Covid-19: quand la mafia du vaccin veut votre argent
18:39 11.01.2021
Les campagnes de vaccination sont en cours dans de nombreux pays. À un rythme plus ou moins soutenu. Du coup, des réseaux criminels vendent à des prix exorbitants sur le Dark Web des vaccins contrefaits très dangereux pour la santé. En outre, les autorités sont sur le qui-vive afin d’empêcher les vols de doses. Analyse d’une situation explosive.
Exploiter l’inquiétude de personnes vulnérables pour leur soutirer de l’argent. La technique est bien connue des criminels. Aucune raison qu’elle ne s’applique pas en pleine pandémie de Covid-19. Sur le Dark Web, des trafiquants n’hésitent pas à mettre en vente des doses de vaccin contrefaites, mettant ainsi en danger la vie de clients naïfs.
«En novembre, après les premières annonces de fiabilité de certains sérums par des géants de l'industrie, nous avons vu fleurir, sur cet Internet parallèle, près de mille sites traitant du sujet. Nous en avons identifié une dizaine qui proposait des doses de vaccin», explique au Parisien Xavier Duros, directeur technique de Check Point Software.
La situation est prise très au sérieux par les autorités. Une inquiétude répandue au niveau planétaire! Le 21 décembre, Jürgen Stock, patron d’Interpol, lançait un avertissement dans le magazine allemand Wirtschaftswoche: «Avec l'acheminement des vaccins, la criminalité va augmenter de manière spectaculaire.»
«Nous allons assister à des vols, à des cambriolages d'entrepôts et à des attaques lors du transport des vaccins», expliquait-il. Les gouvernements du monde déploient les grands moyens pour protéger les précieux sérums. En Allemagne, par exemple, c’est la police fédérale qui achemine les doses, lesquelles sont stockées dans des endroits tenus secrets.
Des mesures de sécurités drastiques
En France, les ministères de la Santé et de l'Intérieur ont adressé une note aux préfets et aux agences régionales de santé (ARS). La missive met en garde contre «les actes de malveillance (dégradations, vols, attaques cyber, intrusions dans des lieux de stockage)» et autres actions menées par des «militants activistes antivaccin», voire des «actes terroristes».
Transporteurs partenaires de l’américain Pfizer en Europe, DHL et Fedex ont été mis à contribution. Ils doivent respecter les délais fixés dans «un plan de transport» communiqué à l'avance aux autorités. Ils sont également tenus de garantir la confidentialité de leurs chargements. Les arrêts sont limités sur les trajets et leurs durées réduites au minimum. Le tout «en évitant les lieux d'affluence».
Chaque préfet est en mesure de faire escorter les convois par «des véhicules banalisés ou sérigraphiés». Un «appui aérien» à l’aide de drones peut aussi être mis en œuvre.
«Ce seront des transports spécialisés dans les produits de santé, comme des poches de sang voire des organes. Ce sont des transporteurs agréés, parfaitement professionnels», expliquait en décembre le ministre de la Santé, Olivier Véran, alors qu’il visitait l'un des sites de stockage à Chanteloup-en-Brie (Seine-et-Marne). Sans surprise, ces entrepôts font également l’objet de mesures de sécurité strictes. Des dispositifs anti-intrusion ou des caméras de vidéosurveillance veillent au grain. Pour pallier une situation d’urgence, des circuits d'électricité de secours permettant de poursuivre l'activité «en mode dégradé» ont également été préconisés.
Vaccin Moderna pour la France: près de huit millions de doses attendues d’ici à fin juin
Quant à l’accès à ces zones sensibles, il fait l’objet de contrôles stricts. Il est réservé aux seules personnes autorisées, recensées sur un registre spécial ou munies d’un badge. Enfin, la sécurité informatique a été renforcée afin de se prémunir contre les risques de cyberattaque. Chaque acteur de la chaîne d’approvisionnement a été invité à renforcer sa protection «contre les intrusions dans les systèmes d'information» ainsi qu’à fermer «tous les services non indispensables». Le but? Limiter les risques de fuites de données après un phishing ou contrecarrer les tentatives d'extorsion au moyen de «rançongiciels».
Le 9 décembre dernier, l'Agence européenne des médicaments (AEM) annonçait avoir été la cible de hackers qui ont piraté des documents liés au vaccin de Pfizer-BioNTech. Sarah Pineau, officier dans la réserve opérationnelle de l'armée de terre, expliquait récemment à l’AFP que «quand des hackers lancent une attaque et demandent une rançon, ils sont quasiment sûr d'arriver à leurs fins». Elle disait craindre que la médiatisation de ces attaques «renforce la défiance des populations vis-à-vis des vaccins».
Si, pour le moment, aucune attaque de convoi ou d’entrepôt n’a fait la une des médias, on ne peut en dire autant de l’activité des criminels sur le Dark Web. Cet Internet parallèle, dont les adresses ne sont pas répertoriées par les moteurs de recherche, est très prisé des cybercriminels en tout genre. Et pour eux, la pandémie représente une opportunité.
RFI rappelle que, fin 2020, l'agence européenne de police Europol avait déjà répertorié des dizaines de sites proposant des doses de vaccin de manière frauduleuse et en avait démantelé certains. «Mais les arnaques aux faux vaccins repartent à la hausse», indique l’agence qui recommande aujourd’hui «la plus grande prudence aux internautes ayant l’intention d’acquérir ces produits pharmaceutiques falsifiés et dont l’usage se révèle particulièrement nocif pour la santé», rapporte le média international français.
Et le business est juteux. Les doses vendues en ligne se négocient entre 150 et 1.000 dollars. «De nombreuses personnes ne veulent pas attendre pour être immunisés de passer par les canaux de santé officiels de leur pays. Et il y a toujours des vendeurs sur le Dark Web qui prétendent répondre aux besoins de ces impatients», analyse auprès de 20 Minutes Check Point, éditeur de logiciels de sécurité informatique pour les entreprises.
Récemment invitée à s’exprimer auprès de BFM TV, Aline Plançon, ex-responsable du programme international d’Interpol de lutte contre la criminalité pharmaceutique, alertait sur «une criminalité en plein développement» pour laquelle «le Covid-19 est une opportunité de générer des profits encore plus importants». D’après elle, les trafics de médicaments génèrent «à peu près 100 milliards de dollars par an».
Les vols de vaccins ne représentent pas le seul risque. D’après Aline Plançon, les trafiquants sont en mesure d’«acheter des vaccins auprès d’intermédiaires qui n'ont en rien la volonté de soigner les gens, puis de les revendre de façon illégale sur les marchés, et cela en dépit de tout stockage et de toute précaution sanitaire».
«Dans ces conditions, le vaccin peut perdre de son efficacité. Ou alors, si c'est un faux, il peut ne pas contenir les bons principes actifs et entraîner la mort de celui qui se l'injecte», alerte-t-elle. Preuve d’un business florissant, les doses de vaccin ne sont pas les seuls produits pour lutter contre le Covid-19 en vente sur le Dark Web. Les équipes de Check Point ont ainsi repéré des ventes de chloroquine –traitement mis en avant par le professeur Didier Raoult– ou de faux résultats négatifs de tests PCR.
Les Français pas complètement épargnés malgré la Sécu La situation est d’autant plus grave que lutter contre ce type de criminalité n’est pas simple. Les vendeurs bénéficient de techniques bien rodées. L’une des plus efficaces consiste à laisser leurs sites en ligne sur une période de temps restreinte afin de ne pas se faire repérer. Les criminels les recréent ensuite à une adresse différente. Un jeu du chat et de la souris qui complique la tâche de la police.
Jusqu’à 1.000 dollars la fausse dose de vaccin anti-Covid sur le Dark Web
Et c’est loin d’être leur seul subterfuge, comme l’explique RFI: «Pour appâter le chaland, certains cybercriminels se font passer pour les représentants d’un institut de recherche ayant les ressources suffisantes pour envoyer des doses partout dans le monde. Pour être crédibles, leurs sites affichent souvent les logos de véritables sociétés pharmaceutiques et parfois ceux de l'Organisation mondiale de la santé.»
Reste que l’achat de ces doses illégales n’est pas à la portée de tous. Se connecter sur le Dark Web nécessite le téléchargement d’un logiciel et quelques connaissances de base en informatique. De plus, beaucoup des ventes se font en bitcoins. «Ce qui exclut l'achat direct par madame Michu, car il faut connaître les plateformes de vente et se procurer de la monnaie virtuelle. La vente se passe surtout entre petits revendeurs qui les dispatchent ensuite sur des cercles restreints via des messageries privées», analyse auprès du Parisien Antoine Violet-Surcouf, directeur général d'Avisa Partners et spécialiste de la contrefaçon sur Internet.
Autre motif d’espoir pour l’Hexagone: la Sécurité sociale à la française. Le pays est un terreau moins fertile que d’autres nations pour la vente frauduleuse de médicaments comme le souligne auprès de RMC Antoine Violet-Surcouf:
«Il faut distinguer les consommateurs français des autres. En France, on a une Sécurité sociale très performante. Les produits médicaux sont quasi gratuits. Donc les Français n'achètent pas trop des médicaments sur Internet. Mais dans d’autres pays moins bien lotis, ce trafic est assez fréquent et existe depuis de nombreuses années déjà.»
Mais attention, cela ne signifie en aucun cas que la France est épargnée. «Il y a des achats», rappelle auprès du Parisien Xavier Ducros. Pour ne pas tomber dans le panneau, mieux vaut faire preuve de prudence et respecter quelques règles comme l’explique sur RMC Nicolas Lellouche, journaliste à 01Net:
«On va peut-être vous contacter par mail pour vous proposer des solutions miracles. La plupart du temps, ce seront des arnaques. Il ne faut pas répondre. Il ne faut surtout pas donner vos coordonnées bancaires parce que c’est comme ça que les pirates essaient aujourd’hui d'accéder aux données des gens, en se faisant passer pour des personnes qui peuvent leur apporter un service.»
Premièrement un virus n'irradie que quelques temps (3 semaines) et, c'est sur cette souche analysée qu'est recherchée un vaccin. Or, pour mettre un vaccin au point, il faut entre 10 à 15 ans (et non 'quelques mois' !).
Deuxièmement, les vaccins proposés ne peuvent donc pas correspondre au virus n°xxxx détecté et mort au mois de Mars ou d'Avril. Il ne sont donc d'aucune utilité pour les numéros suivant qui sont de souches différentes !
Une maison de soins infirmiers n'a eu aucun décès par COVID. Ensuite, il vaccine les résidents et les décès commencent
PAR TYLER DURDEN LUNDI 11 JAN 2021 - 15:36 Rédigé par Adam Dick via le Ron Paul Institute for Peace & Prosperity,
Les choses semblent fonctionner à rebours à la maison de retraite The Commons on St. Anthony à Auburn, New York.
Vacciner les gens est censé réduire ou mettre fin aux décès dus aux coronavirus. Ok ?
Mais, aux Communes, de tels décès ne se seraient produits qu'après que les résidents ont commencé à être vaccinés contre le coronavirus.
James T.Mulder a écrit samedi sur syracuse.com que jusqu'au 29 décembre, il n'y avait pas eu de décès de coronavirus à The Commons.
Le 29 décembre, lorsque les décès de résidents atteints de coronavirus ont commencé à se produire à The Commons, est également, selon l'article de Mulder, sept jours après que la maison de soins infirmiers a commencé à vacciner les résidents contre le coronavirus, 80% des résidents ayant jusqu'à présent été vaccinés.
Sur une période de moins de deux semaines depuis le 29 décembre, Mulder rapporte que 24 résidents infectés par le coronavirus de la maison de soins infirmiers de 300 lits sont décédés.
La maison de soins infirmiers a commencé à vacciner les résidents le 22 décembre.
À ce jour, 193 résidents, soit 80 %, et 113 employés, soit moins de la moitié du personnel, ont été vaccinés.
La maison de soins infirmiers prévoit de faire plus de vaccinations le 12 janvier.
Étude de la vie réelle: les écoliers masqués sont blessés physiquement, psychologiquement, comportementalement et souffrent de 24 problèmes de santé distincts
Lundi 11 janvier 2021 par: Lance D Johnson
(Natural News) Une étude unique en son genre, portant sur plus de 25 000 enfants, révèle que les masques nuisent aux écoliers de nombreuses manières physiques et psychologiques et ont un effet négatif sur leur comportement, leur concentration et leur intérêt pour l'apprentissage. Ces effets négatifs sont censurés des médias sociaux, sous-rapportés par les médias et ignorés par les responsables gouvernementaux. Sur les 25 930 enfants étudiés, la base de données comprend au moins 17 854 plaintes de santé soumises par les parents. Ces problèmes de santé et déficiences ont été observés chez environ 68 pour cent des écoliers masqués qui ont été forcés de porter un masque facial pendant en moyenne quatre heures et demie par jour.
Le port de masque prolongé, forcé et strict détruit la santé des enfants
Le registre, créé le 20 octobre 2020, a demandé à 363 médecins d'informer les parents et les enseignants qu'ils peuvent signaler les effets sur la santé dont ils sont témoins du fait de l'utilisation prolongée du masque par les enfants. Les problèmes de santé étaient exhaustifs et incluaient l'irritabilité (60 %), les maux de tête (53 %), la difficulté à se concentrer (50 %), moins de bonheur (49 %), la réticence à aller à l'école / à la maternelle (44 %), le malaise (42 %) troubles d'apprentissage (38 %) et somnolence ou fatigue (37%). » Près d'un tiers des enfants dorment moins bien que d'habitude et un quart des enfants ont développé de nouvelles peurs. Des centaines d'enfants étaient moins gais, moins joueurs et la plupart étaient inhabituellement irritables.
Plus inquiétant encore, (29,7 %) avaient un essoufflement, (26,4 %) des étourdissements et des centaines d'enfants souffraient d'une sensation de faiblesse, d'une sensation de maladie, d'une respiration accélérée, d'une oppression thoracique et d'une altération de la conscience à court terme. . Le port d'un masque universel détruit la santé des enfants, ce qui rend leur système immunitaire plus vulnérable aux maladies. (En relation: le CDC élabore un programme national «d'état de police médicale» pour suivre l'observance des vaccins; peut conduire à un «enlèvement médical» d'enfants.)
Le masquage des écoliers est une expérience médicale qui doit être le choix des parents et qui nécessite un consentement éclairé Partout dans le monde, les pères et les mères perdent leurs droits parentaux car des interventions médicales mineures sont obligatoires pour leurs enfants en milieu scolaire. Les enfants sont violés psychologiquement, car les adultes les forcent à croire que leur souffle est une source constante de transmission de maladies, qu'ils ont le devoir moral de veiller à ce que leur souffle malade n'infecte jamais une autre personne. Les enfants sont entraînés à se craindre les uns les autres, à craindre le monde qui les entoure et à trembler d'obéissance à l'autorité et à la fraude médicale. Ces institutions seront-elles tenues pour responsables des dommages physiques, psychologiques et comportementaux qu’elles continuent d’imposer aux enfants ?
Les enseignants et les conseillers, qui sont tenus par la loi de signaler la maltraitance des enfants, participent désormais activement à la maltraitance des enfants et intimident les parents de se conformer. Chaque jour, les autorités ferment les yeux sur le préjudice psychologique qu’elles infligent aux enfants en masquant obligatoirement la bouche et le nez de chaque enfant. Que peut-on imposer d'autre aux enfants sous prétexte de protéger tout le monde ?
Le masquage des écoliers est une expérience médicale. Les fabricants de masques n'ont pas mené d'études indépendantes sur l'utilisation à long terme de leurs produits chez les adolescents. Par conséquent, les parents n'obtiennent pas de consentement éclairé afin qu'ils puissent faire le choix qui convient le mieux à leur enfant. Dans la plupart des cas, les écoles dictent ce que les parents doivent faire au corps de leur enfant, créant un précédent illégal qui bafoue le droit à la vie privée médicale de la famille tout en perpétuant la maltraitance institutionnelle des enfants sans responsabilité.
«Il n'existe aucune étude indépendante du fabricant sur l'utilisation de masques pour enfants et adolescents certifiés comme produits médicaux pour la sécurité au travail dans des applications professionnelles», ont déclaré les auteurs de l'étude. «De plus, en raison des matériaux inconnus utilisés, il n’ya pas de résultats sur les effets protecteurs potentiels ou les effets secondaires des« masques quotidiens »souvent faits maison portés par la majorité des enfants. Compte tenu des mesures en cours pour contenir la pandémie de COVID-19, et en particulier des obligations variables pour les enfants et les adolescents de porter des masques à l'école pendant une période plus longue, il est urgent de mener des recherches. »
Le vaccin DTC de Bill Gates a tué 10 fois plus de filles africaines que la maladie elle-même
Lundi 11 janvier 2021 par: Ethan Huff
(Natural News) Une étude révisée par des pairs publiée dans la revue très respectée d'Elsevier EBioMedicine a révélé que le vaccin DTC lancé par Bill Gates sur les jeunes filles en Afrique en a tué 10 fois plus que la maladie elle-même.
Le document, commandé par le gouvernement danois et la Fondation Novo Nordisk, a été publié en 2017, bien qu'il n'ait pas reçu à peu près l'attention qu'il mérite. Essentiellement, il expose Gates comme un meurtrier génocidaire qui a commis des crimes odieux contre l'humanité.
Dirigé par les Drs. Søren Wengel Mogensen et Peter Aaby, l’étude a examiné la combinaison du vaccin contre la diphtérie, la coqueluche (coqueluche) et le tétanos, qui a été interrompue aux États-Unis dans les années 90 en raison de milliers de cas de décès et de lésions cérébrales.
«Malgré une vaccination généralisée», note le journal Great Game India, «les États-Unis et d'autres pays connaissent toujours de grandes épidémies de coqueluche.»
Avant la publication de cette étude, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) n'avait jamais pris la peine de mener un essai portant sur les résultats de santé vaccinés par rapport aux non vaccinés, ce qui aurait été nécessaire pour déterminer si le vaccin DTC était vraiment sûr et efficace.
Même ainsi, Bill et Melinda Gates, sans doute les personnes les plus perverses vivant aujourd'hui, ont poussé la drogue sur des bébés africains innocents, y compris en Guinée-Bissau où la moitié des enfants meurent avant l'âge de cinq ans.
Par rapport aux enfants en Guinée-Bissau qui n’ont pas reçu le vaccin DTC de Gates, les enfants qui l’ont fait sont décédés 10 fois plus que les autres enfants. Il a également été constaté que le vaccin rendait les enfants vaccinés plus vulnérables à d'autres maladies mortelles que les enfants non vaccinés ne contractent généralement pas.
«Le vaccin a apparemment compromis leur système immunitaire», explique Great Game India.
Partout où l'on trouve des personnes noires et brunes, Bill Gates est là pour leur injecter du poison L'étude elle-même a déclaré qu'aucune étude prospective «n'a montré des effets bénéfiques sur la survie du DTC», bien qu'il s'agisse du «vaccin le plus largement utilisé».
"Il devrait être préoccupant que l'effet des vaccinations de routine sur la mortalité toutes causes confondues n'a pas été testé dans des essais randomisés", révèle en outre l'étude.
«Toutes les preuves actuellement disponibles suggèrent que le vaccin DTC peut tuer plus d'enfants d'autres causes qu'il n'en sauve de la diphtérie, du tétanos ou de la coqueluche. Bien qu'un vaccin protège les enfants contre la maladie cible, il peut simultanément augmenter la sensibilité aux infections non liées. »
Cependant, rien de tout cela n'a d'importance pour Gates, qui continue de punir financièrement les nations pour ne pas se conformer à ses programmes de vaccination. Gates a également été surpris en train d'essayer de soudoyer des pays pour qu'ils poussent plus de vaccins sur leurs populations, en utilisant des programmes «obligatoires», si nécessaire, pour se conformer.
GAVI, qui est financé par Gates et le gouvernement britannique, a encore infiltré les mécanismes d'élaboration de la politique de santé en Inde, qui pousse maintenant agressivement les vaccins contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) sur les Indiens.
Partout où des personnes brunes et noires peuvent être trouvées, en d'autres termes, Bill et Melinda Gates travaillent pour leur injecter à tous des produits chimiques stérilisants et altérant l'ADN au nom de la santé publique.
Le jab indien «Covaxin», fabriqué par Bharat Biotech, est en fait le produit d’un financement de Gates par l’intermédiaire de son lobby pharmaceutique international. C'est l'une des raisons pour lesquelles le défenseur de la vérité sur les vaccins, Robert F. Kennedy Jr., dans un article, a décrit l'eugéniste milliardaire comme ayant une «obsession des vaccins».
«Il y a des problèmes de portes tournantes avec toutes nos agences fédérales et toutes nos agences d'État», a déclaré Kennedy lors d'une interview sur RT au début de 2020.
"Il y a un phénomène ou une dynamique par lequel l'agence qui est censée protéger le public américain des mauvaises drogues ou de la pollution de ce que vous avez devient finalement une filiale ou une marionnette pour l'industrie qu'elle est censée réglementer."
La Californie oblige les compagnies d'assurance à payer pour les mutilations sexuelles d'organes chez les adolescents confondus entre les sexes
Lundi 11 janvier 2021 par: Ethan Huff
(Natural News) Alors que des millions d'Américains bénéficiant d'une assurance maladie doivent encore payer de leur poche les procédures dentaires nécessaires qui sont considérées comme «cosmétiques» et donc non couvertes, la Californie lance le tapis rouge pour les adolescents dysphoriques de genre leurs organes sexuels ont été coupés «gratuitement».
Le commissaire californien aux assurances Ricardo Lara a annoncé juste avant le début de 2021 que les compagnies d'assurance du Golden State devront désormais payer pour les filles mineures qui pensent être des «garçons» pour subir une double mastectomie - car ne pas accepter de le faire serait «transphobe». . »
Afin de faciliter la «création d'un coffre masculin» pour les filles chez qui cela est «médicalement nécessaire», Lara dit que le secteur de l'assurance devra fournir une couverture à la demande pour la procédure de mutilation.
«Pendant trop longtemps, les personnes diagnostiquées avec une dysphorie de genre ont dû affronter une foule de défis pour avoir accès à des soins affirmant le genre afin d'être elles-mêmes», a déclaré Lara dans un communiqué.
Lara a en outre suggéré que le fait d'exiger que les filles aient au moins 18 ans avant d'opter pour l'ablation des seins est un exemple de «critères médicaux dépassés» qui «crée des obstacles aux soins médicaux nécessaires».
À la demande d'un groupe appelé «Trans Family Support Services», Lara a ordonné à son avocat de rendre une ordonnance à la fin de 2020 obligeant les assureurs à fournir des doubles mastectomies pour toutes les petites filles qui le souhaitent.
Lara a statué que «les assureurs ne peuvent pas refuser la couverture pour une mastectomie et la création d'un thorax masculin (« chirurgie de reconstruction thoracique masculine ») pour le traitement de la dysphorie de genre chez les patients de sexe féminin sur la seule base de l'âge de la personne assurée.»
Une véritable «mastectomie» élimine les tissus mammaires malades et non sains Pour être clair, les compagnies d'assurance sont déjà tenues de fournir une «reconstruction» des organes sexuels aux personnes ayant une confusion entre les sexes qui ont plus de 18 ans. Le changement permet désormais aux enfants mineurs de bénéficier également des procédures sans avoir à payer de leur poche.
Comme l’a noté PJ Media, le langage orwellien qui se répand tout au long de la déclaration de Lara est à la fois trompeur et inexact. «Chirurgie de reconstruction thoracique masculine» n'est pas une expression médicale exacte, pas plus que le mot «mastectomie» lorsqu'il est utilisé dans ce contexte.
Une vraie mastectomie consiste à prélever des tissus malades de la poitrine d’une femme, et non des tissus sains de la poitrine d’une fille atteinte de troubles mentaux. En d’autres termes, le décret de Lara redéfinit complètement la terminologie médicale de base, ce qui est à propos du fait que le transgenre représente la redéfinition de l’humanité.
"L'article 10123.88 du Code des assurances exige que toutes les polices d'assurance maladie couvrent la chirurgie reconstructive nécessaire pour" améliorer la fonction "ou" créer une apparence normale, dans la mesure du possible "", précise encore l'ordonnance.
«La chirurgie reconstructive est définie comme« une intervention chirurgicale effectuée pour corriger ou réparer des structures anormales du corps causées par des anomalies congénitales, des anomalies du développement, un traumatisme, une infection, des tumeurs ou une maladie pour effectuer l’une des opérations suivantes: (A) Améliorer la fonction. (B) Pour créer une apparence normale, dans la mesure du possible. ""
Pendant ce temps, les mêmes procédures exactes ne seront pas couvertes si elles sont détachées de l'agenda LGBTQ. Les femmes souhaitant simplement modifier leurs seins pour une autre raison ne seront pas couvertes par les nouvelles règles.
Si une compagnie d'assurance refuse de couvrir les frais associés à la «chirurgie de reconstruction thoracique masculine», cette institution sera désormais coupable de «discrimination» à l'égard des transgenres.
À aucun moment Lara ou quiconque au sein de sa commission n'a reconnu le fait que de nombreux soi-disant transgenres regrettent plus tard leur décision, surtout lorsqu'elle est prise très tôt dans la vie. Il n'a pas non plus évoqué le fait que les «cliniques» transgenres mentent aux enfants sur les effets associés à la prise de produits pharmaceutiques bloquant les hormones.
«Personne n'est« né dans le mauvais corps », déclare Michelle Cretella, directrice exécutive de l'American College of Pediatricians. «Le sexe est déterminé lors de la fécondation par la génétique… Des conseils et / ou des médicaments psychiatriques pour traiter les traumatismes et les causes sous-jacents sont la réponse; pas de mutilation physique par un soi-disant médecin.
D'autres articles sur le sujet peuvent être trouvés sur Gender.news.
Les tromperies de l'Anthrax de 2001 et celles qui se perpétuent aujourd'hui
10 janv.2021 349 Edward Curtin
Au moment où j'écris le 1er janvier 2021, la nouvelle année ne commence pas sous les meilleurs auspices. Des déclarations inquiétantes viennent des hauts lieux habituels et de leurs porte-parole médiatiques, annonçant des «variantes de virus hautement contagieuses» du soi-disant Covid-19.
Joseph Biden a mis en garde contre un hiver très sombre à venir. Son utilisation de ce terme Dark Winter a été reprise par les responsables du monde entier capables de lire les points de discussion qui leur ont été remis. La chambre d'écho résonne avec des avertissements sombres. Anthony Fauci et le CDC prévoient des centaines de milliers de morts ce mois-ci seulement.
Ces fonctionnaires disent maintenant que les vaccins qu'ils mettent en place prendront du temps; n'éliminera pas le virus, etc. Couvrir leurs paris alors qu'ils annoncent un désastre absolu à venir, un peu comme un avertissement de feu et de soufre de Jonathan Edwards pour les péchés de célébrer les temps de fête. Devinez qui sera blâmé ?
Des projections sinistres suivent les vacances comme des buses sur une carcasse morte. Suivez simplement les gros titres des médias d'entreprise pour le confirmer. Vous n'avez besoin d'aucune direction associée de ma part.
Je préfère être bref pour que vous puissiez lire sur le livre incroyablement important de 2014 de Graeme MacQueen, The 2007 Anthrax Deception. Puis lisez son livre. Son analyse des attaques à l'anthrax liées au 11 septembre jette un éclairage important sur la crise actuelle du virus corona.
Ensuite, écoutez cette nouvelle vidéo - avant qu'elle ne disparaisse - avec Heiko Schöning parlant des tromperies sur le charbon en 2001 et de celles perpétrées aujourd'hui. Schöning est un médecin allemand et l'un des leaders mondiaux qui se battent pour révéler la vérité sur le COVID-19 et le «Great Reset» du Forum économique mondial.
Edward Curtin est un écrivain dont le travail a été largement diffusé. Il enseigne la sociologie au Massachusetts College of Liberal Arts. Son site Web est http://edwardcurtin.com/. Il est l'auteur du nouveau livre Seeking Truth in A Country of Lies.
Il n'existe que deux partis dans le monde : celui des mondialistes pour le Grand reset et celui des anti-mondialistes pour le Grand réveil
Alexander Dugin — Geopolitica.ru Sott.net lun., 11 jan. 2021 12:16 UTC
Sur le plan géopolitique [russe - NdT], nous avons souvent eu par le passé, comme c'est encore le cas aujourd'hui, bien des divergences et des conflits avec les États-Unis. Nous nous battons souvent dans des camps différents. Mais ce qui se produit aux États-Unis aujourd'hui relève davantage de la question des principes que de toute autre considération.
La moitié des États-Unis est soumise au régime totalitaire de l'autre moitié, et une véritable dictature de la gauche libérale y a été instaurée. Dans une telle situation, nous sommes de fait obligés d'exprimer notre pleine solidarité avec la moitié opprimée.
Cette fois, il n'y a pas eu d'élections mais un coup d'État organisé par la conspiration des élites illégitimes. La présidence étasunienne a été piratée. Aujourd'hui, les États-Unis sont sous le contrôle d'une junte extrémiste. Bienvenue à Maïdan ou dans le Tiers-Monde.
Mais c'est la première fois que les mondialistes utilisent au sein même de leur pays le même scénario qui a prévalu dans d'autres pays sous le nom de révolution colorée, qui inclut une élection volée, des fraudes et une campagne de désinformation intérieure. Ils se sont maintenant pleinement exposés et on peut clairement les voir pour ce qu'ils sont. Et c'était déjà le cas avant même qu'ils n'approuvent de telles tactiques sous couvert « des intérêts nationaux étasuniens ». Aujourd'hui, les Étasuniens en sont eux-mêmes les victimes. C'est une conclusion logique. Si vous commencez à utiliser le mensonge et la violence, il arrive un moment où vous ne pouvez plus les utiliser — à partir d'un moment donné, le mensonge vous utilisera.
La lutte principale se situe désormais clairement au niveau internationale. La confrontation entre les mondialistes et les anti-mondialistes est aujourd'hui bien plus importante que celle qui existe entre les Russes et les Étasuniens, ou entre l'Occident et l'Orient, ou encore entre les chrétiens et les musulmans.
Oui, Ashley Babbitt a participé aux guerres impérialistes des États-Unis. Mais sa mort survenue le 6 janvier 2021 constitue bien plus qu'un dernier service rendu à l'État étasunien et à son peuple. Elle a perdu la vie au nom d'une vraie liberté et d'une vraie justice. Et la liberté et la justice sont des valeurs universelles. Russes aussi bien qu'étasuniennes, musulmanes aussi bien que chrétiennes, occidentales aussi bien qu'orientales.
Notre combat ne vise plus les États-Unis. Les États-Unis que nous connaissions n'existent plus. La division de la société y est désormais irréversible. Nous sommes dans la même situation partout — là-bas et ailleurs. Il s'agit donc d'un même combat mené à l'échelle mondiale.
Nous devrions revoir notre attitude vis-à-vis des Big-Techs que constituent Microsoft, Google, Twitter, Apple, YouTube, Facebook, etc. Ce ne sont pas seulement des outils commerciaux — supposément « neutres » — ce sont avant tout des armes idéologiques et des outils de surveillance et de censure. Il nous faut les détruire. Nous devons réussir notre Grande sortie de la techno-sphère contrôlée par les fous du mondialisme. La question est de savoir si nous devons démanteler la technique en général — un moyen infaillible que nous ne devons pas ignorer ou écarter d'un revers de main trop rapidement — ou développer des réseaux indépendants qui échappent au contrôle exercé par des idéologies biaisées et imprégnées de doctrines érigées en système [comme la paramoralité, la paralogie, les jeux de langage et autres pseudo-réalisme et utopie — un article sur ces sujets est en cours de traduction - NdT]. Entre-temps, nous pouvons simultanément avancer dans les deux directions. Il en va de même pour les médias [mainstream occidentaux - NdT]. Ils prouvent désormais qu'ils sont bel et bien le message [et non le messager - NdT]. Et le message s'avère être unilatéral.
Je ne suis pas d'accord avec de nombreux observateurs qui considèrent l'assaut sur la colline de la capitale comme une provocation et le travail d'une 5e colonne. Non. Il s'agissait d'une réponse symétrique de l'autre moitié des États-Unis totalement humiliée par des élections volées et une fraude éhontée de la part des Démocrates. Les trumpistes ont montré que la gauche-libérale n'a pas le privilège dans l'organisation de guerres mimétiques et dans l'usage de la violence à des fins politiques. Quand on commence à utiliser la violence, on doit s'attendre à la même réponse. Les antifas et les Black Lives Matter ont initié cette vague d'émeutes. Ce qui s'est produit sur la colline du Capitole n'était qu'une réponse logique : nous sommes assez courageux pour saisir par la force le Parlement affairé à reconnaître ou pas l'existence de fraudes et de magouilles électorales perpétrées à l'aide de faux votes de personnes décédées et par des votes par correspondance que personne n'a jamais envoyés.
Note du traducteur : En ce qui concerne l'existence d'une 5e colonne ou pas, il n'en reste pas moins qu'une vraie colère exprimée par les trumpistes a bien pu se produire en parallèle d'une opération sous faux drapeau, moyen habituel des Pouvoirs en place et bien connu de nos lecteurs. Le personnage à cornes dans l'image ci-dessous était aussi présent lors de manifestations BLM, bien qu'il affirme l'avoir été pour manifester contre les BLM, tout comme il affirme avoir été présent au Capitole pour soutenir Trump. Ne serait-ce pas plutôt l'inverse ? N'est-il pas acteur et voix-off, selon Wikipédia soi-même ? Le même Wikipédia aux ordres des Pouvoirs en place qui changent ses contenus en fonction du vent ? Cet Angeli qui se dit « chaman » serait autrement dit dans le jargon du renseignement un contre-espion... Et le fait même que la plupart des médias mainstream occidentaux le dépeignent comme un fervent supporter de Trump est en soi très suspect et ce « consensus » devrait pour le moins éveiller nos soupçons. Nous vivons dans un monde où les valeurs sont inversées, où les bons sont méchants et où les méchants sont bons, un monde où les traîtres à la Nation sont des patriotes (du mondialisme) et dans lequel le (vrai) patriotisme est — dans l'esprit malfaisant et tordu des psychopathes mondialistes — par définition terroriste. L'auteur parle du message unilatéral que représente les médias mainstream occidentaux mais il échoue apparemment à en reconnaître ici l'évidence.
Notre combat prend désormais une dimension réellement mondiale : nous sommes en guerre avec les Démocrates — soit avec la moitié des États-Unis seulement — et non avec les États-Unis dans leur ensemble. Ce fait change tout. Le centre vital du pays prévaut. Celui des États-Unis, mais aussi celui de l'Eurasie. La géopolitique des élections de 2020 nous montre les frontières qui séparent en deux les États-Unis — un contour atlantiste ultra-libérale mondialiste bleu et un centre traditionaliste conservateur rouge. La perversion en bleu contre la normalité en rouge.
Le vrai combat ne fait que commencer. La peur ressentie par les Démocrates lors des manifestations pacifiques sur la colline du Capitole leur sera rappelée à tous. Voir le simple peuple étasunien — majorité dépossédée, silencieuse et « déplorable » — venir au Congrès — voilà ce qui constituait le moment de vérité. Et les députés se sont cachés sous les bancs... Les vrais « déplorables », ce sont ces lâches-là. En ce moment merveilleux, ils ont compris qu'ils ne sont plus en sécurité nulle part. Bienvenue dans notre peau. Dorénavant, les Démocrates seront attaqués dans le monde entier. Ils doivent savoir que nous les observons exactement de la même manière qu'ils nous observent, que nous les suivront à la trace exactement de la même manière qu'ils le font avec nous, que nous rassemblerons des informations et créerons des dossiers sur chacun d'entre eux tout comme sur les mondialistes et leurs marionnettes exactement de la même manière qu'ils le font avec nous.
Dorénavant, tout lien avec les Démocrates et leurs mandataires sera considéré comme un fait de collaboration et de participation au crime contre l'humanité. Ils ont tué des milliers et des centaines de milliers de personnes en dehors de leur territoire. Mais le Mal n'a que faire des frontières. Il est toujours basé sur l'hubris. Ils ont donc entrepris de tuer des Étasuniens sur leur propre sol. Ashley Babbitt n'est que le début. Cette fois, ils prévoient de commettre un vrai génocide à l'intérieur même des États-Unis. Et ce dernier a déjà commencé.
Il n'existe que deux partis dans le monde : celui des mondialistes qui sont pour le Grand reset et celui des anti-mondialistes qui sont pour le Grand réveil. Et rien au milieu. Entre les deux, c'est l'abîme. Celui-là même qui réclame un océan de sang. Le sang d'Ashley Babbitt n'est que la première goutte.
Le combat devient universel. Le Parti démocrate des États-Unis et ses mandataires mondialistes — y compris toutes les industries de haute technologie et la Big Finance [et Big Agro-Pharma - NdT] — incarnent désormais clairement le Mal absolu.
Le Mal ultime s'est confortablement niché sur le sol étasunien. La Dernière révolte, le Grand réveil, jaillit désormais du centre de l'enfer.
Dernière remarque : le trumpisme est bien plus important que Trump lui-même. Trump a le mérite de lancer le processus. Il nous faut à présent aller plus loin.
Source de l'article initialement publié en anglais le 9 janvier 2021 : Geopolitica.ru Traduction : Sott.net
Philippe Herlin France Soir lun., 11 jan. 2021 16:13 UTC
On parle de plus en plus du concept « The Great Reset » (la grande réinitialisation), notamment de nombreux discours complotistes circulent sur le sujet alors que les médias mainstream restent relativement discrets, j'avais envie d'un savoir plus. Alors j'ai lu le livre « Covid-19 : la grande réinitialisation » de Klaus Schwab (le fondateur du Forum de Davos, qui aura lieu en janvier 2021 sur ce thème) et Thierry Malleret (un consultant français). erfgh
Aucun des deux n'a écrit ce livre, à mon avis, on reconnaît de suite le style des cabinets de conseil américains du genre McKinsey ou Boston Consulting Group. C'est assez ennuyeux à lire, les choses ne sont jamais affirmées franchement, c'est toujours un « on » qui parle, jamais un « je », mais j'ai pu glaner de nombreuses citations (27) qui explicitent ce vocable.
Ça commence très fort : « La crise mondiale déclenchée par la pandémie de coronavirus n'a pas d'équivalent dans l'histoire moderne. » (Introduction, j'indique les chapitres, pas les pages, j'ai lu le livre en format epub). C'est bien sûr faux, l'islamisme et l'immigration incontrôlée sont bien plus dangereux, pour l'Occident en tout cas, mais il faut susciter la peur, sinon l'apocalypse, afin de prendre le pouvoir sur les esprits, comme je l'explique dans mon livre La Renaissance de l'Occident. Et face cet événement qui, selon les auteurs, change le cours du monde, ils affirment que « Beaucoup d'entre nous se demandent quand les choses reviendront à la normale. Pour faire court, la réponse est : jamais. La normalité d'avant la crise est "brisée" et rien ne nous y ramènera, car la pandémie de coronavirus marque un point d'inflexion fondamental dans notre trajectoire mondiale. » (1.1)
Et attention, pas question de peser le pour et le contre pour les auteurs qui dénoncent « Le sophisme économique consistant à sacrifier quelques vies pour sauver la croissance» (1.2.1.2), il faut se conformer docilement au confinement : «retarder le confinement ou rouvrir trop tôt a toujours été une tentation politique très forte. Toutefois, plusieurs études ont depuis lors montré qu'une telle tentation comportait des risques considérables. [...] Selon une étude menée par l'Imperial College de Londres, les mesures de confinement rigoureuses imposées à grande échelle en mars 2020 ont permis d'éviter 3,1 millions de décès dans 11 pays européens » (1.2.1.2). La manipulation éclate dès les premières pages avec cette reprise des estimations totalement délirantes et maintes fois démenties de l'Imperial College (500.000 morts en France lors de la première vague si on ne confine pas...). Le programme est tout tracé, il faut confiner et attendre pieusement le vaccin : « un retour complet à la normale ne peut être envisagé avant qu'un vaccin soit disponible. » (1.2.2.1)
Ceci dit même le vaccin, au fond, ne changera rien, on ne reviendra jamais à la situation antérieure : « Dans l'ère post-pandémique, selon les projections actuelles, la nouvelle "normalité" économique pourrait être caractérisée par une croissance beaucoup plus faible que dans les décennies passées. [...] Dans de telles conditions, alors qu'une croissance économique plus faible semble presque certaine, beaucoup de gens peuvent se demander si cette "obsession" de la croissance est utile, en concluant qu'il n'est pas logique de poursuivre un objectif de croissance du PIB toujours plus élevé. » (1.2.2.3)
Et voici le premier coupable qui apparaît, le PIB : « La dépendance excessive des décideurs politiques à l'égard du PIB comme indicateur de la prospérité économique a conduit à l'épuisement actuel des ressources naturelles et sociales. » (1.2.2.3). Les auteurs l'affirment, «l 'augmentation du PIB ne garantit pas l'amélioration du niveau de vie et du bien-être social. » (1.2.2.3). C'est historiquement faux, et rappelons que le PIB (produit intérieur brut) est la somme des valeurs ajoutées des entreprises, c'est-à-dire la libre initiative des entreprises de produire et la liberté des consommateurs d'acheter ou pas. Remettre en cause le PIB, c'est attaquer le marché libre, qui garantit justement la prospérité économique.
Selon le livre, il faudrait « soutenir l'activité économique future à un niveau correspondant à la satisfaction de nos besoins matériels tout en respectant les limites de notre planète.» (1.2.2.3). Et revoici le Club de Rome et son rapport sur les limites de la croissance (1972 !), sur l'épuisement supposé des ressources naturelles, toujours démenti, autant par les nouvelles découvertes que par le génie humain (augmentation des rendements agricoles, bientôt la fusion nucléaire, etc.). Mais il faut profiter du Covid pour abattre ce fameux PIB : « Nous ne savons pas encore si la "tyrannie de la croissance du PIB" prendra fin, mais différents signaux suggèrent que la pandémie pourrait accélérer les changements dans bon nombre de nos normes sociales bien ancrées. » (1.2.2.3). Et ensuite il faudra s'engager dans la décroissance (c'est-à-dire l'appauvrissement), « inclusive et durable » (quelle blague) : « il faut faire attention à ce que la poursuite de la décroissance ne manque pas de but précis, comme ce fut le cas avec la poursuite de la croissance ! Les pays les plus tournés vers l'avenir et leurs gouvernements privilégieront plutôt une approche plus inclusive et durable de la gestion et de la mesure de leurs économies... » (1.2.2.3)
On comprend la finalité, il s'agit de tuer le capitalisme, le libéralisme, le libre marché, désigné ici sous le terme de néolibéralisme : « Avant tout, l'ère post-pandémique inaugurera une période de redistribution massive des richesses, des riches vers les pauvres et du capital vers le travail. Ensuite, la COVID-19 sonnera probablement le glas du néolibéralisme, un corpus d'idées et de politiques que l'on peut librement définir comme privilégiant la concurrence à la solidarité, la destruction créative à l'intervention gouvernementale et la croissance économique au bien-être social. Depuis quelques années, la doctrine néolibérale tend à perdre en puissance, de nombreux commentateurs, chefs d'entreprise et décideurs politiques dénonçant de plus en plus son "fétichisme du marché", mais la COVID-19 lui a porté le coup de grâce. » (1.3)
Ce programme socialiste se rapproche autant du « socialisme de marché » à la chinoise que du « capitalisme de connivence » que nous connaissons malheureusement en Occident, et il consiste à tuer la petite entreprise libre et indépendante pour offrir ses dépouilles aux grandes multinationales liées aux États (via la commande publique, les subventions, les réglementations, le pantouflage), comme l'indiquent ingénument les auteurs : « Cela laisse supposer que les grandes entreprises deviendront plus grandes tandis que les plus petites diminueront ou disparaîtront. Une grande chaîne de restaurants, par exemple, a de meilleures chances de rester opérationnelle car elle bénéficie de plus de ressources et, en fin de compte, d'une concurrence moindre à la suite des faillites de plus petits établissements.» (2.2.1). Ou encore : « dans les villes où un pourcentage élevé du budget alimentaire était traditionnellement alloué aux restaurants (60% à New York par exemple), ces fonds pourraient être dépensés dans les supermarchés urbains, à mesure que les citadins redécouvrent le plaisir de cuisiner chez eux » (2.2.2).
Le confinement semble être une image de notre avenir...
L'objectif, c'est l'étatisation de la société, décrite comme allant de soi : « L'une des grandes leçons à tirer des cinq derniers siècles en Europe et en Amérique est la suivante : les crises sévères contribuent à renforcer le pouvoir de l'État. Cela a toujours été le cas et il n'y a pas de raison que ce soit différent avec la pandémie de COVID-19. » (1.3.3). C'est historiquement faux car, sur la période, au XVIIIe siècle, la liberté a fait en Europe et aux États-Unis un bond spectaculaire, qui a justement marqué le début de la prospérité de ces nations. Mais non, pour nos auteurs, l'histoire est toute tracée : « À l'avenir, les gouvernements décideront très probablement, mais avec des degrés d'intensité différents, qu'il est dans le meilleur intérêt de la société de réécrire certaines règles du jeu et d'accroître leur rôle de façon permanente. [...] Certains pays choisiront la nationalisation, tandis que d'autres préféreront prendre des parts au capital ou accorder des prêts. En règle générale, il y aura davantage de réglementation couvrant de nombreuses questions diverses...» (1.3.3)
Et pour accélérer cette transition, on pourra compter sur les « activistes », dont les antifas forment la pointe la plus violente, mais cela le livre n'en parle pas, il préfère dresser un tableau idyllique : « Il pourrait par exemple y avoir un grand nombre de personnes assez indignées par l'injustice flagrante du traitement préférentiel dont bénéficient exclusivement les riches pour que cela provoque un vaste tollé dans la société.» (1.3.1) Et plus loin : « L'activisme des jeunes se développe dans le monde entier, révolutionné par les médias sociaux qui augmentent la mobilisation dans une mesure qui aurait été impossible auparavant. Elle prend de nombreuses formes différentes, allant de la participation politique non institutionnalisée aux manifestations et protestations, et aborde des questions aussi diverses que le changement climatique, les réformes économiques, l'égalité des sexes et les droits des LGBTQ. La jeune génération est fermement à l'avant-garde du changement social. Il ne fait guère de doute qu'elle sera le catalyseur du changement et une source d'impulsion critique pour la Grande réinitialisation.» (1.3.4). Le livre fait même l'éloge du mouvement violent d'extrême-gauche Black Lives Matter et des émeutes qui ont suivi : « la mort de George Floyd a été l'étincelle qui a allumé le feu des troubles sociaux, mais les conditions sous-jacentes créées par la pandémie, en particulier les inégalités raciales qu'elle a mises à nu et le niveau croissant de chômage, ont été le carburant qui a amplifié les protestations et les a maintenues. » (1.3.2).
Ce qui est proposé dans ces pages n'est rien d'autre qu'un processus de violence révolutionnaire destructeur de nos libertés fondamentales.
Et maintenant entre en scène - c'est le nœud du livre - le réchauffement climatique.
Enfin, le soi-disant réchauffement climatique, nullement démontré scientifiquement, mais cela est un autre sujet (voir mon blog referendumCO2NON.fr), mais qui offre aux États l'impérieuse justification d'accroître leur pouvoir sur la société par un contrôle et une réglementation de tous les aspects de notre vie (énergie, habitation, déplacement, industrie, consommation...). Aussi bizarre que cela puisse paraître, il est relié au Covid : « À première vue, la pandémie et l'environnement pourraient passer pour des cousins éloignés ; mais ils sont bien plus proches et imbriqués que nous le pensons. [...] en termes de risque global, c'est avec le changement climatique et l'effondrement des écosystèmes (les deux principaux risques environnementaux) qu'on peut le plus facilement comparer la pandémie [...] il se peut que la COVID-19 nous ait déjà donné un aperçu, ou un avant-goût, de ce qu'une crise climatique et un effondrement des écosystèmes à part entière pourraient entraîner d'un point de vue économique ». (1.5)
Le livre note des attributs communs, mais aussi deux différences : «1) la différence d'horizon temporel (elle a une incidence critique sur les politiques et les mesures d'atténuation) ; et 2) le problème de causalité (il rend plus difficile l'acceptation des stratégies d'atténuation par le public) » (1.5) En effet, la pandémie a un risque instantané et une cause connue (le virus), alors que le changement climatique est progressif et multifactoriel. C'est pour cela que, malgré la propagande incessante depuis des années dans tous les médias, la « lutte » contre le réchauffement ne s'enclenchait pas totalement dans les sociétés européenne et américaine. Et bien voici l'occasion, le Covid sert de déclencheur pour lancer la « transition énergétique » !
Les auteurs l'expliquent ainsi : « Il faut espérer que la menace que représente la COVID-19 ne durera pas. Un jour, elle sera derrière nous. En revanche, le changement climatique et les phénomènes météorologiques extrêmes qui lui sont associés continueront de représenter un danger dans un avenir proche et bien après. Le risque climatique se développe plus lentement que la pandémie, mais il aura des conséquences encore plus graves.» (1.5.2) Et nous pourrons alors compter sur le « génie » de nos dirigeants : « Un leadership éclairé. Certains dirigeants et décideurs qui étaient déjà à l'avant-garde de la lutte contre le changement climatique pourraient vouloir profiter du choc infligé par la pandémie pour mettre en œuvre des changements environnementaux durables et plus vastes. Ils feront, en effet, "bon usage" de la pandémie en empêchant que la crise n'ait servi à rien.» (1.5.2)
Pour synthétiser : Great Reset = Covid + réchauffement climatique = destruction du capitalisme et de nos libertés
On comprend pourquoi les gouvernements (en tout cas les plus étatistes) s'acharnent à détruire l'économie par des confinements stricts, longs et répétés, cela ne relève pas de leur incompétence comme le croient les naïfs, ça fait partie du plan, c'est le Great Reset mis en œuvre, la destruction de la petite et moyenne entreprise, l'explosion de la précarité et la mise sous dépendance (de l'État) de millions de personnes, la restriction des libertés comme on ne l'avait jamais vu depuis la Deuxième Guerre mondiale, en somme un bond incroyable de l'étatisme dans tous les domaines. Et quand on en aura fini avec le Covid, le pli étant pris, ça continuera avec la lutte contre le réchauffement climatique. Dans l'éternel combat entre la liberté et la tyrannie, cette dernière marque incontestablement des points...
Ce chemin, nous devons l'emprunter, nous n'avons pas le choix, comme dans toutes les idéologies totalitaires : « Cette réinitialisation est une tâche ambitieuse, peut-être trop ambitieuse, mais nous n'avons pas d'autre choix que de faire tout notre possible pour l'accomplir. Il s'agit de rendre le monde moins clivant, moins polluant, moins destructeur, plus inclusif, plus équitable et plus juste que celui dans lequel nous vivions à l'ère pré-pandémique. [...] Ne pas agir équivaudrait à laisser notre monde devenir plus méchant, plus divisé, plus dangereux, plus égoïste et tout simplement insupportable pour de larges segments de la population mondiale. » (Conclusion)
Sachons-le, les succès passés de notre civilisation bâtie sur la liberté ne comptent pour rien : « la conviction que le monde d'aujourd'hui est meilleur qu'il ne l'a jamais été, bien qu'elle soit correcte, ne peut servir d'excuse pour se contenter du statu quo et ne pas remédier aux nombreux maux qui continuent à affliger notre monde.». Et c'est désormais le discours gauchiste, revendicatif, vengeur, violent qui doit s'imposer : « La mort tragique de George Floyd (un Afro-Américain tué par un policier en mai 2020) illustre parfaitement ce point [cf citation précédente]. C'est le premier domino ou la dernière goutte d'eau qui a marqué un point de bascule important, au cours duquel un sentiment d'injustice profond et accumulé, ressenti par la communauté afro-américaine des États-Unis, a finalement explosé sous la forme de protestations massives.» (Conclusion)
Le livre cite le terme de résilience quasiment à chaque page, mais c'est bien de destruction qu'il s'agit.
Lisons le dernier paragraphe de la conclusion, il rappelle le principe de la table rase propre aux idéologies totalitaires («repartir de zéro», le Great Reset justement), en marche vers le meilleur des mondes : « Nous sommes maintenant à la croisée des chemins. Une seule voie nous mènera vers un monde meilleur : plus inclusif, plus équitable et plus respectueux de Mère Nature. L'autre nous conduira dans un monde semblable à celui que nous venons de laisser derrière nous - mais en pire et constamment jalonné de mauvaises surprises. Nous devons donc faire les choses correctement. Les défis qui se profilent à l'horizon pourraient être plus conséquents que ce que nous avons choisi d'imaginer jusqu'à présent, mais notre aptitude à repartir de zéro pourrait également être meilleure que ce que nous avions osé espérer auparavant.» Les défenseurs de la liberté doivent s'opposer de toutes leurs forces au Great Reset.
IMPÔTS : ATTENTION À L'ARNAQUE DES NUMÉROS SURTAXÉS
par PAOLO GAROSCIO 12/01/2021
En moyenne, en France, un foyer imposable a des revenus annuels de 43.000 euros.
Les numéros surtaxés sont de moins en moins utilisés, mais ils existent encore pour diverses raisons. Et ils sont parfaitement légaux… dans l’absolu. Sauf que certaines personnes mal intentionnées peuvent profiter de ces numéros pour faire payer les Français pour des services qui sont gratuits. La Direction générale des Finances publiques (DGFiP) met en garde : certains numéros usurpent son identité.
Des numéros surtaxés frauduleux pour contacter les services des impôts
La DGFiP, sur son site internet impots.gouv.fr, a récemment ajouté une alerte pour prévenir les Français qu’une arnaque est en cours ciblant les citoyens qui auraient besoin de contacter ses services. Il s’agirait de sites Internet frauduleux qui « renvoient vers des numéros surtaxés (en 0 899…ou 0891...) », explique-t-elle sur son site.
Les fraudeurs profitent de al situation de crise concernant la pandémie de Covid-19, et les nombreuses questions qui en découlent, pour tenter de voler de l’argent. Et la DGFiP souligne que les particuliers ne sont malheureusement pas la seule cible : des arnaques visant les entreprises ont été identifiées par courriel ou par téléphone depuis le mois de juin 2020 et se poursuivent actuellement.
Comment contacter les services des impôts ?
La Direction générale des Finances publiques rappelle sur son site Internet que contacter ses services est totalement gratuit. Pour commencer, il est possible de poser des questions aux service des impôts via son espace personnel, que l’on soit un particulier ou une entreprise.
Autrement, il est possible de contacter la DGFiP par téléphone, soit en appelant directement le centre des impôts dont on dépend et qui a un numéro commençant par un indicatif classique (01, 02, 03, 04, 05) ou en appelant le numéro unique non surtaxé 0 809 401 401.
Les citoyens sont invités à faire attention pour ne pas tomber dans ces pièges, plus ou moins bien ficelés.
Malgré l'hystérie fabriquée, la manifestation de protestation du 6 janvier au Capitole n'a eu que peu de conséquences autres que symboliques. Tragiquement, le meurtre maintenant par Memory Holed d'une femme non armée vétéran de l'Air Force par un flic fédéral - à bout portant à travers une porte vitrée - donne naissance à un autre malheureux martyr de la cause de la liberté. Ashli Babbitt - souvenez-vous de son nom. Son assassin fera-t-il jamais face à la justice ?
Le premier amendement à la Constitution américaine énonce explicitement «le droit du peuple de se rassembler pacifiquement et de demander au gouvernement de réparer ses griefs». C'est ce que faisaient les manifestants du rallye Trump. Tous n'étaient pas armés.
La propagande qui a suscité l’indignation à ce sujet est incontestablement de nature «religieuse». Les nombreux adeptes non reconnus de la religion d'État se comportent comme si leur Vatican était souillé par des incroyants. Qu'est-ce qui peut expliquer les efforts désordonnés du président de la Chambre Pelosi pour «punir» davantage le président Trump pour quelque chose avec lequel il n'avait rien à voir ? Un infidèle est entré dans son bureau! Des païens étaient assis dans sa grande chaise! «Brûlez les hérétiques!»
Le fait que des citoyens inquiets en colère aient poussé des gardes armés à entrer dans le bâtiment du Capitole du peuple pour répondre à leurs griefs très réels concernant la fraude électorale ne devrait pas être décrit dans une société libre et démocratique comme une «insurrection». Hormis la violence meurtrière des agents du gouvernement, c'était pacifique, avec presque aucun dommage matériel. Quel genre d'insurrection ressemble à ça ? Telle est la rhétorique des gouvernements communistes et fascistes.
Non, c'était un acte expressément protégé par la Constitution américaine. De tous les véritables incendies, pillages et attaques contre le public dans la région de Washington l'année dernière, c'est le seul où la police fédérale a tiré et tué un manifestant non armé. Pourquoi ?
L'hypocrisie ennuyeuse des «émeutiers» du Capitole est au contraire - pour eux - un affront choquant aux adorateurs de l'État. Dans la cathédrale principale de l'étatisme domestique, seuls les «évêques, archevêques et grands prêtres» oints peuvent s'asseoir à l'intérieur. Avec d'immenses salles ornées de symboles quasi religieux d'État pour discuter et approuver des questions de doctrine. Les citoyens ordinaires doivent être soigneusement tenus à distance. S'opposer à la fraude électorale présumée du gouvernement devient une hérésie à leurs yeux, pas une protestation légitime. Nous ne devons pas remettre en question le sacrement des élections. En 2020 en tout cas…
Les églises, les temples, les mosquées etc. sont réservés aux saintes célébrations des croyants. L'intrusion sur des sites sacrés par des sceptiques est détestée par les fidèles. Il en va de même pour le bâtiment du Capitole américain. Malgré ce qu’ils prêchent souvent, ce n’est pas «votre bâtiment» ou «votre gouvernement». Il est à eux. La croyance en la suprématie de l'État est leur dieu. Inclinez-vous ou restez dehors!
Vous n'entrez pas dans leur temple sans approbation. Si vous «pétitionnez directement le gouvernement pour obtenir un redressement des griefs» sans sa permission, il vous abattra.
Que feront les gens pour la nourriture quand une grande partie de l'Europe et de l'Amérique du Nord sera trop froide pour cultiver ?
8 janvier 2021 par Robert
«Les températures mondiales montent et descendent par cycles, mais le grand cycle que les gens ignorent est le cycle des périodes glaciaires.» - Joseph Kraig
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Que feront les gens pour la nourriture quand une grande partie de l'Europe et de l'Amérique du Nord sera trop froide pour cultiver ?
Joseph Kraig
Le parc national des Glaciers a eu des panneaux pour le dernier quart de siècle rappelant aux visiteurs que les glaciers devenaient plus petits en raison du réchauffement climatique. L'année dernière, ils ont dû être abattus car les glaciers progressent depuis plusieurs années.
Il est vrai que la neige fond en été. Là où il y a des glaciers, il y a un déséquilibre entre la fonte et l'accumulation de neige. Lorsque les glaciers avancent, cela nous dit qu'il y a moins de fonte que de neige.
Depuis plusieurs années, les glaciers en recul en Europe ont fait la une des journaux avec la découverte de restes humains retrouvés sous les glaciers qui ont été exposés en raison du retrait. Comme il est intéressant de penser que nous craignons le réchauffement climatique alors qu'il est évident que le monde était autrefois beaucoup plus chaud.
Savoir que les colonies agricoles du Groenland ont dû être abandonnées à cause du refroidissement global devrait ouvrir quelques yeux, mais malheureusement cela ne se produit pas.
Les températures mondiales montent et descendent par cycles, mais le grand cycle que les gens ignorent est le cycle des périodes glaciaires qui indiquent que nous sommes près de la fin d'une période chaude interglaciaire. Nous l’avons bien fait depuis 11 000 à 12 000 ans, mais je crains que la chaleur agréable ne se termine.
Ce que les gens feront pour la nourriture quand une grande partie de l'Europe et de l'Amérique du Nord sera trop froide pour cultiver est un mystère pour moi.
Sonner l'alarme du réchauffement climatique peut être une chose populaire à faire, mais c'est un point de vue erroné non pas basé sur la science ou l'histoire mais sur l'émotion.
Les gens pensent: «Toutes ces voitures doivent nuire à l'environnement, débarrassons-nous-en.» Ils utilisent le réchauffement climatique comme raison pour se débarrasser des combustibles fossiles, mais ils sont terriblement mal orientés. Il n'y a aucune recherche prouvée pour dire que le dioxyde de carbone emprisonne réellement la chaleur comme dans le soi-disant effet de serre, en fait il y a des recherches qui démystifient cette idée. Nos carburants à base de carbone nous ont permis d'avoir notre civilisation moderne. Nous aurons besoin de nos carburants à base de carbone jusqu'à ce que des carburants de fusion puissent être développés qui fonctionnent. L'économie basée sur la fusion est toujours à 30 ans à peine. Je suis sûr que nous développerons l’économie de la fusion et que ce ne sera peut-être que dans des années. Quel que soit le temps que cela prendra, les combustibles fossiles nous soutiendront efficacement jusque-là.
Je n'ai aucun problème avec l'énergie solaire et éolienne. J'ai deux maisons et j'ai l'énergie solaire sur les deux, mais la terre entière équipée d'éoliennes et de panneaux solaires ne satisfera pas notre énorme besoin d'énergie avec une quelconque fiabilité. Récolter l’énergie du soleil est une grande idée, peut-être que plusieurs kilomètres carrés de panneaux solaires dans l’espace et l’énergie renvoyée vers la terre seraient presque aussi économiques que les usines à fusion, mais je ne pense pas.
Les gens ne devraient pas parler dans l'ignorance. Ce qui est arrivé à notre société, c'est que de nombreuses personnes écoutent une infime partie de la science et décident de ce qui est le mieux pour le monde sur cette base. Une infime partie des informations utilisées pour prendre une décision lorsque beaucoup plus d'informations devraient être utilisées est toujours de l'ignorance.
Étude: Une courte pause dans les cosmétiques provoque «une baisse significative des produits chimiques perturbateurs hormonaux»
Par Alanna Ketler Évolution collective 12 janvier 2021
Une étude menée par des chercheurs de l'UC Berkeley et de la Clinica de Salud del Valle Salinas a démontré comment prendre même une courte pause dans divers cosmétiques, shampooings et autres produits de soins personnels peut entraîner une baisse substantielle des niveaux de substances chimiques perturbant les hormones présentes dans le corps.
Les résultats de l'étude ont été publiés dans la revue Environmental Health Perspectives. Les chercheurs ont donné à 100 adolescents latins divers produits de soins personnels étiquetés comme exempts de produits chimiques courants, notamment les phtalates, les parabènes, le triclosan et l'oxybenzone. Ces produits chimiques sont régulièrement utilisés dans presque tous les produits de soins personnels classiques tels que les cosmétiques, le savon, la crème solaire, le shampooing, le revitalisant et d’autres produits capillaires, et des études sur les animaux ont montré qu’ils interfèrent directement avec le système endocrinien du corps.
«Les femmes étant les principales consommatrices de nombreux produits de soins personnels, elles peuvent être exposées de manière disproportionnée à ces produits chimiques», a déclaré l’auteur principal de l’étude, Kim Harley, directrice associée du Centre de recherche environnementale et de santé des enfants de l’UC Berkeley. "Les adolescentes peuvent être particulièrement exposées car c'est une période de développement rapide de la reproduction, et la recherche a suggéré qu'elles utilisent plus de produits de soins personnels par jour que la femme adulte moyenne."
Après seulement un essai de trois jours avec les filles n'utilisant que des produits à faible teneur en produits chimiques, les échantillons d'urine ont montré une baisse significative du niveau de produits chimiques dans le corps. Les parabènes de méthyle et de propyle, couramment utilisés comme conservateurs dans les cosmétiques, ont chuté respectivement de 44 % et 45 %, les métabolites du phtalate de diéthyle, souvent utilisés dans les parfums, ont chuté de 27 %, et le triclosan et la benzophénone-3 ont chuté de 36%. Les auteurs de l'étude ont été surpris de voir une augmentation de deux parabens communs moins nombreux, mais, étant mineurs, ils auraient facilement pu être causés par une contamination accidentelle ou un substitut non répertorié sur les étiquettes.
La codirectrice de l'étude Kimberly Parra explique pourquoi la participation des jeunes locaux à l'étude était d'une importance particulière:
Les résultats de l'étude sont particulièrement intéressants sur le plan scientifique, mais le fait que les élèves du secondaire aient dirigé l'étude a ouvert une nouvelle voie pour inciter les jeunes à apprendre la science et comment elle peut être utilisée pour améliorer la santé de leurs communautés. Après avoir appris les résultats, les jeunes ont pris sur eux d'éduquer leurs amis et les membres de la communauté et ont présenté leur cause aux assemblées législatives de Sacramento.
Le Conseil des jeunes du CHAMACOS comprenait 12 lycéens locaux qui ont aidé à concevoir et à mettre en œuvre l'étude. L'une des adolescentes, Maritza Cárdenas, est maintenant étudiante de premier cycle à l'UC Berkeley avec une spécialisation en biologie moléculaire et cellulaire.
«L’un des objectifs de notre étude était de sensibiliser les participants aux produits chimiques présents dans les produits de tous les jours, pour aider à rendre les gens plus conscients de ce qu’ils utilisent», a déclaré Cárdenas. «Voir la baisse des niveaux de produits chimiques après seulement trois jours montre que des mesures simples peuvent être prises, comme choisir des produits contenant moins de produits chimiques, et faire la différence.»
Les chercheurs ont noté que les cosmétiques et les produits de soins personnels ne sont pas bien réglementés dans ce pays et qu'il est difficile d'obtenir des données sur les effets sur la santé d'une exposition, en particulier à long terme. Mais ils disent qu'il existe de plus en plus de preuves reliant les substances chimiques perturbant le système endocrinien aux problèmes neurocomportementaux, à l'obésité et à la croissance des cellules cancéreuses.
Eh bien, vous pouvez être sûr de vérifier les étiquettes de tous les produits que vous achetez. La plupart des produits de soins personnels contiennent une liste d'ingrédients, mais malheureusement de nombreux produits cosmétiques n'en contiennent pas. Si vous utilisez une marque particulière que vous aimez vraiment, vous pouvez essayer de contacter directement le fabricant et lui demander une liste d'ingrédients.
Vous pouvez également opter pour des produits plus naturels et biologiques, mais n'oubliez pas que dans l'industrie des produits de soins personnels, les mots «naturel» et «biologique» n'ont souvent aucun sens. Une valeur sûre serait d'acheter ces produits dans un magasin d'aliments naturels et de lire les ingrédients ou de demander au vendeur. Généralement, lorsque les produits ne contiennent pas de produits chimiques spécifiques, les fabricants sont heureux de les étiqueter comme tels.
Moins il y aura de demande pour ces produits chimiquement chargés, moins ces produits chimiques seront utilisés. Je l’ai déjà dit et je le redis: VOTEZ AVEC VOTRE DOLLAR! Nous avons le pouvoir de créer le type de monde que nous voulons. Sois le changement.
Découvrez l'histoire des cosmétiques ci-dessous !
Reprinted with permission from Collective Evolution.
Une centrale hydroélectrique à énergie propre au Canada qualifiée de «gâchis» après que les économistes ont prédit 8 milliards de dollars de pertes
PAR TYLER DURDEN LUNDI 11 JAN 2021 - 20:00
Aujourd'hui, la nouvelle "preuve que les gouvernements sont des allocateurs de capital terriblement inefficaces"
La Colombie-Britannique tente actuellement d'ériger un énorme barrage hydroélectrique appelé «projet d'énergie propre du site C» sur la rivière de la Paix. Le but de la construction du barrage était de mettre en œuvre la politique énergétique «verte et propre» de la province et d'essayer de créer une énergie propre alternative tout en réduisant les émissions de carbone.
Mais le prix économique et les progrès médiocres du projet ont conduit un éditorial du Financial Post qualifiant le projet de "gâchis hydroélectrique" qui "montre le coût réel de l'énergie" propre "".
Le projet est en construction depuis 2015, note l'éditorial, et plus de 6 milliards de dollars y ont déjà été investis. Malgré cela, de nombreux problèmes ont été identifiés avec le projet:
Sous le pied, selon le premier ministre John Horgan, «il y a de l'instabilité sur l'une des rives du fleuve». Au début de l'année dernière, la Colombie-Britannique Hydro a identifié des «faiblesses structurelles» dans le projet, qui est en construction depuis 2015. Le site C souffrirait également de «fondations faibles». Le chroniqueur du Vancouver Sun Vaughn Palmer a récemment rapporté que de nouvelles informations sur la précarité du projet, structurellement et financièrement ...
L'éditorial demande s'il est temps ou non pour la province de simplement réduire ses pertes et d'abandonner l'emploi, qui nécessiterait probablement au moins 6 milliards de dollars supplémentaires.
Un examen du projet par trois économistes canadiens dit «oui» et a conclu que «l'ensemble du projet n'est pas rentable en tant que source d'énergie et échoue à sa principale promesse verte et propre, qui est de réduire les émissions de carbone».
La ventilation des chiffres par les économistes montre à quel point le projet est réellement inefficace:
Les pires chiffres de l'étude: la valeur actuelle totale de l'électricité produite à partir du site C est estimée à 2,76 milliards de dollars contre un coût total estimé à 10,7 milliards de dollars, soit une perte de 8 milliards de dollars. C'est mauvais. Cependant, si le projet était annulé maintenant, la perte serait réduite de moitié à peut-être 4,5 milliards de dollars. Les économistes concluent que «les décideurs politiques devraient cesser de dépenser de l'argent sur un projet qui risque de se retrouver sous l'eau».
Les économistes ont constaté que la seule façon dont la centrale hydroélectrique pourrait en valoir la peine, financièrement, serait en conjonction avec une «refonte nationale massive du système électrique canadien»:
«En résumé, nous constatons que le site C peut offrir de la valeur, mais seulement si les provinces visent une décarbonisation presque complète du système électrique et seulement si une nouvelle transmission entre les provinces peut être construite pour permettre un plus grand commerce d'électricité interprovincial. Les décisions concernant l'avenir du site C devraient être prises dans cette optique; s'il n'est pas possible de s'engager à décarboner totalement la production d'électricité, et si les perspectives de transport interprovincial sont faibles, le site C offre peu de valeur par rapport à ses coûts. En revanche, si B.C. et l'Alberta s'est engagée à mettre en place un réseau électrique à zéro émission de carbone, et la construction de nouvelles lignes de transport interprovinciales est faisable, alors le site C peut offrir une valeur supérieure à ses coûts.
Étant donné qu'il y a très peu de chances que cela se produise, il semble que la décision évidente de simplement fermer le projet et d'économiser plusieurs milliards de dollars.
Et bien sûr, il n'est pas surprenant pour nous qu'un tel projet soit horriblement inefficace. Parce que si ce n'était pas le cas, le marché libre aurait mis en service des centrales hydroélectriques il y a longtemps. En d'autres termes, le marché libre a arrêté ce projet avant même qu'il n'ait commencé.
Mais au lieu de cela, nous obtenons un autre exemple concret de la façon dont la signalisation de la vertu et les inquiétudes mesquines sur les émissions de carbone - qui vont toutes dans la «bonne» direction à l'échelle mondiale de toute façon - conduisent à des dépenses frivoles, financées par le contribuable.
Nous espérons que la Colombie-Britannique se souvient de cela si Elon Musk vient un jour appeler, à la recherche d'une propriété pour construire sa prochaine usine de tuiles solaires ...
Vous pouvez lire une analyse plus approfondie du projet et l'éditorial complet ici.
Beaucoup de gens parlent de Civil War 2.0. Une telle conflagration serait en fait la première. Il n'y a pas eu de guerre civile américaine.
Ce que nous avons eu dans les années 1860 était une action militaire fédérale pour empêcher l'État de se retirer pacifiquement du pacte constitutionnel. Ce qu'il nous faut maintenant, c'est expier cette violente transgression à la fois de la loi naturelle et de notre propre constitution, et permettre cette fois une sécession pacifique.
Si nous croyons vraiment que le gouvernement repose sur le consentement des gouvernés, et que nous sommes une république qui est une union fédérée d'États et non une démocratie qui est une nation consolidée de provinces - alors il n'y a tout simplement pas d'autre moyen pour les gens. de philosophies politiques et économiques diverses et incompatibles pour coexister harmonieusement sans guerre, ni oppression, par l'un ou l'autre groupe.
Aimons-nous la paix plus que nous n'aimons le grand gouvernement et la soif de domination ? La liberté est-elle une vertu ancrée dans l'ADN du peuple américain, ou est-ce juste un slogan écrit sur des pièces de monnaie que nous n'utilisons plus de toute façon ? Existe-t-il des arrangements politiques pour nous servir ? Ou est-ce que ces arrangements politiques sont nos maîtres destinés à nous asservir ? Croyons-nous vraiment ce que nos fondateurs ont dit sur le droit de modifier ou d'abolir les arrangements politiques ? Ou sommes-nous revenus au droit divin de l'État et à sa position supérieure sur chaque homme ? Croyons-nous toujours aux droits inaliénables accordés par Dieu ? Ou sommes-nous revenus à la barbarie selon laquelle nous n'avons que les privilèges que nous accordent nos parieurs ?
Nous devons arrêter de nous divertir pendant cinq minutes et réfléchir à ces choses.
La centralisation du pouvoir à DC et dans la Silicon Valley - et leur collusion fasciste classique - est devenue comme l'union de la Haute-Égypte et de la Basse-Égypte dirigée par un pharaon qui opère par asservissement et en ordonnant aux gens de l'adorer.
Est-ce ce que nous sommes ? Sommes-nous des esclaves léchant les mains de nos maîtres et les remerciant pour le privilège de vivre ? Est-ce ce que nos ancêtres ont laissé à la postérité ?
Si nous ne décentralisons pas d’une manière ou d’une autre, nous aurons en effet Civil War 1.0 - même si elle est totalement futile - et cela coûtera plus de vies et causera plus de destruction de capital que même la guerre pour empêcher la sécession du Sud.
L’avenir de l’Amérique est-il une guerre civile ? Cela deviendra-t-il une guerre mondiale ?
Par Paul Craig Roberts PaulCraigRoberts.org 12 janvier 2021
En tant que personne qui a grandi au lendemain de la glorieuse Seconde Guerre mondiale, il ne m'est jamais venu à l'esprit que dans mes dernières années, je me demanderais si les États-Unis finiraient par une guerre civile ou un état policier. Au lendemain de l'élection présidentielle volée, il semble que ce soit un tirage au sort à 50-50.
Il existe de nombreuses preuves d'un état policier. Une caractéristique d'un État policier est les explications contrôlées et la suppression de la dissidence. Nous en avons certainement en abondance.
Les experts ne sont pas autorisés à contester la position officielle sur Covid.
Les enseignants sont suspendus pour avoir offensé en utilisant des pronoms de genre.
Les stars de l'enregistrement sont abandonnées par leurs studios d'enregistrement pour avoir assisté au rassemblement Trump. Les parents harcelés par leurs propres enfants sont licenciés pour avoir assisté au rassemblement Trump. Antifa est libre d'émeute, de pillage, d'intimidation et de tracas, mais les partisans de Trump sont des insurgés.
Les Blancs sont des racistes qui utilisent des mots et des concepts haineux, mais ceux qui diabolisent les Blancs corrigent les torts.
La répression de la dissidence et le comportement de contrôle sont des caractéristiques de l'État policier. Il est peut-être moins clair pour certains pourquoi dicter l'usage autorisé de la langue relève du contrôle de l'État policier. Pensez-y de cette façon. Si votre utilisation des pronoms peut être contrôlée, vous pouvez aussi utiliser tous les autres mots. Comme les concepts impliquent des mots, ils peuvent également être contrôlés. De cette manière, des pensées et des expressions peu pratiques accompagnées de descriptions précises trouvent leur chemin dans le trou de mémoire.
Avec le premier amendement disparu, ou limité à la diabolisation de personnes ciblées, telles que «les déplorables de Trump», «les suprémacistes blancs», «les racistes du Sud», le deuxième amendement ne peut plus avoir beaucoup de vie. Comme les armes à feu sont associées à des États rouges, c'est-à-dire aux partisans de Trump, l'interdiction des armes à feu est un moyen de criminaliser la moitié rouge de la population américaine que l'establishment considère comme «déplorable». Ceux qui défendent leur droit constitutionnel seront emprisonnés et deviendront du travail pénitentiaire bon marché pour les sociétés mondiales américaines.
Tout cela pourrait-il conduire à une guerre civile ou les Américains sont-ils trop abattus pour résister efficacement ? Nous ne le saurons pas tant qu’il n’aura pas été mis à l’épreuve.
Y a-t-il des lignes de front claires ? La politique d'identité a divisé les gens dans tout le pays. Les états rouges ne sont que majoritairement rouges. Il est tentant de voir les frontières comme le centre rouge contre les côtes bleues du nord-est et de l'ouest, mais c'est trompeur. La Géorgie est un État rouge avec un gouverneur et une législature rouges, mais il y avait suffisamment de démocrates au pouvoir localement pour voler les élections présidentielles et sénatoriales américaines.
Un autre problème pour les rouges est que les grandes villes - les centres de distribution - comme Atlanta, Detroit, Chicago, New York, Philadelphie, Seattle, Portland, San Francisco, Los Angeles - sont entre les mains bleues, tout comme les ports et les aéroports internationaux. En fait, cela coupe les rouges des ressources extérieures.
Que ferait l'armée américaine ? De toute évidence, les chefs conjoints et le complexe militaire / de sécurité sont des Trumpers de l'establishment et non des Trumpers. Avec les soldats eux-mêmes maintenant un mélange de race et de sexe, les soldats seraient aussi divisés que le pays. Ceux qui ne font pas partie de l'établissement manqueraient de soutien au niveau supérieur.
Où sont les jeunes et les jeunes adultes? Ils sont dans les deux camps en fonction de leur éducation. Beaucoup de blancs qui sont allés à l'université ont subi un lavage de cerveau contre eux-mêmes, et considèrent les Américains blancs comme des «racistes systémiques» ou des «suprémacistes blancs» et se sentent coupables. Ceux qui ne sont pas allés à l'université pour la plupart ont subi à leur désavantage le favoritisme accordé aux personnes de couleur et ont du ressentiment.
Et les armes? Comment les rouges peuvent-ils perdre lorsque les armes sont un article ménager et que les bleus ne se saliraient jamais en en possédant une? La réponse est que contrairement à la guerre d'agression du Nord dans les années 1860, les armes entre les mains de l'armée sont aujourd'hui dévastatrices par rapport à celles entre les mains du public. Contrairement au passé, il est impossible pour une milice citoyenne de s’opposer aux armes et aux gilets pare-balles dont les militaires disposent. Donc, à moins que l'armée ne se sépare, les rouges sont dépassés. Ne croyez jamais que l'établissement ne lâcherait pas d'agents chimiques et biologiques contre les forces rouges. Ou d'ailleurs les armes nucléaires.
Et les communications ? Nous savons parfaitement que les monopoles technologiques sont alignés sur l'establishment contre le peuple. À tel point que le président Trump, en train d'être mis en accusation, a été empêché de communiquer avec ses partisans à la fois sur les réseaux sociaux et par courrier électronique.
L'Establishment américain fait au président Trump exactement ce qu'il a fait au président ukrainien Ianoukovitch dans la «Révolution Maidan» orchestrée à Washington, appelée «la Révolution de la Dignité» par les menteurs de Wikipédia, et précisément ce qu'il a fait à Chavez, Maduro et aimerait faire à Poutine.
Supposons qu'une guerre civile américaine se produise. Comment cela va-t-il se dérouler ? Avant d'enquêter sur cela, réfléchissez d'abord à la manière dont l'établissement pourrait l'empêcher en amenant les États rouges à sa défense. Les partisans de Trump sont les seuls patriotes de la population américaine. Ils ont tendance à porter le drapeau sur leur manche. En revanche, les habitants de l’État bleu définissent le partiisme comme la reconnaissance des maux de l’Amérique et la rétribution des racistes / impérialistes blancs qui ont commis les maux. Dans les États bleus, les émeutes contre le «système raciste» se traduisent par une défondation de la police. Si les milices Antifa et Black Lives Matter étaient envoyées sur le régine de Biden, les patriotes rouges pourraient voir «leur pays» attaqué. Il est possible que les «Proud Boys» viennent à la défense de Biden, non pas parce qu’ils croient en Biden, mais parce que l’Amérique est attaquée et qu’il est «notre président». Alternativement, une attaque Antifa contre le régime Biden pourrait être décrite comme une attaque antipatriotique contre l'Amérique et être utilisée pour décourager l'opposition de l'État rouge à l'État policier, tout comme «l'insurrection» a conduit de nombreux partisans de Trump à déclarer leur opposition à la violence. En d'autres termes, il est tout à fait possible que le patriotisme des «Trump Deplorables» divise l'opposition de l'État rouge et mène à la défaite.
En supposant que l'establishment soit trop arrogant et sûr de lui ou trop stupide pour penser à ce stratagème, comment se déroulerait une guerre civile ? L'Establishment ferait tout son possible pour discréditer le cas des «rebelles». Les vrais rebelles, bien entendu, seraient l’Establishment qui a renversé l’ordre constitutionnel, mais aucun média ne le ferait valoir. Contrôlant les médias, l'establishment, connaissant le patriotisme de ses opposants, dépeindrait les «rebelles» comme des agents étrangers cherchant à renverser la démocratie américaine.
La «menace étrangère» capte toujours l’attention du patriote. Nous le voyons en ce moment avec les partisans de Trump tombés dans la désinformation selon laquelle la Suisse et l'Italie sont derrière les élections volées. Auparavant, c'était les serveurs du Dominion en Allemagne et en Serbie qui faisaient l'acte.
Sur la tête de qui l'establishment mettra-t-il le blâme pour «la guerre contre l'Amérique» ? Il y a trois candidats: l'Iran, la Chine et la Russie. Quel sera le choix de l'établissement ?
Donner du crédit à l'Iran transmet trop de pouvoir à un pays relativement petit au-dessus de l'Amérique. Blâmer l'Iran pour notre guerre civile serait déprécier.
Blâmer la Chine ne fonctionnera pas, car Trump a accusé la Chine de saper économiquement l'Amérique et les partisans de Trump sont généralement anti-Chine. Donc accuser l'opposition rouge d'être des agents de la Chine ne fonctionnerait pas.
Le blâme sera mis sur la Russie.
C'est le plus facile. La Russie est le chapeau noir depuis le discours du rideau de fer de Churchill en 1946. Les Américains sont habitués à cet ennemi. La guerre froide a régné de la fin de la Seconde Guerre mondiale jusqu'à l'effondrement soviétique en 1991. Beaucoup, y compris des généraux américains à la retraite, soutiennent que l'effondrement soviétique a été simulé pour nous mettre au dépourvu pour la conquête.
Lorsque l’establishment a décidé d’encadrer le président Trump, l’establishment a choisi la Russie comme co-conspirateur de Trump contre la démocratie américaine. Le Russiagate, orchestré par la CIA et le FBI, a assuré pendant trois ans que Trump était accusé dans les médias occidentaux d'être de mèche avec la Russie. Malgré le manque de preuves, un grand pourcentage de la population américaine et mondiale était convaincu que Trump avait été mis au pouvoir par Poutine en manipulant le vote.
Le lavage de cerveau a été si réussi que trois ans de sanctions de Trump contre la Russie n'ont pas pu ramener les peuples occidentaux dans la réalité factuelle.
Avec la Russie comme ennemi historique et orchestré, tout ce qui se passe aux États-Unis qui peut être blâmé ailleurs sera imputé à la Russie. La présidente de la Chambre des communes Nancy Pelosi, l'ancien ambassadeur des États-Unis en Russie Michael McFaul et l'ancien conseiller adjoint à la sécurité nationale Ben Rhodes ont déjà associé «l'insurrection de Trump» à la Russie.
Supposons qu'une guerre civile américaine devienne intense. Supposons que la propagande de l’Establishment contre la Russie devienne la croyance dominante comme la propagande le devient presque toujours, comment l’Establishment peut-il ne pas mettre fin à la menace d'insurrection en attaquant le pays responsable? L'Establishment serait piégé dans sa propre propagande. Les émotions s'enfuiraient. La Russie entendrait des menaces qui devraient être prises au sérieux.
Vous pouvez parier que le gouvernement néo-conservateur de Biden encouragera cela. Exceptionnalisme américain. Hégémonie américaine. La cinquième colonne de la Russie, les intégrationnistes atlantistes, qui souhaitent une absorption dans le monde occidental dégénéré et en déroute, se fera l'écho des accusations portées contre la Russie. Cela ferait de la situation un grave incident international avec la Russie en tant que méchant menacé.
Que ferait le Kremlin ? Les dirigeants russes accepteraient-ils une nouvelle humiliation et une fausse accusation ? Ou la colère du peuple russe accusée à jamais et jamais défendue par son propre gouvernement forcera-t-elle le Kremlin à prendre conscience que la Russie pourrait être attaquée à tout moment.
Même si le Kremlin est réticent à reconnaître la menace de guerre, que se passerait-il si un autre des nombreux faux avertissements des ICBM entrants était reçu. Contrairement au passé, est-il cru cette fois ?
Les élections volées aux États-Unis, l'État policier américain émergent, plus vicieux et mieux armé que tout le passé, pourraient entraîner un chaos américain qui pourrait constituer une menace grave pour la Fédération de Russie.
Ce que Trump et ses partisans, et peut-être le Kremlin, ne comprennent pas, c'est que les preuves réelles ne comptent plus. L'Établissement constitue les preuves dont il a besoin pour ses agendas. Considérez à quel point il était facile pour la police du Capitole de supprimer les barrières et de permettre à certains Antifa de se mêler aux partisans de Trump dans le Capitole. C'était tout ce qui était nécessaire pour créer une «insurrection dirigée par Trump» qui a mis fin à la présentation de preuves de fraude électorale et a transformé le rassemblement massif de soutien à Trump en un passif. Trump quitte maintenant la présidence en tant qu '«insurrectionnel» et est mis en place pour un harcèlement et des poursuites continus.
Comme je l'ai déjà écrit, l'élection volée et son acceptation à l'étranger signifient l'échec de la démocratie occidentale. L'effondrement du monde occidental et de ses valeurs affectera le monde entier.
Paul VanderKlay a commenté: «La classe inférieure connaît la classe supérieure mieux que la classe supérieure connaît la classe inférieure.» J'ai répondu, dans les commentaires de la vidéo (légèrement modifiés pour plus de clarté):
Quelque chose qui mérite vraiment d'être considéré pour comprendre les événements politiques et mondiaux (et les médias qui les ont couverts) qui se sont déroulés ces dernières années.
Ceci, dans le cadre d'événements au Capitole, etc.
J'ai réfléchi au moment où la division politique dans ce pays a pris une tournure si toxique - pas seulement toxique entre et parmi les politiciens, mais toxique envers et entre un nombre multiple de dizaines de millions de personnes.
Je voudrais en souligner les racines dans la stratégie politique d'Antonio Gramsci, qui savait que le communisme ne viendrait pas en Occident par une division entre les ouvriers et les propriétaires / capitalistes, mais seulement par la création d'en bas d'une nouvelle culture - celui qui par dessein écraserait le christianisme. Et ce serait assez vrai; nous le vivons.
Je considérerais également la manifestation de cette stratégie dans les années 1960 et la révolution culturelle qui était clairement visible à l'époque. Certes, dans les années 1990, les idées toxiques de la théorie critique commenceraient à imprégner le milieu universitaire au point qu'aujourd'hui, les différentes disciplines des arts libéraux sont toutes perdues dans la corruption (les STEM étant maintenant entraînées dans les décombres de leur sillage).
Pourtant, tout au long de cette période - et pour la plupart - les débats et discussions ont porté sur des questions de politique; nous n’avons pas transformé les problèmes en problèmes où l’autre partie était considérée comme totalement corrompue et impardonnable.
Bien sûr, il y avait une petite minorité d'entre nous qui considéraient comme totalement corrompues certaines des institutions et des objectifs: la Réserve fédérale et l'aventurisme et l'empire militaires, comme deux exemples. Mais, étant donné le soutien écrasant que ceux-ci ont reçu (activement ou passivement, qu'ils soient considérés ou ignorés), l'animosité personnelle nationale s'est limitée à quelque chose comme tout le monde se liguant contre Ron Paul (le politicien le plus courageux de ma vie) lors d'un débat présidentiel.
Je pense qu'il y a eu quelques événements qui ont marqué le fossé - où le débat politique s'est transformé en animosité personnelle, division, dérision, dégoût et dédain. Le premier événement l'a marqué économiquement, et ce fut les renflouements en 2008. Les appels au congrès ont atteint 95% contre les renflouements, si je me souviens bien. Mais nous savons comment s'est déroulée le reste de l'histoire. Cela a clarifié le but du système financier. Mais bien que cela ait contribué à la fracture (ou contribué à l'accélérer), c'est une question distincte à mon propos ici.
L'événement qui a marqué la première mise en demeure que la fracture culturelle allait nous être imposée était de retour en avril 2008. Bien sûr, les graines ont été plantées bien avant: une fois la stratégie de Gramsci mise en place - en particulier dans l'enseignement supérieur - le deck a été empilé. Mais en avril 2008, nous avons été mis en garde:
«Et il n’est donc pas surprenant qu’ils deviennent amers, qu’ils s’accrochent aux armes à feu, à la religion ou à l’antipathie envers les gens qui ne les aiment pas ou qu’ils ne sont pas du même avis que les immigrés ou que le commerce est un moyen d’expliquer leurs frustrations.»
C'est ce qu'a déclaré l'espoir présidentiel Barack Obama, en parlant de ceux qui sont frustrés par leurs conditions économiques - a déclaré que la frustration, bien sûr, était tout à fait justifiée compte tenu de la crise financière susmentionnée (et du fossé économique qui s'est creusé depuis que Nixon a fermé la fenêtre de l'or).
Obama parlait de la classe marginale - et c'est la classe marginale qui s'accroche à la religion et aux armes. Ou, plus correctement: si vous vous accrochez à la religion et aux armes à feu, vous êtes sous-classe. Religion et armes: deux cibles à éliminer, on le sait, par la classe supérieure.
De plus, la classe défavorisée a été étiquetée par Obama comme étant contre d'autres qui ne leur ressemblent pas - pourtant, cette même classe défavorisée a aidé à élire Obama au poste de président quelques mois plus tard.
Hillary Clinton répondrait:
«Les croyants que je connais ne« s'accrochent pas »à la religion parce qu’ils sont amers. Les gens embrassent la foi non parce qu'ils sont matériellement pauvres, mais parce qu'ils sont spirituellement riches.
Bien sûr, sa réponse était basée uniquement sur la possibilité que cela lui apporterait plus de voix, car elle se présentait contre Obama à l'époque. Dire que c'était une déclaration cynique serait redondant, car cela pourrait être dit de pratiquement toutes les déclarations faites par pratiquement tous les politiciens.
Comme pour démontrer le point de cynisme et pour faire avancer les graines semées qui ont abouti à la division, Clinton a offert huit ans plus tard (et il y a quatre ans):
«Vous savez, pour être simplement grossièrement généraliste, vous pourriez mettre la moitié des partisans de Trump dans ce que j'appelle le panier des déplorables. Ok ?
«Le raciste, sexiste, homophobe, xénophobe, islamaphobe - vous l'appelez. Et malheureusement, il y a des gens comme ça. Et il les a soulevés. Il a donné la parole à leurs sites Web qui ne comptaient auparavant que 11 000 personnes - aujourd'hui 11 millions. Il tweete et retweete leur rhétorique haineuse et mesquine offensante. Maintenant, certaines de ces personnes - elles sont irrécupérables, mais heureusement, elles ne sont pas l'Amérique. "
Ces gens sont déplorables et irremplaçables. Si vous pensez qu'il y a quelque chose dans votre culture, tradition et civilisation occidentale qui mérite d'être sauvé, vous êtes déplorable et irrémédiable.
Entre ces deux commentaires - d’abord d’Obama, puis de Clinton - il me semble que nous trouvons des lignes de haine tracées. Et c'est au cours des douze dernières années que les graines plantées par Gramsci se sont transformées en guerre culturelle d'aujourd'hui - une guerre du pays vers une dystopie totalitaire.
Conclusion
Lorsque Nietzsche a écrit sur la mort de Dieu, il ne faisait pas de déclaration prophétique, ni n’offrait un appel à l’action. Il décrivait la réalité de l'époque, capturant, dans cette phrase, ce qui s'est passé depuis le moment où les idées des Lumières ont pris racine jusqu'à ce moment et l'inévitabilité de ce qui allait venir et où cette route mènerait.
Prenez ce qui suit dans la même lumière:
Le lendemain des événements du 6 janvier, j'ai entendu quelqu'un à la radio de sports parler revivre ses sentiments de la veille, alors qu'il était collé à la couverture des nouvelles télévisées. «Nous ne savions pas s'ils commenceraient à faire sortir les membres du Congrès de leurs bureaux.»
Pourtant, si vous êtes jugé irrécupérable, pourquoi pas vous ? Qu'avez-vous à perdre ?
Deux femmes ont été expulsées d'un vol Delta Airlines pour avoir eu une conversation privée sur Trump. Il y a au moins 70 millions d'autres adultes qui entrent dans cette catégorie.
Comme je l'ai écrit l'autre jour, voici la leçon que les déplorables irrémédiables sont enseignés:
Quoi qu'il en soit, vous perdrez. Nous allons vous battre si loin que vous ne l'oublierez jamais. Même lorsque vous gagnez, vous perdez; même lorsque vous êtes en paix (ou surtout parce que nous comptons sur vous en paix), vous perdrez.
Faire sortir les membres du Congrès de leurs bureaux pourrait être l'événement le plus pacifique sur la route qui nous attend.
Lorsqu'il y a au moins 70 millions d'adultes irrémédiables, à quoi d'autre mène cette route ?
Les géants de la technologie gouvernent les États-Unis et la purge continue
January 12th, 2021
Aucune dissidence ne sera autorisée:
Les penseurs du groupe Craven Verizon, AirBnB, Marriot, Citibank, JPMorgan Chase, Hilton Hotels, American Airlines, BP, Coca Cola, Goldman Sachs, Boston Scientific, Microsoft, Facebook et Visa ont tous suspendu les contributions à tout membre du Congrès qui s'opposait au collège électoral. Nous nous demandons si cela inclut tous les anciens démocrates qui ont fait exactement la même chose.
Hallmark Cards est allé plus loin et a répandu de la mauvaise volonté - il a même demandé ses dons aux représentants qui représentaient les millions d'Américains qui doutent de l'intégrité électorale. L’intégrité électorale «ne reflète pas les valeurs de notre entreprise». ils ont dit, ou des mots à cet effet. Leurs cartes étaient toujours trop chères de toute façon.
L'état actuel de la guérison aux États-Unis:
L'ancien directeur de la CIA, John O. Brennan, a qualifié 74 millions d'Américains de «malignité» et a exigé qu'ils dénoncent Trump pour éradiquer les idées fausses ou quelque chose du genre:
Quiconque cherche maintenant la rédemption nationale en prétendant ne plus soutenir Trump doit reconnaître à quel point il était erroné d'ignorer et d'activer son programme corrompu, malhonnête et qui divise.
La dénonciation totale de l’héritage d’un despote est nécessaire pour éradiquer toute malignité qui subsiste. - John O. Brennan (@JohnBrennan) 9 janvier 2021
Le silence est la violence. L'ignorance fait la force et la CIA est tordue.
Les tentacules des TechGiants se propagent à travers les démocrates Tech-monstre, démocrate, quelle est la différence ?
Rapports de TennesseeStar:
Au moins sept anciens hauts responsables de Facebook ou de l’organisme de bienfaisance dirigé par son fondateur, Mark Zuckerberg, ont obtenu des postes dans l’équipe de transition du président élu Joe Biden, bien que les responsables du Parti démocrate aient qualifié le géant des médias sociaux parmi les plus grandes menaces pour la démocratie américaine.
Jessica Hertz était la directrice de l'équipe de réglementation de Facebook et la nouvelle directrice du personnel de Whitehouse. Elle travaillait pour Biden avant de travailler pour Facebook.
«L'arbitre ultime en matière d'éthique pour la transition Biden était un haut responsable de la réglementation de Facebook jusqu'à il y a quelques mois, à un moment où les progressistes et la campagne Biden luttent contre l'agenda de droite de Facebook», a déclaré le directeur de la Revolving Door Project, Jeff Hauser, selon Politico.
Jeff Zients de Facebook est maintenant le chef du virus chinois aux États-Unis. La porte-parole de la NSA, Emily Horne, était l'ancienne responsable des communications politiques mondiales pour Twitter. Avant cela, elle a travaillé pour le NSC sous Obama. L'ancienne directrice des politiques publiques de Facebook, Louisa Terrell, dirigera le bureau des affaires législatives de la Maison Blanche.
Quant aux TechGiants: Junk eux ou au moins effacez vos données personnelles et rejoignez-moi sur MeWe et Gab.
Bonne nouvelle, Parler a enfin trouvé un serveur web qui l'hébergera. Epik. Mais les hommes libres doivent commencer à penser à posséder leurs propres serveurs, et depuis qu'Obama a donné Internet à l'ONU, tôt ou tard il interdira à quiconque doute des commandements TechnoDem. Et alors?
Pour les gens qui en ont assez de se faire dire à quel point vous êtes horrible sur ABC / BBC / CBC, regardez plutôt Lou Dobbs.
- voir clip sur site -
h / t Bill et Scott du Pacifique.
À savoir: bien qu'il y ait des allégations selon lesquelles les émeutiers du Capitole ont été mis sur des listes d'interdiction de vol, il y a des affirmations opposées selon lesquelles il s'agit de vieilles vidéos de novembre. Je ne prétends rien, sauf que créer des listes d'interdiction de vol semble être le genre de chose que DemoTech Octopus aimerait faire si ce n'est déjà fait. Peut-être veulent-ils simplement que les gens craignent de le faire. La peur, après tout, est la devise ultime. Même la propagation de fausses rumeurs de listes d'interdiction de vol dissuadera les patriotes d'assister aux manifestations. Tellement plus facile que de le faire!
Dans huit heures environ, le président Trump prendra la parole depuis Alamo, au Texas. Corrigez-moi si je me trompe: il est 15h00 à New York, 7h00 à Melbourne et Sydney, 6h00 QLD, 4h00 WA, Australie. Cela peut avoir de l'importance.
Tous les dons par PayPal ou par virement automatique et chèque pour ce blog sont reçus avec gratitude, quelle que soit leur taille. Si vous avez des suggestions pour aider par d’autres moyens, je suis tout à fait à l’oreille.
WSJ revendique les sites de listes noires de Google et apporte des modifications algorithmiques pour favoriser les grandes entreprises
Lundi 11 janvier 2021 par: Cassie B.
(Natural News) Oui, Google met sur liste noire les sites, cible les sites d'information conservateurs et manipule son algorithme au profit des grandes entreprises - et même le Wall Street Journal est concerné.
Selon leur rapport, Google a mis sur liste noire certains sites depuis le début des années 2000 pour s'assurer qu'ils n'apparaissent pas dans les résultats de recherche. Ces modifications sont distinctes de celles impliquant des sites qu'ils sont légalement tenus de bloquer, tels que ceux présentant une violation du droit d'auteur ou des abus envers les enfants et ceux visant à rétrograder les sites de spam.
En particulier, le WSJ a déclaré avoir vu des documents démontrant que Google News a mis sur liste noire les publications conservatrices. Parmi les sites figurant sur la liste de ceux qui n'apparaîtront pas dans Google Actualités ou dans les produits en vedette, se trouvaient les sites de droite The Gateway Pundit et The United West. Le WSJ a également déclaré avoir vu un projet de document de politique indiquant que le but de la liste noire est «d'empêcher les sites de faire surface dans les sites de recherche ou de produits d'actualité».
Une personne familière avec le sujet, quant à elle, a déclaré à la publication que les modifications de la liste noire doivent être effectuées par au moins deux personnes, l'une effectuant le changement et l'autre l'approuvant.
Cela jette un sérieux doute sur les affirmations souvent controversées de Google selon lesquelles il ne prend pas de décisions fondées sur la politique ainsi que sur son témoignage au Congrès selon lequel il n'utilise pas de listes noires. Lorsqu'on lui a demandé lors d'une audience de 2018 si le géant de la recherche avait déjà mis sur liste noire une «entreprise, un groupe, un individu ou un point de vente… pour des raisons politiques», le vice-président des politiques publiques de Google, Karan Bhatia, a répondu: «Non, madame, nous ne le faisons pas» t utiliser des listes noires / blanches pour influencer nos résultats de recherche. "
Sans surprise, Google a attaqué l'histoire du WSJ, affirmant qu'elle donne une «impression très inexacte» de la façon dont ils fonctionnent. Ils ont également déclaré qu'il contenait «des anecdotes anciennes et incomplètes».
Google favorise les grandes entreprises qui sont également de gros annonceurs Le WSJ a également signalé qu'il était en train de truquer son système pour favoriser les grandes entreprises. Des modifications algorithmiques des résultats de recherche sont apportées pour promouvoir les grandes entreprises par rapport aux plus petites. Dans au moins un cas, affirme le journal, ils ont apporté des modifications au nom d'eBay, qui se trouve également être l'un de leurs principaux annonceurs. Comme c'est pratique!
D'autres initiés ont déclaré qu'ils modifiaient les algorithmes pour booster des sites comme Facebook et Amazon dans leurs résultats de recherche.
Ces mesures seraient vivement contestées au sein de l'entreprise, les partisans affirmant que les clients sont plus susceptibles de trouver ce dont ils ont besoin dans les plus grands points de vente - mais les produits d'Amazon sont améliorés même si les articles en question sont abandonnés. Bien que le problème ait été soulevé à plusieurs reprises lors de réunions discutant des changements d'algorithme, la société a choisi à plusieurs reprises de ne pas inverser les changements.
Ils mettent également à jour leur index de sites comme Amazon et Facebook plus fréquemment, ce qui les aide à apparaître plus souvent dans les résultats de recherche des internautes.
En outre, certains de leurs plus grands annonceurs reçoivent des conseils directs sur l'amélioration de leurs résultats de recherche organiques, ce qui n'est pas un avantage pour les entreprises qui n'ont pas de contacts chez Google. Les revenus publicitaires de la société en 2018 s'élevaient à 116,3 milliards de dollars.
En juillet, Google a été critiqué lorsque plusieurs sites Web conservateurs ont disparu de leurs résultats de recherche, notamment le Drudge Report, Breitbart et le National Pulse. Ils ont affirmé que c'était dû à un «bogue» qu'ils avaient depuis corrigé. Mais parce que ses sites Web de droite ciblaient, l'ancien ingénieur de Google Mike Wacker a déclaré aux médias que le problème aurait pu par inadvertance exposé une liste noire interne ciblant les conservateurs.
Il a déclaré: «Le problème est que les sites de cette liste noire ont disparu des résultats de recherche Google, mais l'existence de la liste est en grande partie par conception. Et cela soulève une question majeure: pourquoi cette liste noire a-t-elle été créée en premier lieu et à quoi sert-elle d'autre? »
Google affirme qu'il ne peut pas partager comment ses algorithmes fonctionnent pour empêcher les gens de jouer sur leur système, ce qui peut sembler plausible, mais c'est aussi un moyen rapide de dissimuler leurs efforts pour faire taire les sites conservateurs et placer leurs plus grands annonceurs au premier plan.
L'Allemagne et la France 'choquées' par la décision de Twitter d'interdire Trump
PAR TYLER DURDEN LUNDI 11 JAN 2021 - 17:20
L'Allemagne et la France sont choquées par la décision de Twitter d'interdire définitivement le président Trump de la plate-forme, la chancelière allemande Angela Merkel ayant déclaré par l'intermédiaire d'un porte-parole que les législateurs devraient fixer des règles régissant la liberté d'expression, et non les entreprises technologiques privées.
"La chancelière voit la fermeture complète du compte d'un président élu comme problématique", a déclaré le porte-parole en chef Steffen Siebert lors d'une conférence de presse à Berlin, selon Bloomberg. Siebert a ajouté que des droits comme la liberté d'expression "peuvent être interférés, mais par la loi et dans le cadre défini par la législature - pas selon une décision d'entreprise".
Pendant ce temps, les dirigeants français sont également indignés - le Ministre junior des affaires de l'Union européenne, Clément Beaune, se disant "choqué" qu'une entreprise privée ait pris une décision aussi importante.
"Cela devrait être décidé par les citoyens, pas par un PDG", a déclaré Beaune à Bloomberg TV dans une interview lundi, ajoutant "Il doit y avoir une réglementation publique des grandes plateformes en ligne."
Plus tôt, le ministre français des Finances, Bruno Le Maire, a déclaré que l'État devrait être responsable de la réglementation, et non "l'oligarchie numérique", ajoutant que la grande technologie est "l'une des menaces" à la démocratie.
L'Europe s'oppose de plus en plus à l'influence croissante des grandes entreprises technologiques. L'UE est actuellement en train de mettre en place une réglementation qui pourrait donner au bloc le pouvoir de diviser les plates-formes si elles ne respectent pas les règles.
Twitter a définitivement interdit Trump la semaine dernière après avoir décidé que les tweets du président sortant enfreignaient ses règles contre la violence glorieuse. Il a cité ses articles sur les émeutes dans la capitale américaine.
Le déménagement a suivi une action similaire de Facebook. Le fondateur et chef de la direction, Mark Zuckerberg, a déclaré que les messages les plus récents de Trump montraient qu'il avait l'intention d'utiliser le temps qu'il lui restait au pouvoir pour saper une transition pacifique et légale du pouvoir. -Bloomberg
Et comme le journaliste Glenn Greenwald l'a souligné dimanche, lorsque des entreprises concurrentes telles que Parler peuvent être renversées par un grand géant de la technologie comme Amazon, il n'y a vraiment pas d'autre moyen de le décrire comme un monopole.
REGARDER: Une caméra cachée révèle que des militants ont enregistré ILLEGALEMENT des milliers de personnes à la même adresse en Géorgie
Lundi 11 janvier 2021 par: Rédacteurs en chef
(Natural News) La nouvelle arrive un jour avant le second tour des élections au Sénat de Géorgie, et quelques heures seulement après que les autorités locales de l'État aient tenté de garantir au public que leurs votes étaient comptés de manière juste et équitable.
(Article republié de TheNationalPulse.com)
En vertu de la loi géorgienne, une personne doit être «inscrite en tant qu’électeur de la manière prescrite par la loi» et «être résident de cet État et du comté ou de la municipalité dans lequel elle souhaite voter».
Inscrire un certain nombre d'électeurs à une même adresse est - de par sa nature - ouvrir le vote à des personnes qui ne sont peut-être pas des résidents légaux de l'État ou du comté ou de la municipalité où elles sont enregistrées.
Pris à la caméra, Kimberly Parker du Central Outreach and Advocacy Center à Atlanta dit:
«La majorité des personnes que nous servons n’ont pas d’adresse. Nous leur permettons donc d’utiliser notre adresse s’ils s’inscrivent pour voter et d’obtenir une carte d’identité de l’État de Géorgie.» Le processus semble être criminel en vertu du droit géorgien avec une peine d'emprisonnement pouvant aller jusqu'à 10 ans.
Parker poursuit en admettant: "Bien que nous ne soyons pas un refuge, nous leur permettons d'utiliser 201 Washington St." C’est l’adresse du bureau de l’organisation.
"Je ne peux même pas commencer à vous dire combien de personnes ont cette adresse sur leur pièce d'identité."
La nouvelle vole également face aux tentatives de dissimulation du secrétaire d'État Brad Raffensberger et de son assistant Gabriel Sterling qui, lors d'un appel avec le président Trump, ont insisté sur le fait qu'ils avaient mené une élection parfaite. Sterling l'a fait à nouveau lors d'une conférence de presse lundi après que l'appel avec le président ait été divulgué au Washington Post.
Un autre employé du centre - Adam Seeley - admet que «probablement quelques milliers de personnes… avaient notre adresse enregistrée sur leur adresse postale pour leur inscription électorale.»
Réflexion libre sur l’actualité, les cas de Trump et Jack Ma
le 12 janvier 2021
Le Chinois Jack Ma a disparu de la circulation et les médias bien-pensants n’osent pas trop commenter cette nouvelle qui après tout ne concerne que la Chine et les Chinois. Les commentateurs se perdent en conjectures. Pourtant cette information mérite une analyse compte tenu des évènements récents qui ont enflammé la ville de Washington et tous les médias du monde. Il y a quelques mois le Président Trump a laissé entrevoir que certains « GAFAM » enfreignaient la loi dite anti-trust américaine (Clayton Act, 1914) et qu’il était nécessaire de légiférer afin de réduire la puissance de ces sociétés privées. À la suite des évènements du 6 janvier 2021 le Président Trump a été interdit de parole par Google, Facebook, Twitter et d’autres canaux (illustration).
C’était une revanche des GAFAMs qui n’ont pas l’intention d’être dérangés dans leurs affaires par la nouvelle administration démocrate, car le message s’adressait aussi aux Démocrates. Il s’adressait également à tout pays manifestant une certaine hostilité à l’égard de ces entreprises privées qui ont acquis une puissance telle que plus aucun Etat ne peut les contrôler. Cependant certaines administrations des Etats-Unis collaborent avec ces entreprises pour la collecte de données concernant les citoyens anonymes. On se trouve donc, dans un pays dit démocratique comme les USA devant un paradoxe. L’activité de ces groupes, les GAFAMs, arrange le gouvernement américain mais leur puissance financière est dérangeante, et quand un pays comme la France s’estime en droit de taxer les bénéfices réalisés par ces mêmes groupes sur le sol français, le gouvernement américain se rebiffe, à n’y rien comprendre. C’est pourtant limpide, une démocratie ne peut plus gérer de tels puissances technologiques et financières tout en collaborant sous le manteau avec elles.
La Chine a pressenti ce danger lorsque Jack Ma, le fondateur d’Alibaba, a décidé d’une IPO (introduction en bourse) de la filiale Ant de ce groupe. Alibaba est le pendant d’Amazon en Chine et dans de nombreux pays d’Asie avec plus d’un milliard de clients et Ant est le concurrent direct de Visa et MasterCard avec sa plateforme Alipay. Alibaba et Ant sont deux monstres dont le pouvoir financier devait, d’une manière ou d’une autre, inquiéter le gouvernement chinois. Les projets d’extension de l’activité de Ant en Europe et en Amérique du nord n’ont probablement pas plu au gouvernement central chinois pour toutes sortes de raisons. On peut citer un embryon de collaboration avec Visa et MasterCard et l’implantation d’Alipay dans « trop » de pays. Les projets d’extension de Ant vers des services financiers n’ont pas non plus été du goût des dirigeants de Pékin car la monnaie, qu’elle soit scripturale, électronique ou fiduciaire, est le premier pouvoir régalien d’un Etat. Si un Etat perd le contrôle de sa monnaie, il perd une grande partie de sa souveraineté.
Les velléités de Jack Ma de développer les activités financières de Ant et le projet d’IPO ont probablement déplu – à juste titre – au gouvernement central de Pékin, c’est peut-être la raison de la disparition des radars de Jack Ma et ceci s’explique car la Chine n’est pas une démocratie contrairement aux Etats-Unis dont le Président, toujours en fonction jusqu’au 20 janvier s’est vu interdit de séjour par Zuckerberg et d’autres magnats des GAFAMs. En Chine ces individus seraient probablement en prison.
Au terme de cette courte réflexion on peut penser ce que l’on veut de la Chine et de son régime politique mais il y a un point qui mériterait d’être développé : la lente, mais certaine, dérive des démocraties européennes vers le totalitarisme. Souvenez-vous que dans les années 1930-1940 il fallait plus des doigts d’une main pour dénombrer les régimes dictatoriaux en Europe : la Russie soviétique, l’Allemagne, l’Autriche, la Grèce, l’Espagne, le Portugal, la Croatie et dans une moindre mesure la Norvège et la France … Le démon du totalitarisme n’est pas mort et il peut renaître à tout moment.
Les événements du Capitole ont servi au final à déclarer Trump comme un fou dangereux, nécessitant sa destitution, et ses partisans, des patriotes armés, comme des terroristes domestiques.
Bien sûr que les patriotes ne sont pas des "terroristes domestiques", seule une minorité de pions ont fait du grabuge, mais ça n'a aucune importance puisque le discours médiatique allié à celui des représentants martelle que les pro-Trump sont des gens dangereux.
Mission accomplie.
L'Etat d'urgence a été prolongée par Trump dans Washington jusqu'au 24 janvier et plus de 15 000 soldats de la Garde Nationale seront déployés dans les rues, la ville est déjà investie de soldats depuis l'incident du Capitole, pour contrer d'éventuels désordres d'ici à l'investiture de Biden.
Les médias annoncent des "manifestations armées", ce qui laisse présager de potentiels événements qui vont nourrir, à terme, une possible guerre civile, un renforcement des forces de sécurité armées (loi martiale) dans les grandes villes, des mesures de contrôle concernant les propriétaires d'armes au nom de la Sécurité nationale. Sans compter que ça pourrait être un prétexte pour mettre en place un système de surveillance globale des citoyens américains.
À qui profite la crise ? 👇
"Le FBI avertit que "des manifestations armées sont prévues" à travers les États-Unis la semaine prochaine.
Le FBI met en garde contre des projets de manifestations armées dans les 50 capitales des États et à Washington, DC, dans les jours qui vont précéder l'investiture du président élu Joe Biden, attisant les craintes d'une nouvelle effusion de sang après le siège meurtrier de la semaine dernière au Capitole américain."
Etats-Unis : l'hystérie des globalistes face à Trump
mardi 12 janvier 2021
Pourquoi les Démocrates, à la tête du clan globaliste, ont-ils si peur de Trump, que non seulement il ait fallu falsifier à un tel point les élections présidentielles américaines que les Etats-Unis en sortent perdant, mais qu'il faille encore tenter un Impeachment tout en bâillonnant le Président sortant ? Pourquoi ? Sont-ils si faibles ? Savent-ils qu'ils sont à ce point impopulaires ? Donc qu'ils usurpent le pouvoir ? Finalement, les masques "démocratiques" sont tombés, il ne reste qu'une révolution de Palais.
La manière dont un candidat gagne les élections va conditionner sa marge de pouvoir réel. L'étendue des violations et l'incapacité du système institutionnel et judiciaire américain à contenir les opérations électorales dans le cadre de la légalité met les Démocrates dans une impasse : ils sont obligés de combattre sans règles pour garder le pouvoir. Dans tous les cas, penser que l'on puisse régler avec des outils juridiques un combat politique, voire ici idéologique, est pour le moins naïf. C'est un rapport de force brute qui est en jeu, pas un rapport de droit.
Quand Trump a appelé à marcher vers le Capitole, il a faussé le jeu. Si le domaine de la communication est très important, tout combat se gagne dans le réel. C'est d'ailleurs pour cela que la technologie des révolutions de couleur, si elle commence par la maîtrise d'un espace de communication, mise sur la rue. Mais, comme nous l'avons déjà vu avec les Gilets Jaunes en France, décriés par les médias et peu soutenus par les politiques, les manifestants sont a priori pacifiques et "pro-démocratie" lorsqu'ils jouent le jeu globaliste, comme en Ukraine ou récemment en Biélorussie. Peu importe alors les cocktails molotov, peu importe l'organisation militaire des attaques menées contre les forces de l'ordre. Peu importe la prise des bâtiments officiels et leur occupation. Peu importe, ces manifestants sont pro-globalistes, soutenus, organisés et financés par les forces globalistes. Donc, les médias suivent, dans toute la grandeur de leur indépendance, et sans sourciller masquent ou recadrent les images, conditionnent le discours pour produire le bon manifestant.
Mais Trump et les conservateurs ne maîtrisent pas les médias, ils utilisent des plateformes de communication qui sont au service d'une autre idéologie. Donc, lorsque Trump a appelé à marcher afin de montrer la force réelle d'une part de la population américaine dénigrée, comme par hasard, comme avec les Gilets Jaunes, des casseurs, des violents et des personnages caricaturaux, qui en ressortent toujours sans problèmes, font irruption et permettent l'indignation des Démocrates et de Pelosi, qui aurait eu très très peur, la pauvre. A son âge ce peut être dangereux, elle pourrait même attraper le Covid avec ces intrus.
La réaction fut immédiate, Twitter bloque définitivement le compte officiel présidentiel. Twitter. Sur quelle base est-il possible à ces entreprises de limiter la liberté d'expression ? Et en toute impunité ? Trump l'avait déjà souligné : la section 230 de la loi américaine sur l'éthique dans le domaine des communications ne permet pas de recourir en justice contre les entreprises du numérique en ce qui concerne la diffusion ou le retrait d'un contenu, ainsi que pour toutes les opérations de modérations. Et comme ces géants du numérique sont idéologiquement très orientés, le combat arrivant dans une phase décisive, l'immunité dont ils bénéficient couvre ainsi leurs chefs réels. En ce sens, Trump a parfaitement raison de dire que le discours conservateur se réduit comme peau de chagrin dans l'espace public, à tel point que l'existence des Républicains dans leur stature actuelle est en péril.
Donc, sous couvert de modération, ces entreprises, comme Twitter, Facebook, Instagram etc. font de la censure en fonction de la ligne idéologique pour laquelle elles ont été mises en place. Et non-content d'avoir définitivement supprimé le compte du Président américain, Twitter veut priver de moyen de parole toute voix qui pourrait aller à l'encontre de la doxa démocrate. Ainsi, il ferme 70 000 comptes de ce qu'il appelle la "mouvance conspirationniste". Motif : éviter que la violence ne se répète.
Je ne me souviens pas avoir vu des comptes de la "mouvance" revancharde noire bloqués, malgré le déferlement de violence qui suit leurs appels à manifester ...
Et l'on entend CNN appeler à ne pas diffuser le discours de Trump. Et l'on entend certains demander à ce que les diplômés pro-Trump se voient priver de leur diplôme. Et l'on apprend que la compagnie aérienne Delta airlines a débarqué deux passagers qui exprimaient leur soutien à Donald Trump. La chasse aux sorcières est de retour : avant, il fallait lutter contre les communistes quand on était libéral; maintenant que l'on est globaliste, on lutte contre les conservateurs.
Et afin d'écraser cette force qui leur fait si peur, à 10 jours de la fin de son mandat, les Démocrates sont au bord de la panique. Par la figure hystérique de Pelosi, à la tête de la Chambre des représentants, ils fixent un ultimatum de 24 heures à Pence pour faire le sale travail à leur place : qu'il active le 25e amendement et déclare le Président Trump inapte (l'état de la momie Biden ne pose lui aucun problème). Les Démocrates ont eu peur en voyant cette foule dans la rue, non sur leur ordre, mais contre eux. Une foule réelle, mécontente, qu'ils ne contrôlent pas. Ils ne veulent pas que cela se reproduise. La liberté de manifestation, c'est bon quand on maîtrise la situation. Quand les intérêts du clan globaliste sont en jeu, le terme à employer n'est pas celui de manifestant, mais de "terrorisme domestique". Les politiques mettent bien l'accent sur la dimension idéologique : le terroriste est celui qui met en danger votre mode de vie. Passé ce délai de 24h, ils menacent de lancer une deuxième procédure d'Impeachment. Car même sortant, Trump leur fait peur. Ce qu'il représente, le monde réel, les met dans un état d'hystérie inquiétant. Il représente un danger, ce qui est affirmé :
Pour protéger notre Constitution et notre démocratie, nous allons agir dans l'urgence, parce que ce président représente une menace immédiate pour les deux", écrit Nancy Pelosi.
Sauf que le danger n'est pas pour la démocratie ni pour la Constitution, qui a été ouvertement bafouée lors des dernières élections, mais le danger est personnel. Dans ce cas, tous les coups sont permis. Tant de petitesses chez des personnes qui vont avoir tant de pouvoir ne présage rien de bon.
Les tests asymptomatiques rapides en Angleterre pourraient se retourner contre la précision: experts
PAR TYLER DURDEN MARDI 12 JAN 2021 - 6:00 Rédigé par Simon Veazey via The Epoch Times,
Certains experts craignent que le déploiement en Angleterre de kits de test rapide pour les personnes sans symptômes du COVID-19 ne se retourne contre eux en raison de la précision limitée de la technologie - en particulier si les messages du gouvernement ne sont pas clairs.
Le gouvernement britannique a annoncé dimanche que les kits de test d'écoulement latéral, tels que testés à Liverpool à l'automne, seraient disponibles pour les personnes qui ne peuvent pas travailler à domicile, à partir de cette semaine.
Le secrétaire à la Santé, Matt Hancock, a déclaré que les tests asymptomatiques ciblés et l'isolement ultérieur sont «très efficaces pour briser les chaînes de transmission».
La mesure a été approuvée par les responsables de la santé publique et de nombreux scientifiques.
Le gouvernement dit qu'il a identifié des kits avec une sensibilité de 70% et qu'ils sont conçus pour aider à réduire la transmission asymptomatique, et non pour déclarer les gens comme sûrs.
Cependant, certains experts évoquent une étude du British Medical Journal qui montre que le pilote de Liverpool a manqué 60% des cas et 30% de ceux avec les charges virales les plus élevées.
Ils craignent que les gens interprètent mal la signification des tests.
Un étudiant en réadaptation sportive de 20 ans à l'Université de Hull passe un écouvillon pour un test COVID-19 à flux latéral dans les installations sportives du campus le 4 janvier 2021 (Paul Ellis Paul / AFP via Getty Images)
"Les projets du gouvernement de déployer des tests de masse à l'aide du test de flux latéral Innova comportent un risque réel d'augmenter plutôt que de réduire la propagation du COVID", a déclaré Jon Deeks, professeur de biostatistique à l'Université de Birmingham, dans un communiqué.
«Le gouvernement semble se concentrer uniquement sur les avantages du dépistage - celui de détecter des cas asymptomatiques non détectés auparavant - et non sur les préjudices causés par une mauvaise information des gens sur le fait qu'ils ne sont pas infectés par le COVID-19 alors qu'ils le font.
Son point de vue est partagé par Angela Raffle, consultante en santé publique et maître de conférences honoraire à la faculté de médecine de l'Université de Bristol, qui affirme que les tests à l'Université de Birmingham ont montré que le test pouvait ramasser aussi peu que 2 cas sur 100.
«Que le gouvernement prétende que ces tests sont exacts, fiables et« extrêmement réussis »est dangereusement trompeur», a-t-elle déclaré.
«Cela pourrait saper le système de test et de traçage déjà en difficulté, car les gens sont susceptibles de choisir de passer un test de flux latéral plutôt que de se rendre à la PCR lorsqu'ils présentent des symptômes.»
Les autorités locales sont encouragées à donner la priorité aux personnes qui ne peuvent pas travailler à domicile pendant le verrouillage de leur campagne de test communautaire, a déclaré le ministère de la Santé et des Affaires sociales dans un communiqué.
Les partisans du programme de test affirment qu'il ne vise pas à créer des bulles de personnes garanties comme sûrement exemptes du virus, mais plutôt à simplement filtrer davantage de personnes porteuses du virus qui ne présentent aucun symptôme.
Alexander Edwards, professeur agrégé en technologie biomédicale à l'Université de Reading, a déclaré:
«Ces tests asymptomatiques de masse ne sont pas censés aider les gens à vérifier s'ils sont« sûrs ». Au lieu de cela, il vise à détecter plus de cas pour soutenir la recherche des contacts et l'isolement des personnes à haut risque de transmettre le virus avant qu'elles ne sachent qu'elles sont infectées. Il faut dire clairement aux gens qu’un test négatif n’exclut pas l’infection. »
D'autres experts ont émis un avertissement similaire concernant la messagerie.
Simon Clarke, professeur agrégé en microbiologie cellulaire, a déclaré: «L’augmentation des tests dans la population au sens large a le potentiel de supprimer la transmission virale si elle est bien faite. On prétend souvent qu'ils ont travaillé pour réduire les infections à Liverpool, ce qui est très discutable.
De nombreux autres experts soutiennent la mesure.
«C'est très bienvenu et attendu depuis longtemps», a déclaré Jose Vazquez-Boland, président des maladies infectieuses à l'Université d'Édimbourg, en référence à l'annonce du programme de dépistage rapide.
«Nous devons être clairs que la seule façon de contrôler le coronavirus et de tenter son éradication est d'identifier immédiatement les asymptomatiques, aussi près que possible du 'temps réel', de les isoler rapidement et de réduire progressivement la prévalence et la propagation du virus à travers le population."
«Il y a eu trois suicides parmi les extras»: la perspective d’un nouveau confinement épouvante l’événementiel
18:48 12.01.2021
Une déception de plus pour les extras de l’événementiel et de la restauration! Ces salariés sont descendus dans la rue pour défendre leurs droits. Mais leur manifestation devant le ministère du Travail n’a pas impressionné l’exécutif, qui refuse de réévaluer les aides pour les «intermittents de l’emploi» aujourd’hui fixées à 900 euros. Reportage.
À Paris, devant le Ministère du Travail, une cinquantaine de manifestants bravent un temps maussade à coups de slogans: «Madame la Ministre, notre avenir est sinistre», ou: «L’État aveugle, sourd et muet.» Dans la petite foule, on retrouve des visages familiers. Ce n’est pas étonnant, puisque la situation des intermittents de l’emploi n’a pas changé depuis presque un an. Inlassablement, ils alertent sur la «mort sociale programmée» des extras et contrats courts.
Xavier Chergui est maître d’hôtel. Il s’estime presque privilégié puisque, après avoir travaillé en été, il a «un peu rechargé ses droits». Ce qui ne lui fait pas oublier un passage à vide en mars 2020: «J'étais au RSA.»
«Aujourd’hui, on dénonce les mesures annoncés par Élisabeth Borne [pour soutenir les permittents, ndlr]: un plafond de 900 euros sous condition de 138 jours de travail en 2019. Elle parle d’équité, mais je ne suis pas un chômeur, je suis un bosseur», clame Xavier Chergui. Ce maître d’hôtel ne voit guère de différence entre le RSA de 875 euros –«pour la famille de quatre personnes»– qu’il percevait et les 900 euros promis par le ministère.
«Bientôt à la rue ?», «Démunis»: comment le Covid-19 fabrique des nouveaux pauvres – vidéo «Ces aides, si j’y ai droit, me rapporteront 25 euros !» s’insurge Xavier contre les propositions ministérielles, en énumérant ses dépenses: «Le loyer, le crédit, l’alimentaire, la cantine des enfants, l’assurance de la voiture, l’électricité…»
«J’ai appris dernièrement qu’il y a eu trois suicides parmi les extras de l’événementiel. Et s’il y a un troisième confinement, comment faire ?» déplore Xavier. Le tourisme d’affaires au ralenti, les fêtes privées interdites, les cérémonies en petit comité… depuis le début de la pandémie, les maîtres d’hôtel et les cuisiniers employés en CDD d’usage (le contrat des extras) encaissent coup dur sur coup dur. Ils ont plongé, en quelques mois, dans la précarité.
Au côté des manifestants, Mathilde Panot, députée La France insoumise du Val-de-Marne, appelle à «ne pas baisser les bras» et à continuer, parce que «le gouvernement est en train de préparer de nouveaux mauvais coups».
«Jusqu’à quand va-t-on accepter que les gens vivent avec 400-500 euros? La délégation va dire [à la ministre, ndlr] que nous ne voulons pas des miettes, nous voulons des droits, pour que tout le monde puisse vivre dignement. Je vous garantis qu’il y a largement assez de richesses dans le pays pour l’assurer», déclare la députée. En novembre dernier, Véronique Fayet, présidente du Secours catholique, a déclaré: «La France franchira la barre des dix millions de pauvres en 2020.» Autre chiffre alarmant, la Caisse nationale d'allocations familiales a annoncé début décembre: «La barre des 2 millions de bénéficiaires du RSA aurait été franchie.»
En revanche, le nombre des Français ultra-riches a augmenté de 11 % entre 2018 et 2019, alors que la moyenne européenne est de 8,7 %. Ce qui place le pays à la cinquième place du palmarès mondial.
Les collaborateurs d’Édouard Philippe désormais appelés à se tourner vers Pôle Emploi
La manifestation avait pour but de faire pression sur la ministre, qui recevait une délégation d’intermittents. À l’issue de la rencontre, Samuel Churin, comédien bien connu pour son action au sein de la Coordination des intermittents et précaires, ne cache pas sa déception: «Ça n’a donné absolument rien, aucun résultat, déclare-t-il au micro de Sputnik. Ils maintiennent que 900 euros, c’est très bien et promettent des prolongements.» Il ne cache pas son amertume devant le refus du ministère de suivre une proposition formulée en novembre dernier dans les rangs de la majorité. Le député Jean François Mbaye (LREM) avait fait une proposition de loi plus en ligne avec les vœux de la Coordination: sur la base des deux dernières années, «aligner» les intermittents de l’emploi sur les salariés permanents pour leur assurer 84% des revenus.
«Cette proposition de loi est torpillée et enterrée, puisque le ministère a déclaré qu’“elle n’était pas à l’ordre du jour”. Elle ne peut même pas être discutée, parce que le gouvernement risquerait d’émettre un avis défavorable sur une proposition d’un membre de sa majorité», souligne Samuel Churin. Néanmoins, le membre de la Coordination compte «essayer de la faire proposer à travers les députés d’opposition», s’attendant quand même à essuyer un refus.
Il dénonce également l’approche adoptée par le gouvernement «de prendre comme référence des revenus l’année 2019, plombée» par le mouvement des Gilets jaunes et les grèves. «Ils devraient prendre une années 2018, une année de croisière normale. Et non l’année où la fréquentation touristique a fortement diminué, devant les images des Champs-Élysées qui brûlent», conclut Samuel Churin.
Le gouvernement britannique ne peut laisser sortir les gens qu'une fois par semaine
PAR TYLER DURDEN MARDI 12 JAN 2021 - 15h30 Rédigé par Steve Watson via Summit News,
Le gouvernement britannique aurait discuté de l'augmentation des restrictions COVID encore plus loin en n'autorisant les gens à quitter leur domicile qu'une fois par semaine.
Prétendant que le service national de santé est au point de rupture, le gouvernement envisagerait de mettre en œuvre des règles plus strictes, notamment le port obligatoire du masque à l'extérieur, et d'interdire les «bulles étendues», où les gens sont autorisés à rencontrer une personne d'un autre foyer.
Le plus effrayant, cependant, est la révélation que les ministres du Cabinet ont débattu en privé pour empêcher les gens de se parler dans la rue et dans les supermarchés, et même empêcher les gens de quitter leur domicile plus d'une fois par semaine, et instaurer des couvre-feux.
S'adressant aux journalistes, le ministre des Vaccins, Nadhim Zahawi, a déclaré: «Nous révisons toutes les restrictions», ajoutant: «Je m'inquiète du fait que les supermarchés et les gens portent réellement des masques et suivent le système à sens unique, et s'assurent que lorsqu'ils sont à pleine capacité, ils attendent en dehors de la supermarché."
"Je m'inquiète pour certaines des photos que j'ai vues d'interactions sociales dans les parcs, si vous devez faire de l'exercice, vous ne pouvez sortir que pour faire de l'exercice", a déclaré Zahawi.
Une source gouvernementale a également déclaré au Daily Telegraph que la règle actuelle permettant aux gens de rencontrer une personne d'une autre maison pour faire de l'exercice est «utilisée comme excuse pour les gens d'aller prendre un café dans le parc avec leurs amis» et sera probablement mis au rebut.
La source a ajouté que le gouvernement discutait de «s'assurer que les gens n'utilisent pas leur propre créativité pour interpréter les règles comme ils le souhaitent».
Le rapport suggère que l'application des règles sera encore plus renforcée, avec des amendes sur place, pouvant passer de 200 £ à 500 £.
Les révélations surviennent après un week-end où la police a été vue en train de sévir contre des gens dans les rues de Grande-Bretagne.
Une vidéo est apparue montrant des policiers arrêtant des personnes qui marchaient, étaient assises sur des bancs et buvaient du café à l'extérieur.
Après que les images soient devenues virales, la police a affirmé, sans aucune preuve, que le tout avait été mis en scène par des «manifestants anti-lockdown»:
Veuillez trouver notre déclaration ci-dessous ⬇️ pic.twitter.com/roVVLxjG5E - Police du Dorset (@dorsetpolice) 10 janvier 2021
Certaines personnes ont laissé entendre qu'une manifestation anti-lockdown avait lieu. Le Daily Mirror dit ici: "Rien n'indique que l'une des personnes confrontées à la police participait à une manifestation." Heureux d'être informé du contraire si quelqu'un a plus d'informations. https://t.co/gQNWf2DX33 - Paul Embery (@PaulEmbery) 10 janvier 2021
C'est ce à quoi la police a sombré - blâmer leurs victimes pour leurs arrestations illégales ... Honteux. https://t.co/yGbcUyTVbw pic.twitter.com/nuGGOcOafF - Benjamin Loughnane (@Loknayn) 10 janvier 2021
En outre, deux femmes ont été interrogées et condamnées à une amende par la police pour s'être promenées dans une région éloignée à 8 km de leur lieu de résidence, bien que cela ne soit pas illégal en vertu des lois sur les coronavirus. La police a dit aux femmes que les boissons chaudes qu'elles transportaient constituaient un «pique-nique».
Une vidéo est également apparue montrant des policiers eux-mêmes assis dans un café en train de boire du café, la personne qui les filme se demandant pourquoi ils ne respectaient pas les règles:
La police de verrouillage sait que tout est optimiste. Les règles, les masques, les tickets. Mais ils sont exemptés, donc ils sont d'accord. C’est probablement amusant pour certains d’entre eux, ceux qui sont devenus des policiers pour le frisson du pouvoir. pic.twitter.com/2z4YpAAZxz - Ezra Levant 🍁 (@ezralevant) 8 janvier 2021
Dans un autre incident, un couple avec un bébé et une poussette a été grillé par la police COVID dans le centre-ville de Birmingham simplement pour marcher dans la rue. Le rapport a noté que les agents de soutien communautaire de la police ont alors commencé à interroger les personnes qui étaient arrivées dans une pharmacie pour aller chercher des médicaments sur ordonnance.
Pendant ce temps, en Ecosse, une famille a été arrêtée après que la police est entrée dans leur maison, agissant sur une information d'un voisin selon laquelle il y avait «trop de gens à l'intérieur».
C'est ce que vos impôts et votre capitulation face au gouvernement vous apportent.
La police écossaise utilise des pouvoirs de verrouillage pour faire irruption dans une maison et arrêter violemment la famille. Les enfants qui hurlent m'ont vraiment foutu en l'air. pic.twitter.com/J6qfHLHKzv
- Speech God🏴🏳️🌈 (@CountDankulaTV) 7 janvier 2021 Un service de police local a même tweeté avec colère à propos de «2 rapports de boules de neige lancées» en violation des règles de verrouillage du coronavirus.
La semaine dernière, nous avons rendu compte de l'annonce par la police de l'adoption d'une nouvelle politique de verrouillage `` dure '' pour arrêter et interroger les gens s'ils sont dans la rue, et pour infliger des amendes instantanées s'ils ne peuvent pas fournir une excuse raisonnable pour être hors de leurs maisons.
La police a également déclaré qu’elle ciblerait spécifiquement les «manifestants anti-lock-out et anti-vaccin», affirmant que «nous avons maintenant un élément hardcore qui est contre les règles».
La police réclame également de nouveaux pouvoirs pour forcer l'entrée dans les maisons des contrevenants présumés du verrouillage.
Le gouvernement a été critiqué pour avoir mis en place un troisième verrouillage, dans lequel tout le monde est limité à se rassembler dans les parcs et à se rendre uniquement au supermarché.
Les critiques disent que cela force les gens dans les mêmes espaces, plutôt que de permettre aux gens de se disperser naturellement.
Des rapports ont émergé ce week-end selon lesquels les restrictions devaient rester en place au moins jusqu'au 23 mars, mais le gouvernement n'a donné aucun calendrier officiel pour la durée du verrouillage, ni aucune indication sur le moment où les restrictions seront renforcées ou levées.
Pendant ce temps, à Wuhan…
Un an jour pour jour depuis que la Chine a annoncé le premier décès causé par un `` virus mystère '' à Wuhan, la ville se vante d'être ''la plus sûre du monde '' alors que le reste de la planète est ravagé par Covid-19 https://t.co / DLKq4PxYU6
L'horreur de l'hégémonie actuelle ne s'arrête pas aux ministères ! dans la rue des personnes certainement trisomiques demandent à des gens... de porter un masque !!! C'est la gestapo ! La transmission du devoir de tuer n'importe qui qui ne se conforme pas à la dictature en place !! Même des commerçants de merde s'y mettent ! Ils demandent à ce que les personnes entrent masquées !!
«On les aura, ces connards»: le SMS très cash que Macron aurait envoyé à Véran pour le soutenir
16:28 12.01.2021
Pointé du doigt pour la lenteur de la campagne de vaccination, le ministre de la Santé a toujours la confiance d’Emmanuel Macron, en témoigne un texto révélé par Le Point: «Tiens bon, on les aura, ces connards». Le magazine analyse également les raisons du retard de la France par rapport à ses voisins.
Début janvier, la colère de Macron a éclaté jusque dans le JDD puis d’autres médias, la France accusant un faible nombre de personnes vaccinées par rapport à ses voisins européens. Les critiques se sont alors tournées vers Olivier Véran, tenu responsable de l’échec de la campagne de vaccination, analyse Le Point. Mais le Président affiche toujours sa confiance envers son ministre de la Santé.
D’après l’hebdomadaire, le chef de l’État a tenu en interne à manifester son soutien, notamment via un texto «très cash»: «Tiens bon, on les aura, ces connards». Pourtant, dans les jours qui ont suivi, les vives critiques de Macron à l’égard de la lenteur de la vaccination ont touché le ministre sans le viser directement. «Une victime collatérale», estime le magazine.
Car Emmanuel Macron s’en est en fait davantage pris à l’administration de la santé, notamment lors d’une réunion de crise Covid organisée à l’Élysée début janvier. «C’était une colère générale. Le Président ne supporte plus cet État dans l’État qu’est l’administration de la santé. Quand la HAS lui a dit, avant de se raviser, qu’il n’était pas possible de vacciner les soignants en même temps que les séniors, ça l’a rendu hystérique», confie au Point un conseiller du Président.
Il n’est d’ailleurs aucunement question d’une démission d’Olivier Véran. «On a zéro sujet avec lui», a fait savoir l’Élysée, affirmant que le problème se situe davantage au niveau de la coordination entre lui et les agences régionales de santé, et de ces dernières avec les préfets.
Les raisons d’un échec
Dimanche sur Europe 1, M. Véran semblait regretter sa décision de retarder les procédures de quelques jours afin de prendre le temps de rassurer une population particulièrement hostile à la vaccination. «Nous avons sans doute internalisé l’espèce de défiance générale vis-à-vis des vaccins», a-t-il déclaré, reconnaissant également «un manque de clarté dans l’explication vaccinale».
Outre la peur des anti-vaccins, Le Point rappelle le «traumatisme» du gouvernement après les centres de vaccination mise en place par Roselyne Bachelot en 2010 contre la grippe H1N1, avec les 94 millions de doses dont le gouvernement a finalement dû se débarrasser.
Le comté de L.A. dit aux résidents de porter des masques dans leur propre maison
PAR TYLER DURDEN MARDI 12 JAN 2021 - 17:45
Plus insensée et imminente de dépassement anticonstitutionnel du verrouillage de Covid, une fois de plus hors du comté durement touché de L.A. où les cas se multiplient:
Les choses vont si mal dans le comté de Los Angeles que les responsables de la santé conseillent désormais à tous les travailleurs essentiels de porter des masques à l'intérieur de leur propre maison pour éviter la propagation du Covid-19 au sein de leur ménage.
Comme si les cas où certaines villes du monde avaient commencé à imposer le port de masques à l'extérieur ne suffisaient pas, la recommandation de santé de L.A. conseille désormais aux gens de se masquer à l'intérieur de leur propre maison.
Et ce n'est pas une précaution qui dit de porter un masque en présence d'un membre de la maison infecté par COVID-19 confirmé, ce qui serait compréhensible, mais simplement à tout moment, indépendamment des autres membres de la famille qui sont malades.
"En ce moment, parce qu'il y a tellement de propagation, nous recommandons que les gens portent leur masque pendant qu'ils sont à l'intérieur de la maison", a déclaré la directrice de la santé publique du comté de Los Angeles, Barbara Ferrer, lors d'un point de presse lundi.
"C'est pour les personnes qui quittent leur domicile tous les jours pour le travail ou qui font régulièrement des courses pour leur famille", a déclaré Ferrer. Elle a appelé cela une «couche de protection supplémentaire pendant que nous traversons cette vague».
Même si les médias comme CNN définissent la directive comme s'appliquant aux «travailleurs essentiels», il ressort clairement du libellé du directeur de la santé que les directives sont émises à tous les résidents du comté de L.A. qui appartiennent à un ménage avec plus d'une personne.
Los Angeles approche maintenant de son année depuis son premier cas de coronavirus confirmé enregistré. Depuis lors, plus de 930 000 personnes ont été testées positives dans le comté de L.A.
Les autorités locales ont récemment cherché à imposer les mesures de distanciation sociale les plus strictes du pays, y compris de nouvelles ordonnances de verrouillage et un couvre-feu de 22 heures à 6 heures, à l'exception des travailleurs essentiels.
L.A. dit également aux gens de ne pas faire de marche ou de jogging sans porter de masque: "Ce n'est pas le moment de rencontrer des amis chez vous pour regarder le match", a déclaré Ferrer dans le communiqué de lundi. "Ce n'est pas le moment de se promener sans masque."
Même en Chine ou Corée du Nord ils ne font pas çà ! Et, maire et Gouverneur sont pire que le juif boche à la petite moustache nazie ! Obligation de porter le masque sous la douche, pour vous débarbouiller, vous raser, mettre du rouge à lèvre, brosser les dents, manger, dormir et baiser !
Covid-19: quand la mafia du vaccin veut votre argent
RépondreSupprimer18:39 11.01.2021
Les campagnes de vaccination sont en cours dans de nombreux pays. À un rythme plus ou moins soutenu. Du coup, des réseaux criminels vendent à des prix exorbitants sur le Dark Web des vaccins contrefaits très dangereux pour la santé. En outre, les autorités sont sur le qui-vive afin d’empêcher les vols de doses. Analyse d’une situation explosive.
Exploiter l’inquiétude de personnes vulnérables pour leur soutirer de l’argent. La technique est bien connue des criminels. Aucune raison qu’elle ne s’applique pas en pleine pandémie de Covid-19. Sur le Dark Web, des trafiquants n’hésitent pas à mettre en vente des doses de vaccin contrefaites, mettant ainsi en danger la vie de clients naïfs.
«En novembre, après les premières annonces de fiabilité de certains sérums par des géants de l'industrie, nous avons vu fleurir, sur cet Internet parallèle, près de mille sites traitant du sujet. Nous en avons identifié une dizaine qui proposait des doses de vaccin», explique au Parisien Xavier Duros, directeur technique de Check Point Software.
La situation est prise très au sérieux par les autorités. Une inquiétude répandue au niveau planétaire! Le 21 décembre, Jürgen Stock, patron d’Interpol, lançait un avertissement dans le magazine allemand Wirtschaftswoche: «Avec l'acheminement des vaccins, la criminalité va augmenter de manière spectaculaire.»
«Nous allons assister à des vols, à des cambriolages d'entrepôts et à des attaques lors du transport des vaccins», expliquait-il.
Les gouvernements du monde déploient les grands moyens pour protéger les précieux sérums. En Allemagne, par exemple, c’est la police fédérale qui achemine les doses, lesquelles sont stockées dans des endroits tenus secrets.
Des mesures de sécurités drastiques
En France, les ministères de la Santé et de l'Intérieur ont adressé une note aux préfets et aux agences régionales de santé (ARS). La missive met en garde contre «les actes de malveillance (dégradations, vols, attaques cyber, intrusions dans des lieux de stockage)» et autres actions menées par des «militants activistes antivaccin», voire des «actes terroristes».
Transporteurs partenaires de l’américain Pfizer en Europe, DHL et Fedex ont été mis à contribution. Ils doivent respecter les délais fixés dans «un plan de transport» communiqué à l'avance aux autorités. Ils sont également tenus de garantir la confidentialité de leurs chargements. Les arrêts sont limités sur les trajets et leurs durées réduites au minimum. Le tout «en évitant les lieux d'affluence».
RépondreSupprimerChaque préfet est en mesure de faire escorter les convois par «des véhicules banalisés ou sérigraphiés». Un «appui aérien» à l’aide de drones peut aussi être mis en œuvre.
«Ce seront des transports spécialisés dans les produits de santé, comme des poches de sang voire des organes. Ce sont des transporteurs agréés, parfaitement professionnels», expliquait en décembre le ministre de la Santé, Olivier Véran, alors qu’il visitait l'un des sites de stockage à Chanteloup-en-Brie (Seine-et-Marne).
Sans surprise, ces entrepôts font également l’objet de mesures de sécurité strictes. Des dispositifs anti-intrusion ou des caméras de vidéosurveillance veillent au grain. Pour pallier une situation d’urgence, des circuits d'électricité de secours permettant de poursuivre l'activité «en mode dégradé» ont également été préconisés.
Vaccin Moderna pour la France: près de huit millions de doses attendues d’ici à fin juin
Quant à l’accès à ces zones sensibles, il fait l’objet de contrôles stricts. Il est réservé aux seules personnes autorisées, recensées sur un registre spécial ou munies d’un badge. Enfin, la sécurité informatique a été renforcée afin de se prémunir contre les risques de cyberattaque. Chaque acteur de la chaîne d’approvisionnement a été invité à renforcer sa protection «contre les intrusions dans les systèmes d'information» ainsi qu’à fermer «tous les services non indispensables». Le but? Limiter les risques de fuites de données après un phishing ou contrecarrer les tentatives d'extorsion au moyen de «rançongiciels».
Le 9 décembre dernier, l'Agence européenne des médicaments (AEM) annonçait avoir été la cible de hackers qui ont piraté des documents liés au vaccin de Pfizer-BioNTech. Sarah Pineau, officier dans la réserve opérationnelle de l'armée de terre, expliquait récemment à l’AFP que «quand des hackers lancent une attaque et demandent une rançon, ils sont quasiment sûr d'arriver à leurs fins». Elle disait craindre que la médiatisation de ces attaques «renforce la défiance des populations vis-à-vis des vaccins».
Si, pour le moment, aucune attaque de convoi ou d’entrepôt n’a fait la une des médias, on ne peut en dire autant de l’activité des criminels sur le Dark Web. Cet Internet parallèle, dont les adresses ne sont pas répertoriées par les moteurs de recherche, est très prisé des cybercriminels en tout genre. Et pour eux, la pandémie représente une opportunité.
Risques de décès
RépondreSupprimerRFI rappelle que, fin 2020, l'agence européenne de police Europol avait déjà répertorié des dizaines de sites proposant des doses de vaccin de manière frauduleuse et en avait démantelé certains. «Mais les arnaques aux faux vaccins repartent à la hausse», indique l’agence qui recommande aujourd’hui «la plus grande prudence aux internautes ayant l’intention d’acquérir ces produits pharmaceutiques falsifiés et dont l’usage se révèle particulièrement nocif pour la santé», rapporte le média international français.
Et le business est juteux. Les doses vendues en ligne se négocient entre 150 et 1.000 dollars. «De nombreuses personnes ne veulent pas attendre pour être immunisés de passer par les canaux de santé officiels de leur pays. Et il y a toujours des vendeurs sur le Dark Web qui prétendent répondre aux besoins de ces impatients», analyse auprès de 20 Minutes Check Point, éditeur de logiciels de sécurité informatique pour les entreprises.
Récemment invitée à s’exprimer auprès de BFM TV, Aline Plançon, ex-responsable du programme international d’Interpol de lutte contre la criminalité pharmaceutique, alertait sur «une criminalité en plein développement» pour laquelle «le Covid-19 est une opportunité de générer des profits encore plus importants». D’après elle, les trafics de médicaments génèrent «à peu près 100 milliards de dollars par an».
Les vols de vaccins ne représentent pas le seul risque. D’après Aline Plançon, les trafiquants sont en mesure d’«acheter des vaccins auprès d’intermédiaires qui n'ont en rien la volonté de soigner les gens, puis de les revendre de façon illégale sur les marchés, et cela en dépit de tout stockage et de toute précaution sanitaire».
«Dans ces conditions, le vaccin peut perdre de son efficacité. Ou alors, si c'est un faux, il peut ne pas contenir les bons principes actifs et entraîner la mort de celui qui se l'injecte», alerte-t-elle.
Preuve d’un business florissant, les doses de vaccin ne sont pas les seuls produits pour lutter contre le Covid-19 en vente sur le Dark Web. Les équipes de Check Point ont ainsi repéré des ventes de chloroquine –traitement mis en avant par le professeur Didier Raoult– ou de faux résultats négatifs de tests PCR.
Les Français pas complètement épargnés malgré la Sécu
La situation est d’autant plus grave que lutter contre ce type de criminalité n’est pas simple. Les vendeurs bénéficient de techniques bien rodées. L’une des plus efficaces consiste à laisser leurs sites en ligne sur une période de temps restreinte afin de ne pas se faire repérer. Les criminels les recréent ensuite à une adresse différente. Un jeu du chat et de la souris qui complique la tâche de la police.
Jusqu’à 1.000 dollars la fausse dose de vaccin anti-Covid sur le Dark Web
RépondreSupprimerEt c’est loin d’être leur seul subterfuge, comme l’explique RFI: «Pour appâter le chaland, certains cybercriminels se font passer pour les représentants d’un institut de recherche ayant les ressources suffisantes pour envoyer des doses partout dans le monde. Pour être crédibles, leurs sites affichent souvent les logos de véritables sociétés pharmaceutiques et parfois ceux de l'Organisation mondiale de la santé.»
Reste que l’achat de ces doses illégales n’est pas à la portée de tous. Se connecter sur le Dark Web nécessite le téléchargement d’un logiciel et quelques connaissances de base en informatique. De plus, beaucoup des ventes se font en bitcoins. «Ce qui exclut l'achat direct par madame Michu, car il faut connaître les plateformes de vente et se procurer de la monnaie virtuelle. La vente se passe surtout entre petits revendeurs qui les dispatchent ensuite sur des cercles restreints via des messageries privées», analyse auprès du Parisien Antoine Violet-Surcouf, directeur général d'Avisa Partners et spécialiste de la contrefaçon sur Internet.
Autre motif d’espoir pour l’Hexagone: la Sécurité sociale à la française. Le pays est un terreau moins fertile que d’autres nations pour la vente frauduleuse de médicaments comme le souligne auprès de RMC Antoine Violet-Surcouf:
«Il faut distinguer les consommateurs français des autres. En France, on a une Sécurité sociale très performante. Les produits médicaux sont quasi gratuits. Donc les Français n'achètent pas trop des médicaments sur Internet. Mais dans d’autres pays moins bien lotis, ce trafic est assez fréquent et existe depuis de nombreuses années déjà.»
Mais attention, cela ne signifie en aucun cas que la France est épargnée. «Il y a des achats», rappelle auprès du Parisien Xavier Ducros. Pour ne pas tomber dans le panneau, mieux vaut faire preuve de prudence et respecter quelques règles comme l’explique sur RMC Nicolas Lellouche, journaliste à 01Net:
«On va peut-être vous contacter par mail pour vous proposer des solutions miracles. La plupart du temps, ce seront des arnaques. Il ne faut pas répondre. Il ne faut surtout pas donner vos coordonnées bancaires parce que c’est comme ça que les pirates essaient aujourd’hui d'accéder aux données des gens, en se faisant passer pour des personnes qui peuvent leur apporter un service.»
Publicité bidon pour de faux remèdes !
SupprimerPremièrement un virus n'irradie que quelques temps (3 semaines) et, c'est sur cette souche analysée qu'est recherchée un vaccin. Or, pour mettre un vaccin au point, il faut entre 10 à 15 ans (et non 'quelques mois' !).
Deuxièmement, les vaccins proposés ne peuvent donc pas correspondre au virus n°xxxx détecté et mort au mois de Mars ou d'Avril. Il ne sont donc d'aucune utilité pour les numéros suivant qui sont de souches différentes !
Une maison de soins infirmiers n'a eu aucun décès par COVID. Ensuite, il vaccine les résidents et les décès commencent
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 11 JAN 2021 - 15:36
Rédigé par Adam Dick via le Ron Paul Institute for Peace & Prosperity,
Les choses semblent fonctionner à rebours à la maison de retraite The Commons on St. Anthony à Auburn, New York.
Vacciner les gens est censé réduire ou mettre fin aux décès dus aux coronavirus. Ok ?
Mais, aux Communes, de tels décès ne se seraient produits qu'après que les résidents ont commencé à être vaccinés contre le coronavirus.
James T.Mulder a écrit samedi sur syracuse.com que jusqu'au 29 décembre, il n'y avait pas eu de décès de coronavirus à The Commons.
Le 29 décembre, lorsque les décès de résidents atteints de coronavirus ont commencé à se produire à The Commons, est également, selon l'article de Mulder, sept jours après que la maison de soins infirmiers a commencé à vacciner les résidents contre le coronavirus, 80% des résidents ayant jusqu'à présent été vaccinés.
Sur une période de moins de deux semaines depuis le 29 décembre, Mulder rapporte que 24 résidents infectés par le coronavirus de la maison de soins infirmiers de 300 lits sont décédés.
La maison de soins infirmiers a commencé à vacciner les résidents le 22 décembre.
À ce jour, 193 résidents, soit 80 %, et 113 employés, soit moins de la moitié du personnel, ont été vaccinés.
La maison de soins infirmiers prévoit de faire plus de vaccinations le 12 janvier.
Le moment est-il juste une étrange coïncidence ?
Lisez l'article de Mulder ici ...
https://www.zerohedge.com/covid-19/nursing-home-had-zero-covid-deaths-then-it-vaccinates-residents-and-deaths-begin
Étude de la vie réelle: les écoliers masqués sont blessés physiquement, psychologiquement, comportementalement et souffrent de 24 problèmes de santé distincts
RépondreSupprimerLundi 11 janvier 2021
par: Lance D Johnson
(Natural News) Une étude unique en son genre, portant sur plus de 25 000 enfants, révèle que les masques nuisent aux écoliers de nombreuses manières physiques et psychologiques et ont un effet négatif sur leur comportement, leur concentration et leur intérêt pour l'apprentissage. Ces effets négatifs sont censurés des médias sociaux, sous-rapportés par les médias et ignorés par les responsables gouvernementaux. Sur les 25 930 enfants étudiés, la base de données comprend au moins 17 854 plaintes de santé soumises par les parents. Ces problèmes de santé et déficiences ont été observés chez environ 68 pour cent des écoliers masqués qui ont été forcés de porter un masque facial pendant en moyenne quatre heures et demie par jour.
Le port de masque prolongé, forcé et strict détruit la santé des enfants
Le registre, créé le 20 octobre 2020, a demandé à 363 médecins d'informer les parents et les enseignants qu'ils peuvent signaler les effets sur la santé dont ils sont témoins du fait de l'utilisation prolongée du masque par les enfants. Les problèmes de santé étaient exhaustifs et incluaient l'irritabilité (60 %), les maux de tête (53 %), la difficulté à se concentrer (50 %), moins de bonheur (49 %), la réticence à aller à l'école / à la maternelle (44 %), le malaise (42 %) troubles d'apprentissage (38 %) et somnolence ou fatigue (37%). » Près d'un tiers des enfants dorment moins bien que d'habitude et un quart des enfants ont développé de nouvelles peurs. Des centaines d'enfants étaient moins gais, moins joueurs et la plupart étaient inhabituellement irritables.
Plus inquiétant encore, (29,7 %) avaient un essoufflement, (26,4 %) des étourdissements et des centaines d'enfants souffraient d'une sensation de faiblesse, d'une sensation de maladie, d'une respiration accélérée, d'une oppression thoracique et d'une altération de la conscience à court terme. . Le port d'un masque universel détruit la santé des enfants, ce qui rend leur système immunitaire plus vulnérable aux maladies. (En relation: le CDC élabore un programme national «d'état de police médicale» pour suivre l'observance des vaccins; peut conduire à un «enlèvement médical» d'enfants.)
Le masquage des écoliers est une expérience médicale qui doit être le choix des parents et qui nécessite un consentement éclairé
Partout dans le monde, les pères et les mères perdent leurs droits parentaux car des interventions médicales mineures sont obligatoires pour leurs enfants en milieu scolaire. Les enfants sont violés psychologiquement, car les adultes les forcent à croire que leur souffle est une source constante de transmission de maladies, qu'ils ont le devoir moral de veiller à ce que leur souffle malade n'infecte jamais une autre personne. Les enfants sont entraînés à se craindre les uns les autres, à craindre le monde qui les entoure et à trembler d'obéissance à l'autorité et à la fraude médicale. Ces institutions seront-elles tenues pour responsables des dommages physiques, psychologiques et comportementaux qu’elles continuent d’imposer aux enfants ?
Les enseignants et les conseillers, qui sont tenus par la loi de signaler la maltraitance des enfants, participent désormais activement à la maltraitance des enfants et intimident les parents de se conformer. Chaque jour, les autorités ferment les yeux sur le préjudice psychologique qu’elles infligent aux enfants en masquant obligatoirement la bouche et le nez de chaque enfant. Que peut-on imposer d'autre aux enfants sous prétexte de protéger tout le monde ?
RépondreSupprimerLe masquage des écoliers est une expérience médicale. Les fabricants de masques n'ont pas mené d'études indépendantes sur l'utilisation à long terme de leurs produits chez les adolescents. Par conséquent, les parents n'obtiennent pas de consentement éclairé afin qu'ils puissent faire le choix qui convient le mieux à leur enfant. Dans la plupart des cas, les écoles dictent ce que les parents doivent faire au corps de leur enfant, créant un précédent illégal qui bafoue le droit à la vie privée médicale de la famille tout en perpétuant la maltraitance institutionnelle des enfants sans responsabilité.
«Il n'existe aucune étude indépendante du fabricant sur l'utilisation de masques pour enfants et adolescents certifiés comme produits médicaux pour la sécurité au travail dans des applications professionnelles», ont déclaré les auteurs de l'étude. «De plus, en raison des matériaux inconnus utilisés, il n’ya pas de résultats sur les effets protecteurs potentiels ou les effets secondaires des« masques quotidiens »souvent faits maison portés par la majorité des enfants. Compte tenu des mesures en cours pour contenir la pandémie de COVID-19, et en particulier des obligations variables pour les enfants et les adolescents de porter des masques à l'école pendant une période plus longue, il est urgent de mener des recherches. »
https://www.naturalnews.com/2021-01-11-masked-schoolchildren-are-harmed-physically-psychologically-behaviorally.html
Le vaccin DTC de Bill Gates a tué 10 fois plus de filles africaines que la maladie elle-même
RépondreSupprimerLundi 11 janvier 2021
par: Ethan Huff
(Natural News) Une étude révisée par des pairs publiée dans la revue très respectée d'Elsevier EBioMedicine a révélé que le vaccin DTC lancé par Bill Gates sur les jeunes filles en Afrique en a tué 10 fois plus que la maladie elle-même.
Le document, commandé par le gouvernement danois et la Fondation Novo Nordisk, a été publié en 2017, bien qu'il n'ait pas reçu à peu près l'attention qu'il mérite. Essentiellement, il expose Gates comme un meurtrier génocidaire qui a commis des crimes odieux contre l'humanité.
Dirigé par les Drs. Søren Wengel Mogensen et Peter Aaby, l’étude a examiné la combinaison du vaccin contre la diphtérie, la coqueluche (coqueluche) et le tétanos, qui a été interrompue aux États-Unis dans les années 90 en raison de milliers de cas de décès et de lésions cérébrales.
«Malgré une vaccination généralisée», note le journal Great Game India, «les États-Unis et d'autres pays connaissent toujours de grandes épidémies de coqueluche.»
Avant la publication de cette étude, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) n'avait jamais pris la peine de mener un essai portant sur les résultats de santé vaccinés par rapport aux non vaccinés, ce qui aurait été nécessaire pour déterminer si le vaccin DTC était vraiment sûr et efficace.
Même ainsi, Bill et Melinda Gates, sans doute les personnes les plus perverses vivant aujourd'hui, ont poussé la drogue sur des bébés africains innocents, y compris en Guinée-Bissau où la moitié des enfants meurent avant l'âge de cinq ans.
Par rapport aux enfants en Guinée-Bissau qui n’ont pas reçu le vaccin DTC de Gates, les enfants qui l’ont fait sont décédés 10 fois plus que les autres enfants. Il a également été constaté que le vaccin rendait les enfants vaccinés plus vulnérables à d'autres maladies mortelles que les enfants non vaccinés ne contractent généralement pas.
«Le vaccin a apparemment compromis leur système immunitaire», explique Great Game India.
Partout où l'on trouve des personnes noires et brunes, Bill Gates est là pour leur injecter du poison
L'étude elle-même a déclaré qu'aucune étude prospective «n'a montré des effets bénéfiques sur la survie du DTC», bien qu'il s'agisse du «vaccin le plus largement utilisé».
"Il devrait être préoccupant que l'effet des vaccinations de routine sur la mortalité toutes causes confondues n'a pas été testé dans des essais randomisés", révèle en outre l'étude.
«Toutes les preuves actuellement disponibles suggèrent que le vaccin DTC peut tuer plus d'enfants d'autres causes qu'il n'en sauve de la diphtérie, du tétanos ou de la coqueluche. Bien qu'un vaccin protège les enfants contre la maladie cible, il peut simultanément augmenter la sensibilité aux infections non liées. »
Cependant, rien de tout cela n'a d'importance pour Gates, qui continue de punir financièrement les nations pour ne pas se conformer à ses programmes de vaccination. Gates a également été surpris en train d'essayer de soudoyer des pays pour qu'ils poussent plus de vaccins sur leurs populations, en utilisant des programmes «obligatoires», si nécessaire, pour se conformer.
RépondreSupprimerGAVI, qui est financé par Gates et le gouvernement britannique, a encore infiltré les mécanismes d'élaboration de la politique de santé en Inde, qui pousse maintenant agressivement les vaccins contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) sur les Indiens.
Partout où des personnes brunes et noires peuvent être trouvées, en d'autres termes, Bill et Melinda Gates travaillent pour leur injecter à tous des produits chimiques stérilisants et altérant l'ADN au nom de la santé publique.
Le jab indien «Covaxin», fabriqué par Bharat Biotech, est en fait le produit d’un financement de Gates par l’intermédiaire de son lobby pharmaceutique international. C'est l'une des raisons pour lesquelles le défenseur de la vérité sur les vaccins, Robert F. Kennedy Jr., dans un article, a décrit l'eugéniste milliardaire comme ayant une «obsession des vaccins».
«Il y a des problèmes de portes tournantes avec toutes nos agences fédérales et toutes nos agences d'État», a déclaré Kennedy lors d'une interview sur RT au début de 2020.
"Il y a un phénomène ou une dynamique par lequel l'agence qui est censée protéger le public américain des mauvaises drogues ou de la pollution de ce que vous avez devient finalement une filiale ou une marionnette pour l'industrie qu'elle est censée réglementer."
Vous pouvez regarder l'interview complète ci-dessous:
Les dernières nouvelles concernant les vaccins peuvent être trouvées sur Vaccines.news.
Les sources de cet article incluent:
GreatGameIndia.com
NaturalNews.com
GreatGameIndia.com
https://www.naturalnews.com/2021-01-11-dtp-vaccine-bill-gates-killed-african-girls.html
La Californie oblige les compagnies d'assurance à payer pour les mutilations sexuelles d'organes chez les adolescents confondus entre les sexes
RépondreSupprimerLundi 11 janvier 2021
par: Ethan Huff
(Natural News) Alors que des millions d'Américains bénéficiant d'une assurance maladie doivent encore payer de leur poche les procédures dentaires nécessaires qui sont considérées comme «cosmétiques» et donc non couvertes, la Californie lance le tapis rouge pour les adolescents dysphoriques de genre leurs organes sexuels ont été coupés «gratuitement».
Le commissaire californien aux assurances Ricardo Lara a annoncé juste avant le début de 2021 que les compagnies d'assurance du Golden State devront désormais payer pour les filles mineures qui pensent être des «garçons» pour subir une double mastectomie - car ne pas accepter de le faire serait «transphobe». . »
Afin de faciliter la «création d'un coffre masculin» pour les filles chez qui cela est «médicalement nécessaire», Lara dit que le secteur de l'assurance devra fournir une couverture à la demande pour la procédure de mutilation.
«Pendant trop longtemps, les personnes diagnostiquées avec une dysphorie de genre ont dû affronter une foule de défis pour avoir accès à des soins affirmant le genre afin d'être elles-mêmes», a déclaré Lara dans un communiqué.
Lara a en outre suggéré que le fait d'exiger que les filles aient au moins 18 ans avant d'opter pour l'ablation des seins est un exemple de «critères médicaux dépassés» qui «crée des obstacles aux soins médicaux nécessaires».
À la demande d'un groupe appelé «Trans Family Support Services», Lara a ordonné à son avocat de rendre une ordonnance à la fin de 2020 obligeant les assureurs à fournir des doubles mastectomies pour toutes les petites filles qui le souhaitent.
Lara a statué que «les assureurs ne peuvent pas refuser la couverture pour une mastectomie et la création d'un thorax masculin (« chirurgie de reconstruction thoracique masculine ») pour le traitement de la dysphorie de genre chez les patients de sexe féminin sur la seule base de l'âge de la personne assurée.»
Une véritable «mastectomie» élimine les tissus mammaires malades et non sains
Pour être clair, les compagnies d'assurance sont déjà tenues de fournir une «reconstruction» des organes sexuels aux personnes ayant une confusion entre les sexes qui ont plus de 18 ans. Le changement permet désormais aux enfants mineurs de bénéficier également des procédures sans avoir à payer de leur poche.
Comme l’a noté PJ Media, le langage orwellien qui se répand tout au long de la déclaration de Lara est à la fois trompeur et inexact. «Chirurgie de reconstruction thoracique masculine» n'est pas une expression médicale exacte, pas plus que le mot «mastectomie» lorsqu'il est utilisé dans ce contexte.
RépondreSupprimerUne vraie mastectomie consiste à prélever des tissus malades de la poitrine d’une femme, et non des tissus sains de la poitrine d’une fille atteinte de troubles mentaux. En d’autres termes, le décret de Lara redéfinit complètement la terminologie médicale de base, ce qui est à propos du fait que le transgenre représente la redéfinition de l’humanité.
"L'article 10123.88 du Code des assurances exige que toutes les polices d'assurance maladie couvrent la chirurgie reconstructive nécessaire pour" améliorer la fonction "ou" créer une apparence normale, dans la mesure du possible "", précise encore l'ordonnance.
«La chirurgie reconstructive est définie comme« une intervention chirurgicale effectuée pour corriger ou réparer des structures anormales du corps causées par des anomalies congénitales, des anomalies du développement, un traumatisme, une infection, des tumeurs ou une maladie pour effectuer l’une des opérations suivantes: (A) Améliorer la fonction. (B) Pour créer une apparence normale, dans la mesure du possible. ""
Pendant ce temps, les mêmes procédures exactes ne seront pas couvertes si elles sont détachées de l'agenda LGBTQ. Les femmes souhaitant simplement modifier leurs seins pour une autre raison ne seront pas couvertes par les nouvelles règles.
Si une compagnie d'assurance refuse de couvrir les frais associés à la «chirurgie de reconstruction thoracique masculine», cette institution sera désormais coupable de «discrimination» à l'égard des transgenres.
À aucun moment Lara ou quiconque au sein de sa commission n'a reconnu le fait que de nombreux soi-disant transgenres regrettent plus tard leur décision, surtout lorsqu'elle est prise très tôt dans la vie. Il n'a pas non plus évoqué le fait que les «cliniques» transgenres mentent aux enfants sur les effets associés à la prise de produits pharmaceutiques bloquant les hormones.
«Personne n'est« né dans le mauvais corps », déclare Michelle Cretella, directrice exécutive de l'American College of Pediatricians. «Le sexe est déterminé lors de la fécondation par la génétique… Des conseils et / ou des médicaments psychiatriques pour traiter les traumatismes et les causes sous-jacents sont la réponse; pas de mutilation physique par un soi-disant médecin.
D'autres articles sur le sujet peuvent être trouvés sur Gender.news.
Les sources de cet article incluent:
PJMedia.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2021-01-11-california-forces-insurance-pay-sex-mutilation-teens.html
Les tromperies de l'Anthrax de 2001 et celles qui se perpétuent aujourd'hui
RépondreSupprimer10 janv.2021 349
Edward Curtin
Au moment où j'écris le 1er janvier 2021, la nouvelle année ne commence pas sous les meilleurs auspices. Des déclarations inquiétantes viennent des hauts lieux habituels et de leurs porte-parole médiatiques, annonçant des «variantes de virus hautement contagieuses» du soi-disant Covid-19.
Joseph Biden a mis en garde contre un hiver très sombre à venir. Son utilisation de ce terme Dark Winter a été reprise par les responsables du monde entier capables de lire les points de discussion qui leur ont été remis. La chambre d'écho résonne avec des avertissements sombres. Anthony Fauci et le CDC prévoient des centaines de milliers de morts ce mois-ci seulement.
Ces fonctionnaires disent maintenant que les vaccins qu'ils mettent en place prendront du temps; n'éliminera pas le virus, etc. Couvrir leurs paris alors qu'ils annoncent un désastre absolu à venir, un peu comme un avertissement de feu et de soufre de Jonathan Edwards pour les péchés de célébrer les temps de fête. Devinez qui sera blâmé ?
Des projections sinistres suivent les vacances comme des buses sur une carcasse morte. Suivez simplement les gros titres des médias d'entreprise pour le confirmer. Vous n'avez besoin d'aucune direction associée de ma part.
Je préfère être bref pour que vous puissiez lire sur le livre incroyablement important de 2014 de Graeme MacQueen, The 2007 Anthrax Deception. Puis lisez son livre. Son analyse des attaques à l'anthrax liées au 11 septembre jette un éclairage important sur la crise actuelle du virus corona.
Ensuite, écoutez cette nouvelle vidéo - avant qu'elle ne disparaisse - avec Heiko Schöning parlant des tromperies sur le charbon en 2001 et de celles perpétrées aujourd'hui. Schöning est un médecin allemand et l'un des leaders mondiaux qui se battent pour révéler la vérité sur le COVID-19 et le «Great Reset» du Forum économique mondial.
Edward Curtin est un écrivain dont le travail a été largement diffusé. Il enseigne la sociologie au Massachusetts College of Liberal Arts. Son site Web est http://edwardcurtin.com/. Il est l'auteur du nouveau livre Seeking Truth in A Country of Lies.
https://off-guardian.org/2021/01/10/the-2001-anthrax-deceptions-and-those-being-perpetuated-today/
Il n'existe que deux partis dans le monde : celui des mondialistes pour le Grand reset et celui des anti-mondialistes pour le Grand réveil
RépondreSupprimerAlexander Dugin — Geopolitica.ru
Sott.net
lun., 11 jan. 2021 12:16 UTC
Sur le plan géopolitique [russe - NdT], nous avons souvent eu par le passé, comme c'est encore le cas aujourd'hui, bien des divergences et des conflits avec les États-Unis. Nous nous battons souvent dans des camps différents. Mais ce qui se produit aux États-Unis aujourd'hui relève davantage de la question des principes que de toute autre considération.
La moitié des États-Unis est soumise au régime totalitaire de l'autre moitié, et une véritable dictature de la gauche libérale y a été instaurée. Dans une telle situation, nous sommes de fait obligés d'exprimer notre pleine solidarité avec la moitié opprimée.
Cette fois, il n'y a pas eu d'élections mais un coup d'État organisé par la conspiration des élites illégitimes. La présidence étasunienne a été piratée. Aujourd'hui, les États-Unis sont sous le contrôle d'une junte extrémiste. Bienvenue à Maïdan ou dans le Tiers-Monde.
Mais c'est la première fois que les mondialistes utilisent au sein même de leur pays le même scénario qui a prévalu dans d'autres pays sous le nom de révolution colorée, qui inclut une élection volée, des fraudes et une campagne de désinformation intérieure. Ils se sont maintenant pleinement exposés et on peut clairement les voir pour ce qu'ils sont. Et c'était déjà le cas avant même qu'ils n'approuvent de telles tactiques sous couvert « des intérêts nationaux étasuniens ». Aujourd'hui, les Étasuniens en sont eux-mêmes les victimes. C'est une conclusion logique. Si vous commencez à utiliser le mensonge et la violence, il arrive un moment où vous ne pouvez plus les utiliser — à partir d'un moment donné, le mensonge vous utilisera.
La lutte principale se situe désormais clairement au niveau internationale. La confrontation entre les mondialistes et les anti-mondialistes est aujourd'hui bien plus importante que celle qui existe entre les Russes et les Étasuniens, ou entre l'Occident et l'Orient, ou encore entre les chrétiens et les musulmans.
Oui, Ashley Babbitt a participé aux guerres impérialistes des États-Unis. Mais sa mort survenue le 6 janvier 2021 constitue bien plus qu'un dernier service rendu à l'État étasunien et à son peuple. Elle a perdu la vie au nom d'une vraie liberté et d'une vraie justice. Et la liberté et la justice sont des valeurs universelles. Russes aussi bien qu'étasuniennes, musulmanes aussi bien que chrétiennes, occidentales aussi bien qu'orientales.
Notre combat ne vise plus les États-Unis. Les États-Unis que nous connaissions n'existent plus. La division de la société y est désormais irréversible. Nous sommes dans la même situation partout — là-bas et ailleurs. Il s'agit donc d'un même combat mené à l'échelle mondiale.
Nous devrions revoir notre attitude vis-à-vis des Big-Techs que constituent Microsoft, Google, Twitter, Apple, YouTube, Facebook, etc. Ce ne sont pas seulement des outils commerciaux — supposément « neutres » — ce sont avant tout des armes idéologiques et des outils de surveillance et de censure. Il nous faut les détruire. Nous devons réussir notre Grande sortie de la techno-sphère contrôlée par les fous du mondialisme. La question est de savoir si nous devons démanteler la technique en général — un moyen infaillible que nous ne devons pas ignorer ou écarter d'un revers de main trop rapidement — ou développer des réseaux indépendants qui échappent au contrôle exercé par des idéologies biaisées et imprégnées de doctrines érigées en système [comme la paramoralité, la paralogie, les jeux de langage et autres pseudo-réalisme et utopie — un article sur ces sujets est en cours de traduction - NdT]. Entre-temps, nous pouvons simultanément avancer dans les deux directions. Il en va de même pour les médias [mainstream occidentaux - NdT]. Ils prouvent désormais qu'ils sont bel et bien le message [et non le messager - NdT]. Et le message s'avère être unilatéral.
RépondreSupprimerJe ne suis pas d'accord avec de nombreux observateurs qui considèrent l'assaut sur la colline de la capitale comme une provocation et le travail d'une 5e colonne. Non. Il s'agissait d'une réponse symétrique de l'autre moitié des États-Unis totalement humiliée par des élections volées et une fraude éhontée de la part des Démocrates. Les trumpistes ont montré que la gauche-libérale n'a pas le privilège dans l'organisation de guerres mimétiques et dans l'usage de la violence à des fins politiques. Quand on commence à utiliser la violence, on doit s'attendre à la même réponse. Les antifas et les Black Lives Matter ont initié cette vague d'émeutes. Ce qui s'est produit sur la colline du Capitole n'était qu'une réponse logique : nous sommes assez courageux pour saisir par la force le Parlement affairé à reconnaître ou pas l'existence de fraudes et de magouilles électorales perpétrées à l'aide de faux votes de personnes décédées et par des votes par correspondance que personne n'a jamais envoyés.
Note du traducteur : En ce qui concerne l'existence d'une 5e colonne ou pas, il n'en reste pas moins qu'une vraie colère exprimée par les trumpistes a bien pu se produire en parallèle d'une opération sous faux drapeau, moyen habituel des Pouvoirs en place et bien connu de nos lecteurs. Le personnage à cornes dans l'image ci-dessous était aussi présent lors de manifestations BLM, bien qu'il affirme l'avoir été pour manifester contre les BLM, tout comme il affirme avoir été présent au Capitole pour soutenir Trump. Ne serait-ce pas plutôt l'inverse ? N'est-il pas acteur et voix-off, selon Wikipédia soi-même ? Le même Wikipédia aux ordres des Pouvoirs en place qui changent ses contenus en fonction du vent ? Cet Angeli qui se dit « chaman » serait autrement dit dans le jargon du renseignement un contre-espion... Et le fait même que la plupart des médias mainstream occidentaux le dépeignent comme un fervent supporter de Trump est en soi très suspect et ce « consensus » devrait pour le moins éveiller nos soupçons. Nous vivons dans un monde où les valeurs sont inversées, où les bons sont méchants et où les méchants sont bons, un monde où les traîtres à la Nation sont des patriotes (du mondialisme) et dans lequel le (vrai) patriotisme est — dans l'esprit malfaisant et tordu des psychopathes mondialistes — par définition terroriste. L'auteur parle du message unilatéral que représente les médias mainstream occidentaux mais il échoue apparemment à en reconnaître ici l'évidence.
Notre combat prend désormais une dimension réellement mondiale : nous sommes en guerre avec les Démocrates — soit avec la moitié des États-Unis seulement — et non avec les États-Unis dans leur ensemble. Ce fait change tout. Le centre vital du pays prévaut. Celui des États-Unis, mais aussi celui de l'Eurasie. La géopolitique des élections de 2020 nous montre les frontières qui séparent en deux les États-Unis — un contour atlantiste ultra-libérale mondialiste bleu et un centre traditionaliste conservateur rouge. La perversion en bleu contre la normalité en rouge.
RépondreSupprimerLe vrai combat ne fait que commencer. La peur ressentie par les Démocrates lors des manifestations pacifiques sur la colline du Capitole leur sera rappelée à tous. Voir le simple peuple étasunien — majorité dépossédée, silencieuse et « déplorable » — venir au Congrès — voilà ce qui constituait le moment de vérité. Et les députés se sont cachés sous les bancs... Les vrais « déplorables », ce sont ces lâches-là. En ce moment merveilleux, ils ont compris qu'ils ne sont plus en sécurité nulle part. Bienvenue dans notre peau. Dorénavant, les Démocrates seront attaqués dans le monde entier. Ils doivent savoir que nous les observons exactement de la même manière qu'ils nous observent, que nous les suivront à la trace exactement de la même manière qu'ils le font avec nous, que nous rassemblerons des informations et créerons des dossiers sur chacun d'entre eux tout comme sur les mondialistes et leurs marionnettes exactement de la même manière qu'ils le font avec nous.
Dorénavant, tout lien avec les Démocrates et leurs mandataires sera considéré comme un fait de collaboration et de participation au crime contre l'humanité. Ils ont tué des milliers et des centaines de milliers de personnes en dehors de leur territoire. Mais le Mal n'a que faire des frontières. Il est toujours basé sur l'hubris. Ils ont donc entrepris de tuer des Étasuniens sur leur propre sol. Ashley Babbitt n'est que le début. Cette fois, ils prévoient de commettre un vrai génocide à l'intérieur même des États-Unis. Et ce dernier a déjà commencé.
Il n'existe que deux partis dans le monde : celui des mondialistes qui sont pour le Grand reset et celui des anti-mondialistes qui sont pour le Grand réveil. Et rien au milieu. Entre les deux, c'est l'abîme. Celui-là même qui réclame un océan de sang. Le sang d'Ashley Babbitt n'est que la première goutte.
Le combat devient universel. Le Parti démocrate des États-Unis et ses mandataires mondialistes — y compris toutes les industries de haute technologie et la Big Finance [et Big Agro-Pharma - NdT] — incarnent désormais clairement le Mal absolu.
Le Mal ultime s'est confortablement niché sur le sol étasunien. La Dernière révolte, le Grand réveil, jaillit désormais du centre de l'enfer.
Dernière remarque : le trumpisme est bien plus important que Trump lui-même. Trump a le mérite de lancer le processus. Il nous faut à présent aller plus loin.
Source de l'article initialement publié en anglais le 9 janvier 2021 : Geopolitica.ru
Traduction : Sott.net
https://fr.sott.net/article/36465-Il-n-existe-que-deux-partis-dans-le-monde-celui-des-mondialistes-pour-le-Grand-reset-et-celui-des-anti-mondialistes-pour-le-Grand-reveil
Le Great Reset, une menace pour nos libertés
RépondreSupprimerPhilippe Herlin
France Soir
lun., 11 jan. 2021 16:13 UTC
On parle de plus en plus du concept « The Great Reset » (la grande réinitialisation), notamment de nombreux discours complotistes circulent sur le sujet alors que les médias mainstream restent relativement discrets, j'avais envie d'un savoir plus. Alors j'ai lu le livre « Covid-19 : la grande réinitialisation » de Klaus Schwab (le fondateur du Forum de Davos, qui aura lieu en janvier 2021 sur ce thème) et Thierry Malleret (un consultant français).
erfgh
Aucun des deux n'a écrit ce livre, à mon avis, on reconnaît de suite le style des cabinets de conseil américains du genre McKinsey ou Boston Consulting Group. C'est assez ennuyeux à lire, les choses ne sont jamais affirmées franchement, c'est toujours un « on » qui parle, jamais un « je », mais j'ai pu glaner de nombreuses citations (27) qui explicitent ce vocable.
Ça commence très fort : « La crise mondiale déclenchée par la pandémie de coronavirus n'a pas d'équivalent dans l'histoire moderne. » (Introduction, j'indique les chapitres, pas les pages, j'ai lu le livre en format epub). C'est bien sûr faux, l'islamisme et l'immigration incontrôlée sont bien plus dangereux, pour l'Occident en tout cas, mais il faut susciter la peur, sinon l'apocalypse, afin de prendre le pouvoir sur les esprits, comme je l'explique dans mon livre La Renaissance de l'Occident. Et face cet événement qui, selon les auteurs, change le cours du monde, ils affirment que « Beaucoup d'entre nous se demandent quand les choses reviendront à la normale. Pour faire court, la réponse est : jamais. La normalité d'avant la crise est "brisée" et rien ne nous y ramènera, car la pandémie de coronavirus marque un point d'inflexion fondamental dans notre trajectoire mondiale. » (1.1)
Et attention, pas question de peser le pour et le contre pour les auteurs qui dénoncent « Le sophisme économique consistant à sacrifier quelques vies pour sauver la croissance» (1.2.1.2), il faut se conformer docilement au confinement : «retarder le confinement ou rouvrir trop tôt a toujours été une tentation politique très forte. Toutefois, plusieurs études ont depuis lors montré qu'une telle tentation comportait des risques considérables. [...] Selon une étude menée par l'Imperial College de Londres, les mesures de confinement rigoureuses imposées à grande échelle en mars 2020 ont permis d'éviter 3,1 millions de décès dans 11 pays européens » (1.2.1.2). La manipulation éclate dès les premières pages avec cette reprise des estimations totalement délirantes et maintes fois démenties de l'Imperial College (500.000 morts en France lors de la première vague si on ne confine pas...). Le programme est tout tracé, il faut confiner et attendre pieusement le vaccin : « un retour complet à la normale ne peut être envisagé avant qu'un vaccin soit disponible. » (1.2.2.1)
Ceci dit même le vaccin, au fond, ne changera rien, on ne reviendra jamais à la situation antérieure :
« Dans l'ère post-pandémique, selon les projections actuelles, la nouvelle "normalité" économique pourrait être caractérisée par une croissance beaucoup plus faible que dans les décennies passées. [...] Dans de telles conditions, alors qu'une croissance économique plus faible semble presque certaine, beaucoup de gens peuvent se demander si cette "obsession" de la croissance est utile, en concluant qu'il n'est pas logique de poursuivre un objectif de croissance du PIB toujours plus élevé. » (1.2.2.3)
Et voici le premier coupable qui apparaît, le PIB : « La dépendance excessive des décideurs politiques à l'égard du PIB comme indicateur de la prospérité économique a conduit à l'épuisement actuel des ressources naturelles et sociales. » (1.2.2.3). Les auteurs l'affirment, «l 'augmentation du PIB ne garantit pas l'amélioration du niveau de vie et du bien-être social. » (1.2.2.3). C'est historiquement faux, et rappelons que le PIB (produit intérieur brut) est la somme des valeurs ajoutées des entreprises, c'est-à-dire la libre initiative des entreprises de produire et la liberté des consommateurs d'acheter ou pas. Remettre en cause le PIB, c'est attaquer le marché libre, qui garantit justement la prospérité économique.
RépondreSupprimerSelon le livre, il faudrait « soutenir l'activité économique future à un niveau correspondant à la satisfaction de nos besoins matériels tout en respectant les limites de notre planète.» (1.2.2.3). Et revoici le Club de Rome et son rapport sur les limites de la croissance (1972 !), sur l'épuisement supposé des ressources naturelles, toujours démenti, autant par les nouvelles découvertes que par le génie humain (augmentation des rendements agricoles, bientôt la fusion nucléaire, etc.). Mais il faut profiter du Covid pour abattre ce fameux PIB : « Nous ne savons pas encore si la "tyrannie de la croissance du PIB" prendra fin, mais différents signaux suggèrent que la pandémie pourrait accélérer les changements dans bon nombre de nos normes sociales bien ancrées. » (1.2.2.3). Et ensuite il faudra s'engager dans la décroissance (c'est-à-dire l'appauvrissement), « inclusive et durable » (quelle blague) : « il faut faire attention à ce que la poursuite de la décroissance ne manque pas de but précis, comme ce fut le cas avec la poursuite de la croissance ! Les pays les plus tournés vers l'avenir et leurs gouvernements privilégieront plutôt une approche plus inclusive et durable de la gestion et de la mesure de leurs économies... » (1.2.2.3)
On comprend la finalité, il s'agit de tuer le capitalisme, le libéralisme, le libre marché, désigné ici sous le terme de néolibéralisme
: « Avant tout, l'ère post-pandémique inaugurera une période de redistribution massive des richesses, des riches vers les pauvres et du capital vers le travail. Ensuite, la COVID-19 sonnera probablement le glas du néolibéralisme, un corpus d'idées et de politiques que l'on peut librement définir comme privilégiant la concurrence à la solidarité, la destruction créative à l'intervention gouvernementale et la croissance économique au bien-être social. Depuis quelques années, la doctrine néolibérale tend à perdre en puissance, de nombreux commentateurs, chefs d'entreprise et décideurs politiques dénonçant de plus en plus son "fétichisme du marché", mais la COVID-19 lui a porté le coup de grâce. » (1.3)
Ce programme socialiste se rapproche autant du « socialisme de marché » à la chinoise que du « capitalisme de connivence » que nous connaissons malheureusement en Occident, et il consiste à tuer la petite entreprise libre et indépendante pour offrir ses dépouilles aux grandes multinationales liées aux États (via la commande publique, les subventions, les réglementations, le pantouflage), comme l'indiquent ingénument les auteurs : « Cela laisse supposer que les grandes entreprises deviendront plus grandes tandis que les plus petites diminueront ou disparaîtront. Une grande chaîne de restaurants, par exemple, a de meilleures chances de rester opérationnelle car elle bénéficie de plus de ressources et, en fin de compte, d'une concurrence moindre à la suite des faillites de plus petits établissements.» (2.2.1). Ou encore : « dans les villes où un pourcentage élevé du budget alimentaire était traditionnellement alloué aux restaurants (60% à New York par exemple), ces fonds pourraient être dépensés dans les supermarchés urbains, à mesure que les citadins redécouvrent le plaisir de cuisiner chez eux » (2.2.2).
Le confinement semble être une image de notre avenir...
RépondreSupprimerL'objectif, c'est l'étatisation de la société, décrite comme allant de soi :
« L'une des grandes leçons à tirer des cinq derniers siècles en Europe et en Amérique est la suivante : les crises sévères contribuent à renforcer le pouvoir de l'État. Cela a toujours été le cas et il n'y a pas de raison que ce soit différent avec la pandémie de COVID-19. » (1.3.3).
C'est historiquement faux car, sur la période, au XVIIIe siècle, la liberté a fait en Europe et aux États-Unis un bond spectaculaire, qui a justement marqué le début de la prospérité de ces nations. Mais non, pour nos auteurs, l'histoire est toute tracée : « À l'avenir, les gouvernements décideront très probablement, mais avec des degrés d'intensité différents, qu'il est dans le meilleur intérêt de la société de réécrire certaines règles du jeu et d'accroître leur rôle de façon permanente. [...] Certains pays choisiront la nationalisation, tandis que d'autres préféreront prendre des parts au capital ou accorder des prêts. En règle générale, il y aura davantage de réglementation couvrant de nombreuses questions diverses...» (1.3.3)
Et pour accélérer cette transition, on pourra compter sur les « activistes », dont les antifas forment la pointe la plus violente, mais cela le livre n'en parle pas, il préfère dresser un tableau idyllique : « Il pourrait par exemple y avoir un grand nombre de personnes assez indignées par l'injustice flagrante du traitement préférentiel dont bénéficient exclusivement les riches pour que cela provoque un vaste tollé dans la société.» (1.3.1) Et plus loin : « L'activisme des jeunes se développe dans le monde entier, révolutionné par les médias sociaux qui augmentent la mobilisation dans une mesure qui aurait été impossible auparavant. Elle prend de nombreuses formes différentes, allant de la participation politique non institutionnalisée aux manifestations et protestations, et aborde des questions aussi diverses que le changement climatique, les réformes économiques, l'égalité des sexes et les droits des LGBTQ. La jeune génération est fermement à l'avant-garde du changement social. Il ne fait guère de doute qu'elle sera le catalyseur du changement et une source d'impulsion critique pour la Grande réinitialisation.» (1.3.4). Le livre fait même l'éloge du mouvement violent d'extrême-gauche Black Lives Matter et des émeutes qui ont suivi : « la mort de George Floyd a été l'étincelle qui a allumé le feu des troubles sociaux, mais les conditions sous-jacentes créées par la pandémie, en particulier les inégalités raciales qu'elle a mises à nu et le niveau croissant de chômage, ont été le carburant qui a amplifié les protestations et les a maintenues. » (1.3.2).
Ce qui est proposé dans ces pages n'est rien d'autre qu'un processus de violence révolutionnaire destructeur de nos libertés fondamentales.
Et maintenant entre en scène - c'est le nœud du livre - le réchauffement climatique.
RépondreSupprimerEnfin, le soi-disant réchauffement climatique, nullement démontré scientifiquement, mais cela est un autre sujet (voir mon blog referendumCO2NON.fr), mais qui offre aux États l'impérieuse justification d'accroître leur pouvoir sur la société par un contrôle et une réglementation de tous les aspects de notre vie (énergie, habitation, déplacement, industrie, consommation...). Aussi bizarre que cela puisse paraître, il est relié au Covid : « À première vue, la pandémie et l'environnement pourraient passer pour des cousins éloignés ; mais ils sont bien plus proches et imbriqués que nous le pensons. [...] en termes de risque global, c'est avec le changement climatique et l'effondrement des écosystèmes (les deux principaux risques environnementaux) qu'on peut le plus facilement comparer la pandémie [...] il se peut que la COVID-19 nous ait déjà donné un aperçu, ou un avant-goût, de ce qu'une crise climatique et un effondrement des écosystèmes à part entière pourraient entraîner d'un point de vue économique ». (1.5)
Le livre note des attributs communs, mais aussi deux différences : «1) la différence d'horizon temporel (elle a une incidence critique sur les politiques et les mesures d'atténuation) ; et 2) le problème de causalité (il rend plus difficile l'acceptation des stratégies d'atténuation par le public) » (1.5) En effet, la pandémie a un risque instantané et une cause connue (le virus), alors que le changement climatique est progressif et multifactoriel. C'est pour cela que, malgré la propagande incessante depuis des années dans tous les médias, la « lutte » contre le réchauffement ne s'enclenchait pas totalement dans les sociétés européenne et américaine. Et bien voici l'occasion, le Covid sert de déclencheur pour lancer la « transition énergétique » !
Les auteurs l'expliquent ainsi : « Il faut espérer que la menace que représente la COVID-19 ne durera pas. Un jour, elle sera derrière nous. En revanche, le changement climatique et les phénomènes météorologiques extrêmes qui lui sont associés continueront de représenter un danger dans un avenir proche et bien après. Le risque climatique se développe plus lentement que la pandémie, mais il aura des conséquences encore plus graves.» (1.5.2) Et nous pourrons alors compter sur le « génie » de nos dirigeants : « Un leadership éclairé. Certains dirigeants et décideurs qui étaient déjà à l'avant-garde de la lutte contre le changement climatique pourraient vouloir profiter du choc infligé par la pandémie pour mettre en œuvre des changements environnementaux durables et plus vastes. Ils feront, en effet, "bon usage" de la pandémie en empêchant que la crise n'ait servi à rien.» (1.5.2)
Pour synthétiser : Great Reset = Covid + réchauffement climatique = destruction du capitalisme et de nos libertés
RépondreSupprimerOn comprend pourquoi les gouvernements (en tout cas les plus étatistes) s'acharnent à détruire l'économie par des confinements stricts, longs et répétés, cela ne relève pas de leur incompétence comme le croient les naïfs, ça fait partie du plan, c'est le Great Reset mis en œuvre, la destruction de la petite et moyenne entreprise, l'explosion de la précarité et la mise sous dépendance (de l'État) de millions de personnes, la restriction des libertés comme on ne l'avait jamais vu depuis la Deuxième Guerre mondiale, en somme un bond incroyable de l'étatisme dans tous les domaines. Et quand on en aura fini avec le Covid, le pli étant pris, ça continuera avec la lutte contre le réchauffement climatique. Dans l'éternel combat entre la liberté et la tyrannie, cette dernière marque incontestablement des points...
Ce chemin, nous devons l'emprunter, nous n'avons pas le choix, comme dans toutes les idéologies totalitaires : « Cette réinitialisation est une tâche ambitieuse, peut-être trop ambitieuse, mais nous n'avons pas d'autre choix que de faire tout notre possible pour l'accomplir. Il s'agit de rendre le monde moins clivant, moins polluant, moins destructeur, plus inclusif, plus équitable et plus juste que celui dans lequel nous vivions à l'ère pré-pandémique. [...] Ne pas agir équivaudrait à laisser notre monde devenir plus méchant, plus divisé, plus dangereux, plus égoïste et tout simplement insupportable pour de larges segments de la population mondiale. » (Conclusion)
Sachons-le, les succès passés de notre civilisation bâtie sur la liberté ne comptent pour rien : « la conviction que le monde d'aujourd'hui est meilleur qu'il ne l'a jamais été, bien qu'elle soit correcte, ne peut servir d'excuse pour se contenter du statu quo et ne pas remédier aux nombreux maux qui continuent à affliger notre monde.». Et c'est désormais le discours gauchiste, revendicatif, vengeur, violent qui doit s'imposer : « La mort tragique de George Floyd (un Afro-Américain tué par un policier en mai 2020) illustre parfaitement ce point [cf citation précédente]. C'est le premier domino ou la dernière goutte d'eau qui a marqué un point de bascule important, au cours duquel un sentiment d'injustice profond et accumulé, ressenti par la communauté afro-américaine des États-Unis, a finalement explosé sous la forme de protestations massives.» (Conclusion)
Le livre cite le terme de résilience quasiment à chaque page, mais c'est bien de destruction qu'il s'agit.
RépondreSupprimerLisons le dernier paragraphe de la conclusion, il rappelle le principe de la table rase propre aux idéologies totalitaires («repartir de zéro», le Great Reset justement), en marche vers le meilleur des mondes :
« Nous sommes maintenant à la croisée des chemins. Une seule voie nous mènera vers un monde meilleur : plus inclusif, plus équitable et plus respectueux de Mère Nature. L'autre nous conduira dans un monde semblable à celui que nous venons de laisser derrière nous - mais en pire et constamment jalonné de mauvaises surprises. Nous devons donc faire les choses correctement. Les défis qui se profilent à l'horizon pourraient être plus conséquents que ce que nous avons choisi d'imaginer jusqu'à présent, mais notre aptitude à repartir de zéro pourrait également être meilleure que ce que nous avions osé espérer auparavant.»
Les défenseurs de la liberté doivent s'opposer de toutes leurs forces au Great Reset.
Philippe Herlin est économiste.
https://fr.sott.net/article/36466-Le-Great-Reset-une-menace-pour-nos-libertes
IMPÔTS : ATTENTION À L'ARNAQUE DES NUMÉROS SURTAXÉS
RépondreSupprimerpar PAOLO GAROSCIO
12/01/2021
En moyenne, en France, un foyer imposable a des revenus annuels de 43.000 euros.
Les numéros surtaxés sont de moins en moins utilisés, mais ils existent encore pour diverses raisons. Et ils sont parfaitement légaux… dans l’absolu. Sauf que certaines personnes mal intentionnées peuvent profiter de ces numéros pour faire payer les Français pour des services qui sont gratuits. La Direction générale des Finances publiques (DGFiP) met en garde : certains numéros usurpent son identité.
Des numéros surtaxés frauduleux pour contacter les services des impôts
La DGFiP, sur son site internet impots.gouv.fr, a récemment ajouté une alerte pour prévenir les Français qu’une arnaque est en cours ciblant les citoyens qui auraient besoin de contacter ses services. Il s’agirait de sites Internet frauduleux qui « renvoient vers des numéros surtaxés (en 0 899…ou 0891...) », explique-t-elle sur son site.
Les fraudeurs profitent de al situation de crise concernant la pandémie de Covid-19, et les nombreuses questions qui en découlent, pour tenter de voler de l’argent. Et la DGFiP souligne que les particuliers ne sont malheureusement pas la seule cible : des arnaques visant les entreprises ont été identifiées par courriel ou par téléphone depuis le mois de juin 2020 et se poursuivent actuellement.
Comment contacter les services des impôts ?
La Direction générale des Finances publiques rappelle sur son site Internet que contacter ses services est totalement gratuit. Pour commencer, il est possible de poser des questions aux service des impôts via son espace personnel, que l’on soit un particulier ou une entreprise.
Autrement, il est possible de contacter la DGFiP par téléphone, soit en appelant directement le centre des impôts dont on dépend et qui a un numéro commençant par un indicatif classique (01, 02, 03, 04, 05) ou en appelant le numéro unique non surtaxé 0 809 401 401.
Les citoyens sont invités à faire attention pour ne pas tomber dans ces pièges, plus ou moins bien ficelés.
http://www.economiematin.fr/news-impot-arnaque-fraude-numero-surtaxe-france
La loi canadienne permet aux banques de saisir vos comptes bancaires
RépondreSupprimerIl n'y a pas qu'au Canada !
https://www.youtube.com/watch?v=dVAS55HRHn0
Statist Heretics: pas un pas en arrière
RépondreSupprimerPar Mike Holmes
12 janvier 2021
Malgré l'hystérie fabriquée, la manifestation de protestation du 6 janvier au Capitole n'a eu que peu de conséquences autres que symboliques. Tragiquement, le meurtre maintenant par Memory Holed d'une femme non armée vétéran de l'Air Force par un flic fédéral - à bout portant à travers une porte vitrée - donne naissance à un autre malheureux martyr de la cause de la liberté. Ashli Babbitt - souvenez-vous de son nom. Son assassin fera-t-il jamais face à la justice ?
Le premier amendement à la Constitution américaine énonce explicitement «le droit du peuple de se rassembler pacifiquement et de demander au gouvernement de réparer ses griefs». C'est ce que faisaient les manifestants du rallye Trump. Tous n'étaient pas armés.
La propagande qui a suscité l’indignation à ce sujet est incontestablement de nature «religieuse». Les nombreux adeptes non reconnus de la religion d'État se comportent comme si leur Vatican était souillé par des incroyants. Qu'est-ce qui peut expliquer les efforts désordonnés du président de la Chambre Pelosi pour «punir» davantage le président Trump pour quelque chose avec lequel il n'avait rien à voir ? Un infidèle est entré dans son bureau! Des païens étaient assis dans sa grande chaise! «Brûlez les hérétiques!»
Le fait que des citoyens inquiets en colère aient poussé des gardes armés à entrer dans le bâtiment du Capitole du peuple pour répondre à leurs griefs très réels concernant la fraude électorale ne devrait pas être décrit dans une société libre et démocratique comme une «insurrection». Hormis la violence meurtrière des agents du gouvernement, c'était pacifique, avec presque aucun dommage matériel. Quel genre d'insurrection ressemble à ça ? Telle est la rhétorique des gouvernements communistes et fascistes.
Non, c'était un acte expressément protégé par la Constitution américaine. De tous les véritables incendies, pillages et attaques contre le public dans la région de Washington l'année dernière, c'est le seul où la police fédérale a tiré et tué un manifestant non armé. Pourquoi ?
L'hypocrisie ennuyeuse des «émeutiers» du Capitole est au contraire - pour eux - un affront choquant aux adorateurs de l'État. Dans la cathédrale principale de l'étatisme domestique, seuls les «évêques, archevêques et grands prêtres» oints peuvent s'asseoir à l'intérieur. Avec d'immenses salles ornées de symboles quasi religieux d'État pour discuter et approuver des questions de doctrine. Les citoyens ordinaires doivent être soigneusement tenus à distance. S'opposer à la fraude électorale présumée du gouvernement devient une hérésie à leurs yeux, pas une protestation légitime. Nous ne devons pas remettre en question le sacrement des élections. En 2020 en tout cas…
Les églises, les temples, les mosquées etc. sont réservés aux saintes célébrations des croyants. L'intrusion sur des sites sacrés par des sceptiques est détestée par les fidèles. Il en va de même pour le bâtiment du Capitole américain. Malgré ce qu’ils prêchent souvent, ce n’est pas «votre bâtiment» ou «votre gouvernement». Il est à eux. La croyance en la suprématie de l'État est leur dieu. Inclinez-vous ou restez dehors!
RépondreSupprimerVous n'entrez pas dans leur temple sans approbation. Si vous «pétitionnez directement le gouvernement pour obtenir un redressement des griefs» sans sa permission, il vous abattra.
C'est leur religion, pas la nôtre.
https://www.lewrockwell.com/2021/01/mike-holmes/statist-heretics-not-one-step-back/
Que feront les gens pour la nourriture quand une grande partie de l'Europe et de l'Amérique du Nord sera trop froide pour cultiver ?
RépondreSupprimer8 janvier 2021
par Robert
«Les températures mondiales montent et descendent par cycles, mais le grand cycle que les gens ignorent est le cycle des périodes glaciaires.»
- Joseph Kraig
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Que feront les gens pour la nourriture quand une grande partie de l'Europe et de l'Amérique du Nord sera trop froide pour cultiver ?
Joseph Kraig
Le parc national des Glaciers a eu des panneaux pour le dernier quart de siècle rappelant aux visiteurs que les glaciers devenaient plus petits en raison du réchauffement climatique. L'année dernière, ils ont dû être abattus car les glaciers progressent depuis plusieurs années.
Il est vrai que la neige fond en été. Là où il y a des glaciers, il y a un déséquilibre entre la fonte et l'accumulation de neige. Lorsque les glaciers avancent, cela nous dit qu'il y a moins de fonte que de neige.
Depuis plusieurs années, les glaciers en recul en Europe ont fait la une des journaux avec la découverte de restes humains retrouvés sous les glaciers qui ont été exposés en raison du retrait. Comme il est intéressant de penser que nous craignons le réchauffement climatique alors qu'il est évident que le monde était autrefois beaucoup plus chaud.
Savoir que les colonies agricoles du Groenland ont dû être abandonnées à cause du refroidissement global devrait ouvrir quelques yeux, mais malheureusement cela ne se produit pas.
Les températures mondiales montent et descendent par cycles, mais le grand cycle que les gens ignorent est le cycle des périodes glaciaires qui indiquent que nous sommes près de la fin d'une période chaude interglaciaire. Nous l’avons bien fait depuis 11 000 à 12 000 ans, mais je crains que la chaleur agréable ne se termine.
Ce que les gens feront pour la nourriture quand une grande partie de l'Europe et de l'Amérique du Nord sera trop froide pour cultiver est un mystère pour moi.
Sonner l'alarme du réchauffement climatique peut être une chose populaire à faire, mais c'est un point de vue erroné non pas basé sur la science ou l'histoire mais sur l'émotion.
Les gens pensent: «Toutes ces voitures doivent nuire à l'environnement, débarrassons-nous-en.» Ils utilisent le réchauffement climatique comme raison pour se débarrasser des combustibles fossiles, mais ils sont terriblement mal orientés. Il n'y a aucune recherche prouvée pour dire que le dioxyde de carbone emprisonne réellement la chaleur comme dans le soi-disant effet de serre, en fait il y a des recherches qui démystifient cette idée. Nos carburants à base de carbone nous ont permis d'avoir notre civilisation moderne. Nous aurons besoin de nos carburants à base de carbone jusqu'à ce que des carburants de fusion puissent être développés qui fonctionnent. L'économie basée sur la fusion est toujours à 30 ans à peine. Je suis sûr que nous développerons l’économie de la fusion et que ce ne sera peut-être que dans des années. Quel que soit le temps que cela prendra, les combustibles fossiles nous soutiendront efficacement jusque-là.
Je n'ai aucun problème avec l'énergie solaire et éolienne. J'ai deux maisons et j'ai l'énergie solaire sur les deux, mais la terre entière équipée d'éoliennes et de panneaux solaires ne satisfera pas notre énorme besoin d'énergie avec une quelconque fiabilité. Récolter l’énergie du soleil est une grande idée, peut-être que plusieurs kilomètres carrés de panneaux solaires dans l’espace et l’énergie renvoyée vers la terre seraient presque aussi économiques que les usines à fusion, mais je ne pense pas.
RépondreSupprimerLes gens ne devraient pas parler dans l'ignorance. Ce qui est arrivé à notre société, c'est que de nombreuses personnes écoutent une infime partie de la science et décident de ce qui est le mieux pour le monde sur cette base. Une infime partie des informations utilisées pour prendre une décision lorsque beaucoup plus d'informations devraient être utilisées est toujours de l'ignorance.
https://www.iceagenow.info/what-will-people-do-for-food-when-much-of-europe-and-north-america-is-too-cold-to-farm/
Étude: Une courte pause dans les cosmétiques provoque «une baisse significative des produits chimiques perturbateurs hormonaux»
RépondreSupprimerPar Alanna Ketler
Évolution collective
12 janvier 2021
Une étude menée par des chercheurs de l'UC Berkeley et de la Clinica de Salud del Valle Salinas a démontré comment prendre même une courte pause dans divers cosmétiques, shampooings et autres produits de soins personnels peut entraîner une baisse substantielle des niveaux de substances chimiques perturbant les hormones présentes dans le corps.
Les résultats de l'étude ont été publiés dans la revue Environmental Health Perspectives. Les chercheurs ont donné à 100 adolescents latins divers produits de soins personnels étiquetés comme exempts de produits chimiques courants, notamment les phtalates, les parabènes, le triclosan et l'oxybenzone. Ces produits chimiques sont régulièrement utilisés dans presque tous les produits de soins personnels classiques tels que les cosmétiques, le savon, la crème solaire, le shampooing, le revitalisant et d’autres produits capillaires, et des études sur les animaux ont montré qu’ils interfèrent directement avec le système endocrinien du corps.
«Les femmes étant les principales consommatrices de nombreux produits de soins personnels, elles peuvent être exposées de manière disproportionnée à ces produits chimiques», a déclaré l’auteur principal de l’étude, Kim Harley, directrice associée du Centre de recherche environnementale et de santé des enfants de l’UC Berkeley. "Les adolescentes peuvent être particulièrement exposées car c'est une période de développement rapide de la reproduction, et la recherche a suggéré qu'elles utilisent plus de produits de soins personnels par jour que la femme adulte moyenne."
Résultats
RépondreSupprimerAprès seulement un essai de trois jours avec les filles n'utilisant que des produits à faible teneur en produits chimiques, les échantillons d'urine ont montré une baisse significative du niveau de produits chimiques dans le corps. Les parabènes de méthyle et de propyle, couramment utilisés comme conservateurs dans les cosmétiques, ont chuté respectivement de 44 % et 45 %, les métabolites du phtalate de diéthyle, souvent utilisés dans les parfums, ont chuté de 27 %, et le triclosan et la benzophénone-3 ont chuté de 36%. Les auteurs de l'étude ont été surpris de voir une augmentation de deux parabens communs moins nombreux, mais, étant mineurs, ils auraient facilement pu être causés par une contamination accidentelle ou un substitut non répertorié sur les étiquettes.
La codirectrice de l'étude Kimberly Parra explique pourquoi la participation des jeunes locaux à l'étude était d'une importance particulière:
Les résultats de l'étude sont particulièrement intéressants sur le plan scientifique, mais le fait que les élèves du secondaire aient dirigé l'étude a ouvert une nouvelle voie pour inciter les jeunes à apprendre la science et comment elle peut être utilisée pour améliorer la santé de leurs communautés. Après avoir appris les résultats, les jeunes ont pris sur eux d'éduquer leurs amis et les membres de la communauté et ont présenté leur cause aux assemblées législatives de Sacramento.
Le Conseil des jeunes du CHAMACOS comprenait 12 lycéens locaux qui ont aidé à concevoir et à mettre en œuvre l'étude. L'une des adolescentes, Maritza Cárdenas, est maintenant étudiante de premier cycle à l'UC Berkeley avec une spécialisation en biologie moléculaire et cellulaire.
«L’un des objectifs de notre étude était de sensibiliser les participants aux produits chimiques présents dans les produits de tous les jours, pour aider à rendre les gens plus conscients de ce qu’ils utilisent», a déclaré Cárdenas. «Voir la baisse des niveaux de produits chimiques après seulement trois jours montre que des mesures simples peuvent être prises, comme choisir des produits contenant moins de produits chimiques, et faire la différence.»
Les chercheurs ont noté que les cosmétiques et les produits de soins personnels ne sont pas bien réglementés dans ce pays et qu'il est difficile d'obtenir des données sur les effets sur la santé d'une exposition, en particulier à long terme. Mais ils disent qu'il existe de plus en plus de preuves reliant les substances chimiques perturbant le système endocrinien aux problèmes neurocomportementaux, à l'obésité et à la croissance des cellules cancéreuses.
Que pouvez-vous faire ?
RépondreSupprimerEh bien, vous pouvez être sûr de vérifier les étiquettes de tous les produits que vous achetez. La plupart des produits de soins personnels contiennent une liste d'ingrédients, mais malheureusement de nombreux produits cosmétiques n'en contiennent pas. Si vous utilisez une marque particulière que vous aimez vraiment, vous pouvez essayer de contacter directement le fabricant et lui demander une liste d'ingrédients.
Vous pouvez également opter pour des produits plus naturels et biologiques, mais n'oubliez pas que dans l'industrie des produits de soins personnels, les mots «naturel» et «biologique» n'ont souvent aucun sens. Une valeur sûre serait d'acheter ces produits dans un magasin d'aliments naturels et de lire les ingrédients ou de demander au vendeur. Généralement, lorsque les produits ne contiennent pas de produits chimiques spécifiques, les fabricants sont heureux de les étiqueter comme tels.
Moins il y aura de demande pour ces produits chimiquement chargés, moins ces produits chimiques seront utilisés. Je l’ai déjà dit et je le redis: VOTEZ AVEC VOTRE DOLLAR! Nous avons le pouvoir de créer le type de monde que nous voulons. Sois le changement.
Découvrez l'histoire des cosmétiques ci-dessous !
Reprinted with permission from Collective Evolution.
https://www.lewrockwell.com/2021/01/no_author/study-short-break-from-cosmetics-causes-significant-drop-of-hormone-disrupting-chemicals/
Une centrale hydroélectrique à énergie propre au Canada qualifiée de «gâchis» après que les économistes ont prédit 8 milliards de dollars de pertes
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 11 JAN 2021 - 20:00
Aujourd'hui, la nouvelle "preuve que les gouvernements sont des allocateurs de capital terriblement inefficaces"
La Colombie-Britannique tente actuellement d'ériger un énorme barrage hydroélectrique appelé «projet d'énergie propre du site C» sur la rivière de la Paix. Le but de la construction du barrage était de mettre en œuvre la politique énergétique «verte et propre» de la province et d'essayer de créer une énergie propre alternative tout en réduisant les émissions de carbone.
Mais le prix économique et les progrès médiocres du projet ont conduit un éditorial du Financial Post qualifiant le projet de "gâchis hydroélectrique" qui "montre le coût réel de l'énergie" propre "".
Le projet est en construction depuis 2015, note l'éditorial, et plus de 6 milliards de dollars y ont déjà été investis. Malgré cela, de nombreux problèmes ont été identifiés avec le projet:
Sous le pied, selon le premier ministre John Horgan, «il y a de l'instabilité sur l'une des rives du fleuve». Au début de l'année dernière, la Colombie-Britannique Hydro a identifié des «faiblesses structurelles» dans le projet, qui est en construction depuis 2015. Le site C souffrirait également de «fondations faibles». Le chroniqueur du Vancouver Sun Vaughn Palmer a récemment rapporté que de nouvelles informations sur la précarité du projet, structurellement et financièrement ...
L'éditorial demande s'il est temps ou non pour la province de simplement réduire ses pertes et d'abandonner l'emploi, qui nécessiterait probablement au moins 6 milliards de dollars supplémentaires.
Un examen du projet par trois économistes canadiens dit «oui» et a conclu que «l'ensemble du projet n'est pas rentable en tant que source d'énergie et échoue à sa principale promesse verte et propre, qui est de réduire les émissions de carbone».
La ventilation des chiffres par les économistes montre à quel point le projet est réellement inefficace:
Les pires chiffres de l'étude: la valeur actuelle totale de l'électricité produite à partir du site C est estimée à 2,76 milliards de dollars contre un coût total estimé à 10,7 milliards de dollars, soit une perte de 8 milliards de dollars. C'est mauvais. Cependant, si le projet était annulé maintenant, la perte serait réduite de moitié à peut-être 4,5 milliards de dollars. Les économistes concluent que «les décideurs politiques devraient cesser de dépenser de l'argent sur un projet qui risque de se retrouver sous l'eau».
Les économistes ont constaté que la seule façon dont la centrale hydroélectrique pourrait en valoir la peine, financièrement, serait en conjonction avec une «refonte nationale massive du système électrique canadien»:
«En résumé, nous constatons que le site C peut offrir de la valeur, mais seulement si les provinces visent une décarbonisation presque complète du système électrique et seulement si une nouvelle transmission entre les provinces peut être construite pour permettre un plus grand commerce d'électricité interprovincial. Les décisions concernant l'avenir du site C devraient être prises dans cette optique; s'il n'est pas possible de s'engager à décarboner totalement la production d'électricité, et si les perspectives de transport interprovincial sont faibles, le site C offre peu de valeur par rapport à ses coûts. En revanche, si B.C. et l'Alberta s'est engagée à mettre en place un réseau électrique à zéro émission de carbone, et la construction de nouvelles lignes de transport interprovinciales est faisable, alors le site C peut offrir une valeur supérieure à ses coûts.
RépondreSupprimerÉtant donné qu'il y a très peu de chances que cela se produise, il semble que la décision évidente de simplement fermer le projet et d'économiser plusieurs milliards de dollars.
Et bien sûr, il n'est pas surprenant pour nous qu'un tel projet soit horriblement inefficace. Parce que si ce n'était pas le cas, le marché libre aurait mis en service des centrales hydroélectriques il y a longtemps. En d'autres termes, le marché libre a arrêté ce projet avant même qu'il n'ait commencé.
Mais au lieu de cela, nous obtenons un autre exemple concret de la façon dont la signalisation de la vertu et les inquiétudes mesquines sur les émissions de carbone - qui vont toutes dans la «bonne» direction à l'échelle mondiale de toute façon - conduisent à des dépenses frivoles, financées par le contribuable.
Nous espérons que la Colombie-Britannique se souvient de cela si Elon Musk vient un jour appeler, à la recherche d'une propriété pour construire sa prochaine usine de tuiles solaires ...
Vous pouvez lire une analyse plus approfondie du projet et l'éditorial complet ici.
https://www.zerohedge.com/energy/clean-energy-hydro-plant-canada-dubbed-boondoggle-after-economists-predict-8-billion-losses
Guerre civile 2.0 ?
RépondreSupprimerPar Larry L. Beane
12 janvier 2021
Beaucoup de gens parlent de Civil War 2.0. Une telle conflagration serait en fait la première. Il n'y a pas eu de guerre civile américaine.
Ce que nous avons eu dans les années 1860 était une action militaire fédérale pour empêcher l'État de se retirer pacifiquement du pacte constitutionnel. Ce qu'il nous faut maintenant, c'est expier cette violente transgression à la fois de la loi naturelle et de notre propre constitution, et permettre cette fois une sécession pacifique.
Si nous croyons vraiment que le gouvernement repose sur le consentement des gouvernés, et que nous sommes une république qui est une union fédérée d'États et non une démocratie qui est une nation consolidée de provinces - alors il n'y a tout simplement pas d'autre moyen pour les gens. de philosophies politiques et économiques diverses et incompatibles pour coexister harmonieusement sans guerre, ni oppression, par l'un ou l'autre groupe.
Aimons-nous la paix plus que nous n'aimons le grand gouvernement et la soif de domination ? La liberté est-elle une vertu ancrée dans l'ADN du peuple américain, ou est-ce juste un slogan écrit sur des pièces de monnaie que nous n'utilisons plus de toute façon ? Existe-t-il des arrangements politiques pour nous servir ? Ou est-ce que ces arrangements politiques sont nos maîtres destinés à nous asservir ? Croyons-nous vraiment ce que nos fondateurs ont dit sur le droit de modifier ou d'abolir les arrangements politiques ? Ou sommes-nous revenus au droit divin de l'État et à sa position supérieure sur chaque homme ? Croyons-nous toujours aux droits inaliénables accordés par Dieu ? Ou sommes-nous revenus à la barbarie selon laquelle nous n'avons que les privilèges que nous accordent nos parieurs ?
Nous devons arrêter de nous divertir pendant cinq minutes et réfléchir à ces choses.
La centralisation du pouvoir à DC et dans la Silicon Valley - et leur collusion fasciste classique - est devenue comme l'union de la Haute-Égypte et de la Basse-Égypte dirigée par un pharaon qui opère par asservissement et en ordonnant aux gens de l'adorer.
Est-ce ce que nous sommes ? Sommes-nous des esclaves léchant les mains de nos maîtres et les remerciant pour le privilège de vivre ? Est-ce ce que nos ancêtres ont laissé à la postérité ?
Si nous ne décentralisons pas d’une manière ou d’une autre, nous aurons en effet Civil War 1.0 - même si elle est totalement futile - et cela coûtera plus de vies et causera plus de destruction de capital que même la guerre pour empêcher la sécession du Sud.
https://www.lewrockwell.com/2021/01/larry-l-beane-ii/civil-war-2-0/
L’avenir de l’Amérique est-il une guerre civile ?
RépondreSupprimerCela deviendra-t-il une guerre mondiale ?
Par Paul Craig Roberts
PaulCraigRoberts.org
12 janvier 2021
En tant que personne qui a grandi au lendemain de la glorieuse Seconde Guerre mondiale, il ne m'est jamais venu à l'esprit que dans mes dernières années, je me demanderais si les États-Unis finiraient par une guerre civile ou un état policier. Au lendemain de l'élection présidentielle volée, il semble que ce soit un tirage au sort à 50-50.
Il existe de nombreuses preuves d'un état policier. Une caractéristique d'un État policier est les explications contrôlées et la suppression de la dissidence. Nous en avons certainement en abondance.
Les experts ne sont pas autorisés à contester la position officielle sur Covid.
Les enseignants sont suspendus pour avoir offensé en utilisant des pronoms de genre.
Les stars de l'enregistrement sont abandonnées par leurs studios d'enregistrement pour avoir assisté au rassemblement Trump. Les parents harcelés par leurs propres enfants sont licenciés pour avoir assisté au rassemblement Trump. Antifa est libre d'émeute, de pillage, d'intimidation et de tracas, mais les partisans de Trump sont des insurgés.
Les Blancs sont des racistes qui utilisent des mots et des concepts haineux, mais ceux qui diabolisent les Blancs corrigent les torts.
La répression de la dissidence et le comportement de contrôle sont des caractéristiques de l'État policier. Il est peut-être moins clair pour certains pourquoi dicter l'usage autorisé de la langue relève du contrôle de l'État policier. Pensez-y de cette façon. Si votre utilisation des pronoms peut être contrôlée, vous pouvez aussi utiliser tous les autres mots. Comme les concepts impliquent des mots, ils peuvent également être contrôlés. De cette manière, des pensées et des expressions peu pratiques accompagnées de descriptions précises trouvent leur chemin dans le trou de mémoire.
Avec le premier amendement disparu, ou limité à la diabolisation de personnes ciblées, telles que «les déplorables de Trump», «les suprémacistes blancs», «les racistes du Sud», le deuxième amendement ne peut plus avoir beaucoup de vie. Comme les armes à feu sont associées à des États rouges, c'est-à-dire aux partisans de Trump, l'interdiction des armes à feu est un moyen de criminaliser la moitié rouge de la population américaine que l'establishment considère comme «déplorable». Ceux qui défendent leur droit constitutionnel seront emprisonnés et deviendront du travail pénitentiaire bon marché pour les sociétés mondiales américaines.
Tout cela pourrait-il conduire à une guerre civile ou les Américains sont-ils trop abattus pour résister efficacement ? Nous ne le saurons pas tant qu’il n’aura pas été mis à l’épreuve.
RépondreSupprimerY a-t-il des lignes de front claires ? La politique d'identité a divisé les gens dans tout le pays. Les états rouges ne sont que majoritairement rouges. Il est tentant de voir les frontières comme le centre rouge contre les côtes bleues du nord-est et de l'ouest, mais c'est trompeur. La Géorgie est un État rouge avec un gouverneur et une législature rouges, mais il y avait suffisamment de démocrates au pouvoir localement pour voler les élections présidentielles et sénatoriales américaines.
Un autre problème pour les rouges est que les grandes villes - les centres de distribution - comme Atlanta, Detroit, Chicago, New York, Philadelphie, Seattle, Portland, San Francisco, Los Angeles - sont entre les mains bleues, tout comme les ports et les aéroports internationaux. En fait, cela coupe les rouges des ressources extérieures.
Que ferait l'armée américaine ? De toute évidence, les chefs conjoints et le complexe militaire / de sécurité sont des Trumpers de l'establishment et non des Trumpers. Avec les soldats eux-mêmes maintenant un mélange de race et de sexe, les soldats seraient aussi divisés que le pays. Ceux qui ne font pas partie de l'établissement manqueraient de soutien au niveau supérieur.
Où sont les jeunes et les jeunes adultes? Ils sont dans les deux camps en fonction de leur éducation. Beaucoup de blancs qui sont allés à l'université ont subi un lavage de cerveau contre eux-mêmes, et considèrent les Américains blancs comme des «racistes systémiques» ou des «suprémacistes blancs» et se sentent coupables. Ceux qui ne sont pas allés à l'université pour la plupart ont subi à leur désavantage le favoritisme accordé aux personnes de couleur et ont du ressentiment.
Et les armes? Comment les rouges peuvent-ils perdre lorsque les armes sont un article ménager et que les bleus ne se saliraient jamais en en possédant une? La réponse est que contrairement à la guerre d'agression du Nord dans les années 1860, les armes entre les mains de l'armée sont aujourd'hui dévastatrices par rapport à celles entre les mains du public. Contrairement au passé, il est impossible pour une milice citoyenne de s’opposer aux armes et aux gilets pare-balles dont les militaires disposent. Donc, à moins que l'armée ne se sépare, les rouges sont dépassés. Ne croyez jamais que l'établissement ne lâcherait pas d'agents chimiques et biologiques contre les forces rouges. Ou d'ailleurs les armes nucléaires.
Et les communications ? Nous savons parfaitement que les monopoles technologiques sont alignés sur l'establishment contre le peuple. À tel point que le président Trump, en train d'être mis en accusation, a été empêché de communiquer avec ses partisans à la fois sur les réseaux sociaux et par courrier électronique.
RépondreSupprimerL'Establishment américain fait au président Trump exactement ce qu'il a fait au président ukrainien Ianoukovitch dans la «Révolution Maidan» orchestrée à Washington, appelée «la Révolution de la Dignité» par les menteurs de Wikipédia, et précisément ce qu'il a fait à Chavez, Maduro et aimerait faire à Poutine.
Supposons qu'une guerre civile américaine se produise. Comment cela va-t-il se dérouler ? Avant d'enquêter sur cela, réfléchissez d'abord à la manière dont l'établissement pourrait l'empêcher en amenant les États rouges à sa défense. Les partisans de Trump sont les seuls patriotes de la population américaine. Ils ont tendance à porter le drapeau sur leur manche. En revanche, les habitants de l’État bleu définissent le partiisme comme la reconnaissance des maux de l’Amérique et la rétribution des racistes / impérialistes blancs qui ont commis les maux. Dans les États bleus, les émeutes contre le «système raciste» se traduisent par une défondation de la police. Si les milices Antifa et Black Lives Matter étaient envoyées sur le régine de Biden, les patriotes rouges pourraient voir «leur pays» attaqué. Il est possible que les «Proud Boys» viennent à la défense de Biden, non pas parce qu’ils croient en Biden, mais parce que l’Amérique est attaquée et qu’il est «notre président». Alternativement, une attaque Antifa contre le régime Biden pourrait être décrite comme une attaque antipatriotique contre l'Amérique et être utilisée pour décourager l'opposition de l'État rouge à l'État policier, tout comme «l'insurrection» a conduit de nombreux partisans de Trump à déclarer leur opposition à la violence. En d'autres termes, il est tout à fait possible que le patriotisme des «Trump Deplorables» divise l'opposition de l'État rouge et mène à la défaite.
En supposant que l'establishment soit trop arrogant et sûr de lui ou trop stupide pour penser à ce stratagème, comment se déroulerait une guerre civile ? L'Establishment ferait tout son possible pour discréditer le cas des «rebelles». Les vrais rebelles, bien entendu, seraient l’Establishment qui a renversé l’ordre constitutionnel, mais aucun média ne le ferait valoir. Contrôlant les médias, l'establishment, connaissant le patriotisme de ses opposants, dépeindrait les «rebelles» comme des agents étrangers cherchant à renverser la démocratie américaine.
La «menace étrangère» capte toujours l’attention du patriote. Nous le voyons en ce moment avec les partisans de Trump tombés dans la désinformation selon laquelle la Suisse et l'Italie sont derrière les élections volées. Auparavant, c'était les serveurs du Dominion en Allemagne et en Serbie qui faisaient l'acte.
RépondreSupprimerSur la tête de qui l'establishment mettra-t-il le blâme pour «la guerre contre l'Amérique» ? Il y a trois candidats: l'Iran, la Chine et la Russie. Quel sera le choix de l'établissement ?
Donner du crédit à l'Iran transmet trop de pouvoir à un pays relativement petit au-dessus de l'Amérique. Blâmer l'Iran pour notre guerre civile serait déprécier.
Blâmer la Chine ne fonctionnera pas, car Trump a accusé la Chine de saper économiquement l'Amérique et les partisans de Trump sont généralement anti-Chine. Donc accuser l'opposition rouge d'être des agents de la Chine ne fonctionnerait pas.
Le blâme sera mis sur la Russie.
C'est le plus facile. La Russie est le chapeau noir depuis le discours du rideau de fer de Churchill en 1946. Les Américains sont habitués à cet ennemi. La guerre froide a régné de la fin de la Seconde Guerre mondiale jusqu'à l'effondrement soviétique en 1991. Beaucoup, y compris des généraux américains à la retraite, soutiennent que l'effondrement soviétique a été simulé pour nous mettre au dépourvu pour la conquête.
Lorsque l’establishment a décidé d’encadrer le président Trump, l’establishment a choisi la Russie comme co-conspirateur de Trump contre la démocratie américaine. Le Russiagate, orchestré par la CIA et le FBI, a assuré pendant trois ans que Trump était accusé dans les médias occidentaux d'être de mèche avec la Russie. Malgré le manque de preuves, un grand pourcentage de la population américaine et mondiale était convaincu que Trump avait été mis au pouvoir par Poutine en manipulant le vote.
Le lavage de cerveau a été si réussi que trois ans de sanctions de Trump contre la Russie n'ont pas pu ramener les peuples occidentaux dans la réalité factuelle.
Avec la Russie comme ennemi historique et orchestré, tout ce qui se passe aux États-Unis qui peut être blâmé ailleurs sera imputé à la Russie. La présidente de la Chambre des communes Nancy Pelosi, l'ancien ambassadeur des États-Unis en Russie Michael McFaul et l'ancien conseiller adjoint à la sécurité nationale Ben Rhodes ont déjà associé «l'insurrection de Trump» à la Russie.
RépondreSupprimerSupposons qu'une guerre civile américaine devienne intense. Supposons que la propagande de l’Establishment contre la Russie devienne la croyance dominante comme la propagande le devient presque toujours, comment l’Establishment peut-il ne pas mettre fin à la menace d'insurrection en attaquant le pays responsable? L'Establishment serait piégé dans sa propre propagande. Les émotions s'enfuiraient. La Russie entendrait des menaces qui devraient être prises au sérieux.
Vous pouvez parier que le gouvernement néo-conservateur de Biden encouragera cela. Exceptionnalisme américain. Hégémonie américaine. La cinquième colonne de la Russie, les intégrationnistes atlantistes, qui souhaitent une absorption dans le monde occidental dégénéré et en déroute, se fera l'écho des accusations portées contre la Russie. Cela ferait de la situation un grave incident international avec la Russie en tant que méchant menacé.
Que ferait le Kremlin ? Les dirigeants russes accepteraient-ils une nouvelle humiliation et une fausse accusation ? Ou la colère du peuple russe accusée à jamais et jamais défendue par son propre gouvernement forcera-t-elle le Kremlin à prendre conscience que la Russie pourrait être attaquée à tout moment.
Même si le Kremlin est réticent à reconnaître la menace de guerre, que se passerait-il si un autre des nombreux faux avertissements des ICBM entrants était reçu. Contrairement au passé, est-il cru cette fois ?
Les élections volées aux États-Unis, l'État policier américain émergent, plus vicieux et mieux armé que tout le passé, pourraient entraîner un chaos américain qui pourrait constituer une menace grave pour la Fédération de Russie.
Ce que Trump et ses partisans, et peut-être le Kremlin, ne comprennent pas, c'est que les preuves réelles ne comptent plus. L'Établissement constitue les preuves dont il a besoin pour ses agendas. Considérez à quel point il était facile pour la police du Capitole de supprimer les barrières et de permettre à certains Antifa de se mêler aux partisans de Trump dans le Capitole. C'était tout ce qui était nécessaire pour créer une «insurrection dirigée par Trump» qui a mis fin à la présentation de preuves de fraude électorale et a transformé le rassemblement massif de soutien à Trump en un passif. Trump quitte maintenant la présidence en tant qu '«insurrectionnel» et est mis en place pour un harcèlement et des poursuites continus.
Comme je l'ai déjà écrit, l'élection volée et son acceptation à l'étranger signifient l'échec de la démocratie occidentale. L'effondrement du monde occidental et de ses valeurs affectera le monde entier.
RépondreSupprimerhttps://www.lewrockwell.com/2021/01/paul-craig-roberts/is-americas-future-a-civil-war/
The Underclass
RépondreSupprimerPar Bionic Mosquito
12 janvier 2021
Paul VanderKlay a commenté: «La classe inférieure connaît la classe supérieure mieux que la classe supérieure connaît la classe inférieure.» J'ai répondu, dans les commentaires de la vidéo (légèrement modifiés pour plus de clarté):
Quelque chose qui mérite vraiment d'être considéré pour comprendre les événements politiques et mondiaux (et les médias qui les ont couverts) qui se sont déroulés ces dernières années.
Ceci, dans le cadre d'événements au Capitole, etc.
J'ai réfléchi au moment où la division politique dans ce pays a pris une tournure si toxique - pas seulement toxique entre et parmi les politiciens, mais toxique envers et entre un nombre multiple de dizaines de millions de personnes.
Je voudrais en souligner les racines dans la stratégie politique d'Antonio Gramsci, qui savait que le communisme ne viendrait pas en Occident par une division entre les ouvriers et les propriétaires / capitalistes, mais seulement par la création d'en bas d'une nouvelle culture - celui qui par dessein écraserait le christianisme. Et ce serait assez vrai; nous le vivons.
Je considérerais également la manifestation de cette stratégie dans les années 1960 et la révolution culturelle qui était clairement visible à l'époque. Certes, dans les années 1990, les idées toxiques de la théorie critique commenceraient à imprégner le milieu universitaire au point qu'aujourd'hui, les différentes disciplines des arts libéraux sont toutes perdues dans la corruption (les STEM étant maintenant entraînées dans les décombres de leur sillage).
Pourtant, tout au long de cette période - et pour la plupart - les débats et discussions ont porté sur des questions de politique; nous n’avons pas transformé les problèmes en problèmes où l’autre partie était considérée comme totalement corrompue et impardonnable.
Bien sûr, il y avait une petite minorité d'entre nous qui considéraient comme totalement corrompues certaines des institutions et des objectifs: la Réserve fédérale et l'aventurisme et l'empire militaires, comme deux exemples. Mais, étant donné le soutien écrasant que ceux-ci ont reçu (activement ou passivement, qu'ils soient considérés ou ignorés), l'animosité personnelle nationale s'est limitée à quelque chose comme tout le monde se liguant contre Ron Paul (le politicien le plus courageux de ma vie) lors d'un débat présidentiel.
Je pense qu'il y a eu quelques événements qui ont marqué le fossé - où le débat politique s'est transformé en animosité personnelle, division, dérision, dégoût et dédain. Le premier événement l'a marqué économiquement, et ce fut les renflouements en 2008. Les appels au congrès ont atteint 95% contre les renflouements, si je me souviens bien. Mais nous savons comment s'est déroulée le reste de l'histoire. Cela a clarifié le but du système financier. Mais bien que cela ait contribué à la fracture (ou contribué à l'accélérer), c'est une question distincte à mon propos ici.
L'événement qui a marqué la première mise en demeure que la fracture culturelle allait nous être imposée était de retour en avril 2008. Bien sûr, les graines ont été plantées bien avant: une fois la stratégie de Gramsci mise en place - en particulier dans l'enseignement supérieur - le deck a été empilé. Mais en avril 2008, nous avons été mis en garde:
RépondreSupprimer«Et il n’est donc pas surprenant qu’ils deviennent amers, qu’ils s’accrochent aux armes à feu, à la religion ou à l’antipathie envers les gens qui ne les aiment pas ou qu’ils ne sont pas du même avis que les immigrés ou que le commerce est un moyen d’expliquer leurs frustrations.»
C'est ce qu'a déclaré l'espoir présidentiel Barack Obama, en parlant de ceux qui sont frustrés par leurs conditions économiques - a déclaré que la frustration, bien sûr, était tout à fait justifiée compte tenu de la crise financière susmentionnée (et du fossé économique qui s'est creusé depuis que Nixon a fermé la fenêtre de l'or).
Obama parlait de la classe marginale - et c'est la classe marginale qui s'accroche à la religion et aux armes. Ou, plus correctement: si vous vous accrochez à la religion et aux armes à feu, vous êtes sous-classe. Religion et armes: deux cibles à éliminer, on le sait, par la classe supérieure.
De plus, la classe défavorisée a été étiquetée par Obama comme étant contre d'autres qui ne leur ressemblent pas - pourtant, cette même classe défavorisée a aidé à élire Obama au poste de président quelques mois plus tard.
Hillary Clinton répondrait:
«Les croyants que je connais ne« s'accrochent pas »à la religion parce qu’ils sont amers. Les gens embrassent la foi non parce qu'ils sont matériellement pauvres, mais parce qu'ils sont spirituellement riches.
Bien sûr, sa réponse était basée uniquement sur la possibilité que cela lui apporterait plus de voix, car elle se présentait contre Obama à l'époque. Dire que c'était une déclaration cynique serait redondant, car cela pourrait être dit de pratiquement toutes les déclarations faites par pratiquement tous les politiciens.
Comme pour démontrer le point de cynisme et pour faire avancer les graines semées qui ont abouti à la division, Clinton a offert huit ans plus tard (et il y a quatre ans):
«Vous savez, pour être simplement grossièrement généraliste, vous pourriez mettre la moitié des partisans de Trump dans ce que j'appelle le panier des déplorables. Ok ?
«Le raciste, sexiste, homophobe, xénophobe, islamaphobe - vous l'appelez. Et malheureusement, il y a des gens comme ça. Et il les a soulevés. Il a donné la parole à leurs sites Web qui ne comptaient auparavant que 11 000 personnes - aujourd'hui 11 millions. Il tweete et retweete leur rhétorique haineuse et mesquine offensante. Maintenant, certaines de ces personnes - elles sont irrécupérables, mais heureusement, elles ne sont pas l'Amérique. "
Ces gens sont déplorables et irremplaçables. Si vous pensez qu'il y a quelque chose dans votre culture, tradition et civilisation occidentale qui mérite d'être sauvé, vous êtes déplorable et irrémédiable.
RépondreSupprimerEntre ces deux commentaires - d’abord d’Obama, puis de Clinton - il me semble que nous trouvons des lignes de haine tracées. Et c'est au cours des douze dernières années que les graines plantées par Gramsci se sont transformées en guerre culturelle d'aujourd'hui - une guerre du pays vers une dystopie totalitaire.
Conclusion
Lorsque Nietzsche a écrit sur la mort de Dieu, il ne faisait pas de déclaration prophétique, ni n’offrait un appel à l’action. Il décrivait la réalité de l'époque, capturant, dans cette phrase, ce qui s'est passé depuis le moment où les idées des Lumières ont pris racine jusqu'à ce moment et l'inévitabilité de ce qui allait venir et où cette route mènerait.
Prenez ce qui suit dans la même lumière:
Le lendemain des événements du 6 janvier, j'ai entendu quelqu'un à la radio de sports parler revivre ses sentiments de la veille, alors qu'il était collé à la couverture des nouvelles télévisées. «Nous ne savions pas s'ils commenceraient à faire sortir les membres du Congrès de leurs bureaux.»
Pourtant, si vous êtes jugé irrécupérable, pourquoi pas vous ? Qu'avez-vous à perdre ?
Deux femmes ont été expulsées d'un vol Delta Airlines pour avoir eu une conversation privée sur Trump. Il y a au moins 70 millions d'autres adultes qui entrent dans cette catégorie.
Comme je l'ai écrit l'autre jour, voici la leçon que les déplorables irrémédiables sont enseignés:
Quoi qu'il en soit, vous perdrez. Nous allons vous battre si loin que vous ne l'oublierez jamais. Même lorsque vous gagnez, vous perdez; même lorsque vous êtes en paix (ou surtout parce que nous comptons sur vous en paix), vous perdrez.
Faire sortir les membres du Congrès de leurs bureaux pourrait être l'événement le plus pacifique sur la route qui nous attend.
Lorsqu'il y a au moins 70 millions d'adultes irrémédiables, à quoi d'autre mène cette route ?
Reprinted with permission from Bionic Mosquito.
https://www.lewrockwell.com/2021/01/bionic-mosquito/the-underclass/
Les géants de la technologie gouvernent les États-Unis et la purge continue
RépondreSupprimerJanuary 12th, 2021
Aucune dissidence ne sera autorisée:
Les penseurs du groupe Craven Verizon, AirBnB, Marriot, Citibank, JPMorgan Chase, Hilton Hotels, American Airlines, BP, Coca Cola, Goldman Sachs, Boston Scientific, Microsoft, Facebook et Visa ont tous suspendu les contributions à tout membre du Congrès qui s'opposait au collège électoral. Nous nous demandons si cela inclut tous les anciens démocrates qui ont fait exactement la même chose.
Hallmark Cards est allé plus loin et a répandu de la mauvaise volonté - il a même demandé ses dons aux représentants qui représentaient les millions d'Américains qui doutent de l'intégrité électorale. L’intégrité électorale «ne reflète pas les valeurs de notre entreprise». ils ont dit, ou des mots à cet effet. Leurs cartes étaient toujours trop chères de toute façon.
L'état actuel de la guérison aux États-Unis:
L'ancien directeur de la CIA, John O. Brennan, a qualifié 74 millions d'Américains de «malignité» et a exigé qu'ils dénoncent Trump pour éradiquer les idées fausses ou quelque chose du genre:
Quiconque cherche maintenant la rédemption nationale en prétendant ne plus soutenir Trump doit reconnaître à quel point il était erroné d'ignorer et d'activer son programme corrompu, malhonnête et qui divise.
La dénonciation totale de l’héritage d’un despote est nécessaire pour éradiquer toute malignité qui subsiste.
- John O. Brennan (@JohnBrennan) 9 janvier 2021
Le silence est la violence. L'ignorance fait la force et la CIA est tordue.
Les tentacules des TechGiants se propagent à travers les démocrates
Tech-monstre, démocrate, quelle est la différence ?
Rapports de TennesseeStar:
Au moins sept anciens hauts responsables de Facebook ou de l’organisme de bienfaisance dirigé par son fondateur, Mark Zuckerberg, ont obtenu des postes dans l’équipe de transition du président élu Joe Biden, bien que les responsables du Parti démocrate aient qualifié le géant des médias sociaux parmi les plus grandes menaces pour la démocratie américaine.
Jessica Hertz était la directrice de l'équipe de réglementation de Facebook et la nouvelle directrice du personnel de Whitehouse. Elle travaillait pour Biden avant de travailler pour Facebook.
«L'arbitre ultime en matière d'éthique pour la transition Biden était un haut responsable de la réglementation de Facebook jusqu'à il y a quelques mois, à un moment où les progressistes et la campagne Biden luttent contre l'agenda de droite de Facebook», a déclaré le directeur de la Revolving Door Project, Jeff Hauser, selon Politico.
Jeff Zients de Facebook est maintenant le chef du virus chinois aux États-Unis. La porte-parole de la NSA, Emily Horne, était l'ancienne responsable des communications politiques mondiales pour Twitter. Avant cela, elle a travaillé pour le NSC sous Obama. L'ancienne directrice des politiques publiques de Facebook, Louisa Terrell, dirigera le bureau des affaires législatives de la Maison Blanche.
RépondreSupprimerQuant aux TechGiants: Junk eux ou au moins effacez vos données personnelles et rejoignez-moi sur MeWe et Gab.
Bonne nouvelle, Parler a enfin trouvé un serveur web qui l'hébergera. Epik. Mais les hommes libres doivent commencer à penser à posséder leurs propres serveurs, et depuis qu'Obama a donné Internet à l'ONU, tôt ou tard il interdira à quiconque doute des commandements TechnoDem. Et alors?
Pour les gens qui en ont assez de se faire dire à quel point vous êtes horrible sur ABC / BBC / CBC, regardez plutôt Lou Dobbs.
- voir clip sur site -
h / t Bill et Scott du Pacifique.
À savoir: bien qu'il y ait des allégations selon lesquelles les émeutiers du Capitole ont été mis sur des listes d'interdiction de vol, il y a des affirmations opposées selon lesquelles il s'agit de vieilles vidéos de novembre. Je ne prétends rien, sauf que créer des listes d'interdiction de vol semble être le genre de chose que DemoTech Octopus aimerait faire si ce n'est déjà fait. Peut-être veulent-ils simplement que les gens craignent de le faire. La peur, après tout, est la devise ultime. Même la propagation de fausses rumeurs de listes d'interdiction de vol dissuadera les patriotes d'assister aux manifestations. Tellement plus facile que de le faire!
Dans huit heures environ, le président Trump prendra la parole depuis Alamo, au Texas. Corrigez-moi si je me trompe: il est 15h00 à New York, 7h00 à Melbourne et Sydney, 6h00 QLD, 4h00 WA, Australie. Cela peut avoir de l'importance.
Tous les dons par PayPal ou par virement automatique et chèque pour ce blog sont reçus avec gratitude, quelle que soit leur taille. Si vous avez des suggestions pour aider par d’autres moyens, je suis tout à fait à l’oreille.
https://joannenova.com.au/2021/01/tech-giants-rule-the-united-states-and-the-purge-continues/
WSJ revendique les sites de listes noires de Google et apporte des modifications algorithmiques pour favoriser les grandes entreprises
RépondreSupprimerLundi 11 janvier 2021
par: Cassie B.
(Natural News) Oui, Google met sur liste noire les sites, cible les sites d'information conservateurs et manipule son algorithme au profit des grandes entreprises - et même le Wall Street Journal est concerné.
Selon leur rapport, Google a mis sur liste noire certains sites depuis le début des années 2000 pour s'assurer qu'ils n'apparaissent pas dans les résultats de recherche. Ces modifications sont distinctes de celles impliquant des sites qu'ils sont légalement tenus de bloquer, tels que ceux présentant une violation du droit d'auteur ou des abus envers les enfants et ceux visant à rétrograder les sites de spam.
En particulier, le WSJ a déclaré avoir vu des documents démontrant que Google News a mis sur liste noire les publications conservatrices. Parmi les sites figurant sur la liste de ceux qui n'apparaîtront pas dans Google Actualités ou dans les produits en vedette, se trouvaient les sites de droite The Gateway Pundit et The United West. Le WSJ a également déclaré avoir vu un projet de document de politique indiquant que le but de la liste noire est «d'empêcher les sites de faire surface dans les sites de recherche ou de produits d'actualité».
Une personne familière avec le sujet, quant à elle, a déclaré à la publication que les modifications de la liste noire doivent être effectuées par au moins deux personnes, l'une effectuant le changement et l'autre l'approuvant.
Cela jette un sérieux doute sur les affirmations souvent controversées de Google selon lesquelles il ne prend pas de décisions fondées sur la politique ainsi que sur son témoignage au Congrès selon lequel il n'utilise pas de listes noires. Lorsqu'on lui a demandé lors d'une audience de 2018 si le géant de la recherche avait déjà mis sur liste noire une «entreprise, un groupe, un individu ou un point de vente… pour des raisons politiques», le vice-président des politiques publiques de Google, Karan Bhatia, a répondu: «Non, madame, nous ne le faisons pas» t utiliser des listes noires / blanches pour influencer nos résultats de recherche. "
Sans surprise, Google a attaqué l'histoire du WSJ, affirmant qu'elle donne une «impression très inexacte» de la façon dont ils fonctionnent. Ils ont également déclaré qu'il contenait «des anecdotes anciennes et incomplètes».
Google favorise les grandes entreprises qui sont également de gros annonceurs
RépondreSupprimerLe WSJ a également signalé qu'il était en train de truquer son système pour favoriser les grandes entreprises. Des modifications algorithmiques des résultats de recherche sont apportées pour promouvoir les grandes entreprises par rapport aux plus petites. Dans au moins un cas, affirme le journal, ils ont apporté des modifications au nom d'eBay, qui se trouve également être l'un de leurs principaux annonceurs. Comme c'est pratique!
D'autres initiés ont déclaré qu'ils modifiaient les algorithmes pour booster des sites comme Facebook et Amazon dans leurs résultats de recherche.
Ces mesures seraient vivement contestées au sein de l'entreprise, les partisans affirmant que les clients sont plus susceptibles de trouver ce dont ils ont besoin dans les plus grands points de vente - mais les produits d'Amazon sont améliorés même si les articles en question sont abandonnés. Bien que le problème ait été soulevé à plusieurs reprises lors de réunions discutant des changements d'algorithme, la société a choisi à plusieurs reprises de ne pas inverser les changements.
Ils mettent également à jour leur index de sites comme Amazon et Facebook plus fréquemment, ce qui les aide à apparaître plus souvent dans les résultats de recherche des internautes.
En outre, certains de leurs plus grands annonceurs reçoivent des conseils directs sur l'amélioration de leurs résultats de recherche organiques, ce qui n'est pas un avantage pour les entreprises qui n'ont pas de contacts chez Google. Les revenus publicitaires de la société en 2018 s'élevaient à 116,3 milliards de dollars.
En juillet, Google a été critiqué lorsque plusieurs sites Web conservateurs ont disparu de leurs résultats de recherche, notamment le Drudge Report, Breitbart et le National Pulse. Ils ont affirmé que c'était dû à un «bogue» qu'ils avaient depuis corrigé. Mais parce que ses sites Web de droite ciblaient, l'ancien ingénieur de Google Mike Wacker a déclaré aux médias que le problème aurait pu par inadvertance exposé une liste noire interne ciblant les conservateurs.
Il a déclaré: «Le problème est que les sites de cette liste noire ont disparu des résultats de recherche Google, mais l'existence de la liste est en grande partie par conception. Et cela soulève une question majeure: pourquoi cette liste noire a-t-elle été créée en premier lieu et à quoi sert-elle d'autre? »
Google affirme qu'il ne peut pas partager comment ses algorithmes fonctionnent pour empêcher les gens de jouer sur leur système, ce qui peut sembler plausible, mais c'est aussi un moyen rapide de dissimuler leurs efforts pour faire taire les sites conservateurs et placer leurs plus grands annonceurs au premier plan.
RépondreSupprimerLes sources de cet article incluent:
DailyMail.co.uk
SearchEngineLand.com
WSJ.com
https://www.naturalnews.com/2021-01-11-wsj-claims-google-blacklists-sites.html
L'Allemagne et la France 'choquées' par la décision de Twitter d'interdire Trump
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 11 JAN 2021 - 17:20
L'Allemagne et la France sont choquées par la décision de Twitter d'interdire définitivement le président Trump de la plate-forme, la chancelière allemande Angela Merkel ayant déclaré par l'intermédiaire d'un porte-parole que les législateurs devraient fixer des règles régissant la liberté d'expression, et non les entreprises technologiques privées.
"La chancelière voit la fermeture complète du compte d'un président élu comme problématique", a déclaré le porte-parole en chef Steffen Siebert lors d'une conférence de presse à Berlin, selon Bloomberg. Siebert a ajouté que des droits comme la liberté d'expression "peuvent être interférés, mais par la loi et dans le cadre défini par la législature - pas selon une décision d'entreprise".
Pendant ce temps, les dirigeants français sont également indignés - le Ministre junior des affaires de l'Union européenne, Clément Beaune, se disant "choqué" qu'une entreprise privée ait pris une décision aussi importante.
"Cela devrait être décidé par les citoyens, pas par un PDG", a déclaré Beaune à Bloomberg TV dans une interview lundi, ajoutant "Il doit y avoir une réglementation publique des grandes plateformes en ligne."
Plus tôt, le ministre français des Finances, Bruno Le Maire, a déclaré que l'État devrait être responsable de la réglementation, et non "l'oligarchie numérique", ajoutant que la grande technologie est "l'une des menaces" à la démocratie.
L'Europe s'oppose de plus en plus à l'influence croissante des grandes entreprises technologiques. L'UE est actuellement en train de mettre en place une réglementation qui pourrait donner au bloc le pouvoir de diviser les plates-formes si elles ne respectent pas les règles.
Twitter a définitivement interdit Trump la semaine dernière après avoir décidé que les tweets du président sortant enfreignaient ses règles contre la violence glorieuse. Il a cité ses articles sur les émeutes dans la capitale américaine.
Le déménagement a suivi une action similaire de Facebook. Le fondateur et chef de la direction, Mark Zuckerberg, a déclaré que les messages les plus récents de Trump montraient qu'il avait l'intention d'utiliser le temps qu'il lui restait au pouvoir pour saper une transition pacifique et légale du pouvoir. -Bloomberg
Et comme le journaliste Glenn Greenwald l'a souligné dimanche, lorsque des entreprises concurrentes telles que Parler peuvent être renversées par un grand géant de la technologie comme Amazon, il n'y a vraiment pas d'autre moyen de le décrire comme un monopole.
https://www.zerohedge.com/political/germany-and-france-shocked-over-twitter-decision-ban-trump
REGARDER: Une caméra cachée révèle que des militants ont enregistré ILLEGALEMENT des milliers de personnes à la même adresse en Géorgie
RépondreSupprimerLundi 11 janvier 2021
par: Rédacteurs en chef
(Natural News) La nouvelle arrive un jour avant le second tour des élections au Sénat de Géorgie, et quelques heures seulement après que les autorités locales de l'État aient tenté de garantir au public que leurs votes étaient comptés de manière juste et équitable.
(Article republié de TheNationalPulse.com)
En vertu de la loi géorgienne, une personne doit être «inscrite en tant qu’électeur de la manière prescrite par la loi» et «être résident de cet État et du comté ou de la municipalité dans lequel elle souhaite voter».
Inscrire un certain nombre d'électeurs à une même adresse est - de par sa nature - ouvrir le vote à des personnes qui ne sont peut-être pas des résidents légaux de l'État ou du comté ou de la municipalité où elles sont enregistrées.
Pris à la caméra, Kimberly Parker du Central Outreach and Advocacy Center à Atlanta dit:
«La majorité des personnes que nous servons n’ont pas d’adresse. Nous leur permettons donc d’utiliser notre adresse s’ils s’inscrivent pour voter et d’obtenir une carte d’identité de l’État de Géorgie.»
Le processus semble être criminel en vertu du droit géorgien avec une peine d'emprisonnement pouvant aller jusqu'à 10 ans.
Parker poursuit en admettant: "Bien que nous ne soyons pas un refuge, nous leur permettons d'utiliser 201 Washington St." C’est l’adresse du bureau de l’organisation.
"Je ne peux même pas commencer à vous dire combien de personnes ont cette adresse sur leur pièce d'identité."
La nouvelle vole également face aux tentatives de dissimulation du secrétaire d'État Brad Raffensberger et de son assistant Gabriel Sterling qui, lors d'un appel avec le président Trump, ont insisté sur le fait qu'ils avaient mené une élection parfaite. Sterling l'a fait à nouveau lors d'une conférence de presse lundi après que l'appel avec le président ait été divulgué au Washington Post.
Un autre employé du centre - Adam Seeley - admet que «probablement quelques milliers de personnes… avaient notre adresse enregistrée sur leur adresse postale pour leur inscription électorale.»
Regarder:
RépondreSupprimerRUPTURE: @CentralOAC Exec admet que l'organisation enregistre des milliers de sans-abri pour voter à la même adresse à Fulton Co.
"Je ne peux même pas commencer à vous dire combien de personnes ont cette adresse sur leur pièce d'identité"
«Les membres du conseil ont eu le vent en poupe… je pensais que nous ne faisions pas les choses à la hausse…» #GAVoterFraud pic.twitter.com/5j2uJ2XV4T
- James O'Keefe (@JamesOKeefeIII) 5 janvier 2021
En savoir plus sur: TheNationalPulse.com
https://www.naturalnews.com/2021-01-11-activists-illegally-registered-thousands-at-the-same-address.html
Réflexion libre sur l’actualité, les cas de Trump et Jack Ma
RépondreSupprimerle 12 janvier 2021
Le Chinois Jack Ma a disparu de la circulation et les médias bien-pensants n’osent pas trop commenter cette nouvelle qui après tout ne concerne que la Chine et les Chinois. Les commentateurs se perdent en conjectures. Pourtant cette information mérite une analyse compte tenu des évènements récents qui ont enflammé la ville de Washington et tous les médias du monde. Il y a quelques mois le Président Trump a laissé entrevoir que certains « GAFAM » enfreignaient la loi dite anti-trust américaine (Clayton Act, 1914) et qu’il était nécessaire de légiférer afin de réduire la puissance de ces sociétés privées. À la suite des évènements du 6 janvier 2021 le Président Trump a été interdit de parole par Google, Facebook, Twitter et d’autres canaux (illustration).
C’était une revanche des GAFAMs qui n’ont pas l’intention d’être dérangés dans leurs affaires par la nouvelle administration démocrate, car le message s’adressait aussi aux Démocrates. Il s’adressait également à tout pays manifestant une certaine hostilité à l’égard de ces entreprises privées qui ont acquis une puissance telle que plus aucun Etat ne peut les contrôler. Cependant certaines administrations des Etats-Unis collaborent avec ces entreprises pour la collecte de données concernant les citoyens anonymes. On se trouve donc, dans un pays dit démocratique comme les USA devant un paradoxe. L’activité de ces groupes, les GAFAMs, arrange le gouvernement américain mais leur puissance financière est dérangeante, et quand un pays comme la France s’estime en droit de taxer les bénéfices réalisés par ces mêmes groupes sur le sol français, le gouvernement américain se rebiffe, à n’y rien comprendre. C’est pourtant limpide, une démocratie ne peut plus gérer de tels puissances technologiques et financières tout en collaborant sous le manteau avec elles.
La Chine a pressenti ce danger lorsque Jack Ma, le fondateur d’Alibaba, a décidé d’une IPO (introduction en bourse) de la filiale Ant de ce groupe. Alibaba est le pendant d’Amazon en Chine et dans de nombreux pays d’Asie avec plus d’un milliard de clients et Ant est le concurrent direct de Visa et MasterCard avec sa plateforme Alipay. Alibaba et Ant sont deux monstres dont le pouvoir financier devait, d’une manière ou d’une autre, inquiéter le gouvernement chinois. Les projets d’extension de l’activité de Ant en Europe et en Amérique du nord n’ont probablement pas plu au gouvernement central chinois pour toutes sortes de raisons. On peut citer un embryon de collaboration avec Visa et MasterCard et l’implantation d’Alipay dans « trop » de pays. Les projets d’extension de Ant vers des services financiers n’ont pas non plus été du goût des dirigeants de Pékin car la monnaie, qu’elle soit scripturale, électronique ou fiduciaire, est le premier pouvoir régalien d’un Etat. Si un Etat perd le contrôle de sa monnaie, il perd une grande partie de sa souveraineté.
Les velléités de Jack Ma de développer les activités financières de Ant et le projet d’IPO ont probablement déplu – à juste titre – au gouvernement central de Pékin, c’est peut-être la raison de la disparition des radars de Jack Ma et ceci s’explique car la Chine n’est pas une démocratie contrairement aux Etats-Unis dont le Président, toujours en fonction jusqu’au 20 janvier s’est vu interdit de séjour par Zuckerberg et d’autres magnats des GAFAMs. En Chine ces individus seraient probablement en prison.
RépondreSupprimerAu terme de cette courte réflexion on peut penser ce que l’on veut de la Chine et de son régime politique mais il y a un point qui mériterait d’être développé : la lente, mais certaine, dérive des démocraties européennes vers le totalitarisme. Souvenez-vous que dans les années 1930-1940 il fallait plus des doigts d’une main pour dénombrer les régimes dictatoriaux en Europe : la Russie soviétique, l’Allemagne, l’Autriche, la Grèce, l’Espagne, le Portugal, la Croatie et dans une moindre mesure la Norvège et la France … Le démon du totalitarisme n’est pas mort et il peut renaître à tout moment.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/01/12/reflexion-libre-sur-lactualite-les-cas-de-trump-et-jack-ma/
À qui profite la crise ?
RépondreSupprimermardi 12 janvier 2021
Les événements du Capitole ont servi au final à déclarer Trump comme un fou dangereux, nécessitant sa destitution, et ses partisans, des patriotes armés, comme des terroristes domestiques.
Bien sûr que les patriotes ne sont pas des "terroristes domestiques", seule une minorité de pions ont fait du grabuge, mais ça n'a aucune importance puisque le discours médiatique allié à celui des représentants martelle que les pro-Trump sont des gens dangereux.
Mission accomplie.
L'Etat d'urgence a été prolongée par Trump dans Washington jusqu'au 24 janvier et plus de 15 000 soldats de la Garde Nationale seront déployés dans les rues, la ville est déjà investie de soldats depuis l'incident du Capitole, pour contrer d'éventuels désordres d'ici à l'investiture de Biden.
Les médias annoncent des "manifestations armées", ce qui laisse présager de potentiels événements qui vont nourrir, à terme, une possible guerre civile, un renforcement des forces de sécurité armées (loi martiale) dans les grandes villes, des mesures de contrôle concernant les propriétaires d'armes au nom de la Sécurité nationale. Sans compter que ça pourrait être un prétexte pour mettre en place un système de surveillance globale des citoyens américains.
À qui profite la crise ? 👇
"Le FBI avertit que "des manifestations armées sont prévues" à travers les États-Unis la semaine prochaine.
Le FBI met en garde contre des projets de manifestations armées dans les 50 capitales des États et à Washington, DC, dans les jours qui vont précéder l'investiture du président élu Joe Biden, attisant les craintes d'une nouvelle effusion de sang après le siège meurtrier de la semaine dernière au Capitole américain."
https://globalnews.ca/news/7570245/fbi-warns-armed-protests-planned-u-s/amp/
http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2021/01/a-qui-profite-la-crise.html
Etats-Unis : l'hystérie des globalistes face à Trump
RépondreSupprimermardi 12 janvier 2021
Pourquoi les Démocrates, à la tête du clan globaliste, ont-ils si peur de Trump, que non seulement il ait fallu falsifier à un tel point les élections présidentielles américaines que les Etats-Unis en sortent perdant, mais qu'il faille encore tenter un Impeachment tout en bâillonnant le Président sortant ? Pourquoi ? Sont-ils si faibles ? Savent-ils qu'ils sont à ce point impopulaires ? Donc qu'ils usurpent le pouvoir ? Finalement, les masques "démocratiques" sont tombés, il ne reste qu'une révolution de Palais.
La manière dont un candidat gagne les élections va conditionner sa marge de pouvoir réel. L'étendue des violations et l'incapacité du système institutionnel et judiciaire américain à contenir les opérations électorales dans le cadre de la légalité met les Démocrates dans une impasse : ils sont obligés de combattre sans règles pour garder le pouvoir. Dans tous les cas, penser que l'on puisse régler avec des outils juridiques un combat politique, voire ici idéologique, est pour le moins naïf. C'est un rapport de force brute qui est en jeu, pas un rapport de droit.
Quand Trump a appelé à marcher vers le Capitole, il a faussé le jeu. Si le domaine de la communication est très important, tout combat se gagne dans le réel. C'est d'ailleurs pour cela que la technologie des révolutions de couleur, si elle commence par la maîtrise d'un espace de communication, mise sur la rue. Mais, comme nous l'avons déjà vu avec les Gilets Jaunes en France, décriés par les médias et peu soutenus par les politiques, les manifestants sont a priori pacifiques et "pro-démocratie" lorsqu'ils jouent le jeu globaliste, comme en Ukraine ou récemment en Biélorussie. Peu importe alors les cocktails molotov, peu importe l'organisation militaire des attaques menées contre les forces de l'ordre. Peu importe la prise des bâtiments officiels et leur occupation. Peu importe, ces manifestants sont pro-globalistes, soutenus, organisés et financés par les forces globalistes. Donc, les médias suivent, dans toute la grandeur de leur indépendance, et sans sourciller masquent ou recadrent les images, conditionnent le discours pour produire le bon manifestant.
Mais Trump et les conservateurs ne maîtrisent pas les médias, ils utilisent des plateformes de communication qui sont au service d'une autre idéologie. Donc, lorsque Trump a appelé à marcher afin de montrer la force réelle d'une part de la population américaine dénigrée, comme par hasard, comme avec les Gilets Jaunes, des casseurs, des violents et des personnages caricaturaux, qui en ressortent toujours sans problèmes, font irruption et permettent l'indignation des Démocrates et de Pelosi, qui aurait eu très très peur, la pauvre. A son âge ce peut être dangereux, elle pourrait même attraper le Covid avec ces intrus.
La réaction fut immédiate, Twitter bloque définitivement le compte officiel présidentiel. Twitter. Sur quelle base est-il possible à ces entreprises de limiter la liberté d'expression ? Et en toute impunité ? Trump l'avait déjà souligné : la section 230 de la loi américaine sur l'éthique dans le domaine des communications ne permet pas de recourir en justice contre les entreprises du numérique en ce qui concerne la diffusion ou le retrait d'un contenu, ainsi que pour toutes les opérations de modérations. Et comme ces géants du numérique sont idéologiquement très orientés, le combat arrivant dans une phase décisive, l'immunité dont ils bénéficient couvre ainsi leurs chefs réels. En ce sens, Trump a parfaitement raison de dire que le discours conservateur se réduit comme peau de chagrin dans l'espace public, à tel point que l'existence des Républicains dans leur stature actuelle est en péril.
RépondreSupprimerDonc, sous couvert de modération, ces entreprises, comme Twitter, Facebook, Instagram etc. font de la censure en fonction de la ligne idéologique pour laquelle elles ont été mises en place. Et non-content d'avoir définitivement supprimé le compte du Président américain, Twitter veut priver de moyen de parole toute voix qui pourrait aller à l'encontre de la doxa démocrate. Ainsi, il ferme 70 000 comptes de ce qu'il appelle la "mouvance conspirationniste". Motif : éviter que la violence ne se répète.
Je ne me souviens pas avoir vu des comptes de la "mouvance" revancharde noire bloqués, malgré le déferlement de violence qui suit leurs appels à manifester ...
Et l'on entend CNN appeler à ne pas diffuser le discours de Trump. Et l'on entend certains demander à ce que les diplômés pro-Trump se voient priver de leur diplôme. Et l'on apprend que la compagnie aérienne Delta airlines a débarqué deux passagers qui exprimaient leur soutien à Donald Trump. La chasse aux sorcières est de retour : avant, il fallait lutter contre les communistes quand on était libéral; maintenant que l'on est globaliste, on lutte contre les conservateurs.
Et afin d'écraser cette force qui leur fait si peur, à 10 jours de la fin de son mandat, les Démocrates sont au bord de la panique. Par la figure hystérique de Pelosi, à la tête de la Chambre des représentants, ils fixent un ultimatum de 24 heures à Pence pour faire le sale travail à leur place : qu'il active le 25e amendement et déclare le Président Trump inapte (l'état de la momie Biden ne pose lui aucun problème). Les Démocrates ont eu peur en voyant cette foule dans la rue, non sur leur ordre, mais contre eux. Une foule réelle, mécontente, qu'ils ne contrôlent pas. Ils ne veulent pas que cela se reproduise. La liberté de manifestation, c'est bon quand on maîtrise la situation. Quand les intérêts du clan globaliste sont en jeu, le terme à employer n'est pas celui de manifestant, mais de "terrorisme domestique". Les politiques mettent bien l'accent sur la dimension idéologique : le terroriste est celui qui met en danger votre mode de vie. Passé ce délai de 24h, ils menacent de lancer une deuxième procédure d'Impeachment. Car même sortant, Trump leur fait peur. Ce qu'il représente, le monde réel, les met dans un état d'hystérie inquiétant. Il représente un danger, ce qui est affirmé :
Pour protéger notre Constitution et notre démocratie, nous allons agir dans l'urgence, parce que ce président représente une menace immédiate pour les deux", écrit Nancy Pelosi.
RépondreSupprimerSauf que le danger n'est pas pour la démocratie ni pour la Constitution, qui a été ouvertement bafouée lors des dernières élections, mais le danger est personnel. Dans ce cas, tous les coups sont permis. Tant de petitesses chez des personnes qui vont avoir tant de pouvoir ne présage rien de bon.
https://russiepolitics.blogspot.com/2021/01/etats-unis-lhysterie-des-globalistes.html
Les tests asymptomatiques rapides en Angleterre pourraient se retourner contre la précision: experts
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 12 JAN 2021 - 6:00
Rédigé par Simon Veazey via The Epoch Times,
Certains experts craignent que le déploiement en Angleterre de kits de test rapide pour les personnes sans symptômes du COVID-19 ne se retourne contre eux en raison de la précision limitée de la technologie - en particulier si les messages du gouvernement ne sont pas clairs.
Le gouvernement britannique a annoncé dimanche que les kits de test d'écoulement latéral, tels que testés à Liverpool à l'automne, seraient disponibles pour les personnes qui ne peuvent pas travailler à domicile, à partir de cette semaine.
Le secrétaire à la Santé, Matt Hancock, a déclaré que les tests asymptomatiques ciblés et l'isolement ultérieur sont «très efficaces pour briser les chaînes de transmission».
La mesure a été approuvée par les responsables de la santé publique et de nombreux scientifiques.
Le gouvernement dit qu'il a identifié des kits avec une sensibilité de 70% et qu'ils sont conçus pour aider à réduire la transmission asymptomatique, et non pour déclarer les gens comme sûrs.
Cependant, certains experts évoquent une étude du British Medical Journal qui montre que le pilote de Liverpool a manqué 60% des cas et 30% de ceux avec les charges virales les plus élevées.
Ils craignent que les gens interprètent mal la signification des tests.
Un étudiant en réadaptation sportive de 20 ans à l'Université de Hull passe un écouvillon pour un test COVID-19 à flux latéral dans les installations sportives du campus le 4 janvier 2021 (Paul Ellis Paul / AFP via Getty Images)
"Les projets du gouvernement de déployer des tests de masse à l'aide du test de flux latéral Innova comportent un risque réel d'augmenter plutôt que de réduire la propagation du COVID", a déclaré Jon Deeks, professeur de biostatistique à l'Université de Birmingham, dans un communiqué.
«Le gouvernement semble se concentrer uniquement sur les avantages du dépistage - celui de détecter des cas asymptomatiques non détectés auparavant - et non sur les préjudices causés par une mauvaise information des gens sur le fait qu'ils ne sont pas infectés par le COVID-19 alors qu'ils le font.
Son point de vue est partagé par Angela Raffle, consultante en santé publique et maître de conférences honoraire à la faculté de médecine de l'Université de Bristol, qui affirme que les tests à l'Université de Birmingham ont montré que le test pouvait ramasser aussi peu que 2 cas sur 100.
«Que le gouvernement prétende que ces tests sont exacts, fiables et« extrêmement réussis »est dangereusement trompeur», a-t-elle déclaré.
«Cela pourrait saper le système de test et de traçage déjà en difficulté, car les gens sont susceptibles de choisir de passer un test de flux latéral plutôt que de se rendre à la PCR lorsqu'ils présentent des symptômes.»
Les autorités locales sont encouragées à donner la priorité aux personnes qui ne peuvent pas travailler à domicile pendant le verrouillage de leur campagne de test communautaire, a déclaré le ministère de la Santé et des Affaires sociales dans un communiqué.
Les partisans du programme de test affirment qu'il ne vise pas à créer des bulles de personnes garanties comme sûrement exemptes du virus, mais plutôt à simplement filtrer davantage de personnes porteuses du virus qui ne présentent aucun symptôme.
RépondreSupprimerAlexander Edwards, professeur agrégé en technologie biomédicale à l'Université de Reading, a déclaré:
«Ces tests asymptomatiques de masse ne sont pas censés aider les gens à vérifier s'ils sont« sûrs ». Au lieu de cela, il vise à détecter plus de cas pour soutenir la recherche des contacts et l'isolement des personnes à haut risque de transmettre le virus avant qu'elles ne sachent qu'elles sont infectées. Il faut dire clairement aux gens qu’un test négatif n’exclut pas l’infection. »
D'autres experts ont émis un avertissement similaire concernant la messagerie.
Simon Clarke, professeur agrégé en microbiologie cellulaire, a déclaré: «L’augmentation des tests dans la population au sens large a le potentiel de supprimer la transmission virale si elle est bien faite. On prétend souvent qu'ils ont travaillé pour réduire les infections à Liverpool, ce qui est très discutable.
De nombreux autres experts soutiennent la mesure.
«C'est très bienvenu et attendu depuis longtemps», a déclaré Jose Vazquez-Boland, président des maladies infectieuses à l'Université d'Édimbourg, en référence à l'annonce du programme de dépistage rapide.
«Nous devons être clairs que la seule façon de contrôler le coronavirus et de tenter son éradication est d'identifier immédiatement les asymptomatiques, aussi près que possible du 'temps réel', de les isoler rapidement et de réduire progressivement la prévalence et la propagation du virus à travers le population."
https://www.zerohedge.com/covid-19/englands-rapid-asymptomatic-testing-could-backfire-over-accuracy-experts
«Il y a eu trois suicides parmi les extras»: la perspective d’un nouveau confinement épouvante l’événementiel
RépondreSupprimer18:48 12.01.2021
Une déception de plus pour les extras de l’événementiel et de la restauration! Ces salariés sont descendus dans la rue pour défendre leurs droits. Mais leur manifestation devant le ministère du Travail n’a pas impressionné l’exécutif, qui refuse de réévaluer les aides pour les «intermittents de l’emploi» aujourd’hui fixées à 900 euros. Reportage.
À Paris, devant le Ministère du Travail, une cinquantaine de manifestants bravent un temps maussade à coups de slogans: «Madame la Ministre, notre avenir est sinistre», ou: «L’État aveugle, sourd et muet.» Dans la petite foule, on retrouve des visages familiers. Ce n’est pas étonnant, puisque la situation des intermittents de l’emploi n’a pas changé depuis presque un an. Inlassablement, ils alertent sur la «mort sociale programmée» des extras et contrats courts.
Xavier Chergui est maître d’hôtel. Il s’estime presque privilégié puisque, après avoir travaillé en été, il a «un peu rechargé ses droits». Ce qui ne lui fait pas oublier un passage à vide en mars 2020: «J'étais au RSA.»
«Aujourd’hui, on dénonce les mesures annoncés par Élisabeth Borne [pour soutenir les permittents, ndlr]: un plafond de 900 euros sous condition de 138 jours de travail en 2019. Elle parle d’équité, mais je ne suis pas un chômeur, je suis un bosseur», clame Xavier Chergui.
Ce maître d’hôtel ne voit guère de différence entre le RSA de 875 euros –«pour la famille de quatre personnes»– qu’il percevait et les 900 euros promis par le ministère.
«Bientôt à la rue ?», «Démunis»: comment le Covid-19 fabrique des nouveaux pauvres – vidéo
«Ces aides, si j’y ai droit, me rapporteront 25 euros !» s’insurge Xavier contre les propositions ministérielles, en énumérant ses dépenses: «Le loyer, le crédit, l’alimentaire, la cantine des enfants, l’assurance de la voiture, l’électricité…»
«J’ai appris dernièrement qu’il y a eu trois suicides parmi les extras de l’événementiel. Et s’il y a un troisième confinement, comment faire ?» déplore Xavier.
Le tourisme d’affaires au ralenti, les fêtes privées interdites, les cérémonies en petit comité… depuis le début de la pandémie, les maîtres d’hôtel et les cuisiniers employés en CDD d’usage (le contrat des extras) encaissent coup dur sur coup dur. Ils ont plongé, en quelques mois, dans la précarité.
Les inégalités se creusent
RépondreSupprimerAu côté des manifestants, Mathilde Panot, députée La France insoumise du Val-de-Marne, appelle à «ne pas baisser les bras» et à continuer, parce que «le gouvernement est en train de préparer de nouveaux mauvais coups».
«Jusqu’à quand va-t-on accepter que les gens vivent avec 400-500 euros? La délégation va dire [à la ministre, ndlr] que nous ne voulons pas des miettes, nous voulons des droits, pour que tout le monde puisse vivre dignement. Je vous garantis qu’il y a largement assez de richesses dans le pays pour l’assurer», déclare la députée.
En novembre dernier, Véronique Fayet, présidente du Secours catholique, a déclaré: «La France franchira la barre des dix millions de pauvres en 2020.» Autre chiffre alarmant, la Caisse nationale d'allocations familiales a annoncé début décembre: «La barre des 2 millions de bénéficiaires du RSA aurait été franchie.»
En revanche, le nombre des Français ultra-riches a augmenté de 11 % entre 2018 et 2019, alors que la moyenne européenne est de 8,7 %. Ce qui place le pays à la cinquième place du palmarès mondial.
Les collaborateurs d’Édouard Philippe désormais appelés à se tourner vers Pôle Emploi
La manifestation avait pour but de faire pression sur la ministre, qui recevait une délégation d’intermittents. À l’issue de la rencontre, Samuel Churin, comédien bien connu pour son action au sein de la Coordination des intermittents et précaires, ne cache pas sa déception: «Ça n’a donné absolument rien, aucun résultat, déclare-t-il au micro de Sputnik. Ils maintiennent que 900 euros, c’est très bien et promettent des prolongements.»
Il ne cache pas son amertume devant le refus du ministère de suivre une proposition formulée en novembre dernier dans les rangs de la majorité. Le député Jean François Mbaye (LREM) avait fait une proposition de loi plus en ligne avec les vœux de la Coordination: sur la base des deux dernières années, «aligner» les intermittents de l’emploi sur les salariés permanents pour leur assurer 84% des revenus.
«Cette proposition de loi est torpillée et enterrée, puisque le ministère a déclaré qu’“elle n’était pas à l’ordre du jour”. Elle ne peut même pas être discutée, parce que le gouvernement risquerait d’émettre un avis défavorable sur une proposition d’un membre de sa majorité», souligne Samuel Churin.
Néanmoins, le membre de la Coordination compte «essayer de la faire proposer à travers les députés d’opposition», s’attendant quand même à essuyer un refus.
Il dénonce également l’approche adoptée par le gouvernement «de prendre comme référence des revenus l’année 2019, plombée» par le mouvement des Gilets jaunes et les grèves. «Ils devraient prendre une années 2018, une année de croisière normale. Et non l’année où la fréquentation touristique a fortement diminué, devant les images des Champs-Élysées qui brûlent», conclut Samuel Churin.
Le gouvernement britannique ne peut laisser sortir les gens qu'une fois par semaine
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 12 JAN 2021 - 15h30
Rédigé par Steve Watson via Summit News,
Le gouvernement britannique aurait discuté de l'augmentation des restrictions COVID encore plus loin en n'autorisant les gens à quitter leur domicile qu'une fois par semaine.
Prétendant que le service national de santé est au point de rupture, le gouvernement envisagerait de mettre en œuvre des règles plus strictes, notamment le port obligatoire du masque à l'extérieur, et d'interdire les «bulles étendues», où les gens sont autorisés à rencontrer une personne d'un autre foyer.
Le plus effrayant, cependant, est la révélation que les ministres du Cabinet ont débattu en privé pour empêcher les gens de se parler dans la rue et dans les supermarchés, et même empêcher les gens de quitter leur domicile plus d'une fois par semaine, et instaurer des couvre-feux.
S'adressant aux journalistes, le ministre des Vaccins, Nadhim Zahawi, a déclaré: «Nous révisons toutes les restrictions», ajoutant: «Je m'inquiète du fait que les supermarchés et les gens portent réellement des masques et suivent le système à sens unique, et s'assurent que lorsqu'ils sont à pleine capacité, ils attendent en dehors de la supermarché."
"Je m'inquiète pour certaines des photos que j'ai vues d'interactions sociales dans les parcs, si vous devez faire de l'exercice, vous ne pouvez sortir que pour faire de l'exercice", a déclaré Zahawi.
Une source gouvernementale a également déclaré au Daily Telegraph que la règle actuelle permettant aux gens de rencontrer une personne d'une autre maison pour faire de l'exercice est «utilisée comme excuse pour les gens d'aller prendre un café dans le parc avec leurs amis» et sera probablement mis au rebut.
La source a ajouté que le gouvernement discutait de «s'assurer que les gens n'utilisent pas leur propre créativité pour interpréter les règles comme ils le souhaitent».
Le rapport suggère que l'application des règles sera encore plus renforcée, avec des amendes sur place, pouvant passer de 200 £ à 500 £.
Les révélations surviennent après un week-end où la police a été vue en train de sévir contre des gens dans les rues de Grande-Bretagne.
Une vidéo est apparue montrant des policiers arrêtant des personnes qui marchaient, étaient assises sur des bancs et buvaient du café à l'extérieur.
Après que les images soient devenues virales, la police a affirmé, sans aucune preuve, que le tout avait été mis en scène par des «manifestants anti-lockdown»:
RépondreSupprimerVeuillez trouver notre déclaration ci-dessous ⬇️ pic.twitter.com/roVVLxjG5E
- Police du Dorset (@dorsetpolice) 10 janvier 2021
Certaines personnes ont laissé entendre qu'une manifestation anti-lockdown avait lieu. Le Daily Mirror dit ici: "Rien n'indique que l'une des personnes confrontées à la police participait à une manifestation." Heureux d'être informé du contraire si quelqu'un a plus d'informations. https://t.co/gQNWf2DX33
- Paul Embery (@PaulEmbery) 10 janvier 2021
C'est ce à quoi la police a sombré - blâmer leurs victimes pour leurs arrestations illégales ... Honteux. https://t.co/yGbcUyTVbw pic.twitter.com/nuGGOcOafF
- Benjamin Loughnane (@Loknayn) 10 janvier 2021
En outre, deux femmes ont été interrogées et condamnées à une amende par la police pour s'être promenées dans une région éloignée à 8 km de leur lieu de résidence, bien que cela ne soit pas illégal en vertu des lois sur les coronavirus. La police a dit aux femmes que les boissons chaudes qu'elles transportaient constituaient un «pique-nique».
Une vidéo est également apparue montrant des policiers eux-mêmes assis dans un café en train de boire du café, la personne qui les filme se demandant pourquoi ils ne respectaient pas les règles:
La police de verrouillage sait que tout est optimiste. Les règles, les masques, les tickets. Mais ils sont exemptés, donc ils sont d'accord. C’est probablement amusant pour certains d’entre eux, ceux qui sont devenus des policiers pour le frisson du pouvoir. pic.twitter.com/2z4YpAAZxz
- Ezra Levant 🍁 (@ezralevant) 8 janvier 2021
Dans un autre incident, un couple avec un bébé et une poussette a été grillé par la police COVID dans le centre-ville de Birmingham simplement pour marcher dans la rue. Le rapport a noté que les agents de soutien communautaire de la police ont alors commencé à interroger les personnes qui étaient arrivées dans une pharmacie pour aller chercher des médicaments sur ordonnance.
Pendant ce temps, en Ecosse, une famille a été arrêtée après que la police est entrée dans leur maison, agissant sur une information d'un voisin selon laquelle il y avait «trop de gens à l'intérieur».
C'est ce que vos impôts et votre capitulation face au gouvernement vous apportent.
La police écossaise utilise des pouvoirs de verrouillage pour faire irruption dans une maison et arrêter violemment la famille. Les enfants qui hurlent m'ont vraiment foutu en l'air. pic.twitter.com/J6qfHLHKzv
- Speech God🏴🏳️🌈 (@CountDankulaTV) 7 janvier 2021
RépondreSupprimerUn service de police local a même tweeté avec colère à propos de «2 rapports de boules de neige lancées» en violation des règles de verrouillage du coronavirus.
La semaine dernière, nous avons rendu compte de l'annonce par la police de l'adoption d'une nouvelle politique de verrouillage `` dure '' pour arrêter et interroger les gens s'ils sont dans la rue, et pour infliger des amendes instantanées s'ils ne peuvent pas fournir une excuse raisonnable pour être hors de leurs maisons.
La police a également déclaré qu’elle ciblerait spécifiquement les «manifestants anti-lock-out et anti-vaccin», affirmant que «nous avons maintenant un élément hardcore qui est contre les règles».
La police réclame également de nouveaux pouvoirs pour forcer l'entrée dans les maisons des contrevenants présumés du verrouillage.
Le gouvernement a été critiqué pour avoir mis en place un troisième verrouillage, dans lequel tout le monde est limité à se rassembler dans les parcs et à se rendre uniquement au supermarché.
Les critiques disent que cela force les gens dans les mêmes espaces, plutôt que de permettre aux gens de se disperser naturellement.
Des rapports ont émergé ce week-end selon lesquels les restrictions devaient rester en place au moins jusqu'au 23 mars, mais le gouvernement n'a donné aucun calendrier officiel pour la durée du verrouillage, ni aucune indication sur le moment où les restrictions seront renforcées ou levées.
Pendant ce temps, à Wuhan…
Un an jour pour jour depuis que la Chine a annoncé le premier décès causé par un `` virus mystère '' à Wuhan, la ville se vante d'être ''la plus sûre du monde '' alors que le reste de la planète est ravagé par Covid-19 https://t.co / DLKq4PxYU6
- Chris Breeze (@mrcbreeze) 11 janvier 2021
https://www.zerohedge.com/covid-19/uk-government-may-only-let-people-out-once-week
L'horreur de l'hégémonie actuelle ne s'arrête pas aux ministères ! dans la rue des personnes certainement trisomiques demandent à des gens... de porter un masque !!! C'est la gestapo ! La transmission du devoir de tuer n'importe qui qui ne se conforme pas à la dictature en place !! Même des commerçants de merde s'y mettent ! Ils demandent à ce que les personnes entrent masquées !!
Supprimer«On les aura, ces connards»: le SMS très cash que Macron aurait envoyé à Véran pour le soutenir
RépondreSupprimer16:28 12.01.2021
Pointé du doigt pour la lenteur de la campagne de vaccination, le ministre de la Santé a toujours la confiance d’Emmanuel Macron, en témoigne un texto révélé par Le Point: «Tiens bon, on les aura, ces connards». Le magazine analyse également les raisons du retard de la France par rapport à ses voisins.
Début janvier, la colère de Macron a éclaté jusque dans le JDD puis d’autres médias, la France accusant un faible nombre de personnes vaccinées par rapport à ses voisins européens. Les critiques se sont alors tournées vers Olivier Véran, tenu responsable de l’échec de la campagne de vaccination, analyse Le Point. Mais le Président affiche toujours sa confiance envers son ministre de la Santé.
D’après l’hebdomadaire, le chef de l’État a tenu en interne à manifester son soutien, notamment via un texto «très cash»: «Tiens bon, on les aura, ces connards». Pourtant, dans les jours qui ont suivi, les vives critiques de Macron à l’égard de la lenteur de la vaccination ont touché le ministre sans le viser directement. «Une victime collatérale», estime le magazine.
Car Emmanuel Macron s’en est en fait davantage pris à l’administration de la santé, notamment lors d’une réunion de crise Covid organisée à l’Élysée début janvier. «C’était une colère générale. Le Président ne supporte plus cet État dans l’État qu’est l’administration de la santé. Quand la HAS lui a dit, avant de se raviser, qu’il n’était pas possible de vacciner les soignants en même temps que les séniors, ça l’a rendu hystérique», confie au Point un conseiller du Président.
Il n’est d’ailleurs aucunement question d’une démission d’Olivier Véran. «On a zéro sujet avec lui», a fait savoir l’Élysée, affirmant que le problème se situe davantage au niveau de la coordination entre lui et les agences régionales de santé, et de ces dernières avec les préfets.
Les raisons d’un échec
Dimanche sur Europe 1, M. Véran semblait regretter sa décision de retarder les procédures de quelques jours afin de prendre le temps de rassurer une population particulièrement hostile à la vaccination. «Nous avons sans doute internalisé l’espèce de défiance générale vis-à-vis des vaccins», a-t-il déclaré, reconnaissant également «un manque de clarté dans l’explication vaccinale».
Outre la peur des anti-vaccins, Le Point rappelle le «traumatisme» du gouvernement après les centres de vaccination mise en place par Roselyne Bachelot en 2010 contre la grippe H1N1, avec les 94 millions de doses dont le gouvernement a finalement dû se débarrasser.
(ils parlait de ceux qui le soutiennent).
SupprimerLE VACCIN PROPOSÉ NE PROTÈGE PAS CONTRE LES AUTRES CORONAS ARRIVÉS APRES LE PREMIER du mois de Mars. IL NE SERT DONC: A R I E N ! !
Le comté de L.A. dit aux résidents de porter des masques dans leur propre maison
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 12 JAN 2021 - 17:45
Plus insensée et imminente de dépassement anticonstitutionnel du verrouillage de Covid, une fois de plus hors du comté durement touché de L.A. où les cas se multiplient:
Les choses vont si mal dans le comté de Los Angeles que les responsables de la santé conseillent désormais à tous les travailleurs essentiels de porter des masques à l'intérieur de leur propre maison pour éviter la propagation du Covid-19 au sein de leur ménage.
Comme si les cas où certaines villes du monde avaient commencé à imposer le port de masques à l'extérieur ne suffisaient pas, la recommandation de santé de L.A. conseille désormais aux gens de se masquer à l'intérieur de leur propre maison.
Et ce n'est pas une précaution qui dit de porter un masque en présence d'un membre de la maison infecté par COVID-19 confirmé, ce qui serait compréhensible, mais simplement à tout moment, indépendamment des autres membres de la famille qui sont malades.
"En ce moment, parce qu'il y a tellement de propagation, nous recommandons que les gens portent leur masque pendant qu'ils sont à l'intérieur de la maison", a déclaré la directrice de la santé publique du comté de Los Angeles, Barbara Ferrer, lors d'un point de presse lundi.
"C'est pour les personnes qui quittent leur domicile tous les jours pour le travail ou qui font régulièrement des courses pour leur famille", a déclaré Ferrer. Elle a appelé cela une «couche de protection supplémentaire pendant que nous traversons cette vague».
Même si les médias comme CNN définissent la directive comme s'appliquant aux «travailleurs essentiels», il ressort clairement du libellé du directeur de la santé que les directives sont émises à tous les résidents du comté de L.A. qui appartiennent à un ménage avec plus d'une personne.
Los Angeles approche maintenant de son année depuis son premier cas de coronavirus confirmé enregistré. Depuis lors, plus de 930 000 personnes ont été testées positives dans le comté de L.A.
Les autorités locales ont récemment cherché à imposer les mesures de distanciation sociale les plus strictes du pays, y compris de nouvelles ordonnances de verrouillage et un couvre-feu de 22 heures à 6 heures, à l'exception des travailleurs essentiels.
L.A. dit également aux gens de ne pas faire de marche ou de jogging sans porter de masque: "Ce n'est pas le moment de rencontrer des amis chez vous pour regarder le match", a déclaré Ferrer dans le communiqué de lundi. "Ce n'est pas le moment de se promener sans masque."
https://www.zerohedge.com/covid-19/la-county-tells-residents-wear-masks-inside-own-homes
Même en Chine ou Corée du Nord ils ne font pas çà ! Et, maire et Gouverneur sont pire que le juif boche à la petite moustache nazie !
SupprimerObligation de porter le masque sous la douche, pour vous débarbouiller, vous raser, mettre du rouge à lèvre, brosser les dents, manger, dormir et baiser !
President Trump speaks from Alamo Texas
RépondreSupprimerJanuary 13th, 2021
- voir clip sur site -
https://joannenova.com.au/2021/01/president-trump-speaks-from-alamo-texas/