plus importantes.
La DTPA codifie également le Comité exécutif du terrorisme domestique, qui se coordonnerait avec les avocats américains et d'autres responsables de la sécurité publique pour promouvoir le partage d'informations et assurer un effort conjoint efficace, réactif et organisé pour lutter contre le terrorisme national. La législation oblige le DOJ, le FBI et le DHS à fournir une formation et des ressources pour aider les organismes d'application de la loi étatiques, locaux et tribaux à comprendre, détecter, dissuader et enquêter sur les actes de terrorisme national et de suprématie blanche. Enfin, la DTPA ordonne au DHS, au DOJ, au FBI et au ministère de la Défense de créer un groupe de travail interinstitutions pour lutter contre l'infiltration de la suprématie blanche dans les services en uniforme et l'application de la loi fédérale.
Ceux qui lisent le projet de loi ne sont pas si enthousiastes à l'idée de déchiqueter la Constitution La députée Tulsi Gabbard a de sérieuses réserves. Dans une récente interview sur Fox News Primetime, Gabbard a déclaré que le projet de loi criminalise effectivement la moitié du pays. (Soulignez le nôtre)
«C'est tellement dangereux comme vous en avez parlé, c'est un problème dont tous les démocrates, républicains, indépendants, libertariens devraient être extrêmement préoccupés, surtout parce que nous n'avons pas à deviner où cela va ou comment cela se termine». Dit Gabbard.
Elle a poursuivi: «Quand des gens comme l'ancien directeur de la CIA John Brennan parlent ouvertement de la façon dont il a parlé ou entendu des personnes nommées et des candidats de l'administration Biden qui commencent déjà à chercher dans tout notre pays ces types de mouvements similaires aux insurrections qu'ils 'ai vu à l'étranger, que dans ses mots, il dit constituer cette alliance impie d'extrémistes religieux, de racistes, de fanatiques, il en énumère quelques autres et à la fin, même des libertaires.
Gabbard, se déclarant préoccupée par la manière dont le gouvernement définira les qualités qu'il recherche dans les menaces potentielles pour le pays, a poursuivi en demandant:
«Quelles caractéristiques recherchons-nous alors que nous construisons ce profil d'un extrémiste potentiel, de quoi parlons-nous ? Extrémistes religieux, parle-t-on de chrétiens, de chrétiens évangéliques, qu'est-ce qu'un extrémiste religieux ? Est-ce quelqu'un qui est pro-vie ? Où emportez-vous ça
Tulsi a déclaré que le projet de loi créerait une atteinte dangereuse à nos libertés civiles et à nos libertés dans notre Constitution. Elle a également déclaré que le DPTA cible essentiellement près de la moitié des États-Unis.
"Vous commencez à regarder évidemment, il faut être une personne blanche, évidemment probablement un homme, des libertaires, toute personne qui aime la liberté, peut-être a un drapeau américain devant sa maison, ou des personnes qui, vous savez, ont assisté à un rassemblement Trump", Gabbard m'a dit.
Tulsi Gabbard n'est pas le seul à critiquer la législation
Même l'ACLU, l'une des organisations les plus faibles en matière de libertés civiles aux États-Unis, s'est prononcée. Alors que l'ACLU se préoccupait uniquement de la façon dont le projet de loi affecterait les minorités ou les «personnes brunes», l'organisation a déclaré que la législation, bien que présentée sous le couvert de contrer la suprématie blanche, serait éventuellement utilisée contre des non-blancs.
Comme pour les projets de loi similaires soumis sous prétexte de «protéger» les Américains contre les menaces extérieures, ce projet de loi va inévitablement s'étendre davantage. Les objectifs déclarés du DPTA sont suffisamment ambitieux et effrayants. Cela équivaudrait à une déclaration officielle de la fin de la liberté d'expression.
Bientôt, il n'y aura plus de droits pour les Américains
Au cours des vingt dernières années, les Américains ont perdu leurs droits au 4e amendement, et maintenant ils perdent leur premier. Tout ce qui reste est le 2e amendement, et la classe dirigeante et un nombre croissant de personnes américaines le savent.
Les démocrates présentent un projet de loi pour "élargir massivement '' le vote par correspondance
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 29 JAN 2021 - 14:30 Rédigé par Tom Ozimek via The Epoch Times (nous soulignons),
Les législateurs démocrates ont présenté jeudi un projet de loi baptisé «Loi sur le vote à domicile», qui vise à «élargir massivement l'accès au vote à domicile», en adoptant l'inscription automatique des électeurs et en fournissant aux électeurs des enveloppes prépayées.
Le sénateur Ron Wyden (D-Ore.) Et le représentant Earl Blumenauer (D-Ore.) Ont présenté le projet de loi (pdf), déclarant dans un communiqué de presse que la législation vise à «lutter contre la suppression des électeurs».
"Notre démocratie est plus forte lorsque chaque Américain peut voter, sans se tenir dans des lignes ridicules ou sans avoir à s'absenter du travail ou de l'école pour exercer ses droits constitutionnels", a déclaré Wyden dans un communiqué.
L'initiative contraste avec un projet de loi présenté par les républicains il y a plusieurs semaines, qui vise à resserrer les vérifications d'inscription des électeurs et à restreindre les règles concernant le moment et la manière d'accepter les bulletins de vote par correspondance, dans le but de renforcer l'intégrité des élections fédérales.
Les législateurs démocrates ont déclaré que l'introduction du projet de loi était encouragée par ce qu'ils ont décrit comme «l'expansion réussie du vote à domicile et par correspondance lors des élections de novembre 2020», dans laquelle près de 50% des électeurs ont voté par correspondance, un record en courses fédérales.
"L'année dernière, nous avons assisté à une expansion généralisée de l'accès au vote à domicile comme moyen sûr et sécurisé de participer à la pandémie COVID-19", a déclaré Blumenauer dans un communiqué. «Nous devons continuer à rendre le vote plus facile, pas plus difficile. Cet important projet de loi renforcerait et clarifierait le droit de vote à domicile, le moyen le plus sûr et le plus pratique pour les électeurs d'exercer le droit de vote.
Les détracteurs de l'expansion des initiatives de vote par correspondance ont mis en garde contre le potentiel accru de fraude électorale, dont les allégations étaient au centre de l'élection présidentielle contestée, le président Donald Trump, les membres de son équipe juridique et ses partisans, faisant de nombreuses affirmations selon lesquelles équivalait à l'accusation de vol de l'élection.
Peter Navarro, qui a été conseiller de Trump, a conclu dans un rapport exhaustif sur l'intégrité des élections de 2020 que les allégations d'irrégularités, y compris la fraude électorale pure et simple, étaient suffisamment graves pour justifier une enquête urgente et suffisamment substantielles pour potentiellement renverser les résultats. .
Les responsables électoraux de l'État, le ministère de la Justice et d'autres ont rejeté l'idée d'une fraude électorale généralisée lors des élections de novembre.
La loi sur le vote à domicile des démocrates prévoit une série d’actions qui élargiraient le vote par correspondance aux élections fédérales.
«Tous les électeurs inscrits recevraient des bulletins de vote par la poste quelques semaines avant le jour du scrutin, ce qui leur permettrait de rechercher soigneusement les candidats et les problèmes bien avant le jour du scrutin pour informer leur vote», indique le communiqué de presse.
Le projet de loi accorderait également à tous les électeurs inscrits du pays la possibilité de voter par courrier ou aux urnes. La loi appelle également à une augmentation du financement du service postal américain afin de couvrir les coûts associés au traitement des bulletins de vote.
«Cela permettrait aux États d'économiser de l'argent en s'éloignant des bureaux de vote et de réduire un obstacle majeur pour les électeurs, le gouvernement fédéral absorbant les coûts associés à la livraison de l'USPS», note le communiqué de presse.
En vertu des dispositions du projet de loi, les États seraient également tenus d'inscrire automatiquement les électeurs lorsqu'ils fournissent des informations d'identification à l'autorité nationale des véhicules à moteur. Les électeurs qui ne souhaitent pas rester inscrits auraient trois semaines pour se retirer.
Le projet de loi républicain de la Chambre, quant à lui, appelé «Save Democracy Act», cherche à créer des protections de base contre les irrégularités électorales et la fraude électorale pendant les élections.
L'initiative du GOP cherche à empêcher l'inscription automatique des électeurs pour les élections fédérales, interdit aux États d'envoyer des bulletins de vote par correspondance non demandés et appelle à l'interdiction d'utiliser les urnes publiques.
Le représentant Jim Banks (R-Ind.), A déclaré dans un communiqué de presse: «Ce projet de loi rétablira la confiance du public dans le fait que son vote est compté et que sa voix est entendue.»
Le gouverneur du Texas ordonne aux agences de poursuivre l'administrateur de Biden pour des actions climatiques qui «tuent des emplois»
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 29 JAN 2021 - 23:20 Rédigé par Tom Ozimek via The Epoch Times,
Le gouverneur républicain du Texas, Greg Abbott, a promis jeudi de s'opposer à ce qu'il a appelé la tentative de l'administration Biden de détruire des emplois avec sa volée d'actions visant l'industrie pétrolière et gazière.
Abbott a signé jeudi un décret lors d'une conférence de presse à Odessa, qui a ordonné à toutes les agences de l'État de poursuivre l'administration Biden pour toute action fédérale menaçant le secteur énergétique de l'État Lone Star.
«Le Texas va protéger l'industrie pétrolière et gazière de tout type d'attaque hostile lancée depuis Washington D.C.», a déclaré Abbott.
«L'adhésion du président Biden au nouvel accord vert est un tueur d'emplois au Texas. L'indépendance énergétique que le Texas a été en mesure de fournir aux États-Unis d'Amérique et le Texas ne va pas rester les bras croisés et regarder l'administration Biden tuer des emplois à Midland, à Odessa ou dans tout autre endroit du pays. toute la région », a-t-il ajouté.
L'ordre d'Abbott (pdf) fait suite à une série de mesures exécutives prises par le président Joe Biden au nom de la lutte contre le «changement climatique». Celles-ci incluent la décision de révoquer l'autorisation du pipeline Keystone, la décision de rejoindre l'Accord de Paris sur le climat et un moratoire sur la délivrance de nouveaux baux pétroliers et gaziers sur les terres et les eaux fédérales.
Alors que les actions de Biden ont attiré le feu des républicains, des groupes industriels et même de certains démocrates, l'Envoyé présidentiel spécial pour le climat, John Kerry, a déclaré lors d'un point de presse mercredi à la Maison Blanche que Biden veut s'assurer que les travailleurs du secteur de l'énergie "aient de meilleurs choix". dans des emplois «mieux rémunérés» et «plus propres», donnant l'exemple d'être un technicien en énergie solaire au lieu d'être un mineur. Kerry a également affirmé que c'est une fausse idée que «gérer le climat» se fait au détriment des travailleurs de l'énergie, ajoutant qu'il y a «beaucoup d'argent à gagner» dans la création de nouveaux emplois «plus sains» dans des secteurs tels que l'hydrogène vert. , chaleur géothermique et autres énergies renouvelables.
Le chef de la minorité au Sénat, Mitch McConnell (R-Ky.), A critiqué jeudi les actions de l'administration Biden en matière de politique énergétique, qu'il a collectivement qualifiées de «nouvel accord vert au coup par coup».
«Il n'y a rien de vert dans un tsunami de feuillets roses pour les travailleurs américains, ou de transporter du brut canadien dans des camions et des trains au lieu d'un pipeline», a déclaré McConnell au Sénat. «Ce nouvel accord vert au coup par coup est la mauvaise prescription: mauvais pour l'environnement, mauvais pour la sécurité nationale, et surtout pour les travailleurs américains qui seront bientôt des travailleurs américains si cela continue.
«Jeter volontairement nos propres employés au chômage, réduire notre sécurité énergétique domestique, augmenter les coûts et les prix pour les familles de travailleurs - tout cela sans impact significatif sur les températures mondiales», a ajouté McConnell.
McConnell a également cité une étude (pdf) de la société de conseil en énergie OnLocation, qui a conclu que l'interdiction des baux pétroliers et gaziers de Biden signifierait la perte de près d'un million d'emplois d'ici 2022.
«La décision sur les terres fédérales nous laissera près d'un million d'emplois américains d'ici l'an prochain seulement», a déclaré McConnell au Sénat. «C’est un moyen de lancer une présidence.»
Mais le Texas est «prêt à riposter», a déclaré Abbott, avec son décret ordonnant à chaque agence étatique, «d'utiliser tous les pouvoirs et outils légaux pour contester toute action fédérale qui menace la force et la vitalité continues de l'industrie énergétique. Chaque agence de l'État doit s'efforcer d'identifier les litiges potentiels, les opportunités de notification et de commentaire, ainsi que tout autre moyen d'empêcher une atteinte fédérale à la loi. »
Abbott a également déclaré qu'il soutiendrait une législation qui interdirait aux villes d'interdire les appareils au gaz naturel, une mesure qui, selon lui, a été récemment prise à San Francisco.
«Au Texas, nous ne laisserons pas les villes utiliser le politiquement correct pour dicter la source d'énergie que vous utilisez», a-t-il déclaré.
Une puissante tempête de neige pourrait toucher 100 millions de personnes du Midwest au nord-est
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 29 JAN 2021 - 17:40
Une puissante tempête hivernale débutant samedi au début de la semaine prochaine pourrait toucher plus de 100 millions de personnes du Midwest au nord-est.
CBS News rapporte de Chicago à Cleveland à Baltimore à New York, des dizaines de millions de personnes pourraient être touchées par des conditions hivernales rigoureuses à partir de samedi et jusqu'à mardi.
Le système a déjà déversé plus de 15 pouces de pluie dans certaines parties de la Californie et à des altitudes plus élevées, jusqu'à 100 pouces de neige cette semaine. Nous avons noté plus tôt qu'une rivière atmosphérique émanant de l'océan Pacifique créerait des conditions météorologiques extrêmes pour certaines parties de la Californie, ce qui entraînerait éventuellement une tempête de neige pour les États du Midwest et du Nord-Est.
Vendredi après-midi, le système est au sud-ouest et se déplace vers l'est.
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Avant l'arrivée de la tempête, une grande partie du centre de l'Atlantique et du nord-est connaissent des températures glaciales.
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De fortes chutes de neige sont susceptibles de tomber sur le Midwest et la vallée de l'Ohio samedi soir et dimanche. Chicago, Indianapolis et Colombus pouvaient voir n'importe où de 6 à 12 pouces dimanche soir.
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Dimanche, le système se déplacera vers la région médio-atlantique, répandant de la neige en Virginie, à Washington, DC, au Maryland, au Delaware et dans le sud de la Pennsylvanie.
"La neige peut parfois être lourde dans des endroits comme Washington, D.C.", a déclaré CBS.
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Alors que CBS ne propose que des modèles météorologiques de ce qui peut arriver, leurs météorologues posent quelques questions sur la trajectoire potentielle du système:
"Vient maintenant la partie délicate. La tempête glisse-t-elle vers l'est vers la mer, gardant l'air froid enfermé dans la région de Washington et la grosse bulle de neige entre DC et Atlantic City? Ou la tempête se déplace-t-elle vers le nord-est, enterrant New York City, Providence et peut-être Boston dans plus d'un pied de neige? "
Les prévisions pour lundi montrent que la ville de New York pourrait être envahie par la neige.
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Les prévisions des chutes de neige totales des États du centre de l'Atlantique et du Nord-Est jusqu'au début du prochain montrent qu'une accumulation importante pourrait être à venir.
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Bien que tout le monde puisse prendre un jour de neige ou deux au début de la semaine prochaine, cela donnera à encore plus de gens la possibilité de négocier GameStop et d'autres actions les plus vendues. Voici une liste des prochaines actions les plus vendues.
Regardez: La police britannique harcèle et arrête des personnes pour aller travailler, magasins
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 30 JAN 2021 - 9:20 Rédigé par Steve Watson via Summit News,
Deux vidéos virales résument l'état du Royaume-Uni en ce moment avec la police abusant des pouvoirs qui leur sont conférés pour appliquer les lois de verrouillage. Dans un cas, un homme a été arrêté alors qu'il se rendait au travail pour ne pas s'identifier, tandis qu'un autre qui s'est rendu dans un magasin a été emmené pour ne pas porter correctement un masque.
La police des West Midlands a été forcée de s'excuser après qu'un homme de Solihull ait été suivi, traité d'idiot et finalement arrêté par une police trop officieuse.
On peut voir la police harceler l'homme, lui demandant où il va, où il habite et exigeant son nom.
Le gars essayait juste d'aller travailler.
Lorsque l’homme a refusé de donner son nom, disant «ne vous en faites pas», et a demandé au policier d’allumer sa caméra corporelle, le harcèlement s’est intensifié.
"Que voulez-vous dire, ne vous en faites pas?" L'officier a répondu en ajoutant: «Nous sommes ici pour appliquer la législation, mon pote, alors j'ai besoin de savoir qui vous êtes.»
«Vous n’avez pas besoin de savoir qui je suis - je n’ai commis aucune infraction», a répondu l’homme.
L'officier a ensuite menacé «en vertu de la législation sur les coronavirus, vous devez me fournir quelques détails, sinon vous allez être arrêté».
Lorsque l'homme a demandé pourquoi il allait être arrêté, le policier a dit qu'il «se disputait» et que cela constituait un «soupçon raisonnable».
«De toute évidence, vous me harcelez, parce que j'ai un sweat à capuche, un manteau, je suis sur le chemin du travail, je suis un citoyen normal», a répondu le gars, ajoutant «Pourquoi est-ce que je permettrais à quelqu'un de simplement m'arrêter?
Le policier a ensuite répondu: «Nous sommes la police, nous ne sommes pas simplement quelqu'un, vous êtes idiot.»
"Quoi, alors juste parce que vous êtes la police, cela vous donne le droit d'arrêter qui vous voulez et d'obtenir ses détails ?" l'homme a répondu, exhortant "Vous devez être réformé sur la loi."
L'officier a ensuite emmené l'homme.
Les forces de police ont par la suite publié une déclaration indiquant qu '«il est clair que la conduite de l’officier était bien en deçà de ce à quoi nous nous attendions».
"L'homme a expliqué qu'il se dirigeait vers le travail - c'est clairement une raison justifiable d'être en déplacement et il n'y avait aucun soupçon qu'il ait commis des infractions", a poursuivi le communiqué, concluant "En tant que tel, il n'aurait pas dû être contesté de la manière il était."
C'est loin d'être un incident isolé, avec une autre vidéo montrant des agents du Merseyside épinglant un homme au sol d'un supermarché après qu'il ait refusé de leur donner son nom.
La police affirme que l'homme portait un masque autour du cou, ne couvrant pas le visage, c'est pourquoi les agents l'ont approché.
Cependant, l'homme a insisté pour qu'il n'abaisse le masque que pour nettoyer ses lunettes, qui avaient embué.
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"Je ne voulais pas donner mes détails parce que je n'avais rien fait de mal et quand il m'a attrapé, j'ai essayé de m'éloigner", a déclaré l'homme aux journalistes.
«J'ai été surpris et je ne savais pas quoi faire alors j'ai essayé de l'éloigner de moi. Il a ensuite mis mes mains derrière mon dos et m'a poussé sur le sol », a ajouté l'homme.
La police l'a expulsé du magasin et lui a infligé une amende de 100 £, sans être arrêté.
Les supermarchés sont surveillés par la police et inspectés alors qu'ils prétendent qu'ils n'appliquent pas assez efficacement les règles de distanciation sociale. Certains peuvent être condamnés à des amendes pour avoir «enfreint les règles», selon les rapports.
Les gens ont été encouragés à ne pas socialiser ou même à ne pas parler à des amis dans la rue ou au supermarché.
Dans un autre incident, un couple avec un bébé et une poussette a été grillé par la police COVID dans le centre-ville de Birmingham simplement pour marcher dans la rue. Le rapport a noté que les agents de soutien communautaire de la police ont alors commencé à interroger les personnes qui étaient arrivées dans une pharmacie pour aller chercher des médicaments sur ordonnance.
La police harcèle également les vieilles dames qui nourrissent les pigeons et d'autres marchent et s'assoient sur des bancs dans les parcs ou le long des berges.
Deux femmes ont été interrogées et condamnées à une amende par la police pour s'être promenées dans une région éloignée à 8 km de leur lieu de résidence, bien que cela ne soit pas illégal en vertu des lois sur les coronavirus. La police a dit aux femmes que les boissons chaudes qu'elles transportaient constituaient un «pique-nique».
Les femmes, Jessica Allen et Eliza Moore, ont déclaré aux journalistes que la police semblait «désespérée de leur infliger une amende».
Comme nous l'avons déjà signalé, la police a récemment annoncé l'adoption d'une nouvelle politique de verrouillage `` dure '' pour arrêter et interroger les gens s'ils sont dans la rue, et pour émettre des amendes instantanées s'ils ne peuvent pas fournir une excuse raisonnable pour être hors de la rue. leurs maisons.
La police a également déclaré qu’elle ciblerait spécifiquement les «manifestants anti-lock-out et anti-vaccin», affirmant que «nous avons maintenant un élément hardcore qui est contre les règles».
La police réclame également de nouveaux pouvoirs pour forcer l'entrée dans les maisons des contrevenants présumés du verrouillage.
Des vidéos ont déjà émergé de flics entrant dans les maisons des gens après avoir reçu des rapports de voisins mouchards signalant des visiteurs.
Comme nous l'avons également souligné, la police menace les gens d'amendes s'ils profitent du temps hivernal.
Un service de police local a même tweeté avec colère à propos de «2 rapports de boules de neige lancées» en violation des règles de verrouillage du coronavirus.
Un autre service de police a menacé des gens d'amendes pour avoir projeté de faire de la luge dans une région isolée du Yorkshire du Nord.
La police d'Avon et du Somerset s'est même vantée d'avoir infligé une amende à une personne assise seule dans sa voiture, mangeant un kebab.
Lorsqu'il s'agit de suivre les règles elles-mêmes, certains policiers ne semblent pas se soucier de s'y conformer.
Une vidéo est apparue montrant des policiers eux-mêmes assis dans un café en train de boire du café, la personne qui les filme se demandant pourquoi ils ne respectaient pas les règles.
La bioéthique a été vaincue par le COVID-19
RépondreSupprimerle 29 janvier 2021
« À nouveau les médecins praticiens sont les détenteurs de la connaissance médicale »
Traduction de l’éditorial du dernier numéro (23 décembre 2020) de la Revue Bioethics. Lien en fin de billet.
Le regretté Robert Veatch, l’un des fondateurs de la bioéthique aux États-Unis, ne s’est jamais lassé de nous rappeler que la contribution au changement de paradigme que la bioéthique apportait aux soins des patients était de libérer les patients des mains des médecins, qui étaient traditionnellement considérés comme ayant les meilleures connaissance, même quand ils ne savaient décidément pas mieux. Il nous semble qu’avec l’avènement du COVID-19, la politique de santé a bouclé la boucle à ce sujet. Le COVID-19 a donné lieu à un grand nombre de documents d’orientation prétendument « éthiques » visant à aider les prestataires de soins de santé et les praticiens à répondre aux défis éthiques qui pourraient survenir dans leur réponse à la pandémie. L’éthique a deux fonctions principales : fournir des conseils d’action clairs et fournir une justification claire des actions. Les documents en question reflètent sans doute le triomphe politique ultime du « principlisme » bioéthique et, peut-être surprenant, comme corollaire, le triomphe ultime du « médecin-qui-sait-mieux ». Les personnes impliquées dans la rédaction de ces documents ont exploité le manque de connaissance des défauts conceptuels entachant les approches fondées sur les principes de la politique de la santé et des principes bioéthiques en général : vous prenez une liste remplie de « principes éthiques » en apparence satisfaisants mais contradictoires et disparates, puis dites aux gens de ne pas les respecter mais seulement d’appliquer ce qu’ils ont présent à l’esprit face à un problème éthique particulier, et de cocher les principes qu’ils ont utilisé et figurant sur leur liste. Nous ne pouvons pas entrer ici dans une analyse détaillée de chacun des nombreux documents d’orientation éthique COVID-19, mais nous suggérons qu’ils partagent un certain nombre de caractéristiques qui expliquent probablement pourquoi le « principlisme » (anglicisme que je n’ai pas pu traduire) est déployé en tant que composant d’éthique pratique. À chaque fois, un certain nombre de principes qui sonnent bien, que la plupart des gens raisonnables auraient beaucoup de mal à critiquer, sont ajoutés – en guise de préface – à ce qui serait autrement des documents de politique très controversés. Ces principes sont généralement en conflit (pensez à l’autonomie et à la bienfaisance, ou à l’utilité et à l’équité). On ne sait pas comment ces principes sont dépendants les uns des autres. Et, dans les cas où deux principes ou plus aboutissent à des orientations d’action contradictoires, nous ne savons pas plus clairement lequel d’entre eux doit être priorisé. Plus important encore, ces principes, lorsqu’ils sont spécifiés dans la mesure où ils ont tendance à figurer dans des directives éthiques, ne fournissent pas une réponse claire et concluante à la question de savoir à qui, ici et maintenant, devrait se voir offrir un traitement ou un vaccin lorsqu’il n’est pas possible de traiter ou de vacciner tous ceux qui pourraient en bénéficier.
Bien que de nombreux documents d’orientation éthique élaborés en réponse à la pandémie de COVID-19 soient raisonnables, leur étiquetage « éthique » est généralement trompeur, car ils échouent sur le critère d’orientation d’action, le critère de justification d’action, ou les deux. Jetons un coup d’œil à la première proposition : les « Lignes directrices préliminaires sur les populations clés pour la vaccination précoce contre le COVID-19 » publiées par le Comité consultatif national de la santé sur l’immunisation (CCNI) du gouvernement du Canada2. La question que ce document soulève est préoccupante étant donné la disponibilité initialement limitée des vaccins COVID-19 : qui devrait les recevoir en premier ? Ce à quoi nous sommes confrontés ici est une question typique de justice dans le processus décisionnel d’allocation des ressources. Le CCNI a produit ce qu’il appelle – de façon quelque peu optimiste – un « algorithme » décrivant le processus d’application de son cadre d’éthique, d’équité, de faisabilité et d’acceptabilité (EEFA) à cette question. En ce qui concerne chacun des nombreux principes éthiques énumérés, les lignes directrices fournissent une série de questions que le CCNI a examiné et, par la suite, détaillé la manière dont ces considérations ont été traitées (annexe B des lignes directrices). Par exemple, en ce qui concerne les principes de bienfaisance et de non-malfaisance, le CCNI demande : « Les recommandations ont-elles pris en compte les risques et les avantages, et les avantages l’emportent-ils sur les risques ? Le principe de réciprocité a-t-il été envisagé pour minimiser les dommages, en particulier dans les contextes épidémiques ? ». En réponse, le CCNI déclare que « les risques et les avantages ont été pris en compte dans les directives et résumés dans la justification de chaque recommandation. Les principes éthiques de proportionnalité, d’efficacité, de précaution et de réciprocité ont été appliqués aux orientations et explicitement discutés ».
RépondreSupprimerUn problème clé avec les lignes directrices du CCNI, qui est typique des nombreuses lignes directrices « éthiques » élaborées en réponse à la pandémie de COVID-19, est qu’il ne détaille pas la manière dont les obligations morales concurrentes de ses principes éthiques disparates ont été équilibrées ni comment les conflits potentiels entre les divers principes éthiques ont été résolus. Par exemple, on ne sait pas comment le CCNI a équilibré le principe dit de « réciprocité » selon lequel le « fardeau disproportionné auquel sont confrontés ceux qui prennent des risques supplémentaires pour protéger le public » devrait être minimisé selon les principes de la justice affirmant que « traiter des personnes et des groupes avec le même souci et le même respect implique de fixer et d’appliquer équitablement des critères de priorisation ». Sans surprise, les orientations ne satisfont pas à la norme de justification. Il n’est nulle part explicitement détaillé comment, de quelles manières et par quels moyens les « principes éthiques de proportionnalité, d’efficacité, de précaution et de réciprocité ont été appliqués aux orientations ». Les recommandations réelles peuvent bien résulter de l’application de « l’algorithme » susmentionné, mais il est impossible d’évaluer cela, car le CCNI n’entreprend pas – et encore moins explicite – le travail nécessaire pour fournir cette justification cruciale. À titre d’exemple, « l’efficacité » n’est pas un principe qui va de soi car il est associé à un certain but recherché. Il n’y a pas de propriété unique qui soit « l’efficacité », et différentes conceptions de l’efficacité impliquent différents engagements normatifs.
Ce document d’orientation du gouvernement canadien pour la distribution du vaccin COVID-19 est, en réalité, un document de politique qui cache les normes méta-éthiques non divulguées (s’il y en a) par lesquelles son « algorithme » a été appliqué. On peut dire quelque chose de similaire à propos de nombreux documents d’orientation de ce type. Examinons – très brièvement – l’annexe B encore du Canada, cette fois de la province de la Colombie-Britannique. La question qu’elle vise à aborder est de savoir si les professionnels de la santé ont le devoir de prodiguer des soins aux patients atteints du COVID-19. Sa conclusion surprenante est que les professionnels de la santé ont une telle obligation à moins qu’ils ne subissent « un préjudice certain et important ». Il s’agit d’une norme conçue pour maximiser le nombre de professionnels de la santé tenus de se présenter au travail. Étant donné l’absence de certitude en ce qui concerne à la fois le risque d’infection et l’absence de certitude quant au développement réel d’une maladie grave, il serait difficile pour la plupart des professionnels de la santé d’être exemptés. Parmi les principes d’éthique de la santé publique « de base » qui « justifient » cette conclusion figurent les nouveaux venus dans les principes éthiques comme la « flexibilité » et le « travail en commun », à côté de principes tarifaires plus standards comme la maximisation de l’utilité et le respect de l’autonomie. Les deux derniers sont des idées non controversées. Comment devraient-ils être résolus (en gardant à l’esprit que ce n’est pas moins que la vie des travailleurs de la santé est en jeu) ? Eh bien, le décideur, probablement un gestionnaire d’établissement de soins de santé, identifiera les principes applicables – probablement contradictoires – et établira les priorités (d’une manière ou d’une autre). Comme toujours avec les approches de principe de la politique de la santé, la stratégie d’établissement des priorités et la justification de la décision sont aussi arbitraires que de lancer une pièce de monnaie en l’air.
RépondreSupprimerCes problèmes ont été aggravés dans le cas des directives COVID-19 au Royaume-Uni. En l’absence de directives faisant autorité du gouvernement britannique, le vide a été comblé par des documents séparés produits par les gouvernements décentralisés en Écosse et en Irlande du Nord, ainsi que par des documents d’orientation éthique publiés par des organisations professionnelles, telles que le Collège Royal des Médecins (soutenus par 15 autres organismes professionnels) et la British Medical Association. Bien qu’il y ait un certain chevauchement dans les principes éthiques employés dans ces directives respectives, certains principes sont mentionnés dans l’un mais pas dans d’autres, et les spécifications des principes varient selon des modalités qui peuvent avoir des implications normatives importantes. Prenons, par exemple, le principe d ‘ »équité », qui est spécifié de différentes manières.
1. « Toute personne doit être traitée avec justice comme un individu afin que les décisions soient rationnelles, justes, pratiques et fondées sur des processus appropriés, avec des preuves et une justification claires. Tout le monde compte de la même manière, de sorte que les personnes ayant une chance égale de bénéficier des ressources de santé et de protection sociale devraient avoir une chance égale de les recevoir.Toute évaluation des avantages et des inconvénients potentiels d’une intervention sanitaire ou sociale ou de son calendrier doit respecter les droits individuels » (ministère de la Santé d’Irlande du Nord).
2. « Les patients doivent être traités comme des individus, dans le respect de leur autonomie, et non discriminés » (gouvernement écossais).
3. « Le personnel de première ligne, les décideurs, la direction et le gouvernement ont la responsabilité envers les patients de s’assurer que tout système utilisé pour évaluer les patients car l’augmentation ou la diminution des soins ne doit désavantager aucune personne ou groupe de personnes de manière disproportionnée. Les traitements doivent être disponibles et administrés, indépendamment des antécédents médicaux de la personne, par exemple une incapacité, lorsqu’il est considéré qu’il aidera le patient à survivre et à ne pas nuire à sa santé ni à son bien-être à long terme »(Collège royal des médecins).
RépondreSupprimer4. «Tout le monde compte de manière égale. Les personnes qui ont une chance égale de bénéficier d’un soin devraient avoir une chance égale de le recevoir – bien qu’il ne soit pas injuste de demander aux gens d’attendre s’ils pourraient obtenir le même avantage plus tard »(British Medical Association).
Même dans le cas d’un principe unique comme l’équité, les différentes spécifications rendent extrêmement difficile pour les prestataires de soins et les praticiens de naviguer entre les différentes lignes directrices, ce qui conduit à des obligations contradictoires : traiter les patients comme des individus dans le respect de leur autonomie et de leur prodiguer des soins avecune chance égale d’en profiter comme n’importe quelle autre personne. Il y a, bien sûr, d’autres considérations normativement pertinentes qui ne sont pas abordées : quels types de caractéristiques définissent « l’égalité » et comment les praticiens peuvent-ils faire cette évaluation dans la pratique ?Comment traiter des patients individuels de manière «égale» dans des situations de prise de décision isolées garantissant que le système dans lequel ces décisions sont prises est « équitable» ? Lorsque nous prenons en compte l’ensemble des principes éthiques employés dans ces documents de politique et leurs différences, la prolifération des principes éthiques – des principes provenant de différentes sources peuvent générer des conflits et de la confusion, et augmenter le risque d’incohérence. Une critique de longue date parmi les philosophes-bioéthiciens des approches principlistes de la prise de décision en matière de politique de santé a été que si l’on conçoit un document d’orientation éthique qui consiste en des règles ou des principes normatifs conflictuels (notez le processus apparemment arbitraire d’identification / de sélection de ces principes), il faut fournir ce document avec des indications claires sur la manière de résoudre ces conflits. En l’absence de critères explicites pour peser et équilibrer les exigences éthiques concurrentes, on se retrouve avec un document d’orientation qui est incapable de fournir une orientation éthique explicitement justifiable pour commencer.
Le résultat est que les prestataires de soins de santé et les praticiens doivent faire eux-mêmes des arbitrages et des compromis. Cela signifie que les décideurs, bien qu’ils prétendent « savoir mieux » dans la mesure où ils ont identifié, sélectionné et spécifié les principes éthiques qui, à leur avis, devraient guider les prestataires de soins de santé et les praticiens, ne peuvent se targuer que d’un crédit minimal pour guider, et aucun crédit pour justifier les décisions qui sont prises dans le feu de l’action hospitalière. Dans la pratique donc, le principe de la bioéthique et les documents d’orientation de la politique de santé COVID-19 basés sur celui-ci, nous ont ramenés à la politique du « médecin-sait-le-mieux » en matière de soins aux patients, et les prestataires de soins de santé locaux savent le mieux quand il s’agit de décider qui sera le premier à recevoir la vaccination contre le COVID-19, qui doit se présenter au travail dans des environnements à haut risque, si les services et interventions non liés au COVID seront dé-priorisés et qui les recevra et ne les recevra pas, etc. ». La seule différence avec les « mauvais » jours du passé est qu’aujourd’hui les politiques sont mieux camouflées par des principes éthiques de « haut vol », des préambules, des préfaces, des cadres de travail, avec la permission du NACI et de ses « algorithmes ». Bien que l’effet de ces principes sur la politique de santé du COVID-19 soit de faire incomber carrément aux hôpitaux locaux, aux équipes médicales et aux médecins de fournir des réponses aux dilemmes éthiques auxquels ils sont confrontés, la politique du « médecin-qui-sait-mieux » que ces documents de politique qui ont été promus implique également que « les décideurs sont les mieux informés ». Ceux qui ont rédigé ces lignes directrices sont pleinement conscients que le succès des documents en termes d’aide à la résolution des dilemmes éthiques dépend de l’adhésion des fournisseurs de soins de santé et des praticiens et de la coopération des patients et du public. Par exemple, comme le reconnaît la British Medical Association, « les citoyens acceptent l’équité et la légitimité des décisions » en fonction du fait qu’ils sont « informés à l’avance de la réponse attendue » et « des décisions transparentes et responsables du processus d’élaboration, y compris une discussion explicite des principes éthiques et du raisonnement sur lequel les décisions sont prises ». Dans la mesure où des décideurs comme la British Medical Association fournissent ces informations, ils considèrent peut-être qu’il est probable que ces directives conduiront à leur plus grande acceptation. Cependant, les décideurs politiques ne peuvent pas présumer a priori que ces lignes directrices seront acceptées par les patients et le grand public ni qu’ils les approuvent. Si les décideurs n’ont pas de bonnes raisons de croire que le public sera d’accord avec ou si les membres du public ne peuvent pas déterminer, au vu des documents, comment les principes éthiques seront appliqués par ceux qui sont chargés de leurs soins, alors ces directives nécessiteront une consultation et une contribution publiques substantielles avant que les décideurs politiques puissent en tirer des conclusions raisonnables concernant l’acceptation du public. Dans le cas contraire, il est clair que les décideurs politiques sont les plus aptes à connaître la médecine …
RépondreSupprimerAuteurs. Jonathan Lewis, Institut d’éthique, Université de Dublin et Udo Schuklenk, Département de philosophie, Queen’s University, Kingston, Ontario, http://doi.org/10.1111/bioe.12840
RépondreSupprimerNote de votre serviteur. Pourquoi la gestion de l’épidémie de coronavirus a été aussi déplorablement appréhendée en Europe, et en Amérique du Nord ? Parce que les décideurs politiques pensent mieux connaître la médecine que les médecins praticiens puisqu’ils se sont tous entouré d’un aréopages de médecins qui n’ont pas approché un malade depuis de nombreuses années. Les fameux (et parfois fumeux) principes éthiques ont bon dos. Ils sont devenus la panacée de la bonne gouvernance et les pouvoirs politiques se réfugient derrière ces principes auxquels il faut ajouter le détestable principe de précaution, une définition du « principlisme » … Ceci explique cela.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/01/29/la-bioethique-a-ete-vaincue-par-le-covid-19/
L'université du Texas dit aux étudiants de porter des masques pendant la masturbation !
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 29 JAN 2021 - 20:40
Rédigé par Steve Watson via Summit News,
Une université du Texas a suggéré dans une série de tweets que les étudiants devraient porter des masques faciaux pendant la masturbation, en plaisantant même qu’ils devraient «masquer-courtiser».
Le centre de santé et de bien-être étudiant de l'Université du nord du Texas a renvoyé les tweets, qui ont depuis été supprimés parce qu'ils offraient des conseils contraires à ceux des directives de l'école sur le coronavirus, selon Campus Reform.
L'un des tweets a déclaré «Mask-urbate ?! Lisez ci-dessous pour en savoir plus », avec une image d'accompagnement suggérant que tous les élèves présentant des symptômes de COVID devraient« éviter les rapports sexuels et rester à l'intérieur ».
Une infographie arborant le logo de l'université disait «Mask-urbate! Utilisez des couvertures faciales lors de la masturbation mutuelle pour réduire vos risques », tout en suggérant aux élèves de« faire preuve de créativité avec les barrières physiques et les positions sexuelles pour éviter les contacts rapprochés face à face ».
Un autre tweet déclarait que les étudiants devraient porter des masques pendant les rapports sexuels, «choisir un grand espace bien aéré» pour l'enfiler, «éviter de s'embrasser» et «se laver les mains avant et après».
Les tweets auraient été supprimés car l’université ne souhaite même pas que les étudiants se rapprochent.
«Les couvertures faciales ne remplacent pas une distanciation sociale appropriée», déclarent les directives de l'école.
Comme nous l'avons indiqué précédemment, l'Université de Géorgie a publié un guide similaire sur son site Web sur la santé qui conseillait aux étudiants d'envisager de «porter un masque facial pendant les rapports sexuels».
Cette folie n'est pas seulement vantée dans les universités, la BBC au Royaume-Uni conseillant au public de porter des masques s'ils veulent avoir des relations sexuelles entre eux.
«Votre meilleur partenaire sexuel pendant la pandémie de Covid-19, c'est vous-même», note en outre l'article, encourageant les gens à se livrer à «la masturbation, des jouets sexuels ou avoir des relations sexuelles au téléphone ou en ligne» plutôt que dans la réalité.
Plusieurs universités américaines ont menacé de couper complètement les services de base, y compris l'accès à Internet pour les étudiants si elles ne se conformaient pas pleinement à toutes les restrictions COVID sur le campus.
Comme nous l'avons déjà signalé, les collèges sont utilisés comme terrain d'essai pour la technologie afin d'appliquer des mesures draconiennes de distanciation, de masquage et de verrouillage:
Les universités menacent également de suspendre les étudiants qui osent quitter des zones de «bulle» prédéterminées autour des campus, ou se rendre dans des «entreprises non agréées» sans autorisation.
https://www.zerohedge.com/covid-19/texas-university-tells-students-wear-masks-during-masturbation
Bolsonaro prévient que le COVID pourrait durer éternellement, l'isolement "ne mène nulle part"
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 29 JAN 2021 - 19:00
Le président Jair Bolsonaro a averti cette semaine que le COVID-19 n'allait nulle part et a exhorté les dirigeants locaux à abandonner les mesures strictes de distanciation sociale et les verrouillages, affirmant que le peuple brésilien doit commencer à apprendre à vivre avec le virus, selon Bloomberg.
"Ce numéro de Covid continuera à vie", a déclaré Bolsonaro lors d'une webémission hebdomadaire sur les réseaux sociaux, ajoutant que les mesures de distanciation sociale "ne mèneront nulle part".
Bolsonaro, 65 ans, a déjà été infecté par le virus et a adopté une position assez dure contre la distanciation sociale.
En ce qui concerne les vaccins, le président brésilien, sceptique de longue date de la Chine, a remercié Pékin plus tôt cette semaine d'avoir approuvé le vaccin COVID-19 de Sinovac Biotech pour l'exportation. Bolsonaro a déclaré qu'il ne prendrait aucun coup de COVID-19.
Les critiques ont déclaré que l'approche de laisser-faire de Bolsonaro pour gérer la crise avait entraîné un nombre considérable de morts, après les États-Unis. Les hôpitaux sont envahis de patients infectés par le virus, ce qui a fait pression sur la popularité du président ces derniers mois.
Un déploiement lent a également fait pression sur la popularité de Bolsonaro, le pays ne recevant que deux millions de doses de vaccins Oxford / AstraZeneca.
Pendant ce temps, la relance budgétaire massive du Brésil pour soutenir encore plus l'économie de la cratère a atteint ses limites, d'où la raison pour laquelle Bolsonaro appelle à un certain sens de la normalité. En même temps, les gens apprennent à vivre avec le virus.
À ce stade, qui sait combien de temps le virus restera, mais pour la défense de Bolsonaro, il y a de plus en plus de preuves montrant que les ordonnances obligatoires de rester à la maison émises par le gouvernement ne fonctionnent pas.
Cependant, peut-être que Bolsonaro a raison de dire à ses compatriotes de sortir et de vivre leur vie. Après tout, une implosion totale du. L'économie brésilienne ne serait pas vraiment excellente pour la santé des gens.
https://www.zerohedge.com/covid-19/bolsonaro-warns-covid-may-last-forever-isolation-leads-nowhere
Le virus est dans l'air depuis 10 000 ans, et, si l'organisme ne pouvait se défendre nous n'aurions même pas avoir eut d'ancêtres ! Si une personne malade est enfermée avec des personnes saines, les personnes saines seront FORCÉMENT malades !
SupprimerUN TIERS DES 18-24 ANS AURAIENT UN TROUBLE DE SANTÉ MENTALE
RépondreSupprimerpar ANTON KUNIN
29/01/2021
40 % des jeunes de moins de 25 ans estiment souffrir d'un trouble anxieux généralisé.
32 % des Français âgés entre 18 et 24 ans estiment souffrir d’un trouble de santé mentale. C’est 11 points de plus par rapport à l’ensemble de la population, apprend-on d’une enquête Ipsos pour la Fondation FondaMental.
2 jeunes sur 3 redoutent l’impact de la crise sur leur santé mentale
L’isolement actuellement imposé à notre société a de lourdes conséquences pour la santé mentale, en particulier celle des jeunes. Selon une enquête Ipsos pour la Fondation FondaMental, 61 % (soit 11 points de plus par rapport à l’ensemble des Français) estiment que la crise actuelle liée à la Covid-19 va avoir des conséquences négatives sur leur propre santé mentale. Et ils sont encore plus pessimistes en ce qui concerne celle de leurs proches (74 % estiment qu’elle va être impactée) et celle des Français en général (91 %).
Deux tiers des 18-24 ans avouent que les émotions ressenties au cours des deux dernières semaines ont rendu difficile leur travail, la vie à la maison ou l’entente avec d’autres personnes (soit 13 points de plus par rapport à l’ensemble des Français). Par ailleurs, 40 % des jeunes de moins de 25 ans estiment souffrir d’un trouble anxieux généralisé (soit 9 points de plus par rapport à l’ensemble des Français).
Les cas de dépression, eux aussi, sont légion. Un peu plus d’1 jeune sur 5 de moins de 25 ans rapporte des symptômes de troubles dépressifs modérément sévères ou sévères (21 %). La tranche des 22-24 ans semble là encore plus touchée que les autres (24 %, contre 16 % pour les 18-21 ans). Enfin, presque 3 jeunes sur 10 ont pensé qu’il vaudrait mieux qu’ils soient morts ou ont songé à se blesser.
Un tiers des adultes concernés par an état anxieux ou un état dépressif
Autre enseignement inquiétant de cette enquête : les jeunes sont globalement mal informés des solutions disponibles face aux problèmes de santé mentale. Seuls 46 % déclarent connaître les structures susceptibles de les aider en cas de problème de santé mentale et seuls 40 % s’estiment bien informés sur les facteurs de risque. Par ailleurs, seuls 40 % estiment connaître la bonne conduite à tenir en cas de problème rencontré par un proche, 36 % se disent informés sur la prévention et 32 % sur les traitements existants.
Ces résultats font écho à ceux publiés par Santé Publique France le 28 janvier 2020 concernant la population générale. Ces données indiquent la prévalence des états anxieux à un niveau élevé, supérieur à 19 % (contre 13,5 % en 2017). Au cours de la semaine écoulée, 29 % des personnes interrogées présentaient un état anxieux ou un état dépressif (10 % un état anxieux seulement, 10 % un état dépressif seulement et 9 % un état à la fois dépressif et anxieux). Les problèmes de sommeil ont globalement augmenté depuis le début du premier confinement, 67 % des personnes rapportant un problème de sommeil au cours de la semaine écoulée. La prévalence des états dépressifs s’est stabilisée à un niveau élevé : environ 20 % de la population concernée, contre 10 % en 2017.
http://www.economiematin.fr/news-troubles-sante-mentale-jeunes-etat-anxieux-depressif
L'impactage du 'Greta19' sera familial et carcéral et général.
SupprimerL'INFO SANTÉ DU JOUR : SEXUALITÉ : LE COVID-19 CAUSE DE STÉRILITÉ ?
RépondreSupprimerpar AURÉLIE GIRAUD
29/01/2021
Près de 100 millions de cas confirmés de Covid-19 dans le Monde depuis le 31 décembre 2019.
Le Covid-19 peut-il diminuer les chances d’avoir des enfants ? D’après une récente étude allemande, le virus pourrait altérer la qualité du sperme des hommes ayant contracté la maladie… ou pas !
Covid-19 : une mobilité moindre des spermatozoïdes
Plus les mois passent, plus la liste des séquelles du Covid-19 s’allonge. Persistance de la perte de goût et de l’odorat, de la fatigue, des courbatures ; complications cardio-vasculaires ou encore atteintes neurologiques, c’est aujourd’hui un risque d’altération de la qualité du sperme qui est avancé par une équipe de chercheurs allemands dans une étude publiée le 28 janvier dans la revue Reproduction.
« Des niveaux anormaux d'hormones sexuelles et une baisse de la qualité du sperme ont été observés chez les patients pendant et après la guérison du COVID-19 » affirment les scientifiques. Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs de l’université de Justus-Liebig à Giessen en Allemagne ont analysé pendant deux mois le sperme de 84 hommes (âgés de moins de 40 ans) infectés par le Covid-19, et majoritairement atteints d’une forme grave de la maladie, et l’ont comparé avec celui de 105 individus n’ayant pas contracté la maladie.
Pour les chercheurs, qui précisent que des effets néfastes sur la fertilité masculine ont déjà été observés en cas de contamination aux virus Zika, des oreillons et sur SRAS-CoV-1, les résultats de leur étude « constituent la première preuve expérimentale directe que le système reproductif masculin peut être ciblé et affecté par le Covid-19 ».
Altération de la fertilité masculine : l’enquête doit être approfondie
Mais est-ce l’infection elle-même ou bien les traitements pris pour la combattre qui seraient la cause d’une altération de la fertilité masculine chez les hommes positifs au Covid-19 ? Les chercheurs n’écartent pas cette possibilité, puisqu’ils précisent que « le système reproducteur masculin peut également être affecté par les médicaments utilisés pour traiter une infection virale ». Pour l’étude, 44 % des participants du groupe Covid avaient été traités avec des corticostéroïdes et 69 % avec des antiviraux.
Les scientifiques tiennent toutefois à souligner que ce nouvel effet indésirable du Covid-19 « attend des preuves cliniques » et « mérite une enquête plus approfondie ». « La durée et la gravité de ces anomalies et leur impact potentiel sur la descendance ne sont pas connus » rassurent-ils.
Avant d’envisager le recours aux techniques de Procréation Médicalement Assistée après une infection au Covid-19, n’oublions pas que si le délai moyen des couples pour démarrer une grossesse est de 7 mois à un an, nous ne sommes pas ici dans le domaine des mathématiques appliquées…
http://www.economiematin.fr/news-info-sante-jour-sexualite-covid-19-sterilite
Des virus, il y en a toujours eu depuis des millions d'années. Ces poussières radioactives (durant 3 semaines) émises par les éruptions magmatiques sous-marines et sous-océaniques remontent à la surface des eaux et se diluent dans l'atmosphère grâce aux vents. Donc, c'est 365 j par an et 24/24 h que notre planète est impactée.
SupprimerMais, il y a une 'saison' des virus causée par l'humidité de l'air qui les rabat au sol plutôt que de circuler à x mètres d'altitudes. Et, comme l'eau s'évapore: demeurent les virus désencapsulés des micro-gouttelettes d'eau.
(comme le fait l'eau de mer qui s'évapore au soleil et ne reste que le sel qui lui ne s'évapore pas).
D'où, la fréquence de l'arrivée des virus en hivers plutôt qu'en étés quand l'air est plus sec.
Mais, étonnement de la surprise nouvelle, cet été... un virus est apparu !
Comment cela se peut-il ?
S'il est apparu en été sec c'est FORCÉMENT qu'il a été amené par un autre moyen que les micro gouttelettes !
Quel est cet 'autre moyen' ?
Cet autre moyen s'appelle le drone qui largue des fioles ici ou là de virus DIFFÉRENTS afin qu'aucun vaccin (fabricable en moins de 3 semaines) ne puissent l'empêcher d'attaquer !
Supprimons les discriminations sexuelles de notre législation
RépondreSupprimerL’individu est un être humain unique quelles que soient ses caractéristiques physiques et doit être considéré selon ses qualités propres.
Par Alexis Métais.
30 JANVIER 2021
Alors que le gouvernement fait voter la loi « confortant le respect des principes de la République », dite contre le séparatisme il pourrait sembler étonnant que des associations évoquent le racisme d’État, qu’un dessinateur démissionne après avoir publié un dessin dénoncé comme transphobe par certains et que France Télévisions, qui s’est récemment offert une campagne publicitaire d’auto-félicitation aux frais du contribuable, ait pour fil rouge une diversité de façade c’est-à-dire basée sur des caractéristiques physiques.
Mais malheureusement cela n’étonne pas car nous sommes depuis longtemps habitués aux belles paroles et au en même temps.
Les trois principes de la République sont, comme chacun sait, la liberté, l’égalité et la fraternité.
Or existe-t-il aujourd’hui des contraintes légales empêchant potentiellement un citoyen d’accéder à un poste du fait de son sexe, de sa couleur de peau ou de sa religion ? Et si cela était le cas ne faudrait-il pas y remédier au nom du principe d’égalité entre citoyens, et non celui d’égalité entre communautés ?
LES DIFFÉRENTES LOIS
en 2011 : la loi Copé-Zimmermann impose que les conseils d’administration des grandes et moyennes entreprises soient constitués d’au moins 40 % d’hommes et 40 % de femmes.
en 2012 : la loi Sauvadet impose aux administrations de l’État, collectivités territoriales de plus de 80 000 habitants et aux établissements hospitaliers et de santé que la part de chaque sexe dans les primo-nominations aux emplois de direction et à la décision du gouvernement soit de 40 % à partir de 2018.
en 2014 : la « loi sur l’égalité réelle entre les femmes et les hommes » aborde le sujet de l’égalité homme/femme dans toutes ses dimensions.
en 2000 : la « loi tendant à favoriser l’égal accès des femmes et des hommes aux mandats électoraux et fonctions électives », oblige les partis politiques à présenter des candidats à 50 % de sexe masculin et à 50 % de sexe féminin.
FAITES CE QUE JE DIS…
RépondreSupprimerOn a ainsi vu par exemple ces dernières années plusieurs communautés d’agglomération et ministères être condamnés à des amendes pour ne pas avoir embauché assez de femmes ou parfois d’hommes.
Pour une raison encore non clairement expliquée par les médias, il semblerait que la mairie de Paris soit en 2021 au-dessus des lois et se voit dispensée d’une amende de 90 000 euros pour avoir embauché plus de 60 % de femmes aux postes de direction en 2020.
L’État est encore mis à l’amende puisque en 2020 ce sont six ministères qui furent épinglés dont le ministère des Finances et celui des Armées.
Aujourd’hui le Haut Conseil à l’Égalité appelle à étendre les quotas de la loi Copé-Zimmermann aux comités exécutifs et de direction du secteur privé.
Comme toujours il est plus facile à l’État d’exiger des autres ce qu’il ne s’applique pas à lui-même.
SEULES DEVRAIENT COMPTER LES QUALITÉS INDIVIDUELLES
Mais n’est-il pas temps de mettre fin à cette folie consistant à considérer les individus selon leur sexe en attendant d’y ajouter d’autres discriminations souhaitées par certains groupes de pression ? Poursuivre dans cette démarche n’amène-t-il pas à légitimer les demandes de patients voulant être soignés par des personnes de leur sexe ? Si plus de 60 % des nouveaux diplômés magistrats et médecins sont des femmes, faut-il interdire à certaines d’entre elles l’exercice de ces professions pour laisser la place à des hommes moins compétents ?
L’individu est un être humain unique quelles que soient ses caractéristiques physiques et doit être considéré selon ses qualités propres. Dans la sphère intime, la loi Taubira de 2013 permet heureusement d’exclure toute considération de parité dans les mariages.
C’est la voie à suivre pour supprimer les discriminations et augmenter la liberté et la responsabilité de chacun : supprimons les discriminations sexuelles de notre législation.
https://www.contrepoints.org/2021/01/30/389864-supprimons-les-discriminations-sexuelles-de-notre-legislation
(...) les conseils d’administration des grandes et moyennes entreprises soient constitués d’au moins 40 % d’hommes et 40 % de femmes. (...)
SupprimerOr, si dans une entreprise de 100 personnes il est impossible de trouver 40 femmes pour faire le travail: l'entreprise sera donc forcée de mettre la clé sous la porte ! (mais rassurez-vous çà c'est 'arrangé', ils ont trouvé un '3è sexe' !! Il suffit qu'un homme se dise être une femme et c'est accepté !! Même son âge peut être vieilli ou rajeuni - pour toucher les allocs jusqu'à 80 ans ?)
Notez bien la déficience intellectuelle des propositeurs et applicationneurs de lois qui dit que l'on ne doit pas regarder un CV avec photo et prénom de la personne mais qu'il faut quand même pouvoir dire qu'il y a 40 % de femmes !!! (le chef d'entreprise doit avoir du doigté !)
(...) oblige les partis politiques à présenter des candidats à 50 % de sexe masculin et à 50 % de sexe féminin. (...)
Par contre là, les personnes doivent être doigté et non apparenté à '3è sexe' ! HAHAHAHA !
(...) Les trois principes de la République sont, comme chacun sait, la liberté, l’égalité et la fraternité. (...)
Rappelons en soulignant que 'la liberté, l’égalité et la fraternité' ne sont que des OBJECTIFS (à atteindre ?) et non des réalités ! (Liberté de rester emprisonné chez soi, Egalité des salaires avec ceux des ministres et députés et, Fraternité (et non 'soeurité') combien de meurtres sont commis en famille).
(...) L’État est encore mis à l’amende puisque en 2020 ce sont six ministères qui furent épinglés dont le ministère des Finances et celui des Armées. (...)
Débilité administrative des fonctionnaires où le flic se met une amende pour ébriété, voie de faits sur la voie publique, etc !
Donc, après dépouillement des cv, s'il y a 100 % d'hommes retenus, 40 % seront désignés pour faire les femmes ! HAHAHA ! ("Tiens, va me chercher du café et bouge-toi le cul !").
Seriez-vous considéré comme un terroriste domestique en vertu de ce nouveau projet de loi ?
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 29 JAN 2021-22: 40
Rédigé par Robert Wheeler via le blog The Organic Prepper,
Après le 11 septembre, le pays tout entier a collectivement perdu la raison dans les affres de la peur. Pendant ce temps, tous les droits civils et constitutionnels ont été déchiquetés et remplacés par les pages du USA PATRIOT Act.
Près de 20 ans plus tard, les États-Unis ont de nouveau perdu leur esprit collectif, cette fois dans la peur d'un «virus» et de «super mutations» et d'une «émeute» à la capitale. Beaucoup de gens ont appelé cela et à la surprise de très peu, un peu comme après le 11 septembre, les Américains regardent ce qui reste de leurs libertés civiles être remplacé par un nouveau projet de loi.
La loi de 2021 sur la prévention du terrorisme domestique
Le DTPA est essentiellement la criminalisation de la parole, de l'expression et de la pensée. Cela prend la culture d'annulation un peu plus loin et proscrit pratiquement les opinions impopulaires. Cet acte habilitera les services de renseignement, les forces de l'ordre et même les ailes militaires de la classe dirigeante américaine à réprimer les individus adhérant à certains systèmes de croyances et idéologies.
Selon le membre du Congrès du MI Fred Upton:
«L'attaque contre le Capitole des États-Unis au début du mois était le dernier exemple de terrorisme intérieur, mais la menace de terrorisme intérieur reste bien réelle. Nous ne pouvons pas fermer les yeux sur cela », a déclaré Upton. «La loi sur la prévention du terrorisme domestique dotera nos responsables de l'application de la loi des outils nécessaires pour assurer la sécurité de nos maisons, familles et communautés partout au pays.
Le site Web du membre du Congrès Upton fournit les informations suivantes sur le DTPA:
La loi de 2021 sur la prévention du terrorisme domestique renforcerait les efforts du gouvernement fédéral pour prévenir, signaler, réagir et enquêter sur les actes de terrorisme interne en autorisant des bureaux dédiés à la lutte contre cette menace; exiger de ces bureaux qu'ils évaluent régulièrement cette menace; et en fournissant une formation et des ressources pour aider les forces de l'ordre étatiques, locales et tribales à y faire face.
Le DTPA autoriserait trois bureaux, un chacun au sein du Département de la sécurité intérieure (DHS), du Département de la justice (DOJ) et du Bureau fédéral d'enquête (FBI), à surveiller, enquêter et poursuivre les cas de terrorisme national. Le projet de loi oblige également ces bureaux à fournir au Congrès des rapports biannuels conjoints évaluant l'état des menaces terroristes nationales, avec un accent particulier sur les suprémacistes blancs. Sur la base des données collectées, le DTPA demande à ces bureaux de concentrer leurs ressources sur les menaces les plus importantes.
La DTPA codifie également le Comité exécutif du terrorisme domestique, qui se coordonnerait avec les avocats américains et d'autres responsables de la sécurité publique pour promouvoir le partage d'informations et assurer un effort conjoint efficace, réactif et organisé pour lutter contre le terrorisme national. La législation oblige le DOJ, le FBI et le DHS à fournir une formation et des ressources pour aider les organismes d'application de la loi étatiques, locaux et tribaux à comprendre, détecter, dissuader et enquêter sur les actes de terrorisme national et de suprématie blanche. Enfin, la DTPA ordonne au DHS, au DOJ, au FBI et au ministère de la Défense de créer un groupe de travail interinstitutions pour lutter contre l'infiltration de la suprématie blanche dans les services en uniforme et l'application de la loi fédérale.
RépondreSupprimerCeux qui lisent le projet de loi ne sont pas si enthousiastes à l'idée de déchiqueter la Constitution
La députée Tulsi Gabbard a de sérieuses réserves. Dans une récente interview sur Fox News Primetime, Gabbard a déclaré que le projet de loi criminalise effectivement la moitié du pays. (Soulignez le nôtre)
«C'est tellement dangereux comme vous en avez parlé, c'est un problème dont tous les démocrates, républicains, indépendants, libertariens devraient être extrêmement préoccupés, surtout parce que nous n'avons pas à deviner où cela va ou comment cela se termine». Dit Gabbard.
Elle a poursuivi: «Quand des gens comme l'ancien directeur de la CIA John Brennan parlent ouvertement de la façon dont il a parlé ou entendu des personnes nommées et des candidats de l'administration Biden qui commencent déjà à chercher dans tout notre pays ces types de mouvements similaires aux insurrections qu'ils 'ai vu à l'étranger, que dans ses mots, il dit constituer cette alliance impie d'extrémistes religieux, de racistes, de fanatiques, il en énumère quelques autres et à la fin, même des libertaires.
Gabbard, se déclarant préoccupée par la manière dont le gouvernement définira les qualités qu'il recherche dans les menaces potentielles pour le pays, a poursuivi en demandant:
«Quelles caractéristiques recherchons-nous alors que nous construisons ce profil d'un extrémiste potentiel, de quoi parlons-nous ? Extrémistes religieux, parle-t-on de chrétiens, de chrétiens évangéliques, qu'est-ce qu'un extrémiste religieux ? Est-ce quelqu'un qui est pro-vie ? Où emportez-vous ça
Tulsi a déclaré que le projet de loi créerait une atteinte dangereuse à nos libertés civiles et à nos libertés dans notre Constitution. Elle a également déclaré que le DPTA cible essentiellement près de la moitié des États-Unis.
"Vous commencez à regarder évidemment, il faut être une personne blanche, évidemment probablement un homme, des libertaires, toute personne qui aime la liberté, peut-être a un drapeau américain devant sa maison, ou des personnes qui, vous savez, ont assisté à un rassemblement Trump", Gabbard m'a dit.
Tulsi Gabbard n'est pas le seul à critiquer la législation
Même l'ACLU, l'une des organisations les plus faibles en matière de libertés civiles aux États-Unis, s'est prononcée. Alors que l'ACLU se préoccupait uniquement de la façon dont le projet de loi affecterait les minorités ou les «personnes brunes», l'organisation a déclaré que la législation, bien que présentée sous le couvert de contrer la suprématie blanche, serait éventuellement utilisée contre des non-blancs.
La déclaration de l’ACLU est vraie.
RépondreSupprimerComme pour les projets de loi similaires soumis sous prétexte de «protéger» les Américains contre les menaces extérieures, ce projet de loi va inévitablement s'étendre davantage. Les objectifs déclarés du DPTA sont suffisamment ambitieux et effrayants. Cela équivaudrait à une déclaration officielle de la fin de la liberté d'expression.
Bientôt, il n'y aura plus de droits pour les Américains
Au cours des vingt dernières années, les Américains ont perdu leurs droits au 4e amendement, et maintenant ils perdent leur premier. Tout ce qui reste est le 2e amendement, et la classe dirigeante et un nombre croissant de personnes américaines le savent.
Les jours sombres sont à venir.
https://www.zerohedge.com/political/would-you-be-considered-domestic-terrorist-under-new-bill
L'Administration sera non blanche, non sexée et donc de préférence trisomique ou adoratrice des 'Témoins de Greta' !
SupprimerLes démocrates présentent un projet de loi pour "élargir massivement '' le vote par correspondance
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 29 JAN 2021 - 14:30
Rédigé par Tom Ozimek via The Epoch Times (nous soulignons),
Les législateurs démocrates ont présenté jeudi un projet de loi baptisé «Loi sur le vote à domicile», qui vise à «élargir massivement l'accès au vote à domicile», en adoptant l'inscription automatique des électeurs et en fournissant aux électeurs des enveloppes prépayées.
Le sénateur Ron Wyden (D-Ore.) Et le représentant Earl Blumenauer (D-Ore.) Ont présenté le projet de loi (pdf), déclarant dans un communiqué de presse que la législation vise à «lutter contre la suppression des électeurs».
"Notre démocratie est plus forte lorsque chaque Américain peut voter, sans se tenir dans des lignes ridicules ou sans avoir à s'absenter du travail ou de l'école pour exercer ses droits constitutionnels", a déclaré Wyden dans un communiqué.
L'initiative contraste avec un projet de loi présenté par les républicains il y a plusieurs semaines, qui vise à resserrer les vérifications d'inscription des électeurs et à restreindre les règles concernant le moment et la manière d'accepter les bulletins de vote par correspondance, dans le but de renforcer l'intégrité des élections fédérales.
Les législateurs démocrates ont déclaré que l'introduction du projet de loi était encouragée par ce qu'ils ont décrit comme «l'expansion réussie du vote à domicile et par correspondance lors des élections de novembre 2020», dans laquelle près de 50% des électeurs ont voté par correspondance, un record en courses fédérales.
"L'année dernière, nous avons assisté à une expansion généralisée de l'accès au vote à domicile comme moyen sûr et sécurisé de participer à la pandémie COVID-19", a déclaré Blumenauer dans un communiqué. «Nous devons continuer à rendre le vote plus facile, pas plus difficile. Cet important projet de loi renforcerait et clarifierait le droit de vote à domicile, le moyen le plus sûr et le plus pratique pour les électeurs d'exercer le droit de vote.
Les détracteurs de l'expansion des initiatives de vote par correspondance ont mis en garde contre le potentiel accru de fraude électorale, dont les allégations étaient au centre de l'élection présidentielle contestée, le président Donald Trump, les membres de son équipe juridique et ses partisans, faisant de nombreuses affirmations selon lesquelles équivalait à l'accusation de vol de l'élection.
Peter Navarro, qui a été conseiller de Trump, a conclu dans un rapport exhaustif sur l'intégrité des élections de 2020 que les allégations d'irrégularités, y compris la fraude électorale pure et simple, étaient suffisamment graves pour justifier une enquête urgente et suffisamment substantielles pour potentiellement renverser les résultats. .
RépondreSupprimerLes responsables électoraux de l'État, le ministère de la Justice et d'autres ont rejeté l'idée d'une fraude électorale généralisée lors des élections de novembre.
La loi sur le vote à domicile des démocrates prévoit une série d’actions qui élargiraient le vote par correspondance aux élections fédérales.
«Tous les électeurs inscrits recevraient des bulletins de vote par la poste quelques semaines avant le jour du scrutin, ce qui leur permettrait de rechercher soigneusement les candidats et les problèmes bien avant le jour du scrutin pour informer leur vote», indique le communiqué de presse.
Le projet de loi accorderait également à tous les électeurs inscrits du pays la possibilité de voter par courrier ou aux urnes. La loi appelle également à une augmentation du financement du service postal américain afin de couvrir les coûts associés au traitement des bulletins de vote.
«Cela permettrait aux États d'économiser de l'argent en s'éloignant des bureaux de vote et de réduire un obstacle majeur pour les électeurs, le gouvernement fédéral absorbant les coûts associés à la livraison de l'USPS», note le communiqué de presse.
En vertu des dispositions du projet de loi, les États seraient également tenus d'inscrire automatiquement les électeurs lorsqu'ils fournissent des informations d'identification à l'autorité nationale des véhicules à moteur. Les électeurs qui ne souhaitent pas rester inscrits auraient trois semaines pour se retirer.
Le projet de loi républicain de la Chambre, quant à lui, appelé «Save Democracy Act», cherche à créer des protections de base contre les irrégularités électorales et la fraude électorale pendant les élections.
L'initiative du GOP cherche à empêcher l'inscription automatique des électeurs pour les élections fédérales, interdit aux États d'envoyer des bulletins de vote par correspondance non demandés et appelle à l'interdiction d'utiliser les urnes publiques.
Le représentant Jim Banks (R-Ind.), A déclaré dans un communiqué de presse: «Ce projet de loi rétablira la confiance du public dans le fait que son vote est compté et que sa voix est entendue.»
Suivez Tom sur Twitter: @OZImekTOM
https://www.zerohedge.com/political/democrats-introduce-bill-massively-expand-mail-voting
Grâce aux 'Nouveaux transporteurs de courriers' 100 % des votes seront pour la dictature criminelle nazie à la WH !
SupprimerLe gouverneur du Texas ordonne aux agences de poursuivre l'administrateur de Biden pour des actions climatiques qui «tuent des emplois»
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 29 JAN 2021 - 23:20
Rédigé par Tom Ozimek via The Epoch Times,
Le gouverneur républicain du Texas, Greg Abbott, a promis jeudi de s'opposer à ce qu'il a appelé la tentative de l'administration Biden de détruire des emplois avec sa volée d'actions visant l'industrie pétrolière et gazière.
Abbott a signé jeudi un décret lors d'une conférence de presse à Odessa, qui a ordonné à toutes les agences de l'État de poursuivre l'administration Biden pour toute action fédérale menaçant le secteur énergétique de l'État Lone Star.
«Le Texas va protéger l'industrie pétrolière et gazière de tout type d'attaque hostile lancée depuis Washington D.C.», a déclaré Abbott.
«L'adhésion du président Biden au nouvel accord vert est un tueur d'emplois au Texas. L'indépendance énergétique que le Texas a été en mesure de fournir aux États-Unis d'Amérique et le Texas ne va pas rester les bras croisés et regarder l'administration Biden tuer des emplois à Midland, à Odessa ou dans tout autre endroit du pays. toute la région », a-t-il ajouté.
L'ordre d'Abbott (pdf) fait suite à une série de mesures exécutives prises par le président Joe Biden au nom de la lutte contre le «changement climatique». Celles-ci incluent la décision de révoquer l'autorisation du pipeline Keystone, la décision de rejoindre l'Accord de Paris sur le climat et un moratoire sur la délivrance de nouveaux baux pétroliers et gaziers sur les terres et les eaux fédérales.
Alors que les actions de Biden ont attiré le feu des républicains, des groupes industriels et même de certains démocrates, l'Envoyé présidentiel spécial pour le climat, John Kerry, a déclaré lors d'un point de presse mercredi à la Maison Blanche que Biden veut s'assurer que les travailleurs du secteur de l'énergie "aient de meilleurs choix". dans des emplois «mieux rémunérés» et «plus propres», donnant l'exemple d'être un technicien en énergie solaire au lieu d'être un mineur. Kerry a également affirmé que c'est une fausse idée que «gérer le climat» se fait au détriment des travailleurs de l'énergie, ajoutant qu'il y a «beaucoup d'argent à gagner» dans la création de nouveaux emplois «plus sains» dans des secteurs tels que l'hydrogène vert. , chaleur géothermique et autres énergies renouvelables.
Le chef de la minorité au Sénat, Mitch McConnell (R-Ky.), A critiqué jeudi les actions de l'administration Biden en matière de politique énergétique, qu'il a collectivement qualifiées de «nouvel accord vert au coup par coup».
«Il n'y a rien de vert dans un tsunami de feuillets roses pour les travailleurs américains, ou de transporter du brut canadien dans des camions et des trains au lieu d'un pipeline», a déclaré McConnell au Sénat. «Ce nouvel accord vert au coup par coup est la mauvaise prescription: mauvais pour l'environnement, mauvais pour la sécurité nationale, et surtout pour les travailleurs américains qui seront bientôt des travailleurs américains si cela continue.
«Jeter volontairement nos propres employés au chômage, réduire notre sécurité énergétique domestique, augmenter les coûts et les prix pour les familles de travailleurs - tout cela sans impact significatif sur les températures mondiales», a ajouté McConnell.
RépondreSupprimerMcConnell a également cité une étude (pdf) de la société de conseil en énergie OnLocation, qui a conclu que l'interdiction des baux pétroliers et gaziers de Biden signifierait la perte de près d'un million d'emplois d'ici 2022.
«La décision sur les terres fédérales nous laissera près d'un million d'emplois américains d'ici l'an prochain seulement», a déclaré McConnell au Sénat. «C’est un moyen de lancer une présidence.»
Mais le Texas est «prêt à riposter», a déclaré Abbott, avec son décret ordonnant à chaque agence étatique, «d'utiliser tous les pouvoirs et outils légaux pour contester toute action fédérale qui menace la force et la vitalité continues de l'industrie énergétique. Chaque agence de l'État doit s'efforcer d'identifier les litiges potentiels, les opportunités de notification et de commentaire, ainsi que tout autre moyen d'empêcher une atteinte fédérale à la loi. »
Abbott a également déclaré qu'il soutiendrait une législation qui interdirait aux villes d'interdire les appareils au gaz naturel, une mesure qui, selon lui, a été récemment prise à San Francisco.
«Au Texas, nous ne laisserons pas les villes utiliser le politiquement correct pour dicter la source d'énergie que vous utilisez», a-t-il déclaré.
https://www.zerohedge.com/political/texas-governor-orders-agencies-sue-biden-admin-climate-actions-kill-jobs
Une puissante tempête de neige pourrait toucher 100 millions de personnes du Midwest au nord-est
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 29 JAN 2021 - 17:40
Une puissante tempête hivernale débutant samedi au début de la semaine prochaine pourrait toucher plus de 100 millions de personnes du Midwest au nord-est.
CBS News rapporte de Chicago à Cleveland à Baltimore à New York, des dizaines de millions de personnes pourraient être touchées par des conditions hivernales rigoureuses à partir de samedi et jusqu'à mardi.
Le système a déjà déversé plus de 15 pouces de pluie dans certaines parties de la Californie et à des altitudes plus élevées, jusqu'à 100 pouces de neige cette semaine. Nous avons noté plus tôt qu'une rivière atmosphérique émanant de l'océan Pacifique créerait des conditions météorologiques extrêmes pour certaines parties de la Californie, ce qui entraînerait éventuellement une tempête de neige pour les États du Midwest et du Nord-Est.
Vendredi après-midi, le système est au sud-ouest et se déplace vers l'est.
- voir carte sur site -
Avant l'arrivée de la tempête, une grande partie du centre de l'Atlantique et du nord-est connaissent des températures glaciales.
- voir carte sur site -
De fortes chutes de neige sont susceptibles de tomber sur le Midwest et la vallée de l'Ohio samedi soir et dimanche. Chicago, Indianapolis et Colombus pouvaient voir n'importe où de 6 à 12 pouces dimanche soir.
- voir carte sur site -
Dimanche, le système se déplacera vers la région médio-atlantique, répandant de la neige en Virginie, à Washington, DC, au Maryland, au Delaware et dans le sud de la Pennsylvanie.
"La neige peut parfois être lourde dans des endroits comme Washington, D.C.", a déclaré CBS.
- voir carte sur site -
Alors que CBS ne propose que des modèles météorologiques de ce qui peut arriver, leurs météorologues posent quelques questions sur la trajectoire potentielle du système:
"Vient maintenant la partie délicate. La tempête glisse-t-elle vers l'est vers la mer, gardant l'air froid enfermé dans la région de Washington et la grosse bulle de neige entre DC et Atlantic City? Ou la tempête se déplace-t-elle vers le nord-est, enterrant New York City, Providence et peut-être Boston dans plus d'un pied de neige? "
Les prévisions pour lundi montrent que la ville de New York pourrait être envahie par la neige.
- voir carte sur site -
Les prévisions des chutes de neige totales des États du centre de l'Atlantique et du Nord-Est jusqu'au début du prochain montrent qu'une accumulation importante pourrait être à venir.
- voir carte sur site -
Bien que tout le monde puisse prendre un jour de neige ou deux au début de la semaine prochaine, cela donnera à encore plus de gens la possibilité de négocier GameStop et d'autres actions les plus vendues. Voici une liste des prochaines actions les plus vendues.
https://www.zerohedge.com/commodities/powerful-snowstorm-could-impact-100-million-people-midwest-northeast
Sur ventusky.com: Lundi 8 Février -38°C (N-O Wyoming)
SupprimerRegardez: La police britannique harcèle et arrête des personnes pour aller travailler, magasins
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 30 JAN 2021 - 9:20
Rédigé par Steve Watson via Summit News,
Deux vidéos virales résument l'état du Royaume-Uni en ce moment avec la police abusant des pouvoirs qui leur sont conférés pour appliquer les lois de verrouillage. Dans un cas, un homme a été arrêté alors qu'il se rendait au travail pour ne pas s'identifier, tandis qu'un autre qui s'est rendu dans un magasin a été emmené pour ne pas porter correctement un masque.
La police des West Midlands a été forcée de s'excuser après qu'un homme de Solihull ait été suivi, traité d'idiot et finalement arrêté par une police trop officieuse.
On peut voir la police harceler l'homme, lui demandant où il va, où il habite et exigeant son nom.
Le gars essayait juste d'aller travailler.
Lorsque l’homme a refusé de donner son nom, disant «ne vous en faites pas», et a demandé au policier d’allumer sa caméra corporelle, le harcèlement s’est intensifié.
"Que voulez-vous dire, ne vous en faites pas?" L'officier a répondu en ajoutant: «Nous sommes ici pour appliquer la législation, mon pote, alors j'ai besoin de savoir qui vous êtes.»
«Vous n’avez pas besoin de savoir qui je suis - je n’ai commis aucune infraction», a répondu l’homme.
L'officier a ensuite menacé «en vertu de la législation sur les coronavirus, vous devez me fournir quelques détails, sinon vous allez être arrêté».
Lorsque l'homme a demandé pourquoi il allait être arrêté, le policier a dit qu'il «se disputait» et que cela constituait un «soupçon raisonnable».
«De toute évidence, vous me harcelez, parce que j'ai un sweat à capuche, un manteau, je suis sur le chemin du travail, je suis un citoyen normal», a répondu le gars, ajoutant «Pourquoi est-ce que je permettrais à quelqu'un de simplement m'arrêter?
Le policier a ensuite répondu: «Nous sommes la police, nous ne sommes pas simplement quelqu'un, vous êtes idiot.»
"Quoi, alors juste parce que vous êtes la police, cela vous donne le droit d'arrêter qui vous voulez et d'obtenir ses détails ?" l'homme a répondu, exhortant "Vous devez être réformé sur la loi."
L'officier a ensuite emmené l'homme.
Les forces de police ont par la suite publié une déclaration indiquant qu '«il est clair que la conduite de l’officier était bien en deçà de ce à quoi nous nous attendions».
"L'homme a expliqué qu'il se dirigeait vers le travail - c'est clairement une raison justifiable d'être en déplacement et il n'y avait aucun soupçon qu'il ait commis des infractions", a poursuivi le communiqué, concluant "En tant que tel, il n'aurait pas dû être contesté de la manière il était."
RépondreSupprimerC'est loin d'être un incident isolé, avec une autre vidéo montrant des agents du Merseyside épinglant un homme au sol d'un supermarché après qu'il ait refusé de leur donner son nom.
La police affirme que l'homme portait un masque autour du cou, ne couvrant pas le visage, c'est pourquoi les agents l'ont approché.
Cependant, l'homme a insisté pour qu'il n'abaisse le masque que pour nettoyer ses lunettes, qui avaient embué.
- voir clips sur site -
"Je ne voulais pas donner mes détails parce que je n'avais rien fait de mal et quand il m'a attrapé, j'ai essayé de m'éloigner", a déclaré l'homme aux journalistes.
«J'ai été surpris et je ne savais pas quoi faire alors j'ai essayé de l'éloigner de moi. Il a ensuite mis mes mains derrière mon dos et m'a poussé sur le sol », a ajouté l'homme.
La police l'a expulsé du magasin et lui a infligé une amende de 100 £, sans être arrêté.
Les supermarchés sont surveillés par la police et inspectés alors qu'ils prétendent qu'ils n'appliquent pas assez efficacement les règles de distanciation sociale. Certains peuvent être condamnés à des amendes pour avoir «enfreint les règles», selon les rapports.
Les gens ont été encouragés à ne pas socialiser ou même à ne pas parler à des amis dans la rue ou au supermarché.
Dans un autre incident, un couple avec un bébé et une poussette a été grillé par la police COVID dans le centre-ville de Birmingham simplement pour marcher dans la rue. Le rapport a noté que les agents de soutien communautaire de la police ont alors commencé à interroger les personnes qui étaient arrivées dans une pharmacie pour aller chercher des médicaments sur ordonnance.
La police harcèle également les vieilles dames qui nourrissent les pigeons et d'autres marchent et s'assoient sur des bancs dans les parcs ou le long des berges.
Deux femmes ont été interrogées et condamnées à une amende par la police pour s'être promenées dans une région éloignée à 8 km de leur lieu de résidence, bien que cela ne soit pas illégal en vertu des lois sur les coronavirus. La police a dit aux femmes que les boissons chaudes qu'elles transportaient constituaient un «pique-nique».
Les femmes, Jessica Allen et Eliza Moore, ont déclaré aux journalistes que la police semblait «désespérée de leur infliger une amende».
RépondreSupprimerComme nous l'avons déjà signalé, la police a récemment annoncé l'adoption d'une nouvelle politique de verrouillage `` dure '' pour arrêter et interroger les gens s'ils sont dans la rue, et pour émettre des amendes instantanées s'ils ne peuvent pas fournir une excuse raisonnable pour être hors de la rue. leurs maisons.
La police a également déclaré qu’elle ciblerait spécifiquement les «manifestants anti-lock-out et anti-vaccin», affirmant que «nous avons maintenant un élément hardcore qui est contre les règles».
La police réclame également de nouveaux pouvoirs pour forcer l'entrée dans les maisons des contrevenants présumés du verrouillage.
Des vidéos ont déjà émergé de flics entrant dans les maisons des gens après avoir reçu des rapports de voisins mouchards signalant des visiteurs.
Comme nous l'avons également souligné, la police menace les gens d'amendes s'ils profitent du temps hivernal.
Un service de police local a même tweeté avec colère à propos de «2 rapports de boules de neige lancées» en violation des règles de verrouillage du coronavirus.
Un autre service de police a menacé des gens d'amendes pour avoir projeté de faire de la luge dans une région isolée du Yorkshire du Nord.
La police d'Avon et du Somerset s'est même vantée d'avoir infligé une amende à une personne assise seule dans sa voiture, mangeant un kebab.
Lorsqu'il s'agit de suivre les règles elles-mêmes, certains policiers ne semblent pas se soucier de s'y conformer.
Une vidéo est apparue montrant des policiers eux-mêmes assis dans un café en train de boire du café, la personne qui les filme se demandant pourquoi ils ne respectaient pas les règles.
https://www.zerohedge.com/covid-19/watch-uk-police-harass-and-arrest-people-going-work-shops