La filière nucléaire constitue le cœur d’une réindustrialisation des territoires car elle peut produire une électricité décarbonée et bon marché.
Par Michel Gay
4 JANVIER 2021
En septembre 2020, le gouvernement a présenté un plan de relance intégrant 34 milliards d’euros en deux ans pour accroître la compétitivité industrielle, et 600 millions d’euros pour financer des projets de relocalisations de l’industrie.
En France, la filière nucléaire est un outil de souveraineté énergétique. Elle constitue le cœur d’une réindustrialisation des territoires grâce à une production massive d’électricité décarbonée, bon marché, facteur de compétitivité et de décarbonation pour l’industrie, favorisant ainsi l’attractivité internationale.
UN OUTIL DE SOUVERAINETÉ
Le nucléaire représente plus de 70 % de la production d’électricité actuellement en France avec seulement moins d’un milliard d’euros d’achat d’uranium, et permet d’économiser environ 25 milliards d’euros par an d’importations de gaz. Et ce « combustible », dont l’approvisionnement est diversifié et le prix est stable, représente seulement 5 % du coût de production, soit moins de 2 % du prix de vente aux particuliers.
De plus, EDF dispose d’un stock d’uranium permettant deux ans de production d’électricité auquel il convient d’ajouter huit ans de réserve en enrichissant le stock d’uranium appauvri d’Orano (ex Areva). Ce stock stratégique ne doit pas, bien sûr, être qualifié en « déchets ».
Par comparaison, la facture d’importation des combustibles fossiles de la France, essentiellement pour les transports et l’habitat s’est élevée à environ 45 milliards d’euros en 2019. Cette somme représente les deux tiers du déficit commercial total de la France. Par ailleurs, les réserves d’hydrocarbures ne sont que d’environ six mois de la consommation annuelle française.
Moins de 10 % de la production d’électricité dépend en France des combustibles fossiles.
VIVE LE GAZ ?
La consommation européenne de gaz est stable depuis plusieurs années, mais des pays souhaitant sortir du nucléaire, comme l’Allemagne et la Belgique, s’engagent dans une dépendance accrue au gaz pour la production d’électricité. Ce virage constitue une régression dans les domaines de la sécurité d’approvisionnement et de la décarbonation de l’économie.
Afin de diminuer sa dépendance au gaz importé principalement de Norvège, de Russie, des pays de l’est et d’Afrique, et pour atteindre ses objectifs de neutralité carbone, la France doit autant que possible remplacer principalement le gaz et le pétrole dans les transports et l’habitat par de l’électricité décarbonée.
Dans cette optique, la « Stratégie nationale bas carbone » adoptée en avril 2020 prévoit une augmentation de la consommation électrique nationale de 30 % d’ici à 2050, liée à l’électrification des usages.
Il devient donc nécessaire de renouveler et d’augmenter le parc nucléaire dès 2030 pour faire face à cette demande croissante à la fois d’électricité et de décarbonation.
UN FACTEUR DE COMPÉTITIVITÉ
Une électricité bon marché et de qualité, c’est-à-dire une continuité d’alimentation ainsi qu’une stabilité de la tension et de la fréquence, sont des critères primordiaux pour attirer des industriels et des investisseurs.
Aujourd’hui, les Français ont oublié les coupures d’électricité des années 1960, comme ils avaient oublié les grandes pandémies.
En France, environ 650 sites industriels électro-intensifs (sidérurgie, chimie, papier, automobile, transport ferroviaires,…) sont raccordés directement au réseau de transport d’électricité.
En 15 ans, la consommation d’électricité de la grande industrie (17 % de la consommation nationale en 2019) a diminué de 14 %.
EMPLOIS ET ÉCONOMIE NATIONALE
Derrière l’aéronautique et l’automobile, le nucléaire est la troisième filière industrielle française. Elle comprend plus de 3000 entreprises et 220 000 emplois directs et indirects (avec un niveau de qualification deux fois plus élevé que la moyenne industrielle française) représentant près de 7 % de l’emploi industriel en France.
La filière nucléaire française maîtrise l’ensemble de la chaîne de valeur depuis l’extraction du combustible jusqu’à la gestion des déchets. Elle exporte 10 % de sa production d’électricité pour deux milliards d’euros par an, ainsi que des biens et des services pour quatre milliards d’euros supplémentaires par an.
Cette activité a un effet d’entrainement important sur toute l’économie nationale.
DÉCARBONATION ET RELOCALISATION DE L’ÉCONOMIE
L’électricité est faiblement carbonée en France (50 ggaz carbonique/kWh) alors qu’elle l’est huit fois plus en Allemagne (400 ggaz carbonique/kWh).
Cette faible empreinte carbone permet d’attirer des investisseurs comme le fabricant chinois de batteries Envision en raison « d’une électricité décarbonée très compétitive et stable grâce au nucléaire, ce qui est essentiel pour nos activités » selon un dirigeant du groupe.
En effet, la fabrication de la batterie électrique d’une voiture consomme autant d’électricité que la fabrication du reste de la voiture.
Cette électricité nucléaire décarbonée française permet aussi, par exemple, de produire une tonne d’aluminium en émettant seulement deux tonnes de gaz carbonique en France contre 15 tonnes de gaz carbonique en Chine (sept fois plus !)…
Le Haut conseil pour le climat préconise d’inclure dans les émissions de gaz à effet de serre de la France celles associées à ses échanges internationaux.
En effet, si les émissions diminuent sur le territoire national, celles « importées » sont en augmentation ce qui maintient l’empreinte carbone de la France autour de 11 tonnes équivalent gaz carbonique par habitant.
Ainsi, la perte d’industrie dans l’acier, le ciment, le papier, le sucre, le verre s’est traduit par une double peine : perte de 130 000 emplois en 20 ans (1995 – 2015) et augmentation de 50 % de l’empreinte carbone par les importations.
La (re)localisation industrielle est donc à la fois une action économique et environnementale.
Le PDG de Google et Alphabet (Sundar Pinchai) a déclaré que son entreprise s’engage à « fonctionner en permanence avec une énergie sans carbone », c’est-à-dire essentiellement nucléaire et hydraulique, ce qui établit un nouveau critère des politiques climatiques des grands acteurs.
Avec son nucléaire et son hydroélectricité décarbonées, la France peut accueillir cette volonté et mettre en œuvre cette stratégie dès à présent !
De plus, la localisation des données informatiques en France par de grands hébergeurs constitue un des éléments de souveraineté européenne.
Le nucléaire produisant massivement une électricité bon marché et de qualité constitue donc un atout maître dans la (re) localisation et l’industrialisation de la France.
Le lancement d’une première série de six réacteurs nucléaires EPR actuellement en gestation établira une première base pour maintenir et accroître l’avantage compétitif de la France dans sa stratégie de réindustrialisation et de décarbonation1
1 Source : Étude de Fondapol « Relocaliser en décarbonant grâce à l’énergie nucléaire ».
(...) Cette électricité nucléaire décarbonée française permet aussi, par exemple, de produire une tonne d’aluminium en émettant seulement deux tonnes de gaz carbonique en France contre 15 tonnes de gaz carbonique en Chine (sept fois plus !)… (...)
RépondreSupprimerCette électricité nucléaire décarbonée française permet aussi, par exemple, de produire une tonne d’aluminium en émettant deux tonnes de gaz carbonique en France contre SEULEMENT 15 tonnes de gaz carbonique en Chine (sept fois plus !)
C'est-à-dire (comparés les 1 400 000 000 de chinois à 67 millions de français) que cella donne une population VINGT (20) fois plus nombreuse pour seulement 7,5 fois plus de gaz carbonique qui se recycle immédiatement !
Rassurez vous IL N'EXISTE PAS d''empreinte carbone' gazeuse car le gaz carbonique se recycle indéfiniment depuis DES milliards d'années (sans quoi la vie ne serait même pas apparue sur Terre ! Çà alors !). Le gaz carbonique émis par le magma via les mers & océans comme la quantité infinitésimale émise par les animaux et industries et recyclée continuellement par le phytoplancton à la surface des eaux qui le transforme en nano-particules de carbone (charbon) qui retourne donc à 100 % d'où il vient !
"On se rapproche du bout du monde !" HAHAHAHA !
La grande réinitialisation, partie II: socialisme d'entreprise
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 3 JAN 2021-22: 55
Rédigé par Michael Rectenwald via The Mises Institute,
Comme je l'ai noté dans le volet précédent, la Grande Réinitialisation, si ses architectes ont leur chemin, impliquerait des transformations de presque tous les aspects de la vie. Ici, je limiterai ma discussion à l'économie de la grande réinitialisation telle que promue par le Forum économique mondial (WEF), ainsi qu'aux développements récents qui ont fait progresser ces plans.
Comme F.A. Hayek l'a suggéré dans son essai introductif à la Planification Économique Collectiviste, le socialisme peut être divisé en deux aspects: les fins et les moyens. Le moyen socialiste est la planification collectiviste, tandis que les fins, au moins sous le socialisme prolétarien, sont la propriété collective des moyens de production et la distribution «égale» ou «équitable» des produits finaux. Distinguant ces deux aspects afin de mettre de côté la question des fins et de se concentrer sur les moyens, Hayek a suggéré que la planification collectiviste pourrait être organisée au service de fins autres que celles associées au socialisme prolétarien:
«Une dictature aristocratique, par exemple, peut utiliser les mêmes méthodes pour promouvoir les intérêts d'une élite raciale ou autre ou au service d'un autre objectif résolument anti-égalitaire.
La planification collectiviste peut se heurter ou non au problème de calcul, selon que l'on conserve ou non un marché des facteurs de production. Si un marché pour les facteurs de production est maintenu, alors le problème de calcul ne s'appliquerait pas strictement.
Les planificateurs collectivistes de la Grande Réinitialisation ne visent pas à éliminer les marchés des facteurs de production. Au contraire, ils visent à conduire l'appropriation et le contrôle des facteurs les plus importants pour ceux qui sont inscrits dans le «capitalisme des parties prenantes». Les activités productives de ces parties prenantes, quant à elles, seraient guidées par les directives d'une coalition de gouvernements sous une mission et un ensemble de politiques unifiés, en particulier celles exposées par le WEF lui-même.
Bien que ces parties prenantes corporatives ne soient pas nécessairement des monopoles en soi, le but du WEF est de confier autant de contrôle que possible sur la production et la distribution à ces parties prenantes corporatives, dans le but d'éliminer les producteurs dont les produits ou processus sont jugés inutiles ou hostiles. aux desiderata des mondialistes pour «un avenir plus juste et plus vert». Naturellement, cela impliquerait des contraintes sur la production et la consommation et également un rôle élargi des gouvernements afin de faire appliquer ces contraintes - ou, comme Klaus Schwab l'a déclaré dans le contexte de la crise des covid, «le retour du grand gouvernement» - comme si le gouvernement n'a pas été grand et grandi depuis tout ce temps.
RépondreSupprimerSchwab et le WEF promeuvent le capitalisme des parties prenantes contre un «néolibéralisme» prétendument rampant. Le néolibéralisme est un mot fouineux qui représente tout ce que les gauchistes jugent mauvais avec l'ordre socio-économique. C'est l'ennemi commun de la gauche. Inutile de dire que le néolibéralisme - que Schwab définit vaguement comme «un corpus d'idées et de politiques qui peut être défini comme favorisant la concurrence plutôt que la solidarité, la destruction créatrice plutôt que l'intervention gouvernementale et la croissance économique plutôt que le bien-être social» - est un homme de paille. Schwab et sa société érigent le néolibéralisme comme la source de nos malheurs économiques. Mais dans la mesure où «l'antinéolibéralisme» a été en jeu, le gouvernement favorisant les industries et les acteurs au sein des industries (ou corporatocratie), et non la concurrence, a été la source de ce que Schwab et ses semblables dénoncent. La grande réinitialisation amplifierait les effets de la corporatocratie.
Néanmoins, les objectifs du WEF ne sont pas de planifier tous les aspects de la production et donc de diriger toutes les activités individuelles. L'objectif est plutôt de limiter les possibilités d'activité individuelle, y compris l'activité des consommateurs - en évincant de l'économie les industries et les producteurs des industries. «Chaque pays, des États-Unis à la Chine, doit participer, et chaque industrie, du pétrole et du gaz à la technologie, doit être transformée.»
Comme l'a noté Hayek, «lorsque le système des guildes médiévales était à son apogée et que les restrictions au commerce étaient les plus étendues, elles n'étaient pas utilisées comme un moyen de diriger réellement l'activité individuelle». De même, la Grande Réinitialisation ne vise pas une planification strictement collectiviste de l'économie, mais recommande et exige des restrictions néofeudalistes qui iraient plus loin que tout depuis la période médiévale - autre que sous le socialisme d'État lui-même, c'est-à-dire. En 1935, Hayek nota à quel point les restrictions économiques avaient déjà conduit à des distorsions du marché:
Avec nos tentatives d'utiliser l'ancien appareil de restrictionnisme comme un instrument d'ajustement presque quotidien au changement, nous sommes probablement déjà allés beaucoup plus loin dans la direction de la planification centrale de l'activité actuelle que jamais auparavant ... C'est important. se rendre compte dans toute enquête sur les possibilités de planification que c'est une erreur de supposer le capitalisme tel qu'il existe aujourd'hui est l'alternative. Nous sommes certainement aussi loin du capitalisme dans sa forme pure que de tout système de planification centrale. Le monde d'aujourd'hui n'est que chaos interventionniste.
RépondreSupprimerCombien plus loin, alors, la Grande Réinitialisation nous mènerait vers les types de restrictions imposées sous le féodalisme, y compris la stase économique que le féodalisme entraînait !
J'appelle ce néofeudalisme «socialisme d'entreprise» - non seulement parce que la rhétorique pour gagner des adhérents dérive de l'idéologie socialiste («équité», «égalité économique», «bien collectif», «destin partagé», etc.) mais aussi parce que la réalité recherchée il y a ensuite le contrôle monopolistique de fait de la production via l'élimination des producteurs non conformes - c'est-à-dire une tendance au monopole de la production qui est caractéristique du socialisme. Ces interventions non seulement ajouteraient au «chaos interventionniste» déjà existant, mais déformeraient davantage les marchés à un degré sans précédent en dehors de la planification socialiste centralisée en soi. Les élites pourraient tenter de déterminer, a priori, les besoins et les désirs des consommateurs en limitant la production à des biens et services acceptables. Ils limiteraient également la production aux types accessibles aux gouvernements et aux producteurs qui adhèrent au programme. Les réglementations ajoutées conduiraient les petits et moyens producteurs à la faillite ou aux marchés noirs, dans la mesure où les marchés noirs pourraient exister sous une monnaie numérique et une plus grande banque centralisée. En tant que telles, les restrictions et les réglementations tendraient vers un système statique semblable à une caste avec des oligarques corporatifs au sommet, et un «socialisme réellement existant» pour la grande majorité en bas. Augmentation de la richesse pour quelques-uns, «égalité économique», dans des conditions réduites, y compris le revenu de base universel, pour le reste.
Les verrouillages de coronavirus, les émeutes et le socialisme d'entreprise
Les verrouillages du Covid-19, et dans une moindre mesure les émeutes de gauche, nous ont conduits vers le socialisme d'entreprise. Les mesures de verrouillage draconiennes employées par les gouverneurs et les maires et les destructions perpétrées par les émeutiers se trouvent justement faire le travail que les socialistes d'entreprise comme le WEF veulent faire. En plus de déstabiliser l'État-nation, ces politiques et politiques contribuent à détruire les petites entreprises, éliminant ainsi les concurrents.
Comme le souligne la Fondation pour l'éducation économique (FEE), les verrouillages et les émeutes se sont combinés pour niveler un double coup de poing qui assomme des millions de petites entreprises - «l'épine dorsale de l'économie américaine» - partout en Amérique. FEE a signalé que
RépondreSupprimer7,5 millions de petites entreprises en Amérique risquent de fermer définitivement leurs portes. Une enquête plus récente a montré que même avec les prêts fédéraux, près de la moitié de tous les propriétaires de petites entreprises disent qu'ils devront fermer définitivement. Le bilan a déjà été sévère. Rien qu'à New York, les commandes au domicile ont forcé la fermeture définitive de plus de 100 000 petites entreprises.
Pendant ce temps, comme FEE et d'autres l'ont noté, il n'y a aucune preuve que les verrouillages aient fait quoi que ce soit pour ralentir la propagation du virus. De même, rien ne prouve que Black Lives Matter ait fait quoi que ce soit pour aider les vies noires. Si quoi que ce soit, les campagnes émeutes et meurtrières de Black Lives Matter et Antifa ont prouvé que la vie des noirs n'a pas d'importance pour Black Lives Matter. En plus d'assassiner des Noirs, les émeutiers Black Lives Matter et Antifa ont fait d'énormes dégâts aux entreprises et quartiers noirs, et donc à la vie des Noirs.
Alors que les petites entreprises ont été écrasées par la combinaison de verrouillages draconiens et de folies révoltantes, les géants des entreprises comme Amazon ont prospéré comme jamais auparavant. Comme l'a noté la BBC, au moins trois des géants de la technologie - Amazon, Apple et Facebook - ont apprécié des gains massifs pendant les verrouillages, gains qui ont été encouragés, dans une moindre mesure, par des émeutes qui ont coûté 1 à 2 milliards de dollars en dommages matériels. Au cours des trois mois se terminant en juin, «le bénéfice trimestriel d'Amazon de 5,2 milliards de dollars (4 milliards de livres sterling) a été le plus important depuis le début de la société en 1994 et est survenu malgré de lourdes dépenses en équipement de protection et autres mesures dues au virus». Les ventes d'Amazon ont augmenté de 40 % au cours des trois mois se terminant en juin.
Comme indiqué par TechCrunch, Facebook et ses plates-formes WhatsApp et Instagram ont enregistré une augmentation de 15 % du nombre d'utilisateurs, ce qui a porté les revenus à un total de 17,74 milliards de dollars au premier trimestre. Le nombre total d’utilisateurs de Facebook est passé à 3 milliards en mars, soit les deux tiers des internautes mondiaux, un record. Les revenus d'Apple ont grimpé en flèche au cours de la même période, avec des bénéfices trimestriels en hausse de 11 % en glissement annuel à 59,7 milliards de dollars. «Walmart, le plus grand épicier du pays, a déclaré que ses bénéfices avaient augmenté de 4 %, à 3,99 milliards de dollars», au cours du premier trimestre de 2020, comme le rapporte le Washington Post.
Le nombre de petites entreprises a été presque réduit de moitié par les verrouillages du covid-19 et les émeutes Black Lives Matter / Antifa, tandis que les géants de l'entreprise ont consolidé leur emprise sur l'économie, ainsi que leur pouvoir sur l'expression individuelle sur Internet et au-delà. . Ainsi, il semblerait que les verrouillages covid, les fermetures, les fermetures partielles, ainsi que les émeutes soient exactement ce que les Great Resetters ont ordonné, bien que je ne suggère pas par la présente qu'ils les ont ordonnés. Plus vraisemblablement, ils ont saisi l'occasion d'éliminer de l'économie le sous-bois des petites et moyennes entreprises afin de rendre la conformité plus simple et plus omniprésente.
RépondreSupprimerEn fin de compte, la Grande Réinitialisation n'est qu'une campagne de propagande, pas un bouton sur lequel les oligarques mondialistes peuvent pousser à volonté - bien que le WEF l'ait représenté comme cela. Leurs plans doivent être contrecarrés par de meilleures idées économiques et des actions individuelles concertées. La seule réponse raisonnable au projet Great Reset est de le défier, d'introduire et de promouvoir plus de concurrence, et d'exiger la pleine réouverture de l'économie, quel qu'en soit le péril. Si cela signifie que les petits producteurs et les distributeurs doivent s'unir pour défier les décrets d'État, qu'il en soit ainsi. De nouvelles associations professionnelles, dans le but de déjouer la grande réinitialisation, doivent être formées - avant qu’il ne soit trop tard.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/great-reset-part-ii-corporate-socialism
(...) Néanmoins, les objectifs du WEF ne sont pas de planifier tous les aspects de la production et donc de diriger toutes les activités individuelles. L'objectif est plutôt de limiter les possibilités d'activité individuelle, y compris l'activité des consommateurs - en évinçant de l'économie les industries et les producteurs des industries. «Chaque pays, des États-Unis à la Chine, doit participer, et chaque industrie, du pétrole et du gaz à la technologie, doit être transformée.» (;;;)
SupprimerCondamner la petite entreprise individuelle est la mort du monde !
AUCUN des 'dirigeants' n'a les facultés requises pour diriger une quelconque entreprise ! (voir les mesures dictatoriales des coronas qui sévissent avec ses 'emprisonnements à domicile' et 'port du masque inutile obligatoire' ! ) ainsi que ses vaccins d'un autre temps puisque les coronas (3300 sortes recensées !) rendent inutilisables des 'vaccins' qui ne correspondent à rien !
On se dirige vers la boucherie des manques d'énergies (centrales électriques fermées !!) où si cet hiver est froid l'électricité va manquer !
On se retrouve en '9-11' de 2001 avec ses 'avions' corona et nous en tour n°7 !!
"Théories du complot sans fondement" et crise de nos connaissances
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 3 JAN 2021-21: 15
Rédigé par Adam Ellwanger via HumanEvents.com,
La nouvelle selon laquelle le FBI enquête sur Hunter Biden pour des soupçons de blanchiment d'argent et de trafic d'influence étrangère ne devrait pas surprendre, étant donné que le New York Post a dévoilé l'histoire il y a plus de deux mois. Bien sûr, lorsque cette publication a publié les preuves incriminantes enregistrées sur un ordinateur portable appartenant à Hunter Biden, l'histoire a été immédiatement censurée sur les réseaux sociaux. Parmi les quelques grands médias qui étaient disposés à reconnaître l'existence de l'histoire, pratiquement tous l'ont fait uniquement pour souligner que le reportage était un non-sens «sans fondement».
Lorsqu'il a insisté sur la question par le président Trump lors d'un débat, Joe Biden s'est vanté que cinq anciens chefs de la CIA ont déclaré que l'histoire était «un tas d'ordures». Quelques jours plus tôt, des dizaines d'anciens responsables du renseignement avaient signé une déclaration affirmant que la nouvelle avait toutes les caractéristiques classiques d'une opération d'information russe: «Nous tenons à souligner que nous ne savons pas si les courriels, fournis au New York Post par l'avocat personnel du président Trump, Rudy Giuliani, sont authentiques ou non et que nous n'avons aucune preuve de l'implication de la Russie », indique le communiqué,« simplement que notre expérience nous rend profondément soupçonneux que le gouvernement russe ait joué un rôle important dans cette affaire. »
Le rédacteur de discours de l'administration Bush et rédacteur en chef de l'Atlantique, David Frum, a déclaré sur Twitter que «l'histoire n'aurait pas pu être plus manifestement fausse si elle avait porté des lunettes de magasin à un dollar et une moustache en plastique attachée. Quelques semaines après la confirmation de l'enquête du FBI sur Hunter Biden, Wikipédia qualifie toujours leur entrée sur le sujet de «théorie du complot». Ainsi, malgré les courriels, les photographies et les preuves enregistrées sur vidéo du contraire, toute affirmation selon laquelle les Bidens ont fait quelque chose d'incorrect (sans parler de «mal» ou d '«illégal») était jugée «sans fondement».
Et pourtant, nous y sommes, avec des médias comme Politico et le New York Times réagissant aux preuves «nouvellement» confirmées d'une enquête comme s'ils venaient de prendre vent de l'histoire. Compte tenu de leur annihilation lâche et politiquement motivée de l'histoire en octobre, on se demande: sur quelles autres affirmations «sans fondement» qui menacent l'agenda de gauche les médias pourraient-ils mentir? La seule chose qui a suscité plus de scepticisme journalistique que l'histoire de Hunter Biden a été les allégations selon lesquelles une fraude électorale importante a entaché l'élection présidentielle.
Depuis novembre, les interlocuteurs les plus désagréables que j'ai rencontrés sont ceux qui prétendent être des adeptes du «raisonnement factuel» et de la pensée rationnelle - même s'ils insistent avec pudeur sur le fait que «il n'y a aucune preuve de fraude dans cette élection». Comme pour la corruption de Biden, aucune personne rationnelle ne peut prétendre qu’il n’ya aucune preuve. Premièrement, il n’ya jamais eu d’élections américaines modernes sans fraude, la question n’est donc pas vraiment de savoir s’il y a eu fraude ou non, mais de combien de fraudes s’est produite. Deuxièmement, dans le cas de cette élection, nous avons déjà documenté plus de fraudes qu'il n'en a été révélé lors de toute autre élection présidentielle américaine.
RépondreSupprimerLes «raisonneurs fondés sur des preuves» ont cependant raison sur une chose: il n'y a pas encore de preuves définitives que Trump ait réellement remporté les élections. Mais il y a d'énormes preuves que des moyens frauduleux ont été entrepris pour s'assurer qu'il ne l'a pas fait. Ceux qui prétendent que les allégations de fraude sont «sans fondement» insistent sur le fait qu'il n'y a aucune «preuve convaincante» de ces allégations. Bien sûr, «convaincant» est un terme assez subjectif: nous pouvons raisonnablement être en désaccord sur les preuves convaincantes. Bien que le mot «preuve» puisse sembler plus concret, même la définition de ce terme semble désormais à saisir. Cette nouvelle instabilité est un indicateur inquiétant d'une crise de la connaissance qui menace notre démocratie: à la lumière des normes en constante évolution de vérification des réclamations, nous ne pouvons plus nous mettre d'accord sur les faits fondamentaux de notre réalité commune. Tant que nous n’aurons pas trouvé cet accord, les perspectives d’une quelconque délibération démocratique productive sont nulles, sans parler des perspectives de «guérison».
UNE MONTAGNE SANS «BASE»: CONSIDÉRER LES PREUVES
La plupart des gens comprennent intuitivement qu'il existe différentes formes de preuves. Il existe des preuves statistiques, des preuves anecdotiques, des preuves historiques, des preuves circonstancielles, des preuves définitives, etc. De plus, il existe un chevauchement entre ces types de preuves. Les preuves statistiques, par exemple, peuvent être combinées avec des preuves historiques: lorsqu'une anomalie statistique est détectée, cette anomalie est d'autant plus convaincante qu'elle est anormale par rapport à d'autres ensembles de données, à la fois contemporains et du passé.
Les observateurs rationnels doivent reconnaître que chacune de ces différentes formes de preuves varie en termes de fiabilité et de certitude dans l'établissement d'une vérité. Les preuves circonstancielles ne peuvent à elles seules servir d'indicateur suffisant de la vérité: des coïncidences se produisent et des résultats statistiquement improbables se produisent, en fait, (quelqu'un gagne ces jackpots Powerball). Mais lorsqu'elle accompagne d'autres formes de preuve, la preuve circonstancielle rend une allégation contestée plus plausible. Par exemple, si le témoignage d'un témoin oculaire sur la manipulation du bulletin de vote coïncide avec un nombre historiquement anormal de bulletins de vote par la poste sans sélection dans les courses à bulletin descendant (un indicateur courant de fraude), alors les accusations de faute deviennent plus fortes en raison de cette confluence de éléments de preuve circonstanciels, historiques et statistiques.
Chaque élément de preuve individuel ne peut pas être compris indépendamment du corpus plus large de preuves: des indicateurs qui pourraient être insignifiants en eux-mêmes pourraient néanmoins contribuer à un portrait convaincant des preuves dans leur ensemble. La précipitation irrationnelle à rejeter entièrement la possibilité de toute fraude électorale est rendue possible par une réticence catégorique à voir la forêt parmi tant d'arbres. Aucune élection présidentielle américaine récente n'a été proche du nombre d'anomalies de processus et de décompte qui ont été signalées en 2020. Cet écart lui-même sert d'indicateur anecdotique qui justifie la suspicion à l'égard des résultats. Dans cet esprit, il vaut la peine de reconsidérer les allégations de fraude lors de cette élection.
RépondreSupprimerNous avons vu des images de sécurité montrant des observateurs du scrutin invités à partir en Géorgie, après quoi les fonctionnaires restants sortent des conteneurs de bulletins de vote sous une table et commencent à compter après que d'autres ont été informés que le décompte s'arrêterait pour la nuit. Une autre vidéo montre un transfert subreptice de ce qui semble être une clé USB parmi les sondeurs. Personne ne peut prétendre que ce n'est pas une circonstance inhabituelle qui se produit dans un État du champ de bataille tard dans la nuit d'une élection présidentielle. Dans la plupart des affaires pénales, les enregistrements vidéo sont généralement considérés comme une forme de preuve très convaincante.
Pourtant, maintenant, les médias et les partisans de Biden nous disent que les vidéos «manquent de contexte» et ne prouvent «rien». Dans une certaine mesure, c'est exact: ces bulletins de vote pourraient être légaux et il y a des explications rationnelles et possibles pour les actions capturées sur vidéo. Mais personne n'a offert une telle explication qu'ils puissent justifier. Au lieu de cela, la charge de la preuve semble être placée sur un seul côté du différend.
Si la vidéo n'est pas la preuve de violations de procédure ou de fraude, quelles preuves seraient nécessaires pour prouver cette affirmation ? Il semble que ceux qui prétendent que les allégations sont «sans fondement» auraient besoin d'une séquence vidéo qui non seulement surprend ces agents électoraux en flagrant délit, mais qui les montre également en train de décrire verbalement leurs actions et leur intention malveillante. Ou peut-être convaincre les sceptiques si, à l'aide de la vidéo, nous pourrions définitivement déterminer exactement quels bulletins de vote se trouvaient dans ces urnes, les examiner et prouver qu'ils ont été déposés par des électeurs non éligibles ou qu'ils étaient irrecevables pour d'autres motifs. Le problème est que ces formes de preuves «convaincantes» sont tout à fait invraisemblables en elles-mêmes.
En règle générale, les gens ne s’enregistrent pas en train de parler de la perpétration d’un crime au moment où ils commettent le crime. Quant à l'identification des bulletins de vote en question, l'érosion progressive de toutes les garanties ou de la tenue de registres sur la chaîne de contrôle dans le processus de dépouillement manuel garantit que toute reconstruction viable de la façon dont le décompte final a été atteint est impossible. Sans enveloppes secrètes requises pour les bulletins de vote, avec signatures non requises ou ignorées, avec les bulletins de vote postés autorisés à être comptés à l'arrivée après le jour de l'élection, avec les observateurs retirés du processus, et sans autre moyen de déterminer la chaîne de traçabilité du courrier - dans les bulletins de vote, les moyens mêmes de produire des «preuves convaincantes» de fraude ont été systématiquement annihilés par les changements de procédure pour les élections à travers le pays.
RépondreSupprimerCes changements se sont accumulés pendant une décennie ou plus, mais la pandémie a été utilisée pour justifier un flot de changements radicaux dans les mois précédant les élections - des modifications qui, selon la «sagesse conventionnelle», profitent clairement aux candidats démocrates dans les États du champ de bataille, comme le courrier arrive tardivement. - dans les bulletins de vote ont tendance à pencher vers les candidats démocrates.
Étant donné que les «preuves convaincantes» qui convaincraient ceux qui insistent que ces allégations de fraude sont «sans fondement» sont fondamentalement impossibles à produire, nous nous retrouvons avec des indicateurs circonstanciels du crime. Au-delà de la Géorgie, il existe une montagne d'autres formes de preuves provenant de plusieurs États du champ de bataille - preuves statistiques anormales, preuves historiques comparatives, preuves sous serment de témoins de la fraude et preuves anecdotiques. Bon nombre de ces éléments de preuve sont convaincants en eux-mêmes, et pourtant, même pris de manière cumulative, on nous dit que les allégations selon lesquelles il y a eu malversation lors des élections sont une «théorie du complot sans fondement».
Ce sont les contours de ce qui est devenu une crise du savoir dans le discours américain. Les élites de notre société prétendent que les «mensonges» du président Trump ont sapé la confiance du public dans les médias, et elles affirment que notre incrédulité radicale est une menace pour la démocratie. C'est plus du gaz. Les médias eux-mêmes ont créé cette crise. Ce qui compte comme connaissances, actualités, preuves et preuves dépend désormais totalement de l'utilité de la réalité pour faire avancer les objectifs de la gauche culturelle. Lorsqu'un certain fait est inutile pour ce projet, son statut de fait est soit nié, soit moqué, soit ignoré.
RAPPORT D'ACTUALITÉ ET CULTIVATION DE L'INCERTITUDE
RépondreSupprimerTraditionnellement, le journalisme a été motivé par une curiosité brûlante parmi les journalistes qui suivent l'actualité. Aujourd'hui, ils diabolisent la curiosité de ceux avec qui ils ne sont pas d'accord afin d'éviter la tâche difficile d'expliquer en quoi les accusations sont «sans fondement» malgré tant d'indices de fraude. Ainsi, les recherches de l'opposition non vérifiées sous la forme du dossier Steele peuvent circuler aux informations comme si elles étaient incontestablement vraies et servir de preuves suffisantes pour ouvrir une enquête du FBI, mais les preuves physiques de la corruption de la famille Biden sont immédiatement (sans autre enquête) écartées. comme si manifestement frauduleuses que les nouvelles liées au sujet ne seront même pas autorisées à circuler.
On nous dit de «faire confiance à la science» sur l'efficacité du port de masques, alors même que les élites culturelles ignorent systématiquement les réalités biologiques lorsqu'il s'agit d'affirmations d'activistes concernant le transgenre. Le changement climatique catastrophique et anthropique est consacré comme une «science établie», alors même que le lobby de l'avortement continue de nier la vie d'un fœtus avec un battement de cœur, la réduisant à un «amas de cellules». En matière de climat, la réalité scientifique est censée être le principal déterminant de la politique publique; en ce qui concerne l'avortement, la réalité scientifique est réduite à une simple «perspective» supplémentaire qui n'exige pas de politique particulière.
Des accusations fantastiques selon lesquelles Brett Kavanaugh était un violeur en série justifiaient mille colonnes et un cirque se faisant passer pour un processus de confirmation. Pendant ce temps, des allégations bien mieux corroborées selon lesquelles Joe Biden aurait pénétré numériquement une femme contre sa volonté sont minutieusement ignorées ou attaquées. Dans le premier cas (où les accusations réduisaient les perspectives d'une nomination conservatrice à la magistrature), la simple existence d'une accusation était une preuve de faute. Dans ce dernier (où les accusations pourraient nuire aux perspectives d'un candidat démocrate à la présidentielle), les accusations ont été jugées dépourvues des preuves nécessaires pour un examen sérieux.
Les journalistes ont sermonné la nation sur la vulnérabilité du système électoral américain à l'ingérence en 2016, pour insister, quatre ans plus tard, sur le fait que toute affirmation liée à l'ingérence électorale nationale est manifestement ridicule. (Tout cela, pour ne rien dire du fait que l’effort incessant des médias pour fabriquer et influencer l’opinion publique est une forme d’ingérence électorale nationale en soi.) Et pourtant, le domaine du journalisme continue de se féliciter d’être des défenseurs intransigeants de la vérité.
Ces manipulations ont coûté énormément au pays. L'institution même sur laquelle les Américains se sont historiquement appuyés pour rechercher et transmettre les faits sur la vie politique est devenue une psy-op non-stop visant à faire avancer une idéologie particulière. Et, lorsque cet objectif nécessite une distorsion ou une ignorance de la réalité, la plupart des journalistes sont parfaitement heureux de s'y conformer.
En fin de compte, les gens ne savent plus quoi croire, ce qui signifie qu’ils ne savent pas non plus quoi ne pas croire. Ce n'est que lorsque notre notion commune de la réalité est en évolution radicale que des théories aussi ridicules que Pizzagate et QAnon peuvent s'imposer. Et si la gauche culturelle soutient que ces sortes de complots sont une menace pour leurs intérêts, la vérité est le contraire. La gauche profite de ce genre de raisonnement fantastique; il fournit un support pour leur refrain que leurs adversaires sont cognitivement endommagés. En outre, cela sape toute prétention conservatrice à la vérité qui s’oppose à la vision de la réalité de la gauche: faire entendre les théories les plus farfelues de la droite justifie le rejet moqueur d’affirmations plausibles, même bien appuyées.
RépondreSupprimerLes efforts des médias pour gérer l’information accessible au public seraient faciles à contourner, si ces efforts étaient entrepris par les seuls médias. Mais les médias de masse ne sont qu'une branche d'une coalition beaucoup plus vaste d'acteurs puissants travaillant à mettre en œuvre une réinvention de la vie publique dans le monde occidental. Ce projet est avancé grâce à un effort coordonné du segment élitiste de nos sociétés - les gens des médias, de l'industrie de la technologie, du milieu universitaire, de l'éducation publique, du gouvernement, d'Hollywood et de l'industrie culturelle, et des conseils d'administration.
Bref, la confusion du public sur ce qui est vrai est le produit d’un effort délibéré des grandes puissances institutionnelles de notre société. Lorsque l'incertitude, le scepticisme et l'incrédulité règnent, il y a moins de «vrais croyants». L'engagement résolu des vrais croyants à une cause est une condition préalable à toute révolution réussie. Ainsi, l'incertitude omniprésente de nombreux Américains travaille à réduire les perspectives de résistance organisée et populaire à la consolidation du pouvoir par les élites dans cette nation.
LA FAUX ÉQUIVALENCE DE LA PREUVE, DE LA PREUVE ET DE LA VÉRITÉ
Dans le gazouillis des médias sur la (il) légitimité des élections 2020, nous pouvons discerner l'un de leurs stratagèmes les plus inventifs pour cultiver cette crise du savoir: le faux mélange de preuves, de preuves et de vérité. Ce sont trois concepts distincts, mais ils sont de plus en plus traités comme un seul par les principaux médias. Par exemple, il peut y avoir des preuves substantielles pour une réclamation qui n'est néanmoins pas prouvée; alors, il existe des vérités pour lesquelles il n'y a ni preuve ni preuve. Encore plus tortueux, il y a des choses qui sont prouvées (avec des preuves), qui sont néanmoins fausses. Mais la gauche ne reconnaît aucune de ces distinctions. Ils soutiennent à tort qu'il n'y a «aucune preuve» d'allégations de fraude électorale, alors qu'ils veulent dire qu'il n'y a aucune preuve que la fraude a produit un faux résultat.
Il va sans dire que la confusion erronée de ces concepts est utilisée pour saper les affirmations de vérité qui ne sont pas souhaitables pour l’agenda de la gauche. Leur conflation est également utilisée pour avancer des «preuves» pour les affirmations que la gauche aimerait être vraies, en dépit du fait qu'elle n'a en fait que des preuves circonstancielles.
RépondreSupprimerConsidérez comment la collusion russe a circulé pendant des années en tant que vérité «prouvée», même s'il n'existait que les indications les plus simples et biaisées de sa possibilité.
Considérez comment l'affirmation non corroborée d'une femme selon laquelle elle a été épinglée à un lit il y a 30 ans par un futur candidat à la Cour suprême - à une date et à un endroit dont elle ne se souvenait pas - a suffi à bouleverser l'ensemble du processus constitutionnel de confirmation d'une justice à la plus haute cour. Des exemples similaires de cette mauvaise direction rhétorique de la gauche sont légion.
Notre crise du savoir est un moyen délibérément fabriqué pour saper la confiance du public dans un sens partagé de ce qui est réel, comme moyen de minimiser la perspective d'une opposition organisée au nouvel ordre que nos élites s'efforcent d'installer. Cette crise exige que chacun de nous se fie à ses propres perceptions - peut-être plus que jamais.
Cela demande du courage, d'autant plus que dire ce que vous avez vu (quand cela sape le récit) vous garantit d'être dénigré comme un fou sous-rationnel qui trafique des «théories du complot sans fondement». Laissez parler les têtes parlantes. Mais les inquiétudes quant à la légitimité de cette élection sont tout sauf sans fondement. Les preuves abondent. Ils comptent que notre lâcheté et notre honte suffiront à nous faire nier ces faits. Si nous ne témoignons pas ouvertement de cette preuve, elle pourrait tout aussi bien ne pas exister. Nous ne pouvons pas être des lâches et nous ne pouvons pas avoir honte. Parlez - et parlez en sachant que la seule affirmation sans fondement est celle qui dit qu'il est «sans fondement» d'affirmer la vérité que cette élection ne peut jamais être interprétée comme libre et juste.
https://www.zerohedge.com/political/baseless-conspiracy-theories-and-our-knowledge-crisis
FDA : le « vaccin » anti-Covid-19 peut déclencher 22 problèmes de santé graves, voire la mort !
RépondreSupprimerLe media en 442
Mondialisation.ca
sam., 02 jan. 2021 21:30 UTC
La Food and Drug Administration états-unienne (FDA, Agence des produits alimentaires et médicaments) a discuté à huis clos d'une longue liste de problèmes de santé graves qu'occasionneront les « vaccins » contre le Covid-19. Ces « effets indésirables » ne sont pas rendus publics car les fabricants de vaccins et leurs cohortes de médias ont besoin que tout le monde croie que les vaccins sont « sûrs et efficaces ».
Mais la liste des effets secondaires est désormais publique. Une liste de 22 effets indésirables (dont la mort) a été discutée le 22 octobre 2020 lors de la réunion du comité consultatif de la FDA intitulée « Vaccins et produits biologiques connexes ». Cette liste est tirée d'une présentation du Dr Steve Anderson, titulaire d'un master en politique publique, directeur du bureau de biostatistiques et d'épidémiologie du Centre pour l'évaluation et la recherche en biologie. Il s'agit d'une liste préliminaire des effets secondaires très graves, qui n'inclut pas tous les effets secondaires mineurs et non documentés qui résulteront de ces injections.
La FDA signale 22 problèmes de santé graves causés par les « vaccins » contre le Covid-19
Parmi ces problèmes de santé, on trouve la myélite transverse, un syndrome neurologique grave. Le « vaccin » peut amener le système immunitaire à attaquer ses propres cellules, ce qui a pour effet d'interrompre les signaux que la moelle épinière envoie dans tout l'organisme. Ces symptômes sont similaires à ceux de la polio et incluent des douleurs, de la faiblesse musculaire, une paralysie, des problèmes sensoriels, un dysfonctionnement de la vessie et des intestins. Cette maladie nécessite une rééducation importante et certaines personnes en gardent des handicaps majeurs. Dans cette liste figurent d'autres maladies auto-immunes, ainsi que l'arthrite et les douleurs articulaires. L'une des maladies auto-immunes les plus inquiétantes qui pourrait survenir est l'encéphalomyélite aiguë disséminée, une maladie caractérisée par une inflammation soudaine et généralisée du cerveau et de la moelle épinière.
La FDA met également en garde contre les effets tératogènes sur la grossesse et la naissance. Le « vaccin »est conçu pour neutraliser les protéines « Spike » du coronavirus grâce à l'ARN messager du vaccin, mais ces protéines « Spike » contiennent de la syncytine 1, une protéine synthétisée par les rétrovirus endogènes lors du développement du placenta chez les humains. Après la vaccination contre le Covid-19, les cellules immunitaires d'un individu seront entraînées à attaquer la syncytine 1, ce qui pourrait entraîner des fausses couches, des malformations congénitales et la stérilité.
RépondreSupprimerLe syndrome de Guillain-Barré est une réaction commune à la plupart des types de « vaccins », qui concerne également celui contre le Covid-19 ; il se caractérise par le déclenchement soudain d'une faiblesse musculaire. Le « vaccin » engendre une détérioration du système nerveux périphérique du receveur, ce qui entraîne des arythmies cardiaques et des problèmes de pression artérielle.
Dans cette liste, on trouve également la thrombocytopénie, une maladie faisant fortement baisser le nombre de plaquettes sanguines. Sans plaquettes, le sang ne peut pas coaguler, ce qui peut entraîner des hémorragies internes. À l'autre extrémité du spectre, la liste cite également la thrombose veineuse, une maladie caractérisée par la formation de caillots sanguins dans les veines. La liste comprend aussi les infarctus du myocarde et les accidents vasculaires cérébraux, ainsi que les convulsions et les crises d'épilepsie !
Les CDC (Centres pour le contrôle et la prévention des maladies) s'apprêtent à inscrire les maladies causées par les « vaccins » sur la liste des complications liées au Covid-19
La liste mentionne le syndrome inflammatoire multisystémique chez l'enfant, qui implique une inflammation du cœur, des poumons, des reins, du cerveau, de la peau, des yeux et du système digestif. La liste comprend également la maladie de Kawasaki, une complication vaccinale commune chez les enfants de moins de cinq ans. Cet effet secondaire regroupe un ensemble de symptômes comme la fièvre, les éruptions cutanées, le gonflement des mains et des pieds, l'irritation et la rougeur de la sclère, le gonflement des glandes lymphatiques du cou, ainsi que l'irritation et l'inflammation de la bouche, des lèvres et de la gorge.
Les CDC s'apprêtent à répertorier ces effets secondaires comme des complications infantiles du Covid-19, pendant que les responsables de la santé publique se préparent à étouffer la plupart des dommages dus aux « vaccins ». Ainsi le public n'est-il pas informé des risques associés aux « vaccins » à ARNm conçus à la va-vite, et il est constamment induit en erreur quant aux origines de la maladie. Cette faute médicale généralisée et les morts injustifiées qui en découlent perdurent depuis des décennies, de même que le calendrier vaccinal des enfants et le syndrome de mort subite du nourrisson (MIN), qui sont des « morts inexpliquées » corrélées au calendrier vaccinal. En raison de la coercition et de la fraude à grande échelle, les gouvernements et les sociétés pharmaceutiques violent le code d'éthique médicale de Nuremberg et commettent des crimes contre l'humanité.
RépondreSupprimerSources :
- COVID-19 Vaccine Bombshell: FDA Documents Reveal DEATH + 21 Serious Conditions As Possible Adverse Outcomes
- VAX ATTACKS: The new mRNA coronavirus vaccines will likely cause immune cells to attack placenta cells, causing female infertility, miscarriage or birth defects
- For Parents: Multisystem Inflammatory Syndrome in Children (MIS-C) associated with COVID-19
- Kawasaki Disease- CBER Plans for Monitoring COVID-19 Vaccine Safety and Effectiveness
- Source : FDA reveals long list of serious health conditions that may result from covid-19 vaccinations, including death
- Une traduction du « Média en 4-4-2 »
https://fr.sott.net/article/36448-FDA-le-vaccin-anti-Covid-19-peut-declencher-22-problemes-de-sante-graves-voire-la-mort
Le "modèle Melbourne"
RépondreSupprimerdimanche 3 janvier 2021
Je viens d'avoir un échange avec Cassie Koutras, une Australienne qui habite dans l'Etat de Victoria, à Melbourne.
Pour mettre la courte conversation en contexte (ici-bas), l'Etat de Victoria a été un laboratoire de la stratégie "Zero COVID", soit la stratégie épidémiologique la plus extrême où les citoyens sont confinés à domicile pendant plus de 4 semaines, outre les travailleurs des services essentiels, et soumis à des couvres-feu et contrôles policiers dans les rues. (Nous sommes très près de toutes ces mesures au Québec et dans plusieurs régions de France).
Cassie vient de m'apprendre qu'après d'intenses dommages économiques et psycho-sociaux causés par cette stratégie d'enfermement total de la population (2ème confinement), les citoyens ont eu droit à moins de 2 mois de déconfinement et de liberté sous condition.
👉Au cours des derniers jours, ils ont été contraints à nouveau à des mesures de restriction et le reconfinement est, selon Cassie, imminent.
Cassie démontre que le "modèle Melbourne", qui implique un suicide économique, une mort sociale et des traumatismes psychologiques irréversibles chez une multitude d'individus (et des actes désespérés), ne fonctionne clairement pas et que le "remède" est plus dommageable que la maladie.
👉Dans ma prochaine vidéo, je vais vous démontrer que la stratégie adoptée par les "experts" et conseillers de la stratégie épidémiologique canadienne pour les prochains mois est justement celle du "modèle Melbourne"...
On est pas sortis de l'auberge !
- voir posts sur site :
http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2021/01/le-modele-melbourne.html
Rapport d'une mission parlementaire : « L'interdiction du glyphosate pèsera lourdement sur les exploitations agricoles », sur LCP
RépondreSupprimer3 Janvier 2021
par Seppi
Glané sur la toile 629
(Source)
Avec « L'interdiction du glyphosate pèsera lourdement sur les exploitations agricoles », LCP a produit un compte rendu assez détaillé de la restitution des travaux de la mission d'information de l'Assemblée Nationale "sur le suivi de la stratégie de sortie du glyphosate" faite mardi 15 novembre 2020 par les co-rapporteurs Jean-Luc Fugit et Jean-Baptiste Moreau (LaREM).
C'est une lecture édifiante sur le panurgisme et le manque de courage de la majorité parlementaire, et déprimante.
Plutôt que de recommander de tirer la prise sur une déclaration intempestive du Président Emmanuel Macron,
« Les rapporteurs veulent aller plus loin et "demandent à ce que les autorisations délivrées en 2020 par l’Anses puissent être revues d’ici 2022 en cas d’élément scientifique nouveau ou de découverte d’une nouvelle alternative". »
Comme si on allait trouver un « élément scientifique nouveau » qui condamnerait le glyphosate ou une « nouvelle alternative » en l'espace de deux ans..
Source : Agriculture et Environnement
Tout cela dans un contexte de cata annoncée :
« "Les agriculteurs ont conscience qu'il est désormais indispensable de faire évoluer les pratiques", a précisé mardi le président de la mission d'information, Julien Dive. Dans leur rapport, Jean-Baptiste Moreau et Jean-Luc Fugit reconnaissent toutefois que l'interdiction progressive du glyphosate créera des "surcoûts" parfois "conséquents" pour le monde agricole, "selon les types de culture et les pratiques culturales".
"Le coût total pour la filière céréalière française serait de 950 millions d'euros", a ainsi déploré Josiane Corneloup (Les Républicains). "Il est faux de penser que l'abandon du glyphosate permettra de créer de la valeur pour nos agriculteurs", a expliqué mardi Jean-Baptiste Moreau. "L'interdiction du glyphosate pèsera lourdement sur les exploitations agricoles", a ajouté le co-rapporteur.
Mais ils ont une solution :
« Les parlementaires proposent donc de les accompagner [les agriculteurs] encore davantage en créant un crédit d'impôt. »
En butinant dans le rapport de la mission, nous sommes tombés sur ceci :
« le LAMS reconnaît par ailleurs que la conversion en agriculture biologique est très difficile avec un sol "sale". M. Claude Bourguignon souligne que les céréaliers qui ont réussi cette réforme sont d’abord passés par une agriculture conventionnelle faiblement utilisatrice de glyphosate afin de nettoyer le sol ».
Un avis les porte-voix du bio et porte-flingue du biobusiness ?
RépondreSupprimerLa mission a aussi auditionné les ministres François de Rugy et Didier Guillaume ; ainsi que Mme Brune Poirson.
Qu'ont-ils retenu de M. François de Rugy ?
« Interrogé dès la première audition de la mission, M. François de Rugy, ministre de la transition écologique et solidaire indiquait, le 8 novembre 2018, que "800 000 tonnes de glyphosate [étaient] utilisées dans le monde, dont 8 800 [étaient] vendues en France [en 2017]. Le glyphosate est [...] le premier herbicide dans notre pays. Les quantités de glyphosate vendues ont augmenté fortement entre 2009 et 2014, puis baissé de 7 % entre 2014 et 2017. En 2014, 9 500 tonnes de glyphosate étaient vendues en France sur 27 000 tonnes d’herbicides, soit environ un tiers". »
Qu'ont-ils retenu de M. Didier Guillaume ? Rien !
Qu'ont-ils retenu de Mme Brune Poirson ? Rien !
https://seppi.over-blog.com/2021/01/rapport-d-une-mission-parlementaire-l-interdiction-du-glyphosate-pesera-lourdement-sur-les-exploitations-agricoles-sur-lcp.html
Dans TOUS les champs l'herbe pousse. Et s'il n'y a plus de désherbant sélectif il faudra en revenir aux passages des tracteurs (labourage, émottage) sur tous les terrains x fois par an.
SupprimerOui mais... comment désherber un champs de blé qui pousse durant 6 mois et qui est arrosé et a reçu de l'engrais (dont profitent les mauvaises herbes !) ?
Des graines d'herbes moissonnées ? Aucun grain n'est vendable et encore moins de farine !
Donc: Zéro farines, zéro pains !
Vote en direct en Géorgie - observations de bulletins anti-matière politiquement biaisés !
RépondreSupprimerJanuary 4th, 2021
Un autre jour, une autre fraude assez grande pour renverser le résultat d'un État
Il n'a fallu que quelques minutes, et des positons politiques trompeurs se sont faufilés sur un fil, et des votes ont été volés à Trump et ajoutés au décompte de Biden.
Comme dans le débat sur le climat - mais beaucoup plus rapidement - des équipes d'analystes et d'experts bénévoles se développent de manière organique pour analyser les chiffres et trouver la fraude. Tout cela aurait dû être fait par le DOJ, le FBI ou la CIA. Où étaient-ils lorsque leur pays en avait besoin? Envoyez plutôt leurs salaires à ces analystes non rémunérés.
Les volontaires ont analysé différents ensembles de données de Géorgie et ont trouvé au moins 3 cas où le total des votes de Trump a reculé, un acte impossible dans l'univers démocrate connu, et le décompte de Biden a augmenté du même montant au même moment.
Apparemment, dans le collisionneur de bulletins de vote en Géorgie, des grappes de votes spontanés anti-Trump ont été générées, ce qui a ensuite neutralisé les vrais votes en les transformant en votes Biden très instables. Ces votes éphémères ont duré un moment illusoire, juste assez longtemps pour tromper CNN.
Vraisemblablement, les versions papier de ces votes sont maintenant enfermées dans des entrepôts et rencontreront bientôt leur déchiqueteur.
Cela provient du bénévole expert Data Integrity Group (DIG) qui comprend au moins un de ces 400 anciens Spooks qui deviennent désormais voyous en travaillant gratuitement pour le président des États-Unis.
- voir cadre sur site -
Comté de Bibb Géorgie
Apparence étrange de bulletins anti-matière détruisant les votes Trump dans le comté de Bibb. En seulement 8 minutes, Trump a perdu 12173 votes qui sont apparus comme par magie dans le décompte de Biden
Regardez 30 000 Américains perdre le droit de vote.
Ici, 5 935 votes sont annihilés dans le comté de Putnam en Géorgie.
- voir cadre sur site -
La Géorgie vote en direct
Ici, 17 650 voix sont inversées.
- voir cadre sur site -
La Géorgie vote en direct
Regardez les droits de vote des citoyens américains disparaître en un instant.
Le témoignage:
- voir clip sur site -
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Audition de l'AG: les scientifiques des données fournissent des preuves claires de la manipulation des votes lors des élections de 2020
RépondreSupprimerBâton de CharlieKirk
Le groupe DIG fournit toutes leurs données pour montrer leur travail lorsqu'ils publient des vidéos électorales. Jusqu'à présent, personne n'a réfuté leurs conclusions.
«En tant que personne qui a étudié les données pendant de nombreuses années, je suis perplexe que personne d'autre ne regarde les chiffres pour trouver les réponses à cette élection», a déclaré Mealey. «Avec autant de gens qui font des commentaires anecdotiques et des conjectures, il y a beaucoup à gagner en regardant les chiffres. Les chiffres ne sont pas partisans, n’ont pas d’alignement sur les partis et c’est un langage universel. Avec les données, nous pouvons voir les erreurs, les corrections, les anomalies, peu importe comment vous voulez les appeler - nous voyons qu'elles se sont produites. Nous ne sommes pas ici pour pointer du doigt, nous sommes juste ici pour expliquer que cela s'est produit et que le vote est un processus additif. Il ne devrait jamais y avoir de fluctuations négatives des votes, et ici, nous les avons fréquemment vues dans la série chronologique des données affectant les votes du président Trump. "
Donnez à ces personnes une médaille:
Lynda McLaughlin du groupe d'intégrité des données
Justin Meale: neuf ans dans la marine américaine en tant que technicien de guerre électronique, technicien en cryptologie et linguiste en arabe. Il a également fait du travail à la CIA.
Dave Lobue: 12 ans de calcul des nombres spécialisé dans l'IA.
«D'après nos conclusions, la Géorgie n'aurait pas dû être certifiée», a déclaré Lobue.
Quelque part dans le système juridique américain, il doit y avoir des lois que quelqu'un a enfreintes pour que cela se produise. Qui ira en prison ?
https://joannenova.com.au/2021/01/live-vote-flipping-in-georgia-sightings-of-politically-biased-anti-matter-ballots/
Trump présentera de ''vrais chiffres électoraux '' lors du discours du lundi soir
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 04 JAN 2021-11: 55
Le président Trump a suggéré lundi que les résultats des élections ne peuvent pas être certifiés en raison de chiffres "vérifiables FAUX", et a taquiné la publication des "vrais chiffres" lors d'un discours à Dalton, en Géorgie, prévu pour 20h30. heure de l'Est ce soir.
Comment certifier une élection lorsque les chiffres certifiés sont FAUX de manière vérifiable. Vous verrez les vrais chiffres ce soir lors de mon discours, mais surtout le 6 JANVIER. Les républicains @SenTomCotton ont des avantages et des inconvénients, mais une chose est sûre, ils n'oublient jamais!
- Donald J.Trump (@realDonaldTrump) 4 janvier 2021
Le rassemblement de Trump lundi soir est destiné à stimuler les Sénateurs républicains. Kelly Loeffler et David Perdue, mais il est clair qu'il se concentrera sur ses défis en cours pour l'élection de 2020, qui a le soutien d'au moins 140 républicains de la Chambre et près d'une douzaine de sénateurs du GOP dirigé par le sénateur Ted Cruz du Texas.
«Nous avons constaté au cours des derniers mois, des quantités sans précédent de fraude électorale.» @SenTedCruz True!
- Donald J.Trump (@realDonaldTrump) 4 janvier 2021
Dans un appel téléphonique controversé enregistré secrètement par le secrétaire d'État géorgien Ben Raffensperger et divulgué au Washington Post, Trump avertit le responsable républicain que "le peuple géorgien est en colère et ces chiffres vont être répétés lundi soir, avec d'autres. que nous allons avoir d'ici là, qui sont beaucoup plus substantiels. "
Plus tard lundi matin, Trump a attaqué le «caucus de reddition» des républicains qui veulent accepter les résultats des élections et passer à autre chose sous une administration Biden.
Le «Caucus de la reddition» au sein du Parti républicain tombera dans l'infamie comme des «gardiens» faibles et inefficaces de notre nation, qui étaient prêts à accepter la certification de numéros présidentiels frauduleux !
- Donald J.Trump (@realDonaldTrump) 4 janvier 2021
https://www.zerohedge.com/political/trump-present-real-election-numbers-during-monday-night-speech
L'année à venir
RépondreSupprimerPar Paul Craig Roberts
PaulCraigRoberts.org
5 janvier 2021
«Le prix que les bons hommes paient pour leur indifférence à l’égard des affaires publiques est d’être dirigé par des hommes pervers.» - Aristote
L’année 2020 s’est terminée par une attaque contre la liberté et peu d’entre eux ont pris la défense de la liberté.
Les États-Unis sont sur le point d'entrer en 2021 avec un président illégitime, Biden, mis en fonction par une élection volée à la vue de tous. Le président sortant, Donald Trump, a remporté l'élection. Il a reçu 10 millions de voix de plus aux élections de 2020 que lors de sa victoire en 2016 et trois fois les votes noirs. Ses rassemblements de campagne ont été suivis avec enthousiasme par des foules débordantes. Alors que les Américains s'endormaient dans la nuit du 3 novembre, le président Trump avait porté les États rouges et avait de grandes avances dans les États critiques. Sans jeu déloyal, il était impossible pour Biden de gagner.
Le matin du 4 novembre à leur réveil, le peuple américain a découvert que les presstituts avaient déclaré Joe Biden président. Au milieu de la nuit, des décharges massives de votes par correspondance frauduleuses à Detroit, Milwaukee, Atlanta et Philadelphie ont effacé la grande avance de Trump et fait basculer les États swing à Biden.
Aucune foule n'était venue pour Biden. Dans la primaire démocrate, il n'y avait aucun enthousiasme pour lui ou Kamala. Lors des élections, Biden a obtenu moins de votes qu'Obama et a fait pire avec les Noirs et les Hispaniques. Biden n'a porté ni les comtés indicateurs qui ont toujours prédit le résultat des élections ni les États clés de l'Ohio et de la Floride. Il a sous-performé le vote d'Hillary en 2016 dans tous les comtés urbains des États-Unis, mais avec l'aide de la fraude, il a surpassé Hillary à Detroit, Milwaukee, Atlanta et Philadelphie contrôlés par les démocrates, les villes précises où la fraude électorale la plus évidente et la plus flagrante a été commise. Regarde ça.
Personne n'a expliqué comment il est possible que Biden, qui n'a suscité aucun enthousiasme, même parmi les démocrates, ait remporté 302 votes électoraux tandis que Trump qui a excité la multitude n'a reçu que 232 votes électoraux. La fraude est tellement exagérée que personne, pas même ses bénéficiaires, n'en croit les résultats.
La fraude électorale évidente a été attestée par des centaines d’affidavits signés sous peine de parjure par des personnes des deux sexes et de toutes races qui ont été témoins de quantités massives de bulletins de vote frauduleux ajoutés au total de Biden. Des experts électoraux ont témoigné et publié des rapports expliquant comment les machines à voter et les logiciels utilisés avaient été programmés pour pondérer les votes en faveur de Biden.
Tout cela en vain. Les presstituts ont déclaré d'une seule voix qu'il n'y avait aucune preuve de fraude électorale sans jamais examiner les preuves. Les démocrates ont commencé à exiger que Trump et ses partisans soient arrêtés pour avoir affirmé que l'élection avait été volée. Le procureur général de l'État démocrate du Michigan poursuit actuellement des avocats qui ont représenté des clients en intentant des poursuites pour fraude électorale.
RépondreSupprimerLes tribunaux contrôlés par les démocrates dans les États swing ont refusé d'accepter les poursuites intentées, car cela signifierait que les tribunaux devraient examiner les preuves massives et voir la fraude. La Cour suprême des États-Unis a contourné la question en statuant (à tort, semble-t-il) que la poursuite intentée par l'État du Texas, rejoint par d'autres États, n'avait pas qualité pour agir. À quelques exceptions près, le Parti républicain a fermé les yeux sur le vol électoral.
Mitch McConnell, le leader républicain au Sénat, a prouvé en acquiesçant à la fraude qu'il était inutile de voter pour les républicains. Comme les démocrates, les républicains représentent l'establishment, pas le peuple. L’establishment américain a réussi à faire ce qu’il entendait - se débarrasser d’un président non-institutionnel qui faisait obstacle aux agendas de l’establishment.
Les États-Unis, qui envahissent et bombardent les pays dans le cadre de «leur apporter la démocratie», ont maintenant prouvé au monde entier que l'Amérique elle-même n'a pas de démocratie. Juste des élections volées comme n'importe quel autre État gangster du tiers monde.
Le «langage moral» américain est le langage de Washington pour justifier le meurtre de masse d’autres pays, de leurs peuples, de leurs infrastructures et de leurs perspectives, produisant des millions de personnes déplacées de huit pays depuis le régime Clinton et des millions d’orphelins et de veuves. Et maintenant, cet État criminel a volé une élection à son propre peuple.
C'est ainsi que l'Amérique sera désormais perçue à la fois dans son pays et à l'étranger. Son autorité morale a disparu et son soft power avec lui. Sa forte puissance militaire ne va pas à la hauteur de celle des Russes, encore moins à la puissance dure combinée des trois ennemis choisis de l’establishment américain: la Russie, la Chine et l’Iran. Les Européens de l'Est repensent déjà leur alignement avec un Occident sexuellement et culturellement dégénéré. Chaque pays est fatigué des menaces américaines et de la conviction de Washington que la loi américaine prime sur leur propre loi.
Les sanctions obligent d'autres pays à tourner le dos au dollar et à cesser de l'utiliser pour leurs paiements internationaux. Alors que la demande de dollars diminue, la Réserve fédérale s’engage à imprimer davantage afin de soutenir le marché boursier, les prix des obligations, les mauvais investissements des grandes banques et le chômage de Covid. La Réserve fédérale peut soutenir le marché boursier ou elle peut soutenir le dollar. Il ne peut pas faire les deux. Quand arrive le moment où les erreurs économiques américaines - largement motivées par la cupidité - obligent la Réserve fédérale à choisir entre le dollar et la bourse, le château de cartes s'effondre.
Tant de dégâts ont été causés aux États-Unis depuis l'effondrement de l'Union soviétique en 1991 que la reprise après l'effondrement économique semble impossible. Depuis un quart de siècle, les entreprises américaines délocalisent des emplois à haute productivité et à forte valeur ajoutée hors d'Amérique. Cela a démantelé les échelles de la mobilité ascendante qui faisaient des États-Unis une «société d'opportunité». Il a détruit les carrières et les perspectives de millions d'Américains et l'assiette fiscale des villes, des États et du gouvernement fédéral - la base des systèmes de retraite publics et de l'entretien des infrastructures. Les emplois manufacturiers perdus ont détruit les chaînes d'approvisionnement et une main-d'œuvre qualifiée. À leur place, nous avons des magasins d'étagères Walmart et des appels de télémarketing. Même ces derniers sont désormais réalisés par des robots.
RépondreSupprimerL'intelligence artificielle supprime davantage de formes d'emploi humain. Les mondialistes parlent des meilleurs nouveaux emplois qui seront créés. Les mondialistes parlent de cette façon depuis le début de la délocalisation des emplois, et nous n'avons pas encore vu un seul des meilleurs emplois promis. Les emplois créés par la délocalisation se trouvent en Chine, en Inde et ailleurs en Asie.
C’est la technologie, le capital, le savoir-faire commercial et les emplois que les entreprises américaines ont amenés en Chine qui ont conduit à l’essor économique et militaire étonnamment rapide de la Chine. Washington pensait qu'il faudrait 50 ans avant que la Chine ne devienne une puissance. Au lieu de cela, c'est arrivé en 5 ans. Aujourd'hui, nos entreprises technologiques ne peuvent pas concurrencer le chinois Huawei, et les États-Unis sont réduits à arrêter les dirigeants de l'entreprise pour de fausses accusations et à appliquer des sanctions aux pays qui font des affaires avec Huawei. Washington a lancé une campagne de propagande à grande échelle contre la Chine - celle que l'on a connue pendant la guerre - et la droite américaine achète l'idée que c'est la Chine, et non l'establishment américain, qui a volé la présidence à Trump.
Les Américains, déjà économiquement dévastés par la délocalisation des emplois et l'accumulation de la dette des consommateurs alors que les gens essayaient de maintenir leur niveau de vie, subissent désormais la perte de leurs emplois et de leurs entreprises à cause de verrouillages qui servent des programmes différents d'un programme de santé. Les Américains sont obligés d'accepter des mandats exécutifs, et non des lois adoptées par des législateurs, qui limitent leur capacité à exploiter une entreprise et leur liberté de mouvement et d'association. D'autres restrictions sont en cours, y compris les passeports internes de type Union soviétique. Vous acceptez la vaccination ou vous ne pouvez pas quitter votre domicile ou avoir de la famille pour Noël et les anniversaires.
Avec Biden - un gangster prouvé par une enquête ukrainienne et Kamala, qui déteste les Blancs, au pouvoir, les États-Unis auront des dirigeants bien inférieurs à ceux de Poutine et Xi. En effet, les informations contenues dans l'ordinateur portable de Hunter Biden, qui est entre les mains du FBI, garantissant ainsi qu'il n'y aura pas de poursuites, indiquent que Biden vendra les faveurs du gouvernement américain à n'importe quel pays. Les Clinton ont inauguré la vente d'un bureau gouvernemental contre de l'argent, et Biden perpétue la tradition.
Nous entendons beaucoup de propagande à propos de «l'état gangster de la Russie», mais ce sont les gouvernements occidentaux qui sont des états gangsters. Ce sont des États tellement gangsters que leurs entreprises tirent désormais leurs bénéfices du pillage des secteurs publics de leur propre pays, comme cela se fait en Ukraine.
RépondreSupprimerLes pays peuvent survivre pendant un certain temps à la corruption, mais pas au mal. L'Establishment américain est un mal au-delà de la compréhension - la pédophilie, l'emprisonnement d'innocents, la destruction d'emplois et les espoirs pour que les dirigeants d'entreprise puissent avoir des bonus plus élevés, la destruction de pays entiers au nom des profits de l'industrie de la défense et de l'idéologie des néoconservateurs. L'hégémonie américaine, la torture pour faire taire ceux qui disent la vérité, la destruction de la Constitution américaine pour mettre les Américains «à l'abri» des terroristes, Covid, ou quoi que ce soit de la menace orchestrée. Ces maux et d’autres qui sont devenus des caractéristiques des États-Unis sont incompréhensibles pour les Américains qui apprennent qu’ils sont le peuple exceptionnel et indispensable et pour les étrangers qui sont tombés pendant des décennies dans la propagande de Washington selon laquelle l’Amérique est une lumière pour le monde.
L’incompréhensibilité du mal et son caractère destructeur que l’establishment a imposé à notre pays est la raison pour laquelle le reste du monde ne comprend pas l’Amérique. Poutine a passé des années à penser que l'hostilité de Washington à l'égard de la Russie était un malentendu qui pourrait être résolu par la Russie faisant preuve d'un comportement non conflictuel et acceptant les insultes et les abus de Washington.
Tôt ou tard, Poutine, Xi et les mollahs en Iran comprendront que vous pouvez vendre votre âme au mal comme l’ont fait l’Europe occidentale, le Royaume-Uni, le Canada et l’Australie, mais vous ne pouvez pas conclure d’accord avec cela.
Le mal dévore tout, et le mal dévore l'Amérique.
Le représentant Gohmert comprend la situation - Une élection volée que les tribunaux refusent de toucher
«En fin de compte, le tribunal dit: 'Nous n'allons pas y toucher, vous n'avez aucun remède.' En fait, la décision serait que vous deviez descendre dans la rue et être aussi violent qu'un Antifa et BLM », a déclaré le représentant américain Louie Gohmert (R, Texas). Regarde ça.
https://www.lewrockwell.com/2021/01/paul-craig-roberts/the-year-ahead/
Comment gérer Trump et la tentative de coup d'état quand on a des positions sur les marchés ?
RépondreSupprimerlundi, 04 janvier 2021 20:35
Alors il semblerait que notre ami Trump n'a pas l'intention de se laisser faire. Il va mériter le titre de burnes en titane que j'avais décerné à Sylvain Duport il y a fort longtemps.
Le club des burnes en titane hahahaha...
Ce qui fait chier, car on va en arriver à une confrontation militaire ou policière, guerre civile... Le vol des votes surgit de partout avec la justice qui ne veut pas analyser les preuves... évidemment, les communistes n'ont jamais été pour le dialogue. Ils ont au contraire un goût prononcé pour la rhétorique unilatérale... Il faut quand même que vous sachiez que de nombreux français m'écrivent en m'expliquant la life que je n'agite que des concepts pour faire de l'audience (y a pas de pub sur Objectif Eco, faudrait m'expliquer mon intérêt) et que Pantin Biden a gagné normalement, que ce se saurait si les élections avaient été truquées... bla bla bla... tout d'abord, toutes les élections ont toujours été truquées dans tous les pays du monde entier... Y a qu'un idiot pour croire l'inverse... et ensuite, il existe désormais de sérieuses sources sur comment les démocrates communistes tentent de voler l'élection qui est gagnée par Trump...
Ce que je souhaite dire, c'est que manipuler les élections, c'est la règle du jeu. Mais là, nous n'avons pas affaire à une manipulation, mais à une fraude tellement massive, énorme, grossière. On joue plus du tout au même game qu'avant.
- voir clip sur site -
Concernant les marchés, vous me demandez tous mon opinion.
La réponse est que Madame Irma ne me cause plus et je n'ai pas envie de connaître son opinion...
Donc je suis passé en mode achat de put sur SPY
J'ai pris le strike 320 pour le 21 février.
Je vais couvrir mon delta positif. J'ai déjà du short en titres et je suis long sur le gold, qui devrait moins baisser que les stocks si ca krach.
Cela va me coûter plus de 1000USD de prime.
http://www.objectifeco.com/bourse/indices-boursiers/indices-usa/comment-gerer-trump-et-la-tentative-de-coup-d-etat-quand-on-a-des-positions-sur-les-marches.html
La ''grande réinitialisation'' consiste à étendre le pouvoir du gouvernement et à supprimer la liberté
RépondreSupprimerPar Ron Paul, MD
Institut Ron Paul
5 janvier 2021
Le fondateur et président exécutif du Forum économique mondial, Klaus Schwab, a proposé d'utiliser la réaction excessive au coronavirus pour lancer une «grande réinitialisation» mondiale. Cette grande réinitialisation vise à étendre le pouvoir du gouvernement et à supprimer la liberté dans le monde entier.
Schwab envisage un système autoritaire où les grandes entreprises agissent en tant que partenaire du gouvernement. Les grandes entreprises exerceront leurs pouvoirs de monopole accordés par le gouvernement pour maximiser la valeur pour les «parties prenantes» plutôt que pour les actionnaires. Les parties prenantes comprennent le gouvernement, les organisations internationales, l'entreprise elle-même et la «société civile».
Bien entendu, les bureaucrates et les politiciens du gouvernement, ainsi que des intérêts spéciaux puissants, décideront qui sont et ne sont pas des parties prenantes, ce qui est dans l’intérêt des parties prenantes et quelles mesures les entreprises doivent prendre pour maximiser la valeur des parties prenantes. Les souhaits des gens ne sont pas la priorité.
La grande réinitialisation augmentera considérablement l'état de la surveillance via un suivi en temps réel. Il exigera également que les gens reçoivent des certificats numériques pour voyager et même une technologie implantée dans leur corps pour les surveiller.
La proposition de surveillance de Schwab comprend son idée d’utiliser des scintigraphies cérébrales et des nanotechnologies pour prédire et, si nécessaire, prévenir le comportement futur des individus. Cela signifie que toute personne dont le cerveau est «scanné» pourrait voir son deuxième amendement et d'autres droits violés parce qu'un bureaucrate du gouvernement détermine que l'individu va commettre un crime. Le système de suivi et de surveillance pourrait être utilisé pour faire taire ceux qui expriment des opinions politiques «dangereuses», telles que le fait que la Grande Réinitialisation viole nos droits que Dieu a donnés à la vie, à la liberté et à la poursuite du bonheur.
La grande réinitialisation implique une énorme expansion de l'État providence via un programme de revenu de base universel. Cela peut aider à garantir le respect des mesures autoritaires de la Grande Réinitialisation. Ce sera également très cher. L'augmentation de la dette publique qui en résulte ne sera pas considérée comme un problème par les gens qui croient en la théorie monétaire moderne. Il s’agit de la dernière version du conte de fées selon lequel les déficits n’ont pas d’importance tant que la Réserve fédérale monétise la dette.
RépondreSupprimerLa grande réinitialisation échouera finalement pour la même raison que toutes les autres tentatives du gouvernement pour contrôler le marché échouent. Comme l'a montré Ludwig von Mises, l'ingérence du gouvernement sur le marché fausse le système de prix. Les prix sont la manière dont les informations sur la valeur des biens et services liés à d'autres biens et services sont transmises aux acteurs du marché. L'ingérence du gouvernement sur le marché perturbe les signaux envoyés par les prix, entraînant une offre excédentaire de certains biens et services et une sous-offre pour d'autres.
Les verrouillages montrent les dangers du contrôle gouvernemental sur l'économie et nos vies personnelles. Les verrouillages ont augmenté le chômage, entraîné la fermeture de nombreuses petites entreprises et conduit à davantage de toxicomanie, de violence domestique et de suicide. On nous dit que les lock-out sont ordonnés à cause d'un virus qui ne représente pas un grand danger pour un très grand pourcentage du public américain. Pourtant, au lieu d'adopter une approche différente, les politiciens doublent les politiques ratées de masques et de verrouillage. Pendant ce temps, les grandes entreprises technologiques, qui agissent déjà souvent en tant que partenaires du gouvernement, font taire quiconque remet en question la ligne officielle concernant la menace du coronavirus ou l'efficacité des verrouillages, des masques et des vaccins.
La réponse désastreuse à Covid n'est que le dernier exemple de la façon dont ceux qui renoncent à la liberté pour la sécurité ou la santé finiront par devenir non libres, dangereux et malsains. Au lieu d'une grande réinitialisation de l'autoritarisme, nous avons besoin d'une grande renaissance de la liberté !
https://www.lewrockwell.com/2021/01/ron-paul/the-great-reset-is-about-expanding-government-power-and-suppressing-liberty/
En dictatures c'est la minorité qui dirige.
SupprimerEn Démocratie c'est la majorité qui dirige.
La FDA admet que les tests de PCR donnent de faux résultats et prépare le terrain pour que Biden «écrase» la casedémie
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 4 JAN 2021 - 19:20
La FDA s'est jointe aujourd'hui à l'OMS et au Dr Fauci pour admettre qu'il existe un risque notable de faux résultats du test PCR standard utilisé pour définir si un individu est un «cas» COVID ou non.
Cela est important car cela correspond parfaitement au plan de "faux sauvetage '' que nous avons décrit précédemment qui se produirait une fois que l'administrateur de Biden est entré en fonction. Mais avant d'en arriver à cette "conspiration'', nous avons besoin d'un peu d'informations sur la façon dont le monde est arrivé ici ...
Nous avons détaillé la controverse entourant le COVID «casédémique» américain et les résultats trompeurs du test PCR et de sa procédure d'amplification en détail au cours des derniers mois.
Pour rappel, les «seuils de cycle» (Ct) sont le niveau auquel le test de réaction en chaîne par polymérase (PCR) largement utilisé peut détecter un échantillon du virus COVID-19. Plus le nombre de cycles est élevé, plus la charge virale de l'échantillon est faible; plus les cycles sont bas, plus le virus est répandu dans l'échantillon d'origine.
De nombreux experts en épidémiologie ont fait valoir que les seuils de cycle sont une mesure importante par laquelle les patients, le public et les décideurs politiques peuvent prendre des décisions plus éclairées sur le degré d'infection et / ou de maladie d'un individu avec un test COVID-19 positif. Cependant, comme le rapporte JustTheNews, les services de santé du pays ne parviennent pas à collecter ces données.
Voici quelques titres de ces experts et études scientifiques:
1. Les experts ont compilé trois ensembles de données avec des responsables des États du Massachusetts, de New York et du Nevada qui concluent: «Jusqu'à 90 % des personnes testées positives ne portaient pas de virus».
2. Le Wadworth Center, laboratoire de l'État de New York, a analysé les résultats de ses tests de juillet à la demande du NYT: 794 tests positifs avec un Ct de 40: «Avec un Ct seuil de 35, environ la moitié de ces tests PCR ne plus être considéré comme positif », a déclaré le NYT. «Et environ 70 % ne seraient plus considérés comme positifs avec un Ct de 30 ! "
3. Une cour d'appel au Portugal a jugé que le processus de PCR n'était pas un test fiable pour Sars-Cov-2 et que, par conséquent, toute mise en quarantaine imposée sur la base de ces résultats de test est illégale.
4. Une nouvelle étude de l'Infectious Diseases Society of America, a constaté qu'à 25 cycles d'amplification, 70 % des tests PCR «positifs» ne sont pas des «cas» puisque le virus ne peut pas être cultivé, il est mort. Et à 35 ans: 97 % des positifs ne sont pas cliniques.
5. La PCR ne teste pas la maladie, elle teste un modèle d'ARN spécifique et c'est le pivot clé. Lorsque vous montez à 25, 70 % des résultats positifs ne sont pas vraiment "positifs" au sens clinique du terme, car cela ne peut pas vous rendre malade, vous ou quelqu'un d'autre
Donc, en résumé, en ce qui concerne nos «casédémiques» actuelles, les tests positifs tels qu'ils sont comptés aujourd'hui n'indiquent pas un «cas» de quoi que ce soit. Ils indiquent que l'ARN viral a été trouvé dans un écouvillon nasal. Cela peut suffire à vous rendre malade, mais selon le New York Times et ses experts, ce ne sera probablement pas le cas. Et certainement pas une réplication suffisante du virus pour rendre quelqu'un d'autre malade. Mais vous serez renvoyé chez vous pendant dix jours de toute façon, même si vous ne reniflez jamais. Et c'est le nombre que les médias rapportent à bout de souffle ... et est utilisé pour masquer les mandats et les verrouillages à travers le pays ...
RépondreSupprimerEn octobre, nous avons exposé pour la première fois comment les tests PCR ont induit en erreur les responsables du monde entier dans des réactions incroyablement autoritaires.
Comme l'écrivait Stacey Lennox de PJMedia, la «casédémie» est le nombre élevé de cas observés à l'échelle nationale en raison d'un défaut du test PCR. Le nombre de fois où l'échantillon est amplifié, également appelé seuil de cycle (Ct), est trop élevé.
Il identifie les personnes qui n'ont pas de charge virale capable de les rendre malades ou de transmettre la maladie à quelqu'un d'autre comme positives pour le COVID-19.
Le New York Times a signalé cette faille le 29 août et a déclaré que dans les échantillons examinés dans trois États où les laboratoires utilisent un Ct de 37 à 40, jusqu'à 90 % des tests sont essentiellement des faux positifs. Les experts de cet article ont déclaré qu'un Ct d'environ 30 serait plus approprié pour indiquer que quelqu'un pourrait être contagieux - ceux pour qui la recherche des contacts aurait du sens.
Quelques jours plus tôt, le CDC avait mis à jour ses lignes directrices pour décourager le dépistage des personnes asymptomatiques. On ne peut que supposer que la raison en était qu'un bureaucrate honnête avait compris que les tests étaient inutilement sensibles. Il ou elle a probablement été rétrogradé.
Ce changement a été précédé par une mise à jour de juillet qui décourageait les nouveaux tests pour les patients guéris. La justification de la mise à jour était que les débris viraux pouvaient être détectés à l'aide du test PCR pendant 90 jours après la récupération. Il en irait de même pendant un certain temps si un individu avait une réponse immunitaire efficace et ne tombait jamais malade. L'immunité existante contre l'exposition à d'autres coronavirus a été bien documentée. Ce sont plusieurs de vos cas «asymptomatiques».
Cependant, en raison de la pression politique et des crises de colère des médias d'entreprise, les nouvelles directives sur les tests ont été abandonnées et les tests pour les personnes asymptomatiques sont à nouveau recommandés. Les médecins ne reçoivent pas les informations Ct des laboratoires pour émettre un jugement diagnostique. Ni le CDC ni la FDA n'ont publié de directives pour un CT précis pour diagnostiquer avec précision une maladie contagieuse.
RépondreSupprimerPar conséquent, notre «casédémique» actuelle. Les tests positifs tels qu'ils sont comptés aujourd'hui n'indiquent aucun «cas» de quoi que ce soit. Ils indiquent que l'ARN viral a été trouvé dans un écouvillon nasal. Cela peut suffire à vous rendre malade, mais selon le New York Times et ses experts, ce ne sera probablement pas le cas. Et certainement pas une réplication suffisante du virus pour rendre quelqu'un d'autre malade. Mais vous serez renvoyé chez vous pendant dix jours de toute façon, même si vous ne reniflez jamais. Et c'est le chiffre que les médias rapportent à bout de souffle.
Un mois plus tard, le Dr Pascal Sacré, a expliqué en détail comment toute la propagande actuelle sur la pandémie de COVID-19 est basée sur une hypothèse considérée comme évidente, vraie et non plus remise en question: un test RT-PCR positif signifie être malade avec le COVID.
Cette hypothèse est trompeuse. Très peu de gens, y compris les médecins, comprennent comment fonctionne un test PCR.
À la mi-novembre, nul autre que celui qui ne devrait pas être interrogé - le Dr Anthony Fauci - a admis que le Ct élevé du test PCR est trompeur:
"Ce qui est en train de devenir un peu une norme", a déclaré Fauci, c'est que "si vous obtenez un seuil de cycle de 35 ou plus ... les chances qu'il soit sûr de la réplication sont minuscules."
«C'est très frustrant pour les patients ainsi que pour les médecins», a-t-il poursuivi, lorsque «quelqu'un entre et répète sa PCR, et c'est comme [un] seuil de 37 cycles, mais on ne peut presque jamais cultiver le virus à partir d'un 37 cycle de seuil. »
Donc, je pense que si quelqu'un arrive avec 37, 38, voire 36, vous devez dire, vous savez, ce ne sont que des nucléotides morts, point final. "
Donc, si quelqu'un soulève cette discussion comme une «conspiration», référez-les au Dr Fauci.
En réponse à cela et à la «science» actuelle, le ministère de la Santé de Floride (et signé par le gouverneur républicain de Floride Ron deSantis), a décidé que pour la première fois dans l'histoire de la pandémie, un État exigera que tous les laboratoires du rapportent le niveau critique de «seuil de cycle» de chaque test COVID-19 qu'ils effectuent.
Tout cela nous amène à l'annonce d'aujourd'hui de la FDA ...
La Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis alerte les patients et les prestataires de soins de santé du risque de faux résultats ... avec le test curatif SARS-Cov-2.
Et pourquoi est-ce important ?
Eh bien, c'est simple - c'est ainsi que l'establishment peut montrer que le plan de Joe Biden est de sauver miraculeusement le monde.
Nous avons expliqué le plan de "faux sauvetage" en octobre.
Le faux sauvetage
Biden publiera des normes nationales, comme les barrières en plexiglas dans les restaurants dont il a parlé pendant le débat, et fera pression sur les gouverneurs pour qu'ils mettent en œuvre des mandats de masque en utilisant le levier financier du gouvernement fédéral (REMARQUE: son `` mandat '' de porter un masque de 100 jours est déjà en jeu) .
RépondreSupprimerCertains hack au CDC ou à la FDA publieront de nouvelles directives réduisant le Ct utilisé par les laboratoires, et les cas commenceront à tomber comme par magie.
En réalité, le changement n'éliminera que les faux positifs, mais la plupart des Américains ne le sauront pas.
Le bon vieil oncle Joe sera le héros, même si ce sont les acteurs de l’État profond dans les bureaucraties de la santé qui ne résoudront pas un problème avec les tests dont ils ont connaissance depuis des mois. TDS est une sacrée drogue.
Alors, voilà les gens ... D'abord Fauci, puis l'OMS, maintenant la FDA admettent tous qu'il y a des malentendus dans les tests PCR, mais n'ont - jusqu'à présent, rien fait à ce sujet ... permettant la peur quotidienne de "cas" en plein essor pour activer leurs contrôles les plus tordus de 1984.
Tout ce qu'il faut maintenant, c'est que l'un de ces groupes estimés décide de réduire le Ct pour un test PCR "positif" pour dire 15x ou 20x et soudainement, nous sommes sauvés de "Dark Winter" alors que le plan de Biden réduit considérablement le nombre de cas positifs ... nous sommes sauvés.
En passant, cela explique aussi clairement la disparition de la «grippe» au cours de cette saison car la pléthore de tests PCR à Ct élevé supposant indiquer une poussée de COVID ne sont rien de la sorte.
Comme Stephen Lendman l'a noté précédemment, affirmant que «les verrouillages ont arrêté la grippe dans son élan, (les épidémies) ont chuté (ting) de 98 % aux États-Unis» ignorait que ce qu'on appelle COVID est simplement une grippe saisonnière combinée à des faux positifs (Ct extrêmement élevé) de la PCR -Tests.
Et pour cette raison, la grande grippe en voie de disparition de 2020 passe largement sous le radar des médias. La tromperie de masse proliférée par les médias et le pouvoir de répétition amènent la plupart des gens à croire et après avoir réussi à "tuer la grippe", ils feront maintenant de même avec COVID ... et, si nos parieurs le permettent, nous reviendrons tous à la nouvelle normalité qu'ils envie.
https://www.zerohedge.com/covid-19/fda-admits-pcr-tests-give-false-results-prepares-ground-biden-virus-rescue-miracle
(...) «Et environ 70 % ne seraient plus considérés comme positifs avec un Ct de 30 ! "(...)
SupprimerIl est établi scientifiquement que des cycles supérieurs à 25 ne servent à rien ! (en France la dictature Nord-Coréenne pousse jusqu'à 50 !!). Mais comme les médecins et directeurs de cliniques & hôpitaux touchent une prime 'corona' pour tout accidenté de la route ou mort de vieillesse étiqueté 'mort corona' ! Hahahaha ! Cà m'étonne bien qu'ils n'aient pas poussé les cycles RT-PCR jusqu'à 150 ! HAHAHAHA !
Snyder: les États-Unis sont devenus une république de la banane
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 4 JAN 2021 - 19:40
Rédigé par Michael Snyder via TheMostImportantNews.com,
Si nous continuons à détruire le dollar américain à notre rythme actuel, le papier hygiénique aura finalement plus de valeur que le dollar américain.
Je sais que cela semble absolument fou, mais c'est vrai. Une fois que la pandémie de COVID a frappé les États-Unis, ceux qui contrôlent les leviers du pouvoir dans ce pays ont décidé d'aller «à Weimar complet» et ils n'ont jamais regardé en arrière. Par conséquent, la taille de notre masse monétaire augmente à un rythme qui aurait été inimaginable il y a à peine quelques années. Pour illustrer ce dont je parle, j'aimerais que vous consultiez ce graphique qui a été publié sur Twitter par James Turk. Comme vous pouvez le voir, M1 a augmenté de plus de 50 % en 2020.
Nous n'avons jamais eu une année comme celle-là dans toute l'histoire des États-Unis. Ce que nous faisons est littéralement insensé, mais la plupart des Américains ne sont même pas conscients de ce qui se passe parce que les médias grand public n'en parlent pas.
Si vous n'êtes pas familier avec «M1», voici une définition qui vient d'Investopedia…
M1 est la masse monétaire qui se compose de monnaie physique et de pièces de monnaie, de dépôts à vue, de chèques de voyage, d’autres dépôts vérifiables et de comptes à ordre de retrait négociable (MAINTENANT). M1 comprend les parties les plus liquides de la masse monétaire car il contient des devises et des actifs qui sont ou peuvent être rapidement convertis en espèces. Cependant, la «quasi-monnaie» et «la quasi-monnaie», qui relèvent de M2 et M3, ne peuvent pas être converties en monnaie aussi rapidement.
Lorsque de l'argent neuf entre dans le système, chaque dollar que vous détenez actuellement devient moins précieux.
Et si votre chèque de paie n'augmente pas au même rythme que la masse monétaire augmente, cela signifie que votre chèque de paie devient également moins précieux.
Il est utile de considérer notre système monétaire comme un gâteau. Lorsque plus de dollars sont ajoutés à la tarte, votre part de la tarte diminue progressivement.
Alors, à qui profite le gâteau ?
Les ultra-riches le font, et j'en discuterai plus en détail ci-dessous.
Mais d'abord, je voulais partager un autre graphique avec vous. Le premier graphique de James Turk a montré comment M1 a augmenté en pourcentage, et ce prochain graphique qui provient directement de la Réserve fédérale montre comment M1 a augmenté en valeur absolue ...
Regardez ça un instant.
C'est vraiment époustouflant. M1 a littéralement augmenté à un rythme presque vertical, et cela rend toute l'inflation qui a précédé semble presque dénuée de sens.
C'est pourquoi le marché boursier continue d'atteindre un niveau record après un record. Les actions ont commencé à s'effondrer lorsque COVID a commencé à se répandre aux États-Unis, et la Réserve fédérale a décidé de faire tout ce qui était nécessaire pour sauver les marchés. La réponse «sans précédent» dont nous avons été témoins a fini par être «un moteur clé de la richesse milliardaire» en 2020…
L’un des principaux moteurs de la concentration de la richesse des milliardaires a été la réponse sans précédent de la politique monétaire pour stabiliser les marchés financiers au tout début de la pandémie, ce qui a stimulé la hausse défiant la gravité du marché boursier. Lorsque Wall Street était au bord de la panique en mars, la Réserve fédérale est intervenue avec la promesse de taux bas et d'un robinet de liquidité ouvert.
RépondreSupprimerDe plus, le Congrès n'arrêtait pas de faire passer «plan de relance» après «plan de relance» dans une tentative désespérée de «sauver» l'économie.
Mais dans le processus, ils ont emprunté et dépensé des milliards de dollars que nous n'avions pas, et cela a également contribué à alimenter notre transition vers l'hyperinflation.
La bonne nouvelle est que l'hyperinflation ne se manifeste pas encore à l'épicerie ou chez Walmart. Cela finira par arriver, mais jusqu'à présent, les prix à la consommation ne font qu'augmenter à un rythme un peu plus rapide que d'habitude. Là où nous constatons une hyperinflation, c'est dans les cours des actions, dans l'immobilier haut de gamme dans les zones rurales et suburbaines, et dans d'autres domaines de l'économie dans lesquels les ultra-riches investissent leur argent.
Malgré le fait que nous venons de subir l'une des pires années économiques de l'histoire des États-Unis, 2020 a en fait été une année record pour les milliardaires ...
Entre la mi-mars et le 22 décembre environ, les États-Unis ont gagné 56 nouveaux milliardaires, selon l'Institute for Policy Studies, ce qui porte le total à 659. La richesse détenue par ce petit groupe d'Américains a bondi de plus de 1 billion de dollars dans le pays. mois depuis le début de la pandémie.
Selon un rapport de décembre publié conjointement par Americans for Tax Fairness et l’Institute for Policy Studies à partir de données compilées par Forbes, les milliardaires américains détiennent environ 4 000 milliards de dollars de richesse - un chiffre à peu près le double de ce que valent collectivement les 165 millions d’américains les plus pauvres. Les 10 milliardaires les plus riches ont une valeur nette combinée de plus de 1 billion de dollars.
L'année dernière, les riches sont devenus beaucoup plus riches et les pauvres beaucoup plus pauvres.
Comme j'en ai discuté l'autre jour, 2020 a été un «désastre financier personnel» pour 55 % de tous les Américains. L'année s'est terminée avec près de 20 millions d'Américains qui recevaient toujours des allocations de chômage du gouvernement, et la pauvreté et l'itinérance ont explosé tout autour de nous.
Dans certains cas, les gens faisaient la queue jusqu'à 12 heures simplement pour acheter quelques sacs d'épicerie dans les banques alimentaires du pays. Nous n’avons rien vu de tel depuis la Grande Dépression des années 1930, et beaucoup s’attendent à ce que les choses empirent encore plus en 2021.
Et chaque jour qui passe, de plus en plus d'entreprises ferment et de plus en plus d'Américains sont licenciés.
RépondreSupprimerLe secteur de la vente au détail a été particulièrement touché. Ce qui suit vient d'Axios…
Les centres commerciaux vont mal. Des noms familiers comme J.C. Penney, Neiman Marcus et J. Crew ont déposé leur bilan. De plus en plus, les choix d'achat des Américains se résumeront à une poignée de magasins de tout sur Internet et de chaînes nationales de survie des plus en forme.
Et ce que nous avons vécu jusqu'à présent n'est que la pointe de l'iceberg. Un rapport récent prévoyait que «100 000 magasins physiques aux États-Unis fermeraient d'ici 2025»…
Un rapport de recherche d'UBS prédit que 100000 magasins de détail physiques aux États-Unis fermeront d'ici 2025, une tendance qui a commencé avant la pandémie et s'est accélérée au milieu des fermetures liées aux coronavirus.
Notre paysage national est déjà jonché de magasins et de restaurants abandonnés, et ils nous disent que cela ne fera qu'empirer.
À quoi ressemblera notre pays à mesure que ce processus se déroulera ?
Bien sûr, nos autorités ne feront que répondre à chaque nouvelle crise en imprimant encore plus d'argent.
C'est ce qu'ils ont fait au Venezuela, et maintenant presque tout le monde au Venezuela est millionnaire.
Mais la plupart de ces «millionnaires» vivent dans une pauvreté écrasante parce que l’argent ne vaut absolument rien.
Malheureusement, de nombreux autres pays font la même chose que les États-Unis, et cette spirale hyperinflationniste ne se terminera donc probablement pas de si tôt.
Mais il ne fait aucun doute que nous sommes également dans une dépression économique mondiale. Le PIB mondial est inférieur d'environ 8 % à ce qu'il était avant le début de la pandémie, et les perspectives pour 2021 ne semblent pas du tout prometteuses.
Si vous pensez qu'il y a un moyen pour que cette histoire économique se termine bien, revenez simplement en arrière et regardez le graphique M1 de la Réserve fédérale une fois de plus.
Chaque fois que cela a été essayé dans l'histoire de l'humanité, l'histoire s'est mal terminée.
Notre histoire va mal se terminer aussi, et chaque Américain doit se préparer à survivre dans un environnement hyperinflationniste très douloureux.
https://www.zerohedge.com/economics/snyder-united-states-has-become-banana-republic
Sont-ce des cons qui sont milliardaires ? Pareillement qu'en Europe avec l'invasion de centaines de millions de 'réfugiés climatiques', les USA envahis par les latinos ont vu le niveau du QI descendre à zéro ! D'où la 'bonne idée' de tirer encore plus d'images de Mickeys de la planche-à-billets puis d'inventer un corona150 pour jouer au Monopoly.
SupprimerDes médecins m'écrivent à propos du virus qui tue la planète hahahaha
RépondreSupprimerlundi, 04 janvier 2021 20:28
Je ne peux malheureusement pas copier ce qu'ils m'ont écrit car tous les mots clefs déclenchent une avalanche de censure. Pour info, avec le mot clef DEPOPULATION, je me suis fait sauter un emailing chez l'un des principaux pourvoyeurs de boite email en france...
Mais si je résume, le taux de mortalité est deux fois inférieurs à celui de conduire sa voiture en France quand on a moins de 55 ans et qu'on est pas malade ou obèse. Si on a moins de 40 ans, les taux s'écroulent à un tel niveau que même un mec anti complot commence à se gratter la tête hahahahaha.
Ensuite si on chope le virus, il y a un produit qui bloque un récepteur et un autre qui bloque le transport
En langage codé, cela donne
L'HCQ bloque le recepteur ACE de la spike proteine du virus.
L'IVRM bloque le transport du virus dans la cellule.
Avec une bonne posologie, tout médecin est capable de guérir notre grand virus communiste, me dit on.
Il faut ensuite du zinc comme l'ont dit les médias anglais notamment. Perso je prends 15mg de zinc par jour depuis au moins 5 ans. Il semblerait qu'il faille en prendre plus par les temps qui courent.
Bref, si quelqu'un est malade, je peux recopier la formule par email. Cela ne saurait engager ma responsabilité. En revanche, les différentes sources concordent. Et ce sont des gens qui j'ai déjà rencontré physiquement dans le passé.
Vive le socialisme / communiisme. Vive la France... Vive Macron. Je suis fier...
Charles
http://www.objectifeco.com/entreprendre/temoignages/des-medecins-m-ecrivent-a-propos-du-virus-qui-tue-la-planete-hahahaha.html
Si vous avez des coronas-panini, échangez ceux que vous avez en double ! Hahahaha !
SupprimerCultisme d'entreprise
RépondreSupprimerEric Peters
4 janvier 2021
GM est passé de la fabrication de voitures à la fabrication de Holy Rags - et maintenant Ford essaie de vous vendre en les portant.
Et en obtenant le Holy Jab.
Une série d'annonces vantant la nouvelle religion a commencé à être diffusée le 1er janvier - racontée par l'acteur Bryan Cranston, qui jouait un trafiquant de drogue dans la série bien connue Breaking Bad. Comment approprié.
La première publicité commence par une capture d'écran d'un père vêtu de chiffon et de ses masques, conditionnés à vivre dans la peur d'un insecte qui a tué beaucoup moins d'enfants que la dépression suicidaire cette année.
«Tenons la ligne», exhorte un Cranston au son fatigué - une musique de piano effrayante en arrière-plan, un hélicoptère transportant une «caisse» à l'hôpital. De plus en plus d'enfants ayant des couches faciales scrutant tristement le monde extérieur derrière une vitre en verre.
«Sacrifice pour cela». . . bien que nous connaissions les gens qui nous enjoignent de porter le chiffon sacré ne le font souvent pas. Et n’ont rien «sacrifié» eux-mêmes. En effet, ont profité de notre misère forcée. Acquis des fortunes en forçant les autres à «se sacrifier». Puissance acquise, en utilisant ce mot pour la justifier.
C’est écœurant.
«Veillons les uns sur les autres» - en se taisant et en obéissant à des édits ridicules, dégradants et tyranniques et en traquant quiconque lève la main pour interroger le Kabuki. Cranston ne mentionne pas les familles qui ont été empêchées par la force de s'occuper les unes des autres par des décrets leur interdisant même de se voir.
Qui ont perdu la capacité de nourrir leurs enfants. Qui perdront leur maison.
Qui «s'occupe» des propriétaires d'entreprise qui sont forcés de cesser leurs activités ?
Qui «regarde dehors». . . pour la raison ?
Il est écoeurant de voir une autre annonce non seulement affirmer le contraire, mais la présenter comme un devoir moral d'abeille.
Cue le bourdonnement hypnotique.
«Nous sommes si proches». . . au Saint Jab. Repérez le tapis roulant de fioles et de scènes de premiers intervenants attentionnés administrant la Holy Dose. . . de force. Les législateurs de New York proposent déjà des camps de concentration pour les refuseurs d’aiguilles - «cas» et «contacts» de «maladies transmissibles» - même s’ils n’en ont pas.
Jusqu'à 90 jours. Nacht und Nebel.
Et même si cela ne se produit pas, la force économique sera utilisée pour amener les non-Needled à accepter le coup pour une maladie qu'ils n'ont pas et dont ils ont peu, voire rien, à craindre.
Ce qui soulève des questions sur la raison pour laquelle il doit être forcé - si c’est tellement souhaitable. Aussi, si cela fonctionne. Si tel est le cas, alors les gens qui le veulent et l'obtiennent eux-mêmes devraient être très bien - même si ceux qui ne le veulent pas ne l'obtiennent pas.
Ça ne fait rien. Cue la musique.
«Bientôt, nous serons ce que nous étions», promet Cranston. Portez simplement votre Holy Rag et - quand il est offert - acceptez le Holy Jab. Amenez vos enfants pour les leurs.
Ensuite, vous - et eux - serez autorisés à reprendre une vie normale. La publicité montre des visages - ce qui implique que nous serons autorisés à les voir et à les montrer à nouveau. . . si seulement nous acceptons le Saint Jab, qui est «si proche».
C'est un non-sens obscène.
RépondreSupprimerPire encore que les injonctions de compassion insipides, oléagineuses / ersatz de porter le hijab de maladie et de jouer au Kabuki de maladie. . . «sacrifier» pour cela.
Parce que le Holy Jab n’est pas la fin. Ce n’est qu’un début.
C'est votre intronisation permanente dans le culte de la maladie. Maintenant et pour toujours, amen.
Le pape Fauci XVIII et son vice-roi, Bill Gates, ont déjà dit que Needling n'en serait pas la fin. Ce port de la Burqa de la Maladie "devra continuer" pour un avenir indéfini - toujours poussé en avant - avec tous les autres rituels permanents du culte de la maladie.
C'est la nouvelle normalité dont nous entendons parler depuis la création officielle du culte au printemps 2020.
Il reposait sur l'acceptation du principe fondamental de la secte - poussé par cette publicité - que la possibilité affirmée de quiconque de tomber malade désormais exige. . . sacrifice . . . de nous tous. . . (à l'exception de ceux qui insistent sur le sacrifice).
Même si tomber malade ne nous est pas arrivé - et même si tomber malade ne signifie rien de plus pour presque tous.
Considérez les implications.
Si toute la population doit. . . sacrifice parce qu'une maladie est en cours dont 99,8 % d'entre eux ne mourront pas et dont la plupart d'entre eux n'auront même pas de symptômes à partir de là, pensez-vous que la maladie Burqas et Kabuki ne seront pas nécessaires pour d'autres maladies qui ne tuez pas 99,8 % de la population?
Que diriez-vous de 99,5 % ?
Cela ne finit jamais, car les gens n'arrêteront jamais de tomber malades - et certains d'entre eux mourront. C'est la vie et elle était considérée comme normale avant de se normaliser pour vivre dans la peur hypocondriaque de tomber malade.
Il est triste de voir Ford vendre cela - au lieu de voitures.
PS: Cranston - qui est apparemment tombé malade - n'est pas mort non plus. Mais Dawn Wells - qui jouait Mary Ann dans la sitcom des années 60 Gilligan’s Island - l’a fait. Elle était bien dans ses 80 ans - une longue vie et une mort normale.
Mais tant pis.
Et écoutez la musique.
https://www.ericpetersautos.com/2021/01/04/corporate-cultism/
La France s’enfonce dans la faillite, c’est une simple affaire de règle de trois !
RépondreSupprimerle 5 janvier 2021
J’aime bien faire des « règles trois », c’est à peu près tout ce qui me reste des mathématiques que j’ai appris au cours de mes études secondaires, bien qu’ayant frayé plus tard avec approches graphiques un peu compliquées pour tenter d’expliquer comment un enzyme fonctionnait puisque les enzymes se trouvaient au centre de mes travaux ce recherches. L’utilisation de coordonnées polaires en introduisant des variables intrinsèquement liées afin d’aboutir à des représentations graphiques auraient effrayé n’importe quel mathématicien. La différence entre un mathématicien et un biologiste est fondamentale car le mathématicien raisonne dans l’abstraction alors que l’expérimentateur dispose de données numériques issues de ses mesures ou de ses dosages indirects avec un appareil de mesure. Malgré tout le biologiste est pollué par le mathématicien car il voudrait décrire à l’aide d’équations si possible simples les phénomènes souvent très complexes qu’il a observé. En 1934 Hans Lineweaver et Dean Burk ont publié dans The Journal of The American Chemical Society un article qui indiquait comment décrire à l’aide d’équations très simples et par conséquent par une représentation graphique également très simple le moyen de déterminer les paramètres fondamentaux d’une cinétique enzymatique avec une règle sur un graphique. C’est probablement l’article dans le domaine de la chimie biologique le plus cité de tous les temps.
Aujourd’hui utiliser des représentations dites « double inverse » dépasseraient le premier analyste financier tout simplement parce que ces spécialistes pour lesquels je ne manifeste strictement aucun respect puisqu’ils se trompent toujours, une véritable prouesse, n’ont jamais apparemment appris à faire une règle « de trois ». À l’époque où ma mère m’apprit à lire, écrire et compter la règle de trois était l’un des premiers piliers du raisonnement arithmétique car c’était la première étape vers l’abstraction des mathématiques. À l’âge de 7 ans la notion de zéro était déjà compliquée à intégrer mais la règle de trois constituait une autre étape considérable.
Bref, il semble que les analystes économiques et, pire encore, le propre ministre de l’économie de la France ignorent les uns comme l’autre ce qu’est une règle de trois. J’ai écouté ce lundi soir un débat entre deux analystes financiers qui se targuent d’être des spécialistes dans leur domaine. Je suis tombé de très haut en constatant leur totale ignorance et je vais m’expliquer. Ils débattaient de la chute du PIB de la France en 2020 en raison de la gestion surréaliste de l’épidémie de SARS-CoV-2. Cette chute du PIB, selon les données officielles, serait de 9 %, soit une chute du PIB de 207 milliards d’euros en se référant au PIB de 2019. Sauf que ces analystes ont oublié de mentionner que dans le même temps, c’est-à-dire en 2020, la France a emprunté sur les marchés l’équivalent de 30 % de son PIB, une paille ! Considérant que le PIB de la France en 2019 était de 2300 milliards d’euros, donnée que l’on peut d’ailleurs contester si le raisonnement que je vais exposer s’applique aussi pour l’exercice 2018-2019, alors la France a emprunté «environ » 700 milliards en 2020 puisque, officiellement, la dette du pays est passée de 100 à 130 % du PIB. Faites le calcul, ce ne sont que des règles de trois … J’ai comme l’impression que le Ministre des finances français, qui ne sait pas combien il y a de m2 dans un hectare, a oublié que cet accroissement de la dette a été incorporé dans le calcul du PIB. Ceci signifie que à ces 700 milliards de dette supplémentaire il faut ajouter les 207 milliards de chute du PIB, toujours par rapport à 2019, et je sais faire une simple addition, on arrive à 900 milliards d’euros en arrondissant un peu.
Donc, en reprenant le montant du PIB de 2019 de 2300 milliards d’euros, la chute en cette même année 2020 du PIB est alors de 900/23 = 39 %. Ceci veut tout simplement dire que la France est en faillite.
RépondreSupprimerLa France ne survit aujourd’hui qu’en empruntant. Le pays ne va plus pouvoir emprunter sur les marchés et son seul recours sera alors la BCE qui, comme chaque européen le sait ou à tort l’ignore (parfois il vaut mieux ignorer les évidences qui fâchent), est contrôlée par l’Allemagne. Si les agences de notation internationales classent la dette de la France dans la catégories des « bonds pourries » le Président français ira faire la manche à Berlin. Les taux d’intérêt consentis par les bailleurs ne pourront qu’augmenter et la France, qui ne disposent d’aucunes réserves de change, ne pourra plus honorer sa dette. Son problème est qu’elle ne peut plus dévaluer sa monnaie puisqu’elle est prisonnière de l’euro. La monnaie était le seul pouvoir régalien important de l’Etat français et il l’a abandonné. Par voie de conséquence l’euro a enrichi les riches, appauvri les pauvres et détruit le tissu industriel français, belle réussite. Si les Allemands s’en sont sorti c’est tout simplement parce qu’ils ont maîtrisé les salaires en accord avec les syndicats, quelque chose d’inconcevable en France, et le tissu industriel allemand a survécu grâce aux efforts des salariés à qui on avait expliqué qu’ils n’avaient pas trop le choix.
Les premiers Français concernés par la situation gravissime du pays, qui étrangement échappe aux analystes économiques, seront les retraités, ceux qui ne sont pas morts du SARS-CoV-2. Quand le Président français ira faire la manche à Berlin la Chancelière allemande lui répondra : « chacun sa merde ».
Il faudrait donc s’attendre dans les prochains mois à une diminution des retraites, à une diminution des salaires des fonctionnaires, à une diminution des prestations sociales et à une mise sous tutelle de la France par la BCE dirigée par l’ex-présidente du FMI, ce même FMI qui a mis à genoux la Grèce pour des raisons sensiblement identiques à celles auxquelles est confrontée la France aujourd’hui. Pire encore les banques françaises, toutes au bord de la faillite, et les compagnies d’assurance qui collectent l’épargne des Français encore crédules verront fondre leurs bilans puisque la dette de la France sera déclassée par les agences de notation. Qu’arrivera-t-il alors ? Ce sera pire que Chypre, les Français seront tous ruinés … Franchement, entre nous, chers lecteurs de mon blog, ne croyez-vous pas que nous sommes gouvernés par des illettrés qui ne savent même pas faire une règle de trois ? Les Français devront souffrir en silence puisque ce sont eux qui ont mis au pouvoir ces ignorants avec leurs bulletins de vote …
Note. Pour une bonne compréhension du processus très complexe de la dette dans la zone euro puisque les Etats ne peuvent plus dévaluer leur propre monnaie, la BCE rachète sur le second marché les titres de dette souveraine émis par les Etats auxquels souscrivent des investisseurs résidents comme les banques et les compagnies d’assurance mais également des non-résidents. La BCE débloque alors des liquidités pour les banques qui ont déposé en collatéral ces titres de dette à la BCE. Au final le bilan de la BCE augmente. Mais un jour ou l’autre il faudra siffler la fin de la partie. Je ne suis pas du tout économiste et si j’ai écrit dans ce billet des monstruosités, que mes lecteurs n’en tiennent pas compte.
RépondreSupprimerhttps://jacqueshenry.wordpress.com/2021/01/05/la-france-senfonce-dans-la-faillite-cest-une-simple-affaire-de-regle-de-trois/
Cartographie des villes les plus surveillées au monde (Londres mène l'Occident)
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 05 JAN 2021 - 14:45
Depuis que la première caméra de vidéosurveillance au monde a été installée en Allemagne en 1942, le nombre de caméras de surveillance dans le monde a considérablement augmenté. En fait, comme le note Avery Koop de Visual Capitalist, il ne nous a fallu que 79 ans pour passer d'une caméra à près d'un milliard de ces appareils.
- voir graphique sur site -
Dans le graphique interactif ci-dessus, Surfshark montre la prévalence des caméras de surveillance CCTV dans les 130 villes les plus peuplées du monde.
Big Brother regarde
Alors, combien d'entre nous sont surveillés? La Chine et l'Inde sont les pays avec les plus fortes densités de caméras de surveillance CCTV dans les zones urbaines. Chennai, en Inde, dispose de 657 caméras par kilomètre carré, ce qui en fait la première ville au monde en termes de surveillance.
Voici un aperçu des 10 plus grandes villes du monde en termes de densité de vidéosurveillance.
- voir liste sur site -
Londres est la seule ville non asiatique à percer la liste avec 399 caméras de vidéosurveillance par kilomètre carré.
Pékin se classe à la dixième place. La capitale chinoise possède le plus grand nombre de caméras de vidéosurveillance au total, avec un peu plus de 1,1 million installées dans la ville.
Bien que les caméras CCTV soient devenues extrêmement répandues dans les villes du monde entier, cela ne signifie pas que ces caméras voient et reconnaissent chacun de nos mouvements. Dans la plupart des cas, les caméras sont dans une position fixe - et certains des aspects les plus invasifs de la vidéosurveillance, comme la technologie de reconnaissance faciale associée, ne sont pas encore universels.
- voir graphique sur site -
Le besoin de vidéosurveillance
L'omniprésence des caméras de surveillance peut être déconcertante pour certains, car elles représentent une diminution de la confidentialité. Cependant, il y a aussi ceux qui sentent que la présence de caméras crée une sécurité supplémentaire.
Alors que des gouvernements comme la Chine affirment qu’un grand nombre de caméras de surveillance contribue à réduire la criminalité, les données réelles deviennent désordonnées. Par exemple, la ville chinoise de Taiyuan a environ 120 caméras pour mille habitants et pourtant la ville a un indice de criminalité plus élevé que la plupart.
Liberté vs sécurité
À mesure que les réseaux de surveillance deviennent de plus en plus sophistiqués et granulaires, les violations des libertés personnelles sont de plus en plus préoccupantes.
La Chine double sa surveillance dans ses villes en étant pionnière dans l'utilisation et l'exportation de la technologie de reconnaissance faciale. Cette technologie fait partie intégrante du système de points sociaux proposé par la Chine. Avec une base de données de 1,3 milliard d'images pouvant être associées à un visage sur une caméra de vidéosurveillance en quelques secondes, les citoyens en difficulté peuvent être facilement identifiés.
En Inde, en revanche, le nombre de caméras peut être attribué à l'urbanisation massive, à la hausse de la criminalité et à la rareté des ressources urbaines. Dans l'ensemble, il existe une classe moyenne montante qui souhaite se protéger avec l'utilisation de caméras de vidéosurveillance.
Alors que nous nous rapprochons d'un milliard de caméras de surveillance CCTV dans le monde d'ici la fin de 2021, nous continuerons sans aucun doute à être surveillés dans le futur.
https://www.zerohedge.com/markets/interactive-mapped-top-surveillance-cities-worldwide
Notez aussi que rapporté au nombre d'habitant la Chine et l'Inde s'affichent en dernières places !
Supprimer(...) Alors que nous nous rapprochons d'un milliard de caméras de surveillance CCTV dans le monde d'ici la fin de 2021, nous continuerons sans aucun doute à être surveillés dans le futur. (...)
1 milliard de caméras ??! Si un surveillant regarde 10 écrans cela demande 100 millions de téléspectateurs et, comme ils (ou elles) ne travaillent pas 24/24 h, multiplier ces 100 millions par 3 (8 h/j.) ou 4 (6 h/j.) !
( à conditions que les dits surveillants soient eux-mêmes filmés, sinon comptez 300 ou 400 millions de personnes retirées des 7 milliards d'habitants. Reste aussi à savoir combien il y a de personnes (logements privés) non filmées ou combien sont dehors. Ajoutez un nombre pour ceux qui s'occupent des drones et satellites).
7 milliards de personnes surveillées comme des animaux ! Or, existe cette différence avec eux est que les humains peuvent parler ! Oui mais... qui va les écouter en dictatures ?